considérer un instant à l’état isolé, en une sorte de monographie des
termes
médicaux utilisés par les écrivains précédents. N
re double : valeur esthétique du vocabulaire médical — exactitude des
termes
employés. Cette dernière donnée, négligeable chez
moins ne voit-on, avant cette époque, même dans Furetière, que peu de
termes
médicaux tirés du grec. Peu à peu, ils se mirent
Rémy de Gourmont en l’ouvrage précité, il ne s’agit pas de bannir les
termes
techniques, il s’agit de ne pas traduire en grec
guère appeler carpe le poignet, ni décrire une écorchure au pouce en
termes
destinés sans doute à rehausser l’état de duellis
age professionnel. Délibérément donc il écarta de ses descriptions le
terme
savant, taré pour lui de partialité scientifique,
inicien. Pourtant, multiples et variés se dénombrent en son œuvre les
termes
purement et même pompeusement médicaux. Mais ils
èrent très judicieusement les frères de Goncourt. Ils ne hasardent le
terme
technique que lorsque le milieu, l’atmosphère où
ysmans s’accentue et se perfectionne la langue médico-littéraire. Les
termes
spéciaux — parfois très finement spécieux — abond
ondément attiré par l’intensité de leur notion. » Ou bien il use des
termes
techniques comme d’un véritable procédé littérair
ent de son répertoire les clichés ressassés, les figures redites, les
termes
éculés. Il s’adresse alors, pour y suppléer, aux
chaïsmes savoureux s’il remonte aux époques passées101. ⁂ L’usage des
termes
techniques n’est donc qu’une indication de travai
t renseigné sur le sujet dont il parle, n’a pas adopté absolument les
termes
spéciaux, le style particulier du traité de patho
la plume comme ils lui viennent aux lèvres, abondants et précis, ces
termes
spéciaux. Il les a délibérément évincés, et cela,
ement toléré de documentaires et techniques tirades. À vrai dire, ces
termes
précis, épineux à la scène, y sont peu nécessaire
Chapitre II :
Termes
abstraits I « Quelques noms qui ont besoin
aux mérites, à nos yeux, c’est d’avoir essayé de montrer que certains
termes
abstraits ne paraissent inexplicables que parce q
oujours ouverte entre lui et ses adversaires. II Sous le nom de
termes
relatifs, l’auteur étudie les diverses idées de r
t. Ces couples nous sont suggérés par l’association42. Sous le nom de
termes
privatifs, il examine les idées appelées d’ordina
pace, infini, temps et mouvement. Espace. Remarquons d’abord que les
termes
concrets sont des termes connotatifs ; les termes
uvement. Espace. Remarquons d’abord que les termes concrets sont des
termes
connotatifs ; les termes abstraits, des termes no
ons d’abord que les termes concrets sont des termes connotatifs ; les
termes
abstraits, des termes non connotatifs ; c’est-à-d
rmes concrets sont des termes connotatifs ; les termes abstraits, des
termes
non connotatifs ; c’est-à-dire que les termes con
s termes abstraits, des termes non connotatifs ; c’est-à-dire que les
termes
concrets, tout en exprimant une ou plusieurs qual
assé, présent, futur. Mais ces trois choses, c’est le temps. C’est un
terme
abstrait, enveloppant la signification de ces tro
ieurs. Et lorsque nous nous sommes familiarisés avec l’application du
terme
mû, comme terme connotatif, à divers objets, il e
e nous nous sommes familiarisés avec l’application du terme mû, comme
terme
connotatif, à divers objets, il est aisé, dans le
41. Chap. xiv, p. 1 à 176, tome II. 42. La raison pour laquelle les
termes
relatifs sont donnés par couples, dit M. John Stu
t Mill fait remarquer que cette explication se retrouve dans d’autres
termes
, mais identique quant au fond, chez MM. Bain et H
Chapitre VIII De la clarté et des
termes
techniques On peut nommer chaque chose par le t
clarté et des termes techniques On peut nommer chaque chose par le
terme
qui lui convient exactement, garder d’un bout à l
ue tout le monde comprend à peu près, il y a des mots techniques, des
termes
de sciences, d’arts, de métiers, qui sont comme a
er, et un à peu près que tout le monde entend, vaut mieux alors qu’un
terme
exact, que nul ne saisit. Si la propriété du lang
savant écrivant pour des savants, n’ont qu’à appliquer aux choses les
termes
techniques de leur science spéciale : ils ne veul
, que l’architecte n’entende rien à un traité de médecine, et que les
termes
de métallurgie, de médecine et d’architecture soi
ici non pas de ce que l’auteur emploie, mais de ce qu’il connaît les
termes
techniques, et, les ayant dans la pensée, leur ch
ux langues spéciales des sciences et des métiers un certain nombre de
termes
techniques qui correspondent aux objets les plus
cteur sous une avalanche de mots baroques et incompris, d’encadrer le
terme
spécial entre des expressions vulgaires, qui l’en
art, qui consiste à décrire les choses les plus particulières par les
termes
les plus généraux, et d’autant plus généraux, qu’
, qui recommande d’avoir attention à ne nommer les choses que par les
termes
les plus généraux. Cependant la différence est gr
la foule des lecteurs : c’est qu’alors, et ce n’est qu’alors, que les
termes
généraux, clairs et intelligibles, seront préféra
les termes généraux, clairs et intelligibles, seront préférables aux
termes
propres, prétentieusement obscurs. 16. Phrases
une série ou quantité infinie, nous ne pensons pas la totalité de ses
termes
, mais quelques-uns de ses termes et un de leurs c
us ne pensons pas la totalité de ses termes, mais quelques-uns de ses
termes
et un de leurs caractères abstraits représenté en
ême que le groupe désigné par 35, si à 35 on ajoute 1. 36 est donc un
terme
collectif qui en remplace deux autres. Mais 35 es
lus 1, et ainsi de suite. On voit que 36, en dernière analyse, est un
terme
abréviatif qui en remplace trente-six autres. Rem
, et non elle à la chose. Les deux font donc un couple dont le second
terme
, la définition, équivaut au premier terme, c’est-
nc un couple dont le second terme, la définition, équivaut au premier
terme
, c’est-à-dire à l’objet. — Cet objet peut rester
à-dire l’existence distincte parmi des semblables. Nous combinons ces
termes
entre eux et nous formons d’abord des composés pe
s remplacements partiels. Résoudre une équation, c’est substituer des
termes
les uns aux autres pour arriver à une substitutio
t ensemble des abstraits, nous fabriquons de toutes pièces le premier
terme
d’un couple dont le second est hors de notre port
ne saisissons que la loi génératrice ; nous n’embrassons pas tous les
termes
engendrés. — Mais pour nous l’effet est le même ;
le même ; car, appliquant la loi, nous pouvons définir n’importe quel
terme
de la série, mesurer exactement le surcroît d’app
loi équivaut donc à la perception de la série ; une ligne infinie de
termes
distincts a trouvé son remplaçant dans un caractè
tités, qui vont croissant ou décroissant sans pouvoir jamais avoir un
terme
, remplacent le terme dont elles s’approchent néce
sant ou décroissant sans pouvoir jamais avoir un terme, remplacent le
terme
dont elles s’approchent nécessairement sans jamai
ayant un sens évident dans la langue que l’on parle. L’abondance des
termes
distincts est une pauvreté, par la difficulté que
dre effort, le rendement le plus haut. Il ne s’agit pas de bannir les
termes
techniques, il s’agit de ne pas traduire en grec
un homme cheval (un coureur jadis reçut ce sobriquet) ; si le second
terme
passe définitivement à ridée générale de rapidité
moins ne voit-on, avant cette époque, même dans Furetière, que peu de
termes
médicaux tirés du grec. Peu à peu ils se mirent à
e Insomnie Advnamie Faiblesse Omoplate Palette, Paleron (restés comme
termes
de boucherie) Ombilic Nombril Pharynx Avaloir (vi
le pouvoir, à moins qu’il ne parvienne à se les assimiler. Prosthèse,
terme
grammatical, — élégante traduction de greffe ! —
s guère appeler carpe le poignet ni décrire une écorchure au pouce en
termes
destinés sans doute à rehausser l’état de duellis
ement du bout de la plume ; nous examinerons ce point. De l’usage des
termes
grecs dans les sciences médicales, on donne cette
(orillon, dans Furetière), oreillard, oreiller, oreillette, oreillé (
terme
de blason). Oreillon, c’est pour le peuple toute
le : oreilliste, oreilleur, oreillage. Qui même peut affirmer que ces
termes
ne sont pas usités en quelque métier ? Mais le mé
terre ou grand pluvier ; Belon, pour le mieux caractériser, adopte le
terme
populaire, jambe enflée, lequel est fort juste, p
une erreur assez ridicule. NdA 28. Dictionnaire françois-latin des
termes
de médecine et de chirurgie par Elie Col de Villa
si une somme s’obtient par la considération successive de différents
termes
, encore faut-il que chacun de ces termes demeure
ion successive de différents termes, encore faut-il que chacun de ces
termes
demeure lorsqu’on passe au suivant, et attende, p
s représentations autres que celles de la vue et du toucher. Ici, les
termes
n’étant plus donnés dans l’espace, on ne pourra g
ensif ; et à supposer que l’extension ne soit qu’un rapport entre des
termes
inextensifs, encore faut-il que ce rapport soit é
rapport soit établi par un esprit capable d’associer ainsi plusieurs
termes
. En vain on alléguera l’exemple des combinaisons
’idée claire d’un milieu homogène, c’est-à-dire d’une simultanéité de
termes
qui, identiques en qualité, se distinguent néanmo
space, de telle manière qu’on en puisse embrasser à la fois plusieurs
termes
séparés et juxtaposés ? La réponse n’est pas dout
réponse n’est pas douteuse : on ne saurait établir un ordre entre des
termes
sans les distinguer d’abord, sans comparer ensuit
u’alors j’ai la faculté, non seulement de percevoir une succession de
termes
, mais encore de les aligner ensemble après les av
me illusoire d’un milieu homogène, et le trait d’union entre ces deux
termes
, espace et durée, est la simultanéité, qu’on pour
t de simultanéités d’un certain genre. Et il ne faudrait pas que les
termes
« d’ici là » nous fissent illusion, car l’interva
ter pour unité de durée le phénomène physique que l’on a choisi comme
terme
de comparaison. On définit donc la vitesse d’un m
sans quantité. Tantôt, au contraire, il s’agit d’une multiplicité de
termes
qui se comptent ou que l’on conçoit comme pouvant
éveloppement une fois effectué que nous empruntons nécessairement les
termes
destinés à rendre l’état d’une âme qui ne l’aurai
à rendre l’état d’une âme qui ne l’aurait point effectué encore : ces
termes
sont donc entachés d’un vice originel, et la repr
dans l’espace, n’est-il pas vrai qu’a côté de cette addition dont les
termes
identiques se dessinent sur un fond homogène, il
ra jamais pour notre conscience l’aspect d’un milieu homogène, où les
termes
d’une succession s’extériorisent les uns par rapp
tte représentation symbolique par ce seul fait que, dans une série de
termes
identiques, chaque terme prend pour notre conscie
que par ce seul fait que, dans une série de termes identiques, chaque
terme
prend pour notre conscience un double aspect : l’
de l’objet extérieur, l’autre spécifique, parce que l’addition de ce
terme
provoque une nouvelle organisation de l’ensemble.
end pour nous la forme du mouvement. Ici nous avons bien une série de
termes
identiques entre eux, puisque c’est toujours le m
ue nous considérons alors comme identiques ; et cette multiplicité de
termes
identiques ne pouvant plus se concevoir que par d
une addition, et sans faire intervenir l’image d’une juxtaposition de
termes
distincts. Bref, le nombre des coups frappés a ét
texture de l’idée concrète, lorsque, substituant à la pénétration des
termes
réels la juxtaposition de leurs symboles, nous pr
es idées qui, une fois dissociées, paraissent s’exclure sous forme de
termes
logiquement contradictoires. Les rêves les plus b
st trop commode d’aligner dans un pareil milieu, pour les résoudre en
termes
plus simples, les états en quelque sorte nébuleux
elle nous présente le moi concret et vivant comme une association de
termes
qui, distincts les uns des autres, se juxtaposent
onstruction du nombre. Mais qu’entend-on ici par coexistence ? Si les
termes
qui coexistent s’organisent ensemble, jamais le n
; que le Poëme didactique ne sauroit avoir ce mérite, attendu que les
termes
techniques, qu’il faut nécessairement y faire ent
si les inconvéniens qui résultent de la nécessité de faire entrer les
termes
techniques, tournoient à exclure le Poëme didacti
de Triolet, de Tercet, d’Emistiche, &c. qu’on y trouve, sont des
termes
barbares pour une infinité de Lecteurs ? « Ce qu
Porcs, des Veaux, des Cavalles, des Etalons, & qu’auqu’un de ces
termes
ne peut se souffrir dans les Vers sérieux ; qu’on
soutenir qu’il est très-possible de faire perdre leur trivialité aux
termes
le plus en usage parmi le Peuple, pourvu qu’un Ec
e, quand il est placé à propos. Patris s’est servi, sans révolter, du
terme
de fumier, dans sa célebre Epigramme : ………….. Ic
âge d’or, par Boileau, ne cesse pas d’être poétique pour admettre les
termes
de bled, de bœuf, de Vigne, de grappes, de lait :
Mais supposons encore qu’il fût impossible de faire usage de certains
termes
; les périphrases, les métaphores ne peuvent-elle
; ayez un génie vraiment poétique, & vous saurez ennoblir chaque
terme
pour exprimer chaque objet ; & vous traiterez
lique, et lui découvrirent les erreurs de l’hérésie, s’exprime en ces
termes
: « tombez, tombez, voiles importuns etc. ? » out
e qu’on s’en sert par extension et par ressemblance, pour supléer aux
termes
qui manquent dans la langue. Mais il ne faut pas
homes n’ont point consulté, s’ils avoient ou s’ils n’avoient pas des
termes
propres pour exprimer ces idées, ni si l’expressi
rtance : c’est que pour faire voir que l’on substitue quelquefois des
termes
figurés à la place des mots propres qui manquent,
z grand nombre de mots pour exprimer chaque idée particulière, par un
terme
qui ne soit que le signe propre de cette idée ; a
ore et par abus, à un supin, à un participe ou adjectif ; ce sont des
termes
abstraits dont on parle come de choses réelles :
it n’est que dans le supin ou participe. On a fait aussi du mot il un
terme
abstrait qui représente une idée générale, l’être
ditoit la philosophie d’Aristote et celle de Zénon, s’explique en ces
termes
: c’est là que ce romain, etc. Académus laissa p
t et le sens concret, j’observerai seulement ici que blancheur est un
terme
abstrait ; mais quand je dis que ce papier est bl
trait ; mais quand je dis que ce papier est blanc, blanc est alors un
terme
concret. un nouvel esclavage se forme tous les jo
’hypotypose dont nous parlerons dans la suite. La synecdoque Le
terme
de synecdoque signifie compréhension, conception
ynecdoque du genre : come quand on dit les mortels pour les homes, le
terme
de mortels devroit pourtant comprendre aussi les
guerre ; il s’agit de ce qu’Horace a pensé : or, il me semble que le
terme
de méres n’est rélatif qu’à enfans ; il ne l’est
ement frapés de quelque idée que nous voulons représenter, et que les
termes
ordinaires nous paroissent trop foibles pour expr
la métaphore et la comparaison, que dans la comparaison on se sert de
termes
qui font conoitre que l’on compare une chose à un
ire, que la comparaison n’est alors que dans l’esprit et non dans les
termes
; c’est une métaphore. mesurer dans le sens propr
uni dans le sens propre ; car ce n’est que par une nouvèle union des
termes
, que les mots se donent le sens métaphorique. l
trouver mauvais ce que les autres trouvent bon. Ensuite on se sert du
terme
de gout par métaphore, pour marquer le sentiment
re ; mais il ne faut pas qu’on les prène de sujets oposés, ni que les
termes
métaphoriques dont l’un est dit de l’autre excite
aphores propres et consacrées par l’usage, que si vous en changez les
termes
par les équivalans même qui en aprochent le plus,
le plus de part à l’embrasement de la vile de Troie, s’exprime en ces
termes
dans l’une des plus belles pièces de Racine : je
ens qu’on n’exprime point. La métaphore joint le mot figuré à quelque
terme
propre ; par exemple, le feu de vos yeux ; yeux e
e manière diférente de celle qu’elle emploie pour produire le blé. Le
terme
de matière générale n’est qu’une idée abstraite q
a possession d’une ile qu’il avoit dans le Rhone, il s’exprime en ces
termes
: qu’est-ce en éfet pour toi, etc. saules est pri
! Piquez-vous seulement etc. On ne s’atend pas non plus à trouver les
termes
de grammaire détaillés dans un ouvrage qui porte
a bien, etc. Dans toutes les nations policées on a toujours évité les
termes
qui expriment des idées deshonètes. Les persones
teint un certain degré de politesse, les honètes gens ménageoient les
termes
come nous les ménageons en françois, et leur scru
être alé, avoir passé par la vie, (…), au lieu de dire être mort, le
terme
de mourir leur paroissoit en certaines ocasions u
ent l’autre augure, ou l’autre oiseau. C’est pourquoi, dit Festus, ce
terme
alter, veut dire quelquefois contraire, mauvais.
rte jusqu’à des imprécations sacrilèges contre Dieu même ; au lieu du
terme
de maudire, on a mis le contraire par euphémisme.
n, c’est le nominatif du verbe : en latin on prend un autre tour, les
termes
de la proposition ont un autre arangement, je dev
, les termes de la proposition ont un autre arangement, je devient le
terme
de l’action, ainsi, selon la destination des cas,
ssions, les sens ; ainsi c’est une synecdoque ; mais mortifier est un
terme
métaphorique, on veut dire qu’il faut éloigner de
on se sert de toutes les sortes de rélations, peu lui importe que les
termes
conviènent ou ne conviènent pas entre eux, pourvu
omber sur un objet particulier ; par exemple : on croit, on dit ; ces
termes
ne désignent persone en particulier qui croie ou
a des actions et des sentimens qui passent sur un objet qui en est le
terme
. Les philosophes apèlent patient, ce qui reçoit l
es apèlent patient, ce qui reçoit l’action d’un autre ; ce qui est le
terme
ou l’objet du sentiment d’un autre. Ainsi patient
eut pas dire ici celui qui ressent de la douleur ; mais ce qui est le
terme
d’une action ou d’un sentiment. Pierre bat Paul
me le peuple ; aime est aussi dans un sens actif, et le peuple est le
terme
ou l’objet de ce sentiment. Un mot est pris dans
il marque que le sujet de la proposition, ou ce dont on parle est le
terme
ou le patient de l’action d’un autre : Paul est
ient de l’action d’un autre : Paul est batu par Pierre ; batu est un
terme
passif : je juge de Paul qu’il est le terme de l’
par Pierre ; batu est un terme passif : je juge de Paul qu’il est le
terme
de l’action de batre. Je ne suis point batant, de
es actions, mais qui n’ont point de patient ou d’objet qui en soit le
terme
; c’est ce qu’on apèle le sens neutre.neutre veut
on, c’est-à-dire, qui ne marque pas que l’objet dont on parle soit le
terme
d’une action, ce verbe, dis-je, n’est ni actif ni
les ; coin, instrument qui sert à fendre du bois : coin est encore un
terme
de manège, etc. de quelle langue voulez-vous vous
e dire qu’une même chose de deux choses diférentes : car, quoique les
termes
équivoques se ressemblent quant au son, ils signi
ou l’atribut présente deux sens à l’esprit ; ou quand il y a quelque
terme
qui peut se raporter ou à ce qui précède, ou à ce
tonerre se laisse enflamer. le dieu du tonerre paroit d’abord être le
terme
de l’action de charmer et de desarmer, aussi-bien
st une sorte d’équivoque, souvent facile à démêler. louche est ici un
terme
métaphorique : car come les persones louches paro
Quand l’evangile dit les aveugles voient les boiteux marchent ; ces
termes
les aveugles, les boiteux, se prènent en cette oc
ise à la rigueur, elle tue, dit S. Paul. On ne doit point exclure des
termes
toute signification métaphorique et figurée. Il
nger du fruit défendu : Proba Falconia fait parler le Seigneur en ces
termes
, au chapitre XVI. (…). Nous avons aussi les cento
été. Tous les substantifs qui sont pris adjectivement sont alors des
termes
concrets, etc. Observez qu’il y a de la diférence
z qu’il y a de la diférence entre faire abstraction et se servir d’un
terme
abstrait. On peut se servir de mots qui expriment
ns avoir égard aux autres parties : on peut au contraire se servir de
termes
abstraits sans faire abstraction, come quand on d
faire abstraction, come quand on dit que la fortune est aveugle. des
termes
abstraits. dans le langage ordinaire abstrait se
sprit sans se prêter à ce qu’on lui dit. Mais ce que j’entens ici par
termes
abstraits, ce sont les mots qui ne marquent aucun
ensent point, le soleil existe, ainsi le mot de soleil n’est point un
terme
abstrait. Mais beauté, laideur, etc., sont des te
l n’est point un terme abstrait. Mais beauté, laideur, etc., sont des
termes
abstraits. Il y a des objets qui nous plaisent et
riété et la réduire à une sorte d’idée générale, nous nous servons du
terme
de mouvement. Ce que je veux dire s’entendra enco
parler figurées qui ont doné lieu aux maitres de l’art d’inventer le
terme
de métaphore et les autres noms des figures : par
fecté quand il sent qu’il refuse de consentir à quelque jugement. Les
termes
abstraits, qui sont en très grand nombre, ne marq
i marquent des genres ou des espèces particulières, ce sont autant de
termes
abstraits quand on n’en fait pas l’aplication à q
on considère en général le cercle, une vile, cercle et vile sont des
termes
abstraits ; mais s’il s’agit d’un tel cercle, ou
s s’il s’agit d’un tel cercle, ou d’une telle vile en particulier, le
terme
n’est plus abstrait. Ce que nous venons de dire,
l’on personifie si souvent dans le langage ordinaire, ne sont que des
termes
abstraits. Cette multitude d’événemens, qui nous
on parle des abstractions de l’esprit come on parle des réalités, les
termes
abstraits n’ont même été inventés qu’à l’imitatio
s raisons, et je prendrai même la liberté de me servir souvent de ses
termes
; me contentant de tirer mes exemples de la langu
aduire les auteurs latins en un autre latin, en afectant d’éviter les
termes
dont ces auteurs se sont servis, auroient pu s’ép
ique est une fécondité stérile qui empêche de sentir la propriété des
termes
, leur énergie, et la finesse de la langue, come j
que plus on fera de progrès, plus on reconoitra cet usage propre des
termes
, et par conséquent l’inutilité de ces versions qu
signification qui est cause que l’usage n’a conservé que l’un de ces
termes
, et qu’il a rejeté l’autre come inutile. L’usage,
ations de la voix. Une langue sera véritablement riche, si elle a des
termes
pour distinguer, non seulement les idées principa
t fort usitée ; kilo et kilomètre sont même à peu près les deux seuls
termes
usuels que le système métrique ait réussi à intro
adouci la pratique et à faire rentrer dans renseignement primaire les
termes
français chassés au profit du grec ; on ne l’a pa
barbares qui méprisent la langue française, il donna une quantité de
termes
inutiles et déconcertants tels que chronomètre, m
s ; parmi les plus jolis mots de ce répertoire peu connu figurent les
termes
qui désignent les qualités, les vices ou la coule
if qu’il est souvent difficile d’expliquer. Voici quelques-uns de ces
termes
dont plusieurs sont familiers à tous sous leur do
de songer qu’il serait plus utile de faire apprendre aux enfants les
termes
de métier que les racines grecques48 ; leur espri
Chapitre VII. De la propriété des
termes
. — Répétition des mots. — Synonymes. — Du langage
pétition des mots. — Synonymes. — Du langage noble La propriété des
termes
est, à vrai dire, l’unique et universelle règle d
enre ou de la matière y suppléait, ou bien une périphrase : de là ces
termes
généraux que recommande Buffon, et ces circonlocu
olution, où périt le langage noble, mit naturellement hors d’usage le
terme
noble de chaque couple de synonymes : qui parle d
on parle de guerriers germains ou de guerriers indiens, faute d’autre
terme
et parce que le nom de soldat implique une organi
a votre pensée. Haute et sérieuse, elle formera à sa ressemblance les
termes
qui la peignent ; elle pourra appeler à soi les m
alant. Nous prétendons que la thèse repose sur une ambiguïté dans les
termes
, qu’elle ne peut pas s’énoncer correctement sans
i-je besoin de le dire ? — n’a rien de voulu : il est suggéré par les
termes
mêmes de la question posée ; et il est si naturel
s demanderions de ne voir dans les mots réalisme et idéalisme que des
termes
conventionnels par lesquels nous désignerons, au
sition même, les deux points de vue du réalisme et de l’idéalisme, le
terme
« cerveau » nous faisant songer à une chose et le
idéalisme, le terme « cerveau » nous faisant songer à une chose et le
terme
« pensée » à de la représentation. On peut dire q
dans le même cadre moteur : en cela consistera leur « ressemblance »,
terme
vague dans les théories courantes de l’associatio
avec le reste de la matière capable de l’influencer. A vrai dire, les
termes
qui s’influencent réciproquement — de quelque nom
oints matériels, centres de forces, etc. — ne sont à ses yeux que des
termes
provisoires ; c’est l’influence réciproque ou int
tout s’évanouit. Ou encore, plus simplement : Une relation entre deux
termes
équivaut à l’un d’eux. Ou les mouvements d’atome
consister, dans les explications de détail, qu’à inscrire sous chaque
terme
de la notation idéaliste un indice qui en marque
espond une partie déterminée de l’état cérébral, et que l’un des deux
termes
est par conséquent substituable à l’autre. Comme
en jeu : l’imagination, les sens sont séduits, satisfaits par un des
termes
de la comparaison ; la raison spéculative ou le s
e surpassé par celui qui naît simultanément du rapport entre les deux
termes
, c’est-à-dire de la similitude même. Ceci pourrai
us forme d’images, de même que le géomètre substitue au contraire des
termes
purement abstraits, des lettres qui ne représente
ne langue une figure qui permette de substituer continuellement à des
termes
abstraits des images, à l’expression propre une e
nature. On voit que Racine développe avec autant de soin le premier
terme
de la comparaison que l’image, et on peut remarqu
e la comparaison que l’image, et on peut remarquer aussi que c’est en
termes
abstraits qu’il développe cette idée abstraite. I
le commun aujourd’hui, style qui ne développe jamais l’idée morale en
termes
abstraits, mais prend toujours un emblème de cett
e style technique ; Thomas et d’autres imaginèrent de transporter les
termes
abstraits de la science dans la littérature et da
poète. 7. Dans la science des nombres, on peut multiplier les deux
termes
d’un rapport sans que le rapport change ; on a ai
qu’abstraire et comparer, c’est-à-dire substituer le rapport de deux
termes
au rapport identique de deux autres termes. L’ide
stituer le rapport de deux termes au rapport identique de deux autres
termes
. L’identité est le principe de toutes ces substit
ituer des rapports à d’autres rapports, ou plutôt reproduire sous des
termes
différents des rapports identiques. Seulement ils
e phrase à double sens. Dans une proposition, il y a deux choses, les
termes
et leur rapport. Vous dites vrai, si vous parlez
vrai, si vous parlez du rapport. Vous dites faux, si vous parlez des
termes
. Vous dites vrai, si vous affirmez que d’un rappo
es en tirer. — Au contraire, vous dites faux, si vous affirmez que de
termes
contingents on ne peut tirer un rapport nécessair
dée de substance, et du mot rose l’idée de qualité, comparer ces deux
termes
, isoler entre eux par abstraction un rapport néce
ement ou proposition, vous confondez donc deux choses distinctes, les
termes
et leur rapport. Vous raisonnez comme si le rappo
pport. Vous raisonnez comme si le rapport était la même chose que les
termes
. Vous imposez aux termes une conséquence qui ne s
me si le rapport était la même chose que les termes. Vous imposez aux
termes
une conséquence qui ne s’applique qu’au rapport,
y revient sans cesse ; il sait que ce fait est la source de tous les
termes
abstraits qu’il va recueillir et combiner. C’est
rapport d’identité, qu’il y a dans tout objet, contingent ou non, des
termes
identiques, et que partant on peut tirer de tout
érieure qui, en excluant de lui toute limite, le prolonge au-delà des
termes
que nous apercevons ; et il ne remarque pas que c
ns dans la bourse, il y a de l’esprit dans ces vers. Il, est alors un
terme
abstrait & général comme ce, on. Ce sont des
, est alors un terme abstrait & général comme ce, on. Ce sont des
termes
métaphysiques formés à l’imitation des mots qui m
éposition à, il faut observer 1. que toute préposition est entre deux
termes
, qu’elle lie & qu’elle met en rapport. 2. Que
’esprit même à remarquer la sorte de rapport qu’il y a entre les deux
termes
de la relation unis entre-eux par la préposition
tion à, est de marquer la relation d’une chose à une autre, comme, le
terme
où l’on va, ou à quoi ce qu’on fait se termine, l
ieribus, &c. ne peuvent être ni le sujet de la proposition, ni le
terme
de l’action du verbe ; & que celui qui parle
ce vers des Racines Greques A fait un, prive, augmente, admire. En
terme
de Grammaire, & sur-tout de Grammaire Greque,
ire. Ce mot n’est pas fort usité. (F) ABLATIF ABLATIF, s. m.
