Vinet a dit : « Quels Mémoires seraient plus intéressants que ceux de ce religieux, s’il eût pu songer à les écrire ? […] Vinet m’écrivit : « Monsieur, on vient de m’envoyer la livraison de la Revue des Deux-Mondes, où se trouve l’article que vous avez bien voulu me consacrer. […] La mienne s’attache à vous depuis longtemps, c’est-à-dire à vos ouvrages ; et quoique vous m’accusiez avec douceur de juger des hommes par leurs livres, je veux bien vous donner lieu de me le reprocher encore, et vous avouer que c’est votre pensée intime, votre vrai moi, qui m’attache souvent dans vos écrits.