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1 (1870) Causeries du lundi. Tome X (3e éd.) « Léopold Robert. Sa Vie, ses Œuvres et sa Correspondance, par M. F. Feuillet de Conches. — II. (Fin.) » pp. 427-443
n caractère plus sévère, quoiqu’il ait quelque rapport au premier. Je trouve que la terre de Naples est tout à fait poétique,
. Je désirerais faire voir, s’il m’est possible, la différence que je trouve entre ces deux peuples, et pour cela il faut des
merais aller m’installer pour cela sur les lieux mêmes où je voudrais trouver mes inspirations. Il y a une petite ville extrême
x qui ont cherché à la représenter et s’en sont approchés le plus. Ne trouvez -vous pas qu’il y a inconséquence et un grand manq
ion que je ne peux m’empêcher de vous communiquer, celle de n’y avoir trouvé aucun tableau un peu original : tous ne sont que
x qui ornaient les habillements de leurs ancêtres. Sous ce rapport je trouve qu’ils feraient bien, mais les classiques trouver
. Sous ce rapport je trouve qu’ils feraient bien, mais les classiques trouveront que je donne dans le romantique. Il me semble pou
nt qu’il y a une sévérité dans cette bizarrerie : si je parviens à la trouver , je suis sûr de réunir les suffrages d’hommes dif
rappelle très bien l’Exposition (celle de 1831 à Paris), eh bien ! je trouve qu’il n’y avait aucun tableau turc ou grec un peu
sont des caricatures. Toi (Il écrit à Schnetz) qui es venu ici, ne le trouves -tu pas ? Il est en cela sévère et injuste ; il a
les ombres qui le défigurent et le recouvrent dans la réalité : Pour trouver le beau d’une chose, ne faut-il pas la voir, la r
aire une grande composition, pensez-vous que le premier modèle que je trouve soit convenable pour servir à rendre une figure,
la misère et qui n’inspirent que la pitié pour ceux qui les portent, trouvez -vous que, pour y donner un sentiment de noblesse
le pourtant le frapper et le pénétrer en passant, lorsqu’il dit : Je trouve une grande différence à faire les figures d’homme
et c’est une observation que j’ai faite depuis longtemps. Le moyen de trouver dans un homme avili ce qui est nécessaire pour pl
résentation d’une force, d’un caractère et d’une énergie qu’il n’a pu trouver dans la nature qu’avec de grandes difficultés et
s’élève à l’idée pure et dominante qu’une imagination grandiose peut trouver dans sa conception même ou dans celle des génies
t très vite de belles compositions. Je crois qu’il est plus facile de trouver chez les artistes des choses faites bien spiritue
il et à une peine inévitables. Après que la pensée d’un tableau était trouvée et la composition bien arrêtée (ce qui lui avait
endu dire de la planche de Mercuri, je la supposais bien, mais j’y ai trouvé surtout ce qu’on ne trouve pas toujours dans les
Mercuri, je la supposais bien, mais j’y ai trouvé surtout ce qu’on ne trouve pas toujours dans les productions des arts : je v
ses réelles, ou qu’il se figurait, une prédisposition héréditaire. On trouverait dans ses lettres écrites durant les deux ou trois
oses qui parlent à l’âme, à présent que mon frère est avec moi. Je me trouve toujours mieux après que quand je me trouvais seu
frère est avec moi. Je me trouve toujours mieux après que quand je me trouvais seul. C’est cette solitude morale qui se refit b
ds avec l’âge : « Je ne peux m’expliquer, pensait-il, comment on peut trouver dans ce monde des êtres qui paraissent n’éprouver
alienne lui convenait peu ; au milieu d’un agrément extérieur, il n’y trouvait pas la satisfaction intime, ni ce sentiment de sé
fallu une compagne de « ce caractère doux, simple et aimant, que l’on trouve , disait-il, dans nos montagnes, et qui, lorsqu’il
alckenaer m’a dit souvent, que les soucis, les chagrins que l’on peut trouver dans l’état du mariage sont si vifs, qu’elle n’os
entre tous ceux de notre âge. Ceux qui voudraient plus de détails les trouveront avec plaisir dans l’ouvrage de M. Feuillet de Con
re. Ils cherchent, d’après ce qui m’a paru, une harmonie de tons : je trouve , d’après ce que j’ai vu, que quelquefois ils la t
e de tons : je trouve, d’après ce que j’ai vu, que quelquefois ils la trouvent … Ce peintre qui, je crois, n’était pas M. Louis
2 (1881) La parole intérieure. Essai de psychologie descriptive « Chapitre V. La parole intérieure et la pensée. — Premier problème : leurs positions respectives dans la durée. »
e étrangère, alors les mots paraissent devancer les idées ; nous nous trouvons dans la situation de l’homme qui écoute la parole
ent, — soit que, nous attachant à des problèmes difficiles, nous nous trouvions en verve et heureusement inspirés. Mais, lorsque
us est devenue familière qu’avec le temps, et les réflexions que nous trouvons toutes simples aujourd’hui, enfants, elles eussen
l’effet et la récompense d’une longue et patiente recherche ; si l’on trouve sans chercher, c’est qu’on avait cherché sans tro
es qui simplifient désormais la tâche de la réflexion ; les idées qui trouvent promptement leur expression ne sont nouvelles qu’
sé est plus grande en elles que celle du présent. Primitivement, pour trouver l’expression d’une pensée nouvelle, il faut la ch
elle est venue du dehors par le moyen des mots, ou bien nous l’avons trouvée par notre propre réflexion, en nous aidant, pour
expression toute faite dans notre mémoire ; il faut donc, après avoir trouvé l’idée, trouver une formule qui l’exprime exactem
e faite dans notre mémoire ; il faut donc, après avoir trouvé l’idée, trouver une formule qui l’exprime exactement dans son ent
ée même dont les destinées lui sont confiées par le penseur. Une fois trouvée la formule qui paraît douée de cette vertu, le pr
oses l’une alors : ou ces deux pensées se confondent, et l’expression trouvée devient l’expression définitive d’une pensée mixt
, sous le prétexte de comparer à sa pensée les termes qu’il a d’abord trouvés pour l’exprimer, compare deux pensées qu’il sait
pas, en définitive, été exprimée, que son expression immédiate s’est trouvée , après examen, être l’expression d’une autre pens
ole peut aider la pensée, plus on cherche ses mots, moins vite on les trouve , moins appropriés ils sont à bien rendre les déco
che toujours ses mots quand il porte un jugement nouveau, mais il les trouve de plus en plus facilement ; d’autre part, quand
evient si étroit que l’enfant devenu un adolescent ne peut plus guère trouver une pensée sans la bien exprimer, ni se rappeler
ne pensée bien exprimée est-elle mieux comprise de celui même qui l’a trouvée  ? Pourquoi, ensuite, est-elle plus aisée à reteni
ntaires dont les termes sont depuis longtemps fixés. Cette expression trouvée et approuvée, on est maître de sa pensée, on la c
u les interprètes de Boileau, on peut avoir une pensée claire sans en trouver immédiatement l’expression, ou du moins l’express
seules sont faciles à exprimer et à bien exprimer, qui sont faciles à trouver et à entendre ; ce sont les idées du sens commun
iser ; chacun aura sa part selon ses aptitudes. Ce que le maître aura trouvé sans parvenir à le faire entendre, sinon à un pet
iran, sont de si maladroits écrivains, s’ils sont morts avant d’avoir trouvé l’expression limpide où chacun aurait pu lire san
eptions ; il y a des esprits médiocres qui cherchent leurs mots et ne trouvent pas ceux qu’il faudrait ; il y a des esprits inve
ouvent pas ceux qu’il faudrait ; il y a des esprits inventifs qui les trouvent promptement et chez lesquels ils se combinent heu
t absolu, qui n’a jamais eu qu’un petit nombre d’idées, qui, une fois trouvée la formule concise de chacune d’elles, s’est déso
il tâtonne, il cherche, il reste quelquefois des années entières sans trouver la vraie formule de sa pensée ; parfois il y reno
privilège assez rare ; on l’a dit : beaucoup d’esprits bien faits ne trouvent la formule vraie qu’en descendant l’escalier ; le
ion. 248. De Bonald décrit le même fait à sa manière. Je pense qu’on trouvera notre description plus exacte. « Que cherche notr
uivre ; je les rejette. Sagacité s’offre à mon esprit ; ma pensée est trouvée  ; elle n’attendait que son expression. 146 et 287
très distinctes. J’en veux former une seule idée. Que fais-je pour la trouver , et pourquoi ne l’ai-je pas aussitôt que je veux 
ue je veux ? c’est que son expression me manque. Je la cherche, je la trouve , et j’ai l’idée demandée : 433. Tous les exemples
r la figure d’un ami absent, retouche son dessin jusqu’à ce qu’il ait trouvé l’expression du visage qu’il reconnaît aussitôt. 
’est que « faire sa langue » ; Ed. Fournié, p. 326 et 336 : « Nous ne trouvons dans le mot que ce que nous y avons mis », etc.
3 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XIV. La commedia dell’arte au temps de Molière (à partir de 1662) » pp. 265-292
t une pension annuelle de 15 000 liv. Dans les comptes de la cour, on trouve , à la date de 1664, la mention du payement de cet
ts écus d’assuré. Cette pension resta fixée au même chiffre, que l’on trouve inscrit encore dans les comptes de l’année 1674 e
urriture, logement, etc. Ainsi, à la suite de l’article précédent, on trouve celui-ci : « Item, pour voiturer lesdits comédie
s avoir fait deux fagots, veut en charger son âne ; il est surpris de trouver , au lieu de sa souquenille, un habit magnifique,
aît l’habit de l’homme qui a blessé Ottavio, fouille dans ses poches, trouve une lettre d’Aurelia, se confirme dans l’idée qu’
se recommande à l’intendant. Quand le geôlier arrive, il se fâche de trouver sa sœur dans la rue avec un inconnu ; il fait gra
confirme dans cette idée, lorsque après avoir visité les clefs, il en trouve une qu’il ne reconnaît pas. Grand train, grand ta
lle de la chambre du fourbe ; il va l’essayer, ouvre la porte, entre, trouve une montre d’or, la vend et invite ensuite Pantal
ouvant rattraper sa clef, fait ouvrir sa chambre par un serrurier, ne trouve plus sa montre, en demande des nouvelles. Arlequi
uin, que les Italiens appellent goffagine, que quiconque l’a vu jouer trouvera toujours quelque chose à redire aux plus fameux A
le génie de la nation française, qui aime l’esprit partout où elle le trouve , s’avisa de faire usage des pointes et des sailli
tare auprès de la première et se retire. Arlequin est fort surpris de trouver deux instruments au lieu d’un : “Comment diable,
e spécimen ? Arlequin est valet de Pantalon. Ils arrivent ensemble et trouvent Octave en conversation avec Eularia. Arlequin, vo
ent pas de l’empêcher de continuer librement son chemin. Mais si nous trouvons un bon marchand, n’eût-il pour toutes armes qu’un
en avez besoin, lui crie-t-il, servez-vous de l’occasion, vous ne la trouverez pas toujours si commode. » Ces traits sont pris
dez-vous pour le soir même, à minuit : il se rend au lieu indiqué, et trouve une échelle appuyée au balcon de la demoiselle. S
son élève ; il dit que le ciel lui inspire une bonne pensée, qu’il va trouver l’impudique beauté qui attire son élève, lui repr
er par ses sages exhortations dans la bonne voie. Il monte, en effet, trouve la jeune personne endormie. Alors le sage précept
4 (1772) Bibliothèque d’un homme de goût, ou Avis sur le choix des meilleurs livres écrits en notre langue sur tous les genres de sciences et de littérature. Tome I « Bibliotheque d’un homme de goût. — Chapitre I. Des poëtes anciens. » pp. 2-93
nt fait regarder Homere comme la Divinité du Parnasse ; mais il s’est trouvé dans le siècle dernier & dans le nôtre plusie
u’au dessein d’Homere ; & descendant du plan aux détails, ils ont trouvé ridicule que des Rois & des grands Capitaines
rale ne leur plaît pas davantage, & en beaucoup d’endroits ils la trouvent très-dangereuse pour les bonnes mœurs. Les défens
vie. Zoïle dans l’antiquité déprima tant qu’il put Homere, & il a trouvé des imitateurs en France. Le premier, qui chez no
Cette version n’est qu’un essai, & elle n’est pas complette. On y trouve un beau discours sur Homere. “Il seroit sans dout
c’est une ressource pour notre paresse & notre ignorance, de les trouver tellement traduits & expliqués par le P. Brum
ne nous en reste qu’une qui n’est pas même dans son entier, mais on y trouve la beauté, le nombre, l’harmonie & les graces
la Grèce. Nous n’avons point de traduction complette de ce Poëte. On trouvera quelques-unes de ses Odes mises en françois par l
a traduction, elle est assez peu estimée, mais un avantage que l’on y trouve , c’est que Limiers y a réuni les trois Comédies t
elle relut son ouvrage, & qu’elle le compara à son original, elle trouva que sa version sentoit la lampe, à la lueur de la
ion de la peste ; mais il est étouffé dans tout le reste, où loin d’y trouver un Poëte qui imite, qui peigne & qui remuë, o
que le fond même de ses idées, & l’on pourroit dans cette partie trouver quelques endroits un peu foibles. Cependant nous
ndre. Sa diction est toujours pure, harmonieuse & coulante. On ne trouve dans Virgile ni les excessives hyperboles de Luca
es de Milton, ni son emphase orientale qui assomme le lecteur. On n’y trouve point ce style dur & désagréable de nos Poëte
quels il s’appuye, & quelquefois n’en citant aucun. Souvent, pour trouver dans le texte le sens qu’il imagine, il ajoute de
un beau poëme. Mais je vois en même tems, que les mêmes critiques ont trouvé que le traducteur ne rend quelquefois que la moit
ou de sens étrangers, ni même d’expressions louches, & qu’il s’y trouve en plus d’un endroit des omissions essentielles.
dé.” Si des traductions en prose nous passons à celles en vers, nous trouverons que nous ne sommes pas peut-être plus riches ; ca
premiers Livres en vers burlesques. Quelques hommes d’un goût bizarre trouvent cette momerie fort plaisante. Des gens d’esprit m
, & qu’il seroit fâché de ne point commettre. L’Enéide de Scarron trouva de continuateurs aussi indécens que lui, mais moi
oit capable d’un tel travail, & ce grand Poëte n’est pas facile à trouver . Le partage d’Horace a été de n’avoir presque que
e latin à Venus la Déesse des graces, Et le françois à son époux. On trouve plusieurs autres morceaux d’Horace épars çà &
ntes notes, mais non exempte de tout reproche. Quelques critiques ont trouvé qu’il y avoit des endroits glacés, dans le franço
tées ; mais quand on la rapprochera du texte de notre Poëte, qu’on le trouvera peu reconnoissable, l’auteur n’a pas mis la chale
étoit fort sec, mais le Poëte doué de l’imagination la plus heureuse, trouva le moyen de répandre des fleurs sur toute la rout
astes. Mais ces Elégies ne sont pas celles de ses productions où l’on trouve le plus d’élévation & d’agrément. Ce sont tou
ain. Je ne crois pas que l’on puisse blâmer cette ambition. Mais on a trouvé que pour la satisfaire, il en coûtoit quelquefois
d’aimer, la source, à ce qu’on prétend, des malheurs d’Ovide, n’a pas trouvé de traducteur digne des charmes de ce Poëme ; &am
plus mauvais plaisant eut ses approbateurs, Et jusqu’à d’Assouci tout trouva des lecteurs. Ce trait piqua vivement notre Poët
tyle très-bouffon : “Ah ! cher lecteur, si tu sçavois comment ce tout trouva me tient au cœur, tu plaindrois ma destinée ; j’e
attribué à Chapelle, qui finit par ces vers : Mais quant à moi, j’en trouve tout fort beau, Papier, dorure, images, caractère
ruit du commerce de M. Gillet de Moyvre, Avocat, avec les Muses. On y trouve toutes les poésies de Tibulle, traduites en vers
mplaisance, qui l’engagea à le reproduire au grand jour en 1746. On y trouve , comme dans son histoire de Tibulle, la traductio
ssent nullement ni du pays latin, ni de la langue latine. Mais on l’a trouvé trop familier dans cette longue Epître préliminai
eu occasion de faire sur ces piéces dans son théâtre de Grecs. Vous y trouverez les paralleles de l’Œdipe de Sophocle avec l’Œdip
a eu plusieurs traducteurs. Premiérement Nodot, qui ajouta une suite trouvée , à ce qu’il dit, à Belgrade en 1688. ; suite dont
ident Bouhier ; celle-ci est digne de la plume de ce Magistrat. On la trouve dans son Recueil de diverses traductions en vers
au qui n’est pas piquant ni brillant en couleurs, mais dans lequel on trouve des sites & des incidens pittoresques. La séc
oëtes françois ont imité ou traduit diverses piéces de ce Jésuite. On trouvera ces imitations dans le recueil de ses œuvres, Par
oute singulier qu’un Poëme, qui enseigne un pareil art, & où l’on trouve des peintures des plaisirs de l’amour, & des
es Passions & l’Art de la Verrerie. Les petites négligences qu’on trouve dans le premier sont peu de chose, quand on les c
vrage en prose françoise. Ceux qui sont versés dans les deux langues, trouveront que la version est peu littérale, & que le tr
aussi élégantes. Vaniere. Le Pradium Rusticum du P. Vaniere, a trouvé autant d’admirateurs que le Poëme des Jardins du
Comédies, & Martignac mit en François les trois autres. (*). On trouve cette Histoire romanesque dans le tome premier de
5 (1870) De l’origine des espèces par sélection naturelle, ou Des lois de transformation des êtres organisés « De l’origine des espèces par sélection naturelle, ou Des lois de transformation des êtres organisés — Chapitre XI : Distribution géographique »
ère de climat ou de conditions physiques, dans l’Ancien Monde, qui ne trouvent leurs semblables dans le Nouveau, du moins jusqu’
même espèce exige en général ; car c’est un cas des plus rares que de trouver un groupe d’organismes exclusivement confiné en q
ouest de l’Amérique du Sud, entre les 25° et 35° de latitude, on peut trouver des régions on ne peut plus analogues à tous égar
eut plus analogues à tous égards, et pourtant il serait impossible de trouver trois faunes et trois flores plus complétement di
es déserts, et quelquefois sur les deux rives d’une large rivière, on trouve de très différentes productions ; bien que pourta
occidentales de l’Amérique du Centre et du Sud. À peine y pourrait-on trouver un poisson, un coquillage ou un crustacé qui fût
l’océan Pacifique, nous ne rencontrons plus aucune barrière, et nous trouvons , au contraire, des côtes continues ou d’innombrab
t américain. Si nous gravissons les pics élevés des Cordillères, nous trouvons une espèce de Viscache alpestre ; si nous regardo
une espèce de Viscache alpestre ; si nous regardons les eaux, nous ne trouvons point le Castor ou le Rat musqué, mais le Couïa o
assés, et, ainsi que nous l’avons vu dans le chapitre précédent, nous trouverons encore que ce sont des types américains qui préva
usqu’aux contrées isolées et distantes les unes des autres où nous la trouvons aujourd’hui répandue. Néanmoins cela semble si si
égard de tous les autres êtres organisés ; et il s’ensuit que nous ne trouvons point d’exemple d’un même mammifère habitant des
es, fait qui serait complétement inexplicable. Aucun géologue ne peut trouver de difficulté à ce que la Grande-Bretagne, par ex
es espèces peuvent être produites en deux points séparés, pourquoi ne trouvons -nous pas un seul mammifère qui soit commun à l’Eu
s distantes et séparées ; et je ne prétends nullement qu’on en puisse trouver aucune explication complète et certaine. M’ais ap
e ne parlerai ici que des plantes. Dans les ouvrages de botanique, on trouve telle ou telle plante désignée comme se prêtant m
ister à l’action nuisible de l’eau de mer. À ma grande surprise, j’ai trouvé que, sur 87 espèces, 64 ont parfaitement germé ap
tai ensuite l’essai sur des capsules ou des fruits plus gros, et j’en trouvai quelques-uns qui flottèrent très longtemps. On sa
d’autres pierres pour leurs outils ou leurs armes, que celles qu’ils trouvent entre les racines de ces arbres échoués. Ces pier
s pour rapporter aux petits rois du pays un droit important. Or, j’ai trouvé à un examen scrupuleux que, lorsque des pierres d
e germer ; on sait de plus, très positivement, que lorsqu’un oiseau a trouvé une grande quantité de nourriture et l’a ingurgit
s ils dégorgent de petites pelotes renfermant des graines qui se sont trouvées propres à la germination, d’après les expériences
rd’hui tempérées. Le nombre considérable de plantes européennes qu’on trouve aux Açores, en comparaison de celles qui croissen
t observé de blocs erratiques dans ces îles, et il répondit qu’il s’y trouvait de gros fragments de granit et d’autres roches qu
e ans, il serait miraculeux que beaucoup de plantes ne se fussent pas trouvées ainsi transportées et répandues. On considère à t
ues de l’Europe et de l’Amérique, que lorsqu’en d’autres régions nous trouvons les mêmes espèces sur les sommets de montagnes él
, et depuis seront revenues à leurs stations actuelles ; mais je n’ai trouvé aucune preuve satisfaisante de cette période inte
s vivants des régions tempérées du Nouveau Monde et de l’Ancien, l’on trouve très peu d’espèces identiques, bien qu’un plus gr
t cru d’abord, ainsi que l’a dernièrement démontré Asa Gray ; mais on trouve dans chaque grande classe des formes que certains
up au-dessous de leur niveau actuel, et les plantes identiques, qu’on trouve en cette île sur des montagnes très éloignées les
ifférent, on a suivi le même phénomène jusqu’à 46° de latitude ; on a trouvé aussi des blocs erratiques dans les Montagnes Roc
ux renseignements sur ce sujet par M. Forbes. Je tiens de lui qu’il a trouvé , dans les Cordillères, entre 13° et 30° de latitu
u’à l’extrémité méridionale du continent et sur ses deux versants, on trouve les preuves les plus évidentes de l’action glacia
es européens. Sur les montagnes les plus élevées du Brésil, Gardner a trouvé quelques genres européens qui n’existent nulle pa
représentatives de la flore du cap de Bonne-Espérance. Au Cap même on trouve aussi quelques espèces d’Europe, que l’on ne croi
teur Hooker, on pourrait dresser une longue liste de genres européens trouvés en Australie, mais qui ne se rencontrent nulle pa
Introduction à la flore de la Nouvelle-Zélande du docteur Hooker, on trouve des faits analogues et non moins frappants à l’ég
mmunes à la Nouvelle-Zélande et à l’Europe, mais n’ont pas encore été trouvées dans les mers tropicales intermédiaires. Il faut
a Terre-de-Feu, vivent aussi dans l’Amérique du Nord, qui doit s’être trouvée sur le chemin de leur migrations. Nous pouvons su
situées au niveau de la mer, était à peu près le même que celui qu’on trouve aujourd’hui à une altitude de cinq ou six mille p
Panama, à une altitude de 2, 000 pieds seulement, le docteur Seeman a trouvé une végétation semblable à celle de Mexico « avec
eur indéterminée avec des formes tempérées. J’ai espéré quelque temps trouver la preuve que quelque part dans le monde les trop
us dans l’archipel Malais, car sur les cônes volcaniques de Java nous trouvons des formes européennes, et sur les hauteurs de Bo
le moins souffert de la période glaciaire ; néanmoins là encore nous trouvons sur les montagnes du Brésil un petit nombre de fo
leur patrie originaire en plus grand nombre, se sont, en conséquence, trouvées , grâce à une concurrence et à une sélection natur
ées ici. Je dirai seulement qu’à l’égard des espèces identiques qu’on trouve en des points aussi éloignés les uns des autres q
6 (1772) Bibliothèque d’un homme de goût, ou Avis sur le choix des meilleurs livres écrits en notre langue sur tous les genres de sciences et de littérature. Tome I « Bibliotheque d’un homme de goût. — Chapitre II. Des poëtes étrangers. » pp. 94-141
e Poëte ; mais elles sont répandues çà & là. L’ouvrage où vous en trouverez le plus est celui que M. l’Abbé de Sade nous a do
du sujet ; le comique & souvent un comique bas & obscene, s’y trouve confondu avec le tragique & l’héroïque. Ce Po
es traits qui leur sont propres & qui les distinguent le plus. Où trouver des caractères plus variés, plus fortement souten
e toute cette Pastorale une sagesse d’expression qui n’a pas toujours trouvé dans les Poëtes italiens de scrupuleux imitateurs
riche dans ses images, intéressant dans la conduite de sa piéce. On y trouve même plusieurs morceaux plus brillans & plus
t dans l’Italien. Ces fleurs qui en sont un des plus beaux ornemens y trouvent le même dépérissement qu’essuye le plus délicieux
nt il est rempli, un phœbus perpétuel, des tirades de vers où l’on ne trouve que la même pensée, ses images peu naturelles, to
est regardé comme un des beaux monumens de la langue italienne. On y trouve beaucoup de feu, d’imagination & de gaieté. R
trois volumes in-12. qui est plus élégante & plus fidéle. Il a dû trouver de grandes difficultés dans la modestie de notre
ts ; mais on vouloit avoir les piéces en entier, & c’est ce qu’on trouve dans le recueil de M. Linguet beaucoup plus ample
adis perdu de Milton est peut-être le seul Poëme anglois où l’on peut trouver dans un parfait degré cette conformité qui satisf
élevé, il descend à la description naturelle des choses humaines. Où trouver des images plus grandes, plus sublimes, une poési
rale, est préférable à celle de M. Racine. Le Paradis reconquis qu’on trouve à la suite de la traduction de Racine, est un aut
n ouvrage très-médiocre. Mais à force d’esprit, l’auteur d’Hudibras a trouvé le secret d’être fort au-dessous de Dom-Quichote.
très-beaux vers, rien néanmoins n’y attache l’esprit, parce qu’on n’y trouve aucun ordre, aucune liaison, aucune analogie dans
st une preuve de la ressource qu’un homme d’esprit & de goùt peut trouver dans l’élégante clarté & dans la douce énergi
i ce n’est qu’il est, ce me semble, plus enjoué & plus galant. On trouve dans ce petit Poëme de l’invention, du dessein, d
rose, & M. Despreaux, de l’Académie d’Angers, l’a mis en vers. On trouve ces deux versions dans l’édition des œuvres de Po
sions dans l’édition des œuvres de Pope que nous avons indiquée. On y trouvera aussi un grand nombre d’autres ouvrages dont il e
nchantemens, ni monstres, ni divinités, ni allégories, & l’on n’y trouve aucune de ces machines qui constituent l’essence
ent assez variés. Celui de Leonidas est très-beau, mais en général on trouve dans ce Poëme plus d’esprit que de goût. Il a été
re qu’après l’avoir dépouillée. Malgré cela, il faut convenir qu’on y trouve des élans de génie supérieur en quelque sorte aux
a version est plus fidéle que celle de M. de la Place, qui, lorsqu’il trouve dans les productions britanniques des images ou d
Il y a divers morceaux traduits d’après les Poëtes de la Chine. On y trouve de l’enthousiasme, de l’imagination, de l’allégor
7 (1772) Bibliothèque d’un homme de goût, ou Avis sur le choix des meilleurs livres écrits en notre langue sur tous les genres de sciences et de littérature. Tome I « Bibliotheque d’un homme de goût. — Chapitre VI. Des Livres qui traitent de la Rhétorique. » pp. 294-329
en ce genre, il n’y en a point qui ayent mieux réussi qu’Aristote. On trouve dans sa Rhétorique de l’ordre, de l’exactitude &a
ble à lire que l’original. Si des Grecs nous passons aux Latins, nous trouvons d’abord Ciceron qui fut le maître, ainsi que le m
excellente traduction en 1737., exactitude, fidélité, élégance, on y trouve tout ce qu’on devoit attendre d’un auteur familie
à la traduction que M. de Villefore en publia en 1726. in-12. On n’y trouve point l’élégance de l’original, & le sens n’e
pour offrir aux yeux une parade vaine ; Mais placés avec ordre on les trouve sans peine. C’est ce que dit Pope en parlant de
acite. Ce Dialogue ne peut être que l’ouvrage d’un grand maître. On y trouve des caractères soutenus, des portraits d’après na
e partie de l’art de l’éloquence qui donne des préceptes pour aider à trouver les pensées qui doivent composer le discours. Il
mples sont en général bien choisis & bien éclaircis, mais il s’en trouve quelques-uns d’un très-mauvais goût.” L’auteur d
, ne paroissent à d’autres que des trivialités brillantes. On n’a pas trouvé non plus assez de justesse dans plusieurs de ses
e ou qu’on ne pense pas comme le P. Buffier, on ne peut s’empêcher de trouver de la profondeur & de la finesse dans ses réf
t le Pere Ceruti, a de grands avantages sur l’Eloquence profane. Elle trouve plus aisément l’art d’intéresser le sentiment, l’
choses des Orateurs sacrés, comme aujourdhui on en exige trop peu. On trouvera l’apologie de ce Jésuite dans l’Art de prêcher la
répétitions dans son traité, & sur-tout trop de digressions. On y trouve une longue apologie des Sermons de St. François d
de ses auditeurs, pourroit faire un grand fruit ; mais il est rare de trouver de telles personnes. C’est beaucoup que la plûpar
Eloquence à la suite de ses Panégyriques. “Je me flâte, dit-il, qu’on trouvera de la conformité entre les unes & les autres
es Panégyriques d’après mes Réfléxions ; & j’ose espérer qu’on ne trouvera rien dans celles-ci qui ait été dicté au Rhéteur
le. C’est un écrit systématique, où, avec de fort bonnes idées, on en trouve beaucoup plus de singulieres, comme dans la plus
te de vérités spéculatives. Entr’autres opinions singulieres que l’on trouve rêpandues dans cet écrit, on est étonné que l’aut
oquence du Barreau. Nous ne sommes pas bien riches dans ce genre ; on trouvera pourtant de bonnes choses dans les Regles pour fo
de l’Avocat. Son ouvrage est en forme de maximes ; & j’en ai peu trouvé qui ne soient solides & judicieuses. Un peu p
e dessein par rapport à l’objet qu’il traite. Les jeunes Prédicateurs trouveront ici dans un seul volume les maximes & les reg
8 (1870) Causeries du lundi. Tome X (3e éd.) « Léopold Robert. Sa Vie, ses Œuvres et sa Correspondance, par M. F. Feuillet de Conches. — I. » pp. 409-426
l et y habite. En 1817, il fit un voyage en Italie avec sa famille et trouva à Rome, parmi les pensionnaires de l’Académie de
pide ivresse ; puis vint le travail : il s’agissait de se diriger, de trouver et de suivre son genre de talent. Il y avait d’un
d : « qu’il ne faut pas voir la nature bêtement, et qu’il faut savoir trouver le beau ». Noblesse et vérité, c’est là toute la
ait peu à ajouter à ses modèles. Il s’occupait avant tout de les bien trouver , de les bien choisir, afin de les copier ensuite
eut son contrecoup pittoresque inattendu. Schnetz et Léopold Robert y trouvèrent leur veine. Installés au milieu de cette populati
uni. Léopold Robert eut de tout temps la plus grande préoccupation de trouver de ces modèles qui avaient échappé par leurs trai
cher ami, qu’en faisant ces observations, je ne pouvais m’empêcher de trouver l’immortel Raphaël bien au-dessous de la nature,
ais, comme je vous le disais tout à l’heure, je ne peux m’empêcher de trouver les œuvres du Créateur bien autrement sublimes qu
n sujet de composition à la Gérard. Mais Corinne, mais Oswald, où les trouver  ? Dans les salons sans doute, dans la société ; L
it-il à son ami Navez, sur mon tableau de Corinne… Il pourra bien s’y trouver quelques bons détails, mais j’ai bien peur de m’ê
ait-il à un ami, malgré son amabilité (affectée bien souvent), je lui trouve si peu de naïveté, de vrai sentiment, de jugement
et puis, enfin, on voit le caractère des gens dans leur peinture ; je trouve qu’elle n’a pas l’ombre de sentiment, pas d’expre
« Je te félicite d’avoir enfin pris le parti de te marier et d’avoir trouvé surtout une aimable moitié qui trouvera plus son
e parti de te marier et d’avoir trouvé surtout une aimable moitié qui trouvera plus son plaisir d’être chez elle que de sortir.
amicale et d’esprit de famille : Il est vrai que tu as tout pour te trouver heureux d’être au monde : tu te trouves dans ta p
t vrai que tu as tout pour te trouver heureux d’être au monde : tu te trouves dans ta patrie, honoré et considéré pour ton tale
e pense quitter Rome au printemps prochain : l’isolement où nous nous trouverons , mon frère et moi, ne sera pas assez long, j’espè
as un stimulant assez fort ; il me faut une autre chose que vous avez trouvée  : c’est votre affection, cette amitié qui m’émeut
fais n’a pas à ses yeux le cachet qu’il désire et qu’il prêche. Il y trouve peut-être trop de nature, c’est-à-dire un effet q
9 (1865) Causeries du lundi. Tome VI (3e éd.) « Saint Anselme, par M. de Rémusat. » pp. 362-377
ention et appeler l’intérêt de ceux qui lisent : aujourd’hui il devra trouver un accueil plus empressé encore et plus favorable
tourmente politique de l’avoir enveloppé dans son tourbillon, et qui trouveraient certainement des accents pour invoquer les dieux
y reconnaît bien quelques mérites d’idée et d’intention, mais il n’y trouve pas le vrai cachet original, et il ajoute avec je
et défaillant, on raconte que, pour réparer un peu ses forces, il ne trouvait à manger que la neige du chemin : Un âne portait
âne portait leur mince bagage ; le serviteur inquiet chercha s’il n’y trouverait pas quelque nourriture, et, contre son attente, i
’il n’y trouverait pas quelque nourriture, et, contre son attente, il trouva du pain blanc qui leur rendit la vie. Anselme, co
ie. Anselme se dirigea à travers la Bourgogne et la France, et on le trouve en Normandie, à Avranches, en 1059 ; il n’avait q
te, il y entra dans sa voie la plus naturelle de vocation, et qu’il y trouva le champ de culture le plus approprié à ses insti
die n’étaient presque qu’un même pays depuis la conquête), Anselme ne trouva point en lui toutes les qualités et les ressource
à proprement parler, il conçoit, il déduit, il expose. La forme qu’il trouve naturellement pour développer ses idées est celle
heureux, au point de vue religieux et moral, que la croyance en Dieu trouve des appuis plus naturels et plus sentis dans le c
très grande moitié du monde, même du monde intellectuel, qui ne s’en trouve pas plus convaincue après qu’auparavant, et qui c
n confirmative pour ceux qui croyaient déjà. Et de son temps même, il trouva un petit moine très sensé et très poli, appelé Ga
politiques qui entrassent dans les vues de son gouvernement. Il avait trouvé quelqu’un de tel dans la personne de Lanfranc, ar
ls sont une fois soulevés, il attend la solution d’ailleurs, il ne la trouve jamais de lui-même. Il montre dans l’ensemble de
’avoir voulu sauver la France à leur manière, d’une manière qui s’est trouvée insuffisante et fragile en face d’une autre métho
— Cet article était écrit lorsqu’au moment de le faire paraître, nous trouvons avec bonheur, dans Le Moniteur de ce matin (8 aoû
10 (1856) Leçons de physiologie expérimentale appliquée à la médecine. Tome I
ai pas à m’expliquer sur le point de vue qui règne dans ce livre ; on trouvera des éclaircissements suffisants à ce sujet dans l
dans des conditions simples et faciles à apprécier, les lois que l’on trouve se rapprochent beaucoup plus de la réalité, sans
tés pour découvrir des faits qui les renversent, qu’il y en a pour en trouver qui les appuient. S’il nous a été donné de faire
e physicien de nos jours2, que « rien n’est plus clair que ce qu’on a trouvé hier, et rien n’est plus difficile à voir que ce
qu’on a trouvé hier, et rien n’est plus difficile à voir que ce qu’on trouvera demain. » Je désire, Messieurs, mettre un exempl
ence que cette section exerce sur la chaleur de ces mêmes parties, je trouvai des faits en apparence contradictoires consignés
ympathique. En plongeant un thermomètre dans l’oreille gauche, nous y trouvons quatre degrés de plus que dans l’oreille droite,
es, qui resteront comme des desiderata tant qu’elles n’auront pas été trouvées . Ceci revient à dire, en d’autres termes, que les
ns examiné les urines de cinq ou six autres lapins, et nous les avons trouvées toutes douées des mêmes caractères physiques et c
aille, de la vessie duquel nous extrayons également l’urine ; nous la trouvons cette fois claire, limpide, acide, contenant beau
e, et je cherchai à apprécier cette circonstance. J’arrivai bientôt à trouver que cela dépendait de l’état d’abstinence où se t
t normal a correspondu un progrès équivalent dans la pathologie. Nous trouverions à toutes les époques de la médecine un grand nomb
fonctions du foie, du pancréas, du grand sympathique, etc., ont déjà trouvé leur application en suscitant des observations pa
a l’esprit immédiatement dirigé vers l’affection diabétique quand on trouve une personne dont les urines sont sucrées. Nous v
s l’organisme par l’acte de la digestion du sucre ou des féculents ne trouve pas dans le sang l’alcalinité convenable pour le
l’organisme, qu’elle se rencontre constamment dans l’économie, et s’y trouve formée par une fonction toute spéciale, quelle qu
métallique et une précipitation de l’oxyde de cuivre. M. Becquerel a trouvé que cette réduction ne s’opère qu’avec les sucres
emple, pour transformer en glucose le sucre de canne qui pourrait s’y trouver . Après cette opération on neutralise le liquide e
nter l’oxygène à l’air, il l’a pris au deutoxyde de cuivre, qui s’est trouvé réduit à l’état de protoxyde insoluble dans l’aci
e sont pas toujours praticables quand on a du sucre à reconnaître, on trouve un caractère d’une certitude absolue dans la ferm
ctions avec le liquide cupro-potassique ni avec la potasse. Mais j’ai trouvé que le charbon animal est un moyen plus simple po
tres présentant une vitalité supérieure. Quoi qu’il en soit, quand on trouvait du sucre dans un animal, on croyait que cette mat
en raison même de la nature de son alimentation ; que l’on devait en trouver chez les herbivores, qui prennent en abondance de
rganes provenant du bœuf, c’est-à-dire du même animal dont nous avons trouvé le foie très sucré. Vous voyez qu’aucun de ces ti
grand nombre d’expériences faites à ce sujet nous ont appris que nous trouverions que ce tissu provenant de 20 grammes de foie frai
s moyens de dosage, mais j’aime mieux y revenir plus tard, si nous le trouvons nécessaire. Je me hâte de poursuivre la partie vr
faite judiciairement deux jours après par M. Ambroise Tardieu, on ne trouva dans l’estomac que du vin avec très peu d’aliment
nière partie de l’expérience que la déviation de +0,5°, qui avait été trouvée dans le premier examen du liquide, était due tout
les herbivores, soient déjà une preuve que le sucre se forme où on le trouve , je veux vous démontrer maintenant, par des expér
mois ; au bout de ce temps, les animaux ont été sacrifiés, et l’on a trouvé dans leur foie 1,90 gr. pour 100, c’est-à-dire au
dans le sang de la veine porte venant des intestins, tandis qu’on en trouve des quantités considérables dans le sang qui sort
ie, puisqu’il n’y en a pas dans le sang avant cet organe, et qu’on en trouve de grandes quantités dans le sang après. Nous ajo
n fragments de tête de mouton cuits que l’animal avait mangés, on n’y trouve pas les moindres traces de matière sucrée. — Il n
ême des années après l’emploi de ces substances, on pouvait encore en trouver des traces dans le tissu hépatique. Mais il ne sa
ieurement formée a eu le temps de se détruire. Nous ne devons plus en trouver la moindre trace, bien que l’animal fût en pleine
oie elle-même s’arrête, et il ne se produit plus de sucre, aussi n’en trouve-t -on jamais sur les cadavres apportés dans les amph
il reste encore du sucre dans le foie. C’est ainsi que nous en avons trouvé chez quelques phtisiques, morts à la suite d’une
longue maladie, ou sont morts subitement. Dans le premier cas, on ne trouvera plus de sucre dans le foie, tandis qu’il y en aur
sang qui entre dans le foie ne contient pas de sucre, tandis qu’on en trouve toujours dans le sang qui en sort. La fonction gl
s directement dans le sang. En effet, dans l’état physiologique on ne trouve jamais le sucre hépatique en dehors du système ci
s, et l’on savait très bien que, quand on fait jeûner les animaux, on trouve constamment chez eux la vésicule distendue par la
e larves, par conséquent de matières animales. Nous avons constamment trouvé du sucre dans leur foie. Nous avons de plus suivi
oie devient plus abondante, de telle sorte que bientôt l’estomac s’en trouve rempli et distendu. La sécrétion du fluide sucré
oit à l’état de larves (à l’exception des pucerons et des kermès), on trouve , à la terminaison du ventricule chylifique ou est
intestinales, et qu’on le traite par le liquide cypro-potassique, on trouve qu’il le réduit. Il y aurait donc chez les Mollus
ons actuellement l’urine dans la vessie chez ce même animal, nous n’y trouvons pas de sucre. La bile elle-même qui sort du foie
ez la bile contenue dans la vésicule aussitôt après la mort, vous n’y trouverez pas de sucre, pas plus que dans la bile prise sur
le tissu du foie, déjà même le lendemain de la mort de l’animal on y trouvera du sucre en quantité notable. Que s’est-il passé
exemple, à jeun, ou dans l’intervalle qui sépare deux digestions, on trouve , en général, ce que nous avons dit tout à l’heure
s avons faites devant vous, pour vous montrer que chez un chien on ne trouve pas de sucre dans le sang qui arrive au foie, nou
sucre dans tous les vaisseaux du corps, artériels et veineux ; on en trouve même dans les artères rénales, mais en proportion
’admettait pas la production du sucre dans le foie, parce qu’il avait trouvé du sucre dans les veines superficielles du corps
l’excès de sucre se serait répandu dans tout le sang, et alors on en trouverait dans la veine porte ; ce sucre ne viendrait pas d
siologiques bien faites. Nous voyons, en effet, qu’où la chimie seule trouve des résultats contradictoires, la physiologie les
e départ, et que c’est toujours à cet organe qu’il faut remonter pour trouver l’origine de la matière sucrée. Ces diverses circ
s petite quantité. Ce liquide est le fluide céphalo-rachidien. J’y ai trouvé du sucre d’une manière constante, soit à jeun, so
ane du corps qui ait la propriété d’en fabriquer. Dans le cas où nous trouvons du sucre répandu dans tout l’organisme, il est to
imum, la production du sucre ne dépassant pas la destruction, on n’en trouve pas dans le système circulatoire général ; mais q
re au dehors, tant que la courbe ne dépassera pas la ligne e b, on ne trouvera pas de sucre dans les urines ; mais cette substan
la direction générale, en creusant plus profondément le phénomène, on trouverait des oscillations de deuxième et troisième ordre q
sur le côté droit du cou, et immédiatement au-dessous de la peau nous trouvons la veine jugulaire externe bien plus volumineuse
i provenait du foie, n’a donc pas traversé le poumon, puisqu’on ne le trouve pas dans le sang après cet organe. Il n’est pas n
ntoure. Si les animaux utilisent pour leur nourriture le sucre qu’ils trouvent dans les végétaux, on ne peut pas dire que ce soi
année, la plante accumule dans sa racine les matières sucrées qui s’y trouvent alors en grande abondance ; mais si on la laisse
si, car, dans l’analyse que j’ai faite d’un foie gras de canard, j’ai trouvé 1,40 pour 100 de sucre dans le tissu du foie. Le
de la substance fonctionnante du foie ; car à côté de ces lésions on trouve des parties saines présentant du sucre dans les p
considérable ; car sur un chien à jeun depuis trente-six heures, j’ai trouvé encore une proportion de 1,255 de sucre pour 100
jours, l’autre depuis douze jours (ce dernier buvait de l’eau), j’ai trouvé encore très évidemment du sucre dans le foie. Che
et l’animal n’avait perdu que 3 onces de son poids. À l’autopsie, on trouva que son foie donnait une décoction claire et neut
t faisant tourner à droite le plan de polarisation. Par le dosage, on trouva que cette décoction hépatique contenait 2,87 pour
ez d’autres rongeurs à l’état normal. Quand on ouvrit l’estomac, on y trouva une matière neutre d’un blanc grisâtre qui existe
ons nourri des chiens avec du lard et avec de l’axonge, et nous avons trouvé ce fait très curieux, que sous l’influence de cet
nalyses de Lehmann viennent encore confirmer ces faits. Ce chimiste a trouvé que le sang qui arrive dans le foie contient, quo
onstitution des matières azotées de la bile. On ne saurait, en effet, trouver une autre origine à cette matière sucrée, qui ne
dans l’œsophage à l’aide d’une sonde. Nous ouvrons l’estomac, nous y trouvons une bouillie grisâtre, que nous jetons sur un fil
re sucrée dans l’estomac. Dans la partie inférieure du duodénum, nous trouvons une matière visqueuse jaunâtre, colorée par la bi
ation féculente ou sucrée, nous devions naturellement nous attendre à trouver une plus grande proportion du sucre dans le foie 
grande proportion du sucre dans le foie ; au lieu de cela, nous avons trouvé qu’il n’y en a pas une plus grande quantité après
réalité, de ceux indiqués pour la gélatine et de ceux que nous avons trouvés ailleurs pour des alimentations mixtes. Mais il y
ouvrons actuellement l’estomac et l’intestin de l’autre animal, nous trouvons dans l’estomac une matière grisâtre dans laquelle
tales, et, si vous analysez leur sang dans le cœur, par exemple, vous trouverez chez tous une composition à peu près identique de
n en rencontre dans le sang de la veine porte. Mais cependant on n’en trouve pas plus au-delà du foie que dans une nourriture
100 ; quand il se nourrit de matières féculentes ou sucrées, il s’en trouve encore des quantités sensiblement égales, de 1,50
ntaires, par les faits connus dans l’engraissement des bestiaux, nous trouverons là une expérimentation faite sur une plus vaste é
écrétion biliaire que nous aurons à envisager dans cet organe, nous y trouverons en outre deux fonctions distinctes d’une importan
tenant, nous cherchons dans les faits pathologiques, nous pourrons en trouver peut-être qui sont en rapport avec cette nouvelle
allons vous dire quelques mots. Quand on fait l’anatomie du foie, on trouve des groupes de cellules, qu’on nomme un lobule (f
tité d’une solution concentrée et dosée de sucre, et cependant on n’a trouvé le sucre dans les urines que chez un seul animal.
est remarquable que c’est chez les chevaux coureurs que j’ai toujours trouvé cet appareil à son summum de développement. Les f
lupart après un séjour plus ou moins long dans les hôpitaux, vous n’y trouverez pas ordinairement de sucre. Voici, par exemple, u
s. Cela indique alors que le malade n’a plus longtemps à vivre. On ne trouve , en effet, de sucre dans le foie des diabétiques
comment s’est comportée pendant ce temps la fonction glycogénique, on trouve que, à mesure que la température s’abaisse, le su
e, et quand le thermomètre n’indique plus que 18 à 20 degrés, on n’en trouve plus du tout, de sorte qu’en deux heures tout le
imal aura repris sa chaleur normale, que sa vivacité sera revenue, on trouvera du sucre dans son foie. En voyant ainsi disparaît
obules rouges. — Quand on examine le sang après sa sortie du foie, on trouve que les globules sont notablement plus petits que
en conséquence, à voir le sang de la veine porte, que nous avons déjà trouvé plus riche en sérum, contenir plus d’eau que celu
se, la fibrine, l’albumine et le sucre. Quant à la graisse, Lehmann a trouvé , sur trois observations, les résultats suivants :
s à ce sujet. La fibrine disparaît complètement dans le foie. On n’en trouve plus trace dans le sang des veines hépatiques. Su
t. Enfin, indépendamment de ces substances, il y a le sucre, qu’on ne trouve jamais dans le sang de la veine porte, quand on p
r exemple, pour faire suite aux mêmes analyses précédentes, Lehmann a trouvé 0,055 gr. pour 100 dans le sang qui entre dans le
suite ramenée à l’échelle du thermomètre à graduation centésimale. On trouvera résumés dans le tableau suivant les résultats des
’absorbe peu à peu dans le tissu cellulaire, de manière qu’il ne s’en trouve jamais à la fois qu’une faible quantité dans l’or
alyse des phénomènes du diabète, nous verrons que chacun de ces faits trouvera son application. Onzième leçon 30 janvier 18
on, où il peut être alors complètement détruit ; dans ce moment on ne trouve manifestement du sucre qu’entre ces deux organes.
