t ; je n’ai rien acquis depuis, si ce n’est l’art douteux de le faire
valoir
. Il vaudrait sûrement mieux vivre et mourir solit
rien acquis depuis, si ce n’est l’art douteux de le faire valoir. Il
vaudrait
sûrement mieux vivre et mourir solitaire ; mais o
général est le dégoût de la vie, nous continuons à croire que la vie
vaut
la peine qu’on en poursuive le but idéal. Nous so
rt de l’œuvre française ; portez-y votre raison, votre maturité. Osez
valoir
ce que vous valez. Notre cote en ce monde est au-
aise ; portez-y votre raison, votre maturité. Osez valoir ce que vous
valez
. Notre cote en ce monde est au-dessous de notre v
. Voilà le résultat de mon expérience. Je vous le livre pour ce qu’il
vaut
. J’ai toujours eu le goût de la vie, j’en verrai
y de votre chien, Que nous, nos sens gardés d’une telle chimere. Ne
vaut
-il donc pas mieux, dans votre liberté, Dans cette
re comme vous faites ? Et sans tant d’embarras, avec tranquillité, Ne
vaut
-il pas bien mieux être comme vous êtes ? A quoi
de la naissance ? Ces prétendus trésors, qui sont tant en crédit, Ne
valent
pas le prix que vaut votre indolence. Ils nous
prétendus trésors, qui sont tant en crédit, Ne valent pas le prix que
vaut
votre indolence. Ils nous livrent sans cesse à
ux tendances, en substituant à des actes sacramentels, qui ne peuvent
valoir
que par leur signification, et qui, envisagés dan
tout cela est digne de la passion des belles âmes. Un beau sentiment
vaut
une belle pensée ; une belle pensée vaut une bell
lles âmes. Un beau sentiment vaut une belle pensée ; une belle pensée
vaut
une belle action. Un système de philosophie vaut
e ; une belle pensée vaut une belle action. Un système de philosophie
vaut
un poème, un poème vaut une découverte scientifiq
t une belle action. Un système de philosophie vaut un poème, un poème
vaut
une découverte scientifique, une vie de science v
poème, un poème vaut une découverte scientifique, une vie de science
vaut
une vie de vertu. L’homme parfait serait celui qu
8 ; aussi presque tous les meubles sont pourris et hors d’usage ; ils
valaient
7 612 livres en 1748 ; ils ne sont plus estimés q
lles comme les vingtièmes. Elle rapporte net par an 12 300 livres, et
vaut
net 308 003 livres. 2. La terre des Brosses est,
sport des droits de fief et justice à celle de Blet. Sur ce pied elle
vaut
73 583 livres, dont il faut défalquer un capital
pour les charges réelles ; elle rapporte net par an 3 140 livres, et
vaut
net 61 224 livres. Ces revenus ont les sources su
t une fois tous les 80 ans ; ces droits portent sur 1 356 arpents qui
valent
, les meilleurs 192 livres l’arpent, les moyens 11
oyens 110 livres, les mauvais 75 livres. À ce taux, les 1 350 arpents
valent
162 750 livres. — On fait remise aux acquéreurs d
0 livres de rente. Saint-Faron, dit Boiteau, marqué 18 000 livres, en
vaut
120 000. L’abbaye de Saint-Germain des Prés (aux
ines lui offraient pour sa part. (Duc de Lévis, Souvenirs, 156.) Elle
vaut
donc environ 300 000 livres Remiremont, dont l’ab
remplis toujours avec plaisir, malgré les heures de nonchalance — m’a
valu
quelques amitiés devenues estimes, que je n’avais
ur, d’expert, de « gourmet », il doit avoir le goût du jugement. Tant
vaudra
son jugement, tant vaudra sa critique, et toutes
», il doit avoir le goût du jugement. Tant vaudra son jugement, tant
vaudra
sa critique, et toutes les qualités d’impression
eaucoup de son talent ; si on le discute, apparemment, c’est qu’il en
vaut
la peine. Siraudin nous a fait rire, qui jamais a
Il y a la critique d’enthousiasme, la « critique des beautés ». Elle
vaut
pour réparer une injustice, pour mettre en lumièr
-ils donc à se gêner si fort ? On objecte : « S’il faut pécher, mieux
vaut
encore pécher par indulgence que par sévérité. »
on. Qu’estce qu’il y a donc ? » Sur le sculpteur Flipart : « Rien qui
vaille
. » Sur le graveur Moette : « On ne saurait plus m
, mais un personnage ressemblant à l’acteur, ou une situation faisant
valoir
l’acteur. Le personnage ou la situation inventée,
ntôt nous assisterons à la victoire du cinématographe. Peut-être même
vaut
-il mieux souhaiter cette victoire très prochaine
ans tous les cas, le mauvais goût règne partout et souverainement. Il
vaut
donc mieux lire de bons livres, aujourd’hui, que
une espèce de vaudeville livresque et d’opérette de librairie qui ne
valent
pas mieux que les pièces les plus médiocres. Déga
’a chance de durée que si elle peut être lue. Une pièce de théâtre ne
vaut
quelque chose que si elle peut devenir un livre.
ants, peuvent se borner à lire, parce qu’ils lisent des choses qui en
valent
la peine. Mais si nous considérons la masse, nous
uestion se posait déjà avec la même acuité. « Un livre, écrivait-il,
vaut
toute une vie, une pièce de théâtre demande un mo
t de noms illustres : Molière, Corneille, Racine, Hugo, Becque. Mieux
vaudrait
peut-être un simple parallèle entre la vitalité d
graphe, etc. En soi, aucun moyen n’est ni supérieur ni inférieur ; il
vaut
ce que vaut l’artiste qui l’emploie. Le livre n’e
En soi, aucun moyen n’est ni supérieur ni inférieur ; il vaut ce que
vaut
l’artiste qui l’emploie. Le livre n’est qu’un moy
é d’aujourd’hui semble éprouver pour tout ce qui touche la scène. Que
vaut
donc le théâtre d’aujourd’hui ? Et que vaut le pu
qui touche la scène. Que vaut donc le théâtre d’aujourd’hui ? Et que
vaut
le public ? « Je ne goûte presque plus le théâtr
de chance de durée que si elle peut être lue. Une pièce de théâtre ne
vaut
quelque chose que si elle peut devenir un livre…
ur les Quarante. J’ai écrit aussi le titre de ce dernier livre qui me
vaudra
, j’espère, un prix académique. Il s’appellera Les
s M. Faguet, académicien, trouve idéal le mode de recrutement qui lui
vaut
des jetons de présence : il voudrait donc « une m
e des traits que le regard ne parvient plus à réunir. Son livre lui a
valu
, outre le troisième rang de peau de lapin qui dis
ne lecture rapide. Ce n’est pas que, par lui-même, Le roi Trimalchion
vaille
grand-chose. C’est que — l’obscure clarté d’un en
ne sais quel Dumas polonais. Les « suites » des ouvrages célèbres ne
valent
jamais rien. Quel intérêt offriront-elles quand,
tre propos Que de remplir le personnage d’acrobate, cela semble bien
valoir
quelques applaudissements. Je suis reconnaissant
ent à écrire dans leur idiome local des vers qui n’auraient pas mieux
valu
en français. » Et encore : « Que le félibrige s
te, que quelques-uns prétendent imité du Sainte-Beuve. Mais peut-être
vaut
-il mieux distinguer d’après le vocabulaire. On au
nt de faire revivre ce Socrate sans familiarité. L’art en silence ne
vaut
pas seulement par sa riche matière. Il vaut aussi
ité. L’art en silence ne vaut pas seulement par sa riche matière. Il
vaut
aussi par l’esprit ingénieux qui s’y déploie, par
écrivain qui y « porte son manteau avec grâce et en homme libre ». Il
vaut
surtout par l’âme exquise et frêle qu’il nous liv
nt. Il espère bien que des bonbons paieront ses gentillesses. Il fait
valoir
ses petits gestes, affirme qu’ils ont de l’import
rents ? Le bon sens proteste avec énergie. Essayez de dire que Pradon
vaut
Racine, qu’une comédie de Boursault a droit à la
re devra son insuccès aux vues nouvelles dont il est plein et qui lui
vaudront
au bout d’un siècle la réparation d’une gloire ta
vins : ils ne se prêtent pas à l’exportation. Peut-être alors qu’il
vaudra
mieux s’en référer aux jugements portés par les m
nt pas de même espèce. Il n’a pas à se demander si un roman bien fait
vaut
plus ou moins qu’une comédie excellente. Il perdr
ime et invincible contre laquelle il serait puéril de lutter ! Autant
vaudrait
reprendre l’éternelle et vaine discussion sur les
ccord sur leur valeur relative, on en reconnaît un certain nombre qui
valent
la peine d’être interrogés. Leurs successeurs aur
tous. C’est une simple addition à faire. Une œuvre qui plaît aux sens
vaudra
mieux, si elle satisfait en même temps notre beso
ait puissamment éveiller ou exprimer des sensations par des mots peut
valoir
beaucoup mieux qu’une œuvre qui exprime ou éveill
e l’émotion que par l’intermédiaire d’une jouissance sensorielle. Que
vaut
un poème où les vers sont durs et boiteux ? Peut-
s plus impérieux. — Voilà pour ceux qui possèdent. Mais que sont, que
valent
et que peuvent, en régime bourgeois, les non poss
convenances individuelles, les évaluations individuelles. Les choses
valent
non pour moi ; mais pour une moyenne d’hommes et
valent non pour moi ; mais pour une moyenne d’hommes et elles doivent
valoir
pour moi par le fait qu’elles valent pour cette m
oyenne d’hommes et elles doivent valoir pour moi par le fait qu’elles
valent
pour cette moyenne. Ces valeurs seules valent qui
oi par le fait qu’elles valent pour cette moyenne. Ces valeurs seules
valent
qui sont demandées, qui plaisent à la généralité,
ins très répandus ou susceptibles de se répandre largement. Cela seul
vaut
qui se vend ou est susceptible de se vendre beauc
tune qu’on juge de la valeur des gens. Vous possédez tant : donc vous
valez
tant. Il y a là une sorte d’application économiqu
liser, aboutirait à vérifier l’absurde maxime populaire : un homme en
vaut
un autre. — Mais cet idéal d’égalité n’est jamais
s inventions et des richesses produites collectivement et qu’ainsi il
vaut
mieux être un citoyen quelconque d’une grande vil
, leur couleur, leur élégance, leur dignité, leur richesse. Ils ne se
valent
pas tous, mais chacun d’eux vaut par son mérite i
dignité, leur richesse. Ils ne se valent pas tous, mais chacun d’eux
vaut
par son mérite intime. Il y a encore des mots nob
leur sens, limités dans les idées et les images qu’ils évoquent, ils
vaudront
en somme ce que vaudra votre pensée. Haute et sér
les idées et les images qu’ils évoquent, ils vaudront en somme ce que
vaudra
votre pensée. Haute et sérieuse, elle formera à s
ns s’entrégorgeant sur leur flotte et sur leur champ de bataille ? Ne
vaut
-il pas mieux cent fois imposer la responsabilité
soleils, et, quand elle a été, c’est comme si elle n’avait pas été !
