III. La
tête
de mort (Peuhl) En entrant dans un village, u
de mort (Peuhl) En entrant dans un village, un homme a trouvé une
tête
décharnée et aux orbites vides de leurs yeux, qui
es vides de leurs yeux, qui était sur le bord de la route. C’était la
tête
d’un homme mort depuis sept ans : « Pourquoi cett
e. C’était la tête d’un homme mort depuis sept ans : « Pourquoi cette
tête
-là est-elle ici ? se demande le passant ». Et la
Pourquoi cette tête-là est-elle ici ? se demande le passant ». Et la
tête
répond : « C’est ma bouche qui m’a fait mourir !
étranger poursuit son chemin. Il dit au chef de village. « J’ai vu la
tête
d’un homme mort depuis sept ans. Et maintenant en
e rendre compte de la chose. L’étranger va avec eux et leur montre la
tête
: « La voilà, leur dit-il. — Tête, demandent les
anger va avec eux et leur montre la tête : « La voilà, leur dit-il. —
Tête
, demandent les envoyés, est-il vrai que tu aies p
. — Tête, demandent les envoyés, est-il vrai que tu aies parlé ? » La
tête
ne répond rien. Deux fois, trois fois on répète l
Les envoyés s’en retournent vers le chef : « Nous avons interrogé la
tête
, lui rapportent-ils et elle ne nous a rien répond
en répondu. — « En ce cas, dit le chef, ramenez l’étranger près de la
tête
et tuez-le à cet endroit ». On emmène l’homme. Le
r le bâton ! » On se dispose à le faire périr. « Arrêtez ! s’écrie la
tête
». Et à l’homme : « Quand tu m’as questionnée en
e c’est ta bouche qui t’a fait mourir ». — « Un peu plus, reprend la
tête
et la bouche allait te faire mourir toi aussi. J’
dix mille hommes. Comparez ce tableau avec celui du poète qui dit, sa
tête
sortait d’entre les nuées, ses yeux étoient arden
, la justice ; si vous voulez, Mr La Grenée ; car vous ferez de cette
tête
jeune et gratieuse tout ce qu’il vous plaira, une
e à quelque chose, c’est à la beauté de la touche, aux draperies, aux
têtes
, aux piés, aux mains et à la froideur, à l’obscur
se bulle. La bulle vole. L’enfant qui l’a souflée, tremble, baisse la
tête
, il craint que la bulle ne l’écrase en tombant su
rcure tient son caducée de la main gauche ; il a aux deux côtés de sa
tête
deux ailes éployées, d’assez mauvais goût. L’abon
ous les signes de la richesse. à gauche du tableau, l’agriculture, la
tête
couronnée d’épis, offre ses bras ouverts à Mercur
ni pour la couleur ni pour le dessein ni pour le faire. Seulement la
tête
de cette femme est un peu découpée. L’œil droit v
es jarretières couleur de rose un bas blanc bien tiré. Ajustez sur sa
tête
un bout de cornette, et vous sentirez fortement l
aversion. Jupiter est assis. Morphée le touche de ses pavots, et sa
tête
tombe en devant. Mais qu’est-ce que ces nuées lan
t ? Sa chair est d’un jeune homme et son caractère d’un vieillard. Sa
tête
est d’un Silène, petite, courte, enluminée. Les a
t bien peinte, mais laissez-les dire. La couronne chancelle sur cette
tête
. Junon, sur le devant, à droite, a la main droite
Jupiter assoupi, le bras gauche étendu sur ses propres cuisses, et la
tête
appuyée contre la poitrine de son époux. Le bras
s nuées vraiment assez solides pour le soutenir. Quoi, c’est là cette
tête
majestueuse, cette fière Junon ? Vous vous moquez
et se hâta de produire des fleurs. On vit descendre au-dessus de leur
tête
le nuage d’or, d’où s’échappoient des gouttes d’u
us rompues, moins entières que dans ses autres compositions. Et cette
tête
de Jupiter dont j’ai très mal parlé ? Vraiment bi
grand front, mais ces cheveux qui se mirent une fois à floter sur la
tête
du dieu ; mais ces os saillants et larges de l’or
int de parcourir le cou, les bras, la gorge, les pieds, les mains, la
tête
d’Hersé. J’y porte mes lèvres et je couvre de bai
age d’Hersé, la candeur, l’ingénuité, la douceur et la simplicité. La
tête
de Mercure est passionnée, attentive, fine, avec
a statue de Pigal. Le peintre lui a planté encore ici deux ailes à la
tête
qui ne font pas mieux qu’ailleurs. J’ai pensé ne
sale, fait et peint à la manufacture de Nevers, la gueule béante, la
tête
retournée, et regardant la proye qui lui est ravi
laine qu’il en fera quand il voudra. Ce peintre n’a que deux ou trois
têtes
qui roulent dans la sienne, et qu’il foure partou
que cet homme pourroit faire de son talent, ce seroit de peindre des
têtes
en petit nombre, beaucoup de bras, de piés et de
lle peut être qu’il y ait au sallon ? Voyez donc ce beau caractère de
tête
, cette noblesse ; cette belle draperie, ces beaux
sse vieux bonhomme, de retour de la campagne en chapeau pointu sur la
tête
, l’épée pendue à sa boutonnière, et l’escopette a
ment sur le coussin ; l’autre est jetté sur les épaules de Renaud. Sa
tête
est panchée sur celle du guerrier volage. On ne l
C’est aussi mon avis. L’un montre une femme couronnée de laurier, la
tête
et les regards tournés vers le ciel ; dans un acc
sérieuse, pensive, en méditation, le coude posé sur un bureau, et la
tête
appuyée sur sa main. Puisqu’il n’y a qu’un jugeme
raits, lourde, épaisse ; et puis sur les épaules, la répétition de la
tête
de la Suzanne et de la Magdelaine du dernier sall
bain sont sur le devant. Et ces eaux peintes comme à l’ordinaire. La
tête
de Pompée présentée à Caesar. Tableau ceintré de
, sur le devant, un esclave bazané et presque nu, tient d’une main la
tête
par les cheveux et le linge qui l’enveloppoit ; d
oyé placé un peu plus sur le fond, et vers la pointe de la barque, la
tête
panchée, une main raprochée de la poitrine, et l’
une main raprochée de la poitrine, et l’autre disposée à recouvrir la
tête
de son voile. Je ne scais si, depuis que j’ai vu
i tombe de l’œil. Il interpose sa main droite entre ses regards et la
tête
de Pompée. La roideur de son autre bras et son po
un beau jeune chevalier romain assis ; il a les yeux attachés sur la
tête
. Debout, derrière Caesar et ce chevalier, tout à
a Grenée ; c’est-à-dire qu’en général il est beau et très beau. Cette
tête
de Pompée qui devait être si grande, si interress
. Lorsque j’objectois à La Grenée la petitesse et le mesquin de cette
tête
, il me répondit qu’elle était plus grande que nat
nde que nature. Que voulez-vous obtenir d’un artiste qui croit qu’une
tête
grande, c’est une grosse tête, et qui vous répond
s obtenir d’un artiste qui croit qu’une tête grande, c’est une grosse
tête
, et qui vous répond du volume, quand vous lui par
ais accueil qu’on lui fait, sur le visage de l’envoyé qui présente la
tête
. Il regarde Caesar, ce qu’il ne devrait pas. Il m
e sa toile. On a tout mis en œuvre pour l’échauffer, lui aggrandir la
tête
, lui inspirer quelques concepts hauts. Peine perd
ve est debout à son chevet. Un des enfants, avec le cordon bleu, a la
tête
panchée dans le giron de sa mère. Un second, avec
atisme et d’intolérance. à la bonne heure. Mais de quoi s’avise cette
tête
d’oison là, d’imaginer une composition et de voul
peint ; et c’est ce que mes confrères ne sentent pas. Ils ont dans la
tête
(…) ; et ils ne se doutent pas qu’il est encore p
artiste, s’arrêtant strictement à l’image du poëte, nous montre cette
tête
si belle, si noble, si sublime dans l’ énéide, et
ses cheveux se dressoient sur son front, les yeux lui sortoient de la
tête
, ses muscles se gonfloient sur ses joues ; c’étai
nt passer sur la toile, presque comme elles étoient ordonnées dans ma
tête
. La Grenée me dit, donnez-moi un sujet pour la p
rez-moi Mars couvert de sa cuirasse, les reins ceints de son épée, sa
tête
belle, noble, fière, échevelée. Placez debout à s
ille soit à terre à côté d’elle et indique la misère ; qu’elle ait la
tête
appuyée sur une de ses mains ; que de ses yeux ba
productions ; que j’ai pris l’habitude d’arranger mes figures dans ma
tête
comme si elles étoient sur la toile ; que peut-êt
rté par ses aides de camp, dont l’un porte son bras, en détournant la
tête
, l’autre soutient le général par-dessous les aiss
Que le maréchal soit à demi soulevé. Que ses jambes pendent et que sa
tête
soit renversée en arrière, échevelée. Qu’on voye
e lui montre de l’autre notre bienfaitrice commune ; que cependant la
tête
et la poitrine nues, comme c’est mon usage, l’on
est retenu par la blessure d’un trait éternel. Lorsqu’il a reposé sa
tête
sur tes genoux, ses yeux avides s’attachent sur l
entre les bras de Vénus. Second instant, second tableau ; celui où la
tête
du dieu repose sur les genoux de la déesse, et où
te la platitude d’un ex-voto ? Draperies dures et crues pas une belle
tête
. Mettez un bonnet de laine sur la tête ignoble de
s dures et crues pas une belle tête. Mettez un bonnet de laine sur la
tête
ignoble de ce dauphin, et vous aurez un malade de
dieux ; de la région des cieux où les astres roulent au-dessus de ta
tête
, tu vois sous tes piés les mers qui portent les n
ce dais, cette couronne de globes enflammés qui roulent autour de la
tête
de la déesse. Ces globes deviendront des points l
s globes deviendront des points lumineux, comme ils sont autour de la
tête
d’une vierge, dans une assomption ; et quelle com
bien, mon ami ; le Dauphin mourant ; Jupiter et Junon sur l’Ida ; la
tête
de Pompée présentée à Caesar ; les quatre états ;
examinoit de son côté. Il haussoit les épaules ; ou il détournoit la
tête
; ou il regardoit ; et sourioit ironiquement. Vou
s voulez que je voye à Armide un caractère de vierge, à Andromède une
tête
de Madelaine, à Renaud l’encolure d’un jeune port
exions mêmes sur la peinture. Je veux mourir s’il y a dans toutes ces
têtes
-là le premier mot de la métaphysique de leur art.
ri moribond et qui me désole ? Où est cette fille étendue à terre, la
tête
panchée dans le giron de sa mère, et qui me désol
lle de cette Dauphine ! N’est-ce pas encore une belle chose que cette
tête
de Pompée présentée à Caesar . Froid, compasé, nu
é, sa cuisse droite allant je ne scais où, ou plutôt il n’en a point.
Tête
sans noblesse. Africain, au lieu d’être chaud et
cette barque, lourds. Vagues de la mer, mal touchées. Mignon, petite
tête
, gris de couleur. Ciel dur, qui achève de désacco
a les regards tournés vers un endroit du ciel éclairé au-dessus de sa
tête
, le geste des bras dirigé vers la terre, elle pri
pé c’est un frénétique qui s’élance hors de la porte de l’hôpital, sa
tête
ceinte d’un lambeau et ses bras nus sont portés v
voit que par le dos. Il est tout nu, ses deux longs bras livides, sa
tête
et sa chevelure pendent vers le pied du massif. A
massif, à l’endroit où l’escalier descend et perd de sa hauteur, les
têtes
suppliantes d’une foule d’habitans. Tout à fait à
nou en terre, l’autre jambe étendue, le corps renversé en arrière, la
tête
souffrante, la face tournée vers le ciel, la bouc
i qui secourt ce malade convulsé est vu par le dos et le profil de sa
tête
; il a le cou découvert, les épaules et la tête n
os et le profil de sa tête ; il a le cou découvert, les épaules et la
tête
nues ; il implore de la main gauche et du regard.
e étendu à terre et entouré d’un gros chapelet, ses cheveux épars, sa
tête
touchant au massif. Elle est couchée sur un trave
allait un massif à pic pour le cadavre que vous vouliez me montrer la
tête
, les bras et les cheveux pendans. Il vous fallait
aniérée. à son attitude contournée, à ses bras jettés d’un côté et sa
tête
de l’autre, elle a l’air de regarder Dieu en arri
dra, une jolie assomption à la manière de Boucher. Cette guirlande de
têtes
de chérubins qu’elle a derrière elle et sous ses
dans sa pièce du joueur, et je lui en fais compliment. L’action et la
tête
de cet homme livide et brûlé de la fièvre, qui s’
upent avec lui font une belle masse, bien sévère, bien vigoureuse. La
tête
du malade est du plus grand goût de dessin, de la
emièrement, ces trois femmes et leur maîtresse font un amas confus de
têtes
, de bras, de jambes, de corps, un chaos où l’on s
, un chaos où l’on se perd et qu’on ne saurait regarder longtemps. La
tête
de la mère qui implore pour son fils, bien coëffé
elles ont été prises d’après le même modèle, et puis la couleur de la
tête
en est aussi sans consistance. à la chute des rei
ache, et pour la couleur, et pour le dessin, et pour l’expression. Sa
tête
et son action font frémir, mais sa tête est belle
sin, et pour l’expression. Sa tête et son action font frémir, mais sa
tête
est belle, c’est une douleur terrible, mais qui n
cer. L’homme qui le soutient est très-beau, seulement le sommet de sa
tête
, son chignon, son épaule, sont un peu de cuivre ;
eur, mais sa draperie verte et forte ne contribue pas peu à coller sa
tête
au pied du mur. On dit qu’elle est empruntée de l
de. C’est encore une belle idée, bien poétique, que cet homme dont la
tête
, les longs bras nus et la chevelure pendent le lo
rneilles rassemblées autour d’un cadavre, lui arracher les yeux de la
tête
en battant les ailes de joie ? Où attendrais-je d
er. Il présente à l’imagination des cadavres, des yeux arrachés de la
tête
, des corneilles qui battent leurs ailes de joie.
tera point cette image. Il n’en est pas ainsi des yeux arrachés de la
tête
. Je ferme les miens pour ne pas voir ces yeux tir
ces fibres sanglantes, purulentes, moitié attachées à l’orbite de la
tête
du cadavre, moitié pendantes du bec de l’oiseau v
avre ? Non, c’est une image commune. Sur les yeux arrachés hors de la
tête
du cadavre ? Non, puisqu’il y a une image plus ra
ent les ailes autour de ton cadavre et qui t’arrachent les yeux de la
tête
… ou rangées dans l’ordre du poëte : je vois les c
rneilles rassemblées autour de ton cadavre, t’arracher les yeux de la
tête
, en battant les ailes de joie. Regardez bien, mon
ination à l’endroit où l’on veut. C’est celui de Timante qui voile la
tête
d’Agamemnon ; c’est celui de Teniers, qui ne vous
emnon ; c’est celui de Teniers, qui ne vous laisse appercevoir que la
tête
d’un homme accroupi derrière une haie ; c’est cel
frénétique qui se déchire les flancs ; la convulsion y serpente de la
tête
aux pieds, on la voit et dans les muscles du visa
qu’une très-magnifique ébauche), il ne passe la vraie mesure, que sa
tête
ne s’exalte trop, et qu’il ne se jette dans l’out
annonce vraiment un grand talent. Qu’il mette un peu de plomb dans sa
tête
; que ses compositions deviennent plus sages, plu
dées ; que les figures en soient mieux assises ; qu’il n’entasse plus
tête
sur tête ; qu’il étudie plus les grands maîtres ;
e les figures en soient mieux assises ; qu’il n’entasse plus tête sur
tête
; qu’il étudie plus les grands maîtres ; qu’il s’
é sont désignées par le serpent et le loup ; l’envie est renversée la
tête
en bas et les pieds en l’air et son serpent l’env
. L’innocence avec son long paquet de filasse jaune qui descend de sa
tête
en guise de cheveux, est maigre, pâle, sèche, fad
guise de cheveux, est maigre, pâle, sèche, fade, d’une expression de
tête
grimacière, pleureuse et désagréable ; qu’a-t-ell
te que ce mouton ! Cette envie envelopée de ses serpens et tombant la
tête
en bas et les pieds en l’air, est belle, hardie e
est toujours obscur et souvent inintelligible. 3. la ressource d’une
tête
pauvre et stérile ; on fait de l’allégorie tant q
uche sur les degrés, le cadavre de st Cyr, les pieds vers le fond, la
tête
sur le devant. à gauche, une espèce de tribune, l
ne, le préteur ou juge assis, le coude appuyé sur la balustrade et la
tête
posée sur sa main. Derrière le préteur, des solda
ante, physionomie douce, tranquille, bien résignée, beau caractère de
tête
, belles mains tremblantes, figure qui a du pathét
ngueur, toutes les parties de son corps également bien dévelopées, la
tête
et l’expression du visage dans toute sa beauté. L
a croix. C’est la chose même, c’est la scène du moment. Le saint a la
tête
relevée sur son chevet, et les mains jointes sur
relevée sur son chevet, et les mains jointes sur sa poitrine ; cette
tête
est de toute beauté, le saint bien senti dans son
parasol chinois. Il fallait rendre la demi-teinte, où l’on a tenu la
tête
du saint, peut-être un peu moins forte, parce qu’
e de rivage ; que ce soit sur cet espace que l’on présente à César la
tête
de Pompée ; qu’on voie d’un côté, un genou fléchi
ompée ; qu’on voie d’un côté, un genou fléchi, l’esclave qui porte la
tête
; un peu plus sur le fond et vers la droite, Théo
, une femme assise, les pieds pendans vers la mer, vue par le dos, la
tête
tournée, et allaitant son enfant ; car tout cela
r que la vôtre ? Si Durameau n’avait pas eu la hardiesse de placer la
tête
de son saint au fond de sa composition et ses pie
morceau est forte, et arrête surtout le connaisseur. Le Joseph est de
tête
, d’action, de mouvement, de vêtement un bon vieux
n. C’est une masse informe grisâtre, où l’on ne discerne ni pieds, ni
tête
, ni queue, ni oreilles. Si le genre facile et heu
ieux torché. à l’égard de la ressemblance, on l’assure parfaite. deux
têtes
d’enfants. même éloge, toutes deux très-belles et
un fumeur. C’est un défaut. la dormeuse qui tient son chat. médiocre.
Tête
de femme sans grâce. Petit chat faiblement touché
é du sujet. Pour peu que le faire pèche, le morceau est maussade. une
tête
de vieillard. du même. Ce vieillard est embéguiné
s bien variés, bien vrais, mais il n’y a nulle solidité ; ce sont des
têtes
à fondre au soleil comme de la neige. Je serais e
ne foi, c’est que si l’on me soutient qu’il y a de la finesse dans la
tête
de la dormeuse, et que la tête du vieillard est d
utient qu’il y a de la finesse dans la tête de la dormeuse, et que la
tête
du vieillard est d’un beau faire, d’un bon caract
oues, et les chevaux abattus. Mais où est celui qui poussera cela ?
tête
d’un enfant vue de profil. — Tête d’un enfant vue
où est celui qui poussera cela ? tête d’un enfant vue de profil. —
Tête
d’un enfant vue de face. du même. Je crois que c’
. — Tête d’un enfant vue de face. du même. Je crois que c’est de ceux
têtes
-là dont j’ai dit un mot plus haut, parmi les tabl
ueur et de verve encore, il est plein de chaleur. Sur le sommet de sa
tête
ses cheveux sont partagés en deux tresses relevée
yé du coude sur le sopha ; sa main embrasse son menton et soutient sa
tête
. Cela est savant de détails ; contours bien sûrs,
a fille de la rue Fromenteau. Cette femme promet un beau caractère de
tête
. Sa position est naturelle ; elle regarde son gro
’écoutent debout ; on voit toute la figure de l’un, on ne voit que la
tête
de l’autre entre le premier et la colonne du temp
ougries. Il est malproprement peint. L’enfant Jésus est blafard, a la
tête
plate. Les mains et les pieds n’y sont nullement
ur, d’expression et de verve ; il trouve les plus beaux caractères de
tête
, sa scène est pleine de mouvement ; mais il est s
rsque l’Arioste me décrit Angélique, je crois, depuis le sommet de sa
tête
jusqu’à l’extrémité de son pied, que malgré la gr
déesse tenait interposé entre le héros grec et son fils, on voyait sa
tête
divine et ses beaux bras, et je peins le reste de
nutieuse description de sa figure, le poëte en ait l’ensemble dans sa
tête
; comment me fera-t-il passer cet ensemble ? S’il
ite que cette Discorde dont les pieds étaient sur la terre et dont la
tête
allait se cacher dans les cieux. Voilà le prestig
és d’un grand intervalle. Si la grandeur du pied ou la grosseur de la
tête
m’avait été donnée, aussi-tôt j’aurais achevé la
e me repose, le reste de l’image s’étend au-delà de la capacité de ma
tête
. Je dirai donc aux poëtes : ma tête, mon imagina
end au-delà de la capacité de ma tête. Je dirai donc aux poëtes : ma
tête
, mon imagination ne peuvent embrasser qu’une cert
nd sans fin la durée de la prononciation et avec elle la mesure de la
tête
du monstre, dites montrait ; au lieu d’une tête i
elle la mesure de la tête du monstre, dites montrait ; au lieu d’une
tête
isolée peignez la figure entière, et il n’y aura
s’est exprimé : la Discorde, faible d’abord, s’élève et va appuyer sa
tête
contre le ciel, et marche sur la terre. Il y a tr
s deux vers ; on voit la Discorde s’accroître ; on la voit appuyer sa
tête
contre le ciel ; on la voit marcher rapidement su
ombre de syllabes emphatiques et lentes lui ont suffi pour étendre la
tête
de sa figure ; cette tête est énorme lorsqu’elle
ues et lentes lui ont suffi pour étendre la tête de sa figure ; cette
tête
est énorme lorsqu’elle touche le ciel, il en faut
des êtres infinis, incommensurables, qui excéderont les limites de ma
tête
et qui seront à peine circonscrits dans l’enceint
prend de l’ange du livre de la sagesse n’est pas celle de vos petites
têtes
jouflues et soufflant des bouteilles, dont vous g
s les sphynxs et les Oedipes avec son noir et son jaunâtre. études de
têtes
. c’est Renou qui a fait le livret ; il a cru que
cil froncé, et l’air de l’humeur. vieillards vus de profil, plusieurs
têtes
sur une même toile. Je lis dans un endroit de mon
ont été inutilement exposés, on ne les a pas vus. Mais parlons de ses
têtes
peintes, de ses études, et surtout de ses dessins
us n’en êtes pas autrement récréé, ni moi non plus. Vous retournez la
tête
, et vous cherchez d’où vient le bruit qui vous fr
as, s’il vous plaît, il y faudra encore bien d’autres choses. Ici les
têtes
sont mal touchées et les vêtemens lourds, ici ou
e devant, à plat ventre, la plante des pieds tournée vers la mère, la
tête
vers l’enfant nu, un garçonnet qui dort. De l’aut
u pied du bassin, vers la gauche, cette fille est étendue à terre, la
tête
et la partie supérieure du corps tournés vers le
ge me coûte, car j’en vais faire un très étendu du petit musicien. La
tête
en est charmante, d’un caractère particulier et d
st l’ingénuité des champs fondue avec la verve du talent. Cette belle
tête
est un peu portée en avant ; les cheveux blonds,
on barbouillage jaune dont je n’ai plus d’idée, en faveur de la belle
tête
de ce musicien champêtre. Je jure qu’elle est fix
mon imagination à côté de celle de l’ amitié de Falconet. Aussi cette
tête
est-elle vraiment celle qu’un habile sculpteur se
le marbre ? Mais dites-moi, mon ami, où trouve-t-on ces caractères de
tête
-là ? Quel est le travail de l’imagination qui les
pourtant une de ces pages du moment qui tiennent à un certain tour de
tête
qu’on n’a qu’une fois. une fille charge une vieil
Vous avez pris le moment équivoque et le moment insipide. Et puis une
tête
de jeune fille est si belle à peindre, une tête d
insipide. Et puis une tête de jeune fille est si belle à peindre, une
tête
de vieille prête tant à l’art ! Pourquoi ne s’en
ièce d’or à la vieille. Même richesse d’ajustement, même platitude de
têtes
qui voudraient être peintes et qui ne le sont pas
ela est d’une négligence, d’une mollesse de pinceau, d’une paresse de
tête
qui fait pitié. une jeune fille endormie, surpris
e fille est couchée, sa gorge est découverte, elle a des couleurs, sa
tête
repose sur deux oreillers couverts d’une peau de
use est sans grâce et sans intérêt. La peau de mouton sur laquelle sa
tête
repose est parfaitement traitée, le désordre des
obscur combien on fait imaginer et dire des sotises. J’ai dit que la
tête
de la fille était maussade, mais cela n’empêche p
out fesant masse ou trophée. Il ne manque à cette composition que des
têtes
qui soient peintes. Les figures plates ressemblen
osition charmante, certes un des plus jolis tableaux du sallon si les
têtes
étaient plus vigoureuses. Mais pourquoi, la monot
es têtes étaient plus vigoureuses. Mais pourquoi, la monotonie de ces
têtes
? Pourquoi ces visages si plats, si plats, si fai
naturelle et vraie de position ! C’est une élégance, une grâce de la
tête
aux pieds qui enchantent, on ne se lasse point de
extrémité gauche du tableau, il est appuyé sur un de ses coudes et la
tête
avancée vers les concertans. On lui voit de l’att
ée vers les concertans. On lui voit de l’attention et du plaisir. Les
têtes
sont ici mieux touchées, mais non de manière à se
ieux touchées, mais non de manière à se soutenir contre le reste, ces
têtes
plates, monotones et faibles, au-dessus de ces ét
s blessent. Il faut que l’artiste éteigne ses étoffes ou fortifie ses
têtes
. S’il prend le premier parti, la composition sera
ous la rappellez-vous ? Elle est svelte, elle est ajustée à ravir, la
tête
en est on ne peut plus gracieuse et bien coëffée
ni faite ni décidée, son dessin n’est pas correct, ses caractères de
tête
ne sont pas intéressans ; il règne dans tous ses
de femme charmante, bien habillée, bien ajustée et d’un caractère de
tête
attrayant. Morceau très-agréable, s’il y avait pl
ulaire ; on n’imaginerait jamais un grain de cervelle dans toutes ces
têtes
-là. Pour moi, plus je les regarderais, plus je le
, plus je leur verrais de petites ficelles attachées au haut de leurs
têtes
. Faites-y attention, et vous prononcerez qu’un ca
urs têtes. Faites-y attention, et vous prononcerez qu’un caractère de
tête
fier, noble, pathétique et terrible, ne va point
ers à talon, substituez-moi de graves personnages à longues barbes, à
tête
, bras et jambes nus, à poitrines découvertes, et
plaisir. Que n’étais-tu à côté de cette jeune fille qui regardant la
tête
de ton Paralytique, s’écria avec une vivacité cha
attention, est un vieillard paralytique, étendu dans son fauteuil, la
tête
appuyée sur un traversin, et les pieds sur un tab
et de ses petits-enfants, la plupart empressés à le servir. Sa belle
tête
est d’un caractère si touchant ; il paraît si sen
sentir remuer. À sa droite une de ses filles est occupée à relever sa
tête
et son traversin. Devant lui, du même côté, son g
lle est partout. De derrière le fauteuil du vieillard sort une petite
tête
d’enfant. Il s’avance ; il voudrait bien aussi en
son père dit à son mari. Elle est assise sur un tabouret ; elle a la
tête
appuyée sur sa main. Elle a sur ses genoux l’Écri
le a l’ouïe dure. Elle a cessé son ouvrage, et elle avance de côté sa
tête
pour entendre. Du même côté, tout à fait à l’extr
osition. Il ne mange pas, il parle, et l’on est prêt à lui relever la
tête
. Que c’était à sa fille à lui présenter à manger
ait à sa fille à lui présenter à manger, et à son gendre à relever sa
tête
et son traversin, parce que l’un demande de l’adr
dre, c’eût été renverser toute la composition : il y aurait eu quatre
têtes
de femme de suite, et l’enfilade de toutes ces tê
aurait eu quatre têtes de femme de suite, et l’enfilade de toutes ces
têtes
aurait été insupportable. Ils disent aussi que ce
Cela se peut. Que cet artiste est sans fécondité ; et que toutes les
têtes
de cette scène sont les mêmes que celles de son t
épense pour avoir les modèles qui lui conviennent. Rencontre-t-il une
tête
, qui le frappe, il se mettrait volontiers aux gen
i le frappe, il se mettrait volontiers aux genoux du porteur de cette
tête
pour l’attirer dans son atelier. Il est sans cess
ieux ; mais ses cheveux sont métalliques. C’est aussi le défaut de la
tête
d’un Petit Paysan, dont les cheveux mats et jaune
fée ! Que ces cheveux châtains sont vrais ! Que ce ruban qui serre la
tête
fait bien ! Que cette longue tresse qu’elle relèv
vue amusante à passer. Je vous parlerai peu des artistes vivants. Les
têtes
que la photographie a multipliées aux devantures
ois. Hélas ! nous ne savons même pas et nous ne saurons jamais quelle
tête
avait Molière. Ressemblait-il à Monval ? ou peut-
les Dames de la Comédie-Française en 1855 ». Elles ont toutes la même
tête
, et l’on dirait aussi le même corps et la même ro
— et toutes pareillement affreuses. Et les hommes ? Lockroy père a la
tête
de Casimir Delavigne, et Casimir Delavigne a la t
ockroy père a la tête de Casimir Delavigne, et Casimir Delavigne a la
tête
de Victor Hugo. Je vous assure ! D’où vient cela
avons des cheveux. De là, de grandes facilités pour nous faire « une
tête
» et, par suite, plus de variété dans nos physion
t de « Rachel jeune » par Dubuffe père : un front d’hydrocéphale, une
tête
longue comme un jour sans pain. Et c’est que tout
ier nous fait très bien sentir qu’ils n’ont rien à eux, pas même leur
tête
. Car, au temps où ils étaient vivants, où ils app
de tel ou tel personnage de théâtre… Il est de toute évidence que la
tête
de M. Maubant (nº 304), couronnée de plus de laur
ose aussi large que les rubans de nourrice ; il est évident que cette
tête
d’un homme qui joue l’empereur Auguste et que tra
ui pourtraicturait les comédiens a prétendu peindre ou crayonner leur
tête
à eux, leur tête d’homme et de chrétien, il a eu
t les comédiens a prétendu peindre ou crayonner leur tête à eux, leur
tête
d’homme et de chrétien, il a eu beau faire, il s’
aison : les malheureux comédiens ont des masques, mais n’ont point de
tête
. Ou, du moins, celle qu’ils ont, celle que Dieu l
is préparaient son acte d’accusation à quelques pieds au-dessus de sa
tête
, sa voix, comme celle de la postérité, grondait d
route ; mais il faut qu’innocents ou coupables nous donnions tous nos
têtes
à la république. La Révolution reconnaîtra les si
“Barbare ! dit Danton à l’exécuteur, tu n’empêcheras pas du moins nos
têtes
de se baiser tout à l’heure dans le panier.” « Ca
-mère”, dit-il ensuite à l’exécuteur. Ce furent ses derniers mots. Sa
tête
roula. « Danton monta après tous les autres. Jama
t de faiblesse ! ” Et se tournant vers le bourreau : “Tu montreras ma
tête
au peuple, lui dit-il avec autorité, elle en vaut
au peuple, lui dit-il avec autorité, elle en vaut bien la peine.” Sa
tête
tomba. L’exécuteur, obéissant à sa dernière pensé
onnait de lui-même. Il écrasait les autres. Il se proclamait la seule
tête
de la république. Après avoir caressé la populari
être maudit et d’être plaint. C’était le colosse de la Révolution, la
tête
d’or, la poitrine de chair, le torse d’airain, le
pplice fût multiplié par les vingt-deux coups qui tomberaient sur ces
têtes
d’aristocrates. Le peuple rassemblé pour insulter
les montaient à l’échelle. Après ce baise-main funèbre, elle livra sa
tête
