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1 (1899) Psychologie des titres (article de la Revue des Revues) pp. 595-606
Psychologie des titres Si l’on a pu dire avec juste raison que « Notr
ue « Notre nom, c’est nous-mêmes », on devra reconnaître aussi que le titre d’un livre, c’est déjà presque ce livre même. Le
e aussi que le titre d’un livre, c’est déjà presque ce livre même. Le titre représente l’ouvrage pour le lecteur, il l’évoque
on conçoit maintenant que nous puissions parler d’une Psychologie des titres . Car vraiment ces courtes syllabes ont une âme qu
e porte, un ouvrage qui coûta des années de peine à son auteur ! « Le titre d’un livre doit engager à l’ouvrir, comme le rega
vec justesse Barbey d’Aurevilly dans son langage imagé. Le choix d’un titre ne doit donc pas être abandonné au hasard de l’in
ps — et parfois toujours — un livre, elles viennent bien souvent d’un titre peu clair ou fâcheusement amphibologique. Pour pr
pleine conscience. Un fait encore prouvera la capitale importance des titres . Sait-on d’où vient le nom de la partie des scien
littéraires, les influences et les modes auxquels ont été soumis les titres . * *   * Chez les classiques, en général, ce fut
ent échapper à toute bizarrerie, et ne prétendre qu’à la précision du titre . Pour un livre de science, d’histoire et de droit
é1. Si de nos jours la science laisse aux livres de vulgarisation les titres fantaisistes, il n’en fut pas toujours ainsi. Au
un ami. Mais il est surtout un genre dans lequel cette fantaisie des titres s’était toujours un peu exercée et qui prit, avec
utes les coutumes anciennes des religions de l’Orient reparurent. Les titres des ouvrages de piété portèrent la même marque qu
re, le Docteur séraphique, donnait ses pensées et ses prières sous ce titre plein de poésie : l’Itinéraire de l’âme vers Dieu
de Notre-Seigneur en vers burlesques (1649), on se soit moqué de ces titres ridicules chers aux dévots. Aussi, dans les ruell
époque, du genre mystique et religieux, cette habitude de prendre des titres allégoriques s’étendit, sans que cela parût le mo
e Printems d’Yver. Et l’on ne regardait pas non plus à faire de longs titres , pour mieux expliquer ses intentions. Ainsi, par
du Saix, commandeur de Saint-Antoine de Bourg-en-Bresse (1532). Et le titre de la seconde partie sur l’Éducation, n’est pas m
tudes d’autrefois. Avec moins d’exagération pourtant, on retrouve des titres à peu près semblables sur ces petits livrets à co
r de le tancer vertement pour avoir présenté un de ses livres sous ce titre  : les Plateaux de la Balance, image usée, vulgair
allocutions de comices agricoles. * *   * Une plus grande variété des titres s’introduisit dans la littérature lorsque, au xvi
intituler les romans du nom du héros principal. Pour l’ordinaire, ces titres étaient rédigés comme il suit : Très élégante et
sons de syllabes, faites le plus souvent au hasard. Nous demandons au titre une indication : l’auteur ne devrait jamais l’oub
ien vite aperçus du danger de monotonie qui résulterait de semblables titres . Aussi se sont-ils efforcés de piquer autrement l
 ! Au xviiie  siècle, où le roman commençait à prendre son essor, les titres varièrent surtout selon les modes. Un ouvrage ava
ent on en imitait le fonds et la forme, mais on en démarquait même le titre . C’est ainsi que le vif succès des Lettres Persan
est resté le plus célèbre. Citons encore une vogue semblable pour le titre de Robinson. Le héros de Daniel Defoe3 eut, presq
mettait sous l’invocation directe de Richardson lui-même. À preuve ce titre fort bizarre : « Les mœurs du jour, ou histoire d
te la littérature du temps prouve une extraordinaire sensibilité. Les titres du genre larmoyant en portent la marque. C’est La
ur imagination échauffée, ce fut bien autre chose. On chercha par les titres les plus extraordinaires à frapper d’étonnement l
xquises vignettes de Tony Johannot relevaient encore la saveur de ces titres par leur allure moyen-âge. On aimait aussi les vi
fique. Les Romantiques se laissaient à ce point séduire par ces beaux titres à panache que souvent il leur arriva d’annoncer d
et hiérarchique », disait-il dans une lettre à Montalembert, sous ce titre bizarre : Histoire de la succession du Marquis de
Dans le théâtre romantique, il en fut de même que dans le roman. Les titres des drames étaient aussi affectés et les Vaudevil
drames et en comédies, il fit un jour la gageure de pouvoir mettre le titre d’une pièce au moins sous chaque lettre de l’alph
s mélodrames que l’on joue aujourd’hui à l’Ambigu ont gardé ces mêmes titres mystérieux et compliqués. Là encore subsiste l’ha
les jeunes écoles littéraires d’aujourd’hui se sont efforcées par des titres singuliers, des alliances de mots bizarres, d’att
Latinorum. Certains, par raffinement de dilettantisme, s’emparent du titre d’un ouvrage très connu et l’accommodent à leur n
s’effarouche du trop précis. Ils en profitent dans le choix de leurs titres et semblent, à ce point de vue, affectionner prin
e Régnier : sa délicate nouvelle le Trèfle Noir porte simplement pour titre un trèfle imprimé en noir sur couverture blanche.
sur couverture blanche. Si de tels amusements se généralisaient, les titres ne seraient plus que des rébus. En attendant, on
re ou celle des temps passés, bien des originalités dans le choix des titres . Jamais on ne se rendra mieux compte des prétenti
udrait encore, comme curiosités bibliographiques, citer bien d’autres titres . À ce point de vue il serait intéressant d’exhume
er pour faire le carnaval 5. De cette esquisse d’une psychologie des titres que nous avons tentée, on pourra donc tirer cette
apst pour le maréchal Canrobert — il ne donnera plus aujourd’hui pour titre à son recueil la désinence latine pédantesque usi
. En même temps qu’ils suivent des modes passagères et variables, les titres sont toujours, avec les auteurs qui veulent sorti
ations saugrenues et bizarres, il ne reste pourtant plus guère que le titre lorsque les modes sont passées. Apparemment les a
l faut le reconnaître — et ce sera notre conclusion, — c’est sous les titres les plus simples que se cachent les vieux chefs-d
2 (1772) Bibliothèque d’un homme de goût, ou Avis sur le choix des meilleurs livres écrits en notre langue sur tous les genres de sciences et de littérature. Tome II « Bibliotheque d’un homme de goût — Chapitre VII. Des ouvrages périodiques. » pp. 229-243
ournal de Littérature, en publia un au commencement de 1684., sous le titre de Nouvelles de la République des Lettres. Presqu
citation au mois de Septembre de la même année. Il les publia sous le titre d’Histoire des ouvrages des Savans, & les pou
e Bayle, entreprit aussi un Journal dès 1686. & le publia sous le titre de Bibliothèque universelle & historique. Mai
s Jésuites ont été long-tems en possession d’un Journal connu sous le titre de Mémoires pour l’histoire des sciences & de
re idée vers l’an 1732. Son premier ouvrage en ce genre parut sous le titre de Nouvelliste du Parnasse. Il fut supprimé peu d
43. Cependant l’année suivante il donna de nouvelles feuilles sous le titre de Jugemens sur les ouvrages nouveaux. Il expliqu
e ce juge du Parnasse, donnerent des nouvelles feuilles, l’un sous le titre de Lettres sur quelques écrits nouveaux, l’autre
ommencement de l’année suivante, M. Freron publia son Journal sous le titre d’Année littéraire. Il en donne huit volumes chaq
nt les auteurs s’occupent à donner les connoissances relatives à leur titre . L’Encyclopédie Militaire est un Journal, qui est
3 (1888) Les œuvres et les hommes. Les Historiens. X. « M. Félix Rocquain » pp. 229-242
seul mot pour que ce que j’écris là puisse l’offenser. Seulement, le titre de son livre me le fit demander, comme si j’avais
nom de son auteur. L’Esprit révolutionnaire avant la Révolution, quel titre plus heureux ! quelle idée plus historique et plu
s heureux ! quelle idée plus historique et plus profonde ! Il y a des titres qui vous attirent comme des visages de femme, et
volutionnaire avant la Révolution n’a point tenu les promesses de son titre . Il nous promettait de nous montrer les origines
les origines de l’esprit révolutionnaire. Du moins, c’est ce que son titre impliquait… Et il ne nous a raconté que les Effet
la tête qui la pensait, cette histoire, et qui, du propre aveu de son titre , se préoccupait plus de l’esprit révolutionnaire
lus de trois quarts de siècle à couver ! Eh bien, rien de tout cela ! Titre profond, histoire superficielle. Quand on tombe d
t cela ! Titre profond, histoire superficielle. Quand on tombe de son titre dans le volume de M. Félix Rocquain, on tombe d’u
travaillé aujourd’hui. Je suis allé à son livre qui m’a pipé avec son titre , et je l’ai ouvert par respect pour une grosseur
4 (1865) Les œuvres et les hommes. Les romanciers. IV « Les Mémoires d’une femme de chambre » pp. 309-321
ne raison ! Quand il parut, il y a quelques mois, et qu’attiré par ce titre que je m’obstine à trouver très-piquant et plein
prit de l’auteur, s’il avait pénétré tout ce qu’enferme l’idée de son titre , n’y est guère qu’abject et inepte, par une de ce
oui, encore quelquefois ! Les Mémoires d’une femme de chambre ! quel titre et quel thème, en effet, à développer sous ce tit
de chambre ! quel titre et quel thème, en effet, à développer sous ce titre heureux ! Le Diable boiteux de Lesage, les Mémoir
efaix littéraire, a manqué les Mémoires d’une institutrice, encore un titre plein de choses, un type et un sujet heureux ! Ma
nd elles voudront s’en mêler. IV Et, tout d’abord, en lisant le titre que voici, je pensais que l’une d’elles s’en étai
Mais l’auteur des Mémoires d’aujourd’hui n’était ni la femme de son titre , en supposant que ce ne fût pas une femme, ni mêm
e rigueur, joindre beaucoup de talent seulement pour la remplir, — un titre très-séduisant parce qu’il cachait une idée, — et
l’épicier. Et maintenant que nous avons signalé le traquenard de son titre , nous n’ajouterions rien de plus sur le livre et
5 (1865) Les œuvres et les hommes. Les romanciers. IV « M. Armand Pommier » pp. 267-279
ui, et qu’il intitule aussi « une histoire dalmate », rappelle par le titre le livre vanté, beaucoup trop vanté, selon moi :
de Collins. La Dame au manteau rouge, comme la Femme en blanc, est un titre sans idée, un titre tout physique. Pourquoi pas L
au manteau rouge, comme la Femme en blanc, est un titre sans idée, un titre tout physique. Pourquoi pas La Dame en bleu, La D
ensia, à la sous-jupe rose ? On pourrait aller loin comme cela ! Tout titre doit faire rayonner l’idée du livre qu’il exprime
ns que, comme Clarisse et tant d’autres chefs-d’œuvre, qui n’ont pour titre que le nom d’un personnage, il n’introduise dans
grande race de flibustiers ? Ce n’est pas non plus simplement par le titre que La Dame au manteau rouge rappelle la Femme en
ères pour nous voiler le dénoûment de cette histoire dalmate, dont le titre est une distraction et nous avertit trop : mais i
rouge, qu’il faudrait appeler La Buveuse de sang, l’embusque dans le titre des chapitres de cette histoire, et très-maladroi
ette histoire, et très-maladroitement, selon moi. Je n’aime point ces titres gouailleurs. Ils me font douter de l’originalité
6 (1868) Nouveaux lundis. Tome X « De la poésie en 1865. »
re. Quelle plus jolie pièce, dans ce dernier recueil, que celle qui a titre la Belle petite Mendiante, et dans le recueil pré
é, elle a recueilli à la suite ses pièces diverses, — le tout sous le titre général de Caritas 32 qui se justifie. Le poëte,
; je recommande à la page 101 de son recueil les stances qui ont pour titre Twice blessed, la Seconde Bénédiction. C’est le c
d’oiseaux chanteurs que de rimeurs en gaieté et en espérance. Sous le titre Avril, Mai, Juin, j’ai reçu il y a deux ans un re
