de propos de remettre sous les yeux des lecteurs les deux pages qu’on
vient de
transcrire. Ce n’est pas que ce drame puisse en r
loin de là, mais c’est que le principe de la liberté, en littérature,
vient de
faire un pas ; c’est qu’un progrès vient de s’acc
liberté, en littérature, vient de faire un pas ; c’est qu’un progrès
vient de
s’accomplir, non dans l’art, ce drame est trop pe
ous ce rapport du moins, une partie des pronostics hasardés plus haut
viennent de
se réaliser. Il y avait péril, en effet, à change
s le fond de ce drame. En somme, le moment n’est peut-être pas encore
venu de
le juger. Hernani n’est jusqu’ici que la première
t Amédée Renée, l’auteur de Louis XVI et le continuateur de Sismondi,
vient de
traduire et traduit encore son Histoire de Cent a
ouit l’auteur en Italie, et sans l’éminent talent du traducteur qu’il
vient de
rencontrer en France, il n’y aurait qu’à laisser
a prétention de raconter et d’expliquer les cent dernières années qui
viennent de
s’empreindre si profondément sur l’Europe ne renf
Verdi que ce Cantu qu’elle honore et cet autre déclamateur sonore qui
vient de
mourir, ce Gioberti, plus fort pourtant que Cantu
u, je n’ai assurément aucun doute sur la foi et la piété de celui qui
vient de
l’écrire, mais je me dis que les milieux pèsent b
recherchée, et elle est encore, à cette heure, l’écueil contre lequel
vient de
se heurter, dans sa maturité réfléchie et qui dev
on cloître, une fois de plus, pour devenir un candidat d’Académie, et
vient de
payer sa bienvenue dans la compagnie où il est en
ou le néant, ou les défauts de l’écrivain. On les voit tous ! Or, je
viens de
dire ce qu’étaient ceux du R. P. Lacordaire ; et,
critiques. L’incorrection inouïe du dernier livre du P. Lacordaire ne
vient pas de
l’ignorance de la langue ni de l’audace des néolo
tour et de l’inhabitude d’écrire. Non, le mal est plus profond : elle
vient de
l’absence de justesse dans un esprit, brillant so
it, brillant souvent, mais jamais excessivement par la justesse. Elle
vient de
la déclamation foncière de l’auteur dans ce livre
tu des loix de la nature, dit dans un autre endroit l’auteur que nous
venons de
citer, que les tons et la mesure font tant d’effe
t avec un son articulé. Voici ce qu’ajoute Longin au passage que nous
venons de
rapporter. et de vrai ne voyons-nous pas que le s
t que la même chose que les passages de Quintilien et de Longin qu’on
vient de
lire, mais il m’a semblé propre à fermer la bouch
l’usage. Il est bon de se ressouvenir en lisant les ouvrages dont je
viens de
faire mention, que c’étoit sur des grecs ou sur l
ommunement, parce qu’étant situées entre l’Italie et les païs dont je
viens de
parler, il est naturel que nous aïons des compatr
ù il entrait beaucoup d’érudition et de talent. Dans le morceau qu’il
vient de
publier très à propos, il fait preuve d’un esprit
à ce sujet, et se débitent et se lisent avec intérêt et curiosité. On
vient de
voir un homme du monde, M. de Saint-Priest, y che
re esprit le premier volume d’une Histoire de la Société de Jésus que
vient de
publier M. Crétineau-Joly : cet auteur est déjà c
de son talent, de ses colères. — M. Lebrun, l’auteur de Marie Stuart,
vient de
recueillir ses œuvres complètes : deux volumes on
fixe un regard sérieux sur les trois sortes de spectateurs dont nous
venons de
parler, il est évident qu’elles ont toutes les tr
appesantir autrement sur la transition, des idées générales que nous
venons de
poser, et qui, selon nous, toutes les conditions
qu’il cache, et son épée qu’il montre. Si le double tableau que nous
venons de
tracer s’offre dans l’histoire de toutes les mona
u’à un certain point, être personnifiée dans les deux hommes que nous
venons de
nommer, on voit remuer dans l’ombre quelque chose
figure, c’est une ombre. À présent, hâtons-nous de le dire, ce qu’on
vient de
lire n’est point l’explication de Ruy Blas. C’en
t, le sujet dramatique, le laquais ; et elle a raison. Et ce que nous
venons de
dire de Ruy Blas nous semble évident de tout autr
qui compte ou qui veut compter a son journal à lui. » — M. de Rémusat
vient de
publier le volume premier d’un ouvrage sur Abélar
aité de géométrie ou d’algèbre, et que la scolastique elle-même. — On
vient de
publier un volume de Lettres adressées par Louis
ore à ce point de départ, avant l’expérience acquise. — Lord Brougham
vient de
publier en français, écrit par lui-même, un volum
Rousseau ; c’est un hommage à la France. — Guillaume de Schlegel, qui
vient de
mourir, lui avait rendu souvent ce genre d’hommag
eu de constater encore paisiblement la marche lente des saisons, elle
venait de
découvrir et de comprendre la fuite formidable de
ussi, M. Hermant l’a-t-il laissé dans le milieu administratif dont je
viens de
parler, ce qui lui a permis de faire vivre autour
. Tout cela après la lecture d’un petit livre que Mme Alphonse Daudet
vient de
publier, d’Enfants et mères, qui, sans protestati
e bénévoles dans la forme, que je n’ose en user pour l’ouvrage que je
viens de
lire. L’Amour artificiel n’a rien de commun avec
r recours à ce banal expédient. Péri en mer ! que M. Gustave Toudouze
vient de
publier chez Victor-Havard, est un de ces rares e
pays reconnaissent bien le corps mais point du tout l’âme. La mer qui
vient de
le rendre, le reprendra bientôt dans une autre te
plement émouvant. X. Pierre Loti. Au Maroc. — 1890. Pierre Loti
vient de
publier chez Calmann-Lévy un nouveau livre intitu
er apportaient, sous le nom de morceau de réception, à l’Académie qui
venait de
leur ouvrir ses portes. Au lieu de cela, je trouv
ssassinat réussi le rend fier de sa force ; il est comme Napoléon qui
vient de
remporter une victoire sans se soucier du sang ré
on plus exacte, rien qu’avec de l’encre et une plume, ce que les yeux
viennent de
percevoir et cela avec une vitesse, une instantan
ntil, bien raisonnable, acceptez-moi en raison du livre ad hoc que je
viens de
faire ! « C’eût été misérable pour tout le monde,
ite d’impressions de voyage que notre grand conteur Guy de Maupassant
vient de
publier chez Ollendorff, sinon que c’est toujours
oitelet. — 1890. Chez Charpentier, dans la « Nouvelle Collection »
vient de
paraître un charmant volume de M. Ferdinand Fabre
ire le journal de la vie d’une ouvrière de Paris que M. Jean Ajalbert
vient de
publier chez Tresse, sous ce titre : En amour ; n
e l’une des douze nouvelles que le grand conteur M. Guy de Maupassant
vient de
publier chez Victor-Havard. Je ne parlerai que de
1890. Un des plus grands mérites du dernier livre que Pierre Loti
vient de
publier chez Calmann-Lévy est d’être bien ce qu’i
e admirer des passages délicats comme celui-ci par exemple ; l’enfant
vient de
découvrir la vraie manière de sauter et de courir
e. La Cigarette. — 1890. Huit nouvelles écrites par Jules Claretie
viennent de
paraître chez Dentu sous ce titre : la Cigarette.
— 1890. Le dernier roman de M. Guy de Maupassant, Notre cœur, qui
vient de
paraître chez Ollendorff, est, lui aussi, un roma
ccès comme Péri en mer !, Madame Lambelle, etc., M. Gustave Toudouze,
vient de
publier chez Bavard un roman d’abord paru dans l’
udouze. XXII. Jean Jullien. L’Échéance. — 1890. M. Jean-Jullien
vient de
faire paraître en brochure une pièce jouée au Thé
tres impressions que celles que j’ai éprouvées en lisant le livre qui
vient de
paraître chez E. Kolb. Certes, ce n’est pas une œ
XIV. Maurice de Fleury. Amour de savants. — 1890. Chez Charpentier
vient de
paraître un curieux volume de Maurice de Fleury :
— 1889. Le nouveau volume des œuvres inédites de Victor Hugo, qui
vient de
paraître chez Hetzel et Quantin, se rattache à se
C’est un livre d’hier, d’aujourd’hui, de demain, que M. Paul Meurice
vient de
publier sous ce titre : Le Songe de l’amour ; c’e
nd de son cœur. Très ingénument, elle raconte à George Giroux qu’elle
vient de
rompre avec son amant, un flandrin de vicomte que
coup d’éventail. — 1889. Un coup d’éventail, de M. Louis Dépret,
vient de
paraître chez Dentu ; ce petit volume, écrit d’un
tiste. — 1890. Le nouveau roman que l’auteur de Monsieur de Camors
vient de
faire paraître chez Calmann-Lévy comptera certain
Victor Hugo. En voyage. — 1890. Les œuvres inédites de Victor Hugo
viennent de
s’enrichir d’un volume nouveau paru chez Hetzel e
pour éviter la boue. Je longeais les fossés du château. Les condamnés
venaient de
rentrer, on faisait l’appel, et j’entendais leurs
ord écrit M. Gau, puis il a hésité un instant, a regardé le mot qu’il
venait de
tracer, et, le trouvant sans doute un peu nu, y a
? IX. Alphonse Karr. Hélène. — 1890. La librairie Calmann-Lévy
vient de
faire paraître un roman d’Alphonse Karr, au lende
ui sans pitié. Sa mémoire ne s’en porte pas plus mal, et le livre qui
vient de
paraître prouvera l’injustice de ceux qui, maltra
elui-ci avait bien l’humeur à la reconnaissance après l’affront qu’on
venait de
lui faire, à lui, l’homme de confiance de M. le d
plus connue pour cela ; il semble que la plupart des romans qui nous
viennent de
là-bas soient copiés sur un même modèle dont la m
umbles. XII. M. de Borelli. Arma. — 1890. Le vicomte de Borelli
vient de
réunir en un volume paru chez Lemerre sous ce tit
u livre du Jules Breton, de la Vie d’un artiste, que le grand peintre
vient de
publier chez Alphonse Lemerre ? Toute la critique
n d’action, de Toutes les deux, le dernier livre d’Albert Delpit, qui
vient de
paraître chez Ollendorff. Ici, par exemple, pas d
mte de Guerne, un disciple mais non un imitateur de Leconte de Lisle,
vient de
publier chez Lemerre le premier volume d’un ouvra
ont. C’est en pleine Thébaïde, dans ces déserts que la foi chrétienne
venait de
peupler, que l’auteur nous conduit tout d’abord,
enirs. — 1889. Notes et souvenirs, tel est le titre du volume qui
vient de
paraître chez Calmann-Lévy et qui nous reporte au
res eussent encore des journées, des aspects ignorés, et cependant je
viens de
lire avec l’intérêt, je ne dirai pas d’un roman,
ile de Najac, qui représentait la Commission des auteurs dramatiques,
venait de
dire quelques paroles sur la tombe, lorsqu’un inc
logiques, ne redit pas ce que Balzac et d’autres ont écrit cent fois,
vient de
paraître chez Calmann-Lévy. Est-ce l’œuvre d’un j
portes. Eh bien ! ce jeune entre les jeunes, c’est Alphonse Karr qui
vient de
nous donner, sous ce titre : les Bêtes à bon Dieu
égale à son journal, c’était de quoi vivre. J’étais dans la joie, je
venais de
signer et j’attendais Charles pour lui annoncer c
anquait peut-être de cœur. Je crois que les quelques anecdotes que je
viens de
citer établiront facilement le contraire. IV.
’Orléans, que ses deux fils, le comte de Paris et le duc de Chartres,
viennent de
faire paraître chez Calmann-Lévy. J’avoue que, ju
e sentais pas en lui cette haute intelligence qu’un paquet de lettres
vient de
révéler. Le deuil de Paris au jour de la nouvelle
ile Augier. — 1889. M. Édouard Pailleron, de l’Académie française,
vient de
faire paraître chez Calmann-Lévy, une brochure su
c’est aussi un acte de justice envers le grand écrivain que la France
vient de
perdre. Faute de pouvoir la citer en entier, j’y
e Revue illustrée que publie avec succès la librairie Ludovic Baschet
vient de
nous donner une très remarquable étude intitulée
val court à quelques pas de moi et me montra une tête sanglante qu’il
venait de
couper ; il la tenait par la bouche, et la tête,
venirs intimes de la Cour des Tuileries, par Mme Carette, née Bouvet,
vient de
paraître chez Ollendorff. Le récit s’arrête au jo
t une reconnaissance sans bornes, M. Eugène Guillaume, de l’Institut,
vient de
publier chez Perrin un livre que les artistes dev
e et s’en repaît avec une avidité insatiable. La lueur incertaine qui
vient de
fenêtres éloignées, la lumière qui change selon l
ation enthousiaste. L’escorte se composait d’un escadron de dragons,
venu de
Joigny sans encombre, et le service d’honneur d’u
ivés juste à temps pour assister aux manifestations bruyantes dont je
viens de
rendre compte, s’entretenaient de la situation po
it à l’Assemblée législative la grande mesure de salut public dont il
venait de
prendre l’initiative courageuse. L’Assemblée se d
III. Alexandre Dumas. Nouveaux entr’actes. — 1890. Alexandre Dumas
vient de
réunir en une première série, qui paraîtra chez C
nd de Goncourt, qui a le génie des recherches et des reconstitutions,
vient de
faire revivre en un volume une artiste célèbre as
ique, l’auteur de cette curieuse étude qui s’appelle le Député Leveau
vient de
publier chez Lecène et Oudin la cinquième série d
’un rhétoricien. — 1890. Broché comme un livre de la Restauration,
vient de
paraître chez Hachette un ouvrage d’une fine save
Correspondance de Talleyrand. — 1890. Mme la comtesse de Mirabeau
vient de
publier chez Calmann-Lévy une correspondance très
Blennerhasselt. Madame de Staël. — 1890. La librairie Westhausser
vient de
publier trois volumes d’un grand intérêt, sous ce
rabat, et je confiai sur-le-champ à mon bon Père supérieur ce que je
venais de
faire, et ce qu’en homme très religieux il approu
arche. Vera incessu patuit Dea. « Le comte d’Artois, me dit-elle,
vient de
me ravir, chevalier, je serai enchanté que La Bor
uple si barbare et si sanguinaire que celui de Paris et de Versailles
venait de
se montrer, mais ses expressions me parurent avoi
e des fautes de faiblesse qu’il énumérait, parlait des Pays-Bas qu’il
venait de
perdre lui-même, de sa guerre contre les Turcs qu
r le banc. — 1890. Sous ce titre : Sur le banc, M. Maurice Talmeyr
vient de
faire paraître chez Genonceaux, une suite de scèn
e la 2e série du Journal des Goncourt (Mémoires de la vie littéraire)
vient de
paraître chez Charpentier. Tous les lecteurs save
s. — 1890. Le deuxième volume des Mémoires du baron Haussmann, qui
vient de
paraître chez Victor Havard, est l’histoire la pl
rotestant sévère de l’école de Genève. Dans une remarquable étude qui
vient de
paraître chez Hachette, M. Octave Gréard, de l’Ac
’Académie française, secrétaire perpétuel de l’Académie des sciences,
vient de
publier chez Calmann-Lévy un des livres les plus
racine que chapelet et signifie proprement un petit chapeau ; poutre
vient de
pulletrum et Ronsard l’employa encore dans le sen
analysé dans sa Vie des Mots douze significations du mot timbre, qui
vient de
tympanum ; il y en a d’autres12, mais quel qu’en
étymologie : un exemple assez connu mais curieux est celui de cadran,
venu de
quadrantem, qui avait pris la signification de ca
Voyages d’Alfred Marche.). NdA 10. Les trois mots poële du français
viennent de
trois mots latins différents, petalum, patellam e
ujours : M. Thiers corrige et recorrige, il y met tous ses soins ; il
vient de
revenir à Paris pour suivre l’impression de plus
i sied si bien : Des bois dont le murmure et l’ombre sont à moi. Il
vient de
faire, pour sa santé, le voyage d’Ischia où il a
s à travers la famille Pascal. Sous le titre de Jacqueline Pascal, il
vient de
recueillir en un volume toutes les pièces, lettre
ndions ici même45 un cours qui nous en entretenait les premiers. — On
vient de
publier en un volume un choix des Œuvres philosop
entendue. L'Odéon, alléché par son succès d’Antigone de l’an dernier,
vient de
donner les Nuées d’Aristophane. Tout mutilé, tron
un peu aux antécédents de l’écrivain et de parcourir le volume où il
vient de
recueillir quelques-uns des travaux de ces vingt
j’en suis certain, que celle qui n’a pas abouti. En lisant, comme je
viens de
le faire, l’Introduction si remarquable que M. Mi
routinières et des compartiments convenus. Lisez dans ce volume qu’il
vient de
publier le beau chapitre sur la musique religieus
timent en homme qui s’y entend, qui a beaucoup entendu et comparé. Il
vient de
parler des diverses hymnes et proses célèbres de
t gronder toute la liberté. On ne dira pas que je diminue ceux que je
viens de
définir ; j’en viens hardiment aux autres : ces a
acent les adorateurs exclusifs de la liberté. « J’aime qu’on me fasse
venir de
haut », disait une grande dame (la duchesse Charl
seul mot. On doit être digne, mais il ne faut pas toujours prétendre
venir de
trop haut. Regardons aussi en bas. A côté de la d
ens, 15. 20. On aura aisément, deviné, dans cette énumération que je
viens de
faire à l’occasion du rédacteur en chef de l’Opin
r Paul. Un second Corneille, un nouveau Molière, un autre Shakespeare
vient de
naître ! clame-t-on (le verbe clamer est à la mod
nvaincu que lui et Roumestan faisaient deux. Quant à la pièce qu’il
vient de
tirer de son livre, Daudet l’a écrite ou plutôt d
reconnus à ses yeux, dès que nos regarda se furent rencontrés, qu’il
venait de
lire jusqu’au fond de ma pensée. Il me dit néanmo
t le milieu de la chambre et son livre et le couteau espagnol dont il
venait de
se servir. Il se leva, s’adossa au marbre de la c
onc tout de suite !… » J’étendis le bras, je saisis le poignard qu’il
venait de
poser sur la table. Il me regarda sans trembler,
et puis, où voyez-vous du mal à… — Autre chose, s’il vous plaît. Vous
venez de
faire de moi un accusateur public, j’accepte le r
au bout du bridon qu’il tenait négligemment ; il se retourna : Dallas
venait de
s’abattre. Une rage le prit. Il eut un accès de c
ête couchée là était une personne, comme si de cette charogne une âme
venait de
s’envoler. Il s’assit sur la croupe maigre, il c
us intéressants, publié il y a deux ans dans l’Illustration. Le livre
vient de
paraître chez Dentu sous le titre de Candidat ! O
livres des autres comme s’il n’en faisait pas lui-même, me dit : — Je
viens de
voir chez Calmann-Lévy les « bonnes pages » d’un
non plus, mais je vous assure que celui qui a écrit les pages que je
viens de
parcourir est un nouveau qui peut faire un beau c
fortifiait et me rassérénait. J’effrayai un merle qui, imprudemment,
venait de
s’abattre à ma portée ; il repartit en criaillant
Parmi ceux-là plaçons M. Jules Case, l’auteur de Bonnet Rouge, qui
vient de
paraître chez V. Havard. Ce roman, tout autre l’e
— 1887. L’Inconnu, tel est le titre du roman que M. Paul Hervieu
vient de
publier chez Lemerre. Roman étrange dont le défau
e romancier. XII. Paul Bourget. Mensonges. — 1887. Le livre qui
vient de
paraître chez Lemerre a environ cinq cents pages
ssi tant de désillusions. XIII. Émile Zola. Le Rêve. — 1888. On
vient de
publier, chez Charpentier, un nouveau roman de M.