l’animal en repos on tire alors du sang de la veine jugulaire, on n’y trouvera pas sensiblement de traces de matières sucrées. S
qu’après on reprenne du sang de la veine jugulaire du même animal, on trouvera qu’il y a du sucre. L’expérience aura cependant d
de la présence du sucre dans l’urine des fœtus de différents âges, je trouvai d’autres faits qui ne pouvaient plus s’expliquer
du sucre, quoiqu’il soit alors sécrété dans l’organisme, et qu’on en trouve beaucoup dans le foie. Je vous donne ces détails,
sparaître ; car si elle paraissait confirmée dans un des cas, où l’on trouve du sucre dans l’urine, quand il n’y a pas encore
ratoire, elle ne pouvait plus s’appliquer à l’autre cas, où l’on n’en trouve plus chez les fœtus de sept ou huit mois, bien qu
la destructibilité du sucre au contact de différents gaz, nous avons trouvé que l’oxygène ne possède rien de particulier à ce
ain, après vingt heures de contact, on examina tous les sangs et l’on trouva que le sucre avait disparu d’une manière complète
Il était donc naturel de penser que le sucre avait préexisté où nous trouvions de l’acide lactique, de même que, lorsque nous tr
isté où nous trouvions de l’acide lactique, de même que, lorsque nous trouvons de la dextrine, nous concluons à l’amidon qui lui
it surprendre le sucre à sa formation, puisque primitivement on ne le trouve pas dans le muscle, ni dans le poumon. Il fallait
et de l’alcool, dont voici également un échantillon. Nous avons donc trouvé ce fait, qui n’avait jamais été soupçonné, c’est
, en essayant les divers tissus, les uns après les autres, nous avons trouvé que le sucre ne se développait que dans le poumon
fermentation gylcosique paraît seule avoir lieu, et le sucre qui s’y trouve paraît s’éliminer à ce moment sans passer à l’éta
s comment expliquer dans la théorie de l’oxydation, à savoir que l’on trouve du sucre dans l’urine des fœtus, dès que la vessi
qui considérait la matière sucrée comme venant toujours du dehors ne trouverait plus de défenseurs. Mais les théories ne se résig
ns le sang de bœuf pris dans les abattoirs, quand il est frais, on en trouve toujours, et voici pourquoi. Pour saigner les bœu
Lehmann ainsi que d’autres expérimentateurs l’ont faite, on n’eût pas trouvé de sucre, ou bien dans les cas où l’on en eût tro
te, on n’eût pas trouvé de sucre, ou bien dans les cas où l’on en eût trouvé , cas que nous avons déterminés nous-même, on en e
comme on sait qu’il s’y détruit très vite, on pourrait s’étonner d’en trouver encore presque autant, après trois ou quatre jour
mpétence sur des déterminations chimiques est si hautement établie, a trouvé également du sucre dans le sang de la veine porte
eine porte, chez des chevaux qui mangeaient de l’avoine, mais il en a trouvé bien davantage dans le sang des veines hépatiques
ucre se fait comme à l’ordinaire, quoique un peu diminuée, et l’on en trouve toujours chez des animaux qui n’ont rien mangé de
vaincra, c’est que, quand on empêche le sucre de se produire, on n’en trouve plus au bout de très peu de temps. Voici deux chi
mal est assez vieux et à jeun ; s’il eût été plus jeune, nous aurions trouvé probablement ces organes plus ou moins engorgés d
e se détruire, et si le temps a été suffisant, nous ne devons plus en trouver dans le tissu hépatique. Si nous en trouvons enco
t, nous ne devons plus en trouver dans le tissu hépatique. Si nous en trouvons encore, vous verrez qu’il y en a beaucoup moins q
heures la disparition du sucre eût été complète, et l’on n’en eût pas trouvé de traces. Dans le foie du chien laissé simplemen
t ne tardera pas à disparaître, et au bout d’un certain temps on n’en trouvera plus la moindre trace dans l’organisme. Il y a pl
auquel nous avons coupé les pneumo-gastriques, et nous n’aurions pas trouvé davantage de sucre dans son foie ni dans le sang
us avons fait à ce sujet un grand nombre d’expériences, et nous avons trouvé qu’il y a une espèce d’élection dans l’excrétion
anément dans l’état où se trouvent les individus diabétiques, on n’en trouve ni dans la salive, ni dans les larmes, ni dans le
’occasion d’examiner la salive des diabétiques, jamais nous n’y avons trouvé la moindre trace de matière sucrée. Nous faisions
d’être absorbée au contact de la muqueuse linguale. Lehmann dit avoir trouvé du sucre dans de la salive de diabétique. Il sera
u prussiate en quantités considérables ; l’iodure de potassium ne s’y trouve qu’en petite proportion ; quant au sucre, il n’y
ite proportion ; quant au sucre, il n’y en a pas encore, mais nous en trouverons dans un instant. L’urine élimine donc toutes ces
’on injecte ensuite dans ses veines du prussiate jaune de potasse, on trouve le contenu de son estomac coloré en bleu ; ce qui
ente, nous recherchions les substances injectées dans la bile, nous y trouverions de l’iodure et du prussiate, mais pas de sucre. D
tion du glucose, c’est-à-dire que c’est dans cette excrétion qu’on le trouve d’abord avant qu’il ait apparu ailleurs ; mais il
tre saturé de sucre comme un sirop, il serait peut-être possible d’en trouver ailleurs que dans la vessie et dans l’estomac. C’
rs le sucre chez les diabétiques, et du suc gastrique où l’on peut le trouver quelquefois, il y a d’autres liquides normaux ou
liquide qui s’était écoulé d’une fracture du rocher, et l’on y avait trouvé du sucre. Le chimiste qui avait analysé le liquid
hydropéricardes par la section des nerfs sympathiques, j’ai rarement trouvé du sucre. Il a été publié dans un journal américa
un journal américain une observation très intéressante, où l’on avait trouvé du sucre dans le liquide résultant de la ponction
tait semblable à de la lymphe un peu trouble. Dans le sang veineux on trouvait du sucre, même à l’état de sucre de canne, tel qu
s le chyle et dans les vaisseaux lymphatiques, jamais nous n’avons pu trouver la moindre trace de matière sucrée. Ainsi les gra
es du corps, et au moment où il débouche dans la sous-clavière, on le trouve sucré. Ce fait, qui avait été vu par Tiedemann et
ucre était absorbé dans l’intestin. Mais on eût dû remarquer que l’on trouvait encore du sucre dans le canal thoracique, même ch
demandé et l’on se demande même encore comment j’ai pu être conduit à trouver ce fait, en apparence fort singulier, qui consist
s qui m’a servi de guide jusqu’au moment où les faits ne se sont plus trouvés d’accord avec elle. D’ailleurs je vous indique ce
Alors on sacrifia l’animal par la section du bulbe rachidien, et l’on trouva le sucre répandu partout dans le sang de la veine
s parvenions à comprendre la nature du diabète chez l’homme, que nous trouvions le moyen de rendre cet état permanent chez un ani
inale, que nous parviendrions à établir chez l’animal, comme nous les trouvons chez l’homme, des diabètes permanents. Or, commen
ste, il faut le dire aussi, cette confusion a peut-être primitivement trouvé sa source dans le langage lui-même. Le mot sécrét
au rein contient de l’urée, de l’acide urique et divers sels qui s’y trouvent à l’état de dissolution, reconnaissables à tous l
, au contraire, quand on se place dans des conditions convenables, on trouve des quantités de sucre considérables dans le sang
e des quantités de sucre considérables dans le sang qui sort, on n’en trouve aucune trace dans le sang qui entre : le sucre s’
es différentes. Nous dirons qu’il y a sécrétion toutes les fois qu’on trouvera dans les liquides qui sortent d’un organe des sub
ous avons ouvert l’animal, après l’avoir rendu diabétique, nous avons trouvé les reins plus gorgés de sang et les uretères trè
bétiques soient polyuriques, il se présente cependant des cas où l’on trouve du sucre dans leurs urines sans que la quantité d
le semble se concentrer sur les actes purement organiques. Nous avons trouvé depuis quelques années qu’il existe une substance
abondante sérosité. On examina l’urine à différentes reprises sans y trouver du sucre ; ce ne fut que deux heures et demie apr
t filant. L’animal mourut au bout de quelque temps ; à l’autopsie, on trouva la vessie pleine d’urine contenant beaucoup de su
se trouver dans l’organisme par suite de l’inhalation, et nous avons trouvé cependant que le sucre se détruisait tout aussi v
ntité de sucre dans leurs urines ; c’est ainsi encore qu’on dit avoir trouvé du sucre dans l’urine des épileptiques ; mais on
inuons à insuffler. Le temps n’est pas encore suffisant pour que nous trouvions du sucre dans les urines, mais il y en a déjà cer
mal est mort des suites de cette opération ; à l’autopsie, nous avons trouvé que la veine cave avait été piquée, et que le san
vermeil et contenait beaucoup de sucre ; on ouvrit le ventre, et l’on trouva les organes intestinaux gorgés de sang, les uretè
roublent et arrêtent les fonctions sécrétoires organiques, et nous ne trouverons plus étonnant dès lors que, quand nous supprimons
étendre la proposition que nous venons d’énoncer, nous pourrions lui trouver des analogues en dehors de l’organisme : tel est,
êtée, de sorte qu’au bout de vingt-quatre à trente-six heures on n’en trouvait plus du tout dans le tissu hépatique. Mais si l’o
à six heures on traite de nouveau le tissu de la même manière, on le trouvera chargé de matière sucrée. Ainsi, au moment de la
a retiré le foie du corps, pourrait commencer après la mort, et nous trouverions alors le foie sucré comme s’il eût été placé en d
actifs chimiques, la présence du sucre. Observé au densimètre, on eût trouvé sa densité égale à peu près à celle de l’eau ; ma
aminant deux jours après ce même liquide abandonné à lui-même, on lui trouvera alors tous les caractères d’une dissolution forte
ît, au contraire, exaltée. Quand on ouvre le ventre de cet animal, on trouve dans cette région une circulation plus active, le
comme vous le savez, qu’une valeur tout à fait secondaire, nous nous trouvons en présence d’un fait nouveau très extraordinaire
ans cette question, nous avons à rechercher autour de nous si nous ne trouverions pas, dans les animaux, d’autres exemples de phéno
ance animale et par le moyen d’une fermentation semblable. Nous avons trouvé des conditions dans lesquelles des phénomènes tou
it l’été dernier, lorsque nous commençâmes ces recherches. Il fallait trouver un moyen pour faire que la fermentation n’allât p
entation sont des mélanges d’acide carbonique et d’hydrogène, et l’on trouve de l’acide butyrique dans la liqueur. Mais, pour
de la veine porte disparaît en traversant le foie de façon qu’on n’en trouve qu’une proportion moindre dans le sang des veines
e l’urine des fœtus contient toujours du sucre, et comment je m’étais trouvé embarrassé ensuite de ce fait qui n’était plus au
le. Mais cela n’ayant lieu que pendant une époque très limitée, on ne trouve plus ce symptôme au moment de la naissance, et j’
ir communiquant avec celle-ci, qui est l’allantoïde, dans laquelle on trouve constamment aussi un liquide sucré. Vous voyez ic
u développement organique, avant que le foie entre en fonctions, nous trouvons du sucre qui se forme dans les tissus, ainsi que
sucre, peut-être même en plus grande quantité, et cependant nous n’en trouvons plus aucune trace dans la vessie. Il y a deux con
ans ses tissus, bien que le foie n’en produise pas encore, et l’on en trouvera jusqu’à la mort. J’ai fait beaucoup d’expériences
s animaux ; mais chez les vieux mammifères et chez les oiseaux, on ne trouve jamais les poumons altérés, et le sang est vermei
’ont pas l’appétit exagéré, et cela se rencontre assez souvent, on ne trouve généralement pas alors cette hypertrophie des mem
uand on peut observer cet organe dans des conditions favorables, on y trouve les caractères que nous venons d’indiquer. C’est
tement, dans le service de M. Rayer, d’une apoplexie pulmonaire, j’ai trouvé le foie très volumineux et son tissu très abondam
erai en passant deux cas d’autopsie de diabétiques dans lesquels j’ai trouvé le pancréas excessivement petit et très atrophié,
qui prouve qu’il n’y a rien qui empêche le sucre de s’y détruire. On trouve également du sucre dans le sang des diabétiques q
mort subitement, vingt-quatre ou trente-six heures après le décès, on trouvera du sang sucré dans tous les organes et dans tous
effet d’endosmose qui n’a jamais lieu pendant la vie, où jamais on ne trouve de sucre dans le liquide biliaire de la vésicule.
ue, lorsqu’on veut localiser la maladie, il faut savoir qu’on peut en trouver le point de départ dans une infinité de parties d
, de fermenter en donnant de l’acide carbonique et de l’alcool. On ne trouve jamais dans les urines une autre espèce de sucre,
e certaine quantité de sucre peut passer dans les urines ; mais on le trouve toujours à l’état de glucose, ce qui tient sans a
e genre que sont dus les résultats obtenus par Schmidt, qui dit avoir trouvé à la fois du sucre de canne et du sucre de raisin
mpsie, et qui avait en même temps de l’albumine dans les urines, j’ai trouvé des proportions assez considérables de sucre, qui
aractériser le diabète, et est-on diabétique par ce seul fait qu’on a trouvé du sucre dans l’urine ? La définition de la malad
us d’urée que les hommes en état de santé, parce que, dit-il, si l’on trouve moins d’urée dans un litre d’urine d’un diabétiqu
x observations de Mac Gregor, on peut opposer celle de Lehmann, qui a trouvé que, même en prenant l’urine de vingt-quatre heur
diabétiques qui prenaient des quantités considérables d’urée, on n’en trouva pas davantage dans les urines : ce qui tient à ce
s’il arrive quelquefois qu’on ne rencontre pas d’acide urique, on en trouve d’autres fois d’une manière très évidente, et mêm
’urines. Nous savons que ce caractère n’est pas constant, car on peut trouver des diabétiques qui ne rendent pas plus d’urines
omme pathognomoniques de cette affection ; car, d’une part, on ne les trouve pas dans tous les cas de diabète, et, d’autre par
othèse, qui ne repose sur aucune preuve directe, puisqu’on n’a jamais trouvé de sang moins alcalin chez les diabétiques, se ba
que la boulimie, n’offrent pas une gravité très grande, puisqu’on les trouve dans la polydipsie, dont le pronostic n’est pas t
ns la formation du sucre dans le foie, parce que, d’une part, nous ne trouvions pas de sucre dans la veine porte au moment où le
a veine porte au moment où le sang entre dans le foie, et que nous en trouvions constamment dans le sang des veines hépatiques qu
u’il ne peut admettre la formation du sucre dans le foie, parce qu’on trouve du sucre aussi bien dans la veine porte que dans
que je venais d’établir. C’est ce qui explique comment l’auteur s’est trouvé dans ce cas réduit à une assertion pure et simple
ieurement rechercher. » Cette explication qui fait descendre le sucre trouvé dans les chiens, des végétaux qu’ont mangés les h
hémorragie a été considérable, on finira souvent, vers la fin, par en trouver une certaine proportion. Or, on voit que dans ces
ection qu’on a voulu faire, elle tombe d’elle-même. D’ailleurs, on ne trouve dans le sang de la veine porte pas plus d’albumin
: « Vous avez examiné le sang de la veine porte, et vous n’y avez pas trouvé de sucre ; mais avez-vous examiné le sang des art
un des rameaux de l’artère hépatique à son entrée dans le foie, on ne trouve pas plus de sucre dans le sang qui s’en écoule qu
le pouvait en faire indépendamment de l’alimentation, car nous avions trouvé nous-même du sucre dans le lait de mammifères car
sur des cadavres de malades morts dans les hôpitaux, et n’y ayant pas trouvé de sucre, se sont imaginé que ce résultat venait
uence d’une fièvre grave ; de sorte que dans la plupart des cas on ne trouve pas dans le foie des malades morts dans les hôpit
e porte contient des proportions très faibles de matière sucrée. J’ai trouvé dans un cas 0,055 gr. de sucre pour 100 parties d
en forte proportion. Sur trois chiens nourris avec de la viande, j’ai trouvé les chiffres suivants, calculés sur 100 parties d
r trois autres chiens à l’abstinence complète depuis deux jours, j’ai trouvé dans le sang des veines hépatiques les quantités
ralement plus riche en graisse que celui des chevaux. Néanmoins on ne trouve pas plus de graisse dans le sérum des veines hépa
rs la plus grande quantité de sucre après les veines hépatiques. J’ai trouvé dans le résidu solide du sang de la veine cave, c
e. Lorsque le sang a traversé le poumon et est devenu artériel, on ne trouve généralement pas de sucre. Je n’en ai pas trouvé
venu artériel, on ne trouve généralement pas de sucre. Je n’en ai pas trouvé dans le sang artériel de chevaux qui avaient cepe
et de l’avoine. Chez les chiens et chez les lapins, on peut seulement trouver du sucre dans le sang artériel, si le sang veineu
i de la veine cave et de la veine jugulaire. Dans la veine cave, j’ai trouvé deux fois moins de fibrine que dans le sang artér
s du dehors et qu’elle prend naissance surplace dans le foie où on la trouve , j’instituai une expérience physiologique qui est
il indique déjà que c’est surtout au moment de la digestion que l’on trouve la matière sucrée en plus grande quantité dans le
C’est ainsi que M. Schmidt16, en 1850, se fondant sur ce qu’il avait trouvé du sucre en quantité variable, mais toujours très
a nature de l’alimentation. Troisième fait. Chez un carnivore, on ne trouve point de sucre dans le sang de la veine porte. On
re, on ne trouve point de sucre dans le sang de la veine porte. On en trouve toujours, au contraire, des quantités considérabl
glucose contenue dans un poids connu du résidu de l’évaporation. J’ai trouvé ainsi que le sang sur lequel j’avais opéré conten
un chien nourri de viande crue et tué deux heures après le repas, on trouve dans la veine porte une quantité notable de gluco
tion du liquide aqueux), il a laissé un résidu du poids de 0,39. J’ai trouvé , en analysant un poids connu de ce résidu avec la
e. Ce sang pesait 25 grammes. Le résidu alcoolique pesait 0,165. On a trouvé , par le même procédé d’analyse, que ce sang conte
chien nourri de viande crue, et tué quatre heures après le repas, on trouve du glucose dans le sang de la veine porte, et le
s idées préconçues, mais il est plus difficile de comprendre que l’on trouve et que l’on dose du sucre dans le sang de la vein
teur se pose en défenseur d’une théorie en vertu de laquelle le sucre trouvé dans le foie des carnivores doit provenir des vég
at moyen fourni par beaucoup d’expériences, dans lesquelles on aurait trouvé quelquefois des résultats opposés. C’est une expé
mais il n’a pas craint d’avancer que, deux heures après le repas, on trouve chez un chien qui a mangé de la viande de bœuf cr
rions comprendre comment l’auteur qui nous a contredit a pu arriver à trouver plus de sucre dans le sang de la veine porte que
, j’ai déterminé la quantité de sucre dans tous ces produits, et j’ai trouvé dans le sang de la veine porte 0,322 gr. de sucre
de sucre. Chez un autre chien à jeun depuis quatre jours, on n’a pas trouvé de sucre dans le sang de la veine porte, tandis q
e, il n’existe pas de sucre dans le sang de la veine porte ; qu’on en trouve , au contraire, une quantité notable dans les vein
ent la section du bulbe rachidien et la ligature des vaisseaux, on ne trouve pas de sucre dans le sang de la veine porte d’ani
les, le sucre gastrique et l’urine de ces grenouilles, sans y pouvoir trouver aucune trace de bile ni de sucre. Or, c’est un fa
s reins, l’urée s’accumule dans le sang. On devrait donc s’attendre à trouver les acides organiques et la matière colorante de
respiration, vous accorderez peut-être quelque intérêt à ce que j’ai trouvé que le foie ne contribue pas peu à la métamorphos
11 (1733) Réflexions critiques sur la poésie et la peinture « Seconde partie — Section 33, que la veneration pour les bons auteurs de l’antiquité durera toujours. S’il est vrai que nous raisonnions mieux que les anciens » pp. 453-488
ites en bâtimens et en meubles, seroient perduës pour nous et nous ne trouverions plus dans les forêts du bois pour bâtir ni même p
uis refuser aux philosophes d’être les inventeurs des sas des écluses trouvées il y a deux cens ans, et qui sont non-seulement d
jours le temps avec exactitude. Ce ne sont point eux non plus qui ont trouvé la poudre à canon, qui a donné lieu à tant d’obse
nt plus parfaites à mesure que les connoissances s’y multiplient, fut trouvée dans le quinziéme siecle, et près de deux cens an
an Goya marinier de Melphi, ou qu’un autre plus ancien que lui en ait trouvé l’usage, cet inventeur aura toujours été dans le
muniquer au fer cette proprieté. Dailleurs, dès que la boussole a été trouvée , il étoit necessaire que l’art de la navigation s
t au commencement du dix-septiéme siecle que Jacques Metius d’Alcmaër trouva en cherchant autre chose, les lunettes d’approche
à son frere, qui étoient de grands mathematiciens. Jacques Metius ne trouva point les lunettes de longue vûë par aucune reche
’amusoit à faire des verres à brûler. Rien n’étoit plus facile que de trouver les microscopes après l’invention des lunettes d’
mettent en droit de faire cette supposition. Monsieur De Lisle qui a trouvé plus de fautes dans les géographes modernes que c
e du vuide. Les suites qu’elle a euës l’ont renduë célebre. Toricelli trouva son expérience curieuse. Il en fit part à ses ami
, qu’après avoir publié l’écrit dont il a été parlé. Monsieur Pascal trouva cette explication tout-à-fait belle, mais comme e
uteurs, comme est celle de tailler le diamant qu’un orfévre de Bruges trouva sous Louis XI et avant laquelle on préferoit les
aque dans un an. Quelques années après les lunettes d’approche furent trouvées . à l’aide de ce nouvel instrument, on fit des obs
si concluantes sur les apparences de Venus et des autres planétes, on trouva tant de ressemblance entre la terre et d’autres p
Si nos prédecesseurs n’avoient point les connoissances que nous nous trouvons avoir, c’est donc que le fil qui nous guide dans
t point poussé la geométrie où ils l’ont poussée, s’ils n’eussent pas trouvé cette science en un état de perfection qui lui ve
ces regles que les philosophes donnoient à leurs disciples, et nous y trouverions peut-être ce que nous nous flattons d’avoir inven
ns d’avoir inventé, comme il est arrivé à des philosophes célebres de trouver dans des manuscrits une partie des découvertes qu
12 (1867) Le cerveau et la pensée « Chapitre III. Le cerveau chez l’homme »
animale en général, nous nous renfermons dans l’espèce humaine, nous trouverons encore, comme tout à l’heure, un certain nombre d
é. Ainsi, pour nous en tenir à la relation de l’âge et du poids, nous trouvons de singuliers dissentiments entre les observateur
nsuite comparé le poids du cerveau dans les deux sexes, et l’on a cru trouver que les femmes ont en général la cervelle plus lé
e à l’homme plus de cerveau qu’à la femme est très ancienne, et on la trouve , dit-on, dans Aristote ; mais tous les physiologi
lativement aux nerfs et au corps entier, c’est chez la femme que l’on trouve le cerveau le plus volumineux. M. Cruveilhier sou
egré d’intelligence des différentes races. Ainsi tous les auteurs ont trouvé la tête plus grosse chez les Caucasiques que chez
chir ; mais les exceptions sont trop importantes pour que l’on puisse trouver dans la mesure du crâne ou dans le poids du cerve
s plus instructives sur ce point. Le détail de ses recherches ne peut trouver place ici. Donnons en seulement les conclusions.
igine dans le mémoire d’un savant chimiste, M. Couerbe, qui avait cru trouver en effet dans le phosphore le principe excitateur
De plus M. Lassaigne, qui a analysé des cerveaux d’aliénés, n’y a pas trouvé plus de phosphore que dans ceux des hommes sains
pothèse, — la similitude du cerveau chez le singe et chez l’homme. On trouve en effet que l’animal qui a le plus d’intelligenc
gés, pour sauver la dignité et la supériorité de l’espèce humaine, de trouver dans le cerveau de l’homme des caractères particu
dmet des caractères distinctifs que celui-ci n’a pas reconnus. Owen a trouvé un grand adversaire en Angleterre dans M. Huxley,
aine de toute autre, car jamais, dans aucune famille de singes, on ne trouvera d’individu s’élevant au-dessus d’une imitation gr
que certains listes, ne considérant que les différences corporelles, trouvent à peine de quoi faire du genre humain une famille
ste dire : « Il nous sera fort égal que le démocrate des Etats du Sud trouve dans les résultats de nos recherches la confirmat
13 (1885) Préfaces tirées des Œuvres complètes de Victor Hugo « Préfaces des romans — Préfaces de « Han d’Islande » (1823-1833) — Préface d’avril 1823 »
eurs hommes de lettres très hauts, très populaires et très puissants, trouvaient la dissertation qu’il préparait tout à fait mécha
; steteruntque comæ ; et vox faucibus hæsit ; c’est-à-dire qu’il n’a trouvé d’autre expédient que de laisser dans les limbes,
odile peint sur une toile, derrière laquelle, après avoir payé, il ne trouve qu’un lézard. Il rejeta donc l’idée d’entonner se
railleries tout à fait délicates, il est devenu vraiment difficile de trouver contre ces monstres rien qui soit plus sanglant,
pour cela une hardiesse d’imagination, une force d’esprit dont on ne trouve guère d’exemples que parmi les inventifs bourreau
visiblement au sujet de cet ouvrage, et il eût été fort embarrassé de trouver une liaison qui l’y conduisît, quoique l’art des
ns soit singulièrement simplifié depuis que tant de grands hommes ont trouvé le secret de passer sans secousse d’une échoppe d
olice contre la couronne civique. Reconnaissant donc qu’il ne saurait trouver dans son talent ni dans sa science, par ses ailes
t enrichi un ou deux chapitres d’épigraphes nouvelles ; en un mot, il trouvera à chaque page des changements dont l’importance e
ont soumise touchant la rudesse sauvage de ses noms norvégiens, il la trouve tout à fait fondée ; aussi se propose-t-il, dès q
14 (1874) Premiers lundis. Tome I « Hoffmann : Contes nocturnes »
sonne, dans chaque événement, le côté excentrique pour lequel nous ne trouvons point de comparaison dans la vie commune et que n
profondeur sur une circonstance contée légèrement et que personne ne trouve digne d’attention ; qu’il rapproche des choses co
ux limites des choses visibles et sur la lisière de l’univers réel, a trouvé je ne sais quel coin obscur, mystérieux et jusque
évidemment réduit au silence, et qu’il puisse toujours se flatter de trouver au bout du compte le mot de l’énigme, il y a quel
ret d’Hoffmann pour ébranler et émouvoir ; je l’aime bien mieux et le trouve bien plus original en ces sortes de compositions,
avoir découvert dans l’art quelque chose d’analogue à ce que Mesmer a trouvé en médecine ; il a, sinon le premier, du moins av
anteurs qui respirent, disons-nous, un parfum exquis du moyen âge, on trouvera dans la nouvelle livraison d’Hoffmann un joli con
r près de la serre chérie et de ses fleurs favorites est telle, qu’il trouve plus facile d’épouser la veuve de son professeur,
olemment de s’y soustraire. Comment le mal augmente, quel remède on y trouve , et par quels degrés Eugène en vient à changer sa
15 (1733) Réflexions critiques sur la poésie et la peinture « Première partie — Section 27, que les sujets ne sont pas épuisez pour les poëtes, qu’on peut encore trouver de nouveaux caracteres dans la comedie » pp. 227-236
que les sujets ne sont pas épuisez pour les poëtes, qu’on peut encore trouver de nouveaux caracteres dans la comedie Ce que n
seulement un poëte né avec du genie, ne dira jamais qu’il ne sçauroit trouver de nouveaux sujets, mais j’ose même avancer qu’il
sçauroit trouver de nouveaux sujets, mais j’ose même avancer qu’il ne trouvera jamais aucun sujet épuisé. La penetration, compag
regarde point comme des sujets propres à réussir. Un autre poëte les trouve des sujets heureux, parce que son genie est d’un
t son caractere. Un poëte tragique qui auroit autant de genie qu’eux, trouveroit des sujets qui leur ont échappé, et il traiteroit
’il peint, sont toujours variées. L’experience aide encore beaucoup à trouver la difference qui est réellement entre des objets
ges des negres sont presque semblables, mais à force de les voir, ils trouvent les visages des negres aussi differens entre eux
x que le sont les visages des hommes blancs. Voilà pourquoi Moliere a trouvé plus d’originaux parmi les hommes, quand il a été
qu’ils professent du genie, et non pas de la necessité de subsister, trouveront toujours des sujets neufs dans la nature. Pour pa
16 (1865) Causeries du lundi. Tome V (3e éd.) «  Mémoires de Gourville .  » pp. 359-379
le scrupule. S’agit-il du service de ceux à qui il s’est donné, on le trouve dévoué, fidèle, hardi et prudent, risquant et cal
soixante-dix-sept ans ; il les termina en quatre mois et demi, ayant trouvé grande satisfaction à se ressouvenir ainsi de tou
st là que ce dernier, qu’on appelait alors le prince de Marcillac, le trouva , et il l’emprunta à son frère pour en faire son m
nt qui nous donnait dans le nez nous faisait extrêmement souffrir. Je trouvai la souche d’un arbre, je m’assis dessus, tournant
aire sa paix. Gourville s’en alla donc avec des pouvoirs secrets ; il trouva moyen d’entrer dans la ville sous prétexte de ret
d avec Gourville, est de tâcher que celui-ci soit fait prisonnier, et trouve par là une occasion naturelle d’arriver au prince
our de son arrivée, il soupe au quartier du marquis d’Humières, qu’il trouve servi en vaisselle d’argent comme à la ville ; c’
mple. Le lendemain, il a l’honneur de dîner chez M. de Turenne, qu’il trouve servi en vaisselle de fer-blanc. Ce premier essor
eut qu’il ne se passe rien de considérable dans le monde qu’il ne s’y trouve  ; et toute la fortune du royaume et de M. le card
pour cela à mon appartement, accompagné de quelques gens ; et, ayant trouvé mon laquais à la porte de ma chambre, il lui dema
Ce laquais lui répondit que j’étais avec mon maître à danser. M’ayant trouvé que je répétais une courante, il me dit en riant
ce que j’étais avant ma fortune, et l’état où je me voyais encore. Je trouvais de si grandes ressources en moi-même pour me cons
champ. En effet, en moins d’une heure, il l’apporta où j’étais, et je trouvai que le peintre ne s’était pas beaucoup attaché à
royable désordre, tellement que le Grand Condé ne pouvait sortir sans trouver dans son antichambre (qu’il ne traversait jamais
occasion et à tout événement, le prince de Condé le réclame, et il le trouve déjà présent. Dans la campagne de Hollande (1672)
iligence possible. Son Altesse se l’étant fait lire, et n’y ayant pas trouvé mon nom, elle me jeta un regard de ses yeux étinc
consoler, et se sentit à l’instant soulagé comme un philosophe qui a trouvé le port et qui n’en sort plus. Il se contenta d’a
tingué. La race des gens d’affaires est immortelle : puisse-t-il s’en trouver beaucoup qui soit aussi habiles, et à la fois aus
17 (1857) Causeries du lundi. Tome I (3e éd.) « Lettres de la marquise Du Deffand. » pp. 412-431
ublié pour la première fois en 1810 à Londres, d’après les manuscrits trouvés dans les papiers d’Horace Walpole. Cette édition
endresse, et une légèreté, une justesse d’expression incomparable, on trouve Mme de La Fayette. Puis on a Mme de Maintenon, es
taël. Mais entre Mme de Staël et Mme de Maintenon, quelle lacune ! On trouverait bien encore, au commencement du xviiie  siècle, c
en dégoût, le quitta, essaya par moments de se remettre avec lui, en trouva l’ennui trop grand, et finit par se passer avec f
mière moitié de sa vie. Pourtant, à partir d’un certain moment, on la trouve établie sur un pied assez honorable de liaison ré
hrase. Elle cherchait donc autour d’elle cette ressource qu’une femme trouve bien rarement en elle-même et en elle seule. Elle
s divertîmes. Je vous avoue qu’au sortir de là, si j’avais su où vous trouver , j’aurais été vous chercher ; il faisait le plus
elle ne s’appartint plus. Bref, aveugle et à soixante-huit ans, elle trouva à placer son cœur, et cette fois (pour la rareté
ent, et à faire toujours des sottises en conduite. Mais nous, nous ne trouverons pas que c’était une sottise : car c’est le beau c
d’assez près à cette relation de Walpole et de Mme Du Deffand, et je trouve qu’en général on n’est pas juste envers tous deux
. On désire un appui, on se laisse charmer par l’espérance de l’avoir trouvé  ; c’est un songe que les circonstances dissipent
it : Je suis bien sûre que vous vous accoutumerez à Montaigne ; on y trouve tout ce qu’on a jamais pensé, et nul style n’est
Mme de Maintenon n’est pas moins saisie au naturel : « Je persiste à trouver que cette femme n’était point fausse, mais elle é
us assure, de parler de sa chère vieille amie. À chaque voyage, il la trouve comme rajeunie, et il est bien pour quelque chose
utes sortes de gens sur toutes sortes de sujets, et je ne l’ai jamais trouvée en faute. Elle rabat les savants, redresse les di
trouvée en faute. Elle rabat les savants, redresse les disciples, et trouve le mot pour chacun. Aussi vive d’impressions que
c’est chez Walpole qu’il faut l’aller puiser comme à sa source. On y trouve avec surprise une femme ardente, passionnée, capa
18 (1868) Les philosophes classiques du XIXe siècle en France « Chapitre XIII : De la méthode »
ont point de collections. Ils aiment à raisonner. Je les ai longtemps trouvés bizarres, et j’ai fini par les juger conséquents.
en main. Quoique fort bon, il n’est point philosophe humanitaire. Il trouve ennuyeux d’écrire, et ne publiera jamais rien ; i
ence, et ne raisonne que pour lui seul. Il prend son plaisir où il le trouve , et prétend que les autres font comme lui. Il ne
aits ou d’estampes, bref un choix de spécimens. Pour le maître, on le trouve ordinairement à sa table devant la fenêtre, regar
e remarque sur toutes les fonctions du corps. En les réunissant, vous trouvez que si la respiration, la nutrition ou la circula
gues, en reproduisant les circonstances où elles peuvent naître. Vous trouverez qu’une fonction est un groupe de faits concourant
r jour à regarder le ciel, devînt un grand peintre. En traduisant, je trouve qu’il s’agit ici d’une question non résolue. Étan
hrase, et je sais désormais qu’il faut s’en servir peu ou point. Vous trouveriez de même que les forces vives d’une société ne son
que le degré de vigueur musculaire de chaque citoyen, son aptitude à trouver des idées utiles, et sa capacité d’obéir à des id
c une certitude presque mathématique, d’équation en équation. Comment trouvé -je ces traductions ? Ayant considéré la vie d’un
s ? Ayant considéré la vie d’un homme, d’un peuple, d’un animal, j’ai trouvé que le mot destinée me venait aux lèvres, lorsque
yant considéré le génie d’un poëte, d’un politique, d’un savant, j’ai trouvé que ce nom m’apparaissait lorsque j’apercevais l’
la viande qu’il avalait ; une heure après, ouvrant son estomac, j’ai trouvé une bouillie acide : ce changement est la digesti
, ou en tuant l’animal. On l’étudié par des procédés chimiques. On le trouve acide, on constate sa composition, on l’appelle g
rmenté. On étudie par la chimie la nature nouvelle de ce liquide ; on trouve que tout aliment composé de matières neutres azot
dédaigne, c’est qu’elle n’en découvre pas. Il y en a et elle peut en trouver . Elle en possédera un, par exemple, le jour où el
19 (1906) La rêverie esthétique. Essai sur la psychologie du poète
ulement en nous-mêmes, au plus profond de notre conscience. Qui ne la trouverait pas en soi ne pourrait même s’en faire une idée.
s souvent, c’est se poser une question déterminée, à laquelle il faut trouver une réponse. Plus l’effort de réflexion est inten
er au travail de la réflexion. La pensée, cherchant le repos, doit le trouver dans un mode d’activité aussi éloigné que possibl
oi je les reconnais dans mon rêve. Il m’arrive parfois en songe de me trouver dans une situation telle que j’aie besoin de retr
tournais, c’était une gravure nouvelle qui m’apparaissait, et que je trouvais merveilleuse. Je m’en exagérais sans doute la bea
cation produite dans le fonctionnement de l’intelligence. Nous devons trouver autre chose, et nous savons d’avance de quel côté
ère d’être. Dans nos contemplations les plus poétiques, toujours nous trouverons quelque sentiment pénétrant, qui peu à peu nous e
sses, des pitiés, des angoisses inexplicables, une impression d’avoir trouvé ou perdu quelque indicible bonheur. La rêverie pr
ère de beauté. Une rêverie dans laquelle il nous serait impossible de trouver quoi que ce soit d’esthétique, dans laquelle tout
ers. Quelles que soient leurs qualités de facture, jamais nous ne les trouverons parfaitement beaux s’ils ne sont pas vraiment poé
étant ainsi conçue, il est trop clair qu’elle diffère de ce que nous trouvons dans la poésie ; et l’on pourra établir entre ces
e qu’on le déclarera beau, et pour les qualités de sentiment qu’on le trouvera poétique. Mais si la poésie n’est pas la beauté,
différente tous ces sentiments. Il est clair par exemple que nous ne trouverons pas le même charme à un chant triste qu’à un chan
ment dit parce que nous les éprouvons en présence des choses que nous trouvons belles. Par beauté nous entendons donc autre chos
ul éclat des images. Les mêmes objets, que nous nous contenterions de trouver jolis ou agréables à voir dans la nature, nous se
s’il était décidément trop laid, il nous serait très difficile de le trouver poétique, notre imagination se refusant en sa pré
t faire exactement le compte de nos réflexions et de nos rêveries, on trouverait , j’en suis certain, une disproportion singulière.
étude morale, impressions de nature, stimulation artistique, on s’est trouvé porté en pleine rêverie. Alors en effet c’était d
dépend des conditions physiques et morales dans lesquelles nous nous trouvons et de ce que nous avons d’énergie disponible : il
des exceptions. Peut-être pourrait-on mesurer le plaisir qu’un homme trouve dans la rêverie à la part qu’il lui accorde dans
x qui s’adonnent à la contemplation intérieure le font parce qu’ils y trouvent un plaisir particulier, soit que leur imagination
sûr. N’arrive-t-il pas que l’on s’enfonce dans la rêverie sans même y trouver « le sombre plaisir des cœurs mélancoliques », pa
nt, excitent sans doute un sentiment d’admiration intense ; nous leur trouvons une beauté merveilleuse. Elles sont en effet ce q
elles l’admiration qu’elles nous inspirent ? Dans notre rêve nous les trouvons infiniment belles. En elles-mêmes, elles sont si
. Je cherchai celle qui pouvait se concilier avec sa perfection et je trouvai l’excès de l’indulgence et de la bonté9. Ceci me
atière artistique tout élaborée. Mais cette tendance que nous avons à trouver charmantes lus images de rêverie, bien que fondée
arme poétique. S’ils se donnaient l’illusion d’y croire, c’était pour trouver plus d’intérêt à ce jeu d’imagination. De même, q
lleux ; et les êtres fictifs que la fantaisie du poète peut concevoir trouveront facilement place dans ce monde imaginaire. Quand
oétiques que les choses. Au lieu du caravansérail que j’imaginais, je trouvai une ancienne auberge de l’Ile de France, l’auberg
nirs plus chers, auxquels nous revenons plus volontiers ; qui se sont trouvés sous nos yeux dans nos heures de joie ou de mélan
t jouer un rôle ; il faut que l’adaptation se soit faite. Ce que nous trouvons prosaïque, c’est moins ce qui est artificiel que
il y a de plus poétique au monde, c’est l’homme même. Où pouvons-nous trouver une plus riche matière à représentations que dans
ns doute, ici encore, nous avons une tendance, aisément explicable, à trouver l’image des choses plus poétique que la réalité :
t quand nous reviendrons au spectacle de l’existence réelle, nous n’y trouverons que de la prose très vulgaire. C’est que nous ne
         Et m’égarer au fond des bois ! Dans la nature entière on ne trouvera rien qui vaille plus et mieux que ces êtres que l
sie dans l’art Déplaçons notre enquête. Sortons de la nature. Nous trouverons encore de la poésie dans l’art ; et toujours cett
, nous ne nous prononçons pas. Nous avons plutôt l’impression de nous trouver en présence d’un objet étrange, de nature indécis
bien même l’objet représenté serait de ceux que dans la réalité nous trouvons vulgaires et prosaïques parce qu’ils ne disent ri
quelque objet qui nous soit connu ? Nous le reconnaissons, et nous en trouvons la représentation plus ou moins exacte, c’est-à-d
ésie. Dans toute œuvre d’art qui peut être qualifiée de poétique nous trouverons des suggestions de même ordre, un semblable appel
étique que la poésie même, je veux dire que l’art des vers. Nous nous trouvons donc en présence d’un cas éminent auquel il faut
preuve serait suffisante : elle serait condamnée. Dans le chant, nous trouvons la musique unie à la poésie verbale. Le seul fait
terions le bruissement du feuillage, sans plus nous préoccuper de lui trouver un sens. D’elle-même la pente de la rêverie entra
a lui-même une âme passionnée en qui ces accents pathétiques doivent trouver un écho, éprouvera par contrecoup des émotions an
otre théorie psychologique semble ici se trouver en défaut. Nous nous trouvons en présence d’une œuvre d’art à la perception de
t suggérer le haschich ou la fièvre. Je me souviens de m’être un jour trouvé dans cet état d’esprit, d’une manière bien caract
ange que la musique ! Vraiment je ne sais si nous pouvons jamais nous trouver , tout éveillés, dans un état mental aussi voisin
e ? C’est dans l’épopée en prose, dans le roman que nous en pourrions trouver . Pour des raisons diverses sur lesquelles nous au
ques vers qui nous aient paru d’un charme poétique particulier : nous trouverons que ce sont des vers contemplatifs plutôt que dra
poésie un rôle prépondérant, le fait ne saurait être mis en doute. On trouvera sans peine des poèmes de grande valeur littéraire
ns des séries d’images juxtaposées sans aucun lien logique. Nous nous trouvons donc en présence d’un certain nombre d’œuvres de
e à l’état pur ; dans l’expression de la pensée la plus abstraite, on trouverait encore les métaphores inhérentes au langage, qui
cile n’est pas de les dégager de la parole intérieure, mais plutôt de trouver des mots pour les rendre. Nous ne parlons pas nos
ion verbale, les pensées qu’il veut nous suggérer étant de celles qui trouvent le plus difficilement une expression adéquate. Ma
, un seul vers vraiment poétique d’où l’émotion soit absente. Je n’en trouve pas pour mon compte. Je ne crois même pas que la
que nous cherchons ici, c’est quelle doit être leur nature. La poésie trouvera de préférence son aliment dans les sentiments con
omans, car c’est dans de telles œuvres que l’imagination sentimentale trouve le plus d’occasion de s’exercer. J’indiquerais en
volontiers. Quand par exemple, lisant une œuvre d’imagination, nous y trouvons exprimés des sentiments qui sont en concordance a
ments est immédiatement saisie ; nous la comprenons à demi-mot ; elle trouve dans notre propre cœur un écho qui la prolonge et
timents poétiques, le caractère de beauté. Il faut que nous puissions trouver en eux quelque chose de charmant, de délicat, de
peut rien tirer du néant. Dans ses productions les plus originales on trouverait des réminiscences d’œuvres étrangères, un apport
s spontanées de l’inspiration. Très souvent les meilleures idées sont trouvées par distraction, pendant que l’on travaille à en
ciente. Tout le positif de la composition, tout ce qui est réellement trouvé a été obtenu par ce procédé. On invente par une l
on spontanée des images. En s’abandonnant à son inspiration, le poète trouvera des combinaisons d’idées originales, que la réfle
ruits je t’attendrais encore ! LAMARTINE (L’immortalité). Quand on trouve , chez un poète, de ces suites de vers qui se déro
oman qui se trouve engagé dans une situation déterminée. Il s’agit de trouver ce qu’il doit penser, ce qu’il doit sentir, comme
e de le faire, et l’idée s’évanouit37. Les idées principales une fois trouvées , on peut songer à établir le plan de l’œuvre futu
r par régression : comme le disait Pascal, la dernière chose que l’on trouve en composant, c’est celle qui doit être mise la p
rait par quel bout on commencerait. Mais il s’agit précisément ici de trouver ces détails ; nous devons supposer que l’on n’a a
l’abstrait au concret ; c’est pour profiter de chaque occasion qu’il trouve pour faire surgir de nouvelles images. Il en est
elle qu’aucun mot usuel ne peut suggérer directement ; on s’ingénie à trouver des images plus familières, plus facilement expri
sie en reprend conscience. Cherchant constamment les images, elle les trouve là où elles existent à l’état latent. Elle les ra
e dans une phrase. Mais il faudrait en avoir arrêté la forme pour lui trouver une phrase à sa mesure. On ne pourra donc la bien
oser même que l’on sache bien d’avance ce que l’on veut dire, il faut trouver des mots pour rendre son idée. Or le vocabulaire
ffort d’invention verbale, briser les clichés du langage courant pour trouver à nos idées une forme satisfaisante ; et cet effo
entiments. Je puis me représenter très nettement un objet coloré sans trouver aucun terme qui explique sa forme ou sa couleur ;
up. Seuls quelques écrivains, doués du génie de l’expression verbale, trouvent du premier coup le mot juste qui fait voir immédi
cherche, on s’ingénie, on raisonne, on réfléchit jusqu’à ce qu’on ait trouvé . Mais surtout il faut résister à ce préjugé, en v
quoi en employer un autre ? Des écrivains qu’on ne s’attendrait pas à trouver si rigoristes, Fénelon par exemple, ou Renan, ont
ques contemporains les ont recherchées systématiquement. Ils leur ont trouvé un charme particulier. Ils s’en sont fait un prog
qui explique son attrait particulier. Comme nous l’avons constaté, on trouve aussi de la poésie dans la prose. D’autre part, l
essayé de bien des systèmes de versification ; actuellement encore on trouverait chez les différents peuples une grande variété de
mme programme de réagir en poésie contre la beauté géométrique, et de trouver des formes de vers plus souples que le vers class
produisent étant tout à fait spécial, et tel que l’on ne saurait lui trouver dans la prose aucun équivalent. Ce sont donc les
aurait donc être trop bien rythmé. Le véritable progrès, ce serait de trouver d’autres rythmes, et si possible des rythmes plus
e. Il ne suffit pas, bien entendu, de poser le principe ; il faudrait trouver les voies et moyens ; mais si l’ingéniosité de no
ce sens, je suis persuadé que pour commencer, ils auraient bien vite trouvé des formes de vers au moins équivalentes aux form
s notes qui composent un air, s’en remettant à l’oreille du soin d’en trouver la cadence, il est probable que les rythmes music
ombre, ouvert nos bras de songe.             Le cœur innombrable. On trouverait , dans ce même recueil poétique, de beaux exemples
. 22. André Chevrillon, Dans l’Inde. Hachette, 1891, p. 250. 23. On trouvera dans l’Esthétique d’Eugène Véron un intéressant p
esprit. » J.-J. Rousseau, Confessions, 1re partie, livre IX. G.Tarde trouve , au cours d’une promenade, sa théorie de l’imitat
essantes sur les procédés intimes de l’invention littéraire. 30. On trouvera cités des exemples intéressants de cette difficul
20 (1870) Portraits de femmes (6e éd.) « MADAME DE CHARRIÈRE » pp. 411-457
tendant : « Faites, je vous prie, mes compliments à cette freule. Ne trouverait -elle point, comme Mme Ruisch, que, pendant un tem
nent, et Dieu a voulu que nous les aimassions, afin que nous pussions trouver un plaisir réel à leur faire du bien, même lorsqu
passion. Pensez-y un moment, mon cher frère, et vous me direz si vous trouvez autant d’avantage à pouvoir verser notre cœur dan
ser et à le suivre dans la Suisse française. Sa vocation littéraire y trouva son jour. Dans cette patrie de Saint-Preux, dans
écieuse. Le titre de mon petit livre fit grand’peur ; on craignit d’y trouver des portraits et des anecdotes. Quand on vit que
necdotes. Quand on vit que ce n’était pas cela, on prétendit n’y rien trouver d’intéressant. Mais, ne peignant personne, on pei
fantaisie, mais avec vérité, un troupeau de moutons, chaque mouton y trouve son portrait, ou du moins le portrait de son vois
utant que l’on m’a ennuyé. Il suffit de te dire que la moitié du pays trouve trop haut ce que l’autre trouve trop bas, selon l
ffit de te dire que la moitié du pays trouve trop haut ce que l’autre trouve trop bas, selon l’intérêt que chacun peut y avoir
mademoiselle ne m’a prié de danser avec elle qu’à votre défaut. Elle trouvera bon, j’en suis sûr, que je vous rende votre place
nse était pour moi, dans ce moment, une chose toute nouvelle ; je lui trouvai un meaning, un esprit que je ne lui avais jamais
lle ; je lui trouvai un meaning, un esprit que je ne lui avais jamais trouvé  : j’aurais volontiers rendu grâce à son inventeur
n’aient pas le même besoin que moi ; car, si l’on cherche un cœur, on trouverait le mien. » Elle n’est pourtant pas toujours auss
nous nous parlerons sûrement, dussé-je lui parler la première. Je me trouverai près de la porte, quand il entrera. Alors aussi s
eu, mon Eugénie ! mon père est plus content de moi que jamais ; il me trouve charmante : il dit qu’il n’y a rien d’égal à sa f
n pas observations, mais comment dirai-je ? de cette lumière que j’ai trouvée tout à coup dans mon cœur, qui semblait luire exp
este, à son tour, pour ces finesses d’âme subitement révélées : « Tu trouves le style de mes lettres changé, mon cher Godefroy
re elle et son père, et sur lequel il avait les deux jambes, et s’est trouvée à genoux auprès de lui, les mains de son père dan
, et elle le doit faire sans attirer l’attention : pour cela, elle ne trouve rien de mieux dans sa droiture que de prier le co
oit vous !… Je ne vous aurais pas choisie peut-être ; cependant je me trouve heureux que ce soit vous qui daigniez prendre ce
dre, mais pas absolument malheureuse. Ils convinrent enfin de l’aller trouver sur l’heure même chez Mlle de La Prise, où elle t
, de fautes et d’amertumes. Caliste eut du succès à Paris ; elle s’y trouva introduite au centre par le salon de Mme Necker.
