Psychologie des
titres
Si l’on a pu dire avec juste raison que « Notr
ue « Notre nom, c’est nous-mêmes », on devra reconnaître aussi que le
titre
d’un livre, c’est déjà presque ce livre même. Le
e aussi que le titre d’un livre, c’est déjà presque ce livre même. Le
titre
représente l’ouvrage pour le lecteur, il l’évoque
on conçoit maintenant que nous puissions parler d’une Psychologie des
titres
. Car vraiment ces courtes syllabes ont une âme qu
e porte, un ouvrage qui coûta des années de peine à son auteur ! « Le
titre
d’un livre doit engager à l’ouvrir, comme le rega
vec justesse Barbey d’Aurevilly dans son langage imagé. Le choix d’un
titre
ne doit donc pas être abandonné au hasard de l’in
ps — et parfois toujours — un livre, elles viennent bien souvent d’un
titre
peu clair ou fâcheusement amphibologique. Pour pr
pleine conscience. Un fait encore prouvera la capitale importance des
titres
. Sait-on d’où vient le nom de la partie des scien
littéraires, les influences et les modes auxquels ont été soumis les
titres
. * * * Chez les classiques, en général, ce fut
ent échapper à toute bizarrerie, et ne prétendre qu’à la précision du
titre
. Pour un livre de science, d’histoire et de droit
é1. Si de nos jours la science laisse aux livres de vulgarisation les
titres
fantaisistes, il n’en fut pas toujours ainsi. Au
un ami. Mais il est surtout un genre dans lequel cette fantaisie des
titres
s’était toujours un peu exercée et qui prit, avec
utes les coutumes anciennes des religions de l’Orient reparurent. Les
titres
des ouvrages de piété portèrent la même marque qu
re, le Docteur séraphique, donnait ses pensées et ses prières sous ce
titre
plein de poésie : l’Itinéraire de l’âme vers Dieu
de Notre-Seigneur en vers burlesques (1649), on se soit moqué de ces
titres
ridicules chers aux dévots. Aussi, dans les ruell
époque, du genre mystique et religieux, cette habitude de prendre des
titres
allégoriques s’étendit, sans que cela parût le mo
e Printems d’Yver. Et l’on ne regardait pas non plus à faire de longs
titres
, pour mieux expliquer ses intentions. Ainsi, par
du Saix, commandeur de Saint-Antoine de Bourg-en-Bresse (1532). Et le
titre
de la seconde partie sur l’Éducation, n’est pas m
tudes d’autrefois. Avec moins d’exagération pourtant, on retrouve des
titres
à peu près semblables sur ces petits livrets à co
r de le tancer vertement pour avoir présenté un de ses livres sous ce
titre
: les Plateaux de la Balance, image usée, vulgair
allocutions de comices agricoles. * * * Une plus grande variété des
titres
s’introduisit dans la littérature lorsque, au xvi
intituler les romans du nom du héros principal. Pour l’ordinaire, ces
titres
étaient rédigés comme il suit : Très élégante et
sons de syllabes, faites le plus souvent au hasard. Nous demandons au
titre
une indication : l’auteur ne devrait jamais l’oub
ien vite aperçus du danger de monotonie qui résulterait de semblables
titres
. Aussi se sont-ils efforcés de piquer autrement l
! Au xviiie siècle, où le roman commençait à prendre son essor, les
titres
varièrent surtout selon les modes. Un ouvrage ava
ent on en imitait le fonds et la forme, mais on en démarquait même le
titre
. C’est ainsi que le vif succès des Lettres Persan
est resté le plus célèbre. Citons encore une vogue semblable pour le
titre
de Robinson. Le héros de Daniel Defoe3 eut, presq
mettait sous l’invocation directe de Richardson lui-même. À preuve ce
titre
fort bizarre : « Les mœurs du jour, ou histoire d
te la littérature du temps prouve une extraordinaire sensibilité. Les
titres
du genre larmoyant en portent la marque. C’est La
ur imagination échauffée, ce fut bien autre chose. On chercha par les
titres
les plus extraordinaires à frapper d’étonnement l
xquises vignettes de Tony Johannot relevaient encore la saveur de ces
titres
par leur allure moyen-âge. On aimait aussi les vi
fique. Les Romantiques se laissaient à ce point séduire par ces beaux
titres
à panache que souvent il leur arriva d’annoncer d
et hiérarchique », disait-il dans une lettre à Montalembert, sous ce
titre
bizarre : Histoire de la succession du Marquis de
Dans le théâtre romantique, il en fut de même que dans le roman. Les
titres
des drames étaient aussi affectés et les Vaudevil
drames et en comédies, il fit un jour la gageure de pouvoir mettre le
titre
d’une pièce au moins sous chaque lettre de l’alph
s mélodrames que l’on joue aujourd’hui à l’Ambigu ont gardé ces mêmes
titres
mystérieux et compliqués. Là encore subsiste l’ha
les jeunes écoles littéraires d’aujourd’hui se sont efforcées par des
titres
singuliers, des alliances de mots bizarres, d’att
Latinorum. Certains, par raffinement de dilettantisme, s’emparent du
titre
d’un ouvrage très connu et l’accommodent à leur n
s’effarouche du trop précis. Ils en profitent dans le choix de leurs
titres
et semblent, à ce point de vue, affectionner prin
e Régnier : sa délicate nouvelle le Trèfle Noir porte simplement pour
titre
un trèfle imprimé en noir sur couverture blanche.
sur couverture blanche. Si de tels amusements se généralisaient, les
titres
ne seraient plus que des rébus. En attendant, on
re ou celle des temps passés, bien des originalités dans le choix des
titres
. Jamais on ne se rendra mieux compte des prétenti
udrait encore, comme curiosités bibliographiques, citer bien d’autres
titres
. À ce point de vue il serait intéressant d’exhume
er pour faire le carnaval 5. De cette esquisse d’une psychologie des
titres
que nous avons tentée, on pourra donc tirer cette
apst pour le maréchal Canrobert — il ne donnera plus aujourd’hui pour
titre
à son recueil la désinence latine pédantesque usi
. En même temps qu’ils suivent des modes passagères et variables, les
titres
sont toujours, avec les auteurs qui veulent sorti
ations saugrenues et bizarres, il ne reste pourtant plus guère que le
titre
lorsque les modes sont passées. Apparemment les a
l faut le reconnaître — et ce sera notre conclusion, — c’est sous les
titres
les plus simples que se cachent les vieux chefs-d
ournal de Littérature, en publia un au commencement de 1684., sous le
titre
de Nouvelles de la République des Lettres. Presqu
citation au mois de Septembre de la même année. Il les publia sous le
titre
d’Histoire des ouvrages des Savans, & les pou
e Bayle, entreprit aussi un Journal dès 1686. & le publia sous le
titre
de Bibliothèque universelle & historique. Mai
s Jésuites ont été long-tems en possession d’un Journal connu sous le
titre
de Mémoires pour l’histoire des sciences & de
re idée vers l’an 1732. Son premier ouvrage en ce genre parut sous le
titre
de Nouvelliste du Parnasse. Il fut supprimé peu d
43. Cependant l’année suivante il donna de nouvelles feuilles sous le
titre
de Jugemens sur les ouvrages nouveaux. Il expliqu
e ce juge du Parnasse, donnerent des nouvelles feuilles, l’un sous le
titre
de Lettres sur quelques écrits nouveaux, l’autre
ommencement de l’année suivante, M. Freron publia son Journal sous le
titre
d’Année littéraire. Il en donne huit volumes chaq
nt les auteurs s’occupent à donner les connoissances relatives à leur
titre
. L’Encyclopédie Militaire est un Journal, qui est
seul mot pour que ce que j’écris là puisse l’offenser. Seulement, le
titre
de son livre me le fit demander, comme si j’avais
nom de son auteur. L’Esprit révolutionnaire avant la Révolution, quel
titre
plus heureux ! quelle idée plus historique et plu
s heureux ! quelle idée plus historique et plus profonde ! Il y a des
titres
qui vous attirent comme des visages de femme, et
volutionnaire avant la Révolution n’a point tenu les promesses de son
titre
. Il nous promettait de nous montrer les origines
les origines de l’esprit révolutionnaire. Du moins, c’est ce que son
titre
impliquait… Et il ne nous a raconté que les Effet
la tête qui la pensait, cette histoire, et qui, du propre aveu de son
titre
, se préoccupait plus de l’esprit révolutionnaire
lus de trois quarts de siècle à couver ! Eh bien, rien de tout cela !
Titre
profond, histoire superficielle. Quand on tombe d
t cela ! Titre profond, histoire superficielle. Quand on tombe de son
titre
dans le volume de M. Félix Rocquain, on tombe d’u
travaillé aujourd’hui. Je suis allé à son livre qui m’a pipé avec son
titre
, et je l’ai ouvert par respect pour une grosseur
ne raison ! Quand il parut, il y a quelques mois, et qu’attiré par ce
titre
que je m’obstine à trouver très-piquant et plein
prit de l’auteur, s’il avait pénétré tout ce qu’enferme l’idée de son
titre
, n’y est guère qu’abject et inepte, par une de ce
oui, encore quelquefois ! Les Mémoires d’une femme de chambre ! quel
titre
et quel thème, en effet, à développer sous ce tit
de chambre ! quel titre et quel thème, en effet, à développer sous ce
titre
heureux ! Le Diable boiteux de Lesage, les Mémoir
efaix littéraire, a manqué les Mémoires d’une institutrice, encore un
titre
plein de choses, un type et un sujet heureux ! Ma
nd elles voudront s’en mêler. IV Et, tout d’abord, en lisant le
titre
que voici, je pensais que l’une d’elles s’en étai
Mais l’auteur des Mémoires d’aujourd’hui n’était ni la femme de son
titre
, en supposant que ce ne fût pas une femme, ni mêm
e rigueur, joindre beaucoup de talent seulement pour la remplir, — un
titre
très-séduisant parce qu’il cachait une idée, — et
l’épicier. Et maintenant que nous avons signalé le traquenard de son
titre
, nous n’ajouterions rien de plus sur le livre et
ui, et qu’il intitule aussi « une histoire dalmate », rappelle par le
titre
le livre vanté, beaucoup trop vanté, selon moi :
de Collins. La Dame au manteau rouge, comme la Femme en blanc, est un
titre
sans idée, un titre tout physique. Pourquoi pas L
au manteau rouge, comme la Femme en blanc, est un titre sans idée, un
titre
tout physique. Pourquoi pas La Dame en bleu, La D
ensia, à la sous-jupe rose ? On pourrait aller loin comme cela ! Tout
titre
doit faire rayonner l’idée du livre qu’il exprime
ns que, comme Clarisse et tant d’autres chefs-d’œuvre, qui n’ont pour
titre
que le nom d’un personnage, il n’introduise dans
grande race de flibustiers ? Ce n’est pas non plus simplement par le
titre
que La Dame au manteau rouge rappelle la Femme en
ères pour nous voiler le dénoûment de cette histoire dalmate, dont le
titre
est une distraction et nous avertit trop : mais i
rouge, qu’il faudrait appeler La Buveuse de sang, l’embusque dans le
titre
des chapitres de cette histoire, et très-maladroi
ette histoire, et très-maladroitement, selon moi. Je n’aime point ces
titres
gouailleurs. Ils me font douter de l’originalité
re. Quelle plus jolie pièce, dans ce dernier recueil, que celle qui a
titre
la Belle petite Mendiante, et dans le recueil pré
é, elle a recueilli à la suite ses pièces diverses, — le tout sous le
titre
général de Caritas 32 qui se justifie. Le poëte,
