Chapitre III :
Théorie
psychologique de la matière et de l’esprit. Nou
ni de la matière ni de l’esprit, considérées comme substances » La «
théorie
psychologique de l’esprit et de la matière », qui
», qui est le résumé et le résultat de ce qui précède, s’oppose à la
théorie
intuitive (introspective) de Reid, de Stewart et
nt, et de Hume sur le second. Commençons par la matière118. I La
théorie
psychologique de la croyance en un monde extérieu
corps est chaud ou froid, dur ou mou, etc. Ces postulats posés, « la
théorie
psychologique maintient qu’il y a des association
la permanence ; c’est là notre croyance à la matière. Or, d’après la
théorie
psychologique, tout cela n’est que la forme, que
nferme toute la signification qu’on y rattache en général, à part les
théories
philosophiques ou théologiques119. » On objecter
iques ou théologiques119. » On objectera peut-être que la précédente
théorie
rend bien compte de l’idée d’existence permanente
os sensations sont les effets. II Appliquons maintenant cette
théorie
psychologique à l’esprit120. Il est évident d’abo
mortalité. Sur le premier point, il n’y a absolument rien, dans cette
théorie
, qui puisse m’empêcher de penser qu’il y a d’autr
sont rien autre chose qu’une possibilité permanente de sentiment. La
théorie
psychologique de l’esprit laisse ma certitude de
Dieu n’a donc rien ni à gagner ni à perdre, si l’on admet la présente
théorie
. Il en est de même pour l’immortalité : il est au
a quelques arguments probants, ils peuvent aussi bien s’adapter à une
théorie
qu’à l’autre. Voilà donc les objections extrinsèq
u’à l’autre. Voilà donc les objections extrinsèques écartées. Mais la
théorie
qui résout l’esprit, en une série de sentiments a
le plus sage de beaucoup c’est d’accepter le fait inexplicable, sans
théorie
sur le comment ; et quand nous sommes obligés d’e
uand nous sommes obligés d’en parler en termes qui impliquent quelque
théorie
, il faut le faire avec plus de réserve. » III
ue théorie, il faut le faire avec plus de réserve. » III Cette
théorie
de l’esprit et de la matière, qui dépasse à quelq
egarde comme insolubles. Notons d’abord quelques différences entre la
théorie
psychologique de la matière et celle de l’esprit.
ey, l’autre à Hume123. Qu’y a-t-il cependant de commun entre ces deux
théories
que l’auteur confond sous un même nom ? Le voici
science, il semble que toute idée de substance disparaisse. Or, cette
théorie
porte un nom spécial, elle s’appelle phénoménisme
iste. On ne voit point, en effet, pourquoi ils n’accepteraient pas sa
théorie
de la matière. Car que soutient l’idéaliste ? Que
l, comme nous l’avons vu, ne soutient guère autre chose. C’est sur la
théorie
psychologique de l’esprit que le débat se concent
nous ne pouvons donner aucun nom que le sien, sans impliquer quelque
théorie
fausse ou chancelante, c’est le Moi. Comme tel, j
de Lorentz ». — Vraie nature du temps d’Einstein. — Transition à la
théorie
de l’Espace-Temps. Cette manière d’envisager les
envisager les choses va nous permettre de pénétrer plus avant dans la
théorie
de la Relativité. Nous venons de montrer comment
rendrons ainsi sur le vif la genèse de la pluralité des Temps dans la
théorie
de la Relativité. Nous en verrons la significatio
os yeux. Et du même coup nous démêlerons certains postulats que cette
théorie
implique. Voici donc, dans un système S immobile,
igide d’espace qui impose ses conditions à la figure de lumière ». La
théorie
de la Relativité, telle qu’elle est sortie de l’e
ffet transversal, qui correspond, comme nous allons voir, à ce que la
théorie
de la Relativité appelle un allongement du temps
ente donc exactement l’allongement du temps, tel que nous le donne la
théorie
de la Relativité. Nous voyons par là que cette th
us le donne la théorie de la Relativité. Nous voyons par là que cette
théorie
procède comme si nous prenions pour étalon du tem
emps unique et réel. Non seulement les Temps multiples évoqués par la
théorie
de la Relativité ne rompent pas l’unité d’un Temp
c’est du perçu et du réel. Mais le fait que, consciemment ou non, la
théorie
de la Relativité substitue au temps des lignes de
dence un des principes de la doctrine. Dans une série d’études sur la
théorie
de la Relativité 37, M. Ed. Guillaume a soutenu q
on de la Terre. Nous croyons qu’il y a beaucoup plus que cela dans la
théorie
de la Relativité. Mais nous estimons qu’il y a au
’en dégageant cet élément on ne fait que souligner l’importance de la
théorie
. On établit en effet ainsi que, sur ce point enco
, celle qui est au terme de toutes ces approximations successives. La
théorie
de la Relativité enregistre ce résultat. Et comme
nts ; et l’hypothèse de la pluralité des Temps, caractéristique de la
théorie
de la Relativité, nous apparaîtra comme condition
rée psychologique et qui se trouve ainsi être réel par définition, la
théorie
de la Relativité substitue un Temps qui ne peut ê
puisqu’il continue à occuper cette même durée. Mais peu importe : la
théorie
de la Relativité est une théorie physique ; elle
te même durée. Mais peu importe : la théorie de la Relativité est une
théorie
physique ; elle prend le parti de négliger toute
rons ainsi sur le vif l’entrelacement de l’Espace et du Temps dans la
théorie
de la Relativité. Cet entrelacement n’apparaît cl
aduit par la conception d’un Espace-Temps à quatre dimensions dans la
théorie
de la Relativité. 3° Effet transversal-longitu
3° Effet transversal-longitudinal ou « contraction de Lorentz » La
théorie
de la Relativité restreinte, avons-nous dit, cons
’ils étaient joints les uns aux autres par des tiges rigides. Dans la
théorie
de la Relativité, le lien devient un lacet de lum
n de longueur dans l’Espace. On saisit alors dans son essence même la
théorie
de la Relativité restreinte. En termes familiers
evue de métaphysique (mai-juin 1918 et octobre-décembre 1920). Cf. La
Théorie
de la Relativité, Lausanne, 1921. 38. Bulletin
simultanéité en succession, seront conservées telles quelles dans la
théorie
d’Einstein : il n’y aura rien à changer aux équat
us le montrerons aussi, ce qu’il y avait d’abord de paradoxal dans la
théorie
de la Relativité : nous prétendons que le Temps u
est en repos absolu, et tous autres systèmes en mouvement absolu, la
théorie
de la Relativité impliquera effectivement l’exist
si bien tenir pour absolu tout autre mouvement accéléré. Telle est la
théorie
qui resta classique jusqu’à Einstein. Il ne pouva
nouvelles. Aucun philosophe ne pouvait se contenter tout à fait d’une
théorie
qui tenait la mobilité pour une simple relation d
’être. Ils le peuvent maintenant. Ne fût-ce que pour cette raison, la
théorie
de la Relativité généralisée marque une date impo
vrai que cette partie de l’œuvre d’Einstein est la dernière. C’est la
théorie
de la Relativité « généralisée ». Les considérati
Les considérations sur le temps et la simultanéité appartenaient à la
théorie
de la Relativité « restreinte », et celle-ci ne c
», et celle-ci ne concernait que le mouvement uniforme. Mais dans la
théorie
restreinte il y avait comme une exigence de la th
. Mais dans la théorie restreinte il y avait comme une exigence de la
théorie
généralisée. Car elle avait beau être restreinte,
tif le mouvement accéléré. Ne fût-ce que pour cette raison encore, la
théorie
de la Relativité restreinte appelait à sa suite c
pagation doit se distinguer profondément du transport. Mais alors, la
théorie
de l’émission étant rejetée, la propagation de la
ui-même en mouvement. La physique a souvent intérêt à le faire, et la
théorie
de la Relativité se place volontiers dans cette h
ence » la transition est d’ailleurs continue si l’on se place dans la
théorie
de la Relativité. Il est essentiel en effet à cet
e dans la théorie de la Relativité. Il est essentiel en effet à cette
théorie
d’éparpiller sur son « système de référence » un
ystème » ou du « système de référence » fut d’ailleurs immanente à la
théorie
de la Relativité dès l’origine, puisque c’est en
avement sur le sens philosophique des considérations de temps dans la
théorie
de la Relativité. Ajoutons qu’on ne s’est guère d
ps et sa mesure, il deviendra facile d’aborder l’interprétation de la
théorie
d’Einstein. 8. Nous ne parlons, bien entendu
e l’éther, convenablement amendée, peut fort bien être reprise par la
théorie
de la Relativité. Einstein est de cet avis. (Voir
tein est de cet avis. (Voir sa conférence de 1920 sur « l’Éther et la
Théorie
de la Relativité ».) Déjà, pour conserver l’éther
épéter : le ralentissement des horloges par leur déplacement, dans la
théorie
de la Relativité, est tout juste aussi réel que l
. Le ralentissement de l’horloge qui se déplace est un moyen, pour la
théorie
de la Relativité, de noter le déplacement : ce ra
’est exactement ce que faisaient et le partisan et l’adversaire de la
théorie
de la Relativité dans la discussion qui s’engagea
ttachait seulement à établir la parfaite cohérence mathématique de la
théorie
, mais il conservait alors le paradoxe de Temps mu
que le paradoxe tombe, quand on fait la distinction qui s’impose. La
théorie
de la Relativité demeure intacte, avec une multip
remarques importantes à faire. « 1° Si l’on se place en dehors de la
théorie
de la Relativité, on conçoit un mouvement absolu
ructeur de la Science, est immobile par définition si l’on accepte la
théorie
de la Relativité. Sans doute il arrive au physici
tant, son système de référence. « 2° Si l’on se place en dehors de la
théorie
de la Relativité, on conçoit très bien un personn
ement uniforme absolu encore, au point A. Mais, du point de vue de la
théorie
de la Relativité, il n’y a plus de mouvement abso
J’arrive alors au point essentiel. « Si l’on se place en dehors de la
théorie
de la Relativité, il n’y a aucun inconvénient à s
obile et l’autre absolument en mouvement. Mais, du point de vue de la
théorie
de la Relativité, l’immobilité dépend d’un libre
s devons nous placer est en effet celui de la mesure du temps dans la
théorie
de la Relativité, et les horloges dont parle cett
ps dans la théorie de la Relativité, et les horloges dont parle cette
théorie
peuvent évidemment être assimilées à de simples p
ar rapport aux autres et que l’on compare entre eux des Temps dans la
théorie
de la Relativité. Bref, le mouvement peut être un
. Il est naturel que cette réciprocité échappe à l’attention quand la
théorie
de la Relativité se présente sous sa forme mathém
né la raison dans notre sixième chapitre 61. Nous disions : 1° que la
théorie
de la Relativité est obligée de mettre sur le mêm
par un physicien simplement imaginé ; 2° que la forme donnée à cette
théorie
depuis Minkowski a précisément pour effet de diss
ns examiner en détail la forme spéciale que présente, dans ce cas, la
théorie
de la Relativité. Nous la prendrons dans un livre
té nous montre précisément l’impossibilité où l’on se trouve, dans la
théorie
de la Relativité, d’exprimer mathématiquement cet
En somme, il n’y a rien à changer à l’expression mathématique de la
théorie
de la Relativité. Mais la physique rendrait servi
oges placées et déplacées dans un champ de gravitation 65. D’après la
théorie
de la Relativité, ce qui est force de gravitation
ment, et le mouvement seul, qui ralentit le cours du Temps d’après la
théorie
de la Relativité, puisque ce ralentissement ne pe
erreur par une manière de s’exprimer qui est devenue courante dans la
théorie
de la Relativité. On nous dit qu’un physicien, pa
e quelle, marchant comme elle marchait, n’ayant pris aucun retard. La
théorie
de la Relativité exige simplement ici qu’il y ait
faisons allusion à une objection présentée par M. Painlevé contre la
théorie
de la Relativité. 55. Elle est parfaite, nous le
I, et en particulier la quatrième note de la page. 57. EINSTEIN, La
théorie
de la Relativité restreinte et généralisée, trad.
OUVIÈRE, p. 101-107 ; Jean BECQUEREL, Le principe de Relativité et la
théorie
de la gravitation, p. 29-32. 58. Il ne serait d
ne retient et ne doit retenir du mouvement que son aspect visuel. La
théorie
de la Relativité exige avant tout, comme nous l’a
intervalle de temps qui les sépare. Ce cas est le seul où, d’après la
théorie
de la Relativité, une action soit possible de l’u
. On désigne ici par le facteur équation 64. En définitive, la
théorie
de la Relativité exige que le physicien s’install
lités seraient des immobilités absolues : il faudrait dire adieu à la
théorie
de la Relativité. C’est ce que les théoriciens de
rement, comme nous l’avons montré, de l’expression mathématique de la
théorie
. Mais le philosophe, encore une fois, doit la rét
re de lumière » déformée par l’effet du mouvement. 67. EINSTEIN, La
théorie
de la Relativité restreinte et généralisée (trad.
littérature politique qui procède, voici tantôt deux siècles, par des
théories
sur l’origine et sur la nature du pouvoir. Sans l
de laquelle il n’est pas de salut, même pour le bon sens ! Quoiqu’une
théorie
repose au fond d’un pareil ouvrage, — car de tout
ent de vérité, il est facile de déduire ce que la science appelle une
théorie
, — ce livre n’est pas, à proprement parler, ce qu
éralement par un système. Mancel est, avant tout, un observateur. Aux
théories
dont le siècle est encombré et auxquelles il n’a
les il n’a jamais cru plus que nous, il a voulu répondre, non par une
théorie
de plus, mais par un principe dominateur de toute
non par une théorie de plus, mais par un principe dominateur de toute
théorie
, et que l’expérience lui apportait comme une véri
ste précisément en ceci qu’il n’est faussé par l’application d’aucune
théorie
et qu’il embrasse et domine les plus opposées, au
théorie et qu’il embrasse et domine les plus opposées, aussi bien la
théorie
de la souveraineté du nombre que la théorie mysti
s opposées, aussi bien la théorie de la souveraineté du nombre que la
théorie
mystique du droit divin. 16. Du Pouvoir et de
nous expose. — Caractère tout particulier de cette conception dans la
théorie
de la Relativité. — Confusion spéciale où l’on ri
us devions nous en servir pour donner un corps aux abstractions de la
théorie
de la Relativité et aussi pour dégager les postul
peut-être a-t-on vu s’entrouvrir la porte par où s’introduira dans la
théorie
l’idée d’un Espace-Temps à quatre dimensions. C’e
enant. Déjà l’analyse que nous venons de faire a montré comment cette
théorie
traite le rapport de la chose à son expression. L
ives, le noyau stable et ferme de vision réelle. Mais l’essence de la
théorie
de la Relativité est de mettre toutes ces visions
cherchent pas à interpréter en termes de réalité l’Espace-Temps de la
théorie
de la Relativité, mais simplement à l’utiliser. A
tème. Mais peu importe pour le moment. Montrons simplement comment la
théorie
de la Relativité est bien conduite par les consid
que nous la concevions dans notre Espace à trois dimensions avant la
théorie
de la Relativité. Mais celle-ci consiste essentie
atrième dimension s’introduit pour ainsi dire automatiquement dans la
théorie
de la Relativité. De là, sans doute, l’opinion so
De là, sans doute, l’opinion souvent exprimée que nous devons à cette
théorie
la première idée d’un milieu à quatre dimensions
en tout cas plus imagée, de la conception courante du temps que de la
théorie
de la Relativité. Seulement, dans la théorie cour
rante du temps que de la théorie de la Relativité. Seulement, dans la
théorie
courante, l’assimilation du temps à une quatrième
e auront sans doute le même degré de réalité, et l’Espace-Temps de la
théorie
de la Relativité ne sera probablement pas plus in
trop belle à ceux qui interprètent tout de suite métaphysiquement la
théorie
de la Relativité. L’artifice dont nous allons use
allons user a pour unique objet de fournir un support imaginatif à la
théorie
, de la rendre ainsi plus claire, et par là de fai
ue la surface de la feuille de papier. Ce monde à deux dimensions, la
théorie
de la Relativité le dote d’une dimension addition
t à l’heure. Mais nous la laissons de côté pour le moment, puisque la
théorie
de la Relativité elle-même nous invite à le faire
pte ensuite du rôle spécial que joue cette nouvelle dimension dans la
théorie
de la Relativité. On ne saurait trop le répéter :
é l’aspect tout spécial que cette nouvelle dimension présente dans la
théorie
de la Relativité. C’est que les théoriciens de la
ectif risquera de se tromper sur la signification philosophique de la
théorie
de la Relativité et d’ériger une représentation m
importance 49 ». On lisait déjà dans un des premiers ouvrages sur la
théorie
de la Relativité, celui de Silberstein, que M. We
lui de Silberstein, que M. Wells avait merveilleusement devancé cette
théorie
quand il faisait dire à son « voyageur dans le Te
a tradition philosophique, qui se prononcent pour un Temps unique, la
théorie
de la Relativité avait d’abord paru affirmer la p
réel où évoluent des êtres et des objets réels, l’Espace-Temps de la
théorie
de la Relativité est celui de tout le monde, car
ra pas, lors même que l’expérience imposerait une nouvelle forme à la
théorie
de la Relativité. Pour montrer comment Temps et E
ibles. Nous voulons savoir ce que signifie plus spécialement, dans la
théorie
de la Relativité, l’entrelacement de l’Espace ave
valents à l’Espace pur et simple, perçu et réel. Mais l’essence de la
théorie
de la Relativité est de mettre sur le même rang l
aquelle l’Espace s’additionne au Temps et le Temps à l’Espace dans la
théorie
de la Relativité. Prenons maintenant le cas plus
ésultats incohérents, tandis que l’opération paraît s’imposer dans la
théorie
de la Relativité. Néanmoins l’amalgame du temps a
temps avec l’espace, que nous donnons comme caractéristique de cette
théorie
, se concevrait à la rigueur, comme on le voit, da
cette théorie, se concevrait à la rigueur, comme on le voit, dans la
théorie
courante, quitte à y prendre un aspect différent.
capitulation et conclusion I. Récapitulation des difficultés de la
théorie
de sélection naturelle. — II. Récapitulation des
la croyance générale à l’immutabilité des espèces. — IV. Jusqu’où la
théorie
de sélection naturelle peut s’étendre. — V. Effet
— VI. Dernières remarques. I. Récapitulation des difficultés de la
théorie
de sélection naturelle. — Comme ce volume tout en
nt que beaucoup d’objections sérieuses ne puissent être opposées à la
théorie
de descendance modifiée par sélection naturelle.
t par une suite de changements graduels. Il faut bien admettre que la
théorie
de sélection naturelle présente quelque cas d’une
ncerne la distribution géographique, les difficultés que rencontre la
théorie
de descendance modifiée sont assez sérieuses. Tou
ces d’un même genre est en quelque chose amoindrie. Comme, d’après la
théorie
de sélection naturelle, un nombre infini de forme
es degrés de transition infiniment nombreux et serrés que requiert ma
théorie
; et cette objection est la plus importante de to
des ancêtres du groupe de fossiles de cette époque ? Car, d’après ma
théorie
, de telles strates doivent avoir été déposées à c
plets, chacun l’admet ; mais qu’ils soient incomplets au point que ma
théorie
l’exige, peu de gens en conviendront volontiers.
s les espèces ont changé, et qu’elles ont changé comme le requiert ma
théorie
: car elles ont changé lentement et graduellement
ques objections et difficultés principales que l’on peut opposer à ma
théorie
; et je viens de récapituler brièvement les répon
que soient ces difficultés, elles ne peuvent à mon avis renverser la
théorie
qui voit dans les formes vivantes actuelles la de
relations les plus complexes de la vie. Même sans aller plus loin, la
théorie
de sélection naturelle me semble donc en elle-mêm
roupement des êtres organisés est entièrement inexplicable d’après la
théorie
de création. Comme la sélection naturelle agit se
des modifications ; elle ne peut agir qu’à pas lents et courts. Cette
théorie
rend aisé à comprendre l’axiome : Natura non faci
p d’autres faits encore, à ce qu’il me semble, s’expliquent par cette
théorie
. N’est-il pas étrange qu’un oiseau ayant la forme
t d’autres cas semblables. La merveille est, au contraire, d’après la
théorie
de la sélection naturelle, que de semblables exem
depuis longtemps sont sujets à reparaître. Comment expliquer, dans la
théorie
de création, l’apparition variable de rayures sur
ement durant une plus longue période. Il est inexplicable, d’après la
théorie
de création, pourquoi un organe développé d’une m
. Si nous considérons les instincts, si merveilleux qu’ils soient, la
théorie
de sélection naturelle de modifications successiv
ement incomplet, tous les faits qu’il nous offre sont à l’appui de la
théorie
de descendance modifiée. Les espèces nouvelles on
dispersion qu’ils ont dû fournir, alors on peut concevoir, d’après la
théorie
de descendance modifiée, le plus grand nombre des
îles océaniques sont deux faits entièrement inexplicables d’après la
théorie
des actes de création indépendants. L’existence d
ésentatives en deux aires organiques quelconques implique, d’après la
théorie
de descendance modifiée, que les mêmes formes les
cain. Il faut bien admettre que ces faits restent inexpliqués dans la
théorie
de création. La théorie de sélection naturelle, a
tre que ces faits restent inexpliqués dans la théorie de création. La
théorie
de sélection naturelle, avec ses conséquences, le
un nombre infini d’autres semblables s’expliquent d’eux-mêmes dans la
théorie
de descendance lentement et successivement modifi
ns successives, légères, mais utiles. Je ne puis croire qu’une fausse
théorie
puisse expliquer, comme le fait la loi de sélecti
l’explication d’un certain nombre de faits, rejettera certainement ma
théorie
. Un petit nombre de naturalistes, doués d’une int
is trompeuses de leur descendance d’un même ancêtre. IV. Jusqu’où la
théorie
de modification peut s’étendre. — On peut se dema
blent les unes aux autres de fort près. Je ne puis donc douter que la
théorie
de descendance ne comprenne tous les membres d’un
éléré. Cette supposition serait du reste beaucoup plus favorable à la
théorie
de M. Darwin, puisqu’il ne serait plus nécessaire
, et il n’y aura plus de chaîne. Les hommes les plus dédaigneux de la
théorie
y trouvent sans s’en douter un aliment quotidien
s mathématiques méritent d’être cultivées pour elles-mêmes et que les
théories
qui ne peuvent être appliquées à la physique doiv
rtant si les vecteurs se sont introduits dans l’analyse, c’est par la
théorie
des imaginaires. Et ceux qui ont inventé les imag
de l’autre. Une même équation, celle de Laplace, se rencontre dans la
théorie
de l’attraction newtonienne, dans celle du mouvem
de la chaleur et dans bien d’autres encore. Qu’en résulte-t-il ? Ces
théories
semblent des images calquées l’une sur l’autre ;
r inventé le mot de flux de force, suggéré par l’hydrodynamique et la
théorie
de la chaleur. Ainsi les analogies mathématiques,
; toute la science mathématique se réduirait à l’arithmétique ou à la
théorie
des substitutions. Au contraire, nous avons consa
e, dont l’ordonnance est simple et symétrique ; au contraire, dans la
théorie
des nombres, où règne l’imprévu, la vue est pour
un parti surprenant de l’introduction des variables continues dans la
théorie
des nombres ? Ainsi le domaine propre du nombre e
r la même porte ; elles ont été imaginées en vue des applications. La
théorie
des équations aux dérivées partielles du second o
ais il y en a une foule d’autres qu’ils auraient ignorés. Chacune des
théories
physiques, celle de l’électricité, celle de la ch
us haut de l’équation de Laplace que l’on rencontre dans une foule de
théories
physiques fort éloignées les unes des autres. On
t éloignées les unes des autres. On la retrouve en géométrie, dans la
théorie
de la représentation conforme et en analyse pure,
un peu les idées de tout le monde que nous allions confronter avec la
théorie
d’Einstein. Et le côté par où cette théorie sembl
llions confronter avec la théorie d’Einstein. Et le côté par où cette
théorie
semble froisser l’opinion commune passait alors a
ier plan : nous aurions à nous appesantir sur les « paradoxes » de la
théorie
de la Relativité, sur les Temps multiples qui cou
re. Nous contribuerions ainsi à éclaircir, aux yeux du philosophe, la
théorie
de la Relativité. Mais surtout, l’analyse à laque
ues est là. Nous avons tenté jadis un effort dans cette direction. La
théorie
de la Relativité nous a fourni l’occasion de le r
le voit, sur un objet nettement délimité. Nous avons découpé dans la
théorie
de la Relativité ce qui concernait le temps ; nou
mes. Nous restons ainsi dans le cadre de la Relativité restreinte. La
théorie
de la Relativité généralisée vient d’ailleurs s’y
ous vous mettons au défi, lui disent-ils, de prouver une seule de vos
théories
. Nous savons, il est vrai, qu’on ne prouve pas qu
ertaines vérités, et de peur que vous ne vous avisiez de dire que vos
théories
sont évidentes comme la lumière du jour ou comme
nt la raison ou, ce qui vaut mieux, la nature ; au fond de toutes vos
théories
littéraires il y a un sentiment, pas autre chose,
arvenus, continuent nos sceptiques, il n’est plus permis de faire des
théories
littéraires. Vingt-cinq siècles d’histoire littér
outes. En voulez-vous quelque exemple ? Si vous dites, pour citer une
théorie
qui jouit aujourd’hui d’une faveur incroyable, no
Goethe, le désintéressement ironique d’un Mérimée. Quelle que soit la
théorie
que vous inventiez, nous ne serons pas longtemps
ieurs chefs-d’œuvre pour la démentir. Mais nous exagérons, il y a des
théories
littéraires, universelles et incontestables : Si
esprit et sur notre âme, en priant notre bon ange de nous garder des
théories
et des définitions, qui ôtent au sens littéraire
pis que cela, contradictoire. Comment ! vous montrez aux faiseurs de
théories
qu’au fond de tous leurs dogmes il y a un sentime
nt tout à fait : Walter Scott, trop moral, l’ennuie. Et puis, il a sa
théorie
du génie. On sait que, d’après cette théorie, le
ennuie. Et puis, il a sa théorie du génie. On sait que, d’après cette
théorie
, le véritable artiste doit être possédé du diable
alcul pouvait faire prévoir. À vrai dire, si la plupart des anciennes
théories
trébuchent sur ce fait incontestable, il en est d
hrénologie n’en est plus là. La même incapacité explicative frappe la
théorie
de Gobineau. Tant qu’on ne nous aura pas montré c
enu pour la conséquence du métissage. Et il est vrai que, plus que la
théorie
qui attribue la prépondérance des idées démocrati
sort des doctrines », et les doctrines elles-mêmes des âmes d’élite.
Théorie
séduisante : des raisons d’ordre pratique nous po
galitarisme comme une preuve de l’admirable puissance d’expansion des
théories
. On l’a justement remarqué : « L’idée de liberté
pour que sa part contributive soit au maximum dans la construction de
théories
comme les théories égalitaires, qui visent l’orga
ntributive soit au maximum dans la construction de théories comme les
théories
égalitaires, qui visent l’organisation de la soci
urs qu’à la fin du monde antique ? Pourquoi, demande un historien des
théories
morales48, chercher à toute force dans les idées
qu’elle veut dire directement expliquer, ce n’est pas l’invention des
théories
, égalitaires par tels individus, mais leur adopti
conscience et fait ainsi le tour des sociétés. Est-il vrai que cette
théorie
de l’imitation « ouvre toutes les serrures » ? —
eau chez les Fuégiens ou les Hottentots, et laissez-le déclamer : ses
théories
inspireront-elles à leurs hordes une « Déclaratio
e mécaniquement que nous les imitons. Mais si nous adoptons certaines
théories
générales ou repoussons certaines autres, cela ne
ultant de la transmission, à travers le temps et l’espace, d’une même
théorie
. Mais si, comme nous avons essayé de le prouver,
haftsordnung und ihre natürlichen Grandlagen. Nous avons résumé leurs
théories
sur ce point dans un article de la Revue de Métap
chte als Soziologie, p. 219-225. 48. Denis, loc. cit. 49. C’est la
théorie
à laquelle M. Tarde a attaché son nom. 50. Gros
, ne répondent pas toujours à nos propres impressions. En un sens, la
théorie
classique, comme on l’appelle, convient par un cô
rdies. Tels sont donc les deux aspects sous lesquels nous apparaît la
théorie
classique ; tels sont les principes qui guideront
pes qui guideront notre critique dans la discussion qui va suivre. La
théorie
littéraire que nous dégageons de l’Histoire de la
d’injustice, accuser d’esprit de système. Ces deux parties de la même
théorie
, ou, pour mieux dire, ces deux théories distincte
e. Ces deux parties de la même théorie, ou, pour mieux dire, ces deux
théories
distinctes sont tellement mêlées entre elles, que
ssayerons de faire ici. Voici d’abord ce que j’appellerai la première
théorie
de M. Nisard. Toute œuvre littéraire vraiment bel
, et nous donne les raisons pour lesquelles elles ont succombé. Cette
théorie
générale du beau littéraire, dont je néglige tous
ptique, le mélancolique écrit de l’Ecclésiaste. Telle est la première
théorie
de M. Nisard. Elle est tout entière dans ce célèb
iche de Boileau : Rien n’est beau que le vrai. Mais bientôt à cette
théorie
s’en ajoute une autre, le plus souvent mêlée et e
qu’elle ôte de forces capricieuses et factices ». Dans cette nouvelle
théorie
, la raison se resserre peu à peu ; elle se restre
re plus favorable à la liberté qu’à la discipline ». Voilà la seconde
théorie
de M. Nisard, et, par l’exposition seule que nous
ritique personnelle. En un mot, des deux principes dont se compose la
théorie
de M. Nisard, on peut se servir du premier pour d
prêt qui régalerait de coups de sifflet les faiseurs d’embarras et de
théories
, et j’avais cru que je le tenais. Hélas ! la suit
nt un petit chef-d’œuvre, si l’auteur n’y posait pas abstraitement sa
théorie
de la critique pour, à trois pas de là, la renver
s lignes plus qu’expressément dans la page. Mais critique, critique à
théorie
, il l’était hardiment. Il prenait par là possessi
ardiment. Il prenait par là possession de l’espace et du temps, et sa
théorie
, qu’il n’avait pas inventée, il la proclamait ave
omb de la certitude, le dernier mot de l’avenir en littérature. Cette
théorie
, qui admet tout et ne rejette rien, parce qu’elle
e a raison ou tort ! C’est tout un. Voilà, en quelques mots, toute la
théorie
critique de M. Taine, qui est, en somme, la mort
iérarchie dans les diverses conceptions réalisées de la beauté. Nulle
théorie
, du reste, plus faite que celle-là pour les lâche
» Eh bien ! M. Taine, au moment où il l’a posée, a été infidèle à sa
théorie
. Il a été inconséquent avec elle. Le talent est p
ent est plus fort que les idées fausses chez les hommes de talent. La
théorie
de M. Taine n’a pu gâter sa notice. Il nous a don
venant après la sympathie flexible, a durci M. Taine, qui a oublié sa
théorie
et a jugé, comme tous les juges, d’après des prin
quence continue, à la raison vigoureuse, aux prévisions modérées, aux
théories
prouvées du généreux et solide esprit que l’Europ
n des termes « évidence », « clarté », « distinction », on trouve une
théorie
de la méthode. Descartes, en inventant une géomét
ondissant à son tour cette extension de la géométrie, on arrive à une
théorie
générale de la nature, considérée comme un immens
essous de cette philosophie de la nature on trouverait maintenant une
théorie
de l’esprit ou, comme dit Descartes, de la « pens
orti de là, en particulier l’idéalisme allemand. Enfin, au fond de la
théorie
cartésienne de la pensée, il y a un nouvel effort
core, nous devons renoncer à entrer dans le détail. Disons un mot des
théories
les plus importantes et citons les principaux nom
nseurs français du XVIIIe siècle ont fourni les éléments de certaines
théories
de la nature qui devaient se constituer au siècle
iale. Ici encore les Français furent des initiateurs. On leur doit la
théorie
de la méthode, et une partie importante des résul
ctibilité des sciences les unes aux autres) on pourrait rapprocher la
théorie
neuve et profonde que Boutroux expose dans sa thè
logue et sociologue autant que dialecticien, Fouillée a développé une
théorie
des idées-forces qui est un rationalisme élargi.