ntroduite au centre par le salon de Mme Necker. En cherchant bien, on trouverait des articles dans les journaux du temps225. Le Me
i, un jour d’été, a couru trop inquiet après son maître absent, s’est trouvé tué, de peur de rage. M. de Bompré est malheureux
: j’ai souhaité qu’on le coupât ; mais quand je l’ai vu de près, j’ai trouvé moi-même que ce serait grand dommage. Ce dont je
près, j’ai trouvé moi-même que ce serait grand dommage. Ce dont je me trouve le mieux, c’est de regarder, dans cette saison br
ns morales élevées où elle tenait bon : elle put souffrir de n’en pas trouver cnez autrui de correspondantes. Plus tard, quand
prétation motivée, elle conclut par dire « qu’en y pensant un peu, on trouvera que cette dernière production de l’auteur de Cali
l’on pourrait vous chicaner à votre tour sur bien des choses que vous trouvez toutes simples, et cela parce qu’elles vous convi
etites comédies ; je fais cas de cet esprit roide et expéditif que je trouve dans tous ses ouvrages ; j’y reconnais à la fois
des Trois Femmes se débat entre l’abbé et la baronne : « Je n’ai pas trouvé , dit Mme de Berghen quand elle revit l’abbé, que
eune baronne de Berghen cet aimable et sceptique abbé de La Tour, qui trouve peu sur pour son repos de passer un hiver entier
rtreuse. 218. Elle y vint. Plus d’une question que nous posions ici trouve sa réponse dans l’article sur Benjamin Constant e
lter Finch et son fils William, 1806 ; — le Noble, etc., etc. — On en trouverait d’autres qui n’ont jamais paru qu’en allemand ; i
 ; elle ne se laissait pas payer de cette monnaie : « : J’ai toujours trouvé , disait-elle, que ces sortes de mérites et de mer
21 (1901) L’imagination de l’artiste pp. 1-286
t don à un mortel2. » On peut continuer ces expériences : toujours on trouvera , dans la biographie des grands peintres, quelques
portent les cheveux comme tout le monde. Il serait même difficile de trouver en eux cette empreinte du métier, cette inconscie
quelque chose d’anormal, un caractère dont nulle part ailleurs je ne trouverai l’équivalent. Et comme j’ai ici affaire à des œuv
de nos meilleurs artistes, il est impossible que ce caractère ne s’y trouve pas en pleine évidence. J’hésite pourtant. L’impr
ns des œuvres qui certainement n’ont pas une moindre valeur d’art, je trouve au contraire un parfait dédain de la beauté propr
admettra que les formes d’art dans lesquelles cette aptitude spéciale trouvera à s’exercer. Pourquoi l’art ? Pour l’idéale beaut
l entendre ? Je cherchais le caractère commun de ces œuvres. Je n’ai trouvé que des différences. C’est donc que je me suis pe
Quand je les aurai contemplés longuement, surtout si par hasard je me trouve presque seul dans les salles silencieuses, en têt
ement il ne l’a pas vue : ces attitudes, avant d’être posées, ont été trouvées . Faut-il continuer cette sorte de démonstration s
u même, que vous pourriez dessiner n’importe quoi. Une autre personne trouverait pour illustrer le même texte des images toutes di
et d’inventeur reste entier. Passons aux galeries de sculpture. Qu’y trouverons -nous ? Encore des personnages empruntés à l’histo
mpression intégrale de la réalité. L’apparence visible des choses s’y trouve reproduite avec une perfection telle, que parfois
ns pour la logique. Dans le principe même de la décoration figurée je trouve quelque chose d’irrationnel et comme une légère f
iplier les ornements, à dénaturer les formes. On dirait qu’il ne peut trouver une surface disponible, sans avoir l’irrésistible
s des autres, à développer leurs originalités natives, en sorte qu’on trouverait chez eux une aussi grande variété de types psychi
sens, caractérisée par des aptitudes particulières qui justement ont trouvé leur meilleur emploi dans l’art. Qu’est-ce donc q
stions qui tout à l’heure se pressaient en désordre dans notre esprit trouveront l’une après l’autre leur solution, quand le momen
que. L’artiste en est certainement doué. Il serait aussi difficile de trouver un peintre qui n’ait pas la mémoire des formes et
on album, établisse sommairement une esquisse, délaie ses couleurs et trouve ses tons, la lumière a changé, l’effet n’est déjà
ible de la nature, puis une exécution franche et joyeuse sur le thème trouvé , sur l’idée que l’artiste s’est faite définitivem
lle détaille, elle donne à chaque chose un accent individuel. Vous ne trouverez pas deux hommes qui aient la même rotule, pas plu
uverez pas deux hommes qui aient la même rotule, pas plus que vous ne trouverez sur un arbre deux feuilles identiques. Si vous ce
par l’artifice même du décor, ces illusions visuelles auxquelles nous trouvons tant de charme. Parfois ce seront des figures com
suffit que dans ce réseau de lignes entrecroisées nous puissions lui trouver un contour : aussitôt elle nous apparaît distinct
re tantôt en noir sur fond blanc, tantôt en blanc sur fond noir. Nous trouvons encore une subtile variante de cette illusion dan
ut le premier ; il faut qu’il les ait vues dans sa tête avant de leur trouver une expression sur la toile. Cet effort que nous
le temps de se trop déplacer sur cette surface blanche où son œil ne trouve encore aucun point de repère, il commence à en ma
— Dans toutes ces œuvres, dessins, gravures, tableaux, statues, nous trouvons un trait commun qui les caractérise : toutes elle
nsigeance de quelques artistes qui n’admettent que le paysage pur. Je trouve bien ombrageuse cette poésie qu’un bruit de pas e
quelqu’un de ces sentiments généraux et vraiment humains qui doivent trouver un écho dans tous les cœurs ; il s’en est pénétré
rie poétique ; mais quoi qu’on fasse, on ne pourra s’empêcher de leur trouver un attrait spécial, qui tient au sujet même. Il f
e bien comprendre en effet. Cette évocation d’images, à laquelle nous trouvons tant de charmes, n’est pas une simple distraction
talent fléchit ? Tout au contraire. Ce sont les sentiments forts qui trouvent le mieux l’expression juste. Jamais l’artiste ne
t pas de prendre conscience des procédés intimes de leur imagination, trouveraient profit à cette recherche. Ils ne font d’ordinaire
diverses qualités sensibles qu’il veut représenter, il faut que nous trouvions une correspondance ; et cette correspondance doit
nsation résultante d’un parfum bleu foncé. De même je serai disposé à trouver que les fleurs de la série blanche, narcisse, tub
, il cherchera sur sa palette les tons les plus froids qu’il y puisse trouver , bleuira ses ombres jusqu’à les rendre glaciales.
us pouvons découvrir parfois une certaine ressemblance, qui nous fera trouver leur rapprochement plus naturel. Soit par exemple
s naturel. Soit par exemple la saveur de l’abricot, et sa couleur. Je trouve que les deux sensations s’accordent si bien, qu’e
rès mal, quel que soit d’ailleurs leur rapport d’association. Reste à trouver la raison de ces analogies. Si différentes que so
tes deux expressives d’un même sentiment. Dans tous les cas on pourra trouver en elles un élément commun qui, perçu d’une maniè
é à part. Entre les sensations visuelles et les sensations sonores on trouve de remarquables correspondances. À chaque instant
des phrases comme celles-ci, que je cite entre mille parce que je les trouve dans un excellent traité d’orchestration : « En p
ute phrase métaphorique, à côté des mots pris au sens figuré, il s’en trouve toujours quelques-uns présentés au sens direct, q
ment, et même à toute idée capable d’agir sur le sentiment, on pourra trouver dans l’ordre des couleurs un équivalent. Dans les
ntée ; là encore notre esprit et notre œil se mettent à l’unisson. On trouverait de beaux exemples de cette correspondance dans l’
dèle n’a pas le sentiment de cette harmonie, à la rétablir ; s’ils la trouvent toute faite, à l’accentuer. Voyez le François Ier
Ne pouvant les exprimer directement, il faudra qu’il s’ingénie à leur trouver , une expression indirecte. Il leur cherchera, dan
me. Sa force d’expression en est accrue d’une manière remarquable. On trouve , sculptés dans un certain nombre de cathédrales,
s artistiques ne sauraient nous surprendre ; à chaque instant nous en trouvons dans le parler courant de bien plus bizarres, que
levée à la deuxième puissance. Dans tout symbole par transposition on trouverait de même ces deux significations, l’une positive,
mployé dans les représentations symboliques ; mais certainement on en trouverait peu d’exemples. Il est trop peu subtil, et tout s
ble, mais qu’à l’origine ils ne le sont jamais. En cherchant bien, on trouverait toujours entre l’objet qui nous est mis devant le
e. Ici encore, comme dans toute transposition symbolique, nous allons trouver des rapports d’association et des rapports d’anal
représentée. Au reste l’artiste n’a pas grand effort à faire pour les trouver , car d’ordinaire ce sont celles qui spontanément
e brisée, le temps par un sablier ailé. Sur certains vases chinois on trouvera la représentation d’une ; poire comme emblème de
squelles se porte son action. Vous pourriez même, si vous le vouliez, trouver dans de telles compositions l’équivalent de l’épi
e-t-il un peu forcé ? Plus vous y réfléchirez au contraire, plus vous trouverez d’analogies entre ces deux procédés d’expression.
rythme de la pensée logique qui les accompagne. Les phrases que nous trouverons pour les décrire seront souvent celles-là mêmes d
listes ornent si volontiers leurs compositions décoratives ; on les a trouvées prétentieuses et déplacées ; on a dit que ce méla
c la littérature, et dans son suprême effort pour traduire l’Idée, ne trouva plus que des mots pour la rendre. Il est impossib
esprit en voit apparaître d’autres, plus idéales encore. Il nous fait trouver je ne sais quel charme aux sentiments les plus tr
x à mettre dedans ; attrait un peu morbide de l’étrange : on pourrait trouver de tout cela dans le parti pris d’obscurité de qu
té parfois pratiqué dans leur composition. On s’évertue par exemple à trouver le sens véritable de mainte figure allégorique de
, l’on compose et l’on récite des vers que l’on comprend, et que l’on trouve admirables. Quand, d’aventure, on se les rappelle
si loin qu’il nous plaira, parce que dès le premier moment nous avons trouvé à l’œuvre un sens plein et solide. — Dans l’image
vention : elles forment trop tableau pour cela, il faut que nous leur trouvions un sens. Même après explication, l’œuvre garde qu
s  en tête-à-tête avec l’œuvre. Notre imagination va s’éveiller. Elle trouvera plaisir à ces images qui l’avaient effarouchée d’
utour de vous : dans cette flore réduite, dans ce coin de nature vous trouverez autant de formes ornementales que vous en pouvez
sous la main, des sujets excellents. On se met fort en peine pour en trouver . Les artistes s’en vont bien loin, leur boîte sur
ses beautés. Plus notre éducation esthétique sera avancée, plus nous trouverons dans le monde de choses à admirer. Dans l’objet q
ltats obtenus voue l’art à sa décadence en lui faisant croire qu’il a trouvé ses formules définitives14. L’œuvre se poursuit,
ur fantaisie une grâce incomparable ; certaines harmonies de couleurs trouvées par nos décorateurs valent bien celles que nous a
les compositions du peintre ou du sculpteur le plus imaginatif, vous trouverez des morceaux qui ont été exécutés d’après nature,
au je m’ingénierai à rendre le sens de ce mouvement. Un autre peintre trouverait d’autres équivalents. Quand après avoir regardé d
de feuilles. — S’agit-il d’un buste, d’une statue ? Il faudra de même trouver quelque moyen plus ou moins ingénieux pour rendre
e procédé étant plus artificiel, il est plus difficile à l’artiste de trouver des équivalents aux effets qu’il veut rendre, et
. C’est à force de recherches, d’expériences, de tâtonnements qu’on a trouvé cette façon de rendre tel ou tel effet de la natu
us avons eu l’occasion de le faire remarquer, ne se répète pas. On ne trouvera pas deux hommes qui aient les mêmes traits et le
. C’est cette nécessité de transposer constamment la nature et de lui trouver des équivalents par approximation qui fait la pri
ancs, fermement posés, ou dégradés suivant une loi régulière. On peut trouver de bons exemples de cette stylisation de la coule
nécessité, bientôt il le fera par goût, pour la saveur spéciale qu’il trouve à ces fantaisies d’interprétation. La nature même
l, un joli travail ». Le lendemain, il veut reprendre ses sujets : il trouve ses fonds lourds et embus. Pour parer à ce mécomp
encaustique, vernis de sa composition, il a multiplié les essais pour trouver une expression aux mystérieuses images qui le han
uvelle, à leurs risques et périls. Si personne ne cherchait, qui donc trouverait  ? C’est à force de tâtonnements et d’essais bizar
dées qui passent incessamment dans l’esprit des chercheurs, s’il s’en trouve une qui soit pratique, elle demeure, et la techni
e sont des méthodes à découvrir. Il faut s’ingénier continuellement à trouver la meilleure façon de pousser l’outil, le tour de
re enfin la terre opaque de son vernis translucide ! Heureux qui peut trouver un art nouveau ! On hésitera peut-être à admettre
rande fécondité d’imagination. L’essentiel, semble-t-il, n’est pas de trouver quantité de procédés, mais d’en trouver un seul q
el, semble-t-il, n’est pas de trouver quantité de procédés, mais d’en trouver un seul qui ait sur les autres une supériorité qu
aite par un homme qui n’ait jamais eu d’autre idée que celle-là. Pour trouver quoi que ce soit, il faut avoir le tempérament de
nt présentes dans l’esprit de l’écrivain, toutes voudraient à la fois trouver place dans l’œuvre, mais il faut les introduire l
odification de la forme. L’artiste a inventé encore en un autre sens. Trouver des attitudes naturelles et neuves, qui nous prés
fs pour élaborer leurs types sculpturaux. En Grèce, par exemple, nous trouvons d’abord d’informes essais, des effigies d’hommes
profession. Aussi peut-on dire qu’il faut chercher longtemps avant de trouver , dans les tableaux ou les statues qui remplissent
ver dans l’invention plastique la justesse, le naturel, la vérité. On trouvera pourtant, si l’on y réfléchit, une différence. Da
mportance exceptionnelle. Ce problème se pose souvent à l’artiste, de trouver une figure ayant un caractère, une expression, un
ous ne savons comment nous y prendre, ni par quoi commencer ; nous ne trouvons qu’une mimique fausse, exagérée, incohérente, qui
ut commencer par l’observation. Considérez l’œuvre de Gavarni, vous y trouverez à profusion des types bien vivants, dont l’indivi
e que j’appellerais son attitude morale à l’égard de son œuvre. On ne trouve pas l’expression à froid. L’imagination restera s
de son âme. Cette aptitude est également nécessaire à l’artiste pour trouver l’expression. Elle doit exister à un degré éminen
, avec des yeux hagards. Dans les masques si expressifs de Carriès on trouvera des jeux de physionomie que certainement il a dû
voquer ce sentiment, de m’identifier à ce caractère que je saurai lui trouver une expression plastique. On peut même dire que c
t donc absolument déconcertant pour un artiste du type intellectuel : trouver un je ne sais quoi qui exprime une nuance de sent
s, les formes nobles et parfaites, les beaux visages, et s’ils ne les trouvent pas dans la nature ils les demanderont à l’invent
t temps l’art idéaliste s’y est complu, parce que c’est là qu’il peut trouver le plus de proportion, d’harmonie, de noblesse et
I. L’idéal humain Le premier problème à résoudre est le suivant : trouver un type qui soit conforme à notre idéal de la bea
t de porter son idéal à ce degré de précision et de perfection. On ne trouve pas l’idéal du beau d’un coup de génie, pas plus
encontre des modèles d’une beauté accomplie, et telle que le goût n’y trouve rien à reprendre, que l’imagination ne conçoive r
are qu’un corps ou qu’un visage soit parfait de tous points ; mais on trouvera dans l’un des beautés de détail qui ne se trouver
ination pour en composer un ensemble, je ne vois pas ce que l’on peut trouver à redire au procédé. En fait tous les chercheurs
vations, plus il leur sera facile d’imaginer une beauté accomplie. Je trouve encore à cette variété d’études un avantage : c’e
la voie. Il étudiera donc les maîtres. Entrez dans un musée : vous y trouverez des corps d’une parfaite harmonie, des visages d’
sent, non seulement ce qu’ils ont vu, mais ce qu’ils ont rêvé. Nous y trouvons la forme humaine châtiée, élaborée, amenée au plu
utant que d’art. Ne nous obstinons pas à chercher ce que d’autres ont trouvé déjà. Il ne faut pas trop mépriser la tradition.
es d’une telle perfection plastique qu’il est bien difficile d’y rien trouver à retoucher. Si ce n’est pas absolument l’idéal,
ciens, il faut bien qu’il revienne aux mêmes types. L’essentiel a été trouvé . Le canon de la forme humaine a été fixé dans son
’art idéaliste poursuivait la perfection ; son malheur est de l’avoir trouvée  : il n’a plus rien à faire. Rien de plus décourag
t sans doute beaucoup moins simple que cela ; il est probable qu’on y trouverait un certain nombre de maxima, de hauteur à peu prè
teindre aussi en nous engageant dans des voies différentes. S’ils ont trouvé certains types d’une beauté idéale, n’essayons pa
les reproduire servilement, ce serait du plagiat. Efforçons-nous d’en trouver d’autres, d’une valeur équivalente ! Affirmons la
idéal. Les anciens nous ont représenté la beauté antique : à nous de trouver la beauté moderne. Cherchons donc ! Le problème d
type de ces êtres surnaturels dont ils sculptaient l’effigie. Ils le trouvaient déjà conçu et presque fixé dans l’imagination pop
nçu et presque fixé dans l’imagination populaire. Leur tâche était de trouver une formule plastique à des images qui depuis lon
ours été heureuses. Pour donner l’impression du divin, on n’a souvent trouvé que le monstrueux. Que représentent ces idoles au
ar la surnaturelle beauté de l’image. De ce mode de représentation on trouverait dans l’art grec d’admirables exemples. En présenc
lles qu’en puissent être les raisons, c’est surtout chez eux que l’on trouvera des exemples de ce sublime purement moral. Dans s
traduire des conceptions auxquelles il semblait presque impossible de trouver une expression plastique. Alors même qu’il a écho
çant en pleine fantaisie. De cette libre allure de l’imagination nous trouverons surtout des exemples dans l’art décoratif. La rai
essinant d’un geste plus libre alors ce sera la main de l’artiste qui trouvera d’elle-même la courbe heureuse, qui prendra plais
cturale. Mais ceux qui aiment la peinture savent tout le charme qu’on trouve dans certaines esquisses que la pensée achève et
aine avec la forme animale, et des formes animales entre elles. On en trouvera le répertoire presque complet dans les bas-relief
ont donc pas eu la peine de les inventer. Le plus souvent ils les ont trouvées toutes faites, dans la légende, dans la poésie. M
en sont emparés avec joie. En leur qualité d’imaginatifs, ils doivent trouver un attrait particulier à ces conceptions étranges
ans ces régions inconnues, lointaines, merveilleuses, et nous y avons trouvé la nature toujours conforme à ses lois. Les monst
ier, quand l’élève sera abandonné à lui-même. Ces exercices devraient trouver place dès le début, dans les premières années d’a
à un entraînement normal et progressif ? Il faut songer enfin à leur trouver quelque noble stimulant. Ceci n’est-il qu’une uto
ré Michel, Notes sur l’art moderne, Armand Colin, 1896, p. 17. 3. On trouvera sur ce sujet de curieux détails et une ample docu
22 (1870) De l’origine des espèces par sélection naturelle, ou Des lois de transformation des êtres organisés « De l’origine des espèces par sélection naturelle, ou Des lois de transformation des êtres organisés — Chapitre XII : Distribution géographique (suite) »
d’œufs de coquillages d’eau douce étaient en train d’éclore, et je la trouvai bientôt couverte d’un grand nombre de petits coqu
de cet ordre sont généralement grands voyageurs, et on les a parfois trouvés sur les îles les plus stériles et les plus éloign
vait rester à jamais inexplicable ; cependant Audubon affirme qu’il a trouvé les graines du grand Lis d’eau méridional (probab
espèces, la proportion des espèces autochtones, c’est-à-dire qu’on ne trouve nulle autre part, est souvent considérable. Si l’
re cents milles en pleine mer. Les différents ordres d’insectes qu’on trouve à Madère présentent encore des faits analogues. L
nd Océan est parsemé. J’ai voulu vérifier cette assertion, et je l’ai trouvée rigoureusement exacte, si l’on en excepte la Nouv
possèdent les indigènes, la Nouvelle-Zélande mise à part, je n’ai pas trouvé un seul témoignage certain de l’existence d’un ma
que de petites îles puissent nourrir de petits mammifères, car on en trouve en beaucoup d’autres parties du monde sur de très
res aériens. La Nouvelle-Zélande possède deux Chauves-Souris qu’on ne trouve nulle autre part. Il est vrai que cette île peut
es autres parties du monde ; mais, aussi loin que j’ai pu aller, j’ai trouvé que la règle était d’application générale. Nous v
bas-fond submergé à une profondeur de près de 1, 000 brasses, et nous trouvons encore ici des formes américaines, mais les espèc
des espèces autochtones, mais quelquefois aussi par des espèces qu’on trouve autre part. Le Dr Aug. A. Gould a fait connaître
cain. Nous avons vu déjà que sur vingt-six oiseaux terrestres qu’on y trouve , vingt et un et peut-être vingt-trois sont rangés
affinités deviennent une anomalie. Mais la difficulté qu’on pourrait trouver à l’expliquer disparaît dans l’hypothèse que la N
tants des Galapagos qu’on retrouve en d’autres parties du monde, nous trouvons des différences considérables entre les diverses
s, ou en se répandant subséquemment de l’une dans les autres, se sera trouvé exposé à différentes conditions de vie dans chacu
s groupes d’organismes tout différents. Une plante, par exemple, aura trouvé le sol le plus convenable pour elle, plus complét
plantes distinctes, dans une île que dans une autre, et elle se sera trouvée exposée aux attaques d’ennemis un peu différents 
deux régions, quelque éloignées qu’elles soient l’une de l’autre, on trouve beaucoup d’espèces proche-alliées ou représentati
on trouve beaucoup d’espèces proche-alliées ou représentatives, ou y trouve également quelques espèces identiques, montrant,
bien qu’elle soit difficile à prouver. Parmi les mammifères, nous en trouvons une application frappante chez les Chauves-Souris
es comme espèces distinctes, de sorte que leur extension commune s’en trouvera diminuée de moitié. Encore moins ai-je voulu dire
ndue les moyens de dispersion des productions d’eau douce. Si l’on ne trouve aucune difficulté insurmontable à admettre que da
n ensemble presque infini d’actions et de réactions. Nous devons donc trouver , et nous trouvons en effet dans les diverses prov
e infini d’actions et de réactions. Nous devons donc trouver, et nous trouvons en effet dans les diverses provinces géographique
pôt intermédiaire les formes qui paraissent y manquer, bien qu’on les trouve dans les formations immédiatement inférieures ou
mpare entre elles des provinces éloignées sur la surface du globe, on trouve également que quelques organismes ont entre eux d
essairement que les types inférieurs actuels le soient encore. Ici on trouve de fortes raisons pour et contre. Que ces organis
23 (1788) Les entretiens du Jardin des Thuileries de Paris pp. 2-212
outenir son opinion. A peine avois-je ruminé sur cet objet, que je me trouve sans m’en apercevoir au milieu du Jardin des Tuil
Déjà l’on en fixoit la date, & l’on nommoit ceux qui devoient s’y trouver  ; il y eut à la suite de ce discours une grande d
ouvernement français, fut dans tous les temps, dit un homme sensé, de trouver un excellent contrôleur général, qui unisse le gé
oient autour des allées du jardin, en discourant ainsi ; & je les trouvai pleins d’esprit & aimables. Il est certain qu
sur le particulier, & que Louis XVI étant le pere de ses sujets, trouveroit dans son cœur royal de quoi dédommager ceux qu’il
la fortune peut le porter. En s’occupant du bien de l’état, on pourra trouver des moyens qui seront d’une grande utilité. Il n’
leur faire la moindre grace ; nous parlions encore lorsque nous nous trouvâmes seuls au milieu du jardin des Tuileries. Le monde
pas, & pour me servir de l’expression d’un Gascon, ils s’étoient trouvés sous le parapluie, de maniere à ne pas s’en resse
e jamais dédommager des contradictions & des contradicteurs qu’on trouve à chaque pas ; & n’est-il pas bien dur dans u
es chagrins. Quatre vers qui m’ont cassé la tête, & que le public trouve mauvais, me désesperent ; & c’est un coup de
du siecle à la main, courut toute la rue Saint-Jacques, sans pouvoir trouver un libraire qui osât se charger de son manuscrit,
e, si un ami connoisseur ne lui en eût donné mille écus. Ainsi Milton trouva moins que rien de son Paradis perdu. Mais je veux
les sociétés s’occupent de rapports, de médisances, de frivolités, il trouve dans les livres qu’il consulte, dans son propre e
a nuit, il maîtrise, pour ainsi dire, l’univers, par l’avantage de ne trouver alors ni critiques, ni contradicteurs, de n’avoir
ls devroient en avoir. On convint de cette vérité, & l’on crut en trouver la raison, premiérement dans les efforts qu’ils n
dit, ajoutai-je, & je n’en crois rien, que plus d’une femme avoit trouvé le moyen de faire purger ou saigner son mari, lor
liste qu’il avoit lui-même soldée ; & à la mort de madame, on ne trouva que des ouvrages dont le titre seul étoit révolta
, que l’air en est dangereux. Elle n’aime que la ville, & il faut trouver des raisons valables pour qu’elle y réside contin
des femmes ne se marieroient jamais, si elles n’étoient pas sûres de trouver dans leur imagination, ou dans leur astuce, les m
e de l’esprit, & sur celles qu’un intérêt secret avoit dictée. Je trouvai que le comte étoit trop mal pensant, & j’avou
lement sans se connoître. La femme la plus qualifiée, [quand elle s’y trouve ] fait volontiers les frais de la conversation ave
s Paris ne se montre qu’avec réserve, nous faisoit beau jeu, quand je trouvai le Jardin des Tuileries rempli de personnes de to
ù l’on se nourrissoit mieux. C’est-là, me dit-il avec chaleur, que je trouve les meilleurs traiteurs, les plus excellens pâtis
coup plus de goût & plus de substance que les nôtres, & je ne trouve rien de meilleur qu’une soupe allemande, lorsqu’e
urneaux bien allumés, au lieu que chez la plupart des François, on ne trouve qu’un petit feu de veuve à l’heure même de midi.
ne tasse de chocolat forme leur souper. Si je passe en Angleterre, je trouve dans chaque famille un énorme rosbif. Tous les ra
monument décoré de ses éloges & de son nom. Quant aux noces, nous trouvâmes qu’elles avoient beaucoup perdu de leur pompe &am
rs d’une maniere étonnante, en leur donnant une nuance parisienne. On trouve jusque dans Tobosk, Capitale de la Sibérie, jusqu
l résulta de notre entretien, que ce monde est un vaste champ où l’on trouve des plantes & des fleurs, qui, par la variété
ien. Nous levâmes le siege, & je me retirai chez moi charmé de me trouver seul ; c’est une jouissance pour l’ame qui nous p
en faire une aventure plaisante, & que la curiosité parisienne y trouveroit de quoi s’amuser. Des hommes singuliers, Ou d
jour à un ami qui sait parfaitement apprécier les humains. Nous nous trouvions l’un & l’autre en train de causer, & nous
qu’elle verra Voltaire, sans entremise & sans recommandations. On trouve des parieurs, l’argent se met sur jeu, & voic
; lui dit : Oh ! je savois bien que je vous attraperois, & que je trouve rois le moyen de vous parler, parce que je connoi
nte son aventure, & chacun vous regarde comme un ours. L’avis fut trouvé très-bon. Le vieux poëte rit de tout son cœur, &a
p; même ridicules aux yeux des gens sensés, de sorte que si l’on veut trouver des êtres singuliers, c’est parmi les savans &
leurs, & que si l’on pénétroit dans l’intérieur des ménages, on y trouveroit les peres les plus bizarres, les meres les plus a
& c’est dans la ville d’Angers qu’on veut aller, & qu’on s’y trouve au mieux, jusqu’au lendemain que le soleil contin
d’originaux, & nous nous rendîmes enfin à Saint-Cloud, où nous ne trouvâmes heureusement qu’un vin original, parce qu’il n’av
nous intéresser, de sorte que nous donnions carriere à nos idées pour trouver matiere à quelqu’entretien, quand vint à paroître
petit coquin sait parfaitement réparer ses torts à son égard ; on le trouve réellement si aimable, que chaque élégante blâme
e. Le seigneur stupéfait de ces naïvetés, & en même temps ravi de trouver tant d’innocence, n’a nulle difficulté de se livr
ux laquais. On peut bien assurer que chez un être de cette espece, on trouva l’impertinence avec tous ses entours. Un négocian
s de bien vivre. Lycas se leve sans savoir où il ira dîner, & il trouve le moyen d’assister au repas le plus excellent, d
ruine. L’histoire de l’industrie est un ouvrage qui nous manque. On y trouveroit plus d’esprit que dans tous les mémoires des dive
s-je vous demander dans quel endroit ? Vos Champs-Elysées même : j’ai trouvé , qu’excepté la grande route qu’enfilent les cabri
ngambe qu’on puisse être, de garder l’équilibre sur les pierres qu’on trouve dans les fossés du Cour-la-Reine, tant elles sont
pour suffire à ces dépenses. Je vous répondrois qu’il faut qu’elle en trouve cela fût-il pris sur le revenu de vos gros abbés
urs que Londres & ses environs n’ont point les inconvéniens qu’on trouve à Paris, & qu’on est enchanté de leurs agréme
is de bonne-foi, ces jardins sont-ils donc si merveilleux ? Je ne les trouve agréables que pour une personne seule, car il est
Je souffre, par exemple, toutes les fois que je vas à Versailles, de trouver sur la route de ce magnifique séjour, des cabanes
On m’avoit donné rendez-vous au Jardin des Tuileries, pour ne pas s’y trouver  : à Paris c’est assez l’usage. Il y a tant d’affa
mbarras qui vous arrêtent ; il semble que plus on est pressé, plus on trouve d’obstacles. J’attendois impatiemment, quand une
vir de truchement. Mais ce domestique, lui dirent ces messieurs, vous trouveroit -il malgré toute son habileté, ce qu’on ne connoît
cheminées, c’est que dans leurs cuisines comme dans leurs offices, on trouve un gothique, dont l’élégance s’effarouche avec ra
isies, qui nous met au-dessus du qu’en dira-t-on, & qui nous fait trouver du plaisir jusque dans la douleur ; mais vous ne
e pas le désagrément de voir ma voiture arrêtée par les autres, de me trouver coudoyée par cette foule qui inonde les promenade
s. Quelle différence, lui répondit-on ; c’est dans Paris même où vous trouvez ces embarras, mais quand Paris avec tous ses agré
s voyageurs. Ajoutez la crainte des brigands ; s’il est rare qu’on en trouve sur les routes fréquentées, ils ne rodent que tro
différentes des nôtres ? Les femmes s’appliquent-elles à lire, & trouve-t -on le fruit de la lecture dans leurs entretiens ?
charades & …. A propos de calembourgs, dit un d’entre nous, je ne trouve l’étymologie de ce mot dans aucun dictionnaire, &
ant que l’imagination française. Ainsi vous voyez, madame, qu’on peut trouver des raisons qui expliquent la prééminence que nou
étrangers. En ce cas, dit la comtesse, je garderai mon or, & je trouverai des moyens de le dépenser ici beaucoup plus graci
sonnages, se présente si souvent, qu’il n’est point extraordinaire de trouver ici quelques réflexions sur un pareil sujet. Les
s que personne à la critique. Oui, pour peu qu’on les analyse, on les trouvera presque toujours aussi médiocres dans leurs disco
le hasard nous fournit des comédies de cette espece sans payer. Nous trouverions le personnage d’important excellent dans une comé
amp; pendant une ou deux heures seulement ; & les importans qu’on trouve dans le monde nous obsedent à toute minute. Une s
dire que la société devient plus que jamais à charge, en ce qu’on n’y trouve que des importans. Le plus petit mérite, l’esprit
cette prostituée de Babylone, qu’ai-je fait, au moment même qu’on la trouve en flagrant délit. Tant que le monde sublistera,
rsonnes aux quelles la lettre s’adresse. Le plus ancien exemple qu’on trouve des lettres de cachet, en tant qu’on les emploie
lâmes du gland, & mon habile cultivateur prétendit qu’il espéroit trouver en peu le moyen de le rendre agréable au goût. Il
la raison que par un fil, mais du moins elle n’échappe pas. Nous lui trouvâmes plus d’esprit qu’il n’en avoit montré, & il f
faveur, & des fruits délicieux y montrent un embonpoint qu’on ne trouve point à la halle, quoiqu’elle soit le plus beau j
ni augmentée, car il a le bonheur de prendre les choses comme il les trouve , & de les répéter avec la plus grande fidélit
as aussi des grimoires. Quelle différence ! on n’est point étonné d’y trouver des mots qu’on n’entend pas ; mais dans le frança
mots qu’on n’entend pas ; mais dans le français la langue familiere y trouve les termes les plus barroques, c’est comme si l’o
onde tellement en termes français, qu’on n’en lit pas une page sans y trouver une quantité de nos expressions…. J’en conclus qu
d’une élégance mâle, la diction en est si pure, que chaque phrase s’y trouve parfaitement cadencée. L’E muet est une lettre cr
& nous nous étendîmes sur quelques ouvrages du temps, où l’on ne trouve réellement que des mots ampoulés, un autre auroit
chut…. Le voici trop près de nous. Mon pédant s’en alla, & je me trouvai seul chargé de faire les honneurs de l’écrivain a
ien, que je dissertai sur les qualités de l’immortel Frédéric ; je le trouvai très-impartial sur le compte de ce monarque, &
ic a du mérite, & il n’y a point de bibliotheque où elle ne doive trouver place. Mais Voltaire auroit commencé cette histoi
& souvent si l’on en rapportoit toutes les circonstances, on les trouveroit bien petits. Il est rare que la grandeur se souti
Quinzieme entretien. C Omme il ne faut pas aller bien loin pour trouver des êtres de cette espece, sur-tout dans une capi
utons pas, qui a fait naître parmi nous tant de frondeurs. Nous avons trouvé que leurs fréquentes motions supposoient du coura
ur débiter une méchanceté, ils ne sont pas toujours justes. Ce que je trouve affreux parmi les frondeurs, c’est qu’un homme qu
nons Paris pour exemple. On ne sauroit croire combien les marchands y trouvent d’entraves, depuis que le Mont-de-Piété subsiste…
par hasard un ouvrage, malgré son activité, reste entre ses mains, il trouve moyen d’en faire des échanges, ou de se dédommage
p; pour me prévenir contre le livre, il m’en rapportoit des fragmens. Trouvez -vous bien, me dit-il, cet endroit où l’auteur ava
s, & que je veuille dominer sur le sentiment des autres ; mais je trouve ridicule qu’on se permette des déclamations injur
uvrage qu’en courant, & qu’un esprit pénétrant & délié y peut trouver des choses que je n’ai point apperçu. Je finis pa
pagnie, que sans la coutume ridicule de crier contre les médecins, on trouveroit cela pitoyable ; on veut absolument les rendre re
cin en courant les Villes, & disant par-tout qu’il voyageoit pour trouver des simples, gagna tout ce qu’il voulut ; & l
ges, s’ils ne remplissent pas les vœux du public. Il est rare qu’on y trouve de ces critiques déchirantes que réprouve l’honnê
 ; & pour peu qu’on veuille les parcourir sans prévention, l’on y trouvera des analyses parfaitement bien faites, des compte
que les journalistes encouragent le talent, & que pour peu qu’ils trouvent quelque chose de bon dans l’ouvrage d’un jeune ho
subsister qu’avec peine ; car il faut avouer que la littérature s’est trouvée au pillage, que tout le monde a voulu forcer le s
rez toutes les conditions, suivez les deux sexes, & par-tout vous trouverez des ridicules ; ici plus compassés, là, moins pré
; qui mériteroit bien un prix de la part des sociétés littéraires. Je trouvai cette réflexion plaisante, & je le dis à la m
nécessaire de fixer les hauts seigneurs de l’espece humaine, pour en trouver . Voyez, par exemple, cette femme qui passe, &
vres, qui sont singuliérement ridicules. On se bat les flancs pour en trouver d’extraordinaires ; & lorsqu’on les a saisis,
ue à Caron nous aura passé sur l’autre bord, pourvu toutes fois qu’il trouve notre monnoie de bon alloi… Ma foi, s’il n’alloit
qu’il trouve notre monnoie de bon alloi… Ma foi, s’il n’alloit point trouver les nouveaux louis de son goût, il y auroit bien
je défie tout notre bel-esprit d’en faire de semblables. L’esprit s’y trouve comme la violette sous les feuilles, sans se mont
oui ; c’est-là cette Alise, qui, sans esprit comme sans éducation, a trouvé le moyen d’avoir cet équipage si leste & si d
, c’est elle-même, & c’est elle qui petite marchande de chiffons, trouva l’homme le plus stupide & le plus riche, dont
ans, qu’un habit à fracas, ne doivent pas être le partage d’un enfant trouvé … Il est commis…. Je le veux. Mais ce n’est pas un
urs seront encouragés, les vassaux défendus, & le plus malheureux trouvera accès dans les assemblées en question, au lieu qu
ar des mémoires aussi bizarre qu’impraticables. L’un, avec rien, fera trouver tout-à-coup deux cents millions, l’autre avec cen
u’il y a une grande différence entre bien arranger des syllabes & trouver des trésors. Tout cela vient d’un tourment d’espr
24 (1869) Portraits contemporains. Tome I (4e éd.) « M. de Sénancour — Note »
ient très-peu. Depuis sa mort (10 janvier 1846), j’avais espéré qu’on trouverait dans ses papiers quelques notes à mon intention e
moitié de la vie, je cherche vainement une saison heureuse, et je ne trouve que deux semaines passables, une de distraction e
aiblesse des membres qui, en m’ôtant les ressources qu’un autre homme trouverait dans le malheur, me prive de cette résignation, d
eur, me prive de cette résignation, de cette heureuse sécurité que je trouverais dans mes dispositions naturelles, dans les résult
 Il n’y a pas eu d’hommes d’État dans tel pays, car s’il s’y en était trouvé , ils se seraient élevés comme Cromwell, lequel a
uand les circonstances le demandent ; et ses simples connaissances le trouvent prompt à rendre… » (Ici une lacune.) « Sans doute
e me condamne, je me dis : « Il fallait prendre tel parti ; » puis je trouve qu’il a été si mal à propos de ne pas prendre ce
s que, si je n’ai pu faire mieux dans les circonstances où je me suis trouvé , j’ai manqué de l’art d’en faire naître de plus f
beaux jours, et qui les décolorent précisément afin que l’œil puisse trouver quelque repos. « Il est bon d’être au milieu de l
vigoureux propres à tout. Je suis à la merci du sort, et peut-être ne trouverai -je d’autre repos que celui que je voulais alors c
nse que c’est dans ce qu’on appelle (bien ou mal) mélancolie que nous trouverons les lumières désormais utiles.  « Dans ces siècle
ns doute qui puisse ramener les hommes au bonheur. Cependant il s’est trouvé que bientôt après M. de Chateaubriand, qui avait
ions morales et religieuses, où l’avocat du roi, Levavasseur, croyait trouver à chaque phrase l’intention manifeste de détruire
s explications. Il fit observer que nulle part dans son ouvrage on ne trouvait l’empreinte de la passion : « Je n’ai jamais, dis
25 (1913) La Fontaine « V. Le conteur — le touriste. »
emps que les qualités. Certaine fille, un peu trop fière, Prétendait trouver un mari Jeune, bien fait et beau, d’agréable mani
igneux de la pourvoir : Il vint des partis d’importance. La belle les trouva trop chétifs de moitié : « Quoi, moi ? Quoi, ces
, c’est l’exposition : Certaine fille, un peu trop fière, Prétendait trouver un mari…, etc. Le second acte, ce sont les bons
ptibles, je le reconnais, d’une interprétation au bout de laquelle on trouverait qu’il est possible que La Fontaine ait fait ce vo
Là (c’est-à-dire quand ils sont arrivés à Bourg-la-Reine), là se doit trouver un valet de pied du Roi (expression amusante de L
ligé d’accompagner Jannart. » Cela peut s’interpréter ainsi ; mais je trouve l’explication un peu tirée et il y a peu de chose
res de la famille et qui n’intéresserait pas beaucoup le public. « Je trouvai à Châtellerault un Pidoux dont notre hôte avait é
à mon égard… » Ici nous sommes en face d’un de ces propos comme on en trouve tant dans les lettres qui n’étaient point destiné
t le caractère domestique et familial au plus haut degré. Ce que l’on trouve et qui intéresse non seulement Mlle de La Fontain
nt des parcs et pour les parcs qui sont de véritables forêts, où l’on trouve l’ombre et le frais, comme il dit, et où l’on tro
forêts, où l’on trouve l’ombre et le frais, comme il dit, et où l’on trouve une solitude peuplée de véritables ténèbres ; il
ût venu m’avertir qu’il était tard… » Après les jardins, ce que l’on trouvera en fait de pittoresque, dans les lettres de La Fo
ême, oui, mais le sentiment du grand pittoresque, ils ne pouvaient le trouver autour d’eux. Si, à la place du Mont Valérien, il
……………………………………………. Qu’au lieu d’Amaryllis, de Diane et d’Aminte On ne trouve chez toi que vilains bûcherons, Charbonniers noir
est bien mieux pris que quand le Bourguignon le mena à Liège. Je lui trouvai la mine d’un matois ; Aussi l’était ce prince, do
t le caractère des hommes que l’on a rencontrés. C’est ce que vous ne trouverez pas beaucoup, ce que vous ne trouverez presque pa
ncontrés. C’est ce que vous ne trouverez pas beaucoup, ce que vous ne trouverez presque pas dans le Voyage en Limousin. On sent b
’ont fait frémir. Cet homme (il n’aimait que les mers d’Italie) a osé trouver affreuse la baie de Saint-Malo. Ce jour-là il s’e
es hommes. C’est cela que La Fontaine, en somme, ne fait point. On ne trouve exactement, parmi ses compagnons de voyage et tou
i ses compagnons de voyage et tous les gens qu’il a rencontrés, on ne trouve exactement dans ses lettres que le notaire, d’abo
bon augure [vous voyez dans quel sens parle La Fontaine] et j’y eusse trouvé matière de cajolerie, si la beauté s’y fût rencon
la singulière compagnie suivante : « Après avoir passé l’Indre, nous trouvâmes au bord trois hommes d’assez bonne mine, mais mal
gages, de ce qu’il n’avait pas d’autre bagage que Tite-Live, aille le trouver et lui dire : « Monsieur, ne serait-ce pas au Che
26 (1870) Causeries du lundi. Tome X (3e éd.) « Saint-Martin, le Philosophe inconnu. — II. (Fin.) » pp. 257-278
1793 : J’ai la douce consolation, dit-il, d’y éprouver que l’on peut trouver Dieu partout, que partout où on trouve son Dieu o
l, d’y éprouver que l’on peut trouver Dieu partout, que partout où on trouve son Dieu on ne manque de rien, on ne craint rien,
n voit à quel point il entrait aisément dans les idées du temps et ne trouvait rien de ridicule à ces réminiscences romaines. La
maladresse et de l’ignorance de nos législateurs, je me suis souvent trouvé tout prêt à prier que ce genre de désordres s’aug
à la fusillade, à la noyade, et je disais à Dieu que partout là je me trouverais bien, parce que je sentais et je croyais que j’y
servations restent encore dans leur entier, et je puis dire qu’il s’y trouve des bases neuves que je n’aurais pas eues sans ce
çaise dès son origine et au moment où a commencé son explosion, je ne trouve rien à quoi je puisse mieux la comparer qu’à une
e, qui est à ses yeux peut-être la plus haute de toutes, Saint-Martin trouve tout simple que les individus de cet ordre aient
stianisme constitué et établi dans l’Église ; il a tout bas son ordre trouvé , sa religion à lui, son règne de Dieu qui doit en
e que le monde ne s’élève pas jusqu’au degré où, s’il était juste, il trouverait abondamment de quoi se calmer et me faire grâce,
droit de condamner un homme, je ne me croyais pas plus en droit de le trouver coupable, et que sûrement, tout en obéissant à la
, tout en obéissant à la loi qui me convoquait, je me proposais de ne trouver jamais les informations et les preuves assez clai
ine des questions religieuses et morales qui s’agitaient alors. Je ne trouve pas qu’à cet égard ses contemporains distingués a
fait dîner57. Saint-Martin vit La Harpe depuis sa conversion ; il le trouva plus sincère qu’éclairé ; mais cette connaissance
resque tout le royaume pendant ces temps de trouble, et la paix s’est trouvée partout où j’étais (excepté l’aventure du Champ-d
1802, dans lequel il paraît vouloir démontrer que partout où il s’est trouvé dans l’intervalle depuis juillet 1792 jusqu’à la
cet usage abusif du signe représentatif de la propriété : aussi je le trouve bien plus faux que la propriété même. Tous nos pr
plus tôt : c’est le seul homme de lettres honnête avec qui je me sois trouvé en présence depuis que j’existe ; et encore n’ai-
27 (1887) Discours et conférences « Rapport sur les prix de vertu lu dans la séance publique annuelle de l’Académie française »
urire. Selon ces beaux récits, qui ont charmé des siècles, l’homme ne trouve sur la terre que l’épreuve ; cela est tout simple
ses temporelles. L’effet de cette bénédiction fut probablement qu’ils trouvèrent à quelques pas de là une brebis ou un chevreau ég
rs. Nul ne sera tenté de l’embrasser par l’espoir des profits qu’on y trouve . Parmi les quarante ou cinquante vies vertueuses
rands fondateurs, entraîna sa conviction et fixa son choix. Elle crut trouver chez les jeunes garçons pervertis plus de droitur
Quoi qu’il en soit, la véritable vocation de madame Gros fut dès lors trouvée . Elle s’établit dans la sentine de Lyon, près des
car, ainsi que madame Gros le remarque, le premier sentiment qu’elle trouve toujours chez eux est la fierté de leurs crimes.