Vaut
-il la peine d’écrire son histoire ? Vaut-il la pe
me si elle n’avait pas été ! Vaut-il la peine d’écrire son histoire ?
Vaut
-il la peine de dessiner sa trace ? Vaut-il la pei
peine d’écrire son histoire ? Vaut-il la peine de dessiner sa trace ?
Vaut
-il la peine de conserver les dix ou douze grands
dans le brouillard de la distance ? Encore une fois, non, elle n’en
vaut
pas la peine, si on considère seulement l’humanit
nation, telle ou telle place dans l’espace et dans le temps, elle ne
vaut
pas plus que cela : car tout ce qu’elle remue n’e
le monde qu’avec l’ignorance et la crédulité des anciens jours. Mieux
vaut
un peuple immoral qu’un peuple fanatique ; car le
uisse les guérir qu’en les empêchant de produire des oranges. Cela ne
vaudrait
pas la peine, puisque l’oranger qui ne produit pa
autant que nous savons, crée la conscience de l’univers. La plante ne
vaut
que comme produisant des fleurs, des fruits, des
se d’être sûr de n’être pas dupe. L’homme formé selon ces disciplines
vaut
mieux en définitive que l’homme instinctif des âg
de crimes, il est moins sublime et moins absurde. Cela, dira-t-on, ne
vaut
pas le paradis que la science nos enlève. Qui sai
de son portefeuille les mauvaises valeurs et les faux billets. Mieux
vaut
un peu de bonne science que beaucoup de mauvaise
raison comme pour les précédentes, l’individualisme ne peut donc pas
valoir
pour nous qui avons autre chose à faire qu’à nous
ment à en convenir et nous avons nos raisons pour cela. La principale
vaut
qu’on l’examine entièrement. La voici. Depuis ses
Littérature ne doit pas être rénovée. Ou bien alors, ces théories ne
valaient
rien, tout au moins n’étaient pas suffisantes. À
ifiée que nous retenons surtout de leurs manifestes. Leurs intentions
valent
pour nous des œuvres. Nous en venons maintenant a
lusions. Du reste, il est probable qu’on ne l’eut pas crue. L’épreuve
vaut
mieux. Et cependant, comme elle eut dû paraître f
ment raison, sans aucun risque ; et que tout de même, dans la vie, il
vaut
mieux suivre une règle prudente que se dévoyer. L
ainsi réglé par le dieu. Au contraire, disait-elle, plus de maux ici
valent
plus de gloire là-haut — et l’église jouissait du
irer à soi, s’incorporer le milieu ambiant, tout ce qui autour d’elle
vaut
pour la Vie. Il n’est point de vie statique, mais
sme comporte le plus grand bien. Ne nous en plaignons pas. Il ne peut
valoir
de morale, sinon absurde, qui le condamne. Ne con
u stade le plus avancé atteint par ses derniers parents, cette loi ne
vaut
pas pour l’esprit. Le cerveau naît à vide. Le jeu
oute chacun de ses participants. Pour elles les forces matérielles ne
valent
rien, sont l’ennemi. Le système de la nature phys
régime actuel et ne veulent pas admettre qu’un système rationnel leur
vaudrait
mieux — comme aux autres. Dans la société, forme
t parmi les hommes il n’est pas certain qu’il se présente au mieux et
vaille
bienfaisamment pour ceux-ci. Rien ne peut surveni
damentale offrent les théories du passé et de savoir si elles peuvent
valoir
encore pour le présent. Nous voici donc bien obli
it, de notre cœur que l’arbre des institutions reçoit la sève. L’État
vaut
ce que valent les citoyens. Une réforme qu’on imp
cœur que l’arbre des institutions reçoit la sève. L’État vaut ce que
valent
les citoyens. Une réforme qu’on impose de la seul
l n’exécute. Ce principe est sans exception : la loi extérieure, pour
valoir
, ne doit que sanctionner la loi intérieure. L’œuv
l’accordons également et nous pensons qu’en cela, comme ailleurs, il
vaut
mieux chercher le sympathique que le discordant.
nt, il n’y en avait pas. Emma Bovary, voilà le type exact. La réalité
vaut
mieux. Du moins, expliquons-nous, la connaissance
aison : une fausse conception de la littérature. Leur œuvre eut mieux
valu
encore. Mais ce qui lui manque n’enlève rien à la
le proclamons compréhension, intégration de l’infini. Nos paroles ne
valent
pas plus dans l’espace que le bruit des feuilles
mplation des choses. Il se développe en nous une sensibilité qui nous
vaut
tant de découvertes et tant de joies, qu’elle nou
urd’hui dans la nation la confédération générale du travail. Que peut
valoir
un gouvernement de tels hommes ? Nous nous reteno
chances de succès. Les anciennes formules littéraires ne peuvent plus
valoir
rien pour nous. L’anarchie présente est néfaste.
e en toutes choses. Fouquet s’était créé, dans sa terre magnifique de
Vaux
, comme un Versailles anticipé ; il y avait fait e
aisser ignorer. On a mainte fois raconté cette fameuse fête donnée à
Vaux
par Fouquet à Louis XIV le 17 août 1661, et duran
e vengeance. Si prévenu qu’il fût des profusions et des splendeurs de
Vaux
, Louis XIV en arrivant fut étonné et ne put s’emp
le en Bretagne en même temps qu’il décorait si royalement sa terre de
Vaux
, il jugea qu’il fallait faire sur lui un exemple
nts, pour agir avec tant de retenue. Dix-neuf jours après la fête de
Vaux
, la Cour était à Nantes, et Fouquet malade de la
éloquent même, sous la forme académique alors en usage. Il y faisait
valoir
les belles qualités de Fouquet, les importants se
s à l’aise ni plus à son avantage que dans ce cadre des merveilles de
Vaux
, dans ce premier Versailles sans contrainte et lé
ses admirateurs et au désespoir de ses envieux : Je sais ce que je
vaux
, et crois ce qu’on m’en dit. Pour me faire admire
! Cette retraite, si elle avait été possible, aurait sans doute mieux
valu
pour son repos, et peut-être aussi pour sa gloire
le se glorifie lui-même après le triomphe du Cid : Je sais ce que je
vaux
, et crois ce qu’on m’en dit. Voltaire a osé dire
Il avait mis toute sa vie et toute son âme au théâtre. Hors de là il
valait
peu : brusque, lourd, taciturne et mélancolique,
vantes que M. Lebrun, l’auteur de Marie Stuart, sait réciter et faire
valoir
à merveille. On y surprend le vieux Corneille, un
ge A quelques traits un peu vieux, Souvenez-vous qu’à mon âge Vous ne
vaudrez
guère mieux. Le temps aux plus belles choses Se
ai dit. Pensez-y, belle marquise, Quoiqu’un grison fasse effroi, Il
vaut
bien qu’on le courtise, Quand il est fait comme m
Nous nous aimons un peu, c’est notre faible à tous. Le prix que nous
valons
, qui le sait mieux que nous ? Ceci devient mali
la masse par la multitude et le mauvais goût des ornements ; de faire
valoir
l’analogie de l’obscurité des vitraux colorés, av
endre petite et commune, une grande chose ? Il semble qu’il eût mieux
valu
s’en écarter, et qu’il y aurait eu plus d’habilet
tecte doit préférer ? Comment fallait-il faire Saint Pierre de Rome ?
Valait
-il mieux réduire cet édifice à un effet ordinaire
accord qui empêche l’effet général ? Qu’est-ce qu’un défaut qui fait
valoir
le tout ? Voilà la querelle de l’architecture got
t actuel, le désir de vivre ensemble, la volonté de continuer à faire
valoir
l’héritage qu’on a reçu indivis. L’homme, Messieu
ramme à réaliser ; avoir souffert joui, espéré ensemble, voilà ce qui
vaut
mieux que des douanes communes et des frontières
mun unit plus que la joie. En fait de souvenirs nationaux, les deuils
valent
mieux que les triomphes, car ils imposent des dev
n y croyait, et l’on vient vous dire que cela est tout changé ! Mieux
vaudrait
convenir une bonne fois de ce qui est beau, et n’
sa sécurité et son entière plénitude. Mais non point de paresse, cela
vaut
mieux ; recommençons, rafraîchissons-nous toujour
terre ; ou reprenez votre épée pour recommencer notre combat. Mais il
vaut
mieux que je vous donne la vie, et que nous vivio
meurés muets chacun de notre côté, il me semble que nous nous faisons
valoir
l’un l’autre, et que nous nous entredisons des ch
choses que nous ne disons pas ailleurs. » Je ne sais si elle le fait
valoir
autant qu’il s’en flatte ; mais certes, il la fai
lle le fait valoir autant qu’il s’en flatte ; mais certes, il la fait
valoir
par sa roideur de ton et ses airs guindés, elle l
tes ». Soit un acte qui entraînera une révolution. Sais-je ce qu’elle
vaudra
? L’acte qui la déchaîne est-il pieux ou sacrilèg
rs sont, tout coup, devenus connaisseurs. Certes, La Terre promise ne
vaut
ni moins ni plus que les antérieurs romans du mêm
t un grand critique. Ses romans, soit dit sans intention de paradoxe,
valent
mieux. Ils sont certainement écrits avec amour, e
Mais, observe Mme Marie-Anne de Bovet, les jeunes filles (celles qui
valent
qu’on s’intéresse) ne se livrent pas, se ferment
dans cette partie : c’est un mince succès et un art inférieur. Mieux
vaut
laisser séparé ce qui n’est pas logiquement et na
ileau a sué pour trouver des transitions, et elles sont telles, qu’il
vaudrait
mieux qu’il n’y en eût pas. Elles lui ont coûté i
partout ; peu importe l’objet, pourvu qu’il ne soit pas entier. Mieux
vaut
laisser les choses dans leur naturelle incohérenc
commande ce livre — dirai-je : émouvant ? — aux potaches, pour qui il
vaudra
un portrait d’actrice. Les vieillards, grâce à lu
a meilleure volonté — de cette partie de son œuvre, c’est qu’elle lui
valut
un excellent duel de publicité avec je ne sais qu
s, La Canne de Jaspe, le Bon Plaisir, la Double Maîtresse, tout ça se
vaut
et ne vaut rien. Voici Le Bon Plaisir, mesdames :
de Jaspe, le Bon Plaisir, la Double Maîtresse, tout ça se vaut et ne
vaut
rien. Voici Le Bon Plaisir, mesdames : Louis XIV
t excellente. Marmontel. Et pourquoi cela ? Chamfort. C’est qu’elle
vaut
mieux que celle de La Harpe. Marmontel. Elle pou
t qu’elle vaut mieux que celle de La Harpe. Marmontel. Elle pourrait
valoir
mieux que celle que vous citez et ne valoir pas g
Marmontel. Elle pourrait valoir mieux que celle que vous citez et ne
valoir
pas grand’chose. Chamfort. Mais j’ai vu celle-ci
histoire que, si la vénalité des charges est mauvaise, le concours ne
vaut
guère mieux, et que tout est bien comme il est. M
de notre connaissance, fût-ce de la même imparfaite et faible façon,
vaut
mieux que la servile répétition des plus complets
contact ; et l’eût-on vu de profil, n’en eût-on vu que l’ombre, cela
vaudrait
mieux encore que d’avoir calqué une photographie
À l’envers de ce qu’on croit d’elle communément, je suis sûr qu’elle
valait
mieux à soixante ans qu’à trente. Le inonde, en n
elle a eu fait sa petite fortune royale, elle a vu que cela même n’en
valait
pas la peine ; et elle est entrée fort sincèremen
ailleurs, en toute simplicité, que ni l’Aînée ni la Bonne Hélène n’en
valent
moins pour cela, de même que, pour avoir été reçu
, de même que, pour avoir été reçue avec acclamation, Frédégonde n’en
vaut
pas mieux. La lecture devant le Comité est une né
ce que je trouvais, comme lui, et bien sincèrement, que Frédégonde ne
valait
pas le diable. Mon honneur m’oblige à le déclarer
, quand on en fait, les bénéfices que notre vain orgueil en attend ne
valent
pas que l’on devienne méchant à cause d’elle ni q
a réputation que le compagnonnage a faite à Gérard de Nerval ? ce qui
vaut
le mieux en ces cinq volumes, c’est encore le Voy
nté de style, même intérêt de notions acquises ; et si le critique ne
vaut
pas là le voyageur, c’est que le critique doit av
dans un médium fort modeste. Ourliac, dont on n’a pas tant parlé, le
valait
bien, et Hégésippe Moreau valait bien mieux ! Il
liac, dont on n’a pas tant parlé, le valait bien, et Hégésippe Moreau
valait
bien mieux ! Il n’y avait pas à s’extasier. Il n’
écut, il est vrai, quatre-vingt-huit ans. Ce qui nous paraît le mieux
valoir
aujourd’hui, après quelques-uns de ses vers, ce s
es illustres exemples d’hommes réputés graves dont les mœurs, dit-on,
valaient
mieux que les paroles ; mais il n’aurait pu ajout
moitié vers et moitié prose qui contient la description des Fêtes de
Vaux
, et qui était une sorte de dépêche poétique tout
La Fontaine, qui lui écrivait à la fin de sa lettre sur les Fêtes de
Vaux
: « Adieu, charge ta mémoire de toutes les belles
affaires graves ne sont guère mon fait : quatre petits tours de préau
valent
bien mieux que tout cela… » Ce sont des cérémonie
intenant qu’on a la plupart de ses vers et les lettres charmantes qui
valent
mieux. On l’y voit l’un des derniers Gaulois, mai
ais pas comprendre. » La plus belle harangue en beau langage latin ne
valait
pas alors pour lui trois mots de jargon scythe ta
l’écrivain veut désigner, et un à peu près que tout le monde entend,
vaut
mieux alors qu’un terme exact, que nul ne saisit.