ne critique de l’entendement humain. Par sa morale, autant que par sa
théorie
de la nature et de l’homme, il a agi considérable
intuition, une philosophie capable de fournir, non plus seulement des
théories
générales, mais aussi des explications concrètes
lles de Meyerson et de Brunschvicg, appartiennent tout à la fois à la
théorie
des sciences et à la philosophie générale. Nous e
ie générale. Nous en dirions autant du beau livre de Hannequin sur la
théorie
des atomes. — Dans les travaux de Le Dantec on tr
rétendons que ce pourrait aussi bien être celle d’Einstein, et que la
théorie
de la Relativité est plutôt faite pour confirmer
aît même prendre une rigueur et une consistance particulières dans la
théorie
de la Relativité, entendue comme il faut l’entend
e simultanéité. On verra tout à l’heure le rôle de ce concept dans la
théorie
d’Einstein. Pour le moment, nous voudrions en bie
e des deux n’est la simultanéité dont il est le plus question dans la
théorie
de la Relativité, je veux dire la simultanéité en
cuperons spécialement d’elle tout à l’heure. Mais il est clair que la
théorie
de la Relativité elle-même ne pourra s’empêcher d
même heure, sont ou ne sont pas simultanées selon le point de vue. La
théorie
de la Relativité est en droit de le dire, — nous
présentation mathématique des choses, et qui s’impose aussi bien à la
théorie
de la Relativité. On y trouverait l’idée que la d
présent, nous révèle un fait dont pourrait d’ailleurs tirer parti la
théorie
de la Relativité. Nous voyons que, si notre espri
négation, une « privation d’éternité ». Fatalement nous revenons à la
théorie
platonicienne. Mais puisque cette conception doit
on a eu tant de peine à déterminer la signification philosophique des
théories
d’Einstein, je veux dire leur rapport à la réalit
ur rapport à la réalité. Ceux que gênait l’apparence paradoxale de la
théorie
ont dit que les Temps multiples d’Einstein étaien
e, et nous montrerons tout à l’heure avec plus de détail, pourquoi la
théorie
de la Relativité ne peut pas exprimer toute la ré
tel est le cas des temps auxquels nous aurons souvent affaire dans la
théorie
de la Relativité. Nous en rencontrerons de perçus
à pourront être tenus pour réels. Mais il en est d’autres auxquels la
théorie
défend, en quelque sorte, d’être perçus ou de dev
à l’autre, on tombe dans des paradoxes qui ont certainement nui à la
théorie
de la Relativité, encore qu’ils aient contribué à
e le résultat ou l’expression. Nous ne pouvons insister ici sur cette
théorie
de la conscience-épiphénomène, qu’on tend de plus
sais de L’Énergie spirituelle. Bornons-nous à rappeler : 1° que cette
théorie
ne se dégage nullement des faits ; 2° qu’on en re
ire avec elle-même (sur ce dernier point, et sur l’oscillation que la
théorie
implique entre deux affirmations contraires, voir
ncept of Nature, Cambridge, 1920. Cet ouvrage (qui tient compte de la
théorie
de la Relativité) est certainement un des plus pr
son profit. Sans une connaissance exacte et précise des sciences, la
théorie
des méthodes se perdra toujours en vagues et arid
s en vagues et arides généralités. Sans doute, lorsqu’il s’agit de la
théorie
abstraite de l’induction ou de la déduction, la p
it de mauvaises. Cela prouve tout simplement qu’il faut distinguer la
théorie
de la pratique. Autre chose est trouver les princ
rir les malades ? Non sans doute, il a autre chose à faire : à lui la
théorie
et la science, à d’autres l’application de ses id
d’autres l’application de ses idées. Pourquoi cette distinction de la
théorie
et de la pratique, que les savants font tous les
auraient-ils pas à la fois la même idée, l’un en pratique, l’autre en
théorie
? Et en quoi la gloire de Galilée contredit-elle
e grandes expériences et associé son nom à celui de Toricelli dans la
théorie
de la pesanteur de l’air. Eh bien, il nous a lais
anticipation de l’esprit, que faire des expériences sans idée et sans
théorie
anticipée, c’est faire des expériences à l’aventu
’une hypothèse jusqu’au moment où le calcul lui permit d’en faire une
théorie
rigoureuse et démontrée. Il cite encore l’anneau
es propres. Le doute doit porter, non pas sur les faits, mais sur les
théories
; ce ne sont pas les faits qu’il faut sacrifier a
sur les théories ; ce ne sont pas les faits qu’il faut sacrifier aux
théories
, ce sont les théories qu’il faut subordonner aux
ne sont pas les faits qu’il faut sacrifier aux théories, ce sont les
théories
qu’il faut subordonner aux faits. Les théories ne
théories, ce sont les théories qu’il faut subordonner aux faits. Les
théories
ne sont que des moyens de recherche, des représen
et dont M. Dumas a donné une formule ingénieuse et saisissante. « Une
théorie
établie sur vingt faits, dit-il, doit servir à en
?… Quoi de plus fini, de plus débordé, de plus dépassé que toutes ces
théories
qui, du temps de Lessing, régnaient sur la place
ventre desquelles nous avons passé pour ne plus jamais y revenir, les
théories
de Lessing en art dramatique, avec lesquelles il
aire, sont des catapultes hors de service, tout aussi brisées que les
théories
qu’elles brisèrent. Tout cela est encloué, tout c
mson les portes de Gaza, il ne rejetait pas Aristote. Il croyait à sa
théorie
. Il l’invoquait contre les Français, qu’il accusa
se défaire de tous les Aristotes, faux ou vrais, et, purifié de toute
théorie
, n’aurait plus pour toute règle que la liberté du
ue était clos et forclos, et qu’il sortirait de cet homme-prodige une
théorie
qui ne serait même plus une théorie et qui emport
ortirait de cet homme-prodige une théorie qui ne serait même plus une
théorie
et qui emporterait les théories anciennes, comme
ne théorie qui ne serait même plus une théorie et qui emporterait les
théories
anciennes, comme des pailles dans un ouragan ! C’
que pour faire du théâtre après Shakespeare il n’y avait plus d’autre
théorie
que d’imiter Shakespeare, — de faire comme lui… s
nous ne pourrons complètement expliquer. C’est ce qui arrive dans la
théorie
des marées. Il y a les causes majeures, l’attract
ssant d’après des lois parfaitement uniformes ; non-seulement donc la
théorie
des marées est une science comme la météorologie,
dire les ressources de l’analyse psychologique, et d’édifier ainsi la
théorie
de l’esprit sur les seules données que la physiol
rouve que la différence entre les deux philosophies consiste dans les
théories
différentes qu’elles donnent des phénomènes compl
ais à leur origine. On peut dire brièvement et en gros, que l’une des
théories
considère les phénomènes les plus complexes de l’
sujet, il y a, comme on le pense, des différences de doctrines, et la
théorie
, comme toute théorie dans une science incomplète,
on le pense, des différences de doctrines, et la théorie, comme toute
théorie
dans une science incomplète, progresse incessamme
eler que l’idéalisme de Berkeley est l’un des développements de cette
théorie
. S’il y a du matérialisme à essayer de déterminer
ner les conditions matérielles de nos opérations mentales, toutes les
théories
de l’esprit un peu compréhensives peuvent être ta
ence, dès qu’elle est solidement constituée, sort naturellement de la
théorie
pure pour amener des conséquences pratiques, soit
t aller pari passu avec la déduction à priori : les conclusions de la
théorie
ne méritant confiance qu’autant qu’elles sont con
ience ; par elle il corrige incessamment ses idées scientifiques, ses
théories
, les rectifie pour les mettre en harmonie avec un
ndra faux ; et c’est ainsi que, le plus souvent, les erreurs dans les
théories
scientifiques ont pour origine des erreurs de fai
mie, l’idée expérimentale se déduit comme une conséquence logique des
théories
régnantes, et elle est soumise dans un sens bien
bien différent. Le savant complet est celui qui embrasse à la fois la
théorie
et la pratique expérimentale. 1º Il constate un f
et en provoquer rationnellement d’autres. Mais, si l’on peut, dans la
théorie
et d’une manière abstraite, distinguer l’observat
tes et bien faites. Enfin ceux qui généralisent ne pourront faire des
théories
durables qu’autant qu’ils connaîtront par eux-mêm
’ils connaîtront par eux-mêmes tous les détails scientifiques que ces
théories
sont destinées à représenter. Les généralités sci
leur mise en œuvre par le raisonnement expérimental, c’est-à-dire la
théorie
, qui constitue et édifie véritablement la science
périmentale n’est que l’idée scientifique, préconçue ou anticipée. La
théorie
n’est que l’idée scientifique contrôlée par l’exp
de rapports tellement nombreux, que les principes représentés par les
théories
, auxquels nous avons pu nous élever, ne sont que
la suite d’une tentative expérimentale, soit comme corollaires d’une
théorie
admise. Ce qu’il faut seulement noter pour le mom
saurait y avoir de méthode pour faire des découvertes, parce que les
théories
philosophiques ne peuvent pas plus donner le sent
de l’esprit à ceux qui ne les possèdent pas, que la connaissance des
théories
acoustiques ou optiques ne peut donner une oreill
ce rapport que d’une manière plus ou moins approximative, et que les
théories
que nous possédons sont loin de représenter des v
ont loin de représenter des vérités immuables. Quand nous faisons une
théorie
, générale dans nos sciences, la seule chose dont
ences, la seule chose dont nous soyons certains, c’est que toutes ces
théories
sont fausses absolument parlant. Elles ne sont qu
seul qu’elle n’est pas d’accord avec les conséquences logiques d’une
théorie
régnante. Nous pouvons suivre notre sentiment et
point de départ repose toujours au fond sur des hypothèses ou sur des
théories
plus ou moins imparfaites, suivant l’état d’avanc
cement des sciences. En biologie et particulièrement en médecine, les
théories
sont si précaires que l’expérimentateur garde pre
s faits deviennent plus simples, les sciences sont plus avancées, les
théories
sont plus assurées, et l’expérimentateur doit en
elles. Mais encore ne doit-il jamais donner une valeur absolue à ces
théories
. De nos jours, on a vu des grands physiciens fair
sion d’expériences instituées d’une manière illogique par rapport aux
théories
admises. L’astronomie a assez de confiance dans l
nfiance dans les principes de sa science pour construire avec eux des
théories
mathématiques, mais cela ne l’empêche pas de les
ysiologie et en médecine. Il ne faut croire à nos observations, à nos
théories
que sous bénéfice d’inventaire expérimental. Si l
e que possède celui qui sait se dégager de cette foi aveugle dans les
théories
, qui n’est au fond qu’une superstition scientifiq
ien savoir que d’avoir dans l’esprit des idées fixes appuyées sur des
théories
dont on cherche toujours la confirmation en négli
st en général un rapport imprévu qui ne se trouve pas compris dans la
théorie
, car sans cela il serait prévu. Un homme ignorant
ns cela il serait prévu. Un homme ignorant, qui ne connaîtrait pas la
théorie
, serait, en effet, sous ce rapport, dans de meill
n effet, sous ce rapport, dans de meilleures conditions d’esprit ; la
théorie
ne le gênerait pas et ne l’empêcherait pas de voi
r des faits nouveaux que n’aperçoit pas celui qui est préoccupé d’une
théorie
exclusive. Mais hâtons-nous de dire qu’il ne s’ag
ons dit plus haut, et croire que dans la nature l’absurde suivant nos
théories
n’est pas toujours impossible. Les hommes qui ont
toujours impossible. Les hommes qui ont une foi excessive dans leurs
théories
ou dans leurs idées sont non seulement mal dispos
e, ils ne veulent voir dans ses résultats qu’une confirmation de leur
théorie
. Ils défigurent ainsi l’observation et négligent
il arrive encore tout naturellement que ceux qui croient trop à leurs
théories
ne croient pas assez à celles des autres. Alors l
lors l’idée dominante de ces contempteurs d’autrui est de trouver les
théories
des autres en défaut et de chercher à les contred
ence reste le même. Ils ne font des expériences que pour détruire une
théorie
, au lieu de les faire pour chercher la vérité. Il
deux médecins se querellent pour soutenir chacun leurs idées ou leurs
théories
, il n’y a au milieu de leurs arguments contradict
qu’une seule chose qui soit absolument certaine : c’est que les deux
théories
sont insuffisantes et ne représentent la vérité n
, le déterminisme qui est le principe absolu de la science d’avec les
théories
qui ne sont que des principes relatifs auxquels o
s la recherche de la vérité. En un mot il ne faut point enseigner les
théories
comme des dogmes ou des articles de foi. Par cett
s dogmes ou des articles de foi. Par cette croyance exagérée dans les
théories
, on donnerait une idée fausse de la science, on s
touffant son originalité, et en lui donnant le goût des systèmes. Les
théories
qui représentent l’ensemble de nos idées scientif
rvir de point d’appui à des idées investigatrices nouvelles. Mais ces
théories
et ces idées n’étant point la vérité immuable, il
elles ne représentent plus la réalité. En un mot, il faut modifier la
théorie
pour l’adapter à la nature, et non la nature pour
orie pour l’adapter à la nature, et non la nature pour l’adapter à la
théorie
. En résumé, il y a deux choses à considérer dans
point trop s’arrêter à ces craintes puériles de la contradiction des
théories
. Si l’on est bien imbu des principes de la méthod
nt il résulte nécessairement que l’opinion d’aucun homme, formulée en
théorie
ou autrement, ne saurait être considérée comme re
résulte que, lorsque dans la science nous avons émis une idée ou une
théorie
, nous ne devons pas avoir pour but de la conserve
renverser, parce que le progrès réel consiste toujours à changer une
théorie
ancienne qui renferme moins de faits contre une n
n bistouri émoussé quand il a servi assez longtemps. Les idées et les
théories
de nos prédécesseurs ne doivent être conservées q
dio et satis felici successu fuit occupatus13. » Les principes ou les
théories
qui servent de base à une science, quelle qu’elle
ne sont des corps simples que jusqu’à preuve du contraire. Toutes les
théories
qui servent de point de départ au physicien, au c
départ, l’expérimentateur s’empressera, au contraire, de modifier sa
théorie
, parce qu’il sait que c’est la seule manière d’av
oit douter de son sentiment, c’est-à-dire de l’idée a priori ou de la
théorie
qui lui servent de point de départ ; c’est pourqu
ux autres sciences que leur secours et leurs méthodes, mais non leurs
théories
. Ce secours des autres sciences est si puissant,
xpriment ainsi à propos des calculs que l’on a donnés pour établir la
théorie
de la chaleur animale. « Nous ne doutons pas que
r exemple : 25 fois sur 100 ? Ou bien fallait-il admettre, d’après la
théorie
de ce qu’on appelle la loi des grands nombres, qu
et contrôler sur la nature, les observations, les expériences ou les
théories
de ses devanciers, et non pour trouver dans les l
ement de la science moderne dans les connaissances des anciens. Leurs
théories
, nécessairement fausses puisqu’elles ne renfermen
ifique. Mais quelle utilité pourrions-nous retirer de l’exhumation de
théories
vermoulues ou d’observations faites en l’absence
e recherche expérimentale a pour point de départ une hypothèse ou une
théorie
. I. Une recherche expérimentale a pour point de
e en même temps toutes les observations et toutes les expériences. La
théorie
formulée ainsi pose le fait principal d’où se déd
de l’hémorragie, par une vraie paralysie des globules. Mais quand une
théorie
est bonne et qu’elle donne bien la cause physico-
s applications raisonnées, qui seront les conséquences logiques de la
théorie
. Nous rencontrons encore ici ce critérium. En eff
canisme de certaines anémies. Sans doute, toutes ces déductions de la
théorie
demandent encore comme toujours les vérifications
enter d’autres circonstances complexes et une foule de détails que la
théorie
ne peut encore prévoir. Sans cela, ainsi que nous
iences expérimentales la logique seule ne suffit. Même quand on a une
théorie
qui paraît bonne, elle n’est jamais que relativem
e recherche expérimentale a pour point de départ une hypothèse ou une
théorie
Nous avons déjà dit (p. 56) et nous verrons pl
’élever successivement à des idées plus générales, c’est-à-dire à une
théorie
. Mais il arrive aussi, comme nous venons de le vo
ons de le voir, qu’on peut partir d’une hypothèse qui se déduit d’une
théorie
. Dans ce cas, bien qu’il s’agisse d’un raisonneme
e cas, bien qu’il s’agisse d’un raisonnement déduit logiquement d’une
théorie
, c’est néanmoins encore une hypothèse qu’il faut
une hypothèse qu’il faut vérifier par l’expérience. Ici en effet les
théories
ne nous représentent qu’un assemblage de faits an
e. Nous avons dit que dans ce cas il fallait ne pas subir le joug des
théories
, et que garder l’indépendance de son esprit était
détruit dans le poumon ou dans les capillaires généraux. En effet, la
théorie
régnante à cette époque et qui devait être nature
aliment respiratoire. Mais je fus immédiatement conduit à voir que la
théorie
sur l’origine du sucre chez les animaux, qui me s
’en mangent pas. Je constatai donc là un fait nouveau, imprévu par la
théorie
et que l’on n’avait pas remarqué, sans doute, par
présence d’un fait nouveau bien constaté et en contradiction avec une
théorie
, au lieu de garder la théorie et d’abandonner le
n constaté et en contradiction avec une théorie, au lieu de garder la
théorie
et d’abandonner le fait, j’ai gardé le fait que j
j’ai gardé le fait que j’ai étudié, et je me suis hâté de laisser la
théorie
, me conformant à ce précepte que nous avons indiq
e chapitre : Quand le fait qu’on rencontre est en opposition avec une
théorie
régnante, il faut accepter le fait et abandonner
avec une théorie régnante, il faut accepter le fait et abandonner la
théorie
, lors même que celle-ci, soutenue par de grands n
aut donc distinguer, comme nous l’avons dit, les principes d’avec les
théories
et ne jamais croire à ces dernières d’une manière
ais croire à ces dernières d’une manière absolue. Ici nous avions une
théorie
d’après laquelle on admettait que le règne végéta
principes immédiats que le règne animal doit détruire. D’après cette
théorie
établie et soutenue par les chimistes contemporai
apables de produire du sucre dans leur organisme. Si j’avais cru à la
théorie
d’une manière absolue, j’aurais dû conclure que m
nées ou sucrées,. Mais, au lieu de me préoccuper de la validité de la
théorie
, je ne m’occupai que du fait dont je cherchai à b
résultat acquis à la science, mais on n’est point encore fixé sur une
théorie
plausible des phénomènes. Les faits nouveaux que
naître ont été la source de grand nombre de travaux et de beaucoup de
théories
diverses et contradictoires en apparence, soit en
usse modestie fondée sur la crainte de se tromper. J’ai donc fait des
théories
plus ou moins hypothétiques sur la glycogénie ; d
thétiques sur la glycogénie ; depuis moi, on en a fait d’autres : mes
théories
, ainsi que celles des autres, vivront ce que doiv
éories, ainsi que celles des autres, vivront ce que doivent vivre des
théories
nécessairement très partielles et provisoires qua
ésenteront un état plus avancé de la question, et ainsi de suite. Les
théories
sont comme des degrés successifs que monte la sci
la science en élargissant de plus en plus son horizon, parce que les
théories
représentent et comprennent nécessairement d’auta
t plus de faits sont plus avancées. Le vrai progrès est de changer de
théorie
pour en prendre de nouvelles qui aillent plus loi
le cas qui nous occupe, la question n’est pas de condamner l’ancienne
théorie
au profit de celle qui est plus récente. Ce qui e
car ce qui ne périra jamais, ce sont les faits bien observés que les
théories
éphémères ont fait surgir ; ce sont là les seuls
nes pour en connaître la loi ou le déterminisme exact. En résumé, les
théories
ne sont que des hypothèses vérifiées par un nombr
es qui précèdent, que, si l’on avait eu une confiance entière dans la
théorie
régnante sur la destruction du sucre chez les ani
faits nouveaux que nous avons rencontrés. L’hypothèse fondée sur une
théorie
a, il est vrai, provoqué l’expérience, mais dès q
périence, mais dès que les résultats de l’expérience sont apparus, la
théorie
et l’hypothèse ont dû disparaître, car le fait ex
iologie, de se préoccuper très peu de la valeur des hypothèses ou des
théories
et d’avoir toujours l’œil attentif pour observer
qu’on poursuit, ni s’illusionner sur la valeur de ses idées ou de ses
théories
scientifiques ; il faut toujours avoir les yeux o
science expérimentale (déterminisme), et ne pas croire absolument aux
théories
. L’aphorisme que j’ai exprimé plus haut peut s’ap
que la vérité (au moins la vérité provisoire) est représentée par la
théorie
ou par la formule. Mais en philosophie scientifiq
expérimentale ceux qui placent leur foi dans les formules Ou dans les
théories
ont tort. Toute la science humaine consiste à che
e la science humaine consiste à chercher la vraie formule ou la vraie
théorie
de la vérité dans un ordre quelconque. Nous en ap
t, d’une part, sur les observations connues, et d’autre part, sur les
théories
régnantes relativement aux phénomènes de la nutri
avais été conduit, ainsi qu’on vient de le voir, en me fondant sur la
théorie
régnante et sur des observations antérieures, à f
ait donc exactement contraire à celui que mon hypothèse déduite de la
théorie
m’avait fait prévoir ; mais alors je fis comme to
ors je fis comme toujours, c’est-à-dire que j’abandonnai aussitôt les
théories
et les hypothèses pour observer et étudier le fai
contrer dans les expériences des résultats différents de ceux que les
théories
et les hypothèses nous font prévoir. Mais si je d
érifié avec la plus grande facilité. En résumé, les hypothèses et les
théories
, même mauvaises, sont utiles pour conduire à des
s ont fondé la chimie en poursuivant des problèmes chimériques et des
théories
fausses aujourd’hui. Dans les sciences physiques,
ant des savants qui font de grandes découvertes en s’appuyant sur des
théories
fausses. Cela paraît être en effet une nécessité
les exemples qui précèdent ? Il doit en conclure que les idées et les
théories
admises, dans l’état actuel de la science biologi
onséquemment avoir fort peu de confiance dans la valeur réelle de ces
théories
, mais pourtant s’en servir comme d’instruments in
ître par suite les erreurs de faits qui sont la source des erreurs de
théories
. Celui qui tenterait maintenant une généralisatio
a particulièrement utile dans les sciences biologiques où règnent des
théories
si souvent étayées par des idées fausses ou assis
es exemples, les principes en vertu desquels il convient de juger les
théories
physiologiques et de discuter les faits qui leur
dans les sciences il ne faut jamais confondre les principes avec les
théories
. Les principes sont les axiomes scientifiques ; c
sont des vérités absolues qui constituent un critérium immuable. Les
théories
sont des généralités ou des idées scientifiques q
aire d’une manière absolue à ses principes. Ceux qui croient trop aux
théories
et qui négligent les principes prennent l’ombre p
n dérivent. Dans toute science le progrès réel consiste à changer les
théories
de manière à en obtenir qui soient de plus en plu
quoi servirait d’étudier, si l’on ne pouvait changer d’opinion ou de
théorie
; mais les principes et la méthode scientifiques
; mais les principes et la méthode scientifiques sont supérieurs à la
théorie
, ils sont immuables et ne doivent jamais varier.
érimentale doit donc se prémunir non seulement contre la croyance aux
théories
, mais éviter aussi de se laisser égarer en accord
ue sévère. Toutes les fois qu’il avance une opinion ou qu’il émet une
théorie
, il doit être le premier à chercher à les contrôl
ir échoué deux ou trois fois, j’en aurais conclu non seulement que la
théorie
qui m’avait guidé était mauvaise, mais que la piq
Ainsi la chaleur et l’affinité sont constamment en présence dans nos
théories
chimiques. L’affinité nous échappe entièrement et
que les connaissances scientifiques se déduisent avec certitude d’une
théorie
ou d’un principe. Il y a là une erreur que je dés
on y fait des découvertes par hasard, c’est-à-dire imprévues par les
théories
régnantes. Je conclurai donc que dans les science
’investigation pathologique peut aussi avoir pour point de départ une
théorie
, une hypothèse ou une idée préconçue. Il serait f
ne serait pas difficile de trouver des arguments pour prouver que les
théories
même les plus accréditées ne doivent être regardé
ies même les plus accréditées ne doivent être regardées que comme des
théories
provisoires et non comme des vérités absolues aux
ssais thérapeutiques, et il faut dire aussi que souvent c’étaient des
théories
ou des idées les plus étranges ou les plus absurd
es les plus étranges ou les plus absurdes. Il me suffira de citer les
théories
de Paracelse qui déduisaient l’action des médicam
en doute même les principes de la science. Il ne faut douter que des
théories
, et encore il ne faut en douter que jusqu’au déte
pété, que ce que nous appelons médecine expérimentale n’est point une
théorie
médicale nouvelle. C’est la médecine de tout le m
uement ou par hasard ; de même qu’avant d’expérimenter en vertu d’une
théorie
scientifique, il faut avoir expérimenté empirique
ux, la fabrication des verres grossissants, etc., avant d’en avoir la
théorie
scientifique. L’empirisme a donc aussi servi de g
ndant leurs temps nébuleux ; mais ce n’est que depuis l’avènement des
théories
expérimentales que les sciences physiques et chim
e la médecine doivent toujours rester indissolublement unies, dans la
théorie
et dans la pratique. Je dis à ceux que leur voie
orie et dans la pratique. Je dis à ceux que leur voie portera vers la
théorie
ou vers la science pure, de ne jamais perdre de v
irigera au contraire vers la pratique, de ne jamais oublier que si la
théorie
est destinée à éclairer la pratique, la pratique
e la science toutes les vues individuelles pour les remplacer par des
théories
impersonnelles et générales qui ne seront, comme
stèmes personnels est passé et peu à peu ils seront remplacés par des
théories
représentant l’état actuel de la science et donna
es efforts de tous. Toutefois il ne faut pas croire pour cela que les
théories
soient jamais des vérités absolues ; elles sont t
in de dire qu’il ne faut pas confondre, comme on le fait souvent, les
théories
progressives et perfectibles avec les méthodes ou
l’hypothèse est soumise à la méthode expérimentale, elle devient une
théorie
; tandis que, si elle est soumise à la logique se
u raisonnement, mais sans une vérification critique expérimentale. La
théorie
est l’hypothèse vérifiée, après qu’elle a été sou
ontrôle du raisonnement et de la critique expérimentale. La meilleure
théorie
est celle qui a été vérifiée par le plus grand no
celle qui a été vérifiée par le plus grand nombre de faits. Mais une
théorie
, pour rester bonne, doit toujours se modifier ave
a critique des faits nouveaux qui apparaissent. Si on considérait une
théorie
comme parfaite et si l’on cessait de la vérifier
journalière, elle deviendrait une doctrine. Une doctrine est donc une
théorie
que l’on regarde comme immuable et que l’on prend
je pense, quant à moi, que les savants font leurs découvertes, leurs
théories
et leur science sans les philosophes. Si l’on ren
effort de la science est d’ajouter ou de lier un fait à un fait. III.
Théorie
de la définition. — En quoi cette théorie est im
er un fait à un fait. III. Théorie de la définition. — En quoi cette
théorie
est importante. — Réfutation de l’ancienne théor
— En quoi cette théorie est importante. — Réfutation de l’ancienne
théorie
. — Il n’y a pas de définitions des choses, mais
y a pas de définitions des choses, mais des définitions des noms. IV.
Théorie
de la preuve. — Théorie ordinaire. Réfutation. —
s choses, mais des définitions des noms. IV. Théorie de la preuve. —
Théorie
ordinaire. Réfutation. — Quelle est dans un rais
Réfutation. — Quelle est dans un raisonnement la partie probante. V.
Théorie
des axiomes. — Théorie ordinaire. Réfutation. —
t dans un raisonnement la partie probante. V. Théorie des axiomes. —
Théorie
ordinaire. Réfutation. — Les axiomes ne sont que
— Les axiomes ne sont que des expériences d’une certaine classe. VI.
Théorie
de l’induction. — La cause d’un fait n’est que s
éthode des variations concomitantes. VII. Exemple et applications. —
Théorie
de la rosée. VIII. La méthode de déduction. — So
ture de l’abstraction. — Rôle de l’abstraction dans la science. III.
Théorie
de la définition. — Elle est l’exposé des abstra
de la définition. — Elle est l’exposé des abstraits générateurs. IV.
Théorie
de la preuve. — La partie probante du raisonneme
euve. — La partie probante du raisonnement est une loi abstraite. V.
Théorie
des axiomes. — Les axiomes sont des relations d’
relations d’abstraits. — Ils se ramènent à l’axiome d’identité. VI.