; je recommande à la page 101 de son recueil les stances qui ont pour
titre
Twice blessed, la Seconde Bénédiction. C’est le c
d’oiseaux chanteurs que de rimeurs en gaieté et en espérance. Sous le
titre
Avril, Mai, Juin, j’ai reçu il y a deux ans un re
et de sentiment : j’ai des raisons pour recommander celle qui a pour
titre
l’Étoile du berger. Mais, encore une fois, on ris
ccumulées en silence, nous les versent à nos pieds pêle-mêle, sous ce
titre
même : les Gerbes déliées, par Louis Goujon43. On
jolis sonnets où se mêle la pensée ou la fantaisie ; celui qui a pour
titre
Sous bois est un bijou, un petit cadre hollandais
ens confus de ses harmonies et de ses symboles : aujourd’hui, sous le
titre
de la Lyre intime 46, il aborde le monde du cœur
r, esprit élégant, cultivé, nourri du suc des poëtes, et qui, sous ce
titre
: la Vie et le Rêve 49, a recueilli des impressio
on de moralité littéraire. De quel droit un traducteur change-t-il le
titre
du livre qu’il s’est donné pour mission de tradui
!) dont les traducteurs sont en possession depuis si longtemps ?… Le
titre
d’un livre, pour peu qu’il ne soit pas, comme nou
aduction les Mémoires d’un seigneur russe, c’est pour prendre avec ce
titre
le caractère du témoignage de l’aristocratie russ
qu’il fallait bien faire tout d’abord pour expliquer ce changement de
titre
qu’on ose se permettre, mais qu’on expie presque
atias d’une donnée qui se dégage d’un livre et qui en fait changer le
titre
et le caractère, malgré le genre de talent, la fo
tion, l’idée et le but de l’auteur, exprimés clairement dans un autre
titre
approprié et lucide, a dû coûter à la sincérité d
it appelé son livre : De la Russie et des Russes, ou de quelque autre
titre
approchant ; mais il s’en est soigneusement gardé
stesse profonde d’une agonie ! Le Couvre-feu ! tel est, en effet, le
titre
plaintif et pittoresque des nouvelles et dernière
de Lefèvre-Deumier. Pour notre compte, nous n’aimons pas beaucoup ces
titres
spirituels qu’il faut expliquer par une préface e
ier n’a pas manqué cette indispensable préface. Il nous a expliqué un
titre
sur lequel l’imagination rêve pour se tromper ; c
liqué un titre sur lequel l’imagination rêve pour se tromper ; car ce
titre
ne dit pas nettement ce qu’il veut dire, contrair
ne dit pas nettement ce qu’il veut dire, contrairement au devoir d’un
titre
, qui est tenu d’être transparent comme un cristal
dans ce Couvre-feu, puisque ainsi le livre est nommé, c’est le feu du
titre
qui serait couvert, c’est-à-dire sa lumière. Eh b
te notre âme pèse dans la plus chétive de nos manifestations ! tel le
titre
de Lefèvre-Deumier, et telle est souvent sa poési
à d’autres Académies. L’Académie française ne discute donc point les
titres
des candidats ? elle ne dresse donc point de list
s, en vertu d’une ordonnance signée Vaublanc, reprirent leurs anciens
titres
, et, il faut ajouter, leurs anciennes prétentions
er. Or, je dis, pour revenir à l’objet présent, que la discussion des
titres
, servant à établir un certain ordre entre les can
ont, la veille, on aurait discuté et peut-être contesté en partie les
titres
, n’existe donc plus, ou du moins est fort affaibl
proclame personne, M. Mazères semble avoir pour lui l’ancienneté des
titres
, leur parfaite convenance dans la circonstance pr
. Cuvillier-Fleury se recommande, au contraire, par la différence des
titres
et même leur contraste : c’est un critique et rie
une gaucherie, car il en fait même sans en être prié. Parlant de ses
titres
académiques, il dit à qui veut l’entendrehque « s
ui gagneraient le plus à une discussion et à une conversation sur les
titres
: il n’est pas assez connu de l’Académie. M. Jule
tes ces curiosités, ces ragoûts et ces raffinements leur semblent des
titres
pour l’Académie, et l’auteur lui-même a-t-il pu s
une pareille clameur publique ? Je ne crois pas qu’il y prétende. Ses
titres
sont sérieux, rangés, estimables ; il y aurait li
examiner de près. A-t-il daigné se demander pourtant ce que ces mêmes
titres
seraient comptés à un homme tout à fait nouveau e
n exemple, s’engagèrent comme lui dans le parti de la Comédie sous le
titre
de l’Illustre Théâtre ; mais ce dessein ayant man
omédie de M. de Molière fut représentée aux États de Béziers, sous le
titre
du Dépit amoureux. En 1658, ses amis lui conseill
rère Unique de Sa Majesté, qui lui ayant accordé sa protection, et le
titre
de sa Troupe, le présenta en cette qualité au Roi
eur de Molière était le Chef, et qui, comme je l’ai déjà dit, prit le
titre
de la Troupe de MONSIEUR, commença à représenter
es obligeantes de la continuation de son estime. La Troupe changea de
titre
, et prit celui de la Troupe du Roi qu’elle a touj
sté, rue Mazarini, au bout de la rue Guénégaud, toujours sous le même
titre
de la Troupe du Roi. Les commencements de cet éta
tel de Bourgogne, qui depuis un si grand nombre d’années portaient le
titre
de la seule Troupe Royale ont été réunis avec la
cun de ses chapitres un traité méthodique, en rapportant sous un même
titre
les pensées qui ont rapport à la même matiere, &a
sens. M. Rousseau prétend que le Théologal de Condom (c’étoit un des
titres
de Charron) pensoit comme son Vicaire Savoyard ;
pour le commun des lecteurs, nous nous dispenserons d’en rapporter le
titre
. Il seroit peut-être à souhaiter qu’on fit l’espr
; la Spectatrice Danoise, par M. de la Baumelle, qui a des meilleurs
titres
pour plaire aux gens de goût ; le Nouveau Spectat
e qui ait paru de nos jours, est celui que M. Duclos a publié sous le
titre
de Considérations sur les mœurs de ce siécle ; c’
Abbé Terrasson, connu par son Sethos, laissa un ouvrage utile sous le
titre
de Philosophie applicable à tous les objets de l’
ndre ce Dictionnaire philosophique, avec un autre publié sous le même
titre
, & dans lequel on ne s’est attaché qu’à détru
12
Albalat, Antoine.
(1905)
Les ennemis de l’art d’écrire. Réponse aux objections de MM. F. Brunetière, Emile Faguet, Adolphe Brisson, Rémy de Gourmont, Ernest Charles, G. Lanson, G. Pélissier, Octave Uzanne, Léon Blum, A. Mazel, C. Vergniol, etc…
« I »
crire. — Le but de notre enseignement. — Ceux qui l’ont compris. — Le
titre
: En vingt leçons. — Ce que nous enseignons. — Pl
ous enseignons. — Plaisanteries et prétentions. — Signification de ce
titre
. — Une objection de M. Adolphe Brisson. — Un mons
ont tout seuls. Je vois bien ce qui fâche nos adversaires ; c’est le
titre
: l’Art d’écrire enseigné en vingt leçons. Ce tit
saires ; c’est le titre : l’Art d’écrire enseigné en vingt leçons. Ce
titre
nous desservait trop pour qu’on n’affectât pas de
e sont vos livres de mauvais enseignement qui sont responsables de ce
titre
. Si nous eussions intitulé le nôtre Cours de litt
telligemment et très loyalement expliqué la vraie signification de ce
titre
; « Il ne faut pas, dit-il, prendre à la lettre l
cation de ce titre ; « Il ne faut pas, dit-il, prendre à la lettre le
titre
de ce volume, d’apparence quelque peu puffiste. M
ui-même le reconnaît : « Ce livre, dit-il, est bien meilleur que son
titre
, en ce sens qu’il soulève toutes sortes de questi
el scolaire… L’œuvre garde des parties excellentes ». Au surplus, mon
titre
n’était pas si ridicule, puisque mes contradicteu
pour enseigner à écrire ? Quelle est votre autorité ? Quels sont vos
titres
? Un journaliste bruxellois, qui signe, je crois,
ssions Théologiques ; il écrivit contre le Prince d’Orange ; & le
titre
(1) de son Ouvrage suffit pour faire connoître la
de Louis XIV, prétend que ce Livre n’est pas de M. Arnaud, à cause du
titre
, qui tient du style du P. Garasse. Cet Historien
les égards pesent. Il ne craignit point de publier un Ouvrage sous ce
titre
: Dissertation selon la méthode des Géometres, po
cet Auteur auroit obtenu, du consentement unanime de la postérité, le
titre
de Grand, que ses seuls partisans ont eu le coura
rgueil insupportable, ne doit pas chez lui être traité d’attentat. Le
titre
de « fils de David » fut le premier qu’il accepta
tre proposition : « Jésus est fils de David. » Il se laissa donner un
titre
sans lequel il ne pouvait espérer aucun succès. I
mite était moins répandue. Pour le galiléen idéaliste, d’ailleurs, le
titre
de « fils de David » était suffisamment justifié,
out ; le corps, qui fait la distinction des personnes, n’est rien. Le
titre
de « Fils de Dieu », ou simplement de « Fils 704
de Dieu », ou simplement de « Fils 704 », devint ainsi pour Jésus un
titre
analogue à « Fils de l’homme » et, comme celui-ci
e semble pas avoir fait le même usage du mot « Fils de Dieu 705. » Le
titre
de Fils de l’homme exprimait sa qualité de juge ;
de ses disciples le débordait et l’entraînait. Il est évident que le
titre
de Rabbi, dont il s’était d’abord contenté, ne lu
e Rabbi, dont il s’était d’abord contenté, ne lui suffisait plus ; le
titre
même de prophète ou d’envoyé de Dieu ne répondait
Histoire des civilisations, il aurait, pour les niais de ce temps, un
titre
de livre superbe et alléchant, et ils auraient to
nt la statue sortie de ses mains, il a tremblé devant la majesté d’un
titre
qui n’est pas sorti de sa plume, et il n’a osé qu
viser, lui manquera. Du moins, il n’en est pas aussi certain avec son
titre
écolier, et rougissant vertueusement, d’études, q
’études, que s’il avait écrit fastueusement à la tête de son livre ce
titre
qui chausse si bien, comme dirait Rabelais, les g
ns précision. III On comprend qu’il le soit, du reste. Avec son
titre
, qui n’est qu’une jonglerie, ce livre fait croire
n général, — ce qui serait une grande entreprise ; mais quand sous ce
titre
, pipé comme un dé, ce titre menteur, écrit impude
ne grande entreprise ; mais quand sous ce titre, pipé comme un dé, ce
titre
menteur, écrit impudemment en grosses lettres : é
les. Il a cru donner un grand exemple de modestie, en se bornant à un
titre
si court, du moins a-t-il cru s’en faire un mérit
pre à servir de leçon pour les Auteurs entichés de la manie des longs
titres
& des frontispices fastueux. Va, mon petit L
tispices fastueux. Va, mon petit Livret, je ne charge ton front D’un
titre
ambitieux, comme maints Auteurs font ; Je hais l’
re, on n’en doit point douter, mais il fut trop hâtif, ambitieux d’un
titre
et de ce bruit des journaux où le talent court de
il commença l’œuvre qu’il avait annoncée à ses débuts et qui, sous le
titre
général et rigoureux d’Œuvre, se divise en trois
ltiples pour un dire unique. C’est pourquoi ces poèmes n’ont point de
titres
, comme habituellement, mais simplement des numéro
lières, car la strophe ancienne est répudiée par M. René Ghil au même
titre
que les sylves de poèmes sans pensée générale et
seul qui soit connu par l’intérêt des matieres, est celui qui a pour
titre
, Causes célebres, en vingt volumes in-12. Cette C
ue M. Garsault a réduit cet Ouvrage énorme en un seul volume, sous le
titre
de Faits des Causes célebres & intéressantes.
