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1631. (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre V. Comment finissent les comédiennes » pp. 216-393

Les combats de son âme, nul ne les vit, sur son visage impassible. […] Madame Sainval aînée, corps si frêle, âme si grande. […] de notre temps, nous appartenions corps et âme à l’art dramatique, c’était là toute notre vie. […] La tristesse s’était emparée de cette âme en peine ; en un mot, Monrose avait déchiré même sa livrée ! […] À force de montrer leur âme à nu, les écrivains de ce temps-là ont fini par habiller leur corps presque aussi peu que leur âme.

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