Théorie
de l’induction. — Ses procédés sont des éliminat
ous enjambez les faits, et vous voilà de prime-saut installé dans une
théorie
. Sachez qu’il y a chez nous des penseurs, et pas
Il a trop d’esprit pour cela : il ne fait qu’ordonner les meilleures
théories
et expliquer les meilleures pratiques. Il ne se p
seul lui donnerait la mesure de notre intelligence. Exposez-moi votre
théorie
; je m’en retournerai plus instruit qu’après avoi
ns, et tout ce qu’expliquent ou embrassent les classifications et les
théories
; il vous restera encore à connaître ces classifi
ories ; il vous restera encore à connaître ces classifications et ces
théories
. Non-seulement il y a l’ordre des êtres, mais il
t par composer un système de vérités liées et croissantes. On fait la
théorie
de la science comme d’autres font la théorie de l
croissantes. On fait la théorie de la science comme d’autres font la
théorie
de la végétation, de l’esprit, des nombres. Voilà
régé de tout le système ; pénétrons-nous-en. Elle explique toutes les
théories
de Mill. C’est à ce point de vue qu’il a tout déf
rapports. Or, l’on sait que la logique a deux pierres angulaires, la
théorie
de la définition et la théorie de la preuve. Depu
logique a deux pierres angulaires, la théorie de la définition et la
théorie
de la preuve. Depuis Aristote, les logiciens ont
ce sont les railleurs qui mériteraient la raillerie. Il n’y a pas de
théorie
plus féconde en conséquences universelles et capi
rempart détruit ; les adversaires se réfugient derrière le second, la
théorie
de la preuve. En effet, celle-ci, depuis deux mil
’observation directe. Ainsi les logiciens se trompent, et par-delà la
théorie
toute scolastique du syllogisme qui réduit le rai
uit le raisonnement à des substitutions de mots, il faut chercher une
théorie
de la preuve, toute positive, qui démêle dans le
expériences particulières et instructives, et de leur rendre dans nos
théories
la primauté et l’importance que notre pratique le
Il suit de là que l’induction est la seule clef de la nature. Cette
théorie
est le chef-d’œuvre de Mill. Il n’y avait qu’un p
’y avait qu’un partisan aussi dévoué de l’expérience qui pût faire la
théorie
de l’induction. Qu’est-ce que l’induction ? C’est
; il y a un exemple qui les rassemble presque toutes. Il s’agit de la
théorie
de la rosée du docteur Well. Je cite les propres
iver très-sec de gelées blanches1506. « La seconde confirmation de la
théorie
se tire de l’expérience directe pratiquée selon l
rit humain doit ses plus grands triomphes. Nous lui devons toutes les
théories
qui ont réuni des phénomènes vastes et compliqués
déduit ses millions de faits de deux ou trois lois. J’ose dire que la
théorie
que vous venez d’entendre est parfaite. J’en ai o
l’heure ce que les Anglais ont fait en philosophie ; je réponds : la
théorie
de l’induction. Mill est le dernier d’une grande
ssaires, mais au moyen d’antécédents accidentels, en sorte que, si la
théorie
de notre univers était achevée, elle aurait encor
e nous avons démêlée au commencement du système, qui a transformé les
théories
de la définition, de la proposition et du syllogi
iomes à des vérités d’expérience ; qui a développé et perfectionné la
théorie
de l’induction ; qui a établi le but, les bornes,
est sombre : il n’importe, si elle est vraie. À tout le moins, cette
théorie
de la science est celle de la science anglaise. R
un appendice des expériences ; nous n’avons qu’à la rétablir dans la
théorie
générale pour reformer les théories particulières
s n’avons qu’à la rétablir dans la théorie générale pour reformer les
théories
particulières où elle a manqué. III D’abord
e ou absolue, imparfaite ou achevée. IV Même changement dans la
théorie
de la preuve. Selon Mill, on ne prouve pas que le
Chapitre VII :
Théorie
de la raison par M. Cousin Il y a dans M. Cousi
siennes qui renferme autre chose que les maximes du sens commun : la
théorie
de la raison ; elle est sa place d’armes. C’est d
, mais nous savons très-évidemment qu’ils ne peuvent pas en avoir. La
théorie
consiste à dire que ces axiomes et ces idées ne p
conscience. Ainsi, mes sens me donnent l’idée d’un corps étendu ; la
théorie
prétend que par aucun moyen je ne pourrai tirer d
és, la faculté de sentir appartient à mon être ou à ma substance ; la
théorie
prétend que de ce jugement particulier je ne pour
pose une substance. Voici les preuves sur lesquelles on établit cette
théorie
. Elles sont dispersées dans les différents ouvrag
contient pas. Appelons ces axiomes vérités absolues ; à l’instant la
théorie
se complète. « Comme tout phénomène a son sujet d
Cousin, au dernier chapitre, rassemble toutes les preuves et toute la
théorie
en une page45. « Les vérités universelles et néce
bien absolus, leur substance ne peut être que l’Être absolu. » Cette
théorie
repose sur deux pétitions de principe et sur deux
’elle ait pu entrer dans un cerveau humain. Le lecteur voit que cette
théorie
se réduit à des fautes de langue. Quelqu’un disai
employés dans le même ordre, avec le même effet. Concluez que la même
théorie
s’applique aux idées d’objets infinis aussi bien
e s’élance pas dans ces aventures. Privé de la méthode que demande sa
théorie
, il est privé de toute méthode. Faute d’analyser
impuissante ; elle se venge en lui imposant l’obligation de fonder sa
théorie
capitale, et par suite toute sa philosophie, sur
IV.De la pluralité des temps Les Temps multiples et ralentis de la
théorie
de la Relativité : comment ils sont compatibles a
uvement. Mais cette fois nous sommes devant la forme définitive de la
théorie
de la Relativité. Nous devons nous demander dans
ps et par conséquent les Temps multiples dont il est question dans la
théorie
de la Relativité, un point est certain : ces rale
ue sont les Temps multiples, à vitesses d’écoulement inégales, que la
théorie
de la Relativité trouve aux divers systèmes selon
me grandeur. Ainsi s’efface la forme paradoxale qui a été donnée à la
théorie
de la pluralité des Temps. « Supposez, a-t-on dit
bien obligé de procéder autrement, même s’il adhère sans réserve à la
théorie
d’Einstein. Il commencera, sans doute, par se met
t raison 27. Ce qui a contribué à entretenir l’illusion, c’est que la
théorie
de la Relativité restreinte déclare précisément c
alité de Temps mathématiques n’était jamais venue à l’esprit avant la
théorie
de la Relativité ; c’est donc uniquement à celle-
de deux systèmes S et S′ se déplaçant par rapport l’un à l’autre, la
théorie
de la Relativité aboutirait à affirmer plus rigou
oute manière, en ce qui concerne l’universalité du Temps réel, que la
théorie
de la Relativité n’ébranle pas l’idée admise et t
pparaîtra comme égal ou comme inégal à Q. C’est ce qu’on fait dans la
théorie
de la Relativité. Moi, physicien relativiste, apr
rver, mais elles sont devenues des successions. Au contraire, dans la
théorie
d’Einstein, il n’y a pas de système privilégié ;
a consacrées à la relativité de la simultanéité dans son livre sur La
Théorie
de la Relativité restreinte et généralisée sont i
i se passent en M′ et P′, sont-ils déterminés aussi ? Non, d’après la
théorie
de la Relativité. Selon que le système S′ a une v
N′ P′ que la vitesse du système est plus considérable. Ici encore la
théorie
de la Relativité prend au premier abord un aspect
llons revenir à une supposition que nous avons déjà faite. D’après la
théorie
de la Relativité, les relations temporelles entre
temporelles des événements intérieurs à S′ sont affectées, d’après la
théorie
de la Relativité, par la plus ou moins grande vit
non plus le double de S. Si nous voulons trouver le sens exact de la
théorie
de la Relativité, nous devrons faire que S′ soit
, il n’adoptera pas le langage de la Relativité. Mais il acceptera la
théorie
. La traduction qu’il va nous donner de l’idée nou
nécessaire que ces physiciens fantasmatiques fussent évoqués ; et la
théorie
de la Relativité, en fournissant au physicien rée
é. Mais la suppression du système privilégié est l’essence même de la
théorie
de la Relativité. Donc cette théorie, bien loin d
vilégié est l’essence même de la théorie de la Relativité. Donc cette
théorie
, bien loin d’exclure l’hypothèse d’un Temps uniqu
la fin du volume. 26. Il ne s’agit toujours, bien entendu, que de la
théorie
de la Relativité restreinte. 27. L’hypothèse du
portant ouvrage de M. Jean BECQUEREL, Le principe de relativité et la
théorie
de la gravitation, p. 52. Même du point de vue pu
à ses travaux et à son enseignement, tous ceux qui s’intéressent à la
théorie
de la Relativité. 28. Nous nous en tenons ici à
d’un système de référence. 29. Dans son charmant petit livre sur la
théorie
de la Relativité (The general Principle of Relati
ciple of Relativity, London, 1920), H. WILDON CARR soutient que cette
théorie
implique une conception idéaliste de l’univers. N
lles-là. » — Mais ce raisonnement irait contre le principe même de la
théorie
de la Relativité, lequel est de ne jamais rien su
plan perpendiculaire à la direction du mouvement. 34. EINSTEIN, La
Théorie
de la Relativité restreinte et généralisée (trad.
rt Flint, quelques vues générales propres à éclairer l’histoire et la
théorie
scientifique du progrès. I S’il est vrai que
t à vivre sur la terre ferme à mesure que le soleil la desséchait. La
théorie
de l’évolution est, on le voit, moins nouvelle qu
hrist et ses apôtres ne s’attribuèrent jamais la mission de faire une
théorie
complète du progrès historique ; mais ils durent
e subsister la pénétrante critique de M. Flint. On connaît la fameuse
théorie
de Cousin. Le progrès n’est selon lui que l’appar
s primitifs, en général, sont fort peu absorbés, comme le voudrait la
théorie
de Cousin, dans la contemplation de l’infini et d
ces les plus diverses, M. H. Spencer a repris, fortifié et agrandi la
théorie
de Krause et de Schelling. Il est certain que les
redit celui qui a donné le plus de développement et de précision à la
théorie
qui prétend retrouver dans la vie des nations les
conclusions bien risquées. Nous n’avons pas qualité pour discuter la
théorie
de M. Naudin : elle est certainement très plausib
du progrès, à plus forte raison devrons-nous être en garde contre les
théories
qui placent au dehors, et dans ce qu’on appelle l
ielles du développement des nations. Nous n’insisterons pas sur cette
théorie
, qui a été ici même l’objet de discussions remarq
rs encore trop peu connues pour qu’on puisse asseoir sur elles aucune
théorie
. Il est possible que certaines dispositions intel
ance. Nous sommes loin de vouloir accepter la responsabilité de cette
théorie
. Jusqu’à preuve authentique du contraire, nous au
dispensables de l’histoire, sont-elles trop jeunes encore pour qu’une
théorie
définitive du progrès soit possible. Peut-être, c
s plus éminens penseurs de l’Allemagne contemporaine, M. Lotze, cette
théorie
n’est-elle qu’une lointaine espérance, une conquê
vigilance. Toujours la barbarie est à nos portes ; sous le masque des
théories
subversives, avec l’aide de toutes les mauvaises
marquable ouvrage, lui trouve plus d’un trait de ressemblance avec la
théorie
de l’emboîtement des germes, avec l’hypothèse des
ction du soi pour soi de Geoffroy Saint-Hilaire, même avec la fameuse
théorie
de la panspermie de Darwin. A côté des hypothèses
récisément l’inverse de la méthode adoptée par Aristote dans sa belle
théorie
de l’âme. La pauvreté des matériaux fournis à Ari
éclare formellement que l’observation mérite plus de confiance que la
théorie
; non qu’il professe le pur empirisme, mais parce
celle que peut accepter un savant. D’abord il est fort éloigné de la
théorie
anthropocentrique, qui fait du bien-être et des c
utant plus forte, qu’ailleurs le philosophe grec semble pressentir la
théorie
de Kœlliker et expliquer par une légère modificat
dans un cas que dans l’autre, le soupçon n’est entièrement fondé. Sa
théorie
de l’âme n’est qu’une généralisation de l’expérie
n flagrant délit de métaphysique ? En tout cas, c’est sans doute à sa
théorie
de l’âme qu’Aristote a dû d’ajouter à tant d’autr
, et dont la nature est divine. Enfin, il n’est pas impossible qu’une
théorie
qui fait de l’âme la raison d’être et la fin de l
is et les Allemands, qui, par la découverte et le développement de la
théorie
de l’évolution, viennent de poser les bases d’une
te culture intellectuelle. La disposition de l’esprit à adopter cette
théorie
, et la tendance à la philosophie monistique qui s
de place pour l’intervention d’une volonté libre. Il me semble que la
théorie
cinétique des gaz va nous fournir un exemple frap
e des gaz va nous fournir un exemple frappant. On sait que dans cette
théorie
, on explique toutes les propriétés des gaz par un
uffit qu’il soit fini. Je ne veux pas discuter ici la valeur de cette
théorie
. Il est clair que si on l’adopte, la loi de Mario
elle ne sera plus vraie. Et pourtant croit-on que les partisans de la
théorie
cinétique soient des adversaires du déterminisme
e me demande même si nous comprenons bien la question. Quand donc une
théorie
scientifique prétend nous apprendre ce qu’est la
hémères. Or que voyons-nous ? Au premier abord il nous semble que les
théories
ne durent qu’un jour et que les ruines s’accumule
regarde de plus près, on voit que ce qui succombe ainsi, ce sont les
théories
proprement dites, celles qui prétendent nous appr
cquis et on le retrouvera sous un déguisement nouveau dans les autres
théories
qui viendront successivement régner à sa place. N
dront successivement régner à sa place. Ne prenons qu’un exemple : la
théorie
des ondulations de l’éther nous enseignait que la
ait que la lumière est un mouvement ; aujourd’hui la mode favorise la
théorie
électro-magnétique qui nous enseigne que la lumiè
rait pas identique à celui qu’admettaient les partisans de l’ancienne
théorie
, on pourrait se croire fondé à dire que cette anc
cienne théorie, on pourrait se croire fondé à dire que cette ancienne
théorie
est détrônée. Et pourtant, il en reste quelque ch
expliquer dans la quatrième partie, nous pouvons aller plus loin. Une
théorie
physique, avons-nous dit, est d’autant plus vraie
hiques distinctes. Chacun de ces faits s’accorde parfaitement avec ma
théorie
; car je n’admets l’existence d’aucune loi fixe e
moins la généralité de cette loi, si remarquablement d’accord avec ma
théorie
. Car, si toutes les espèces d’un même groupe desc
ent. J’ai tenté d’expliquer ce fait, qui renverserait complétement ma
théorie
s’il était bien constaté, mais de pareilles intru
n graduelle des espèces d’un groupe est parfaitement d’accord avec ma
théorie
, selon laquelle les espèces d’un même genre et le
de la disparition des espèces et de leurs divers groupes. D’après la
théorie
de sélection naturelle, l’extinction des formes a
, jusqu’à soupçonner qu’il a dû mourir par quelque cause violente. La
théorie
de sélection naturelle est fondée sur ce que chaq
s espèces, ou de leurs divers groupes, s’accorde parfaitement avec la
théorie
de sélection naturelle. Mais ce n’est pas de leur
des formes de la vie à la surface du monde s’explique aisément par la
théorie
de sélection naturelle. De nouvelles espèces se f
ers faits, et les inductions qu’on en peut tirer, s’accordent avec la
théorie
de descendance modifiée. Comme le sujet est assez
ogistes, tel semble devoir être fréquemment le cas. Ainsi, d’après la
théorie
de descendance modifiée, les faits principaux con
omplétement inexplicables de tout autre point de vue. D’après la même
théorie
, il est évident que la faune de chacune des grand
des habitants de la mer paraissent en avoir été affectées. D’après la
théorie
de descendance modifiée, rien n’est plus aisé que
its de ce genre, ils ne peuvent donc fournir d’objection valable à la
théorie
de sélection naturelle. Ainsi, nous ignorons pour
ns plus vastes des mers. Plus généralement pourtant il résulte, de la
théorie
de sélection naturelle, que les espèces les plus
n plus ou moins parfaite des organes, les formes modernes, d’après la
théorie
de sélection naturelle, doivent être plus élevées
cents. Car cette opinion de M. Agassiz s’accorde parfaitement avec la
théorie
de sélection naturelle. Dans un chapitre, j’essay
s faits analogues dans la distribution des animaux marins. D’après la
théorie
de descendance modifiée, cette grande loi de la s
ancêtres des espèces vivantes. Il ne faut pas oublier que d’après ma
théorie
toutes les espèces du même genre descendent d’une
ituer une histoire complète du règne organique ne saurait admettre ma
théorie
; car autrement on pourrait demander en vain où s
e paléontologique me semblent se déduire aisément des principes de la
théorie
de descendance modifiée par sélection naturelle.
entier semblent avoir changé partout simultanément. Les données de la
théorie
nous expliquent encore comment il se fait que tou
aurait être fournie, les principales objections qu’on peut faire à la
théorie
de sélection naturelle sont beaucoup affaiblies o
r bien constaté, il ne puisse fournir une objection valable contre la
théorie
de descendance modifiée. La reproduction exacte d
toutes les parties sont enfin devenues homogènes. D’un autre côté, la
théorie
générale des classifications établie dans ces der
. Quels que soient les immenses services rendus à l’industrie par les
théories
scientifiques, quoique, suivant l’énergique expre
ions concevoir avec facilité (ce qui est l’objet propre de toutes les
théories
scientifiques) est tellement inhérent à notre org
s ; car les applications les plus importantes dérivent constamment de
théories
formées dans une simple intention scientifique, e
e observation de la longitude préserve du naufrage, doit la vie à une
théorie
conçue, deux mille ans auparavant, par des hommes
rticulière, qui n’a pas encore été fait, celui de former, d’après les
théories
scientifiques proprement dites, les conceptions s
urs, dont la destination spéciale est d’organiser les relations de la
théorie
et de la pratique. Sans avoir aucunement en vue l
propre à cette classe nouvelle, et qui doit constituer les véritables
théories
directes des différents arts, pourrait sans doute
hui tout à fait prématuré ; car ces doctrines intermédiaires entre la
théorie
pure et la pratique directe ne sont point encore
t à la géométrie descriptive, qui n’est réellement autre chose qu’une
théorie
générale des arts de construction. J’aurai soin d
outes les diverses sciences principales. C’est ainsi que la véritable
théorie
de l’agriculture, pour me borner au cas le plus e
arts. On aperçoit aisément, d’après cette considération, pourquoi ces
théories
n’ont pu encore être formées, puisqu’elles suppos
voir contribuer à la formation systématique de cette philosophie, les
théories
générales propres aux différents arts principaux
tion. En résume, nous ne devons donc considérer dans ce cours que les
théories
scientifiques et nullement leurs applications. Ma
connus ne pourront être coordonnés de manière à former de véritables
théories
spéciales des différents êtres de l’univers, que
ement réel, que souvent, pour concevoir la génération effective d’une
théorie
scientifique, l’esprit est conduit à considérer l
r, c’est suivant l’ordre énoncé par cette formule que les différentes
théories
humaines ont atteint successivement d’abord l’éta
car il est clair que l’état théologique ou métaphysique de certaines
théories
fondamentales a dû temporairement coïncider et a
qu’il faut l’étudier pour le bien connaître ; comme, par exemple, la
théorie
des classifications. En se bornant à l’étude d’un
te maxime est jusqu’à présent demeurée stérile pour la rénovation des
théories
sociales, qui ne sont pas encore sorties de l’éta
eley. En psychologie, le nom du Dr Laycock reste surtout attaché à la
théorie
de la cérébration inconsciente, exposée par lui,
ement, dans son Mémoire Sur l’action réflexe du cerveau (1844). Cette
théorie
qui a donné lieu de sa part à une revendication d
rwin, indépendamment de ses travaux comme naturaliste et de sa grande
théorie
de l’évolution, a contribué pour sa part à la con
ent sur toutes les questions de fait, il diffère quelquefois d’eux en
théorie
par certains points que je réduirai à deux : l’in
ment étudiés, dont la doctrine est presque tout entière indigène. Les
théories
sur l’activité inconsciente ou préconsciente, sur
sa forme qualitative et quantitative. Pour tout ce qui touche à cette
théorie
, j’ai suivi en une large mesure la route qu’il a
quefois du tout au tout ? Ce fait à lui seul tiendrait en échec votre
théorie
. Elle dit aux rationalistes : Vous avez bien vu q
ain), qui s’appuient sur la corrélation des forces, en disant que les
théories
cérébrales n’expliquent pas du tout le fait de co
s reconnaître l’activité de l’esprit dans la connaissance » ; que la
théorie
de l’Association n’explique bien que les processu
’explique bien que les processus inférieurs de l’esprit ; que dans sa
théorie
du raisonnement Stuart Mill est obligé d’ajouter
, comme disait saint Bernard, — car les littératures font beaucoup de
théories
sociales, lorsque les peuples ont relâché ou bris
n auteur dans l’application de sa méthode et dans l’exposition de ses
théories
attardées, il est des formes littéraires qui sont
i, il faut bien le dire, tout a réussi à M. Mitraud. Cette absence de
théorie
, — nous ne disons pas absolument : d’idées, — ce
ment, le fond des choses manque au livre des Sociétés humaines, si la
théorie
n’y bâtit même pas la première arche du pont sur
s ce premier écrit, où sa personnalité philosophique, c’est-à-dire sa
théorie
, ne paraît pas encore, mais s’annonce. Ceux pour
bbé Mitraud, avec ses tendances générales et son manque provisoire de
théorie
carrée et résolue, nous fait l’effet d’une espèce
iberté a ses trois limites de nombre, de mesure et de poids qu’aucune
théorie
ne saurait briser, et la Justice a son glaive à c
milles doivent se grouper et se mouvoir ? S’il l’avait vu, est-ce une
théorie
après laquelle il aurait couru (et court encore)
orie après laquelle il aurait couru (et court encore) ? Au lieu d’une
théorie
, n’aurait-il pas fait une histoire, l’histoire de
osophique de la Raison, et tous ceux qui veulent et posent dans leurs
théories
que les gouvernements personnels et hiérarchiques
réservation. La condition du plaisir est-elle la peine ? Critique des
théories
de Kant et de Schopenhauer. — Le moteur de l’évol
part de vérité. Il importerait de trouver un lien qui les réunit, une
théorie
compréhensive qui fût la synthèse des faits ou de
biologique de la sélection au plaisir et à la douleur. C’est à cette
théorie
que Schneider, comme Spencer dont il est le zélé
force des idées. Ici commencent, à notre avis, les exagérations de la
théorie
darwiniste. Sans doute, une fois produit un mécan
ire, une augmentation de force, une réception de mouvement30. » Cette
théorie
vient de ce que Léon Dumont conçoit mal le rappor
hologue frappé de la « relativité des plaisirs et des peines ». Cette
théorie
nous semble une fausse conclusion de prémisses ma
une résistance extérieure. On peut voir une idée profonde dans cette
théorie
d’Épicure que la cessation de la douleur n’est pa
e l’inconscient la partie du phénomène auquel on ne peut appliquer sa
théorie
est un moyen expéditif. Un goût nauséabond est dé
e pour la préservation. La condition est-elle la peine. Critiques des
théories
de Kant et Schopenhauer. La lutte des êtres, a
u plus fort, du plus apte à préserver et à imposer son existence. Les
théories
de Darwin ont été trop influencées par la loi de
oncret et même mécanique de l’évolution universelle pour compléter la
théorie
de Darwin. Toute matière organisée croit par diff
es, la seconde est l’épicurisme égoïste des esprits « pratiques ». La
théorie
de la peine comme moteur unique de la volonté est
tte conclusion : Il dolore precede ogni piacere. Kant lui emprunte sa
théorie
. Pour lui, la vie est un effort continuel, et la
uer n’a pas eu à faire de grands efforts d’invention pour imaginer sa
théorie
sur le caractère négatif du plaisir, qui, selon l
une douleur qu’il remplacerait : la vue jouit sans avoir souffert. La
théorie
de Platon et d’Aristote40 nous semble éclairée et
e j’aie besoin de passer par la porte de la souffrance. Bien plus, la
théorie
kantienne aboutit à une autre impossibilité : le
omment alors arrivera-t-on soit au plaisir, soit à la souffrance ? La
théorie
de Schopenhauer s’enferme aussi dans ce cercle, e
théorie de Schopenhauer s’enferme aussi dans ce cercle, et de même la
théorie
de Hartmann. Ce dernier, corrigeant en partie Sch
formalités intellectuelles requises pour participer au plaisir. Cette
théorie
fantastique imagine arbitrairement des plaisirs s
la fin, mais la peine seule peut être le mobile de l’action. » Cette
théorie
touche aux problèmes les plus obscurs, mais aussi
nous paraît aboutir à des conséquences non moins importantes pour la
théorie
des mœurs que pour la théorie de l’homme et celle
séquences non moins importantes pour la théorie des mœurs que pour la
théorie
de l’homme et celle du monde ; résumons-les en fo
. Ces résultats de la science psychologique pourraient s’étendre à la
théorie
générale du monde : nous en induirions que le mot
ions d’existence ou à celles de leur espèce ont dû disparaître. 30.
Théorie
scientifique de la sensibilité, ch. VI. 31. Darw
. Bouillier. 41. Voir Stephen Leslie, Science of Ethics, et Delbœuf,
Théorie
de la sensibilité.
s encore été employée d’une manière suivie. Voici en quoi consiste la
théorie
éclectique. Suivant Cousin, la vérité n’est plus
rait-on faire un système un, solide, et bien ajusté ? Les différentes
théories
qui le composeront n’étaient pas faites les unes
r cela même qu’elle facilite et amélioré la pratique en expliquant la
théorie
. Elle atteint ce double but par un seul moyen, l’
es droits au titre de science distincte suffisent à montrer que cette
théorie
ne saurait être admise. De nos jours s’est produi
’à invoquer encore la définition de la philosophie pour réfuter cette
théorie
. La philosophie a son objet propre, les états de
Mais qui étudie ces procédés ? C’est la philosophie. Elle en fait la
théorie
, elle voit à quelles conditions ils doivent être
onc donner à notre méthode d’observation qu’un complément. Leçon 6
Théorie
des facultés de l’âme Nous connaissons l’objet
auer, arrive aux mêmes conclusions que son maître tout en réfutant sa
théorie
. Vivre n’en vaut pas la peine, dit-il. Ce n’est p
es douleurs dépasse la somme des plaisirs. Mais on ne peut adopter la
théorie
de Schopenhauer : il y a bien des plaisirs que l’
re doctrine, la cause du plaisir serait dans la libre activité. Cette
théorie
remonte à Aristote ; plus récemment elle a été re
Bouillier dans son ouvrage : Du plaisir et de la douleur. Voici cette
théorie
: Nous jouissons quand notre activité se déploie
Le plaisir de l’être c’est son action propre, [Phrase en grec]. Cette
théorie
d’ailleurs explique fort bien la plupart des fait
st au moins la principale cause du plaisir. Mais est-ce la seule ? La
théorie
précédente ne rend pas compte de la douleur qu’on
terdire la possession à autrui. Il justifierait donc parfaitement les
théories
de La Rochefoucauld et de Hobbes. Le moi serait à
es et semi-intellectuels, se produisant au moyen des esprits animaux (
théorie
particulière de Descartes). Spinoza, dans son Éth
sent en s’exprimant. Cette distinction est importante pour réfuter la
théorie
qui ne voit que des habitudes dans toutes les pas
t A. Localisés Affections B. Non localisés Émotions Leçon 10
Théorie
de la connaissance L’intelligence est la facul
le jugement, le raisonnement. Telles sont les grandes divisions de la
théorie
de la connaissance. Leçon 11 Perception extéri
iquer l’association des idées d’étendue et de couleur il a inventé la
théorie
des signes locaux. [paragraphe illisible] Restent
e Stuart Mill. Ce philosophe est même celui qui a donné à ce sujet la
théorie
la plus complète. Voici, selon lui comment se con
groupées ensemble ne seraient que différentes qualités. Telle est la
théorie
de Stuart Mill sur l’origine de l’idée de l’extér
ctifs sont soumis à un déterminisme absolu. De cette réfutation de la
théorie
de Stuart Mill ressort une connaissance générale.
e philosophe, ne peut-être qu’un non-moi. Nous réfuterons la première
théorie
en exposant les mêmes arguments que nous avons dé
des sensations possibles qui se reproduisent toujours ensemble. Si la
théorie
de Stuart Mill est fausse en ce qui concerne l’or
e du monde extérieur. Voyons maintenant quelles sont les différentes
théories
faites sur le monde extérieur. On trouve d’abord
ties d’étendue en mouvement : c’est là le mécanisme ou le dynamisme ;
théorie
de Descartes. On peut se le représenter comme com
intérieur des phénomènes cités de tout temps par les partisans de la
théorie
de l’inconscient qui sont l’objet d’une conscienc
nous reste à voir. Nous retrouvons ici, comme question préalable, une
théorie
que nous avons déjà examinée à un autre point de
conscience et dont le raisonnement seul indiquait l’existence. Cette
théorie
est déjà réfutée par ce que nous avons dit de M.
nait à disparaître, s’évanouirait la raison humaine. C’est vers cette
théorie
que semblait pencher Victor Cousin. M. Bouillier,
rvertir l’ordre d’une série d’états de conscience. Pour réfuter cette
théorie
, nous ferons d’abord remarquer que l’esprit, s’il
foule de triangles : nous en abstrayons un triangle idéal. Mais cette
théorie
vient échouer contre le fait suivant. Il n’y a da
ut venir de la sensation. Elle est alors nommée sensualisme. C’est la
théorie
de Démocrite, et après lui celle de l’épicuréisme
es-images. Selon eux, l’âme est matérielle comme les corps d’après la
théorie
qu’il n’y a d’action que du semblable sur le semb
t les idées. Mais cette doctrine se perfectionnant, on a vu que cette
théorie
était bien grossière, et l’on a joint la conscien
t dire que tout phénomène a une cause. Examinons les défauts de cette
théorie
de Stuart Mill. D’abord, son auteur commence par
avance cette conclusion. Nous retrouvons ici en effet, appliquée à la
théorie
de la raison, une doctrine que nous avons déjà ré
i en est la condition même. Leçon 22 La raison : L’évolutionnisme.
