/ 1742
1 (1868) Les philosophes classiques du XIXe siècle en France « Chapitre VII : Théorie de la raison par M. Cousin »
que de ce jugement particulier je ne pourrai jamais tirer le jugement universel ou axiome : toute qualité suppose une substance. 
s notions que vous acquérez par les sens. En résumé, on ne tire pas l’ universel du particulier, l’infini du fini, le nécessaire d
e toutes les preuves et toute la théorie en une page45. « Les vérités universelles et nécessaires ne sont pas des lois générales que
articulières sont relatives et contingentes et ne peuvent renfermer l’ universel et le nécessaire. D’un autre côté, ces vérités ne
itionnant un nombre limité d’expériences, on ne forme pas un jugement universel . Rien de plus vrai. Mais vous prenez pour accordé
par lequel on puisse tirer d’une expérience particulière un jugement universel . Ce qui n’est pas. Car on peut faire deux opérati
sse engendre des absurdités. Si « le sujet de la vérité est la raison universelle et absolue », si les vérités nécessaires ne sont
et ces constructions générales, j’en ai extrait une vérité ou rapport universel et nécessaire. J’ai retiré le triangle général co
ngle particulier ; ce qui est une abstraction. J’ai retiré un rapport universel et nécessaire contenu dans les propriétés général
e ; ce qui est encore une abstraction. Pour découvrir une proposition universelle et nécessaire, il suffît donc d’employer l’abstra
le contient :   Cette équation finale est une solution nécessaire et universelle , qui s’applique à tous les problèmes du même genr
un instant auparavant n’existait pas : une proposition nécessaire et universelle . C’est donc l’abstraction ou analyse seule qui a
ous d’aller réfléchir à ceci là-bas dans un coin. Voilà des jugements universels et nécessaires, formés par l’abstraction seule. P
n voit maintenant comment on peut tirer une proposition nécessaire et universelle de la notion d’un objet limité et contingent. De
les substances. Dans ce mot toutes vous voyez naître les propositions universelles . — De ce même objet, substance contingente, on ti
es propositions nécessaires. Réduisez les mots à leur valeur. Rapport universel signifie rapport entre deux abstraits ; mais il y
mitées ; on peut donc découvrir dans les choses limitées des rapports universels . Rapport nécessaire signifie rapport d’identité ;
saires. Faute d’analyser les idées, il ne voit pas qu’une proposition universelle est un rapport entre deux abstraits, qu’il y a de
qu’ainsi, de toute chose particulière, on peut tirer des propositions universelles . Faute d’analyser les idées, il ne voit pas que l
Du Vrai, du Beau, etc., p. 101. « Le sujet de la vérité est la raison universelle et absolue. » 47. Du vrai, etc., p. 68.
2 (1842) Discours sur l’esprit positif
n sommaire de l’extrême importance sociale que présente aujourd’hui l’ universelle propagation des Principales études positives : ap
éritable esprit fondamental de cette philosophie, dont l’installation universelle doit, au fond, devenir le but essentiel d’un tel
re de l’imagination en laissant graduellement développer le sentiment universel , jusqu’alors presque insignifiant, de l’assujetti
ée à déterminer le faible équivalent métaphysique de la vague liaison universelle résultée du monothéisme. Pour mieux comprendre, s
e point de vue purement théologique n’a jamais pu être rigoureusement universel . Mais cette conviction partielle et précaire se b
ns événements, surtout quand l’homme y intervient. Mais lorsque cette universelle extension est enfin suffisamment ébauchée, condit
up moins complète et moins stable que ne le permettra prochainement l’ universelle prépondérance de l’esprit positif, quand il sera
omplis pendant les deux derniers siècles pour obtenir une explication universelle de la nature n’ont abouti qu’à discréditer radica
turels ne sauraient certainement être toutes ramenées à une seule loi universelle  ; mais il y a tout lieu d’assurer maintenant que
itive peut seule réaliser graduellement ce noble projet d’association universelle que le catholicisme avait, au Moyen Âge, prématur
une telle activité est de nature à susciter finalement une opposition universelle , aussi radicale que spontanée, à toute philosophi
ectacle journalier de l’ordre réel aurait déjà déterminé une adhésion universelle au principe fondamental de la philosophie positiv
hysique, la Nature étant ainsi régulièrement associée au gouvernement universel , à titre de ministre obligé et responsable, auque
courte dénomination spéciale, j’ai dû préférer celle à laquelle cette universelle préparation a procuré de plus en plus, pendant le
ication, moins usitée que les autres, quoique d’ailleurs pareillement universelle , quand on emploie le mot positif comme le contrai
s attributs principaux, sont, au fond, les mêmes que ceux du bon sens universel . Malgré l’ascendant mental de la plus grossière t
proprement dite comme un simple prolongement méthodique de la sagesse universelle . Aussi, bien loin de jamais remettre en question
’un simple exercice spontané. Quant à la manière d’adapter ces règles universelles aux divers ordres de nos spéculations positives,
ossible, au fond, de donner à la logique qu’à la science un caractère universel par des conceptions purement abstraites, indépend
e entre le génie propre de la vraie philosophie et le simple bon sens universel , montre l’origine spontanée de l’esprit positif,
autre unité mentale que celle qui résulterait de son propre ascendant universel , chaque nouveau domaine successivement acquis par
re, de manière à établir, entre le génie philosophique et le bon sens universel , une harmonie qui jusqu’ici n’avait jamais pu exi
sprit métaphysique, qui, après avoir abouti, en philosophie, au doute universel , n’a pu tendre, en politique, qu’à constituer le
étrogrades, soit critiques, graduellement remplacées par un sentiment universel , réel quoique confus, de la nécessité, et même de
f, déjà efficace sous sa forme spontanée, consistant dans le bon sens universel , dont les sages inspirations ont secondé l’impuls
ile affranchissement est déjà devenue très commune, ou plutôt presque universelle , du moins en France. Ainsi, l’empirique expédient
il faut désormais travailler ardemment à constituer enfin l’ascendant universel de l’esprit positif, pour remplacer un système dé
onduite, soit générales, soit spéciales, les plus conformes à l’ordre universel , et qui, par suite, devront se trouver ordinairem
matisées, concourront sans cesse à constituer, autant que possible, l’ universelle prépondérance de la morale, puisque le point de v
à cette grande initiation, d’après un système convenable d’éducation universelle . Une appréciation plus intime et plus étendue, à
ource générale que d’organiser un appel direct et soutenu au bon sens universel , en s’efforçant désormais de propager systématiqu
si quand une telle instruction est directement destinée à l’éducation universelle , qui en change nécessairement le caractère et la
naturelle, dépend aussi plus ou moins de toutes les autres.. Ainsi, l’ universelle propagation des principales études positives n’es
ces discussions ne seront pas enfin directement soumises au bon sens universel . En un temps où il ne faut attendre d’efficacité
venablement l’indispensable office social qui se rattachait jadis à l’ universelle instruction chrétienne. Il importe donc beaucoup
s, rattache directement le véritable esprit philosophique au bon sens universel , sa première source nécessaire. Non seulement, en
donc trouver naturellement un accès plus facile pour son enseignement universel , et une plus vive sympathie pour sa rénovation ph
nation sociale. Cette heureuse disposition, aussi favorable à l’ordre universel qu’à la vraie félicité personnelle, acquerra un j
c’est donc parmi les prolétaires que devra le mieux se réaliser cette universelle propagation de l’instruction positive, condition
lculs avides ou ambitieux. Après y avoir d’abord cherché le fondement universel de toute sagesse humaine, ils y viendront puiser
eloppant la funeste disposition, déjà trop prononcée, au déclassement universel . Mais cette crainte naturelle, unique objection s
ude chimérique ; ce qui tend à relever profondément l’actif sentiment universel de la dignité humaine. En même temps, elle tempèr
ion philosophique de l’école positive par leur ardeur continue pour l’ universelle propagation des études réelles elles se rapporten
ocial consistera, en effet, à constituer solidement une active morale universelle , prescrivant à chaque agent, individuel ou collec
qui, seul vraiment accessible à tous, sans aucun danger pour l’ordre universel , et, au contraire, à son grand avantage journalie
à ce titre, que les gouvernements actuels sentiront bientôt combien l’ universelle propagation des connaissances réelles peut second
onale, peut journellement développer, devant d’immenses auditoires, l’ universelle efficacité de ses conceptions ontologiques et la
olontaire et gratuit de ses rares promoteurs, secondé par le bon sens universel , et sous l’impulsion croissante de la situation f
risé, à tous égards, l’importance capitale que présente aujourd’hui l’ universelle propagation des études positives, surtout parmi l
positive, tandis que leurs lois, directement relatives à l’existence universelle , exercent ensuite une influence nécessaire sur l’
de décomposition, les plus éminents de ceux que comporte l’existence universelle , et les plus rapprochés du mode vital proprement
s’y rapportant finalement à l’Humanité, unique conception pleinement universelle . L’ensemble de cette formule encyclopédique, exac
iale, que nous devons aujourd’hui chercher, dans une sage propagation universelle des études positives, dépend nécessairement d’une
e marche doit donc devenir encore plus indispensable dans l’éducation universelle , où les spécialités ont peu d’importance, et dont
cée par Copernic, Kepler et Galilée. Il faut donc peu s’étonner que l’ universelle initiation positive, sur laquelle doit s’appuyer
3 (1893) La psychologie des idées-forces « Tome second — Livre cinquième. Principales idées-forces, leur genèse et leur influence — Chapitre cinquième. Genèse et action des principes d’identité et de raison suffisante. — Origines de notre structure intellectuelle »
pe d’identité. IV. Principe de raison suffisante et d’intelligibilité universelle . — Son origine radicale dans l’action de la volon
naturelle ; 4° les lois fondamentales de la vie ; 5° la constitution universelle des éléments, au point de vue physique et psychiq
x accidents suffisent à expliquer, en leur racine même, les croyances universelles et nécessaires ; que si, par exemple, le cerveau
 principe de raison suffisante », identique à celui d’intelligibilité universelle , une forme inhérente à la constitution de l’espri
mi-mal), mais notre existence même serait bientôt victime du désordre universel . Dans cette tempête aveugle des choses, rien ne p
e ces deux horizons ? Ce sommet est la pensée, mais la pensée devenue universelle , collective, sociale. Il faut que le membre de la
qu’il faut chercher la dernière explication du tout et des relations universelles . Sommes-nous quelque chose de réel, nous qui vivo
phénomènes extérieurs, ou si, faisant nous-mêmes partie du processus universel , nous ne pouvons pas prendre conscience en nous d
nt érigeons-nous la nécessité propre de notre pensée en une nécessité universelle des choses ? — La réponse est contenue dans la qu
ord en elle-même, ce qui est de fait impossible. La loi nécessaire et universelle de notre pensée devient donc pour nous une loi né
verselle de notre pensée devient donc pour nous une loi nécessaire et universelle des choses ; et, comme nous ne pouvons sortir de
e changement, selon une loi : c’est, nous l’avons vu, le déterminisme universel . Or le déterminisme n’a pu manquer de s’imposer c
nté dont il n’était qu’un moment. La supposition de l’intelligibilité universelle n’a pas eu primitivement pour but de rendre le mo
etrouve dans l’univers sa constitution propre, soit qu’elle affirme l’ universelle absence de contradiction, soit qu’elle affirme l’
ffirme l’universelle absence de contradiction, soit qu’elle affirme l’ universelle régularité des antécédents et des conséquents. Le
rience nous révèle, la loi de raison suffisante ou de conditionnement universel demande que les phénomènes se suivent selon une r
et, en somme, constituent un même processus. L’idée d’intelligibilité universelle ou d’universelle rationalité, considérée sous le
stituent un même processus. L’idée d’intelligibilité universelle ou d’ universelle rationalité, considérée sous le rapport intellect
uis scientifique. Au sens métaphysique, le principe d’intelligibilité universelle n’a pas l’évidence qu’on lui a souvent attribuée
evenons ainsi du sens métaphysique au sens purement scientifique de l’ universelle intelligibilité. Dès que la pensée s’exerce et po
u’être constaté. Selon nous, l’uniformité n’est pas seulement un fait universel d’observation objective, puisqu’elle se trouve dé
bjecte-t-on, semble démentir, au lieu de les confirmer, les principes universels , — par exemple le principe que tout a une raison
ne pouvait être entièrement satisfait que par l’idée du déterminisme universel de la nature ou de l’universelle intelligibilité.
tisfait que par l’idée du déterminisme universel de la nature ou de l’ universelle intelligibilité. VI Origine du principe des ca
et de ce qui n’est pour nous que pensé. Le principe d’intelligibilité universelle semblait subordonner le réel à l’intelligible, le
rait la cause ? La cause serait le monde de l’instant A, le phénomène universel A, qui cesserait d’être pour laisser place au mon
erait d’être pour laisser place au monde de l’instant B, au phénomène universel B. La cause cesserait d’exister au moment même où
que la conscience, la sensation, le moi existe ? D’abord le mécanisme universel n’exclut pas l’idée du « temps », il la suppose a
4 (1870) La science et la conscience « Chapitre IV : La métaphysique »
l ? Qui n’a conscience de son néant devant cette infinitude de l’Être universel , qui n’a conscience de sa misère devant cette abs
rganiques. Voilà donc toute activité réduite au mouvement dans la vie universelle , tout être ramené à la force élémentaire soumise
l’être par la réduction au mouvement de tous les phénomènes de la vie universelle . Elle n’arrive à cette formule définitive que par
vérités de l’ordre moral. Tandis que celle-ci se préoccupe de l’ordre universel au point d’y oublier plus ou moins l’homme et l’h
vérités en ramenant à un seul type tous les phénomènes de l’activité universelle . La spéculation panthéiste atteint les phénomènes
racine elle-même, en absorbant partout l’être individuel dans l’Être universel . La spéculation mystique les transforme en les co
i préfèrent à tout la grandeur et la force. Certes, l’unité de la vie universelle est une vérité depuis longtemps pressentie, et qu
certains êtres, l’individualité de tous les autres au sein de la vie universelle . Qu’est-ce que le mysticisme ? Encore une hypothè
ment libre ? Pour cela, ne faudrait-il pas avoir le secret de l’ordre universel  ? Ne faudrait-il pas pouvoir embrasser l’enchaîne
sévère, nous fait voir sans cesse les deux lois concourant à l’ordre universel . Partout la loi de finalité domine et dirige les
e rapport du moyen à la fin. Il en est de même dans l’ordre de la vie universelle . Kant a raison d’affirmer qu’il n’y a point de ca
es. Enfin, c’est ainsi que le philosophe de la nature explique la vie universelle par la seule loi de gravitation régissant les ato
re que les atomistes anciens. C’est toujours l’hypothèse du mécanisme universel , avec toute la différence que la science moderne
ogiques. Quand la pensée s’est élevée jusqu’à la conception de l’Être universel , il lui devient difficile de ne point se laisser
l’unité domine les apparences, et fait rentrer dans le sein de l’Être universel tous ces prétendus êtres dont on ne voit que les
ce panthéisme qui fait des êtres individuels de purs modes de l’Être universel . La conscience maintient la philosophie de l’unit
l’expérience, à savoir la coexistence des individus au sein de l’Être universel . C’est cette vérité si bien exprimée par une form
nt conduit la philosophie de l’unité à cette doctrine de la nécessité universelle qui a fait une renommée si équivoque au plus puis
; il ne s’adresse ni à l’être infini, ni à l’être absolu, ni à l’être universel , tous êtres abstraits qui n’ont rien de commun av
lles spéculations de la métaphysique sur l’ordre et l’unité de la vie universelle . Elle n’a aucune lumière à demander à la théologi
l’organe des vérités de conscience contre la doctrine du déterminisme universel . « Ce n’est point le droit et le devoir que nous
16. 40. Fragments inédits publiés par M. L. Naville. — Bibliothèque universelle de Genève, 1845 à 1846. 41. Manuel de piété, p.
5 (1782) Plan d’une université pour le gouvernement de Russie ou d’une éducation publique dans toutes les sciences « Plan d’une université, pour, le gouvernement de Russie, ou, d’une éducation publique dans toutes les sciences — Deuxième cours des études d’une Université » pp. 489-494
ire, il est difficile d’entendre les auteurs anciens ; sans la morale universelle , il est impossible de fixer les règles du goût :
mmortalité de l’ame et des peines a venir, s’il y en a ; 2° la morale universelle  ; 3° la religion naturelle ; 4° la religion révél
paraphraser et l’adoucir. Fénelon a traité le même sujet. (La morale universelle .) Je ne connais guère sur la connaissance de l’ho
système social et la politique naturelle. (La religion ou la morale universelle révélée.) Il faut un Abrégé de l’Ancien Testamen
. Il écrit bien, il est sage et hardi. Il y a un Abrégé de l’Histoire universelle dans le Cours d’Education de l’abbé de Condillac,
MMORTALITÉ DE L’AME ET DES PEINES A VENIR, S’IL Y EN A ; 2° LA MORALE UNIVERSELLE  ; 3° LA RELIGION NATURELLE ; 4° LA RELIGION RÉVÉL
bien, supprimé par M. Guizot. 82. L’ouvrage de d’Holbach, la Morale universelle , qui parut en 1776. 83. 1. Les Devoirs de l’Hom
6 (1893) La psychologie des idées-forces « Tome second — Livre cinquième. Principales idées-forces, leur genèse et leur influence — Chapitre septième. Les sentiments attachés aux idées. Leurs rapports avec l’appétition et la motion »
e la vérité est un amour de notre moi pensant et voulant. L’idée de l’ universel , la plus haute de toutes, puise sa force dans not
ndividualité en tant qu’intelligente ou, comme on dit, raisonnable. L’ universel , en effet, est la seule satisfaction adéquate d’u
istence la synthèse complète de la multiplicité dans l’unité ; l’idée universelle est le maximum d’efficacité avec le minimum de dé
nt de puissance. Aussi ne pouvons-nous trouver notre repos que dans l’ universel , dont la possession répond à l’acte le plus inten
orientée vers deux idées, celle du moi individuel et celle du non-moi universel . Pas d’intelligence sans la conscience, qui est l
nt naître les émotions morales, attachées à l’idée même de la société universelle et de ses fins. Quant aux émotions religieuses, c
7 (1872) Les problèmes du XIXe siècle. La politique, la littérature, la science, la philosophie, la religion « Livre V : La religion — Chapitre I : Philosophie religieuse de M. Guizot »
ute son apologétique chrétienne : 1° Il y a des problèmes naturels et universels qui se posent nécessairement dans toute âme humai
euve manifeste chez l’homme lui-même, dans ces principes spontanés et universels appelés principes à priori, qu’elle accepte comme
prétend l’atteindre par une méthode absolue. Son rêve, c’est l’unité universelle . De l’unité de la vérité, il conclut à l’unité de
que l’on peut appeler idéaliste, où Dieu se réduit à l’idée de l’être universel , c’est-à-dire à une pure abstraction. Une autre f
idence explique l’instinct et le besoin de la prière, cet instinct si universel de l’humanité. Le péché originel explique le mal.