onnaient dans chacune de ses pièces, la berçaient d’un souffle sacré,
venu de
l’invisible ; et, à travers le mur attiédi, parfo
vait recommencé, si rude, que la neige des sculptures, à demi fondue,
venait de
se figer en une floraison de grappes et d’aiguill
soirée, comme la mort la glaçait peu à peu, un grand désir lui était
venu de
l’extrême onction, la médecine céleste, insinuée
puis longtemps, il sentait bien qu’il possédait une ombre. La vision,
venue de
l’invisible retournait à l’invisible. Ce n’était
eau. — 1889. Sur l’eau, le dernier livre que M. Guy de Maupassant
vient de
publier chez Marpon et Flammarion, n’a rien d’un
suffoquant, agonisant, seules depuis vingt-quatre heures ! Le médecin
venait de
nettoyer la gorge de la mère et l’avait fait boir
en Angleterre, où cette question avait été traitée. Comme un orateur
venait de
développer de nombreux arguments en faveur des fe
irbeau. L’Abbé Jules. — 1888. Après le Calvaire, M. Octave Mirbeau
vient de
publier l’Abbé Jules (Ollendorff, éditeur) ; cett
tire son béret. L’aumônier s’éloigne vers la sacristie. « À qui qu’y
vient de
graisser les boites ? demande un artilleur en tra
y. Petite Reine. — 1888. Le nouveau livre que l’auteur de l’Adorée
vient de
publier est dédié à une mère. Par ce temps de rom
it besoin d’être pardonné. Cette vie d’une femme que la jeune fille
vient de
trouver dans les rubans, dans les lettres d’une m
ion contre un blasphème que naît l’amour de la mère pour un homme qui
vient de
parler comme un père. Ainsi qu’on le voit, c’est
ne indéfinissable expression de tendresse et de surprise l’enfant qui
vient de
naître. À quelle école appartient M. René Maizero
Je pourrais citer bien d’autres passages des deux cents chansons qui
viennent de
paraître dans ce recueil publié par Bourbier et L
rre, L’orphelinage heureux de leur geste léger Au devant de l’Ami qui
vient de
l’étranger En deux néants sépare un végétal ignar
aître poète, qui est aussi un maître prosateur, Théodore de Banville,
vient de
publier, chez M. Dreyfous, Madame Robert ; Madame
Froideville. — 1887. J’arrive à M. André Theuriet et au livre qui
vient de
paraître chez Charpentier. Le monde des employés,
eur ; il penserait ensuite que si l’amour ressemblait à celui dont il
vient de
voir le tableau, ce petit dieu ne jouirait certai
Hector Malot, placée en tête de son grand roman : Vices français, qui
vient de
paraître chez Charpentier, les lignes suivantes :
I. Jean Rameau. Le Satyre. — 1887. Dans le Satyre, que Jean Rameau
vient de
publier chez Ollendorff, je trouve un peu de tout
rès remarquable pièce, je devrais dire un poème, que M. Gustave Rivet
vient de
publier dans un journal où se sont produits tant
uy, les macabres dessins de Willette, les fantaisies de Caran d’Ache,
vient de
publier le Petit Testament d’Hector Lestraz, esch
lly Prudhomme le prouvera du reste. Le Bonheur, son dernier livre qui
vient de
paraître chez Lemerre, sera-t-il une œuvre popula
rs les espaces infinis, au plus loin de notre monde limité. Faustus
vient de
mourir, et son âme envolée dans un autre monde re
jà la chaleur. Stella explique à Faustus le monde nouveau où la Mort
vient de
le conduire : Reviens de la surprise où mon ret
e a réussi ! Faustus rappelle à Stella les choses de la terre qu’il
vient de
quitter en ces vers charmants : Pour ta grâce,
ssées de la pèlerine qu’elle avait mise pour sortir du bal et qu’elle
venait de
rejeter, frissonnaient légèrement, et elle en épr
. Elle avait tellement souffert de la chaleur dans ces salons qu’elle
venait de
quitter ! Puis, sans qu’elle osât en convenir vis
est séparé d’elle depuis plus d’une année. Mère ! Et la fille qu’elle
vient de
mettre au monde a pour père un misérable ! Elle s
ameau. La Chanson des étoiles. — 1887. Un vrai poète, Jean Rameau,
vient de
publier la Chanson des étoiles, un de ses plus be
opartz, à qui nous devons un charmant et juste éloge de Victor Massé,
vient de
publier, chez Léon Vanier, un recueil de poésies
ssez bien là le Roi, n’est-ce pas ? Calme, serein, devant l’homme qui
vient de
tirer sur lui, presque bienveillant. En ce moment
en dire la bourre du fusil qui était tombée sur ses genoux et qu’elle
venait de
ramasser. Ce silence avait quelque chose de paisi
t pour moi ce qui ressort de ce volume fourmillant de faits et que je
viens de
lire d’un trait comme le roman le plus émouvant,
pays, II. Edmond de Goncourt. Journal des Goncourt. — 1887. Je
viens de
parcourir le premier volume du Journal des Goncou
une dernière qui doit clore à jamais le débat ; dans une brochure qui
vient de
paraître chez Firmin Didot et intitulée : Les der
autres détails les lignes suivantes : « Tous les désordres dont nous
venons de
donner le détail sont évidemment l’effet d’un vic
gara. — 1887. Sous ce titre, De Paris au Niagara, M. Charles Bigot
vient de
faire paraître, chez Dupret, une très intéressant
1887. Un livre des plus curieux, par son but et par son exécution,
vient de
paraître chez Calmann-Lévy ; c’est le Répertoire
bservations. La Première Joye, c’est-à-dire la première désillusion,
vient de
la coquetterie de la femme nouvellement mariée. X
parlé dernièrement de la belle réimpression que la librairie Hachette
venait de
faire des Cahiers du capitaine Coignet, ce récit
que signaler le soin tout particulier avec lequel la maison Hachette
vient de
faire un superbe livre de ces simples cahiers. Po
ait l’an dernier à un de ses amis. … Du reste, j’ai de la chance, je
viens de
trouver à Auxerre une personne fort complaisante
ignet, il l’a empaillé ! C’est tout ce qu’il y a de plus drôle. Il me
vient de
me mener devant la boutique de Coignet et les exp
ui. — 1888. Les Mémoires d’aujourd’hui, que M. Robert de Bonnières
vient de
publier chez Ollendorff, forment la troisième sér
1888. L’auteur de la Charité privée à Paris, de la Vertu en France
vient de
donner une suite à ces ouvrages si intéressants,
de rares conditions de succès ; en effet, tous les écrivains que nous
venons de
citer, et qui représentent dans les lettres des p
ine. — 1888. Je signale un livre de haut intérêt que M. A. Bardoux
vient de
publier chez Calmann-Lévy. C’est une biographie d
érudit, a très amplement comblé cette lacune, et le beau livre qu’il
vient de
publier à la Librairie Illustrée, sous ce titre :
in, peut-être aussi un successeur de Dantan jeune, Paul Bourbier, qui
vient de
produire de si étonnantes charges d’acteurs connu
ces fort intéressantes pour l’histoire du xviiie et du xixe siècle,
vient de
paraître aux bureaux de la Revue. Parmi les docum
guerre, car Votre Majesté n’est pas heureuse dans la campagne qu’elle
vient de
faire ? » Le roi de Prusse lui répond : « Oui, Si
la rue ; qui n’a entendu cette conversation ? — C’est un cheval qui
vient de
s’abattre, ma bonne amie. — Allons-nous-en, allon
De vous à moi. — 1887. Le charmant conteur qui a nom Pierre Véron
vient de
publier un volume de nouvelles, de réflexions et
d’énormes pertes au jeu avaient fini par déranger la cervelle et qui
venait de
brûler là les cent derniers vrais billets de mill
. Nous trouvons dans le onzième volume de l’Histoire du monde, qui
vient de
paraître, une note fort curieuse sur les derniers
h d’Arçay. Notes inédites sur M. Thiers. — 1888. M. Joseph d’Arçay
vient de
publier chez Ollendorff un très intéressant volum
ce titre : la Jeunesse du roi Charles-Albert, M. Costa de Beauregard
vient de
publier chez Plon un livre fort curieux sur ce pr
de règne, il allait mourir, héros masqué d’un roman auquel la défaite
venait de
mettre le signet. …………………………………………………………………………………
re une rare puissance d’attraction. Cet Ahmed le Boucher, dont la vie
vient de
paraître chez Ollendorff, n’est autre que ce pers
ire que vous craignez les intérêts matérialistes de la révolution qui
vient de
s’opérer. La Révolution de 1789 est sortie du cer
vec tant de complaisance et de talent. Mais en y réfléchissant, il me
vient de
grandes hésitations à traiter le sujet de cette m
cit. Enfin, il y a une certaine affectation à reprendre le chemin que
vient de
suivre M. Thiers ; le public vous sait rarement g
e faire bien comprendre l’état de mon esprit. Toutes les idées que je
viens de
t’exprimer l’ont mis fort en travail ; mais il s’
e cause, il déclare assez qu’il en a une, et cette cause, telle qu’il
vient de
la définir, était pour lui une religion. Je m’en
près du bon abbé Lesueur n’était pas absolument la vraie ; si l’homme
venait de
moins haut ; s’il n’avait pas moins pour cela le
t compris Tocqueville comme écrivain et jugé son style. « Michel Lévy
vient de
publier un autre volume de Tocqueville, intitulé
ent, ne me le dites pas. » Mes articles faits et publiés (ceux qu’on
vient de
lire), le digne ami de Tocqueville et qui était b
ait agir, c’est encore de la bienveillance, et la plus sûre, car elle
vient de
l’instinct plus que de la volonté. Quelle qu’elle
à ce sujet la lettre suivante, qu’un hasard me fait retrouver : « Je
viens de
lire, Monsieur, dans le journal le Temps d’hier,
ux amateurs du scepticisme historique. — A propos de M. Monmerqué, il
vient de
publier dans les Débats (du 4 octobre) un petit b
venons, si nous n’y prenons garde, badauds comme des Byzantins. — On
vient de
publier dans le format Charpentier une traduction
qui a déjà donné une histoire (très-partiale) de Luther et de Calvin,
vient de
publier celle de Léon X : ici il est plus intéres
e faire leur gerbe, ou tout simplement leur botte. M. Paulin Limayrac
vient de
consacrer un article des Poetæ minores (qualifica
tenu et amalgamé dans un roman d’action moderne que M. J.-K. Huysmans
vient de
publier chez Tresse et Stock sous ce titre : Là-b
même… mais disons d’abord qu’il s’agit d’un livre que M. J.-H. Rosny
vient de
publier, et qui a pour titre : Daniel Valgraive.
u’éveille le très curieux et très captivant livre que M. Paul Bourget
vient de
publier sous le titre fort exact de : Sensations
e charmante idylle : Ma douce (en breton : Và douc !) que M. Toudouze
vient de
publier chez Victor Havard, idylle qui n’a rien d
s ses pages, voilà qui n’est certes pas banal. Cette originalité nous
vient de
M. Abel Hermant, et le volume, édité par Charpent
la première de ces nouvelles et a donné son titre au livre. La guerre
vient de
finir, le territoire est encore envahi. Il y a qu
ce qui fait le charme de la lecture du livre : la Vie brutale, qu’il
vient de
publier chez Charpentier et Fasquelle. Les cinqua
ès la lecture de l’Américaine, le nouveau roman que M. Jules Claretie
vient de
publier chez Dentu. C’est par la logique et le se
s ? Ainsi a fait Pierre Loti et c’est ce qui nous vaut le livre qu’il
vient de
publier chez Calmann-Lévy. C’est le cœur plein de
892. Des trois nouvelles qui forment le volume que M. Jean Jullien
vient de
publier à la Bibliothèque artistique et littérair
udiait la médecine, comme tu sais : « Ah ! c’est affreux ! Notre fils
vient de
faire quelque chose de monstrueux, je le sens. »
ille, est étonnante de précision ; les Prussiens meurent de faim (ils
viennent de
se battre à Beaumont), se jettent dans les maison
tés dans le livre des Possédés de la morphine, que M. Maurice Talmeyr
vient de
publier chez Plon. En une suite d’exemples tous a
osée, très patiemment, faisait des petits pâtés avec du sable. Jeanne
venait de
tresser des colliers avec ces petites fleurs rose
it. Lilia avait été couper des fleurs dans le fond du jardin, et Marc
venait de
l’y rejoindre, brusquement comme s’il prenait un
M. Maurice Barrès, en parlant du Jardin de Bérénice, l’ouvragé qu’il
vient de
publier chez Perrin. Et de fait on sent partout,
aît en wagon, d’après un portrait, la maîtresse de son petit-fils qui
vient de
mourir ; elle ferme les yeux pour que la pauvre f
le titre du nouveau roman que M. Catulle Mendès, l’élégant écrivain,
vient de
publier chez Charpentier. M. Catulle Mendès occup
le. Le sentiment des grandeurs et des hauteurs vous échappe quand on
vient de
lire ces rêves de géants, et l’esprit reste troub
re. Contes salés. — 1891. Les Contes salés que M. Armand Silvestre
vient de
publier chez Kolb, contiennent la série de ces co
péré du plus sincère remords : — Cher monsieur, s’écria-t-il, mon ami
vient de
m’apprendre que je vous avais offensé par un prop
Tout n’est pas cauchemar dans les Cauchemars que M. Jean Richepin
vient de
publier chez Charpentier, et à côté de nouvelles
la science. Si le nom de Musset est venu sous ma plume, c’est que je
venais de
lire dans les Cauchemars une nouvelle intitulée :
aro un admirable article à propos de Lamartine, M. Georges Rodenbach,
vient de
publier chez Charpentier un nouveau recueil de ve
presque, dans la préface du livre : Épisodes, sites et sonnets, qu’il
vient de
publier chez Vanier, de rééditer des péchés de je
une, tel est le titre d’un petit volume de vers que M. Ernest Raynaud
vient de
publier à la Bibliothèque artistique et littérair
stes qui s’appellent Rimbaudd, Mallarmé, Moréas, Vielé-Griffin, etc.,
vient de
donner une réimpression d’un livre étrange de Tri
à leur tour, et, ivre d’amour, appelle d’un cri terrible celle qu’il
vient de
sauver de l’étreinte des monstres : Sur la rive
vy. Karikari, — 1893. Sous le titre de Karikari, M. Ludovic Halévy
vient de
réunir six charmantes nouvelles qui forment un vo
s femmes coupables, c’est que le livre charmant que M. Marcel Prévost
vient de
publier chez Lemerre, sous le titre de : Lettres
eci posé, je dirai que les vingt et quelques lettres de femmes que je
viens de
lire forment un ensemble d’une lecture très attra
892. Il ne faut pas voir dans le livre de M. Maurice Montégut, qui
vient de
paraître chez Dentu : Le Mur, une apologie de la
t. M. Sully Prudhomme, sous ce titre : Réflexions sur l’art des vers,
vient de
publier chez Lemerre une plaquette très intéressa
copin et de Mme d’Aulnay, que cette Luscignole dont M. Catulle Mendès
vient de
nous raconter la poétique légende. Il s’agit d’un
t combats. — 1891. M. Stéphen Liégeard, l’auteur de la Côte d’azur
vient de
publier chez May et Motteroz un recueil de poésie
recueil : Rêves et combats. Ce titre explique suffisamment ce que je
viens de
dire et me permet de signaler, entre autres ; une
vantage vous ne serez plus dans le tram. « Peladan » Voilà ce que je
viens de
lire écrit à l’encre bleue, sur la couverture ros
à celui de sa mort. Un historien de haute valeur, M. Ernest Lavisse,
vient de
faciliter à ceux qu’intéresse ce qui s’est passé
éros. La Jeunesse du grand Frédéric, tel est le titre du volume qu’il
vient de
publier chez Hachette et qui, bien que complet, e
Auguste Vitu, désireux de le voir, se rend au pittoresque hôtel qu’il
venait de
se faire construire avenue Friedland. Arrivé là,
en lisant le livre du général baron de Marbot, dont le premier volume
vient de
paraître, que ces réflexions me sont venues comme
t pas tout à fait le cas de M. Édouard Drumont, mais la phrase que je
viens de
souligner pourrait le laisser penser à quelques-u
ussi sur le séjour de Rabelais à Metz, fuyant la Sorbonne parce qu’il
vient de
publier « le tiers livre », et y écrivant le quat
ros, les pages suivantes qu’il adressait au docteur Corvisart. Lannes
venait de
demander à voir l’Empereur ; M. Saint-Mars parti
usse. Mirabeau. — 1891. M. Edmond Rousse, de l’Académie française,
vient de
publier chez Hachette, dans la collection des gra
rançais et Anglais, de Philip Gilbert Hamerton, dont M. G. Labouchère
vient de
nous donner la traduction en deux volumes. Certes
ain de sa mort. Il est de vivaces rancunes ! Mais le pronostic que je
viens de
citer est incomplet, car il eût pu dire aussi qu’
souvenir de leur sympathie. Cette marque d’estime, de reconnaissance,
vient de
lui être donnée littérairement, et c’est lui-même
ection de ses quatre cents pièces, jusqu’à sa mort dans l’hôtel qu’il
venait de
faire construire rue Pigalle ; aussi m’abstiendra
urgeois n’est pas celui que vous avez compris, mais bien celui que je
viens de
vous dépeindre. Mais le public veut le bourgeois
trant un croquis du Scribe, homme de souveraine logique que le hasard
vient de
me révéler. Quant à son style, quant à sa façon d
est pas à vrai parler, un livre d’histoire que M. le marquis de Flers