précision énergique, sans devenir obscur ni âpre. Mais le procédé ne
vaut
que par la rareté de son emploi : s’il tourne en
e l’expression, la rhétorique y abonde, une rhétorique lyrique qui ne
vaut
pas mieux que la rhétorique oratoire : d’Aubigné
Le Tasse, Montemayor sont en leurs pays de grands poètes : D’Urfé ne
vaut
que par sa prose, fluide, diffuse, aimable, où se
rit, au sens étroit : l’ingéniosité, l’invention spirituelle. Rien ne
vaut
que pénétré ou orné d’esprit. On est ainsi, tout
, le conceptisme de Ledesma, l’estilo culto de Gongora : les agudezas
valaient
les concetti. Mais, dans ce raffinement, l’Espagn
e, il a de forts, de triomphants réveils ; on a de lui des pièces qui
valent
le meilleur Malherbe. Il monte en perfection les
rançais, et que les hauts faits des Grecs ou des Romains ne pouvaient
valoir
pour nous le récit des luttes et des périls qui a
part, devinrent comme le manuel de la bonne société. C’est là ce qui
vaut
le mieux dans l’œuvre de Mlle de Scudéry : les po
vec la nature du sujet. Scarron est le grand homme du genre : rien ne
vaut
le Virgile travesti, qui ne vaut pas grand’chose.
st le grand homme du genre : rien ne vaut le Virgile travesti, qui ne
vaut
pas grand’chose. On en a trop vanté le sens litté
duchesse, puis maître d’hôtel du roi, et premier commis du comte d’A
vaux
, lorsque celui-ci fut surintendant des finances.
écadence ? Ôtons le mot, si l’on veut. Mais sachons voir la chose. Il
vaut
mieux y croire pour en avoir peur, que la nier et
de Maucroix, où il l’a lu et qu’il vante. Les dialogues de Platon ne
valent
pas les Provinciales. Voilà qui paraît moins mal
ns Homère, ni le plan, ni les mœurs, ni la diction. Les caractères ne
valent
même pas ceux de Térence ; ils ne parlent ni selo
Et que mon vol hardi puisse plaire à tes jeux, Ton suffrage pour moi
vaut
une apothéose ; J’ai déjà le front dans les cieux
arti. La violence de Mme Dacier4 répondant au Discours sur Homère fit
valoir
cette modération. Elle attaquait tout le monde, e
Mme Dacier a un tort bien autrement grave : c’est que ses raisons ne
valent
pas son admiration, ni le plaidoyer la cause. Ell
r les beautés partout où elles sont. Pour qui n’a pas les deux, mieux
vaut
le second que le premier ; car l’admiration échau
il le dit. Si j’en juge par le ton de ses louanges, il connaît ce que
vaut
son oncle ; il ne le sent pas. Il a besoin, pour
par Colbert. Mais il fallait l’universalité de Fontenelle pour faire
valoir
cette idée, et pour apprendre à l’Europe savante
n’y sont guère moins laides que les préjugés qu’elles combattent. Il
vaut
mieux les aller lire inscrites dans les codes qui
t à des succès de vanité qu’elles prétendent. Les efforts qui peuvent
valoir
aux hommes de la gloire et du pouvoir, n’obtienne
nt ne paraissant jamais qu’une existence passagère et bornée, ne leur
vaut
point la considération attachée à un grand pouvoi
prit même, qui sembleraient offrir une carrière plus étendue, ne leur
valent
souvent qu’une existence à la hauteur de la vanit
exe ; et qu’il est dans cette carrière bien peu de sorts qui puissent
valoir
la plus obscure vie d’une femme aimée et d’une mè
temps de la chevalerie, le caractère distinctif de leur sexe ; car il
vaut
mieux partager dans les combats les dangers de ce
ne idée directrice : la connaissance nette du mérite essentiel par où
valent
les œuvres antiques. Marot est plus exquis que l
de réduire leur génie à l’application méthodique d’un système : mieux
vaut
que les œuvres fassent naître les théories. Dans
vers noble de notre poésie, que le vers ample ; et c’est par là qu’il
vaut
. Ronsard a pu se repentir, et revenir dans sa tri
par tant de siècles l’exemple naïf de la langue française ». Cela ne
vaut
-il pas le gascon de Montaigne ? Et l’histoire de
cience de l’œuvre à laquelle il travaillait. Toutes ses formules sont
values
ou fausses. Il demande « une naïve et naturelle p
servent la cause de l’esprit. Du petit esprit d’industrialisme. Mieux
vaut
le peuple tel qu’il est. La science du bonhomme R
histoires générales sont encore impossibles. Ces grandes histoires ne
valent
d’ordinaire que pour le point sur lequel l’auteur
néralisation de cette loi du développement de toute vie. L’analyse ne
vaut
qu’en vue de la synthèse à venir. Nous ne travail
; franchise avec soi-même. Retour à la Grèce. La religion hellénique
vaut
mieux qu’on ne pense : forme poétique du culte de
t, à Saint-Mandé, où était une des propriétés de Fouquet, plus tard à
Vaux
, comme vous pensez. Il avait une pension assez co
cour que Fouquet tenait à Saint-Mandé, qu’un peu plus tard il tint à
Vaux
, La Fontaine trouva une société tout à fait faite
fait au dernier moment, mais presque à l’époque des grandes fêtes de
Vaux
qui ont été non seulement l’occasion, mais la cau
casion, mais la cause de la ruine de Fouquet, La Fontaine rencontra à
Vaux
Molière, et ce fut le coup de foudre, je ne sais
te d’élégie sur la disgrâce de Fouquet. C’est l’Elégie aux nymphes de
Vaux
. Et il s’honora ensuite encore plus, à mon avis,
er, et il l’a affrontée de tout son cœur. Il fait dire aux Nymphes de
Vaux
: Remplissez l’air décris en vos grottes profond
Remplissez l’air décris en vos grottes profondes, Pleurez, nymphes de
Vaux
, faites croître vos ondes… …………………………………………………………
s… Ah ! si ce faux éclat n’eût pas fait ses plaisirs, Si le séjour de
Vaux
eût borné ses désirs, Qu’il pouvait doucement lai
la première œuvre belle de La Fontaine, c’est l’Elégie aux Nymphes de
Vaux
, et je pense qu’il y a là plus qu’une coïncidence
nsées et de l’orner d’une belle préface. Or, ses Nouvelles Pensées ne
valent
rien ; et, comme on sait, « rien, c’est peu de ch
ressions. Et je suis bien sûr que l’abbé Roux, même après sa préface,
vaut
encore mieux, moralement, que les neuf dixièmes d
omme fit Fénelon pour ses Maximes des Saints ! Non, vraiment, ça n’en
vaut
pas la peine.
tout à l’heure (1889).] Stuart Merrill Ces Trophées me semblent
valoir
moins par leur signification de la noblesse d’une
’une bien stérile victoire sur la seule matière de la poésie. L’or ne
vaut
pas par lui-même, mais par ce qu’il représente. O
, n’en est de pâles dont l’idée se révèle avec peine et ne semble pas
valoir
l’honneur de tant de soins. Il en est qui, faute
sont d’une finesse peu connue jusqu’à La Fontaine, mais l’Apologue ne
vaut
rien. Quoi de plus ridicule que cette supposition
umage, etc. Esope met une corneille au lieu d’un geai : la corneille
valait
mieux, attendu qu’elle est toute noire ; sa fanta
ès-bien tenue ! tout le monde paraît à sa besogne et ne fait rien qui
vaille
. V. 14. N’apperçut ni cor, ni ramure. Cela ne p
que lui, tant qu’il ne se croira pas tout à fait un vieillard. Lequel
vaut
mieux du passé ou du présent, — du passé ou de l’
ut mieux du passé ou du présent, — du passé ou de l’avenir ? Lesquels
valent
mieux de nos pères ou de nous ? Moralement on est
elle et la regarder assez à distance pour se dire : « Et moi aussi je
vaux
autant que toi, ou mieux que toi. » On restait da
as d’une statue qu’il s’agit ici, c’est d’une statuette, mais elle en
vaut
la peine. M. Rigault n’y a vu qu’un grotesque : p
Au fond, une triste page de l’histoire d’Irlande ! Cette page, qu’il
vaudrait
mieux oublier que reproduire, sinon pour Emmet, q
terait très bien, s’il en pleuvait, ce serait des femmes de génie qui
vaudraient
mieux, à elles seules, que toute une famille… mêm
II Mais sa modestie filiale l’a trompée. Lord Byron, à lui seul,
vaut
tous les poëtes et les philosophes allemands que
ssière et de lueurs d’étoiles que Byron, une autre femme aurait mieux
valu
que celle-là qui sait si bien toutes les orthogra
que la peine de recueillir ; mais dans une correspondance, non ! Tant
vaut
l’homme, tant vaut le livre. Le sujet, c’est l’ho
ueillir ; mais dans une correspondance, non ! Tant vaut l’homme, tant
vaut
le livre. Le sujet, c’est l’homme même qui écrit.