au couteau. Chaste au milieu des séductions de la
rs le comité de salut public qui contresigna de telles concessions de
têtes
à la cruauté du peuple ! Que cette lâcheté retomb
seul niveau possible était la guillotine. À mesure qu’il abattait une
tête
, une autre s’élevait, il fallait la niveler encor
ois ans, à cette popularité qui avait voulu être nourrie de sang ; la
tête
du roi demandée et obtenue ; celle de la reine ;
clémence refoulées par la prétendue nécessité d’immoler encore ; une
tête
demandée ou livrée au besoin de chaque jour ; la
ervile ; des comités corrompus ; la république reposant sur une seule
tête
; une vie odieuse ; une mort sans fruit ; une mém
es bourreaux. Il livre à ce qu’il croit le besoin de sa situation les
têtes
du roi, de la reine, de leur innocente sœur. Il c
la reine, de leur innocente sœur. Il cède à la prétendue nécessité la
tête
de Vergniaud ; la tête de Danton, à la peur ; des
ente sœur. Il cède à la prétendue nécessité la tête de Vergniaud ; la
tête
de Danton, à la peur ; des milliers de victimes,
ns son intelligence, dans son rôle, dans son âme, dans son sang ! Les
têtes
tombent une à une, les unes justement, les autres
doit pleurer ses morts, sans doute, et ne pas se consoler d’une seule
tête
injustement et odieusement sacrifiée ; mais elle
ter dans la même gémonie ou dans le même mausolée arrosé de larmes la
tête
de Louis XVI et celle de Robespierre ? la tête de
ée arrosé de larmes la tête de Louis XVI et celle de Robespierre ? la
tête
de Bailly et celle de Marat ? la tête de Vergniau
VI et celle de Robespierre ? la tête de Bailly et celle de Marat ? la
tête
de Vergniaud ou de Condorcet et celle de Camille
et glorifient tous les acteurs de ce drame humain, qui laissent leur
tête
et leur nom dans la lutte sur ce champ de honte o
mme un rempart d’une ville sapée par ses propres défenseurs, sur leur
tête
et sur la mienne, et où il nous fallut supporter
le fond, un homme agenouillé, écoutant, incliné et acquiescant de la
tête
, des bras, des épaules et du dos. Tout à fait à g
les deux figures qui occupent le devant et qu’on voit par le dos, la
tête
et les épaules d’un vieillard étonné, prosterné,
errière ces femmes, le reste des auditeurs dont on n’aperçoit que les
têtes
. Au centre du tableau, sur le fond, dans le loint
ange qui descend avec une couronne qu’il se propose de placer sur la
tête
de Denis. Voici donc le chemin de cette compositi
te composition. L’apôtre est bien posé. Il a le bras droit étendu, la
tête
un peu portée en avant. Il parle. Cette tête est
le bras droit étendu, la tête un peu portée en avant. Il parle. Cette
tête
est ferme, tranquille, simple, noble, douce, d’un
pureté qui est merveilleuse, pour la noblesse et pour le caractère de
tête
qui est divin. Il est très fortement colorié. On
ui sont debout et qui font masse, ont quelque chose de gêné dans leur
tête
. Leur vêtement voltige à merveille sur le nu ui e
des deux hommes. Vien est large, sage comme le dominiquin. De belles
têtes
, un dessein correct, de beaux piés, de belles mai
uppe de femmes qui est à gauche est très beau. Tous les caractères de
têtes
paroissent avoir été étudiés d’après le premier d
s passez vite devant le tableau des ardents ; c’est un jet sublime de
tête
que vous n’êtes pas encore en état d’imiter. Vie
é publique. Je les vois debout, attentifs, les sourcils laissés, leur
tête
et leur menton appuiés sur leurs mains. Des prêtr
nstruits, tels que vous et moi, s’il y en avoit eu, auroient hoché la
tête
de dédain et se seroient dit d’un côté de la scèn
upe, et celui de la prédication qu’il pousse en devant. D’ailleurs sa
tête
est belle. Il est bien drappé. Ses membres sont b
int est très grand, et il le paroitroit bien davantage, s’il avoit la
tête
moins forte. En général les grosses têtes raccour
ien davantage, s’il avoit la tête moins forte. En général les grosses
têtes
raccourcissent les figures. Ajoutez que vêtu d’un
rsonnages vénérables ; si je vois sur leurs fronts ridés et sur leurs
têtes
chauves, l’annonce de l’âge et de l’expérience ;
et pleins d’admiration et de regrets ; ou, si vous l’aimez mieux, la
tête
penchée, humiliée, pensive, et les bras admiratif
e, et les bras admiratifs, il eût mieux dit ce qu’il avoit à dire. La
tête
de Caesar est donnée par mille antiques ; pourquo
fait-elle pas bien l’or ? Ce vieillard n’est-il pas bien drappé ? Sa
tête
n’est-elle pas belle ? Celle des soldats interpos
fant, le prix d’un écolier qui veut aller à Rome et qui le mérite. La
tête
de Pompée présentée à Caesar ; Caesar au pié de l
sis dans son fauteuil, vêtu des habits pontificaux ; la thiare sur la
tête
, la chasuble sur le surplis. Il a devant lui un b
Il y a dans cette gloire dont la lumière tombe sur le saint, quelques
têtes
de chérubins. Il est certain que la figure est o
ique et qui ne s’interroge pas sur le reste, peut être content… belle
tête
, belle pâte, beau dessein… bureau soutenu par un
puis-je pas vous demander, que fait cette figure ? Quel est sur cette
tête
l’effet de la présence divine ? Nul. Ne regarde-t
ce poëtique consiste enfin à donner aux personnages d’un tableau leur
tête
, et leur caractere connu, quand ils en ont un, so
iste au jugement de Suzanne, et qu’on ne reconnoît point à son air de
tête
ou à ses traits pour être la soeur ou la mere de
ls, se ramasse tout le corps en jettant sa pierre, qu’il adresse à la
tête
du saint. On voit bien que sa haine est encore pl
sur ce point là dans ses tableaux. Il est vrai qu’il se trompa sur la
tête
d’Alexandre dans le premier qu’il fit. C’est celu
s de Perse aux pieds d’Alexandre. On avoit donné à M. Le Brun pour la
tête
d’Alexandre une tête de Minerve qui étoit sur une
d’Alexandre. On avoit donné à M. Le Brun pour la tête d’Alexandre une
tête
de Minerve qui étoit sur une medaille, au revers
s qu’il eut été averti de sa méprise, et il nous a donné la veritable
tête
d’Alexandre dans le tableau du passage du Graniqu
e poëtique demande que le peintre donne à ses personnages leur air de
tête
connu, soit que cet air de tête nous ait été tran
e donne à ses personnages leur air de tête connu, soit que cet air de
tête
nous ait été transmis par des médailles, des stat
rd par une convention tacite de le répresenter avec un certain air de
tête
et une certaine taille qui sont devenus propres à
philosophes illustres de l’antiquité avoient aussi chacun son air de
tête
, sa figure et son geste qui lui étoient propres e
ote famille en sculpture ! Le grand-père est si noble, a une si belle
tête
, si majestueuse, si douce pourtant et si fière. l
nés. Sur le devant, vers la gauche, assis à terre, un autre soldat la
tête
penchée sur ses mains. Tout à fait à gauche, sur
e, ni aussi fécond que celui du Poussin. Je ne vous dirai pas que les
têtes
penchées sur les mains sont bien usées, tant qu’e
be sa cuisse et sa jambe à miracle ; jolis pieds, jolies mains, jolie
tête
. Permettez que j’efface ce mot, l’ innocence, et
même. Elle est debout ; elle est sage, bien drapée, d’un caractère de
tête
extrêmement sévère ; c’est bien la supérieure de
e. à droite, éplorée, étendue à terre, un bras appuyé sur le dais, la
tête
posée sur son bras, l’autre bras tombant mollemen
e père l’a choisi cette fois maigre, sec, élancé et d’un caractère de
tête
ordinaire. Il fait son compliment, et montre d’un
ambre, à la pointe du faisceau lumineux et fécondant qui passe sur la
tête
de la vierge et forme des sillons de bas-relief s
t du ciseau. la douleur. du même. On dit que cela est beau, que cette
tête
est touchante, que l’expression en est belle, et
res, soit pour la touche. Il n’y a rien de fini ; ce sont des jets de
tête
, mais beaux, mais grands, mais neufs, et d’un pit
es inscriptions. Je l’ai revue, cette innocence prétendue ; elle a la
tête
penchée vers la droite et la gorge nue de ce côté
laît ? Je le crois bien ; aussi n’est-il pas mal ce téton… quant à la
tête
du berger de repos, c’est la copie assez fidelle
Ce sont deux gros boudins étranglés par le bout pour y pratiquer une
tête
. deux médaillons. du même. Je ne les ai point vus
eu l’idée de lui faire traduire les préfaces que Hokousaï a jetées en
tête
de ses albums, m’a fourni toute la documentation
entation du cheval va dans les sourimonos jusqu’à la figuration d’une
tête
de cheval faite par les doigts d’un enfant à trav
Tchanoyu entre femmes ; deux femmes lisant couchées à terre, l’une la
tête
penchée sur le papier, l’autre lisant avec un jol
tête penchée sur le papier, l’autre lisant avec un joli mouvement de
tête
de côté, deux femmes roulées l’une sur l’autre su
es, et dans laquelle rien de plus gracieux que cette petite femme, la
tête
renversée en arrière et d’une main retenant sur s
e repos et de contemplation. Il y a un groupe de trois femmes dont la
tête
penchée de l’une en dehors de la balustrade, rega
ée, à la queue formée par le déroulement d’une lettre japonaise, à la
tête
faite par des besicles jouant l’appareil visuel d
par des besicles jouant l’appareil visuel de la libellule ; c’est une
tête
de femme flottant sur l’eau, dont les épingles de
arbre dont les feuilles sont des pièces d’or ; c’est un oiseau à deux
têtes
, un dessin faisant revivre la légende des deux oi
Japonnais riant d’un pêcheur auquel une pieuvre s’est attachée ; des
têtes
caricaturales destinées à être découpées pour l’a
ient suspendu en l’air par le collet de sa robe, prêt à lui couper la
tête
avec son sabre. Une autre impression vous montre
omenade dans le Yoshiwara. Une vue de l’entrée d’un théâtre, avec les
têtes
de la foule d’hommes et de femmes rassemblés pour
, qui a tenté successivement Outamaro, Toyokouni. Des bûcheronnes, la
tête
chargée de fagots. Une série de caricatures amusa
uances du ciel, de l’aube au coucher du soleil. Et Hokousaï peint, en
tête
de l’album, une promenade de personnages de la co
’un croquis, mais un croquis merveilleux : une oie sauvage, volant la
tête
en bas, une aile repliée, une aile éployée, les p
emmes, l’une arrangeant sa chevelure avec ce gracieux mouvement où la
tête
est de face et où les deux bras disposent la coif
cines de lotus. Et voilà le morceau humoristique jeté par Hokousaï en
tête
du chapitre du saké : S’il y a le moraliste qui
es suicides, des hara-kiri (ouvertures de ventre), des expositions de
têtes
coupées : épisodes mêlés, dans le roman historiqu
e appelé là-bas le peintre des fantômes, le peintre qui a dessiné ces
têtes
des Cent contes qui vous laissent dans la mémoire
suppliciée, tout attachée qu’elle est au milieu de cadavres, jetés la
tête
en bas sur le revers d’une colline et dont les cô
ourries de la poitrine, et dont les figures ont les orbites vides des
têtes
de mort. Une horrifique planche ! Et le roman se
lonné d’éclairs, le prince agenouillé devant la tombe de son père, la
tête
de son assassin posée sur un présentoir. En 180
s péchés. Le mari assassin, lui, est figuré montrant, au-dessus de sa
tête
, un écrit japonais qui se contourne et se termine
ntourne et se termine en un serpent, tandis que sa vilaine femme à la
tête
pareille à une calebasse brandit un écran où se v
ui en a de suspendues tout autour d’un parasol ouvert au-dessus de sa
tête
, et tient une espèce de pelle où les mouvements d
elle l’esprit qui la hante, sous la forme d’une fumée surmontée de la
tête
de la laide femme. Et la dernière planche étale,
tombeau : un roman sentimental qui a eu un grand succès au Japon. En
tête
de la table des matières est représenté, ainsi qu
n rien surnaturels. C’est une araignée gigantesque, une araignée à la
tête
d’une pieuvre, au corps pustuleux d’un crapaud, a
s une autre planche ; le dessin du même guerrier jetant par-dessus sa
tête
un colosse à terre, dont la chute forme la courbe
courbe d’un corps brisé, déjà mort ; le dessin du même guerrier, deux
têtes
coupées à côté de lui, et écrivant sur un mur, av
es coupées à côté de lui, et écrivant sur un mur, avec le sang de ces
têtes
, que c’est lui qui a tué ces malfaiteurs. Un dess
t une femme suspendue en l’air, les bras attachés derrière le dos, sa
tête
tombée de côté contre une de ses hanches, ses pie
apite d’un coup de sabre, et dont le tronc s’affaisse, pendant que sa
tête
, projetée en l’air, retombe d’un côté, son chapea
cture poétique, des dessins d’un naturel, comme cet homme qui dort la
tête
sur une table, visité par un rêve paradisiaque ;
ilité des reins qu’Hokousaï sait si bien rendre, les bras étendus, la
tête
amoureusement renversée en arrière ; c’est la vue
ette femme, sous la forme d’un monstre échevelé, un enfant attaché la
tête
en bas sur son dos, dont les deux pieds passant d
rayante vision que voit seul son mari. Oh ! une terrible vision ! une
tête
de toute la grandeur de la page, où sont les trai
re composition, représentant les quarante-sept rônins qui déposent la
tête
de Kira sur le tombeau d’Asano. Le reste du roman
c la morte une résurrection du nouyé, cet animal fantastique qui a la
tête
d’un tigre, le corps d’un taureau, la queue d’un
t un caractéristique dessin de Beppou qui, tombé à terre, se tient la
tête
, se bouche les oreilles sous le sifflement d’une
e par une lampe faite par l’assemblage de fémurs au haut desquels une
tête
coupée crache de la flamme ; une salle qu’escalad
derrière le dos par une corde que tient un garde, et dont on voit les
têtes
dans une autre planche fixées sur les cornes des
on voit une place d’exécution où un bourreau se dispose à trancher la
tête
à un homme attaché à deux pièces de bois croisées
oldats tués, et le sabre que lui avait donné le prince pour couper la
tête
du chef des brigands est pris. Le prince veut le
dans le mort reconnaissent leur chef ! Alors le ministre, prenant la
tête
du brigand et le sabre retrouvé, rassure le mari
on sur tous les défunts de cette histoire, — dont Hokousaï montre les
têtes
fantômatiques au bas de cette dernière gravure ;
n empereur, et où défilent des gens pliant sous des filets remplis de
têtes
humaines. Enfin, en 1846, trois ans avant sa mo
ici tout à fait inconnues, et que nous révèle la préface de Hanshû en
tête
du premier volume, et que j’ai eu l’idée de faire
ements de torses, à ces brusques déracinements du sol, à ces culs sur
tête
d’un vaincu jeté à bas ; l’autre vous montrant de
ue. On y voit Kintoki chassant un diable ; on y voit le dragon à neuf
têtes
venant boire aux neuf coupes où il trouvera la mo
’arc, et le tirage de l’arc à la hauteur de l’oreille au-dessus de la
tête
, en bas de la ceinture, avec une dernière planche
me, avec un titre fait à l’imitation d’un morceau d’étoffe brodée. En
tête
, la figuration de Waka-mousoubi-no-Kami, la femme
nverse une tasse de thé placée à terre derrière eux. Deux planches de
têtes
d’aveugles sont de la plus frappante vérité. Et e
ir arrêter dans sa marche et qui, d’un bras tenant un barillet sur sa
tête
, continue à s’avancer tranquillement, entraînant,
, des vomisseurs d’essaims d’abeilles, des thaumaturges se rendant la
tête
invisible. Mais je ne veux décrire dans ce volume
ant jusqu’aux oreilles, ses deux mains de squelette rapprochées de sa
tête
dans le tressautement de la danse idiote d’un nat
lon une superstition du Japon et des îles Philippines, permettent aux
têtes
de ces possesseurs de cous d’aller visiter des co
ontracté d’un samouraï entre ses deux sabres remontés au-dessus de sa
tête
, et au dehors trois Japonais se bouchant le nez a
n : c’est l’entrée dans un intérieur, d’un vieux prêtre pochard, à la
tête
impossible, travesti en manzaï, escorté d’une esp
l’enfance, au triple menton, au ventre bedonnant, ramassé à terre, la
tête
renversée dans la jubilation de la fumerie d’une
re de ces insectes d’un jour. III. Un peintre de tori-i. Un homme, la
tête
en bas, une brosse dans une main, une écuelle ple
r, avec de très délicates demi-teintes, comme lavées. Cette femme, la
tête
renversée, les deux mains s’étreignant au bout de
un prêtre bouddhique devant un kakémono représentant une femme, et sa
tête
aux cheveux rebroussés et semblable à celle d’un
vec des mouvements d’un disloquage anti-humain, et des expressions de
têtes
méphistophéliques, un moment sous des masques car
étaient attachées à des cordes pour soulever l’immense dessin dont la
tête
était fixée à un madrier de bois gigantesque. Des
n rouleau de papier et chez lequel, de la courbe de son corps sous sa
tête
rejetée en arrière, sous ses pieds en retraite, l
aisant du trapèze après les traverses d’une barrière et dont l’un, la
tête
en bas, a son petit derrière à l’air : un dessin
tes les formes, au milieu desquels un cuisinier est renversé, cul sur
tête
, par la décharge d’un poisson électrique. Et la
le plus remarquable, qui est dans la collection de M. Bing. C’est la
tête
d’un aigle tenant dans ses serres un petit ourson
cade dans la chute de laquelle le Japon voit une ressemblance avec la
tête
d’un Bouddha. 6. Cascade de la colline des mauves
s baisers bouche-à-bouche dévorateurs, de ces pâmoisons de femmes, la
tête
renversée à terre, la petite mort sur leur visage
La plus effrayante, c’est une lanterne fabriquée sur le modèle d’une
tête
de mort, avec les cheveux hérissés sur le haut de
odèle d’une tête de mort, avec les cheveux hérissés sur le haut de la
tête
, et flasques et pendants sur les tempes, avec les
itant d’une manière invraisemblable les sutures d’un crâne ; et cette
tête
de mort, produit d’une imagination ingénieusement
la main de squelette avec laquelle elle tient, derrière son dos, une
tête
d’enfant qu’elle a commencé à dévorer. Une autre
bre et couleur de chair dans la lumière. Une autre estampe : une pâle
tête
de morte chevelue, à la bouche ouverte d’où un so
d’une haute terrasse, dans un élégant mouvement de retournement de la
tête
en arrière, un homme contemple le ciel où brille
impression à la belle tourmente du trait, au fier contournement de la
tête
de l’oiseau de proie. Trois tortues, dont l’une n
ade, l’autre en sortant. Deux grues dans la neige où le pourpre de la
tête
et le rose des ailes se détachent du triste neutr
l’une, les deux bras jetés derrière elle, avec un retournement de la
tête
en arrière, offre la plus belle attitude mimodram
e mère élevant, avec des bras de tendresse, un enfant au-dessus de sa
tête
, lui fait cueillir des fleurs de prunier. Une sér
r de la bouche, des lobes de l’oreille. Ce qui vous frappe dans cette
tête
d’homme de génie, c’est la longueur du visage, de
pi sous une couverture, laissant voir un bout de profil d’une vieille
tête
branlante et que dépassent des jambes ayant la ma
hine, s’est assimilé le costume, le port du corps, le caractère de la
tête
des habitants du Céleste Empire. Ces dix volumes
ion de la nature chez ces peuples de l’Orient : des renversements, la
tête
en arrière, d’hommes couchés, appuyés sur leurs c
eu du corps à des branches d’arbres qu’ils coupent au-dessus de leurs
têtes
; l’étude de ces deux Japonais dont l’un montre à
l’étude charmante de ce Japonais fatigué de la lecture, regardant, la
tête
renversée entre l’étirement de ses deux bras, la
te altitude. Ainsi, dans le premier volume, une planche le montre, la
tête
en bas dans les eaux d’un lac où une troupe d’oie
es sapins de la province Yashiû se rejoignant dans le ciel, et sur la
tête
desquels, par la neige, se fait un chemin parcour
e une auberge ; et la dernière planche, comme le dit l’inscription en
tête
: c’est le Fouzi-yama fait d’un seul coup de pinc
bayashi d’Ouraga. Cette lettre, écrite à propos du Jour de l’An, a en
tête
un croqueton où le peintre en costume officiel, e
kan Homaré, Les Gloires de la Chine et du Japon , et devrait avoir en
tête
la curieuse préface que Hokousaï a écrite pour l’
a Chine et du Japon est un Mars bouddhique, aux cheveux droits sur la
tête
, aux sourcils et aux moustaches coléreusement ret
ache monstrueuse de Kintoki ; de Yorimitsou, qui vient de trancher la
tête
du géant de la montagne de Ohyéyama : tête qui es
, qui vient de trancher la tête du géant de la montagne de Ohyéyama :
tête
qui est en train de retomber et d’aller se ficher
l’Hercule mythologique Tatikarao-no-mikoto, portant un rocher sur sa
tête
; le premier Empereur du Japon regardant son héri
es hommes et des femmes sous l’armure. C’est l’impératrice Jingô, une
tête
coupée à ses pieds, en train de tendre son formid
rtistes, Hokousaï publie deux paysages d’après la cascade de Riûdzou (
tête
de dragon) : deux grandes planches, où la fusée b
in-Hinagata, Nouveaux modèles de dessins d’architecture , et écrit en
tête
cette préface : Depuis l’antiquité, l’homme a co
e suivi d’un autre volume consacré aux broderies qui n’a pas paru. En
tête
de ce volume, la préface de Tanéhiko dit : « Les
les cheveux épars, un éventail à la main. Le poète dans la poésie, en
tête
de la planche, dit au vent d’empêcher les nuages
aux cheveux en poils de bête, au nez en vrille22, et Hokousaï met en
tête
de ce volume : Ce livre apprend le dessin sans m
ndiquée par un numérotage venant d’Hokousaï, et où, pour une étude de
tête
de profil, la marche du pinceau est ainsi indiqué
tième et dernière lettre de l’alphabet japonais. Dans ce recueil, la
tête
est presque toujours indiquée seulement par le co
e, donnons la plus curieuse de toutes, que Hokousaï, en 1835, jeta en
tête
des Cent Vues de Fouzi-Yama : Depuis l’âge de si
l’un des 108 héros du roman de Souikô. De profil, tourné à droite, la
tête
levée en l’air, tenant un bâton d’une main rejeté
Les deux pendants font partie de la collection Hayashi. Un faisan, la
tête
retournée près d’une tige de pissenlit. Signé : H
ministres de la terre, représenté assis sur une chaise tournante, la
tête
penchée vers sa femme, et entouré de plus de ving
z Hokousaï de faire plus portrait qu’il ne fait d’ordinaire, dans ces
têtes
d’enfants, au ton rose de la pêche, et avec des r
qui va se coucher, en train de changer le papier de son oreiller, sa
tête
sortant du rose de sa robe de dessous, et son cor
paysagiste. Femme lisant une pièce de théâtre, dans un mouvement de
tête
abaissée, au cou cassé. Coloration de la figure a
ure verdâtre aux dessins jaune d’or. Un oiseau volant au-dessus de la
tête
de la liseuse. Signé : Hokousaï. H. 119. — L. 51.
— L. 51. Collection Hayashi. Femme de profil tournée à droite, à la
tête
de face surmontée de l’étoilement des épingles de
). H. 84. — L. 26. Collection Hayashi. Apparition de monstres. Une
tête
énorme, à côté d’une tête de vieille femme, au lo
tion Hayashi. Apparition de monstres. Une tête énorme, à côté d’une
tête
de vieille femme, au long cou d’un serpent, sorta
n symbole bouddhique), une femme, d’une main appuyée sur un bâton, la
tête
enveloppée d’une chevelure épaisse, les yeux creu
à l’âge de 80 ans (1839). H. 56. — L. 27. Collection Hayashi. Deux
têtes
coupées, aux traits contractés, au blanc de l’œil
et une poésie japonaise, dans la bande étroite du milieu, un paon, la
tête
soulevée pour attraper une araignée, pendant au b
saï, et qui est signé : Katsoushika-tiyémon, à l’âge de 85 ans, a, en
tête
, une lettre d’envoi autographe du peintre, avec u
ntre, avec un croqueton de salutation semblable à ceux qu’il jette en
tête
de ses lettres à ses éditeurs, et l’envoi est fai
ivie de deux serviteurs, dont l’un tient un parapluie au-dessus de sa
tête
. Une magique représentation du floconnement de la
avage, amorti, assoupi. H. 33. — L. 42. Collection Gonse Guésha, la
tête
de trois quarts, baissée dans un penchement à gau
» et du « Coucher », les deux kakémonos en possession de M. Hayashi.
Tête
de Darma. Lavis d’une beauté tout à fait singuliè
ciel. L’homme, la main appuyée sur un bâton, est penché à droite, la
tête
cachée par son chapeau. Un dessin aux dessous sol
Collection Gillot. Deux canards mandarins à l’aquarelle : l’un, la
tête
levée, l’autre fouillant la vase. Signé : Manji.
antesque arc dont la flèche va tuer le Nouyé, animal fantastique à la
tête
d’un tigre, au corps d’un taureau, à la queue d’u
ie tapisse la terre. » Signé : Sajimoti. Le papier en large, placé en
tête
du kakémono, est une lettre d’Hokousaï qui recomm
femme en train de se coiffer, les deux mains élevées au-dessus de sa
tête
, et soulevant par derrière sa natte à l’aide d’un
cade, au milieu de fleurs de cerisier, un aigle, le corps ramassé, la
tête
tendue et projetée en bas comme s’il s’apprêtait
il s’apprêtait à fondre sur une proie. Peinture au cruel dessin de la
tête
, au solide noir et au beau fauve de la plume héri
it lâché. Non signé. H. 65. — L. 48. Un guerrier tenant à la main une
tête
coupée. Non signé. H. 53. — L. 26. Un pigeon perc
un balai ; et derrière Hokouga, à la gauche d’Hokousaï, Shinshaï, la
tête
tombée dans ses mains ; et, contre le pot de saké
. Signé : Manji, vieillard de 85 ans. H. 30. — L. 52. Un tigre à la
tête
un peu humaine, comme les fait Hokousaï, qui n’en
ns son sac. Non signé. H. 27. — L. 42. Dans la collection Bing. Une
tête
coupée de femme, entourée d’un serpent. Une encre
r pendant un panneau d’égale grandeur, représentant un paysan qui, la
tête
entre ses jambes, chercherait avoir les feuilles
fants, faisant danser un pantin attaché par des fils à un écran. Des
têtes
de femmes publiées dans le Japon artistique. Pêch
un Téngou auquel elle indique quelque chose de la main, dessin où la
tête
de la femme a une grâce voluptueuse indicible. Un
dessin où la tête de la femme a une grâce voluptueuse indicible. Une
tête
de profil d’apparition, qui n’a pas été gravée da
ants paysages à l’aquarelle d’Hokousaï. H. 30. — L. 130. Une étude de
tête
coupée de supplicié, la bouche et les yeux entr’o
a flûte. Une tapageuse encre de Chine, avec coloration en rouge de la
tête
et des mains. H. 40. — L. 28. Deux canards mand
ant un gué. L’encre de Chine la plus largement traitée, et où est une
tête
du dessin le plus savant. H. 38. — L. 28. Dans
t sur l’épaule une perche où sont attachés deux paquets d’herbes. Une
tête
de supplicié dans un plat. Un crâne où le sommet
sur lequel se détachent, dans une blancheur effrayante, les dents. La
tête
et le fond, comme éclairés par une lumière lunair
courtisane en train d’arracher les cheveux blancs d’un Darma dont la
tête
fumante est recouverte d’un mouchoir mouillé. Kak
pinceau chargé d’encre de Chine, avec quelques tons de chair dans la
tête
du Darma. Signé Katsoushika Hokousaï Taïto (vers
ume de corbeau. Une feuille d’un grand caractère : l’exposition d’une
tête
coupée, regardée par toute une foule. Un album tr
ncre de Chine, sabrés de gouache, parmi lesquels est un danseur, à la
tête
baissée que masque son chapeau, aux mains tressau
re d’avoir vu, du même Hokousaï, encadrées d’une étoffe rosâtre, deux
têtes
fraîchement coupées. La première, celle d’un barb
èles de dessins pour les commençants, sous le nom d’Hokousaï. 22. La
tête
de Téngou est formée par les mots Yama (montagne)
Téngou est formée par les mots Yama (montagne) et Mizou (eau), et la
tête
du peintre par une réunion de caractères faisant
ans les soldats qui l’ont saisi et qui le tiennent. Ce sont autant de
têtes
étonnées. Comme ces figures sont distribuées, car
l’effroi et la curiosité de l’enfant. Le saint a les bras élevés, la
tête
renversée et les regards tournés vers le ciel. Un
uffre beaucoup à le voir. Une grosse draperie jetée sur le haut de sa
tête
retombe sur ses épaules ; toute la partie supérie
a foule. Voilà la machine. Il faut voir après cela, les détails ; les
têtes
de ces satellites ; leurs actions ; le caractère
est derrière le célébrant ; et le célébrant avec son dos voûté, et sa
tête
rase et penchée ; et le jeune enfant vêtu de blan
sistants. La distribution des figures, la couleur, les caractères des
têtes
, en un mot toute la composition me ferait le plus
ar deux ou trois religieux ; qu’il eût eu les bras un peu étendus, la
tête
renversée en arrière, avec la mort sur les lèvres
large. Le St Pierre délivré de la prison est un morceau ordinaire. La
tête
en est belle ; mais on se rappelle le même sujet
s anciens, ni des juifs, ni même des premiers chrétiens. J’ai dans la
tête
que la date des mains jointes est nouvelle. Le go
ce Songe de Joseph n’est autre chose qu’un homme qui s’est endormi la
tête
au-dessous des pieds d’un ange. Si vous y voyez d
ieds de haut, sur 10 de large. Pierre, mon ami, votre Christ, avec sa
tête
livide et pourrie, est un noyé qui a séjourné qui
toute l’action des autres personnages du Carrache, et des vôtres. La
tête
de son fils est posée sur ses genoux dans le Carr
est à terre ; l’exécuteur tient le couteau avec lequel il a séparé la
tête
; il montre cette tête séparée à Herodiade. Cette
ur tient le couteau avec lequel il a séparé la tête ; il montre cette
tête
séparée à Herodiade. Cette tête est livide, comme
il a séparé la tête ; il montre cette tête séparée à Herodiade. Cette
tête
est livide, comme s’il y avait plusieurs jours d’
jeune fille qui tient le plat sur lequel elle sera posée, détourne la
tête
, en tendant le plat ; cela est bien ; mais l’Hero
ui le couronnent, entrelacent leurs branches touffues au-dessus de sa
tête
; que le soleil penche vers son couchant ; que se
sage, que du local ; mais qui est-ce qui imaginera le caractère et la
tête
de Paris ? qui est-ce qui donnera aux déesses leu
Claudel, Paul (1868-1955) [Bibliographie]
Tête
d’or (1890). — La Ville (1898). — Connaissance de
(1900). OPINIONS. Emmanuel Signoret Paul Claudel a écrit
Tête
d’or et a chanté d’héroïques jardins sous la nuit
mbats s’explique par deux drames, encore sont-ils sans nom d’auteur :
Tête
d’or et La Ville. Le bagage littéraire (comme on
. [Portraits du prochain siècle (1894).] Remy de Gourmont Relu,
Tête
d’or m’a enivré d’une violente sensation d’art et
ie se trouble et meurt au seuil des cerveaux las de ne jamais songer.
