n caractère plus sévère, quoiqu’il ait quelque rapport au premier. Je
trouve
que la terre de Naples est tout à fait poétique,
. Je désirerais faire voir, s’il m’est possible, la différence que je
trouve
entre ces deux peuples, et pour cela il faut des
merais aller m’installer pour cela sur les lieux mêmes où je voudrais
trouver
mes inspirations. Il y a une petite ville extrême
x qui ont cherché à la représenter et s’en sont approchés le plus. Ne
trouvez
-vous pas qu’il y a inconséquence et un grand manq
ion que je ne peux m’empêcher de vous communiquer, celle de n’y avoir
trouvé
aucun tableau un peu original : tous ne sont que
x qui ornaient les habillements de leurs ancêtres. Sous ce rapport je
trouve
qu’ils feraient bien, mais les classiques trouver
. Sous ce rapport je trouve qu’ils feraient bien, mais les classiques
trouveront
que je donne dans le romantique. Il me semble pou
nt qu’il y a une sévérité dans cette bizarrerie : si je parviens à la
trouver
, je suis sûr de réunir les suffrages d’hommes dif
rappelle très bien l’Exposition (celle de 1831 à Paris), eh bien ! je
trouve
qu’il n’y avait aucun tableau turc ou grec un peu
sont des caricatures. Toi (Il écrit à Schnetz) qui es venu ici, ne le
trouves
-tu pas ? Il est en cela sévère et injuste ; il a
les ombres qui le défigurent et le recouvrent dans la réalité : Pour
trouver
le beau d’une chose, ne faut-il pas la voir, la r
aire une grande composition, pensez-vous que le premier modèle que je
trouve
soit convenable pour servir à rendre une figure,
la misère et qui n’inspirent que la pitié pour ceux qui les portent,
trouvez
-vous que, pour y donner un sentiment de noblesse
le pourtant le frapper et le pénétrer en passant, lorsqu’il dit : Je
trouve
une grande différence à faire les figures d’homme
et c’est une observation que j’ai faite depuis longtemps. Le moyen de
trouver
dans un homme avili ce qui est nécessaire pour pl
résentation d’une force, d’un caractère et d’une énergie qu’il n’a pu
trouver
dans la nature qu’avec de grandes difficultés et
s’élève à l’idée pure et dominante qu’une imagination grandiose peut
trouver
dans sa conception même ou dans celle des génies
t très vite de belles compositions. Je crois qu’il est plus facile de
trouver
chez les artistes des choses faites bien spiritue
il et à une peine inévitables. Après que la pensée d’un tableau était
trouvée
et la composition bien arrêtée (ce qui lui avait
endu dire de la planche de Mercuri, je la supposais bien, mais j’y ai
trouvé
surtout ce qu’on ne trouve pas toujours dans les
Mercuri, je la supposais bien, mais j’y ai trouvé surtout ce qu’on ne
trouve
pas toujours dans les productions des arts : je v
ses réelles, ou qu’il se figurait, une prédisposition héréditaire. On
trouverait
dans ses lettres écrites durant les deux ou trois
oses qui parlent à l’âme, à présent que mon frère est avec moi. Je me
trouve
toujours mieux après que quand je me trouvais seu
frère est avec moi. Je me trouve toujours mieux après que quand je me
trouvais
seul. C’est cette solitude morale qui se refit b
ds avec l’âge : « Je ne peux m’expliquer, pensait-il, comment on peut
trouver
dans ce monde des êtres qui paraissent n’éprouver
alienne lui convenait peu ; au milieu d’un agrément extérieur, il n’y
trouvait
pas la satisfaction intime, ni ce sentiment de sé
fallu une compagne de « ce caractère doux, simple et aimant, que l’on
trouve
, disait-il, dans nos montagnes, et qui, lorsqu’il
alckenaer m’a dit souvent, que les soucis, les chagrins que l’on peut
trouver
dans l’état du mariage sont si vifs, qu’elle n’os
entre tous ceux de notre âge. Ceux qui voudraient plus de détails les
trouveront
avec plaisir dans l’ouvrage de M. Feuillet de Con
re. Ils cherchent, d’après ce qui m’a paru, une harmonie de tons : je
trouve
, d’après ce que j’ai vu, que quelquefois ils la t
e de tons : je trouve, d’après ce que j’ai vu, que quelquefois ils la
trouvent
… Ce peintre qui, je crois, n’était pas M. Louis
e étrangère, alors les mots paraissent devancer les idées ; nous nous
trouvons
dans la situation de l’homme qui écoute la parole
ent, — soit que, nous attachant à des problèmes difficiles, nous nous
trouvions
en verve et heureusement inspirés. Mais, lorsque
us est devenue familière qu’avec le temps, et les réflexions que nous
trouvons
toutes simples aujourd’hui, enfants, elles eussen
l’effet et la récompense d’une longue et patiente recherche ; si l’on
trouve
sans chercher, c’est qu’on avait cherché sans tro
es qui simplifient désormais la tâche de la réflexion ; les idées qui
trouvent
promptement leur expression ne sont nouvelles qu’
sé est plus grande en elles que celle du présent. Primitivement, pour
trouver
l’expression d’une pensée nouvelle, il faut la ch
elle est venue du dehors par le moyen des mots, ou bien nous l’avons
trouvée
par notre propre réflexion, en nous aidant, pour
expression toute faite dans notre mémoire ; il faut donc, après avoir
trouvé
l’idée, trouver une formule qui l’exprime exactem
e faite dans notre mémoire ; il faut donc, après avoir trouvé l’idée,
trouver
une formule qui l’exprime exactement dans son ent
ée même dont les destinées lui sont confiées par le penseur. Une fois
trouvée
la formule qui paraît douée de cette vertu, le pr
oses l’une alors : ou ces deux pensées se confondent, et l’expression
trouvée
devient l’expression définitive d’une pensée mixt
, sous le prétexte de comparer à sa pensée les termes qu’il a d’abord
trouvés
pour l’exprimer, compare deux pensées qu’il sait
pas, en définitive, été exprimée, que son expression immédiate s’est
trouvée
, après examen, être l’expression d’une autre pens
ole peut aider la pensée, plus on cherche ses mots, moins vite on les
trouve
, moins appropriés ils sont à bien rendre les déco
che toujours ses mots quand il porte un jugement nouveau, mais il les
trouve
de plus en plus facilement ; d’autre part, quand
evient si étroit que l’enfant devenu un adolescent ne peut plus guère
trouver
une pensée sans la bien exprimer, ni se rappeler
ne pensée bien exprimée est-elle mieux comprise de celui même qui l’a
trouvée
? Pourquoi, ensuite, est-elle plus aisée à reteni
ntaires dont les termes sont depuis longtemps fixés. Cette expression
trouvée
et approuvée, on est maître de sa pensée, on la c
u les interprètes de Boileau, on peut avoir une pensée claire sans en
trouver
immédiatement l’expression, ou du moins l’express
seules sont faciles à exprimer et à bien exprimer, qui sont faciles à
trouver
et à entendre ; ce sont les idées du sens commun
iser ; chacun aura sa part selon ses aptitudes. Ce que le maître aura
trouvé
sans parvenir à le faire entendre, sinon à un pet
iran, sont de si maladroits écrivains, s’ils sont morts avant d’avoir
trouvé
l’expression limpide où chacun aurait pu lire san
eptions ; il y a des esprits médiocres qui cherchent leurs mots et ne
trouvent
pas ceux qu’il faudrait ; il y a des esprits inve
ouvent pas ceux qu’il faudrait ; il y a des esprits inventifs qui les
trouvent
promptement et chez lesquels ils se combinent heu
t absolu, qui n’a jamais eu qu’un petit nombre d’idées, qui, une fois
trouvée
la formule concise de chacune d’elles, s’est déso
il tâtonne, il cherche, il reste quelquefois des années entières sans
trouver
la vraie formule de sa pensée ; parfois il y reno
privilège assez rare ; on l’a dit : beaucoup d’esprits bien faits ne
trouvent
la formule vraie qu’en descendant l’escalier ; le
ion. 248. De Bonald décrit le même fait à sa manière. Je pense qu’on
trouvera
notre description plus exacte. « Que cherche notr
uivre ; je les rejette. Sagacité s’offre à mon esprit ; ma pensée est
trouvée
; elle n’attendait que son expression. 146 et 287
très distinctes. J’en veux former une seule idée. Que fais-je pour la
trouver
, et pourquoi ne l’ai-je pas aussitôt que je veux
ue je veux ? c’est que son expression me manque. Je la cherche, je la
trouve
, et j’ai l’idée demandée : 433. Tous les exemples
r la figure d’un ami absent, retouche son dessin jusqu’à ce qu’il ait
trouvé
l’expression du visage qu’il reconnaît aussitôt.
’est que « faire sa langue » ; Ed. Fournié, p. 326 et 336 : « Nous ne
trouvons
dans le mot que ce que nous y avons mis », etc.
t une pension annuelle de 15 000 liv. Dans les comptes de la cour, on
trouve
, à la date de 1664, la mention du payement de cet
ts écus d’assuré. Cette pension resta fixée au même chiffre, que l’on
trouve
inscrit encore dans les comptes de l’année 1674 e
urriture, logement, etc. Ainsi, à la suite de l’article précédent, on
trouve
celui-ci : « Item, pour voiturer lesdits comédie
s avoir fait deux fagots, veut en charger son âne ; il est surpris de
trouver
, au lieu de sa souquenille, un habit magnifique,
aît l’habit de l’homme qui a blessé Ottavio, fouille dans ses poches,
trouve
une lettre d’Aurelia, se confirme dans l’idée qu’
se recommande à l’intendant. Quand le geôlier arrive, il se fâche de
trouver
sa sœur dans la rue avec un inconnu ; il fait gra
confirme dans cette idée, lorsque après avoir visité les clefs, il en
trouve
une qu’il ne reconnaît pas. Grand train, grand ta
lle de la chambre du fourbe ; il va l’essayer, ouvre la porte, entre,
trouve
une montre d’or, la vend et invite ensuite Pantal
ouvant rattraper sa clef, fait ouvrir sa chambre par un serrurier, ne
trouve
plus sa montre, en demande des nouvelles. Arlequi
uin, que les Italiens appellent goffagine, que quiconque l’a vu jouer
trouvera
toujours quelque chose à redire aux plus fameux A
le génie de la nation française, qui aime l’esprit partout où elle le
trouve
, s’avisa de faire usage des pointes et des sailli
tare auprès de la première et se retire. Arlequin est fort surpris de
trouver
deux instruments au lieu d’un : “Comment diable,
e spécimen ? Arlequin est valet de Pantalon. Ils arrivent ensemble et
trouvent
Octave en conversation avec Eularia. Arlequin, vo
ent pas de l’empêcher de continuer librement son chemin. Mais si nous
trouvons
un bon marchand, n’eût-il pour toutes armes qu’un
en avez besoin, lui crie-t-il, servez-vous de l’occasion, vous ne la
trouverez
pas toujours si commode. » Ces traits sont pris
dez-vous pour le soir même, à minuit : il se rend au lieu indiqué, et
trouve
une échelle appuyée au balcon de la demoiselle. S
son élève ; il dit que le ciel lui inspire une bonne pensée, qu’il va
trouver
l’impudique beauté qui attire son élève, lui repr
er par ses sages exhortations dans la bonne voie. Il monte, en effet,
trouve
la jeune personne endormie. Alors le sage précept
nt fait regarder Homere comme la Divinité du Parnasse ; mais il s’est
trouvé
dans le siècle dernier & dans le nôtre plusie
u’au dessein d’Homere ; & descendant du plan aux détails, ils ont
trouvé
ridicule que des Rois & des grands Capitaines
rale ne leur plaît pas davantage, & en beaucoup d’endroits ils la
trouvent
très-dangereuse pour les bonnes mœurs. Les défens
vie. Zoïle dans l’antiquité déprima tant qu’il put Homere, & il a
trouvé
des imitateurs en France. Le premier, qui chez no
Cette version n’est qu’un essai, & elle n’est pas complette. On y
trouve
un beau discours sur Homere. “Il seroit sans dout
c’est une ressource pour notre paresse & notre ignorance, de les
trouver
tellement traduits & expliqués par le P. Brum
ne nous en reste qu’une qui n’est pas même dans son entier, mais on y
trouve
la beauté, le nombre, l’harmonie & les graces
la Grèce. Nous n’avons point de traduction complette de ce Poëte. On
trouvera
quelques-unes de ses Odes mises en françois par l
a traduction, elle est assez peu estimée, mais un avantage que l’on y
trouve
, c’est que Limiers y a réuni les trois Comédies t
elle relut son ouvrage, & qu’elle le compara à son original, elle
trouva
que sa version sentoit la lampe, à la lueur de la
ion de la peste ; mais il est étouffé dans tout le reste, où loin d’y
trouver
un Poëte qui imite, qui peigne & qui remuë, o
que le fond même de ses idées, & l’on pourroit dans cette partie
trouver
quelques endroits un peu foibles. Cependant nous
ndre. Sa diction est toujours pure, harmonieuse & coulante. On ne
trouve
dans Virgile ni les excessives hyperboles de Luca
es de Milton, ni son emphase orientale qui assomme le lecteur. On n’y
trouve
point ce style dur & désagréable de nos Poëte
quels il s’appuye, & quelquefois n’en citant aucun. Souvent, pour
trouver
dans le texte le sens qu’il imagine, il ajoute de
un beau poëme. Mais je vois en même tems, que les mêmes critiques ont
trouvé
que le traducteur ne rend quelquefois que la moit
ou de sens étrangers, ni même d’expressions louches, & qu’il s’y
trouve
en plus d’un endroit des omissions essentielles.
dé.” Si des traductions en prose nous passons à celles en vers, nous
trouverons
que nous ne sommes pas peut-être plus riches ; ca
premiers Livres en vers burlesques. Quelques hommes d’un goût bizarre
trouvent
cette momerie fort plaisante. Des gens d’esprit m
, & qu’il seroit fâché de ne point commettre. L’Enéide de Scarron
trouva
de continuateurs aussi indécens que lui, mais moi
oit capable d’un tel travail, & ce grand Poëte n’est pas facile à
trouver
. Le partage d’Horace a été de n’avoir presque que
e latin à Venus la Déesse des graces, Et le françois à son époux. On
trouve
plusieurs autres morceaux d’Horace épars çà &
ntes notes, mais non exempte de tout reproche. Quelques critiques ont
trouvé
qu’il y avoit des endroits glacés, dans le franço
tées ; mais quand on la rapprochera du texte de notre Poëte, qu’on le
trouvera
peu reconnoissable, l’auteur n’a pas mis la chale
étoit fort sec, mais le Poëte doué de l’imagination la plus heureuse,
trouva
le moyen de répandre des fleurs sur toute la rout
astes. Mais ces Elégies ne sont pas celles de ses productions où l’on
trouve
le plus d’élévation & d’agrément. Ce sont tou
ain. Je ne crois pas que l’on puisse blâmer cette ambition. Mais on a
trouvé
que pour la satisfaire, il en coûtoit quelquefois
d’aimer, la source, à ce qu’on prétend, des malheurs d’Ovide, n’a pas
trouvé
de traducteur digne des charmes de ce Poëme ; &am
plus mauvais plaisant eut ses approbateurs, Et jusqu’à d’Assouci tout
trouva
des lecteurs. Ce trait piqua vivement notre Poët
tyle très-bouffon : “Ah ! cher lecteur, si tu sçavois comment ce tout
trouva
me tient au cœur, tu plaindrois ma destinée ; j’e
attribué à Chapelle, qui finit par ces vers : Mais quant à moi, j’en
trouve
tout fort beau, Papier, dorure, images, caractère
ruit du commerce de M. Gillet de Moyvre, Avocat, avec les Muses. On y
trouve
toutes les poésies de Tibulle, traduites en vers
mplaisance, qui l’engagea à le reproduire au grand jour en 1746. On y
trouve
, comme dans son histoire de Tibulle, la traductio
ssent nullement ni du pays latin, ni de la langue latine. Mais on l’a
trouvé
trop familier dans cette longue Epître préliminai
eu occasion de faire sur ces piéces dans son théâtre de Grecs. Vous y
trouverez
les paralleles de l’Œdipe de Sophocle avec l’Œdip
a eu plusieurs traducteurs. Premiérement Nodot, qui ajouta une suite
trouvée
, à ce qu’il dit, à Belgrade en 1688. ; suite dont
ident Bouhier ; celle-ci est digne de la plume de ce Magistrat. On la
trouve
dans son Recueil de diverses traductions en vers
au qui n’est pas piquant ni brillant en couleurs, mais dans lequel on
trouve
des sites & des incidens pittoresques. La séc
oëtes françois ont imité ou traduit diverses piéces de ce Jésuite. On
trouvera
ces imitations dans le recueil de ses œuvres, Par
oute singulier qu’un Poëme, qui enseigne un pareil art, & où l’on
trouve
des peintures des plaisirs de l’amour, & des
es Passions & l’Art de la Verrerie. Les petites négligences qu’on
trouve
dans le premier sont peu de chose, quand on les c
vrage en prose françoise. Ceux qui sont versés dans les deux langues,
trouveront
que la version est peu littérale, & que le tr
aussi élégantes. Vaniere. Le Pradium Rusticum du P. Vaniere, a
trouvé
autant d’admirateurs que le Poëme des Jardins du
Comédies, & Martignac mit en François les trois autres. (*). On
trouve
cette Histoire romanesque dans le tome premier de
ère de climat ou de conditions physiques, dans l’Ancien Monde, qui ne
trouvent
leurs semblables dans le Nouveau, du moins jusqu’
même espèce exige en général ; car c’est un cas des plus rares que de
trouver
un groupe d’organismes exclusivement confiné en q
ouest de l’Amérique du Sud, entre les 25° et 35° de latitude, on peut
trouver
des régions on ne peut plus analogues à tous égar
eut plus analogues à tous égards, et pourtant il serait impossible de
trouver
trois faunes et trois flores plus complétement di
es déserts, et quelquefois sur les deux rives d’une large rivière, on
trouve
de très différentes productions ; bien que pourta
occidentales de l’Amérique du Centre et du Sud. À peine y pourrait-on
trouver
un poisson, un coquillage ou un crustacé qui fût
l’océan Pacifique, nous ne rencontrons plus aucune barrière, et nous
trouvons
, au contraire, des côtes continues ou d’innombrab
t américain. Si nous gravissons les pics élevés des Cordillères, nous
trouvons
une espèce de Viscache alpestre ; si nous regardo
une espèce de Viscache alpestre ; si nous regardons les eaux, nous ne
trouvons
point le Castor ou le Rat musqué, mais le Couïa o
assés, et, ainsi que nous l’avons vu dans le chapitre précédent, nous
trouverons
encore que ce sont des types américains qui préva
usqu’aux contrées isolées et distantes les unes des autres où nous la
trouvons
aujourd’hui répandue. Néanmoins cela semble si si
égard de tous les autres êtres organisés ; et il s’ensuit que nous ne
trouvons
point d’exemple d’un même mammifère habitant des
es, fait qui serait complétement inexplicable. Aucun géologue ne peut
trouver
de difficulté à ce que la Grande-Bretagne, par ex
es espèces peuvent être produites en deux points séparés, pourquoi ne
trouvons
-nous pas un seul mammifère qui soit commun à l’Eu
s distantes et séparées ; et je ne prétends nullement qu’on en puisse
trouver
aucune explication complète et certaine. M’ais ap
e ne parlerai ici que des plantes. Dans les ouvrages de botanique, on
trouve
telle ou telle plante désignée comme se prêtant m
ister à l’action nuisible de l’eau de mer. À ma grande surprise, j’ai
trouvé
que, sur 87 espèces, 64 ont parfaitement germé ap
tai ensuite l’essai sur des capsules ou des fruits plus gros, et j’en
trouvai
quelques-uns qui flottèrent très longtemps. On sa
d’autres pierres pour leurs outils ou leurs armes, que celles qu’ils
trouvent
entre les racines de ces arbres échoués. Ces pier
s pour rapporter aux petits rois du pays un droit important. Or, j’ai
trouvé
à un examen scrupuleux que, lorsque des pierres d
e germer ; on sait de plus, très positivement, que lorsqu’un oiseau a
trouvé
une grande quantité de nourriture et l’a ingurgit
s ils dégorgent de petites pelotes renfermant des graines qui se sont
trouvées
propres à la germination, d’après les expériences
rd’hui tempérées. Le nombre considérable de plantes européennes qu’on
trouve
aux Açores, en comparaison de celles qui croissen
t observé de blocs erratiques dans ces îles, et il répondit qu’il s’y
trouvait
de gros fragments de granit et d’autres roches qu
e ans, il serait miraculeux que beaucoup de plantes ne se fussent pas
trouvées
ainsi transportées et répandues. On considère à t
ues de l’Europe et de l’Amérique, que lorsqu’en d’autres régions nous
trouvons
les mêmes espèces sur les sommets de montagnes él
, et depuis seront revenues à leurs stations actuelles ; mais je n’ai
trouvé
aucune preuve satisfaisante de cette période inte
s vivants des régions tempérées du Nouveau Monde et de l’Ancien, l’on
trouve
très peu d’espèces identiques, bien qu’un plus gr
t cru d’abord, ainsi que l’a dernièrement démontré Asa Gray ; mais on
trouve
dans chaque grande classe des formes que certains
up au-dessous de leur niveau actuel, et les plantes identiques, qu’on
trouve
en cette île sur des montagnes très éloignées les
ifférent, on a suivi le même phénomène jusqu’à 46° de latitude ; on a
trouvé
aussi des blocs erratiques dans les Montagnes Roc
ux renseignements sur ce sujet par M. Forbes. Je tiens de lui qu’il a
trouvé
, dans les Cordillères, entre 13° et 30° de latitu
u’à l’extrémité méridionale du continent et sur ses deux versants, on
trouve
les preuves les plus évidentes de l’action glacia
es européens. Sur les montagnes les plus élevées du Brésil, Gardner a
trouvé
quelques genres européens qui n’existent nulle pa
représentatives de la flore du cap de Bonne-Espérance. Au Cap même on
trouve
aussi quelques espèces d’Europe, que l’on ne croi
teur Hooker, on pourrait dresser une longue liste de genres européens
trouvés
en Australie, mais qui ne se rencontrent nulle pa
Introduction à la flore de la Nouvelle-Zélande du docteur Hooker, on
trouve
des faits analogues et non moins frappants à l’ég
mmunes à la Nouvelle-Zélande et à l’Europe, mais n’ont pas encore été
trouvées
dans les mers tropicales intermédiaires. Il faut
a Terre-de-Feu, vivent aussi dans l’Amérique du Nord, qui doit s’être
trouvée
sur le chemin de leur migrations. Nous pouvons su
situées au niveau de la mer, était à peu près le même que celui qu’on
trouve
aujourd’hui à une altitude de cinq ou six mille p
Panama, à une altitude de 2, 000 pieds seulement, le docteur Seeman a
trouvé
une végétation semblable à celle de Mexico « avec
eur indéterminée avec des formes tempérées. J’ai espéré quelque temps
trouver
la preuve que quelque part dans le monde les trop
us dans l’archipel Malais, car sur les cônes volcaniques de Java nous
trouvons
des formes européennes, et sur les hauteurs de Bo
le moins souffert de la période glaciaire ; néanmoins là encore nous
trouvons
sur les montagnes du Brésil un petit nombre de fo
leur patrie originaire en plus grand nombre, se sont, en conséquence,
trouvées
, grâce à une concurrence et à une sélection natur
ées ici. Je dirai seulement qu’à l’égard des espèces identiques qu’on
trouve
en des points aussi éloignés les uns des autres q
e Poëte ; mais elles sont répandues çà & là. L’ouvrage où vous en
trouverez
le plus est celui que M. l’Abbé de Sade nous a do
du sujet ; le comique & souvent un comique bas & obscene, s’y
trouve
confondu avec le tragique & l’héroïque. Ce Po
es traits qui leur sont propres & qui les distinguent le plus. Où
trouver
des caractères plus variés, plus fortement souten
e toute cette Pastorale une sagesse d’expression qui n’a pas toujours
trouvé
dans les Poëtes italiens de scrupuleux imitateurs
riche dans ses images, intéressant dans la conduite de sa piéce. On y
trouve
même plusieurs morceaux plus brillans & plus
t dans l’Italien. Ces fleurs qui en sont un des plus beaux ornemens y
trouvent
le même dépérissement qu’essuye le plus délicieux
nt il est rempli, un phœbus perpétuel, des tirades de vers où l’on ne
trouve
que la même pensée, ses images peu naturelles, to
est regardé comme un des beaux monumens de la langue italienne. On y
trouve
beaucoup de feu, d’imagination & de gaieté. R
trois volumes in-12. qui est plus élégante & plus fidéle. Il a dû
trouver
de grandes difficultés dans la modestie de notre
ts ; mais on vouloit avoir les piéces en entier, & c’est ce qu’on
trouve
dans le recueil de M. Linguet beaucoup plus ample
adis perdu de Milton est peut-être le seul Poëme anglois où l’on peut
trouver
dans un parfait degré cette conformité qui satisf
élevé, il descend à la description naturelle des choses humaines. Où
trouver
des images plus grandes, plus sublimes, une poési
rale, est préférable à celle de M. Racine. Le Paradis reconquis qu’on
trouve
à la suite de la traduction de Racine, est un aut
n ouvrage très-médiocre. Mais à force d’esprit, l’auteur d’Hudibras a
trouvé
le secret d’être fort au-dessous de Dom-Quichote.
très-beaux vers, rien néanmoins n’y attache l’esprit, parce qu’on n’y
trouve
aucun ordre, aucune liaison, aucune analogie dans
st une preuve de la ressource qu’un homme d’esprit & de goùt peut
trouver
dans l’élégante clarté & dans la douce énergi
i ce n’est qu’il est, ce me semble, plus enjoué & plus galant. On
trouve
dans ce petit Poëme de l’invention, du dessein, d
rose, & M. Despreaux, de l’Académie d’Angers, l’a mis en vers. On
trouve
ces deux versions dans l’édition des œuvres de Po
sions dans l’édition des œuvres de Pope que nous avons indiquée. On y
trouvera
aussi un grand nombre d’autres ouvrages dont il e
nchantemens, ni monstres, ni divinités, ni allégories, & l’on n’y
trouve
aucune de ces machines qui constituent l’essence
ent assez variés. Celui de Leonidas est très-beau, mais en général on
trouve
dans ce Poëme plus d’esprit que de goût. Il a été
re qu’après l’avoir dépouillée. Malgré cela, il faut convenir qu’on y
trouve
des élans de génie supérieur en quelque sorte aux
a version est plus fidéle que celle de M. de la Place, qui, lorsqu’il
trouve
dans les productions britanniques des images ou d
Il y a divers morceaux traduits d’après les Poëtes de la Chine. On y
trouve
de l’enthousiasme, de l’imagination, de l’allégor
en ce genre, il n’y en a point qui ayent mieux réussi qu’Aristote. On
trouve
dans sa Rhétorique de l’ordre, de l’exactitude &a
ble à lire que l’original. Si des Grecs nous passons aux Latins, nous
trouvons
d’abord Ciceron qui fut le maître, ainsi que le m
excellente traduction en 1737., exactitude, fidélité, élégance, on y
trouve
tout ce qu’on devoit attendre d’un auteur familie
à la traduction que M. de Villefore en publia en 1726. in-12. On n’y
trouve
point l’élégance de l’original, & le sens n’e
pour offrir aux yeux une parade vaine ; Mais placés avec ordre on les
trouve
sans peine. C’est ce que dit Pope en parlant de
acite. Ce Dialogue ne peut être que l’ouvrage d’un grand maître. On y
trouve
des caractères soutenus, des portraits d’après na
e partie de l’art de l’éloquence qui donne des préceptes pour aider à
trouver
les pensées qui doivent composer le discours. Il
mples sont en général bien choisis & bien éclaircis, mais il s’en
trouve
quelques-uns d’un très-mauvais goût.” L’auteur d
, ne paroissent à d’autres que des trivialités brillantes. On n’a pas
trouvé
non plus assez de justesse dans plusieurs de ses
e ou qu’on ne pense pas comme le P. Buffier, on ne peut s’empêcher de
trouver
de la profondeur & de la finesse dans ses réf
t le Pere Ceruti, a de grands avantages sur l’Eloquence profane. Elle
trouve
plus aisément l’art d’intéresser le sentiment, l’
choses des Orateurs sacrés, comme aujourdhui on en exige trop peu. On
trouvera
l’apologie de ce Jésuite dans l’Art de prêcher la
répétitions dans son traité, & sur-tout trop de digressions. On y
trouve
une longue apologie des Sermons de St. François d
de ses auditeurs, pourroit faire un grand fruit ; mais il est rare de
trouver
de telles personnes. C’est beaucoup que la plûpar
Eloquence à la suite de ses Panégyriques. “Je me flâte, dit-il, qu’on
trouvera
de la conformité entre les unes & les autres
es Panégyriques d’après mes Réfléxions ; & j’ose espérer qu’on ne
trouvera
rien dans celles-ci qui ait été dicté au Rhéteur
le. C’est un écrit systématique, où, avec de fort bonnes idées, on en
trouve
beaucoup plus de singulieres, comme dans la plus
te de vérités spéculatives. Entr’autres opinions singulieres que l’on
trouve
rêpandues dans cet écrit, on est étonné que l’aut
oquence du Barreau. Nous ne sommes pas bien riches dans ce genre ; on
trouvera
pourtant de bonnes choses dans les Regles pour fo
de l’Avocat. Son ouvrage est en forme de maximes ; & j’en ai peu
trouvé
qui ne soient solides & judicieuses. Un peu p
e dessein par rapport à l’objet qu’il traite. Les jeunes Prédicateurs
trouveront
ici dans un seul volume les maximes & les reg
l et y habite. En 1817, il fit un voyage en Italie avec sa famille et
trouva
à Rome, parmi les pensionnaires de l’Académie de
pide ivresse ; puis vint le travail : il s’agissait de se diriger, de
trouver
et de suivre son genre de talent. Il y avait d’un
d : « qu’il ne faut pas voir la nature bêtement, et qu’il faut savoir
trouver
le beau ». Noblesse et vérité, c’est là toute la
ait peu à ajouter à ses modèles. Il s’occupait avant tout de les bien
trouver
, de les bien choisir, afin de les copier ensuite
eut son contrecoup pittoresque inattendu. Schnetz et Léopold Robert y
trouvèrent
leur veine. Installés au milieu de cette populati
uni. Léopold Robert eut de tout temps la plus grande préoccupation de
trouver
de ces modèles qui avaient échappé par leurs trai
cher ami, qu’en faisant ces observations, je ne pouvais m’empêcher de
trouver
l’immortel Raphaël bien au-dessous de la nature,
ais, comme je vous le disais tout à l’heure, je ne peux m’empêcher de
trouver
les œuvres du Créateur bien autrement sublimes qu
n sujet de composition à la Gérard. Mais Corinne, mais Oswald, où les
trouver
? Dans les salons sans doute, dans la société ; L
it-il à son ami Navez, sur mon tableau de Corinne… Il pourra bien s’y
trouver
quelques bons détails, mais j’ai bien peur de m’ê
ait-il à un ami, malgré son amabilité (affectée bien souvent), je lui
trouve
si peu de naïveté, de vrai sentiment, de jugement
et puis, enfin, on voit le caractère des gens dans leur peinture ; je
trouve
qu’elle n’a pas l’ombre de sentiment, pas d’expre
« Je te félicite d’avoir enfin pris le parti de te marier et d’avoir
trouvé
surtout une aimable moitié qui trouvera plus son
e parti de te marier et d’avoir trouvé surtout une aimable moitié qui
trouvera
plus son plaisir d’être chez elle que de sortir.
amicale et d’esprit de famille : Il est vrai que tu as tout pour te
trouver
heureux d’être au monde : tu te trouves dans ta p
t vrai que tu as tout pour te trouver heureux d’être au monde : tu te
trouves
dans ta patrie, honoré et considéré pour ton tale
e pense quitter Rome au printemps prochain : l’isolement où nous nous
trouverons
, mon frère et moi, ne sera pas assez long, j’espè
as un stimulant assez fort ; il me faut une autre chose que vous avez
trouvée
: c’est votre affection, cette amitié qui m’émeut
fais n’a pas à ses yeux le cachet qu’il désire et qu’il prêche. Il y
trouve
peut-être trop de nature, c’est-à-dire un effet q
ention et appeler l’intérêt de ceux qui lisent : aujourd’hui il devra
trouver
un accueil plus empressé encore et plus favorable
tourmente politique de l’avoir enveloppé dans son tourbillon, et qui
trouveraient
certainement des accents pour invoquer les dieux
y reconnaît bien quelques mérites d’idée et d’intention, mais il n’y
trouve
pas le vrai cachet original, et il ajoute avec je
et défaillant, on raconte que, pour réparer un peu ses forces, il ne
trouvait
à manger que la neige du chemin : Un âne portait
âne portait leur mince bagage ; le serviteur inquiet chercha s’il n’y
trouverait
pas quelque nourriture, et, contre son attente, i
’il n’y trouverait pas quelque nourriture, et, contre son attente, il
trouva
du pain blanc qui leur rendit la vie. Anselme, co
ie. Anselme se dirigea à travers la Bourgogne et la France, et on le
trouve
en Normandie, à Avranches, en 1059 ; il n’avait q
te, il y entra dans sa voie la plus naturelle de vocation, et qu’il y
trouva
le champ de culture le plus approprié à ses insti
die n’étaient presque qu’un même pays depuis la conquête), Anselme ne
trouva
point en lui toutes les qualités et les ressource
à proprement parler, il conçoit, il déduit, il expose. La forme qu’il
trouve
naturellement pour développer ses idées est celle
heureux, au point de vue religieux et moral, que la croyance en Dieu
trouve
des appuis plus naturels et plus sentis dans le c
très grande moitié du monde, même du monde intellectuel, qui ne s’en
trouve
pas plus convaincue après qu’auparavant, et qui c
n confirmative pour ceux qui croyaient déjà. Et de son temps même, il
trouva
un petit moine très sensé et très poli, appelé Ga
politiques qui entrassent dans les vues de son gouvernement. Il avait
trouvé
quelqu’un de tel dans la personne de Lanfranc, ar
ls sont une fois soulevés, il attend la solution d’ailleurs, il ne la
trouve
jamais de lui-même. Il montre dans l’ensemble de
’avoir voulu sauver la France à leur manière, d’une manière qui s’est
trouvée
insuffisante et fragile en face d’une autre métho
— Cet article était écrit lorsqu’au moment de le faire paraître, nous
trouvons
avec bonheur, dans Le Moniteur de ce matin (8 aoû
ai pas à m’expliquer sur le point de vue qui règne dans ce livre ; on
trouvera
des éclaircissements suffisants à ce sujet dans l
dans des conditions simples et faciles à apprécier, les lois que l’on
trouve
se rapprochent beaucoup plus de la réalité, sans
tés pour découvrir des faits qui les renversent, qu’il y en a pour en
trouver
qui les appuient. S’il nous a été donné de faire
e physicien de nos jours2, que « rien n’est plus clair que ce qu’on a
trouvé
hier, et rien n’est plus difficile à voir que ce
qu’on a trouvé hier, et rien n’est plus difficile à voir que ce qu’on
trouvera
demain. » Je désire, Messieurs, mettre un exempl
ence que cette section exerce sur la chaleur de ces mêmes parties, je
trouvai
des faits en apparence contradictoires consignés
ympathique. En plongeant un thermomètre dans l’oreille gauche, nous y
trouvons
quatre degrés de plus que dans l’oreille droite,
es, qui resteront comme des desiderata tant qu’elles n’auront pas été
trouvées
. Ceci revient à dire, en d’autres termes, que les
ns examiné les urines de cinq ou six autres lapins, et nous les avons
trouvées
toutes douées des mêmes caractères physiques et c
aille, de la vessie duquel nous extrayons également l’urine ; nous la
trouvons
cette fois claire, limpide, acide, contenant beau
e, et je cherchai à apprécier cette circonstance. J’arrivai bientôt à
trouver
que cela dépendait de l’état d’abstinence où se t
t normal a correspondu un progrès équivalent dans la pathologie. Nous
trouverions
à toutes les époques de la médecine un grand nomb
fonctions du foie, du pancréas, du grand sympathique, etc., ont déjà
trouvé
leur application en suscitant des observations pa
a l’esprit immédiatement dirigé vers l’affection diabétique quand on
trouve
une personne dont les urines sont sucrées. Nous v
s l’organisme par l’acte de la digestion du sucre ou des féculents ne
trouve
pas dans le sang l’alcalinité convenable pour le
l’organisme, qu’elle se rencontre constamment dans l’économie, et s’y
trouve
formée par une fonction toute spéciale, quelle qu
métallique et une précipitation de l’oxyde de cuivre. M. Becquerel a
trouvé
que cette réduction ne s’opère qu’avec les sucres
emple, pour transformer en glucose le sucre de canne qui pourrait s’y
trouver
. Après cette opération on neutralise le liquide e
nter l’oxygène à l’air, il l’a pris au deutoxyde de cuivre, qui s’est
trouvé
réduit à l’état de protoxyde insoluble dans l’aci
e sont pas toujours praticables quand on a du sucre à reconnaître, on
trouve
un caractère d’une certitude absolue dans la ferm
ctions avec le liquide cupro-potassique ni avec la potasse. Mais j’ai
trouvé
que le charbon animal est un moyen plus simple po
tres présentant une vitalité supérieure. Quoi qu’il en soit, quand on
trouvait
du sucre dans un animal, on croyait que cette mat
en raison même de la nature de son alimentation ; que l’on devait en
trouver
chez les herbivores, qui prennent en abondance de
rganes provenant du bœuf, c’est-à-dire du même animal dont nous avons
trouvé
le foie très sucré. Vous voyez qu’aucun de ces ti
grand nombre d’expériences faites à ce sujet nous ont appris que nous
trouverions
que ce tissu provenant de 20 grammes de foie frai
s moyens de dosage, mais j’aime mieux y revenir plus tard, si nous le
trouvons
nécessaire. Je me hâte de poursuivre la partie vr
faite judiciairement deux jours après par M. Ambroise Tardieu, on ne
trouva
dans l’estomac que du vin avec très peu d’aliment
nière partie de l’expérience que la déviation de +0,5°, qui avait été
trouvée
dans le premier examen du liquide, était due tout
les herbivores, soient déjà une preuve que le sucre se forme où on le
trouve
, je veux vous démontrer maintenant, par des expér
mois ; au bout de ce temps, les animaux ont été sacrifiés, et l’on a
trouvé
dans leur foie 1,90 gr. pour 100, c’est-à-dire au
dans le sang de la veine porte venant des intestins, tandis qu’on en
trouve
des quantités considérables dans le sang qui sort
ie, puisqu’il n’y en a pas dans le sang avant cet organe, et qu’on en
trouve
de grandes quantités dans le sang après. Nous ajo
n fragments de tête de mouton cuits que l’animal avait mangés, on n’y
trouve
pas les moindres traces de matière sucrée. — Il n
ême des années après l’emploi de ces substances, on pouvait encore en
trouver
des traces dans le tissu hépatique. Mais il ne sa
ieurement formée a eu le temps de se détruire. Nous ne devons plus en
trouver
la moindre trace, bien que l’animal fût en pleine
oie elle-même s’arrête, et il ne se produit plus de sucre, aussi n’en
trouve-t
-on jamais sur les cadavres apportés dans les amph
il reste encore du sucre dans le foie. C’est ainsi que nous en avons
trouvé
chez quelques phtisiques, morts à la suite d’une
longue maladie, ou sont morts subitement. Dans le premier cas, on ne
trouvera
plus de sucre dans le foie, tandis qu’il y en aur
sang qui entre dans le foie ne contient pas de sucre, tandis qu’on en
trouve
toujours dans le sang qui en sort. La fonction gl
s directement dans le sang. En effet, dans l’état physiologique on ne
trouve
jamais le sucre hépatique en dehors du système ci
s, et l’on savait très bien que, quand on fait jeûner les animaux, on
trouve
constamment chez eux la vésicule distendue par la
e larves, par conséquent de matières animales. Nous avons constamment
trouvé
du sucre dans leur foie. Nous avons de plus suivi
oie devient plus abondante, de telle sorte que bientôt l’estomac s’en
trouve
rempli et distendu. La sécrétion du fluide sucré
oit à l’état de larves (à l’exception des pucerons et des kermès), on
trouve
, à la terminaison du ventricule chylifique ou est
intestinales, et qu’on le traite par le liquide cypro-potassique, on
trouve
qu’il le réduit. Il y aurait donc chez les Mollus
ons actuellement l’urine dans la vessie chez ce même animal, nous n’y
trouvons
pas de sucre. La bile elle-même qui sort du foie
ez la bile contenue dans la vésicule aussitôt après la mort, vous n’y
trouverez
pas de sucre, pas plus que dans la bile prise sur
le tissu du foie, déjà même le lendemain de la mort de l’animal on y
trouvera
du sucre en quantité notable. Que s’est-il passé
exemple, à jeun, ou dans l’intervalle qui sépare deux digestions, on
trouve
, en général, ce que nous avons dit tout à l’heure
s avons faites devant vous, pour vous montrer que chez un chien on ne
trouve
pas de sucre dans le sang qui arrive au foie, nou
sucre dans tous les vaisseaux du corps, artériels et veineux ; on en
trouve
même dans les artères rénales, mais en proportion
’admettait pas la production du sucre dans le foie, parce qu’il avait
trouvé
du sucre dans les veines superficielles du corps
l’excès de sucre se serait répandu dans tout le sang, et alors on en
trouverait
dans la veine porte ; ce sucre ne viendrait pas d
siologiques bien faites. Nous voyons, en effet, qu’où la chimie seule
trouve
des résultats contradictoires, la physiologie les
e départ, et que c’est toujours à cet organe qu’il faut remonter pour
trouver
l’origine de la matière sucrée. Ces diverses circ
s petite quantité. Ce liquide est le fluide céphalo-rachidien. J’y ai
trouvé
du sucre d’une manière constante, soit à jeun, so
ane du corps qui ait la propriété d’en fabriquer. Dans le cas où nous
trouvons
du sucre répandu dans tout l’organisme, il est to
imum, la production du sucre ne dépassant pas la destruction, on n’en
trouve
pas dans le système circulatoire général ; mais q
re au dehors, tant que la courbe ne dépassera pas la ligne e b, on ne
trouvera
pas de sucre dans les urines ; mais cette substan
la direction générale, en creusant plus profondément le phénomène, on
trouverait
des oscillations de deuxième et troisième ordre q
sur le côté droit du cou, et immédiatement au-dessous de la peau nous
trouvons
la veine jugulaire externe bien plus volumineuse
i provenait du foie, n’a donc pas traversé le poumon, puisqu’on ne le
trouve
pas dans le sang après cet organe. Il n’est pas n
ntoure. Si les animaux utilisent pour leur nourriture le sucre qu’ils
trouvent
dans les végétaux, on ne peut pas dire que ce soi
année, la plante accumule dans sa racine les matières sucrées qui s’y
trouvent
alors en grande abondance ; mais si on la laisse
si, car, dans l’analyse que j’ai faite d’un foie gras de canard, j’ai
trouvé
1,40 pour 100 de sucre dans le tissu du foie. Le
de la substance fonctionnante du foie ; car à côté de ces lésions on
trouve
des parties saines présentant du sucre dans les p
considérable ; car sur un chien à jeun depuis trente-six heures, j’ai
trouvé
encore une proportion de 1,255 de sucre pour 100
jours, l’autre depuis douze jours (ce dernier buvait de l’eau), j’ai
trouvé
encore très évidemment du sucre dans le foie. Che
et l’animal n’avait perdu que 3 onces de son poids. À l’autopsie, on
trouva
que son foie donnait une décoction claire et neut
t faisant tourner à droite le plan de polarisation. Par le dosage, on
trouva
que cette décoction hépatique contenait 2,87 pour
ez d’autres rongeurs à l’état normal. Quand on ouvrit l’estomac, on y
trouva
une matière neutre d’un blanc grisâtre qui existe
ons nourri des chiens avec du lard et avec de l’axonge, et nous avons
trouvé
ce fait très curieux, que sous l’influence de cet
nalyses de Lehmann viennent encore confirmer ces faits. Ce chimiste a
trouvé
que le sang qui arrive dans le foie contient, quo
onstitution des matières azotées de la bile. On ne saurait, en effet,
trouver
une autre origine à cette matière sucrée, qui ne
dans l’œsophage à l’aide d’une sonde. Nous ouvrons l’estomac, nous y
trouvons
une bouillie grisâtre, que nous jetons sur un fil
re sucrée dans l’estomac. Dans la partie inférieure du duodénum, nous
trouvons
une matière visqueuse jaunâtre, colorée par la bi
ation féculente ou sucrée, nous devions naturellement nous attendre à
trouver
une plus grande proportion du sucre dans le foie
grande proportion du sucre dans le foie ; au lieu de cela, nous avons
trouvé
qu’il n’y en a pas une plus grande quantité après
réalité, de ceux indiqués pour la gélatine et de ceux que nous avons
trouvés
ailleurs pour des alimentations mixtes. Mais il y
ouvrons actuellement l’estomac et l’intestin de l’autre animal, nous
trouvons
dans l’estomac une matière grisâtre dans laquelle
tales, et, si vous analysez leur sang dans le cœur, par exemple, vous
trouverez
chez tous une composition à peu près identique de
n en rencontre dans le sang de la veine porte. Mais cependant on n’en
trouve
pas plus au-delà du foie que dans une nourriture
100 ; quand il se nourrit de matières féculentes ou sucrées, il s’en
trouve
encore des quantités sensiblement égales, de 1,50
ntaires, par les faits connus dans l’engraissement des bestiaux, nous
trouverons
là une expérimentation faite sur une plus vaste é
écrétion biliaire que nous aurons à envisager dans cet organe, nous y
trouverons
en outre deux fonctions distinctes d’une importan
tenant, nous cherchons dans les faits pathologiques, nous pourrons en
trouver
peut-être qui sont en rapport avec cette nouvelle
allons vous dire quelques mots. Quand on fait l’anatomie du foie, on
trouve
des groupes de cellules, qu’on nomme un lobule (f
tité d’une solution concentrée et dosée de sucre, et cependant on n’a
trouvé
le sucre dans les urines que chez un seul animal.
est remarquable que c’est chez les chevaux coureurs que j’ai toujours
trouvé
cet appareil à son summum de développement. Les f
lupart après un séjour plus ou moins long dans les hôpitaux, vous n’y
trouverez
pas ordinairement de sucre. Voici, par exemple, u
s. Cela indique alors que le malade n’a plus longtemps à vivre. On ne
trouve
, en effet, de sucre dans le foie des diabétiques
comment s’est comportée pendant ce temps la fonction glycogénique, on
trouve
que, à mesure que la température s’abaisse, le su
e, et quand le thermomètre n’indique plus que 18 à 20 degrés, on n’en
trouve
plus du tout, de sorte qu’en deux heures tout le
imal aura repris sa chaleur normale, que sa vivacité sera revenue, on
trouvera
du sucre dans son foie. En voyant ainsi disparaît
obules rouges. — Quand on examine le sang après sa sortie du foie, on
trouve
que les globules sont notablement plus petits que
en conséquence, à voir le sang de la veine porte, que nous avons déjà
trouvé
plus riche en sérum, contenir plus d’eau que celu
se, la fibrine, l’albumine et le sucre. Quant à la graisse, Lehmann a
trouvé
, sur trois observations, les résultats suivants :
s à ce sujet. La fibrine disparaît complètement dans le foie. On n’en
trouve
plus trace dans le sang des veines hépatiques. Su
t. Enfin, indépendamment de ces substances, il y a le sucre, qu’on ne
trouve
jamais dans le sang de la veine porte, quand on p
r exemple, pour faire suite aux mêmes analyses précédentes, Lehmann a
trouvé
0,055 gr. pour 100 dans le sang qui entre dans le
suite ramenée à l’échelle du thermomètre à graduation centésimale. On
trouvera
résumés dans le tableau suivant les résultats des
’absorbe peu à peu dans le tissu cellulaire, de manière qu’il ne s’en
trouve
jamais à la fois qu’une faible quantité dans l’or
alyse des phénomènes du diabète, nous verrons que chacun de ces faits
trouvera
son application. Onzième leçon 30 janvier 18
on, où il peut être alors complètement détruit ; dans ce moment on ne
trouve
manifestement du sucre qu’entre ces deux organes.