terme
de Grammaire. C’est le sixieme cas des noms Latin
ime d’aucun autre mot de la proposition. Mais on ne doit se servir du
terme
d’absolu, que pour marquer ce qui est indépendant
quelque circonstance ou de tems ou de maniere, &c. la valeur des
termes
& leur position nous font entendre ce sens dé
s où l’on a réduit les Auteurs en gardant régulierement leurs propres
termes
& les expressions de leurs originaux, mais en
rs de nous un être qui soit la blancheur. Ainsi blancheur n’est qu’un
terme
abstrait : c’est le produit de notre réflexion à
é par voir des hommes avant que de comprendre & de nous former le
terme
abstrait humanité. Nous avons été touchés du beau
s que l’on a faites sur l’emploi des mots. Mais Grammaire n’est qu’un
terme
abstrait ; c’est un nom métaphysique & d’imit
’il lui a plû d’établir lorsqu’il a créé l’Univers. Ainsi Dieu est un
terme
réel ; mais nature n’est qu’un terme métaphysique
réé l’Univers. Ainsi Dieu est un terme réel ; mais nature n’est qu’un
terme
métaphysique. Quoiqu’un instrument de musique don
sur la conduite. Les Poëtes ont amusé l’imagination en réalisant des
termes
abstraits ; le Peuple payen a été trompé : mais P
mp; n’être occupé que de cette distance ; je puis considérer aussi le
terme
d’où je suis parti, & celui où je suis arrivé
une abstraction de mon esprit, je ne regarde ces extrémités que comme
termes
, j’en sépare tout ce qui n’est pas cela : l’un es
ue comme termes, j’en sépare tout ce qui n’est pas cela : l’un est le
terme
où la ligne commence ; l’autre, celui où elle fin
st le terme où la ligne commence ; l’autre, celui où elle finit : ces
termes
je les appelle points, & je n’attache à ce co
appelle points, & je n’attache à ce concept que l’idée précise de
terme
; j’en écarte toute autre idée : il n’y a ici ni
lidité, ni longueur, ni profondeur ; il n’y a que l’idée abstraite de
terme
. Les noms des objets réels sont les premiers noms
s n’en ont point été moins vives. Au reste si l’on vouloit éviter les
termes
abstraits, on seroit obligé d’avoir recours à des
& à des périphrases qui énerveroient le discours. D’ailleurs ces
termes
fixent l’esprit ; ils nous servent à mettre de l’
qu’il s’agit d’enseigner, on usât avec beaucoup de circonspection des
termes
abstraits & des expressions figurées : par ex
des idées, qu’on les unit, ou qu’on les sépare ; car idée n’est qu’un
terme
abstrait. On dit aussi que le sujet attire à soi
igts. ACCEPTION Acception (Grammaire) ACCEPTION, s. f.
terme
de Grammaire, c’est le sens que l’on donne à un m
e piece de bois ou de fer qui sert à fendre d’autres corps ; coin, en
terme
de monnoie, est un instrument de fer qui sert à m
nt. (F) ACCIDENT Accident (Grammaire) ACCIDENT, s. m.
terme
de Grammaire ; il est surtout en usage dans les a
if ou qu’il sera dérivé, simple ou composé, il n’en sera pas moins un
terme
ayant une signification. Voici quels sont ces acc
rbe de la forme active, Pierre est l’agent, Paul est le patient ou le
terme
de l’action de Pierre. Dieu conserve ses créature
le sujet de la proposition est le patient, c’est-à-dire, qu’il est le
terme
de l’action ou du sentiment d’un autre : les méch
par une vûe simple de l’esprit. L’élocution n’a point en François de
terme
pour l’exprimer ; on la divise en trois mots, en
se au-moins un sens précedent ; car ce qui joint doit être entre deux
termes
. Mais ce sens peut quelquefois être transposé, ce
ui fait alors l’interjection. (F) ACCUSATIF ACCUSATIF, s. m.
terme
de Grammaire ; c’est ainsi qu’on appelle le 4e ca
erminaison de l’accusatif sert à faire connoître le mot qui marque le
terme
ou l’objet de l’action que le verbe signifie. Aug
e. Augustus vicit-Antonium, Auguste vainquit Antoine. Antonium est le
terme
de l’action de vaincre ; ainsi Antonium est à l’a
sujet d’une proposition. En second lieu, comme un nom est souvent le
terme
de l’action qu’un verbe actif transitif signifie,
e même le sens total énoncé par un nom avec un infinitif est aussi le
terme
ou objet de l’action que ces sortes de verbes exp
exemples où le sens formé par un accusatif & un infinitif, est le
terme
de l’action d’un verbe actif transitif. A l’égard
ction d’un verbe actif transitif. A l’égard du sens total, qui est le
terme
de l’action d’un verbe actif, les exemples en son
n de ces accusatifs Latins est donc qu’ils forment un sens qui est le
terme
de l’action d’un verbe actif ; c’est donc par l’i
truction . (F) ACTIF Actif (Grammaire) ACTIF, active,
terme
de Grammaire ; un mot est actif quand il exprime
tient la reçoit. Le feu brûle, le bois est brûlé ; ainsi brûle est un
terme
actif, & brûlé est passif. Les verbes régulie
e marque que le sujet de la proposition reçoit l’action, qu’il est le
terme
ou l’objet de l’action d’un autre, je suis enseig
’action qu’ils signifient passe de l’agent sur un patient, qui est le
terme
de l’action, comme battre, instruire, &c. Il
aquiescer. (F) ADJECTIF Adjectif (Grammaire) ADJECTIF,
terme
de Grammaire. Adjectif vient du latin adjectus, a
Sciences exactes. Sens figuré. Substantif masculin. Tableau original.
Terme
abstrait. Terme obscur. Terminaison féminine. Ter
. Sens figuré. Substantif masculin. Tableau original. Terme abstrait.
Terme
obscur. Terminaison féminine. Terre labourée. Ter
’identité ; au lieu que le substantif qui exprime une qualité, est un
terme
abstrait & métaphysique, qui énonce un concep
ou déplacée. (F) ADJOINT Adjoint (Grammaire) ADJOINT,
terme
de Grammaire. Les Grammairiens qui font la constr
te, qui marque de la surprise, de l’admiration ou une exclamation. En
terme
de Grammaire, on dit un point admiratif, on dit a
e je souffre ! Voyez Ponctuation . (F) ADVERBE ADVERBE, s. m.
terme
de Grammaire : ce mot est formé de la préposition
t, frappez fort. (F) ADVERBIAL, ALE ADVERBIAL, ALE, adjectif,
terme
de Grammaire ; par exemple, marcher à tâtons, ite
undè olere, male olere. ADVERSATIF, IVE ADVERSATIF, IVE, adj.
terme
de Grammaire, qui se dit d’une conjonction qui ma
(Gramm.) ce mot vient de ambo, deux, & de ago, pousser, mener. Un
terme
ambigu présente à l’esprit deux sens différens. L
s. Voyez Amphibologie . (F) AMPHIBOLOGIE AMPHIBOLOGIE, s. f. (
terme
de Grammaire.) ambiguité. Ce mot vient du Grec ἀμ
ase, c’est-à-dire de l’arrangement des mots, plûtôt que de ce que les
termes
sont équivoques. On donne ordinairement pour exem
cette phrase consiste en ce que l’esprit peut ou regarder te comme le
terme
de l’action de vincere, ensorte qu’alors ce sera
Analogie (Grammaire) ANALOGIE, s. f. (Logique & Gramm.)
terme
abstrait : ce mot est tout Grec, ἀναλογία. Cicéro
çon de parler particuliere à l’Arabe. (F) ANOMAL ANOMAL, adj.
terme
de Grammaire ; il se dit des verbes qui ne sont p
ies. (F) ANOMALIE Anomalie (Grammaire) ANOMALIE, s. f.
terme
de Grammaire ; c’est le nom abstrait formé d’anom
est pas moins une contre-vérité. Quant à ce que dit Sanctius, que le
terme
d’antiphrase suppose une phrase entiere, & ne
t fait de μεταπλάσσω, transformo. (F) AORISTE AORISTE, s. m.
terme
de Grammaire greque & de Grammaire françoise,
éfini, indéterminé. Ce mot est composé de l’α privatif & de ὅρος,
terme
, limite ; ὅριον, finis ; ὁρίζω, je définis, je dé
APOSTROPHE Apostrophe Apostrophe, s. m. est aussi un
terme
de Grammaire, & vient d’ἀπόστροφος, substanti
ou substance ; ce qui fait voir que ces mots genre, espece, sont des
termes
métaphysiques qui ne se tirent que de la maniere
F) APPOSITION Apposition (Grammaire) APPOSITION, s. f.
terme
de Grammaire, figure de construction, qu’on appel
plusieurs substantifs de suite au même cas sans les joindre par aucun
terme
copulatif, c’est-à-dire, ni par une conjonction n
ort d’identité est la raison de l’apposition. (F) APRE APRE,
terme
de Grammaire Greque : Il y a en Grec deux signes
d’α privatif. (F) ARSIS Arsis (Grammaire) ARSIS, s. f.
terme
de Grammaire ou plûtôt de Prosodie ; c’est l’élev
placé après aime, cette position fait connoitre que le peuple est le
terme
ou l’objet du sentiment que l’on attribue au roi.
, & qui comme toutes les autres prépositions doit être entre deux
termes
, cette préposition, dis-je, me fait connoître qu’
ntrer dans le discours sans marquer un rapport ou relation entre deux
termes
, entre un mot & un mot : par exemple, la prép
une fin, une raison : mais ensuite il faut énoncer l’objet qui est le
terme
de ce motif, & c’est ce qu’on appelle le comp
ez bien que tous ces noms, genre, espece, différence, ne sont que des
termes
métaphysiques, tels que les noms abstraits humani
angue, jour, leçon. Rendre service, amour pour amour, visite, bord,
terme
de Marine, arriver, gorge. Savoir lire, vivre,
longs détours pour exprimer les choses les plus aisées. Se servir des
termes
établis par Ces exemples peuvent servir l’usage.
ue, &c. ou bien avec une politesse qui, &c. En Latin même ces
termes
correlatifs sont souvent marqués, is qui, ea quoe
auteur, héros, &c. Voyez H. (F) ASPIRÉE ASPIRÉE, adj. f.
terme
de Grammaire ; lettre aspirée. La méthode Greque
yelle, qu’ils prononçoient ou. (F) ASTERIQUE ASTERIQUE, s. m.
terme
de Grammaire & d’Imprimerie ; c’est un signe
teaux. (F) AUGMENT Augment (Grammaire) AUGMENT, s. m.
terme
de Grammaire, qui est surtout en usage dans la gr
eve en la longue qui y répond. Voyez la Grammaire Greque de P. R. Ce
terme
d’augment syllabique, qui n’est en usage que dans
omme si nous avions les épîtres de Ciceron en original. Ce mot est un
terme
dogmatique ; une personne du monde ne dira pas :
ot vient du Latin auxiliaris, & signifie qui vient au secours. En
terme
de Grammaire, on appelle verbes auxiliaires le ve
tenons le même langage par comparaison, lorsque nous nous servons de
termes
abstraits ; ainsi nous disons, j’ai aimé, comme n
nd nombre de préceptes inutiles, de cas, de déclinaisons & autres
termes
qui ne conviennent point à ces langues, & qui
ILLEMENT Baillement Baillement, s. m. ce mot est aussi un
terme
de Grammaire ; on dit également hiatus : mais ce
uniformité & varieté. (F) BARBARISME BARBARISME, s. m. (
terme
de Gramm.) le barbarisme est un des principaux vi
F) CACOPHONIE Cacophonie (Grammaire) CACOPHONIE, s. f.
terme
de Grammaire ou plûtôt de Rhétorique : c’est un v
venter des sons pour désigner, soit les êtres non-palpables, soit les
termes
abstraits & généraux, soit les notions intell
aits & généraux, soit les notions intellectuelles, soit enfin les
termes
qui servent à lier des idées ; & ces sons fur
able quantité de nombres, & par conséquent à celle d’un nombre de
termes
beaucoup plus grand que nous n’en avons besoin po
aractere = pour exprimer l’identité des rapports, ou pour marquer les
termes
qui sont en proportion géométrique, ce que plusie
rapport de 30 à 15 est le même que celui de 8 à 4, ou que les quatre
termes
sont en proportion géométrique, c’est-à-dire que
merie & Écriture . CAS Cas (Grammaire) CAS, s. m. (
terme
de Grammaire) ce mot vient du latin casus, chûte,
i, finis cui. L’accusatif accuse, c’est-à-dire déclare l’objet, ou le
terme
de l’action que le verbe signifie : on le constru
discernunt fas & nefas. Je dirai donc que fas & nefas sont le
terme
de l’action ou l’objet de discernunt, &c. Si
ple, font un sens partiel dans la proposition. Ainsi le peuple est le
terme
du sentiment d’aimer ; c’est l’objet, c’est le pa
t. Ainsi au lieu de les appeller pronoms, j’aimerois mieux les nommer
termes
métaphysiques, c’est-à-dire, mots qui par eux-mêm
où peu de personnes peuvent atteindre. Ce, ceci, cela, sont donc des
termes
métaphysiques, qui ne font qu’indiquer l’existenc
on en a le pluriel. Voyez Pronom . (F) CEDILLE CEDILLE, s. f.
terme
de Grammaire ; la cedille est une espece de petit
ristique, & conserve ainsi la marque de son origine. Au reste, ce
terme
cedille vient de l’Espagnol cedilla, qui signifie
ssiques avec des remarques de Grammaire. CLÉ Clé Clé,
terme
de Polygraphie & de Stéganographie, c’est-à-d
si des autres signes. Or ces sortes d’alphabets qu’on appelle clés en
terme
de Stéganographie, c’est une métaphore prise des
ar l’assemblage ou réunion de plusieurs soldats : peuple est aussi un
terme
collectif, perce qu’il excite dans l’esprit l’idé
bra dicamus. (F) COMMA Comma (Grammaire) COMMA, s. m.
terme
de Gram. & d’impr. Ce mot est Grec, κόμμα, se
la voix moyenne. (F) COMPARATIF COMPARATIF, adj. pris subst.
terme
de Grammaire. Pour bien entendre ce mot, il faut
angue Françoise. p. 60. Nous avons emprunté des Italiens cinq ou six
termes
de dignités, dont nous nous servons en certaines
’égalité ne l’est point ; il y a, dis-je, bien de l’apparence que les
termes
de comparatif & de superlatif nous seroient i
CONCORDANCE Concordance (Grammaire) CONCORDANCE, s. f.
terme
de Grammaire. Ce que je vais dire ici sur ce mot,
oit, & que je dois parler en grammairien quand j’explique quelque
terme
de Grammaire. Pour bien entendre le mot de concor
m ; ce qui fait un sens qui est, ou le sujet de la proposition, ou le
terme
de l’action d’un verbe. On en trouvera des exempl
de la construction. Voy. Construction. (F) CONCRET CONCRET,
terme
dogmatique. Ce mot vient du latin concretus, part
ucun objet déterminé, sont pris substantivement, & sont autant de
termes
abstraits. L’ancienne philosophie avoit un certai
s especes conviennent entr’eux en certain points, ils ont inventé des
termes
particuliers pour marquer la vue de leur esprit,
que l’esprit conçoit entre les objets blancs. Ainsi, blancheur est un
terme
abstrait, qui marque la propriété d’être blanc, c
homme qui est roi. Nous avons dit d’abord que ce mot concret étoit un
terme
dogmatique ; en effet, il n’est pas en usage dans
t qu’être abstrait. (F) CONJONCTIF, IVE CONJONCTIF, IVE, adj.
terme
de Grammaire, qui se dit premierement de certaine
risonius in Sanctii Minervâ. l. I. c. xiij. n. 1. Ainsi conservons le
terme
de subjonctif, & regardons-le comme mode adjo
CONJONCTION Conjonction (Grammaire) CONJONCTION, s. f.
terme
de Grammaire. Les conjonctions sont de petits mot
est ce que les Grammairiens appellent la figure. Ils entendent par ce
terme
, la propriété d’être un mot simple ou d’être un m
jonction est d’un grand usage dans les comparaisons ; elle conduit du
terme
comparé au terme qu’on prend pour modele ou pour
grand usage dans les comparaisons ; elle conduit du terme comparé au
terme
qu’on prend pour modele ou pour exemple : les fem
CONJUGAISON Conjugaison (Grammaire) CONJUGAISON, s. f.
terme
de Grammaire, conjugatio : ce mot signifie joncti
lon les voix, les modes, les tems, les nombres, & les personnes ;
termes
de Grammaire qu’il faut d’abord expliquer. Le mot
s qui sont destinées à indiquer que le sujet de la proposition est le
terme
de l’action qu’un autre fait, qu’il en est le pat
rammairiens se servent du mot pâtir, pour exprimer qu’un objet est le
terme
ou le but d’une action agréable ou desagréable qu
ait, ou du sentiment qu’un autre a : aimer ses parens, parens sont le
terme
ou l’objet du sentiment d’aimer. Amo, j’aime, ama
active ; mais amatus, aimé, est de la voix passive. Ainsi de tous les
termes
dont on se sert dans la conjugaison, le mot voix
combinés, comme je lisois quand vous étes venu, &c. Voyez Tems ,
terme
de Grammaire. Les nombres. Ce mot, en termes de
revenons au mot conjugaison. On peut aussi regarder ce mot comme un
terme
métaphorique tiré de l’action d’atteler les anima
CONSONNANCE Consonnance (Grammaire) CONSONNANCE, s. f.
terme
de Grammaire ou plutôt de Rhetorique. On entend p
ne veulent point de compagnie. (F) CONSONNE CONSONNE, s. f.
terme
de Grammaire : on divise les lettres en voyelles
s aux autres. Consonnes foibles. Consonnes fortes. B P Bacha. Pacha,
terme
d’honneur qu’on donne aux grands officiers chez l
nds officiers chez les Turcs. Baigner. Peigner. Bain. Pain. Bal. Pal,
terme
de blason. Balle. Pâle. Ban. Pan, dieu du paganis
Percer. Billard. Pillard. Blanche. Planche. Bois. Pois. D T Dactyle,
terme
de Poésie. Tactile , qui peut être touché ou qui
et, ville de Gascogne. Cabaret. Gache. Cache. Gage. Cage. Gale. Cale,
terme
de Marine. Gand. Can,, qu’on écrit communément Ca
CONSTRUCTION Construction (Grammaire) CONSTRUCTION, s. f.
terme
de Grammaire ; ce mot est pris ici dans un sens m
ition ; mais si j’ajoûte des modificatifs ou adjoints à chacun de ses
termes
, la construction simple les placera successivemen
à quelque mot d’une autre, & que ce qui lie doit être entre deux
termes
: ainsi dans cet exemple vulgaire, Deus quem. ado
ui ne sauroit jamais être un ordre certain, auquel on peut opposer le
terme
d’inversion : incerta hoec si tu postules ratione
es propositions sont liées entr’elles par des conjonctions ou par des
termes
relatifs. Les rapports mutuels que ces propositio
es propositions liées entr’elles par des conjonctions ou par d’autres
termes
relatifs, est appellé période par les Rhéteurs. I
une énonciation qui est ou le sujet d’une proposition logique, ou le
terme
de l’action d’un verbe, ce qui est trés-ordinaire
Ce sens formé par un nom avec un infinitif, est aussi fort souvent le
terme
de l’action d’un verbe : cupio me esse clementem
t : où vous voyez que me esse clementem fait un sens total qui est le
terme
de l’action de cupio. Cupio hoc nempe, me esse cl
nt à un nom, peut également être ou le sujet d’une proposition, ou le
terme
de l’action d’un verbe. Ces sortes d’énonciations
r que ; ce qui arrive en deux manieres. 1°. Ce mot que est souvent le
terme
de l’action du verbe qui suit : par exemple, le l
ion du verbe qui suit : par exemple, le livre que je lis ; que est le
terme
de l’action de lire. C’est ainsi que dont, duquel
éterminative qui va suivre un verbe : je dis que ; que est d’abord le
terme
de l’action je dis, dico quod ; la proposition qu
me suit est l’attribut ; suit est le verbe ; me est le déterminant ou
terme
de l’action de suit : car selon l’ordre de la pen
irectement le volume & la petitesse des moutons ; c’est plûtôt un
terme
d’affection & de tendresse. La nature nous in
rque ici un état de sujet ; il exprime en même tems l’action & le
terme
de l’action : car vous paissez est autant que vou
l’action : car vous paissez est autant que vous mangez l’herbe. Si le
terme
de l’action étoit exprimé séparément, & qu’on
ction des vûes de l’esprit, vous est après le verbe, puisqu’il est le
terme
ou l’objet de l’action de forcer. Cette transposi
sition, & par cette raison il précede le verbe ; la nature est le
terme
de l’action de suit, & par cette raison ce mo
l’infinitif ressentir, parce qu’il en est le déterminant ; il est le
terme
de l’action de ressentir. L’ambition, l’honneur,
ribut commun. Ces individus sont ici des individus métaphysiques, des
termes
abstraits, à l’imitation d’objets réels. Ne se r
tion incidente. Tant de maux, c’est le déterminant de font, c’est le
terme
de l’action de font. Tant, vient de l’adjectif t
rez, est le verbe ; l’usage, est le déterminant de ignorez ; c’est le
terme
de la signification d’ignorer ; c’est la chose ig
n. La trouble, c’est l’attribut : trouble, est le verbe ; la, est le
terme
de l’action du verbe. La est un pronom de la troi
lle coeur. L’appelle à son aide, c’est l’attribut de qui ; la est le
terme
de l’action d’appelle ; appelle elle, appelle la
i rappelle raison. Produit que, c’est l’attribut d’elle : que est le
terme
de produit ; c’est un pronom qui rappelle effet.
it ; c’est un pronom qui rappelle effet. Que étant le déterminant ou
terme
de l’action de produit, est après produit, dans l
; joint elle produit avec effet. Or ce qui joint doit être entre deux
termes
; la relation en est plus aisément apperçûe, comm
’opposer, opposer soi, se mettre devant comme un obstacle. Se, est le
terme
de l’action d’opposer. La construction usuelle le
out, Cicéron a dit, opponere ad. Ne surmonte rien ; rien est ici le
terme
de l’action de surmonte. Rien est toûjours accomp
s, rendre ces thrésors éternels : ces mots forment un sens qui est le
terme
de l’action de voulons ; c’est la chose que nous
ues. Je ne sai qui a fait cela, nescio quis fecit ; quis fecit est le
terme
ou l’objet de nescio : nescio hoc, nempe quis fec
fortune décide Selon ses caprices divers. La fortune, sujet simple,
terme
abstrait personnifié ; c’est le sujet de la propo
CONTRACTION Contraction (Grammaire) CONTRACTION, s. f. (
terme
de Gramm.) C’est la réduction de deux syllabes en
ontractions. (F) CRASE Crase (Grammaire) CRASE, s. f.
terme
de Grammaire ; la crase est une de ces figures de
ntraction. (F) CROCHET Crochet Crochet ou Crochets,
termes
d’Imprimerie. Les crochets sont au nombre des sig
ne se construisent qu’avec l’accusatif. Or que l’accusatif marque le
terme
de l’action que le verbe signifie, ou qu’il fasse
ésigner. En françois si nous voulons faire connoître qu’un nom est le
terme
ou l’objet de l’action ou du sentiment que le ver
es terminaisons. (F) DECLINABLE DECLINABLE, adj. m. & f.
terme
de Grammaire. Il y a des langues où l’usage a éta
DECLINAISON Déclinaison (Grammaire) DECLINAISON, s. f.
terme
de Grammaire. Pour bien entendre ce que c’est que
verbe, je juge que c’est le nom de celui qui a été vaincu : c’est le
terme
de l’action de vainquit : mais je ne dis pas pour
(F) DÉCLINER Décliner (Grammaire) DÉCLINER, v. act.
terme
de Grammaire, c’est dire de suite les terminaison
EFECTIF Deffectif (Grammaire) DEFECTIF ou DEFECTUEUX, adj.
terme
de Gramm. qui se dit ou d’un nom qui manque, ou d
Conjugaison, Declinaison, Verbe . (F) DÉFINI DÉFINI, adj. (
terme
de Grammaire.) qui se dit de l’article le, la, le
e l’adjectif. Voy. Comparatif . (F) DENTALE DENTALE, adj. f.
terme
de Gramm. on le dit de certaines lettres qui se p
es dentales. Voyez Consonne . (F) DÉPONENT DÉPONENT, adj. m.
terme
de Grammaire latine. On ne le dit que de certains
F) DÉRIVATION Dérivation (Grammaire) DÉRIVATION, s. f.
terme
de Grammaire ; c’est un terme abstrait pour marqu
ation (Grammaire) DÉRIVATION, s. f. terme de Grammaire ; c’est un
terme
abstrait pour marquer la descendance, &, pour
vent sur la dérivation des mots. Dérivé, ée, part. pass. de dériver,
terme
de Grammaire : ce mot se prend substantivement, c
TERMINATION Détermination (Grammaire) DÉTERMINATION, s. f.
terme
abstrait ; il se dit en Grammaire, de l’effet que
isés. Voyez Poésie . (F) DIMINUTIF, IVE DIMINUTIF, IVE, adj.
terme
de Grammaire, qui se prend souvent substantivemen
selle de Gournai, n’ont rien négligé en leur tems pour introduire ces
termes
dans notre langue. Ronsard en a parsemé ses vers,
emarques, tom. I. p. 199. (F) DIPHTHONGUE DIPHTHONGUE, s. f.
terme
de Grammaire ; ce mot par lui-même est adjectif d
s dans le style, comme lorsque traitant un sujet grave, on se sert de
termes
bas, ou qui ne conviennent qu’au style simple. Il
e. Voy. l’article Convenance. DISJONCTIVE DISJONCTIVE, s. f.
terme
de Grammaire : on le dit de certaines conjonction
tes, & c. édit. de 1738. (F) DISSYLLABE DISSYLLABE, adj.
terme
de Grammaire, c’est un mot qui n’a que deux sylla
us contraires. (F) DIVISION Division Division, s. f.
terme
d’Imprimerie ; c’est une petite ligne ou tiret do
ire à un homme de lettres. Le P. Giraudeau, dis-je, s’explique en ces
termes
, pag. 4. « L’èta se prononce comme un ê long &am
ntre il aime & ils aiment. (F) EDUCATION EDUCATION, s. f.
terme
abstrait & métaphysique ; c’est le soin que l
ement, vie, mort, néant, maladie, santé, vûe, &c. ne sont que des
termes
abstraits que nous avons inventés sur le modele &
s réels, tels que Soleil, Lune, Terre, Etoiles, &c. & que ces
termes
abstraits nous ont paru commodes pour faire enten
&c. (F) ELLIPSE Ellipse (Grammaire) ELLIPSE, s. f.
terme
de Grammaire ; c’est une figure de construction,
e la méthode latine de P. B. établit au chapitre de l’ellipse, en ces
termes
: « Toutes les fois que l’infinitif est seul dan
ement ». (F) ENCLITIQUE ENCLITIQUE, adj. féminin pris subst.
terme
de Grammaire, & sur-tout de Grammaire greque,
chi la république des Lettres. (F) EPENTHESE EPENTHESE, s. f.
terme
de Gram. RR. ἐπὶ, ἐν, in, τίθημι, pono. C’est une
t autant d’exemples de l’épenthese. (F) EPICENE EPICENE, adj.
terme
de Grammaire, ἐπίκοινος, super communis, au-dessu
e de P. R. au traité des genres. (F) EPITHETE EPITHETE, s. f.