et de sentiment : j’ai des raisons pour recommander celle qui a pour titre l’Étoile du berger. Mais, encore une fois, on ris
ccumulées en silence, nous les versent à nos pieds pêle-mêle, sous ce titre même : les Gerbes déliées, par Louis Goujon43. On
jolis sonnets où se mêle la pensée ou la fantaisie ; celui qui a pour titre Sous bois est un bijou, un petit cadre hollandais
ens confus de ses harmonies et de ses symboles : aujourd’hui, sous le titre de la Lyre intime 46, il aborde le monde du cœur 
r, esprit élégant, cultivé, nourri du suc des poëtes, et qui, sous ce titre  : la Vie et le Rêve 49, a recueilli des impressio
7 (1890) Les œuvres et les hommes. Littérature étrangère. XII « Tourgueneff »
on de moralité littéraire. De quel droit un traducteur change-t-il le titre du livre qu’il s’est donné pour mission de tradui
 !) dont les traducteurs sont en possession depuis si longtemps ?… Le titre d’un livre, pour peu qu’il ne soit pas, comme nou
aduction les Mémoires d’un seigneur russe, c’est pour prendre avec ce titre le caractère du témoignage de l’aristocratie russ
qu’il fallait bien faire tout d’abord pour expliquer ce changement de titre qu’on ose se permettre, mais qu’on expie presque
atias d’une donnée qui se dégage d’un livre et qui en fait changer le titre et le caractère, malgré le genre de talent, la fo
tion, l’idée et le but de l’auteur, exprimés clairement dans un autre titre approprié et lucide, a dû coûter à la sincérité d
it appelé son livre : De la Russie et des Russes, ou de quelque autre titre approchant ; mais il s’en est soigneusement gardé
8 (1906) Les œuvres et les hommes. Poésie et poètes. XXIII « Lefèvre-Deumier »
stesse profonde d’une agonie ! Le Couvre-feu ! tel est, en effet, le titre plaintif et pittoresque des nouvelles et dernière
de Lefèvre-Deumier. Pour notre compte, nous n’aimons pas beaucoup ces titres spirituels qu’il faut expliquer par une préface e
ier n’a pas manqué cette indispensable préface. Il nous a expliqué un titre sur lequel l’imagination rêve pour se tromper ; c
liqué un titre sur lequel l’imagination rêve pour se tromper ; car ce titre ne dit pas nettement ce qu’il veut dire, contrair
ne dit pas nettement ce qu’il veut dire, contrairement au devoir d’un titre , qui est tenu d’être transparent comme un cristal
dans ce Couvre-feu, puisque ainsi le livre est nommé, c’est le feu du titre qui serait couvert, c’est-à-dire sa lumière. Eh b
te notre âme pèse dans la plus chétive de nos manifestations ! tel le titre de Lefèvre-Deumier, et telle est souvent sa poési
9 (1863) Nouveaux lundis. Tome I « Des prochaines élections de l’Académie. »
à d’autres Académies. L’Académie française ne discute donc point les titres des candidats ? elle ne dresse donc point de list
s, en vertu d’une ordonnance signée Vaublanc, reprirent leurs anciens titres , et, il faut ajouter, leurs anciennes prétentions
er. Or, je dis, pour revenir à l’objet présent, que la discussion des titres , servant à établir un certain ordre entre les can
ont, la veille, on aurait discuté et peut-être contesté en partie les titres , n’existe donc plus, ou du moins est fort affaibl
proclame personne, M. Mazères semble avoir pour lui l’ancienneté des titres , leur parfaite convenance dans la circonstance pr
. Cuvillier-Fleury se recommande, au contraire, par la différence des titres et même leur contraste : c’est un critique et rie
une gaucherie, car il en fait même sans en être prié. Parlant de ses titres académiques, il dit à qui veut l’entendrehque « s
ui gagneraient le plus à une discussion et à une conversation sur les titres  : il n’est pas assez connu de l’Académie. M. Jule
tes ces curiosités, ces ragoûts et ces raffinements leur semblent des titres pour l’Académie, et l’auteur lui-même a-t-il pu s
une pareille clameur publique ? Je ne crois pas qu’il y prétende. Ses titres sont sérieux, rangés, estimables ; il y aurait li
examiner de près. A-t-il daigné se demander pourtant ce que ces mêmes titres seraient comptés à un homme tout à fait nouveau e
10 (1682) Préface à l’édition des œuvres de Molière de 1682
n exemple, s’engagèrent comme lui dans le parti de la Comédie sous le titre de l’Illustre Théâtre ; mais ce dessein ayant man
omédie de M. de Molière fut représentée aux États de Béziers, sous le titre du Dépit amoureux. En 1658, ses amis lui conseill
rère Unique de Sa Majesté, qui lui ayant accordé sa protection, et le titre de sa Troupe, le présenta en cette qualité au Roi
eur de Molière était le Chef, et qui, comme je l’ai déjà dit, prit le titre de la Troupe de MONSIEUR, commença à représenter
es obligeantes de la continuation de son estime. La Troupe changea de titre , et prit celui de la Troupe du Roi qu’elle a touj
sté, rue Mazarini, au bout de la rue Guénégaud, toujours sous le même titre de la Troupe du Roi. Les commencements de cet éta
tel de Bourgogne, qui depuis un si grand nombre d’années portaient le titre de la seule Troupe Royale ont été réunis avec la
11 (1772) Bibliothèque d’un homme de goût, ou Avis sur le choix des meilleurs livres écrits en notre langue sur tous les genres de sciences et de littérature. Tome II « Bibliotheque d’un homme de goût — Chapitre XVII. Morale, Livres de Caractéres. » pp. 353-369
cun de ses chapitres un traité méthodique, en rapportant sous un même titre les pensées qui ont rapport à la même matiere, &a
sens. M. Rousseau prétend que le Théologal de Condom (c’étoit un des titres de Charron) pensoit comme son Vicaire Savoyard ;
pour le commun des lecteurs, nous nous dispenserons d’en rapporter le titre . Il seroit peut-être à souhaiter qu’on fit l’espr
 ; la Spectatrice Danoise, par M. de la Baumelle, qui a des meilleurs titres pour plaire aux gens de goût ; le Nouveau Spectat
e qui ait paru de nos jours, est celui que M. Duclos a publié sous le titre de Considérations sur les mœurs de ce siécle ; c’
Abbé Terrasson, connu par son Sethos, laissa un ouvrage utile sous le titre de Philosophie applicable à tous les objets de l’
ndre ce Dictionnaire philosophique, avec un autre publié sous le même titre , & dans lequel on ne s’est attaché qu’à détru
12 (1905) Les ennemis de l’art d’écrire. Réponse aux objections de MM. F. Brunetière, Emile Faguet, Adolphe Brisson, Rémy de Gourmont, Ernest Charles, G. Lanson, G. Pélissier, Octave Uzanne, Léon Blum, A. Mazel, C. Vergniol, etc… « I »
crire. — Le but de notre enseignement. — Ceux qui l’ont compris. — Le titre  : En vingt leçons. — Ce que nous enseignons. — Pl
ous enseignons. — Plaisanteries et prétentions. — Signification de ce titre . — Une objection de M. Adolphe Brisson. — Un mons
ont tout seuls.‌ Je vois bien ce qui fâche nos adversaires ; c’est le titre  : l’Art d’écrire enseigné en vingt leçons. Ce tit
saires ; c’est le titre : l’Art d’écrire enseigné en vingt leçons. Ce titre nous desservait trop pour qu’on n’affectât pas de
e sont vos livres de mauvais enseignement qui sont responsables de ce titre . Si nous eussions intitulé le nôtre Cours de litt
telligemment et très loyalement expliqué la vraie signification de ce titre  ; « Il ne faut pas, dit-il, prendre à la lettre l
cation de ce titre ; « Il ne faut pas, dit-il, prendre à la lettre le titre de ce volume, d’apparence quelque peu puffiste. M
ui-même le reconnaît :‌ « Ce livre, dit-il, est bien meilleur que son titre , en ce sens qu’il soulève toutes sortes de questi
el scolaire… L’œuvre garde des parties excellentes ». Au surplus, mon titre n’était pas si ridicule, puisque mes contradicteu
pour enseigner à écrire ? Quelle est votre autorité ? Quels sont vos titres  ? Un journaliste bruxellois, qui signe, je crois,
13 (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — A — article » pp. 157-161
ssions Théologiques ; il écrivit contre le Prince d’Orange ; & le titre (1) de son Ouvrage suffit pour faire connoître la
de Louis XIV, prétend que ce Livre n’est pas de M. Arnaud, à cause du titre , qui tient du style du P. Garasse. Cet Historien
les égards pesent. Il ne craignit point de publier un Ouvrage sous ce titre  : Dissertation selon la méthode des Géometres, po
cet Auteur auroit obtenu, du consentement unanime de la postérité, le titre de Grand, que ses seuls partisans ont eu le coura
14 (1863) Histoire des origines du christianisme. Livre premier. Vie de Jésus « Chapitre XV. Commencement de la légende de Jésus  Idée qu’il a lui-même de son rôle surnaturel. »
rgueil insupportable, ne doit pas chez lui être traité d’attentat. Le titre de « fils de David » fut le premier qu’il accepta
tre proposition : « Jésus est fils de David. » Il se laissa donner un titre sans lequel il ne pouvait espérer aucun succès. I
mite était moins répandue. Pour le galiléen idéaliste, d’ailleurs, le titre de « fils de David » était suffisamment justifié,
out ; le corps, qui fait la distinction des personnes, n’est rien. Le titre de « Fils de Dieu », ou simplement de « Fils 704 
de Dieu », ou simplement de « Fils 704 », devint ainsi pour Jésus un titre analogue à « Fils de l’homme » et, comme celui-ci
e semble pas avoir fait le même usage du mot « Fils de Dieu 705. » Le titre de Fils de l’homme exprimait sa qualité de juge ;
de ses disciples le débordait et l’entraînait. Il est évident que le titre de Rabbi, dont il s’était d’abord contenté, ne lu
e Rabbi, dont il s’était d’abord contenté, ne lui suffisait plus ; le titre même de prophète ou d’envoyé de Dieu ne répondait
15 (1906) Les œuvres et les hommes. À côté de la grande histoire. XXI. « Les civilisations »
Histoire des civilisations, il aurait, pour les niais de ce temps, un titre de livre superbe et alléchant, et ils auraient to
nt la statue sortie de ses mains, il a tremblé devant la majesté d’un titre qui n’est pas sorti de sa plume, et il n’a osé qu
viser, lui manquera. Du moins, il n’en est pas aussi certain avec son titre écolier, et rougissant vertueusement, d’études, q
’études, que s’il avait écrit fastueusement à la tête de son livre ce titre qui chausse si bien, comme dirait Rabelais, les g
ns précision. III On comprend qu’il le soit, du reste. Avec son titre , qui n’est qu’une jonglerie, ce livre fait croire
n général, — ce qui serait une grande entreprise ; mais quand sous ce titre , pipé comme un dé, ce titre menteur, écrit impude
ne grande entreprise ; mais quand sous ce titre, pipé comme un dé, ce titre menteur, écrit impudemment en grosses lettres : é
16 (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — N. — article » p. 425
les. Il a cru donner un grand exemple de modestie, en se bornant à un titre si court, du moins a-t-il cru s’en faire un mérit
pre à servir de leçon pour les Auteurs entichés de la manie des longs titres & des frontispices fastueux. Va, mon petit L
tispices fastueux. Va, mon petit Livret, je ne charge ton front D’un titre ambitieux, comme maints Auteurs font ; Je hais l’
17 (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — G — Ghil, René (1862-1925) »
re, on n’en doit point douter, mais il fut trop hâtif, ambitieux d’un titre et de ce bruit des journaux où le talent court de
il commença l’œuvre qu’il avait annoncée à ses débuts et qui, sous le titre général et rigoureux d’Œuvre, se divise en trois
ltiples pour un dire unique. C’est pourquoi ces poèmes n’ont point de titres , comme habituellement, mais simplement des numéro
lières, car la strophe ancienne est répudiée par M. René Ghil au même titre que les sylves de poèmes sans pensée générale et
18 (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — G — article » p. 386
seul qui soit connu par l’intérêt des matieres, est celui qui a pour titre , Causes célebres, en vingt volumes in-12. Cette C
ue M. Garsault a réduit cet Ouvrage énorme en un seul volume, sous le titre de Faits des Causes célebres & intéressantes.