l’animal en repos on tire alors du sang de la veine jugulaire, on n’y
trouvera
pas sensiblement de traces de matières sucrées. S
qu’après on reprenne du sang de la veine jugulaire du même animal, on
trouvera
qu’il y a du sucre. L’expérience aura cependant d
de la présence du sucre dans l’urine des fœtus de différents âges, je
trouvai
d’autres faits qui ne pouvaient plus s’expliquer
du sucre, quoiqu’il soit alors sécrété dans l’organisme, et qu’on en
trouve
beaucoup dans le foie. Je vous donne ces détails,
sparaître ; car si elle paraissait confirmée dans un des cas, où l’on
trouve
du sucre dans l’urine, quand il n’y a pas encore
ratoire, elle ne pouvait plus s’appliquer à l’autre cas, où l’on n’en
trouve
plus chez les fœtus de sept ou huit mois, bien qu
la destructibilité du sucre au contact de différents gaz, nous avons
trouvé
que l’oxygène ne possède rien de particulier à ce
ain, après vingt heures de contact, on examina tous les sangs et l’on
trouva
que le sucre avait disparu d’une manière complète
Il était donc naturel de penser que le sucre avait préexisté où nous
trouvions
de l’acide lactique, de même que, lorsque nous tr
isté où nous trouvions de l’acide lactique, de même que, lorsque nous
trouvons
de la dextrine, nous concluons à l’amidon qui lui
it surprendre le sucre à sa formation, puisque primitivement on ne le
trouve
pas dans le muscle, ni dans le poumon. Il fallait
et de l’alcool, dont voici également un échantillon. Nous avons donc
trouvé
ce fait, qui n’avait jamais été soupçonné, c’est
, en essayant les divers tissus, les uns après les autres, nous avons
trouvé
que le sucre ne se développait que dans le poumon
fermentation gylcosique paraît seule avoir lieu, et le sucre qui s’y
trouve
paraît s’éliminer à ce moment sans passer à l’éta
s comment expliquer dans la théorie de l’oxydation, à savoir que l’on
trouve
du sucre dans l’urine des fœtus, dès que la vessi
qui considérait la matière sucrée comme venant toujours du dehors ne
trouverait
plus de défenseurs. Mais les théories ne se résig
ns le sang de bœuf pris dans les abattoirs, quand il est frais, on en
trouve
toujours, et voici pourquoi. Pour saigner les bœu
Lehmann ainsi que d’autres expérimentateurs l’ont faite, on n’eût pas
trouvé
de sucre, ou bien dans les cas où l’on en eût tro
te, on n’eût pas trouvé de sucre, ou bien dans les cas où l’on en eût
trouvé
, cas que nous avons déterminés nous-même, on en e
comme on sait qu’il s’y détruit très vite, on pourrait s’étonner d’en
trouver
encore presque autant, après trois ou quatre jour
mpétence sur des déterminations chimiques est si hautement établie, a
trouvé
également du sucre dans le sang de la veine porte
eine porte, chez des chevaux qui mangeaient de l’avoine, mais il en a
trouvé
bien davantage dans le sang des veines hépatiques
ucre se fait comme à l’ordinaire, quoique un peu diminuée, et l’on en
trouve
toujours chez des animaux qui n’ont rien mangé de
vaincra, c’est que, quand on empêche le sucre de se produire, on n’en
trouve
plus au bout de très peu de temps. Voici deux chi
mal est assez vieux et à jeun ; s’il eût été plus jeune, nous aurions
trouvé
probablement ces organes plus ou moins engorgés d
e se détruire, et si le temps a été suffisant, nous ne devons plus en
trouver
dans le tissu hépatique. Si nous en trouvons enco
t, nous ne devons plus en trouver dans le tissu hépatique. Si nous en
trouvons
encore, vous verrez qu’il y en a beaucoup moins q
heures la disparition du sucre eût été complète, et l’on n’en eût pas
trouvé
de traces. Dans le foie du chien laissé simplemen
t ne tardera pas à disparaître, et au bout d’un certain temps on n’en
trouvera
plus la moindre trace dans l’organisme. Il y a pl
auquel nous avons coupé les pneumo-gastriques, et nous n’aurions pas
trouvé
davantage de sucre dans son foie ni dans le sang
us avons fait à ce sujet un grand nombre d’expériences, et nous avons
trouvé
qu’il y a une espèce d’élection dans l’excrétion
anément dans l’état où se trouvent les individus diabétiques, on n’en
trouve
ni dans la salive, ni dans les larmes, ni dans le
’occasion d’examiner la salive des diabétiques, jamais nous n’y avons
trouvé
la moindre trace de matière sucrée. Nous faisions
d’être absorbée au contact de la muqueuse linguale. Lehmann dit avoir
trouvé
du sucre dans de la salive de diabétique. Il sera
u prussiate en quantités considérables ; l’iodure de potassium ne s’y
trouve
qu’en petite proportion ; quant au sucre, il n’y
ite proportion ; quant au sucre, il n’y en a pas encore, mais nous en
trouverons
dans un instant. L’urine élimine donc toutes ces
’on injecte ensuite dans ses veines du prussiate jaune de potasse, on
trouve
le contenu de son estomac coloré en bleu ; ce qui
ente, nous recherchions les substances injectées dans la bile, nous y
trouverions
de l’iodure et du prussiate, mais pas de sucre. D
tion du glucose, c’est-à-dire que c’est dans cette excrétion qu’on le
trouve
d’abord avant qu’il ait apparu ailleurs ; mais il
tre saturé de sucre comme un sirop, il serait peut-être possible d’en
trouver
ailleurs que dans la vessie et dans l’estomac. C’
rs le sucre chez les diabétiques, et du suc gastrique où l’on peut le
trouver
quelquefois, il y a d’autres liquides normaux ou
liquide qui s’était écoulé d’une fracture du rocher, et l’on y avait
trouvé
du sucre. Le chimiste qui avait analysé le liquid
hydropéricardes par la section des nerfs sympathiques, j’ai rarement
trouvé
du sucre. Il a été publié dans un journal américa
un journal américain une observation très intéressante, où l’on avait
trouvé
du sucre dans le liquide résultant de la ponction
tait semblable à de la lymphe un peu trouble. Dans le sang veineux on
trouvait
du sucre, même à l’état de sucre de canne, tel qu
s le chyle et dans les vaisseaux lymphatiques, jamais nous n’avons pu
trouver
la moindre trace de matière sucrée. Ainsi les gra
es du corps, et au moment où il débouche dans la sous-clavière, on le
trouve
sucré. Ce fait, qui avait été vu par Tiedemann et
ucre était absorbé dans l’intestin. Mais on eût dû remarquer que l’on
trouvait
encore du sucre dans le canal thoracique, même ch
demandé et l’on se demande même encore comment j’ai pu être conduit à
trouver
ce fait, en apparence fort singulier, qui consist
s qui m’a servi de guide jusqu’au moment où les faits ne se sont plus
trouvés
d’accord avec elle. D’ailleurs je vous indique ce
Alors on sacrifia l’animal par la section du bulbe rachidien, et l’on
trouva
le sucre répandu partout dans le sang de la veine
s parvenions à comprendre la nature du diabète chez l’homme, que nous
trouvions
le moyen de rendre cet état permanent chez un ani
inale, que nous parviendrions à établir chez l’animal, comme nous les
trouvons
chez l’homme, des diabètes permanents. Or, commen
ste, il faut le dire aussi, cette confusion a peut-être primitivement
trouvé
sa source dans le langage lui-même. Le mot sécrét
au rein contient de l’urée, de l’acide urique et divers sels qui s’y
trouvent
à l’état de dissolution, reconnaissables à tous l
, au contraire, quand on se place dans des conditions convenables, on
trouve
des quantités de sucre considérables dans le sang
e des quantités de sucre considérables dans le sang qui sort, on n’en
trouve
aucune trace dans le sang qui entre : le sucre s’
es différentes. Nous dirons qu’il y a sécrétion toutes les fois qu’on
trouvera
dans les liquides qui sortent d’un organe des sub
ous avons ouvert l’animal, après l’avoir rendu diabétique, nous avons
trouvé
les reins plus gorgés de sang et les uretères trè
bétiques soient polyuriques, il se présente cependant des cas où l’on
trouve
du sucre dans leurs urines sans que la quantité d
le semble se concentrer sur les actes purement organiques. Nous avons
trouvé
depuis quelques années qu’il existe une substance
abondante sérosité. On examina l’urine à différentes reprises sans y
trouver
du sucre ; ce ne fut que deux heures et demie apr
t filant. L’animal mourut au bout de quelque temps ; à l’autopsie, on
trouva
la vessie pleine d’urine contenant beaucoup de su
se trouver dans l’organisme par suite de l’inhalation, et nous avons
trouvé
cependant que le sucre se détruisait tout aussi v
ntité de sucre dans leurs urines ; c’est ainsi encore qu’on dit avoir
trouvé
du sucre dans l’urine des épileptiques ; mais on
inuons à insuffler. Le temps n’est pas encore suffisant pour que nous
trouvions
du sucre dans les urines, mais il y en a déjà cer
mal est mort des suites de cette opération ; à l’autopsie, nous avons
trouvé
que la veine cave avait été piquée, et que le san
vermeil et contenait beaucoup de sucre ; on ouvrit le ventre, et l’on
trouva
les organes intestinaux gorgés de sang, les uretè
roublent et arrêtent les fonctions sécrétoires organiques, et nous ne
trouverons
plus étonnant dès lors que, quand nous supprimons
étendre la proposition que nous venons d’énoncer, nous pourrions lui
trouver
des analogues en dehors de l’organisme : tel est,
êtée, de sorte qu’au bout de vingt-quatre à trente-six heures on n’en
trouvait
plus du tout dans le tissu hépatique. Mais si l’o
à six heures on traite de nouveau le tissu de la même manière, on le
trouvera
chargé de matière sucrée. Ainsi, au moment de la
a retiré le foie du corps, pourrait commencer après la mort, et nous
trouverions
alors le foie sucré comme s’il eût été placé en d
actifs chimiques, la présence du sucre. Observé au densimètre, on eût
trouvé
sa densité égale à peu près à celle de l’eau ; ma
aminant deux jours après ce même liquide abandonné à lui-même, on lui
trouvera
alors tous les caractères d’une dissolution forte
ît, au contraire, exaltée. Quand on ouvre le ventre de cet animal, on
trouve
dans cette région une circulation plus active, le
comme vous le savez, qu’une valeur tout à fait secondaire, nous nous
trouvons
en présence d’un fait nouveau très extraordinaire
ans cette question, nous avons à rechercher autour de nous si nous ne
trouverions
pas, dans les animaux, d’autres exemples de phéno
ance animale et par le moyen d’une fermentation semblable. Nous avons
trouvé
des conditions dans lesquelles des phénomènes tou
it l’été dernier, lorsque nous commençâmes ces recherches. Il fallait
trouver
un moyen pour faire que la fermentation n’allât p
entation sont des mélanges d’acide carbonique et d’hydrogène, et l’on
trouve
de l’acide butyrique dans la liqueur. Mais, pour
de la veine porte disparaît en traversant le foie de façon qu’on n’en
trouve
qu’une proportion moindre dans le sang des veines
e l’urine des fœtus contient toujours du sucre, et comment je m’étais
trouvé
embarrassé ensuite de ce fait qui n’était plus au
le. Mais cela n’ayant lieu que pendant une époque très limitée, on ne
trouve
plus ce symptôme au moment de la naissance, et j’
ir communiquant avec celle-ci, qui est l’allantoïde, dans laquelle on
trouve
constamment aussi un liquide sucré. Vous voyez ic
u développement organique, avant que le foie entre en fonctions, nous
trouvons
du sucre qui se forme dans les tissus, ainsi que
sucre, peut-être même en plus grande quantité, et cependant nous n’en
trouvons
plus aucune trace dans la vessie. Il y a deux con
ans ses tissus, bien que le foie n’en produise pas encore, et l’on en
trouvera
jusqu’à la mort. J’ai fait beaucoup d’expériences
s animaux ; mais chez les vieux mammifères et chez les oiseaux, on ne
trouve
jamais les poumons altérés, et le sang est vermei
’ont pas l’appétit exagéré, et cela se rencontre assez souvent, on ne
trouve
généralement pas alors cette hypertrophie des mem
uand on peut observer cet organe dans des conditions favorables, on y
trouve
les caractères que nous venons d’indiquer. C’est
tement, dans le service de M. Rayer, d’une apoplexie pulmonaire, j’ai
trouvé
le foie très volumineux et son tissu très abondam
erai en passant deux cas d’autopsie de diabétiques dans lesquels j’ai
trouvé
le pancréas excessivement petit et très atrophié,
qui prouve qu’il n’y a rien qui empêche le sucre de s’y détruire. On
trouve
également du sucre dans le sang des diabétiques q
mort subitement, vingt-quatre ou trente-six heures après le décès, on
trouvera
du sang sucré dans tous les organes et dans tous
effet d’endosmose qui n’a jamais lieu pendant la vie, où jamais on ne
trouve
de sucre dans le liquide biliaire de la vésicule.
ue, lorsqu’on veut localiser la maladie, il faut savoir qu’on peut en
trouver
le point de départ dans une infinité de parties d
, de fermenter en donnant de l’acide carbonique et de l’alcool. On ne
trouve
jamais dans les urines une autre espèce de sucre,
e certaine quantité de sucre peut passer dans les urines ; mais on le
trouve
toujours à l’état de glucose, ce qui tient sans a
e genre que sont dus les résultats obtenus par Schmidt, qui dit avoir
trouvé
à la fois du sucre de canne et du sucre de raisin
mpsie, et qui avait en même temps de l’albumine dans les urines, j’ai
trouvé
des proportions assez considérables de sucre, qui
aractériser le diabète, et est-on diabétique par ce seul fait qu’on a
trouvé
du sucre dans l’urine ? La définition de la malad
us d’urée que les hommes en état de santé, parce que, dit-il, si l’on
trouve
moins d’urée dans un litre d’urine d’un diabétiqu
x observations de Mac Gregor, on peut opposer celle de Lehmann, qui a
trouvé
que, même en prenant l’urine de vingt-quatre heur
diabétiques qui prenaient des quantités considérables d’urée, on n’en
trouva
pas davantage dans les urines : ce qui tient à ce
s’il arrive quelquefois qu’on ne rencontre pas d’acide urique, on en
trouve
d’autres fois d’une manière très évidente, et mêm
’urines. Nous savons que ce caractère n’est pas constant, car on peut
trouver
des diabétiques qui ne rendent pas plus d’urines
omme pathognomoniques de cette affection ; car, d’une part, on ne les
trouve
pas dans tous les cas de diabète, et, d’autre par
othèse, qui ne repose sur aucune preuve directe, puisqu’on n’a jamais
trouvé
de sang moins alcalin chez les diabétiques, se ba
que la boulimie, n’offrent pas une gravité très grande, puisqu’on les
trouve
dans la polydipsie, dont le pronostic n’est pas t
ns la formation du sucre dans le foie, parce que, d’une part, nous ne
trouvions
pas de sucre dans la veine porte au moment où le
a veine porte au moment où le sang entre dans le foie, et que nous en
trouvions
constamment dans le sang des veines hépatiques qu
u’il ne peut admettre la formation du sucre dans le foie, parce qu’on
trouve
du sucre aussi bien dans la veine porte que dans
que je venais d’établir. C’est ce qui explique comment l’auteur s’est
trouvé
dans ce cas réduit à une assertion pure et simple
ieurement rechercher. » Cette explication qui fait descendre le sucre
trouvé
dans les chiens, des végétaux qu’ont mangés les h
hémorragie a été considérable, on finira souvent, vers la fin, par en
trouver
une certaine proportion. Or, on voit que dans ces
ection qu’on a voulu faire, elle tombe d’elle-même. D’ailleurs, on ne
trouve
dans le sang de la veine porte pas plus d’albumin
: « Vous avez examiné le sang de la veine porte, et vous n’y avez pas
trouvé
de sucre ; mais avez-vous examiné le sang des art
un des rameaux de l’artère hépatique à son entrée dans le foie, on ne
trouve
pas plus de sucre dans le sang qui s’en écoule qu
le pouvait en faire indépendamment de l’alimentation, car nous avions
trouvé
nous-même du sucre dans le lait de mammifères car
sur des cadavres de malades morts dans les hôpitaux, et n’y ayant pas
trouvé
de sucre, se sont imaginé que ce résultat venait
uence d’une fièvre grave ; de sorte que dans la plupart des cas on ne
trouve
pas dans le foie des malades morts dans les hôpit
e porte contient des proportions très faibles de matière sucrée. J’ai
trouvé
dans un cas 0,055 gr. de sucre pour 100 parties d
en forte proportion. Sur trois chiens nourris avec de la viande, j’ai
trouvé
les chiffres suivants, calculés sur 100 parties d
r trois autres chiens à l’abstinence complète depuis deux jours, j’ai
trouvé
dans le sang des veines hépatiques les quantités
ralement plus riche en graisse que celui des chevaux. Néanmoins on ne
trouve
pas plus de graisse dans le sérum des veines hépa
rs la plus grande quantité de sucre après les veines hépatiques. J’ai
trouvé
dans le résidu solide du sang de la veine cave, c
e. Lorsque le sang a traversé le poumon et est devenu artériel, on ne
trouve
généralement pas de sucre. Je n’en ai pas trouvé
venu artériel, on ne trouve généralement pas de sucre. Je n’en ai pas
trouvé
dans le sang artériel de chevaux qui avaient cepe
et de l’avoine. Chez les chiens et chez les lapins, on peut seulement
trouver
du sucre dans le sang artériel, si le sang veineu
i de la veine cave et de la veine jugulaire. Dans la veine cave, j’ai
trouvé
deux fois moins de fibrine que dans le sang artér
s du dehors et qu’elle prend naissance surplace dans le foie où on la
trouve
, j’instituai une expérience physiologique qui est
il indique déjà que c’est surtout au moment de la digestion que l’on
trouve
la matière sucrée en plus grande quantité dans le
C’est ainsi que M. Schmidt16, en 1850, se fondant sur ce qu’il avait
trouvé
du sucre en quantité variable, mais toujours très
a nature de l’alimentation. Troisième fait. Chez un carnivore, on ne
trouve
point de sucre dans le sang de la veine porte. On
re, on ne trouve point de sucre dans le sang de la veine porte. On en
trouve
toujours, au contraire, des quantités considérabl
glucose contenue dans un poids connu du résidu de l’évaporation. J’ai
trouvé
ainsi que le sang sur lequel j’avais opéré conten
un chien nourri de viande crue et tué deux heures après le repas, on
trouve
dans la veine porte une quantité notable de gluco
tion du liquide aqueux), il a laissé un résidu du poids de 0,39. J’ai
trouvé
, en analysant un poids connu de ce résidu avec la
e. Ce sang pesait 25 grammes. Le résidu alcoolique pesait 0,165. On a
trouvé
, par le même procédé d’analyse, que ce sang conte
chien nourri de viande crue, et tué quatre heures après le repas, on
trouve
du glucose dans le sang de la veine porte, et le
s idées préconçues, mais il est plus difficile de comprendre que l’on
trouve
et que l’on dose du sucre dans le sang de la vein
teur se pose en défenseur d’une théorie en vertu de laquelle le sucre
trouvé
dans le foie des carnivores doit provenir des vég
at moyen fourni par beaucoup d’expériences, dans lesquelles on aurait
trouvé
quelquefois des résultats opposés. C’est une expé
mais il n’a pas craint d’avancer que, deux heures après le repas, on
trouve
chez un chien qui a mangé de la viande de bœuf cr
rions comprendre comment l’auteur qui nous a contredit a pu arriver à
trouver
plus de sucre dans le sang de la veine porte que
, j’ai déterminé la quantité de sucre dans tous ces produits, et j’ai
trouvé
dans le sang de la veine porte 0,322 gr. de sucre
de sucre. Chez un autre chien à jeun depuis quatre jours, on n’a pas
trouvé
de sucre dans le sang de la veine porte, tandis q
e, il n’existe pas de sucre dans le sang de la veine porte ; qu’on en
trouve
, au contraire, une quantité notable dans les vein
ent la section du bulbe rachidien et la ligature des vaisseaux, on ne
trouve
pas de sucre dans le sang de la veine porte d’ani
les, le sucre gastrique et l’urine de ces grenouilles, sans y pouvoir
trouver
aucune trace de bile ni de sucre. Or, c’est un fa
s reins, l’urée s’accumule dans le sang. On devrait donc s’attendre à
trouver
les acides organiques et la matière colorante de
respiration, vous accorderez peut-être quelque intérêt à ce que j’ai
trouvé
que le foie ne contribue pas peu à la métamorphos
ites en bâtimens et en meubles, seroient perduës pour nous et nous ne
trouverions
plus dans les forêts du bois pour bâtir ni même p
uis refuser aux philosophes d’être les inventeurs des sas des écluses
trouvées
il y a deux cens ans, et qui sont non-seulement d
jours le temps avec exactitude. Ce ne sont point eux non plus qui ont
trouvé
la poudre à canon, qui a donné lieu à tant d’obse
nt plus parfaites à mesure que les connoissances s’y multiplient, fut
trouvée
dans le quinziéme siecle, et près de deux cens an
an Goya marinier de Melphi, ou qu’un autre plus ancien que lui en ait
trouvé
l’usage, cet inventeur aura toujours été dans le
muniquer au fer cette proprieté. Dailleurs, dès que la boussole a été
trouvée
, il étoit necessaire que l’art de la navigation s
t au commencement du dix-septiéme siecle que Jacques Metius d’Alcmaër
trouva
en cherchant autre chose, les lunettes d’approche
à son frere, qui étoient de grands mathematiciens. Jacques Metius ne
trouva
point les lunettes de longue vûë par aucune reche
’amusoit à faire des verres à brûler. Rien n’étoit plus facile que de
trouver
les microscopes après l’invention des lunettes d’
mettent en droit de faire cette supposition. Monsieur De Lisle qui a
trouvé
plus de fautes dans les géographes modernes que c
e du vuide. Les suites qu’elle a euës l’ont renduë célebre. Toricelli
trouva
son expérience curieuse. Il en fit part à ses ami
, qu’après avoir publié l’écrit dont il a été parlé. Monsieur Pascal
trouva
cette explication tout-à-fait belle, mais comme e
uteurs, comme est celle de tailler le diamant qu’un orfévre de Bruges
trouva
sous Louis XI et avant laquelle on préferoit les
aque dans un an. Quelques années après les lunettes d’approche furent
trouvées
. à l’aide de ce nouvel instrument, on fit des obs
si concluantes sur les apparences de Venus et des autres planétes, on
trouva
tant de ressemblance entre la terre et d’autres p
Si nos prédecesseurs n’avoient point les connoissances que nous nous
trouvons
avoir, c’est donc que le fil qui nous guide dans
t point poussé la geométrie où ils l’ont poussée, s’ils n’eussent pas
trouvé
cette science en un état de perfection qui lui ve
ces regles que les philosophes donnoient à leurs disciples, et nous y
trouverions
peut-être ce que nous nous flattons d’avoir inven
ns d’avoir inventé, comme il est arrivé à des philosophes célebres de
trouver
dans des manuscrits une partie des découvertes qu
animale en général, nous nous renfermons dans l’espèce humaine, nous
trouverons
encore, comme tout à l’heure, un certain nombre d
é. Ainsi, pour nous en tenir à la relation de l’âge et du poids, nous
trouvons
de singuliers dissentiments entre les observateur
nsuite comparé le poids du cerveau dans les deux sexes, et l’on a cru
trouver
que les femmes ont en général la cervelle plus lé
e à l’homme plus de cerveau qu’à la femme est très ancienne, et on la
trouve
, dit-on, dans Aristote ; mais tous les physiologi
lativement aux nerfs et au corps entier, c’est chez la femme que l’on
trouve
le cerveau le plus volumineux. M. Cruveilhier sou
egré d’intelligence des différentes races. Ainsi tous les auteurs ont
trouvé
la tête plus grosse chez les Caucasiques que chez
chir ; mais les exceptions sont trop importantes pour que l’on puisse
trouver
dans la mesure du crâne ou dans le poids du cerve
s plus instructives sur ce point. Le détail de ses recherches ne peut
trouver
place ici. Donnons en seulement les conclusions.
igine dans le mémoire d’un savant chimiste, M. Couerbe, qui avait cru
trouver
en effet dans le phosphore le principe excitateur
De plus M. Lassaigne, qui a analysé des cerveaux d’aliénés, n’y a pas
trouvé
plus de phosphore que dans ceux des hommes sains
pothèse, — la similitude du cerveau chez le singe et chez l’homme. On
trouve
en effet que l’animal qui a le plus d’intelligenc
gés, pour sauver la dignité et la supériorité de l’espèce humaine, de
trouver
dans le cerveau de l’homme des caractères particu
dmet des caractères distinctifs que celui-ci n’a pas reconnus. Owen a
trouvé
un grand adversaire en Angleterre dans M. Huxley,
aine de toute autre, car jamais, dans aucune famille de singes, on ne
trouvera
d’individu s’élevant au-dessus d’une imitation gr
que certains listes, ne considérant que les différences corporelles,
trouvent
à peine de quoi faire du genre humain une famille
ste dire : « Il nous sera fort égal que le démocrate des Etats du Sud
trouve
dans les résultats de nos recherches la confirmat
eurs hommes de lettres très hauts, très populaires et très puissants,
trouvaient
la dissertation qu’il préparait tout à fait mécha
; steteruntque comæ ; et vox faucibus hæsit ; c’est-à-dire qu’il n’a
trouvé
d’autre expédient que de laisser dans les limbes,
odile peint sur une toile, derrière laquelle, après avoir payé, il ne
trouve
qu’un lézard. Il rejeta donc l’idée d’entonner se
railleries tout à fait délicates, il est devenu vraiment difficile de
trouver
contre ces monstres rien qui soit plus sanglant,
pour cela une hardiesse d’imagination, une force d’esprit dont on ne
trouve
guère d’exemples que parmi les inventifs bourreau
visiblement au sujet de cet ouvrage, et il eût été fort embarrassé de
trouver
une liaison qui l’y conduisît, quoique l’art des
ns soit singulièrement simplifié depuis que tant de grands hommes ont
trouvé
le secret de passer sans secousse d’une échoppe d
olice contre la couronne civique. Reconnaissant donc qu’il ne saurait
trouver
dans son talent ni dans sa science, par ses ailes
t enrichi un ou deux chapitres d’épigraphes nouvelles ; en un mot, il
trouvera
à chaque page des changements dont l’importance e
ont soumise touchant la rudesse sauvage de ses noms norvégiens, il la
trouve
tout à fait fondée ; aussi se propose-t-il, dès q
sonne, dans chaque événement, le côté excentrique pour lequel nous ne
trouvons
point de comparaison dans la vie commune et que n
profondeur sur une circonstance contée légèrement et que personne ne
trouve
digne d’attention ; qu’il rapproche des choses co
ux limites des choses visibles et sur la lisière de l’univers réel, a
trouvé
je ne sais quel coin obscur, mystérieux et jusque
évidemment réduit au silence, et qu’il puisse toujours se flatter de
trouver
au bout du compte le mot de l’énigme, il y a quel
ret d’Hoffmann pour ébranler et émouvoir ; je l’aime bien mieux et le
trouve
bien plus original en ces sortes de compositions,
avoir découvert dans l’art quelque chose d’analogue à ce que Mesmer a
trouvé
en médecine ; il a, sinon le premier, du moins av
anteurs qui respirent, disons-nous, un parfum exquis du moyen âge, on
trouvera
dans la nouvelle livraison d’Hoffmann un joli con
r près de la serre chérie et de ses fleurs favorites est telle, qu’il
trouve
plus facile d’épouser la veuve de son professeur,
olemment de s’y soustraire. Comment le mal augmente, quel remède on y
trouve
, et par quels degrés Eugène en vient à changer sa
que les sujets ne sont pas épuisez pour les poëtes, qu’on peut encore
trouver
de nouveaux caracteres dans la comedie Ce que n
seulement un poëte né avec du genie, ne dira jamais qu’il ne sçauroit
trouver
de nouveaux sujets, mais j’ose même avancer qu’il
sçauroit trouver de nouveaux sujets, mais j’ose même avancer qu’il ne
trouvera
jamais aucun sujet épuisé. La penetration, compag
regarde point comme des sujets propres à réussir. Un autre poëte les
trouve
des sujets heureux, parce que son genie est d’un
t son caractere. Un poëte tragique qui auroit autant de genie qu’eux,
trouveroit
des sujets qui leur ont échappé, et il traiteroit
’il peint, sont toujours variées. L’experience aide encore beaucoup à
trouver
la difference qui est réellement entre des objets
ges des negres sont presque semblables, mais à force de les voir, ils
trouvent
les visages des negres aussi differens entre eux
x que le sont les visages des hommes blancs. Voilà pourquoi Moliere a
trouvé
plus d’originaux parmi les hommes, quand il a été
qu’ils professent du genie, et non pas de la necessité de subsister,
trouveront
toujours des sujets neufs dans la nature. Pour pa
le scrupule. S’agit-il du service de ceux à qui il s’est donné, on le
trouve
dévoué, fidèle, hardi et prudent, risquant et cal
soixante-dix-sept ans ; il les termina en quatre mois et demi, ayant
trouvé
grande satisfaction à se ressouvenir ainsi de tou
st là que ce dernier, qu’on appelait alors le prince de Marcillac, le
trouva
, et il l’emprunta à son frère pour en faire son m
nt qui nous donnait dans le nez nous faisait extrêmement souffrir. Je
trouvai
la souche d’un arbre, je m’assis dessus, tournant
aire sa paix. Gourville s’en alla donc avec des pouvoirs secrets ; il
trouva
moyen d’entrer dans la ville sous prétexte de ret
d avec Gourville, est de tâcher que celui-ci soit fait prisonnier, et
trouve
par là une occasion naturelle d’arriver au prince
our de son arrivée, il soupe au quartier du marquis d’Humières, qu’il
trouve
servi en vaisselle d’argent comme à la ville ; c’
mple. Le lendemain, il a l’honneur de dîner chez M. de Turenne, qu’il
trouve
servi en vaisselle de fer-blanc. Ce premier essor
eut qu’il ne se passe rien de considérable dans le monde qu’il ne s’y
trouve
; et toute la fortune du royaume et de M. le card
pour cela à mon appartement, accompagné de quelques gens ; et, ayant
trouvé
mon laquais à la porte de ma chambre, il lui dema
Ce laquais lui répondit que j’étais avec mon maître à danser. M’ayant
trouvé
que je répétais une courante, il me dit en riant
ce que j’étais avant ma fortune, et l’état où je me voyais encore. Je
trouvais
de si grandes ressources en moi-même pour me cons
champ. En effet, en moins d’une heure, il l’apporta où j’étais, et je
trouvai
que le peintre ne s’était pas beaucoup attaché à
royable désordre, tellement que le Grand Condé ne pouvait sortir sans
trouver
dans son antichambre (qu’il ne traversait jamais
occasion et à tout événement, le prince de Condé le réclame, et il le
trouve
déjà présent. Dans la campagne de Hollande (1672)
iligence possible. Son Altesse se l’étant fait lire, et n’y ayant pas
trouvé
mon nom, elle me jeta un regard de ses yeux étinc
consoler, et se sentit à l’instant soulagé comme un philosophe qui a
trouvé
le port et qui n’en sort plus. Il se contenta d’a
tingué. La race des gens d’affaires est immortelle : puisse-t-il s’en
trouver
beaucoup qui soit aussi habiles, et à la fois aus
ublié pour la première fois en 1810 à Londres, d’après les manuscrits
trouvés
dans les papiers d’Horace Walpole. Cette édition
endresse, et une légèreté, une justesse d’expression incomparable, on
trouve
Mme de La Fayette. Puis on a Mme de Maintenon, es
taël. Mais entre Mme de Staël et Mme de Maintenon, quelle lacune ! On
trouverait
bien encore, au commencement du xviiie siècle, c
en dégoût, le quitta, essaya par moments de se remettre avec lui, en
trouva
l’ennui trop grand, et finit par se passer avec f
mière moitié de sa vie. Pourtant, à partir d’un certain moment, on la
trouve
établie sur un pied assez honorable de liaison ré
hrase. Elle cherchait donc autour d’elle cette ressource qu’une femme
trouve
bien rarement en elle-même et en elle seule. Elle
s divertîmes. Je vous avoue qu’au sortir de là, si j’avais su où vous
trouver
, j’aurais été vous chercher ; il faisait le plus
elle ne s’appartint plus. Bref, aveugle et à soixante-huit ans, elle
trouva
à placer son cœur, et cette fois (pour la rareté
ent, et à faire toujours des sottises en conduite. Mais nous, nous ne
trouverons
pas que c’était une sottise : car c’est le beau c
d’assez près à cette relation de Walpole et de Mme Du Deffand, et je
trouve
qu’en général on n’est pas juste envers tous deux
. On désire un appui, on se laisse charmer par l’espérance de l’avoir
trouvé
; c’est un songe que les circonstances dissipent
it : Je suis bien sûre que vous vous accoutumerez à Montaigne ; on y
trouve
tout ce qu’on a jamais pensé, et nul style n’est
Mme de Maintenon n’est pas moins saisie au naturel : « Je persiste à
trouver
que cette femme n’était point fausse, mais elle é
us assure, de parler de sa chère vieille amie. À chaque voyage, il la
trouve
comme rajeunie, et il est bien pour quelque chose
utes sortes de gens sur toutes sortes de sujets, et je ne l’ai jamais
trouvée
en faute. Elle rabat les savants, redresse les di
trouvée en faute. Elle rabat les savants, redresse les disciples, et
trouve
le mot pour chacun. Aussi vive d’impressions que
c’est chez Walpole qu’il faut l’aller puiser comme à sa source. On y
trouve
avec surprise une femme ardente, passionnée, capa
ont point de collections. Ils aiment à raisonner. Je les ai longtemps
trouvés
bizarres, et j’ai fini par les juger conséquents.
en main. Quoique fort bon, il n’est point philosophe humanitaire. Il
trouve
ennuyeux d’écrire, et ne publiera jamais rien ; i
ence, et ne raisonne que pour lui seul. Il prend son plaisir où il le
trouve
, et prétend que les autres font comme lui. Il ne
aits ou d’estampes, bref un choix de spécimens. Pour le maître, on le
trouve
ordinairement à sa table devant la fenêtre, regar
e remarque sur toutes les fonctions du corps. En les réunissant, vous
trouvez
que si la respiration, la nutrition ou la circula
gues, en reproduisant les circonstances où elles peuvent naître. Vous
trouverez
qu’une fonction est un groupe de faits concourant
r jour à regarder le ciel, devînt un grand peintre. En traduisant, je
trouve
qu’il s’agit ici d’une question non résolue. Étan
hrase, et je sais désormais qu’il faut s’en servir peu ou point. Vous
trouveriez
de même que les forces vives d’une société ne son
que le degré de vigueur musculaire de chaque citoyen, son aptitude à
trouver
des idées utiles, et sa capacité d’obéir à des id
c une certitude presque mathématique, d’équation en équation. Comment
trouvé
-je ces traductions ? Ayant considéré la vie d’un
s ? Ayant considéré la vie d’un homme, d’un peuple, d’un animal, j’ai
trouvé
que le mot destinée me venait aux lèvres, lorsque
yant considéré le génie d’un poëte, d’un politique, d’un savant, j’ai
trouvé
que ce nom m’apparaissait lorsque j’apercevais l’
la viande qu’il avalait ; une heure après, ouvrant son estomac, j’ai
trouvé
une bouillie acide : ce changement est la digesti
, ou en tuant l’animal. On l’étudié par des procédés chimiques. On le
trouve
acide, on constate sa composition, on l’appelle g
rmenté. On étudie par la chimie la nature nouvelle de ce liquide ; on
trouve
que tout aliment composé de matières neutres azot
dédaigne, c’est qu’elle n’en découvre pas. Il y en a et elle peut en
trouver
. Elle en possédera un, par exemple, le jour où el
ulement en nous-mêmes, au plus profond de notre conscience. Qui ne la
trouverait
pas en soi ne pourrait même s’en faire une idée.
s souvent, c’est se poser une question déterminée, à laquelle il faut
trouver
une réponse. Plus l’effort de réflexion est inten
er au travail de la réflexion. La pensée, cherchant le repos, doit le
trouver
dans un mode d’activité aussi éloigné que possibl
oi je les reconnais dans mon rêve. Il m’arrive parfois en songe de me
trouver
dans une situation telle que j’aie besoin de retr
tournais, c’était une gravure nouvelle qui m’apparaissait, et que je
trouvais
merveilleuse. Je m’en exagérais sans doute la bea
cation produite dans le fonctionnement de l’intelligence. Nous devons
trouver
autre chose, et nous savons d’avance de quel côté
ère d’être. Dans nos contemplations les plus poétiques, toujours nous
trouverons
quelque sentiment pénétrant, qui peu à peu nous e
sses, des pitiés, des angoisses inexplicables, une impression d’avoir
trouvé
ou perdu quelque indicible bonheur. La rêverie pr
ère de beauté. Une rêverie dans laquelle il nous serait impossible de
trouver
quoi que ce soit d’esthétique, dans laquelle tout
ers. Quelles que soient leurs qualités de facture, jamais nous ne les
trouverons
parfaitement beaux s’ils ne sont pas vraiment poé
étant ainsi conçue, il est trop clair qu’elle diffère de ce que nous
trouvons
dans la poésie ; et l’on pourra établir entre ces
e qu’on le déclarera beau, et pour les qualités de sentiment qu’on le
trouvera
poétique. Mais si la poésie n’est pas la beauté,
différente tous ces sentiments. Il est clair par exemple que nous ne
trouverons
pas le même charme à un chant triste qu’à un chan
ment dit parce que nous les éprouvons en présence des choses que nous
trouvons
belles. Par beauté nous entendons donc autre chos
ul éclat des images. Les mêmes objets, que nous nous contenterions de
trouver
jolis ou agréables à voir dans la nature, nous se
s’il était décidément trop laid, il nous serait très difficile de le
trouver
poétique, notre imagination se refusant en sa pré
t faire exactement le compte de nos réflexions et de nos rêveries, on
trouverait
, j’en suis certain, une disproportion singulière.
étude morale, impressions de nature, stimulation artistique, on s’est
trouvé
porté en pleine rêverie. Alors en effet c’était d
dépend des conditions physiques et morales dans lesquelles nous nous
trouvons
et de ce que nous avons d’énergie disponible : il
des exceptions. Peut-être pourrait-on mesurer le plaisir qu’un homme
trouve
dans la rêverie à la part qu’il lui accorde dans
x qui s’adonnent à la contemplation intérieure le font parce qu’ils y
trouvent
un plaisir particulier, soit que leur imagination
sûr. N’arrive-t-il pas que l’on s’enfonce dans la rêverie sans même y
trouver
« le sombre plaisir des cœurs mélancoliques », pa
nt, excitent sans doute un sentiment d’admiration intense ; nous leur
trouvons
une beauté merveilleuse. Elles sont en effet ce q
elles l’admiration qu’elles nous inspirent ? Dans notre rêve nous les
trouvons
infiniment belles. En elles-mêmes, elles sont si
. Je cherchai celle qui pouvait se concilier avec sa perfection et je
trouvai
l’excès de l’indulgence et de la bonté9. Ceci me
atière artistique tout élaborée. Mais cette tendance que nous avons à
trouver
charmantes lus images de rêverie, bien que fondée
arme poétique. S’ils se donnaient l’illusion d’y croire, c’était pour
trouver
plus d’intérêt à ce jeu d’imagination. De même, q
lleux ; et les êtres fictifs que la fantaisie du poète peut concevoir
trouveront
facilement place dans ce monde imaginaire. Quand
oétiques que les choses. Au lieu du caravansérail que j’imaginais, je
trouvai
une ancienne auberge de l’Ile de France, l’auberg
nirs plus chers, auxquels nous revenons plus volontiers ; qui se sont
trouvés
sous nos yeux dans nos heures de joie ou de mélan
t jouer un rôle ; il faut que l’adaptation se soit faite. Ce que nous
trouvons
prosaïque, c’est moins ce qui est artificiel que
il y a de plus poétique au monde, c’est l’homme même. Où pouvons-nous
trouver
une plus riche matière à représentations que dans
ns doute, ici encore, nous avons une tendance, aisément explicable, à
trouver
l’image des choses plus poétique que la réalité :
t quand nous reviendrons au spectacle de l’existence réelle, nous n’y
trouverons
que de la prose très vulgaire. C’est que nous ne
Et m’égarer au fond des bois ! Dans la nature entière on ne
trouvera
rien qui vaille plus et mieux que ces êtres que l
sie dans l’art Déplaçons notre enquête. Sortons de la nature. Nous
trouverons
encore de la poésie dans l’art ; et toujours cett
, nous ne nous prononçons pas. Nous avons plutôt l’impression de nous
trouver
en présence d’un objet étrange, de nature indécis
bien même l’objet représenté serait de ceux que dans la réalité nous
trouvons
vulgaires et prosaïques parce qu’ils ne disent ri
quelque objet qui nous soit connu ? Nous le reconnaissons, et nous en
trouvons
la représentation plus ou moins exacte, c’est-à-d
ésie. Dans toute œuvre d’art qui peut être qualifiée de poétique nous
trouverons
des suggestions de même ordre, un semblable appel
étique que la poésie même, je veux dire que l’art des vers. Nous nous
trouvons
donc en présence d’un cas éminent auquel il faut
preuve serait suffisante : elle serait condamnée. Dans le chant, nous
trouvons
la musique unie à la poésie verbale. Le seul fait
terions le bruissement du feuillage, sans plus nous préoccuper de lui
trouver
un sens. D’elle-même la pente de la rêverie entra
a lui-même une âme passionnée en qui ces accents pathétiques doivent
trouver
un écho, éprouvera par contrecoup des émotions an
otre théorie psychologique semble ici se trouver en défaut. Nous nous
trouvons
en présence d’une œuvre d’art à la perception de
t suggérer le haschich ou la fièvre. Je me souviens de m’être un jour
trouvé
dans cet état d’esprit, d’une manière bien caract
ange que la musique ! Vraiment je ne sais si nous pouvons jamais nous
trouver
, tout éveillés, dans un état mental aussi voisin
e ? C’est dans l’épopée en prose, dans le roman que nous en pourrions
trouver
. Pour des raisons diverses sur lesquelles nous au
ques vers qui nous aient paru d’un charme poétique particulier : nous
trouverons
que ce sont des vers contemplatifs plutôt que dra
poésie un rôle prépondérant, le fait ne saurait être mis en doute. On
trouvera
sans peine des poèmes de grande valeur littéraire
ns des séries d’images juxtaposées sans aucun lien logique. Nous nous
trouvons
donc en présence d’un certain nombre d’œuvres de
e à l’état pur ; dans l’expression de la pensée la plus abstraite, on
trouverait
encore les métaphores inhérentes au langage, qui
cile n’est pas de les dégager de la parole intérieure, mais plutôt de
trouver
des mots pour les rendre. Nous ne parlons pas nos
ion verbale, les pensées qu’il veut nous suggérer étant de celles qui
trouvent
le plus difficilement une expression adéquate. Ma
, un seul vers vraiment poétique d’où l’émotion soit absente. Je n’en
trouve
pas pour mon compte. Je ne crois même pas que la
que nous cherchons ici, c’est quelle doit être leur nature. La poésie
trouvera
de préférence son aliment dans les sentiments con
omans, car c’est dans de telles œuvres que l’imagination sentimentale
trouve
le plus d’occasion de s’exercer. J’indiquerais en
volontiers. Quand par exemple, lisant une œuvre d’imagination, nous y
trouvons
exprimés des sentiments qui sont en concordance a
ments est immédiatement saisie ; nous la comprenons à demi-mot ; elle
trouve
dans notre propre cœur un écho qui la prolonge et
timents poétiques, le caractère de beauté. Il faut que nous puissions
trouver
en eux quelque chose de charmant, de délicat, de
peut rien tirer du néant. Dans ses productions les plus originales on
trouverait
des réminiscences d’œuvres étrangères, un apport
s spontanées de l’inspiration. Très souvent les meilleures idées sont
trouvées
par distraction, pendant que l’on travaille à en
ciente. Tout le positif de la composition, tout ce qui est réellement
trouvé
a été obtenu par ce procédé. On invente par une l
on spontanée des images. En s’abandonnant à son inspiration, le poète
trouvera
des combinaisons d’idées originales, que la réfle
ruits je t’attendrais encore ! LAMARTINE (L’immortalité). Quand on
trouve
, chez un poète, de ces suites de vers qui se déro
oman qui se trouve engagé dans une situation déterminée. Il s’agit de
trouver
ce qu’il doit penser, ce qu’il doit sentir, comme
e de le faire, et l’idée s’évanouit37. Les idées principales une fois
trouvées
, on peut songer à établir le plan de l’œuvre futu
r par régression : comme le disait Pascal, la dernière chose que l’on
trouve
en composant, c’est celle qui doit être mise la p
rait par quel bout on commencerait. Mais il s’agit précisément ici de
trouver
ces détails ; nous devons supposer que l’on n’a a
l’abstrait au concret ; c’est pour profiter de chaque occasion qu’il
trouve
pour faire surgir de nouvelles images. Il en est
elle qu’aucun mot usuel ne peut suggérer directement ; on s’ingénie à
trouver
des images plus familières, plus facilement expri
sie en reprend conscience. Cherchant constamment les images, elle les
trouve
là où elles existent à l’état latent. Elle les ra
e dans une phrase. Mais il faudrait en avoir arrêté la forme pour lui
trouver
une phrase à sa mesure. On ne pourra donc la bien
oser même que l’on sache bien d’avance ce que l’on veut dire, il faut
trouver
des mots pour rendre son idée. Or le vocabulaire
ffort d’invention verbale, briser les clichés du langage courant pour
trouver
à nos idées une forme satisfaisante ; et cet effo
entiments. Je puis me représenter très nettement un objet coloré sans
trouver
aucun terme qui explique sa forme ou sa couleur ;
up. Seuls quelques écrivains, doués du génie de l’expression verbale,
trouvent
du premier coup le mot juste qui fait voir immédi
cherche, on s’ingénie, on raisonne, on réfléchit jusqu’à ce qu’on ait
trouvé
. Mais surtout il faut résister à ce préjugé, en v
quoi en employer un autre ? Des écrivains qu’on ne s’attendrait pas à
trouver
si rigoristes, Fénelon par exemple, ou Renan, ont
ques contemporains les ont recherchées systématiquement. Ils leur ont
trouvé
un charme particulier. Ils s’en sont fait un prog
qui explique son attrait particulier. Comme nous l’avons constaté, on
trouve
aussi de la poésie dans la prose. D’autre part, l
essayé de bien des systèmes de versification ; actuellement encore on
trouverait
chez les différents peuples une grande variété de
mme programme de réagir en poésie contre la beauté géométrique, et de
trouver
des formes de vers plus souples que le vers class
produisent étant tout à fait spécial, et tel que l’on ne saurait lui
trouver
dans la prose aucun équivalent. Ce sont donc les
aurait donc être trop bien rythmé. Le véritable progrès, ce serait de
trouver
d’autres rythmes, et si possible des rythmes plus
e. Il ne suffit pas, bien entendu, de poser le principe ; il faudrait
trouver
les voies et moyens ; mais si l’ingéniosité de no
ce sens, je suis persuadé que pour commencer, ils auraient bien vite
trouvé
des formes de vers au moins équivalentes aux form
s notes qui composent un air, s’en remettant à l’oreille du soin d’en
trouver
la cadence, il est probable que les rythmes music
ombre, ouvert nos bras de songe. Le cœur innombrable. On
trouverait
, dans ce même recueil poétique, de beaux exemples
. 22. André Chevrillon, Dans l’Inde. Hachette, 1891, p. 250. 23. On
trouvera
dans l’Esthétique d’Eugène Véron un intéressant p
esprit. » J.-J. Rousseau, Confessions, 1re partie, livre IX. G.Tarde
trouve
, au cours d’une promenade, sa théorie de l’imitat
essantes sur les procédés intimes de l’invention littéraire. 30. On
trouvera
cités des exemples intéressants de cette difficul
tendant : « Faites, je vous prie, mes compliments à cette freule. Ne
trouverait
-elle point, comme Mme Ruisch, que, pendant un tem
nent, et Dieu a voulu que nous les aimassions, afin que nous pussions
trouver
un plaisir réel à leur faire du bien, même lorsqu
passion. Pensez-y un moment, mon cher frère, et vous me direz si vous
trouvez
autant d’avantage à pouvoir verser notre cœur dan
ser et à le suivre dans la Suisse française. Sa vocation littéraire y
trouva
son jour. Dans cette patrie de Saint-Preux, dans
écieuse. Le titre de mon petit livre fit grand’peur ; on craignit d’y
trouver
des portraits et des anecdotes. Quand on vit que
necdotes. Quand on vit que ce n’était pas cela, on prétendit n’y rien
trouver
d’intéressant. Mais, ne peignant personne, on pei
fantaisie, mais avec vérité, un troupeau de moutons, chaque mouton y
trouve
son portrait, ou du moins le portrait de son vois
utant que l’on m’a ennuyé. Il suffit de te dire que la moitié du pays
trouve
trop haut ce que l’autre trouve trop bas, selon l
ffit de te dire que la moitié du pays trouve trop haut ce que l’autre
trouve
trop bas, selon l’intérêt que chacun peut y avoir
mademoiselle ne m’a prié de danser avec elle qu’à votre défaut. Elle
trouvera
bon, j’en suis sûr, que je vous rende votre place
nse était pour moi, dans ce moment, une chose toute nouvelle ; je lui
trouvai
un meaning, un esprit que je ne lui avais jamais
lle ; je lui trouvai un meaning, un esprit que je ne lui avais jamais
trouvé
: j’aurais volontiers rendu grâce à son inventeur
n’aient pas le même besoin que moi ; car, si l’on cherche un cœur, on
trouverait
le mien. » Elle n’est pourtant pas toujours auss
nous nous parlerons sûrement, dussé-je lui parler la première. Je me
trouverai
près de la porte, quand il entrera. Alors aussi s
eu, mon Eugénie ! mon père est plus content de moi que jamais ; il me
trouve
charmante : il dit qu’il n’y a rien d’égal à sa f
n pas observations, mais comment dirai-je ? de cette lumière que j’ai
trouvée
tout à coup dans mon cœur, qui semblait luire exp
este, à son tour, pour ces finesses d’âme subitement révélées : « Tu
trouves
le style de mes lettres changé, mon cher Godefroy
re elle et son père, et sur lequel il avait les deux jambes, et s’est
trouvée
à genoux auprès de lui, les mains de son père dan
, et elle le doit faire sans attirer l’attention : pour cela, elle ne
trouve
rien de mieux dans sa droiture que de prier le co
oit vous !… Je ne vous aurais pas choisie peut-être ; cependant je me
trouve
heureux que ce soit vous qui daigniez prendre ce
dre, mais pas absolument malheureuse. Ils convinrent enfin de l’aller
trouver
sur l’heure même chez Mlle de La Prise, où elle t
, de fautes et d’amertumes. Caliste eut du succès à Paris ; elle s’y
trouva
introduite au centre par le salon de Mme Necker.