é l’un & l’autre excès dans l’Ouvrage qu’il a publié sous le même
titre
& fait sur le même plan, & où le mérite d
possède sa place d’Alton : elle est ainsi nommée depuis 1801, et les
titres
d’honneur qui se rattachent à ce nom n’ont certes
ée ; nommé par le premier consul aux fonctions d’adjudant commandant (
titre
analogue), employé à l’armée d’Italie, il allait
estauration, le général d’Alton alla en Irlande pour y rechercher les
titres
de sa famille. C’est depuis cette époque que le n
. Alexandre d’Alton, qui était baron de l’Empire, prit à ce moment le
titre
de comte, titre que son fils, Alfred d’Alton, mor
ton, qui était baron de l’Empire, prit à ce moment le titre de comte,
titre
que son fils, Alfred d’Alton, mort depuis général
r, et qu’il a obtenu par décret en 1860. Quant à M. d’Alton-Shée, son
titre
lui est venu, avec sa pairie, de son aïeul le com
t fait l’historiographe et nous annonce un travail d’ensemble sous le
titre
: Les Reines de la main gauche, titre plus piquan
e un travail d’ensemble sous le titre : Les Reines de la main gauche,
titre
plus piquant qu’il n’est exact. Les reines de la
Louis XV n’avait pas été la fascination de la qualité de maîtresse en
titre
de roi sur un royaliste à fond de train, mais un
Tels sont, en somme, les qualités et les défauts de ce livre à double
titre
, qui s’appelle également Gabrielle d’Estrées ou l
nt Gabrielle d’Estrées ou la Politique de Henri IV, et dont le second
titre
pourrait bien être le premier dans la pensée de s
lustre famille, et en qui l’orgueil héréditaire surpassait encore les
titres
, il avait poussé plus loin qu’aucun autre de ses
rties qui font un véritable homme de lettres, il n’avait aucun de ces
titres
éclatants qui relèvent son successeur : son espri
umartin, ne craignit pas de toucher le point délicat, la solidité des
titres
académiques, et tout en caressant le glorieux per
d’endroits à tant de maisons souveraines ; nous vous voyons revêtu du
titre
auguste qu’un de nos rois a dit être le plus glor
a dit être le plus glorieux qu’on pût donner à un fils de France (le
titre
de pair) ; nous respectons en vous le sacré carac
e vous appartient… Vous êtes encore plus riche de votre fonds que des
titres
que vous ont laissés vos ancêtres. L’éclat d’une
, dans ses éloges des académiciens, a consacré à M. de Noyon, sous le
titre
d’Apologie, une notice équitable et indulgente. I
u’elle ne redoutait guère ; je conjecture que ce sont des tares. — Le
titre
de conseiller de cour souveraine, qu’on retranche
t restituer dans le sens, sinon dans les termes, que voici : « Il (ce
titre
) s’était perpétué après avoir été introduit par M
e phrase connue… Les romans de Mme de Chandeneux, qu’on lit sur leurs
titres
, qui sont séduisants comme le visage d’une jolie
avures de mode se ressemblent. On les lit, et je les ai lus sur leurs
titres
. Mais quelle déception ! Ah ! le génie des titres
es ai lus sur leurs titres. Mais quelle déception ! Ah ! le génie des
titres
, c’est l’éclair qui tue. On croit à une idée entr
II C’est surtout par les Ménages militaires que je l’ai été. Quel
titre
meilleur pouvait révéler un sujet plus heureux !
ssale de Balzac avait écrit à suivre ! et qu’il avait annoncé sous le
titre
de Scènes de la vie militaire, il aurait fallu êt
rasant pour, elles. Mais le tableau de genre est à leur portée, et le
titre
de : Ménages militaires, dans sa bonhomie, nous p
M. Ernest Hello, il faut avouer cependant que ce n’est pas celui des
titres
… Déjà, dans ses Contes, qui certainement méritaie
, c’est-à-dire à toute convention dans les idées et dans le style… Le
titre
d’un livre doit engager à l’ouvrir, — comme le re
connaître et de lire dans le cœur qui a ce regard… Tel n’est point le
titre
que M. Hello a choisi ; et si on n’avait que l’im
titre que M. Hello a choisi ; et si on n’avait que l’impression de ce
titre
, si on ne connaissait pas déjà l’auteur des Plate
auteur des Plateaux de la balance, si, à défaut de l’attirance de son
titre
, on n’avait pas l’attirance de son nom, j’imagine
ligne de sa préface, l’auteur des Plateaux de la balance explique ce
titre
, que je n’aime pas, quoique j’aime ce qu’il veut
’abord les Poésies Barbares, par M. Leconte de Lisle33. — Pourquoi ce
titre
de Barbares ? On se le demande. Passe encore si d
aquelle le poëte a cru pouvoir ainsi clouer en tête de son recueil ce
titre
voyant de Poésies Barbares, qui devient un attrai
e tableaux plus doux), voici une pièce qui a son charme : elle a pour
titre
le Bernica. C’est un site de l’île Bourbon, patri
recueil s’appelle les Épaves 34. On me dira que je fais la guerre aux
titres
, mais je n’aime pas ce titre d’Épaves qui affiche
4. On me dira que je fais la guerre aux titres, mais je n’aime pas ce
titre
d’Épaves qui affiche le naufrage, Poëte, lors mêm
u !) ne l’est pas. Pourquoi donc confondre tout cela ensemble sous ce
titre
et cet aspect désagréable d’Épaves ? Il ne se peu
lent ménagés et confondus dans une teinte de mélancolie touchante. Le
titre
en pourra paraître singulier : les plus habiles j
imitive, si mes vers vous rappelaient Wordsworth autrement que par le
titre
! » M. l’abbé R… a traduit, en effet, très-heureu
es ennuis. Comme les libraires veulent avant tout aujourd’hui de bons
titres
aux livres qu’ils achètent, des titres sonores, é
avant tout aujourd’hui de bons titres aux livres qu’ils achètent, des
titres
sonores, énigmatiques et alléchants ; comme en no
ublication, qui certes pouvait autant qu’aucune autre s’en passer, un
titre
à la fois inconnu, érudit, piquant, et de plus tr
e perdue ; je m’en tiens, en le lisant, au népenthès d’Homère ; et ce
titre
, assez dans le goût allemand, et qui fait appel à
pas mentionner M. Chasles qui, dans une publication récente, sous le
titre
de Caractères et Paysages, vient de recueillir de
re eût culbuté la métaphore. Mais je n’en aime pas mieux pour cela le
titre
qu’on lui a donné. C’est un titre d’opéra comique
je n’en aime pas mieux pour cela le titre qu’on lui a donné. C’est un
titre
d’opéra comique, cette belle pièce de littérature
spirituels et légers : Les meilleurs fruits de mon panier ! Ah ! ce
titre
est de mon libraire ; Il est le parrain de l’affa
he est mise. Cependant le mien a du goût… Je ne dis pas non, mais le
titre
est mauvais ! Je le laisse faire à sa guise ! T
ille, qui n’y faisait pas tant de façons, appelle le Menteur, dans un
titre
brutal. Mais n’importe ! C’est bien dit, c’est fa
ctor de Laprade vient de publier un dernier volume de poésies sous ce
titre
d’Idylles héroïques, un beau titre, n’est-il pas
dernier volume de poésies sous ce titre d’Idylles héroïques, un beau
titre
, n’est-il pas vrai ? Plus beau que le livre à cou
mi-parti de pasteur et de guerrier qu’il faudrait ici, avec un pareil
titre
, l’espèce de Guillaume Tell poétique dont le vers
rade « le poète des sommets », et en effet, si ce n’est pas encore le
titre
officiel, c’est le titre mérité de l’auteur des I
ts », et en effet, si ce n’est pas encore le titre officiel, c’est le
titre
mérité de l’auteur des Idylles héroïques, qui dev
cependant, pour l’honneur de ma duperie, signaler. C’est le piège des
titres
qui promettent et ne tiennent pas ce qu’ils prome
tent et ne tiennent pas ce qu’ils promettent. C’est le traquenard des
titres
intéressants, — mis effrontément ou cauteleusemen
à un sot d’avoir la main heureuse et de la mettre quelquefois sur un
titre
qui sera, tout à l’heure, la plus cruelle ou la p
ritique a le droit — et même l’obligation — de s’élever. S’il y a des
titres
, en effet, qui peuvent pousser comme des fleurs d
ec le sien et de m’avoir fait avaler un méchant ouvrage caché sous un
titre
alliciant et qui s’adressait à ma friandise intel
Quelques noms qui ont besoin d’une explication particulière », est le
titre
d’un long chapitre de l’Analyste consacré aux not
obscures et discutées, de temps, espace, mouvement, etc.41. « Sous ce
titre
modeste, dit M. John Stuart Mill, ce chapitre nou
les plus profondes et les plus embrouillées de toute métaphysique… Le
titre
donnerait une notion très incomplète de la diffic
de formation des idées les plus générales qu’il faut attendre sous ce
titre
, dont on doit remarquer aussi le caractère très n
l ne se montre supérieur au sujet qu’il traite. Dans celui qui a pour
titre
la Lorraine commerçante, couronné en 1759 par l’A
res particulieres de nos Provinces. M. Coster s’est acquis un nouveau
titre
à la reconnoissance de ses Compatriotes & à l
nde, inviolablement attaché à tous ses devoirs ; on peut dire que ses
titres
Littéraires ne sont, aux yeux de ceux qui jouisse
connoît par un mince Recueil de Fables qu’il publia en 1771, sous le
titre
de Mythologie, ou Recueil de Fables Grecques, Eso
Grecques, Esopiques & Sybariques, mises en Vers François. Ce seul
titre
suffit pour donner une idée de la justesse de son
rs les mêmes Fables que celui-ci], que d’annoncer son travail sous un
titre
qui le rend doublement ridicule. On l’a pourtant
s noms, dans les mêmes cadres. De plus, les secrétaires perpétuels en
titre
reparaissaient aussi. C’était bien le moins sous
ier secrétaire perpétuel de la nouvelle qui, à peine déguisée sous le
titre
de classe de la Langue et de la Littérature franç
e pas : il est un sous-directeur à vie, autant dire un directeur sous
titre
modeste. S’il n’a pas la plus grande influence da
ynouard, qui se démit en 1826 d’une partie de ses fonctions et de son
titre
de secrétaire perpétuel, fut remplacé par M. Auge
et l’homme de l’Académie, son premier ministre, de la représenter en
titre
et en réalité. Pendant ses années de ministère ou
’un prix qui trop souvent, à continuer comme on fait, se dérobe à son
titre
. Les fondations provenant du grand philanthrope M
lle se répartit entre plusieurs lauréats vertueux et pauvres dont les
titres
sont pesés avec une grande équité. La seconde fon
r la littérature non seulement morale, mais élevée et sérieuse : à ce
titre
, elle a couronné le grand livre de Tocqueville su
if trouverait à dire si la même Compagnie réunissait dans son sein, à
titre
d’orateurs, M. Berryer, M. Jules Favre et M. Rouh
logie de ses fauteuils est artificielle et toute chimérique ; que son
titre
principal est de date plus certaine et l’oblige p
ros caractere, PAR UN PHILOSOPHE. Peut-être a-t-il cru donner, par ce
titre
, une recommandation à son Ouvrage, très-éloigné d
Italien doit trois Pieces qui prouvent du talent, & dont voici le
titre
: Arlequin sauvage, le Faucon, Timon le misanthro
cet Almanach de l’année passée, publié en trois gros volumes, sous le
titre
des Trois Siecles de notre Littérature ; Ouvrage
sanglantes : Gustave III. [Le Pays, 12 juin 1861.] I D’après le
titre
général qu’il a placé au-dessus du titre particul
uin 1861.] I D’après le titre général qu’il a placé au-dessus du
titre
particulier de son livre sur Gustave III, Léouzon
les termine. Les Couronnes sanglantes !25 annonce-t-il. Bon diable de
titre
en librairie, provoquant admirablement l’abonné d
nde fût une Gazette des tribunaux. Pourquoi ne l’a-t-on pas écrit, ce
titre
-là, en grandes lettres rouges, sur la couverture
t mettre dans ses travaux une grande unité, parce qu’il donne un seul
titre
à plusieurs récits ; il sait bien, tout autant qu
al que MM. de Goncourt ont atteint ?… Les Hommes de lettres, voilà le
titre
de leur roman ! Titre qui menace, mais qui oblige
ont atteint ?… Les Hommes de lettres, voilà le titre de leur roman !