vient de
publier sous ce titre : le Roi Louis-Philippe, ce
auvaise foi politique a défiguré et dont un de ses serviteurs dévoués
vient de
nous rendre le portrait exact. Telles étaient les
sur l’avenir dans celui que le député de la Seine, l’ancien ministre,
vient de
publier sous ce titre : M. de Moltke, ses Mémoire
e partie. » Tel est le livre très important et très inquiétant que
vient de
nous donner l’ancien ministre ; peut-être, malgré
Gustave Larroumet. Études d’histoire. — 1891. M. Gustave Larroumet
vient de
réunir en un volume de haut intérêt, paru chez Ha
livier. Michel-Ange. — 1892. La grande étude que M. Émile Ollivier
vient de
publier sur Michel-Ange (chez Garnier), n’est pas
Ce que Michel Corneille a symbolisé sur sa toile, M. le duc d’Aumale
vient de
l’exprimer dans le sixième volume de l’Histoire d
t lui annonce que Paris est ouvert. Condé se remet, baise la main qui
vient de
sauver ses soldats, ajoute quelques mots et retou
lui fît place. C’est possible. J’irai voir Waterloo quand un souffle
venu de
France aura jeté bas ce lion flamand à qui saint
u’à deux passions, la vanité et l’amour de l’argent. Cette sécheresse
vient de
l’âme. Il nous arrive souvent à nous autres gens
Joseph Reinach. Le Dix-neuvième Siècle. — 1893. M. Joseph Reinach
vient de
publier chez Ollendorff, sous ce titre : Le Dix-n
tu jamais rencontré, ma cousine, un garçonnet de douze ans à qui l’on
vient de
donner un fusil pour ses étrennes ? Il a de la po
Étude d’histoire politique et religieuse sur Lamennais que M. Spuller
vient de
publier chez Hachette, est en même temps qu’une b
s une singulière signification au lendemain du jour où M. de Bismarck
vient de
faire bien spontanément un aveu qui donne un si b
e trouve cette phrase si touchante où Flaubert met son cœur à nu ; il
vient de
perdre sa mère : « — Je me suis aperçu, depuis qu
s le général est un chef-d’œuvre dicté par la douleur. La perte qu’il
venait de
faire le détourna un instant de la politique, mai
tc. Il faudrait absolument : ne nous convie. — M. Auguste Le Prevost
vient de
publier une Réponse à l’écrit de M. Letronne sur
us l’indiquons du moins comme dernière pièce du procès. — M. Flourens
vient de
recueillir ses articles du Journal des savants su
e la Grèce moderne et de l’histoire de la Gaule méridionale, Fauriel,
vient de
mourir. C'est une vraie perte. Érudit inventif et
encore une fois, ce n’est pas là ce qui m’étonne ! L’étonnement ne me
vient pas de
Ninon Janin : il ne me vient pas de ce que cette
qui m’étonne ! L’étonnement ne me vient pas de Ninon Janin : il ne me
vient pas de
ce que cette Ninon est toujours Janin, le Jules J
e cherche, à travers ses organes, une physionomie ou un accent qui ne
viennent pas de
ces organes, et qui arrive à des résultats combin
Cette faculté que je tiens à signaler aujourd’hui, cette faculté qui
vient de
se produire en cette Fin d’un Monde et du Neveu d
nt qu’un, celui que Diderot nous a peint et celui que M ; Jules Janin
vient de
nous peindre ! Ce sont deux portraits du même hom
ui le suive dans sa mission de charité. Quant aux contemporains, nous
venons de
les entendre. C’est cette claire vue et cet insti
estes de notre passé, tous les beaux témoignages d’aujourd’hui que je
viens de
rassembler, ne sont que les produits d’une même c
ion de la victoire ? Ce qui naîtra, je ne sais, mais l’âme nationale
vient de
se réaliser. En même temps que nous allons libér
de libérer et d’approfondir la vie spirituelle en France. La guerre
vient de
nous apprendre que nos cœurs parfois contractés,
correspondants spontanés ne me donnaient pas, et ces documents qui me
vinrent de
« familles » avec lesquelles je suis moins parent
» Et, brandissant dans sa main, au lieu d’arme, un brin d’herbe qu’il
venait de
cueillir : « C’est avec cela que je veux le tuer,
essayer de comprendre quelque chose à l’indigeste compilation dont je
viens de
parler, et je me suis mis à bégayer l’alphabet. «
chiffrer, en guise de dictionnaire, de la traduction anglaise dont je
viens de
parler. « Quant aux efforts qu’il m’en coûta pour
u. « Ô femme mille fois heureuse, dit-il à Sacountala, le nœud que tu
viens de
former secrètement, et sans m’avoir consulté, n’e
se avec joie le saint prophète de la corbeille lourde de fruits qu’il
vient de
cueillir ; elle verse sur ses pieds fatigués une
rêts voisines de l’ermitage. Le saint dit à sa fille que le temps est
venu de
sommer le roi d’accomplir sa promesse, et de proc
son sein pour l’embrasser, quoique tout couvert de la poussière qu’il
vient de
soulever dans ses jeux, quelles délices sont comp
st sans doute dans cet ermitage ? Les Deux Ermites. Non, prince ; il
vient de
partir pour Somatirtha, où il se rend dans l’inte
sont des pierres tout onctueuses de l’huile de l’ingoudi, dont elles
viennent de
servir à broyer les fruits ; là, de jeunes gazell
s sont remplies de tant de douceur ? Douchmanta. Oui, Preyamvada, tu
viens de
dire une grande vérité. Ses lèvres ont l’incarnat
rds, des femmes et des enfants ! Le voilà qui, dans un choc terrible,
vient de
rompre une de ses énormes défenses contre le tron
en un monceau de cendres, allumer de tels feux dans nos cœurs ? Elle
vient de
passer dans ces lieux ! Je le vois à ces fleurs j
es du lotus, et des gouttes légères d’une rosée rafraîchissante qu’il
vient de
dérober en se jouant sur les vagues à peine sensi
nait au Figaro et ensuite parce qu’il était l’amant d’une actrice qui
venait de
créer une pièce avec éclat. Son nom ne vous appre
permis, lui dis-je en balbutiant, de faire un article sur Darwin qui
vient de
mourir… rai pensé que vous n’en aviez peut-être p
dre. De même quand nous manquions d’argent, l’idée ne nous serait pas
venue de
maudire la destinée, ni de crier à la persécution
Je passai donc, cette année-là, un hiver incertain et sans humour. Je
venais de
rencontrer quelques camarades d’école que j’avais
Grimaces annonçaient cet événement par cette phrase : « M. Derembourg
vient de
recevoir des gifles de Lisbonne. Les Portugais so
lance contrastait singulièrement avec le ton hautain de la maison, où
venait de
finir à peine le règne d’un despote, Villemessant
an de théâtre, ou Pierre Decourcelle que le krack de l’Union générale
venait de
jeter de la Bourse au boulevard et au journalisme
on peut dire que le Tout-Paris des premières traversa une crise ! Je
viens de
vous dire que le krack fut une date capitale de l
sparues de chez nous. La question du rétablissement de la censure qui
vient de
se poser à nouveau est un phénomène de ce genre.
l’illusion de l’indépendance. Ce sont nos petites déclassées. Il en
vient de
tous les points, de la bourgeoisie gênée autant q
ditions de son existence et aux chances qu’elle a d’être heureuse. On
vient de
lui présenter un petit employé de commerce, mal h
ablit dans son esprit : c’est l’état où je me trouve en ce moment. Je
viens de
perdre pendant quelques secondes, en vous regarda
a vie, nous constations les terribles lacunes de l’éducation que nous
venions de
recevoir, et dont la principale était le retard q
le génie. Déclarons-le bien vite et dès à présent, dans tout ce qu’on
vient de
lire comme dans tout ce qu’on va lire encore, l’a
ur pense que tout poëte véritable, indépendamment des pensées qui lui
viennent de
son organisation propre et des pensées qui lui vi
es qui lui viennent de son organisation propre et des pensées qui lui
viennent de
la vérité éternelle, doit contenir la somme des i
lie aujourd’hui, il en parlera peu. Ce qu’il voudrait qu’elle fût, il
vient de
le dire dans les pages qui précèdent ; ce qu’elle
, quelques-uns des modernes, tels que Chateaubriand et Lamennais, qui
venaient de
revernir le catholicisme, enfin un petit nombre d
e catholicisme, enfin un petit nombre de livres tout à fait nouveaux,
venus de
Paris par des amis qui les prêtaient au Cayla : v
bre. « Je suis furieuse contre la chatte grise. Cette méchante bête
vient de
m’enlever un petit pigeon que je réchauffais au c
me suis arrêtée à l’écurie des moutons pour voir un agneau blanc qui
venait de
naître. « J’aime à voir ces petites bêtes qui fon
décembre, elle écrit à son frère : « C’est de la même encre dont je
viens de
t’écrire que je t’écris encore ; la même goutte t
s faire. « Au reste, c’est un jour de bonnes actions aujourd’hui ; je
viens de
Cahuzac et, comme chaque fois, merveilleusement d
qu’aux bergers de Bethléhem. Vraiment, toute l’âme chante à la belle
venue de
Dieu, qui s’annonce de tous côtés par des cantiqu
otre âme. « Bonsoir. » Le 10 mars. « Oh ! le beau rayon de lune qui
vient de
tomber sur l’évangile que je lisais ! » XXVI
fert. On voyait qu’elle l’avait appris devant la croix. Il lui serait
venu de
sourire sur son lit de mort comme un martyr sur s
isine. « Il faut que je note en passant un excellent souper que nous
venons de
faire, papa, Mimi et moi, au coin du feu de la cu
Le 25 avril. « Me voici devant un charmant bouquet de lilas que je
viens de
prendre sur la terrasse. Ma chambrette en est emb
oujours au bonheur d’autrui. Le 18 avril. « Qui aurait deviné ce qui
vient de
m’arriver aujourd’hui ? J’en suis surprise, occup
Dieu vous ennuie, dites-lui qu’il vous ennuie. » Le 23 avril. « Je
viens de
passer la nuit à t’écrire. Le jour a remplacé la
« Jour de deuil. Nous avons perdu ma grand’mère. Ce matin, papa est
venu de
bonne heure dans ma chambre, s’est approché de mo
tait idolâtre de l’opinion et de la popularité. Le temps n’est-il pas
venu de
dégager un peu toutes ces tendresses, toutes ces
t classique comme Horace, et le seul classique des poètes vivants. Je
viens de
relire presque tout entier (de relire, il est vra
, et Béranger est un poète charmant. Telle est ma conviction, que je
viens de
me confirmer à moi-même par une entière lecture,
ntière lecture, et j’ose la dire parce que je crois que le moment est
venu de
dire, au moins en littérature, tout ce qu’on croi
u’il ne s’apercevait pas que sa remarque s’appliquait à lui-même ; il
venait de
conseiller Lamartine sur le quinquina, comme, la
— Lamennais ! Chateaubriand ! Lamartine ! — Béranger, ce dimanche-là,
venait de
faire ce que j’appelle sa tournée pastorale. Béra
de M. de Pontmartin, qui a fait du bruit et qui commence ainsi : Je
viens de
relire les Causeries du lundi… Il y a dans le sec
es impressions de fond sur le poète national. À chacun son tour : Je
viens de
lire les Nouvelles causeries de M. de Pontmartin.
e M. Brizeux, intitulé les Bretons et composé de vingt-quatre chants,
vient de
paraître. Il serait prématuré de juger du premier
et noble tentative. Voici un passage du chant second ; le poëte, qui
vient de
décrire la défense d’un troupeau de bœufs contre
ues héros, Pour chanter les combats des loups et des taureaux ! — On
vient de
recueillir dans la Bibliothèque Charpentier les œ
utile. C’est un moyen dont la langue se sert pour utiliser un mot qui
vient de
se trouver sans emploi. Ainsi quand le mot retrai
nous n’en savons rien. Quant au mot sacristine, il est probable qu’il
vient de
sacristie et non de sacristain. Tout cela d’aille
b, c, g, p, etc. Pour st en particulier, tous les mots de cette sorte
venus de
l’italien ont pris la forme initiale est, à l’exc
tin berbicem, a donné brebis ; beryllare a donné briller. Fanfreluche
vient de
l’italien fanfalucca ; palefrenier, de paraveredu
e. 3° du c dur ou q en t. Il y a des exemples du contraire : craindre
vient de
temere ; carquois était jadis tarquois venu du gr
serole, quoique cassole appartienne à une autre série, que cassolette
vienne de
l’espagnol et que casserole soit un dérivé direct
sir, quintessence ; gingembre, anciennement gingibre, puis gingimbre,
vient de
zinsiber ; girofle représente le gréco-latin cary
ntion des grammairiens a été mauvaise. Écale est le mot primitif ; il
vient de
l’allemand, où la forme ancienne était schalja. A
toujours très heureuse. On ne peut vraiment lui concéder que exaucer
vienne de
exaudire ; bal, pompe et marmot du grec [mots en
lets du latin metallum. La forme populaire se retrouve dans médaille,
venu de
l’italien ; de metallia le vieux français avait t
e un soufflet à un autre serviteur qu’il croit coupable du tour qu’on
vient de
lui jouer. Il court au buffet, prend une assiette
t qu’il voudrait souper à l’instant pour aller au rendez-vous qu’elle
vient de
lui donner. Don Juan prend feu là-dessus, et lui
ins pour montrer quelle a vingt ans. « — Et la signera Lisetta ? — Je
viens de
chez elle, répond Arlequin, et ne l’ai pas trouvé
nds seigneurs, irez aussi quelque jour : réfléchissez donc sur ce qui
vient de
se passer.” « Un dernier tableau montrait Don Jua
sonne que l’arlequinade italienne, telle ou à peu près telle que nous
venons de
la retracer, était pourtant une transition presqu
s le mont Callidrome, à travers la mer des Alcyons, un vent lointain,
venu de
la Sicile, lui apportait l’aboiement vivant et te
a lire était déjà préoccupé de ce grand sujet qui dès longtemps, nous
venons de
le dire, sollicitait intérieurement sa pensée, lo
troisième de granit, c’était leur forteresse. Un jour, comme l’auteur
venait de
visiter les citadelles écroulées qui hérissent le
qui veut punir, la Providence qui veut pardonner. Quand l’idée qu’on
vient de
dérouler apparut à l’auteur, il songea sur-le-cha
, commencer par l’épopée et finir par le drame. Après avoir, comme il
vient de
l’indiquer et sans dissimuler d’ailleurs son infé
extérieurement. Imaginons donc un esprit qui soit toujours à ce qu’il
vient de
faire, jamais à ce qu’il fait, comme une mélodie
. Est-il étonnant que le distrait (car tel est le personnage que nous
venons de
décrire) ait tenté généralement la verve des aute
ction peut se renforcer à son tour. Il y a une loi générale dont nous
venons de
trouver une première application et que nous form
oue ; nous en jouons alors à notre tour ; une partie de notre plaisir
vient de
là. Donc, ici encore, c’est bien une espèce d’aut
ltation aux diverses déformations de la volonté et du caractère, nous
venons de
suivre le progrès par lequel le comique s’install
faits de ce genre. Elle se déduit sans peine des considérations qu’on
vient de
lire. Les attitudes, gestes et mouvements du cor
ation mécanique doit être un des procédés favoris de la parodie. Nous
venons de
le déduire a priori, mais les pitres en ont sans
lus lointaines, de plus en plus importantes aussi, de la loi que nous
venons de
poser. On pressent des visions plus fuyantes enco
dée de déguisement. Elle tient d’une délégation régulière, comme nous
venons de
le montrer, le pouvoir de faire rire. Il ne sera
due qu’on ne le pense ; elle est naturelle à sa manière, quoique nous
venions de
l’obtenir par un procédé de recomposition. On pou
mmes loin du grand art, il est vrai, avec les exemples de comique qui
viennent de
passer sous nos yeux. Mais nous nous en rapproche
ements d’ailes d’un grand oiseau blessé qui râle. Des cris d’angoisse
venaient de
là-haut, de cette espèce de grappe humaine suspen
derrière toutes ces masses d’eau qui étaient dans le ciel, le soleil
venait de
disparaître, parce que c’était l’heure ; il nous
-verbal minutieux et émouvant de la vie d’une créature que son auteur
vient de
faire un grand pas et s’est placé aujourd’hui sur
lement. M. Guy de Maupassant, qui a commencé comme élève de M. Zola,
vient de
sortir d’un bond de l’école. Une vie, c’est l’hi
se près d’elle pour la veiller ; l’abbé qui a donné l’extrême-onction
vient de
partir : Alors le vicomte, de sa voix ordinaire,
s de ses yeux quand elle riait, son grand soupir essoufflé quand elle
venait de
s’asseoir. Et elle restait là, contemplant, se ré
la. La Joie de vivre. — 1884. La Joie de vivre, de M. Émile Zola,
vient de
paraître chez Charpentier ; la fable du roman est
brasser encore. J’ignore à quelle école appartient le morceau qu’on
vient de
lire, mais je le trouve des plus touchants, et je
dmond de Goncourt. Chérie. — 1884. Chérie par Edmond de Goncourt,
vient de
paraître chez Charpentier ; les lecteurs du Figar
ges Jersey et des bottines à talons. La Sapho que M. Alphonse Daudet
vient de
publier n’a rien de l’antiquité, et la preuve c’e