ntroduite au centre par le salon de Mme Necker. En cherchant bien, on
trouverait
des articles dans les journaux du temps225. Le Me
i, un jour d’été, a couru trop inquiet après son maître absent, s’est
trouvé
tué, de peur de rage. M. de Bompré est malheureux
: j’ai souhaité qu’on le coupât ; mais quand je l’ai vu de près, j’ai
trouvé
moi-même que ce serait grand dommage. Ce dont je
près, j’ai trouvé moi-même que ce serait grand dommage. Ce dont je me
trouve
le mieux, c’est de regarder, dans cette saison br
ns morales élevées où elle tenait bon : elle put souffrir de n’en pas
trouver
cnez autrui de correspondantes. Plus tard, quand
prétation motivée, elle conclut par dire « qu’en y pensant un peu, on
trouvera
que cette dernière production de l’auteur de Cali
l’on pourrait vous chicaner à votre tour sur bien des choses que vous
trouvez
toutes simples, et cela parce qu’elles vous convi
etites comédies ; je fais cas de cet esprit roide et expéditif que je
trouve
dans tous ses ouvrages ; j’y reconnais à la fois
des Trois Femmes se débat entre l’abbé et la baronne : « Je n’ai pas
trouvé
, dit Mme de Berghen quand elle revit l’abbé, que
eune baronne de Berghen cet aimable et sceptique abbé de La Tour, qui
trouve
peu sur pour son repos de passer un hiver entier
rtreuse. 218. Elle y vint. Plus d’une question que nous posions ici
trouve
sa réponse dans l’article sur Benjamin Constant e
lter Finch et son fils William, 1806 ; — le Noble, etc., etc. — On en
trouverait
d’autres qui n’ont jamais paru qu’en allemand ; i
; elle ne se laissait pas payer de cette monnaie : « : J’ai toujours
trouvé
, disait-elle, que ces sortes de mérites et de mer
t don à un mortel2. » On peut continuer ces expériences : toujours on
trouvera
, dans la biographie des grands peintres, quelques
portent les cheveux comme tout le monde. Il serait même difficile de
trouver
en eux cette empreinte du métier, cette inconscie
quelque chose d’anormal, un caractère dont nulle part ailleurs je ne
trouverai
l’équivalent. Et comme j’ai ici affaire à des œuv
de nos meilleurs artistes, il est impossible que ce caractère ne s’y
trouve
pas en pleine évidence. J’hésite pourtant. L’impr
ns des œuvres qui certainement n’ont pas une moindre valeur d’art, je
trouve
au contraire un parfait dédain de la beauté propr
admettra que les formes d’art dans lesquelles cette aptitude spéciale
trouvera
à s’exercer. Pourquoi l’art ? Pour l’idéale beaut
l entendre ? Je cherchais le caractère commun de ces œuvres. Je n’ai
trouvé
que des différences. C’est donc que je me suis pe
Quand je les aurai contemplés longuement, surtout si par hasard je me
trouve
presque seul dans les salles silencieuses, en têt
ement il ne l’a pas vue : ces attitudes, avant d’être posées, ont été
trouvées
. Faut-il continuer cette sorte de démonstration s
u même, que vous pourriez dessiner n’importe quoi. Une autre personne
trouverait
pour illustrer le même texte des images toutes di
et d’inventeur reste entier. Passons aux galeries de sculpture. Qu’y
trouverons
-nous ? Encore des personnages empruntés à l’histo
mpression intégrale de la réalité. L’apparence visible des choses s’y
trouve
reproduite avec une perfection telle, que parfois
ns pour la logique. Dans le principe même de la décoration figurée je
trouve
quelque chose d’irrationnel et comme une légère f
iplier les ornements, à dénaturer les formes. On dirait qu’il ne peut
trouver
une surface disponible, sans avoir l’irrésistible
s des autres, à développer leurs originalités natives, en sorte qu’on
trouverait
chez eux une aussi grande variété de types psychi
sens, caractérisée par des aptitudes particulières qui justement ont
trouvé
leur meilleur emploi dans l’art. Qu’est-ce donc q
stions qui tout à l’heure se pressaient en désordre dans notre esprit
trouveront
l’une après l’autre leur solution, quand le momen
que. L’artiste en est certainement doué. Il serait aussi difficile de
trouver
un peintre qui n’ait pas la mémoire des formes et
on album, établisse sommairement une esquisse, délaie ses couleurs et
trouve
ses tons, la lumière a changé, l’effet n’est déjà
ible de la nature, puis une exécution franche et joyeuse sur le thème
trouvé
, sur l’idée que l’artiste s’est faite définitivem
lle détaille, elle donne à chaque chose un accent individuel. Vous ne
trouverez
pas deux hommes qui aient la même rotule, pas plu
uverez pas deux hommes qui aient la même rotule, pas plus que vous ne
trouverez
sur un arbre deux feuilles identiques. Si vous ce
par l’artifice même du décor, ces illusions visuelles auxquelles nous
trouvons
tant de charme. Parfois ce seront des figures com
suffit que dans ce réseau de lignes entrecroisées nous puissions lui
trouver
un contour : aussitôt elle nous apparaît distinct
re tantôt en noir sur fond blanc, tantôt en blanc sur fond noir. Nous
trouvons
encore une subtile variante de cette illusion dan
ut le premier ; il faut qu’il les ait vues dans sa tête avant de leur
trouver
une expression sur la toile. Cet effort que nous
le temps de se trop déplacer sur cette surface blanche où son œil ne
trouve
encore aucun point de repère, il commence à en ma
— Dans toutes ces œuvres, dessins, gravures, tableaux, statues, nous
trouvons
un trait commun qui les caractérise : toutes elle
nsigeance de quelques artistes qui n’admettent que le paysage pur. Je
trouve
bien ombrageuse cette poésie qu’un bruit de pas e
quelqu’un de ces sentiments généraux et vraiment humains qui doivent
trouver
un écho dans tous les cœurs ; il s’en est pénétré
rie poétique ; mais quoi qu’on fasse, on ne pourra s’empêcher de leur
trouver
un attrait spécial, qui tient au sujet même. Il f
e bien comprendre en effet. Cette évocation d’images, à laquelle nous
trouvons
tant de charmes, n’est pas une simple distraction
talent fléchit ? Tout au contraire. Ce sont les sentiments forts qui
trouvent
le mieux l’expression juste. Jamais l’artiste ne
t pas de prendre conscience des procédés intimes de leur imagination,
trouveraient
profit à cette recherche. Ils ne font d’ordinaire
diverses qualités sensibles qu’il veut représenter, il faut que nous
trouvions
une correspondance ; et cette correspondance doit
nsation résultante d’un parfum bleu foncé. De même je serai disposé à
trouver
que les fleurs de la série blanche, narcisse, tub
, il cherchera sur sa palette les tons les plus froids qu’il y puisse
trouver
, bleuira ses ombres jusqu’à les rendre glaciales.
us pouvons découvrir parfois une certaine ressemblance, qui nous fera
trouver
leur rapprochement plus naturel. Soit par exemple
s naturel. Soit par exemple la saveur de l’abricot, et sa couleur. Je
trouve
que les deux sensations s’accordent si bien, qu’e
rès mal, quel que soit d’ailleurs leur rapport d’association. Reste à
trouver
la raison de ces analogies. Si différentes que so
tes deux expressives d’un même sentiment. Dans tous les cas on pourra
trouver
en elles un élément commun qui, perçu d’une maniè
é à part. Entre les sensations visuelles et les sensations sonores on
trouve
de remarquables correspondances. À chaque instant
des phrases comme celles-ci, que je cite entre mille parce que je les
trouve
dans un excellent traité d’orchestration : « En p
ute phrase métaphorique, à côté des mots pris au sens figuré, il s’en
trouve
toujours quelques-uns présentés au sens direct, q
ment, et même à toute idée capable d’agir sur le sentiment, on pourra
trouver
dans l’ordre des couleurs un équivalent. Dans les
ntée ; là encore notre esprit et notre œil se mettent à l’unisson. On
trouverait
de beaux exemples de cette correspondance dans l’
dèle n’a pas le sentiment de cette harmonie, à la rétablir ; s’ils la
trouvent
toute faite, à l’accentuer. Voyez le François Ier
Ne pouvant les exprimer directement, il faudra qu’il s’ingénie à leur
trouver
, une expression indirecte. Il leur cherchera, dan
me. Sa force d’expression en est accrue d’une manière remarquable. On
trouve
, sculptés dans un certain nombre de cathédrales,
s artistiques ne sauraient nous surprendre ; à chaque instant nous en
trouvons
dans le parler courant de bien plus bizarres, que
levée à la deuxième puissance. Dans tout symbole par transposition on
trouverait
de même ces deux significations, l’une positive,
mployé dans les représentations symboliques ; mais certainement on en
trouverait
peu d’exemples. Il est trop peu subtil, et tout s
ble, mais qu’à l’origine ils ne le sont jamais. En cherchant bien, on
trouverait
toujours entre l’objet qui nous est mis devant le
e. Ici encore, comme dans toute transposition symbolique, nous allons
trouver
des rapports d’association et des rapports d’anal
représentée. Au reste l’artiste n’a pas grand effort à faire pour les
trouver
, car d’ordinaire ce sont celles qui spontanément
e brisée, le temps par un sablier ailé. Sur certains vases chinois on
trouvera
la représentation d’une ; poire comme emblème de
squelles se porte son action. Vous pourriez même, si vous le vouliez,
trouver
dans de telles compositions l’équivalent de l’épi
e-t-il un peu forcé ? Plus vous y réfléchirez au contraire, plus vous
trouverez
d’analogies entre ces deux procédés d’expression.
rythme de la pensée logique qui les accompagne. Les phrases que nous
trouverons
pour les décrire seront souvent celles-là mêmes d
listes ornent si volontiers leurs compositions décoratives ; on les a
trouvées
prétentieuses et déplacées ; on a dit que ce méla
c la littérature, et dans son suprême effort pour traduire l’Idée, ne
trouva
plus que des mots pour la rendre. Il est impossib
esprit en voit apparaître d’autres, plus idéales encore. Il nous fait
trouver
je ne sais quel charme aux sentiments les plus tr
x à mettre dedans ; attrait un peu morbide de l’étrange : on pourrait
trouver
de tout cela dans le parti pris d’obscurité de qu
té parfois pratiqué dans leur composition. On s’évertue par exemple à
trouver
le sens véritable de mainte figure allégorique de
, l’on compose et l’on récite des vers que l’on comprend, et que l’on
trouve
admirables. Quand, d’aventure, on se les rappelle
si loin qu’il nous plaira, parce que dès le premier moment nous avons
trouvé
à l’œuvre un sens plein et solide. — Dans l’image
vention : elles forment trop tableau pour cela, il faut que nous leur
trouvions
un sens. Même après explication, l’œuvre garde qu
s en tête-à-tête avec l’œuvre. Notre imagination va s’éveiller. Elle
trouvera
plaisir à ces images qui l’avaient effarouchée d’
utour de vous : dans cette flore réduite, dans ce coin de nature vous
trouverez
autant de formes ornementales que vous en pouvez
sous la main, des sujets excellents. On se met fort en peine pour en
trouver
. Les artistes s’en vont bien loin, leur boîte sur
ses beautés. Plus notre éducation esthétique sera avancée, plus nous
trouverons
dans le monde de choses à admirer. Dans l’objet q
ltats obtenus voue l’art à sa décadence en lui faisant croire qu’il a
trouvé
ses formules définitives14. L’œuvre se poursuit,
ur fantaisie une grâce incomparable ; certaines harmonies de couleurs
trouvées
par nos décorateurs valent bien celles que nous a
les compositions du peintre ou du sculpteur le plus imaginatif, vous
trouverez
des morceaux qui ont été exécutés d’après nature,
au je m’ingénierai à rendre le sens de ce mouvement. Un autre peintre
trouverait
d’autres équivalents. Quand après avoir regardé d
de feuilles. — S’agit-il d’un buste, d’une statue ? Il faudra de même
trouver
quelque moyen plus ou moins ingénieux pour rendre
e procédé étant plus artificiel, il est plus difficile à l’artiste de
trouver
des équivalents aux effets qu’il veut rendre, et
. C’est à force de recherches, d’expériences, de tâtonnements qu’on a
trouvé
cette façon de rendre tel ou tel effet de la natu
us avons eu l’occasion de le faire remarquer, ne se répète pas. On ne
trouvera
pas deux hommes qui aient les mêmes traits et le
. C’est cette nécessité de transposer constamment la nature et de lui
trouver
des équivalents par approximation qui fait la pri
ancs, fermement posés, ou dégradés suivant une loi régulière. On peut
trouver
de bons exemples de cette stylisation de la coule
nécessité, bientôt il le fera par goût, pour la saveur spéciale qu’il
trouve
à ces fantaisies d’interprétation. La nature même
l, un joli travail ». Le lendemain, il veut reprendre ses sujets : il
trouve
ses fonds lourds et embus. Pour parer à ce mécomp
encaustique, vernis de sa composition, il a multiplié les essais pour
trouver
une expression aux mystérieuses images qui le han
uvelle, à leurs risques et périls. Si personne ne cherchait, qui donc
trouverait
? C’est à force de tâtonnements et d’essais bizar
dées qui passent incessamment dans l’esprit des chercheurs, s’il s’en
trouve
une qui soit pratique, elle demeure, et la techni
e sont des méthodes à découvrir. Il faut s’ingénier continuellement à
trouver
la meilleure façon de pousser l’outil, le tour de
re enfin la terre opaque de son vernis translucide ! Heureux qui peut
trouver
un art nouveau ! On hésitera peut-être à admettre
rande fécondité d’imagination. L’essentiel, semble-t-il, n’est pas de
trouver
quantité de procédés, mais d’en trouver un seul q
el, semble-t-il, n’est pas de trouver quantité de procédés, mais d’en
trouver
un seul qui ait sur les autres une supériorité qu
aite par un homme qui n’ait jamais eu d’autre idée que celle-là. Pour
trouver
quoi que ce soit, il faut avoir le tempérament de
nt présentes dans l’esprit de l’écrivain, toutes voudraient à la fois
trouver
place dans l’œuvre, mais il faut les introduire l
odification de la forme. L’artiste a inventé encore en un autre sens.
Trouver
des attitudes naturelles et neuves, qui nous prés
fs pour élaborer leurs types sculpturaux. En Grèce, par exemple, nous
trouvons
d’abord d’informes essais, des effigies d’hommes
profession. Aussi peut-on dire qu’il faut chercher longtemps avant de
trouver
, dans les tableaux ou les statues qui remplissent
ver dans l’invention plastique la justesse, le naturel, la vérité. On
trouvera
pourtant, si l’on y réfléchit, une différence. Da
mportance exceptionnelle. Ce problème se pose souvent à l’artiste, de
trouver
une figure ayant un caractère, une expression, un
ous ne savons comment nous y prendre, ni par quoi commencer ; nous ne
trouvons
qu’une mimique fausse, exagérée, incohérente, qui
ut commencer par l’observation. Considérez l’œuvre de Gavarni, vous y
trouverez
à profusion des types bien vivants, dont l’indivi
e que j’appellerais son attitude morale à l’égard de son œuvre. On ne
trouve
pas l’expression à froid. L’imagination restera s
de son âme. Cette aptitude est également nécessaire à l’artiste pour
trouver
l’expression. Elle doit exister à un degré éminen
, avec des yeux hagards. Dans les masques si expressifs de Carriès on
trouvera
des jeux de physionomie que certainement il a dû
voquer ce sentiment, de m’identifier à ce caractère que je saurai lui
trouver
une expression plastique. On peut même dire que c
t donc absolument déconcertant pour un artiste du type intellectuel :
trouver
un je ne sais quoi qui exprime une nuance de sent
s, les formes nobles et parfaites, les beaux visages, et s’ils ne les
trouvent
pas dans la nature ils les demanderont à l’invent
t temps l’art idéaliste s’y est complu, parce que c’est là qu’il peut
trouver
le plus de proportion, d’harmonie, de noblesse et
I. L’idéal humain Le premier problème à résoudre est le suivant :
trouver
un type qui soit conforme à notre idéal de la bea
t de porter son idéal à ce degré de précision et de perfection. On ne
trouve
pas l’idéal du beau d’un coup de génie, pas plus
encontre des modèles d’une beauté accomplie, et telle que le goût n’y
trouve
rien à reprendre, que l’imagination ne conçoive r
are qu’un corps ou qu’un visage soit parfait de tous points ; mais on
trouvera
dans l’un des beautés de détail qui ne se trouver
ination pour en composer un ensemble, je ne vois pas ce que l’on peut
trouver
à redire au procédé. En fait tous les chercheurs
vations, plus il leur sera facile d’imaginer une beauté accomplie. Je
trouve
encore à cette variété d’études un avantage : c’e
la voie. Il étudiera donc les maîtres. Entrez dans un musée : vous y
trouverez
des corps d’une parfaite harmonie, des visages d’
sent, non seulement ce qu’ils ont vu, mais ce qu’ils ont rêvé. Nous y
trouvons
la forme humaine châtiée, élaborée, amenée au plu
utant que d’art. Ne nous obstinons pas à chercher ce que d’autres ont
trouvé
déjà. Il ne faut pas trop mépriser la tradition.
es d’une telle perfection plastique qu’il est bien difficile d’y rien
trouver
à retoucher. Si ce n’est pas absolument l’idéal,
ciens, il faut bien qu’il revienne aux mêmes types. L’essentiel a été
trouvé
. Le canon de la forme humaine a été fixé dans son
’art idéaliste poursuivait la perfection ; son malheur est de l’avoir
trouvée
: il n’a plus rien à faire. Rien de plus décourag
t sans doute beaucoup moins simple que cela ; il est probable qu’on y
trouverait
un certain nombre de maxima, de hauteur à peu prè
teindre aussi en nous engageant dans des voies différentes. S’ils ont
trouvé
certains types d’une beauté idéale, n’essayons pa
les reproduire servilement, ce serait du plagiat. Efforçons-nous d’en
trouver
d’autres, d’une valeur équivalente ! Affirmons la
idéal. Les anciens nous ont représenté la beauté antique : à nous de
trouver
la beauté moderne. Cherchons donc ! Le problème d
type de ces êtres surnaturels dont ils sculptaient l’effigie. Ils le
trouvaient
déjà conçu et presque fixé dans l’imagination pop
nçu et presque fixé dans l’imagination populaire. Leur tâche était de
trouver
une formule plastique à des images qui depuis lon
ours été heureuses. Pour donner l’impression du divin, on n’a souvent
trouvé
que le monstrueux. Que représentent ces idoles au
ar la surnaturelle beauté de l’image. De ce mode de représentation on
trouverait
dans l’art grec d’admirables exemples. En présenc
lles qu’en puissent être les raisons, c’est surtout chez eux que l’on
trouvera
des exemples de ce sublime purement moral. Dans s
traduire des conceptions auxquelles il semblait presque impossible de
trouver
une expression plastique. Alors même qu’il a écho
çant en pleine fantaisie. De cette libre allure de l’imagination nous
trouverons
surtout des exemples dans l’art décoratif. La rai
essinant d’un geste plus libre alors ce sera la main de l’artiste qui
trouvera
d’elle-même la courbe heureuse, qui prendra plais
cturale. Mais ceux qui aiment la peinture savent tout le charme qu’on
trouve
dans certaines esquisses que la pensée achève et
aine avec la forme animale, et des formes animales entre elles. On en
trouvera
le répertoire presque complet dans les bas-relief
ont donc pas eu la peine de les inventer. Le plus souvent ils les ont
trouvées
toutes faites, dans la légende, dans la poésie. M
en sont emparés avec joie. En leur qualité d’imaginatifs, ils doivent
trouver
un attrait particulier à ces conceptions étranges
ans ces régions inconnues, lointaines, merveilleuses, et nous y avons
trouvé
la nature toujours conforme à ses lois. Les monst
ier, quand l’élève sera abandonné à lui-même. Ces exercices devraient
trouver
place dès le début, dans les premières années d’a
à un entraînement normal et progressif ? Il faut songer enfin à leur
trouver
quelque noble stimulant. Ceci n’est-il qu’une uto
ré Michel, Notes sur l’art moderne, Armand Colin, 1896, p. 17. 3. On
trouvera
sur ce sujet de curieux détails et une ample docu
d’œufs de coquillages d’eau douce étaient en train d’éclore, et je la
trouvai
bientôt couverte d’un grand nombre de petits coqu
de cet ordre sont généralement grands voyageurs, et on les a parfois
trouvés
sur les îles les plus stériles et les plus éloign
vait rester à jamais inexplicable ; cependant Audubon affirme qu’il a
trouvé
les graines du grand Lis d’eau méridional (probab
espèces, la proportion des espèces autochtones, c’est-à-dire qu’on ne
trouve
nulle autre part, est souvent considérable. Si l’
re cents milles en pleine mer. Les différents ordres d’insectes qu’on
trouve
à Madère présentent encore des faits analogues. L
nd Océan est parsemé. J’ai voulu vérifier cette assertion, et je l’ai
trouvée
rigoureusement exacte, si l’on en excepte la Nouv
possèdent les indigènes, la Nouvelle-Zélande mise à part, je n’ai pas
trouvé
un seul témoignage certain de l’existence d’un ma
que de petites îles puissent nourrir de petits mammifères, car on en
trouve
en beaucoup d’autres parties du monde sur de très
res aériens. La Nouvelle-Zélande possède deux Chauves-Souris qu’on ne
trouve
nulle autre part. Il est vrai que cette île peut
es autres parties du monde ; mais, aussi loin que j’ai pu aller, j’ai
trouvé
que la règle était d’application générale. Nous v
bas-fond submergé à une profondeur de près de 1, 000 brasses, et nous
trouvons
encore ici des formes américaines, mais les espèc
des espèces autochtones, mais quelquefois aussi par des espèces qu’on
trouve
autre part. Le Dr Aug. A. Gould a fait connaître
cain. Nous avons vu déjà que sur vingt-six oiseaux terrestres qu’on y
trouve
, vingt et un et peut-être vingt-trois sont rangés
affinités deviennent une anomalie. Mais la difficulté qu’on pourrait
trouver
à l’expliquer disparaît dans l’hypothèse que la N
tants des Galapagos qu’on retrouve en d’autres parties du monde, nous
trouvons
des différences considérables entre les diverses
s, ou en se répandant subséquemment de l’une dans les autres, se sera
trouvé
exposé à différentes conditions de vie dans chacu
s groupes d’organismes tout différents. Une plante, par exemple, aura
trouvé
le sol le plus convenable pour elle, plus complét
plantes distinctes, dans une île que dans une autre, et elle se sera
trouvée
exposée aux attaques d’ennemis un peu différents
deux régions, quelque éloignées qu’elles soient l’une de l’autre, on
trouve
beaucoup d’espèces proche-alliées ou représentati
on trouve beaucoup d’espèces proche-alliées ou représentatives, ou y
trouve
également quelques espèces identiques, montrant,
bien qu’elle soit difficile à prouver. Parmi les mammifères, nous en
trouvons
une application frappante chez les Chauves-Souris
es comme espèces distinctes, de sorte que leur extension commune s’en
trouvera
diminuée de moitié. Encore moins ai-je voulu dire
ndue les moyens de dispersion des productions d’eau douce. Si l’on ne
trouve
aucune difficulté insurmontable à admettre que da
n ensemble presque infini d’actions et de réactions. Nous devons donc
trouver
, et nous trouvons en effet dans les diverses prov
e infini d’actions et de réactions. Nous devons donc trouver, et nous
trouvons
en effet dans les diverses provinces géographique
pôt intermédiaire les formes qui paraissent y manquer, bien qu’on les
trouve
dans les formations immédiatement inférieures ou
mpare entre elles des provinces éloignées sur la surface du globe, on
trouve
également que quelques organismes ont entre eux d
essairement que les types inférieurs actuels le soient encore. Ici on
trouve
de fortes raisons pour et contre. Que ces organis
outenir son opinion. A peine avois-je ruminé sur cet objet, que je me
trouve
sans m’en apercevoir au milieu du Jardin des Tuil
Déjà l’on en fixoit la date, & l’on nommoit ceux qui devoient s’y
trouver
; il y eut à la suite de ce discours une grande d
ouvernement français, fut dans tous les temps, dit un homme sensé, de
trouver
un excellent contrôleur général, qui unisse le gé
oient autour des allées du jardin, en discourant ainsi ; & je les
trouvai
pleins d’esprit & aimables. Il est certain qu
sur le particulier, & que Louis XVI étant le pere de ses sujets,
trouveroit
dans son cœur royal de quoi dédommager ceux qu’il
la fortune peut le porter. En s’occupant du bien de l’état, on pourra
trouver
des moyens qui seront d’une grande utilité. Il n’
leur faire la moindre grace ; nous parlions encore lorsque nous nous
trouvâmes
seuls au milieu du jardin des Tuileries. Le monde
pas, & pour me servir de l’expression d’un Gascon, ils s’étoient
trouvés
sous le parapluie, de maniere à ne pas s’en resse
e jamais dédommager des contradictions & des contradicteurs qu’on
trouve
à chaque pas ; & n’est-il pas bien dur dans u
es chagrins. Quatre vers qui m’ont cassé la tête, & que le public
trouve
mauvais, me désesperent ; & c’est un coup de
du siecle à la main, courut toute la rue Saint-Jacques, sans pouvoir
trouver
un libraire qui osât se charger de son manuscrit,
e, si un ami connoisseur ne lui en eût donné mille écus. Ainsi Milton
trouva
moins que rien de son Paradis perdu. Mais je veux
les sociétés s’occupent de rapports, de médisances, de frivolités, il
trouve
dans les livres qu’il consulte, dans son propre e
a nuit, il maîtrise, pour ainsi dire, l’univers, par l’avantage de ne
trouver
alors ni critiques, ni contradicteurs, de n’avoir
ls devroient en avoir. On convint de cette vérité, & l’on crut en
trouver
la raison, premiérement dans les efforts qu’ils n
dit, ajoutai-je, & je n’en crois rien, que plus d’une femme avoit
trouvé
le moyen de faire purger ou saigner son mari, lor
liste qu’il avoit lui-même soldée ; & à la mort de madame, on ne
trouva
que des ouvrages dont le titre seul étoit révolta
, que l’air en est dangereux. Elle n’aime que la ville, & il faut
trouver
des raisons valables pour qu’elle y réside contin
des femmes ne se marieroient jamais, si elles n’étoient pas sûres de
trouver
dans leur imagination, ou dans leur astuce, les m
e de l’esprit, & sur celles qu’un intérêt secret avoit dictée. Je
trouvai
que le comte étoit trop mal pensant, & j’avou
lement sans se connoître. La femme la plus qualifiée, [quand elle s’y
trouve
] fait volontiers les frais de la conversation ave
s Paris ne se montre qu’avec réserve, nous faisoit beau jeu, quand je
trouvai
le Jardin des Tuileries rempli de personnes de to
ù l’on se nourrissoit mieux. C’est-là, me dit-il avec chaleur, que je
trouve
les meilleurs traiteurs, les plus excellens pâtis
coup plus de goût & plus de substance que les nôtres, & je ne
trouve
rien de meilleur qu’une soupe allemande, lorsqu’e
urneaux bien allumés, au lieu que chez la plupart des François, on ne
trouve
qu’un petit feu de veuve à l’heure même de midi.
ne tasse de chocolat forme leur souper. Si je passe en Angleterre, je
trouve
dans chaque famille un énorme rosbif. Tous les ra
monument décoré de ses éloges & de son nom. Quant aux noces, nous
trouvâmes
qu’elles avoient beaucoup perdu de leur pompe &am
rs d’une maniere étonnante, en leur donnant une nuance parisienne. On
trouve
jusque dans Tobosk, Capitale de la Sibérie, jusqu
l résulta de notre entretien, que ce monde est un vaste champ où l’on
trouve
des plantes & des fleurs, qui, par la variété
ien. Nous levâmes le siege, & je me retirai chez moi charmé de me
trouver
seul ; c’est une jouissance pour l’ame qui nous p
en faire une aventure plaisante, & que la curiosité parisienne y
trouveroit
de quoi s’amuser. Des hommes singuliers, Ou d
jour à un ami qui sait parfaitement apprécier les humains. Nous nous
trouvions
l’un & l’autre en train de causer, & nous
qu’elle verra Voltaire, sans entremise & sans recommandations. On
trouve
des parieurs, l’argent se met sur jeu, & voic
; lui dit : Oh ! je savois bien que je vous attraperois, & que je
trouve
rois le moyen de vous parler, parce que je connoi
nte son aventure, & chacun vous regarde comme un ours. L’avis fut
trouvé
très-bon. Le vieux poëte rit de tout son cœur, &a
p; même ridicules aux yeux des gens sensés, de sorte que si l’on veut
trouver
des êtres singuliers, c’est parmi les savans &
leurs, & que si l’on pénétroit dans l’intérieur des ménages, on y
trouveroit
les peres les plus bizarres, les meres les plus a
& c’est dans la ville d’Angers qu’on veut aller, & qu’on s’y
trouve
au mieux, jusqu’au lendemain que le soleil contin
d’originaux, & nous nous rendîmes enfin à Saint-Cloud, où nous ne
trouvâmes
heureusement qu’un vin original, parce qu’il n’av
nous intéresser, de sorte que nous donnions carriere à nos idées pour
trouver
matiere à quelqu’entretien, quand vint à paroître
petit coquin sait parfaitement réparer ses torts à son égard ; on le
trouve
réellement si aimable, que chaque élégante blâme
e. Le seigneur stupéfait de ces naïvetés, & en même temps ravi de
trouver
tant d’innocence, n’a nulle difficulté de se livr
ux laquais. On peut bien assurer que chez un être de cette espece, on
trouva
l’impertinence avec tous ses entours. Un négocian
s de bien vivre. Lycas se leve sans savoir où il ira dîner, & il
trouve
le moyen d’assister au repas le plus excellent, d
ruine. L’histoire de l’industrie est un ouvrage qui nous manque. On y
trouveroit
plus d’esprit que dans tous les mémoires des dive
s-je vous demander dans quel endroit ? Vos Champs-Elysées même : j’ai
trouvé
, qu’excepté la grande route qu’enfilent les cabri
ngambe qu’on puisse être, de garder l’équilibre sur les pierres qu’on
trouve
dans les fossés du Cour-la-Reine, tant elles sont
pour suffire à ces dépenses. Je vous répondrois qu’il faut qu’elle en
trouve
cela fût-il pris sur le revenu de vos gros abbés
urs que Londres & ses environs n’ont point les inconvéniens qu’on
trouve
à Paris, & qu’on est enchanté de leurs agréme
is de bonne-foi, ces jardins sont-ils donc si merveilleux ? Je ne les
trouve
agréables que pour une personne seule, car il est
Je souffre, par exemple, toutes les fois que je vas à Versailles, de
trouver
sur la route de ce magnifique séjour, des cabanes
On m’avoit donné rendez-vous au Jardin des Tuileries, pour ne pas s’y
trouver
: à Paris c’est assez l’usage. Il y a tant d’affa
mbarras qui vous arrêtent ; il semble que plus on est pressé, plus on
trouve
d’obstacles. J’attendois impatiemment, quand une
vir de truchement. Mais ce domestique, lui dirent ces messieurs, vous
trouveroit
-il malgré toute son habileté, ce qu’on ne connoît
cheminées, c’est que dans leurs cuisines comme dans leurs offices, on
trouve
un gothique, dont l’élégance s’effarouche avec ra
isies, qui nous met au-dessus du qu’en dira-t-on, & qui nous fait
trouver
du plaisir jusque dans la douleur ; mais vous ne
e pas le désagrément de voir ma voiture arrêtée par les autres, de me
trouver
coudoyée par cette foule qui inonde les promenade
s. Quelle différence, lui répondit-on ; c’est dans Paris même où vous
trouvez
ces embarras, mais quand Paris avec tous ses agré
s voyageurs. Ajoutez la crainte des brigands ; s’il est rare qu’on en
trouve
sur les routes fréquentées, ils ne rodent que tro
différentes des nôtres ? Les femmes s’appliquent-elles à lire, &
trouve-t
-on le fruit de la lecture dans leurs entretiens ?
charades & …. A propos de calembourgs, dit un d’entre nous, je ne
trouve
l’étymologie de ce mot dans aucun dictionnaire, &
ant que l’imagination française. Ainsi vous voyez, madame, qu’on peut
trouver
des raisons qui expliquent la prééminence que nou
étrangers. En ce cas, dit la comtesse, je garderai mon or, & je
trouverai
des moyens de le dépenser ici beaucoup plus graci
sonnages, se présente si souvent, qu’il n’est point extraordinaire de
trouver
ici quelques réflexions sur un pareil sujet. Les
s que personne à la critique. Oui, pour peu qu’on les analyse, on les
trouvera
presque toujours aussi médiocres dans leurs disco
le hasard nous fournit des comédies de cette espece sans payer. Nous
trouverions
le personnage d’important excellent dans une comé
amp; pendant une ou deux heures seulement ; & les importans qu’on
trouve
dans le monde nous obsedent à toute minute. Une s
dire que la société devient plus que jamais à charge, en ce qu’on n’y
trouve
que des importans. Le plus petit mérite, l’esprit
cette prostituée de Babylone, qu’ai-je fait, au moment même qu’on la
trouve
en flagrant délit. Tant que le monde sublistera,
rsonnes aux quelles la lettre s’adresse. Le plus ancien exemple qu’on
trouve
des lettres de cachet, en tant qu’on les emploie
lâmes du gland, & mon habile cultivateur prétendit qu’il espéroit
trouver
en peu le moyen de le rendre agréable au goût. Il
la raison que par un fil, mais du moins elle n’échappe pas. Nous lui
trouvâmes
plus d’esprit qu’il n’en avoit montré, & il f
faveur, & des fruits délicieux y montrent un embonpoint qu’on ne
trouve
point à la halle, quoiqu’elle soit le plus beau j
ni augmentée, car il a le bonheur de prendre les choses comme il les
trouve
, & de les répéter avec la plus grande fidélit
as aussi des grimoires. Quelle différence ! on n’est point étonné d’y
trouver
des mots qu’on n’entend pas ; mais dans le frança
mots qu’on n’entend pas ; mais dans le français la langue familiere y
trouve
les termes les plus barroques, c’est comme si l’o
onde tellement en termes français, qu’on n’en lit pas une page sans y
trouver
une quantité de nos expressions…. J’en conclus qu
d’une élégance mâle, la diction en est si pure, que chaque phrase s’y
trouve
parfaitement cadencée. L’E muet est une lettre cr
& nous nous étendîmes sur quelques ouvrages du temps, où l’on ne
trouve
réellement que des mots ampoulés, un autre auroit
chut…. Le voici trop près de nous. Mon pédant s’en alla, & je me
trouvai
seul chargé de faire les honneurs de l’écrivain a
ien, que je dissertai sur les qualités de l’immortel Frédéric ; je le
trouvai
très-impartial sur le compte de ce monarque, &
ic a du mérite, & il n’y a point de bibliotheque où elle ne doive
trouver
place. Mais Voltaire auroit commencé cette histoi
& souvent si l’on en rapportoit toutes les circonstances, on les
trouveroit
bien petits. Il est rare que la grandeur se souti
Quinzieme entretien. C Omme il ne faut pas aller bien loin pour
trouver
des êtres de cette espece, sur-tout dans une capi
utons pas, qui a fait naître parmi nous tant de frondeurs. Nous avons
trouvé
que leurs fréquentes motions supposoient du coura
ur débiter une méchanceté, ils ne sont pas toujours justes. Ce que je
trouve
affreux parmi les frondeurs, c’est qu’un homme qu
nons Paris pour exemple. On ne sauroit croire combien les marchands y
trouvent
d’entraves, depuis que le Mont-de-Piété subsiste…
par hasard un ouvrage, malgré son activité, reste entre ses mains, il
trouve
moyen d’en faire des échanges, ou de se dédommage
p; pour me prévenir contre le livre, il m’en rapportoit des fragmens.
Trouvez
-vous bien, me dit-il, cet endroit où l’auteur ava
s, & que je veuille dominer sur le sentiment des autres ; mais je
trouve
ridicule qu’on se permette des déclamations injur
uvrage qu’en courant, & qu’un esprit pénétrant & délié y peut
trouver
des choses que je n’ai point apperçu. Je finis pa
pagnie, que sans la coutume ridicule de crier contre les médecins, on
trouveroit
cela pitoyable ; on veut absolument les rendre re
cin en courant les Villes, & disant par-tout qu’il voyageoit pour
trouver
des simples, gagna tout ce qu’il voulut ; & l
ges, s’ils ne remplissent pas les vœux du public. Il est rare qu’on y
trouve
de ces critiques déchirantes que réprouve l’honnê
; & pour peu qu’on veuille les parcourir sans prévention, l’on y
trouvera
des analyses parfaitement bien faites, des compte
que les journalistes encouragent le talent, & que pour peu qu’ils
trouvent
quelque chose de bon dans l’ouvrage d’un jeune ho
subsister qu’avec peine ; car il faut avouer que la littérature s’est
trouvée
au pillage, que tout le monde a voulu forcer le s
rez toutes les conditions, suivez les deux sexes, & par-tout vous
trouverez
des ridicules ; ici plus compassés, là, moins pré
; qui mériteroit bien un prix de la part des sociétés littéraires. Je
trouvai
cette réflexion plaisante, & je le dis à la m
nécessaire de fixer les hauts seigneurs de l’espece humaine, pour en
trouver
. Voyez, par exemple, cette femme qui passe, &
vres, qui sont singuliérement ridicules. On se bat les flancs pour en
trouver
d’extraordinaires ; & lorsqu’on les a saisis,
ue à Caron nous aura passé sur l’autre bord, pourvu toutes fois qu’il
trouve
notre monnoie de bon alloi… Ma foi, s’il n’alloit
qu’il trouve notre monnoie de bon alloi… Ma foi, s’il n’alloit point
trouver
les nouveaux louis de son goût, il y auroit bien
je défie tout notre bel-esprit d’en faire de semblables. L’esprit s’y
trouve
comme la violette sous les feuilles, sans se mont
oui ; c’est-là cette Alise, qui, sans esprit comme sans éducation, a
trouvé
le moyen d’avoir cet équipage si leste & si d
, c’est elle-même, & c’est elle qui petite marchande de chiffons,
trouva
l’homme le plus stupide & le plus riche, dont
ans, qu’un habit à fracas, ne doivent pas être le partage d’un enfant
trouvé
… Il est commis…. Je le veux. Mais ce n’est pas un
urs seront encouragés, les vassaux défendus, & le plus malheureux
trouvera
accès dans les assemblées en question, au lieu qu
ar des mémoires aussi bizarre qu’impraticables. L’un, avec rien, fera
trouver
tout-à-coup deux cents millions, l’autre avec cen
u’il y a une grande différence entre bien arranger des syllabes &
trouver
des trésors. Tout cela vient d’un tourment d’espr
ient très-peu. Depuis sa mort (10 janvier 1846), j’avais espéré qu’on
trouverait
dans ses papiers quelques notes à mon intention e
moitié de la vie, je cherche vainement une saison heureuse, et je ne
trouve
que deux semaines passables, une de distraction e
aiblesse des membres qui, en m’ôtant les ressources qu’un autre homme
trouverait
dans le malheur, me prive de cette résignation, d
eur, me prive de cette résignation, de cette heureuse sécurité que je
trouverais
dans mes dispositions naturelles, dans les résult
Il n’y a pas eu d’hommes d’État dans tel pays, car s’il s’y en était
trouvé
, ils se seraient élevés comme Cromwell, lequel a
uand les circonstances le demandent ; et ses simples connaissances le
trouvent
prompt à rendre… » (Ici une lacune.) « Sans doute
e me condamne, je me dis : « Il fallait prendre tel parti ; » puis je
trouve
qu’il a été si mal à propos de ne pas prendre ce
s que, si je n’ai pu faire mieux dans les circonstances où je me suis
trouvé
, j’ai manqué de l’art d’en faire naître de plus f
beaux jours, et qui les décolorent précisément afin que l’œil puisse
trouver
quelque repos. « Il est bon d’être au milieu de l
vigoureux propres à tout. Je suis à la merci du sort, et peut-être ne
trouverai
-je d’autre repos que celui que je voulais alors c
nse que c’est dans ce qu’on appelle (bien ou mal) mélancolie que nous
trouverons
les lumières désormais utiles. « Dans ces siècle
ns doute qui puisse ramener les hommes au bonheur. Cependant il s’est
trouvé
que bientôt après M. de Chateaubriand, qui avait
ions morales et religieuses, où l’avocat du roi, Levavasseur, croyait
trouver
à chaque phrase l’intention manifeste de détruire
s explications. Il fit observer que nulle part dans son ouvrage on ne
trouvait
l’empreinte de la passion : « Je n’ai jamais, dis
emps que les qualités. Certaine fille, un peu trop fière, Prétendait
trouver
un mari Jeune, bien fait et beau, d’agréable mani
igneux de la pourvoir : Il vint des partis d’importance. La belle les
trouva
trop chétifs de moitié : « Quoi, moi ? Quoi, ces
, c’est l’exposition : Certaine fille, un peu trop fière, Prétendait
trouver
un mari…, etc. Le second acte, ce sont les bons
ptibles, je le reconnais, d’une interprétation au bout de laquelle on
trouverait
qu’il est possible que La Fontaine ait fait ce vo
Là (c’est-à-dire quand ils sont arrivés à Bourg-la-Reine), là se doit
trouver
un valet de pied du Roi (expression amusante de L
ligé d’accompagner Jannart. » Cela peut s’interpréter ainsi ; mais je
trouve
l’explication un peu tirée et il y a peu de chose
res de la famille et qui n’intéresserait pas beaucoup le public. « Je
trouvai
à Châtellerault un Pidoux dont notre hôte avait é
à mon égard… » Ici nous sommes en face d’un de ces propos comme on en
trouve
tant dans les lettres qui n’étaient point destiné
t le caractère domestique et familial au plus haut degré. Ce que l’on
trouve
et qui intéresse non seulement Mlle de La Fontain
nt des parcs et pour les parcs qui sont de véritables forêts, où l’on
trouve
l’ombre et le frais, comme il dit, et où l’on tro
forêts, où l’on trouve l’ombre et le frais, comme il dit, et où l’on
trouve
une solitude peuplée de véritables ténèbres ; il
ût venu m’avertir qu’il était tard… » Après les jardins, ce que l’on
trouvera
en fait de pittoresque, dans les lettres de La Fo
ême, oui, mais le sentiment du grand pittoresque, ils ne pouvaient le
trouver
autour d’eux. Si, à la place du Mont Valérien, il
……………………………………………. Qu’au lieu d’Amaryllis, de Diane et d’Aminte On ne
trouve
chez toi que vilains bûcherons, Charbonniers noir
est bien mieux pris que quand le Bourguignon le mena à Liège. Je lui
trouvai
la mine d’un matois ; Aussi l’était ce prince, do
t le caractère des hommes que l’on a rencontrés. C’est ce que vous ne
trouverez
pas beaucoup, ce que vous ne trouverez presque pa
ncontrés. C’est ce que vous ne trouverez pas beaucoup, ce que vous ne
trouverez
presque pas dans le Voyage en Limousin. On sent b
’ont fait frémir. Cet homme (il n’aimait que les mers d’Italie) a osé
trouver
affreuse la baie de Saint-Malo. Ce jour-là il s’e
es hommes. C’est cela que La Fontaine, en somme, ne fait point. On ne
trouve
exactement, parmi ses compagnons de voyage et tou
i ses compagnons de voyage et tous les gens qu’il a rencontrés, on ne
trouve
exactement dans ses lettres que le notaire, d’abo
bon augure [vous voyez dans quel sens parle La Fontaine] et j’y eusse
trouvé
matière de cajolerie, si la beauté s’y fût rencon
la singulière compagnie suivante : « Après avoir passé l’Indre, nous
trouvâmes
au bord trois hommes d’assez bonne mine, mais mal
gages, de ce qu’il n’avait pas d’autre bagage que Tite-Live, aille le
trouver
et lui dire : « Monsieur, ne serait-ce pas au Che
1793 : J’ai la douce consolation, dit-il, d’y éprouver que l’on peut
trouver
Dieu partout, que partout où on trouve son Dieu o
l, d’y éprouver que l’on peut trouver Dieu partout, que partout où on
trouve
son Dieu on ne manque de rien, on ne craint rien,
n voit à quel point il entrait aisément dans les idées du temps et ne
trouvait
rien de ridicule à ces réminiscences romaines. La
maladresse et de l’ignorance de nos législateurs, je me suis souvent
trouvé
tout prêt à prier que ce genre de désordres s’aug
à la fusillade, à la noyade, et je disais à Dieu que partout là je me
trouverais
bien, parce que je sentais et je croyais que j’y
servations restent encore dans leur entier, et je puis dire qu’il s’y
trouve
des bases neuves que je n’aurais pas eues sans ce
çaise dès son origine et au moment où a commencé son explosion, je ne
trouve
rien à quoi je puisse mieux la comparer qu’à une
e, qui est à ses yeux peut-être la plus haute de toutes, Saint-Martin
trouve
tout simple que les individus de cet ordre aient
stianisme constitué et établi dans l’Église ; il a tout bas son ordre
trouvé
, sa religion à lui, son règne de Dieu qui doit en
e que le monde ne s’élève pas jusqu’au degré où, s’il était juste, il
trouverait
abondamment de quoi se calmer et me faire grâce,
droit de condamner un homme, je ne me croyais pas plus en droit de le
trouver
coupable, et que sûrement, tout en obéissant à la
, tout en obéissant à la loi qui me convoquait, je me proposais de ne
trouver
jamais les informations et les preuves assez clai
ine des questions religieuses et morales qui s’agitaient alors. Je ne
trouve
pas qu’à cet égard ses contemporains distingués a
fait dîner57. Saint-Martin vit La Harpe depuis sa conversion ; il le
trouva
plus sincère qu’éclairé ; mais cette connaissance
resque tout le royaume pendant ces temps de trouble, et la paix s’est
trouvée
partout où j’étais (excepté l’aventure du Champ-d
1802, dans lequel il paraît vouloir démontrer que partout où il s’est
trouvé
dans l’intervalle depuis juillet 1792 jusqu’à la
cet usage abusif du signe représentatif de la propriété : aussi je le
trouve
bien plus faux que la propriété même. Tous nos pr
plus tôt : c’est le seul homme de lettres honnête avec qui je me sois
trouvé
en présence depuis que j’existe ; et encore n’ai-
urire. Selon ces beaux récits, qui ont charmé des siècles, l’homme ne
trouve
sur la terre que l’épreuve ; cela est tout simple
ses temporelles. L’effet de cette bénédiction fut probablement qu’ils
trouvèrent
à quelques pas de là une brebis ou un chevreau ég
rs. Nul ne sera tenté de l’embrasser par l’espoir des profits qu’on y
trouve
. Parmi les quarante ou cinquante vies vertueuses
rands fondateurs, entraîna sa conviction et fixa son choix. Elle crut
trouver
chez les jeunes garçons pervertis plus de droitur
Quoi qu’il en soit, la véritable vocation de madame Gros fut dès lors
trouvée
. Elle s’établit dans la sentine de Lyon, près des
car, ainsi que madame Gros le remarque, le premier sentiment qu’elle
trouve
toujours chez eux est la fierté de leurs crimes.