terme
de Grammaire & de Rhétorique, du grec ἐπίθετο
e. (F) ESPRIT Esprit (Grammaire grecque) ESPRIT, s. m.
terme
de Grammaire greque, Le mot esprit, spiritus, sig
ieme édit. pag. 238. & 239. (F) EUPHONIE EUPHONIE, s. f.
terme
de Grammaire, prononciation facile. Ce mot est gr
EXPERIENCE Expérience (Philosophie) EXPERIENCE, s. f.
terme
abstrait, (Philosophie.) signifie communément la
s exactes. (F) EXPLÉTIF, EXPLÉTIVE EXPLÉTIF, EXPLÉTIVE, adj.
terme
de Grammaire. On dit, mot explétif (méthode grequ
ancé. Voyez Genre . (F) FIGURATIVE FIGURATIVE, adj. pris sub.
terme
de Grammaire, & sur-tout de Grammaire greque
pratique de l’explication. (F) FIGURE Figure Figure,
terme
de Rhétorique, de Logique & de Grammaire. Ce
r des idées desagréables, odieuses, tristes ou peu honnêtes, sous des
termes
plus convenables & plus décens. L’ironie est
d’elle seule & leur lustre & leur prix. Figure est aussi un
terme
de Logique. Pour bien entendre ce mot, il faut se
l faut se rappeller que tout syllogisme régulier est composé de trois
termes
. Faisons connoître par un exemple ce qu’on entend
rois termes. Faisons connoître par un exemple ce qu’on entend ici par
terme
. Supposons qu’il s’agisse de prouver cette propos
e prouver cette proposition, un atome est divisible ; voilà déjà deux
termes
qui font la matiere du jugement, l’un est sujet,
nt, l’un est sujet, l’autre est attribut : atome est appellé le petit
terme
, parce qu’il est le moins étendu, il ne se dit qu
ndu, il ne se dit que de l’atome ; au lieu que divisible est le grand
terme
, parce qu’il se dit d’un grand nombre d’objets, i
ble n’apperçoit pas la connexion ou identité qu’il y a entre ces deux
termes
, & que divisible est un attribut inséparable
qu’il y a entre atome & divisible ; étendu est donc un troisieme
terme
qu’on appelle le medium ou moyen, par lequel on a
lle le medium ou moyen, par lequel on apperçoit la connexion des deux
termes
de la conclusion, c’est-à-dire que le moyen est l
on des deux termes de la conclusion, c’est-à-dire que le moyen est le
terme
qui donne lieu à l’esprit d’appercevoir le rappor
sprit d’appercevoir le rapport qu’il y a entre l’un & l’autre des
termes
de la conclusion : ainsi petit terme, grand terme
a entre l’un & l’autre des termes de la conclusion : ainsi petit
terme
, grand terme, moyen terme, voilà les trois termes
& l’autre des termes de la conclusion : ainsi petit terme, grand
terme
, moyen terme, voilà les trois termes essentiels à
e des termes de la conclusion : ainsi petit terme, grand terme, moyen
terme
, voilà les trois termes essentiels à tout syllogi
lusion : ainsi petit terme, grand terme, moyen terme, voilà les trois
termes
essentiels à tout syllogisme régulier. Or la disp
mes essentiels à tout syllogisme régulier. Or la disposition du moyen
terme
avec les deux autres termes de la conclusion, est
gisme régulier. Or la disposition du moyen terme avec les deux autres
termes
de la conclusion, est ce que les Logiciens appell
’est la quatrieme figure. Il n’y a point d’autre disposition du moyen
terme
avec les deux autres termes de la conclusion : ai
l n’y a point d’autre disposition du moyen terme avec les deux autres
termes
de la conclusion : ainsi il n’y a que quatre figu
sauroit refuser en détail ce qu’on a accordé expressément, quoiqu’en
termes
généraux. Figure est encore un terme particulier
ccordé expressément, quoiqu’en termes généraux. Figure est encore un
terme
particulier de Grammaire fort usité par les gramm
dit familierement déjeuner à fond de cuve, c’est-à-dire amplement. En
terme
de jeu on dit aller à fond, pour dire écarter aut
dire écarter autant de cartes qu’on peut en prendre dans le talon. En
terme
de Marine, le fond de cale est la partie la plus
t la fortune est renversée, qu’il est coulé à fond. On dit encore, en
terme
de Marine, donner fond, c’est-à-dire jetter l’anc
de quelquefois sans trouver fond. Un bon fond dans le sens propre, en
terme
de Marine, veut dire un bon ancrage, c’est-à-dire
, on peut se servir indifféremment de l’un ou de l’autre de ces trois
termes
. Mais il y a bien des circonstances où le choix n
ns passif, quand le sujet auquel il a rapport, est consideré comme le
terme
de l’impression produite par l’action que ce mot
quent alors l’aide ou le secours que l’on me donnera, dont je suis le
terme
& non pas le principe. (Voyez Vaugelas, Rem.
parce que la robe à laquelle ils ont rapport, est considerée comme le
terme
de l’impression produite par l’action de gâter. V
t actif, dont le sujet ne seroit envisagé ni comme principe, ni comme
terme
de l’action énoncée par ce mot : or cela est abso
uquel se rapporte une action, en est nécessairement le principe ou le
terme
. Une des causes qui a jetté M. du Marsais dans ce
gile dit, Mat. xj. 5. les aveugles voyent, les Boiteux marchent, ces
termes
, les aveugles, les boiteux, se prennent en cette
uvres, tous deux chassés de leurs pays, ne doivent pas recourir à des
termes
enflés, ni se servir de grands mots : il faut qu’
particuliere des mots qui entrent dans une phrase, que de ce que les
termes
en sont équivoques en soi. Ainsi ce seroit plutôt
« Le dieu du tonerre, dit notre grammairien, paroît d’abord être le
terme
de l’action de charmer & de désarmer, aussi b
sens tropologique ou moral. I. Le sens grammatical est celui que les
termes
du texte présentent à l’esprit, suivant la propre
s du texte présentent à l’esprit, suivant la propre signification des
termes
. Ainsi quand on dit que Dieu se repent, qu’il se
i qui s’attache à l’histoire, au fait, au sens que le récit & les
termes
de l’Ecriture présentent d’abord à l’esprit. Ains
orique & figuré est celui qui recherche ce qui est caché sous les
termes
ou sous l’événement dont il est parlé dans l’hist
lle, à la béatitude, à cause de la conformité ou proportion entre les
termes
dont on se sert pour exprimer ce qui se passe en
ngent-ils si fort les idées ? Il falloit à l’homme un grand nombre de
termes
pour exprimer la foule de ses idées ; ces termes
e un grand nombre de termes pour exprimer la foule de ses idées ; ces
termes
qui sont arbitraires, deviennent tellement famili
ent pas davantage le plus souvent des idées mêmes des choses, que des
termes
qui sont des caracteres expressifs de ces idées ;
point un mot vulgaire ; écrivons donc & prononçons synecdoque. Ce
terme
signifie compréhension : en effet dans la synecdo
doque du genre : comme quand on dit, les mortels pour les hommes ; le
terme
de mortels devroit pourtant comprendre aussi les
2. numeri ab oratore quoeruntur ; & plus bas, il s’exprime en ces
termes
: Aristoteles versum in cratione vetat esse, nume
ellement scandaleux]. Or il me semble, continue M. du Marsais, que le
terme
de meres n’est relatif qu’à enfans ; il ne l’est
uns. — Importance des noms communs ou généraux. — Ils sont le premier
terme
d’un couple. — Le second terme de ce couple est u
uns ou généraux. — Ils sont le premier terme d’un couple. — Le second
terme
de ce couple est un caractère général et abstrait
re général et abstrait. II. Conséquences. — L’expérience de ce second
terme
est impossible. — Raisons de cette impossibilité.
signes, et, en particulier, comme tous les noms, ils sont le premier
terme
d’un couple et tirent derrière eux un second term
ls sont le premier terme d’un couple et tirent derrière eux un second
terme
. Mais ce second a des caractères fort singuliers
points de vue. Voilà un couple d’espèce nouvelle, puisque son second
terme
n’est pas un objet dont nous puissions avoir perc
te de notre action. Ce sont ces innombrables petites émotions qui, au
terme
de notre examen prolongé, se résument en une impr
de ces expériences. Dorénavant, le couple dont le nom est le premier
terme
comprend, comme second terme, un cortège immense
nt, le couple dont le nom est le premier terme comprend, comme second
terme
, un cortège immense d’autres mots et, par suite,
— Telle est la vertu de la substitution établie par les couples. Deux
termes
étant les équivalents l’un de l’autre, le premier
rendant plus hétérogène, en appliquant à des fonctions spéciales les
termes
qui, jusque-là, se remplaçaient à peu près indiff
se subordonnèrent par leur ordre de présentation ; et l’on rebuta des
termes
de liaison, conjonctions et locutions conjonctive
radition ancienne et ne reconnaissait que l’usage actuel : ainsi tout
terme
suranné était absolument proscrit ; il ne restait
abulaire des honnêtes gens, et les vocabulaires des métiers, tous les
termes
professionnels et techniques, leur furent interdi
es et dérivés, il ne contenait que la langue de la société polie, les
termes
d’usage universel, qui sont les signes nécessaire
pourrait appeler le domaine commun des intelligences. L’abondance des
termes
de chasse, de blason et de guerre marque le carac
guerre marque le caractère aristocratique de cette société, mais les
termes
techniques y font si absolument défaut, qu’un aca
ngers importés brutalement ; maison, habitation, home, sont les trois
termes
d’une même idée, ou de trois idées fort voisines
e, dénie, flamme, véridiques témoins. Il y a aussi un grand nombre de
termes
abstraits qui, quoique d’une physionomie assez ba
ues empruntent nécessairement, quand ils écrivent la plus pauvre, les
termes
qui lui manquent et que l’autre possède en abonda
en abondance. Or, à ce moment, le français paraissait aussi pauvre en
termes
abstraits que le latin classique, tandis que le l
nctif de la pureté des mots, a le sens de leur beauté. Il loue en ces
termes
insidieux : « il est beau et doux à l’oreille. ».
dans les questions de principe, à formuler purement et simplement en
termes
plus précis la métaphysique et la critique incons
une simple cour d’enregistrement, chargée tout au plus de libeller en
termes
plus précis des sentences qui lui arrivent irrévo
interruption, s’il est vrai qu’inversion et interruption soient deux
termes
qui doivent être tenus ici pour synonymes, comme
La représentation qu’il forme de l’espace pur n’est que le schéma du
terme
où ce mouvement aboutirait. Une fois en possessio
gendrent mutuellement par l’action et la réaction réciproques de deux
termes
qui sont de même essence, mais qui marchent en se
i conférant enfin les propriétés de l’espace pur, en se transporte au
terme
du mouvement dont elle dessine simplement la dire
s, en réalité, nous sommes obligés de poser les problèmes un à un, en
termes
qui sont par là même des termes provisoires, de s
és de poser les problèmes un à un, en termes qui sont par là même des
termes
provisoires, de sorte que la solution de chaque p
ion ou interversion de la positivité vraie, qu’il faudrait définir en
termes
psychologiques. Certes, si l’on considère l’ord
’espace surgit automatiquement, comme surgit, une fois posés les deux
termes
, le reste d’une soustraction 79. Mais, dans un ca
les opérations de notre intelligence tendent à la géométrie, comme au
terme
où elles trouvent leur parfait achèvement. Mais,
e la géométrie elle-même la logique, au contraire, si l’espace est le
terme
ultime du mouvement de détente de l’esprit, on ne
métrie, qui sont sur le trajet dont la pure intuition spatiale est le
terme
. On n’a pas assez remarqué combien la portée de l
os inductions aussi bien que celle de nos déductions. Le mouvement au
terme
duquel est la spatialité dépose le long de son tr
les autres à mesure qu’on pousse l’analyse plus loin : si bien qu’au
terme
de cette analyse la matière serait, nous semble-t
érialité n’était le mouvement même qui, prolongé par nous jusqu’à son
terme
, c’est-à-dire jusqu’à l’espace homogène, aboutit
faire compter, mesurer, suivre dans leurs variations respectives des
termes
qui sont fonctions les uns des autres. Pour effec
ilité qu’ils donnent à notre action sur les choses. On rapproche deux
termes
en vertu d’une similitude tout extérieure, qui ju
hez les modernes, avec cette différence que le rapport entre les deux
termes
est interverti, que les lois ne sont plus ramenée
e que pour une intelligence qui se représente en même temps plusieurs
termes
. Cette intelligence peut n’être pas la mienne ni
mpersonnellement, et qu’une expérience faite de lois, c’est-à-dire de
termes
rapportés à d’autres termes, est une expérience f
expérience faite de lois, c’est-à-dire de termes rapportés à d’autres
termes
, est une expérience faite de comparaisons, qui a
et celle des genres. S’il faut une intelligence pour conditionner des
termes
les uns par rapport aux autres, on conçoit que, d
es uns par rapport aux autres, on conçoit que, dans certaine cas, les
termes
, eux, puissent exister d’une manière indépendante
nt exister d’une manière indépendante. Et si, à côté des relations de
terme
à terme, l’expérience nous présentait aussi des t
es relations de terme à terme, l’expérience nous présentait aussi des
termes
indépendants, les genres vivants étant tout autre
nversion. Il ne suffisait pas d’établir que ce rapport entre les deux
termes
nous est suggéré, tout à la fois, par la conscien
sur le rendement des machines thermiques. Sans doute aussi, c’est en
termes
mathématiques que Clausius la généralisa, et c’es
aussi davantage. En tout cas, de la série entière des vivants, aucun
terme
n’eût été ce qu’il est. Maintenant, était-il néce
’il est. Maintenant, était-il nécessaire qu’il y eût une série et des
termes
? Pourquoi l’élan unique ne se serait-il pas impr
l est de l’essence du psychique d’envelopper une pluralité confuse de
termes
qui s’entrepénètrent. Dans l’espace, et dans l’es
auté l’obstacle. C’est dans ce sens tout spécial que l’homme est le «
terme
» et le « but » de l’évolution. La vie, avons-nou
. XXIV). 79. Notre comparaison ne fait que développer le contenu du
terme
logos, tel que l’entend Plotin. Car d’une part le
rtifs. Chronique du Symboliste. Jean Moréas. Acaule Adj. —
Terme
de botanique. Qui n’a point de tige. l. a, priv.
ntes cimes… Palais nomades. Gustave Kahn. Acutangle Adj. —
Terme
de géométrie : dont les angles sont aigus. l. acu
de l’Ève. Palais nomades. Gustave Kahn. Albugineux Adj. —
Terme
d’anatomie, blanchâtre. l. albugo, petites taches
Félix Fénéon. Gnomon s. f. — Tige verticale ; primitivement
terme
astronomique. Ces jeunes filles dont le torse d’
prunelles. Palais nomades. Gustave Kahn. Inscrire v. a. —
Terme
de mathématiques. Tracer à l’intérieur d’une figu
rte. Les Impressionnistes. Félix Fénéon. Invertir v. a. —
Terme
didactique. Renverser symétriquement, l. inverter
ombre recluse. Palais nomades. Gustave Kahn. Mimeux Adj. —
Terme
de botanique. Se dit des plantes qui, lorsqu’on l
es Communions (Vogue, I, 1). Arthur Rimbaud. Noliser v. a. —
Terme
de marine, affréter, l. naulisare. Nolisez les b
ncupatif Adj. — l. nuncupare, dénommer, et capere, prendre. Ancien
terme
de palais. Testament nuncupatif, testament fait d
œil levé. Le Thé chez Miranda. Paul Adam. Pacager v. a. —
Terme
de coutume. Pâturer. Pacageant mes milieux. I
Hommes d’Aujourd’hui (nº 287). P. Verlaine. Papelonner Adj. —
Terme
de blason. Se dit d’une représentation en forme d
iolet Vont… Cantilènes. Jean Moréas. Paradigme s. m. — g.
Terme
de grammaire. Exemple, modèle de déclinaison, de
nos seins. Complaintes. Jules Laforgue. Pédiculaire Adj. —
Terme
de médecine, maladie pédiculaire, engendrant nomb
. Chronique du « Symboliste ». Jean Moréas. Pelvien Adj. —
Terme
d’anatomie : qui appartient au bassin, l. pelvis,
verbe actif périmer, l. perimere, détruire, de per et emere, prendre.
Terme
de chicane. Aux décors des boulevards des tavern
an Moréas. Pliocène Adj.·— g. pleion, plus et kainos, récent.
Terme
de géologie. Terrain pliocène, terrain tertiaire
héâtre : Dans une répétition comique de mots il y a généralement deux
termes
en présence, un sentiment comprimé qui se détend
ntiment d’une accélération croissante en pressant de plus en plus les
termes
de procédure les uns contre les autres) jusqu’à c
in, parce qu’on établirait sans peine une proportion entre les quatre
termes
. Pour bien lire, il suffit de posséder la partie
nt dû se borner à noter l’extraordinaire complexité des choses que ce
terme
désigne, sans réussir d’ordinaire à le définir. I
e, soit une erreur grossière, soit surtout une contradiction dans les
termes
. De là cette règle générale : On obtiendra un mot
en choisissant une relation de parenté incompatible avec le genre des
termes
que cette parenté doit unir : vous aurez un effet
mot d’esprit ; mais ce n’en eût été que le commencement, parce que le
terme
« attraper » est pris au figuré presque aussi sou
le terme « attraper » est pris au figuré presque aussi souvent que le
terme
« courir », et qu’il ne nous contraint pas assez
pirituelle ? Il faudra que vous empruntiez au vocabulaire du sport un
terme
si concret, si vivant, que je puisse m’empêcher d
Il n’est pas rare qu’on se serve de ce moyen pour réfuter une idée en
termes
plus ou moins plaisants. Dans une comédie de Labi
ie, ainsi défini, se prolongera jusqu’à des cas où l’idée exprimée en
termes
familiers est de celles qui devraient, ne fût-ce
de. » Pour résumer ce qui précède, nous dirons qu’il y a d’abord deux
termes
de comparaison extrêmes, le très grand et le très
Maintenant, en resserrant peu à peu l’intervalle, on obtiendrait des
termes
à contraste de moins en moins brutal et des effet
rs, Jean-Paul entre autres, ont remarqué que l’humour affectionne les
termes
concrets, les détails techniques, les faits préci
ion du moral en scientifique. En rétrécissant encore l’intervalle des
termes
qu’on transpose l’un dans l’autre, on obtiendrait
aité comme une affaire, et où les questions de sentiment se posent en
termes
strictement commerciaux. Mais nous touchons ici a
lus apparente de toutes, l’antithèse. Par cette juxtaposition de deux
termes
, de deux objets, de deux ensembles doués d’attrib
tement deux pensées antagonistes, amène la comparaison entre les deux
termes
ainsi heurtés de force, et définis par la révélat
étés hostiles. La phrase même de M. Victor Hugo abonde constamment en
termes
durs à apparier. Parmi d’autres tendances celle d
istiques de M. Hugo : A force de diviser son attention entre les deux
termes
contradictoires qu’il oppose sans cesse, de saute
ndus et trop brefs, sans mesure et parfois difformes. Nous sommes au
terme
de notre analyse. Comme un mouvement transmis des
reine Marie Tudor, se distingue par des passions humaines conçues en
termes
vrais. Dans certaines poésies même, comme Mélanc
Si nous reprenons les résultats de notre analyse, résumés en ces deux
termes
: simplicité de la pensée et richesse de la forme
lui, chaque idée, au lieu d’en suggérer une autre, de se propager de
terme
en terme, du début à la fin d’une œuvre, s’étant
que idée, au lieu d’en suggérer une autre, de se propager de terme en
terme
, du début à la fin d’une œuvre, s’étant immédiate
ant une durée appréciable qu’en mots. Ceux-ci comprennent d’abord les
termes
propres et synonymes, puis les termes analogues,
Ceux-ci comprennent d’abord les termes propres et synonymes, puis les
termes
analogues, enfin, et, nécessairement, les termes
synonymes, puis les termes analogues, enfin, et, nécessairement, les
termes
métaphoriques. De même le poète s’exprime, en eff
s, c’est-à-dire ne nous donnent plus aucun renseignement. De même les
termes
plus abstraits : mystère, trouble, l’éternité, l’
munion avec la foule, parce qu’il en épouse les idées et en redit, en
termes
magnifiques, les aspirations. Coutumier comme ell
rents, ou créant entre eux un rapport qui les assimile, nomme l’un du
terme
qui convient ou qui appartient à l’autre : il fai
et le talent, un poids. À chaque instant, on se trouve en présence de
termes
détournés de leur sens propre : ils nous économis
es qui n’ont pour effet que de provoquer le lecteur à la recherche du
terme
propre qu’elles cachent. Si la figure n’est qu’un
cas. Aussi, à moins qu’elles n’aient acquis par l’usage la force des
termes
propres, et que se suffisant comme eux à elles-mê
eloppée. Comment ménager le passage des expressions métaphoriques aux
termes
propres ? Peuvent-ils se mêler dans la même phras
c’est le procédé des précieux : mais jeter la métaphore au milieu des
termes
propres, n’est-ce pas scabreux aussi, et souvent
ton oisiveté ? (A. de Musset.) Cette confusion des métaphores et des
termes
propres n’est pas propre aux écrivains de notre s
dont on présente successivement tous les membres. Pour le mélange des
termes
propres et des expressions métaphoriques, il est
er une comparaison formelle : le point de contact du mot propre et du
terme
figuré doit être indiqué avec une précision rigou
hore brusque ou préparée, suivie ou abandonnée, plongée au milieu des
termes
propres ou de métaphores dissemblables, lâchée dè
rt du mécanisme est prédominante. C’est qu’il s’agit ici non plus des
termes
mêmes de la pensée, mais de leurs relations et su
era-t-elle, par exemple, sur la ressemblance ou la différence de deux
termes
, si ces termes ne lui sont pas préalablement donn
exemple, sur la ressemblance ou la différence de deux termes, si ces
termes
ne lui sont pas préalablement donnés ? Jamais la
amais la conception d’un rapport ne pourra précéder la conscience des
termes
entre lesquels il est saisi. La raison de Newton
s ont une cause » ; ces deux rapports ne lui auraient jamais donné le
terme
inconnu : gravitation. La doctrine rationaliste s
rer en exercice, d’attendre que le rappel ait eu lieu et que les deux
termes
soient amenés devant elle par quelque moteur diff
ré un certain temps, fait naître le besoin que le plaisir même ait un
terme
; si bien qu’alors, dans la mesure où croît le pl
oupe enivrante : le plaisir est lié à une dépense de force qui a pour
terme
la souffrance. Nous avons donc là plus qu’un cont
sans avoir été alors remarquée par l’intelligence. Parfois aussi, les
termes
intermédiaires entre deux idées conscientes échap
ne peut sans doute s’établir, comme nous l’avons montré, qu’entre des
termes
déjà donnés par un pur automatisme ; mais l’intel
traits et avec les couleurs. Les romains qui emploïoient souvent les
termes
grecs en parlant de musique, en sçavoient certain
mologie et ce que pouvoit changer dans la signification propre de ces
termes
un usage autorisé. Or saint Augustin dit positive
ils étoient composez, et par consequent de leur cadence. Ainsi modi,
terme
que les latins emploïent souvent en parlant de le
nt que tout ce qu’un musicien doit faire est presque renfermé sous le
terme
de modulation. Je pourrois encore citer plusieurs
citer plusieurs passages d’anciens auteurs latins qui ont emploïé les
termes
de modi et de modulatio dans un sens aussi étendu
gréable, et d’en faire un bruit plus flateur pour l’oreille. Enfin le
terme
de modulation avoit parmi les romains, la même si
cation précise, parce que n’aïant point la chose, nous n’avons pas le
terme
propre à la signifier, et qui vouloit dire la mes
ne sait pas lui faire dire, et l’on crée des tours de phrases et des
termes
pour le besoin de sa pensée. Le néologisme, la pl
toutes les articulations des périodes, tous les mots qui liaient les
termes
expressifs, et les assemblaient selon les exigenc
selon les exigences de la syntaxe, pour ne laisser subsister que ces
termes
expressifs, dépositaires de l’impression et du se
Sévigné. Une classe de néologismes qu’on doit proscrire, ce sont les
termes
qu’on forge pour remplacer les locutions composée
voix, des morceaux d’auteurs anglais ou allemands. En recherchant les
termes
les plus justes qui répondent aux mots étrangers
apercevons alors l’un et l’autre, étant arrivés au point où les deux
termes
sont mitoyens, et l’image du néant, ainsi définie
sion de tout absolument implique une véritable contradiction dans les
termes
, puisque cette opération consisterait à détruire
tion est donc obligée de se tronquer. Au lieu d’affirmer qu’un second
terme
s’est substitué au premier, on maintiendra sur le
. Et, sans sortir du premier, on affirmera implicitement qu’un second
terme
le remplace en disant que le premier « n’est pas
ol est humide » ou « le sol n’est pas humide », dans les deux cas les
termes
« sol » et « humide » sont des concepts plus ou m
on à l’intelligence hébétée. L’intelligence affirmera donc encore, en
termes
implicites. Et, par conséquent, ni les concepts d
d’humidité où ils vivent effectivement. Tenez-vous en strictement aux
termes
de la proposition « le soi n’est pas humide », vo
lle pour que, d’idée, elle devienne acte. Et de là vient aussi que le
terme
où notre activité se reposera est seul représenté
perpétuel écoulement, à aucune de nos actions nous n’assignerions un
terme
. Nous sentirions chacune d’elles se dissoudre au
s fait avancer d’un pas, puisqu’elle le laisse toujours aussi loin du
terme
. Pour avancer avec la réalité mouvante, c’est en
l’antiquité classique, la philosophie des Formes ou, pour employer un
terme
plus voisin du grec, la philosophie des Idées. Le
formes réalisées l’une après l’autre. La philosophie pourra donc, des
termes
du premier genre, tirer ceux du second, mais non
ulation devrait partir. Mais l’intelligence renverse l’ordre des deux
termes
, et, sur ce point, la philosophie antique procède
entre les deux membres d’une équation, dont le premier membre est un
terme
unique et le second une sommation d’un nombre ind
st un terme unique et le second une sommation d’un nombre indéfini de
termes
. C’est, si l’on veut, le rapport de la pièce d’or
sommation se poursuit sans fin, n’ayant jamais commencé, c’est que le
terme
unique qui lui équivaut éminemment est éternel. U
e il appartenait, y va maintenant retrouver sa place. On note donc le
terme
final ou le point culminant (telos, akmè), on l’é
haut qu’il subit. Et il énonce bien, en somme, que l’un de ces trois
termes
est fonction des deux autres. La différence essen
positions à un moment donné. Sans doute le problème ne se pose en ces
termes
précis que dans des cas très simples, pour une ré
l’évolution psychologique qui la remplit et l’invention qui en est le
terme
. Le temps d’invention ne fait qu’un ici avec l’in
parce que notre mémoire a coutume d’aligner dans un espace idéal les
termes
qu’elle perçoit tour à tour, parce qu’elle se rep
ps ». La scission n’était donc pas encore irrémédiable entre les deux
termes
. Elle l’est devenue, et dès lors une métaphysique
’âme et le corps. C’est pour avoir coupé toute attache entre les deux
termes
que les philosophes furent conduits à établir ent
égale importance qu’ils attachent à l’étendue. Chez Spinoza, les deux
termes
Pensée et Étendue sont placés, en principe au moi
Or une relation n’existe pas séparément. Une loi relie entre eux des
termes
qui changent ; elle est immanente à ce qu’elle ré
hilosophes devaient être conduits à sacrifier le plus faible des deux
termes
, et à tenir l’aspect temporel des choses pour une
temporel des choses pour une pure illusion. Leibniz le dit en propres
termes
, car il fait du temps, comme de l’espace, une per
stratum cérébral pour l’état psychologique, rien de plus. De ce qu’un
terme
est solidaire d’un autre terme, il ne suit pas qu
ychologique, rien de plus. De ce qu’un terme est solidaire d’un autre
terme
, il ne suit pas qu’il y ait équivalence entre les
elle de la machine à l’écrou. Parler d’une équivalence entre les deux
termes
, c’est simplement tronquer — en la rendant à peu
elation est une liaison établie par un esprit entre deux ou plusieurs
termes
. Un rapport n’est rien en dehors de l’intelligenc
, avant tout, une faculté d’établir des rapports, Kant attribuait aux
termes
entre lesquels les rapports s’établissent une ori
ans l’espace lui-même, et dans la géométrie qui lui est immanente, un
terme
idéal dans la direction duquel les choses matérie
nt l’évolué avec lui-même qu’on reproduira l’évolution dont il est le
terme
. S’agit-il de l’esprit ? Par la composition du ré
onsolidée, ne saurait être supposé au départ. Que le premier des deux
termes
ait atteint plus vite que l’autre sa forme défini
inir l’intelligence par cette correspondance. Il a raison d’y voir le
terme
d’une évolution. Mais quand il en vient à retrace
ut, que les mêmes principes ne sont pas applicables à l’origine et au
terme
d’un progrès, que ni la création ni l’annihilatio
t à la famille qu’on vient de décrire, et chacun d’eux est le premier
terme
sensible, apparent d’un couple. Lorsque j’entends
, plus ou moins expresse, et la liaison entre le premier et le second
terme
de ce couple est si précise qu’en cent millions d
qu’en cent millions de cas et pour deux millions d’hommes le premier
terme
amène toujours le second. III Maintenant, s
arrêté sur des remarques si simples. Des couples, tels que le premier
terme
fasse apparaître aussitôt le second, et l’aptitud
erme fasse apparaître aussitôt le second, et l’aptitude de ce premier
terme
à remplacer l’autre, en tout ou en partie, de faç
emières dans l’ordre moral ; mais les idées trop fines n’ont point de
termes
de comparaison dans la nature animée. Dans les sc
igurées sont celles qui retracent le plus de pensées avec le moins de
termes
. Ce n’est pas non plus perfectionner le style, qu
hommes, et sur les moyens de les faire naître. C’est la gradation des
termes
, la convenance et le choix des mots, la rapidité
ge si simple d’un grand homme, cette gradation qui donne pour dernier
terme
de la gloire les affections de son pays, fait épr
timents qui inspirent le besoin d’une expression plus nuancée ou d’un
terme
plus éloquent, le mot dont on se sert, fût-il inu
us ceux qui savent lire, qu’il n’existait pas dans la langue un autre
terme
qui rendit précisément la même nuance de pensée,
nvention des mots ne peut s’appliquer aux sciences ; il leur faut des
termes
nouveaux pour des faits nouveaux, et les vérités
s occasions, ils se refroidissent bientôt pour les expressions et les
termes
qu’ils ont le plus aimés. La même justesse d’espr
é cette pensée, ou qu’ils lui auraient donné un autre tour. Il y a un
terme
, disent les uns, dans votre ouvrage, qui est renc
esprits vifs et décisifs étaient crus, ce serait encore trop que les
termes
pour exprimer les sentiments : il faudrait leur p
l et d’une pénible recherche ; elles sont heureuses dans le choix des
termes
, qu’elles placent si juste, que tout connus qu’il
Coeffeteau ; lequel lit-on de leurs contemporains ? Balzac, pour les
termes
et pour l’expression, est moins vieux que Voiture
endre de belles choses : l’on doit avoir une diction pure, et user de
termes
qui soient propres, il est vrai ; mais il faut qu
user de termes qui soient propres, il est vrai ; mais il faut que ces
termes
si propres expriment des pensées nobles, vives, s
, ce qui use la plus longue patience, il faut lire un grand nombre de
termes
durs et injurieux que se disent des hommes graves
ui écrivent par humeur, que le cœur fait parler, à qui il inspire les
termes
et les figures, et qui tirent, pour ainsi dire, d
aire en une sorte d’écrits hasarder de certaines expressions, user de
termes
transposés et qui peignent vivement ; et plaindre
édie FORMATION Formation (Grammaire) FORMATION, s.f.
