des nuages qui font un horrison colorié au coucher comme au lever du
soleil
, dépendent de la nature des exhalaisons qui rempl
t pluvieuses, venteuses, froides et chaudes dans la même contrée ? Le
soleil
et les émanations de la terre décident en France,
auses il y en a une qui ne varie pas dans son action, je veux dire le
soleil
. Il faut donc attribuer la difference immense qui
tion survenuë dans les émanations de la terre. Je dis que l’action du
soleil
ne varie point. Il monte et il descend à Paris to
est entre Paris et Senlis du sud au nord, revient à la hauteur que le
soleil
peut avoir de plus à Paris en une année que dans
y est pas aussi capricieuse qu’en France. Mais, dira-t-on, quoique le
soleil
monte toutes les années à la même hauteur, ne peu
la terre. Je répons que l’expérience ne souffre point qu’on impute au
soleil
cette variation. Il y auroit une espece de regle
gle dans ce dérangement s’il venoit du rallentissement de l’action du
soleil
, je veux dire que tous les pays sentiroient ce dé
portion de la distance où ils sont de la ligne, et que l’élevation du
soleil
décideroit toujours du dégré de chaleur, quelle q
la temperature des années est telle qu’on ne sçauroit l’attribuer au
soleil
, à une cause generale. Il faut l’imputer à une ca
nde enveloppe, et l’on les expose à l’action immediate de l’air et du
soleil
, laquelle ne trouvant plus rien d’interposé, en d
de toute finesse et qui n’est qu’une apparence. Exprimer l’action du
soleil
sur cette terre ardente en disant que cette terre
ait pas l’impression d’un beau pays frappé de mort et condamné par le
soleil
à demeurer stérile ; ce n’était plus le squelette
n côté, les Seba’Rous (les sept Pitons) à peine éclairées par un pâle
soleil
couchant ; de l’autre, les hautes montagnes du Te
, un ciel balayé, brouillé, soucieux, plein de pâleurs fades, d’où le
soleil
se retirait sans pompe et comme avec de froids so
ne heure entière couché près de la source à regarder ce pays pâle, ce
soleil
pâle, à écouter ce vent si doux et si triste. La
ait ? sans eux il n’y aurait plus d’oiseaux peut-être pour saluer les
soleils
qui se lèvent. — Allah ! Dieu est grand ! » II.
il voulait le pays du bleu, le pays de l’éternel azur, le royaume du
soleil
; il le voulait affronter dans sa saison la plus
lusieurs semaines à peindre, à regarder, à s’imbiber de lumière et de
soleil
; c’est de là qu’il fera une pointe de quelques j
une heure : « Assis, on n’en a pas encore sur les pieds ; debout, le
soleil
vous effleure encore la tête ; il faut se coller
e de passer sur ce pavé métallique ; toutes les boutiques exposées au
soleil
sont fermées : l’extrémité de la rue, vers le cou
aisant, de l’ombre de leur voile, un abri pour tout le corps, sous ce
soleil
perpendiculaire. L’une après l’autre, elles se ra
ave et poignant amour pour « ce tableau ardent et inanimé, composé de
soleil
, d’étendue et de solitude ». Voici quelques-unes
our ces lieux élevés… A l’heure où j’arrive, un peu après le lever du
soleil
, j’y trouve une sentinelle indigène encore endorm
campagne qui semble, pendant un court moment de fraîcheur, sourire au
soleil
levant. Il y a dans l’air de vagues bruits, et je
devient fauve ; la ville elle-même devient plus grise à mesure que le
soleil
s’élève ; des exhalaisons chaudes semblent monter
car personne autre que moi n’aurait l’idée de s’aventurer là-haut. Le
soleil
monte, abrégeant l’ombre de la tour, et finit par
u sur des grès étincelants ; mon carton se tord à côté de moi sous le
soleil
; ma boîte à couleurs craque, comme du bois qui b
comme une masse alors toute violette, avec ses terrasses vides, où le
soleil
éclaire une multitude de claies pleines de petits
plein midi éteint tout et nivelle tout. Qu’est-ce donc quand c’est le
soleil
caniculaire qui plane littéralement, qui darde d’
l’heure, dit-il, où le désert se transforme en une plaine obscure. Le
soleil
, suspendu à son centre, l’inscrit dans un cercle
n ne pourra éteindre. Il en a, pour sa vie durant, de sa provision de
soleil
. M. Fromentin ne se borne pas, dans ses Voyages,
La nuit tombe, ô mon âme ! un peu de veille encore ! Ce coucher d’un
soleil
est d’un autre l’aurore. Vois comme avec tes sens
on pampre vermeil, Un bouquet de feuilles gelées Nous abrite encor du
soleil
. Vives glaneuses de novembre, Les grives, sur la
œurs joyeux qui battaient sous ses toits ! À l’heure où la rosée au
soleil
s’évapore Tous ces volets fermés s’ouvraient à sa
ueil ? N’as-tu pas dans un pan de tes globes sans nombre Une pente au
soleil
, une vallée à l’ombre Pour y rebâtir ce d
table du chevrier, et de l’étable au mur du jardin où je m’assieds au
soleil
, connu des souris d’espalier, des belettes au mus
la saison, entre la mélancolie et la splendeur, entre la brume et le
soleil
. Quelques brouillards sortaient, comme des fumées
pes, toute lutte entre la brume du matin et l’éclat du midi cessa. Le
soleil
avait bu toute l’humidité de la terre ; les cimes
ins de tuiles rouges, et avec son clocher de pierre grise, bronzée du
soleil
. Sa cloche, dont on voyait le branle et la gueule
mmenses châtaigniers qui s’entrelacent comme des serpents endormis au
soleil
, j’arrivai au faîte de la chaîne de ces montagnes
her, et devenir transparente comme du sable vitrifié sous le foyer du
soleil
, pour laisser entrevoir, à travers ses flancs dia
ansparence au sommet, et les couches d’or que les rayons glissants du
soleil
y mêlent à la fleur déjà dorée des genêts, m’ont
des villages, baignées d’un ruisseau, deux tours jaunâtres, dorées du
soleil
: c’est mon toit. Il y a entre l’homme et les mur
meure vide. Le vent du midi avait redoublé d’haleine à mesure que le
soleil
était monté sous le ciel ; il avait pris les bouf
pris les bouffées et les rafales d’une tempête sèche ; depuis que le
soleil
avait commencé à redescendre vers le couchant, il
et puis il les laissait retomber et dormir en monceaux miroitants au
soleil
: ce vent avait dans les haleines des caresses, d
ntour, que mes chiens, ma jument, les arbres, les herbes, le ciel, le
soleil
et le vent : c’était trop encore pour que je leur
s apparues, embrassées et perdues qui passèrent devant mon esprit. Le
soleil
avait baissé sans que je m’en aperçusse pendant c
ar il tenait une de ses mains en entonnoir sur ses yeux fixés vers le
soleil
, comme pour y concentrer quelque sentiment de ses
sent. Je viens ici pour tout oublier pendant quelques jours à ce beau
soleil
, que le sang et les larmes des peuples ne terniss
je n’ai pas encore le droit de m’asseoir, comme vous, tout le jour au
soleil
contre un mur. Et qui sait s’il y aura un mur ?…
and il fait beau, hors de la maison, je m’assois à une bonne place au
soleil
, contre un mur, contre une roche, contre un châta
etites bêtes du bon Dieu sur les herbes ou sur les feuilles sèches au
soleil
. C’est mon horloge et mon almanach à moi, voyez-v
illes qui s’élèvent ou qui s’éteignent dans la campagne, selon que le
soleil
monte, s’arrête ou descend dans le ciel. Le matin
am ? » — « Ils sont morts de tristesse et de vieillesse, loin de leur
soleil
et loin de moi. » — « Mais est-il bien vrai que v
llez vendre ces prés, ces vignes, ces bois, cette bonne maison que le
soleil
faisait reluire comme les murs d’une église au fo
e de verdure, de chaque clairière illuminée par les rayons rasants du
soleil
couchant, un éclair, une mémoire, un bonheur, un
. C’est un abrégé de notre passé. J’y retrouvais toutes les heures au
soleil
ou à l’ombre que j’y avais passées, toutes les po
ations de physique ramenoient donc souvent sur le tapis les taches du
soleil
, à l’aide desquelles les astronomes observoient q
sur le Parnasse. Les beaux esprits avoient dit dans leurs vers que le
soleil
, pour se rendre encore plus semblable au feu roi
cience traite. Qu’un autre, c’est lui qui parle, aille chercher si le
soleil
est fixe ou tourne sur son axe. Il est clair que
clair que le poete entend parler ici uniquement de la question, si le
soleil
placé dans le centre de notre tourbillon y tourne
poser le systême de Copernic, qui fait tourner les planetes autour du
soleil
placé dans le centre de notre tourbillon, au sent
ntre de notre tourbillon, au sentiment de ceux qui soutiennent que le
soleil
a un mouvement propre par lequel il tourne sur so
vûe, auroit fait une faute. L’opinion de ceux qui soutiennent que le
soleil
tourne sur son axe, et l’opinion de ceux qui sout
l’opinion de ceux qui soutenoient avant l’expérience que le globe du
soleil
étoit immobile au centre du tourbillon, supposent
il étoit immobile au centre du tourbillon, supposent également que le
soleil
soit placé au milieu du tourbillon, où Copernic a
spreaux, il y a déja plus de trente ans. que ceux qui tiennent que le
soleil
est fixe et immuable, … etc. mais ce n’est point
s’il plaît à d’autres censeurs de se figurer que par ces mots, si le
soleil
est fixe ou tourne sur son axe, il ait voulu oppo
ême de Copernic avec le systême de Ptolomée, qui suppose que c’est le
soleil
qui tourne au tour de la terre. Monsieur Despreau
voit songé qu’à opposer le sentiment de ceux qui faisoient tourner le
soleil
sur son axe au sentiment de ceux qui n’avoient pa
rises par un célèbre astronome pour la première ébauche des taches du
soleil
. La découverte des deux nuées Magellaniques a été
r du vrai système de l’univers, proclame hardiment le rôle central du
soleil
en face des préjugés bibliques et théologiques, e
s célestes, qu’en plaçant le flambeau du monde ( lucernam mundi ), ce
soleil
qui gouverne toute la famille des astres dans leu
traction ( appetentia quædam naturalis partibus indita ) qu’exerce le
soleil
, comme centre du monde ( centrum mundi ), paraît
déjà à Venise ; Kepler constate que toutes les étoiles sont autant de
soleils
entourés, comme le nôtre, de leurs planètes. Ici
port qui existe entre l’intensité de lumière d’une étoile et celle du
Soleil
. Il a pris la Lune pour point de comparaison inte
408 fois plus brillante que α du Centaure. Or, d’après Wollaston, le
Soleil
est 801 072 fois plus brillant que la pleine Lune
01 072 fois plus brillant que la pleine Lune. Ainsi la lumière que le
Soleil
nous envoie est à celle que nous recevons de α du
récédentes que l’éclat absolu de α du Centaure est double de celui du
Soleil
(dans le rapport de 23 à 10). Wollaston a trouvé
rius est, pour nous, 20 000 millions de fois plus faible que celle du
Soleil
: son éclat réel, absolu, serait donc 63 fois plu
: son éclat réel, absolu, serait donc 63 fois plus grand que celui du
Soleil
, si, comme on le croit, la parallaxe de Sirius do
oit être réduite à 0″, 230. Nous sommes conduits ainsi à ranger notre
Soleil
parmi les étoiles d’un médiocre éclat. » Ces éto
ouvernés de plus loin par un grand astre universel, dont notre propre
soleil
dépend. D’immenses énumérations et considérations
eu qui ouvrit les lèvres du prophète, et je lui dirais en face de ses
soleils
, de ses étoiles, de ses nébuleuses et de ses comè
mais qui, par rapport à toi, sont tous également grands, — depuis le
soleil
qui arpente d’un pas l’incommensurable étendue, j
même rang, la même part d’importance, d’attention et d’amour qu’à ses
soleils
. Convaincu de cette foi évidente, je me rassure e
létant la lumière d’astres par eux-mêmes lumineux ; qu’au-delà de ces
soleils
immenses, si nous les comparons à notre petitesse
che au fond d’un éther sans fond et sans bornes des milliers d’autres
soleils
gouvernant par leur mouvement d’autres systèmes,
e matières enflammées qui germent dans l’éther pour éclore un jour en
soleils
; que plus loin encore, et à des distances que le
core, et à des distances que le calcul se refuse à calculer, quelques
soleils
invisibles, auprès desquels le nôtre est un atome
ue leurs matériaux sont les mêmes que ceux de nos volcans, et que les
soleils
eux-mêmes brûlent des mêmes éléments que les entr
branches, de feuilles ; le tout illuminé par les rayons ardents d’un
soleil
vertical et saturé d’humidité. « Vrai pour les bo
libre, profond, sans limites, d’un bleu intense ou laiteux, baigné de
soleil
, ou traversé de nuages. Mais il est rare en somme
évoque pour un jeune Parisien l’idée de la saison joyeuse et du grand
soleil
, de la libre vie en plein air, de l’expansion irr
vanter un objet non pareil, Je mettrais à l’instant plus beau que le
soleil
. Chaque phrase d’un écrivain crée une liaison de
des caps dans l’onde, Les nuages rayés s’allongent lentement ; Et le
soleil
, immense au fond du firmament, Heurtant au brouil
éans bleus. (Bouilhet, les Fossiles.) Et de tous les côtés, sous le
soleil
plus clair, La végétation monte, comme la mer. C’
effraye. » (Pascal.) La mer : « L’étendue brille et miroite sous le
soleil
éternel. » (Loti.) Tout mot, donc, abstrait ou c
ache 10, lire le vers où il parle Du beau coq vernissé qui reluit au
soleil
sans penser plutôt à une enseigne de cabaret et
lage, pendues à des tringles, se balancer au vent et faire éclater au
soleil
leur luisante peinture : jamais le naturel, le vi
ais en face de moi, de l’autre côté de la Seine, le ciel rougi par le
soleil
couchant. Un demi-dôme de nuages floconneux monta
ais la nature méridionale en fait toujours : il y a une vertu dans le
soleil
. Un vrai poète homérique en ce temps-ci ; un poè
les pour en palper le soyeux duvet et pour les voir dorés au rayon du
soleil
. Or voici comment j’eus, par hasard, connaissance
concasse et broie les barreaux de sa cage. III Le lendemain, au
soleil
couchant, je vis entrer Adolphe Dumas, suivi d’un
es de toute sa séve et de toute sa liberté, en pleine terre, en plein
soleil
, en pleine nature. Il se sentait poète sans savoi
illes se sont recouvertes de boue en traversant un marais ; c’est son
soleil
d’une splendeur d’étain calcinant les herbes de l
lait maître Ambroise, continuait de discourir avec son enfant ; et le
soleil
, qui sombrait derrière les collines, teignait des
» dit en rougissant Mireille. Et cependant le jour grandissait, et le
soleil
que les jeunes filles avaient devancé faisait fum
he que le prêtre, afin de l’éprouver, lui montrait, était un rayon de
soleil
qui tombait obliquement dans la chapelle. De son
vent marin, je fuirai d’un autre côté ; je me ferai l’ardeur du grand
soleil
qui fond la glace. » « Ô Magali, si tu te fais l’
and soleil qui fond la glace. » « Ô Magali, si tu te fais l’ardeur du
soleil
, je me ferai, moi, le vert lézard, et te boirai.
Magali, qui déjà, pauvrette, s’est faite chêne et fleur aussi, lune,
soleil
et nuage, herbe, oiseau et poisson. » « De la cha
de ces scènes calquées sur les flancs des montagnes, aux rayons d’un
soleil
d’automne. Le pasteur, environné de ses chiens bl
d gris ; tiens-toi à ta place dans ta crevasse nue, bois ton rayon de
soleil
et rends grâce ! » XXIV Rien n’y fait. Vin
les camps, et qu’il a conquis après sa richesse à force de travail au
soleil
et à la pluie ; car la terre est telle, dit-il, q
e lâche-t-elle ses vagues ! Joyeuse je verrais s’engloutir ce bien au
soleil
, seule cause de mes larmes ! Ou pourquoi, d’une p
ampagne ; c’est que nous procédons de la lampe et qu’ils procèdent du
soleil
. Oui, il faut finir cet Entretien par le mot qui
cet Entretien par le mot qui l’a commencé : Il y a une vertu dans le
soleil
! Sur chaque page de ce livre de lumière il y a u
jusque dans la tristesse de quelques parties du récit. Ces poètes du
soleil
ne pleurent même pas comme nous ; leurs larmes br
étais à Hyères, cette langue de terre de ta Provence que la mer et le
soleil
caressent de leurs flots et de leurs rayons, comm
es de Louis XIV, me fit faire le tour de la ville. Il me conduisit au
soleil
couchant dans un jardin bien exposé au midi et à
t nous avoir attendus pour s’accomplir sous nos yeux. Au moment où le
soleil
touchait la mer, la tige de l’arbre, dont la sève
glaive qu’une main robuste tire du fourreau pour le faire reluire au
soleil
, et la fleur d’un quart de siècle éclata au somme
nt et reculent épouvantées ; elles entendent le bruit de ta marche, ô
soleil
! Fils du ciel, que ta beauté est terrible, quand
es regards sur le vallon, et voit descendre et bondir les chevreuils.