la preuve, c’est la prière. La prière est un fait humain, nécessaire, universel  ; mais ce fait est inexplicable dans l’hypothèse
arité humaine a des secrets que nous ignorons. C’est sur ce sentiment universel de l’humanité qu’est fondé le grand mystère de la
eu ne peut pas être responsable, prouve le premier péché. La croyance universelle des religions prouve ou du moins confirme le dogm
st ce qui excède les forces naturelles. La croyance au surnaturel est universelle  : quand on la croit éteinte dans l’esprit des hom
8 (1909) De la poésie scientifique
harmonieuses des rapports liant l’intelligence humaine à l’évolution universelle , tentant ainsi une unité philosophique qui dégage
ie que ma volonté voulait exalter, elle devait être complexe, de sens universel . J’appelai les poètes aux poèmes cosmogoniques et
le Verhaeren attestent encore, par endroits, qu’il s’approche du sens universel , tel qu’en voulant exprimer les rapports de l’hom
. Ainsi, lui aussi, par une autre voie qui est sienne, arrivé au sens universel . Son dernier livre le décèle, comme il montre que
 d’une part plus ténébreuse, quoique plus vertigineusement vitale et universelle  notre Sub-conscient est encore la survie d’héréd
othèse plus ou moins suggestive  où se connaisse un peu de l’harmonie universelle … Oui, selon les données scientifiques  nous allon
tons progressivement, avec l’émotion de nous référer continuement à l’ Universel , la matière à travers les pensées animales et la
ques associations d’idées, la conscience émue des Lois et des Rythmes universels … Donc, pour être adéquate à cette œuvre, l’expres
ette complexe vibration sensitive, représentative du divers phénomène universel et de ses rapports avec l’Etre qui s’en émeut, qu
entiels de la Matière que de toute éternité a été assurée la création universelle , mais aussi la conservation même de la Matière  p
érente (c’est-à-dire sa propension à l’harmonie de toutes les parties universelles , et à l’équilibre) l’Amour, et pris au sens d’aff
e connaît en lui !… Philosophiquement, l’homme sera donc dans le sens universel en assumant le plus de science, d’où le plus de c
a loi du moindre-effort. Pensée misérable. Car, si, dans le phénomène universel , dans le processus vital, nous constatons que tou
résulter d’une pensée nouvelle qui associe continuement l’Humain à l’ Universel  : de manière que, ainsi que nous l’avons dit quel
s et leurs hypothèses) la destinée de l’homme en union avec le destin universel . Si moi, si d’autres demain qui s’avancent dans l
ain, de rapports en rapports, se rattache, d’élargissement en le sens universel , aux diverses séries évolutives. Ainsi que tout f
risé, qui reflètent encore l’unique étendue du ciel. « Il est un sens universel en tout caractère », a dit Goethe C’est là le sen
un sens universel en tout caractère », a dit Goethe C’est là le sens universel de la « Poésie scientifique », telle qu’elle se p
: « Plus j’étudie votre œuvre, plus j’admire sa grandeur et sa portée universelle . Ayant donné déjà cinq volumes de vers et plusieu
encore, de la grande notoriété du poète. C’est, ému aussi de ce sens universel qui requiert le poète russe, qu’en Angleterre, en
énoncé général de Spencer, Premiers principes, que le Rythme, qui est universel « procède d’accentuations successives du mouvemen
9 (1858) Du vrai, du beau et du bien (7e éd.) pp. -492
e chose qu’il ne pouvait rejeter, même provisoirement, dans son doute universel  : cette chose était l’existence même de son doute
ière partie. Du vrai Première leçon. De l’existence de principes universels et nécessaires Deux grands besoins, celui de v
ins est le problème de la philosophie de notre temps. — Des principes universels et nécessaires. — Exemples de tels principes en d
s de tels principes en différents genres. — Distinction des principes universels et nécessaires et des principes généraux. — Que l
 Que l’expérience est incapable d’expliquer toute seule les principes universels et nécessaires, et aussi de s’en passer même pour
facultés qui nous découvre ces principes. — Que l’étude des principes universels et nécessaires nous introduit dans les parties le
La physique elle-même commence seulement là où paraissent des vérités universelles auxquelles on peut rattacher tous les faits du mê
ns les limites de cette expérience, ils la surpassent et la dominent, universels au milieu des phénomènes particuliers auxquels il
Il ne nous a pas été difficile de faire voir qu’il y a des principes universels et nécessaires à la tête de toutes les sciences.
barbares peut-être dans leur forme scolastique, mais qui doivent être universels et nécessaires pour présider à tout raisonnement,
urquoi ? Cela veut dire que votre esprit est dirigé par les principes universels et nécessaires du temps, de l’espace, de la cause
l prétexte il n’était permis ? Le même bon sens qui admet des vérités universelles et nécessaires les distingue aisément de celles q
té fort générale : le jour succède à la nuit ; mais est-ce une vérité universelle et nécessaire ? S’étend elle à tous les pays ? Ou
de à la nuit, est une vérité très générale, peut-être même une vérité universelle , mais non pas une vérité nécessaire. Montesquieu
 : d’ailleurs il y en a eu ; ce n’est donc pas un principe absolument universel , et encore bien moins un principe nécessaire. En
ique ou morale ? Et quand il serait possible de ramener les principes universels et nécessaires à des principes généraux, pour emp
s lesquels il n’y a pas de raisonnement, sont eux-mêmes des principes universels et nécessaires ; en sorte que le cercle est manif
irique pour ébranler l’existence ou affaiblir la portée des principes universels et nécessaires ! Écoutez cette école : elle vous
le : elle vous dira que le principe de la cause, donné par nous comme universel et nécessaire, n’est, après tout, qu’une habitude
re expliquer les principes où ces notions se rencontrent, et qui sont universels et nécessaires En effet, les sens aperçoivent bie
bien tels et tels faits, mais il répugne qu’ils embrassent ce qui est universel  ; l’expérience atteste ce qui est, elle n’atteint
plus loin. Non seulement l’empirisme ne peut expliquer les principes universels et nécessaires ; mais nous prétendons que, sans c
es, et voilà la première notion du monde extérieur. C’est le principe universel et nécessaire des causes qui seul la donne et la
empirisme est donc convaincu et de ne pouvoir se passer des principes universels et nécessaires, et de ne pouvoir les expliquer. A
la nécessité. Après avoir établi et défendu l’existence des principes universels et nécessaires, nous pourrions rechercher et pour
vant vous, tenté une classification, une réduction même des principes universels et nécessaires, et de toutes les notions qui y so
classification que le philosophe de Kœnigsberg a donnée des principes universels et nécessaires, nous préférons, nous trouvons bie
nsation variable, bornée, incapable de produire et d’autoriser rien d’ universel et de nécessaire. J’arrive donc à cette conséquen
conçoit des vérités d’ordres différents, et entre autres des vérités universelles et nécessaires qui supposent dans la raison, atta
gouvernent. Nous pouvons donc affirmer que l’existence des principes universels et nécessaires repose sur le témoignage de l’obse
l’admettre. Les vérités qu’atteint la raison, à l’aide des principes universels et nécessaires dont elle est pourvue, sont des vé
ons pas. Demeurons-y inébranlablement attachés. L’étude des principes universels et nécessaires, considérés sous leurs divers aspe
’esprit humain et de ses lois, il est évident que celle des principes universels et nécessaires qui président à l’exercice de la r
xplication de la nôtre. Deuxième leçon. De l’origine des principes universels et nécessaires Résumé de la leçon précédente.
e la leçon précédente. Question nouvelle : de l’origine des principes universels et nécessaires. — Danger de cette question et sa
ence humaine, telle qu’elle est aujourd’hui développée, les principes universels et nécessaires s’offrent à nous sous des formes e
ifs ? En un mot, est-il possible de retrouver l’origine des principes universels et nécessaires, et la route qu’ils ont dû suivre
bres du passé. Ils traitent abondamment l’un et l’autre des principes universels et nécessaires dans la forme qu’ils ont aujourd’h
ère a passé sur cette question. Nous avons pris un à un les principes universels et nécessaires soumis à notre examen, pour déterm
ils s’en sont dégagés pour revêtir leur forme actuelle, abstraite et universelle . Voilà les deux extrémités de la chaîne ; il nous
divers et semblables. Pour arriver à la forme abstraite des principes universels et nécessaires, nous n’avons pas besoin de tout c
ient des circonstances particulières et variables, et quelque chose d’ universel et de nécessaire, à savoir : que l’un et l’autre
euvent pas ne pas avoir une cause. Or, je puis parfaitement dégager l’ universel du particulier à propos du premier fait comme à p
particulier à propos du premier fait comme à propos du second, car l’ universel est tout aussi bien dans le premier que dans le s
ier que dans le second. En effet, si le principe des causes n’est pas universel dans le premier fait, il ne le sera pas davantage
ur qu’on les en tire18. Nous avons constaté l’existence des principes universels et nécessaires ; nous avons marqué leur origine ;
re déclaré de la philosophie de la sensation : il admet les principes universels et nécessaires ; mais l’origine qu’il leur assign
péril, et ramènerait par un détour à l’école empirique. Les principes universels et nécessaires, si on les exprime en propositions
ale dialectique de M. de Biran. L’induction dont vous parlez est-elle universelle et nécessaire ? Alors c’est un nom différent pour
e le principe des causes. Au contraire, cette induction n’est-elle ni universelle ni nécessaire ? elle ne peut pas remplacer le pri
ndépendants ; ils les surpassent de toute la supériorité de principes universels et nécessaires sur de simples idées24. Nous aurio
l’avons suivie avec religion. En recherchant l’origine des principes universels et nécessaires, nous nous sommes surtout proposé
la chose à expliquer par une explication systématique. Les principes universels et nécessaires sont sortis entiers de notre analy
ace et du temps où le sort les a jetés, leur révèlent quelque chose d’ universel , de nécessaire, d’infini. Troisième leçon. De
nécessaire, d’infini. Troisième leçon. De la valeur des principes universels et nécessaires Examen et réfutation du sceptic
et de la réflexion. Après avoir reconnu l’existence des principes universels et nécessaires, leurs caractères actuels et leurs
e. Kant a établi, comme Reid et comme nous, l’existence des principes universels et nécessaires ; mais, disciple involontaire de s
nsa avoir assez vengé l’esprit humain en lui restituant les principes universels et nécessaires qui le dirigent. Mais, selon la fo
, qu’il y ait ou qu’il n’y ait pas dans l’esprit humain des principes universels et nécessaires, si ces principes ne nous servent
nt l’anéantit. En fait, quand nous parlons de la vérité des principes universels et nécessaires, nous ne croyons pas qu’ils ne soi
r moi ; une raison qui n’est pas mienne, qui, sous le prétexte d’être universelle , infinie et absolue dans son essence, ne tombe pa
roblème, de s’être borné à répéter que l’absolue vérité des principes universels et nécessaires repose sur la véracité de nos facu
t cet autre problème : que sont-elles donc en elles-mêmes ces vérités universelles et nécessaires ? où résident-elles ? d’où viennen
i, dans tous les ordres de connaissances, nous découvrent les vérités universelles et nécessaires, font partie de notre raison, laqu
de tout être, et nul être ne peut exister sans le porter avec soi. L’ universel existe, dit Aristote, mais il n’existe pas à part
re produisant un événement particulier que nous est donné le principe universel des causes ; mais ce principe est bien plus étend
ulle connaissance précise ne peut avoir lieu, suppose quelque chose d’ universel et d’un, qui ne tombe pas sous les sens et que la
as sous les sens et que la raison seule découvre ; ce quelque chose d’ universel et d’un, il l’appela l’Idée. Les Idées qui possèd
fférent. La notion de l’infini et du parfait est à Descartes ce que l’ universel , l’Idée est à Platon. À peine Descartes a-t-il tr
acultés, quelque chose aussi qui n’est pas personnel, quelque chose d’ universel qui lui permet de s’élever aux vérités universell
nel, quelque chose d’universel qui lui permet de s’élever aux vérités universelles , Malebranche n’hésite point à confondre absolumen
ns immédiatement ; dans la vision l’objet propre de l’esprit, c’est l’ universel , l’idée ; et comme l’idée est en Dieu, c’est en D
la raison, différente en nous de la sensibilité, qui nous découvre l’ universel , l’idée, et nous donne une connaissance solide et
se la connaissance imparfaite dont ils sont capables ; elle atteint l’ universel , parce qu’elle possède quelque chose d’universel
les ; elle atteint l’universel, parce qu’elle possède quelque chose d’ universel elle-même ; elle participe de la raison divine, m
de quoi s’étonner et se surpasser infiniment lui-même. Ses idées sont universelles , éternelles et immuables… » — Chap. liv. « Outre
s… » — Chap. liv. « Outre l’idée de l’infini, j’ai encore des notions universelles et immuables, qui sont la règle de tous mes jugem
, qui est un corps étranger… » — Chap. lvii. « Le maître intérieur et universel dit toujours et partout les mêmes vérités. Nous n
égare toujours en ne la suivant pas, n’est pas cette raison parfaite, universelle , immuable, qui le corrige malgré lui. En toutes c
se corrige qu’en rentrant sous le joug d’une autre raison supérieure, universelle et immuable. Ainsi tout porte en nous la marque d
l. Tout de même mon esprit n’est point la raison primitive, la vérité universelle et immuable, il est seulement l’organe par où pas
le corrigent ; elles ont le caractère de la divinité, car elles sont universelles et immuables comme Dieu ; elles subsistent très r
principe que nous avons déjà posé : rien n’existe tant que ce qui est universel et immuable. Si ce qui est changeant, passager et
énelon dégage assez mal le procédé qui conduit des idées, des vérités universelles et nécessaires, à Dieu. Bossuet se rend parfaitem
mène enfin au dernier fondement des vérités, à cet esprit suprême et universel qui ne peut manquer d’exister, dont l’entendement
la philosophie qui ne peut faire un pas sans rencontrer des principes universels et nécessaires, sont autant de degrés pour arrive
lle est enfermée. Non seulement elle ne peut s’élever à aucune vérité universelle et nécessaire, non seulement elle n’en peut avoir
salité, de nécessité même, pour être capable de concevoir les vérités universelles et nécessaires ; voilà pourquoi elle semble tour
travaux nous appelait à le faire, nous réfléchissions sur les vérités universelles et nécessaires que notre esprit découvre mais qu’
, du fini à l’infini, de l’imparfait au parfait, et aussi des vérités universelles et nécessaires qui nous environnent de toutes par
e pas par la réflexion ; elle n’aperçoit pas d’abord la vérité connue universelle et nécessaire ; par conséquent aussi, quand elle
du sentiment, essentiellement mobiles et individuelles, en une règle universelle et absolue. Il n’en est pas ainsi de la raison ;
elligents. Il n’y a pas d’intelligence qui ne conçoive quelque vérité universelle et nécessaire, et conséquemment l’être infini qui
e intellectuel et de l’ordre moral ; elle rattache toutes les vérités universelles , nécessaires, absolues, à l’être qui seul les peu
enveloppée d’abord dans l’exercice des sens, puis s’élevant aux idées universelles et nécessaires, les rapportant à leur principe, à
s qui se développe avec elles, la raison, source éminente des vérités universelles et nécessaires. Nous avons établi, contre Kant, l
trouverons des beautés plus sévères, mais non moins réelles. Les lois universelles qui régissent les corps, celles qui gouvernent le
x, composés pour ainsi dire de tous les sentiments simples, naturels, universels , qui sur tous les points de la terre tirent du se
ransfiguré par la poésie, est le symbole le plus énergique et le plus universel . Armée de ce talisman qu’elle a fait pour elle, l
onnu, sont dans toutes les langues, et constituent un fait certain et universel . On peut expliquer ce fait, mais à une condition
tiennent les mots d’estime et de mépris. Estimer, mépriser, locutions universelles , phénomènes certains, d’où une impartiale analyse
’aide de l’histoire dans des siècles reculés, ou grâce à la publicité universelle par-delà l’Océan et dans des continents étrangers
de l’homme le fait n’est pas tout et que l’idée du droit est une idée universelle , gravée en caractères éclatants et ineffaçables,
ur mieux la beauté infinie, comme les sciences poursuivent la science universelle . Les systèmes philosophiques sont nécessairement
r, l’ambition, l’intérêt personnel enfin, mobile puissant, permanent, universel , qui nous pousse à améliorer sans cesse notre con
ensation et à la morale de l’intérêt ce qu’elles font de ce phénomène universel que supposent toutes les croyances de l’humanité
nnie, ces deux fléaux de la liberté, le seul rempart est le sentiment universel du droit, fondé sur la ferme distinction du bien
cipes dont la sensation ne rend pas compte : par exemple, le principe universel et nécessaire des causes, sans lequel je n’aurais
chimère, à une loi artificielle et mensongère, mais à une loi vraie, universelle , obligatoire à tous les êtres intelligents et lib
la beauté est indépendante de l’œil qui l’aperçoit, comme les vérités universelles et nécessaires sont indépendantes de la raison qu
ons implicitement ; bientôt il se dégage, nous apparaît sous sa forme universelle et pure, et nous l’appliquons à tous les cas anal
s du tout. Si l’obligation est absolue, elle est immuable et elle est universelle . Car si l’obligation d’aujourd’hui pouvait ne pas
t relative et contingente. Ce fait de l’obligation absolue, immuable, universelle , est si certain et si manifeste, malgré tous les
alliance intime, c’est à celui-ci que celle-là emprunte son caractère universel et absolu. Le bien obligatoire, c’est la loi mora
raison : élever le motif de cette action à une maxime de législation universelle . — Morale individuelle. Ce n’est pas envers l’ind
action, pour être conforme à la raison, doit posséder quelque chose d’ universel  ; et comme c’est le motif même de l’action qui lu
cette action étant généralisé vous paraisse une maxime de législation universelle que la raison impose à tous les êtres intelligent
une action, et si c’est le motif contraire qui vous paraît une maxime universelle , votre action, étant opposée à cette maxime, est
votre action ni le motif contraire ne peuvent être érigés en une loi universelle , l’action n’est ni mauvaise ni bonne, elle est in
où elle n’est pas, l’homme n’est pas un homme. La société est un fait universel qui doit avoir des fondements universels. Écarton
homme. La société est un fait universel qui doit avoir des fondements universels . Écartons d’abord la question d’origine229. La ph
un frein à la fois et un appui : cette règle s’appelle la loi. La loi universelle et absolue, c’est la justice naturelle, qui ne se
t d’exprimer en chaque chose la justice naturelle, qui est la justice universelle et absolue, il s’ensuit qu’une des conditions néc
jà vu le droit de punir sortir de l’idée du démérite234. Dans l’ordre universel , Dieu seul se charge d’appliquer une peine à tout
mier et dernier fondement. La vérité morale, comme toute autre vérité universelle et nécessaire, ne peut demeurer à l’état d’abstra
fait le bien, et une punition lorsqu’il fait le mal. Ce principe est universel et nécessaire, il est absolu. Si ce principe n’a
lle ailleurs ? De là cet instinct indomptable de l’immortalité, cette universelle espérance d’une autre vie dont témoignent tous le
ct : c’est le respect animé par l’amour. L’adoration est un sentiment universel . Il diffère en degrés selon les différentes natur
phénomènes qu’elle régit. La raison ne nous révélerait aucune vérité universelle et nécessaire, si la conscience et les sens ne no
ues du sensualisme se brisent contre la réalité manifeste des vérités universelles et nécessaires qui sont incontestablement dans no
nous le sachions ou que nous l’ignorions, nous portons des jugements universels et nécessaires. Dans la plus simple des propositi
ut comme l’idée du beau et celle du vrai ; que le bien est une vérité universelle et nécessaire, marquée de ce caractère particulie
t ou il souffre, il aime ou il hait ; il ne connaît pas. Il n’est pas universel comme la raison ; et même, comme il touche encore
’éviter, nous arrêter dans les régions déjà bien hautes des principes universels et nécessaires du vrai, du beau et du bien, sans
us ouvraient la nature et le sujet de notre enseignement. Les vérités universelles et nécessaires ne sont pas des idées générales qu
rticulières sont relatives et contingentes, et ne peuvent renfermer l’ universel et le nécessaire. D’un autre côté, ces vérités ne
e une cause et que toute qualité suppose un sujet, sont des principes universels et nécessaires. Ils ont été mis par nous dans une
cours égal et varié d’un grand fleuve dans le Discours sur l’histoire universelle , et dans cette Histoire des variations qui, pour
s de M. de Biran, etc. 15. Cette leçon sur l’existence des principes universels et nécessaires, qui fut si aisément comprise, en
les analyses développées, où, sous des formes diverses, les principes universels et nécessaires sont démontrés autant qu’ils peuve
résent volume, entre autres dans la iiie , De la valeur des principes universels et nécessaires, dans la ve , Du mysticisme, et da
nd détail, sur l’impossibilité d’expliquer légitimement les principes universels et nécessaires par une association ou induction q
es conceptions, ou en d’autres termes que la raison a quelque chose d’ universel et d’absolu, qu’à ce titre elle oblige tous les i
e est indépendante de notre raison. Son sujet véritable est la raison universelle et absolue. » 60. Voyez plus haut, iie  leçon,
itudes de la vie de l’humanité, sinon une loi de l’humanité ? Le fait universel et permanent de la société atteste le principe un
té ? Le fait universel et permanent de la société atteste le principe universel et permanent de la sociabilité. Ce principe éclat
le majesté, mêlé à tout et séparé de tout, se manifestant dans la vie universelle et y laissant paraître à peine une ombre de son e
10 (1856) Cours familier de littérature. II « IXe entretien. Suite de l’aperçu préliminaire sur la prétendue décadence de la littérature française » pp. 161-216
’était façonné une langue littéraire, propre à tous les usages de son universelle intelligence, depuis la chaire sacrée jusqu’à la
’on veut notre faiblesse pour la nature diverse, sensée, raisonnable, universelle de notre pays, se trouve satisfait et flatté dans
ple et qui aime sa patrie intellectuelle dans ce représentant presque universel de la nation littéraire. Voltaire est la médaille
l’intelligence d’un seul dans l’esprit de tous ; il créa le dialogue universel , incessant de l’esprit humain. Sans la langue de
ipons pas sur l’analyse du caractère et des talents de ce littérateur universel  ; nous lui consacrerons l’année prochaine deux ou
pleine pour eux d’évidence divine, d’intelligence animale et d’amour universel . Mais c’est que Buffon leur avait préparé leur la
que Bacon avait trouvé en raisonnement. L’Encyclopédie, ce catéchisme universel des connaissances humaines, ce livre progressif p
suite, écroulement et conquête tour à tour, retentissement immense et universel  ; le plus grand bruit des temps européens ! Nous
dans des hasards ; elle fut dans une pensée : cette pensée, rapide et universelle comme tous les mouvements intellectuels de ce pay
ie en France, elle ne fut plus française, elle fut européenne et même universelle  ; c’est que l’Europe tout entière, attentive, hal
nes, comme l’aurore non d’un jour français, mais d’un jour nouveau et universel , qui allait se lever sur le monde et dissiper les
atifs en France ? Non, mais ils furent saisis tout entiers du vertige universel de l’espérance d’une ère nouvelle, dont le crépus
naie, cette invention presque divine de la civilisation, cette langue universelle du commerce, et le retour à la barbarie de l’écha
11 (1906) La nouvelle littérature, 1895-1905 « Première partie. Écoles et manifestes » pp. 13-41
teurs, ils auraient les mêmes motifs de gémir et d’accuser l’anarchie universelle , destructrice des réserves morales du passé, de s
ente, de regrets, une tendance à revenir en arrière. Dans le désarroi universel des énergies, on ignore le but poursuivi, on redo
de la science ; aux autres, il recommandait une philosophie de doute universel , d’indifférence sceptique, d’insouciance. De la p
à l’aube, semble-t-il, d’une renaissance païenne. « “Dans l’étreinte universelle , nous voulons rajeunir notre individu. Nous reven
hanter, une forme nouvelle et une apparence imprévue. « Cette théorie universelle et frémissante, comme un tressaillement du vieux
Intégralisme s’explique ainsi : exprimer la vie en fonction de la vie universelle . » En réalité ce n’était pas, comme on l’a cru,
orte d’intégration, et non de synthèse, l’aboutissement de l’harmonie universelle . Enfin de compte, les théories exprimées par M. A
nnus les plus féconds et les plus riches pour les traits d’une morale universelle  ? » Néanmoins, malgré les erreurs qu’elle compor
l’inexprimable, si j’ose dire, de fondre leur âme avec la conscience universelle afin de noter, par une sorte d’auscultation intel
isfaisons sans remords notre goût du rare autant que notre culte de l’ universel . Que l’inquiétude de la pensée ne nous empêche pa
