Mentor fait plus : il fait lire à Télémaque ses écrits théologiques. […] Les excuses au duc de Bourgogne et à la duchesse de Chevreuse : « J’écris en fou ; pardon de ce que j’ai écrit de trop dur », c’est le même aveu, avec le mélange du désir de plaire. […] et les critiques contre la tyrannie de la rime, sinon à la ruine de l’art d’écrire en vers ? […] Je ne parle que de ses écrits de choix. […] De tous les ouvrages écrits dans notre langue, celui-là est peut-être le plus aimable.