Soleil
, jusques à quand te lèveras-tu dans la guerre ? j
e quand elle tombe dans une vallée qui reçoit les premiers regards du
soleil
. Mais ce n’est pas ici le temps, ô barde, de s’as
vu son amant ; sa robe aérienne flottait sur les vents : ce rayon de
soleil
en dorait les franges : elles brillaient comme l’
: il tombe comme la fleur que la nuit a couverte de rosée, et que le
soleil
du midi vient brûler de ses rayons. Ma fille, prê
forêts des montagnes, penchez-vous pour l’ombrager, quand, à midi, le
soleil
y darde tous ses feux. On y voit le chardon solit
belle Nina. Tu vins alors, mon cher Uthal ; tu me parus beau comme le
soleil
: les cœurs de toutes les jeunes filles sont à to
tiens les noires tempêtes dans ta main. Dans ta colère, tu saisis le
soleil
et tu le caches dans tes nuages. Les enfants des
’avances calme et paisible, le zéphyr du matin accompagne tes pas. Le
soleil
sourit dans ses plaines azurées ; le ruisseau, pl
rs auprès de Ryno. » Ce poëme finit par une magnifique apostrophe au
soleil
, que Césarotti et Lormian ont imitée. CARTHON Év
l, les aventures de ta jeunesse ; la tristesse, comme un nuage sur le
soleil
, obscurcit l’âme de Clessamor : seul, sur les bor
êtes, rond comme le bouclier de mes pères, d’où partent tes rayons, ô
soleil
! D’où vient ta lumière éternelle ? Tu t’avances
et froide se plonge dans les ondes de l’occident. Tu te meus seul, ô
soleil
: qui pourrait être le compagnon de ta course ? L
uages, et tu seras insensible à la voix du matin. Réjouis-toi donc, ô
soleil
, dans la force de ta jeunesse. La vieillesse est
rmeilles ! Entre les boucles blondes de ta jeunesse, tu ressembles au
soleil
du matin. » Elle monta sur la colline, semblable
du rocher ; et nos têtes, chargées de rosée, souriaient aux rayons du
soleil
. Les fleurs étaient deux, mais leur racine était
e, et toutes deux ont perdu leur beauté, flétrie comme l’herbe que le
soleil
a desséchée. Il est couché le soleil qui m’éclair
té, flétrie comme l’herbe que le soleil a desséchée. Il est couché le
soleil
qui m’éclairait sur Morven, et je suis environnée
ven, et je suis environnée des ténèbres de la mort. De quel éclat mon
soleil
brillait à son matin ! Il épanchait autour de moi
les nuages volent dispersés dans les airs ; la lumière inconstante du
soleil
fuit sur les vertes collines ; le torrent de la m
u combat, que ton visage était paisible et serein ! Tu ressemblais au
soleil
après l’orage, à la lune dans le silence de la nu
s la vallée silencieuse : les fleurs se remplissent de rosée, mais le
soleil
reparaît, et la vapeur légère s’évanouit. Pourquo
l’on disait : Il n’y a plus de roses, le printemps a rendu l’âme, le
soleil
a perdu l’habitude de se lever, parcourez tous le
il ajoute l’idée. Si quelque chose est plus grand que Dieu vu dans le
soleil
, c’est Dieu vu dans Homère. L’univers sans le liv
ndée depuis l’époque où ce même Anaxagore affirmait à Périclès que le
soleil
est presque aussi grand que le Péloponèse. On a d
emps où l’on affirmait que le scarabée était un peu dieu et cousin du
soleil
, premièrement, à cause des trente doigts de ses p
laire, deuxièmement, parce que le scarabée est sans femelle, comme le
soleil
; et où saint Clément d’Alexandrie, enchérissant
chérissant sur Plutarque, faisait remarquer que le scarabée, comme le
soleil
, passe six mois sur terre et six mois sous terre.
ère. Chrysippe signifiant cheval d’or, on le disait dételé du char du
Soleil
. Il prenait pour devise : À MOI. Il savait d’inno
dans le feu. — La terre est portée par l’air comme par un char. — Le
soleil
boit dans l’océan et la lune boit dans les rivièr
Jupiter, et Posidonius croyait au fait de l’océan donnant à boire au
soleil
et des rivières donnant à boire à la lune, et Pyr
je fis signe de la tête que je n’avais pas faim, et le soir, quand le
soleil
se coucha et quand les troupeaux rentrèrent à l’é
Charlemagne pour un copiste d’Agamemnon ? — « Rien de nouveau sous le
soleil
. » — « Votre nouveau est du vieux qui revient »,
— La Vraie Tentation de Saint-Antoine, contes de Noël (1879) — Au bon
soleil
(1881). — Paris ingénu (1883). — Vingt jours en T
ême, au chant des cigales, tandis que les figues-fleurs, s’ouvrant au
soleil
, égouttaient leur miel sur ses lèvres. On ajouter
e, afin d’exprimer qu’il était naturellement poète et qu’il aimait le
soleil
. [La Vie littéraire (1893).] Armand Silvestre
i, immortelle à travers l’âge, nous apporta, dans son miel, un peu du
soleil
d’Ionie. [Préface aux Poésies de Paul Arène (1899
gues (1867-1905) [Bibliographie] Les Chants de la Pluie et du
Soleil
(1894). — Le Magasin d’auréoles (1896). — La Clef
ait exprès plus « grossier » que nature. Les Chants de la Pluie et du
Soleil
, visiblement inspirés de Whitman quant à leur sen
ns poètes de ce temps, et celui qui dans ses Chants de la Pluie et du
Soleil
fait surgir si splendidement nue de la mer fécond
poésie, on devra se reporter aux magnifiques Chants de la Pluie et du
Soleil
, de Hugues Rebell, qui me paraissent, en ce sens,
que sous cette sombre voûte, nous aurions été privés de la lumière du
Soleil
, nécessaire à des organismes comme ceux qui habit
ême quand, par exemple, il cherchait si les distances des planètes au
Soleil
n’avaient pas quelque rapport avec les cinq polyè
el s’agrandir et s’agrandir sans cesse ; parce que nous savons que le
Soleil
est à 150 millions de kilomètres de la Terre et q
ion qu’elle a reçue, notre imagination, comme l’œil de l’aigle que le
Soleil
n’éblouit pas, peut regarder la vérité face à fac
sais où, qu’il serait vain de chercher à connaître la composition du
Soleil
, parce que cette connaissance ne pourrait être d’
car elle ne date que d’hier. Tout d’abord, on a reconnu la nature du
Soleil
, que le fondateur du positivisme voulait nous int
re une campagne le plus que vous pourrez, l’éclairer de la lumière du
soleil
et de la lune, dessiner un pâtre, et autour de ce
ouillards, à y perdre les objets, à teindre sa masse de la lumière du
soleil
; à rendre tous les incidens de la nature, toutes
par la curiosité d’entendre la statue résonner aux premiers rayons du
soleil
; des philosophes assis traceraient sur le sable
endormis, d’autres auraient les yeux attachés sur le lieu du lever du
soleil
; on en verrait dans le lointain qui hâteraient l
es ! C’est un soir d’automne en Asie, peut-être plus triste à tout ce
soleil
que s’il se mourait dans les ombres. Dante a dit,
iste que celui du malheur lui-même, et il en est quelquefois ainsi du
soleil
Qui n’a pas éprouvé qu’il est des jours où il nou
adieuse et ses merveilles, n’est-elle pas à toute page de ce livre ce
soleil
qui navre le cœur de son impitoyable beauté, et l
puissance ! Mme de Belgiojoso a, sans le vouloir, fait plus triste le
soleil
d’Asie que le soleil pâle de nos climats, parce q
lgiojoso a, sans le vouloir, fait plus triste le soleil d’Asie que le
soleil
pâle de nos climats, parce qu’il est passé par el
ectuel sans doute, et ce serait dommage, mais qui est cordial, car ce
soleil
d’Asie, tamisé par un cœur triste, cette Asie env
ain, qui est poète et philosophe, y sent un rapport profond : le même
soleil
éclaire la froide Irlande, l’humide Bretagne, l’I
il entra de la lumière seulement, de l’éblouissante lumière rouge. Le
soleil
couchant apparaissait à l’horizon avec une extrêm
ntés de sa poitrine, à flots, pendant ses contorsions d’agonie. Et le
soleil
magnifique l’éclairait toujours…… « … À ce moment
ie. Et le soleil magnifique l’éclairait toujours…… « … À ce moment ce
soleil
se voyait aussi là-bas, en Bretagne, où midi alla
ssi là-bas, en Bretagne, où midi allait sonner. Il était bien le même
soleil
, et au même instant précis de sa durée sans fin ;
de feu rouge, qui entrait par ce sabord de navire, s’éteignit, où le
soleil
équatorial disparut tout à fait dans les eaux dor
est de 4 pieds, 4 pouces de large ; sur 3 pieds, 6 pouces de haut. Le
Soleil
couchant de Mr Lebel arrêtera l’attention de tous
cile à rendre, c’est l’affaiblissement et la couleur de la lumière du
soleil
, lorsqu’elle s’élance à travers les vapeurs dont
e dessus la toile ; l’œil s’y enfonce ; et celui qui a vu une fois le
soleil
rougeâtre, obscurci, n’éclairant fortement qu’un
éritablement bâtie ; un pays à l’ancre, un ciel aqueux ; des coups de
soleil
qui ont l’air de passer par une carafe remplie d’
face de moi, un petit jeune homme. J’étudiais la valeur d’un coup de
soleil
sur sa figure, avec la densité de l’ombre portée
le même effet, je n’ai vu qu’un plein, un chaud, un vibrant rayon de
soleil
dans la toile. Seulement, comme fait presque touj
du jour, un jour égal qu’il a éclairé sa toile, mais avec un coup de
soleil
qui tombe de haut et éclate en écharpe sur les pe
onomie et la peau renvoient, c’est le plus divin trompe-l’œil sous le
soleil
. Et cela est fait, on ne sait comment. Le procédé
e touches qui semblent le grain et comme la palpitation de la peau au
soleil
: un prodigieux piétinement de coups de pinceau q
trembler la lumière sur ce canevas de touches au gros point. C’est le
soleil
, c’est la vie, c’est la réalité, et cependant il
peare. Et regardez encore la petite fille toute de lumière, enfant de
soleil
qui jette ses reflets d’ambre à toute la toile, c
ieusement, à l’encre de Chine. J’ai pensé à un homme qui graverait le
soleil
à la manière noire. * * * — Pour moi, le plus éto
de Hollande, des feuilles mortes sur une eau morte, un ciel gris, un
soleil
jaune, des briques noires, des arbres noirs. C’es
des briques noires, des arbres noirs. C’est impie ces deux enfants du
soleil
, posés là pour toujours, contre un Pierre de Hoog
ière dans une composition, surtout chez les paysagistes. Ici c’est du
soleil
, là de la lune ; ailleurs une lampe, un flambeau,
e de l’hôtel de Pompadour, sur la fin d’un beau jour, au moment où le
soleil
plonge ses rayons obliques à travers la masse tou
au Salon, c’est dans le fond d’une forêt, parmi les montagnes que le
soleil
ombre et éclaire, que Loutherbourg et Vernet sont
t ou plus ou moins éclairé, selon le lieu de la lumière et l’effet du
soleil
. C’est le même effet que celui de la vitesse avec
discernable. Comparez une scène de la nature dans un jour et sous un
soleil
brillant avec la même scène sous un ciel nébuleux
n, sur le théâtre même ; et nous arrivâmes à Champlieu, sous un blanc
soleil
qui brûlait la campagne à perte de vue. Tout de s
osée surtout de femmes, envahit le théâtre en courant. Ce fut sous le
soleil
un éclat de couleurs digne de tenter le pinceau d
t couverts de spectateurs. Et quelle jolie peinture faisaient sous le
soleil
les toilettes claires des dames et les ombrelles
miers du square montent drus et éclatent à la lumière du gaz comme au
soleil
. Si vous voulez faire quelques pas, vous entendre
as en vous réveillant le matin. Le temps est-il beau et fait-il grand
soleil
? Vous pourrez admirer d’un côté le rire innombra
vieille accroupie prépare le café. Une paix tombe avec les rayons du
soleil
sur ces corps inertes. Ces femmes sont des prosti
emphase. Elle est discrète comme ce ciel d’Alger, lorsqu’il couve du
soleil
sous un gris délicat. Il me fît visiter le Jardin
. Qu’importe ! la brise africaine a donné un pli à ces écharpes et le
soleil
qui coule paisiblement sur les terrasses tunisien
i n’avait rien de pesant ni de désespéré. Le ciel était gris-bleu, le
soleil
suave. Le cimetière était désert, à cette heure d
des oiseaux. En quittant le cimetière, j’ai traversé un faubourg. Le
soleil
à son déclin jetait des rayons amortis sur les mu
l’Idéal. Je songe à son enterrement par une matinée d’hiver. Un blanc
soleil
rayonnait sur la ville, plein d’allégresse, malgr
et les chrysanthèmes de toutes sortes, hument les derniers rayons de
soleil
. Le haut marronnier s’y dresse avec le port et le
t tout enveloppée encore d’une ombre diaphane, tandis qu’au-dessus le
soleil
éclate déjà dans un fouillis de blancs nuages. De
t fait claquer les toiles et grincer les cordages. La mer rit sous le
soleil
et s’enfonce là-bas, jusqu’à l’horizon où s’allum
et l’heure assombrie ; à droite, des ruines, dans un dernier éclat du
soleil
disparu. Le vent semait de grosses gouttes de plu
caprices les plus soudains. Dans le même instant, pour ainsi dire, le
soleil
brille, l’averse crève, le vent se déchaîne. Cont
avec le Parthénon, et, plus près, le temple de Zeus Olympien. Un doux
soleil
caressait les sveltes colonnes, dorait les nuages
eux minuscules ânes se tiennent le long d’une clôture, côte à côte au
soleil
, sans bouger. Ils sont chargés de paniers tressés
e quitte un importun ; — les montagnes de l’Attique sont là : sous le
soleil
, sous la pluie, couronnées de nuages ; le matin,
essacs entre Charybde et Scylla. … La mer est un miroir uni, plein de
soleil
. Dans le lointain, nous apercevons les îles Lipar
nuit sans lune. Ce ne sont pas à présent ces palpitations d’un vivace
soleil
sur les collines surchargées d’odorants bocages,
vue. L’eau murmure tout bas, l’écume crève et tournoie irisée sous le
soleil
. La pensée humaine est trop faible pour interprét
noncent Marseille, ces rochers, muraille jaune et blanche où donne le
soleil
. * Il n’y a rien de plus gai qu’une brume matinal
t que cette brume délicieuse : tamis fin d’où, l’autre jour, un clair
soleil
s’écoulait plus pur pour jouer parmi les mâts imm
is pris la diligence pour F… C’était par un de ces matins d’été où le
soleil
fait trembler l’ombre des feuilles sur la route.
onsard vous rapproche davantage de mon cœur. Plus d’une fois, dans le
soleil
ou dans l’ombre, confondant en mon esprit le prés
crépuscule, au son des cloches rustiques ; et j’aimais, sous le clair
soleil
nocturne de juillet, à tenir conversation avec le
bres pour dormir. Je me réveillai au gazouillis des oiseaux. Un clair
soleil
se répandait jusque sur mon lit. Dehors, j’admira
étueux, mais sans désordre. Le temps était beau : il faisait un grand
soleil
, fourmillant de vie. Nous avions fait ainsi un p
er à lui ; je ne me compare à personne. Fragment Sous le clair
soleil
, les statues sont charmantes dans les jardins ; m
sque j’ai commencé ces noies, le ciel était couvert, et maintenant le
soleil
brille sur les fleurs. Ô ciel couvert ! tu es cla
endrai le second train. Lorsque, le matin, j’ouvris les yeux, un beau
soleil
de décembre jaunissait une petite place devant l’
r que bordent des murs tapissés de lierre épais. A cette heure que le
soleil
était haut, l’ombre végétale enfonçait le sentier
tordu de Minerve. … Une blancheur serpente et se fond là-bas dans du
soleil
. C’est le lit du torrent à sec. Cependant la moll
des quais en demi-cercle. Des mariniers dorment à bord sur le dos, au
soleil
. De petits chiens font sentinelle et jappent. …
re les caisses de fusains. L’ombre remuée des arbres fait miroiter le
soleil
sur le sol. J’entends sonner les colliers de troi
n tombe dans le val où sont les vignes au pied des pentes en rond. Le
soleil
s’envole. Là-bas presse le pas le vigneron. Un
ie peinture, mais je suis trop malade pour admirer. Je cours après le
soleil
… À mesure que les montagnes reculent à l’horizon
et je trouvai ma fenêtre, celle qui est tournée au midi, brillante-de
soleil
, du haut en bas. Je me lève et je descends sur la
e. Les grands peupliers en bordure brillaient des dernières lueurs du
soleil
, et il y avait sur le sol assez de feuilles morte
sse, avec des broussailles et des pins. Les nuages semblent couver du
soleil
. Un bateau de pêche, rentré ce matin à pleines vo
nt de petits coups d’un vin clairet, assis sur la jetée, sous un beau
soleil
, au bruit des vagues. Un margat vint planer un in
aturés d’air salin et les yeux ravis. Le 27 février. … Le clair
soleil
d’hier n’est pas revenu ; le ciel est nuageux, d’
rs. Le Lavandou, 1er mars. Après deux jours de pluie, il y a du
soleil
ce matin. Mais le temps n’est pas sûr. Le site es
s n’est pas sûr. Le site est peut-être moins intéressant sous ce faux
soleil
que sous le ciel couvert et la pluie. Hier, vers
pis-lazuli. L’éloignement de la mer rend ici l’air câlin, même par un
soleil
très intermittent. … Je monte sur la voiture qui
aisons étagées apparaissent, selon notre position, tantôt blanches de
soleil
, tantôt couleur lie-de-vin. Dans le lointain, un
chages versaient une ombre presque froide tandis qu’à quelques pas le
soleil
chauffait les dunes. Je me levai bientôt pour exa
es coteaux avec leurs buissons aux fleurs jaunes et mystérieuses ; le
soleil
et ses gradations ; la magie des nuages ; le sill
e serait une pauvre fête à Paris, mais là-bas il faut compter avec le
soleil
, l’azur et l’air embaumé. … Au déclin d’un beau j
uantité, mais d’un rose tendre. Ils sont d’un bien joli effet sous le
soleil
, entassés sur des charrettes, pêle-mêle avec quel
i le jour se passa dans le tumulte et les alarmes, mais au coucher du
soleil
l’ordre régnait à Athènes. Les candidats de l’opp
l’ordre. * Une petite pluie fine vient de tomber. Puis un instant le
soleil
apparut splendide. Maintenant il est voilé. Je su
nt le lierre vineux et la dure feuillée aux mille fruits, à l’abri du
soleil
et du vent, que Dionysos le forcené aime à parcou
tendus dans l’herbe fraîche, un platane haut et large les abritait du
soleil
et les cigales faisaient entendre leur cri vif…
s sur les vagues en soutenant leur choc. Le bateau prend le large, le
soleil
décline à l’horizon. Toi que j’aperçois encore, A
mer. J’aime une lente douce pluie ; elle dorlote mes nerfs. Le grand
soleil
ne me plaît que là où il est bien chez lui, et qu
ire artiste, Fantastique, spectrale, Chaque maison apparaît. Mais le
soleil
est monté haut ; Voici qu’il est midi. Et la port
ait tombé là-dedans, Son anneau cloué au milieu D’un diamant comme un
soleil
. Je cherche, je ne trouve rien… Ô nuit, o monst
u beau garçon qu’elle aimerait, Quand celui-ci vint à passer Comme un
soleil
sur de l’eau claire. La jeune fille perd la coul
vertes jusqu’à l’horizon et font une rumeur fraîche dans le vent. Le
soleil
vêt de magnificence le ciel bleu pâle. Son or lég
ses et des plaines boueuses. Aujourd’hui, l’allegro éclate : voici le
soleil
adolescent, le tumulte ardent des fleurs, les tau
t aux soupirs de l’eau sonore pour entonner l’hymne des formes. Et le
soleil
semble une hostie de gloire offerte à l’univers.
e ciel, entr’aperçu aux trous des frondaisons, luit d’un bleu dur. Le
soleil
de midi trempe d’or blanc la forêt, baigne d’un l
bras. Le vent rit tout doucement dans les feuilles. Un nuage cache le
soleil
. Et la forêt s’éteint. GRYMALKIN, à l’Ermite. Mon
. (Les branches des arbres s’agitent et bruissent harmonieusement. Le
soleil
reparaît plus oblique et crible la clairière de l
igne le long du ruisseau. — Il étend la main, cueille des poignées de
soleil
et les éparpille sur l’eau. Les flots se teignent
nnui, contre ceux de la grâce, contre ceux de la mort, un étendard de
soleil
, leur broieront la nuque sous leurs talons et les
e caillou des routes que le voyageur chasse d’un pied dédaigneux. (Le
soleil
descendu à l’horizon éclabousse la clairière de s
… Allons plus loin. MAÎTRE PHANTASM. Oui, allons plus loin, — vers le
soleil
… à la vie. L’ERMITE, resté seul. Vive la mort !