dont M. l’abbé Carton est curé depuis treize ans. M. l’abbé Carton a trouvé moyen, dans cette triste zone de la banlieue pari
it sa mère de ses petits travaux de couture. Malgré sa pauvreté, elle trouva encore le moyen d’être charitable. Dans les désor
ne), paralytique des deux jambes, qui n’a que ses mains pour vivre et trouve encore moyen d’être bienfaisante ; enfin, madame
e presse, Messieurs. L’exemple de la philanthropie de M. de Montyon a trouvé , en effet, des imitateurs. Des personnes bienfais
nt et s’aiment entre eux. Qui croirait qu’il y a un monde des enfants trouvés  ? Ce monde existe, et l’on y est très heureux. J
aison aussi désemparée. Ses vertus et ses charmes extérieurs lui font trouver des mariages très avantageux ; elle les refuse to
pays, entoure Emmeline d’une véritable auréole de respect. Vous avez trouvé , Messieurs, une sœur dans le bien, digne d’être a
t vivre une nation, la rend immortelle malgré ses fautes, et lui fait trouver en elle-même, au travers de tous ses désastres et
chesse, car je vous avoue que, à part l’Académie, qui l’encourage, je trouve que souvent nous faisons trop de choses pour la d
ien, ou plutôt nous ne savons qu’une seule chose, c’est que chacun la trouve dans les inspirations de son cœur. Parmi les dix
se raisonnablement se déduire. Le héros, quand il se met à réfléchir, trouve qu’il a agi comme un être absurde, et c’est juste
umaine peut avoir à traverser. Plus j’y réfléchis, messieurs, plus je trouve que le baron Montyon, à qui l’on reproche souvent
28 (1925) La fin de l’art
pas sans doute le plus intéressant. D’après la revue ancienne où j’ai trouvé cette histoire, on aurait prétendu qu’il n’y avai
qui n’ont pas pour la symétrie le respect moderne. La pipe On a trouvé dans des tombeaux romains, celtiques, barbares de
la menthe, la sauge et surtout la lavande. Sur une des pipes antiques trouvées à Valence, on a gravé une plante où l’on reconnaî
a vigueur, en purgeant l’humidité du cerveau ». Cette pipe à lavande, trouvée à Valence, semble taillée dans ce que nous appelo
toutes prêtes à le recevoir ; elles l’attendaient. À vrai dire, on ne trouve pas d’allusions à cette coutume dans les auteurs
hilosophale a toujours coûté extrêmement cher à ceux qui la voulaient trouver de bonne foi. En retour, elle enrichit assez sûre
abale furent de vraies mines d’or ; mais combien d’autres, au lieu de trouver la fortune au fond de leurs cornues et de leurs c
ver la fortune au fond de leurs cornues et de leurs combinaisons, n’y trouvèrent que la misère. Mais quelle bêtise de vouloir tran
dix pour cent pour les frais de vente, le prix des assurances et vous trouverez que l’acquéreur aura payé, surtout s’il n’a pas l
mais je ne l’ose. Ils ne me comprendraient pas d’ailleurs, peut-être trouveraient -ils seulement que j’ai bien mauvais goût. Oui, je
bien séduisant et dont l’autorité sera grande. Les livres anciens ont trouvé de vrais amis. Un roman Les romans que l’on
Ils sont inquiétés, mais à peine, et l’ordure triomphe. L’auteur n’a trouvé que défunt son chien à qui dédier cette bonne his
é classique conservée et transmise par les monastères. » Hélas ! on a trouvé plus simple, plus propre aussi de l’acheter par p
ues où je m’amuse quelquefois et où je fais des découvertes. Hier j’y trouvai un petit traité que j’ai eu la patience de lire j
 Plume avec laquelle Voltaire écrivit La Pucelle », ou bien : « Balle trouvée dans l’une des bottes de Napoléon après la batail
ant dix ans une étoile lumineuse. Comme elle était fort jolie, on lui trouva l’air inspiré dès qu’elle chanta et sa poésie pas
le fut la Muse, elle fut Velléda, elle fut Corinne. Chateaubriand lui trouva du génie, Vigny l’aima ; Lamartine, toujours un p
a remplacent cherchent ce qui faisait l’attrait du survivant et ne le trouvent pas. Bientôt même on ne se le demande plus et, co
s’élabore plus que jamais en dehors de l’Université. Et finalement je trouve charmant que ce nom et ce titre soient usurpés pa
ame se réveilla soudain, poussa un cri et des domestiques accourus la trouvèrent épouvantée devant un Académicien, l’épée nue à la
ovince n’avaient pas une très bonne réputation d’esprit à Paris. On y trouve aussi l’histoire du médecin qui compte à un clien
e trouve toujours à point un moraliste pour lever les bras aa ciel et trouver là un signe des temps. La bêtise elle-même est im
t-il pas que M. Jovy (le plus intrépide des pascalisants) croit avoir trouvé la preuve qu’ils ont empoisonné Pascal ! Il a eu
endormies. Le pain blanc De temps en temps, des gens difficiles trouvent que le pain blanc est trop blanc, que c’est mauva
la mode du pain complet. Pour satisfaire leur clientèle, comme on ne trouve pas dans le commerce de « farine complète », les
faisaient de leur mieux pour obtenir du pain gris. Les amateurs ne le trouvaient jamais assez gris : « Ce pain, disaient-ils, est
réfléchir sur ces questions, peut-être au petit bonheur, en espérant trouver un adhérent aux idées représentées par la ligue d
ie d’implanter le cancer sur de jolies petites souris ? Si on pouvait trouver à ce prix-là la guérison du cancer de l’homme, ce
iter tout aliment salé ? Nous cherchions cela l’autre jour et nous ne trouvions rien en dehors du chocolat et des différentes suc
région par excellence de la vigne, paraîtra inimaginable, mais on en trouvera peut-être la cause dans le phylloxera et les frau
souvenirs, épais comme le brouillard, la cause de son rhume. Il ne la trouve jamais avec certitude. Il semble qu’on n’ait rien
ur aussi fins et aussi polis que peuple de France. » Cependant il les trouve un peu complimenteurs et ils ne lui plaisent poin
mplèrent ses montagnes avec un regard désintéressé, avec l’espoir d’y trouver une émotion. Cela remonte au xviie  siècle, à l’h
J’espère que les délégués du tourisme, qui vont se réunir, sauront trouver un rôle et une place d’honneur pour notre grand t
nte-cinq ou soixante volumes, car l’œuvre continue. Ayant tout vu, il trouve sans cesse à revoir et peut à peine consentir à s
uin-Dumazet a des admirateurs et des fidèles. Les touristes assemblés trouveront certainement moyen, j’en suis sûr, d’honorer ce g
ussi un canton. Qui connaît la propre chambre où il vit ? Goncourt ne trouva-t -il pas muet un monsieur à qui il demanda : « Quel
29 (1883) Souvenirs d’enfance et de jeunesse « Chapitre V. Le Séminaire Saint-Sulpice (1882) »
en ; ce n’était nullement un esprit supérieur ; on pouvait d’abord le trouver simple, presque commun ; puis on s’étonnait de dé
si comique qu’on s’étouffait pour ne pas rire. Il s’en apercevait et trouvait cela tout naturel. C’était lui qui lisait, au cou
nde connaissance de l’exégèse et de la théologie allemandes. Ce qu’il trouvait dans cette interprétation de compatible avec l’or
de mes amis de Bretagne, alors au séminaire de Saint-Brieuc : Je me trouve fort bien ici. Le ton de la maison est excellent
xige le moins d’action de la part du moteur. Le grand avantage que je trouve ici, ce sont les remarquables facilités que l’on
aités de la Religion et de l’Église, m’arrangerait fort mal, si je ne trouvais auprès de ces autres messieurs le moyen d’y suppl
forme des sacrements prêtent aux mêmes observations. L’obstination à trouver en toute chose la matière et la forme date de l’i
cablant. Or Descartes m’avait enseigné que la première condition pour trouver la vérité est de n’avoir aucun parti pris. L’œil
singulièrement facilitée. Je suis tombé de surprise quand je me suis trouvé en présence de cette langue si simple, sans const
de Gutbier. M. Le Hir fixa ma vie ; j’étais philologue d’instinct. Je trouvai en lui l’homme le plus capable, de développer cet
deux contradictoires ne pouvant être vraies à la fois, il ne doit s’y trouver aucune contradiction. Or l’étude attentive que je
e livre antique de contradictions, d’inadvertances, d’erreurs. Il s’y trouve des fables, des légendes, des traces de compositi
s citations de l’Ancien Testament qui sont faites dans le Nouveau. Il trouvait tant de difficultés à les justifier, lui si exact
giens. Ce catholicisme, je l’ai aimé, je le respecte encore ; l’ayant trouvé inadmissible, je me suis séparé de lui. Voilà qui
sent plus tard ces hésitations spéculatives. Ici, je dois le dire, je trouvai la sagesse de mes pieux directeurs un peu en défa
t au cours de syriaque de M. Quatremère, au Collège de France, et j’y trouve un intérêt extrême. Cela me sert à bien des fins 
nent chaque jour de plus en plus vives, d’autant plus vives que je ne trouve ici personne à qui je puisse les confier. Ce qui
oup de répugnance à y faire un long séjour dans l’état d’âme où je me trouve . Je ne vois approcher qu’avec effroi l’époque où
Quel serait alors le mobile de ma vie ? Je ne sais ; mais l’activité trouve partout son aliment. Croyez bien qu’il faut que j
. Tous mes intérêts les plus chers ne devaient-ils pas m’engager à le trouver vrai ? Les considérations temporelles contre lesq
; mais je ne puis me dissimuler les points vulnérables que j’ai cru y trouver et sur lesquels on ne peut transiger, vu qu’il s’
stianisme rationnel et critique ? Je vous avouerai que je crois avoir trouvé dans quelques écrivains allemands le vrai mode de
te pour comprendre qu’on changeât de foi religieuse parce qu’on avait trouvé que les explications messianiques des Psaumes son
me promit de chercher pour moi une position tranquille et honnête. Je trouvai chez M. Dupanloup cette grande et chaleureuse ent
30 (1827) Principes de la philosophie de l’histoire (trad. Michelet) « Principes de la philosophie de l’histoire — Livre premier. Des principes — Chapitre II. Axiomes » pp. 24-74
ité. 3. Chaque nation grecque ou barbare, a follement prétendu avoir trouvé la première, les commodités de la vie humaine, et
ui s’étend depuis Romulus jusqu’aux lois Publilia et Petilia, et nous trouverons réfléchie dans cette histoire toute la suite de c
dans cette histoire toute la suite de celle des héros grecs26. Nous trouvons encore, dans nos principes, une autre cause de ce
t même fausses ; mais par les faits d’une histoire physique dont nous trouverons les vestiges dans les fables. 26. Il a existé des
é des géants dans l’antiquité, tels que les voyageurs disent en avoir trouvé de très grossiers et de très féroces à l’extrémit
rmi les hommes violents et farouches de son système, lui qui, pour en trouver l’origine, s’adresse au hasard d’Épicure. Il entr
les inconnus entre eux, doivent avoir un motif commun de vérité, vous trouverez un grand principe, c’est que les premières fables
imagine que ce qui est analogue à la réalité. Qu’on y réfléchisse, on trouvera que le vrai poétique est vrai métaphysiquement, e
erprète les mystères de l’Égypte. Dans les axiomes 47, 48 et 49, nous trouvons le principe des caractères poétiques, lesquels co
que la mémoire avec extension, ou composition. — Voilà pourquoi nous trouvons un caractère si frappant de vérité dans les image
utilité, de commodité, et même la plupart des arts d’agrément, furent trouvés dans les siècles poétiques, avant qu’il se formât
on qui précédèrent même l’existence d’Homère. Les Grecs, craignant de trouver les dieux aussi contraires à leurs vœux, qu’ils d
contre Celse). Mais comme ils avaient seulement deviné la vérité, ils trouvèrent des adversaires dans Aristote (Περί ερμηνείας), e
— Tels furent les véritables compagnons des héros, dans lesquels nous trouvons plus tard les plébéiens des cités héroïques, et e
e par le mot beneficia. 82. Chez toutes les nations anciennes nous ne trouvons partout que clientèles et clients, mots qu’on ne
ut entendre convenablement que par fiefs et vassaux. Les feudistes ne trouvent point d’expressions latines plus convenables pour
(en partant du 70e), nous font connaître l’origine des sociétés. Nous trouvons cette origine, comme on le verra d’une manière pl
ion des patrimoines particuliers ; comment à sa formation, la société trouva des éléments tout préparés dans un corps peu nomb
ux, y cherche un remède en se réfugiant dans la monarchie. Ainsi nous trouvons dans la nature cette loi royale par laquelle Taci
ent assez de confiance pour aller jusqu’aux rivages de la mer. 98. On trouve dans Strabon un passage précieux de Platon, où il
iterranés se formèrent d’abord, ensuite les peuples maritimes. Nous y trouvons aussi une preuve remarquable de l’antiquité du pe
t certainement étrangère, système différent de celui dans lequel nous trouvons l’origine des mots indigènes. Sans ce principe, n
it sur les choses de l’antiquité et veut y mettre quelqu’ensemble, ne trouve dans l’histoire romaine que sujets de s’étonner ;
ombre effacée de la raison (obscurezza) appuyée sur l’autorité. Nous trouvons alors les lois dures dans l’application, et pourt
31 (1772) Bibliothèque d’un homme de goût, ou Avis sur le choix des meilleurs livres écrits en notre langue sur tous les genres de sciences et de littérature. Tome II « Bibliotheque d’un homme de goût — Chapitre IV. Des Livres nécessaires pour l’étude de l’Histoire. » pp. 87-211
en un seul corps de dix ou douze * volumes ce qu’à peine pourroit-on trouver ramassé en deux cens volumes ? Un particulier aya
. Son style est coulant, harmonieux ; mais est-il toujours pur ? On y trouve quelquefois des fautes de langage, des expression
iptions, ses harangues & ses portraits sont d’un grand maître. On trouve dans tout ce qu’il écrit un air grand, un esprit
reste que les onze premiers, traduits par le P. le Jai Jésuite. On y trouve beaucoup de recherches, de jugement & de logi
x vol. in-12., par Guerin, professeur de l’Université de Paris. On en trouve plusieurs morceaux mieux traduits dans l’Histoire
n de Rome jusqu’aux Empereurs, in-8°. : livre très-bien fait, où l’on trouve une narration courte, rapide, dégagée de détails
s chargé dans sa narration. L’agrément qui manque à M. Crevier, on le trouvera certainement dans l’histoire des révolutions de l
& de l’élévation, & on voit un homme qui n’a rien oublié pour trouver la vérité. Comme ce religieux Ecrivain est favora
u’il a douté, pour commencer à croire. Mais quand on examine bien, on trouve un colosse immense qui a des pieds d’argile, &
2. vol. 1688. lâchement écrite, mais estimée pour les recherches. On trouvera plus d’agrément dans l’Histoire de France, sous l
onds des conseils, & sur cela donne de bonnes instructions. “Vous trouverez en mon Philippe de Comines, dit Montagne, avec ce
ien présentés ; le style en est pur & élégant. Enfin nous y avons trouvé tout l’intérêt, toute la chaleur qu’on pouvoit at
nt à l’histoire des guerres civiles de Davila. Le regne d’Henri IV. a trouvé plusieurs historiens. Hardouin de Perefixe, Arche
vingt vol. in-12. Il y a dans cette compilation mille choses qu’on ne trouveroit pas ailleurs ; mais ce livre n’est pas moins mépr
s’il eût ouvert le fameux livre de l’Avis aux Réfugiés, il l’y auroit trouvé tout de suite ; s’il eût cherché un peu plus long
il eût cherché un peu plus long-tems, il auroit vu qu’il n’avoit rien trouvé . En revanche c’est la chose du monde la plus agré
a vérité des détails. Après un aveu si naïf, on n’est plus surpris de trouver si peu de vérité dans son livre ; mais on l’est d
urpris de trouver si peu de vérité dans son livre ; mais on l’est d’y trouver en certains endroits tant de détails. Ce ne sont
mp; la précision du style ; mais l’autre n’a pas cet avantage. On n’y trouve point cette variété de tableaux, cette finesse de
d’indifférence philosophique qui leur fait perdre tout leur éclat. On trouve pourtant dans quelques endroits de ce livre, de l
orrectifs dans d’autres historiens & prendre un juste milieu pour trouver la vérité. L’Histoire de Pierre Terrail, dit le C
la bonne édition de ce recueil publié par M. Godefroy de Lille. On y trouve des plaisanteries & de la gaieté, & ces b
de ces copies que fut faite la premiere édition des mémoires où l’on trouve en effet plusieurs lacunes. Ces mémoires sont écr
e, par Madame de Motteville, in-12. Amsterdam 1723. six volumes. On y trouve beaucoup de petits faits, avec un grand air de si
jusqu’à la satyre. Mémoires de l’Abbé de Choisi, un vol. in-12. On y trouve des choses vraies, quelques-unes de fausses, &
éditions maritimes. Mémoires de Madame de Staal, 3. vol. in-12. On y trouve des particularités curieuses sur la Régence, &
ecueil sont trop achetées par la quantité de lettres inutiles qu’on y trouve . Nous ne sçaurions mieux finir ce Chapitre qu’en
tumes de la nation qu’on veut connoître. Par rapport aux François, on trouve à se satisfaire dans le Dictionnaire historique d
environ dix-huit mille articles, & dans la nouvelle édition on en trouvera plus de trente mille ajoutés aux anciens. §. V
qu’au présent regne, par Mr. Desormeaux, in-12. cinq vol. 1759. On ne trouve dans ce livre ni la sécheresse ordinaire des abré
s y sont rapportés avec beaucoup de fidélité & d’exactitude. Vous trouverez des traits plus animés dans l’histoire des Révolu
quel il prétend éblouir ses lecteurs n’empêche pas les gens sensés de trouver que cet écrivain manque de jugement. Quoiqu’il eû
eut pas louer beaucoup l’élégance & la politesse de son style. On trouve les mêmes défauts dans les Annales des Provinces-
e moins solide que brillant, moins instructif qu’agréable, où l’on ne trouve que des idées imparfaites du gouvernement, de la
a cherché plûtôt à éblouir les esprits qu’à les instruire, & on a trouvé dans son livre plus d’antithèses que de faits. Av
eth aussi en deux vol. n’écrivoit pas avec cette élégance ; mais l’on trouve chez lui des faits curieux qui amusent les lecteu
cre & d’un foible peintre.” Ce qui manque au Pere Barre, vous le trouverez quelquefois dans les Annales de l’Empire, par M.
pas grand chose à l’exception des Mémoires de Montecuculi, mais on y trouve des détails curieux qu’on est bien-aise de sçavoi
n-12., n’est qu’une compilation de vieilles gazettes, où je n’ai rien trouvé qui m’intéressât un peu que le récit si souvent r
e ses ouvrages, suivant le systême qu’il s’étoit sagement proposé. On trouve très-souvent de petits détails domestiques, qui a
n-4°. maussadement écrits. C’est un ouvrage mal digéré dans lequel on trouve trop de petits faits étrangers à son sujet, &
i. On comprend aussi les Tartares au nombre des peuples du Nord. Vous trouverez des détails sur ces peuples dans l’histoire génér
& d’intéressant dans l’histoire du Japon, par Kœmpfer. Ainsi on y trouve tout ce qui peut satisfaire également une curiosi
32 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXX » pp. 330-337
ne de ses amies », dit madame de Coulanges, « un certain homme qui la trouve si aimable et de si bonne compagnie, qu’il souffr
it regretter qu’elle n’en ait pas davantage. Je suis assurée que vous trouverez que 2 000 écus de pension sont médiocres. J’en co
t laisser espérer d’autres grâces. Le roi vit l’état des pensions, il trouva 2 000 liv. pour madame Scarron. Il les raya et mi
du roi ne sauraient me dédommager de toutes ces pertes. » On pourrait trouver une nuance d’ingratitude dans ces paroles, si l’o
éré. Enfin, madame de Montespan était informée de ces visites, le roi trouvait à qui parler quand il revenait chez elle. Voilà l
ay. Je suis trop ennuyée pour pouvoir faire une relation agréable. Je trouverais en mon chemin à vous dire des choses qui ne vous
ur que sa femme apprît à madame de Sévigné, comme une nouvelle, qu’il trouvait madame Scarron aimable et de bonne compagnie. Ens
égal à celui de madame de Coulanges disant : M. de Coulanges mon mari trouve madame Scarron de fort bonne compagnie, et cepend
33 (1867) Nouveaux lundis. Tome IX « Madame de Verdelin  »
a pas eu seulement un avis, il a pris parti en certains cas. Je ne le trouve pas juste pour Diderot, par exemple. Je le trouve
tains cas. Je ne le trouve pas juste pour Diderot, par exemple. Je le trouve un peu sévère pour quelques-uns des amis mondains
n côté de sa nature, le poète des femmes. Au lieu de cela et faute de trouver à qui parler, sa tendresse se consuma ou s’égara.
s légères et ses souillures, c’est bien différent : lui, il mérita de trouver sa fille d’alliance, une personne de mérite, une
y et sa proche voisine, elle vint plusieurs fois à Mont-Louis sans le trouver , et comme il ne donnait signe de vie, elle ne lai
oyait en ridicule, et son ami Margencv n’était pas excepté. Ce que je trouvais encore en elle d’insupportable était la gêne cont
ble qu’il faut l’avoir bien tourné à la finesse et à la méfiance pour trouver du persiflage dans ce mot de Mme de Verdelin sur
isait faire souvent, à sa manière, comme cette princesse de Rohan, et trouver malice à tout74. Les lettres de Mme de Verdelin q
s cas de cette qualité, je borne toute mon ambition à la mériter et à trouver quelqu’un assez vrai pour me dire les choses qui
. Bonsoir, monsieur ; votre lettre m’a fort affligée. Je vous prie de trouver bon que j’aille prendre congé de vous. Je vous ex
t du côté de Mme de Boufflers, et il s’arrêta vite et à temps. Il eût trouvé en Mme de Verdelin plus de raison, moins de vague
ailleurs son plus tendre intérêt, le plus cher de son âme, et elle ne trouvait en retour que refroidissement, scrupules et restr
e ; au contraire, nous étions plus heureux. À mon retour ici, je l’ai trouvé plus sérieux ; les soins qu’il rend à sa mère m’o
’à l’amour du bien, quoiqu’il en ait été le prétexte ; et puis, je ne trouve pas raisonnable qu’on rejette un mystère lorsqu’o
les premiers amis : « Hélas ! voilà l’absence, mon cher voisin. Vous trouverez partout des amis qui seront empressés de remplace
vous connaît a le désir de vous servir et de vous être utile ; peu y trouveraient autant de plaisir que moi : je voudrais donc que
, vous m’indiquassiez un moyen de vous le faire parvenir d’ici, où on trouve tout ; je voudrais que vous me traitassiez comme
se séparer fort nettement de ceux qu’elle appelle les Grands. Elle ne trouve point, par exemple, la maréchale de Luxembourg su
r activement de Rousseau, et elle ne fut contente que lorsqu’elle eut trouvé le moyen, au milieu de toutes ses gênes et de ses
nce ; mais j’avais tort… Repos, repos, chère idole de mon cœur, où te trouverai -je ? Est-il possible que personne n’en veuille la
ée. Je fus touché de ce voyage, surtout dans la circonstance où je me trouvais et où j’avais grand besoin, pour soutenir mon cou
a tout et déconcerta toutes les bienveillances. Le pauvre misanthrope trouva moyen de les transformer en un complot prémédité
mais un quart d’heure de suite la même volonté. Veut-on causer, on ne trouve pas une idée dans cette tête, ou, dans d’autres m
t ; le morceau le plus sublime ne lui inspire que du dédain, s’il s’y trouve par malheur une expression qui blesse son oreille
voir, il y a deux mois, votre ancienne infante (Mme d’Épinay). Je la trouvai parée comme la fiancée du roi de Garbc. Elle me r
e de Barthélemy (Nantes, Vincent Forest et Émile Grimaad, 1866). On y trouvera les états de service fort honorables du jeune et
e publiée dans le recueil des Œuvres : au lieu de six lettres qu’on y trouve en tout, on en a une soixantaine qui ont été publ
te bienveillance inaltérable que tous les amis promettent et qu’on ne trouve dans aucun. Votre amitié, madame, est éprouvée, e
 » (29 juin 1763.) — Et le 10 septembre, même année : « Si je pouvais trouver en France un coin où vivre en paix et vous voir q
eu bien de la joie de calculer que votre fils ni le nôtre ne se sont trouvés à cette terrible bataille. À 79 ans, on devient d
34 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Deuxième partie. — L’école critique » pp. 187-250
Voici maintenant l’école critique et l’école historique. Nous n’avons trouvé ni en France, ni en Allemagne, ni ailleurs, de pe
Critique du dogmatisme littéraire Vous avez raison, Madame, de les trouver étranges, tous ces raffinements mystérieux. Car e
outes choses ; et, jusques au manger et au boire, nous n’oserons plus trouver rien de bon, sans le congé de messieurs les exper
de son perçant génie ; s’il n’est pas du même avis que cet ancien, il trouve cela tout naturel, et celui qu’il adorait comme u
s poètes comiques, parce que la comédie à tel ou tel caractère que je trouve seulement dans son théâtre. Il devait dire : Je d
e esprit ; nous comparons la réalité à ce modèle divin, et nous avons trouvé le principe de la critique littéraire. L’analyse
nouement en est artificiel. Plusieurs critiques, sans être allemands, trouvent même qu’il est un peu sérieux, et que le personna
dée a priori et positive du comique parfait, elle n’aurait pas encore trouvé sa pierre philosophale, j’entends un principe uni
ui les savent mieux que les autres, font des comédies que personne ne trouve belles290. » S’il fallait accepter les oracles d
étrange embarras ! Je me croyais hors de l’impasse, et d’abord je me trouve en plein cercle vicieux. Tout à l’heure, quand no
médie, nous pouvons, avec assurance, nous dire que la critique aurait trouvé fort peu utile l’édifice que nous désespérons d’é
idée à posteriori du comique et de la comédie ; la voilà toute, et je trouverais étrangement hardi quelqu’un qui en croirait plus
, comme l’un d’entre eux l’a dit299, parce qu’au moins le comique s’y trouve — à leur insu et en dépit d’eux-mêmes. Oh ! sans
foire , et que Platon a pu dire : les Grâces choisissant un tombeau trouvèrent l’âme d’Aristophane . Ce qui est intéressant, c’e
à une profondeur métaphysique qui effraye. Malheureusement, ce qu’il trouve au fond de cet abîme, ce n’est point l’idée du co
comique ; il fera bien de creuser encore, et ailleurs ; mais il ne la trouvera pas plus que les enfants du laboureur ne trouvère
urs ; mais il ne la trouvera pas plus que les enfants du laboureur ne trouvèrent for qu’ils croyaient enfoui, et qui était partout
ur la plus petite raison de l’ordre logique. Il est libre de ne point trouver une sauce excellente ; mais à ceux qui la trouven
t libre de ne point trouver une sauce excellente ; mais à ceux qui la trouvent bonne, c’est perdre son temps et sa peine que de
d’écouter. Il écoute L’École des Femmes, mais il bâille ; car il n’y trouve toujours point de turlupinades. S’il entendait Ho
ublime : Pourquoi ne m’aimer pas, madame l’impudente ? Du reste, il trouve la pièce aussi fade qu’une tarie à la crème, et l
une admiration sans mesure, et systématique. À ceux qui ont besoin de trouver des taches au soleil, elle accorde sans peine que
l lien subtil peut-on saisir entre l’impression profonde qui lui fait trouver comique ou belle L’École des femmes, et les remar
n, elle ne se borne pas à dire : Cette comédie est fort belle ; je la trouve fort belle ; n’est-elle pas en effet la plus bell
es farces de Molière valent beaucoup mieux que Le Misanthrope, elle a trouvé Schlegel ridicule, Scapin toujours amusant, mais
pas la chance presque infaillible, en la cherchant à tout prix, de la trouver au prix de la vérité même ? 3º Elle ne prouve rie
itique317. « Rentre en toi-même, a dit un philosophe318, et si tu n’y trouves pas encore la beauté, fais comme l’artiste qui re
laissant à de plus fins que nous la satisfaction de croire qu’ils ont trouvé en quoi elle consiste. Car « la trame de nos sens
qui était bien dans la nature de son génie, Corneille avait besoin de trouver dans les anciens des exemples et des règles pour
Jugement, § ier . 311. Servante de Molière. 312. Si quelqu’un ne trouve pas beau un poème que mille suffrages vantent, il
35 (1865) Cours familier de littérature. XX « CXVIIIe entretien. Littérature américaine. Une page unique d’histoire naturelle, par Audubon (2e partie) » pp. 161-239
élance et glisse comme un trait au-dessus du redoutable courant. J’ai trouvé le troglodyte d’hiver dans les basses parties de
assant à East-Port dans le Maine, lors de mon voyage au Labrador, j’y trouvai ces oiseaux extrêmement abondants, et en plein ch
ncontrés dans presque tous les États de l’Union, où cependant je n’ai trouvé leur nid que deux fois : l’une près de la rivière
plaintifs. Plus de doute : j’avais, pour la première fois de ma vie, trouvé le nid de notre troglodyte d’hiver ! Je fis douce
une sorte d’écope que j’avais façonnée pour cela. Je m’attendais à en trouver beaucoup, mais il n’y en avait que six ; et c’est
geâtre et plus nombreux vers le gros bout. Quant au second nid, je le trouvai près de Mohauk, et par un pur hasard. Un jour, au
ux ne tarde pas à être fatigué, par un temps de neige, alors qu’il ne trouve rien pour se cacher. Toutefois, même en pareil ca
quelques raies ou taches vers le gros bout, et d’un rouge clair. « On trouve ces nids en différents endroits : très souvent da
, un tisserand de Bathgate, m’a raconté qu’il y a quelques années, il trouva un de ces nids sur le bord d’un petit ruisseau, q
rès, que songer, pour le moment, à les pousser plus loin. Au soir, je trouvai l’extérieur du nid complètement achevé ; j’introd
le roc solide par les mains de la nature. Elle était, du moins je la trouvais alors, suffisamment grande pour mes études : mon
r ses œufs et ses petits, c’est un acte d’une grande cruauté. J’avais trouvé un nid de ce gobe-mouche à couleur terne, accroch
près être pondu), que cette vue me fit plus de plaisir que si j’eusse trouvé un diamant d’une égale grosseur. Ainsi, sous cett
eau sur la plantation. Chaque fois que j’allais voir mes pewees, j’en trouvais toujours un sur le nid ; tandis que l’autre était
quadrupèdes. Ils arrivent attirés par les nombreux avantages qu’ils y trouvent , à mesure que le pays devient plus ouvert et mieu
couvées s’élevèrent. Plus haut, à quelque distance sur la crique, je trouvai , sous un pont, d’autres nids de pewees, et plusie
eurai deux ans. À mon retour, dans le commencement du mois d’août, je trouvai trois jeunes pewees dans la caverne ; mais ce n’é
’il est occupé à ramasser les matériaux dont se compose son nid. J’ai trouvé ce gobe-mouche en hiver, dans les Florides, aussi
par la pie-grièche de la Caroline, ils les dévorent avec avidité. Je trouvai quelques-uns de ces pewees sur les îles de la Mad
nt pas loin, Dieu merci ! » Là, au beau milieu du champ de cannes, je trouvai un camp régulier. On avait allumé un petit feu, e
de terre avaient un air bien tentant, et j’étais dans une position à trouver excellent un ordinaire beaucoup moins savoureux.
dirigea en droite ligne vers la cannaie au centre de laquelle j’avais trouvé son camp. L’une des nuits suivantes, il gagna la
provisions. Un jour qu’il était à la recherche de fruits sauvages, il trouva un ours mort devant le canon d’un fusil qu’on ava
lle de cheminée, ou martinet d’Amérique. Du moment que l’hirondelle a trouvé dans nos maisons tant de commodités pour y établi
la décadence et l’âge avaient ainsi rendus habitables, j’ai toujours trouvé des nids d’hirondelles qui elles-mêmes continuaie
lors il m’apprit que, sur mon chemin pour revenir à la ville, il s’en trouvait un dont il m’enseigna la place, et qui était rema
là qu’entraient les hirondelles. En examinant l’arbre de près, je le trouvai d’un bois dur, mais rongé au centre presque jusqu
aidant de la masse de détritus ; mon camarade venait par derrière. Je trouvai tout parfaitement tranquille ; et par degrés, dir
nombre des oiseaux qui s’y retiraient n’avait pas augmenté ; mais je trouvai beaucoup plus de femelles et de jeunes que de mâl
ervaient de jouet aux érudits. Lisez ces anciennes monographies. Qu’y trouverez -vous ? Des titres et des mots, des chiffres et un
36 (1889) Histoire de la littérature française. Tome IV (16e éd.) « Chapitre sixième »
de Scapin. Il n’y avait pas un goût, pourvu qu’il fût franc, qui n’y trouvât la chose qu’il aimait le mieux, et en perfection.
de Regnard En 1696, une comédie en vers fit dire que Molière avait trouvé un successeur. Ce fut le Joueur, de Regnard. Il f
ns le vin ? Le mot piquant c’est ce que cherche Regnard ; et s’il le trouve souvent, souvent aussi il le manque. Ses personna
si j’y passe mes meilleures heures, si je ne m’en lasse point, si j’y trouve toute comédie, même celle qui fait rire les plus
nde. Le secret de Molière s’est perdu : Enseigne-moi, Molière, où ta trouves la rime. Il la trouvait où Regnard ne la cherche
e s’est perdu : Enseigne-moi, Molière, où ta trouves la rime. Il la trouvait où Regnard ne la cherche pas toujours, dans l’acc
l’ami de Boileau sans faire quelque chose pour les règles ? Regnard y trouva la force d’écrire avec grand soin cette petite pi
t une seule fois mention de Molière. Il est plus triste qu’il se soit trouvé un auteur qui s’impatientât de cette gloire jusqu
il se soit trouvé un auteur qui s’impatientât de cette gloire jusqu’à trouver qu’il manquait quelque chose à Molière. Ce quelqu
estouches, d’abord diplomate, puis auteur par passe-temps, crut avoir trouvé , dans les loisirs de sa jolie maison de campagne
question du mélange des deux genres paraissait résolue. On venait de trouver le moyen de faire passer le spectateur dans la mê
t suivi les voies de Molière, pour Dufresny, quoiqu’il ne lui ait pas trouvé d’esprit, pour Marivaux, quand il n’abuse pas du
ecret de créer un caractère. Mais il a tort de croire que Molière eût trouvé son sujet fécond. La passion de rimer peut être u
s de nature, que Molière avait rajeuni. Piron suit le maître, et s’en trouve bien. Ses valets sont sensés ; ils voient les tra
nfluence corruptrice des lettres sur les mœurs. Si les spectateurs ne trouvaient pas Cléon assez méchant, dit-il, c’est qu’ils l’é
l’étaient plus que lui. Rousseau se trompe. De ce que le parterre ne trouva pas Cléon assez méchant, il ne s’ensuit ni qu’il
dans un moment où il aurait bien envie de n’être pas équitable. J’en trouve encore dans la réponse d’Ariste : On n’a rien à
déal d’une comédie sérieuse. Sérieuse, en effet, car je défie qu’on y trouve le plus petit mot pour rire. Aussi bien, Diderot
plus opposées à son caractère, voilà le maître-œuvre. Il veut bien en trouver des exemples dans Molière, chose louable, au mome
ire mesurer par sa simplicité la profondeur d’astuce de Tartufe. Il a trouvé ces gens-là dans la vie, côte à côte, sous le mêm
3. Les pièces de Diderot sont oubliées ; ses théories ne le sont pas. Trouver des situations, puis, si l’on peut, y adapter des
t pas été fabriqués, comme Eugénie, à coups de « je veux » ; ils sont trouvés  ; ce sont des caractères. Il est vrai que ces car
tre espèce et comme gens de notre pays. Pour parler d’Almaviva, on en trouverait le caractère, moins les grâces, jusque dans les d
pour n’avoir pas à rendre ses comptes de tutelle, puis parce qu’il la trouve à son goût. Quant à ce Basile qui vit de ses comp
cord de tout le monde deux ouvrages d’esprit sont immortels. Je ne le trouve ni rare, ni varié, et je lui en veux d’exiger de
vérité tout unie. Ce genre d’esprit abonde dans Beaumarchais. Il s’en trouve aussi du moins bon ; il y relève le prix du meill
dit-il, et y chercher les mots piquants et les vers comiques. Il y a trouvé ceux dont il avait en lui l’heureux don. Ce neveu
avoir ni vigueur ni coloris. Je suis surpris que la Harpe n’ait guère trouvé qu’à louer dans ses vers, et que, pour faire acte
singer. Il n’est pas besoin d’aller chercher la prose de Collin pour trouver sa langue en défaut. Gardons les épithètes de nat
goïste ! Qui ne l’est un peu, j’allais dire qui ne l’est trop ? Où en trouver un qui pousse le défaut de tout le monde jusqu’au
37 (1874) Premiers lundis. Tome I « Diderot : Mémoires, correspondance et ouvrages inédits — II »
ademoiselle Voland. En avançant dans cette intéressante lecture, nous trouvons Diderot qui prend de l’âge ; et, il faut l’avouer
es nouvelles, les anecdotes, les conversations sur toutes choses, s’y trouvent comme auparavant ; une analyse ingénieuse et prof
t consumant du dernier coup toutes les puissances de notre être. Nous trouvons cette sorte d’amour énergiquement exprimée dans u
it déjà aimé plus d’une fois et avec passion, mais qui avait fini par trouver à sa femme trop peu d’esprit, et à madame de Puis
s un roman, et que je lui eusse fait tenir cette conduite, comment le trouveriez -vous ? — Vrai. — Et pourquoi dans le roman, sinon
cée de volupté. Les lecteurs curieux de ces sortes de cas particulier trouveront , pages 209 et 319, un petit roman métaphysique où
st pas tellement occupé d’anecdotes et d’analyses piquantes, qu’il ne trouve encore, chemin faisant, d’occasions pour le subli
e lieues, mon père, et s’il y en avait cent, croyez-vous que j’aurais trouvé mon père moins indulgent et moins tendre ? — Au c
ration des Beaux-Arts. La statue de Diderot, ainsi conçue, ne saurait trouver que des approbateurs. »
38 (1796) De l’influence des passions sur le bonheur des individus et des nations « Section III. Des ressources qu’on trouve en soi. — Chapitre III. De l’étude. »
vie, et dans la succession de la fatigue et du repos, la peine morale trouve peu de place. L’homme, dont il faut occuper les f
re, se mêle à cette jouissance, elle est réelle, comme le plaisir que trouve l’homme robuste dans l’exercice du corps proporti
igmalion, avant de lui faire goûter le bonheur d’aimer, il lui a fait trouver une vraie jouissance dans la sensation du moi. C’
n aux peines du cœur, que la fatigue du travail nous livrerait. L’âme trouve de vastes consolations dans l’étude et la méditat
combats qui coûtent tant au vainqueur : mais bientôt on s’accoutume à trouver de vraies jouissances ailleurs que dans les passi
upations de l’esprit, et par l’indépendance parfaite qu’on leur doit. Trouver dans soi seul une noble destinée, être heureux, n
qui, sans efforts préalables, imaginerait de se livrer à l’étude, n’y trouverait aucune des ressources que je viens de présenter.
s les deux ; car, par des causes différentes, les idées des autres ne trouvent en eux aucune idée correspondante : l’âme fatigué
finir ; il se captive non pour vivre, mais pour ne pas mourir, et ne trouve dans l’existence que l’effort qu’il fait pour la
39 (1888) Préfaces et manifestes littéraires « Théâtre » pp. 83-168
passant rue de Richelieu, nous montions au Théâtre-Français ; nous ne trouvions pas M. Thierry. Le 21 avril, M. Harmand nous répo
e de M. Harmand, une lettre où M. Thierry s’excusait de ne pas s’être trouvé au théâtre lorsque nous y étions venus, et se met
efus de M. Delaunay. Un critique, que toutes les questions de théâtre trouvent à son poste de feuilletoniste, armé de conscience
ette femme, une artiste qui est coupable d’être née princesse. Nous y trouvâmes toutes les libertés et presque toutes les intelli
s détails de métier, nous faisions bon marché de notre pièce, nous la trouvions , avec les critiques les plus autorisés, digne apr
tres, de Sœur Philomène, de Renée Mauperin, de Germinie Lacerteux, ne trouvent pas trop inférieur au style du répertoire moderne
l a fait à notre pièce. Aussi le plaignons-nous seulement pour s’être trouvé dans une situation où il ne pouvait nous accorder
les, croyant au talent de ces messieurs et prêts à applaudir, si nous trouvions leur pièce bonne. Nous étions là près de trois ce
donne en spectacle, tous les jours, la vie du monde. Par exemple, on trouve tout à fait invraisemblable ce coup de cœur d’un
dans une pièce, il y a autre chose dans la nôtre. Théophile Gautier y trouvait une qualité, qu’il nous reconnaissait seuls possé
t le summum de l’art dramatique des années qui vont venir, — et je me trouve tout seul, pas assez fort pour y arriver. Il étai
ma conviction. L’art théâtral, cet art malade, cet art fini, ne peut trouver un allongement de son existence que par la transf
peut doter le théâtre. Eh bien ! ces outils de renouvellement, je les trouve … à l’état embryonnaire bien certainement, mais je
, je les trouve… à l’état embryonnaire bien certainement, mais je les trouve dans Henriette Maréchal, dans cette pièce qui est
d’un séjour chez Mme Camille Marcille, à Oisème, près de Chartres, je trouve cette note écrite par mon frère : Voici, je croi
e d’amour flatteuse qui m’arrive. Une petite bonne, une pauvre enfant trouvée de l’hospice de Châtellerault, servait les fillet
aîtresse, se mit à lui dire : « Ah ! Madame, ce monsieur Jules, je le trouve si potelé, si gai, si joufflu, si gentil, que, si
nt toujours les anciens, — je n’ai pas seulement à appréhender qu’ils trouvent notre pièce ou trop légitimiste ou trop révolutio
blic impérial d’hier, au public contemporain de cette anecdote. Je me trouvais , il y a quelques années, dans le salon d’un grand
Le vaudeville en deux actes, terminé et baptisé Sans Titre, nous nous trouvions ne connaître ni un auteur, ni un journaliste, ni
ous annoncer que sa réponse n’a pas été favorable. Elle y a comme moi trouvé beaucoup d’esprit, mais pas assez de pièce… Un c
tence que par la lettre de refus d’un directeur de théâtre. Ainsi, je trouve une lettre de M. Lemoine-Montigny, à la date d’av
héâtres qu’il y avait chez nous une pièce, qu’à un certain moment ils trouveraient peut-être utile de jouer. Mais la guerre était si
ais, et parlant une langue ailée, une langue littéraire parlée que je trouve , hélas ! manquer aux meilleurs de l’heure présent
n’y en pas et il ne peut pas y en avoir ! Puis sur les planches je ne trouve pas le champ à de profondes et intimes études des
ssent là où il a échoué. Je vais faire une franche confession : je ne trouve pas que mon frère et moi ayons fait du théâtre à
40 (1865) Cours familier de littérature. XX « CXXe entretien. Conversations de Goethe, par Eckermann (2e partie) » pp. 315-400
es forment une espèce d’aristocratie comme les personnes nobles. J’ai trouvé de sottes femmes, et j’ai été obligé de supporter
Goethe, qui m’a invité à une promenade en voiture avant dîner. Je le trouvai à déjeuner, et je m’assis en face de lui, pour ca
ue, l’été précédent, j’avais oublié de visiter. Au rez-de-chaussée je trouvai une seule pièce d’habitation ; aux murs étaient s
le a charge d’actions pour l’avenir18. Nous montâmes l’escalier, nous trouvâmes en haut trois pièces et un cabinet, mais le tout
en me réjouissant de sa verte vigueur. En haut, près de la haie, nous trouvâmes un paon femelle qui paraissait être venu du parc
nes favorites. En descendant le coteau par l’autre allée sinueuse, je trouvai , entourée d’un bosquet, une pierre sur laquelle é
point de vue différent. On dit des feuilles d’un arbre que l’on n’en trouverait pas deux absolument semblables ; de même dans un
deux absolument semblables ; de même dans un millier d’hommes on n’en trouverait pas deux entre lesquels il y eût harmonie complèt
urtout vers la nature extérieure ; j’avais ainsi le désavantage de me trouver entièrement seul. À ce point de vue, Schiller ava
as vu depuis plusieurs jours, et j’ai passé une belle soirée. Je l’ai trouvé dans son cabinet de travail, causant sans lumière
sont toujours à dire : Ceci vient de là, et ceci vient d’ici ! S’ils trouvent dans Shakespeare, par exemple, des passages qui s
Homère ! Est-ce assez bizarre ! Comme s’il fallait aller si loin pour trouver ces choses-là, et comme si tous les jours on n’en
it du sophisme en faveur de sa vanité. —  Je prends mon bien où je le trouve , est un mauvais mot et un mauvais raisonnement d
n théâtre ? Mais ici, à Weimar, dans cette petite résidence21 où l’on trouve , comme on l’a dit par plaisanterie, fort peu d’ha
Mais comment donc, par le ciel ! dit Goethe, avez-vous ici, à Weimar, trouvé arcs et flèches ? — Pour les flèches, j’avais, en
t pas au-dessous de vingt francs, et où un pauvre chasseur pouvait-il trouver une pareille somme ? Je me bornai à une flèche, c
aile des grands oiseaux sont bonnes, en général, mais celles que j’ai trouvées les meilleures sont les plumes rouges du paon, le
e et si je l’avais apprise par cœur ? Mais comme j’ai tout cherché et trouvé par moi-même, comme à l’occasion je me suis tromp
ui, ils frondèrent la Sainte-Alliance, et pourtant jamais on n’a rien trouvé de plus grand et de plus bienfaisant pour l’human
s-les ; ceux-là, on ne les aidera pas ; quant au vrai talent, il sait trouver sa route. Les jeunes poètes qui se montrent maint
puis des siècles, et par elle il se maintiendra dans l’avenir. — J’ai trouvé dans ce roman chinois un contraste bien curieux a
ttingue je fis quelques excursions dans la vallée du Weser. Je les ai trouvés vigoureux, surtout à Solling, dans les environs d
puis redescend sur la cime. Il y a aussi une autre alouette que l’on trouve dans les lieux solitaires, au midi des clairières
vois que l’on peut pénétrer dans la nature du côté où l’on veut ; on trouve toujours une preuve de sagesse !… » Nous étions a
ethe fit arrêter, me pria de descendre et de chercher un peu si je ne trouverais pas quelques pétrifications. Je trouvai quelques
e chercher un peu si je ne trouverais pas quelques pétrifications. Je trouvai quelques coquilles et quelques ammonites brisées
ntais moi-même si noble que, si l’on m’avait fait prince, je n’aurais trouvé là rien de bien étonnant. — Quand on m’a donné de
, je vous cherchais, quelque chose me disait que certainement je vous trouverais  ; quel bonheur ! Dieu soit loué ! c’était vrai !