Titre
qui menace, mais qui oblige. Les hommes de lettre
quelques sots de lettres, quelques malades de lettres. Voilà tout. Ce
titre
en dit donc un peu trop dans son insolente généra
ne se sont pas aperçus qu’ils pouvaient se blesser eux-mêmes sur leur
titre
: mais ce titre dans lequel la pensée déborde à c
perçus qu’ils pouvaient se blesser eux-mêmes sur leur titre : mais ce
titre
dans lequel la pensée déborde à côté est un signe
isiens devront bien rire à voir, sur la couverture de votre livre, le
titre
qui promet un examen de leurs personnes ; mais co
l avec l’indifférence publique, M. de Balzac avait tués sous lui. Les
titres
de ces réimpressions déjà livrées à l’avidité pub
armi ces ouvrages de la jeunesse de l’auteur, il en est un ayant pour
titre
l’Excommunié qui n’a jamais vu le jour. M. Hippol
du velours d’Utrecht, il porte des moustaches et une mazarine. Un des
titres
littéraires les plus efficaces à la réputation de
e en place de la croix d’honneur. Parmi d’autres lions qui n’ont pour
titre
de célébrité que leur fortune, qu’ils mangent fol
r un vaisseau dans la Méditerranée ; à cela se bornent exactement ses
titres
maritimes. Dans ce temps-là, M. Sue, qui était je
. Il fait des vers ridicules et menace d’en publier un volume sous le
titre
de : Les Goélands. Il a été officier de marine et
on a réimprimé chez nous sous le nom de Michel Raymond, et qui a pour
titre
les Intimes, est de la collaboration de M. Léon G
iers ouvrages du bibliophile, trilogie dont la première époque a pour
titre
: Une Femme malheureuse. La belle-sœur de Jacob v
, de son talent et de son caractère. M. Alphonse Brot a ici un second
titre
littéraire que nous ne connaissons pas ; il s’occ
vez, mon cher Monsieur, que Paul de Kock est notre compatriote ; à ce
titre
, il avait droit à exciter ma curiosité. Je n’ose
lle ; ayant tous les dehors d’un ancien militaire. C’est à ce dernier
titre
sans doute, qu’il porte le ruban rouge à sa bouto
la marine à Paris. Il signe : Historiographe de la marine ; c’est un
titre
qu’il s’est composé. J’ai vu M. Jal, et je puis e
dans lequel il avait mêlé son art et sa marine : Cet ouvrage porte en
titre
: De Paris à Naples ; c’est aussi fort inconnu ch
t fait à Paris, en 1832 ou 1833, un magnifique journal qui avait pour
titre
l’Europe littéraire. C’était encore une entrepris
is de Maynard qui a écrit, il y a deux ans, un bel ouvrage ayant pour
titre
: Outre-Mer, et qui a, je crois, été réimprimé ch
re-Mer, et qui a, je crois, été réimprimé chez nous. Si ce n’est à ce
titre
, M. de Maynard vous est connu par sa collaboratio
Pyat un drame fort bien écrit, joué à la Porte Saint-Martin, sous le
titre
de : Le Brigand et le Philosophe. (Les deux mêmes
tre signé Sainte-Beuve, mais voici qui vous expliquera le choix de ce
titre
. Il faut d’abord que vous sachiez que les éditeur
e dernier ouvrage de M. Sainte-Beuve, lui demandait tous les jours un
titre
nouveau qui annonçât un ouvrage en train, pour le
ue vous voulez à toute force annoncer un de mes ouvrages, indiquez le
titre
que vous voudrez ! Quand mon livre sera fait, je
le titre que vous voudrez ! Quand mon livre sera fait, je prendrai le
titre
qui me conviendra, et je changerai le vôtre, voil
t ! L’éditeur se le tint pour dit. Il chercha longtemps et inventa ce
titre
mystérieux et alléchant : Volupté ! Pendant deux
la chose au sérieux ; son éditeur affirma que le retentissement de ce
titre
ferait le plus grand succès au livre qui le porte
e qui le porterait au front… M. Sainte-Beuve écrivit un livre pour le
titre
! et quel beau livre il a fait, mon cher Monsieur
ède la meilleure littérature de l’Europe, se conformer au hasard d’un
titre
, au caprice d’un éditeur, pour renoncer à son lib
urtant fait M. Sainte-Beuve, si l’éditeur eût annoncé sous son nom le
titre
de l’ouvrage dont je vous ai parlé dans ma derniè
est auteur, en participation avec George Sand, d’un roman ayant pour
titre
Rose et Blanche et signé, je crois, Jules Sand, b
ris ; même je renonce, je crois, à ce roman dont je vous ai envoyé le
titre
, et pour lequel j’aurais fait avec M. Lamothe-Lan
Gourmont M. Pierre Quillard a réuni ses premières poésies sous un
titre
qui serait, pour plus d’un, présomptueux : La Glo
Temps (1897).] Gustave Kahn M. Pierre Quillard réunit sous ce
titre
: La Lyre héroïque et dolente, ses courts lieder
Théâtre de l’Œuvre, en mai 1896, et la plupart de ces pièces sous le
titre
général : Les Vaines Images, si pures, si harmoni
s, vous lui demandez, comme aux autres spéculations de la pensée, ses
titres
réels à l’estime ou à l’admiration des hommes, vo
la politique de ces derniers temps. Sous beaucoup de plumes un pareil
titre
n’aurait été qu’un prétexte à des utopies de méta
ulement ouvert son ouvrage, on est bien vite rassuré sur le sens d’un
titre
que l’auteur n’a pas mis au front de ses idées sa
ue dans les actes anciens les princes de France prenaient souvent les
titres
de ducs et abbés, de comtes et abbés. — Les premi
ent tenu à honneur d’être appelés brigands ; le nom de corsale fut un
titre
de seigneurie. Les représailles de l’antiquité, l
urent étaient en même temps les barons. 114. Ils en ont conservé le
titre
de sacrée majesté. (Vico.) 115. Orthographié « A
a Révolution, peu importe ! mais que ce mot de femmes miroite dans le
titre
du livre qu’on publie, et les hommes s’y jetteron
e défaut essentiel de ce livre — dit-il — c’est de ne pas remplir son
titre
. Il ne donne pas les femmes de la Révolution, mai
helet nous dit cela, et s’étale fastueusement sous le pavillon de son
titre
. Tel qu’il est, du reste, inconséquent ou fallaci
t le fond est déjà connu, si, d’un autre côté, le nom de l’auteur, le
titre
du livre, et les quelques points de suture qui ti
Girondins. 11. Celui des Conférences de Notre-Dame, qui sont le seul
titre
du P. Lacordaire à une gloire vraie. Quant à l’hi
ue je me permets d’appeler le genre gazelle. Il l’est jusque dans les
titres
qu’il donne à ses poésies ; car je ne crois point
nt une grâce de plus, et je trouve cette timidité de gazelle dans les
titres
de Gères. Il appelait son premier recueil : Le Ro
rsiculets, comme aujourd’hui il nous donne un nouveau recueil sous ce
titre
simple, qui peut-être voudrait être plus simple e
en !) de l’homme troublé à l’homme qui le trouble, je n’aime point ce
titre
, qui est trop long et semble embarrassé… Jules de
Cinq dizains de sonnets que Gères met en premier dans l’énoncé de son
titre
qui sont l’honneur de son volume. Non ! le volume
Gogol37. I En voyant ce
titre
singulier et piquant sur la couverture de ces deu
mes qu’on vient de publier, les braves gens naïfs, qui se prennent au
titre
des livres, et qui ne sont pas, d’ailleurs, très
ure de Russie, ne se douteront guère, à distance, de ce qu’exprime un
titre
pareil. Qui sait ? Ils rêveront peut-être, — s’il
contrebandier, il est devenu acheteur d’âmes mortes. C’est ici que le
titre
du livre va s’éclairer d’un commentaire38. En Rus
le temps que la révision des listes n’est pas faite ; et muni de ses
titres
de vente, il empruntera sur ces âmes fictives au
et couronne son œuvre dernière, le livre des Destinées, et qui a pour
titre
l’Esprit pur. Sous prétexte de ne faire aucun cas
urait été composée, « le 20 mai 1817. » La Dryade y prend pour second
titre
celui d’idylle « dans le goût de Théocrite. » Pou
vie morale : on peut la rapprocher de celle des Destinées qui a pour
titre
les Oracles et qui semble une leçon à l’adresse d
aussi, tout en blâmant beaucoup, je louai de grand cœur à ce dernier
titre
le début du XXIIIe livre, l’Absence, dont le mouv
chaque côté : de l’un assez d’ambition, une mère ultra, vaine de son
titre
, de son fils, et l’ayant déjà promis à une parent
n doutait, la préface qu’il mit au drame de Chatterton, et qui a pour
titre
: Dernière nuit de travail. — Du 29 au 30 juin 18
le devancier ; mais M. de Vigny, à vue d’œil et malgré l’éclat de ses
titres
, n’avait aucune chance de succès à ce moment-là.
tes les rhétoriques connues. J’y voudrais un chapitre qui aurait pour
titre
: Des effets d’audience, et ceci en ferait partie
ent. Le recueil est digne du poète. La première pièce, qui a donné le
titre
au volume, a quelque chose de fatidique et d’énig
la loi de l’avenir ; mais elles redescendent bientôt sous un nouveau
titre
: la Grâce les renvoie et les autorise de nouveau
. Les mêmes questions redoutables reviennent dans la pièce qui a pour
titre
le Mont des Oliviers et qui nous rend l’agonie du
mpagnies de la garde du roi de France. » Le nom n’est précédé d’aucun
titre
. — (Et, jusqu’à preuve du contraire, je soupçonne
’aucun titre. — (Et, jusqu’à preuve du contraire, je soupçonnerais ce
titre
de comte de ne s’être joint au nom de De Vigny qu
et que j’ai vu le même léger doute à d’autres que moi.) 70. Voici le
titre
exact : Poèmes. — Héléna, le Somnambule, la Fille
re compatriote et devancier parmi nous, M. Hase, mourait surchargé de
titres
, de places et d’honneurs bien mérités, Dubner, à
e Clerc en parlant ainsi oubliait que pendant longtemps son principal
titre
, à lui-même, était d’avoir donné un texte, une éd
mps de sa vie savent, par exemple, qu’il s’en est fallu de peu que le
titre
de l’édition de Cesar ne portât point son nom, ma
uverainement M. Le Clerc et qui ne lui paraissaient pas constituer un
titre
valable pour l’Académie. Apparemment que l’éditeu
ume I, n° 2, voir, si l’on est curieux,, l’article Dübner, qui a pour
titre
: Sur une attaque contre Niebuhr. L’auteur de l’a
Nicolas Gogol25 I En voyant ce
titre
singulier et piquant sur la couverture de ces deu
x volumes : Les Âmes mortes, les braves gens naïfs qui se prennent au
titre
des livres, et qui ne sont pas, d’ailleurs, très
re de Russie, ne se douteront guères, à distance, de ce qu’exprime un
titre
pareil. Qui sait ? Ils rêveront peut-être — s’ils
contrebandier, il est devenu acheteur d’âmes mortes. C’est ici que le
titre
du livre va s’éclairer d’un commentaire27. En Rus
le temps que la révision des listes n’est pas faite ; et, muni de ses
titres
de vente, il empruntera sur ces âmes fictives au
Clos des Fées (1897). OPINIONS. André Theuriet Il est des
titres
qui donnent des promesses que parfois le livre ne
mple d’une œuvre qui tient plus que ses promesses et supérieure à son
titre
! Aux Émaux bressans sont venus s’ajouter les Dél
es années passées, de jolies auditions de rondes enfantines. Certains
titres
de ses volumes : Au Bois-Joli, le Clos des Fées,
rituelles, qui n’ont que l’intérêt raccourci des anecdotes et dont le
titre
, souvent déplacé, semblait promettre davantage, o
promettre davantage, on n’aurait peut-être rien à objecter contre son
titre
, quoiqu’il pût trouver sans grand peine des types
s critique sur des hommes qu’il aurait fallu étudier il n’y a dans le
titre
du livre de Gérard de Nerval, rien de plus qu’une
THÉOPHILE GAUTIER (Les Grotesques.) Sous ce
titre
, le spirituel écrivain a réuni une dizaine de por
r cela. En voilà assez pour montrer que l’auteur n’a cherché, dans le
titre
donné à son livre, qu’une sorte d’étiquette suffi
égards, la plus misérable. Théophile s’annonce comme le bel-esprit en
titre
et le coryphée littéraire de cette dernière époqu
aussi que madame Tastu aime particulièrement les stances qui ont pour
titre
les Nautonniers. La Remontrance du poëte captif a
les surfaire un peu. Et d’abord la pièce qu’il cite, l’ode qui a pour
titre
la Solitude, est composée primitivement de quaran
age de Brie, en passant chemin faisant par la Crevaille : ce sont les
titres
de ses chefs-d’œuvre. Prenez bien garde toutefois
48. Un curieux manuscrit de la bibliothèque de l’Arsenal, qui a pour
titre
: Recueil de plusieurs pièces très-plaisantes du
re pour tout le monde ; et de leur abandonner, tout en commentant, le
titre
fastueux de commentateur ; ensuite, de ne jamais
es camarades d’assez bons conseils, pour que leur réunion obtienne le
titre
de l’Illustre Théâtre ; pour qu’on leur confie de
amoureux 8, et quelques canevas dont on ne connaît guère plus que les
titres
, tels que Le Docteur amoureux, Les Trois Docteurs
x. Le roi satisfait des nouveaux comédiens, leur permit de prendre le
titre
de, la troupe de Monsieur, et de jouer alternativ
ns sur la pièce ; et voilà désormais la marche que nous suivrons. Le
titre
. — Voltaire prétend que la pièce française devrai
tre. — Voltaire prétend que la pièce française devrait porter le seul
titre
de Contre-temps ; mais le lecteur a pu remarquer
, à l’étourderie de Lélie, son caractère seul a le droit de donner un
titre
à l’ouvrage qu’il anime, et que le second est tou
actes, mais nous en fournit encore quinze ou vingt autres sous divers
titres
! L’exposition. — La toile à peine levée, six ve
s, un imprudent : Molière a resserré ces trois significations dans le
titre
de L’Étourdi, c’est aux acteurs à s’y conformer.