dont M. l’abbé Carton est curé depuis treize ans. M. l’abbé Carton a
trouvé
moyen, dans cette triste zone de la banlieue pari
it sa mère de ses petits travaux de couture. Malgré sa pauvreté, elle
trouva
encore le moyen d’être charitable. Dans les désor
ne), paralytique des deux jambes, qui n’a que ses mains pour vivre et
trouve
encore moyen d’être bienfaisante ; enfin, madame
e presse, Messieurs. L’exemple de la philanthropie de M. de Montyon a
trouvé
, en effet, des imitateurs. Des personnes bienfais
nt et s’aiment entre eux. Qui croirait qu’il y a un monde des enfants
trouvés
? Ce monde existe, et l’on y est très heureux. J
aison aussi désemparée. Ses vertus et ses charmes extérieurs lui font
trouver
des mariages très avantageux ; elle les refuse to
pays, entoure Emmeline d’une véritable auréole de respect. Vous avez
trouvé
, Messieurs, une sœur dans le bien, digne d’être a
t vivre une nation, la rend immortelle malgré ses fautes, et lui fait
trouver
en elle-même, au travers de tous ses désastres et
chesse, car je vous avoue que, à part l’Académie, qui l’encourage, je
trouve
que souvent nous faisons trop de choses pour la d
ien, ou plutôt nous ne savons qu’une seule chose, c’est que chacun la
trouve
dans les inspirations de son cœur. Parmi les dix
se raisonnablement se déduire. Le héros, quand il se met à réfléchir,
trouve
qu’il a agi comme un être absurde, et c’est juste
umaine peut avoir à traverser. Plus j’y réfléchis, messieurs, plus je
trouve
que le baron Montyon, à qui l’on reproche souvent
pas sans doute le plus intéressant. D’après la revue ancienne où j’ai
trouvé
cette histoire, on aurait prétendu qu’il n’y avai
qui n’ont pas pour la symétrie le respect moderne. La pipe On a
trouvé
dans des tombeaux romains, celtiques, barbares de
la menthe, la sauge et surtout la lavande. Sur une des pipes antiques
trouvées
à Valence, on a gravé une plante où l’on reconnaî
a vigueur, en purgeant l’humidité du cerveau ». Cette pipe à lavande,
trouvée
à Valence, semble taillée dans ce que nous appelo
toutes prêtes à le recevoir ; elles l’attendaient. À vrai dire, on ne
trouve
pas d’allusions à cette coutume dans les auteurs
hilosophale a toujours coûté extrêmement cher à ceux qui la voulaient
trouver
de bonne foi. En retour, elle enrichit assez sûre
abale furent de vraies mines d’or ; mais combien d’autres, au lieu de
trouver
la fortune au fond de leurs cornues et de leurs c
ver la fortune au fond de leurs cornues et de leurs combinaisons, n’y
trouvèrent
que la misère. Mais quelle bêtise de vouloir tran
dix pour cent pour les frais de vente, le prix des assurances et vous
trouverez
que l’acquéreur aura payé, surtout s’il n’a pas l
mais je ne l’ose. Ils ne me comprendraient pas d’ailleurs, peut-être
trouveraient
-ils seulement que j’ai bien mauvais goût. Oui, je
bien séduisant et dont l’autorité sera grande. Les livres anciens ont
trouvé
de vrais amis. Un roman Les romans que l’on
Ils sont inquiétés, mais à peine, et l’ordure triomphe. L’auteur n’a
trouvé
que défunt son chien à qui dédier cette bonne his
é classique conservée et transmise par les monastères. » Hélas ! on a
trouvé
plus simple, plus propre aussi de l’acheter par p
ues où je m’amuse quelquefois et où je fais des découvertes. Hier j’y
trouvai
un petit traité que j’ai eu la patience de lire j
Plume avec laquelle Voltaire écrivit La Pucelle », ou bien : « Balle
trouvée
dans l’une des bottes de Napoléon après la batail
ant dix ans une étoile lumineuse. Comme elle était fort jolie, on lui
trouva
l’air inspiré dès qu’elle chanta et sa poésie pas
le fut la Muse, elle fut Velléda, elle fut Corinne. Chateaubriand lui
trouva
du génie, Vigny l’aima ; Lamartine, toujours un p
a remplacent cherchent ce qui faisait l’attrait du survivant et ne le
trouvent
pas. Bientôt même on ne se le demande plus et, co
s’élabore plus que jamais en dehors de l’Université. Et finalement je
trouve
charmant que ce nom et ce titre soient usurpés pa
ame se réveilla soudain, poussa un cri et des domestiques accourus la
trouvèrent
épouvantée devant un Académicien, l’épée nue à la
ovince n’avaient pas une très bonne réputation d’esprit à Paris. On y
trouve
aussi l’histoire du médecin qui compte à un clien
e trouve toujours à point un moraliste pour lever les bras aa ciel et
trouver
là un signe des temps. La bêtise elle-même est im
t-il pas que M. Jovy (le plus intrépide des pascalisants) croit avoir
trouvé
la preuve qu’ils ont empoisonné Pascal ! Il a eu
endormies. Le pain blanc De temps en temps, des gens difficiles
trouvent
que le pain blanc est trop blanc, que c’est mauva
la mode du pain complet. Pour satisfaire leur clientèle, comme on ne
trouve
pas dans le commerce de « farine complète », les
faisaient de leur mieux pour obtenir du pain gris. Les amateurs ne le
trouvaient
jamais assez gris : « Ce pain, disaient-ils, est
réfléchir sur ces questions, peut-être au petit bonheur, en espérant
trouver
un adhérent aux idées représentées par la ligue d
ie d’implanter le cancer sur de jolies petites souris ? Si on pouvait
trouver
à ce prix-là la guérison du cancer de l’homme, ce
iter tout aliment salé ? Nous cherchions cela l’autre jour et nous ne
trouvions
rien en dehors du chocolat et des différentes suc
région par excellence de la vigne, paraîtra inimaginable, mais on en
trouvera
peut-être la cause dans le phylloxera et les frau
souvenirs, épais comme le brouillard, la cause de son rhume. Il ne la
trouve
jamais avec certitude. Il semble qu’on n’ait rien
ur aussi fins et aussi polis que peuple de France. » Cependant il les
trouve
un peu complimenteurs et ils ne lui plaisent poin
mplèrent ses montagnes avec un regard désintéressé, avec l’espoir d’y
trouver
une émotion. Cela remonte au xviie siècle, à l’h
J’espère que les délégués du tourisme, qui vont se réunir, sauront
trouver
un rôle et une place d’honneur pour notre grand t
nte-cinq ou soixante volumes, car l’œuvre continue. Ayant tout vu, il
trouve
sans cesse à revoir et peut à peine consentir à s
uin-Dumazet a des admirateurs et des fidèles. Les touristes assemblés
trouveront
certainement moyen, j’en suis sûr, d’honorer ce g
ussi un canton. Qui connaît la propre chambre où il vit ? Goncourt ne
trouva-t
-il pas muet un monsieur à qui il demanda : « Quel
en ; ce n’était nullement un esprit supérieur ; on pouvait d’abord le
trouver
simple, presque commun ; puis on s’étonnait de dé
si comique qu’on s’étouffait pour ne pas rire. Il s’en apercevait et
trouvait
cela tout naturel. C’était lui qui lisait, au cou
nde connaissance de l’exégèse et de la théologie allemandes. Ce qu’il
trouvait
dans cette interprétation de compatible avec l’or
de mes amis de Bretagne, alors au séminaire de Saint-Brieuc : Je me
trouve
fort bien ici. Le ton de la maison est excellent
xige le moins d’action de la part du moteur. Le grand avantage que je
trouve
ici, ce sont les remarquables facilités que l’on
aités de la Religion et de l’Église, m’arrangerait fort mal, si je ne
trouvais
auprès de ces autres messieurs le moyen d’y suppl
forme des sacrements prêtent aux mêmes observations. L’obstination à
trouver
en toute chose la matière et la forme date de l’i
cablant. Or Descartes m’avait enseigné que la première condition pour
trouver
la vérité est de n’avoir aucun parti pris. L’œil
singulièrement facilitée. Je suis tombé de surprise quand je me suis
trouvé
en présence de cette langue si simple, sans const
de Gutbier. M. Le Hir fixa ma vie ; j’étais philologue d’instinct. Je
trouvai
en lui l’homme le plus capable, de développer cet
deux contradictoires ne pouvant être vraies à la fois, il ne doit s’y
trouver
aucune contradiction. Or l’étude attentive que je
e livre antique de contradictions, d’inadvertances, d’erreurs. Il s’y
trouve
des fables, des légendes, des traces de compositi
s citations de l’Ancien Testament qui sont faites dans le Nouveau. Il
trouvait
tant de difficultés à les justifier, lui si exact
giens. Ce catholicisme, je l’ai aimé, je le respecte encore ; l’ayant
trouvé
inadmissible, je me suis séparé de lui. Voilà qui
sent plus tard ces hésitations spéculatives. Ici, je dois le dire, je
trouvai
la sagesse de mes pieux directeurs un peu en défa
t au cours de syriaque de M. Quatremère, au Collège de France, et j’y
trouve
un intérêt extrême. Cela me sert à bien des fins
nent chaque jour de plus en plus vives, d’autant plus vives que je ne
trouve
ici personne à qui je puisse les confier. Ce qui
oup de répugnance à y faire un long séjour dans l’état d’âme où je me
trouve
. Je ne vois approcher qu’avec effroi l’époque où
Quel serait alors le mobile de ma vie ? Je ne sais ; mais l’activité
trouve
partout son aliment. Croyez bien qu’il faut que j
. Tous mes intérêts les plus chers ne devaient-ils pas m’engager à le
trouver
vrai ? Les considérations temporelles contre lesq
; mais je ne puis me dissimuler les points vulnérables que j’ai cru y
trouver
et sur lesquels on ne peut transiger, vu qu’il s’
stianisme rationnel et critique ? Je vous avouerai que je crois avoir
trouvé
dans quelques écrivains allemands le vrai mode de
te pour comprendre qu’on changeât de foi religieuse parce qu’on avait
trouvé
que les explications messianiques des Psaumes son
me promit de chercher pour moi une position tranquille et honnête. Je
trouvai
chez M. Dupanloup cette grande et chaleureuse ent
ité. 3. Chaque nation grecque ou barbare, a follement prétendu avoir
trouvé
la première, les commodités de la vie humaine, et
ui s’étend depuis Romulus jusqu’aux lois Publilia et Petilia, et nous
trouverons
réfléchie dans cette histoire toute la suite de c
dans cette histoire toute la suite de celle des héros grecs26. Nous
trouvons
encore, dans nos principes, une autre cause de ce
t même fausses ; mais par les faits d’une histoire physique dont nous
trouverons
les vestiges dans les fables. 26. Il a existé des
é des géants dans l’antiquité, tels que les voyageurs disent en avoir
trouvé
de très grossiers et de très féroces à l’extrémit
rmi les hommes violents et farouches de son système, lui qui, pour en
trouver
l’origine, s’adresse au hasard d’Épicure. Il entr
les inconnus entre eux, doivent avoir un motif commun de vérité, vous
trouverez
un grand principe, c’est que les premières fables
imagine que ce qui est analogue à la réalité. Qu’on y réfléchisse, on
trouvera
que le vrai poétique est vrai métaphysiquement, e
erprète les mystères de l’Égypte. Dans les axiomes 47, 48 et 49, nous
trouvons
le principe des caractères poétiques, lesquels co
que la mémoire avec extension, ou composition. — Voilà pourquoi nous
trouvons
un caractère si frappant de vérité dans les image
utilité, de commodité, et même la plupart des arts d’agrément, furent
trouvés
dans les siècles poétiques, avant qu’il se formât
on qui précédèrent même l’existence d’Homère. Les Grecs, craignant de
trouver
les dieux aussi contraires à leurs vœux, qu’ils d
contre Celse). Mais comme ils avaient seulement deviné la vérité, ils
trouvèrent
des adversaires dans Aristote (Περί ερμηνείας), e
— Tels furent les véritables compagnons des héros, dans lesquels nous
trouvons
plus tard les plébéiens des cités héroïques, et e
e par le mot beneficia. 82. Chez toutes les nations anciennes nous ne
trouvons
partout que clientèles et clients, mots qu’on ne
ut entendre convenablement que par fiefs et vassaux. Les feudistes ne
trouvent
point d’expressions latines plus convenables pour
(en partant du 70e), nous font connaître l’origine des sociétés. Nous
trouvons
cette origine, comme on le verra d’une manière pl
ion des patrimoines particuliers ; comment à sa formation, la société
trouva
des éléments tout préparés dans un corps peu nomb
ux, y cherche un remède en se réfugiant dans la monarchie. Ainsi nous
trouvons
dans la nature cette loi royale par laquelle Taci
ent assez de confiance pour aller jusqu’aux rivages de la mer. 98. On
trouve
dans Strabon un passage précieux de Platon, où il
iterranés se formèrent d’abord, ensuite les peuples maritimes. Nous y
trouvons
aussi une preuve remarquable de l’antiquité du pe
t certainement étrangère, système différent de celui dans lequel nous
trouvons
l’origine des mots indigènes. Sans ce principe, n
it sur les choses de l’antiquité et veut y mettre quelqu’ensemble, ne
trouve
dans l’histoire romaine que sujets de s’étonner ;
ombre effacée de la raison (obscurezza) appuyée sur l’autorité. Nous
trouvons
alors les lois dures dans l’application, et pourt
en un seul corps de dix ou douze * volumes ce qu’à peine pourroit-on
trouver
ramassé en deux cens volumes ? Un particulier aya
. Son style est coulant, harmonieux ; mais est-il toujours pur ? On y
trouve
quelquefois des fautes de langage, des expression
iptions, ses harangues & ses portraits sont d’un grand maître. On
trouve
dans tout ce qu’il écrit un air grand, un esprit
reste que les onze premiers, traduits par le P. le Jai Jésuite. On y
trouve
beaucoup de recherches, de jugement & de logi
x vol. in-12., par Guerin, professeur de l’Université de Paris. On en
trouve
plusieurs morceaux mieux traduits dans l’Histoire
n de Rome jusqu’aux Empereurs, in-8°. : livre très-bien fait, où l’on
trouve
une narration courte, rapide, dégagée de détails
s chargé dans sa narration. L’agrément qui manque à M. Crevier, on le
trouvera
certainement dans l’histoire des révolutions de l
& de l’élévation, & on voit un homme qui n’a rien oublié pour
trouver
la vérité. Comme ce religieux Ecrivain est favora
u’il a douté, pour commencer à croire. Mais quand on examine bien, on
trouve
un colosse immense qui a des pieds d’argile, &
2. vol. 1688. lâchement écrite, mais estimée pour les recherches. On
trouvera
plus d’agrément dans l’Histoire de France, sous l
onds des conseils, & sur cela donne de bonnes instructions. “Vous
trouverez
en mon Philippe de Comines, dit Montagne, avec ce
ien présentés ; le style en est pur & élégant. Enfin nous y avons
trouvé
tout l’intérêt, toute la chaleur qu’on pouvoit at
nt à l’histoire des guerres civiles de Davila. Le regne d’Henri IV. a
trouvé
plusieurs historiens. Hardouin de Perefixe, Arche
vingt vol. in-12. Il y a dans cette compilation mille choses qu’on ne
trouveroit
pas ailleurs ; mais ce livre n’est pas moins mépr
s’il eût ouvert le fameux livre de l’Avis aux Réfugiés, il l’y auroit
trouvé
tout de suite ; s’il eût cherché un peu plus long
il eût cherché un peu plus long-tems, il auroit vu qu’il n’avoit rien
trouvé
. En revanche c’est la chose du monde la plus agré
a vérité des détails. Après un aveu si naïf, on n’est plus surpris de
trouver
si peu de vérité dans son livre ; mais on l’est d
urpris de trouver si peu de vérité dans son livre ; mais on l’est d’y
trouver
en certains endroits tant de détails. Ce ne sont
mp; la précision du style ; mais l’autre n’a pas cet avantage. On n’y
trouve
point cette variété de tableaux, cette finesse de
d’indifférence philosophique qui leur fait perdre tout leur éclat. On
trouve
pourtant dans quelques endroits de ce livre, de l
orrectifs dans d’autres historiens & prendre un juste milieu pour
trouver
la vérité. L’Histoire de Pierre Terrail, dit le C
la bonne édition de ce recueil publié par M. Godefroy de Lille. On y
trouve
des plaisanteries & de la gaieté, & ces b
de ces copies que fut faite la premiere édition des mémoires où l’on
trouve
en effet plusieurs lacunes. Ces mémoires sont écr
e, par Madame de Motteville, in-12. Amsterdam 1723. six volumes. On y
trouve
beaucoup de petits faits, avec un grand air de si
jusqu’à la satyre. Mémoires de l’Abbé de Choisi, un vol. in-12. On y
trouve
des choses vraies, quelques-unes de fausses, &
éditions maritimes. Mémoires de Madame de Staal, 3. vol. in-12. On y
trouve
des particularités curieuses sur la Régence, &
ecueil sont trop achetées par la quantité de lettres inutiles qu’on y
trouve
. Nous ne sçaurions mieux finir ce Chapitre qu’en
tumes de la nation qu’on veut connoître. Par rapport aux François, on
trouve
à se satisfaire dans le Dictionnaire historique d
environ dix-huit mille articles, & dans la nouvelle édition on en
trouvera
plus de trente mille ajoutés aux anciens. §. V
qu’au présent regne, par Mr. Desormeaux, in-12. cinq vol. 1759. On ne
trouve
dans ce livre ni la sécheresse ordinaire des abré
s y sont rapportés avec beaucoup de fidélité & d’exactitude. Vous
trouverez
des traits plus animés dans l’histoire des Révolu
quel il prétend éblouir ses lecteurs n’empêche pas les gens sensés de
trouver
que cet écrivain manque de jugement. Quoiqu’il eû
eut pas louer beaucoup l’élégance & la politesse de son style. On
trouve
les mêmes défauts dans les Annales des Provinces-
e moins solide que brillant, moins instructif qu’agréable, où l’on ne
trouve
que des idées imparfaites du gouvernement, de la
a cherché plûtôt à éblouir les esprits qu’à les instruire, & on a
trouvé
dans son livre plus d’antithèses que de faits. Av
eth aussi en deux vol. n’écrivoit pas avec cette élégance ; mais l’on
trouve
chez lui des faits curieux qui amusent les lecteu
cre & d’un foible peintre.” Ce qui manque au Pere Barre, vous le
trouverez
quelquefois dans les Annales de l’Empire, par M.
pas grand chose à l’exception des Mémoires de Montecuculi, mais on y
trouve
des détails curieux qu’on est bien-aise de sçavoi
n-12., n’est qu’une compilation de vieilles gazettes, où je n’ai rien
trouvé
qui m’intéressât un peu que le récit si souvent r
e ses ouvrages, suivant le systême qu’il s’étoit sagement proposé. On
trouve
très-souvent de petits détails domestiques, qui a
n-4°. maussadement écrits. C’est un ouvrage mal digéré dans lequel on
trouve
trop de petits faits étrangers à son sujet, &
i. On comprend aussi les Tartares au nombre des peuples du Nord. Vous
trouverez
des détails sur ces peuples dans l’histoire génér
& d’intéressant dans l’histoire du Japon, par Kœmpfer. Ainsi on y
trouve
tout ce qui peut satisfaire également une curiosi
ne de ses amies », dit madame de Coulanges, « un certain homme qui la
trouve
si aimable et de si bonne compagnie, qu’il souffr
it regretter qu’elle n’en ait pas davantage. Je suis assurée que vous
trouverez
que 2 000 écus de pension sont médiocres. J’en co
t laisser espérer d’autres grâces. Le roi vit l’état des pensions, il
trouva
2 000 liv. pour madame Scarron. Il les raya et mi
du roi ne sauraient me dédommager de toutes ces pertes. » On pourrait
trouver
une nuance d’ingratitude dans ces paroles, si l’o
éré. Enfin, madame de Montespan était informée de ces visites, le roi
trouvait
à qui parler quand il revenait chez elle. Voilà l
ay. Je suis trop ennuyée pour pouvoir faire une relation agréable. Je
trouverais
en mon chemin à vous dire des choses qui ne vous
ur que sa femme apprît à madame de Sévigné, comme une nouvelle, qu’il
trouvait
madame Scarron aimable et de bonne compagnie. Ens
égal à celui de madame de Coulanges disant : M. de Coulanges mon mari
trouve
madame Scarron de fort bonne compagnie, et cepend
a pas eu seulement un avis, il a pris parti en certains cas. Je ne le
trouve
pas juste pour Diderot, par exemple. Je le trouve
tains cas. Je ne le trouve pas juste pour Diderot, par exemple. Je le
trouve
un peu sévère pour quelques-uns des amis mondains
n côté de sa nature, le poète des femmes. Au lieu de cela et faute de
trouver
à qui parler, sa tendresse se consuma ou s’égara.
s légères et ses souillures, c’est bien différent : lui, il mérita de
trouver
sa fille d’alliance, une personne de mérite, une
y et sa proche voisine, elle vint plusieurs fois à Mont-Louis sans le
trouver
, et comme il ne donnait signe de vie, elle ne lai
oyait en ridicule, et son ami Margencv n’était pas excepté. Ce que je
trouvais
encore en elle d’insupportable était la gêne cont
ble qu’il faut l’avoir bien tourné à la finesse et à la méfiance pour
trouver
du persiflage dans ce mot de Mme de Verdelin sur
isait faire souvent, à sa manière, comme cette princesse de Rohan, et
trouver
malice à tout74. Les lettres de Mme de Verdelin q
s cas de cette qualité, je borne toute mon ambition à la mériter et à
trouver
quelqu’un assez vrai pour me dire les choses qui
. Bonsoir, monsieur ; votre lettre m’a fort affligée. Je vous prie de
trouver
bon que j’aille prendre congé de vous. Je vous ex
t du côté de Mme de Boufflers, et il s’arrêta vite et à temps. Il eût
trouvé
en Mme de Verdelin plus de raison, moins de vague
ailleurs son plus tendre intérêt, le plus cher de son âme, et elle ne
trouvait
en retour que refroidissement, scrupules et restr
e ; au contraire, nous étions plus heureux. À mon retour ici, je l’ai
trouvé
plus sérieux ; les soins qu’il rend à sa mère m’o
’à l’amour du bien, quoiqu’il en ait été le prétexte ; et puis, je ne
trouve
pas raisonnable qu’on rejette un mystère lorsqu’o
les premiers amis : « Hélas ! voilà l’absence, mon cher voisin. Vous
trouverez
partout des amis qui seront empressés de remplace
vous connaît a le désir de vous servir et de vous être utile ; peu y
trouveraient
autant de plaisir que moi : je voudrais donc que
, vous m’indiquassiez un moyen de vous le faire parvenir d’ici, où on
trouve
tout ; je voudrais que vous me traitassiez comme
se séparer fort nettement de ceux qu’elle appelle les Grands. Elle ne
trouve
point, par exemple, la maréchale de Luxembourg su
r activement de Rousseau, et elle ne fut contente que lorsqu’elle eut
trouvé
le moyen, au milieu de toutes ses gênes et de ses
nce ; mais j’avais tort… Repos, repos, chère idole de mon cœur, où te
trouverai
-je ? Est-il possible que personne n’en veuille la
ée. Je fus touché de ce voyage, surtout dans la circonstance où je me
trouvais
et où j’avais grand besoin, pour soutenir mon cou
a tout et déconcerta toutes les bienveillances. Le pauvre misanthrope
trouva
moyen de les transformer en un complot prémédité
mais un quart d’heure de suite la même volonté. Veut-on causer, on ne
trouve
pas une idée dans cette tête, ou, dans d’autres m
t ; le morceau le plus sublime ne lui inspire que du dédain, s’il s’y
trouve
par malheur une expression qui blesse son oreille
voir, il y a deux mois, votre ancienne infante (Mme d’Épinay). Je la
trouvai
parée comme la fiancée du roi de Garbc. Elle me r
e de Barthélemy (Nantes, Vincent Forest et Émile Grimaad, 1866). On y
trouvera
les états de service fort honorables du jeune et
e publiée dans le recueil des Œuvres : au lieu de six lettres qu’on y
trouve
en tout, on en a une soixantaine qui ont été publ
te bienveillance inaltérable que tous les amis promettent et qu’on ne
trouve
dans aucun. Votre amitié, madame, est éprouvée, e
» (29 juin 1763.) — Et le 10 septembre, même année : « Si je pouvais
trouver
en France un coin où vivre en paix et vous voir q
eu bien de la joie de calculer que votre fils ni le nôtre ne se sont
trouvés
à cette terrible bataille. À 79 ans, on devient d
Voici maintenant l’école critique et l’école historique. Nous n’avons
trouvé
ni en France, ni en Allemagne, ni ailleurs, de pe
Critique du dogmatisme littéraire Vous avez raison, Madame, de les
trouver
étranges, tous ces raffinements mystérieux. Car e
outes choses ; et, jusques au manger et au boire, nous n’oserons plus
trouver
rien de bon, sans le congé de messieurs les exper
de son perçant génie ; s’il n’est pas du même avis que cet ancien, il
trouve
cela tout naturel, et celui qu’il adorait comme u
s poètes comiques, parce que la comédie à tel ou tel caractère que je
trouve
seulement dans son théâtre. Il devait dire : Je d
e esprit ; nous comparons la réalité à ce modèle divin, et nous avons
trouvé
le principe de la critique littéraire. L’analyse
nouement en est artificiel. Plusieurs critiques, sans être allemands,
trouvent
même qu’il est un peu sérieux, et que le personna
dée a priori et positive du comique parfait, elle n’aurait pas encore
trouvé
sa pierre philosophale, j’entends un principe uni
ui les savent mieux que les autres, font des comédies que personne ne
trouve
belles290. » S’il fallait accepter les oracles d
étrange embarras ! Je me croyais hors de l’impasse, et d’abord je me
trouve
en plein cercle vicieux. Tout à l’heure, quand no
médie, nous pouvons, avec assurance, nous dire que la critique aurait
trouvé
fort peu utile l’édifice que nous désespérons d’é
idée à posteriori du comique et de la comédie ; la voilà toute, et je
trouverais
étrangement hardi quelqu’un qui en croirait plus
, comme l’un d’entre eux l’a dit299, parce qu’au moins le comique s’y
trouve
— à leur insu et en dépit d’eux-mêmes. Oh ! sans
foire , et que Platon a pu dire : les Grâces choisissant un tombeau
trouvèrent
l’âme d’Aristophane . Ce qui est intéressant, c’e
à une profondeur métaphysique qui effraye. Malheureusement, ce qu’il
trouve
au fond de cet abîme, ce n’est point l’idée du co
comique ; il fera bien de creuser encore, et ailleurs ; mais il ne la
trouvera
pas plus que les enfants du laboureur ne trouvère
urs ; mais il ne la trouvera pas plus que les enfants du laboureur ne
trouvèrent
for qu’ils croyaient enfoui, et qui était partout
ur la plus petite raison de l’ordre logique. Il est libre de ne point
trouver
une sauce excellente ; mais à ceux qui la trouven
t libre de ne point trouver une sauce excellente ; mais à ceux qui la
trouvent
bonne, c’est perdre son temps et sa peine que de
d’écouter. Il écoute L’École des Femmes, mais il bâille ; car il n’y
trouve
toujours point de turlupinades. S’il entendait Ho
ublime : Pourquoi ne m’aimer pas, madame l’impudente ? Du reste, il
trouve
la pièce aussi fade qu’une tarie à la crème, et l
une admiration sans mesure, et systématique. À ceux qui ont besoin de
trouver
des taches au soleil, elle accorde sans peine que
l lien subtil peut-on saisir entre l’impression profonde qui lui fait
trouver
comique ou belle L’École des femmes, et les remar
n, elle ne se borne pas à dire : Cette comédie est fort belle ; je la
trouve
fort belle ; n’est-elle pas en effet la plus bell
es farces de Molière valent beaucoup mieux que Le Misanthrope, elle a
trouvé
Schlegel ridicule, Scapin toujours amusant, mais
pas la chance presque infaillible, en la cherchant à tout prix, de la
trouver
au prix de la vérité même ? 3º Elle ne prouve rie
itique317. « Rentre en toi-même, a dit un philosophe318, et si tu n’y
trouves
pas encore la beauté, fais comme l’artiste qui re
laissant à de plus fins que nous la satisfaction de croire qu’ils ont
trouvé
en quoi elle consiste. Car « la trame de nos sens
qui était bien dans la nature de son génie, Corneille avait besoin de
trouver
dans les anciens des exemples et des règles pour
Jugement, § ier . 311. Servante de Molière. 312. Si quelqu’un ne
trouve
pas beau un poème que mille suffrages vantent, il
élance et glisse comme un trait au-dessus du redoutable courant. J’ai
trouvé
le troglodyte d’hiver dans les basses parties de
assant à East-Port dans le Maine, lors de mon voyage au Labrador, j’y
trouvai
ces oiseaux extrêmement abondants, et en plein ch
ncontrés dans presque tous les États de l’Union, où cependant je n’ai
trouvé
leur nid que deux fois : l’une près de la rivière
plaintifs. Plus de doute : j’avais, pour la première fois de ma vie,
trouvé
le nid de notre troglodyte d’hiver ! Je fis douce
une sorte d’écope que j’avais façonnée pour cela. Je m’attendais à en
trouver
beaucoup, mais il n’y en avait que six ; et c’est
geâtre et plus nombreux vers le gros bout. Quant au second nid, je le
trouvai
près de Mohauk, et par un pur hasard. Un jour, au
ux ne tarde pas à être fatigué, par un temps de neige, alors qu’il ne
trouve
rien pour se cacher. Toutefois, même en pareil ca
quelques raies ou taches vers le gros bout, et d’un rouge clair. « On
trouve
ces nids en différents endroits : très souvent da
, un tisserand de Bathgate, m’a raconté qu’il y a quelques années, il
trouva
un de ces nids sur le bord d’un petit ruisseau, q
rès, que songer, pour le moment, à les pousser plus loin. Au soir, je
trouvai
l’extérieur du nid complètement achevé ; j’introd
le roc solide par les mains de la nature. Elle était, du moins je la
trouvais
alors, suffisamment grande pour mes études : mon
r ses œufs et ses petits, c’est un acte d’une grande cruauté. J’avais
trouvé
un nid de ce gobe-mouche à couleur terne, accroch
près être pondu), que cette vue me fit plus de plaisir que si j’eusse
trouvé
un diamant d’une égale grosseur. Ainsi, sous cett
eau sur la plantation. Chaque fois que j’allais voir mes pewees, j’en
trouvais
toujours un sur le nid ; tandis que l’autre était
quadrupèdes. Ils arrivent attirés par les nombreux avantages qu’ils y
trouvent
, à mesure que le pays devient plus ouvert et mieu
couvées s’élevèrent. Plus haut, à quelque distance sur la crique, je
trouvai
, sous un pont, d’autres nids de pewees, et plusie
eurai deux ans. À mon retour, dans le commencement du mois d’août, je
trouvai
trois jeunes pewees dans la caverne ; mais ce n’é
’il est occupé à ramasser les matériaux dont se compose son nid. J’ai
trouvé
ce gobe-mouche en hiver, dans les Florides, aussi
par la pie-grièche de la Caroline, ils les dévorent avec avidité. Je
trouvai
quelques-uns de ces pewees sur les îles de la Mad
nt pas loin, Dieu merci ! » Là, au beau milieu du champ de cannes, je
trouvai
un camp régulier. On avait allumé un petit feu, e
de terre avaient un air bien tentant, et j’étais dans une position à
trouver
excellent un ordinaire beaucoup moins savoureux.
dirigea en droite ligne vers la cannaie au centre de laquelle j’avais
trouvé
son camp. L’une des nuits suivantes, il gagna la
provisions. Un jour qu’il était à la recherche de fruits sauvages, il
trouva
un ours mort devant le canon d’un fusil qu’on ava
lle de cheminée, ou martinet d’Amérique. Du moment que l’hirondelle a
trouvé
dans nos maisons tant de commodités pour y établi
la décadence et l’âge avaient ainsi rendus habitables, j’ai toujours
trouvé
des nids d’hirondelles qui elles-mêmes continuaie
lors il m’apprit que, sur mon chemin pour revenir à la ville, il s’en
trouvait
un dont il m’enseigna la place, et qui était rema
là qu’entraient les hirondelles. En examinant l’arbre de près, je le
trouvai
d’un bois dur, mais rongé au centre presque jusqu
aidant de la masse de détritus ; mon camarade venait par derrière. Je
trouvai
tout parfaitement tranquille ; et par degrés, dir
nombre des oiseaux qui s’y retiraient n’avait pas augmenté ; mais je
trouvai
beaucoup plus de femelles et de jeunes que de mâl
ervaient de jouet aux érudits. Lisez ces anciennes monographies. Qu’y
trouverez
-vous ? Des titres et des mots, des chiffres et un
de Scapin. Il n’y avait pas un goût, pourvu qu’il fût franc, qui n’y
trouvât
la chose qu’il aimait le mieux, et en perfection.
de Regnard En 1696, une comédie en vers fit dire que Molière avait
trouvé
un successeur. Ce fut le Joueur, de Regnard. Il f
ns le vin ? Le mot piquant c’est ce que cherche Regnard ; et s’il le
trouve
souvent, souvent aussi il le manque. Ses personna
si j’y passe mes meilleures heures, si je ne m’en lasse point, si j’y
trouve
toute comédie, même celle qui fait rire les plus
nde. Le secret de Molière s’est perdu : Enseigne-moi, Molière, où ta
trouves
la rime. Il la trouvait où Regnard ne la cherche
e s’est perdu : Enseigne-moi, Molière, où ta trouves la rime. Il la
trouvait
où Regnard ne la cherche pas toujours, dans l’acc
l’ami de Boileau sans faire quelque chose pour les règles ? Regnard y
trouva
la force d’écrire avec grand soin cette petite pi
t une seule fois mention de Molière. Il est plus triste qu’il se soit
trouvé
un auteur qui s’impatientât de cette gloire jusqu
il se soit trouvé un auteur qui s’impatientât de cette gloire jusqu’à
trouver
qu’il manquait quelque chose à Molière. Ce quelqu
estouches, d’abord diplomate, puis auteur par passe-temps, crut avoir
trouvé
, dans les loisirs de sa jolie maison de campagne
question du mélange des deux genres paraissait résolue. On venait de
trouver
le moyen de faire passer le spectateur dans la mê
t suivi les voies de Molière, pour Dufresny, quoiqu’il ne lui ait pas
trouvé
d’esprit, pour Marivaux, quand il n’abuse pas du
ecret de créer un caractère. Mais il a tort de croire que Molière eût
trouvé
son sujet fécond. La passion de rimer peut être u
s de nature, que Molière avait rajeuni. Piron suit le maître, et s’en
trouve
bien. Ses valets sont sensés ; ils voient les tra
nfluence corruptrice des lettres sur les mœurs. Si les spectateurs ne
trouvaient
pas Cléon assez méchant, dit-il, c’est qu’ils l’é
l’étaient plus que lui. Rousseau se trompe. De ce que le parterre ne
trouva
pas Cléon assez méchant, il ne s’ensuit ni qu’il
dans un moment où il aurait bien envie de n’être pas équitable. J’en
trouve
encore dans la réponse d’Ariste : On n’a rien à
déal d’une comédie sérieuse. Sérieuse, en effet, car je défie qu’on y
trouve
le plus petit mot pour rire. Aussi bien, Diderot
plus opposées à son caractère, voilà le maître-œuvre. Il veut bien en
trouver
des exemples dans Molière, chose louable, au mome
ire mesurer par sa simplicité la profondeur d’astuce de Tartufe. Il a
trouvé
ces gens-là dans la vie, côte à côte, sous le mêm
3. Les pièces de Diderot sont oubliées ; ses théories ne le sont pas.
Trouver
des situations, puis, si l’on peut, y adapter des
t pas été fabriqués, comme Eugénie, à coups de « je veux » ; ils sont
trouvés
; ce sont des caractères. Il est vrai que ces car
tre espèce et comme gens de notre pays. Pour parler d’Almaviva, on en
trouverait
le caractère, moins les grâces, jusque dans les d
pour n’avoir pas à rendre ses comptes de tutelle, puis parce qu’il la
trouve
à son goût. Quant à ce Basile qui vit de ses comp
cord de tout le monde deux ouvrages d’esprit sont immortels. Je ne le
trouve
ni rare, ni varié, et je lui en veux d’exiger de
vérité tout unie. Ce genre d’esprit abonde dans Beaumarchais. Il s’en
trouve
aussi du moins bon ; il y relève le prix du meill
dit-il, et y chercher les mots piquants et les vers comiques. Il y a
trouvé
ceux dont il avait en lui l’heureux don. Ce neveu
avoir ni vigueur ni coloris. Je suis surpris que la Harpe n’ait guère
trouvé
qu’à louer dans ses vers, et que, pour faire acte
singer. Il n’est pas besoin d’aller chercher la prose de Collin pour
trouver
sa langue en défaut. Gardons les épithètes de nat
goïste ! Qui ne l’est un peu, j’allais dire qui ne l’est trop ? Où en
trouver
un qui pousse le défaut de tout le monde jusqu’au
ademoiselle Voland. En avançant dans cette intéressante lecture, nous
trouvons
Diderot qui prend de l’âge ; et, il faut l’avouer
es nouvelles, les anecdotes, les conversations sur toutes choses, s’y
trouvent
comme auparavant ; une analyse ingénieuse et prof
t consumant du dernier coup toutes les puissances de notre être. Nous
trouvons
cette sorte d’amour énergiquement exprimée dans u
it déjà aimé plus d’une fois et avec passion, mais qui avait fini par
trouver
à sa femme trop peu d’esprit, et à madame de Puis
s un roman, et que je lui eusse fait tenir cette conduite, comment le
trouveriez
-vous ? — Vrai. — Et pourquoi dans le roman, sinon
cée de volupté. Les lecteurs curieux de ces sortes de cas particulier
trouveront
, pages 209 et 319, un petit roman métaphysique où
st pas tellement occupé d’anecdotes et d’analyses piquantes, qu’il ne
trouve
encore, chemin faisant, d’occasions pour le subli
e lieues, mon père, et s’il y en avait cent, croyez-vous que j’aurais
trouvé
mon père moins indulgent et moins tendre ? — Au c
ration des Beaux-Arts. La statue de Diderot, ainsi conçue, ne saurait
trouver
que des approbateurs. »
vie, et dans la succession de la fatigue et du repos, la peine morale
trouve
peu de place. L’homme, dont il faut occuper les f
re, se mêle à cette jouissance, elle est réelle, comme le plaisir que
trouve
l’homme robuste dans l’exercice du corps proporti
igmalion, avant de lui faire goûter le bonheur d’aimer, il lui a fait
trouver
une vraie jouissance dans la sensation du moi. C’
n aux peines du cœur, que la fatigue du travail nous livrerait. L’âme
trouve
de vastes consolations dans l’étude et la méditat
combats qui coûtent tant au vainqueur : mais bientôt on s’accoutume à
trouver
de vraies jouissances ailleurs que dans les passi
upations de l’esprit, et par l’indépendance parfaite qu’on leur doit.
Trouver
dans soi seul une noble destinée, être heureux, n
qui, sans efforts préalables, imaginerait de se livrer à l’étude, n’y
trouverait
aucune des ressources que je viens de présenter.
s les deux ; car, par des causes différentes, les idées des autres ne
trouvent
en eux aucune idée correspondante : l’âme fatigué
finir ; il se captive non pour vivre, mais pour ne pas mourir, et ne
trouve
dans l’existence que l’effort qu’il fait pour la
passant rue de Richelieu, nous montions au Théâtre-Français ; nous ne
trouvions
pas M. Thierry. Le 21 avril, M. Harmand nous répo
e de M. Harmand, une lettre où M. Thierry s’excusait de ne pas s’être
trouvé
au théâtre lorsque nous y étions venus, et se met
efus de M. Delaunay. Un critique, que toutes les questions de théâtre
trouvent
à son poste de feuilletoniste, armé de conscience
ette femme, une artiste qui est coupable d’être née princesse. Nous y
trouvâmes
toutes les libertés et presque toutes les intelli
s détails de métier, nous faisions bon marché de notre pièce, nous la
trouvions
, avec les critiques les plus autorisés, digne apr
tres, de Sœur Philomène, de Renée Mauperin, de Germinie Lacerteux, ne
trouvent
pas trop inférieur au style du répertoire moderne
l a fait à notre pièce. Aussi le plaignons-nous seulement pour s’être
trouvé
dans une situation où il ne pouvait nous accorder
les, croyant au talent de ces messieurs et prêts à applaudir, si nous
trouvions
leur pièce bonne. Nous étions là près de trois ce
donne en spectacle, tous les jours, la vie du monde. Par exemple, on
trouve
tout à fait invraisemblable ce coup de cœur d’un
dans une pièce, il y a autre chose dans la nôtre. Théophile Gautier y
trouvait
une qualité, qu’il nous reconnaissait seuls possé
t le summum de l’art dramatique des années qui vont venir, — et je me
trouve
tout seul, pas assez fort pour y arriver. Il étai
ma conviction. L’art théâtral, cet art malade, cet art fini, ne peut
trouver
un allongement de son existence que par la transf
peut doter le théâtre. Eh bien ! ces outils de renouvellement, je les
trouve
… à l’état embryonnaire bien certainement, mais je
, je les trouve… à l’état embryonnaire bien certainement, mais je les
trouve
dans Henriette Maréchal, dans cette pièce qui est
d’un séjour chez Mme Camille Marcille, à Oisème, près de Chartres, je
trouve
cette note écrite par mon frère : Voici, je croi
e d’amour flatteuse qui m’arrive. Une petite bonne, une pauvre enfant
trouvée
de l’hospice de Châtellerault, servait les fillet
aîtresse, se mit à lui dire : « Ah ! Madame, ce monsieur Jules, je le
trouve
si potelé, si gai, si joufflu, si gentil, que, si
nt toujours les anciens, — je n’ai pas seulement à appréhender qu’ils
trouvent
notre pièce ou trop légitimiste ou trop révolutio
blic impérial d’hier, au public contemporain de cette anecdote. Je me
trouvais
, il y a quelques années, dans le salon d’un grand
Le vaudeville en deux actes, terminé et baptisé Sans Titre, nous nous
trouvions
ne connaître ni un auteur, ni un journaliste, ni
ous annoncer que sa réponse n’a pas été favorable. Elle y a comme moi
trouvé
beaucoup d’esprit, mais pas assez de pièce… Un c
tence que par la lettre de refus d’un directeur de théâtre. Ainsi, je
trouve
une lettre de M. Lemoine-Montigny, à la date d’av
héâtres qu’il y avait chez nous une pièce, qu’à un certain moment ils
trouveraient
peut-être utile de jouer. Mais la guerre était si
ais, et parlant une langue ailée, une langue littéraire parlée que je
trouve
, hélas ! manquer aux meilleurs de l’heure présent
n’y en pas et il ne peut pas y en avoir ! Puis sur les planches je ne
trouve
pas le champ à de profondes et intimes études des
ssent là où il a échoué. Je vais faire une franche confession : je ne
trouve
pas que mon frère et moi ayons fait du théâtre à
es forment une espèce d’aristocratie comme les personnes nobles. J’ai
trouvé
de sottes femmes, et j’ai été obligé de supporter
Goethe, qui m’a invité à une promenade en voiture avant dîner. Je le
trouvai
à déjeuner, et je m’assis en face de lui, pour ca
ue, l’été précédent, j’avais oublié de visiter. Au rez-de-chaussée je
trouvai
une seule pièce d’habitation ; aux murs étaient s
le a charge d’actions pour l’avenir18. Nous montâmes l’escalier, nous
trouvâmes
en haut trois pièces et un cabinet, mais le tout
en me réjouissant de sa verte vigueur. En haut, près de la haie, nous
trouvâmes
un paon femelle qui paraissait être venu du parc
nes favorites. En descendant le coteau par l’autre allée sinueuse, je
trouvai
, entourée d’un bosquet, une pierre sur laquelle é
point de vue différent. On dit des feuilles d’un arbre que l’on n’en
trouverait
pas deux absolument semblables ; de même dans un
deux absolument semblables ; de même dans un millier d’hommes on n’en
trouverait
pas deux entre lesquels il y eût harmonie complèt
urtout vers la nature extérieure ; j’avais ainsi le désavantage de me
trouver
entièrement seul. À ce point de vue, Schiller ava
as vu depuis plusieurs jours, et j’ai passé une belle soirée. Je l’ai
trouvé
dans son cabinet de travail, causant sans lumière
sont toujours à dire : Ceci vient de là, et ceci vient d’ici ! S’ils
trouvent
dans Shakespeare, par exemple, des passages qui s
Homère ! Est-ce assez bizarre ! Comme s’il fallait aller si loin pour
trouver
ces choses-là, et comme si tous les jours on n’en
it du sophisme en faveur de sa vanité. — Je prends mon bien où je le
trouve
, est un mauvais mot et un mauvais raisonnement d
n théâtre ? Mais ici, à Weimar, dans cette petite résidence21 où l’on
trouve
, comme on l’a dit par plaisanterie, fort peu d’ha
Mais comment donc, par le ciel ! dit Goethe, avez-vous ici, à Weimar,
trouvé
arcs et flèches ? — Pour les flèches, j’avais, en
t pas au-dessous de vingt francs, et où un pauvre chasseur pouvait-il
trouver
une pareille somme ? Je me bornai à une flèche, c
aile des grands oiseaux sont bonnes, en général, mais celles que j’ai
trouvées
les meilleures sont les plumes rouges du paon, le
e et si je l’avais apprise par cœur ? Mais comme j’ai tout cherché et
trouvé
par moi-même, comme à l’occasion je me suis tromp
ui, ils frondèrent la Sainte-Alliance, et pourtant jamais on n’a rien
trouvé
de plus grand et de plus bienfaisant pour l’human
s-les ; ceux-là, on ne les aidera pas ; quant au vrai talent, il sait
trouver
sa route. Les jeunes poètes qui se montrent maint
puis des siècles, et par elle il se maintiendra dans l’avenir. — J’ai
trouvé
dans ce roman chinois un contraste bien curieux a
ttingue je fis quelques excursions dans la vallée du Weser. Je les ai
trouvés
vigoureux, surtout à Solling, dans les environs d
puis redescend sur la cime. Il y a aussi une autre alouette que l’on
trouve
dans les lieux solitaires, au midi des clairières
vois que l’on peut pénétrer dans la nature du côté où l’on veut ; on
trouve
toujours une preuve de sagesse !… » Nous étions a
ethe fit arrêter, me pria de descendre et de chercher un peu si je ne
trouverais
pas quelques pétrifications. Je trouvai quelques
e chercher un peu si je ne trouverais pas quelques pétrifications. Je
trouvai
quelques coquilles et quelques ammonites brisées
ntais moi-même si noble que, si l’on m’avait fait prince, je n’aurais
trouvé
là rien de bien étonnant. — Quand on m’a donné de
, je vous cherchais, quelque chose me disait que certainement je vous
trouverais
; quel bonheur ! Dieu soit loué ! c’était vrai !