Sicile, nous n’avons qu’une rhétorique parfaitement sage, mais qui ne
vaudrait
guères que le milieu de la classe à l’écolier qui
is de Tocqueville. Les meilleures lettres qu’on ait de lui ne peuvent
valoir
, par le détail de l’observation (son seul mérite
aison que, venu après M. Renan et sur les talons de son maître, qu’il
vaut
peut-être par le talent, — car les chiens valent
s de son maître, qu’il vaut peut-être par le talent, — car les chiens
valent
souvent leurs maîtres, quand parfois ils ne valen
, — car les chiens valent souvent leurs maîtres, quand parfois ils ne
valent
pas plus, — M. Soury s’est cru tenu d’exagérer et
! Eh bien, non ! cela ne sera pas. Aux yeux de M. Soury, les Juifs ne
vaudront
pas mieux que les chrétiens. Savez-vous pourquoi
ez dominer à l’avarice, vous n’aurez jamais auprès de vous soldat qui
vaille
, car tous les bons hommes vous fuiront, disant qu
ie : l’important, c’est de chercher dès ses débuts à montrer ce qu’on
vaut
et ce qu’on peut faire ; ainsi les grands et chef
que le proverbe de nos anciens est véritable, qui dit qu’un homme en
vaut
cent, et cent n’en valent pas un. Je le dis pour
anciens est véritable, qui dit qu’un homme en vaut cent, et cent n’en
valent
pas un. Je le dis pour ce capitaine qui a le bras
es morions jaunes de Montluc : car, à la vérité, ces trente quatre en
valaient
cinq cents, et me suis cent fois étonné de ce que
longtemps des meurtriers mercenaires, couverts de cicatrices ? Lequel
valait
le mieux pour toi d’être l’appui de ton vieux pèr
de ta femme qu’on cherche à séduire depuis vingt ans quoiqu’elle n’en
vaille
pas la peine, de ton fils que les princes voisins
cabanes des vertus que tu aurais pratiquées dans ton palais ? Lequel
valait
mieux de goûter tous ces avantages de la paix et
a longueur ; mais voilà La Fontaine qui met ce correctif lui-même. Il
vaut
mieux l’entendre que moi. V. 11…. En cet âge où
t mieux un trait d’amour, Que quatre pages de louanges ; Ce mot seul
vaut
mieux que tout ce que dit ici La Fontaine à cette
s prétentions et querelles de ces deux pieds inégaux, un apologue qui
vaudrait
celui des Membres et de l’Estomac. La conclusion
vrai et fondé dans le rôle de M. Nisard, et il était homme à en faire
valoir
les avantages. Les qualités qu’il possède en effe
dicule. Horace a dit : …… Totus teres atque rotundus Externi ne quid
valent
per læve morari. Perse dit : …….. Ut per læve s
tôt de jouir d’une plume trop abondante. Comme critique praticien, il
vaut
moins que quand il raisonne sur le passé, et il e
; il rappelle le mot de Chaulieu à Voltaire successeur de Villon, qui
vaut
mieux et prouve plus, dans sa légèreté. Tout ce m
presque à l’oubli ; et le premier qui ait rappelé et fait de nouveau
valoir
ses vrais titres à cette constitution de la prose
alités étrangères au genre et à leur esprit même. C’est bien, et cela
vaut
la peine d’être pratiqué. Mais ce sera toujours m
littéraires d’exister. Plus l’on fera pour les lettres et mieux cela
vaudra
. Charles Müller D’un article paru dans L’H
s, Les Marges ne pourraient pas conduire la présente enquête qui nous
vaudra
des réponses spirituelles dans une revue qui ne l
eut-il espérer que jamais il se fera connaître ? Il est certain qu’il
vaudrait
mieux pour un écrivain rester dans son coin et ga
par quoi remplacer les prix littéraires qui, défectueux, discrédités,
valent
tout de même mieux que l’indifférence. Paul So
prix pourrait sacrer plus justement un lauréat national. Et peut-être
vaudrait
-il mieux laisser les jeunes à leur jeunesse, à l’
umône et de la brigue. Ceux que décernent les associations privées ne
valent
pas mieux : l’Académie Goncourt n’a-t-elle pas po
e d’études ; une mensualité pendant un an ou deux. Ces humbles choses
vaudront
mieux pour le maintien du beau travail que la som
lle mêlée de bandits au coin du bois sacré ! Passons au fait. Rien ne
vaut
le fait brutal pour assommer la vérité, la beauté
euse et puissante, dite avec des mots simples et profonds… Comme vous
valez
mieux que moi, mon ami ! comme vous êtes plus jeu
mériter votre affection, mais je m’aperçois de plus en plus que vous
valez
mieux que moi, et cela me fâche. « George. » « (
mis. « Et nous aurions tort après tout de nous accuser : car nous ne
valons
pas mieux les uns que les autres ; moi qui me pla
tout, voyez-vous, il n’y a que cela de bon sur la terre. Le reste ne
vaut
pas la peine qu’on se donne pour manger et dormir
i surtout d’avoir pris ma défense avec tant de hardiesse. Vos paroles
valent
bien mieux et me sont bien plus utiles que les co
générale du conte ; pour cela, il faudrait le recommencer, et il n’en
vaut
d’ailleurs pas la peine. Si vous avez la bonté d’
ité. Or, il faut le reconnaître, ce n’est point par la forme que nous
valons
. On lira peu les auteurs de notre siècle ; mais,
re. Mais, en vérité, est-ce par elles-mêmes que de telles découvertes
valent
quelque chose ? N’est-ce pas en tant que pouvant
mnant à être complet, il se condamne à être superficiel. Son livre ne
vaudra
que pour les parties où il est spécial ; mais alo
ature sanscrite, en effet, la publication et la traduction des textes
valent
mieux que toutes les dissertations possibles, soi
n système incomplet, pourvu qu’on n’y tienne pas d’une façon étroite,
vaut
mieux que l’absence de système, il serait peut-êt
vie est si courte et qu’il s’y présente tant de choses sérieuses, ne
vaudrait
-il pas mieux prêter l’oreille aux mille voix du c
de son impuissance à devenir vicieuse tout à fait, et cette tristesse
vaut
la peine qu’on l’explique. L’autre Messaline n’a
souvissement, ce phénomène inexplicable, et qui, ne le fût-il pas, ne
vaudrait
pas la peine d’être expliqué. III On voit m
Arsène Houssaye, quand il s’était incarné dans le xviiie siècle, ne
valait
pas, certes ! ce qu’il vaut quand il se met à ple
tait incarné dans le xviiie siècle, ne valait pas, certes ! ce qu’il
vaut
quand il se met à plein dans son siècle à lui. Il
é des belles choses, que ferait-on ? Une des raisons que l’on faisait
valoir
tout récemment en faveur du projet pour l’achèvem
moyen d’occuper les artistes. Je voudrais bien savoir si Périclès fit
valoir
ce motif aux Athéniens, quand il s’agit de bâtir
l intellectuel, ce n’est pas généralement sa vraie science qu’il fait
valoir
, mais ses qualités inférieures. M. Letronne a plu
Ce n’est pas le talent, en effet, qui manque à M. Alaux. Il en a. Il
vaut
bien, s’il ne vaut mieux, et quoiqu’il ait le bon
lent, en effet, qui manque à M. Alaux. Il en a. Il vaut bien, s’il ne
vaut
mieux, et quoiqu’il ait le bonheur d’être moins c
solu, à l’ordre, qui peut l’être et doit l’être pour que les sociétés
valent
quelque chose… Certes ! ce n’est point avec un es
ié « Front rouge », un poème militant écrit à la gloire de l’URSS qui
vaudra
à son auteur d’être inculpé en janvier 1932. Si l
ien de ce qui est humain ne m’est étranger. Que cette déclaration ait
valu
renom de pionnier à son auteur, qu’elle en ait fa
jà, ils donnent à ce conseil un ton vaudevillesque, celui-là même qui
valut
à la célèbre phrase : « Mais n’te promène donc pa
pas, quand on évoque les belles années de jeunesse et les leçons qui
valurent
à ces années d’être belles) se livrait à d’infini
converti donna la réplique au thomiste. L’on eut donc un tam-tam qui
valait
bien les histoires de colliers perdus, dans les t
s son jeu, dans sa poche, la poésie tout entière. Cette tricherie lui
valut
renom de finesse et de modernisme, partant une gl
res. Sans doute les opinions des laïcs officiels et semi-officiels ne
valaient
-elles pas mieux que les balivernes du mêle-tout e
iques, des boîtes où ranger tout ce que le courant lamartinien nous a
valu
de lyres et de lyristes, lyromanes mysticards, of
ieille pucelle est digne de M. l’Intellectuel puisque, si le pucelage
vaut
son pesant d’or et vaut son pesant d’or aussi l’i
de M. l’Intellectuel puisque, si le pucelage vaut son pesant d’or et
vaut
son pesant d’or aussi l’intellectualité, sur le p
it les comparer qu’aux seuls insectes dont la prudence mimétique leur
vaut
de s’identifier au milieu. Ne point tenter d’agir
erie arithmétique, d’après quoi, un seul, dissocié en ses contraires,
vaudrait
, du fait même de son dualisme non surmonté, beauc
, les dames turques furent le bordel sur le tombeau du Christ, ce qui
valait
bien le poilu inconnu sous l’arc de triomphe. Or,
flits sociaux avec la béatitude grossière que le ciel bleu, le soleil
valent
aux natifs des horizons spleenétiques, quand le s
e. Et de fait, elle se mit à chanter, à tue-con, un Ave Maria, qui me
valut
de revivre certain matin de mon enfance, dans une
le. Or, justement, parce que rien, en comparaison de cette minute, ne
vaut
, ne peut valoir, tout de suite, s’était terni l’o
ent, parce que rien, en comparaison de cette minute, ne vaut, ne peut
valoir
, tout de suite, s’était terni l’or des âges d’or.