Théorie
de l’hérédité. La leçon précédente a établi, e
être alors définie : l’ensemble des connaissances héréditaires. Cette
théorie
de la formation de la raison par voie héréditaire
formation de la raison par voie héréditaire n’est qu’une partie de la
théorie
de l’hérédité, théorie qui n’est elle-même qu’un
par voie héréditaire n’est qu’une partie de la théorie de l’hérédité,
théorie
qui n’est elle-même qu’un chapitre de la doctrine
rage : Les Premiers Principes. Pour juger plus à fond la valeur de la
théorie
de l’hérédité en matière de raison, nous allons c
s allons critiquer les principes fondamentaux de l’évolutionnisme. La
théorie
évolutionniste ou transformiste remplace la théor
volutionnisme. La théorie évolutionniste ou transformiste remplace la
théorie
des créations spéciales. C’était une doctrine ant
ieurs aux autres, élus pour ainsi dire par le hasard, c’est ce que la
théorie
évolutionniste nomme la sélection. La sélection
s principes généraux de l’évolutionnisme, voyons son application à la
théorie
de la raison : Le transformisme explique la raiso
l’examinerons à fond. Pour le moment, nous n’avons à critiquer que la
théorie
de l’hérédité appliquée à la formation de la rais
rationnelles. Voyons donc les objections auxquelles est soumise cette
théorie
: D’abord, elle est absolument à l’état d’hypothè
talement ne suffit pas à faire rejeter une doctrine. Il y a contre la
théorie
de l’hérédité une objection plus forte. Tout empi
produite uniquement par l’action de l’esprit sur les choses. Ces deux
théories
sont trop absolues. L’empirisme est du moins logi
e la raison. La puissance de l’association des idées est telle qu’une
théorie
en fait la faculté maîtresse de l’esprit. Nous n’
a faculté maîtresse de l’esprit. Nous n’avons pas à revenir sur cette
théorie
que nous avons déjà réfutée. Mais il n’en est pas
science conservés l’étaient dans le corps. Telle était par exemple la
théorie
de Descartes. De nos jours M. Taine a donné à cet
du second moment de la mémoire. À quoi reconnaissons-nous, dans cette
théorie
, que le phénomène s’est déjà produit ? M. Taine r
me que ce cas est extrêmement fréquent. C’est en application de cette
théorie
générale qu’il veut trouver la monomanie chez Soc
espondent aux perceptions. Voici l’objection qu’on peut faire à cette
théorie
: On constate que toutes les hallucinations se ré
les idées générales répondaient à une réalité existante. C’est là la
théorie
réaliste. D’autres au contraire ont admis que les
ugements synthétiques. La question que nous nous sommes posée dans la
théorie
de la raison peut se poser ainsi : Y a-t-il des j
l’induction et la déduction. Nous reverrons d’ailleurs en logique la
théorie
du raisonnement. Leçon 30 Objet et méthode de
ce qui sert. On le confondait ainsi avec l’utile. C’est d’après cette
théorie
que Socrate appelle beau tout objet utile. — Cett
nt matière à une œuvre d’art. Le beau n’est pas le vrai : de grandes
théories
scientifiques assurément ne manquent pas de beaut
ypothèse, fausse, et pourtant belle. Telle est par exemple la fameuse
théorie
des tourbillons de Descartes. On a dit encore que
si au beau défini par l’ordre. Le sublime est incompatible avec cette
théorie
. De plus, les œuvres d’art où la passion domine —
e de l’art. Pris dans son sens le plus général, l’art s’oppose à la
théorie
. C’est l’ensemble des moyens destinés à appliquer
e partie de cette tâche qui est son œuvre propre et original. À cette
théorie
de l’art, il faut joindre une classification des
tait qu’un système d’actions réflexes. Descartes avait déjà admis une
théorie
analogue. L’instinct pour lui n’est pas un fait p
e, mais la science aujourd’hui ne permet plus d’admettre une pareille
théorie
: il est bien prouvé aujourd’hui que les animaux,
nt s’organiser en sociétés. Voici d’ailleurs un fait qui contredit la
théorie
de l’instinct physiologique : il est établi par l
ude et instinct. L’expérience quotidienne montre la fausseté de cette
théorie
. Nous voyons sans cesse, sous l’influence de l’in
mportante, explique l’instinct par une habitude héréditaire. C’est la
théorie
exposée par Darwin, dans son ouvrage De l’origine
la reine, et cependant présentent tous les instincts des neutres. La
théorie
transformiste ne peut expliquer ce cas. Enfin, la
ut expliquer ce cas. Enfin, la difficulté devant laquelle échouait la
théorie
de Condillac se présente de nouveau dans la théor
uelle échouait la théorie de Condillac se présente de nouveau dans la
théorie
transformiste. Il y a des instincts que l’expérie
nt nous expliquerons l’habitude. Nous retrouvons tout d’abord ici une
théorie
que nous avons déjà vue à propos de l’instinct, e
pensée et de la volonté, le phénomène se reproduit ainsi. Mais cette
théorie
vient échouer devant ces objections : elle expliq
dans l’habitude. L’habitude est une faculté de conservation, et cette
théorie
ne rend compte que du phénomène de reproduction :
-elle pas libre, telle est la question principale qui domine toute la
théorie
de la volonté. Qu’est-ce donc que la liberté ? Ka
sans motifs, ce serait une pauvre objection au déterminisme. Si cette
théorie
était juste, les menues actions de la vie pourrai
décidons nécessairement dans ce sens. On peut accorder ce point à la
théorie
déterministe : une fois le motif le plus fort tro
ion librement exécutée, mais pas même de décision libre. Telle est la
théorie
du déterminisme scientifique. L’effort le plus vi
corderait à l’homme serait toute métaphysique, virtuelle, stérile. La
théorie
d’ailleurs est soumise à un certain nombre d’autr
ues fort importantes. Mais celle-là suffit à la réfuter. Puisque la
théorie
de Kant ne suffit pas à réfuter le déterminisme s
ance historique, il est nécessaire d’en dire un mot pour compléter la
théorie
de la liberté. Depuis l’avènement du théisme, le
ologie suppose en quelque sorte la logique, car celle-ci traite de la
théorie
de la certitude, qui est le fondement de toute sc
et qui éclaire l’esprit. On a très souvent attribué à Descartes cette
théorie
de l’évidence objective ; mais l’évidence telle q
ment. Ce n’est donc pas exactement un signe extérieur à l’esprit : la
théorie
de l’évidence objective doit donc être rapportée
objective doit donc être rapportée à Spinoza. (Verum index sui) Cette
théorie
ne peut pas expliquer la différence des opinions.
iquette évidente mise sur les jugements. Tout ce qui ressort de cette
théorie
, c’est qu’il faut être, sinon sceptique, du moins
titude fausse, une certitude qui ne s’accorde pas avec la réalité. La
théorie
de l’erreur n’est donc qu’un chapitre de la théor
ec la réalité. La théorie de l’erreur n’est donc qu’un chapitre de la
théorie
de la certitude. Qu’est-ce qui produit l’erreur ?
théorie de la certitude. Qu’est-ce qui produit l’erreur ? D’après une
théorie
dont Spinoza est le principal représentant, l’err
oit augmentative, soit diminutive. Cette explication réfute encore la
théorie
Spinosiste : l’erreur n’est pas une privation de
position particulière négative O Cette figuration est commode pour la
théorie
du syllogisme. Elle est exprimée dans les deux ve
; t (Paul est compris dans la classe des êtres mortels). Telle est la
théorie
du syllogisme au point de vue de l’extension. Si
yllogisme au point de vue de l’extension. Si l’on voulait en faire la
théorie
au point de vue de la compréhension, il n’y aurai
tel. Dans ses Lettres à une princesse d’Allemagne, Euler a exposé une
théorie
fort ingénieuse du syllogisme : il représente par
es cas identiques. Nous trouvons ici un fait nouveau qui contredit la
théorie
empirique de la connaissance. La raison pour cett
ntredit la théorie empirique de la connaissance. La raison pour cette
théorie
, se forme à la suite d’une induction : mais nous
l en est de même de l’histoire naturelle. Que faut-il penser de cette
théorie
? Toute science qui n’a pas d’expérimentation n’a
unit certains signes et les états d’esprit qu’ils représentent. Cette
théorie
supposerait chez l’enfant des instincts bien comp
ord, cette faculté d’interpréter les signes peut venir de l’hérédité,
théorie
que l’école écossaise ne connaissait pas. Mais mê
nous défiait de trouver. Supposons d’ailleurs que nous acceptions sa
théorie
. Pour instituer le langage, il aurait fallu que D
opper le langage, mais même d’en développer le germe. Laquelle de ces
théories
adopterons-nous ? En vertu de nos conclusions sur
en nous servant du seul signe, abstraction faite de l’idée. C’est la
théorie
que développe M. Taine dans le premier chapitre d
sentences universelles. Enfin comme Spencer ne fait que reprendre la
théorie
de Stuart Mill en lui donnant une forme plus scie
définir un certain nombre d’idées qui ont un étroit rapport avec les
théories
précédents. Qu’est-ce que le devoir et le bien ?
n est garantie par un homme armé d’un pouvoir absolu. Examinons cette
théorie
. Évidemment un homme, quelle que soit sa puissanc
cessaires à un seul homme ? Ainsi, sans discuter dans son principe la
théorie
de Hobbes, on peut dire qu’il n’arrive pas à son
le droit d’exiger qu’on ne porte pas atteinte à ma vie. D’après cette
théorie
, mon droit serait fondé sur le devoir que vous au
u devoir de charité nous conduit en effet au socialisme. Une pareille
théorie
porte atteinte à la liberté individuelle. Qu’est-
rend de grands services. Au reste, l’histoire vient ici confirmer la
théorie
. Comment se sont formées les cités ? Est-ce par l
tre, ils leur doivent l’éducation et l’instruction. Sur ce point deux
théories
sont en présence : l’une veut que les parents aie
nts, nul ne peut intervenir pour limiter le pouvoir paternel. À cette
théorie
s’oppose la doctrine libérale de Rousseau (Émile)
les sont les fonctions du gouvernement. Nous retrouvons ici les mêmes
théories
que pour l’éducation. La théorie socialiste nie l
ment. Nous retrouvons ici les mêmes théories que pour l’éducation. La
théorie
socialiste nie les droits des individus : pour el
rouvons dans le Contrat Social une expression assez complète de cette
théorie
. Lorsque les hommes se réunissent pour former la
compensation qui sauvegarde la liberté humaine. En présence de cette
théorie
, nous trouvons une doctrine toute contraire, la t
ence de cette théorie, nous trouvons une doctrine toute contraire, la
théorie
libérale ou individualiste, pour qui la société e
e ma personnalité, et doit être respectée comme cette dernière. Cette
théorie
explique bien comment les produits du sol sont à
Sur quoi donc est fondé le droit de propriété ? Rappelons-nous notre
théorie
du droit : tout droit doit être le droit d’exerce
est d’une matière distincte de la matière sensible et étendue. Notre
théorie
de la spiritualité universelle du monde suffit do
x et qui montrent bien l’existence de deux principes distincts. Notre
théorie
échappe à l’objection faite au spiritualisme cour
tout d’abord à cet argument que nous échappons au dualisme par notre
théorie
, comme nous l’avons fait voir : vu par le dehors,
r plastique, mi-corps et mi-esprit. Mais on voit bien qu’une pareille
théorie
ne fait que déplacer la difficulté. Descartes ne
placer la difficulté. Descartes ne propose pas à proprement parler de
théorie
pour l’explication des rapports de l’âme et du co
eux mondes un abîme que nous ne pouvons combler. Malebranche, avec la
théorie
des causes occasionnelles, essaye d’expliquer ces
u qui règle leurs deux vies de manière qu’elles coïncident. Le nom de
théorie
des causes occasionnelles donné à cette doctrine
me qui leur donne l’une sur l’autre une action continuelle — c’est la
théorie
courante ; soit placer à côté d’elles quelqu’un c
combinés par l’influence électrique. Enfin, cet argument suppose une
théorie
de la connaissance que nous avons déjà réfutée. I
nité. Tels sont les principes de l’évolutionnisme ; voyons ce que ses
théories
ont de fondé. L’harmonie entre l’être et son mili
, non seulement dans le corps entier, mais dans chaque organe. Or, la
théorie
de Spencer ne l’explique pas suffisamment. L’évol
re ainsi de l’univers. Nous trouvons une doctrine de ce genre dans la
théorie
du désir d’Aristote. Elle a été reprise avec une
t à leur fin par un attrait et non par une impulsion mécanique. Cette
théorie
, qui se retrouve chez Hartmann et Schopenhauer, e
Cette théorie, qui se retrouve chez Hartmann et Schopenhauer, est la
théorie
de la finalité immanente. Elle est destinée à rem
ents, n’est pas arrêté par cette difficulté ; mais ayant réfuté cette
théorie
nous sommes forcés d’admettre une finalité transc
ndrait les rênes de tous les empires, de toutes les âmes. C’est cette
théorie
que Bossuet développe et applique dans son discou
la liberté humaine ; c’est ensuite abaisser la majesté divine. Cette
théorie
ne fait de l’homme qu’un moyen entre les mains de
lum, disaient les scolastiques du xviie siècle. Bayle, reprenant les
théories
manichéistes, soutient que le mal doit provenir d
openhauer et de Hartmann. Le premier fondait son pessimisme sur cette
théorie
que le plaisir n’est qu’une négation de la douleu
, Chap. XXV. Hamilton’s Lectures (où sont écrites et développées les
théories
d’Aristote et de Platon) II, Lect. XLIII. Bouilli
te comme d’un bout de cravache, léger et méprisant, toutes les autres
théories
historiques, fussent-elles marquées de la griffe
avec une profondeur légère, et voilà le scepticisme qui a engendré la
théorie
de Blaze de Bury, lequel ne l’a inventée que parc
t pas » à l’histoire. Seulement, il ne faut point s’y tromper ! cette
théorie
n’est pas une méthode ; c’est une divination. C’e
ent de l’admiration de Shakespeare qu’il est parti pour arriver à une
théorie
historique dont le puissant génie de Shakespeare,
mme les mères qui font de beaux enfants, ne se doutait pas ; et cette
théorie
, il l’a détaillée, il l’a caressée dans une intro
mais au profit de l’historien ! Aussi la conclusion de l’aventureuse
théorie
est-elle qu’il faut voir et saluer l’historien da
plus. Eh bien, ma parole d’honneur ! je la trouve un peu osée, cette
théorie
! Si elle n’était venue à Blaze de Bury qu’à prop
e nous oublier a été une raison pour qu’il n’ait pas vu clair dans sa
théorie
de l’Histoire, je me contenterai de le signaler,
eu : « Suis-je sûr de ce que je tiens là ?… » Car ce qu’on a lu de la
théorie
historique de l’auteur dans son Introduction vous
s merveilles de toutes les autres s’y cristallisent et y chantent. La
théorie
de l’Art-Miroir, préconisée par Émile Zola, se tr
l veut chanter, une forme nouvelle et une apparence imprévue. « Cette
théorie
universelle et frémissante, comme un tressailleme
objectait : « Si M. de Bouhélier voulait strictement s’en tenir à sa
théorie
, il rendrait, par le fait même, impossible tout r
it même, impossible tout roman et tout théâtre. Elle m’apparaît cette
théorie
(la théorie naturiste) bien plutôt comme une lumi
ossible tout roman et tout théâtre. Elle m’apparaît cette théorie (la
théorie
naturiste) bien plutôt comme une lumineuse méthod
ts que peut conférer à l’homme l’adhésion ardente et méthodique à une
théorie
rationaliste de l’Univers, de l’individu et de la
hèse, l’aboutissement de l’harmonie universelle. Enfin de compte, les
théories
exprimées par M. A. Lacuzon, en termes moins sole
d’une force légèrement voilée… écrivains modérés et accomplis… Cette
théorie
dont Scaliger a donné le premier signal chez les
orie dont Scaliger a donné le premier signal chez les modernes est la
théorie
latine à proprement parler et elle a été aussi pe
e latine à proprement parler et elle a été aussi pendant longtemps la
théorie
française… Le chef-d’œuvre que cette théorie aima
ssi pendant longtemps la théorie française… Le chef-d’œuvre que cette
théorie
aimait à citer c’est Athalie. » En somme, c’est
cette théorie aimait à citer c’est Athalie. » En somme, c’est ici la
théorie
de l’unité soutenue par Buffon dans le Discours s
e universelle ? » Néanmoins, malgré les erreurs qu’elle comporte, la
théorie
de M. Louis Bertrand semble prévaloir. Sainte-Beu
alisme attire davantage les jeunes hommes. À ce jour, il n’y a pas de
théorie
précise du régionalisme ou, du moins, il y en a m
enée par d’Alembert à un seul théorème, et cet ensemble magnifique de
théories
qui, élaborées par les Bernoulli, par Euler, Clai
mières lois de la chaleur rayonnante par Newton, Kraft et Lambert, la
théorie
de la chaleur latente par Black, la mesure du cal
, l’oxygène, l’azote, l’hydrogène isolés, la composition de l’eau, la
théorie
de la combustion, la nomenclature chimique, l’ana
de Scheele, de Priestley, de Cavendish et de Stahl, couronnées par la
théorie
et la langue définitives de Lavoisier. — En minér
ondaires par Haüy. — En géologie, les suites et la vérification de la
théorie
de Newton, la figure exacte de la terre, l’aplati
uises330 : voilà d’avance, à l’état de conjectures et d’approches, la
théorie
cellulaire de nos derniers physiologistes331 et l
s sciences physiques et naturelles. Non seulement ils connaissent les
théories
et les livres, mais encore ils touchent les chose
ert est au premier rang parmi les mathématiciens. Buffon a traduit la
théorie
des fluxions de Newton, la statique des végétaux
que d’avance leur siège était fait. La religion leur fournissait une
théorie
achevée du monde moral ; d’après cette théorie la
n leur fournissait une théorie achevée du monde moral ; d’après cette
théorie
latente ou expresse, ils décrivaient l’homme et a
s des exagérations, vous verrez naître, avant la fin du siècle, notre
théorie
moderne du progrès, celle qui fonde toutes nos es
s de La Condamine au Pérou et de Maupertuis en Laponie. 329. Buffon,
Théorie
de la terre, 1749 ; Époques de la nature, 1788. —
oins grand ; il ne diminuera point, parce qu’on lui enlèvera quelques
théories
contestables qui ne sont pas son bien. IV
ncipes de la poésie, dans son ensemble et dans ses genres divers, une
théorie
régulière et systématique. Il a sans doute trouvé
parvenue, il n’est question que de la tragédie et du poème épique. La
théorie
de la comédie ne s’y trouve pas, soit que l’auteu
gner à cette perte, qui forme une lacune fâcheuse dans l’ensemble des
théories
. Les généralités par lesquelles débute Aristote s
plus beau. C’est ainsi qu’on peut expliquer le prodigieux mérite des
théories
d’Aristote ; et, loin de le blâmer d’avoir mis en
llible, les poètes et les artistes de cet heureux pays réalisaient la
théorie
du beau, avant que personne n’en eût encore tracé
ous le tâcherons du moins, sur des bases équitables. Voici d’abord sa
théorie
: L’histoire de l’âme, pour reproduire l’expressi
nombre qui se meut lui-même. Enfin, il termine cet examen rapide des
théories
qui ont précédé la sienne, en les accusant d’être
systèmes qui ont la prétention d’expliquer l’âme tout entière ? À ces
théories
insuffisantes il faut en substituer une plus vast
; et le philosophe qui a fait sur la définition en général la grande
théorie
déposée dans les Analytiques veut prouver que cel
nction, accroîtrait cette figure sans règle et sans limites. Après la
théorie
de la nutrition vient la théorie de la sensibilit
sans règle et sans limites. Après la théorie de la nutrition vient la
théorie
de la sensibilité. III Il résulte de là qu
équitable de juger Aristote par Descartes, et de mesurer ces antiques
théories
à des théories venues deux mille ans plus tard ?
ger Aristote par Descartes, et de mesurer ces antiques théories à des
théories
venues deux mille ans plus tard ? Est-il équitabl
r Descartes ; et puisqu’un heureux hasard nous permet de comparer les
théories
du disciple à celles de son maître, jugeons Arist
de son incomparable maître. Socrate vient d’exposer à ses amis cette
théorie
de l’immortalité de l’âme qui remplit le Phédon ;
e des cas particuliers et des ombres. Aristote a beaucoup combattu la
théorie
des Idées ; et je ne veux pas dire qu’elle soit i
ié qu’elles existassent. Comment, en effet, aurait-il pu le nier ? Sa
théorie
de l’entendement n’est point autre à cet égard qu
er ? Sa théorie de l’entendement n’est point autre à cet égard que la
théorie
même de son maître. L’universel est le seul objet
dément distincte. Et notez bien qu’il ne s’est agi jusqu’ici dans les
théories
de Platon que de faits réels, tous vérifiables à
scartes dans cette grande distinction de l’âme et du corps, et que sa
théorie
a la même vérité, si d’ailleurs elle présente aus
ne trouvons point ailleurs, le grand résumé qui devrait compléter des
théories
aussi vastes et les relier entre elles. La Physiq
un titre de gloire aussi incontestable, s’il est moins grand, que la
théorie
des Idées. Mais le dialogue ne peut être la forme
st son chef-d’œuvre, de même qu’avec la Métaphysique, il renferme ses
théories
les plus importantes. VI Barthélemy Saint-H
nous ne le suivrons pas, ou plutôt, en acceptant quelques-unes de ses
théories
, nous déplorerons que ces théories n’aboutissent
en acceptant quelques-unes de ses théories, nous déplorerons que ces
théories
n’aboutissent à aucune croyance claire et précise
physiologie, l’autre, le fondement de la psychologie. Ce sont : 1° La
théorie
des vibrations par laquelle Hartley explique les
phénomènes nerveux et tous les phénomènes physiques en général. 2° La
théorie
de l’association qui explique le mécanisme de l’e
es psychologiques sans exception. Hartley déclare qu’il a emprunté la
théorie
des vibrations à Newton qui, en terminant ses Pri
elques hypothèses sur la nature des sensations et des mouvements ; sa
théorie
de l’association, à Locke, « ainsi qu’à quelques
ssée dans ce qu’elle contient de vrai. Rappelons seulement que par sa
théorie
des vibrations, il s’est mis en opposition avec l
sé la loi d’association, Hartley a devancé sur un point important les
théories
de ses contemporains. En rapprochant, sur la foi
nouveaux (ou retardataires, avons-nous dit), l’on parut discuter les
théories
émises, surtout techniques, sans les exposer d’ai
emprunta aussi, dirons-nous par euphémisme, l’on emprunta un peu des
théories
et des œuvres des Devanciers. L’on s’appropria qu
de la poésie moderne A lire l’extraordinaire mélange de noms et de
théories
, sous prétexte de les classer, qu’osent encore de
Œuvre), paraît en deux revues16 et en volume en 188617. Il apporte la
théorie
de nouvelle technique poétique, « l’Instrumentati
mentée, et arrêtée18. Je puis dire, après d’autres d’ailleurs, que la
théorie
de l’Instrumentation verbale, la première en date
s de musique verbale et d’expressives Rythmiques, et sur les diverses
théories
postérieures eut initialement action19. Et voilà
à travers la pensée du passé. Par ce vers qui pourrait tenir toute sa
théorie
simpliste, Verlaine, spontanément, a été l’averti
hn publiait un premier recueil de poèmes remarqués où s’appliquait sa
théorie
prosodique, qui, sous l’appellation de « Vers-Lib
bolisme, encore qu’elle ne soit point spontanément personnelle. Cette
théorie
, que M. Kahn esquissa ensuite, en 1888, en des ar
’en son Enquête de 1891, le remarque immédiatement M. Jules Huret, la
théorie
de M. Kahn dénonça, dans un air général, des rapp
ns un air général, des rapports évidents en plusieurs points, avec ma
théorie
de « l’Instrumentation verbale » qui occupait, de
que désirait des poèmes de Gustave Kahn, M. Albert Mockel… Or, cette
théorie
, si nuancée soit-elle, appartient encore au domai
rs-libre » de Gustave Kahn, qu’il le reprend, en élucide davantage la
théorie
qu’il assouplit comme musculairement. De concept
le mouvement en mesures de l’émotion, c’est-à-dire le vrai Rythme… De
théorie
et de pratique, la prosodie classique, romantique
monieuses Forces »26. Et, en Poésie si nous rappelons que dans notre
théorie
« instrumentale » le Rythme dépend indissolubleme
hie La pensée génératrice de la Poésie scientifique repose sur les
théories
Evolutionnistes, et elle part d’elles…29 Nous avo
é de l’évolution de la Matière et des êtres animés, d’accord avec les
théories
évolutionnistes mais la « spirale », si elle re
par quoi est mise en mouvement, selon cette ellipse, la Matière ? La
théorie
« évolutionniste » a émis en loi la « lutte pour
répéter de toute notre intelligence et de toute notre âme : car cette
théorie
amorale du moindre effort, si elle venait vénéneu
les grandes lignes de l’œuvre qu’il méditait, laissait pressentir les
théories
de musique verbale que le Traité du verbe devait
n, Stuart Merrill, Albert Mockel et d’autres, il a été touché par les
théories
instrumentales de M. René Ghil. » — Le Mercure, J
. René Ghil a eu une réelle influence sur le Symbolisme, plus par ses
théories
« instrumentistes » que par son œuvre réalisée, e
in au Mercure de France, ne connaissent que cet art Mallarméen, et la
théorie
instrumentale, « cette association harmonique du
ciens et des physiologistes, on a pu construire ou esquisser toute la
théorie
des sensations élémentaires, avancer au-delà des
e Stuart Mill sur l’induction, établir contre Kant et Stuart Mill une
théorie
nouvelle des propositions nécessaires, étudier su
longue série de recherches, j’ai indiqué avec un soin scrupuleux les
théories
que j’empruntais à autrui. Il y en a trois princi
ut donc que le lecteur veuille bien examiner et vérifier lui-même les
théories
présentées ici sur les illusions naturelles de la
portée de l’axiome de raison explicative. — En de pareils sujets, une
théorie
, surtout lorsqu’elle est fort éloignée des doctri
anquer de s’entraider, soit que l’application mette sur la voie d’une
théorie
, soit que la théorie mette sur la voie d’une appl
, soit que l’application mette sur la voie d’une théorie, soit que la
théorie
mette sur la voie d’une application. Par exemple,
psychologie générale. Pour l’embrasser tout entière, il faudrait à la
théorie
de l’intelligence ajouter la théorie de la volont
r tout entière, il faudrait à la théorie de l’intelligence ajouter la
théorie
de la volonté ; si je juge de l’œuvre que je n’os
i change son caractère et conduit à une autre vue du monde. 2. Cette
théorie
avait déjà été énoncée dans la Revue de l’instruc
les initiés. Mais il doit y avoir de subtiles distinctions dans leurs
théories
, où je n’ose m’aventurer. M. René Ghil, lui, salu
les grandes lignes de l’œuvre qu’il méditait, laissait pressentir les
théories
de musique verbale que le Traité du verbe devait
, petite brochure d’une dizaine de pages, où M. René Ghil exposait sa
théorie
, encore spontanée et un peu incomplète, de l’inst
en 1887 et en 1888, achevèrent de faire connaître M. René Ghil et ses
théories
instrumentistes. C’est alors que, séduit par ces,
hil et ses théories instrumentistes. C’est alors que, séduit par ces,
théories
, M. Gaston Dubedat, en 1887, fonda les Écrits pou
’une antinomie entre l’esprit individuel et l’esprit social. D’autres
théories
, individualistes, opposent l’individualité à la s
c’est la cérébralité humaine qui est un effet de la vie sociale. À la
théorie
de la conscience épiphénomène de la physiologie,
onscience épiphénomène de la physiologie, M. Draghicesco substitue la
théorie
de la conscience épiphénomène de la vie sociale.
igées ses attaques. — Si M. Draghicesco ne va pas jusqu’à admettre la
théorie
absolue de Weismann sur la non-transmissibilité d
-transmissibilité des variations individuelles acquises, il admet une
théorie
mitoyenne qui peut se formuler ainsi : « L’hérédi
’hérédité des caractères acquis et par cela même auraient confirmé la
théorie
de Weismann. Cette dernière n’en reste pas moins
, s’évanouissent, absorbées dans ce facteur unique : la socialité. La
théorie
de M. Draghicesco est intéressante en ce qu’elle
ue dans la vertu de l’éducation. Il y a une part de vérité dans cette
théorie
. Mais il y a aussi une grande part d’exagération.
nctions entre les trois grandes races, ne peut servir à étayer aucune
théorie
ethnique avant une valeur scientifique. Les races
été ; plus il acquiert une sorte de toute-puissance sur elle15. » La
théorie
de M. Draghicesco sur le rôle de l’individu se ré
e la pensée individuelle à la pensée sociale capable de justifier une
théorie
d’égotisme et d’insociabilité intellectuelle. San
le peut se mettre au service de fins égoïstes ; elle peut édifier une
théorie
d’égotisme intellectuel. Certaines formes d’intel
de la sociabilité est évidemment une attitude de moindre pensée. Aux
théories
qui prétendent mettre l’intelligence au service d
ividualisme intellectuel. * * * L’Individualisme intellectuel est une
théorie
de la différenciation et de l’originalité intelle
diverses et des degrés. * * * Il se présente chez Stirner comme une
théorie
d’absolue insociabilité intellectuelle. Le fondem
i gagne une dent après l’autre. Tel est l’individualisme stirnérien ;
théorie
de l’absolue insociabilité intellectuelle ; négat
individualisme stirnérien. L’individualisme stirnérien est une simple
théorie
de la différenciation humaine. Il est niveleur et
se privilégier dans la pensée. L’individualisme ainsi entendu est une
théorie
de l’invention et de l’originalité supérieure ; u
u est une théorie de l’invention et de l’originalité supérieure ; une
théorie
du progrès, de l’accroissement de la connaissance
d’une orthodoxie et l’unicité intellectuelle ; 4º Antinomie entre les
théories
qui subordonnent l’intelligence à la sociabilité
les théories qui subordonnent l’intelligence à la sociabilité et les
théories
d’individualisme intellectuel. L’individualisme i
e, et fonder sur la cause, c’est-à-dire sur une association, toute la
théorie
du raisonnement. La première des lois d’associati
e de l’association aux prises avec la notion de cause. IV Si la
théorie
de la conscience et de la perception extérieure e
e et de la perception extérieure est la base de toute psychologie, la
théorie
de la cause est la clef de toute philosophie : el
xamen de la philosophie d’Hamilton 94, il a critiqué avec vivacité la
théorie
de ce philosophe sur la causalité. Suivant Hamilt
ien qui la dépasse, explique notre idée de la causalité96. Quant à la
théorie
qui voit dans notre activité volontaire la source
s pas directement conscience de cette séquence au sens dans lequel la
théorie
le veut. M. Mill, d’accord avec Hamilton, fait re
le veut. M. Mill, d’accord avec Hamilton, fait remarquer que « cette
théorie
est renversée par ce fait qu’entre le phénomène d
plus célèbres logiciens du xixe siècle, et nous n’exposerons que sa
théorie
psychologique du raisonnement. Sur ce point, l’op
’idée de la causalité. « La notion de cause est la racine de toute la
théorie
de l’induction105. » Nous avons déjà vu que la ca
tort et en partie raison. La confusion et le désaccord viennent d’une
théorie
erronée de la causalité qui considère le rapport
e montrer en quelques mots les rapports de l’Associationisme avec les
théories
morales que Stuart Mill a exposées dans son petit
du sacrifice conscient et délibéré du bonheur. Telle est l’ingénieuse
théorie
par laquelle Stuart Mill, fidèle à ses deux princ
iii et ix. Nous trouverons ci-après, dans MM. H. Spencer et Bain, une
théorie
très complète et très remarquable la conscience r
prendre au sérieux, à ce qu’il semble, puisqu’elle est la base de la
théorie
rivale, est moins rejetée qu’ignorée par elle. Le
ittérature et qu’il n’était point nécessaire de recourir à de grandes
théories
de l’Homme et de la Vie. Nous croyons tout le con
pouvons y parvenir. Voilà pourquoi, dans notre, on trouvera tant de
théories
qui ne sont pas à proprement parler de la Littéra
endant l’individualisme. À lui appartient l’avenir. Plus d’écoles, de
théories
, proclame-t-on. La liberté. Que chacun s’affirme
l’étrange et ensuite, que contre sa propre prétention, il s’érige en
théorie
par le fait de montrer la liberté comme un devoir
et ne peut pas avoir de place dans l’harmonie universelle. Quant à la
théorie
de l’individualisme prise en elle-même, qui n’est
t-elle toujours être dorénavant ce que nous la voyons maintenant. Les
théories
dont on la justifie — et dont nous venons de fair
e tente que ce que l’on croit possible. Successivement ont apparu les
théories
naturiste, intégraliste, humaniste, régionaliste,
bien des adhérents parmi les jeunes. Notons également que toutes ces
théories
sont savantes, se justifient des données de la sc
os dires, la Littérature ne doit pas être rénovée. Ou bien alors, ces
théories
ne valaient rien, tout au moins n’étaient pas suf
dernière hypothèse qui devient la raison vraie et voici pourquoi. Ces
théories
, d’une part, furent trop hâtives, prématurées, co
tes les parties du corps. De ne s’appliquer qu’à la seule poésie, les
théories
naguère présentées se trouvèrent forcément spécia
oirs. On se les rappelle : Malgré leurs prétentions scientifiques ces
théories
ne se conformaient pas aux enseignements de la ph
remières et c’est celle-là que nous allons étudier. Constatons-le. La
théorie
de l’art pour l’art ne pouvait pas se croire si p
les derniers représentants du naturalisme. Mais les défenseurs de la
théorie
officielle avaient eu beau jeu à rabrouer ces jeu
rent. Il faut pour s’attaquer à un principe si fortement enraciné une
théorie
complète de l’art tel qu’il doit être — théorie q
ortement enraciné une théorie complète de l’art tel qu’il doit être —
théorie
qui n’a point encore pris une consistance suffisa
on n’a peut-être pas tout à fait aperçue — mais qui sera comprise. La
théorie
de l’art pour l’art a fait son temps. Elle doit m
pour l’art a fait son temps. Elle doit maintenant céder la place à la
théorie
de l’art pour la Vie. On sait ce qu’exige de ses
a théorie de l’art pour la Vie. On sait ce qu’exige de ses adeptes la
théorie
de l’art pour l’art. Les parnassiens et les symbo
nte de l’art : l’Homme et la Vie. Maintenant voyons à quoi aboutit la
théorie
de l’art pour l’art : au parnassisme et au symbol
orme qui ne contient rien. Il ne montre cependant pas l’extrême de la
théorie
. Au symbolisme en échoit le triste honneur. Il en
eux et des précieuses de l’hôtel de Rambouillet. On voit où a mené la
théorie
de l’art pour l’art. Il ne pouvait pas en être au
uve vaut mieux. Et cependant, comme elle eut dû paraître fausse cette
théorie
issue de la spécialisation de l’art qui, méconnai
ectuer que par l’esprit. On nous dira peut-être : « Vous soutenez une
théorie
invraisemblable ou pour le moins vaine, puisque l
dance.) Certes la philosophie de l’art nous a enseigné ceci que toute
théorie
littéraire, toute œuvre même, est un produit déte
nt, il s’agit ici de connaître quelle valeur fondamentale offrent les
théories
du passé et de savoir si elles peuvent valoir enc
également leur œuvre. Le naturalisme, le romantisme ont détruit cette
théorie
vraie pour le classicisme, dira-t-on. Pas tant qu
pose la littérature ne la dénature donc pas. Le fait concorde avec la
théorie
. Elle lui commande plus de fidélité envers elle —
e d’une vie récompensatrice au-delà de la mort ; qui permirent par la
théorie
du droit divin le triomphe du système religio-mon
térature. Nous savons quel ridicule s’attache à vouloir, au nom d’une
théorie
, si juste soit-elle, imposer des barrières au gén
Que prétend-on ? Où va-t-on ? car ici nous ne sommes plus devant des
théories
, mais devant des faits. On marche à ceci : la Rév
Les instincts de jouissance matérielle se sont justifiés de mauvaises
théories
. La soif de vengeance est née aux cœurs des malhe
uité de l’âme française — hors laquelle, pensons-nous avec eux, toute
théorie
se développe à tort et ne peut pas nous convenir.