-vis de vous-mêmes ? Ah ! vous croyez qu’il suffit de s’écrier : « Le
soleil
est beau », ou, « les roses sentent bon », sans a
t beau », ou, « les roses sentent bon », sans avoir jamais regardé le
soleil
ni respiré le parfum des roses ! Vous croyez qu’a
e redevenir l’aventurier des routes que je fus jadis. Mais soudain le
soleil
apparaît au bout de la prairie et couvre de gloir
âlir. La terre revêtira son peignoir de brume pour prendre un bain de
soleil
levant. — Puis l’aube viendra : et ce sera la fêt
e suis enseveli ; je me redresse ; je regarde du côté de l’aurore. Le
soleil
naissant m’enveloppe de ses rayons, une odeur d’é
de chèvrefeuilles et de capucines, Tranquille contemple le coucher du
soleil
à travers les feuillages du verger qui borde son
c’est surtout grâce aux enseignements de Grymalkin. Un silence. — Le
soleil
a disparu ; de grandes barres de nuées mauves, ve
ur du ciel leurs petites étoiles et leurs grappes rouges. Un rayon de
soleil
levant, où dansaient des atomes, se glissa dans l
s douces de la croisée ; j’entendis la grande forêt sangloter vers le
soleil
. — Et, moi aussi, je fondis en larmes… Hé ! Maîtr
les Celtes nous ont légué. Ils chantent et ils dansent à la gloire du
soleil
, seigneur des prairies et des moissons mûrissante
urner cette fête à leur profit. Mais en vain : c’est bien toujours le
soleil
qu’on adore ici. MAÎTRE PHANTASM. Ah ! cette musi
hantasm, dans sa maison, sommeille étendu sur un divan, Au dehors, le
soleil
caniculaire embrase la route, les jardins et les
: Mélissa s’envole. Puis il ouvre les volets au large. Splendide, le
soleil
étale une vague d’or vivant jusqu’au fond de la c
e la guérite et bâille à se décrocher le condyle. C’est l’heure où le
soleil
se lève. MICHEL. Quel ennui !… Oh ! mais quel enn
rois cents ans qu’on a oublié de me relever de faction… Et ce stupide
soleil
qui se montre une fois de plus semblable à lui-mê
’elles échauffent et qu’elles éclairent, — boire à même la source des
soleils
!… Mais qu’arrive-t-il : je ne vois plus la terre
les divers éléments s’y déploient avec autant de majesté que sur les
soleils
les plus énormes. — Tout est dans Tout : chaque p
l’évolution totale. Qu’un système planétaire vole en éclats avec son
soleil
ou qu’une nébuleuse se déchire pour épandre des s
mation d’intelligences futures. Pour employer une image : tu seras un
soleil
ou bien un atome en évolution dans une nébuleuse.
tant, des remous de flammes dans l’éther… Mais quel est ce formidable
soleil
rouge dont nous nous approchons ? GRYMALKIN. C’es
La Forêt à l’automne. — Sous le ciel bleu pâle, où règne un tiède
soleil
d’après-midi, où passent, en croassant, des vols
main que tu poses sur mon bras. MAÎTRE PHANTASM. En vain, le dernier
soleil
de la saison tente de m’imprégner de sa tendresse
nts pensif, les regards perdus vers les profondeurs de la Forêt. — Le
soleil
décline. Les arbres frémissent au vent qui redoub
tée, — le plus vaillant de tous. — Tu es le quatrième. Un silence. Le
soleil
se couche. Des ombres violettes envahissent peu à
ller en obliques vols d’oiseaux d’or, les arbres se recueillent. — Le
soleil
disparaît. Une barre rouge occupe pendant quelque
je sens votre sève robuste bouillonner dans mon cœur. Salut, étoiles,
soleils
de l’ombre : vos rayons m’auréolent et vos mouvem
omine couvrent les murs. Des cyclopes dans leur forge, des nymphes au
soleil
, des salamandres voguant parmi des laves en érupt
parler sera venu pour lui, mettez dans ses regards la splendeurs des
soleils
; que ses gestes décrivent des courbes d’astres e
les clignotaient encore au plus haut du ciel pâle. Et l’orient, où le
soleil
allait naître, semblait une grande rose-thé près
te Volonté-de-vivre, à l’intelligence des Forts en communion avec les
soleils
et l’éther. Je bois aux destinées mystérieuses de
les, s’élance dans le ciel et se fond, peu à peu, parmi les rayons du
soleil
levant. Les murs de la salle reculent. Le château
éolienne, dans les arbres. Les Sains rêvent, les yeux perdus vers le
soleil
. Les Obscurs sortent de leur torpeur, grelottent,
nées de sa courte vie ; elle resplendissait encore des reflets de son
soleil
couchant, comme une tête de Vénus grecque effleur
trait ses os à Dieu dans sa nudité sur sa couche. La réverbération du
soleil
contre les parois de marbre de la vallée incendia
verse, de son dôme touffu et toujours vert, une ombre imperméable au
soleil
de midi. Nous nous oubliâmes trop longtemps, sur
mier Éden, devant le Créateur : idylle transposée aujourd’hui sous le
soleil
, dans ce monde de travail et de sueur, mais plein
XV La plaine est grise comme une cendre d’herbes brûlées par le
soleil
; autour de vous une vapeur ambiante sort des pie
’on se sent rêver, mais où on sait qu’on rêve. XVI Cependant le
soleil
, qui marche toujours, a dépassé les arcs de l’aqu
bornes de la campagne de Rome ; on se sent noyé dans la béatitude du
soleil
d’été ; la vie surabondante écume et murmure, com
et qui se teignent, seulement par le haut, des lueurs répercutées du
soleil
. Quelques lignes indécises des Abruzzes s’articul
: pas un arbre à l’horizon ; rien que la glèbe nue et chaude sous le
soleil
, la terre cultivée et non ombragée, la terre féco
toiles étendues tout à l’heure sur le char pour le garantir contre le
soleil
. Nous ne connaissons pas, dans toute la sculpture
ux grandes ombres qui traînent sur la terre et aux reflets pâles d’un
soleil
couchant sur le sommet des édifices. Une branche
ui constate la gloire comme l’ombre constate le corps quand il y a du
soleil
en haut, n’a pas cessé non plus de protester cont
et la couleur si vous ne me faites pas penser et sentir ? Un rayon de
soleil
sur la plaque du photographe dessine mieux encore
affectueuse indifférence les musiciens, les danseurs, la moisson, le
soleil
couchant, que dit-il ? Il dit que son soleil, à l
danseurs, la moisson, le soleil couchant, que dit-il ? Il dit que son
soleil
, à lui, baisse aussi, que sa famille est établie
que nous avons admiré les merveilleux portraits saisis à un éclat de
soleil
par Adam Salomon, le statuaire du sentiment, qui
qu’un art, c’est un phénomène solaire où l’artiste collabore avec le
soleil
!
rlaient-ils, ces amants ? On l’a vu : des fleurs, des hirondelles, du
soleil
couchant, du lever de la lune, de toutes les chos
Marius lui était apparu dans de la lumière. Elle se réveilla avec du
soleil
dans les yeux, ce qui d’abord lui fit l’effet de
it pas être regardé par l’homme tant qu’il n’a pas été regardé par le
soleil
. La femme en bouton est sacrée. Ce lit innocent q
s’épanouissait dans la gloire du matin. Cosette, les cheveux dans le
soleil
, l’âme dans les chimères, éclairée par l’amour au
a pluie les ayant mouillés, ils marchaient dans les allées du côté du
soleil
; l’aîné conduisait le petit ; ils étaient en hai
t se superpose à la terre avec une sorte de succion. On dirait que le
soleil
a soif. Une averse est un verre d’eau ; une pluie
Les jardins et les prairies, ayant de l’eau dans leurs racines et du
soleil
dans leurs fleurs, deviennent des cassolettes d’e
n se sent doucement ivre. Le printemps est un paradis provisoire ; le
soleil
aide à faire patienter l’homme. XIII « Il
es de la douleur, qui ne voient pas Néron s’il fait beau, auxquels le
soleil
cache le bûcher, qui regarderaient guillotiner en
oins qu’homme. L’incomplet immense est dans la nature. Qui sait si le
soleil
n’est pas un aveugle ? « Mais alors, quoi ! à qui
? Cela n’est-il pas désespérant ? Mais qu’y a-t-il donc au-dessus du
soleil
? Le dieu. XV « Le 6 juin 1832, vers onz
les de Marie de Médicis étaient amoureuses dans les grands arbres. Le
soleil
dorait, empourprait et allumait les tulipes, qui
ombre trouées de lumière ; ces déesses étaient toutes déguenillées de
soleil
, il leur pendait des rayons de tous les côtés. Au
e bleue était mise au ciel et la grande nappe verte sur la terre ; le
soleil
éclairait à giorno. Dieu servait le repas univers
t du canon. Ceci coïncida avec un nuage noir qui cacha brusquement le
soleil
. « Les cygnes n’étaient pas encore arrivés à la b
s à ces villages d’Espagne, de Calabre, de Sicile ou de Grèce, que le
soleil
d’été, sous un ciel cru, fait fumer à l’œil comme
s cérémonies du matin, dans le loisir de sa chambre éclairée du plein
soleil
, soit les autres jours de la semaine, le soir qua
dont la fleur ressemble à la neige qui n’a pas encore été touchée du
soleil
; elles y cueillent des giroflées qu’elles attach
its de fer-blanc qui bordent le toit, afin d’y saluer de plus haut le
soleil
qui va paraître, ou d’y tremper leurs becs dans l
eiller les enfants encore endormis dans la chambre haute. « Enfin, le
soleil
écarte là-bas, du côté du Mont-Blanc, d’épais rid
transis de froid, soufflait sur nos doigts pour les dégourdir. « Le
soleil
monte de plus en plus ; il atteint déjà la cime d
les petits enfants au signal du sonneur, répond à ce premier rayon de
soleil
par un tintement de joie qui fait tressaillir et
d’arbres couchés le long des chemins, adossés au mur échauffé par le
soleil
levant ; elles y filent leurs longues quenouilles
on lait à l’enfant après avoir donné sa sueur à la vigne. « Quand le
soleil
est au milieu du ciel, elle déplie un linge blanc
courbés, et ils repuisent leur vigueur dans les rayons brûlants de ce
soleil
qui sèche leur jeune sueur. « Le soir, on les ent
reconnaissait l’accent, on y entendait le cri du coteau natal sous le
soleil
aimé du pauvre villageois à Midi. Ma description
leurs paroles préservées du vent. La vue n’y est libre que du côté du
soleil
levant ; cette vue est vaste comme sur un horizon
ture et la contenance mâle d’un militaire. Un fusil double luisait au
soleil
sur ses épaules, un fouet de chasse badinait dans
laquelle l’escalier aboutissait. On apercevait quelquefois, assis au
soleil
ou à l’ombre sur cette galerie, un homme à cheveu
ériorité sur la société des vivants, jusqu’au moment où les rayons du
soleil
du soir, qui se retiraient un à un par les ouvert
e, la couleur et la forme changeante des nuages, le jeu d’un rayon de
soleil
qui éclaire subitement la plaine ; et comme la na
éger souffle de liberté, comme l’herbe flétrie que frappe un rayon de
soleil
. Prenons les hommes que l’auteur nous montre dans
xpliquer en peu de mots. Un quart d’heure environ avant le coucher du
soleil
, au printemps, vous entrez dans un bois, sans chi
ne d’intelligence avec votre compagnon. Un quart d’heure se passe. Le
soleil
est déjà couché, mais il ne fait pas encore sombr
ie par la gelée pendant la nuit, se couvrait d’humidité aux rayons du
soleil
dont les rayons obliques glissaient sur l’herbe p
ailes, semblait saluer et les flots qui s’avançaient et le disque du
soleil
… J’y songeai en ce moment. Iakof semblait avoir c
ces que l’on éprouve lorsqu’on part pour la chasse, avant le lever du
soleil
, par une belle journée de printemps ? Vous sortez
un vent avant-coureur du jour s’est élevé, et le disque empourpré du
soleil
se montre lentement. La lumière se répand comme u
u trot !… il ne nous reste plus à faire que trois petites verstes. Le
soleil
monte rapidement ; le ciel est pur… le temps sera
de chênes se dresse comme un mur qu’illumine la lumière empourprée du
soleil
; il fait encore frais, mais on pressent déjà l’a
ue le son métallique de la faux qu’il aiguise frappe vos oreilles. Le
soleil
monte toujours ; l’herbe sèche rapidement, et déj
ouvrent le flanc du ravin, devant vous, semblent jaunir à l’ardeur du
soleil
. Mais qu’est-ce ? Un vent subit passe sur la camp
are ? Voilà qu’un éclair brille dans le lointain : c’est un orage. Le
soleil
est toujours éclatant ; on peut encore chasser. M
pénétrer la pluie çà et là, et elle humecte le foin odorant… Mais le
soleil
reparaît, l’orage s’est dissipé, et vous quittez
puscule du soir éclaire la moitié du ciel comme un vaste incendie. Le
soleil
se couche. Autour de vous, l’air paraît transpare
les de foin projettent des ombres qui s’allongent de plus en plus… Le
soleil
a disparu ; une étoile s’allume et tremble au mil
erons s’agitent par essaims qui semblent clairs à l’ombre et noirs au
soleil
; les oiseaux chantent paisiblement. Que la voix
ère du bois. Il ne fait point de vent ; mais il n’y a pas non plus de
soleil
, d’ombre, de mouvement, ni même de bruit ; une od
dans la nature environnante ne vient troubler ces rêveries ; point de
soleil
, point de vent, aucun bruit… Et un jour d’automne
rlent les contes des fées, sont couverts de rameaux d’or ; lorsque le
soleil
est bas et que ses rayons n’ont plus de force, ma
mouvement et semble flotter comme de la fumée ; un éclatant rayon de
soleil
perce, inonde les champs, frappe la forêt… ; puis
de la terre réchauffée, et, sur les points où les rayons obliques du
soleil
l’ont mise à découvert, les alouettes chantent en
e déployoit l’or de sa tresse blonde, Et semoit de rubis le chemin du
Soleil
; Enfin ce Dieu venoit au plus grand appareil Qu’
iers temps de la République, ayant rencontré sa Maîtresse au lever du
Soleil
, lui fit aussi-tôt un Quatrain, qui l’élevoit au
re, & l’on en trouva la pensée si jolie, que, depuis ce temps, le
Soleil
est devenu l’objet éternel des comparaisons galan
ts à leurs gages, le pressant de faire une comparaison d'elle avec le
Soleil
; Théophile qui n'étoit pas aussi souple & au
e Quatrain : Que me veut donc cette importune ? Que je la compare au
Soleil
. Il est commun, elle est commune, Voilà ce qu'ils
à de pareilles saillies, qui ne seroient pas goûtées par nos modernes
Soleils
, qui valent bien ceux du temps de Théophile.