al dont il était vêtu, quand, d’un soubresaut, il l’avait tendue, lui
valait
de ressembler à un membre de cheval hors de sa ga
onnels, j’offre ce lapsus, qui, l’automne dernier, plusieurs fois, me
valut
d’écrire, de dire Oreste au lieu d’Œdipe. Ne fall
e, désespérant comme cette compréhension propre, animée du monde, qui
valut
à Héraclite de constater : On ne se baigne pas de
Alors, l’homme sincère n’est qu’un mannequin dont le carton-pâte lui
vaut
, grâce à de répugnantes peinturlures, de ressembl
cour des Valois que sous le septennat de Loubet, lui eussent certes,
valu
le droit de mépriser. Elle n’avait pas besoin de
sans dire que mes exemples n’ont aucun prix : je les improvise et ils
valent
exactement ce qu’ils me coûtent), on me donne pud
èse, et vous obtiendrez cette maxime, qui vous a un air fin et qui en
vaut
une autre : L’amitié naît des confidences, et ell
s celles qu’il vient d’improviser avec une prétentieuse négligence ne
valent
pas le diable. Il prétend nous démontrer que ce g
e ! Le reste de sa dissertation revient à dire qu’un livre de maximes
vaut
exactement ce que vaut l’esprit de l’auteur : nou
ertation revient à dire qu’un livre de maximes vaut exactement ce que
vaut
l’esprit de l’auteur : nous n’avions pas besoin d
ce qu’il a voulu communiquer et répandre son intelligence, et, ce qui
vaut
mieux, sa justice, et, ce qui vaut mieux encore,
andre son intelligence, et, ce qui vaut mieux, sa justice, et, ce qui
vaut
mieux encore, sa bonté ? Qui enfin leur a inspiré
ce qu’il a voulu communiquer et répandre son intelligence, et, ce qui
vaut
mieux, sa justice, et, ce qui vaut mieux encore,
andre son intelligence, et, ce qui vaut mieux, sa justice, et, ce qui
vaut
mieux encore, sa bonté. » La première phrase touc
raduction. Imputer est un mot de jurisprudence qui n’est pas net ; il
vaut
mieux dire : « Nos actions voulues sont les seule
che, on admettra bien que Balzac, comme sentiment, comme observation,
vaut
n’importe quel peintre actuel, je pense ; à chaqu
t a-t-elle ? Vous proclamez, tous, les Flamands sublimes, vos modèles
valent
les leurs : travaillez. Et puis, cette idée de la
contemplé. Dans la réalité rien ne choque ; au soleil, les guenilles
valent
les vêtements impériaux. Le vrai embrasse tout ce
d’eux que des chefs-d’œuvre, et du moment que « le sculpteur de bêtes
vaut
le statuaire de héros » et qu’« une croupe vaut u
le sculpteur de bêtes vaut le statuaire de héros » et qu’« une croupe
vaut
un torse », je me crois obligé d’admettre que la
torse », je me crois obligé d’admettre que la croupe de M. Vacquerie
vaut
le torse de M. Hugo. Si maintenant je voulais, po
, la nature elle-même ait eu l’air de ne s’apercevoir de rien. « Cela
vaudrait
pourtant bien la peine, dit-il, que quelque chose
es ces protestations, dis-je, la nature ne bougera pas, quoique ça en
vaille
bien la peine, et vous laissera vous mettre à son
de la Botte faulve incornifistibulée en la Somme angélique ? Cela ne
vaut
-il pas mieux que toutes les mascarades sentimenta
plus possible de la vie, des sentiments du grand nombre. Un homme en
vaut
un autre, et les raffinements qui constituent l’e
ir les curiosités et les besoins de notre époque, il ne fait rien qui
vaille
. Le public a un réel sentiment de ce qui est bon
s espèces de gueux, de bohémiens étranges, comme je l’ai vu faire, il
vaut
mieux lui apprendre à voir les détails de la simp
ection du décor ; et de fausses histoires jouées dans de vrais salons
valent
beaucoup moins que de vraies histoires jouées dan
d’eux que des chefs-d’œuvre, et du moment que « le sculpteur de bêtes
vaut
le statuaire de héros » et « qu’une croupe vaut u
le sculpteur de bêtes vaut le statuaire de héros » et « qu’une croupe
vaut
un torse », je me crois obligé d’admettre que la
torse », je me crois obligé d’admettre que la croupe de M. Vacquerie
vaut
le torse de M. Hugo. Si maintenant je voulais, po
, la nature elle-même ait eu l’air de ne s’apercevoir de rien. « Cela
vaudrait
pourtant bien la peine, dit-il, que quelque chose
s ces protestations, dis-je, la matière ne bougera pas, quoique ça en
vaille
bien la peine, et vous laissera vous mettre à son
tat intérieur, ses espérances, ses innovations, de manière à se faire
valoir
le plus possible, et cela a de bon qu’en rapproch
et elle en fait des choses qu’on voit, terribles et actives, et cela
vaut
mieux que les amours poétiques du fer et de l’aim
iage, mais pour mieux le profaner ; il a défendu l’Église, mais mieux
valait
un ennemi. Il a voulu exalter quelques types du f
la puissance d’Eugénie Grandet. Cela ne représente « qu’un avare qui
vaut
moins qu’Harpagon ». (Pourquoi cela ?) « Une jeun
e. » Une œuvre qui se résume aussi nettement dans l’esprit du lecteur
vaut
Adolphe, bien certainement, et exige un talent pl
s funestes qu’utiles, lorsqu’ils ne sont pas justes et éclairés. Tant
vaut
le patron, tant vaut à la fin l’art qu’il protège
lorsqu’ils ne sont pas justes et éclairés. Tant vaut le patron, tant
vaut
à la fin l’art qu’il protège ; des courtisans dis
re appelés niais par tout le peuple des grenouilles littéraires. Cela
vaut
mieux que s’ils nous avaient trouvés spirituels,
nt se casser le nez dans la critique. Il prétend que Manon Lescaut ne
vaut
pas mieux que Zayde, la Princesse de Clèves, et R
ition sera moins pauvre qu’elle ne l’aurait été sans cette mesure. Il
vaudrait
peut-être mieux décidément laisser les artistes l
te bonhomie ou l’extravagance m’indignèrent. Cette manière d’agir m’a
valu
de précieuses sympathies. Elle m’a valu aussi des
ent. Cette manière d’agir m’a valu de précieuses sympathies. Elle m’a
valu
aussi des inimitiés. Plusieurs ont montré de la m
ils s’accusent les uns les autres : « C’est toi le Politique qui nous
vaut
ce désastre ! C’est toi le Scientifique ! C’est t
nt dont les jeux et les gestes, les colères et les repentirs nous ont
valu
l’œuvre poétique la plus haute de la fin du xixe
ence atroce a brisé enfin l’enfant vieilli. — Des volumes derniers il
vaut
mieux ne rien dire… Il y a environ un an, je renc
sens absolu, ils sont des héros et des martyrs puisque une Idée leur
valut
un rêve radieux et la force de se sacrifier pour
tre cet adversaire instinctif : le lecteur. Si la Forêt bruissante ne
vaut
rien, toutes les propositions théoriques du monde
onflit social ? Cette fréquentation des idées et des chefs-d’œuvre te
valut
ton culte envers la vie. Si bien que, quand tu re
vers le transporte et il réussit finalement à ne pas dire — ce qui ne
valait
pas la peine d’être dit. C’est parce que, pour lu
ai fait sincèrement, sans réticences et sans arrière-pensées. Cela me
vaudra
sans doute une fois de plus le plaisir d’être tra
iomphalement maintes tours d’ivoire et qui, aimant toute la vie, nous
vaut
enfin une sensation épique : ce splendide Barbare
où se dépensèrent les catholiques pour maintenir le Manitou qui leur
valait
la domination et de grands profits, l’esprit d’ex
n est triste — et on a le droit de l’être souvent puisque la vie nous
vaut
autant de souffrances que de joies — pourquoi ne
d’une action révolutionnaire commune contre l’autocrate — ce qui lui
vaut
une expulsion immédiate. On voit qu’alors comme a
r à son ascendant direct. Il avait la force de persuasion et cela lui
valut
, parmi tant de tracasseries, quelques dévoués abs
le lyrisme reprend son rôle de traducteur harmonieux des émotions que
vaut
au poète la contemplation de ce drame multiforme
métaphysique que cela offusque : leurs négations et leur dédain leur
valent
peut-être des applaudissements et des génuflexion
ortée ? Et les livres de vers ? N’y a-t-il pas des livres de vers qui
valent
toutes les œuvres en prose ? Je ne pense pas que
te à pénétrer dans ce paradis des radotages séniles ? Quel mirage lui
vaut
donc le rêve de s’affubler d’un costume grotesque
ent sur le nez des lunettes déformatrices dont les verres irisés leur
valent
une vision spéciale des choses. Ils ignorent les
imé dans cette dernière phrase. Mais je crois que le Journal lui-même
vaut
plus que ne le prétend M. Moore parce qu’il nous
rs blanchis à la chaux, les tableaux que mon imagination y accrochera
vaudront
, j’ose le croire, toutes les fanfreluches chères
x. Lorsqu’il ne s’égare point en tels projets de colonisation qui lui
valent
l’approbation déshonorante de sénateurs calvinist
es parties révolutionnaires de son œuvre, ses opinions libres lui ont
valu
des persécutions bourgeoises et l’animosité de ce
eux sur les industries d’art. M. Lumet aime la Terre et cet amour lui
vaut
des émotions droites qu’il traduit ingénument : «
ant. Il écrivit une noble et courageuse défense d’Oscar Wilde qui lui
valut
la sympathie des sincères et la réprobation de Ta
il témoignera de sa bonne foi En somme cela revient à dire que : tant
vaut
le producteur, tant vaut sa critique. Cet aphoris
foi En somme cela revient à dire que : tant vaut le producteur, tant
vaut
sa critique. Cet aphorisme n’est pas nouveau, mai
défense de ses idées. Son indépendance, son goût d’un art propre lui
valurent
d’être traité de grotesque par les gens de « la s
e conformer aux usages de l’une ou de l’autre caste. Sa franchise lui
valut
des injures, de mauvais procédés, la déformation
émotions que la vie nous fournit par fragments. Tout procédé qui nous
vaudra
cette restitution de la façon la plus frappante e
sique est dans son rôle en ne précisant pas les émotions qu’elle nous
vaut
, si une symphonie, par exemple, évoque à l’un une
rplus, Invectives et la polémique entamée autour de ce livre nous ont
valu
le plaisir de vérifier une fois de plus la façon
t aime-t-il si fort son ennui ? Il faut accepter l’existence qui nous
vaut
toutes douleurs et aussi toutes joies. S’ennuyer,
’exposer des idées momentanément communes n’aboutit jamais à rien qui
vaille
. Chacun fait d’abord des concessions aux préféren
choses, qu’il ne se confine pas dans l’exception car tout est beau et
vaut
d’être célébré. Ainsi le poète ne sera plus l’égo
ut être senti ; ce ne sont point des analyses qui pourraient le faire
valoir
. Inquiétudes, joies, larmes, rires y éclatent com
e cite encore cette boutade : « Rien de ce que Shakespeare déclame ne
vaut
l’odeur du pain cuit » parce que je suis sûr que
er de cent façons des contes trop rebattus et dont le plus piquant ne
vaut
pas la moindre des aventures du glorieux Don Quic
es inégales de la vie et du rêve. GRYMALKIN Par ainsi : un tant mieux
vaut
deux tant pis — ou au moins un tant pis et demi.