12 (1860) Cours familier de littérature. X « LXe entretien. Suite de la littérature diplomatique » pp. 401-463
vasion de la France en une seule année, exil, proscription, coalition universelle contre nous, furent les résultats de la diplomati
es quatorze armées révolutionnaires avec le drapeau de l’insurrection universelle des peuples contre les rois, la grande Jacquerie
esures de terreur pour arracher l’or et le sang dévorés par la guerre universelle , résistance du peuple à livrer son or et ses enfa
aux principe qui ne se résume que dans ce qu’on a appelé la monarchie universelle , principe qui a été porté à son apogée par les Gr
nçais, Espagnols, Italiens, seraient dans un antagonisme permanent et universel  ; la terre ne serait qu’une sanguinaire anarchie
absolu de diplomatie ailleurs que dans ce principe de l’insurrection universelle . Ce principe, il n’y en a qu’un, c’est la paix ;
nalité par les armes ; car nous ne sommes pas de ces béats de la paix universelle qui croient supprimer la guerre entre les peuples
tière, en Allemagne, en Espagne et dans les Pays-Bas, de la monarchie universelle de Charles-Quint. Les alliances très secondaires
’inféodait l’univers insulaire et maritime, et affectait la monarchie universelle des flots, plus vaste trois fois que la monarchie
narchie universelle des flots, plus vaste trois fois que la monarchie universelle des continents. On ne s’apercevait pas que la Pru
tômes évanouis, en combattant la maison d’Autriche, dont la monarchie universelle était ensevelie depuis longtemps dans le tombeau
sulaire de son domaine, la plus répandue, et on pourrait dire la plus universelle de toutes les puissances politiques (à l’exceptio
13 (1892) Boileau « Chapitre IV. La critique de Boileau (Suite). Les théories de l’« Art poétique » » pp. 89-120
çoit loi ni mesure ; c’est l’ennemie de la raison, dont l’objet est l’ universel . Au contraire, la raison, en art, en poésie, ne f
les hommes sentent la nature, le succès, c’est-à-dire le consentement universel , sera non pas assurément la preuve, mais le signe
e rapporte. Ils ont exprimé ce qu’il y a dans la nature d’immuable, d’ universel et d’éternel. Et voilà ce que nous devons nous pr
exprime, si particulier que soit cet objet, la copie prend une valeur universelle et constante. L’original fût-il une forme unique
à tout le monde, et qui ne viennent qu’à quelques-uns. La gravitation universelle est dans la chute d’une pomme ; la pesanteur de l
res et communes, qui est significative, et qui est vraie d’une vérité universelle . S’il y a un lyrisme hors nature, il y en a un au
hose ? Le fond de la poésie lyrique, étant ainsi ce qu’il y a de plus universel dans les idées de l’humanité, la vibration person
est compté comme non avenu. Il n’y a de digne d’attention que le type universel et fixe de l’humanité. Cela n’a pas de bien grave
commun, et cet élément commun est justement cette nature raisonnable, universelle , immuable, qui est l’objet de la poésie. La métho
entiques, inaltérés et complets de l’éternelle vérité et de la raison universelle . Et naturellement, dans cette fusion ou confusion
14 (1883) La Réforme intellectuelle et morale de la France
ille. Ils donnèrent à la France, qui ne le demandait pas, le suffrage universel . Ils ne songèrent pas que ce suffrage ne bénéfici
elle dynastie était fondée. La France telle que l’a faite le suffrage universel est devenue profondément matérialiste ; les noble
e part, il est impossible de sortir d’un pareil état avec le suffrage universel . Car on ne dompte pas le suffrage universel avec
eil état avec le suffrage universel. Car on ne dompte pas le suffrage universel avec lui-même ; on le trompe, on l’endort ; mais,
tique impliquant le moins possible de gouvernement central est le vœu universel de la province. L’antipathie qu’elle témoigne con
Naples, en Espagne ; c’était l’incurie, la paresse, un laisser-aller universel , une complète indifférence pour la chose publique
te pour protéger les moins honorables des citoyens, grâce surtout à l’ universel discrédit où la presse tomba par sa vénalité, une
lus forte raison ces objections s’appliquent-elles si le suffrage est universel . Appliqué au choix des députés, le suffrage unive
le suffrage est universel. Appliqué au choix des députés, le suffrage universel n’amènera jamais, tant qu’il sera direct ’ que de
onseil départemental on municipal. Essentiellement borné, le suffrage universel ne comprend pas la nécessité de la science, la su
tat que jamais pays ait vus en fonction. Tout cela venait du suffrage universel , puisque l’empereur, source de toute initiative,
l’avait voulu, l’avait tiré de ses entrailles. La France du suffrage universel n’en aura jamais de beaucoup meilleur. Il serait
ailles valait mieux pour les choix des fonctionnaires que le suffrage universel d’aujourd’hui ; ce suffrage produira un gouvernem
a sélection française est la plus faible de toutes. Avec son suffrage universel non organisé, livré au hasard, la France ne peut
est pas mis en valeur. Un pays qui n’a d’autre organe que le suffrage universel direct est dans son ensemble, quelle que soit la
sur la forme que peut prendre la conscience d’un peuple. Son suffrage universel est comme un tas de sable, sans cohésion ni rappo
ents qui énerveront son action future. Si la Prusse avait le suffrage universel , elle n’aurait pas le service militaire universel
e avait le suffrage universel, elle n’aurait pas le service militaire universel , ni l’instruction obligatoire. Depuis longtemps l
nale très imparfait 6. La nomination des pouvoirs sociaux au suffrage universel direct est la machine politique la plus grossière
té des citoyens ? Non certes, et le brusque établissement du suffrage universel en 1848 a été, de l’aveu de tous les politiques,
t juste, c’est de faire que le suffrage, tout en restant parfaitement universel , ne soit plus direct, c’est d’introduire des degr
rincipe élémentaire. Les deux degrés corrigeraient ce que le suffrage universel a nécessairement de superficiel ; la réunion des
tout le département. Le scrutin de liste, si absurde avec le suffrage universel direct, aurait alors sa pleine raison d’être, sur
chose. Nous verrons Pierre de Lune prétendre encore enfermer l’Église universelle sur son rocher de Paniscole ; la ligne de séparat
lon-Ménard Fonctions de l’État. Nantes, 1871 ; J. Guadet, Du suffrage universel et de son application d’après un mode nouveau, Bo
15 (1913) Le bovarysme « Quatrième partie : Le Réel — IV »
t qui, du point de vue métaphysique, est tenue pour l’œuvre de l’être universel mû par un désir de possession de soi-même dans un
énal et rend lu connaissance possible. Au moi créateur comme à l’être universel de la métaphysique, en l’absence d’une vérité obj
éalité. Il semble tout d’abord, pour le moi humain, comme pour l’Etre universel que cette utilité s’exprime dans la joie de conna
’intellectualisme, attribué à l’individu comme on l’attribua à l’Être universel , est condamné, pour jouir de ses réalisations par
un état de raffinement, un mode d’assouvissement collectif et le plus universel possible, c’est-à-dire combiné de telle sorte que
lité phénoménale. *** On a dit que parmi le mouvement de dissociation universelle qui commence avec la division de l’Être en objet
16 (1889) L’art au point de vue sociologique « Chapitre huitième. L’introduction des idées philosophiques et sociales dans la poésie (suite). Victor Hugo »
l’incompréhensible, et rejeter l’absurde 109. » C’est donc le mystère universel que Victor Hugo veut représenter sous toutes ses
n’est flottante que pour notre imagination ; en réalité, la nécessité universelle se fait sentir à nous comme une pression infinie.
mmense » ; mais nous ne pouvons être témoins de l’œuvre même, du fait universel auquel nous contribuons : L’immensité du fait pr
avec Gilliatt en face de l’Océan, notre pensée en face de l’agitation universelle . Gilliatt avait autour de lui, à perte de vue, « 
monter vers l’obscur infini120. Dans Horror, c’est encore le mystère universel qui fait naître la pensée, l’horreur sacrée : La
, l’homme serait sans doute manichéen. Il ne pourrait que constater l’ universelle antithèse du bien et du mal, de la lumière et des
en quelque sorte, et s’égale même à l’univers, « au prodige nocturne universel  », à la nuit sans limites que nous appelons le mo
lui paraît impliquer un grand moi, une grande conscience, une volonté universelle , Hugo trouve encore dans le inonde la beauté, qui
de la haine immense, quelqu’un aime. III — Finalité et évolution universelle . L’immortalité. Hugo admet en toutes choses ce
ons Vie et Création, Charmante, fait semblant de dormir, et caresse L’ universel travail avec de la paresse. Pour Hugo, l’« évolu
nité possible159 ; sentir dans le prodigieux flot de ce déluge de vie universelle l’opiniâtreté insubmersible du moi ! regarder les
hors de la dissolution : « Dans les vastes échanges cosmiques, la vie universelle va et vient en quantité inconnue, oscillant et se
n symboles et en mythes, la destinée humaine, — ou plutôt la destinée universelle . Sa doctrine est empreinte de ce pythagorisme qui
ns l’azur, dans la cendre étincelle, N’est hors de rien, étant la fin universelle . On remarquera cette conception aristotélique de
le des Indiens, qui croient que l’être monte ou descend sur l’échelle universelle par son propre poids, que la vertu ou le vice ren
oute chose, cette douceur où tout s’éteint : C’est une bienveillance universelle et douce, Qui dore comme une aube et d’avance att
pliquer à Hugo ce qu’il dit d’un de ses personnages : « La mansuétude universelle était moins chez lui un instinct de nature que le
ié suprême, qui est en même temps la suprême justice, c’est le pardon universel , c’est l’amour s’étendant à tous les misérables,
lamme. Hugo affirme avec Spencer que « l’éclosion future du bien-être universel est un phénomène divinement fatal », et il s’imag
indrir le poids du fardeau individuel en accroissant la notion du but universel , limiter la pauvreté sans limiter la richesse, …
s uniquement dans le sens du travail personnel, admet implicitement l’ universelle possibilité de ce travail ; le devoir de justice
17 (1867) Nouveaux lundis. Tome IX « Entretiens sur l’histoire, — Antiquité et Moyen Âge — Par M. J. Zeller. »
omptueux, de rappeler Bossuet pour ce célèbre Discours sur l’Histoire universelle , et l’on a raison si l’on songe à la grandeur du
age, et qui en exprime l’idée, est celui-ci : Discours sur l’Histoire universelle à Monseigneur le Dauphin, pour expliquer la suite
érieuse de son esprit. Il compare d’abord l’utilité de cette histoire universelle à celle d’une carte générale, d’une mappemonde. «
oyens artificiels et de méthode. Pour aider la mémoire dans un résumé universel , il faut avoir des temps marqués, des époques ou
e sécheresse extrême de la première partie du Discours sur l’Histoire universelle  ; elle serait un vrai défaut, si cette première p
rend on ne saurait mieux l’admiration traditionnelle : « L’Histoire universelle de Bossuet parut en 1684. Les dates y sont emprun
t, même par l’amertume. Cette architecture du Discours sur L’Histoire universelle , à la bien prendre, est admirable en son genre :
18 (1898) Politiques et moralistes du dix-neuvième siècle. Deuxième série
lle, elle a tendu à l’unité temporelle. Les guerres pour la monarchie universelle datent de ce temps-là et pour cette cause (il y a
il faudrait qu’ils fussent maîtres des élections. Le moyen ? Suffrage universel  ? Non pas ; ou c’est inutile. Il suffirait de fai
e tout succès de caste. C’est ce qui a répandu cette idée, à peu près universelle , qu’il n’y a pas la même morale pour les grands e
ve à la tête que par une dérogation, légère si l’on peut, à la morale universelle , il ne faut pas trop en vouloir à l’immoralité de
répandue. Elle est de bon sens. Seulement elle accuse l’organisation universelle de l’humanité. Les individus sont en lutte les un
t dénié par d’autres réformateurs, qui, sans s’arrêter à l’expérience universelle rationnellement sanctionnée par l’étude positive
halanstère, voilà le monde des « Harmoniens », voilà le grand couvent universel — C’est l’abbaye de Thélème, avec le Fais ce que
concorde facile, etc. — Mais non ! L’exemple suffirait. L’attraction universelle serait demain partout si elle était aujourd’hui q
ette limite, il retombe tout simplement sur lui-même. La collectivité universelle est donc une pure chimère ; comme le collectivism
it moins de travail utile que la concurrence. Surtout la collectivité universelle de Fourier est précisément chimérique parce que c
il n’y aurait plus rien de vrai ni de faux d’une manière immuable et universelle . » Non seulement Lamennais est plein de ce senti
, comme de De Bonald et comme de De Maistre, c’est bien la domination universelle du catholicisme, et ses haines sont bien les même
national, horrible contre-sens dans les termes, car cela veut dire un universel particulier. Le caractère même, précisément sacré
sacré, du catholicisme, et sa vertu la plus précieuse, le fait d’être universel , international, lien entre les nations, gouvernem
berration comparable. Donc il faut une croyance, il la faut générale, universelle , traditionnelle. Mais que faudra-t-il croire ? Qu
Maistre, que quelques traits épars. C’est la théorie du consentement universel . Qui a raison ? Est-ce le sentiment, l’inspiratio
e, ma raison est arrivée à découvrir… » Il y a une logique à peu près universelle , il n’y a que des raisons absolument individuelle
raison ? — Mais peut-être bien tout le monde. Tout le monde, lui, est universel  ; c’est sans doute incontestable. Voilà une grand
é, et que, du reste, en soi déjà, il était faux. Non, le consentement universel n’est nullement critérium de vérité. L’humanité e
par sa méthode et par ses exemples à l’appui, que, si le consentement universel est le critérium de la vérité, nous devons être p
deux choses l’une, ce me semble : ou, en considérant le consentement universel , on procédera par synthèse, ou on procédera par é
ne reconnaissant ni sur l’une ni sur l’autre le sceau du consentement universel  ; et alors on repoussera exactement tout ce que l
e réduite à elle-même ne donne rien. La considération du consentement universel ne mène donc à aucun résultat sérieux ; elle est
lque chose avec quoi il pût agir. Or la considération du consentement universel ne mène à la conquête véritable d’aucune vérité ;
— Quand nous parlons ainsi, c’est bien à une manière de consentement universel que nous en appelons. Mais qui ne voit les différ
métaphysique et théologique qu’il veut tirer du consentement prétendu universel . Ce qu’il veut tirer de l’entente générale des ho
était pas une. — A tous les points de vue, la théorie du consentement universel est très irrationnelle et très dangereuse. Quoi q
ntain, c’est-à-dire catholique international, c’est-à-dire catholique universel  ; il voulait franchement un pouvoir spirituel uni
st bien ici, encore, que l’on voit le véritable caractère de l’Église universelle . Âme de tous les peuples, ils la retrouvent dans
e semble que bien peu se sont doutés de 1830 à 18481, que le suffrage universel serait conservateur : « Le besoin de l’ordre n’ex
s hasardeux, on en concluait que si l’on descendait jusqu’au suffrage universel on aurait affaire à un corps électoral absolument
e qui eût renversé le gouvernement de Juillet, et c’était le suffrage universel qui l’eût conservé. Et, comme le remarque très bi
e le remarque très bien Lamennais, si l’on a peur en 1830 du suffrage universel , c’est que le peuple, pour les hommes politiques
er un moyen d’éviter, montre que non seulement il connaît le suffrage universel à l’avance avec son caractère essentiel, mais qu’
chercher les moyens. Il n’y a pas jusqu’à sa théorie du consentement universel qui tout à l’heure ne doive reparaître transformé
ue ; elle est la raison des préférences de Lamennais pour le suffrage universel  ; ensuite elle va devenir, d’une façon assez vagu
lière, armée de la force, opposée à la volonté, à la loi, à la pensée universelle , à la raison et à la conscience de l’humanité, pr
et le bien. » Souveraineté du genre humain, c’était « le consentement universel  » de Lamennais en 1820 ; — raison et conscience d
a raison commune. Il avait dit que la vérité, c’était le consentement universel , et il se trouvait privé du consentement universe
it le consentement universel, et il se trouvait privé du consentement universel , penseur isolé, destitué du point d’appui qu’il a
ité que vous nous annoncez, puisqu’elle n’a pas celui du consentement universel , et puisque le consentement universel constitue s
e n’a pas celui du consentement universel, et puisque le consentement universel constitue seul la vérité ? » C’est que les uns d
euses : « La coupole de Saint-Pierre, l’Athalie de Racine, l’Histoire universelle de Bossuet, ont été inspirées par la religion. Le
se sentent, animés et soutenus, et obligés aussi, par une conscience universelle . A la vérité, cette période où nous sommes est en
s vaincus perdaient leurs dieux. » Le christianisme a établi un Dieu universel , un Dieu qui ne connaît ni vaincus ni vainqueurs,
istianisme qui n’est plus une religion d’initiés, mais une conscience universelle de l’humanité. L’initiation, à force d’être exerc
ble. Si l’Indien est polygame, c’est aussi que Brahma est le polygame universel , et la famille indienne n’est que l’image de l’un
le que l’instinct mystique est un instinct humain, très profond, très universel , éternel probablement, mais enfin que ce n’en est
culte qu’elles appartinssent, et qu’il promenait à travers l’histoire universelle , en y admirant partout l’empreinte de la main div
ion. Cette révolution est nécessaire ; l’histoire y tend ; l’histoire universelle n’est que la préface du christianisme définitif d
fureur s’est dévorée elle-même… Après cet immense fracas, le silence universel  ; un éclat formidable, et presque aussitôt un oub
mi les besoins intellectuels de l’homme. Nous avons besoin de l’ordre universel , et nous avons besoin aussi, jusqu’à présent, que
e universel, et nous avons besoin aussi, jusqu’à présent, que l’ordre universel ressemble à un ordre humain bien établi, ou qui e
les choses se ressemblent les unes aux autres ; il veut l’uniformité universelle par amour de l’ordre universel ; et sa méthode es
es aux autres ; il veut l’uniformité universelle par amour de l’ordre universel  ; et sa méthode est d’oublier les différences pou
on esprit. La philosophie de l’avenir sera « la philosophie de la vie universelle . » L’homme trouvera sa loi dans la loi du monde e
une théologie de la Révolution française, et une théologie de la vie universelle . Il a été le grand prêtre de l’histoire, de la Ré
à soi, c’est le scepticisme même. Aucune vérité générale, aucune idée universelle ne peut sortir de cette manière de croire. Le sen
aut le contingent et le nécessaire, de prime-saut le particulier et l’ universel  : « L’abstraction est de deux espèces. Par l’une
’a conduit à sa conception de la raison impersonnelle et de la raison universelle , qui était ce dont il avait le plus besoin pour c
s savent que la raison est impersonnelle. C’est pour cela qu’elle est universelle . C’est la même chose en d’autres termes. La raiso
st universelle. C’est la même chose en d’autres termes. La raison est universelle parce qu’elle est impersonnelle. Étant la même ch
de la raison spontanée, du moment que la raison spontanée est raison universelle , vont être consacrées vérités universelles autant
raison spontanée est raison universelle, vont être consacrées vérités universelles autant que nécessaires ; tous les actes de foi qu
notre enquête philosophique, vont être proclamés axiomes de la raison universelle , principes éternels de l’humanité, et non pas seu
ue la souveraineté en matière de croyances était dans le consentement universel du genre humain, ce qui le menait peu à peu et mê
dire que la souveraineté en matière politique était dans le suffrage universel . Cousin côtoyait Lamennais quand il prétendait qu
r la souveraineté en matière de croyances qu’à quelque chose qui soit universel , on peut l’accorder à la raison, et on doit la lu
la lui accorder préférablement à quoi que ce soit, parce qu’elle est universelle d’une façon beaucoup plus nette que quoi que ce s
humain par exemple. Raison souveraine des croyances parce qu’elle est universelle  ; universelle parce qu’elle est impersonnelle ; i
mple. Raison souveraine des croyances parce qu’elle est universelle ; universelle parce qu’elle est impersonnelle ; impersonnelle p
gion. Il avait dit le mot décisif en pareille matière. Il avait dit «  universel  », comme d’autres avaient dit « catholique. » Le
tielles : éclectisme ; sens commun ; raison spontanée, impersonnelle, universelle . — Ces trois idées étaient sans doute assez conte
que de notre temps. » A la considérer à un autre point de vue, comme universelle , et non plus comme Spontanée, la « raison » de Co
se de la façon dont Cousin les voyait. Ce n’est pas la raison qui est universelle , c’est le raisonnement. Les hommes raisonnent tou
açon, par abstraction, par déduction, par induction. Voilà ce qui est universel . Et ils pensent très différemment les uns des aut
s les mêmes pour les uns et pour les autres. C’est la logique qui est universelle , et c’est ce que Cousin appelle la raison spontan
ériaux sont différents eux-mêmes. C’est la raison raisonnante qui est universelle et qu’on peut appeler impersonnelle, si l’on y ti
qu’on peut appeler impersonnelle, si l’on y tient, parce qu’elle est universelle  ; c’est la raison spontanée qui diffère sensiblem
mettent dans leurs raisonnements. Et, oui, assurément, la raison est universelle , à la condition qu’on appelle raison la faculté d
son la faculté de raisonner, comme on a toujours fait ; la raison est universelle à la condition qu’on ne fasse pas entrer en elle
la preuve dernière du tout, c’était, pour lui, la raison spontanée et universelle . C’est ce qui me faisait dire en commençant qu’il
iste ; ou elle se dira que si nos pensées sont des modes de la pensée universelle , elles sont toutes légitimes, qu’il n’y a pas d’e
t plus une hypothèse ; la voilà morte. — Mais les entités ou les lois universelles que nous avons appelées métaphysiques ne sont pas
s qui sont en leur fond les mêmes que celles qui régissent la matière universelle . Il est une résultante du monde entier, au lieu q
ceptible ait sa loi à lui, qui non seulement soit différente des lois universelles , mais leur soit contraire ; qu’il y ait une excep
éjà dans la nature, et que par conséquent il appartient bien aux lois universelles , mais seulement aux lois universelles arrivées ch
ent il appartient bien aux lois universelles, mais seulement aux lois universelles arrivées chez lui à une plus grande complexité, à
précisément de ceux qui ne désirent rien tant sinon qu’elle devienne universelle . Qu’est-elle donc ? Mais, il semble bien, rien au
ment différent de ses ancêtres. Il croit à un Dieu un ; mais ce Dieu, universel pour sa raison, est pour son cœur aussi particuli
galité, — de l’esprit anti-autoritaire il a fait le dogme du suffrage universel . Tous ces principes sont autant de négations auxq
omme indéfiniment applicable au système nouveau. » Enfin le suffrage universel est l’expédient d’une société désorganisée et le
mte écrivait la Philosophie positive, Girardin disait : « Le suffrage universel , c’est : Il faut se compter ou se battre. Il est
uste, rien de plus lumineux, et rien qui montre mieux que le suffrage universel est la barbarie raisonnée, la barbarie exacte, la
urs de philosophie positive fait l’effet d’un Discours sur l’histoire universelle , sans Dieu ; l’on y voit les hommes menés, et men
19 (1831) Discours aux artistes. De la poésie de notre époque pp. 60-88
scordants, comme des sons harmonieux ; c’est tout enfin, c’est la vie universelle . Or, comment la vie du monde devient-elle art en
ellect, se composent. C’est ainsi que nous puisons notre vie à la vie universelle . Et de même que notre vie de nutrition se dévelop
donc ce poète tombé dans la contemplation de l’infini, de l’harmonie universelle , et ne comprenant pas l’anarchie de l’Humanité. I
gieuses, et où, de toutes les traditions, nous formerons la tradition universelle , la grande Bible de l’Humanité. Mais cette œuvre,
emprisonnent la vie, en empêchant chaque partie de se réunir à l’Être universel  ; ou bien, quand son cœur d’homme recommence à ba
s bat et qui va les briser, comme des digues impuissantes que le flot universel du temps et de l’espace emporte. Voilà les deux s
et généraliser la vie ; en vingt vers il peint l’extase devant la vie universelle  : mais le sentiment des êtres finis ne l’abandonn
nt. Il est évident, en effet, que celui qui contemple toujours la vie universelle symbolisera ses idées et les rythmes tout autreme
nthéistique, le sentiment le plus exalté et le plus profond de la vie universelle , la foi que dans le monde tout est lié, tout est
ar ils ont tous deux, au plus haut degré, le même sentiment de la vie universelle , et, d’un autre côté, leurs génies sont tellement
e en complet désaccord avec eux-mêmes, avec leur conception de la vie universelle et de Dieu. Ils oublient le in Deo sumus, in Deo
éant, par des routes diverses : : l’un par la contemplation de la vie universelle , l’autre par la contemplation de la vie dans ses
 Ta poésie, en s’élevant de plus en plus à la contemplation de l’Être universel , n’est pas pour cela devenue plus religieuse ; bi
20 (1878) Les œuvres et les hommes. Les bas-bleus. V. « Épilogue »
ule par la raison que cela tend à devenir une croyance et une opinion universelle . Le ridicule est toujours le viol d’une conventio
féconder ! Et prochainement, il crèvera d’elles dans un Trissotinisme universel . La « comédie sanglante » de Pascal finira par de
me titre que nous, — dans l’immense et imbécile farandole du Suffrage universel  !