terme
de Grammaire, c’est la maniere de faire prendre à
connoître la juste valeur, de découvrir l’analogie philosophique des
termes
, de penétrer jusqu’à la métaphysique des langues,
angues possibles. (E. R. M.) FREQUENTATIF FREQUENTATIF, adj.
terme
de Grammaire, c’est la dénomination que l’on donn
circonstance du tems à laquelle on fixe l’autre évenement qui sert de
terme
à la comparaison. C’est la même chose dans caenav
’a pas osé en dépouiller entierement celui-ci, il l’y répete en mêmes
termes
. Il l’a appellé futur-parfait, parce qu’il y démê
s spécifiques ou d’espece. « Les premiers, pour employer les propres
termes
de M. du Marsais, conviennent à tous les individu
des richesses dans le sein même de l’indigence, & assujettir les
termes
les plus vagues aux expressions les plus précises
s qui en ont reçu : son usage universel est de présenter le nom comme
terme
d’un rapport quelconque, qui détermine la signifi
la terminaison is : cette terminaison présente ici le soleil comme le
terme
auquel on rapporte le nom appellatif lumen (la lu
metus supplicii, &c. Partout le nom qui est au génitif exprime le
terme
du rapport ; le nom auquel il est associé en expr
ague d’un nom appellatif par un rapport quelconque dont il exprime le
terme
; c’étoit dans cette propriété qu’il en falloit p
st spécifié dans les différentes occurrences (qu’on nous permette les
termes
propres) par la nature de son antécédent & de
ons inséparables, dont quelqu’une est spécialement déterminative d’un
terme
antécédent. Chaque langue a son génie & ses r
ffets. (E. R. M.) GENRE Genre (Grammaire) GENRE, s. m.
terme
de Grammaire. Genre ou classe, dans l’usage ordin
-uns sont douteux, & quelques autres hétérogenes. Voilà autant de
termes
qu’il convient d’expliquer ici pour faciliter l’i
.) GOUVERNER Gouverner (Grammaire) GOUVERNER, v. act.
terme
de Grammaire. Il ne suffit pas, pour exprimer une
un peu énigmatiques. Mais il est très-difficile de n’employer que des
termes
propres ; & il faut avoüer d’ailleurs que les
oyer que des termes propres ; & il faut avoüer d’ailleurs que les
termes
figurés deviennent propres en quelque sorte, quan
iences & des Arts. (E. R. M.) GRAMMAIRE GRAMMAIRE, s. f.
terme
abstrait. R. Γράμμα, littera, lettre ; les Latins
saine Logique est le fondement de la Grammaire. En effet, de quelques
termes
qu’il plaise aux différens peuples de la terre de
agé toutes ces choses ; souvent le besoin les obligera d’employer des
termes
appellatifs & généraux, même pour exprimer de
des propositions qui auront leurs sujets & leurs attributs ; des
termes
dont le sens incomplet exigera un complément, un
luence du concours des circonstances est frappante, si l’on prend des
termes
de comparaison très-éloignés, ou par les lieux, o
ou du siecle de François I. à celui de Louis XIV : en un mot plus les
termes
comparés se rapprocheront, plus les différences p
que l’usage de notre langue paroit avoir laissée sur la formation des
termes
techniques, nous ont déterminés à en risquer plus
la Grammaire. Nous ferons en sorte qu’ils soient dans l’analogie des
termes
didactiques usités, & qu’ils expriment exacte
parole en deux parties, qui sont la Lexicologie & la Syntaxe. Le
terme
de Lexicologie signifie explication des mots ; R.
si l’on disoit ortographe des mots, & ortographe du discours. Le
terme
de Logographie est connu dans un autre sens, mais
ns : ils les appellerent στοιχεῖα, élémens, ou γράμματα, lettres. Les
termes
d’élémens, de sons & d’articulations, ne devr
la parole écrite ; cependant c’est assez l’ordinaire de confondre ces
termes
, & de les employer les uns pour les autres. C
que. (E. R. M.) GRAVE Grave (Grammaire) GRAVE, adj. en
terme
de Grammaire : on dit, accent grave, accent aigu,
e leur conjugaison. Voyez Anomal . L’idée commune attachée à ces deux
termes
est donc celle de l’irrégularité ; ce font deux d
ans cet article que des exemples latins, il ne faut pas croire que le
terme
& le fait qu’il désigne soient exclusivement
μόνομος, de même nom ; racines, ὁμὸς, semblable, & ὄνομα, nom. Ce
terme
grec d’origine, étoit rendu en latin par les mots
s, qu’il est à propos de ne pas confondre, si l’on veut prendre de ce
terme
une idée juste & précise. J’appellerois donc
arée par un jugement plus sage qu’il en porte presque aussitôt en ces
termes
: hoc genus facilè in pueriles ineptias excidit.
Sciences & des Arts, que l’équivoque & la confusion dans les
termes
destinés à en perpétuer la tradition, par conséqu
près la plus grande partie des Grammairiens. Voyez Enallage . Mais ce
terme
n’est, selon lui, qu’un nom mystérieux, plus prop
exemples mêmes de M. du Marsais, & je me servirai de ses propres
termes
: ce que je ferai sans scrupule par-tout où j’aur
sur l’autel d’Hercule le feu presque éteint, Virgile s’exprime en ces
termes
, Æn. VII. 542. … Herculeis sopitas ignibus aras
aire Mars fait tourner la victoire de notre côté, il s’exprime en ces
termes
: Sin nostrum annuerit nobis victoria Martem ;
ent qu’elles sont vicieuses, & ne nous obstinons pas à retenir un
terme
spécieux, pour excuser dans les auteurs des chose
gue particuliere. R. ἴδιος, peculiaris, propre, particulier. C’est un
terme
général dont on peut faire usage à l’égard de tou
s langues ; un idiotisme grec, latin, françois, &c. C’est le seul
terme
que l’on puisse employer dans bien des occasions
est ce que l’on appelle communément le nominatif du verbe est ; ou en
termes
plus justes, c’en est le sujet grammatical, qui s
& du génie des peuples qui les parlent : elles auront chacune des
termes
& des façons de parler qui leur seront propre
on littérale, parce qu’elle oblige à la précision, à la propriété des
termes
, & à une certaine exactitude qui empêche l’es
l’on donnât aux verbes de cette espece le nom d’augmentatifs. Mais ce
terme
est déja employé dans la Grammaire greque & d
leurir, &c. (B. E. R. M.) INDÉCLINABLE INDÉCLINABLE, adj.
terme
de Grammaire. On a distingué à l’article Formatio
elativement à cette seconde espece que les Grammairiens emploient les
termes
déclinable & indéclinable. Un simple coup d’o
f relatif, dont le sens, indéfini par soi-même, exige l’expression du
terme
auquel il a rapport : amo (j’aime), eh quoi ? car
. M.) INFLEXION Inflexion (Grammaire) INFLEXION, s. f.
terme
de Gramm. On confond assez communément les mots i
lumiere sur les recherches étymologiques, & sur la propriété des
termes
. On peut voir article Temps , de quelle utilité e
uand il n’a pas trouvé au mot interjection un air assez françois : un
terme
technique n’a aucun besoin d’être usité dans la c
ins ordinaire que ce dernier dans les livres de Grammaire. 3°. Que le
terme
de particule n’est pas plus connu dans le langage
ore avec celui que lui donne l’auteur des vrais principes. 4°. Que ce
terme
est employé abusivement par ce subtil métaphysici
a dénomination de particule, & les expressions du coeur & des
termes
qui n’appartiennent qu’au langage de l’esprit ; c
tile, & qu’il est permis de donner un sens fixe & précis à un
terme
technique, aussi peu déterminé que l’est parmi le
isent plusieurs grammairiens, il n’y a dans la langue françoise aucun
terme
qui soit proprement interrogatif, c’est-à-dire qu
e sens de la phrase. (B. E. R. M.) INVERSION INVERSION, s. f.
terme
de Grammaire qui signifie renversement d’ordre :
n ; mais par rapport à la Grammaire, dont on prétend ici apprécier un
terme
, quel est celui de ces trois ordres qui lui sert
mplément, parce toute action doit commencer avant que d’arriver à son
terme
; que la préposition ait de même son complément a
p; leurs relations. Ces relations supposent une succession dans leurs
termes
; la priorité est propre à l’un, la postériorité
indre telle liaison, fondée sur tel rapport ; ce rapport a un premier
terme
, puis un second : s’ils se suivent immédiatement,
n on va directement du commencement à la fin, de l’origine au dernier
terme
, du haut en bas ; dans l’autre, on va de la fin a
ut en bas ; dans l’autre, on va de la fin au commencement, du dernier
terme
à l’origine, du bas en haut, sursùm-versus, à rec
ns ces vers paroît obscur à Isidore ; confusa sunt verba, ce sont ses
termes
. Que fait-il ? il range les mêmes mots selon l’or
iens de tous les tems ont toujours regardé le mot inversion, comme un
terme
qui leur étoit propre, qui étoit relatif à l’ordr
isme de la langue dans laquelle il s’agit de s’exprimer, (ce sont les
termes
de M. Batteux) ; il peut donc y avoir dans l’éloc
rement qu’il ne les conçoit. Voilà sans doute la premiere fois que le
terme
d’inversion est employé pour marquer le dérangeme
ur tout le monde ; au lieu que dans votre systême, pour me servir des
termes
de l’auteur de la Lettre sur les sourds & mue
uleurs qu’elle emploie, & la maniere dont elle les distribue : en
termes
propres, ce sont le vocabulaire & la syntaxe.
nguliers qu’elles occasionnent nécessairement dans son élocution ; le
terme
d’idiome est alors celui qui convient le mieux à
t à l’institution conventionnelle des langues, M. Rousseau se fait un
terme
de comparaison de l’invention des seuls substanti
facile à trouver pour juger du chemin qui lui reste à faire jusqu’au
terme
où elle pourra exprimer toutes les pensées des ho
t miraculeux qui mérite attention, & sur lequel j’emprunterai les
termes
mêmes de M. Pluche, Spect. de la nature, tom. VII
& la séparation. C’est ce qu’ils expriment fort simplement en ces
termes
: Faisons-nous une marque pour ne nous point désu
ne langue nouvelle ; car toutes leurs idées se trouverent jointes aux
termes
de cette nouvelle langue, au lieu qu’elles étoien
termes de cette nouvelle langue, au lieu qu’elles étoient jointes aux
termes
de la langue qu’ils parloient auparavant. Il y a
iblissent, & les traits différenciels augmentent à mesure que les
termes
de comparaison s’éloignent, jusqu’a ce que la trè
répositions, pour désigner les rapports généraux avec abstraction des
termes
; les adverbes, pour désigner des rapports partic
s termes ; les adverbes, pour désigner des rapports particuliers à un
terme
déterminé ; & les conjonctions, pour désigner
ivisible ; ces relations, dis je, supposent un ordre fixe entre leurs
termes
: la priorité est propre au terme antécédent ; la
upposent un ordre fixe entre leurs termes : la priorité est propre au
terme
antécédent ; la posteriorité est essentielle au t
é est propre au terme antécédent ; la posteriorité est essentielle au
terme
conséquent : d’où il suit qu’entre les idées part
même entre deux individus quelconques, parce qu’ils n’auroient pas un
terme
immuable de comparaison pour y rapporter leurs pr
aison pour y rapporter leurs procédés respectifs. Mais au moyen de ce
terme
commun de comparaison, la communication est établ
; du commerce de pensées, qui est l’ame de la société : c’est donc le
terme
où il faut réduire toutes les phrases d’une langu
nt à cet egard, c’est que certaines idées ne sont exprimées par aucun
terme
dans une langue, quoiqu’elles ayent dans une autr
ion au contraire a eu occasion d’acquérir la connoissance. Combien de
termes
, par exemple, de la tactique des anciens, soit gr
ns toujours imparfaites, où, si nous voulons énoncer ces idées par un
terme
, nous le prenons matériellement dans la langue an
omplettes que nous en avons. Combien au contraire n’avons-nous pas de
termes
aujourd’hui dans notre langue, qu’il ne seroit pa
es anciens idiomes ne pouvoient pas même avoir l’ombre. Ajoutez y nos
termes
de Verrerie, de Vénerie, de Marine, de Commerce,
f. 1°. Rien de plus ordinaire que d’entendre parler de Langue mere ,
terme
, dit M. l’abbé Girard, (Princip. disc. I. tom. I.
énie que dans la langue matrice, & une analogie marquée entre les
termes
de l’une & de l’autre ; comment peut se faire
;c : & c’est avec raison qu’Esrame, Epist. liv. X, dit en propres
termes
: Hoc unum expertus, video nullis in litteris nos
métaphore & la comparaison, que dans la comparaison on se sert de
termes
qui font connoître que l’on compare une chose à u
lion, la comparaison n’est alors que dans l’esprit & non dans les
termes
, c’est une métaphore ». [Eoque distat, quod illa
yaume dont on parle. Par la même raison, l’on donne le nom de clé, en
terme
de Musique, à certaines marques ou caracteres que
uni dans le sens propre ; car ce n’est que par une nouvelle union des
termes
que les mots se donnent le sens métaphorique. Lum
trouver mauvais ce que les autres trouvent bon. Ensuite on se sert du
terme
de goût par métaphore, pour marquer le sentiment
: mais il ne faut pas qu’on les prenne de sujets opposés, ni que les
termes
métaphoriques, dont l’un est dit de l’autre, exci
ores propres & consacrées par l’usage, que si vous en changez les
termes
par les équivalens même qui en approchent le plus
e à un mot un sens métaphorique, ou par nécessité, quand on manque de
terme
propre, ou par une raison de préférence, pour pré
I. vj. Ajoutez à cela que le propre des métaphores, pour employer les
termes
de la traduction de M. l’abbé Colin, « est d’agi
être à l’accusatif, quand elle exprime un rapport de tendance vers un
terme
, soit physique, soit moral ; au lieu que le compl
l’ablatif, quand cette préposition exprime un rapport d’adhésion à ce
terme
physique ou moral. Mentem (l’esprit) est à l’acc
entem (dans l’esprit) est la totalité du complément circonstanciel de
terme
du verbe veniat, qui doit par conséquent précéder
m ; le complément relatif tibi, & le complement circonstanciel de
terme
, in mentem : tous trois doivent être après veniat
mier, parce qu’il est le plus court ; le complément circonstanciel de
terme
in mentem doit être le second, parce qu’il est en
i à l’accusatif, parce qu’elle exprime un rapport de tendance vers un
terme
moral. In hunc finem ut recordatio virtutum tuaru
nconnue, & que dans celle là au contraire on envisage toujours le
terme
d’où l’on est parti. Je conviens qu’il faut beauc
seroit jamais qu’un verbiage repréhensible, &, pour me servir des
termes
de Quintilien, inst. VIII. 2, pejor est mistura v
: on y sent le latinisme tout pur ; & l’habitude de fabriquer des
termes
relatifs à ses vûes pour la traduction, le jette
car loin de regarder cette interprétation littérale comme le dernier
terme
où aboutit la méthode analytique, je ramene ensui
ont leurs bras pour élever certains fardeaux : ce sont à-peu-près ses
termes
, (méth. p. 11.) quand il parle de la méthode ordi
mmey, ou telle autre dont on s’aviseroit, pourvû que la propriété des
termes
y fût bien observée. Mais, je le répete, je ne cr
s qui soient susceptibles de rapports, & qui puissent en être les
termes
. La seconde observation qui naît de l’usage des c
’elles désignent font abstraction de toute application, & que les
termes
en sont indéterminés. Qu’on me permette un langag
s dont il s’agit ici ; & on le considere avec abstraction de tout
terme
, quand on dit que 1/2 en est l’exposant. C’est la
d’une maniere abstraite & générale, & indépendamment de tout
terme
antécédent & de tout terme conséquent. Aussi
générale, & indépendamment de tout terme antécédent & de tout
terme
conséquent. Aussi disons-nous avec la même prépos
des mots qui désignent des rapports généraux avec abstraction de tout
terme
antécédent & conséquent. De-là la nécessité d
en fixe le sens, qui par lui-même est vague & indéfini ; c’est le
terme
conséquent du rapport, envisagé vaguement dans la
de ce rapport ; l’adjectif, le verbe, ou le nom appellatif, en est le
terme
antécédent, l’utilité de la Métaphysique, courage
u’en ce que celles-ci expriment des rapports avec abstraction de tout
terme
antécédent & conséquent, au lieu que les adve
quent, au lieu que les adverbes renferment dans leur signification le
terme
conséquent du rapport. Les adverbes sont donc des
qui expriment des rapports généraux, déterminés par la désignation du
terme
conséquent. De-là la distinction des adverbes, en
, de quantité, de cause, de maniere, selon que l’idée individuelle du
terme
conséquent qui y est enfermé a rapport au tems, a
uvent avoir ce qu’on appelle communément un régime, lorsque l’idée du
terme
conséquent peut se rendre par un nom appellatif o
rique fondamentale des deux ; l’une & l’autre fait abstraction du
terme
antécédent, parce que le même rapport pouvant se
les sujets qui se présenteront dans l’occasion. Cette abstraction du
terme
antécédent ne suppose donc point que dans aucun d
on dont il s’agit ici, n’est qu’un moyen d’appliquer le rapport à tel
terme
antécédent qui se trouvera nécessaire aux vûes de
cher, qu’ils avoient adopté le système impudent de l’indifférence des
termes
, qui les avoit ensuite menés jusqu’au système plu
ituteur véritable & l’unique approbateur. Mais d’où nous vient le
terme
de mot ? On trouve dans Lucilius, non audet dicer
e maniere d’écrire nouvelle & contraire à l’orthographe reçue. Ce
terme
vient de l’adjectif grec νέος, nouveau, & du
à saisir, mais enfin ils ne le sont pas, & il faut s’en tenir aux
termes
de la convention : irez-vous écrire kek abil ome
citoyen entre deux partis opposés, &c. Le mot neutre est aussi un
terme
propre à la grammaire, & il y est employé dan
Participe . Mais outre la contradiction qui se trouve entre les deux
termes
réunis dans la même dénomination, ces termes ayan
se trouve entre les deux termes réunis dans la même dénomination, ces
termes
ayant leur fondement dans la nature intrinseque d
fait le mouvement, quand même on exprimeroit le lieu du départ ou le
terme
du mouvement : votre fils e’toit descendu quand v
nnée : 6°. par l’addition d’un autre nom ou d’un pronom qui seroit le
terme
de quelque rapport, & qui seroit annoncé comm
es dérivés, comme paonneau (petit paon) qui differe ainsi de panneau (
terme
de Menuiserie), laonnois (qui est de la ville ou
s. A Gell. lib. X. cap. jv. Qu’on ne s’étonne donc pas de trouver des
termes
de figure & de signification semblables dans
réguliere. Dans le langage des Grammairiens, qui se sont approprié ce
terme
, c’est ou la représentation réguliere de la parol
inaison françoise en el a été récemment changée en eau dans plusieurs
termes
, que l’on disoit scel, au lieu de sceau, & qu
pensions. Quintilien, inst. orat. I. vij. en fait la remarque en ces
termes
: Cùm dico obtinuit, secundam B litteram ratio po
1°. un rapport d’existence à une époque, 2°. l’époque même qui est le
terme
de comparaison. L’existence peut avoir à l’époque
s la Philosophie qu’ils ont eux-mêmes consultée, & d’employer les
termes
que les vûes de mon système grammatical m’ont fai
relation avec l’objet qu’il bat, qu’il connoît. Cet objet, qui est le
terme
de la relation, étant nécessaire à la plénitude d
ends point devenir l’apologiste de l’abus qu’on peut avoir fait de ce
terme
; mais je ne puis me dispenser d’observer que le
econnoître sous ce nom, puisqu’il faut blen en fixer la notion par un
terme
propre, ne sont les signes d’aucune idée totale ;
ente les idées dans leur ordre naturel. On ne sauroit mettre dans ces
termes
techniques trop de vérité, trop de clarté, ni tro
rs du néant ; exposer, mettre au dehors ; exterminer, mettre hors des
termes
ou des bornes, &c. Il ne faut pas croire au r
même à témoin. (B. E. R. M.) PARTITIF PARTITIF, ve, adj. ce
terme
est usité en Grammaire pour caractériser les adje
tous les hommes. On a étendu encore plus loin la signification de ce
terme
, & l’on appelle noms patronymiques, ceux qui
succès dans le langage un tour extraordinaire, ou une association de
termes
dont on n’a pas encore fait usage jusques-là. Mai
loit désigner la superfluité des mots dans chaque phrase par un autre
terme
; par exemple, celui de périssologie qui est conn
périssologie qui est connu, devoit être employé seul dans ce sens. Ce
terme
vient de περισσός, superfluus, & de λόγος, di
femmes. C’est l’exemple qu’il allegue d’une regle qu’il énonce en ces
termes
: « Il n’est pas essentiel aux deux points de se
en. « Mais on met la virgule, dit-il, avant ces conjonctions, si les
termes
qu’elles assemblent sont accompagnés de circonsta
’allentir & à perdre sa force, on ne la marque plus ; ce sont les
termes
de Lancelot, qui cite ensuite le même exemple que
POSITIF Positif (Grammaire) POSITIF, ve, adj. (Gram.) ce
terme
, dans l’usage ordinaire, est opposé à l’adjectif
atifs. Voyez Négation . Mais les Grammairiens font encore usage de ce
terme
positif dans autre sens, qui differe du sens prim
é un degré de comparaison, que cette dénomination, pour me servir des
termes
de l’école, est de falso supponente, & qu’au
ion, en les nommant simplement non-relatifs. Le mot de relatif est un
terme
dont il semble qu’on ne connoisse pas assez la va
re, je ne crois pourtant pas qu’elle doive faire plus de fortune. Les
termes
téchniques de grammaire ne doivent pas être fondé
es mots qui désignent des rapports généraux, avec abstraction de tout
terme
antécédent & conséquent. Voyez Mot , article
nt & conséquent. Voyez Mot , article 2. Cette abstraction de tout
terme
ne suppose point que cette espece de mot doive co
us général, par la liberté d’appliquer l’idée de chaque rapport à tel
terme
, soit antécédent, soit conséquent, qui peut conve
dans la structure d’une phrase, sans être appliquée actuellement à un
terme
antécédent, dont elle restraint le sens général p
ssaire du rapport dont elle est le signe, & sans être suivie d’un
terme
conséquent qui acheve d’individualiser le rapport
t indiqué d’une maniere vague & indéfinie dans la préposition. Le
terme
antécédent est donc nécessairement un mot dont le
es noms appellatifs, les adjectifs, les verbes & les adverbes. Le
terme
conséquent devant énoncer le terme du rapport don
les verbes & les adverbes. Le terme conséquent devant énoncer le
terme
du rapport dont la préposition est le signe, ne p
oms, les pronoms, & les infinitifs qui sont une espece de nom. Le
terme
conséquent servant à completter l’idée totale du
om appellatif, d’un adjectif, d’un verbe, ou d’un adverbe, qui est le
terme
antécédent du rapport. Je travaille pour vous ; l
e des terminaisons différentes qui servent à présenter les mots comme
termes
de certains rapports : en latin, par exemple, le
exemple, le cas nommé génitif présente le nom qui en est revêtu comme
terme
conséquent d’un rapport quelconque, dont le terme
en est revêtu comme terme conséquent d’un rapport quelconque, dont le
terme
antécédent est un nom appellatif ; fortitudo regi
dit dès le commencement, un rapport général, avec abstraction de tout
terme
antécédent & conséquent ; l’autre exprime un
nséquent ; l’autre exprime un rapport déterminé par la désignation du
terme
conséquent, mais avec abstraction du terme antécé
miné par la désignation du terme conséquent, mais avec abstraction du
terme
antécédent : c’est pourquoi toute locution qui re
ard, nom appellatif, qui est le complément grammatical de à, & le
terme
antécédent d’un autre rapport exprimé par de ; en
lairée de diriger le langage didactique : dès que l’on remarque qu’un
terme
technique présente une idée fausse ou obscure, on
vers la citadelle ; de tems dans celle-ci, il est mort vers midi ; de
terme
dans cette troisieme, se tourner vers Dieu ? Diso
ans le mot vers : les rapports sont compris dans la signification des
termes
antécédens, & c’est l’ordre ; les termes cons
ans la signification des termes antécédens, & c’est l’ordre ; les
termes
conséquens de ces rapports sont les complémens de
; & la préposition ne fait qu’indiquer que son complément est le
terme
conséquent du rapport renfermé dans la significat
est le terme conséquent du rapport renfermé dans la signification du
terme
antécédent. Nous disons rapport de tems, quand le
nt, pendant, à, de, & en ». Premierement, de, pour me servir des
termes
de l’auteur, & pour parler conformément à son
re une raison analytique de la phrase, il faut suppléer entre deux le
terme
qui doit servir tout-à-la fois de complément à la
ase ramenée à la plénitude analytique, que l’adjectif destinée est le
terme
antécédent de pour ; que l’infinitif servir est l
à celui où l’on tomberoit dans le raisonnement, si l’on donnoit à un
terme
dans la conclusion, un autre sens qu’il n’a dans
e qui n’est bien déterminé que par l’application qu’on en fait à deux
termes
, l’un antécédent & l’autre conséquent. C’est
ÉTÉRIT, adj. (Gramm.) employé quelquefois comme substantif ; c’est un
terme
exclusivement propre au langage grammatical, pour
lui. C’est à-peu-près dans ce sens que les Grammairiens entendent ce
terme
, quand ils parlent d’une langue primitive, d’un m
e les pronoms représentent les noms, c’est-à-dire, pour me servir des
termes
de M. l’abbé Girard, tome I. disc. vj. p. 283, qu
qui expriment des rapports généraux déterminés par la désignation du
terme
conséquent & avec abstraction du terme antécé
inés par la désignation du terme conséquent & avec abstraction du
terme
antécédent ; ce sont par conséquent des adverbes,
eilleures à suivre que les autres ». On abuse ici très-évidemment du
terme
de métaphysique, ou que l’on n’entend pas, ou que
itions faites, soit au sujet, soit à l’attribut, soit à quelque autre
terme
modificatif de l’un ou de l’autre, sont elles-mêm
t se passer d’en considérer d’autres especes. Elle doit connoître les
termes
& les propositions composées, parce que la sy
licable sans cette clé, voyez Mot , loc. cit. Elle doit connoître les
termes
& les propositions complexes, parce qu’elle d
es relations, & les relations supposent une succession dans leurs
termes
; la priorité est propre à l’un, la postériorité
tre ; voilà un ordre que l’on peut envisager, ou en allant du premier
terme
au second, ou en allant du second au premier ; la
étaire perpétuel de l’académie d’Arras, dont je viens d’emprunter les
termes
(rem. div. sur la prononc. p. 123.) je serois mêm
(B. E. R. M.) RÉGIME Régime (Grammaire) RÉGIME, s. m.