u’il en coûte parfois cher de dénouer de pareils liens ; voici ce qui
vient de
lui arriver à lui-même avec sa maîtresse : Le jo
gios que d’autres savent si bien. Bref, obéissant aux conseils qui me
venaient de
mes soi-disant futurs confrères, je me lançai. Je
l’excellence de la mienne, je détache ces beaux passages du livre que
vient de
publier Hachette : À peine avait-il prononcé ces
loche où ils se trouvaient enfermés. Leur voix, assourdie, paraissait
venir de
très loin. Des bourdonnements d’oreilles se décla
avait craché l’eau qui lui restait à la bouche. Elle croyait qu’elle
venait de
boire du sang, que toute cette eau profonde, deva
ns l’Enfer de pages plus effroyablement dramatiques que celles que je
viens de
citer, et que si Dante les avait écrites elles se
anqué de provoquer. Je coupe une ou deux belles pages de ce livre qui
vient de
paraître chez Victor Havard et à qui, sans être g
de. L’haleine de Forestier était plus rapide que celle d’un chien qui
vient de
courir, si pressée qu’on ne la pouvait point comp
Tout ceci pour arriver au livre d’un jeune, M. Oscar Méténier, qui
vient de
publier chez Kistemaeckers un recueil de nouvelle
pporte, a le don d’intéresser dès la première page. La librairie Plon
vient de
publier une traduction, par M. Neyrond, des Souve
teurs ; je devrais rire aujourd’hui de moi et de quelques-autres, qui
venons de
le ressentir en lisant l’Œuvre, d’Émile Zola. Lui
t innommée ? car leurs paupières se gonflèrent de larmes, comme s’ils
venaient de
gâter leur existence, de toucher le fond de la mi
ul Adam. Le Thé chez Miranda. — 1886. Les éditeurs Tresse et Stock
viennent de
mettre en vente un volume dû à la collaboration d
re ; mais ajoutons, pour être juste, qu’un passage comme celui que je
viens de
citer est fait pour rendre bien exigeant pour les
itchoun ! — 1883. J’entre carrément dans le roman que M. J. Ricard
vient de
publier chez Calmann-Lévy, lui laissant, d’abord
itique, a écrit un certain nombre de poésies réunies en un volume qui
vient de
paraître chez Dentu ; ce livre est intitulé : Les
VIII. Anatole France. Livre de mon ami. — 1885. M. Anatole France
vient de
nous donner le Livre de mon ami. Il est écrit de
es du bon livre de M. Albert Delpit : Solange de Croix-Saint-Luc, qui
vient de
paraître chez Paul Ollendorff. Solange, déjà veuv
— 1885. Commençons par le roman à sensation que M. Émile Bergerat
vient de
publier chez Ollendorff ; le titre est gros et in
, etc. Ce livre, que les pieux soins de MM. Vacquerie et Paul Meurice
viennent de
former des pages éparses du grand poète, n’a pas
Une conversion, tel est le titre du dernier livre que M. Th. Bentzon
vient de
publier chez Calmann-Lévy ; il se compose de troi
à qui l’on doit de belles études, je dirai presque de natures mortes,
vient de
publier chez Victor-Havard. Cette fois ce n’est p
Mendès. Zo’Har. — 1886. Zo’Har est le roman que M. Catulle Mendès
vient de
publier chez Charpentier : « roman contemporain »
au. La Vie et la Mort. — 1686. M. Jean Rameau, un véritable poète,
vient de
publier chez E. Giraud un beau volume de vers int
ns, il y a longtemps déjà, cité un charmant petit poème : le Coffret,
vient de
publier chez Lemerre un volume : la Jeunesse blan
Sur le plus haut sommet où l’on pouvait monter, La vague énorme enfin
venait de
s’arrêter, Car l’élément connaît son mystère et s
ncontrant la croix où est attaché le Christ, maudissant la nature qui
vient de
supplicier un juste, est certainement l’une des p
pour prêter l’oreille à ces tremblantes vibrations, qui me paraissent
venir de
profondeurs infinies, comme des voix d’un autre m
n île. — 1883. Sous ce titre, on trouvera un livre charmant que je
viens de
parcourir et qui paraît chez Calmann-Lévy. John B
ie de son horrible phraséologie, M. E. Caro, de l’Académie française,
vient de
nous donner sur lui un livre qui permet de le jug
il a été de bonne foi. Sa veuve, avec un soin pieux et un rare tact,
vient de
réunir en un volume intitulé : Ma jeunesse (chez
ardoux. La Comtesse de Beaumont. — 1884. La librairie Calmann-Lévy
vient de
publier un livre plus qu’émouvant sous le titré d
ussi un livre de mémoires contemporains que celui que M. Auguste Vitu
vient de
publier chez Ollendorff sous le titre des Mille e
Le livre de M. Jules Simon : Une Académie sous le Directoire, qui
vient de
paraître chez Calmann-Lévy, est l’œuvre d’un espr
sister au plaisir de citer dès maintenant la lettre charmante dont je
viens de
parler. Elle est datée de Nohant, et relative à l
dépouilles de l’Empire, et parlant de la Commune, dont l’insurrection
vient de
s’installer à Paris : Vous voilà dépassés par un
ohème. — 1885. La Grande Bohème ; sous ce titre, l’éditeur Havard
vient de
réunir un grand nombre d’articles de Rochefort, q
5. Un ouvrage important aux points de vue littéraire et historique
vient de
paraître à la librairie Abel Pilon ; M. Nadault d
e livres utiles, tant de belles fondations, le petit-neveu de Buffon,
vient de
publier en deux volumes la correspondance de son
intérêt du livre que le dernier représentant du nom du grand écrivain
vient de
publier ; il a conçu la juste ambition de faire c
sse. — 1885. Un livre des plus intéressants, signé d’un grand nom,
vient de
paraître à la librairie Calmann-Lévy ; il est int
t, la salle retentit du bruit d’un formidable soufflet que le Cosaque
venait de
s’appliquer à lui-même et qui fit trembler toutes
der d’où provenait tant de tapage ! « Madame la comtesse, mon planton
vient de
commettre une souveraine inconvenance. Il a vu qu
ionnaires. — 1886. Un vétéran des lettres, M. Philibert Audebrand,
vient de
publier chez Frinzine un livre bien intéressant p
est même très jovial, ainsi qu’on a pu le voir par le discours qu’il
vient de
prononcer à la réception de maître Rousse, avocat
’Amour moderne et Souvenirs de la Commune. — 1886. M. Louis Ulbach
vient de
publier chez Calmann-Lévy, sous ce titre général
XVIII. Louise Michel. Microbes humains. — 1886. Mlle Louise Michel
vient de
faire paraître chez Dentu un livre curieux intitu
roisième prince de Condé ; ces importants volumes, comme les deux qui
viennent de
paraître aujourd’hui, étaient enrichis de pièces
foy… » Henri d’Orléans. Deux volumes, parus également chez C. Lévy,
viennent de
suivre ceux que nous avons rappelés, et l’on devi
long assoupissement, il aperçut le prince de Condé et l’appela : « Je
viens de
voir le duc d’Anguien, votre fils, en venir aux m
éclatant triomphe, il se découvrit et son cœur s’éleva vers Celui qui
venait de
bénir les armes de la France : Te Deum, laudamus
ux éclats du canon de Rocroy. Celui qui a écrit le beau livre dont je
viens de
parler doit être fier d’avoir par ses paroles et
ens des gens du métier L’experience confirme le raisonnement que je
viens de
faire. Il faut bien que les gens du métier se tro
es gens du métier, bien que sujettes à toutes les illusions dont nous
venons de
parler, ne laissent point d’avoir beaucoup de par
peintres et les poëtes sement dans le monde contre un nouvel ouvrage,
vient de
ce que les personnes qui parlent d’un poëme ou d’
Préface Mon cher Ami, Je
viens de
revivre avec vous près de vingt années de notre v
une langue facile des œuvres de délicate saveur. La Tourmente, qu’il
vient de
publier, représente, disent les critiques, un gra
e de l’Aigle, suite d’anecdotes militaires dont M. Georges d’Esparbès
vient de
faire un volume. Il n’est guère possible de donne
e l’infanticide. Tel est le point d’arrivée d’un roman italien que je
viens de
lire et qui laisse bien loin derrière lui les der
in qu’on a devant soi, et quel assassin ! celui d’un petit enfant qui
vient de
recevoir les eaux du baptême. Et la mère que sait
tent, de cette émotion insurmontable que l’on subit toujours quand on
vient de
lire ce qui s’appelle une œuvre. Je ne crois pas
lace. C’est le cas dans : Tendresse de mère, le dernier ouvrage qu’il
vient de
publier. Ajoutons que l’action du roman est indép
opper, saisir, dominer ! L’Océan, tombeau ignoré de son père, l’Océan
venait de
le conquérir ! Là n’est pas le roman que je ne v
e dans les yeux M. Georges Rodenbach, le délicat et subtil poète,
vient de
nous donner un poème ou plutôt un recueil de pièc
forcée à subir une suite de dissonance ; celle-ci croit toujours à la
venue de
la note définitive et, fatiguée d’attendre, arriv
chel Tessier La Vie privée de Michel Tessier, que M. Édouard Rod
vient de
faire paraître chez Perrin, est sans contredit un
ncore pour lui, lui conseille le divorce, ce divorce contre lequel il
vient de
s’élever si éloquemment à la tribune. Les scènes
a bien aussi sa valeur ; l’Automne d’une femme, que M. Marcel Prévost
vient de
publier chez Lemerre, plaidera plus éloquemment q
lui suffisait de publier un livre comme ses : Premières poésies, qui
viennent de
paraître à la bibliothèque de la Plume. M. Jean C
Barbey d’Aurevilly. Les Œuvres et les Hommes La librairie Lemerre
vient de
publier dans la série Les Œuvres et les Hommes, p
est tu jusqu’à présent, nous aurions, comme frère du beau livre qu’il
vient de
nous donner, un autre beau livre qui serait ce qu
, leur inspire aussi de la prose, témoin le livre que François Coppée
vient de
publier, et au quel il a donné pour titre : Mon f
femme, que Daniel Lesueur, un romancier en crédit près des lecteurs,
vient de
publier, est justement que les femmes ont souvent
erges frêles sont très lasses d’avoir chanté Et les voix amicales qui
venaient de
chanter se sont tues ; Dans le ciel lourd et gémi
sien, et de l’ironie de ces séparations. Entre elle et cet homme qui
venait de
passer, il y avait un arrêt de justice, il y avai
rêt des Souvenirs d’Alexis de Tocqueville que le comte de Tocqueville
vient de
faire paraître, est surtout dans le récit des fai
ginations étaient barbouillées par les grosses couleurs que Lamartine
venait de
répandre sur ses Girondins. Les hommes de la prem
de Février ; il voulut savoir ce qui se passait. On lui apprit qu’on
venait de
renverser la monarchie de Louis-Philippe ; il dit
uscule Le Crépuscule est le titre du livre que M. Maxime Du Camp
vient de
publier ; il a pour sous-titre : « Propos du soir
é des âmes », opinion qu’il m’est impossible d’admettre. De celui qui
vient de
mourir, je dirais volontiers comme le moyen âge :
E. Lavisse. Le Grand Frédéric avant l’avènement M. Ernest Lavisse
vient de
donner une suite à son livre : La Jeunesse du gra
VI. Le duc d’Harcourt. L’Égypte et les Égyptiens Le livre que
vient de
publier le duc d’Harcourt sur l’Égypte et les Égy
ire, tu n’as droit, d’après tes titres, qu’à trois cents feddans : on
vient de
t’en trouver trois cent vingt-cinq ; tu as donc p
radiction complète, à commencer par leur titre même ; car, comme nous
venons de
le démontrer, ce sont des antisociaux. Ils se pré
utre, pour éclipser ses confrères, a l’idée de ranger les têtes qu’il
vient de
couper, toutes les unes auprès des autres, sur l’
t en se confondant en remerciements. — Savez-vous qui est l’homme qui
vient de
sortir ? me demanda, tout en écrivant, le secréta
Sous ce titre : Étude de littérature et d’art, M. Gustave Larroumet
vient de
faire paraître une suite de chapitres de haut int
de renseignements inédits est le volume que M. le vicomte An. Chaptal
vient de
publier sous ce titre : Mes souvenirs sur Napoléo
ce qu’elles sont dominées par l’étonnement du père devant le rapt que
vient de
lui faire la nature en lui prenant l’enfant bien-
rs les tombeaux. Il la suit heure par heure. Un détail navrant : elle
vient de
mourir, il la regarde avec stupeur, il ne la reco
es faites sur l’Angleterre, je signalerai celle que M. Julien Decrais
vient de
publier à là librairie Calmann-Lévy, sous ce titr
e bête expirait, le Roi continuait sa promenade, enchanté de ce qu’il
venait de
faire, se dandinant un peu plus que de coutume et
Une date et c’est tout le titre de la nouvelle édition du livre que
vient de
publier M. Henry Houssaye ; date d’une de nos ann
pis et bleuets Sous ce titre : Épis et bleuets, M. Ernest Legouvé
vient de
réunir en un volume, paru chez Hetzel, une suite
st la raison du succès du beau et amusant volume que M. Octave Uzanne
vient de
faire paraître sous ce titre : Physiologie des qu
s ce titre : Napoléon Ier et la fondation de la République argentine,
vient de
combler cette lacune ; M. le marquis de Sassenay,
mme de lettres sous l’Empire et la Restauration M. Maurice Albert
vient de
publier les fragments du journal intime d’un homm
ce beau tableau vont succéder de grandes et d’horribles journées ; on
vient de
se battre contre les Turcs ; la victoire a coûté
ançois Descotes et qui lui a fait entreprendre les deux volumes qu’il
vient de
publier, entourant son héros de souvenirs de la S
ttre dans la lumière, tout ce que contient l’Astre noir, le livre que
vient de
faire paraître M. Léon A. Daudet en le sous-titra
crite à la date du 7 juillet 1814 et qui commence par ces mots : « Je
viens de
lire le projet de loi napoléonienne… », est mémor
ements hors de mesure. Il est vrai que son livre de la Tradition, qui
vient de
paraître, ne trouve pas d’acheteurs : « (Paris,
ent faire le départ du vrai et du chimérique ? Il signalait alors (on
vient de
voir en quels termes), il dénonçait en prophète d
emps tenus sous clef, sortent enfin et parlent assez haut. La Mennais
vient de
recevoir le sous-diaconat ; il écrit le lendemain
mes. Je regarde que tous mes malheurs, de conséquence en conséquence,
viennent de
ce que mes parents, bien contre mon gré, m’ont fo
s décisif dans la vie de La Mennais, cri longtemps étouffé, mais nous
venons de
le surprendre. Après cela il est à croire qu’il s
ette amitié tardive qui s’était formée entre ces deux hommes célèbres
venus de
points de l’horizon si opposés, La Mennais ne fût
ès une visite à La Mennais, il disait à qui voulait l’entendre : « Je
viens de
voir ce vieux grigou… » On aurait du reste à cite
iosité m’a prise de lire votre Shakespeare : je lus hier Othello ; je
viens de
lire Henri VI. Je ne puis vous exprimer quel effe
cements de novateur dans cet amateur. Les Mémoires de sa façon, qu’on
vient de
publier, ont l’inconvénient même de sa vie ; ils
dit-il, où aurais-je jamais retrouvé une femme telle que celle que je
venais de
perdre ? douce, simple, m’aimant uniquement, créd
e changer de conversation. Ce fut le chant du cygne… C’est Grimm qui
vient de
parler si méchamment. Ceux qui voudront ajouter f
écrivit à Voltaire une lettre fort belle de sens et d’intention ; il
venait de
lire une des facéties irréligieuses que ce versat
insigne dans ces sortes d’ouvrages. Que lui a fait ce malheureux qui
vient de
perdre son bien, dont la femme vertueuse vient de
t ce malheureux qui vient de perdre son bien, dont la femme vertueuse
vient de
mourir, suivie d’un fils unique qui donnait les p
semble, de Mme Roland ; nous-même en avons écrit une longue fois, on
vient de
le voir ; mais puisque l’occasion se présente, pa
n se pénétrant de leur essence. » Esprit ferme et rare, chez qui tout
venait de
nature, même l’éducation qu’elle s’est donnée ! E
de cette île où se voit la statue du meilleur des rois. Le fleuve qui
vient de
la droite laisse couler paisiblement devant ma de
e sont d’un sérieux qui fait sourire : on sent que la jeune prêcheuse
vient de
lire Nicole, comme plus tard elle aura lu Roussea
aillée à l’éditeur, est bien digne de la clore et de la couronner. Je
viens de
nommer Henriette, la sœur aînée, la seconde et pl
un de ses amis très-affectueux et très-mûrs, M. de Sainte-Lette, qui
vient de
Pondichéry, qui va y retourner, qui sait le monde
chirent ; mais c’est la guerre du sage luttant contre le sort. » Elle
venait de
lire Plutarque ou Sénèque, quand elle proférait c
riennes et en lydiennes. " notre auteur après avoir ajoûté à ce qu’on
vient de
lire, quelques avis sur la composition, passe, co
écrit que Philippe, après avoir pris trop de vin la journée dont nous
venons de
parler, fit plusieurs choses indecentes sur le ch
que les quarts des tons. Non seulement le passage de Bryennius que je
viens de
rapporter nous enseigne comment se composoit la m
nt musical même, dont Boéce va donner les notes quand il dit ce qu’on
vient de