é l’un & l’autre excès dans l’Ouvrage qu’il a publié sous le même titre & fait sur le même plan, & où le mérite d
19 (1872) Nouveaux lundis. Tome XIII « Appendice — Mémoires du comte d’Alton-Shée »
possède sa place d’Alton : elle est ainsi nommée depuis 1801, et les titres d’honneur qui se rattachent à ce nom n’ont certes
ée ; nommé par le premier consul aux fonctions d’adjudant commandant ( titre analogue), employé à l’armée d’Italie, il allait
estauration, le général d’Alton alla en Irlande pour y rechercher les titres de sa famille. C’est depuis cette époque que le n
. Alexandre d’Alton, qui était baron de l’Empire, prit à ce moment le titre de comte, titre que son fils, Alfred d’Alton, mor
ton, qui était baron de l’Empire, prit à ce moment le titre de comte, titre que son fils, Alfred d’Alton, mort depuis général
r, et qu’il a obtenu par décret en 1860. Quant à M. d’Alton-Shée, son titre lui est venu, avec sa pairie, de son aïeul le com
20 (1906) Les œuvres et les hommes. À côté de la grande histoire. XXI. « Gabrille d’Estrées et Henri IV »
t fait l’historiographe et nous annonce un travail d’ensemble sous le titre  : Les Reines de la main gauche, titre plus piquan
e un travail d’ensemble sous le titre : Les Reines de la main gauche, titre plus piquant qu’il n’est exact. Les reines de la
Louis XV n’avait pas été la fascination de la qualité de maîtresse en titre de roi sur un royaliste à fond de train, mais un
Tels sont, en somme, les qualités et les défauts de ce livre à double titre , qui s’appelle également Gabrielle d’Estrées ou l
nt Gabrielle d’Estrées ou la Politique de Henri IV, et dont le second titre pourrait bien être le premier dans la pensée de s
21 (1870) Causeries du lundi. Tome XI (3e éd.) « Une Réception Académique en 1694, d’après Dangeau (tome V) » pp. 333-350
lustre famille, et en qui l’orgueil héréditaire surpassait encore les titres , il avait poussé plus loin qu’aucun autre de ses
rties qui font un véritable homme de lettres, il n’avait aucun de ces titres éclatants qui relèvent son successeur : son espri
umartin, ne craignit pas de toucher le point délicat, la solidité des titres académiques, et tout en caressant le glorieux per
d’endroits à tant de maisons souveraines ; nous vous voyons revêtu du titre auguste qu’un de nos rois a dit être le plus glor
a dit être le plus glorieux qu’on pût donner à un fils de France (le titre de pair) ; nous respectons en vous le sacré carac
e vous appartient… Vous êtes encore plus riche de votre fonds que des titres que vous ont laissés vos ancêtres. L’éclat d’une
, dans ses éloges des académiciens, a consacré à M. de Noyon, sous le titre d’Apologie, une notice équitable et indulgente. I
u’elle ne redoutait guère ; je conjecture que ce sont des tares. — Le titre de conseiller de cour souveraine, qu’on retranche
t restituer dans le sens, sinon dans les termes, que voici : « Il (ce titre ) s’était perpétué après avoir été introduit par M
22 (1878) Les œuvres et les hommes. Les bas-bleus. V. « Chapitre XXIV. Mme Claire de Chandeneux »
e phrase connue… Les romans de Mme de Chandeneux, qu’on lit sur leurs titres , qui sont séduisants comme le visage d’une jolie
avures de mode se ressemblent. On les lit, et je les ai lus sur leurs titres . Mais quelle déception ! Ah ! le génie des titres
es ai lus sur leurs titres. Mais quelle déception ! Ah ! le génie des titres , c’est l’éclair qui tue. On croit à une idée entr
II C’est surtout par les Ménages militaires que je l’ai été. Quel titre meilleur pouvait révéler un sujet plus heureux !
ssale de Balzac avait écrit à suivre ! et qu’il avait annoncé sous le titre de Scènes de la vie militaire, il aurait fallu êt
rasant pour, elles. Mais le tableau de genre est à leur portée, et le titre de : Ménages militaires, dans sa bonhomie, nous p
23 (1885) Les œuvres et les hommes. Les critiques, ou les juges jugés. VI. « M. Ernest Hello » pp. 389-403
M. Ernest Hello, il faut avouer cependant que ce n’est pas celui des titres … Déjà, dans ses Contes, qui certainement méritaie
, c’est-à-dire à toute convention dans les idées et dans le style… Le titre d’un livre doit engager à l’ouvrir, — comme le re
connaître et de lire dans le cœur qui a ce regard… Tel n’est point le titre que M. Hello a choisi ; et si on n’avait que l’im
titre que M. Hello a choisi ; et si on n’avait que l’impression de ce titre , si on ne connaissait pas déjà l’auteur des Plate
auteur des Plateaux de la balance, si, à défaut de l’attirance de son titre , on n’avait pas l’attirance de son nom, j’imagine
ligne de sa préface, l’auteur des Plateaux de la balance explique ce titre , que je n’aime pas, quoique j’aime ce qu’il veut
24 (1864) Nouveaux lundis. Tome II « Le Poëme des champs par M. Calemard de Lafayette. »
’abord les Poésies Barbares, par M. Leconte de Lisle33. — Pourquoi ce titre de Barbares ? On se le demande. Passe encore si d
aquelle le poëte a cru pouvoir ainsi clouer en tête de son recueil ce titre voyant de Poésies Barbares, qui devient un attrai
e tableaux plus doux), voici une pièce qui a son charme : elle a pour titre le Bernica. C’est un site de l’île Bourbon, patri
recueil s’appelle les Épaves 34. On me dira que je fais la guerre aux titres , mais je n’aime pas ce titre d’Épaves qui affiche
4. On me dira que je fais la guerre aux titres, mais je n’aime pas ce titre d’Épaves qui affiche le naufrage, Poëte, lors mêm
u !) ne l’est pas. Pourquoi donc confondre tout cela ensemble sous ce titre et cet aspect désagréable d’Épaves ? Il ne se peu
lent ménagés et confondus dans une teinte de mélancolie touchante. Le titre en pourra paraître singulier : les plus habiles j
imitive, si mes vers vous rappelaient Wordsworth autrement que par le titre  ! » M. l’abbé R… a traduit, en effet, très-heureu
25 (1874) Premiers lundis. Tome II « Loève-Veimars. Le Népenthès, contes, nouvelles et critiques »
es ennuis. Comme les libraires veulent avant tout aujourd’hui de bons titres aux livres qu’ils achètent, des titres sonores, é
avant tout aujourd’hui de bons titres aux livres qu’ils achètent, des titres sonores, énigmatiques et alléchants ; comme en no
ublication, qui certes pouvait autant qu’aucune autre s’en passer, un titre à la fois inconnu, érudit, piquant, et de plus tr
e perdue ; je m’en tiens, en le lisant, au népenthès d’Homère ; et ce titre , assez dans le goût allemand, et qui fait appel à
pas mentionner M. Chasles qui, dans une publication récente, sous le titre de Caractères et Paysages, vient de recueillir de
26 (1906) Les œuvres et les hommes. Poésie et poètes. XXIII « Roger de Beauvoir »
re eût culbuté la métaphore. Mais je n’en aime pas mieux pour cela le titre qu’on lui a donné. C’est un titre d’opéra comique
je n’en aime pas mieux pour cela le titre qu’on lui a donné. C’est un titre d’opéra comique, cette belle pièce de littérature
spirituels et légers : Les meilleurs fruits de mon panier ! Ah ! ce titre est de mon libraire ; Il est le parrain de l’affa
he est mise. Cependant le mien a du goût… Je ne dis pas non, mais le titre est mauvais ! Je le laisse faire à sa guise ! T
ille, qui n’y faisait pas tant de façons, appelle le Menteur, dans un titre brutal. Mais n’importe ! C’est bien dit, c’est fa
27 (1862) Les œuvres et les hommes. Les poètes (première série). III « M. Victor de Laprade. Idylles héroïques. »
ctor de Laprade vient de publier un dernier volume de poésies sous ce titre d’Idylles héroïques, un beau titre, n’est-il pas
dernier volume de poésies sous ce titre d’Idylles héroïques, un beau titre , n’est-il pas vrai ? Plus beau que le livre à cou
mi-parti de pasteur et de guerrier qu’il faudrait ici, avec un pareil titre , l’espèce de Guillaume Tell poétique dont le vers
rade « le poète des sommets », et en effet, si ce n’est pas encore le titre officiel, c’est le titre mérité de l’auteur des I
ts », et en effet, si ce n’est pas encore le titre officiel, c’est le titre mérité de l’auteur des Idylles héroïques, qui dev
28 (1893) Les œuvres et les hommes. Littérature épistolaire. XIII « Sismondi, Bonstetten, Mme de Staël et Mme de Souza »
cependant, pour l’honneur de ma duperie, signaler. C’est le piège des titres qui promettent et ne tiennent pas ce qu’ils prome
tent et ne tiennent pas ce qu’ils promettent. C’est le traquenard des titres intéressants, — mis effrontément ou cauteleusemen
à un sot d’avoir la main heureuse et de la mettre quelquefois sur un titre qui sera, tout à l’heure, la plus cruelle ou la p
ritique a le droit — et même l’obligation — de s’élever. S’il y a des titres , en effet, qui peuvent pousser comme des fleurs d
ec le sien et de m’avoir fait avaler un méchant ouvrage caché sous un titre alliciant et qui s’adressait à ma friandise intel
29 (1881) La psychologie anglaise contemporaine « M. James Mill — Chapitre II : Termes abstraits »
Quelques noms qui ont besoin d’une explication particulière », est le titre d’un long chapitre de l’Analyste consacré aux not
obscures et discutées, de temps, espace, mouvement, etc.41. « Sous ce titre modeste, dit M. John Stuart Mill, ce chapitre nou
les plus profondes et les plus embrouillées de toute métaphysique… Le titre donnerait une notion très incomplète de la diffic
de formation des idées les plus générales qu’il faut attendre sous ce titre , dont on doit remarquer aussi le caractère très n
30 (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — C — article » pp. 56-59
l ne se montre supérieur au sujet qu’il traite. Dans celui qui a pour titre la Lorraine commerçante, couronné en 1759 par l’A
res particulieres de nos Provinces. M. Coster s’est acquis un nouveau titre à la reconnoissance de ses Compatriotes & à l
nde, inviolablement attaché à tous ses devoirs ; on peut dire que ses titres Littéraires ne sont, aux yeux de ceux qui jouisse
31 (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — F. — article » pp. 343-347
connoît par un mince Recueil de Fables qu’il publia en 1771, sous le titre de Mythologie, ou Recueil de Fables Grecques, Eso
Grecques, Esopiques & Sybariques, mises en Vers François. Ce seul titre suffit pour donner une idée de la justesse de son
rs les mêmes Fables que celui-ci], que d’annoncer son travail sous un titre qui le rend doublement ridicule. On l’a pourtant
32 (1870) Nouveaux lundis. Tome XII « L’Académie française »
s noms, dans les mêmes cadres. De plus, les secrétaires perpétuels en titre reparaissaient aussi. C’était bien le moins sous
ier secrétaire perpétuel de la nouvelle qui, à peine déguisée sous le titre de classe de la Langue et de la Littérature franç
e pas : il est un sous-directeur à vie, autant dire un directeur sous titre modeste. S’il n’a pas la plus grande influence da
ynouard, qui se démit en 1826 d’une partie de ses fonctions et de son titre de secrétaire perpétuel, fut remplacé par M. Auge
et l’homme de l’Académie, son premier ministre, de la représenter en titre et en réalité. Pendant ses années de ministère ou
’un prix qui trop souvent, à continuer comme on fait, se dérobe à son titre . Les fondations provenant du grand philanthrope M
lle se répartit entre plusieurs lauréats vertueux et pauvres dont les titres sont pesés avec une grande équité. La seconde fon
r la littérature non seulement morale, mais élevée et sérieuse : à ce titre , elle a couronné le grand livre de Tocqueville su
if trouverait à dire si la même Compagnie réunissait dans son sein, à titre d’orateurs, M. Berryer, M. Jules Favre et M. Rouh
logie de ses fauteuils est artificielle et toute chimérique ; que son titre principal est de date plus certaine et l’oblige p
33 (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — D. — article » pp. 120-124
ros caractere, PAR UN PHILOSOPHE. Peut-être a-t-il cru donner, par ce titre , une recommandation à son Ouvrage, très-éloigné d
Italien doit trois Pieces qui prouvent du talent, & dont voici le titre  : Arlequin sauvage, le Faucon, Timon le misanthro
cet Almanach de l’année passée, publié en trois gros volumes, sous le titre des Trois Siecles de notre Littérature ; Ouvrage
34 (1905) Les œuvres et les hommes. De l’histoire. XX. « Gustave III »
sanglantes : Gustave III. [Le Pays, 12 juin 1861.] I D’après le titre général qu’il a placé au-dessus du titre particul
uin 1861.] I D’après le titre général qu’il a placé au-dessus du titre particulier de son livre sur Gustave III, Léouzon
les termine. Les Couronnes sanglantes !25 annonce-t-il. Bon diable de titre en librairie, provoquant admirablement l’abonné d
nde fût une Gazette des tribunaux. Pourquoi ne l’a-t-on pas écrit, ce titre -là, en grandes lettres rouges, sur la couverture
t mettre dans ses travaux une grande unité, parce qu’il donne un seul titre à plusieurs récits ; il sait bien, tout autant qu
35 (1865) Les œuvres et les hommes. Les romanciers. IV « Mm. Jules et Edmond de Goncourt. » pp. 189-201
al que MM. de Goncourt ont atteint ?… Les Hommes de lettres, voilà le titre de leur roman ! Titre qui menace, mais qui oblige
ont atteint ?… Les Hommes de lettres, voilà le titre de leur roman ! Titre qui menace, mais qui oblige. Les hommes de lettre
quelques sots de lettres, quelques malades de lettres. Voilà tout. Ce titre en dit donc un peu trop dans son insolente généra
ne se sont pas aperçus qu’ils pouvaient se blesser eux-mêmes sur leur titre  : mais ce titre dans lequel la pensée déborde à c
perçus qu’ils pouvaient se blesser eux-mêmes sur leur titre : mais ce titre dans lequel la pensée déborde à côté est un signe
36 (1837) Lettres sur les écrivains français pp. -167
isiens devront bien rire à voir, sur la couverture de votre livre, le titre qui promet un examen de leurs personnes ; mais co