21 (1890) Conseils sur l’art d’écrire « Principes de composition et de style — Deuxième partie. Invention — Chapitre VII. Induction et déduction. — Diverses causes des faux raisonnements »
doit être. Prenons quelques exemples. Villon aperçoit dans le monde l’ universelle souveraineté de la mort : Mon père est mort, Die
on l’ordre du cœur ; la conclusion n’a plus la valeur d’une nécessité universelle , mais d’une volonté individuelle. Si la passion v
après quoi l’on se prononce avec autorité, et l’on établit des lois, universelles , éternelles. Ainsi faisons-nous quand nous nous j
r les actes de moralité : il faut ériger sa façon de penser en maxime universelle  ; et il est rare alors que ce qui n’est point évi
vra pas s’obstiner dans sa prétention quand il considérera les formes universelles des raisons qu’il donne. Ce qui doit se refuser
e et qui sont pourtant certaines, sont à l’ordinaire des propositions universelles , dont l’esprit, peu habitué aux abstractions, ne
22 (1913) Le bovarysme « Première partie : Pathologie du bovarysme — Chapitre VII. Le Bovarysme essentiel de l’existence phénoménale »
ychologique se conçoit nécessairement autre qu’il n’est. — II. L’être universel de la métaphysique se conçoit nécessairement autr
à-même autre qu’il n’est. Ainsi peut se formuler, selon son caractère universel , cet antagonisme essentiel entre deux états, qui
ore le rapport avec tout le reste, on forme ici l’hypothèse d’un être universel hors duquel rien n’existe et dont toutes les form
23 (1889) L’art au point de vue sociologique « Introduction »
effort suprême de la vie individuelle pour saisir le secret de la vie universelle et pour s’identifier avec le tout par l’idée même
non par des rapports extrinsèques de temps et d’espace ; c’est la vie universelle , principe du « monisme », et tout lien qui unit p
enlève donc l’individu à sa vie propre pour le faire vivre de la vie universelle , non plus seulement par la communion des idées et
eau : « Le plaisir qui aurait, au contraire, un caractère tout à fait universel , serait étemel ; et étant l’amour, il serait la g
la conception fausse des anciens. L’idée philosophique de l’évolution universelle « est voisine de cette autre idée qui fait le fon
n rayon de lumière, Et comme lui vibrant et chaud. Vie et sympathie universelle était sa devise comme philosophe, et comme poète
’air printanier11. » L’art, étant ainsi presque synonyme de sympathie universelle , consiste à saisir et à rendre l’esprit des chose
pour sentir venir jusqu’à lui quelques-unes des vibrations de la vie universelle  : il agrandit la nature en lui prêtant le retenti
24 (1827) Principes de la philosophie de l’histoire (trad. Michelet) « Principes de la philosophie de l’histoire — Livre second. De la sagesse poétique — Chapitre X. De la chronologie poétique » pp. 235-238
Canon chronologique. Pour déterminer les commencements de l’histoire universelle , antérieurement au règne de Ninus d’où elle part
apper nos sens, nous avons rempli la lacune que présentait l’histoire universelle dans ses origines, tant pour l’ancienne Égypte qu
nobles efforts du cardinal Pierre d’Alliac. Voilà pourquoi l’histoire universelle a tiré si peu d’avantages pour éclairer son origi
25 (1827) Principes de la philosophie de l’histoire (trad. Michelet) « Discours sur le système et la vie de Vico » pp. -
us a un mérite qui leur manque ; il enferme dans son système de droit universel la philosophie et la théologie, en les appuyant t
arda pas à publier deux essais intitulés : Unité de principe du droit universel , 1720 ; — Harmonie de la science du jurisconsulte
ner les lois générales qui régissent les premiers ; tracer l’histoire universelle , éternelle, qui se produit dans le temps sous la
hilosophie ses théories pour élever les faits au caractère de vérités universelles éternelles. Quelle philosophie sera féconde ? cel
philosophiques répondent à autant de faits historiques : institution universelle des religions, des mariages et des sépultures. To
compte du livre De uno universi juris principio dans la Bibliothèque universelle , ne parla point de La Science nouvelle. Le Journa
romain : double présage de ses recherches sur le principe d’un droit universel , et du bonheur avec lequel il devait éclairer l’é
première conception d’un droit idéal éternel, en vigueur dans la cité universelle , qui est renfermée dans la pensée de Dieu, et dan
et des poètes ? » De retour à Naples, Vico y trouva cette décadence universelle dont on a vu le tableau. Combien il se félicita d
la matière ; d’autres, qu’il se jetterait sur ses principes du droit universel . Il les trompa tous : après une invocation courte
titulé : Nouvelle science des sciences ; le second : Histoire civile, universelle et perpétuelle. Il n’est resté qu’un fragment trè
ulement le nom de l’auteur. France. Bossuet. Discours sur l’histoire universelle , 1681. — Voltaire. Philosophie de l’histoire. Ess
l’esprit humain. Essais sur la géographie politique. Plan d’histoire universelle . Progrès et décadences alternatives des sciences
rd Quinette, 1837). — Kant. Idée de ce que pourrait être une histoire universelle , considérée dans les vues d’un citoyen du monde (
grès de sa méthode : « Ce qui me déplaît dans mes livres sur le droit universel (De juris uno principio, et De constantiâ jurispr
26 (1863) Histoire des origines du christianisme. Livre premier. Vie de Jésus « Chapitre I. Place de Jésus dans l’histoire du monde. »
. Le druidisme resta une forme exclusivement nationale et sans portée universelle . Les tentatives grecques de réforme, l’orphisme,
uelle tous les peuples devaient accourir, comme un oracle d’où la loi universelle devait sortir, comme le centre d’un règne idéal,
le est un royaume de Dieu, non une république civile, une institution universelle , non une nationalité ou une patrie. À travers de
ïe ; la naissance d’un enfant le jette dans des rêves de palingénésie universelle  96. Ces rêves étaient ordinaires et formaient com
enfin leur interprète dans l’homme incomparable auquel la conscience universelle a décerné le titre de Fils de Dieu, et cela avec
27 (1892) Boileau « Chapitre VI. La critique de Boileau (Fin). La querelle des anciens et des modernes » pp. 156-181
Le même naturalisme, et la condition de chercher un objet d’imitation universel et permanent, nous font comprendre pourquoi le xv
ma connaissance avec les ouvrages des anciens, pour dégager la nature universelle qui est l’objet de l’art. Je n’ai qu’à regarder s
avoir si j’ai bien jugé. L’expérience individuelle et le consentement universel , voilà tout ce dont Boileau a besoin, une fois po
e de la permanence des lois de la nature, l’indépendance de la raison universelle maintenue sous l’autorité du consentement univers
ce de la raison universelle maintenue sous l’autorité du consentement universel , la notion enfin de la vraisemblance, équivalent
son abbé sur la technique des beaux-arts ; il y distingua des beautés universelles et des beautés relatives ; il fit voir que les fo
e de Perrault, en substituant à cette loi de fer du progrès constant, universel , qui fait violence aux faits par la régularité mé
28 (1889) Histoire de la littérature française. Tome II (16e éd.) « Chapitre deuxième »
ommes de cette époque se sont comme distribué le domaine de la vérité universelle  ; ils en font valoir toutes les parties. Balzac n
st la première vérité que rencontre Descartes, au sortir de son doute universel . Il y a reconnu le signe même de l’évidence ; or,
elle reçoit du caractère de chacun, du pays, du temps, mais la raison universelle , impersonnelle et absolue. Ce fut là la grande no
et les grands poètes de cette époque favorisée, si ce n’est la vérité universelle , celui-ci des passions, celui-là des vices, cet a
eau, sinon, dans les genres les plus divers, des parties de la vérité universelle  ? En quoi consistera la beauté de leur art, sinon
ensée française à celle de l’antiquité, notre langue aux deux langues universelles . Mais personne n’a marché seul ; personne n’a qui
cal tout le premier, dans ce qui est conforme à la nature immuable et universelle , la raison. Ce qui ne veut pas dire, on le compre
homme. Descartes est une idée, dans ce sens qu’il recherche la vérité universelle , l’idée pure, avec la seule faculté universelle q
l recherche la vérité universelle, l’idée pure, avec la seule faculté universelle qui soit en nous, la seule qui ne dépende pas de
r, et qu’une citation fait changer de chemin ; qui suspecte la nature universelle et ne se plaît qu’en la nature variable ; qui pen
d’appropriation y sont réunies. L’usage d’une langue étant de rendre universelle la communication des idées, et les hommes ne comm
29 (1895) Histoire de la littérature française « Cinquième partie. Le dix-huitième siècle — Livre III. Les tempéraments et les idées — Chapitre II. La jeunesse de Voltaire, (1694-1755) »
eux parler du Siècle de Louis XIV (1751) et de l’Abrégé de l’Histoire Universelle (1753). 5. Voltaire historien philosophe L
e lui esquisser à grands traits la suite des événements de l’histoire universelle . C’est le point de départ de l’ouvrage qui devint
ans le Mercure en 1745 et 1744. Du moment qu’il entamait une Histoire universelle , Voltaire rencontrait devant lui le fameux discou
la raison. Cette thèse, qu’il dégageait de ses études sur l’Histoire universelle , modifia profondément le Siècle de Louis XIV. Fai
ramena donc le Siècle de Louis XIV à son dessein général : l’histoire universelle étant une suite lamentable de folies, erreurs, « 
n Siècle de Louis XIV, Voltaire avait repris ses esquisses d’histoire universelle , et poussé vigoureusement son travail pendant l’a
En 1753 et 1754 parurent les trois volumes de l’Abrégé de l’Histoire universelle . J’en ai dit le caractère ; et l’on voit quel en
ns historique. Il faut pourtant rendre justice à cet essai d’Histoire universelle . Une vive curiosité y éclate à chaque page. Volta
30 (1898) L’esprit nouveau dans la vie artistique, sociale et religieuse « II — La solidarité des élites »
ions plus récentes créeront peut-être une solution plus large et plus universelle d’un débat qui s’éternise. La Solidarité des Élit
nnée, l’homme de la Démocratie américaine, ou plutôt de la Démocratie universelle . Il faudrait un volume de forte dimension pour fa
ous a donné l’exemple du plus total épanouissement dans la chair et l’ universelle vie.‌ Mais tous les trois nous ont montré la voie
lutôt, la réalité s’élargissant jusqu’à faire entrer dans le cercle d’ universelle beauté, jadis étroit et arbitraire, les plus humb
 ; il y a la joie profondément vitale de se sentir infiniment lié à l’ universel courant, de sentir vivre en soi un million de vie
sens social, pénétration franche et directe de la réalité, sens de l’ universel et des coexistences, tout ce que nous venons de v
e une revue d’avant-garde, l’Humanité intégrale, où il prêche la plus universelle extension de la solidarité, même par-delà la mort
nde par cette intime liaison l’exemple vivant d’un plus complet, plus universel et plus positif accord. Qu’ils donnent cet exempl
31 (1893) La psychologie des idées-forces « Tome second — Livre cinquième. Principales idées-forces, leur genèse et leur influence — Chapitre sixième. Genèse et action des idées de réalité en soi, d’absolu, d’infini et de perfection »
’inconnaissable. II. Idée de l’absolu. III. Idée de vérité absolue et universelle . IV. Idée de l’infini. Infini mathématique. V. id
errière le miroir où on les voit. » III Idée de vérité absolue et universelle Les platonisants font de l’idée de « vérité »
’elles ne sont pas un rêve, mais qu’elles prennent place dans l’ordre universel . Elle constitue le droit des choses à l’existence
nous-mêmes, nous sommes enfermés en nous et ne pouvons-nous figurer l’ universel que sur le type de notre expérience particulière
tiques. Nous tournons sur nous-mêmes comme une porte sur ses gonds. L’ universel est l’expansion indéfinie du moi, avec le signe n
déterminé des causes et des effets. La « vérité » est le déterminisme universel , et le déterminisme n’est que l’identité des effe
gée en « Raison », sans voir que, si elle semble atteindre des objets universels , c’est uniquement parce qu’elle atteint ce qu’il
32 (1898) L’esprit nouveau dans la vie artistique, sociale et religieuse « II — L’inter-nationalisme »
rant, un terme qui exprime un fait essentiellement naturel, normal et universel  ? Comment proscrirait-on le sentiment profondémen
heur de tous, concevra comme possible son épanouissement au sein de l’ universel .‌   Si l’on a pénétré, en le réduisant à son unit
affinités d’individus et de groupes sous la forme d’un collectivisme universel , il est naturel que cette expression paraisse abs
humanité qui les affecte plus spécialement. Ce n’est pas une alliance universelle par voie diplomatique que je préconise, — car y s
cercle minuscule de son activité locale. Ce qu’on nomme « Exposition universelle  » n’est que la consécration de ce fait, que les «
blesse ou le malheur ? Les désirs de l’âme humaine sont naturellement universels . Qui empêchera les nœuds de l’amitié ou de l’amou
i fait qu’appliquer à la philosophie sociale, la doctrine nouvelle et universelle de la solidarité. La science a découvert la loi d
33 (1856) Cours familier de littérature. I « IIe entretien » pp. 81-97
u son, du signe, du mot, de la pensée, jusqu’à l’infini. C’est l’écho universel et éternel du monde pensant. L’homme est un être
sublimes créatures appelées de ce triste et beau nom dans la création universelle  ; échappons, par un élan prodigieusement élastiqu
s écrits dans ces diverses langues sont le dépôt de cette littérature universelle . Mais Dieu, dans un dessein que nous ne pouvons p
complet de leurs découvertes, l’inventaire général de la littérature universelle , ou de l’expression mémorable de l’esprit humain
34 (1893) La psychologie des idées-forces « Tome second — Livre cinquième. Principales idées-forces, leur genèse et leur influence — Introduction »
idéalisme représente le sujet pensant comme le principe même des lois universelles et des relations nécessaires que l’on croit décou
s profonde, une action commune à l’esprit et aux choses, un processus universel dont la « représentation intellectuelle » est un
fait le fond commun de tous les êtres, la vraie origine de nos idées universelles et nécessaires, des formes à la fois cérébrales e
35 (1889) L’art au point de vue sociologique « Préface de l’auteur »
élevée, d’abord restreinte, puis de plus en plus large, — une société universelle , cosmique ou supra-cosmique, avec laquelle il est
our satisfaire l’imagination et l’instinct sympathique de sociabilité universelle  ; elle anime tout, 1° pour expliquer les grands p
lle est entrée avec la vie d’autrui, avec la vie sociale, avec la vie universelle . Nous espérons mettre en lumière ce côté sociolog
36 (1827) Principes de la philosophie de l’histoire (trad. Michelet) « Principes de la philosophie de l’histoire — Livre second. De la sagesse poétique — Argument » pp. 93-99
l’idolâtrie, de la divination et des sacrifices. Certitude du déluge universel et de l’existence des géants. Les premiers peuple
éternelle, système du droit naturel des gens, origines de l’histoire universelle . Chapitre III. De la Logique poétique. — § I. Dé
Canon chronologique, pour déterminer les commencements de l’histoire universelle , antérieurement au règne de Ninus, d’où elle part
37 (1904) En méthode à l’œuvre
ns le non-perçu, et, à son degré conscient, rend participante du Tout universel toute partie de l’Œuvre poétique. Or, l’entière s
ons et le mieux des générations : à mesure que s’enquit de soi l’être universel , et qu’il tenta des lois, et, à leur aide, une no
la proposition de Goethe, de voir selon une « spirale » le processus universel , — pour ce, que si elle en démontre heureusement
mande ainsi que des prolongements décuplés de ses seuls sens, le sens universel et sacré, — Et parce que la hâtive Science modern
tre-total du monde, évoluant selon de mêmes Rythmes. — Il est un sens universel dans tout caractère, a dit Goethe.   Ainsi, la Ma
ns intégral de la langue, et qu’intégralement aussi il évolue. Il est universel et de tous les temps que le langage poétique, et
ment délimité. » Dire où est incluse l’idée du Rythme, — et qu’il est universel , immanent à la Matière qui devient. Tenant pour s
sciente et représentative des naturelles Forces. Le mouvement d’ondes universelles en une Œuvre poétique, une et harmonieuse, qui, a
III Nous avons dit à quelles mesures qui dépendent des mesures universelles et de nos vitalités mêmes nous astreignons, aux v
38 (1902) La métaphysique positiviste. Revue des Deux Mondes
râce à la naturesurnaturelledes objets de son culte ; à son règlement universel de vie ; à la rigueur de sa discipline morale ; e
a doctrine : on peut même dire qu’il la codifiait. Et bientôt, dans l’ universel désarroi des principes, la « Science », tandis qu
