s’accomplir. — Expériences des physiologistes. II. Les sensations du
toucher
ne sont point situées à l’endroit où nous les pla
Applications diverses de la loi qui régit la localisation. — Rôle du
toucher
explorateur. — Cas où l’emplacement de la sensati
e de l’autre. — Cas où l’autre ne peut se développer. — Perfection du
toucher
chez les aveugles. — Exemples. VII. Conséquences
e produire aucun ébranlement nerveux40. « Si la barbe, dit Weber, est
touchée
légèrement en un point, par exemple sur le côté d
à l’endroit de la vue, comme les illusions des amputés à l’endroit du
toucher
. La couleur n’est point dans l’objet ni dans les
ntrer sa cause ou condition ordinaire, et cet endroit est celui où le
toucher
explorateur peut, en agissant, interrompre ou mod
lieu, on voit que ce jugement doit être toujours faux ; car jamais le
toucher
ne peut aller dans les centres sensitifs interrom
tout le cordon nerveux est l’antécédent normal de la sensation, notre
toucher
ne peut atteindre que les environs de son extrémi
f ébranlé, mais aux environs, et, en général, un peu au-delà ; car le
toucher
n’atteint pas à cet endroit exact. Le doigt ne va
jugement localisateur doit être vague ; car il y a des endroits où le
toucher
n’atteint pas, par exemple, l’intérieur des membr
ale musculaire. — Quantité de bizarreries s’expliquent de même. Si le
toucher
explorateur est arrêté par une éminence fixe comm
ce, quoique l’ébranlement nerveux soit beaucoup plus profond. — Si le
toucher
explorateur ne peut vérifier l’emplacement de deu
de pression, de saveur ne se produit que lorsque la cause extérieure
touche
la peau, la bouche ou le palais ; à distance, cet
ons la sensation à l’endroit, ou près de l’endroit, dans lequel notre
toucher
explorateur rencontre sa condition organique. — Q
tiles éprouvées au contact du point que l’organe explorateur est venu
toucher
, l’image associée se précise en se complétant : n
uveau-né, ses tâtonnements, l’expérience incessante qu’il fait de son
toucher
et de ses muscles commencent tout de suite à le c
ilets blanchâtres et mollasses qu’on appelle nerfs et que la piqûre a
touchés
. Il se représente sa sensation de contraction com
ière fois il voit clair, il croit « que tous les objets qu’il regarde
touchent
ses yeux, de même que les objets qu’il tâte touch
ts qu’il regarde touchent ses yeux, de même que les objets qu’il tâte
touchent
sa peau47 ». Ainsi parlaient les aveugles de Ches
e ; ils situaient leur sensation nouvelle selon les habitudes de leur
toucher
et appliquaient au cas nouveau l’expérience ancie
gardait le soleil à travers ses cristallins opaques, il disait : « Il
touche
mes yeux. » L’opération faite, le même jugement l
après, ce qu’il avait vu : « Votre tête, répondit-il ; elle semblait
toucher
mon œil. » Mais il ne put en dire la forme. Ce fu
a forme, de la grandeur des objets, les reconnaître. Il fallut que le
toucher
, lentement, par degrés, instruisit l’œil. Un des
ogé sur la figure d’un petit carton rond, répondit : « Laissez-moi le
toucher
, et je vous répondrai. » On l’en empêche, il réfl
ur. Quand on lui nommait celles qu’auparavant il avait connues par le
toucher
, il les regardait très attentivement pour les rec
le demander. Un jour, il prit le chat, qu’il connaissait bien par le
toucher
, le regarda fixement et longtemps, le posa par te
es ; mais je puis vous dire tout de suite ce qu’elles sont, si je les
touche
. » — « Elle distingua une orange qui était sur la
ait sur la cheminée, mais ne put dire ce que c’était avant de l’avoir
touchée
. » Au dix-huitième jour, on lui mit entre les mai
ts, selon la règle générale du système nerveux, éveille, quand il est
touché
, une sensation distincte. À ces trois points de v
ance et de la position des objets, sauf lorsqu’une induction tirée du
toucher
les situe tout contre l’œil. Sans doute on peut d
s les groupes distincts possibles de sensations que ce corps regardé,
touché
, expérimenté de divers côtés, peut éveiller en no
mps qu’à nous, puisqu’ils sont obligés de l’explorer en détail par le
toucher
. Mais, cela fait, quel que soit l’objet, une sphè
rée à la rétine, est un instrument grossier, même aux endroits où son
toucher
est le plus délicat. — Aux vertèbres dorsales, au
cou58, nous ne distinguons deux attouchements que lorsque les points
touchés
sont distants de seize à vingt-quatre lignes ; à
, à cet égard, mille ou deux mille fois plus sensible que l’organe du
toucher
le plus sensible. — Joignez à cet avantage les in
surface unie, par exemple une feuille imprimée ou écrite, ne donne au
toucher
qu’une sensation uniforme ; et la même surface do
a est vrai de tous les aveugles ; chez quelques-uns, la perfection du
toucher
a dépassé toute imagination. « Saunderson, le mat
up, surtout quand c’était à lui à faire, parce qu’il reconnaissait au
toucher
celle qu’il donnait à chaque joueur62. » Aldovran
dix ans, d’essayer ce qu’il pourrait faire encore dans son métier. Il
toucha
fort exactement une statue de marbre qui représen
es imprimés à l’encre, pour comprendre tout le discernement que notre
toucher
eût pu avoir et qu’il n’a pas64. — Ainsi l’atlas
est pourquoi, quand aujourd’hui nous situons une de nos sensations de
toucher
, de son, d’odeur, de saveur, c’est presque toujou
consiste en une quantité de sensations simultanées que l’éducation du
toucher
fait apparaître comme situées en des points disti
é. Tel est l’état actuel. — Il suit de là que, lorsque aujourd’hui je
touche
une table, l’objet touché doit m’apparaître non s
— Il suit de là que, lorsque aujourd’hui je touche une table, l’objet
touché
doit m’apparaître non seulement comme autre que m
rt des deux ébranlements nerveux correspondants. — Ainsi notre esprit
touche
juste en visant mal, et ce que nous disons par er
lémentaire. Ce que je puis poser à bon droit et avec vérité, quand je
touche
cette bille d’ivoire, c’est un groupe de rapports
e condition complémentaire. Nous annonçons que tout être sentant, qui
touchera
ou aura touché la bille, aura ou aura eu le group
émentaire. Nous annonçons que tout être sentant, qui touchera ou aura
touché
la bille, aura ou aura eu le groupe de sensations
âce à l’image associée des sensations musculaires qui conduiraient le
toucher
explorateur jusqu’au livre et tout le long du liv
ée des sensations de contact et de résistance qu’éprouverait alors le
toucher
explorateur, la tache nous semble une étendue sol
. M. de Jaager dit à la personne sur laquelle il fait l’expérience de
toucher
la clef électrique de la main gauche lorsqu’elle
cas rapporté par M. Nunnely, « le jeune patient disait que les objets
touchaient
ses yeux, et il marchait avec précaution, tenant
nt les mains élevées devant ses yeux, pour empêcher ces objets de les
toucher
et de les blesser ». Examination of Sir William H
ui. Puisque le premier but de la poësie et de la peinture est de nous
toucher
, les poëmes et les tableaux ne sont de bons ouvra
portion qu’ils nous émeuvent et qu’ils nous attachent. Un ouvrage qui
touche
beaucoup doit être excellent à tout prendre. Par
it être excellent à tout prendre. Par la même raison l’ouvrage qui ne
touche
point et qui n’attache pas ne vaut rien, et si la
n ouvrage excellent. Or le sentiment enseigne bien mieux si l’ouvrage
touche
et s’il fait sur nous l’impression que doit faire
cuté si l’objet que le poëte nous y présente, est un objet capable de
toucher
par lui-même, et s’il est bien imité. Le sentimen
voit laissées. Lorsqu’il s’agit du mérite d’un ouvrage fait pour nous
toucher
, ce ne sont pas les regles qui sont la montre, c’
onc suffisamment s’ils ont bien réussi, quand on connoît si l’ouvrage
touche
ou s’il ne touche pas. Il est vrai de dire qu’un
’ils ont bien réussi, quand on connoît si l’ouvrage touche ou s’il ne
touche
pas. Il est vrai de dire qu’un ouvrage où les reg
tre : ce n’est point en raisonnant qu’on juge des ouvrages faits pour
toucher
et pour plaire. On en juge par un mouvement intér
anmoins de donner des décisions sur l’effet d’un ouvrage composé pour
toucher
les hommes, parce qu’elles sont doüées d’un natur
par leur contenance, elles deviennent, pour ainsi dire, une pierre de
touche
qui donne à connoître distinctement si le mérite
aitement entendus. Le dessein de la poësie et de la peinture étant de
toucher
et de plaire, il faut que tout homme qui n’est pa
ux points soient identiques ; l’une est relative à la vue, l’autre au
toucher
. Considérons-les séparément. La première est néce
occupé par mon doigt et où il reste puisqu’il ne bouge pas. Comme le
toucher
ne s’exerce pas à distance, si le corps A touche
bouge pas. Comme le toucher ne s’exerce pas à distance, si le corps A
touche
mon doigt à l’instant α, c’est que M et P coïncid
A touche mon doigt à l’instant α, c’est que M et P coïncident ; si B
touche
mon doigt à l’instant β, c’est que M′ et P coïnci
P coïncident. Donc M et M′ coïncident. Donc cette condition que si A
touche
mon doigt à l’instant α, B le touche à l’instant
t. Donc cette condition que si A touche mon doigt à l’instant α, B le
touche
à l’instant β, est à la fois nécessaire et suffis
ue peut être remplie sans que le soit la seconde, qui est relative au
toucher
, mais que la seconde ne peut pas être remplie san
ue nous ayons constaté expérimentalement que la condition relative au
toucher
peut être remplie sans que celle de la vue le soi
que celle de la vue au contraire ne peut pas l’être sans que celle du
toucher
le soit. Il est clair que, s’il en était ainsi, n
Il est clair que, s’il en était ainsi, nous conclurions que c’est le
toucher
qui peut s’exercer à distance, et que la vue ne s
objet A occupait un certain point M de l’espace. Or à cet instant, il
touchait
mon premier doigt, et comme le toucher ne s’exerc
’espace. Or à cet instant, il touchait mon premier doigt, et comme le
toucher
ne s’exerce pas à distance, mon premier doigt éta
à la fin de cette série, à l’instant α′, j’ai constaté que l’objet A
touchait
mon second doigt. J’en conclus que ce second doig
gt sera donc en M ; et comme l’objet B est également en M cet objet B
touchera
mon premier doigt. À la question posée, on doit d
? pas le moins du monde : nous nous serions bornés à conclure que le
toucher
peut s’exercer à distance. Quand je dis, le touc
conclure que le toucher peut s’exercer à distance. Quand je dis, le
toucher
ne s’exerce pas à distance, mais la vue s’exerce
ile et en a-t-il plus que l’espace visuel simple ? C’est parce que le
toucher
ne s’exerce pas à distance, tandis que la vue s’e
contact de mon premier doigt et que de même, à l’instant β, l’objet B
touche
ce premier doigt ; mais en même temps, mon sens m
B à l’instant β sont identiques, si je constate que mon premier doigt
touche
A à l’instant α et B à l’instant β. Cette solutio
s α et β, ou (ce qui revient au même puisque je suppose que mon doigt
touche
A à l’instant α et B à l’instant β) je veux compa
éduit au minimum. Ajouterai-je que l’expérience ne nous ferait jamais
toucher
que l’espace représentatif qui est un continu phy
au paragraphe 2 et dont nous exprimons le résultat en disant « que le
toucher
ne s’exerce pas à distance », nous aient conduits
ix classes : sensations de la vie organique, du goût, de l’odorat, du
toucher
, de l’ouïe et de la vue. Les trois dernières sont
Bain donne la prééminence à la vue et même place l’ouïe au-dessus du
toucher
. Son analyse, ample et détaillée comme toujours,
la nature du sens organique, la perception du monde extérieur par le
toucher
et la vue. On commence même, en France, à considé
qui ont pour objet la perception de l’extériorité et de l’étendue. Le
toucher
est le sens le plus général ; il est probable mêm
ions de grandeur, forme, direction, distance, situation. Toutefois le
toucher
, considéré comme source de ces idées, n’est pas u
nous avons à chercher maintenant, c’est jusqu’à quel point le sens du
toucher
contribue à notre notion fondamentale du monde ex
ain caractère vague. Mais si au sens du mouvement s’ajoute le sens du
toucher
; si le mouvement a lieu, par exemple, d’un côté
ection que l’autre162. » Les sensations combinées de mouvement et de
toucher
nous donnent les notions de longueur, de surface
d’une fois discuté pour savoir si le sens supérieur est la vue ou le
toucher
. Les deux solutions sont dans Condillac. La plupa
dans Condillac. La plupart des psychologistes ont pris parti pour le
toucher
, et la plupart des physiologistes pour la vue. M.