. « Vous ne savez guère, me dit-il, à quelle place curieuse nous nous
trouvons
en ce moment. Ici a habité Schiller. Sous ce berc
élevé ? Écoutez Goethe : « C’est une vraie merveille ; cependant on
trouve
des faits analogues, et même je soupçonne là une
ge ; supposant qu’il a dans le voisinage son nid, je le cherche et le
trouve
. Mais quel fut mon étonnement, lorsque dans ce ni
s ce nid, près de deux petits rouges-gorges prêts à voler bientôt, je
trouvai
aussi mes deux petits roitelets qui s’étaient fou
, Monsieur, je le regarde comme une qualité nécessaire et flatteuse à
trouver
dans les amis. Les personnes si modérées, si dési
es dans l’amitié, sont ordinairement peu sensibles. Bien loin donc de
trouver
mauvais que vous vous soyez un peu fâché contre m
ce de Conti. Il a eu la bonté de me la montrer ; maais je n’y ai rien
trouvé
de ce que j’y cherchais principalement, et j’igno
tre chambre, votre cabinet, j’ai ouvert vos armoires : je désirais de
trouver
quelques lignes écrites de votre main. J’avais le
a fait des ennemis : l’amour-propre de ceux qui l’ont recherché s’est
trouvé
blessé de ses refus. Mais, malgré sa misanthropie
tante, si uniforme, que jusqu’à présent ceux qui le haïssent n’ont pu
trouver
que dans leur propre cœur des raisons pour le sou
e contraire de ce qui y était : La rose a des poisons qu’on finit par
trouver
. Il passa très-rapidement par trois états d’espri
us les dois. Faire un heureux, c’est mériter de l’être. Puissiez-vous
trouver
en vous-même le prix de tout ce que vous avez fai
tade, ne restèrent pas moins les protecteurs de Rousseau, et celui-ci
trouva
, à son retour d’Angleterre, un asile, un abri don
apitule les circonstances de l’épisode que nous venons de toucher, on
trouvera
que les deux personnes de Paris qui jugèrent le p
s lettres, Mme Riccoboni ; ces réflexions qu’elle adressait à Garrick
trouveront
accès, j’en suis sûr, auprès de tous les bons esp
tion, celle de Pope, d’Isaac Newton, même de votre ami Shakspeare, et
trouver
ce doute dans mon cœur. « En vérité, le monde n’e
, à servir ceux qui leur ressemblent ; partout le mérite et l’honneur
trouvent
de l’appui, des secours, des amis. Une vanité mal
on veut en faire partie et non pas la dominer, l’assujettir, on ne la
trouve
point un assemblage de monstres odieux. Mais, ne
Rousseau à M. de Montmollin, ministre protestant de Motiers. 30. On
trouvera
cette suite de lettres de Mme de Houfllers au tom
elle restât en dehors de tout parti, était une amie de Hume, et on la
trouve
nommée dans la Vie et Correspondance de ce dernie
er, ne voulait que réaliser le fantôme de ses rêves, et voilà qu’il a
trouvé
la forme qu’attendaient, que chérissaient vagueme
ous, pour l’honneur de votre sexe et pour le bonheur de votre vie, ne
trouver
jamais de Saint-Preux ! Mais si vous êtes comme l
de Saint-Preux ! Mais si vous êtes comme les autres, puissiez-vous ne
trouver
que des Saint-Preux ! » Tout cela, lu aujourd’hu
l y a là de quoi les faire souffrir et crier. Jamais non plus vous ne
trouveriez
de ces fautes régulières et méthodiques sous la p
e et légère des Aïssé, des Caylus et des Coulanges, où êtes-vous ? On
trouverait
plutôt chez elles une faute d’orthographe ou de g
genre et taillée sur le patron de son idéal, sent bien le défaut. Il
trouve
à Mme de La Tour l’esprit net et lumineux ; mais
n tour. En voyant en elle son ouvrage, il ne pouvait s’empêcher de le
trouver
trop parfait. Mme de La Tour était une personne d
tout comme les autres hommes. » La Dorine de Molière n’eût pas mieux
trouvé
. En effet, la grande prétention de Rousseau, le g
lui écrivant ; elle avait besoin de le lui rappeler. N’importe, elle
trouvait
encore à se prendre aux moindres marques d’attent
armante votre lettre, répond Mme de La Tour, et que, pour ne pas vous
trouver
trop charmant vous-même, j’ai été obligée de me r
e laconisme me désole, mon ami. » Elle voudrait savoir comment on l’a
trouvée
dans ce portrait ; elle a grand soin d’avertir qu
a grand soin d’avertir qu’il n’est pas flatté ; que tout le monde la
trouve
mieux. Enfin elle est femme. Hélas ! tout cela re
plus à rendre de flamme. Aussi, malgré tous ses efforts, elle ne peut
trouver
à se loger dans ce cœur resserré et aigri ; elle
est lâchée ; il ajoute : « On peut ne pas aimer mes livres, et je ne
trouve
point cela mauvais ; mais quiconque ne m’aime pas
s fruits les plus délicieux. Décidé, par les persécutions qu’il avait
trouvées
en Suisse, à passer en Angleterre et à se confier
Conti lui donnait asile. Elle arrive à une heure où elle espérait le
trouver
seul, il ne l’était pas ; elle entre pourtant, et
out bas, et cet homme du siècle, que le siècle n’avait pu satisfaire,
trouve
enfin le repos et la plénitude de ses désirs dans
mon bonheur eût été d’être aimé aussi bien que d’aimer ; car on veut
trouver
la vie dans ce qu’on aime… Je tombai enfin dans l
« Mon bonheur eût été d’être aimé aussi bien que d’aimer, car on veut
trouver
la vie dans ce qu’on aime. » C’est encore saint A
lus curieux de la littérature des Pères. Ainsi que saint Augustin, il
trouva
son écueil dans les voluptés du monde. Il aime à
llustres confesseurs de Jésus-Christ, s’écrie Tertullien, un chrétien
trouve
dans la prison les mêmes délices que les prophète
un chrétien trouve dans la prison les mêmes délices que les prophètes
trouvaient
au désert… Ne l’appelez plus un cachot, mais une
ertullien était fort savant, bien qu’il s’accuse d’ignorance, et l’on
trouve
dans ses écrits des détails sur la vie privée des
de Jésus-Christ. Comment un moine, renfermé dans son cloître, a-t-il
trouvé
cette mesure d’expression, a-t-il acquis cette fi
envie. Notre malade est heureuse, et rien n’est plus étonnant que de
trouver
le bonheur chez une telle créature, dans une pare
au fond de toute chose, et je vois le néant dans tout, si Dieu ne s’y
trouve
pas. » VI Le 20 mars. « Une petite lacun
VI Le 20 mars. « Une petite lacune. Je saute du 14 au 20. Je
trouve
si peu de chose à dire de mes jours, qui se resse
in du livre qui tombe, loin de ceux qui parlent auprès de moi ; je me
trouve
où sont ces esprits qui balancent les astres sur
nous fait de ces instants que vous devez aussi compter un jour ? S’en
trouvera-t
-il qui comptent pour la vie éternelle ? s’en trou
n jour ? S’en trouvera-t-il qui comptent pour la vie éternelle ? s’en
trouvera-t
-il beaucoup, s’en trouvera-t-il un seul ? Si obs
ui comptent pour la vie éternelle ? s’en trouvera-t-il beaucoup, s’en
trouvera-t
-il un seul ? Si observaveris, Domine, Domine, qu
urs blanches à longue tige, des plus gracieuses de nos champs. On les
trouve
le long des haies, parmi le gazon. Il y en a dans
n. Que la chambre d’un absent est triste ! On le voit partout sans le
trouver
nulle part. Voilà tes souliers sous le lit, ta ta
de la tapisserie la main de l’homme qui allait défaire un nid qui s’y
trouve
peint. Je lui prêtais du moins cette mauvaise int
perdue et sans bonheur sur la terre. Tu peux m’en croire, je n’en ai
trouvé
encore en rien, en aucune chose humaine, pas même
emps où cela m’aurait effrayée ; à présent, je ne sais pas comment je
trouve
tout naturel de mourir ; cercueils, morts, tombes
t que ma mère qui, hélas ! repose un peu loin d’ici. Mais pourquoi me
trouvais
-je là ? Me croyez-vous amante des tombeaux ? Pas
livre d’examen qu’une tombe ! Comme on y lit des vérités, comme on y
trouve
des lumières, comme les illusions, les rêves de l
ur d’une sainte Thérèse, de sainte Paule à Bethléem. Si je pouvais me
trouver
dans quelque sainte solitude !… Le monde n’est pa
de Paris sans pouvoir y aller toujours, et moi, sans y aller, je m’y
trouve
. C’est de tous côtés, de tous les arbres, des voi
t une fois des prières pour son chien malade ; je me moquai d’elle et
trouvai
sa dévotion mal placée. Aujourd’hui j’en ferais c
vai sa dévotion mal placée. Aujourd’hui j’en ferais comme elle, je ne
trouve
pas cette prière si étrange : tant le cœur change
es demoiselles. Adieu, cahier ; mais je le prendrai peut-être pour me
trouver
avec toi. » Le 25 août. « Oh ! les vieux châte
ontels que je t’écris, dans une chambre écartée où j’ai, par bonheur,
trouvé
de l’encre ; j’avais oublié d’en prendre, et c’ét
l’île des Cygnes, blanche de fleurs, et de leur duvet, oh ! que je la
trouve
belle ! Et ses habitants, qui sont-ils ? que font
ent sont rendues avec exactitude ; il les tenait de première main. On
trouverait
bien des particularités aussi, bien des traits ut
ces scandales d’immoralité et cette gangrène au cœur du Gouvernement
trouvent
en Marais un témoin à charge de plus. Il n’a pas
iment l’Œdipe de Sophocle, celui de Corneille et le sien propre. Il a
trouvé
de plus sensés et de plus judicieux critiques que
nce tout entière Irait, la tête en bas, rimer dans la rivière. Il ne
trouve
dans tout cela que matière à plaisanterie, et il
il est bien loin. Le cardinal lui répondit : « Il est plus facile de
trouver
des Voiture que des Richelieu. » Voltaire bien l
aire a eu des coups de bâton. Voici le fait. Le chevalier de Rohan le
trouve
à l’Opéra et lui dit : « Mons de Voltaire, mons A
aquais vient lui dire qu’on le demande ; il descend, va à la porte et
trouve
trois messieurs garnis de cannes qui lui régalère
mme un diable, met l’épée à la main, remonte chez le duc de Sully qui
trouva
le fait violent et incivil, va à l’Opéra conter s
pique comme des autres poésies. Il n’y a qu’à la savoir parler ; on y
trouve
tout. On ne sait où Arouet, si jeune, en a pu tan
es. Ses auteurs à lui, parmi les vivants, c’est l’abbé Fleury dont il
trouve
les discours et dissertations admirables, et qui
rs, dans cette agréable recherche, aucun engouement aveugle ; « Vous
trouvez
avec raison, écrit-il au président Bouhier (à l’o
il le dit lui-même ; mais, à la fin, il vit le faux des brillants, il
trouva
la nature au gîte et la prit, et elle ne l’a poin
l’exil du maréchal de Villeroy, gouverneur de Louis XV (août 1722), —
trouve
que « le style n’a pas la dignité nécessaire en p
ert en présence de ses créanciers. On les assemble : on croyait aller
trouver
un arrangement pour ses affaires ; savez-vous ce
aller trouver un arrangement pour ses affaires ; savez-vous ce qu’on
trouve
? Un mémoire affreux contre Mme de Tencin, où il
ersanes : « Le dilemme serait difficile à résoudre, dit-il, mais on y
trouvera
quelque réponse fine dans la dialectique grammair
peur que le public ne s’obstinât à lui en attribuer d’anonymes, où il
trouverait
de l’imagination, de la vivacité et des traits ha
availlera sur des sujets ou des personnages de ce temps-là est sûr de
trouver
chez lui bien des notes et des indications qui ne
rmi les lettres ajoutées à cette deuxième édition par M. d’Arneth, on
trouve
en tête une Instruction de l’impératrice à sa fil
hysionomie qui acquiert tous les jours de nouveaux agréments. On peut
trouver
des figures plus régulièrement belles : je ne cro
s figures plus régulièrement belles : je ne crois pas qu’on en puisse
trouver
de plus agréables. Quelque idée qu’en aient pu do
sur son éducation française des personnes qui sont fâchées de ne plus
trouver
des manières qui tiennent plus de familiarité que
x ; je serais bien fâché de l’altérer. Je compte que Votre Excellence
trouvera
chez Mme l’archiduchesse la plupart des connaissa
ni même de lui dire ce que j’aurais écrit chez moi. M. le dauphin me
trouve
quelquefois dans le cabinet de Mme la dauphine ;
llence connaît notre Cour : quel conte ne ferait-on pas si on m’avait
trouvé
lisant des papiers ! » L’abbé de Vermond, dans c
’a rien dit de plus ; elle n’en désire peut-être pas davantage ; elle
trouvera
une importunité de moins pendant mon absence, et
ès la lettre que je lui avais écrite le lundi soir ; je l’ai rarement
trouvée
aussi tranquille et aussi maîtresse de ses mouvem
les points essentiels. J’ai eu occasion de dire à la reine qu’elle ne
trouverait
jamais de serviteur plus fidèle et plus dévoué qu
lume de M. d’Arneth se termine par un Portrait de la reine, qui s’est
trouvé
à Vienne, copié de la main du secrétaire intime P
ance, a pris tout à fait le ton et les goûts de la nation, cherche et
trouve
du plaisir à la fréquentation de ce qu’on appelle
s ; elle n’aime pas l’application, elle ne veut pas de gêne ; elle ne
trouve
pas beaucoup de ressources dans la famille royale
les détruisit pas sans les avoir décachetés et lus auparavant. Elle y
trouva
une lettre de l’abbé de Vermond à la reine, qui d
s il en venait aux conditions pour son retour… » — D’un autre côté on
trouve
dans les lettres de Marie-Thérèse à Marie-Antoine
us a semblé aussi que ce recueil avait un genre d’intérêt que l’on ne
trouve
pas d’ordinaire dans des pensées détachées. Celle
que toutes ces pensées sont en même temps des comparaisons, et on en
trouve
à peine quelques-unes d’une autre forme dans tout
seul instant de l’un des deux mondes dans l’autre. L’oreille, l’œil,
trouvent
leur plaisir dans le rapport harmonique de deux s
Pour revenir à Jean Paul, il faut convenir qu’il serait difficile de
trouver
un plus grand allégoriste. Sur six cents pensées
rt de notre langue est intéressé dans cette question. Mais nous avons
trouvé
peu de vérité dans l’explication qu’il donne des
yle figuré et plein d’images. Prenons une comparaison célèbre qui s’y
trouve
: Ô bienheureux mille fois
tte idée abstraite. Il en est partout de même dans ces chœurs. Vous y
trouverez
souvent la comparaison, jamais le symbole. Il n’y
vie… » Nous pourrions multiplier les citations à l’infini ; car pour
trouver
des exemples de cette forme de style, il suffit p
ienne forme répugnait tellement à cette profusion, que jamais vous ne
trouverez
dans un poète du Dix-Septième ou du Dix-Huitième
aisant parler la terre et les cieux pour ranimer la foi religieuse, a
trouvé
là bien des couleurs. Ainsi ce grand changement d
ace des Orientales. M. Hugo veut caractériser la variété qu’il aime à
trouver
dans les productions d’un artiste, et qu’il désir
, comme de ces belles vieilles villes d’Espagne, par exemple, où vous
trouvez
tout. » Et il part de là pour décrire en deux ou
ix desquels il gagne sa couronne comme un athlète. En y pensant, vous
trouverez
dans J.-B. Rousseau deux belles comparaisons, mai
dent que la prose avait pris les devants sur la poésie ; et peut-être
trouverait
-on qu’il en a été de même à une autre époque de f
le des écoles diverses et de chaque poète en particulier ? Surtout ne
trouverait
-on pas là une des causes principales de l’obscuri
randes passions et enclin au plaisir. Il faut reconnaître qu’il avait
trouvé
autour de lui des exemples, et que ces exemples n
le, lisait, faisait des vers, allait chez son ami Maucroix à Reims, y
trouvait
« bons vins et gentilles gauloises, friandes asse
perons de drap rose sèche et sur leurs cales de velours noir. « Si je
trouve
quelqu’un de ces chaperons qui couvre une jolie t
aration contre son mari, « toutes qualités de bon augure ; j’y aurais
trouvé
quelque sujet de cajolerie, si la beauté s’y fût
rmante : « Si cette jeune divinité qui est venue troubler mon repos y
trouve
un sujet de se divertir, je ne lui en saurai poin
s grands. Ce n’est pas assez pour lui de les décrire tout au long. Il
trouve
le loisir de lancer en passant des traits contre
ttention, mais il s’attendrissait, il cherchait des expédients, il en
trouvait
, il donnait les meilleurs conseils du monde. » Il
mortel qui sait mettre sa vie Pour son ami. Voilà les louanges qu’il
trouvait
pour elle. « Vous que l’on aime à l’égal de soi-m
e la vie, le garda vingt ans. Quand elle mourut, M. d’Hervart vint le
trouver
et le pria de loger chez lui : « J’y allais », di
à Château-Thierry pour le réconcilier avec sa femme. Il y allait, la
trouvait
hors du logis, et reprenait le coche sans l’avoir
ux rêveurs. Il n’avait pas besoin de se guinder pour y monter. Il s’y
trouvait
tout porté et de naissance. C’est cette faculté q
u terme, si nous repassions en esprit toutes nos journées, combien en
trouverions
-nous où nous ayons eu pendant une heure, pendant
, &c. Le premier volume de cette continuation a paru & on l’a
trouvé
digne de l’ingénieux Abbé Prevot. Mr. de Querlon
plusieurs fois dans le cours de son ouvrage & sur laquelle on ne
trouve
rien. On a dit que les voyages étoient les romans
ion, qu’une rélation suivie, continue, didactique & surement il a
trouvé
des partisans de sa méthode. Il fait donc voyager
en trois volumes & réimprimés ensuite en six volumes in-12. On y
trouve
des choses curieuses, & il est plus exact qu’
ttres, qui sont un peu monotones pour le ton, mais dans lesquelles on
trouve
des remarques utiles. Le voyageur anglois, très-r
’il voyoit en homme intelligent. Il instruit autant qu’il amuse. On y
trouvera
en particulier des observations sur les Noirs qui
un esprit très-attentif. Tout ce qui peut intéresser la curiosité s’y
trouve
rassemblé ; mœurs anciennes & modernes, monum
d’Ablancourt, est enrichie de Cartes géographiques de M. Samson. On y
trouve
l’histoire des Cherifs & des Royaumes de Maro
générale de l’Amérique depuis sa découverte, 1769. 14. vol. in-12. On
trouve
dans cet ouvrage l’histoire naturelle, ecclésiast
yages faits en Amérique ou dans quelques parties de l’Amérique. On en
trouve
le détail dans la nouvelle édition de la méthode
Madame du Bocage a mis son voyage d’Italie en forme de Lettres. On le
trouve
dans le recueil de ses œuvres. Il y a de l’esprit
agnifique que la Cour de Siam ; lisez les Mémoires de Forbin, vous ne
trouverez
rien de plus mesquin. La destinée de l’homme est
d’un Putter-Laumann dans une justice à laquelle M. Clemenceau ne put
trouver
de lecteurs, et laisser de côté un journaliste al
quelle, théoriquement du moins, M. Barre conduit son histoire, il eût
trouvé
l’occasion de mentionner des incidents de presse
esure, au moins le Soleil des morts de M. Camille Mauclair ? Il y eût
trouvé
un tableau curieux et sincère du mouvement littér
absolument classique, avec le goût des images justes et le don de les
trouver
toujours sans effort. » Les certificats de M. Fag
l’un à l’autre ? Et comment peut-on dire que « la technique de Ghil a
trouvé
l’homme de sa formule dans Verhaeren », qui est d
e Régnier comme un « vers-libriste ». Mais, certes, moins encore s’en
trouvera-t
-il pour voir, avec M. Barre, dans Régnier, un écl
ont souffert. La stérilité relative de Mallarmé vient de ce qu’il ne
trouva
quoi chanter, et ce qu’il chanta ce fut préciséme
e « excentrique ». Là enfin est la seule source où la poésie actuelle
trouve
encore de l’inspiration neuve. Mais pas un des tr
r le vers libre, la conclusion de M. Barre est qu’il ne pourra jamais
trouver
le chemin de l’oreille populaire. « Le poète, écr
sirène, Phocas le jardinier, le poète et sa femme. Le dernier a même
trouvé
une veine comique fort drue dans existences (la p
iélé-Griffin, le mètre plus ou moins détendu de Régnier et de Jammes,
trouvent
leur élément propre dans une forme poétique que l
Fontaine. Il faudrait alors renoncer à des clichés comme celui que je
trouve
à la page 186 : « La poésie de Verlaine est pour
st de l’avoir annoncé en de tels termes. Premièrement j’ai tâché de
trouver
en général 1 les principes ou premières causes d
qu’on pouvait déduire de ces causes ; et il me semble que par là j’ai
trouvé
des cieux, … Eh bien je dis : qu’importe. Nous s
, … Eh bien je dis : qu’importe. Nous savons bien qu’il ne les a pas
trouvés
, les cieux. On les avait trouvés avant lui. Ou pl
Nous savons bien qu’il ne les a pas trouvés, les cieux. On les avait
trouvés
avant lui. Ou plutôt ils s’étaient trouvés tout s
s, les cieux. On les avait trouvés avant lui. Ou plutôt ils s’étaient
trouvés
tout seuls. La création a eu besoin de son Créate
homme, ni pour être, ni même pour être connue. Les cieux se sont bien
trouvés
tout seuls. Et ils ne se sont jamais perdus. Et i
nous pour se retrouver perpétuellement dans leurs orbes. On les avait
trouvés
avant lui. Eux-mêmes ils s’étaient trouvés avant
leurs orbes. On les avait trouvés avant lui. Eux-mêmes ils s’étaient
trouvés
avant lui. Je dis : qu’importe. L’audace seule m’
jamais mouvement de la pensée comparable à celui de ce Français qui a
trouvé
les cieux. Et il n’a pas trouvé seulement les cie
mparable à celui de ce Français qui a trouvé les cieux. Et il n’a pas
trouvé
seulement les cieux. Il a trouvé des astres, une
ui a trouvé les cieux. Et il n’a pas trouvé seulement les cieux. Il a
trouvé
des astres, une terre. Je ne sais pas si vous ête
ouvé des astres, une terre. Je ne sais pas si vous êtes comme moi. Je
trouve
prodigieux qu’il ait trouvé une terre. Car enfin,
Je ne sais pas si vous êtes comme moi. Je trouve prodigieux qu’il ait
trouvé
une terre. Car enfin, s’il ne l’avait pas trouvée
prodigieux qu’il ait trouvé une terre. Car enfin, s’il ne l’avait pas
trouvée
. Et non seulement une terre mais même sur la ter
lu descendre à celles… , alors, mais alors seulement il ne les a plus
trouvées
et il a eu besoin que la discrimination de l’expé
siblement, des principes et de Dieu. Nous savons bien qu’il n’eût pas
trouvé
les cieux et les astres et une terre s’il n’en av
t pas entendu parler. Je dirai plus. Nous savons bien qu’il n’eût pas
trouvé
les principes mêmes ou premières causes de tout
de tout ce qui est ou qui peut être dans le monde et qu’il n’eût pas
trouvé
les idées innées, ces certaines semences de véri
rations de la pensée. Je dirai plus. Nous savons bien qu’il n’eût pas
trouvé
Dieu même s’il n’en avait pas entendu parler, et
ux plus spécieuses des apparences le Juif, quand on les connaît bien,
trouve
toujours que c’est encore bien comme ça, que c’es
onsolé, n’en a jamais assez. Un Dieu est mort pour lui. Il regarde et
trouve
toujours qu’on est bien malheureux. Tous deux son
e éclate la différence et la contrariété de leurs deux races. Le Juif
trouve
naturel d’être malade. Fils et pour ainsi dire ce
vail spirituel se paye par une sorte propre de fatigue inexpiable. Il
trouve
même que c’est juste. Il trouve même que c’est en
orte propre de fatigue inexpiable. Il trouve même que c’est juste. Il
trouve
même que c’est encore très bien comme ça. Il comp
s bien comme ça. Il compte les jours où il va bien. Il les admire. Il
trouve
qu’on a encore bien de la chance. (Au fond, il ne
chance. (Au fond, il ne le dit pas, mais il est un vieux Juif, et il
trouve
que le Seigneur est encore bien bon comme ça, de
il voudrait commander au cerveau et aux individus nommés nerfs. Il y
trouve
la différence. Comme ils se battaient contre le t
battaient contre le tour de reins lui il se bat contre son foie. Il y
trouve
la différence. Il est le premier de sa race qui e
, répète inlassablement le chœur antique. En français, endurer, c’est
trouver
que c’est rudement dur. Mais en français, c’est s
génération en génération et il peut remonter pendant des siècles : il
trouvera
toujours quelqu’un qui sait lire. Quand il remont
yzance ou à quelque Bédouin du désert, le Juif est d’une race où l’on
trouve
toujours quelqu’un qui sait lire. Et non seulemen
marche bien, quand les mécanismes sont montés, quand il écrit, il ne
trouve
pas que c’est un instrument dangereux. Quand ça n
e replonge dans le silence de sa race et de remontée en remontée il y
trouve
le dernier prolongement que nous puissions saisir
iculation des leviers de la grâce. Par là elle travaille. Par là elle
trouve
le point qu’il y a dans tout homme pécheur. Par l
êtes dans la physique du poids, parce que le deuxième milligramme ne
trouve
pas la situation nette. Il ne trouve pas la situa
e que le deuxième milligramme ne trouve pas la situation nette. Il ne
trouve
pas la situation entière. Il y a quelque chose de
au, successivement ou ensemble. Toute deuxième goutte qui se présente
trouve
une situation nette. Toute deuxième goutte qui se
nte trouve une situation nette. Toute deuxième goutte qui se présente
trouve
une situation entière. Toute deuxième goutte qui
e trouve une situation entière. Toute deuxième goutte qui se présente
trouve
une situation inentamée. Toute deuxième goutte qu
présente (comme) une première. Toute deuxième goutte qui se présente
trouve
qu’il faudrait commencer. Et qu’elle ne peut pas
qu’elle ne peut pas commencer. Toute deuxième goutte qui se présente
trouve
qu’il faudrait créer. Un phénomène comparable et
aisons d’elle et surtout de l’usage qu’elle fait de nous. Pour moi je
trouve
ces propositions monumentaires, ces propositions
revêtu. On connaît cette parole de vieil homme et que pour ma part je
trouve
admirable. — Quel dommage, disait-il, qu’il faill
ns les champs de blé. Il ne s’agit pas que les grains des blés soient
trouvés
dans le cœur des grappes et que les raisins soien
lés soient trouvés dans le cœur des grappes et que les raisins soient
trouvés
dans le cœur des épis. Il ne s’agit pas de moisso
dans sa plus haute et sa plus parfaite maturation. Et que celui qui a
trouvé
la faucille soit chargé de rapporter le blé. Et q
rouvé la faucille soit chargé de rapporter le blé. Et que celui qui a
trouvé
la dialectique soit chargé de rapporter l’idée. E
vé la dialectique soit chargé de rapporter l’idée. Et que celui qui a
trouvé
la serpette soit chargé de rapporter la grappe. E
vé la serpette soit chargé de rapporter la grappe. Et que celui qui a
trouvé
l’intuition soit chargé de rapporter la durée. Et
as avec la faucille et la faux. Le plus grand moissonneur du monde ne
trouvera
pas à moissonner dans les vignes. Le plus grand v
as à moissonner dans les vignes. Le plus grand vendangeur du monde ne
trouvera
pas à vendanger dans les blés. Que me parlez-vous
il n’y a pas de dérogation. Dieu peut regarder le monde, et ne pas le
trouver
trop dégoûtant. Ce qui leur importe, à chacun des
i que c’est un mystère. En fait celui qui se mesure a quelquefois été
trouvé
plus grand. Et il a quelquefois dominé. Celui qui
aincu celui qui vainc. Celui qui a voulu être juste a quelquefois été
trouvé
plus fort. L’empire a quelquefois écrasé la liber
si on n’a pas toujours présent à la pensée que le roi qu’elle pensait
trouver
à Chinon, et le roi qu’elle pensait faire sacrer
t son point de douleur et sa catastrophe tragique fût qu’elle pensait
trouver
un roi et qu’elle en trouva un autre. Elle pensai
catastrophe tragique fût qu’elle pensait trouver un roi et qu’elle en
trouva
un autre. Elle pensait faire sacrer un roi et ell
sait faire sacrer un roi et elle en fit sacrer un autre. Elle pensait
trouver
un roi de baronnage et de courtoisie, un roi de g
de grâce et de chevalerie, un roi de croisade et de chrétienté. Elle
trouva
un roi homme d’affaires et un roi de courtage. On
e France et du monde. Elle était venue vers un roi chevalier. Et elle
trouva
un roi commerçant. Elle était venue vers un roi d
a un roi commerçant. Elle était venue vers un roi de justice. Et elle
trouva
un roi misérablement calculateur. Elle était venu
ablement calculateur. Elle était venue vers un roi de guerre. Et elle
trouva
un roi de tremblements. Elle était venue vers un
n roi de tremblements. Elle était venue vers un roi de grâce. Et elle
trouva
un pauvre négociateur. Elle était venue vers le r
e négociateur. Elle était venue vers le roi très chrétien. Et elle ne
trouva
qu’un roi de réticences. Elle était venue vers le
s un roi de l’ordre de la mesure, de la race de la mesure. Et elle ne
trouva
qu’un roi qui tenait de pauvres comptes. Elle éta
e pauvres comptes. Elle était venue vers le roi de France. Et elle ne
trouva
qu’un petit économe. Et elle était venue vers un
un petit économe. Et elle était venue vers un roi mystique et elle ne
trouva
qu’un roi politique et politicien. Et entouré de
a politique. Elle était venue vers une cour et vers une armée et elle
trouvait
des paperasses (en parchemins, mais c’étaient des
ses (en parchemins, mais c’étaient des paperasses tout de même). Elle
trouvait
des paperasses et une bureaucratie. Elle était v
bureaucratie. Elle était venue vers une antique maison et déjà elle
trouvait
un roi moderne. Tel fut l’abîme de malentendu, l’
instantanément. Elle était venue vers la maison de France et elle ne
trouvait
que des petits bureaux, les bureaux de l’État. El
ureaux de l’État. Elle était venue vers des hommes d’armes et elle ne
trouvait
qu’une misérable bande de légistes. Elle était ve
e légistes. Elle était venue vers un deuxième saint Louis. Et elle ne
trouva
qu’un deuxième Philippe le Bel. Quel exemple pl
is du moment qu’elle entrait chez les modernes elle devait fatalement
trouver
plus moderne qu’elle. Et tel est le châtiment de
re. C’est que dans le nouvel ordre pour lequel il a trahit le sien il
trouve
toujours quelqu’un qui est plus de ce nouvel ordr
re où il entre, ou du moins dans le nouvel ordre où il veut entrer il
trouve
toujours quelqu’un qui lui y est lui-même et esse
désordre, dans le désordre où il entre il ne s’y connaît pas et il y
trouve
toujours son maître. Quand la Révolution Français
autre. Du moment que la royauté s’était faite commerçante elle devait
trouver
plus commerçant qu’elle. Et du moment qu’elle s’é
du moment qu’elle s’était faite « philosophe » elle devait fatalement
trouver
plus philosophe qu’elle. Et c’était justice. Il f
propre institution. Jeanne d’Arc était allée vers un chef et elle ne
trouva
qu’une cabale. Elle était allée vers un roi et el
elle ne trouva qu’une cabale. Elle était allée vers un roi et elle ne
trouva
que des courtisans. Voilà ce qui fut payé le jour
i geignons toujours d’être venu au monde dans le monde moderne et qui
trouvons
que le service est dur. Et que ça marche mal. Ça
e dit assez). Et quand Jeanne d’Arc arriva à Chinon, croit-on qu’elle
trouva
que tout allait bien. Quelques mois plus tard ell
crer à Reims un roi qui n’était pas de l’ordre du sacré. Elle pensait
trouver
un roi des paroisses françaises. Et elle ne trouv
cré. Elle pensait trouver un roi des paroisses françaises. Et elle ne
trouva
que le roi des diplomates. Par un point au tenn
lement, comme les autres ; il sera comparé aux faux dieux. Et il sera
trouvé
meilleur de la quantité juste, qui est l’infini,
ttre en comparaison Racine et Corneille et qui pour balancer Bérénice
trouva
Tite et Bérénice. Nous sommes tous écrasés par l’
re dans la dépendance de la brebis égarée et on peut dire que pour la
trouver
il se guide sur elle et sur ses errements. Celui
la fois le tenant et le héraut. On sait comment elle fut reçue. Elle
trouva
les Anglais (et les Bourguignons) et il faut le d
fermée à la voix de Dieu, plus rebelle à Dieu que saint Louis n’avait
trouvé
les infidèles d’Égypte. Et c’est une des raisons
martyre au deuxième degré. Car c’est au sein de la chrétienté qu’elle
trouva
ses points d’application, ses points de résistanc
t martyre et sainte contre des Français et contre des chrétiens. Elle
trouva
l’infidélité installée au cœur même de France, au
la croisade, pour la reprise et le couronnement de la croisade et qui
trouva
au contraire que c’était ça la seule croisade qu’
l n’est point trahi, point renié. Il faut qu’il se déplace pour aller
trouver
la souffrance, la guerre, la maladie, la prison,
erre, la maladie, la prison, la mort, les outrages, le martyre. Il ne
trouve
point tout cela installé au cœur de France. Sa gu
iens. Il faut qu’il aille en Égypte, il faut qu’il aille à Tunis pour
trouver
ce que l’autre trouve entre Étampes et la Somme e
le en Égypte, il faut qu’il aille à Tunis pour trouver ce que l’autre
trouve
entre Étampes et la Somme et la Seine Inférieure.
qu’il aille porter la croisade chez l’infidèle. Que dire de celle qui
trouva
une monstrueuse croisade à faire au cœur de Franc
jours la différence de l’extrinsèque et de l’intrinsèque. Ainsi Jésus
trouva
sous la main deux ou trois petites collines ou él
lvaire. Et Hérode l’avait cherché parmi ses parents. Et Judas l’avait
trouvé
parmi sa troupe. Il n’avait point eu à aller au
idérait l’inscription aussitôt qu’elle serait devenue inscrite. Et on
trouvait
qu’elle était arrêtée, qu’elle était inscrite. On
On considérait la vie au moment qu’elle serait devenue la mort. Et on
trouvait
qu’elle était morte. On considérait le présent, o
moment qu’elle aurait été liée, qu’elle serait devenue liée. Et l’on
trouvait
qu’elle était liée. Mais on ne disait pas qu’elle
t liée. On disait qu’elle était venue au monde comme ça. Puisqu’on la
trouvait
comme ça. On disait qu’elle était venue au monde
scrite. On disait qu’elle était venue au monde comme ça. Puisqu’on la
trouvait
comme ça. On disait qu’elle était venue au monde
t tuée. On disait qu’elle était venue au monde comme ça. Puisqu’on la
trouvait
comme ça. On disait que la vie était venue au mon
ent et absolument le même être. Il n’y a que l’être et la réalité qui
trouvaient
que ce n’était pas le même être. C’est toujours l
nscrit, d’un autre être que l’écroué. Et eux comment s’étonner qu’ils
trouvassent
passées des lamelles de passé, historiques des la
er que le présent est un passé. Comment s’étonner après cela qu’on le
trouve
passé. Mais c’est peut-être, plus ou moins obscur
ale. C’était si tentant. On n’avait qu’à attendre un petit peu. Et on
trouvait
l’ouvrage toute faite. Aujourd’hui, aujourd’hui n
ut un peuple non seulement effectue l’anéantissement de sa race, mais
trouve
encore que c’est très bien, parce que ça se passe
ec son argent. Mais parce qu’il avait tout réduit en argent, il s’est
trouvé
que tout était bassesse et turpitude. Je parler
rs. On compte les fois où les trois catégories d’indications que l’on
trouve
sur les routes sont d’accord entre elles. Ou plut
es sont d’accord entre elles. Ou plutôt on ne les compte pas. On n’en
trouve
jamais. Mais vous ne connaissez peut-être pas, mo
t-être pas, mon père, les trois catégories de renseignements que l’on
trouve
sur une route. — Je suis seulement étonné, mon en
connais pas les trois catégories d’indications de la raideur que l’on
trouve
sur une route. Je n’en connais que deux, les pote
y en a trois, mon père. Car il y a aussi les plaques bleues que l’on
trouve
à l’entrée et à la sortie des villages, des hamea
être un peu loin. Nous en étions à ces belles plaques bleues que l’on
trouve
à l’entrée et à la sortie des bourgs, encastrées
ont certainement pas des plaques d’identité, car on n’a jamais pu les
trouver
d’accord ni avec les poteaux indicateurs ni avec
avoir ce que c’est. Quand toutefois on en peut déchiffrer une, on n’y
trouve
aucune indication métrique. Il semble que cette c
rendront), le catholique est un garçon qui arrive sur la route et qui
trouve
très bon pour lui le poteau indicateur qu’il y a
e je cite ce Descartes d’après l’édition la moins savante que j’ai pu
trouver
. Ce n’est pas à un vieux typographe comme moi qu’
octeur65, la franchise et les agréments de votre société ; puis je me
trouvais
seul dans des déserts, courant peut-être après un
de la mer Baltique n’est qu’une grande plaine sablonneuse où l’on ne
trouve
pas un seul rocher, et tout le côté septentrional
es, ne sont absolument qu’une grande masse de rochers tout nus6. J’ai
trouvé
dans l’auberge où l’on m’a descendu M. Chandos, a
z, mon ami, que je m’occupe de vous, que je parle de vous, lorsque je
trouve
de bonnes oreilles. Le résident de France, homme
ces, Varsovie, ce 28 juillet 1764. P.-S. Dans une fête où je me suis
trouvé
il y a deux jours, j’ai aperçu, parmi les gens qu
rquer mon départ, ou les arrangements qu’on aura pris avec moi. Je me
trouve
très embarrassé. Mon inclination m’engage à reste
d’une longue navigation, relâchent dans une de ces belles îles qu’on
trouve
quelquefois au milieu de l’Océan. Ils oublient po
is vous savez que j’ai plus de délicatesse que de vanité. Aussi ai-je
trouvé
tout ce qui pouvait m’attacher, des grâces sans n
ont pas encore prêtes. Dans quel pays et avec quels hommes vais-je me
trouver
! Je laisse d’excellents amis derrière moi ; j’en
x qu’à ses entreprises en Russie, je plains les actionnaires, s’il en
trouve
. Je voudrais vous parler de quelque chose qui vou
ressemble à un téton. Enfin, deux mois après notre départ, nous nous
trouvâmes
sous la Ligne sans avoir éprouvé de chaleurs extr
sans avoir éprouvé de chaleurs extraordinaires. Le 22 juin, nous nous
trouvions
presque nord et sud de Madagascar, lorsque nous e
uniquement occupés que de leur commerce, ils sont durs ; enfin je ne
trouve
point d’hommes ici. Je ne sais encore quelle tour
isère de moins que leur vaudra la connaissance des Européens. Ils ont
trouvé
une autre île encore plus maléficiée ; les habita
le repos. Fatigué de tant d’objets, je cherche à ruminer. Où et quand
trouverai
-je une retraite qui soit à moi, un jardin que j’a
qu’il y a à la fois de meilleur et de plus abominable. Quoique je me
trouve
ici sans protection, il faut espérer que je trouv
ble. Quoique je me trouve ici sans protection, il faut espérer que je
trouverai
enfin un asile au moins sans sortir de l’Europe.
ous devez être heureux, dans quelque événement que vous puissiez vous
trouver
. Assurez Mme Duval de mon respect et de mon attac
rcher de l’eau dans mon propre puits86, Dieu m’a fait la grâce d’y en
trouver
. J’ai fait imprimer l’année passée un ouvrage en
is dire que les fondements de mon âme en ont été ébranlés 87. Je n’ai
trouvé
de consolation que dans la solitude la plus profo
ettes que les lettres de mes amis que je conserve précieusement. J’ai
trouvé
dans les vôtres que vous m’envoyâtes à Varsovie u
re chère famille, dont je ne connais que le respectable chef. Si vous
trouvez
occasion de me rappeler au souvenir du prince Dol
e du Messie. Le Pere Berruyer péchoit par un excès d’imagination ; on
trouve
un défaut précisément contraire dans l’Histoire d
’ancien Testament par M. Mezangui. Il est vrai que les Jésuites y ont
trouvé
le poison de la doctrine jansénienne ; mais qu’il
avec un auteur que c’est insulter aux approbateurs de livres, que de
trouver
des erreurs dans des ouvrages dont le ministère p
e que l’auteur, dont le sçavoir est connu, y a inséré tout ce qu’il a
trouvé
dans l’histoire prophane qui pouvoit se rapporter
es regles qu’il s’est prescrites & qu’il a suivies exactement. On
trouve
plusieurs autres discours au commencement de quel
uviéme, la juridiction essentielle à l’Eglise ; enfin au vingtiéme on
trouve
les réfléxions de l’auteur sur l’état des divers
amp; d’historien. Il n’est pas inférieur à Bossuet, & si l’on n’y
trouve
pas la même force de pinceau, ni la même pompe d’
lume in- 12. pour ceux qui ne peuvent acheter son histoire, ou qui la
trouvent
trop peu ornée pour en entreprendre la lecture. C
Ecrivain laissa son ouvrage au vingtiéme volume. Il étoit question de
trouver
un continuateur. Le P. Fabre de l’Oratoire se pré
ls & dans le choix des faits, il donne la préférence à ceux qu’il
trouve
tout arrangés dans les autres historiens. Voilà p
herchoit qu’entasser volume sur volume pour allonger l’ouvrage. On ne
trouve
dans cette continuation aucun de ces discours adm
ns en excepter le Dictionnaire des Hérésies du R. P. Pinchinat, on ne
trouvera
point un tableau des égaremens de l’esprit humain
esure que nous descendons vers les derniers siécles de l’Eglise, nous
trouvons
l’Histoire du Calvinisme, par Solier in-4°. Paris
rochoit, on peut consulter un savant Mémoire de Mr. Bossuet, que l’on
trouve
à la fin du second volume des œuvres posthumes de
s de cet illustre soutien de la saine Doctrine. On ne se borna pas à
trouver
des fautes dans le travail de M. du Pin, on préte
de netteté ; mais il manque souvent de pureté & d’agrémens. On y
trouve
beaucoup de latinisme, parce que l’auteur avoit d
chercher l’histoire de tous les Ecrivains ecclésiastiques ; on n’y en
trouve
qu’une trentaine, & l’auteur finit à St. Bern
c le catalogue de leurs principaux ouvrages ; le sommaire de ce qu’on
trouve
de remarquable dans ceux des Peres, pour former l
crédulité de nos ancêtres avoit déshonoré les légendes des Saints. On
trouve
à la tête un discours intéressant & plein d’o
ntiments avec la cour de Rome, il songea à l’évêque de Valence, et le
trouva
tout disposé. Cosnac reparut à la Cour, se distin
, et d’une rédaction différente, et que ce second manuscrit avait été
trouvé
à Die par M. le docteur Long. Après un scrupuleux
ec ses confidents, j’affectais de sortir par respect, et, quand je me
trouvais
obligé d’y rentrer, c’était toujours avec tant de
y joint des idées de politique et d’affaires un peu plus étendues, il
trouve
le moyen d’être utile pendant le siège de Bordeau
la vue de me rendre utile et nécessaire, mais encore parce que je les
trouvais
plus conformes à mon inclination, qui me portait
va mettre en première ligne la patrie ; c’est par ce côté que nous le
trouverons
digne plus tard de comprendre et de servir Louis
il a fait venir sa maîtresse de Bordeaux, Mme de Calvimont. Ici nous
trouvons
quelqu’un qui, à cette distance, nous intéresse p
uoiqu’il y eût beaucoup de justice ; mais M. le prince de Conti avait
trouvé
bon de s’opiniâtrer à cette bagatelle. Ce mauvais
t de pouvoir sur elle pour lui faire supporter son malheur, que je la
trouvai
qui jouait avec son hôtesse. Cela me surprit. M’é
art : Histoire de la branche des Conti. La littérature et la morale y
trouveraient
leur place. Cosnac, qui a gagné, au mariage du pr
« qu’un maréchal de France s’était vanté en sa présence que, s’il eût
trouvé
un évêque assis et qu’il eût été debout, il l’aur
» Ce brevet reçu, Cosnac, qui n’était abbé que le moins possible, va
trouver
l’archevêque de Paris : « Le roi, lui dit-il, m
, au siège de Tournai, le roi, allant lui-même à la tranchée, y avait
trouvé
Cosnac : « Quoi ! M. de Valence dans la tranchée
pouvoir ordonner de ce qu’il fallait mettre dans les chambres, qu’il
trouva
, par malheur, toutes meublées. Il n’eut que la se
is. J’en sortis si plein d’estime et de vénération pour le roi, je le
trouvai
si rempli de bon sens, d’habileté, de justice, de
Fronde et un boute-en-train de ces petites cours, où il n’avait rien
trouvé
à sa mesure. Toutefois il n’eut pas trop à se pla
n’étaient pas dans le premier ; s’ils n’y sont pas, je ne puis les y
trouver
; si je ne puis les y trouver, je ne puis les en
; s’ils n’y sont pas, je ne puis les y trouver ; si je ne puis les y
trouver
, je ne puis les en tirer. — Au contraire, vous di
substance, il y a un rapport nécessaire. Puisqu’il y est, je puis l’y
trouver
; si je le trouve, je puis l’en tirer. Sous ce mo
n rapport nécessaire. Puisqu’il y est, je puis l’y trouver ; si je le
trouve
, je puis l’en tirer. Sous ce mot jugement ou prop
tier, je n’en découvre pas d’autres ; prenez des chaises ; je vais en
trouver
devant vous. Avec de la craie, je trace sur le
rage ; combien 12 ouvriers en feront-ils ? Par une règle de trois, on
trouve
que le nombre demandé est 24. Ce problème contien
puisqu’une fois les chiffres traduits en lettres, il n’y a qu’à leur
trouver
une position convenable, et à remplacer les expre
mettre, l’idée de substance L’axiome est formé. Récapitulez, et vous
trouverez
que les seules facultés qui l’ont produit sont l’
infini. — Nos yeux sont plus intelligents que notre cervelle. Daignez
trouver
un exemple qui rende sensible la génération de l’
r abstraction ? Retournons dans notre coin ; probablement nous allons
trouver
que nos infinités, comme les vôtres, ont l’abstra
i concevoir une limite quelconque, analyser cette idée de limite et y
trouver
une contradiction. C’est donc encore une analyse
uée par une seconde étendue limitée. Vous analysez cette loi, et vous
trouvez
que la seconde étendue a la même définition que l
vient de le montrer, la vérité est dans les choses, il suffit pour la
trouver
de décomposer les choses, de les résoudre par l’a
l. Mais, à mesure que l’esprit humain se développa, à mesure que l’on
trouva
les paroles qui signifient des formes abstraites,
e un sujet pour séparer sa forme première de la forme opposée qui s’y
trouvait
jointe. 7. La distinction des idées fit les métam
erre soutient et la couche superficielle qui le couvre, et ce qui s’y
trouve
semé, ou planté, ou bâti, de même l’approbateur s
utes les nations, comme les sons articulés. Ceux qui désespéraient de
trouver
cette origine, devaient toujours ignorer que les
es les personnes éloignées, pour les besoins présents de la vie. — On
trouve
dans l’Iliade deux passages précieux qui nous pro
ssages la tradition égyptienne d’après laquelle Thot ou Hermès aurait
trouvé
les lois et les lettres. À l’appui de ces vérités
e voix humaine. — Elle nous donne en outre l’ordre dans lequel furent
trouvées
les parties du discours, et conséquemment les cau
raisonnent d’après les principes d’Aristote, comme si les peuples qui
trouvèrent
les langues avaient dû préalablement aller aux éc
de compléter la phrase par son verbe. Nous avons vu que le verbe fut
trouvé
plus tard que les autres parties du discours. Aus
les genres intelligibles. Ne conviendra-t-on pas maintenant que pour
trouver
l’origine des lettres, il fallait chercher en mêm
nombre de retranchements ; dans les origines de la langue latine, on
trouve
aussi beaucoup de mots qui durent être syncopés,
les sibylles ; l’antiquité de ces dernières a passé en proverbe. Nous
trouvons
partout des Sibylles chez les plus anciennes nati
nes. Si on examine bien les fragments de la loi des douze tables, on
trouvera
que la plupart des articles se terminent par un v
ue les rend exacts. Or, dans les premiers temps, les hommes avaient à
trouver
, à inventer toutes les choses nécessaires à la vi
es les choses nécessaires à la vie. En effet, quiconque y réfléchira,
trouvera
que les choses utiles ou nécessaires à la vie, et
qui ne sont que de commodité, d’agrément ou de luxe, avaient déjà été
trouvées
par les Grecs, avant qu’il y eût parmi eux des ph
de Dante. Parmi les prêtres mêmes, il y avait tant d’ignorance, qu’on
trouve
des actes souscrits par des évêques, où ils ont m
c des mots qui sonnent si bien en latin et en grec. Voilà pourquoi on
trouve
tant d’obscurité dans la géographie et dans l’his
i en chantant. (Vico.) 61. Orthographié « rhythme » [NdE]. 62. Nous
trouvons
ici une preuve de ce que nous avons avancé dans l
que nous avons avancé dans les axiomes. Si les savants s’appliquent à
trouver
les origines de la langue allemande en suivant no
t de venir empiéter sur un domaine qui n’est pas le mien, si je ne me
trouvais
informé de certains documents nouveaux, de pièces
eusement ce qui restait d’elle, et, comme il a la main heureuse, il a
trouvé
de quoi ajouter sur quelques points à ce qu’on sa
ginaux ; la manière qui déclame ou qui chante, et celle qui dit. Nous
trouvons
ces deux écoles en opposition déjà et en guerre a
ue la valeur qu’ils doivent avoir dans la situation. De tels conseils
trouvaient
dans l’intelligence droite de Mlle Le Couvreur un
t vrai, sincère, dévoué jusqu’au sacrifice, et ce rôle-là, nous ne le
trouvons
pas moins rempli auprès de Mlle Le Couvreur par u
de mariage, Mlle Le Couvreur n’hésita point à la rassurer ; elle alla
trouver
Mme de Ferriol, et, l’accueil de celle-ci l’ayant
us demander vos ordres. Votre accueil détruisit mon zèle, et je ne me
trouvai
plus que de la timidité et de la tristesse. Il es
ouvreur se plaisait à recevoir ses amis : Ma vanité, disait-elle, ne
trouve
point que le grand nombre dédommage du mérite rée
isir cent fois à ne rien dire, mais à entendre de bonnes choses, à me
trouver
dans une société de gens sages et vertueux, qu’à
st pas que je manque de reconnaissance ni d’envie de plaire ; mais je
trouve
que l’approbation d’un sot n’est flatteuse que co
ait bien au-dessus des rapides caprices et des flammes passagères. Je
trouve
, dans des lettres inédites adressées par elle à u
t à tout. Je l’écoute, et puis j’agis ; et je m’en suis toujours bien
trouvée
. On me prend telle que je suis, ou bien on me lai
Metz, se présenta deux fois chez Mlle Le Couvreur, et, ne l’ayant pas
trouvée
, il laissa pour elle une lettre dans laquelle il
ses amis, se rendit au lieu indiqué en se faisant accompagner. Elle y
trouva
le petit bossu, qui lui dit en substance qu’une d
et qu’il venait demander ce qu’il devait faire. Mlle Le Couvreur ne
trouva
point d’abord cette histoire aussi invraisemblabl
; et il y a d’autres témoignages. J’insiste sur ce fait, parce qu’on
trouve
dans beaucoup de livres français et allemands des
e ne pouvoir indiquer à mes lecteurs une biographie dans laquelle ils
trouveraient
le récit et l’image complète de cette vie du maît
lleuses pour une production artistique étaient les conditions qu’il y
trouva
réunies72. Le fait de beaucoup le plus important
ela en formerait « un acte complémentaire » (VI, 479). Je crois qu’on
trouverait
difficilement dans le Tristan et Isolde de Wagner
bientôt de cette idée, mais plus tard il changea de nouveau d’avis et
trouva
qu’elle n’avait point été si ridicule (voir la no
y mortel. Dans toute la légende et la mythologie ou n’aurait guère pu
trouver
un caractère aussi apte que celui-ci à être le hé
c’est là, je le répète, le motif dramatique. Dans un passage qu’on ne
trouvera
que dans le poème, pas dans la partition, sans do
IX, 82), à ce point juste, je m’arrête. En ouvrant la partition, nous
trouvons
à la première page un mot qui a rendu plus d’un c
ulement, parmi les quatres poèmes de la brochure qu’on pourra espérer
trouver
une mise en pratique des idées que l’auteur vient
araît que deux ou trois fois, la musique s’épanche librement86. — Que
trouvons
-nous dans Tristan ? Nous trouvons une langue très
usique s’épanche librement86. — Que trouvons-nous dans Tristan ? Nous
trouvons
une langue très différente de celle que nous renc
essentiels et qui évoquent une image précise. Dans tout Wagner on ne
trouvera
pas d’exemple plus parfait de ce système que la p
ncore plus complète, naturellement, chez Tristan et chez Isolde. Nous
trouvons
toutes les variations. Il y a la phrase réduite a
ités, peut-être la grande qualité, de l’allitération. — Ensuite, nous
trouvons
de nombreux passages, ce sont même de beaucoup le
absolue précision des sentiments à exprimer. — Un peu plus loin, nous
trouvons
les paroles que j’ai déjà citées : « Mir erkoren,
an, par les mots : « Tristan’s Ehre. hoechste Treu, etc. »89. — Et on
trouvera
dans ce premier acte un troisième genre de précis
la d’une précision et d’une concision parfaites. On pourrait même les
trouver
trop parfaites, car dans soixante vers très court
; il verra que dans le second duo, la seule allitération qu’on puisse
trouver
est celle si douce et vague de voyelles initiales
poème de Rheingold, par exemple, parce qu’il est beau en lui-même, et
trouvent
celui de Tristan inférieur. On n’a pas le droit d
r le sentiment. Jusque maintenant, croyons-nous, cette explication ne
trouvera
pas de contradicteurs. Mais, revenu au jour, c’es
ies peuvent concorder avec la signification de Parsifal. « Nous avons
trouvé
, dit Shopenhauer, la vie en totalité ayant pour e
onde, d’après Schopenhauer, connaît tout, embrasse l’essence de tout,
trouve
l’humanité en proie à un effort vain, à un combat
a religion vulgaire : « Les résultats moraux du Christianisme, on les
trouve
chez moi expliqués par l’étude de la nature et ba
nemanz, il reste ignorant et froid. Cependant la plainte d’Amfortas a
trouvé
écho en lui. Il est resté insensible à l’invitati
limite de notre faculté de jouissance et de souffrance.[NdA] 78. On
trouvera
ce passage à la page 66 du poème, édition 1859, e
les fit cependant réimprimer en 1873 dans ce vol. VII, on voit qu’il
trouve
des explications nécessaires dans le poème lu, qu
nfia à l’architecte deux projets pour Munich dont un nouvel opéra. On
trouve
dans ses esquisses des éléments du futur théâtre
a maison de la princesse, enfin à la facilité, avec laquelle j’aurais
trouvé
des éditeurs, pour illustrer La Maison d’un artis
des oseurs, comme mon frère et moi, ont obtenues, que du reste, elle
trouve
, que le théâtre est un meilleur metteur en scène
papier. » Samedi 5 mars Un journaliste, d’un petit journal, ne
trouve
pas les conversations, que donne mon Journal, int
evens témoigne du respect de Rousseau pour Millet, qui d’abord ne lui
trouvait
pas de talent : ce qui, d’après Stevens, décida R
même chez ceux qui n’ont pas fait d’humanités, déclarant qu’on ne les
trouverait
jamais à lire un livre d’auteur médiocre. Et il r
, apportant aux gourmets d’eau, le bon et frais goût d’une eau, qu’il
trouvait
comparable à l’aqua felice de Rome. Quelquefois,
rendant complètement justice à l’évocateur des climats, qu’est Loti,
trouve
, comme moi, ses marins un peu conventionnels, et
physionomie — cette jolie anecdote. Il avait cédé, vendu un Ruysdael,
trouvé
en Hollande, à Adolphe Rothschild, et venait de l
inée, je n’aime plus que la lecture de l’histoire des mémoires, et je
trouve
même que dans le roman, bâti avec du vrai, la vér
Quand on commence à collectionner, devant le nombre des objets qu’on
trouve
, au commencement de sa chasse et de sa recherche,
ut au plus une douzaine d’années qu’on les recherche, c’est fini d’en
trouver
chez Bing et Hayashi, et il me semble même que ma
i lui sert de modèle. Et Forain me cause de son labeur, de sa peine à
trouver
la chose : oui, à la fois un dessin et une légend
t douloureusement hypnotisée par ce pot à l’eau ; mais il n’avait pas
trouvé
la légende philosophique, montant de ce pot à l’e
pas de tire-boutons : traduction dernière de sa pensée, qu’il avouait
trouver
tout à fait inférieure. Et là, il ajoute avec un
uments curieux, entre autres un grand registre, relié en vélin blanc,
trouvé
par Deflorenne en Angleterre, et qui est toute l’
lication a été dernièrement proposée au Conseil municipal qui n’a pas
trouvé
le document assez parisien. Que diable, veulent-i
s’écriait : « Ah vraiment, je vous ai fait rester trop tard, vous ne
trouverez
plus d’omnibus ! » Et l’Anglais demeurait au diab
l parle du raté, disant toujours nous ; des poètes d’à présent, qu’il
trouve
plus près du piano que de la pensée ; de la jeune
C’est une médaille du iiie siècle, il y a un mot que je n’ai jamais
trouvé
dans les siècles précédents. » Lavoix a assisté à
comme il persistait à travailler, une nuit, son domestique était venu
trouver
Lavoix, pour qu’il décidât son maître à se couche
9 juillet Je lis les Conversations de Goethe, par Eckermann, et je
trouve
que l’écrivain allemand divisait l’humanité en de
original, qu’avait donné son beau-père, mais après, quand il s’était
trouvé
tête à tête avec sa femme, il avait été pris d’un
jugeotte des hommes et des femmes, à première vue — faculté que nous
trouvons
n’appartenir guère qu’à nous seuls dans notre mon
ent ceux, d’il y a cinquante, soixante ans. Et je m’étonne de ne plus
trouver
à la place de la boutique du bijoutier Ravaut ou
-là, 2 500 francs. Dans le gai salon donnant sur la place Vendôme, on
trouvait
ma tante, toujours lisant, sous un portrait en pi
vec des dédales de communs et d’écuries, au fond d’une desquelles, on
trouvait
un original de la famille, occupé à fabriquer une
te n’avait pas le mépris de l’enfant, du gamin, quand il lui semblait
trouver
chez lui une intelligence, elle me souffrait aupr
onomie, quand elle vous souriait, avait sur vous un empire, que je ne
trouvais
qu’à elle, qu’à elle seule. Et il arrivait que ma
g est, tout le temps, avec une obstination qui porte sur les nerfs, à
trouver
le mari, trop dur, trop mal élevé, laissant clair
i est demeuré un collectionneur, et lui a légué sa maladie. Il aurait
trouvé
beaucoup de belles choses à Saint-Pétersbourg, où
dant que sa femme continue à danser. Ma foi, vraiment on ne peut rien
trouver
de plus férocement antithétique. Dimanche 18 d
er, pour ne pas paraître seulement siffler l’acte du journal. Et nous
trouvons
, avec Koning, ou plutôt Koning trouve une fin d’a
er l’acte du journal. Et nous trouvons, avec Koning, ou plutôt Koning
trouve
une fin d’acte de vrai carcassier. Les lettres so
ain un engueulement formidable d’Alexis par Méténier, parce qu’Alexis
trouve
un peu exagérée, la somme de 600 francs de fleurs
je sens une baisse dans l’admiration pour ma personne. Koning, je le
trouve
étonné, presque stupéfait de cet insuccès, et l’a
presse. Chez Sarcey, c’est une colère, une fureur, un enragement. Il
trouve
avec sa mauvaise foi habituelle, que mon théâtre
is, c’est qu’elle est trop faite d’après les principes de Sarcey — il
trouve
donc que mon théâtre est le néant, et que ce n’es
imide en ses jugements, que je rencontre, me dit : « Eh bien, comment
trouvez
-vous Charles Demailly ? — Mais très bien. — Et mo
n : on ne doit point s’attendre précisément à de telles conquêtes. On
trouvera
, dans le mouvement habituel du langage, dans le c
siez ; et quand vous vous y remettrez, un peu contrarié d’abord, vous
trouverez
bientôt la lecture, je l’espère, meilleure même q
e sacrifier et de jeter au feu cette production de son esprit : « Ne
trouvez
-vous pas, dit-il, que c’est grand dommage que nou
our la Provence : « Pour votre enfant, voici de ses nouvelles. Je la
trouvai
pâle ces jours passés. Je trouvai que jamais les…
fant, voici de ses nouvelles. Je la trouvai pâle ces jours passés. Je
trouvai
que jamais les… (Oh ! mon Dieu ! me voilà arrêté
n’avait pas assez de lait. J’envoyai quérir Pecquet (le médecin) qui
trouva
que j’étais fort habile, et me dit qu’il fallait
it voir encore quelques jours. Il revint au bout de deux ou trois, il
trouva
que la petite diminuait. Je vais chez Mme du Puy-
ite diminuait. Je vais chez Mme du Puy-du-Fou ; elle vient ici ; elle
trouve
la même chose ; mais parce qu’elle ne conclut jam
disait qu’il fallait voir. « Et quoi voir, lui dis-je, madame ? » Je
trouve
par hasard une femme de Sucy qui me dit qu’elle c
e vous en donne non plus de sujet que M. de Grignan. Hélas ! quand on
trouve
en son cœur toutes les préférences, et que rien n
donner. » Ne sentez-vous pas la passion vraie qui déborde et qui ne
trouve
jamais ; à son gré, assez de mots ? Ils s’accumul
e aussi pure, aussi morale et d’une vie au-dessus de tout soupçon, de
trouver
la belle et bonne qualité française de nos mères,
langue anglaise autant d’enthousiastes, ni d’aussi fervents, qu’en a
trouvé
l’auteur d’Humain, Trop Humain, dans tous les lie
ourne le sarcasme aux lèvres et l’angoisse au cœur, désespéré d’avoir
trouvé
sur l’autel la statue d’un faux dieu. Dès les pre
e métier : longtemps il n’a connu de la philosophie que ce qu’il en a
trouvé
dans les auteurs grecs, dont il avait fait son un
oute son œuvre philosophique. On ne s’étonnera pas, après cela, de la
trouver
un peu maladive, un peu malsaine aussi et profond
chant un homme. « Mon malheur, disait-il, est que je ne puis même pas
trouver
une lanterne. » Ainsi il allait : chacun de ses
te voie conduise à des arbres fruitiers et à de belles prairies. Vous
trouverez
çà et là de petits grains tout durcis : ce seront
pas mourir de faim. Et si vous semez ces petits grains que vous aurez
trouvés
, alors peut-être, peut-être, récolterez-vous un j
l’erreur : problème que pendant deux mille ans les métaphysiciens ont
trouvé
plus commode de nier… » Et quand la métaphysique
mme a besoin de la métaphysique pour se sentir irresponsable, et pour
trouver
le courage de s’intéresser aux choses… » La méta
? Non pas, en vérité, de la seule sensualité, mais de ce que l’homme
trouve
en même temps dans une femme la faiblesse, le bes
œuvres, a toujours tenu dans ses écrits une place considérable. J’ai
trouvé
, par exemple, éparse à travers les dix volumes de
n on aime dans l’art l’excitation artificielle et sans danger qu’on y
trouve
, ou bien encore on y aime l’ordre, la symétrie, d
pour le vin, il vaut mieux n’en avoir pas besoin, boire de l’eau, et
trouver
toujours dans son âme le secret de changer l’eau
e que Pascal aurait aimé une philosophie comme celle-là : il y aurait
trouvé
la préface qu’il désirait à sa théologie. À Nietz
s d’une âme pareille à la sienne qui sincèrement lui envie de l’avoir
trouvé
. Mais peut-être lui-même, pendant ce temps, s’ape
ein et les sombres poèmes de Dürer, je ne crois pas qu’on puisse rien
trouver
qui égale en profonde et tragique horreur une gra
e me mis à l’œuvre en sortant de l’église ; tout nouvel accord que je
trouvais
me remplissait d’un bonheur enfantin. » Dès ce m
en particulier, ne joua le moindre rôle dans sa vie. « Je n’ai point
trouvé
trace chez lui, nous dit sa sœur, d’une passion a
magine que c’est dans la conscience de cet instinct destructeur qu’il
trouvait
l’une des preuves principales de l’origine slave
circonstances de sa première entrevue : « En rentrant chez moi, j’ai
trouvé
un billet à mon adresse, ne portant que ces mots
t que ces mots : “Si tu veux faire la connaissance de Richard Wagner,
trouve
-toi, à trois heures et quart, au café du Théâtre.