et des fluides, une définition fixe, et une notion commune, générale, universelle . D’où la tirerons-nous ? De la comparaison que no
d’ailleurs il faut bien se garder de confondre avec le « consentement universel . » Le consentement universel n’est souvent que l’
rder de confondre avec le « consentement universel. » Le consentement universel n’est souvent que l’erreur commune, et il n’est d
tre ou coïncidence fortuite, mais l’expérience, c’est le consentement universel passé pour ainsi dire au crible de la critique et
e au crible de la critique et de l’histoire ; — c’est le consentement universel dégagé des circonstances qui le déterminent, à pe
trait des conditions qui le particularisent ; — c’est le consentement universel , jugé, et tantôt confirmé, mais tantôt condamné,
nes ne sauraient comporter en réalité d’autre point de vue pleinement universel que le point de vuehumain. » La rédaction est un
39 (1893) La psychologie des idées-forces « Tome premier — Livre deuxième. L’émotion, dans son rapport à l’appétit et au mouvement — Chapitre premier. Causes physiologiques et psychologiques du plaisir et de la douleur »
e : le battement de son cœur est la continuation du battement de cœur universel  ; la rougeur de ses joues est le signe visible d’
l’origine du plaisir ou de la douleur et leur rôle comme moteurs de l’ universelle évolution. Nous exposerons ce qu’il y a de vrai e
t, par exemple, est-il condamné à mort par la justice de la mécanique universelle , armée de sa balance toujours en équilibre ? — No
de plus ? Darwin semble l’admettre ; car son principe est « le combat universel pour la préservation de la vie. » Spinoza avait d
re pour se conserver qui est le fond du désir, la source du mouvement universel . On a tiré de là de graves conclusions pour la mo
x besoins et les satisfaire. Les êtres sont une armée en marche, et l’ universel mot d’ordre n’est pas seulement conservation, mai
ayé de déterminer le ressort concret et même mécanique de l’évolution universelle pour compléter la théorie de Darwin. Toute matièr
e de l’activité, conséquemment le vrai et unique moteur de révolution universelle , est-ce la douleur ? Cette doctrine de découragem
fonctions. La faim, considérée par lui comme le sentiment primitif et universel , a pour objet l’appropriation de matériaux venant
ale du monde : nous en induirions que le moteur unique de l’évolution universelle n’est pas la peine. C’est seulement à l’origine d
bjets de luxe que de nécessité pour la vie matérielle. L’évolution, l’ universel « devenir », que les anciens appelaient l’univers
e. L’évolution, l’universel « devenir », que les anciens appelaient l’ universel « désir », est donc, selon la doctrine profonde d
40 (1890) Conseils sur l’art d’écrire « Principes de composition et de style — Deuxième partie. Invention — Chapitre premier. De l’invention dans les sujets particuliers »
nité essentielle et intime, à y dégager l’idée générale, le sentiment universel , c’est-à-dire le lieu commun, élément fondamental
de personne qui le limitent, il y a toujours au fond quelque intérêt universel . C’est ce qu’il faut en extraire d’abord, pour en
tir. Derrière cette vérité, notre Molière en aperçoit une autre, plus universelle , plus humaine, moins étroitement chrétienne : les
41 (1870) De l’origine des espèces par sélection naturelle, ou Des lois de transformation des êtres organisés « De l’origine des espèces par sélection naturelle, ou Des lois de transformation des êtres organisés — Chapitre VIII : Hybridité »
elle des hybrides. — II. La stérilité varie en degré ; elle n’est pas universelle  ; les croisements entre proches parents l’augment
II. La fertilité des variétés croisées et de leur postérité n’est pas universelle . — VII. Comparaison des hybrides et des métis ind
rtain point frappés de stérilité. Kœlreuter considère cette loi comme universelle , mais il tranche quelquefois le nœud de la questi
r paraît le croire. II. La stérilité varie en degré ; elle n’est pas universelle  ; les croisements entre proches parents l’augment
nce que Kœlreuter et Gærtner, qui considèrent au contraire que la loi universelle de la nature est que tout croisement entre espèce
emblable origine, il faut, ou cesser de croire à la stérilité presque universelle des croisements entre espèces animales distinctes
t, dans l’état actuel de la science, être considérée comme absolue et universelle . III. Des lois qui gouvernent la stérilité des p
fférents et cependant alliés. C’est une croyance bien vieille et bien universelle , fondée, à ce que je crois, sur un ensemble consi
ndité des variétés croisées et de leurs postérités métisses n’est pas universelle . — On pourrait penser qu’il doit nécessairement e
a fécondité très générale des croisements entre variétés soit une loi universelle établissant une distinction fondamentale entre le
42 (1860) Cours familier de littérature. X « LIXe entretien. La littérature diplomatique. Le prince de Talleyrand. — État actuel de l’Europe » pp. 289-399
e, habile, à petits manèges et à grandes vues, en Russie ; Consommée, universelle , sachant toutes les langues des cabinets, à Rome,
droit public, ou qui ne le ferait pas respecter, serait une barbarie universelle  ; le monde y serait joué aux dés tous les jours.
ns divines de la civilisation. C’est là la religion internationale et universelle des nations : les congrès en sont les synodes. An
endant tant d’années. Il ne s’agissait plus de combattre la monarchie universelle de Charles-Quint et de Philippe II. Louis XIV ava
d’embarras que de poids à la cour de Vienne. L’ombre de la monarchie universelle s’était évanouie avec l’unité de l’Allemagne, de
opulaires et soldatesques plus qu’intelligentes, vociférant la guerre universelle à grands cris, et surtout la guerre à l’Angleterr
scendante des révolutionnaires hommes d’État. L’oracle infaillible et universel de l’assemblée constituante, Mirabeau, voulait la
bataille de terre ou de mer aux armées et aux flottes d’une coalition universelle . Il voulait un système diplomatique à la républiq
agne retirait sa main aux coalisés. Il ne rêvait point cette conquête universelle du continent par les armes qui devait plus tard h
oriques de toutes ces négociations du consulat. C’est le dictionnaire universel en action de la diplomatie de deux siècles ; ce s
son empire qu’aux bornes de son ambition, c’est-à-dire à la monarchie universelle , ne consulte plus M. de Talleyrand, dont la sages
ulateurs du maître du monde ont rejeté sur ce ministre la réprobation universelle qui s’est attachée à la conception et à la condui
tait une lâcheté, selon l’opposition ; les adopter, c’était la guerre universelle . Négocier à Londres, dans un congrès européen, en
43 (1828) Introduction à l’histoire de la philosophie
profit ses grands enseignements ; elle voudrait l’entourer du respect universel  ; loin de la combattre, au besoin elle la défendr
1º Que l’histoire de la philosophie est un élément réel de l’histoire universelle , comme l’histoire de la législation, des arts et
re voir aussi qu’elle soutient avec les autres branches de l’histoire universelle les mêmes rapports que soutient la philosophie av
leurs dernières profondeurs, et jette un jour immense sur l’histoire universelle tout entière. Dire que l’histoire de la philosoph
e horizon, arrêtez-vous dans l’Inde. Jetez les yeux sur ce symbolisme universel qui est partout, et cherchez à le déchiffrer ; ch
qu’elle suit dans sa marche fût elle-même arrivée à saisir l’harmonie universelle des choses, l’harmonie de la nature et de l’human
action, etc. — Humanité. L’homme microcosme : la psychologie, science universelle en abrégé. — Fait fondamental de conscience : tro
tions, ou, en d’autres termes, que la raison en soi a quelque chose d’ universel et d’absolu ; qu’elle oblige tous les individus,
on, n’es-tu pas le Dieu que je cherche ? » La raison en elle-même est universelle et absolue, et par conséquent elle serait infaill
est indépendante de notre raison ; son sujet véritable est la raison universelle et absolue, cette intelligence incorruptible dont
e la matière est la divisibilité à l’infini, c’est-à-dire l’expansion universelle . Or la divisibilité à l’infini n’est pas autre ch
, mais comment y est-elle ? avec une autre loi, celle de l’attraction universelle . L’attraction est le retour de la variété à l’uni
e mouvement de l’unité à la variété. Et c’est parce que ces deux lois universelles sont en rapport l’une avec l’autre, et se forment
e ce grand tableau ; j’arrive à l’humanité. Rien ne périt dans la vie universelle  ; tout se métamorphose et tout se résume. La méca
nce. L’homme est un univers en abrégé : la psychologie est la science universelle concentrée. La psychologie contient et réfléchit
nce peuvent se résumer et se résument en un fait constant, permanent, universel , qui subsiste dans toutes les circonstances possi
table et l’essence absolue. Le fait que je viens de vous signaler est universel . La réflexion, le doute, le scepticisme, appartie
escartes, de rétablir successivement tous les éléments de la croyance universelle . La réflexion, dans ses aberrations les plus biza
la conscience individuelle, transportez-le sur celui de la conscience universelle , c’est-à-dire dans l’histoire. L’unité y est auss
nditions vous arriverez à cette tolérance ou plutôt à cette sympathie universelle  ? À une seule : c’est d’échapper vous-mêmes à tou
trois grandes époques dans lesquelles nous avons partagé le mouvement universel de l’histoire. Essayez maintenant d’en ajouter un
e est vérifiable à tous ses degrés par tous les degrés de l’existence universelle , comme ces degrés, différents et semblables, sont
histoire par cela seul quelle exprime l’humanité, exprime l’existence universelle , et qu’elle en reproduit les mouvements successif
rfaite, comme ce qui est particulier et borné peut exprimer la vérité universelle et absolue. Comment ces différences des différent
e, l’histoire le fait aussi, à l’aide des siècles, dans son mouvement universel et dans l’ample système qu’elle enfante et déroul
ent un grand malheur. Mais d’abord la mort est un phénomène de la vie universelle qui n’a pas lieu seulement sur les champs de bata
le est la loi ; elle est de fer et d’airain89, elle est nécessaire et universelle , elle s’applique aux peuples comme aux individus.
e. — Ils résument les peuples, les époques, toute l’humanité, l’ordre universel . — Histoire du grand homme. Naît et meurt à propo
à du joli. L’idéalisme, au contraire, tend sans cesse au général, à l’ universel , à l’infini, au sublime. La vraie beauté est dans
la raison ; cependant, toute autorité ayant toujours quelque chose d’ universel , est par cela seul condamnée à un peu de raison e
in. Et qu’est-ce que l’humanité elle-même ? Le dernier mot de l’ordre universel . L’humanité résume la nature entière, et les gran
amen des grands historiens de l’humanité. — Difficultés de l’histoire universelle . Ses lois : 1º N’omettre aucun élément de l’human
n élément de l’humanité ; 2º n’omettre aucun siècle. — Que l’histoire universelle devait commencer par être exclusive. — Que le pre
usif devait être le point de vue religieux. — Discours sur l’histoire universelle de Bossuet. Ses mérites, ses défauts. — Nécessité
ses défauts. — Nécessité d’un point de vue plus large, d’une histoire universelle plus complète, mais plus superficielle en chaque
 Un mot sur Voltaire, Turgot, Condorcet. — État présent de l’histoire universelle . Richesse des travaux particuliers. Nécessité d’u
Richesse des travaux particuliers. Nécessité d’une nouvelle histoire universelle . Je vous ai signalé rapidement les faces princi
me condition pour se dispenser de la première ? L’idée d’une histoire universelle est récente et elle devait l’être. Il n’y a pas d
niverselle est récente et elle devait l’être. Il n’y a pas d’histoire universelle sans un plan quelconque ; et il devait s’écouler
s, et qu’au-dessus est un ordre invariable et bienfaisant. L’histoire universelle devait appartenir aux dernières générations ; et,
autrement. Songez, en effet, à toutes les difficultés d’une histoire universelle . D’abord, tous les éléments de l’humanité doivent
côté peut-être important de l’humanité. Les deux lois d’une histoire universelle sont donc de n’omettre aucun des éléments fondame
tout, et le côté qui nous frappe dans les choses pour leur caractère universel  ; de sorte que si la loi d’une histoire universel
pour leur caractère universel ; de sorte que si la loi d’une histoire universelle est d’être complète, le sort de toutes les histoi
oire universelle est d’être complète, le sort de toutes les histoires universelles était d’être incomplètes. Toutes s’intituleront h
universelles était d’être incomplètes. Toutes s’intituleront histoire universelle , et chacune ne sera qu’une histoire partielle ; t
pement d’un élément réel et particulier. Si chaque histoire prétendue universelle vous rend le même service pour les autres élément
le même service pour les autres éléments, ces histoires qui se disent universelles et qui sont incomplètes, il suffit d’emprunter à
-même, mais le comprendre et l’amnistier dans les autres ; tendre à l’ universel et au complet, et y tendre par les points de vue
comme en toutes choses. Il est donc convenu que toutes les histoires universelles commenceront par être incomplètes et donneront d’
nflexible que le christianisme lui-même, et qui est la seule histoire universelle qu’au dix-septième siècle un évêque pût proposer
représenter. Ne semble-t-il pas en effet que la pensée d’une histoire universelle où les hommes, les peuples, les empires, n’ont d’
, à vrai dire, ne lui appartient pas. Quant aux défauts de l’Histoire universelle , ils sont évidents aujourd’hui et nous n’y insist
ttérature sont traitées de main de maître. Le Discours sur l’histoire universelle est d’un théologien ; la Science nouvelle est d’u
écédentes et qui prépareront un résumé nouveau, une nouvelle histoire universelle , et toujours ainsi, au profit de la science. Pour
elle a pris entre les mains du génie français ce caractère humain et universel qui la rend applicable à toutes les nations dont
lever Tiedemann et Tennemann132. Et comme après Herder, aux histoires universelles de l’humanité avaient succédé des histoires parti
ue sorte résolue la philosophie du dix-huitième siècle, aux histoires universelles de la philosophie ont succédé des recherches appr
cherches, en s’accumulant, ramènent le besoin d’une nouvelle histoire universelle . Ainsi va la science ; elle marche de travaux par
dition contemporaine, peut seul les féconder et en tirer une histoire universelle . Or, quel est, quel peut être cet esprit nouveau,
e chambre des pairs investie de privilèges, entourée de la vénération universelle  ; j’y vois une religion qui, prenant nos enfants
le majesté, mêlé à tout et séparé de tout, se manifestant dans la vie universelle et y laissant paraître à peine une ombre éphémère
concevable que de ce mot on ait voulu tirer et m’imputer le fatalisme universel . Quoi ! parce que je rapporte l’action de Dieu à
L’honneur de la vraie philosophie serait de recueillir cette croyance universelle et d’en donner une explication légitime. Mais, fa
la mort de Démosthène dans Plutarque. 97. Sur l’idée d’une histoire universelle , voyez Premiers essais, le fragment intitulé : De
lé : De la philosophie de l’histoire. 98. Le Discours sur l’histoire universelle est de 1681. 99. Principi di scienza nuova d’in
44 (1913) Le bovarysme « Première partie : Pathologie du bovarysme — Chapitre V. Le Bovarysme des collectivités : sa forme idéologique »
attribue bientôt, avec une origine divine ou rationnelle, une valeur universelle . Depuis qu’il y a des sociétés humaines, un certa
érimentale sur laquelle elles avaient fleuri. Transformées en vérités universelles , elles se sont réclamées, selon la maturité de l’
que, propagée parmi les autres nations sous son déguisement de vérité universelle , elle tend à les affaiblir, à les désarmer et à e
défaut de jugement qui lui fait prendre pour une vérité d’application universelle , ce qui fut une attitude d’utilité pour un groupe
lement en proie à ce Bovarysme qui consiste à prendre pour une vérité universelle , indiscutable et dogmatique une attitude d’utilit
me à la philosophie, promulgation d’un dogme moral tiré de la raison, universel et sans nuances, n’a pas trouvé de plus fervents
nte de s’imposer à sa conscience. Croyant obéir aux lois d’une raison universelle , à laquelle, dans le domaine de la pratique moral
pour une collectivité donnée à prendre pour une vérité d’application universelle une attitude d’utilité propre à une autre collect
45 (1895) Histoire de la littérature française « Cinquième partie. Le dix-huitième siècle — Livre I. Les origines du dix-huitième siècle — Chapitre I. Vue générale »
omme tout le monde ; on groupe les éléments du langage selon les lois universelles de l’usage, plutôt que selon la loi particulière
l’autorité de la raison. Elle était juge souverain, elle devient juge universel  : plus de domaine de la foi, réservé, intangible.