M. Bain est de leur avis ; nous avons même vu qu’il semble mettre le
toucher
au-dessous de l’ouïe. Sans nous arrêter à l’étude
produites par les muscles du globe de l’œil. Ici, de même que pour le
toucher
, la combinaison des perceptions visuelles et des
les solides. Bref, tout ce qui a été dit des sensations combinées du
toucher
et du mouvement, s’applique, mutatis mutandis, au
lui-même, et parce que ses circonstances sont telles qu’elles doivent
toucher
les hommes en general. En second lieu il est inte
qui réunisse les deux interêts ; je veux dire sur un sujet capable de
toucher
tous les hommes et qui plaise encore particuliere
dire, des moïens de reste de faire fortune. Quoique ce poëme ne nous
touche
plus que parce que nous sommes des hommes, il nou
ëme ne nous touche plus que parce que nous sommes des hommes, il nous
touche
encore assez pour nous attacher : mais un poëte n
s ouvrages une fortune pareille à celle de l’éneïde, qui est celle de
toucher
sans cet interêt qui a un rapport particulier au
voit embrassé son ennemi vaincu comme son concitoïen, a pu se laisser
toucher
par la peinture de cet évenement que fait Ciceron
t general et aux sujets où il se trouve, et qui par là sont propres à
toucher
tout le monde. Les peintres et les poëtes, je l’a
apitre II. Les sensations totales de la vue, de l’odorat, du goût, du
toucher
et leurs éléments Sommaire. I. Les sensations
— Des sensations d’odeur proprement dites, il faut séparer celles du
toucher
nasal. — Exemples. — Et aussi celles des nerfs du
s. — Théorie générale des sens. — Tous sont des idiomes. — Le sens du
toucher
est un idiome général. IV. Sensations totales du
— Le sens du toucher est un idiome général. IV. Sensations totales du
toucher
. — Difficultés croissantes. — Raison de ces diffi
cultés. — Distinctions préalables. — Premier groupe des sensations du
toucher
, les sensations musculaires. — Paralysies où elle
lles manquent. — Cas pathologiques. — Second groupe des sensations du
toucher
, les sensations de la peau. — Paralysies où elles
sont semblables. — Trois espèces de sensations pour tous les nerfs du
toucher
. — Sensation de contact, sensation de température
une part ; une autre part fort considérable appartient à des nerfs du
toucher
, semblables à ceux qui sont répandus dans tout le
sations qu’éveillent les mêmes ondulations aériennes par les nerfs du
toucher
et par les nerfs de l’ouïe, c’est-à-dire, d’une p
tale de l’ouïe et ne sont pas représentés dans la sensation totale du
toucher
. Dans la sensation de l’ouïe, la vitesse plus ou
par les degrés d’intensité du son. Au contraire, dans la sensation du
toucher
, la traduction est imparfaite ; nous éprouvons se
xprimer un ordre de faits et un seul ordre de faits. Au contraire, le
toucher
est une langue générale appropriée à tous les suj
on total sans finesse ni précision. IV Tel est le caractère du
toucher
, et l’on voit que, au rebours des autres sens, se
une nouvelle voie ; avant d’y entrer, voyons, parmi les sensations du
toucher
, celles qui peuvent se ramener à d’autres ; il fa
sens, dit alors le malade, la forme et la consistance du corps qui me
touche
, mais je ne saurais dire s’il est chaud ou froid.
’est pas impossible de s’en faire une idée. « Chaque filet nerveux du
toucher
ne peut, dit Fick, transmettre qu’une seule et mê
d’un trou de deux à cinq millimètres de diamètre ; à travers ce trou
touchez
la peau, tantôt avec un excitant mécanique, comme
té. En somme, tout ce que l’observation nous montre dans les nerfs du
toucher
, ce sont des systèmes différents de déplacements
x ondes de l’ondulation aérienne et éthérée. — Rien de pareil pour le
toucher
; nous n’avons aucun moyen de déterminer ou de co
un de ces événements est-il réductible à l’autre ? En attendant, nous
touchons
les fondements de notre connaissance, et nous pou
ent un ordre spécial de faits extérieurs. Les sensations générales du
toucher
sont des représentants grossiers et universels, q
côté, à droite par exemple, la capacité d’éprouver les sensations du
toucher
, de la douleur, du froid, du chaud, du chatouille
une personne non prévenue à y promener la pulpe du doigt, elle croit
toucher
un corps gras ou huileux… » — Soit une table de m
ntion mediocre si nous les voïions veritablement. Comment serons-nous
touchez
par la copie d’un original incapable de nous affe
lens que l’ouvrier avoit pour l’imitation, mais elle ne sçauroit nous
toucher
. Nous loüons l’art du peintre à bien imiter, mais
l tableau qui nous entretienne, pour ainsi dire ; et comme il ne nous
touche
gueres, il ne nous attache pas beaucoup. Les pein
e la peinture, et les imitations que la poësie fait de la nature nous
touchent
seulement à proportion de l’impression que la cho
ent la copie me toucheroit-elle si l’original n’est pas capable de me
toucher
?
imitation qu’elle fait des sons naturels plus capable de plaire et de
toucher
, l’a réduite dans ce chant continu qu’on appelle
s qu’elle met en chant, doivent donc les rendre plus capables de nous
toucher
, parce que ces signes naturels ont une force merv
a chose imitée. Il n’est donc pas surprenant que les symphonies nous
touchent
beaucoup, quoique leurs sons, comme le dit Longin
le courage des combattans, et même quelquefois pour le retenir. On a
touché
ces instrumens differemment, suivant l’effet qu’o
’usage auquel on le destinoit. Peut-être aurions-nous étudié l’art de
toucher
les instrumens militaires autant que les anciens
rumens militaires, et quoique nous aïons si fort négligé l’art de les
toucher
qui donnoit tant de consideration parmi les ancie
oints. Comme le dit Ciceron. Comme il est des personnes qui sont plus
touchées
du coloris des tableaux que de l’expression des p
passion de Jesus-Christ. Cependant, l’expression d’un mot ne sçauroit
toucher
autant que l’expression d’un sentiment, à moins q
atisfaits de le voir concourir enfin avec la poésie dramatique à nous
toucher
, à nous instruire, à nous corriger et à nous invi
ique, s’écria avec une vivacité charmante : Ah, mon Dieu, comme il me
touche
; mais si je le regarde encore, je crois que je v
gendre écoute ce que son beau-père lui dit, et il a l’air tout à fait
touché
. À gauche de l’autre côté, un jeune garçon lui ap
on s’annonce fortement dans les plus grands. Le gendre paraît le plus
touché
, parce que c’est à lui que le malade adresse ses
là que ce fut son gendre qui lui apporta des aliments, et le bonhomme
touché
lui en témoigna sa gratitude d’une manière si viv
i l’environnent. La délicatesse avec laquelle le bas de ce visage est
touché
, et l’ombre du menton portée sur le col, est inco
ngent dans l’imagination, et qu’elles y forment ces tableaux qui nous
touchent
et ces peintures qui nous interessent. Toutes ces
tableau où nous voïons l’amour dépêcher ce travail. Cette image nous
touche
; mais quand elle nous est representée dans un ta
che ; mais quand elle nous est representée dans un tableau, elle nous
touche
bien davantage. Nous voïons alors en un instant c
contre mon sentiment, une objection dont on conclueroit que les vers
touchent
plus que les tableaux. C’est qu’il est très-rare
larmes. Cinquante scénes qui sont dans une tragédie doivent donc nous
toucher
plus qu’une seule scéne peinte dans un tableau ne
ieres de leur prêter une force nouvelle pour nous plaire et pour nous
toucher
. Ces trois manieres sont la simple récitation, ce
plus, nous percevons les choses comme elles sont. Je vois un chat, je
touche
un verre. Suivant Reid et ses disciples, le chat
s, le chat est en lui-même tel que je le vois, le verre tel que je le
touche
. Quand bien même ni moi, ni aucun de mes semblabl
bien même ni moi, ni aucun de mes semblables ne verrait le chat ni ne
toucherait
le verre, ces objets n’en resteraient pas moins a
nous donne que la figure, la position et la grandeur apparentes : le
toucher
seul nous donne la figure, la position et la gran
sienne. Chez les enfants, prétend-il, la vue est développée avant le
toucher
. Il soutient avec plus de vraisemblance, que les
este que le fameux opéré de Cheselden, qui disait que tous les objets
touchaient
ses yeux, soit un argument contre sa doctrine. M.