répétait mille fois. Après avoir demandé aux comédiens dignes de ce
titre
, car il en est, pourquoi ils ne font pas remarque
me la paille qu’ils veulent rompre. Sentiment sur la pièce. Le
titre
. — Il ne répond qu’à une seule scène essentielle.
cène française, car je craindrais d’offenser Molière, en accordant ce
titre
à l’extrait informe qu’on nous donne de cette piè
: si vous avez jamais le bonheur de jouer la belle scène qui donne le
titre
à la pièce, ne cherchez pas à mettre la manière à
our corriger sa pièce ; il la fit jouer au théâtre du Marais, sous le
titre
de L’Académie des femmes. Jugeons, en peu de mots
sur la pièce. Le genre. — Plutôt de caractère que d’intrigue. Le
titre
. — Remarquons-en toute l’adresse. La contagion ét
ait poussée à un tel point, que les Précieuses, flattées de porter ce
titre
, convenaient cependant qu’on voyait des femmes, s
ont pas un seul n’est à retrancher. Sentiment sur la pièce. Le
titre
. — La pièce en a deux ; le premier fixe trop notr
embellissent l’ouvrage, mais n’en font pas mouvoir les ressorts. Le
titre
. — Excellent, puisque la pièce instruit les maris
oulez donc pas que je sois amant ? — Au contraire, je l’exige ; et ce
titre
, garant de la plus grande délicatesse, promet un
ésire cependant de les voir cesser. Sentiment sur la pièce. Le
titre
. — Clair et simple. L’exposition. — D’un ton tro
tout à fait étrangères à la pièce, mais servant au moins à remplir le
titre
jusqu’au moment où l’action commence. Le style.
tant que des fils si déliés qu’ils ne sauraient enlever à la pièce le
titre
de comédie à scènes détachées ; mais pouvant serv
s pouvant servir de modèle en ce genre. Le dénouement. — Infidèle au
titre
; précipité et romanesque. Infidèle au titre, pui
énouement. — Infidèle au titre ; précipité et romanesque. Infidèle au
titre
, puisque, dans le dernier entracte, les Fâcheux n
son génie. Sentiment sur la pièce. Le genre. — D’intrigue. Le
titre
. — Pas juste, en ce qu’il détourne tout à fait de
stances sur les devoirs de la femme mariée méritaient les honneurs du
titre
. Les caractères. — Tous en opposition et se fais
ecdote. Lisez la pièce de Molière. Sentiment sur la pièce. Le
titre
. — Il annonce l’ironie qui doit régner dans la pi
uivant. Lisez la pièce de Molière. Sentiment sur la pièce. Le
titre
. — Il a le défaut rare de promettre moins que la
tre du Palais-Royal, en trois actes, et sans intermèdes, elle prit le
titre
qu’elle porte à présent. C’est à tort que divers
on père, Tu ne te marieras jamais. Sentiment sur la pièce. Le
titre
. — Défectueux, en ce qu’il annonce trop le dénoue
e désespérer. Devenue l’épouse de Molière, plus vaine que fière de ce
titre
, elle se crut une grande dame, en prit le ton, le
t pas au théâtre de plus fortement dessiné que celui de Dom Juan. Le
titre
. — Ceux de la comédie espagnole annoncent, l’un l
it à son service, en lui accordant une pension de 7 000 livres, et le
titre
de troupe du roi. Qu’on juge de l’empressement av
icule ». Sentiment sur la pièce. Le genre. — De caractère. Le
titre
. — Simple, précis, fixant l’esprit du spectateur
de Brai ; mais je le crois plutôt pris dans un conte, Le Vilain Mire,
titre
que l’on donnait, en vieux langage, aux médecins
à présent le premier, et font bien. Sentiment sur la pièce. Le
titre
. — La pièce en a présentement deux54, Le Tartuffe
de style, comme le croit Voltaire. Sentiment sur la pièce. Le
titre
. — Précis et bien propre à piquer la curiosité.
it perdue. Sentiment sur la pièce. Le genre. — D’intrigue. Le
titre
. — La pièce en a deux : le second est le véritabl
ans la rivière, la tête la première ; et la voilà, cette leçon que le
titre
de Mari confondu nous avait annoncée. Quant aux d
s, nous sommes convenus de n’en parler que lorsqu’ils mériteraient ce
titre
, par leur liaison intime avec l’ouvrage. De la
gue, et tout à fait dans le genre des mimes grecques et romaines. Le
titre
. — Vague comme tous ceux des pièces qui portent l
ette pièce parut à Saint-Germain-en-Laye, au mois de février, sous le
titre
de Divertissement royal. L’auteur ne jugea pas à
mme l’ont prétendu plusieurs commentateurs. Éblouis sans doute par le
titre
des Amants magnifiques, ils n’ont pas songé qu’un
entation. Sentiment sur la pièce. Le genre. — De caractère, le
titre
l’annonce. Les divertissements. — Ceux du premie
indre jalousie. Quand reparaîtront-ils ces hommes si rares, à tant de
titres
! Année 1672. Les Femmes savantes ; La C
us de quatre ans sur le bureau : on en parlait déjà en 1668 ; sur son
titre
seul, madame Dacier jugea à propos de jeter au fe
ment parut à Saint-Germain-en-Laye, au mois de décembre 1671, sous le
titre
de Ballet des Ballets. Ces deux pièces composaien
sa comédie de La Comtesse d’Escarbagnas, mais qu’il composa encore le
titre
de la pièce, et du nom de la dame et du nom de la
stol. Lisez la pièce de Molière. Sentiment sur la pièce. Le
titre
. — Le mot d’Escarbagnas, joint à celui de comtess
paraissez vouloir vous dévouer, ne serait-il pas mieux défini par le
titre
de Femmes exagérées ? L’élève. Qu’importe le tit
eux défini par le titre de Femmes exagérées ? L’élève. Qu’importe le
titre
? Le professeur. Plus qu’on ne croit, puisque ce
prononcé par M. Émile Augier, et l’éloge de celui-ci, l’exposé de ses
titres
littéraires, prononcé par M. Lebrun ; tous noms a
ndre peut-être plus circonspects ceux qui repoussent d’abord, au même
titre
, d’autres œuvres de talent. Le succès de ce disco
mi intime et constant de Béranger, il a justifié aujourd’hui tous ces
titres
et fait preuve des qualités qu’on estime en lui.
t assez remarquable dans l’histoire de l’esprit et du cœur humain, le
titre
de père des lettres semble avoir plus contribué à
uvrages, qu’on appelle du terme honnête d’ouvrages de société, fût un
titre
suffisant pour acquérir les qualités de juge : ce
ranger a fait un livre intitulé, de la charlatanerie des savants ; ce
titre
promet beaucoup ; si par malheur l’ouvrage n’étai
és d’un plus grand nombre : mais on lit au dehors du temple le simple
titre
d’une infinité d’autres, affiché à toutes les col
ne. Pour apprécier l’une et l’autre il ne faut que savoir compter des
titres
et des contrats, et cela est bien plutôt fait que
surtout que s’il est un respect extérieur que les talents doivent aux
titres
, il en est un autre plus réel que les titres doiv
les talents doivent aux titres, il en est un autre plus réel que les
titres
doivent aux talents. Mais combien de gens de lett
roit, pour qui la qualité d’auteur ou d’homme de lettres n’est pas un
titre
assez noble. Il faut avouer que la nation Françai
convaincus que le nom d’homme de lettres est regardé par eux comme un
titre
subalterne qui ne peut être le partage que d’un É
prix qu’on mérite de l’être ; mais combien peu voudraient d’un pareil
titre
à de pareilles conditions ? Quelle leçon que l’ex
’un bienfait accordé est regardé pour l’ordinaire comme une espèce de
titre
, une prise de possession de celui qu’on oblige, u
t sur la même ligne à côté du rang et de la noblesse, et que tous les
titres
y cédassent à celui d’homme de lettres. Il voulut
remplir à la longue ces sociétés illustres de gens médiocres à qui le
titre
d’académicien est nécessaire, et de rendre les ré
u projet : on ne saurait faire un plus mauvais livre avec un meilleur
titre
. 3. Voyez l’article Calomnie dans le second vol
les Poésies et Élégies intérieures qui parurent en mars 1830 sous le
titre
de Consolations. Il est inutile d’ajouter pour ce
, en 1827, une série d’articles qui furent recueillis en 1828 sous ce
titre
: Tableau historique et critique de la Poésie fra
nq volumes in-8° qui parurent successivement, de 1832 à 1839, sous le
titre
de Critiques et Portraits littéraires. Mais depui
ent autrement distribués et recueillis dans le format in-12, sous les
titres
de Portraits de femmes, — Portraits littéraires,
34, M. Sainte-Beuve publiait un roman en deux volumes in-8° qui avait
titre
Volupté. Cet ouvrage, à l’heure qu’il est, a eu j
ollection de ces articles en volumes se fit à partir de 1851, sous le
titre
de Causeries du Lundi, et elle se continua pendan
ère, et la série de ces articles, recueillis à partir de 1863 sous le
titre
de Nouveaux Lundis, ne forme pas aujourd’hui (186
dice du tome Ier de Port-Royal (édition de 1866) ; le chapitre a pour
titre
: L’Académie de Lausanne en 1867. 13. M. Sainte
us belle musique de deuil qu’on ait écrite en poésie, et qui ont pour
titre
le Passé : Arrêtons-nous sur la colline À l’heur
— Sur son contrat de mariage, qui est du 29 ventôse an XII, il prend
titre
et qualités de directeur de l’octroi municipal et
aise, une et indivisible. — Citoyen, en exécution de l’article dix du
titre
sept de la loi du 21 pluviôse, relative aux secou
e requiers en conséquence, sous les peines portées en l’article 13 du
titre
7 de la loi ci-dessus, de payer sous huit jours,
e ce qu’avait été son père, un grand citoyen. Sa modération était son
titre
à son pouvoir tout volontaire et tout électif. C’
a à capter les Florentins. Soderini gouvernait alors Florence sous le
titre
de gonfalonier décennal. Les amis de sa famille r
t par Lucrezia Salviati, sa fille, reprit le nom vénéré de Côme et le
titre
de grand-duc. Alexandre de Médicis fut nommé doge
avec les grandes familles de Florence. Quand Alexandre avait pris le
titre
de doge et affecté le despotisme, Lorenzino était
Caton, de sa propre main. Côme II accourut et reçut l’empire sous le
titre
de chef de la république. Lorenzino se sauva jusq
Laurent le Magnifique, mais c’était lui-même qui s’était sacré de ce
titre
; il ne prit de l’autorité populaire que le soin
ivra malgré lui de ses implacables ennemis ; de ce jour il régna sans
titres
, mais avec quelle prudence et quelle modestie ! O
nt que par la violence. Côme II fut forcé de régner, et régna avec un
titre
plus absolu, mais sur les principes de Laurent. L
que M. l’Abbé de Sade nous a donné en 1764. en 3. vol. in 4°. sous le
titre
de Mémoires pour la vie de François Pétrarque, ti
laquelle le génie du Poëte italien reprenoit une nouvelle vie, fut le
titre
de sa réception à l’Académie Françoise. “Ç’a été,
prévint nos louanges, vous indiqua dès-lors à l’Académie. Voilà votre
titre
.” Le traducteur s’étoit fait un systême qui avoit
M. Richelet 1751. & années suivantes en douze vol. in-12. sous le
titre
de Tragédies & Opéra de l’Abbé Metastasio. Le
Comédies des plus fameux Auteurs espagnols, traduits en françois. Ce
titre
est sans doute trop pompeux ; car le traducteur n
auts dans la nouvelle version qu’il nous a donnée de ce Poëte sous ce
titre
: le Paradis perdu de Milton, traduction nouvelle
ses Pensées nocturnes, que M. le Tourneur a si bien traduites sous le
titre
de Nuits d’Young 1769. deux vol. in-8°. Le faux b
sie chinoise dans une espêce de Roman, traduit par M. Eidous, sous ce
titre
: Hau-Kiou-choan, histoire chinoise, à Lyon 1766.