dimanche dans un état d’esprit réellement fantastique. Certain de me
trouver
en nombreuse compagnie, je résolus de me mettre e
lui ôter le loisir de la réflexion. De toute sorte de mécontents, qui
trouvent
toujours à gagner à toute révolution. D’hommes qu
rès. D’autres que la musique des anciens maîtres ennuyait, et qui ont
trouvé
là pour leurs nerfs l’occasion de secousses plus
édéric Nietzsche que nous avons affaire aujourd’hui ; et peut-être ne
trouverions
-nous pas dans toute son œuvre un seul document pl
et passait la nuit sur un divan. Il s’habillait au hasard de ce qu’il
trouvait
sous sa main : se montrant souvent vêtu d’une ves
es. Mais ces messieurs auront beau être des lauréats, leurs poèmes ne
trouveront
pas auprès des lettrés anglais la fervente admira
trouveront pas auprès des lettrés anglais la fervente admiration qu’y
trouvent
les poèmes de lord Tennyson. Leur titre officiel
se doutait pas, apparemment, que cet homme courageux était déjà tout
trouvé
au moment où il le cherchait, et que le même Révé
on trop fameux biographe, mais parce que nous ne pourrons manquer d’y
trouver
des renseignements précieux sur la vie et le cara
e s’enivrer en public ? Je ne crois pas, en tout cas, que l’on puisse
trouver
dans les pièces publiées par la Century un seul v
loppé et a vécu dans une solitude tragique, sans que personne se soit
trouvé
pour en deviner la grandeur. Non pas que les prot
sans mérite, mais parce que les recueils de contes, même bien écrits,
trouvent
difficilement acheteur ». Le 15 mars 1835, nouvel
t. Quel contraste avec la condition d’absolu désespoir où vous m’avez
trouvé
et dont vous m’avez tiré ! » L’excellent Kennedy
i ont jusqu’ici entravé ses progrès. Si je n’ai rien dit du Manuscrit
trouvé
dans une bouteille, c’est que ce conte a déjà été
e pourrait-il pas nous envoyer bientôt une seconde bouteille, où nous
trouverions
enfin l’histoire du mystérieux vaisseau ? Ne pour
lu jusqu’au fond de mon esprit comme dans un livre, et je n’ai encore
trouvé
personne qui l’eût fait. Willis en a entrevu un c
plus ingénieux qu’ils ne sont, sur la foi de l’air de méthode qu’on y
trouve
. Dans l’Assassinat de la rue Morgue, par exemple,
es américains d’Edgar Poe. Et le me demande ce qu’ils peuvent y avoir
trouvé
de si révoltant, si ce n’est peut-être le spectac
e, se débattant sous un terrible accès de delirium tremens. On ne put
trouver
sur lui aucun papier, de sorte que ceux qui assis
M. Zola font l’effet de craintives périphrases. Les curieux pourront
trouver
traduit un de ces poèmes dans l’ancienne collecti
mbre dernier, à un ami qui l’était allé voir, et qui s’étonnait de le
trouver
si joyeux et si plein d’espérance, dans le miséra
es hôpitaux, les dépôts de mendicité, les prisons, et tout ce qui s’y
trouvait
. Il s’attardait dans les quartiers de la ville où
la bataille de Fredericsbourg, en Virginie. Il court le rejoindre, le
trouve
convalescent. Mais à côté de son frère il voit d’
es hôpitaux, travaillant la nuit à son métier d’imprimeur quand il ne
trouve
pas d’autre moyen de ramasser quelque argent pour
er. M. Swinburne, d’abord, l’avait jugée admirable ; il a fini par la
trouver
grotesque. Et quant aux littérateurs et journalis
s comme aux caractères des époques passées ; et c’est à peine si l’on
trouve
, de loin en loin, un auteur de roman-feuilleton q
ces : comment le pourra-t-il, si l’époque n’est pas achevée, s’il s’y
trouve
personnellement mêlé, s’il est condamné à ne l’ob
us l’exemple que vous a donné Socrate dans Criton ». À Westacre, John
trouva
son père en compagnie de son frère Eustace et d’u
bien en vérité le sol le plus favorable pour nous que nous puissions
trouver
dans tout le royaume ! » Un sol excellent, en eff
la main, le Cœur brûlant, ou la Vie de sainte Thérèse, le jeune homme
trouva
de tels arguments en faveur de la vie contemplati
t d’aller consulter son ancien professeur, le vicaire d’Ashley. Il le
trouva
retiré parmi ses livres, très las et un peu dégoû
urnées entre la contemplation et le travail charitable. Le jeune page
trouva
, dans cette maison, un accueil qui le toucha beau
, s’en alla tout imprégné d’une joie profonde, comme s’il avait enfin
trouvé
la paix morale si longtemps cherchée. Le souvenir
. Il le rencontra une seconde fois pendant la peste de Naples ; il le
trouva
infirme, misérable, et dans les angoisses du plus
rendu le jeune homme plus heureux : comment donc expliquer qu’il ait
trouvé
bien autrement curieux son nouvel ami Cornélius ?
tique d’Apulée, aussi bien que le scepticisme de Lucien, il pensa les
trouver
enfin dans les croyances d’une dame chrétienne, C
ée, trouvant malgré tout dans le blasphème la brutale saveur qu’y ont
trouvée
les contemporains de Marlowe ou de Shelley. Mais
ait paru donner de Pater un portrait vivant, la seule encore où j’aie
trouvé
une juste appréciation de son talent. M. Edmund G
qu’il écrivait d’Azay-le-Rideau, en 1877, il disait à M. Gosse : « Je
trouve
toujours un extrême plaisir à compléter ma connai
u’il avait à décrire ; et un merveilleux instinct naturel lui faisait
trouver
aussitôt, pour traduire ses visions, les phrases
que les revues se soient beaucoup hâtées de célébrer sa mémoire. J’ai
trouvé
cependant, dans la National Review, de curieux so
, les rues de Port-d’Espagne sont au contraire très étroites ; on n’y
trouve
pas d’arbres ; les maisons n’y ont pas de jardins
n’y ont pas de jardins ; et dans toute la ville c’est à peine si l’on
trouverait
un seul caféier. Mais, chose singulière, ces erre
hoses. » Voilà une méfiance de l’histoire qu’on ne s’attendait pas à
trouver
dans un historien ! Elle se montre à chaque insta
li. Tour à tour il parle à M. Skelton de Browning, qu’il « n’a jamais
trouvé
le loisir de comprendre » ; de M. Swinburne, dont
és à l’extraordinaire ensemble de qualités littéraires que nous avons
trouvé
dans ses Fondements de la Croyance, à cet éclat d
é de M. Bradley, maints autres ouvrages de métaphysique transcendante
trouvent
autant de lecteurs dans le public anglais que les
e évolutionniste ; et le nouveau livre de M. Balfour va sans doute en
trouver
davantage. C’est que, indépendamment de sa haute
e que la violence de ces attaques est, jusqu’à présent, ce que j’y ai
trouvé
de plus remarquable, je ne puis songer à les anal
e tirer hors de pair le livre où elles se trouvent. Mais elles ne s’y
trouvent
vraiment que par manière de hors-d’œuvre : et il
s la nature de cette soi-disant fixité que la science prétend y avoir
trouvée
. « Bien loin d’affirmer, si on la réduit à elle-m
n ce qui touche Spinoza. Les philosophes, en vérité, ne peuvent guère
trouver
leur compte dans sa méthode ni dans ses conclusio
; et son Dieu, un Dieu si différent de celui de la théologie que nous
trouvons
tout naturel de le voir confondu avec la nature ;
de reculer devant leurs conclusions. Et si parmi ces conclusions on a
trouvé
la nécessité d’un certain scepticisme à l’égard d
nouveauté des vues qu’il contient : à peine si dans quelques-uns j’ai
trouvé
la trace d’un effort pour apprécier, d’une façon
Russie la publication de cette correspondance, chacun s’attendit à y
trouver
de nouveaux traits de malice, des observations sa
le, si cordial, si désintéressé, que tous ceux qui admirent son génie
trouveraient
dans ces lettres à l’admirer davantage. Serge Aks
ore ? Je ne saurais le dire, mais ce serait grand dommage qu’on ne la
trouvât
plus. Je n’en connais pas de plus extraordinaire.
et de toute conviction même en matière d’art, voilà tout ce que j’ai
trouvé
, de quelque côté que je me sois adressé. Les meil
vant l’accidentel, qu’elle prend pour le réel et le vrai ». On pourra
trouver
bien sévère ce premier jugement de Tourguenef sur
. Mais depuis quelques mois la situation a changé. Le comte Tolstoï a
trouvé
sa mission, ou plutôt il a trouvé cette fois une
uation a changé. Le comte Tolstoï a trouvé sa mission, ou plutôt il a
trouvé
cette fois une mission si grande que l’Europe ent
à Moscou, n’a plus d’idée que pour recueillir des secours. — « Je me
trouvais
chez la comtesse, écrit un journaliste russe, le
l’imiter dans leur pays au lieu de lui envoyer l’argent. Les Anglais
trouvent
plus commode de lui envoyer de l’argent, et les r
e, et le plus éloquent, de sorte qu’à mesure qu’il parle davantage il
trouve
davantage à se faire écouter. Et il arrive malheu
sifier çà et là certaines phrases trop simples, de peur qu’on ne leur
trouvât
pas un air suffisamment exotique. Je sais qu’ils
bles ; mais la bonne méthode, j’avoue que jamais encore je n’ai su la
trouver
. Que l’on serre le texte de très près, ou qu’on l
e sorte morale ; et autour d’elle on désirerait une pièce, et l’on ne
trouve
en fait de pièce que des conversations banales ou
dans Pauvreté n’est pas vice, la pitié, l’universelle indulgence, ont
trouvé
une expression d’une éloquence, d’une grandeur ex
la pensée. Ceux-là sont des auteurs dramatiques, des artistes, et ils
trouvent
au théâtre tout le succès qu’ils méritent. Mais O
crire. Ibsen me parla ensuite de la vie calme et heureuse qu’il avait
trouvée
à Munich ; il s’y plaisait mieux encore qu’à Rome
mpris. Les jeunes poètes qui lui envoient leurs ouvrages sont sûrs de
trouver
en lui un admirateur toujours prêt ; il ne manque
s de leurs actes, qu’ainsi nous aurions moins l’idée, d’abord, de les
trouver
surprenants, mais qu’il nous serait ensuite plus
à l’exception des genres comiques, je ne vois pas un genre qui n’ait
trouvé
en Hollande des représentants tout à fait remarqu
tion à travers la littérature et les brasseries françaises. J’y avais
trouvé
notés, avec une abondance de détails qui m’avait
mensuelle de la politique étrangère. Je ne crois pas que l’on puisse
trouver
beaucoup d’exemples d’une pareille diversité d’in
recherches, et de mes espoirs, et, hélas ! de mon impuissance à rien
trouver
et à rien produire. Et maintenant viens près de m
de l’âme », mais un peu aussi, peut-être, parce que nous n’avons pas
trouvé
dans les littératures du Nord la satisfaction pro
es tendances de la littérature française. Cet habile homme était allé
trouver
chez eux, dans leur cabinet de travail, quelques-
il me semble que cette Renaissance, si elle se produit quelque jour,
trouvera
bien le moyen de s’affirmer par des œuvres, sans
pleine de douceur ». Celui-là ne se plaint pas, ne récrimine pas ; il
trouve
que tout va pour le mieux, et que jamais la litté
ssages un peu au hasard, dans l’intéressant volume de M. Ojetti. On y
trouverait
encore maints autres portraits comiques ou toucha
e qu’il se fait du futur roman italien. Ce roman, d’après lui, pourra
trouver
dans la science contemporaine une source précieus
. À moins pourtant que M. Ojetti n’ait mai compris sa pensée : car je
trouve
précisément dans une revue italienne, Il Convito,
à vapeur, ou le soir après avoir vu ce que l’auteur a indiqué, vous y
trouvez
l’impression vraie, idéale, italienne ou grecque
et que le nouveau débarqué à Civitavecchia s’adressait à lui (s’il le
trouvait
homme d’esprit), combien il était heureux de se d
t : « La première trace d’attention aux choses de la nature que j’aie
trouvée
dans les livres qu’on lit, c’est cette rangée de
toriettes sombres et sanglantes. L’auteur ou le traducteur se plaît à
trouver
dans l’amour d’Hélène pour Jules Branciforte un d
s amours passionnés qui n’existent plus, selon lui, en 1838, et qu’on
trouverait
fort ridicules si on les rencontrait ; amours « q
imprimée depuis sa mort (Revue des deux mondes, 1er juillet 1847), je
trouve
encore une historiette de passion romaine, dont l
terloo en se demandant après si c’est bien à une bataille qu’il s’est
trouvé
et s’il peut dire qu’il se soit réellement battu.
iments divers, et où l’élévation et l’honneur se font entendre. On en
trouverait
, en descendant, d’autres exemples compatibles ave
yle, passant dans je ne sais quelle ville de Bourgogne, a dit : J’ai
trouvé
dans ma chambre un volume de M. de Balzac, c’est
ge dans mon cœur, et autres belles choses. De son côté, M. de Balzac
trouvait
qu’il manquait quelque chose au style de Beyle, e
c trouvait qu’il manquait quelque chose au style de Beyle, et nous le
trouvons
aussi. Celui-ci dictait ou griffonnait comme il c
iques. Vers 1785, il n’y avait peut-être pas un amateur à Rome qui ne
trouvât
ridicules les ouvrages de Canova, etc. Toutes le
pistes qui s’entrecroisent, peut-être l’homme de talent dans le genre
trouvera
la sienne. Plusieurs écrivains dans ces derniers
evées. Il reçut pour cela la somme de 3 000 francs. Or, à sa mort, on
trouva
dans ses papiers la preuve que ces 3 000 francs a
n’est la qualité et le don que de quelques-uns. Les gens d’esprit qui
trouvent
ont besoin de marquer leur place et de forcer un
i en finissant. Depuis des années qu’il creuse et qu’il fouille, il a
trouvé
, — pas autant qu’il le voudrait et qu’il le croit
il a trouvé, — pas autant qu’il le voudrait et qu’il le croit, — il a
trouvé
pourtant assez pour modifier un peu les idées sur
l’a dit et répété faute de mieux. Le grand malheur ! M. Éd. Fournier
trouve
aujourd’hui que c’était invraisemblable : peu s’e
ouve aujourd’hui que c’était invraisemblable : peu s’en faut qu’il ne
trouve
la chose impossible ; il n’a pas assez de railler
uyère que tout autre que lui tâcherait de se donner pour ancêtres, ne
trouve-t
-on pas sous ce qu’il dit quelque chose de cette d
connues de la vie de La Bruyère ; il les rapproche de son livre : on
trouvera
de l’esprit dans ces rapprochements, mais c’est s
ce fait des raisons et des enchaînements qui bien probablement ne s’y
trouvaient
pas : « En mettant son fils à l’Oratoire, le pèr
upérieur de la Congrégation, à l’époque même où La Bruyère s’y serait
trouvé
comme novice. C’était le refuge des débris de la
ites choses, à la vérité, mais sans lesquelles les grandes ne peuvent
trouver
de point d’appui122. » Dans cette mesure, c’est p
s, vous le comprendrez, que vos éloges aient procédé de même. Vous me
trouvez
« des moments très-ingénieux. » J’aurais été très
élicatesse de plus. « Mais je reconnais bien volontiers que vous avez
trouvé
quantité de remarques ou de petits faits justes,
briquet de Maximilien pour signifier La Bruyère. M. Fournier a cru en
trouver
une raison fine : ce serait le prénom d’un mari d
défunt. C’est d’une jolie malice. Un commentateur en us n’aurait pas
trouvé
cela. Je persiste pourtant à ne pas savoir et à d
dame, les plus grandes difficultés viennent du peu de ressource qu’on
trouve
dans les hommes ; ils sont presque tous intéressé
a plupart des hommes, qui n’est pas trop à leur avantage : ce que j’y
trouve
de pis, c’est qu’il me paraît assez naturel. Ils
onnaissance que j’ai du monde m’attache encore davantage à vous : j’y
trouve
toutes les vertus et la bonté qui manque dans les
rincesse de Savoie, à une sœur de la duchesse de Bourgogne. Il fallut
trouver
à cette jeune reine, qui n’était encore qu’une en
ouvelle, et tout en estimant Mme des Ursins très digne de son emploi,
trouvait
qu’à cet âge il n’y avait plus rien à imaginer d’
les intérêts mêmes de l’Espagne. C’est à dater de son retour que nous
trouvons
la suite de ses lettres à Mme de Maintenon, dans
e Noailles (12 novembre 1701). Je n’ai pas le moindre repos, et je ne
trouve
pas même le temps de parler à mon secrétaire. Il
est de témoigner de la fermeté. Plus je les vois de près, et moins je
trouve
qu’ils méritent qu’on ait pour eux l’estime que j
s d’avec les autres. De l’esprit dont on connaît Louis XIV, il devait
trouver
inouï qu’on donnât cette importance à une femme q
ingénument qu’il ne tenait qu’à Sa Majesté de s’apercevoir que je la
trouvais
de très bonne compagnie 67. Effectivement, quoiqu
et par la capacité. Il s’était attendu, d’après tous les rapports, à
trouver
dans Mme des Ursins une femme de la Fronde, qui v
ns une femme de la Fronde, qui venait trop tard : au lieu de cela, il
trouvait
quelqu’un qui avait peu à faire pour être naturel
grand air. Elle en tiers, le commerce même avec Mme de Maintenon s’en
trouvait
tout rajeuni. De ces trois personnes, si j’ose di
des Ursins que de contenter les grands, c’est d’avoir des troupes, de
trouver
moyen de les payer : après quoi on peut se moquer
é, de sagacité, d’étendue. Chercher la cause et la raison des choses,
trouver
leurs lois, le tente, et là où d’autres passent a
tant d’autres à des rangs voisins, ont excellé dans cette faculté de
trouver
les rapports élevés et difficiles des choses cach
active, et de chaque instant : il lui fallait verser sa pensée et en
trouver
l’écho autour de lui. De ses deux sœurs, il perdi
rmi ses notes dernières et ses instructions d’économie à sa femme, je
trouve
encore ces lignes expressives, qui se rapportent
es, comédies, sans compter les chansons, madrigaux, charades, etc. Je
trouve
des scènes écrites d’une tragédie d’Agis, des fra
cerveau de vingt et un ans, dont la direction définitive n’était pas
trouvée
. Le soulèvement s’essayait sur tous les points et
versel de la jeunesse, manquait encore, et le cœur allait éclater. Je
trouve
sur une feuille, dès longtemps jaunie, ces lignes
uie. Lundi, 26. — Je fus rendre la Dunciade et le parapluie ; je la
trouvai
dans le jardin sans oser lui parler. Vendredi,
atrième volume de Bernardin et Racine ; je m’ouvris à la mère, que je
trouvai
dans la salle à mesurer de la toile. Remarquez,
l’absence, il appellera le talisman. Ce souvenir du bouquet, que nous
trouvons
consigné dans son journal, lui inspirait de plus
tion, que je n’avais point pu résoudre directement, mais dont j’avais
trouvé
par hasard une solution dont je connaissais la ju
Cela me revenait souvent dans l’esprit, et j’ai cherché vingt fois à
trouver
directement cette solution. Depuis quelques jours
te idée me suivait partout. Enfin, je ne sais comment, je viens de la
trouver
avec une foule de considérations curieuses et nou
nauld, par exemple, est tout aussi grand logicien que La Bruyère ; il
trouve
des vérités aussi difficiles, aussi rares, je le
lycées dans cette partie de la France, vinrent à Bourg, et M. Ampère
trouva
dans M. Delambre le juge qu’il désirait et un app
dîne en ville ; mais, comme j’avais bien déjeuné, je m’en suis mieux
trouvé
de ne dîner que d’amour. A deux heures, je me sen
génie qui se noie, nous dit-il, en sa pensée comme en son crachat. Je
trouve
encore quelques endroits qui dénotent un retour p
des nombreux projets d’ouvrages de métaphysique qu’il a ébauchés, je
trouve
cette phrase qui ne laisse aucun doute : « C’est
ves sujets d’analyse intellectuelle aux élèves, aux émules, s’il s’en
trouvait
, des Cabanis et des Tracy. M. Ampère put aisément
s que vous aviez formés en y allant, parce que vous ne pourrez jamais
trouver
, je ne dis pas le bonheur, mais au moins le repos
timents s’affaiblissent, où toutes les douleurs morales finissent, on
trouvera
très-naturel votre second mariage ; on croira qu’
rez justifié : les indifférents, comme vos connaissances et vos amis,
trouveront
cela très-naturel. Voyez, mon cher ami, à quoi vo
e Biran, et l’environnait d’une extrême étendue. Ainsi ce début qu’on
trouve
à un Plan d’une histoire de l’intelligence humain
iques de M. Ampère, rédigé en 1811 par son ami M. Bredin, de Lyon, je
trouve
: « On peut rapporter tous les phénomènes psychol
relles, t. II, page 295. M. N… n’est autre que M. Ampère. 124. On la
trouve
dans la Bibliothèque universelle, t. XLIX, et en
ndamnés à la sportule du nombre réglementaire de syllabes, les poètes
trouvaient
par l’Alexandrin un simulacre de liberté. L’Alex
règles que d’autres inventèrent, mais un rythme personnel, qu’il doit
trouver
en lui-même, après avoir écarté les préjugés méta
Olympe de marbre tandis que hurlent des trompettes de Walküre ». Vous
trouverez
peut-être que ce sonnet amalgame bien des motifs
staquouère sur le Parnasse — j’entends celui d’Apollon ; peut-être le
trouverez
-vous parfait et bien à sa place dans le livre. En
vin. Seulement, on se fatiguera bientôt de ta chanson d’enfant, on la
trouvera
monotone et « par trop nature ». Parce que tu app
e mystique, car tu n’as pas besoin de Dogme, et ton mysticisme, tu le
trouveras
en toi, sans le secours des Images et des Bréviai
déchire tranquillement les voiles ; dessous, neuf fois sur dix, tu ne
trouveras
rien. « Enfin voici ceux qui cueillent les vers c
issant lavera ton front des terreurs nocturnes. Et lorsque tu l’auras
trouvé
, lorsque tu auras écarté les Apparences et les Pr
u ses droits, mais sous leur forme la plus pure, et par là même s’est
trouvée
toute proche des autres familles qu’elle aurait c
le sacrifice actif de nous-mêmes au triomphe de cet idéal. Un Croisé
trouve
tout naturel d’acheter par sa mort la liberté du
le public par ses tirades sur l’honneur ; Vincent de Paul est sûr de
trouver
toujours qui le suive dans sa mission de charité.
crise héroïque avec un élargissement physique, chacun de nous veut y
trouver
une augmentation de l’âme. Il s’agit de libérer
pour moi un décor magnifique dont l’âme est un peu incertaine. Je la
trouve
pauvre de conseil. Si nous avons retrouvé notre u
n, d’une nature généreuse. Quand Millon fut tué, le capitaine P… vint
trouver
le soldat catholique Joseph Ageorges et lui dit :
sous les yeux du public et dans le cœur de la France. Je les prie de
trouver
ici l’expression de ma gratitude. Mais ce long tr
asme et d’union de 1914 ? » Et voilà qu’il y a quelque temps, m’étant
trouvé
séparé de mon cercle habituel d’amis, je fus mis
t tout brillants. Et quel motif d’inspiration un musicien de génie ne
trouverait
-il pas dans la scène que je vais noter, où deux t
autres, de leur en faire partager la possession. La vérité cherchée,
trouvée
et bien exprimée, tel est l’éloge qu’on fait de t
leur arrive, tout en ne cherchant qu’à donner tort aux écrivains, de
trouver
à quel prix se font les écrits qui durent. Que re
e sa vie pour ce grand dessein, et par quelle suite de méditations il
trouve
enfin un point d’appui, une première vérité évide
ellement de résidence, non moins pour dépister les visiteurs que pour
trouver
le point où il espérait jouir le plus pleinement
absolue ; Descartes veut le retenir sur le bord de l’abîme, l’aider à
trouver
en lui-même les principes qui le ramèneront à la
d’où il y a tant de douceur à contempler le péril d’autrui. Descartes
trouve
le doute établi ; mais au lieu d’en faire un but,
des faits vrais plutôt qu’il ne poursuit la vérité elle-même, pour y
trouver
une croyance et une règle. La spéculation, pour M
ité d’esprit ou paresse. Pour celui qui parvient à s’y attacher, il y
trouve
cette douceur de déférer et d’obéir qui est plus
cette autorité, et l’on fait le ferme propos d’y obtempérer. Nous les
trouvons
, pour ainsi dire, sur le chemin de toutes nos act
du nom de l’inventeur. Celui qui croit la garder pour soi ne l’a pas
trouvée
; c’en est quelque ombre dont il se leurre, et il
crivains ses devanciers. A moins que, par un étrange abus de mots, on
trouve
moins d’originalité dans la plus grande liberté d
l’excès, à une certaine modération naturelle. Je suis loin de ne pas
trouver
cette originalité-là de bon aloi. Mais l’original
a traite, laquelle ayant depuis été considérée, ajoute-t-il, je ne la
trouve
pas assez exacte pour être suivie25. » Ailleurs i
est tout étonné et ravi ; car on s’attendait de voir un auteur, et on
trouve
un homme. » Quel est cet homme ? Est-ce l’individ
ccessoire à ses spéculations, dans lesquelles on n’est pas surpris de
trouver
le grand naturel de la raison, puisque c’est la r
ensées, de celles qui peuvent servir de preuves à un raisonnement. Je
trouve
là encore à admirer la justesse de ce qu’on a dit
zième siècle n’a jamais eu ce naturel. Est-ce dans Montaigne qu’on en
trouverait
un exemple ? Mais à qui s’applique moins l’idée d
ssi n’eut-il pas d’imitateurs. Ceux qui purent pratiquer sa méthode y
trouvèrent
le secret d’être à leur tour inimitables. On n’im
ophe de ce siècle, disent-ils, qui a autant de netteté d’esprit qu’on
trouve
de confusion dans les autres. » Ce n’est pas seul
e ces excellents esprits préféraient la vérité à l’honneur de l’avoir
trouvée
, et tenaient à ce qu’on sût, dans son intérêt mêm
’esprit et ceux du corps ; il assigne la même origine à nos idées, et
trouve
dans l’entendement des idées supérieures aux idée
défaut séduisant, que ses disciples imitaient en plagiaires. Mais où
trouve-t
-on ailleurs que dans l’histoire des lettres franç
érodotes et ses Thucydides. Elle abondait en législateurs ; à peine y
trouvons
-nous quelques juges. Les temps modernes antérieur
de ces grands hommes, c’est à leurs pieds qu’il faut se baisser pour
trouver
au xviie siècle la critique proprement dite. Ell
arts. Voltaire, qui faisait de tout, fit aussi de la critique : on en
trouve
, et d’excellente, dans ses lettres, dans ses préf
national des bénédictins, ouvrage savant, mais un peu ennuyeux, qui a
trouvé
de nos jours de dignes continuateurs8, La Harpec,
es nouvelles, on découvrit l’esprit des anciennes œuvres. La critique
trouva
son enthousiasme dans sa science, et le lecteur r
c aura presque toujours raison. Comme sur mille poètes inconnus on ne
trouve
pas un homme de talent, il y a mille à parier con
exacte ; mais on m’avait promis de l’éloquence française, et je n’en
trouve
guère ici… si ce n’est dans le style du narrateur
fare. Mettons en regard l’une de l’autre d’un côté l’idée raisonnable
trouvée
par les penseurs, de l’autre la formule exagérée
de valeur quand elle passera au service d’une pensée élevée. Désirons
trouver
réunies la profondeur de Hegelg, la science de Wi
ous défie, prête à dévorer par le ridicule l’Œdipe maladroit qui n’en
trouvera
pas le mot. Vous assistez à une première représen
imulant leur incertitude sous une sérénité de bon goût, s’ingéniant à
trouver
d’élastiques formules pour répondre sans se compr
ue et de lecteurs. Contraint de creuser plus bas dans la société pour
trouver
le minerai de fer qui par son abondance, vaut mie
amnent c’est au nom du bon sens, et non pas au nom d’Aristote. Ils ne
trouvent
plus, comme Hoffmann, « qu’on devrait fouetter su
tout homme qui, comme moi, s’est fait son petit coin pourrait bien y
trouver
un peu dépaysés ces visiteurs d’un jour. Serait-i
e la bouche d’un interlocuteur le mot qu’il cherchait sans pouvoir le
trouver
. La capacité de l’esprit n’est pas la seule que n
veu sera la clef qui réglera la portée de vos jugements. L’œil pourra
trouver
la notation un peu basse ; mais la voix du lecteu
valet daigne les en débarrasser. Le temps vannera tout cela. S’il s’y
trouve
quelque œuvre de génie, elle surnagera d’elle-mêm
ourquoi enfin, en parcourant des yeux les deux mondes, ces hommes n’y
trouvent
-ils d’intéressant qu’eux-mêmes ? C’est là une pla
acteurs, et nécessaire aux gens du monde qui aiment les idées toutes
trouvées
et les jugements tout faits. C’était cru, mais vr
prend pas, quant aux formes et aux modes d’expression, tout ce qu’il
trouve
dans la nature, et parce qu’il le trouve ainsi ;
d’expression, tout ce qu’il trouve dans la nature, et parce qu’il le
trouve
ainsi ; mais s’il veut produire de la véritable p
oétique. Esth., I, 298, 526. 22. À notre grande surprise, nous avons
trouvé
des disciples de Descartes, hommes d’ailleurs du
de marche, après leur arrivée, parce que l’Empereur ne les avait pas
trouvés
assez instruits. Aussi ce régiment fut-il le prem
voit de plus loin, plus en grand ; le génie de la guerre, si on l’a,
trouve
mieux à se déployer. Mais, au point de vue de la
n put, à Dorogobouj, à Sloboda Pnevo, à tous les ponts du Dniepr. Ney
trouvait
toujours qu’on n’en faisait pas assez ; il arriva
n était trop belle pour la manquer ». À Smolensk, on croyait du moins
trouver
un peu de repos et du pain ; mais la désorganisat
arrivant la dernière parce qu’elle se battait pour tout le monde, ne
trouva
rien. Elle continua de lutter avec abnégation. Le
pondit l’officier. — Passer le Dniepr. — Où est le chemin ? — Nous le
trouverons
. — Et s’il n’est pas gelé ? — Il le sera. — À la
gagner Orcha par la rive droite du fleuve, et assez rapidement pour y
trouver
encore l’armée qui faisait son mouvement par la r
à l’ennemi qu’on allait camper en ce lieu. Pendant qu’on s’occupait à
trouver
un point où le Dniepr serait assez gelé pour donn
cette nuit cruelle. Je n’avais pas plus de cent hommes, et nous nous
trouvions
à plus d’une lieue en arrière de notre colonne. I
appante. Enfin, après plus d’une heure, nous sortîmes du bois et nous
trouvâmes
le Dniepr à notre gauche. La direction était donc
re de la Guerre, beau-père de M. de Fezensac : « Ce jeune homme s’est
trouvé
dans des circonstances fort critiques, et s’y est
attaché leur existence à la culture des lettres, n’y cherchent et n’y
trouvent
qu’un délassement sans prétention, peu fait pour
re le procès, sans le savoir, à leurs meilleurs amis. En effet, s’ils
trouvaient
aujourd’hui dans un livre, sans nom d’auteur, que
ent tranquillement le reproche ? La peinture du mal pourra-t-elle les
trouver
sensibles, lorsque le mal même les touche si peu
, sur les dégoûts qu’on y éprouve, et sur les ressources qu’on peut y
trouver
. La paresse est naturelle à l’homme. On objectera
grandes richesses, celui-là aux grands honneurs ; un troisième espère
trouver
dans le sein de la méditation et de la retraite u
semblaient me préparer quelques ressources ; nouvelle erreur. Je n’ai
trouvé
dans la foule des orateurs que déclamations ; dan
peut-être plus froides encore quand on en a une ; quelle distance on
trouve
alors entre ce qu’on lit et ce qu’on sent ! Il m’
s. Hélas ! les hommes se sont moqués de moi comme les livres, et j’ai
trouvé
les vivants pires que les morts. Pour comble d’in
d’infortune, je ne suis plus dans l’âge des passions, ni à portée de
trouver
des ressources passagères dans cette illusion mom
n feuilletant, étudiant, compilant des livres de métaphysique, vous y
trouveriez
des lumières sur tant de questions, moitié creuse
es. Vous n’auriez pas été surpris en sortant de votre solitude de les
trouver
tels qu’ils sont ; et vous auriez appris à en aim
aissé. Dans ces dernières années et depuis quelque temps, La Boétie a
trouvé
des investigateurs et des biographes qui se sont
es œuvres d’ailleurs n’étaient point tellement rares qu’on ne pût les
trouver
en les cherchant, et la peine qu’on prend en ce c
nouveaux sur la vie et sur les écrits de cet ami de Montaigne : il a
trouvé
surtout, à la Bibliothèque impériale, un manuscri
er au parlement de Bordeaux à l’âge de vingt-trois ans (1553), il s’y
trouva
, quatre ans après environe, le collègue de Montai
oir un jour la salle du bal au Louvre, un archer de la garde, qui lui
trouva
l’air d’un écolier, lui laissa tomber sa hallebar
de l’anarchie, s’en allant demander aux États-Unis un asile qu’ils y
trouveront
en passant ? Étienne de La Boétie a de plus qu’eu
e, au lieu des liaisons frivoles et dissipées de la Régence, il avait
trouvé
un Vauvenargues de son âge, et si leurs âmes s’ét
moins, comme le fut celui de Montaigne. Heureux qui, dès sa jeunesse,
trouve
dans un compagnon et dans un ami une seconde et q
ui fut par hasard en une grande fête et compagnie de ville, nous nous
trouvâmes
si pris, si connus, si obligés entre nous, que ri
ui est plus qu’on ne croit de la trempe de Montaigne, Saint-Évremond,
trouva
également dans sa vie un ami parfait, M. d’Aubign
ra comme l’ami qui faisait sa joie, et dans la conversation duquel il
trouvait
un agrément universel. En lisant cet admirable ch
el. En lisant cet admirable chapitre de Montaigne sur l’amitié, je le
trouve
incomplet sur un point : il semble exclure les fe
r l’amitié des hommes (« Dans l’adversité de nos meilleurs amis, nous
trouvons
toujours quelque chose qui ne nous déplaît pas. »
re des Essais laisse à désirer et à redire. Montaigne n’aurait-il pas
trouvé
ces sortes de liaisons qu’on vient de définir, tr
e grand homme », a dit Tocqueville. 41. [NdA] À la date de 1789, on
trouve
une brochure intitulée Discours de Marius, plébéi
l’impression directe d’une lecture à travers Marivaux. Sans prétendre
trouver
rien de bien neuf à dire sur le détail de ses œuv
gt-six ans, son esprit se forma dans ce petit camp philosophique et y
trouva
son école. Il y puisa et il y porta beaucoup d’id
le feu de l’imagination ; on sait rendre raison du plaisir que l’on y
trouve
. Cette vivacité, telle que je la viens de décrire
, et toutes ne sont pas épuisées, pas plus que les airs que la nature
trouve
à varier à l’infini dans le composé des physionom
nt les coquettes, les laides qui n’ont pas moins de prétention et qui
trouvent
moyen de faire concurrence aux jolies, les jeunes
idée renferme toutes aussi. Or, si l’idée de l’auteur est juste, que
trouvez
-vous à redire au signe dont il se sert pour expri
? Et Pascal, combien n’a-t-il pas d’expressions de génie ? « Qu’on me
trouve
un auteur célèbre qui ait approfondi l’âme, et qu
tâchais de démêler ce que chacun pensait de son lot, comment il s’en
trouvait
: par exemple, s’il y en avait quelqu’un qui prît
ez-vous que je prenne un style ? Il est vrai que dans le monde on m’a
trouvé
de l’esprit ; mais, ma chère, je crois que cet es
t obsédée par M. de Climal, a la douleur de voir entrer Valville, qui
trouve
à son tour son oncle presque dans la même posture
ce, il lui vient des raisons pour retarder : elle est décidée à aller
trouver
le bon religieux qui l’a recommandée par mégarde
éposera à vue d’œil de l’intention perfide du corrupteur : enfin elle
trouve
bientôt un prétexte tout honnête et naturel pour
et si absorbée dans mes pensées, que j’en oubliais en quel lieu je me
trouvais
. Vous savez que j’étais bien mise, et quoiqu’elle
arianne, l’instant d’après, a l’idée de s’adresser à la prieure, elle
trouve
déjà quelqu’un qui est tout disposé à la recomman
sée, qui a presque toujours commencé par être juste et fine, et qu’il
trouve
moyen de fausser en la raffinant. Il est un de ce
entre par une fenêtre, n’en éclaire pas moins une chambre, quoiqu’il
trouve
des atomes sur le chemin de ses rayons, &c. C
chent pas de ceux du Pere Bourdaloue, ni de ceux de Massillon. On n’y
trouve
ni la solidité, ni la force du premier, ni l’onct
étalage de fins mots. Si vous allez par le chemin du bel esprit, vous
trouverez
ici des gens qui en mettront plus dans un seul co
ait la premiere partie & Massillon la seconde. Le point seroit de
trouver
un Orateur qui raisonnât comme l’un, & qui to
de la Roche, confreres du P. Massillon, partagerent les succès. On ne
trouve
point dans leurs discours ces raisonnemens froids
iécle. Le P. Segaud a laissé six volumes de Sermons, dans lesquels on
trouve
un grand fond d’instruction, beaucoup d’élégance
ns, des chûtes épigrammatiques, des cadences harmonieuses ; mais il y
trouvera
les maximes de l’Evangile rendues d’une maniere i
’on pas dit pour & contre le célébre P. de Neuville ? Les uns ont
trouvé
en lui une éloquence qui tient du sublime ; les a
Mr. l’Abbé Trublet ! Que d’esprit & de sentiment à la fois ? J’ai
trouvé
des rapports entre M. Bossuet & Corneille. J’
ois ? J’ai trouvé des rapports entre M. Bossuet & Corneille. J’en
trouve
aussi entre le P. de Neuville & M. de Voltair
s Sermons publié en six vol. in-12. l’accueil le plus distingué. On y
trouvera
des plans aussi heureusement saisis que remplis,
’on a imprimé les Sermons de l’Abbé de Ciceri en six vol. in-12. On y
trouve
à la tête un avertissement qui fait honneur à son
ous de la même matiere ; mais ils servent au moins à faire voir qu’on
trouve
dans les préceptes du Christianisme un fond inépu
Il prêcha avec beaucoup de force, de génie & d’éloquence ; on ne
trouve
point dans ses discours ces imprécations & ce
ement de M. l’Abbé Colin, dans Bossuet, que dans Fléchier ; mais on y
trouve
une éloquence plus forte, plus mâle, plus nerveus
s du Pere Bourdaloue, du P. de la Rue, & de M. l’Abbé Anselme, on
trouve
une beauté majestueuse, une douceur forte & p
selle de la Chaire, en six vol. in-8°. & en huit vol. in-12. On y
trouve
deux Sermons sur chaque sujet de morale. On ne pe
oûtera moins, pour avoir le Dictionnaire apostolique, dans lequel ils
trouveront
des sujets plus convenables aux peuples qu’ils on
. un recueil de Factum & de Mémoires. Les jeunes Jurisconsultes y
trouveront
des modèles pour tous les genres d’affaires dont
la loi, & qu’il dévinoit juste. Les Cochin & les Normant ont
trouvé
des successeurs dignes d’eux. On sçait que si l’é
ses capables de rendre ridicule même le plus grand nombre. Ne pouvant
trouver
des pensées nouvelles, ils ont cherché des tours
bien plus important que celui du style & du pur bel esprit. On y
trouve
des choses, des pensées, des principes lumineux s
urrens, abandonne un ouvrage au public, se contente d’ordinaire de le
trouver
bon ; celui qui dispute un prix, veut que son ouv
ce que j’en pense, de ce sujet. Je vous avouerai naïvement que je le
trouve
à la fois d’un prodigieux intérêt et très délicat
Ces mésaventures auxquelles je vous expose d’un cœur que vous pourrez
trouver
bien léger, elles sont la rançon de l’extrême imp
toujours avec beaucoup de soin les objections qu’on lui présente. On
trouve
par exemple au dernier chapitre de l’Introduction
, dans ces passages, une nouveauté bien extraordinaire et l’on pourra
trouver
paradoxal que nous y voulions apercevoir une des
convertibilité, quelque chose de fixe qui ne me paraît pas pouvoir y
trouver
place. Il faut garder à la pensée de Freud sinon
s apercevrons. Et comme premier effet de cette précaution, tâchons de
trouver
un plan pour exposer les découvertes psychologiqu
i belles que vous m’excuserez sans doute de vous les relire ici : Je
trouve
très raisonnable la croyance celtique que les âme
r nous jusqu’au jour, qui pour beaucoup ne vient jamais, où nous nous
trouvons
passer près de l’arbre, entrer en possession de l
nifiait-elle ? Où l’appréhender ? Je bois une seconde gorgée où je ne
trouve
rien de plus que dans la première, une troisième
écisif. Je pose la tasse et me tourne vers mon esprit. C’est à lui de
trouver
la vérité. Mais comment ? Grave incertitude, tout
mprendre de quelle sorte de travail l’œuvre de Proust est issue. On y
trouve
des phrases très importantes. Par exemple, au cou
de que Proust se fabrique à son usage, — sans sortir de Combray, nous
trouvons
un autre passage dont notre ami Charles Du Bos a
, la sensation de ses dons lui fait défaut. Il a beau chercher, il ne
trouve
aucun autre sujet que cette fixation des Idées, e
trop fort entre ses besoins et les possibilités de la connaissance va
trouver
un joint, — excusez ce mot familier, il est tout
la maison, protégée par le revêtement d’images sous lesquelles je la
trouverais
vivante, comme les poissons que les jours où on m
art entre le moment où elle se fait sentir à lui et le moment où elle
trouve
enfin un objet. Il fallait d’abord que l’objet se
besoin de certitude comme celui dont Proust était doué, il ne pouvait
trouver
d’objet à sa taille, si j’ose dire, qu’immédiat,
l me semble qu’une des principales est que j’avais la sensation de me
trouver
en face d’une œuvre douée d’une dimension de plus
urait pour la première fois, ayant eu jusque-là cette certitude de le
trouver
quand il le voulait, qui pour tous les plaisirs n
elle peut être encore : Le cocher revint lui dire qu’il ne l’avait
trouvée
nulle part, et ajouta son avis, en vieux serviteu
à sa recherche : « Mais pas du tout, s’écria-t-il, il faut que nous
trouvions
cette dame ; c’est de la plus haute importance 25
nouveau près de lui, dans sa plus proche conscience. C’est qu’elle ne
trouvait
plus pour lui faire obstacle le désir de chercher
nir que d’Odette, — de même, l’immoralité, eût-elle été réelle, qu’il
trouvait
aujourd’hui aux Verdurin aurait été impuissante,
it en s’écriant d’une voix naturelle cette fois : « Je crois que j’ai
trouvé
le moyen de me faire inviter demain au dîner de C
traction et a revêtu des prétentions à la généralité d’une loi. Je la
trouve
bouleversante. Car vous voyez bien, je pense, com
vec vous un jugement sur cette conception si frappante que nous avons
trouvée
chez Proust, des Intermittences du cœur. Peut-êtr
faut-il considérer comme une chance l’obligation où nous nous sommes
trouvés
de l’ajourner. Et peut-être vaut-il mieux que nou
le définir cet esprit, tant il est d’essence particulière, tant on le
trouve
rarement même dans la vie commune, même chez les
e mémoire 39. Et plus loin : Proust lui-même, débile et retiré, ne
trouve
en soi rien de l’athlète. C’est en vain qu’il s’e
, ces mésententes comme j’en avais eu souvent avec mes parents que je
trouvais
froids ou irrités au moment où j’accourais près d
lui faire plaisir, et souvent triste quand elle l’avait contrarié, il
trouva
tout naturel qu’elle le fût cette fois de l’avoir
voir fini par l’étonner. Elle rappelait ainsi plus encore qu’il ne le
trouvait
d’habitude, les figures de femmes du peintre de l
qu’en venant à une heure où il n’en avait pas l’habitude, il s’était
trouvé
déranger tant de choses qu’elle ne voulait pas qu
e la pensée qui franchit l’obstacle dressé par la censure du sujet et
trouve
ce qu’il y a derrière, ce qui se cache dans sa pe
ilosophique ; mais c’est indispensable, et en somme on n’a pas encore
trouvé
mieux pour s’expliquer clairement). Eh bien, la f
ntrait extériorisée devant nous une de nos maladies et que nous ne la
trouvions
pas ressemblante à ce que nous souffrons 53. Non
déclenche l’amour de Swann pour Odette c’est le fait qu’il ne l’a pas
trouvée
chez les Verdurin, qu’il ne sait pas où elle est.
