Au timbre de sa voix ferme dans sa langueur… À la fin des lettres de Jocelyn à sa sœur, après tous ces détails journaliers de prière, de travail, de charité, le curé de Valneige se représente, la nuit, veillant, agité encore, lisant tantôt l’Imitation, tantôt les poëtes : Dans mes veilles sans fin, je ressemble, ô ma sœur, À ce Faust enivré des philtres de l’école, etc., etc.