l avec l’indifférence publique, M. de Balzac avait tués sous lui. Les titres de ces réimpressions déjà livrées à l’avidité pub
armi ces ouvrages de la jeunesse de l’auteur, il en est un ayant pour titre l’Excommunié qui n’a jamais vu le jour. M. Hippol
du velours d’Utrecht, il porte des moustaches et une mazarine. Un des titres littéraires les plus efficaces à la réputation de
e en place de la croix d’honneur. Parmi d’autres lions qui n’ont pour titre de célébrité que leur fortune, qu’ils mangent fol
r un vaisseau dans la Méditerranée ; à cela se bornent exactement ses titres maritimes. Dans ce temps-là, M. Sue, qui était je
. Il fait des vers ridicules et menace d’en publier un volume sous le titre de : Les Goélands. Il a été officier de marine et
on a réimprimé chez nous sous le nom de Michel Raymond, et qui a pour titre les Intimes, est de la collaboration de M. Léon G
iers ouvrages du bibliophile, trilogie dont la première époque a pour titre  : Une Femme malheureuse. La belle-sœur de Jacob v
, de son talent et de son caractère. M. Alphonse Brot a ici un second titre littéraire que nous ne connaissons pas ; il s’occ
vez, mon cher Monsieur, que Paul de Kock est notre compatriote ; à ce titre , il avait droit à exciter ma curiosité. Je n’ose
lle ; ayant tous les dehors d’un ancien militaire. C’est à ce dernier titre sans doute, qu’il porte le ruban rouge à sa bouto
la marine à Paris. Il signe : Historiographe de la marine ; c’est un titre qu’il s’est composé. J’ai vu M. Jal, et je puis e
dans lequel il avait mêlé son art et sa marine : Cet ouvrage porte en titre  : De Paris à Naples ; c’est aussi fort inconnu ch
t fait à Paris, en 1832 ou 1833, un magnifique journal qui avait pour titre l’Europe littéraire. C’était encore une entrepris
is de Maynard qui a écrit, il y a deux ans, un bel ouvrage ayant pour titre  : Outre-Mer, et qui a, je crois, été réimprimé ch
re-Mer, et qui a, je crois, été réimprimé chez nous. Si ce n’est à ce titre , M. de Maynard vous est connu par sa collaboratio
Pyat un drame fort bien écrit, joué à la Porte Saint-Martin, sous le titre de : Le Brigand et le Philosophe. (Les deux mêmes
tre signé Sainte-Beuve, mais voici qui vous expliquera le choix de ce titre . Il faut d’abord que vous sachiez que les éditeur
e dernier ouvrage de M. Sainte-Beuve, lui demandait tous les jours un titre nouveau qui annonçât un ouvrage en train, pour le
ue vous voulez à toute force annoncer un de mes ouvrages, indiquez le titre que vous voudrez ! Quand mon livre sera fait, je
le titre que vous voudrez ! Quand mon livre sera fait, je prendrai le titre qui me conviendra, et je changerai le vôtre, voil
t ! L’éditeur se le tint pour dit. Il chercha longtemps et inventa ce titre mystérieux et alléchant : Volupté ! Pendant deux
la chose au sérieux ; son éditeur affirma que le retentissement de ce titre ferait le plus grand succès au livre qui le porte
e qui le porterait au front… M. Sainte-Beuve écrivit un livre pour le titre  ! et quel beau livre il a fait, mon cher Monsieur
ède la meilleure littérature de l’Europe, se conformer au hasard d’un titre , au caprice d’un éditeur, pour renoncer à son lib
urtant fait M. Sainte-Beuve, si l’éditeur eût annoncé sous son nom le titre de l’ouvrage dont je vous ai parlé dans ma derniè
est auteur, en participation avec George Sand, d’un roman ayant pour titre Rose et Blanche et signé, je crois, Jules Sand, b
ris ; même je renonce, je crois, à ce roman dont je vous ai envoyé le titre , et pour lequel j’aurais fait avec M. Lamothe-Lan
37 (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — Q — Quillard, Pierre (1864-1912) »
Gourmont M. Pierre Quillard a réuni ses premières poésies sous un titre qui serait, pour plus d’un, présomptueux : La Glo
Temps (1897).] Gustave Kahn M. Pierre Quillard réunit sous ce titre  : La Lyre héroïque et dolente, ses courts lieder
Théâtre de l’Œuvre, en mai 1896, et la plupart de ces pièces sous le titre général : Les Vaines Images, si pures, si harmoni
38 (1909) Les œuvres et les hommes. Philosophes et écrivains religieux et politiques. XXV « Pierre Mancel de Bacilly »
s, vous lui demandez, comme aux autres spéculations de la pensée, ses titres réels à l’estime ou à l’admiration des hommes, vo
la politique de ces derniers temps. Sous beaucoup de plumes un pareil titre n’aurait été qu’un prétexte à des utopies de méta
ulement ouvert son ouvrage, on est bien vite rassuré sur le sens d’un titre que l’auteur n’a pas mis au front de ses idées sa
39 (1827) Principes de la philosophie de l’histoire (trad. Michelet) « Principes de la philosophie de l’histoire — Livre cinquième. Retour des mêmes révolutions lorsque les sociétés détruites se relèvent de leurs ruines — Chapitre I. Objet de ce livre. — Retour de l’âge divin » pp. 357-361
ue dans les actes anciens les princes de France prenaient souvent les titres de ducs et abbés, de comtes et abbés. — Les premi
ent tenu à honneur d’être appelés brigands ; le nom de corsale fut un titre de seigneurie. Les représailles de l’antiquité, l
urent étaient en même temps les barons. 114. Ils en ont conservé le titre de sacrée majesté. (Vico.) 115. Orthographié « A
40 (1906) Les œuvres et les hommes. Femmes et moralistes. XXII. « Les Femmes de la Révolution » pp. 73-87
a Révolution, peu importe ! mais que ce mot de femmes miroite dans le titre du livre qu’on publie, et les hommes s’y jetteron
e défaut essentiel de ce livre — dit-il — c’est de ne pas remplir son titre . Il ne donne pas les femmes de la Révolution, mai
helet nous dit cela, et s’étale fastueusement sous le pavillon de son titre . Tel qu’il est, du reste, inconséquent ou fallaci
t le fond est déjà connu, si, d’un autre côté, le nom de l’auteur, le titre du livre, et les quelques points de suture qui ti
Girondins. 11. Celui des Conférences de Notre-Dame, qui sont le seul titre du P. Lacordaire à une gloire vraie. Quant à l’hi
41 (1906) Les œuvres et les hommes. Poésie et poètes. XXIII « Jules de Gères »
ue je me permets d’appeler le genre gazelle. Il l’est jusque dans les titres qu’il donne à ses poésies ; car je ne crois point
nt une grâce de plus, et je trouve cette timidité de gazelle dans les titres de Gères. Il appelait son premier recueil : Le Ro
rsiculets, comme aujourd’hui il nous donne un nouveau recueil sous ce titre simple, qui peut-être voudrait être plus simple e
en !) de l’homme troublé à l’homme qui le trouble, je n’aime point ce titre , qui est trop long et semble embarrassé… Jules de
Cinq dizains de sonnets que Gères met en premier dans l’énoncé de son titre qui sont l’honneur de son volume. Non ! le volume
42 (1865) Les œuvres et les hommes. Les romanciers. IV « Gogol. » pp. 367-380
Gogol37. I En voyant ce titre singulier et piquant sur la couverture de ces deu
mes qu’on vient de publier, les braves gens naïfs, qui se prennent au titre des livres, et qui ne sont pas, d’ailleurs, très
ure de Russie, ne se douteront guère, à distance, de ce qu’exprime un titre pareil. Qui sait ? Ils rêveront peut-être, — s’il
contrebandier, il est devenu acheteur d’âmes mortes. C’est ici que le titre du livre va s’éclairer d’un commentaire38. En Rus
le temps que la révision des listes n’est pas faite ; et muni de ses titres de vente, il empruntera sur ces âmes fictives au
43 (1866) Nouveaux lundis. Tome VI « Alfred de Vigny. »
et couronne son œuvre dernière, le livre des Destinées, et qui a pour titre l’Esprit pur. Sous prétexte de ne faire aucun cas
urait été composée, « le 20 mai 1817. » La Dryade y prend pour second titre celui d’idylle « dans le goût de Théocrite. » Pou
vie morale : on peut la rapprocher de celle des Destinées qui a pour titre les Oracles et qui semble une leçon à l’adresse d
aussi, tout en blâmant beaucoup, je louai de grand cœur à ce dernier titre le début du XXIIIe livre, l’Absence, dont le mouv
chaque côté : de l’un assez d’ambition, une mère ultra, vaine de son titre , de son fils, et l’ayant déjà promis à une parent
n doutait, la préface qu’il mit au drame de Chatterton, et qui a pour titre  : Dernière nuit de travail. — Du 29 au 30 juin 18
le devancier ; mais M. de Vigny, à vue d’œil et malgré l’éclat de ses titres , n’avait aucune chance de succès à ce moment-là.
tes les rhétoriques connues. J’y voudrais un chapitre qui aurait pour titre  : Des effets d’audience, et ceci en ferait partie
ent. Le recueil est digne du poète. La première pièce, qui a donné le titre au volume, a quelque chose de fatidique et d’énig
la loi de l’avenir ; mais elles redescendent bientôt sous un nouveau titre  : la Grâce les renvoie et les autorise de nouveau
. Les mêmes questions redoutables reviennent dans la pièce qui a pour titre le Mont des Oliviers et qui nous rend l’agonie du
mpagnies de la garde du roi de France. » Le nom n’est précédé d’aucun titre . — (Et, jusqu’à preuve du contraire, je soupçonne
’aucun titre. — (Et, jusqu’à preuve du contraire, je soupçonnerais ce titre de comte de ne s’être joint au nom de De Vigny qu
et que j’ai vu le même léger doute à d’autres que moi.) 70. Voici le titre exact : Poèmes. — Héléna, le Somnambule, la Fille
44 (1869) Nouveaux lundis. Tome XI « Dübner »
re compatriote et devancier parmi nous, M. Hase, mourait surchargé de titres , de places et d’honneurs bien mérités, Dubner, à
e Clerc en parlant ainsi oubliait que pendant longtemps son principal titre , à lui-même, était d’avoir donné un texte, une éd
mps de sa vie savent, par exemple, qu’il s’en est fallu de peu que le titre de l’édition de Cesar ne portât point son nom, ma
uverainement M. Le Clerc et qui ne lui paraissaient pas constituer un titre valable pour l’Académie. Apparemment que l’éditeu
ume I, n° 2, voir, si l’on est curieux,, l’article Dübner, qui a pour titre  : Sur une attaque contre Niebuhr. L’auteur de l’a
45 (1890) Les œuvres et les hommes. Littérature étrangère. XII « Nicolas Gogol »
Nicolas Gogol25 I En voyant ce titre singulier et piquant sur la couverture de ces deu
x volumes : Les Âmes mortes, les braves gens naïfs qui se prennent au titre des livres, et qui ne sont pas, d’ailleurs, très
re de Russie, ne se douteront guères, à distance, de ce qu’exprime un titre pareil. Qui sait ? Ils rêveront peut-être — s’ils
contrebandier, il est devenu acheteur d’âmes mortes. C’est ici que le titre du livre va s’éclairer d’un commentaire27. En Rus
le temps que la révision des listes n’est pas faite ; et, muni de ses titres de vente, il empruntera sur ces âmes fictives au
46 (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — V — Vicaire, Gabriel (1848-1900) »
Clos des Fées (1897). OPINIONS. André Theuriet Il est des titres qui donnent des promesses que parfois le livre ne
mple d’une œuvre qui tient plus que ses promesses et supérieure à son titre  ! Aux Émaux bressans sont venus s’ajouter les Dél
es années passées, de jolies auditions de rondes enfantines. Certains titres de ses volumes : Au Bois-Joli, le Clos des Fées,
47 (1909) Les œuvres et les hommes. Critiques diverses. XXVI. « Gérard de Nerval »
rituelles, qui n’ont que l’intérêt raccourci des anecdotes et dont le titre , souvent déplacé, semblait promettre davantage, o
promettre davantage, on n’aurait peut-être rien à objecter contre son titre , quoiqu’il pût trouver sans grand peine des types
s critique sur des hommes qu’il aurait fallu étudier il n’y a dans le titre du livre de Gérard de Nerval, rien de plus qu’une
48 (1871) Portraits contemporains. Tome V (4e éd.) « THÉOPHILE GAUTIER (Les Grotesques.) » pp. 119-143
THÉOPHILE GAUTIER (Les Grotesques.) Sous ce titre , le spirituel écrivain a réuni une dizaine de por
r cela. En voilà assez pour montrer que l’auteur n’a cherché, dans le titre donné à son livre, qu’une sorte d’étiquette suffi
égards, la plus misérable. Théophile s’annonce comme le bel-esprit en titre et le coryphée littéraire de cette dernière époqu
aussi que madame Tastu aime particulièrement les stances qui ont pour titre les Nautonniers. La Remontrance du poëte captif a
les surfaire un peu. Et d’abord la pièce qu’il cite, l’ode qui a pour titre la Solitude, est composée primitivement de quaran
age de Brie, en passant chemin faisant par la Crevaille : ce sont les titres de ses chefs-d’œuvre. Prenez bien garde toutefois
48. Un curieux manuscrit de la bibliothèque de l’Arsenal, qui a pour titre  : Recueil de plusieurs pièces très-plaisantes du
49 (1802) Études sur Molière pp. -355
re pour tout le monde ; et de leur abandonner, tout en commentant, le titre fastueux de commentateur ; ensuite, de ne jamais
es camarades d’assez bons conseils, pour que leur réunion obtienne le titre de l’Illustre Théâtre ; pour qu’on leur confie de
amoureux 8, et quelques canevas dont on ne connaît guère plus que les titres , tels que Le Docteur amoureux, Les Trois Docteurs
x. Le roi satisfait des nouveaux comédiens, leur permit de prendre le titre de, la troupe de Monsieur, et de jouer alternativ
ns sur la pièce ; et voilà désormais la marche que nous suivrons. Le titre . — Voltaire prétend que la pièce française devrai
tre. — Voltaire prétend que la pièce française devrait porter le seul titre de Contre-temps ; mais le lecteur a pu remarquer
, à l’étourderie de Lélie, son caractère seul a le droit de donner un titre à l’ouvrage qu’il anime, et que le second est tou
actes, mais nous en fournit encore quinze ou vingt autres sous divers titres  ! L’exposition. — La toile à peine levée, six ve
s, un imprudent : Molière a resserré ces trois significations dans le titre de L’Étourdi, c’est aux acteurs à s’y conformer.