tes. Tous les artistes ? Non ! Ceux seulement qui croient encore à la
théorie
de l’art pour l’art. Celle-ci ruinée, le didactis
s cesse, l’art mourant en sera fécondé. Plus rien n’est à tirer de la
théorie
de l’art pour l’art. Cette théorie l’a desséché,
ndé. Plus rien n’est à tirer de la théorie de l’art pour l’art. Cette
théorie
l’a desséché, l’a conduit au stupide renoncement
Chapitre VI : Difficultés de la
théorie
I. Difficultés de la théorie de descendance mo
Chapitre VI : Difficultés de la théorie I. Difficultés de la
théorie
de descendance modifiée. — II. Transitions, absen
té de type et celle des conditions d’existence sont comprises dans la
théorie
de sélection naturelle. I. Difficultés de la th
prises dans la théorie de sélection naturelle. I. Difficultés de la
théorie
de descendance modifiée. — Une foule d’objections
i sont réelles ne me paraissent pas absolument inconciliables avec ma
théorie
. Ces objections peuvent se ranger sous quelques c
e perfectionnement de cette forme nouvelle. Mais comme, d’après cette
théorie
, d’innombrables formes transitoires doivent avoir
être les spécimens choisis dans le centre de leur habitat. D’après ma
théorie
, ces espèces alliées descendent d’un parent commu
ntinu de modification, au moyen duquel deux variétés sont, d’après ma
théorie
, converties et perfectionnées en deux espèces dis
as une époque particulière, mais toute la succession des temps, si ma
théorie
est vraie, d’innombrables variétés intermédiaires
apitre. III. Transitions dans les habitudes. — Les adversaires de la
théorie
que j’expose ont demandé comment, par exemple, un
semblables ou même à leurs congénères, on peut s’attendre, d’après ma
théorie
, à ce que ces individus donnent accidentellement
ue la terre tournait, le sens commun de l’humanité déclara de même la
théorie
fausse. Tous les philosophes savent bien qu’en fa
ouvrage un vaste ensemble de faits inexplicables autrement que par la
théorie
de descendance modifiée. Ils admettront que même
par une série de modifications légères, nombreuses et successives, ma
théorie
s’écroulerait tout entière. Mais je n’en saurais
à l’égard de certaines espèces isolées autour desquelles, suivant ma
théorie
, il doit y avoir eu déjà de nombreuses extinction
mais avare d’innovations. Or, pourquoi en serait-il ainsi d’après la
théorie
des créations spéciales ? Pourquoi toutes les par
n’aurait-elle pas fait un saut de structure à structure ? D’après la
théorie
de sélection naturelle, il est aisé de comprendre
mes de la vie. Si cette doctrine était vraie, elle serait fatale à ma
théorie
. Cependant, j’admets pleinement que certains orga
, exclusivement pour le bien d’une autre espèce, cela renverserait ma
théorie
, car un tel organe n’aurait pu se former par séle
té de type et celle des conditions d’existence sont contenues dans la
théorie
de sélection naturelle. — Nous venons d’examiner
dans ce chapitre plusieurs des objections qu’on peut élever contre ma
théorie
. Quelques-unes sont graves ; mais je pense que la
iscussion a jeté quelque lumière sur plusieurs faits, qui, d’après la
théorie
de création, demeurent entièrement inexplicables.
cette perfection absolue ne se trouve en effet nulle part. D’après la
théorie
de sélection naturelle, nous pouvons aisément com
n ensemble tous les êtres des temps antérieurs, il serait, d’après ma
théorie
, de la plus stricte exactitude. Il est généraleme
semble complétement indépendante de leurs habitudes de vie. Selon ma
théorie
, l’unité de type s’explique par l’unité d’origine
ur des variétés ou espèces très nombreuses, mais plus fixes, toute la
théorie
serait vaine. L’avantage qu’une forme organique p
plus en plus étroite qui les sépare ; de sorte que, conformément à la
théorie
, cette forme mère, déjà en voie de s’éteindre, se
u travail physiologique, et en général & toutes les données de la
théorie
. Ne pourrait-on chercher autre part quelque lumiè
ris avantage pour les adapter à de nouvelles conditions de vie. Cette
théorie
serait parfaitement d’accord avec l’apparition ta
43
Albalat, Antoine.
(1905)
Les ennemis de l’art d’écrire. Réponse aux objections de MM. F. Brunetière, Emile Faguet, Adolphe Brisson, Rémy de Gourmont, Ernest Charles, G. Lanson, G. Pélissier, Octave Uzanne, Léon Blum, A. Mazel, C. Vergniol, etc…
« II »
ont définitivement et victorieusement continué toutes nos précédentes
théories
. De quelle façon nos ouvrages ont fait réfléchir
tion qu’il a goûtée. Il croit que « la science ne peut établir aucune
théorie
, mais qu’on peut démolir toutes celles qu’on étab
de Gourmont se rassure : si je me fâche, ce sera seulement contre ses
théories
. Pour le reste, malgré ses écarts de langage, qui
ont définitivement et victorieusement continué toutes nos précédentes
théories
. De quelle façon nos ouvrages ont fait réfléchir
tion qu’il a goûtée. Il croit que « la science ne peut établir aucune
théorie
, mais qu’on peut démolir toutes celles qu’on étab
de Gourmont se rassure : si je me fâche, ce sera seulement contre ses
théories
. Pour le reste, malgré ses écarts de langage, qui
’en avoir meilleur marché, ergotant et ratiocinant, on édifierait des
théories
séduisantes, mais impuissantes peut-être, qui ne
ections principales qu’on peut, avec quelque raison, élever contre la
théorie
que j’expose dans cet ouvrage. J’ai déjà examiné
-être que consiste la plus sérieuse objection qu’on puisse faire à ma
théorie
. Mais l’insuffisance extrême des documents géolog
se représenter quelles sont les formes intermédiaires qui, d’après ma
théorie
, doivent avoir existé antérieurement. J’ai eu moi
es les variétés intermédiaires. Il est cependant possible, d’après ma
théorie
, qu’entre deux formes vivantes l’une soit descend
tendent à supplanter les vieilles formes demeurées fixes. D’après la
théorie
de sélection naturelle, toutes les espèces aujour
ntre les espèces vivantes et éteintes doit avoir été immense. Mais ma
théorie
n’est vraie qu’à la condition que ce nombre incal
erait pas tous les degrés intermédiaires d’organisation que, selon ma
théorie
, elles devraient avoir revêtus, mais des changeme
qui nous fournit justement la preuve des changements que, d’après ma
théorie
, nous devons en effet pouvoir constater. Ainsi le
avons la preuve que de légères modifications de formes, telles que la
théorie
les requiert, se sont effectuées. Si nous embrass
ions, et ces changements ont eu lieu dans la direction requise par la
théorie
. Mais je reviendrai sur ce sujet dans le chapitre
ologiques un nombre infini de ces formes transitoires qui, d’après ma
théorie
, ont relié les unes aux autres les espèces passée
commencement et à la fin de chaque formation n’avait fourni contre ma
théorie
une objection sur laquelle on a tant appuyé. VII
ent apparu tout à coup dans la vie, ce seul fait réduirait à néant la
théorie
de descendance modifiée par sélection naturelle.
rquable ; mais je ne saurais y voir une objection insoluble contre ma
théorie
, à moins qu’il ne soit possible de démontrer auss
etc., ne diffèrent que très peu des espèces vivantes ; et, d’après ma
théorie
, on ne saurait supposer que ces anciennes espèces
inées par leurs nombreux descendants en progrès. Conséquemment, si ma
théorie
est vraie, il est de toute certitude qu’avant la
bsence des puissantes assises de strates fossilifères qui, d’après ma
théorie
, doivent nécessairement avoir été accumulées avan
quant à présent, et continuer à servir d’objection valable contre ma
théorie
. Cependant, pour bien montrer qu’il peut recevoir
viens d’énumérer plusieurs des plus graves objections que soulève ma
théorie
: c’est d’abord que, quoique nous trouvions dans
ents divers rassemblés dans ce volume, rejetteront du premier coup ma
théorie
. Pour ma part, d’après une expression poétique de
Trad.) 129. Cette induction est de la plus haute importance pour la
théorie
, en ce qu’elle appuie sur de nouvelles probabilit
s ; et telle est la réponse qu’on peut faire à ceux qui opposent à la
théorie
de la transformation des espèces, que l’Ibis d’Ég
uveau milieu social. — Rapports du génie au milieu existant. Diverses
théories
sur ce sujet. — Théorie de M. Taine. — Théorie de
pports du génie au milieu existant. Diverses théories sur ce sujet. —
Théorie
de M. Taine. — Théorie de M. Hennequin. Insuffisa
eu existant. Diverses théories sur ce sujet. — Théorie de M. Taine. —
Théorie
de M. Hennequin. Insuffisance des diverses théori
rie de M. Taine. — Théorie de M. Hennequin. Insuffisance des diverses
théories
. — Comment le génie crée un milieu social nouveau
de la pensée et du sentiment. L’application faite par M. Taine de sa
théorie
sociologique et les lois générales qu’il pose son
rtainement un même état de l’esprit en France qui se signifia par les
théories
de Descartes, où la pensée est séparée radicaleme
d encore qu’entre les antécédents du système des tourbillons ou de la
théorie
de l’attraction et ces théories elles-mêmes. L’in
ts du système des tourbillons ou de la théorie de l’attraction et ces
théories
elles-mêmes. L’influence des circonstances et du
t qu’il vienne à y naître, par une de ces variations fortuites que la
théorie
de la sélection est forcée d’admettre, un homme d
répondu d’une manière complète ; ou du moins il n’a pas restreint sa
théorie
suffisamment pour l’empêcher de déborder la vérit
ujourd’hui, les uns lisent M. Zola ; les autres, M. Ohnet35 ! Dans sa
théorie
, M. Hennequin n’a fait que la part des admiration
rapports du génie au milieu est d’une complexité infinie. Toutes les
théories
que nous avons précédemment examinées n’expriment
le « problème des trois corps » et de leur attraction mutuelle. A la
théorie
incomplète de M. Taine sur les rapports du milieu
éductions possibles de l’un des termes à l’autre, il faut ajouter une
théorie
fondée sur le principe opposé. M. Taine suppose l
. de Hartmann, Philosophie de l’inconscient, p. 513-314. 22. Sur la
théorie
qui identifie l’art et le jeu, voir nos Problèmes
école peut admettre ; ainsi de la méthode inductive dans Bacon, de la
théorie
du langage dans Locke et Condillac, de la théorie
e dans Bacon, de la théorie du langage dans Locke et Condillac, de la
théorie
de l’habitude dans Maine de Biran, etc. Mais, je
qui a sa vérité, mais qui n’est pas toute la vérité. Sans doute cette
théorie
est elle-même un peu excessive, car il y a des er
stèmes n’est qu’une partie de la littérature. C’est là évidemment une
théorie
très-superficielle et qui efface tous les caractè
e aux autres ? Par exemple, j’admirerai et défendrai sans réserves la
théorie
des idées de Platon, les preuves de l’existence d
icultés et impossibilités que l’éclectisme a été conduit à donner une
théorie
nouvelle de l’existence des systèmes, ou du moins
ner une théorie nouvelle de l’existence des systèmes, ou du moins une
théorie
renouvelée de Leibniz, et à laquelle on n’avait p
un tableau complet l’image fidèle de la raison tout entière. Dans une
théorie
où l’on prétendrait qu’il n’y a pas de choses en
n retire cette impression, que la raison est trop ambitieuse dans ses
théories
métaphysiques ; mais si cela est vrai, comment la
les hommes les plus voisins des partis contraires ; mais autre est la
théorie
, autre est la pratique. La pratique vit de transa
s ne sont point, comme ceux-ci, esclaves du systématique. Ils ont une
théorie
; mais ils ont plus d’idées que leur théorie n’en
ystématique. Ils ont une théorie ; mais ils ont plus d’idées que leur
théorie
n’en peut embrasser, et ils ne les rejettent pas
er, et pour se dilater dans le sens même de la vie. C’est dire que la
théorie
de la connaissance et la théorie de la vie nous p
ns même de la vie. C’est dire que la théorie de la connaissance et la
théorie
de la vie nous paraissent inséparables l’une de l
théorie de la vie nous paraissent inséparables l’une de l’autre. Une
théorie
de la vie qui ne s’accompagne pas d’une critique
tive, mais non pas une vision directe de son objet. D’autre part, une
théorie
de la connaissance, qui ne replace pas l’intellig
pouvons les élargir ou les dépasser. Il faut que ces deux recherches,
théorie
de la connaissance et théorie de la vie, se rejoi
asser. Il faut que ces deux recherches, théorie de la connaissance et
théorie
de la vie, se rejoignent, et, par un processus ci
ur les paradoxes, concernant le Temps, qu’on associe d’ordinaire à la
théorie
de la Relativité. Elle s’en tiendra donc à la Rel
nous nous sommes occupé jusqu’ici un champ de gravitation. D’après la
théorie
de la Relativité généralisée, en effet, on ne peu
erait-elle pas sans intérêt pour le physicien. Elle révélerait que la
théorie
de la Relativité restreinte et celle de la Relati
des résultats déjà acquis ; elle est bien, au sens propre du mot, une
théorie
, un mode de représentation. Celle-ci est essentie
particularités de temps et notamment la pluralité des Temps, dans la
théorie
de la Relativité restreinte, n’échappent pas seul
e, elle essaye d’organiser la science philosophique, elle propose une
théorie
nouvelle de la raison, elle porte dans la théorie
e, elle propose une théorie nouvelle de la raison, elle porte dans la
théorie
de la volonté et de la causalité des vues neuves
dversaires. Il porte à son tour la guerre en pays ennemi, et fait aux
théories
adverses les plus sérieuses blessures. Le moment
ries adverses les plus sérieuses blessures. Le moment approche où ces
théories
auront perdu l’un de leurs principaux charmes, la
ie. On est donc obligé de se borner à l’essentiel. M. Taine combat la
théorie
de la perception extérieure dans Royer-Collard, l
combat la théorie de la perception extérieure dans Royer-Collard, la
théorie
de la raison dans M. Cousin, la théorie de la vol
rieure dans Royer-Collard, la théorie de la raison dans M. Cousin, la
théorie
de la volonté libre dans Maine de Biran, la théor
ans M. Cousin, la théorie de la volonté libre dans Maine de Biran, la
théorie
de l’ordre moral dans Jouffroy. Je ne lui en veux
dans Jouffroy. Je ne lui en veux point d’avoir critiqué ces diverses
théories
, qui peuvent laisser à désirer ; je lui en veux d
is aisément une critique qui, accordant ce qu’il y a de vrai dans ces
théories
, essayerait d’aller plus loin, de voir plus clair
de ne se mouvoir qu’en cercle ! Voyez par exemple : vous critiquez la
théorie
de la perception extérieure des Écossais, et il y
re à ce sujet ; mais tout ce que vous imaginez, c’est de reprendre la
théorie
des idées-images, théorie aussi vaine qu’inutile.
ce que vous imaginez, c’est de reprendre la théorie des idées-images,
théorie
aussi vaine qu’inutile. Et quel est votre argumen
’unissent sans intermédiaire, et cela est d’une absolue vérité. Cette
théorie
des idées-images que M. Taine ressuscite si mal à
est, dit-il, naturellement égale chez tous les hommes ». Quant à la
théorie
de la raison, ou des idées à priori empruntées à
subtilité, je ferai d’abord observer qu’il exagère et dénature cette
théorie
, en la confondant avec la vision en Dieu de Maleb
rie, en la confondant avec la vision en Dieu de Malebranche. Ces deux
théories
ne sont pas solidaires l’une de l’autre. Je puis
loin et nous apprendra, si elle le peut, d’où elles nous viennent. La
théorie
de la raison consiste à dire qu’il y a dans l’esp
trême habileté, le talent d’un écrivain en est la résultante. Dans la
théorie
de la faculté maîtresse, l’intérieur de l’homme é
s proportions qu’on ne peut qu’approximativement déterminer. Or cette
théorie
est en contradiction avec la théorie des grands h
imativement déterminer. Or cette théorie est en contradiction avec la
théorie
des grands hommes, telle que la donne l’école hég
e un nouveau milieu qui sera un obstacle à un génie futur. Dans cette
théorie
, le génie devance les faits ; il n’en est pas l’e
s grands philosophes qu’il faut étudier l’histoire. Dans M. Taine, la
théorie
du génie est toute différente. Le génie n’est qu’
doctrine de Hegel dans le sens de ses propres idées ; il a vu dans la
théorie
du process, c’est-à-dire du développement, sa pro
dans la théorie du process, c’est-à-dire du développement, sa propre
théorie
de l’universel devenir, et il explique le princip
ci d’une manière assez confuse le hasard et l’instinct, d’une part la
théorie
épicurienne des combinaisons fortuites, de l’autr
part la théorie épicurienne des combinaisons fortuites, de l’autre la
théorie
stoïcienne d’une vitalité intérieure de la nature
un vulgaire matérialisme. En effet, quelque avantage que présente en
théorie
l’union de la métaphysique et des sciences, il es
plus ou moins sujettes à conjectures ou à contestation, en un mot des
théories
, et même une théorie générale embrassant toutes l
à conjectures ou à contestation, en un mot des théories, et même une
théorie
générale embrassant toutes les théories. Encore u
mot des théories, et même une théorie générale embrassant toutes les
théories
. Encore une fois, si elle ne contient rien de sem
rien. Or les savants, dans chaque ordre de sciences, distinguent les
théories
des vérités constatées et démontrées. Les théorie
s, distinguent les théories des vérités constatées et démontrées. Les
théories
ne leur sont que des moyens et des échafaudages q
andonnent à la liberté des interprétations. Que diront-ils donc d’une
théorie
générale qui embrasserait toutes ces théories con
ue diront-ils donc d’une théorie générale qui embrasserait toutes ces
théories
conjecturales ? Pour eux, tout cela c’est de la m
ose aussi conjecturale et aussi arbitraire que le sont à ses yeux les
théories
des métaphysiciens. Si positif qu’on soit, on pas
, et la théodicée l’être parfait. La métaphysique a un objet réel, la
théorie
un objet idéal. La métaphysique a pour objet la c
-même l’idée de la perfection ! Il ne faut pas que, par lassitude des
théories
qui ont longtemps régné, on s’impose à soi-même e
historique, les applications à la vie doivent être subordonnées à la
théorie
. Cette règle est l’âme de la philosophie. Une phi
carrière pour laquelle il était né et il était prêt. Relégué dans la
théorie
, il y porta les instincts du moraliste et les pré
s allemandes, à la manière du dix-huitième siècle. S’il détruisait la
théorie
de Condillac, il gardait son style ; il lui empru
orce, au milieu de la route, un mauvais trou. II Quel trou ? la
théorie
de la perception extérieure. Si on l’en croit8, D
imées, notre curiosité enchaînée, l’homme discipliné. La source de la
théorie
est visible. M. Royer-Collard est un amateur du b
s d’après leur utilité ; je suis homme de gouvernement ; je forme des
théories
pour les mœurs. J’appelle intempérance et témérit
fs, ces spécimens d’embryogénie. Renoncez à l’épigénèse. Revenez à la
théorie
des germes préexistants. Rien de plus dangereux q
s propriétés et des perfections qu’elle n’avait pas. Gardez plutôt la
théorie
qui déclare les vivants tout formés dans l’ovaire
transmis la vie jusqu’à nous. Comprenez, comme Malebranche, que nulle
théorie
ne révèle mieux l’industrie d’un artisan tout-pui
couvertes fécondes, et décrié des vérités visibles, qu’il a réduit la
théorie
de la perception extérieure à l’énumération inuti
, t. II, p. 33. 8. Reid, éd. Jouffroy, t. III, p. 335. 9. Voici la
théorie
réduite en faits : Je suis un être ou substance.
tions. 12. Mueller, Traité de Physiologie, t. II, p. 267. 13. Cette
théorie
est si naturelle, que M. Royer-Collard l’accepte
ructure ne sont pas nécessairement simultanés. — X. Difficultés de la
théorie
de sélection naturelle par rapport aux instincts
up de lecteurs comme une objection suffisante pour renverser toute ma
théorie
. Je dois déclarer d’abord que je ne prétends poin
isation physique ou par d’autres causes inconnues, est aussi, dans ma
théorie
, la plus puissante cause des transformations et d
De même encore que pour l’organisation physique, et conformément à ma
théorie
, tout instinct est toujours utile à l’espèce qui
les contiguës ; et ce que j’ai à dire n’est qu’une modification de sa
théorie
. Ayons encore ici recours au principe des transit
n naturelle son inimitable talent d’architecte114. La vérité de cette
théorie
peut, du reste, se prouver par expérience. Suivan
ur travail exactement à la distance les unes des autres exigée par la
théorie
, et qu’elles travailleraient à peu près avec la m
it ici, je démontrerais qu’elles n’ont rien de contradictoire avec ma
théorie
. Ainsi, autant que j’ai pu le constater, il n’est
fait qui semble, au premier abord, complétement en opposition avec ma
théorie
: c’est que les cellules externes des rayons de l
e structure ne sont pas nécessairement simultanés. — On a objecté aux
théories
précédentes sur l’origine des instincts « que les
rigine desquels nous ne savons absolument rien. X. Difficultés de la
théorie
de sélection naturelle par rapport aux instincts.
ectes neutres et stériles. — Sans nul doute, on pourrait opposer à la
théorie
de sélection naturelle beaucoup d’instincts dont
e parut au premier abord insurmontable au point de renverser toute ma
théorie
. Je veux parler des neutres ou femelles stériles
ec raison se demander comment on peut accorder un pareil fait avec la
théorie
de sélection naturelle. Mais rappelons-nous d’abo
eilleux et si bien établis qu’ils soient, renverse en aucune façon ma
théorie
, ainsi du reste qu’on va le voir. Dans le cas le
qu’où peut s’étendre l’efficacité du principe qui fait la base de mes
théories
, et parce qu’ils présentent la difficulté la plus
étonne que personne n’ait argué du cas des insectes neutres contre la
théorie
des habitudes héréditaires de Lamarck120. XI. Ré
ue les faits rapportés dans ce chapitre fortifient en aucune façon ma
théorie
; mais les difficultés qu’ils soulèvent ne peuven
isément sa raison d’être dans les principes qui forment la base de ma
théorie
, tandis qu’il demeure inexplicable autrement : to
uve de la flexibilité de ces instincts, et un nouvel appui donné à la
théorie
de leur transformation. Si, en effet, l’instinct
nciens instincts perdus : toutes choses parfaitement d’accord avec la
théorie
. Mais entre leur manière de creuser dans un bloc
avertissent. L’existence des insectes neutres, au lieu d’ébranler la
théorie
des habitudes héréditaires, la confirme donc au c
tte croissante stérilité. De cette façon toutes les difficultés de la
théorie
disparaîtraient à la fois. Cette supposition est
que je vais chercher à expliquer. Il s’agit avant tout d’obtenir une
théorie
plus satisfaisante de l’électrodynamique des corp
btenir de meilleurs résultats n’est pas encore perdu. Prenons donc la
théorie
de Lorentz, retournons-la dans tous les sens ; mo
le phénomène de l’aberration de la lumière. Si on fait brutalement la
théorie
de l’aberration on arrive à un résultat bien curi
omène devînt observable. Je crois qu’en raisonnant ainsi on admet une
théorie
trop simpliste de l’aberration ; Michelson nous a
résultat négatif, et qu’ils feraient œuvre utile en construisant une
théorie
de l’aberration qui en rendrait compte d’avance.
s-nous nous étendre, nous ne pouvons le prévoir ; peut-être est-ce la
théorie
cinétique des gaz qui va prendre du développement
s, et, pour preuve, dès 1845 repoussant, avec un mépris mérité, cette
théorie
obstinée de l’art pour l’art, triomphante alors,
ly, mais, il faut aller jusque-là, c’est l’âme même de chacune de ses
théories
! IV Et il en est une parmi les autres, car
Et il en est une parmi les autres, car César Daly a la fécondité des
théories
, il en est une dont je veux dire un mot, d’abord
clectisme, à laquelle Daly a restitué sa part de vérité exacte. Cette
théorie
, d’une si originale simplicité qu’elle plonge l’e
pour lesquels cependant il ne fallait rien moins que du génie, cette
théorie
, que son auteur a exposée dans son écrit intitulé
Non ! tout ce que je veux, et ce que j’ose affirmer, c’est que jamais
théorie
plus impartiale et plus étendue n’a été posée, en
e l’absolu peut se réaliser sur la terre ? Seulement, ce jour-là, les
théories
esthétiques seraient finies, et il serait obligé
a nature même du sujet, consiste dans le besoin à toute époque, d’une
théorie
quelconque pour lier les faits, combine avec l’im
bilité évidente, pour l’esprit humain à son origine, de se former des
théories
d’après les observations. Tous les bons esprits r
mitif, ne pouvait ni ne devait penser ainsi. Car si, d’un côté, toute
théorie
positive doit nécessairement être fondée sur des
ôté, que, pour se livrer à l’observation, notre esprit a besoin d’une
théorie
quelconque. Si, en contemplant les phénomènes, no
yeux. Ainsi, pressé entre la nécessité d’observer pour se former des
théories
réelles et la nécessité non moins impérieuse de s
théories réelles et la nécessité non moins impérieuse de se créer des
théories
quelconques pour se livrer à des observations sui
is des phénomènes, par le simple désir de confirmer ou d’infirmer une
théorie
. Mais il ne pouvait en être ainsi dans l’enfance
s et d’expériences qui ont plus tard servi de fondement aux premières
théories
positives de l’une et l’autre classe de phénomène
loi de la gravitation newtonienne, parce que, d’un côté, cette belle
théorie
nous montre toute l’immense variété des faits ast
rains, je choisirai la belle série de recherches de M. Fourier sur la
théorie
de la chaleur. Elle nous offre la vérification tr
chimie, et enfin les phénomènes physiologiques, ont été ramenés à des
théories
positives. (2) Il est impossible d’assigner l’ori
que je l’ai définie dans ce discours. En un mot, regardant toutes les
théories
scientifiques comme autant de grands faits logiqu
une telle discussion : voyez, entre autres, ce qui est arrivé pour la
théorie
des signes. (2) Les considérations que je viens d
on élevée de nos jours, relativement au principe fondamental de cette
théorie
, ne saurait encore, quelles que soient les appare
présent tout à fait impossible de l’étendre. Or, avant d’ériger cette
théorie
en un principe réellement fondamental, ne faudra-
nes que nous considérerons, dans ce cours, les différentes classes de
théories
positives. Tout en tendant à diminuer, le plus Po
a fait lever, dans le Journal des Débats, le gibier d’une magnifique
théorie
. Les bohèmes des petits journaux s’étaient livrés
mettant que la monnaie de singe de leurs grimaces, et lui, qui a des
théories
à revendre, s’est cavé contre nous d’une théorie.