s l’hypnotisme. 2° Transmission plus conscient et plus directe par le
toucher
. L’embrassement. 3° Transmission par l’odorat. 4°
un système nerveux à l’autre, est augmentée au plus haut point par le
toucher
. Bain a le premier montré l’importance morale du
l ; nous pouvons maintenant nous expliquer mieux cette importance. Le
toucher
est le moyen le plus primitif et le plus sûr de m
er deux systèmes nerveux, deux consciences, deux vies. Il y a dans le
toucher
entre deux êtres vivants quelque chose de très se
moindre, toutes les fois que la vie entre en contact avec la vie. Le
toucher
est, par excellence, le sens de la vie, et c’est
ient encore de l’émotion horrible qu’elle ressentit, toute petite, au
toucher
d’un cadavre. C’est parce que le toucher est ains
ressentit, toute petite, au toucher d’un cadavre. C’est parce que le
toucher
est ainsi le sens de la vie qu’il a pris une si g
. Nous pouvons par là comprendre pourquoi, comme le remarque Bain, le
toucher
est toujours sous-entendu dans toutes les émotion
squ’à la manie et aux hallucinations — mêmes observations au sujet du
toucher
. D’après un fait rapporté par le docteur Auzouy,
t des émotions esthétiques. Un simple rayon de soleil ou de lune nous
touche
s’il évoque dans notre pensée les figures sourian
d’hui, c’est toujours l’homme ou le côté humain de la nature qui nous
touche
dans toute description littéraire ou reproduction
nauld aux Méditations de Descartes. Ces objections, qui d’ailleurs ne
touchent
pas le fond de la méthode, font dire à Descartes
it pas de bonnes raisons, il en cherchait lui-même. » En tout ce qui
touche
la conduite de l’esprit dans la recherche de la v
à la suite de personne ? Cette explication ferait injure à Pascal. Si
touché
qu’il ait été de la réputation, dans ces courtes
éance dans ses découvertes, que parce qu’il préférait les vérités qui
touchent
l’âme à celles qui n’intéressent que le corps. Or
oublée et exaltée par le doute qui la ressaisit ; jamais médiocrement
touchée
. Descartes — et c’est par là qu’il est admirable
ascal croit le plus à la force de ses raisons, lisez-le d’un cœur que
touche
cette sublime misère, et vous verrez jusque dans
fait Descartes de Dieu, seulement pour mettre en mouvement le monde,
touche
à l’injustice. Mais quoi ? Valait-il donc mieux q
de cette raison sublime arrivant, par sa force et son étendue même, à
toucher
ses bornes, vous plaît-il moins que celui de l’in
profondeur d’esprit qui se révèle dans ses Pensées ? Dans celles qui
touchent
à la religion, il a vu plus loin que Bossuet, ven
’y est question que de dissidences sur des points secondaires, qui ne
touchent
ni à la révélation, ni à la divinité de Jésus-Chr
témérités voilées des libertins. Si je regarde celles des Pensées qui
touchent
à la société, aux gouvernements, à la justice, au
nt à la vérité le sérieux d’un esprit qui n’a jamais été médiocrement
touché
des vérités morales, et que la première ardeur d’
vivre les Provinciales de Pascal ? Le sujet même de la querelle nous
touche
assez peu, outre le sort commun des ouvrages de p
n corps ; quoi de plus étranger à nos idées, et qui puisse nous moins
toucher
? Pourquoi donc prenons-nous un si vif intérêt au
, si Démosthène, défendant sa ville contre l’ambition de Philippe, la
touchait
plus que Pascal défendant les vérités de la moral
Pascal, parce qu’il y a de tous les hommes dans l’écrivain. Je ferais
toucher
du doigt, dans les Provinciales et les Pensées, d
ctes (1859). — Philiberte, trois actes en vers (1853). — La Pierre de
touche
, cinq actes, avec Jules Sandeau (1854). — Le Gend
oup l’Aventurière, Gabrielle, Philiberte ; il a fini par la Pierre de
touche
, ayant eu cependant encore, depuis la Pierre de t
r la Pierre de touche, ayant eu cependant encore, depuis la Pierre de
touche
, deux belles explosions de la nature primitive :
ure primitive : la Jeunesse et Paul Forestier. Sauf dans la Pierre de
touche
, le premier Augier a pris la langue des vers pour
en matière de Bible, — ni même au point de vue seulement humain. Pour
toucher
à la Bible et traduire en images dignes du texte
les raisons impersonnelles et absolues. Les Espagnols disaient : « Ne
touchez
pas à la reine ! » Charles Ier et les Anglais : «
t : « Ne touchez pas à la reine ! » Charles Ier et les Anglais : « Ne
touchez
pas à la hache ! » Il faut dire aussi : « Ne touc
s Anglais : « Ne touchez pas à la hache ! » Il faut dire aussi : « Ne
touchez
pas à la Bible ! », qui est une reine et aussi un
e hache. Doré, qui en art a une bravoure de héros, n’a pas craint d’y
toucher
, et, selon moi, c’est une raison de plus pour qu’
t d’y toucher, et, selon moi, c’est une raison de plus pour qu’on n’y
touche
plus… C’était Turgot qui disait, je crois, à prop
eille donne à l’empereur Auguste dans la tragedie de Cinna, et qui ne
touchera
que foiblement le partisan d’Achile. Les peinture
mme qui n’est point agité par l’objet même, pourroit-il être vivement
touché
par sa peinture ? Comment un homme dont l’esprit
Troye. L’homme, pour qui les attraits du jeu sont sans amorce, est-il
touché
de l’affliction d’une personne qui vient de faire
ces agitations, que quelques écrivains nomment la fievre d’ambition,
toucheront
foiblement les hommes à qui leur tranquillité nat
Critique, si c’est pour lui crier dès qu’elle les effleure : « On ne
touche
pas à la reine ! » Ah ! s’il y avait une reine en
» Ah ! s’il y avait une reine en littérature, certainement qu’on n’y
toucherait
pas ! ou si on y touchait, ce serait pour lui bai
ne en littérature, certainement qu’on n’y toucherait pas ! ou si on y
touchait
, ce serait pour lui baiser la main, signe d’homma
fs de la société moderne, cette terrible nerveuse, aboutissent à lui…
Toucher
à cet homme central, magnétique et vibrant, qui m
entral, magnétique et vibrant, qui mit en vibration son époque, c’est
toucher
à l’époque entière… Jusqu’ici, ceux qui y ont tou
n époque, c’est toucher à l’époque entière… Jusqu’ici, ceux qui y ont
touché
s’y sont morfondus. Quoi d’étonnant ? Que pouvait
s compositions de l’accuser de plagiat. Sa scène vous attache et vous
touche
. Elle est grande, pathétique et violente. Il n’y
rait influé sur toutes les autres. Le célébrant au lieu d’être droit,
touché
de commisération se serait incliné davantage. La
les assistants. Voilà un morceau de peinture d’après lequel on ferait
toucher
à l’œil à de jeunes élèves qu’en altérant une seu
renoncé à sa couleur, à sa sévérité, à son caractère, pour prendre la
touche
et la manière de son confrère. On a placé le St B
que le sens musculaire m’en apporte la conscience. C’est dire que je
touche
la réalité du mouvement quand il m’apparaît, inté
e qualités, où la résistance et la couleur, — données de la vue et du
toucher
, — occupent le centre et tiennent suspendues, en
e sorte, toutes les autres. D’autre part, les données de la vue et du
toucher
sont celles qui s’étendent le plus manifestement
ue les solides sont nécessairement contigus les uns aux autres, notre
toucher
doit suivre la superficie ou les arêtes des objet
le de fixer le siège de la chose au point précis où nous pourrions la
toucher
, ses contours palpables deviennent pour nous sa l
nts ; par un processus mystérieux, notre conscience, incapable de les
toucher
, les traduirait en sensations qui se projetteraie
der les moments. Insistons sur ce dernier point, dont nous avons déjà
touché
un mot ailleurs, mais que nous tenons pour essent
es de la vue, par exemple, nous suggèrent des sensations possibles du
toucher
. Si les impressions de deux sens différents ne se
ndue, qui est toujours tactile, et les données des sens autres que le
toucher
, lesquelles ne sont étendues en aucune manière. M
n effet, avec Berkeley, que toute perception d’étendue se rapporte au
toucher
? On pourra, à la rigueur, refuser l’extension au
. On allègue, il est vrai, que la vue finit par devenir symbolique du
toucher
, et qu’il n’y a rien de plus, dans la perception
s indescriptible, coïncide avec le simple souvenir d’une sensation du
toucher
. L’association d’un souvenir à une perception pré
se meuvent. La vue constate des variations déterminées qu’ensuite le
toucher
vérifie. Il y a donc, dans les deux séries visuel
ie de leur contenu ; après avoir fait converger tous les sens vers le
toucher
, on ne conserve plus, du toucher lui-même, que le
fait converger tous les sens vers le toucher, on ne conserve plus, du
toucher
lui-même, que le schème abstrait de la perception
ans l’espace que dans la mesure où ils nous rappellent les données du
toucher
. Une psychologie plus attentive nous révèle, au c
t acquise dans la Chaire. Plus ambitieuse de plaire à l’esprit que de
toucher
le cœur, son éloquence est plutôt celle d’un Ecri
ommuniquer. Pour y parvenir, il doit plaire, il doit prouver, il doit
toucher
; car il ne peut rien obtenir de l’Auditeur ou du
z souvent lumineuses & toujours assez bien exprimées ; mais il ne
touche
, il ne remue, il n’est vraiment éloquent que par
vaise ? Les soldats qu’on voit à droite sur le fond ont la finesse de
touche
ordinaire à ce peintre ? Au maréchal, ses figures
d’une grande beauté et méritent mon éloge. La couleur, la finesse de
touche
, l’effet, l’harmonie, le ragoût, tout s’y trouve.
vraiment précieux, l’effet en est si piquant, la couleur si vraie, la
touche
si vigoureuse, si spirituelle, l’harmonie totale
iere sur le visage. Le premier mérite du déclamateur, est celui de se
toucher
lui-même. L’émotion intérieure de celui qui parle
du moins autant que les regles de la grammaire, dit que l’orateur qui
touche
le plus, c’est celui qui se touche lui-même davan
a grammaire, dit que l’orateur qui touche le plus, c’est celui qui se
touche
lui-même davantage. Dans un autre endroit il dit,
ntilien exige de tous ceux qui veulent se mêler de déclamer. Elles se
touchent
plus facilement qu’eux des passions qu’il leur pl
euf dans une doctrine qui n’admet pas de nouveautés ! c’est qu’il ait
touché
aux choses comme jamais main catholique n’y avait
st qu’il ait touché aux choses comme jamais main catholique n’y avait
touché
, et qu’il n’ait pas cessé pour cela d’avoir la ma
rreau justicier, avait pourtant si bien exécuté qu’on pouvait ne plus
toucher
à ce cadavre. L’auteur de l’Homme l’a pris aux ma
i le mépris du monde en a bâti un dans son cœur, il n’a pas craint de
toucher
à des sujets qui auraient épouvanté un esprit moi
l a en lui du mystique, car le poète décuplé par le croyant finit par
toucher
à ce phénomène et à ce mystère qu’on appelle la m
qui ne brasse que l’humanité, il est monté jusqu’à l’hagiographe, qui
touche
dans ce livre aux choses surnaturelles, pourquoi,
tuitif de regard et de cet artiste de main que des physionomies. Il a
touché
d’un effleurement de feu trente-deux têtes de Sai
la vie des Saints. Dans son livre, il ne l’a pas écrite, mais il y a
touché
de manière à nous faire croire qu’il était destin
e n’ose nommer, Vos esprits n’étaient-ils qu’étincelle légère ? Nous
touchons
ici à un défaut essentiel dans l’éducation de M.