répétait mille fois. Après avoir demandé aux comédiens dignes de ce titre , car il en est, pourquoi ils ne font pas remarque
me la paille qu’ils veulent rompre. Sentiment sur la pièce. Le titre . — Il ne répond qu’à une seule scène essentielle.
cène française, car je craindrais d’offenser Molière, en accordant ce titre à l’extrait informe qu’on nous donne de cette piè
: si vous avez jamais le bonheur de jouer la belle scène qui donne le titre à la pièce, ne cherchez pas à mettre la manière à
our corriger sa pièce ; il la fit jouer au théâtre du Marais, sous le titre de L’Académie des femmes. Jugeons, en peu de mots
sur la pièce. Le genre. — Plutôt de caractère que d’intrigue. Le titre . — Remarquons-en toute l’adresse. La contagion ét
ait poussée à un tel point, que les Précieuses, flattées de porter ce titre , convenaient cependant qu’on voyait des femmes, s
ont pas un seul n’est à retrancher. Sentiment sur la pièce. Le titre . — La pièce en a deux ; le premier fixe trop notr
embellissent l’ouvrage, mais n’en font pas mouvoir les ressorts. Le titre . — Excellent, puisque la pièce instruit les maris
oulez donc pas que je sois amant ? — Au contraire, je l’exige ; et ce titre , garant de la plus grande délicatesse, promet un
ésire cependant de les voir cesser. Sentiment sur la pièce. Le titre . — Clair et simple. L’exposition. — D’un ton tro
tout à fait étrangères à la pièce, mais servant au moins à remplir le titre jusqu’au moment où l’action commence. Le style.
tant que des fils si déliés qu’ils ne sauraient enlever à la pièce le titre de comédie à scènes détachées ; mais pouvant serv
s pouvant servir de modèle en ce genre. Le dénouement. — Infidèle au titre  ; précipité et romanesque. Infidèle au titre, pui
énouement. — Infidèle au titre ; précipité et romanesque. Infidèle au titre , puisque, dans le dernier entracte, les Fâcheux n
son génie. Sentiment sur la pièce. Le genre. — D’intrigue. Le titre . — Pas juste, en ce qu’il détourne tout à fait de
stances sur les devoirs de la femme mariée méritaient les honneurs du titre . Les caractères. — Tous en opposition et se fais
ecdote. Lisez la pièce de Molière. Sentiment sur la pièce. Le titre . — Il annonce l’ironie qui doit régner dans la pi
uivant. Lisez la pièce de Molière. Sentiment sur la pièce. Le titre . — Il a le défaut rare de promettre moins que la
tre du Palais-Royal, en trois actes, et sans intermèdes, elle prit le titre qu’elle porte à présent. C’est à tort que divers
on père, Tu ne te marieras jamais. Sentiment sur la pièce. Le titre . — Défectueux, en ce qu’il annonce trop le dénoue
e désespérer. Devenue l’épouse de Molière, plus vaine que fière de ce titre , elle se crut une grande dame, en prit le ton, le
t pas au théâtre de plus fortement dessiné que celui de Dom Juan. Le titre . — Ceux de la comédie espagnole annoncent, l’un l
it à son service, en lui accordant une pension de 7 000 livres, et le titre de troupe du roi. Qu’on juge de l’empressement av
icule ». Sentiment sur la pièce. Le genre. — De caractère. Le titre . — Simple, précis, fixant l’esprit du spectateur
de Brai ; mais je le crois plutôt pris dans un conte, Le Vilain Mire, titre que l’on donnait, en vieux langage, aux médecins
à présent le premier, et font bien. Sentiment sur la pièce. Le titre . — La pièce en a présentement deux54, Le Tartuffe
de style, comme le croit Voltaire. Sentiment sur la pièce. Le titre . — Précis et bien propre à piquer la curiosité.
it perdue. Sentiment sur la pièce. Le genre. — D’intrigue. Le titre . — La pièce en a deux : le second est le véritabl
ans la rivière, la tête la première ; et la voilà, cette leçon que le titre de Mari confondu nous avait annoncée. Quant aux d
s, nous sommes convenus de n’en parler que lorsqu’ils mériteraient ce titre , par leur liaison intime avec l’ouvrage. De la
gue, et tout à fait dans le genre des mimes grecques et romaines. Le titre . — Vague comme tous ceux des pièces qui portent l
ette pièce parut à Saint-Germain-en-Laye, au mois de février, sous le titre de Divertissement royal. L’auteur ne jugea pas à
mme l’ont prétendu plusieurs commentateurs. Éblouis sans doute par le titre des Amants magnifiques, ils n’ont pas songé qu’un
entation. Sentiment sur la pièce. Le genre. — De caractère, le titre l’annonce. Les divertissements. — Ceux du premie
indre jalousie. Quand reparaîtront-ils ces hommes si rares, à tant de titres  ! Année 1672. Les Femmes savantes ; La C
us de quatre ans sur le bureau : on en parlait déjà en 1668 ; sur son titre seul, madame Dacier jugea à propos de jeter au fe
ment parut à Saint-Germain-en-Laye, au mois de décembre 1671, sous le titre de Ballet des Ballets. Ces deux pièces composaien
sa comédie de La Comtesse d’Escarbagnas, mais qu’il composa encore le titre de la pièce, et du nom de la dame et du nom de la
stol. Lisez la pièce de Molière. Sentiment sur la pièce. Le titre . — Le mot d’Escarbagnas, joint à celui de comtess
paraissez vouloir vous dévouer, ne serait-il pas mieux défini par le titre de Femmes exagérées ? L’élève. Qu’importe le tit
eux défini par le titre de Femmes exagérées ? L’élève. Qu’importe le titre  ? Le professeur. Plus qu’on ne croit, puisque ce
50 (1870) Causeries du lundi. Tome XV (3e éd.) « Académie française — Réception de M. Émile Augier » pp. 317-321
prononcé par M. Émile Augier, et l’éloge de celui-ci, l’exposé de ses titres littéraires, prononcé par M. Lebrun ; tous noms a
ndre peut-être plus circonspects ceux qui repoussent d’abord, au même titre , d’autres œuvres de talent. Le succès de ce disco
mi intime et constant de Béranger, il a justifié aujourd’hui tous ces titres et fait preuve des qualités qu’on estime en lui.
51 (1753) Essai sur la société des gens de lettres et des grands
t assez remarquable dans l’histoire de l’esprit et du cœur humain, le titre de père des lettres semble avoir plus contribué à
uvrages, qu’on appelle du terme honnête d’ouvrages de société, fût un titre suffisant pour acquérir les qualités de juge : ce
ranger a fait un livre intitulé, de la charlatanerie des savants ; ce titre promet beaucoup ; si par malheur l’ouvrage n’étai
és d’un plus grand nombre : mais on lit au dehors du temple le simple titre d’une infinité d’autres, affiché à toutes les col
ne. Pour apprécier l’une et l’autre il ne faut que savoir compter des titres et des contrats, et cela est bien plutôt fait que
surtout que s’il est un respect extérieur que les talents doivent aux titres , il en est un autre plus réel que les titres doiv
les talents doivent aux titres, il en est un autre plus réel que les titres doivent aux talents. Mais combien de gens de lett
roit, pour qui la qualité d’auteur ou d’homme de lettres n’est pas un titre assez noble. Il faut avouer que la nation Françai
convaincus que le nom d’homme de lettres est regardé par eux comme un titre subalterne qui ne peut être le partage que d’un É
prix qu’on mérite de l’être ; mais combien peu voudraient d’un pareil titre à de pareilles conditions ? Quelle leçon que l’ex
’un bienfait accordé est regardé pour l’ordinaire comme une espèce de titre , une prise de possession de celui qu’on oblige, u
t sur la même ligne à côté du rang et de la noblesse, et que tous les titres y cédassent à celui d’homme de lettres. Il voulut
remplir à la longue ces sociétés illustres de gens médiocres à qui le titre d’académicien est nécessaire, et de rendre les ré
u projet : on ne saurait faire un plus mauvais livre avec un meilleur titre . 3. Voyez l’article Calomnie dans le second vol
52 (1872) Nouveaux lundis. Tome XIII « Ma biographie »
les Poésies et Élégies intérieures qui parurent en mars 1830 sous le titre de Consolations. Il est inutile d’ajouter pour ce
, en 1827, une série d’articles qui furent recueillis en 1828 sous ce titre  : Tableau historique et critique de la Poésie fra
nq volumes in-8° qui parurent successivement, de 1832 à 1839, sous le titre de Critiques et Portraits littéraires. Mais depui
ent autrement distribués et recueillis dans le format in-12, sous les titres de Portraits de femmes, — Portraits littéraires,
34, M. Sainte-Beuve publiait un roman en deux volumes in-8° qui avait titre Volupté. Cet ouvrage, à l’heure qu’il est, a eu j
ollection de ces articles en volumes se fit à partir de 1851, sous le titre de Causeries du Lundi, et elle se continua pendan
ère, et la série de ces articles, recueillis à partir de 1863 sous le titre de Nouveaux Lundis, ne forme pas aujourd’hui (186
dice du tome Ier de Port-Royal (édition de 1866) ; le chapitre a pour titre  : L’Académie de Lausanne en 1867. 13. M. Sainte
us belle musique de deuil qu’on ait écrite en poésie, et qui ont pour titre le Passé : Arrêtons-nous sur la colline À l’heur
— Sur son contrat de mariage, qui est du 29 ventôse an XII, il prend titre et qualités de directeur de l’octroi municipal et
aise, une et indivisible. — Citoyen, en exécution de l’article dix du titre sept de la loi du 21 pluviôse, relative aux secou
e requiers en conséquence, sous les peines portées en l’article 13 du titre 7 de la loi ci-dessus, de payer sous huit jours,
53 (1868) Cours familier de littérature. XXV « CXLIXe entretien. De la monarchie littéraire & artistique ou les Médicis (suite) »
e ce qu’avait été son père, un grand citoyen. Sa modération était son titre à son pouvoir tout volontaire et tout électif. C’
a à capter les Florentins. Soderini gouvernait alors Florence sous le titre de gonfalonier décennal. Les amis de sa famille r
t par Lucrezia Salviati, sa fille, reprit le nom vénéré de Côme et le titre de grand-duc. Alexandre de Médicis fut nommé doge
avec les grandes familles de Florence. Quand Alexandre avait pris le titre de doge et affecté le despotisme, Lorenzino était
Caton, de sa propre main. Côme II accourut et reçut l’empire sous le titre de chef de la république. Lorenzino se sauva jusq
Laurent le Magnifique, mais c’était lui-même qui s’était sacré de ce titre  ; il ne prit de l’autorité populaire que le soin
ivra malgré lui de ses implacables ennemis ; de ce jour il régna sans titres , mais avec quelle prudence et quelle modestie ! O
nt que par la violence. Côme II fut forcé de régner, et régna avec un titre plus absolu, mais sur les principes de Laurent. L
54 (1772) Bibliothèque d’un homme de goût, ou Avis sur le choix des meilleurs livres écrits en notre langue sur tous les genres de sciences et de littérature. Tome I « Bibliotheque d’un homme de goût. — Chapitre II. Des poëtes étrangers. » pp. 94-141
que M. l’Abbé de Sade nous a donné en 1764. en 3. vol. in 4°. sous le titre de Mémoires pour la vie de François Pétrarque, ti
laquelle le génie du Poëte italien reprenoit une nouvelle vie, fut le titre de sa réception à l’Académie Françoise. “Ç’a été,
prévint nos louanges, vous indiqua dès-lors à l’Académie. Voilà votre titre .” Le traducteur s’étoit fait un systême qui avoit
M. Richelet 1751. & années suivantes en douze vol. in-12. sous le titre de Tragédies & Opéra de l’Abbé Metastasio. Le
Comédies des plus fameux Auteurs espagnols, traduits en françois. Ce titre est sans doute trop pompeux ; car le traducteur n
auts dans la nouvelle version qu’il nous a donnée de ce Poëte sous ce titre  : le Paradis perdu de Milton, traduction nouvelle
ses Pensées nocturnes, que M. le Tourneur a si bien traduites sous le titre de Nuits d’Young 1769. deux vol. in-8°. Le faux b
sie chinoise dans une espêce de Roman, traduit par M. Eidous, sous ce titre  : Hau-Kiou-choan, histoire chinoise, à Lyon 1766.