, et lui, qui a des théories à revendre, s’est cavé contre nous d’une
théorie
. C’est la théorie un peu égoïste, il est vrai, de
s théories à revendre, s’est cavé contre nous d’une théorie. C’est la
théorie
un peu égoïste, il est vrai, de « l’honnêteté lit
et suffisants comme des Turcarets, ils ne dressent pas seulement une
théorie
« d’honnêteté » contre nous, qui sommes des insol
ltairiens ? » Et Joseph de Maistre remarquerait avec raison que cette
théorie
de « l’honnêteté littéraire » n’est, après tout,
n nombre de maximes contraires à la morale, de thèses paradoxales, de
théories
dangereuses. Je sais bien que toutes les littérat
ce qu’on admire, ce sont ses exagérations et ses excès ; c’est cette
théorie
de la force, son seul idéal ; c’est la monomanie
gé certains ouvrages sur des phrases isolées ; d’avoir donné pour des
théories
philosophiques ce qui n’était que des cris de la
é de dogmatiser le moins possible, me bornant à mettre en lumière les
théories
et les faits. Si je n’ai parlé que de la mauvaise
t, en somme, plutôt salutaire que nuisible. Si elle avait produit des
théories
étranges dans le domaine de l’art, on ne l’avait
moral, parut être remis en question : mille idées aventureuses, mille
théories
insensées, mille systèmes absurdes ou dangereux s
dogmatisme s’enflamme, la philosophie se passionne et se colore, les
théories
prennent un corps, vivent, agissent et combattent
Dégager du milieu des déclamations passionnées les idées fausses, les
théories
dangereuses, les sophismes de toute nature ; mett
ture, si dogmatique qu’elle ait été, que des principes abstraits, des
théories
et des dissertations de morale : il y a son espri
t y développe de bons ou de mauvais instincts. Après avoir exposé les
théories
morales de la littérature contemporaine sous la f
rialisme de Louis Lambert, l’auteur a superposé tant bien que mal les
théories
bizarres et les rêves fantastiques du théosophe s
fication de la femme idéale, de la femme de l’avenir. C’est toute une
théorie
, tout un système. Mlle de Cardoville est la révél
s romans, c’est dans Indiana que Mme Sand a posé le plus nettement sa
théorie
philosophique du suicide. « Partons ensemble, di
r ce qu’ils entendent par ce mot ; Beyle notamment a sur ce point une
théorie
qui vaut la peine d’être notée. Il l’a développée
que le vice n’est pas seul en droit de réclamer le bénéfice de cette
théorie
; le crime même y trouvera une explication, une j
s lignes autre chose que renonciation d’un fait vulgaire ; il y a une
théorie
, qui explique et justifie les actions des hommes
de droit divin », dit l’auteur de Lélia dans un roman où il a fait la
théorie
de la passion, et que nous aurons souvent occasio
lus tard. Mais, avant d’en venir aux conséquences, il faut montrer la
théorie
sous les diverses formules dont on l’a revêtue.
eux qui n’en ont pas sont inutiles à eux-mêmes et aux autres55. » La
théorie
se pose nettement : nulle culpabilité dans l’amou
punie et récompensée par ces passions mêmes59. » Ici, on le voit, la
théorie
se complète et s’achève. La loi morale était posé
vation, l’école dite spiritualiste se rencontre nu bout de toutes ses
théories
morales avec l’école du matérialisme. Après avoir
s avons essayé de déterminer les principes et de mettre en relief les
théories
morales qui ont prédominé dans notre littérature
nsée la forme philosophique, on ne rencontre guère chez les autres ni
théories
ni thèses spéculatives. C’est dans l’application,
offert à la littérature le plus d’occasions de mettre en pratique ses
théories
morales. Dans cet ordre d’idées, il est une insti
pardonnons tout. Nous saurons même trouver, après avoir ri, de belles
théories
pour démontrer qu’il y va de l’intérêt de l’art d
mpreint du sensualisme le plus profond, relevant directement pour ses
théories
du matérialisme physiologique de Cabanis, pour sa
s y trouverez la thèse philosophique discutée entre deux amis, et les
théories
de la Physiologie du Mariage développées ex profe
orale, vous trouverez dans le dénouement la confirmation complète des
théories
de Marsay, et cette conclusion, que le mariage n’
de notre esclavage et de notre vassalité, les hommes ont accumulé les
théories
et les maximes89. » À quoi bon multiplier les ci
osophe, le personnage moral du livre, le mari vertueux et trahi !… La
théorie
n’en a que plus de poids. Nous la connaissons déj
ci qu’il faut admirer l’audace de logique que le roman porte dans ses
théories
, et l’impudente assurance avec laquelle il formul
t à la conscience humaine. Et on se tromperait, si on regardait cette
théorie
de l’adultère, théorie nouvelle à coup sûr, comme
ne. Et on se tromperait, si on regardait cette théorie de l’adultère,
théorie
nouvelle à coup sûr, comme une conception isolée,
ne sont encore là que des indications vagues. Si on veut connaître la
théorie
complète, définitive de l’auteur de Jacques et d’
’on ne se hâte pas de s’indigner il faut entendre l’auteur exposer sa
théorie
jusqu’au bout. Le passage est long, mais il veut
Il nous reste, pour épuiser ce grand sujet de l’amour, à signaler une
théorie
qui tient une large place dans le roman et le dra
ue l’un et l’autre ont exploitée avec un déplorable succès : c’est la
théorie
de la réhabilitation par l’amour. De cette vieill
eur de Marion Delorme qu’appartient l’honneur d’avoir introduit cette
théorie
morale dans notre littérature : son vers célèbre
té perdue121. » C’est le mot de Marion Delorme. Le roman développe la
théorie
: « Je suis tout simplement convaincu d’un princi
ur les mœurs sans aucun doute par les principes qu’elle émet, par les
théories
morales qu’elle formule : c’est ce qu’on peut app
sent à orner de tous les prestiges de l’esprit et de la beauté. Cette
théorie
étrange qui poétise le mal et se prosterne devant
s, elle aurait dû au moins conserver le mieux constitué 158. » Cette
théorie
, neuve assurément en droit pénal, l’auteur la met
ui n’avait été chez l’auteur de Han d’Islande que l’application d’une
théorie
nouvelle de l’art, de ce qu’on pourrait appeler l
connus ? Si, dans ces derniers romans, l’auteur a déserté sa vieille
théorie
du triomphe du mal, il a gardé le goût de la pein
n industrie à la Bourse, se faisant gloire de sa rouerie, étalant ses
théories
cyniques, et provoquant chez le spectateur, non p
s deux ont aidé à faire éclater. Chapitre III. Morale publique. —
Théories
sociales de la littérature contemporaine L’org
ntaisie, à ses besoins, pour être sa dupe ou sa victime165 ! » Cette
théorie
de l’égoïsme est visiblement déduite de ce systèm
caprices de sa volonté, de son inclination, de sa fantaisie. Commode
théorie
! Mais quelle est cette fiction d’une liberté pri
t ans, je sortis des écoles où j’avais appris et commenté cette belle
théorie
: Tous les citoyens sont égaux devant la loi ! Ma
uvais penchants aux dépens des bons ? » Mais nous touchons ici à une
théorie
qui a tenu une grande place dans la littérature c
rie qui a tenu une grande place dans la littérature contemporaine, la
théorie
de la responsabilité sociale. Il convient de s’y
idée que nous allons voir se développer et grandir à la hauteur d’une
théorie
: c’est que la société est responsable de tout le
ès et qui a pour sujet-la mort de Chatterton, il n’avait repris cette
théorie
, avec de nouvelles et plus violentes attaques con
te à la postérité à s’étonner de quelque chose. Mais poursuivons : la
théorie
va se préciser, et les conséquences se montrer d’
Le Brigand et le Philosophe, et où se trouve si naïvement exposée la
théorie
du vol, explique aussi comment c’est la société q
re196. » Nous retrouvons, envisagée à un autre point de vue, la même
théorie
de la responsabilité sociale dans le Juif errant
e faire. On sent bien qu’il y a là-dessous, pour l’auteur, de grandes
théories
d’économie politique et d’organisation sociale. I
les peuvent altérer ses principes, que nous devons signaler certaines
théories
économiques ou sociales. Un peu plus loin nous au
re de ses passions, Nous n’ajouterons qu’un mot, c’est que la fameuse
théorie
du droit au bonheur est tout entière contenue dan
fameuse théorie du droit au bonheur est tout entière contenue dans la
théorie
de la responsabilité sociale : elle en est la con
re de ce qu’elle semble dire ! Il y a, comme couverture, cette grande
théorie
de la responsabilité du pouvoir : si les riches m
r nous fait assister, à la fin de son roman, à la mise en œuvre de sa
théorie
de l’association agricole et manufacturière ou pl
ichesse veut dire iniquité : Allez, maudits, dans le feu éternel ! La
théorie
de la propriété, ébauchée par Pierre Huguenin, re
ble, et malgré les réserves qu’il y faudrait introduire, une pareille
théorie
prêchée aux descendants de la race saxonne. Mais
Deux ans plus tard, elles se traduisaient en clameurs furieuses et en
théories
insensées. Deux ans plus tard aussi, la même voix
ux que la dépravation de ce jeune homme, rien de plus cynique que les
théories
morales et politiques de ce père ; et l’auteur ne
ntrons encore ici un drame dont nous avons parlé déjà, à propos de la
théorie
de la responsabilité sociale : Le Brigand et le P
vous plaît 255. » Le chef de voleurs, par application de cette belle
théorie
, s’est fait honnête homme : il est devenu le prem
x ; et ici, incidemment, se glisse, à l’usage des pauvres diables, la
théorie
de l’ivrognerie. « Quand j’ai bu, c’est fini de l
. Regardez où nous ont conduits les idées, les doctrines morales, les
théories
philosophiques et sociales prêchée ? depuis vingt
ujours prêts, ne fût-ce que par ennui, à nous jeter, sur la foi d’une
théorie
brillante, dans les plus étranges aventures et le
pression ils en ont remportée ? Non, il ne justifie pas le suicide en
théorie
, mais il l’excuse, il l’innocente en fait. Il n’y
action naturelle, il les laisse se satisfaire dans une juste mesure :
théorie
mesquine ! conception sans élévation et sans poés
assurément un grand signe d’aberration intellectuelle quand de telles
théories
osent se produire ; c’est surtout un symptôme aff
ependant, il faut bien le dire, à ce point de délire et de honte. Ces
théories
, le monde les a entendu enseigner durant de longu
ine jusque dans la fougue ! Mais, il faut en convenir, c’était là une
théorie
commode, ingénieusement appropriée à la foule des
ire les âmes tendres, comment le libertinage ne trouverait-il pas, en
théorie
et en pratique, d’intrépides prosélytes291 ? Al
rialisme pratique, sinon spéculatif. Nous sommes en réalité, sinon en
théorie
, par nos goûts et nos habitudes, sinon par nos do
angile ne pouvait manquer d’adeptes. Cette religion du plaisir, cette
théorie
du sybaritisme flattait trop le goût général pour
ord Byron, notre littérature avait bien çà et là reproduit ces vagues
théories
sociales, nées de l’ébullition philosophique du d
nouveau. Tel avait été Jean Sbogar, brigand sentimental qui joint la
théorie
du vol à la pratique, prétendant n’exiger des gen
prend l’homme, et dont il le traite, une singulière contradiction. En
théorie
, il semble le grandir. Il exalte son orgueil ; il
it sa force. N’est-ce point-là, en effet, le résultat direct de cette
théorie
que nous avons exposée en son lieu306, et qui fai
ine ! L’apathie, la léthargie de l’âme, voilà ce que peut enfanter la
théorie
de la responsabilité sociale. À quoi bon l’intell
uvent remarqué ; on s’en est plaint souvent, et on a eu raison. Si la
théorie
de la responsabilité sociale n’est pas née parmi
sistance. Mais ce n’était là même qu’une conséquence incomplète de la
théorie
de la responsabilité sociale. Appliquez en effet
e la théorie de la responsabilité sociale. Appliquez en effet à cette
théorie
le grand principe, posé aussi par notre littératu
e abstraction stérile, une vaine thèse philosophique. Rapproché de la
théorie
qui rend l’État responsable de la destinée de cha
de tant d’esprits indifférents aux spéculations philosophiques et aux
théories
gouvernementales ? N’est-ce point cette doctrine
u, et le ramènent insensiblement au vrai et au bien. Mais les fausses
théories
sur la société, sur les droits et les devoirs du
e sera donc, en premier lieu, la réprobation du mariage… « D’après la
théorie
de l’amour libre, que suit fatalement Mme Sand, l
ous enjambez les faits, et vous voilà de prime saut installé dans une
théorie
. Sachez qu’il y a chez nous des penseurs, et pas
Il a trop d’esprit pour cela : il ne fait qu’ordonner les meilleures
théories
et expliquer les meilleures pratiques. Il ne se p
seul lui donnerait la mesure de notre intelligence. Exposez-moi votre
théorie
; je m’en retournerai plus instruit qu’après avoi
ns, et tout ce qu’expliquent ou embrassent les classifications et les
théories
; il vous restera encore à connaître ces classifi
ories ; il vous restera encore à connaître ces classifications et ces
théories
. Non-seulement il y a l’ordre des êtres, mais il
t par composer un système de vérités liées et croissantes. On fait la
théorie
de la science comme d’autres font la théorie de l
croissantes. On fait la théorie de la science comme d’autres font la
théorie
de la végétation, de l’esprit, des nombres. Voilà
brégé de tout le système ; pénétrez-vous en. Elle explique toutes les
théories
de Mill. C’est à ce point de vue qu’il a tout déf
rapports. Or, vous savez que la logique a deux pierres angulaires, la
théorie
de la définition et la théorie de la preuve. Depu
logique a deux pierres angulaires, la théorie de la définition et la
théorie
de la preuve. Depuis Aristote, les logiciens ont
re pour vous que vous ne commettez pas cette sottise. Il n’y a pas de
théorie
plus féconde en conséquences universelles et capi
; je suppose que vous attendez mon philosophe derrière le second, la
théorie
de la preuve. Celle-ci, depuis deux mille ans, pa
’observation directe. Ainsi les logiciens se trompent, et par-delà la
théorie
toute scolastique du syllogisme qui réduit le rai
uit le raisonnement à des substitutions de mots, il faut chercher une
théorie
de la preuve, toute positive, qui démêle dans le
expériences particulières et instructives, et de leur rendre dans nos
théories
la primauté et l’importance que notre pratique le
Il suit de là que l’induction est la seule clef de la nature. Cette
théorie
est le chef-d’œuvre de Mill. Il n’y avait qu’un p
’y avait qu’un partisan aussi dévoué de l’expérience qui pût faire la
théorie
de l’induction. Qu’est-ce que l’induction ? C’est
; il y a un exemple qui les rassemble presque toutes. Il s’agit de la
théorie
de la rosée du docteur Well. Je cite les propres
n hiver très-sec de gelées blanches.35 La seconde confirmation de la
théorie
se tire de l’expérience directe pratiquée selon l
rit humain doit ses plus grands triomphes. Nous lui devons toutes les
théories
qui ont réuni des phénomènes vastes et compliqués
déduit ses millions de faits de deux ou trois lois. J’ose dire que la
théorie
que vous venez d’entendre est parfaite. J’en ai o
out à l’heure ce que nous avons fait en philosophie ; je réponds : la
théorie
de l’induction. Mill est le dernier d’une grande
ssaires, mais au moyen d’antécédents accidentels, en sorte que, si la
théorie
de notre univers était achevée, elle aurait encor
e nous avons démêlée au commencement du système, qui a transformé les
théories
de la définition, de la proposition et du syllogi
iomes à des vérités d’expérience ; qui a développé et perfectionné la
théorie
de l’induction ; qui a établi le but, les bornes,
est sombre ; il n’importe, si elle est vraie. A tout le moins, cette
théorie
de la science est celle de la science anglaise. R
un appendice des expériences ; nous n’avons qu’à la rétablir dans la
théorie
générale pour reformer les théories particulières
s n’avons qu’à la rétablir dans la théorie générale pour reformer les
théories
particulières où elle a manqué. III D’abord
e ou absolue, imparfaite ou achevée. IV Même changement dans la
théorie
de la preuve. Selon Mill, on ne prouve pas que le
l’État nouveau. II. Premières conséquences L’application de cette
théorie
est aisée Motifs de confiance, persuasion que l’
blent levés. Il est admis que, d’elle-même et par sa propre force, la
théorie
engendre la pratique, et qu’il suffit aux hommes
u’il y ait auprès d’eux des muets ou des sourds D’autant plus que la
théorie
autorise leur préjugé. Selon l’idéologie nouvelle
nces brutes et dangereuses Nature et utilité du gouvernement Par la
théorie
nouvelle le gouvernement devient impossible. I
rs vivants, dans la caverne de son propre cœur. Au contraire, dans la
théorie
nouvelle, c’est contre le gendarme que tous les p
is encore le premier des devoirs Là-dessus la pratique accompagne la
théorie
, et le dogme de la souveraineté du peuple, interp
produira le despotisme parfait. IV. Secondes conséquences Par la
théorie
nouvelle l’État devient despote Précédents de ce
Par la théorie nouvelle l’État devient despote Précédents de cette
théorie
La centralisation administrative L’utopie des é
iété, l’éducation et la religion L’État couvent spartiate. Car la
théorie
a deux faces, et, tandis que d’un côté elle condu
nouveau, et la pratique établie incline d’avance les esprits vers la
théorie
naissante. Déjà, depuis longtemps, par la central
de ma volonté, il y a désormais la volonté publique, c’est-à-dire, en
théorie
, l’arbitraire changeant de la majorité comptée pa
t encore Montesquieu, tout en faisant ses réserves ; mais, depuis, la
théorie
s’est développée et l’on rejette tout droit histo
La critique et l’histoire I
Théorie
générale de l’histoire ; l’artiste, le héros, la
éral pour l’histoire entière, politique, religieuse et militaire, une
théorie
nouvelle et moyenne entre celles qui ont cours da
ce19 dirigée contre l’opération destructive propre de la natureek. La
théorie
de la sélection se sert, — pour relier le princip
lières de cette science, sont appelés à vérifier les plus importantes
théories
de ce temps sur la dépendance mutuelle des hommes
s l’état actuel de nos connaissances, et dans la forme absolue de ces
théories
, l’hérédité individuelle et l’ascendant du milieu
chologiques. Enfin, dans une troisième partie, l’analyste écartant la
théorie
insuffisante de l’influence de la race et du mili
qui sera repris dans Les Lois de l’imitation en 1890. (NdE)]. Cf., la
théorie
de l’imitation sociale dans Bagehot [L’économiste
nglaise. Hennequin pouvait trouver une présentation synthétique de la
théorie
sociale de Bagehot dans Les Origines de Pressensé
ychosocial. (NdE) ej. Tout ce passage est largement tributaire de la
théorie
psychosociale de Tarde, fondée sur l’imitation, e
politiques et militaires sur les artistes toutefois, dès lors que la
théorie
du grand homme s’appuie sur celle de la suggestio
n (Montesquieu, Gibbon). (NdE) eq. Hennequin ne rejoint donc pas les
théories
de « l’art pour l’art », qui impliquent une disso
tique de Boileau (Fin). La querelle des anciens et des modernes La
théorie
de Boileau est l’expression la plus complète qui
axiome tout positiviste et qui fonde le caractère expérimental de la
théorie
. Je n’ai qu’à comparer ma connaissance avec les o
ate à l’inspiration des grands écrivains. D’où donc a-t-il tiré cette
théorie
originale et féconde ? Qui lui enseigna que la po
ens ; il s’instruisait directement aux œuvres, d’après lesquelles les
théories
ont été dressées, et sa sincérité d’admiration, l
ileau devait les parties les plus originales et les plus hautes de sa
théorie
, et si à une sincère admiration pour leurs ouvrag
ue était saisi par son côté faible, je veux dire par son insoutenable
théorie
du merveilleux païen. Puis vint la fameuse séance
Louis le Grand, Perrault avait annoncé son intention de développer sa
théorie
dans un ouvrage méthodique : ce furent les Parall
réellement un « moderne ». Il l’était si bien qu’il ne renversait la
théorie
moderne du « progrès » dont l’application à la li
ication à la littérature lui paraissait fort aventureuse, que par une
théorie
plus moderne encore, qui contient en germe les pr
ose que nous appelons romans ». On voit combien Boileau améliorait la
théorie
de Perrault, en substituant à cette loi de fer du
icables à la famille des langues aryennes On ne voit point comment la
théorie
des « marques de marques » s’appliquerait aux lan
) fait d’importantes réserves au nom de la philologie comparée. Cette
théorie
de l’affirmation, dit-il, est conforme aux phénom
modernes littéraires de l’Europe. On pouvait donc présumer que cette
théorie
ne s’appliquerait pas à des langues d’une structu
isme animal, sans avoir jamais vu autre chose que des vertébrés, leur
théorie
serait certainement insuffisante dans sa générali
éorie serait certainement insuffisante dans sa généralité. De même la
théorie
courante de l’affirmation, considérée à la lumièr
de l’agrégat à un seul et même nom. La grande particularité de cette
théorie
, comme le fait remarquer M. Grote en le regrettan
d’un antécédent (cause) de ce tout. Cette croyance implique donc une
théorie
de la cause laquelle est très simple chez l’auteu
il faut du moins reconnaître que l’auteur a très nettement vu qu’une
théorie
de l’induction est au fond une théorie de la caus
eur a très nettement vu qu’une théorie de l’induction est au fond une
théorie
de la cause. Nous ne pouvons, dit-il, avoir une i
ons, si vous ne l’avez pas déjà trouvée, doit être, n’est-ce pas, une
théorie
de la critique faisant leur juste part aux dogmes
ittéraire avec la magnifique tolérance de l’esprit historique. Et les
théories
! voilà encore une question. Il ne s’agit pas de
l’ignobile vulgus, sont d’infimes artistes retournés. Quand je lis la
théorie
de la tragédie par Hegel, je suis frappé d’admira
rappé d’admiration, comme en lisant l’Antigone ; mais quand je lis la
théorie
de la tragédie par M. X…, je n’y fais pas plus d’
ntion que je n’en fais aux petits vers du frère de M. X… J’admire les
théories
magnifiques, et c’est tout. À quoi voulez-vous qu
, des images… Faust est un ouvrage de fou466. » On fera toujours des
théories
insignifiantes, comme on fera des poèmes médiocre
de comprendre quelque chose aux lois de la vie244. » III La
théorie
de la conscience, dont nous abordons l’étude, est
première tâche, au psychologue la seconde. On s’expliquera ce que la
théorie
qui précède peut avoir d’insuffisant en se rappel
précèdent sur les sensations inconscientes se rattache étroitement la
théorie
des actions réflexes. Il est frappant et instruct
continuation de celle de la conscience. En effet, tandis que dans la
théorie
courante, le sensorium étant restreint au cerveau
st dite réflexe et considérée comme d’une nature toute différente, la
théorie
de M. Lewes qui étend le sensorium à tous les cen
déductions qui en découlent. Il veut « donner le coup final250 » à la
théorie
de l’action réflexe, à laquelle il n’épargne pas
surprise sur la faiblesse d’évidence qui sert de base à la célèbre «
théorie
des actions réflexes255. » Pour prouver que les a
de leur sens réel était généralement répandue, jusqu’au moment où la
Théorie
réflexe vint expliquer ces faits comme le résulta
qui a un cerveau et ceux de l’animal qui n’en a pas, on a inventé une
théorie
qui dit : ces actions sont réflexes. Mais, dans l
comme disent ces insulaires ; mais l’âme est partie, suivant eux. La
théorie
de l’action réflexe a remis en mémoire à M. Lewes
dessous de l’endroit blessé. C’est là le « cheval de bataille » de la
théorie
réflexe. Je ne conteste aucunement ces faits, dit
nstinct. L’instinct, dit-il262, a été souvent invoqué pour prouver la
théorie
des idées innées ; il sert beaucoup mieux à appuy
plus nouveaux de la psychologie anglaise. Sous le titre de « nouvelle
théorie
du rêve » M. Lewes explique ce phénomène comme il
is d’admiration pour Milton, à part de son siècle et aussi à part des
théories
du nôtre, et de cela — de ces deux à-partés — il
de son livre, M. Edmond de Guerle déclare avoir peu de goût pour les
théories
avec lesquelles on explique présentement les gran
n les diminuant ; car tout est jaloux dans un temps envieux, même les
théories
. Avec la largeur et l’élévation de son bon sens,
tion de son bon sens, M. de Guerle ne doit évidemment se fier ni à la
théorie
représentative, qui fait des grands hommes la rep
résentation des petits, — de sorte qu’on peut se demander, dans cette
théorie
, combien de sots il faut pour faire un homme de g
on se l’est déjà demandé pour faire un public, — ni non plus à cette
théorie
des milieux, ramassée partout, car elle triomphe
s ne risquons-nous pas de nous perdre dans la diversité même de leurs
théories
, et, en suivant le fil des idées qui leur sont pr
rate qui l’a emporté7. Sumner Maine est obligé de le reconnaître : la
théorie
de la souveraineté nationale, substituant à la do
it à distribuer, en parts égales, les richesses de la nation : si les
théories
socialistes agitent la conscience publique, c’est
des supériorités12, n’inflige-t-elle pas un incessant démenti à notre
théorie
? L’idée de l’égalité, nous l’avons remarqué, rép
le soleil. Rien n’y serait plus vieux au contraire, suivant certaines
théories
: l’idée de l’égalité ne serait sans doute pas un
(les Fuégiens ou les Veddahs, par exemple), un savant préoccupé d’une
théorie
pourra découvrir aussi bien la promiscuité que la
olitisme que par l’individualisme. Et ce n’est pas seulement dans les
théories
que cette nouveauté des idées se manifeste, c’est
ne humanité, dont chaque membre a sa valeur propre : ce sont bien nos
théories
égalitaires qui brillent déjà dans le crépuscule
sociale au xviiie siècle et la Révolution (F. Alcan). 6. La première
théorie
est celle de H. Spencer, la seconde, celle de M.
aft ; Simmel, Über sociale Differenzierung. 24. Denis, Histoire des
théories
et des idées morales dans l’antiquité, 2e éd., II
rangent spontanément nos souvenirs. Rôle de l’intensité des images. —
Théorie
de Spinoza et de Taine sur la part de la contradi
passé. II. Rapports du temps et de l’espace. L’ordre dans le temps. —
Théorie
de Guyau. Théorie de James Ward ; les signes temp
s du temps et de l’espace. L’ordre dans le temps. — Théorie de Guyau.
Théorie
de James Ward ; les signes temporels. Théorie de
ps. — Théorie de Guyau. Théorie de James Ward ; les signes temporels.
Théorie
de M. Bergson sur le temps-espace et la durée pur
le temps-espace et la durée pure. Mesure du temps. Münsterberg. III.
Théorie
kantienne sur la forme a priori du temps. — Impos
e d’enveloppement détermine le sentiment de la durée occupée ». Cette
théorie
revient à dire qu’il y a simultanément, dans la c
avait entrevus et sur lesquels Taine a principalement insisté dans sa
théorie
de la mémoire. On sait que, pour Spinoza, la croy
ce Les rapports du temps à l’espace ont donné lieu à de nombreuses
théories
. Selon Guyau, il est contraire aux vraies lois de
sur la succession et la durée des événements128 ». Selon nous, cette
théorie
de Guyau ne s’applique exactement qu’à la représe
actualité présente, de l’idéalité future et de l’idéalité passée. Une
théorie
analogue à celle de Guyau est adoptée par James W
les représentations comme successives, non plus comme simultanées. La
théorie
de Ward est ingénieuse, et il est certain que les
sentiment immédiat de la succession. Donc, selon nous, pour avoir une
théorie
complète qui soit la synthèse de toutes les autre
ges précédentes ont été écrites, M. Bergson a proposé, lui aussi, une
théorie
du temps qui a des traits communs avec celle de G
ions et nos volitions, auxquelles il faut toujours en revenir. III
Théorie
kantienne sur la forme a priori du temps Dans
tion supérieure à l’expérience et nécessaire pour l’expérience. Cette
théorie
de Kant, avec son intuition pure du temps, nous s
n certain nombre de sensations et appétitions successives en fait. La
théorie
de Spencer est, au fond, analogue à celle de M. R
s. De même qu’il y a très probablement à l’origine, malgré cette même
théorie
kantienne, plusieurs espaces pour l’animal, un es
Il y a de plus une grande obscurité et une grande incohérence dans la
théorie
kantienne. Le temps est d’abord une intuition pur
de l’idée de temps, p. 11 et suiv. 134. Voir l’appréciation de la
théorie
de M. Renouvier, dans notre Introduction à la Gen
nt vu peu à peu le jour, certes Ghil a consolidé les fondements de sa
théorie
(De la Poésie scientifique (1909), La Tradition d
ultiples courants poétiques reprend les grandes lignes de force d’une
théorie
, et sous l’apparence d’une chronique s’apparente
quième éditionsc). C’est ainsi que, si Ghil reprend l’essentiel de la
théorie
de L’Instrumentation verbale telle qu’elle est en
« L’Instrumentation verbale », que Ghil rapporte plus volontiers aux
théories
acoustiques contemporaines de Helmholtz, qu’à l’h
isième édition du Traité du Verbe, rebaptisé En méthode à l’œuvre, la
théorie
poétique ne constitue plus que la seconde partie
n une évolution qui n’est pas sans rapport avec celle de Bergson, les
théories
de Ghil s’emploient à délaisser la chambre de la
à la valeur des sons en leur essence phonétique, etc. Or, puisque ma
théorie
« d’Instrumentation » a priorité de date sur tout
ée poétique latente en lui, tandis que, pour la pensée directrice, la
théorie
transformiste l’avait profondément remué, et vivi
lui, l’idée poétique ne fut pas, même dans les débuts, séparée de la
théorie
scientifique comme vraie base de l’émotion devan
les grandes lignes de l’œuvre qu’il méditait, laissait pressentir les
théories
de musique verbale que le Traité du verbe devait
t tout le reste est littérature ! » Par ce vers qui pourrait tenir sa
théorie
simpliste, Verlaine, spontanément était l’avertis
it le premier, en une étude qui eut grand retentissement, exposer les
théories
des peintres Impressionnistes Théodor de Wizewa,
it depuis novembre 84, « la Basoche », me demanda l’exposition de mes
théories
que l’on me savait en train de développer. Je lui
poèmes de l’Individu, poèmes de l’Humanité selon la science, selon la
théorie
évolutionniste, « de l’initial tressaillement du
s encore au hasard c’est mon rêve. » Le quatrième Article exposait la
théorie
de l’Instrumentation verbale : assimilation aux t
se réduisent à lui qui ressort de la valeur diaprée des timbres ». La
théorie
était posée, qui, par la suite, ne devait que s’a
s nomades qui, s’ils ne laissaient apercevoir encore de particulières
théories
, accusaient une personnalité poétique très distin
lles éditions en 1887 et 88 achevèrent de révéler M. René Ghil et ses
théories
instrumentistes, écrit Van Bever en son Anthologi
ropéenne d’ailleurs s’occupa de l’ouvrage, et discuta avec intérêt la
théorie
de l’auteur. » Nous tairons les enthousiasmes. Ma
adorateurs ne le sont en Français. Tout ce que j’ai pu entendre de la
théorie
exposée par M. René Ghil, c’est que le son peut s
t des principales publications où se formulent et sont pratiquées les
théories
de la nouvelle et remuante Ecole dont les prophèt
ésir de créer une Revue qu’il mettait exclusivement au service de mes
théories
, et des poètes qui voudraient se grouper autour d
n pour mon Traité du Verbe, cependant à la première édition, et où la
théorie
seule de l’Instrumentation verbale qu’il saisit i
x, quand la seconde édition avéra par les données de Helmholtz, cette
théorie
, en 87 : et il voulut, cette seconde édition, qu’
s pour l’Art », Mai 1890) … Je l’avais donc exposé, non seulement la
théorie
instrumentale se complétant et se précisant par l
s travaux de Helmholtz, mais les principes philosophiques tirés de la
théorie
d’Evolution qui devaient être la pensée génératri
« l’Instrumentation » ? Nous convînmes : non. La seule indispensable
théorie
est émise, née de la grande loi de vibration univ
LEXIONS sur L’ART DES VERS, de 189242, de l’exacte reproduction de ma
théorie
des timbres, précisément, les travaux rappelés, q
: il reste, somme toute, poète égotiste. Et il n’énonce pas encore de
théorie
expressive. Mais si, dès 88 et 89, avec le poème
enait de terminer les SOIRS en se montrant en pleine possession de la
théorie
instrumentale admettait le poème ainsi qu’un « or
a troisième édition la donna l’année suivante. Mais, en Appendice, la
théorie
de l’Instrumentation verbale se démontrait avérée
n, Stuart Merrill, Albert Mockel et d’autres, il a été touché par les
théories
instrumentales de M. René Ghil » (« Mercure de Fr
. René Ghil a eu une réelle influence sur le Symbolisme, plus par ses
théories
instrumentistes que par son œuvre réalisée, et qu
à une « Instrumentation » possible : par cela je suis partisan de vos
théories
, mais je m’en sépare encore sur quelques points,
ues points, peu importants, décidé à chercher la réalisation de cette
théorie
par des moyens autres peut-être que les vôtres ».