terme
de Grammaire ; ce mot vient du latin regimen, gou
e que l’on appelle régime, il ne faut pourtant pas confondre ces deux
termes
comme synonymes : je vais déterminer la notion pr
u Marsais a omis en son lieu, quoiqu’il fasse fréquemment usage de ce
terme
. Art. I. Du complément. On doit regarder comme c
e différens degrés ; 2°. ceux qui ont une signification relative à un
terme
quelconque. Les mots dont la signification généra
s qu’il faut déterminer l’idée générale de la relation par celle d’un
terme
conséquent : & tels sont plusieurs noms appel
e que la terminaison du complément y désigne le rapport qui le lie au
terme
antécédent, & rend inutile la préposition, qu
c. Le rapport énoncé par plusieurs verbes relatifs exige souvent deux
termes
, comme donner un livre au public ; ces deux compl
lément au mot qu’il complete est d’autant plus sensible, que les deux
termes
sont plus rapprochés, & sur-tout dans les lan
nt quand plusieurs complémens concourent à la détermination d’un même
terme
, ils ne peuvent pas tous le suivre immédiatement
Si chacun des complémens qui concourent à la détermination d’un même
terme
à une certaine étendue, il peut encore arriver qu
auroit-elle perdu quelque chose de son énergie, par la séparation des
termes
opposés son opulance & la pauvreté romaine ;
; & c’est dans cette source qu’il faut aller puiser la notion des
termes
techniques que nous avons pris à notre service, a
ù les Grammairiens latins parlent de régime, qu’ils entendent, par ce
terme
, la forme particuliere que doit prendre un complé
e latine, à marquer que le nom ou le pronom qui en est revêtu, est le
terme
objectif de l’action énoncée par le verbe actif r
dit liber Petri, le nom Petri est au génitif, parce qu’il exprime le
terme
conséquent du rapport dont liber est le terme ant
parce qu’il exprime le terme conséquent du rapport dont liber est le
terme
antécédent, & que le régime d’un nom appellat
, c’est Deus ; comme quand on dit, mundum creavit Deus : s’il est le
terme
objectif de l’action énoncée par un verbe actif r
terme objectif de l’action énoncée par un verbe actif relatif, ou le
terme
conséquent du rapport abstrait énoncé par certain
le-ci, elevabis ad Deum faciem tuam (Job. 22. 26.) : si ce nom est le
terme
conséquent d’un rapport sous lequel on envisage u
ses différentes, & que tout régime caracterise essentiellement le
terme
conséquent d’un rapport ; ainsi le régime est fon
sur le principe de la diversité des idées mises en rapport, & des
termes
rapprochés dont l’un détermine l’autre en vertu d
détermination des formes des complémens grammaticaux considérés comme
termes
de certains rapports, & il ne consiste pas da
ts incompatibles, & cette contradiction, ne fût-elle que dans les
termes
& non entre les idées, c’est assurément un vi
it dire, solutus ab omni vinculo relationis. Les Grammairiens font du
terme
de relatif tant d’usages si différens, qu’ils fer
ngage. I. On appelle relatif, tout mot qui exprime avec relation à un
terme
conséquent dont il fait abstraction ; ensorte que
l’on emploie un mot de cette espece, sans y joindre l’expression d’un
terme
conséquent déterminé, c’est pour présenter à l’es
énérale de la relation, indépendamment de toute application à quelque
terme
conséquent que ce puisse être ; si le mot relatif
mot relatif ne peut ou ne doit être envisagé qu’avec application à un
terme
conséquent déterminé, alors ce mot seul ne présen
t la même chose de tous les rapports imaginables, tous supposent deux
termes
, & ces deux termes peuvent être vus sous deux
les rapports imaginables, tous supposent deux termes, & ces deux
termes
peuvent être vus sous deux combinaisons. Il peut
vus sous deux combinaisons. Il peut arriver que le rapport du premier
terme
au second ne soit pas le même que celui du second
uoiqu’il le détermine ; & il peut arriver que le rapport des deux
termes
soit le même sous les deux combinaisons. Cela pos
pport qui est toujours le même sous chacune des deux combinaisons des
termes
, comme frere, collegue ; cousin, &c. car si P
toute comparaison envisage essentiellement un rapport entre les deux
termes
comparés ; ainsi on peut dire d’une premiere mais
le sens en est envisagé indépendamment de toute application à quelque
terme
conséquent que ce puisse être : il n’est pas réel
e ; mais il paroit absolu parce qu’il y a une abstraction actuelle du
terme
conséquent. Que je dise, par exemple, Aimez Dieu
isque le sens en est completté par l’expression de l’objet qui est le
terme
conséquent du rapport renfermé dans le sens de ce
est ici dans un sens absolu, parce que l’on fait abstraction de tout
terme
conséquent, de tout objet déterminé auquel l’amou
sa jurisdiction. IV. Le principal usage que font les Grammairiens du
terme
relatif, est pour désigner individuellement l’adj
litteras, que iis n’est relatif dans iis litteris. 3°. Aucun des deux
termes
par lesquels on désigne qui, quae, quod, ni l’uni
ur une conjonction & un pronom démonstratif : ce sont les propres
termes
de l’auteur : que dans d’autres occurrences, il n
sur le détail d’un principe, que je ne dois montrer ici que sous des
termes
généraux ; & afin de savoir quels autres mots
énonciation claire de la pensée ; & si l’usage introduit quelques
termes
équivoques, par quelque cause que ce soit, cela e
r l’interrogation. Il y a de pures conjonctions qui supposent même un
terme
antécédent ; tel est, par exemple, ut, que je rem
, on peut se servir indifféremment de l’un ou de l’autre de ces trois
termes
. Mais il y a bien des circonstances où le choix n
ns passif, quand le sujet auquel il a rapport, est consideré comme le
terme
de l’impression produite par l’action que ce mot
quent alors l’aide ou le secours que l’on me donnera, dont je suis le
terme
& non pas le principe. (Voyez Vaugelas, Rem.
parce que la robe à laquelle ils ont rapport, est considerée comme le
terme
de l’impression produite par l’action de gâter. V
t actif, dont le sujet ne seroit envisagé ni comme principe, ni comme
terme
de l’action énoncée par ce mot : or cela est abso
uquel se rapporte une action, en est nécessairement le principe ou le
terme
. Une des causes qui a jetté M. du Marsais dans ce
gile dit, Mat. xj. 5. les aveugles voyent, les Boiteux marchent, ces
termes
, les aveugles, les boiteux, se prennent en cette
uvres, tous deux chassés de leurs pays, ne doivent pas recourir à des
termes
enflés, ni se servir de grands mots : il faut qu’
particuliere des mots qui entrent dans une phrase, que de ce que les
termes
en sont équivoques en soi. Ainsi ce seroit plutôt
« Le dieu du tonerre, dit notre grammairien, paroît d’abord être le
terme
de l’action de charmer & de désarmer, aussi b
. (B. E. R. M.) SINGULIER, re SINGULIER, re, adj. (Gram.) ce
terme
est consacré dans le langage grammatical, pour dé
onctive, mode subjonctif ; c’est sur-tout dans ce dernier sens que ce
terme
est propre au langage grammatical, pour y désigne
SUPERLATIF, ve. adjectif, qui assez souvent est pris substantivement,
terme
de Grammaire. Ce mot a pour racines la prépositio
l’on nomme comparatif, exprime le rapport de supériorité de l’un des
termes
comparés sur l’autre, & non la comparaison mê
ent connu, suppose nécessairement une comparaison déjà faite des deux
termes
. C’est pour cela 1°. que l’on a pu appeller compa
il énonce un rapport, suppose nécessairement une comparaison des deux
termes
; on peut dire réciproquement que la préposition
énomination, supposant, comme on l’a vu plus haut, une comparaison de
termes
qui n’a point lieu ici, ne peut qu’occasionner bi
uoiqu’il en tire une conséquence assez différente ; voici ses propres
termes
: non parùm hanc sententiam juvat ; (il parle de
grés n’a pas encore été suffisamment approfondi, & que l’abus des
termes
de la grammaire latine, adaptés sans examen aux g
ma passion est plus grande que ma crainte, on exprime tout ; & le
terme
comparé ma passion, & le terme de comparaison
rainte, on exprime tout ; & le terme comparé ma passion, & le
terme
de comparaison, ma crainte ; & le rapport de
de l’un à l’égard de l’autre, plus grande ; & la liaison des deux
termes
envisagés sous cet aspect, que : ainsi l’esprit v
lus grande n’étant plus qu’un simple comparatif exige un que & un
terme
individuel de comparaison ; je ferois donc ainsi
on dit au contraire, ma plus grande passion, la suppression totale du
terme
de comparaison est le signe autorisé par l’usage
in au nominatif singulier ; & d’autre part deorum, qui est ici le
terme
de la comparaison énoncée par l’ensemble de la ph
ntre que ce nom doit être deus, parce que dans toute comparaison, les
termes
comparés doivent être homogenes. Mais il ne s’ens
que dans ce sens, & alors il ne reste rien pour énoncer le second
terme
de la comparaison, puisqu’il est prouvé qu’antiqu
n est simplement indiquée par le génitif qui est une partie du second
terme
de la comparaison ; mais il n’en est pas moins né
je crois établis solidement. (E. R. M. B.) SUPIN SUPIN, s. m.
terme
de Grammaire. Le mot latin supinus signifie propr
ec passionem significantia. Si les anciens ont adopté dans ce sens le
terme
de supin, comme pouvant devenir propre au langage
t exprimer un mouvement qui puisse s’adapter à cette tendance vers un
terme
: le concours de toutes ces circonstances assigne
e plus de part à l’embrasement de la ville de Troie, s’exprime en ces
termes
dans l’une des plus belles pieces de Racine : An
e, qui réunit sur soi les deux sens ; il n’en a qu’un dans le premier
terme
de la comparaison, & il est censé répété avec
; il est censé répété avec le second sens dans l’expression du second
terme
. Ainsi le verset 70 du ps. 118. Coagulatum est si
erniere, fait disparoître la premiere. L’idée générale, & le seul
terme
d’élision, me semblent suffisant sur cette matier
point un mot vulgaire ; écrivons donc & prononçons synecdoque. Ce
terme
signifie compréhension : en effet dans la synecdo
doque du genre : comme quand on dit, les mortels pour les hommes ; le
terme
de mortels devroit pourtant comprendre aussi les
2. numeri ab oratore quaeruntur ; & plus bas, il s’exprime en ces
termes
: Aristoteles versum in cratione vetat esse, nume
ellement scandaleux]. Or il me semble, continue M. du Marsais, que le
terme
de meres n’est relatif qu’à enfans ; il ne l’est
ner entre leurs vraies & leurs fausses diphtongues, & que ces
termes
sont absolument propres à leur prosodie ; nous fe
8, à Leipsick) des observations sur l’usage & l’abus de plusieurs
termes
& façons de parler de la langue allemande : e
it par-là avec quelle circonspection on doit étudier la propriété des
termes
, & de la langue dont on veut traduire, &
signification, qui est cause que l’usage n’a conservé que l’un de ces
termes
, & qu’il a rejetté l’autre comme inutile. L’u
es plats plutôt que dans celui des mets. Qu’importe d’avoir plusieurs
termes
pour une seule idée ? N’est-il pas plus avantageu
nt qu’elle subsiste dans la forme qui y est établie, &c… Tous ces
termes
passent dans l’usage : on les généralise dans la
duire les auteurs latins en un autre latin, en affectant d’éviter les
termes
dont ces auteurs se sont servis, auroient pu s’ép
ons) est une fécondité stérile qui empêche de sentir la propriété des
termes
, leur énergie, & la finesse de la langue. »
eux notions de la syntaxe sont au fond identiques, quoiqu’énoncées en
termes
différens. Il seroit inutile de grossir cet artic
voir les rapports d’existence à une époque, & l’époque qui est le
terme
de comparaison. §. I. Premiere division générale
us analogue que ces idées, pour expliquer d’une maniere plausible les
termes
que l’on vient de définir. L’idée de simultanéité
e. C’est en effet celui qui, dans toutes les langues, sert de dernier
terme
à toutes les relations de tems que l’on a besoin
d’un présent véritablement indéfini, dans le sens que j’ai donné à ce
terme
. 1°. On l’emploie comme présent actuel ; ainsi qu
se rapporter alors qu’à l’instant qui sert essentiellement de dernier
terme
de comparaison à toutes les relations de tems, c’
parole : cet instant dans toutes les autres occurrences n’est que le
terme
éloigné de la relation ; dans celle-ci, il en est
est que le terme éloigné de la relation ; dans celle-ci, il en est le
terme
prochain & immédiat, puisqu’il est le seul. I
rétérit soit défini, & les autres qu’il soit indéfini ou aoriste,
termes
qui avec un sens très-clair ne paroissent pas app
t considérer dans les tems 1°. une relation générale d’existence à un
terme
de comparaison, 2°. le terme même de comparaison.
. une relation générale d’existence à un terme de comparaison, 2°. le
terme
même de comparaison. C’est en vertu de la relatio
é ou la postériorité d’existence, c’est par la maniere d’envisager le
terme
, ou sous un point de vue général & indéfini,
ems est indéfini ou défini, & c’est par la position déterminée du
terme
, qu’un tems défini est actuel, antérieur ou posté
, qu’un tems défini est actuel, antérieur ou postérieur, selon que le
terme
a lui-même l’un de ces rapports au moment de l’ac
au moment de l’acte de la parole. Or le tems, dont il s’agit, a pour
terme
de comparaison, non une époque instantanée, mais
z du premier pour n’être pas confondu sous le même nom ; c’est par le
terme
de comparaison qu’ils different, & c’est delà
, qui est propre à ces langues, & qui differe du précédent par le
terme
de comparaison, comme le présent antérieur périod
d’une époque postérieure au tems de la parole, ou, pour me servir des
termes
de M. Lancelot, mais d’une maniere conséquente à
qu’on n’accusera pas de mal écrire, ou de ne pas sentir la force des
termes
de notre langue ; c’est M. Pluche. « Si le tombe
que ; si le tombeau est pour l’homme la fin de tout, c’est-à-dire, en
termes
clairement relatifs à l’avenir, si le tombeau doi
é, & celle de postériorité, se combinent également avec l’idée du
terme
de comparaison : de-là autant de formes usuelles
inflexions & terminaisons ; & j’entends par le premier de ces
termes
, les changemens qui se font dans le corps même du
tination naturelle : ce tems fait essentiellement abstraction de tout
terme
de comparaison déterminé ; il peut donc se rappor
erminé ; il peut donc se rapporter, suivant l’occurrence, tantôt à un
terme
& tantôt à un autre, & devenir en conséqu
’aurai bientôt fait : ce tems est essentiellement indépendant de tout
terme
de comparaison ; de-là la possibilité de le rappo
erme de comparaison ; de-là la possibilité de le rapporter à tous les
termes
possibles de comparaison, selon les besoins de la
en quelque sorte plus sensible le rapport général d’existence, que le
terme
de comparaison ; distinction délicate, que tout e
qui n’indique que cette idée, & qui fait abstraction de celle du
terme
. Cette maniere simple de rendre raison des différ
la comparaison est à un prétérit positif de même nom ; parce que les
termes
comparés, comme je l’ai dit cent fois, doivent êt
seul moment de la parole est pour les tems de l’indicatif ; c’est le
terme
immédiat des relations qui fixent l’époque de com
e), positio, id quod primò ponitur. Les grammairiens font usage de ce
terme
dans deux sens différens. 1°. On appelle communém
s idées de l’original, la précision de sa phrase, la propriété de ses
termes
. (Voyez Synecdoque , §. 11. la critique d’une tra
oint une espece de métaphore, mais une métonymie. Cette confusion des
termes
prouve mieux que toute autre chose la nécessité d
ue, & lui découvrirent les erreurs de l’hérésie, s’exprime en ces
termes
: tombez, tombez, voiles importuns qui lui couvre
’on s’en sert par extension & par ressemblance, pour suppléer aux
termes
qui manquent dans la langue ». [On peut donc dir
ui marquent encore plus précisément comment les hommes se forment des
termes
abstraits sur des idées particulieres, & donn
. Diviser (dividere), vient de la racine celtique div (riviere) : le
terme
relatif diviser a été formé sur un objet physique
dit-il, qu’il n’est pas possible, dans aucune langue, de citer aucun
terme
moral dont la racine ne soit physique. J’appelle
de citer aucun terme moral dont la racine ne soit physique. J’appelle
termes
physiques les noms de tous les individus qui exis
tous les individus qui existent réellement dans la nature : j’appelle
termes
moraux les noms des choses qui, n’ayant pas une e
s encore un exemple tiré de la racine sidus, propre à montrer que les
termes
qui n’appartiennent qu’au sentiment de l’ame, son
dire autre chose qu’étre privé de la vue des astres ou du soleil ; le
terme
qui exprimoit la perte d’une chose si souhaitable
ur les voies de la maniere dont procede la formation de ces sortes de
termes
qui expriment des idées relatives ou intellectuel
& des métaphores continuelles, qui favorisent cette formation des
termes
intellectuels ? la comparaison & la similitud
t que les hommes ont eu besoin de très-bonne heure de cette espece de
termes
; & il n’y a presque pas à douter que l’expéd
ble à l’utile]. « Pour faire voir que l’on substitue quelquefois des
termes
figurés à la place des mots propres qui manquent,
opes extraordinaires : il y en a qui ne sont pas moins usités que les
termes
naturels ; & ils ne peuvent jamais obscurcir
eux donner l’idée d’un rocher dont la hauteur est extraordinaire, ces
termes
grand, haut, élevé, qui se disent des rochers d’u
ochain. Si l’on vouloit se rappeller les idees que j’ai attachées aux
termes
de déclinable & d’indéterminatif, voyez Mot
(B. E. R. M.) VOIX Voix Voix, s. f. (Gram.) c’est un
terme
propre au langage de quelques grammaires particul
-il (n°. 33.), de substituer dans la définition de M. de Vaugelas, le
terme
de plus grand nombre à celui de la plus saine par
l’emporte en effet en ce qui concerne le choix & la propriété des
termes
, les constructions, les idiotismes, les tropes, &
iment de simultanéités : la conscience même serait une série dont les
termes
ne sont jamais présents que l’un après l’autre, u
nc Spencer peut-il soutenir que nous ne sauvions apercevoir plusieurs
termes
à la fois124 ? Spencer a soutenu ce paradoxe que,
t-ils pas qu’on ait conscience de la transition même, du passage d’un
terme
à l’autre, de ce qui dans l’esprit correspond au
rait pas le sentiment du πάντα ῤεῖ, si elle ne sentait jamais que les
termes
sans les relations. Mais il n’en est point ainsi
ement ou plutôt de la vie, il y a la conscience non seulement de deux
termes
l’un après l’autre, mais encore de ce que M. W. J
se représenter d’une manière définie, par cela même qu’il n’est aucun
terme
défini et intellectuel ; mais il est réel. C’est
utre part, une seconde série idéale s’ouvre en avant, dont le premier
terme
, l’appétit de boire, monte en intensité au lieu d
t est toujours simultané dans l’esprit ; c’est une perspective où les
termes
, sous un même regard, sont distingués comme réels
ordre de succession proprement dite. Il est bien vrai que ces divers
termes
se sont succédé de fait dans la pensée, mais la s
de nouveau la fenêtre qui s’était ouverte, c’est-à-dire le troisième
terme
de la série. Ce terme ne rappellera pas seulement
qui s’était ouverte, c’est-à-dire le troisième terme de la série. Ce
terme
ne rappellera pas seulement ses conséquents (boug
e de la combinaison, elle s’est trouvée en simultanéité avec ces deux
termes
. De plus, elle ne tendra pas à les rappeler avec
on successive de la série en arrière, mais renaissance simultanée des
termes
antécédents avec des degrés divers d’obscurité. C
ppement a lieu seulement dans une même direction, passant toujours du
terme
plus obscur à celui qui l’est moins dans le group
édiaires, vent et bougie : j’ai à la fois dans la conscience les deux
termes
extrêmes d’une série (gravure… obscurité subite)
bougie) ; de plus, il y a une unité de direction qui fait que chaque
terme
est le commencement d’un autre et la fin d’un aut
de l’évolution. 124. Penser, c’est établir des relations entre des
termes
qui, tous les cieux, doivent être présents à la f
expressions de la vie dans tout animal. C’est le rapport de ces deux
termes
qui, selon nous, a engendré tout d’abord la consc
nte des intuitions sensibles, toujours représentée à l’imagination en
termes
« d’intuition extérieure » ; et enfin, c’est une
t la réalisation approximative des divers éléments de la liberté. Le
terme
du développement volontaire est ce qu’on nomme li
e existence comme sujets conscients : nous ne pouvons mettre tous les
termes
du problème en équation. De là résulte le sentime
pensant et désirant, avec ses dispositions actuelles : il y a là deux
termes
également nécessaires. Selon nous, la décision fi
. Selon nous, la décision finale est « fonction » dépendante des deux
termes
, et elle exprime leur rapport ; selon M. James, a
opposer. Le moi étant, avant tout, une unité consciente, si les deux
termes
dont l’un détermine l’autre sont également envelo
d’un ordre de choses différent de ce mécanisme grossier où le premier
terme
pousse, sans le savoir, un second terme mû sans l
anisme grossier où le premier terme pousse, sans le savoir, un second
terme
mû sans le savoir. Par la conscience, un lien s’é
û sans le savoir. Par la conscience, un lien s’établit entre les deux
termes
, sans supprimer encore l’action nécessitante du p
e la douleur antécédente et l’impulsion conséquente. L’unité des deux
termes
dans la conscience est incomplète, puisqu’ils dem
lité, par amour de la raison. En ce cas, non seulement les différents
termes
sont embrassés dans l’unité d’une même conscience
rassés dans l’unité d’une même conscience, mais encore le lien de ces
termes
entre eux et avec l’action est conscient, réfléch
puisque c’est le moi intelligent qui opère la synthèse des différents
termes
, des motifs et de l’acte. Si nous pouvions n’agir
e ma puissance et l’idée d’un objet auquel elle s’applique : les deux
termes
sont inséparablement objets de pensée et de désir
e liberté et, d’autre part, l’idée de la fin universelle. La liberté,
terme
du développement volontaire, est ainsi la motivat
rturbation nerveuse. J’embrasse dans mon unité de conscience tous les
termes
avec le lien de l’un à l’autre, et c’est vraiment
Section 6, que dans les écrits des anciens, le
terme
de chanter signifie souvent déclamer et même quel
s. Quintilien, quand il parloit en public, chantoit-il, à prendre le
terme
de chanter dans la signification qu’il a parmi no
nge. C’est sans distinguer ces sons qu’on les entend tous. à quelques
termes
près ce passage se trouve encore dans Macrobe. Il
ve quelque chose. Quoiqu’il en soit, supposé qu’il fallut entendre le
terme
de chanter au propre, quand il s’agit du chant de
s avons répudié le matérialisme, qui prétend faire dériver le premier
terme
du second ; mais nous n’acceptons pas davantage l
e intuition originelle, nous nous sentons obligés d’établir entre les
termes
disjoints un lien, qui ne pourra plus être qu’ext
e, nous substituons l’unité factice d’un cadre vide, inerte comme les
termes
qu’il maintient unis. Empirisme et dogmatisme s’a
aguement ce qu’il y a d’artificiel dans les rapports qui unissent les
termes
entre eux, s’en tient aux termes et néglige les r
l dans les rapports qui unissent les termes entre eux, s’en tient aux
termes
et néglige les rapports. Son tort n’est pas de pr
change et demeure à la fois : d’où vient que nous dissocions ces deux
termes
, permanence et changement, pour représenter la pe
. Nous voyons la force se matérialiser, l’atome s’idéaliser, ces deux
termes
converger vers une limite commune, l’univers retr
it, en réalité, que resserrer progressivement l’intervalle entre deux
termes
qu’on oppose l’un à l’autre, les qualités ou sens
ent superficiellement, et d’attribuer la différence d’aspect des deux
termes
à la nécessité, pour cette multiplicité en quelqu
gences de la vie matérielle, aime mieux renverser l’ordre naturel des
termes
. Habituée à chercher son point d’appui dans un mo
er à la perception quelque chose de l’étendue de la matière. Ces deux
termes
, perception et matière, marchent ainsi l’un vers
lité naturelles. Et l’espace homogène, qui se dressait entre les deux
termes
comme une barrière insurmontable, n’a plus d’autr
de sorte que l’on commence par couper la communication entre les deux
termes
. Et en approfondissant ce double postulat, on y d
ù le sujet et l’objet coïncident, pousse le développement de ces deux
termes
dans leurs durées respectives, — la matière, à me
ction spatiale nous substituons une distinction temporelle : les deux
termes
en sont-ils plus capables de s’unir ? Il faut rem
s difficultés du dualisme vulgaire ne viennent pas de ce que les deux
termes
se distinguent, mais de ce qu’on ne voit pas comm
uis non plus discuter ici les diverses définitions qu’on a données du
terme
d’espèce. Aucune de ces définitions n’a encore sa
sion sous-entend l’élément inconnu d’un acte distinct de création. Le
terme
de variété est presque également difficile à défi
is elles se fondent insensiblement dans les variétés. J’admets que le
terme
de monstruosité signifie quelque déviation plus c
te titre appelées espèces ou variétés, avant qu’une définition de ces
termes
ait été universellement adoptée, ce serait prendr
oin sur ce sujet. Il suit de ces observations, que je ne considère le
terme
d’espèce que comme arbitrairement appliqué pour p
e grandes ressemblances, mais qu’il ne diffère pas essentiellement du
terme
de variété donné à des formes moins distinctes et
té donné à des formes moins distinctes et plus variables. De même, le
terme
de variété, en comparaison avec les différences p
difficultés. Le docteur Hooker m’a exprimé depuis la même opinion en
termes
plus forts encore. Je réserverai donc pour mon pr
tre langue de n’ouvrir les portes sévères de son vocabulaire qu’à des
termes
nouveaux qui apportent avec eux une idée nouvelle
Voilà la prononciation ou usuelle ou individuelle à Paris de quelques
termes
de courses : starter-starteur ; broken-down-broca
x). NdA 103. A donné stopper, bien francisé. NdA 104. Embruncher,
terme
de maçonnerie. NdA 105. Bourre, terme de métier
ncisé. NdA 104. Embruncher, terme de maçonnerie. NdA 105. Bourre,
terme
de métier. NdA 106. Les Anglo-Canadiens jouent a
ent discutées. Or, le plus considérable reproche vise l’étrangeté des
termes
mis en usage par ces œuvres. On en conclut à une
u lecteur novice. Il mentionnera la signification précise de tous les
termes
rares qu’on ne rencontre point dans les lexiques
rons que les véritables néologismes apparaissent peu, que beaucoup de
termes
cités ici s’alignent dans les colonnes de l’abrég
usage, l’auteur n’auroit pas dû le grossir inutilement de quantité de
termes
surannés, & sur-tout de mots de patois, dont
é de plus quelques méprises. Un livre fait pour apprendre l’usage des
termes
, ne doit adopter ni autoriser des mots pris abusi
les plus difficiles, le genre des noms, le régime des verbes avec les
termes
les plus connus des arts & des sciences : le
ontenant tous les mots françois, tant anciens que modernes, & les
termes
des arts & des sciences, 1704. , trois volume
XVIme. siécle. On a cru devoir admettre dans la nouvelle édition les
termes
élémentaires des sciences, des arts & même ce
vrages où l’on ne traite pas expressément des matieres ausquelles ces
termes
appartiennent. On n’a point négligé de rapporter
es sens figurés que les Poëtes & les Orateurs donnent à plusieurs
termes
, & qui ne sont point autorisés par un usage r
rdre aucun, & en acquérir de nouveaux. Je voudrois autoriser tout
terme
qui nous manque, & qui a un son doux sans dan
bon d’ailleurs de savoir de quelle langue nous avons tiré tel ou tel
terme
, du moins si l’on veut conserver en écrivant les
Chapitre IX. Précision, brièveté, netteté La propriété des
termes
est le fondement de la précision. Mais il y a une
nt qu’à émousser, qu’à brouiller la pensée, qu’à énerver la force des
termes
propres par le fâcheux cortège qu’on leur fait tr
e locution composée, une courte proposition. Mais comme l’abus de ces
termes
de liaison donne au discours un air pesant et péd
ils écrivent facilement avec prolixité et éteignent la propriété des
termes
dans une abondance un peu trop fluide de paroles
e émergent des mouvements élémentaires dont le mouvement voulu est le
terme
et l’accomplissement. Ainsi arrivaient, à l’appel
— Mais, objectera-t-on, le jugement consiste à saisir le rapport des
termes
; or « les termes sont des images, mais le rappor
-t-on, le jugement consiste à saisir le rapport des termes ; or « les
termes
sont des images, mais le rapport n’est pas une im
de rapport ou jugement », car il faut, pour juger, non seulement deux
termes
amenés par une association mécanique de contiguït
mais encore la conscience de cette association, la réflexion sur les
termes
amenés, le sentiment de liaison et de cohésion en
termes amenés, le sentiment de liaison et de cohésion entre ces deux
termes
. Cela revient à dire qu’il faut non seulement que
eux termes. Cela revient à dire qu’il faut non seulement que les deux
termes
soient associés entre eux, mais encore qu’ils soi
gement, il y a perception de rapports, liaison logique entre tous les
termes
de cette série « Donc l’association des idées est
système logique de l’induction peut donc se résumer ainsi : Premier
terme
de l’induction : Faits positifs. Tous les hommes
ction : Faits positifs. Tous les hommes connus sont morts ; Deuxième
terme
: Absence de faits négatifs. Nul homme qui ne soi
e : Absence de faits négatifs. Nul homme qui ne soit mort. Troisième
terme
: Induction. Les hommes, toutes choses égales d’a
u système mécanique suivant qui se réalise dans le cerveau : Premier
terme
: Forces se dirigeant en un sens ; Deuxième term
cerveau : Premier terme : Forces se dirigeant en un sens ; Deuxième
terme
: Absence de forces capables de détourner vers un
sence de forces capables de détourner vers un autre sens ; Troisième
terme
: Mouvement du cerveau continué dans de même sens
même sens. Quant au processus psychique, il est le suivant : Premier
terme
: Appétition faisant effort en un certain sens ;
mier terme : Appétition faisant effort en un certain sens ; Deuxième
terme
: Absence de forces capables d’empêcher l’acte de
ence de forces capables d’empêcher l’acte de l’appétition. Troisième
terme
: Action en ce sens. Mouvement, induction et volo
n philosophique ? Pour le savoir, nous prîmes les formules de Lorentz
terme
par terme, et nous cherchâmes à quelle réalité co
hique ? Pour le savoir, nous prîmes les formules de Lorentz terme par
terme
, et nous cherchâmes à quelle réalité concrète, à
quelle réalité concrète, à quelle chose perçue ou perceptible, chaque
terme
correspondait. Cet examen nous donna un résultat
t pas croire pourtant qu’elles n’aient d’autre existence que celle de
termes
génériques, qu’elles ne soient que des étiquettes
se intellectuelle ce qui par conséquent retire de ce qu’il nomme d’un
terme
trop étroit d’ailleurs, la pensée. Il en est de m
produit du plaisir ou de la douleur. Mais plaisir et douleur sont des
termes
généraux ; les diverses variétés des phénomènes a
dire encore : C’est un jugement tel que l’on ne puisse en séparer les
termes
. D’où vient cette impossibilité ? De ce que les d
parer les termes. D’où vient cette impossibilité ? De ce que les deux
termes
ne nous sont jamais présentés l’un sans l’autre d
tte idée : On obtient les principes rationnels en voyant que l’un des
termes
disparaissant, l’autre disparaît aussi, preuve qu
rit veut y mettre de l’ordre. Pour cela, il faut d’abord que tous les
termes
de cette multiplicité donnée dans l’expérience re
tons le monde comme composé d’immenses séries de phénomènes où chaque
terme
est effet d’un côté, cause de l’autre. Mais cet o
elles est soumise l’expérience. Chacun d’eux devra donc contenir deux
termes
: la partie d’expérience dont on parle, et d’autr
ugements rationnels consiste dans l’impossibilité de séparer les deux
termes
qu’ils unissent. Stuart Mill explique cette impos
ouve que c’est éternellement et nécessairement que sont unis ces deux
termes
d’un jugement rationnel. Ce peut n’être que local
Mais va-t-elle jamais jusqu’à l’absolue impossibilité de séparer les
termes
qu’elle tend à unir ? Nous ne pouvons l’admettre.
