Mais, le jour où il écrivait la Fille de Roland, cet honnête homme a, à force de sincérité, écrit, si je puis dire, une œuvre supérieure à son propre talent… Sans doute, le génie d’expression épique et lyrique n’est pas tout à coup descendu en lui par une grâce divine. […] Ce premier livre a, d’ailleurs, son originalité ; la préface, qui est en vers, est écrite par le père de l’auteur, M. Eugène de Bornier, souhaitant, du fond de sa province, bon vent, bonne mer, aux écrits de son fils.