lire. Ainsi la déclamation s’écrivoit en notes au
grecs où ces deux especes de notes se trouvent écrites, ainsi que je
viens de
l’exposer. On en a tiré les hymnes à Calliope, à
même de la pensée, que ce changement a été lent et graduel, et qu’il
vient de
se manifester tout à coup ? L’âge de l’établissem
mes lecteurs aussi bien que pour moi. À la première classe dont nous
venons de
parler appartiennent les hommes qui font dériver
u même au moyen d’une révélation positive et primordiale, ou qu’elles
viennent de
Dieu encore, mais de Dieu se manifestant par des
lussent bien comprendre que, s’ils ne s’entendent pas entre eux, cela
vient de
ce qu’ils ont cessé de parler la même langue ; ca
ussi contestable, pour en tirer non seulement les inductions que l’on
vient de
lire, mais encore celles que je me propose d’en t
vif plaisir7 cette publication érudite et pleine de goût que M. Paris
vient de
faire de l’un des romans du cycle de Charlemagne,
ieux monuments de notre langue. C’est ce genre de mérite que M. Paris
vient de
prouver par sa publication de Berte, et par l’ing
u’il s’égare et la rencontre au sortir d’une chapelle isolée, où elle
venait de
prier Dieu et la Vierge pour son père Floire, sa
me l’occasion de venger les malheurs des Grecs du continent, que vous
venez de
réduire en servitude ? » Crésus, frappé de cette
ton, debout en face de la statue de Junon, pria pour ses enfants, qui
venaient de
lui donner une si grande preuve de respect, et co
: « Il ne faut pas parler de mon fils, je ne puis vous le donner : il
vient de
se marier, et d’autres soins l’occupent. Mais je
consulta de nouveau les interprètes des songes. Sur leur avis, il fit
venir de
la Perse auprès de lui sa fille, qui se trouvait
du visage de cet enfant se rapprochaient des siens. La réponse qu’il
venait de
faire, si ferme et si libre, son âge parfaitement
sque le hasard a tout réparé, envoyez votre fils près de l’enfant qui
vient de
nous être rendu, et revenez à mon souper pour pre
é de manger, Astyage lui demanda s’il avait trouvé bon le repas qu’il
venait de
faire : Harpagus lui ayant répondu qu’il était ex
Astyage, insistant, le presse de dire s’il connaît le gibier dont il
venait de
manger. Harpagus répond froidement qu’il le conna
ton pouvoir du moment où tu te vantes d’être l’auteur de tout ce qui
vient de
se passer, tu as cédé l’empire à un autre ; et le
rsqu’il s’aperçut de son malheur, il appela son frère, lui dit ce qui
venait de
lui arriver, et le conjura de lui couper sur-le-c
observent à la naissance ou à la mort des individus. Lorsqu’un enfant
vient de
naître, tous ses parents, rangés autour de lui, p
: « Anaxandride, fils de Léon, n’était plus alors roi de Sparte ; il
venait de
mourir. Cléomène, son fils, lui avait succédé, no
pouvait apercevoir celles qui étaient en dedans du mur, que les Grecs
venaient de
relever dans la vue d’augmenter leurs moyens de d
à lui. À son retour, il rendit compte en détail à Xerxès, de ce qu’il
venait de
voir. « En écoutant ce récit, le roi ne put se fi
tagne, et c’est lui que j’accuse. « Xerxès, enchanté de ce qu’Épialte
venait de
lui apprendre, s’empressa de détacher Hydarne, qu
ercevons en vraie grandeur et voyons alors rapetissé l’objet que nous
venons de
quitter, ainsi le physicien, passant de système e
absolu, ni d’immobilité absolue. La première des deux phases que nous
venons de
décrire deviendra donc simplement un écart croiss
8 heures, puisque c’est à lui qu’il faudra appliquer tout ce que nous
venons de
dire de Pierre. » En somme, nous donnions dans ce
n définir la nature. On continue à voir un système unique dans ce qui
vient de
se révéler assemblage de systèmes, multiplicité d
endice III.Le « temps propre » et la « ligne d’Univers » Nous
venons de
montrer, d’abord dans un cas particulier, puis d’
e, une parfaite réciprocité. Mais examinons de près le texte que nous
venons de
citer. On remarquera que le système de référence
S″ aurait passé le temps fantasmatique. Maintenant, tout ce que nous
venons de
dire de S par rapport à S″, nous pourrons le répé
aient avec elles en S″, et c’est en S′ que serait le Temps réel. Nous
venons de
considérer le rapport de S″ immobile à S en trans
que soit ce physicien réel avec son horloge réelle, il y a, comme on
vient de
le voir, le même Temps. Le Temps ne subit des ral
l’enfant, le petit comte de Zara. Pour bien comprendre ce que nous
venons de
résumer, il faut savoir que la République illyrie
prince. Saisi au milieu du sommeil, habillé en toute hâte, Zara — qui
venait de
passer des mains de la femme de chambre dans cell
il doit porter un jour… Songez qu’elle n’est pas à vous seul, qu’elle
vient de
Dieu qui l’a mise, il y a six cents ans, dans la
it-elle, grave et terrible… Si tu ne brûles pas à l’instant ce que tu
viens de
signer, avec le serment sur la croix que tu ne re
re, sans se maudire un peu soi-même. Un nouvel auteur M. Jean La Rue,
vient de
changer tout cela et voilà un volume de 400 pages
Je ne tenterai pas d’analyser le dernier roman que M. J.-K. Huysmans
vient de
publier chez Charpentier. En ménage est un roman
VI. Gustave Toudouze. Madame Lambelle. — 1880. M. Gustave Toudouze
vient de
publier chez Victor Havard un volume intitulé Mad
Flaubert. Voici quelques extraits de cette œuvre : Madame Lambelle
vient de
perdre son mari ; pendant l’enterrement elle est
endait pas la clameur sauvage grondant derrière lui. Madame Lambelle
vient de
marier son fils, récemment de retour de Rome où i
re visite d’un ministre fraîchement « portefeuillé » à l’Opéra : On
venait de
finir le troisième acte de l’Africaine. Le minist
. VIII. Léon Hennique. Deux nouvelles. — 1881. M. Léon Hennique
vient de
publier à Bruxelles, chez Kistemaeckers, un petit
cette physionomie si intéressante de Roumestan, le héros du livre qui
vient de
paraître chez Charpentier, qu’on a fini par la dé
re de sa ville natale, accouru pour acclamer le petit Roumestan qu’on
vient de
baptiser. Rien de plus animé, de plus vivant, que
uchée, toute pâle et faible encore, tient son petit dans ses bras, on
vient de
le lui rapporter de l’église : À présent, c’est
.-K. Huysmans. À vau-l’eau. — 1882. L’école nouvelle des réalistes
vient de
produire un petit livre bien curieux : À vau-l’ea
u premier rang la Faustin, le nouveau roman que M. Edmond de Goncourt
vient de
publier chez Charpentier. Comme les livres d’Alph
e Loti, Pierre Loti, puisqu’il veut, littérairement, s’appeler ainsi,
vient de
publier chez Calmann-Lévy un volume intitulé : Fl
. Dernières pages. — 1877. En un volume paru chez Calmann-Lévy, on
vient de
réunir sous le titre de : Dernières pages, quelqu
Féval a presque entièrement remanié les Étapes d’une conversion, qui
viennent de
paraître chez Victor Palmé ; ce n’est pas précisé
it. Nous reproduisons ici une scène très dramatique de l’ouvrage, qui
vient de
paraître chez Ollendorff : voici en peu de mots l
referait, ça la reposerait. Elle n’en pouvait plus de l’hiver qu’elle
venait de
passer. Cela n’était pas toujours gai d’être obli
le lut : « Soignies, 3 heures 1/2. « M. Jacques, blessé mortellement,
vient de
succomber. » Le duel a été régulier dans la for
e s’était faite mondaine et cela dans la pire acception de ce mot. On
vient de
dîner : On apporta le café ; on fit circuler les
de son jardin. Rien de tout cela. L’abbé Constantin, dont l’histoire
vient de
paraître en un volume chez Calmann-Lévy est tout
Claude Tillier, dont l’œuvre la plus importante, l’Oncle Benjamin,
vient de
paraître chez Conquet, est mort en 1844, laissant
perdu de sa puissance ni de sa splendeur. Mais arrivons au livre qui
vient de
paraître chez Hetzel et Quantin, et à son titre q
ui qui, à près de quatre-vingts ans, produit les deux livres que nous
venons de
lire, doit croire et il croit. Je n’en veux pour
que, se souvenant, la critique lui tire un coup de chapeau, quand il
vient de
remporter une victoire. Littérature historiqu
vous fais de tout mon cœur mon compliment sur la bataille que le roi
vient de
gagner. Il se porte à merveille, Dieu merci, et m
rmes qu’elle pût avoir, elle ne lui ferait jamais oublier celle qu’il
venait de
perdre ». Telle était la bienvenue réservée à la
nement littéraire, car c’en est un que le livre que M. Louis Veuillot
vient de
publier chez M. Palmé ; son titre est : Molière e
ouis-Philippe, lorsqu’on élevait un monument public à Molière, l’idée
vint de
placer la statue de Bourdaloue sur la fontaine de
Dumas fils. Théâtre, 5e volume. — 1877. La librairie Calmann-Lévy
vient de
mettre en vente le 5e volume du théâtre complet d
oup de critiques et de quelques-uns de mes amis. Préface et pièce, je
viens de
relire tout. Je persiste à croire que j’ai raison
nçais, c’est la France telle qu’il la faut après les épreuves qu’elle
vient de
traverser, épreuves mortelles si elle n’y prend g
x Samedis. — 1877. Cette quinzième série des Nouveaux Samedis, qui
vient de
paraître chez C. Lévy, est riche d’études contemp
les Odes et Ballades, Cromwell, le Dernier Jour d’un condamné, qu’il
venait de
publier ses merveilleuses Orientales, qu’il avait
ourg, retentit… mais comment rester historien, fidèle au moment où je
viens de
réclamer les prérogatives de la bonne compagnie ?
aule, 29 octobre 181 Que ne puis-je retenir la malheureuse lettre qui
vient de
m’échapper ! Je la donnai hier pour être mise à l
garde dédaigneusement et poursuit son chemin.) La courte scène qu’on
vient de
lire, Vivier l’a entendu répéter bien des fois de
hauer. Pensées et fragments. — 1880. La librairie Germer-Baillière
vient de
mettre en vente un livre que nous recommandons sp
n ne lit guère ou qu’on ne lit pas. À ce point de vue, M. J. Bourdeau
vient de
rendre un véritable service à ce philosophe en fa
ts qui terminent la préface du beau livre que M. Paul de Saint-Victor
vient de
publier chez Calmann-Lévy, tous ceux qui l’auront
longtemps applaudi comme chanteur à l’Opéra et à l’Opéra-Comique que
vient de
publier Ollendorff ; tous ses succès, tous ses dé
gentilshommes ! « Tout à coup je m’arrêtai en présence d’une idée qui
venait de
me pousser. Elle était folle ; mais, pour aller à
ite. — Ah ! il est trop tard ! nous répondit-il avec indifférence, on
vient de
prendre les derniers comparses. — Mais n’y a-t-il
conta lui-même avec une verve charmante quand je le vis à Bade, où il
venait de
créer le principal rôle dans la Colombe de Gounod
ceux qui pouvaient l’ignorer la valeur de l’homme et de l’artiste qui
venait de
disparaître. Avant de terminer cette préface, je
rtiste qui venait de disparaître. Avant de terminer cette préface, je
viens de
relire les pages écrites. Je me demande si ceux q
cellence, le vrai Gaulois, le bon sens lui-même, Alphonse Karr enfin,
vient de
publier chez Lévy un livre exquis intitulé : À l’
iques, les autres lui ont dressé des arcs de triomphe. Le livre qu’il
vient de
faire paraître chez Calmann-Lévy eût accordé tous
toute particulière. Les Souvenirs littéraires dont le premier volume
vient de
paraître chez Hachette, nous montrent bien des ge
passe où il n’était pas facile de sortir. Les soldats sur lesquels on
venait de
tirer s’y précipitèrent et frappèrent au hasard.
est oublié pour les Lilliputiens du Parnasse, et où ce Flaubert, qui
vient de
mourir en emportant dans sa tombe la tête d’une l
ur fortune » Chaque semaine de ces trente ans d’éblouissement dont je
viens de
parler, on s’attendait à l’épuisement de la sienn
atteinte… L’énorme talent que ses innombrables feuilletons ont prouvé
vient de
réaliser enfin un de ces chefs-d’œuvre qui fixera
rrait devenir maintenant le talent de son auteur. Malheureusement, il
vient de
mourir !
moi, je n’éprouve plus qu’un seul besoin, c’est celui de peindre. Je
viens de
faire une récolte telle que pour plus de vingt an
tion à un homme. Certes j’aurai plus appris pendant les cinq mois qui
viennent de
s’écouler, qu’en six ans à Rome. Qu’est-ce que de
, détruire en un instant votre réputation de vertueux voyageur. » On
vient de
voir le voyageur en pleine action ; voyager, c’ét
lui avoir tenue pendant un assez long temps, en lui parlant de ce qui
venait de
se passer pendant les manœuvres, s’était retourné
Vernet qui me le dit. L’histoire courut et fut racontée telle que je
viens de
la dire. Il fallait aussi, pour de tels succès, u
a littérature ne me paraît jamais avoir plus de saveur que quand elle
vient de
quelqu’un qui ne se doute pas qu’il fait de la li
ns une de ses lettres du 22 octobre 1842, au retour d’un voyage qu’il
venait de
faire avec l’empereur, ce passage curieux et très
laisser aller à la vive douleur que je ressens de la grande perte que
vient de
faire le roi, l’État, et moi de mon protecteur, d
odeste et que je ne faisais pas assez valoir cette campagne et ce qui
venait de
se passer ; que j’en étais la dupe. Je lui ai rép
d’où elle m’a tiré. Cette grâce si grande et si distinguée dont elle
vient de
m’honorer, donne une exemple qui doit élever les
distinguer celles de l’abbé de Fénelon, non archevêque encore : « Je
viens de
lui faire réponse à une lettre toute des plus obl
donna finalement raison. Le duc de Savoie avait bloqué Pignerol ; il
venait de
prendre le fort de Sainte-Brigitte tout proche et
it employé le temps à se mettre en mesure, sentit que le moment était
venu de
prendre sa revanche et de jouer vaillamment de l’
t l’ordre du maréchal : « D’abord que nous fûmes dans l’ordre que je
viens de
marquer, dit-il dans sa Relation au roi, nous mar
nsions sera un continu à trois dimensions. Ainsi la définition que je
viens de
donner ne diffère pas essentiellement des définit
l’ensemble des points de l’espace satisfait à la définition que nous
venons de
donner du continu physique à trois dimensions. Se
des autres représentent pourtant un même point ? Autre remarque : je
viens de
dire que c’est à notre propre corps que nous rapp
ont lieu aux deux observations suivantes, analogues à celles que nous
venons de
faire au sujet des changements externes. 1° Je pu
plus intérêt à classer les changements externes et internes comme je
viens de
le faire, et, par exemple à distinguer les change
L’espace visuel Bien que les impressions motrices aient, comme je
viens de
l’expliquer, eu une influence tout à fait prépond
amais songé, si je n’avais pas appris d’avance, par le moyen que nous
venons de
voir, à distinguer les changements d’état des cha
rès remarquable pièce, je devrais dire un poème, que M. Gustave Rivet
vient de
publier dans un journal où se sont produits tant
nal où se sont produits tant de véritables poètes : le Chat Noir… qui
vient de
publier le Petit Testament d’Hector Lestraz, esch
érales et sur le langage. — Mots qu’elle élimine de la langue. Nous
venons de
passer en revue une nombreuse société qui n’est p
sérables préventions d’une bourgeoisie toujours émerveillée de ce qui
vient de
ce côté. Et tandis que les mauvaises mœurs et le
ui un peu vieilli, était-il nouveau du temps de Molière ? C’est qu’il
venait de
se faire un changement dans la langue, c’est que
ence auxquelles il était étranger par des recherches personnelles lui
vint de
la familiarité où il vécut dès ce temps avec M. B
re le directeur. Oui, le bienfait dont nous remercions le maître qui
vient de
mourir, c’est qu’il a trouvé un joint pour conser
e de commun avec les préoccupations morales actuelles. Je crois qu’il
vient de
mourir sans s’être rendu un compte fort exact du
cer alors dans ce Temps unique, intérieur à chaque système, dont nous
venons de
parler : par là même aussi, d’ailleurs, Pierre fe
Paul référant et non plus référé : ce serait exactement le temps que
vient de
se trouver Pierre. Nous revenons donc toujours au
ci qu’on se référerait pour mettre en doute l’unité du Temps. Et nous
venons de
voir que dans le cas, seul tout à fait précis et
. Seulement, du point de vue de la physique, le raisonnement que nous
venons de
faire ne comptera pas. Le problème physique se po
on pas qu’Einstein ait dû la commettre ; mais la distinction que vous
venons de
faire est de telle nature que le langage du physi
ce (par rapport à la voie) et va à la rencontre de la lumière qui lui
vient de
B, tandis qu’il fuit la lumière lui venant de A.