. « Vous ne savez guère, me dit-il, à quelle place curieuse nous nous trouvons en ce moment. Ici a habité Schiller. Sous ce berc
élevé ? Écoutez Goethe : « C’est une vraie merveille ; cependant on trouve des faits analogues, et même je soupçonne là une
ge ; supposant qu’il a dans le voisinage son nid, je le cherche et le trouve . Mais quel fut mon étonnement, lorsque dans ce ni
s ce nid, près de deux petits rouges-gorges prêts à voler bientôt, je trouvai aussi mes deux petits roitelets qui s’étaient fou
41 (1865) Nouveaux lundis. Tome IV « La comtesse de Boufflers (suite.) »
, Monsieur, je le regarde comme une qualité nécessaire et flatteuse à trouver dans les amis. Les personnes si modérées, si dési
es dans l’amitié, sont ordinairement peu sensibles. Bien loin donc de trouver mauvais que vous vous soyez un peu fâché contre m
ce de Conti. Il a eu la bonté de me la montrer ; maais je n’y ai rien trouvé de ce que j’y cherchais principalement, et j’igno
tre chambre, votre cabinet, j’ai ouvert vos armoires : je désirais de trouver quelques lignes écrites de votre main. J’avais le
a fait des ennemis : l’amour-propre de ceux qui l’ont recherché s’est trouvé blessé de ses refus. Mais, malgré sa misanthropie
tante, si uniforme, que jusqu’à présent ceux qui le haïssent n’ont pu trouver que dans leur propre cœur des raisons pour le sou
e contraire de ce qui y était : La rose a des poisons qu’on finit par trouver . Il passa très-rapidement par trois états d’espri
us les dois. Faire un heureux, c’est mériter de l’être. Puissiez-vous trouver en vous-même le prix de tout ce que vous avez fai
tade, ne restèrent pas moins les protecteurs de Rousseau, et celui-ci trouva , à son retour d’Angleterre, un asile, un abri don
apitule les circonstances de l’épisode que nous venons de toucher, on trouvera que les deux personnes de Paris qui jugèrent le p
s lettres, Mme Riccoboni ; ces réflexions qu’elle adressait à Garrick trouveront accès, j’en suis sûr, auprès de tous les bons esp
tion, celle de Pope, d’Isaac Newton, même de votre ami Shakspeare, et trouver ce doute dans mon cœur. « En vérité, le monde n’e
, à servir ceux qui leur ressemblent ; partout le mérite et l’honneur trouvent de l’appui, des secours, des amis. Une vanité mal
on veut en faire partie et non pas la dominer, l’assujettir, on ne la trouve point un assemblage de monstres odieux. Mais, ne
Rousseau à M. de Montmollin, ministre protestant de Motiers. 30. On trouvera cette suite de lettres de Mme de Houfllers au tom
elle restât en dehors de tout parti, était une amie de Hume, et on la trouve nommée dans la Vie et Correspondance de ce dernie
42 (1857) Causeries du lundi. Tome II (3e éd.) « Madame de La Tour-Franqueville et Jean-Jacques Rousseau. » pp. 63-84
er, ne voulait que réaliser le fantôme de ses rêves, et voilà qu’il a trouvé la forme qu’attendaient, que chérissaient vagueme
ous, pour l’honneur de votre sexe et pour le bonheur de votre vie, ne trouver jamais de Saint-Preux ! Mais si vous êtes comme l
de Saint-Preux ! Mais si vous êtes comme les autres, puissiez-vous ne trouver que des Saint-Preux ! » Tout cela, lu aujourd’hu
l y a là de quoi les faire souffrir et crier. Jamais non plus vous ne trouveriez de ces fautes régulières et méthodiques sous la p
e et légère des Aïssé, des Caylus et des Coulanges, où êtes-vous ? On trouverait plutôt chez elles une faute d’orthographe ou de g
genre et taillée sur le patron de son idéal, sent bien le défaut. Il trouve à Mme de La Tour l’esprit net et lumineux ; mais
n tour. En voyant en elle son ouvrage, il ne pouvait s’empêcher de le trouver trop parfait. Mme de La Tour était une personne d
tout comme les autres hommes. » La Dorine de Molière n’eût pas mieux trouvé . En effet, la grande prétention de Rousseau, le g
lui écrivant ; elle avait besoin de le lui rappeler. N’importe, elle trouvait encore à se prendre aux moindres marques d’attent
armante votre lettre, répond Mme de La Tour, et que, pour ne pas vous trouver trop charmant vous-même, j’ai été obligée de me r
e laconisme me désole, mon ami. » Elle voudrait savoir comment on l’a trouvée dans ce portrait ; elle a grand soin d’avertir qu
a grand soin d’avertir qu’il n’est pas flatté ; que tout le monde la trouve mieux. Enfin elle est femme. Hélas ! tout cela re
plus à rendre de flamme. Aussi, malgré tous ses efforts, elle ne peut trouver à se loger dans ce cœur resserré et aigri ; elle
est lâchée ; il ajoute : « On peut ne pas aimer mes livres, et je ne trouve point cela mauvais ; mais quiconque ne m’aime pas
s fruits les plus délicieux. Décidé, par les persécutions qu’il avait trouvées en Suisse, à passer en Angleterre et à se confier
Conti lui donnait asile. Elle arrive à une heure où elle espérait le trouver seul, il ne l’était pas ; elle entre pourtant, et
43 (1827) Génie du christianisme. Seconde et troisième parties « Troisième partie. Beaux-arts et littérature. — Livre quatrième. Éloquence. — Chapitre II. Des Orateurs. — Les Pères de l’Église. »
out bas, et cet homme du siècle, que le siècle n’avait pu satisfaire, trouve enfin le repos et la plénitude de ses désirs dans
mon bonheur eût été d’être aimé aussi bien que d’aimer ; car on veut trouver la vie dans ce qu’on aime… Je tombai enfin dans l
« Mon bonheur eût été d’être aimé aussi bien que d’aimer, car on veut trouver la vie dans ce qu’on aime. » C’est encore saint A
lus curieux de la littérature des Pères. Ainsi que saint Augustin, il trouva son écueil dans les voluptés du monde. Il aime à
llustres confesseurs de Jésus-Christ, s’écrie Tertullien, un chrétien trouve dans la prison les mêmes délices que les prophète
un chrétien trouve dans la prison les mêmes délices que les prophètes trouvaient au désert… Ne l’appelez plus un cachot, mais une
ertullien était fort savant, bien qu’il s’accuse d’ignorance, et l’on trouve dans ses écrits des détails sur la vie privée des
de Jésus-Christ. Comment un moine, renfermé dans son cloître, a-t-il trouvé cette mesure d’expression, a-t-il acquis cette fi
44 (1863) Cours familier de littérature. XV « LXXXIXe entretien. De la littérature de l’âme. Journal intime d’une jeune personne. Mlle de Guérin (2e partie) » pp. 321-384
envie. Notre malade est heureuse, et rien n’est plus étonnant que de trouver le bonheur chez une telle créature, dans une pare
au fond de toute chose, et je vois le néant dans tout, si Dieu ne s’y trouve pas. » VI Le 20 mars. « Une petite lacun
VI Le 20 mars. « Une petite lacune. Je saute du 14 au 20. Je trouve si peu de chose à dire de mes jours, qui se resse
in du livre qui tombe, loin de ceux qui parlent auprès de moi ; je me trouve où sont ces esprits qui balancent les astres sur
nous fait de ces instants que vous devez aussi compter un jour ? S’en trouvera-t -il qui comptent pour la vie éternelle ? s’en trou
n jour ? S’en trouvera-t-il qui comptent pour la vie éternelle ? s’en trouvera-t -il beaucoup, s’en trouvera-t-il un seul ? Si obs
ui comptent pour la vie éternelle ? s’en trouvera-t-il beaucoup, s’en trouvera-t -il un seul ? Si observaveris, Domine, Domine, qu
urs blanches à longue tige, des plus gracieuses de nos champs. On les trouve le long des haies, parmi le gazon. Il y en a dans
n. Que la chambre d’un absent est triste ! On le voit partout sans le trouver nulle part. Voilà tes souliers sous le lit, ta ta
de la tapisserie la main de l’homme qui allait défaire un nid qui s’y trouve peint. Je lui prêtais du moins cette mauvaise int
perdue et sans bonheur sur la terre. Tu peux m’en croire, je n’en ai trouvé encore en rien, en aucune chose humaine, pas même
emps où cela m’aurait effrayée ; à présent, je ne sais pas comment je trouve tout naturel de mourir ; cercueils, morts, tombes
t que ma mère qui, hélas ! repose un peu loin d’ici. Mais pourquoi me trouvais -je là ? Me croyez-vous amante des tombeaux ? Pas
livre d’examen qu’une tombe ! Comme on y lit des vérités, comme on y trouve des lumières, comme les illusions, les rêves de l
ur d’une sainte Thérèse, de sainte Paule à Bethléem. Si je pouvais me trouver dans quelque sainte solitude !… Le monde n’est pa
de Paris sans pouvoir y aller toujours, et moi, sans y aller, je m’y trouve . C’est de tous côtés, de tous les arbres, des voi
t une fois des prières pour son chien malade ; je me moquai d’elle et trouvai sa dévotion mal placée. Aujourd’hui j’en ferais c
vai sa dévotion mal placée. Aujourd’hui j’en ferais comme elle, je ne trouve pas cette prière si étrange : tant le cœur change
es demoiselles. Adieu, cahier ; mais je le prendrai peut-être pour me trouver avec toi. » Le 25 août. « Oh ! les vieux châte
ontels que je t’écris, dans une chambre écartée où j’ai, par bonheur, trouvé de l’encre ; j’avais oublié d’en prendre, et c’ét
l’île des Cygnes, blanche de fleurs, et de leur duvet, oh ! que je la trouve belle ! Et ses habitants, qui sont-ils ? que font
45 (1867) Nouveaux lundis. Tome IX « Journal et Mémoires, de Mathieu Marais, publiés, par M. De Lescure »
ent sont rendues avec exactitude ; il les tenait de première main. On trouverait bien des particularités aussi, bien des traits ut
ces scandales d’immoralité et cette gangrène au cœur du Gouvernement trouvent en Marais un témoin à charge de plus. Il n’a pas
iment l’Œdipe de Sophocle, celui de Corneille et le sien propre. Il a trouvé de plus sensés et de plus judicieux critiques que
nce tout entière Irait, la tête en bas, rimer dans la rivière. Il ne trouve dans tout cela que matière à plaisanterie, et il
il est bien loin. Le cardinal lui répondit : « Il est plus facile de trouver des Voiture que des Richelieu. » Voltaire bien l
aire a eu des coups de bâton. Voici le fait. Le chevalier de Rohan le trouve à l’Opéra et lui dit : « Mons de Voltaire, mons A
aquais vient lui dire qu’on le demande ; il descend, va à la porte et trouve trois messieurs garnis de cannes qui lui régalère
mme un diable, met l’épée à la main, remonte chez le duc de Sully qui trouva le fait violent et incivil, va à l’Opéra conter s
pique comme des autres poésies. Il n’y a qu’à la savoir parler ; on y trouve tout. On ne sait où Arouet, si jeune, en a pu tan
es. Ses auteurs à lui, parmi les vivants, c’est l’abbé Fleury dont il trouve les discours et dissertations admirables, et qui
rs, dans cette agréable recherche, aucun engouement aveugle ; « Vous trouvez avec raison, écrit-il au président Bouhier (à l’o
il le dit lui-même ; mais, à la fin, il vit le faux des brillants, il trouva la nature au gîte et la prit, et elle ne l’a poin
l’exil du maréchal de Villeroy, gouverneur de Louis XV (août 1722), —  trouve que « le style n’a pas la dignité nécessaire en p
ert en présence de ses créanciers. On les assemble : on croyait aller trouver un arrangement pour ses affaires ; savez-vous ce
aller trouver un arrangement pour ses affaires ; savez-vous ce qu’on trouve  ? Un mémoire affreux contre Mme de Tencin, où il
ersanes : « Le dilemme serait difficile à résoudre, dit-il, mais on y trouvera quelque réponse fine dans la dialectique grammair
peur que le public ne s’obstinât à lui en attribuer d’anonymes, où il trouverait de l’imagination, de la vivacité et des traits ha
availlera sur des sujets ou des personnages de ce temps-là est sûr de trouver chez lui bien des notes et des indications qui ne
46 (1868) Nouveaux lundis. Tome X « Marie-Thérèse et Marie-Antoinette. Leur correspondance publiée par le chevalier d’Arneth »
rmi les lettres ajoutées à cette deuxième édition par M. d’Arneth, on trouve en tête une Instruction de l’impératrice à sa fil
hysionomie qui acquiert tous les jours de nouveaux agréments. On peut trouver des figures plus régulièrement belles : je ne cro
s figures plus régulièrement belles : je ne crois pas qu’on en puisse trouver de plus agréables. Quelque idée qu’en aient pu do
sur son éducation française des personnes qui sont fâchées de ne plus trouver des manières qui tiennent plus de familiarité que
x ; je serais bien fâché de l’altérer. Je compte que Votre Excellence trouvera chez Mme l’archiduchesse la plupart des connaissa
ni même de lui dire ce que j’aurais écrit chez moi. M. le dauphin me trouve quelquefois dans le cabinet de Mme la dauphine ;
llence connaît notre Cour : quel conte ne ferait-on pas si on m’avait trouvé lisant des papiers ! » L’abbé de Vermond, dans c
’a rien dit de plus ; elle n’en désire peut-être pas davantage ; elle trouvera une importunité de moins pendant mon absence, et
ès la lettre que je lui avais écrite le lundi soir ; je l’ai rarement trouvée aussi tranquille et aussi maîtresse de ses mouvem
les points essentiels. J’ai eu occasion de dire à la reine qu’elle ne trouverait jamais de serviteur plus fidèle et plus dévoué qu
lume de M. d’Arneth se termine par un Portrait de la reine, qui s’est trouvé à Vienne, copié de la main du secrétaire intime P
ance, a pris tout à fait le ton et les goûts de la nation, cherche et trouve du plaisir à la fréquentation de ce qu’on appelle
s ; elle n’aime pas l’application, elle ne veut pas de gêne ; elle ne trouve pas beaucoup de ressources dans la famille royale
les détruisit pas sans les avoir décachetés et lus auparavant. Elle y trouva une lettre de l’abbé de Vermond à la reine, qui d
s il en venait aux conditions pour son retour… » — D’un autre côté on trouve dans les lettres de Marie-Thérèse à Marie-Antoine
47 (1829) De la poésie de style pp. 324-338
us a semblé aussi que ce recueil avait un genre d’intérêt que l’on ne trouve pas d’ordinaire dans des pensées détachées. Celle
que toutes ces pensées sont en même temps des comparaisons, et on en trouve à peine quelques-unes d’une autre forme dans tout
seul instant de l’un des deux mondes dans l’autre. L’oreille, l’œil, trouvent leur plaisir dans le rapport harmonique de deux s
Pour revenir à Jean Paul, il faut convenir qu’il serait difficile de trouver un plus grand allégoriste. Sur six cents pensées
rt de notre langue est intéressé dans cette question. Mais nous avons trouvé peu de vérité dans l’explication qu’il donne des
yle figuré et plein d’images. Prenons une comparaison célèbre qui s’y trouve  :         Ô bienheureux mille fois             
tte idée abstraite. Il en est partout de même dans ces chœurs. Vous y trouverez souvent la comparaison, jamais le symbole. Il n’y
vie… » Nous pourrions multiplier les citations à l’infini ; car pour trouver des exemples de cette forme de style, il suffit p
ienne forme répugnait tellement à cette profusion, que jamais vous ne trouverez dans un poète du Dix-Septième ou du Dix-Huitième
aisant parler la terre et les cieux pour ranimer la foi religieuse, a trouvé là bien des couleurs. Ainsi ce grand changement d
ace des Orientales. M. Hugo veut caractériser la variété qu’il aime à trouver dans les productions d’un artiste, et qu’il désir
, comme de ces belles vieilles villes d’Espagne, par exemple, où vous trouvez tout. » Et il part de là pour décrire en deux ou
ix desquels il gagne sa couronne comme un athlète. En y pensant, vous trouverez dans J.-B. Rousseau deux belles comparaisons, mai
dent que la prose avait pris les devants sur la poésie ; et peut-être trouverait -on qu’il en a été de même à une autre époque de f
le des écoles diverses et de chaque poète en particulier ? Surtout ne trouverait -on pas là une des causes principales de l’obscuri
48 (1861) La Fontaine et ses fables « Première partie — Chapitre II. L’homme »
randes passions et enclin au plaisir. Il faut reconnaître qu’il avait trouvé autour de lui des exemples, et que ces exemples n
le, lisait, faisait des vers, allait chez son ami Maucroix à Reims, y trouvait « bons vins et gentilles gauloises, friandes asse
perons de drap rose sèche et sur leurs cales de velours noir. « Si je trouve quelqu’un de ces chaperons qui couvre une jolie t
aration contre son mari, « toutes qualités de bon augure ; j’y aurais trouvé quelque sujet de cajolerie, si la beauté s’y fût
rmante : « Si cette jeune divinité qui est venue troubler mon repos y trouve un sujet de se divertir, je ne lui en saurai poin
s grands. Ce n’est pas assez pour lui de les décrire tout au long. Il trouve le loisir de lancer en passant des traits contre
ttention, mais il s’attendrissait, il cherchait des expédients, il en trouvait , il donnait les meilleurs conseils du monde. » Il
mortel qui sait mettre sa vie Pour son ami. Voilà les louanges qu’il trouvait pour elle. « Vous que l’on aime à l’égal de soi-m
e la vie, le garda vingt ans. Quand elle mourut, M. d’Hervart vint le trouver et le pria de loger chez lui : « J’y allais », di
à Château-Thierry pour le réconcilier avec sa femme. Il y allait, la trouvait hors du logis, et reprenait le coche sans l’avoir
ux rêveurs. Il n’avait pas besoin de se guinder pour y monter. Il s’y trouvait tout porté et de naissance. C’est cette faculté q
u terme, si nous repassions en esprit toutes nos journées, combien en trouverions -nous où nous ayons eu pendant une heure, pendant
49 (1772) Bibliothèque d’un homme de goût, ou Avis sur le choix des meilleurs livres écrits en notre langue sur tous les genres de sciences et de littérature. Tome II « Bibliotheque d’un homme de goût — Chapitre II. Des livres de géographie. » pp. 5-31
, &c. Le premier volume de cette continuation a paru & on l’a trouvé digne de l’ingénieux Abbé Prevot. Mr. de Querlon
plusieurs fois dans le cours de son ouvrage & sur laquelle on ne trouve rien. On a dit que les voyages étoient les romans
ion, qu’une rélation suivie, continue, didactique & surement il a trouvé des partisans de sa méthode. Il fait donc voyager
en trois volumes & réimprimés ensuite en six volumes in-12. On y trouve des choses curieuses, & il est plus exact qu’
ttres, qui sont un peu monotones pour le ton, mais dans lesquelles on trouve des remarques utiles. Le voyageur anglois, très-r
’il voyoit en homme intelligent. Il instruit autant qu’il amuse. On y trouvera en particulier des observations sur les Noirs qui
un esprit très-attentif. Tout ce qui peut intéresser la curiosité s’y trouve rassemblé ; mœurs anciennes & modernes, monum
d’Ablancourt, est enrichie de Cartes géographiques de M. Samson. On y trouve l’histoire des Cherifs & des Royaumes de Maro
générale de l’Amérique depuis sa découverte, 1769. 14. vol. in-12. On trouve dans cet ouvrage l’histoire naturelle, ecclésiast
yages faits en Amérique ou dans quelques parties de l’Amérique. On en trouve le détail dans la nouvelle édition de la méthode
Madame du Bocage a mis son voyage d’Italie en forme de Lettres. On le trouve dans le recueil de ses œuvres. Il y a de l’esprit
agnifique que la Cour de Siam ; lisez les Mémoires de Forbin, vous ne trouverez rien de plus mesquin. La destinée de l’homme est
50 (1936) Réflexions sur la littérature « 1. Une thèse sur le symbolisme » pp. 7-17
d’un Putter-Laumann dans une justice à laquelle M. Clemenceau ne put trouver de lecteurs, et laisser de côté un journaliste al
quelle, théoriquement du moins, M. Barre conduit son histoire, il eût trouvé l’occasion de mentionner des incidents de presse
esure, au moins le Soleil des morts de M. Camille Mauclair ? Il y eût trouvé un tableau curieux et sincère du mouvement littér
absolument classique, avec le goût des images justes et le don de les trouver toujours sans effort. » Les certificats de M. Fag
l’un à l’autre ? Et comment peut-on dire que « la technique de Ghil a trouvé l’homme de sa formule dans Verhaeren », qui est d
e Régnier comme un « vers-libriste ». Mais, certes, moins encore s’en trouvera-t -il pour voir, avec M. Barre, dans Régnier, un écl
ont souffert. La stérilité relative de Mallarmé vient de ce qu’il ne trouva quoi chanter, et ce qu’il chanta ce fut préciséme
e « excentrique ». Là enfin est la seule source où la poésie actuelle trouve encore de l’inspiration neuve. Mais pas un des tr
r le vers libre, la conclusion de M. Barre est qu’il ne pourra jamais trouver le chemin de l’oreille populaire. « Le poète, écr
sirène, Phocas le jardinier, le poète et sa femme. Le dernier a même trouvé une veine comique fort drue dans existences (la p
iélé-Griffin, le mètre plus ou moins détendu de Régnier et de Jammes, trouvent leur élément propre dans une forme poétique que l
Fontaine. Il faudrait alors renoncer à des clichés comme celui que je trouve à la page 186 : « La poésie de Verlaine est pour
51 (1914) Note conjointe sur M. Descartes et la philosophie cartésienne pp. 59-331
st de l’avoir annoncé en de tels termes. Premièrement j’ai tâché de trouver en général 1 les principes ou premières causes d
qu’on pouvait déduire de ces causes ; et il me semble que par là j’ai trouvé des cieux, … Eh bien je dis : qu’importe. Nous s
, … Eh bien je dis : qu’importe. Nous savons bien qu’il ne les a pas trouvés , les cieux. On les avait trouvés avant lui. Ou pl
Nous savons bien qu’il ne les a pas trouvés, les cieux. On les avait trouvés avant lui. Ou plutôt ils s’étaient trouvés tout s
s, les cieux. On les avait trouvés avant lui. Ou plutôt ils s’étaient trouvés tout seuls. La création a eu besoin de son Créate
homme, ni pour être, ni même pour être connue. Les cieux se sont bien trouvés tout seuls. Et ils ne se sont jamais perdus. Et i
nous pour se retrouver perpétuellement dans leurs orbes. On les avait trouvés avant lui. Eux-mêmes ils s’étaient trouvés avant
leurs orbes. On les avait trouvés avant lui. Eux-mêmes ils s’étaient trouvés avant lui. Je dis : qu’importe. L’audace seule m’
jamais mouvement de la pensée comparable à celui de ce Français qui a trouvé les cieux. Et il n’a pas trouvé seulement les cie
mparable à celui de ce Français qui a trouvé les cieux. Et il n’a pas trouvé seulement les cieux. Il a trouvé des astres, une
ui a trouvé les cieux. Et il n’a pas trouvé seulement les cieux. Il a trouvé des astres, une terre. Je ne sais pas si vous ête
ouvé des astres, une terre. Je ne sais pas si vous êtes comme moi. Je trouve prodigieux qu’il ait trouvé une terre. Car enfin,
Je ne sais pas si vous êtes comme moi. Je trouve prodigieux qu’il ait trouvé une terre. Car enfin, s’il ne l’avait pas trouvée
prodigieux qu’il ait trouvé une terre. Car enfin, s’il ne l’avait pas trouvée . Et non seulement une terre mais même sur la ter
lu descendre à celles… , alors, mais alors seulement il ne les a plus trouvées et il a eu besoin que la discrimination de l’expé
siblement, des principes et de Dieu. Nous savons bien qu’il n’eût pas trouvé les cieux et les astres et une terre s’il n’en av
t pas entendu parler. Je dirai plus. Nous savons bien qu’il n’eût pas trouvé les principes mêmes ou premières causes de tout
de tout ce qui est ou qui peut être dans le monde et qu’il n’eût pas trouvé les idées innées, ces certaines semences de véri
rations de la pensée. Je dirai plus. Nous savons bien qu’il n’eût pas trouvé Dieu même s’il n’en avait pas entendu parler, et
ux plus spécieuses des apparences le Juif, quand on les connaît bien, trouve toujours que c’est encore bien comme ça, que c’es
onsolé, n’en a jamais assez. Un Dieu est mort pour lui. Il regarde et trouve toujours qu’on est bien malheureux. Tous deux son
e éclate la différence et la contrariété de leurs deux races. Le Juif trouve naturel d’être malade. Fils et pour ainsi dire ce
vail spirituel se paye par une sorte propre de fatigue inexpiable. Il trouve même que c’est juste. Il trouve même que c’est en
orte propre de fatigue inexpiable. Il trouve même que c’est juste. Il trouve même que c’est encore très bien comme ça. Il comp
s bien comme ça. Il compte les jours où il va bien. Il les admire. Il trouve qu’on a encore bien de la chance. (Au fond, il ne
chance. (Au fond, il ne le dit pas, mais il est un vieux Juif, et il trouve que le Seigneur est encore bien bon comme ça, de
il voudrait commander au cerveau et aux individus nommés nerfs. Il y trouve la différence. Comme ils se battaient contre le t
battaient contre le tour de reins lui il se bat contre son foie. Il y trouve la différence. Il est le premier de sa race qui e
, répète inlassablement le chœur antique. En français, endurer, c’est trouver que c’est rudement dur. Mais en français, c’est s
génération en génération et il peut remonter pendant des siècles : il trouvera toujours quelqu’un qui sait lire. Quand il remont
yzance ou à quelque Bédouin du désert, le Juif est d’une race où l’on trouve toujours quelqu’un qui sait lire. Et non seulemen
marche bien, quand les mécanismes sont montés, quand il écrit, il ne trouve pas que c’est un instrument dangereux. Quand ça n
e replonge dans le silence de sa race et de remontée en remontée il y trouve le dernier prolongement que nous puissions saisir
iculation des leviers de la grâce. Par là elle travaille. Par là elle trouve le point qu’il y a dans tout homme pécheur. Par l
êtes dans la physique du poids, parce que le deuxième milligramme ne trouve pas la situation nette. Il ne trouve pas la situa
e que le deuxième milligramme ne trouve pas la situation nette. Il ne trouve pas la situation entière. Il y a quelque chose de
au, successivement ou ensemble. Toute deuxième goutte qui se présente trouve une situation nette. Toute deuxième goutte qui se
nte trouve une situation nette. Toute deuxième goutte qui se présente trouve une situation entière. Toute deuxième goutte qui
e trouve une situation entière. Toute deuxième goutte qui se présente trouve une situation inentamée. Toute deuxième goutte qu
présente (comme) une première. Toute deuxième goutte qui se présente trouve qu’il faudrait commencer. Et qu’elle ne peut pas
qu’elle ne peut pas commencer. Toute deuxième goutte qui se présente trouve qu’il faudrait créer. Un phénomène comparable et
aisons d’elle et surtout de l’usage qu’elle fait de nous. Pour moi je trouve ces propositions monumentaires, ces propositions
revêtu. On connaît cette parole de vieil homme et que pour ma part je trouve admirable. — Quel dommage, disait-il, qu’il faill
ns les champs de blé. Il ne s’agit pas que les grains des blés soient trouvés dans le cœur des grappes et que les raisins soien
lés soient trouvés dans le cœur des grappes et que les raisins soient trouvés dans le cœur des épis. Il ne s’agit pas de moisso
dans sa plus haute et sa plus parfaite maturation. Et que celui qui a trouvé la faucille soit chargé de rapporter le blé. Et q
rouvé la faucille soit chargé de rapporter le blé. Et que celui qui a trouvé la dialectique soit chargé de rapporter l’idée. E
vé la dialectique soit chargé de rapporter l’idée. Et que celui qui a trouvé la serpette soit chargé de rapporter la grappe. E
vé la serpette soit chargé de rapporter la grappe. Et que celui qui a trouvé l’intuition soit chargé de rapporter la durée. Et
as avec la faucille et la faux. Le plus grand moissonneur du monde ne trouvera pas à moissonner dans les vignes. Le plus grand v
as à moissonner dans les vignes. Le plus grand vendangeur du monde ne trouvera pas à vendanger dans les blés. Que me parlez-vous
il n’y a pas de dérogation. Dieu peut regarder le monde, et ne pas le trouver trop dégoûtant. Ce qui leur importe, à chacun des
i que c’est un mystère. En fait celui qui se mesure a quelquefois été trouvé plus grand. Et il a quelquefois dominé. Celui qui
aincu celui qui vainc. Celui qui a voulu être juste a quelquefois été trouvé plus fort. L’empire a quelquefois écrasé la liber
si on n’a pas toujours présent à la pensée que le roi qu’elle pensait trouver à Chinon, et le roi qu’elle pensait faire sacrer
t son point de douleur et sa catastrophe tragique fût qu’elle pensait trouver un roi et qu’elle en trouva un autre. Elle pensai
catastrophe tragique fût qu’elle pensait trouver un roi et qu’elle en trouva un autre. Elle pensait faire sacrer un roi et ell
sait faire sacrer un roi et elle en fit sacrer un autre. Elle pensait trouver un roi de baronnage et de courtoisie, un roi de g
de grâce et de chevalerie, un roi de croisade et de chrétienté. Elle trouva un roi homme d’affaires et un roi de courtage. On
e France et du monde. Elle était venue vers un roi chevalier. Et elle trouva un roi commerçant. Elle était venue vers un roi d
a un roi commerçant. Elle était venue vers un roi de justice. Et elle trouva un roi misérablement calculateur. Elle était venu
ablement calculateur. Elle était venue vers un roi de guerre. Et elle trouva un roi de tremblements. Elle était venue vers un
n roi de tremblements. Elle était venue vers un roi de grâce. Et elle trouva un pauvre négociateur. Elle était venue vers le r
e négociateur. Elle était venue vers le roi très chrétien. Et elle ne trouva qu’un roi de réticences. Elle était venue vers le
s un roi de l’ordre de la mesure, de la race de la mesure. Et elle ne trouva qu’un roi qui tenait de pauvres comptes. Elle éta
e pauvres comptes. Elle était venue vers le roi de France. Et elle ne trouva qu’un petit économe. Et elle était venue vers un
un petit économe. Et elle était venue vers un roi mystique et elle ne trouva qu’un roi politique et politicien. Et entouré de
a politique. Elle était venue vers une cour et vers une armée et elle trouvait des paperasses (en parchemins, mais c’étaient des
ses (en parchemins, mais c’étaient des paperasses tout de même). Elle trouvait des paperasses et une bureaucratie. Elle était v
bureaucratie. Elle était venue vers une antique maison et déjà elle trouvait un roi moderne. Tel fut l’abîme de malentendu, l’
instantanément. Elle était venue vers la maison de France et elle ne trouvait que des petits bureaux, les bureaux de l’État. El
ureaux de l’État. Elle était venue vers des hommes d’armes et elle ne trouvait qu’une misérable bande de légistes. Elle était ve
e légistes. Elle était venue vers un deuxième saint Louis. Et elle ne trouva qu’un deuxième Philippe le Bel.   Quel exemple pl
is du moment qu’elle entrait chez les modernes elle devait fatalement trouver plus moderne qu’elle. Et tel est le châtiment de
re. C’est que dans le nouvel ordre pour lequel il a trahit le sien il trouve toujours quelqu’un qui est plus de ce nouvel ordr
re où il entre, ou du moins dans le nouvel ordre où il veut entrer il trouve toujours quelqu’un qui lui y est lui-même et esse
désordre, dans le désordre où il entre il ne s’y connaît pas et il y trouve toujours son maître. Quand la Révolution Français
autre. Du moment que la royauté s’était faite commerçante elle devait trouver plus commerçant qu’elle. Et du moment qu’elle s’é
du moment qu’elle s’était faite « philosophe » elle devait fatalement trouver plus philosophe qu’elle. Et c’était justice. Il f
propre institution. Jeanne d’Arc était allée vers un chef et elle ne trouva qu’une cabale. Elle était allée vers un roi et el
elle ne trouva qu’une cabale. Elle était allée vers un roi et elle ne trouva que des courtisans. Voilà ce qui fut payé le jour
i geignons toujours d’être venu au monde dans le monde moderne et qui trouvons que le service est dur. Et que ça marche mal. Ça
e dit assez). Et quand Jeanne d’Arc arriva à Chinon, croit-on qu’elle trouva que tout allait bien. Quelques mois plus tard ell
crer à Reims un roi qui n’était pas de l’ordre du sacré. Elle pensait trouver un roi des paroisses françaises. Et elle ne trouv
cré. Elle pensait trouver un roi des paroisses françaises. Et elle ne trouva que le roi des diplomates.   Par un point au tenn
lement, comme les autres ; il sera comparé aux faux dieux. Et il sera trouvé meilleur de la quantité juste, qui est l’infini,
ttre en comparaison Racine et Corneille et qui pour balancer Bérénice trouva Tite et Bérénice. Nous sommes tous écrasés par l’
re dans la dépendance de la brebis égarée et on peut dire que pour la trouver il se guide sur elle et sur ses errements. Celui
la fois le tenant et le héraut. On sait comment elle fut reçue. Elle trouva les Anglais (et les Bourguignons) et il faut le d
fermée à la voix de Dieu, plus rebelle à Dieu que saint Louis n’avait trouvé les infidèles d’Égypte. Et c’est une des raisons
martyre au deuxième degré. Car c’est au sein de la chrétienté qu’elle trouva ses points d’application, ses points de résistanc
t martyre et sainte contre des Français et contre des chrétiens. Elle trouva l’infidélité installée au cœur même de France, au
la croisade, pour la reprise et le couronnement de la croisade et qui trouva au contraire que c’était ça la seule croisade qu’
l n’est point trahi, point renié. Il faut qu’il se déplace pour aller trouver la souffrance, la guerre, la maladie, la prison,
erre, la maladie, la prison, la mort, les outrages, le martyre. Il ne trouve point tout cela installé au cœur de France. Sa gu
iens. Il faut qu’il aille en Égypte, il faut qu’il aille à Tunis pour trouver ce que l’autre trouve entre Étampes et la Somme e
le en Égypte, il faut qu’il aille à Tunis pour trouver ce que l’autre trouve entre Étampes et la Somme et la Seine Inférieure.
qu’il aille porter la croisade chez l’infidèle. Que dire de celle qui trouva une monstrueuse croisade à faire au cœur de Franc
jours la différence de l’extrinsèque et de l’intrinsèque. Ainsi Jésus trouva sous la main deux ou trois petites collines ou él
lvaire. Et Hérode l’avait cherché parmi ses parents. Et Judas l’avait trouvé parmi sa troupe.   Il n’avait point eu à aller au
idérait l’inscription aussitôt qu’elle serait devenue inscrite. Et on trouvait qu’elle était arrêtée, qu’elle était inscrite. On
On considérait la vie au moment qu’elle serait devenue la mort. Et on trouvait qu’elle était morte. On considérait le présent, o
moment qu’elle aurait été liée, qu’elle serait devenue liée. Et l’on trouvait qu’elle était liée. Mais on ne disait pas qu’elle
t liée. On disait qu’elle était venue au monde comme ça. Puisqu’on la trouvait comme ça. On disait qu’elle était venue au monde
scrite. On disait qu’elle était venue au monde comme ça. Puisqu’on la trouvait comme ça. On disait qu’elle était venue au monde
t tuée. On disait qu’elle était venue au monde comme ça. Puisqu’on la trouvait comme ça. On disait que la vie était venue au mon
ent et absolument le même être. Il n’y a que l’être et la réalité qui trouvaient que ce n’était pas le même être. C’est toujours l
nscrit, d’un autre être que l’écroué. Et eux comment s’étonner qu’ils trouvassent passées des lamelles de passé, historiques des la
er que le présent est un passé. Comment s’étonner après cela qu’on le trouve passé. Mais c’est peut-être, plus ou moins obscur
ale. C’était si tentant. On n’avait qu’à attendre un petit peu. Et on trouvait l’ouvrage toute faite. Aujourd’hui, aujourd’hui n
ut un peuple non seulement effectue l’anéantissement de sa race, mais trouve encore que c’est très bien, parce que ça se passe
ec son argent. Mais parce qu’il avait tout réduit en argent, il s’est trouvé que tout était bassesse et turpitude.   Je parler
rs. On compte les fois où les trois catégories d’indications que l’on trouve sur les routes sont d’accord entre elles. Ou plut
es sont d’accord entre elles. Ou plutôt on ne les compte pas. On n’en trouve jamais. Mais vous ne connaissez peut-être pas, mo
t-être pas, mon père, les trois catégories de renseignements que l’on trouve sur une route. — Je suis seulement étonné, mon en
connais pas les trois catégories d’indications de la raideur que l’on trouve sur une route. Je n’en connais que deux, les pote
y en a trois, mon père. Car il y a aussi les plaques bleues que l’on trouve à l’entrée et à la sortie des villages, des hamea
être un peu loin. Nous en étions à ces belles plaques bleues que l’on trouve à l’entrée et à la sortie des bourgs, encastrées
ont certainement pas des plaques d’identité, car on n’a jamais pu les trouver d’accord ni avec les poteaux indicateurs ni avec
avoir ce que c’est. Quand toutefois on en peut déchiffrer une, on n’y trouve aucune indication métrique. Il semble que cette c
rendront), le catholique est un garçon qui arrive sur la route et qui trouve très bon pour lui le poteau indicateur qu’il y a
e je cite ce Descartes d’après l’édition la moins savante que j’ai pu trouver . Ce n’est pas à un vieux typographe comme moi qu’
52 (1865) Causeries du lundi. Tome VI (3e éd.) « Additions et appendice. — Treize lettres inédites de Bernardin de Saint-Pierre. (Article Bernardin de Saint-Pierre, p. 420.) » pp. 515-539
octeur65, la franchise et les agréments de votre société ; puis je me trouvais seul dans des déserts, courant peut-être après un
de la mer Baltique n’est qu’une grande plaine sablonneuse où l’on ne trouve pas un seul rocher, et tout le côté septentrional
es, ne sont absolument qu’une grande masse de rochers tout nus6. J’ai trouvé dans l’auberge où l’on m’a descendu M. Chandos, a
z, mon ami, que je m’occupe de vous, que je parle de vous, lorsque je trouve de bonnes oreilles. Le résident de France, homme
ces, Varsovie, ce 28 juillet 1764. P.-S. Dans une fête où je me suis trouvé il y a deux jours, j’ai aperçu, parmi les gens qu
rquer mon départ, ou les arrangements qu’on aura pris avec moi. Je me trouve très embarrassé. Mon inclination m’engage à reste
d’une longue navigation, relâchent dans une de ces belles îles qu’on trouve quelquefois au milieu de l’Océan. Ils oublient po
is vous savez que j’ai plus de délicatesse que de vanité. Aussi ai-je trouvé tout ce qui pouvait m’attacher, des grâces sans n
ont pas encore prêtes. Dans quel pays et avec quels hommes vais-je me trouver  ! Je laisse d’excellents amis derrière moi ; j’en
x qu’à ses entreprises en Russie, je plains les actionnaires, s’il en trouve . Je voudrais vous parler de quelque chose qui vou
ressemble à un téton. Enfin, deux mois après notre départ, nous nous trouvâmes sous la Ligne sans avoir éprouvé de chaleurs extr
sans avoir éprouvé de chaleurs extraordinaires. Le 22 juin, nous nous trouvions presque nord et sud de Madagascar, lorsque nous e
uniquement occupés que de leur commerce, ils sont durs ; enfin je ne trouve point d’hommes ici. Je ne sais encore quelle tour
isère de moins que leur vaudra la connaissance des Européens. Ils ont trouvé une autre île encore plus maléficiée ; les habita
le repos. Fatigué de tant d’objets, je cherche à ruminer. Où et quand trouverai -je une retraite qui soit à moi, un jardin que j’a
qu’il y a à la fois de meilleur et de plus abominable. Quoique je me trouve ici sans protection, il faut espérer que je trouv
ble. Quoique je me trouve ici sans protection, il faut espérer que je trouverai enfin un asile au moins sans sortir de l’Europe.
ous devez être heureux, dans quelque événement que vous puissiez vous trouver . Assurez Mme Duval de mon respect et de mon attac
rcher de l’eau dans mon propre puits86, Dieu m’a fait la grâce d’y en trouver . J’ai fait imprimer l’année passée un ouvrage en
is dire que les fondements de mon âme en ont été ébranlés 87. Je n’ai trouvé de consolation que dans la solitude la plus profo
ettes que les lettres de mes amis que je conserve précieusement. J’ai trouvé dans les vôtres que vous m’envoyâtes à Varsovie u
re chère famille, dont je ne connais que le respectable chef. Si vous trouvez occasion de me rappeler au souvenir du prince Dol
53 (1772) Bibliothèque d’un homme de goût, ou Avis sur le choix des meilleurs livres écrits en notre langue sur tous les genres de sciences et de littérature. Tome II « Bibliotheque d’un homme de goût — Chapitre III. Des Livres nécessaires pour l’étude de l’Histoire sacrée & ecclésiastique. » pp. 32-86
e du Messie. Le Pere Berruyer péchoit par un excès d’imagination ; on trouve un défaut précisément contraire dans l’Histoire d
’ancien Testament par M. Mezangui. Il est vrai que les Jésuites y ont trouvé le poison de la doctrine jansénienne ; mais qu’il
avec un auteur que c’est insulter aux approbateurs de livres, que de trouver des erreurs dans des ouvrages dont le ministère p
e que l’auteur, dont le sçavoir est connu, y a inséré tout ce qu’il a trouvé dans l’histoire prophane qui pouvoit se rapporter
es regles qu’il s’est prescrites & qu’il a suivies exactement. On trouve plusieurs autres discours au commencement de quel
uviéme, la juridiction essentielle à l’Eglise ; enfin au vingtiéme on trouve les réfléxions de l’auteur sur l’état des divers
amp; d’historien. Il n’est pas inférieur à Bossuet, & si l’on n’y trouve pas la même force de pinceau, ni la même pompe d’
lume in- 12. pour ceux qui ne peuvent acheter son histoire, ou qui la trouvent trop peu ornée pour en entreprendre la lecture. C
Ecrivain laissa son ouvrage au vingtiéme volume. Il étoit question de trouver un continuateur. Le P. Fabre de l’Oratoire se pré
ls & dans le choix des faits, il donne la préférence à ceux qu’il trouve tout arrangés dans les autres historiens. Voilà p
herchoit qu’entasser volume sur volume pour allonger l’ouvrage. On ne trouve dans cette continuation aucun de ces discours adm
ns en excepter le Dictionnaire des Hérésies du R. P. Pinchinat, on ne trouvera point un tableau des égaremens de l’esprit humain
esure que nous descendons vers les derniers siécles de l’Eglise, nous trouvons l’Histoire du Calvinisme, par Solier in-4°. Paris
rochoit, on peut consulter un savant Mémoire de Mr. Bossuet, que l’on trouve à la fin du second volume des œuvres posthumes de
s de cet illustre soutien de la saine Doctrine. On ne se borna pas à trouver des fautes dans le travail de M. du Pin, on préte
de netteté ; mais il manque souvent de pureté & d’agrémens. On y trouve beaucoup de latinisme, parce que l’auteur avoit d
chercher l’histoire de tous les Ecrivains ecclésiastiques ; on n’y en trouve qu’une trentaine, & l’auteur finit à St. Bern
c le catalogue de leurs principaux ouvrages ; le sommaire de ce qu’on trouve de remarquable dans ceux des Peres, pour former l
crédulité de nos ancêtres avoit déshonoré les légendes des Saints. On trouve à la tête un discours intéressant & plein d’o
54 (1865) Causeries du lundi. Tome VI (3e éd.) « Mémoires de Daniel de Cosnac, archevêque d’Aix. (2 vol. in 8º. — 1852.) » pp. 283-304
ntiments avec la cour de Rome, il songea à l’évêque de Valence, et le trouva tout disposé. Cosnac reparut à la Cour, se distin
, et d’une rédaction différente, et que ce second manuscrit avait été trouvé à Die par M. le docteur Long. Après un scrupuleux
ec ses confidents, j’affectais de sortir par respect, et, quand je me trouvais obligé d’y rentrer, c’était toujours avec tant de
y joint des idées de politique et d’affaires un peu plus étendues, il trouve le moyen d’être utile pendant le siège de Bordeau
la vue de me rendre utile et nécessaire, mais encore parce que je les trouvais plus conformes à mon inclination, qui me portait
va mettre en première ligne la patrie ; c’est par ce côté que nous le trouverons digne plus tard de comprendre et de servir Louis 
il a fait venir sa maîtresse de Bordeaux, Mme de Calvimont. Ici nous trouvons quelqu’un qui, à cette distance, nous intéresse p
uoiqu’il y eût beaucoup de justice ; mais M. le prince de Conti avait trouvé bon de s’opiniâtrer à cette bagatelle. Ce mauvais
t de pouvoir sur elle pour lui faire supporter son malheur, que je la trouvai qui jouait avec son hôtesse. Cela me surprit. M’é
art : Histoire de la branche des Conti. La littérature et la morale y trouveraient leur place. Cosnac, qui a gagné, au mariage du pr
« qu’un maréchal de France s’était vanté en sa présence que, s’il eût trouvé un évêque assis et qu’il eût été debout, il l’aur
 » Ce brevet reçu, Cosnac, qui n’était abbé que le moins possible, va trouver l’archevêque de Paris : « Le roi, lui dit-il, m
, au siège de Tournai, le roi, allant lui-même à la tranchée, y avait trouvé Cosnac : « Quoi ! M. de Valence dans la tranchée 
pouvoir ordonner de ce qu’il fallait mettre dans les chambres, qu’il trouva , par malheur, toutes meublées. Il n’eut que la se
is. J’en sortis si plein d’estime et de vénération pour le roi, je le trouvai si rempli de bon sens, d’habileté, de justice, de
Fronde et un boute-en-train de ces petites cours, où il n’avait rien trouvé à sa mesure. Toutefois il n’eut pas trop à se pla
55 (1868) Les philosophes classiques du XIXe siècle en France « Chapitre VII : Théorie de la raison par M. Cousin »
n’étaient pas dans le premier ; s’ils n’y sont pas, je ne puis les y trouver  ; si je ne puis les y trouver, je ne puis les en
 ; s’ils n’y sont pas, je ne puis les y trouver ; si je ne puis les y trouver , je ne puis les en tirer. — Au contraire, vous di
substance, il y a un rapport nécessaire. Puisqu’il y est, je puis l’y trouver  ; si je le trouve, je puis l’en tirer. Sous ce mo
n rapport nécessaire. Puisqu’il y est, je puis l’y trouver ; si je le trouve , je puis l’en tirer. Sous ce mot jugement ou prop
tier, je n’en découvre pas d’autres ; prenez des chaises ; je vais en trouver devant vous.   Avec de la craie, je trace sur le
rage ; combien 12 ouvriers en feront-ils ? Par une règle de trois, on trouve que le nombre demandé est 24. Ce problème contien
puisqu’une fois les chiffres traduits en lettres, il n’y a qu’à leur trouver une position convenable, et à remplacer les expre
mettre, l’idée de substance L’axiome est formé. Récapitulez, et vous trouverez que les seules facultés qui l’ont produit sont l’
infini. — Nos yeux sont plus intelligents que notre cervelle. Daignez trouver un exemple qui rende sensible la génération de l’
r abstraction ? Retournons dans notre coin ; probablement nous allons trouver que nos infinités, comme les vôtres, ont l’abstra
i concevoir une limite quelconque, analyser cette idée de limite et y trouver une contradiction. C’est donc encore une analyse
uée par une seconde étendue limitée. Vous analysez cette loi, et vous trouvez que la seconde étendue a la même définition que l
vient de le montrer, la vérité est dans les choses, il suffit pour la trouver de décomposer les choses, de les résoudre par l’a
56 (1827) Principes de la philosophie de l’histoire (trad. Michelet) « Principes de la philosophie de l’histoire — Livre second. De la sagesse poétique — Chapitre III. De la logique poétique » pp. 125-167
l. Mais, à mesure que l’esprit humain se développa, à mesure que l’on trouva les paroles qui signifient des formes abstraites,
e un sujet pour séparer sa forme première de la forme opposée qui s’y trouvait jointe. 7. La distinction des idées fit les métam
erre soutient et la couche superficielle qui le couvre, et ce qui s’y trouve semé, ou planté, ou bâti, de même l’approbateur s
utes les nations, comme les sons articulés. Ceux qui désespéraient de trouver cette origine, devaient toujours ignorer que les
es les personnes éloignées, pour les besoins présents de la vie. — On trouve dans l’Iliade deux passages précieux qui nous pro
ssages la tradition égyptienne d’après laquelle Thot ou Hermès aurait trouvé les lois et les lettres. À l’appui de ces vérités
e voix humaine. — Elle nous donne en outre l’ordre dans lequel furent trouvées les parties du discours, et conséquemment les cau
raisonnent d’après les principes d’Aristote, comme si les peuples qui trouvèrent les langues avaient dû préalablement aller aux éc
de compléter la phrase par son verbe. Nous avons vu que le verbe fut trouvé plus tard que les autres parties du discours. Aus
les genres intelligibles. Ne conviendra-t-on pas maintenant que pour trouver l’origine des lettres, il fallait chercher en mêm
nombre de retranchements ; dans les origines de la langue latine, on trouve aussi beaucoup de mots qui durent être syncopés,
les sibylles ; l’antiquité de ces dernières a passé en proverbe. Nous trouvons partout des Sibylles chez les plus anciennes nati
nes. Si on examine bien les fragments de la loi des douze tables, on trouvera que la plupart des articles se terminent par un v
ue les rend exacts. Or, dans les premiers temps, les hommes avaient à trouver , à inventer toutes les choses nécessaires à la vi
es les choses nécessaires à la vie. En effet, quiconque y réfléchira, trouvera que les choses utiles ou nécessaires à la vie, et
qui ne sont que de commodité, d’agrément ou de luxe, avaient déjà été trouvées par les Grecs, avant qu’il y eût parmi eux des ph
de Dante. Parmi les prêtres mêmes, il y avait tant d’ignorance, qu’on trouve des actes souscrits par des évêques, où ils ont m
c des mots qui sonnent si bien en latin et en grec. Voilà pourquoi on trouve tant d’obscurité dans la géographie et dans l’his
i en chantant. (Vico.) 61. Orthographié « rhythme » [NdE]. 62. Nous trouvons ici une preuve de ce que nous avons avancé dans l
que nous avons avancé dans les axiomes. Si les savants s’appliquent à trouver les origines de la langue allemande en suivant no
57 (1857) Causeries du lundi. Tome I (3e éd.) « Adrienne Le Couvreur. » pp. 199-220
t de venir empiéter sur un domaine qui n’est pas le mien, si je ne me trouvais informé de certains documents nouveaux, de pièces
eusement ce qui restait d’elle, et, comme il a la main heureuse, il a trouvé de quoi ajouter sur quelques points à ce qu’on sa
ginaux ; la manière qui déclame ou qui chante, et celle qui dit. Nous trouvons ces deux écoles en opposition déjà et en guerre a
ue la valeur qu’ils doivent avoir dans la situation. De tels conseils trouvaient dans l’intelligence droite de Mlle Le Couvreur un
t vrai, sincère, dévoué jusqu’au sacrifice, et ce rôle-là, nous ne le trouvons pas moins rempli auprès de Mlle Le Couvreur par u
de mariage, Mlle Le Couvreur n’hésita point à la rassurer ; elle alla trouver Mme de Ferriol, et, l’accueil de celle-ci l’ayant
us demander vos ordres. Votre accueil détruisit mon zèle, et je ne me trouvai plus que de la timidité et de la tristesse. Il es
ouvreur se plaisait à recevoir ses amis : Ma vanité, disait-elle, ne trouve point que le grand nombre dédommage du mérite rée
isir cent fois à ne rien dire, mais à entendre de bonnes choses, à me trouver dans une société de gens sages et vertueux, qu’à
st pas que je manque de reconnaissance ni d’envie de plaire ; mais je trouve que l’approbation d’un sot n’est flatteuse que co
ait bien au-dessus des rapides caprices et des flammes passagères. Je trouve , dans des lettres inédites adressées par elle à u
t à tout. Je l’écoute, et puis j’agis ; et je m’en suis toujours bien trouvée . On me prend telle que je suis, ou bien on me lai
Metz, se présenta deux fois chez Mlle Le Couvreur, et, ne l’ayant pas trouvée , il laissa pour elle une lettre dans laquelle il
ses amis, se rendit au lieu indiqué en se faisant accompagner. Elle y trouva le petit bossu, qui lui dit en substance qu’une d
et qu’il venait demander ce qu’il devait faire. Mlle Le Couvreur ne trouva point d’abord cette histoire aussi invraisemblabl
58 (1888) Revue wagnérienne. Tome III « VIII »
 ; et il y a d’autres témoignages. J’insiste sur ce fait, parce qu’on trouve dans beaucoup de livres français et allemands des
e ne pouvoir indiquer à mes lecteurs une biographie dans laquelle ils trouveraient le récit et l’image complète de cette vie du maît
lleuses pour une production artistique étaient les conditions qu’il y trouva réunies72. Le fait de beaucoup le plus important
ela en formerait « un acte complémentaire » (VI, 479). Je crois qu’on trouverait difficilement dans le Tristan et Isolde de Wagner
bientôt de cette idée, mais plus tard il changea de nouveau d’avis et trouva qu’elle n’avait point été si ridicule (voir la no
y mortel. Dans toute la légende et la mythologie ou n’aurait guère pu trouver un caractère aussi apte que celui-ci à être le hé
c’est là, je le répète, le motif dramatique. Dans un passage qu’on ne trouvera que dans le poème, pas dans la partition, sans do
IX, 82), à ce point juste, je m’arrête. En ouvrant la partition, nous trouvons à la première page un mot qui a rendu plus d’un c
ulement, parmi les quatres poèmes de la brochure qu’on pourra espérer trouver une mise en pratique des idées que l’auteur vient
araît que deux ou trois fois, la musique s’épanche librement86. — Que trouvons -nous dans Tristan ? Nous trouvons une langue très
usique s’épanche librement86. — Que trouvons-nous dans Tristan ? Nous trouvons une langue très différente de celle que nous renc
essentiels et qui évoquent une image précise. Dans tout Wagner on ne trouvera pas d’exemple plus parfait de ce système que la p
ncore plus complète, naturellement, chez Tristan et chez Isolde. Nous trouvons toutes les variations. Il y a la phrase réduite a
ités, peut-être la grande qualité, de l’allitération. — Ensuite, nous trouvons de nombreux passages, ce sont même de beaucoup le
absolue précision des sentiments à exprimer. — Un peu plus loin, nous trouvons les paroles que j’ai déjà citées : « Mir erkoren,
an, par les mots : « Tristan’s Ehre. hoechste Treu, etc. »89. — Et on trouvera dans ce premier acte un troisième genre de précis
la d’une précision et d’une concision parfaites. On pourrait même les trouver trop parfaites, car dans soixante vers très court
; il verra que dans le second duo, la seule allitération qu’on puisse trouver est celle si douce et vague de voyelles initiales
poème de Rheingold, par exemple, parce qu’il est beau en lui-même, et trouvent celui de Tristan inférieur. On n’a pas le droit d
r le sentiment. Jusque maintenant, croyons-nous, cette explication ne trouvera pas de contradicteurs. Mais, revenu au jour, c’es
ies peuvent concorder avec la signification de Parsifal. « Nous avons trouvé , dit Shopenhauer, la vie en totalité ayant pour e
onde, d’après Schopenhauer, connaît tout, embrasse l’essence de tout, trouve l’humanité en proie à un effort vain, à un combat
a religion vulgaire : « Les résultats moraux du Christianisme, on les trouve chez moi expliqués par l’étude de la nature et ba
nemanz, il reste ignorant et froid. Cependant la plainte d’Amfortas a trouvé écho en lui. Il est resté insensible à l’invitati
limite de notre faculté de jouissance et de souffrance.[NdA] 78. On trouvera ce passage à la page 66 du poème, édition 1859, e
les fit cependant réimprimer en 1873 dans ce vol. VII, on voit qu’il trouve des explications nécessaires dans le poème lu, qu
nfia à l’architecte deux projets pour Munich dont un nouvel opéra. On trouve dans ses esquisses des éléments du futur théâtre
59 (1896) Journal des Goncourt. Tome IX (1892-1895 et index général) « Année 1892 » pp. 3-94
a maison de la princesse, enfin à la facilité, avec laquelle j’aurais trouvé des éditeurs, pour illustrer La Maison d’un artis
des oseurs, comme mon frère et moi, ont obtenues, que du reste, elle trouve , que le théâtre est un meilleur metteur en scène
papier. » Samedi 5 mars Un journaliste, d’un petit journal, ne trouve pas les conversations, que donne mon Journal, int
evens témoigne du respect de Rousseau pour Millet, qui d’abord ne lui trouvait pas de talent : ce qui, d’après Stevens, décida R
même chez ceux qui n’ont pas fait d’humanités, déclarant qu’on ne les trouverait jamais à lire un livre d’auteur médiocre. Et il r
, apportant aux gourmets d’eau, le bon et frais goût d’une eau, qu’il trouvait comparable à l’aqua felice de Rome. Quelquefois,
rendant complètement justice à l’évocateur des climats, qu’est Loti, trouve , comme moi, ses marins un peu conventionnels, et
physionomie — cette jolie anecdote. Il avait cédé, vendu un Ruysdael, trouvé en Hollande, à Adolphe Rothschild, et venait de l
inée, je n’aime plus que la lecture de l’histoire des mémoires, et je trouve même que dans le roman, bâti avec du vrai, la vér
Quand on commence à collectionner, devant le nombre des objets qu’on trouve , au commencement de sa chasse et de sa recherche,
ut au plus une douzaine d’années qu’on les recherche, c’est fini d’en trouver chez Bing et Hayashi, et il me semble même que ma
i lui sert de modèle. Et Forain me cause de son labeur, de sa peine à trouver la chose : oui, à la fois un dessin et une légend
t douloureusement hypnotisée par ce pot à l’eau ; mais il n’avait pas trouvé la légende philosophique, montant de ce pot à l’e
pas de tire-boutons : traduction dernière de sa pensée, qu’il avouait trouver tout à fait inférieure. Et là, il ajoute avec un
uments curieux, entre autres un grand registre, relié en vélin blanc, trouvé par Deflorenne en Angleterre, et qui est toute l’
lication a été dernièrement proposée au Conseil municipal qui n’a pas trouvé le document assez parisien. Que diable, veulent-i
s’écriait : « Ah vraiment, je vous ai fait rester trop tard, vous ne trouverez plus d’omnibus ! » Et l’Anglais demeurait au diab
l parle du raté, disant toujours nous ; des poètes d’à présent, qu’il trouve plus près du piano que de la pensée ; de la jeune
 C’est une médaille du iiie  siècle, il y a un mot que je n’ai jamais trouvé dans les siècles précédents. » Lavoix a assisté à
comme il persistait à travailler, une nuit, son domestique était venu trouver Lavoix, pour qu’il décidât son maître à se couche
9 juillet Je lis les Conversations de Goethe, par Eckermann, et je trouve que l’écrivain allemand divisait l’humanité en de
original, qu’avait donné son beau-père, mais après, quand il s’était trouvé tête à tête avec sa femme, il avait été pris d’un
jugeotte des hommes et des femmes, à première vue — faculté que nous trouvons n’appartenir guère qu’à nous seuls dans notre mon
ent ceux, d’il y a cinquante, soixante ans. Et je m’étonne de ne plus trouver à la place de la boutique du bijoutier Ravaut ou
-là, 2 500 francs. Dans le gai salon donnant sur la place Vendôme, on trouvait ma tante, toujours lisant, sous un portrait en pi
vec des dédales de communs et d’écuries, au fond d’une desquelles, on trouvait un original de la famille, occupé à fabriquer une
te n’avait pas le mépris de l’enfant, du gamin, quand il lui semblait trouver chez lui une intelligence, elle me souffrait aupr
onomie, quand elle vous souriait, avait sur vous un empire, que je ne trouvais qu’à elle, qu’à elle seule. Et il arrivait que ma
g est, tout le temps, avec une obstination qui porte sur les nerfs, à trouver le mari, trop dur, trop mal élevé, laissant clair
i est demeuré un collectionneur, et lui a légué sa maladie. Il aurait trouvé beaucoup de belles choses à Saint-Pétersbourg, où
dant que sa femme continue à danser. Ma foi, vraiment on ne peut rien trouver de plus férocement antithétique. Dimanche 18 d
er, pour ne pas paraître seulement siffler l’acte du journal. Et nous trouvons , avec Koning, ou plutôt Koning trouve une fin d’a
er l’acte du journal. Et nous trouvons, avec Koning, ou plutôt Koning trouve une fin d’acte de vrai carcassier. Les lettres so
ain un engueulement formidable d’Alexis par Méténier, parce qu’Alexis trouve un peu exagérée, la somme de 600 francs de fleurs
je sens une baisse dans l’admiration pour ma personne. Koning, je le trouve étonné, presque stupéfait de cet insuccès, et l’a
presse. Chez Sarcey, c’est une colère, une fureur, un enragement. Il trouve avec sa mauvaise foi habituelle, que mon théâtre
is, c’est qu’elle est trop faite d’après les principes de Sarcey — il trouve donc que mon théâtre est le néant, et que ce n’es
imide en ses jugements, que je rencontre, me dit : « Eh bien, comment trouvez -vous Charles Demailly ? — Mais très bien. — Et mo
60 (1863) Nouveaux lundis. Tome I « Lettres de Madame de Sévigné »
n : on ne doit point s’attendre précisément à de telles conquêtes. On trouvera , dans le mouvement habituel du langage, dans le c
siez ; et quand vous vous y remettrez, un peu contrarié d’abord, vous trouverez bientôt la lecture, je l’espère, meilleure même q
e sacrifier et de jeter au feu cette production de son esprit : « Ne trouvez -vous pas, dit-il, que c’est grand dommage que nou
our la Provence : « Pour votre enfant, voici de ses nouvelles. Je la trouvai pâle ces jours passés. Je trouvai que jamais les…
fant, voici de ses nouvelles. Je la trouvai pâle ces jours passés. Je trouvai que jamais les… (Oh ! mon Dieu ! me voilà arrêté
n’avait pas assez de lait. J’envoyai quérir Pecquet (le médecin) qui trouva que j’étais fort habile, et me dit qu’il fallait
it voir encore quelques jours. Il revint au bout de deux ou trois, il trouva que la petite diminuait. Je vais chez Mme du Puy-
ite diminuait. Je vais chez Mme du Puy-du-Fou ; elle vient ici ; elle trouve la même chose ; mais parce qu’elle ne conclut jam
disait qu’il fallait voir. « Et quoi voir, lui dis-je, madame ? » Je trouve par hasard une femme de Sucy qui me dit qu’elle c
e vous en donne non plus de sujet que M. de Grignan. Hélas ! quand on trouve en son cœur toutes les préférences, et que rien n
donner. » Ne sentez-vous pas la passion vraie qui déborde et qui ne trouve jamais ; à son gré, assez de mots ? Ils s’accumul
e aussi pure, aussi morale et d’une vie au-dessus de tout soupçon, de trouver la belle et bonne qualité française de nos mères,
61 (1896) Écrivains étrangers. Première série
langue anglaise autant d’enthousiastes, ni d’aussi fervents, qu’en a trouvé l’auteur d’Humain, Trop Humain, dans tous les lie
ourne le sarcasme aux lèvres et l’angoisse au cœur, désespéré d’avoir trouvé sur l’autel la statue d’un faux dieu. Dès les pre
e métier : longtemps il n’a connu de la philosophie que ce qu’il en a trouvé dans les auteurs grecs, dont il avait fait son un
oute son œuvre philosophique. On ne s’étonnera pas, après cela, de la trouver un peu maladive, un peu malsaine aussi et profond
chant un homme. « Mon malheur, disait-il, est que je ne puis même pas trouver une lanterne. » Ainsi il allait : chacun de ses
te voie conduise à des arbres fruitiers et à de belles prairies. Vous trouverez çà et là de petits grains tout durcis : ce seront
pas mourir de faim. Et si vous semez ces petits grains que vous aurez trouvés , alors peut-être, peut-être, récolterez-vous un j
l’erreur : problème que pendant deux mille ans les métaphysiciens ont trouvé plus commode de nier… » Et quand la métaphysique
mme a besoin de la métaphysique pour se sentir irresponsable, et pour trouver le courage de s’intéresser aux choses… » La méta
 ? Non pas, en vérité, de la seule sensualité, mais de ce que l’homme trouve en même temps dans une femme la faiblesse, le bes
œuvres, a toujours tenu dans ses écrits une place considérable. J’ai trouvé , par exemple, éparse à travers les dix volumes de
n on aime dans l’art l’excitation artificielle et sans danger qu’on y trouve , ou bien encore on y aime l’ordre, la symétrie, d
pour le vin, il vaut mieux n’en avoir pas besoin, boire de l’eau, et trouver toujours dans son âme le secret de changer l’eau
e que Pascal aurait aimé une philosophie comme celle-là : il y aurait trouvé la préface qu’il désirait à sa théologie. À Nietz
s d’une âme pareille à la sienne qui sincèrement lui envie de l’avoir trouvé . Mais peut-être lui-même, pendant ce temps, s’ape
ein et les sombres poèmes de Dürer, je ne crois pas qu’on puisse rien trouver qui égale en profonde et tragique horreur une gra
e me mis à l’œuvre en sortant de l’église ; tout nouvel accord que je trouvais me remplissait d’un bonheur enfantin. » Dès ce m
en particulier, ne joua le moindre rôle dans sa vie. « Je n’ai point trouvé trace chez lui, nous dit sa sœur, d’une passion a
magine que c’est dans la conscience de cet instinct destructeur qu’il trouvait l’une des preuves principales de l’origine slave
circonstances de sa première entrevue : « En rentrant chez moi, j’ai trouvé un billet à mon adresse, ne portant que ces mots 
t que ces mots : “Si tu veux faire la connaissance de Richard Wagner, trouve -toi, à trois heures et quart, au café du Théâtre.