s limites d’un appareil doctrinal et intransigeant. Au contraire, les
théories
de Mallarmé donnaient libre champ à l’imagination
: « Si la nouvelle génération tout entière subissait l’influence des
théories
de M. René Ghil surtout de sa théorie de musique
ère subissait l’influence des théories de M. René Ghil surtout de sa
théorie
de musique verbale partie se rebutait de ses aff
nt pas d’exercer sur tous l’influence la plus décisive. Outre que ses
théories
orientèrent vers des recherches de musique verbal
térialistes ou idéalistes. Et nous admettons, exprimée en partant des
théories
transformistes, une philosophie évolutive rigoure
core dirigée par Edouard Dujardin expose de premiers rudiments de sa
théorie
prosodique dans un article-réponse à Brunetière q
ement son rythme. » Gustave Kahn ne devait exposer complètement cette
théorie
dite ensuite du « Vers libre » qu’en tête de la r
drin que, tout en créant une évoluante Rythmique, nous l’avons vu, ma
théorie
gardait en tant que présence continue d’une mesur
s timbres, et, au principe Rythmique, l’énergie émotive de l’idée, la
théorie
du Vers-libre si nuancée soit-elle, n’appartient
et malveillance à donner des explications (si l’on peut dire !) de la
théorie
générale. D’aucuns, quand ils ne signent pas, pas
larant pataugis sous prétexte de donner connaissance au public de mes
théories
, eut le résultat inattendu de nos adversaires de
ir, quelques années plus tard et à Constantinople ! Une Etude de mes
théories
et de mon œuvre alors en partie parue avait été p
endante », François de Nion, désireux de soumettre à ses lecteurs des
théories
sur lesquelles la précédente Direction avait gard
thème général à répondre aux demandes de Résumés particuliers de mes
théories
, qui durant deux ou trois années produisirent de
ssurer sans doute qu’il en était très capable, il protestait que ma «
théorie
était absolument claire, et qu’il se chargerait,
besoin qu’il a eu d’abriter sa pauvreté d’invention sous ses fausses
théories
. Cette ouverture d’une incommensurable longueur,
n considération le Livre de Jade de Judith Gautier, et en chercher la
théorie
et la première pratique précises en l’œuvre de Ju
comme demeurer en expectative, et avec une latente sympathie : « Les
théories
de M. René Ghil ne manquent ni d’énormité, ni de
es, sur mon livre récent, La Preuve égoïste, sur l’Instrumentation, «
théorie
qui a fait quelque bruit », rapportait sans trop
si remarquera-t-il doucement, après avoir écouté Gustave Kahn, que sa
théorie
du « Vers-Libre » lui semble se présenter très pa
nant des précurseurs et des annonciateurs : « Avant de développer les
théories
qui mettront en valeur sa pleine originalité, dir
tion et l’ingénieuse affabulation d’idées, qui lui sont chères, et de
théories
qui leur paraissent démontrées. Mais, si Ion adme
ouble action : condensation-expansion ».) Ils détaillaient ensuite la
théorie
d’Instrumentation verbale, la montrant soudée à l
ensuite la théorie d’Instrumentation verbale, la montrant soudée à la
théorie
évolutive et des modes d’art une rationnelle synt
an non morcelé, mais de successions de fresques reliées par la longue
théorie
des aperçus sociologiques, des espoirs de demain,
ici peu que des talents individuels et admirés malgré et non pour les
théories
. A toutes époques, depuis un siècle surtout, aupr
« Je fais deux parts du monde : l’élément Force, l’élément Bonté, une
théorie
scientifique… » L’on reconnaît encore Georges Lec
la discussion d’art, car je répète ici formellement que j’adopte tes
théories
, tout en les interprétant d’une manière large et
enir néo-classique, avait été des nôtres : « J’estime, et ce sont vos
théories
et l’exemple que vous donnez qui m’ont davantage
ouleurs et les sons se répondent… En ces vers était latente toute la
théorie
symboliste : en les développant selon le vœu spir
uci, spécial ici, dénonce l’attention qu’avait apportée Mallarmé à la
théorie
de « l’Instrumentation verbale ». Le « Sonnet à W
’en lut alors une soixantaine de vers peut-être. Ils étaient selon la
théorie
« instrumentale », conçus symphoniquement et c’e
des interprétateurs, quelques emprunts inconscients ou intéressés aux
théories
adverses, et les suppositions et les conclusions
outenue. Nous avons précédemment daté la part de sa spontanéité en la
théorie
de « Vers libre » théorie qu’ensuite il élucide
mment daté la part de sa spontanéité en la théorie de « Vers libre »
théorie
qu’ensuite il élucide davantage et dont il énergi
Emile Verhaeren, Stuart Merrill, et d’autres, il a été touché par les
théories
instrumentales de M. René Ghil. » — « Si la criti
et attention critique, et la Revue où il parle : « L’influence de la
théorie
instrumentale de Ghil fut, dès le Traité du verbe
quinzaine d’années, M. Jean de Gourmont signalait la répercussion des
théories
« instrumentistes » sur le Symbolisme. Presque to
;\ un moment donné tout au moins, furent impressionnés, soit par les
théories
d’instrumentation verbale soit par celles de la p
our, sommairement, indiquer quelle fut l’influence du poète et de ses
théories
quand j’aurai ajouté que René Ghil, dès 1886, ét
erlaine et de Mallarmé, en sortant, commençaient à se modeler sur les
théories
de René Ghil. La poésie russe, toujours grande pa
ntifique » du poète Français. Valère Brussoff, premier interprète des
théories
de René Ghil en Russie indiquait vigoureusement l
« La métaphysique de René Ghil, rappelle les idées fondamentales des
théories
orientales ; il aime les symboles primitifs d’Egy
ière en guerre… Dans ces visions prophétiques de René Ghil ; dans ses
théories
et ses œuvres, les Russes reconnurent facilement
Si l’aîné des Symbolistes russes, Balmont, connaissant sans doute les
théories
de « l’Instrumentation » arriva à recréer phonéti
trouvant le point de départ de cette « conduite de l’esprit », en mes
théories
d’Instrumentation, avec un sens très artiste. ell
revient, pour l’exemple le plus probant de sa démonstration aux mêmes
théories
. « Dans la correspondance des Arts, érigée en pro
rons Correspondances proprement dites. 3° — Ceux qui construisent des
théories
des Correspondances, les rattachant à des ensembl
rand luxe et grand mélange de caractères à graduer les idées, que des
théories
tendant à trouver plus qu’à donner une raison d’ê
dances qui cherchent leur être ? L’état d’âme qui est principe de ces
théories
est premièrement intéressant de reproduire — avec
atigue. — Mais, cet état chronique devient le point de départ de leur
théorie
d’art, et là est la nouveauté: « Fatigue éminemme
ici du moins reconnaissons-nous sans peine les plus que contestables
théories
de Freud récemment vulgarisées en France : quant
est très ordinaire. Sentir et comprendre simultanément, voilà ! »… La
théorie
me paraît peu heureusement mêler les vocables et
n’émancipons pas le Subconscient de la tutelle de la pensée !… … La
théorie
du Subconscient comme principe d’art ne mène natu
iel vérité du Monde, par le Verbe tel que médiateur ? Or, entre cette
théorie
du Subconscient à contenu mystique, entre cette c
rait tout naturellement, ligature, lévitation et extase : et de cette
théorie
pourquoi même ne dépendraient point les communica
tend se mains vers la nuit aux cent réponses » qui put supputer les
théories
d’Einstein, et, tout se tient, qui, étudiant la n
écision des apports divers et à soutenir le témoignage, le rappel des
théories
adverses et des responsabilités prises : nous avo
-1894) : physiologiste et acousticien allemand, il est l’auteur d’une
Théorie
physiologique de la musique (traduite en français
nores et à la notion de timbre. Ce qui retient avant tout Ghil est sa
théorie
, influencée par les travaux sur les énergies nerv
buteurs aux Ecrits pour l’art dès la création de la revue. Proche des
théories
de Ghil, il développa la conception d’une littéra
ue comme force de destruction. Dès qu’il s’agissait de coordonner les
théories
de ses différents écrivains, on sentait qu’une di
idéal le Beau dans le Bien et cherche à conformer ses actes avec ses
théories
. Artiste dans la plus forte acception du terme, i
évolutions » multiples et la facilité avec laquelle il accommode ses
théories
aux différentes écoles littéraires où il passe su
ire le Sarcey de l’École symboliste, il entendait faire prévaloir ses
théories
. Du fond de la coulisse, il voulait régenter les
ans l’évolution sociale. (Il ne faudrait pas cependant attacher à ses
théories
sociologiques ou autres plus d’importance qu’il n
ésigner sous l’étiquette symboliste n’étaient que les propagateurs de
théories
fossiles, grâce auxquelles ils pensaient attirer
ialistes. Dans l’article déjà cité de L’Événement j’ai expliqué leurs
théories
. En voici un extrait : « Nous sommes des sociali
si les néo-symbolistes car ils n’ont que des idées bien vagues et des
théories
poétiques empruntées aux deux écoles. Michel Abad
ents et les Socialistes. Ceux-ci sont les seuls qui aient apporté des
théories
nouvelles en esthétique, en morale comme en philo
Nous allons voir sur quels raisonnements elle se fonde, et de quelle
théorie
à demi formulée, en dernière analyse, elle se réc
nde formule. Lui pourtant, qui accepte avec Spencer, contre Guyau, la
théorie
de l’art fin en soi, désintéressé, il sent bien q
me entre les mains de Taine ; leurs influences sont indécises, et les
théories
de ce puissant critique ne semblent ni justes dan
lières de cette science, sont appelés à vérifier les plus importantes
théories
de ce temps sur la dépendance mutuelle des hommes
t au degré moindre, et une doctrine, qui peut tenir en deux mots. Une
théorie
des héros, mais non pas providentielle à la Carly
sens que le « principe de répétition » ne me paraît pas avoir dans la
théorie
. Indiquer un ordre de travail, et avoir donné l’e
l’un et l’autre le scalpel de l’anatomiste que pour rêver chacun une
théorie
différente. Il fallait commencer par faire compre
ge devait être traitée historiquement, et non point expliquée par une
théorie
spéculative. Les matériaux nous manquent à présen
nombre de faits qui ont été rassemblés, ils auraient appris que leurs
théories
étaient contraires à tout ce que nous savons de c
de nouveaux raisonnements, par la discussion des systèmes opposés, la
théorie
du don primitif de la parole. Je suis fâché, pour
un livre où toute la métaphysique et toute la morale reposent sur une
théorie
si éminemment religieuse et si éminemment sociale
r davantage l’absurdité de l’hypothèse. Mais je dois parler ici d’une
théorie
que j’ai fait pressentir plus haut ; d’une théori
s parler ici d’une théorie que j’ai fait pressentir plus haut ; d’une
théorie
vers laquelle gravitaient plusieurs archéologues,
ravitaient plusieurs archéologues, et entre autres Court de Gébelin ;
théorie
, au reste, à laquelle on a dû être amené par l’ét
e on a dû être amené par l’étude de l’écriture hiéroglyphique : cette
théorie
, qui va bien au-delà de celle de M. de Bonald, vi
s d’y arriver. Ainsi qu’on a pu le voir par tout ce qui a été dit, la
théorie
de M. de Bonald n’est point nouvelle : c’est, au
éorie de M. de Bonald n’est point nouvelle : c’est, au contraire, une
théorie
très ancienne, surtout pour la première de ses pr
lle avait été obscurcie peu à peu ; il est même permis de dire que la
théorie
opposée, érigée en doctrine, est tout à fait mode
inventeurs se sont-ils réservé la connaissance intime de leurs hautes
théories
. Sans doute il faut accorder d’immenses facultés
opinion de l’auteur sur la vision. On donne, en Angleterre, le nom de
théorie
Berkeleyenne de la vision à celle qui distingue l
éel en se fondant sur l’apparent. M. Bailey a vivement combattu cette
théorie
pour admettre expressément une vision directe et
rgument contre sa doctrine. M. J. Stuart Mill275, qui a discuté cette
théorie
, conclut que les arguments de M. Bailey n’ont jet
y n’ont jeté aucune lumière nouvelle sur la question et ont laissé la
théorie
de Berkeley telle qu’elle était. Il semble diffic
eur, et prédites avec une certaine confiance par l’observateur. Cette
théorie
de la volonté est si bien d’accord avec celle des
des Facultés. — De l’investigation physiologique. — Des faits et des
théories
en physiologie. — Des découvertes prévues et impr
a science, en les rattachant au moyen de ces liens que l’on nomme des
théories
, destinées à dissimuler autant que possible les p
rtance relative qu’on doit accorder, en physiologie, aux faits et aux
théories
; en se servant, du reste, des moyens logiques or
nous subjectivons, c’est-à-dire que nous élevons toujours à l’état de
théorie
abstraite l’ensemble des notions objectives qui n
iatement des notions subjectives en formulant sur eux des lois ou des
théories
qui ne sont que des représentations abstraites qu
les, tandis que les interprétations que nous appelons des lois et des
théories
ne sont que des abstractions ou des manières de v
vient le plus ordinairement confirmer ce qu’indiquait le calcul de la
théorie
, en physiologie on voit, dans l’état actuel de ce
it encore inconnu, sans l’intermédiaire d’une idée abstraite ou d’une
théorie
. Mais, en physiologie, ainsi que nous l’avons déj
us faire prévoir. En un mot, nous devons prendre, pour le moment, ces
théories
beaucoup plus comme des moyens capables de remuer
lus avancées, d’avoir seulement en vue de vérifier le résultat que la
théorie
indique, mais il faudra en même temps avoir l’esp
es qui pourront naître intercurremment, qu’ils soient en faveur de la
théorie
ou contre elle. En se plaçant à ce point de vue,
écouvertes : Les unes prévues par le raisonnement ou indiquées par la
théorie
; elles se réalisent d’autant mieux que les scien
inopinément dans l’expérimentation, non plus comme corollaires de la
théorie
, et propres à la confirmer, mais toujours en deho
ourra en faire, pourvu qu’il soit bien pénétré de cette idée, que les
théories
sont tellement défectueuses dans cette science, q
mmes toujours placé dans cette disposition d’esprit qui n’accorde aux
théories
physiologiques qu’une valeur essentiellement rela
re attention sur cette sorte d’utilité que peut avoir quelquefois une
théorie
, même mauvaise, pour faire découvrir un fait qu’o
elle je vérifiais comme tout le monde les phénomènes relatifs à cette
théorie
des mouvements de la pupille, mais sans rien y vo
e l’on regarde comme la source de la chaleur animale. Admettant cette
théorie
comme vraie, le raisonnement logique fut de concl
tis. Restait à instituer l’expérience pour vérifier les données de la
théorie
. Il s’agissait de couper isolément un filet du ne
du cou pour se distribuer vers la tête. D’après les prévisions de la
théorie
, la section du nerf sympathique à gauche, chez no
e, c’est-à-dire un résultat d’expérience qui, au lieu de confirmer la
théorie
qui a provoqué à sa recherche, se trouve au contr
rvateurs éminents, ainsi que sous les nôtres pendant longtemps. Si la
théorie
n’a pas été confirmée, néanmoins c’est elle qui,
ue nous comprenons l’importance purement directrice et provisoire des
théories
. Nous devons les prendre comme des instruments in
il y a seulement un autre résultat qui est acquis en plus. Quant à la
théorie
du nerf grand sympathique, elle changera et se mo
oute ; mais peu nous importe. Nous sacrifierons des hypothèses et des
théories
tant qu’il en faudra, pourvu que nous découvrions
se fonder et s’élever peu à peu. Si nous faisons si bon marché de nos
théories
et de nos lois, c’est que nous avons conscience d
es sciences physico-chimiques, voient, dans l’application sûre de ces
théories
à la découverte des faits nouveaux, l’idéal de la
ecommandions, ces physiologistes aient l’illusion de croire que leurs
théories
vaudront mieux que celles des autres. On les voit
faire que des phénomènes complexes soient simples, et que des lois ou
théories
mauvaises soient bonnes. Les généralisateurs ne m
physiologie. L’expérimentateur, guidé par cette lueur provisoire des
théories
actuelles, doit se considérer comme un aveugle, e
es découvertes sur les fonctions du foie. — Aperçu historique sur les
théories
du diabète. — Toutes ces théories reposent sur un
u foie. — Aperçu historique sur les théories du diabète. — Toutes ces
théories
reposent sur un principe physiologique faux, à sa
ogiques sur le diabète. Nous parlerons d’abord du diabète et de la
théorie
toute nouvelle qu’il faut se faire de cette malad
ant pour caractériser la maladie. Willis n’avait du reste fait aucune
théorie
sur la présence du sucre dans les urines. Vers la
té morbide de changer en sucre les matières végétales ingérées. Cette
théorie
le conduisit naturellement à supprimer les végéta
ent la nutrition. La thérapeutique de ces auteurs, d’accord avec leur
théorie
, consistait à donner de l’azote ; ils soumettaien
ravail publié en 18523, a avoué qu’il ne tenait en aucune façon à ses
théories
, et qu’il attachait uniquement de l’importance à
ration des fonctions digestives, et force fut alors de faire d’autres
théories
sur ce sujet. M. Mialhe, en 18444, plaça le siège
e donner des alcalis aux malades. Mais, vous le voyez, Messieurs, ces
théories
sur le diabète, soit qu’elles considèrent le sucr
rune. C’est de cette réaction que M. Mialhe est parti pour établir sa
théorie
, en assimilant faussement ce qui se passe au cont
i que vous l’avez vu, pour qu’on pût songer à le contredire, mais les
théories
anciennes ne se résignent pas à disparaître sans
étriques à ce sujet. — Distribution de la chaleur dans l’organisme. —
Théories
anciennes de la calorification. — Examen d’expéri
ien vont se modifier les idées qu’on se faisait d’après les anciennes
théories
chimiques sur la répartition de la chaleur dans l
oit être plus chaud que celui des cavités gauches, contrairement à la
théorie
généralement admise et d’après laquelle le sang a
Mais en physiologie surtout, ce sont les faits qui doivent juger les
théories
, et jamais le contraire ne doit avoir lieu. D’apr
r les théories, et jamais le contraire ne doit avoir lieu. D’après la
théorie
chimique de Lavoisier, on croyait que la respirat
sucre dans l’animal. Cette étude est d’autant plus importante que les
théories
du diabète roulent toujours sur ces deux faits né
bien fixer les idées sur ces deux points pour apprécier la valeur des
théories
basées sur l’une ou sur l’autre des deux phases d
i font apparaître le sucre dans le système circulatoire en général. —
Théorie
de la combustion pulmonaire. — Examen de cette th
en général. — Théorie de la combustion pulmonaire. — Examen de cette
théorie
. — Objections. — Découverte de la présence du suc
s. — Circonstances de ce phénomène. — Il devient inexplicable dans la
théorie
de la destruction du sucre dans le poumon. — Expé
poumon. — Expériences sur les sangs en contact avec différents gaz. —
Théorie
de la destruction du sucre par les alcalis du san
gaz. — Théorie de la destruction du sucre par les alcalis du sang. —
Théorie
de la destruction du sucre par fermentation. — Pr
Le fait que nous venons de vous montrer nous mène à vous parler d’une
théorie
qui suppose que la destruction du sucre s’opère p
du sucre pouvait provenir d’une oxydation. C’est même guidé par cette
théorie
, et par l’observation que j’avais faite, que la f
ris en effet qu’elles contenaient des quantités notables de sucre. La
théorie
de l’oxydation paraissait confirmée, puisque des
la méthode expérimentale. Vous voyez quelle a été l’utilité de cette
théorie
pour me faire découvrir le fait nouveau relatif a
fœtus ; mais vous voyez en même temps qu’en présence de ces faits la
théorie
dut disparaître ; car si elle paraissait confirmé
ucre, les circonstances sont restées les mêmes. Je renonçai donc à la
théorie
parce qu’elle ne résistait pas à l’analyse expéri
xpérimentale. Il faut, en effet, Messieurs, quand on veut édifier une
théorie
, rechercher non pas ce qui peut la confirmer, mai
illeurs, venaient se grouper autour des précédents, et montrer que la
théorie
de l’oxydation, pour expliquer la disparition du
ans dire, d’ailleurs, que toutes les objections qu’on peut faire à la
théorie
de l’oxydation s’adressent, à plus forte raison,
me borner à les renverser, sans vous proposer immédiatement une autre
théorie
qui me paraît rendre mieux compte de l’ensemble d
it avoir des usages importants à remplir. On a supposé dans certaines
théories
qu’il se détruisait en produisant la chaleur dest
out au point de vue des méthodes d’investigation. Elle montre que les
théories
que nous faisons sur les phénomènes réels ne sont
le cercle de nos connaissances, ont fait naître dans notre esprit une
théorie
nouvelle, et nous ont conduits à penser que le rô
rt que nous avons voulu établir au commencement de ce cours entre les
théories
toujours subjectives, et les faits qui sont seuls
eléguer parmi les errements de la métaphysique des siècles passés. La
théorie
d’une séparation tranchée dans les phénomènes de
s avions faite, et que nous ne savions plus comment expliquer dans la
théorie
de l’oxydation, à savoir que l’on trouve du sucre
ent cela pourrait-il nous fournir quelques lumières relativement à la
théorie
du diabète ? Nous sommes, sans doute, allés par d
uite se résumer en quelques mots, et qui change, une fois établie, la
théorie
qui avait servi de fil conducteur dans la série d
que, dans sa destruction, comme on l’avait déjà supposé. Mais, par la
théorie
du développement, nous arrivons, au contraire, à
Treizième leçon 6 février 1855. SOMMAIRE : Examen de l’ancienne
théorie
de la production exclusive du sucre par les végét
oduction exclusive du sucre par les végétaux. — Point de vue de cette
théorie
vis-à-vis des questions physiologiques. — Erreurs
doctrines, de méthodes et de faits. — Expérience fondamentale pour la
théorie
de la production du sucre dans l’organisme animal
ganisme animal. — Examen du sang avant et après le foie. — L’ancienne
théorie
n’en tient aucun compte. — De l’intervention de l
de cette découverte. — Conditions de la production de ce phénomène. —
Théories
de la dépuration du sang par le foie. — De la con
du foie comme producteur de sucre, on avait pu croire que l’ancienne
théorie
qui considérait la matière sucrée comme venant to
venant toujours du dehors ne trouverait plus de défenseurs. Mais les
théories
ne se résignent point ainsi à mourir, elles repar
nce, ce sont des idées d’une part, et des faits de l’autre. C’est une
théorie
que nous avons à combattre ; elle n’est point l’œ
ille matière. Puis vient alors cette confusion entre les faits et les
théories
. Ainsi, le résultat que nous avons obtenu en loca
es plantes. » Or, Messieurs, on découvre un fait, et l’on conçoit une
théorie
. Les faits que nous avons découverts ne contredis
ais insuffisantes. Ce sont les conceptions, les manières de voir, les
théories
qui changent et se contredisent, ce ne sont jamai
une doctrine préconçue. Il répugne de voir les faits autrement que la
théorie
ne les conçoit, et l’on vous dira plus tard que,
sucre que pendant la digestion, ce qui s’accorde parfaitement avec la
théorie
, mais ce qui est complétement erroné, ainsi que j
cre n’existe dans le tissu du foie que pendant la digestion. Mais les
théories
, qui se regardent comme l’expression absolue et d
ut des conditions physiologiques des phénomènes. Ainsi, Messieurs, la
théorie
avait besoin de constater, pour les conclusions q
misses. Ne voulant pas faire du foie un organe sécréteur du sucre, la
théorie
en fait d’abord un organe dépurateur, séparant d’
t ultérieurement rechercher. » En vérité, il faut être égaré par une
théorie
pour émettre de pareilles assertions, et supposer
par des considérations de toute nature, on torture pour le besoin de
théories
l’explication des phénomènes. Maintenant, Messieu
arguments au moyen desquels on avait espéré faire revivre l’ancienne
théorie
sur la provenance extérieure du sucre de l’organi
z voir cependant que c’est une nouvelle face sous laquelle l’ancienne
théorie
de la provenance extérieure du sucre de l’organis
ster davantage sur ces tentatives impuissantes pour faire revivre une
théorie
qui a fait son temps. Nous reprenons notre sujet,
ce qu’on voit, tout ce qu’on observe, doit absolument rentrer dans la
théorie
, et l’on déclare au besoin impossibles et absurde
considérer les expérimentateurs qui veulent absolument confirmer une
théorie
préconçue par des expériences, comme des persécut
expériences, comme des persécuteurs de la nature. En effet, ayant une
théorie
posée en avant dans laquelle ils ont foi ; comme
ri, l’esprit, par des faits établis, les relie provisoirement par une
théorie
qui ne lui sert qu’à le guider pour en découvrir
qui ne lui sert qu’à le guider pour en découvrir de nouveaux ; cette
théorie
qu’il modifie à chaque pas, il l’abandonne sans r
à instituer un bon mode d’expérimentation, et non pas à inventer des
théories
qui, quelque artistement conçues qu’elles puissen
ecte du pneumo-gastrique, et l’expérience semblait venir confirmer ma
théorie
sur le mécanisme suivant lequel s’opérait cette a
thiques. Nous examinerons, dans la prochaine séance, cette importante
théorie
qui touche à tous les phénomènes de la vie de nut
es. — Expérience. — Diabète consécutif à l’éthérisation. — Examen des
théories
sur le diabète spontané et artificiel. — Réflexio
tissu hépatique, ainsi que l’a fait M. Harlay. Au point de vue de la
théorie
de la combustion considérée comme cause de la dis
urine sucrée, et comment ensuite j’avais été forcé d’abandonner cette
théorie
en présence de faits nouveaux qu’elle ne pouvait
sé ensuite de ce fait qui n’était plus aucunement en rapport avec les
théories
qui m’y avaient conduit. En effet, j’avais vu que
es. — Observation. — Boulimie et polydipsie. — Absence de la sueur. —
Théorie
à ce sujet. — Phénomènes nerveux accompagnant le
ques, c’est l’absence de la sueur, et l’on a même fait à ce sujet des
théories
très singulières. On a supposé, par exemple, que
ections faites à la découverte de la fonction glycogénique du foie. —
Théorie
de la formation du sucre aux dépens des matières
léra épidémique. À la fin de ce travail il a placé un fragment sur la
théorie
du diabète, dans lequel l’auteur se pose parmi be
ie des sciences. Ici, l’auteur se pose nettement en antagoniste de la
théorie
de la formation du sucre dans l’organisme animal,
antité de cette matière dans tout l’organisme. Il reste à examiner la
théorie
de la formation du sucre aux dépens des matières
arrivé. Dans son premier Mémoire, l’auteur se pose en défenseur d’une
théorie
en vertu de laquelle le sucre trouvé dans le foie
peuvent constituer un bon argument, mais qui, malheureusement pour la
théorie
qu’on soutient, est tout aussi illusoire que la p
73
Albalat, Antoine.