traduisons la pensée de Minkowski sur la figure plus simple que nous
venons de
tracer. Si nous considérons notre ligne de simult
nt et surtout un physicien, sans que l’événement du lieu P′, que nous
venons de
classer dans le futur, redevînt le présent de ce
core. Supposons de nouveau que le système S′, identique au système S,
vienne de
s’en détacher et qu’il ait acquis instantanément
vers, il fera figurer mes longueurs de temps et d’espace telles qu’il
vient de
les compter, et non pas telles que je les avais c
rd avec eux, aura fait faire à la science un grand pas en avant. Nous
venons de
nous placer sur la Terre. Mais nous aurions aussi
’est tout ce qui est requis pour la validité du raisonnement que nous
venons de
faire. Voir l’Appendice I à la fin du volume. 26
ux de la Relativité. 32. Nous avons montré plus haut (p. 54) et nous
venons de
répéter qu’on ne saurait établir une distinction
Un grand voyageur de commerce Je
viens de
lire les deux énormes volumes, intéressants encor
deux énormes volumes, intéressants encore que confus, que M. Stanley
vient de
publier en dix langues sous ce titre à effet : Da
ellement à l’improviste que cela fait un peu sourire. Par exemple, il
vient de
nous peindre des peuplades qui ont des « physiono
pplaudie d’ailleurs, ne devait pas être de celles qui présageaient la
venue de
Bourdaloue. De bonne heure évêque, il porta dans
. C’était d’ailleurs la division exacte de son discours que l’orateur
venait de
marquer selon sa méthode. L’éloge obligé de Riche
qui les ont remplies, nous n’aurions osé vous offrir celle dont vous
venez de
prendre possession, et peut-être n’auriez-vous pa
rite. L’ayant ainsi habilement dépouillé des grandeurs mêmes dont il
vient de
l’envelopper et de le draper à plaisir, il va pre
rs par un consentement unanime. Après l’éloquent panégyrique que vous
venez de
faire de ce grand prince, je n’obscurcirai point
ntaines ressemblances ; mais une scène presque pareille à celle qu’on
vient de
voir a été la réception de La Harpe par Marmontel
s, Déodat, le boxeur de la bonne cause, le bâtonniste de l’Arche ! il
vient de
rendre sa dernière injure. Heureusement le marqui
ure. Heureusement le marquis s’est souvenu de Giboyer, et il l’a fait
venir de
Lyon, où il cumulait le double emploi de régisseu
inte par son agression autant que le rôle de l’écrivain. L’emploi que
vient de
quitter Déodat est représenté comme l’industrie d
mot à reprendre, quoique ce mot ait été fort applaudi. La jeune fille
vient de
raconter à Maxime son enfance sans mère, et le ca
prend moins la conversion foudroyante qu’opère en lui l’homélie qu’il
vient de
mettre au net pour son sot patron. Les discours f
ille Maréchal avec son parti, en lui retirant son discours. Le comité
vient de
décider qu’il serait récité par un protestant de
croit adressé à elle, tandis qu’elle n’en est que la messagère. Elle
vient de
rentrer au logis, et il l’apostrophe vivement dan
rentrer au logis, et il l’apostrophe vivement dans sa colère : Vous
venez de
chez M. Lélio, j’en suis sûr, je le sais, je l’ai
je le sais, je l’ai vu, je vous ai suivie. Osez m’assurer que vous ne
venez pas de
chez M. Lélio ! argentine. Je ne veux pas vous me
ez M. Lélio ! argentine. Je ne veux pas vous mentir ; il est vrai, je
viens de
parler à M. Lélio : mais… arlequin, au désespoir.
fit un discours qui réussit. Les éloges y étaient prodigués : Buffon
venait de
mourir, et Florian dit que la vie de l’immortel é
et elle se retrouve en tous lieux et en tous pays. On l’a voulu faire
venir de
l’Orient, et voilà que le Moyen Âge nous la montr
ntaine en a pleuré. [Le Temps (10 avril 1873).] Paul Pionis Je
viens de
lire ce livre de poésie, Le Sol sacré, de poésie
).] Philippe Gille Sous ce titre : Le Sol sacré, M. Lucien Paté
vient de
faire paraître un livre plein de beaux vers et de
le papier que des niaiseries harmonieuses, comme des peintres dont je
viens de
parler. Le public ne fait jamais beaucoup de cas
l’imitation d’aucune beauté qui soit dans la nature : mais, comme je
viens de
le dire, il est d’une imitation précieuse des bea
année 1865, et je n’avais aucune envie de recommencer l’école que je
venais de
faire. Je refusai absolument. Montigny insista. “
e d’honneur que nous ne connaissons pas l’auteur de la pièce que nous
venons de
représenter devant vous”, il ne mentait pas. Seul
le, jetant les morceaux à terre. » Il tremblait comme un enfant qu’on
vient de
châtier. La brève douleur de ce cravachement, pou
zier, missionnaire apostolique et camérier secret de S. S. Léon XIII,
vient de
faire paraître quinze panégyriques prononcés à l’
XIV. Madame Marie Gjertz. — L’Enthousiasme Une nouvelle édition
vient de
paraître d’un livre qui n’obtint pas, à son appar
d’ordures sur la tête et à n’être que miel et sucre pour tout ce qui
vient de
l’étranger qu’il le comprenne ou non, ce dernier
ri Lavedan. — Le Lit Le Lit, titre du livre que M. Henri Lavedan
vient de
faire paraître, n’est pas à proprement dire un ro
yons et je reviens au livre intitulé : le Masque, conte milésien, qui
vient de
paraître. C’est en plein Paris, hier, à l’église
logique quand on a lu le livre très intéressant que M. Ernest Legouvé
vient de
publier chez Garnier sous ce titre : Le Béranger
age… » Le désir de M. Legouvé est accompli et le Béranger des Écoles
vient de
paraître ; ce n’est pas seulement aux classes d’e
I. Léon Daudet. — Les Morticoles L’ouvrage que M. Léon A. Daudet
vient de
faire paraître et qui a pour titre : les Morticol
ces d’hommes est le titre d’une suite de récits que M. Hugues Le Roux
vient de
publier ; l’amour joue, je ne dirai pas le plus g
tmouth, on me dit qu’elle habitait dans les environs. Un désir fou me
vint de
sauter dans le train, d’aller la voir. J’ai résis
orme de détails curieux et effroyables qui forment le volume que nous
venons de
lire. « Bien moins lugubre est le corbillard qui
Bien moins lugubre est le corbillard qui traîne au cimetière ceux qui
viennent de
s’acquitter de souffrir que cet épouvantable trai
te, sa mère la supplie de la regarder. Mais déjà la fillette, dont on
venait de
voir les yeux vagues, d’un bleu de ciel brouillé,
e une jeune fille comme toutes les autres, le prêtre sent qu’un abîme
vient de
se creuser entre elle et lui, puisqu’il est décid
nôtre. XXXIV. Mary Darmesteter. — Froissart Mary Darmesteter
vient de
faire paraître un résumé de la vie et des œuvres
tribué à la réputation de Froissart. « Demandez, écrit-il, au premier
venu de
vous dire les plus belles pages des Chroniques. N
uise M. Charles Fuster qualifie : roman lyrique, l’ouvrage qu’il
vient de
publier sous le titre de Louise. De fait, il s’ag
is d’un poète et d’un penseur : La plus jeune, — celle qui pleure Où
vient de
pleurer tout à l’heure, — Est grande, droite, ave
ur. XXXVIII. Jules Claretie. — La Frontière M. Jules Claretie
vient de
publier sous ce titre : la Frontière, non pas un
journaliste, a vu de près bien des faits et des gens de notre temps,
vient de
réunir en un volume très intéressant, intitulé :
on-Forestier, dont le nom n’est pas aussi connu qu’il devrait l’être,
vient de
publier un recueil de nouvelles intitulé : la Jam
Les Emmurés M. Lucien Descaves intitule : roman, le livre qu’il
vient de
publier sous ce titre : les Emmurés ; c’est bien
d’un roi, un nambouri, qui ne venait pas du Malabar, un talapoin qui
venait de
Courbevoie, deux professeurs de bonneteau, trois
a lumière des jours présents, L. Joseph Reinach. — Diderot Il
vient de
paraître une substantielle étude sur Diderot, due
d’un homme qui appartient à l’Histoire, de Guizot, dont M. A. Bardoux
vient de
publier une très consciencieuse étude. M. Bardoux
ement, car, quelques années plus tard, Guizot, veuf une seconde fois,
venait de
conduire le deuil de la sœur de sa femme qu’il av
e lettre qu’il écrivait dans les mêmes conditions que celles que nous
venons de
citer : « Non, vous ne lui écrirez plus, disait
x de reconstitutions que le livre intitulé : le Cœur et l’Esprit, que
vient de
publier M. Gustave Geffroy. Doué d’une rare sensi
s montre marchantes, souriantes, pleurantes, vivantes de la vie qu’il
vient de
leur redonner. Dans ce livre fait d’inventions, j
lui procurer le bien-être souhaité. Ce qui frappe dans celui que nous
venons de
lire, c’est que, malgré la situation plus que mod
des Muses ». Phidias, qui pourtant a reçu son génie des dieux et qui
vient de
terminer sa statue de Jupiter, nie leur influence
t derrière eux, Euripide tenait le fer avec lequel Phidias l’Athénien
venait de
se percer. » L’idée est belle et haute. Les érud
lointain rapport avec le livre de M. Hugues Le Roux, une anecdote qui
vient de
m’être contée et qui n’est pas sans saveur. On s
jeune homme qui avait récité de l’Ibsen, étonné de voir que celui qui
venait de
partir lui avait jusque-là caché sa connaissance
amour Des six nouvelles que contient le livre que M. René Bazin
vient de
publier sous ce titre : Humble amour, il en est d
d’un crime, forment l’ensemble d’un livre très captivant que Séverine
vient de
publier, sous le titre de : Pages mystiques. C’es
ar exemple, à la date du mardi 8 janvier 1805, alors que Pie VII, qui
venait de
sacrer Napoléon, était encore à Paris : « Mardi
d des pages, ce court dialogue entre l’auteur et Fouché : Louis XVIII
vient de
partir, Napoléon est rentré à Paris et Pasquier,
bord, comme il le dit, qu’horreur et dégoût. Mais l’attrait des armes
venait de
décider de sa vocation et, au bout de quelques pa
oi, je suis le plus fou de toute la bande ! » Les services que Ségur
venait de
rendre dans la diplomatie faillirent devenir fata
yeux, sa figure me parut celle d’un juge sévère et impassible ! « Je
venais de
le voir devant Dieu ; je voulus le voir devant le
anapé avec l’air mélancolique et les yeux humides… Quelques personnes
vinrent de
Paris, mais, frappées de l’aspect lugubre des sal
euillets militaires. Italie (1852-1862). Tel est le titre sous lequel
viennent de
paraître les souvenirs, notes et correspondances
d du colossal monolyte rapporté d’Héliopolis par Caligula. Le pontife
venait de
paraître au balcon de la loggia, sa main se levai
de Souvarow par exemple, mais il nous montre le terrible général qui
vient de
livrer une ville au pillage, au massacre et au re
ssage suivant : “Vous me parlez du Journal de la Défense de Gênes qui
vient de
paraître. Ça ne peut être qu’un adulateur qui en
e exemple. Beyle est malade à Paris, et son père qui habite Grenoble,
vient de
lui refuser une avance sur sa pension. « Je viens
habite Grenoble, vient de lui refuser une avance sur sa pension. « Je
viens de
réfléchir deux heures à la conduite de mon père à
hui ; que Stendhal avait, en outre, une rente de mille francs qui lui
venait de
sa mère et que, si l’argent lui avait manqué pour
ois des moments de profondeur dans la peinture de mon caractère. » Il
vient de
prendre une leçon de déclamation : « J’ai joué la
plet, le génie ! Je sais trop de quoi il est fait pour annoncer qu’il
vient de
naître un homme de génie de plus à la littérature
. C’est mieux que cela. Le souffle, chez des poètes dignes de ce nom,
vient de
l’enthousiasme. C’est l’enthousiasme, le Dieu en
ne sont pas sans remède, il s’en ajoute d’autres plus coupables, qui
viennent de
perversion intellectuelle, de volonté et de systè
e la candeur, s’il est candide, il est, comme je l’ai dit et comme je
viens de
le prouver, aussi inconséquent à son orgueil, dan
n garder le secret pendant huit jours. C’était dans le temps que l’on
venait de
donner les fermes générales ; les fermiers craign
e des remerciements. M. Colbert alla rendre compte au roi de ce qu’il
venait de
faire, et lui dit que Sa Majesté pouvait déclarer
pour dans trois ou quatre mois. Ce conseil fut suivi exactement ; il
vint de
toutes parts un prodigieux nombre d’étrangers. Tr
e jours ou environ. Ce court intervalle ayant obligé ceux qui étaient
venus de
rester à Paris, la consommation extraordinaire qu
abinet, et l’on vint ouvrir. M. le cardinal ayant conté au Roi ce qui
venait de
lui arriver, Sa Majesté lui dit qu’il avait fait
il s’était lié avec elle, avec Mlle de Klustine. Mais la jeune Russe
venait de
partir pour l’Italie avec sa mère (1828). Serait-
oigner la joie de vous voir aussi consolée que vous pouvez l’être. Je
viens de
vous découvrir une amie que je ne vous connaissai
i a son cœur tout en dedans et presque en arrière de son esprit. Elle
vient de
me parler de vous avec chaleur. — Je viens de rec
ère de son esprit. Elle vient de me parler de vous avec chaleur. — Je
viens de
recevoir votre lettre. Mes domestiques ont pleuré
talent d’écrire, que vous avez éminemment. — Le talent de bien écrire
vient de
l’âme ; ses formes se prennent dans la société. —
n honneur. » 96. [NdA] Le Benthamiste. 97. [NdA] Une amie russe qui
venait de
mourir en Italie. 98. [NdA] Une amie des dernier
volution de Juillet éclata, Bonstetten, âgé de quatre-vingt-deux ans,
venait de
rentrer en ville ; les nouvelles, d’abord confuse
A. Je n’insiste donc pas davantage et je rappelle l’hypothèse que je
viens de
faire : je suppose que j’aie constaté que les imp
à distance. Ces deux assertions n’ont qu’un seul et même sens et nous
venons de
voir quel était ce sens. Je reviens maintenant su
σ comme identiques, et c’est à cette condition seulement, comme nous
venons de
le voir, que nous pouvons arriver à l’espace à tr
ntenant les deux séries S et S′, inverses l’une de l’autre, dont nous
venons de
parler. À la série S + Σ + S′ correspondra un poi
s : S + Σ′ + S′ = S + Σ + σ + S′ = S + Σ + S′ + S + σ + S′. Mais nous
venons de
constater que S + σ + S′ était une des séries σ′
us voulons dire quand nous disons qu’ils sont identiques. Ce que nous
venons de
dire de l’identité des deux espaces tactiles nous
re quelconque de dimensions < 3 n) en vertu des liaisons dont nous
venons de
parler ; pour se rendre sur cette surface, d’un p
nsporte. Ah ! qu’ils sont doux et forts ! Je crois que le Christ nous
viendra de
là. Je considère cette apparition d’un nouvel esp
ent enthousiaste qui travaille en ce moment dans « le Nord. M. Cousin
vient de
partir afin de l’étudier aussi de plus près. Je v
t. Jésus-Christ n’est nulle part. J’ai été tenté de croire qu’il nous
viendrait de
l’Allemagne ; non que j’imagine que ce soit un in
n se vouant à ce qu’il croit la vérité ? Ami, pardonnez-moi ce que je
viens de
vous dire. Ah ! si vous connaissiez ma tête et mo
où finit l’utile, commence le beau. Dieu, l’infini, et l’air pur qui
vient de
là est la vie. Ils me prennent ici pour un bon pe
, sans appui au milieu de personnes froides et indifférentes, moi qui
venais de
quitter ma mère, ma Bretagne, ma vie toute orée,
. Je voudrais pouvoir commenter, ligne par ligne, votre lettre que je
viens de
recevoir, il y a une heure, et vous communiquer l
santir sur ces deux points. Mais ouvrons d’abord une parenthèse. Nous
venons de
distinguer deux « simultanéités dans l’instant »
-même ne pourra s’empêcher d’admettre les deux simultanéités que nous
venons de
décrire : elle se bornera à en ajouter une troisi
atique pourrait devenir infinie, tous les états passés, présents et à
venir de
l’univers pourraient se trouver donnés d’un seul
coule avec nous. De part et d’autre, on va trop vite en besogne. Nous
venons de
dire, et nous montrerons tout à l’heure avec plus