périence. Il voit, comme nous, que la connaissance se compose de deux
termes
; la multiplicité donnée par l’expérience, l’acti
son n’est possible que si le moi est un. En effet, pour comparer deux
termes
, il faut les rapporter à un terme commun. L’abst
t un. En effet, pour comparer deux termes, il faut les rapporter à un
terme
commun. L’abstraction est la faculté de séparer
idées générales étaient purement subjectives. D’après ce système, le
terme
général n’est rien qu’un flatus vocis. Quand nous
jugement : Je suis. En effet, supposons que j’ai pu séparer les deux
termes
. L’idée du moi, séparée de l’idée d’existence, n’
e, n’est plus que l’idée d’un moi possible. Si nous joignons ces deux
termes
, dit-il, nous aurons le jugement : Je puis être,
ans en atténuer la complexité. De la parfaite harmonie entre ces deux
termes
naîtra le beau. Seulement, par malheur, cet accor
t peut devenir volonté, c’est qu’il n’y a pas un abîme entre ces deux
termes
. L’instinct n’est donc pas physiologique, ne se r
’actions. C’est là ce qui distingue la volonté. Tandis que le premier
terme
des séries auxquelles appartiennent les phénomène
ues nous échappe toujours, la volonté, au contraire, forme le premier
terme
d’une série. À ce qu’il semble, elle se produit s
nt d’immenses séries de causes et d’effets où tout s’enchaîne, chaque
terme
étant effet par rapport au précédent, cause par r
ontrer. Ce qui cause la certitude mathématique est donc l’identité du
terme
considéré et une autre proposition reconnue pour
hématique, car là seulement on peut établir une identité absolue, les
termes
présents étant aussi simples et dépourvus de qual
dera d’après cette critique. C’est le Criticisme. Leçon 43 L’idée. Le
terme
. Le jugement. La proposition. Toute vérité s’expr
par une proposition. Le jugement est formé d’idées, la proposition de
termes
. L’idée est un acte de l’esprit représentant un o
présentant un objet déterminé ; toute idée est une représentation. Le
terme
c’est ce qui signifie l’idée, par conséquent, on
e, par conséquent, on pourra affirmer de l’idée tout ce qu’on dira du
terme
; mais comme le terme peut n’exprimer qu’une part
pourra affirmer de l’idée tout ce qu’on dira du terme ; mais comme le
terme
peut n’exprimer qu’une partie de l’idée, on ne po
primer qu’une partie de l’idée, on ne pourra pas toujours affirmer du
terme
ce qu’on affirme de l’idée. Les termes sont génér
pourra pas toujours affirmer du terme ce qu’on affirme de l’idée. Les
termes
sont généraux quand ils expriment une idée généra
iment une idée générale, particuliers dans le cas contraire. Dans les
termes
généraux, deux caractères : la compréhension, ens
se compose de trois idées, toute proposition par conséquent de trois
termes
: 1. Sujet 2. Attribut, ou prédicat, affirmé du
affirmé du sujet 3. Copule, servant de lien entre ces deux premiers
termes
, exprimant que le premier convient au second. La
finit un mot, c’est seulement l’idée d’une chose qu’on exprime par un
terme
. Comment admettre que « La géométrie est la scien
Donc, Paul (t) est mortel (T). La dernière proposition renferme deux
termes
et l’attribut y a une extension plus grande que l
xtension plus grande que le sujet. Il s’appelle à cause de cela grand
terme
(T). Le sujet porte au contraire le nom de petit
de cela grand terme (T). Le sujet porte au contraire le nom de petit
terme
(t). Enfin dans les deux premières propositions s
it terme (t). Enfin dans les deux premières propositions se trouve un
terme
commun, auquel sont comparés tour à tour les deux
se trouve un terme commun, auquel sont comparés tour à tour les deux
termes
déjà examinés ; ce terme est nommé moyen terme (M
, auquel sont comparés tour à tour les deux termes déjà examinés ; ce
terme
est nommé moyen terme (M). La troisième propositi
tour à tour les deux termes déjà examinés ; ce terme est nommé moyen
terme
(M). La troisième proposition d’un syllogisme por
Les deux premières propositions sont les prémisses. Celle où le grand
terme
est comparé au moyen se nomme majeure, celle où s
ontrer la question ou conclusion. Or, toute proposition comprend deux
termes
: un sujet, un attribut affirmé de ce sujet ; si,
la proposition demande démonstration, c’est qu’on ignore si ces deux
termes
se conviennent. Pour le savoir, on cherche un tro
s deux termes se conviennent. Pour le savoir, on cherche un troisième
terme
qui permette de décider. Il faut démontrer que T
logisme : il représente par un cercle l’extension de chacun des trois
termes
du syllogisme ; leur rapport de convenance ou de
ient trois cercles concentriques représentant le plus grand, le grand
terme
; le second, le moyen terme ; le troisième, le pe
ques représentant le plus grand, le grand terme ; le second, le moyen
terme
; le troisième, le petit terme. Comme syllogismes
, le grand terme ; le second, le moyen terme ; le troisième, le petit
terme
. Comme syllogismes, ils sont donc irréprochables
ilton en a réduit le nombre à 3 : 1. Tout syllogisme doit avoir trois
termes
, et rien que trois termes. Le corollaire de cette
e à 3 : 1. Tout syllogisme doit avoir trois termes, et rien que trois
termes
. Le corollaire de cette loi est qu’un mot n’y sau
ns différents : car cela équivaudrait à l’introduction d’un quatrième
terme
. 2. La majeure doit être universelle et la mineur
doit être universelle. En effet, s’il n’en était pas ainsi, le moyen
terme
pourrait ne pas avoir dans la mineure la même ext
ec la majeure. En effet, d’abord, la conclusion a pour sujet le petit
terme
, et le grand pour attribut. Mais comme leur relat
r relation entre eux est déterminée par leurs relations avec le moyen
terme
, et que celui-ci est comparé avec le grand terme
ations avec le moyen terme, et que celui-ci est comparé avec le grand
terme
dans la majeure, la mineure devant d’autre part ê
jeure est positive, négative si elle est négative. En outre, le petit
terme
, dans la mineure, est affirmé comme contenu dans
petit terme, dans la mineure, est affirmé comme contenu dans le moyen
terme
. Or, dans la conclusion, le grand terme ne peut ê
é comme contenu dans le moyen terme. Or, dans la conclusion, le grand
terme
ne peut être attribué à un plus grand nombre d’in
ttribué à un plus grand nombre d’individus que n’en contient le moyen
terme
. Donc, si l’une de ces propositions est particuli
e différentes figures. Elles dépendent de la place qu’occupe le moyen
terme
dans les prémisses. Il peut être attribut dans la
tous les cas possibles. Une disjonction est fausse quand on a omis un
terme
. Le raisonnement peut encore revêtir d’autres f
ristote, on remarque qu’il a un caractère bien particulier : le moyen
terme
et le petit terme y ont une égale extension. La m
ue qu’il a un caractère bien particulier : le moyen terme et le petit
terme
y ont une égale extension. La mineure affirme que
e les philosophes de tout temps comme jouant sur un théâtre. Mais les
termes
employés par Bacon sont vagues, aussi bien que le
e ; l’autorité de l’évidence par la véracité divine. 4. Ambiguïté des
termes
. Un syllogisme devant contenir trois termes et ri
divine. 4. Ambiguïté des termes. Un syllogisme devant contenir trois
termes
et rien que trois devient faux si un terme est pr
sme devant contenir trois termes et rien que trois devient faux si un
terme
est pris dans deux sens différents, car cela revi
e est pris dans deux sens différents, car cela revient à avoir quatre
termes
. C’est en cela que consiste la fausseté du syllog
; la loi morale nous commande donc d’aller à notre fin. La fin est le
terme
idéal du développement de l’être. C’est vers ce t
. La fin est le terme idéal du développement de l’être. C’est vers ce
terme
que nous devons marcher. Nous changeons sans cess
damnés à y rester enfermés ? La mort ne doit donc pas venir mettre de
terme
au développement de notre nature sensible. Intel
s pourtant encore loin de la posséder. À mesure que nous avançons, le
terme
de notre marche semble reculer : non seulement da
issons un premier moteur d’où vienne le mouvement, il faut trouver un
terme
d’où dérivent les autres, il faut s’arrêter [en g
es relatifs et changeants ? Mais c’est impossible. Puisque chacun des
termes
de cet ensemble a une cause extérieure à lui, il
pliquer. Mais cette régression de cause en cause n’aura-t-elle pas de
terme
? Le monde serait alors inexplicable. Mais s’il e
salité n’en est pas moins violé : il ne donne le nom de cause qu’à un
terme
distinct d’un autre terme, qu’il appelle l’effet.
violé : il ne donne le nom de cause qu’à un terme distinct d’un autre
terme
, qu’il appelle l’effet. Et en effet, un objet qui
y avoir un nombre fini d’effets et de causes, la série doit avoir un
terme
. Mais lorsque nous cherchons à concevoir le premi
it avoir un terme. Mais lorsque nous cherchons à concevoir le premier
terme
de cette série, et que nous nous servons pour cel
inaire aux gens qu’on appelle beaux parleurs : il consiste à dire, en
termes
bien recherchés, et quelquefois ridiculement choi
il est distingué du dictionnaire des sciences, en ce qu’il exclut les
termes
de sciences trop peu connus, et familiers aux seu
ir l’analogie et la liaison de ce mot avec celui qu’on aura pris pour
terme
radical et primitif. En général, les mots qu’on a
iraient, par l’obligation où l’on serait de répéter souvent les mêmes
termes
, mais encore une telle langue serait nécessaireme
atières philosophiques : car la sévérité de style et la propriété des
termes
et des tours que ces matières exigent nécessairem
ue. Premièrement on doit en exclure, outre les noms propres, tous les
termes
de sciences qui ne sont point d’un usage ordinair
ononcer, ou à trouver Jans les livres ordinaires. J’en dis autant des
termes
d’arts, tant mécaniques que libéraux. On pourrait
ssaires ; nous n’en aurons besoin que trop souvent. À l’exception des
termes
d’arts et de sciences, dont nous venons de parler
son dérivé vernacula. Nous avons aussi dans notre langue beaucoup de
termes
tirés de l’ancienne langue celtique, dont il est
initions y doivent être supprimées. À l’égard de la signification des
termes
, je pense que c’est un abus d’en entasser un gran
t pas tout : il faut même prendre des précautions pour distinguer les
termes
et les tours employés par un seul auteur, quelque
ses épîtres familières. Il faut donc, quand on attribue à Cicéron un
terme
ou une façon de dire, marquer l’ouvrage et l’endr
jamais que très imparfaitement. Il est, premièrement, une infinité de
termes
d’art et de conversation qui sont nécessairement
urs aussi à portée de connaître le sens précis et rigoureux de chaque
terme
, que nous le sommes dans une langue étrangère viv
une langue étrangère vivante ; que d’ailleurs il y a une infinité de
termes
de sciences, d’arts, d’économie domestique, de co
talent de celui qui écrit ou qui parle : telles sont la propriété des
termes
, l’élégance, la facilité, la précision, l’élévati
principes. Qu’est-ce qu’être éloquent ? Si on se borne à la force du
terme
, ce n’est autre chose que bien parler ; mais l’us
nversant la phrase pour en dénaturer l’harmonie, en conserve tous les
termes
. L’expression du sentiment est dictée par la natu
, qui appartiennent au style, et qui consistent dans la propriété des
termes
. C’est principalement cette qualité qui distingue
t saisir avec justesse par une expression propre. De la propriété des
termes
naissent trois différentes qualités : la précisio
convenance du style avec le sujet exige le choix et la propriété des
termes
; elle dépend, outre cela, de la nature des idées
ujet élevé, riantes dans un sujet agréable ; 2°. à n’employer que les
termes
les plus propres pour rendre chaque idée. Par ce
ins agréable que les vers, qui expriment la même chose dans les mêmes
termes
; et il en conclut que le plaisir qui naît de la
ans doute inimitable qu’il faisait de sa langue pour la propriété des
termes
et pour le nombre oratoire, tout ce mérite est ou
iaires, trop difficiles à suppléer, à rendre enfin chaque idée par le
terme
propre : par ce moyen on évitera toute répétition
ces efforts, a dû se demander si l’objet principal du programme, aux
termes
duquel elle était convoquée, si le but moral entr
gé avoir rempli, au plus haut degré, les mêmes conditions ». Dans ces
termes
, en effet, s’il lui était arrivé de vouloir s’arr
au travail des Commissions futures. En se tenant cette fois dans les
termes
généraux de l’arrêté, la Commission a distingué a
cipal attrait. Ainsi amenée par le résultat de son examen, et par les
termes
de l’arrêté où elle était circonscrite, à réunir
t avec la pensée qu’elles revêtent, comme s’il n’y avait pas d’autres
termes
qui la pussent rendre. La règle absolue et souver
le parti contraire, et le bien que son parti fera, que d’indiquer en
termes
propres un seul moyen d’écarter le moindre des da
nom. C’est de l’esprit gaspillé par ostentation. En second lieu, des
termes
simples, exacts, nus, peuvent former un style exp
re perce sous un verbe ou un adjectif : toute la couleur est dans les
termes
propres. Enfin il y a des pensées et des pages de
Chapitre III. Parallèle de la Bible et d’Homère. —
Termes
de comparaison. On a tant écrit sur la Bible,
de bruits, de courses, de passages, si multipliées dans Homère98. Nos
termes
de comparaison seront : La simplicité ; L’antiqui
n ; Les comparaisons ou les images ; Le sublime. Examinons le premier
terme
. 1º Simplicité. La simplicité de la Bible es
rdinairement de l’ensemble des parties, et arrive graduellement à son
terme
. Dans la Bible il est presque toujours inattendu
es sentimens, touchent toujours, bien qu’ils soient exprimez dans les
termes
les plus simples. Ils parlent le langage du coeur
nt le langage du coeur. émilie interesse donc quand elle dit dans les
termes
les plus simples. J’aime encore plus Cinna que je
sentiment cesseroit même d’être aussi touchant s’il étoit exprimé en
termes
magnifiques et avec des figures ambitieuses. Le v
et un moïen de la leur procurer, c’est de les faire raconter dans les
termes
les plus simples et les moins capables de faire s
de M. Renouvier, vous y trouverez reproduite, presque dans les mêmes
termes
, la critique autrefois dirigée par Platon, dans s
pport constant de simultanéité ou de succession qui n’affecte pas les
termes
eux-mêmes, mais leurs relations mutuelles. Nous r
, ne suppose-t-elle point un acte de l’esprit pur ? Par exemple, deux
termes
différents ou semblables, comme deux couleurs, so
» ; il est absolument « pur de toute représentation sensible » ; les
termes
seuls sont sentis, la conscience des rapports n’a
cette relation n’est pas donnée à la conscience en même temps que les
termes
où elle est encore engagée et d’où je l’extrais p
de tels ou tels rapports, demeurant invariable sous les sentiments de
termes
variables, s’extrait de ces sentiments, accroît s
es cas ou les rapports sont représentés eux-mêmes d’avance avec leurs
termes
; mais il y en a d’autres qui échappent à toute r
ables de se retrouver au sein de différences très diverses, entre des
termes
très divers. La différence de la lumière et des t
tant, entre le silence et le bruit, etc. Dans le contraste, outre les
termes
contrastés et leur fusion momentanée, il y a enco
on, un passage d’un état à un autre différent ? — Parce que les trois
termes
successifs demeurent encore simultanés dans le so
uvoir souder les fragments qu’il avait séparés : « Puisque, dit-il en
termes
platoniciens, toute âme d’homme ou d’animal possè
eau. Il ne voit pour ainsi dire dans le réflexe mental que le premier
terme
, qui est l’excitation ; il ne voit pas le dernier
ne sait justement ce qu’on voulait dire que quand on l’a dit.37 » En
termes
philosophiques, l’objection contenue dans ces deu
t en d’autres termes de la même langue, soit, et plus souvent, en des
termes
empruntés à une langue différente, c’est-à-dire s
sser aucun élément. Pour cela, il faut organiser un certain nombre de
termes
usuels en une combinaison nouvelle ; les qualités
le ; les qualités et les défauts de la formule dépendent du choix des
termes
et de l’ordre dans lequel ils sont groupés ; une
de cette vertu, le processus est achevé. Ce processus a eu un premier
terme
, qui était en apparence contemporain de la premiè
es : c’est que l’esprit, sous le prétexte de comparer à sa pensée les
termes
qu’il a d’abord trouvés pour l’exprimer, compare
n ; mais l’inspiration, nous l’avons montré, n’est d’ordinaire que le
terme
d’une réflexion oubliée249. Si, au contraire, les
me une conséquence rigoureuse à des principes indiscutés ; chacun des
termes
de la formule doit donc réveiller une idée élémen
rcher le rapport de cette pensée avec des idées élémentaires dont les
termes
sont depuis longtemps fixés. Cette expression tro
même alors un repas élégant, ce qui ne se diroit guere parmi nous. Ce
terme
est consacré en françois, comme chez les anciens
n Peinture & en Sculpture précisément la même chose que grace. Ce
terme
grace se dit particulierement du visage, & on
.) ce mot, en tant qu’il signifie une qualité de l’ame, est un de ces
termes
vagues, auxquels tous ceux qui les prononcent att
; cependant ne signifie pas précisément la même chose : car jamais ce
terme
homme d’esprit ne peut être pris en mauvaise part
préface du traité sur les poisons. Esprit, en Chimie, est encore un
terme
qui reçoit plusieurs acceptions différentes ; mai
ne, dit à un autre : Tu fais de méchans vers admirablement bien. Le
terme
de facile est une injure pour une femme : c’est q
blanches. Voyez Faction , (Hist. anc.) La principale acception de ce
terme
signifie un parti séditieux dans un état. Le term
le acception de ce terme signifie un parti séditieux dans un état. Le
terme
de parti par lui-même n’a rien d’odieux, celui de
sie ; & c’est de là que vient le mot fantôme. Mais la plûpart des
termes
abstraits sont reçûs à la longue dans un sens dif
cite, n’ont pas tant de tort que le prétend le P. Bouhours : c’est un
terme
hasardé, mais placé, qui exprime l’énergie &
plus agréables que fortes, d’images plus brillantes que sublimes, de
termes
plus recherchés qu’énergiques : cette métaphore s
e le génie ; qui dans leur mécanique sont sans variété, sans choix de
termes
, sans heureuses inversions, & qui dans leur p
sse ; cette force demande de l’embonpoint, des images frappantes, des
termes
énergiques. Ainsi on a dit que les sermons de Bou
ume, ensemble, & plusieurs autres de cette espece. La plûpart des
termes
de guerre étoient francs ou allemands ; marche, m
. On commença au douzieme siecle à introduire dans la langue quelques
termes
grecs de la philosophie d’Aristote ; & vers l
la philosophie d’Aristote ; & vers le seizieme on exprima par des
termes
grecs toutes les parties du corps humain, leurs m
féconde en expressions burlesques & naïves, & très-stérile en
termes
nobles & harmonieux : de-là vient que dans le
eux : de-là vient que dans les dictionnaires de rimes on trouve vingt
termes
convenables à la poésie comique, pour un d’un usa
ssions qui ne sont plus recevables ; mais ce sont pour la plûpart des
termes
familiers auxquels on a substitué des équivalens.
els on a substitué des équivalens. Elle s’est enrichie de quantité de
termes
nobles & énergiques, & sans parler ici de
s mouvemens des passions deviennent froids quand ils sont exprimés en
termes
trop communs, & dénués d’imagination. C’est c
je ne puis. Ce sentiment deviendroit froid s’il étoit relevé par des
termes
étudiés. C’est par cette raison que rien n’est si
une galanterie, sont des choses toutes différentes. Presque tous les
termes
qui entrent fréquemment dans la conservation, reç
; du tudesque warrant. Nous avons changé en g tous les doubles v, des
termes
que nous avons conservés de ces anciens langages.
on servile qu’il faut éviter. Il n’est pas nécessaire de dire que les
termes
injurieux ne doivent jamais être employés, sous q
, c’est de mêler au style simple & noble qu’exige l’histoire, ces
termes
populaires, ces expressions triviales que la bien
, la vénération, la pitié, l’indignation contre ses ennemis ; mais le
terme
de gloire seroit impropre à son égard. Sa mémoire
d’un lit qui sont aux côtés du chevet. Les graces, en latin charites,
terme
qui signifie aimables. Les Graces, divinités de l
ACIEUX Gracieux (Grammaire) GRACIEUX, adj. (Gramm.) est un
terme
qui manquoit à notre langue, & qu’on doit à M
e grand au médiocre. On se trompe moins dans les significations de ce
terme
au physique. On sait ce que c’est qu’un grand ora
ne grande maladie, de grands biens, une grande misere. Quelquefois le
terme
gros est mis au physique pour grand, mais jamais
danger. Article de M. de Voltaire . HABILE HABILE, (Gramm.)
terme
adjectif, qui, comme presque tous les autres, a d
ons. Ce génie qui consiste dans la construction des phrases, dans les
termes
plus ou moins longs, dans la facilité des inversi
de Lille les alliés jettoient des billets dans la ville conçus en ces
termes
: François, consolez-vous, la Maintenon ne sera p
s votre reine. Presque chaque page est remplie d’impostures & de
termes
offensans contre la famille royale & contre l
s appellés idoles ; histoire abrégée de leur culte. C’est un abus des
termes
d’appeller idolâtres les peuples qui rendirent un
lées, sans quoi il n’y a que votre main qui opere. Vous prononcez les
termes
abstraits, grandeur, vérité, justice, fini, infin
talent de celui qui écrit ou qui parle ; telles sont la propriété des
termes
, la noblesse, l’harmonie et la facilité. Parcouro
, qui appartiennent au style ; elles consistent dans la propriété des
termes
. Chez les auteurs médiocres, l’expression est, po
nteur dont la voix serait entre le faux et le juste. La propriété des
termes
est au contraire le caractère distinctif des gran
is des idées communes. C’est aussi la nécessité d’employer partout le
terme
propre, qui rend les bons vers si rares, par la c
sie, possédaient supérieurement celui du théâtre. De la propriété des
termes
naissent la précision, l’élégance et l’énergie, s
é, que les idées fortes et grandes dispensent du soin de chercher les
termes
: il s’agit ici, non de l’expression en elle-même
e par la nature ; c’est ensuite à l’oreille et à l’art d’arranger les
termes
de la manière la plus harmonieuse. Il en est de l
essaires, mais à ranger chaque idée à sa place, et à la rendre par le
terme
convenable ; par ce moyen le style aura le double
n couple, et, à ce titre, il est une connaissance. — Quand le premier
terme
du couple est répété par la sensation actuelle, l
emier terme du couple est répété par la sensation actuelle, le second
terme
devient une prévision. — Mécanisme de la prévisio
nt une prévision. — Mécanisme de la prévision et projection du second
terme
dans l’avenir. — Dans la majorité des cas, notre
es renaîtront telles qu’auparavant. Ainsi faculté, capacité, sont des
termes
tout relatifs, et nous retombons ici dans une ana
ct77. VII Comment se fait-il que l’esclave arrive si souvent au
terme
? D’où vient que nos souvenirs présents correspon
choc mécanique, mais diversement, sans impulsion extérieure, vers un
terme
qui semble un but, comme se meut et se dirige le
ouple dans les événements, et chaque couple mental, quand son premier
terme
est répété exactement par la sensation présente,
terme est répété exactement par la sensation présente, a pour second
terme
une prévision. Quel est le mécanisme de cette opé
que, et désormais, quand nous nous représentons le couple, le premier
terme
nous apparaît forcément comme antérieur au second
tre mémoire. Étant donné un couple de souvenirs dans lequel le second
terme
apparaît comme postérieur au premier, si le premi
s loin par rapport à elle, qu’il y a plus d’intervalle entre les deux
termes
du couple primitif. Toutes nos prévisions et, par
assés et futurs. Au moyen de signes, il extrait, note et lie les deux
termes
abstraits d’eau et de soif éteinte, les deux term
e et lie les deux termes abstraits d’eau et de soif éteinte, les deux
termes
abstraits de feu et de brûlure. Cela fait, aidé d
redevînt libre, et que le mot d’officiel y disparût. Je pense que le
terme
tire sur sa fin. Si je ne me trompe, il y aura un
trouvé de nouveau ici sa place avec une chaleur qu’entretenaient, au
terme
de sa vie, les convictions de sa vie entière. Il
onnaître que le mot nature est pour lui une expression équivalente au
terme
qui nous retrace le régulateur de l’univers.” M.