écrit. Décrire avec une si visible complaisance une personne qui nous
touche
de si près et à laquelle on a tant de chances de
nts détails, mille retours heureux où le poète se joue et retrouve sa
touche
légère. Au moment où l’on s’impatiente et où l’on
an, est une jolie esquisse, d’un trait pur et simple ; c’est finement
touché
: il y a du sourire, un peu de malice ; en un mot
ments. Je voudrais essayer ici de faire sentir ce défaut, de le faire
toucher
du doigt. Parmi les auteurs qui ont eu le plus d’
es, tordaient le satin des souliers… » Ce défaut, dont je ne fais que
toucher
quelques traits, est presque continuel désormais
yant toujours si bien posée et modelée, il se dit : “Si je pouvais la
toucher
?” Et le plus doucement possible, avec lenteur et
n papillon ; il s’attendait à voir la main s’envoler avant de l’avoir
touchée
; mais pas du tout, les légers plis de la couvert
ide pourtant. Son bras en suspens se rapproche ; du bout du doigt, il
touche
la main. Ô surprise ! il la sent bien telle qu’il
ut se dissimuler les rapides progrès qu'elle fait journellement. Nous
touchons
presque au temps d'une corruption générale, suite
e intarissable, & qui ont fait la gloire de nos Ancêtres…. Ce qui
touche
jusqu'aux larmes, ce sont les périls auxquels not
Monsieur, vos vertus & vos talens ! Comment donc ne serois-je pas
touché
de votre approbation ? Oh ! qu'il fait bon avoir
nes me voyaient dans un morne silence au milieu de ma demeure ; elles
touchaient
la harpe pour rappeler la joie dans mon âme ; mai
pa son oreille ; il se lève avec effort, étend sa main tremblante, me
touche
et bénit le fils de Fingal. « Ossian, me dit-il,
peuvent plus le voir. Ossian, as-tu la force de ton père ? Laisse-moi
toucher
ton bras. » J’obéis à son désir ; ses mains tremb
e-moi toucher ton bras. » J’obéis à son désir ; ses mains tremblantes
touchèrent
mon bras : il soupire ; il pleure : « Mon fils, m
du tonnerre. Un nuage domine la montagne de Cona ; ses flancs azurés
touchent
au firmament ; il s’élève au-dessus de la région
des sièges de brouillard ; ils écoutent les chants d’Ullin. Le barde
touche
sa harpe fantastique, et élève sa faible voix. Le
rneront leurs yeux. Vos noms vivront dans les chants des bardes ; ils
toucheront
à votre gloire leurs harpes harmonieuses : les fi
t un son lugubre. Est-ce le vent, ô ma harpe, ou quelque ombre qui te
touche
en passant ? C’est sans doute l’amant de Malvina…
nuages. Oui, je vais te rejoindre, ô roi des héros ! la vie d’Ossian
touche
à son terme. Je sens que bientôt je vais disparaî
doyantes. Ils se penchent sur sa harpe pendant que ses blanches mains
touchent
les cordes tremblantes. Elle s’arrête ; ils prenn
lent des coquilles vaporeuses, les héros t’admireront, et les vierges
toucheront
en ton honneur la harpe de brouillard. Tu te réjo
mas, est suspendue au rocher de Mora. Enfin elle prit sa harpe, et la
toucha
doucement en l’honneur de son bien-aimé. Dargo vo
, mais aimables. » Le cerf, dans sa course, les franchissait sans les
toucher
, et le chevreuil ne se permettait pas d’en faire
la lune qui prévoit l’orage et cache sa belle tête dans un nuage. Je
touchai
la harpe avec Ullin, et le chant de douleur recom
la recherche individuelle. Il veut nous le montrer de plain-pied, le
toucher
du doigt, nous le raconter comme il nous raconter
le de Dieu sur le monde, abandonnez cet accablant sujet d’Attila ! Ne
touchez
pas à la hache de ce Barbare ; vous y laisseriez
fond d’Attila n’eût flairé la jouissance romaine, et que l’envie d’y
toucher
ne se fût éveillée ! L’impulsion d’Alaric ( quo m
e de cendres, croulent et se dispersent sous le premier doigt qui les
touche
. Ils ont été foudroyés, à ce qu’il semble, par le
cette conception historique qui n’est pas le rationalisme, mais qui y
touche
; qui lui laisse ses négations, il est vrai, mais
rti pris pour les vaincus, dont la sentimentale chevalerie a toujours
touché
les imbéciles, et c’est ce que j’en peux dire de
les vermillons ! — oui, devant cet épouvantable malheur, la Critique,
touchée
de pitié, ne marchanda plus rien à M. Augustin Th
es Chroniques et qui doit plaquer du feu et du sang sur tout ce qu’il
touche
! Pour écrire dignement l’histoire de ces Barbare
et étendue. — II. Construction de l’idée d’espace. Rôle de la vue, du
toucher
et des autres sens. La troisième dimension. Rôle
f dans le dernier cas, et de plus intensif dans le premier. Vous êtes
touché
de partout ici, et vous réagissez dans tous les s
pas une seconde qualité commune, plus visible dans les sensations du
toucher
et de la vue que chez les autres, l’extensivité,
beaucoup de kantiens n’admettent l’extensivité que pour la vue et le
toucher
. Quand même la représentation de l’étendue serait
nce locale indépendamment même de tout mouvement, comme quand on vous
touche
les deux mains à la fois ; mais cette différence
une différence de position, si le mouvement de la main gauche venant
toucher
la main droite ne se joignait pas aux signes loca
cune son signe local ; en même temps, j’ai une série de sensations de
toucher
actif ayant également leurs signes locaux ; enfin
galement leurs signes locaux ; enfin, j’ai une série de sensations de
toucher
passif, ayant aussi leurs signes locaux. Il se pr
la pénétration, à la fusion, à la confusion y est dominante. Seul le
toucher
vous donne, comme la vue, la juxtaposition sans p
L’enfant, naturellement, n’avait pas pu la reconnaître, mais, l’ayant
touchée
, elle avait dit : « C’est une main » ; et depuis,
des cavernes, sans se heurter aux parois qu’elle perçoit de loin. Le
toucher
est pour elle une seconde vue ; ses deux ailes lu
is être à la portée de notre main, qui, tout à l’heure, ne pouvait le
toucher
et maintenant le palpe. Nous acquérons ainsi l’id
ous y ajoutons le mouvement avec les sensations musculaires, enfin le
toucher
actif et passif, la carte spatiale finira par se
durant son ravissement voir Rodrigue et Chimene. Elle a seulement été
touchée
presque aussi vivement qu’elle l’auroit été, si r
ne toille sur laquelle on a placé des couleurs avec art. Une tragedie
touche
ceux qui connoissent le plus distinctement tous l
rendre sa place. Alors l’esprit se livre sans distraction à ce qui le
touche
. Un curieux d’architecture n’examine une colonne,
stinctement selon la plus ou moins grande facilité de mon corps à les
toucher
et à les mouvoir. Ils renvoient donc à mon corps,
ent l’action possible de mon corps sur eux. Je vais maintenant, sans
toucher
aux autres images, modifier légèrement celle que
se faire attendre. C’est ainsi que, dans les espèces inférieures, le
toucher
est passif et actif tout à la fois ; il sert à re
vements, ces centres ne se déterminent eux-mêmes que par rapport à un
toucher
impuissant, à une impulsion inefficace, à une lum
on existence par l’ouïe, soit qu’il m’ait été révélé par la vue ou le
toucher
. Mon activité motrice devient alors une entité à
te sollicitation, comme nous l’avons vu, est la perception même. Nous
touchons
ici du doigt l’erreur de ceux qui font naître la
de ces faits est que nos sens ont besoin d’éducation. Ni la vue ni le
toucher
n’arrivent tout de suite à localiser leurs impres
tensives de la vue se composeront avec des sensations inextensives du
toucher
et des autres sens pour donner, par leur synthèse
es sur la signification réelle de la douleur. Quand un corps étranger
touche
un des prolongements de l’amibe, ce prolongement
able éducation. Un certain temps s’écoule avant que l’enfant arrive à
toucher
du doigt le point précis de la peau où il a été p
ve présente l’idée d’une certaine perception possible de la vue et du
toucher
, de sorte qu’une affection déterminée évoque l’im
e et permette de la rattacher à telle donnée possible de la vue ou du
toucher
plutôt qu’à toute autre. Mais cela ne revient-il
raduire notre expérience affective en données possibles de la vue, du
toucher
et du sens musculaire. Une fois cette traduction
ur l’étendue tactile ? Tout ce que ma vue constate dans l’espace, mon
toucher
le vérifie. Dira-t-on que les objets se constitue
objets se constituent précisément par la coopération de la vue et du
toucher
, et que l’accord des deux sens dans la perception
; la réalité des choses ne sera plus construite ou reconstruite, mais
touchée
, pénétrée, vécue ; et le problème pendant entre l
alité, c’est ici, dans le phénomène de la mémoire, que nous devons le
toucher
expérimentalement. Et dès lors toute tentative po
s véritablement placés hors de nous dans la perception pure, que nous
touchons
alors la réalité de l’objet dans une intuition im
rits. Il est même à penser que sans cette circonstance de vaincu, qui
touche
la chevalerie française, la Critique, trop spirit
ut intéresser qu’un très petit nombre d’esprits. Seulement, si elle a
touché
à cet ouvrage avec une gravité et une considérati
omme qui, quoique saint, avait été philosophe, et qui, par Descartes,
touchait
à Hegel ? M. de Rémusat a beau nous dire, avec un
rche éternellement sans se trouver. Seulement, pour tous ceux qui ont
touché
à ces questions dévorantes, on sera suffisamment
t M. de Rémusat est sorti, n’est pas plus comprendre cette époque que
toucher
un objet avec l’extrémité des doigts n’est le sai
us avons dans notre langue ? D’où vient enfin ne cherchent-ils pas à
toucher
le cœur plutôt qu’à frapper l’esprit , selon la r
. Cet espace ne lui semble pas suffisant pour plaire, persuader &
toucher
. C’est les mettre, selon lui, dans le cas que leu
faire à d’autres. Venons à la troisième proposition, qu’il vaut mieux
toucher
qu’instruire. L’avocat la rejette également. Il a
eur esprit beaucoup moins qu’à leur cœur ; remuer efficacement l’ame,
toucher
, plaire, entraîner, séduire même en un sens ; voi
p; Fléchier n’ont excellé que dans le panégyrique. Enfin, personne ne
touche
plus que Massillon : personne n’a mieux rempli l’
de ce grand homme viennent de ce qu’il cherche moins à instruire qu’à
toucher
. Il suppose toujours les principes, ou les établi
Barbares, par la haine d’abord et par la cupidité, puis, dès qu’ils y
touchaient
, par la beauté, par le passé et par ce charme ind
s, salve ! per sæcula. L’Église romaine succéda à l’Empire. Or, sans
toucher
à la question religieuse, et tout en reconnaissan
e n’est pas un homme d’action comme Dante ; il n’est pas épique et ne
touche
pas à la profondeur des vérités éternelles ; il n
« débarrassée de certaines contingences » ; dans son chaos même, elle
touche
souvent à l’absolu ; exemples : la Papauté ; Fréd
uelle de l’Europe. — En Italie, la monarchie est libérale au point de
toucher
à la république ; en Allemagne, elle repose sur u
lique ; en Allemagne, elle repose sur une hiérarchie si forte qu’elle
touche
à l’absolutisme ; la nation s’y est constituée en
i soit contre la vrai-semblance. Les hommes ne sçauroient être gueres
touché
d’un évenement qui leur paroît sensiblement impos
p difficile de placer ces bornes. D’un côté, les hommes ne sont point
touchez
par les évenemens qui cessent d’être vrai-semblab
te tragedie parmi celles qui sont l’honneur de notre théatre. Elle ne
touche
que par surprise, et l’on desavouë son émotion pr
entière ; on l’y trouve, mais il faut un travail pour cela. En ce qui
touche
ses amours, par exemple, les amours qu’il a inspi
rçant seulement de bien définir cette corde si fondamentale en ce qui
touche
l’âme et le talent du grand écrivain. C’est dans
it aimer. Mais, au moment où tout va s’aplanir, où la jeune fille est
touchée
, où sa mère, qui la devine, prévient l’aveu et of
à la fois un trait de mauvais goût et l’indice d’un cœur médiocrement
touché
. La fin de l’épisode de Charlotte est gâtée par d
t, qui l’ignore ? » On voit percer, même dans cette scène qui vise et
touche
à l’émotion, cette double fatuité qui ne le quitt
’ennui m’a toujours dévoré : ce qui intéresse les autres hommes ne me
touche
point. Pasteur ou roi, qu’aurais-je fait de ma ho
e roulé d’abîme en abîme avec les débris de Dieu et du monde ! » Nous
touchons
là à l’accent distinctif et nouveau qui caractéri
rs de l’antiquité, des acteurs froids et par conséquent incapables de
toucher
le spectateur. En premier lieu, comme les acteurs
lieu, comme les acteurs qui recitent des opera ne laissent pas d’être
touchez
eux-mêmes en recitant, comme l’assujetissement où
ussent astreints à suivre une déclamation composée, que les nôtres se
touchent
en déclamant arbitrairement. Quintilien dit qu’il
, lorsqu’ils venoient d’y jouer des scenes interessantes. Ils étoient
touchez
, donc ils faisoient pleurer comme les nôtres. D’a
les écrire. La griffe du lion y est restée ! Il n’est plus permis d’y
toucher
. Bégin n’a pas senti cela. Il a manqué deux fois
e, ou plutôt je ne le sais que trop… Sans son audacieuse tentative de
toucher
à la reine des histoires (Ne touchez pas à la Rei
Sans son audacieuse tentative de toucher à la reine des histoires (Ne
touchez