lyses étaient simplement destinées à préparer ce travail. Mais nous
venons de
prononcer le mot « réalité » ; et constamment, da
de temps sans un avant et un après : le temps est succession. Or nous
venons de
montrer que là où il n’y a pas quelque mémoire, q
on du changement, Oxford, 1911. 18. Cf. ceux de nos travaux que nous
venons de
citer. 19. Voir Matière et Mémoire, chap. I. 2
f ; le naturel ne serait qu’une consolidation de l’acquis. Mais, nous
venons de
le dire, la vérité est tout autre. Il y a une nat
’évoquer un souvenir. Il nous est arrivé de voir de nobles étrangers,
venus de
loin mais vêtus comme nous, parlant français comm
les… etc. » Les objections tirées du vague de la formule démocratique
viennent de
ce qu’on en a méconnu le caractère originellement
on pense à quelque compatriote. L’autre concerne les étrangers. Nous
venons de
dire qu’à côté des guerres accidentelles il en es
ies, etc. De tout cela peut sortir la guerre. Mais le schéma que nous
venons de
tracer marque suffisamment les causes essentielle
industrie, des conditions qu’elle imposera ou qu’elle acceptera. Nous
venons de
voir qu’à ce problème est suspendu celui de la pa
leurs, à des lois comme celles que nous énoncions. Mais le moment est
venu de
fermer notre trop longue parenthèse. Montrons seu
pas de même pour le passé : les deux développements opposés que nous
venons de
signaler sont bien ceux d’une seule tendance orig
n’y aura plus de plaisir à tant aimer le plaisir. La femme hâtera la
venue de
ce moment dans la mesure où elle voudra réellemen
cannelle. Nous touchons au point essentiel de notre discussion. Nous
venons de
citer une satisfaction de luxe issue d’une invent
incompatible avec l’impérialisme. Tout au plus dira-t-on, comme nous
venons de
le faire, que le mysticisme ne saurait se répandr
entre l’organisme et la conscience, entre le corps et l’esprit. Nous
venons de
voir que cette relation est purement hypothétique
parler ! C’est tout un monde que ce demi-monde que M. Alexandre Dumas
vient de
découvrir avec tant d’éclat, une lune sociale aus
e qui lui appartient désormais, et dans les sables mouvants duquel il
vient de
planter son pavillon d’une main si ferme et si vi
. Sur ce, la dame se lève, lui fait part de la fin de leur amour, qui
vient de
mourir, à la fleur de l’âge, et elle sort. En sor
u’il l’oblige bientôt à se déclarer. M. de Nanjac aime la femme qu’il
vient de
surprendre en tête à tête avec lui ; il s’est cru
r apprend que M. de Nanjac est passionnément amoureux de la femme qui
vient de
lui donner son congé, et c’est alors que son zèle
aha dans sa gloire. Cependant, sur les instances de René, la comtesse
vient de
renvoyer le Scapin d’ancien répertoire qui lui se
use la main de M. Giraud, si bien que son père s’imagine que ce refus
vient de
la pudeur d’une faute mystérieuse. Sa fille a aim
tes des galères. Le bruit se répand, au dernier acte, que Jean Giraud
vient de
partir pour New-York. M. Durieu et la comtesse, d
emps que nous allons nous occuper maintenant. Déjà l’analyse que nous
venons de
faire a montré comment cette théorie traite le ra
fférence entre le carré d’un espace et le carré d’un temps. Mais nous
venons de
nous placer dans un cas particulier. Généralisons
e nous donnerons tout à l’heure de l’Espace-Temps, le détour que nous
venons de
faire était donc nécessaire. Il fallait aussi, co
rectement les considérations par lesquelles on y a été conduit 42. On
vient de
voir comment la notation d’une quatrième dimensio
e que celui-ci contient ? On le croirait au premier abord, comme nous
venons de
le dire. Mais la vérité est qu’elle renferme plus
nne pour arbitre entre les deux camps. Je me tournerais vers ceux qui
viennent de
parler, et je leur dirais : « Laissez-moi d’abord
is autres, péchera par défaut et par excès tout à la fois, comme nous
venons de
le montrer. Quiconque n’apportera pas ici un doub
du symbolique, parlera autrement. Il se contentera de décrire ce qui
vient de
se passer. Il y a une longueur perçue, réelle, A′
t portraits (1891).] Philippe Gille Un vrai poète, Jean Rameau,
vient de
publier la Chanson des étoiles, un de ses plus be
téraire (1891).] Philippe Gille Dans le Satyre, que Jean Rameau
vient de
publier, je trouve un peu de tout, et surtout de
sage, et il en était temps à cinquante ans. Plein de la leçon que je
venais de
donner aux barbons dans ma Lettre à d’Alembert, j
cette relation instable et orageuse ! — Mme de Bouffiers, comme elle
vient de
le dire, avait déjà écrit à M. Hume, huit jours a
et auteur de plusieurs écrits qui vous sont vraisemblablement connus,
vient de
composer un Traité sur l’Éducation en quatre volu
e près et que l’on récapitule les circonstances de l’épisode que nous
venons de
toucher, on trouvera que les deux personnes de Pa
espondance de Garrick, publiée en Angleterre, dans une lettre qui lui
vient de
France, que je lis les observations bien fines, e
tome II, page 107. — Toutes ces lettres de Mme de Boufflers qui nous
viennent de
l’Angleterre sont peu connues en France. Musset-P
qui ont tant effrayé les uns, tant séduit les autres, nous paraissent
venir de
là. Ils tiennent à une équivoque. Ils naissent de
ussi bien devenir représentatif du Temps et s’ériger en horloge. Nous
venons de
supposer, il est vrai, que l’observateur terrestr
emps par conséquent que met la lumière à franchir l’intervalle ? Nous
venons de
voir que les zéros des deux horloges ont été plac
devenue nominale. Elle s’est incurvée en succession. En résumé, nous
venons de
chercher comment la lumière pouvait avoir la même
culer x, y et z. Mais ce me sera facile, grâce aux indications que tu
viens de
me fournir. D’abord, pour simplifier les choses,
une première simultanéité. 7. Il importe de remarquer que, si nous
venons de
reconstituer les formules de Lorentz en commentan
e débat entre les deux Églises34. Une crise analogue à celle que nous
venons de
décrire pourrait bien se manifester dans le sein
ut bien qu’il y ait quelque chose de vrai dans des reproches qui nous
viennent de
côtés si différents. On accuse notre philosophie
ussi la conclusion à laquelle arrive un savant et profond penseur qui
vient de
nous donner l’intéressant tableau des études phil
à l’École normale ; M. Fouillée, dont l’Académie des sciences morales
vient de
couronner un mémoire sur la philosophie de Platon
nis aussitôt, en voyant briser sous nos yeux les tables de la loi qui
venait de
nous être donnée au milieu des foudres et des écl
e la loi. Les délibérations des Chambres, considérées, ainsi que nous
venons de
le faire, comme organes immédiats de l’opinion, l
elle, la ville antique des souvenirs, la ville qu’un pauvre voyageur,
venu de
la Judée, seul, mais accompagné de la force de Di
abolition des dettes et le partage des terres, tantôt, ainsi que l’on
vient de
le voir en Angleterre, l’anéantissement de ces ma
querie Profils et Grimaces. Le Pays, 22 juillet 1856. Quand on
vient de
lire l’incroyable volume d’Auguste Vacquerie, on
le plus gai : Pasquin a plus d’esprit que Valère ou Cléante ! nous
venons de
le lire et nous pouvons affirmer que, quoique la
hose difficile, force le théoricien de l’admiration effrénée que nous
venons de
voir à se tenir devant, le poing fermé, au lieu d
âme de son chat, qu’il ajoute à sa lyre la corde de la tendresse ! Il
vient de
la faire vibrer d’une manière charmante. Lorsque
gobé sans une arête. Ils en doivent être un peu honteux ce matin. Je
viens de
lire le fragment cité par le Globe : cela joue l’
jamais fait que du plaqué. La vraie Lucrèce est réellement belle. Il
vient de
paraître un volume de poésies : Itinéraire poétiq
eant quelque temps après avec plus de sang-froid sur ce que la France
venait de
perdre en lui, nous nous répondions : « La Franc
a France venait de perdre en lui, nous nous répondions : « La France
vient de
perdre non un orateur, non un poète, non un écriv
teur, plus qu’un poète, plus qu’un écrivain, plus qu’un érudit ; elle
vient de
perdre un homme de goût ! « Le dernier des classi
e goût, le dernier des classiques ! voilà ce que la France littéraire
venait de
perdre avec M. de Marcellus. IV Je ne voulu
as prendre la plume et analyser la perte que la littérature classique
venait de
faire en lui, dans le premier moment de ma douleu
tour à tour complice ou proscripteur des révolutionnaires piémontais,
venait de
faire défection à la cause italienne à Novare et
s, pour obtenir l’honneur de combattre en Espagne les carbonari qu’il
venait de
déserter à Turin ; son pardon était au prix de ce
re et l’Allemagne sont déchirées de factions ; un horrible assassinat
vient de
recommencer la révolution en France, je vous plai
abes, suivant mon habitude de tous les soirs, me répondit-elle, et je
viens de
recevoir un coup de pied qui m’a atteinte légèrem
ant à des motifs étrangers, je déclare qu’aucun des Ecrivains, que je
viens de
nommer, n’a eu part à mon travail. Je défie de pl
&c. Lettre * A M. Fréron.ABCD Paris, 22 Mai 1773. J e
viens de
voir, Monsieur, un Prospectus distribué à Lyon, q
e intitulé Galerie des Hommes célebres de toutes les Nations. Sa mort
vient de
me ravir l'honneur de lui offrir à lui-même cette
en effet. J’ose, Sire, joindre à cet hommage celui d’un Livre que je
viens de
donner au Public, & que les honnêtes gens de
rains. J’ose joindre à cet hommage, Madame, celui d’un Ouvrage que je
viens de
mettre au jour, & que les Hommes zélés pour l
amer contre les faits & les Pieces citées dans une brochure qu’on
vient de
publier. Elle a pour titre, Problême Littéraire,
papier signé ou seulement écrit de ma main, qui contredise ce que je
viens de
dire au sujet de mes Lettres. 3°. De me présenter
une place dans votre Journal, pour rendre compte d'une Lettre que je
viens de
recevoir : Elle est de M. l'Abbé Liger, Auteur d'
ence sur cette Réponse, & ne m'a repliqué que par la Lettre qu'il
vient de
m'écrire. Cette Lettre, Messieurs, est un désaveu
se, moi, à l’avenir, au lendemain ; je le conjure, je le prépare ; je
viens de
temps en temps à la tribune donner mon coup de ma
aperçoit assez évidemment aujourd’hui ; la singulière brochure qu’il
vient de
lancer en ce moment même, sans aucune nécessité,
ces brillantes joutes parlementaires contre M. Molé : « La Coalition
vient de
porter un terrible coup au trône, et ce qu’il y a
prendre un jour la route de Cherbourg : « La Coalition, répète-t-il,
vient de
lui porter un coup qui laissera des cicatrices, e
ent d’efforts et d’attaques de la philosophie, estime que l’heure est
venue de
se comporter comme on ferait « dans une place ass
INIONS. Marie-Joseph Chénier M. Millevoye, le même dont nous
venons de
parler, vient de donner au public un recueil de s
-Joseph Chénier M. Millevoye, le même dont nous venons de parler,
vient de
donner au public un recueil de ses poésies. Il es
deux volumes de poésies intitulés Contemplations, que M. Victor Hugo
vient de
publier. Il ne sied pas à un poète de juger l’œuv
oète aussi, et de répondre par un bien faible écho à la voix qui nous
vient de
l’Océan. Les poètes, les écrivains, les amis part
rès soleil couchant, serait encore à ramasser, en somme ! » Verlaine
venait de
réhabiliter le mot décadent. Plus tard, Baju prop
llarmé. On discutait passionnément les Poètes maudits. Jules Laforgue
venait de
publier ses Complaintes. Le vent soufflait de ce
de paysanne, recevait, en l’absence de son fils, les visiteurs. Il en
venait de
toutes sortes, des poètes chevelus et crottés, de
refusent. » — « M. Jules Lemaître est le plus heureux des hommes : il
vient de
faire jouer à l’Odéon une pièce qui n’a pas été s
Un des associés de la maison Alexandre Dumas (manufacture de romans)
vient de
mourir. Cet industriel vivait depuis longtemps, d
ent à la recherche de ses œuvres perdues. C’est alors que l’idée nous
vint de
publier, sous sa signature, des sonnets du style
lus mal à l’aise », de prendre femme vers ce moment de Timoléon. « Il
vient de
se marier, dit Grimm, avec la fille d’un limonadi
gramme, l’une des plus belles que je connaisse : Sur La Harpe, Qui
venait de
parler du grand Corneille, avec irrévérence. Ce
e calibre ; mais on reste abîmé sous des coups comme ceux que Le Brun
vient de
frapper. Les grands critiques complets, Horace, D
es idées, mon cœur était abattu et s’adressait tout bas à Dieu que je
venais de
retrouver, et qu’à peine connaissais-je encore. J
d’esprit, contre soi. Quand on apprit que La Harpe, divorcé et veuf,
venait de
se remarier le 9 août 1797 avec une jeune et joli
qu’un lui demande si cette prédiction est véritable, si tout ce qu’il
vient de
raconter est bien vrai. — « Qu’appelez-vous vrai
e : Vie et aventures d’un positiviste, notre confrère Francis Magnard
vient de
publier à la Librairie illustrée une courte histo
le dire, je l’ai senti la première, pourvu qu’un souffle de vent soit
venu de
ce côté-là. Non, il ne faut pas être ingrat enver
pas un dimanche. Du reste, Loukéria disait que le son des cloches ne
venait pas de
l’église, mais « d’en haut ». Probablement, elle
bliée depuis bien des années. Les deux volumes que M. Alphonse Daudet
vient de
publier en sont la preuve. Il s’agit dans le nouv
h. Nouveaux Récits galiciens. — 1876. La traduction que M. Bentzon
vient de
donner des Récits galiciens, chez Calmann-Lévy, n
re par un son plaintif et discordant : l’une des cordes de la guitare
venait de
se rompre. Le Juif priait à haute voix, la Juive
ire sous Napoléon III. En deux mots, le nouveau roman que M. Claretie
vient de
faire paraître chez Dentu a pour objet de montrer
tourna se réfugier entre les deux baquets, avec les enfants. Virginie
venait de
sauter à la gorge de Gervaise. Elle la serrait au
on œuvre. — 1877. La mort, cette terrible refaiseuse d’actualités,
vient de
rappeler l’attention publique sur un homme qui, d
s les mondes qui forment l’œuvre de Henry Monnier. En attendant, nous
venons de
les parcourir, et nous allons mettre sous les yeu
plus, du milieu des juges aux visages effacés dans des robes rouges,
venait de
sortir de la bouche édentée du président, comme d
XI. Gustave Flaubert. Trois contes. — 1877. M. Gustave Flaubert
vient de
publier un nouveau volume chez Charpentier ; il e
igieuse parut. La bonne sœur avec un air de componction dit qu’« elle
venait de
passer ». En même temps, le glas de Saint-Léonard
n Gontcharoff. Oblomoff. — 1877. À la Librairie académique Didier,
vient de
paraître, sous ce titre : Oblomoff, scènes de la
un beau soir d’été dans le parc d’Asnières, dont, à cette époque, on
venait de
faire un bal. Il y a de cela une douzaine d’année
ureuse qu’elle avait toujours éloignée de son esprit. Le moment était
venu de
la résoudre. — Messieurs, dit la comtesse, ce que
si touchantes, ne se trouve-t-on pas l’esprit reposé comme lorsqu’on
vient de
relire une des charmantes anecdotes de Diderot !
e Victor-Havard, j’ignorerais comme tout le monde que M. Gustave Droz
vient de
publier chez lui un nouveau roman Tout heureux de
ne sais quelle malice, un peu trop tendre sans doute, que son danseur
vient de
lui murmurer en passant. Son joli cou est légèrem
tillon des cinquante et quelques morceaux qui composent le volume qui
vient de
paraître chez Lemerre. Citons cet épisode histori
ux, l’homme à la liste. En faisant son appel dans le troupeau parqué.