régulateur de l’univers.” M. de Pongerville nous l’affirme en propres
termes
; il consacre sa préface à démontrer cette vérité
, tous les aiguillons de l’enfer ; et que le méchant, ne voyant aucun
terme
à ses tortures, les prolonge et les aggrave en id
c ce miracle trop opportun, Reid admettait une contradiction dans les
termes
. La présence immédiate du passé dans notre consci
ervenir le « pur esprit » comparant, du fond de son unité, les divers
termes
que le temps apporte et remporte ? Est-ce à l’aid
ité sera impossible. Il faut donc un certain lien qui unisse les deux
termes
, il faut dans la mémoire une certaine synthèse si
e, ne subsiste-t-elle pas jusque dans l’état de souffrance ? Les deux
termes
sont présents à la fois dans la conscience, et il
dans la mémoire une certaine composition, une présence simultanée de
termes
différents. Nous verrons plus tard que tout contr
ément actif d’une énergie facilement déployée, qui va et revient d’un
terme
à l’autre sans heurt et sans secousse. Notre théo
intime, se rapprochant de l’état d’indifférence et s’exerçant sur des
termes
, devient entendement. Bientôt, à mesure que le ce
ques complexes dont le commencement et la fin sont fixes, et dont les
termes
, différents les uns des autres, se succèdent dans
hologique ». Il résulte de ces lois l’établissement de séries dont un
terme
est associé à tous les autres et les suggère. Enf
ction, c’est penser le mot qui lui correspond parfaitement : les deux
termes
sont donc équivalents. Le difficile, c’est d’atte
cinq lettres un chien ? C’est que, s’il y a des mots secs, comme les
termes
philosophiques et les chiffres, il y en a de viva
de sensations, comme un jeune bourgeon gorgé de sève ; ce n’est qu’au
terme
de leur croissance, et après de longues transform
appréhensions et les confuses agitations des sentiments trouvent des
termes
pour s’exprimer. Par les mots, l’intelligence a p
infini à la même notation que le fini, et qui, par une combinaison de
termes
positifs et négatifs, arrive à donner la mesure d
part du temps, la pensée s’exprime par des combinaisons passagères de
termes
qui se limitent réciproquement et projettent les
un dialogue, exprimer une idée, il ne tente pas de choisir, entre les
termes
exacts possibles, ceux doués de qualités communes
erception ; puis, en une phrase générale, le tout est repris avec des
termes
où domine celui des caractères de forme ou de nua
nt sur les odeurs et les couleurs. Les Halles sont décrites autant en
termes
défiants qu’en termes colorés. Le parterre du Par
es couleurs. Les Halles sont décrites autant en termes défiants qu’en
termes
colorés. Le parterre du Paradou est aussi plein d
ctuelles et existantes. Que l’on remonte maintenant de ce pessimisme,
terme
de notre analyse, à la vue magnifiée des hommes e
que que sa nature de lutteur le force à créer et à aimer. En ces deux
termes
dont nous venons de marquer la coopération et l’a
ola touche à l’esthétique du roman, et reprenant en bouche les grands
termes
de positivisme et d’évolutionnisme, il part en gu
et par Kant et par Biran. Tous deux pensaient qu’il devait y avoir un
terme
moyen entre la chose en soi, inaccessible à l’exp
tous deux s’entendirent encore en cherchant dans le sujet pensant ce
terme
moyen, cette racine d’une métaphysique nouvelle.
la pensée en général, temps, espace, causalité. Pour Biran, ce moyen
terme
n’est autre chose que le sujet lui-même immédiate
u devenir, du continu et du divers, de l’un et du plusieurs. Tous ces
termes
, — être, permanence, unité, continuité, — s’équiv
uperficiel de phénomènes flottants et fuyants, nul passage, nul moyen
terme
: comment alors pourrais-je m’attribuer cet être,
notre vie. Le sujet ou le moi est donc, à proprement parler, un moyen
terme
entre le phénomène proprement dit et l’être propr
une logique qui oublie constamment, dès qu’elle a pris son parti, les
termes
mêmes du problème qui lui était posé. Du conflit
avait parlé de la Gazette de Hollande : « Vous y apprendrez certains
termes
qui ne valent rien, comme celui de recruter, dont
son fils enclin aux mauvaises lectures : « Vous y apprendrez certains
termes
qui ne valent rien, comme celui de pédaler, dont
broderie, coûteux, coutumier, découdre défricher, sont tenus pour des
termes
incompatibles avec la littérature, et on rejette
le Flamme Flammerolle Feu Furolles (Feux-follets) Fusée Fusarolle, (
Terme
d’architect.) Fuserolle, (Terme de tissage) Bande
lles (Feux-follets) Fusée Fusarolle, (Terme d’architect.) Fuserolle, (
Terme
de tissage) Bande Banderole Barque Barquerolle (
rque Barquerolle (Petit bateau, coffre, pâtisserie). Bout Bouterolle (
Terme
de serrur.) A cela on ajoute sans surprise aucun
il y en a des milliers en français. Purge est d’ailleurs resté, comme
terme
de droit et nage vit dans une locution. Se reven
. C’est un exemple amusant d’étymologie populaire. On exprime par ce
terme
la tendance du peuple à ramener l’inconnu au conn
s langues, à l’insu de ceux qui les ont créées et perfectionnées. Les
termes
qui expriment les notions primitives, les faits e
aucoup de philosophes qui, dans leurs méditations, sont partis de ces
termes
, se sont imaginé créer ce que l’âme humaine y ava
les langues ; sous le rapport qu’ils pensent l’un et l’autre que les
termes
qui expriment les notions primitives, les faits e
es ; sous le rapport enfin que les philosophes qui sont partis de ces
termes
, c’est-à-dire les partisans de la philosophie exp
st philologue et curieux de langage, n’invente pas un grand nombre de
termes
; mais il en restaure beaucoup, en sorte que ses
cur naturellement. Tout de suite, au contraire, il met la main sur le
terme
exact, sur l’image nette, sur la forme précise. E
ond Lorsque M. Moréas nous entretient du Pinde ou de l’Eurotas, en
termes
si délicieux qu’il puisse s’exprimer, cela nous é
e à sentir la vérité du drame. Vérité, vraisemblance, intérêt : trois
termes
corrélatifs qui sont la formule de l’art. Mais no
te, doit s’exprimer dans une forme d’art précise et serrée. En autres
termes
, toutes les intentions que nous avons vu que l’au
spect de la langue, pureté, correction, éviter les tours vicieux, les
termes
impropres, ne jamais s’accorder un barbarisme ou
eant des apparences on ne peut nulle part poser de commencement ni de
terme
, nous croyons qu’on dénature le fini et qu’on en
’un ouvrage particulier, il se rencontre certaines formules, certains
termes
qui semblent dénoter une tendance fâcheuse et des
al inscrit au dictionnaire. Encore ici, Boileau n’a tort que dans les
termes
, et il parlerait moins gauchement s’il était plus
qu’il a connu le charme de la vraie simplicité : il se sert des mêmes
termes
presque que Mme de Sévigné pour caractériser la p
ings, tantôt au visage. » Mais par où donc sublime ? Par l’emploi des
termes
propres et simples. Enfin, voici le passage décis
mal, s’ils confondent les mots, s’ils n’apprécient pas la valeur des
termes
, c’est qu’ils pensent mal. Leur esprit n’est poin
aché, vous portera le coup le plus funeste. » Et il concluait en ces
termes
: « Lorsqu’il y a cinquante ou soixante ans, sou
rit français, dans le sens particulier que vous paraissez donner à ce
terme
, n’existe nulle part en France, hors de Paris, sa
ent un style puéril où foisonnent le solécisme, l’amphibologie et les
termes
impropres. Pour moi la preuve est faite. L’enseig
diennement des fautes manifestes, des pléonasmes, des impropriétés de
termes
, des mots complètement détournés de leur sens, et
est possible, c’est un fragment de définition. Mais le latin donne au
terme
componere un autre sens, bien plus fin, bien plus
in, cette langue si logique et si intransigeante sur la propriété des
termes
, ne devrait pas être exigée des rédacteurs de nos
rthographe, pataugent dans la grammaire et méprisent la propriété des
termes
, hormis les vocables qui, sportifs, nous arrivent
or, la résistance ne peut se sentir seule, puisqu’elle implique deux
termes
et un rapport. La résistance est une motion arrêt
ntiment d’une relation, d’un changement, d’un mouvement, sans que les
termes
soient sentis ou même sans qu’il existe des terme
ment, sans que les termes soient sentis ou même sans qu’il existe des
termes
véritables ? En fait et objectivement, toute doul
ctif, le mouvement et le changement ne sont appréciables qu’entre des
termes
qui sont des états de conscience plus ou moins mo
e plus. La réalité ne peut se résoudre tout entière en relations sans
termes
, en nombres comme ceux de Pythagore, et en nombre
. L’existence d’un minimum sensibile et d’un maximum sensibile, comme
termes
extrêmes du sentir, est, dans le domaine de l’int
que les relations demeurent toujours identiques, quels que soient les
termes
. Si nous ne saisissions que les relations ou diff
évaluer. Ce qui induit ici en erreur, c’est que, dans nos langues, le
terme
d’intensité éveille nécessairement une idée de re
s, en admettant de pareils états, comment comprendre que la fusion de
termes
inconscients en un raisonnement inconscient fasse
s la résoudre, car ce n’est pas le raisonnement même qui fournira les
termes
entre lesquels il établit un lien, soit logique,
t inconsciente, comment puis-je saisir la différence, alors qu’un des
termes
m’échappe ? N’est-il pas plus naturel de dire que
Rambouillet. Ce ne fut pas seulement la mort de Molière qui marqua un
terme
à la protection que les lettres donnaient à la so
laissait espérer d’autres grâces. Madame Scarron lui répond dans des
termes
où l’on reconnaît plutôt la crainte d’être soupço
sance et la jalousie la plus ombrageuse et la mieux fondée. 94. Les
termes
dont se sert madame de Coulanges se refusent à l’
la différence sont des rapports tout extrinsèques, pour un troisième
terme
qui laisse les deux premiers tels qu’ils étaient
ntale. Tout fait de conscience est constitué par un processus à trois
termes
inséparables : 1° un discernement quelconque, qui
vue de l’intelligence, le discernement peut être implicite, quand un
terme
seulement est présent à l’esprit, sans comparaiso
t la loi psychologique d’importance capitale que nous résumons par le
terme
: idée-force. Tout état de conscience est idée en
au fond identique au phénomène interne. Ce dernier n’est pas un moyen
terme
interposé entre le réel du son et une modificatio
cience d’un autre état de conscience par un processus dont les divers
termes
s’impliquent et s’expliquent mutuellement. Ainsi,
aits de conscience, à des phénomènes de conscience. Mais, d’abord, un
terme
général n’a pas le pouvoir de supprimer des disti
on est elle-même une sensation particulière, on se borne à élargir le
terme
de sensation pour y faire rentrer les choses les
mentations que l’on fasse, il faudra toujours arriver devant certains
termes
irréductibles et devant une relation irréductible
’organe du sens, mouvement senti comme il vient. Je ne puis penser en
termes
visuels, par exemple, sans sentir un jeu flottant
de ce faux style (victorieusement et définitivement promu au titre de
terme
universel de comparaison) et de l’esprit critique
n réalité le mot propre n’existe pas — le mot propre, c’est-à-dire le
terme
quelconque qui correspondrait d’une manière adéqu
. Si nombreuses que soient les discussions où le désir de définir ce
terme
ait jeté les esthéticiens, ils sont tous d’accord
ue l’ébauche vienne lente ou rapide et se multiplie s’il le faut : au
terme
de toutes ces transformations, sonne l’heure qui
sion d’ensemble. Unité, éternité témoignent ici de l’égalité de leurs
termes
. On ferait aisément des observations analogues à
reindrai à l’art écrit, à celui qu’on a pu par excellence désigner du
terme
de poésie. Nous y sommes amenés par ces considéra
es mots “un long poème” sont tout simplement contradictoires dans les
termes
. » Revenant sur cette pensée, il la précise : « L
poétique et de l’esprit critique. Pour en prendre seulement les deux
termes
extrêmes, comparez aux rapsodies primitives, qui
les grands siècles et les siècles de décadence. Comment concilier ces
termes
et les idées qu’ils signifient avec cette affirma
y a pas de progrès en art ? Nous pourrions, au préalable, discuter ce
terme
de décadence et refuser de le recevoir. Si nous é
ontraire elle envahit le domaine plastique, hérisse le style écrit de
termes
arides et qui ne font pas image, encombre la pein
pécher contre l’humanité sacrée, mais qu’il faut saluer avec joie au
terme
du chemin. La mort, c’est l’infini lumineux qui s
inait à croire que tout était perdu et sans ressources ; il le dit en
termes
nets, écrivant au duc de Chevreuse au commencemen
une telle générosité, et entre Bouflers et lui tout se passa dans les
termes
de la plus cordiale estime. Pour parer aux mouvem
bataille prochaine, le maréchal de Berwick avec qui il vécut en bons
termes
, bien qu’ils fussent quelquefois d’avis différent
eprésenter les inconvénients du misérable système qu’on suivait et le
terme
fatal où il devait aboutir, du moment que la paix
injurieuse au caractère national et abaissante pour la France, eût un
terme
. Villars, en 1712, n’allait plus avoir affaire du
siège de Landrecies, et il dut les répéter à peu près dans les mêmes
termes
: mais c’est à Viliars qu’il est naturel qu’il le
nciens auteurs sont appelés profanes, et si quelques-uns ont quelques
termes
libres et impurs : le soleil jette ses rayons sur
loquor, et tellus tecta rubore micat. Ce que Marolles traduit en ces
termes
: Au moment que j’en parle, on voit que sa perru
pelain : il y avait guerre entre eux. Ils avaient d’abord été en bons
termes
; mais Marolles, lui ayant demandé des avis sur s
t moins important de les rendre fidèlement, ni ne distingua moins les
termes
pour les employer…, et, ce qu’il y a de pis, jama
te à la censure. » De ce côté aussi, avec plus de modération dans les
termes
, nous rencontrons le même fonds de mésestime. Boi
des deux autres personnes dont parle Jean Rou, il la regrette en des
termes
si touchants, si expressifs et si publics, que vé
côtés, et par les mêmes suffrages, aux États généraux. Il raconte en
termes
simples et véridiques ses impressions premières e
u, et je l’assurai que je sentais comme lui la nécessité de mettre un
terme
à de tels désordres. Un moment après, M. de Lally
qu’il prononça devant le Tribunal révolutionnaire, s’exprimer en ces
termes
: « J’atteste, sur ma tête, que jamais, absolumen
ois années, et sans que nous puissions nous flatter d’être arrivés au
terme
! Nous avons remué la terre bien profond, nous av
Dauphiné à Paris, en novembre 93 ; pendant le trajet, et prévoyant le
terme
prochain, il écrivait de Dijon à l’une de ses sœu
l, telle déposition. Voilà l’explication la plus plausible, dans les
termes
mêmes où je la reçois ; et, malgré tout, le senti
ionaux. Pourquoi dès lors ne pas accepter dans le langage courant, un
terme
qui exprime un fait essentiellement naturel, norm
ranger était synonyme d’ennemi. La pensée moderne a dissocié les deux
termes
autrefois confondus. Pour nous désormais, entre l
on fermement établie et nettement admise de nos jours, entre les deux
termes
d’étranger et d’ennemi, chaque peuple semble se c
vit en dehors de ses frontières, et volontiers confondre encore deux
termes
de plus en plus divergents. De cet état de choses
nc naturellement conduits à éclaircir le rapport de ces deux derniers
termes
. De même que le sens réel de l’individualisme,
rs temps, il est vrai, a tenté de rétablir l’équilibre entre les deux
termes
injustement dissociés, et des travaux considérabl
tégeant, et par quels moyens la république pourrait porter au dernier
terme
la noble ambition des hommes vers les progrès de
ssive qui fait atteindre chaque jour un but utile, et qui présente un
terme
indéfini. Comment néanmoins pourrait-on écrire ph
ravaux multipliés qu’il inspire. Un petit nombre d’hommes arrivent au
terme
: mais tous l’espèrent, et si la renommée ne cour
bats sans victoire, des bouleversements sans but et des malheurs sans
terme
. La réputation, les suffrages constamment attaché
c’est identiquement celui de l’union de l’âme et du corps : il y a un
terme
qu’aucune psychologie ne saurait franchir. Tout c
rester fixé dans la sphère étroite et funeste du fini. Tels sont les
termes
de l’accusation : comme elle est très grave, surt
r mieux expliquer les conditions du problème à résoudre. J’ignore les
termes
du programme et des développements qui ont été ju
e d’Olivet, c’est la question proposée par l’Institut, et surtout les
termes
dans lesquels elle est proposée. M. Fabre d’Olive
e premier méconnut sans doute leur origine et les considéra comme des
termes
de métier. Aujourd’hui même la phonétique n’arriv
er (tortiare), est devenu en anglais truss et nous est revenu drosse (
terme
de marine). Les rapports linguistiques ont toujou
au commerce des chrétiens. Tarif était, encore au siècle dernier, un
terme
spécial de douane. NdA 69. Aurait donne jadis :
ait d’une langue morte, qu’il connoisse parfaitement la propriété des
termes
, l’harmonie & la grace du discours. La plus g
vain, à posséder une langue morte, vient sur-tout de la propriété des
termes
. Combien les modernes ont-ils d’idées inconnues a
un rapport à celles d’autrefois. Outre cette signification propre des
termes
, il y avoit une signification accessoire & dé
r que ce dernier accompagne l’autre. Or la liaison constante des deux
termes
n’a été vérifiée expérimentalement que dans un no
n’est pas donné, et dans quelque ordre qu’on fasse la somme des mêmes
termes
, on trouvera le même résultat. La science demeure
36 ». Il y met en balance les plaisirs et les peines, comme autant de
termes
auxquels on pourrait attribuer, au moins par abst
ellent durée et qui est en réalité espace. Nous apercevrons alors des
termes
extérieurs les uns aux autres, et ces termes ne s
us apercevrons alors des termes extérieurs les uns aux autres, et ces
termes
ne seront plus les faits de conscience eux-mêmes,
face conserve l’empreinte des choses, il associera par contiguïté des
termes
qu’il aura perçus juxtaposés : c’est à des liaiso
ce, agiront à peu près comme une suggestion hypnotique. A côté de ces
termes
indépendants, on trouverait des séries plus compl
l’abstraction distingue au sein de l’activité continue dont X est le
terme
. Mais tandis que les déterministes tiennent compt
la tracer à l’avance ; c’est que vous vous supposerez alors arrivé au
terme
, et assistant par imagination à l’acte final. Bre
outes ses phases, et jusqu’à l’acte accompli. Alors, récapitulant les
termes
de la série, on aperçoit la succession sous forme
ra. » — Nous consentons volontiers à ce qu’on pose le problème en ces
termes
: on nous fournira ainsi l’occasion de formuler n
onscience perçoit, par le symbole matériel de ce progrès arrivé à son
terme
, c’est-à-dire du fait accompli joint à la somme d
intéresse. C’est que nous le connaissons déjà ; c’est que, arrivé au
terme
du progrès qui constitue son existence même, le f
ception renouvelée, comme ce n’est pas à A mais à A que sont liés les
termes
B, C, D, il faut bien, pour évoquer les termes B,
à A que sont liés les termes B, C, D, il faut bien, pour évoquer les
termes
B, C, D, qu’une association par ressemblance fass
r A d’abord. En vain on soutiendra que A, est identique à A. Les deux
termes
, quoique semblables, restent numériquement distin
deur 17, la ressemblance est un rapport établi par l’esprit entre des
termes
qu’il rapproche et qu’il possède par conséquent d
s en entités indépendantes de l’idée qu’elles développent : ces trois
termes
, perception brute, image auditive et idée, vont a
une autre, à un moment ou à un autre, la continuité rompue des trois
termes
. On supposera donc que ces trois termes, logés da
a continuité rompue des trois termes. On supposera donc que ces trois
termes
, logés dans des portions distinctes du bulbe et d
tifs, et les souvenirs à leur tour des idées. Comme on a solidifié en
termes
indépendants les phases principales du développem
véritable, et, par une conséquence nécessaire, introduit dans chaque
terme
de la série des éléments qui ne se réalisent qu’a
ent qu’après lui. Ce n’est pas impunément non plus qu’on aura figé en
termes
distincts et indépendants la continuité d’un prog
ents que le même mot peut exprimer selon la place qu’il occupe et les
termes
qu’il unit ! Alléguerez-vous que ce sont là des r
is plus la langue que vous me parlerez sera primitive et dépourvue de
termes
exprimant des rapports, plus vous devrez faire de
rien au fond des choses. Quels que soient le nombre et la nature des
termes
interposés, nous n’allons pas de la perception à
ation rigoureuse et de dissection anatomique. — Rappelons-nous que ce
terme
vient d’un verbe grec qui signifie couper en morc
availlé à une « histoire naturelle des esprits ». Ce sont ses propres
termes
. Sainte-Beuve était un poète, et même si original
e nécessaire à toute œuvre dramatique vient en dernier. Renversez les
termes
du problème… Entrez tout d’abord dans l’action. »
de l’histoire littéraire sur ce que j’appellerai, faute d’un meilleur
terme
, la vitalité des romans. Remontons au dix-septièm
très réel. Dans la première édition du dictionnaire de l’Académie, ce
terme
d’actuel était rangé parmi les dérivés du verbe a
rand critique répond à un injurieux pamphlétaire en affirmant, en ces
termes
, sa foi littéraire : « Ayez de la conscience et d
lui avait été utile pour s’apaiser et « se dégorger ». Il souligne ce
terme
qui décèle l’ancien carabin, et l’élément de morb
On peut dire que la mesure de sa valeur historique, — je reprends le
terme
, — est celle même du talent d’un auteur. Les très
ion de la culture générale était, nous le constatons trop souvent, au
terme
de ces bouleversements et de leurs méthodes non v
on métier. Me trompé-je en reprenant, à propos du grand chimiste, les
termes
mêmes que j’appliquais à l’auteur dramatique ? Ta
maîtres, ceux que je viens de nommer : Dumas, Biot, Balard. En quels
termes
il parle d’eux ! Et c’est encore une des précieus
en affirmant sa fidélité au Credo qu’il formulait, tout jeune, en ces
termes
: « La Science fournit seule le fond de réalité n
disait Renan ou à peu près, car si je n’ai pas noté sur le moment les
termes
exacts de ce discours, le sens m’en est resté pré
un moyen de s’associer en pensée à cette évolution du cosmos vers un
terme
indéfiniment reculé, si démesuré par rapport à no
s les Pensées, répétons-nous ces textes de l’Évangile. J’employais le
terme
de « citation » et j’avais tort. Ces textes, Pasc
ar sa grandeur, celui qui le confond avec sa petitesse. Et dans quels
termes
et combien douloureux il exprime ce déconcertemen
les fois que Pascal parle d’une profession, par exemple, c’est en des
termes
qui font image. S’agit-il des juges ? Il nous les
phrase aux attaques brusquées, aux raccourcis impérieux, où tous les
termes
sont employés dans leur sens populaire. Alphonse
ne hâte d’arriver, pour employer un verbe grossier dont on a tiré les
termes
, plus grossiers encore, d’arrivisme et d’arrivist
possédée avec cette sûreté et à ce degré. Il a vraiment, et jusqu’au
terme
de sa longue carrière, réalisé, sans une défailla
hénomènes éternellement et inutilement déroulée, sans commencement ni
terme
, sans principe et sans but. Quel sens peuvent bie
été dégradée. Seulement il faut l’abattre d’abord. Apercevez-vous, au
terme
de ce bilan d’une déchéance universelle, — et cel
l’erreur de ces deux grands esprits fut de ne pas reconnaître que ce
terme
: la Science, n’est qu’une abstraction. Il n’y a
e, cette Marche intellectuelle, en la magnifiant. Ce sont ses propres
termes
: « J’ai travaillé à la défense de l’esprit franç
agique et si frémissant, mais aussi le serviteur, — j’en reviens à ce
terme
, pour moi le plus beau de la langue, — qui veut s
nsi servir. J’ai souligné, de nouveau, le mot : servir. Il marque le
terme
auquel aboutit le développement de sa pensée chez
e là dérive chez lui cette qualité pour laquelle il faut emprunter un
terme
à la chimie : la saturation. Chaque fois qu’il pa
de condamner à la fois ce reniement et de le plaindre, et, dans quels
termes
, si sages et si émus ! « Il faut s’habituer, cher
Augustin Cochin, en apparence si comblée. Ceux que l’on appelait d’un
terme
, d’ailleurs inexact, car il n’y eut jamais de cat
trinaires de la Révolution et de la démocratie n’admettent pas que ce
terme
soit employé au pluriel. Ils sont dans la logique
ans notre Panthéon, d’un grand poète classique au meilleur sens de ce
terme
, bien beau quand il est compris, car il résume en
e n’a jamais surpassé en pathétique celle de Rousseau, et elle a pour
terme
la férocité de Robespierre. La valeur du talent e
au réel — interdit, ne nous lassons pas de le répéter, d’employer le
terme
de science au singulier. C’est seulement par hypo
éléments les substances minérales… » Et encore : « La matière a pour
terme
la pensée. » La logique d’un pareil système est u
est justifiée par ce fait que la thèse combattue ici, se retrouve au
terme
de toute étude sur un des représentants important
un partisan décidé de l’éducationnisme. Éducation, hérédité, ces deux
termes
lui apparaissent comme antinomiques ; il veut sup
énuée ou supprimée. Pour nous l’antinomie est irréductible ; les deux
termes
: socialité et originalité s’excluent et M. Dragh
cesco semble lui-même donner raison à cette opinion en supprimant, au
terme
de l’évolution, la pensée individuelle au profit
sociale. L’antinomie se solutionne par l’anéantissement d’un des deux
termes
antagonistes. En résumé et en conclusion, la thès
on et la notion. On les a opposées parfois l’une à l’autre comme deux
termes
antithétiques : l’une représentant la pensée indi
éfinitions de la vérité : l’une dans laquelle on définit la vérité en
termes
purement intellectuels (parfaite clarté et distin
ratique. C’est la définition pragmatiste. Mais, qu’on la définisse en
termes
intellectualistes ou en termes pragmatistes, l’id
agmatiste. Mais, qu’on la définisse en termes intellectualistes ou en
termes
pragmatistes, l’idée de vérité semble capable d’a
us qu’ailleurs, ce sont des sentiments qu’on rencontre au début et au
terme
des raisonnements. Certes, la sociologie, considé
s’attacher à une formule. Pour peu qu’on pense dans toute la force du
terme
, on diffère des autres, pas un individu ne pense
nuances d’une idée, à l’analyser en l’exprimant. Flaubert connaît les
termes
techniques des matières dont il traite ; dans Sal
suivent Julien de leurs mufles froids, tout cet au-delà est décrit en
termes
grandioses et lointains, en indéfinis pluriels ab
période terminale dans laquelle, une image grandiose est proférée en
termes
sonores que rythment fortement des accents serrés
ore, un récit d’imaginations se prêtent parfaitement à être conçus en
termes
précis, colorés et rhythmés. En fait, les plus be
e, dans les plus vulgaires pages, la beauté de l’expression conçue en
termes
nets, simplement liés, semble proférer une note l
ence de ‘vagabond des champs et finit par commettre des actes dits en
termes
héroïques ! « Il suivait les laboureurs et chassa
n’eut dans toute sa carrière, que cette chose chez lui primordiale et
terme
commun, le style. III.Les causes Résumé d
ir exprimer le grandiose, le magnifique, l’harmonieux, à qualifier en
termes
enthousiastes des choses en soi minimes ; par ces
ement et psychologiquement le même. L’incohérence faible de Flaubert,
terme
extrême de celle de tous les artistes qui « font
lle encore par excellence, le « style ». On sait qu’entre lettrés ces
termes
ne sont appliqués qu’à des prosateurs et des poèt
rapport n’est pas un rapport d’identité, comme le premier, car un des
termes
étant donné, l’autre n’est pas supposé nécessaire
irment le même du même, parce qu’en effet il suffit d’analyser un des
termes
du rapport qu’ils expriment, pour en tirer l’autr
yser un des termes du rapport qu’ils expriment, pour en tirer l’autre
terme
, et pour avoir par conséquent et le rapport et le
rce que, pour trouver le rapport, il ne s’agit plus d’analyser un des
termes
, mais il faut joindre ensemble deux termes logiqu
git plus d’analyser un des termes, mais il faut joindre ensemble deux
termes
logiquement indépendans, et faire par conséquent
ue, dans les jugemens synthétiques à priori ou à posteriori, les deux
termes
du rapport fussent identiques, c’est-à-dire que,
ns avoir la notion de douze, la notion du sujet sans celle de l’autre
terme
et du rapport d’égalité qui les unit. Or, après q
e même connaissance à une même connaissance. Mais si l’idée du second
terme
est implicitement dans le premier, elle n’y est p
sont pas moins que des jugemens synthétiques à priori, car le second
terme
du rapport que ces jugemens expriment n’est nulle
vicissitudes nécessaires, et nous la voyons aujourd’hui arrivée à son
terme
, tempérée et organisée dans la charte qui nous go
de Port-Royal des Champs au pied de la fosse de M. Hamon. Ce sont ses
termes
. A quoi il ajoute qu’il supplie très-humblement l
u’il a toujours très-constamment refusé. « La Gazette parle de lui en
termes
magnifiques : je les transcrirais ici comme digne
ssure l’exactitude : « Je vous rapporte, monsieur, mot pour mot, les
termes
du petit testament de mort106, sans y ajouter ni
soucierais pas d’être disgracié et de faire « la culbute (ce fut son
terme
), pourvu que Port-Royal fût « remis sur pied et f
c’est son caractère dominant et qui frappe de près ou à distance. Ce
terme
de grand revient naturellement sons la plume des
outissent pas à des réponses irréfutables ; elles n’ont pas besoin de
termes
spéciaux, de mots abstraits, de phrases sèches et
maintenant le choix des mots et l’espèce des métaphores. Ce sont les
termes
du dix-septième siècle, exacts, nobles, tirés de
s n’examinons que le style. Or, le style est un amas d’équivoques, de
termes
inexacts, de métaphores, d’expressions vagues. L’
nécessité doit nous faire douter des axiomes. » M. Cousin change les
termes
de Kant. Il répond triomphalement : « Selon vous,
ugions responsables. » Responsable est une métaphore, c’est-à-dire un
terme
inexact et vague. Répondre d’une action, c’est en
é de la Révolution française, dans quelques-uns de ses écrits, en des
termes
grandioses et magnifiques : il est bon de voir co
Je l’ai fait néanmoins avec plaisir, parce que le mobile secret et le
terme
de cette Révolution se lient avec mes idées et me
it, parut rarement dans sa chaire. Les Écoles normales finirent avant
terme
, n’ayant rempli qu’imparfaitement leur objet, et
par conséquent il ne doute pas que cette Révolution n’atteigne à son
terme
, « puisqu’il ne convient pas que la Providence so
que Saint-Martin avait parlé précisément de cette rencontre et en des
termes
bien différents, il ne répara qu’à demi une légèr
voyait des agents et instruments providentiels destinés à mener à bon
terme
la Révolution : « Ils se tromperont s’ils se croi
ture » ; de plus un Glossaire, renfermant « l’explication de tous les
termes
qui ne figurent pas dans les dictionnaires actuel
tion est dédiée au cardinal Du Bellay, et la dédicace commence en ces
termes
pompeux : « Vu le personnage que tu joues au spe
ure. Du Bellay, à son moment, est un classique dans toute la force du
terme
, un classique qui veut qu’on invente à demi, qu’o
, avait perdu de terrain au commencement du xvie , on le voit par les
termes
mêmes de la tentative de Du Bellay ; il importe,
tes, il est trop évident qu’il ne leur en tient aucun compte dans les
termes
formels de la réprobation qu’il vient de lancer.