(1905)
Les ennemis de l’art d’écrire. Réponse aux objections de MM. F. Brunetière, Emile Faguet, Adolphe Brisson, Rémy de Gourmont, Ernest Charles, G. Lanson, G. Pélissier, Octave Uzanne, Léon Blum, A. Mazel, C. Vergniol, etc…
« VI »
VI M. de Gourmont et Taine. — M. E. Faguet et la
théorie
de Taine. — La formation littéraire de Taine. — L
Nous avons naturellement cité ce passage, si bien d’accord avec nos
théories
; et c’est une joie de voir cette fois M. de Gour
itime. » C’est exactement ce que nous disons, et c’est là toute notre
théorie
de la formation du style. Loin d’être « la réfuta
l a, d’ailleurs, excellé. Voilà le fait indéniable, qui confirme nos
théories
, et les plus belles plaisanteries du monde n’y ch
squ’alors l’instinct et le sentiment avaient surtout prévalu dans les
théories
humaines. La philosophie initiale y subit la plus
vers les plus simples phénomènes et dans un sujet aussi facile que la
théorie
élémentaire du choc, le mémorable exemple de Male
ar, si les modernes ont dû proclamer l’impossibilité de fonder aucune
théorie
solide, autrement que sur un suffisant concours d
es phénomènes les plus compliqués, offre journellement, même dans les
théories
les plus simples et les moins arriérées, tant de
saire, qui maintenant ne s’observe plus qu’envers les plus difficiles
théories
, a pareillement existé jadis à l’égard même des p
vement fondamental de l’Humanité consiste, à cet égard, en ce que nos
théories
tendent de plus en plus à représenter exactement
ux ; chaque changement successif conserve d’ailleurs spontanément aux
théories
correspondantes, une aptitude indéfinie à représe
premier aspect, c’est-à-dire quant à la destination extérieure de nos
théories
, comme exacte représentation du monde réel, notre
t sous l’autre aspect, c’est-à-dire, quant à la source intérieure des
théories
humaines, envisagées comme des résultats naturels
valoir dans la philosophie vraiment positive, non seulement quant aux
théories
directement relatives à l’homme et à la société,
de vraie communauté d’opinions que sur les sujets déjà ramenés à des
théories
positives, et qui, malheureusement, ne sont pas,
ciation normale et complète, qui était d’abord impossible, suivant la
théorie
historique que j’ai établie ailleurs. Le polythéi
commencé à s’étendre à l’étude directe de la nature, surtout par les
théories
astronomiques, la collision est devenue inévitabl
ra soigneusement ces injustes préjugés, qui empêchent toute véritable
théorie
historique. Mais, quoique le polythéisme, et même
au monothéisme. La collision ayant dû s’opérer principalement par les
théories
astronomiques, ce Traité me fournira l’occasion n
la nouvelle philosophie peut toujours apprécier la valeur propre des
théories
qui lui sont le plus opposées, sans toutefois abo
ent laissé en dehors du mouvement scientifique proprement dit que les
théories
morales et sociales, dès lors restées dans un irr
puissance organique d’une telle philosophie, l’absence de toute autre
théorie
ne permit pas de satisfaire d’abord aux besoins d
et, sous l’aspect mental qui doit d’abord prévaloir, à constituer une
théorie
sociologique propre à expliquer convenablement l’
ce qui constituera toujours la principale application de toute vraie
théorie
de l’Humanité. Dans l’organisme polythéique de l’
usceptibles de soutenir avec énergie le choc des passions. D’après la
théorie
positive de l’Humanité, d’irrécusables démonstrat
xemple nos marins risquent journellement leur existence sur la foi de
théories
astronomiques qu’ils ne comprennent nullement ; p
proprement dit, qui n’a jamais pu aboutir, en morale, à aucune autre
théorie
effective que le désastreux système de l’égoïsme,
tue nécessairement, à tous égards, l’élément le plus décisif de cette
théorie
préalable du monde extérieur, soit comme mieux su
or préliminaire du système scientifique, ainsi graduellement formé de
théories
partielles et incohérentes, dont les relations mu
les aspects essentiels se rapproche ainsi de son début, puisque cette
théorie
de classement doit être envisagée, en dernier lie
tre envisagée, en dernier lieu, comme naturellement inséparable de la
théorie
d’évolution exposée d’abord ; en sorte que le dis
re propre est pleinement consolidée. Une application directe de cette
théorie
encyclopédique, à la fois scientifique et logique
ui concernent l’homme intellectuel et moral, une grande partie de nos
théories
physiologiques ou médicales, et même aussi plusie
de nos théories physiologiques ou médicales, et même aussi plusieurs
théories
chimiques, etc., rappellent encore directement l’
ensée de Montesquieu. Contradiction du point de vue physique et de la
théorie
politique. Témérité des déterminations et des gén
dégénère en république ou en despotisme ; il esquisse déjà sa fameuse
théorie
des pouvoirs intermédiaires. Il remonte, pour nou
de la commune morale, puisqu’il ne servirait à rien de les violer. La
théorie
développée dans ce curieux opuscule a laissé des
et si les corps transmettent toutes les influences aux âmes : donc la
théorie
des climats suppose une liaison nécessaire des fa
e les individus dans les milieux qui les forment et les déforment. La
théorie
des climats, formulée par Fontenelle et Fénelon,
l a constatées entre les climats et les institutions. Cependant cette
théorie
avait en soi tant de force, que, même glissée d’u
ements sociaux, le net déterminisme des sciences naturelles. Ainsi la
théorie
des climats est donc encore un résultat de l’acti
t du tout : il faudra descendre jusqu’au livre XIX pour rencontrer la
théorie
des climats, et, chose inexplicable, le climat se
1815 à 1848. Notre monarchie parlementaire fut une réalisation de la
théorie
des trois pouvoirs ; et Montesquieu aurait pu dir
Amérique 13, n’y sont guères qu’un exemple à l’appui d’une incroyable
théorie
qu’y formule l’auteur, et que la contemplation de
cette idolâtrie ; mais, quoique nous soyons assez disposés à faire la
théorie
de nos vices, il ne s’était encore trouvé personn
orie de nos vices, il ne s’était encore trouvé personne pour faire la
théorie
de celui-là. L’amour effréné de l’argent a toujou
ée, la seule vraie, la seule qui doive durer dans l’avenir. Une telle
théorie
de haute impudence manquait au Montfaucon intelle
dence manquait au Montfaucon intellectuel du xixe siècle, où tant de
théories
pourrissent. Dorénavant, elle n’y manquera plus,
mesure intellectuelle et morale est l’argent, et dont l’épouvantable
théorie
nous donnerait le droit de le mépriser lui-même s
blic a pu pénétrer dans le détail de certaines œuvres et de certaines
théories
; les questions historiques nous ont aussi préocc
s faisant sentir ce qu’ils sentent3. Si Wagner avait voulu exposer la
théorie
du monde de Schopenhauer, il aurait fallu qu’il f
udrait aussi admettre que Wagner fût allé à l’encontre de ses propres
théories
: « Dans le drame c’est par le sentiment que nous
» On pourrait m’objecter que dans ce cas spécial Wagner a oublié ces
théories
si clairement énoncées, si nous ne trouvions, dan
nt d’écrire le Ring, je me serais refusé à y voir une illustration de
théories
métaphysiques, et j’aurais facilement démontré qu
iété, etc. — Au point de vue exclusif de l’artiste, donnant ainsi une
théorie
complète du monde, non point philosophique, mais
on point philosophique, mais artistique. On peut ne point accepter la
théorie
de Wagner, on peut la combattre ; mais encore fau
s abandonnaient le domaine de la philosophie pure, c’est-à-dire d’une
théorie
logique et mathématique du monde. Feuerbach était
ouragement où il se trouvait en exil… qu’il se laissa gagner… par une
théorie
philosophique décourageante entre toutes… » De no
sée sur la morale la plus parfaite » (X, 329). Enfin, ce n’est pas la
théorie
philosophique en tant qu’explication abstraite du
e et basée sur ces déductions logiques, qui « gagna » Wagner, mais la
théorie
de l’art, notamment celle de la musique, ainsi qu
les maladies mentales : il craindrait de se salir les mains. Bref, la
théorie
que la science était en droit d’attendre ici de l
orie que la science était en droit d’attendre ici de la philosophie —
théorie
souple, perfectible, calquée sur l’ensemble des f
philosophie ; et en attendant que les philosophes lui apportassent la
théorie
malléable, modelable sur la double expérience du
et n’allez pas faire passer pour un résultat de la science, pour une
théorie
modelée sur les faits et capable de se remodeler
y aurait d’abord un moyen, semble-t-il, d’en finir rapidement avec la
théorie
que je combats : ce serait de montrer que l’hypot
e reconnais d’ailleurs qu’on peut s’arranger de manière à donner à la
théorie
de l’équivalence une apparence d’intelligibilité,
D’autre part, si le raisonnement pur suffit à nous montrer que cette
théorie
est à rejeter, il ne nous dit pas, il ne peut pas
e, comment un examen approfondi de ces faits aboutirait à infirmer la
théorie
qui les invoque et à confirmer celle que nous pro
lter d’une lésion de la troisième circonvolution frontale gauche, une
théorie
de plus en plus compliquée de l’aphasie et de ses
de ses conditions cérébrales s’est édifiée laborieusement. Sur cette
théorie
nous aurions d’ailleurs beaucoup à dire. Des sava
? Cette seule considération suffirait déjà à nous rendre suspecte la
théorie
qui attribue les maladies de la mémoire des mots
indispensable à la réalité et à la conception même du mouvement, une
théorie
qu’Aristote a cru devoir réfuter, et qui cependan
non moins vraies, par lesquelles il achève sa Physique, ou plutôt la
théorie
du mouvement. Le premier moteur est nécessairemen
idées de la Physique d’Aristote, terminant cette vaste étude par une
théorie
de l’action de Dieu sur le monde. V Les pè
fait place au philosophe ; et, sans rien retrancher à la solidité des
théories
qu’il a établies par le secours du calcul et de l
t ; je ne parle que de sa Physique en particulier, et je pense que la
théorie
du mouvement, telle qu’elle s’y présente, est le
ent, telle qu’elle s’y présente, est le point de départ de toutes les
théories
qui ont suivi sur le même sujet. Plus haut, j’ai
mier coup que la science la prononce, comme Aristote l’a fait pour la
théorie
du mouvement ; mais un peu plus tôt, un peu plus
incontestables d’où la raison les tire. On peut même ajouter que ces
théories
sont en parfait accord avec les croyances instinc
le centre de la science ; mais c’est là aussi que se livrent, dans la
théorie
et dans la pratique, les grands combats. En génér
même avec les coupables, il n’en faut avoir aucune envers les fausses
théories
. On doit les flétrir sans pitié et en faire resso
ible de la conscience et les y condamner sans appel. Or, à côté de la
théorie
du bien, seul devoir de l’homme, il n’y a qu’une
seul devoir de l’homme, il n’y a qu’une solution possible : c’est la
théorie
de l’intérêt, avec les replis et les dédales où e
rans. « Il n’y a donc point d’excuses dans la science morale pour ces
théories
relâchées, toutes séduisantes qu’elles peuvent êt
dessus du bien. Il ne doit point y en avoir davantage pour les autres
théories
, moins coupables, qui tentent un compromis, et qu
ent qu’Aristote est de Platon, il n’a pour ainsi dire point une seule
théorie
qu’il ne lui emprunte. Toutes celles qu’il expose
ole de Platon. C’est là qu’il a trouvé tous les germes de ses grandes
théories
sur le bien, sur la vertu, sur la tempérance et l
es idées représentatives. Par crainte du scepticisme, il a détruit la
théorie
de la perception extérieure, et n’y a substitué q
e Biran dans son étrange doctrine des forces, et l’a plongé90 dans sa
théorie
mystique de la révélation intérieure et de la rai
s étaient à la fois sentimentaux et systématiques, et demandaient des
théories
à leur cœur. Cela produisit un style singulier, i
le désir vague de bonheur, de beauté, de sublimité, qui imposait aux
théories
l’obligation d’être consolantes et poétiques, qui
et le monde, et par surcroît sauver l’humanité. Par contre-coup, les
théories
furent des romans, des odes, des prières, ou des
l’éclectisme sur les bancs de la gauche. Ailleurs il déduisait de ses
théories
morales le gouvernement constitutionnel et la cha
prêter de la certitude à sa philosophie ; il autorisa son recueil de
théories
vagues, en lui joignant un recueil de faits préci
91. Le double sens du mot destinée. 92. Rien de plus contraire à la
théorie
des forces, individus spirituels, que la doctrine
. Les règles et les difficultés de classification s’expliquent par la
théorie
de descendance modifiée. — IV. Classification des
savons, ainsi que M. Maw l’a fait remarquer, comme une objection à ma
théorie
, que les minéraux et même les substances élémenta
. Les règles et les difficultés de classification s’expliquent par la
théorie
de descendance modifiée. — Examinons maintenant l
ce. Mais il est bien loin d’être aussi évident, au point de vue de la
théorie
communément adoptée, pourquoi la structure de l’e
e seulement en un sens purement technique, et pour la commodité de la
théorie
, elles puissent être considérées comme les états
es habitudes différentes, on peut être à peu près certain, d’après la
théorie
de descendance modifiée, que ces caractères fixes
orme est aberrante, plus le nombre des formes perdues qui, d’après ma
théorie
, doivent la relier à d’autres groupes, doit être
adaptations récentes, mais sont au contraire bien réelles, d’après ma
théorie
, elles seraient dues à un héritage commun. Il fau
e plante. Au contraire, l’explication se présente d’elle-même dans la
théorie
de la sélection naturelle de modifications légère
res phases de leur croissance. Comment expliquer ces faits d’après la
théorie
de création ? Pourquoi le cerveau est-il enfermé
r le même modèle, quoique adaptés à des fonctions si différentes ? La
théorie
de sélection naturelle nous permet de répondre à
produire ? Tous ces fait trouvent, je crois, leur explication dans la
théorie
de descendance modifiée. Peut-être par suite de c
u moins, assez probable. Prenons un genre d’oiseaux ; qui, d’après ma
théorie
, descend d’une seule espèce mère, et dont les div
s nageoires du Lamantin ont été formés pour une telle fin. D’après ma
théorie
de descendance modifiée, l’origine des organes ru
cherche de son étymologie. Nous pouvons donc conclure que, d’après la
théorie
de descendance modifiée, l’existence d’organes ru
des difficultés insolubles, comme ils le font certainement d’après la
théorie
ordinaire de création, aurait pu être prévue à pr
s générations, que sans hésitation nous devrions encore adopter cette
théorie
, lors même qu’elle ne serait pas appuyée sur d’au
confondre ce terme avec celui de cinquième génération ; car, dans la
théorie
de l’auteur, un degré généalogique ne représente
produit semblerait acquérir plus tôt ses caractères définitifs. Cette
théorie
expliquerait pourquoi l’embryon d’un mammifère ne
parties de ce malheur. C’est moitié trop de précaution. III. Des
théories
littéraires au XIXe siècle On n’étudie les fai
quence naturelle, le couronnement de l’histoire littéraire, c’est une
théorie
des arts. Il fallait s’attendre qu’en élargissant
en face de l’école empirique et réaliste d’Aristote, les bases d’une
théorie
rationnelle et idéaliste13. Mais la doctrine pla
eterre elle-même, le pays de Bacon, semblait ne plus se contenter des
théories
littéraires fondées sur la sensation pure. Elle s
n 16. Ce titre était par lui-même fort significatif. La base de toute
théorie
des arts, la notion du beau allait être placée «
nfin, pour achever de nous convaincre de l’importance pratique de ces
théories
abstraites, voulez-vous surprendre dans une vue i
lus intéressants chapitres. Je n’ai qu’à recueillir ici le résumé des
théories
de la jeune pléiade, qu’à apprécier en peu de mot
e fortune-là est inconstante, comme bien d’autres. Ce qui reste d’une
théorie
bruyante et ambitieuse, après les jours de passio
pal et le malheur de leur poésie elle-même, c’est qu’ils firent de la
théorie
. Progrès à désirer Si maintenant, pour term
route ouverte aujourd’hui devant la critique sérieuse qui s’occupe de
théorie
littéraire, nous souhaiterions : Que les études e
Quels que soient le mérite et l’éclat de l’histoire littéraire et des
théories
qui prétendent sonder la base des beaux-arts, la
end et n’aime que sa propre manière, et fait toujours, à son insu, la
théorie
de son talent. De telles révélations sont pleines
rs, Mendelssohn, Sulzer, etc.) ne se détache pas encore nettement des
théories
sensualistes. Pour elle, le beau ne dépend que de
ne de ses lettres (la 12e du livre II) nous paraît renfermer toute sa
théorie
littéraire, l’idéal de la langue telle qu’il la d
i avait pour chef auguste le grand et courageux Achille de Harlay. La
théorie
politique de Pasquier ressort de sa vie même et d
gracieux de les avertir et de leur résister. Telle était en abrégé la
théorie
politique de Pasquier et celle des parlementaires
abrégé la théorie politique de Pasquier et celle des parlementaires,
théorie
plus justifiable en fait qu’en logique, et qui eu
ogique, et qui eut sa pratique vivante au xvie siècle. D’après cette
théorie
, la résistance du Parlement aux volontés des rois
rêter résolument dans une de ses volontés, au risque de lui déplaire.
Théorie
incomplète si l’on veut, inconséquente, et qui ne
à ses intimes, c’est une assemblée de républicains… » À ce moment, la
théorie
en question, qui avait besoin d’une condescendanc
d’une condescendance, d’une confiance et d’une foi réciproque, cette
théorie
où il entrait, on l’a vu, je ne sais quelle illus
du plaisir et de la douleur à la représentation et à l’intelligence.
Théories
de Leibniz et de Herbart. Le sentiment est-il de
bniz et de Herbart. Le sentiment est-il de l’intelligence confuse ? —
Théorie
de Hartmann. Les plaisirs et les douleurs n’ont-i
ntir d’après ce que nous jugeons. Descartes et Leibniz donnaient à la
théorie
intellectualiste une signification meilleure en f
ur, appelle le sentiment une connaissance confuse. D’après toutes ces
théories
, la représentation intellectuelle serait antérieu
ent plutôt qu’à sa nature intime et caractéristique. Pour donner à la
théorie
intellectualiste une plus grande vraisemblance, o
vèlent, dans les nuages, une lutte de forces invisibles. En outre, la
théorie
de Herbart est impuissante à expliquer les plaisi
et qui n’en peuvent résulter ? Non, répond de Hartmann, reprenant une
théorie
exposée autrefois par Wundt45 ; le plaisir et la
térieur et à quelque mouvement extérieur. Il y a un côté vrai dans la
théorie
pessimiste : c’est que la peine a, en général, un
s. C’est sur ce modèle que Laplace, par exemple, a construit sa belle
théorie
de la Capillarité ; il ne la regarde que comme un
au lieu de l’exposant −2, mais c’est toujours un exposant. Parmi les
théories
de cette époque, une seule fait exception, celle
mais ils ne s’attirent pas, ils ne bougent pas. À ce point de vue, la
théorie
de Fourier devait apparaître aux yeux de ses cont
exemple de cette nouvelle Physique Mathématique est sans contredit la
théorie
électro-magnétique de la Lumière de Maxwell. Qu’e
86
Albalat, Antoine.
(1905)
Les ennemis de l’art d’écrire. Réponse aux objections de MM. F. Brunetière, Emile Faguet, Adolphe Brisson, Rémy de Gourmont, Ernest Charles, G. Lanson, G. Pélissier, Octave Uzanne, Léon Blum, A. Mazel, C. Vergniol, etc…
« XVI »
XVI La question des images. — Les métaphysiciens du style. — La
théorie
et la pratique — Reproches immérités. — Enseigne-
e zélé de M. de Gourmont, M. Lebesgue a, comme lui, sur le style, des
théories
scientifico-philosophiques. « Le style, dit-il, c
philosopher. Je ne puis donc admettre la sévérité qu’on témoigne à ma
théorie
de la création des images. « M. Albalat, dit in
et de tirer un conseil de ce procédé ? C’est ainsi qu’aucune de nos
théories
n’a été imaginée. Toutes traduisent les procédés
à Pope, à Despréaux, à Horace, leur maître à tous. Le propre de cette
théorie
, qui subordonne l’imagination et la sensibilité e
caliger peut-être a donné le premier signal chez les modernes, est la
théorie
latine à proprement parler, et elle a été aussi d
rement parler, et elle a été aussi de préférence pendant longtemps la
théorie
française. Elle a du vrai, si l’on n’use qu’avec
es fureurs de Phèdre ? Quoi qu’il en soit, l’esprit qui a dicté cette
théorie
conduit à mettre au premier rang des classiques l
u’Homère, Racine encore plus que Corneille. Le chef-d’œuvre que cette
théorie
aime à citer, et qui réunit en effet toutes les c
toire universelle, tels sont les chefs-d’œuvre les plus élevés que la
théorie
classique rigoureuse puisse offrir à ses amis com
ques, nous voudrions, dans l’habitude de l’art, détendre un peu cette
théorie
et montrer qu’il y a lieu de l’élargir sans aller
elle puisse être, étant donnée la succession rapide des écoles et des
théories
, mérite bien qu’on s’y arrête pour l’envisager ;
ébauchée dans quelques esprits, qui établira, sans nul doute, que la
théorie
si brillamment illustrée par Zola, c’est-à-dire l
rurent identiques. C’est à cette conclusion, du moins, qu’aboutit une
théorie
récente, dite du monisme, parce qu’elle substitue
de la vie. Pour les esprits de bonne foi, il est incontestable que la
théorie
du matérialisme pur ne peut plus être soutenue. L
te, en dépassant la synthèse matérialiste, a contraint cette dernière
théorie
à se transformer ou à s’immobiliser dans sa conce
e au fruit. Je me heurte à une pareille insuffisance si j’examine la
théorie
« déterministe » dont Zola fait si grand cas, au
é. Il est curieux de constater de quelle manière Zola procède dans sa
théorie
simpliste du monde, pour rétablir la part du géni
; je trouve ce sentiment particulier absolument incompatible avec la
théorie
générale de la vie incluse dans la méthode expéri
ibilité. Ce postulat me paraît donc en contradiction formelle avec la
théorie
générale, et le romancier ne l’a emprunté au phys
x qui auront saisi l’âme de la société moderne, qui, se dégageant des
théories
trop rigoureuses, consentiront à une acceptation
e physicien américain, héritier de Helmholtz, a proposé en 1879 une «
théorie
scientifique des couleurs », appuyée sur leur mis
« roue chromatique ». Ces idées furent introduites en France en 1881 (
Théorie
scientifique des couleurs et leurs applications à
nts touchant à la « psychologie expérimentale » dégagée de la vieille
théorie
des facultés, Les Sens et l’Intelligence (1855),
sentiment individuel autrefois, et que voilà transformé maintenant en
théorie
métaphysique ! Assurément, un esprit plus mâle q
il commence par en faire l’histoire sentimentale avant d’arriver à la
théorie
scientifique de ces deux Enragés du néant qu’il n
ous n’étions pas préparés, par cette précaution d’une histoire, à une
théorie
de métaphysique qui n’en reste pas moins, malgré
s’il les annonçait, et qu’il n’y eût plus, après lui, qu’à faire une
théorie
absolue et élever à la hauteur d’une loi le déses
gré de folie devant lequel la plume et la pensée s’arrêtent… Quand la
théorie
d’une chasteté de ce genre, toute négative (je re
nt aussi une vaste extension, et des espèces alliées, qui, d’après ma
théorie
, descendent d’un commun parent et doivent être or
qui tendent à bien établir de quel côté est la vérité entre les deux
théories
de création indépendante et de descendance modifi
C’est, du reste, une loi générale qu’on aurait pu prévoir d’après ma
théorie
; car des espèces arrivant de temps à autre, et p
simple qu’elles n’existent sur aucune île océanique. Mais, d’après la
théorie
de création, pourquoi n’auraient-elles pas été cr
et rapidement multipliés. On ne saurait alléguer non plus, d’après la
théorie
des créations indépendantes, que le temps n’a pas
ces îles que des Chauves-Souris et aucun autre mammifère ? D’après ma
théorie
, la question est vite résolue, car aucun animal t
aturel, tandis qu’une semblable connexion est inexplicable d’après la
théorie
des actes de création indépendants. IV. Des rapp
partie du monde. C’est en effet ce qu’on devrait attendre d’après ma
théorie
, ces îles étant situées si près les unes des autr
Or, chacune de ces lois est complétement incompréhensible d’après la
théorie
ordinaire de la création indépendante de chaque e
lles. À l’égard des espèces distinctes du même genre, qui, d’après ma
théorie
, doivent procéder d’une source commune, si de mêm
ts concernant la distribution géographique peuvent s’expliquer par la
théorie
des migrations, appliquée principalement aux form
autre cas il y a des exceptions marquantes à la règle. Or, d’après ma
théorie
, ces divers rapports, dans le temps comme dans l’
uelque rapport pour conclure avec droit de l’un à l’autre. D’après la
théorie
de M. Darwin, tous les organismes supérieurs desc
ofiter de son labeur, et de tirer de ses ouvrages, des doctrines, des
théories
applicables, en les modifiant, au génie particuli
erfection. Il avait écrit la Lettre sur la Musique, où est exposée la
théorie
du Drame, du Drame créant, complète et réelle, l’
t : en Wagner, l’influence de Schopenhauer, la native disposition aux
théories
, le besoin de former au Drame Idéal un Public Idé
uelle, de Jésus. Elle condamne, par cette doctrine même, les modernes
théories
philosophiques, les pessimistes, surtout, « qui d
plutôt, de vagues symboles, n’ont plus une autorité décisive. Et les
théories
philosophiques, précisément, dominent ; et domine
. Ayons, à relire leurs écrits, une sagesse telle. Avant de juger les
théories
énoncées, recréons-les entièrement, de notre créa
mais l’autorité de Jésus est secondaire, le résultat d’une antérieure
théorie
personnelle. La doctrine de Tolstoï ne vaut nulle
us. Elle est la vérité, parce qu’elle s’accorde pleinement à la seule
théorie
possible du bonheur. La Foi, dit-il, ne doit pas
pourrions faire voir, encore, dans Religion et Art, la réfutation des
théories
sur la Méchante Volonté. D’après Wagner, l’Univer
vorable au maintien des armées et des tribunaux. Ennemi aux utopiques
théories
socialistes contemporaines, fondées, plus étrange
nt, complète et profonde, chez les deux philosophes, l’accordance des
théories
. Voulons-nous, maintenant, résumer ces deux ensei
: par la Compassion Agissante. Cependant, sous la profonde parité des
théories
, nous éprouvons, lisant les deux livres, deux étr
’est, d’abord, que Wagner montre plus volontiers les splendeurs de la
théorie
, Tolstoï, ses applications pratiques : il nous fo
osition a surgi la Lutte, où nous périssons. Maintenant, s’éclaire la
théorie
du Renoncement ; et la religion de Tolstoï nous a
MM. Weber, Jullien, Remacle. J’aurais voulu, à mon tour, examiner les
théories
Wagnériennes de l’auteur de la Harpe et la Lyre ;
e M. Wilhelm Tappert sur Wagner. [NdA] 49. Pour les preuves de cette
théorie
Wagnérienne — que nous devons, seulement, indique
La critique scientifique — Analyse esthétique I
Théorie
de l’analyse esthétique ; l’œuvre d’art . — D’apr
mouchetées, que l’exhilaration d’un exercice7. Or, si l’on accepte la
théorie
de M. Spencer, d’après laquelle les plaisirs sont
t de peine ou de plaisir. « Comme il faut plus d’énergie, dit Dumont (
Théorie
scientifique de la sensibilité) pour retrouver un
le, de technique que connaissent des sciences presque constituées. La
théorie
des couleurs, celle des sons, celle des proportio
001, p. 42 et p. 52-70). (NdE)]. Les objections de M. Guyau contre la
théorie
qui fait de l’œuvre d’art un jeu, un moyen artifi
. » M. Guyau (op. cit.) partage l’erreur de M. Véron. M. Léon Dumont (
Théorie
scientifique de la sensibilité) estime que dans l
ques pages plus loin par Hennequin (p. 35), Léon Dumont, qui, dans sa
Théorie
scientifique de la sensibilité (Germer-Baillière,
laisir et la peine » constitue le sous-titre du livre de Léon Dumont,
Théorie
scientifique de la sensibilité (1881). (NdE) cr.
’un Sacy. Non ; l’esprit de ce livre, sa force, son intérêt, c’est la
théorie
. M. Nisard n’a pas cherché à refaire ce qui avait
esprit, de naïveté, de grandeur) ; là n’est pas la question. Dans une
théorie
littéraire qui partout fait prédominer le fond su
ins non comment ils ont écrit, mais comment ils ont pensé, dans cette
théorie
, la première place était due à celui qui nous a a
motivée, de M. Nisard pour Descartes et Pascal un démenti donné à sa
théorie
de la discipline et à son goût de la règle. Ici l
rie de la discipline et à son goût de la règle. Ici l’une de ses deux
théories
est mise en échec par l’autre : son goût naturel,
le débat entre les deux écoles avait été vif et prolongé, et voici la
théorie
qui s’était peu à peu formée et répandue. Le théâ
pompe de convention les fables et les histoires d’un autre âge. Cette
théorie
une fois admise, on accordait que Racine et surto
n’avait pas de théâtre, pas plus que d’épopée. Voici au contraire la
théorie
solide et profonde que je recueille, en la dévelo
95
Albalat, Antoine.
(1905)
Les ennemis de l’art d’écrire. Réponse aux objections de MM. F. Brunetière, Emile Faguet, Adolphe Brisson, Rémy de Gourmont, Ernest Charles, G. Lanson, G. Pélissier, Octave Uzanne, Léon Blum, A. Mazel, C. Vergniol, etc…
« III »
un maître de l’art. La Bruyère donne l’exemple trop souvent imité des
théories
imaginées par les écrivains pour se mettre en pai
urni ses meilleurs chapitres à Haubert : il eût trop bien reconnu ses
théories
. Mais nous n’en avons pas fini avec les paradoxe
ue. On déclarait plus haut que la science ne « pouvait établir aucune
théorie
» ; mais on entreprend sérieusement toute une thé
établir aucune théorie » ; mais on entreprend sérieusement toute une
théorie
scientifique du style, sur laquelle, d’ailleurs,
Chapitre IV. La critique de Boileau (Suite). Les
théories
de l’« Art poétique » L’Art poétique répondit
prendre pour base en essayant de dégager le véritable caractère de la
théorie
de Boileau ; mais comme il s’agit moins d’analyse
it aux poètes : c’est l’amour et le respect de la nature. Ainsi cette
théorie
de la poésie classique, dont on accuse le plus so
e, et qu’on fait presque consister dans l’horreur du naturel, est une
théorie
essentiellement et franchement naturaliste : c’es
insi que les classiques dégénérés du dernier siècle ont interprété sa
théorie
par leur pratique. Mais Boileau, sur ce point, ne
ntré. Voilà les principes qui constituent le naturalisme de Boileau :
théorie
simple et large, et bien éloignée d’être cette ré
les littéraires, et propose vraiment une formule d’où peut sortir une
théorie
générale des beaux-arts. On pourrait même dire qu
; et la plupart des défaillances de son jugement et des erreurs de sa
théorie
ne procèdent pas d’une autre cause. Ne comprenant
que la trivialité, même répugnante, n’a pas toujours dégoûté ? Cette
théorie
de l’églogue élégante et galante, d’une naïveté c
fils Louis XIV. Quelles sont encore, en ce temps-là (vers 1640), les
théories
morales en vogue ? La grande majorité est croyant
ux et trop parfait amant. Si nous passons il l’époque de Racine, les
théories
morales n’ont pas encore eu le temps de changer.
istes : elle touche l’homme, écrit-il, autant que l’astronomie. Cette
théorie
, qui transporte de l’intelligence à la sensibilit
liers ; la finesse dégénère en déloyauté, l’habileté en fourberie. La
théorie
du succès est proclamée, affichée. L’essentiel es
des rapports qu’elles doivent avoir. En cette matière il existe deux
théories
extrêmes et opposées. L’une soutient que la litté
a point de saines et de malsaines. C’est ce qu’on appelle souvent la
théorie
de l’art pour l’art. L’autre prétend que la litté
is telle qu’elle devrait être ! Je n’ai point à discuter ici ces deux
théories
, qui alternent dans le développement d’une nation
xcès de l’autre et entre elles deux se placent à certains moments des
théories
moins tranchantes qui essaient de concilier ce qu
de talent qui furent atteints de cette maladie. Il arrive même qu’une
théorie
émise par un philosophe ou un romancier, puis cou
quent à ses yeux l’association des mots et des idées ; cette dernière
théorie
, qui est exposée dans le Cratyle 6 ne saurait êtr
erme, chez lui n’est, en définitive, qu’une métaphore. Ainsi, dans sa
théorie
du langage, Platon passe à côté de la parole inté
la religion chrétienne, et l’existence, désormais inoubliable, de la
théorie
nominaliste, nous paraissent expliquer cette clai
e de l’extase, aucun nominaliste n’a, que nous sachions, dégagé de la
théorie
le phénomène psychologique sans l’existence duque
ceci n’a été donné qu’à un petit nombre de penseurs, — renoncer à la
théorie
de la nécessité absolue du langage, ou du moins d
ne analyse plus pénétrante, ils s’attachèrent uniquement à réfuter la
théorie
de la révélation du langage. On s’explique ainsi
uvement musculaire voulu63. Signalons brièvement les défauts de cette
théorie
: le rôle de l’audition pure, mais attentive, dan
signé à la parole intérieure sa place légitime, non seulement dans la
théorie
du langage, mais aussi dans la psychologie généra
sorti d’une quasi-obscurité d’où les deux cents pages consacrées à la
théorie
du langage auraient dû suffire à le tirer. Nous a
123. Dans ce court chapitre, l’éminent psychologue a fait justice des
théories
nécessitaires sans cesse rééditées par les écoles
ffisante de la nécessité. Il importait d’écarter définitivement cette
théorie
de la nécessité du langage, qui a trop longtemps
ouvenirs, soit à des perceptions actuelles.125 » M. Fournié adopte la
théorie
nécessitaire, mais avec de très sages réserves :
» La partie la plus originale de l’ouvrage du docteur Fournie est sa
théorie
du langage des gestes comparé au langage de la vo
le, sans vie, ne représente pas l’essence de la pensée ; telle est la
théorie
du Phèdre (p. 274 et suivantes). — Tout autre sem
lus bas, chap. II, § 8, et chap. III, § 8 et 9. ] 25. Cette curieuse
théorie
est exposée dans l’Instruction, V, 12 à 26 ; VI,
de Rousseau, Ronald et de Maistre. 30. Dans son premier ouvrage, la
Théorie
du pouvoir (1796), il n’est question ni de la par
64, 66 ; ch. VII, p. 162 ; ch. VIII, p. 175 à 180, 187 à 191. — Cette
théorie
explique certaines formules inexactes, dans lesqu
s à de Bonald et à Bossuet, Connaiss. de Dieu et de soi-même. 109.
Théorie
de la mémoire (1866), p. 194. 110. Cité plus loi
tres illustré par des travaux de physiologie et la constitution d’une
théorie
de l’irritabilité qu’il considère comme essentiel
Chalopin, 1831 (Egger renvoie à la 2e éd. de 1846). Antoine Gratacap,
Théorie
de la mémoire, thèse pour le doctorat présentée à
er de sa pensée, et il a construit comme Kant et même contre Kant une
théorie
. Cette théorie de « la perception, — de l’appréhe
, et il a construit comme Kant et même contre Kant une théorie. Cette
théorie
de « la perception, — de l’appréhension de l’idée
ppréhension de l’idée, — de sa subsumption dans les concepts », cette
théorie
, très travaillée, très allemande, très subtile, m
! M. Doublet lui-même n’est pas si convaincu de la solidité de cette
théorie
qu’il ne sente le besoin de l’appuyer sur autre c
nérateur de la pensée… In principio erat verbum. C’est donc par une
théorie
de la parole et non par l’analyse de faits de con
r la littérature politique. Cette étude nous conduira aux plus hautes
théories
du gouvernement des sociétés. Il y a loin de là,
ais de tous les pays où l’homme a agité pour les résoudre ces grandes
théories
des sociétés, la Chine antique est évidemment cel
uls éléments d’ordre social. Les Indes et la Perse n’avaient d’autres
théories
de gouvernement que l’autorité absolues dans les
La conscience et la morale ont été de vains noms pour eux dans leurs
théories
de gouvernement. Des maîtres et des esclaves, des
le second a sacrifié les rois même aux pontifes. Pour que la première
théorie
, celle de M. A. Bonald, fût vraie, il fallait que
d’une autre chair que celle des peuples ; pour que la seconde de ces
théories
, celle de M. de Maistre, fût applicable, il falla
talement aux mêmes crimes si leur nature ne s’interposait entre leurs
théories
et leurs actes. Nous n’aurions à choisir, si nous
torrents au nom de Dieu ! VI Enfin dans ces derniers temps la
théorie
des gouvernements a été chez quelques hommes scan
d’anarchie la liberté illimitée de chaque citoyen dans l’État. Cette
théorie
, plus digne selon nous du nom de démence que du n
état de frénésie ou de cécité qui se sont faits les organes de cette
théorie
de la liberté illimitée, et qui ont été assez mal
qu’à naître et à balbutier en Europe, était déjà parvenue à une haute
théorie
de principes et d’application en Chine. On le voi
tyrannique s’il était absolu dans la pratique comme il l’est dans la
théorie
. Il le tempère par ce même esprit de famille dont
de créatures sans ordre et sans liens. » XXXI Une magnifique
théorie
de l’ordre graduellement établi dans la famille,
veurs d’un progrès récent, continu et indéfini peuvent concilier leur
théorie
avec tant de sagesse au commencement et tant de d
▲