n de Buffon : Qu’on se figure un pays sans verdure et sans qu’au, un
soleil
brûlant, un ciel toujours sec, des plaines sablon
ut cela, peu de variété, peu d’accidents, peu de nouveautés, sinon le
soleil
qui se lève sur le désert et va se coucher derriè
re impression qui résulte de ce tableau ardent et inanimé, composé de
soleil
, d’étendue et de solitude, est poignante et ne sa
oi former l’idée générale du désert (assez vide, assez désolé, etc. ;
soleil
, étendue, solitude). Mais j’aurai de plus, au lie
l’image persistante d’un long ruban de route poudreuse sous le grand
soleil
d’été, d’un angle de cour enflammé où l’air était
regarda bovine en souriant ; le pigeon secoua ses ailes et brilla au
soleil
au travers d’une fine poussière de neige, et un p
erie. Une large fenêtre, presque toujours ouverte sur les jardins, le
soleil
qui y entrait par les beaux jours, la vue assez é
l’avait déposé là le matin pour le reprendre le soir, à l’heure où le
soleil
baissant fait sentir le besoin de prier. IX
de son teint ou de ses beaux yeux pour rattraper la santé et jouir du
soleil
. Il suffit d’ailleurs d’un peu de piété dans le c
raître la neige ; du temps que je faisais moi-même mon dîner, un beau
soleil
s’est levé ; plus de neige à présent ; le noir, l
ur elle seule. Le 21 novembre. « La journée a commencé radieuse : un
soleil
d’été, un air doux qui invitait à la promenade. T
est écrit le 1er décembre, jour de pluie, d’obscurité, d’ennui, où le
soleil
ne s’est pas montré, où je n’ai vu que des corbea
s choses qui assombrissent le ciel et l’âme. Aujourd’hui que voilà le
soleil
, je reprends vie et m’épanouis comme la pimprenel
s comme la pimprenelle, cette jolie petite fleur qui ne s’ouvre qu’au
soleil
. « Voilà donc mes dernières pensées, car je n’écr
tude. Mon petit oiseau seul sautillait dans sa cage en gazouillant au
soleil
; je l’ai regardé souvent, n’ayant rien de plus j
soupe chaude qu’on lui a servie sur la porte, se passant fort bien de
soleil
. Je puis donc bien m’en passer. « C’est qu’il fau
ui que partout on s’amuse, et nous voulions faire notre mardi gras au
soleil
en plein air, en promenades. Il a fallu se borner
er qui voit des fleurs, quelques pimprenelles qui s’ouvrent un peu au
soleil
, des violettes dans les bois sous les feuilles mo
e plaisir. « Bientôt je me lèverai à cinq heures. Je me règle sur le
soleil
, et nous nous levons ensemble. « L’hiver, il est
e le ciel est nébuleux, que je suis triste et que j’attends un peu de
soleil
ou quelque chose de rayonnant dans mon âme ; alor
le cœur ; lisez son voyage à Cahuzac. Le 29 juin. « Beau ciel, beau
soleil
, beau jour. C’est de quoi se réjouir, car le beau
doux ce matin, les oiseaux chantent comme au printemps, et un peu de
soleil
visite ma chambrette. Je l’aime ainsi et m’y plai
grincements de la charrue faisant fumer les gras sillons au lever du
soleil
dans le brouillard d’automne, les génisses dans l
ruites qui remontent le courant, et qui frissonnent, sous le rayon du
soleil
, au bruit du filet du pêcheur. Tantôt cette riviè
elle reparaît en nappe scintillante où tremblent les rayons brisés du
soleil
à travers les larges feuilles des aunes. Elle sem
ait d’orages ; Si, quelque éclair soudain déchirant le brouillard, Le
soleil
ravivé me lançait un regard, Et d’un rayon mouill
’un écueil, Il s’essaye à compter les lames dont l’écume Étincelle au
soleil
, croule, jaillit et fume, Et qu’aveuglé d’éclair
les, Et vous vous réchauffez, sous des rayons plus doux, Au foyer des
soleils
qui s’approchent de vous : Ainsi la nuit en vain
bre de mon corps, qui marchait devant moi quand je tournais le dos au
soleil
couchant. Il tenait toujours un livre ouvert à la
découverte, prématurément chauve, fumer de zèle plus que de sueur au
soleil
. Il ne vivait réellement pas sur la terre ; sa co
e cri qu’il te jette ; Son duvet reflète L’éclair de son
soleil
, qu’il porte dans ta nuit ! III As-tu donc vu là-
associer à son bonheur. XIX Un jour de printemps, les rayons du
soleil
de mai entraient avec les senteurs des jardins et
une idée juste du spectacle de l’univers. Tandis que vous admirez ce
soleil
, qui se plonge sous les voûtes de l’occident, un
es voiles blanchissants de l’aube ? À chaque moment de la journée, le
soleil
se lève, brille à son zénith et se couche sur le
j’esquissai au crayon sous le figuier et sous la treille dorée par le
soleil
de l’île ; on y retrouvera, à travers les réminis
rume, Sans rêver au-delà je ne sais quel grand sort, Dans ton île, au
soleil
toute enceinte d’écume, Aucun de mes désirs n’en
er en automne et retourner la figue Que le vent de mer sale et que le
soleil
cuit ? Ou quand le grand filet, fatigué par la pê
oussu de la fontaine obscure T’asseoir, te croyant seule, à la fin du
soleil
, Comme un moineau son cou, lisser ta chevelure, D
ser de son urne, qu’il y respire le frais à midi, quand les rayons du
soleil
filtrés par le feuillage, etc. Diane et la naïad
ve tout d’un coup dans le spectacle de l’ensemble, et sous l’effet du
soleil
, de l’ombre et de la lumière, cette harmonie supr
cette couleur presque indescriptible des hauts lieux, ces rayons d’un
soleil
sans nuages, mais sans ardeur ; ces caractères de
tte chapelle, frappé de la magnificence du paysage qui l’entoure : le
soleil
voisin de son coucher y répandait ce charme qui n
ntant lentement vers les sommets encore rougis des derniers rayons du
soleil
: Partout le crépuscule, dit-il, a quelque chose
!) ce ne fut qu’une sorte d’apparition gigantesque et formidable : le
soleil
ne brillait pas, une brume dérobait le sommet pri
’un beau jour : Aujourd’hui, rien de voilé, dit Ramond, rien que le
soleil
n’éclairât de sa lumière la plus vive ; le lac co
el, la terre et les eaux : tout semblait se recueillir en présence du
soleil
et recevait son regard dans un immobile respect.
la ramènera par des voies mystérieuses jusque dans le foyer de notre
soleil
. Le poète chrétien est le seul initié au secret d
t le seul initié au secret de ces merveilles. De globes en globes, de
soleils
en soleils, avec les Séraphins, les Trônes, les A
nitié au secret de ces merveilles. De globes en globes, de soleils en
soleils
, avec les Séraphins, les Trônes, les Ardeurs, qui
nt développés sous ses rayons, sans jamais le savoir ; car c’était un
soleil
d’intelligence qui éclairait toutes les branches
illions d’étoiles, actuellement visibles, étoiles qui chacune sont un
soleil
et entraînent avec elles des systèmes de planètes
et comme faisant partie du grand système qu’anime le corps central du
soleil
. Cette marche des idées est diamétralement opposé
ssion d’Aristarque de Samos, qui préludait au système de Copernic, le
soleil
(avec ses satellites) n’est qu’une des étoiles in
ses différentes zones, ou bien les rapports de notre planète avec le
soleil
et la lune. C’est un beau titre de gloire pour Va
ommes, nous, habitants de la terre, comme une île gouvernée par notre
soleil
, roi séparé de cet amas de 18 millions d’autres s
rnée par notre soleil, roi séparé de cet amas de 18 millions d’autres
soleils
. « Dans l’état actuel de la science, le système
urrions encore, avec toute vraisemblance, ajouter au cortège de notre
soleil
, et placer dans la sphère où s’exerce immédiateme
de petites planètes emportées par un mouvement de rotation autour du
soleil
, et qui frappent aveuglément la terre quand nous
nnombrables et lumineux noyés dans les espaces les plus rapprochés du
soleil
. L’étendue, la pesanteur, la température du globe
it l’ancien poète tragique Théodecte de Phasélis, “doivent au dieu du
soleil
, qui s’approche d’eux dans sa course, le sombre é
e la nature. “Le Seigneur a créé la lune pour mesurer le temps, et le
soleil
connaît le terme de sa course. Il fait nuit, les
ux rugissent après leur proie et demandent leur nourriture à Dieu. Le
soleil
paraît, ils se rassemblent et se réfugient dans l
pposée l’existence calme et laborieuse de l’homme, depuis le lever du
soleil
jusqu’au moment où le soir met fin à ses travaux.
ivre que celui qui peut passer dans votre main de la vie au néant, du
soleil
sous la terre, du temps à l’éternité, sans pâlir
un regard, plus de miel dans un sourire, plus d’enchantement dans un
soleil
, plus de rêverie dans une nuit d’été, plus d’enth
l’insecte, l’insecte poursuivant lui-même sa victime dans un rayon de
soleil
; la vipère élaborant sous l’herbe son venin et é
tre-vingts ans) se lever et se coucher un grand globe lumineux appelé
soleil
sur un globe ténébreux appelé terre. Ôtez-en les
écompte des éternités ! Une goutte d’existence évaporée à un rayon de
soleil
de cet océan de vie !… Il y a de quoi faire rire
et avec quelles sueurs ? Demandez-le au laboureur qui creuse sous le
soleil
et sous la pluie le même sillon sur la même colli
pain trempée de son sang ! Demandez-le au mineur qui renonce même au
soleil
des cieux et à l’air des vivants pour creuser éte
ne voit que des ombres ; il y a des taches non plus seulement sur le
soleil
, il y a des taches sur Dieu !… Que les yeux tombe
es poètes de l’aride et monotone Judée, ce rocher calciné des feux du
soleil
, où l’ombre du figuier et la goutte d’eau dans le
tier non frayé, Il regarde son ciel et dit : Je l’ai payé !… Sous un
soleil
de plomb la terre ici fondue Pour unique ornement
jours, à tous vos jours pareils, Ne mesurer le temps qu’au nombre des
soleils
; Puis de ses os blanchis, sur l’herbe des savane
re à la goutte ! « Dis à l’éternité d’apparaître au moment ! « Dis au
soleil
voilé par l’éblouissement, « D’apparaître en clin
« Un seul grain de poussière échappait à ma vue ? « Est-ce dans mes
soleils
? ou dans quelque autre feu « De ces foyers du ci
noble jeu « Avec plus de respect m’incarna dans le feu ; « Pontife du
soleil
, le pieux Zoroastre « Pour me faire éclater me re
mps, rien n’affaiblissait l’âme. L’air vif lui donnait la vigueur, le
soleil
l’illuminait. Les jours, comme on dit au village,
brume, que les lambeaux s’en dispersent emportés par le vent, que le
soleil
perdu jaillit derrière les Alpes, c’est bataille
’orient à l’occident, la coupole garde son azur. Intense alors que le
soleil
n’a pas encore paru, le bleu s’éclaire au levant,
t adoucir l’éclat de la lumière. C’est un règne absolu, la royauté du
soleil
… » C’est viril et emporté ; c’est dur comme les
s sacrés et la nature éternelle, la Bible ouverte dans l’église et le
soleil
épanoui dans les cieux. » C’était magnifique, mai
ais à l’œil étroit et qui n’osaient regarder en face, la nature ni le
soleil
. Ce qu’ils n’ont pas fait, Mme de Gasparin Pose,
: la Bible, rien que la Bible d’une part, et de l’autre Dieu dans le
soleil
, dans la nature et dans ses œuvres. Mlle Eugénie
lle le plus vif enthousiasme ; il ne cesse d’y exalter cette terre du
soleil
, du génie et de la beauté : Délicieux vallons, o
ût à Livourne, était alors sans ombre, et on ne pouvait y aller qu’au
soleil
couchant, à l’heure où la brise de mer soufflait
r, quand je remontais à cheval pour regagner ma villa de Livourne, au
soleil
baissant, je trouvais quelquefois les deux grande
rtalité ; Tout le bonheur que tu cèdes Accroît ta félicité. Tu dis au
soleil
d’éclore, Et le jour ruisselle encore ! Tu dis au
ncelant sous son ciel bleu, qui font de cette ville un musée en plein
soleil
, on s’enfonce dans des gorges fertiles, où l’oliv
. Rien n’était triste alors dans ma vie, rien vide dans mon cœur ; un
soleil
répercuté par les cimes dorées des rochers m’enve
à la ruche avec son butin ; des frères quêteurs, le visage coloré de
soleil
et de santé, le dos plié sous le fardeau de pain,
leurs nattes au seuil de leur ermitage ou de leur grotte de rocher au
soleil
, et souriant aux jeunes femmes et aux enfants qui
des racines de buis bien saines et bien séchées pendant trois étés au
soleil
. Son frère Antonio coupait et cousait les outres
de force au poison qui était entré dans ses veines avec les rayons du
soleil
des Maremmes. Nous l’ensevelîmes le troisième jou
s saines dans leur seconde écorce ; nous faisions cuire les figues au
soleil
, sur le toit de la cabane, et, saupoudrées d’un p
e la nature, ces bruits répandus dans les airs, qui se lèvent avec le
soleil
et le suivent, qui suivent le soleil comme un gra
les airs, qui se lèvent avec le soleil et le suivent, qui suivent le
soleil
comme un grand concert suit un roi ! Ces bruits d
souffrant : 10 avril (à Nevers)… Il fait beau ; on sent partout le
soleil
et un air de fleurs qui te feront du bien. Le pri
est partie de Nevers lundi à midi, l’heure où il fait bon marcher au
soleil
d’avril, le plus doux, le plus resplendissant. Je
monde infini de souvenirs : 24 avril. — Que tout est riant ! que le
soleil
a de vie ! que l’air m’est doux et léger ! Une le
et là, pensant au passé, j’ai pleuré. Tout était vert, frais, doré de
soleil
, admirable à voir. Ces approches d’automne sont b
c calme les moindres petites choses. Quatre pas dehors, une course au
soleil
à travers champs ou dans les bois, me laissait be
s allâmes chercher la chaleur en plein air. En nous promenant sous le
soleil
de midi dans l’allée principale, nous causâmes su
s assîmes sur de petites chaises placées autour d’une table ronde. Le
soleil
était si ardent, que l’ombre légère de ces arbres
rage. Le feuillage de ces chênes et de ces hêtres est impénétrable au
soleil
le plus ardent ; j’aime à m’asseoir ici, pendant
rès de Tiefurt pour revenir à Weimar ; nous avions en face de nous le
soleil
couchant. Goethe est resté quelques instants enfo
mot d’un ancien : « Même lorsqu’il disparaît, c’est toujours le même
soleil
! » Et il a ajouté avec une grande sérénité : « Q
ructible ; il continue à agir d’éternité en éternité. Il est comme le
soleil
, qui ne disparaît que pour notre œil mortel ; en
ition ; je vis que les fibres des arbres se dirigent toujours vers le
soleil
, et que si un arbre est exposé d’un côté au solei
t toujours vers le soleil, et que si un arbre est exposé d’un côté au
soleil
, de l’autre à l’ombre, le centre des fibres n’est
’est plus le centre de l’arbre ; le côté le plus large est du côté du
soleil
; aussi les menuisiers et les charrons, s’ils ont
donc choisi un chêne tendre ? — Oui, et un morceau du côté opposé au
soleil
. Mais après quelques mois, mon arc se déformait.
nt les oiseaux ; les journées sont toujours sereines et brillantes de
soleil
, les nuits toujours limpides ; on parle souvent d
ut un endroit tel qu’ils puissent recevoir de tous les côtés lumière,
soleil
, pluie et vent. S’ils poussent commodément, abrit
e de l’Unstrut, semée de villes et de villages, éclairée par le riant
soleil
du matin. « Là on sera bien ! dit Goethe en faisa
le déjeuner sur une petite éminence de gazon. Les lueurs matinales du
soleil
d’automne le plus pur rendaient splendide le coup
e était alors tout seul au milieu d’une place libre et bien sèche. Le
soleil
resplendissait gaiement tout alentour, et c’était
us avions ainsi une conversation sur ces grands et sérieux sujets, le
soleil
s’était approché peu à peu du sommet des collines
s des climats bien differens. Memphis, ajoutera-t-on est plus près du
soleil
que Paris de dix-huit dégrez, et cependant les ar
e caffé, le chocolat et d’autres denrées qui ne croissent que sous le
soleil
le plus ardent, sont en usage, même parmi le bas
ituel des denrées des païs chauds rapproche donc, pour ainsi dire, le
soleil
des païs du nord, et il doit mettre dans le sang
louissante s’est émoussé ; les plantes rafraîchies se relèvent, et le
soleil
calme au bord du ciel enveloppe harmonieusement d
et vaporeuse « comme un lis penché sur un buisson de roses et que le
soleil
mourant traverse de sa lumière », faiblement sour
le montraient point tout entier ; on allait avec lui dans le pays du
soleil
, vers les molles voluptés des mers méridionales ;
is tours silencieuses de neige antique — se dressaient rougies par le
soleil
couchant, et le pin ombreux, — humecté de rosée,
evient verte et large et ne prend point de souci, — toute baignée de
soleil
à midi, et, sous la lune, — nourrie de rosée noc
car nous avons beau être inertes, la nature est toujours vivante ; ce
soleil
qui se lève est aussi grand qu’à la première auro
u de nos vulgarités. Le sourire d’une jeune fille parée, un éclair de
soleil
sur une mer violente ou sur une touffe de roses j
armi les carrefours bruyants, le long du brouillard jaunâtre, sous le
soleil
morne qui se lève au-dessus de la rivière comme u
cri de bataille. — Désormais la pensée noble sera plus libre sous le
soleil
, — et le cœur d’une nation battra d’un seul dési
des bancs comme des colombes au matin sur le chaume du toit, quand le
soleil
tombe sur leurs blanches poitrines » ; elles écou
l, et s’arrêtent dans une gorge auprès d’un taillis, « pendant que le
soleil
s’élargit aux approches de sa mort, et qu’au-dess
étincelle, et comme elle regorge de fleurs champêtres lustrées par le
soleil
! Que de soin, quelle propreté, comme tout est di
e on sera bien, à cette grande fenêtre du parloir, pour contempler le
soleil
couchant et le large treillis d’or qu’il étale à
les faire jaillir en gerbe étincelante et reluire sous le plus ardent
soleil
de poésie qui fut jamais ! La pitié vient, on pen
n front ; Maternité aux bras de vaisseau qui roule. Desséchés sous le
soleil
désert, Judas vient d’embrasser le Christ de ses
re le vol des fleurs vite posées, les yeux tout près, qui sait que le
soleil
se lève régulier au bâillement des maisons9. — Un
sserie aussi, un Iker. — Des Ranft ; d’Osbert la déjà connue Femme au
Soleil
et quatre panneaux derrière la vitre de la rosée.
nt les parallèles en croix de Saint-André devenant ciseaux d’O’Conor.
Soleils
écrasés au centre, lumière traînée de filières d’
ou de vers-à-soie étalons, irradiant ses pentagrammes avant Van Gogh.