, ce que c’est qu’une Pléiade : de là sa faute, plus en vue encore au
terme
et au sommet d’une péroraison. Il a cru évidemmen
ès avoir atteint tout d’un trait jusqu’aux limites de son sujet et au
terme
de la carrière qu’il avait à retracer, a dû reven
des œufs que nous avons couvés ! » M. Guizot a su si bien choisir les
termes
de ses éloges qu’ils impliquent la critique et la
d’hui. Oserai-je me permettre une remarque ? La supposition, dans les
termes
où elle est faite, est par trop simple et trop fa
est difficile les restituer et trouver. Ainsi donc par faute d’autres
termes
avons été contraints d’user des présens, en nous
donner à un commun patois et plat langage, fuyant toute affecterie de
termes
sauvaiges, emmasqués et non accoutumés, lesquels
ue, suspition, sayette, vitupère, etc. Le grec fournit toute sorte de
termes
d’art, de science, de philosophie, de politique,
ement de la pensée suivant le mouvement des choses. » Remarquons ces
termes
« ordre des idées », « mouvement de la pensée »,
onjecture, une vérification. La méthode subjective s’arrête au second
terme
: sa fonction c’est l’hypothèse. La méthode objec
a fonction c’est l’hypothèse. La méthode objective parcourt les trois
termes
: sa fonction c’est la vérification. Elle absorbe
négative. En résumé, « une proposition est absolument vraie quand ses
termes
sont équivalents, et alors seulement. Cela se fon
éveloppement de ces modifications successives, et l’expérience est le
terme
général qui exprime la somme de ces modifications
La perception est l’identité du moi et du non-moi, le rapport de deux
termes
, le tertium quid de deux forces unies, comme l’ea
les causes efficientes. » On peut dire que Gall a mis définitivement
terme
à la dispute entre les partisans des idées innées
nnemi de la fadeur, pour ne pas nous permettre de sortir avec lui des
termes
d’un éloge continu. Si j’osais lui emprunter son
ur une ligne, en tacticien habile il choisit ses points. Il prend ses
termes
de comparaison chez les Grecs, chez les Latins, d
lus désolé des hommes, et à la fois d’aimer sa tristesse ; le dernier
terme
de ce mal serait le suicide. Peu de gens de nos j
sse, qui ose affronter le voisinage des petits enfants. C’est en ces
termes
, et bien mieux encore (car je suis forcé d’abrége
avancées. Jusque-là, l’ouvrage en question sera moins un jalon qu’un
Terme
dans le champ de nos connaissances sur l’Asie, et
tes, — le rationalisme existant à la Chine comme il existe en Europe,
terme
pour terme, semblable, identique, avec son faux r
ationalisme existant à la Chine comme il existe en Europe, terme pour
terme
, semblable, identique, avec son faux respect pour
ites ont disparu. Le rationalisme est, intellectuellement, le dernier
terme
pour les nations. Philosophie peu compliquée qui
uelle jalousie Malherbe y tenait l’emploi de président, et dans quels
termes
énergiques il rendait ses arrêts. Lui-même est le
r et d’esprit, sans aucune affectation ni de l’un ni de l’autre ; des
termes
choisis, mais sans scrupule et sans enflure, et d
efusa cet excès de pouvoir ; elle laissa chacun libre d’employer tels
termes
qu’il voudrait, et de n’user des mots approuvés p
endre ses pensées. Toutefois, elle insinua sagement que l’emploi d’un
terme
repoussé par la pluralité des voix pouvait être a
auprès de juges compétents, pour n’admettre dans son langage que des
termes
dont tout le monde fût d’accord, rappellent l’eff
e besoin de produire n’eût pas été plus fort que celui de choisir les
termes
, et s’il n’y avait eu plus d’ardeur pour enrichir
r pour la première fois. L’invention, soit celle qui crée de nouveaux
termes
, soit celle qui en fait renaître d’anciens par un
quivoques que les redites, et l’obscurité que les divisions. Tous les
termes
sont employés dans le sens le plus général. On ne
ux connu le chemin de toutes les intelligences saines, ni enseigné en
termes
plus exacts des notions plus précises et plus acc
t Résumons brièvement ce qui précède. Nous avons distingué trois
termes
, le souvenir pur, le souvenir-image et la percept
ns l’image colorée et vivante qui le révèle. En symbolisant ces trois
termes
par les segments consécutifs AB, BC, CD d’une mêm
de A en D, et qu’il est impossible de dire avec précision où l’un des
termes
finit, où commence l’autre. C’est d’ailleurs ce q
ement d’action réelle ou d’efficacité immédiate, et l’extension de ce
terme
se trouvant ainsi limitée, on aurait moins de pei
états successivement développée dans le temps. Dans la première, les
termes
se conditionnent d’une manière tout à fait déterm
e tout à fait déterminée, de sorte que l’apparition de chaque nouveau
terme
pouvait être prévue. C’est ainsi que je sais, qua
oit et qu’ils font partie d’une série, temporelle ou spatiale, où les
termes
se déterminent les uns les autres. Mais ces deux
é immédiat, si notre conscience du présent est déjà mémoire, les deux
termes
que nous avions séparés d’abord vont se souder in
réellement B dans la mémoire. Si éloignés qu’on suppose donc les deux
termes
A et B l’un de l’autre, il pourra toujours s’étab
il pourra toujours s’établir entre eux un rapport de contiguïté si le
terme
intercalaire A′ entretient avec A une ressemblanc
e décisivement en faveur de celles-ci : « Pour moi, dit-il, arrivé au
terme
d’une longue vie pleine de travail, de réflexions
tres le sauront après lui, et ceux-ci, à leur tour, ambitionneront un
terme
plus éloigné qu’ils n’atteindront pas. Tant qu’il
achant et en se prédisant presque à heure fixe, et montre en main, le
terme
funèbre que tous ses soins ne reculeront pas. Dan
complet, un effort multiple, incessant, une étude sans trêve et sans
terme
, et où la vie se consumera. Le lit est d’un Spart
uité. J’ai simplement produit une conception de mon esprit, arrivé au
terme
. Mais je me souviens trop bien des phases morales
enu un succès, pouvaient de plus prétendre avoir satisfait, selon les
termes
de l’arrêté, “à toutes les conditions désirables
jeunes gens de M. Laya le redit à sa manière, presque dans les mêmes
termes
: “Mon père a le meilleur cœur du monde ; mais il
, ne mérite point pour cela le blâme. En considérant de plus près les
termes
de l’arrêté du 12 octobre 1851, il a semblé par m
isent à cet excès, mais quand elles ont entraîné l’homme à un certain
terme
de scélératesse, l’effet devient la cause, et le
n que, sans se l’avouer, il a de son propre caractère ; et le dernier
terme
de sa fureur serait de détester en lui-même ce qu
usse les hommes dans cette pente une fois qu’ils s’y sont placés ; le
terme
, quel qu’il soit, recule à leurs yeux à mesure qu
ence du métier se décèle moins dans le langage à l’emploi de certains
termes
qu’à un resserrement général de la trame, à d’imp
sse, les mains sur les hanches, peigner comme une chatte24 ». Pas un
terme
technique, mais une netteté d’expression que plus
à le résoudre : je voudrais seulement, en mettant l’accent sur un des
termes
dont il ne me paraît pas que l’on ait assez tenu
aux siennes, et un accord tacite s’établit qui se maintient jusqu’au
terme
. S’il était difficile, — en mon cas impossible, —
contrebalancer les multiples combinaisons des dés. Parvenu presque au
terme
, il introduit parmi les données, au même rang qu’
assages où le récit roule sur les rails de telle sorte que parvenu au
terme
seulement, puis revenant en arrière le lecteur es
ours d’un homme qui s’entretient avec lui-même ; appliqué à Valéry le
terme
décrit, par-delà la sphère de la parole et même d
ître comme acte de pensée totale qu’un acte unique : celui qui en son
terme
engendre l’œuvre d’art, il est amené à accorder u
penser, bien sentir et bien rendreao ». Soutenir qu’envers le premier
terme
de la définition de Buffon les Goncourt ne se soi
as moins vrai que c’est sur le second et plus encore sur le troisième
terme
de la définition que porte chez les Goncourt l’ac
une rigueur absolue l’équation qu’ils avaient établie entre ces deux
termes
que les Goncourt tombent sous le coup de certains
elle une étoile, s’allume au séjour où les éternels résidentav ». Au
terme
de l’édition que Mary Shelley donna en 1839 des œ
s’en passer. Ce poli de l’ébène que donne aux Maximes l’emploi des «
termes
les plus généraux » est à lui seul un tour, et qu
portée et de cohésion du vocable. Ailleurs la plénitude s’obtient au
terme
d’une croissance régulière : elle couronne, récom
compression. Le raccourci de tels autres combine (au sens chimique du
terme
) ; Pascal, lui, juxtapose des éléments tout à fai
ours incertains et flottants, poussés d’un bout vers l’autre. Quelque
terme
où nous pensions nous attacher et nous affermir,
us que de vérité61 que Pascal est affamé : je le sais, entre les deux
termes
la démarcation est difficile, impossible peut-êtr
ce « l’effraie », peut-être parce que tout silence (au sens absolu du
terme
), quelque chose en Pascal le redoute. Du moins je
eté même — ami du silence au même degré que tels autres. « Feu » — le
terme
essentiel, isolé au milieu de la ligne en tête du
étranger n’est pas senti le prochain (dans l’acception évangélique du
terme
), on possède peut-être un bibelot de plus, mais n
her à indiquer. Non point par le talent, du moins au sens habituel du
terme
: il est toujours là, ce talent, mais à la manièr
ossède à fond : la vie des sens — dans l’acception la plus étendue du
terme
, — et la lointaine présence du Dieu, de l’immuabl
re probité professionnelle et combien à contre cœur que je recours au
terme
: quand on l’applique à cet art, on a la sensatio
it avec quelle adroite sinuosité est conduit un portrait qui jusqu’au
terme
(nul modèle ne le requiert davantage) doit demeur
lité, en son « invariant » réel. C’est à dessein que j’emploie ici un
terme
cher à Valéry ; car je crois sentir dans cette po
abouti, et que dans une de ses Préfaces il définit à peu près en ces
termes
: « J’ai trouvé profit à confier le récit des évé
inissait encore qu’un caractère, au sens pittoresque, semi-comique du
terme
!) Elle marque un tournant mémorable avec le chap
sie et remise dans son plus beau jour. Un père au déclin, mais non au
terme
de sa vie, écrit une longue lettre à son fils pou
soi ex ». La petite phrase de la préface de L’Immoraliste pose en ses
termes
stricts un problème dont les éléments sans doute
njeu ; et il demeure certain qu’aux esprits positifs (et j’emploie le
terme
sans arrière-pensée de critique : j’entends ceux
tative d’évasion, puis docilement ils reprennent le licol. Proches du
terme
, combien, j’en suis sûr, auraient envie d’écrire
le « drame », sans cesse à la recherche d’un compromis entre les deux
termes
, conscient que pour chaque sujet il n’existe qu’u
e avec Platon et Spinoza, ou tienne conseil avec les poètes en qui au
terme
de sa Défense de la poésie ft il salue « les légi
une eau courante, qui ne durent pas plus qu’une fugitive caresse : le
terme
de maxime leur pèserait trop lourd : Maurois ne l
d, et sur un ton à la fois sérieux et nostalgique, la réplique en ces
termes
: « Oui, se connaître comme tranchée de départ…gg
venaient, et qui ne convenaient qu’à elle seule, mettant à éviter les
termes
universellement applicables un soin qui n’a d’éga
B. Le son d’une voix toute particulière — ravissante, au sens fort du
terme
, et qui accomplit son rapt avec la soudaineté per
s une ouverture si décente, et — malgré l’apparente contradiction des
termes
(mais cette contradiction des termes, si on le ve
ré l’apparente contradiction des termes (mais cette contradiction des
termes
, si on le veut peindre tel qu’il fut il y faut sa
it à recourir : « Vivre ses idées — dans l’acception nietzschéenne du
terme
— est une opération qui se joue tout entière au d
ez Proust : à quel point il était désintéressé (dans tous les sens du
terme
, et sur les plans multiples où il trouve son appl
ans ce qui est », combien il devait aimer la devise de Stendhal !) Au
terme
de son exploration, qu’espérait-il rencontrer ? C
oché de la vérité146 ». Chez Rivière, c’est le tact au sens strict du
terme
— au sens de toucher en exercice, — un tact spiri
jm », dit l’Avertissement ; et Claudel dans sa préface conclut en ces
termes
: « Toute sa destinée pendant les huit années qui
te assertion. — En France d’ailleurs le problème se poserait dans des
termes
assez différents, car l’esprit critique est si ce
es par l’ennui, — au sens le plus fort et j’ajouterai le plus beau du
terme
. Chez Pascal en outre, l’impatience ; et l’on sai
et orgueil constituent des données centrales : l’humilité ici est au
terme
: elle marque le plus beau, le plus méritoire tri
. — Nous croyons aujourd’hui que tout caractère général est le second
terme
d’un couple. — Admission provisoire de cette hypo
iction. — Il y a de semblables idées, latentes et probantes, dans les
termes
des autres axiomes. IV. Axiomes mathématiques. —
des idées d’identité et d’indifférence incluses et latentes dans les
termes
de l’axiome. — Précautions à prendre dans l’appli
ous y conduit : c’est à savoir que tout caractère donné est le second
terme
d’un couple. Certains accompagnements ou antécéde
d’autres termes, certaines conditions du caractère forment le premier
terme
du couple, et le premier terme entraîne toujours
itions du caractère forment le premier terme du couple, et le premier
terme
entraîne toujours avec lui ou après lui le second
importe le lieu, le moment, le cas, le sujet ; l’influence du premier
terme
s’exerce à travers toutes ces dissemblances ; bre
la proposition font dans notre esprit un couple indissoluble dont les
termes
, par eux-mêmes, répugnent à toute séparation. — E
insignifiants ; c’est que l’analyse demandée y est toute faite ; les
termes
de l’attribut se trouvent par avance dans les ter
oute faite ; les termes de l’attribut se trouvent par avance dans les
termes
du sujet ; le lecteur ne trouve point la proposit
il faut une courte analyse pour le prouver ; on peut l’énoncer en ces
termes
: dans tout objet, telle donnée est présente ou a
deux conceptions. — Qu’il y ait des idées probantes incluses dans les
termes
de l’axiome précédent, on ne peut en douter, puis
ent des deux premières ; et nous avons un couple dans lequel les deux
termes
obtenus, comme le refroidissement et la rosée, so
enfermons-nous dans l’enceinte de notre propre esprit ; examinons les
termes
qui constituent nos propositions ; tâchons de sav
peut l’être la distance des deux parallèles choisies ? Ramenée à ces
termes
précis, la proposition nous laisse une certaine i
ème, le cinquième moment, et ainsi de suite à l’infini. Réduite à ces
termes
, la preuve est rigoureuse. Elle est fondée tout e
imparfait, du fini et de l’infini. Chacune de ces propositions a deux
termes
, l’un nécessaire, absolu, un, essentiel, parfait,
tiple, fini. Une analyse savante identifie entre eux tous les seconds
termes
ainsi que tous les premiers termes entre eux ; el
entifie entre eux tous les seconds termes ainsi que tous les premiers
termes
entre eux ; elle identifie d’une part l’immensité
nce, etc. Arrivés à cette réduction, examinons le rapport de ces deux
termes
; prenons, comme proposition exemplaire, si l’on
insi, l’unité et la multiplicité. Quels sont les rapports de ces deux
termes
de la même proposition ? Dans quel ordre les conc
un à l’autre semble impossible. Nous avons identifié tous les seconds
termes
entre eux ; nous avons identifié aussi tous les p
conds termes entre eux ; nous avons identifié aussi tous les premiers
termes
. Et quels sont ces premiers termes ? c’est l’imme
identifié aussi tous les premiers termes. Et quels sont ces premiers
termes
? c’est l’immensité, l’éternité, l’infini, l’abso
ondamentale de l’école d’Élée vient de ce que, dans tous les premiers
termes
que nous avons énumérés, elle en a oublié un qui
ience universelle en abrégé. — Fait fondamental de conscience : trois
termes
encore, le fini, l’infini et leur rapport. — Tous
utes ces propositions, en rapprochant par exemple tous leurs premiers
termes
, les identifie ; elle identifie également tous le
ers termes, les identifie ; elle identifie également tous les seconds
termes
; de sorte que, de toutes ces propositions compar
absolu et l’être relatif, l’unité et la variété, etc. Enfin, les deux
termes
de cette formule si compréhensive ne constituent
i compréhensive ne constituent pas un dualisme dans lequel le premier
terme
est d’un côté, le second de l’autre, sans autre r
t autrement essentiel : l’unité, l’être, l’éternité, etc., le premier
terme
de la formule, est cause aussi et cause absolue ;
lue ; et en tant que cause absolue, il produit spontanément le second
terme
, la multiplicité, le fini, le relatif, etc. Le ré
, le fini, le relatif, etc. Le résultat de tout ceci est que les deux
termes
, ainsi que le rapport de génération qui tire le s
dans ses abstractions les plus hardies, de séparer aucun de ces trois
termes
l’un de l’autre. Essayez d’ôter l’unité, et la va
s une pensée, toute pensée s’exprimant en une proposition, et un seul
terme
ne suffisant à aucune proposition ; enfin, ôtez l
riété à l’unité, et vous détruisez encore le lien nécessaire des deux
termes
de toute proposition. Nous pouvons donc regarder
Nous pouvons donc regarder comme un point incontestable que ces trois
termes
sont distincts, mais inséparables, et qu’ils cons
ifférence. Il ne peut y avoir connaissance que là où il y a plusieurs
termes
dont l’un aperçoit l’autre et en même temps s’ape
cette unité, et avec leur rapport tout aussi nécessaire que les deux
termes
qu’il unit, tous ces caractères du principe étern
. Il n’est pas au pouvoir de l’homme de détruire un seul de ces trois
termes
du fait de conscience. C’est là l’étoffe dont son
toutes les différences qui distinguent l’homme de l’homme. Les trois
termes
de la conscience y forment une synthèse primitive
la réflexion qui, en se répandant successivement sur chacun des trois
termes
de la conscience, les éclaire l’un par l’autre ;
e la réflexion qui est successive, et se porte tour à tour sur un des
termes
de la conscience, préoccupée de l’un deux s’y arr
en montrant dans la conscience du plus vulgaire des hommes les trois
termes
qui sont dans la réflexion scientifique la plus d
humanité, ou l’idée du fini ? et dans ce dernier cas, lequel des deux
termes
du fini la frappe d’abord ? C’est là ce qu’il s’a
est libre, seul est doué de conscience. La conscience contient trois
termes
: le moi et le non-moi, bornés, limités, finis ;
raire ; et il en est du rapport du fini et de l’infini comme des deux
termes
qui lui servent de base : il est tout aussi évide
ctuel que je viens de vous rappeler : quand vous avez un de ces trois
termes
, vous avez les deux autres, vous les concevez, vo
tion et de la réflexion. Mais la réflexion peut-elle ajouter quelques
termes
à ceux qui sont contenus dans l’opération qui la
il faudra bien que dans cette opération antérieure il y ait autant de
termes
qu’aujourd’hui la réflexion en découvre dans la c
et essayant le doute et la négation, réussit à ne pas admettre un des
termes
de cette conscience, l’infini, je suppose, et ell
binaisons ne sont point inépuisables. Une fois que vous avez tous les
termes
de la combinaison à faire, vous en pouvez presque
erreur tout ensemble, ces deux idées séparées, il cherchera, les deux
termes
étant connus, leurs vrais rapports. Il ne peut do
ce de toutes les autres. Quand la réflexion examine séparément un des
termes
de l’unité primitive, elle ne sait pas, elle ne p
e moins. Mais entendons-nous bien : comme dans la réflexion les trois
termes
se rencontrent, bien que sous la condition de la
e de l’un d’eux ; de même dans chacune des époques du monde ces trois
termes
coexistent aussi, seulement il en est un qui est
à l’infini : un rapport, pour être bien compris, suppose que ses deux
termes
l’ont été ; car un rapport a autant de caractères
un rapport a autant de caractères, de nuances, de degrés que les deux
termes
en ont eux-mêmes. Il est donc clair que la réflex
tudions pas l’histoire de la nature extérieure ; ce n’est donc pas le
terme
du fini relatif à la nature, qu’il nous faut cons
erme du fini relatif à la nature, qu’il nous faut considérer, mais le
terme
qui se rapporte à l’humanité. Le moi est ici le r
: l’un est la mesure de l’autre. Or, dans la conscience il y a trois
termes
dans un certain ordre. Donc il ne peut y avoir da
s un certain ordre. Donc il ne peut y avoir dans l’histoire que trois
termes
, dans le même ordre que celui que nous a donné la
gens du monde ; il a donc pris soin d’éviter les abstractions et les
termes
pédantesques. À la bonne heure ; mais il ne s’agi
it à Wolf ; là, son cercle est accompli ; il est arrivé à son dernier
terme
; sa forme, sa méthode, sa doctrine en mal comme
eu est le moi absolu129. Quand on en est là, on est arrivé au dernier
terme
de l’idéalisme subjectif, comme la philosophie de
, comme la philosophie de la sensation en était arrivée à son dernier
terme
, quand elle osa prétendre que l’âme n’est que la
dans la philosophie trop subjective de Kant, est arrivé à son dernier
terme
dans la subjectivité absolue de la doctrine de Fi
e point dont elle est partie et qui a les yeux toujours fixés sur son
terme
légitime, le sens commun éclairci et confirmé par
tributs de Dieu les uns des autres, comme on convertit les différents
termes
d’une équation, ou comme d’une propriété du trian
, Xénophane, p. 50 : « L’idée du monde et celle de Dieu sont les deux
termes
extrêmes de toute spéculation : il reste à trouve
t nécessairement de l’idée de l’unité, c’est d’absorber l’un des deux
termes
dans l’autre, d’identifier le monde avec Dieu ou
variante. Mais si, dans cette expression, nous considérons le premier
terme
équation , qui nous donne la valeur de équation
ne change pas quand on fait subir la transformation de Lorentz aux
termes
qui la composent. Mais c’eût été mettre sur le mê
ns alors notre expression équation Si la somme des trois premiers
termes
était invariante, elle pourrait exprimer l’invari
ci consiste essentiellement à dire qu’il faut introduire le quatrième
terme
pour obtenir l’invariance. Pourquoi ce quatrième
e le quatrième terme pour obtenir l’invariance. Pourquoi ce quatrième
terme
ne correspondrait-il pas à une quatrième dimensio
laissera faire, car il est bien tranquille : comme chacun de ses deux
termes
équation et équation longueur d’espace et inte
a à son système tel qu’il l’envisage lui-même, car une relation entre
termes
constants est nécessairement constante. Et il y a
ude. Et en effet, quel autre lien pourrait-on supposer entre les deux
termes
, si la raison n’est que l’écho de l’expérience, a
mais rien n’est moins évident que l’explication du lien qui unit les
termes
de ces jugements par l’association des idées conv
est-il qu’on ne peut voir dans cette liaison toute logique entre deux
termes
un simple fait d’expérience tournée en habitude.
n d’une association habituelle pour lier d’une façon indissoluble les
termes
de ces jugements. Il suffit d’une première intuit
rce, qui subsiste toujours dans l’intimité de la pensée, sous quelque
terme
conventionnel qu’on la désigne, ou alors même qu’
t ; aussi la langue des sciences naturelles manque-t-elle toujours du
terme
propre qui signifie précisément l’activité produc
le de Bacon, ne cherchent que des lois ; et quand elles emploient les
termes
de cause et de force, c’est uniquement pour expri
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