pas à la Reine !), la critique n’en parlerait pas
ivains qui, sans la vocation du talent et le droit de l’intelligence,
touchent
à un sujet historique réservé à la main des Maîtr
re personnages réels et vrais. D’où l’on voit que les objets que nous
touchons
, voyons ou percevons par un sens quelconque, ne s
ont toutes les erreurs de la perception extérieure, surtout celles du
toucher
et de la vue. Je ne parle pas seulement de celles
fère de l’objet apparent. Par exemple, lorsque, les yeux fermés, nous
touchons
une boule avec l’index et l’annulaire croisés, no
touchons une boule avec l’index et l’annulaire croisés, nous croyons
toucher
deux boules ; voilà une des erreurs du toucher. C
croisés, nous croyons toucher deux boules ; voilà une des erreurs du
toucher
. Celles de la vue sont innombrables ; nous en com
renferme une conception affirmative. Quand je vois l’arbre ou que je
touche
la boule, ma sensation me suggère un jugement, c’
, nous passons au dernier et au plus général de tous, c’est-à-dire au
toucher
, nos conclusions sont pareilles. — Tout d’abord,
quivaut à tel mouvement de notre main constaté par les yeux ou par le
toucher
; nous substituons le second fait au premier, com
8, deux petits corps, A et B, assez voisins l’un de l’autre pour être
touchés
simultanément, l’un avec la main droite, l’autre
rie des sensations musculaires à la suite desquelles sa main arrive à
toucher
la pierre ? — On l’a déjà vu, ce qui constitue un
de froid que j’éprouverais si je portais la main au-delà de l’endroit
touché
, celle des sensations musculaires de locomotion p
scence et d’association qui le forment et l’éveillent. Quand un chien
touche
la table, toutes les images qu’on a énumérées sur
, pourvoir à ses besoins, diriger ses démarches. S’il voit, flaire ou
touche
une pièce de viande, il a, par réviviscence et as
s par la psychologie normale avant de se lancer dans des théories qui
touchent
à l’occultisme174. Selon nous, la loi générale de
qui en sont inséparables, a immobilisé, dans le clavier cérébral, la
touche
qu’il faudrait presser pour ouvrir les yeux. De m
timulus, en partie à ce qu’il n’y a pas de sensations concurrentes du
toucher
ou de la vue. Il est donc bien vrai que l’action
que nous avons citée plus haut. Demandez à l’hystérique, après avoir
touché
cinq fois à son insu sa main insensible, pourquoi
le remarquent pas perdu dans l’ensemble. C’est que ce chuchotement ne
touche
aucun point pour ainsi dire explosible de leur ce
Chose curieuse, cette hallucination ne se produit que si M. Janet lui
touche
la main. Si une autre personne que lui la touche,
que si M. Janet lui touche la main. Si une autre personne que lui la
touche
, rien ne se produit ; mais si M. Janet touche lui
tre personne que lui la touche, rien ne se produit ; mais si M. Janet
touche
lui-même cette seconde personne, même à l’insu de
exercée par lui avait passé au travers du corps de la personne qu’il
touche
. Si on fait une sorte de chaîne avec plusieurs pe
ey était de cacher la main du sujet derrière un rideau épais, puis de
toucher
un de ses doigts, qui devenait aussitôt insensibl
s doigts, qui devenait aussitôt insensible ou rigide. Si un assistant
touchait
en même temps un autre doigt, jamais il ne le ren
moi, puis vers son frère. Elle tâte l’air près de sa tête, mais ne le
touche
pas, s’arrête devant lui en hésitant ; elle se ra
le la perfection avec laquelle les aveugles distinguent les choses au
toucher
, ou avec laquelle les sourds-muets lisent la paro
mann, les rhizopodes retirent en arrière leurs pseudopodes lorsqu’ils
touchent
des corps étrangers, même si ces corps étrangers
autre moi dans le moi. Supposez que, dans un piano, toutes les notes
touchées
soient rendues silencieuses par une sorte d’inhib
n pas davantage encore aux grandes conclusions de la psychologie, qui
touchent
de si près à la morale, à la science sociale, enf
t où mon frère s’était brûlé ; mais il faut remarquer qu’elle s’était
touché
et gratté le bras pendant la journée. » (Ibid., p
passion est pour moi sans appas, Et que d’aucun plaisir je ne me sens
touchée
, Lorsqu’à tant de respect je la vois attachée. Au
l’épouse d’un être que, à sa voix, à ses discours, à l’entendre, à le
toucher
, elle trouve charmant, mais qu’elle ne voit jamai
st si charmant, que j’ai peur du visage, Et même, en carnaval, je n’y
toucherais
pas. Telle serait la moralité de Psyché contée c
e le parfum. L’amour ne pouvait parler autrement. « … Pour ce qui me
touche
, je prends un plaisir extrême à vous voir en pein
me un être imparfait ; la perfection nous attire ; mais quand nous la
touchons
elle nous intimide. On n’appelle « Dieu » l’homme
eveux ; Contre ses vêtements parfois il se courrouce. L’onde, pour la
toucher
, à longs flots s’entre-pousse ; Et d’une égale ar
Ce n’est pas absolument de la très grande poésie, mais La Fontaine y
touche
et y touche de très près. Je ne vous parlerai pas
s absolument de la très grande poésie, mais La Fontaine y touche et y
touche
de très près. Je ne vous parlerai pas longuement
ictement l’horizon de la connaissance future : on a déjà précédemment
touché
la même conclusion en montrant le Génie de l’Espè
é et à stimuler notre ardeur à connaître. Il en est de même en ce qui
touche
à beaucoup d’autres parts du domaine scientifique
soit, à remonter sans répit de cause en cause, sans lui permettre de
toucher
jamais une origine première, les lois de l’espace
une forme définie, la tirant du chaos pour la réaliser. *** En ce qui
touche
aux réalités créées sous l’action d’une utilité v
x réalités créées sous l’action d’une utilité vitale, comme en ce qui
touche
aux réalités créées sous l’action d’une utilité d
uche à lui, M. Ponsard. Il n’y a rien de commun certainement entre la
touche
de M. Bouilhet, qui a une touche, et la touche de
rien de commun certainement entre la touche de M. Bouilhet, qui a une
touche
, et la touche de M. Ponsard, en supposant qu’on p
certainement entre la touche de M. Bouilhet, qui a une touche, et la
touche
de M. Ponsard, en supposant qu’on puisse employer
Victor Hugo de dixième venue, un enfant robuste qui n’a pas craint de
toucher
au cor de ce Roland qui a sonné dans Les Contempl
II Il en est ainsi en ce qui
touche
à la réalité psychologique où toutes les autres f
qu’elle est réalisée. Cet automatisme, qui semble probable en ce qui
touche
aux actes pourtant complexes de certains insectes
illes, les chenilles, les fourmis, qui semble le cas normal en ce qui
touche
à toutes les fonctions gouvernées par le grand sy
ncérité cordiale de son inspiration et la familiarité poignante de sa
touche
. Deux qualités positivement bonnes, supérieures e
nous n’avons pas tout dit. Indépendamment de son inspiration et de sa
touche
à pleine main, Bouniol a d’autres qualités encore
our ce temps, aura-t-il du succès ? Fera-t-il son sillon de lumière ?
Touchera-t
-il son obole de gloire ? Toutes questions ! Car l
Minerve et la paix à prendre du chocolat. Toutes les têtes de la même
touche
, et coulées dans le même creux. Les robes rouges
es d’un verd jaunâtre. Même couleur aux fleurs. Elles sont lourdement
touchées
et sans finesse. Monotonie si générale du reste,
de dessein, de couleur, d’effet, de composition, pauvre, sale, mou de
touche
, papier barbouillé sous la presse de Gautier. Ce
rs pussent nous ébranler avec facilité. Ainsi leur émotion seule nous
touche
subitement ; et ils obtiennent de nous, en nous a
ïent des défauts essentiels : c’est que les hommes qui sont eux-mêmes
touchez
, nous touchent sans peine. Les acteurs dont je pa
ts essentiels : c’est que les hommes qui sont eux-mêmes touchez, nous
touchent
sans peine. Les acteurs dont je parle sont émus v
vie la plus convenable au philosophe qui fait le métier dangereux de
toucher
aux préjugés de son siècle ? Cette règle de vie,
st d’établir les origines purement humaines du christianisme. ∾ Nous
touchons
au secret, à la grande habileté du sage : c’est p
s choses morales non plus que dans les choses sociales. Vingt fois il
touche
à ces brûlantes questions ; vingt fois il est sur
, a la pudeur d’essuyer sa blessure et ne tache plus les choses qu’il
touche
que du rose d’un sang épuisé, qui fait bien plus
ut bien l’avouer, par l’exécution la plus générale de ses poésies, il
touche
aux Matériels. Il est descriptif et chaud dans la
tion à reprendre dans la poésie de M. Auguste de Châtillon, et ici je
touche
au point vif de son Recueil… Il y a une influence
la campagne. Ah ! lui aussi, la mauvaise démocratie l’emporte, et il
touche
par là au Réalisme, cet idéaliste de sentiment. I
plus heureuses perspectives à ces fertiles contrées merveilleusement
touchées
par le poëte : A l’horizon déjà, par leurs eaux
e pas, qui ne convertit pas tout en or, mais qui rend à tout ce qu’il
touche
la qualité propre et la vraie valeur, tient de tr
re et dissimulée, l’esprit poétique, intime, précis, et en tant qu’il
touche
aux racines mêmes, existe plus peut-être que dans
oraison funèbre de la société et de saint Hilaire qui tonne aussi, on
touche
à Pascal et à Bossuet : on a déjà Polyeucte dans
e barque plus légère voguant à côté de l’escadre imposante, et allant
toucher
à des points du rivage où le gros vaisseau de l’h
t en d’aimables passages, comme, par exemple, en ces endroits si bien
touchés
des chastes mariages chrétiens, où les époux conv
use. On en croira ce qu’on voudra ; mais j’aurais voulu que M. Ampère
touchât
un mot du doute soulevé et de la querelle. Il est
rtaine matière sensible n’est-elle pas offerte à la vue, à l’ouïe, au
toucher
, etc., dans le sommeil comme dans la veille ? Fer
s une matière sonore, il a de la peine à fabriquer de la sonorité. Le
toucher
intervient d’ailleurs autant que l’ouïe. Un conta
faire. Il consiste à se sentir voler, planer, traverser l’espace sans
toucher
terre. En général, quand il s’est produit une foi
aviez pas conscience d’être couché. Vous vous disiez donc que vous ne
touchiez
plus terre, encore que vous fussiez debout. C’est
forme dans le rêve. Plus importantes encore sont les sensations de «
toucher
intérieur » émanant de tous les points de l’organ
e sont des sons plus indécis qui impressionnent mon oreille, c’est un
toucher
plus indistinct qui est éparpillé à la surface de
int 11. Je suis dans la rue ; j’attends le tramway ; il ne saurait me
toucher
puisque je me tiens sur le trottoir : si, au mome
juges compétents de la vérité du sermon. Et s’il est vrai que ce qui
touche
au mystère et au dogme nous dépasse pour la plupa
leçon de morale sur le ton de l’homélie. Nous sommes sans doute moins
touchés
que les fidèles du dix-septième siècle de l’inter
tenter notre raisonnement ajoute à cette épouvante ; voilà notre cœur
touché
d’une inquiétude qui ne doit pas finir, et si la
voûtes des églises qui entendirent Bourdaloue ? Nous sommes bien plus
touchés
des excès que de la commodité de sa méthode. J’ai
et dans nos passions, bornées comme notre vie. Nous pourrions en être
touchés
comme de la vérité d’une peinture historique ; ma
t la simplicité et la profondeur de sa foi, qu’à la longue on se sent
touché
de respect. Au lieu d’un avocat qui veut nous don
lgré les invitations de l’Homme-Dieu à venir à lui, à le suivre, à le
toucher
. Loin d’imiter l’affectueuse familiarité de parol
quefois la superstition de l’artiste pour la façon ; le bien-dire les
touche
presque plus que le vrai ; ils nous laissent à no
secondes que pour les premières. Le critique supérieur est celui que
touchent
les unes comme les autres. Mais à une époque où l
s qui aiment bien Racine l’aiment de cœur, et c’est au cœur qu’on les
touche
quand on dit du mal de leur poète. Quoi qu’il en
» Il est étonnant qu’on s’arrête en si beau chemin, et qu’un critique
touché
jusque-là n’ait pas été entièrement conquis. Il e
l lui donnait tout à l’heure au détriment de Pascal et de Fénelon. Je
touche
à ce qui fut l’honneur commun de Vauvenargues et
uelques lumières qui n’eussent pas encore été démontrées ; là où j’ai
touché
au but, et là où je m’en suis éloigné. » Il nous
a consacrée à Blanche, femme de Louis VIII et mère de saint Louis. La
touche
un peu rude et parfois cornélienne de Mézeray s’e
rance. Cette page de Mézeray est de celles qui rappellent le mieux la
touche
d’Amyot, treize ans avant Les Provinciales. Avec
vé, mais était vaste et sans mesure en toutes choses… Je ne fais que
toucher
les principaux traits, j’en supprime d’énergiques
uillages, et, comme si c’eût été un Dieu visible, essayaient de faire
toucher
leurs mouchoirs à sa monture pour les garder comm
ite et de charme que je trouve au style ou plutôt à la langue et à la
touche
éparse de Mézeray ; il me reste à insister sur se
iments comme le philosophe est un semeur d’idées. Avant tout, il veut
toucher
. Toucher, c’est faire partager au lecteur les sen
mme le philosophe est un semeur d’idées. Avant tout, il veut toucher.