Soleils
— ou lunes aussi bien, aux clartés louches de Yan
raît jamais : premier seuls rêves de Thomas de Quincey. — Couchers de
soleil
de tous les rouges saignant ensemble en fournaise
et casaques de laque sur le ciel maçonné, avec les dés frits dans le
soleil
. — Et après, les Mages de Brangwin, preuve de sa
iet sous les arbres charnels, et sa Fileuse soupesant sous la mort du
soleil
rouge le coeur de son chanvre percé ; — de curieu
nde joyau de l’Idéalisme et de l’Anarchie. Comme en Avant le lever du
soleil
, « drame social ». Et le si connu sommeil et mort
scies serpentines, des lames filant douces l’oxycrat de cadavres. Des
soleils
couchants y brûlent d’une mèche neuve. [Les in
use soupèse le chanvre de son cœur, sous le dépècement des griffes du
soleil
. Devant l’impassibilité des esclaves, Cuvelier et
son fils ; la tête du Mauvais Larron, du haut de la croix, semble un
soleil
noir. Des cyprès sont calmes sur la colline. — M.
ui usent des chemins de fer, sans préparatifs d’avance, les places au
soleil
gratuites (M. Barrucand écrivait récemment d’un t
numents, sans comparaison, l’émotion esthétique de la vitesse dans le
soleil
et la lumière, les impressions visuelles se succé
e, tant j’étais plein de sommeil quand je perdis la vraie voie ! » Le
soleil
, qu’il aperçoit réverbéré sur les épaules d’une h
douce sérénité du premier matin qui éclaira le premier homme quand le
soleil
monta escorté des étoiles qui l’accompagnèrent, g
journée et pendant toute la nuit d’après, jusqu’au moment où l’autre
soleil
se leva de nouveau sur l’horizon. « Quand un peu
un espace de moins, un supplice de plus, et pour leur rappeler qu’un
soleil
de vie, de joie et de liberté, éclaire pendant le
ui fument, comme la gueule d’un four, sous les rayons répercutés d’un
soleil
d’été. Des chênes verts, au tronc tortueux, aux b
e deux remparts de rochers dont la surface, frappée par les rayons du
soleil
couchant, présente tantôt la blancheur du marbre
e son maître. « Les trois sages s’étendent pour dormir au coucher du
soleil
sur les gradins de la montagne. « Telles que les
eur nourriture, — et se rangent silencieuses à l’ombre pendant que le
soleil
darde ses rayons, sous la garde du berger debout,
as de plus je sentais des ailes sortir de moi pour voler. » « Vois le
soleil
qui te frappe au front », dit Virgile, « vois l’h
fois, c’est Béatrice qui vole devant lui ; elle fixait la lumière des
soleils
, et lui regardait cette lumière en elle. « Je m’
à chaque nom pour comprendre ce que ces esprits disent au Dante. Des
soleils
y chantent, des roues y argumentent, les chefs de
ur la plus haute branche nue et attend avec une ardente impatience le
soleil
, regardant fixement le côté où l’aube se lève… »
éantissement de son esprit : « À la neige qui fond et se distille au
soleil
, au vent qui expire dans les feuilles légères et
ment elle s’y incorpore. Mais déjà l’amour, qui donne le mouvement au
soleil
et aux étoiles, tournait mon désir et mon velle (
ère se compensent et se neutralisent avant le retour du lendemain, le
soleil
n’est jamais oblique et la température journalièr
luie de la nuit dernière se dissipe bien vite aux rayons ardents d’un
soleil
qui se lève en plein orient et monte rapidement a
mer, qui s’est levée vers dix heures et qui a fraîchi à mesure que le
soleil
devenait plus fort, tombe et meurt. La chaleur et
ntier se couvre de ténèbres qui montent et finissent par obscurcir le
soleil
. Un violent coup de vent ébranle alors la forêt e
de plus belle dans les fourrés et les arbres. Le lendemain matin, le
soleil
se lève dans un ciel sans nuages, et voilà le cyc
averses, et la saison humide, qui dure de janvier à juin, de jours de
soleil
. » III « Les récits des voyageurs nous en
. À certaines époques de l’année, et dans certains recoins ouverts au
soleil
, les arbres et l’air fourmillent joyeusement d’oi
l’élément liquide et imprime une direction au vaisseau désemparé. Le
soleil
luit entre mille nuages, les soldats et les matel
ces fenêtres qu’en se promenant au Pincio on aperçoit quelquefois le
soleil
qui se couche. » XVI Depuis la base des pi
de pierre qui prend racine à leur pied, sans pour cela leur cacher le
soleil
. On se repose un moment à cette hauteur, avant de
écuteurs de ses volontés qui sont leurs lois. Ils ont tous, depuis le
soleil
jusqu’à l’imperceptible animalcule vêtu d’une imp
té de la semaine ; les feuilles des bois en tremblaient d’aise, et le
soleil
en luisait et en chauffait mieux sur l’herbe au p
cheveux comme la peau de châtaigne sortant de la coque, avant que le
soleil
l’ait brunie sur le toit ? — Oui, lui disais-je,
plus large et plus haut, ses joues plus pâles et plus bronzées par le
soleil
; ses yeux aussi fendus, mais plus pensifs sous s
déjà longues et épaisses de cheveux, qui reluisaient comme de l’or au
soleil
du matin ; elle tournait çà et là son gracieux vi
omme une gaieté des anges, à travers les branches du châtaignier ; le
soleil
d’automne éblouissait dans les feuilles jaunes ;
ien ; nous allâmes reconnaître de l’œil, aux beaux premiers rayons du
soleil
d’été rasant les montagnes, dont il semblait bala
; et les abeilles qui bourdonnaient si allègrement dans les rayons du
soleil
entre les grappes plus miellées que le miel de le
l entre les grappes plus miellées que le miel de leurs ruches ; et le
soleil
couchant le soir sur la haute mer, et la lune tre
ousses. Et puis après ? Eh bien, après, nos murs seront nus contre le
soleil
et la pluie, il n’y aura pas d’ombre sur la porte
r violence, la belle enfant qui l’avait, par malheur, ébloui comme un
soleil
levant dans les yeux d’une taupe ; ni de tous nos
sont plus souvent mouillées par l’écume et resséchées par le rayon de
soleil
. Elle chantait déjà sur la porte qu’elle avait en
core aujourd’hui. Là, les arbres fraternels, les champs en fleurs, le
soleil
et les cantiques des grands vents m’apprirent les
m’amena de l’ornière où je m’enlisait à l’existence normale au grand
soleil
. Un dernier point me reste à élucider. Plusieurs
ace du ciel bleu ; les grands vents le caressent et le vivifient ; le
soleil
le trempe de clarté. La nuit, il exhale un murmur
s’éteignent, d’autres commencent à s’embraser. Et, parfois, un peu de
soleil
descend illuminer le fleuve de bourbe et d’or qui
éteste la lumière et crache sur les fonctions corporelles. « C’est le
soleil
qui est l’agent le plus actif pour développer le
s pourritures et le ferment des vires » s’écrie-t-il… Donc : à bas le
soleil
; confinons-nous dans des caves de peur que la cl
le songe affreux qui ravage ton âme. Reprends-toi ; retourne vivre au
soleil
. Plutôt que de considérer les animaux et les fleu
L’époque est revenue où se célèbre la fête des sèves montantes. Le
soleil
d’avril, seigneur des giroflées, des aubépines et
e un peu, l’on ouït les charmes chuchoter aux chênes attentifs que le
soleil
divin fait bouillonner leur sève et les chênes ré
es végétaux, je n’oserais ; ils savent mieux que moi rendre grâces au
soleil
. Je m’assieds parmi les bruyères ; mon sang bat s
i tendrement autour de moi ! Le ciel était si pur, l’air si léger, le
soleil
si paisible, le vent capricieux me flattait les j
ssai de nouvelles branches ; lentement, patiemment, je montai vers le
soleil
. Bientôt, j’émergeai entre les deux rochers et je
Pamyr : je les trouvai tous identiques. Le crépuscule approchait. Le
soleil
, déclinant, teignait de pourpre les futaies assou
dre à ses pieds. Alors, l’aspect des choses se modifie. Tandis que le
soleil
épand, à travers les feuilles murmurantes qui le
j’ai compris les enseignements de la terre, Quand je me redressai, le
soleil
s’enfonçait derrière l’horizon. Ses derniers rayo
bouscule les nuées et courbe la cime flexible des pins. Les rayons du
soleil
, qui trouent les volutes de la brume, semblent de
il découvre des ensembles. Alors il frémit d’allégresse s’il fait du
soleil
, il éclate en sanglots si le temps se met à la pl
ispose à la mansuétude comme un grand ciel de juillet sans nuages. Le
soleil
semble content d’épandre sa chaleur sur les arbre
umeur bizarre vous porte à publier des vers par trente-huit degrés au
soleil
, vous octroyer un brevet de génie sans vous lire.
bercera, — sans m’endormir, — comme le tremblement des feuillages au
soleil
, comme le cri des grillons dans les prés crépitan
nquille l’ombre mouvante des feuilles et l’or miroitant d’un rayon de
soleil
. M. Victor Margueritte, officier démissionnaire,
qui fume, Et, sanglante, la mer moutonne dans la brume, La mer où le
soleil
se couche tous les soirs ! Le vent tombe, les f
en d’un rêve massacré. Mais demain surgira dans les nuages roses Le
soleil
éternel par la mer rajeuni ; Et le rêve, dont les
colombes, Accueillez-moi parmi la fraîcheur de vos murs, Car déjà le
soleil
sur la pierre des tombes, Dans la plaine a courbé
ois lumineuse et résignée, Rafraîchis le pied qui te foule, Souris au
soleil
hostile, ourle Les rosaces des araignées….. Il
ère humide des routes. L’hirondelle aux ailes de soie Gazouille, le
soleil
se croise Avec la nuit sur les collines, Et son
plaint les pauvres malades enfermés dans leur chambre triste, loin du
soleil
: Le couchant a percé la brume des platanes Écl
joies enfantines : Ils se sont dénudés dans la clairière — Du frais
soleil
ruisselle en le feuillis — Ils sont dix gosses nu
te bleue, il semble, dans le soir Où la brume engourdit les rayons du
soleil
Qui saigne, sur les toits, au loin, le désespoir
Il célèbre aussi, avec une tendresse émue, le culte de la terre et du
soleil
: Ô Soleil, dieu des champs, des fleuves et des
ssi, avec une tendresse émue, le culte de la terre et du soleil : Ô
Soleil
, dieu des champs, des fleuves et des hommes, Seig
nt reflet L’aurore naît, le vent s’apaise. Sous les flèches d’or du
soleil
, L’étang tout bleu devient vermeil, Comme les ye
stracteurs — s’ébahit d’avoir enfanté Nietzsche. De quelle semence de
soleil
fut-elle donc fécondée le jour où elle conçut cet
ue espoir et chaque erreur, et chaque brin d’herbe et chaque rayon de
soleil
, et toute l’ordonnance de toutes choses. Ce cycle
mites… Il trouva pourtant la borne où il se brisa. Les yeux pleins de
soleil
et du reflet des mers miroitantes, les oreilles b
fférents s’imaginent être libres. Perdus dans la nuit, ils parlent du
soleil
qui leur illumine l’âme. Mais ils n’ont tout de m
à devenir le Prince, ni à fonder une école. Que de fois, au lever du
soleil
, quand les collines, les champs, les arbres sembl
soir de la vie : quand la nuit tombe autour de nous, quand les beaux
soleils
du printemps et de l’été se sont couchés derrière
ix prudente et un peu triste qui semble vous dire par chaque rayon de
soleil
, par chaque ombre d’arbre, par chaque rayon du so
ceau, une teinte, un caractère, une physionomie. Dieu a dessiné : son
soleil
colore. IX À un millier de pas du château,
le pays demoiselles des lacs, patiner dans les rayons tremblotants de
soleil
sur la surface, semblable à l’acier, bleue et liq
X Mais alors ces beaux arbres existaient encore ; et, quand le
soleil
de midi repliait l’ombre perpendiculaire sur leur
perpendiculaire sur leur racine, c’est là que nous nous abritions du
soleil
pendant les heures brillantes de la journée. On y
ons, paisiblement adossés aux arbres, la tête à l’ombre, les pieds au
soleil
, les cheveux au vent, dans les poses des jeunes p
’assit avec nous ; et la conversation familière continua, tant que le
soleil
nous fit rechercher l’ombre, comme si un convive
enteurs. La terre est vierge encor, mais déjà dévoilée, Et sourit au
soleil
sous la brume envolée. Entre les fleurs, Psyché,
nent dans notre mémoire comme les marbres de Memphis sous le rayon du
soleil
d’Égypte. Lisez seulement ces vers, pleins des mê
ays, c’est de ce qu’ils appellent la spécialité : retire-toi de notre
soleil
, chante quand il faut parler, cache-toi quand il
urdine le matin ce que les mères chantent à grande voix dans le plein
soleil
. Ce nouveau venu de la couvée de nos poètes comme
rt horizon, dans le coin de ciel en vue de la fenêtre où se couche le
soleil
, où se lève l’étoile, dans l’enfant à la mamelle,
rant dans l’avenue, Des doux morts envolés adoucissent l’adieu, Et le
soleil
, glissant des larmes de la nue, Ouvre dans le nua
s les vitres, de leur hôte. Ils savent que je suis à l’étude avant le
soleil
: ils cherchent à me voir sans être vus. Lisez ce
trépas ? Chaque matin pour l’homme est une renaissance ! À l’appel du
soleil
on se lève soudain ; Le corps prend sa fraîcheur,
es rayons, la fête de la vie ; Il aime la splendeur, comme un fils du
soleil
. Il part pour la montagne, et son cheval l’enlèv
a vallée creuse et verte de Saint-Point, avec ses tours dorées par le
soleil
des soirs : site solennel, quand on s’y assied en
portait, à côté de moi, le monceau de pages écrites à la lampe et au
soleil
levant depuis cinq heures du matin. Je ne m’atten
sur le palier de ma petite maison ; elle marchait devant moi dans le
soleil
, et j’avoue qu’au lieu d’une trace d’ombre derriè
l’attaquaient par son côté faible. « Un jour, c’était un dimanche, le
soleil
luisait avec cet éclat et cette chaleur de printe
, et que dédaignerait même un enfant : prendre dans la rue le côté du
soleil
; s’arrêter à quatre heures sur le pont du canal,
l’aurore de la nature. Qui n’aime pas ne voit rien. Jusqu’à ce que ce
soleil
du cœur se lève, tout est ténèbre et par conséque
naissants ? Pourquoi dans les bosquets cette voix qui soupire, Et du
soleil
d’avril ces rayons caressants ? Printemps si bea
lle main jalouse S’unirait à ma main ?… Mais déjà le
soleil
recule devant l’ombre, Et les rayons qu’il lance
per limitem. Pline le Jeune. S’il m’arrive, un matin et par un beau
soleil
, De me sentir léger et dispos au réveil, Et si,
du séjour des orages, Des sapins étagés en bois sombre et profond, Le
soleil
au-dessus et les Alpes au fond. Qu’aussi Victor
ns toilette, en été, qui sort et se promène, Et s’asseoit à l’abri du
soleil
étouffant, Vers six heures, sur l’herbe avec sa b
ne le sais pas ? Si dans ta sublime carrière Tu n’es pour elle qu’un
soleil
Versant au hasard sa lumière, Comme un vainqueur
qui le soutienne dans sa promenade et le conduise sur la terrasse au
soleil
? « L’amitié, ô mon ami, quand elle est ce qu’ell
tes se sont entrechoquées dans l’orage ; quelques-uns sont morts sans
soleil
; il a fallu les séparer, et les voilà maintenant
et dont les rayons pénétrants l’attirent de sphère en sphère comme le
soleil
aspire la rosée. De là mille larmes encore, mais
ux plus grandes hauteurs de l’atmosphère, rapportent qu’ils ont vu le
soleil
sans rayons, dépouillé, rouge et fauve, et partou
et partout des ténèbres autour d’eux. Plutôt que de vivre sous un tel
soleil
, mieux vaut encore demeurer sur terre, croire aux
moi, poète de cabaret et de mauvais lieux, et un tout petit rayon de
soleil
est tombé sur mon fumier. Vous obtiendrez mieux q
rriver dans ce sanctuaire toujours tendu de deuil l’air du dehors, le
soleil
, la vie du monde. Qu’importe ? ce n’est encore qu
doux rire puéril aux querelles des oiseaux, heureux par la pureté du
soleil
qui se lève et surtout épris, sans le savoir, de
e que firent éclore en toi la forêt et les fleuves, les oiseaux et le
soleil
, et cette femme enfuie, ils te tireront quelquefo
êmes et sur autrui ; ils maudissent la pensée. Et ils s’écrient : Le
soleil
s’est couché derrière l’Institut. « C’est peut-ê
mme des serpents ou bien l’hymne reconnaissant quand le pur baiser du
soleil
naissant lavera ton front des terreurs nocturnes.