dimanche dans un état d’esprit réellement fantastique. Certain de me trouver en nombreuse compagnie, je résolus de me mettre e
lui ôter le loisir de la réflexion. De toute sorte de mécontents, qui trouvent toujours à gagner à toute révolution. D’hommes qu
rès. D’autres que la musique des anciens maîtres ennuyait, et qui ont trouvé là pour leurs nerfs l’occasion de secousses plus
édéric Nietzsche que nous avons affaire aujourd’hui ; et peut-être ne trouverions -nous pas dans toute son œuvre un seul document pl
et passait la nuit sur un divan. Il s’habillait au hasard de ce qu’il trouvait sous sa main : se montrant souvent vêtu d’une ves
es. Mais ces messieurs auront beau être des lauréats, leurs poèmes ne trouveront pas auprès des lettrés anglais la fervente admira
trouveront pas auprès des lettrés anglais la fervente admiration qu’y trouvent les poèmes de lord Tennyson. Leur titre officiel
se doutait pas, apparemment, que cet homme courageux était déjà tout trouvé au moment où il le cherchait, et que le même Révé
on trop fameux biographe, mais parce que nous ne pourrons manquer d’y trouver des renseignements précieux sur la vie et le cara
e s’enivrer en public ? Je ne crois pas, en tout cas, que l’on puisse trouver dans les pièces publiées par la Century un seul v
loppé et a vécu dans une solitude tragique, sans que personne se soit trouvé pour en deviner la grandeur. Non pas que les prot
sans mérite, mais parce que les recueils de contes, même bien écrits, trouvent difficilement acheteur ». Le 15 mars 1835, nouvel
t. Quel contraste avec la condition d’absolu désespoir où vous m’avez trouvé et dont vous m’avez tiré ! » L’excellent Kennedy
i ont jusqu’ici entravé ses progrès. Si je n’ai rien dit du Manuscrit trouvé dans une bouteille, c’est que ce conte a déjà été
e pourrait-il pas nous envoyer bientôt une seconde bouteille, où nous trouverions enfin l’histoire du mystérieux vaisseau ? Ne pour
lu jusqu’au fond de mon esprit comme dans un livre, et je n’ai encore trouvé personne qui l’eût fait. Willis en a entrevu un c
plus ingénieux qu’ils ne sont, sur la foi de l’air de méthode qu’on y trouve . Dans l’Assassinat de la rue Morgue, par exemple,
es américains d’Edgar Poe. Et le me demande ce qu’ils peuvent y avoir trouvé de si révoltant, si ce n’est peut-être le spectac
e, se débattant sous un terrible accès de delirium tremens. On ne put trouver sur lui aucun papier, de sorte que ceux qui assis
M. Zola font l’effet de craintives périphrases. Les curieux pourront trouver traduit un de ces poèmes dans l’ancienne collecti
mbre dernier, à un ami qui l’était allé voir, et qui s’étonnait de le trouver si joyeux et si plein d’espérance, dans le miséra
es hôpitaux, les dépôts de mendicité, les prisons, et tout ce qui s’y trouvait . Il s’attardait dans les quartiers de la ville où
la bataille de Fredericsbourg, en Virginie. Il court le rejoindre, le trouve convalescent. Mais à côté de son frère il voit d’
es hôpitaux, travaillant la nuit à son métier d’imprimeur quand il ne trouve pas d’autre moyen de ramasser quelque argent pour
er. M. Swinburne, d’abord, l’avait jugée admirable ; il a fini par la trouver grotesque. Et quant aux littérateurs et journalis
s comme aux caractères des époques passées ; et c’est à peine si l’on trouve , de loin en loin, un auteur de roman-feuilleton q
ces : comment le pourra-t-il, si l’époque n’est pas achevée, s’il s’y trouve personnellement mêlé, s’il est condamné à ne l’ob
us l’exemple que vous a donné Socrate dans Criton ». À Westacre, John trouva son père en compagnie de son frère Eustace et d’u
bien en vérité le sol le plus favorable pour nous que nous puissions trouver dans tout le royaume ! » Un sol excellent, en eff
la main, le Cœur brûlant, ou la Vie de sainte Thérèse, le jeune homme trouva de tels arguments en faveur de la vie contemplati
t d’aller consulter son ancien professeur, le vicaire d’Ashley. Il le trouva retiré parmi ses livres, très las et un peu dégoû
urnées entre la contemplation et le travail charitable. Le jeune page trouva , dans cette maison, un accueil qui le toucha beau
, s’en alla tout imprégné d’une joie profonde, comme s’il avait enfin trouvé la paix morale si longtemps cherchée. Le souvenir
. Il le rencontra une seconde fois pendant la peste de Naples ; il le trouva infirme, misérable, et dans les angoisses du plus
rendu le jeune homme plus heureux : comment donc expliquer qu’il ait trouvé bien autrement curieux son nouvel ami Cornélius ?
tique d’Apulée, aussi bien que le scepticisme de Lucien, il pensa les trouver enfin dans les croyances d’une dame chrétienne, C
ée, trouvant malgré tout dans le blasphème la brutale saveur qu’y ont trouvée les contemporains de Marlowe ou de Shelley. Mais
ait paru donner de Pater un portrait vivant, la seule encore où j’aie trouvé une juste appréciation de son talent. M. Edmund G
qu’il écrivait d’Azay-le-Rideau, en 1877, il disait à M. Gosse : « Je trouve toujours un extrême plaisir à compléter ma connai
u’il avait à décrire ; et un merveilleux instinct naturel lui faisait trouver aussitôt, pour traduire ses visions, les phrases
que les revues se soient beaucoup hâtées de célébrer sa mémoire. J’ai trouvé cependant, dans la National Review, de curieux so
, les rues de Port-d’Espagne sont au contraire très étroites ; on n’y trouve pas d’arbres ; les maisons n’y ont pas de jardins
n’y ont pas de jardins ; et dans toute la ville c’est à peine si l’on trouverait un seul caféier. Mais, chose singulière, ces erre
hoses. » Voilà une méfiance de l’histoire qu’on ne s’attendait pas à trouver dans un historien ! Elle se montre à chaque insta
li. Tour à tour il parle à M. Skelton de Browning, qu’il « n’a jamais trouvé le loisir de comprendre » ; de M. Swinburne, dont
és à l’extraordinaire ensemble de qualités littéraires que nous avons trouvé dans ses Fondements de la Croyance, à cet éclat d
é de M. Bradley, maints autres ouvrages de métaphysique transcendante trouvent autant de lecteurs dans le public anglais que les
e évolutionniste ; et le nouveau livre de M. Balfour va sans doute en trouver davantage. C’est que, indépendamment de sa haute
e que la violence de ces attaques est, jusqu’à présent, ce que j’y ai trouvé de plus remarquable, je ne puis songer à les anal
e tirer hors de pair le livre où elles se trouvent. Mais elles ne s’y trouvent vraiment que par manière de hors-d’œuvre : et il
s la nature de cette soi-disant fixité que la science prétend y avoir trouvée . « Bien loin d’affirmer, si on la réduit à elle-m
n ce qui touche Spinoza. Les philosophes, en vérité, ne peuvent guère trouver leur compte dans sa méthode ni dans ses conclusio
; et son Dieu, un Dieu si différent de celui de la théologie que nous trouvons tout naturel de le voir confondu avec la nature ;
de reculer devant leurs conclusions. Et si parmi ces conclusions on a trouvé la nécessité d’un certain scepticisme à l’égard d
nouveauté des vues qu’il contient : à peine si dans quelques-uns j’ai trouvé la trace d’un effort pour apprécier, d’une façon
Russie la publication de cette correspondance, chacun s’attendit à y trouver de nouveaux traits de malice, des observations sa
le, si cordial, si désintéressé, que tous ceux qui admirent son génie trouveraient dans ces lettres à l’admirer davantage. Serge Aks
ore ? Je ne saurais le dire, mais ce serait grand dommage qu’on ne la trouvât plus. Je n’en connais pas de plus extraordinaire.
et de toute conviction même en matière d’art, voilà tout ce que j’ai trouvé , de quelque côté que je me sois adressé. Les meil
vant l’accidentel, qu’elle prend pour le réel et le vrai ». On pourra trouver bien sévère ce premier jugement de Tourguenef sur
. Mais depuis quelques mois la situation a changé. Le comte Tolstoï a trouvé sa mission, ou plutôt il a trouvé cette fois une
uation a changé. Le comte Tolstoï a trouvé sa mission, ou plutôt il a trouvé cette fois une mission si grande que l’Europe ent
à Moscou, n’a plus d’idée que pour recueillir des secours. — « Je me trouvais chez la comtesse, écrit un journaliste russe, le
l’imiter dans leur pays au lieu de lui envoyer l’argent. Les Anglais trouvent plus commode de lui envoyer de l’argent, et les r
e, et le plus éloquent, de sorte qu’à mesure qu’il parle davantage il trouve davantage à se faire écouter. Et il arrive malheu
sifier çà et là certaines phrases trop simples, de peur qu’on ne leur trouvât pas un air suffisamment exotique. Je sais qu’ils
bles ; mais la bonne méthode, j’avoue que jamais encore je n’ai su la trouver . Que l’on serre le texte de très près, ou qu’on l
e sorte morale ; et autour d’elle on désirerait une pièce, et l’on ne trouve en fait de pièce que des conversations banales ou
dans Pauvreté n’est pas vice, la pitié, l’universelle indulgence, ont trouvé une expression d’une éloquence, d’une grandeur ex
la pensée. Ceux-là sont des auteurs dramatiques, des artistes, et ils trouvent au théâtre tout le succès qu’ils méritent. Mais O
crire. Ibsen me parla ensuite de la vie calme et heureuse qu’il avait trouvée à Munich ; il s’y plaisait mieux encore qu’à Rome
mpris. Les jeunes poètes qui lui envoient leurs ouvrages sont sûrs de trouver en lui un admirateur toujours prêt ; il ne manque
s de leurs actes, qu’ainsi nous aurions moins l’idée, d’abord, de les trouver surprenants, mais qu’il nous serait ensuite plus
à l’exception des genres comiques, je ne vois pas un genre qui n’ait trouvé en Hollande des représentants tout à fait remarqu
tion à travers la littérature et les brasseries françaises. J’y avais trouvé notés, avec une abondance de détails qui m’avait
mensuelle de la politique étrangère. Je ne crois pas que l’on puisse trouver beaucoup d’exemples d’une pareille diversité d’in
recherches, et de mes espoirs, et, hélas ! de mon impuissance à rien trouver et à rien produire. Et maintenant viens près de m
de l’âme », mais un peu aussi, peut-être, parce que nous n’avons pas trouvé dans les littératures du Nord la satisfaction pro
es tendances de la littérature française. Cet habile homme était allé trouver chez eux, dans leur cabinet de travail, quelques-
il me semble que cette Renaissance, si elle se produit quelque jour, trouvera bien le moyen de s’affirmer par des œuvres, sans
pleine de douceur ». Celui-là ne se plaint pas, ne récrimine pas ; il trouve que tout va pour le mieux, et que jamais la litté
ssages un peu au hasard, dans l’intéressant volume de M. Ojetti. On y trouverait encore maints autres portraits comiques ou toucha
e qu’il se fait du futur roman italien. Ce roman, d’après lui, pourra trouver dans la science contemporaine une source précieus
. À moins pourtant que M. Ojetti n’ait mai compris sa pensée : car je trouve précisément dans une revue italienne, Il Convito,
62 (1869) Causeries du lundi. Tome IX (3e éd.) « M. de Stendhal. Ses Œuvres complètes. — II. (Fin.) » pp. 322-341
à vapeur, ou le soir après avoir vu ce que l’auteur a indiqué, vous y trouvez l’impression vraie, idéale, italienne ou grecque 
et que le nouveau débarqué à Civitavecchia s’adressait à lui (s’il le trouvait homme d’esprit), combien il était heureux de se d
t : « La première trace d’attention aux choses de la nature que j’aie trouvée dans les livres qu’on lit, c’est cette rangée de
toriettes sombres et sanglantes. L’auteur ou le traducteur se plaît à trouver dans l’amour d’Hélène pour Jules Branciforte un d
s amours passionnés qui n’existent plus, selon lui, en 1838, et qu’on trouverait fort ridicules si on les rencontrait ; amours « q
imprimée depuis sa mort (Revue des deux mondes, 1er juillet 1847), je trouve encore une historiette de passion romaine, dont l
terloo en se demandant après si c’est bien à une bataille qu’il s’est trouvé et s’il peut dire qu’il se soit réellement battu.
iments divers, et où l’élévation et l’honneur se font entendre. On en trouverait , en descendant, d’autres exemples compatibles ave
yle, passant dans je ne sais quelle ville de Bourgogne, a dit : J’ai trouvé dans ma chambre un volume de M. de Balzac, c’est
ge dans mon cœur, et autres belles choses. De son côté, M. de Balzac trouvait qu’il manquait quelque chose au style de Beyle, e
c trouvait qu’il manquait quelque chose au style de Beyle, et nous le trouvons aussi. Celui-ci dictait ou griffonnait comme il c
iques. Vers 1785, il n’y avait peut-être pas un amateur à Rome qui ne trouvât ridicules les ouvrages de Canova, etc. Toutes le
pistes qui s’entrecroisent, peut-être l’homme de talent dans le genre trouvera la sienne. Plusieurs écrivains dans ces derniers
evées. Il reçut pour cela la somme de 3 000 francs. Or, à sa mort, on trouva dans ses papiers la preuve que ces 3 000 francs a
63 (1868) Nouveaux lundis. Tome X « La comédie de J. de La Bruyère : par M. Édouard Fournier. »
n’est la qualité et le don que de quelques-uns. Les gens d’esprit qui trouvent ont besoin de marquer leur place et de forcer un
i en finissant. Depuis des années qu’il creuse et qu’il fouille, il a trouvé , — pas autant qu’il le voudrait et qu’il le croit
il a trouvé, — pas autant qu’il le voudrait et qu’il le croit, — il a trouvé pourtant assez pour modifier un peu les idées sur
l’a dit et répété faute de mieux. Le grand malheur ! M. Éd. Fournier trouve aujourd’hui que c’était invraisemblable : peu s’e
ouve aujourd’hui que c’était invraisemblable : peu s’en faut qu’il ne trouve la chose impossible ; il n’a pas assez de railler
uyère que tout autre que lui tâcherait de se donner pour ancêtres, ne trouve-t -on pas sous ce qu’il dit quelque chose de cette d
connues de la vie de La Bruyère ; il les rapproche de son livre : on trouvera de l’esprit dans ces rapprochements, mais c’est s
ce fait des raisons et des enchaînements qui bien probablement ne s’y trouvaient pas : « En mettant son fils à l’Oratoire, le pèr
upérieur de la Congrégation, à l’époque même où La Bruyère s’y serait trouvé comme novice. C’était le refuge des débris de la
ites choses, à la vérité, mais sans lesquelles les grandes ne peuvent trouver de point d’appui122. » Dans cette mesure, c’est p
s, vous le comprendrez, que vos éloges aient procédé de même. Vous me trouvez « des moments très-ingénieux. » J’aurais été très
élicatesse de plus. « Mais je reconnais bien volontiers que vous avez trouvé quantité de remarques ou de petits faits justes,
briquet de Maximilien pour signifier La Bruyère. M. Fournier a cru en trouver une raison fine : ce serait le prénom d’un mari d
défunt. C’est d’une jolie malice. Un commentateur en us n’aurait pas trouvé cela. Je persiste pourtant à ne pas savoir et à d
64 (1865) Causeries du lundi. Tome V (3e éd.) « La princesse des Ursins. Lettres de Mme de Maintenon et de la princesse des Ursins — I. » pp. 401-420
dame, les plus grandes difficultés viennent du peu de ressource qu’on trouve dans les hommes ; ils sont presque tous intéressé
a plupart des hommes, qui n’est pas trop à leur avantage : ce que j’y trouve de pis, c’est qu’il me paraît assez naturel. Ils
onnaissance que j’ai du monde m’attache encore davantage à vous : j’y trouve toutes les vertus et la bonté qui manque dans les
rincesse de Savoie, à une sœur de la duchesse de Bourgogne. Il fallut trouver à cette jeune reine, qui n’était encore qu’une en
ouvelle, et tout en estimant Mme des Ursins très digne de son emploi, trouvait qu’à cet âge il n’y avait plus rien à imaginer d’
les intérêts mêmes de l’Espagne. C’est à dater de son retour que nous trouvons la suite de ses lettres à Mme de Maintenon, dans
e Noailles (12 novembre 1701). Je n’ai pas le moindre repos, et je ne trouve pas même le temps de parler à mon secrétaire. Il
est de témoigner de la fermeté. Plus je les vois de près, et moins je trouve qu’ils méritent qu’on ait pour eux l’estime que j
s d’avec les autres. De l’esprit dont on connaît Louis XIV, il devait trouver inouï qu’on donnât cette importance à une femme q
ingénument qu’il ne tenait qu’à Sa Majesté de s’apercevoir que je la trouvais de très bonne compagnie 67. Effectivement, quoiqu
et par la capacité. Il s’était attendu, d’après tous les rapports, à trouver dans Mme des Ursins une femme de la Fronde, qui v
ns une femme de la Fronde, qui venait trop tard : au lieu de cela, il trouvait quelqu’un qui avait peu à faire pour être naturel
grand air. Elle en tiers, le commerce même avec Mme de Maintenon s’en trouvait tout rajeuni. De ces trois personnes, si j’ose di
des Ursins que de contenter les grands, c’est d’avoir des troupes, de trouver moyen de les payer : après quoi on peut se moquer
65 (1862) Portraits littéraires. Tome I (nouv. éd.) « M. Ampère »
é, de sagacité, d’étendue. Chercher la cause et la raison des choses, trouver leurs lois, le tente, et là où d’autres passent a
tant d’autres à des rangs voisins, ont excellé dans cette faculté de trouver les rapports élevés et difficiles des choses cach
active, et de chaque instant : il lui fallait verser sa pensée et en trouver l’écho autour de lui. De ses deux sœurs, il perdi
rmi ses notes dernières et ses instructions d’économie à sa femme, je trouve encore ces lignes expressives, qui se rapportent
es, comédies, sans compter les chansons, madrigaux, charades, etc. Je trouve des scènes écrites d’une tragédie d’Agis, des fra
cerveau de vingt et un ans, dont la direction définitive n’était pas trouvée . Le soulèvement s’essayait sur tous les points et
versel de la jeunesse, manquait encore, et le cœur allait éclater. Je trouve sur une feuille, dès longtemps jaunie, ces lignes
uie. Lundi, 26. — Je fus rendre la Dunciade et le parapluie ; je la trouvai dans le jardin sans oser lui parler. Vendredi,
atrième volume de Bernardin et Racine ; je m’ouvris à la mère, que je trouvai dans la salle à mesurer de la toile. Remarquez,
l’absence, il appellera le talisman. Ce souvenir du bouquet, que nous trouvons consigné dans son journal, lui inspirait de plus
tion, que je n’avais point pu résoudre directement, mais dont j’avais trouvé par hasard une solution dont je connaissais la ju
Cela me revenait souvent dans l’esprit, et j’ai cherché vingt fois à trouver directement cette solution. Depuis quelques jours
te idée me suivait partout. Enfin, je ne sais comment, je viens de la trouver avec une foule de considérations curieuses et nou
nauld, par exemple, est tout aussi grand logicien que La Bruyère ; il trouve des vérités aussi difficiles, aussi rares, je le
lycées dans cette partie de la France, vinrent à Bourg, et M. Ampère trouva dans M. Delambre le juge qu’il désirait et un app
dîne en ville ; mais, comme j’avais bien déjeuné, je m’en suis mieux trouvé de ne dîner que d’amour. A deux heures, je me sen
génie qui se noie, nous dit-il, en sa pensée comme en son crachat. Je trouve encore quelques endroits qui dénotent un retour p
des nombreux projets d’ouvrages de métaphysique qu’il a ébauchés, je trouve cette phrase qui ne laisse aucun doute : « C’est
ves sujets d’analyse intellectuelle aux élèves, aux émules, s’il s’en trouvait , des Cabanis et des Tracy. M. Ampère put aisément
s que vous aviez formés en y allant, parce que vous ne pourrez jamais trouver , je ne dis pas le bonheur, mais au moins le repos
timents s’affaiblissent, où toutes les douleurs morales finissent, on trouvera très-naturel votre second mariage ; on croira qu’
rez justifié : les indifférents, comme vos connaissances et vos amis, trouveront cela très-naturel. Voyez, mon cher ami, à quoi vo
e Biran, et l’environnait d’une extrême étendue. Ainsi ce début qu’on trouve à un Plan d’une histoire de l’intelligence humain
iques de M. Ampère, rédigé en 1811 par son ami M. Bredin, de Lyon, je trouve  : « On peut rapporter tous les phénomènes psychol
relles, t. II, page 295. M. N… n’est autre que M. Ampère. 124. On la trouve dans la Bibliothèque universelle, t. XLIX, et en
66 (1898) Le vers libre (préface de L’Archipel en fleurs) pp. 7-20
ndamnés à la sportule du nombre réglementaire de syllabes, les poètes trouvaient par l’Alexandrin un simulacre de liberté. L’Alex
règles que d’autres inventèrent, mais un rythme personnel, qu’il doit trouver en lui-même, après avoir écarté les préjugés méta
Olympe de marbre tandis que hurlent des trompettes de Walküre ». Vous trouverez peut-être que ce sonnet amalgame bien des motifs
staquouère sur le Parnasse — j’entends celui d’Apollon ; peut-être le trouverez -vous parfait et bien à sa place dans le livre. En
vin. Seulement, on se fatiguera bientôt de ta chanson d’enfant, on la trouvera monotone et « par trop nature ». Parce que tu app
e mystique, car tu n’as pas besoin de Dogme, et ton mysticisme, tu le trouveras en toi, sans le secours des Images et des Bréviai
déchire tranquillement les voiles ; dessous, neuf fois sur dix, tu ne trouveras rien. « Enfin voici ceux qui cueillent les vers c
issant lavera ton front des terreurs nocturnes. Et lorsque tu l’auras trouvé , lorsque tu auras écarté les Apparences et les Pr
67 (1917) Les diverses familles spirituelles de la France « Chapitre xi‌ »
u ses droits, mais sous leur forme la plus pure, et par là même s’est trouvée toute proche des autres familles qu’elle aurait c
le sacrifice actif de nous-mêmes au triomphe de cet idéal. Un Croisé trouve tout naturel d’acheter par sa mort la liberté du
le public par ses tirades sur l’honneur ; Vincent de Paul est sûr de trouver toujours qui le suive dans sa mission de charité.
crise héroïque avec un élargissement physique, chacun de nous veut y trouver une augmentation de l’âme.‌ Il s’agit de libérer
pour moi un décor magnifique dont l’âme est un peu incertaine. Je la trouve pauvre de conseil. Si nous avons retrouvé notre u
n, d’une nature généreuse. Quand Millon fut tué, le capitaine P… vint trouver le soldat catholique Joseph Ageorges et lui dit :
sous les yeux du public et dans le cœur de la France. Je les prie de trouver ici l’expression de ma gratitude. Mais ce long tr
asme et d’union de 1914 ? » Et voilà qu’il y a quelque temps, m’étant trouvé séparé de mon cercle habituel d’amis, je fus mis
t tout brillants. Et quel motif d’inspiration un musicien de génie ne trouverait -il pas dans la scène que je vais noter, où deux t
68 (1889) Histoire de la littérature française. Tome II (16e éd.) « Chapitre deuxième »
autres, de leur en faire partager la possession. La vérité cherchée, trouvée et bien exprimée, tel est l’éloge qu’on fait de t
leur arrive, tout en ne cherchant qu’à donner tort aux écrivains, de trouver à quel prix se font les écrits qui durent. Que re
e sa vie pour ce grand dessein, et par quelle suite de méditations il trouve enfin un point d’appui, une première vérité évide
ellement de résidence, non moins pour dépister les visiteurs que pour trouver le point où il espérait jouir le plus pleinement
absolue ; Descartes veut le retenir sur le bord de l’abîme, l’aider à trouver en lui-même les principes qui le ramèneront à la
d’où il y a tant de douceur à contempler le péril d’autrui. Descartes trouve le doute établi ; mais au lieu d’en faire un but,
des faits vrais plutôt qu’il ne poursuit la vérité elle-même, pour y trouver une croyance et une règle. La spéculation, pour M
ité d’esprit ou paresse. Pour celui qui parvient à s’y attacher, il y trouve cette douceur de déférer et d’obéir qui est plus
cette autorité, et l’on fait le ferme propos d’y obtempérer. Nous les trouvons , pour ainsi dire, sur le chemin de toutes nos act
du nom de l’inventeur. Celui qui croit la garder pour soi ne l’a pas trouvée  ; c’en est quelque ombre dont il se leurre, et il
crivains ses devanciers. A moins que, par un étrange abus de mots, on trouve moins d’originalité dans la plus grande liberté d
l’excès, à une certaine modération naturelle. Je suis loin de ne pas trouver cette originalité-là de bon aloi. Mais l’original
a traite, laquelle ayant depuis été considérée, ajoute-t-il, je ne la trouve pas assez exacte pour être suivie25. » Ailleurs i
est tout étonné et ravi ; car on s’attendait de voir un auteur, et on trouve un homme. » Quel est cet homme ? Est-ce l’individ
ccessoire à ses spéculations, dans lesquelles on n’est pas surpris de trouver le grand naturel de la raison, puisque c’est la r
ensées, de celles qui peuvent servir de preuves à un raisonnement. Je trouve là encore à admirer la justesse de ce qu’on a dit
zième siècle n’a jamais eu ce naturel. Est-ce dans Montaigne qu’on en trouverait un exemple ? Mais à qui s’applique moins l’idée d
ssi n’eut-il pas d’imitateurs. Ceux qui purent pratiquer sa méthode y trouvèrent le secret d’être à leur tour inimitables. On n’im
ophe de ce siècle, disent-ils, qui a autant de netteté d’esprit qu’on trouve de confusion dans les autres. » Ce n’est pas seul
e ces excellents esprits préféraient la vérité à l’honneur de l’avoir trouvée , et tenaient à ce qu’on sût, dans son intérêt mêm
’esprit et ceux du corps ; il assigne la même origine à nos idées, et trouve dans l’entendement des idées supérieures aux idée
défaut séduisant, que ses disciples imitaient en plagiaires. Mais où trouve-t -on ailleurs que dans l’histoire des lettres franç
69 (1856) La critique et les critiques en France au XIXe siècle pp. 1-54
érodotes et ses Thucydides. Elle abondait en législateurs ; à peine y trouvons -nous quelques juges. Les temps modernes antérieur
de ces grands hommes, c’est à leurs pieds qu’il faut se baisser pour trouver au xviie  siècle la critique proprement dite. Ell
arts. Voltaire, qui faisait de tout, fit aussi de la critique : on en trouve , et d’excellente, dans ses lettres, dans ses préf
national des bénédictins, ouvrage savant, mais un peu ennuyeux, qui a trouvé de nos jours de dignes continuateurs8, La Harpec,
es nouvelles, on découvrit l’esprit des anciennes œuvres. La critique trouva son enthousiasme dans sa science, et le lecteur r
c aura presque toujours raison. Comme sur mille poètes inconnus on ne trouve pas un homme de talent, il y a mille à parier con
exacte ; mais on m’avait promis de l’éloquence française, et je n’en trouve guère ici… si ce n’est dans le style du narrateur
fare. Mettons en regard l’une de l’autre d’un côté l’idée raisonnable trouvée par les penseurs, de l’autre la formule exagérée
de valeur quand elle passera au service d’une pensée élevée. Désirons trouver réunies la profondeur de Hegelg, la science de Wi
ous défie, prête à dévorer par le ridicule l’Œdipe maladroit qui n’en trouvera pas le mot. Vous assistez à une première représen
imulant leur incertitude sous une sérénité de bon goût, s’ingéniant à trouver d’élastiques formules pour répondre sans se compr
ue et de lecteurs. Contraint de creuser plus bas dans la société pour trouver le minerai de fer qui par son abondance, vaut mie
amnent c’est au nom du bon sens, et non pas au nom d’Aristote. Ils ne trouvent plus, comme Hoffmann, « qu’on devrait fouetter su
tout homme qui, comme moi, s’est fait son petit coin pourrait bien y trouver un peu dépaysés ces visiteurs d’un jour. Serait-i
e la bouche d’un interlocuteur le mot qu’il cherchait sans pouvoir le trouver . La capacité de l’esprit n’est pas la seule que n
veu sera la clef qui réglera la portée de vos jugements. L’œil pourra trouver la notation un peu basse ; mais la voix du lecteu
valet daigne les en débarrasser. Le temps vannera tout cela. S’il s’y trouve quelque œuvre de génie, elle surnagera d’elle-mêm
ourquoi enfin, en parcourant des yeux les deux mondes, ces hommes n’y trouvent -ils d’intéressant qu’eux-mêmes ? C’est là une pla
acteurs, et nécessaire aux gens du monde qui aiment les idées toutes trouvées et les jugements tout faits. C’était cru, mais vr
prend pas, quant aux formes et aux modes d’expression, tout ce qu’il trouve dans la nature, et parce qu’il le trouve ainsi ;
d’expression, tout ce qu’il trouve dans la nature, et parce qu’il le trouve ainsi ; mais s’il veut produire de la véritable p
oétique. Esth., I, 298, 526. 22. À notre grande surprise, nous avons trouvé des disciples de Descartes, hommes d’ailleurs du
70 (1857) Causeries du lundi. Tome I (3e éd.) « Journal de la campagne de Russie en 1812, par M. de Fezensac, lieutenant général. (1849.) » pp. 260-274
de marche, après leur arrivée, parce que l’Empereur ne les avait pas trouvés assez instruits. Aussi ce régiment fut-il le prem
voit de plus loin, plus en grand ; le génie de la guerre, si on l’a, trouve mieux à se déployer. Mais, au point de vue de la
n put, à Dorogobouj, à Sloboda Pnevo, à tous les ponts du Dniepr. Ney trouvait toujours qu’on n’en faisait pas assez ; il arriva
n était trop belle pour la manquer ». À Smolensk, on croyait du moins trouver un peu de repos et du pain ; mais la désorganisat
arrivant la dernière parce qu’elle se battait pour tout le monde, ne trouva rien. Elle continua de lutter avec abnégation. Le
pondit l’officier. — Passer le Dniepr. — Où est le chemin ? — Nous le trouverons . — Et s’il n’est pas gelé ? — Il le sera. — À la
gagner Orcha par la rive droite du fleuve, et assez rapidement pour y trouver encore l’armée qui faisait son mouvement par la r
à l’ennemi qu’on allait camper en ce lieu. Pendant qu’on s’occupait à trouver un point où le Dniepr serait assez gelé pour donn
cette nuit cruelle. Je n’avais pas plus de cent hommes, et nous nous trouvions à plus d’une lieue en arrière de notre colonne. I
appante. Enfin, après plus d’une heure, nous sortîmes du bois et nous trouvâmes le Dniepr à notre gauche. La direction était donc
re de la Guerre, beau-père de M. de Fezensac : « Ce jeune homme s’est trouvé dans des circonstances fort critiques, et s’y est
71 (1761) Apologie de l’étude
attaché leur existence à la culture des lettres, n’y cherchent et n’y trouvent qu’un délassement sans prétention, peu fait pour
re le procès, sans le savoir, à leurs meilleurs amis. En effet, s’ils trouvaient aujourd’hui dans un livre, sans nom d’auteur, que
ent tranquillement le reproche ? La peinture du mal pourra-t-elle les trouver sensibles, lorsque le mal même les touche si peu 
, sur les dégoûts qu’on y éprouve, et sur les ressources qu’on peut y trouver . La paresse est naturelle à l’homme. On objectera
grandes richesses, celui-là aux grands honneurs ; un troisième espère trouver dans le sein de la méditation et de la retraite u
semblaient me préparer quelques ressources ; nouvelle erreur. Je n’ai trouvé dans la foule des orateurs que déclamations ; dan
peut-être plus froides encore quand on en a une ; quelle distance on trouve alors entre ce qu’on lit et ce qu’on sent ! Il m’
s. Hélas ! les hommes se sont moqués de moi comme les livres, et j’ai trouvé les vivants pires que les morts. Pour comble d’in
d’infortune, je ne suis plus dans l’âge des passions, ni à portée de trouver des ressources passagères dans cette illusion mom
n feuilletant, étudiant, compilant des livres de métaphysique, vous y trouveriez des lumières sur tant de questions, moitié creuse
es. Vous n’auriez pas été surpris en sortant de votre solitude de les trouver tels qu’ils sont ; et vous auriez appris à en aim
72 (1869) Causeries du lundi. Tome IX (3e éd.) « Étienne de La Boétie. L’ami de Montaigne. » pp. 140-161
aissé. Dans ces dernières années et depuis quelque temps, La Boétie a trouvé des investigateurs et des biographes qui se sont
es œuvres d’ailleurs n’étaient point tellement rares qu’on ne pût les trouver en les cherchant, et la peine qu’on prend en ce c
nouveaux sur la vie et sur les écrits de cet ami de Montaigne : il a trouvé surtout, à la Bibliothèque impériale, un manuscri
er au parlement de Bordeaux à l’âge de vingt-trois ans (1553), il s’y trouva , quatre ans après environe, le collègue de Montai
oir un jour la salle du bal au Louvre, un archer de la garde, qui lui trouva l’air d’un écolier, lui laissa tomber sa hallebar
de l’anarchie, s’en allant demander aux États-Unis un asile qu’ils y trouveront en passant ? Étienne de La Boétie a de plus qu’eu
e, au lieu des liaisons frivoles et dissipées de la Régence, il avait trouvé un Vauvenargues de son âge, et si leurs âmes s’ét
moins, comme le fut celui de Montaigne. Heureux qui, dès sa jeunesse, trouve dans un compagnon et dans un ami une seconde et q
ui fut par hasard en une grande fête et compagnie de ville, nous nous trouvâmes si pris, si connus, si obligés entre nous, que ri
ui est plus qu’on ne croit de la trempe de Montaigne, Saint-Évremond, trouva également dans sa vie un ami parfait, M. d’Aubign
ra comme l’ami qui faisait sa joie, et dans la conversation duquel il trouvait un agrément universel. En lisant cet admirable ch
el. En lisant cet admirable chapitre de Montaigne sur l’amitié, je le trouve incomplet sur un point : il semble exclure les fe
r l’amitié des hommes (« Dans l’adversité de nos meilleurs amis, nous trouvons toujours quelque chose qui ne nous déplaît pas. »
re des Essais laisse à désirer et à redire. Montaigne n’aurait-il pas trouvé ces sortes de liaisons qu’on vient de définir, tr
e grand homme », a dit Tocqueville. 41. [NdA] À la date de 1789, on trouve une brochure intitulée Discours de Marius, plébéi
73 (1869) Causeries du lundi. Tome IX (3e éd.) « Marivaux. — I. » pp. 342-363
l’impression directe d’une lecture à travers Marivaux. Sans prétendre trouver rien de bien neuf à dire sur le détail de ses œuv
gt-six ans, son esprit se forma dans ce petit camp philosophique et y trouva son école. Il y puisa et il y porta beaucoup d’id
le feu de l’imagination ; on sait rendre raison du plaisir que l’on y trouve . Cette vivacité, telle que je la viens de décrire
, et toutes ne sont pas épuisées, pas plus que les airs que la nature trouve à varier à l’infini dans le composé des physionom
nt les coquettes, les laides qui n’ont pas moins de prétention et qui trouvent moyen de faire concurrence aux jolies, les jeunes
idée renferme toutes aussi. Or, si l’idée de l’auteur est juste, que trouvez -vous à redire au signe dont il se sert pour expri
? Et Pascal, combien n’a-t-il pas d’expressions de génie ? « Qu’on me trouve un auteur célèbre qui ait approfondi l’âme, et qu
tâchais de démêler ce que chacun pensait de son lot, comment il s’en trouvait  : par exemple, s’il y en avait quelqu’un qui prît
ez-vous que je prenne un style ? Il est vrai que dans le monde on m’a trouvé de l’esprit ; mais, ma chère, je crois que cet es
t obsédée par M. de Climal, a la douleur de voir entrer Valville, qui trouve à son tour son oncle presque dans la même posture
ce, il lui vient des raisons pour retarder : elle est décidée à aller trouver le bon religieux qui l’a recommandée par mégarde
éposera à vue d’œil de l’intention perfide du corrupteur : enfin elle trouve bientôt un prétexte tout honnête et naturel pour
et si absorbée dans mes pensées, que j’en oubliais en quel lieu je me trouvais . Vous savez que j’étais bien mise, et quoiqu’elle
arianne, l’instant d’après, a l’idée de s’adresser à la prieure, elle trouve déjà quelqu’un qui est tout disposé à la recomman
sée, qui a presque toujours commencé par être juste et fine, et qu’il trouve moyen de fausser en la raffinant. Il est un de ce
74 (1772) Bibliothèque d’un homme de goût, ou Avis sur le choix des meilleurs livres écrits en notre langue sur tous les genres de sciences et de littérature. Tome I « Bibliotheque d’un homme de goût. — Chapitre V. Des orateurs anciens et Modernes. » pp. 223-293
entre par une fenêtre, n’en éclaire pas moins une chambre, quoiqu’il trouve des atomes sur le chemin de ses rayons, &c. C
chent pas de ceux du Pere Bourdaloue, ni de ceux de Massillon. On n’y trouve ni la solidité, ni la force du premier, ni l’onct
étalage de fins mots. Si vous allez par le chemin du bel esprit, vous trouverez ici des gens qui en mettront plus dans un seul co
ait la premiere partie & Massillon la seconde. Le point seroit de trouver un Orateur qui raisonnât comme l’un, & qui to
de la Roche, confreres du P. Massillon, partagerent les succès. On ne trouve point dans leurs discours ces raisonnemens froids
iécle. Le P. Segaud a laissé six volumes de Sermons, dans lesquels on trouve un grand fond d’instruction, beaucoup d’élégance
ns, des chûtes épigrammatiques, des cadences harmonieuses ; mais il y trouvera les maximes de l’Evangile rendues d’une maniere i
’on pas dit pour & contre le célébre P. de Neuville ? Les uns ont trouvé en lui une éloquence qui tient du sublime ; les a
Mr. l’Abbé Trublet ! Que d’esprit & de sentiment à la fois ? J’ai trouvé des rapports entre M. Bossuet & Corneille. J’
ois ? J’ai trouvé des rapports entre M. Bossuet & Corneille. J’en trouve aussi entre le P. de Neuville & M. de Voltair
s Sermons publié en six vol. in-12. l’accueil le plus distingué. On y trouvera des plans aussi heureusement saisis que remplis,
’on a imprimé les Sermons de l’Abbé de Ciceri en six vol. in-12. On y trouve à la tête un avertissement qui fait honneur à son
ous de la même matiere ; mais ils servent au moins à faire voir qu’on trouve dans les préceptes du Christianisme un fond inépu
Il prêcha avec beaucoup de force, de génie & d’éloquence ; on ne trouve point dans ses discours ces imprécations & ce
ement de M. l’Abbé Colin, dans Bossuet, que dans Fléchier ; mais on y trouve une éloquence plus forte, plus mâle, plus nerveus
s du Pere Bourdaloue, du P. de la Rue, & de M. l’Abbé Anselme, on trouve une beauté majestueuse, une douceur forte & p
selle de la Chaire, en six vol. in-8°. & en huit vol. in-12. On y trouve deux Sermons sur chaque sujet de morale. On ne pe
oûtera moins, pour avoir le Dictionnaire apostolique, dans lequel ils trouveront des sujets plus convenables aux peuples qu’ils on
. un recueil de Factum & de Mémoires. Les jeunes Jurisconsultes y trouveront des modèles pour tous les genres d’affaires dont
la loi, & qu’il dévinoit juste. Les Cochin & les Normant ont trouvé des successeurs dignes d’eux. On sçait que si l’é
ses capables de rendre ridicule même le plus grand nombre. Ne pouvant trouver des pensées nouvelles, ils ont cherché des tours
bien plus important que celui du style & du pur bel esprit. On y trouve des choses, des pensées, des principes lumineux s
urrens, abandonne un ouvrage au public, se contente d’ordinaire de le trouver bon ; celui qui dispute un prix, veut que son ouv
75 (1927) Quelques progrès dans l’étude du cœur humain (Freud et Proust)
ce que j’en pense, de ce sujet. Je vous avouerai naïvement que je le trouve à la fois d’un prodigieux intérêt et très délicat
Ces mésaventures auxquelles je vous expose d’un cœur que vous pourrez trouver bien léger, elles sont la rançon de l’extrême imp
toujours avec beaucoup de soin les objections qu’on lui présente. On trouve par exemple au dernier chapitre de l’Introduction
, dans ces passages, une nouveauté bien extraordinaire et l’on pourra trouver paradoxal que nous y voulions apercevoir une des
convertibilité, quelque chose de fixe qui ne me paraît pas pouvoir y trouver place. Il faut garder à la pensée de Freud sinon
s apercevrons. Et comme premier effet de cette précaution, tâchons de trouver un plan pour exposer les découvertes psychologiqu
i belles que vous m’excuserez sans doute de vous les relire ici : Je trouve très raisonnable la croyance celtique que les âme
r nous jusqu’au jour, qui pour beaucoup ne vient jamais, où nous nous trouvons passer près de l’arbre, entrer en possession de l
nifiait-elle ? Où l’appréhender ? Je bois une seconde gorgée où je ne trouve rien de plus que dans la première, une troisième
écisif. Je pose la tasse et me tourne vers mon esprit. C’est à lui de trouver la vérité. Mais comment ? Grave incertitude, tout
mprendre de quelle sorte de travail l’œuvre de Proust est issue. On y trouve des phrases très importantes. Par exemple, au cou
de que Proust se fabrique à son usage, — sans sortir de Combray, nous trouvons un autre passage dont notre ami Charles Du Bos a
, la sensation de ses dons lui fait défaut. Il a beau chercher, il ne trouve aucun autre sujet que cette fixation des Idées, e
trop fort entre ses besoins et les possibilités de la connaissance va trouver un joint, — excusez ce mot familier, il est tout
la maison, protégée par le revêtement d’images sous lesquelles je la trouverais vivante, comme les poissons que les jours où on m
art entre le moment où elle se fait sentir à lui et le moment où elle trouve enfin un objet. Il fallait d’abord que l’objet se
besoin de certitude comme celui dont Proust était doué, il ne pouvait trouver d’objet à sa taille, si j’ose dire, qu’immédiat,
l me semble qu’une des principales est que j’avais la sensation de me trouver en face d’une œuvre douée d’une dimension de plus
urait pour la première fois, ayant eu jusque-là cette certitude de le trouver quand il le voulait, qui pour tous les plaisirs n
elle peut être encore : Le cocher revint lui dire qu’il ne l’avait trouvée nulle part, et ajouta son avis, en vieux serviteu
à sa recherche : « Mais pas du tout, s’écria-t-il, il faut que nous trouvions cette dame ; c’est de la plus haute importance 25
nouveau près de lui, dans sa plus proche conscience. C’est qu’elle ne trouvait plus pour lui faire obstacle le désir de chercher
nir que d’Odette, — de même, l’immoralité, eût-elle été réelle, qu’il trouvait aujourd’hui aux Verdurin aurait été impuissante,
it en s’écriant d’une voix naturelle cette fois : « Je crois que j’ai trouvé le moyen de me faire inviter demain au dîner de C
traction et a revêtu des prétentions à la généralité d’une loi. Je la trouve bouleversante. Car vous voyez bien, je pense, com
vec vous un jugement sur cette conception si frappante que nous avons trouvée chez Proust, des Intermittences du cœur. Peut-êtr
faut-il considérer comme une chance l’obligation où nous nous sommes trouvés de l’ajourner. Et peut-être vaut-il mieux que nou
le définir cet esprit, tant il est d’essence particulière, tant on le trouve rarement même dans la vie commune, même chez les
e mémoire 39. Et plus loin : Proust lui-même, débile et retiré, ne trouve en soi rien de l’athlète. C’est en vain qu’il s’e
, ces mésententes comme j’en avais eu souvent avec mes parents que je trouvais froids ou irrités au moment où j’accourais près d
lui faire plaisir, et souvent triste quand elle l’avait contrarié, il trouva tout naturel qu’elle le fût cette fois de l’avoir
voir fini par l’étonner. Elle rappelait ainsi plus encore qu’il ne le trouvait d’habitude, les figures de femmes du peintre de l
qu’en venant à une heure où il n’en avait pas l’habitude, il s’était trouvé déranger tant de choses qu’elle ne voulait pas qu
e la pensée qui franchit l’obstacle dressé par la censure du sujet et trouve ce qu’il y a derrière, ce qui se cache dans sa pe
ilosophique ; mais c’est indispensable, et en somme on n’a pas encore trouvé mieux pour s’expliquer clairement). Eh bien, la f
ntrait extériorisée devant nous une de nos maladies et que nous ne la trouvions pas ressemblante à ce que nous souffrons 53. Non
déclenche l’amour de Swann pour Odette c’est le fait qu’il ne l’a pas trouvée chez les Verdurin, qu’il ne sait pas où elle est.
