La confiance que j’ai en vous est bien marquée, puisque je vous remets les forces et le salut de l’État. […] Je compterais aller à Péronne ou à Saint-Quentin y ramasser tout ce que j’aurais de troupes, faire un dernier effort avec vous, et périr ensemble ou sauver l’État ; car je ne consentirai jamais à laisser approcher l’ennemi de ma capitale.