la nécessité de certaines métaphores. Il est impossible que l’idée de
soleil
n’entre pas dans le nom de la grande fleur jaune
leur jaune appelée tournesol ; elle ressemble exactement aux faces du
soleil
dans les vieilles gravures et, de plus, elle se t
semble suivre avec inquiétude : ses deux noms français, tournesol et
soleil
173, traduisent cette double impression. C’est un
a verrucaire 174, en gréco-français héliotrope, tourne aussi selon le
soleil
ses odorantes fleurs violettes, et il semble qu’[
es langues sémitiques ont des expressions pareilles : en arabe chems,
soleil
, et echchems, tournesol. Coquelicot. Au latin p
Un dialecte suédois et l’islandais appellent le bouton d’or fleur du
soleil
(solœga et soley) : c’est encore l’idée d’or ou d
une autre herbe aux verrues, l’éclaire. NdA 175. Malheureusement le
soleil
est appelé aussi héliotrope et l’héliotrope, tour
grec, hélianthe. En somme, trois fleurs : le souci, la verrucaire, le
soleil
, pour leur donner les seuls noms qu’elles puissen
puissent porter en français. NdA 176. Et aussi solblomister (fleur
soleil
). NdA 177. Venu lui-même du verbe qui disait le
est répandue ; Que ces astres brillants sur nos têtes semés Sont des
soleils
vivants et des feux allumés ; Que l’océan frappan
de l’allégorie ou de la fable. L’aigle de la montagne un jour dit au
soleil
: « Pourquoi luire plus bas que ce sommet vermeil
? » La mousse imperceptible est indigne de toi… » — Oiseau, dit le
soleil
, viens et monte avec moi !… » L’aigle, vers le ra
nouveau, A son œil confondu tout parut de niveau. « Eh bien ! dit le
soleil
, tu vois, oiseau superbe » Si pour moi la monta
Et qui monte affronter, de nuage en nuage, De plus hauts rayons de
soleil
. Enfants de six mille ans qu’un peu de bruit éto
e mes regards, votre esprit me visite, La terre alors chancelle et le
soleil
hésite ; Vos anges sont jaloux et m’admirent ent
qui meurt dans la poussière, L’aile ouverte et les yeux fixés sur le
soleil
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Vous sou
nées. Des mondes, que peut seul peser l’esprit de Dieu Elles sont les
soleils
, les centres, le milieu ; L’océan de l’éther les
lieu pour des mondes pareils, Ayant ainsi que nous leur lune et leurs
soleils
, Et voyant comme nous des firmaments sans terme S
aux pourris ont été tordus par l’action alternative de la pluie et du
soleil
. Là se présentent des appuis de fenêtre usés, noi
rès, combien il peut de tonneaux si la récolte est bonne ; un coup de
soleil
l’enrichit, un temps de pluie le ruine : en une s
tonneliers, aubergistes, mariniers, sont tous à l’affût d’un rayon de
soleil
; ils tremblent en se couchant le soir d’apprendr
ond-il au voisin : “Il pleut des louis”, en sachant ce qu’un rayon de
soleil
, ce qu’une pluie opportune lui en apporte. « Le s
présuma donc la valeur des économies d’après les revenus des biens au
soleil
. M. Grandet obtint alors le nouveau titre de nobl
par charité, le rire équivoque du père Grandet était un vrai rayon de
soleil
. D’ailleurs le cœur simple, la tête étroite de Na
te et monotone des jeunes filles, il vient une heure délicieuse où le
soleil
pur épanche ses rayons dans l’âme, où la fleur ex
s branches jusque sur le cabinet du tonnelier. Un jour pur et le beau
soleil
des automnes naturels aux rives de la Loire comme
âme et y croissaient à mesure que croissaient au dehors les rayons du
soleil
. Elle eut enfin ce mouvement de plaisir vague, in
de son cœur firent alliance avec les harmonies de la nature. Quand le
soleil
atteignit un pan de mur, d’où tombaient des cheve
s, en s’étonnant de respirer un air plus pur, de sentir les rayons du
soleil
plus vivifiants, et d’y puiser une chaleur morale
tant dans ce jardinet, assis sur un banc moussu jusqu’à l’heure où le
soleil
se couchait, occupés à se dire de grands riens ou
l’homme ne fut lui-même qu’une boursouflure de fange échauffée par le
soleil
, puis douée d’un instinct qui le force au mouveme
de boue dans un marécage, un peu de chaleur putride dans un rayon de
soleil
, un peu de mouvement sans but emprunté aux vents
s et dans la douleur un soir. Il ronge pendant quelques évolutions de
soleil
l’épiderme du petit globe auquel il est attaché,
terre, soutenus par son esprit, frémissent du désir de voir, quand le
soleil
dans sa splendeur surgit à l’orient : à quel autr
t, et des yeux jaillit la lumière, et de cette lumière fut produit le
soleil
; les oreilles se sculptèrent, et des oreilles na
verte, à cause de la chaleur d’été. Les rayons presque horizontaux du
soleil
glissaient sur mon lit ; les hirondelles entraien
a poussière de diamants et avec les couleurs de feu des rayons que le
soleil
levant étendait sur la page ; ce fragment était u
ot de l’éternité, émanation de chaleur et de lumière qui s’échappe du
soleil
sans jamais tarir son foyer, une illumination de
re lu debout, assis ou couché ; je m’agenouillai devant la fenêtre au
soleil
levant, d’où jaillissait moins de splendeur que d
les oreilles, frappant de la corne, flairant le rayon, réchauffant au
soleil
levant sa tiède fourrure, broutant les jeunes pou
me jurai à moi-même de ne jamais retrancher par caprice une heure de
soleil
à ces hôtes des bois ou à ces oiseaux du ciel qui
es, et l’inépuisable semence de toute la nature. Je suis la clarté du
soleil
, et je suis la pluie. Je suis Celui qui tire les
un et l’autre ; l’idée de jeter cette âme, qui rayonnait semblable au
soleil
de tous nos matins sur notre fenêtre, comme un mi
sser des nattes de sparteria avec des joncs devant la porte, assis au
soleil
; Hyeronimo à retourner les figues qui séchaient
ui se baigne déjà à moitié dans la mer de Pise, pour laisser place au
soleil
; tu n’as plus qu’une demi-heure de nuit pour mon
les yeux ; mais cette eau était aussi pure que celle de la grotte au
soleil
. CXXVII Cependant, peu de temps avant le m
côté de ma tante quand j’aurais pourtant mieux aimé à être dehors au
soleil
ou à l’ombre auprès de lui, à me retirer toute se
as pour eux que je désirais voir mes cheveux reluire comme de l’or au
soleil
. CXXIX Pourtant je vis bien qu’Hyeronimo n’
déjà les cloches et les bruits formidables monter dans l’air avec le
soleil
du matin. Oh ! que j’avais peur, mon Dieu ! et qu
tte angoisse ; mais quand je m’en réveillai, les rayons plus longs du
soleil
avaient pénétré à moitié sous l’arche, échauffaie
idi : personne ne passait en ce moment sur la route, à cause du grand
soleil
et de la grande poussière. Quand je fus seule ain
qu’au bout, mais dont le sourire se mêle aux larmes comme le rayon de
soleil
à la pluie du matin. CXLII Eh bien ! monsi
e humain à la royauté de la Création. L’homme avait fait descendre le
soleil
sur la terre, il était maître de la chaleur et de
viteur irrésistiblement évoqué ? L’homme le voyait resplendir dans le
soleil
, darder et serpenter dans l’éclair, éclater dans
e pasteur visite ses troupeaux. » Indra pâlit devant sa splendeur, le
soleil
s’absorbe et fond dans sa flamme. « Ô Agni », — s
une Mythologie tout aryenne. Chez Hésiode, comme dans le Rig-Véda, le
Soleil
et l’Air, le Feu et l’Eau, la Foudre et les Vents
au ciel sur un char ailé que Pallas-Athéné lui prête, et il dérobe au
Soleil
une étincelle qu’il cache dans la tige creuse d’u
ne possédaient pas le feu avant le Titan ; c’est lui qui le ravit au
soleil
et leur en fit don. Il en est l’inventeur et non
moire, en imitant la fuite du larron sublime, après qu’il eut volé le
soleil
. Ce jour-là, une cavalcade de jeunes gens partait
s fréquents : Le 3 mars. — La journée d’aujourd’hui m’a enchanté. Le
soleil
s’est montré pour la première fois depuis bien lo
flottant laissait parfois des défauts par où se glissait un rayon de
soleil
qui descendait comme un éclair dans le sein de la
. — L’hiver s’en va en souriant ; il nous fait ses adieux par un beau
soleil
resplendissant dans un ciel pur et uni comme une
eurs formes d’été. Leurs groupes divers se tiennent immobiles sous le
soleil
comme les troupeaux de moutons dans les pâturages
j’ai entendu bourdonner les abeilles sur les fleurs. En m’asseyant au
soleil
pour me pénétrer jusqu’à la moelle du divin print
rdure, est admirablement rendu : 3 mai. — Jour réjouissant, plein de
soleil
, brise tiède, parfums dans l’air ; dans l’âme, fé
it alors les étés à Issy) tenant un livre à la main et lisant sous le
soleil
! C’était Sophocle ou Euripide, texte grec, qu’il
de la famille et des vieux amis, où nous attendent le dernier banc au
soleil
ou à l’ombre, et nos derniers tisons. » Il a eu s
l ou à l’ombre, et nos derniers tisons. » Il a eu son dernier banc au
soleil
. Mort le 11 octobre 1867, il était né le 19 octob
(la soixantaine) au revers de quelque montagne, sous les rayons d’un
soleil
trop ardent pour ma pauvre tête chenue. Je revien
il en avait fait lui-même une paraphrase en vers : Passant, quand le
soleil
brille à ce méridien, Contemple le temps vrai, ma
re système, des astres obscurs, qui ne recevraient la chaleur d’aucun
soleil
voisin, n’exerceraient aucun rayonnement sensible
qui sépare la terre des autres planètes du système solaire. Si notre
soleil
, en décrivant son orbite, venait à croiser l’orbi
e terre jouirait momentanément de la chaleur et de la lumière de deux
soleils
très inégalement distants, ce qui pourrait causer
ages cosmiques ont pu à certaines époques passer entre la terre et le
soleil
, et intercepter les rayons de cet astre. Cette hy
dissement de la période glaciaire, mais encore ces évanouissements du
soleil
dont la tradition s’est conservée dans l’histoire
e. Mais passons et admettons que les évanouissements traditionnels du
soleil
pendant quelques heures aient un fondement vrai,
nuage cosmique circulant à la façon des comètes entre la terre et le
soleil
en rendrait compte, ce qui nous paraît loin d’êtr
nous n’avons pas le temps de discuter ici. Mais un évanouissement du
soleil
pendant quelques heures ne causerait sur la surfa
cause, il eût fallu qu’il circulât pendant plusieurs années autour du
soleil
dans une orbite concentrique à celle de la terre,
r les besoins de son hypothèse, suppose tournant entre la terre et le
soleil
devrait y tourner encore avec la même vitesse et
l’orbite de la terre, de sorte que notre globe, en tournant autour du
soleil
pendant une ou plusieurs années, n’aurait pu aper
d froid ; car une substance gazeuse ou vaporeuse, interposée entre le
soleil
et la terre, serait beaucoup plus conductrice que
faire ombre et de nous cuire ? A-t-elle été peu à peu absorbée par le
soleil
? Mais comment rendre compte de cette absorption
u lieu de se contracter, et cette masse de vapeur, en contact avec le
soleil
, serait bien vite arrivée à un état incandescent.
, et qu’à plus forte raison elle pourrait passer entre la terre et le
soleil
sans nous priver ni de la chaleur ni de la lumièr
à l’ouverture de la vallée ; la plaine de Mandéla fumante çà et là au
soleil
; des feux d’herbes sèches allumés et oubliés par
éternellement sur les flancs de la terre ; placez-moi sous le char du
soleil
trop rapproché, où ne s’élève aucune habitation h
épouse, semblable à nos femmes sabines ou à la compagne brunie par le
soleil
de nos habitants de l’Apulie, partage avec nous c
orsure du lion, quand il reçoit perpendiculairement les brûlures d’un
soleil
vertical ? En est-il une où les soucis envieux ag
n. Imaginez une chaîne de collines que sépare une ombreuse vallée. Le
soleil
en naissant regarde d’abord le versant de la droi
sés, par badinage, à son recueil de vers lyriques : « Quand un tiède
soleil
d’été vous fera lire à loisir, devant un cercle n
mme de petite taille, chauve avant l’âge, très amoureux des rayons du
soleil
, prompt à m’irriter, plus prompt à m’adoucir ; et
ans, l’année où Lollius eut pour collègue au consulat Lépide. » « Le
soleil
n’est pas encore levé, ajoute-t-il dans l’épître
ers éblouissants. » (Ils sont jaunis et dorés aujourd’hui par tant de
soleils
de plus.) Là on est rejoint par Coccéius, chargé
mpagnon est agréable pour répercuter en vous les douces sensations du
soleil
, de l’ombre des bois, des eaux, de la montagne, d
sissez le jour, tout est pour le mieux, pourvu qu’on ait les pieds au
soleil
et la tête à l’ombre ! Ce poète est votre homme ;
e de l’espérance, éclairé par la coupole de Saint-Pierre de rayons de
soleil
du matin qui semblaient faire palpiter les chairs
de cet âge heureux pour les hommes d’État et pour les artistes, où le
soleil
de la vie n’éclaire plus que le sommet (le front)
plus que le sommet (le front) comme à cette heure de la soirée où le
soleil
du jour n’éclaire plus que les cimes. La lueur es
athédrales déchirent les nuages et s’avancent dans l’air au-devant du
soleil
. Mais tout monte vers le ciel, et, dans les régio
, entre ciel et terre, un édifice carré de marbre blanc sur lequel le
soleil
de l’Attique se répercutait éblouissant, mais mat
le soleil de l’Attique se répercutait éblouissant, mais mat comme le
soleil
d’une autre terre ; il laissait lire sans éblouis
p de marbre sur lequel viennent écumer et bleuir là-bas les rayons du
soleil
et l’azur du ciel ? demandai-je au capitaine Blan
huit cents lieues de son pays, à la fin d’une journée de tempête, de
soleil
et de poussière, M. Gaspari nous conduisit au bas
ai visité Athènes. XLVII C’était une belle et pure soirée : le
soleil
dévorant descendait noyé dans une brume violette
ues, et réfléchissent, comme un bronze poli, les rayons réverbérés du
soleil
de l’Attique. Mais quel horizon Platon devait avo
e l’architecte a rejetées. Leurs flancs sont dorés de cette croûte de
soleil
que les siècles étendent sur le marbre ; leurs br
Boudias, Gaston [Bibliographie] À travers songes (1890). —
Soleils
éteints (1893). OPINION. Charles Fuster
(1893). OPINION. Charles Fuster Dans ce recueil de débuts (
Soleils
éteints) « couronné par l’Académie de Bordeaux »,
tier, Edmond Adolphe de Bouhelier (1846-1913) [Bibliographie]
Soleils
noirs et Soleils roses (1887). OPINION. E
phe de Bouhelier (1846-1913) [Bibliographie] Soleils noirs et
Soleils
roses (1887). OPINION. Eugène Ledrain
e durerait pas. Les envieux dont parle Brucker, « qui mettent dans le
soleil
les taches qu’ils ont dans les yeux », mirent leu
il les taches qu’ils ont dans les yeux », mirent leurs taches dans le
soleil
de Saint-Victor, mais il n’en continua pas moins
mais il n’en continua pas moins d’aller son train, dans sa pureté de
soleil
! Cela ne pâlit point. Cela fut inextinguible. L’
images, comme on était un héros, autrefois, sous une armure d’or. Le
soleil
, rutilant, fourmillant et dardant qu’il a toujour
sur les murs, autant de silence ; seulement il y a plus de rayons de
soleil
pour égayer les passereaux gazouillant sur les tu
« Maison petite, mais construite à ma convenance, mais n’enlevant le
soleil
à personne, mais d’une propreté élégante, et cepe
a plaine ; ses troncs penchés par le vent, ses rameaux cuivrés par le
soleil
et les légers parasols de ses cimes laissaient en
du dîner et après la sieste, qui se prolongeait jusqu’au penchant du
soleil
sur l’horizon de l’Adriatique. Le reste du temps
li d’eau à la glace : seul déjeuner des peuples sobres nourris par le
soleil
, comme les Espagnols, les Italiens, les Portugais
ur commencer nonchalamment une seconde matinée, jusqu’à l’heure où le
soleil
touchait presque à la mer, où la première rosée d
attelée pour la promenade du soir, aussi régulière que le coucher du
soleil
. C’étaient ces heures nonchalantes de l’avant-soi
es deux femmes, à l’ouverture de la grotte, sur le gazon jauni par le
soleil
, le bras passé autour du cou de la seconde nymphe
ignée de mille lieues de Renaud, lasse de la course et de l’ardeur du
soleil
d’été qui la brûle, elle prend la confiance de se
rante, et que des chênes touffus et élevés garantissent des rayons du
soleil
. Ce bosquet était vide au milieu et laissait une
gère brille encore sans doute à travers ces larmes, comme un rayon de
soleil
sur la pointe de ces herbes mouillées par l’écume
oiselle, dit le professeur ; mais en voilà assez pour aujourd’hui. Le
soleil
baisse, le livre nous a fait oublier l’heure de l
d’araignées ; Des pignons délabrés, où glisse par moment Un lézard au
soleil
; — d’ailleurs nul mouvement. Ainsi qu’on voit so
tin au plus la terre est arrosée, Que la brise secoue, et que boit le
soleil
; Puis l’oubli vient au cœur, comme aux yeux le s
’a mesuré l’abîme, Ni les hérons plongeurs, ni les vieux matelots. Le
soleil
vient briser ses rayons sur leur cime, Comme un s
tune et la gloire ; Mais je crois au néant, comme je crois en moi. Le
soleil
le sait bien, qu’il n’est sous sa lumière Qu’une
jour d’orage, Pour boire l’eau du ciel sur ses palmiers poudreux ; Le
soleil
est de plomb, les palmiers en silence Sous leur
urs longs cheveux ; Elle cherche son puits dans le désert immense, Le
soleil
l’a séché ; sur le rocher brûlant Les lions héris
n vous Qui fait bondir le cœur et fléchir les genoux ? Ô terre, à ton
soleil
qui donc t’a fiancée ? Que chantent tes oiseaux ?
us a créées, A voulu traverser les plaines éthérées, Pour chercher le
soleil
, son immortel amant. Elle s’est élancée au sein d
is et rendu dans ces vers funèbres. Quand Rolla sur les toits vit le
soleil
paraître, Il alla s’appuyer au bord de la fenêtre
as ! — la terre est grande et plane, L’Orient dépeuplé s’y déroule au
soleil
, L’espace y lasse en vain la lente caravane La so
u de Grenade, Poétique hochet des douleurs de parade, Dont la lame au
soleil
ruisselle comme l’eau, En effleurant ton sein t’a
ux qui paissaient les ronces et des pigeons bleus qui roucoulaient au
soleil
comme des âmes découplées par la mort. J’étendis
ce qui passe ? Il était avant et sera après. Ce n’est pas du côté du
soleil
que l’éclipse fait l’ombre. Tout peut s’écrire. L
remonta en fiacre, et sans se dire une parole, en hâte, avant que le
soleil
fut levé, ces hommes s’en allèrent. IV Saum
de l’absolu et de l’insondable pour se dilater. Ils pensent comme les
soleils
rayonnent, avec l’abîme autour d’eux pour conditi
nt Rembrandt peignant avec une palette toute barbouillée de rayons de
soleil
; ils sont Dante, Rabelais et Shakespeare, excess
ace, souffre ; l’œil, à de certains moments, pense beaucoup de mal du
soleil
. Ne nous étonnons donc pas des plaintes faites, d
ce paradis appelé le Jardin, l’avez-vous vu ? Quel épisode ! un chaud
soleil
, une ombre tiède et fraîche, une vague exsudation
eux bien te la donner comme épouse mais que jamais elle ne sorte au «
soleil
ou ne s’approche du feu, car elle fondrait « auss
rtyi promit à la vieille que jamais Takisé ne sortirait aux heures de
soleil
et que jamais non plus elle ne s’occuperait de cu
lle en surveillait la torréfaction, son corps fondait comme beurre au
soleil
et se transformait en une graisse fluide qui donn
es les plus antiques comme les plus neuves, lutteraient, à la face du
soleil
, de génie, de gloire, de talents et d’ardeur, et
salem que la peste ravageait alors était tout inondée des rayons d’un
soleil
éblouissant répercutés sur ses mille dômes, sur s
et de céruse. C’était l’heure de midi, l’heure où le Muézin épie le
soleil
sur la plus haute galerie du minaret, et chante l
rinière éparse, leur poil gris luisant et fumant sous les rayons d’un
soleil
de plomb. Les hommes s’étaient rassemblés à l’omb
le cuivre des statues antiques, couleur très-estimée dans ce pays du
soleil
, dont elle est comme un reflet permanent, ses che
es de l’Anti-Liban, un groupe immense de ruines jaunes, dorées par le
soleil
couchant, se détachaient de l’ombre des montagnes
temples étaient devant nous comme des statues sur leur piédestal ; le
soleil
les frappait d’un dernier rayon qui se retirait l
et de se pencher sur l’abîme pour découvrir le fond de la vallée ; le
soleil
baissait, nous avions marché bien des heures, il
es moines vieux et infirmes venaient respirer l’air et voir un peu de
soleil
, partout où le pied de l’homme pouvait atteindre.