55 (1870) Causeries du lundi. Tome XIV (3e éd.) « L’abbé de Marolles ou le curieux — I » pp. 107-125
un jour, pour travailler à dresser un inventaire général de tous les titres de la maison de Nevers, comptant par là faire sa
mentir dicté les extraits et marqué de ma main plus de dix-neuf mille titres rédigés en six gros volumes, avec les tables d’un
stait quelque chose à faire. Il y avait encore, disait-il, à voir les titres du grand cabinet, ceux du trésor de l’hôtel de Ne
baye de Baugerais l’abbaye bien plus importante de Villeloin, dont le titre se rattache habituellement à son nom. Son père la
ges. Se livrant avant tout à son goût favori, il avait inventorié les titres de ses abbayes, avait transcrit les plus considér
ion des mœurs de ses religieux, il n’estimait pas apparemment que son titre d’abbé commandataire lui conférât autorité suffis
56 (1867) Nouveaux lundis. Tome IX « Entretiens sur l’histoire, — Antiquité et Moyen Âge — Par M. J. Zeller. »
l’histoire ancienne et celle du Moyen-Age. On craint toujours, par un titre présomptueux, de rappeler Bossuet pour ce célèbre
e pays, et qu’il conférait avec les plus savants de leurs rabbins. Le titre complet de l’ouvrage, et qui en exprime l’idée, e
ère partie en la détachant et en l’isolant, en ne la considérant qu’à titre d’abrégé chronologique ou de résumé et en la comp
comparant à quelques-uns des ouvrages qu’on range communément sous ce titre , on la trouverait inférieure à quelques égards. U
que l’abréviateur ne soit pas dispensé de recourir aux originaux, aux titres , aux chartes, pas plus que l’historien ; qu’il so
 Tout était Dieu, excepté Dieu même. » Israël avait presque perdu ses titres  ; Moïse les lui a rendus. Il lui retrace son hist
57 (1906) Les œuvres et les hommes. Poésie et poètes. XXIII « Théodore de Banville »
îtres. Ses Cariatides et ses Stalactites disent suffisamment par leur titre seul quelle inspiration matérielle est la sienne.
es Mulâtres devant les Noirs ! II On s’étonnera peut-être de ce titre de Poésies complètes, sous lequel l’éditeur Poule
r parler comme eux, ne s’enterrent pas de leurs propres mains dans ce titre solennel et un peu funéraire de Poésies complètes
ent, Banville, plus poète et mieux portant que jamais, fera mentir le titre de son volume actuel en publiant d’autres ouvrage
de une école malgré lui, ou s’il accepte cet orgueilleux et dangereux titre de chef d’école, il s’y énerve, y expose et finit
58 (1895) Les œuvres et les hommes. Journalistes et polémistes, chroniqueurs et pamphlétaires. XV « Auguste Vitu » pp. 103-115
1860. I Ombres et vieux murs ! — Au premier coup d’œil, un joli titre , qui fait rêver, mais qui n’indique rien de préci
d’histoire oubliée de ce livre, et dont l’auteur, contrairement à son titre , a fait de la lumière ?… Et les vieux murs, serai
tout noir et de toute estompe, j’aurais cependant mieux aimé un autre titre , et même une autre distribution. Auguste Vitu nou
es excellentes variétés historiques qu’il nous a mises sous les yeux, titres réveillants en tête : La Lanterne, Le Rhum et la
59 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXVII » pp. 298-304
à madame Scarron, comme on le verra en suivant l’ordre des faits, le titre et le nom de marquise de Maintenon, ce titre et c
nt l’ordre des faits, le titre et le nom de marquise de Maintenon, ce titre et ce nom étaient portés par un des fils d’Angenn
un des fils d’Angennes ; de sorte qu’elle succéda à un domaine, à un titre , à un nom de l’hôtel Rambouillet, en même temps q
60 (1913) Poètes et critiques
le que cette pièce, l’une des plus curieuses du volume, et qui a pour titre La Fin des Gueux. Un gueux qui rôde aperçoit dans
ffle d’épopée qui circule à travers les larges pièces réunies sous ce titre  : Les Gas. C’est l’épopée à la Callot, mais, cett
tant que la beauté était incontestable. Tel est l’opuscule qui a pour titre Lectures populaires ; tel est le petit volume Lec
ite il y aura bientôt une douzaine d’années, lorsque je rappelais les titres littéraires de Bouchor, je ne citais de lui que l
e. En 1902, il donnait des séries de méditations, rassemblées sous ce titre  : Le Poème de la vie humaine, et il prenait ici p
Leipzig, sur l’initiative du professeur Vietor, de Marbourg, avec ce titre tout vibrant : De Hugo à Mistral. L’ouvrage compr
re critique produite par M. Victor Giraud est remarquable à plus d’un titre , et tout particulièrement par sa cohésion, par sa
ns en quelques mots, pour en marquer le caractère peu commun. Sous le titre  : Pascal, l’homme, l’œuvre et l’influence, M. Vic
 Giraud. Nous n’avons rien ici qui puisse rappeler les alliages à bas titre . C’est par de longs et délicats travaux d’approch
a pas même vu toutes les conditions qui sont à réunir pour mériter ce titre . Sa propre correspondance nous donne là-dessus le
qu’il a commencé à écrire. Rappelons-nous la brochure qui avait pour titre  : Les idées morales d’Horace. Plus d’un lecteur p
in la place d’honneur dans leurs œuvres, bien des anciens méritent ce titre … » C’est sous cet angle, exactement, que les pros
uit de conscience comme une œuvre dont il suffirait d’avoir glissé le titre entre la Troisième Jeunesse de Madame Prune et le
du volume, les quatre-vingts pages si denses qui sont précédées de ce titre  : M.  Paul Bourget. Au début de cette étude, M. G
ait un étroit devoir. L’un des huit chapitres qui le composent a pour titre  : La Personne et l’Œuvre de Taine d’après sa corr
er, je mettrais au premier rang de ces divers essais celui qui a pour titre  : Chateaubriand et ses récents historiens. Il a é
a commencé par prendre tous ses grades en se jouant, sans excepter le titre d’agrégé des lettres, plus difficile à conquérir
eraine splendeur. Ces deux séjours nous ont valu le volume qui a pour titre  : Notes sur la Russie et pour sous-titres : Tolst
ces Notes sur la Russie ? IV Si je me borne à désigner par leur titre d’autres volumes publiés à peu près à la même dat
nier, en écrivant ce livre d’esthétique délicat et ardent, qui a pour titre Le Sourire d’Athéna, a confessé sa religion : le
J’arrive donc à cet ouvrage : Trois amies de Chateaubriand. Comme le titre l’indique, le livre contient trois études, chacun
t » cet autre émule du Poverello n’a point surfait sa marchandise. Le titre du manuscrit, Cellulairement, est déjà fait pour
seigné sur les vagabondages de Verlaine et sur leurs conséquences, ce titre est souligné par une épigraphe en langue espagnol
l’année 1874. Ils font partie d’une parodie des Intimités qui a pour titre  : Vieux Coppées. Ils sont à rapprocher de l’invec
à 75. Mais il présente deux lacunes : entre deux pièces qui ont pour titre , l’une, Réversibilités, l’autre, Images d’un sou,
Baudelaire est reconnaissable partout dans les Poèmes saturniens, du titre à l’épilogue. Le titre — Charles Morice l’a noté
issable partout dans les Poèmes saturniens, du titre à l’épilogue. Le titre — Charles Morice l’a noté très justement — est dé
ièce, qui, dans Jadis et Naguère, et déjà dans le manuscrit, porte le titre Autre, et qui était précédée, tout d’abord, de ce
reux d’un caveau… Silence, silence ! Et, dans le même temps, sous ce titre  : La Chanson de Gaspard Hauser, il résume, dans t
rôle que tu ne penses. (Le Pouacre.) En septembre également, sous ce titre Almanach de l’année passée, le poète reprend, dan
st à partir d’ici que le manuscrit Cellulairement mérite le mieux son titre . Et en effet, dès octobre 1873, le condamné de Br
oi qui porte pour devise : « Totus in maligno positus » et qui a pour titre ce mot Réversibilités, pris aux lointaines Fleurs
emme ni son enfant. C’était, comme le dit dans sa forte simplicité le titre du drame norvégien, supporter « plus qu’homme ne
sion. Depuis ce temps, M. Giraud a donné tout un volume, portant pour titre Nouvelles études sur Chateaubriand, 1912, mais le
n remarqué que la pièce Læti et errabundi de Parallèlement reprend un titre baudelairien : Mœsta et errabunda ? Verlaine a dû
61 (1906) Les œuvres et les hommes. À côté de la grande histoire. XXI. « Deux diplomates »
fin, voici deux autres diplomates, hommes très distingués, mais à des titres très différents ; car Donoso Cortès, ce Joseph de
de Starostes et de Castellans, pour l’homme qui pouvait dédaigner son titre de marquis de Valdegamas, parce que son nom était
eut appeler ces fragments un livre, qui se nomme les Deux Diplomates, titre pour le livre comme pour les hommes qui le porten
mates, titre pour le livre comme pour les hommes qui le portent, — un titre et rien dessous !… Dans ce livre, où il n’est pas
62 (1860) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (première série). I « XXV. Le Père Ventura »
ours une pensée d’ensemble et d’unité profonde, les a publiés sous un titre collectif qui dit bien, en un seul mot, le sens p
: mais, dans la pensée évidente, catégorique et même exprimée dans ce titre que vous avez pris, c’est bien autre chose. C’est
scours et qui appartient au premier curé de village autant et au même titre qu’au R. P. Ventura, il n’y a véritablement pas l
esque douloureuse et qui, à nos yeux et aux yeux de tous, décapite le titre ambitieux et qui pouvait être juste du livre du P
63 (1865) Les œuvres et les hommes. Les romanciers. IV « M. Charles Didier » pp. 215-226
ce nom d’Italie si populaire à cette heure et qui pare aujourd’hui le titre du sien. En lisant au front de son volume ces mot
ons tout à l’heure, et pour nous servir d’un mot dans le genre de son titre , n’est pas un talent d’Italie. L’Italie qu’il aim
, les peintres ou les poètes des Décamérons ! Les Amours d’Italie, ce titre qui faisait rêver, ne fera plus rêver personne qu
oniste de l’école de M. Alexandre Dumas. Livre médiocre, pavoisé d’un titre qui se retourne contre le livre, car il est attir
64 (1867) Nouveaux lundis. Tome VIII « Jean-Bon Saint-André, sa vie et ses écrits. par M. Michel Nicolas. (suite et fin.) »
’envie de se faire valoir, ni le besoin de s’excuser. C’est, comme le titre l’indique, un journal, une espèce de livre de bor
embre 1795), y resta deux ans et demi, et de là il fut envoyé au même titre à Smyrne (1798). Il venait à peine de prendre pos
rvices militaires et maritimes parlaient pour lui et lui créaient des titres  ; sa personne les justifia, et le 20 décembre 180
République. Je me félicite de pouvoir conserver avec vous à un autre titre des relations que votre zèle et vos lumières me r
s. 35. Le baron de Saint-André. — On voit que Jean-Bon avait reçu le titre qui était ordinairement attaché à celui de préfet
t et à l’abolition des classes privilégiées de rechercher ensuite des titres de distinction honorifique et de noblesse, autant
rvices utiles, d’y renoncer et de se désister pour se soustraire à un titre qui devient l’accompagnement presque obligé de la
65 (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — C — article » p. 430
r en 1737 ; Auteur qui a débuté par un Roman intitulé le Temps perdu, titre des plus convenables au temps qu’il a employé à l
ieroit à le lire. Ses autres Productions mériteroient aussi un pareil titre  ; pour être moins mauvaises, elles n’en sont pas
66 (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — P. — article »
prédécesseurs, quand ceux-ci ne sont pas du premier mérite. Voici le titre des Productions de Papire Masson : Annalium libri
vini. — Notitia Episcoporum Galliœ. — Une Histoire des Papes, sous ce titre assez singulier, de Episcopis Urbis. On a encore
67 (1870) De l’intelligence. Deuxième partie : Les diverses sortes de connaissances « Livre deuxième. La connaissance des corps — Chapitre premier. La perception extérieure et les idées dont se compose l’idée de corps » pp. 69-122
ossibilités et nécessités durent et sont indépendantes. — À ce double titre , elles ont tous les caractères de la substance. —
ensation, mais encore des nécessités permanentes de sensation. — À ce titre , ils sont des forces. — Ce qu’est un corps par ra
crampe ; son caractère est l’intensité plus ou moins grande, et à ce titre je puis comparer ma sensation à d’autres sensatio
eraient ; elles existent donc à part et par elles-mêmes. — À ces deux titres , elles s’opposent d’abord aux sensations qui sont
s couples que nous rencontrons dans la nature, les deux termes liés à titre d’antécédent et de conséquent ne sont pas des sen
nts, mais par rapport aux événements des autres corps. À ce troisième titre , il est encore un groupe de possibilités et de né
de simple possibilité qu’il était, il devient chose effective au même titre que nous-mêmes, et nous lui reconnaissons une exi
it de cette sensation, bref, comme on l’a défini tout à l’heure. À ce titre , les corps sont des mobiles moteurs, voilà leur e
r rapport à nous, il est une condition de sensations pour nous ; à ce titre , il est déterminé, mais seulement par rapport à n
’événements qui, à certaines conditions, tendent à s’effectuer ; à ce titre , il est déterminé en lui-même, et nous pouvons di
s pouvons à bon droit attribuer une telle série à la pierre, et, à ce titre , elle est pour nous un être aussi réel, aussi com
à leur accomplissement et par la grandeur de l’effet consécutif. À ce titre , tous les faits ou événements de la nature pourra
68 (1870) Causeries du lundi. Tome XII (3e éd.) « [Avertissement] » p. 2
ouzième volume qui sera bien probablement le dernier à ranger sous le titre actuel, car les éditeurs MM. Garnier ont acquis,
i-ci contient quelques articles qui pourraient s’appeler à plus juste titre Causeries du samedi, ayant paru d’abord à ce jour
69 (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — C — article » p. 520
le plus estimé est son Journal littéraire, qui parut d’abord sous le titre de Bibliotheque universelle, puis sous celui de B
tique. On pourroit former un très-bon Recueil de son Journal, sous le titre d’Esprit de le Clerc ; il faudroit pour cela qu’u
70 (1874) Premiers lundis. Tome I « Dumouriez et la Révolution française, par M. Ledieu. »
Mittau, jeta les yeux sur Dumouriez. M. de Saint-Priest, qui avait le titre de ministre des affaires étrangères de sa majesté
it porteur, Dumouriez vit avec étonnement qu’on ne lui donnait que le titre de maréchal de camp, et il en demanda la raison,
e Dumouriez : il ne voulait pas être dégradé. On lui proposa un autre titre qu’il refusa. Bref, après bien des discussions, o
71 (1875) Les origines de la France contemporaine. L’Ancien Régime. Tomes I et II « Livre troisième. L’esprit et la doctrine. — Chapitre III. Combinaison des deux éléments. »
de décrire, naquit une doctrine qui parut une révélation et qui, à ce titre , prétendit au gouvernement des choses humaines. A
’abord la coutume immémoriale, différente selon la province, selon le titre de la terre, selon la qualité et la condition de
e social et moral, le passé justifie le présent ; l’antiquité sert de titre , et si, au-dessous de toutes ces assises consolid
Le préjugé héréditaire est une sorte de raison qui s’ignore. Il a ses titres aussi bien que la raison elle-même ; mais il ne s
de sa nature un poème métaphysique accompagné de croyance. C’est à ce titre qu’elle est efficace et populaire ; car, sauf pou
n grade le chef à son devoir et le soldat à son chef. — Tels sont les titres très valables du préjugé héréditaire ; on voit qu
III. La raison classique ne peut se mettre à ce point de vue. — Les titres passés et présents de la tradition sont méconnus.