t Mlle Vinteuil » avaient été le Sésame, que j’eusse été incapable de
trouver
moi-même, qui avait fait entrer Albertine dans la
eption pessimiste de l’amour atteint une intensité effroyable. L’on y
trouve
des cris comme celui-ci : J’appelle ici amour un
e la vie sur terre, il fallait une indépendance d’esprit que certains
trouveront
peut-être diabolique, qui m’apparaît parfois comm
troduit des lumières nouvelles et frappantes. Et chez Proust aussi on
trouverait
sur cette obscure et poignante question bien des
sont que des substituts de la libido, et naissent quand la libido ne
trouve
pas son emploi naturel. Que peut-il y avoir de pl
e la profondeur et de l’importance des innovations de Proust, nous le
trouvons
dans la conversation même que nous tenons en ce m
t de l’amour est vrai ou non. Comme dit Freud quelque part : que vous
trouviez
une chose abominable, ce n’est pas ça qui peut l’
irréalisable, ou impliquait-il pour l’être un génie qui ne s’est pas
trouvé
parmi ses représentants), il a donc voulu peindre
dissocié sa forme. Oui, c’est bien quelque chose d’analogue que nous
trouvons
chez Proust ; l’analogie serait à pousser et à me
er dans la conscience. Et Proust n’a même pas eu à choisir ; il s’est
trouvé
sinon de naissance, du moins de fatalité, si j’os
ourire, dans son intonation limpide et désenchantée, aujourd’hui il y
trouvait
plutôt la grâce d’une résignation presque gaie. D
petite phrase qui lui parlait de la vanité de ses souffrances, Swann
trouvait
de la douceur à cette même sagesse qui tout à l’h
le service, en éveillant en nous le correspondant du thème qu’ils ont
trouvé
, de nous montrer quelle richesse, quelle variété,
susceptible d’aussi affreuses catastrophes que celle à laquelle je me
trouvais
mêlé ; je me demandai, plus généralement, s’il ét
vous faire son portrait physique, ni vous décrire son apparence. Vous
trouverez
d’ailleurs dans le numéro spécial, que la Nouvell
éfiniment, comme une vague d’ailleurs amicale, battre ma position. Il
trouvait
même, dans mes choix et mes décisions concernant
ve qu’ont les femmes du maître florentin avec lesquelles il lui avait
trouvé
de la ressemblance ; amenés au bord des paupières
science et ne réussit en général à y pénétrer que partiellement. On y
trouve
par exemple des descriptions infiniment détaillée
ables de ressaisir en nous-mêmes le souvenir, une fois éveillés. On y
trouve
une peinture des dessous de l’amour, si j’ose dir
urait pour la première fois, ayant eu jusque-là cette certitude de le
trouver
quand il voulait, qui pour tous les plaisirs nous
nt où il s’arrêta devant Swann, celui-ci ne lui dit pas : « Avez-vous
trouvé
cette dame ? » mais : « Faites-moi donc penser po
oit commencer à s’épuiser. » Peut-être se disait-il que si Rémi avait
trouvé
Odette dans un café où elle l’attendait, la fin d
une seconde dans la situation où ils étaient auparavant comme pour y
trouver
leur point d’appui, leur élan. Et sans doute si l
donner au bonheur. Mais le cocher revint lui dire qu’il ne l’avait
trouvée
nulle part, et ajouta son avis, en vieux serviteu
pour lui d’écrire une grande œuvre littéraire que s’il réussissait à
trouver
un sujet philosophique. Et c’est parce qu’il n’en
ussissait à trouver un sujet philosophique. Et c’est parce qu’il n’en
trouvait
pas qu’il se croyait dépourvu de talent…) Pourtan
rs la vérité, sa recherche des lois. À mesure que le livre avance, on
trouve
ces lois du cœur humain exprimées sous une forme
re épars. D’un côté il cherchait un beau sujet philosophique, et n’en
trouvait
pas, de l’autre il éprouvait des sensations, mais
le service, en éveillant en nous le correspondant du thème qu’ils ont
trouvé
, de nous montrer quelle richesse, quelle variété
s idées de l’intelligence ». Voilà peut-être le dernier mot — nous le
trouvons
dans Proust lui-même — sur le génie de Proust et
n étaient l’image. Quand je les voyais, quand je les entendais, je ne
trouvais
rien en elles qui ressemblât à mon amour et pût l
était même pas de Paris, et qui avait eu toutes les peines du monde à
trouver
un éditeur. Les éditeurs n’aiment pas beaucoup à
ameuse, des vers qui ne ressemblaient aux vers de personne. Enfin, il
trouva
un éditeur plus audacieux que les autres, ou peut
; la foi, chez lui, jaillit d’une façon spontanée ; cette foi, il l’a
trouvée
autour de lui au foyer paternel, elle a été dans
ien qu’il est venu à Lamartine quelque chose du tour romanesque qu’on
trouvera
dans son imagination. Cependant, on voulut mettre
s mairies ou ceux des paroisses. Et, si on consulte ces registres, on
trouve
que le grand-père de Victor Hugo était serrurier
llectuelle qu’il a conservée jusqu’au bout. Chez Victor Hugo, vous ne
trouverez
rien de maladif, rien de morbide. Il n’a pas même
our cela, il était besoin de calme et de solitude. Victor Hugo va les
trouver
dans ce jardin des Feuillantines, un jardin de co
mystique pour un sou ; il n’est pas métaphysicien, et généralement il
trouve
que les spéculations abstraites sont des rêveries
er, et qui tient sa robe. Chez nous, dans la pièce de Racine, vous ne
trouveriez
pas Oreste : Oreste est trop petit, on l’a envoyé
cents dont l’éloquence vient justement de leur simplicité. Puis, nous
trouvons
dans les recueils lyriques de Victor Hugo beaucou
jamais une femme qui tombe . Voilà les principaux des thèmes que nous
trouvons
dans l’œuvre de Victor Hugo : thèmes sur la famil
s, cette lumière, cette couleur, puisque Victor Hugo ne les avait pas
trouvées
en dehors de lui, c’est donc qu’il les trouvait e
Hugo ne les avait pas trouvées en dehors de lui, c’est donc qu’il les
trouvait
en lui. Et c’est justement ce qui arrive. D’autre
ustement ce qui arrive. D’autres, quand ils regardent en eux-mêmes, y
trouvent
des émotions, des idées, des sentiments, des rêve
s, des sentiments, des rêves. Victor Hugo, quand il regarde en lui, y
trouve
des images matérielles, y trouve des formes, des
tor Hugo, quand il regarde en lui, y trouve des images matérielles, y
trouve
des formes, des couleurs, des jeux d’ombre et de
s ressources du rythme en poésie et, dans ses premiers recueils, nous
trouvons
déjà de purs exercices de virtuosité. Ainsi, dans
r, c’étaient des crises de larmes. Et alors il était si séduisant, il
trouvait
des façons si charmantes de demander pardon ! Il
La tradition de ce xviiie siècle incrédule, Alfred de Musset l’avait
trouvée
dans sa famille même. Le père d’Alfred de Musset
fait à sa place et tout à fait à son aise ; c’est là seulement qu’il
trouvait
l’emploi de certaines qualités, d’une sorte de dé
pagne et d’Italie. Dans les Contes d’Espagne et d’Italie, ce que nous
trouvons
, ce sont d’abord et surtout des pièces d’un carac
ièces, où sont appliqués docilement les procédés du romantisme, on en
trouve
d’autres, comme, par exemple, cette ballade à la
arges comparaisons ; mais, surtout, ce que l’on y aima, c’est qu’on y
trouvait
de l’esprit. Nous aimons beaucoup l’esprit en Fra
n plaindrez-vous pas. C’est dans le théâtre d’Alfred de Musset que je
trouverai
surtout ces qualités de fantaisie. La fantaisie !
ien ! il y a un remède, qui est évidemment le plus efficace qu’on ait
trouvé
contre les tourments de la pensée, c’est celui qu
sera femme ? Musset nous le dirait, en nous citant l’exemple que nous
trouvons
dans un autre proverbe de lui intitulé Barberine.
ut entière, cherchant de la nourriture pour ses petits. Il n’en a pas
trouvé
, et lorsqu’il revient le soir, ce sont ses entrai
nir à Alfred de Musset le pouvoir d’y résister ? Il ne pouvait pas le
trouver
en lui-même, puisque je vous ai montré en lui une
ai montré en lui une nature capricieuse et faible. Il ne peut pas le
trouver
dans le sentiment de son art, puisque son art, il
fait consister justement à exprimer ce qui est en lui. Il ne peut le
trouver
davantage dans aucune croyance, puisque nous avon
euve de sa vie, Alfred de Musset a écrit les très beaux vers que l’on
trouve
dans Les Nuits et dans Les Souvenirs. Quel est le
, c’est le caractère de tristesse profonde, de morne désolation qu’on
trouve
dans ces vers. Les images qui s’y présentent à l’
de Musset est souvent profonde, mais qu’elle est étroite, et nous n’y
trouvons
pas le grand et large caractère que nous trouvion
troite, et nous n’y trouvons pas le grand et large caractère que nous
trouvions
chez un Lamartine ou même chez un Victor Hugo. Al
ugo. Alfred de Musset n’est pas l’écrivain qu’on prend lorsqu’on veut
trouver
, exprimer quelques-unes de ces grandes idées, que
hez Alfred de Musset, — il faut en être bien prévenu, — ce qu’on peut
trouver
, ce qu’on trouvera dans son œuvre et dans la part
et, — il faut en être bien prévenu, — ce qu’on peut trouver, ce qu’on
trouvera
dans son œuvre et dans la partie de son œuvre mêm
ns changé tout cela, et depuis le temps de Jean-Jacques Rousseau on a
trouvé
au contraire que le moi était très agréable ; et
ès le temps du romantisme, il s’en faut que tous les poètes n’eussent
trouvé
rien de plus intéressant à mettre dans leurs vers
e unique. Comment procède Alfred de Vigny ? Alfred de Vigny essaie de
trouver
, pour une conception abstraite, un beau symbole q
l’ordre du monde, ses idées sur l’ensemble de notre destinée. Nous ne
trouvons
rien d’aussi profond en nous occupant de Théophil
Il y a un certain nombre de vers qui ne sont pas terminés, mais vous
trouverez
toujours bien quelqu’un pour les terminer. » En s
t-ce qu’il a fait ? Vous ouvrez Les Trophées, et qu’est-ce que vous y
trouvez
? Vous y trouvez une série de sonnets. Ces sonnet
? Vous ouvrez Les Trophées, et qu’est-ce que vous y trouvez ? Vous y
trouvez
une série de sonnets. Ces sonnets portent sur l’h
cieuse, non sans mièvrerie. Il chercha quelque temps sa voie et il la
trouva
dans un genre qui, véritablement, lui appartient.
fait aristocratique, et si les gens ne sont seulement pas princes, on
trouve
que ce n’est pas la peine de s’en occuper. Au xix
i sont dans toutes les mémoires, dans tous les recueils choisis. Vous
trouverez
la Lettre d’un mobile breton, qui est belle par l
s une inspiration qui est connue lointaine de l’humanité. Nous allons
trouver
quelque chose d’analogue chez Sully Prudhomme. Se
end si malheureux, c’est que souvent nous nous sentons seuls, nous ne
trouvons
pas d’âme avec laquelle la nôtre soit entièrement
qu’il s’adresse aux étoiles, aux étoiles de la voie lactée, et qu’il
trouve
que ces étoiles ont un air de tristesse. Tristes,
des espaces immenses. Nous sommes pareilles à des âmes qui n’ont pas
trouvé
une âme sœur » : Aux étoiles j’ai dit un soir :
tone, un doux air qui touche Avec peu de voix. Vous la
trouverez
: les gens des chaumières Vivent tr
n treize ans. En mettant le pied sur ce rivage de son espérance, elle
trouva
la colonie en révolte, le cousin massacré, sa veu
des savanes. Revenue au nid, et encore toute brisée de l’orage, elle
trouva
la famille plus pauvre Son excellent père cependa
uelques-unes ; mais surtout Mme Pauline Duchambge, née tout exprès, y
trouva
ses airs les plus agréables, les plus chers au cœ
littéraire. Elle m’écrivait à ce sujet : « En rentrant le soir, j’ai
trouvé
votre lettre et Pascal que je n’ai point quitté d
ée et heureuse pour bien des jours. C’est une douceur profonde que de
trouver
de pareils amis dans le passé et de pouvoir vivre
is d’argent ; mais, en lui servant sa minime obole, cette âme de sœur
trouvait
moyen de diversifier à l’infini le baume moral qu
our nous aider et nous chérir, mon bon Félix. Tu sais quel bonheur je
trouve
à remplir ma mission, et je te remercie d’avoir é
e place, après l’avoir demandée pour toi aux Invalides. Enfin je n’ai
trouvé
qu’en lui la grâce et la charité constante du cœu
le culte de reconnaissance : « (7 avril 1847)… Cette bonne lettre me
trouve
au milieu de nouvelles et vives afflictions. — A
tre-Dame, et mets sur ses pieds les premières fleurs de carême que tu
trouveras
. » Sur cette religion de Mme Valmore qui revien
ne sais cette fois si ce sera pour monter au sixième. On ne peut plus
trouver
un grenier qu’au prix de douze ou quatorze cents
ers souvenirs59 : « (9 novembre 1854)… La dame qui m’aide souvent à
trouver
l’argent d’emprunt pour passer mon mois, à la con
i précèdent quelques autres détails biographiques suffisants. 47. Je
trouve
déjà de ses premiers vers insérés dans le Chanson
Rouen. 56. Le voyage à la Guadeloupe, où elle alla mourir. 57. Je
trouve
un autre passage sur Ondine dans une lettre de Mm
ifier en toute sûreté la joie de sa présence. En jouir sans qu’elle y
trouve
du plaisir serait de plus une jouissance bien inc
une amie, Mme Derains, elle revient sur cette misère des logements à
trouver
, et elle exprime en paroles vivantes le trouble m
ler chercher tel ou tel objet dans telle ou telle chambre où je ne le
trouve
pas ? Alors commence le tourment : « Ah ! non, il
raisonnables ; m’est-il à jamais interdit d’y prétendre ?… » 59. Je
trouve
pourtant de cette sœur aînée un passage de lettre
is rentrée dans ma petite chambre en pleurant de l’isolement où je me
trouve
, et de tout ce que souffre notre malheureuse fami
e, qui avait appris à lire à la jeune Marceline, tout enfant, et l’on
trouve
en maint passage des poésies un souvenir esquissé
nument du plus aimable sage de l’Antiquité ! » Pendant deux années il
trouva
en Danemark dans la famille Brun le degré et comm
de la Baltique, avec les hommes distingués et les livres que l’on ne
trouve
que là. » Il ne s’en tint pas au Danemark ; il fi
du Nord, Suhm, vivait encore ; il le visita un jour d’automne, et le
trouva
à sa campagne, vieillard de 73 ans à côté de sa j
critiques de la châtelaine de Coppet et des hôtes distingués qui s’y
trouvaient
réunis, Bonstetten jugeait ses juges eux-mêmes :
pleine justice à sa merveilleuse intelligence ; « J’ai l’avantage de
trouver
à Coppet une critique impartiale ; c’est aussi un
it part à Mme de Staël de ses observations ; elles sont piquantes, et
trouveraient
encore leur à-propos aujourd’hui. Le ton du diapa
y faire des occupations. Prenez quelque cours de littérature, si vous
trouvez
quelque homme qui en soit digne. Rien ne sauve da
ssi je vous aime en affamé. Mon cœur a besoin de sentiments, et je ne
trouve
ici que de l’esprit et de la bienveillance. — Vou
cherché à développer ma pensée en la communiquant ; mais je n’ai pas
trouvé
d’âme assez à l’unisson avec la mienne pour y fai
ément. — Voici deux jours que je n’ai pas bougé de ma chambre. Je m’y
trouve
bien. Ce soir j’ai deux ou trois dames pour lire
de n’a que des explosions. L’amour est un soleil qui éclaire ce qu’il
trouve
: dans les belles âmes, il produit des jours bril
de semaines. » Au bout de ce temps, il rétrécit son nid de moitié, et
trouva
qu’il y était encore parfaitement à l’aise. Alors
rait à flots dans tout l’appartement. C’est là que tous les matins on
trouvait
, un livre à la main et le sourire sur les lèvres,
i à un simple feuillet. » Dans la solitude de son cabinet, quand il y
trouvait
la solitude, Bonstetten s’occupait continuellemen
nirs de jeunesse. « Savez-vous, écrivait-il vers ce temps, combien je
trouve
dans ma mémoire de personnages considérables avec
radictoires, qui arrivaient de, Paris par toute espèce de sources, ne
trouvèrent
personne qui fût plus avide de les accueillir plu
tout dans la meilleure société, et bientôt même en Cour. Cependant il
trouvait
du temps pour des applications plus graves ; son
tudiait, et se dirigeait avec utilité vers l’histoire. Ici, nous nous
trouvons
dans une sorte d’embarras à l'égard du président
ustres ; mais il est assez riche pour n’avoir besoin de personne… On
trouve
dans ce portrait sorti d’une plume amie tout ce q
ge. Je regrettais de temps en temps le sort de cette orpheline qui ne
trouvait
pas d’établissement… Mais ce qui procurait au pr
le seul homme qui ait appris aux Français leur histoire », et qui y a
trouvé
encore le secret de plaire. Plus tard on a voulu
volume, c’est le cachet qu’il y a mis. On y cherche une date, qu’on y
trouve
, et on y trouve de plus une idée, un fait, un tra
cachet qu’il y a mis. On y cherche une date, qu’on y trouve, et on y
trouve
de plus une idée, un fait, un trait : en un mot,
ait quelquefois penser qu’il les préfère à ce qui est universellement
trouvé
beau ; mais ce ne sont point des préférences qu’i
s places : en sorte que, pour le dire en passant, je me suis toujours
trouvé
, par ce même hasard, dans l’intimité avec les hom
ans doute inventé ou tout au moins brodé par la malignité, pourront y
trouver
une confirmation dans ces Mémoires, par la manièr
et tendre dont il est parlé de Mme de Castelmoron : cependant ils n’y
trouveront
que bien peu de chose sur les défauts de Mme Du D
t abbé Bazin) ; mais je suis homme et je m’intéresse à l’humanité. Je
trouve
, je vous l’avoue, une barbarie insigne dans ces s
sprit faible et le cœur dur ; qu’il était content pourvu que la reine
trouvât
son style meilleur que celui de Moncrif, et que d
aise36. » 33. [NdA] Librairie de Dentu, Palais-Royal. 34. [NdA] On
trouve
dans les Lettres d’Horace Walpole quelques traits
ici prendre à témoin les sages ministres des cours étrangères, qui le
trouvent
aussi convaincant dans ses discours que redoutabl
génie des divers écrivains devront s’y exercer, il veut que son fils
trouve
là de quoi redresser l’histoire si elle vient à s
r le trône avec une aussi grande passion de bien faire sans en devoir
trouver
les moyensm. Mazarin mort, il n’y a plus pour Lo
qu’elle possède : l’homme, naturellement ambitieux et orgueilleux, ne
trouve
jamais en lui-même pourquoi un autre lui doit com
sans le commandement, il serait lui-même la proie du plus fort, il ne
trouverait
dans le monde ni justice, ni raison, ni assurance
et raisonneur : c’est un esprit positif, qui aime les affaires, qui y
trouve
de l’agrément par l’utilité, et qui tient compte
persuadé de tout ce qui est, ne ferait jamais que ce qu’il doit. » Il
trouve
un plaisir vrai dans l’application et l’informati
Philippe de Commynes et qui sont bien de l’élève de Mazarin. Je crois
trouver
un merveilleux rapport entre cette manière de voi
gt fois dans son esprit avant de l’exécuter ; il veut lui apprendre à
trouver
avec lenteur dans chaque affaire l’expédient faci
ertaine justesse et une certaine hardiesse d’esprit les font toujours
trouver
, sans comparaison plus libres en celui qui ne doi
, quel qu’ait pu être ce secrétaire, Pellisson ou tout autre56, je ne
trouve
rien dans ces pages qui ne sente d’un bout à l’au
te exaltation et ce commencement d’apothéose où on le surprend, on le
trouve
pourtant meilleur et valant mieux que plus tard :
rité. Mais il est plus utile d’insister sur les ressorts élevés qu’il
trouvait
dans cette foi et dans cette conscience royale, c
r le trône avec une aussi grande passion de bien faire sans en devoir
trouver
les moyens. n. [1re éd.] Voilà ce qu’écrit Louis
f. Le jeune Franklin avait un goût prononcé pour la marine ; il y eût
trouvé
une carrière bien propre à exercer ses qualités d
et consentent mieux à recevoir de vous ce qu’ils peuvent croire avoir
trouvé
en partie eux-mêmes. Montesquieu, dans les Lettre
au ton tranchant et absolu comme nous en connaissons encore : « Je me
trouvai
l’autre jour, écrit Rica à Usbek, dans une compag
e contradiction ; j’avais moins de mortification moi-même quand je me
trouvais
dans mon tort, et je venais plus à bout de faire
de leurs erreurs et de les faire tomber d’accord avec moi quand je me
trouvais
avoir raison. Et cette méthode, que je n’adoptai
servir comme apprenti jusqu’au terme primitivement convenu. Ici, nous
trouvons
l’aveu d’une faute de Franklin, et ce qu’en son l
nt secret. Les aveux que Franklin nous fait de ses fautes (et nous en
trouvons
trois ou quatre dans ces années de jeunesse) ont
de la première ». Au sortir de l’imprimerie de son frère, ne pouvant
trouver
d’ouvrage à Boston, il part pour New York, et de
aison de sa future femme, miss Read, qui était à sa porte, et qui lui
trouva
l’air un peu extraordinaire. Il avait dix-sept an
son frère, qui ne le lui pardonne pas. Le père de Franklin, qui ne le
trouve
pas assez mûr, et qui se méfie d’un certain pench
Angleterre à la fin de l’année 1724 ; il n’avait pas dix-neuf ans. Il
trouve
en arrivant que les prétendues lettres de recomma
eux sa première faute, et il y réussira. Marié à vingt-quatre ans, il
trouvera
en elle durant des années une tendre et fidèle co
pose qu’il a été transporté en songe dans les champs Élysées ; il y a
trouvé
Helvétius en personne, qui s’y est remarié, et qu
ble à la moitié dépareillée d’une paire de ciseaux qui n’a pas encore
trouvé
son autre branche, et qui, par conséquent, n’est
eutenant au 330e d’infanterie. Je ne crois pas qu’il soit possible de
trouver
un texte où s’affirme avec plus de force et d’émo
ît comme une association librement consentie. D’ailleurs, ils peuvent
trouver
dans cette situation même une raison de se dévoue
x bonheurs, aux malheurs de la vie nationale. Je me demande ce qu’ils
trouvent
de soutien patriotique dans leur religion. Que su
de contes, de vieilles et charmantes histoires. Je n’y cherche et n’y
trouve
pas autre chose que des émotions poétiques. » Ce
des émotions poétiques encore qu’il cherche dans la guerre, et il en
trouve
de fort belles. Je le crois tout à fait quand il
boyaux, je le fais en moi-même. Si vous étiez disposé à la longue à
trouver
ce dilettantisme un peu voulu, hâtez-vous de reco
rument. C’est le refrain et le ressort de sa pensée quotidienne. Il a
trouvé
sa règle et sa voie. Il est sûr de lui. Pour déf
r sa méthode et son état d’esprit, son culte ou sa culture du moi, il
trouve
une quantité d’expressions pleines d’esprit : « R
n’allons pas lui chicaner son droit de prendre son réconfort où il le
trouve
; admirons plutôt qu’il se crée de la volupté, là
sens commun : « On ne quitte les biens de la terre que parce qu’on en
trouve
de plus grands au service de Dieu. » Roger Cahen,
rend pour l’aumônier catholique. M. Bloch s’empresse : il cherche, il
trouve
, il apporte au mourant le symbole de la foi des c
rance. De degré en degré, nous nous sommes élevés ; ici la fraternité
trouve
spontanément son geste parfait : le vieux rabbin
s m’écrit : « Ils servent, pour la plupart, dans les zouaves et s’y
trouvaient
(jusqu’à ces derniers temps) dans la proportion d
rent et le maire a pu faire parvenir aux parents la médaille de piété
trouvée
sur leur fils ; elle portait l’inscription tradit
t melodie des chants composez. Ainsi l’on ne doit pas être surpris de
trouver
quelquefois melopée où il auroit fallu écrire mel
assujetie, et par conséquent composée. Il ne seroit pas impossible de
trouver
encore dans les anciens auteurs des faits qui sup
melodie qui n’étoit qu’une simple déclamation, je prie le lecteur de
trouver
bon que je transcrive encore ici quelques endroit
c. " Boéce louë donc ici les musiciens des temps antérieurs, d’avoir
trouvé
deux inventions ; la premiere d’écrire les parole
juger même par la maniere dont Boéce s’explique, les anciens avoient
trouvé
l’art d’écrire en notes la simple déclamation ava
ent trouvé l’art d’écrire en notes la simple déclamation avant que de
trouver
l’art d’écrire en notes la musique. Le premier ét
près le même objet, celui dont la pratique est la plus aisée, ait été
trouvé
le premier. Voïons presentement quelle étoit la m
s, l’aigu, le grave et le circonflexe ; comme les autres n’auront été
trouvez
qu’en differens temps, et qu’il se peut faire enc
les chants musicaux jusques dans le onziéme siecle, que Gui D’Arezzo
trouva
l’invention de les écrire, comme on le fait aujou
is Jean De Meurs né à Paris, et qui vivoit sous le regne du roi Jean,
trouva
le moïen de donner à ces points une valeur inegal
otre façon, dont j’ai ri toute la première de plaisir quand je les ai
trouvées
bonnes, de pitié quand elles m’ont paru mauvaises
langage sonore qui les rend plus faciles à retenir. Voilà ce que j’ai
trouvé
dans cette pièce et dans mille autres du même aut
vé dans cette pièce et dans mille autres du même auteur ; et quand je
trouverai
des vers pareils à ceux-là, je me garderai bien d
iment rien, où il n’y a rien ni à retenir, ni à remarquer, où l’on ne
trouve
, si je puis parler de la sorte, que les haillons
nous fournit des modèles de beautés poétiques de toute espèce : vous
trouvez
dans ses épîtres et ses satires, des vers qui ne
ent pas assez de compte ; c’est d’être celui de nos écrivains où l’on
trouve
le plus la vraie langue française, les tours et l
s, et que ce sont toujours les poètes qui ont formé les langues. J’en
trouverais
peut-être la raison dans les efforts que les poèt
les poètes sont obligés de faire. Ces efforts leur font chercher, et
trouver
quand ils ont du génie, les expressions les plus
pourrez forcer sa modestie ; et qui sait d’ailleurs si ses pareils ne
trouveront
pas qu’il se dégrade ? LA PHILOSOPHIE. Alexandre,
se, et ils sont connus en France sous le titre de poésies erses. On y
trouve
une imagination plus forte qu’étendue, peu d’art,
ouvrages d’un pareil peuple ; mais ce qui étonne, c’est que déjà on y
trouve
l’art d’opposer les idées douces aux idées terrib
ner si, parmi tous ces éloges guerriers, il n’y en a aucun où l’on ne
trouve
des femmes à côté des héros, et presque partout l
’une vie agitée, et occupé sans cesse de législation et de conquêtes,
trouvait
encore du temps pour aimer les arts, fit rassembl
et ces éloges, ou dans les forêts, ou en pleine campagne, et l’on en
trouve
encore aujourd’hui sur les rochers du nord. Les D
jusque dans des pays où les peuples ignoraient l’usage du feu5, on a
trouvé
des espèces de poèmes destinés à célébrer des esp
ècle, citent d’anciennes chansons des bardes, qu’ils prétendent avoir
trouvées
dans des couvents d’Allemagne. Ainsi, peut-être,
uel que soit celui que nous ayons noté, nous ne manquons jamais de le
trouver
lié à quelque autre. De fait, l’un entraîne l’aut
nant dans cette constitution des choses. Il n’est pas plus étrange de
trouver
des compagnons, des précurseurs et des successeur
, des précurseurs et des successeurs à un caractère général, que d’en
trouver
à un individu particulier ou à un événement momen
ables et plus répandues. À ce titre, nous devons nous attendre à leur
trouver
aussi des contemporains, des précédents, des suit
Or plus tard, quand l’enfant repasse et insiste sur ces deux mots, il
trouve
que le premier évoque en lui une série indéfinie
. Car, en appliquant à des cas nouveaux le jugement primitif, nous le
trouvons
inexact. L’enfant a d’abord prononcé que toutes l
enant un conséquent connu et bien dégagé, la sensation de son94. Pour
trouver
son antécédent, nous recueillons beaucoup de cas
ons pas construire un pendule qui oscille toujours, ni par conséquent
trouver
un second cas où le caractère connu soit absent.
nuons de plus en plus les obstacles que rencontre le pendule, et nous
trouvons
que son ralentissement diminue à proportion. Quan
de distinguer la condition cherchée et les accessoires parasites. On
trouve
trois de ces indices, on les applique ; pour plus
» La rosée ainsi définie, quelle en est la cause et comment l’a-t-on
trouvée
? « D’abord, nous avons des phénomènes analogues
g froid arrive un dégel tiède et humide. Comparant tous ces cas, nous
trouvons
qu’ils contiennent tous le phénomène en question.
ce a été faite, la question a été posée, et toujours la réponse s’est
trouvée
affirmative. Toutes les fois qu’un objet se recou
exposons à l’air des surfaces rudes au lieu de surfaces polies, nous
trouvons
quelquefois cette loi renversée. Ainsi le fer rud
eux, du froid et de la rosée, est la cause de l’autre. Nous venons de
trouver
que la substance sur laquelle la rosée se dépose
il sera encore capable de tenir en suspension toute la vapeur qui s’y
trouvait
d’abord suspendue. Ainsi, dans un été très sec, i
nous connaissions, celle qui pose la conservation de la force, a été
trouvée
hier97. Enfin, si bien établie et vérifiée que so
oi. Par conséquent, si l’on considère la proposition qui l’énonce, on
trouve
, d’une part, que l’acquisition en est tardive, d’
la même classe font cinq faits ou objets de la même classe ; s’il s’y
trouve
un triangle, la somme de ses angles est, comme ch
les trois valeurs des trois angles, et, additionnant ces valeurs, il
trouve
toujours que leur somme est de 180 degrés ou de d
autres angles est alors égale à un droit, et il lui sera plus aisé de
trouver
la circonstance qui provoque cette égalité. Repre
ne somme d’angles égale à deux droits. — Cela fait, notre chercheur a
trouvé
une liaison fixe entre les valeurs du deuxième et
s des angles. Qu’il prenne un fort microscope ; en bien peu de cas il
trouvera
ces conditions remplies, et il doit supposer que,
et il doit supposer que, si le microscope était plus fort, il ne les
trouverait
remplies en aucun cas. Partant, tout ce qu’il peu
ribut se trouvent par avance dans les termes du sujet ; le lecteur ne
trouve
point la proposition instructive ; il juge qu’on
moyen de mots abstraits, nous isolons ses idées composantes ; nous en
trouvons
une qui nous explique la jonction involontaire ou
le second ; je compte ensuite les deux troupeaux ainsi accrus, et je
trouve
que, dans chaque parc, il y en a trente-cinq. Je
s du second ; puis je compte les deux troupeaux ainsi diminués, et je
trouve
que, dans chaque parc, il y en a dix-huit. — Tout
cond ; je mesure ensuite les deux quantités d’eau ainsi accrues et je
trouve
que dans chaque vase il y a neuf litres d’eau. Je
econd, puis je mesure les deux quantités d’eau ainsi diminuées, et je
trouve
que dans chaque vase il reste quatre litres d’eau
ptés et aussi égaux, et que, comptant ensuite les deux totaux, il les
trouve
égaux, ce sera pour lui une découverte, et je cro
concordance que l’arithmétique, la géométrie et même l’algèbre, ayant
trouvé
tout de suite leurs axiomes, ont été si précoces.
sa translation. Par conséquent, au bout d’une demi-seconde, AB s’est
trouvé
exactement au milieu de son parcours total, c’est
-à-dire en CD, et, au bout de la même demi-seconde, le mobile A s’est
trouvé
exactement au milieu de son parcours total, c’est
CD, le point S′ qui lui appartient y est remonté du même coup et s’y
trouve
en S′, milieu de CD, comme S est le milieu de AB.
e permanent où toute grandeur bornée de la même espèce doit forcément
trouver
sa place et son au-delà, on n’y rencontre, comme
pesants observé et calculé selon les trois premières dimensions, nous
trouverions
des perturbations que nous n’y trouvons pas. — Pa
premières dimensions, nous trouverions des perturbations que nous n’y
trouvons
pas. — Pareillement enfin, pour constituer le réc
enant les éléments d’un fragment quelconque de ce réceptacle, nous ne
trouvons
, pour le composer, que des étendues moindres, et,
le réceptacle mental que l’étendue abstraite et nue, nous n’y pouvons
trouver
autre chose ; il ne reste en lui, et cela de par
conséquent, l’invincible accroc mutuel que je leur constate chez moi
trouve
son explication, non dans leur nature intrinsèque
s fine, qu’en fait madame Lenormant à cette date : « Madame Récamier
trouvait
d’ailleurs dans la duchesse de Devonshire la douc
ions exercées par les besoins de son ami sur Charles X ; mais on n’en
trouve
pas trace dans ses Mémoires : on les trouvera dan
Charles X ; mais on n’en trouve pas trace dans ses Mémoires : on les
trouvera
dans M. de Vitrolles. VI Chose bizarre ! Pe
re ; je crus de mon devoir d’aller lui présenter mes hommages ; je le
trouvai
déjà écrivant sur une petite table d’auberge une
oche de trop près : absente on la désire, présente elle pèse. Pour la
trouver
douce il faut la voir à distance, comme le feu.
la frontière, et puis de Lausanne, et puis du Simplon. Faites que je
trouve
quelques lignes de vous, poste restante, à Milan.
squ’à ce soir. Je me ravise ; écrivez-moi un mot à Lausanne, là où je
trouverai
votre souvenir, et puis à Milan. Il faut affranch
e 1828. « Avant-hier, en arrivant ici, j’ai été bien triste de ne pas
trouver
un petit mot de vous ; mais le mot est arrivé hie
raconte son dépaysement dans un vaste palais démeublé de Rome, sans y
trouver
même un de ces chats qu’il aimait comme symbole d
sa vie dans son lit de gloire, d’ambition, de cours et de fêtes, sans
trouver
, comme on dit, une bonne place. Toujours mal où i
se combattre, faute de se comprendre. XI Plus loin encore nous
trouvons
sous la plume de M. de Chateaubriand le nom d’une
bre par ses voyages, M. Dodwell, homme d’un âge mûr, qui n’avait rien
trouvé
de plus beau dans l’antiquité que cette grâce viv
e aurai-je plus de patience dans l’autre vie que dans celle-ci, où je
trouve
trois mois sans vous d’une longueur démesurée. »
e, mardi 6 janvier 1829. « En ouvrant les journaux arrivés hier, j’ai
trouvé
mon nom à toutes les pages, tantôt pour une chose
France ; je me figurais qu’ils battaient votre petite fenêtre, je me
trouvais
transporté dans votre petite chambre ; je voyais
ux paravents pour exhaler ses plaintes et pour accuser la fortune. Il
trouva
tout cela chez madame Récamier. Ce fut véritablem
e son public que madame Récamier, avec une diplomatie dont l’habileté
trouvait
son motif dans son cœur, fit de son accueil un ar
vait suivi à Londres la belle duchesse de Mazarin (Hortense Mancini),
trouvait
à quatre-vingt-dix ans auprès d’elle un visage d’
ée et même oubliée pendant vingt ans par lui dans leur jeunesse, elle
trouvait
très doux pour elle ce commerce de pure amitié qu
e siècle, je ne dirais que des choses rudes au siècle. « Je n’ai rien
trouvé
pour me diriger ici (dans ma négociation) : on es
e et plus naturel en cessant de poser et de phraser pour le monde. On
trouve
ce caractère de sincérité et de renoncement aux v
eurs il est simple et vrai. Lisez ce mot à madame Récamier, dont il a
trouvé
la porte fermée. Ce mot frémit d’un frisson de mo
s avant vous. Je vois avec plaisir que je suis malade, que je me suis
trouvé
mal encore hier, que je ne reprends pas de force.
les grandes choses et les grands hommes : Napoléon et Chateaubriand.
Trouvez
bon que je dépose quelques vers à votre porte ; d
à l’esprit errant, des déserts d’Amérique aux déserts d’Égypte, sans
trouver
le repos dans le silence ni l’oubli dans la foule
s beautés qu’ils font valoir. On s’attend sans doute sur cet usage, à
trouver
ici le panégyrique d’Homere : mais outre que je l
. Mais, sans traiter cette opinion d’extravagante, j’avoue que je n’y
trouve
point de vraisemblance. Je remarque partout dans
son sens, et à relever ses beautés ; les autres assez hardis pour lui
trouver
des défauts, se sont révoltés contre l’admiration
n, mais on sent bien que lui-même il admire Achille, et qu’au fond il
trouve
autant de grandeur dans son ressentiment, que dan
fuseroit-on le nom de poëme épique, à moins que ce ne fût pour lui en
trouver
un plus honorable ? Je regarde donc comme arbitra
yent du moins l’apparence de la vérité. L’homme n’admire que ce qu’il
trouve
extraordinaire ; le poëte ne lui doit donc propos
e : mais quelque bonne intention qu’on ait, il n’est pas possible d’y
trouver
son compte. Ce destin n’est qu’une fatalité aveug
’où va la passion de justifier un auteur qu’on croit avoir intérêt de
trouver
sans défaut ; soit pour ne pas rougir d’avoir emp
ont voulu réhabiliter la mémoire de ces dieux, qui n’ont pas toujours
trouvé
grace devant leurs propres adorateurs. Peut-être
eu cette attention ; et en se mettant même à la place des payens, on
trouve
encore à chaque pas, des occasions de scandale.