s masses éternelles, ou s’y mêler pour les consacrer. Mais bientôt le
soleil
tomba, les travaux du jour cessèrent, et toutes l
ns son jardin, aimé des vents et des arômes, Où mûrissent, au feu des
soleils
automnaux La figue liquoreuse et les citrons roya
urs qu’il faut pour atteindre en marchant Le bas du ciel rougi par le
soleil
couchant. Dans « l’éternel duel qui se livre en
e), a la vision des garrigues en flamme et des vignobles d’or sous le
soleil
de midi, sous le poudroiement du crépuscule. Ses
soir, nos vins vermeils Nous croirons retrouver les beaux, les vieux
soleils
Qui luisaient aux coteaux ardents de la jeunesse…
ntirons envahis d’une ivresse Triste et joyeuse au souvenir des vieux
soleils
! M. Charles Vellay, qui débuta par des vers sy
des roses d’hiver recouvertes de cendre, Et ton lit nuptial ignore le
soleil
, Ta chevelure ondoie au reflux des marées Comme l
trange et mystérieuse sensualité de ses strophes noyées d’ombre et de
soleil
, saisissent d’une émotion presque physique. Elle
illes Et nos mouvements seront beaux. Et, parmi le
soleil
où, toi blanche et moi nue Nous
vos espoirs, un cœur pareil : Car toujours du même or et toujours de
soleil
, Lasse de nous donner avec la sève blonde Le pain
attriste à plaisir dans mon rêve ! Là, contre la maison, s’allonge le
soleil
. Chaque rose inclinée en mon cœur tient conseil,
cal. On sent que c’était murmurer à demi-voix, en plein jour, en beau
soleil
de trois heures après midi ; chaste et pur comme
Lorsque midi surtout a versé sa lumière, Que ce n’est que chaleur et
soleil
et poussière ; Quand il n’est plus matin et que j
oir d’orages, Sans la fraîcheur du vent qui chassait les nuages ; Le
soleil
se couchait sous de sombres rideaux ; La rivière
près les soins comptés de l’exacte semaine Et les devoirs remplis, le
soleil
qui ramène Le loisir et la fête, et les habits pa
rusques penchants S’abîmait loin des yeux le fleuve ? Quels orages Ce
soleil
chauffait-il derrière les nuages ? Ignoré de vous
é, plus avant dans la tombe ! — Et pourtant aujourd’hui qu’un radieux
soleil
Vient d’ouvrir le matin à l’Orient vermeil ; Quan
st pour vous, radieux et vermeil, Qu’un atome de plus dans votre beau
soleil
, Et l’Océan immense aux vagues apaisées Qu’une go
…… ………………………………………………… De retour à Paris après sept ans, je crois, De
soleils
de Toscane ou d’ombre sous tes bois. Comptant tr
s et nos amours, Nous-mêmes déclinons ! comme au fond de l’espace Tel
soleil
voyageur qui scintille et qui passe, Quand son pr
ières moissons, Peinture, hymne, lumière immensément versée, Comme un
soleil
couchant ou comme une Odyssée ! Oh ! non, tout n
l’Âme le mérite ; Le Génie au sommet n’entre pas au tombeau, Et son
soleil
qui penche est encor le plus beau ! XII C
e atmosphère brumeuse et douce, dans cette campagne monotone, sous ce
soleil
fréquemment voilé.” « Notons la nuance, mais n’y
t à Virgile qu’il appartient de chanter les rivages d’Actium chers au
soleil
, et les flottes victorieuses de César ; il va naî
ne douzaine de plantes grimpantes, et nous avons, en face de nous, le
soleil
couchant illuminant de ses derniers feux les affi
tiges hochant la tête sous la brise qui les courbe ; — des rayons de
soleil
allongés et couchés en travers du dessous de bois
une âme murmurante et bourdonnante ; — le ciel mollement éclairé d’un
soleil
dormant… Et tout cela m’ennuie comme une descript
qui nous montre de merveilleuses aquarelles, balafrées de clarté, de
soleil
, de vie, avec des roses, des jaunes, des bleus d’
, et sur les bancs qui touchent à l’avenue et qui sont sur le bord du
soleil
, des têtes à l’ombre, et des dos ronds faisant le
emps pour aller à la campagne ! Asselineau s’étirant sous un rayon de
soleil
qui lui chatouille la figure : — À la campagne, à
ours, qui l’a empêché d’être le mari d’une petite actrice entrevue au
soleil
des quinquets, et qui a empoisonné son amoureuse
isiennes dansant autour des couleurs et des tubes enchantés tenant le
soleil
et la chair ; enfin, des heures molles, inertes,
chapiteaux rouges et les voûtes vermeilles ; Ils sont une âme, en du
soleil
, Qui vit de vieux décor et d’antique mystère Auto
ulièrement riche et d’une richesse triste comme celle d’un coucher de
soleil
, richesse qui va devenir nocturne. Des mots s’imp
qui y cueillaient des asphodèles. Midi fut lourd d’orage et morne de
soleil
Au jardin mort de gloire en son sommeil Léthargiq
originale forêt : Sous ma forêt de Mai fleure tout chèvrefeuille Le
soleil
goutte en or par l’ombre grasse, Un chevreuil bru
e feuille en feuille ; Par ma plaine de mai toute herbe s’argente Le
soleil
y luit comme au jeu des épées, Une abeille vibre
mer tenace et muette, la mer envieuse et qui se farde d’étoiles ou de
soleils
, d’aurores ou de minuits, — et le poète lui repro
divin : Alors des profondeurs et des ténèbres saintes Comme un jeune
soleil
sort des gouffres marins, Blanche, laissant coule
chimères, si tu bois L’enivrement de vins illusoires, qu’importe ! Le
soleil
meurt, la foule imaginaire est morte Mais le mond
l’idée et le mot marchent d’accord en harmonieux rythme. Au lever du
soleil
la galère remit à la voile : Pierre Quillard part
que comparable à aucune des journées passées, même les plus riches de
soleil
et de fleurs. Il y eut des douces promenades mati
aire étranglait ; il y eut le clair de lune parnassien, et se leva le
soleil
verlainien, — et nous en sommes là si l’on veut,
t, Au pays du Mufle. L’ignominie du siècle exaspère le Latin épris de
soleil
et de parfums, de belles phrases et de beaux gest
Famille d’Arbres. « C’est après avoir traversé une plaine brûlée du
soleil
que je les rencontre. « Ils ne demeurent pas au b
illeuses. A lui tout seul il travaille comme une ruche, et au moindre
soleil
les idées abeilles sortent tumultueuses et se dis
buire, Le marmiteux grelotte en attendant son tour. Crois-tu que le
soleil
frit donc pour tout le monde Ces gras graillons g
pour des jours de fête et de fastueuses parades, et quand les jeux du
soleil
s’éteignent, voici des torches allumées dans la n
la vallée sonnent la fin d’un sort, Et l’on voit luire des pelles au
soleil
du matin. Venez avec des corbeilles de violettes
rce ou viennent se remplir toutes les autres, eau pure que le moindre
soleil
transforme en pierreries vivantes comme les colli
eus, Car c’est le ciel d’en bas dont la nue est l’écume, Le reflet du
soleil
qui sur la mer s’allume Est plus doux à fixer pou
hanson franche, Tes lilas blancs, tes aubépines et l’or fleuri De ton
soleil
par les branches, Si loin de moi la bien-aimée Da
é transposée en éréthisme mental : cela devient l’amour de la vie, du
soleil
, des odeurs, des violences, des douleurs, des joi
champs plus tranquilles. Mais mon rêve est empli d’air, d’ombre, de
soleil
. Ah ! comme le regret et le désir se pâment Quand
e âme orientale, faite pour la joie presque inconsciente, des pays de
Soleil
et qui a bu le poison de notre philosophie occide
fums. Son œuvre, où s’exprime jusqu’au délire l’amour de la vie et du
soleil
, est cette atmosphère lumineuse, elle-même extéri
s chanté, J’aurais tenu sur moi comme une grande lyre Les
soleils
de l’été ; Peut-être que ma longue et profonde tr
ansmis toutes vos nostalgies Loin du
soleil
, Si je n’évoquais pas les beautés éternelles
and oiseau de mer enfermé dans le cœur. Enfin, c’est l’enivrement du
soleil
d’Afrique, de la vie au grand air. Ce lui est une
re, ah vivre ! c’est au galop, Mater une bête rétive, C’est sentir au
soleil
trop chaud Suer et brûler sa chair vive. Insatia
imprégnée, À travers le vitrail des toiles d’araignées Dont un rai de
soleil
fait trembler les fleurons. La pensée, dans cett
ivement les porcs. Et dans la paille humide et qu’ils ont labourée Le
soleil
largement vautre sa chair pourprée. Il faudrait
ut se pâme et jouit : La terre dont frémit le grand cœur véhément, Le
soleil
secoué par un spasme inoui. Comme elle dédaigne
aigne les logis étroits « qu’on dresse et qu’on décore » ! C’est « le
soleil
, les parfums et le vent » qu’elle habite : Ma ma
re reflet de sa propre passion. Parfois, la prière qu’elle adresse au
soleil
se fait mystique et semble se souvenir, s’inspire
ternés sont pieux ; La terre te désire d’une amour éperdue Formidable
soleil
… Les premiers vers rappellent un cantique à Jésu
e chercher, Et que, sur le chemin où je devrai vous suivre, Le
soleil
soit couché. …………………………… Je veux porter au bras m
zur ; En surgissant le vent s’étrangle sous la porte La nuit jette au
soleil
son ténébreux lasso ; Le ciel serre le monde en s
présentera la nuit, laissant en fuyant « sa pantoufle lunaire » et le
soleil
« ramant vers son déclin ». Voici l’abeille, qui
s de la vie et ne rien désirer au-delà : Heureux qui met sa chair au
soleil
et l’y gonfle D’un puéril orgueil et d’un sucre d
rd les yeux à mon doux crépuscule, Prépare-les longtemps à l’éclat du
soleil
; Vole dans mes jardins, léger comme une bulle, A
chambre, obstinée, La joie et l’abandon m’avaient fermé les yeux, Le
soleil
à mon front tissait des fils de cuivre, Mes lèvre
calices et de se poudrer de pollens, qui est beau à regarder, dans le
soleil
. Vivre, de toute la puissance de son ressort phys
ais traversé mes épreuves ? Que de malheurs ont suivi ce mystère ! le
soleil
les éclaire encore… Si je cueille à la dérobée un
it ses heures et ses stations marquées comme les signes où se pose le
Soleil
. De une à deux heures, — de deux à trois heures,
nisme jusqu’à nouvel ordre, c’est-à-dire jusqu’au lendemain matin. Le
soleil
se levait plus beau ; il remettait la fleur à sa
l peut s’échapper encore un instant, s’il peut se traîner, un jour de
soleil
, au Jardin des plantes auprès de celle qui du moi
s que je voyais le matin au Jardin des plantes, les yeux fixés sur le
soleil
, et battant de grandes ailes que leur cage ne peu
tant, je trouvais Chateaubriand assis devant sa fenêtre, regardant le
soleil
, ne pouvant marcher, et ne se plaignant qu’à pein
ieux Suivre un jeune Empereur, qu’un autre déjà vieux. Arrêtez, mon
soleil
, dit encore un Amant à sa Maîtresse, dans une aut
une autre Piece du même Auteur : la Maîtresse répond : Si je suis un
Soleil
, je dois aller toujours. Ces pointes, que l’igno
uniformes sont usés, déteints, délavés, ainsi que s’ils avaient bu le
soleil
et la pluie d’années entières. Ce soir, chez Bréb
enciés, comme les parties d’un jardin, « où il y a de l’ombre ici, du
soleil
là ». Il me dit : après les analyses des infinime
nument de la cité libre, les pieds dans l’ombre, rayonne en haut d’un
soleil
qui fait aveuglant l’horloge. Aux fenêtres du pre
œufs roux. Et fiacres et charrettes, tour à tour fouettés de coups de
soleil
et de giboulées de pluie, montrent des mobiliers
obiles allant à la Madeleine : — un double courant étincelant sous le
soleil
d’éclairs d’acier, et qui ne cesse pas. De toutes
figures, à la gaîté grave, aux yeux de la couleur d’une vague dans du
soleil
. Samedi 17 septembre À Boulogne, il n’y a p
tés sur le trottoir, et çà et là, quelques vieilles femmes assises au
soleil
, devant la porte d’une allée obscure s’obstinent
leurs éclatantes et les coins de jardins fleuris et tout gais sous le
soleil
, font un contraste étrange. La route jusqu’à Sain
tance en distance, les télescopes, qui, pendant la paix, regardent le
soleil
et la lune, sont braqués sur Vanves, Issy, Meudon
petites filles, qui ouvrent sur leurs têtes leurs mouchoirs contre le
soleil
, et fixent, sans jouer, la figure sérieuse de leu
ravité en ces hommes, en ces femmes, qu’en dépit de ce perpétuel beau
soleil
et de cet éternel azur du ciel, le décor semble p
x derniers jours, rien du souvenir des blessés qu’on a vus passer. Le
soleil
d’un dimanche a tout emporté, et Paris, en gaieté
, épandu et flottant sur tous les lointains, ces vapeurs reflétées de
soleil
, ce chatoiement dans l’air de tons neutres, cette
alissades de séparation, brûlées par les mobiles, dans un vif coup de
soleil
, c’est charmant, ces restaurants en plein air, so
nt de brugnon, aux cheveux couleur de chanvre. Un moment, ce soir, le
soleil
couchant remplit complètement la baie du pont-lev
Breton en retard. Au fond d’un petit passage étranglé, qu’éclaire un
soleil
de gaz, s’ouvre à la foule qui s’y glisse, la por
sur des bouquets d’arbres pâles, et qu’on dirait sillonnée, là où le
soleil
frappe les ardoises, de petits cours d’eau brilla
. Voitures et gens, en la transparence froide d’un coin de jour, sans
soleil
; et en le reflètement gris du pavé, n’ont pas de
le paysage haché par la pluie, en même temps qu’ensoleillé du coup de
soleil
d’une giboulée de mars. …………………………………………………………………
vie… Je redeviens un manœuvre à mon âge… Un mur pour fumer ma pipe au
soleil
, et deux fois, la soupe par semaine, c’est tout c
fini, dans la trajectoire des obus français, un admirable coucher de
soleil
. On dirait un léger lavis de nuages violets sur u
ent, achetés à la faillite d’un dentiste. Je passe le pont-levis. Le
soleil
fondu dans le brouillard fait ressembler le ciel
grands peupliers détachés dans le ciel, sur une nuée rose autour d’un
soleil
cerise, au milieu de ramures ressemblant aux arbo
et la masse rectiligne du Mont-Valérien, derrière lequel se couche le
soleil
dans un admirable effet. Le ciel pâlement bleu et
es, — bourse mystérieuse, entre ces hommes tout rubiconds de coups de
soleil
, et qui ne dure qu’un instant. Le marché est conc
ionale, jusqu’à la barrière aux colonnes bleuissantes dans un coup de
soleil
d’hiver, deux foules s’étageant et formant, çà et
par le chagrin, le déplacement, la nostalgie du chez soi, du coin de
soleil
que possédaient les gens des environs de Paris. D
curiosité dépitée se rabat sur le Bourget, éclairé d’un pâle rayon de
soleil
, sur des feux prussiens, sur un casque allemand,
ssé souvent dans l’accent de la muse. La couleur miroite. Un rayon de
soleil
, tombant dans une larme, empêche parfois de voir
tion et bénédiction au sein de l’amertume, que l’hymne que voici : AU
SOLEIL
. italie. Ami de la pâle indigence, Sourire étern
dût-il beaucoup souffrir, fasse souvent ainsi ! quand l’Italie et son
soleil
n’auraient valu à la chère famille errante que ce
is d’une façon assez ridicule, l’été passe, en allant voir coucher le
soleil
. Il regrettera seulement que le livre ne soit pas
es d’orangers le long d’une rivière ; larges places ouvertes au grand
soleil
pour les fêtes ; rues étroites, tortueuses, quelq
la mosaïque de son pavé et la mosaïque de ses murailles ; épanouie au
soleil
comme une large fleur pleine de parfums ? Certes,
solitaire, fixant, dans une immobilité parfaite, le disque radieux du
soleil
; le corps déjà à moitié plongé dans un monticule
orsqu’il l’entrouvre au lever de l’aurore pour recevoir les rayons du
soleil
. L’autre femme. Ma chère Louora ! Ce n’est pas l
père le dieu des tempêtes. Dans son enfance il voulut courir après le
soleil
, comme un enfant court après une boule pour la sa
et fortunée cabane sur le bord du torrent qui brille là aux rayons du
soleil
à travers les branches ? Là nous ne sentions plus
Le vieillard. Mais éloignons-nous ? Je vais vous servir de guide… Le
soleil
, en ce moment, échauffe le ciel de ses rayons les
sser la clarté du jour, une plaine ouverte se développe aux rayons du
soleil
… À peine puis-je croire que ce lien est le même ;
mide, et l’élève au-dessus de sa tête pour la garantir des ardeurs du
soleil
! » (Ils s’éloignent.) Sita, restée seule, gémit
tincelle de vie ; car l’enfer le plus profond, où ne brille jamais le
soleil
, attend le misérable qui porte sur lui une main h
on triste partage ! Ô Terre, déesse toute-puissante, et toi, brillant
Soleil
, dieu de ma race, sages et saints, qui deviez la
ouffre pas impunément l’outrage et l’insolence. Il sait que, quand le
soleil
lance ses rayons de feu, la pierre solaire les re
ge du sanctuaire d’antan, cette alliance des pierres vénérables et du
soleil
toujours vivant, ont captivé tout son être épanou
équivoque : il la vit et l’interpréta. « Le monument, grand témoin du
soleil
, a écrit M. Georges Clemenceau dans un examen mer
ale est vue sous l’angle de la Divinité, d’autre part sous l’angle du
soleil
, car pour l’un, le soleil mystique c’est Dieu, po
e la Divinité, d’autre part sous l’angle du soleil, car pour l’un, le
soleil
mystique c’est Dieu, pour l’autre, le dieu réel c
n, le soleil mystique c’est Dieu, pour l’autre, le dieu réel c’est le
soleil
, dispensateur de la vie. La lumière unique vient
trop éclatantes. De préférence, M. E. Peyrefort peint des couchers du
soleil
, et surtout des couchers de soleil sur la nier. I
E. Peyrefort peint des couchers du soleil, et surtout des couchers de
soleil
sur la nier. Il a senti profondément l’austère po
ma pensée ; je n’étais bien à aucune place ; ce ciel serein, ce beau
soleil
, cette mer éblouissante, ces collines élyséennes,
ternelles de l’homme sur ces pages de la nature. C’était le soir ; le
soleil
, roulant autour de son disque rouge quelques brum
jourd’hui de tous les détails les plus fugitifs de ce beau coucher de
soleil
, au mois de mars, dans la campagne de Rome ; je m
s œuvres ; les firmaments déroulés sous les firmaments ; les étoiles,
soleils
avancés d’autres cieux, dont on n’aperçoit que le
s où se reflétaient de l’un à l’autre les splendeurs empruntées à des
soleils
; leurs évolutions dans des orbites tracées par l
-jours, puis les splendeurs, puis les éblouissements des vérités, ces
soleils
de l’esprit ; ces âmes montant et descendant d’éc
l’âme humaine d’abord, puis de celle de l’insecte, puis de celle des
soleils
, puis de celle de ces myriades d’esprits invisibl
que les atomes flottants qui nous apparaissent dans un rayonnement de
soleil
; je crus tout comprendre ; et, en effet, je comp
cœur que dans l’esprit. Ses dogmes ruisselaient d’onction, comme les
soleils
d’Orient ruissellent le matin et le soir de rosée
e la maladie de place en place pour retremper sa vie dans un rayon de
soleil
, Ozanam écrivait de Pise cette page en marbre, ce
véritablement virgilien de sa mort, il ôta son chapeau pour saluer le
soleil
et le firmament. Sa femme, son enfant, ses frères
sourit dans la barbe du masque Et son pas plus hâtif fait reluire au
soleil
Les deux antennes d’or qui tremblent sur son casq
cet admirable Récif de corail que je ne puis me tenir de citer : Le
soleil
, sous la mer, mystérieuse aurore, Éclaire la forê
nstantinople, Il porte en bon croisé, qu’il soit George ou Michel, Le
soleil
, besant d’or, sur la mer de sinople. Le deuxième
ses drapeaux sur l’occident vermeil, Salua d’un grand cri la chute du
Soleil
. A ce groupe de poèmes se rattachent encore les
mbres ; mais ils retombent sans cesse dans la même distribution, leur
soleil
est immobile. Si vous avez jamais observé les pet
lerie, vous aurez une juste idée du papillotage. La couleur ? Mais le
soleil
de l’art n’étant pas le même que le soleil de la
tage. La couleur ? Mais le soleil de l’art n’étant pas le même que le
soleil
de la nature ; la lumière du peintre, celle du ci
mièvres avec indolence et semblait un jeune prince annamite, privé de
soleil
, s’étiolant sous la rigueur de nos climats. Atten
lpaga des grands jours. Son plastron étincelait comme une cuirasse au
soleil
et ses cheveux, plus calamistrés qu’à l’ordinaire
abri et de refuge. Il faut laisser nos instincts rire et s’ébattre au
soleil
comme une troupe d’enfants rieurs. J’aime la vie.