préjugé héréditaire devient un préjugé pur ; la tradition n’a plus de titres , et sa royauté n’est qu’une usurpation. Voilà dés
n pour le dernier des rois. » Brissot : « Le besoin étant notre seul titre de propriété, il en résulte que, lorsqu’il est sa
caresses sont innocentes, tes baisers sont purs. L’amour est le seul titre de la jouissance, comme la faim l’est de la propr
72 (1875) Les origines de la France contemporaine. L’Ancien Régime. Tomes I et II « Livre premier. La structure de la société. — Chapitre I. Origine des privilèges. »
trop heureux du salut présent qu’il apporte pour le chicaner sur son titre . — Enfin, après tant de siècles, voici dans chaqu
rudoie, mais qui vous protège. Souverain et propriétaire, à ce double titre le seigneur garde pour lui la lande, la rivière,
e on se dévoue. Elle se confond avec le seigneur et sa famille ; à ce titre , on est fier de lui, on conte ses grands coups d’
nait pas au roi une province, pas même Laon ; c’est lui qui ajoute au titre son domaine. Pendant  huit cents ans, par mariage
eau construit par ses mains et par les mains de ses ancêtres, qu’à ce titre le bâtiment est à lui, qu’il y a droit comme chaq
73 (1863) Histoire des origines du christianisme. Livre premier. Vie de Jésus « Chapitre VIII. Jésus à Capharnahum. »
de fils de l’homme devint, au moins dans certaines écoles 371, un des titres du Messie envisagé comme juge du monde et comme r
e Messie devait être fils de David, on lui décernait naturellement ce titre , qui était synonyme du premier. Jésus se le laiss
ât quelque embarras, sa naissance étant toute populaire. Pour lui, le titre qu’il préférait était celui de « Fils de l’homme 
our lui, le titre qu’il préférait était celui de « Fils de l’homme », titre humble en apparence, mais qui se rattachait direc
fois dans le livre d’Hénoch, LXII, 8. 373. Jean, V, 22, 27. 374. Ce titre revient quatre-vingt-trois fois dans les Évangile
74 (1772) Bibliothèque d’un homme de goût, ou Avis sur le choix des meilleurs livres écrits en notre langue sur tous les genres de sciences et de littérature. Tome II « Bibliotheque d’un homme de goût — Chapitre II. Des livres de géographie. » pp. 5-31
noine de Vaucouleurs. Le second est par un anonyme. Celui-ci porte en titre le nom de la Martiniere. M. Ladvocat qui lui avoi
us ayons en ce genre, est celle de M. l’Abbé Prevot qui parut sous ce titre  : Histoire générale des voyages, depuis le commen
curieux & intéressant. Mais on desire que l’auteur remplisse son titre en traitant la partie de l’Amérique, à laquelle i
cette partie du monde par celle que le P. Touron en a donnée sous ce titre  : Histoire générale de l’Amérique depuis sa décou
p d’esprit naturel. Le même nous a donné son voyage d’Italie sous le titre de Nouvelles observations sur l’Italie & les
75 (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — M. — article » p. 271
s, qui n’est qu’une compilation, ne devoient pas paroître non plus un titre suffisant pour le placer parmi les Ecrivains céle
he encore gré de nous avoir régalé d’une Tragédie Bourgeoise, sous le titre des Amans désespérés, ou la Comtesse d’Olinval, p
76 (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — C — article » p. 437
à Besançon en 1697, mort à Amsterdam en 1732. En changeant souvent le titre de ses Journaux, il ne put parvenir à les rendre
es, mort en 1655, à qui nous devons des Mélanges Historiques, sous le titre de Recueil de plusieurs actes, traités & lett
77 (1874) Premiers lundis. Tome II « Étienne Jay. Réception à l’Académie française. »
ans doute de revenir sur cet arbitraire mesquin qui s’acharnait à des titres littéraires et à des droits consacrés. Il convena
quelques noms célèbres, écartés encore aujourd’hui presque aux mêmes titres , et sur lesquels l’injustice de M. de Vaublanc pè
os faiseur d’arbitraire d’aujourd’hui, qui s’attaquent, non pas à des titres littéraires, à des fauteuils, mais aux garanties
78 (1859) Cours familier de littérature. VIII « XLVe entretien. Examen critique de l’Histoire de l’Empire, par M. Thiers (2e partie) » pp. 177-248
s des esprits éminents de chaque époque, occupées à discuter, sous le titre d’hérésies, tous les systèmes de philosophie, ado
si vous reconnaissez le génie pour droit et l’ambition heureuse pour titre , quel est l’homme orgueilleux qui ne se croira pa
aparte avait raison d’aspirer au pouvoir suprême, n’importe sous quel titre . Son tort, ce n’est pas d’avoir pris la dictature
bir les désaveux pour se faire offrir sous un nom ou sous un autre le titre du pouvoir monarchique dont il avait déjà la réal
ussé la couronne comme César au Cirque, le général Bonaparte passe du titre de premier Consul au titre de Consul à vie, et du
r au Cirque, le général Bonaparte passe du titre de premier Consul au titre de Consul à vie, et du titre de consul à vie à la
arte passe du titre de premier Consul au titre de Consul à vie, et du titre de consul à vie à la prochaine proclamation de l’
’État Miot, confident de Joseph Bonaparte et admis indirectement à ce titre dans les demi-confidences de son frère, « il le f
re, comme il est d’usage dans les révolutions. Une dictature, sous le titre de Protecteur, avait suffi à Cromwell. La dictatu
n d’un trône, il n’y avait pour lui que timidité et inconséquence. Le titre et l’institution du consulat à vie n’étaient qu’u
ui avait quitté tout exprès la capitale du monde chrétien. C’est à ce titre surtout que de pareilles pompes sont dignes d’att
79 (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — A — article » pp. 145-146
d’exactitude & de fidélité se fait un peu moins sentir. Il a pour titre l’Intrigue du Cabinet sous Henri IV & Louis X
inet sous Henri IV & Louis XIII, terminée par la Fronde ; mais ce titre n’est rien moins que justifié par l’Ouvrage, qui
80 (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — M. — article » pp. 211-212
. Quoique la plupart des Pieces que ce jeune Poëte a publiées sous le titre trop peu modeste de Bibliotheque des Amans, ne ro
oir transcrire ici une des petites Pieces de son Recueil. Elle a pour titre les Quinze ans. Quinze ans ! Thémire, ô le bel â
81 (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — A — Auriac, Victor d’ (1858-1925) »
re. [Courrier du soir (2 avril 1883).] Louis de Gramont Sous ce titre  : Pâques-Fleuries, M. Victor d’Auriac vient de pu
Coppée M. Victor d’Auriac a trouvé un bien frais et bien gracieux titre pour ses vers de la vingtième année, Pâques-Fleur
82 (1857) Causeries du lundi. Tome III (3e éd.) « Œuvres de Frédéric le Grand. (Berlin, 1846-1850.) » pp. 144-164
l’idée d’imprimer les Œuvres du philosophe de Sans-Souci (c’était le titre qu’avait pris Frédéric dans ses poésies et ses pr
ou trois remarques. Le texte, typographiquement, est admirable ; les titres sont d’un grand goût ; les portraits sont beaux :
mais bien que soi-même. » En écrivant l’histoire de sa maison sous le titre de Mémoires de Brandebourg, il nous donne le sens
mme simple prince et membre de l’Empire, lui il le sera comme roi. Ce titre , cette qualification de roi qui ne fut donnée qu’
’avait porté, esclave du cérémonial et de l’étiquette, avait rendu ce titre de Majesté presque ridicule en sa personne ; il e
d’apparat, disait, sans le savoir, à sa postérité : « J’ai acquis le titre , et j’en suis fier ; c’est à vous de vous en rend
83 (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — G — article » pp. 406-407
n 1748. Il y a d’excellentes choses dans sa Grammaire, connue sous le titre de Principes de la Langue Françoise : malgré cela
putation de M. l’Abbé Girard consiste dans ses Synonymes François. Ce titre sembleroit d’abord annoncer un systême conçu d’ap
84 (1897) Le monde où l’on imprime « Chapitre II. « Faire de la littérature » » pp. 19-26
Pour un demi-louis, le Tout-Paris publie son nom, son adresse et son titre  : homme de lettres. Si sa mère objecte que la lit
s et des déclamations. On constaterait, en, second lieu, que, au même titre que l’économie politique ou la psychologie, l’his
uétude par de très solides institutions, masquant de l’unité de leurs titres la diversité de leurs objets. J’ai dit la Société
85 (1860) Ceci n’est pas un livre « Les arrière-petits-fils. Sotie parisienne — Deuxième tableau » pp. 196-209
ous devez vous adresser directement. Il faut d’abord faire valoir vos titres auprès du Ministre d’État, produire des actes aut
ier à la cantonade : c’est Francisque qui ricane.) Saturet. Des titres  ? des actes ? Hélas ! ils ont disparu dans la tou
? Derville, parcourant le cabinet avec agitation. (À part.) Des titres , des actes brûlés en 93 ; — cet homme qui pue l’a
86 (1895) Les mercredis d’un critique, 1894 pp. 3-382
s fils. — Le Théâtre des autres Alexandre Dumas a publié sous ce titre  : le Théâtre des autres, un nouveau volume qui fa
ions de sa pièce allaient commencer. Héloïse Paranquet n’était pas le titre de la pièce de M. Durantin, mais il était nécessa
re de la pièce de M. Durantin, mais il était nécessaire de changer le titre et le nom des personnages pour dépister les perso
ontigny parti, Alexandre Dumas lut Mademoiselle de Breuil (c’était le titre choisi par Durantin), et il refit complètement la
ndent ces nouvelles, dont l’une : Myrrha, vierge et martyre, donne le titre au volume. Ceux qui aiment à développer leurs opi
rs un charme morbide aujourd’hui, peut-être mortel demain ; il a pour titre  : Prestige de l’obscur et du vague. Tout d’abord
génie. V. Gyp. — Professional-Lover Professional-Lover est le titre de l’odyssée heureuse d’un très beau garçon que G
point fait attendre le livre a vu le jour, c’est un roman, il a pour titre  : Gladys et a paru avec une lettre de Paul Bourge
qu’il n’est guère de femmes pouvant devenir des épouses dignes de ce titre , que celles qui sont déjà initiées à l’amour. Le
l’auteur des Chauves-Souris, M. de Montesquiou-Fezensac, a choisi le titre de son volume de vers. Le nom de Chef des Odeurs
é. Un morceau tout de premier ordre, tombe sous mes yeux ; il a pour titre  : « Ce que dit la Bouche d’Ambre » ; il s’agit d’
ne du succès. X. Léon Riotor. — Le Pêcheur d’Anguilles Sous ce titre  : le Pêcheur d’Anguilles, M. Léon Riotor a fait p
e, c’est M. Octave Gréard, de l’Académie française ; son livre a pour titre  : Prévost-Paradol, étude suivie d’un choix de let
. Séverine. — Notes d’une frondeuse Notes d’une frondeuse est le titre sous lequel Séverine publie un certain nombre de
la perfection voulue. XVIII. Henri Lavedan. — Le Lit Le Lit, titre du livre que M. Henri Lavedan vient de faire para
courir à son lexique. XX. Auguste Vacquerie. — Depuis Sous ce titre  : Depuis, M. Auguste Vacquerie a fait paraître un
délit, aux fins d’un divorce. Comme on le voit, Le 13e , car c’est le titre du nouveau livre très amusant, très observé de Gy
uvrage que celui que M. Jules Bois a publié chez L. Chailley, sous ce titre  : les Petites Religions de Paris ; beaucoup y app
IX. Jacques Normand. — La Muse qui trotte La Muse qui trotte, ce titre alerte et léger, est celui d’un volume de poésies