un jour, pour travailler à dresser un inventaire général de tous les
titres
de la maison de Nevers, comptant par là faire sa
mentir dicté les extraits et marqué de ma main plus de dix-neuf mille
titres
rédigés en six gros volumes, avec les tables d’un
stait quelque chose à faire. Il y avait encore, disait-il, à voir les
titres
du grand cabinet, ceux du trésor de l’hôtel de Ne
baye de Baugerais l’abbaye bien plus importante de Villeloin, dont le
titre
se rattache habituellement à son nom. Son père la
ges. Se livrant avant tout à son goût favori, il avait inventorié les
titres
de ses abbayes, avait transcrit les plus considér
ion des mœurs de ses religieux, il n’estimait pas apparemment que son
titre
d’abbé commandataire lui conférât autorité suffis
l’histoire ancienne et celle du Moyen-Age. On craint toujours, par un
titre
présomptueux, de rappeler Bossuet pour ce célèbre
e pays, et qu’il conférait avec les plus savants de leurs rabbins. Le
titre
complet de l’ouvrage, et qui en exprime l’idée, e
ère partie en la détachant et en l’isolant, en ne la considérant qu’à
titre
d’abrégé chronologique ou de résumé et en la comp
comparant à quelques-uns des ouvrages qu’on range communément sous ce
titre
, on la trouverait inférieure à quelques égards. U
que l’abréviateur ne soit pas dispensé de recourir aux originaux, aux
titres
, aux chartes, pas plus que l’historien ; qu’il so
Tout était Dieu, excepté Dieu même. » Israël avait presque perdu ses
titres
; Moïse les lui a rendus. Il lui retrace son hist
îtres. Ses Cariatides et ses Stalactites disent suffisamment par leur
titre
seul quelle inspiration matérielle est la sienne.
es Mulâtres devant les Noirs ! II On s’étonnera peut-être de ce
titre
de Poésies complètes, sous lequel l’éditeur Poule
r parler comme eux, ne s’enterrent pas de leurs propres mains dans ce
titre
solennel et un peu funéraire de Poésies complètes
ent, Banville, plus poète et mieux portant que jamais, fera mentir le
titre
de son volume actuel en publiant d’autres ouvrage
de une école malgré lui, ou s’il accepte cet orgueilleux et dangereux
titre
de chef d’école, il s’y énerve, y expose et finit
1860. I Ombres et vieux murs ! — Au premier coup d’œil, un joli
titre
, qui fait rêver, mais qui n’indique rien de préci
d’histoire oubliée de ce livre, et dont l’auteur, contrairement à son
titre
, a fait de la lumière ?… Et les vieux murs, serai
tout noir et de toute estompe, j’aurais cependant mieux aimé un autre
titre
, et même une autre distribution. Auguste Vitu nou
es excellentes variétés historiques qu’il nous a mises sous les yeux,
titres
réveillants en tête : La Lanterne, Le Rhum et la
à madame Scarron, comme on le verra en suivant l’ordre des faits, le
titre
et le nom de marquise de Maintenon, ce titre et c
nt l’ordre des faits, le titre et le nom de marquise de Maintenon, ce
titre
et ce nom étaient portés par un des fils d’Angenn
un des fils d’Angennes ; de sorte qu’elle succéda à un domaine, à un
titre
, à un nom de l’hôtel Rambouillet, en même temps q
le que cette pièce, l’une des plus curieuses du volume, et qui a pour
titre
La Fin des Gueux. Un gueux qui rôde aperçoit dans
ffle d’épopée qui circule à travers les larges pièces réunies sous ce
titre
: Les Gas. C’est l’épopée à la Callot, mais, cett
tant que la beauté était incontestable. Tel est l’opuscule qui a pour
titre
Lectures populaires ; tel est le petit volume Lec
ite il y aura bientôt une douzaine d’années, lorsque je rappelais les
titres
littéraires de Bouchor, je ne citais de lui que l
e. En 1902, il donnait des séries de méditations, rassemblées sous ce
titre
: Le Poème de la vie humaine, et il prenait ici p
Leipzig, sur l’initiative du professeur Vietor, de Marbourg, avec ce
titre
tout vibrant : De Hugo à Mistral. L’ouvrage compr
re critique produite par M. Victor Giraud est remarquable à plus d’un
titre
, et tout particulièrement par sa cohésion, par sa
ns en quelques mots, pour en marquer le caractère peu commun. Sous le
titre
: Pascal, l’homme, l’œuvre et l’influence, M. Vic
Giraud. Nous n’avons rien ici qui puisse rappeler les alliages à bas
titre
. C’est par de longs et délicats travaux d’approch
a pas même vu toutes les conditions qui sont à réunir pour mériter ce
titre
. Sa propre correspondance nous donne là-dessus le
qu’il a commencé à écrire. Rappelons-nous la brochure qui avait pour
titre
: Les idées morales d’Horace. Plus d’un lecteur p
in la place d’honneur dans leurs œuvres, bien des anciens méritent ce
titre
… » C’est sous cet angle, exactement, que les pros
uit de conscience comme une œuvre dont il suffirait d’avoir glissé le
titre
entre la Troisième Jeunesse de Madame Prune et le
du volume, les quatre-vingts pages si denses qui sont précédées de ce
titre
: M. Paul Bourget. Au début de cette étude, M. G
ait un étroit devoir. L’un des huit chapitres qui le composent a pour
titre
: La Personne et l’Œuvre de Taine d’après sa corr
er, je mettrais au premier rang de ces divers essais celui qui a pour
titre
: Chateaubriand et ses récents historiens. Il a é
a commencé par prendre tous ses grades en se jouant, sans excepter le
titre
d’agrégé des lettres, plus difficile à conquérir
eraine splendeur. Ces deux séjours nous ont valu le volume qui a pour
titre
: Notes sur la Russie et pour sous-titres : Tolst
ces Notes sur la Russie ? IV Si je me borne à désigner par leur
titre
d’autres volumes publiés à peu près à la même dat
nier, en écrivant ce livre d’esthétique délicat et ardent, qui a pour
titre
Le Sourire d’Athéna, a confessé sa religion : le
J’arrive donc à cet ouvrage : Trois amies de Chateaubriand. Comme le
titre
l’indique, le livre contient trois études, chacun
t » cet autre émule du Poverello n’a point surfait sa marchandise. Le
titre
du manuscrit, Cellulairement, est déjà fait pour
seigné sur les vagabondages de Verlaine et sur leurs conséquences, ce
titre
est souligné par une épigraphe en langue espagnol
l’année 1874. Ils font partie d’une parodie des Intimités qui a pour
titre
: Vieux Coppées. Ils sont à rapprocher de l’invec
à 75. Mais il présente deux lacunes : entre deux pièces qui ont pour
titre
, l’une, Réversibilités, l’autre, Images d’un sou,
Baudelaire est reconnaissable partout dans les Poèmes saturniens, du
titre
à l’épilogue. Le titre — Charles Morice l’a noté
issable partout dans les Poèmes saturniens, du titre à l’épilogue. Le
titre
— Charles Morice l’a noté très justement — est dé
ièce, qui, dans Jadis et Naguère, et déjà dans le manuscrit, porte le
titre
Autre, et qui était précédée, tout d’abord, de ce
reux d’un caveau… Silence, silence ! Et, dans le même temps, sous ce
titre
: La Chanson de Gaspard Hauser, il résume, dans t
rôle que tu ne penses. (Le Pouacre.) En septembre également, sous ce
titre
Almanach de l’année passée, le poète reprend, dan
st à partir d’ici que le manuscrit Cellulairement mérite le mieux son
titre
. Et en effet, dès octobre 1873, le condamné de Br
oi qui porte pour devise : « Totus in maligno positus » et qui a pour
titre
ce mot Réversibilités, pris aux lointaines Fleurs
emme ni son enfant. C’était, comme le dit dans sa forte simplicité le
titre
du drame norvégien, supporter « plus qu’homme ne
sion. Depuis ce temps, M. Giraud a donné tout un volume, portant pour
titre
Nouvelles études sur Chateaubriand, 1912, mais le
n remarqué que la pièce Læti et errabundi de Parallèlement reprend un
titre
baudelairien : Mœsta et errabunda ? Verlaine a dû
fin, voici deux autres diplomates, hommes très distingués, mais à des
titres
très différents ; car Donoso Cortès, ce Joseph de
de Starostes et de Castellans, pour l’homme qui pouvait dédaigner son
titre
de marquis de Valdegamas, parce que son nom était
eut appeler ces fragments un livre, qui se nomme les Deux Diplomates,
titre
pour le livre comme pour les hommes qui le porten
mates, titre pour le livre comme pour les hommes qui le portent, — un
titre
et rien dessous !… Dans ce livre, où il n’est pas
ours une pensée d’ensemble et d’unité profonde, les a publiés sous un
titre
collectif qui dit bien, en un seul mot, le sens p
: mais, dans la pensée évidente, catégorique et même exprimée dans ce
titre
que vous avez pris, c’est bien autre chose. C’est
scours et qui appartient au premier curé de village autant et au même
titre
qu’au R. P. Ventura, il n’y a véritablement pas l
esque douloureuse et qui, à nos yeux et aux yeux de tous, décapite le
titre
ambitieux et qui pouvait être juste du livre du P
ce nom d’Italie si populaire à cette heure et qui pare aujourd’hui le
titre
du sien. En lisant au front de son volume ces mot
ons tout à l’heure, et pour nous servir d’un mot dans le genre de son
titre
, n’est pas un talent d’Italie. L’Italie qu’il aim
, les peintres ou les poètes des Décamérons ! Les Amours d’Italie, ce
titre
qui faisait rêver, ne fera plus rêver personne qu
oniste de l’école de M. Alexandre Dumas. Livre médiocre, pavoisé d’un
titre
qui se retourne contre le livre, car il est attir
’envie de se faire valoir, ni le besoin de s’excuser. C’est, comme le
titre
l’indique, un journal, une espèce de livre de bor
embre 1795), y resta deux ans et demi, et de là il fut envoyé au même
titre
à Smyrne (1798). Il venait à peine de prendre pos
rvices militaires et maritimes parlaient pour lui et lui créaient des
titres
; sa personne les justifia, et le 20 décembre 180
République. Je me félicite de pouvoir conserver avec vous à un autre
titre
des relations que votre zèle et vos lumières me r
s. 35. Le baron de Saint-André. — On voit que Jean-Bon avait reçu le
titre
qui était ordinairement attaché à celui de préfet
t et à l’abolition des classes privilégiées de rechercher ensuite des
titres
de distinction honorifique et de noblesse, autant
rvices utiles, d’y renoncer et de se désister pour se soustraire à un
titre
qui devient l’accompagnement presque obligé de la
r en 1737 ; Auteur qui a débuté par un Roman intitulé le Temps perdu,
titre
des plus convenables au temps qu’il a employé à l
ieroit à le lire. Ses autres Productions mériteroient aussi un pareil
titre
; pour être moins mauvaises, elles n’en sont pas
prédécesseurs, quand ceux-ci ne sont pas du premier mérite. Voici le
titre
des Productions de Papire Masson : Annalium libri
vini. — Notitia Episcoporum Galliœ. — Une Histoire des Papes, sous ce
titre
assez singulier, de Episcopis Urbis. On a encore
ossibilités et nécessités durent et sont indépendantes. — À ce double
titre
, elles ont tous les caractères de la substance. —
ensation, mais encore des nécessités permanentes de sensation. — À ce
titre
, ils sont des forces. — Ce qu’est un corps par ra
crampe ; son caractère est l’intensité plus ou moins grande, et à ce
titre
je puis comparer ma sensation à d’autres sensatio
eraient ; elles existent donc à part et par elles-mêmes. — À ces deux
titres
, elles s’opposent d’abord aux sensations qui sont
s couples que nous rencontrons dans la nature, les deux termes liés à
titre
d’antécédent et de conséquent ne sont pas des sen
nts, mais par rapport aux événements des autres corps. À ce troisième
titre
, il est encore un groupe de possibilités et de né
de simple possibilité qu’il était, il devient chose effective au même
titre
que nous-mêmes, et nous lui reconnaissons une exi
it de cette sensation, bref, comme on l’a défini tout à l’heure. À ce
titre
, les corps sont des mobiles moteurs, voilà leur e
r rapport à nous, il est une condition de sensations pour nous ; à ce
titre
, il est déterminé, mais seulement par rapport à n
’événements qui, à certaines conditions, tendent à s’effectuer ; à ce
titre
, il est déterminé en lui-même, et nous pouvons di
s pouvons à bon droit attribuer une telle série à la pierre, et, à ce
titre
, elle est pour nous un être aussi réel, aussi com
à leur accomplissement et par la grandeur de l’effet consécutif. À ce
titre
, tous les faits ou événements de la nature pourra
ouzième volume qui sera bien probablement le dernier à ranger sous le
titre
actuel, car les éditeurs MM. Garnier ont acquis,
i-ci contient quelques articles qui pourraient s’appeler à plus juste
titre
Causeries du samedi, ayant paru d’abord à ce jour
le plus estimé est son Journal littéraire, qui parut d’abord sous le
titre
de Bibliotheque universelle, puis sous celui de B
tique. On pourroit former un très-bon Recueil de son Journal, sous le
titre
d’Esprit de le Clerc ; il faudroit pour cela qu’u
Mittau, jeta les yeux sur Dumouriez. M. de Saint-Priest, qui avait le
titre
de ministre des affaires étrangères de sa majesté
it porteur, Dumouriez vit avec étonnement qu’on ne lui donnait que le
titre
de maréchal de camp, et il en demanda la raison,
e Dumouriez : il ne voulait pas être dégradé. On lui proposa un autre
titre
qu’il refusa. Bref, après bien des discussions, o
de décrire, naquit une doctrine qui parut une révélation et qui, à ce
titre
, prétendit au gouvernement des choses humaines. A
’abord la coutume immémoriale, différente selon la province, selon le
titre
de la terre, selon la qualité et la condition de
e social et moral, le passé justifie le présent ; l’antiquité sert de
titre
, et si, au-dessous de toutes ces assises consolid
Le préjugé héréditaire est une sorte de raison qui s’ignore. Il a ses
titres
aussi bien que la raison elle-même ; mais il ne s
de sa nature un poème métaphysique accompagné de croyance. C’est à ce
titre
qu’elle est efficace et populaire ; car, sauf pou
n grade le chef à son devoir et le soldat à son chef. — Tels sont les
titres
très valables du préjugé héréditaire ; on voit qu
III. La raison classique ne peut se mettre à ce point de vue. — Les
titres
passés et présents de la tradition sont méconnus.