Venait de
prononcer ce nom : « Charles Leguay ! » Quand, pa
— 1876. Une des grandes qualités du roman que M. Francisque Sarcey
vient de
faire paraître chez Calmann-Lévy est d’être une é
I. Mario Uchard. Mon oncle Barbassou. — 1876. Mon oncle Barbassou
vient de
paraître en volume chez Calmann-Lévy. Le roman de
ne m’arrête pas devant son nom. Son dernier roman, Jean Têterol, qui
vient de
paraître chez Hachette, commande l’attention, et
Provence. — 1878. Je ne puis passer sous silence le beau livre que
vient de
publier M. Jean Aicard, un poète s’il en fut et d
l demandait c’eût été le condamner à une mort certaine. L’heure était
venue de
nous rendre aux Halles, j’arrangeai un bon feu da
. Henry Gréville. L’Expiation de Savéli. — 1876. La librairie Plon
vient de
mettre en vente un roman de notre collaborateur H
s. — 1876. Les Esquisses parisiennes, que M. Théodore de Banville
vient de
publier chez Charpentier, contiennent une douzain
. de Boisvilliers recevait encore la lettre que voici : Mon père, je
viens de
prendre un engagement pour la durée de la guerre
e série d’articles sur les prisons de Paris pendant la Commune ; nous
venons de
lire celui qu’il a consacré spécialement à la Mai
rlant de son fils ! II. Odilon Barrot. Mémoires. — 1875. Enfin
vient de
paraître chez Charpentier le premier volume des M
price du cœur, la plupart des coryphées politiques du demi-siècle qui
vient de
finir, enivrés par une idée généreuse, ont pris p
dissement, se garda, bien d’y prendre part, comprenant que ceux qu’il
venait de
déchaîner si imprudemment iraient, eux aussi, plu
it. À Carentan, la foule, moins hostile que dans les localités qu’on
venait de
traverser, venait curieusement visiter les fugiti
quelque épisode un peu moins sévère que les graves événements que je
viens de
citer. Voici une anecdote que raconte Odilon Barr
onze heures du soir, un de mes amis qui m’avait tenu compagnie et qui
venait de
me quitter est remonté précipitamment pour me dir
ble est la philosophie de Michelet. Une nouvelle édition de l’Insecte
vient de
paraître chez Hachette ; elle est illustrée de 15
sait l’Insecte en se promenant dans son jardin, alors que cet ouvrage
venait de
paraître. — Je suivais, me dit-il, machinalement
roïsme en soutane. — 1876. Le titre du livre que le général Ambert
vient de
faire paraître chez Dentu dit bien quel est son b
de cette revue ne me permet pas d’embrasser ; quant aux faits que je
viens de
rapporter et à ceux que je n’ai pu citer, ils son
mte Ribbing s’était réfugié à Paris ; il était alors fort âgé. Scribe
venait de
terminer avec Auber son opéra de Gustave ou le Ba
ce titre : Kléber, sa vie, sa correspondance, le général comte Pajol
vient de
publier chez Firmin-Didot un volume d’autant plus
dée et l’expédition de Quiberon. — 1877. La librairie Firmin Didot
vient de
publier une nouvelle série de Mémoires relatifs à
1877. L’éminent auteur de Paris et ses organes, M. Maxime Du Camp,
vient de
publier chez Lévy un livre fort intéressant, inti
ce qui arrivera de cet épisode de Louis Bonaparte… La démission qu’il
vient de
donner, afin, dit-il, de ne rien troubler dans so
clusion satisfaisante est certainement celui que les amis de M. Vinet
viennent de
recueillir, et qui se compose des leçons et des a
figuraient les miracles d’un certain nombre de nouveaux saints qu’on
venait de
canoniser. J’avais admiré surtout, d’un des balco
7280. C’est à cette occasion que M. Vinet m’écrivit : « Monsieur, on
vient de
m’envoyer la livraison de la Revue des Deux-Monde
ulvio survient après lui, et dit tout le contraire de ce que le valet
vient de
dire, de sorte que Mezzetin s’écrie : Signor, ho
elia ; il dit à Mezzetin de remettre la jeune fille à la personne qui
viendra de
sa part et montrera son anneau. Cintio est le fil
ettre de crédit. Scapin, qui a entendu les conventions que l’étudiant
vient de
faire avec Mezzetin, feint d’être brouillé avec F
lument, les anciens divisoient la musique prise dans le sens que nous
venons de
dire, en trois genres, sçavoir, le genre diatoniq
insi à composer regulierement des vers de toute sorte de figure. Nous
venons de
voir que par rapport à l’exécution, la musique se
ces dramatiques étoient representées sur le théatre des anciens. Nous
venons de
voir qu’Aristides Quintilianus comptoit six arts
flexion, ainsi employée, n’est pas scientifique. Le problème que nous
venons de
poser va nous permettre de revendiquer les droits
dérer à la phase correspondante de leur évolution. Il semble que nous
venions de
procéder simplement à une définition de mots ; ca
me, quoique ce soit le cas le plus fréquent pour les raisons que nous
venons de
dire ; mais il peut se faire aussi, comme nous l’
ère lui faisant défaut. Il sortira d’embarras en procédant comme nous
venons de
dire. Après avoir établi par l’observation que le
e à des confusions et à des erreurs partielles, comme celles que nous
venons de
rappeler, mais on rend la science même impossible
guérison, jamais stabilité comme dans plusieurs anomalies. Mais nous
venons de
voir que l’anormal, lui aussi, est une menace pou
ologique et du pathologique est valable pour tout le genus homo. Nous
venons de
montrer au contraire que, souvent, ce qui est mor
st un être uniquement fabriqué de la crainte du ridicule, et que cela
vient de
ceci. Enfant, un jour on le gronda, et, sorti de
xales, mais qui ne sont jamais les idées courantes et prostituées. Il
vient de
se plonger dans les livres sacrés de l’Inde, et i
t trompé sur ces peuples… que leur douceur pour les animaux n’est pas
venue de
la métempsycose ; bien au contraire, c’est elle,
la métempsycose ; bien au contraire, c’est elle, la métempsycose, qui
vient de
cette douceur : « Ce n’est pas leur foi, dit-il,
Oui, quand il est mort et encore tout chaud », dis-je au critique qui
vient de
proclamer que la postérité, c’est lui ! La conver
l’« Invocation aux Inconnus ». Il finit par déclarer que se produire,
vient de
notre bassesse littéraire, et qu’il n’y a qu’une
colie moderne. Savez-vous si la tristesse anémique de ce siècle-ci ne
vient pas de
l’excès de son action, de son prodigieux effort,
tions sont rigoureusement logiques. La vérité ne l’est pas. Ainsi, je
viens de
lire dans un roman, la description d’un salon rel
d’un deuil. On cause des sœurs qui soignent les malades, de celle qui
vient de
quitter la maison, après avoir fermé les yeux de
milieu de la causerie, Girardin entre dans le salon, tout rajeuni. Il
vient de
faire recevoir aujourd’hui Le Supplice d’une femm
z les de Béhaine, en tête à tête avec le mari, la femme, et leur fils
venu de
Soissons, où il est en garnison. Nous causons ave
exaspérée contre Taine, à propos de son article sur Napoléon Ier, qui
vient de
paraître dans la Revue des Deux Mondes. Elle s’in
frénésie. Je la vois, le jour d’un grand dîner à Breuvannes, et où je
venais de
manger sur l’abricotier de la cour, le seul abric
a lumière de la pleine lune, de la légèreté de la grille de fer qu’on
vient de
poser au fond de mon jardin… Et regardant cela, j
personne, à propos du « Manifeste des Cinq », me lit un article qu’il
vient de
faire, et qui nous dégage, moi et Daudet, de tout
e la fille de la favorite, — un legs fait au duc de Chabot et qui lui
vient de
famille. Je trouve la comtesse dans son petit sal
e la peinture à l’huile ; un collier de perles, aux perles usées, qui
viendrait de
la femme du duc de La Rochefoucauld, l’auteur des
nifestation. On va ce soir, en troupe, visiter le cottage que Drumont
vient de
louer à Soisy, au milieu du jardin ruineux, créé
ccès de cette pièce, effet que je n’avais pas prévu à la lecture ? Il
vient de
la mêlée de la délicatesse des sentiments, du sty
celui qui avait été inventé par la littérature. Gustave Geffroy, qui
vient de
réveillonner chez Rollinat, racontait que le curé
ontre plus dans la Nature que le caprice ? Dans la conception dont je
viens de
parler (et que j’appellerai la conception scienti
ésoudre toutes ces questions qui se posent naturellement et dont nous
venons de
dire quelques mots. Je ne veux nullement recherch
tout à fait pareilles. Mais, si le principe d’induction tel que nous
venons de
l’énoncer est vrai, il y en aura qui seront à peu
x des raisonnements tout faits ; nous savons que ces raisonnements ne
viennent pas de
nous et en même temps nous y reconnaissons l’œuvr
La science, en d’autres termes, est un système de relations. Or nous
venons de
le dire, c’est dans les relations seulement que l
femme arrache son masque et fait explosion. C’est une comédie qu’elle
vient de
jouer, concertée avec Lebonnard, qui n’a trouvé q
la princesse Georges est jalouse. Après un an de mariage, son bonheur
vient de
se briser en éclats. Son mari la trompe avec la c
t deux millions volés à sa femme. Le notaire de la famille, auquel il
vient de
les enlever, s’effrayait, tout à l’heure de ce dé
ncesse Georges sait cela ; toute à sa colère, elle lui répond qu’elle
vient de
chasser sa femme. « Et pourquoi ? » — Parce qu’il
frémissement parcourait la salle. On sentait que la princesse Georges
venait de
juger son mari et qu’elle l’avait condamné. L’att
réceptes qu’ils répètent après lui, en leur donnant plus de grâce, ne
viennent pas de
leur propre génie. Ils se bornent à les lui empru
ie d’Aristote. Il suffit de quelques morceaux du genre de ceux que je
viens de
discuter, pour affirmer sans la moindre hésitatio
qui le voit, sans que d’ailleurs ce soit un signe de souffrance. Elle
vint de
la Sicile en Grèce. « L’épopée tient à la tragédi
« Puisque le but du poète doit être de nous procurer le plaisir qui
vient de
la pitié et de la terreur, il est clair qu’il fau
mplètement le but qu’elle poursuit. « Mais bornons-nous à ce que nous
venons de
dire sur l’épopée et la tragédie, sur la nature d
introduire dans les vérités occultes qui dépassent les sens. Quand on
vient de
lire attentivement sa Psychologie, on s’attriste
ans lequel les êtres ne seraient pas. Mais ici admirons Aristote : il
vient de
montrer toute l’étendue de son sujet ; il en a fi
-même, et si vous ne voulez pas suivre, comme à la trace, ce que nous
venons de
dire, ce que nous avons dit il y a longtemps, me
me demande comment il m’ensevelira ; et tout ce long discours que je
viens de
faire pour prouver que, dès que j’aurai avalé le
une substance, au sens le plus rigoureux de ce mot ? Tout ce que l’on
vient de
voir ne le prouve-t-il pas assez ? Et pour l’immo
poursuivre. Il faut le répéter hautement : toute l’erreur d’Aristote
vient de
ce qu’il n’a pas assez vu, malgré les conseils de
s, des mahométans sous les califes. Son génie belliqueux et religieux
vient de
là ; il a été depuis et constamment recruté par l
contribuent pas peu à leur beauté corporelle. Sans le mélange dont je
viens de
parler, les gens de qualité de Perse seraient les
s dépensiers du monde, et qui songent le moins au lendemain, comme je
viens de
le dire. Ils ne sauraient garder de l’argent, et
te, sans aucun égard à la suite, ou combien cela durera, que, s’il ne
vient pas de
nouveaux secours, en deux ou trois mois, l’on voi
est à Tiflis qu’il jeta un coup d’œil sur l’ensemble du royaume qu’il
venait de
traverser avec tant de périls, et qu’il peignit l
à mes livres, ni à mes papiers. Le 29, un gentilhomme de Mingrélie y
vint de
nuit avec une trentaine de gens et y mit tout en
moi y avions laissé pour être de trop peu de prix et trop pesant ; il
vint de
nuit, comme j’ai dit. Ce tigre, n’ayant point de
(tchâoùch) turc vint à la forteresse où j’étais, et fit savoir qu’il
venait de
la part du pacha. Sabatar (j’ai dit que c’était l
Toute louange non rapportée à Dieu est vaine ; et tout le bien qui ne
vient pas de
lui n’est qu’une ombre de bien. Le dévot ne doit
mahométans appellent candilgi (qandyldjy), ces mêmes officiers que je
viens de
dire, que les Grecs appellent candilaphty. À la g
tymologie toute sorte de liqueurs. Le nom de sorbet et celui de sirop
viennent de
ce terme de cherab, que les mahométans religieux
donné parole, en recevant ces priviléges, qu’au bout de trois ans, il
viendrait de
nouveaux députés de la Compagnie, non-seulement a
ur des capucins, et lui demanda comment il accordait la réponse qu’il
venait de
faire avec la lettre que l’envoyé avait rendue au
ur des chœurs de Carmagnola et des Inni sacri. Dans tout ce que nous
venons de
dire de la poésie française, nous désirons être b
-Beuve commente ici, à propos de Manzoni, son article sur Fauriel qui
venait de
paraitre dans la Revue des Deux Mondes, et qu’il
1).] G. Albert-Aurier Remy de Gourmont, cet esprit si rare qui
vient de
publier, sans qu’on s’en doute, un roman (Sixtine
erminal (15 février 1900).] Yvanhoé Rambosson Remy de Gourmont
vient de
publier à petit nombre et avec un rare souci de b
trouver une fleur dans le fond d’un rocher stérile sur lequel le flot
vient de
se briser, vous voulez cueillir cette aigrette fl
ée du ciel ; tout à coup la fleur se retire des doigts indiscrets qui
viennent de
la toucher. Sensitive de ces rivages, elle est pl
t déjà un langage, ses couleurs sont une idée. » L’ouvrage dont nous
venons de
rendre compte est suivi d’une espèce de nouvelle
Deux de nos assassins les plus en évidence, MM. Rossel et Demangeot,
viennent de
nous donner une de ces déceptions que le public p
mique, a inspiré à M. Grosclaude. Il suppose qu’un arrêté préfectoral
vient de
fermer les bains Deligny, « attendu que ledit éta
c complication de troubles dans le filigrane, etc… » Ou encore : « On
vient de
découvrir l’antisarcine ; comme son nom l’indique
, je crois, toujours porté ce nom-là en littérature, le livre qu’elle
vient de
publier sur elle et eût dit à la troisième person
, ses vices avec ses sciences. Pour réaliser cette combinaison que je
viens de
signaler, d’un Rousseau doublé d’un Richelieu, il
nchantements de Prudence. Sans le bas-bleuisme, le fléau du temps qui
vient de
plus en plus sur nous, nulle femme, pas même les
comme un cabinet de travail. Sans compter les deux illustres que nous
venons de
nommer, vous pourrez encore y apprécier de nobles
ement sa dernière plume, la poitrine percée de la blessure sacrilège,
vient de
rendre le dernier soupir. Sur le pupitre vert pla
du bout de son aile ? Marat peut désormais défier l’Apollon, la Mort
vient de
le baiser de ses lèvres amoureuses, et il repose
’abord vous remercier d’être venus si nombreux et si sympathiques. On
vient de
me dire qu’ici on aime la France3 ; je m’en suis
c’était les Méditations. Le 13 mars 1820, c’est la poésie lyrique qui
venait de
naître en France. On s’en aperçut d’ailleurs immé
e du poète : enfin, qu’est-ce qu’il y avait chez cet écrivain qui lui
venait de
sa nature même, qui lui appartenait en propre, qu
in en villégiature. Ce qu’il faut, c’est que les impressions qui nous
viennent de
la campagne se mêlent avec les impressions délici
tir à nos premières années, qui ont façonné notre âme. Tout ce qui ne
vient pas de
notre nature, nous vient de là. Ceux qui ont eu u
ont façonné notre âme. Tout ce qui ne vient pas de notre nature, nous
vient de
là. Ceux qui ont eu une enfance pénible et qui on
est le cas de Lamartine. Et de cette enfance qu’il a passée comme je
viens de
vous le dire, il me semble que se dégage très évi
inin, on l’a toujours noté chez Lamartine, et je pense bien qu’il lui
vient de
son éducation première. De là vient aussi à Lamar
in, deux événements, ce voyage en Italie, ses rapports avec Julie qui
vient de
mourir, ont aidé chez lui la poésie à se former c
Hugo. Chez Victor Hugo, par un mouvement en sens contraire, la poésie
vient de
l’extérieur et se répercute dans l’âme du poète.
ppliquant son esprit et ses qualités personnelles. Voyons donc ce qui
vient de
la tournure même de l’esprit de Victor Hugo, ce q
enfant nerveux, à l’humeur capricieuse, changeante, fantasque, que je
viens de
vous montrer. Alfred de Musset a vécu toute son e
que je relève chez Alfred de Musset. Et vous voyez déjà par ce que je
viens de
vous dire en quoi Alfred de Musset diffère de ses
et, en amour comme ailleurs, les pires souffrances ce sont celles qui
viennent de
nous-mêmes et du sentiment de notre indignité. Ca
r lui de l’amour je ne sais quel filtre empoisonné. D’après ce que je
viens de
vous dire, vous voyez que chez Alfred de Musset t
esséchée, son âme entièrement ruinée, à cette chaumière du paysan qui
vient de
brûler et dont il ne retrouve plus que les ruines
débile. Un an après, il était nuit, J’étais à genoux près du lit Où
venait de
mourir mon père. Au chevet du lit vint s’asseoir
pour le style, a plus de soin que les autres. Mais, d’après ce que je
viens de
vous montrer, vous voyez que, pour Théophile Gaut
d’un coup de fusil, frappé à mort, et, en mourant, bénissant ceux qui
viennent de
le tuer. Il y a donc, vous le voyez, dans Françoi
enne ; c’est le dernier : sibyllin. Vous voyez, lu de la façon que je
viens de
vous le lire, en commençant par le premier mot et
en quoi a consisté la besogne de la critique durant la quinzaine qui
vient de
finir. Je n’ai à cet égard que peu de remarques à
t, M. Charreau est le Grassot du feuilleton. M. Auguste Lireux que je
viens de
citer, a écrit deux excellents feuilletons, cette
e but qu’il ne fallait pas atteindre, MM. Edmond et Jules de Goncourt
viennent de
l’effondrer. Je n’ai pas encore pardonné à M. Pau
sciencieux, qui s’attache à un sujet comme le limaçon à une muraille,
vient de
commettre la phrase suivante, dans le Moniteur du
le petit peuple de la littérature. MM. Jules Barbier et Michel Carré
viennent de
faire représenter aux Variétés une sorte d’opéra-
se trompent tous les deux. Voltaire et M. Jules Janin. Mais je
viens de
prononcer le nom de Voltaire ! n’est-ce-pas touch
et absurde… J’en demande bien pardon à M. Théophile Gautier ! mais je
viens de
rencontrer sous ma plume les deux mots qui caract
é à réaliser en littérature l’hypothèse magnifiquement absurde que je
viens de
poser. Veut-il dessiner le Caucase ? il fabrique
estation d’un délire que je suis bien près de partager. M. Fiorentino
vient de
prêcher un converti : son sermon, pour s’être fai
pareils écarts de plume, aujourd’hui, surtout, qu’un scandale récent
vient de
fournir à quelques oisifs du monde un prétexte no
ait être plus complet. L’ex-feuilletoniste à tous crins du Rénovateur
vient de
débuter avec beaucoup d’agrément dans l’emploi de
ois médiocrement réussi, témoin l’anecdote suivante : L’Opéra-Comique
venait de
représenter Miss Fauvette, je crois ; M. Baudillo
chose ? peut répondre l’enthousiasme de la foule auquel l’écrivain
vient de
faire le procès. Croyez-moi, M. Veuillot, au lieu
destal, je dirais presque sa tribune. Il peut réussir ailleurs, et il
vient de
le prouver, mais là seulement il est complet. Mai
rien entendu chez eux de plus exquis et de plus parfait … ils étaient
venus de
tous les points du globe ; ils parlaient au foyer
public, qui n’est point la dupe des audacieuses contre-vérités qu’on
vient de
lire, a trop souvent pour habitude d’en rendre so
ir des Maremmes, tout chargé de miasmes mortels, aux atteintes duquel
vient de
succomber la Pia, semble avoir été fatal aux crit
mporté le biblot de mon amour. » Un mot à M. de Prémaray, puisque je
viens de
le nommer. Le feuilletoniste de la Patrie a écrit
ation à M. Arthur Ponroy, le directeur du Portefeuille, une Revue qui
vient de
ressusciter. M. Arthur Ponroy croit à l’avenir de
édacteur du Corsaire, retiré en province où il continue son commerce,
vient de
se fabriquer une enseigne de publicité, à l’aide
on. Ma solitude ne manque pas d’avoir son côté embarrassant. L’Odéon
vient de
représenter Maître Favilla, qui a réussi ; — ce d
uisque tiré y a, je ne crois pas non plus que les deux phrases que je
viens de
citer soient venues toutes seules et sans le seco
domptées, nous les voyons attendre dans leurs forêts que l’heure soit
venue de
refouler chez eux les conquérans, et d’attaquer l
l’indifférence en métaphysique était complète. Cette indifférence ne
venait pas de
la frivolité, mais du découragement ; elle était
pour lui un fondement inébranlable de certitude ; l’erreur ne saurait
venir de
là, il faut qu’elle vienne d’ailleurs. Quand donc
ous est fournie par le dehors et par les objets extérieurs ; la forme
vient de
l’intérieur, du sujet même capable de connaître.
son origine, et rechercher si toutes nos connaissances viennent ou ne
viennent pas de
l’expérience. A cette question, Kant répond avec
avec elle. » Mais Kant distingue entre commencer avec l’expérience et
venir de
l’expérience (mit, aus). Toutes nos connaissances
en même temps et quelque chose d’expérimental et quelque chose qui ne
vient pas de
l’expérience. Kant appelle connaissances empiriqu
nce. Restent les jugemens synthétiques à posteriori dont la certitude
vient de
l’expérience. Encore pourrait-on le contester qua
et cette entreprise, il l’a accomplie, grâce à cette méthode dont je
viens de
faire connaître le caractère d’après les deux pré
eler et de les mentionner ; mais nous ne saurions exiger des nouveaux
venus de
s’en former la même idée et d’en garder la même r
nnus. Les Saugrain eux-mêmes étaient une famille d’anciens libraires,
venus de
Pau avec Henri IV, très honoré dans leur professi
me trompent pas ; la petite comédie se passa à très peu près comme je
viens de
la raconter, à la chinoise. L’avènement ou le dév
ne le soupçonnerait pas de s’être tant ému. J’ai sous les yeux et je
viens de
parcourir la plupart de ses articles au National
it apparu, un matin, lumineuse et manifeste. M. Ramée, celui même qui
venait de
faire mouler cette statue de la reine Nantechild,
initiative personnelle. Car, hors de là, regardez bien : rien ne lui
vient de
lui-même ; il y a toujours quelqu’un qui lui inst
n aucun cas, et qui ne le laissèrent pas tout à fait le même que nous
venons de
le montrer. Sa santé, de tout temps délicate, éta
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