pas difficile de s’expliquer ce qui advint de la littérature. Dans l’ universel abatis des traditions autoritaires, la tradition
s vérités que conçoit la raison d’un homme sont faites pour cet homme universel . Le pays qu’on préfère, c’est celui où la philoso
46 (1917) Les diverses familles spirituelles de la France « Chapitre viii »
tice ses sarcasmes abondent. Il se soumet à la force, reine de la vie universelle . Seulement, la force n’est plus où on la voyait ;
égime capitaliste.‌ Nos diverses familles spirituelles font des rêves universels et ouverts à tous, qu’elles défendent en défendan
perdre un seul instant de vue que la raison et l’art ont pour objet l’ universel  ». Des écrits plus anciens, remontant comme certa
47 (1866) Histoire de la littérature anglaise (2e éd. revue et augmentée) « Introduction. » pp. -
fixes, voie l’univers s’évanouir comme une fumée au-dessus de l’Être universel et vide, dans lequel il aspire à s’abîmer. À cet
et de son cœur. Ce sont là les grandes causes, car ce sont les causes universelles et permanentes, présentes à chaque moment et en c
cet intervalle entre la représentation particulière et la conception universelle que se trouvent les germes des plus grandes diffé
uceur, l’humilité, la fraternité humaine, là-bas dans l’idée du néant universel , ici sous la paternité de Dieu. —  Que l’on regar
mposée d’abord à des barbares dociles, puis brisée dans la démolition universelle , se reforme d’elle-même sous la conspiration late
assique, l’homme de cour et le beau parleur ; cette idée créatrice et universelle s’est manifestée dans tout le champ de l’action e
ents. Si l’homme est naturellement propre aux plus larges conceptions universelles , en même temps qu’enclin à les troubler par la dé
més presque dès l’abord en personnes solides, le sentiment de l’unité universelle presque effacé et à peine conservé dans la notion
tère nouveau et un enthousiasme héroïque, au moment de la renaissance universelle , et à l’éveil des races germaniques ; pourquoi el
48 (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — P. — article » pp. 500-501
toutes les parties. Le plus estimé de ses Ouvrages est sa Chronologie universelle , ou Science des Temps, publiée en 1627. Les Noirs
; & le grand usage qu’il en fait dans son Discours sur l’Histoire universelle , prouve que le génie sait s’approprier tout ce qu
49 (1911) Lyrisme, épopée, drame. Une loi de l’histoire littéraire expliquée par l’évolution générale « Chapitre II. Vérification de la loi par l’examen de la littérature française » pp. 34-154
point de vue plus abstrait, on pourrait parler de l’ère de la raison universelle  ; ce principe, contenu déjà dans la Renaissance i
uences se manifestent lentement aujourd’hui. Le principe de la raison universelle est à la base de la royauté absolue ; il atteint
ment, par une même tendance des esprits, et se légitime par la raison universelle . Ordre et discipline. En politique, après Richeli
décrit les hommes de son temps, en s’efforçant de ramener le type à l’ universel , et Corneille y a peut-être moins bien réussi que
e poète, qui fut si bien Grec et Français, est encore si profondément universel que, de siècle en siècle, on retrouvera son œuvre
grands esprits se soumirent spontanément à la discipline de la raison universelle  ; ils sacrifièrent à la société, à un idéal d’aut
significative et fait bien la transition entre l’époque où la raison universelle créa des œuvres jusqu’à l’épuisement et cette aut
s œuvres jusqu’à l’épuisement et cette autre époque où la même raison universelle va s’acharner à une destruction qui est une déliv
dalité à la constitution d’une caste privilégiée, l’idée de la raison universelle au rationalisme. — La royauté absolue a perdu la
divers, sont des formes vieillies ; certes, j’admire l’infatigable et universelle curiosité de Voltaire, la perspicacité de sa crit
e fait un choix, elle se les assimile et leur donne enfin leur valeur universelle . En élargissant son horizon dans l’espace et dans
ballon dirigeable, chargé de mélinite, qu’on prétend assurer la paix universelle . La philosophie se ramène au pur déterminisme ; l
tard le sens profond : lyrisme, épopée, drame. La loi, qui doit être universelle , ne se manifeste chez aucun autre peuple avec cet
iquées dans la réalité de la nation, et rendues au monde en une forme universelle . La littérature est le livre d’or où s’inscrit de
qu’elle s’inspire surtout de logique, et que, sociable, elle tend à l’ universel , comme c’est le cas en France, la littérature dev
ente reconnaissance : intolérante et généreuse parce qu’elle vise à l’ universel , inconstante dans les formes et tenace dans le fo
50 (1895) Histoire de la littérature française « Quatrième partie. Le dix-septième siècle — Livre I. La préparations des chefs-d’œuvre — Chapitre I. Malherbe »
rès de Malherbe. Sa personnalité, étroite et vigoureuse. Tendance à l’ universel  ; goût de l’éloquence. — 2. Desseins et théories
du sens et du genre des substantifs, et de l’usage il tirait des lois universelles et nécessaires. A l’usage encore il demandait de
dre, avec sa libre humeur, ni l’impérissable beauté de la forme, ni l’ universelle vérité des choses. Il eût mieux fait de pratiquer
tait celui de toute la France. Il exprimait aussi ce besoin non moins universel de comprendre, cette disposition rationaliste, qu
51 (1895) Histoire de la littérature française « Quatrième partie. Le dix-septième siècle — Livre III. Les grands artistes classiques — Chapitre VI. Bossuet et Bourdaloue »
3. Sermons, panégyriques, oraisons funèbres. — 4. Politique, Histoire universelle , Histoire des variations, Méditations et Élévatio
a Politique tirée de l’Écriture Sainte, et le Discours sur l’histoire universelle . Une fois l’éducation du Dauphin terminée, Bossue
cane : indépendance des rois au temporel ; infaillibilité de l’Église universelle , et non du pape ; primauté du pape, mais égalité
ue. Car il unit à un fond d’amples ou profondes vérités, de principes universels et transcendants, une forme concrète, colorée, vi
raités. On trouve des sermons qui contiennent sommairement l’Histoire universelle , d’autres les Variations, d’autres la Politique ;
oit qu’un déguisement de la force brutale. Le Discours sur l’Histoire universelle est d’abord un abrégé chronologique de l’histoire
ustel de Coulanges, ne le verra davantage. Le Discours sur l’Histoire universelle est l’œuvre d’un théologien qui a su avoir quelqu
yriques, étant ceux que la religion fournissait, avaient un caractère universel et souverain, à l’ombre duquel, pour ainsi dire,
gardant la vie. Bossuet est frappé de la mort. La mort est l’immense, universelle , irréparable injustice de ce monde. Mais son temp
uve de S. Mabre Cramoisy, 1688, 2 vol. in-4 ; Discours sur l’histoire universelle , Paris, Mabre Cramoisy, 1681, in-4 ; 3e éd., Pari
52 (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — B — article » pp. 269-271
s l’Université de Paris, né à Paris en 1720. Son Précis de l’Histoire universelle , plusieurs fois réimprimé, est très-propre à serv
n cela plus complet que le sublime Discours de Bossuet sur l’Histoire universelle , mais peu propre, malgré tout son mérite, à nous
53 (1869) Portraits contemporains. Tome I (4e éd.) « Lamennais — L'abbé de Lamennais en 1832 »
ps et adhèrent sans réserve à la vérité reconnue par eux perpétuelle, universelle et sainte ; qui, non contents de la reconnaître,
tendre davantage : cette infaillible certitude, appuyée au témoignage universel , leur semblait une énormité trop inouïe. D’ailleu
rtitude suprême que lorsque sa propre opinion s’est unie au sentiment universel . » Or, ce sentiment universel, en dehors duquel i
propre opinion s’est unie au sentiment universel. » Or, ce sentiment universel , en dehors duquel il n’y a de tout à fait logique
lle resplendit en plusieurs pages de la Cité de Dieu ou de l’Histoire universelle , mais ici plus frugale en goût que chez saint Aug
résistant aux exigences des libéraux et des royalistes. Un statu quo  universel a été toute leur politique. Ils semblent avoir ig
e doctrine, soit comme sentiment, et sous cette dernière forme il est universel . Mais, après la crise dont nous approchons, on ne
54 (1895) Histoire de la littérature française « Troisième partie. Le seizième siècle — Livre IV. Guerres civiles conflits d’idées et de passions (1562-1594) — Chapitre III. Montaigne »
puis la façon de s’habiller jusqu’à la morale et la religion, le plus universel , épouvantable et grotesque conflit qui se puisse
constante, ni l’ondoyant et divers instincts n’a pu établir une forme universelle de vie. C’est un chaos de systèmes et de pratique
erreurs, incohérences et contradictions, et conclut au doute absolu, universel . Logé au centre du livre, il en dégage l’esprit,
mande si Montaigne est vraiment un sceptique : si son scepticisme est universel . Je remarque que toutes ces choses dont il doute
, les tortures et la mort, avec la vraie foi ? Conclusion : tolérance universelle . Il n’y a pas d’idée qui vaille qu’on tue un homm
t la description des formes de la vie. Il lui propose l’homme comme l’ universel objet de notre connaissance et de notre intérêt.
çais : c’est cet ensemble de qualités sociables, cette vive lumière d’ universelle intelligibilité, qui fait des Essais un livre hum
55 (1868) Curiosités esthétiques « IV. Exposition universelle 1855 — Beaux-arts » pp. 211-244
IV. Exposition universelle 1855 — Beaux-arts I. Méthode de critique — De
étails, et, pour mieux dire encore, à l’idée d’ordre et de hiérarchie universelle , que la comparaison des nations et de leurs produ
légitime de conclure, d’après les instigations de l’immense analogie universelle , que certaines nations — vastes animaux dont l’or
usqu’à l’évanouissement ? Cependant c’est un échantillon de la beauté universelle  ; mais il faut, pour qu’il soit compris, que le c
ssait tel. Et toujours un produit spontané, inattendu, de la vitalité universelle venait donner un démenti à ma science enfantine e
acer ou étendre le criterium, il était toujours en retard sur l’homme universel , et courait sans cesse après le beau multiforme e
ut étant perdu, tout est à refaire. Celui qui visiterait l’Exposition universelle avec l’idée préconçue de trouver en Italie les en
56 (1923) Les dates et les œuvres. Symbolisme et poésie scientifique
magnétique, communiant plus directement aux ondes d’un plus multiple universel . Je me sens traverser à nouveau avec des orgueils
matérialiste, possibilité d’une Métaphysique émue recréant en nous l’ Universel , le créant le plus conscient et harmonieux, évolu
religieux)  scientifique : c’est-à-dire, en première qualité, de sens universel et prenant thème en la connaissance d’alors : si
la plus scientifique des facultés, parce qu’elle comprend l’analogie universelle , ou cc qu’une religion mystique appelle la corres
manquent de l’Expression poétique appropriée à leur poème tendant à l’ universel , et que pour une part (mais avec quelle puissance
les poètes mais par les prosateurs Naturalistes qu’elle élargissait d’ universel , elle tendait à communier à la Vie totale et en r
t se dégager la seule émotion poétique réelle, parce qu’ainsi de sens universel . Les trois Parties distinctes mais s’entrepénétra
de supputation de Demain et des lois émues à harmoniser l’Humain et l’ Universel . Je souris, et rêve. Si loin que soient, hélas !
utionniste pour, de rapports en rapports, pouvoir des vérités de sens universel et en dégager une émotion de vertu impersonnelle
le indispensable théorie est émise, née de la grande loi de vibration universelle et par cela, incomparablement plus large que tout
pensée, une émotion philosophique née de la Connaissance, de rapports universels saisis en Synthèse. En son esprit, comme en Œuvre
nde moderne et sa Synthèse : évocation à peine située de quelque lieu universel et légendaire où se suggèrent des états d’âme d’u
aussi par l’œuvre en préparation, « épopée dont il perçoit le sens «  Universel  ». Mais la plus grave et subtile vint d’Emile Ver
a Poésie sur la Science, avec l’idée d’évolution élargissant tout à l’ universel  : mais de ce substratum, le dominant, construire
atière en mouvement, évolutive et transformiste — et qui s’avère de l’ universelle harmonie la vraie synthèse. » Exposant essentiell
mour  nous voulons que le frémissement en soit propagé des entrailles universelles  ! Nous voulons, des faits synthétisés de l’Histoi
ndant que plus tard il surgira, vivre pour vivre, au puissant attrait universel de la lumière qui lève le monde. (Récifs au solei
s, aux aspirations, aux émois, des modernes Humanités : pour, de sens universel , les synthétiser — en même temps que re-placer pa
vons eu plus tard entre autres les deux livres imposant leur tragique universel , la Force Mystérieuse et la Mort de la terre… Il
ins courtes et potelées semblant adresser par anticipation le Bonheur universel , demain. Et quoiqu’il s’en rapportât à la science
cette communion continue et religieusement émotive de l’Humain avec l’ Universel rendu présent en son passé et son futur  dont, av
s Entommeures, Gargantua  poème à grands éclairs de pensée en le sens universel sous les images truculentes et pressées. Et en la
remplaçant l’incertitude d’inspiration  et, logiquement expliquée, l’ universelle nécessité de Synthèse, l’immense désir de sortir
sence de la poésie doit être une Métaphysique émue de l’homme et de l’ universel en rapports connus par la Science, et le poète un
poète et que sacre une ardeur tendre et droite d’apostolat de vie en universelle Beauté. Dès 1891, en « l’Eclair », Georges Montor
s éléments du Tout des « concordances mystiques » — crée une harmonie universelle . (Faisons remarquer à nouveau, devant cette asser
ntal des sciences uniquement, peut permettre de se créer une harmonie universelle , en donnant aux concordances une valeur réelle et
et impersonnelle de rapports entre les éléments et de l’Humain avec l’ Universel en évolution  interdisant en même temps quelle la
ariées qui donnent naissance à l’Idée et à son Emotion  en vivante et universelle Synthèse. Mais il sied d’accepter de se détacher
e Mallarmé rêvait de célébrer des Vêpres intellectuelles et de pensée universelle . Mais nous n’avons là qu’une description incomplè
xtériorité seule du Drame. Quels sont les thèmes nouveaux, capables d’ universelle émotion, qui, de cette complexe et simultanée Fig
devaient être philosophiques : des états d’âme généraux et d’émotion universelle exprimés en Symbole. « Fait spirituel », dit Mall
ue l’Homme conscient par le plus de connaissance émotive des rapports universels , que lui donne la Science, recréer en lui cet uni
ues élus ou moins de communier avec les di eux, sous lei espèces de l’ universel Symbole ». De l’auteur de L’Anthologie c’est ain
ernelle d’un Eschyle : pour, en émotion de la connaissance et du sens universel qui les relient en le temps et l’espace, d’humain
aux encore occultes prestiges de la Matière, ainsi l’élargit-il à un Universel tout pantelant de Mystère — où se concentre l’émo
éléments du Tout des correspondances mystiques — à créer une harmonie universelle  : ce premier concept d’où sort l’art du Symbole,
en demeurant lui aussi Symboliste  sa pensée ira à supputer de la vie universelle des Significations : cependant que son art poétiq
ent qu’il s’est même approché par endroits, d’un plus complexe « sens universel  » exprimant les rapports de l’Humain et de l’Univ
mpêché de pénétrer philosophiquement la contexture complexe de l’acte universel , c’est là attendu. Il perçoit tout comme en choc
e d’un état d’âme social, puis généralement humain, de valeur le plus universelle possible d’être reliée à l’évolution générale. Et
t leur détraquement moral. Il n’a pas doublé de méditation à regard d’ universelle sentiment d’admiration éprouvé de cette Activité
ominée, et présageant à ses yeux l’aurore d’un avenir de lumière et d’ universelle Fraternité. Il exalta tous les efforts. Il chanta
ive, inspirée de cette notion, dit M. Walch lui-même, que « la Beauté universelle se manifeste en toute œuvre sincère ». J’ai dit m
e ce ne soit, ainsi qu’on l’a dit, qu’une petite dépendance du « sens universel  » selon la Poésie scientifique. Mais deux livres
té, étant vrai surtout pour les trois premières et leur emportement d’ universel …   … J’ai tendu à rapporter souvenirs et document
ymbolistes  Mendès s’écriait imperturbablement : « Le poète doit être universel  ! Il doit s’élever du général à l’universel ! Il
nt : « Le poète doit être universel ! Il doit s’élever du général à l’ universel  ! Il doit s’élever du général, à l’universel » Pa
s’élever du général à l’universel ! Il doit s’élever du général, à l’ universel  » Parole et enseignement certes nouveaux, de Mend
sentiment très direct, et partout présent, de la nature et de la vie universelle  » Et si l’on se reportait à la nouvelle enquête l
ouverait-on pas maintes exhortations à douer la poésie du sens de vie universelle , à tendre à son unité et à l’unité de son express
nt »… (« Revue de l’Epoque, mai 1922) C’est ému également de ce sens universel qui requiert le grand et volontaire poète Russe,
iècles d’analyse, et plus avertis que les poètes primitifs, à ce sens Universel et Synthétique : à nous de retrouver l’âme du mon
n’est point selon le cercle qu’évolue en tous ses ordres le phénomène universel , mais, il m’a paru, selon un dessin elliptique —
 d’une part plus ténébreuse, quoique plus vertigineusement vitale et universelle , notre Sub-conscient est encore la survie d’héréd
a l’unique et totale Poésie : multiplement religieuse et anxieusement universelle (Paul Jamati  « La Vie des Lettres », Févr. 22).
alistes, au même titre que les précédents, ils émettront une vision d’ universel , où, dans l’œuvre plongeant au Mystère, l’inconna
st essentiellement l’homme qui, par une vivante intuition, saisit « l’ universel  » dans le particulier. Remarquons-le, d’ailleurs,
Remarquons-le, d’ailleurs, toute philosophie qui s’élève au sens de l’ universel se transmue en poème, l’émotion poétique étant en
’esprit qui sent fIuer sous sa vie individuelle, le torrent de la vie universelle . La poésie telle que nous la comprenons unit non
propres sentiments en leur assignant la mission de synthétiser la Vie universelle . Les grands poètes, religieux des antiquités de l
s qui leur donne une valeur éducative. La poésie, grosse d’évocations universelles , doit établir un lien entre l’homme et la nature.
57 (1889) Histoire de la littérature française. Tome III (16e éd.) «  Chapitre treizième.  »
ges composés pour l’éducation du dauphin : 1° Discours sur l’histoire universelle  ; 2° Traité de la Connaissance de Dieu et de soi-
tire des larmes sur l’iniquité de la mort. Le Discours sur l’histoire universelle est le plus beau témoignage de l’intérêt que Boss
ouie, et que l’heure de Dieu va sonner. 1° Discours sur l’histoire universelle . On a surtout en vue celui des ouvrages de Bo
avec le plus de complaisance. C’est ce fameux Discours sur l’histoire universelle , le chef-d’œuvre de la prose française. Il y avai
ent avec l’homme de génie qui les exécute. Le Discours sur l’histoire universelle , c’est le christianisme, par la bouche du plus gr
eligion est tout à la fois le principe et la conclusion de l’histoire universelle . La partie la plus populaire de ce discours est l
ssuet. Depuis plus d’un siècle et demi que le Discours sur l’histoire universelle a paru, le vrai n’y a pas plus fléchi que le vrai
iste, prédicateur, philosophe, éclate dans le Discours sur l’histoire universelle . Il a, dans chaque ordre d’idées, le langage à la
essante et plus colorée. Enfin, c’est dans le Discours sur l’histoire universelle , et particulièrement dans cette troisième partie,
l n’en soit que le commentateur passionné. Le Discours sur l’histoire universelle est tout entier tiré de son fond. Il est vrai que
nce de Dieu et de soi-même. Là, comme dans le Discours sur l’histoire universelle , Bossuet s’en tient à la tradition, c’est-à-dire
sa grandeur et lui révèle son immortalité. Le Discours sur l’histoire universelle et le traité de la Connaissance de Dieu et de soi
pelait le sens propre contre ce que Bossuet appelle la tradition et l’ universel . S’il a été bon que ces deux principes se disputa
rtaines personnes. Le représentant du catholicisme, c’est-à-dire de l’ universel , devait repousser une doctrine à l’usage d’esprit
principe fondamental de Bossuet, c’est la tradition, le catholique, l’ universel , le nom. Le principe de Fénelon, c’est le particu
e d’un esprit extraordinaire, qui défend, non une vérité transmise et universelle , mais des idées particulières qu’il déclare d’un
a-t-il donc à signer du sang d’un archevêque ? Est-ce quelque vérité universelle  ? Est-ce un de ces dogmes d’où dépend toute la fo
. On ne rencontre pas ces violences de paroles chez le défenseur de l’ universel  ; loin qu’il tombe dans l’excès d’engager son san
suspensif en ce qui regarde les protestants. Bossuet, défenseur de l’ universel , de la tradition, eut l’avantage de se passer des
t même dans Fléchier : « Vous croyez donc qu’un royaume est un remède universel à tous les maux, un baume qui les adoucit, un cha
58 (1893) Du sens religieux de la poésie pp. -104
faux style (victorieusement et définitivement promu au titre de terme universel de comparaison) et de l’esprit critique, pourtant
logie qui nous émeuve. C’est à la raison froide, à la raison seule et universelle que se dédient leurs efforts. Les savants nous ap
ivin. D’ailleurs en choisissant le mot Poésie pour lui donner ce sens universel , je sous-entendais une distinction qu’il faut mai
s divers ordres de la nature entretiennent entre eux pour maintenir l’ universelle unité, voilà la poésie symbolique. Le symbole est
l. Les poètes veulent croire que telles sont les conditions de la vie universelle , parce que telles sont les conditions de l’art un
de la vie universelle, parce que telles sont les conditions de l’art universel . En vain leur dit-on : Pourtant ! vous-mêmes, vou
s et dans l’espace, on peut dire que le grand musée humain, le Louvre universel demeure sensiblement constant. Ne serait-ce pas l
dividus qui composent une société et, en conséquence, pour l’individu universel qui se concerte de toutes ces unités et qui ne se
ère et de Dieu à Dieu. » Cette mission de chaque société dans la vie universelle , et de chaque homme dans la vie sociale, c’est l’
a reçu des philosophes le nom de Religion Naturelle. C’est la morale universelle  : les principes du Décalogue, les commandements d
e main qui seule compte les pulsations et charme les douleurs du cœur universel , — pourvu qu’elle tombe franchement et demeure po
ù chacun aura sa tâche, où chaque acte de la vie s’harmonisera dans l’ universelle collaboration, la nécessité même de la mort devie
59 (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — R — Rameau, Jean (1859-1942) »
me l’homme et chante passionnément l’éternelle vigueur de l’existence universelle . [Cité dans l’Anthologie des poètes français du x
me l’homme et chante passionnément l’éternelle vigueur de l’existence universelle . [Anthologie des poètes français du xixe  siècle
60 (1868) Les philosophes classiques du XIXe siècle en France « Chapitre XI : M. Jouffroy moraliste »
e série de combinaisons et de transformations, il a fourni la formule universelle du bien. Une série analogue d’opérations semblabl
r. Regardez un bien en général, et par exemple, prononcez ce jugement universel que la mort est un mal. Si cette maxime vous jett
gements ont les propriétés des jugements producteurs. Or, le jugement universel surpasse en grandeur le jugement particulier ; do
t particulier ; donc le sentiment et le motif poduits par le jugement universel surpasseront en grandeur le sentiment et le motif
essentiels qui le constituent. L’action qui a pour motif cette maxime universelle ou une de ses suites universelles est vertueuse.
action qui a pour motif cette maxime universelle ou une de ses suites universelles est vertueuse. Ces deux phrases sont toute la mor
61 (1878) Les œuvres et les hommes. Les bas-bleus. V. « Chapitre XXIV. Mme Claire de Chandeneux »
t bien y monter ! Voici que le bas-bleu s’affourchant sur le suffrage universel , veut que cette bonne bête le porte partout où el
s que le bas-bleu est maintenant formidable ! Dans la démocratisation universelle , c’est le dernier mot de la démocratie. Sans tale
, est moins une flatterie personnelle que l’expression de la tendance universelle vers un bas-bleuisme, accepté enfin, — comme Mme 
t imbibé d’elle comme l’éponge s’imbibe d’eau. Sa gloire, de suffrage universel (une hontepour la gloire), s’est faite du plus mo
62 (1889) L’art au point de vue sociologique « Chapitre premier. La solidarité sociale, principe de l’émotion esthétique la plus complexe »
ces, leurs points de contact. — La solidarité sociale et la sympathie universelle , principe de l’émotion esthétique la plus complex
degré de l’émotion esthétique ; la solidarité sociale et la sympathie universelle va nous apparaître comme le principe de l’émotion
t dans la société les conditions de la vie la plus sociale et la plus universelle . Le sentiment moral est essentiellement actif, et
tresse de notre cœur, le retentissement en nous de la vie collective, universelle . On pourrait dire que le beau est le bien déjà ré
beau : le plaisir qui aurait, au contraire, un caractère tout à fait universel , serait éternel ; et étant l’amour, il serait-la
ie individuelle en la faisant se confondre avec une vie plus large et universelle . Le but le plus haut de l’art est de produire une
63 (1906) Les idées égalitaires. Étude sociologique « Première partie — Chapitre II. Réalité des idées égalitaires »
ement réalisé. Tous n’admettent pas encore, par exemple, le suffrage. Universel  ; plusieurs s’en tiennent au suffrage restreint o
le « rationalisme français » était capable de remonter à ces notions universelles , M. Janet a justement remarqué14 que la Déclarati
ue nous organisons une association, conformément à certains principes universels , à l’aide des moyens particuliers que, nous trouv
ant certaines théories : l’idée de l’égalité ne serait sans doute pas universelle , mais elle serait primitive. L’anthropologie, app
nquiert à son tour. La cité romaine s’étend à l’humanité ; les règles universelles prévalent sur les usages particuliers ; le « Droi
diverses races humaines, p. 66, 71, 249. 19. V. Tarde, L’opposition universelle , chap. VII. (F. Alcan). 20. V. Demoor, Massart e
64 (1893) Études critiques sur l’histoire de la littérature française. Cinquième série
eaux esprits, facile à concevoir, plus facile à vérifier, générale ou universelle . Et, enfin, idées générales ou souvenirs classiqu
ra, d’un nom barbare, mais singulièrement expressif, la réduction à l’ universel . Également inévitable, également inflexible pour
té de la connaissance de Dieu, c’est dans son Discours sur l’histoire universelle qu’il nous faut la chercher, et au besoin dans so
les autres. Qu’y a-t-il de cartésien dans le Discours sur l’histoire universelle  ? ou dans l’Instruction sur les états d’oraison ?
