Elle montre ce prince allant à un rendez-vous très peu édifiant, et, pour abréger le chemin, ayant obtenu du portier d’un monastère qu’il le laisserait passer à travers l’enclos. […] On arrive ainsi, à travers le plus grand siècle, à Mme de Caylus, la nièce aisée et souriante de Mme de Maintenon, à cette perfection légère où, sans y songer, l’esprit ne se retranche rien et observe tout.