uge des absolus d’Art. Et puis les gloses à la manière polonaise nous
vaudraient
de la joie. 10. Mercure de France, Nº d’octobre
e autant que des bras, c’est son affaire. Avisé, bien « emparlé », il
vaut
dans le conseil plus encore que pour l’action : a
ace essaye de le ramener. Il ne faut pas qu’on sache que cet abbé des
Vaux
de Cernay qui ne veut pas aller ailleurs qu’en Te
ses enfants qui lui ont rendu l’empire grec. Après tout, cet abbé des
Vaux
de Cernay et tous ceux qui pensaient comme lui, n
e aura rejoint l’armée. Il nous donne des Miracles de Notre Dame, qui
valent
les meilleurs de Gautier de Coinci : comment Notr
grâce inoubliable. J’ai déjà parlé de ses dialogues : ses tableaux ne
valent
pas moins. Le départ de la flotte chrétienne, aux
de chanter l’office du jour, et « onques puis ne chanta ». Nul art ne
vaut
mieux que ce naturel, et c’est de pareilles sensa
rt quelques raffinements d’énervé dont il n’eut jamais besoin, Attila
vaut
les Césars, comme il vaut les conquérants tartare
’énervé dont il n’eut jamais besoin, Attila vaut les Césars, comme il
vaut
les conquérants tartares, comme il vaut les sulta
ila vaut les Césars, comme il vaut les conquérants tartares, comme il
vaut
les sultans, en libertinage à outrance, en despot
plus, prend dans sa tête les couleurs furieuses de l’impossible, qui
valent
mieux que tous les outre-mers et tous les vermill
l’histoire, qui serait le dernier acte de la sagacité historique, ne
vaudra
pas aux yeux des hommes le talent de les raconter
mais cela ne prouvait pas qu’il y eût en ces Romains dégradés, qui ne
valaient
même pas le respect bête d’un Barbare, la virtual
pouvoir d’aucun événement de rien retrancher aux plaisirs que nous a
valu
la bonté. L’amour pleure souvent ses propres sacr
vous apprennent à considérer votre vie sous le rapport de ce qu’elle
vaut
aux autres et non à soi ; c’est la ressource, la
c’est d’un autre que vient l’espérance. Almont ne pense point à faire
valoir
sa prudence en vous conseillant ; sans vous égare
tre hors d’état d’exprimer exactement ce qu’ils voudraient dire ». Ne
vaut
-il pas mieux s’en tenir à la prose ? « La prose d
tances où il écrit. Il n’y avait plus de poètes, plus d’artistes : ne
valait
-il pas mieux laisser le vers et les formes d’art,
eux Trublet et Terrasson ; c’est peu ; mais ils eurent Duclos, ce qui
vaut
mieux, et ils eurent Montesquieu ou Buffon, ce qu
toutes les intentions que nous avons vu que l’auteur devait avoir, ne
valent
qu’effectivement réalisées, et la conception ne s
e leur base constante et leur élément essentiel, c’est le vers. Il ne
vaudrait
pas la peine de le remarquer, si cette observatio
loin l’enthousiasme, quand il écrit ce vers : Un sonnet sans défauts
vaut
seul un long poème. Il n’a pas la simplicité de
mner Scapin, c’était le cas de se rappeler Qu’un sonnet sans défauts
vaut
seul un long poème. La comédie de caractère est
ie de caractère est supérieure à la farce, mais, en son genre, Scapin
vaut
Alceste, et comme disait Diderot, il ne faut pas
t que la comédie « badine noblement » et que Molière trop grossier ne
vaut
pas l’exquis et fin Térence. On se rappelle que p
s anciens, les mots qui en inspirent le dégoût et la dérision : mieux
vaut
ne pas donner tout Homère, que de rendre tout Hom
son effort pour composer une bonne fiction mythologique à l’éloge de
Vaux
; il expliquait sa fiction dans une préface, tout
toute panse lui paraît une à cet égard. » Il est résigné, sait ce que
vaut
le roi lion, quelles sont les vertus des courtisa
t s’y accommoder. Telle qu’elle est, la vie est « passable ». « Mieux
vaut
souffrir que mourir, c’est la devise des hommes.
t exacts ; « mais, n’étant qu’un simple chien », on trouve, qu’ils ne
valent
rien, « et l’on sangle le pauvre drille. » Notre
n silence. — Mais on a cru… parce qu’on espérait. — La politique nous
valut
une trêve qu’on rêva bienfaisante et qui ne fit e
ssi bien — et c’en est comme la réciproque fatale — aussi bien, il ne
vaudra
qu’autant qu’il aura créé — non pas indiqué, ébau
e cas du romancier, comme aussi le cas de l’homme de théâtre — car il
vaut
mieux pour l’instant les confondre, et les oppose
t, mais drame plaidoyer ; — et par là ils se sauveront, et par là ils
vaudront
encore — mais sans le moyen de l’art. Or, pour
deux raisons fondamentales des réussites qui doivent durer. Le livre
valait
mieux que les autres livres contemporains du même
fane l’amour ne l’éteint pas. Elle qui, toute misérable qu’elle soit,
vaut
mieux que les hommes qui l’ont salie, sait se rui
e, détaillée comme elle l’est, est une création supérieure, qui seule
vaut
à son auteur le titre conquis de romancier. Nous
our peindre ainsi, il faut une main dont on soit sûr, mais la largeur
vaut
mieux que la finesse. Tant de subtiles observatio
les qualités de force, de couleur et de pensée de M. Haraucourt, lui
valut
une place de choix parmi les nouveaux poètes. [La
n. Le drame, pour donner d’abord mon impression d’ensemble, me paraît
valoir
, surtout par la facture des vers, qui sont souven
mps. [Les Hommes d’aujourd’hui.] Charles Morice J’ai dit ce que
valent
les vers de M. Jules Lemaître, j’ajoute qu’ils va
J’ai dit ce que valent les vers de M. Jules Lemaître, j’ajoute qu’ils
valent
un peu plus que le Sully Prudhomme tendre qu’il i
i 1 ont ouverte ou qui l’ont retrouvée après un long oubli. Tout coup
vaille
; et la beauté de la forme vaut par elle-même. Il
uvée après un long oubli. Tout coup vaille ; et la beauté de la forme
vaut
par elle-même. Il est donné à peu près à tout le
ès et dans l’intérieur sont souvent pires, mais quelquefois aussi ils
valent
mieux que quand on ne les voit et qu’on ne les ju
de ma douleur. » Tout cela est très vrai, d’un accent très senti, et
vaut
mieux que toutes les railleries du monde qui a co
a passion vraie : il a beau dire en dénouant et en s’éloignant : « Il
vaut
mieux que je meure et que vous viviez moins malhe
ui la chanson ; on l’appelait le Don Quichotte moderne ; des gens qui
valaient
moins que lui par l’esprit et par le cœur le rail
e illusion touchante et qui honore sa sensibilité. Allons ! cet homme
valait
un peu mieux que Saint-Simon ne nous l’a dit. Il
la personne de l’esclave. La personne de Panurgus, ajoute Ciceron, ne
vaut
pas trente pistolles, mais l’éleve de Roscius vau
ajoute Ciceron, ne vaut pas trente pistolles, mais l’éleve de Roscius
vaut
vingt mille écus. Quand l’esclave de Fannius n’au
qui ne valoit pas douze francs monnoïe de compte quand Budé écrivoit,
vaut
soixante francs marqué au coin qui avoit cours. C
avail jeté à la hâte sur le papier et qui n’a pas été toujours relu —
vaillent
que vaillent la syntaxe au petit bonheur, et le m
la hâte sur le papier et qui n’a pas été toujours relu — vaillent que
vaillent
la syntaxe au petit bonheur, et le mot qui n’a pa
avail jeté à la hâte sur le papier et qui n’a pas été toujours relu —
vaillent
que vaillent la syntaxe au petit bonheur, et le m
la hâte sur le papier et qui n’a pas été toujours relu — vaillent que
vaillent
la syntaxe au petit bonheur, et le mot qui n’a pa
récemment encore, une coupe de bois dans une de ses abbayes lui avait
valu
un million ». Passons au budget laïque ; là aussi
nt ». Mais la place est fructueuse : le gouvernement général du Berry
vaut
35 000 livres de rente, celui de la Guyenne 120 0
et dont la place est marquée 900 livres par an, avoue qu’elle lui en
vaut
200 000. Le capitaine des chasses, à Fontaineblea
é intendant des classes. C’est un de ces emplois dits gracieux : cela
vaut
« 18 000 livres de rente pour signer son nom deux
oublions pas qu’au taux actuel tous ces dons, pensions, appointements
valent
le double. — Tel est l’emploi des grands auprès d
e donne rien aux pauvres. « À Saint-Laurent, en Normandie, la cure ne
vaut
pas plus de 400 livres que le curé partage avec u
58, 162, 218, 233, 237 ; XV, 268 ; XVI, 304. — Le gouvernement de Ham
vaut
11 250 livres, celui d’Auxerre 12 000, celui de B
e livres ; il faut, une dose monstrueuse d’éloges ou de critique pour
valoir
un mot d’autrefois, et bientôt les Fiévée paraîtr
tion, sur l’ennui, sur le bonheur…, et ils tendent en général à faire
valoir
le sentiment, trop sacrifié par les idéologues. P
cette jeune amie : Ne faites pas comme à Genève, ne vous faites pas
valoir
par la douleur, mais rappelez-vous que la vie est
népuisable en jolis récits. Rien de joli comme un peu d’amitié ; cela
vaut
les caisses de toilette de Paris. Il nous manque
e chaque jour ou chaque semaine ce qui vous a frappée. Les pensées ne
valent
que lorsqu’elles sont reprises par la réflexion ;
ace européenne, sont de toutes les femmes les plus habiles à se faire
valoir
par les grâces, l’esprit et le tact si rare de to
t à un ouvrage mieux composé : comme rien ne se tient, chaque morceau
vaut
en soi, et ne saurait être affecté de son entoura
a vie était meilleure, et qu’au lieu de regarder toujours la mort, il
valait
mieux regarder la vie, comme incertaine en généra
ur physique le détachement ne sert à rien : il n’y a que la fuite qui
vaille
. Mais enfin, elle vient parfois : la gravelle tie
mais il n’excuse pas les catholiques de les égorger. Il aurait mieux
valu
ne pas faire la Réforme : puisqu’elle s’est faite
: puisqu’elle s’est faite, qu’on lui laisse sa place au soleil. Et ne
vaudrait
-il pas mieux laisser les sauvages à leur idolâtri
aie foi ? Conclusion : tolérance universelle. Il n’y a pas d’idée qui
vaille
qu’on tue un homme, ni qu’on se fasse tuer. Je ne
de mes souvenirs. Ce n’est plus cela du tout, car cette verve robuste
vaut
surtout par l’insistance, par le copieux, par l’a
blement écrite au courant de la plume. Et peut-être, plus travaillée,
vaudrait
-elle moins. Il pourrait dire de sa prose ce que C
eul qu’il les a admis, fût-ce sans y prendre garde. Cette convention
vaut
, non seulement pour les faits antérieurs au drame
e, neuf fois sur dix, les acteurs gâtent le drame. Conclusion : mieux
vaut
lire une pièce que de la voir jouer, et mieux vau
Conclusion : mieux vaut lire une pièce que de la voir jouer, et mieux
vaut
lire des vers, un roman, un livre d’histoire, qu’
œuvres dramatiques, sur tout ce qui a été écrit pour le théâtre. Cela
vaudrait
certes la peine d’être réuni en un corps, condens
ovateurs qu’avec leur système il n’y aurait plus de société. Or mieux
vaut
une société défectueuse qu’une société nulle. J’a
souvent fait réflexion qu’un païen du temps d’Auguste aurait pu faire
valoir
pour la conservation de l’ancienne société tout c
t de vue de la société morale. S’il ne s’agissait que de jouir, mieux
vaudrait
pour tous le brouet noir que pour les uns les dél
ation, la concurrence étant la condition de toute civilisation, mieux
vaut
l’iniquité actuelle que les travaux forcés du soc
vue de l’espèce, le gouvernement et l’inégalité se comprennent. Mieux
vaut
quelque brillante personnification de l’humanité,
aire revivre ces hautes aspirations du vieux monde aristocratique. Il
vaudrait
mieux sans doute que tous fussent grands et noble
our les choses du théâtre, j’apprendrai cependant aux lecteurs ce que
vaut
le livre d’Édelestand du Méril, et, plus et mieux
vaut le livre d’Édelestand du Méril, et, plus et mieux encore, ce que
vaut
l’auteur de ce livre ! J’ai souvent pensé que la
conversion possible ! — qui tenons que tout un siècle d’érudition ne
vaut
pas une bonne heure de littérature. Organisé pour
ibles notes montantes, il était évident qu’il y avait un homme qui en
valait
plusieurs, — qu’il y avait un philosophe, un écri
tre sur la Comédie italique, le plus intéressant de second volume, il
vaut
encore le critique anglais qu’il rappelle. Les pa
il écrivit si tard, à trente-huit ans. On voit bien par son poëme sur
Vaux
qu’en poésie comme ailleurs il prenait ses aises.