t Mlle Vinteuil » avaient été le Sésame, que j’eusse été incapable de trouver moi-même, qui avait fait entrer Albertine dans la
eption pessimiste de l’amour atteint une intensité effroyable. L’on y trouve des cris comme celui-ci : J’appelle ici amour un
e la vie sur terre, il fallait une indépendance d’esprit que certains trouveront peut-être diabolique, qui m’apparaît parfois comm
troduit des lumières nouvelles et frappantes. Et chez Proust aussi on trouverait sur cette obscure et poignante question bien des
sont que des substituts de la libido, et naissent quand la libido ne trouve pas son emploi naturel. Que peut-il y avoir de pl
e la profondeur et de l’importance des innovations de Proust, nous le trouvons dans la conversation même que nous tenons en ce m
t de l’amour est vrai ou non. Comme dit Freud quelque part : que vous trouviez une chose abominable, ce n’est pas ça qui peut l’
irréalisable, ou impliquait-il pour l’être un génie qui ne s’est pas trouvé parmi ses représentants), il a donc voulu peindre
dissocié sa forme. Oui, c’est bien quelque chose d’analogue que nous trouvons chez Proust ; l’analogie serait à pousser et à me
er dans la conscience. Et Proust n’a même pas eu à choisir ; il s’est trouvé sinon de naissance, du moins de fatalité, si j’os
ourire, dans son intonation limpide et désenchantée, aujourd’hui il y trouvait plutôt la grâce d’une résignation presque gaie. D
petite phrase qui lui parlait de la vanité de ses souffrances, Swann trouvait de la douceur à cette même sagesse qui tout à l’h
le service, en éveillant en nous le correspondant du thème qu’ils ont trouvé , de nous montrer quelle richesse, quelle variété,
susceptible d’aussi affreuses catastrophes que celle à laquelle je me trouvais mêlé ; je me demandai, plus généralement, s’il ét
vous faire son portrait physique, ni vous décrire son apparence. Vous trouverez d’ailleurs dans le numéro spécial, que la Nouvell
éfiniment, comme une vague d’ailleurs amicale, battre ma position. Il trouvait même, dans mes choix et mes décisions concernant
ve qu’ont les femmes du maître florentin avec lesquelles il lui avait trouvé de la ressemblance ; amenés au bord des paupières
science et ne réussit en général à y pénétrer que partiellement. On y trouve par exemple des descriptions infiniment détaillée
ables de ressaisir en nous-mêmes le souvenir, une fois éveillés. On y trouve une peinture des dessous de l’amour, si j’ose dir
urait pour la première fois, ayant eu jusque-là cette certitude de le trouver quand il voulait, qui pour tous les plaisirs nous
nt où il s’arrêta devant Swann, celui-ci ne lui dit pas : « Avez-vous trouvé cette dame ? » mais : « Faites-moi donc penser po
oit commencer à s’épuiser. » Peut-être se disait-il que si Rémi avait trouvé Odette dans un café où elle l’attendait, la fin d
une seconde dans la situation où ils étaient auparavant comme pour y trouver leur point d’appui, leur élan. Et sans doute si l
donner au bonheur. Mais le cocher revint lui dire qu’il ne l’avait trouvée nulle part, et ajouta son avis, en vieux serviteu
pour lui d’écrire une grande œuvre littéraire que s’il réussissait à trouver un sujet philosophique. Et c’est parce qu’il n’en
ussissait à trouver un sujet philosophique. Et c’est parce qu’il n’en trouvait pas qu’il se croyait dépourvu de talent…) Pourtan
rs la vérité, sa recherche des lois. À mesure que le livre avance, on trouve ces lois du cœur humain exprimées sous une forme
re épars. D’un côté il cherchait un beau sujet philosophique, et n’en trouvait pas, de l’autre il éprouvait des sensations, mais
le service, en éveillant en nous le correspondant du thème qu’ils ont trouvé , de nous montrer quelle richesse, quelle variété
s idées de l’intelligence ». Voilà peut-être le dernier mot — nous le trouvons dans Proust lui-même — sur le génie de Proust et
n étaient l’image. Quand je les voyais, quand je les entendais, je ne trouvais rien en elles qui ressemblât à mon amour et pût l
76 (1898) La poésie lyrique en France au XIXe siècle
était même pas de Paris, et qui avait eu toutes les peines du monde à trouver un éditeur. Les éditeurs n’aiment pas beaucoup à
ameuse, des vers qui ne ressemblaient aux vers de personne. Enfin, il trouva un éditeur plus audacieux que les autres, ou peut
; la foi, chez lui, jaillit d’une façon spontanée ; cette foi, il l’a trouvée autour de lui au foyer paternel, elle a été dans
ien qu’il est venu à Lamartine quelque chose du tour romanesque qu’on trouvera dans son imagination. Cependant, on voulut mettre
s mairies ou ceux des paroisses. Et, si on consulte ces registres, on trouve que le grand-père de Victor Hugo était serrurier
llectuelle qu’il a conservée jusqu’au bout. Chez Victor Hugo, vous ne trouverez rien de maladif, rien de morbide. Il n’a pas même
our cela, il était besoin de calme et de solitude. Victor Hugo va les trouver dans ce jardin des Feuillantines, un jardin de co
mystique pour un sou ; il n’est pas métaphysicien, et généralement il trouve que les spéculations abstraites sont des rêveries
er, et qui tient sa robe. Chez nous, dans la pièce de Racine, vous ne trouveriez pas Oreste : Oreste est trop petit, on l’a envoyé
cents dont l’éloquence vient justement de leur simplicité. Puis, nous trouvons dans les recueils lyriques de Victor Hugo beaucou
jamais une femme qui tombe . Voilà les principaux des thèmes que nous trouvons dans l’œuvre de Victor Hugo : thèmes sur la famil
s, cette lumière, cette couleur, puisque Victor Hugo ne les avait pas trouvées en dehors de lui, c’est donc qu’il les trouvait e
Hugo ne les avait pas trouvées en dehors de lui, c’est donc qu’il les trouvait en lui. Et c’est justement ce qui arrive. D’autre
ustement ce qui arrive. D’autres, quand ils regardent en eux-mêmes, y trouvent des émotions, des idées, des sentiments, des rêve
s, des sentiments, des rêves. Victor Hugo, quand il regarde en lui, y trouve des images matérielles, y trouve des formes, des
tor Hugo, quand il regarde en lui, y trouve des images matérielles, y trouve des formes, des couleurs, des jeux d’ombre et de
s ressources du rythme en poésie et, dans ses premiers recueils, nous trouvons déjà de purs exercices de virtuosité. Ainsi, dans
r, c’étaient des crises de larmes. Et alors il était si séduisant, il trouvait des façons si charmantes de demander pardon ! Il
La tradition de ce xviiie  siècle incrédule, Alfred de Musset l’avait trouvée dans sa famille même. Le père d’Alfred de Musset
fait à sa place et tout à fait à son aise ; c’est là seulement qu’il trouvait l’emploi de certaines qualités, d’une sorte de dé
pagne et d’Italie. Dans les Contes d’Espagne et d’Italie, ce que nous trouvons , ce sont d’abord et surtout des pièces d’un carac
ièces, où sont appliqués docilement les procédés du romantisme, on en trouve d’autres, comme, par exemple, cette ballade à la
arges comparaisons ; mais, surtout, ce que l’on y aima, c’est qu’on y trouvait de l’esprit. Nous aimons beaucoup l’esprit en Fra
n plaindrez-vous pas. C’est dans le théâtre d’Alfred de Musset que je trouverai surtout ces qualités de fantaisie. La fantaisie !
ien ! il y a un remède, qui est évidemment le plus efficace qu’on ait trouvé contre les tourments de la pensée, c’est celui qu
sera femme ? Musset nous le dirait, en nous citant l’exemple que nous trouvons dans un autre proverbe de lui intitulé Barberine.
ut entière, cherchant de la nourriture pour ses petits. Il n’en a pas trouvé , et lorsqu’il revient le soir, ce sont ses entrai
nir à Alfred de Musset le pouvoir d’y résister ? Il ne pouvait pas le trouver en lui-même, puisque je vous ai montré en lui une
ai montré en lui une nature capricieuse et faible. Il ne peut pas le trouver dans le sentiment de son art, puisque son art, il
fait consister justement à exprimer ce qui est en lui. Il ne peut le trouver davantage dans aucune croyance, puisque nous avon
euve de sa vie, Alfred de Musset a écrit les très beaux vers que l’on trouve dans Les Nuits et dans Les Souvenirs. Quel est le
, c’est le caractère de tristesse profonde, de morne désolation qu’on trouve dans ces vers. Les images qui s’y présentent à l’
de Musset est souvent profonde, mais qu’elle est étroite, et nous n’y trouvons pas le grand et large caractère que nous trouvion
troite, et nous n’y trouvons pas le grand et large caractère que nous trouvions chez un Lamartine ou même chez un Victor Hugo. Al
ugo. Alfred de Musset n’est pas l’écrivain qu’on prend lorsqu’on veut trouver , exprimer quelques-unes de ces grandes idées, que
hez Alfred de Musset, — il faut en être bien prévenu, — ce qu’on peut trouver , ce qu’on trouvera dans son œuvre et dans la part
et, — il faut en être bien prévenu, — ce qu’on peut trouver, ce qu’on trouvera dans son œuvre et dans la partie de son œuvre mêm
ns changé tout cela, et depuis le temps de Jean-Jacques Rousseau on a trouvé au contraire que le moi était très agréable ; et
ès le temps du romantisme, il s’en faut que tous les poètes n’eussent trouvé rien de plus intéressant à mettre dans leurs vers
e unique. Comment procède Alfred de Vigny ? Alfred de Vigny essaie de trouver , pour une conception abstraite, un beau symbole q
l’ordre du monde, ses idées sur l’ensemble de notre destinée. Nous ne trouvons rien d’aussi profond en nous occupant de Théophil
 Il y a un certain nombre de vers qui ne sont pas terminés, mais vous trouverez toujours bien quelqu’un pour les terminer. » En s
t-ce qu’il a fait ? Vous ouvrez Les Trophées, et qu’est-ce que vous y trouvez  ? Vous y trouvez une série de sonnets. Ces sonnet
 ? Vous ouvrez Les Trophées, et qu’est-ce que vous y trouvez ? Vous y trouvez une série de sonnets. Ces sonnets portent sur l’h
cieuse, non sans mièvrerie. Il chercha quelque temps sa voie et il la trouva dans un genre qui, véritablement, lui appartient.
fait aristocratique, et si les gens ne sont seulement pas princes, on trouve que ce n’est pas la peine de s’en occuper. Au xix
i sont dans toutes les mémoires, dans tous les recueils choisis. Vous trouverez la Lettre d’un mobile breton, qui est belle par l
s une inspiration qui est connue lointaine de l’humanité. Nous allons trouver quelque chose d’analogue chez Sully Prudhomme. Se
end si malheureux, c’est que souvent nous nous sentons seuls, nous ne trouvons pas d’âme avec laquelle la nôtre soit entièrement
qu’il s’adresse aux étoiles, aux étoiles de la voie lactée, et qu’il trouve que ces étoiles ont un air de tristesse. Tristes,
des espaces immenses. Nous sommes pareilles à des âmes qui n’ont pas trouvé une âme sœur » : Aux étoiles j’ai dit un soir :
tone, un doux air qui touche               Avec peu de voix. Vous la trouverez  : les gens des chaumières               Vivent tr
77 (1870) Portraits contemporains. Tome II (4e éd.) « MME DESBORDES-VALMORE. » pp. 124-157
n treize ans. En mettant le pied sur ce rivage de son espérance, elle trouva la colonie en révolte, le cousin massacré, sa veu
des savanes. Revenue au nid, et encore toute brisée de l’orage, elle trouva la famille plus pauvre Son excellent père cependa
uelques-unes ; mais surtout Mme Pauline Duchambge, née tout exprès, y trouva ses airs les plus agréables, les plus chers au cœ
littéraire. Elle m’écrivait à ce sujet : « En rentrant le soir, j’ai trouvé votre lettre et Pascal que je n’ai point quitté d
ée et heureuse pour bien des jours. C’est une douceur profonde que de trouver de pareils amis dans le passé et de pouvoir vivre
is d’argent ; mais, en lui servant sa minime obole, cette âme de sœur trouvait moyen de diversifier à l’infini le baume moral qu
our nous aider et nous chérir, mon bon Félix. Tu sais quel bonheur je trouve à remplir ma mission, et je te remercie d’avoir é
e place, après l’avoir demandée pour toi aux Invalides. Enfin je n’ai trouvé qu’en lui la grâce et la charité constante du cœu
le culte de reconnaissance : « (7 avril 1847)… Cette bonne lettre me trouve au milieu de nouvelles et vives afflictions. — A
tre-Dame, et mets sur ses pieds les premières fleurs de carême que tu trouveras . » Sur cette religion de Mme Valmore qui revien
ne sais cette fois si ce sera pour monter au sixième. On ne peut plus trouver un grenier qu’au prix de douze ou quatorze cents
ers souvenirs59 : « (9 novembre 1854)… La dame qui m’aide souvent à trouver l’argent d’emprunt pour passer mon mois, à la con
i précèdent quelques autres détails biographiques suffisants. 47. Je trouve déjà de ses premiers vers insérés dans le Chanson
Rouen. 56. Le voyage à la Guadeloupe, où elle alla mourir. 57. Je trouve un autre passage sur Ondine dans une lettre de Mm
ifier en toute sûreté la joie de sa présence. En jouir sans qu’elle y trouve du plaisir serait de plus une jouissance bien inc
une amie, Mme Derains, elle revient sur cette misère des logements à trouver , et elle exprime en paroles vivantes le trouble m
ler chercher tel ou tel objet dans telle ou telle chambre où je ne le trouve pas ? Alors commence le tourment : « Ah ! non, il
raisonnables ; m’est-il à jamais interdit d’y prétendre ?… » 59. Je trouve pourtant de cette sœur aînée un passage de lettre
is rentrée dans ma petite chambre en pleurant de l’isolement où je me trouve , et de tout ce que souffre notre malheureuse fami
e, qui avait appris à lire à la jeune Marceline, tout enfant, et l’on trouve en maint passage des poésies un souvenir esquissé
78 (1870) Causeries du lundi. Tome XIV (3e éd.) « Charles-Victor de Bonstetten. Étude biographique et littéraire, par M. Aimé Steinlen. — III » pp. 455-479
nument du plus aimable sage de l’Antiquité ! » Pendant deux années il trouva en Danemark dans la famille Brun le degré et comm
de la Baltique, avec les hommes distingués et les livres que l’on ne trouve que là. » Il ne s’en tint pas au Danemark ; il fi
du Nord, Suhm, vivait encore ; il le visita un jour d’automne, et le trouva à sa campagne, vieillard de 73 ans à côté de sa j
critiques de la châtelaine de Coppet et des hôtes distingués qui s’y trouvaient réunis, Bonstetten jugeait ses juges eux-mêmes :
pleine justice à sa merveilleuse intelligence ; « J’ai l’avantage de trouver à Coppet une critique impartiale ; c’est aussi un
it part à Mme de Staël de ses observations ; elles sont piquantes, et trouveraient encore leur à-propos aujourd’hui. Le ton du diapa
y faire des occupations. Prenez quelque cours de littérature, si vous trouvez quelque homme qui en soit digne. Rien ne sauve da
ssi je vous aime en affamé. Mon cœur a besoin de sentiments, et je ne trouve ici que de l’esprit et de la bienveillance. — Vou
cherché à développer ma pensée en la communiquant ; mais je n’ai pas trouvé d’âme assez à l’unisson avec la mienne pour y fai
ément. — Voici deux jours que je n’ai pas bougé de ma chambre. Je m’y trouve bien. Ce soir j’ai deux ou trois dames pour lire
de n’a que des explosions. L’amour est un soleil qui éclaire ce qu’il trouve  : dans les belles âmes, il produit des jours bril
de semaines. » Au bout de ce temps, il rétrécit son nid de moitié, et trouva qu’il y était encore parfaitement à l’aise. Alors
rait à flots dans tout l’appartement. C’est là que tous les matins on trouvait , un livre à la main et le sourire sur les lèvres,
i à un simple feuillet. » Dans la solitude de son cabinet, quand il y trouvait la solitude, Bonstetten s’occupait continuellemen
nirs de jeunesse. « Savez-vous, écrivait-il vers ce temps, combien je trouve dans ma mémoire de personnages considérables avec
radictoires, qui arrivaient de, Paris par toute espèce de sources, ne trouvèrent personne qui fût plus avide de les accueillir plu
79 (1870) Causeries du lundi. Tome XI (3e éd.) « Le président Hénault. Ses Mémoires écrits par lui-même, recueillis et mis en ordre par son arrière-neveu M. le baron de Vigan. » pp. 215-235
tout dans la meilleure société, et bientôt même en Cour. Cependant il trouvait du temps pour des applications plus graves ; son
tudiait, et se dirigeait avec utilité vers l’histoire. Ici, nous nous trouvons dans une sorte d’embarras à l'égard du président
ustres ; mais il est assez riche pour n’avoir besoin de personne… On trouve dans ce portrait sorti d’une plume amie tout ce q
ge. Je regrettais de temps en temps le sort de cette orpheline qui ne trouvait pas d’établissement… Mais ce qui procurait au pr
le seul homme qui ait appris aux Français leur histoire », et qui y a trouvé encore le secret de plaire. Plus tard on a voulu
volume, c’est le cachet qu’il y a mis. On y cherche une date, qu’on y trouve , et on y trouve de plus une idée, un fait, un tra
cachet qu’il y a mis. On y cherche une date, qu’on y trouve, et on y trouve de plus une idée, un fait, un trait : en un mot,
ait quelquefois penser qu’il les préfère à ce qui est universellement trouvé beau ; mais ce ne sont point des préférences qu’i
s places : en sorte que, pour le dire en passant, je me suis toujours trouvé , par ce même hasard, dans l’intimité avec les hom
ans doute inventé ou tout au moins brodé par la malignité, pourront y trouver une confirmation dans ces Mémoires, par la manièr
et tendre dont il est parlé de Mme de Castelmoron : cependant ils n’y trouveront que bien peu de chose sur les défauts de Mme Du D
t abbé Bazin) ; mais je suis homme et je m’intéresse à l’humanité. Je trouve , je vous l’avoue, une barbarie insigne dans ces s
sprit faible et le cœur dur ; qu’il était content pourvu que la reine trouvât son style meilleur que celui de Moncrif, et que d
aise36. » 33. [NdA] Librairie de Dentu, Palais-Royal. 34. [NdA] On trouve dans les Lettres d’Horace Walpole quelques traits
80 (1865) Causeries du lundi. Tome V (3e éd.) « Œuvres de Louis XIV. (6 vol. in-8º. — 1808.) » pp. 313-333
ici prendre à témoin les sages ministres des cours étrangères, qui le trouvent aussi convaincant dans ses discours que redoutabl
génie des divers écrivains devront s’y exercer, il veut que son fils trouve là de quoi redresser l’histoire si elle vient à s
r le trône avec une aussi grande passion de bien faire sans en devoir trouver les moyensm. Mazarin mort, il n’y a plus pour Lo
qu’elle possède : l’homme, naturellement ambitieux et orgueilleux, ne trouve jamais en lui-même pourquoi un autre lui doit com
sans le commandement, il serait lui-même la proie du plus fort, il ne trouverait dans le monde ni justice, ni raison, ni assurance
et raisonneur : c’est un esprit positif, qui aime les affaires, qui y trouve de l’agrément par l’utilité, et qui tient compte
persuadé de tout ce qui est, ne ferait jamais que ce qu’il doit. » Il trouve un plaisir vrai dans l’application et l’informati
Philippe de Commynes et qui sont bien de l’élève de Mazarin. Je crois trouver un merveilleux rapport entre cette manière de voi
gt fois dans son esprit avant de l’exécuter ; il veut lui apprendre à trouver avec lenteur dans chaque affaire l’expédient faci
ertaine justesse et une certaine hardiesse d’esprit les font toujours trouver , sans comparaison plus libres en celui qui ne doi
, quel qu’ait pu être ce secrétaire, Pellisson ou tout autre56, je ne trouve rien dans ces pages qui ne sente d’un bout à l’au
te exaltation et ce commencement d’apothéose où on le surprend, on le trouve pourtant meilleur et valant mieux que plus tard :
rité. Mais il est plus utile d’insister sur les ressorts élevés qu’il trouvait dans cette foi et dans cette conscience royale, c
r le trône avec une aussi grande passion de bien faire sans en devoir trouver les moyens. n. [1re éd.] Voilà ce qu’écrit Louis
81 (1865) Causeries du lundi. Tome VII (3e éd.) « Franklin. — I. » pp. 127-148
f. Le jeune Franklin avait un goût prononcé pour la marine ; il y eût trouvé une carrière bien propre à exercer ses qualités d
et consentent mieux à recevoir de vous ce qu’ils peuvent croire avoir trouvé en partie eux-mêmes. Montesquieu, dans les Lettre
au ton tranchant et absolu comme nous en connaissons encore : « Je me trouvai l’autre jour, écrit Rica à Usbek, dans une compag
e contradiction ; j’avais moins de mortification moi-même quand je me trouvais dans mon tort, et je venais plus à bout de faire
de leurs erreurs et de les faire tomber d’accord avec moi quand je me trouvais avoir raison. Et cette méthode, que je n’adoptai
servir comme apprenti jusqu’au terme primitivement convenu. Ici, nous trouvons l’aveu d’une faute de Franklin, et ce qu’en son l
nt secret. Les aveux que Franklin nous fait de ses fautes (et nous en trouvons trois ou quatre dans ces années de jeunesse) ont
de la première ». Au sortir de l’imprimerie de son frère, ne pouvant trouver d’ouvrage à Boston, il part pour New York, et de
aison de sa future femme, miss Read, qui était à sa porte, et qui lui trouva l’air un peu extraordinaire. Il avait dix-sept an
son frère, qui ne le lui pardonne pas. Le père de Franklin, qui ne le trouve pas assez mûr, et qui se méfie d’un certain pench
Angleterre à la fin de l’année 1724 ; il n’avait pas dix-neuf ans. Il trouve en arrivant que les prétendues lettres de recomma
eux sa première faute, et il y réussira. Marié à vingt-quatre ans, il trouvera en elle durant des années une tendre et fidèle co
pose qu’il a été transporté en songe dans les champs Élysées ; il y a trouvé Helvétius en personne, qui s’y est remarié, et qu
ble à la moitié dépareillée d’une paire de ciseaux qui n’a pas encore trouvé son autre branche, et qui, par conséquent, n’est
82 (1917) Les diverses familles spirituelles de la France « Chapitre v »
eutenant au 330e d’infanterie. Je ne crois pas qu’il soit possible de trouver un texte où s’affirme avec plus de force et d’émo
ît comme une association librement consentie. D’ailleurs, ils peuvent trouver dans cette situation même une raison de se dévoue
x bonheurs, aux malheurs de la vie nationale. Je me demande ce qu’ils trouvent de soutien patriotique dans leur religion. Que su
de contes, de vieilles et charmantes histoires. Je n’y cherche et n’y trouve pas autre chose que des émotions poétiques. »‌ Ce
des émotions poétiques encore qu’il cherche dans la guerre, et il en trouve de fort belles. Je le crois tout à fait quand il
boyaux, je le fais en moi-même.‌ Si vous étiez disposé à la longue à trouver ce dilettantisme un peu voulu, hâtez-vous de reco
rument. C’est le refrain et le ressort de sa pensée quotidienne. Il a trouvé sa règle et sa voie. Il est sûr de lui.‌ Pour déf
r sa méthode et son état d’esprit, son culte ou sa culture du moi, il trouve une quantité d’expressions pleines d’esprit : « R
n’allons pas lui chicaner son droit de prendre son réconfort où il le trouve  ; admirons plutôt qu’il se crée de la volupté, là
sens commun : « On ne quitte les biens de la terre que parce qu’on en trouve de plus grands au service de Dieu. » Roger Cahen,
rend pour l’aumônier catholique. M. Bloch s’empresse : il cherche, il trouve , il apporte au mourant le symbole de la foi des c
rance. De degré en degré, nous nous sommes élevés ; ici la fraternité trouve spontanément son geste parfait : le vieux rabbin
s m’écrit :‌ « Ils servent, pour la plupart, dans les zouaves et s’y trouvaient (jusqu’à ces derniers temps) dans la proportion d
rent et le maire a pu faire parvenir aux parents la médaille de piété trouvée sur leur fils ; elle portait l’inscription tradit
83 (1733) Réflexions critiques sur la poésie et la peinture « Troisième partie — Section 4, de l’art ou de la musique poëtique, de la mélopée. Qu’il y avoit une mélopée qui n’étoit pas un chant musical, quoiqu’elle s’écrivît en notes » pp. 54-83
t melodie des chants composez. Ainsi l’on ne doit pas être surpris de trouver quelquefois melopée où il auroit fallu écrire mel
assujetie, et par conséquent composée. Il ne seroit pas impossible de trouver encore dans les anciens auteurs des faits qui sup
melodie qui n’étoit qu’une simple déclamation, je prie le lecteur de trouver bon que je transcrive encore ici quelques endroit
c. " Boéce louë donc ici les musiciens des temps antérieurs, d’avoir trouvé deux inventions ; la premiere d’écrire les parole
juger même par la maniere dont Boéce s’explique, les anciens avoient trouvé l’art d’écrire en notes la simple déclamation ava
ent trouvé l’art d’écrire en notes la simple déclamation avant que de trouver l’art d’écrire en notes la musique. Le premier ét
près le même objet, celui dont la pratique est la plus aisée, ait été trouvé le premier. Voïons presentement quelle étoit la m
s, l’aigu, le grave et le circonflexe ; comme les autres n’auront été trouvez qu’en differens temps, et qu’il se peut faire enc
les chants musicaux jusques dans le onziéme siecle, que Gui D’Arezzo trouva l’invention de les écrire, comme on le fait aujou
is Jean De Meurs né à Paris, et qui vivoit sous le regne du roi Jean, trouva le moïen de donner à ces points une valeur inegal
84 (1799) Dialogue entre la Poésie et la Philosophie [posth.]
otre façon, dont j’ai ri toute la première de plaisir quand je les ai trouvées bonnes, de pitié quand elles m’ont paru mauvaises
langage sonore qui les rend plus faciles à retenir. Voilà ce que j’ai trouvé dans cette pièce et dans mille autres du même aut
vé dans cette pièce et dans mille autres du même auteur ; et quand je trouverai des vers pareils à ceux-là, je me garderai bien d
iment rien, où il n’y a rien ni à retenir, ni à remarquer, où l’on ne trouve , si je puis parler de la sorte, que les haillons
nous fournit des modèles de beautés poétiques de toute espèce : vous trouvez dans ses épîtres et ses satires, des vers qui ne
ent pas assez de compte ; c’est d’être celui de nos écrivains où l’on trouve le plus la vraie langue française, les tours et l
s, et que ce sont toujours les poètes qui ont formé les langues. J’en trouverais peut-être la raison dans les efforts que les poèt
les poètes sont obligés de faire. Ces efforts leur font chercher, et trouver quand ils ont du génie, les expressions les plus
pourrez forcer sa modestie ; et qui sait d’ailleurs si ses pareils ne trouveront pas qu’il se dégrade ? LA PHILOSOPHIE. Alexandre,
85 (1773) Essai sur les éloges « Chapitre III. Des éloges chez tous les premiers peuples. »
se, et ils sont connus en France sous le titre de poésies erses. On y trouve une imagination plus forte qu’étendue, peu d’art,
ouvrages d’un pareil peuple ; mais ce qui étonne, c’est que déjà on y trouve l’art d’opposer les idées douces aux idées terrib
ner si, parmi tous ces éloges guerriers, il n’y en a aucun où l’on ne trouve des femmes à côté des héros, et presque partout l
’une vie agitée, et occupé sans cesse de législation et de conquêtes, trouvait encore du temps pour aimer les arts, fit rassembl
et ces éloges, ou dans les forêts, ou en pleine campagne, et l’on en trouve encore aujourd’hui sur les rochers du nord. Les D
jusque dans des pays où les peuples ignoraient l’usage du feu5, on a trouvé des espèces de poèmes destinés à célébrer des esp
ècle, citent d’anciennes chansons des bardes, qu’ils prétendent avoir trouvées dans des couvents d’Allemagne. Ainsi, peut-être,
86 (1870) De l’intelligence. Deuxième partie : Les diverses sortes de connaissances « Livre quatrième. La connaissance des choses générales — Chapitre II. Les couples de caractères généraux et les propositions générales » pp. 297-385
uel que soit celui que nous ayons noté, nous ne manquons jamais de le trouver lié à quelque autre. De fait, l’un entraîne l’aut
nant dans cette constitution des choses. Il n’est pas plus étrange de trouver des compagnons, des précurseurs et des successeur
, des précurseurs et des successeurs à un caractère général, que d’en trouver à un individu particulier ou à un événement momen
ables et plus répandues. À ce titre, nous devons nous attendre à leur trouver aussi des contemporains, des précédents, des suit
Or plus tard, quand l’enfant repasse et insiste sur ces deux mots, il trouve que le premier évoque en lui une série indéfinie
. Car, en appliquant à des cas nouveaux le jugement primitif, nous le trouvons inexact. L’enfant a d’abord prononcé que toutes l
enant un conséquent connu et bien dégagé, la sensation de son94. Pour trouver son antécédent, nous recueillons beaucoup de cas
ons pas construire un pendule qui oscille toujours, ni par conséquent trouver un second cas où le caractère connu soit absent.
nuons de plus en plus les obstacles que rencontre le pendule, et nous trouvons que son ralentissement diminue à proportion. Quan
de distinguer la condition cherchée et les accessoires parasites. On trouve trois de ces indices, on les applique ; pour plus
 » La rosée ainsi définie, quelle en est la cause et comment l’a-t-on trouvée  ? « D’abord, nous avons des phénomènes analogues
g froid arrive un dégel tiède et humide. Comparant tous ces cas, nous trouvons qu’ils contiennent tous le phénomène en question.
ce a été faite, la question a été posée, et toujours la réponse s’est trouvée affirmative. Toutes les fois qu’un objet se recou
exposons à l’air des surfaces rudes au lieu de surfaces polies, nous trouvons quelquefois cette loi renversée. Ainsi le fer rud
eux, du froid et de la rosée, est la cause de l’autre. Nous venons de trouver que la substance sur laquelle la rosée se dépose
il sera encore capable de tenir en suspension toute la vapeur qui s’y trouvait d’abord suspendue. Ainsi, dans un été très sec, i
nous connaissions, celle qui pose la conservation de la force, a été trouvée hier97. Enfin, si bien établie et vérifiée que so
oi. Par conséquent, si l’on considère la proposition qui l’énonce, on trouve , d’une part, que l’acquisition en est tardive, d’
la même classe font cinq faits ou objets de la même classe ; s’il s’y trouve un triangle, la somme de ses angles est, comme ch
les trois valeurs des trois angles, et, additionnant ces valeurs, il trouve toujours que leur somme est de 180 degrés ou de d
autres angles est alors égale à un droit, et il lui sera plus aisé de trouver la circonstance qui provoque cette égalité. Repre
ne somme d’angles égale à deux droits. — Cela fait, notre chercheur a trouvé une liaison fixe entre les valeurs du deuxième et
s des angles. Qu’il prenne un fort microscope ; en bien peu de cas il trouvera ces conditions remplies, et il doit supposer que,
et il doit supposer que, si le microscope était plus fort, il ne les trouverait remplies en aucun cas. Partant, tout ce qu’il peu
ribut se trouvent par avance dans les termes du sujet ; le lecteur ne trouve point la proposition instructive ; il juge qu’on
moyen de mots abstraits, nous isolons ses idées composantes ; nous en trouvons une qui nous explique la jonction involontaire ou
le second ; je compte ensuite les deux troupeaux ainsi accrus, et je trouve que, dans chaque parc, il y en a trente-cinq. Je
s du second ; puis je compte les deux troupeaux ainsi diminués, et je trouve que, dans chaque parc, il y en a dix-huit. — Tout
cond ; je mesure ensuite les deux quantités d’eau ainsi accrues et je trouve que dans chaque vase il y a neuf litres d’eau. Je
econd, puis je mesure les deux quantités d’eau ainsi diminuées, et je trouve que dans chaque vase il reste quatre litres d’eau
ptés et aussi égaux, et que, comptant ensuite les deux totaux, il les trouve égaux, ce sera pour lui une découverte, et je cro
concordance que l’arithmétique, la géométrie et même l’algèbre, ayant trouvé tout de suite leurs axiomes, ont été si précoces.
sa translation. Par conséquent, au bout d’une demi-seconde, AB s’est trouvé exactement au milieu de son parcours total, c’est
-à-dire en CD, et, au bout de la même demi-seconde, le mobile A s’est trouvé exactement au milieu de son parcours total, c’est
CD, le point S′ qui lui appartient y est remonté du même coup et s’y trouve en S′, milieu de CD, comme S est le milieu de AB.
e permanent où toute grandeur bornée de la même espèce doit forcément trouver sa place et son au-delà, on n’y rencontre, comme
pesants observé et calculé selon les trois premières dimensions, nous trouverions des perturbations que nous n’y trouvons pas. — Pa
premières dimensions, nous trouverions des perturbations que nous n’y trouvons pas. — Pareillement enfin, pour constituer le réc
enant les éléments d’un fragment quelconque de ce réceptacle, nous ne trouvons , pour le composer, que des étendues moindres, et,
le réceptacle mental que l’étendue abstraite et nue, nous n’y pouvons trouver autre chose ; il ne reste en lui, et cela de par
conséquent, l’invincible accroc mutuel que je leur constate chez moi trouve son explication, non dans leur nature intrinsèque
87 (1860) Cours familier de littérature. IX « LIe entretien. Les salons littéraires. Souvenirs de madame Récamier. — Correspondance de Chateaubriand (3e partie) » pp. 161-240
s fine, qu’en fait madame Lenormant à cette date : « Madame Récamier trouvait d’ailleurs dans la duchesse de Devonshire la douc
ions exercées par les besoins de son ami sur Charles X ; mais on n’en trouve pas trace dans ses Mémoires : on les trouvera dan
Charles X ; mais on n’en trouve pas trace dans ses Mémoires : on les trouvera dans M. de Vitrolles. VI Chose bizarre ! Pe
re ; je crus de mon devoir d’aller lui présenter mes hommages ; je le trouvai déjà écrivant sur une petite table d’auberge une
oche de trop près : absente on la désire, présente elle pèse. Pour la trouver douce il faut la voir à distance, comme le feu.
la frontière, et puis de Lausanne, et puis du Simplon. Faites que je trouve quelques lignes de vous, poste restante, à Milan.
squ’à ce soir. Je me ravise ; écrivez-moi un mot à Lausanne, là où je trouverai votre souvenir, et puis à Milan. Il faut affranch
e 1828. « Avant-hier, en arrivant ici, j’ai été bien triste de ne pas trouver un petit mot de vous ; mais le mot est arrivé hie
raconte son dépaysement dans un vaste palais démeublé de Rome, sans y trouver même un de ces chats qu’il aimait comme symbole d
sa vie dans son lit de gloire, d’ambition, de cours et de fêtes, sans trouver , comme on dit, une bonne place. Toujours mal où i
se combattre, faute de se comprendre. XI Plus loin encore nous trouvons sous la plume de M. de Chateaubriand le nom d’une
bre par ses voyages, M. Dodwell, homme d’un âge mûr, qui n’avait rien trouvé de plus beau dans l’antiquité que cette grâce viv
e aurai-je plus de patience dans l’autre vie que dans celle-ci, où je trouve trois mois sans vous d’une longueur démesurée. »
e, mardi 6 janvier 1829. « En ouvrant les journaux arrivés hier, j’ai trouvé mon nom à toutes les pages, tantôt pour une chose
France ; je me figurais qu’ils battaient votre petite fenêtre, je me trouvais transporté dans votre petite chambre ; je voyais
ux paravents pour exhaler ses plaintes et pour accuser la fortune. Il trouva tout cela chez madame Récamier. Ce fut véritablem
e son public que madame Récamier, avec une diplomatie dont l’habileté trouvait son motif dans son cœur, fit de son accueil un ar
vait suivi à Londres la belle duchesse de Mazarin (Hortense Mancini), trouvait à quatre-vingt-dix ans auprès d’elle un visage d’
ée et même oubliée pendant vingt ans par lui dans leur jeunesse, elle trouvait très doux pour elle ce commerce de pure amitié qu
e siècle, je ne dirais que des choses rudes au siècle. « Je n’ai rien trouvé pour me diriger ici (dans ma négociation) : on es
e et plus naturel en cessant de poser et de phraser pour le monde. On trouve ce caractère de sincérité et de renoncement aux v
eurs il est simple et vrai. Lisez ce mot à madame Récamier, dont il a trouvé la porte fermée. Ce mot frémit d’un frisson de mo
s avant vous. Je vois avec plaisir que je suis malade, que je me suis trouvé mal encore hier, que je ne reprends pas de force.
les grandes choses et les grands hommes : Napoléon et Chateaubriand. Trouvez bon que je dépose quelques vers à votre porte ; d
à l’esprit errant, des déserts d’Amérique aux déserts d’Égypte, sans trouver le repos dans le silence ni l’oubli dans la foule
88 (1714) Discours sur Homère pp. 1-137
s beautés qu’ils font valoir. On s’attend sans doute sur cet usage, à trouver ici le panégyrique d’Homere : mais outre que je l
. Mais, sans traiter cette opinion d’extravagante, j’avoue que je n’y trouve point de vraisemblance. Je remarque partout dans
son sens, et à relever ses beautés ; les autres assez hardis pour lui trouver des défauts, se sont révoltés contre l’admiration
n, mais on sent bien que lui-même il admire Achille, et qu’au fond il trouve autant de grandeur dans son ressentiment, que dan
fuseroit-on le nom de poëme épique, à moins que ce ne fût pour lui en trouver un plus honorable ? Je regarde donc comme arbitra
yent du moins l’apparence de la vérité. L’homme n’admire que ce qu’il trouve extraordinaire ; le poëte ne lui doit donc propos
e : mais quelque bonne intention qu’on ait, il n’est pas possible d’y trouver son compte. Ce destin n’est qu’une fatalité aveug
’où va la passion de justifier un auteur qu’on croit avoir intérêt de trouver sans défaut ; soit pour ne pas rougir d’avoir emp
ont voulu réhabiliter la mémoire de ces dieux, qui n’ont pas toujours trouvé grace devant leurs propres adorateurs. Peut-être
eu cette attention ; et en se mettant même à la place des payens, on trouve encore à chaque pas, des occasions de scandale.