préjugé héréditaire devient un préjugé pur ; la tradition n’a plus de
titres
, et sa royauté n’est qu’une usurpation. Voilà dés
n pour le dernier des rois. » Brissot : « Le besoin étant notre seul
titre
de propriété, il en résulte que, lorsqu’il est sa
caresses sont innocentes, tes baisers sont purs. L’amour est le seul
titre
de la jouissance, comme la faim l’est de la propr
trop heureux du salut présent qu’il apporte pour le chicaner sur son
titre
. — Enfin, après tant de siècles, voici dans chaqu
rudoie, mais qui vous protège. Souverain et propriétaire, à ce double
titre
le seigneur garde pour lui la lande, la rivière,
e on se dévoue. Elle se confond avec le seigneur et sa famille ; à ce
titre
, on est fier de lui, on conte ses grands coups d’
nait pas au roi une province, pas même Laon ; c’est lui qui ajoute au
titre
son domaine. Pendant huit cents ans, par mariage
eau construit par ses mains et par les mains de ses ancêtres, qu’à ce
titre
le bâtiment est à lui, qu’il y a droit comme chaq
de fils de l’homme devint, au moins dans certaines écoles 371, un des
titres
du Messie envisagé comme juge du monde et comme r
e Messie devait être fils de David, on lui décernait naturellement ce
titre
, qui était synonyme du premier. Jésus se le laiss
ât quelque embarras, sa naissance étant toute populaire. Pour lui, le
titre
qu’il préférait était celui de « Fils de l’homme
our lui, le titre qu’il préférait était celui de « Fils de l’homme »,
titre
humble en apparence, mais qui se rattachait direc
fois dans le livre d’Hénoch, LXII, 8. 373. Jean, V, 22, 27. 374. Ce
titre
revient quatre-vingt-trois fois dans les Évangile
noine de Vaucouleurs. Le second est par un anonyme. Celui-ci porte en
titre
le nom de la Martiniere. M. Ladvocat qui lui avoi
us ayons en ce genre, est celle de M. l’Abbé Prevot qui parut sous ce
titre
: Histoire générale des voyages, depuis le commen
curieux & intéressant. Mais on desire que l’auteur remplisse son
titre
en traitant la partie de l’Amérique, à laquelle i
cette partie du monde par celle que le P. Touron en a donnée sous ce
titre
: Histoire générale de l’Amérique depuis sa décou
p d’esprit naturel. Le même nous a donné son voyage d’Italie sous le
titre
de Nouvelles observations sur l’Italie & les
s, qui n’est qu’une compilation, ne devoient pas paroître non plus un
titre
suffisant pour le placer parmi les Ecrivains céle
he encore gré de nous avoir régalé d’une Tragédie Bourgeoise, sous le
titre
des Amans désespérés, ou la Comtesse d’Olinval, p
à Besançon en 1697, mort à Amsterdam en 1732. En changeant souvent le
titre
de ses Journaux, il ne put parvenir à les rendre
es, mort en 1655, à qui nous devons des Mélanges Historiques, sous le
titre
de Recueil de plusieurs actes, traités & lett
ans doute de revenir sur cet arbitraire mesquin qui s’acharnait à des
titres
littéraires et à des droits consacrés. Il convena
quelques noms célèbres, écartés encore aujourd’hui presque aux mêmes
titres
, et sur lesquels l’injustice de M. de Vaublanc pè
os faiseur d’arbitraire d’aujourd’hui, qui s’attaquent, non pas à des
titres
littéraires, à des fauteuils, mais aux garanties
s des esprits éminents de chaque époque, occupées à discuter, sous le
titre
d’hérésies, tous les systèmes de philosophie, ado
si vous reconnaissez le génie pour droit et l’ambition heureuse pour
titre
, quel est l’homme orgueilleux qui ne se croira pa
aparte avait raison d’aspirer au pouvoir suprême, n’importe sous quel
titre
. Son tort, ce n’est pas d’avoir pris la dictature
bir les désaveux pour se faire offrir sous un nom ou sous un autre le
titre
du pouvoir monarchique dont il avait déjà la réal
ussé la couronne comme César au Cirque, le général Bonaparte passe du
titre
de premier Consul au titre de Consul à vie, et du
r au Cirque, le général Bonaparte passe du titre de premier Consul au
titre
de Consul à vie, et du titre de consul à vie à la
arte passe du titre de premier Consul au titre de Consul à vie, et du
titre
de consul à vie à la prochaine proclamation de l’
’État Miot, confident de Joseph Bonaparte et admis indirectement à ce
titre
dans les demi-confidences de son frère, « il le f
re, comme il est d’usage dans les révolutions. Une dictature, sous le
titre
de Protecteur, avait suffi à Cromwell. La dictatu
n d’un trône, il n’y avait pour lui que timidité et inconséquence. Le
titre
et l’institution du consulat à vie n’étaient qu’u
ui avait quitté tout exprès la capitale du monde chrétien. C’est à ce
titre
surtout que de pareilles pompes sont dignes d’att
d’exactitude & de fidélité se fait un peu moins sentir. Il a pour
titre
l’Intrigue du Cabinet sous Henri IV & Louis X
inet sous Henri IV & Louis XIII, terminée par la Fronde ; mais ce
titre
n’est rien moins que justifié par l’Ouvrage, qui
. Quoique la plupart des Pieces que ce jeune Poëte a publiées sous le
titre
trop peu modeste de Bibliotheque des Amans, ne ro
oir transcrire ici une des petites Pieces de son Recueil. Elle a pour
titre
les Quinze ans. Quinze ans ! Thémire, ô le bel â
re. [Courrier du soir (2 avril 1883).] Louis de Gramont Sous ce
titre
: Pâques-Fleuries, M. Victor d’Auriac vient de pu
Coppée M. Victor d’Auriac a trouvé un bien frais et bien gracieux
titre
pour ses vers de la vingtième année, Pâques-Fleur
l’idée d’imprimer les Œuvres du philosophe de Sans-Souci (c’était le
titre
qu’avait pris Frédéric dans ses poésies et ses pr
ou trois remarques. Le texte, typographiquement, est admirable ; les
titres
sont d’un grand goût ; les portraits sont beaux :
mais bien que soi-même. » En écrivant l’histoire de sa maison sous le
titre
de Mémoires de Brandebourg, il nous donne le sens
mme simple prince et membre de l’Empire, lui il le sera comme roi. Ce
titre
, cette qualification de roi qui ne fut donnée qu’
’avait porté, esclave du cérémonial et de l’étiquette, avait rendu ce
titre
de Majesté presque ridicule en sa personne ; il e
d’apparat, disait, sans le savoir, à sa postérité : « J’ai acquis le
titre
, et j’en suis fier ; c’est à vous de vous en rend
n 1748. Il y a d’excellentes choses dans sa Grammaire, connue sous le
titre
de Principes de la Langue Françoise : malgré cela
putation de M. l’Abbé Girard consiste dans ses Synonymes François. Ce
titre
sembleroit d’abord annoncer un systême conçu d’ap
Pour un demi-louis, le Tout-Paris publie son nom, son adresse et son
titre
: homme de lettres. Si sa mère objecte que la lit
s et des déclamations. On constaterait, en, second lieu, que, au même
titre
que l’économie politique ou la psychologie, l’his
uétude par de très solides institutions, masquant de l’unité de leurs
titres
la diversité de leurs objets. J’ai dit la Société
ous devez vous adresser directement. Il faut d’abord faire valoir vos
titres
auprès du Ministre d’État, produire des actes aut
ier à la cantonade : c’est Francisque qui ricane.) Saturet. Des
titres
? des actes ? Hélas ! ils ont disparu dans la tou
? Derville, parcourant le cabinet avec agitation. (À part.) Des
titres
, des actes brûlés en 93 ; — cet homme qui pue l’a
s fils. — Le Théâtre des autres Alexandre Dumas a publié sous ce
titre
: le Théâtre des autres, un nouveau volume qui fa
ions de sa pièce allaient commencer. Héloïse Paranquet n’était pas le
titre
de la pièce de M. Durantin, mais il était nécessa
re de la pièce de M. Durantin, mais il était nécessaire de changer le
titre
et le nom des personnages pour dépister les perso
ontigny parti, Alexandre Dumas lut Mademoiselle de Breuil (c’était le
titre
choisi par Durantin), et il refit complètement la
ndent ces nouvelles, dont l’une : Myrrha, vierge et martyre, donne le
titre
au volume. Ceux qui aiment à développer leurs opi
rs un charme morbide aujourd’hui, peut-être mortel demain ; il a pour
titre
: Prestige de l’obscur et du vague. Tout d’abord
génie. V. Gyp. — Professional-Lover Professional-Lover est le
titre
de l’odyssée heureuse d’un très beau garçon que G
point fait attendre le livre a vu le jour, c’est un roman, il a pour
titre
: Gladys et a paru avec une lettre de Paul Bourge
qu’il n’est guère de femmes pouvant devenir des épouses dignes de ce
titre
, que celles qui sont déjà initiées à l’amour. Le
l’auteur des Chauves-Souris, M. de Montesquiou-Fezensac, a choisi le
titre
de son volume de vers. Le nom de Chef des Odeurs
é. Un morceau tout de premier ordre, tombe sous mes yeux ; il a pour
titre
: « Ce que dit la Bouche d’Ambre » ; il s’agit d’
ne du succès. X. Léon Riotor. — Le Pêcheur d’Anguilles Sous ce
titre
: le Pêcheur d’Anguilles, M. Léon Riotor a fait p
e, c’est M. Octave Gréard, de l’Académie française ; son livre a pour
titre
: Prévost-Paradol, étude suivie d’un choix de let
. Séverine. — Notes d’une frondeuse Notes d’une frondeuse est le
titre
sous lequel Séverine publie un certain nombre de
la perfection voulue. XVIII. Henri Lavedan. — Le Lit Le Lit,
titre
du livre que M. Henri Lavedan vient de faire para
courir à son lexique. XX. Auguste Vacquerie. — Depuis Sous ce
titre
: Depuis, M. Auguste Vacquerie a fait paraître un
délit, aux fins d’un divorce. Comme on le voit, Le 13e , car c’est le
titre
du nouveau livre très amusant, très observé de Gy
uvrage que celui que M. Jules Bois a publié chez L. Chailley, sous ce
titre
: les Petites Religions de Paris ; beaucoup y app
IX. Jacques Normand. — La Muse qui trotte La Muse qui trotte, ce
titre
alerte et léger, est celui d’un volume de poésies
par exemple, la fin d’une pièce très légère et spirituelle qui a pour