ont à peu près cinquante pages. Je suppose qu’il allait se promener à
Vaux
, regardait les cygnes et les beaux parterres, et
er ; ayant dit du roi que « sa bonne mine ravit toutes les nymphes de
Vaux
», il se reprend comme un poëte craintif du Bas-E
e qu’il faut regarder La Fontaine, C’est par là que la vie d’un poëte
vaut
quelque chose. Celui-ci s’est donné sans cesse le
e exprès pour expliquer le mot de Voltaire : La grâce en s’exprimant
vaut
mieux que ce qu’on dit. Le fond en est mince, no
icat, ajoutaient que « ses mines et son accent faisaient bien souvent
valoir
ce qu’il disait, qui devenait rien dans la bouche
’il faut régulièrement relire tous les ans. » C’est là un conseil qui
vaut
mieux qu’on ne l’attendrait de Voisenon. La grâce
peccadilles. Concluons donc hardiment que sur ce point de morale nous
valons
mieux. Les personnages qu’Hamilton rencontre sur
, et ce n’est pas son fantôme. Écoutez encore : Les fruits de France
valent
bien Les plus beaux fruits d’Andalousie ; Mais, t
’est pas Scarron parce qu’on a tué quatorze médecins sous soi, ce qui
vaut
presque les cinq chevaux tués sous Ney à Waterloo
lys éternel, fleurit dans tous les temps ; Le bonheur est un dieu qui
vaut
bien le printemps !… Et la rose du soir sur tan
e toutes les influences de race, de moment et de milieu. Si Zaïre eût
valu
Bajazet, et si le Tippoo-Saïb de M. de Jouy lui-m
ïre eût valu Bajazet, et si le Tippoo-Saïb de M. de Jouy lui-même eût
valu
seulement Zaïre, il y a tout lieu de croire que n
, possédé cette expérience, il ne serait pas Racine, et ses tragédies
vaudraient
celles de Voltaire. Car Voltaire, en vérité, comm
us avait démontré que, homme pour homme et poète pour poète, Voltaire
valait
Racine. Mais l’a-t-il démontré, par hasard ? ou p
oral dans l’art du xviie siècle, c’est trop peu de chose pour qu’il
vaille
la peine d’y insister. Seulement il n’eût peut-êt
ant appuyer ? Je le ferais, si je ne l’avais fait. Mais sans doute il
vaut
mieux indiquer deux ou trois points encore obscur
lleurs, et enfin les solutions des théologiens si bizarres, qu’autant
vaut
la laisser dormir ou s’agiter confusément dans le
essimisme de Pascal. Elle n’est pas faite, elle est à faire ; et cela
vaudra
toujours mieux que de s’obstiner, comme nous fais
-même revécues avec Pascal, et de le dire comme on l’aura senti. Cela
vaudra
ce que cela vaudra, selon l’homme et la manière d
Pascal, et de le dire comme on l’aura senti. Cela vaudra ce que cela
vaudra
, selon l’homme et la manière dont il le dira ; ce
ujours un droit que l’on aura ; et il sera bien difficile que cela ne
vaille
pas quelque chose, aussi souvent qu’on y mettra p
rvantès, et Gil Blas, quelque cas qu’on en fasse, est fort éloigné de
valoir
Don Quichotte. Il n’en est que plus curieux que l
de et Manlius Capitolinus : cependant, d’une manière générale, ce que
valent
ces hommes et ces œuvres, on y croit, comme on di
deron et Rojas eux-mêmes ont tiré leur drame ou leur comédie. Mais il
vaut
mieux indiquer, et sans sortir d’Espagne, les moy
omme si ce n’était pas une manière de la prendre, et qui peut-être en
vaut
bien une autre. Car enfin, ouvrir sa bourse et n’
produit de plus rares chefs-d’œuvre. Si c’en était le lieu, peut-être
vaudrait
-il bien la peine d’appuyer sur cette distinction
, c’est la société précieuse du commencement du xviiie siècle : elle
vaut
la peine d’être connue. Le dernier biographe de M
e diminuer ses charmes en lui disant que bien des personnes qui ne la
valaient
pas avaient été reçues par des tritons et des naï
temps, devint plus tard chez lui, comme chez tous les parodistes qui
valent
mieux que leurs parodies, un goût très vif de la
e libertinage ou de volupté, mais apprendre à s’en servir et le faire
valoir
selon la formule et selon les règles de l’art. No
, il y en a d’autres à donner, et que peut-être on n’a pas assez fait
valoir
, sans doute parce qu’elles sont trop simples. Pou
. Les efforts sont diversement heureux, et il arrive aux écrivains de
valoir
mieux que leur œuvre. Tel fut un peu le cas de Ma
ours, du bon usage de la langue, et de la manière générale de parler,
vaut
-il vraiment la peine d’être exprime ? Certaines n
aines nuances du sentiment, tantôt morbides, et tantôt artificielles,
valent
-elles la peine d’être étudiées ? Mais surtout, si
trois principes : le premier, que tout ce qui nous passe par l’esprit
vaut
la peine d’être noté ; le second, que notre maniè
la première esquisse de Robinson Crusoé, lequel est de 1719. Mais il
vaut
mieux appuyer sur ce que Diderot et Rousseau doiv
née, et j’espère qu’elle n’en manquera jamais : savez-vous qu’elle me
vaut
une pièce de crédit au cabaret ? Tous les jours o
Où est-ce que j’ai laissé mon histoire ? N’est-ce pas à Jupiter ? Il
valait
bien une parenthèse ! C’était un gaillard aussi,
sissait qu’à moitié ; de Le Sage, qui n’était pas mort, mais qui n’en
valait
guère mieux. On le recherchait. Logé chez le prin
tulé les Mémoires d’un homme de qualité qui se retire du monde. Il ne
vaut
pas grand’chose, et cependant on en lit cent quat
bé Prévost, on doit le dire à sa gloire, qui le premier de tous les a
valus
au roman moderne. En effet, il est tout ce que l’
echerche du style ; et, en effet, elles contiennent quelque chose qui
vaut
mieux que tout cela, puisque la passion y fait, y
en usait la meilleure noblesse. Et ils ne voient pas que si l’excuse
valait
seulement la peine d’être discutée, c’en serait f
is l’excuse de des Grieux, ce n’est pas la morale de son temps, — qui
valait
bien celle du nôtre, ne nous faisons pas d’illusi
érature française. IV Les autres romans de Prévost, peu connus,
valent
-ils la peine de l’être davantage ? Cléveland a eu
ur encore, à constater qu’en son genre, peu de romans par lettres ont
valu
les Liaisons dangereuses. Quelle que soit, dans l
, pour ses propres compatriotes, était encore presque un inconnu, fit
valoir
les romans de Richardson, l’œuvre de Richardson,
Mentor à un jeune seigneur, mais après tout moins humiliante, et qui
vaut
mieux à mon gré que de devoir le vivre à la génér
ns bizarres, ― comme la croyance à l’efficacité d’un baume qui devait
valoir
celui de Fier-à-bras, — Prévost, sans faire parti
oltaire : on n’en a pas encore de Rousseau. La meilleure édition n’en
vaut
rien : c’est celle de Musset-Pathay ; et, quant a
haine ; et on n’était pas impunément l’ennemi de Voltaire, mais cela
valait
presque mieux que d’être l’ami de Rousseau. C’est
cherché un peu partout les causes de ce succès, et on a surtout fait
valoir
les littéraires : la nouveauté de la langue de Ro
t cela ne nous importe ici, où la question n’est pas de savoir ce que
vaut
, mais seulement quel fut l’idéal de Rousseau. Je
e plaisir qu’il aura de les aller chercher dans le livre lui-même. Il
vaut
mieux, il est plus utile, il sera plus intéressan
cents ans, s’est accru, dans notre temps, de tout ce que l’on a fait
valoir
d’excellentes raisons pour assimiler les langues
La moindre femmelette de ce temps-là (qui est le siècle de Louis XIV)
vaut
mieux pour le langage que les Jean-Jacques et les
tisme, révolution littéraire, classicisme, une relation nouvelle. Que
vaut
la tentative, et dans quelle mesure a-t-elle réus
r du livre de M. Deschanel. Une idée y domine le sujet. Les faits n’y
valent
point par eux-mêmes, mais pour autant qu’ils conc
y ajoutant des traits de lumiere qui n’ont pas peu servi à les faire
valoir
. Le Livre de Vandale sur les Oracles fût tombé da
ousiaste se fait sentir à chaque ligne. Ce n’est pas ainsi qu’on fait
valoir
les Grands Hommes ; ce n’est pas non plus d’après
Hallé Il n’y a pas un morceau de Mr le professeur Halle qui
vaille
. De Halle. Dix pieds en carré. Les Génies de la p
bandonnons ce pauvre Mr Halle à son sort et passons à un homme qui en
vaut
bien un autre. C’est Vien. Mais auparavant j’obse
is il est outré de dépit lorsqu’il voit couronner des ouvrages qui ne
valent
pas les siens. Il est désesperé d’une injustice q
roit communément. Ils ont du moins quelque lueur de ce qu’ils peuvent
valoir
au juste, et ils s’apprétient eux-mêmes dans le f
et des autres, ont des occasions si fréquentes de connoître ce qu’ils
valent
véritablement, qu’il faut bien qu’ils s’en douten
sode de sa vie pût être tourné en exemple et en leçon. Son succès lui
valut
, après un trimestre passé au collège de Reims, d’
e sa grande Histoire des Romains paraissaient en 1843 et 1844, et lui
valaient
d’être décoré par M. de Salvandy. En 1845, il éta
est pourquoi, en même temps que l’évidente solidité de son mérite lui
valait
, même avant qu’une volonté toute-puissante ne s’e
ité. « On fait quelquefois ces choses-là, avait dit M. Duruy, mais il
vaut
mieux ne pas les rappeler. » L’empereur souffrait
ire, ne le désavouait pas, mais ne l’aidait point ; et peut-être cela
valait
-il mieux. Les réformes du ministère Duruy furent
on (et des traités couronnés par l’Académie), et qui a eu des amants,
valait
mieux que ces femmes dont je parle. Mais, n’étant
ritique. Je lui réponds que j’écris tout ce qu’il dit, parce que cela
vaut
bien tout ce que je pense. Voltaire disait d’ell
onna le premier la confiance en elle-même, le sentiment de ce qu’elle
valait
, il l’émancipa : Oh ! que vous êtes heureusement
e l’idée qu’on lui en avait voulu donner : « Sachez, monsieur, que je
vaux
moins que ma réputation de Genève, mais mieux que
t toute sa société, dans sa correspondance avec l’abbé Galiani ; cela
vaudrait
la peine d’un examen à part. Aujourd’hui je n’ai