par exemple, la fin d’une pièce très légère et spirituelle qui a pour titre  : Cirque d’Été. Oui ! tout cet enfantin poème En
téressant que M. Ernest Legouvé vient de publier chez Garnier sous ce titre  : Le Béranger des Écoles. Outre un choix fait ave
L’ouvrage que M. Léon A. Daudet vient de faire paraître et qui a pour titre  : les Morticoles, est considéré comme un livre à
gues Le Roux. — Confidences d’hommes Confidences d’hommes est le titre d’une suite de récits que M. Hugues Le Roux vient
er qualifie : roman lyrique, l’ouvrage qu’il vient de publier sous le titre de Louise. De fait, il s’agit d’un roman ou plutô
XVI. Anatole France. — Le Lys rouge Quand il s’agit de donner un titre à ses ouvrages, M. Anatole France procède parfois
pas davantage. Voilà pourquoi le dernier roman de M. A. France a pour titre  : Le Lys rouge ; son héroïne a acheté chez un ant
e étrange et cruel que M. Léonce de Larmandie a fait paraître sous le titre de : Nuit close ; que de misanthropie, que de sou
re de les juger, que de reproduire un de ces récits ; celui-ci a pour titre  : « Fin de soleil » : « J’ai commencé l’histoire
retie. — La Frontière M. Jules Claretie vient de publier sous ce titre  : la Frontière, non pas un roman, mais une nouvel
ssions ressenties au cours de sa vie politique et littéraire. Le vrai titre de ce livre, l’auteur le dit lui lui-même, devrai
outier, Mille francs de récompense ! et surtout celui qui a donné son titre au livre : la Jambe coupée. L’action de ces récit
en Descaves intitule : roman, le livre qu’il vient de publier sous ce titre  : les Emmurés ; c’est bien un roman de par l’inté
que la femme ne cessait pas de l’être sitôt, et il nous donne sous le titre de : une Femme de cinquante ans, un roman de gran
e éloquemment M. Camille Saint-Saëns dans un petit livre paru sous ce titre  : Problèmes et mystères. Je ne saurais mieux fair
quiétudes. LV. Anatole France. — Le Jardin d’Épicure C’est le titre du nouveau livre de M. Anatole France ; admirable
éresse point. » LVI. Batisto Bonnet. — Vie d’Enfant C’est du titre de poète-prosateur et non de l’appellation vague
nférences de philosophie à la Faculté des lettres de Paris, et a pour titre  : Ernest Renan, essai de biographie psychologique
écise. LVIII. Charles Maurras. — Le Chemin du Paradis Sous ce titre  : le Chemin du Paradis, M. Charles Maurras a écri
Paul Alexis. — Trente Romans Trente Romans, par Paul Alexis. Ce titre n’est pas tout à fait une supercherie, car chacun
M. Hugues Le Roux a tiré la matière d’un volume qu’il publie sous ce titre  : Notes sur la Norvège. On y trouvera des observa
. Maurice Barrès. — Du Sang, de la Volupté et de la Mort Sous ce titre , auquel on pourrait peut-être reprocher de faire
’est : l’Éloge de la haine qu’on pourrait appeler ce récit qui a pour titre  : « La haine emporte tout. » Je signalerai aussi
lles que contient le livre que M. René Bazin vient de publier sous ce titre  : Humble amour, il en est deux, deux récits breto
mble d’un livre très captivant que Séverine vient de publier, sous le titre de : Pages mystiques. C’est par la franchise du s
qui semble faite pour donner raison à ma définition. Ce récit a pour titre  : le Petit squelette ; je l’abrège à regret, mais
ince de Joinville. — Vieux Souvenirs Vieux Souvenirs, tel est le titre sous lequel S. A. R. le prince de Joinville a réu
embre de l’Institut, avocat général à la Cour de cassation. Il a pour titre  : De la liberté politique dans l’État moderne. C’
eunes soldats. Napoléon lui eût donné une dotation et probablement un titre de noblesse. » Je trouve aussi des traits incroy
militaires Feuillets militaires. Italie (1852-1862). Tel est le titre sous lequel viennent de paraître les souvenirs, n
87 (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — B — Borrelli, Raymond de (1837-1906) »
endons avec la plus sympathique impatience. Entre temps, sous ce joli titre  : Rimes d’argent, il a réuni une soixantaine de m
me qu’un vrai poète, le vicomte de Borrelli, vient de publier sous ce titre  : Les Dactyles. [Ceux qu’on lit (1898).]
88 (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — S — Souchon, Paul (1854-1923) »
Léon Bailby L’auteur a choisi pour ses premiers vers un beau titre , simple, qui rappelle un peu le titre fameux des
pour ses premiers vers un beau titre, simple, qui rappelle un peu le titre fameux des Méditations de Lamartine. Mais cela n’
89 (1872) Les problèmes du XIXe siècle. La politique, la littérature, la science, la philosophie, la religion « Livre V : La religion — Chapitre III : Le problème religieux »
parmi nous la science et la philosophie. Je sais que l’on conteste le titre de chrétien à ceux qui voudraient conserver le ch
sans miracles. Mais nous comprenons difficilement que l’on refuse le titre de chrétien à celui qui revendique ce titre volon
lement que l’on refuse le titre de chrétien à celui qui revendique ce titre volontairement et sincèrement. Par cela seul que
la manière la plus intime l’union du fini et de l’infini. C’est à ce titre que nous le considérons nous-mêmes comme le sauve
90 (1906) Les œuvres et les hommes. Femmes et moralistes. XXII. « Si j’avais une fille à marier ! » pp. 215-228
30 octobre 1860.] I Si j’avais une fille à marier !21 Voilà un titre qui n’a pas été placé là, comme on dit, pour des
oduire sur l’opinion, tout de suite, qu’Alexandre Weill a choisi pour titre de son ouvrage cette phrase, où s’étale si rondem
nes, qui ne sont pas Borgia, par un Machiavel plein d’innocence. À ce titre , il nous appartient. Il nous appartient à d’autre
Voyons donc cela ! II Ce livre qui, malgré le déboutonné de son titre , était un livre très difficile à faire, car c’est
91 (1889) Histoire de la littérature française. Tome II (16e éd.) « Chapitre cinquième. De l’influence de certaines institutions sur le perfectionnement de l’esprit français et sur la langue. »
ement que des parties. Les fonctions réglées, il restait à ajouter au titre d’académie, proposé par Richelieu et accepté, l’é
s. Pellisson loue avec raison la nouvelle compagnie d’avoir évité ces titres ou trop particuliers, ou ambitieux, ou bizarres,
tions. C’était en même temps la plus haute qu’ils pussent prendre. Un titre pris du lieu où ils habitaient, de Paris, par exe
ion de nettoyer la langue des défauts qui la gâtaient ; l’adoption du titre d’Académie française comme le plus propre à cette
faisait que rapporter. Outre, dit-il, l’aversion qu’il avait pour ces titres ambitieux, son rôle se bornait à montrer ou à écl
elain prosateur et académicien, pourvu qu’au chapitre sur Boileau, le titre d’excuseur de toutes les fautes, que je vois perc
venir que de la Pucelle inédite. On décernait d’avance à l’auteur le titre de Quintilien français. Vaugelas annonçait ainsi
uché, dit-il, dans cette apologie, que d’être qualifié par Arnauld du titre d’ami. Cette amitié, il s’en fait honneur devant
us flatté Boileau que les louanges d’Arnauld. Il y voit son plus beau titre , la plus grande faveur de son étoile, dans cette
se outre sans les voir. De même le traité de Nicole n’attire pas ; le titre même éloignerait plutôt qu’il n’allécherait. Car
92 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre X. La commedia dell’arte en France pendant la jeunesse de Molière » pp. 160-190
ro l’Amata aborita (« l’Heureuse tromperie ou l’Amante abhorrée », un titre à l’italienne, s’il en fut jamais). Elle dédia sa
qui ont été le plus exploités sur la scène italienne : il y a sous ce titre un canevas très mouvementé de Flaminio Scala, le
lle transportait l’action dans l’antiquité comme le prouve son second titre , La Finta Pazza o Achille in Sciro : elle avait,
arisiens de naissance, s’étant associés pour jouer la comédie sous le titre de l’Illustre Théâtre, donnèrent, d’abord au Jeu
cin Guy Patin, ne fréquentaient pas beaucoup le théâtre, prenaient un titre pour l’autre et parlaient de L’Amour malade, de M
93 (1890) Les œuvres et les hommes. Littérature étrangère. XII « Lawrence Sterne »
; Sterne, au nom duquel la vie, cette farceuse, ajouta comiquement le titre de Révérend, comme si M. Sérieux n’était pas asse
e l’écrire : tout est mauvais dans ce livre exhumé, tout, et jusqu’au titre , qui est un non-sens et une contradiction dans le
 ! Telle est, pourtant, la surprise et la déception que nous cause ce titre d’un livre, choisi en haine des titres significat
la déception que nous cause ce titre d’un livre, choisi en haine des titres significatifs. Quant au livre lui-même, que ne de
. Quant au livre lui-même, que ne devait-il pas être pour soutenir ce titre écrasant et terrible de Koran, qui éclate comme u
94 (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — M — Maupassant, Guy de (1850-1893) »
u raccourci. Comme poète, il n’a donné qu’un volume ayant pour simple titre  : Des vers. [Anthologie des poètes français du xi
te même année, Guy de Maupassant publia Boule de suif et Des vers. Ce titre fut judicieusement choisi. Ce sont en effet des v
95 (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — R — Riotor, Léon (1865-1946) »
(1900). OPINIONS. Louis Denise Léon Riotor publie sous ce titre  : Le Pêcheur d’anguilles, une fort belle légende
poème. [Mercure de France (avril 1894).] Philippe Gille Sous ce titre  : Le Pêcheur d’anguilles, M. Léon Riotor a fait p
96 (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — C — article » pp. 74-75
armi les grands Moralistes. Ce qu’on peut lui reprocher, à plus juste titre , c’est d’avoir écrit la Vie du grand Sobiesky, à-
la netteté, la dignité, & la critique. Dans son Livre, qui a pour titre , De la Prédication, il est encore, & plus hor
97 (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — Q. — article » pp. 570-571
hal d’Estrées. De retour d’Italie, il composa un Poëme Latin, dont le titre seul paroîtra singulier, autant que les préceptes
’est-à-dire, l’Art de faire de beaux Garçons. On sera moins étonné du titre de l’Ouvrage, que d’apprendre que le Cardinal Maz
98 (1876) Chroniques parisiennes (1843-1845) « LXII » pp. 242-243
rendent les armes au siècle. On fera un jour un curieux livre avec le titre d’Entretiens de ces trois hommes ; un futur philo
Félix Pyat, condamné pour diffamation envers Janin, a publié, sous le titre de Pourvoi en cassation, une petite brochure dont
99 (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — L — Liégeard, Stéphen (1830-1925) »
st une guirlande de quarante-cinq poèmes qui répondent bien au double titre  : Rêves et combats, inspiré par le double amour d
eillis sur la « Côte d’Azur », pour rappeler l’expression qui sert de titre à l’un de ses volumes en prose, qu’il a créée, je
100 (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — B — article » pp. 193-194
en fait de donner aux Poésies qu’il a composées dans notre langue, le titre d’Œuvres en rime de Baïf. Il étoit cependant un d
t doit principalement sa célébrité à celui de ses Ouvrages qui a pour titre , Jugemens des Savans. Cette compilation, où il a
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