i sur une fable plus connuë, l’imaginent invulnérable, au talon près,
trouvent
ridicule qu’on le mette à la tête des héros : tan
Homere, malgré toute la supériorité de forces qu’il lui donne, n’eût
trouvé
l’art de mettre encore sa grandeur d’ame hors de
qu’Achille avant que de partir pour la guerre de Troye, étoit sûr d’y
trouver
la mort. Le destin lui avoit proposé par la bouch
it ; et si le plaisir de deviner juste ne m’a pas fait illusion, j’ai
trouvé
presque par tout que mon soupçon n’étoit que trop
c’est la plus riche, et celle où il a répandu le plus de beautés. J’y
trouve
souvent un fonds de grandeur et de pathétique, qu
s craindre de juger trop légerement d’Homere ; car, pour peu qu’on le
trouve
digne de censure en celui-ci, on peut s’assurer q
ion heureuse, il arrivera le troisiéme jour à la fertile Phtie ; il y
trouvera
les richesses qu’il y a laissées en partant ; il
s ; elle aime à augmenter elle-même les rapports imparfaits qu’elle y
trouve
, et elle ne chicane point, pourvû qu’on ne l’égar
eur obstinée d’Ajax et à la fureur de ses ennemis. Je sçai bien qu’on
trouve
presque autant d’art dans les comparaisons, à des
; c’est ce qui arrive dans les comparaisons degradées, au lieu qu’il
trouve
à gagner, quand la comparaison est plus noble que
, quand la comparaison est plus noble que l’objet principal. Ainsi je
trouve
beaucoup d’art à comparer les petites choses aux
t aux actions et aux événemens dont on parle ; car si l’esprit ne les
trouve
appuyées de l’expérience, il les juge frivoles, e
us les augures est de combatre pour sa patrie. Il seroit difficile de
trouver
rien de plus élégant, de plus précis, ni de plus
re. Nous en pouvons juger par nos meilleurs ouvrages françois : où ne
trouveroit
-on pas des fautes ? On en a trouvé en effet plus
eurs ouvrages françois : où ne trouveroit-on pas des fautes ? On en a
trouvé
en effet plus de vingt dans les trois premieres p
pas comme nous, ni les défauts ni les graces de ces endroits, où nous
trouvons
à la fois de quoi louer et de quoi reprendre. C’e
lement, il dit que Jupiter éleva le courage à Glaucus ; parce qu’elle
trouve
de la générosité dans la perte qu’il veut bien fa
s les mêmes jugemens que les autres hommes en portent : et comme nous
trouvons
toujours la vertu belle et le vice odieux, quand
urs proposé le bon pour bon ; et le mauvais pour mauvais ; mais je ne
trouve
pas que cette louange lui soit dûe bien légitimem
il faut juger de son ouvrage, par les beautés et les défauts qui s’y
trouvent
, eu égard aux lumieres du nôtre. Selon ces princi
langue ne pouvoit rendre. Les autorités avoient disposé leur esprit à
trouver
tout excellent ; la pensée, le tour, l’arrangemen
ison la plus parfaite est celle de Madame Dacier. Ces traductions ont
trouvé
trois sortes de lecteurs, les uns prévenus, et qu
ade, et qui l’avouent franchement sans prétendre la condamner ; ils y
trouvent
même beaucoup de beautés de tous les tems ; et il
sion. Pour le traduire, il faut suivre son ordre, rendre son sens, et
trouver
, s’il se peut, des expressions équivalentes aux s
ne sçauroit être bon traducteur sans un enthouziasme judicieux, pour
trouver
des tours vifs et des expressions animées qui ren
l’esprit par ce défaut ; si de quatre termes qu’on y emploie, il s’en
trouve
un d’inutile ; et le même sens peut être précis e
ontaine ? Qu’il vienne encore des inventeurs de genres nouveaux ; ils
trouveront
de nouvelles ressources dans notre langue. Seroit
s de l’intérêt poëtique, pour juger plus sainement de la question, je
trouve
d’abord que la prose seule est capable des traduc
ressions d’un auteur, aussi exactement que la prose le peut faire. Je
trouve
ensuite que la prose peut s’élever à une grande é
aussi des lecteurs imbus de moeurs toutes différentes, et disposés à
trouver
mauvais tout ce qui ne leur ressemble pas. J’ai v
autés ; car ce n’est qu’au théâtre qu’une versification négligée peut
trouver
quelque indulgence : l’action, la prononciation l
t ils auroient beau encherir toûjours les uns sur les autres, à peine
trouveroit
-on qu’ils se soûtinssent. Il faut donc se garder
que j’ai jugée nécessaire au poëme, c’est d’être intéressant. Je l’ai
trouvé
suffisamment dans la fable de l’iliade. Il s’y ag
nité. Je n’ai pas dépouillé les héros de cet orgueil injuste, où nous
trouvons
souvent de la grandeur ; mais, je leur ai retranc
lle, un titre de sa grandeur, et pour ainsi dire, son manifeste. J’ai
trouvé
la mort d’Hector aussi défectueuse que le bouclie
rendre, tandis qu’Hector qui s’attend au secours de son frere, ne le
trouve
plus ; il fait pourtant un dernier effort, et c’e
bien petit coin de mémoire. * * * — Les ballons, à force de monter,
trouvent
un ciel noir, où rien ne se voit plus… C’est à ce
e qui reconnaît avoir tort et qui n’est pas de mauvaise humeur… où la
trouverez
-vous ? Dimanche 26 février On parle chez Fl
-il dit, nous sommes comme un fil de fer. Il n’y a qu’à Rome que nous
trouvons
le gras des contours. » Celui-là était Carpeaux5,
a généralité par la particularité. * * * — … Dans cette soirée, je me
trouve
à côté de quelqu’un qui a un grand cordon dans so
Cela ressemble au nid d’une fille qui aurait hérité d’un peintre. Je
trouve
assis à une petite table, jetant sur du papier le
t une action chimique sur les corps organiques avec lesquels il s’est
trouvé
, une seconde, en contact, tout, — depuis que le m
ttes d’eau glacées, des paroles de Thierry, nous disant qu’il n’a pas
trouvé
tout le concours qu’il espérait dans Got, que Got
ont de charmantes habitations avec le décor d’un bout de nature. Nous
trouvons
Got, au milieu de fraîches verdures à lui, tout b
le. Soirée charmante, prolongée jusqu’à deux heures du matin, où nous
trouvons
toutes les douceurs de la famille mêlées à tous l
t une idée intelligente : « Oh ! vous, vous vous creusez la tête pour
trouver
le mystère de la nature, mais vous ne le trouvere
creusez la tête pour trouver le mystère de la nature, mais vous ne le
trouverez
jamais ! » Le mystère de la nature ! mot énorme p
qu’elle n’a jamais mangé d’écrevisses bordelaises, parce que son mari
trouve
que c’est un manger de lorette. * * * — Pour haïr
blanc, les patins et le grand canot de la princesse… En abordant, on
trouve
les deux décorés du jour, mandés par dépêche télé
ns qu’elle voudrait marier, entre autres de Taine, pour lequel elle a
trouvé
un parti qui lui apporterait une dot de 400 000 f
age, en travers, sur un lit de sangle. En retournant au château, nous
trouvons
la princesse revenant du Te Deum pour la fête de
ions de la Légion d’honneur, passées au Moniteur. À ce propos, Giraud
trouve
qu’il y a des croix qu’on aurait dû donner, et, p
, nous repassions ces trois journées. Nous jugions la princesse. Nous
trouvions
que peu de bourgeoises mettraient autant de bonne
hez Got pour tâcher d’obtenir qu’il joue le rôle de Bressant. Nous le
trouvons
aujourd’hui en débraillé, en pantalon de toile bl
la suite du refus de tous les sociétaires. Musset aux répétitions l’y
trouvait
détestable et ne se cachait pas de le lui dire. I
hétique passionnée. Le beau pour lui est toujours la nature : le beau
trouvé
comme le beau à trouver… Et encore pour lui le co
beau pour lui est toujours la nature : le beau trouvé comme le beau à
trouver
… Et encore pour lui le corps humain actuel, dans
lui. Il faut par malheur que, le matin même, le Constitutionnel l’ait
trouvé
trop vieux dans Damis, et d’ailleurs, ainsi que t
lancolie des maladies qui commencent à s’y donner rendez-vous. Il s’y
trouve
une espèce de fou, un phtisique qui tousse toute
te dans un tas de découvertes, et soutenant en lui la flamme qui fait
trouver
avec de l’eau-de-vie, — et se préparant aux trava
épétitions, dans cette haute salle des Français, on a l’impression de
trouver
le plafond de son chez soi écrasant, et le sommei
e donné par elles au roman des coulisses. Pas la moindre intention de
trouver
là, l’amant ou le caprice. L’affaire de la pièce
i positives, d’une vérité si flagrante, qu’elles font crier, aussitôt
trouvées
: « C’est cela ! » — et le mouvement trouvé, une
es font crier, aussitôt trouvées : « C’est cela ! » — et le mouvement
trouvé
, une petite émotion de joie passe en vous comme u
e Rouher et le maréchal Vaillant nous font l’honneur d’avoir cherché,
trouvé
un dénouement à notre pièce. Rouher veut que la f
rance d’un mariage avec l’amant de sa mère. Le maréchal Vaillant en a
trouvé
un autre à peu près du même goût. Heureusement qu
urd’hui c’est la répétition en costume. J’entre dans le foyer, et j’y
trouve
, sautillante et adorable, Rosa Didier dans son co
t. Nous mettons des cartes aux critiques. Visite à Roqueplan. Nous le
trouvons
déjeunant. Il est tout en rouge, et botté d’espèc
tude. Une sérénité absolue, la conviction que quand même le public ne
trouverait
pas notre pièce parfaite, elle est si remarquable
ose à nos lèvres. Flaubert ne peut s’empêcher de nous dire qu’il nous
trouve
superbes ; et nous rentrons à cinq heures du mati
s de deux ou trois loges de premières s’étaient réunis et avaient été
trouver
le commissaire de police, disant qu’ils avaient p
rs de lâcher pied, emmener le soir des amis souper — et par là-dessus
trouver
le temps et le sang-froid d’écrire sa préface, pa
! » Car c’est surtout cela cette cabale, et peut-être les gens qui la
trouvent
drôle, parce qu’elle n’atteint que nous, n’en rir
, lorsque, à la dernière phrase précédant les quatre signatures, j’ai
trouvé
une superbe faute d’orthographe : une de ces faut
que les disciples prétendus de Shakespearea et de Byron, se sont-ils
trouvés
unis, bon gré mal gré, dans une commune admiratio
es qu’il ne pouvait aborder sans le secours d’un interprète, il s’est
trouvé
dans l’heureuse nécessité de relire souvent ses l
’ayant sous les yeux que les modèles de notre langue, il ne s’est pas
trouvé
exposé à la tentation de donner comme siennes les
ngénument en butte aux traits de la colère céleste. Béranger, qui eût
trouvé
sans doute dans l’étude des littératures étrangèr
’est-il pas ce qu’était pour le sénat romain le paysan du Danube ? Où
trouver
un modèle plus accompli de familiarité sans prosa
rement pourquoi les hommes studieux l’ont placé si haut. Eh bien ! ne
trouvons
-nous pas dans Béranger, comme dans La Fontaine, u
clarté. Ce goût, je le sais bien, fût demeuré impuissant, s’il n’eût
trouvé
pour se développer, pour se fortifier, un ensembl
truit à l’école des trois derniers siècles, il était sûr désormais de
trouver
pour sa pensée une forme obéissante. Son espéranc
de richesse, aux images plus d’éclat et de variété. Enfin, il fallait
trouver
pour la chanson des sujets qu’elle n’eût pas enco
serait le blâmer ? mais ce qu’il aime, ce qu’il a cherché, ce qu’il a
trouvé
dans la gloire, c’est la puissance, c’est le bonh
a rien de très poétique. Cependant on ne peut nier que Béranger n’ait
trouvé
pour la peinture du plaisir amoureux des couleurs
le plus parfait du genre. Ce n’est pas au fond d’une bouteille qu’on
trouve
de pareilles inspirations ; les flacons les plus
arole semble inspirée par la bonhomie la plus inoffensive ; un enfant
trouverait
ce que le poète a écrit, la foule le croit du moi
nous les raconte jour par jour ; George Dandin ne parle pas mieux. On
trouverait
sans peine dans cette chanson tous les éléments d
n tenir à la peinture du plaisir, comme je crois l’avoir montré, il a
trouvé
dans la patrie le sujet de plusieurs odes qui emp
tre déplacées sans porter un grave préjudice à l’émotion poétique. On
trouverait
sans peine plus d’un drame développé en deux mill
armera du mousquet pour venger la défaite de son pays. Je crois qu’on
trouverait
difficilement un poème qui renferme, dans un si é
ement naturel des sentiments, aux meilleures odes d’Horace. Le billet
trouvé
sous l’aile du pigeon qui est venu s’abattre au m
sor de sa pensée, agrandit et fortifie ses ailes. Pour s’animer, pour
trouver
des vers ardents, il contemple d’un œil radieux s
n’assembler jamais des rimes harmonieuses sur des sentiments encore à
trouver
, ne jamais compter sur la parenté des désinences
pelle pratiquer sévèrement les devoirs de l’écrivain, voilà ce que je
trouve
dans Béranger. La sobriété du style, le désir d’e
ant par sa bouche, n’eût blessé personne. Je ne doute pas qu’il n’eût
trouvé
moyen d’éclairer bien des questions. En restant s
la solitude. Plus d’une âme aux prises avec une réalité cruelle s’est
trouvée
subitement régénérée par un retour silencieux sur
e M. de Lamartine a consacrés à la mémoire de Graziella ; je voudrais
trouver
dans l’expression de sa douleur, de son remords,
fidences, a changé la forme du récit, c’est qu’il espérait sans doute
trouver
dans cette forme nouvelle une plus grande liberté
it-il se promettre la gloire de Raphaël, de Mozart ou de Dante ? Il a
trouvé
plus naturel d’adresser à son héros les louanges
pirer une affection profonde, il faudra tôt ou tard que cette faculté
trouve
son emploi, que ce besoin soit satisfait. Les nat
son mépris. Cette réaction, si naturelle chez les âmes généreuses, a
trouvé
dans M. de Lamartine un observateur studieux, un
s les questions scientifiques. Mariée à l’âge de dix-huit ans, elle a
trouvé
, dans le vieillard dont elle porte le nom, un ami
n roman. Puisque M. de Lamartine nous raconte sa vie, nous ne pouvons
trouver
mauvais qu’il nous offre le portrait d’une femme
narrateur. L’invention, réduite à ses seules ressources, n’eût jamais
trouvé
moyen de surmonter une telle difficulté ; pour en
louette se met à chanter. Par un bonheur singulier, M. de Lamartine a
trouvé
moyen de concilier l’éternelle jeunesse de la pas
blâmer son insouciance. Quoique le lecteur ne doive pas s’attendre à
trouver
dans la préface d’un roman un modèle d’érudition,
voir vécu pendant dix ans dans le commerce assidu des bénédictins. On
trouverait
sans peine, sur les bancs mêmes du collège, des c
anne hardiment les noms les plus célèbres de l’Europe moderne, et n’y
trouve
que paille et poussière. Dante n’est pas traité p
te amorce, la foule ; qui n’est pas prémunie contre le danger, espère
trouver
dans Geneviève un récit d’un genre ignoré jusqu’i
mariage, partage le lait de ses mamelles entre son fils et un enfant
trouvé
qui n’a pour nourrice qu’une chèvre aux mamelles
à demi taries, l’auteur, pour peindre cette exubérance de tendresse,
trouve
des couleurs vives et vraies. Quoique cet épisode
leur tour racontés avec une prolixité désolante. Geneviève, avant de
trouver
un asile chez l’abbé Dumont, traverse une série d
M. de Lamartine avec une prédilection qui se comprend sans peine. Il
trouvait
, en effet, dans le château de cet oncle mondain,
r la haute fortune qui lui était réservée. La révolution française le
trouva
dans une position qui, bien que très modeste, ava
s’inclinaient en joignant les mains, et allaient recevoir la mort. Où
trouver
des exemples d’une telle soumission, si ce n’est
eut souhaiter ? À ne prendre dans Toussaint que l’homme politique, on
trouverait
déjà dans la biographie que je viens d’esquisser
ujet une valeur nouvelle. Avant de revoir ses fils, Toussaint s’était
trouvé
aux prises avec les affections de famille dans un
le goût puisse avouer une pareille tentative. Le poète fût-il sûr de
trouver
pour ces tableaux des couleurs vives et variées,
in de la réalité. Que l’Africain illettré parle avec abondance, qu’il
trouve
pour sa pensée des images variées, je le veux bie
que Toussaint se souvienne des leçons du moine qu’il écoute, il doit
trouver
la comparaison assez maladroite. Dieu, en sacrifi
’offre lui-même au piège que lui tend le chef africain. Il ne sait où
trouver
son ennemi, et, pour lui envoyer une lettre, il f
pas pour se jeter dans ses bras. Il faut aller à l’Opéra-Comique pour
trouver
des enfants si oublieux. Le mendiant parle de son
qui les envahit. L’amour paternel est profondément senti, et l’auteur
trouve
pour le peindre des couleurs dignes du sujet. S’i
pompeuse et emphatique dans les odes d’Écouchard-Lebrun, avait enfin
trouvé
sa voix dans les Méditations. Elle renonçait à l’
réflexion. C’est une âme tendre, ce n’est pas un esprit curieux. Il a
trouvé
de bonne heure un sujet inépuisable de rêverie da
n’a jamais rencontré, jamais cherché la concision ; mais il a souvent
trouvé
, surtout dans les Méditations, un style sobre et
érite de l’industrie littéraire, s’il ne consistait pas tout entier à
trouver
des paroles nombreuses et bien ordonnées pour des
cile. Malheureusement pour le savant et le poète, personne encore n’a
trouvé
le moyen de soumettre l’exercice de la pensée aux
de Lamartine n’a rencontré une inspiration plus vraie, jamais il n’a
trouvé
pour le sentiment qui l’animait une langue plus c
comprends pas qu’une affection fervente ne rêve pas l’immortalité, je
trouve
tout simple qu’un amant cherche dans le ciel, par
tour à tour tous les tons, toutes les images, et chaque fois qu’il a
trouvé
pour sa pensée une forme nouvelle, un accent plus
our des accents si vrais, si pathétiques, pour assouplir la langue et
trouver
dans l’assemblage des mots tantôt le chuchotement
mme Djamy, comme Hafiz, excelle à peindre le désir et la volupté ; il
trouve
pour l’ivresse, pour l’extase des sens, des parol
l a gagné en abondance, on m’accusera de blasphème ; si d’aventure je
trouve
qu’il a grandi, on me répondra qu’il ne pouvait p
une délicatesse que je n’ai pas besoin de signaler. M. de Lamartine a
trouvé
pour exprimer la beauté virginale, l’épanouisseme
précision manque parfois, c’est à peine si l’intelligence du lecteur
trouve
le temps de s’en apercevoir, tant elle est charmé
ent à sa première pensée, le poète a dit ce qu’il voulait dire ; il a
trouvé
l’évidence dans l’émotion : n’est-ce pas la vraie
rmées, où notre cœur s’est ouvert à la prière. Le sentiment religieux
trouve
rarement parmi les poètes un interprète aussi élo
dans les sentiments qu’il exprime. Or, dans l’Hymne au Christ, on ne
trouve
rien de pareil. C’est l’improvisation dans le sen
inât l’étude de la poésie biblique, Isaïe et David n’ont pourtant pas
trouvé
un écho moins harmonieux que Sophocle et Euripide
eusement multipliés abolissent la forme du corps. Regardez une statue
trouvée
dans les champs de l’Attique : le lin ou la laine
volutions d’images sans nombre. Le poète, faute de s’arrêter à temps,
trouve
, à son insu, le moyen de gâter les intentions les
lût retrancher ; toutes les paroles portent coup, tous les sentiments
trouvent
un écho. L’ordonnance des idées, sans révéler un
nie lors même qu’il se fourvoie ? Quelle femme s’est jamais permis de
trouver
mauvais les vers qui lui sont adressés, quand ces
trouver à côté des strophes improvisées à la Grande-Chartreuse semble
trouvée
dans les papiers de Planard ; livrée à nos regard
la nouveauté de la forme. M. de Lamartine, qui, depuis trente ans, a
trouvé
tant de stances empreintes d’une tristesse sincèr
le de son cheval. M. de Lamartine, dans cette assez risible occasion,
trouve
moyen de jouer la fois le rôle de Louis XIV et le
nt difficile de pousser plus loin la puérilité ; cependant le poète a
trouvé
le moyen de dépasser cette limite qui semblait in
et plus je m’étonne que l’auteur des Méditations et des Harmonies ait
trouvé
le courage d’écrire de telles niaiseries. Sans do
sens et de portée, je crois entendre un prédicateur, qui n’ayant pas
trouvé
parmi ses amis un seul homme capable de parler au
es, et que le Voyage en Orient, sans le nom dont il est signé, aurait
trouvé
bien peu de lecteurs. Quant à la moralité contenu
et donnaient pour raison qu’un laquais n’est pas un homme ; M. Hugo a
trouvé
dans un laquais l’étoffe d’un amant pour la reine
e qui veut donner à la reine cette mystérieuse preuve de sympathie ne
trouve
pas moyen de pénétrer dans le parc royal par la v
ner cette découverte est d’une extrême puérilité. Marie de Neubourg a
trouvé
près de sa fleur chérie un lambeau de dentelle ;
reille épreuve est un amour menteur, et n’a rien de poétique. Ou elle
trouvait
Ruy Blas assez beau pour l’aimer, et, dans ce cas
n’a besoin que de bon sens. S’il se défie de son bras, il est sûr de
trouver
un bras prêt à le venger. Ainsi ce troisième acte
hem et de Galimafré, à la gaieté près ; car il nous est impossible de
trouver
dans ce quatrième acte autre chose qu’un cynisme
ir une action inoffensive et toute naturelle, et don Salluste désarmé
trouve
enfin le châtiment qu’il aurait dû recevoir au tr
qu’il ne soit question ni d’ordonnance, ni d’unité. Il est facile de
trouver
dans ces ouvrages, sinon des poèmes sagement conç
e moins familiarisé avec les difficultés de la versification ; car il
trouverait
dans la langue une résistance salutaire, et ne so
même rapidité. Privée de toutes les chances de renouvellement qu’elle
trouverait
dans la discussion, elle n’a plus d’autre plaisir
Hugo prend pour juges et dont nous proclamons avec lui la compétence,
trouvent
dans aucun de ces ouvrages la peinture des passio
la valeur réelle, du moins la valeur apparente de son œuvre, n’a rien
trouvé
de mieux que la philosophie de l’histoire pour ex
gens, mais par les camarades vagabonds qu’elle s’est donnés. M. Hugo
trouve
dans cette division de la noblesse l’occasion de
e, au point de vue philosophique, historique ou littéraire, et vous y
trouverez
des mérites différents, des significations divers
de cet ouvrage, et nous avions peine à croire qu’il fût possible d’y
trouver
les éléments d’un poème dramatique. M. Hugo veut
ts d’un poème dramatique. M. Hugo veut bien nous apprendre que nous y
trouverons
, à notre gré, un drame, une comédie ou une tragéd
culté lyrique de se déployer librement, tandis que cette même faculté
trouve
rarement l’occasion de se produire au théâtre. Da
pas absolument dépourvu de réalité, il était difficile à M. Hugo d’y
trouver
la matière de trois mille vers. Pour l’entendre,
alanche est pour les enfants. Je défie le physicien le plus habile de
trouver
à cette phrase un sens raisonnable, à moins que l
œur ce titre d’une simplicité affectée, en faveur des pensées qui s’y
trouvent
développées. Pendant que le poète relit pour la c
, M. Hugo, en essayant d’attendrir et de ramener les oiseaux envolés,
trouve
l’occasion de décrire ses fauteuils, son canapé,
qu’étudier. La raison n’accepte pas comme un malheur la curiosité qui
trouverait
à se satisfaire en ouvrant un livre. D’ailleurs,
verner despotiquement le domaine entier de l’imagination, et qui même
trouverait
bon que la société française le consultât sur la
r le méchant qui ne s’agenouille pas devant le génie d’Olympio, il ne
trouve
rien de mieux que de le comparer à un champignon
seiller, M. Hugo n’était plus capable de clairvoyance ; il avait déjà
trouvé
en lui-même un prêtre et un autel ; il avait fond
tre et un autel ; il avait fondé une religion qui, malheureusement, a
trouvé
des prosélytes ardents, et que je propose d’appel
artie extérieure de la poésie sont incontestables. Il a cherché, il a
trouvé
dans la prose, des ressources que les praticiens
able instrument ; dès qu’il voudra se mettre à sentir et à penser, il
trouvera
pour toutes ses émotions, pour toutes ses idées,
ccepter ce qu’il a dit autrefois d’un poète ou d’un historien sans me
trouver
d’accord avec lui, je veux dire sans épouser son
ement que la rime et la césure. Subtil et précis dans les Pensées, il
trouve
dans les Poésies des images heureusement assortie
eure et plus généreuse : il a pris soin lui-même de se réfuter ; il a
trouvé
, pour la fuite des heures que l’âme voudrait ench
s que tu as exprimées par la forme ou la couleur. » M. Sainte-Beuve a
trouvé
pour ces sentiments des paroles magnifiques, plei
pas demeurés sans récompense ; car, la brume une fois soulevée, nous
trouvons
dans ce recueil une ample moisson d’idées qui, po
dication était toujours précise, le lecteur pourrait, à la rigueur, y
trouver
un sujet de réflexion ; mais trop souvent l’indic
texte à déchiffrer, et ceux qui à force de persévérance ont réussi à
trouver
la clé de cette langue nouvelle, tout en reconnai
oule de mauvaise foi ou d’ignorance, car ils ont compris que la foule
trouvait
dans le style même de M. Sainte-Beuve l’excuse de
nage d’Amélie ne soit pas très développé, M. Sainte-Beuve a cependant
trouvé
moyen de lui donner un cachet original. Il y a da
lgré la pureté de sa conscience, elle succomberait peut-être, si elle
trouvait
dans Amaury un adversaire assez grand pour excuse
tte chère relique tous les trésors de la ferveur et de l’humilité, ne
trouvera
pas un cœur indifférent. Il est impossible de lir
du sujet. En racontant la vie et les travaux de Saint-Cyran, quand il
trouve
sur sa route le livre de Jansénius, ne pouvant se
ue Pascal est resté le maître du pamphlet, et que personne encore n’a
trouvé
moyen de l’égaler dans la polémique théologique ;
eux dire jusqu’à saint Augustin, car c’est là seulement qu’il pouvait
trouver
les vrais fondements de la doctrine janséniste :
avenus aux yeux de la raison divine. Je pense donc que saint Augustin
trouvait
au fond de sa conscience un conseiller plus sûr q
si variées, n’avait pas à redouter le reproche de sécheresse ; il eût
trouvé
, je n’en doute pas, pour l’exposition des doctrin
e un caractère plus vigoureux et plus mâle. Malgré le charme que j’ai
trouvé
dans toutes les pages que M. Sainte-Beuve a consa
s de Ronsard ; mais il n’a pas voulu le placer sur un piédestal. Il a
trouvé
, parmi des ruines sans nombre, la statue du poète
ulière. Son zèle n’a rien qui me scandalise, et je souhaiterais qu’il
trouvât
de nombreux imitateurs. Avant le livre de M. Sain
rite de Ronsard. Il a cherché les raisons de leur admiration et les a
trouvées
dans leur prédilection pour l’antiquité. Ronsard,
te préoccupation évidente, comme il cherche la vérité avec ardeur, il
trouve
des idées excellentes et les traduit dans une lan
it pas, il cherche hors du livre des arguments contre l’auteur, et il
trouve
une femme assez mal inspirée pour lui confier des
e eût le don de rendre sages et sensées les pages que M. Sainte-Beuve
trouve
, aujourd’hui, amères et ridicules. J’admets la si
compte, les éloges et les médisances dont il a été l’objet : tout s’y
trouve
; les photogravures, comme on les aime aujourd’hu
romis un gentilhomme de sa maison et un officier de son régiment : il
trouva
une ferme résistance dans le magistrat. Plus à se
rançaise dans une épigramme du poëte Roy, il eut le malheur encore de
trouver
parmi ses gens un serviteur trop prompt, qui se c
nragent de voir une fille dans une belle calèche, soient en droit d’y
trouver
à redire. » Bravo, monsieur Prudhomme ! mais je
A mon arrivée près de ce nouveau général, nous dit Rochambeau, je me
trouvai
dans une société qui m’était fort étrangère ; ce
uille autrichienne, et j’arrivai à la maison du maréchal de Saxe sans
trouver
d’autre garde quo sa garde d’honneur. Je le trouv
chal de Saxe sans trouver d’autre garde quo sa garde d’honneur. Je le
trouvai
sur son lit, écrivant ; il avait l’air de Mars su
d’escorte auraient pu la faire comme moi, sur la facilité que j’avais
trouvée
à arriver jusqu’à sa maison sans trouver un poste
sur la facilité que j’avais trouvée à arriver jusqu’à sa maison sans
trouver
un poste français : il se leva, envoya chercher l
udra bien obtenir un même nombre de troupes pour sa sauvegarde ; elle
trouvera
ci-joint le passeport nécessaire pour cette troup
in du quartier du prince, rabattit de son côté comme par hasard, et y
trouva
un dîner servi qui l’attendait et où tout s’oubli
ts du comte de Clermont à son égard, et se disant persuadé « qu’il ne
trouverait
jamais de sa part qu’attentions et politesses. »
grands risques. M. le comte de Clermont m’y envoya sur-le-champ : j’y
trouvai
nos compagnies d’ouvriers occupées à le déblayer,
de science et de démocratie ! » Si vous voulez mon sincère avis, je
trouve
que ces propos sentent à plein la secte et l’écol
rime d’amour, est resté en pleine réalité. Et on est tenté parfois de
trouver
cette étude du réel invisible aussi attachante qu
e glaireuse ? Eh bien, c’est tout de même un sacré bonhomme, et je le
trouve
très crâne, et je lui tire mon chapeau, car il se
ux fait évidemment défaut dans l’Œuvre. Vous pensez bien que vous n’y
trouverez
pas davantage l’observation des mouvements de l’â
rentré ; mais, à peine couché, il s’est échappé du lit. Christine le
trouve
dans l’atelier, au haut de son échelle, une bougi
ppelle trois fois : « Oui, oui, j’y vais. » Et Christine, à l’aube le
trouve
pendu devant l’idole, devant l’ennemie, comme un
ur. C’est donc toujours la même chose, et je ne m’en plains pas. Vous
trouverez
là des figures de second plan pétries d’un pouce
pétries d’un pouce puissant : Chêne, Mahoudeau, Jory, Bongrand. Vous
trouverez
les deux personnages qui sont dans presque tous l
ature qui représente la souffrance imméritée : le petit Jacques. Vous
trouverez
même des pages apaisées et presque gracieuses : C
laude, ou l’idylle parisienne et bourgeoise du ménage de Sandoz. Vous
trouverez
aussi deux ou trois scènes qui ne sont peut-être
la dispersion et de la mort des amitiés de jeunesse… Mais plutôt vous
trouverez
, presque à chaque page, une tristesse affreuse, u
ut-être bien cinquante millions. « Et, comme Angélique l’aimait, elle
trouvait
tout naturel de l’épouser, quoiqu’elle ne fût qu’
ieux encore. Lorsque Hubert veut adopter Angélique qui est une enfant
trouvée
, il va consulter le juge de paix. « M. Grandsire
: Alors, je lui répondis (au roi) que c’était une chose que j’avais
trouvée
facile ; et comme je le vis affectionné à la voul
n que rien n’en sortît, et mis tout cela dans le feu ; et alors je me
trouvai
net de toutes choses qui me pouvaient empêcher en
d’emprunt qu’il traverse la ville à cheval et se rend au palais où il
trouve
les principaux Siennois assemblés. Il les harangu
est votre peu d’expérience. Messieurs mes compagnons, quand vous vous
trouverez
en telles noces, prenez vos beaux accoutrements,
évrier jusques au vingt-deuxième d’avril, qu’une fois le jour : je ne
trouvai
jamais soldat qui en fît plainte. » Lui-même et l
ur (Charles Quint) d’avoir arrêté si longuement son armée, me faisait
trouver
cela si doux qu’il ne m’était nulle peine de jeûn
ngulier, il est unique peut-être, mais on regretterait de ne le point
trouver
. « En tout pourtant il y a du medium », a dit Bra
be, puis remontèrent à cheval et m’accompagnèrent jusqu’à ce que nous
trouvâmes
le marquis et le sieur Chiapin, qui pouvaient êtr
le zèle d’un jeune guerrier. Il a là-dessus des principes qu’on doit
trouver
admirables et qui s’appliquent bien à tout ordre
et de ses excès de nature, il était religieux ; il ne s’était jamais
trouvé
dans aucune entreprise sans invoquer Dieu à son a
encore, il y faudrait joindre l’étude des documents italiens ; on les
trouve
dans la collection intitulée « Archivio storico i
arquables, où tous les points de vue avaient été présentés et avaient
trouvé
de spirituels avocats et interprètes pour les fai
s, et d’habiles gens en ont fait le sujet d’un examen particulier. On
trouve
, en effet, chez lui de belles pensées qui semblen
milié, de si abandonné, qui, dans son désespoir et son abattement, ne
trouve
en elle de l’appui, des espérances, du courage :
(et toutefois, dit Rabelais, il avoit soixante et trois manières d’en
trouver
toujours à son besoin, dont la plus honorable et
deurs apparentes, elles m’en ont consolé, et je m’estimais heureux de
trouver
cette ressource contre mes tristes soupçons. Je t
me qu’avait Vauvenargues de venir à Paris, et pour cela son besoin de
trouver
2000 livres à tout prix, nous le montrent dans un
es, gens de métier, tout est bon, tout peut produire ; et, si l’on ne
trouvait
pas dans une seule bourse tout l’argent dont j’ai
e ; mais il est riche, il a des amis ; cela ne le touchera guère ; il
trouvera
bien à le placer : cependant, s’il persistait à l
e dot. Il n’a pas plutôt articulé cette dernière proposition qu’il la
trouve
ridicule, indigne d’un fils de famille ; il l’a a
nt-Vincens (décembre 1745) : Je vous enverrai mon ouvrage dès que je
trouverai
une occasion. Je ne doute pas que beaucoup de gen
e serais sûr d’être employé, en me rendant en Provence. Si je m’étais
trouvé
à Aix, lorsque le parlement a fait son régiment,
qu’en effet la poésie leur serait une inutile extériorisation, et ils
trouvent
en eux-mêmes l’atmosphère vitale nécessaire. Mais
tiste Rousseau, etc. : « Prosaïque est un mot nouveau qu’autrefois je
trouvais
ridicule, écrit Stendhal dans son livre : De l’Am
une sensation ; il s’agit d’enfermer entre deux rimes une sensation :
trouver
le mot musical qui l’évoque, et le motif qui le p
e théorie, puisque leur poésie n’est que de l’art. Ne pourrait-on pas
trouver
aussi dans le leit-motif de Wagner comme un essai
Stendhal, n’est pas même commencé ; ce n’est que par hasard que l’on
trouve
les phrases qui disent : je suis en colère, ou je
: je suis en colère, ou je vous aime, et leurs nuances. Le maestro ne
trouve
ces phrases que lorsqu’elles lui sont dictées par
tion et de la suggestion. George Sand a cherché toute sa vie, sans la
trouver
, la réalité de sa chair et ce repos momentanément
position de la sensualité impossible. J’imagine que les femmes poètes
trouvent
dans leur poésie leur plus parfaite eurythmie. L’
té, et, pour ainsi dire, les raisons physiologiques de leur génie. On
trouvera
, dans cette étude, une synthèse de la poésie fémi
renaissances et des recommencements. Quand on a de l’amour en soi, on
trouve
toujours un être sur qui le répandre. Ce qui cons
gner les développements verbaux ; il faut que la parole rebondisse et
trouve
ses accords. Exiger trop de précision, c’est peut
e claire mirée en un miroir obscur… Mais, chez ce poète encore, nous
trouverons
les motifs de sa poésie dans la nostalgie de sa t
à peine pour l’amour. … Et celui qui, pensif, sous le sol séculaire,
Trouvera
quelque jour mon âme funéraire Saura que je fus f
if harmonisé. Ce sera en baissant son lyrisme, d’un demi-ton, qu’elle
trouvera
la note juste de son émotion : L’odeur de mon pa
veut recréer le monde extérieur, tel qu’elle l’a senti. Parfois, elle
trouve
le vers, la strophe, qui est comme une minute cap
evant elle, comme un jeune dieu plein de vie et de santé. La poétesse
trouvera
pour la décrire toutes les images qui évoquent l’
in ». Et c’est dans cette transposition panthéiste de l’amour qu’elle
trouve
un vaste bonheur qui la subjugue. Pas de déceptio
il n’est qu’un appât pour les insectes, colporteurs des pollens. Nous
trouvons
cependant dans ces parfums une excitation à la vo
nte sont une religion secrète, ignorée, ou méprisée du vulgaire. Elle
trouve
une sensualité intellectuelle dans cet aristocrat
ut se fait amertume, et c’est dans cette amère perversité que la Muse
trouvera
son bonheur. Voici un petit poème : Victoire, qui
parfait des étreintes et des spasmes ? On dirait qu’elle ne peut pas
trouver
ce repos spontanément absolu de sa sensibilité dé
: dans la digne sérénité de la poétesse grecque, la muse française a
trouvé
le beau courage de chanter à haute voix les joies
conservé les rites De ce brûlant Lesbos doré comme un autel… ……… On
trouvera
, dans le recueil qui s’intitule : À l’heure des M
lait plus chanter que pour ses amies. Déjà dans Flambeaux éteints, on
trouve
ce vers : L’horreur de n’être plus ce qu’on fut
goût ; elle était une proie tout indiquée pour la phtisie ; le mal ne
trouva
chez elle qu’une faible résistance ; elle ne fit
pures tendresses, où, reposée des mauvaises amours de la terre, elle
trouverait
enfin le divin apaisement. Elsa Koeberlé C’
ure de l’amour, cette perpétuelle analyse de soi-même, que cette Muse
trouvera
la plénitude de son être. Ceux que nous aimons no
t de parfaite béatitude, comme si, par leur seule présence, nous nous
trouvions
plongés dans la lumière la plus favorable à notre
ment sensible à la beauté plastique et émotionnelle de la femme, elle
trouvera
ce vers pour décrire Fiesole, … Qui est un bouqu
rivons dans le sable (Le vent l’effacera) une date et mon nom. Et je
trouve
vraiment belle cette orgueilleuse acceptation : l
e nous révèle la composition de sa subtile et lumineuse ardeur : on y
trouve
, à l’analyse, les lèvres d’Héloïse, les yeux de R
nchi le seuil de sa demeure pleine de fantômes romantiques. Mais elle
trouve
un immense bonheur dans la contemplation de son p
ur ? Et dans son dernier volume [en préparation : les Sept Dieux, je
trouve
cet aveu qui indique bien sa perpétuelle inquiétu
e rire. » La poétesse a bien compris la vanité égoïste de l’homme qui
trouve
dans les larmes qu’il fait couler une preuve de s
s, ses dépits, ses regrets, ses amertumes et ses douleurs. Les femmes
trouveront
, dans ce bréviaire poétique, l’expression musical
u bout de la conception qu’elle se fait de la passion, la poétesse ne
trouve
plus qu’une issue pour s’évader, les ailes déploy
t je reste femme Et ma douceur sourit ; peut-être je suis Dieu, De me
trouver
ainsi tout entière en tout lieu, D’être une et d’
ire indéfiniment ainsi qu’un masque grec… ». Je ris de voir les gens
trouver
l’ombre angoissante Et vouloir pénétrer ce qui n’
, à ses tempes, comme une artère enfiévrée. On devine qu’elle ne peut
trouver
le repos que dans la sensation de participer aux
a vie et qu’un des aspects de sa sensibilité. Voici que la poétesse a
trouvé
la stabilité de son être, et son prochain recueil
anéités féminines, si proches encore de la vie directement captée, de
trouver
, dans l’œuvre d’une femme, une poésie d’un art pa
les images et les idées. Aussi pourrait-on penser que le poète s’est
trouvé
un peu étouffé par l’artiste, mais quelle sagesse
nsons c’est, plus musicalement, le rebondissement d’une sonorité ; on
trouverait
de tels jeux de rimes chez les poètes du xve siè
l’épuiser… violence dont il semblait qu’il allait mourir. » « Elle
trouvait
qu’il devait ressembler à Adolphe de Benjamin Con
espérance de la mort ‒ ce qui est une espérance toute négative. Et je
trouve
que ce roman passionné — comme on n’en fera plus
cidents grotesques dont est semée la vie et la route des ivrognes, on
trouve
des cas terribles qui sont peu comiques à notre p
issant amant de la nature cherchera flegmatiquement sa femme et ne la
trouvera
plus. Le mérite spécial de George Cruikshank (je
antisme italien (je me sers de ce terme à défaut d’un terme absent) a
trouvé
son expression dans les caricatures de Léonard de
e quantité infinitésimale. Dans toutes les études de cet artiste nous
trouvons
une préoccupation constante de la ligne et des co
conduite du chef de la maison. Quelquefois, en rentrant chez lui, il
trouvait
sa femme et sa fille se prenant aux cheveux, les
s de la tête, dans toute l’excitation et la furie italiennes. Pinelli
trouvait
cela superbe : « Arrêtez ! leur criait-il, — ne b
par un côté du malheureux Léopold Robert, qui prétendait, lui aussi,
trouver
dans la nature, et seulement dans la nature, de c
es presque indéchiffrables aujourd’hui ; c’est dans cette série qu’on
trouve
des maisons dont les fenêtres sont des yeux, des
omprendre ni en déterminer positivement la raison ; mais souvent nous
trouvons
dans l’histoire, et même dans plus d’une partie m
le romantisme français à Chateaubriand. Il ne n’est pas davantage de
trouver
qu’il entre en scène aux premiers écrits de Rouss
iée, de sens plus synthétique, à proposer et mettre en avant. On n’en
trouve
pas. Ce qu’on pourrait suggérer dans cette intent
rt, mes études principales me faisaient un peu philosophe, je me suis
trouvé
dans une position peut-être avantageuse pour voir
s, ou plutôt dont il caractérise la commune philosophie où cet esprit
trouve
son expression instinctive et spontanée. Celui-ci
losophe « avec toute l’âme », le déconseillerait, au contraire, et le
trouverait
dangereux. Ce qui n’est pas moins fort, c’est que
’inspire à M. Reynaud, c’est une certaine vue qu’il a, et que nous ne
trouvons
pas sans profondeur, de la diversité des conditio
que le romantisme, en cette période de son adolescence inquiétée, ne
trouva
pas de meilleur combattant que Stendhal, qui fut
sa Vie de Henri Brulard et ses autres mémoriaux de jeunesse, pour n’y
trouver
que « peu ou point de rêverie ». Il n’y a absolum
ins de ses succès dans les salons littéraires de la Restauration. Ils
trouvaient
à cet homme de tant d’esprit et de pointe quelque
. Une seconde remarque, c’est que Sainte-Beuve, comme critique, s’est
trouvé
devant une situation nouvelle, caractérisée par l
pidement ? Et comment l’élite que leurs chants ont émerveillée, qui a
trouvé
dans ces chants tant d’échos aux voix de son âme,
plutôt craint le contraire. Sa psychologie du poète lyrique, loin de
trouver
en celui-ci une disposition spéciale à l’enseigne
te d’une inquiète interrogation sur son avenir, une telle société eût
trouvé
bien froid, bien indifférent à ses préoccupations
science et de l’aveu. Avouer n’est rien, leur dirais-je. Quelle peine
trouvez
-vous à déverser dans un trou d’ombre, auquel vous
s passages jugés offensants pour la croyance catholique. Jean-Jacques
trouve
qu’on en exige trop, et qu’à tant défendre la let
’obstinent à vouloir jouer à quitte ou double ont grand tort ; ils ne
trouveront
sûrement pas leur compte à ce marché : or, pourqu
que je sentais dans mon âme en puissance, et qui, faute d’objet, s’y
trouvait
toujours comprimée, sans pouvoir s’exhaler autrem
s lieux, il s’apaisa et tendit à Jean-Jacques une main amie. Celui-ci
trouva
du sublime dans cette action. C’était exagéré. Et
e souplesse d’esprit qui les préserve invinciblement du fanatisme, il
trouvera
bien à m’opposer des Gascons qui ont parlé et agi
, mais avec sobriété. De beaucoup, je n’y insisterais pas autant J’ai
trouvé
chez ce Renan des particularités étranges, nouvel
nous, foi en la valeur de la vie et de l’œuvre humaine, que notre âme
trouve
dans son fond à opposer aux mille motifs que le s
l’avoir découverte. J’écris, sans m’enfler, ce mot qui pourrait être
trouvé
présomptueux. Des découvertes de cette force, tou
e des Mélésigènes. Si je disais qu’il n’y avait qu’un Lamartine pour
trouver
cela, quel homme de goût ne m’approuverait ? Quoi
? Quoi de plus lamartinien ? Hé bien ! ce n’est pas Lamartine qui l’a
trouvé
; il l’a pris à un autre. A quelqu’un de ses pair
n’en aurait aucune à la jouissance de l’amateur, jouissance qu’il ne
trouverait
qu’à revivre ce même frisson et à s’en laisser tr
généreux et franc, et contre qui l’immortelle satire de Molière, qui
trouverait
aujourd’hui tant de lamentables applications, ne
flatteries malignes et de paternelles agaceries à son élève, M. Benda
trouve
moyen de lui expliquer, avec une force et une pro
he des choses créées ? C’est de nouveaux sujets d’adorer qu’il y doit
trouver
, au contraire, de nouvelles terrasses, si j’ose d
it, depuis les origines de la civilisation, chaque fois qu’elle s’est
trouvée
devant la tâche de digérer, si j’ose ainsi dire,
té fidèlement mes propos. Mais, comme il ne leur a point, sans doute,
trouvé
assez de piquant, il y en a adjoint d’autres, qui
Arc, c’est là ce que nous souhaitons. Les nourrissons de mon régent y
trouveront
leur joie, sans que les délicats manquent, pour c
trouveront leur joie, sans que les délicats manquent, pour cela, d’y
trouver
leur compte. Je n’attends pas de cet auteur une l
rtains se sont montrés fort durs pour ce livre. Ils ont été jusqu’à y
trouver
de l’« ignoble ». Je proteste. Les images inutile
une poésie pénétrante. J’y renvoie le lecteur curieux du sujet. On ne
trouvera
ici que quelques notes et réflexions, sans aucune
jour je découvris la source d’où elle le tenait par intermédiaire. Je
trouvai
à la foire, perdu parmi les articles d’épicerie e
ectaient encore n’osaient plus l’avouer. Bientôt cette littérature ne
trouva
plus d’acquéreurs distingués. Elle devint matière
c’est bien la nature qui respire en elles. Encore faut-il qu’elle ait
trouvé
pour l’interpréter un artiste doué de génie et au
dur, de sauvage. Tout au contraire : il n’y a pas de musicien qui ait
trouvé
aux plus tendres sentiments de l’âme une traducti
fois en 1874. Le public fut très partagé de sentiment. Le compositeur
trouva
dans la jeunesse un parti enthousiaste qui fit et
pas à reconnaître les incontestables avantages que M. Robert Godet a
trouvés
à prouver son dire par une série d’exemples et de
ans ces cinquante dernières années le génie musical de notre nation a
trouvé
son expression la plus fidèle et la plus complète
génie. Chez nous, au contraire, Massenet, Gounod, Fauré ont toujours
trouvé
auprès du public plus de faveur que leur illustre
s au contact de ces maîtres. Ils vibrent moins que nous avec eux. Ils
trouvent
dans les belles œuvres de Saint-Saëns une univers
éclaircir cette distinction un peu scolastique où l’on voudra bien ne
trouver
qu’une simple orientation des idées, L’inspiratio
prodigieux d’animation et d’action ? Et, d’autre part, pourriez-vous
trouver
un lien entre cette inspiration et la sensibilité
phoniste s’affirme dans les opéras et combien de fois ce qu’on y peut
trouver
à redire pour la froideur de l’expression est-il
C’est à parcourir l’œuvre instrumentale dans tous les genres que nous
trouverions
nos joies. Elle est inégale, elle est trop nombre
je crois, à comprendre un trait qui lui est particulier et dont on ne
trouverait
peut-être pas d’autre exemple dans l’histoire de
lus forts et les plus vifs de son tempérament et de son génie, il y a
trouvé
une élasticité et une puissance d’élan qui l’ont
ntrariait cruellement mes expansions vocales. Quelle bonne fortune de
trouver
sous la main le camarade inconnu qui du clavier s
y perdit un certain art, d’ailleurs utile, de se faire valoir, il en
trouva
l’ample récompense dans la plus savoureuse, quoiq
ste était le cacique et aussi « l’intellectuel » de la famille. Ayant
trouvé
sur la banquette du café un volume oublié par un
stitution de crédit fondée sur des bases morales d’une candeur qui ne
trouverait
pas d’application aujourd’hui et qui a pourtant f
avait des amis jusqu’à Marvejols, Quimper-Corentin ou Saint-Gaudens,
trouvait
l’occasion de s’instruire d’un air indolent. Il y
pressenti à coup sûr leur génie clinique. Cette conception généreuse
trouvait
son symbole dans une anecdote que des exégètes sé
s du favorable horoscope de Baptiste à qui je le présentai et qui lui
trouva
« une boule de philosophe », ce qui était d’aille
it un dogme à l’usage des petits bourgeois. Les libertés de sa pensée
trouvaient
un contrepoids dans la sévère discipline de ses h
xelles, Lekeu possédait Lachelier mieux que Lachelier lui-même. Lekeu
trouvait
à Bruxelles un groupe de jeunes musiciens qui sav
tive, quand la périphérie de leur âme s’est déveloutée, ils devraient
trouver
aux sources plus hautes d’une région plus intérie
hautes d’une région plus intérieure un aliment rénovateur. Ils ne l’y
trouvent
point, parce qu’ils sont, à côté de leur don juvé
on aspiration première, et il ne l’abjura jamais. En 1788, il s’était
trouvé
chez son oncle Claude Perier, à Vizille, pendant
ner un fondement profond à la moralité, et qui ne dédaigne pas de lui
trouver
la sanction la plus intime, il essayait d’attendr
soupçonnés, pour tout méfait, de sentiments royalistes inpetto, il y
trouve
sujet à un beau développement et qui rappelle l’o
t se trouver parmi nous quelques royalistes d’opinion, il pouvait s’y
trouver
quelques hommes qui, méditant dans le silence du
rochure : Pie VI et Louis XVIII, conférence théologique et politique
trouvée
dans les papiers du cardinal Doria, traduite de l
: je vous atteste que votre lettre ne m’a point étonnée, que je l’ai
trouvée
naturelle dans votre situation et qu’elle n’a rie
fois à mon amitié pour vous, si vous vous souvenez encore que vous me
trouviez
aimable. » C’est encore à cette première saison
tielles erreurs purent se faire douloureusement remarquer, mais elles
trouvèrent
leur excuse dans de difficiles circonstances : el
suis décidée à n’y pas croire. D’ailleurs, cela fût-il vrai, vous me
trouverez
quelque habitation près de Paris et vous viendrez
rre. Qu’avez-vous pensé de l’ouvrage de mon père119 ? N’avez-vous pas
trouvé
que c’était vos sentiments appliqués aux institut
pas eue, cette idée, avant ce que j’ai lu ; mais j’ai eu l’orgueil de
trouver
là tant de réponses à mes sentiments les plus int
ettiez le projet évanoui. J’ai vu assez souvent Mme de Krüdner. Je la
trouve
toujours distinguée ; mais elle raconte une si gr
rop françaises pour rien d’un peu allemand : à vingt lieues d’ici, on
trouverait
mieux ; mais là ce ne peut être moi et encore moi
’une des petites universités où votre talent pour traduire l’allemand
trouverait
à se placer. Dans la solitude où nous vivons, vou
échissez à mon projet, et n’allez pas le croire mauvais parce que j’y
trouverais
du bonheur. — Adieu. Dites-vous bien que vous pou
ester ici plus de six jours. Ce qui m’y plaît c’est Villers, à qui je
trouve
vraiment beaucoup d’esprit, et je vous recommande
imer du bien qu’il me fait, ou plutôt du mal dont il me sauve. — J’ai
trouvé
ici Villers de Kant, qui est vraiment un homme d’
il Coppet. » « Lyon, dimanche — 3 mai. « J’arrive ici espérant vous y
trouver
d’après la lettre que Matthieu et moi nous vous a
Gœthe133 ? Il y a une personne ici qui voudrait le traduire. Je ne le
trouve
guère meilleur que vous ; mais il a un grand succ
iennent et donnent de l’intérêt à sa vie. — — Juliette va venir. Vous
trouveriez
ici trois cœurs bien à vous. Cela ne vaut-il pas
, à temps pour mettre mon mot d’amitié à la fin de cette lettre. J’ai
trouvé
notre amie contente de son passage à Lyon, et de
iosité ? Je serais charmée de la revoir. Adieu, cher Camille, je vous
trouverais
bien aimable de répondre promptement à toutes mes
t vous aurez un grand succès. — Dans votre traduction, les orthodoxes
trouveront
des bizarreries, des négligences, et vous reparaî
er ; mais, si vous étiez moi, ne feriez-vous pas ce que je ferai ? et
trouvez
-vous que, mes enfants et moi, nous sommes faits p
, Napoléon, maître de Moscou et à la veille de cette fatale retraite,
trouvait
le moment de donner son avis sur la question de l
hieu, comme j’ai résisté, mais inutilement, à celle de Juliette. — Je
trouve
ridicule d’imiter le baron de Voght, c’est-à-dire
-le-lui. — Notre jeune peintre est dans les montagnes. Son grand-père
trouvait
bien mal qu’il se fît persécuter chez lui. — On m
r (1810 ?). « Je ne fais jamais rien de ce que je veux, et je me suis
trouvée
retenue par mille raisons. Mandez-moi quand vous
nterrompit nécessairement sa correspondance avec Camille Jordan. Elle
trouva
moyen pourtant de lui faire parvenir ce billet qu
protège ici145. Jamais de plus hautes qualités, selon moi, ne se sont
trouvées
réunies à un charme de bonté qui met le cœur à l’
, après avoir traversé des antichambres, des salons, des galeries, de
trouver
la maîtresse de la maison dans un cabinet écarté,
epté les invitations parce que j’étais encore souffrante ; mais je me
trouve
en relation de visite avec tout le monde. — Werne
m’a parlé de M. Artaud, de M. Richard, de M. Revoil147; mais je n’ai
trouvé
d’autre charme dans sa conversation que les souve
plaît guère. Il vient de m’envoyer ses derniers ouvrages ; si je les
trouve
dignes de vous, je vous les ferai passer. — Le di
homme si doux, si plein d’aménité dans le commerce habituel, pouvait
trouver
à la tribune des paroles souvent si âpres et si b
t marqué par le talent, — je ne crois pas qu’en aucun temps on puisse
trouver
une plus attrayante physionomie, une plus belle â
condamnée, où elle est simplement qualifiée de naturelle, qu’ils ont
trouvé
l’apologie, la déification de l’assassinat. Et qu
s, jusqu’à omettre ou changer des Vers en beaucoup d’endroits. On les
trouvera
rétablis dans celle-ci, et ce n’est pas un petit
osa au public sa première Comédie ; c’est celle de L’Étourdi. S’étant
trouvé
quelque temps après en Languedoc, il alla offrir
r quelques idées plaisantes sans y avoir mis la dernière main ; et il
trouva
à propos de les supprimer, lorsqu’il se fut propo
ailleurs il observait les manières et les mœurs de tout le monde ; il
trouvait
moyen ensuite d’en faire des applications admirab
ée pour les divertissements du Roi, qu’au mois d’Août 1665 Sa Majesté
trouva
à propos de l’arrêter tout à fait à son service,
oyale s’applaudit du choix qu’il avait fait d’eux, puisque le Roi les
trouvait
capables de contribuer à ses plaisirs, et particu
avoir joué les Médecins en particulier dans plusieurs autres, où il a
trouvé
moyen de les placer ; ce qui a fait dire que les
tte mort rien ne fut plus approuvé que ces quatre vers latins qu’on a
trouvé
à propos de converser. Le Lecteur observa que sur
ant de finesse, de précision, de noblesse & de vérité qu’on croit
trouver
toujours quelque chose de nouveau. Il y a dans le
. Il regne un continuel désordre dans tout ce qu’il écrit, & vous
trouvez
tel chapitre intitulé des Loix, où il n’y aura pa
taire, & ce n’est pas un service qu’on a rendu à ce dernier. On a
trouvé
la même différence entre les deux recueils qu’ent
bre des bons écrivains de son tems. Quelques philosophes du nôtre ont
trouvé
que le piétisme l’avoit empêché d’élever son géni
n élégante & fine. Les choses communes ou peu importantes qu’on y
trouve
, sont mêlées de quelques traits neufs & plais
le Monde, par le même, ouvrage périodique de morale critique, où l’on
trouve
des morceaux intéressans. Le meilleur livre de mo
plus fidéle que l’auteur en a puisé les couleurs dans lui-même. On a
trouvé
depuis environ cent ans un nouveau moyen de nous
i-même, le meilleur livre de ce fécond écrivain, & dans lequel on
trouve
le germe de tout ce qu’il a dit ensuite. C’est pa
▲