» Il insistait sur l’importance des idées religieuses, sur leur influence morale, leurs jouissances touchantes, « indépendantes du pouvoir des hommes et des coups du sort », les consolations dont elles sont pour les âmes à travers les inégalités des conditions et les vicissitudes de la vie : « Leur besoin est senti surtout par les peuples en révolution : alors il faut aux malheureux l’espérance ; elles en font luire les rayons dans l’asile de la douleur, elles éclairent la nuit même du tombeau, elles ouvrent devant l’homme mortel et fini d’immenses et magnifiques perspectives. […] Pour suivre dans ses divers degrés la conduite de Camille Jordan et sa marche progressive courageuse à travers les débats passionnés de la Restauration, pour s’en faire une juste idée, il faut lire l’Histoire du Gouvernement parlementaire en France de M.