Toucher
, c’est faire partager au lecteur les sentiments q
rsonnages qu’on a créés. Si l’auteur ne réussit point à cela, s’il ne
touche
pas du tout, laissons-le ; mais s’il nous touche
oint à cela, s’il ne touche pas du tout, laissons-le ; mais s’il nous
touche
un peu, ne résistons-pas, laissons-nous conduire
cet aimable guide, laissons-nous aller à l’impression, laissons-nous
toucher
, laissons-nous attendrir. Nous ne nous appartenon
ens » est un homme que la gloire de Louis le Grand, encore qu’elle le
touche
, n’éblouit point et n’hypnotise pas ; au XVIIIe s
issé prévoir en le préparant grossierement, ne laissera point de nous
toucher
s’il est bien traité. Cet évenement nous interess
x qui ont vû plusieurs fois ces tragedies, ils ne laissent pas de les
toucher
jusques aux larmes. Il semble que l’esprit oublie
eresse. Voilà pourquoi les hommes préfereront toujours les poemes qui
touchent
, aux poemes reguliers. Voilà pourquoi nous préfer
vieux médecin, bien qu’il soit né tendre et compatissant, n’est plus
touché
par la vûë d’un mourant autant que l’est un autre
si foiblement, qu’ils ne s’apperçoivent presque pas si l’ouvrage les
touche
ou s’il ne les touche point. Leur attention se po
ne s’apperçoivent presque pas si l’ouvrage les touche ou s’il ne les
touche
point. Leur attention se porte toute entiere sur
el et un mérite de comparaison. Le mérite réel consiste à plaire et à
toucher
. Le mérite de comparaison consiste à toucher auta
l consiste à plaire et à toucher. Le mérite de comparaison consiste à
toucher
autant ou plus que certains auteurs dont le rang
quefois lorsque trop épris du mérite des productions nouvelles qui le
touchent
et qui lui plaisent, il décide en usurpant mal à
t puisé au sein d’une éducation sensée et religieuse, où le grandiose
touchait
à la simplicité. Là plus qu’ailleurs, dans cette
ur temps dans toutes ses nuances, comme ces belles jeunes filles, qui
touchaient
, elles, par tous les points de leur éducation et
storien de la maison qu’elle a fondée est trop près d’elle, il a trop
touché
à son œuvre, — aux débris de son monument, — pour
verner qu’elle gouverne. Réellement, de la plupart des femmes qui ont
touché
de leurs mains frêles le terrible affiquet du Pou
es. Vous êtes le dernier. Je vais vous lire encore… » « Votre état me
touche
(continuait-il en 1745), à mesure que je vois les
ré Vauvenargues à… Bossuet ! Assurément, une telle furie d’admiration
touchait
au délire. Venant de Voltaire, cela ressemblait à
n effet, cette ambition, même infortunée, qui empêcha Vauvenargues de
toucher
au malheur suprême ; car l’ambition est faite dan
ée qu’il doit à Voltaire tombera en miettes devant la Critique qui le
touchera
d’un doigt ferme, comme un vieux tableau pulvéris
aîtres. Vous êtes le dernier. Je vais vous lire encore… Votre état me
touche
(continuait-il en 1745), à mesure que je vois les
aré Vauvenargues à… Bossuet ! Assurément une telle furie d’admiration
touchait
au délire. Venant de Voltaire, cela ressemblait à
n effet, cette ambition, même infortunée, qui empêcha Vauvenargues de
toucher
au malheur suprême, car l’ambition est faite dans
ée qu’il doit à Voltaire tombera en miettes devant la Critique qui le
touchera
d’un doigt ferme, comme un vieux tableau pulvéris
lus littéraire, comme le pêcheur sous sa cloche de cristal. Il allait
toucher
à son midi de talent en 1830, en ce fervent et bo
ait vu plus de littérature travaillée, archi-travaillée, d’un art qui
touche
à l’artifice et d’un artificiel qui touche presqu
i-travaillée, d’un art qui touche à l’artifice et d’un artificiel qui
touche
presque à l’artificieux, — nulle part, même dans
it d’amour humain dans ses Méditations avait saisi toutes les âmes et
touché
tous les cœurs, mais l’amour de Dieu est d’une gr
qu’ils souriront toujours ; ils ne peuvent pleurer sans penser qu’ils
touchent
à la fin de leurs larmes. Leurs pleurs ne sont po
ndre leurs vêtements à son temple. La mort, si poétique parce qu’elle
touche
aux choses immortelles, si mystérieuse à cause de
l’humanité : elles sont si naïves, qu’elles embarrassent l’écrivain.
Toucher
au nid d’une hirondelle, tuer un rouge-gorge, un
re encore plus délicat et plus utile pour la lumière, grâce auquel le
toucher
à distance remplace le toucher immédiat, nous n’a
utile pour la lumière, grâce auquel le toucher à distance remplace le
toucher
immédiat, nous n’avons, en revanche, aucun sens p
sensation de lourdeur et de tension, qui n’a rien de bien spécifique.
Touchez
un fil de télégraphe, vous ne sentirez pas si ses
s psychologues, avec Spencer, Bain, Wundt et Taine, cherchent dans le
toucher
le type des sensations fondamentales. Les sensati
ns le toucher le type des sensations fondamentales. Les sensations du
toucher
, à leur tour, comprennent des sensations de conta
percé d’un trou de 2 à 5 millimètres de diamètre ; à travers ce trou
touchez
la peau, tantôt avec un excitant mécanique, comme
s des autres. Dans le domaine du sens qui paraît le plus primitif, le
toucher
, la complexité subsiste, et la simplicité n’est q
ifiques sont précisément celles qui sont compliquées de sensations du
toucher
et de sensations d’odorat : le piquant du poivre
, supprime les saveurs aromatiques. La différence entre la douceur au
toucher
d’une surface polie et la rudesse d’une surface n
stingue de même une sensation de lumière d’une sensation de son ou de
toucher
. Comment puis-je faire cette différence ? se dema
que la forme extérieure, la traduction pour les sens de la vue et du
toucher
. Dans cette hypothèse, le mouvement serait une tr
en être un milieu de pure fantaisie ; comme il se proposait aussi de
toucher
à toutes les questions débattues aujourd’hui, il
passages correspondants du volume consulté. Par ce moyen, l’on pourra
toucher
du doigt le procédé de travail habituel de l’écri
nts on morts. Puis, l’ayant fait glisser au bord du corporal, sans la
toucher
des doigts, il prit le calice, qu’il essuya soign
r l’hostie sur le milieu de la partie antérieure du corporal, sans la
toucher
des doigts… Art. 79…. Le Prêtre, tenant toujours
mpérance ; voici pour la moralité : « Un vrai sublime forgeron avait
touché
cinquante-cinq francs pour sa paie de quinzaine ;
quinzaine ; il aurait très bien pu, s’il avait fait ses douze jours,
toucher
de soixante-dix à quatre-vingts francs. Sa femme
s satires. Quand un livre excite des haines, on peut être sûr qu’il a
touché
une plaie et fait frémir la vérité. Les peintres
e, et excita les scandales que l’on sait, M. Zola, qui avait été fort
touché
de l’admiration expansive de M. Busnach, lui en e
croire. Dans plusieurs passages du drame de l’Ambigu, on retrouve la
touche
vigoureuse du puissant naturaliste. D’ailleurs, i
fruit qu’un ver a mangé intérieurement, et qui s’écrase dès qu’on le
touche
. Il a une facilité déplorable, une faculté d’assi
de ce personnage des contes de fées qui changeait en or tout ce qu’il
touchait
, m. zola change en boue tout ce qu’il manie. Une
ants, fi donc ! c’est l’œuvre d’un écrivain sans foi ! Il ne faut pas
toucher
à l’ordure du mal ; laissons-la entassée, augment
suis un homme ! C’est bête de trembler devant une bouteille ! Je n’y
toucherai
pas, voilà tout. Gervaise va la faire reporter et
e la boutique ; et elle ne tolérait pas davantage que le chapelier la
touchât
, quand son mari venait de l’embrasser. Elle aurai
tête du livre pour faire tête de Méduse aux sots et les empêcher d’y
toucher
, — car les sots de moins dans un débat en rendent
tout, l’invisible donnant le visible, je ne sache comment on pourrait
toucher
à l’histoire de l’Église sans toucher au principe
je ne sache comment on pourrait toucher à l’histoire de l’Église sans
toucher
au principe par lequel elle est, par conséquent s
l elle est, par conséquent sans faire de la philosophie, — et comment
toucher
à son principe, qui est sa philosophie, sans fair
mais, — doit être mis à part de tous les autres livres qui ont jamais
touché
à ce sujet. Il s’en distingue principalement par
pourraient lire ce livre pour sa seule beauté ne le lisent pas et n’y
touchent
pas, à cause de sa vérité ! La Vérité, dans notre
ion, et qui ne sçavent pas nous dépeindre aucun objet capable de nous
toucher
; mais qui, pour me servir de l’expression d’Hora
onsiste à répresenter des objets capables de nous attacher et de nous
toucher
si nous les voïons veritablement, il est facile d
sensations parmi lesquelles il faut compter avant tout celles dues au
toucher
et à faction musculaire. La sensation ou les sens
ent dérivent, sans aucun doute, de l’action de notre propre corps. Je
touche
quelque chose, et j’ai la sensation de résistance
ous donnons le nom d’objet. Dans ce cas, il y a deux choses : l’objet
touché
, le doigt touchant. Autre cas : j’imprime une act
des peintures de l’amour qui sont dans les écrits des anciens : elles
touchent
tous les peuples ; elles ont touché tous les siec
les écrits des anciens : elles touchent tous les peuples ; elles ont
touché
tous les siecles, parce que le vrai fait son effe
peintures de cette passion qui sont dans les poësies des romains nous
touchent
comme celles qui sont dans les poësies des grecs
talent ayant cela de particulier et de supérieur dans sa mesure qu’il
touche
juste et vous prend où il a touché. Catholique d’
de supérieur dans sa mesure qu’il touche juste et vous prend où il a
touché
. Catholique d’intelligence, de sentiment, et nous
ns, forts ou faibles, il faut un jour se rencontrer. Cette faculté de
toucher
et de pénétrer, qu’on appellerai le don d’intime
s une multitude de passages fins et bien entendus, un beau faire, une
touche
amoureuse. Celui de Madame De Marigny est assez
est assez bien entendu pour l’effet d’une couleur agréable, mais la
touche
en est molle, il y a de l’incertitude de dessin,
agination saisisse. Quand il aurait ajouté que ses deux bras allaient
toucher
aux deux extrémités de l’horizon, aux deux endroi
pour étendre la tête de sa figure ; cette tête est énorme lorsqu’elle
touche
le ciel, il en faut convenir ; et l’imagination a
oile. Je lis dans un endroit de mon répertoire : bien coloriées, bien
touchées
, et de beau caractère… et dans un autre endroit b
des faunes, des satyres ; c’est un petit sacrifice bien pensé et bien
touché
. Peut-être ce Caresme peindra-t-il un jour, je n’
mon hypocrisie, s’élance un vers si nu, si pur, si déplacé, qu’il me
touche
comme une offense18. C’est la vérité jaillissant
tretienne avec désespoir dans mes moments secrets : — Voilà que j’ai
touché
l’automne des idées19.. — J’ai plus de souvenirs
moindres existences, des objets eux-mêmes. Il semble qu’il n’ose les
toucher
. Il met toute sa précaution à les soulever. Il le
vent trop large ; la forme qu’il comprend ne saurait qu’avec peine le
toucher
partout à la fois. Il omet de compenser par un re
à cette sévérité si émouvante : sévérité que répand sur tout ce qu’il
touche
l’amour. Ces toiles ont une ampleur serrée. On se
encore la trace dans cet appuiement imperceptiblement prématuré de la
touche
qui, avant de saisir le point de son assiette déf
oment, celui de la divergence ; il faut, avant qu’il pose la première
touche
, que tout le passé d’abord ait été sous-entendu.