Tête
d’or dramatise des pensées ; cela impose aux cerv
itoyable à la puérilité : c’est pourquoi nous exigeons de l’auteur de
Tête
d’or et de La Ville, l’œuvre inconnue de sept an
né à l’autel et le visage vers les époux. Il a les bras étendus et la
tête
élevée au ciel. Il en invoque l’assistance. Il es
de fille, belle, simple, innocente, un voile jeté négligemment sur sa
tête
, le reste du corps couvert d’une longue draperie,
pour le pinceau tragique. Il y a sans doute de la sublimité dans une
tête
de Jupiter ; il a fallu du génie pour trouver le
sa massue regarde amoureusement la délicate Hébé, où Apollon avec sa
tête
divine et sa longue chevelure tient par ses accor
e la plume. Je jette des germes que je laisse à la fécondité de votre
tête
à développer. La Chasteté de Joseph. Voici u
r un plus séduisant, je vous en défie. Vous me direz peut-être que la
tête
de la femme n’est pas d’une grande correction ; q
s, où ils sont les centres d’une infinité de mondes suspendus sur nos
têtes
, et d’où le globe que nous habitons serait à pein
de lui. On voit à droite le tombeau. Le ressuscité en sort debout, la
tête
découverte. Il tend vers le Dieu qui lui a rendu
; l’autre a vu le prodige. L’expression, la draperie, le caractère de
tête
et toute la manière de celle-là est du Poussin ;
Quelle reconnaissance ! Un assistant lève le voile qui couvrait cette
tête
étonnante, et vous la montre subitement. Quelle d
. Mais que penseriez-vous de moi, si j’osais vous dire que toutes ces
têtes
de ressuscités, belles sans doute et de grand eff
mme pétrifiés. J’ai une Résurrection du Lazare toute nouvelle dans ma
tête
. Qu’on m’amène un grand maître, et nous verrons.
iolents, essuie ses yeux avec son mouchoir, sanglote en se cachant la
tête
dans les mains. Elle crie d’une voix plaintive :
on. Un homme, les yeux ouverts ou fermés, voit à trois pas de lui une
tête
de mort parfaitement distincte, quoiqu’il n’y ait
e de mort parfaitement distincte, quoiqu’il n’y ait devant lui aucune
tête
de mort. Cela signifie, comme dans les exemples p
comme dans les exemples précédents, qu’entre la présence réelle d’une
tête
de mort et la perception affirmative il y a un gr
n certain rejaillissement de rayons lumineux, enfin la présence d’une
tête
de mort réelle. Mais ces trois antécédents ne pré
a perception affirmative naîtra en leur absence, et l’homme verra une
tête
de mort qui n’est pas. Ici encore, la présence du
, qui semble un paradoxe. L’halluciné qui voit à trois pas de lui une
tête
de mort éprouve en ce moment-là une sensation vis
s recevaient au même moment les rayons lumineux qui partiraient d’une
tête
de mort réelle. Il n’y a pas devant lui de tête d
qui partiraient d’une tête de mort réelle. Il n’y a pas devant lui de
tête
de mort réelle ; il n’y a point de rayons gris et
mal, des rayons gris et jaunâtres, tels qu’en lancerait une véritable
tête
de mort. Cette action des centres sensitifs, en d
es cette sensation visuelle spontanée, suffit pour évoquer en lui une
tête
de mort apparente, apparemment située à trois pas
est précédée de ses antécédents normaux ; par conséquent, lorsque la
tête
de mort est réelle et présente, lorsqu’un faiscea
ovoquée donnera naissance au même fantôme interne, et le simulacre de
tête
de mort, qui se produit en nous pendant l’halluci
l fait l’action, il croit à la présence de l’objet. — Vous penchez sa
tête
un peu en arrière et vous redressez son échine, «
n esprit en est manifestement possédé… » En cet instant, « courbez sa
tête
en avant, fléchissez doucement son tronc et ses m
tre ainsi provoquées. Ainsi, levez la main du patient au-dessus de sa
tête
et fléchissez ses doigts sur la paume, l’idée de
ou prononcés mentalement, sont les habitants les plus nombreux d’une
tête
pensante. Tous sont des fantômes d’objets extérie
s, mais, en somme, les mêmes en nature que le fantôme de maison ou de
tête
de mort engendré chez l’halluciné, que le semblan
des coups de fusil, des carreaux cassés par les balles. » — Dans une
tête
saine, l’image de sons entendus pendant l’émeute
autres personnages. Je m’éveille en sursaut avec le nom de G… dans la
tête
. Était-ce là une pure imagination, ou y avait-il
le Tantale chaudement colorié ; dites que le Jupiter est beau, que sa
tête
est noble ; ajoutez encore que le tout n’est pas
iste le sait bien, car c’est pour la seconde fois qu’il s’en sert. La
tête
d’Adonis est empruntée d’un st Jean de Raphaël, c
is est empruntée d’un st Jean de Raphaël, comme Raphaël empruntait la
tête
antique d’un Adonis pour en faire un st Jean. Aus
ait la tête antique d’un Adonis pour en faire un st Jean. Aussi cette
tête
est-elle bien coloriée. De la manière dont ce suj
irs et du coussin. jeune fille agaçant son chien devant un miroir. la
tête
de la jeune fille et le chien ont de la vie, du d
a jeune fille et le chien ont de la vie, du dessin, sans couleur. une
tête
de bacchante. du même. On la voit presque par le
ur. une tête de bacchante. du même. On la voit presque par le dos, la
tête
retournée. On prétend qu’elle est d’un pinceau vi
t, le ruissellement de la parole tombant incessamment du sommet d’une
tête
fumante. Il fermait les yeux et ouvrait la bouche
ectionna pour l’Encyclopédie ; car c’était un confectionneur, dont la
tête
, mise en branle, ressemblait à un métier. Aujourd
il tira de l’argent d’un carme déchaussé, son parent, qui croyait sa
tête
propre à devenir celle d’un apôtre, en lui faisan
e et il avait même porté le cilice. Était-ce un échauffement de cette
tête
qui fut toujours échauffée, ou tartuferie ? On pe
is que Bourguignon, qu’on entrevoyait perpétuellement à travers cette
tête
de buste antique que Houdon lui avait sculptée. E
op Voltaire pour mourir comme Chénier. Mais, s’il n’avait pas jeté sa
tête
à la face de la révolution, bien certainement il
ur l’Église, et, le malheureux, c’est sur lui-même qu’il frappait. La
tête
de Diderot étant donnée, cette belle tête de Houd
lui-même qu’il frappait. La tête de Diderot étant donnée, cette belle
tête
de Houdon avec ces yeux qui boivent la lumière et
pas un lâche. Il a parlé quelque part des pensées de par derrière la
tête
; mais les pensées de par derrière la sienne, il
nné des Pensées philosophiques, et celles qui sont de par derrière sa
tête
il les avait laissées soit en Hollande, soit à Sa
dans ces Pensées, Diderot s’amuse à jeter l’oignon des Égyptiens à la
tête
de la religion chrétienne, comme un voyou jette u
de la religion chrétienne, comme un voyou jette une pomme cuite à la
tête
d’un saltimbanque ? La pomme cuite, ici, c’est Di
’orgueil d’un mastodonte récemment sorti du chaos : « Tu montreras ma
tête
au peuple ! Elle en vaut la peine. » Je montrerai
as ma tête au peuple ! Elle en vaut la peine. » Je montrerai aussi la
tête
de Diderot, et on verra si elle valait la peine d
ns, si vous voulez, qu’il en fut la plus grosse patte. Il n’en fut la
tête
d’aucune façon, et les deux volumes que voici le
ils renferment sa philosophie, et la philosophie d’un homme, c’est la
tête
d’un homme. Or, la tête de Diderot n’est pas à lu
ophie, et la philosophie d’un homme, c’est la tête d’un homme. Or, la
tête
de Diderot n’est pas à lui ; c’est la tête de Bac
la tête d’un homme. Or, la tête de Diderot n’est pas à lui ; c’est la
tête
de Bacon. C’est la tête de Bacon tuméfiée, brûlan
la tête de Diderot n’est pas à lui ; c’est la tête de Bacon. C’est la
tête
de Bacon tuméfiée, brûlante, délirante parfois… L
rprétation de la nature n’a ni la rigueur ni l’unité d’un système. La
tête
de Diderot répugnait au système, qui est l’honneu
stème. La tête de Diderot répugnait au système, qui est l’honneur des
têtes
humaines. Cet esprit à tendances variées et contr
éhensibilité, les écailles de tortue contre lesquelles on se casse la
tête
, toutes choses essentiellement allemandes, mortel
tte fange, et il court boire à cet abreuvoir, comme une bête altérée.
Tête
de feu plus que de lumière, il avait, jointes à s
croire, car il était éloquent, mais le lucidus ordo manquait à cette
tête
enivrée. Cet homme, qui était suprêmement un arti
, quoi qu’on ait dit de ses hautes facultés d’artiste, n’avait pas la
tête
assez large, et son front, qui paraissait vaste,
resté célèbre, — une de ces pages d’enthousiasme éperdu, comme cette
tête
perdue, qu’on a trop prise pour une tête de criti
ousiasme éperdu, comme cette tête perdue, qu’on a trop prise pour une
tête
de critique, savait en écrire quand son tempérame
i lui ni sa prêcherie… Peintre qui crevait sa peinture pour passer sa
tête
par le trou de sa toile, afin qu’on le vît bien e
belais, des bourgeois comme lui de naissance sociale, mais de race de
tête
différente. Tout grand artiste, en effet, — et Vo
re et se barbouiller à cette mousse, et même Lessing, si supérieur de
tête
à Diderot, l’avala, et en l’avalant crut ajouter
cipé pour le compte des savetiers de la Révolution, qui portaient des
têtes
au bout des piques, n’était pas tous les jours de
eût pu en être un ; mais, pour cela, il fallait d’abord avoir dans la
tête
une notion juste de la Critique, et il né l’avait
s ses Salons, Diderot, devant une toile vide de par la pauvreté de la
tête
et la pauvreté de la main, tirait de sa tête, à l
de par la pauvreté de la tête et la pauvreté de la main, tirait de sa
tête
, à lui, le tableau que l’artiste n’avait pas vu d
t impossible de ne pas admettre que s’il eût été plus organisé, d’une
tête
plus ferme et d’un esprit moins anarchique, il ne
qui lui envoyaient cette émotion : — le « coup de hache » qu’ont à la
tête
tous les grands « artistes », a-t-il dit, et que
es récits, il a essayé bien des fois, avec la faculté de se monter la
tête
qu’il tenait de sa double nature d’orateur et de
itables lettres, écrites, non plus pour le public ou pour entamer une
tête
de sculpteur aussi dure que ses marbres et rebell
’est pas une plume de paon lui passant, quand il écrit, par-dessus la
tête
, n’est plus qu’un tronçon dans sa main. Les condi
ut usage, renvoyé à la queue de l’édition ce qui devait être mis à la
tête
… Je ne sais pas ce que ruminait, pour plus tard,
nalité jusqu’à dire du mal de son auteur. Il n’avait pas été mis à la
tête
, ou plutôt à la queue de l’édition des frères Gar
avec les entrailles oratoires de Diderot, est étonnant de fermeté de
tête
quand il s’agit de juger et de caractériser la ph
iderot et son absence complète de principes, car, dans ce chaos de la
tête
de Diderot, l’athéisme n’était pas plus un princi
qui ait eu de la durée et de la fixité dans le tourbillonnement de sa
tête
éperdue. Il l’a haïe et il l’a attaquée furieusem
publique envahie par une folle canaille n’a été plus orageuse que la
tête
ou l’âme de Diderot. Il y eut peut-être des jours
c. De temps en temps, mon regard s’allonge et parcourt les vingt-cinq
têtes
rangées autour de la table. Je regarde, avec plai
rangées autour de la table. Je regarde, avec plaisir, la jolie petite
tête
enthousiaste d’un jeune homme, qu’on me dit être
ousiaste d’un jeune homme, qu’on me dit être Massenet ; je regarde la
tête
chevaline du vieux Bapst ; je regarde la tête éto
assenet ; je regarde la tête chevaline du vieux Bapst ; je regarde la
tête
étonnamment simiesque de Girardin, qui broie sa n
Il me semble, dit-elle, qu’il y a quelque chose qui se ferme dans ma
tête
… C’est comme un volet qu’on tirerait… Oh ! c’est
ris, coupés ras. Sous le chapeau deux rouges oreilles détachées de la
tête
, et une longue barbiche poivre et sel. L’homme mâ
nistère, merci ! Lundi 27 mai Je dîne aujourd’hui tout seul, en
tête
à tête avec Daudet et sa femme. Daudet m’entretie
, merci ! Lundi 27 mai Je dîne aujourd’hui tout seul, en tête à
tête
avec Daudet et sa femme. Daudet m’entretient de s
étais, un imaginateur… Vous ne vous doutez pas de ce que j’ai dans la
tête
… Eh bien, sans vous, je ne me serais pas préoccup
serpent, qui fait ici une ogive verte de 120 pieds au-dessus de votre
tête
, et cela dans la longueur de trois cathédrales. M
ons, les cheveux tirés sur les tempes, et relevés sur le sommet de la
tête
, en une touffe ressemblant à la touffe de Chingac
tête, en une touffe ressemblant à la touffe de Chingachgook, et cette
tête
sauvagement sérieuse, m’est désagréable à voir, q
là, le mobilier de cette résidence japonaise. Autour de la table, la
tête
un peu sauvage de Matzugata, qui ne parle pas fra
e, la tête un peu sauvage de Matzugata, qui ne parle pas français, la
tête
souriante et un peu jésuitique de Maéda, la tête
rle pas français, la tête souriante et un peu jésuitique de Maéda, la
tête
hilare d’un jeune Japonais à la figure caricatura
de ces jeunes filles, que sculptent les ivoiriers japonais, puis, la
tête
d’About, la tête de Pelletan, la tête de Charcot.
lles, que sculptent les ivoiriers japonais, puis, la tête d’About, la
tête
de Pelletan, la tête de Charcot. Un dîner des plu
es ivoiriers japonais, puis, la tête d’About, la tête de Pelletan, la
tête
de Charcot. Un dîner des plus fins, des plus déli
llé d’or, relevé d’un cloutis de corail, et aux anses formées par des
têtes
de dragons ayant des yeux de cristal de roche. Je
avec son or, son corail, son cristal de roche m’avait trotté dans la
tête
, toute la nuit — j’allais trouver mon Chinois, au
c, aux ailes vertes ; le troisième ayant l’apparence d’une fauvette à
tête
noire ; le quatrième avec du rouge dans le cou d’
peintre japonais s’est mis à le laver à grandes eaux, donnant, sur la
tête
colorée des oiseaux, de petits coups de pouce, am
ur de moi, un cercle de gens attentifs, approuvant mes paroles, de la
tête
. La première fois que je m’en suis aperçu, cela m
e nationale, Librairie Ollendorff, 1910, p. 587-608. Il n’y avait en
tête
des premières éditions de cet ouvrage, publié d’a
a douloureuse idée lui revenait, s’emparait de lui, lui emplissait la
tête
de gendarmes, de bourreaux et de foule, lui expli
nti à son front cette goutte de sang qui rejaillit de la Grève sur la
tête
de tous les membres de la communauté sociale. Tou
ous le déclarions ici, nous ne sommes pas de ceux qui réclamaient les
têtes
des quatre ministres. Une fois ces infortunés arr
les points du sol. En temps de révolution, prenez garde à la première
tête
qui tombe. Elle met le peuple en appétit. Nous ét
à lui, coupe-tête. Ce que voyant, l’homme se tranquillise, il met sa
tête
hors de son trou, et regarde de tous côtés ; il f
ruisseau de sang de la nuque du condamné, mais ne fait pas tomber la
tête
. Abrégeons. Le couteau remonta et retomba cinq fo
ma le condamné, cinq fois le condamné hurla sous le coup et secoua sa
tête
vivante en criant grâce ! Le peuple indigné prit
planche, et là, debout, effroyable, ruisselant de sang, soutenant sa
tête
à demi coupée qui pendait sur son épaule, il dema
is encore, le couteau du docteur Guillotin a mal fait son service. La
tête
n’a pas été tout à fait coupée. Alors les valets
et à force de tiraillements et de soubresauts, ils lui ont séparé la
tête
du corps par arrachement. À Paris, nous revenons
clos de toutes parts, cadenassé et verrouillé ; puis, un gendarme en
tête
, un gendarme en queue, à petit bruit et sans foul
pirer, furtivement, sournoisement, honteusement, on lui a escamoté sa
tête
. Cela s’appelle un acte public et solennel de hau
peu certains d’avoir raison, gagnés par le doute général, coupant des
têtes
par routine et sans trop savoir ce que vous faite
si tranquille ? La nuit, ne retournez-vous pas plus souvent qu’eux la
tête
sur votre oreiller ? D’autres avant vous ont ordo
nnements. Que les gens du roi ne viennent donc plus nous demander des
têtes
, à nous jurés, à nous hommes, en nous adjurant d’
dans six semaines ? Le voyez-vous suant sang et eau pour emboîter la
tête
d’un accusé dans le plus fatal article du code ?
disent quelques dédaigneux qui ne prennent leur logique que dans leur
tête
. À nos yeux, ce sont les meilleures. Nous préféro
laisse là le reste de la figure, et je vais m’occuper seulement de la
tête
. Conservez tous les traits de ce beau visage com
ente l’effronterie ni la honte. Un air de fierté mêlé de férocité. Sa
tête
est droite et relevée. Son regard fixe. Il est le
s, timides, circonspects, suppliants et modestes. L’esclave marche la
tête
inclinée ; il semble toujours la présenter à un g
rsqu’il dit, summa placidum caput extulit unda, il faut modeler cette
tête
-là. Sentir ce qu’il en faut prendre, ce qu’il en
uelle serpente depuis l’extrémité de son orteil jusqu’au sommet de sa
tête
. Elle affecte profondément sans inspirer de l’hor
afféteries, avec la grâce, moins encore avec l’expression. Que votre
tête
soit d’abord d’un beau caractère. Les passions se
es plus. Quand on considère certaines figures, certains caractères de
tête
de Raphael, des Carraches et d’autres, on se dema
ses noirs sourcils. C’est le théologien qui avait parlé, et voilà la
tête
que le marbre exposé dans un temple avait à montr
lon ses épaules, sa poitrine à Neptune, ses flancs nerveux à Mars, sa
tête
sublime à Jupiter, ses fesses à Ganymède ; mais A
anente, quelquefois même passagère, a associé certaines idées dans la
tête
des peuples, elles ne s’y séparent plus ; et s’il
seraient-elles passées autrement dans l’esprit du peuple que dans la
tête
de ses poètes ou théologiens ? Les ouvrages que n
u moment où un bon croyant reconnaît dans la rue quelques-unes de ces
têtes
, il n’éprouve pas un léger sentiment de respect ?
selle, perdus dans d’immenses redingotes, un képi sur le sommet de la
tête
: caricaturaux et sinistres, ayant l’air de petit
es plus désirables, disait, en plaisantant, qu’elle pourrait avoir la
tête
montée par un homme de cinquante ans. Comme l’ave
t littéraire, nous a écrit pour nous voir. Il s’appelle Puissant. Une
tête
excentrique, un Bourguignon aux joues allumées du
e son pays, le crâne nu, brillant de ce blanc poli qu’ont souvent les
têtes
des toqués, rasé comme un acteur, une petite mouc
a figure tannée, boucanée par le vent salin, sa toque de marin sur la
tête
, et sa robuste silhouette se détachant sur un cie
ysans sauvages, de vrais pouilleux, un bec de gaz, au-dessus de leurs
têtes
dans l’ombre, qui ne montre de blanc que le col d
être singulièrement resserré, amenuisé aux pommettes. Ce n’est pas la
tête
romaine, qu’enfle déjà la saillie des arcades zyg
illie des arcades zygomatiques, qui a tout son développement dans les
têtes
barbares. Nº 66. Tête présumée de Sylla. Une tête
atiques, qui a tout son développement dans les têtes barbares. Nº 66.
Tête
présumée de Sylla. Une tête ayant le type de l’ac
loppement dans les têtes barbares. Nº 66. Tête présumée de Sylla. Une
tête
ayant le type de l’acteur Provost. Un vieillard,
rdes faisant la fourchette du cou. Et quoi de plus artiste dans cette
tête
, aux dessous et aux plans précieusement modelés,
ps de ciseau qui ont gardé la rudesse de l’ébauche, et griffent cette
tête
des fortes rayures de la vie et des années ? Il y
e tête des fortes rayures de la vie et des années ? Il y a dans cette
tête
des parties, ainsi que dans la fuite des joues, d
César Auguste. Les cheveux versés sur le front comme des gerbes. Une
tête
où, dans la solide construction de l’ancienne têt
me des gerbes. Une tête où, dans la solide construction de l’ancienne
tête
romaine, il y a comme le poids pesant de la pensé
aison du Transtévère, une habitation de peuple. Chenavard, une belle
tête
de philosophe antique empreinte de la tristesse d
ahurissement ; puis en bas une incompréhensible mêlée d’académies, de
têtes
d’expression à copier dans les collèges, de bras
un gandin de la Borussie, dominant la fête de sa raie au milieu de la
tête
, et d’un sourire diplomatique, et que la femme, a
orts et de ces mortes. Tout autour, sur des rayons de bois blanc, des
têtes
séchées, des crânes ficelés avec des morceaux de
renflé de pensée et de sagesse, noblement socratique, et à côté, une
tête
de femme toute décharnée, et qu’on rêve avoir été
avec une sorte de frénésie nerveuse au dépouillement du cou et de la
tête
. Tout à coup, dans le noir du bitume figé au bas
t le sourire d’une feuille d’or se montre sur les lèvres de la petite
tête
, au crâne de laquelle s’effiloquent des cheveux c
venus d’une Canarie quelconque : la femme, une vraie femelle avec une
tête
de bonne singesse, une peau café au lait, les bra
sant à demi sur sa chaise, comme sur un canapé, et branlant un peu la
tête
, elle a des chantonnements d’harmonica fêlé, des
bronze vert, depuis le bronze vert jusqu’à la jaunisse nègre, et des
têtes
de femmes, où la maladie de foie semble avoir dév
du Palais-Royal : l’un, le neveu, capitaine aux Indes, à l’abominable
tête
d’artiste, à la barbe en queue de vache, au front
e des maisons de campagne d’amis : le mari, le chanteur comique, à la
tête
de capucin de la chansonnette, avec son front d’i
oghe, recelant des vieilles en chapeau de paille de mendiantes sur la
tête
, et qu’on eût dit peintes par un Memmling du fouc
erre, rendu inerte, la puissance de sa masse brisée sous cet homme, à
tête
de satin noir, couché presque doucement sur lui a
n, une heure où, sur les gradins de la salle de bois, la foule de ces
têtes
de photographes et de journalistes, fait comme de
voir un mouvement d’épaules qui fit peur, porter enfin les mains à sa
tête
, à la place de sa figure, au bandage qui la recou
l’Institut, et des guitares pendues sur des châssis, représentant des
têtes
d’expression de femmes grecques en turban de Mme
herand, un charlatan… » Là-dessus le docteur Phillips, avec sa grosse
tête
dans les épaules, ses yeux saillants, sa personne
de Sainte-Hélène. À faire, dans Napoléon, tout un chapitre sur cette
tête
, un monde, — ce cerveau plein des affaires du mon
eux mains se tendent chaudes et douces. Vaguement, nous percevons une
tête
tout enchiffonnée, un corps auquel la souffrance
Et le mot : « Adieu » et il nous retend les deux mains, retournant la
tête
au mur. 2. Depuis Daudet et Zola se sont char
d’étuves. — Des marches se traînant à genoux. — Des virevoltes sur la
tête
, etc., etc. 4. Un moment nous avons eu l’idée
pant pour l’avertir d’ouvrir son linceul le plat tambour de l’eau, la
tête
plongeante de graine flottante qui crèverait vers
clamer aux murs des dos tournés et aux murailles de l’entassement des
têtes
fuyantes. Peut-être dans le silence attentif, lui
ge quadrillé d’une toile retournée son talent en un Regard de femme à
tête
de musaraigne. De Chaudet (ordre alphabétique ca
lgré leur fuchsine voulue partout irradiée autour de l’endimanché des
têtes
. L’autre toile plaît par sa lumière d’encens vitr
iadème et l’enterre. Une des meilleures choses de l’exposition est la
tête
de Vieille Femme de Guillaumin, Servante de presb
és, mamelons fermant le ciel de leur pelote ronde partout couverte de
têtes
d’épingle en pierres précieuses ; une des plus be
Judas vient d’embrasser le Christ de ses lèvres cuites et noires. La
tête
de Gérémie trop modelée en trop de points, méplat
Soleil et quatre panneaux derrière la vitre de la rosée. - Séon :
tête
d’Androgyne, crâne aux paupières battantes, crâne
ler : lettres ornées, lettre déchirée sous les arceaux faux droite et
tête
coupée sous deux sceaux ; la semelle du bateau vo
nuages liants sur portée ; les Cartes, la Trinité papale, et l’Ende,
tête
sur triangle avec menottes, sceaux ou grelots en
tuagénaire, en l’atelier de Guiguet le peintre de l’angoisse des deux
têtes
chez Le Barc en une lumière souffreteuse. Surpris
la foule figurante a bien assez de quelques moellons concassés sur la
tête
et du bris des planches hérissées de clous dans l
Pas des Glaives, Je danse le Pas du sang ! Au-dessus, au-dessus de ma
tête
sifflent Flamboient ! sifflent, sifflent, flamboi
n’existe pas), collectionnées au tableau noir de son étal, les quatre
têtes
phosphoreuses de jeu de massacre. César, Socrate,
les Paons et la Cigogne. — De D’Espagnat, les deux Paysans robustes à
tête
de pommiers, la Femme au livre. — D’Angrand, les
comme péroniers le cheval tend dans le prolongement effaré du cou sa
tête
de danseuse, les feuilles noires peuplent les nua
lté : Un lion et saint Marc. Ecartons les bêtes des évangélistes : la
tête
abritée du cabri de la Sainte en prière. — Les fl
ongues comme ses mains, de l’Idéalisme de M. de Gourmont, et les deux
têtes
, Christ et Vierge, enluminure du Latin Mystique.
ment, l’image — où Georgin couche la lame sonore de son verset sur la
tête
de mort en bois, sonnant à tous les champignons :
main de l’ange mêlée à la sienne, union ou communion. L’encens de sa
tête
brûle sur la patène orfèvrerie de son nimbe. Déjà
(j’ai gardé sa ponctuation rythmée de lied) : « La petite vierge en
tête
de ma lettre a été faite à votre intention, voilà
i définitivement l’art de Filiger le surpasse, avec la candeur de ses
têtes
chastes d’un giottisme expiatoire. Il est très ab
omme nu ; le plat de son épée sanglante pèse sur l’épaule droite ; sa
tête
est ceinte de lauriers, un rictus effrayant contr
douleur, s’est pris le visage dans les mains et regarde son fils ; la
tête
du Mauvais Larron, du haut de la croix, semble un
ninterrompu des douves noires, pareilles au carcan dont on a serré la
tête
d’un saint Jean-Baptiste couronné, avant de la dé
t être apportée comme une table ou un flambeau. L’acteur « se fait la
tête
», et devrait tout le corps, du personnage. Diver
Ou l’on dit la différence négligeable. L’acteur devra substituer à sa
tête
, au moyen d’un masque l’enfermant, l’effigie du p
es de sable mémorial : le Poêle noir frémit et mord / Des dents de sa
tête
de mort / Le silence qui rampe autour (NdE) 8. C
ement, si cet honnête M. Franz, avec sa préface admirative, mise à la
tête
du livre, pour nous apprendre que la dame Chez La
. Franz. Les Cosaques peuvent tomber dans le Don et même s’y jeter la
tête
la première. Mais ici, nous tombons dans le pot d
ès possession préalable, bien entendu, — une idée qui a passé dans la
tête
, et jusque dans la main de la dame cosaque d’aujo
ne façon absurde », dit-elle dans un éclair de bon sens, rare dans sa
tête
, rare dans les têtes de tous les pays, — c’est Eu
dit-elle dans un éclair de bon sens, rare dans sa tête, rare dans les
têtes
de tous les pays, — c’est Eugène Sue, Balzac, Dum
as parce qu’on s’est donnée à un homme ; parce qu’on s’est jetée à sa
tête
comme un projectile ; qu’on a pris la poste, du f
l’effet que pour lui faire mal. Elle a mieux fait que de se monter la
tête
, elle s’est fait des têtes, comme on dit au théât
mal. Elle a mieux fait que de se monter la tête, elle s’est fait des
têtes
, comme on dit au théâtre, une tête d’amour d’abor
nter la tête, elle s’est fait des têtes, comme on dit au théâtre, une
tête
d’amour d’abord, puis une tête de vengeance. Mais
es têtes, comme on dit au théâtre, une tête d’amour d’abord, puis une
tête
de vengeance. Mais, au fond, elle n’est ni si Méd
pas un pastel qu’on pût regarder, si vous en exceptez l’ébauche d’une
tête
de femme dont on pouvait dire, ex ungue leonem ;
basse de ce vilain abbé De Lattaignant , c’était lui-même passant sa
tête
à travers un petit cadre de bois noir. C’est cert
ts, et cela sans s’y méprendre ? Quelle différence y a-t-il entre une
tête
de fantaisie et une tête réelle ? Comment dit-on
endre ? Quelle différence y a-t-il entre une tête de fantaisie et une
tête
réelle ? Comment dit-on d’une tête réelle qu’elle
entre une tête de fantaisie et une tête réelle ? Comment dit-on d’une
tête
réelle qu’elle est bien dessinée, tandis qu’un de
de d’exagérer, d’affaiblir, de corriger son modèle ; c’est qu’il a la
tête
pleine de règles qui l’assujettissent et qui diri
’à la fois, on palpe et on écoute. * * * — C… se trouvait à souper en
tête
à tête avec R… à la Maison d’Or. Une fantaisie le
ois, on palpe et on écoute. * * * — C… se trouvait à souper en tête à
tête
avec R… à la Maison d’Or. Une fantaisie leur pren
ûtes immenses et se perdre en haut dans la nuit, ainsi que toutes ces
têtes
se perdent dans l’anonymat… Puis l’agacement de c
des lointains fumeux et poussiéreux, des silhouettes fantasques, des
têtes
de vieilles femmes aux chapeaux cabossés, le bas
des passagers passant les jambes par le bastingage, des corps et des
têtes
et des blouses d’ouvriers, attentifs dans des pos
le, d’un ressouvenir de basse origine, du père de la fille passant la
tête
au milieu de sa fortune. Sur l’autre panneau, des
— J’ai vu aujourd’hui la Gloire chez un marchand de bric-à-brac : une
tête
de mort couronnée de lauriers en plâtre doré.
était toujours en elle et sur elle, et qui passait, à tout moment, la
tête
par l’ouverture de son corsage pour la regarder e
isie européenne, scènes sauvages du huis-clos de là-bas, et noyade et
tête
coupée pour un soupçon, une mauvaise humeur : une
xtrêmement fine et laissant voir le réseau sous-cutané des veines, la
tête
— c’est bizarre — la tête d’un de ces jeunes prêt
t voir le réseau sous-cutané des veines, la tête — c’est bizarre — la
tête
d’un de ces jeunes prêtres émaciés et extatiques,
ieurs de Paris avec des fers intérieurs représentant des phallus, des
têtes
de mort, des instruments de torture, dont il a do
e cette femme qui, tout à l’heure me montrait, à table, le haut de la
tête
de la Charité d’André del Sarte et la bouche de l
ée d’un livre, faire sortir le punctum saliens , tirer un à un de sa
tête
les incidents d’une fabulation, les lignes des ca
ravail ! C’est comme une feuille de papier blanc qu’on aurait dans la
tête
, et sur laquelle la pensée, non encore formée, gr
promet, en goguenardant, la santé dans six semaines. Elle incline la
tête
, en disant un oui, un oui étouffé… Le fiacre roul
endant un quart d’heure, une dizaine de feuilles de papier qui ont en
tête
une image religieuse. Enfin, c’est fini, je l’emb
ppe. La porte s’entrouvre au bout de quelque temps, et il en sort une
tête
de boucher, le brûle-gueule à la bouche : une têt
et il en sort une tête de boucher, le brûle-gueule à la bouche : une
tête
où le belluaire se mêle au fossoyeur. J’ai cru vo
a mairie, roulés dans un fiacre qui nous cahotait et nous secouait la
tête
, comme une chose vide. Et je ne sais quelle horre
re petite fillette, étiolée, pâlotte, rachitique, nouée de misère, la
tête
trop grosse pour le corps, le torse déjeté, l’air
rons, elle ou moi ! » Une passion, des passions à la fois de toute la
tête
, de tout le cœur, de tous les sens, et où se mêla
saluait, ayant, par une habitude de paysan, gardé son chapeau sur la
tête
. Un jour, le grand-père lui ayant demandé son com
nne et de la convalescente d’hôpital. Toutes ou presque toutes ont la
tête
carrée, des têtes de volonté et d’endurcissement,
alescente d’hôpital. Toutes ou presque toutes ont la tête carrée, des
têtes
de volonté et d’endurcissement, de mauvaises tête
a tête carrée, des têtes de volonté et d’endurcissement, de mauvaises
têtes
de paysannes — et déprimées d’une manière curieus
e, une calotte à la fois d’Académie et de sacristie, qu’il met sur sa
tête
pour la défendre des courants d’airs. Je lui parl
lacroix comme peintre philosophique, s’étendre sur l’expression de la
tête
d’Hamlet dans son tableau « Hamlet au cimetière »
avarni par cette phrase : « L’expression ! mais vous pouvez mettre la
tête
d’Hamlet sur la tête du fossoyeur et vice versa.
se : « L’expression ! mais vous pouvez mettre la tête d’Hamlet sur la
tête
du fossoyeur et vice versa. » Après dîner, Sainte
omb, quatre raides étages, une de ces bonnes à tout faire, perdant la
tête
d’une visite, et qui manque d’écraser une petite
vec une langue familière, la vivacité de tout ce qui lui passe par la
tête
, une adorable bonne enfance. Aujourd’hui elle se
iés, 1 pouce de haut. La sculpture est assise. On la voit de face, la
tête
coeffée à la romaine, le regard assuré, le bras d
lle. Voyez cette foule d’esprits incoercibles et véloces sortis de la
tête
de Bouchardon et accourants à la voix d’ Ulisse q
re fois. Et puis, je vous le demande, n’aimeriez-vous pas mieux cette
tête
coeffée d’humeur, sa draperie lâche et moins arra
ue. Très-vivant. C’est sa douceur, avec sa vivacité. Mais trop jeune,
tête
trop petite. Joli comme une femme, lorgnant, sour
excepté la gauche qui n’est pas dessinée. On le voit de face. Il a la
tête
nue. Son toupet gris avec sa mignardise lui donne
e, ses regards distraits se seroient portés au loin, le travail de sa
tête
fortement occupée se seroit peint sur son visage,
J’avois un grand front, des yeux très-vifs, d’assez grands traits, la
tête
tout à fait du caractère d’un ancien orateur, une
Tour n’a pas fait un plus beau portrait ; c’est à faire détourner la
tête
à une femme grosse, et à faire dire à une élégant
arriva de la plaine de Lena, ses yeux égarés semblaient sortir de sa
tête
, ses lèvres étaient pâles et tremblantes. « Eh qu
s plis humides de la robe du matin ! Les gouttes de rosée sont sur sa
tête
; sa démarche annonce la tristesse. C’est Carril,
s-tu point cette tombe auprès du torrent ? Trois pierres lèvent leurs
têtes
grisâtres au-dessous d’un chêne courbé par les ve
mais la mort, comme un vent brûlant, est venu flétrir ma jeunesse. Ma
tête
s’est penchée ; le printemps est revenu avec ses
ont la chevelure grisâtre est le jouet des vents. La fleur incline sa
tête
au souffle du zéphyr, et semble lui dire : « Zéph
ire : « Zéphyr importun, laisse-moi reposer, laisse-moi rafraîchir ma
tête
dans la rosée du ciel, dont la nuit m’a couverte.
à la main. Je leur ai demandé où était Malvina : elles ont tourné la
tête
sans me répondre, et leur beauté paraissait couve
une pâle et froide roulait dans les cieux, les étoiles levaient leurs
têtes
étincelantes. Nous voguâmes quelque temps le long
’un barde ? Mais j’aperçois une fille seule, assise sur un rocher, sa
tête
penchée sur son bras de neige, les cheveux épars
brillant, serpente dans son vallon ; les arbrisseaux balancent leurs
têtes
fleuries et le chevreuil bondit gaiement vers la
estera ; elle y croîtra comme le chêne de Morven, qui oppose sa large
tête
à l’orage et se rit des efforts des vents. XI
allée verdoyante. Là brille la fleur de la montagne : elle balance sa
tête
au souffle des zéphyrs ; là croît le chardon soli
des vents. Deux pierres à moitié cachées dans la terre montrent leurs
têtes
couvertes de mousse : le chevreuil de la montagne
rier qui ne se repose jamais ? Sans doute, il vient à Balclutha, à la
tête
de son armée, puisque Clessamor est si hardi. » «
attîmes : il tomba sous mes coups. Ô toi, qui roules au-dessus de nos
têtes
, rond comme le bouclier de mes pères, d’où parten
emeure. Deux enfants aimables élevaient au-dessus de ses genoux leurs
têtes
ombragées de boucles ondoyantes. Ils se penchent
les rayons du matin, il s’élève du vallon retiré et agite à peine les
têtes
brunes des buissons. Elle découvrit un esquif bal
grisâtre. Une moitié de bouclier est l’oreiller sur lequel repose sa
tête
; elle est couverte de sa chevelure ensanglantée.
s ; le soir, mon dernier coup d’œil était sur les vagues. La nuit, ma
tête
s’appuyait sur le rocher ; mais je ne voyais Rosc
us étions deux fleurs qui croissions dans la fente du rocher ; et nos
têtes
, chargées de rosée, souriaient aux rayons du sole
; il a arraché l’une d’entre elles, l’autre courbe sur sa compagne sa
tête
languissante, et toutes deux ont perdu leur beaut
ette ? Ta main qui, il y a si peu de temps, brandissait la lance à la
tête
des guerriers, est là raide et glacée ; et tes pi
ants de Selma : CHANTS DE SELMA Étoile, compagne de la nuit, dont la
tête
sort brillante des nuages du couchant, et qui imp
h ! la lune paraît enfin : je vois l’onde briller dans le vallon ; la
tête
grisâtre des rochers se découvre, mais je ne le v
s’éloigna, semblable à la lune qui prévoit l’orage et cache sa belle
tête
dans un nuage. Je touchai la harpe avec Ullin, et
est plus douce encore. C’est la voix d’Alpin qui pleure les morts. Sa
tête
est courbée par les ans ; ses yeux rouges sont re
tent de l’hiver et respirent le printemps. Il allait, il marchait, la
tête
relevée de dessus cette épaule, où elle penche fa
le coude appuyé sur l’épaule du vieillard, la main passée derrière la
tête
, et jouant avec les cheveux blancs du collet. Un
s dans le quart d’un verre d’eau, il ne peut dormir une minute, et sa
tête
s’agite sur son oreiller dans un mouvement incess
e crise semblable au mois de mai… Mais tout à coup, il se renversa la
tête
en arrière, et poussa un cri rauque, guttural, ef
je pressai, contre mon cœur et le creux de mon estomac, je pressai sa
tête
, dont je sentais la sueur de mort, peu à peu, mou
d’un calme délirant. C’étaient des élévations de bras au-dessus de sa
tête
, avec des appels à une vision qu’il appelait à lu
’en !… » C’étaient des flux de phrases tronquées, dites avec l’air de
tête
, le ton ironique, le mépris d’intelligence hautai
ésagrégation du cerveau avait eu lieu à la base du crâne, derrière la
tête
, qu’il n’y avait plus à conserver aucun espoir… A
à ce qu’elle met sur sa figure. Sur le blanc de l’oreiller, sa pauvre
tête
est renversée, avec l’ombre portée de son profil
t enfumée, prend avec les minutes, de plus en plus l’expression d’une
tête
du Vinci ; et dans les traits de sa figure, je re
fforts pour avaler de petits morceaux de glace, pas plus gros que des
têtes
d’épingles. Une respiration ronflante comme une b
reflète sur le blanc entassement des oreillers, au milieu desquels sa
tête
a disparu, et dont sort le râle. * * * Toute la n
ouverts avec le regard de souffrance des derniers jours de sa vie. Sa
tête
est un peu soulevée sur l’oreiller, et a l’air d’
ne heure du matin Dans l’ombre tombante des rideaux enveloppant sa
tête
, les lueurs de la bougie allumée sur la table de
y, — il souffrait, ce jour-là, du foie, et dormait en face de moi, la
tête
renversée. Une seconde, sur son visage de vivant,
e et joue sur sa bière, et dans les fleurs du gros bouquet placé à sa
tête
. Au milieu de ces fleurs est une fleur de magnoli
olume de Bescherelle, mis sous son oreiller, pour exhausser sa triste
tête
de mort ; les fleurs dont j’ai entouré son agonie
i, refusée par lui, y a été menée par une amie, au sortir d’un souper
tête
à tête. Au moment où apparaissait, sur la guillot
sée par lui, y a été menée par une amie, au sortir d’un souper tête à
tête
. Au moment où apparaissait, sur la guillotine, le
aut : RÉPUBLIQUE FRANÇAISE LIBERTÉ — ÉGALITÉ — FRATERNITÉ Au milieu :
tête
de Louis-Philippe imprimée en transparent. En bas
et du parc à jeux de bague, et qui avait, dit Gavarni, à la fois une
tête
de lapin et de serpent, était un usurier à nom no
anger, saisissant les objets d’art, et les portant au-dessus de leurs
têtes
, cassés en deux morceaux, entre autres, je me sou
vieillard de la ronde… Sur ce coup, il vint à ce vieillard une autre
tête
, et derrière lui deux jeunes gens qui le suivaien
t derrière lui deux jeunes gens qui le suivaient, changèrent aussi de
têtes
, et apparurent tous les trois avec ces grosses tê
ngèrent aussi de têtes, et apparurent tous les trois avec ces grosses
têtes
ridicules en carton, que mettent les pitres dans
, où se trouvaient quelques hommes en habit de drap d’or, avec sur la
tête
des bonnets pointus comme des princes du Caucase…
figure fatiguée, l’œil vif, souriant et pénétrant et caressant ; une
tête
d’artiste et de médecin. À ses côtés, le coude su
e gronda, et, sorti de la chambre, il entendit ses parents rire de la
tête
pleurarde qu’il avait faite à la semonce. Il se j
elques autres amateurs, le goût du xviiie siècle. Il nous montre une
tête
de La Tour achetée, un sou, à un étalage par terr
des trois décompositions de physionomie de Sainte-Beuve, de ses trois
têtes
, qu’il appelle : sa figure Balzac, sa figure Hugo
s en haillons tiennent et battent avec des gifles qui cassent, sur sa
tête
, son chapeau de haute forme. Toute cette foule, s
ndifférence de la discussion : « Moi je suis fort, j’amène 357 sur la
tête
de Turc et je fais des métaphores qui se suivent.
yeux scintillants, avec une poussière d’or pâle pour cheveux, sur une
tête
, où des marguerites de diamants sont piquées part
caressé et si net, qu’ils semblent comme ciselés aux paupières ; une
tête
qui a la finesse et la gravure de traits des scul
de poirier du xvie siècle, en même temps que des modelages menus de
têtes
de poupées chinoises. Une autre. Un médaillon de
poupées chinoises. Une autre. Un médaillon de Syracuse, une mignonne
tête
, le front étroit, l’arc des sourcils remontant, l
poitrinaire et fou, valsant la taille presque entièrement ployée, la
tête
renversée, les cheveux balayant l’air, pâmée et d
re de Courbet. L’une des femmes avait un goitre, de la grosseur de la
tête
, suspendu dans un mouchoir à carreaux. À quatre h
chambre, qui a deux fenêtres au midi, nous trouvons un vieillard à la
tête
spirituelle, rappelant le fin et bienveillant pro
vec l’or vert-de-grisé, au-dessous de cet arc-en-ciel de plumage, une
tête
de jolie blonde cruelle à la diaphanéité rosée ;
c aux soutaches bleues. C’est Mlle D… la fille du peintre… Toutes les
têtes
de femmes sont à demi masquées par un petit voile
i fait rentrer en soi, qui rend sérieux, ferme et solide, qui fait la
tête
froide et le raisonnement sec, une boisson qui ne
eur artificielle. Et elle sentait l’odeur de l’œillet, en baissant la
tête
, et en faisant plus creux, le creux de sa gorge.
à Musset un feuilleton pour le Constitutionnel. Musset dit qu’il a en
tête
une fantaisie et qu’il voudrait 4 000 francs. Vér
a lumière fiévreuse du gris de son œil, rayé de filets de sang, cette
tête
forte, fruste, puissante, pour ainsi dire taillée
t puis à côté, de grandes terrines avec des éponges, grosses comme la
tête
… M. Dubois est entré, suivi de tout son état-majo
: c’était la naine… Ah ! l’affreuse créature… Figure-toi une vilaine
tête
d’homme brun sur un énorme corps tout blanc : ça
, à côté d’elle, sur le matelas. Alors on a jeté une serviette sur sa
tête
, pour qu’elle ne se voie pas, pendant que deux in
ulation plus vieille de cinquante ans, que celle qui marche sur notre
tête
. C’est du peuple qui semble avoir appris, tout à
grand sens dessus dessous… que le monde dansât quelques jours sur la
tête
… Avec cela une vue nette de cette carrière ingrat
mes plongés dans l’eau-forte, mais jusqu’au cou et même par-dessus la
tête
. Particularité étrange, rien ne nous a pris dans
personnages célèbres peints au pastel par La Tour, les masques et les
têtes
reproduites dans leur grandeur nature. Il faut en
au livre de biographies d’art sur le xviiie siècle que nous avons en
tête
. * * * — Nous avons pris, ces temps-ci, un maître
and il souriait, je souriais involontairement et dans la même pose de
tête
… Jamais âme pareille n’a été mise en deux corps.
à la campagne un invité par arpent. * * * — J’ai eu des chaleurs de
tête
, des dévouements d’idées, des enthousiasmes d’âme
et je l’ai eue. Ç’a été une douleur au cœur, et le sang si fort à la
tête
que je craignais à tout moment de tomber. J’avais
hension, de son bavardage vide… Dans le temps où il imaginait dans sa
tête
des caricatures fantastiques, il avait eu l’idée
e figuration de la Légion d’honneur, Honneur et Patrie, d’un côté une
tête
d’homme antique surmontée d’un aigle, de l’autre,
n côté une tête d’homme antique surmontée d’un aigle, de l’autre, une
tête
de femme antique surmontée d’un crocodile. Le lit
andes rayures bleues. À côté, se trouve une petite commode d’acajou à
têtes
de lions avec des anneaux dans la gueule. Le bure
, ce dentiste a pour excuse de ne pouvoir porter quelque chose sur la
tête
et de tenir dans la rue son chapeau à la main, ma
Il a un visage, moitié singe, moitié voyou de Londres, et une petite
tête
et un petit corps, où semblent germer tous les ma
-Victor a la bouche crispée, et cette physionomie dure, fermée, cette
tête
de bois qu’il a dans l’embarras, l’émotion, l’enn
tiques, papillonnant de loge en loge ; la petite Dinah, avec sa jolie
tête
serpentine, assise au balcon à côté de la mère Fé
loyer, aux reproches qu’on lui adresse d’avoir été trop vite, Lia, la
tête
soulevée au-dessus de l’affaissement de tout son
d’œil. Nous voilà partis ; nous causons, nous marchons. J’allais, la
tête
baissée, selon mon usage, lorsque je me sens arrê
je me laissai conduire ailleurs, mais ce ne fut pas sans retourner la
tête
de temps en temps. Les enfants précédaient leur i
ne le mesure, l’homme devient comme éternel. Cependant par un tour de
tête
bizarre, comme j’en ai quelquefois, transformant
racontais à l’abbé que Jupiter un jour fut attaqué d’un grand mal de
tête
; le père des dieux et des hommes passait les jou
ut à coup il se releva, poussa un grand cri, et l’on vit sortir de sa
tête
entr’ouverte une déesse tout armée, toute vêtue :
llait aussi bien que celui sous lequel elle se montra au sortir de la
tête
de son père. L’abbé n’eut pas grand’peine à saisi
grande couverture blanche qui blesse nos yeux, nous fait tournoyer la
tête
et nous expose à mourir glacés. La nature est bon
r mal. — Mais pourquoi ? Quel intérêt ont-ils à ce qu’on remplisse la
tête
de ces pauvres petites créatures de sottises et d
; une troisième, debout, en a rempli le panier qu’elle a posé sur sa
tête
. N’oublie pas ce jeune homme que tu vois par le d
qu’au pied de l’échaffaud, mais pas plus loin, et personne n’a mis sa
tête
sur le billot à côté de celle du comte d’Essex. A
ignorance et l’intérêt, qui brouillent et obscurcissent tout dans les
têtes
humaines, montreront l’intérêt général où il n’es
ante, sa démarche légère, son vêtement simple et noble, le port de sa
tête
, le son de sa voix, de cette voix qui fait toujou
me jusqu’à ce vieil abbé qu’on voit dans nos promenades vêtu de noir,
tête
hérissée de cheveux blancs, l’œil hagard, la main
que chose de commun à tous et quelque chose de propre à chacun : cent
têtes
mal faites, pour une qui l’est bien. La chose com
aussi grands que ceux d’autrefois, ne produise encore aujourd’hui des
têtes
antiques, mais ces têtes étonnantes se rétrécisse
utrefois, ne produise encore aujourd’hui des têtes antiques, mais ces
têtes
étonnantes se rétrécissent en subissant la loi gé
e l’enfant à chaque mot recherche l’image, l’idée, il regarde dans sa
tête
; l’homme fait à l’habitude de cette monnaie, une
range machine qu’une langue, et la machine plus étrange encore qu’une
tête
! Il n’y a rien dans aucune des deux qui ne tienn
ô loi terrible de la nécessité ! N’eussent coupé les mains, fendu la
tête
, enfoncé le glaive dans la gorge et dans la poitr
hantes, et j’en versais des larmes réelles. ô mon ami, l’empire de la
tête
sur les intestins est violent sans doute ; mais c
es intestins est violent sans doute ; mais celui des intestins sur la
tête
l’est-il moins ? Je veille, je vois, j’entends, j
is, j’entends, je regarde, je suis frappé de terreur ; à l’instant la
tête
commande, agit, dispose des autres organes ; je d
rreur leur avait imprimés, et à l’instant ces organes commandent à la
tête
, en disposent, et je crois voir, regarder, entend
manières diverses de veiller et de sommeiller. Il y a la veille de la
tête
pendant laquelle les intestins obéissent, sont pa
estins obéissent, sont passifs ; il y a la veille des intestins où la
tête
est passive, obéissante, commandée ; où l’action
a tête est passive, obéissante, commandée ; où l’action descend de la
tête
aux viscères, aux nerfs, aux intestins ; et c’est
ler ; où l’action remonte des viscères, des nerfs, des intestins à la
tête
, et c’est ce que nous appelons rêver. Il peut arr
lève les yeux à mon plafond, comme s’il menaçait de s’écrouler sur ma
tête
, je crois entendre la plainte de ma femme, les cr
est la fièvre que j’ai, c’est l’action qui remonte des intestins à la
tête
et qui en dispose. Bientôt, la cause de ces effet
la tête et qui en dispose. Bientôt, la cause de ces effets connue, la
tête
reprendra son sceptre et son autorité, et tous le
t s’exécute dans un ordre contraire, si l’action des intestins sur la
tête
est plus forte que ne le peut être celle des obje
chevaux marchaient d’un pas égal, soufflant avec force et agitant la
tête
pour chasser les mouches. Bientôt les Grands-Bois
s est toujours silencieuse ; seulement, là-haut, bien au-dessus de la
tête
, s’entend un long murmure, et comme une plainte v
élégant. « Comment as-tu tué ce monstre ? » lui dis-je. Yégor leva la
tête
, me jeta un regard, et considéra attentivement mo
coudes sur les genoux ; puis, après un long intervalle, je relevai la
tête
et jetai un long regard autour de moi. Oh ! comme
t. Je touchai en quelque sorte son incessante présence. Je baissai la
tête
sous une secrète terreur, comme si j’avais jeté u
’est que cet Ephrem ? dis-je à Kondrate, qui ne cessait de secouer la
tête
comme s’il se fût parlé à lui-même. — Cet Ephrem
son pantalon, bien attachées par le bout, et de se les mettre sur la
tête
! Le voilà qui arrive en rampant derrière une hai
vant d’entrer dans le sein du sommeil. » En ce moment, je soulevai la
tête
, et j’aperçus à la pointe d’une branche une de ce
t j’aperçus à la pointe d’une branche une de ces grandes mouches à la
tête
d’émeraude, au corps effilé, et portant quatre ai
rée de soleil, elle se bornait, sans bouger, à secouer quelquefois la
tête
et à faire frémir ses ailes soulevées. À force de
mouvement. « Il a l’air si humble ! recommença Marpha Timoféevna. Sa
tête
est toute blanche ; et pourtant dès qu’il ouvre l
aturellement comme ceux d’un jeune garçon. Ses yeux bleus, à fleur de
tête
et un peu fixes, exprimaient seuls quelque chose
céder à cette opération, on lui plaçait un bourrelet de feutre sur la
tête
, on lui relevait tous les cheveux, puis on les fr
h ne se trompait pas ; Voltaire et Diderot remplissaient, en effet la
tête
de son fils, et non pas eux seulement, mais encor
eau, Raynal, Helvétius et consorts ; mais ils ne remplissaient que sa
tête
. Son instituteur, l’ancien abbé, l’encyclopédiste
n effréné. Les yeux noirs d’une beauté agaçante lui avaient tourné la
tête
. Il avait peu d’argent, mais il jouait heureuseme
ts ; elle avait le caractère le plus gai et le plus accommodant ; une
tête
ronde et grise, des mains blanches et douces, une
soufflait par bouffées sèches qui ne rafraîchissaient point l’air. La
tête
appuyée contre les coussins de la voiture, les br
étaient aussi vagues que ceux des nuages qui erraient au-dessus de sa
tête
. Il évoquait le souvenir de son enfance, de sa mè
on l’avait apporté auprès d’elle à son lit de mort, et où, serrant sa
tête
contre son cœur, elle s’était mise d’une voix fai
ispèrent comme chez un homme saisi d’une subite douleur. Il secoua la
tête
; puis sa pensée s’arrêta sur Lise. « Voilà, se d
été général ; il croyait entendre le canon et les cris de guerre. Sa
tête
glissait de côté, il ouvrait les yeux… Les mêmes
ut, sans qu’on vît d’où il sortait, un homme en cafetan de nankin, la
tête
blanche comme la neige. Il couvrit ses yeux pour
re l’ortie sous ses roues, et s’arrêta devant le perron. L’homme à la
tête
blanche, vieillard encore alerte, se tenait déjà,
; à sa place parut une vieille femme presque aussi âgée que lui ; sa
tête
branlante était couverte d’un mouchoir qui descen
blé. Ensuite il s’accroupit dans la cour, sans même couvrir sa pauvre
tête
blanche. La nuit de mai était calme et sereine, l
monotone des mouches, on entend le bruit du bourdon qui heurte de la
tête
contre le plafond ; le coq chante dans la rue, en
! il attendit en vain. « Ni poète ni musicien ! » murmura-t-il. Et sa
tête
fatiguée s’affaissa pesamment sur l’oreiller. Le
ieille tante. Hein ? cela vous serait-il agréable ? » Lemm inclina la
tête
de côté. « Invitez, murmura-t-il. — Mais il n’est
; à la demande que fit Lise de la jouer encore une fois, il hocha la
tête
et dit d’une manière significative : « Maintenant
e se disait : « N’en parlez pas légèrement… » Il continua sa route la
tête
baissée ; et puis, soudain, se redressant, il mur
çonner de quelle nature sera ma résolution. » Elle prétexta un mal de
tête
et monta à sa chambre, en lui tendant d’un air ir
avec ferveur ; ses regards étaient pleins d’un doux éclat ; sa jolie
tête
s’inclinait et se relevait par un mouvement soupl
seaux gazouillaient sur les haies des jardins. Lavretzky se tenait la
tête
découverte et le sourire aux lèvres ; un vent lég
us haut Lavretzky en sortant de l’ombre. Lise, chancelante, avança la
tête
avec terreur ; elle le reconnut. Il la nomma une
le front de la jeune fille s’appuya sur son épaule… Il lui releva la
tête
et chercha ses lèvres… Une demi-heure après, Lavr
à moi ! » Tout à coup il crut entendre dans les airs, au-dessus de sa
tête
, un flot de sons magiques et triomphants. Il s’ar
nt. La pauvre petite chambre obscure semblait pleine de rayons, et la
tête
du vieillard se dressait haute et inspirée dans l
tolet ou d’un poignard, une direction intermédiaire qui le conduit la
tête
la première au fond d’une rivière ou d’un précipi
entretiens, quelle confiance l’avenir accordera-t-il aux récits d’une
tête
rétrécie et embéguinée des notions les plus ridic
; mais j’ai aussi raison, moi qui poursuis l’original qui est dans ma
tête
… ce qui est tout voisin de ce qu’on raconte de Ph
lés, et pour lesquels il m’a semblé que j’avais eu trop de dédain. La
tête
de Pompée présentée à César était quelque chose
pierre, la plante des pieds tournée vers la fabrique de la droite, la
tête
vers la gauche d’où s’avancent à lui un autre sol
aurait erré dans ces ténèbres, les bras croisés sur la poitrine et la
tête
penchée, m’aurait affecté davantage ; l’obscurité
e cette forêt qui chancelle, de ces masses suspendues au-dessus de ma
tête
et qui s’ébranlent ? Je vois le marbre des tombea
endrai, mais je n’en reviendrai pas sans m’arrêter, sans retourner la
tête
, sans fixer mes regards sur l’endroit où je fus h
ysans et de paysanes entre lesquelles une qui porte une cruche sur sa
tête
. Au-devant de ce groupe, dont on n’apperçoit que
uche sur sa tête. Au-devant de ce groupe, dont on n’apperçoit que les
têtes
, femme qui ramène un cheval. Le reste des figures
me avec une cruche à la main, une corbeille de linges mouillés sur sa
tête
et s’en allant vers une arcade qui s’ouvre sur la
expérience qui déterminerait la grandeur relative des images dans la
tête
de deux artistes ou dans la tête d’un même artist
grandeur relative des images dans la tête de deux artistes ou dans la
tête
d’un même artiste en différents temps ; ce serait
voient si diversement en nature voient de la même manière dans leurs
têtes
. Les poëtes, prophètes et presbytes, sont sujets
t tombé de lassitude, la charue qui le masque n’en laisse voir que la
tête
et les cornes. Dans l’ écurie, les objets communs
de leur maître, où trois brigands peut-être échangèrent entre eux les
têtes
de leurs amis, de leurs pères, de leurs mères con
ux les têtes de leurs amis, de leurs pères, de leurs mères contre les
têtes
de leurs ennemis, qu’est-ce à présent ? Une auber
ut, maigre, hargneux, le nez presque en terre, de mauvaise humeur, la
tête
tournée et les yeux attachés vers l’angle antérie
ais de la vanité des choses de ce monde, si je lisais au-dessus de la
tête
d’une marchande d’herbes, au divin Auguste, au di
d’un ovale, et voilà deux yeux ; une ovale mal terminée, et voilà une
tête
, et voilà une figure qui s’agite, qui court, qui
it au-delà, hors de la fabrique, une laitière, son pot au lait sur la
tête
, qui passe et qui regarde. En dedans, près cette
ée, un bout d’échelle à demi-enfoncée dans le foin. Au-dessus de leur
tête
, sous la toiture, une fabrique en bois, une espèc
l’air sérieux. Ma main droite ira chercher mon menton et soutenir ma
tête
qui tombe ; et ma main gauche ira chercher le cou
e ira chercher le coude de mon bras droit, et soutenir le poids de ma
tête
et de ce bras. Ce n’est pas ainsi que j’entendrai
enoux, un homme ne peut déployer son bras, prendre son chapeau sur sa
tête
, et tirer un pied en arrière, que sur un écran. J
uarts par cœur. Quand je suis en pique-nique avec mes amis, et que la
tête
s’est un peu échauffée de vin blanc, je cite sans
our l’artiste ordinaire qu’ils sont communs. Tout est ingrat pour une
tête
stérile. À votre avis, était-ce un sujet bien int
e secousse violente, une sensation profonde. On regarde, on tourne la
tête
, et l’on ne se rappelle rien de ce qu’on a vu. Nu
l, je ne désespère pas qu’ils n’en viennent à mettre un plumet sur la
tête
d’un soldat romain. Je ne connais guère de lois s
quement ; mais on le devine. Ceux-ci regardent les premiers comme des
têtes
étroites, sans idées, sans poésie, sans grandeur,
tion ; et dans le sujet entier que l’artiste n’a jamais vu hors de sa
tête
creuse ; et dans les détails qu’il a pris on ne s
e quelques circonvolutions à la partie inférieure ? Et pourquoi leurs
têtes
penchées sur l’orifice ne sembleraient-elles pas
upe plus maussade, si on le regarde par la gauche, de l’endroit où la
tête
du père se voit à peine, et où l’un des enfants e
nd caractère de son livre, n’était pas tenu pour ce qu’il est par les
têtes
de linottes littéraires, elles seraient pourtant
éressante et trop mystérieuse question littéraire ! Y a-t-il, pour la
tête
humaine comme pour certains fruits, un coup de so
ur, mais que voici aussi lumineusement prouvé que celui des génies de
tête
les plus incontestables, grâce au livre de l’abbé
bonhomme ; lui démontrer que ce saint bonhomme pouvait avoir dans la
tête
, à la même place précisément que Richelieu ou Nap
e, une fois l’homme d’État dégagé et mis dans sa lumière, une fois la
tête
humaine, que les philosophes respectent, reconnue
les haillons, splendides pour lui, de la misère, et mis plus bas une
tête
illuminée de pensées angéliques, de prévoyances,
auvres, qui, le croira-t-on ? l’ont souvent durement repoussée, cette
tête
qui ne pensait qu’à eux ! La grande sainte Thérès
t, et qui, même à l’heure où les nimbes allument leur or autour de la
tête
de nos saints, semble avoir éteint le sien jusque
à terre, sautent de côté, se cabrent, se renversent, se retournent de
tête
à queue, mais ils se retournent ! La violence est
vre sanguin et matériel, ou plutôt la notion même de l’amour, dans la
tête
de M. Charles Bataille, n’est que la notion du sa
, mais comme il connaît tout, par dehors. Antoine Quérard est fort de
tête
comme de poignet. C’est un homme, c’est-à-dire un
’égalité intellectuelle de l’homme et de la femme. Il a, lui, dans la
tête
, cette idée sans virilité ! Mais, oublié un momen
d on l’entend comme eux, car ce n’est pas la main qui peint, c’est la
tête
. C’est la tête qui peint avec la main ! Dans un r
omme eux, car ce n’est pas la main qui peint, c’est la tête. C’est la
tête
qui peint avec la main ! Dans un roman d’observat
s du livre, est un grand esprit, se conduit, lui, le plus souvent, la
tête
carrée, comme une tête vide. Par exemple, quand i
d esprit, se conduit, lui, le plus souvent, la tête carrée, comme une
tête
vide. Par exemple, quand il introduit le jeune Pa
s ; il y en a par centaines, tous entrelacés les uns dans les autres,
têtes
, cuisses, jambes, corps, bras, avec un art tout p
de coupole, il faudrait le suspendre horizontalement au-dessus de sa
tête
et le juger de bas en haut. J’aurais attendu de c
fade. Belle omelette, bien douillette, bien jaune et bien brûlée. une
tête
de vieillard. du même. Cela est faible, mou, jaun
qui a excité la plus forte sensation on ne présente au public qu’une
tête
, je vous demande à vous-même ce qu’elle doit être
point de génie. La Magdelaine est assise sur un bout de sa natte. Sa
tête
renversée appuie contre le rocher ; elle a les ye
ous rappellerons peut-être quelques moments de votre première vie. Sa
tête
ne se détache pas assez du fond. Ce bras gauche e
, vous conviendrez qu’on n’aurait pas eu besoin de ces deux mauvaises
têtes
de chérubin qui empêchent que la Magdelaine ne so
éguisé. Et puis il a la mâchoire épaisse. Il me fallait là une de ces
têtes
plus rondes qu’ovales, de ces mines vives, et ani
le de Vanloo. La première a bien encore une autre grandeur, une autre
tête
, une autre noblesse ; et cela sans que la volupté
e aurait tenue suspendue de ses doigts délicats, se serait montrée la
tête
divine de la déesse, sa gorge d’albâtre, ses beau
e Diomede saisissant ses chevaux fougueux. Pallas aurait plané sur la
tête
de Diomede. Apollon aurait secoué à ses yeux sa t
bscure se serait repu de ce spectacle terrible. On n’aurait vu que sa
tête
effrayante, le bout de sa pique, et le nez de ses
ang coule de sa main blessée le long de son bras. Pallas plane sur la
tête
de Diomede. Apollon, enveloppé d’une nuée, se jet
vement et de poésie. Son fleuve est beau. Ses nymphes sont belles. La
tête
de son Apollon est d’un beau caractère. Cet homme
ieds du soldat, et semble plutôt supplier que disputer son enfant. Sa
tête
répond aux cuisses du soldat. Elle a les bras éte
ux cuisses du soldat. Elle a les bras étendus, le corps incliné et la
tête
relevée ; son vêtement, son caractère, son attitu
urs. Et ces maussades et longs soldats, à faces de cuivre rouge, et à
têtes
de choux, entassés les uns sur les autres, que si
uns des autres, et donnez-leur plus de caractère, plus de force, des
têtes
, [des] corps et des visages relatifs à l’action.
son fils ou le soldat, comme il vous plaira ; que son autre bras, sa
tête
, son corps, ses regards, son mouvement, toute son
eur maniere de coucher la couleur et de tirer les traits, les airs de
tête
qu’ils repetoient et ce qui pouvoit être de vicie
leurs perfections. Par exemple, on reproche au Guide d’avoir fait ses
têtes
trop plates. Ses têtes manquent souvent de rondeu
exemple, on reproche au Guide d’avoir fait ses têtes trop plates. Ses
têtes
manquent souvent de rondeur, parce que leurs part
atiquer ce que l’art enseigne à faire pour donner de la rondeur à ses
têtes
. Jordan le napolitain, que ses compatriotes appe
des pieges aux curieux. Fier d’avoir contrefait avec succès quelques
têtes
du Guide, il entreprit de faire de grandes compos
té peinte d’après sa femme de chambre ou la servante de l’auberge. La
tête
ne serait pas mal, si elle n’était pas vile. Les
e bien rouge et bien cuite, sans souplesse et sans mouvement. C’était
tête
à tête que je lui débitais ces douceurs ; savez-v
rouge et bien cuite, sans souplesse et sans mouvement. C’était tête à
tête
que je lui débitais ces douceurs ; savez-vous ce
e nue étendue sur des oreillers, jambes deçà, jambes delà, offrant la
tête
la plus voluptueuse, le plus beau dos, les plus b
nullement. Madame Therbouche a joint à son tableau de réception une
tête
de poëte où il y a de la verve et de la couleur.
ement, avec des passages et des méplats tout à fait vrais. Lorsque la
tête
fut faite, il était question du cou, et le haut d
gne prussienne insulte à ses bienfaiteurs. L’indigne prussienne… a la
tête
folle et le cœur dépravé. L’indigne prussienne a
s, on sifflait, on honissait, on bafouait. Pigalle, le chapeau sur la
tête
et de son ton rustre que vous lui connaissez, s’a
de juger mieux que lui ; ce particulier, enfonçant son chapeau sur sa
tête
, lui répondit qu’il ne s’entendait pas en bas-rel
fond le couronne. Son char est attelé de deux chevaux fougueux, à la
tête
de ces chevaux, un écuyer les contient par la bri
r le devant, un vigoureux israélite tout nud enfonce la pique dans la
tête
de Goliath qu’on voit énorme, renversée, effroyab
e légèreté et une grâce infinies, jambes et bras en l’air ; elle a la
tête
tournée vers le spectateur qui la voit du reste p
in ; l’enfant danse aussi, mais il a les yeux attachés sur l’horrible
tête
, et son action est mêlée de terreur et de joie. S
on, et lui dit : tiens, vois, et juge-toi toi-même… l’enfant avait la
tête
baissée et restait immobile. Alors le père se tou
venerable, mais il y a trop de douceur et point assez de majesté. Sa
tête
n’est que la tête d’un homme : Raphaël l’a traité
l y a trop de douceur et point assez de majesté. Sa tête n’est que la
tête
d’un homme : Raphaël l’a traitée dans le goût des
e n’est que la tête d’un homme : Raphaël l’a traitée dans le goût des
têtes
que les peintres font pour les christs, et l’on n
ce que celle qu’il faut mettre, suivant les loix de l’art, entre deux
têtes
, dont l’une est destinée à représenter le pere, e
e la fierté noble que Michel-Ange faisoit sentir dans le caractere de
tête
du pere éternel, qu’on voit en differens endroits
tife sa suite ordinaire. Par une liberté poëtique, Raphaël emploïe la
tête
de Jules II pour représenter le pape, devant qui
que Raphaël cherchoit déja comment il feroit pour varier les airs de
tête
, qu’il vouloit donner de l’ame à ses figures, qu’
chambre, et un monsieur, en chapeau noir, donnait de furieux coups de
tête
dans les murs, et au lieu de s’y briser la tête,
t de furieux coups de tête dans les murs, et au lieu de s’y briser la
tête
, y entrait, en sortait, y rentrait encore. Puis j
lle, étroite, haute comme une tour, j’étais attaché par les pieds, la
tête
en bas, nu, sous une cloche de verre, et il me to
stants, l’effleurement d’un frisson. Toutes, en écoutant, prennent la
tête
d’expression de leur figure. Leur physionomie se
Pas une femme n’ose presque regarder la musique en face. Beaucoup, la
tête
inclinée sur l’épaule, restent un peu penchées co
dîner à Magny. Elle est là, à côté de moi, avec sa belle et charmante
tête
, dans laquelle, avec l’âge, s’accuse, de jour en
yer l’âme par le passant ; de là-haut, votre pensée lui marche sur la
tête
comme sur quelque chose d’anonyme, d’impersonnel,
re, que le garçon de café. Le nimbe d’un Jésus à Emmaüs cerclerait la
tête
d’un dîneur ou bien le truc d’une féerie enlèvera
lgatolithe rose. Il y a de la fantaisie baroque de monstre dans cette
tête
grotesque et terrible, où la forme sort d’un trou
use. Le fœtus enfin, dessine l’être créé et le laisse apparaître : la
tête
n’écrase plus les membres, le corps se fonde et s
fois aux Enfants-Trouvés et à l’Enfant-Jésus… J’avais du mal dans la
tête
… Ils ne m’ont rien fait… Moi, je m’ai sauvé… et j
ne énergie, une audace, une violence, enfin avec ce qui monte dans la
tête
et les idées d’une jeunesse qui ne vit pas, qui n
, gigot, haltères… Voilà, et j’ai amené avec un coup de poing sur une
tête
de Turc — et encore sur une tête de Turc neuve —
amené avec un coup de poing sur une tête de Turc — et encore sur une
tête
de Turc neuve — j’ai amené 520… Aussandon qui a é
taient deux petits chanteurs. Et je vois encore celui qui marchait en
tête
, un Cupidon faunin, nimbé par le rond d’un tambou
et pas assez des êtres… On remarque la grande-duchesse de Russie, une
tête
de commandement, et qui a l’air d’un camée calqué
le pied nu posé sur un glaive, assise sur un siège de marbre, où une
tête
de lion et une tête de mouton décoreraient les de
un glaive, assise sur un siège de marbre, où une tête de lion et une
tête
de mouton décoreraient les deux bras, et, derrièr
sion ni rapprochement possible : la pure gandinerie, d’une viduité de
tête
sans exemple, et le camp des travailleurs, plus e
utinerie, pour la méchanceté de son esprit, pour la voyoucratie de sa
tête
, de son cœur, de ses sens ; on aura le goût dérég
utre encore plus vieille, avec un bonnet de nourrice tout rond sur la
tête
, jamais de corset, et jurant comme un diable. » E
quand amené dans le cabinet de Pasquier, et demeurant son képi sur la
tête
, le duc avait dit : Gendarmes, découvrez l’accusé
Stupéfiant musée de la vie et de l’humanité d’une société. Toutes ces
têtes
paraissent se tourner pour vous voir, tous ces ye
, se promenant dans les rues sur une petite voiture, plus grand de la
tête
que tous ses sujets. Et beau comme un camée, et r
trices… Après ça, il avait une si vieille Impératrice, branlant de la
tête
… Son dernier amour fut une demoiselle d’honneur q
que les deux portraits sont vrais. 17 octobre La princesse a la
tête
en l’air. Elle n’a pas dormi. Elle veut faire un
ous la retrouvons dans la vérandah, assise devant un petit bureau, la
tête
appuyée sur la main, regardant amoureusement une
s en forme de pinceaux, un foulard de soie blanche autour du cou, une
tête
où il y a du duelliste de Henri II et de l’Espagn
êt. Ses yeux sereins et calmes, teintés de bleu, s’ouvrent à fleur de
tête
sous une vaste arcade frontale pour laisser entre
ierre à voix basse. Eh bien, alors, reprit-il en levant subitement la
tête
, il faut vous marier. — Quelles singulières idées
vé d’un nœud en soie, lui serrait étroitement le cou et maintenait sa
tête
dans une imposante raideur. « Que signifie cette
main les plis de sa robe verte garnie de volants blancs, penchant la
tête
sur le dossier du canapé, tandis qu’elle avançait
ie. « Vous ne croiriez pas, reprit-elle en inclinant gracieusement la
tête
et en lançant en l’air une légère bouffée de fumé
e un grand attrait. » Sophie sourit d’un air confus. Pierre releva la
tête
, sembla vouloir prononcer quelques mots, puis se
te entrait au salon : c’était un homme d’une énorme corpulence, large
tête
, larges joues, grands yeux, et une profusion de l
fois, elle en reprend encore, puis tout à coup sa vue se trouble, sa
tête
s’égare, et elle tombe sur le plancher. On s’empr
e moi. » À ces mots, Pierre, serrant les plis de son manteau, posa la
tête
sur un coussin et s’endormit. Boris continua à rê
après il entendit derrière lui un léger frôlement, et sans tourner la
tête
il sentait que Viéra était là. Quelques instants
le. Enfin, il se leva et alla s’asseoir près d’elle. Étienne avait la
tête
appuyée sur le dossier de son fauteuil et ne fais
es malade ? » s’écria tout à coup Étienne. Viéra tressaillit, leva la
tête
et vit son père qui la regardait d’un air inquiet
bien aujourd’hui », dit-elle à Michel à voix basse. Michel baissa la
tête
, s’approcha de la table et y prit un morceau de p
ait l’embrasser. « Plus tard », dit le vieillard. Puis, détournant la
tête
et s’approchant de la muraille, il pleura. Quelqu
nne s’essuya les yeux, se dirigea vers son cabinet, et, sans lever la
tête
, dit à Boris, avec son sourire accoutumé : « Aujo
nsuite il jeta sa guitare sur le divan, sortit précipitamment, mit sa
tête
entre ses mains et éclata en sanglots. La veille
’il s’agit de lui révéler le fatal événement, il faillit en perdre la
tête
. Ce fut Michel qui, le premier, apprit cette nouv
il le lui mit de force entre les mains, puis se retira en secouant la
tête
, et en lui adressant encore un signe d’amitié. À
si vif, que la timide Tatiana, incapable de se défendre, baissait la
tête
, rougissait et semblait prête à pleurer. Tout à c
’avança vers la femme de charge, et lui mettant sa lourde main sur la
tête
, la regarda de telle sorte, qu’elle s’inclina en
lle, en croisant sa jambe droite sur sa jambe gauche et en hochant la
tête
. « Me voilà, dit-il ; qu’avez-vous à m’ordonner ?
iculière la pointe de ses bottes trouées, puis tournant de nouveau la
tête
vers l’intendant : « Eh bien ? dit-il. Quoi ? — Q
. Mais Klimof s’écria avec un accent de frayeur, qu’il n’avait qu’une
tête
, qu’il n’en avait pas deux, qu’il n’en avait pas
rognes. Lorsqu’il était assis à la porte de l’hôtel, il détournait la
tête
avec une vive répugnance dès qu’il voyait un homm
étaient fixés sur Guérassime. Dès qu’il aperçut Tatiana, il secoua la
tête
et fit entendre un de ses gloussements habituels.
l’avait vu, assis sur son lit et les mains sur son visage, secouer la
tête
et se balancer en cadence, comme le font les coch
e, posent leurs battoirs sur le bord du ciel, il n’en perdrait pas la
tête
. Mais bientôt il se trouva très affecté de l’idée
la boisson placée devant elle. Guérassime la prit délicatement par la
tête
, lui inclina le museau sur le lait. Aussitôt la c
tements, elle l’attendait à la porte, dressant l’oreille, penchant la
tête
, tantôt à droite, tantôt à gauche, s’agitant au m
ssant pour la caresser. Mais aussitôt Moumou releva convulsivement la
tête
et montra les dents. La veuve se hâta de retirer
rait par le bord de son vêtement. Il tressaillit, mais ne leva pas la
tête
et ferma les yeux. Mais voilà que le tiraillement
aient réunis et se dirigeaient vers la retraite de Guérassime. À leur
tête
s’avançait Gabriel, tenant la main à sa casquette
majordome. « Oui, oui, c’est cela même », dit Gabriel en hochant la
tête
. Guérassime baissa le front, puis aussitôt le rel
e. Il marcha gravement sans se détourner, et ne mit son bonnet sur sa
tête
que lorsqu’il fut dans la rue. Erochka le vit ent
up deux grosses larmes s’échappèrent de ses yeux ; l’une tomba sur la
tête
de la chienne, l’autre dans le plat devant elle.
des jardins et des îles. Alors il laissa tomber son aviron, pencha la
tête
sur Moumou assise près de lui, et resta immobile,
gardait avec confiance, en agitant doucement la queue. Il détourna la
tête
, ferma les yeux, ouvrit les mains…. Il n’entendit
eux que ne l’est pour nous la nuit la plus calme…. Quand il releva la
tête
, quand il ouvrit ses paupières, les flots de la M
éprimande à Gabriel, que tout le jour l’infortuné majordome secoua la
tête
en murmurant : « Allons ! allons ! » le sommelier
ns le morceau dont il s’agit ici la mariée est d’un joli ensemble, la
tête
en est bien dessinée, mais le mari vu par le dos
s qu’il est d’une finesse de couleur étonnante ; mais convenez que la
tête
en est fort mauvaise. Dans une de ces batailles,
ne talon rouge, vu par le dos, serrant la main qu’on lui a tendue, la
tête
penchée sur son autre main ou renversée en arrièr
s, en guêtres, mouillé, crotté, vêtu de toile, un bâton à la main, la
tête
couverte d’un méchant feutre, est bien ; un laqua
es vestiges de la scène qui a précédé. — Il y a de la douleur dans sa
tête
, et les bras en sont bien dessinés. — Mais ses pi
etits et décolorés par la vigueur du coussin qui les supporte ? Et la
tête
de cet enfant est-elle soutenue comme elle devrai
du Fontenelle brouillé avec du Théocrite ; c’est la composition d’une
tête
faible, étroite et déréglée. Baudouin transporte
e autre route… Ça n’est pas possible autrement ! » Mais il hochait la
tête
et disait : « Ceux que tu n’as pas vus revenir so
leur feuille de route tout de même ! Ces idées me trottaient dans la
tête
, et quand j’y pensais longtemps, j’en concevais u
es jambes écartées, le casque dans la rigole, et presque aussitôt une
tête
se pencha hors de la voiture pour voir ce qui se
se pencha hors de la voiture pour voir ce qui se passait, une grosse
tête
pâle et grasse, une touffe de cheveux sur le fron
grelottant et que la tante Grédel, assise devant l’âtre, tournait sa
tête
grise, tout étonnée à cause de mon grand collet d
retournai pour agiter la main, puis je me mis à courir sans lever la
tête
, car le froid était tel que mes yeux en pleuraien
et même qui se porte très-bien ; c’est le vinaigre qui me monte à la
tête
. — Quel vinaigre ? demanda M. Goulden. — Celui de
igand ! Dieu veuille qu’il entre une fois chez nous ! je lui fends la
tête
avec la hachette. » M. Goulden était consterné. «
! dit-il ; c’est donc vrai cette histoire ? » Et comme je baissais la
tête
sans répondre, joignant les mains il ajouta : « A
mère Grédel s’assit ; comme je me baissais vers elle, elle me prit la
tête
entre ses mains, et m’embrassant, elle criait : «
tenir, je la posai dans le fauteuil et je partis sans oser tourner la
tête
. J’étais déjà sur la place, au milieu des Italien
eva la main sans répondre ; il était aussi bien triste et baissait la
tête
. Moi, je frémissais d’avance de passer devant che
t ; j’entendis aussi quelqu’un crier des fenêtres, mais je tournai la
tête
du côté de l’auberge du Bœuf-Rouge ; le bruit du
me nous allions descendre, Klipfel me toucha l’épaule, et tournant la
tête
il me dit : « Regarde là-bas. » Je regardai et j’
haient leur caisse et battaient la marche ; alors nous redressions la
tête
, nous marquions le pas, pour avoir l’air de vieux
songeais à ces choses, la porte s’ouvrit, et un homme grand, fort, la
tête
déjà grise, entra. C’était un de ceux que j’avais
« Bonne nuit ! » dit-il en me regardant d’un air grave. Je penchai la
tête
. La vieille entra derrière cet homme : elle porta
que le 3e corps avait plus donné que les autres ; il se promenait la
tête
penchée et s’asseyait bien tard à l’établi, tout
; il me posa lui-même à terre et s’en alla bien vite sans tourner la
tête
. La colonne s’éloignait… je la regardai longtemps
Halte !… arrêtez ! » Et, m’embrassant, il me plaça dans ce fourgon la
tête
sur un sac. Je vis aussi qu’il étendait un gros m
, j’appelai tout doucement : « Catherine ! » Alors, elle, tournant la
tête
, s’écria : « Joseph… tu me reconnais ? — Oui, lui
lown sur le tremplin… Et puis, j’ai une syntaxe très en ordre dans la
tête
. Je jette mes phrases en l’air… comme des chats,
. Voyez-le ce dernier : il est assis de face, les jambes écartées, la
tête
de profil rejetée un peu en arrière et regardant
famille des Atrides jusqu’au monde de Rétif de La Bretonne, sont les
têtes
de Turc, par-dessus lesquelles il tape sur ses co
tant à la longue agréable, presque harmonieuse. Et c’est une causerie
tête
à tête, simple, tranquille, bonhomme, allant sans
la longue agréable, presque harmonieuse. Et c’est une causerie tête à
tête
, simple, tranquille, bonhomme, allant sans se pre
y a écrit au crayon : Retenue sur les tables vides ; M. Bardoux à la
tête
d’un cuisinier d’un paquebot de la Méditerranée,
fond éclairé des cabinets, ainsi que dans les loges d’un théâtre, des
têtes
de femmes saluant de gauche et de droite, quelque
peu en chair, la bouche aux lèvres un rien entr’ouvertes, une superbe
tête
d’adolescent italien, éclairée de la coloration d
olescent italien, éclairée de la coloration dorée de Rembrandt en ses
têtes
juives. Adèle Courtois, une vieille célébrité de
au bout, la haie des gardes nationaux qui ne rient pas, et toutes ces
têtes
associées des fenêtres pieusement au deuil. Tout,
ace au gros rire jaillissant d’une fraise, un chapeau à plumes sur la
tête
, une moustache en l’air, une moustache en bas, et
de la famille de père en fils. Imaginez un homme court et replet, la
tête
à la fois socratique et porcine, de petits yeux r
tendre, tout ce vaporeux hystérique, toute cette surexcitation de la
tête
par le cœur, font de la religion catholique un ma
soupe aujourd’hui à côté de nous. Il est sans cravate, le col nu, la
tête
rasée, en vraie toilette de guillotiné. Au fond,
lavées, écurées, soignées comme des mains de femme — et avec cela une
tête
de maniaque, une voix coupante comme une voix d’a
eudi 29 octobre Plus la moindre espérance. L’épigastre inquiet, la
tête
vide, le toucher émotionné, et pas le courage d’a
magination. Ce garçon-là est un svelte Hercule, surmonté d’une petite
tête
de Faustine, et c’est merveille de voir cette fin
e tête de Faustine, et c’est merveille de voir cette fine et délicate
tête
au milieu des coups de pied et des coups de poing
es violences et les sorties de Saint-Victor, se déclarant Latin de la
tête
au cœur, et n’aimant que l’art latin, et les litt
L’excès du travail produit un hébétement tout doux, une tension de la
tête
qui ne lui permet pas de s’occuper de rien de dés
sant la balance, tous les mois, pour que son amitié fût toujours à la
tête
d’un actif considérable. * * * — Vu, en allant à
x. On ne saura jamais par quelle bizarrerie nous nous surchargeons la
tête
d’un pareil fardeau. Qu’en pensera la postérité ?
deau. Qu’en pensera la postérité ? Un sauvage prendrait cela pour les
têtes
d’une douzaine d’ennemis appliquées l’une sur l’a
rbare du Trudaine , jettez les yeux sur le Montesquieu . Il est nue
tête
, on lui voit le cou et une partie de la poitrine
e physionomie. C’est quelque mauvais plaisant qui a conseillé à cette
tête
de chou de se faire mettre en marbre, cette matiè
vreté relative d’impressions. Heureux ceux qui ne sont d’abord qu’une
tête
dans la foule, quand il est donné à cette tête de
ne sont d’abord qu’une tête dans la foule, quand il est donné à cette
tête
de circuler librement dans cette foule, d’en visi
it gravé qui est dans le quatrième volume me met déjà en défiance. La
tête
de Condé est bien connue ; mais, par un surcroît
ez démesuré ; de grands yeux qui devaient être beaux, mais à fleur de
tête
; pas déjoués : deux profils collés ; une bouche
le type même de l’aventurier et de l’homme de proie, c’est bien cette
tête
-là qu’on lui mettrait sur les épaules. C’est là p
e tête-là qu’on lui mettrait sur les épaules. C’est là proprement une
tête
d’aigle, comme celle de Mirabeau est une tête de
C’est là proprement une tête d’aigle, comme celle de Mirabeau est une
tête
de lion, celle de Robespierre une tête de renard,
omme celle de Mirabeau est une tête de lion, celle de Robespierre une
tête
de renard, celle de Louis XVI une tête de mouton.
lion, celle de Robespierre une tête de renard, celle de Louis XVI une
tête
de mouton. Eh bien ! cette tête magnifique, extra
ête de renard, celle de Louis XVI une tête de mouton. Eh bien ! cette
tête
magnifique, extraordinairement expressive, M. le
rons, comme un simple capitaine d’avant-garde. Il part bravement à la
tête
de ses hommes, sans s’occuper ni de sa gauche ni
voir un général en chef s’engager à fond de train, dès le début, à la
tête
d’un escadron, et se mettre ainsi dans l’impossib
e ; c’est pour lui faire tomber la lumière d’aplomb et de face sur la
tête
et sur le visage, et il faut alors que le peintre
leur corruption, puisqu’on la nie, puisque, avec de certains ports de
tête
, on cesse d’être des courtisanes ! Certes, il est
ballant dans l’histoire du xviie siècle, et tendant l’assiette à des
têtes
, qui, heureusement n’y tombèrent pas ! S’il n’éta
dorations d’expression qui ne prouvent que l’état inflammatoire de la
tête
d’un homme, on ne les trouve pas. On ne les trouv
pratiqué Mme de Chevreuse, et le grand seigneur, lui, ne perd pas la
tête
devant la grande dame. Elle était, dit-il, le man
c’est que cette duchesse de Chevreuse était radicalement médiocre de
tête
et de cœur ! Et médiocre ne dit point assez. C’ét
vie de Mme de Chevreuse, qu’on pourrait appeler le vice sans succès !
Tête
de linotte qui se trompa sur tout, sur les événem
ne, corrompue, à moitié folle, a-t-elle agi de cette puissance sur la
tête
de M. Cousin ? Après nous avoir raconté les intri
et le faux, entre le beau et le laid, a-t-elle pu s’établir dans une
tête
bien faite, dans un esprit judicieux que le temps
est partout chez les coiffeurs et qui représente Héro, versant sur la
tête
de Léandre un pot de parfums. C’est M. Cousin qui
énie positif qui comprenait fort peu le Royaume du Tendre, prirent la
tête
de cette réaction, et Mme de Hautefort fut l’une
siècle viennent passer leurs mains sur les cheveux blanchis de cette
tête
, amoureuse de fantômes et qui ne se possède plus
auté de vers hexamètre. Le portrait de famille qu’il a fait graver en
tête
de son livre doit, du reste, être ressemblant. Au
nigançait de petites complications contre le grand homme qui était la
tête
de la France. Elles étaient là dans ses apparteme
r les épaules : tel était l’accoutrement de Marat à la Convention. Sa
tête
, d’une grosseur disproportionnée à l’extrême peti
, tout en les détestant. Ils n’avaient plus rien à disputer que leurs
têtes
. Ils avaient livré celles d’autres victimes. À qu
ls se défiaient du peuple ; le peuple à son tour se défiait d’eux. La
tête
craignait le bras, le bras craignait la tête. Le
our se défiait d’eux. La tête craignait le bras, le bras craignait la
tête
. Le corps social ne pouvait que s’agiter ou langu
i punir ce crime sur les assassins. Robespierre leur avait arraché la
tête
de Louis XVI, cédée lâchement en échange de leurs
ché la tête de Louis XVI, cédée lâchement en échange de leurs propres
têtes
. Marat leur avait arraché son impunité et son tri
ne sont que des membres du corps national ; mais ce membre, c’est la
tête
! La capitale d’une nation exerce sur les membres
nt et de résolution, en rapport avec les sens plus énergiques dont la
tête
est le siège dans la nation comme dans l’individu
e roi, dans une voiture fermée. Ce mouvement comprimé, elle baissa la
tête
en signe d’acceptation et monta sur la charrette.
. Elle interrogeait du regard la fenêtre d’où devait descendre sur sa
tête
l’absolution d’un prêtre déguisé. Un geste inexpl
e fit le signe de la croix sur sa poitrine par trois mouvements de sa
tête
. Les spectateurs crurent qu’elle priait seule, et
t devant l’entrée du jardin des Tuileries. Marie-Antoinette tourna la
tête
du côté de son ancien palais, et regarda quelques
saisi d’un frisson qui fit hésiter sa main en détachant la hache. La
tête
de la reine tomba. Le valet du supplice la prit p
prince par le sentiment de mourir en citoyen. Il portait fièrement la
tête
; il promenait, avec toute sa liberté d’esprit, d
a proscription de sa race le frappa plus que la hache du bourreau. Sa
tête
se pencha sur sa poitrine comme si elle eût été d
ace et le roulement des tambours à son approche lui firent relever la
tête
, de peur qu’on ne prît sa tristesse pour de la fa
es dont les comédiens grecs et les comédiens romains se couvroient la
tête
en joüant. Elle aidera à mieux entendre ce qui me
inition de chaque personnage, telle qu’on a coutume de la mettre à la
tête
des pieces de théatre et sous le titre de dramati
ésentoient non-seulement le visage, mais ils représentoient encore la
tête
entiere, ou serrée ou large, ou chauve ou couvert
. mais les masques dont parle Phedre, étoient dans le même cas que la
tête
d’Esope. Ces masques couvroient toute la tête de
dans le même cas que la tête d’Esope. Ces masques couvroient toute la
tête
de l’acteur, et ils paroissoient faits pour avoir
polithe, Hercule et Nestor ne paroissoient sur le théatre qu’avec une
tête
reconnoissable par sa convenance avec leur caract
qui veut dire resonner. En effet, ajoûte-t-il, le visage, et toute la
tête
étant renfermez sous la couverture du masque, de
Ceux qui récitent dans les tragedies, dit notre poëte, se couvrent la
tête
d’un masque de bois, et c’est par l’ouverture qu’
des Obermann et des René, ces génies idiots de caractère, qui ont une
tête
, mais pas de cœur, mais pas de mains, et qui fini
C’était cette vieille idée de la conquête, qui fait qu’un homme, à la
tête
de quelques hommes comme lui, s’empare d’un pays
, ne lui vint point comme ces bouffées d’ambition qui passent dans la
tête
des aventuriers et y portent parfois l’éclair… Le
aire mieux voir, sur toutes les lignes de ce profil si fier, de cette
tête
ardente, énergique et fatale. De la Madelène s’es
diques ; Elle lut dans ma main les signes symboliques ; Elle hocha la
tête
et puis elle me dit : Ce n’est pas moi qui parle,
tu luttes encore… enfant, tu seras roi ! Peut-être ! mais, avant, ta
tête
qui s’incline Aura longtemps saigné sous ton band
nfance, — le petit loup, comme les paysans appelaient cet enfant à la
tête
fauve, dont la fierté sauvage s’adoucit, mais ne
déjà que les vers de jeunesse qui, plus tard, devaient venir en cette
tête
plus poétique que poète. La véritable supériorité
nt que les antiquaires la reconnoissent à sa coëfure, et à son air de
tête
pris d’après les médailles de cette princesse. Si
oësie qu’il peut bien avoir emprunté du grec qui peignit Agamemmon la
tête
voilée au sacrifice d’Iphigenie sa fille ; ce tra
turelle, de l’habitude du corps, de la contenance, de la figure de la
tête
, de la physionomie, du feu, du mouvement et de la
lus la nature et je reconnois l’art. Le tableau dans lequel plusieurs
têtes
et plusieurs expressions sont les mêmes, ne fut j
son caractere, applaudit-il par un simple mouvement des bras et de la
tête
. On distingue à l’extremité du grouppe un homme b
aint Paul avec impudence. Un autre philosophe qu’on juge à son air de
tête
un homme ferme et même obstiné, a le menton sur l
sse dans ce moment-là de l’ébranlement à la persuasion. Un autre a la
tête
panchée sur l’épaule droite, et il regarde l’apôt
a plus serieuse des enfans. En étudiant ces auteurs, on se remplit la
tête
des fables et des histoires de leur païs, et l’on
de ceux qui ont fait la plus grande figure dans ces tems-là. Mais une
tête
de Henri IV ne feroit pas deviner le sujet d’un t
de trèfle ». Cependant, dans le portrait qu’a publié M. Stapfer à la
tête
de son volume, il semble bien mieux qu’il ne dit.
tapfer à la tête de son volume, il semble bien mieux qu’il ne dit. Sa
tête
ne manque pas de puissance. Les pommettes saillen
quel coup de crosse de l’évêque diocésain ne recevrait-il pas sur la
tête
! On courait aux sermons de Sterne, et ce n’est p
inée ! On roula sur un tas d’ossements, comme l’autre, cette nouvelle
tête
d’Yorick, de ce pauvre bouffon d’Yorick, dans laq
pas les fossoyeurs de Shakespeare qui jouèrent à la boule avec cette
tête
de génie, ce furent, avec leurs mains sanglantes,
M. Paul Stapfer, et nous croyons que s’il n’a pas fait entrer dans la
tête
des négateurs du mérite de Sterne sa démonstratio
en demeure pas moins entre nous. En deux mots, jugement très ferme et
tête
très saine, voilà ce qui me frappe en M. Stapfer.
ous, que si le livre en question est de la main, il n’est point de la
tête
de Sterne ; que s’il est sorti, ébauche maigre, i
evant la postérité, et ne mettra pas un rayon de plus autour de cette
tête
pâle et pensive, qui n’a pas besoin d’une auréole
. Homère fait les hommes plus grands que nature ; ils se jettent à la
tête
des quartiers de rocs que douze jougs de bœufs ne
mouches tropicales bourdonnent sur ses plaies. Job a au-dessus de sa
tête
cet affreux soleil arabe, éleveur de monstres, ex
’étoiles, mais de misères. Ce zodiaque tourne encore au-dessus de nos
têtes
. Nous n’avons de Job que la version hébraïque, at
la honte visible par l’horreur, tu forces l’ignominie à détourner la
tête
en se reconnaissant dans l’ordure, tu montres qu’
s les roseaux à Oannès, l’homme-poisson de la Chaldée, qui avait deux
têtes
, en haut une tête d’homme, en bas une tête d’hydr
nès, l’homme-poisson de la Chaldée, qui avait deux têtes, en haut une
tête
d’homme, en bas une tête d’hydre, et qui, buvant
a Chaldée, qui avait deux têtes, en haut une tête d’homme, en bas une
tête
d’hydre, et qui, buvant le chaos par sa gueule in
uple, la déroute à son armée, sa ressemblance aux dieux, et une seule
tête
au genre humain pour pouvoir la couper, c’est là
pereur, il tremble encore, ayant la couronne, mais pas sûr d’avoir la
tête
. Il tâte sa tête par moments, comme s’il la cherc
e encore, ayant la couronne, mais pas sûr d’avoir la tête. Il tâte sa
tête
par moments, comme s’il la cherchait. Puis il se
ente de l’homme, devenue fumée et tremblement mystérieux, est dans sa
tête
, en vision. On n’échappe pas à l’amour. L’amour,
que, écrite sous la dictée d’un aigle, le poëte ayant au-dessus de sa
tête
on ne sait quel sombre frémissement d’ailes. Tout
ean fut un des grands errants de la langue de feu. Pendant la Cène sa
tête
était sur la poitrine de Jésus, et il pouvait dir
on et dans l’art la comédie. La poitrine où est le cœur a pour cap la
tête
; lui, il a le phallus. Le ventre étant le centre
n. Rabelais, médecin et curé, tâte le pouls à la papauté. Il hoche la
tête
, et il éclate de rire. Est-ce parce qu’il a trouv
il y a de l’homme dans Alighieri, et du fantôme dans Shakespeare. La
tête
de mort passe des mains de Dante dans les mains d
re ? Eschyle a jusqu’aux épaules la cendre des siècles, il n’a que la
tête
hors de cet enfouissement, et, comme ce colosse d
ors de cet enfouissement, et, comme ce colosse des solitudes, avec sa
tête
seule, il est aussi grand que tous les dieux vois
sonnages, est extraordinaire. On lit ces poëmes avec le penchement de
tête
étonné que donnent les profondes distances entre
saurus ou le ptérodactyle. Tel de ces noirs chefs-d’œuvre à plusieurs
têtes
fait sur l’horizon de l’art la silhouette d’une h
solennellement à parler, avec un plaisir d’enfant. Il rajusta sur sa
tête
le schako couvert de toile cirée, et il donna ce
l ni rien du tout. « — C’est que, reprit-il en secouant tristement sa
tête
brune, quoique un peu poudrée, comme cela se fais
e sais pas ce que deviendra ma pauvre Laure. « Il serra de nouveau la
tête
de la jeune femme sur sa poitrine : « — C’était b
je vis que nous en avions encore pour une semaine au moins, j’eus la
tête
soulagée, mais pas le cœur, sans savoir pourquoi.
au milieu du feu. « — Ne dirait-on pas que les yeux lui sortent de la
tête
? leur dis-je pour les amuser. « — Oh ! mon ami,
Et je restai à voir. « Son mari était assis sur une petite malle, la
tête
sur ses mains, et la regardait prier. Elle leva l
ite malle, la tête sur ses mains, et la regardait prier. Elle leva la
tête
en haut comme au ciel, et je vis ses grands yeux
ir. Ses petits pieds blancs étaient croisés et élevés au niveau de sa
tête
, et tout son corps enveloppé de sa longue chemise
ndre. Cela l’inquiéta un peu, la bonne petite, et elle passa sa jolie
tête
hors du hamac, comme un oiseau hors de son nid, e
, et lui caressa le front, les cheveux et les yeux, en lui prenant la
tête
comme pour l’emporter et le cacher dans sa poitri
e et de vos sœurs… et pour moi ! tout cela pour moi ! « Elle cacha sa
tête
un moment dans le hamac ; et moi d’en haut je vis
lent fièrement ! C’est drôle ! « Il haussa les épaules en penchant la
tête
(avec un air si doux, le pauvre garçon !) et me d
vous vois et vous entends. Au moment du feu, elle porta la main à sa
tête
comme si une balle l’avait frappée au front, et s
parole, si ce n’est quand elle dit qu’on lui ôte ce qu’elle a dans la
tête
. « De ce moment-là je devins aussi triste qu’elle
yeux bleus, démesurés de grandeur, admirables de forme, sortant d’une
tête
pâle, amaigrie et longue, inondée de cheveux blon
s ; ensuite il monta sur le marchepied de la charrette, ramena sur la
tête
de Laure le capuchon de drap d’un petit manteau q
let n’en pouvait plus, et que mon cheval même commençait à baisser la
tête
. Ce brave homme ôtait de temps à autre son schako
n schako pour essuyer son front chauve et quelques cheveux gris de sa
tête
, ou ses gros sourcils, ou ses moustaches blanches
a toute sa vie, parce qu’elle croit toujours sentir une balle dans sa
tête
. Ça ne l’empêche pas de faire tout ce qu’on lui d
à qui j’ai fait ces récits, ô nouvelle légion Thébaine, vous dont la
tête
se fit écraser sur cette pierre du Serment, dites
rer tout bas à un rôle historique. Je lui en parlai un jour chez moi,
tête
à tête, sans approbation ni blâme. Il ne nia ni n
t bas à un rôle historique. Je lui en parlai un jour chez moi, tête à
tête
, sans approbation ni blâme. Il ne nia ni ne confi
tte qu’il tenait, et ne souffla pas un mot. Arcadi Pavlitch baissa la
tête
, jeta un regard oblique sur le coupable et parut
re. J’ai là-bas un bourgmestre qui est un fameux gaillard ! une forte
tête
. C’est vraiment un homme d’administration ; vous
son haut, et ayant rejeté ses cheveux en arrière par un mouvement de
tête
, il ajouta que Safrone était allé à Pétrova, mais
s, se couchaient à plat ventre sur le seuil des portes, baissaient la
tête
, levaient les pieds en l’air et se trouvaient trè
a gelée. Il se tenait près de la porte et tournait continuellement la
tête
comme s’il s’attendait à quelque danger : il se p
ore du pouillot se fait entendre une dernière fois au-dessus de votre
tête
; le cri plaintif du loriot lui a répondu dans le
a maîtresse ? ce n’est plus cela du tout ; elle a tout autre chose en
tête
. Il faut en général, lorsqu’on raisonne, ne point
ais je voulais seulement vous prouver… Et ici M. Zverkoff détourna la
tête
et s’enveloppa chaudement dans son manteau, en co
ormir un peu. Une bande de canards sauvages passa en sifflant sur nos
têtes
et nous l’entendîmes s’abattre non loin de nous s
abriter tant bien que mal sous un épais buisson. Courbé en deux et la
tête
enfoncée dans mon manteau, j’attendais patiemment
boue, glissait et bronchait à tout moment ; le forestier marchait en
tête
, tantôt à droite, tantôt à gauche du brancard, et
butiant. La porte s’ouvrit en criant, et le forestier ayant baissé la
tête
pour en franchir le seuil, entra dans la chambre.
iste comme une bourrasque de neige, et il n’y avait point à lui tenir
tête
; il était fort et agile comme le diable. Pas moy
elle est morte, — reprit-il, et il se détourna. Je me tus… Il leva la
tête
et me regarda. — Elle a pris la fuite avec un bou
us mîmes à prêter l’oreille. Le forestier ôta son bonnet et baissa la
tête
. — Voi… voilà… — dit-il tout à coup en étendant l
ier était silencieux ; le paysan se taisait aussi, mais il hochait la
tête
. — Laisse-le en paix ! — dis-je à l’oreille de Bi
e me dérange pas, — répondis-je. Le paysan me regarda sans relever la
tête
. Je pris la ferme résolution de délivrer le pauvr
s sur le plancher. Quant à Birouk, il était assis devant la table, la
tête
posée sur ses deux mains. Un grillon chantait dan
r moments comme s’il avait la fièvre. Il agitait aussi quelquefois la
tête
d’une façon étrange, et sa respiration était préc
a un maître là : tu ne le vois donc pas ? Le pauvre diable baissa la
tête
. Birouk se mit à bâiller et appuya son front cont
me ! etc. — Nikolaï Ivanovitch, assis dans son comptoir, balançait la
tête
en signe de satisfaction. Obaldouï battait la mes
en souriant. — Ah ! oui ! ah ! — dit à voix basse mon voisin. — Ah !
tête
carrée de Polekha 26 ! — s’écria tout à coup Obal
ce, une douceur encore plus entraînante. Nikolaï Ivanovitch baissa la
tête
. Morgatch se détourna ; Obaldouï se tenait tout a
te. Le paysan à la souquenille se blottit dans le coin en secouant la
tête
et en murmurant des paroles inintelligibles. Diki
on silence. Les cimes des hauts trembles murmurent au-dessus de votre
tête
; les longues branches pendantes des bouleaux se
bande d’absinthe qui se dresse entre deux champs. Au-dessus de votre
tête
, autour de vous, le brouillard s’étend de tous cô
ix à Hanebourg, mourut, en 1832, son fils Fritz Kobus, se voyant à la
tête
d’une belle maison sur la place des Acacias, d’un
tu seras l’homme le plus heureux du monde. Tâche d’avoir toujours la
tête
froide et les pieds chauds : c’est le précepte de
rancune, sans que Michel s’en soit jamais douté, et que Christian, la
tête
penchée sur l’épaule, rit tout bas en songeant au
e de laine blanche et casaquin de toile bleue, parut sur le seuil, la
tête
baissée, toute honteuse. Tous les amis la regarda
ssez bien habillées ! » Alors Fritz, se retournant, dit en hochant la
tête
et haussant les épaules : « Hâan ! Hâan ! une enf
d je veux prendre une chope, je la prends ; si l’idée me passe par la
tête
d’inviter trois, quatre, cinq amis, je les invite
David, fit Kobus en se levant, ce vin-là ne vous montera jamais à la
tête
. — C’est bon, c’est bon, j’accepte ; voici ma mai
n face des vieilles Halles. VI Kobus, le lendemain, se lève la
tête
lourde ; il appelle Katel et accuse la bière. Apr
venait se frotter à la jambe de Fritz, qui lui passait la main sur la
tête
. C’est ainsi qu’au milieu des éclats de rire et d
« Prends donc cela, Sûzel, tu l’as bien gagné… » Elle, détournant la
tête
, se prit à fondre en larmes. « Qu’est-ce que cela
re moi. » Alors Sûzel, sa jolie figure cachée dans son tablier, et la
tête
penchée en arrière sur l’épaule, lui tendit la ma
oire, les ânes étaient des chevaux ; ils avaient le jarret solide, la
tête
petite, les oreilles courtes et du crin à la queu
e père Christel et la mère Orchel, qui n’ont pas quatre idées dans la
tête
, aient mis ce joli petit être au monde. Sais-tu q
te, de lui obéir. » En ce moment, je ne sais quelle idée passa par la
tête
de Fritz, il observa le vieux rebbe du coin de l’
faite, « Donne-moi ton cœur, ou je vas mourir ! » Il balançait la
tête
lentement, la bouche ouverte jusqu’aux oreilles,
, les jambes croisées, le nez en l’air et le bras arrondi derrière la
tête
. Katel paraissait aussi contente qu’eux. « Y somm
ent renversés comme de grands seigneurs, ils fumaient sans tourner la
tête
et semblaient n’avoir fait autre chose toute leur
a porte. Sûzel, à demi effacée derrière cette guirlande, inclinait la
tête
sous les grosses feuilles vertes, et regardait ti
Kobus ! » fit-elle en regardant la grand’mère. La vieille inclina la
tête
au bout d’une seconde, et dit : « C’est bien… tu
nt son jabot, et la grande fille, qui le dépassait de la moitié de la
tête
, avait l’air de le conduire. Au même instant, Sch
deux longues tresses flottant comme des ailes, et sa charmante petite
tête
rejetée en arrière, elle le regarde en extase, et
jambe droite, la fit passer, sans manquer la mesure, au-dessus de la
tête
de sa petite rousse, et que d’une voix rauque, en
sant cela, il regardait l’autre anabaptiste, qui inclina gravement la
tête
. « Monsieur Kobus, je vous en prie, ne nous reten
, dont j’ai souvent entendu parler, de ce vin de France qui tourne la
tête
à ces hommes batailleurs, et les porte à faire la
ourche ou le râteau sur l’épaule, regardaient. Ces gens tournèrent la
tête
et dirent : « Bonjour, monsieur Kobus ! » Mais il
voudrai », dit-il en la regardant. Elle, baissant les yeux, pencha la
tête
contre l’épaule de Fritz sans répondre. « Qu’il e
, l’un derrière elle, l’autre à côté. Ils sont bien groupés, et leurs
têtes
sont belles. Celui-ci lui dit du geste qu’ils son
us trouverez dans l’un de la grandeur de formes et de la noblesse. La
tête
en est coiffée dans le goût antique ; elle est bi
e qui convient à un peintre de batailles. Pour trouver le geste et la
tête
d’un homme qui commande au soleil, il faut y rêve
rmes compositions qui demandent de grands fronts et quelqu’une de ces
têtes
énormes que Raphaël, le Titien, Le Sueur ont port
tombent mollement à ses côtés. Ses yeux viennent de s’entrouvrir. Sa
tête
est un peu inclinée vers la terre, ou plutôt vers
l dévore. Quelle vivacité ! Quelle ardeur ! Combien de malice dans la
tête
de cet Amour ! Petit perfide, je te reconnais ; p
on, on pouvait la trouver avec du talent ; mais on n’imagine point la
tête
de la statue sans génie. Le faire du groupe entie
au premier coup d’œil le cou de la statue me parut un peu fort, ou sa
tête
un peu faible. Les gens de l’art ont confirmé mon
les cheveux d’une Geneviève de Brabant, enfin avec ce caractère d’une
tête
, où la nature s’associe au coquet effort de se ra
ifs, et qui lui donne dans de la jeune vie, le charme archaïque d’une
tête
idéale d’un vieux musée. Et le cou un peu décolle
Vendredi 6 avril Le jeune Rothenstein qui fait un croquis de ma
tête
pour le livre : Edmond and Jules de Goncourt ( wi
é à la seconde de Germinie Lacerteux, et a cassé un petit banc sur la
tête
d’un normalien, de sa connaissance, avec lequel i
Conservatoire. À ce nom, tous les gens du café et le patron lèvent la
tête
, me regardent, en souriant gouailleusement : un s
udet assure être une œuvre qui l’aurait converti, s’il n’avait pas la
tête
en pomme, tandis que le parti opposé l’éreinte fé
lle à manger au salon. Mercredi 9 mai Après ces crises, on a la
tête
vide, comme déshabitée, avec seulement dedans, un
spect d’un Américain, un être intelligent, travaillant à se faire une
tête
, cherchant l’étonnement des gens par une parole a
mittente, et travaillant sans goût. « Car, s’écrie-t-il, en levant la
tête
de sa terre, il n’y a que sept ou huit ans, que l
caractère artistiquement étrange, avec, sur un fond de brun rouge, sa
tête
de délicate Nubienne, et à travers le pétrissage
7 juillet Longue promenade en voiture dans la forêt de Sénart, en
tête
à tête avec Daudet. Il se montre très tendre, me
et Longue promenade en voiture dans la forêt de Sénart, en tête à
tête
avec Daudet. Il se montre très tendre, me parle d
fusant à donner sa signature pour certains ordres, pouvant engager sa
tête
: tout en battant militairement la charge avec se
nages, découpés dans un vrai tableau de Watteau, avec un trou dans la
tête
, où passait une ficelle, et qui devaient avoir se
, et il avait vu son voleur s’emparer de son revolver, lui retirer la
tête
de dessus son oreiller , et prendre son argent, c
poitrine, puis avec des vitrines de bibelots, allant au-dessus de la
tête
. Un balcon tournant le long des murs ferait un pr
t vide dans la ronce, mais là l’homme surgissant soudain, piquait une
tête
dans le dévalement de la ronce de l’autre côté, p
une tête dans le dévalement de la ronce de l’autre côté, piquait une
tête
comme dans une rivière, sans que Clemenceau pût v
voulaient me donner un banquet ; et lui ont demandé de se mettre à la
tête
du banquet, et il a accepté, avec l’idée de faire
e des petits chiens, lippus, mafflus, rhomboïdaux, dont l’un dort, la
tête
posée sur le dos de l’autre, dessinés d’un pincea
ope, détache du tronc d’un arbre, une singesse et son petit, dont les
têtes
, comme lavées d’une eau de sanguine sur les fines
et dont le couvercle représente le guerrier, dessiné par Hokousaï, en
tête
de son album intitulé : Yehon Sakigaké (Les Héros
’« Alarme d’Iris » et contre l’opulent sein de la grasse fillette, la
tête
rebiffée de Minet, auquel un médecin ridicule du
La Lecture de Fragonard, d’après le bistre du Musée du Louvre ; — une
tête
d’homme de Gavarni, d’après un croquis, dessiné a
éunion de tous les articles écrits sur la mort de mon frère, avec, en
tête
, les lettres d’affectueuse condoléance de Michele
tre-deux des seins de la femme décolletée. Et au milieu des Nini, une
tête
de femme, au nez retroussé, au ruban courant dans
corps du Primatice, montre la femme les bras croisés au-dessus de la
tête
, et hanchant, appuyée à un cippe, où tourne une r
flots de la mer qui font la décoration du fond, jaillit d’un côté la
tête
d’un dragon, de l’autre sa queue, un dragon aux b
, montrant un de ces androgynes femelles, au retrait de travers de la
tête
dans les épaules d’une vieille tortue, lavis barb
’or, des fleurettes blanches, sortant d’un feuillage de turquoise. En
tête
, est imprimée cette ligne d’une poésie : Le vent
in (1894), sur un exemplaire de : Sébastien Roch, deux profils et une
tête
de face, dont la construction est d’un puissant m
re des : Chauves-souris, portrait rendant la silhouette et le port de
tête
du poète. Henri de Régnier, peint à la gouache pa
s mémoires sublimes, voilà que la folie des mémoires prend toutes les
têtes
et qu’on les croit tous sublimes, de cela seul qu
un jour dans la famille de Luynes quelqu’un qui osera prendre sur sa
tête
— une tête de génie… — de répondre à cette grande
ns la famille de Luynes quelqu’un qui osera prendre sur sa tête — une
tête
de génie… — de répondre à cette grande question !
res et à lui-même, jetait parfois, pour se divertir, des oranges à la
tête
des dames, à souper, lesquelles lui envoyaient de
omplète certitude qu’il fut un temps où l’on dînait le chapeau sur la
tête
. Voyez-vous cela ! On s’en doutait bien un peu (l
officiers et vous n’avez besoin d’aucun, mais je vais charger à votre
tête
” Il sortit un chevau-léger du rang, qui lui dit :
de la troupe, et je me retire.” Effectivement, le chevau-léger, à la
tête
de la troupe, battit encore les ennemis. » Certe
ut de leur plume dans ce périlleux sujet d’histoire, en ont reçu à la
tête
un tel coup qu’ils en ont perdu l’équilibre, qu’i
t dire de l’historien de Thermidor qu’il ôte des mains de Michelet la
tête
de Robespierre, coupée, par cet innocent bourreau
roduisit. Ce fut celle de la loi du 22 prairial, sortie, toute, de la
tête
de Robespierre. Ce jour-là, il fut le maître de l
a, ce reste vivant d’homme, au bourreau, qui coupa comme il put cette
tête
fracassée, et telles furent, en mourant, la grâce
ur ! Et le travail qu’il a fait sur le cœur, il l’a fait aussi sur la
tête
. Il l’a ouverte aussi, cette petite tête vaniteus
ur, il l’a fait aussi sur la tête. Il l’a ouverte aussi, cette petite
tête
vaniteuse et vipérine, grosse et verdâtre comme u
, grosse et verdâtre comme un œuf de canard, et il a montré que cette
tête
n’avait qu’une pincée de cervelle, et qu’en fin d
de celui-ci redoubla contre l’orgueilleux étranger. Il asséna sur la
tête
de Hagene un coup de son aviron avec tant de forc
ent le fourreau de son épée et en tire la bonne lame ; il lui abat la
tête
et la jette à terre. Bientôt les Burgondes apprir
l asséna sur Blœde un coup si prompt de cette épée, qu’à l’instant sa
tête
vola à ses pieds. « Ce sera là la dot, dit Dancwa
que d’amis j’ai perdus ! Maintenant je dois tout seul, hélas ! tenir
tête
à l’ennemi. » Les coups d’épée tombaient pressés
payé cher, je veux bien vous le dire: de ma main je lui ai abattu la
tête
. « — C’est un léger malheur, dit Hagene, quand on
ent, que le sang jaillit le long de son épée sur ses mains, et que la
tête
sauta jusque sur les genoux de sa mère. Alors com
qui soignait l’enfant un si fort coup de son épée, qu’à l’instant sa
tête
tomba devant la table. C’était une triste récompe
rieur, Volkêr du pays burgonde. Le brave ménestrel cria au-dessus des
têtes
de la foule: « La salle est bien fermée, ami sire
on pour sortir ; mais le joueur de viole lui donna un coup tel que sa
tête
vola aux pieds d’Etzel. Quand le souverain du pay
e poursuivre. Irinc, le très-hardi, leva son bouclier au-dessus de sa
tête
; mais quand cet escalier eût eu trois fois plus
enelant, avec tant de force, que le bois lui sortait tout droit de la
tête
; Hagene, le chef hardi, lui avait fait subir une
Avant de délier le heaume, on brisa le bois qui avait pénétré dans sa
tête
. La mort approchait. Ses parents se prirent à ver
d ces hommes audacieux eurent pénétré dans la salle, plus d’un eut la
tête
abattue et trouva la mort sous leurs coups précip
nous ont fait subir. Mais ils nous verront encore dans la mêlée tenir
tête
à plus d’un. » Le jeune Gîselher de Burgondie par
il veut se venger sur nous de ses pertes, j’oserai rudement lui tenir
tête
. » Ainsi parla Hagene. Dietrîch et Hildebrant ent
maître Hildebrant. Sur ma foi, je pensais que vous saviez mieux tenir
tête
à l’ennemi. » Hildebrant répondit: « Pourquoi m’a
riger armé vers vous. Vous affirmiez que vous vouliez, seul, me tenir
tête
dans un combat. « — Nul ne vous le niera, répondi
rs ils ne se revirent plus, jusqu’au moment où elle porta à Hagene la
tête
de son frère. La vengeance que Kriemhilt exerça s
it la noble femme, et elle ordonna de tuer son frère. On lui coupa la
tête
; elle la porta par les cheveux devant le héros d
Troneje. Ce fut pour lui une peine affreuse. Quand le guerrier vit la
tête
de son maître, il dit à Kriemhilt: « Enfin tu es
la vie au guerrier, — et la soulevant des deux mains, lui abattit la
tête
. Le roi Etzel le vit et en fut profondément affli
est né à Lyon dans une année fameuse, — l’année où la royauté eut la
tête
coupée sur la place de la Révolution. À dater de
ait mis la main sur le front, et jamais cette main ne se pose sur une
tête
humaine sans y laisser quelque chose de supérieur
ada l’âme d’un apôtre en la mettant au service de l’erreur. Les trois
têtes
les plus fortes de la Révolution française sont d
. Les trois têtes les plus fortes de la Révolution française sont des
têtes
de tonsuré, comme dirait agréablement la Philosop
cette fermeté de raison qui écrit pour les gens d’État, non pour les
têtes
poétiques, les enfants et les femmes, il aurait l
dans cette France que le protestantisme allait diviser. À prendre la
tête
du mouvement populaire, le gouvernement ne descen
nécessités politiques ne s’abaisseront jamais à reprocher à ces trois
têtes
, jusqu’à présent maudites, d’avoir voulu transfor
e avait d’autres noms que celui d’Audin à répéter. Mais la plus forte
tête
vivante du xixe siècle pensait encore. M. de Bon
, — qui jettent aux choses et aux hommes la pelletée de terre sur la
tête
dont parle Pascal, et font dire : « En voilà, po
domine, dans Audin, celle de l’homme d’État. Éternel écueil de cette
tête
éminente, le côté d’art qui attire Audin, ce côté
impose au plus ferme regard. Il l’a montré passé la ceinture, — de la
tête
aux pieds, de cette tête orgueilleuse de génie ju
rd. Il l’a montré passé la ceinture, — de la tête aux pieds, de cette
tête
orgueilleuse de génie jusqu’à ces pieds de bête i
semblance, et, de plus, il possède une faculté que ne connut point la
tête
carrée et rassise du grand Écossais. Il a l’entho
gré les dons surnaturels que Dieu avait versés comme à plaisir sur la
tête
de Luther et dans sa poitrine, le plus abject, c’
t trop bonne. Elle ressemble à son cœur, qu’il ne portait pas dans la
tête
, où les hommes d’État, a dit l’un d’eux, doivent
sse Vierge, mensonge de vertu et presque de génie, qui pensait par la
tête
de Burleigh et coagulait en vice froid les passio
cité de tous les repos, mais où les bibliothèques de cette ville, la
tête
du monde, attiraient encore ses mains mourantes i
oiture qui le ramenait de Marseille à Lyon, il expira sans agonie, la
tête
sur l’épaule de sa femme. Mort douce comme sa vie
te pureté virile, imperméable aux contagions, qui conserve jeunes les
têtes
blanchies. On ne pouvait pas dire de lui comme de
que comme s’il n’était pas. On le percevait à peine, en appliquant sa
tête
contre sa poitrine. Je ne sais pas si ce détail p
ace enfantinement sourieuse : tout cela sous une raie au milieu de la
tête
, la raie du gandin parisien. L’autre est un type
à onze heures, tout le monde se lève et s’en va, Hugo mettant sur sa
tête
un vieux chapeau de Castelar, que l’Espagnol lui
nche. Dimanche 26 mars Quinze jours de migraine, de douleurs de
tête
insupportables qui me forcent à me mettre au lit,
mbre complètement fermée. Et le reste du temps, un état trouble de la
tête
ne me permettant pas de travail, ou ne produisant
r le parapet, des canards qui ont une tache, en forme d’amande sur la
tête
. La soirée était magnifique. Nous nous mîmes à ca
a chaise, avec des mains qui se crispent nerveusement au-dessus de sa
tête
. — Ce n’est pas mon genre… …………………………………………………………
sait de la sincérité des convictions. « Arnaud de l’Ariège, c’est une
tête
d’ascète, de croisé, — s’écrie Robin, avec dans l
ui, un convaincu, un sincère… mais de Broglie, allons donc, c’est une
tête
d’épervier déplumé, sans circonvolutions, sans un
eau. Mercredi 2 août Dans la fugitivité d’un rêve sans queue ni
tête
de malade, j’ai revu mon vieux Pouthier (l’Anatol
sans couleur, il était assis sur la première marche d’un escalier, la
tête
baissée, les bras pendants, des pantoufles roses
e ces choses endormies, et de ces vivants à l’état d’ombres. Alors la
tête
travaille et enfante. Je vais ainsi par le Bois,
éant mayençais, la mère, une géante ayant toujours une fluxion, et la
tête
embéguinée dans une fanchon, terminée par un peti
tu m’envoies avec des peignes dans une contrée ousce qu’on se rase la
tête
! » Mardi 14 novembre Son paletot relevé ju
ente femme au fond, est colletée jusqu’à la pomme d’Adam, avec sur la
tête
des couvre-chefs singuliers… elle fait faire ses
très difficile à expliquer. Il me semble, qu’à gauche et derrière la
tête
quelque chose m’attire en arrière, quelque chose
moi, pensé seulement qu’on pouvait nous abattre le châtaignier sur la
tête
, ne cherchaient pas de raisons, mais des supplica
tronc de l’arbre que ces bourreaux de bûcherons vont abattre sur nos
têtes
! Mille fois plutôt mourir que de céder ma fille
nous, l’arbre et les bûcherons, et, brandissant sa hachette sur leurs
têtes
, il les écarta, tous étonnés et tous tremblants,
et en poussant des clameurs de vengeance. Ma pauvre sœur, prenant la
tête
ensanglantée de Fior d’Aliza sur ses genoux, étan
olla convulsivement contre le sein de sa mère. Quant à moi, je mis ma
tête
aveugle entre mes deux mains, sur mes genoux tout
ng plus pur que celui d’Abel ? Le chevreau qu’elle portait encore, la
tête
renversée sur son épaule, expira sur ses genoux e
e déroulaient jusque sur ses deux épaules, je sentis sous ma main une
tête
toute ronde et tout frais tondue, qui cherchait à
e fut longtemps sans répondre ni à moi ni à sa tante ; elle tenait sa
tête
entre ses mains et se cachait les yeux avec les b
eur, il faut qu’elle nous dise elle-même ce qui s’était passé dans sa
tête
et dans son cœur si soudainement, en voyant son c
uclés, mal retenus par l’aiguille à la pointe de clou au sommet de la
tête
, avec ma veste brodée de vert sur la poitrine, me
! que faire ? Et je me mis à pleurer et à prier Dieu en retombant, la
tête
sur mon lit, noyée dans mes larmes. En la relevan
le chapeau de Calabre, au large rebord, retombant sur les yeux, à la
tête
pointue, avec sa ganse de ruban noir et ses médai
si vite et si bien sur mes épaules, à ma ceinture, à mes jambes, à ma
tête
, à mes pieds, qu’on aurait dit que je n’en avais
sur le banc qui touche à la porte. Le bruit du loquet fit tourner la
tête
à ma tante ; elle me reconnut et poussa un cri de
-tu, sans un baïoque seulement dans la main, un asile pour reposer ta
tête
? CXXXIX Tout cela m’apparut pour la premiè
par traits détachés, par éclairs, en quelques groupes ou en quelques
têtes
flambant de génie, dans un coin de livre ou de ta
e génie, dans un coin de livre ou de tableau… Qui les avait vues, ces
têtes
, les avait contemplées ; qui les avait contemplée
s Misérables de Victor Hugo, qui sont des Pauvres à qui on a fait des
têtes
, — pour me servir d’une expression du métier dram
éternelle ! Il faut convenir que cette idée ne pouvait venir qu’à une
tête
poétique, et je dirai plus : — à une âme profonde
pauvres et les a bien vus. Seul, ce rayon de Dieu leur tombant sur la
tête
, plus chaud et plus magnifique que le soleil de M
el faisait ce que fait M. Richepin, quand il s’efforce et donne d’une
tête
de bélier enragé contre tout. Et, du reste, pour
enacée, pour qu’ils y prissent garde : Voilà le « Robespierre à mille
têtes
» ! Et l’horreur qu’il en donnait était salutaire
horreur. Il n’offre pas, comme Persée, aux yeux, qu’elle épouvantera
tête
coupée de la Méduse… On dirait qu’il est amoureux
s facile que de ramasser cette pierre à ses pieds et de la jeter à la
tête
de quelqu’un : « Je ne vous crois pas. Je ne croi
e fleuve contre Dieu. Elle a l’angoisse de l’homme qui s’est brisé la
tête
contre le Sphinx sans mot des choses. Elle roule
ez ce coup de guillotine, luisant, maintenant, pour jamais, sur cette
tête
de Chénier qui renvoie à la guillotine sa lumière
rtie de l’œuvre intitulée les Églogues, frappèrent tout le monde à la
tête
, et la tête de presque tout le monde garda si bie
vre intitulée les Églogues, frappèrent tout le monde à la tête, et la
tête
de presque tout le monde garda si bien l’impressi
en eut conscience, il était trop tard. La guillotine qui lui coupa la
tête
brisa le carquois de colère qu’il allait vider da
dès le berceau de sa poésie lyrique, en a étouffé… Supposez que cette
tête
rêveuse de pasteur grec n’eût pas été tranchée pa
lle, avec les appesantissements et les vulgarités de sa notice et les
têtes
d’épingles d’érudition de ses notules, n’a pas as
a descendu l’idéale figure d’André du piédestal qu’il avait dans nos
têtes
et l’a mis de niveau égal avec tous ceux qui font
créateur, qui n’ait pas perdu sa virginité ! Sur celui-là, sur cette
tête
crépue de Samson, la civilisation, cette Dalila,
celle de Pascal pour l’enfer, devant le « Robespierre aux cent mille
têtes
» et le communisme futur ; mais ce n’est pas la v
et lestes paysans du Midi, bruyants, extérieurs, ivres de leur force,
têtes
de poudre et de foudre, capables de tout dans un
vilisation, cette Tarquine à la main douce, qui ne fait pas voler les
têtes
de pavot sous les coups de baguette, mais qui se
cette solennité, et c’est de la rencontre et de la combinaison de la
tête
singulière de cet homme, simple potier-terrailler
ne si magistrale saillie à ce Marius Tirard, le maire de Lamanoc, une
tête
qu’aurait admirée Walter Scott ; après nous avoir
sérénité presque inaltérable. Il a le regard transparent, et peint la
tête
dans la lumière, y mettant la passion elle-même,
isé à en parler aujourd’hui, sans qu’on vous jette une soutane sur la
tête
pour mieux enterrer vos admirations arriérées ! E
un orgueil moins cruel, elle qui, aujourd’hui, la main étendue sur la
tête
de M. Jourdain, son lauréat et l’interprète de sa
quin, toute réflexion faite, avait vraiment de la philosophie dans la
tête
, quoiqu’il fût… un théologien ! II Tel est,
ses compartiments, et que le monde d’un instant qui l’a pris pour une
tête
énorme, ce grand Bœuf de Sicile dont les mugissem
inte éternelle qui empêchera désormais les siècles de confondre cette
tête
rase de moine avec la tête aux cheveux courts de
a désormais les siècles de confondre cette tête rase de moine avec la
tête
aux cheveux courts de la médaille du Stagyrite. C
pied de la lettre ce mot tracé par l’auteur, non par l’éditeur, à la
tête
de ce volume. Quoique écrites dix ans auparavant,
res spirituels qu’il faut expliquer par une préface et qu’on met à la
tête
de ces choses si simples et qui pourraient être s
ues du temps, fait ses humanités dans Shakespeare et bu dans la coupe
Tête
de mort où lord Byron avait laissé le sang de ses
qu’il a encore dans les cendres de son Couvre-feu quand il caresse la
tête
de ses deux enfants et qu’il rabat jusqu’à eux et
, avec la flamme qui ne sort jamais qu’une seule fois du volcan de la
tête
d’un homme, les douleurs de cet amour affreux qu’
du champ de la mémoire contenant aussi l’univers et son passé dans la
tête
de chaque homme en particulier, n’y a-t-il pas qu
tabliers, pendant que, dans le trou de l’arbre abattu, se voient des
têtes
de vieilles femmes occupées à déterrer, avec des
s de la batterie de Mortemart, j’avais perçu un bruit au-dessus de ma
tête
, et je croyais qu’on avait remué un meuble. Quelq
ibus. Je me demandais si c’était une nouvelle émeute. Non, toutes ces
têtes
en l’air, tous ces bras qui désignent quelque cho
dégât matériel, causé par cet ouragan de fer qui nous a passé sur la
tête
. Seule, une langue de terre entre le viaduc et le
éclaté dans une pièce où l’on vous montre l’endroit où il a coupé la
tête
d’un homme, comme avec un couteau. En face, sur u
ariant, très contrariant… ça ne fait rien… j’ai un autre mouvement en
tête
, je vais arranger les choses de manière à ce que
ur la place de l’Hôtel-de-Ville, au fond, près la rivière, tambour en
tête
, et des bouquets d’immortelles à la boutonnière,
haussée, sur lequel ne se lit plus, de l’enseigne écornée, que… de la
Tête
noire. La grande rue de Saint-Cloud, un sentier d
fer. Tout en haut de Saint-Cloud, près de l’église, un vieillard, la
tête
nue, les cheveux blancs au vent, l’air délirant,
tiers à cabarets, des soulards, qui prennent la queue en titubant. La
tête
blanche de Hugo, dans un capuchon, domine derrièr
capuchon, domine derrière le cercueil ce monde mêlé, semblable à une
tête
de moine batailleur du temps de la Ligue. Tout au
, je n’ai encore autant souffert. J’en sors brisé, avec la viduité de
tête
et la faiblesse d’un homme qui a fait une maladie
, comme dans ce moment-ci, ce n’est pas un livre que je roule dans ma
tête
, ma pensée s’amuse, jour et nuit, de la plantatio
rêle. Par le rideau entr’ouvert des voitures d’ambulance, je vois des
têtes
mortes ou vivantes de blessés, les yeux fixes. Qu
mplation : pif, paf, crac, c’est un obus qui frappe, au-dessus de nos
têtes
, la corniche de gauche de l’Arc de l’Étoile. À l’
t et reparaît, ramenant bientôt un homme qu’il soutient, un homme, la
tête
entortillée de bandes, le visage plaqué de plâtre
tombant sur la batterie du Trocadéro, qui se bat, au-dessus de notre
tête
, avec le Mont-Valérien. Je passe devant le café d
t déjà touchée deux fois par les obus prussiens, a une fente comme la
tête
, du toit aux fondations. L’obus qui a jeté à terr
magnétiseur, sibyllisant en plein boulevard. Place de la Concorde, en
tête
de la rue de Rivoli, des ouvriers travaillent à u
ites et du café au lait, au milieu d’un étal de vieille ferraille. En
tête
de la rue Saint-Antoine, ébauches de barricades,
t prussiens. Vendredi 21 avril Groupe d’ouvriers qui causent en
tête
des Champs-Élysées. Toute la causerie est sur la
apparaître sous l’Arc de l’Étoile, au milieu des coups de fusil, les
têtes
des colonnes versaillaises. Mais au bout de tout
u de fonte, gros comme une pièce de quarante sous, qui est entré à la
tête
du fémur, est descendu le long de la cuisse, a co
asquette, et ne la laissent qu’à la vue des chapeaux qui sont sur les
têtes
. Non, ce n’est point la profanation de Notre-Dame
révolutionnaire, avec la roulée immédiate sur la place publique de la
tête
des traîtres. La proposition est frénétiquement a
itaire, des filtrées, des zigzags de couleur à la Diaz. Au-dessus des
têtes
, à tout moment, le beau bruit à la fois sonore et
, devant les balles qui enfilent le boulevard, et leur passent sur la
tête
, ils abandonnent l’ouvrage. Nous les voyons, Burt
ulant dans une débandade, au milieu de laquelle on voit un mort, à la
tête
ensanglantée, que quatre hommes portent par les b
feuilles d’un petit arbre, qui étend ses branches au-dessus de leurs
têtes
. Un détail dramatique que j’oubliais. Derrière eu
njure à la bouche. Soudain, je le vois s’arrêter, porter la main à sa
tête
, appuyer, une seconde, sa main et son front contr
sur lui, non une feuille, cette fois, mais une branchette près de sa
tête
, et qu’il avait rejetée avec une chiquenaude, ne
arder de notre balcon, quand une balle vient frapper au-dessus de nos
têtes
. C’est le locataire de dessus, qui s’est avisé bê
é, où nous sommes poursuivis par des éclats frappant au-dessus de nos
têtes
, à droite, à gauche. Les projectiles ne dépassent
jonchent le trottoir. Il y a dans les moellons, des encoches comme la
tête
d’un enfant. La porte est percée de vingt petits
, à l’effet de se préserver de tout ce qui vous tombait dehors sur la
tête
. Toute la soirée, vu par la trouée des arbres, l’
ée en garde national. Et au milieu de tous ces visages, se détache la
tête
bestiale d’une créature, dont la moitié de la fig
emmes avouent seulement leur faiblesse, par un petit penchement de la
tête
de côté, qu’ont les femmes, quand elles ont longt
ges de coquines ! » La pluie redouble. Quelques femmes se couvrent la
tête
de leurs jupons relevés. Une ligne de cavaliers e
usse quelques soldats de ligne, à promener leurs bidons au milieu des
têtes
de ces femmes, qui tendent une bouche altérée, da
e sur les trottoirs. Au milieu d’eux s’avance une troupe d’hommes, en
tête
desquels marche un individu à la barbe noire, au
ise ; quelques-uns une culotte allemande au derrière, d’autres sur la
tête
une casquette, en place du képi resté sur le cham
. Le pavillon, de Catinat, où nous habitions, semble une caserne. Des
têtes
, coiffées de bérets, sont à toutes les fenêtres ;
séminariste dit cela, à voix basse, d’un ton presque peureux, avec la
tête
, penchée de côté sur son assiette, la tête d’un é
n presque peureux, avec la tête, penchée de côté sur son assiette, la
tête
d’un écolier qui sent une main de pion dans l’air
ie. Les engouffrements du vent rabattaient le bouquet d’épines sur ma
tête
, et la lumière écliptique, et le paysage ardu, et
vant le déluge, dont les lectures de ces jours-ci m’avaient rempli la
tête
. Jeudi 28 septembre Il arrive aujourd’hui d
e, attaquée de l’épidémie qui court la ville. C’est une sœur qui a la
tête
d’un chancelier d’Angleterre, une sœur aux manièr
s’est mariée avec le comte Henkel, le diadème de l’Impératrice sur la
tête
. 25 novembre Ce qui me semble annoncer la f
tiples d’une vie de misère, vient me voir. C’est toujours le même. Sa
tête
n’a pas un cheveu blanc de plus, son paletot une
’haleine, Sans rien d’égal à ces maîtres divers, Mais plus nature, en
tête
de ses vers27, F.-A. Cazals nous a rendu Verlaine
es dans la chaleur d’une rapide étreinte, d’un adieu suprême, puis la
tête
qui retombe… et… plus rien ! que le silence et le
être obligés de tenir les cordons du poêle et d’affronter la rafale,
tête
nue. De solennelles calvities font un suprême app
nous éclaboussent au passage d’une gerbe de boue, On marche voûté, la
tête
en avant, comme à l’assaut, pour lutter contre la
r la piqûre mortelle. Au-dessus de la file des dos courbés, c’est, en
tête
, l’éternel cahot du corbillard et la danse obstin
emploi, quelque part dans un ministère, il s’était mis tout à coup en
tête
d’éditer à ses frais les poètes inconnus, et le p
is, léger comme l’esprit même, si dangereux quand il est seul dans la
tête
d’un homme, nerveux comme une femme encore plus q
il n’avait, pour résister aux dures épreuves des révolutions, dans la
tête
et dans le cœur que de la littérature. Vils chiff
eux jour, qui fut son destin, où il planta sur l’oreille de sa petite
tête
, vaniteuse et éventée cette cocarde verte de l’in
l se fit couper la dernière mèche de cheveux pour sa Lucile sur cette
tête
qui allait tomber, il eut toujours les yeux en la
aguent de la pointe de leurs cannes, et lui mettent un œil hors de la
tête
! Il y a là une fièvre de sang dont on s’étonne,
ar sensibilité… Camille Desmoulins, ce léger d’esprit, cette mauvaise
tête
et ce bon cœur (la phrase du vaudeville !), était
vérité, et qui avais déjà fait le sacrifice de ma vie, je secouai ma
tête
, en lui disant que je me serais défendu jusqu’à l
n témoignage de la faveur du ciel envers moi. Il m’était resté sur la
tête
une certaine splendeur qui s’y voyait surtout le
le-même, et la balle, ayant frappé l’arc de la porte, rebondit sur sa
tête
, et l’étendit par terre. « À ce bruit ses fils a
qu’il voulait faire ce qui lui plairait, et que c’était donner de la
tête
contre une muraille, que de s’opposer à lui et à
our le corps de mon Jupiter ; un autre faisait une jambe, un autre la
tête
; de sorte que c’était un bruit épouvantable dans
ant qu’en faire, la cacha dans la statue, lui arrangea un lit dans la
tête
avec beaucoup d’art, et il venait l’en faire sort
up d’art, et il venait l’en faire sortir pendant la nuit. Comme cette
tête
était fort avancée, je l’avais découverte par un
jamais vu ni entendu, et que cette fille qui était couchée dans cette
tête
la faisait remuer de temps en temps, le sot peupl
leur faire croire, quoiqu’ils ne sussent pas qu’il y avait dans cette
tête
un véritable esprit. » VIII Le roi cepend
emps et son talent à faire pour d’autres des vases, des salières, des
têtes
, des portes, et de négliger les grands ouvrages q
e de son héros mythologique l’instant où Persée élève dans sa main la
tête
de Méduse qu’il vient de couper, et où il foule d
n comme artiste ; car vous devriez avoir confiance en moi, d’après la
tête
de bronze que j’ai faite, d’après le Ganymède que
. Comment se peut-il, Benvenuto, me dit enfin le duc, que cette belle
tête
de Méduse, qui est là-haut dans la main de Persée
ait quelque connaissance de l’art, elle ne craindrait rien pour cette
tête
, mais pour le pied droit du Persée, qui est si él
tre pas trop long. Après m’avoir entendu, il me quitta en branlant la
tête
. « Cependant je secouais mes chagrins, et je me d
en refroidi, je commençai à le découvrir peu à peu. Je vis d’abord la
tête
de Méduse, parfaitement coulée, ce qui fut favori
, ce qui fut favorisé par les ventouses dont j’avais parlé au duc. La
tête
de Persée n’avait pas moins bien réussi, et j’en
el était l’auteur d’un si bel ouvrage. Sachez, ajouta-t-il, que cette
tête
est faite selon la manière antique, qui est la bo
i montrai fort poliment mon plan. Pendant ce temps-là, il secouait la
tête
, il se tournait tantôt d’un côté et tantôt de l’a
? — Vous trouverez beaucoup d’hommes, lui répondis-je en baissant la
tête
, qui vous en feront ; mais pour des Persées, non
que Fingal, nul autre que le roi des Collines-Orageuses ne peut faire
tête
à Swaran dans les combats. Une fois nous avons me
aine, il monte sur les collines obscurcies et, de leur cime, élève sa
tête
dans les cieux. « — Salut, dit Cuchullin, enfants
’une voix tranquille, jamais je n’ai fui ; j’ai volé aux combats à la
tête
de mes guerriers ; mais la renommée de Connal est
, je t’aime comme mon âme ; j’ai tué pour toi un magnifique cerf ; sa
tête
était parée d’un bois à plusieurs rameaux, et ses
olline, ce jeune et beau guerrier ! Il était toujours le premier à la
tête
des chasseurs de la montagne ; il était le fléau
l est le bruit du Gormal10, avant que les vagues agitées lèvent leurs
têtes
blanchissantes. Fils d’Arno, monte la colline et
ux : enfant impétueux des montagnes, sa noire crinière s’élève sur sa
tête
superbe ; ses pieds sont robustes et légers ; les
ux farouches roulent sous de noirs sourcils. Sa chevelure tombe de sa
tête
en ondes de flammes, lorsque, penché en avant, il
eil, il traverse les plaines silencieuses de Morven ; penche ta belle
tête
sur les flots. Il est tombé, ton jeune amant, il
eux nuages, et leurs épées brillent comme l’éclair au-dessus de leurs
têtes
. Les collines sont ébranlées et les rochers tremb
ans l’île des Brouillards : épouse du fils de Semo, lèves-tu ta belle
tête
au haut du rocher, pour découvrir les vaisseaux d
s ; la mer vient avec ses flots et mugit sur ses flancs endurcis ; sa
tête
se couvre d’écume et les collines d’alentour rete
ueux bataillons de Loclin. « Cuchullin, triste, l’œil en pleurs et la
tête
baissée, marche à pas lents, traînant derrière lu
rapidité que les enfants de Loclin du penchant de la colline. À leur
tête
marche leur roi dans l’appareil effrayant de ses
nous fîmes des vœux pour la fille de Branno. « Mais au-dessus de nos
têtes
, au sommet de la colline parut la troupe du super
rompit sur le mien. Ô jeune et malheureux amant ! je lui tranchai la
tête
: cinq fois je l’agitai par sa chevelure : les am
stants soufflaient avec violence, et le chêne altier balançait sur ma
tête
son tremblant feuillage : Evirallina occupait mes
de Morni va combattre à ma place !… C’est lui qui va marcher à votre
tête
: il faut que sa gloire devienne célèbre dans nos
ts, le cœur de Gaul s’enflamme et palpite ; mais Swaran s’avance à la
tête
de son armée : il fend le bouclier de Gaul en deu
sa taille gigantesque à un chêne antique des bords du Lubar, dont la
tête
penche sur le fleuve et dont les rameaux furent j
ainsi, dès la plus tendre enfance, dit-il, à tourner à tout vent. La
tête
d’un Langrois est sur ses épaules comme un coq d’
J’avais un grand front, des yeux très vifs, d’assez grands traits, la
tête
tout à fait d’un ancien orateur, une bonhomie qui
pression habituelle de ses yeux, sensible et douce ; mais, lorsque sa
tête
commençait à s’échauffer, on les trouvait étincel
imait et s’échauffait, ce qui lui arrivait si aisément. Le port de sa
tête
alors prenait « beaucoup de noblesse, d’énergie e
e était tout le contraire de celle de Diderot, qu’on se représente la
tête
en avant, les bras tendus, la poitrine ouverte, t
ue cet autre n’avait fait lui-même, à s’en échauffer non seulement de
tête
, mais de cœur ; et alors il était le grand journa
ont peu d’esprit ! dira-t-il ; qu’ils connaissent peu la nature ! La
tête
de Psyché devrait être penchée vers l’Amour, le r
le saint un peu plus proche de sa fin, « les bras un peu étendus, la
tête
renversée en arrière, avec la mort sur les lèvres
et cette mollesse, et cette teinte de rougeur dont la pression de la
tête
a coloré le bout de ses doigts délicats, et le ch
’entremise de Buffon : « Je veux connaître, disait-il, cette furieuse
tête
métaphysique » ; et quand il l’a vu, il ajoute :
mpe, comme disait cet Ancien, mais le lustre, le lustre allumé sur sa
tête
dans les salons du xviiie siècle et qui éblouiss
tait passé maître, et qui dévora Rivarol. Il trouva le temps de vivre
tête
à tête avec sa pensée, de tirer de son cerveau et
ssé maître, et qui dévora Rivarol. Il trouva le temps de vivre tête à
tête
avec sa pensée, de tirer de son cerveau et de son
ce aux cheveux au temps de Rivarol, faisait tourner toutes ces folles
têtes
qui allaient tomber. Mais on savait moins que cel
ant ne sont tombés d’une plume, depuis Tacite ! Burke a raison. Cette
tête
irlandaise, — exagérée comme toute tête irlandais
acite ! Burke a raison. Cette tête irlandaise, — exagérée comme toute
tête
irlandaise (toutes têtes de poètes !), — n’a ici
Cette tête irlandaise, — exagérée comme toute tête irlandaise (toutes
têtes
de poètes !), — n’a ici rien exagéré. Je viens de
vant le coup de guillotine final de Sanson, les Sansons à douze cents
têtes
de l’Assemblée nationale avaient bien des fois gu
té, cette histoire ne frappa pas uniquement, pour la féconder, que la
tête
politique et puissante de Burke. Elle eut le tris
uissante de Burke. Elle eut le triste honneur de frapper également la
tête
hébétée d’un gouvernement éperdu, qui demanda tou
culotte et bas de couleur, en manteau et en rabat, le chapeau sur la
tête
. Il a bien l’air un peu matois et chicanier, comm
lousie, de ce qu’on a accordé le pas sur elle à sa cadette. Elle a la
tête
portée sur une de ses mains, et lance sur les fia
ères et d’animaux. On peut reprocher à Greuze d’avoir répété une même
tête
dans trois tableaux différents. La tête du père q
reuze d’avoir répété une même tête dans trois tableaux différents. La
tête
du père qui paye la dot est celle du père qui lit
pour une servante et que les autres sont perplexes. Je ne sais si la
tête
de cette sœur n’est pas aussi celle de la Blanchi
ette année quatre tableaux : 1° La Madeleine dans le désert C’est une
tête
de femme renversée dans un cadre très-étroit. A d
e a mis de poésie intime, mystérieuse et romantique dans cette simple
tête
. Elle est peinte presque par hachures comme beauc
re le rameau d’or C’est encore d’une belle et originale couleur. — La
tête
rappelle un peu l’indécision charmante des dessin
; — enfin, dans le coin à droite, un homme vigoureux et élégant — une
tête
ravissante, le front un peu bas, les lèvres un pe
devine, est aussi d’une grande volonté et d’une grande finesse ; les
têtes
ont un joli caractère. — Les attitudes sont toute
, nous avons vu de lui, aux galeries du boulevard Bonne-Nouvelle, une
tête
d’enfant qui nous a rappelé les meilleurs morceau
e. L’effet est très-savamment combiné, doux et frappant à la fois. La
tête
, romantique et doucement pâle, se détache sur un
!… Pérignon a envoyé neuf portraits, dont six de femmes. — Les
têtes
de M. Pérignon sont dures et lisses comme des obj
le plus vif plaisir, un portrait de femme de M. Flandrin, une simple
tête
qui nous a rappelé ses bons ouvrages. L’aspect en
té fait d’après nature. — Il y a dans l’histoire contemporaine peu de
têtes
aussi accentuées que celle de Louis-Philippe. — L
Mme Calamatta a peint une Femme nue à sa toilette, vue de face, la
tête
de profil — fond de décoration romaine. L’attitud
. Geffroy Voir le précédent. V. Paysages Corot À la
tête
de l’école moderne du paysage, se place M. Corot.
der sans rire. Paul Flandrin Qu’on éteigne les reflets dans une
tête
pour mieux faire voir le modelé, cela se comprend
out ces dessins est leur noble tournure, leur sérieux et le choix des
têtes
. Curzon Une sérénade dans un bateau, — est
n’exclut pas du tout l’originalité. — Les jambes sont charmantes ; la
tête
est d’un caractère mutin et gracieux ; il est pro
s sculpteurs — les bras et les pieds sont d’un très-beau travail — la
tête
est peut-être un peu commune. Daumas M. Dau
s l’ensemble en est désagréable et rustique, surtout par devant. — La
tête
d’Adam, quoiqu’elle ressemble à celle de Jupiter
s), en s’associant pour la vie une telle compagne, avait, donc mis la
tête
sous un joug avilissant. Il en porta la peine. Et
ix ans d’une pareille oisiveté, le plaçait pour la première fois à la
tête
d’une armée et dans des conditions aussi critique
pas content de lui à Versailles ni dans les états-majors. Les jeunes
têtes
de l’armée trouvaient qu’on y mettait trop de len
conduite ordinaire de la vie. On sait, en effet, qu’à peine mis à la
tête
de son armée du Nord, Richelieu, pressé d’en fini
’est alors que M. de Soubise, que ses amis de cour avaient porté à la
tête
d’un corps particulier d’armée, et que le marécha
ées du Hanovre, est, à mes yeux, une des lèpres du xviiie siècle. La
tête
d’une société est bien malade quand elle prend po
uadé au roi d’Angleterre de mettre le due Ferdinand de Brunswick à la
tête
de l’armée des alliés et de le demander au roi de
e du 23 juin, dans ce triste combat de Crefeld, le jeune Gisors, à la
tête
des carabiniers, eut à charger de l’infanterie qu
aison a une fenêtre sans rideaux, où, à travers la vitre, on voit une
tête
d’Antinoüs en plâtre, et un chandelier représenta
gendarme en carton-pierre colorié, avec une chandelle fichée dans la
tête
. Sur la porte un morceau de papier porte, écrit à
ère ceux qui courent. À la Bourse, du haut en bas, ce ne sont que des
têtes
nues, chapeau en l’air, et dans toutes les bouche
en, auquel le long séjour en Égypte a donné comme une conformation de
tête
orientale, et dans le masque fin et diplomatique
et dans le creux d’un sentier, couché sur le côté, un bélier mort, la
tête
aux cornes recourbées, toute aplatie, et d’où sui
inolente, élargissant, petit à petit, une tache rouge dans le sable —
tête
que flaire, comme dans un baiser, toute brebis qu
s, au triangle d’ombre, dans lequel s’aperçoit, près de sa gourde, la
tête
tannée d’un fantassin dans de la paille. Des sold
urs chapeaux noirs. Soudain, une main se lève au-dessus de toutes les
têtes
, et écrit sur une colonne, en grandes lettres rou
s citoyens. D’un côté est grimpé un mobile, son mouchoir encadrant sa
tête
à l’arabe sous son képi, de l’autre côté un jeune
que la foule ramasse et rejette, en l’air, et qui font au-dessus des
têtes
, comme une giboulée de flocons de neige. « Les ch
ournisseurs de la ci-devant Majesté, et l’on rencontre des bandes où,
tête
nue, des hommes chauves, cherchent à exprimer, av
C’est la supériorité du Prussien dans ce moment. » Renan, relevant la
tête
de son assiette : « Dans toutes les choses que j’
s d’hôpital, montent la garde, empaquetées dans une couverture, et la
tête
serrée dans un mouchoir à carreaux bleus. Tous ce
e l’air vivifiant de la haute colline. Le fort, il est encore dans la
tête
de l’officier du génie chargé de le construire. O
onaux en redingote, en vareuse, en bourgeron, avec au-dessus de leurs
têtes
, des chants qui n’ont plus rien de la note gamine
s du pittoresque moulin, enguirlandé de lierre courant au travers des
têtes
antiques de plâtre, je trouve la curiosité de Par
trée du passage Jouffroy, au-dessus des képis qui coiffent toutes les
têtes
, se balancent à une ficelle, tendue entre deux ar
semblent chercher à jeter le découragement, avec leurs paroles, leurs
têtes
épouvantées, leurs mines de lâches. En dépit de c
essés, et dont on ne voit passer que le haut des trois fusils, et des
têtes
jaunes sous des calottes rouges. Les mobiles s’ag
oix rouges des ambulances, que quelquefois surmonte à une fenêtre une
tête
de militaire, enveloppée d’un linge taché de sang
le de Droit, placardée la formation d’un Comité de femmes, portant en
tête
, le nom de Louise Collet. — Chez un marchand de v
tur prix de Rome n’esquissait pas dans un faux œil-de-bœuf une grande
tête
de la République, coiffée du bonnet phrygien, et
ussée, ayant près d’elles leurs petites filles, qui ouvrent sur leurs
têtes
leurs mouchoirs contre le soleil, et fixent, sans
raternité. J’en vois passer un autre, son pauvre mouchoir noué sur la
tête
, un édredon vert sur les jambes. Et toutes sortes
des pots de grès aux dessins bleus, au-dessus desquels voltigent des
têtes
de femmes, au teint de brugnon, aux cheveux coule
, Louis Blanc, que son frère amène dîner à ma table, chez Péters. Une
tête
qui est un mélange de cabotin et de séminariste m
Par ces jours tragiques, en l’élévation du pouls et la griserie de
tête
, qu’amène le bruit grondant de la bataille contin
milieu d’un peloton de mobiles, j’aperçois du haut de l’omnibus, deux
têtes
de mauvais roux, dans des uniformes bleuâtres : d
aces splendides, se voient des figures rébarbatives de plumitifs, des
têtes
aux longs cheveux socialistes, des crânes avec un
d’une balle prussienne. Et c’est un amusement, en avançant un peu la
tête
, de voir, sous les balles des francs-tireurs embu
ules Ferry, Rochefort qui parle et rit fébrilement, Pelletan, dont la
tête
de philosophe antique s’accommode mal du képi. Le
ses figures militaires, et qui, le bonnet de police de travers sur la
tête
, une ceinture algérienne aux rayures éclatantes l
tant la Marseillaise, en brandissant leurs paniers au-dessus de leurs
têtes
, et follement dansant, une jambe en l’air, ainsi
ore des fillettes qui, dans l’effort de porter un petit sac sur leurs
têtes
, montrent tendu en avant, sous le placage de la r
ù tout est un peu effacé, incertain, les choses comme les figures, la
tête
d’Hugo, en pleine lumière, se trouve dans son cad
cheveux, de belles mèches blanches révoltées, comme il y en a sur la
tête
des prophètes de Michel-Ange, et sur sa figure un
tignonnés en couronne ou plutôt en moule de pâtisserie, au haut de la
tête
. Elle porte une robe de laine noire à longue queu
sé. Je le vois remonter sur les épaules de quatre hommes, inerte ; la
tête
bringue-ballante. Il s’est cassé la colonne verté
, cette pauvre petite poule voletant, un moment, dans le jardin, sans
tête
. Aujourd’hui, c’est chez tous un recueillement co
chose d’un déménagement céleste, où des Titans remueraient sur votre
tête
les commodes du ciel. Je suis dans le jardin de G
un pouce de fer. Au fond des coupés, on entrevoit des officiers, à la
tête
ensanglantée, dont la manche galonnée d’or et la
rue, d’affreux tableaux : des voitures d’où l’on tire des hommes, la
tête
voilée d’une serviette, tachée de sang. Aux Halle
Impératrice, je tombe dans une foule menaçante, au milieu d’affreuses
têtes
de vieilles femmes, embéguinées de madras, et qui
é, l’aspect d’une réduction d’une contrée volcanique. Au-dessus de ma
tête
tournoie un oiseau de proie, peut-être un des fau
lui appartient pas. Nul artiste, en effet, nul penseur, ne tire de sa
tête
, si riche qu’elle soit, la notion de l’élégance à
ni dans Don Juan, la plus belle œuvre que le dandysme, servi par une
tête
de génie, ait créée jamais, la pensée anglaise n’
nieux, qui sait se poser sur son cheval ou sur un canapé, qui mord ou
tête
habituellement le bout d’une canne ; mais un être
nts au mépris ? Eu supposant qu’ils eussent influé sur l’animal « aux
têtes
frivoles » des salons et des boudoirs, auraient-i
enait la profondeur ! Enfin, pour citer Balzac lui-même à Balzac, les
têtes
les plus étonnantes de sa Comédie humaine, celles
e, celles dans lesquelles il a versé le plus d’intelligence, sont des
têtes
de dandys. C’est Henri de Marsay, le Machiavel-Al
alme et l’impartial observateur de La Comédie humaine et cette grande
tête
d’ordre et d’autorité que les désordonnés d’espri
s, et, d’un autre côté, ce n’est pas Rabelais qui déformera jamais la
tête
, éprise de son génie, qui aura reposé ou médité s
t homme, ainsi retourné, vaut un visage, et son casque, qui masque sa
tête
, vole en éclats, crevé par deux cornes qu’il semb
nter, il y a un effet de profil extérieur et intérieur produit par la
tête
ouverte, et qu’il faut voir pour le comprendre et
ses personnages. Il a des manières de faire flotter des plumes sur la
tête
qui dispensent de la tête ! L’identité du personn
manières de faire flotter des plumes sur la tête qui dispensent de la
tête
! L’identité du personnage est dans l’air presque
bien faite qu’elle soit d’ailleurs ultérieurement, en répondra sur sa
tête
, c’est-à-dire sur son succès ! XI Que de c
n, à laquelle on est obligé de revenir toujours et qu’on cherche à la
tête
de cette nouvelle édition de Balzac, qu’on ne com
ne foule de spectateurs hideux et cruels, dont on n’apperçoit que les
têtes
. Le Christ est assez bien dessiné, le tableau pas
i ce n’est pas une mauvaise plaisanterie, Bounieu est un artiste sans
tête
et sans ressource. figures et fruits. on voit sur
. La maîtresse ne dit pas davantage. Vous n’avez pas une idée dans la
tête
. Cette petite fille qui joue avec son chat est mi
tite chambrière de campagne, assise, le coude appuyé sur la table, la
tête
penchée sur sa main, rêvant tristement. Cela n’es
, point de couleur ; cou, bras, mains noires, le bras qui soutient la
tête
, paralitique et décharné ; vêtemens grossiers et
us mauvaise encore. On voit le petit dormeur dans sa mane d’osier. Sa
tête
n’est pas mal, en comparaison du reste, c’est cel
qu’elle a fait de mieux. Il y a de la couleur et de l’expression. La
tête
et la poitrine de la peinture sont comme d’un anc
airie. Gavarni nous disait encore que physiquement, du derrière de la
tête
aux talons, chez Balzac, il y avait une ligne dro
rière lui un autre entrant dans la pièce avec un matelas roulé sur sa
tête
. * * * — Gavarni nous racontait aujourd’hui que,
éclairées par un incendie intérieur. Dans la rue quelques gamins à la
tête
gouailleuse de blagueurs de paradis, mêlés à de m
personne costumée en Alsacien, avec un gros bonnet de fourrure sur la
tête
, des bretelles rouges au dos : il avait l’air d’u
t des coiffures de la vieille Alsace, parmi lesquels une garniture de
tête
, en fleurs artificielles, de danseuse espagnole,
urs soudaines, comme si on lui tirait des coups de fusil à travers la
tête
. Voilà deux ans qu’il souffrait ainsi. Oui, ce ru
e promène en vous, après les excès, ainsi qu’une carafe d’eau dans la
tête
d’un hydrocéphale. 28 août Été voir Célesti
u gouvernement : « Il faut vivre, dit-il, les convictions courbent la
tête
pour manger…. En effet, il n’y a plus de subventi
nous ne le savourons pas complètement. Nous avons une maladie dans la
tête
. Les bourgeois ont raison… mais être raisonnable…
evant moi. Mes beaux petits souvenirs fanés reprennent la vie dans ma
tête
et dans mon cœur, comme un herbier qui refleurira
u doublé d’un tartan écossais à carreaux rouges et noirs : une grosse
tête
renflée aux tempes, un front extraordinairement b
é, que les lumières font paraître blanc, une raie androgyne en pleine
tête
, des hommes odieux par le soin féminin de leur ba
, un squelette ; la seconde, un corps de phtisique portant une grosse
tête
ridicule ; la troisième, une statue de marbre noi
Je le revoyais encore… non, j’ai beau chercher, je ne revois plus sa
tête
, en ce jour… je me souviens seulement sur un drap
uché dans son grand lit, et où penchée sur moi, elle avait près de sa
tête
, la tête de son frère Armand, la jolie et aimable
son grand lit, et où penchée sur moi, elle avait près de sa tête, la
tête
de son frère Armand, la jolie et aimable tête fri
ait près de sa tête, la tête de son frère Armand, la jolie et aimable
tête
fripée d’un ancien officier de hussards : — car i
dans un petit fauteuil, tout contre mon frère faisant ses devoirs, la
tête
presque fourrée dans le vieux secrétaire d’acajou
bibelots par terre. Un silence comme dans les jours tragiques, et la
tête
de la baronne, vous la voyez… lorsqu’un larbin ra
ar les pieds, les deux gardes du corps, décapités en bas, et dont les
têtes
furent frisées au bout des piques, qui les portai
cette blouse : esquisse, où avec la révolte des cheveux blancs de sa
tête
nue, son teint de vivant en plein air, sa pipe en
grandes lignes — chercher ses valeurs — et se touchant tour à tour la
tête
et la place de son cœur, mettre sur sa toile, ce
apparaissant aux vernissages, avec des bandeaux botticelliens, et des
têtes
imitant les têtes des tableaux primitifs. Au Gren
ernissages, avec des bandeaux botticelliens, et des têtes imitant les
têtes
des tableaux primitifs. Au Grenier, on cause aujo
e la blessure du cheval déplaçait l’intérêt, le retirait de dessus la
tête
de l’empereur. Vendredi 3 juillet Pose, tou
se, la dernière fois, je crois, pour la première étude que fait de ma
tête
, Carrière, et je l’interviewe, à propos de la pré
her en palissandre ciré, une belle pendule Empire en bronze doré, une
tête
d’homme de Ribot, deux dessins de Boulanger, et u
omestique venait chercher Lavoix, pour porter le mort sur son lit. Sa
tête
était tombée sur des épreuves fraîches du diction
ttre en route, de faire un voyage, et l’idée du voyage entrée dans sa
tête
, il a besoin de décamper de suite, disant à son m
al, qu’avait donné son beau-père, mais après, quand il s’était trouvé
tête
à tête avec sa femme, il avait été pris d’une cri
avait donné son beau-père, mais après, quand il s’était trouvé tête à
tête
avec sa femme, il avait été pris d’une crise de n
uis plus le docteur Blanche. » Et il faisait un triste portrait de sa
tête
, disant qu’à l’heure présente, il y a la physiono
ommeillements, de cauchemars. Je rêvais qu’un dentiste, qui avait une
tête
de penseur sublime, mais en plâtre, me travaillai
ée, je ne sais par quoi, et une nouvelle séance de mon dentiste, à la
tête
de plâtre, qui avait pris, cette fois, le caractè
plâtre, qui avait pris, cette fois, le caractère de méchanceté de la
tête
du vieil Aussandon, et je l’entendais me dire ave
est-il encore temps pour l’ablation. » Et devant le rire féroce de ma
tête
de plâtre, j’avais l’effroi de l’attente de cette
dos des trois femmes, avec, de temps en temps, le retournement de la
tête
de ma tante, qui me jetait dans un sourire : “Edm
e bien découplée, à l’air gentil et distingué. Un intelligent haut de
tête
, des yeux clairs et voluptueux, un petit nez droi
Année 1856 6 mai 1856 Je reviens. J’ai la
tête
comme si on y rangeait un musée de toiles et de m
idées monotones et ressassées qui me passent et me repassent dans la
tête
. Et les autres, dont j’attendais des distractions
egardé attentivement non le théâtre, mais la salle ? Avez-vous vu ces
têtes
? Je ne sais pas, après avoir vu ça, comment on a
s que les chrétiens fervents éprouvent à mourir. * * * — Dans la rue.
Tête
de femme aux cheveux rebroussés en arrière, dégag
tin, boivent un verre de sang. J’entendais l’un, un jeune blond, à la
tête
bonasse, s’écrier en tapant sur sa poitrine : « C
apillons blancs et de papillons bruns ; — les hautes tiges hochant la
tête
sous la brise qui les courbe ; — des rayons de so
bancs qui touchent à l’avenue et qui sont sur le bord du soleil, des
têtes
à l’ombre, et des dos ronds faisant le gros dos,
nde qui remue et bruit à peine, un monde qui se traîne ou demeure, la
tête
baissée sur la poitrine, les mains prenant appui
is par trois, sur un banc, s’épaulent entre elles. Une est seule, la
tête
raide et de côté ; un nez de vautour, trois grand
, combien cela ? Et hanchant coquettement, elle tient au-dessus de sa
tête
, entre ses deux mains, toute une rangée de livres
ir la souplesse. Cauchemar du gendre, la nuit, voyant des milliers de
têtes
dont le nez est ainsi tourmenté par des mains au
scopes, etc., etc. Une porte s’ouvre, et un homme paraît, à la grosse
tête
carrée, aux gros traits, aux grosses moustaches,
ni l’Art, ni la Science. Elle est dans ce qui nous faisait tourner la
tête
, quand nous avions une tête à tourner. À présent
e est dans ce qui nous faisait tourner la tête, quand nous avions une
tête
à tourner. À présent nous l’avons immobile ; mais
e ce charme des femmes, menacé par elles-mêmes, et dans l’intérêt des
têtes
qu’après, elles pourraient tourner encore…… Vot
e, la roue d’Ixion, les eaux du Cocyte ; récréant les serpents sur la
tête
des Euménides ; attirant Cerbere qui vient lui lé
tout est faible ; mais les reflets de lumière sont bien entendus. La
tête
d’Euridice est sotte, ses pieds et ses mains sont
es importants. On aperçoit seulement vers le fond quelques sommets de
têtes
. Si dans un tableau ce qui occupe le plus d’espac
i est le malheureux qui vous a causé de la peine ? Il le paiera de sa
tête
. Revenez à la vie. Rassurez-vous… Ah, je vois vos
s arts enfants du dessin, en soumettant les figures à des hauteurs de
têtes
, les têtes à des longueurs de nez ? N’aurait-on p
nts du dessin, en soumettant les figures à des hauteurs de têtes, les
têtes
à des longueurs de nez ? N’aurait-on pas fait de
draient toutes les conventions symétriques ? Un bossu est bossu de la
tête
aux pieds. Le plus petit défaut particulier a son
es oiseaux. Si vous tentez l’apothéose du grand Henri, exaltez votre
tête
; osez, jetez, tracez, entassez tant de figures a
apprenties, un serin avec sa cage, voilà tout. Mais il vous vient en
tête
de transformer votre lingère en Hébé ? Faites, je
du menton marqué d’un imperceptible méplat. La beauté coule de cette
tête
divine et se répand sur le corps, à la façon d’un
le ? Le visage ambigu des sphinx est moins mystérieux que cette jeune
tête
en apparence si naïve. D’un côté, son profil exha
du marbre pur et froid comme elle. Grande et svelte, dépassant de la
tête
le cortège errant de ses Nymphes. Sa figure est c
mple touffe. Toujours en marche, toujours en mouvement, retournant la
tête
comme à l’appel d’une fanfare tirant une flèche d
ses tempes les ramures du cerf. — Fuis, téméraire, sans retourner la
tête
! déjà tes chiens te regardent d’un oeil soupçonn
trueuse d’une idole. Ses plus antiques images la représentent avec la
tête
d’un cheval, enlacée de serpents, portant un daup
au bruit du sombre quadrige ; elle couvre de baisers et de larmes la
tête
de sa fille ; elle lui demande si elle n’a goûté
résente un Génie ailé. Le nom de Félicité est inscrit au-dessus de sa
tête
. Trois femmes l’entourent : l’une, qui symbolise
me par ouï dire. » Pausanias, dans son Voyage, passe en se voilant la
tête
devant le sanctuaire d’Éleusis. « Quant à ce qui
ne, tenant de la main gauche un long flambeau, étend sa droite sur la
tête
de l’éphèbe, en signe de bénédiction. Cette scène
inutile. Athlète de la terre, il s’offre nu aux luttes du labour. Sa
tête
, tournée vers Cérès, exprime une attention religi
n flammes, comme un bouclier, contre l’épée de Ménélas dressée sur sa
tête
. A sa vue, le glaive était tombé des mains de l’é
cette crainte, le cœur lui battait en secret, et, s’étant couvert la
tête
d’un voile, elle suivait pas à pas les traces de
c qui mordit son bras blond comme l’ambre, il dresse à côté d’elle sa
tête
acérée !… Au parfum qu’il exhale, on dirait qu’il
t qui symbolise sa morne routine ! Retourne à tes vieilles idoles aux
têtes
d’éperviers ou de singes, tandis que les Dieux ch
r demander l’enfant colérique, auquel on n’a jamais rien refusé. — La
tête
du genre humain ! ce sera le dernier souhait des
peuples humiliés, prosternés, vautrés ; rien qu’une vague mosaïque de
têtes
aplaties. Au-dessus, des Dieux lointains et indif
oyage en Grèce est le Roman-Comique d’un cabotin couronné. Parti à la
tête
d’une armée de cinq mille claqueurs, — Augustani,
e par destituer en masse tous les Dieux, il les décapite et plante sa
tête
sur les épaules de leurs statues mutilées ; puis
cette idole de la Bible qui se brisa sur le parvis du Temple : de sa
tête
d’or sortit une poignée de rats. La tyrannie, qui
ve qu’il est mangé par des fourmis, et qu’il chevauche sur un singe à
tête
de cheval qui pousse des hennissements cadencés.
jeta au gouvernail du monde en détresse ; elle le plongea jusqu’à la
tête
dans cette foule humaine qu’il était né pour cont
été en pareil péril. Cette fois Marc-Aurèle va combattre lui-même en
tête
des légions. Il dépouille son palais pour subveni
s’il l’avait pu, il aurait épargné Cassius. Lorsqu’on lui présenta sa
tête
tranchée par un centurion, il détourna le visage
l’heure du Couchant. » Le septième jour de sa maladie, se voilant la
tête
, comme pour dormir, de son manteau militaire, il
de leur corps aux membres trapus, de la grosseur monstrueuse de leurs
têtes
, de leurs nez écrasés, de leurs mentons hachés de
Les Gaulois ne craignaient rien, sinon que le ciel croulât sur leurs
têtes
: les Huns n’avaient qu’une peur, celle que les t
s la forme d’une bête chimérique. Quelques Chroniques lui donnent une
tête
d’âne ; d’autres un groin de porc ; celles-ci le
m que les évêques l’interpellent, debout sur son passage, la mitre en
tête
et la crosse en main, aux portes des villes. Il y
émut, demanda sa grâce. La pierre philosophale ne valait-elle pas une
tête
de rebelle ? Le roi, indigné qu’on osât lui march
lançant dans l’Europe avec une poignée d’hommes, comme Alexandre à la
tête
de son carré de Macédoniens, dans l’infini de l’O
distingue sa cruauté, c’est son humeur goguenarde. Il jouait avec les
têtes
qu’il faisait couper. Dans une de ses lettres, il
lement qui l’avait trahi. — « Et, dit-il, afin qu’on cogneust bien sa
tête
, je l’ay faict atourner d’un beau chaperon fourré
du chasseur qui rentre au donjon portant un cerf sur ses épaules, la
tête
passée entre les pieds noués de la bête. Il faut
rudes batailleurs qu’il avait défaits auraient pu lui dire ce que la
tête
coupée de Klephte dit, dans le chant grec, à l’oi
« se ruait à genoux », comme dit la chronique, « se signant depuis la
tête
jusqu’aux pieds. » A la perversité de l’hypocrisi
ien. Au banquet de son sacre, gêné par la couronne trop large pour sa
tête
, il l’ôta sans façon, et la posa sur la table, co
olu ou la fièvre chaude de la cruauté. César Borgia les dépasse de sa
tête
qui resta toujours froide et lucide. Rien de mala
ssassiner par cinq sbires, monta à cheval, prit le cadavre en croupe,
tête
pendante, et alla le jeter, la nuit, dans le Tibr
montait un cheval blanc et qui portait en croupe un cadavre, dont la
tête
et les bras pendaient d’un côté et les pieds de l
ondirent : Signor si. Puis il piqua son cheval ; mais, en tournant la
tête
, il aperçut le manteau qui flottait sur l’eau. Il
urrents de son antre ou de sa citerne. A vingt ans, on le voit donner
tête
baissée dans une boutique d’orfèvres rivaux. « Tr
n visage est celui d’un homme, d’un lion ou d’un bœuf ; on dit que sa
tête
n’est pas à l’action et ne tient pas à son cou ;
ges et d’injures. Les papes eux-mêmes ne l’intimidaient pas : il tint
tête
à Clément VII, à Paul III, ces terribles pontifes
envoie au diable ses messagers. On le mande au Vatican, il comparaît
tête
haute ; Sa Sainteté est en colère, elle gronde, e
remblantes d’enthousiasme. « Benvenuto mio, tu aurais été là, dans ma
tête
, que tu ne l’aurais pas fait autrement. » — Le pr
iguière sur laquelle une Nymphe recourbée en anse mire dans le vin sa
tête
élégante. Il se plaît à prendre son sel dans la c
Qu’on sache qu’après la vision que j’ai racontée, il me resta sur la
tête
une lueur miraculeuse qui a été parfaitement vue
es os du crâne bien gravés dans la mémoire, ne saura jamais faire une
tête
qui ait la moindre grâce… Je veux aussi que tu te
tête qui ait la moindre grâce… Je veux aussi que tu te mettes dans la
tête
toutes les mesures de l’ossature humaine, afin qu
able armature de la vigueur et de la beauté. L’homme se penche sur la
tête
de mort avec ravissement, il n’y cherche plus le
le divorce, disgraciée du roi que rebutaient ses gros yeux à fleur de
tête
et sa bouffissure maladive, Catherine de Médicis
t à Venise, à son retour de Pologne, trace déjà tout un caractère. La
tête
usée et rusée a l’expression ambiguë d’un masque
parence tous actes d’un grand et dévot catholique. » — Ce chapelet de
têtes
de morts était sa discipline de Tartufe. Un jour,
if se renverse dans une arrogante attitude. Derrière, se dressent des
têtes
de moines furieuses, menaçantes, dont les yeux fl
’abat sur saint Basile comme si elle voulait lui crever les yeux. Les
têtes
même des chérubins qui jonchent le ciel du tablea
re anachorète au fond d’une Caprée mystique. Le globe du monde est sa
tête
de mort, les papiers d’État sont sa Bible. Jour e
uand une femme lui présentait un placet, il le prenait en tournant la
tête
, pour ne pas la voir. Par l’imbécillité de son es
rocession commença. Cent charbonniers, armés de piques, marchaient en
tête
: c’était le privilège de ces fournisseurs du bûc
l’Évangile, le prêtre quitta l’autel, et le roi d’Espagne, debout et
tête
nue, vint prêter serment au Saint-Office entre le
pris dans un étrier : le cheval l’entraînait, il allait lui briser la
tête
contre les dalles. « Le roi qui la voyoit de son
mant platonique. Don Juan, bâtard reconnu de Philippe IV, se mit à la
tête
de la Grandesse, et renversa ces frêles favoris.
a terre, en écartant la nuée qui les couvre. On passe, On détourne la
tête
, on lève les bras au ciel ; à peine ose-t-on écha
on exquise réserve et son saint silence. Elle jeta d’elle-même sur sa
tête
mourante le voile des victimes vouées aux dieux i
vivant, dont des mains sacrilèges tiraient les gestes et remuaient la
tête
imbécile, il présidait machinalement à la curée d
nts, la bouche convulsée. Un effarement de visionnaire idéalise cette
tête
ravagée : on croit voir Hamlet, au cinquième acte
de sa famille. Quelques heures avant d’expirer il se fit apporter une
tête
de mort et posa sur elle la couronne royale. — Ph
— Sur le crâne de Philippe II, il aurait pu dire : — « Voilà donc, la
tête
de celui qui croyait pouvoir circonvenir Dieu32 !
t aux dieux. Volontiers comme à ces dieux, elle leur aurait donné des
têtes
d’animaux. XVII. Un tel culte devait avoir
ette dynastie, on obtiendrait le phénomène produit par cette série de
têtes
décroissantes, dans laquelle l’inclinaison d’une
e ligne verticale transforme insensiblement le profil de l’Apollon en
tête
de grenouille. Les reines meurent de cette servit
qui s’appuie, à un arbre ou à une colonne, les mains croisées sur sa
tête
: son pied foule mollement une torche éteinte. Pa
éroce. Regardez bien : à travers ce masque décharné, on entrevoit une
tête
plébéienne. Le faible se venge du fort en l’assig
iple menton. La Mort l’a décoiffé de sa mitre, et, le tibia tendu, la
tête
à la renverse, sa crosse abbatiale sur l’épaule,
et sous les yeux un globe plus profond et plus mystérieux : c’est une
tête
de mort. — Il entre avec effraction dans le cavea
evaux s’effarent ; mais le vieux paysan n’est pas même ému. Sa grosse
tête
obscure et ridée comme l’argile que fend sa charr
chera dans le sépulcre comme il se couchait à midi dans le sillon, la
tête
sur une pierre. Qu’il est touchant, le mélancoliq
tous les sexes, tous les caractères. — Ici, la Mort est vieille : sa
tête
branle, ses fémurs chancellent ; là, elle roidit
es voluptés enflammées. Un frisson d’amour circule dans la salle, les
têtes
s’exaltent, les cœurs bondissent, on lance des po
nvoûtement ; cœurs ennemis exposés sur la basquine lascive, comme des
têtes
de giaours entre les créneaux du sérail ; écrin d
opos de vieux Gitano qui jette un jour étrange sur l’intérieur de ces
têtes
obscures. « Je me souviens, — lui dit son guide A
dre les derniers devoirs. Une de ses cousines marchait et chantait en
tête
. Le cortège rencontra près d’un pont le corps du
t sur son lit funèbre, entourée de frati voilés comme des Ombres ; sa
tête
flottait dans l’auréole formée par les cierges ;
n’était plus le paria sordide qui, le jour, s’en allait par les rues
tête
basse, l’air furtif, rasant le mur de sa tunique
gés des denrées de l’Inde. Derrière un rideau diapré apparaissait une
tête
de vierge, au nez aquilin, aux yeux de diamant :
les serviteurs de l’argent montent en grade ; le publicain relève la
tête
; à l’argentier décrié et d’état précaire succède
resque dynastique. Le père, revêtu de fourrures comme un roi du Nord,
tête
de bourgeois hautain, qui vous regarde d’aplomb,
e descendre de cheval et se tiennent debout, la lance en arrêt. Leurs
têtes
chagrines et soucieuses trahissent une fatigue im
Remonteront-ils sur leurs chevaux fatigués comme eux, qui soufflent,
tête
basse ? Je crois plutôt qu’ils vont jeter leur cu
leur comptoir glorieux comme un trône. Leur pavillon marchand tenait
tête
aux étendards blasonnés ; elles mettaient du géni
il faut chercher le Roland primitif, tel qu’il sortit tout armé de la
tête
casquée de la Chevalerie. C’est dans l’aire où il
asins qu’elles abattent par gerbes, taillant les membres, courant les
têtes
, tranchant en deux, d’un seul coup, les chevaux e
e casque de la guerre ; Boccace, plus hardi, le fait chanter dans une
tête
de mort. Au milieu du deuil qui remplit Florence,
La jeune fille va déterrer le corps de son bien-aimé ; elle coupe sa
tête
avec un couteau, la dépose au fond d’un vase qu’e
passant par Amboise, le vieux huguenot se trouva face à face avec les
têtes
coupées de ses frères d’armes plantées sur des pi
ia-t-il, ils ont décapité la France ! » Puis, posant les mains sur la
tête
de son fils : « Mon enfant, il ne faut point épar
sur la tête de son fils : « Mon enfant, il ne faut point épargner ta
tête
après la mienne pour venger ces chefs pleins d’ho
alédiction. » L’enfant jura, et jamais serment ne fut mieux tenu. Ces
têtes
coupées furent au néophyte ce que les têtes de mo
nt ne fut mieux tenu. Ces têtes coupées furent au néophyte ce que les
têtes
de morts sont aux anachorètes, un mémento perpétu
. La jeunesse de d’Aubigné, c’est une stance du poème de l’Arioste en
tête
d’un chant de la Divine Comédie ; c’est une fanfa
e autant de Prostituées apocalyptiques montées sur des dragons à sept
têtes
. La lecture unique et assidue de la Bible halluci
ant aux frères leur requête, Des os qui furent bras fit couronne à sa
tête
. Son tableau de la Saint-Barthélemy a l’horreur
ux fenêtres du Louvre, sur le fleuve qui charrie des morts, les mille
têtes
lubriques et cruelles d’un cirque romain. Or, ce
la Suisse, négocia avec l’Angleterre pour sauver la Rochelle, et tint
tête
à toutes les intrigues et à tous les pièges de la
mort, il lui répondit en prenant femme, le jour où l’on tranchait la
tête
à son effigie : le vieux soldat se remaria en bar
; rentrez en vous-même, et repassez vos actions du jour. Demain, des
têtes
coupées allongeront leurs barbes entre les crénea
e pour remplacer le vin défendu. Il y est aussi naturel de couper des
têtes
que de cueillir des oranges. On n’y cherche pas l
jusque sur les marches du trône. — Résigne-toi, attends et courbe ta
tête
: elle tombera demain, si Allah le veut… peut-êtr
serait plus elle. Sa petite tache de boue sied comme une mouche à sa
tête
folâtre. C’est le signe auquel la reconnaissent s
l voit Manon pour la première fois ; et il se jette dans ses bras, la
tête
la première ; et, de cette étreinte aussi fatale
magistrat goguenard dont la perruque à marteaux semble railler leurs
têtes
dépouillées. Près de lui, un greffier affairé enr
grâce, trente ans plus tard, non plus pour ses cheveux, mais pour sa
tête
: « Monsieur le bourreau ! monsieur le bourreau !
aïenne » de Mme de Sévigné ; l’eau du baptême n’a jamais touché cette
tête
de nymphe érotique. On a beau résister, il faut s
ts qui nous la montrent dans sa première fleur de jeunesse. C’est une
tête
candide et presque enfantine, éclairée par ces gr
ris. La jeune Grecque, comme on l’appelait, tourna bientôt toutes les
têtes
. Le Régent eut un instant l’envie d’en faire sa m
manières ; que c’était là une chose que je supporterais à peine d’une
tête
couronnée, mais que je ne trouvais pas que la fav
ur de Shakespeare, bouffonnant sur les fosses ouvertes et cassant les
têtes
de mort à coups de bêche. Pamphlétaire, il est te
rticulière, devient générale. Il voudrait que l’humanité n’eût qu’une
tête
pour lui cracher au visage. Sa préoccupation uniq
re d’êtres rencontrés dans la vie. Elles vous reviennent ainsi qu’une
tête
de morte que vous auriez vue, éclairée et dorée a
Frémiet me racontait que Rude s’amusait à mettre, à côté de la belle
tête
du cheval de Phidias, la tête d’un cheval de fiac
s’amusait à mettre, à côté de la belle tête du cheval de Phidias, la
tête
d’un cheval de fiacre, et qu’il faisait observer
et qu’il faisait observer que c’était la même chose, que seulement la
tête
du cheval de fiacre était encore plus belle. Et R
ues de Guizot jusqu’au maquerellage de la Deslions ; de cette femme à
tête
de criminelle qui ressemble à la veuve de Jean Hi
est lavé avec une eau d’encre de Chine, larveusement fantastique. Les
têtes
sont hideuses, avec des gaudissements, des jovial
rétracté, d’un passé de bohème qui fait amer. L’un surtout avait une
tête
taillée à la serpe, la tête grossière et rude d’u
ème qui fait amer. L’un surtout avait une tête taillée à la serpe, la
tête
grossière et rude d’un carrier, avec des moustach
nuellement sa jambe au-dessus de son visage, et en jetant au ciel, la
tête
toute renversée dans son dos, un regard ivre qui
oir dans le monde. Tant de gens passent devant vous avec de mauvaises
têtes
, et qui ne commettent pas de crimes, n’élèvent pa
? lui jette la princesse. — Moi, princesse, écoutez-moi, j’ai dans la
tête
, je ne sais où, là ou là — il se tâte le crâne —
heveux de ces caricatures du Punch qui ont trois fils d’archal sur la
tête
. Et il embrasse une main que la princesse retire
les cinq minutes, la moitié du visage. Il a une calotte noire sur la
tête
, un ruban de la Légion d’honneur à la boutonnière
ent jusqu’au ventre. Puis c’est le violoniste hongrois Reminy avec sa
tête
glabre de prêtre et de diable, Reminy, flanqué de
lanqué de son accompagnateur, un petit bonhomme gras et féminin, à la
tête
d’Alsacienne, aux cheveux blonds en baguettes, to
cheveux blonds en baguettes, tombant droit de la raie du milieu de sa
tête
, et en sa redingote de séminariste allemand, dans
t pleins de confiance, arrangeant, ordonnant tout d’avance dans notre
tête
. Mais voilà que, sur nos espérances, tombent ains
ne voiture découverte, à travers de l’air que nous couperons avec nos
têtes
sans chapeaux. 9 mai Flaubert nous disait h
jaillirait une idée intelligente : « Oh ! vous, vous vous creusez la
tête
pour trouver le mystère de la nature, mais vous n
te Primoli et sa femme, Nieuwerkerke, le vieux Giraudet son fils à la
tête
frisée, à la fine figure de Méphistophélès, Baudr
sur lequel il est assis, rit la première, en regardant par-dessus sa
tête
, rit de la charge d’Arago, écrasé sous une légion
t un trou à une pièce de vin, et la boit en la tenant au-dessus de sa
tête
. Pour Carpeaux comme pour tous les gens de talent
us allons la remercier. Elle allait sortir. Elle a son chapeau sur la
tête
. Une poignée de main vive, des paroles animées, d
C’est fini. Nous voyons le mort, un foulard noué en turban sur la
tête
, le drap remonté sous le menton et tombant droit
misérable pension faite par le ministère de la marine, et toujours la
tête
dans un tas de découvertes, et soutenant en lui l
bles. Puis, quand c’est fini, la répétition vous reste encore dans la
tête
, dans les oreilles, au cœur, comme une douce émot
▲