i sur une fable plus connuë, l’imaginent invulnérable, au talon près, trouvent ridicule qu’on le mette à la tête des héros : tan
Homere, malgré toute la supériorité de forces qu’il lui donne, n’eût trouvé l’art de mettre encore sa grandeur d’ame hors de
qu’Achille avant que de partir pour la guerre de Troye, étoit sûr d’y trouver la mort. Le destin lui avoit proposé par la bouch
it ; et si le plaisir de deviner juste ne m’a pas fait illusion, j’ai trouvé presque par tout que mon soupçon n’étoit que trop
c’est la plus riche, et celle où il a répandu le plus de beautés. J’y trouve souvent un fonds de grandeur et de pathétique, qu
s craindre de juger trop légerement d’Homere ; car, pour peu qu’on le trouve digne de censure en celui-ci, on peut s’assurer q
ion heureuse, il arrivera le troisiéme jour à la fertile Phtie ; il y trouvera les richesses qu’il y a laissées en partant ; il
s ; elle aime à augmenter elle-même les rapports imparfaits qu’elle y trouve , et elle ne chicane point, pourvû qu’on ne l’égar
eur obstinée d’Ajax et à la fureur de ses ennemis. Je sçai bien qu’on trouve presque autant d’art dans les comparaisons, à des
 ; c’est ce qui arrive dans les comparaisons degradées, au lieu qu’il trouve à gagner, quand la comparaison est plus noble que
, quand la comparaison est plus noble que l’objet principal. Ainsi je trouve beaucoup d’art à comparer les petites choses aux
t aux actions et aux événemens dont on parle ; car si l’esprit ne les trouve appuyées de l’expérience, il les juge frivoles, e
us les augures est de combatre pour sa patrie. Il seroit difficile de trouver rien de plus élégant, de plus précis, ni de plus
re. Nous en pouvons juger par nos meilleurs ouvrages françois : où ne trouveroit -on pas des fautes ? On en a trouvé en effet plus
eurs ouvrages françois : où ne trouveroit-on pas des fautes ? On en a trouvé en effet plus de vingt dans les trois premieres p
pas comme nous, ni les défauts ni les graces de ces endroits, où nous trouvons à la fois de quoi louer et de quoi reprendre. C’e
lement, il dit que Jupiter éleva le courage à Glaucus ; parce qu’elle trouve de la générosité dans la perte qu’il veut bien fa
s les mêmes jugemens que les autres hommes en portent : et comme nous trouvons toujours la vertu belle et le vice odieux, quand
urs proposé le bon pour bon ; et le mauvais pour mauvais ; mais je ne trouve pas que cette louange lui soit dûe bien légitimem
il faut juger de son ouvrage, par les beautés et les défauts qui s’y trouvent , eu égard aux lumieres du nôtre. Selon ces princi
langue ne pouvoit rendre. Les autorités avoient disposé leur esprit à trouver tout excellent ; la pensée, le tour, l’arrangemen
ison la plus parfaite est celle de Madame Dacier. Ces traductions ont trouvé trois sortes de lecteurs, les uns prévenus, et qu
ade, et qui l’avouent franchement sans prétendre la condamner ; ils y trouvent même beaucoup de beautés de tous les tems ; et il
sion. Pour le traduire, il faut suivre son ordre, rendre son sens, et trouver , s’il se peut, des expressions équivalentes aux s
ne sçauroit être bon traducteur sans un enthouziasme judicieux, pour trouver des tours vifs et des expressions animées qui ren
l’esprit par ce défaut ; si de quatre termes qu’on y emploie, il s’en trouve un d’inutile ; et le même sens peut être précis e
ontaine ? Qu’il vienne encore des inventeurs de genres nouveaux ; ils trouveront de nouvelles ressources dans notre langue. Seroit
s de l’intérêt poëtique, pour juger plus sainement de la question, je trouve d’abord que la prose seule est capable des traduc
ressions d’un auteur, aussi exactement que la prose le peut faire. Je trouve ensuite que la prose peut s’élever à une grande é
aussi des lecteurs imbus de moeurs toutes différentes, et disposés à trouver mauvais tout ce qui ne leur ressemble pas. J’ai v
autés ; car ce n’est qu’au théâtre qu’une versification négligée peut trouver quelque indulgence : l’action, la prononciation l
t ils auroient beau encherir toûjours les uns sur les autres, à peine trouveroit -on qu’ils se soûtinssent. Il faut donc se garder
que j’ai jugée nécessaire au poëme, c’est d’être intéressant. Je l’ai trouvé suffisamment dans la fable de l’iliade. Il s’y ag
nité. Je n’ai pas dépouillé les héros de cet orgueil injuste, où nous trouvons souvent de la grandeur ; mais, je leur ai retranc
lle, un titre de sa grandeur, et pour ainsi dire, son manifeste. J’ai trouvé la mort d’Hector aussi défectueuse que le bouclie
rendre, tandis qu’Hector qui s’attend au secours de son frere, ne le trouve plus ; il fait pourtant un dernier effort, et c’e
89 (1887) Journal des Goncourt. Tome II (1862-1865) « Année 1865 » pp. 239-332
bien petit coin de mémoire. * * * — Les ballons, à force de monter, trouvent un ciel noir, où rien ne se voit plus… C’est à ce
e qui reconnaît avoir tort et qui n’est pas de mauvaise humeur… où la trouverez -vous ? Dimanche 26 février On parle chez Fl
-il dit, nous sommes comme un fil de fer. Il n’y a qu’à Rome que nous trouvons le gras des contours. » Celui-là était Carpeaux5,
a généralité par la particularité. * * * — … Dans cette soirée, je me trouve à côté de quelqu’un qui a un grand cordon dans so
Cela ressemble au nid d’une fille qui aurait hérité d’un peintre. Je trouve assis à une petite table, jetant sur du papier le
t une action chimique sur les corps organiques avec lesquels il s’est trouvé , une seconde, en contact, tout, — depuis que le m
ttes d’eau glacées, des paroles de Thierry, nous disant qu’il n’a pas trouvé tout le concours qu’il espérait dans Got, que Got
ont de charmantes habitations avec le décor d’un bout de nature. Nous trouvons Got, au milieu de fraîches verdures à lui, tout b
le. Soirée charmante, prolongée jusqu’à deux heures du matin, où nous trouvons toutes les douceurs de la famille mêlées à tous l
t une idée intelligente : « Oh ! vous, vous vous creusez la tête pour trouver le mystère de la nature, mais vous ne le trouvere
creusez la tête pour trouver le mystère de la nature, mais vous ne le trouverez jamais ! » Le mystère de la nature ! mot énorme p
qu’elle n’a jamais mangé d’écrevisses bordelaises, parce que son mari trouve que c’est un manger de lorette. * * * — Pour haïr
blanc, les patins et le grand canot de la princesse… En abordant, on trouve les deux décorés du jour, mandés par dépêche télé
ns qu’elle voudrait marier, entre autres de Taine, pour lequel elle a trouvé un parti qui lui apporterait une dot de 400 000 f
age, en travers, sur un lit de sangle. En retournant au château, nous trouvons la princesse revenant du Te Deum pour la fête de
ions de la Légion d’honneur, passées au Moniteur. À ce propos, Giraud trouve qu’il y a des croix qu’on aurait dû donner, et, p
, nous repassions ces trois journées. Nous jugions la princesse. Nous trouvions que peu de bourgeoises mettraient autant de bonne
hez Got pour tâcher d’obtenir qu’il joue le rôle de Bressant. Nous le trouvons aujourd’hui en débraillé, en pantalon de toile bl
la suite du refus de tous les sociétaires. Musset aux répétitions l’y trouvait détestable et ne se cachait pas de le lui dire. I
hétique passionnée. Le beau pour lui est toujours la nature : le beau trouvé comme le beau à trouver… Et encore pour lui le co
beau pour lui est toujours la nature : le beau trouvé comme le beau à trouver … Et encore pour lui le corps humain actuel, dans
lui. Il faut par malheur que, le matin même, le Constitutionnel l’ait trouvé trop vieux dans Damis, et d’ailleurs, ainsi que t
lancolie des maladies qui commencent à s’y donner rendez-vous. Il s’y trouve une espèce de fou, un phtisique qui tousse toute
te dans un tas de découvertes, et soutenant en lui la flamme qui fait trouver avec de l’eau-de-vie, — et se préparant aux trava
épétitions, dans cette haute salle des Français, on a l’impression de trouver le plafond de son chez soi écrasant, et le sommei
e donné par elles au roman des coulisses. Pas la moindre intention de trouver là, l’amant ou le caprice. L’affaire de la pièce 
i positives, d’une vérité si flagrante, qu’elles font crier, aussitôt trouvées  : « C’est cela ! » — et le mouvement trouvé, une
es font crier, aussitôt trouvées : « C’est cela ! » — et le mouvement trouvé , une petite émotion de joie passe en vous comme u
e Rouher et le maréchal Vaillant nous font l’honneur d’avoir cherché, trouvé un dénouement à notre pièce. Rouher veut que la f
rance d’un mariage avec l’amant de sa mère. Le maréchal Vaillant en a trouvé un autre à peu près du même goût. Heureusement qu
urd’hui c’est la répétition en costume. J’entre dans le foyer, et j’y trouve , sautillante et adorable, Rosa Didier dans son co
t. Nous mettons des cartes aux critiques. Visite à Roqueplan. Nous le trouvons déjeunant. Il est tout en rouge, et botté d’espèc
tude. Une sérénité absolue, la conviction que quand même le public ne trouverait pas notre pièce parfaite, elle est si remarquable
ose à nos lèvres. Flaubert ne peut s’empêcher de nous dire qu’il nous trouve superbes ; et nous rentrons à cinq heures du mati
s de deux ou trois loges de premières s’étaient réunis et avaient été trouver le commissaire de police, disant qu’ils avaient p
rs de lâcher pied, emmener le soir des amis souper — et par là-dessus trouver le temps et le sang-froid d’écrire sa préface, pa
! » Car c’est surtout cela cette cabale, et peut-être les gens qui la trouvent drôle, parce qu’elle n’atteint que nous, n’en rir
, lorsque, à la dernière phrase précédant les quatre signatures, j’ai trouvé une superbe faute d’orthographe : une de ces faut
90 (1854) Nouveaux portraits littéraires. Tome I pp. 1-402
que les disciples prétendus de Shakespearea et de Byron, se sont-ils trouvés unis, bon gré mal gré, dans une commune admiratio
es qu’il ne pouvait aborder sans le secours d’un interprète, il s’est trouvé dans l’heureuse nécessité de relire souvent ses l
’ayant sous les yeux que les modèles de notre langue, il ne s’est pas trouvé exposé à la tentation de donner comme siennes les
ngénument en butte aux traits de la colère céleste. Béranger, qui eût trouvé sans doute dans l’étude des littératures étrangèr
’est-il pas ce qu’était pour le sénat romain le paysan du Danube ? Où trouver un modèle plus accompli de familiarité sans prosa
rement pourquoi les hommes studieux l’ont placé si haut. Eh bien ! ne trouvons -nous pas dans Béranger, comme dans La Fontaine, u
clarté. Ce goût, je le sais bien, fût demeuré impuissant, s’il n’eût trouvé pour se développer, pour se fortifier, un ensembl
truit à l’école des trois derniers siècles, il était sûr désormais de trouver pour sa pensée une forme obéissante. Son espéranc
de richesse, aux images plus d’éclat et de variété. Enfin, il fallait trouver pour la chanson des sujets qu’elle n’eût pas enco
serait le blâmer ? mais ce qu’il aime, ce qu’il a cherché, ce qu’il a trouvé dans la gloire, c’est la puissance, c’est le bonh
a rien de très poétique. Cependant on ne peut nier que Béranger n’ait trouvé pour la peinture du plaisir amoureux des couleurs
le plus parfait du genre. Ce n’est pas au fond d’une bouteille qu’on trouve de pareilles inspirations ; les flacons les plus
arole semble inspirée par la bonhomie la plus inoffensive ; un enfant trouverait ce que le poète a écrit, la foule le croit du moi
nous les raconte jour par jour ; George Dandin ne parle pas mieux. On trouverait sans peine dans cette chanson tous les éléments d
n tenir à la peinture du plaisir, comme je crois l’avoir montré, il a trouvé dans la patrie le sujet de plusieurs odes qui emp
tre déplacées sans porter un grave préjudice à l’émotion poétique. On trouverait sans peine plus d’un drame développé en deux mill
armera du mousquet pour venger la défaite de son pays. Je crois qu’on trouverait difficilement un poème qui renferme, dans un si é
ement naturel des sentiments, aux meilleures odes d’Horace. Le billet trouvé sous l’aile du pigeon qui est venu s’abattre au m
sor de sa pensée, agrandit et fortifie ses ailes. Pour s’animer, pour trouver des vers ardents, il contemple d’un œil radieux s
n’assembler jamais des rimes harmonieuses sur des sentiments encore à trouver , ne jamais compter sur la parenté des désinences
pelle pratiquer sévèrement les devoirs de l’écrivain, voilà ce que je trouve dans Béranger. La sobriété du style, le désir d’e
ant par sa bouche, n’eût blessé personne. Je ne doute pas qu’il n’eût trouvé moyen d’éclairer bien des questions. En restant s
la solitude. Plus d’une âme aux prises avec une réalité cruelle s’est trouvée subitement régénérée par un retour silencieux sur
e M. de Lamartine a consacrés à la mémoire de Graziella ; je voudrais trouver dans l’expression de sa douleur, de son remords,
fidences, a changé la forme du récit, c’est qu’il espérait sans doute trouver dans cette forme nouvelle une plus grande liberté
it-il se promettre la gloire de Raphaël, de Mozart ou de Dante ? Il a trouvé plus naturel d’adresser à son héros les louanges
pirer une affection profonde, il faudra tôt ou tard que cette faculté trouve son emploi, que ce besoin soit satisfait. Les nat
son mépris. Cette réaction, si naturelle chez les âmes généreuses, a trouvé dans M. de Lamartine un observateur studieux, un
s les questions scientifiques. Mariée à l’âge de dix-huit ans, elle a trouvé , dans le vieillard dont elle porte le nom, un ami
n roman. Puisque M. de Lamartine nous raconte sa vie, nous ne pouvons trouver mauvais qu’il nous offre le portrait d’une femme
narrateur. L’invention, réduite à ses seules ressources, n’eût jamais trouvé moyen de surmonter une telle difficulté ; pour en
louette se met à chanter. Par un bonheur singulier, M. de Lamartine a trouvé moyen de concilier l’éternelle jeunesse de la pas
blâmer son insouciance. Quoique le lecteur ne doive pas s’attendre à trouver dans la préface d’un roman un modèle d’érudition,
voir vécu pendant dix ans dans le commerce assidu des bénédictins. On trouverait sans peine, sur les bancs mêmes du collège, des c
anne hardiment les noms les plus célèbres de l’Europe moderne, et n’y trouve que paille et poussière. Dante n’est pas traité p
te amorce, la foule ; qui n’est pas prémunie contre le danger, espère trouver dans Geneviève un récit d’un genre ignoré jusqu’i
mariage, partage le lait de ses mamelles entre son fils et un enfant trouvé qui n’a pour nourrice qu’une chèvre aux mamelles
à demi taries, l’auteur, pour peindre cette exubérance de tendresse, trouve des couleurs vives et vraies. Quoique cet épisode
leur tour racontés avec une prolixité désolante. Geneviève, avant de trouver un asile chez l’abbé Dumont, traverse une série d
M. de Lamartine avec une prédilection qui se comprend sans peine. Il trouvait , en effet, dans le château de cet oncle mondain,
r la haute fortune qui lui était réservée. La révolution française le trouva dans une position qui, bien que très modeste, ava
s’inclinaient en joignant les mains, et allaient recevoir la mort. Où trouver des exemples d’une telle soumission, si ce n’est
eut souhaiter ? À ne prendre dans Toussaint que l’homme politique, on trouverait déjà dans la biographie que je viens d’esquisser
ujet une valeur nouvelle. Avant de revoir ses fils, Toussaint s’était trouvé aux prises avec les affections de famille dans un
le goût puisse avouer une pareille tentative. Le poète fût-il sûr de trouver pour ces tableaux des couleurs vives et variées,
in de la réalité. Que l’Africain illettré parle avec abondance, qu’il trouve pour sa pensée des images variées, je le veux bie
que Toussaint se souvienne des leçons du moine qu’il écoute, il doit trouver la comparaison assez maladroite. Dieu, en sacrifi
’offre lui-même au piège que lui tend le chef africain. Il ne sait où trouver son ennemi, et, pour lui envoyer une lettre, il f
pas pour se jeter dans ses bras. Il faut aller à l’Opéra-Comique pour trouver des enfants si oublieux. Le mendiant parle de son
qui les envahit. L’amour paternel est profondément senti, et l’auteur trouve pour le peindre des couleurs dignes du sujet. S’i
pompeuse et emphatique dans les odes d’Écouchard-Lebrun, avait enfin trouvé sa voix dans les Méditations. Elle renonçait à l’
réflexion. C’est une âme tendre, ce n’est pas un esprit curieux. Il a trouvé de bonne heure un sujet inépuisable de rêverie da
n’a jamais rencontré, jamais cherché la concision ; mais il a souvent trouvé , surtout dans les Méditations, un style sobre et
érite de l’industrie littéraire, s’il ne consistait pas tout entier à trouver des paroles nombreuses et bien ordonnées pour des
cile. Malheureusement pour le savant et le poète, personne encore n’a trouvé le moyen de soumettre l’exercice de la pensée aux
 de Lamartine n’a rencontré une inspiration plus vraie, jamais il n’a trouvé pour le sentiment qui l’animait une langue plus c
comprends pas qu’une affection fervente ne rêve pas l’immortalité, je trouve tout simple qu’un amant cherche dans le ciel, par
tour à tour tous les tons, toutes les images, et chaque fois qu’il a trouvé pour sa pensée une forme nouvelle, un accent plus
our des accents si vrais, si pathétiques, pour assouplir la langue et trouver dans l’assemblage des mots tantôt le chuchotement
mme Djamy, comme Hafiz, excelle à peindre le désir et la volupté ; il trouve pour l’ivresse, pour l’extase des sens, des parol
l a gagné en abondance, on m’accusera de blasphème ; si d’aventure je trouve qu’il a grandi, on me répondra qu’il ne pouvait p
une délicatesse que je n’ai pas besoin de signaler. M. de Lamartine a trouvé pour exprimer la beauté virginale, l’épanouisseme
précision manque parfois, c’est à peine si l’intelligence du lecteur trouve le temps de s’en apercevoir, tant elle est charmé
ent à sa première pensée, le poète a dit ce qu’il voulait dire ; il a trouvé l’évidence dans l’émotion : n’est-ce pas la vraie
rmées, où notre cœur s’est ouvert à la prière. Le sentiment religieux trouve rarement parmi les poètes un interprète aussi élo
dans les sentiments qu’il exprime. Or, dans l’Hymne au Christ, on ne trouve rien de pareil. C’est l’improvisation dans le sen
inât l’étude de la poésie biblique, Isaïe et David n’ont pourtant pas trouvé un écho moins harmonieux que Sophocle et Euripide
eusement multipliés abolissent la forme du corps. Regardez une statue trouvée dans les champs de l’Attique : le lin ou la laine
volutions d’images sans nombre. Le poète, faute de s’arrêter à temps, trouve , à son insu, le moyen de gâter les intentions les
lût retrancher ; toutes les paroles portent coup, tous les sentiments trouvent un écho. L’ordonnance des idées, sans révéler un
nie lors même qu’il se fourvoie ? Quelle femme s’est jamais permis de trouver mauvais les vers qui lui sont adressés, quand ces
trouver à côté des strophes improvisées à la Grande-Chartreuse semble trouvée dans les papiers de Planard ; livrée à nos regard
la nouveauté de la forme. M. de Lamartine, qui, depuis trente ans, a trouvé tant de stances empreintes d’une tristesse sincèr
le de son cheval. M. de Lamartine, dans cette assez risible occasion, trouve moyen de jouer la fois le rôle de Louis XIV et le
nt difficile de pousser plus loin la puérilité ; cependant le poète a trouvé le moyen de dépasser cette limite qui semblait in
et plus je m’étonne que l’auteur des Méditations et des Harmonies ait trouvé le courage d’écrire de telles niaiseries. Sans do
sens et de portée, je crois entendre un prédicateur, qui n’ayant pas trouvé parmi ses amis un seul homme capable de parler au
es, et que le Voyage en Orient, sans le nom dont il est signé, aurait trouvé bien peu de lecteurs. Quant à la moralité contenu
et donnaient pour raison qu’un laquais n’est pas un homme ; M. Hugo a trouvé dans un laquais l’étoffe d’un amant pour la reine
e qui veut donner à la reine cette mystérieuse preuve de sympathie ne trouve pas moyen de pénétrer dans le parc royal par la v
ner cette découverte est d’une extrême puérilité. Marie de Neubourg a trouvé près de sa fleur chérie un lambeau de dentelle ;
reille épreuve est un amour menteur, et n’a rien de poétique. Ou elle trouvait Ruy Blas assez beau pour l’aimer, et, dans ce cas
n’a besoin que de bon sens. S’il se défie de son bras, il est sûr de trouver un bras prêt à le venger. Ainsi ce troisième acte
hem et de Galimafré, à la gaieté près ; car il nous est impossible de trouver dans ce quatrième acte autre chose qu’un cynisme
ir une action inoffensive et toute naturelle, et don Salluste désarmé trouve enfin le châtiment qu’il aurait dû recevoir au tr
qu’il ne soit question ni d’ordonnance, ni d’unité. Il est facile de trouver dans ces ouvrages, sinon des poèmes sagement conç
e moins familiarisé avec les difficultés de la versification ; car il trouverait dans la langue une résistance salutaire, et ne so
même rapidité. Privée de toutes les chances de renouvellement qu’elle trouverait dans la discussion, elle n’a plus d’autre plaisir
Hugo prend pour juges et dont nous proclamons avec lui la compétence, trouvent dans aucun de ces ouvrages la peinture des passio
la valeur réelle, du moins la valeur apparente de son œuvre, n’a rien trouvé de mieux que la philosophie de l’histoire pour ex
gens, mais par les camarades vagabonds qu’elle s’est donnés. M. Hugo trouve dans cette division de la noblesse l’occasion de
e, au point de vue philosophique, historique ou littéraire, et vous y trouverez des mérites différents, des significations divers
de cet ouvrage, et nous avions peine à croire qu’il fût possible d’y trouver les éléments d’un poème dramatique. M. Hugo veut
ts d’un poème dramatique. M. Hugo veut bien nous apprendre que nous y trouverons , à notre gré, un drame, une comédie ou une tragéd
culté lyrique de se déployer librement, tandis que cette même faculté trouve rarement l’occasion de se produire au théâtre. Da
pas absolument dépourvu de réalité, il était difficile à M. Hugo d’y trouver la matière de trois mille vers. Pour l’entendre,
alanche est pour les enfants. Je défie le physicien le plus habile de trouver à cette phrase un sens raisonnable, à moins que l
œur ce titre d’une simplicité affectée, en faveur des pensées qui s’y trouvent développées. Pendant que le poète relit pour la c
, M. Hugo, en essayant d’attendrir et de ramener les oiseaux envolés, trouve l’occasion de décrire ses fauteuils, son canapé,
qu’étudier. La raison n’accepte pas comme un malheur la curiosité qui trouverait à se satisfaire en ouvrant un livre. D’ailleurs,
verner despotiquement le domaine entier de l’imagination, et qui même trouverait bon que la société française le consultât sur la
r le méchant qui ne s’agenouille pas devant le génie d’Olympio, il ne trouve rien de mieux que de le comparer à un champignon 
seiller, M. Hugo n’était plus capable de clairvoyance ; il avait déjà trouvé en lui-même un prêtre et un autel ; il avait fond
tre et un autel ; il avait fondé une religion qui, malheureusement, a trouvé des prosélytes ardents, et que je propose d’appel
artie extérieure de la poésie sont incontestables. Il a cherché, il a trouvé dans la prose, des ressources que les praticiens
able instrument ; dès qu’il voudra se mettre à sentir et à penser, il trouvera pour toutes ses émotions, pour toutes ses idées,
ccepter ce qu’il a dit autrefois d’un poète ou d’un historien sans me trouver d’accord avec lui, je veux dire sans épouser son
ement que la rime et la césure. Subtil et précis dans les Pensées, il trouve dans les Poésies des images heureusement assortie
eure et plus généreuse : il a pris soin lui-même de se réfuter ; il a trouvé , pour la fuite des heures que l’âme voudrait ench
s que tu as exprimées par la forme ou la couleur. » M. Sainte-Beuve a trouvé pour ces sentiments des paroles magnifiques, plei
pas demeurés sans récompense ; car, la brume une fois soulevée, nous trouvons dans ce recueil une ample moisson d’idées qui, po
dication était toujours précise, le lecteur pourrait, à la rigueur, y trouver un sujet de réflexion ; mais trop souvent l’indic
texte à déchiffrer, et ceux qui à force de persévérance ont réussi à trouver la clé de cette langue nouvelle, tout en reconnai
oule de mauvaise foi ou d’ignorance, car ils ont compris que la foule trouvait dans le style même de M. Sainte-Beuve l’excuse de
nage d’Amélie ne soit pas très développé, M. Sainte-Beuve a cependant trouvé moyen de lui donner un cachet original. Il y a da
lgré la pureté de sa conscience, elle succomberait peut-être, si elle trouvait dans Amaury un adversaire assez grand pour excuse
tte chère relique tous les trésors de la ferveur et de l’humilité, ne trouvera pas un cœur indifférent. Il est impossible de lir
du sujet. En racontant la vie et les travaux de Saint-Cyran, quand il trouve sur sa route le livre de Jansénius, ne pouvant se
ue Pascal est resté le maître du pamphlet, et que personne encore n’a trouvé moyen de l’égaler dans la polémique théologique ;
eux dire jusqu’à saint Augustin, car c’est là seulement qu’il pouvait trouver les vrais fondements de la doctrine janséniste :
avenus aux yeux de la raison divine. Je pense donc que saint Augustin trouvait au fond de sa conscience un conseiller plus sûr q
si variées, n’avait pas à redouter le reproche de sécheresse ; il eût trouvé , je n’en doute pas, pour l’exposition des doctrin
e un caractère plus vigoureux et plus mâle. Malgré le charme que j’ai trouvé dans toutes les pages que M. Sainte-Beuve a consa
s de Ronsard ; mais il n’a pas voulu le placer sur un piédestal. Il a trouvé , parmi des ruines sans nombre, la statue du poète
ulière. Son zèle n’a rien qui me scandalise, et je souhaiterais qu’il trouvât de nombreux imitateurs. Avant le livre de M. Sain
rite de Ronsard. Il a cherché les raisons de leur admiration et les a trouvées dans leur prédilection pour l’antiquité. Ronsard,
te préoccupation évidente, comme il cherche la vérité avec ardeur, il trouve des idées excellentes et les traduit dans une lan
it pas, il cherche hors du livre des arguments contre l’auteur, et il trouve une femme assez mal inspirée pour lui confier des
e eût le don de rendre sages et sensées les pages que M. Sainte-Beuve trouve , aujourd’hui, amères et ridicules. J’admets la si
91 (1869) Nouveaux lundis. Tome XI « Le comte de Clermont et sa cour, par M. Jules Cousin. »
compte, les éloges et les médisances dont il a été l’objet : tout s’y trouve  ; les photogravures, comme on les aime aujourd’hu
romis un gentilhomme de sa maison et un officier de son régiment : il trouva une ferme résistance dans le magistrat. Plus à se
rançaise dans une épigramme du poëte Roy, il eut le malheur encore de trouver parmi ses gens un serviteur trop prompt, qui se c
nragent de voir une fille dans une belle calèche, soient en droit d’y trouver à redire. » Bravo, monsieur Prudhomme ! mais je
 A mon arrivée près de ce nouveau général, nous dit Rochambeau, je me trouvai dans une société qui m’était fort étrangère ; ce
uille autrichienne, et j’arrivai à la maison du maréchal de Saxe sans trouver d’autre garde quo sa garde d’honneur. Je le trouv
chal de Saxe sans trouver d’autre garde quo sa garde d’honneur. Je le trouvai sur son lit, écrivant ; il avait l’air de Mars su
d’escorte auraient pu la faire comme moi, sur la facilité que j’avais trouvée à arriver jusqu’à sa maison sans trouver un poste
sur la facilité que j’avais trouvée à arriver jusqu’à sa maison sans trouver un poste français : il se leva, envoya chercher l
udra bien obtenir un même nombre de troupes pour sa sauvegarde ; elle trouvera ci-joint le passeport nécessaire pour cette troup
in du quartier du prince, rabattit de son côté comme par hasard, et y trouva un dîner servi qui l’attendait et où tout s’oubli
ts du comte de Clermont à son égard, et se disant persuadé « qu’il ne trouverait jamais de sa part qu’attentions et politesses. »
grands risques. M. le comte de Clermont m’y envoya sur-le-champ : j’y trouvai nos compagnies d’ouvriers occupées à le déblayer,
92 (1889) Les contemporains. Études et portraits littéraires. Quatrième série « M. Émile Zola, l’Œuvre. »
de science et de démocratie ! » Si vous voulez mon sincère avis, je trouve que ces propos sentent à plein la secte et l’écol
rime d’amour, est resté en pleine réalité. Et on est tenté parfois de trouver cette étude du réel invisible aussi attachante qu
e glaireuse ? Eh bien, c’est tout de même un sacré bonhomme, et je le trouve très crâne, et je lui tire mon chapeau, car il se
ux fait évidemment défaut dans l’Œuvre. Vous pensez bien que vous n’y trouverez pas davantage l’observation des mouvements de l’â
rentré ; mais, à peine couché, il s’est échappé du lit. Christine le trouve dans l’atelier, au haut de son échelle, une bougi
ppelle trois fois : « Oui, oui, j’y vais. » Et Christine, à l’aube le trouve pendu devant l’idole, devant l’ennemie, comme un
ur. C’est donc toujours la même chose, et je ne m’en plains pas. Vous trouverez là des figures de second plan pétries d’un pouce
pétries d’un pouce puissant : Chêne, Mahoudeau, Jory, Bongrand. Vous trouverez les deux personnages qui sont dans presque tous l
ature qui représente la souffrance imméritée : le petit Jacques. Vous trouverez même des pages apaisées et presque gracieuses : C
laude, ou l’idylle parisienne et bourgeoise du ménage de Sandoz. Vous trouverez aussi deux ou trois scènes qui ne sont peut-être
la dispersion et de la mort des amitiés de jeunesse… Mais plutôt vous trouverez , presque à chaque page, une tristesse affreuse, u
ut-être bien cinquante millions. « Et, comme Angélique l’aimait, elle trouvait tout naturel de l’épouser, quoiqu’elle ne fût qu’
ieux encore. Lorsque Hubert veut adopter Angélique qui est une enfant trouvée , il va consulter le juge de paix. « M. Grandsire
93 (1870) Causeries du lundi. Tome XI (3e éd.) « Montluc — III » pp. 90-104
 : Alors, je lui répondis (au roi) que c’était une chose que j’avais trouvée facile ; et comme je le vis affectionné à la voul
n que rien n’en sortît, et mis tout cela dans le feu ; et alors je me trouvai net de toutes choses qui me pouvaient empêcher en
d’emprunt qu’il traverse la ville à cheval et se rend au palais où il trouve les principaux Siennois assemblés. Il les harangu
est votre peu d’expérience. Messieurs mes compagnons, quand vous vous trouverez en telles noces, prenez vos beaux accoutrements,
évrier jusques au vingt-deuxième d’avril, qu’une fois le jour : je ne trouvai jamais soldat qui en fît plainte. » Lui-même et l
ur (Charles Quint) d’avoir arrêté si longuement son armée, me faisait trouver cela si doux qu’il ne m’était nulle peine de jeûn
ngulier, il est unique peut-être, mais on regretterait de ne le point trouver . « En tout pourtant il y a du medium », a dit Bra
be, puis remontèrent à cheval et m’accompagnèrent jusqu’à ce que nous trouvâmes le marquis et le sieur Chiapin, qui pouvaient êtr
le zèle d’un jeune guerrier. Il a là-dessus des principes qu’on doit trouver admirables et qui s’appliquent bien à tout ordre
et de ses excès de nature, il était religieux ; il ne s’était jamais trouvé dans aucune entreprise sans invoquer Dieu à son a
encore, il y faudrait joindre l’étude des documents italiens ; on les trouve dans la collection intitulée « Archivio storico i
94 (1870) Causeries du lundi. Tome XIV (3e éd.) « Œuvres de Vauvenargues tant anciennes qu’inédites avec notes et commentaires, par M. Gilbert. — I — Vauvenargues et Fauris de Saint-Vincens » pp. 1-16
arquables, où tous les points de vue avaient été présentés et avaient trouvé de spirituels avocats et interprètes pour les fai
s, et d’habiles gens en ont fait le sujet d’un examen particulier. On trouve , en effet, chez lui de belles pensées qui semblen
milié, de si abandonné, qui, dans son désespoir et son abattement, ne trouve en elle de l’appui, des espérances, du courage :
(et toutefois, dit Rabelais, il avoit soixante et trois manières d’en trouver toujours à son besoin, dont la plus honorable et
deurs apparentes, elles m’en ont consolé, et je m’estimais heureux de trouver cette ressource contre mes tristes soupçons. Je t
me qu’avait Vauvenargues de venir à Paris, et pour cela son besoin de trouver 2000 livres à tout prix, nous le montrent dans un
es, gens de métier, tout est bon, tout peut produire ; et, si l’on ne trouvait pas dans une seule bourse tout l’argent dont j’ai
e ; mais il est riche, il a des amis ; cela ne le touchera guère ; il trouvera bien à le placer : cependant, s’il persistait à l
e dot. Il n’a pas plutôt articulé cette dernière proposition qu’il la trouve ridicule, indigne d’un fils de famille ; il l’a a
nt-Vincens (décembre 1745) : Je vous enverrai mon ouvrage dès que je trouverai une occasion. Je ne doute pas que beaucoup de gen
e serais sûr d’être employé, en me rendant en Provence. Si je m’étais trouvé à Aix, lorsque le parlement a fait son régiment,
95 (1910) Muses d’aujourd’hui. Essai de physiologie poétique
qu’en effet la poésie leur serait une inutile extériorisation, et ils trouvent en eux-mêmes l’atmosphère vitale nécessaire. Mais
tiste Rousseau, etc. : « Prosaïque est un mot nouveau qu’autrefois je trouvais ridicule, écrit Stendhal dans son livre : De l’Am
une sensation ; il s’agit d’enfermer entre deux rimes une sensation : trouver le mot musical qui l’évoque, et le motif qui le p
e théorie, puisque leur poésie n’est que de l’art. Ne pourrait-on pas trouver aussi dans le leit-motif de Wagner comme un essai
Stendhal, n’est pas même commencé ; ce n’est que par hasard que l’on trouve les phrases qui disent : je suis en colère, ou je
: je suis en colère, ou je vous aime, et leurs nuances. Le maestro ne trouve ces phrases que lorsqu’elles lui sont dictées par
tion et de la suggestion. George Sand a cherché toute sa vie, sans la trouver , la réalité de sa chair et ce repos momentanément
position de la sensualité impossible. J’imagine que les femmes poètes trouvent dans leur poésie leur plus parfaite eurythmie. L’
té, et, pour ainsi dire, les raisons physiologiques de leur génie. On trouvera , dans cette étude, une synthèse de la poésie fémi
renaissances et des recommencements. Quand on a de l’amour en soi, on trouve toujours un être sur qui le répandre. Ce qui cons
gner les développements verbaux ; il faut que la parole rebondisse et trouve ses accords. Exiger trop de précision, c’est peut
e claire mirée en un miroir obscur… Mais, chez ce poète encore, nous trouverons les motifs de sa poésie dans la nostalgie de sa t
à peine pour l’amour. … Et celui qui, pensif, sous le sol séculaire, Trouvera quelque jour mon âme funéraire Saura que je fus f
if harmonisé. Ce sera en baissant son lyrisme, d’un demi-ton, qu’elle trouvera la note juste de son émotion : L’odeur de mon pa
veut recréer le monde extérieur, tel qu’elle l’a senti. Parfois, elle trouve le vers, la strophe, qui est comme une minute cap
evant elle, comme un jeune dieu plein de vie et de santé. La poétesse trouvera pour la décrire toutes les images qui évoquent l’
in ». Et c’est dans cette transposition panthéiste de l’amour qu’elle trouve un vaste bonheur qui la subjugue. Pas de déceptio
il n’est qu’un appât pour les insectes, colporteurs des pollens. Nous trouvons cependant dans ces parfums une excitation à la vo
nte sont une religion secrète, ignorée, ou méprisée du vulgaire. Elle trouve une sensualité intellectuelle dans cet aristocrat
ut se fait amertume, et c’est dans cette amère perversité que la Muse trouvera son bonheur. Voici un petit poème : Victoire, qui
parfait des étreintes et des spasmes ? On dirait qu’elle ne peut pas trouver ce repos spontanément absolu de sa sensibilité dé
 : dans la digne sérénité de la poétesse grecque, la muse française a trouvé le beau courage de chanter à haute voix les joies
conservé les rites De ce brûlant Lesbos doré comme un autel… ……… On trouvera , dans le recueil qui s’intitule : À l’heure des M
lait plus chanter que pour ses amies. Déjà dans Flambeaux éteints, on trouve ce vers : L’horreur de n’être plus ce qu’on fut
goût ; elle était une proie tout indiquée pour la phtisie ; le mal ne trouva chez elle qu’une faible résistance ; elle ne fit
pures tendresses, où, reposée des mauvaises amours de la terre, elle trouverait enfin le divin apaisement. Elsa Koeberlé C’
ure de l’amour, cette perpétuelle analyse de soi-même, que cette Muse trouvera la plénitude de son être. Ceux que nous aimons no
t de parfaite béatitude, comme si, par leur seule présence, nous nous trouvions plongés dans la lumière la plus favorable à notre
ment sensible à la beauté plastique et émotionnelle de la femme, elle trouvera ce vers pour décrire Fiesole, … Qui est un bouqu
rivons dans le sable (Le vent l’effacera) une date et mon nom. Et je trouve vraiment belle cette orgueilleuse acceptation : l
e nous révèle la composition de sa subtile et lumineuse ardeur : on y trouve , à l’analyse, les lèvres d’Héloïse, les yeux de R
nchi le seuil de sa demeure pleine de fantômes romantiques. Mais elle trouve un immense bonheur dans la contemplation de son p
ur ? Et dans son dernier volume [en préparation : les Sept Dieux, je trouve cet aveu qui indique bien sa perpétuelle inquiétu
e rire. » La poétesse a bien compris la vanité égoïste de l’homme qui trouve dans les larmes qu’il fait couler une preuve de s
s, ses dépits, ses regrets, ses amertumes et ses douleurs. Les femmes trouveront , dans ce bréviaire poétique, l’expression musical
u bout de la conception qu’elle se fait de la passion, la poétesse ne trouve plus qu’une issue pour s’évader, les ailes déploy
t je reste femme Et ma douceur sourit ; peut-être je suis Dieu, De me trouver ainsi tout entière en tout lieu, D’être une et d’
ire indéfiniment ainsi qu’un masque grec… ». Je ris de voir les gens trouver l’ombre angoissante Et vouloir pénétrer ce qui n’
, à ses tempes, comme une artère enfiévrée. On devine qu’elle ne peut trouver le repos que dans la sensation de participer aux
a vie et qu’un des aspects de sa sensibilité. Voici que la poétesse a trouvé la stabilité de son être, et son prochain recueil
anéités féminines, si proches encore de la vie directement captée, de trouver , dans l’œuvre d’une femme, une poésie d’un art pa
les images et les idées. Aussi pourrait-on penser que le poète s’est trouvé un peu étouffé par l’artiste, mais quelle sagesse
nsons c’est, plus musicalement, le rebondissement d’une sonorité ; on trouverait de tels jeux de rimes chez les poètes du xve  siè
l’épuiser… violence dont il semblait qu’il allait mourir. » « Elle trouvait qu’il devait ressembler à Adolphe de Benjamin Con
espérance de la mort ‒ ce qui est une espérance toute négative. Et je trouve que ce roman passionné — comme on n’en fera plus
96 (1868) Curiosités esthétiques « VIII. Quelques caricaturistes étrangers » pp. 421-436
cidents grotesques dont est semée la vie et la route des ivrognes, on trouve des cas terribles qui sont peu comiques à notre p
issant amant de la nature cherchera flegmatiquement sa femme et ne la trouvera plus. Le mérite spécial de George Cruikshank (je
antisme italien (je me sers de ce terme à défaut d’un terme absent) a trouvé son expression dans les caricatures de Léonard de
e quantité infinitésimale. Dans toutes les études de cet artiste nous trouvons une préoccupation constante de la ligne et des co
conduite du chef de la maison. Quelquefois, en rentrant chez lui, il trouvait sa femme et sa fille se prenant aux cheveux, les
s de la tête, dans toute l’excitation et la furie italiennes. Pinelli trouvait cela superbe : « Arrêtez ! leur criait-il, — ne b
par un côté du malheureux Léopold Robert, qui prétendait, lui aussi, trouver dans la nature, et seulement dans la nature, de c
es presque indéchiffrables aujourd’hui ; c’est dans cette série qu’on trouve des maisons dont les fenêtres sont des yeux, des
omprendre ni en déterminer positivement la raison ; mais souvent nous trouvons dans l’histoire, et même dans plus d’une partie m
97 (1927) Des romantiques à nous
le romantisme français à Chateaubriand. Il ne n’est pas davantage de trouver qu’il entre en scène aux premiers écrits de Rouss
iée, de sens plus synthétique, à proposer et mettre en avant. On n’en trouve pas. Ce qu’on pourrait suggérer dans cette intent
rt, mes études principales me faisaient un peu philosophe, je me suis trouvé dans une position peut-être avantageuse pour voir
s, ou plutôt dont il caractérise la commune philosophie où cet esprit trouve son expression instinctive et spontanée. Celui-ci
losophe « avec toute l’âme », le déconseillerait, au contraire, et le trouverait dangereux. Ce qui n’est pas moins fort, c’est que
’inspire à M. Reynaud, c’est une certaine vue qu’il a, et que nous ne trouvons pas sans profondeur, de la diversité des conditio
que le romantisme, en cette période de son adolescence inquiétée, ne trouva pas de meilleur combattant que Stendhal, qui fut
sa Vie de Henri Brulard et ses autres mémoriaux de jeunesse, pour n’y trouver que « peu ou point de rêverie ». Il n’y a absolum
ins de ses succès dans les salons littéraires de la Restauration. Ils trouvaient à cet homme de tant d’esprit et de pointe quelque
. Une seconde remarque, c’est que Sainte-Beuve, comme critique, s’est trouvé devant une situation nouvelle, caractérisée par l
pidement ? Et comment l’élite que leurs chants ont émerveillée, qui a trouvé dans ces chants tant d’échos aux voix de son âme,
plutôt craint le contraire. Sa psychologie du poète lyrique, loin de trouver en celui-ci une disposition spéciale à l’enseigne
te d’une inquiète interrogation sur son avenir, une telle société eût trouvé bien froid, bien indifférent à ses préoccupations
science et de l’aveu. Avouer n’est rien, leur dirais-je. Quelle peine trouvez -vous à déverser dans un trou d’ombre, auquel vous
s passages jugés offensants pour la croyance catholique. Jean-Jacques trouve qu’on en exige trop, et qu’à tant défendre la let
’obstinent à vouloir jouer à quitte ou double ont grand tort ; ils ne trouveront sûrement pas leur compte à ce marché : or, pourqu
que je sentais dans mon âme en puissance, et qui, faute d’objet, s’y trouvait toujours comprimée, sans pouvoir s’exhaler autrem
s lieux, il s’apaisa et tendit à Jean-Jacques une main amie. Celui-ci trouva du sublime dans cette action. C’était exagéré. Et
e souplesse d’esprit qui les préserve invinciblement du fanatisme, il trouvera bien à m’opposer des Gascons qui ont parlé et agi
, mais avec sobriété. De beaucoup, je n’y insisterais pas autant J’ai trouvé chez ce Renan des particularités étranges, nouvel
nous, foi en la valeur de la vie et de l’œuvre humaine, que notre âme trouve dans son fond à opposer aux mille motifs que le s
l’avoir découverte. J’écris, sans m’enfler, ce mot qui pourrait être trouvé présomptueux. Des découvertes de cette force, tou
e des Mélésigènes. Si je disais qu’il n’y avait qu’un Lamartine pour trouver cela, quel homme de goût ne m’approuverait ? Quoi
? Quoi de plus lamartinien ? Hé bien ! ce n’est pas Lamartine qui l’a trouvé  ; il l’a pris à un autre. A quelqu’un de ses pair
n’en aurait aucune à la jouissance de l’amateur, jouissance qu’il ne trouverait qu’à revivre ce même frisson et à s’en laisser tr
généreux et franc, et contre qui l’immortelle satire de Molière, qui trouverait aujourd’hui tant de lamentables applications, ne
flatteries malignes et de paternelles agaceries à son élève, M. Benda trouve moyen de lui expliquer, avec une force et une pro
he des choses créées ? C’est de nouveaux sujets d’adorer qu’il y doit trouver , au contraire, de nouvelles terrasses, si j’ose d
it, depuis les origines de la civilisation, chaque fois qu’elle s’est trouvée devant la tâche de digérer, si j’ose ainsi dire,
té fidèlement mes propos. Mais, comme il ne leur a point, sans doute, trouvé assez de piquant, il y en a adjoint d’autres, qui
Arc, c’est là ce que nous souhaitons. Les nourrissons de mon régent y trouveront leur joie, sans que les délicats manquent, pour c
trouveront leur joie, sans que les délicats manquent, pour cela, d’y trouver leur compte. Je n’attends pas de cet auteur une l
rtains se sont montrés fort durs pour ce livre. Ils ont été jusqu’à y trouver de l’« ignoble ». Je proteste. Les images inutile
une poésie pénétrante. J’y renvoie le lecteur curieux du sujet. On ne trouvera ici que quelques notes et réflexions, sans aucune
jour je découvris la source d’où elle le tenait par intermédiaire. Je trouvai à la foire, perdu parmi les articles d’épicerie e
ectaient encore n’osaient plus l’avouer. Bientôt cette littérature ne trouva plus d’acquéreurs distingués. Elle devint matière
c’est bien la nature qui respire en elles. Encore faut-il qu’elle ait trouvé pour l’interpréter un artiste doué de génie et au
dur, de sauvage. Tout au contraire : il n’y a pas de musicien qui ait trouvé aux plus tendres sentiments de l’âme une traducti
fois en 1874. Le public fut très partagé de sentiment. Le compositeur trouva dans la jeunesse un parti enthousiaste qui fit et
pas à reconnaître les incontestables avantages que M. Robert Godet a trouvés à prouver son dire par une série d’exemples et de
ans ces cinquante dernières années le génie musical de notre nation a trouvé son expression la plus fidèle et la plus complète
génie. Chez nous, au contraire, Massenet, Gounod, Fauré ont toujours trouvé auprès du public plus de faveur que leur illustre
s au contact de ces maîtres. Ils vibrent moins que nous avec eux. Ils trouvent dans les belles œuvres de Saint-Saëns une univers
éclaircir cette distinction un peu scolastique où l’on voudra bien ne trouver qu’une simple orientation des idées, L’inspiratio
prodigieux d’animation et d’action ? Et, d’autre part, pourriez-vous trouver un lien entre cette inspiration et la sensibilité
phoniste s’affirme dans les opéras et combien de fois ce qu’on y peut trouver à redire pour la froideur de l’expression est-il
C’est à parcourir l’œuvre instrumentale dans tous les genres que nous trouverions nos joies. Elle est inégale, elle est trop nombre
je crois, à comprendre un trait qui lui est particulier et dont on ne trouverait peut-être pas d’autre exemple dans l’histoire de
lus forts et les plus vifs de son tempérament et de son génie, il y a trouvé une élasticité et une puissance d’élan qui l’ont
ntrariait cruellement mes expansions vocales. Quelle bonne fortune de trouver sous la main le camarade inconnu qui du clavier s
y perdit un certain art, d’ailleurs utile, de se faire valoir, il en trouva l’ample récompense dans la plus savoureuse, quoiq
ste était le cacique et aussi « l’intellectuel » de la famille. Ayant trouvé sur la banquette du café un volume oublié par un
stitution de crédit fondée sur des bases morales d’une candeur qui ne trouverait pas d’application aujourd’hui et qui a pourtant f
avait des amis jusqu’à Marvejols, Quimper-Corentin ou Saint-Gaudens, trouvait l’occasion de s’instruire d’un air indolent. Il y
pressenti à coup sûr leur génie clinique. Cette conception généreuse trouvait son symbole dans une anecdote que des exégètes sé
s du favorable horoscope de Baptiste à qui je le présentai et qui lui trouva « une boule de philosophe », ce qui était d’aille
it un dogme à l’usage des petits bourgeois. Les libertés de sa pensée trouvaient un contrepoids dans la sévère discipline de ses h
xelles, Lekeu possédait Lachelier mieux que Lachelier lui-même. Lekeu trouvait à Bruxelles un groupe de jeunes musiciens qui sav
tive, quand la périphérie de leur âme s’est déveloutée, ils devraient trouver aux sources plus hautes d’une région plus intérie
hautes d’une région plus intérieure un aliment rénovateur. Ils ne l’y trouvent point, parce qu’ils sont, à côté de leur don juvé
98 (1870) Nouveaux lundis. Tome XII « Camille Jordan, et Madame de Staël »
on aspiration première, et il ne l’abjura jamais. En 1788, il s’était trouvé chez son oncle Claude Perier, à Vizille, pendant
ner un fondement profond à la moralité, et qui ne dédaigne pas de lui trouver la sanction la plus intime, il essayait d’attendr
soupçonnés, pour tout méfait, de sentiments royalistes inpetto, il y trouve sujet à un beau développement et qui rappelle l’o
t se trouver parmi nous quelques royalistes d’opinion, il pouvait s’y trouver quelques hommes qui, méditant dans le silence du
rochure : Pie VI et Louis XVIII, conférence théologique et politique trouvée dans les papiers du cardinal Doria, traduite de l
 : je vous atteste que votre lettre ne m’a point étonnée, que je l’ai trouvée naturelle dans votre situation et qu’elle n’a rie
fois à mon amitié pour vous, si vous vous souvenez encore que vous me trouviez aimable. » C’est encore à cette première saison
tielles erreurs purent se faire douloureusement remarquer, mais elles trouvèrent leur excuse dans de difficiles circonstances : el
suis décidée à n’y pas croire. D’ailleurs, cela fût-il vrai, vous me trouverez quelque habitation près de Paris et vous viendrez
rre. Qu’avez-vous pensé de l’ouvrage de mon père119 ? N’avez-vous pas trouvé que c’était vos sentiments appliqués aux institut
pas eue, cette idée, avant ce que j’ai lu ; mais j’ai eu l’orgueil de trouver là tant de réponses à mes sentiments les plus int
ettiez le projet évanoui. J’ai vu assez souvent Mme de Krüdner. Je la trouve toujours distinguée ; mais elle raconte une si gr
rop françaises pour rien d’un peu allemand : à vingt lieues d’ici, on trouverait mieux ; mais là ce ne peut être moi et encore moi
’une des petites universités où votre talent pour traduire l’allemand trouverait à se placer. Dans la solitude où nous vivons, vou
échissez à mon projet, et n’allez pas le croire mauvais parce que j’y trouverais du bonheur. — Adieu. Dites-vous bien que vous pou
ester ici plus de six jours. Ce qui m’y plaît c’est Villers, à qui je trouve vraiment beaucoup d’esprit, et je vous recommande
imer du bien qu’il me fait, ou plutôt du mal dont il me sauve. — J’ai trouvé ici Villers de Kant, qui est vraiment un homme d’
il Coppet. » « Lyon, dimanche — 3 mai. « J’arrive ici espérant vous y trouver d’après la lettre que Matthieu et moi nous vous a
Gœthe133 ? Il y a une personne ici qui voudrait le traduire. Je ne le trouve guère meilleur que vous ; mais il a un grand succ
iennent et donnent de l’intérêt à sa vie. — — Juliette va venir. Vous trouveriez ici trois cœurs bien à vous. Cela ne vaut-il pas
, à temps pour mettre mon mot d’amitié à la fin de cette lettre. J’ai trouvé notre amie contente de son passage à Lyon, et de
iosité ? Je serais charmée de la revoir. Adieu, cher Camille, je vous trouverais bien aimable de répondre promptement à toutes mes
t vous aurez un grand succès. — Dans votre traduction, les orthodoxes trouveront des bizarreries, des négligences, et vous reparaî
er ; mais, si vous étiez moi, ne feriez-vous pas ce que je ferai ? et trouvez -vous que, mes enfants et moi, nous sommes faits p
, Napoléon, maître de Moscou et à la veille de cette fatale retraite, trouvait le moment de donner son avis sur la question de l
hieu, comme j’ai résisté, mais inutilement, à celle de Juliette. — Je trouve ridicule d’imiter le baron de Voght, c’est-à-dire
-le-lui. — Notre jeune peintre est dans les montagnes. Son grand-père trouvait bien mal qu’il se fît persécuter chez lui. — On m
r (1810 ?). « Je ne fais jamais rien de ce que je veux, et je me suis trouvée retenue par mille raisons. Mandez-moi quand vous
nterrompit nécessairement sa correspondance avec Camille Jordan. Elle trouva moyen pourtant de lui faire parvenir ce billet qu
protège ici145. Jamais de plus hautes qualités, selon moi, ne se sont trouvées réunies à un charme de bonté qui met le cœur à l’
, après avoir traversé des antichambres, des salons, des galeries, de trouver la maîtresse de la maison dans un cabinet écarté,
epté les invitations parce que j’étais encore souffrante ; mais je me trouve en relation de visite avec tout le monde. — Werne
m’a parlé de M. Artaud, de M. Richard, de M. Revoil147; mais je n’ai trouvé d’autre charme dans sa conversation que les souve
plaît guère. Il vient de m’envoyer ses derniers ouvrages ; si je les trouve dignes de vous, je vous les ferai passer. — Le di
homme si doux, si plein d’aménité dans le commerce habituel, pouvait trouver à la tribune des paroles souvent si âpres et si b
t marqué par le talent, — je ne crois pas qu’en aucun temps on puisse trouver une plus attrayante physionomie, une plus belle â
condamnée, où elle est simplement qualifiée de naturelle, qu’ils ont trouvé l’apologie, la déification de l’assassinat. Et qu
99 (1682) Préface à l’édition des œuvres de Molière de 1682
s, jusqu’à omettre ou changer des Vers en beaucoup d’endroits. On les trouvera rétablis dans celle-ci, et ce n’est pas un petit
osa au public sa première Comédie ; c’est celle de L’Étourdi. S’étant trouvé quelque temps après en Languedoc, il alla offrir
r quelques idées plaisantes sans y avoir mis la dernière main ; et il trouva à propos de les supprimer, lorsqu’il se fut propo
ailleurs il observait les manières et les mœurs de tout le monde ; il trouvait moyen ensuite d’en faire des applications admirab
ée pour les divertissements du Roi, qu’au mois d’Août 1665 Sa Majesté trouva à propos de l’arrêter tout à fait à son service,
oyale s’applaudit du choix qu’il avait fait d’eux, puisque le Roi les trouvait capables de contribuer à ses plaisirs, et particu
avoir joué les Médecins en particulier dans plusieurs autres, où il a trouvé moyen de les placer ; ce qui a fait dire que les
tte mort rien ne fut plus approuvé que ces quatre vers latins qu’on a trouvé à propos de converser. Le Lecteur observa que sur
100 (1772) Bibliothèque d’un homme de goût, ou Avis sur le choix des meilleurs livres écrits en notre langue sur tous les genres de sciences et de littérature. Tome II « Bibliotheque d’un homme de goût — Chapitre XVII. Morale, Livres de Caractéres. » pp. 353-369
ant de finesse, de précision, de noblesse & de vérité qu’on croit trouver toujours quelque chose de nouveau. Il y a dans le
. Il regne un continuel désordre dans tout ce qu’il écrit, & vous trouvez tel chapitre intitulé des Loix, où il n’y aura pa
taire, & ce n’est pas un service qu’on a rendu à ce dernier. On a trouvé la même différence entre les deux recueils qu’ent
bre des bons écrivains de son tems. Quelques philosophes du nôtre ont trouvé que le piétisme l’avoit empêché d’élever son géni
n élégante & fine. Les choses communes ou peu importantes qu’on y trouve , sont mêlées de quelques traits neufs & plais
le Monde, par le même, ouvrage périodique de morale critique, où l’on trouve des morceaux intéressans. Le meilleur livre de mo
plus fidéle que l’auteur en a puisé les couleurs dans lui-même. On a trouvé depuis environ cent ans un nouveau moyen de nous
i-même, le meilleur livre de ce fécond écrivain, & dans lequel on trouve le germe de tout ce qu’il a dit ensuite. C’est pa
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