on se contente de l’éveiller ; elle descend vers les choses, elle les
touche
en silence, comme on avertit de la main quelqu’un
’étaler et sitôt se tient muette. Elle est vive pourtant. Souvent une
touche
brille au cœur du tableau ; mais l’ensemble est s
st confirmée en ce même moment à l’autre extrémité du tableau par une
touche
imperceptible qui l’imite, dissimulée. Délicatess
! où, où Suis-je ? Absorbé, Englouti, enfoncé ! la Noirceur noire Me
touche
la face et je fais corps avec son épaisseur53. E
e parole si sombre qu’elle nous était à nous-mêmes inconnue. Quand il
touche
les mornes limites de la sensualité, l’être, égar
à la plénitude. Il ne cesse pas d’occuper toute son enveloppe, de la
toucher
en tous ses points. Comme l’orchestre wagnérien i
loyé une mélodie aussi peu emphatique que possible. Mais jamais il ne
touche
. En effet ses véritables qualités sont la séchere
faire l’autre ; ils ne sont pas pris dans un mouvement ; mais ils se
touchent
exquisement ; ils descendent ensemble ; les ligne
e sentiment ; elle n’est plus au-dessus de lui comme un arc qui ne le
touche
jamais en aucun point, mais elle naît de lui comm
isque le paysage désormais ne s’enlace plus à nous, ne cherche plus à
toucher
notre âme, puissent des êtres l’habiter, dont la
usique qui ressemble à ces quelques pages de Borodine. Elles viennent
toucher
ce qu’il y a de plus primitif en nous, elles réve
’y conserve délicatement indomptée ; elle attend mon regard et, sitôt
touchée
par lui, elle se reprend à vivre, elle se refait
les ne sont justes, fines, originales qu’aussi longtemps qu’on ne les
touche
pas ; elles sont des aveux et perdent leur sens d
d’un désir ; elle s’éveille prompte et faible, comme il s’éveille au
toucher
du nocturne rayon. Parfois elle est faite de prop
sombre227. … Et les corps délicats épousés sous les branches. … J’ai
touché
d’un doigt délicat sa peau nacrée… Je voyais ses
cette façon d’obéir aussitôt aux moindres déplacements du cœur, qu’il
touche
. L’émerveillement, dont, sans fatigue, il nous em
e transformée : plus de caresses, plus de ces phrases qui venaient me
toucher
de leur détour comme un bras. Ma sensualité ne tr
s style n’eut moins besoin du monde. Il lui est tout antérieur. Il ne
touche
les objets que pour les éviter, que pour glisser
chœur de voix douces et basses. Quel que soit l’objet qui vienne à la
toucher
, c’est par plusieurs mouvements qu’elle s’y accom
Il les garde ainsi en un faisceau bien démêlé. Chacune, dès qu’on la
touche
, tire toutes les autres, on ne sait pas comment ;
, mais encore, mais plutôt tout le reste ! Comme une harpe dont on ne
touche
qu’une corde, mais les autres en même temps sont
abite cruellement l’esprit : Il semble que chaque idée, dès qu’on la
touche
, vous châtie ; elles ressemblent à ces goules de
? Ô l’émotion quand on est tout près du bonheur, qu’on n’a plus qu’à
toucher
— et qu’on passe. Que l’âme reste désireuse, touj
émouvoir et la paralyser son abondance intime ; les tentations qui la
touchent
éveillent le trouble qu’elle portait sans le savo
errestres chantent cette joie : tenir sa vie en soi, la connaître, la
toucher
, souffrir son constant éveil : Ô ! si tu savais,
e retirent, comme des baisers précipités ; ils sont plus proches, ils
touchent
de plus près, ainsi que les pieds nus goûtent du
rien attendre de la mort. C’est qu’ainsi doublement dépouillée, elle
touche
de partout son âme, elle recueille sa tension et
— Pas plus qu’il ne consent de retranchements parmi ses idées, il ne
touche
à ses sentiments : aucun désir en lui ne se soume
des hommes de quarante ans. Je contemple celui qu’aucune défaite n’a
touché
. De là cette joie terrible dont il est possédé et
e feuillage, plonge dans l’eau « et tout au fond, mais sans insister,
touche
un peu de sable qui bouge ». (Amyntas, p. 17.) —
estiques la chassaient trop souvent. J’ai parlé d’une pension qu’elle
touchait
; ceci est à expliquer, d’autant plus que la corr
bord prévenu Mme Récamier70. Mme Valmore, au premier mot qu’on lui en
toucha
, eut d’instinct un mouvement de refus. Sans bien
énéreux poète un sentiment de peine et de résistance morale à l’aller
toucher
. Elle semble même d’abord avoir cru dans sa simpl
ce mot toujours… Mais tu vois aussi que la persévérance dans le bien
touche
toujours la bonté de Dieu qui semble dire à la fi
on et d’estime. Je ne sais, après tant de douleurs, ce qui pouvait me
toucher
davantage. Je t’aime bien, mon bon frère, et je l
nte et toute ravissante charité84. Il faut voir comme cela est dit et
touché
. Il s’agit tout bonnement d’un jeune musicien, fi
émoire ce verset de l’Imitation. 85. En la publiant, M. Sainte-Beuve
touchait
autour de lui, et parmi ses lecteurs, à des corde
cus d’avance des vérités qu’il y proclame. Mais il lui est défendu de
toucher
à l’histoire. S’il y touche, le préjugé se lève ;
l y proclame. Mais il lui est défendu de toucher à l’histoire. S’il y
touche
, le préjugé se lève ; et, s’il l’écrit, c’est qu’
sez remarqué l’action mystérieuse de l’Église sur les esprits qu’elle
touche
. Même dans le mal, s’ils deviennent pervers, elle
souleva avec eux. Cela dut être quelque chose d’implacable, car on ne
touche
pas pour la première fois au Passé, sans que ce v
le tour des bibliothèques de l’Europe. Il en rapporta un livre d’une
touche
inconnue, une grande œuvre, la Vie de Luther. Pub
e Bossuet en l’achevant. Bossuet, homme de sommet, et d’un sommet qui
touche
au ciel, reste sur sa hauteur dans son histoire.
oire particulière dans l’histoire du catholicisme que l’historien pût
toucher
, tant les mailles de ce magnifique réseau rentren
ontesquieu, facettes qui ne sont pas toujours de diamant. Quand Audin
touchait
à la figure principale du xvie siècle, son plan
r brûler comme la flamme, suivant la loi qui veut que les extrêmes se
touchent
et confluent, il s’est trouvé que Luther et Calvi
é, mais comme un tel génie effleure, en laissant dans le marbre qu’il
touche
l’empreinte du coup de son aile, — ont leurs sple
tuels qui aiment à déterrer les morts célèbres, qu’ils n’auraient pas
touchés
vivants ! Alors il prendra son rang, qu’il ne per
parler peu des petits, mais avec dignité. Préparez, quand vous voulez
toucher
; n’interrompez jamais les assauts que vous livre
ement, de choisir un héros dont le sort puisse nous attendrir et nous
toucher
. Pour cela, il ne faut pas choisir un homme vicie
ui. Voilà ce qui alarme, ce qui attache : ce n’est pas le meurtre qui
touche
, c’est l’intérêt qu’on prend au malheureux qui le
dans la tragédie. Là, c’est le cœur tout seul qu’il faut intéresser,
toucher
, émouvoir, attendrir ; dans la comédie, c’est l’e
sentiments, les épisodes, et tout ce qui compose ces deux poèmes, ne
touchent
que les habiles dans l’art poétique, ceux qui en
: c’est même la voie la plus sûre ; on admire moins, mais on est plus
touché
. C’est que ceux en qui nous voyons nos faiblesses
, ne peut jamais être qu’une passion grossière qui révolte au lieu de
toucher
, à moins qu’un tel caractère ne soit attendri et
leurs actions soient tout ensemble passionnés et raisonnables : vous
toucherez
beaucoup plus que par des mouvements déréglés ou
ius, par Lafosse, qui attaqua la première ce préjugé ridicule. On fut
touché
de l’amour de Valérie pour son époux, de la tendr
à représenter par des images propres à nous émouvoir, tout ce qui ne
toucherait
pas s’il était dit simplement. Si Hippolyte disai
ement : Depuis que j’aime, je ne puis plus supporter la chasse, il ne
toucherait
pas ; mais qu’il dise : Mes traits, mes javelots
le reçoit une affection vive, et qu’on appelle communément sentiment,
touchent
toujours, quoiqu’elles soient énoncées par les te
il a essuyé une tempête, qu’il a vu périr son ami dans cet orage ; il
touche
, il intéresse, s’il parle avec douleur de sa pert
a perte, s’il est plus occupé de son ami que de tout le reste ; il ne
touche
point, il devient froid, s’il fait une descriptio
Les malheurs épouvantables tomberont sur un homme, que j’en serai peu
touché
, si vous ne me l’avez pas montré d’abord digne de
et bon, se joint celui de se comparer aux malheureux dont le sort le
touche
. Non quia vexari quemquam est jucunda voluptas ;
tremblons, nous frémissons pour un malheureux, parce que nous sommes
touchés
de son sort, et qu’il nous inspire de la tendress
re que des effets médiocres. Si la tragédie de Mérope m’attendrit, me
touche
, me fait verser des larmes, il faut que, dans l’o
nter les plaintes, la joie et la fureur ; mais la musique, faite pour
toucher
, ne raisonne pas. Titus fredonnant un cours de mo
Il en est de même de tous les genres de poësie, et chaque genre nous
touche
à proportion que l’objet, lequel il est de son es
ette lecture. Ces deux genres de poësie nous font entendre des hommes
touchez
, et qui nous rendroient très-sensibles à leurs pe
méticuleux, c’était la langue même de ces admirables Mémoires, cette
touche
vive, familière, supérieure et négligée, qui atte
s que l’un après l’autre, parce que nous avions considéré que rien ne
touche
et n’émeut tant les peuples, et même les compagni
es de la politique, à celles qui devancent les temps, et à la fois il
touche
à ce qui était pratique alors. Irrité des contrar
» ; Mme de Longueville qui « avait une langueur dans ses manières qui
touchait
plus que le brillant de celles mêmes qui étaient
ants ». Il faudrait tout citer, tout rappeler dans ses tableaux d’une
touche
à la fois si forte et si ravissante. Ces portrait
la contrepartie railleuse sans l’exprimer. — « La Cour qui se sentait
touchée
à la prunelle de l’œil… » dira-t-il à propos de l
quand il parut, un mot en passant comme d’une jolie chose qui l’avait
touchée
, cette princesse ! Puis elle se tut pour reprendr
ant ce mot-là qui paraît bien gros en parlant d’une chose si finement
touchée
, nous avons dit le secret de celle qui l’a écrit.
