En prenant alors la perception sous sa forme concrète, comme une synthèse du souvenir pur et de la perception pure, c’est-à-dire de l’esprit et de la matière, nous resserrions dans ses plus étroites limites le problème de l’union de l’âme au corps.
En prenant alors la perception sous sa forme concrète, comme une synthèse du souvenir pur et de la perception pure, c’est-à-dire de l’esprit et de la matière, nous resserrions dans ses plus étroites limites le problème de l’union de l’âme au corps.