et du Dieu brut et amorphe de l’humanité primitive, ce tas de pierres
valait
un temple de la Grèce anthropomorphique, et était
sait plus de choses que de belles statues allégoriques. Les choses ne
valent
que par ce qu’y voit l’humanité, par les sentimen
me est en effet supérieur à l’Iliade, ou pour mieux dire que l’Iliade
vaut
un monde, tandis que l’œuvre du moderne est desti
s analogue à la tombe. Les quelques pages de M. Cousin sur Santa-Rosa
valent
mieux pour notre manière de sentir qu’une oraison
ment de toute œuvre, c’est son époque. Les sculptures du Parthénon ne
valaient
-elles pas mieux à leur place que plaquées par pet
el, sans antécédent traditionnel, eût été fade et impossible ; autant
vaudrait
supposer que c’est Matthieu, Marc, Luc et Jean qu
s, la bonne critique doit faire aux grands hommes une large part. Ils
valent
dans l’humanité et par l’humanité. Ils sentent cl
ssants leviers de l’analyse et de l’observation 106. » L’érudition ne
vaut
que par là. Personne n’est tenté de lui attribuer
ué par ses productions, un écrivain, dont on a lu les ouvrages et qui
vaille
la peine d’un examen approfondi ? comment s’y pre
ême très-utile que ceux qui ont pour fonction de déployer et de faire
valoir
éloquemment les belles tentures et les tapisserie
ion des esprits, des talents, longtemps incomplets ou épars, paraître
valoir
mieux dans leur vieillesse et n’avoir jamais été
eux carrières. Jeune ou vieux, il n’a cessé de se peindre, et, ce qui
vaut
mieux, de se montrer, de se laisser voir, et, en
econde demoiselle, lui font écho et lui répètent à l’envi ; « Cœur ne
vaut
rien, s’il n’est joyeux. » Tout cela se dit en ba
cette date, Rodigon, comte de Hèrode, un homme de cour, un comte qui
vaut
un marquis pour le sémillant. Il se chante en rim
ient toujours. C’est déjà le vers connu : Tous les autres plaisirs ne
valent
pas ses peines. Après avoir ainsi roucoulé quelq
ne songeait nullement alors à disposer les faits de façon à les faire
valoir
par le contraste, à concentrer l’intérêt sur cert
e dessert, c’est quasi autant dire que moutarde après le dîner. Mieux
vaut
un bon tiens que deux tu l’auras ; mieux vaut un
e après le dîner. Mieux vaut un bon tiens que deux tu l’auras ; mieux
vaut
un moineau dans la main que la grue qui vole en l
ussi le même Sancho (car il a deux bâts à son âne) dirait « que mieux
vaut
tard que jamais ; qu’il n’y avait nul péril en la
n’y avait nul péril en la demeure ; que bonne espérance, après tout,
vaut
mieux que chétive possession, et qu’on peut atten
ettes ce fermage. Alors, il n’y aura plus de critique du tout, ce qui
vaudra
toujours mieux que la honteuse critique d’annonce
fit rien, sinon dire chaque lundi durant trente années que tel livre
valait
et que tel autre ne valait rien », il est certain
e lundi durant trente années que tel livre valait et que tel autre ne
valait
rien », il est certain que cet homme ne vaut même
it et que tel autre ne valait rien », il est certain que cet homme ne
vaut
même pas qu’on s’en irrite de son vivant. C’est u
Mais ce sont, dans les vers de Verlaine, aventures de Verlaine. Tant
vaut
l’homme, tant vaut la confession. Le charme est b
les vers de Verlaine, aventures de Verlaine. Tant vaut l’homme, tant
vaut
la confession. Le charme est bien secondaire que
endemain mais du matin ou de la veille, dont l’exactitude chaleureuse
vaut
d’abord en tant que d’intéressante information :
es en vain, car tu meurs. — Ô délice ! Non, l’originalité de Heredia
vaut
mieux que d’un spécialiste du pays chaud et du po
quer à faire ce qui me permettra de m’estimer le plus. Moins le monde
vaut
, plus je vaudrai. » Ainsi raisonnait-il. Cela, sa
e qui me permettra de m’estimer le plus. Moins le monde vaut, plus je
vaudrai
. » Ainsi raisonnait-il. Cela, sans l’ombre d’espé
ique encourageante. Il ne daigne ; il est désolé à fond. Mais il veut
valoir
, pour lui-même et pour jouir solitairement de son
il les traite l’un et l’autre sans dureté : le sentiment qu’il a de «
valoir
» plus qu’eux lui permet l’indulgence. — Il ne pa
sa curiosité de sentir. Ce point, Durtal pourra-t-il s’y fixer ? Que
vaut
sa conversion ? On a vu des prostituées prises to
se a un mouvement d’orgueil, vite réprimé et pleuré. Mais cela nous a
valu
des pages d’une couleur vibrante et d’une émotion
à de bonnes personnes des minutes ineffables, de ces minutes où l’on
vaut
davantage, où l’on vit hors de soi, où l’on commu
ue couronne le signe du Christ. Entrez, et dites-moi si aucune gloire
vaut
la gloire de celui qui siège là-bas. Napoléon, do
n en croyant qu’on peut bannir de l’humanité l’idée de majesté. Mieux
vaudrait
l’ancienne idolâtrie, entourant de splendeur quel
le vie où la majesté de l’humanité ne serait pas représentée. Mais il
vaut
mieux encore revenir à la vérité et ne reconnaîtr
igion, c’est savoir et aimer la vérité des choses. Une proposition ne
vaut
qu’en tant qu’elle est comprise et sentie. Que si
ans s’embarrasser de la comprendre ; on ne sent pas que ces choses ne
valent
que par le bien qu’elles font à l’âme, par leur a
ô disciples du Christ, faites-vous alliance avec ces hommes ? Oh ! ne
vaudrait
-il pas mieux nous asseoir les uns et les autres à
e croisés ; moi, je suis fils d’un soldat de la République. Nous nous
valons
. 202. J’imagine qu’un dialogue de Platon nous r
Marot, mais dans un autre esprit traduisit les Psaumes. Sa traduction
vaut
mieux que celle de Marot, et la langue en est moi
eau au nom de tout le xviie siècle. Pesons-en chaque expression cela
vaut
mieux que de revendiquer quelque vaine liberté do
du même : « Toute cette pièce est si niaise et si écolière qu’elle ne
vaut
pas la peine de la censure. » D’une phrase du mêm
» D’un tour prétentieux : « Ceci pipe le monde, et ce n’est rien qui
vaille
. » D’un pétrarchisme : « Ceci est sans jugement,
s. » D’un autre : « Bourre excellente, prise de l’italien, où elle ne
vaut
non plus qu’en françois. » D’une mauvaise rime :
esprit d’alors, par l’imitation de l’Italie et par le faux savoir, ne
valait
pas ce que leur bon sens, cultivé par les lettres
peut-être les moins pratiquées ? Et je ne prétends point qu’elles se
vaillent
toutes, mais pour en établir la valeur relative,
des actes et des sentiments humains. Ceux dont on est le plus fier ne
valent
que par leur ajustement à un côté et parfois à un
forte que les flammes et la mort. § 5 Naturellement l’ironie
vaut
ce que vaut l’esprit qui la pratique. Elle est un
s flammes et la mort. § 5 Naturellement l’ironie vaut ce que
vaut
l’esprit qui la pratique. Elle est un procédé gén
nnelles. Il sait que tous ces biens ne sont que des moyens, qu’ils ne
valent
que par des fins plus hautes, la vie sociale d’un
de s’en servir. L’âme sociale lui montrera que l’homme n’existe et ne
vaut
que par la société, qu’il en est un produit et un
ses Histoires, — il se plonge en des margouillis de paroles (cela ne
vaut
pas un nom plus noble) dans le genre de celui-ci,
savants, au contraire, — les Renan et les Berthelot de ce temps-là, —
vaudront
davantage. Le mandarinisme des Instituts gouverne
sme humilié, que de lui montrer et de lui opposer un prince païen qui
valait
bien, certes ! tous ses saints et tous ses martyr
. Ils ne connaissaient pas l’esprit scientifique ! Et, d’ailleurs, il
vaut
mieux qu’il en soit ainsi, pour le compte même de
ntechrist, l’auteur de la Vie de Jésus avait écrit l’Anterenan, cela,
vaudrait
mieux peut-être, cela serait peut-être au moins u
deur, et, après avoir réussi, de douter si la cause qu’ils ont servie
valait
tant de sacrifices… » — « Il n’y a guères — ajout
de gens qui aient le courage d’avouer que, bien comprises, ces règles
valent
encore aujourd’hui, et que les plus indépendants,
ment les trois unités, mais il avoue qu’après tout un sujet concentré
vaut
mieux qu’un sujet dispersé, sauvant ainsi ce qu’i
ntrer ce qu’il a bien vu d’un coup d’œil, à lui détailler ce qui n’en
vaut
pas la peine, à lui expliquer ce qu’il connaît. U
a vôtre même, on comprend alors que la vie, affreuse, inique, féroce,
vaut
encore mieux que le néant. » À la bonne heure !
ivre ? Non pas. Le mal défini par M. Rod n’en existe pas moins, et il
valait
la peine de le décrire, ne fût-ce que pour que no
édiger. Essayerons-nous ? En voici un que je vous donne pour ce qu’il
vaut
et qui, d’ailleurs, n’est pas original (mais un c
nc elle fabrique du bonheur. Et puis les comptes rendus contemporains
valent
au moins comme répertoires futurs plus commodes à
finesse de M. Alexandre, la verve littéraire de M. Geffroy, nous ont
valu
, cette année encore, d’excellents articles, excel
ils disent le sentiment qui devant tel tableau les retint ; leur dire
vaut
par la délicatesse de leur tact, et la grâce de l
t une occasion de péché, coupe-les, et jette-les loin de toi ; car il
vaut
mieux que tu entres boiteux ou manchot dans la vi
st une occasion de péché, arrache-le et jette-le loin de toi ; car il
vaut
mieux entrer borgne dans la vie éternelle que d’a
Père. Les cheveux de votre tête sont comptés. Ne craignez rien ; vous
valez
beaucoup de passereaux 882. » — « Quiconque, disa
plus grande louange qu’on pût donner à des vers, étoit de dire qu’ils
valent
de la prose. On s’appuya de l’exemple de ce beau
réclamer toutes les beautés poëtiques qu’ils renferment, & faire
valoir
contr’eux le systême de La Mothe. Des syllabes un
des vers blancs ou non rimés, étoit l’argument qu’on faisoit le plus
valoir
contre le retour des mêmes sons dans les vers. Un
▲