ément reconnaissable de la deuxième partie du Discours sur l’histoire universelle  ? — Et enfin, si, depuis longtemps, la tentation
ce, et de sa bonté. Dans les Sermons, dans le Discours sur l’histoire universelle , dans la Politique tirée des paroles de l’Écritur
tte stabilité même des lois de la nature, et de la réalité de l’ordre universel , pour établir en quelque manière l’inexistence de
pable de résistance », n’est-ce pas l’idée du Discours sur l’histoire universelle  ? Et c’est toujours aussi l’idée de la Providence
 libertins », et contre les « critiques », le Discours sur l’histoire universelle . Laissant de côté ses Sermons, qu’il n’a pas lui-
mprimés, ni destinés à l’impression, on peut donc dire que l’Histoire universelle et l’Histoire des variations résument trente ans
t libre, nous nous attachons de préférence au Discours sur l’histoire universelle . III Nous n’avons pas sans doute à justifie
s tenu les promesses de son titre, et, par exemple, dans une Histoire universelle de n’avoir traité ni de l’Inde ni de la Chine, je
le de ne pas croire qu’il songe, en écrivant ces mots, à son Histoire universelle . Et, en effet, ne pourrait-on pas dire, non seule
la philosophie même, que le premier caractère d’une Histoire vraiment universelle est de ne l’être pas6 ? En effet, comme l’histoir
est ce que je dirais si j’avais à défendre le Discours sur l’histoire universelle . J’ajouterais qu’à mon avis, les lacunes ou les d
voudrais montrer un admirable exemple dans le Discours sur l’histoire universelle . On n’y voit d’ordinaire qu’une philosophie de l’
, ou il lui répond, dans la seconde partie du Discours sur l’histoire universelle . Les preuves en seraient innombrables. C’est cont
donc qu’il n’arrive rien dans la nature qui soit contraire à ses lois universelles , rien qui ne soit d’accord avec ces lois et qui n
j’avais convaincu tous ceux qui parleront du Discours sur l’histoire universelle de la nécessité d’avoir, en le lisant, l’Éthique
ses autres ouvrages à leur fortune, il a revu et corrigé son Histoire universelle . À cet égard, la comparaison des trois éditions q
aussi qu’un appendice ou une continuation du Discours sur l’histoire universelle  ? C’est alors, après avoir comme balayé le terrai
ne se serait jamais élargie d’elle-même jusqu’à devenir la Jérusalem universelle des prophètes. Qu’est-ce à dire, sinon qu’en rapp
e des philosophes grecs, mais non pas dans un Discours sur l’histoire universelle  ? Ici encore, la lacune est plus apparente que ré
dit de l’omission de l’Inde et de la Chine dans le plan de l’Histoire universelle . On aura certainement remarqué ce que Bossuet en
certain sens, que l’histoire est toute divine, et que, ce qu’il y a d’ universel en elle, c’est précisément ce caractère de divini
rdonnera d’avoir si longuement insisté sur le Discours sur l’histoire universelle . C’est qu’on le lit peu, et on le lit mal. C’est
ication particulière du principe posé dans le Discours sur l’histoire universelle , et la justesse même de l’application achève, pou
ce que vous croyez qui vous favorise dans mon Discours sur l’histoire universelle . Il m’est aisé de vous démontrer que les principe
sait, d’autre part, qu’à peine Bossuet avait-il terminé son Histoire universelle , il lui avait fallu s’occuper des affaires du gal
omète, au lendemain même de la publication du Discours sur l’histoire universelle , que les libres penseurs anglais, que Voltaire à
ui ? Mais ce qu’il est proprement, c’est l’esprit critique incarné, l’ universelle curiosité, la soif de savoir —  libido sciendi , 
la crainte de ne pas tout connaître sur un sujet donné. C’est aussi l’ universelle défiance, dont le premier mouvement est de tout r
e conduite. Il ne faut pas prétendre conformer nos actions à un ordre universel dont nous ne pouvons affirmer l’existence qu’auta
rgiquement récusé l’autorité des opinions communes ou du consentement universel , ni maintenu, naturellement, avec plus de fermeté
chec, s’il en a quelquefois le pouvoir, les décisions du consentement universel  ; et de rétablir ainsi, contre les assauts de la
ns que les Caractères, mais c’est plus que le Discours sur l’histoire universelle , dont nous ne connaissons que deux réimpressions
esure où l’Esprit des lois peut se définir un traité de jurisprudence universelle , émancipé de la tutelle et soustrait à la sanctio
, n’en ferons-nous pas remonter jusqu’à lui le légitime honneur ? Son universelle défiance a renouvelé l’histoire ; et, sous ce rap
as particuliers, prennent., par le moyen de la spéculation, un esprit universel et se changent en principes. En un mot, si toute
s nations, qui fait naître et qui renverse les États », au « grand et universel mouvement qui a arrangé toute la nature ». Par la
tésienne. L’Esprit des lois n’est qu’une compilation de jurisprudence universelle et comparée. L’Émile n’est qu’un roman de pédagog
raiter que de l’homme en général, ou, comme on dit encore, de l’homme universel , engagé dans les liens de la société du genre hum
par-dessous tout ce qui distingue un Italien d’un Allemand, cet homme universel , dont on s’est plu si souvent à contester la réal
geant de l’homme particulier du Nord ou du Midi cette idée d’un homme universel qu’on nous a tant reprochée, si quelque littératu
oire de l’humanité, de Herder ; et surtout ses Idées sur une histoire universelle . 7. Voir à ce sujet le dernier état, de l’exégès
65 (1860) Ceci n’est pas un livre « Les arrière-petits-fils. Sotie parisienne — Premier tableau » pp. 180-195
ressait aux portes de l’Odéon pour assister à la reprise du Légataire universel … » Dire qu’il y a des morts qui font de l’argent,
ressait aux portes de l’Odéon pour assister à la reprise du Légataire universel … » (Allant par la chambre avec agitation.) Oui… n
à percevoir… » Et plus bas : « Hier, une foule innombrable… Légataire universel … Au théâtre de l’Odéon… » Finette. Eh bien !
66 (1889) L’art au point de vue sociologique « Chapitre deuxième. Le génie, comme puissance de sociabilité et création d’un nouveau milieu social »
es non du bon sens terre à terre, mais du sens droit et de l’analogie universelle . La première caractéristique du génie est donc la
ouvelle nature dans la nature ? Ajoutez la nature humaine à la nature universelle , vous avez l’art : ars homo additus natures. — D’
lité et du rêve, de la nature et de l’art, de la vie et de l’illusion universelle  : « Nos divertissements sont maintenant finis. Ce
jets de la science, dans l’amour des êtres vivants, dans la sympathie universelle . On dit souvent, dans le langage courant : mettez
uence des circonstances et du milieu, qui est si notable, quoique non universelle , au début des littératures et des sociétés, va dé
es de forces : l’imitation et l’innovation. L’imitation ou répétition universelle , dans le monde inorganique, c’est l’ondulation ;
par sympathie d’un être à un autre. Mais le principe de la répétition universelle n’explique pas l’innovation, l’invention, qui fai
67 (1889) L’art au point de vue sociologique « Chapitre septième. L’introduction des idées philosophiques et sociales dans la poésie. »
er du plaisir. Mais la passion des liqueurs fortes, chez l’homme, est universelle . C’est que l’homme est malheureux et qu’il a beso
la conception fausse des anciens.L’idée philosophique de l’évolution universelle est voisine de cette autre idée qui fait le fond
e est voisine de cette autre idée qui fait le fond de la poésie : vie universelle . Le firmament même n’est plus ferme et immuable,
l demeure toujours insaisissable à la science : le mystère éternel et universel , qui reparaît toujours à la fin, enveloppant notr
e fois, y ajoute. Rappelez-vous ces vers qui expriment si bien la vie universelle et l’animation divine de la nature : Peut-être q
e de Dieu. D’après Larmartine comme d’après les Alexandrins, la vie universelle est un effort de tous les êtres pour revenir au p
s l’Idylle dialoguée se trouve exprimée la théorie hindoue de la Maïa universelle , reproduite par Schopenhauer. ALBERT Non, quand
68 (1861) Cours familier de littérature. XI « Atlas Dufour, publié par Armand Le Chevalier. » pp. 489-512
nces, où chaque nationalité garde son nom et prête sa main à la ligue universelle des races diverses et des droits égaux ? Ouvrez l
je leur demanderais d’être à leur tour les pilotes de notre longue et universelle expédition sur tant de mers, de côtes, de fleuves
du temps, et sa voix nous raconterait jusqu’à nos jours les destinées universelles de la terre ; vous auriez cherché à faire un simp
n historien, un moraliste, un philosophe, un politique, un théologien universel , un homme enfin embrassant d’un coup d’œil toutes
69 (1904) La foi nouvelle du poète et sa doctrine. L’intégralisme (manifeste de la Revue bleue) pp. 83-87
ous-mêmes sommes un rythme dans le rythme intégral ou accomplissement universel , et que le rythme inhérent au verbe humain, le ry
qui est nous et ce qui est tout, entre la vie individuelle et la vie universelle  ? Or, dans nos recherches, cet enchantement n’est
t plus permis au poète de tout ignorer, disions-nous. Mais la science universelle est irréalisable. L’homme a établi des sciences p
otre âme, en un mot ? C’est donc des limites même de l’âme dans l’âme universelle qu’il s’agit ici. Tout poème qui se réalise ne te
70 (1881) La psychologie anglaise contemporaine « Introduction »
hie a été à l’origine, il est aisé de le dire : elle était la science universelle . Il est plus difficile de répondre, si l’on reche
egré avec Platon et Aristote, reste encore, ou à peu près, la science universelle  ; la métaphysique y fait suite à la physique, la
n d’objet. Comment dès lors prétendre au titre de science première et universelle  ? Comment surtout arriver à l’unité ? Elle ne ser
tion l’évolution continue des sciences lui fera subir invinciblement. Universelle à l’origine, dans l’avenir elle sera universelle
ubir invinciblement. Universelle à l’origine, dans l’avenir elle sera universelle encore, mais d’une autre manière. Autrefois, elle
tats. Actuellement elle présente le singulier spectacle d’une science universelle par certains côtés, particulière par certains aut
aines, à toutes les sciences nées ou à naître, la philosophie restera universelle . Ce n’est pas tout. Le progrès des sciences parti
d’autres matériaux pour la philosophie future. La loi de l’attraction universelle et celle de la corrélation des forces nous laisse
, constate des faits d’où elle tire des lois et « constitue la partie universelle ou abstraite de la philosophie de la nature humai
71 (1870) La science et la conscience « Chapitre III : L’histoire »
t tout s’enchaîne dans toute histoire particulière et dans l’histoire universelle , combien peu pèsent les forces morales des indivi
de la philosophie de l’histoire dans ce grand Discours sur l’histoire universelle , qui ne serait que le magnifique développement d’
on suffisante, Leibniz a ouvert la voie à la doctrine du déterminisme universel , doctrine qui est d’ailleurs la sienne, et dont i
ie  siècle, où se fait jour l’idée de la perfectibilité et du progrès universel . C’est des promoteurs de cette idée, c’est de Les
ing, Herder, Turgot, Condorcet, que date la conception d’une histoire universelle dans laquelle cette loi du progrès trouverait son
’histoire, telles que les idées de perfectibilité humaine, de progrès universel , d’évolution graduelle et nécessaire. La science
tudiant les lois de la nature et en contemplant l’infinie grandeur, l’ universel harmonie du cosmos, que l’on contracte le goût de
des lois historiques et la contemplation philosophique de l’histoire universelle ne sont pas non plus très-propres à nous intéress
st-ce là une œuvre bien faite et de tout point admirable ! L’histoire universelle abonde en fatalités de cette espèce ; mais, si to
72 (1922) Durée et simultanéité : à propos de la théorie d’Einstein « Préface de l’auteur »
e. Sans entraîner comme conséquence nécessaire l’hypothèse d’un Temps universel , elle s’harmonisait avec cette croyance très natu
ement de preuve la croyance naturelle des hommes à un Temps unique et universel . Elles devaient simplement à un malentendu leur a
73 (1875) Les origines de la France contemporaine. L’Ancien Régime. Tomes I et II « Livre troisième. L’esprit et la doctrine. — Chapitre I. Composition de l’esprit révolutionnaire, premier élément, l’acquis scientifique. »
de l’eau et du feu, épaississement de la croûte, formation de l’océan universel , construction et séparation des continents ? Avan
ui sont posés. Que l’on compare le Discours de Bossuet sur l’Histoire universelle , et l’Essai de Voltaire sur les mœurs, on verra t
ue a trouvé son principe : considérant que les lois de la nature sont universelles et immuables, elle en conclut que, dans le monde
n. N’allons pas, comme Bossuet, « oublier l’univers dans une histoire universelle  », et subordonner le genre humain à un petit peup
élémentaire n’est pas seulement primitif ; il est encore incessant et universel , puisqu’on le rencontre à chaque moment de chaque
74 (1896) Les contemporains. Études et portraits littéraires. Sixième série « Louis Veuillot »
complète du monde et de la vie ; il y reconnut la vraie panacée de l’ universelle misère, le salut de l’ignorante humanité. L’encha
mystères chrétiens, serait  sans l’éternel enfer  celle d’une sorte d’ universel socialisme moral. Et c’est ce qui enchante l’âme
e, qui n’est pas un philosophe, n’a que des sentiments d’un caractère universel . Au fond il ne se soucie que de l’humanité et se
le nihiliste qui le mangera. En vain le bourgeois opposera « les lois universelles imposées à l’humanité… la morale que la nature no
er le domaine où cette foi doit s’exercer et qui est, par définition, universel , ni faire à ses adversaires l’abandon de ses prop
convoquera une assemblée nationale constituante, élue par le suffrage universel . Les bases morales de la constitution seront la r
le, la propriété, la liberté. Les bases politiques seront le suffrage universel , l’hérédité de la fonction suprême, la division d
emplation chantante, comme un simple poète lyrique, ou à l’indulgence universelle et inactive, et à la douceur des larmes oisives,
té civile, la liberté politique, le régime parlementaire, le suffrage universel sont, peu s’en faut, choses évangéliques. Veuillo
ditions et n’ait presque réalisé l’unité morale nécessaire au bonheur universel . Lui si doux, il absout dans les âges écoulés la
pas eu d’autres moments encore, des moments d’angoisse mortelle et d’ universel dégoût, où vous admettiez presque que l’on pût to
ait que vous ne voulez nous laisser le choix qu’entre le catholicisme universel (vous savez bien que ces deux mots ne forment pas
75 (1893) Thème à variations. Notes sur un art futur (L’Académie française) pp. 10-13
e nos émotions, de peur que nos émotions n’expirent de l’indifférence universelle . Aussi négligent-ils les vierges floraisons, lais
gan d’amour ; que tout halète et s’agenouille et prie pour l’offrande universelle au Seigneur. Art de vie métaphysique et lyrique 
76 (1895) Histoire de la littérature française « Quatrième partie. Le dix-septième siècle — Livre I. La préparations des chefs-d’œuvre — Chapitre II. Attardés et égarés »
etraite politique ; ses Tragiques paraissent en 1616268, son Histoire universelle de 1616 à 1620, son Baron de Fæneste en 1617 et 1
Renaissance et toute la Réforme. Ce forcené huguenot était un savant universel . A six ans, il « lisait aux quatre langues », fra
lle qui compte — et la fait sincère, intense et vivante. Son Histoire Universelle , œuvre d’un passionné qui s’efforce d’être juste,
es de lyrisme qu’il y ait, un des sentiments les plus hauts, les plus universels par son objet que l’homme puisse exprimer un de c
ation de la vie de cour italienne, comme notre honnête homme, l’homme universel de Pascal, réalise, avec une élégance moins fine
nt tous ses caprices et toutes ses ignorances d’un titre d’absolue et universelle vérité ; et voilà surtout ce qui porta grand domm
re des pensées. Cette influence fut, chez nous, plus tardive et moins universelle que celle de l’Italie. Antonio Perez ne l’établit
ia à plus de soixante-dix ans, et mourut en 1630. Éditions : Histoire universelle , Paris, 1886. 4 vol. in-8 (Soc. de l’Histoire de
77 (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Lettres de m. l’Abbé Sabatier de Castres ; relatives aux trois siecles de la littérature françoise.ABCD » pp. -641
les Pséaumes finissoient par ce refrain : M. de Voltaire est un Génie universel . L'Allemand faisoit chorus avec les autres : il l
ette observation n'est qu'un bibus, & M. de Voltaire est un Génie universel . Oui, dit un célebre Mathématicien, M. de Voltair
me unique. Non, il n'exista jamais de Génie plus vaste, d'Esprit plus universel . M. de Mayran, autre Savant de ce Cercle qui vivo
de genres différens ; on a donc raison de le regarder comme un Genie universel . Un Historien Anglois, qui n'avoit encore rien di
Notre Angleterre n'a point encore produit de Génie aussi grand, aussi universel . Pope ne sauroit lui être comparé. Il réunit le m
gréable. Cet Auteur est charmant, charmant ! En un mot c'est un Génie universel . Je suis enchanté, dit M. B** Médecin* renommé pa
ue mon observation n'empêche pas que M. de Voltaire ne soit un Esprit universel . Quoi ! Messieurs, lorsque chacun de vous célebre
nt à se regarder & à éclater de rire. Il étoit temps, car l’Homme universel se seroit bientôt trouvé réduit à peu de chose. M
78 (1860) Cours familier de littérature. IX « LIVe entretien. Littérature politique. Machiavel (3e partie) » pp. 415-477
romaine, la république du monde romain, l’empire romain, souveraineté universelle militaire et tyrannique de l’Italie, de la Gaule,
seconde fois ? où sont les peuples qui tendent la main à l’oppression universelle de l’Italie romaine ? où est le monde romain ? Ce
, le Péloponnèse tout entier courbé sous ses vice-doges, la monarchie universelle des mers d’Orient donnée en dot au Bucentaure qui
ontife irresponsable, s’il n’est que pontife, à ce tribun inviolable, universel et impalpable des consciences dans nos États, c’e
vient-elle pas toujours aux gros bataillons ? D’ailleurs la monarchie universelle du Piémont, monarchie récente et faible comme tou
ête à la maison de Savoie pour la flatter d’une monarchie piémontaise universelle en Italie, l’Angleterre va prendre en Italie, pou
perpétuel de la France, de l’Autriche et de l’Angleterre ; l’annexion universelle n’est qu’un drapeau de guerre avec l’Angleterre,
79 (1895) Histoire de la littérature française « Première partie. Le Moyen âge — Livre II. Littérature bourgeoise — Chapitre III. Littérature didactique et morale »
mal et du péché, l’homme dans la nature, et son désordre dans l’ordre universel , toutes sortes d’observations, de discussions, de
singulières, il voit la fuite incessante des phénomènes, l’écoulement universel de tout ce qui a reçu être et vie. La mort chasse
inqueur de la mort, c’est la source, le fondement, le pivot de la vie universelle . Honni soit qui s’y dérobe ! il est en révolte co
, celui-là serait assuré de tenir et le vrai et le bien. Le critérium universel et infaillible, c’est la nature : la raison n’en
et c’est sans doute en grande partie par là que ce contemplateur de l’ universel écoulement des apparences s’est préservé du pessi
un caractère, un état d’esprit : c’est l’expressionindividuelle de l’ universelle humanité, ou d’un des larges groupes qui la compo
80 (1864) William Shakespeare « Conclusion — Livre III. L’histoire réelle — Chacun remis à sa place »