commencement de juin. Une allégresse flottait dans l’air. Un coup de
soleil
allumait les boulevards pavoisés de verdures neuv
ses vertus, garde un reste de prestige comme le ciel, à l’heure où le
soleil
le quitte, en commémore un dernier reflet. Le dan
les jours de Salamine ou de Délos. Il n’y a rien de plus glorieux au
soleil
et de plus lumineux que cette peinture. Avec Bart
nt l’horizon se chargeait au loin de vapeurs ardentes et sombres ; le
soleil
commençait à pâlir ; la surface des eaux, unie et
i voyageur, arrivé dans les mêmes lieux, il nous dit : Au coucher du
soleil
, nous entrâmes au port de Sunium : c’est une criq
ilieu des nuages et de la foudre, tantôt éclairés par la lune, par le
soleil
couchant, par l’aurore, devaient rendre les côtes
Je découvrais au loin la mer de l’Archipel avec toutes ses îles ; le
soleil
couchant rougissait les côtes de Zéa et les quato
a mesuré l’abîme, Ni les hérons plongeurs, ni les vieux matelots : Le
soleil
vient briser ses rayons sur leur cime, Comme un g
mon âme, et que, pour cela, je veux placer ici : STANCES. « Par ce
soleil
d’automne, au bord de ce beau fleuve, Dont l’eau
s des yeux ! Puis je m’en revenais, solitaire et superbe, Recevant le
soleil
et l’air par tous mes sens, Cueillant le frais bo
à goûter une indicible joie, rien qu’à voir rayonner ce beau et doux
soleil
sur un arbre que j’ai planté, et à trouver le str
âme ! Que le silence de ces bois dépouillés, mais tranquilles sous le
soleil
d’automne, est pénétrant et instructif ! Que de t
t elle est caressée L’âme s’épanouit, Comme ces tendres fleurs que le
soleil
dévore, Que le soir attiédit, et qui n’osent éclo
des bulletins, dans les places d’armes de l’ennemi vaincu, souvent au
soleil
d’Espagne, dans l’école militaire de sa jeune nob
cipales : les souvenirs d’enfance et de premier séjour, la passion du
soleil
, du bruit et de la renommée, bientôt l’amour pate
arc ton front terrible. » Après ces grandeurs de la nature, après le
soleil
de Cuba, les forêts de la Virginie, ce qui possèd
un autre climat. » Cet impérieux souvenir de la patrie, cet amour du
soleil
rappelait Heredia. Il revint à Mexico, fut d’abor
alousie quelque souffle de son climat natal ; elle retrouvait avec le
soleil
l’enthousiasme et la poésie. À travers mille homm
blent, déjà un monde n’est plus tributaire d’un autre monde ; mais le
soleil
des Incas et des Aztèques illumine la colonne imm
esque tout le ciel ; il n’y a plus qu’à l’occident, à l’endroit où le
soleil
vient de sombrer dans la mer, une seule porte écl
tre, les entretiens des pâtres autour des feux allumés, ces rayons de
soleil
couchant sur les fléaux, les socs de charrue et l
ints, et que par tous les points le rocher ruisselle ; qu’à défaut de
soleils
sur sa route et de masses rayonnantes, il sème to
ur de bateaux. Elle est toute blonde, et restée toute blanche sous le
soleil
noircisseur de la Brie. Elle a treize ans et demi
métallique, mystérieusement intimidant, ne nous semble plus au grand
soleil
qu’un bourgeois, qui aurait des remords ou une ma
avait nié la divinité solaire d’Apollon, et qui fut tué d’un coup de
soleil
. * * * — Trop suffit quelquefois à la femme. 2
a feuille, et la plus petite poussant la plus grande qui lui cache le
soleil
, dit : « Range-toi », et cela basso basso, jusqu’
te, la petite côte, hérissée d’échalas flambants, comme des piques au
soleil
, et au bas desquels, sous l’abri de quelques feui
cannelles de bois, au bout desquelles pend toujours une goutte, où le
soleil
met la pourpre d’un rubis ; près de ce raisin fou
flanelle qu’ils ne quittent même pas la nuit, la croyance en Dieu. Du
soleil
ou de la pluie, du poisson frais ou du gibier fai
hôpital des pauvres, je passai sous des voûtes de haillons séchant au
soleil
, que des blanchisseuses suspendent à des cordes t
s bras grêles au-dessus de leurs têtes pour atteindre le linge que le
soleil
avait séché ; de temps en temps une jeune fille d
tait vers un petit monastère inconnu, qui s’élevait dans une lueur du
soleil
au-dessus de la fumée et du brouillard du faubour
vé, la touffe de verdure, le son de la clochette, la lueur sereine du
soleil
sur ce groupe de murailles, attirèrent machinalem
’on s’élève sur le promontoire ; j’y regardais les derniers rayons du
soleil
, dorant comme des phares les pans de murailles ja
illir une feuille de l’oranger de Saint-Onufrio, la dernière lueur du
soleil
s’était éteinte sur les cimes les plus élevées de
de livres et de papier, attablé devant cette fenêtre où les rayons de
soleil
passent à travers les pampres entrelacés aux barr
erraient, du côté des montagnes de Castellamare, sa maison ouverte au
soleil
du midi et à la brise embaumée des golfes. Nous a
oît la terreur. Le flanc de la montagne tourné au couchant ne voit le
soleil
que plus tard ; cette pente ruisselle, à ces heur
travers les brumes roses, les scintillations et les éblouissements du
soleil
levant. Vapeurs des eaux, verdure des prairies, n
r du ciel qui contraste en haut avec les ténèbres d’en bas, rayons de
soleil
qui semblent jaillir de la gueule du fleuve avec
chaumières ; les enfants et les chèvres de ces chaumières jouaient au
soleil
au bord d’un fleuve encaissé et profond, qui coup
encontrent tout à coup le vide, semblent cristalliser ; la lumière du
soleil
levant qui les transperce, et qui s’y fond en mil
bles dispersés dans l’asile nocturne, La lampe qui fumait, oubliée au
soleil
, Étalaient ce désordre, emblème taciturne
de fleurs souffrantes de leur asphyxie recevaient à midi un rayon de
soleil
entre deux toits, et où les moineaux d’une écurie
d’automne ; Rien ne vient altérer sa splendeur monotone… Toujours ce
soleil
rouge à l’horizon désert, Comme un grand œil sang
l’horizon dont la ceinture lumineuse les accueille et les relie ; le
soleil
pose une splendeur sereine sur leurs vieux flancs
eté commencent. Point trop de plaines ni de montagnes ; point trop de
soleil
ni d’humidité. Nul excès et nulle énergie. Tout y
ampagne la traînée d’un ruisseau blanchâtre. On aime pourtant le joli
soleil
qui luit doucement entre les ormes, le thym qui p
re à la durcir ni à la passionner. Il n’a ni excès ni contrastes ; le
soleil
n’est pas terrible comme au midi, ni la neige dur
leurs ! Nice t’a donc prêté le bord de ses corniches Pour te faire au
soleil
le nid d’algue où tu niches ; C’est donc là que s
e un peu d’ombre ! Nous avons trop hâlé notre front et nos mains Aux
soleils
, au roulis des océans humains ; Échappés tous les
bion la vierge au front vermeil, Qui vient comme à Baïa fleurir à ton
soleil
, Achetant tes primeurs de la rosée écloses, Trouv
ans ses bains de Gaëte, Délicieux jardins bordés de mers d’azur Où le
soleil
reluit sur le cap blanc d’Anxur, Où les flots, s’
eants. Ceci est le paradoxe le plus faux qui ait jamais germé sous le
soleil
. Plus qu’aucun peuple nous tournons dans le cercl
avenir ; le passé a eu assez d’étoiles pour n’avoir pas besoin de nos
soleils
. Néron allumait dans ses fêtes des esclaves endui
l’image de Dieu, que la terre immobile voit tourner autour d’elle le
soleil
et la lime chargés de l’éclairer le jour et la nu
n n’y fit, ni bulles, ni cachots, ni bûchers : la vérité est comme le
soleil
, il faut qu’elle brille. Un jour, les sciences oc
science est là-bas, la religion est ici. L’une est bien loin, sous le
soleil
, sapant, minant, travaillant, découvrant, grandis
ui est, dans tout ce qui respire, dans tout ce qui s’épanouit sous le
soleil
, dans toute plante, dans tout métal, dans tout an
int de salut ! Francœur dit quelque part : « J’ai calculé le poids du
soleil
, et j’ai découvert que pour le mettre seulement e
nterait joyeusement son oriflamme sur la plus haute tour, afin que le
soleil
de Dieu pût se réjouir en la voyant de tous les c
soutenu assez de luttes, rendu assez de services, découvert assez de
soleils
pour mériter, exiger et obtenir son droit de cité
rime. Voici comme il décrit le Colosse de Rhodes : Que l’Isle où le
Soleil
chaque jour se récrée, Ne vante plus l’image à ce
e l’épaisseur d’une profonde nue, Et paroît, à nos yeux, telle que le
Soleil
, Sur les bords d’Orient, au point de son réveil :
ose bandelette, Cet étroit paradis, parfumé de verdeurs, Au devant du
soleil
, comme une cassolette, Enroule autour des pics la
n : celle-ci peut être une muse, non pas l’autre. Mais parlez-moi des
Soleils
de juin, des Soleils de novembre, nobles essors d
e une muse, non pas l’autre. Mais parlez-moi des Soleils de juin, des
Soleils
de novembre, nobles essors d’une âme qui sait se
une Vigne ! Ta tête virginale aux rêves printaniers. Ta place est au
soleil
; moi, la mienne est dans l’ombre. Fleuris dans t
de toi qui me montrerait la profondeur de mes maux, comme le rayon de
soleil
qui éclaire un abîme ! « Objet charmant, je t’ado
ble ; l’insomnie sans trêve, les cris sans écho ; puis les ardeurs du
soleil
et les sueurs froides de la nuit qui, tour à tour
ures divines. Tout un jour, je roulai à travers l’espace, et, avec le
soleil
qui se couchait, je tombai dans Lemnos, presque s
isme sortaient de leurs moules. C’étaient l’Égide de Zeus, le Char du
Soleil
, la Flèche qui, lancée par Apollon, revenait, apr
lots de la mer ! Et toi, Terre, mère de toutes choses ! Et toi aussi,
Soleil
, qui vois tout ! je vous atteste ! regardez-moi !
oppose fièrement aux Fatalités jalouses qui lui disputent sa place au
soleil
. V. — Arrivée d’Io. — Sa légende, sa métamorph
s champs gorgoniens de Cysthène, sur lesquels pèse un ciel noir, sans
soleil
ni lune ? Enigme et terreur. Le poète y place les
ns l’épaisseur du monde noir ; elle parcourra l’Éthiopie d’où sort le
Soleil
, et elle abordera l’Egypte en longeant le Nil jus
orme dans les crépuscules, il s’élance des longues bandes d’or que le
soleil
levant ou couchant trace à l’horizon. Longtemps o
cours de l’Océan, elles passèrent le rocher de Leucade, les portes du
Soleil
, le peuple des Songes ; et elles parvinrent à la
es glorieuses récidives de ce premier vol. Du feu qu’il avait ravi au
soleil
, il a dégagé l’étincelle qui fait courir la parol
divin Chorège, il a vu des milliards de mondes et des tourbillons de
soleils
; il a pesé les astres et cadastré l’Infini. Son
e qui est né comme la pariétaire des murs d’une cité et qui n’a vu le
soleil
qu’entre les toits parallèles de la ville où son
isque le premier bonheur de la vie est de naître à une bonne place au
soleil
et à une bonne place dans le cœur de ses contempo
s sueurs, comme des chaudières vivantes de force animale évaporées au
soleil
d’été sur les sillons. V Cet oncle, à qui s
s de labour répercutés d’une colline à l’autre, le matin avant que le
soleil
se lève ; les cris intermittents de l’enfant qui
les granges, où les batteurs dorment la tête sous leur bras en plein
soleil
sur les gerbes répandues dans l’aire, toute la fa
auphin. Ils s’élançaient à perte de vue vers le ciel, afin de voir le
soleil
et de respirer l’air par-dessus la cime du grand
leurs troncs à peine festonnés de feuilles basses, on voyait luire au
soleil
, en bas, l’eau dormante et argentée de l’étang. C
res descendues de la montagne et qui cause avec ses chiens couchés au
soleil
à ses pieds, Geneviève et Jacques s’y reconnaîtra
epas sur les rives du fleuve pendant que le linge sèche aux rayons du
soleil
. » — « Ne dirait-on pas, s’écria notre mère, qu
êmes. « Ulysse obéit. Il trouve Eumée, le gardeur de porcs, assis au
soleil
dans un endroit où furent bâtis les murs élevés d
les inconnus, si toutefois il respire et jouit encore de la clarté du
soleil
. Mais suivez-moi, venez dans ma cabane, ô pauvre
! Un ruisseau sinueux, qui va sans flots sur un sable uni et luit au
soleil
par intervalles, peut seul en donner l’image. Les
es étincelants comme le feu, ses cheveux bouclés et blonds luisant au
soleil
, ses yeux comme ceux d’un lion, sa voix comme une
eux des fidèles. Tout d’un coup un grand aigle d’or qui plane près du
soleil
et luit comme une escarboucle descend avec l’élan
ôté du sud était couvert par les noms gravés d’hommes fameux, mais le
soleil
les fondait sans cesse. Du côté du nord, les noms
froid de la nuit — fermées, s’inclinent bas sur leur tige. — Mais le
soleil
brillant les redresse, — et elles s’ouvrent par
irée, messagère du jour, salue dans ses chansons le matin gris, où le
soleil
dans les buissons sèche les gouttes d’argent susp
ges branches, chargées de fleurs nouvelles, se déployaient en face du
soleil
, quelques-unes rouges, d’autres avec une belle lu
il, avec des casques d’or, des hauberts polis qui brillaient comme le
soleil
, de nobles coursiers tout caparaçonnés d’écarlate
onnes, ternit leurs robes et emporta leurs parures ; quand reparut le
soleil
, elles allèrent demander secours à la reine de la
eu me sauve ! Thomas, avec votre permission, il priverait le monde du
soleil
. » À la fin, Thomas, furieux, lui promet un don,
e. Si fraîche et si fine, c’est une jolie cerise, faite pour mûrir au
soleil
, et qui, conservée dans un bocal ecclésiastique,
rencontre en voyage. Les cavaliers cheminent de bonne humeur sous le
soleil
, dans la large campagne ; ils causent. Le meunier
livre, le passage le plus poétique, la description de la couronne du
soleil
. 227. 1420, 1430. 228. C’est le titre que Frois
aise. Pour votre Josué qui combat les Amorrhéens, et qui commande au
soleil
, je ne saurais vous dissimuler qu’il est mauvais.
atailles. Pour trouver le geste et la tête d’un homme qui commande au
soleil
, il faut y rêver longtemps. Du pas dont vous alle
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