titre
: Cirque d’Été. Oui ! tout cet enfantin poème En
téressant que M. Ernest Legouvé vient de publier chez Garnier sous ce
titre
: Le Béranger des Écoles. Outre un choix fait ave
L’ouvrage que M. Léon A. Daudet vient de faire paraître et qui a pour
titre
: les Morticoles, est considéré comme un livre à
gues Le Roux. — Confidences d’hommes Confidences d’hommes est le
titre
d’une suite de récits que M. Hugues Le Roux vient
er qualifie : roman lyrique, l’ouvrage qu’il vient de publier sous le
titre
de Louise. De fait, il s’agit d’un roman ou plutô
XVI. Anatole France. — Le Lys rouge Quand il s’agit de donner un
titre
à ses ouvrages, M. Anatole France procède parfois
pas davantage. Voilà pourquoi le dernier roman de M. A. France a pour
titre
: Le Lys rouge ; son héroïne a acheté chez un ant
e étrange et cruel que M. Léonce de Larmandie a fait paraître sous le
titre
de : Nuit close ; que de misanthropie, que de sou
re de les juger, que de reproduire un de ces récits ; celui-ci a pour
titre
: « Fin de soleil » : « J’ai commencé l’histoire
retie. — La Frontière M. Jules Claretie vient de publier sous ce
titre
: la Frontière, non pas un roman, mais une nouvel
ssions ressenties au cours de sa vie politique et littéraire. Le vrai
titre
de ce livre, l’auteur le dit lui lui-même, devrai
outier, Mille francs de récompense ! et surtout celui qui a donné son
titre
au livre : la Jambe coupée. L’action de ces récit
en Descaves intitule : roman, le livre qu’il vient de publier sous ce
titre
: les Emmurés ; c’est bien un roman de par l’inté
que la femme ne cessait pas de l’être sitôt, et il nous donne sous le
titre
de : une Femme de cinquante ans, un roman de gran
e éloquemment M. Camille Saint-Saëns dans un petit livre paru sous ce
titre
: Problèmes et mystères. Je ne saurais mieux fair
quiétudes. LV. Anatole France. — Le Jardin d’Épicure C’est le
titre
du nouveau livre de M. Anatole France ; admirable
éresse point. » LVI. Batisto Bonnet. — Vie d’Enfant C’est du
titre
de poète-prosateur et non de l’appellation vague
nférences de philosophie à la Faculté des lettres de Paris, et a pour
titre
: Ernest Renan, essai de biographie psychologique
écise. LVIII. Charles Maurras. — Le Chemin du Paradis Sous ce
titre
: le Chemin du Paradis, M. Charles Maurras a écri
Paul Alexis. — Trente Romans Trente Romans, par Paul Alexis. Ce
titre
n’est pas tout à fait une supercherie, car chacun
M. Hugues Le Roux a tiré la matière d’un volume qu’il publie sous ce
titre
: Notes sur la Norvège. On y trouvera des observa
. Maurice Barrès. — Du Sang, de la Volupté et de la Mort Sous ce
titre
, auquel on pourrait peut-être reprocher de faire
’est : l’Éloge de la haine qu’on pourrait appeler ce récit qui a pour
titre
: « La haine emporte tout. » Je signalerai aussi
lles que contient le livre que M. René Bazin vient de publier sous ce
titre
: Humble amour, il en est deux, deux récits breto
mble d’un livre très captivant que Séverine vient de publier, sous le
titre
de : Pages mystiques. C’est par la franchise du s
qui semble faite pour donner raison à ma définition. Ce récit a pour
titre
: le Petit squelette ; je l’abrège à regret, mais
ince de Joinville. — Vieux Souvenirs Vieux Souvenirs, tel est le
titre
sous lequel S. A. R. le prince de Joinville a réu
embre de l’Institut, avocat général à la Cour de cassation. Il a pour
titre
: De la liberté politique dans l’État moderne. C’
eunes soldats. Napoléon lui eût donné une dotation et probablement un
titre
de noblesse. » Je trouve aussi des traits incroy
militaires Feuillets militaires. Italie (1852-1862). Tel est le
titre
sous lequel viennent de paraître les souvenirs, n
endons avec la plus sympathique impatience. Entre temps, sous ce joli
titre
: Rimes d’argent, il a réuni une soixantaine de m
me qu’un vrai poète, le vicomte de Borrelli, vient de publier sous ce
titre
: Les Dactyles. [Ceux qu’on lit (1898).]
Léon Bailby L’auteur a choisi pour ses premiers vers un beau
titre
, simple, qui rappelle un peu le titre fameux des
pour ses premiers vers un beau titre, simple, qui rappelle un peu le
titre
fameux des Méditations de Lamartine. Mais cela n’
parmi nous la science et la philosophie. Je sais que l’on conteste le
titre
de chrétien à ceux qui voudraient conserver le ch
sans miracles. Mais nous comprenons difficilement que l’on refuse le
titre
de chrétien à celui qui revendique ce titre volon
lement que l’on refuse le titre de chrétien à celui qui revendique ce
titre
volontairement et sincèrement. Par cela seul que
la manière la plus intime l’union du fini et de l’infini. C’est à ce
titre
que nous le considérons nous-mêmes comme le sauve
30 octobre 1860.] I Si j’avais une fille à marier !21 Voilà un
titre
qui n’a pas été placé là, comme on dit, pour des
oduire sur l’opinion, tout de suite, qu’Alexandre Weill a choisi pour
titre
de son ouvrage cette phrase, où s’étale si rondem
nes, qui ne sont pas Borgia, par un Machiavel plein d’innocence. À ce
titre
, il nous appartient. Il nous appartient à d’autre
Voyons donc cela ! II Ce livre qui, malgré le déboutonné de son
titre
, était un livre très difficile à faire, car c’est
ement que des parties. Les fonctions réglées, il restait à ajouter au
titre
d’académie, proposé par Richelieu et accepté, l’é
s. Pellisson loue avec raison la nouvelle compagnie d’avoir évité ces
titres
ou trop particuliers, ou ambitieux, ou bizarres,
tions. C’était en même temps la plus haute qu’ils pussent prendre. Un
titre
pris du lieu où ils habitaient, de Paris, par exe
ion de nettoyer la langue des défauts qui la gâtaient ; l’adoption du
titre
d’Académie française comme le plus propre à cette
faisait que rapporter. Outre, dit-il, l’aversion qu’il avait pour ces
titres
ambitieux, son rôle se bornait à montrer ou à écl
elain prosateur et académicien, pourvu qu’au chapitre sur Boileau, le
titre
d’excuseur de toutes les fautes, que je vois perc
venir que de la Pucelle inédite. On décernait d’avance à l’auteur le
titre
de Quintilien français. Vaugelas annonçait ainsi
uché, dit-il, dans cette apologie, que d’être qualifié par Arnauld du
titre
d’ami. Cette amitié, il s’en fait honneur devant
us flatté Boileau que les louanges d’Arnauld. Il y voit son plus beau
titre
, la plus grande faveur de son étoile, dans cette
se outre sans les voir. De même le traité de Nicole n’attire pas ; le
titre
même éloignerait plutôt qu’il n’allécherait. Car
ro l’Amata aborita (« l’Heureuse tromperie ou l’Amante abhorrée », un
titre
à l’italienne, s’il en fut jamais). Elle dédia sa
qui ont été le plus exploités sur la scène italienne : il y a sous ce
titre
un canevas très mouvementé de Flaminio Scala, le
lle transportait l’action dans l’antiquité comme le prouve son second
titre
, La Finta Pazza o Achille in Sciro : elle avait,
arisiens de naissance, s’étant associés pour jouer la comédie sous le
titre
de l’Illustre Théâtre, donnèrent, d’abord au Jeu
cin Guy Patin, ne fréquentaient pas beaucoup le théâtre, prenaient un
titre
pour l’autre et parlaient de L’Amour malade, de M
; Sterne, au nom duquel la vie, cette farceuse, ajouta comiquement le
titre
de Révérend, comme si M. Sérieux n’était pas asse
e l’écrire : tout est mauvais dans ce livre exhumé, tout, et jusqu’au
titre
, qui est un non-sens et une contradiction dans le
! Telle est, pourtant, la surprise et la déception que nous cause ce
titre
d’un livre, choisi en haine des titres significat
la déception que nous cause ce titre d’un livre, choisi en haine des
titres
significatifs. Quant au livre lui-même, que ne de
. Quant au livre lui-même, que ne devait-il pas être pour soutenir ce
titre
écrasant et terrible de Koran, qui éclate comme u
u raccourci. Comme poète, il n’a donné qu’un volume ayant pour simple
titre
: Des vers. [Anthologie des poètes français du xi
te même année, Guy de Maupassant publia Boule de suif et Des vers. Ce
titre
fut judicieusement choisi. Ce sont en effet des v
(1900). OPINIONS. Louis Denise Léon Riotor publie sous ce
titre
: Le Pêcheur d’anguilles, une fort belle légende
poème. [Mercure de France (avril 1894).] Philippe Gille Sous ce
titre
: Le Pêcheur d’anguilles, M. Léon Riotor a fait p
armi les grands Moralistes. Ce qu’on peut lui reprocher, à plus juste
titre
, c’est d’avoir écrit la Vie du grand Sobiesky, à-
la netteté, la dignité, & la critique. Dans son Livre, qui a pour
titre
, De la Prédication, il est encore, & plus hor
hal d’Estrées. De retour d’Italie, il composa un Poëme Latin, dont le
titre
seul paroîtra singulier, autant que les préceptes
’est-à-dire, l’Art de faire de beaux Garçons. On sera moins étonné du
titre
de l’Ouvrage, que d’apprendre que le Cardinal Maz
rendent les armes au siècle. On fera un jour un curieux livre avec le
titre
d’Entretiens de ces trois hommes ; un futur philo
Félix Pyat, condamné pour diffamation envers Janin, a publié, sous le
titre
de Pourvoi en cassation, une petite brochure dont
st une guirlande de quarante-cinq poèmes qui répondent bien au double
titre
: Rêves et combats, inspiré par le double amour d
eillis sur la « Côte d’Azur », pour rappeler l’expression qui sert de
titre
à l’un de ses volumes en prose, qu’il a créée, je
en fait de donner aux Poésies qu’il a composées dans notre langue, le
titre
d’Œuvres en rime de Baïf. Il étoit cependant un d
t doit principalement sa célébrité à celui de ses Ouvrages qui a pour
titre
, Jugemens des Savans. Cette compilation, où il a
▲