int de maturité où la Révolution française a déjà amené la conscience universelle , le héros n’est plus héros sans dire pourquoi, le
’âme de la coalition, et, lui mort, son âme est restée dans la guerre universelle . Ce que Pitt a coûté à l’Angleterre et au monde,
e la jeunesse. La légitimité, le droit divin, la négation du suffrage universel , le trône fief, les peuples majorât, dérivent de
honnête homme. Cet homme croit au peuple, shame ! Il voudrait le vote universel , c’est un chartiste ; êtes-vous sûr de sa probité
des arts, des sciences, de la philosophie, du mouvement de la pensée universelle , en un mot, de l’homme, rien. La civilisation dat
udace, ait ébauché sous forme de monarchie catholique le futur groupe universel des nations, et les salutaires empiétements de l’
81 (1922) Durée et simultanéité : à propos de la théorie d’Einstein « Chapitre III. De la nature du temps »
du temps Succession et conscience. — Origine de l’idée d’un Temps universel . — La Durée réelle et le temps mesurable. — De la
tuel de nos connaissances, pour l’hypothèse d’un Temps matériel un et universel . Ce n’est qu’une hypothèse, mais elle est fondée
nscience. Le métaphysicien fera intervenir directement une conscience universelle . Le sens commun y pensera vaguement. Le mathémati
nd : c’est cette mobilité qui est pure durée. Le Temps impersonnel et universel , s’il existe, a beau se prolonger sans fin du pas
temps de ce déroulement et par conséquent aussi celui du déroulement universel . Mais toutes choses ne nous sembleraient pas se d
omme un apport de nouveauté imprévisible. Ils font partie de la trame universelle des choses, donnée d’un seul coup. Nous ne les in
82 (1895) Histoire de la littérature française « Sixième partie. Époque contemporaine — Livre III. Le naturalisme, 1850-1890 — Chapitre III. La poésie : V. Hugo et le Parnasse »
oète. Elle exprime les émotions d’un homme, mais des émotions d’ordre universel . Cela donne à son œuvre un air de grandeur et de
nt prises dans l’humanité le rêve d’un idéal, la conception de la vie universelle , de ses causes et de ses fins : légendes indienne
ièveté ; mais ces formes elles-mêmes passent, portant témoignage de l’ universel écoulement et de l’éternelle illusion, démasquant
aime les fugitives apparences de l’être. Il regarde, il saisit la vie universelle en tous ses accidents. De chaque phénomène, il fi
vérité philosophique, un fait de notre vie morale, une loi de la vie universelle . Rien de plus achevé, de plus neuf que ces petite
83 (1875) Premiers lundis. Tome III « Sur le sénatus-consulte »
ie en France, on passa presque subitement à une commotion violente et universelle . Il a décrit en des termes d’une saisissante véri
t-on ; qu’est-ce que cela quand nous avons nos 8 millions de suffrage universel  ; quelques discours, quelques écrits de plus ou d
s sommes forts ; nous avons pour nous les gros bataillons du suffrage universel  ; ces plumes, plus ou moins fines et légères, s’y
, les irréconciliables et les méfiants, dans le flot de l’approbation universelle . Plus d’un indice peut faire déjà craindre qu’il
84 (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — L — Lamartine, Alphonse de (1790-1869) »
amour des hommes, une ravissante volupté sous les dogmes de la morale universelle . Sa plus haute poésie traduit toujours le plus fa
trois mille ans : l’amour chaste et rêveur, la sympathie pour la vie universelle , un désir de communion avec la nature, l’inquiétu
génie. Le talent, incapable de donner un suffisant relief aux sujets universels , s’en tient loin, afin de se signaler par l’origi
s les affections simples, et où se rallieront à jamais les sentiments universels . [Lamartine (1893).] Édouard Rod Lamartine
85 (1865) La crise philosophique. MM. Taine, Renan, Littré, Vacherot
pas solidaires l’une de l’autre. Je puis très-bien admettre des idées universelles et nécessaires sans les voir en Dieu. Kant les a
e la raison consiste à dire qu’il y a dans l’esprit certaines notions universelles et nécessaires ; que toute expérience ne donnant
il faut expliquer par une autre faculté que l’expérience ces notions universelles et nécessaires. Or, ici, la question n’est pas ta
l’infini est une modification du fini, le nécessaire du contingent, l’ universel du particulier. C’est l’opposition en apparence i
e quelle manière M. Taine explique l’origine des idées nécessaires et universelles . Il y a, suivant lui, dans l’esprit humain, deux
it se soumettre aux arrêts de la dialectique ; l’idée est le principe universel dont les choses ne sont que les manifestations. L
l pas dans le monde moral ? Mais alors tout n’est donc pas soumis à l’ universel devenir ! Il y a des points fixes, et l’objet de
elles-mêmes ; la précision est contraire à leur nature : la mobilité universelle ne saurait s’exprimer sans contradiction par des
rie du process, c’est-à-dire du développement, sa propre théorie de l’ universel devenir, et il explique le principe de l’identité
univers, la philosophie de M. Renan se réduit à l’idée de la mobilité universelle et du perpétuel devenir. Mécanisme et fatalité, v
Toutefois, sans être un empire indépendant et souverain dans l’empire universel de la nature, l’homme peut y être citoyen, ce qui
il nous entraînerait non-seulement à l’identité, mais à l’immobilité universelle . Il ne suffirait pas de dire qu’un phénomène est
analogies. L’un applique à la société humaine la loi de l’attraction universelle , l’autre propose de mesurer le témoignage des hom
stoïcienne, il admet avec Kant et Jouffroy une loi morale, absolue et universelle , qui s’impose à toute conscience avec une irrésis
’il s’agit d’expliquer la coexistence des individus dans la substance universelle , à déclarer que c’est « un mystère incompréhensib
fit de voir que pour M. Vacherot le passage de l’infini au fini, de l’ universel au particulier, enfin de Dieu au monde, est un my
embrasser à la fois et d’avoir toujours entre les mains une synthèse universelle . Les savants, dans les autres ordres de connaissa
86 (1772) Bibliothèque d’un homme de goût, ou Avis sur le choix des meilleurs livres écrits en notre langue sur tous les genres de sciences et de littérature. Tome II « Bibliotheque d’un homme de goût — Chapitre IV. Des Livres nécessaires pour l’étude de l’Histoire. » pp. 87-211
s nécessaires pour l’étude de l’Histoire. §. I. De l’Histoire universelle . Avant que de parcourir les différentes part
récéder la lecture des Histoires particuliéres de celle de l’Histoire universelle . Les Anciens comme les Modernes ont eu des Ecriva
Pompée avoit, à l’imitation de Diodore de Sicile, donné une histoire universelle en latin. Justin l’abrégea. On l’accuse d’avoir o
oduisirent une foule de compilations qu’on honora du titre d’Histoire universelle . Aucune ne mérite d’être citée. Dès qu’un Moine s
qui dut être lue par les gens de goût, fut le Discours sur l’Histoire universelle b de l’éloquent Bossuet. Il sçut appliquer l’art
ustre peuple Juif. Ce n’étoit pas là, dit-on, l’esprit d’une histoire universelle  ; mais c’étoit du moins l’esprit que devoit avoir
Chevalier de Mehegan, est une autre suite du discours sur l’Histoire universelle de Bossuet. Il y a des descriptions de main de ma
très-élégant. Ce n’est pas là précisément le caractère de l’Histoire universelle sacrée & prophane, depuis le commencement du
eux cens volumes ? Un particulier ayant ce seul corps de mon Histoire universelle , pourra se passer de toutes les autres histoires
vec beaucoup d’exactitude, de netteté & de simplicité. L’Histoire universelle , sacrée & profane, à l’usage des Dames de Fra
aleur & de coloris. Ces qualités manquent totalement à l’Histoire universelle , composée par une société d’Anglois. Il y a dans
mémoires d’un Protestant sont beaucoup moins emportés que l’histoire universelle de d’Aubigné, depuis 1550. jusqu’en 1601. in-fol.
il a traitée ; il a l’esprit plein de son objet, & M. de V. génie universel , partage le sien entre trop de genres. L’Empereur
87 (1870) Causeries du lundi. Tome XV (3e éd.) « Académie française — Réception de M. Ponsard » pp. 301-305
sur M. de Lamartine a trouvé de l’écho et a excité un applaudissement universel . M. Ponsard a prouvé, une fois de plus, dans ce d
mais été plus nombreux ni plus empressé. 4. Publié dans le Moniteur universel , vendredi 5 décembre 1856. ab. [1re éd.] dans l'
88 (1876) Chroniques parisiennes (1843-1845) « XLI » pp. 167-171
de sur le parti légitimiste. — maladie de charles nodier. — sympathie universelle et gout de la france pour l’esprit. Je reprends
e voir, pour s’informer. Les témoignages d’intérêt sont continuels et universels , de tous les côtés, de tous les rangs. Aimable pa
89 (1864) Portraits littéraires. Tome III (nouv. éd.) « Note. »
blication de l’Acte additionnel. Mauvais effet sur l’opinion. Révolte universelle de cette opinion. Ma nomination au Conseil d’État
ut cela. Départ de l’Empereur pour Waterloo. Défaite. Trahison morale universelle . Abdication. Envoi à Hagueneau. Retour à Paris. T
90 (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — F. — article » pp. 317-322
e qu’à elle seule. On ne sauroit donc lui refuser la qualité d’esprit universel . Il n’a rien inventé, il est vrai, mais il a su s
nt s’acquitter envers la Patrie, envers le genre humain, par un amour universel pour les individus qui le composent. L’Abbé Trubl
91 (1906) La nouvelle littérature, 1895-1905 « Troisième partie. Dictionnaire » pp. 243-306
ben, 1899 : — Ernest Gaubert. La Jeune Littérature Provinciale. Revue Universelle Larousse, 1er septembre 1905. — Louis Dumur : De
es, 20 octobre 1901. — Ch. Le Goffic : Le Mouvement littéraire, Revue Universelle , 16 novembre 1901. — A. Lacuzon, Les Poètes et la
Petit Bleu, La Presse, La Nouvelle Revue, La Revue blanche, La Revue Universelle , Le Mercure de Finance, La Revue Franco-Allemande
ttoresque, Revue des Revues, Courrier Français, Nouvelle Revue, Revue Universelle , Revue Illustrée, Monde Illustré, La Vogue, La Vi
La Demoiselle de Comédie, id., 1904. — Pantins et Ficelles, Librairie Universelle , 1905, in-18. — Le Tigre et Coquelicot, roman, Li
Universelle, 1905, in-18. — Le Tigre et Coquelicot, roman, Librairie Universelle , 1905. — Les Disparates, E. Fasquelle, 1906, in-1
laboration. — Direction de la Vogue (1897-1900). — Revue Bleue, Revue Universelle , Revue Illustrée, Nouvelle Revue, Monde Moderne,
e 26 novembre 1869. Œuvres. — Décidément, plaquette, vers, librairie Universelle , 1891. — La Tragédie du Grand Ferré, poème dramat
Revues, Mercure de France, Grande Revue, Grande France (fond.), Revue Universelle , Revue des Deux Mondes, Revue Illustrée, Renaissa
ts, 21 novembre 1895. — Ernest Gaubert : Chronique, Dramatique, Revue Universelle , 15 septembre 1903 (avec un portrait) et Les Poèt
— Vallotton, Masque, Revue des Revues, 15 oct. 1898. — Photos, Revue Universelle , 15 sept. 1903., Revue illustrée, 15 avril 1905.
ine, 15 juin 1902. — Ch. Le Goffic. La Comtesse M. de Noailles. Revue Universelle , 1er janvier 1905. — Henri Ghéon. Chronique. L’Er
92 (1899) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (troisième série). XVII « Francis Lacombe »
archands jusqu’au 15 juillet 1789 : « Élevé à sa fonction par le vote universel , il gouvernait à la fois tous les arts et tous le
pas moins dans la sphère de son activité au mouvement de progression universelle … » L’esprit qui animait cette organisation était
es industries, substituer aux fabriques particulières une association universelle des travailleurs réunis dans des ateliers sociaux
93 (1899) Les contemporains. Études et portraits littéraires. Septième série « Victor Duruy » pp. 67-94
Il se dit que l’égalité des droits, récemment achevée par le suffrage universel , comportant pour tous plus de devoirs, réclamait
ipe de l’obligation et de la gratuité, car « dans un pays de suffrage universel , l’enseignement primaire obligatoire, étant pour
l’instruction gratuite, obligatoire et laïque ait éclairé le suffrage universel  ; que la superstition du savoir a jeté dans l’ens
quel sera le jour de demain ; mais elle est le dépôt de l’expérience universelle  ; elle invite la politique à y prendre des leçons
pétue. Les dernières années de M. Duruy furent entourées d’un respect universel . On l’exceptait, pour ainsi parler, du second emp
94 (1858) Cours familier de littérature. VI « XXXIVe entretien. Littérature, philosophie, et politique de la Chine » pp. 221-315
faut d’abord considérer, si nous voulons que ce cours de littérature universelle soit en même temps un cours de pensée et de raiso
vous répondrez : C’est celui qui, après avoir donné par une éducation universelle , philosophique, historique et morale, à l’homme l
émoires ou traditions unanimes des peuples, c’est le fait d’un déluge universel ou partiel du globe, déluge qui submergea les pla
Konfutzée en chinois). Confucius est l’incarnation de la Chine. Génie universel , en qui se résument toute la littérature antique,
e politique ; puis s’élevant bientôt à une mission plus haute et plus universelle  : « Je sens enfin, dit-il, que je dois le peu que
e résume ainsi : Le tien, mot qui veut dire le ciel vivant ou le Dieu universel qui crée, recouvre, enveloppe et retire à soi tou
mplir. « Ces cinq vertus sont : « 1º L’humanité (c’est-à-dire l’amour universel ) entre tous les hommes de notre espèce sans disti
ois noms exprimant le Grand Être, répondit Confucius, est le principe universel  ; il est la source intarissable d’où toutes les c
leurs devoirs envers le ciel, auquel, comme au principe vivifiant et universel de toute existence, ils étaient redevables de leu
95 (1866) Histoire de la littérature anglaise (2e éd. revue et augmentée) « Livre IV. L’âge moderne. — Conclusion. Le passé et le présent. » pp. 424-475
encore que ses voisines, et à double titre, parce qu’à l’impuissance universelle du moyen âge, s’y joint l’appauvrissement de la c
cipline uniforme, d’une prépondérance européenne et d’une littérature universelle . Pareillement, si vous regardez l’Anglais au seiz
l’institution de l’Habeas corpus sous Charles II, par le redressement universel de l’esprit libéral et protestant sous Jacques II
e cette austérité pédante, une révolte éclate. Avec le renouvellement universel de la pensée et de l’imagination humaine, la prof
grande curiosité, les instincts sublimes de l’esprit, le besoin de l’ universel et de l’infini, le désir des choses idéales et pa
éniens et des Thérapeutes, au milieu de l’accablement et du désespoir universels , quand la seule délivrance semblait le renoncemen
borieux et à demi libres, au milieu du redressement et de l’invention universelle , quand l’homme, améliorant sa condition, prenait
es philosophiques se dégagent sans cesse ; bref, que leur empiétement universel finira par s’étendre sur tout l’esprit humain. De
96 (1863) Cours familier de littérature. XV « LXXXVIIe entretien. Considérations sur un chef-d’œuvre, ou le danger du génie. Les Misérables, par Victor Hugo (5e partie) » pp. 145-224
te sur la terre ; le soleil éclairait à giorno. Dieu servait le repas universel . Chaque être avait sa pâture ou sa pâtée. Le rami
stence ? Demandez aux grabats de nos hôpitaux le secret de la panacée universelle  ! Demandez à l’impotent de marcher, à l’aveugle d
n dépèce les chairs palpitantes pour en vendre le cœur à ce carnivore universel qui ne peut vivre sans dévorer, et que la nature
in de fait. Jusqu’à ce que l’ordre, qui n’est autre chose que la paix universelle , soit établi, jusqu’à ce que l’harmonie et l’unit
ils l’acceptent pour amener à ses splendides et suprêmes conséquences universelles le magnifique mouvement humain irrésistiblement c
rès remis en liberté, l’agrandissement du genre humain, la délivrance universelle , et pour pis-aller les Thermopyles. « Ces passes
, et lui retire cette intelligence à la fois humaine et divine du but universel , qui fait les nations missionnaires. Babylone n’a
innommable du buste humain ; ou bien, faut-il le dire, à l’immense et universelle félicité de l’être à deux pieds sans plumes, de m
97 (1893) La psychologie des idées-forces « Tome premier — Introduction. Le problème des idées-forces comme fondamental en psychologie. »
ntervient jamais physiquement, de manière à faire brèche au mécanisme universel . Le mouvement est déjà là quand la sensation et l
typiques de l’évolution mentale, ainsi que son rôle dans l’évolution universelle . Le psychologue, il est vrai, ne peut saisir dire
phénomènes tout psychiques en soi. S’il n’y avait dans la réalité qu’ universel mécanisme, il y aurait universelle indifférence.
i. S’il n’y avait dans la réalité qu’universel mécanisme, il y aurait universelle indifférence. En quoi un ensemble de particules i
erver, à se reproduire plutôt qu’à ne pas se reproduire ? Le principe universel de l’intérêt est essentiellement psychique, et, s
mouvement qui se trouvent dans la nature, une partie de la causalité universelle , de quelque manière qu’on l’interprète ; si quelq
ujet qui s’érige à la fois en fin et en cause au sein du déterminisme universel . Nous avons dit tout à l’heure que la psychologie
une réaction véritable, conséquemment un des facteurs de l’évolution universelle . La méthode synthétique que nous nous proposons d
98 (1870) La science et la conscience « Chapitre I : La physiologie »
’ensemble des connaissances humaines et tout le système de la réalité universelle , on est bien plus frappé encore du caractère de n
e la conscience avec ses attributs propres, au sein de cette fatalité universelle  ? Où est le rôle, où est la place de la personne
ple correspondance d’actions et de mouvements au sein de la substance universelle . Pour Leibniz, qui admet la distinction et l’acti
este, dans cette grande loi de la nature qui se nomme le déterminisme universel  ? C’est ce qu’il nous reste à examiner. Toutes ce
entendre, le témoignage de la conscience n’en est pas moins constant, universel , invincible, en tout ce qui concerne les attribut
le et qui n’est pas sans analogie avec cette nécessité qui est la loi universelle des phénomènes de l’ordre physique. Tel est l’asp
u : « Je n’ai pas besoin de cette hypothèse, la loi de la gravitation universelle suffit à tout. » Mais voici où l’expérience scie
pas composition d’atomes ou résultante de forces dans l’organisation universelle . Il y a de la spontanéité même dans la nature, et
99 (1887) Revue wagnérienne. Tome II « Paris, le 15 janvier 1887. »
euils, puis, quand s’est tû le Cor, L’extinction des Dieux en l’ombre universelle .   Mais, près de l’Or ouvrant son radieux halo, W
ficielles ; projet de nouveaux Statuts pour l’Association Wagnérienne Universelle , etc. Analyse du numéro VIII-IX 1° José de
de Bayreuth pour 1887 (3e année), édité par l’Association Wagnérienne Universelle sous la direction du comte F. Sporck et d’O. Merz
n 1886 (H. de W.) ; Les Bourses (L. Sch.) ; l’Association Wagnérienne Universelle  : nouveaux statuts ; direction ; listes ; divers 
100 (1911) Lyrisme, épopée, drame. Une loi de l’histoire littéraire expliquée par l’évolution générale « Chapitre III. Contre-épreuve fournie par l’examen de la littérature italienne » pp. 155-182
les formules particulières, le problème en ce qu’il a d’éternel et d’ universel . En d’autres termes, si considérable qu’elle soit
et par un paganisme indestructible. Le principe nouveau, de la raison universelle et de la souveraineté absolue, ne se réalisera pa
es intangibles de la fantaisie, il écrit une œuvre de beauté durable, universelle , mais inefficace pour la patrie ; ses prophéties
nzoni. Quand ils s’adressent à l’humanité et qu’ils chantent un thème universel , comme Leopardi, ou quand ils se confinent dans l
/ 1742