Il s’était marié dès novembre 1794, à l’âge de vingt et un ans, à une jeune personne « dont les qualités aimables se peignaient sur sa figure charmante ». […] Après Horace, après Socrate et Franklin, après tous les moralistes, il avait aimé simplement à converser sur le thème éternel, à rappeler quelques vérités aux esprits revenus, capables de les entendre ; il avait espéré les insinuer surtout aux esprits jeunes, à ceux qui le liraient dans l’âge des résolutions généreuses. […] La succession des âges, en effet, et l’expérience souvent triste qu’elle amène, loin d’aigrir et d’entamer chez M.