elle ne l’est point, si elle l’est de secte. Talent très féminin, qui
touche
et qui sait plaisanter, et qui doit cacher une ch
re. L’auteur, nous l’avons vu plus fort, plus peintre, plus savant de
touche
dans Michelet, avant que Michelet eût dégradé sa
ien faite. Malgré les ressemblances de manière et des incertitudes de
touche
, les Horizons prochains étaient un vrai chef-d’œu
l’auteur des Horizons célestes. Elle fait du bien à l’âme. Elle sait
toucher
aux cœurs brisés, Elle les brise même parfois, ma
est un coup de maître dont l’économie politique peut n’être pas fort
touchée
, mais devant lequel le vrai moraliste ne peut res
se croire souillés par le contact des gens moins sévères qu’eux ; on
touchait
presque pour les repas aux puériles distinctions
ophète ; car, s’il l’était, il s’apercevrait bien que la femme qui le
touche
est une pécheresse. » Jésus répondait par la para
par un tel accueil, lui apportaient leurs nourrissons pour qu’il les
touchât
535. Des femmes venaient verser de l’huile sur sa
érés, tels que ceux de Gresset, de d’Aguesseau, de Vauvenargues, sont
touchés
avec une grâce parfaite, et comme enlevés avec lé
Il ne fait pas seulement briller à nos yeux les choses éloquentes, il
touche
avec émotion les choses profondes. M. Villemain a
qu’il ne se donnait pour sujet que Proclus ou même Platon, cela nous
touchait
moins ; mais la méthode nous est devenue très sen
umer d’un mot : M. Villemain a des teintes plus fines, M. Cousin a la
touche
plus large. Seulement si quelqu’un, frappé chez c
rtaines vérités générales exprimées dans un langage parfait ». Ce qui
touche
tout le monde, ce qui touche éternellement, ce qu
rimées dans un langage parfait ». Ce qui touche tout le monde, ce qui
touche
éternellement, ce qui est vrai partout et toujour
d’Andromaque et d’Hector, la prière de Priam aux pieds d’Achille nous
touchent
profondément. C’est que ce sont des scènes aussi
à la condition qu’elles se mêlent à des vérités humaines et qu’elles
touchent
à l’homme par quelques côtés, soit en lui exposan
aux relations immenses, et plus Européenne encore que Française, qui
touchait
aux plus hautes sociétés de son temps et dont l’e
ant que qu’on peut le dire à la fragilité ! Elle a la distinction qui
touche
à l’originalité comme la grâce touche à la force
ité ! Elle a la distinction qui touche à l’originalité comme la grâce
touche
à la force ! un style plein de couleur et de mélo
l’écrivain ! Mais si, au lieu du génie momentané de l’écrivain, nous
touchions
à son génie de toujours, à ce génie qui doit s’in
ruit que son livre devrait soulever. La Critique voudra-t-elle bien y
toucher
de ses mains prudentes ?… Il y a dans le Musée d’
ard de cette question qui l’aiguillonne, l’auteur du Ménage, avant de
toucher
à Voltaire, nous retrace le tableau de la société
épondre ? Des cris ne sont pas des raisons. Nous savons bien qu’on ne
touche
pas à une idole pour faire mieux que de la briser
que cela, lui, la moralité de Voltaire, dans cette biographie qui ne
touche
pas à son génie, mais qui veut seulement en infir
après qui la Forme, cette fortune des idées, se met à courir, ils ont
touché
à tout le clavier humain, et ils l’ont fait vibre
e chose, il n’a encore qu’une célébrité contestée, et il faut l’avoir
touché
dans la vie littéraire pour savoir quelle flamme
is ce temps-là, ont été couvés dans la veste brodée du Figaro : de La
Touche
, Becquet ; l’Érigone politique du Journal des Déb
paru depuis Byron, mais une fleur de poésie mortelle aux âmes qu’elle
touche
, comme le laurier-rose, dont elle a les suavités
Discours prononcé à Quimper 17 août 1885 Que je suis
touché
, Messieurs, de vos bonnes paroles, et que je sais
dans tout homme, je dirai presque dans tout être conscient, nous fait
toucher
une vie sœur de la nôtre, dans toute fleur nous m
imable. Merci, cher Ilémon ; merci, cher Luzel, de cette fête qui m’a
touché
profondément au cœur. Je ne sais si j’en verrai d
u génie en general Le sublime de la poësie et de la peinture est de
toucher
et de plaire, comme celui de l’éloquence est de p
peuvent être des ouvrages froids et ennuïeux. Afin qu’un ouvrage nous
touche
, il faut que l’élegance du dessein et la verité d
eur langage. Ils ont voulu arrêter nos sens sur les objets destinez à
toucher
notre ame. C’est le but de l’orateur, quand il s’
otre imagination dans la sublimité des fables homériques, tout ce qui
touche
nos cœurs dans cette première et naïve expression
oileau et à Perrault le véritable Achille. Tous les deux ont l’esprit
touché
d’un idéal de héros qu’ils ont trouvé, Perrault d
de tous les grands écrivains du dix-septième siècle qui a été le plus
touché
du génie d’Homère, Fénelon. Les encouragements qu
strueux. S’ils pensaient ce qu’un autre a pu penser comme eux. C’est
toucher
du même coup le défaut et la vanité qui s’y intér
emploi de l’esprit ; mais à côtoyer ainsi le vrai, on a la chance d’y
toucher
quelquefois. Là même où Lamotte n’est que spécieu
ient alors en aide à son admiration languissante, et je le crois plus
touché
de ce qu’il ôte à Racine que de ce qu’il donne à
nneur à la muse, et qu’il transforme sa plume en une lyre mystérieuse
touchée
par des doigts divins. Vieilles images, j’en conv
raits qu’il a tracés. Chaque personnage a le sien. Les défauts y sont
touchés
avec discrétion, pour relever les qualités plutôt
l’illusion de l’éloignement. Il y avait eu un temps où Fontenelle ne
touchait
aux grands hommes que pour les rabaisser, où, pou
rit & jamais au cœur qu’il parle. Plus ambitieux de plaire que de
toucher
, d’étaler des connoissances que de convertir, il
décelent un cœur vide de sentimens, & par conséquent incapable de
toucher
les autres cœurs & de s’en rendre le maître.
orter le reste. Le Menteur nous met bien loin de Mélite, et nous fait
toucher
à l’École des maris. Le Menteur. C’est encor
mme le portait un peu à la déclamation, et il paraissait d’abord plus
touché
du grandiose que du simple. Je m’imagine qu’il n’
leurs, comme le rire délicat, est l’aveu involontaire que nous sommes
touchés
de quelque vérité. Nous rions intérieurement quan
lui reproche son origine, la pauvreté d’où il l’a tirée : il pense la
toucher
, et il ne fait que rendre plus doux à Agnès, par
s du Misanthrope ont assez d’esprit pour ne pas se tromper sur ce qui
touche
autrui, et pour se tromper par les plus jolies ra
t pour se tromper par les plus jolies raisons du monde sur ce qui les
touche
eux-mêmes. Je ne suis pas dupe de ces raisons et
olière puisa pour toutes ses pièces : sa vie d’abord, par laquelle il
toucha
à presque toutes les situations et il eut un peu
er sa femme, il se servait du rôle d’Elmire, dans le Tartufe, pour la
toucher
par le spectacle d’une femme d’honneur qui défend
ses de cette éternelle jeunesse de la comédie. Il n’en reste qu’une à
toucher
: c’est cette réunion extraordinaire de talents q
été dans notre pays. C’est dans cette langue que s’exprime tout homme
touché
de quelque intérêt sérieux ; c’est ainsi que la p
que lui-même en ne vous saisissant pas, en ne vous ravissant pas. Il
touche
, il accommode le détail, il y verse un esprit d’o
us ne vous relèverez toujours que trop. » Il sait bien le point où il
touche
, et il y revient instamment : conserver le recuei
ndez de Mme de La Sablière, écrivait Fénelon de Versailles (1691), me
touche
et m’édifie. Je ne l’ai vue qu’une fois, mais il
te et qu’il faut remonter souvent. Reprenez les lectures qui vous ont
touchée
, elles vous toucheront encore, et vous en profite
onter souvent. Reprenez les lectures qui vous ont touchée, elles vous
toucheront
encore, et vous en profiterez mieux que la premiè
ois très simple et très savant… Il n’y a que Gabriel Vicaire et lui à
toucher
certaines cordes de cet archet-là, celui d’un mén
ois très simple et très savant… Il n’y a que Gabriel Vicaire et lui à
toucher
certaines cordes de cet archet-là, celui d’un mén
ère influence sur l’esprit français. — § II. Quels auteurs en ont été
touchés
les premiers. — § III. Marguerite de Valois. L’Hé
xprimées dans un langage définitif. § II. Quels auteurs en ont été
touchés
les premiers. Ce grand renouvellement ne s’opé
té, plutôt qu’à la haute spéculation. Deux auteurs charmants, ont été
touchés
par ce premier effet de la Renaissance et de la R
il manque à ce recueil ce qui fait le principal mérite des récits qui
touchent
au licencieux, je veux dire la grâce et la délica
e Marot dans les poésies antérieures à son exil, quand il n’était que
touché
par l’approche de la Renaissance et de la Réforme
ns des écrivains plus rares et plus excellents l’image du génie. Nous
touchons
à ce moment. Les deux grandes sources qui doivent
Théophraste) ; il est tout différent des deux autres que je viens de
toucher
: moins sublime que le premier et moins délicat q
n par des analogies plus ou moins éloignées, mais en nous les faisant
toucher
du doigt. Pascal avait affirmé avec cette force q
ute et la foi. S’il plonge moins avant ou s’il voit de moins haut, il
touche
à plus de points et voit plus juste. Au lieu de v
ions n’ont-elles pas des points communs par où la même leçon peut les
toucher
; et l’homme, tel que Dieu l’a fait, ne déborde-t
Bruyère s’occupe des grands, par exemple, leurs avantages d’abord le
touchent
. Est-ce jusqu’à l’envie ? Non ; car, de la même v
élevés à quelque gloire par leurs écrits111. » Ils n’en ont pas moins
touché
le point faible, et ils n’ont fait que dire par m
Quand au faire, elle est bien peinte, bien empâtée. La barbe large et
touchée
d’humeur. La draperie ou grande aube blanche, qui
ches, avec ses bras tendus vers le saint, est fortement coloriée ; la
touche
en est belle, et sa vigueur renvoye le saint à un
raccourcissent les figures. Ajoutez que vêtu d’une aube lâche qui ne
touche
point à son corps ; les plis tombant longs et dro
est fini lorsque celui des arts commence. Du reste, je n’ai garde de
toucher
à cette théorie qui me paraît non seulement très
est ce dont je me plains… " cet ajustement n’est-il pas riche et bien
touché
? Cette broderie ne fait-elle pas bien l’or ? Ce
Celle surtout qui est casquée, d’un esprit infini pour la forme et la
touche
, ce pié d’estal, de bonne forme ? Cette architect
Plus vous la regarderez de près, plus le faire vous en plaira, il est
touché
comme un ange. Le combat sur terre, le combat sur
nt de l’arracher. Il est bien dessiné et son expression est forte. La
touche
vigoureuse des soldats morts, le brillant matte d
s soldats ajustés à la manière de Salvator Rosa, mais ce n’est pas la
touche
fière de celui-ci. Si vous voulez bien savoir ce
e brûlante. Les arbres ne sont pas mal feuillés, Loutherbourg en tout
touche
fortement et spirituellement. Revenez sur le tabl
papier blanc et à la sanguine est nécessairement plus égal de ton, de
touche
et d’effet ; mais en général ils sont d’un prix i
ous observé combien ils sont fins et spirituels ? Quel effet ! Quelle
touche
! Quel ragoût ! Quelle vérité ! Ah ! Les beaux de
qui dort parfois comme une marmotte — s’éveiller en lui sous le rude
toucher
de la Critique, et nous forcera-t-il à reconnaîtr
se. Erckmann-Chatrian est même tellement l’homme de la réalité, qu’il
touche
au réalisme et qu’il pourrait y entrer… par la po
effet usé et qu’il fallait renouveler, comme Edgar Poe, quand on ose
toucher
à ce genre de fantastique ; La Montre du Doyen, q
e corps d’Anacréon est bien modelé, le bras qui tient la coupe fin de
touche
, quoique défectueux de dessin ; les étoffes étend
e sujet d’une composition est important, moins il intéresse, moins il
touche
aux mœurs, plus il faut que le faire en soit préc
). Pour déterminer si l’intérêt que porte notre société à tout ce qui
touche
les planches est un indice de décadence ou de pro
ez de la veine ! Voilà, je crois, le sentiment contemporain en ce qui
touche
le livre et le théâtre. Ce n’est certes pas un in
orain est effroyable et le scandaleux intérêt que suscite tout ce qui
touche
la scène ne saurait être confondu avec le goût de
e patience du public français, cette basse curiosité pour tout ce qui
touche
aux potins, aux cabrioles, à l’esbroufe du Théâtr
emporaine » et que l’intérêt manifesté par le public pour tout ce qui
touche
les acteurs, les chandelles, les planches et les
poque, puisqu’elle porte tant d’intérêt « au théâtre », à tout ce qui
touche
les chandelles, les planches et les coulisses. En
dinaire que la société d’aujourd’hui semble éprouver pour tout ce qui
touche
la scène. Que vaut donc le théâtre d’aujourd’hui
qui est effroyable, et le scandaleux intérêt que suscite tout ce qui
touche
la scène, et qui ne saurait être confondu avec le
penseur dilaté, agrandi, mais flottant ; c’est-à-dire le songeur. Il
touchera
par un point au poëte, et par l’autre au prophète
si abstruse du libre arbitre ? L’apostolat, étant un acte de volonté,
touche
d’un côté à la liberté, et, de l’autre, étant une
té, touche d’un côté à la liberté, et, de l’autre, étant une mission,
touche
par la prédestination à la fatalité. Le volontair
là ce qui les halluciné jusqu’à leur faire, pour ainsi dire, voir et
toucher
des choses et des êtres imaginaires ? Moïse avait
plus de bruit que l’intérêt d’une gloire, placée trop haut pour nous
toucher
! Et le bruit a commencé déjà. Il va continuer et
vivait il y a les trois jours de trois siècles, à lui le moderne qui
touchait
à Luther et à qui nous touchons, on ne pouvait op
e trois siècles, à lui le moderne qui touchait à Luther et à qui nous
touchons
, on ne pouvait opposer l’éloignement des temps et
ers de son temps, beaucoup de pilotes le valaient. Quand son vaisseau
toucha
l’Amérique, il croyait encore être en Asie. Et pr
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