uit à trois fondamentaux qui sont, en allant du plus complexe au plus
simple
: les rapports de coexistence, succession, différ
é mentale, qui ne reproduisait d’abord que les modifications les plus
simples
, les plus élémentaires du monde externe, en vient
complexe dans ce qui l’est moins, descendant toujours vers ce qui est
simple
, primitif, irréductible, elle arrive finalement a
cette assertion paraîtra incroyable. Mais s’il est certain que de la
simple
action réflexe par laquelle l’enfant tette, jusqu
ce. La vie est riche ou pauvre selon qu’elle reflète l’univers ou les
simples
modifications mécaniques de quelque molécule vois
temps. L’être vivant saisit d’abord les séquences mécaniques les plus
simples
et les plus courtes ; puis il en vient, par des c
naît leur intégration, c’est-à-dire que les correspondances les plus
simples
se fondent l’une dans l’autre et s’unissent intim
ication qui, par degrés insensibles, est sortie des éléments les plus
simples
. « Évidemment donc, les classifications courantes
ent les phénomènes psychologiques les plus complexes sortent des plus
simples
en vertu d’un processus naturel. C’est l’objet de
a psychologie, au contraire, ne se produisent que sous la forme d’une
simple
série. Il suffit d’accorder la plus courte attent
irement tout autre, ces états doivent se produire sous la forme d’une
simple
série. Cette tendance des phénomènes psychiques à
guent de toutes les autres par leur tendance à prendre la forme d’une
simple
série, n’atteignent jamais cette forme d’une mani
n ne peut tirer de ligne de démarcation entre lui et l’action réflexe
simple
, de laquelle il sort par des complications succes
par des complications successives. » Tandis que dans l’action réflexe
simple
, une seule impression est suivie d’une seule cont
a fois à diriger et à exécuter. La transformation de l’action réflexe
simple
en action réflexe composée, c’est-à-dire en insti
ments. Ceux qui ne parviennent pas à se réaliser, restent à l’état de
simples
tendances, c’est-à-dire de mouvements simplement
cette seule différence que dans l’instinct la correspondance est très
simple
et très générale, tandis que dans la raison, la c
en complexité. Au plus bas degré, le désir ; puis quelques impulsions
simples
, correspondant à des impressions peu complexes ;
, correspondant à des impressions peu complexes ; puis les sentiments
simples
forment des groupes ; puis les groupes s’agrègent
s. D’ordinaire, quoique bien à tort, on en parle comme d’un sentiment
simple
, tandis qu’en fait c’est le plus composé et par c
entiments produits par la beauté personnelle, ceux qui constituent le
simple
attachement, le respect, l’amour de l’approbation
seule concession : c’est que de toutes les théories, elle est la plus
simple
, la plus naturelle, et surtout celle qui s’appuie
cessives, elle doit descendre pas à pas jusqu’aux phénomènes les plus
simples
et les plus généraux, pour atteindre finalement l
plus simples et les plus généraux, pour atteindre finalement le plus
simple
et le plus général. » Nous allons défaire pièce à
nement quantitatif composé se résout dans le raisonnement quantitatif
simple
: le premier ayant pour objet « des rapports quan
ment qui opère sur des inégalités : c’est le raisonnement quantitatif
simple
et imparfait. Ce qui donne au raisonnement quanti
Toute la différence consiste en ce que nous passons de l’égalité à la
simple
ressemblance. Les rapports comparés ne sont plus
t également vrai que toute classification suppose un raisonnement. Un
simple
exemple suffit. Il se produit sur ma rétine l’ima
nt qu’inférés. Et ce qui le prouve, c’est que cet objet peut être une
simple
imitation, un trompe-l’œil : en ce cas, le goût,
fférenciation. La méthode analytique allant constamment du composé au
simple
, il en résulte que nous devons partir des percept
résistantes ? — C’est par un procédé compliqué, quoiqu’il soit devenu
simple
par la répétition et l’habitude. Nous ne connaiss
ositions successives de nos connaissances en éléments de plus en plus
simples
, nous devons arriver finalement au plus simple, à
ments de plus en plus simples, nous devons arriver finalement au plus
simple
, à l’élément matériel ultime ou substratum. Qu’es
ci donc arrivés au dernier terme de notre analyse. Le rapport le plus
simple
que l’intelligence puisse percevoir, c’est un rap
ifférences. En résumé donc, le premier acte de la conscience, le plus
simple
de tous, est la perception d’une différence ; le
lation entre deux états, qui constitue la forme de conscience la plus
simple
qu’on puisse concevoir ; on le voit aussi dans ce
raison. « Par elle, nous avons pu passer d’un petit nombre de notions
simples
, vagues, comme en possèdent les sauvages, à ces v
coordination d’états de conscience déjà coordonnés d’une manière plus
simple
; et la recoordination ne peut pas plus donner au
ses éléments, allant du très composé au moins composé, du composé au
simple
, du simple au très simple et à l’irréductible, no
ts, allant du très composé au moins composé, du composé au simple, du
simple
au très simple et à l’irréductible, nous parcouro
rès composé au moins composé, du composé au simple, du simple au très
simple
et à l’irréductible, nous parcourons cette progre
cendante : raisonnement quantitatif composé, raisonnement quantitatif
simple
, raisonnement quantitatif simple et imparfait, ra
if composé, raisonnement quantitatif simple, raisonnement quantitatif
simple
et imparfait, raisonnement qualitatif parfait, ra
une classification organique de rapports ; les deux rapports les plus
simples
sont celui de ressemblance et de dissemblance, et
de dissemblance, et celui de succession ; de sorte que l’acte le plus
simple
de la conscience, c’est d’abord la perception d’u
es constitutives dont est formée toute société sont des sociétés plus
simples
qu’elle. Un peuple est produit par la réunion de
uples qui l’ont précédé. Si donc nous connaissions la société la plus
simple
qui ait jamais existé, nous n’aurions, pour faire
s vu, dit-il, que l’évolution sociale commence par de petits agrégats
simples
; qu’elle progresse par l’union de quelques-uns d
t commencer par définir avec précision ce que l’on entend par société
simple
. Or, cette définition, non seulement M. Spencer n
l’organisation sociale est assez rudimentaire pour être qualifiée de
simple
; c’est affaire d’appréciation. Aussi la formule
ns rien de mieux à faire, dit-il, que de considérer comme une société
simple
celle qui forme un tout non assujetti à un autre
défini que s’il signifie une absence complète de parties. Par société
simple
, il faut donc entendre toute société qui n’en ren
faut donc entendre toute société qui n’en renferme pas d’autres, plus
simples
qu’elle ; qui non seulement est actuellement rédu
atomiquement. On conçoit qu’il ne puisse pas y avoir de société plus
simple
; c’est le protoplasme du règne social et, par co
rdes, nous autorise à supposer qu’il y a eu d’abord des sociétés plus
simples
qui se réduisaient à la horde proprement dite, et
biner entre elles. On rencontrera d’abord des agrégats formés par une
simple
répétition de hordes ou de clans (pour leur donne
s exemples de ces sociétés que l’on pourrait appeler polysegmentaires
simples
dans certaines tribus iroquoises et australiennes
ion qu’elles présentent, en prenant pour base la société parfaitement
simple
ou à segment unique ; à l’intérieur de ces classe
type spécifique, au-delà des caractères les plus généraux et les plus
simples
, ne présente pas de contours aussi définis qu’en
pouvons pas toujours dire avec précision ce qui constitue une société
simple
. » (Ibid., 135, 136.) 53. Ibid., 136. 54. Div
chants, qui pour ainsi dire ne se chantent point, c’est-à-dire, à la
simple
déclamation, qu’aux chants musicaux, ajoûte, (…).
ions qu’il y faut faire, au sentiment de Monsieur Meibomius. Comme la
simple
déclamation consiste aussi-bien que le chant prop
ui sont liez avec art entr’eux, il doit y avoir de la mélodie dans la
simple
déclamation aussi-bien que dans le chant propreme
hants musicaux, et que plusieurs d’entr’elles ne devoient être qu’une
simple
déclamation. On voit qu’il n’y avoit que la melop
nvenir que quelques-unes de ces especes ne composassent seulement une
simple
declamation. Il n’y a point d’apparence que le ch
pieces tragiques des anciens, n’étoit pas un chant musical, mais une
simple
déclamation. Ainsi il n’y avoit peut-être pas dan
ser de cette expression, l’existence de la melodie qui n’étoit qu’une
simple
déclamation, je prie le lecteur de trouver bon qu
qui étoit un chant proprement dit, et en mélodie, qui n’étoit qu’une
simple
déclamation. Martianus Capella dit : " le son de
rter nous enseigne comment se composoit la mélopée qui n’étoit qu’une
simple
déclamation, mais il nous apprend encore comment
hant qui s’appelloit carmen et qui n’étoit, comme on le verra, qu’une
simple
déclamation ; la seconde étoit d’écrire toute sor
éce s’explique, les anciens avoient trouvé l’art d’écrire en notes la
simple
déclamation avant que de trouver l’art d’écrire e
ni au joueur d’instrumens qui devoit accompagner, une partie des plus
simples
et très-facile à executer. Quant à la melodie qui
de la melodie dithirambique, quoique beaucoup plus approchante de la
simple
déclamation, que la musique d’à present, et je m’
is que la saltation n’étoit point une danse à notre maniere, mais une
simple
gesticulation, que les commentateurs ont si mal e
ccomplit, dans la forme, le mouvement et le groupement des états plus
simples
qui la composent, tout ce qui est nécessaire pour
tion sensorielle, c’est-à-dire de l’attention prêtée à une perception
simple
. Or, comme la perception simple accompagnée d’att
e l’attention prêtée à une perception simple. Or, comme la perception
simple
accompagnée d’attention est une perception qui au
lexe et élevé, on doit en retrouver quelque chose dans des états plus
simples
. Il n’est donc pas impossible que nous en découvr
s à l’état brut, ou cherchant au contraire à leur substituer une idée
simple
qui en exprime le sens et qui permette, le cas éc
ns un morceau de prose ces idées saillantes, ces courtes phrases, ces
simples
mots qui entraînent avec eux des pages entières 6
iplicité des images semble se condenser en une représentation unique,
simple
et indivisée. C’est cette représentation que l’on
élevés, de plus en plus voisins de la sensation, où la représentation
simple
est éparpillée en images, où les images se dévelo
’images diverses tiennent-elles implicitement dans une représentation
simple
? Nous aurons à revenir sur ce point. Bornons-nou
ce point. Bornons-nous pour le moment à mettre sur la représentation
simple
, développable en images multiples, un nom qui la
tres. Analysez votre effort quand vous évoquez avec peine un souvenir
simple
. Vous partez d’une représentation où vous sentez
sentation schématique, que le schème pourra, si l’image à évoquer est
simple
, être beaucoup moins simple qu’elle. Je n’irai pa
e schème pourra, si l’image à évoquer est simple, être beaucoup moins
simple
qu’elle. Je n’irai pas bien loin pour en trouver
rt de mémoire paraît avoir pour essence de développer un schéma sinon
simple
, du moins concentré, en une image aux éléments di
ments soutiendront une conversation à peu près cohérente sur un sujet
simple
, quoiqu’ils ne sachent plus ce qu’ils disent 75.
s repérons sur eux sans cesse, et si nous nous servons d’eux comme de
simples
jalons pour dessiner dans toutes ses sinuosités l
on par l’attention si la perception brute était autre chose ici qu’un
simple
moyen de suggestion, un appel, lancé surtout à la
qui compose une ode, tous ont d’abord dans l’esprit quelque chose de
simple
et d’abstrait, je veux dire d’incorporel. C’est,
e la conscience nette d’un effort intellectuel. À cette question le
simple
bon sens répond qu’il y a effort, en plus du trav
même temps celle qui se rapproche le plus de la constatation pure et
simple
des faits, celle qui ressemble le moins à une thé
héma peut s’assimiler. Ainsi, dans l’effort intellectuel relativement
simple
qu’est l’attention donnée à une perception, il se
tandis qu’elle se distinguera des autres perceptions par l’étiquette
simple
que le schéma aura commencé, en quelque sorte, pa
représentation est une, il ne suit pas que ce soit une représentation
simple
. Elle peut, au contraire, être complexe, et nous
’imagine que l’effort intellectuel peut porter sur une représentation
simple
et la conserver simple, par où distinguera-t-on u
ntellectuel peut porter sur une représentation simple et la conserver
simple
, par où distinguera-t-on une représentation, quan
ison de leur ressemblance, va-t-on au-delà de la constatation pure et
simple
du fait ? Tout ce que nous demandons est qu’on ne
ns pu, sur l’exemple le plus abstrait et par conséquent aussi le plus
simple
, cette matérialisation croissante de l’immatériel
compris l’importance de ce double fait qu’on a vu dans le comique une
simple
curiosité où l’esprit s’amuse, et dans le rire lu
cause. Nous rions déjà de la distraction qu’on nous présente comme un
simple
fait. Plus risible sera la distraction que nous a
x personnes, il n’en conserve pas moins son existence indépendante et
simple
; il reste le personnage central, invisible et pr
qui nous fait rire. Et c’est encore un automatisme très voisin de la
simple
distraction. Il suffira, pour s’en convaincre, de
ement, — à peine une menace, tout au plus un geste. C’est donc par un
simple
geste qu’elle y répondra. Le rire doit être quelq
n est le châtiment. Gardons-nous pourtant de demander à cette formule
simple
une explication immédiate de tous les effets comi
e rapport général de l’art à la vie. III Commençons par le plus
simple
. Qu’est-ce qu’une physionomie comique ? D’où vien
si posée, la question n’a guère pu être résolue qu’arbitrairement. Si
simple
qu’elle paraisse, elle est déjà trop subtile pour
autant plus comique qu’il nous suggère mieux l’idée de quelque action
simple
, mécanique, où la personnalité serait absorbée à
s’était laissé fasciner, hypnotiser, par la matérialité d’une action
simple
. On comprendra alors le comique de la caricature.
comique, il faut qu’elle n’apparaisse pas comme le but, mais comme un
simple
moyen dont le dessinateur se sert pour rendre man
sont risibles dans l’exacte mesure où ce corps nous fait penser à une
simple
mécanique. Nous ne suivrons pas cette loi dans le
rait se définir par le genre particulier de vie qu’il communique à un
simple
pantin. Mais nous laisserons de côté les applicat
imite. On a cherché des explications bien compliquées à ce fait très
simple
. Pour peu qu’on y réfléchisse, on verra que nos é
plus franchement machinal quand on peut le rattacher à une opération
simple
, comme s’il était mécanique par destination. Sugg
mérique de vouloir tirer tous les effets comiques d’une seule formule
simple
. La formule existe bien, en un certain sens ; mai
e cas où nous n’avons aucune envie de rire. La vérité n’est pas aussi
simple
. Mais nous voici arrivés à l’idée de déguisement.
t si elle n’a pas été résolue un jour devant moi, dans la rue, par un
simple
cocher, qui traitait de « mal lavé » le client nè
core pour la raison qui raisonne, mais vérités très certaines pour la
simple
imagination. Il y a donc une logique de l’imagina
ve comique s’exerce sur les actes sociaux à forme arrêtée, depuis une
simple
distribution de récompenses jusqu’à une séance de
fait sera, par exemple, celui du fonctionnaire fonctionnant comme une
simple
machine, ou encore l’inconscience d’un règlement
ts avaient l’expérience contre eux, mit fin à la discussion par cette
simple
parole : « L’expérience a tort. » C’est que l’idé
e Sancho Pança renversé sur une couverture et lancé en l’air comme un
simple
ballon. On rit du baron de Münchhausen devenu bou
ue. On sait qu’il est possible d’évoquer chez un sujet hypnotisé, par
simple
suggestion, des visions hallucinatoires. On lui d
on obtient en s’exprimant sur des personnes comme on le ferait sur de
simples
choses. Cueillons-en un ou deux exemples dans le
eu lieu. » Ce qui ont eu lieu, sans précisément convertir les rois en
simples
choses, les assimile à des événements impersonnel
es tentés de prendre la connaissance de nos états passés pour un acte
simple
et spirituel. VI. Mécanisme de la mémoire. — Exem
s tentés de prendre la connaissance de notre état actuel pour un acte
simple
et spirituel. — La représentation, conception ou
santé, nous le reconnaissons pour ce qu’il est, c’est-à-dire pour un
simple
fantôme, un pur simulacre, une représentation, un
paraître tantôt comme objet interne et imaginaire, c’est-à-dire comme
simple
représentation et pur fantôme, tantôt comme événe
sensation de la figure humaine qui apparaît au même endroit ; par son
simple
accolement, elle la nie. C’est pourquoi le malade
mparaison grossière. Concevons un cordon de sonnette ; c’est le nerf,
simple
conducteur ; il aboutit à une grosse cloche, le c
eur exagération, cessent de provoquer des sensations, redeviennent de
simples
images ; en d’autres termes, il faut que les peti
et accolement, l’image apparaît telle qu’elle est, c’est-à-dire comme
simple
image. — Mais si, par un dérangement quelconque,
de son papier tacheté de petits reliefs gris. Mais cette image reste
simple
image ; elle ne s’exagère pas jusqu’à ébranler le
toujours une chose extérieure ; le second, une chose intérieure, une
simple
représentation mentale ; en effet, dans le premie
ssent à un effet nouveau, effet merveilleux, dont le mécanisme est si
simple
qu’on néglige de le remarquer, d’une portée infin
struire. De même que, dans la perception extérieure, nous avons vu de
simples
fantômes internes être pris pour des objets exter
véritables objets externes ; de même, dans la mémoire, nous voyons de
simples
images actuelles être prises pour des sensations
ine alors cette connaissance, il est tenté de la prendre pour un acte
simple
et nu, dépourvu de tout caractère, sauf son rappo
mme dans la perception extérieure, l’esprit fait un acte sui generis,
simple
, irréductible à tout autre, mystérieux, merveille
remier contigu au passé, le second contigu à l’avenir. Il en est d’un
simple
son, d’une couleur aperçue en un clignement d’œil
lles entrent en conflit ; ni l’une ni l’autre ne sont instantanées et
simples
; ce sont deux totaux composés d’éléments success
e paraître sensation passée ou future. À ce moment, nous la déclarons
simple
image, et la rectification est complète. — De ce
de moi ma démarche, mais encore je sais que toutes ces images sont de
simples
images actuelles. Cette fois, l’hallucination est
constancie et se colore ; ce qui, à l’état de veille, eût été déclaré
simple
idée devient hallucination hypnagogique, puis rêv
aissance. Cet acte est vide ; d’où il arrive que nous l’estimons pur,
simple
, spirituel : l’erreur est justement celle où nous
raison explicative d’une loi est un caractère général intermédiaire,
simple
ou multiple, inclus directement ou indirectement
es constructions. — Les composés plus complexes ont des facteurs plus
simples
. — Les propriétés de ces facteurs plus simples so
ont des facteurs plus simples. — Les propriétés de ces facteurs plus
simples
sont les intermédiaires par lesquels les composés
facteurs ou éléments primitifs qui sont les plus généraux et les plus
simples
de tous. — L’analyse doit donc porter sur les élé
s qu’ils appartiennent à des facteurs primitifs plus généraux et plus
simples
. — L’explication s’arrête quand nous arrivons à d
la chimie. — Par-delà les facteurs connus, les facteurs inconnus plus
simples
peuvent avoir des propriétés différentes ou les m
sés mentaux et les composés réels, c’est que les premiers sont plus —
simples
. — Emploi des composés mentaux pour l’intelligenc
etrouver toujours pareil sous ses différentes formes. — Tantôt il est
simple
; telle est la force de gravitation qui explique
u bien ils sont dissemblables, comme les organes de l’animal. — Mais,
simple
ou multiple, composé d’intermédiaires successifs
nt, suivons sa marche : il commence par construire des composés, très
simples
la ligne droite toute seule, la ligne droite qui
récédents. Le composé plus complexe a pour facteurs des composés plus
simples
, et les propriétés de ses facteurs, introduites e
é quelconque lui est rattachée grâce aux propriétés des composés plus
simples
qui sont ses facteurs. — De cette façon, chaque c
le tournant à la droite tournante, de la droite tournante à la droite
simple
, c’est-à-dire du composé à ses facteurs, de ceux-
st la vertu des facteurs ou éléments primitifs, lorsqu’ils sont aussi
simples
, aussi abstraits, aussi généraux que possible : d
n de leurs éléments. Ainsi, pour ne prendre que les exemples les plus
simples
, si, les deux axes étant donnés, la ligne en ques
le parallélogramme ou la sphère, il y a des facteurs ou composés plus
simples
qui, introduits en lui, ont apporté avec eux leur
liées par l’entremise des propriétés de ses facteurs ou composés plus
simples
, qu’il en est de même pour chacun de ceux-ci, et
a loi, on les verra reculer, de composé plus complexe en composé plus
simple
, pour se laisser saisir à la fin dans quelques fa
s simple, pour se laisser saisir à la fin dans quelques facteurs très
simples
ou éléments primitifs dont ils sont les propriété
t ensuite, et qui énoncent les propriétés de facteurs de plus en plus
simples
. Selon que l’on considère telle ou telle branche,
u physique et social, puis de ces éléments passer à des éléments plus
simples
encore, démêler les aptitudes et les tendances qu
ur remonter ensuite d’étage en étage jusqu’aux connaissances les plus
simples
, et de là, encore par degrés, jusqu’aux plus comp
nce, nos sens et nos instruments ne peuvent démêler les éléments plus
simples
, l’explication s’arrête et se réduit à des conjec
molécules ou petites masses toutes semblables ; que, si le corps est
simple
comme l’oxygène, chaque molécule est simple et co
es ; que, si le corps est simple comme l’oxygène, chaque molécule est
simple
et consiste tout entière en oxygène ; que, si le
fin. En ce cas, les couches successives des facteurs de plus en plus
simples
seraient différentes comme les chiffres successif
ents. En ce cas, les couches successives des facteurs de plus en plus
simples
seraient semblables au-delà d’une certaine limite
rieure, des mandibules, et deux paires de mâchoires probablement fort
simples
». Si le type se retrouve le même à travers tant
pour les lois dans lesquelles la première donnée est un composé plus
simple
; il y a une raison pour les actions totales d’un
ns que, si deux masses s’attirent, c’est en vertu d’un caractère plus
simple
et plus général, inclus dans le groupe des caract
u tels caractères, c’est en vertu de caractères plus généraux et plus
simples
qui appartiennent à ses éléments, et qui sont les
e à nos prises ; mais encore il est un caractère plus général et plus
simple
que la première donnée du couple, il est inclus e
r la raison explicative. Aussi longtemps que nous les atteindrons par
simple
conjecture, nous l’atteindrons par simple conject
ue nous les atteindrons par simple conjecture, nous l’atteindrons par
simple
conjecture, et nous serons d’autant plus loin ou
s composés artificiels des composés naturels ; les premiers sont plus
simples
et les seconds plus compliqués ; la ligne droite
s et les seconds plus compliqués ; la ligne droite d’Euclide est plus
simple
que la ligne imperceptiblement infléchie que décr
léments supplémentaires et perturbateurs, ce qui rend le premier plus
simple
et le second plus compliqué. Nous tenons compte t
planète. Ainsi, du tracé et de l’ellipse provisoires, qui, étant trop
simples
, n’étaient qu’approximatifs, l’esprit passe peu à
éral, d’une plante ou d’un animal, telle réaction d’un corps chimique
simple
ou composé, telle pensée d’un individu pensant. N
uite, jusqu’à ce qu’enfin, d’éléments en éléments, on arrive aux plus
simples
qui sont les éléments premiers. En ce cas, le com
n composé, que par ce nom de composé nous désignons des éléments plus
simples
assemblés dans un certain ordre, nous concluons a
rceptions extérieures, des souvenirs, des prévisions, des conceptions
simples
, des actes de conscience proprement dits. Enfin l
d’où prévoyance ; prévoyance, d’où action : telle est la formule très
simple
qui exprime, d’une manière exacte, la relation gé
es plus importantes dérivent constamment de théories formées dans une
simple
intention scientifique, et qui souvent ont été cu
x mille ans auparavant, par des hommes de génie qui avaient en vue de
simples
spéculations géométriques. » Il est donc évident
les spéculations humaines, doit être soigneusement réduite à la plus
simple
expression possible. Je n’ai pas besoin d’insiste
udre, je crois utile d’introduire une considération mathématique fort
simple
, qui résumera rigoureusement l’ensemble des raiso
étude. Il est clair, en effet, a priori, que les phénomènes les plus
simples
, ceux qui se compliquent le moins des autres, son
. C’est donc par l’étude des phénomènes les plus généraux ou les plus
simples
qu’il faut commencer, en procédant ensuite succes
toutes les précédentes, les phénomènes les plus généraux ou les plus
simples
, se trouvant nécessairement les plus étrangers à
de la physiologie, que les phénomènes physiologiques sont toujours de
simples
phénomènes mécaniques, électriques et chimiques,
dente. Les phénomènes astronomiques étant les plus généraux, les plus
simples
, les plus abstraits de tous, c’est évidemment par
rs. Il s’ensuit que, lorsqu’on analyse le phénomène terrestre le plus
simple
, non seulement en prenant un phénomène chimique,
phénomène céleste le plus compliqué. C’est ainsi, par exemple, que le
simple
mouvement d’un corps pesant, même quand il ne s’a
nditions spéciales ne permettrait point de traiter la chimie comme un
simple
appendice de la physique. On serait donc obligé,
ordre ont été portés à le croire, de voir dans la physique sociale un
simple
appendice de la physiologie. Quoique les phénomèn
ariable, fondée, indépendamment de toute opinion hypothétique, sur la
simple
comparaison approfondie des phénomènes correspond
ale. La première considère les phénomènes les plus généraux, les plus
simples
, les plus abstraits et les plus éloignés de l’hum
est aisé de sentir, en effet, que plus des phénomènes sont généraux,
simples
et abstraits, moins ils dépendent des autres et p
la méthode positive. Or, la plus parfaite étant en même temps la plus
simple
, on n’aurait ainsi qu’une connaissance bien incom
réalablement appris à connaître, par l’examen des phénomènes les plus
simples
, ce que c’est qu’une loi, ce que c’est qu’observe
géométriques et mécaniques sont, de tous, les plus généraux, les plus
simples
, les plus abstraits, les plus irréductibles et le
La conséquence finale de cette leçon, exprimée sous la forme la plus
simple
, consiste donc dans l’explication et la justifica
ales. — Les sensations semblent irréductibles à d’autres données plus
simples
. — La psychologie semble, par rapport à elles, co
emble, par rapport à elles, comme la chimie est par rapport aux corps
simples
. III. La psychologie est, par rapport à elles, co
tait par rapport aux composés chimiques avant la découverte des corps
simples
. — Analyse des sensations de son. — Diverses sort
tous les appendices que le temps vient souder sur elle, la considérer
simple
et brute. — Enfin, il faut la distinguer, au moin
dans une autre espèce. — Mais chacune d’elles est une sorte de corps
simple
qui, capable en lui-même d’augmentation et de dim
bre très grand de données mutuellement irréductibles, comme les corps
simples
en chimie, comme les espèces animales en zoologie
i les sensations de son, de couleur et les autres qui nous paraissent
simples
ne sont pas, elles aussi, composées : de sensatio
nt simples ne sont pas, elles aussi, composées : de sensations plus ;
simples
. — La psychologie est aujourd’hui en face des sen
s. — La psychologie est aujourd’hui en face des sensations prétendues
simples
, comme la chimie à son début était devant les cor
simples, comme la chimie à son début était devant les corps prétendus
simples
. En effet, intérieure ou extérieure, l’observatio
t l’observation, ordinaire y démêle beaucoup de qualités qui semblent
simples
. Deux sons produits par le même instrument peuven
impression totale et des impressions d’une autre nature ; ils sont de
simples
étiquettes littéraires comme les noms que nous em
ir. » Il est encore très voisin d’un bourdonnement, c’est-à-dire d’un
simple
bruit. On y démêle les sensations élémentaires ;
e chantée par divers instruments de timbre différent n’est pas un son
simple
, mais un composé de sons, dont le principal, le m
réellement qu’une modification dissolvante, ne comporte jamais qu’une
simple
destination transitoire, afin de conduire graduel
igence, en un temps où l’esprit humain est encore au-dessous des plus
simples
problèmes scientifiques, il recherche avidement,
longtemps aussi indispensable qu’inévitable. En nous bornant ici à la
simple
appréciation intellectuelle, il serait d’abord su
le véritable esprit philosophique avait déjà prévalu envers les plus
simples
phénomènes et dans un sujet aussi facile que la t
reconnaître, pour les anciens, l’impossibilité de philosopher sur les
simples
sujets autrement que suivant le mode théologique,
plus compliqués, offre journellement, même dans les théories les plus
simples
et les moins arriérées, tant de traces appréciabl
voir ou une véritable émanation de la puissance surnaturelle, ou une
simple
domination abstraite du phénomène considéré. Ce n
aître que, par sa nature, il n’est spontanément susceptible que d’une
simple
activité critique ou dissolvante, même mentale, e
ficiles théories, a pareillement existé jadis à l’égard même des plus
simples
, tant qu’a duré leur âge métaphysique, en vertu d
ntale que toute proposition qui n’est pas strictement réductible à la
simple
énonciation d’un fait, ou particulier ou général,
rtout, à l’inaccessible détermination des causes proprement dites, la
simple
recherche des lois, c’est-à-dire des relations co
’y apprécier les conséquences spéculatives de sa suppression ou de sa
simple
altération. Il ne saurait exister aucune astronom
une exagération, que la véritable science, bien loin d’être formée de
simples
observations, tend toujours à dispenser, autant q
que ordre de phénomènes, il en existe, sans doute, quelques-uns assez
simples
et assez familiers pour que leur observation spon
ifférents degrés, cette admirable constitution logique, dont les plus
simples
études peuvent seules nous donner aujourd’hui une
succession, comme ne pouvant elles-mêmes constituer pour nous que de
simples
faits généraux, qu’il faut toujours tendre à rédu
mme et à la société, mais aussi envers celles qui concernent les plus
simples
phénomènes, les plus éloignés, en apparence, de c
éritable niveau de nos besoins pratiques. Dans les arts même les plus
simples
et les plus parfaits, un développement direct et
chez la plupart des intelligences, trop peu touchées d’ordinaire des
simples
dissidences de méthode, quoique celles-ci soient
t métaphysique proprement dit, qui, au fond, n’en pouvait être que le
simple
organe, et jamais le véritable agent. Il faut, en
n quelle évolution plus avancée a étendu nécessairement jusqu’au plus
simple
monothéisme son opposition radicale, auparavant b
sprit philosophique consiste surtout dans l’extension systématique du
simple
bon sens à toutes les spéculations vraiment acces
connexité fondamentale représente la science proprement dite comme un
simple
prolongement méthodique de la sagesse universelle
essentiel aux indications résultées, chez tous les bons esprits, d’un
simple
exercice spontané. Quant à la manière d’adapter c
idarité naturelle entre le génie propre de la vraie philosophie et le
simple
bon sens universel, montre l’origine spontanée de
ci-dessous. La positivité abstraite, nécessairement née dans les plus
simples
études mathématiques, et propagée ensuite par voi
passer, dans l’ordre philosophique, des docteurs proprement dits aux
simples
littérateurs, et ensuite, dans l’ordre politique,
ue, elle n’a plus aujourd’hui toute la force logique qu’exigerait son
simple
office révolutionnaire, parce que son inconséquen
prépondérance d’un système quelconque., si on ne la bornait pas à une
simple
destination passagère, pour satisfaire empiriquem
derniers siècles, le véritable état normal de toutes les classes plus
simples
de nos spéculations réelles. Forte de tels antécé
toujours notre ordre artificiel comme devant surtout consister en un
simple
prolongement judicieux, d’abord spontané, puis sy
r les éminents attributs qui distinguent le plus notre humanité de la
simple
animalité, c’est-à-dire, d’une part l’intelligenc
les diverses écoles actuelles, depuis les vrais catholiques jusqu’aux
simples
déistes, qui, au milieu de leurs vains débats, s’
que son génie trop partiel s’était borné jusqu’ici à des sujets plus
simples
. L’esprit métaphysique, qui a souvent tendu à dis
relatives aux plus grands rapports sociaux, mais concernant aussi la
simple
vie domestique, et même l’existence personnelle :
e de tous les autres quelconques, ils ne sauraient jamais devenir les
simples
auxiliaires des motifs purement humains ils ne pe
propre ; la société humaine ne peut alors offrir immédiatement qu’une
simple
agglomération d’individus, dont la réunion est pr
entrepreneurs ; car, leurs travaux propres offrent un caractère plus
simple
, un but plus nettement déterminé, des résultats p
e la grande crise moderne, le peuple n’est encore intervenu que comme
simple
auxiliaire dans les principales luttes politiques
utes considérations spéculatives, du mouvement politique actuel en un
simple
mouvement philosophique, dont le premier et le pr
ocurer, l’école positive ne demande essentiellement aujourd’hui qu’un
simple
droit d’asile régulier dans les localités municip
n collective, de commencer. par la seconde, dont les phénomènes, plus
simples
et plus indépendants, à raison de leur généralité
mènes quelconques, et manifestant, sans aucune autre complication, la
simple
existence mathématique, c’est-à-dire géométrique
’indique pas assez la vraie source de ce système spéculatif, comme un
simple
prolongement abstrait de la raison commune, dont
urement numériques qui étant, de toutes, les plus générales, les plus
simples
, les plus abstraites, et les plus indépendantes,
ires se confond, pour ainsi dire, avec la précédente quant à ses plus
simples
phénomènes, et avec la suivante quant aux plus ém
, soit envers, les phénomènes sociaux, soit même envers l’étude, plus
simple
, de la vie individuelle, d’une culture qui aborde
evait, en effet, se développer d’abord envers les phénomènes les plus
simples
et les plus généraux, dont la régularité et la gr
nous lions nos idées à l’aide de facultés qui sont innées en nous. La
simple
passivité est une explication insuffisante : l’ex
res sur une table rase ; mais l’âme, par elle-même, réunit les idées
simples
que cette action du dehors lui fournit. Que valen
sciences mathématiques ; mais on ne considère plus les unes comme un
simple
prolongement des autres : on accorde aux sciences
me nécessaire et inné. Mais ce principe n’est qu’un vœu, un désir, un
simple
postulat. D’ailleurs, fût-il certain, il ne garan
thématique. Pour une école de philosophes, les mathématiques sont une
simple
application, une promotion particulière de la log
réent un lien entre les parties d’une multiplicité, elles marchent du
simple
au composé ; elles engendrent elles-mêmes le comp
hématiques, il y a plus. Les définitions fondamentales ne sont pas de
simples
propositions. En une définition mathématique sont
sque, c’est donc que les mathématiques, non seulement ne sont pas une
simple
promotion de la logique, mais n’en diffèrent même
si nous tenons à celles-ci, c’est uniquement parce qu’elles sont plus
simples
, ou plus commodes pour comprendre les phénomènes
e. Telle fut, par exemple, la doctrine d’Ampère. Cette conception est
simple
et claire, mais artificielle. Car la forme et le
ne peut pas dire que les mathématiques soient une pure convention, un
simple
jeu de l’esprit. C’est un fait que les mathématiq
s’efforcer de transformer le rapport de la force au mouvement en une
simple
dépendance mutuelle, en un rapport de solidarité.
vu, dans la précédente leçon, que les lois mécaniques ne sont pas une
simple
promotion et complication des mathématiques ; en
écaniques n’existent pas objectivement, elles ne sont pas non plus de
simples
projections de l’esprit conscient. Elles attesten
e induction fondée sur les résultats de la science, elle n’est qu’une
simple
analogie ; mais elle constitue la seule manière d
a conservation et le changement, comme on sépare les ingrédients d’un
simple
mélange physique. Il est vrai qu’à côté des lois
mistes, s’en tenant à l’observation immédiate, se sont trompés sur le
simple
et le composé. Pour eux, le simple, c’est le donn
immédiate, se sont trompés sur le simple et le composé. Pour eux, le
simple
, c’est le donné, et le composé, c’est ce que l’on
e l’on forme avec ce donné. Ainsi un oxyde métallique est pour eux le
simple
; le métal que l’on en forme est le composé. Cett
e l’on en forme est le composé. Cette identification du donné avec le
simple
est une erreur identique à celle que l’on retrouv
e à celle que l’on retrouve dans la philosophie de Locke, pour qui le
simple
est la sensation donnée, et le composé, l’idée qu
nvironnant, et non d’une perte de phlogistique, il a fait du métal le
simple
, de l’oxyde le composé, changeant ainsi les bases
les bases de la science. En second lieu, d’après Lavoisier, les corps
simples
spéciaux, définis par leur poids, doivent suffire
e le phlogistique, étaient décidément éliminées. Ainsi les corps dits
simples
imposent une limite à la décomposition et suffise
atum de ce profond changement chimique que l’observation distingue du
simple
changement physique. Quelle est la valeur objecti
sa forme, son étendue ou son poids, la pensée se trouve en face d’une
simple
relation, partant d’une indétermination invincibl
la mécanique a dû substituer à l’intuition mathématique un rapport de
simple
causalité phénoménale, irréductible à cette intui
ès. Et, aujourd’hui, seules les cellules reproductrices, relativement
simples
, conservent une immortalité relative, laquelle se
interne, à savoir l’aspiration à s’élever, à dépasser la vie pure et
simple
, pour atteindre à la connaissance et au sentiment
fassent ici corps avec l’objet de la science. L’un des êtres les plus
simples
que l’on puisse considérer, l’amibe, substance ho
un processus inverse du processus d’introduction. Ce n’est pas là une
simple
combinaison chimique. Et l’amibe est un organisme
s est pas donné de voir les propriétés physico-chimiques devenir, par
simple
particularisation, propriétés vitales. Tel est l’
s vivants. Il n’y a pas précisément entre eux unité de composition et
simple
différence de degré : ils s’étagent les uns au-de
à son principe de la subordination des caractères va plus loin que la
simple
description. Lui aussi cherche des lois de solida
ement dites, reliant, d’une manière nécessaire, non plus les éléments
simples
des choses, mais les phases qu’elles présentent d
A quel signe peut-on reconnaître la finalité, et la distinguer de la
simple
causalité ? Quand des faits passés, rigoureusemen
mplètement cet arbre généalogique, expliquant ainsi le composé par le
simple
, à la manière des sciences physiques. Ce système
me que la science exacte consiste à partir d’éléments rationnellement
simples
et à composer, avec ces éléments, suivant une déd
distinguer ceux qui procèdent par analyse, et ceux qui procèdent par
simple
observation. Parmi les représentants du dynamisme
la sensation qu’il pose comme primitive et fondamentale n’est pas une
simple
donnée indivisible et inerte ; elle est une facul
u’on en ait, au fond de tout ce qu’on dit être donné. Le donné pur et
simple
est une chimère. Il n’y a de donné que ce que l’e
s analogues. Dans les perceptions externes, où Locke voyait des idées
simples
, Reid démêle, par introspection, trois éléments :
ient le lien ? Mill lui-même convient que cette unité ne peut être un
simple
produit des lois de la pensée, et fait appel au M
de la vie de l’âme et de la vie du corps. Les lois du corps sont plus
simples
, celles de l’âme plus compliquées. De plus, tandi
, suivant la méthode de Descartes, la psychologie expérimentale va du
simple
au composé : elle se propose tout d’abord de mesu
es psychiques, depuis l’acte le plus élémentaire, qui est la réaction
simple
, jusqu’aux actes plus complexes, tels que la perc
mais qu’illusoire. Prises pour ce qu’elles sont, c’est-à-dire pour de
simples
traductions métaphoriques des relations psycholog
en cause l’antécédent et d’expliquer l’apparition d’une idée par une
simple
association. Le système fournit des tables de pré
ns par association, que chacun de nous aime à fournir, ne sont pas de
simples
produits de l’imagination, inventant, selon ses g
sont de nature entièrement distincte, leur liaison est pour nous une
simple
concomitance ; et a priori nous n’avons aucune ra
et, les réactions que l’on attribue à l’être psychique ne sont pas de
simples
réflexes propres à réaliser la vie. Elles sont de
ociété en général. En outre, nature ne signifie pas causalité pure et
simple
, nécessité immanente aux choses, mais finalité, c
tte pour la vie comporte d’autres solutions, parmi lesquelles la plus
simple
est l’entre-mangement. C’est là vraiment la loi d
ssance mathématique atteint des principes qui ont un contenu et va du
simple
au composé, ce que ne fait pas la logique. Sous l
s de différentes espèces. L’acte réflexe de la biologie n’est pas une
simple
réaction mécanique, puisqu’il a pour propriété d’
es, qui sont plus voisines de l’observation et de l’induction pure et
simple
. Les premières expriment une nécessité rigoureuse
ment usage. Il est des jeunes gens qui écrivent d’un style naturel et
simple
, quand ils s’abandonnent, et ne songent pas à ce
en conclut qu’il exprime ses pensées de tous les jours. Les discours
simples
se trouvent être ainsi les plus forts, les plus e
s. On s’est plu longtemps à distinguer divers genres de style : style
simple
ou familier, style tempéré, style sublime. Distin
pas la même que celle d’un traité de géométrie ; que Racine peut être
simple
autrement que Molière ; qu’une page de Lamartine
e Molière ; qu’une page de Lamartine ou de Victor Hugo peut être plus
simple
qu’une page de Delille ou de Saint-Lambert, infin
si l’idée est fine, subtile, le style sera fin et subtil, en restant
simple
: Marivaux même, en dépit de sa réputation, parle
« Les passions sont bien moins répandues dans la population saine et
simple
des campagnes que chez les habitants très civilis
ment pour devenir force efficace, mais ici le sentiment n’est plus un
simple
résultat des lois de la sélection ; il est lié au
on des causes finales proprement dites, puisque ces résultats sont le
simple
effet d’un mécanisme opérant à travers le temps e
f » de dépense, qui consiste dans leur réduction en combinaisons plus
simples
. Dans l’état de repos, ces deux travaux moléculai
on du nerf par la nourriture à mesure qu’il s’use par l’exercice ; le
simple
repos suffît aussi à le réparer : il n’y a donc p
Léon Dumont exagère la mobilité de nos sentiments jusqu’à en faire de
simples
transitions entre un état et un autre, et il en c
eulement des rapports et des changements32. Selon cette doctrine, une
simple
notion, une simple conception se trouverait avoir
ts et des changements32. Selon cette doctrine, une simple notion, une
simple
conception se trouverait avoir plus de réalité ps
économie des stimulants du plaisir ou de la douleur, par cette raison
simple
que le cerveau n’est plus le siège de changements
de l’indifférence. Alors l’élément affectif s’efface, et il reste une
simple
perception mécanique de résistance, de contact no
hangement et la pensée d’une cause de ce changement, — le coup pur et
simple
de la surprise est lui-même un effet dérivé. On p
d’accommodation organique, s’assourdir et se rapprocher d’un état de
simple
malaise. Les effets de la répétition, de la fréqu
urtant il y a déjà là des effets difficiles à expliquer par la loi de
simple
intensité. Fixez votre regard sur une surface bla
est instantanément accru. Cet accroissement de plaisir est-il dû à un
simple
accroissement du « stimulus » ? — Non, semble-t-i
u peine. Il en est de même pour les fonctions de la pensée, fût-ce la
simple
attention et « aperception » : ce que nous pouvon
ir ? Ou c’est la perspective d’entrer dans un état futur, ou c’est la
simple
conscience de quitter l’état présent. Or, ce n’es
el, trop négligé par les psychologues et physiologistes) n’est pas le
simple
remplissement exact d’un vide, la satisfaction ad
revanche, les sens supérieurs connaissent moins la souffrance que la
simple
gêne : une dissonance, un coup de sifflet aigu, d
rience. Donc, ici encore, le plaisir est lié à un surplus et non à la
simple
suppression d’un manque. On se rappelle la fable
us à un surplus d’activité sans douleur préalable, qui n’ont pas pour
simple
objet la préservation de l’organisme dans la lutt
on s’enrichit relativement à sa pauvreté antérieure. Ce n’est pas la
simple
suppression de la peine qui constitue alors la jo
la peine qui constitue alors la jouissance sensuelle, car il y aurait
simple
neutralisation de l’état antérieur par l’état pos
e la doctrine de Leslie et de Delbœuf, qui placent le plaisir dans le
simple
sentiment d’un équilibre normal41. Même dans l’ac
ement nécessaire pour la satisfaction du besoin ; elle n’est plus une
simple
balance, mais un profit et, comme nous croyons l’
ns le sens spécial que je vais expliquer. De même que le fait le plus
simple
de la connaissance humaine s’appliquant à un obje
; comme si ce qui, relativement à nos procédés analytiques, est plus
simple
, avait dû précéder dans l’existence le tout dont
le tout dont il fait partie. La langue de l’enfant, en apparence plus
simple
, est en effet plus compréhensible et plus resserr
argumentons. Dans l’âge primi-tif, au contraire, l’affirmation était
simple
et sans retour. Certes, si l’analyse n’avait pas
de clarté et de détermination. L’analyse ne sait pas créer. Un homme
simple
, synthétique, sans critique, est plus puissant po
st en suspicion de ses sentiments, de ses joies, de ses instincts. Le
simple
marche devant lui en ligne droite et avec une pui
e génie, dit M. Michelet, n’est le génie qu’en ce qu’il est à la fois
simple
et analyste, à la fois enfant et mûr, homme et fe
serait bien étrange qu’il y eût dans la nature, soixante et un corps
simples
, ni plus ni moins, qu’il y eût dans l’homme huit
fi, pour sa gloire, d’esquisser une face de l’humanité. 150. « Les
simples
, dit M. Michelet, rapprochent et lient volontiers
it au tout dont elle est séparée… C’est en cela qu’ils existent comme
simples
. » Voir tout cet admirable passage (Le Peuple, p.
le passage (Le Peuple, p. 242, 243). Une conséquence de cette manière
simple
de prendre la vie, c’est d’apercevoir la physiono
agit d’une question théorique, il est un esprit faible et trouve tout
simple
que Nabuchodonosor ait été changé en bête, que l’
de la philosophie : c’est-à-dire qu’elle poursuit la formule la plus
simple
et la plus compréhensive tout à la fois où elle p
pres, les forces vitales, pourquoi ne seraient-elles pas également de
simples
résultantes de la composition chimique des organe
ans une plus ou moins grande composition ou concentration de la force
simple
primitive. Il n’y a dans la nature entière que de
a base est la mécanique : à celle-ci, l’étude du mouvement absolument
simple
; aux sciences intermédiaires, telles que la phys
ution de continuité : voilà le système. Peut-on rien imaginer de plus
simple
, de plus clair, de plus expérimental qu’une telle
ait à ce point leur besoin de synthèse et leur goût pour les formules
simples
et précises ? Ne semble-t-il point que la méthode
l’âme, la vie, la liberté, ne sont que des apparences ; le mouvement
simple
est la réalité. La mécanique est le dernier mot d
tte et la plus radicale des principes de la conscience. Cela est tout
simple
, puisqu’il n’emprunte aucune de ces données à une
me de l’ordre purement physique, est déjà un effort ; toute force, si
simple
qu’elle soit, tend à une fin en vertu d’une activ
qui n’a plus rien de commun avec le libre arbitre. Spontanéité de la
simple
tendance chez les êtres inorganiques, spontanéité
s quelle expérience nous permet d’aller plus loin, de transformer une
simple
tendance en instinct, un instinct en volonté ? Qu
sé, de quoi s’agit-il dans la question qui nous occupe ? Est-ce d’une
simple
vérité subjective, comme la sensation, la pensée,
is pu partager cette confiance du grand moraliste. La logique la plus
simple
ne dit-elle pas qu’une déduction rigoureuse ne va
and donc notre profond moraliste fait de l’existence de la liberté un
simple
postulat de la loi morale, il ne voit pas que cet
devoir implique l’existence de la liberté. La vérité est que le fait
simple
ici ; le fait principe, c’est le sentiment invinc
ène inexplicable dans l’hypothèse de l’homme statue, mais qui devient
simple
et nécessaire dans la vraie notion du moi. Qu’est
sique comme le monde moral, n’est point, ainsi que Kant le pense, une
simple
conception de la raison pure, sans application po
l’état de mystère ; l’organisation des êtres vivants devient non une
simple
composition, mais une véritable création, la créa
ui a tort, qui a raison ? Le fait est que la question n’est pas aussi
simple
que le pensent les moralistes profanes, et il fau
ique ? Pourquoi la morale se laisse-t-elle ramener, elle aussi, à une
simple
théorie mécanique des passions où il n’est plus q
techniques, à une question de savoir-faire, ou même de savoir pur et
simple
. Le peintre ou le poète pourrait n’avoir pas plus
rajeunir à jamais. La masse des sensations humaines et des sentiments
simples
est sensiblement la même à travers la durée et l’
ns le moindre être individuel. Il existe un rapport très bref et très
simple
fait à l’amirauté autrichienne par le capitaine d
populaires vient peut-être de ce que les humbles nous y sont montrés
simples
et presque inconscients dans leur héroïsme ou dan
et les émotions. Même en représentant un être moins complexe et plus
simple
, encore faut-il, — et Léonard de Vinci ne l’ignor
convention dans des formes toujours moins écartées du langage le plus
simple
, c’est-à-dire du signe spontané et presque réflex
entions du style, qui cependant ne s’écarterait pas trop de la vérité
simple
. Tout le progrès de la société humaine, a pour id
ons que le signe d’un sentiment spontané et intense, c’est un langage
simple
; l’émotion la plus vive est celle qui se traduit
cela que le sens le plus profond appartient en poésie au mot le plus
simple
; mais cette simplicité du langage ému n’empêche
i s’y condense. La pensée peut devenir vitale en quelque sorte, et le
simple
peut ne marquer qu’un degré supérieur dans l’élab
former, de toutes les profondeurs du ciel et de la mer. Quoi de plus
simple
que le vêtement de la Polymnie du Louvre ? Point
. Malheureusement, il est aussi difficile de rester longtemps dans le
simple
et le naturel que dans le sublime. Le grand artis
s dans le simple et le naturel que dans le sublime. Le grand artiste,
simple
jusqu’en ses profondeurs, est celui qui garde en
nt interne, conséquemment des facteurs de l’évolution mentale, non de
simples
indices d’une évolution ayant lieu sans eux par d
des prémisses. Chaque modification spécifique de la conscience est le
simple
« accompagnement » d’un certain mode de changemen
ence d’un effet subi et d’une énergie déployée : la traiter comme une
simple
ressemblance avec le soleil, ou comme une simple
la traiter comme une simple ressemblance avec le soleil, ou comme une
simple
différence, c’est mettre des spéculations de méta
oint par idées des espèces d’atomes psychiques, analogues aux « idées
simples
» de Locke ; nous ne croyons point que tout ce qu
En premier lieu, nous n’admettons aucun état de conscience réellement
simple
; tout état de conscience est la résultante d’un
ginale en raison même de sa complexité, mais elle n’est pas pour cela
simple
à la manière d’un atome indivisible et homogène.
d’un atome indivisible et homogène. Des états de conscience vraiment
simples
seraient indiscernables comme les atomes fictifs
Ainsi conçue, la psychologie a pour objet des réalités, non plus de
simples
reflets, puisque les faits de conscience sont des
ue tel qu’il se sent : l’aiguille et la séparation des chairs sont de
simples
antécédents et ne constituent pas le réel de la d
t. On ne doit pas considérer les phénomènes mentaux comme formant une
simple
série linéaire, analogue aux séries de vibrations
ai, ne peut saisir directement, chez les animaux inférieurs, les plus
simples
formes de la vie consciente et noter le passage p
ue des effets. C’est que les relations de finalité, au lieu d’être de
simples
relations extrinsèques pour un spectateur, comme
mais, comment agit-il ? Le rapport du sujet aux objets n’est plus un
simple
rapport de représentation, mais d’adaptation et d
enu aperçu. La conscience n’est qu’une forme ; elle est le moi-sujet,
simple
spectateur des phénomènes qui se produisent, dist
re, qui n’a ni qualité propre, ni intensité propre, ni durée propre ?
Simple
métaphore, comme celles de cadre, de fond, de sur
douleur même que présentement j’éprouve. L’idée de souffrance est un
simple
souvenir, qui lui-même se résout, ou bien en une
ui se développe. C’est tout ce complexus que nous prenons pour l’acte
simple
d’une pensée se réfléchissant sur elle-même, se r
et des états d’intensité forte. L’explication, à coup sûr, était trop
simple
. Le caractère d’objectivité qu’une représentation
its mentaux, surtout les volitionnels, seraient des développements du
simple
réflexe, auxquels la conscience viendrait, dans c
ore : ces animaux, en effet, manifestent tous de vrais appétits, fort
simples
d’ailleurs ; faim, soif, besoin de reproduction,
certaines traces ou images d’elles-mêmes que l’on peut appeler idées
simples
. » (Prop. 8.) Ce n’est pas tout ; la vibration, c
chologie. Les formes les plus complexes sortent de ces données toutes
simples
en vertu d’une association formulée dans les deux
Hartley se réduisent donc aux propositions suivantes : A la vibration
simple
correspond la sensation simple. Aux vibrations as
ropositions suivantes : A la vibration simple correspond la sensation
simple
. Aux vibrations associées correspond la sensation
la sensation composée. A la vibrationcule correspond l’image ou idée
simple
. Aux vibralioncules associées correspond l’idée c
peuvent se former par la juxtaposition et la fusion finale des états
simples
. Les successeurs de Hartley, dont nous allons par
elon eux, « il est impossible de supposer qu’une sensation qui paraît
simple
et où la conscience ne saisit aucune multiplicité
e, on l’infère. Quand nous disons qu’une sensation nous paraît une et
simple
, cette prétendue affirmation est au fond une néga
quantités, à analyser des composés, à saisir des éléments absolument
simples
. Son impuissance n’est pas la mesure de la puissa
ire, puisqu’on invoque la conscience, où existe un état de conscience
simple
pour la conscience même ? Où le saisir ? Où prend
un océan aux ondes innombrables. La sensation de lumière relativement
simple
serait produite par un point lumineux excitant un
s distances. Une foule d’éléments vibrent donc à la fois dans la plus
simple
excitation lumineuse, et les éléments de la sensa
e, en vous piquant, nous donner une sensation Vraiment indivisible et
simple
; cette sensation a toujours un degré divisible ;
spécification que nous ne pouvons pas expliquer ; mais, qu’elle soit
simple
pour être inexpliquée, c’est ce qu’on ne peut adm
ttre qu’à des conditions complexes d’excitation réponde une sensation
simple
, sous prétexte que cette sensation est particuliè
es. Par l’habitude, et surtout par l’hérédité, des sensations d’abord
simples
finissent par faire un tout tellement bien lié et
ossissement des sensations, nous verrions les sensations en apparence
simples
, surtout celle des cinq sens, qui sont des organe
al, par exemple, toutes les couleurs donnent place, tôt ou tard, à un
simple
gris sans couleur, lorsque l’intensité de la lumi
oduire une sensation de telle couleur que pour produire une sensation
simple
de lumière ou de brillant ; le spectre solaire vu
, vous arriverez à une sensation parfaitement tranchée et d’apparence
simple
, qui éclatera en quelque sorte, aussi indéfinissa
ui veulent tout expliquer (ou plutôt ne rien expliquer) par des états
simples
de la conscience, et des matérialistes qui veulen
nce, et des matérialistes qui veulent tout expliquer par des éléments
simples
de quantité, ou par une qualité prétendue simple
er par des éléments simples de quantité, ou par une qualité prétendue
simple
indéfiniment ajoutée à elle-même, comme serait la
-même, comme serait la résistance, ou enfin par un phénomène prétendu
simple
, comme le choc. La simplicité est une limite idéa
s s’ensuit-il que les sensations de chaleur et de fraîcheur soient de
simples
relations parce qu’elles impliquent certaines rel
ation, classification ; il n’y a pas une sensation constituée par une
simple
différence ; ou nous sentons réellement l’impress
nts, même combinés avec des éléments conscients, ni consister dans de
simples
rapports. Les relations entre les éléments sensit
part du mouvement, dans je ne sais quel monde de purs reflets, est la
simple
accumulation et amplification de ce qui existait
ations, affections, désirs, etc., qui ne correspondent pas, comme une
simple
perception visuelle, à un objet extérieur invaria
« substrat » n’est pas une réalité ; c’est, pour notre conscience, un
simple
signe destiné à lui rappeler sans cesse le caract
nt. Mais une intelligence, même surhumaine, n’eût pu prévoir la forme
simple
, indivisible, qui donne à ces éléments tout abstr
perçus. Mais ce qui n’a jamais été perçu, et ce qui est en même temps
simple
, est nécessairement imprévisible. Or, tel est le
tats, envisagé comme un moment d’une histoire qui se déroule : il est
simple
, et il ne peut pas avoir été déjà perçu, puisqu’i
à l’« impondérable » au sein duquel le corpuscule se formerait par un
simple
tourbillonnement. Nous pousserons enfin la divisi
els nous avons modelé notre façon de penser, sont régis par cette loi
simple
: « le présent ne contient rien de plus que le pa
e à l’organisme unicellulaire de l’Infusoire, je retrouve, dans cette
simple
cellule, le même processus de vieillissement. L’I
e. L’expérience établit donc que le plus complexe a pu sortir du plus
simple
par voie d’évolution. Maintenant, en est-il sorti
ouvelle confirmation. Ainsi, la preuve tirée de l’observation pure et
simple
va toujours se renforçant, tandis que, d’autre pa
s parler de la vie en général comme d’une abstraction, ou comme d’une
simple
rubrique sous laquelle on inscrit tous les êtres
einte, plus évidemment l’organisme se distingue d’un mécanisme pur et
simple
, sur lequel la durée glisse sans le pénétrer. Et
erçoit que tout organisme individuel, fût-ce celui d’un homme, est un
simple
bourgeon qui a poussé sur le corps combiné de ses
e pas moins un seul tout ; et il faut opter entre la négation pure et
simple
de la finalité et l’hypothèse qui coordonne, non
mble de la vie ne peut pas consister à combiner entre elles des idées
simples
déposées en nous par la vie elle-même au cours de
vrait reconstituer, ou plutôt embrasser, si possible, dans une vision
simple
. Mais, d’autre part, justement parce qu’elle débo
s’effectuant par l’élimination automatique des inadaptés est une idée
simple
et claire. En revanche, et justement parce qu’ell
ropomorphiques. En un mot, si l’adaptation dont on parle est passive,
simple
répétition en relief de ce que les conditions don
anthropomorphique, apparaîtront plus clairement sur des exemples plus
simples
. De tout temps, la doctrine de la finalité a tiré
les intermédiaires entre la tache pigmentaire des organismes les plus
simples
et l’œil infinimeux compliqué des Vertébrés, on p
onction à son origine, chez l’Infusoire, alors qu’elle se réduit à la
simple
impressionnabilité (presque purement chimique) d’
ications antérieures ? Comment surtout supposer que, par une série de
simples
« accidents », ces variations brusques se soient
x de telle manière que l’organe continue à accomplir la même fonction
simple
, et même qu’il l’accomplisse mieux. Qu’une modifi
tiques sur des lignes d’évolution indépendantes ne pourra tenir à une
simple
accumulation de variations accidentelles. Arrivon
s Mollusques se soient constitués par une série de variations dues au
simple
hasard. En admettant que la lumière intervienne a
me de la lumière, et l’on observe une foule d’intermédiaires entre la
simple
tache de pigment et un œil compliqué comme celui
monter des machines très compliquées pour tirer parti de l’excitation
simple
dont elle subit l’influence. Mais c’est préciséme
e qu’aucun néo-lamarckien ne le suppose. Autre chose est en effet une
simple
variation de grandeur, autre chose un changement
ines, toutes d’une complexité extrême. Pourtant la vision est un fait
simple
. Dès que l’œil s’ouvre, la vision s’opère. Précis
ouvre, la vision s’opère. Précisément parce que le fonctionnement est
simple
, la plus légère distraction de la nature dans la
e ait travaillé comme l’ouvrier humain, en assemblant des parties. Un
simple
coup d’œil jeté sur le développement d’un embryon
rgane, on va à l’infini, quoique le fonctionnement du tout soit chose
simple
. Ce contraste entre la complication à l’infini de
ir les yeux. En général, quand un même objet apparaît d’un côté comme
simple
et de l’autre comme indéfiniment composé, les deu
act équivalent de cette figure que l’artiste à conçue comme une chose
simple
, qu’il a voulu transporter en bloc sur la toile,
a pas eu de carreaux assemblés. C’est le tableau, je veux dire l’acte
simple
projeté sur la toile, qui, par le seul fait d’ent
c sa merveilleuse complexité de structure, pourrait n’être que l’acte
simple
de la vision, en tant qu’il se divise pour nous e
’apparaît à la fois sous deux aspects. Senti du dedans, c’est un acte
simple
, indivisible. Aperçu du dehors, c’est le parcours
l d’assemblage et il faut de l’intelligence, au lieu que le mouvement
simple
de la main ne contient rien de tout cela. Il n’es
le des travaux d’Hercule en voulant qu’elle ait haussé jusqu’à l’acte
simple
de vision une infinité d’éléments infiniment comp
lus de peine à faire un oeil que je n’en ai à lever la main. Son acte
simple
s’est divisé automatiquement en une infinité d’él
e, car le canal s’est fait autrement. Plus précisément, oeil à l’acte
simple
par lequel nous levons la main. Mais nous avons s
le ira plus ou moins loin dans le sens de la vision, elle donnera les
simples
amas pigmentaires d’un organisme inférieur, ou l’
sychologie des personnages que M. Hugo conçoit comme des êtres nus et
simples
, qui manifestent leur passion ou leur nature par
ecours pour ses fantaisies de style, à cet amas de pensées vulgaires,
simples
et fausses, que l’on appelle les lieux communs ;
cet aspect. En effet, les notions psychologiques de M. Hugo sont fort
simples
. Elles lui font concevoir trois sortes d’âmes : c
tes de tout mélange, constituées comme une force physique ou un corps
simple
, par une seule tendance et une seule substance. C
iboulet, paternel et proxénète ; Gauvain, inflexible et humain. Cette
simple
mécanique intellectuelle, résumée en un conflit d
ifiantes colossales et tragiques. M. Victor Hugo voit grand. Les plus
simples
scènes champêtres, une vache paissant dans un pré
ues. S’il est vrai que l’œuvre de M. Hugo correspond à un monde, plus
simple
que le nôtre, elle correspond également à un mond
ses au hasard et partout, soit paraissant, comparées aux objets, plus
simples
, plus grandes et plus vagues. Cette nullité, cett
et variée comme un fouillis de lianes ; sous ce revêtement une pensée
simple
, nue, énorme, brute et à gros grains, comme un en
’enchevêtrement luxuriant de sa forme, sur l’édifice grandiose de ses
simples
et énormes idées, tout le déploiement de ses livr
re douteux. Il n’a jamais paru à personne que les gens d’intelligence
simple
, soient nécessairement des orateurs copieux, tand
de nombreux endroits de son œuvre, il s’inspire visiblement des idées
simples
et parfois fausses, qui ont cours dans le public
mère, nous apercevons vaguement quelque chose de fort net et de fort
simple
. Un héros est un beau jeune homme brave et rien d
es attributs les plus généraux, les plus caractéristiques et les plus
simples
de l’objet qu’il désigne, les porte en lui poussé
e la chose mesquine sous le mot énorme, la chose complexe sous le mot
simple
, la chose indéfinie sous le mot absolu, les chose
ères généraux, ceux-ci ont été repris en un couple fort clair et fort
simple
de tendances universelles ; celles-ci en un fait
littérature, de la science et de l’art, suppose la même évolution du
simple
au complexe par des différenciations successives.
il soit douteux pour l’organisme individuel que le progrès se fait du
simple
au composé ; mais si nous passons des formes indi
che à la peinture, et toutes deux avec la sculpture furent d’abord de
simples
appendices de l’architecture, qui elle-même était
ère. Voilà donc au moins cinq espèces de changements, produits par un
simple
choc. On allume une chandelle, c’est là un fait s
roduits par un simple choc. On allume une chandelle, c’est là un fait
simple
; mais il en résulte une production de lumière, u
alité des causes complexes, là où nous en avons parlé comme de causes
simples
, il reste cependant vrai que ces causes sont bien
ir cent fois ce qu’ils étaient à l’origine ; 2° Leur structure est si
simple
d’abord qu’on peut dire qu’ils n’en ont pas ; mai
duits à eux-mêmes ; et que la connaissance commune sort elle-même des
simples
perceptions, la genèse de la science devrait, à r
é, ressemblance, ce sont là des notions qui ont un rapport intime. La
simple
énumération est un enregistrement d’expériences r
. » Telle est la complication de sciences que suppose une chose aussi
simple
que de déterminer la position d’une étoile. V
l voit que la controverse du matérialisme et du spiritualisme est une
simple
guerre de mots ; les adversaires étant également
c plus de force qu’aucun autre, l’incompréhensibilité. totale du plus
simple
fait, considéré en lui-même. Lui seul voit vraime
des doigts et des cailloux. — Commodité, petit nombre et combinaisons
simples
de ces nouveaux substituts. — Derniers substituts
nombre indéfini des composés construits avec ces éléments. — Aux plus
simples
de ces constructions mentales correspondent des c
ns leur état. — À celles de ces constructions mentales qui sont moins
simples
correspondent encore certaines constructions réel
les arrangeons pour la commodité de notre pensée ; ils ne sont pas de
simples
moyens de classer, des instruments de mnémotechni
squ’à ne plus consister qu’en une ou deux qualités presque absolument
simples
, d’autre part, s’appliquer jusqu’à comprendre tou
d ; c’était là un caractère nouveau. Si nous avions en main les corps
simples
inconnus que les raies du spectre nous indiquent
s avec quels éléments nous fabriquons ces nouvelles idées. — Les plus
simples
de toutes sont celles de l’arithmétique, et elles
forment ainsi des unités du second ordre, capables, comme les unités
simples
, d’être comptées jusqu’à dix. — Arrivés là, nous
peut l’améliorer. — Aux noms écrits, on substitue des caractères plus
simples
, qui, au lieu de remplacer directement les noms d
sa ligne droite et la planète de son ellipse, c’est qu’à la direction
simple
que suit le boulet, aux deux directions simples s
’est qu’à la direction simple que suit le boulet, aux deux directions
simples
selon lesquelles chemine la planète, s’ajoutent d
mentale, c’est que la première est plus compliquée et la seconde plus
simple
. Débarrassée de ses éléments accessoires et rédui
de la même manière et au même degré que dans le second. Une des plus
simples
parmi ces combinaisons intellectuelles est celle
uveau. — Une autre qui lui fait pendant, et qui est presque également
simple
, est celle d’un corps en mouvement qui se meut se
nimum d’éléments mentaux. En premier lieu, il n’y a pas de ligne plus
simple
que la ligne droite, puisque, étant donné le poin
e, en requiert plusieurs ou une infinité. En second lieu, il est plus
simple
que la vitesse, une fois donnée, subsiste toujour
ulle grandeur nouvelle n’est introduite. En dernier lieu, il est plus
simple
que le mouvement, une fois donné, subsiste indéfi
ntroduisons dans notre composé mental une condition nouvelle, la plus
simple
qu’il se pourra ; supposons que la force initiale
. — Il faut enfin que la combinaison que nous leur donnons soit aussi
simple
que possible ; car il y a plus de chance pour que
sidérons la chose attentivement, nous trouvons que la manière la plus
simple
d’accroître la vélocité, c’est de l’accroître tou
les considérer comme déploiement d’une activité interne, non comme un
simple
complexus de sensations passives et externes. C’e
s vitaux ne reçoit point passivement le plaisir et la peine comme une
simple
sensation additionnelle, comme un chiffre de plus
tc. L’esprit humain n’est pas, comme dit M. Bastian avec Leibnitz, un
simple
« miroir du monde » ; il mêle sa propre nature à
’efforcent de ramener physiologiquement tous les faits cérébraux à de
simples
« impressions » d’origine périphérique. Rien n’ég
nséquence, que nos membres aient d’abord été mis en mouvement par une
simple
diffusion spontanée et irréfléchie du courant ner
s muscles, mais au mouvement des centres cérébraux152. Selon nous, la
simple
cérébration — à laquelle correspond l’idée d’un m
nt effectué dans les muscles doit se distinguer pour la conscience du
simple
mouvement cérébral effectué. Le mouvement massif
as le relief nécessaire pour se détacher dans la conscience. C’est un
simple
murmure, tandis que le mouvement du membre est un
férents dans l’organisme. Ces trois degrés correspondent d’abord à la
simple
idée de l’acte, puis à la prévalence de l’idée, e
sensations diverses en intensité, en qualité, en signe local. Dans la
simple
attention volontaire à une idée, nous avons des s
discordantes étouffe le reste, et le phénomène tout entier paraît un
simple
déploiement de sensations passives. II. — U
uvement réactif du cerveau qui est la réalité dont le désir serait un
simple
reflet, on avance une théorie philosophique à laq
galement significative. Non seulement elle nous met sous les yeux une
simple
représentation des choses, mais le plus souvent c
exact de dire qu’ils nous fournissent le titre du tableau à faire, un
simple
programme que nous devons remplir à nos frais. Qu
laisser prendre à ces apparences, puisque nous avions devant nous de
simples
simulacres. Mais un instant nous l’avions oublié.
. Tout au plus lui donnent-elles l’éclat de leur coloration ; mais de
simples
taches colorées, qui n’auraient même pas forme de
u point de vue de celui qui la compose et non à notre point de vue de
simples
spectateurs, si nous voulons comprendre ce qu’est
ion suffit à leur présenter l’image voulue, sans autre secours qu’une
simple
esquisse. Encore faut-il qu’ils aient cette esqui
ositions d’un Hokousaï. Vous reconnaîtrez qu’elles ne peuvent être de
simples
copies. Si vifs que fussent ses petits yeux bridé
it, pendant deux ou trois secondes seulement, l’image d’un objet très
simple
que l’on a eu tout loisir de considérer. Une pers
avec la plus grande attention un dessin très sommaire, par exemple un
simple
profil au crayon. Et puis qu’elle essaie de le re
out. Regarder une œuvre d’art que l’on a devant soi, cela semble très
simple
. Mais notre machine est étrangement compliquée. U
rangement compliquée. Un psychologue se ferait fort de montrer que le
simple
coup d’œil que nous jetons sur un objet pour en p
la plus grande part. Selon Wundt, « les perceptions visuelles sont de
simples
schèmes que nous remplissons de nos représentatio
Vous savez bien que ces figures, peintes sur la toile, ne sont que de
simples
représentations, et ce que vous vous efforcez d’y
nt pas absolue reste consciente, je me rends compte que ce sont là de
simples
représentations, et je prends un plaisir particul
uelques figures géométriques, cercles, étoiles, polygones, ou même de
simples
traits qu’il conduit et entrelace suivant une loi
rs un attrait particulier. Il faut qu’ils y voient autre chose que de
simples
tracés géométriques. Sans doute nous avons mal fa
rés à part et formant un tout complet. N’oublions pas qu’il s’agit de
simples
décors, c’est-à-dire d’un accompagnement, sur leq
nation figurative auxquels nous pouvons nous livrer en contemplant un
simple
décor géométrique, et qui donnent à cette contemp
és et filigranés ; sur cette broderie, considérée à son tour comme un
simple
fond, l’artiste a dessiné un réseau d’entrelacs ;
aine. D’autres fois le décor nous invite à combiner quelques éléments
simples
en figures plus complexes. Ainsi, dans un vitrail
dessins à double jeu, si usités dans l’art décoratif. Cet effet, très
simple
à comprendre sur un dessin, est plus difficile à
resserré entre deux figures, aminci et comme laminé, devient lui-même
simple
ligne de contour. On ne saurait le dire. Et l’œil
uggérant des images de mouvement. — Mais une ligne n’est-elle pas une
simple
figure plane ? Où voyez-vous rien qui se meuve ?
en lui ajoutant quelques images : un dessin que l’on fait, ce sont de
simples
images qu’il faut amener à la réalité. Essayons d
t de prendre rapidement un croquis. Il la regarde. Mais déjà, dans ce
simple
coup d’œil, l’imagination visuelle intervient. Ca
encore l’effet des sublimes verrières de nos cathédrales, qui par une
simple
combinaison de verres polychromes nous donnent l’
e d’impressions de nature un véritable artiste peut condenser dans un
simple
emblème. Il résoudra en se jouant ce problème par
ion d’images, à laquelle nous trouvons tant de charmes, n’est pas une
simple
distraction, une façon d’occuper en pensant à aut
entoure. Voici par exemple un paysage décoratif fait d’éléments bien
simples
: sur un ciel orangé se détache en violet sombre
gination, de poésie : dites-vous cela, et vous ne craindrez pas, vous
simple
spectateur qui jetez en passant sur ce tableau ou
faites pour déprécier une œuvre ? Quand en musique nous dédaignons la
simple
virtuosité, pourquoi la mettrions-nous au-dessus
amment de toute forme et de tout dessin, la couleur réduite à sa plus
simple
expression, la pure sensation colorée ? Au premie
présenter avec un si riche accompagnement de sensations diverses ? De
simples
taches colorées. Ne peignons donc que la tache !
r des sons, et le peintre n’aura plus qu’à colorer cette rêverie ; de
simples
analogies suffiront pour donner à nos représentat
tériser une impression sonore ou une sensation musicale. Est-ce là un
simple
jeu auquel il peut se divertir ? Dans certains ca
cette couleur diffuse que nous ne rapportons à aucun objet déterminé,
simple
sensation colorée qui peu à peu nous pénètre, se
r avoir obtenu quelques combinaisons chromatiques originales. Dans un
simple
portrait, la couleur pourra traduire d’une certai
ses vagues lueurs les recoins obscurs de la salle ? On y peut voir un
simple
effet de clair-obscur curieusement observé, fidèl
us avertir que vous avez affaire à un peintre poète, dédaigneux de la
simple
réalité, épris de l’imaginaire. Il serait invrais
es figures symboliques De ce symbolisme des couleurs, subtil mais
simple
en somme et dont il n’était pas trop difficile de
nous l’avons fait tout à l’heure, en commençant par les cas les plus
simples
pour finir par les plus complexes. Quand on explo
u que nous puissions y mettre le nom de la chose. Les signes les plus
simples
et les plus conventionnels seront même ici préfér
’en perdre le moins possible, de la condenser tout entière dans cette
simple
figure, désespéré de n’avoir pas pour la traduire
mment. Est-ce à dire qu’ils soient en eux-mêmes quelque chose de très
simple
? Bien au contraire. Entre ce vieillard qui soulè
ait même pas à traduire en images plastiques. Il se contente des plus
simples
. On peut en faire l’expérience, on s’assurera que
l’ombre d’un son dans tout le vaste désert sans limites. » Dans une
simple
personnification on peut mettre une pensée énigma
r des armes, une lyre à la musique ; ainsi par quelques emblèmes très
simples
on pourra évoquer, sans les figurer positivement,
ment, des images très complexes. L’insigne rappellera la dignité. Une
simple
croix désignera le Christ ; un calice avec une ho
sur ce point nous devons être intransigeants. Qu’elle soit belle, et
simple
aussi, et vraisemblable autant que possible. Mais
n ne manquera pas d’émouvoir l’imagination plus que ne le feraient de
simples
figures calligraphiques. On sent qu’il y a quelqu
ons ? Libre à nous de regarder ces figures au sens littéral, comme un
simple
décor de convention : elles seront intéressantes
un peu loin. