« Et moi ? » Au quatrième acte et au dernier, c’est l’émulation pour
souffrir
; entendez pour souffrir dans son corps, et quell
e acte et au dernier, c’est l’émulation pour souffrir ; entendez pour
souffrir
dans son corps, et quelles tortures ! Les tenaill
l des sentiments et de l’héroïsme de ses personnages. Ils ont soif de
souffrir
(n’oubliez pas de quelles souffrances inouïes, dé
rhumaine, Renan donne ces explications : « L’exaltation et la joie de
souffrir
ensemble les mettaient dans un état de quasi anes
emble, devenait pieuse ivresse et joie sensible. L’idée que le Christ
souffrait
en eux les remplissait d’orgueil et, des plus fai
ue, d’être regardé, c’est une grande force : cela donne le courage de
souffrir
beaucoup, même pour des causes chétives et frivol
té chaste et sanglante de Blandine, aidant le pauvre petit Ponticus à
souffrir
et à mourir, est peinte de traits assez forts et
urage ! Et, quand le petit Ponticus est sur le chevalet : Non ! tu ne
souffres
pas !… je le veux !… je l’ordonne ! PONTICUS Non…
ne souffres pas !… je le veux !… je l’ordonne ! PONTICUS Non… je ne…
souffre
… pas… (Sa tête retombe ; il meurt.) BLANDINE No
e… souffre… pas… (Sa tête retombe ; il meurt.) BLANDINE Non… je ne…
souffre
… pas… (Sa tête retombe ; il meurt.)Jésus !… Je vo
t. Se pénétrant de son rôle, elle appelait les tortures et brûlait de
souffrir
… » Il m’eût donc plu que l’auteur conçût cette tr
s négligée un peu, et presque ignorée. Or, du jour où il s’agirait de
souffrir
et de verser son sang, il apparaîtrait tout aussi
« répond par un geste de suprême lassitude et se détourne ». Le père
souffre
parce que cette petite fille, qui n’avait pas dem
as demandé à vivre, est sans doute vouée, comme lui, à la douleur. Il
souffre
d’avoir à déclarer l’enfant à la mairie ; il trou
ent l’odieux et le ridicule de l’ordre civil, etc. » Enfin, quoi ! il
souffre
parce qu’il veut souffrir. Mais, s’il veut souffr
le de l’ordre civil, etc. » Enfin, quoi ! il souffre parce qu’il veut
souffrir
. Mais, s’il veut souffrir, c’est donc que cela l’
» Enfin, quoi ! il souffre parce qu’il veut souffrir. Mais, s’il veut
souffrir
, c’est donc que cela l’amuse ; et, si cela l’amus
ve homme assez pitoyable et pas méchant, mais non pas héroïque… Et il
souffre
de cette constatation. Il souffre enfin de n’avoi
chant, mais non pas héroïque… Et il souffre de cette constatation. Il
souffre
enfin de n’avoir point de foi positive. La rencon
ur la beauté et la distinction de ma propre intelligence ; et que, de
souffrir
uniquement par la pensée (oh ! là là !) et de le
cheté pure et prétentieuse impertinence, alors que tant de malheureux
souffrent
réellement de la faim, du froid, de la maladie, d
existait sur la terre ; on était prédestiné de père en fils ; le fils
souffrait
à cause de son père : pourquoi cette iniquité ? r
et sa passion. On put alors dire aux hommes : « Vous vous plaignez de
souffrir
; et le juste par excellence, le Fils de l’Homme,
ste par excellence, le Fils de l’Homme, le Fils de Dieu, n’a-t-il pas
souffert
aussi, n’a-t-il pas souffert plus que vous ? Voye
e l’Homme, le Fils de Dieu, n’a-t-il pas souffert aussi, n’a-t-il pas
souffert
plus que vous ? Voyez sa croix ! Et n’est-il pas
roix ! Et n’est-il pas venu pour vous racheter, vous et tous ceux qui
souffrent
? Ne vous a-t-il pas ouvert, par sa mort, la port
z-vous la société sans aucune base reconnue ? Jouir, diront les uns ;
souffrir
, diront les autres ; hasard, fatalité, diront-ils
n’entendez-vous pas ceux-ci s’écrier en murmurant : Pourquoi toujours
souffrir
? Le stoïcisme et l’épicuréisme ont pu être, comm
ornes vertueuses est un prodige ; le stoïcien qui sait religieusement
souffrir
en est un autre. Laissons donc les prodiges, les
son cœur quelques gouttes d’enthousiasme ? Pourquoi avez-vous vécu et
souffert
, âmes généreuses qui dans tous les siècles avez p
ans mon âme ce bien promis à mon âme ; je supportais pour mériter, je
souffrais
pour jouir de l’éternel bonheur. Je n’étais pas p
r. Donnez-moi donc d’abord des supérieurs que je puisse respecter, ou
souffrez
que je haïsse les supérieurs que vous me donnerez
u, est soluble au pointée vue de l’infini. Ayez donc une religion, ou
souffrez
la réclamation de ceux sur qui pèse l’inégalité.
Vous dites que vous êtes la Société, faites-nous donc justice ; nous
souffrons
, et en voici qui jouissent ; donnez-nous autant,
voici qui jouissent ; donnez-nous autant, ou dites-nous pourquoi nous
souffrons
. Le spectre se tait, immobile et la tête penchée
promettre le ciel, et vainement vous le menaceriez encore de l’enfer.
Souffrez
donc que ce sexe aussi renonce à l’obéissance. N’
êtres chrétiens ont fait comme S. Augustin. Tous ont dit à la femme :
Souffre
sur la terre, sers ton maître, ton dominateur, to
e plus grand, le plus beau, le plus divin de tous ; et il veut que tu
souffres
pour lui. Garde-lui seulement ta foi, et tu le ve
s demande : Vers quoi voulez-vous que l’âme de Thérèse gravite ? Ou
souffrir
, Seigneur, ou mourir , était l’aphorisme de cette
’amour divin au plus haut degré dont le cœur humain soit capable. Ou
souffrir
, ou mourir ; c’est-à-dire, souffrir sur la terre,
le cœur humain soit capable. Ou souffrir, ou mourir ; c’est-à-dire,
souffrir
sur la terre, ou mourir pour aimer dans le ciel ;
ur la terre, ou mourir pour aimer dans le ciel ; c’est-à-dire encore,
souffrir
sur la terre, parce que souffrir sur la terre c’e
dans le ciel ; c’est-à-dire encore, souffrir sur la terre, parce que
souffrir
sur la terre c’est aimer dans le ciel, c’est aime
que Thérèse ; le Christianisme ne la redoutait pas ; il lui disait :
Souffre
; et elle-même, traduisant aimer par souffrir, s’
it pas ; il lui disait : Souffre ; et elle-même, traduisant aimer par
souffrir
, s’écriait : Non seulement je consens à souffrir,
traduisant aimer par souffrir, s’écriait : Non seulement je consens à
souffrir
, mais je veux souffrir. Alors la société pouvait
uffrir, s’écriait : Non seulement je consens à souffrir, mais je veux
souffrir
. Alors la société pouvait lui donner un maître, u
ait être ce vœu, qui sortit en effet de l’âme de sainte Thérèse : Ou
souffrir
, Seigneur, ou mourir ! vœu qui revient à celui-ci
ouffrir, Seigneur, ou mourir ! vœu qui revient à celui-ci : « Je veux
souffrir
, parce que souffrir en vue du ciel, c’est aimer,
u mourir ! vœu qui revient à celui-ci : « Je veux souffrir, parce que
souffrir
en vue du ciel, c’est aimer, et qu’aimer est ma l
le terme de Seigneur sera éliminé de la formule. Il resterait donc :
souffrir
ou mourir. Mais souffrir, c’est une absurdité ! P
a éliminé de la formule. Il resterait donc : souffrir ou mourir. Mais
souffrir
, c’est une absurdité ! Pourquoi souffrir ? la loi
c : souffrir ou mourir. Mais souffrir, c’est une absurdité ! Pourquoi
souffrir
? la loi naturelle des êtres est de chercher à jo
ir ? la loi naturelle des êtres est de chercher à jouir, et non pas à
souffrir
. Aimer à souffrir, vouloir souffrir pour rien, c’
lle des êtres est de chercher à jouir, et non pas à souffrir. Aimer à
souffrir
, vouloir souffrir pour rien, c’est insensé. Donc,
de chercher à jouir, et non pas à souffrir. Aimer à souffrir, vouloir
souffrir
pour rien, c’est insensé. Donc, au lieu de souffr
souffrir, vouloir souffrir pour rien, c’est insensé. Donc, au lieu de
souffrir
, il faut mettre dans la formule jouir. Cette form
onne , c’est-à-dire « jouir ou mourir ». Ainsi sainte Thérèse voulait
souffrir
: la duchesse de Berry veut jouir. Sainte Thérèse
a duchesse de Berry veut jouir. Sainte Thérèse posait ce dilemme : ou
souffrir
ou mourir ; la duchesse de Berry ne connaît que c
issez que le présent, je ne connaîtrai plus l’avenir. Je ne veux plus
souffrir
pour jouir dans l’autre monde. Vous ne croyez pas
est pas elle qui a eu la dernière pensée et le dernier adieu. Elle en
souffre
déjà, elle se reproche d’en souffrir ; elle vient
nsée et le dernier adieu. Elle en souffre déjà, elle se reproche d’en
souffrir
; elle vient de recevoir une lettre de M. de Mora
’ai une force ou une faculté qui rend propre à tout : c’est de savoir
souffrir
, et beaucoup souffrir sans me plaindre. » Elle sa
aculté qui rend propre à tout : c’est de savoir souffrir, et beaucoup
souffrir
sans me plaindre. » Elle sait souffrir, mais elle
e savoir souffrir, et beaucoup souffrir sans me plaindre. » Elle sait
souffrir
, mais elle se plaint, elle crie ; elle passe en u
r : « Vous ne savez pas tout ce que je vaux ; songez donc que je sais
souffrir
et mourir ; et voyez après cela si je ressemble à
les paroles : De tous les instants de ma vie (1774). Mon ami, je
souffre
, je vous aime, et je vous attends. Il est très r
ait comparable qu’à une Péruvienne, à une fille du Soleil. « Aimer et
souffrir
, s’écrie-t-elle en effet, le ciel ou l’enfer, voi
l’aime, mais n’a pas encore cédé. Elle l’admire, elle s’exalte, elle
souffre
cruellement déjà, et se fait du poison de tout. I
e le justifie. Elle continue donc de l’aimer tout en le jugeant. Elle
souffre
de plus en plus ; elle l’appelle et le gourmande
de trois ans. Au milieu de cette passion qui dévore et qui semble ne
souffrir
rien d’étranger, ne croyez pas que la corresponda
ence encore proche de Flaubert — d’une pauvre créature sacrifiée, qui
souffre
par son mari, puis par son fils, et qui meurt. Be
ose de Bel-Ami. C’est l’histoire d’une femme et d’une jeune fille qui
souffrent
et d’un homme qui les fait souffrir ; et elles so
e femme et d’une jeune fille qui souffrent et d’un homme qui les fait
souffrir
; et elles sont bonnes, et il n’est pas méchant,
oit et prend le parti désespéré d’en avertir son ami ; comment Bertin
souffre
d’aimer cette enfant — lui, un vieil homme — et c
e d’aimer cette enfant — lui, un vieil homme — et comment la comtesse
souffre
de n’être plus aimée de ce vieil homme parce qu’e
t si étrangement émouvantes. Nous avons vu, minute par minute, ce que
souffrent
Anne et Olivier ; quand ces deux souffrances se r
aime en proportion des sacrifices qu’on a consentis, des maux qu’on a
soufferts
. On aime la maison qu’on a bâtie et qu’on transme
egrets à partager, dans l’avenir un même programme à réaliser ; avoir
souffert
joui, espéré ensemble, voilà ce qui vaut mieux qu
s diversités de race et de langue. Je disais tout à l’heure : « avoir
souffert
ensemble » ; oui, la souffrance en commun unit pl
s de détail disparaissent dans l’ensemble. Pauvre humanité, que tu as
souffert
! que d’épreuves t’attendent encore ! Puisse l’es
connuë au commun des hommes qui, jugeant de ce que les autres doivent
souffrir
de la solitude par ce qu’ils en souffrent eux-mêm
de ce que les autres doivent souffrir de la solitude par ce qu’ils en
souffrent
eux-mêmes, pensent que la solitude soit un mal do
s inquietes et des journées douloureuses : mais les hommes en general
souffrent
encore plus à vivre sans passions, que les passio
frent encore plus à vivre sans passions, que les passions ne les font
souffrir
.
poètes que nous avons connus vivants et que nous avons aimés, ils ont
souffert
, ils ont eu leurs fautes, leurs faiblesses, des p
lle-même, portant et cachant son mal, ce mal, dit-elle, dont on n’ose
souffrir
, dont on n’ose ni vivre ni mourir, elle découvre
J’irai, j’irai lui dire, au moins avec mes larmes : « Regardez, j’ai
souffert
… » Il me regardera ; Et sous mon front changé, so
e ce nom la sensibilité elle-même, avait plutôt en elle la faculté de
souffrir
de sa mère, cette faculté isolée, développée enco
la moins aimée ! Toi, rentrée en mon sein, je ne dis rien de toi Qui
souffres
, qui te plains, et qui meurs avec moi ! Le sais-
entre ces natures poétiques, mystérieuses ! Cette mère qui avait tant
souffert
du silence de sa charmante et sauvage enfant et d
suspendent l’action de l’âme, dérobent le temps, ils font vivre sans
souffrir
; l’existence est un bien dont on ne cesse pas de
nivers, et qu’estimant plus en nous la faculté de penser que celle de
souffrir
, nous donnons à l’une le droit de classer l’autre
re affaiblissement. Dans la carrière de l’étude tout préserve donc de
souffrir
, mais il faut avoir agi longtemps sur son âme ava
comme dans un état de somnambulisme ; tout ce qui pense, tout ce qui
souffre
en lui, appartient à un sentiment intérieur, dont
’abandonnez pas ces malheureux êtres destinés à tout apercevoir, pour
souffrir
de tout ; soutenez leur raison à la hauteur de le
t des cours, pour se rendre compte en lui-même de tout ce qu’il avait
souffert
, pour distinguer parmi la trame mêlée de sa vie l
n âme pendant son agonie de tant de jours et de tant de semaines ? Il
souffre
, mais il ne fléchit pas. Voilà le noviciat de sa
deux strophes retrouvées après sa mort : Quand celui qui voulut tout
souffrir
pour ses frères Dans sa coupe sanglante eut vidé
t de peu de durée : que ton entretien soit d’avance dans le ciel ! Je
souffrirai
avec une joie intérieure tout ce qui me sera dépa
es hommes et les autres créatures, mais en Dieu seul. Vous devez tout
souffrir
avec joie pour l’amour de Dieu ; travaux, douleur
ompense. Écrivez, lisez, chantez, gémissez, gardez le silence, priez,
souffrez
courageusement les adversités ; la vie éternelle
ez donc des forces, et armez-vous de courage, tant pour agir que pour
souffrir
ce qui est contraire à la nature. Il faut vous re
nature craint la confusion et le mépris ; mais la grâce se réjouit de
souffrir
des opprobres pour le nom de Dieu. La nature aime
ne désirer, ne chercher et n’aimer que lui, c’est tout faire et tout
souffrir
pour lui ; c’est acquiescer en tout à sa volonté
des hommes de tous les climats et de tous les pays, qui ont cherché,
souffert
, conclu et prié dans leurs larmes depuis que la c
erché, souffert, conclu et prié dans leurs larmes depuis que la chair
souffre
et que la pensée réfléchit. Voilà la philosophie
oit mettre son espérance en aucune chose du monde. Il nous est bon de
souffrir
quelquefois des contradictions, et qu’on pense ma
s lui. Alors il s’attriste, il gémit, il prie, à cause des maux qu’il
souffre
. Alors il s’ennuie de vivre plus longtemps et il
et purifié intérieurement, je devienne propre à vous aimer, fort pour
souffrir
, ferme pour persévérer. C’est quelque chose de gr
nce, qui est le sceau de cette vertu. XXV Qui n’est pas prêt à
souffrir
et à s’abandonner entièrement à la volonté de son
nt nous, où l’on croit n’entendre que le cri de l’âme qui prie ou qui
souffre
. Même dans ces purs sanglots dont parle le poète,
décrire son mal, il faut être un peu médecin : le vulgaire sent qu’il
souffre
; où, de quoi, il ne le dit que confusément ; il
dues et de plats coq-à-l’âne. Hurler et se rouler ne prouve pas qu’on
souffre
plus qu’un autre, mais qu’on sait moins souffrir.
r ne prouve pas qu’on souffre plus qu’un autre, mais qu’on sait moins
souffrir
. Les Grecs faisaient pleurer, crier leurs héros t
; brisez ou polissez le caillou, coupez ou arrosez la plante, ils ne
souffrent
ni ne jouissent, du moins nous le croyons. Ils ne
le est leur destinée, ils n’ont pas d’intelligence. L’animal jouit et
souffre
; il compare des objets différents, et se dirige
aucoup de ses espérances trompées, de ses besoins non satisfaits ; il
souffre
, il se plaint, c’est l’âge des déceptions, des dé
l’homme une solution quelconque sur ce problème de sa destination. Il
souffre
quand il ne la possède pas, ou bien quand il ne c
, voilà tout ; il cherche ; et cependant il nous l’a dit : l’humanité
souffre
, l’anarchie est dans la société, le désordre mora
une œuvre que ces six nouvelles), du moins l’effet d’art n’en a point
souffert
. Il subsiste là dans sa vérité particulière, comm
sûre qui en dépeçant l’œuvre d’un homme n’a pas pour but de le faire
souffrir
. Je m’imagine même que de ne pas faire souffrir e
pour but de le faire souffrir. Je m’imagine même que de ne pas faire
souffrir
est d’une assez mince considération pour l’auteur
ans ses mains d’artiste, est la flûte même de l’ironie ! Ne pas faire
souffrir
! Allons donc ! Je jurerais qu’il serait bien att
it bien attrapé, l’aimable homme, s’il croyait ne jamais faire un peu
souffrir
! C’est le Spallanzani des sots, qui veut que ses
nné. Il se venge de cette pluie de sots obscurs, dont nous avons tous
souffert
dans la vie, sur le dos de ceux qui portent l’éti
maladroitement marché d’une lourde patte sur cette griffe, qui ne le
souffrirait
pas si cette insolence-là venait d’une autre patt
orsqu’on est en somme parmi les privilégiés de ce monde, lorsqu’on ne
souffre
ni continuellement, ni trop violemment dans son c
t des plaintes déjà développées par d’autres. Un écrivain célèbre qui
souffre
de la grande misère humaine en souffre surtout pa
utres. Un écrivain célèbre qui souffre de la grande misère humaine en
souffre
surtout par procuration, songez-y. Dès lors, je c
ût absente du monde, et qu’on pût ne jamais songer à la mort. Mais on
souffre
; et, par la porte de la souffrance, entrent la r
eôle de sa maison de détention pour le récompenser de tant de malheur
souffert
pour elle, et qui achevait entre l’espérance et l
déclarer en toute vérité que je n’ai jamais vu une famille indigente
souffrir
de froid et de faim pendant qu’il y avait une éta
pencher, que ce soit du côté du peuple : il y a plus longtemps qu’il
souffre
!” « Il y eut encore un silence. Ce fut le conven
sque une explosion. « — Oui, Monsieur, il y a longtemps que le peuple
souffre
! Et puis, tenez, ce n’est pas tout cela : que ve
3 et des scélérats du treizième siècle ? En quoi, parce que le peuple
souffre
depuis qu’il est peuple, le peuple est-il autoris
ice ! quelle morale et quel progrès ! Le peuple a eu faim, soif, il a
souffert
des douleurs dans tous les âges, et, pour cela, l
ntraint, et méditant peut-être un deuxième suicide ! impossibilité de
souffrir
, impossibilité de vivre, impossibilité de mourir
lité de vivre, impossibilité de mourir ! XIV Qui n’a pas senti,
souffert
, pensé, songé, sur tant de misères ? Quel poète n
es toutes par la sympathique faculté de saisir tout ce que l’humanité
souffre
encore en lui ? Qui n’a pas senti que le plus iné
t en me forçant à un travail de manœuvre arriéré pour que d’autres ne
souffrissent
pas par ma faute ; je fermais dans mon cœur la so
bien : mais l’accuser, non ; c’est irréfléchi et c’est barbare. Elle
souffre
assez de ces misères : ne la faites pas souffrir
t c’est barbare. Elle souffre assez de ces misères : ne la faites pas
souffrir
davantage de l’impuissance de les supprimer toute
our, ni de Ballanche, ni d’aucun des grands Tristes contemporains, ne
souffrit
guères que d’une unique souffrance, très délicate
briand, Gœthe, Sénancour et Ballanche lui-même ont tous plus ou moins
souffert
de la vie, — du moral ou du physique de la vie, —
qui même a inventé l’expression), — tandis que Guérin n’a simplement
souffert
que de la pensée, un mal très précis, mais très e
t vrai pour lui, littéralement vrai. Toute sa vie, qui fut courte, il
souffrit
de cet idéal vers lequel il aspirait, mais qu’il
l, bien plus difficile à comprendre… Assurément cet idéal, que Guérin
souffrait
tant de ne pouvoir saisir comme il le voyait, pou
nt l’âme, par-delà ce monde, soulageait la tienne souffrante, si elle
souffre
! Maurice, je te crois au ciel. Oh ! j’ai cette c
i les réprouvés !… Horrible crainte, non ! Mais au purgatoire où l’on
souffre
, où s’expient les faiblesses du cœur, les doutes
es de l’âme, les demi-volontés au mal. Peut-être mon frère est là qui
souffre
et nous appelle dans les gémissements comme il fa
tres, ces lettres qui ne viennent pas ! Mon Dieu, recevez ce que j’en
souffre
et toutes les douleurs de cette affection. Voilà
ion. Voilà que cette âme m’attriste, que son salut m’inquiète, que je
souffrirais
le martyre pour lui mériter le ciel. Exaucez, mon
, c’est une épreuve, et la mienne est-elle assez longue ; ai-je assez
souffert
? Quand on se porte au Calvaire, on voit ce que c
dit : Je ne prie pas. Dieu sait là-dessus ce que je pense, ce que je
souffre
. J’ai l’intérêt de la vie future de ceux que j’ai
pas, tant en croyance et tant à cœur, que, pour le leur procurer, je
souffrirais
avec joie le martyre. Ceci n’est pas une exagérat
e, ma belle amie, qui tremble de me croire malade. Hélas ! non, je ne
souffre
pas dans mon corps. Oh ! que je trouve inutile d’
que la vie donne à ceux qui pensent, qui sentent, qui jouissent, qui
souffrent
, qui pleurent ou qui prient. Quelle différence !
Charles-Quint de son propre esprit qu’il abdiqua — la subit, et n’en
souffrit
pas. Il avait pris ses précautions contre elle. I
nt à peine lues, même par les lettrés. Après eux, voici M. Hello, qui
souffre
à son tour de l’indifférence, maudite un jour par
qui est sur la terre exclusivement le poète de Dieu ?… Et, s’il doit
souffrir
de ce manque de gloire comme il en a déjà souffer
u ?… Et, s’il doit souffrir de ce manque de gloire comme il en a déjà
souffert
, eh bien ! il en souffrira ; mais qu’y faire ? Il
r de ce manque de gloire comme il en a déjà souffert, eh bien ! il en
souffrira
; mais qu’y faire ? Il faut avertir toute la litt
tte suppression de peine ou cette conservation de plaisir. L’être qui
souffre
veut immédiatement ne pas souffrir, et immédiatem
conservation de plaisir. L’être qui souffre veut immédiatement ne pas
souffrir
, et immédiatement il réagit ; cette. réaction, im
, et finalement par l’intention ; mais l’intention générale de ne pas
souffrir
et de jouir existait dès le début. C’est donc bie
oisième moment, la sélection fait de nouveaux progrès. Quand l’animal
souffre
, il accomplit des mouvements irréguliers, souvent
de mécanique ou de physiologie ne fera comprendre pourquoi je jouis,
souffre
, désire ; tout, dans ma jouissance et ma souffran
ntroduction des éléments psychiques. On nous dit bien que, si nous ne
souffrions
pas, si nous ne jouissions pas, nous accomplirion
euses ; elle n’a pas eu de lait, et il a fallu une nourrice… Toinette
souffre
de mille petites privations, sans compter la bles
ser de bonne et de faire le ménage ; son humeur s’aigrit. André, lui,
souffre
de sa vie inutile et morne de gratte-papier ; il
André, lui, souffre de sa vie inutile et morne de gratte-papier ; il
souffre
de voir que sa mère et sa femme ne s’aiment point
r ; il souffre de voir que sa mère et sa femme ne s’aiment point ; il
souffre
de sa pauvreté croissante et de sa continuelle in
imaux inférieurs, chaque partie de l’organisme semble encore jouir ou
souffrir
pour son propre compte, comme dans le ver coupé e
peines ou plaisirs élémentaires d’une myriade de cellules : un peuple
souffre
ou jouit en nous, notre moi est légion, notre bon
e toujours des facteurs donnés. Si un être est capable de jouir et de
souffrir
, il finira par ne trouver agréables, en moyenne,
ie de son espèce ; mais comment est-il d’abord capable de jouir et de
souffrir
, qu’est-ce que le plaisir et la douleur en eux-mê
avoir la perception obscure de tous ces mouvements vitaux ; jouir ou
souffrir
, c’est se sentir vivre plus ou vivre moins. Plus
suffisante produit la peine négative du besoin : l’enfant bien nourri
souffre
de l’immobilité ; 2° un surcroît de dépense succé
ît le passage classique de Bossuet : « Les yeux fixés sur le soleil y
souffrent
beaucoup et à la fin s’y aveugleraient ; mais le
ais je ne puis pas me tromper sur ce fait même que je jouis ou que je
souffre
. On objecte que le plaisir et la douleur, par leu
éable en apparence. Dans notre état actuel, tout notre corps jouit ou
souffre
à la fois, et ainsi le cerveau reçoit des milliar
ectement par une douleur qu’il remplacerait : la vue jouit sans avoir
souffert
. La théorie de Platon et d’Aristote40 nous semble
ite. Enfin, il s’enferme avec Kant dans ce cercle vicieux : — Il faut
souffrir
pour pouvoir jouir et jouir pour pouvoir souffrir
vicieux : — Il faut souffrir pour pouvoir jouir et jouir pour pouvoir
souffrir
; comment alors arrivera-t-on soit au plaisir, so
gligé par Darwin. Ce principe est une activité capable de jouir et de
souffrir
, une activité psychique. Toute la « force » et l’
e a été écrit sous les toits, devant un ciel triste, par un poète qui
souffre
, qui souffre véritablement et dont un mal cruel r
sous les toits, devant un ciel triste, par un poète qui souffre, qui
souffre
véritablement et dont un mal cruel rend la voix p
si de rien n’était. On peut conjecturer ce qu’elle devait moralement
souffrir
pour que la honte l’obligeât à une telle contrain
iendrai de ce que ces gens-là (le roi et Mme de Montespan) m’ont fait
souffrir
. » Elle souffrait, de la part d’une rivale, ce q
ces gens-là (le roi et Mme de Montespan) m’ont fait souffrir. » Elle
souffrait
, de la part d’une rivale, ce qu’elle-même, si dou
vale, ce qu’elle-même, si douce et si indulgente, avait pourtant fait
souffrir
à une autre. La reine, épouse de Louis XIV, avait
isait que passer pour aller chez la Montespan. Cependant, elle a tout
souffert
en patience. Que se passait-il, durant ce temps-
par des devoirs indispensables, je reste encore dans le monde, pour y
souffrir
sur ce même échafaud où je vous ai tant offensé,
ition, ni d’intérêt, ni de raison étroite, sans ombre de vanité, puis
souffrir
, se diminuer, sacrifier même de sa dignité tant q
e ; et les habiles gens décident toujours à la longue dans le public.
Souffrez
cette indiscrétion du plus dévoué et du plus zélé
lorsqu’il venait de donner un conseil royal et de politique, Fénelon
souffre
évidemment ; il rassure en deux mots son élève :
ciale. Ces générations plus jeunes et pleines de nouveaux désirs, qui
souffraient
impatiemment le long règne et la sujétion muette
tent et en homme qui sort de son oratoire, a dit que ce que la France
souffrait
alors, en 1710 (et elle souffrait, en effet, d’ho
ratoire, a dit que ce que la France souffrait alors, en 1710 (et elle
souffrait
, en effet, d’horribles maux), venait de Dieu qui
ilité, de piété, de délicatesse, qui a vu de près la Cour et qui en a
souffert
, qui assiste à une fin de long règne et qui en vo
ut ! je vous atteste ! regardez-moi ! Voyez ce que, dieu moi-même, je
souffre
par les dieux ! Voyez ces outrages, et combien je
rand bien dont puissent jouir les vivants. C’est pour ce crime que je
souffre
, suspendu en l’air par ces chaînes » Les élément
chaleur de ses veines. Aussi toute la nature va-t-elle s’ébranler et
souffrir
en lui, comme la racine tressaille et souffre des
a-t-elle s’ébranler et souffrir en lui, comme la racine tressaille et
souffre
des blessures du chêne mutilé. La vie universelle
rapprochement n’a rien d’arbitraire, un double lien les rattache : Io
souffre
de l’amour du Dieu comme Prométhée de sa haine. E
l’autel d’un Oracle. Elle demande au Titan ce qui lui reste encore à
souffrir
, quel sera le terme de son vagabondage délirant.
lle était écrite sur un mur, par le doigt de feu d’un prophète. « Je
souffrirai
» — dit-il à la fille d’Inachos, — « jusqu’à ce q
dieux qui passent la pérennité de la nature qui demeure. La montagne
souffre
des coups du tonnerre, et elle en porte les marqu
ntolérable. Comment peux-tu m’exhorter à cette lâche action ? Je veux
souffrir
avec celui-ci, souffrir tout ce qu’il souffrira,
-tu m’exhorter à cette lâche action ? Je veux souffrir avec celui-ci,
souffrir
tout ce qu’il souffrira, car j’ai appris à haïr l
lâche action ? Je veux souffrir avec celui-ci, souffrir tout ce qu’il
souffrira
, car j’ai appris à haïr les traîtres. De tous les
« Ô Terre !ô ma Mère ! ô Éther où roule la lumière ! voyez ce que je
souffre
pour la justice ! » XII Telle est cette tra
volontairement percé d’une flèche empoisonnée par le sang de l’Hydre,
souffrait
de cette blessure dans son antre, en proie à d’in
is et lâche de chercher à se dissiper d’une noble douleur pour ne pas
souffrir
autant. Il faut y réfléchir et s’enferrer courage
e Dans la voie où le sort a voulu l’appeler ; Puis, après, comme moi,
souffre
et meurs sans parler87. Cette fierté stoïque ne
qu’il faut aimer, mais ce qui passe, parce que c’est ce qui passe qui
souffre
. Au lieu de se perdre dans l’admiration béate de
: Je me suis étonné de ma propre misère, Et de ce qu’un enfant peut
souffrir
sans mourir99. Ailleurs il confessera avoir « sa
p ou trop peu100. Alors il se plaint, se lamente comme un enfant qui
souffre
: En se plaignant on se console101. Mais quand
la douleur même que l’amour produit et laisse en nous : aimer, c’est
souffrir
; mais souffrir, c’est savoir. Oui, oui, tu le s
que l’amour produit et laisse en nous : aimer, c’est souffrir ; mais
souffrir
, c’est savoir. Oui, oui, tu le savais et que dan
s et que dans cette vie Rien n’est bon que d’aimer, n’est vrai que de
souffrir
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Ce
roient à l’Église se sont amusés à byzantiner sur une question qui ne
souffre
pas de Byzance ! Le divorce, pour une nation cath
que le plus ennuyeux des rabâchages : « Tue-moi, mais ne me fais pas
souffrir
! » disait un jour un vieux bleu à un général ven
ution qui met le divorce dans sa loi ; « Tue-moi, mais ne me fais pas
souffrir
en me forçant à lire le livre de M. Dumas comme u
un de tes prolégomènes ! » Car, en matière de livre, s’ennuyer, c’est
souffrir
.
bandonne volontiers aux démonstrations bruyantes ; mais souvent, s’il
souffre
avec violence, il se console avec rapidité. L’art
es ironies, singulièrement douloureuses. Et quand bien même le simple
souffrirait
davantage, en quoi cela lui donnerait-il sur l’ar
faudrait-il le regretter ? En vérité, il n’est point si nécessaire de
souffrir
! Plût au ciel que tous les hommes fussent artist
ient être ainsi moins malheureux ! Si Racine n’a pas trop cruellement
souffert
dans sa vie si tourmentée, tant mieux pour lui !
bien par l’effet qu’elle produit ; et, si le stratagème de Néron fait
souffrir
et trembler, comment serait-ce « un moyen de comé
eux ; que c’est nous, mieux parlants et plus agités, que nous voyons
souffrir
et pleurer sous leur masque élégant et tragique.
n haine. Pour Hermione, Roxane, Ériphile, Phèdre, elles aiment, elles
souffrent
, elles s’expriment comme des anges, elles sont pr
s abandons furieux à la passion fatale, un art merveilleux à se faire
souffrir
, des sentiments de la dernière violence s’exprima
une tragédie73. » Titus et Bérénice, qui ne meurent ni ne sont tués,
souffrent
autant que les autres héros tragiques. La lutte e
vilisée. À côté des ministres pervers et corrompusai, dont elle eut à
souffrir
, elle peint également ses parents, qu'elle se piq
d’effort à faire pour mettre son âme en accord avec ses devoirs. Elle
souffrit
beaucoup de ses inconstances et de ses infidélité
’ils expriment l’un et l’autre sur ce roi redouté qui les a fait tant
souffrir
, et sur sa perte prochaine, sont ce qu’on peut at
st pas méchant. Ils le regretteront peu, ils se consoleront vite, ils
souffrent
pourtant la nature parle, la nature pâtit, comme
, de notre cher père. Il est mort avec une fermeté angélique, et sans
souffrir
beaucoup. Je ne saurais réparer la perte que vous
u dans les mémoires de la margrave ce qu’ils eurent l’un et l’autre à
souffrir
de Grumbkow, on trouvera qu’ils en parlent ici av
s de sa mère un sentiment dont son père aurait rougi et dont il avait
souffert
. Je le demande à tous ceux qui ont le sentiment e
lle confesse que son mari, à qui elle crut en devoir faire l’aveu, en
souffrit
, comme c’était bien naturel et en ressentit de la
une fois acquise que j’en fais un pour lui renverse sa félicité ; il
souffre
de le recevoir, et ne peut s’en passer. » Roland
asser. » Roland avait raison, et tous les hommes à sa place auraient
souffert
comme lui. Ô Vertu, que tu es cruelle ! tu tiens
x parts. » C’est bien dur et bien écrasant pour Lanthenas, qui avait
souffert
pour elle, qui ne s’éloignait qu’à cause d’elle,
t. Mais si l’infortune opiniâtre attache à tes pas quelque ennemi, ne
souffre
point qu’une main mercenaire se lève sur toi ; me
une grande joie, mais elle la concevait à sa manière, et elle dut en
souffrir
bientôt et violemment, comme d’un objet qui échap
dieuses lettres anonymes. Elle ne put ignorer ces manéges, et elle en
souffrait
, et elle travaillait à se détacher en esprit d’un
; elle les acceptait patiemment, elle s’appliquait de tout son cœur à
souffrir
, elle y mettait presque de la passion, si l’on os
ne pour être pardonné ; on pardonne parce qu’on se reconnaît digne de
souffrir
, c’est le pardon de l’humilité ; on pardonne pour
user de sang-froid et volontairement ces chagrins déchirants qui font
souffrir
mille morts avant de mourir ? Comment croire qu’o
r, cet autre degré où l’on pardonne parce qu’on se reconnaît digne de
souffrir
, c’est-à-dire par humilité, celui enfin où l’on p
te perception objective, vous n’en continuez pas moins de jouir ou de
souffrir
, quoiqu’il ne reste rien dans votre conscience qu
rcevoir, soit nettement, soit confusément, comme objets, ce n’est pas
souffrir
. Pourquoi d’ailleurs la perception d’un trouble,
relation avec un être qui ne veut pas être troublé et qui réellement
souffre
d’être troublé. Cette souffrance sera toujours, e
plus loin. Le sujet, sans se représenter à lui-même, se sent jouir et
souffrir
; en même temps, il a conscience de son consentem
ce, ce n’est plus de la sensibilité pure, constatant qu’elle jouit ou
souffre
; mais c’est encore de la conscience. Pour donner
e telles perceptions auxquelles j’associe le mot de souffrance. Ou je
souffre
, et je n’ai pas besoin de penser ma souffrance, q
s qu’il faille la convertir en pensée ; ou je pense réellement que je
souffre
, et cette pensée n’est déjà plus ma souffrance ;
ranger dans la classe des douleurs avec accompagnement des mots : je
souffre
. Bref, en tant que je souffre, je ne connais pas
leurs avec accompagnement des mots : je souffre. Bref, en tant que je
souffre
, je ne connais pas ma souffrance ; en tant que je
e, je ne connais pas ma souffrance ; en tant que je la connais, je ne
souffre
pas. Il n’en faut point conclure pour cela que la
avec une égale bonne foi et une égale fierté d’indépendance ; s’il a
souffert
, il n’a pas fait souffrir ; et, sans être dupe ou
et une égale fierté d’indépendance ; s’il a souffert, il n’a pas fait
souffrir
; et, sans être dupe outre mesure du songe qu’il
Français ; n’étant pas des meilleurs, ce n’est pas moi sans doute qui
souffrirai
le plus… (Et gentiment il ajoute :) C’est une con
par exemple, car j’ai le tympan perforé et l’enclume fêlée. Cela fait
souffrir
, mais je ne suis pas fatigué. Il lui fut donné
ce a fixées aux mondes, ce défaut dont vous savez bien que la société
souffre
, s’énerve et s’anémie. Qu’on ne fasse pas grief a
re ». Ces lignes font mal. De tels enfants avaient prodigieusement
souffert
de porter en eux les rêves les plus salubres, aux
profonde, et de les servir avec les armes de l’anarchie. Ils avaient
souffert
, à leur insu peut-être, d’aspirer si haut, d’obéi
ges terriblement graves attestent que leur joie ne les empêche pas de
souffrir
. Il semble que notre vocabulaire formé sur les co
l se confonde dans cette terre sacrée dont il est le petit soldat. Il
souffre
. N’importe ! Sa joie intérieure est si forte qu’e
romanesque si profonde : « Crois-tu que les soldats de Napoléon aient
souffert
autant que nous ? » Le novembre 1914 : Nous avo
ournait sur lui-même. Il se connaissait bien ! Comment donc a-t-il pu
souffrir
, avec son talent et sa modestie de chrétien, que
tié, spéculant maladroitement pour lui (et son éditeur aussi, qui l’a
souffert
, et qui aurait dû, lui, être la Spéculation adroi
en a si peu. Ernest Hello, mort jeune encore et sans renommée, a plus
souffert
de son obscurité qu’un homme qui aurait dû avoir
tes de par dehors, mais Hello est un moraliste de par dedans. Une âme
souffre
à travers ses pages, une âme chrétienne, baptisée
Médiocrité, dont j’ai parlé déjà, et qu’il haïssait… Elle l’aura fait
souffrir
, sans doute. Est-ce qu’elle ne nous fait pas touj
a fait souffrir, sans doute. Est-ce qu’elle ne nous fait pas toujours
souffrir
, dans toutes les noblesses de nos âmes ?… Mais li
que jour je vois s’effacer en lui les petites choses qui me faisaient
souffrir
; chaque jour je vois luire et briller les belles
et mon cœur. Je me sens de la force pour vivre, pour travailler, pour
souffrir
. » « La manière dont je me suis séparée d’Alf.
devenir bon, affectueux et loyal de jour en jour. Si j’ai quelquefois
souffert
de la différence de nos caractères et surtout de
oir su l’honorer quand il la possédait, et pour l’avoir fait beaucoup
souffrir
. Il pleure la nuit dans ses chambres d’auberge, e
nt de grandes qualités ; et pourtant ! « Eh bien, moi, j’ai besoin de
souffrir
pour quelqu’un ; j’ai besoin d’employer ce trop d
ssaisis comme une proie… » : ce passé devait infailliblement le faire
souffrir
. Il faut absolument se séparer ; ils seraient tou
son cou, dans ses bras, si je lui disais : “Tu m’aimes encore ; tu en
souffres
; tu en rougis, mais tu me plains trop pour ne pa
mais que ce ne soit jamais avec cet affreux mot : dernière fois ! Je
souffrirai
tant que tu voudras, mais laisse-moi quelquefois,
Ô Dieu, ô Dieu, continue-t-elle, je te fais des reproches, à toi qui
souffres
tant ! Pardonne-moi, mon ange, mon bien-aimé, mon
ffres tant ! Pardonne-moi, mon ange, mon bien-aimé, mon infortuné. Je
souffre
tant moi-même… Et toi, tu veux exciter et fouette
mais je t’adore toujours… Reste, pars, seulement ne dis pas que je ne
souffre
pas. Il n’y a que cela qui puisse me faire souffr
dis pas que je ne souffre pas. Il n’y a que cela qui puisse me faire
souffrir
davantage. Mon seul amour, ma vie, mes entrailles
dre de plus heureux. Tout mon désir était de le quitter sans le faire
souffrir
. S’il en est ainsi, Dieu soit loué ! » Au premie
arce qu’ils avaient beaucoup aimé, mais parce qu’ils avaient beaucoup
souffert
. Chapitre V. « Les Nuits » La vie reprit so
s lèvres était sans cesse Prête à chanter comme un oiseau ; Mais j’ai
souffert
un dur martyre, Et le moins que j’en pourrais dir
ou la mort ou la vie ? J’aime, et je veux pâlir ; j’aime, et je veux
souffrir
; J’aime, et pour un baiser je donne mon génie ;
rmé. Aime, et tu renaîtras ; fais-toi fleur pour éclore ; Après avoir
souffert
, il faut souffrir encore ; Il faut aimer sans ces
enaîtras ; fais-toi fleur pour éclore ; Après avoir souffert, il faut
souffrir
encore ; Il faut aimer sans cesse, après avoir ai
O. « Ah ! Jacqueline, ayez pitié de moi ; ce n’est pas d’hier que je
souffre
. Depuis deux ans, à travers ces charmilles, je su
a mère ! En ai-je moins aimé ? « Je veux aimer, mais je ne veux pas
souffrir
», dit Camille, instruite au couvent à toutes sor
ICAN. « Es-tu sûre que si son mari ou son amant revenait lui dire de
souffrir
encore, elle répondrait non ? CAMILLE. « Je le c
a tombe, on se retourne pour regarder en arrière, et on se dit : J’ai
souffert
souvent, je me suis trompé quelquefois, mais j’ai
l’amour, à la vie, au bonheur, à Perdican. Elle accepte avec joie de
souffrir
. Son orgueil s’est fondu, et elle était redevenue
isage, pour être si, si perdu et si gâté au fond et en dessous. » Il
souffrit
cruellement tandis que son sort s’accomplissait.
x. Peut-on voir un spectacle plus pénible que celui d’un libertin qui
souffre
? J’en ai vu dont le rire faisait frissonner. Cel
comme un enfant qu’on débarbouille, et en outre j’ai eu l’avantage de
souffrir
comme un chien qu’on recoud… Ma chambre était rée
l y a peu, peu d’êtres en ce monde qui sachent faire plus, quand vous
souffrez
, que vous donner un verre de tisane ! Combien il
sset. « Excepté à l’âge de la première communion, … je n’ai jamais pu
souffrir
ce maître des gandins, son impudence d’enfant gât
as oublier qu’en un certain sens, mais très réellement, ces hommes-là
souffrent
pour nous ; qu’ils résument en eux nos aspiration
dre fantaisie. Volontiers il en sacrifie à rien, à la volupté de voir
souffrir
. Il adore sa « chère âme » vide comme une idole,
omme des butins précieux, l’or, le plomb et la boue. Sa joie de faire
souffrir
, son amour pour les bêtes de proie qui lui ressem
d’un amour. Mais ici l’amant qui abandonne ne regrette point de faire
souffrir
, n’hésite point devant la souffrance qu’il crée ;
ent moins de place que le caprice de dominer et la fantaisie de faire
souffrir
. Mais peu à peu elle se prend au jeu cruel et dan
parce qu’ils seront appelés enfants de Dieu ! « Bienheureux ceux qui
souffrent
persécution pour la justice, parce que le royaume
dénuement, une telle faim et soif de la justice, une telle avidité de
souffrir
pour elle, d’être maudit des hommes à cause d’ell
rture, chargé de fers ; on lui brûlera les yeux à la fin, après avoir
souffert
tous les maux, il sera mis en croix… » C’est une
erspective du trône du monde, a senti qu’il y avait plus de bonheur à
souffrir
en faisant la volonté de Dieu qu’à jouir en s’en
e tout bord et de toute robe ; besoin de s’immoler pour tous ceux qui
souffrent
, de racheter et de sauver tous ceux qui croient,
lles leçons peuvent ajouter à la force du besoin qu’on a de cesser de
souffrir
? tout ce que vous pouvez pour l’homme infortuné,
penser à le juger, et les idées générales sont cruelles à l’homme qui
souffre
, si c’est un autre, et non pas lui, qui les appli
il faut compter ; et si l’on pouvait supposer la possibilité de faire
souffrir
un innocent, pendant plusieurs siècles, il serait
terreur dont on est l’objet ; on a une telle identité avec l’être qui
souffre
, que ceux qui parviennent à la détruire, acquière
raction, vous vous figuriez un genre de douleurs qui exigeât, pour la
souffrir
, une organisation tout-à-fait différente de la vô
sympathique, sur un rythme uniforme. Il a voulu devenir l’enfant qui
souffre
et qui tremble, fébrile et troublé de l’émoi d’un
ces poèmes où le rythme semble dérouler tout ce qui, dans la nature,
souffre
, s’effraie et s’atténue : l’automne et les suprêm
s soupçonnée capable, et qu’elle découvrait déjà formée en elle. Elle
souffrait
, et sa santé s’en altérait ; mais chaque jour, so
i avait lieu en certains mois d’hiver plus observés du monde, elle ne
souffrait
pas et ne se plaignait pas de ces gênes, pourvu q
ique qu’on ne pouvait assez payer. M. de Murçay, qui pensait de même,
souffrait
pourtant à la longue de ces heures vides ou envah
nstant cette même impression. Mais la passion de Mme de Pontivy avait
souffert
, et elle travaillait sur elle-même, pour la dimin
tre Hermione n’est plus qu’une bien triste Aricie. Mon ami, j’ai bien
souffert
! » Et lui, sans douter d’elle, sans croire à la
-ils ? et combien me les suis-je reprochés ! combien de fois en ai-je
souffert
! Je les aurais rachetés aussitôt échappés, mais
part de l’innéité. Et puis La Fontaine a été un Rousseau qui a moins
souffert
, qui a été moins gâté, et par ce qu’il a souffert
ousseau qui a moins souffert, qui a été moins gâté, et par ce qu’il a
souffert
, et par les succès qu’il a eus. Les deux grandes
essimisme, de la misanthropie du caractère de Rousseau, c’est qu’il a
souffert
, et beaucoup plus qu’il ne l’a dit, physiquement,
et beaucoup plus qu’il ne l’a dit, physiquement, matériellement. Il a
souffert
beaucoup dans une partie de son adolescence et de
oupe tout entière : Tente tout, au hasard de gâter la matière : On le
souffre
, excepté tes Contes d’autrefois. » J’ai presque e
. Pas une ne s’endort à ce bruit si flatteur. Je ne les blâme pas. Je
souffre
cette humeur. Elle est commune aux dieux, aux mon
gard, pour ce qui est de ses passions amoureuses, nous savons qu’il a
souffert
beaucoup et profondément des passions de l’amour.
atrimonial qu’il a célébré sous le nom de château des Trembles. Il ne
souffrit
pas de cet émondage précoce que nous fait subir l
le nous fasse penser, mais bien plus encore qu’elle nous fasse aimer,
souffrir
, espérer. Il y a là un mystère, parce que nous to
, de vivre dans ses personnages imaginaires, d’être eux-mêmes jusqu’à
souffrir
de leurs maux inventés, de les faire penser, agir
oute vie humaine, et ce qui s’imagine le moins bien, quand on n’a pas
souffert
. Eugène Fromentin fut, évidemment, un sensible et
voisines, mais seulement des incidents grossis par la passion qui en
souffre
, et par le talent du romancier qui les analyse ju
d’exil. Dominique, lui, ne raconte pas où il est allé, ni ce qu’il a
souffert
des hommes ou des choses. Et le seul souvenir qui
là, en effet, qu’une autobiographie, que les mémoires d’une âme qui a
souffert
. Et il en résulte qu’une seule âme est complèteme
é exagérée, mais avec tant de discrétion que la ressemblance n’a rien
souffert
de la dignité qu’on a surajoutée. Il reste encore
ans l’âge avancé. Nature ! Nature ! C’est la contrainte qu’on te fait
souffrir
, pour te montrer comme tu n’es pas, qui gâte tout
qui tombe des marbres, ne vous prendra pas en les lisant ! En vain il
souffre
par Charlotte, ce jeune homme de vingt-trois ans,
n il souffre par Charlotte, ce jeune homme de vingt-trois ans, qui ne
souffrira
plus demain, mais il n’oublie pas, à chacun de ce
rouver dans ce visage — médaille invulnérée — le signe des fronts qui
souffrirent
et qui les marque, en les défigurant d’une manièr
r d’une félicité non interrompue il fallait ajouter l’honneur d’avoir
souffert
quelques jours, et on a inventé cette gloire du m
, il s’adresse à ses compatriotes émigrés et pauvres, à tous ceux qui
souffrent
comme lui du désaccord entre leurs besoins, leurs
e le silence et l’obscurité : ces sylvains solitaires veulent bien le
souffrir
dans leur république, à laquelle il paye un léger
mme la douleur que nous sentons à la perte d’un ami, etc. Or si l’âme
souffre
par elle-même indépendamment du corps, il est à c
par elle-même indépendamment du corps, il est à croire qu’elle pourra
souffrir
également dans une autre vie ; conséquemment l’au
donc point survivre à nos cendres : mourons tout entiers, de peur de
souffrir
ailleurs. Cette vie-ci doit corriger de la manie
r et servitude militaires, Vigny n’aime le régiment que parce qu’on y
souffre
, — comme Éloa aimait l’Abîme où l’on souffrait. M
giment que parce qu’on y souffre, — comme Éloa aimait l’Abîme où l’on
souffrait
. Mais, ici, les Satans, ce sont des héros ! Voilà
er de la guerre et de l’obéissance passive, pour consoler ceux qui en
souffrent
. Et il les a montrées ! Il les a montrées toutes
rement intime, sincère, pensé, vécu, et saigné aussi, — car l’homme y
souffre
, — que ne pourrait l’être jamais un récit de Mémo
gny supérieure à celle de tous les poètes de son temps, qui n’ont pas
souffert
d’une blessure si haute et si profonde que lui. A
emmes qu’ils ne revirent plus. La blessure de Sîfrit faisait toujours
souffrir
Kriemhilt. Les hommes de Gunther dirigèrent leur
n’ai vu d’aujourd’hui aucun batelier par ici, et par mon fait nul n’a
souffert
aucun dommage. » Gêrnôt, le prince burgonde, parl
ment êtes-vous si rougi de sang ? J’imagine que de vos blessures vous
souffrez
grande douleur. Qui que ce soit, dans ce pays, qu
cessité à laquelle j’ai été réduit, les dommages sans nombre que j’ai
soufferts
, voilà les motifs pour lesquels nul de vous ne do
utations que le Roi nous envoya ? La grande chaleur me fait tellement
souffrir
de la soif, que je crois bien que ma vie s’éteind
ments. » Hagene de Troneje, le bon guerrier, répondit: « Que ceux qui
souffrent
l’angoisse de la soif boivent du sang. Dans une p
t avec leurs boucliers. La fumée et la chaleur les faisaient beaucoup
souffrir
. Je pense que jamais héros ne furent exposés à d’
étrangers, et un grand nombre parvint à échapper à la mort. Mais ils
souffrirent
des flammes qui pénétraient par les fenêtres. Fid
armi eux beaucoup étaient vivants, quoi qu’on eût fait pour les faire
souffrir
et pour tuer les chefs et leurs hommes. On les vo
avec vous jusqu’en votre pays. Je vous reconduirai avec honneur ou je
souffrirai
la mort, et pour vous j’oublierai ma profonde dou
bien-aimé, la dernière fois que je le vis, et de sa perte mon cœur a
souffert
plus que de tous mes autres maux. » Elle tira l’é
ce, sue d’ahan, porte des fardeaux. Poésie gênée, mortifiée, qui fait
souffrir
plus encore qu’elle ne souffre. Elle n’enlève pas
ux. Poésie gênée, mortifiée, qui fait souffrir plus encore qu’elle ne
souffre
. Elle n’enlève pas légèrement sur son front limpi
eux parts : l’une qui s’unit à la prière divine, l’autre qui voudrait
souffrir
avec son grand prêtre et qui ne peut que l’admire
olation surhumaine, qu’il faut Dieu pour ami quand ce qu’on aime fait
souffrir
. « Que s’est-il passé aujourd’hui pour l’écrire ?
qui coulent pour de fausses leçons. Pauvres petits enfants, comme je
souffre
quand je les vois malheureux, tracassés, contrari
interprétée, sentie, comprise par une âme intelligente de ce qu’elle
souffre
et joyeuse de ce qu’elle cueille en passant sur l
uis heureusement née pour habiter la campagne. C’est mon endroit ; je
souffrirais
bien plus ailleurs ; je reconnais en ceci un soin
, ma prière et le sommeil. » Le 9 août. « Dirais-tu ce qui me fait
souffrir
à présent en moi ? C’est cette petite reine Jeann
s trop de poids ? — Oh ! le mot ! encore un mot de sainte Thérèse. Ou
souffrir
ou mourir ! Xavier de Maistre est à Paris, je l’a
d’une vieille race fatiguée et sans naïveté, il peut arriver qu’on en
souffre
, et ce malaise redouble l’ardeur de connaître et
fatalité furieuse de l’égoïsme humain. Il eut des jours difficiles et
souffrit
d’autant plus qu’il apportait dans la mêlée des c
eux qui vit éternellement aux flancs de l’humanité, illusion qui fait
souffrir
puisqu’elle fait vivre, mais qui fait vivre enfin
nsultes de l’archange. Ténèbres, répondez ! Qu’Iavèh me réponde ! Je
souffre
, qu’ai-je fait Le Khéroub dit : Kaïn, Iavèh l’a
Se coucher et dormir en blasphémant les dieux4. L’éternel cri : « Je
souffre
, qu’ai-je fait ? » est une plainte d’enfant, stér
lle, Narada pleure sa mère morte, Angira cherche et doute. Tous trois
souffrent
et voudraient oublier. La déesse Ganga les entend
il mauvais ? je ne sais. Qu’on se rassure du reste : pas d’agir et de
souffrir
à certains moments — L’état d’esprit où nous met
er, et parmi lesquelles furent choisies scrupuleusement celles qui ne
souffrent
pas du demi-jour et qui n’en font souffrir person
puleusement celles qui ne souffrent pas du demi-jour et qui n’en font
souffrir
personne.) « À cinq heures, elle récitait le chap
« Quand les hommes de génie, a dit un poëte allemand contemporain, ne
souffrent
pas pour l’humanité, ils souffrent pour leur prop
un poëte allemand contemporain, ne souffrent pas pour l’humanité, ils
souffrent
pour leur propre grandeur, pour leur horreur du v
et leur grande manière d’être. » Il était donc tout simple que Guérin
souffrit
. Un mariage qui eût été pour lui, si la mort n’en
lui fut semblable encore par la maladie. Elle eut la même manière de
souffrir
et de s’éteindre. Son agonie dura deux ans. « Je
e fange militaire une âme. L’affaire est finie, bien finie. Celui qui
souffrait
injustement ne souffre plus et il n’est pas assez
. L’affaire est finie, bien finie. Celui qui souffrait injustement ne
souffre
plus et il n’est pas assez haut pour qu’on parvie
ble ». Les lettres de Dreyfus, lamentations monotones d’un enfant qui
souffre
sans comprendre et d’un bourgeois qui, lui aussi,
rester à genoux une seconde pour chacun de ceux que des juges firent
souffrir
injustement, on ne se relèverait pas de toute la
La comtesse Mélusine est un ange tombé dans une bavarde. L’ange doit
souffrir
beaucoup. Il recommande : « Dites donc en peu de
pas du tout de ce qui fait la beauté d’un livre. »41 Si l’être qui
souffre
n’est plus un médiocre, le résultat s’élève d’aut
de lettres44, à donner à l’artiste en sa peine, que lui dire : « Vous
souffrez
: notez-le. » Mais cette transformation de la dou
nt il ne suffit pas qu’une idée soit dolente pour être belle. On peut
souffrir
toute une vie sans avoir — fût-ce une minute — fa
ps de 1830 où nos poètes, taillés en hercules, se surmenaient sans en
souffrir
, ne causaient qu’à voix de Stentor, pouvaient se
de ce qu’il a vu et de ce qu’il a fait, ou plutôt de ce qu’a fait et
souffert
son régiment, qui, dans la retraite, combattait à
ne, en les voyant, n’aurait pu s’imaginer combien les soldats avaient
souffert
et combien ils souffraient encore. Je suis persua
ait pu s’imaginer combien les soldats avaient souffert et combien ils
souffraient
encore. Je suis persuadé, ajoute M. de Fezensac,
indiqua. Je n’entreprendrai point de peindre tout ce que nous eûmes à
souffrir
pendant cette nuit cruelle. Je n’avais pas plus d
ns et par les sentiments, est assez grand et assez résolu pour ne pas
souffrir
d’un jugement qui le rapproche, même pour le dimi
tristesse voluptueuse et amère : Où donc es-tu pendant que je suis à
souffrir
? Peut-être t’assieds-tu, joyeux, à quelque orgie
l’heure où le peuple qui monte Semble nous refuser jusqu’au droit de
souffrir
. Nous qui perdons le monde et nous voyons mourir,
ion. Mais du moins il n’était nullement fier de son état moral, et il
souffrait
de ne savoir où il allait. Il était inquiet, avec
révoltes, on te tuera ; si tu dérobes, on t’emprisonnera. Mais si tu
souffres
, nous n’y pouvons rien ; et, si tu n’as pas de pa
ects, elle n’en a nulle part… Mon père avait donc travaillé, il avait
souffert
, et il était mort. Sur le bord de sa fosse, je so
tement depuis ce moment-là (celui de sa conversion définitive) que je
souffre
le plus. Le combat a réellement commencé à l’acte
e peuple : mais ils le connaissaient à peine, ils ne l’avaient pas vu
souffrir
, ils n’avaient pas souffert avec lui. Il fut infi
issaient à peine, ils ne l’avaient pas vu souffrir, ils n’avaient pas
souffert
avec lui. Il fut infiniment profitable à Veuillot
métaphysique. Du moins, j’ai connu des esprits, même éminents, qui ne
souffraient
pas du tout de ne pas croire, et à qui il ne semb
rame tourne sur ce mot : Absolvo te in nomine Patris. Cela se peut-il
souffrir
? Sainte-Beuve lui-même ne se tient pas de traite
l »), je vous assure que c’est très beau. Il est clair ici que Lucile
souffre
, et l’auteur, malgré tout, a pitié d’elle. Veuill
ont loin : … On eût étonné Marianne en lui disant que l’instinct qui
souffrait
en elle n’était autre que la fierté. Elle ne se t
e et si la charité ne sont point en nous. Les hommes ont horriblement
souffert
et ont été horriblement méchants, quoi que vous d
d’en entendre plusieurs dire : Monsieur le maréchal a raison, il faut
souffrir
quelquefois. Et encore : Tous les officiers de
subsistances, et une merveille que la vertu et la fermeté du soldat à
souffrir
la faim. On s’accoutume à tout : je crois cependa
néfastes qu’on doive hésiter à prononcer et dont le patriotisme ait à
souffrir
, infaustum Allia nomen ; une de ces journées dont
gance des alliés, aux Hollandais particulièrement qui avaient le plus
souffert
, rendrait la paix moins difficile. Louis XIV écri
e et très tendrement aimés. Dieu me punit, je l’ai bien mérité : j’en
souffrirai
moins dans l’autre monde. Mais suspendons mes dou
e eux de la rancune pour les maux qu’ils ont faits et ceux qu’ils ont
soufferts
. Je regrette que vous ne les voyiez pas d’assez p
pporter de voir sa chute ; son avilissement surpassait ce que pouvait
souffrir
ma constance ; mais qu’elle eût besoin de moi, et
mes continuelles et de ce cliquetis de discussions ; parfois aussi il
souffrait
tout bas de ne pas assez briller entre les jouteu
ui ne s’est jamais démenti. Elle a consenti à se taire, à attendre, à
souffrir
pour retourner au milieu de tout ce qui lui est c
perfectionné le système français ; peut-être ne pouvait-il pas mieux
souffrir
les chambellans et les dames d’honneur sur la scè
e m’en tairai comme d’une chose triviale et de mauvais goût ; je n’en
souffrirai
peut-être plus. Quand on consent à vieillir, on v
mais je vous verrai, ce sera beaucoup : on a besoin d’amitié quand on
souffre
. Voici un commencement d’épreuve pour la vôtre.
ai des jours comme cela ; il faut me les pardonner, car j’ai beaucoup
souffert
et je souffre beaucoup encore de toutes choses. J
mme cela ; il faut me les pardonner, car j’ai beaucoup souffert et je
souffre
beaucoup encore de toutes choses. Je vois à tout
que jour je vois s’effacer en lui les petites choses qui me faisaient
souffrir
; chaque jour je vois luire et briller les belles
l’enthousiasme qu’elle y a semé) ; nous donc, qui avons eu surtout à
souffrir
de l’isolement qui s’est fait en poésie, nous rec
inépuisable : Car je suis une faible femme ; Je n’ai su qu’aimer et
souffrir
; Ma pauvre lyre, c’est mon âme… Tout enfant, au
t à genoux, lui confiait ses peines, jouissait des mêmes printemps ou
souffrait
des mêmes vents d’hiver. Jugez quand ce fut lui,
Son rôle dans la création lui a été donné, cruel et simple : toujours
souffrir
, chanter toujours ! Elle n’y a pas manqué jusqu’i
i tant d’autres à subir ! Je suis, comme tout le monde, à la vie pour
souffrir
; — c’est plutôt apprendre à penser qu’à parler.
e Mme d’Épinay, qui était alors dans un de ces intervalles où le cœur
souffre
, et où, en se déclarant à lui-même qu’il veut con
ur souffre, et où, en se déclarant à lui-même qu’il veut continuer de
souffrir
, il cherche vaguement à se rouvrir à une espéranc
ence, mais sans se fermer ni s’endurcir. Grimm, jeune, avait beaucoup
souffert
, et il n’eût tenu qu’à lui, dit-il quelque part,
e vous connais, cela ne m’est point arrivé. » La morale avait fort à
souffrir
de ces relations qui s’établissaient si aisément
supposerait à ce désaccord entre les mœurs et les préceptes, et il en
souffrait
: Une des choses, ma tendre amie, écrivait-il, q
èque et moi — pour le séduire ? (Racine.) Toujours aimer — toujours
souffrir
— toujours mourir. (Corneille.) Ce type, rare ch
ne influence générale qui porta tous les nobles esprits de ce temps à
souffrir
, à espérer, à vivre enfin pour l’humanité tout en
t acceptée : Jocelyn se fait prêtre sans vocation pour doter sa sœur,
souffre
d’un douloureux amour qui entre en lui par surpri
urable optimisme emplit ce poème : tout passe, et nous passons ; nous
souffrons
, nous saignons ; et la nature est impassible. Rie
tte amertume : mais à vingt-cinq ans il se sentait déjà solitaire, et
souffrait
. Il n’avait pas la ressource de la fuite dans le
et peut-être toute la religion ne guérissent plus763. Tout ce qui est
souffre
; tout ce qui est supérieur souffre supérieuremen
érissent plus763. Tout ce qui est souffre ; tout ce qui est supérieur
souffre
supérieurement. Le génie, qu’il s’appelle Moïse o
isme était légitimiste et chrétien, Béranger était libéral ; il avait
souffert
destitution, prison, amende : mais, avec cela, il
sur ce seul point, la tendresse délicate de Mme Récamier aurait eu à
souffrir
, à s’inquiéter, de l’effet de la publication prés
raindre, c’était le trop de complaisance et de charité ; la vérité en
souffrait
. Où ne s’y gâtait pas le goût, on le perfectionna
n lui écrivant à la date du 3 avril 1824 : Pardonnez-moi, et si vous
souffrez
, songez aussi que je souffre beaucoup. C’est déjà
avril 1824 : Pardonnez-moi, et si vous souffrez, songez aussi que je
souffre
beaucoup. C’est déjà bien assez que l’on ne me re
aussi badin qu’il y était allé. Je me dis malgré moi : — Un homme qui
souffre
de la grande misère du peuple et de toutes les ho
hefort joue la comédie, il veut bien qu’on s’en aperçoive, mais il ne
souffre
point qu’on le dise. Ce révolutionnaire tintamarr
our que M. Rochefort soit à peu près persuadé de ce qu’il écrit. Il a
souffert
pour sa cause ; et si peut-être il n’avait pas la
i avant son exil, il a bien pu l’avoir après : on ne veut point avoir
souffert
pour un simple jeu d’esprit. Puis, les idées dont
ur l’horrible, vous avez l’air de vous être joué ; vous avez pourtant
souffert
, vous vous êtes rongé à promener et à caresser vo
ennuis, vos cauchemars, vos tortures morales ; vous avez dû beaucoup
souffrir
, mon cher enfant. Cette tristesse particulière qu
enseigne l’humanité et la douceur… Il console le pauvre et celui qui
souffre
. Et c’est lui qui apprend aux jeunes gens et aux
où je vous écrivais souvent, je fus atteint de la fièvre typhoïde. Je
souffris
et fus guéri entre deux de vos lettres, sans vous
que vous en disiez, vous n’y preniez point de peine ». À mesure qu’il
souffre
davantage et que la mort approche, il se détache
, simple et court ; il n’ajoute pas à la laideur des choses ; il n’en
souffre
pas ; il ne saurait jamais en être excédé. Les vr
Personne n’aima plus la vie que celui qui vient de mourir après avoir
souffert
vingt ans. Enfant et adolescent (il le contait lu
fin, le complète. Elle agrandit son cœur et sa pensée par l’effort de
souffrir
noblement, et par les méditations mêmes et les le
adis la folie et l’orgueil de vivre, je me dis qu’il est juste que je
souffre
. » Je me suis rappelé ce propos d’héroïque résign
ssant par tous les Mélancoliques intermédiaires et séculaires qui ont
souffert
de la vie et qui ont poussé leur cri contre la do
’est le cri de l’humanité tout entière, qui n’a jamais, parce qu’elle
souffre
, été désespérée de vivre ! Ce pessimisme de quelq
; — les pessimistes sensibles qui s’acharnent contre la vie, dont ils
souffrent
, comme la bête mord le fer qui la frappe, sont au
ré de furie, de rage, d’imprécation et d’intensité, que l’être qui en
souffre
, s’il n’était pas mort de phtisie, aurait été cap
que vous récompensiez ? ne juge rien, en somme ; mais il sent et il
souffre
, et il se débat contre la mort et maudit la griff
tant à plaindre et tant aussi à admirer ! Georges Caumont a beaucoup
souffert
, et, comme tant d’autres, il a tiré de sa souffra
suis soldat, enfant de la Révolution, sorti du sein du peuple : je ne
souffrirai
pas qu’on m’insulte comme un roi. » Il disait dan
Il disait dans un autre moment : « Il faut que le peuple français me
souffre
avec mes défauts, s’il trouve en moi quelques ava
de celui qui la reçoit ; en France, elle avilit toujours celui qui la
souffre
… En Angleterre, les invectives n’ont point renver
comme nous avons dit, parce qu’en France l’injure avilit celui qui la
souffre
, et excite aux injures ceux qui l’écoutent ; au l
s haut degré d’intensité, à ce point où il ne leur est possible ni de
souffrir
de distraction ni de supporter une longue durée.
. Elle tenait son bras droit au-dessus du poignet et se plaignait d’y
souffrir
beaucoup. Or, je ne savais pas moi-même exactemen
onnement qu’elle serrait encore son poignet droit et se plaignait d’y
souffrir
beaucoup, sans savoir pourquoi. Le lendemain, ell
que percevoir la souffrance ou le plaisir d’autrui, c’est commencer à
souffrir
ou à jouir soi-même. Les mêmes lois qui font que
autrui. Ce qui fait que, dans la pitié active, on jouit plus qu’on ne
souffre
, c’est qu’on agit plus qu’on ne pâtit. Le mécanis
nir en quelque sorte sociale. Nous ne savons pas toujours, quand nous
souffrons
, si c’est à notre cœur ou à celui d’autrui. Tout
rejeter avec dédain, le système qui a pour but seulement d’éviter de
souffrir
. Des hommes froids, qui veulent se donner l’appar
que ces dernières réflexions sont dédiées ; c’est surtout à ceux qui
souffrent
, qu’elles peuvent apporter quelque consolation.
grises, noires, et la perte de l’harmonie générale. Les endroits qui
souffriront
le plus, ce sont ceux où il se trouvera de la cér
vent réagir les unes sur les autres, se décomposer, se revivifier, ou
souffrir
, comme les sels, par l’acide de l’air. Cet acide
sonne, plus lasse peut-être d’attendre le plaisir d’être femme que de
souffrir
les duretés de sa mère, se détermina un matin de
depuis longtemps entre les mains de gens durs, avec lesquels il avait
souffert
; et il était dangereux et triste qu’avec les fav
offre pour offre, et serments pour serments. ALCESTE. Non, je ne puis
souffrir
cette lâche méthode Qu’affectent la plupart de vo
ends tout doucement les hommes comme ils sont ; J’accoutume mon âme à
souffrir
ce qu’ils font ; Et je crois qu’à la cour, de mêm
nt. D’où vient que, leur portant une haine mortelle, Vous pouvez bien
souffrir
ce qu’en tient cette belle ? Ne sont-ce plus défa
t à Chapelle de sa propre femme : « Si vous saviez ce qu’elle me fait
souffrir
, vous auriez pitié de moi. Toutes les choses du m
tions impatients d’assister à cette lutte d’un amour impétueux qui ne
souffre
ni détours ni délais, et d’une froide coquetterie
e, eut le malheur qu’on ne la loua pas. Cette foule de gens dont vous
souffrez
visite, Votre galanterie, et les bruits qu’elle e
N. Dorine ?… Mon beau-frère, attendez, je vous prie, Vous voulez bien
souffrir
, pour m’ôter de souci, Que je m’informe un peu de
Le pauvre homme !À la fin, par nos raisons gagnée, Elle se résolut à
souffrir
la saignée ; Et le soulagement suivit tout aussit
pricieuse autant que personne du monde, tout sied bien aux belles, on
souffre
tout des belles. » (Bourgeois gentilhomme, acte I
lle comme si elle n’était pas ma femme: mais si vous saviez ce que je
souffre
, vous auriez pitié de moi. Ma passion est venue à
que romancier parce qu’il suffit, pour être moraliste, d’avoir un peu
souffert
pour son propre compte, et qui n’a pas souffert ?
liste, d’avoir un peu souffert pour son propre compte, et qui n’a pas
souffert
?…, Mme Augustus Craven est une dentelière de mét
ie et les Romans — comme dit la vieille phrase de tout le monde, — ne
souffrent
pas de médiocrité. Après le colossal Balzac, qui
t j’en suis sûr. Car fussé-je malade, j’irais tout de même… J’ai trop
souffert
hier de n’y avoir pas été. Je commence d’ailleurs
er au bien que vous faites ? Je ne cherche pas à faire des scènes… Je
souffre
solitaire, ma porte fermée, et chaque minute est
énie, qui n’est pas, lui, aveuglé par tout ce sang et qui se discerne
souffrir
… Peu d’hommes maîtrisés par l’amour ont parlé ave
remières leçons, surtout les leçons de l’exemple, la constance à tout
souffrir
et la haine des proscriptions ; mais il n’y mêla
de la patrie. Mais la patrie n’a pas perdu mémoire de ce qu’il fit et
souffrit
pour elle, et elle garde son nom à côté des noms
à Platon, qu’elle est cause de la resolution qu’il prend de ne point
souffrir
l’imitation poëtique, ou la poësie proprement dit
le talent de la fiction pour nous peindre la situation d’un homme qui
souffre
avec constance la perte d’un fils unique. Ils n’i
sent changer, se sent faire effort et réagir, sent qu’il jouit, qu’il
souffre
, et conserve dans la souffrance même la représent
lui-même dérivé. Primitivement, il s’agit d’un rythme entre jouir et
souffrir
. Toutes les fois que ce rythme a lieu, il produit
représentations, dont l’une se résume pour nous dans le mot humain :
souffrir
, et l’autre dans le mot : ne pas souffrir ; souff
r nous dans le mot humain : souffrir, et l’autre dans le mot : ne pas
souffrir
; souffrir, c’est la différence ; ne pas souffrir
le mot humain : souffrir, et l’autre dans le mot : ne pas souffrir ;
souffrir
, c’est la différence ; ne pas souffrir, c’est la
ans le mot : ne pas souffrir ; souffrir, c’est la différence ; ne pas
souffrir
, c’est la non-différence, c’est l’identité émotio
urs de la vie, qui enveloppe déjà une jouissance. Si, de plus, ne pas
souffrir
prend la forme d’une jouissance précise, les deux
ù abondent l’observation la plus fine et l’imagination la plus farce,
souffre
de la plus déconcertante duplicité de ton. C’est
étant une déformation optimiste du monde réel, ne peut absolument pas
souffrir
que la vertu soit longtemps malheureuse, et qui,
taient séparés par un mensonge réciproque. Dans l’Affranchie, l’amant
souffre
moins d’un mensonge précis de sa maîtresse que de
-moi franchement ; je ne te ferai aucun reproche. Pourquoi mentir, et
souffrir
ou faire souffrir inutilement ? » Roger est sans
je ne te ferai aucun reproche. Pourquoi mentir, et souffrir ou faire
souffrir
inutilement ? » Roger est sans doute naïf de croi
ictimes lui demeuraient lointaines et inconnues, il ne les a pas vues
souffrir
; et il est possible que notre responsabilité ne
ime » autour d’elle. Et Müller n’a toujours pas parlé. Lia commence à
souffrir
. Et voilà qu’elle apprend de son père et de sa mè
a priés de considérer comme non avenue sa démarche de la veille. Lia
souffre
tout de bon : « Ce que je ne lui pardonne pas, c’
donne pas, c’est cet effort que j’ai naïvement fait pour l’aimer ; je
souffre
cruellement, moi qui lui échappais par mon indiff
des scènes où Zaza est le plus torturée, Cascart lui ayant dit : « Tu
souffres
, hein ? » elle répond à travers ses larmes : « J’
; Ils disoient qu’ils souffroient sans cesse, Et moi je les laissois
souffrir
. Je rendois le sort déplorable De ceux qui vivoie
re étonnée, Cette belle au cœur endurci ! Nous la verrons un jour ici
Souffrir
comme une âme damnée. Hélas ! hélas ! un jour vie
qu’il plaçât autre part que dans le monde sa patrie véritable, il dut
souffrir
et saigner au dedans pour sa chère patrie vaudois
le sa nature tendre, et il est à croire que, tout en sentant qu’il en
souffrait
et qu’il en mourait, sa belle âme en tirait un no
de Dieu, fonder des messes ou des couvents, tout ce que le corps peut
souffrir
ou la main faire, on le souffre ou on le fait : m
couvents, tout ce que le corps peut souffrir ou la main faire, on le
souffre
ou on le fait : mais la profonde philosophie, la
ons volontairement, quelquefois, à ceux que nous haïssons. Mais faire
souffrir
, par divertissement, ou pour montrer notre force,
i sacré et d’une si prodigieuse excellence qu’il faut, pour y entrer,
souffrir
des épreuves longues et compliquées, — comme pour
isage qui est d’un caractère simple, fort, rustique et pathétique. On
souffre
beaucoup à le voir. Une grosse draperie jetée sur
rirez, mais qu’est-ce que cela fait ? notre ami Le Romain ne peut pas
souffrir
les anges à cause de leurs ailes ; moi je suis ch
ablement de la vie publique sous les deux derniers des Stuarts. Swift
souffrait
, en outre, de sa dépendance, et d’autant plus viv
ion à son maître. Elle se laissait aller à l’aimer ; il le vit, il le
souffrit
, il la paya de retour, et alors s’établit entre e
ncèrent pas le jour où elle se vit trahie pour une autre femme ; elle
souffrit
dans son honneur, bien avant de souffrir dans son
pour une autre femme ; elle souffrit dans son honneur, bien avant de
souffrir
dans son amour. Voisine de Swift en Irlande, habi
a, la pensée remplie d’une autre femme, de Miss Vanhomrigh, qui eut à
souffrir
tout ce que Stella avait souffert, mais qui en so
emme, de Miss Vanhomrigh, qui eut à souffrir tout ce que Stella avait
souffert
, mais qui en souffrit moins longtemps. C’est en 1
gh, qui eut à souffrir tout ce que Stella avait souffert, mais qui en
souffrit
moins longtemps. C’est en 1710, que Swift connut
oir et de me parler avec douceur, car vous ne condamneriez personne à
souffrir
ce que j’endure ; puissiez-vous seulement le savo
ions et nourri de ressentiments ; mais nous ne saurons jamais ce qu’a
souffert
par un juste retour le meurtrier de Vanessa, l’in
aux dépens même des vôtres. Il n’en est pas ainsi de nous. Nous avons
souffert
vos emportements dans votre élévation ; et, dans
laissa veuve plus tôt qu’il n’eût été utile à l’un et à l’autre. J’ai
souffert
toutes les peines et toutes les incommodités du v
ce ; qu’elle se défende des mauvais desseins de ses proches ; qu’elle
souffre
constamment les injures des partisans, et l’insol
; et, me confiant surtout en la grâce de Dieu, je me suis résolue de
souffrir
tous ces troubles que le veuvage apporte avec soi
Un fat trouve toujours un plus fat qui l’admire ; mais les militaires
souffrent
-ils les injures tranquillement ? LICHTENSTEIN. Il
ait de grandes choses sous son règne, mais c’est lui qui les faisait.
Souffrez
donc, Mylord, que je tâche d’élever à sa gloire u
rs langues, pour me donner la singulière consolation de voir que l’on
souffrait
partout, il me semble qu’il y aurait de la dureté
e, du goût, de l’art, et de la douleur exprimable, sont franchies. On
souffre
de voir un fils de Pétrarque se porter à ces extr
mmée. Timide et fier, et même un peu sauvage, il ne laissait pas d’en
souffrir
. « Dans sa droiture et dans sa fierté, » nous dit
re ; — puis encore acteur, et souffrant d’être acteur comme il devait
souffrir
de tout, cet homme plus haut que sa vie et qui au
rtus de cet homme dont nous ne voyons que le génie, Guizot n’en a pas
souffert
seulement comme historien, dans cette Vie qu’il v
comme historien, dans cette Vie qu’il vient de publier, mais il en a
souffert
aussi comme critique littéraire, et c’est ici qu’
ensible souffrance qu’il inflige à une âme ! — car pourquoi cette âme
souffre-t
-elle, si elle a la sécurité ? IV Mais elle
cette âme souffre-t-elle, si elle a la sécurité ? IV Mais elle
souffre
, et c’est son mérite moral, s’il lui en reste enc
r de l’athée est sublime dans les Poésies de madame Ackermann. Elle y
souffre
comme toutes les âmes fortes, qui périssent d’org
nt de M. About. Ils ont un enfant. Le comte, un Don Quichotte en frac
souffre
beaucoup dans son sentiment paternel de l’impossi
est de reconnaître son enfant qui est adultérin, mais la Chermidy en
souffre
, elle ! bien davantage. Elle en souffre dans son
dultérin, mais la Chermidy en souffre, elle ! bien davantage. Elle en
souffre
dans son orgueil, dans ses ambitions, dans toutes
vivre ou de mourir. Cela n’est pourtant pas tout à fait vrai : car je
souffre
, et la mort serait un soulagement ; mais je n’ai
eureux aiment et cherchent la solitude. On s’accoutume à tout, même à
souffrir
; mais cette funeste habitude vient d’une cause b
itutions humaines… Voilà ce que c’est que s’accoutumer à tout, même à
souffrir
. Dieu préserve mes amis de cette triste habitude
ésirons point survivre à nos cendres, mourons tout entiers de peur de
souffrir
ailleurs. Cette vie-ci doit corriger de la manie
us tard, s’exiler encore pour échapper à une domination trop lourde ;
souffrir
toujours par la pensée des maux de la patrie, par
a profondeur de cette blessure : « Nous serions bien moins étonnés de
souffrir
, dit-il, si nous savions combien la douleur est p
ir de combattre le penchant auquel il avait jadis cédé. Mais il avait
souffert
, comme l’a écrit M. Ampère, du mal de René. J’ai
douleurs ; tu nous fais reposer dans le mal même, en nous apprenant à
souffrir
facilement, sans résistance et sans amertume ; to
yse plus étendue, citons quelques fragments de ses lettres : « Que je
souffre
plus ou moins, ce ne sera pas une différence réel
se, car loin d’avoir la conscience de facultés supérieures, Senancour
souffre
du sentiment de son insuffisance. Quant aux pages
ations outrées : « J’ai beaucoup vécu, nous dit le proscrit, beaucoup
souffert
, beaucoup aimé, et j’ai fait un livre avec mon cœ
est une victime des discordes politiques ; il est exilé ; de plus, il
souffre
d’un amour malheureux. Il se dépeint ainsi lui-mê
qui nous ranime et nous donne de nouvelles forces. J’étais abattu, je
souffrais
, je pleurais. Si j’avais eu là mon consolant opiu
tout point imaginaire, Adolphe est son portrait. Benjamin Constant a
souffert
du mal qu’il a décrit. Il n’a pu aimer, et il a j
cette contagion des esprits, ont attesté toute la violence qu’ils ont
soufferte
; ils ont franchi brusquement toutes les époques
ce a été plus maltraitée que le reste de l’Europe, elle n’a pas seule
souffert
. Les perturbations qui l’ont travaillée s’étendai
on. Quant à lui, je le répète, cet amour marque la fin du mal dont il
souffrait
, en même temps que la fin de sa jeunesse. Avec la
c une jeune personne à laquelle il pouvait espérer s’unir. « Ce qu’il
souffrit
pendant deux ou trois années d’épreuves continuel
voir ni jeunesse, ni passé, ni avenir ; je ne te dis pas de ne pas en
souffrir
, de ne pas en mourir même à la longue, mais je te
ouvait une maladie qui avait été la sienne. Ajoutons que Sainte-Beuve
souffrait
, comme Joseph Delorme, d’un précoce désenchanteme
faible et inquiet, comme un fils de René, n’est frappé du mal dont il
souffre
, que pour s’être livré à de précoces excès. Ces e
heur, sans secours, sans appui. L’homme est ici-bas pour s’ennuyer et
souffrir
. » Le 20 mai 1820, la note est encore plus sombre
i avez le sentiment de la beauté des choses naturelles. Nous tous qui
souffrons
, aidons-nous. » Celui à qui s’adressaient ces con
ns était fait pour comprendre les unes et avait besoin des autres. Il
souffrait
comme Ampère. Il lui écrivait que la solitude n’é
pe d’Ampère n’étaient pas moins blessés. Après avoir dit à Bastide tu
souffres
autant que moi, Ampère ajoutait : « Et Franck ! e
t que ton front s’incline En faveur de ces vœux trop inaccoutumés. Je
souffre
et je suis las ; endors mes yeux calmés, Souverai
s’il n’était criminel, et qui découvre bien la profondeur du mal dont
souffrait
ce monde de gens de lettres, vaniteux, épuisé, li
poète, on voit qu’elle était travaillée par de cruelles anxiétés. Il
souffre
du mal du doute et il le décrit avec un profond a
es jouissances sont mêlées de tristesse, parce qu’elle est destinée à
souffrir
et que le bonheur s’enfuit, que sais-je encore ?
ilosophiques empreintes d’amertume. Rien ne prouve mieux combien il a
souffert
que la conclusion à laquelle il arrive : le néant
ouit que par l’imagination. « La présence du bonheur me trouble et je
souffre
même d’un certain froid que je ressens ; mais je
omme une source, puis il recoule. » — « 1837 : (sans autre date) : Je
souffrais
, je souffre encore, mais ce n’est qu’un reste, un
e, puis il recoule. » — « 1837 : (sans autre date) : Je souffrais, je
souffre
encore, mais ce n’est qu’un reste, un malaise qui
ste mais précieux ! Mais, quand elle écrivait ces lignes, le mal dont
souffrait
Eugénie de Guérin n’était déjà plus guérissable.
ut-être, en effet, la meilleure explication des troubles dont ils ont
souffert
tous deux. Ajoutons-y les impressions d’une enfan
reux qui rampent sur la terre sont mes frères.… tous deux condamnés à
souffrir
, tous deux faibles, incomplets, blessés par toute
, comme Sténio cherche à la consoler : « Eh bien ! s’écrie-t-elle, je
souffre
mortellement à l’heure qu’il est ; la colère ferm
s le scepticisme jusqu’au cou et rouler dans l’abîme où j’expire ? je
souffre
et je n’ai pas de force pour crier. Allons, blasp
be jamais, et mon cœur est plus sec que mes yeux. » Du reste, si elle
souffre
surtout par l’intelligence, elle n’est guère, j’e
, tu m’accueilleras dans ton sein et tu me guériras des maux que j’ai
soufferts
; si tu n’es pas, oh ! alors je suis moi-même mon
eux qui l’approchent, de se jouer au milieu du danger, de jouir et de
souffrir
à la fois. La principale cause de cet état anorma
Quant au suicide, Antony y est conduit par sa disposition naturelle à
souffrir
profondément des épreuves de la vie, à voir parto
bliquement, à Corneille. La Bruyère écrit en 1693 : « Quelques-uns ne
souffrent
pas que Corneille lui soit préféré, quelques autr
x particularités, parce que les oreilles sont délicates et ne peuvent
souffrir
qu’on nomme des choses basses dans un discours sé
t plus impudent qu’un ventre affamé. » Notre langue, dit Racine, ne
souffrirait
pas, dans un poème épique, cette façon de parler,
le grec comme ils le sont dans notre langue, qui ne veut presque rien
souffrir
, et qui ne souffrirait pas qu’on fît des éloges d
sont dans notre langue, qui ne veut presque rien souffrir, et qui ne
souffrirait
pas qu’on fît des éloges de vachers, comme Théocr
vu l’illustre Parthénice, Bois, fontaines, rochers, agréable séjour,
Souffrez
que jusqu’ici son beau nom retentisse, Et n’oubli
s douze années durent être rudes et humiliantes. Il avait dû beaucoup
souffrir
(et souffrit d’ailleurs toute sa vie) dans son or
s durent être rudes et humiliantes. Il avait dû beaucoup souffrir (et
souffrit
d’ailleurs toute sa vie) dans son orgueil ; et, q
e sa vie) dans son orgueil ; et, quand Racine le rencontra, il devait
souffrir
terriblement dans son cœur ; car il venait d’épou
uite et tout ce que Molière toléra sans parvenir à l’indifférence. Il
souffrit
encore de bien d’autres manières. Il semble avoir
à donner du plaisir quand nous sommes souvent accablés de chagrin, à
souffrir
la rusticité de la plupart des gens avec qui nous
ntiments se doivent découvrir, Je souhaitais, Hémon, qu’elle vous fît
souffrir
, Et qu’étant loin de moi, quelque ombre d’amertum
nnes âmes, de saintes âmes — et qu’il savait telles — s’obstinaient à
souffrir
réellement, et d’ailleurs inutilement, pour des c
. Rien ne nous est plus odieux que de faire, à notre corps défendant,
souffrir
les autres d’une souffrance gratuite et qui nous
qui nous paraît absurde : ce qui leur donne l’air de faire exprès de
souffrir
pour nous ennuyer… Survint la querelle de Port-Ro
e le sait pas lui-même. En somme, Racine ne dut pas, cette fois, trop
souffrir
des critiques. Il dut jouir de tout ce bruit. Le
, je vous en veux faire passer l’envie. — Hé ! monsieur, peut-on voir
souffrir
des malheureux ? — Bon ! cela fait toujours passe
sinistre fou ; c’est-à-dire le plaisir d’étendre son être en faisant
souffrir
, les sensations agréables ayant pour mesure la so
de cet auteur d’avoir si dignement travaillé sur un sujet qui ne peut
souffrir
une représentation agréable. En effet, l’idée de
s savons dès maintenant ce qu’il ne fera pas. Reste à savoir ce qu’il
souffrira
. Il vient, il veut parler, et n’en a pas le coura
de son triste message auprès de Bérénice. Admirable scène ; tous deux
souffrent
tant ! Il a bien, lui, au fond du cœur, un peu d’
n, lui, au fond du cœur, un peu d’espoir honteux et inavoué : mais il
souffre
, premièrement, de faire souffrir celle qu’il aime
d’espoir honteux et inavoué : mais il souffre, premièrement, de faire
souffrir
celle qu’il aime, et secondement, de savoir que,
ire souffrir celle qu’il aime, et secondement, de savoir que, si elle
souffre
, c’est qu’elle aime un autre que lui. Et quant à
eux, — oh ! tout simplement dans quelque monologue, — à quel point il
souffre
des hontes et des abaissements qu’un devoir supér
moins parce qu’elle est femme. Je crois bien, d’ailleurs, que nul ne
souffre
plus qu’elle : elle a constamment le cœur dans un
répas à vos yeux me semblerait trop doux, Et je n’ai pas encore assez
souffert
pour vous. Je veux qu’un noir chagrin à pas lents
; Je veux, sans que la mort ose me secourir, Toujours aimer, toujours
souffrir
, toujours mourir. Il y a là quelque chose de plu
e par une autre voie que par un miracle que le spectateur n’aurait pu
souffrir
, parce qu’il ne saurait jamais le croire ». Voilà
bles. Nous les aimons parce qu’elles sont belles, vraies, et qu’elles
souffrent
. Mais il est certain qu’elles n’ont pas la notion
use de tout cela, il y avait beaucoup de gens qui ne pouvaient pas le
souffrir
. Le vieux Corneille était timide, gauche, terne,
gne encore au bout de deux cent trente ans ! Oui, Racine dut beaucoup
souffrir
. Une injustice si atroce, s’ajoutant à douze anné
au avait parlé de sa « douleur vertueuse » ! Et, sous prétexte qu’ils
souffraient
et qu’elle était belle, Mithridate et Ériphile n’
vers de Britannicus l’avaient fait renoncer à la danse ; qu’il avait
souffert
et même goûté, dans Bérénice, de secrètes allusio
de Louis XIV. Néanmoins, Racine fut profondément peiné ; et, comme il
souffrait
alors d’une maladie de foie, on peut croire, avec
st prête, parce que vous l’avez consolée une fois, à accourir si vous
souffrez
, si vous êtes dans le malheur, si seulement l’enn
es lieux communs pour fournir à la conversation. Je lui demandai s’il
souffrait
: il me dit que non, en levant le siège. Je ne le
amour-propre qui me donne cette confiance. » (1er avril 1763.) Elle
souffrait
cruellement, à cette date, des froideurs de Marge
s elle ne m’aime pas mieux ; elle ne s’est attachée à personne ; elle
souffre
l’amitié, et c’est tout. J’ai vu le curé de Grosl
tir. Elle est de plain-pied avec nous. Son mari meurt ; il a cessé de
souffrir
dans les derniers jours de 176377. Le premier soi
son père un sang vicié. Sa sensibilité aussi s’est usée à attendre, à
souffrir
; le pli est pris : pourquoi changer ? C’est ici
ns ne sont plus rien. » Elle lui répondait (27 avril 1765) : « Vous
souffrez
et vous vous levez une heure avant le jour pour m
de notre connaissance, vos soins, vos bontés, votre amitié, n’ont pas
souffert
un moment de relâche ou d’attiédissement, que vou
qu’une âme élevée puisse rester indifférente à un tel spectacle et ne
souffre
pas en voyant la plus grande partie de l’humanité
Mais ils posséderaient l’infini, la vérité absolue, qu’ils devraient
souffrir
de les posséder seuls et regretter les rêves vulg
ouraient au moins en commun avec tous. Il y a des âmes qui ne peuvent
souffrir
cet isolement et qui aiment mieux se rattacher à
. De là une affreuse, une horrible situation ; des hommes condamnés à
souffrir
sans une pensée morale, sans une idée élevée, san
gnation et la soumission, parce qu’il ne s’agissait après tout que de
souffrir
quelques jours, après quoi viendrait l’éternité,
t si un moment j’ai souhaité le triomphe des barbares. Et pourtant je
souffrais
quand j’entendais des hommes honnêtes déverser le
a liberté violée ne sont pas tant des gens qui, possédés par le vrai,
souffrent
de ne pouvoir le divulguer, que des gens qui, n’a
reuse ? Non, certes. C’est donc que l’Église est plus faible. On nous
souffre
parce qu’on ne peut nous étouffer. Si l’Église re
x, et les cris d’un porteur d’eau de Paris me réveillent. Oh ! que je
souffre
alors ! Les soins de blanchisseuse, etc., etc., t
s malheureux ! » … « Je reprends la plume aujourd’hui 27 décembre. Je
souffre
, et toujours. J’ai eu des moments horribles… Il e
c’est de n’être pas né Anglais. Ne riez pas, je vous en supplie ; je
souffre
tant ! les gens vraiment amoureux sont des monoma
pestiférés atteints d’une plaie incurable, que leur organisation fait
souffrir
comme celle des heureux les fait jouir ?… Souvent
des porteurs d’eau qui passent. Il le comprend vaguement lui-même, il
souffre
de souffrir d’une manière si pauvre, et il aspire
s d’eau qui passent. Il le comprend vaguement lui-même, il souffre de
souffrir
d’une manière si pauvre, et il aspire à élargir s
vie journalière, à se regarder constamment, et surtout à se regarder
souffrir
, à se grossir pour ses propres yeux, une tendance
partout le neuf dans le corrompu. Comme ils en out le sentiment, ils
souffrent
; la sénilité est morose et la littérature de déc
e je restai devant cette bicoque ! J’ai tâché de les oublier, mais je
souffrais
comme un musicien quand il entend des instruments
r. » Et d’abord il croit que l’universalité de la langue française en
souffrira
; que Paris ne sera plus comme auparavant la capi
ntes dont il l’entoure, on saisit quelques ombres. Le prince de Ligne
souffrait
par moments de n’être pris que comme une curiosit
rangements d’estomac, n’a-t-on pas déjà éprouvés à trente ans ! On en
souffre
tout le reste de sa vie. Les emplois, les rubans,
’est par le manque d’attention, en effet, que les poëtes de nos jours
souffrent
et qu’ils périssent : c’est l’attention qu’ils ré
-vous, apaisez-vous ! » Chez celui-ci, en effet, l’homme avant tout a
souffert
, et toute sa poésie l’exprime ; il a la fibre vib
itations bien choisies de poëtes étrangers. Lui aussi il a aimé, il a
souffert
, et il chante. Je lis avec plaisir son recueil :
ri : à M. Lerambert j’aurais bien plutôt à représenter qu’après avoir
souffert
il ne suffit pas de chanter purement, mélodieusem
our échapper à un procès déshonorant. Quoi qu’ils aient fait, ils ont
souffert
, soit physiquement, soit moralement, à peu près a
ert, soit physiquement, soit moralement, à peu près autant qu’on peut
souffrir
; et c’est de leur vie qu’ils ont, comme on dit,
s les autres. Petite fille d’un petit village de la frontière, elle a
souffert
de ce que souffraient de pauvres gens à cent lieu
e fille d’un petit village de la frontière, elle a souffert de ce que
souffraient
de pauvres gens à cent lieues, à deux cents lieue
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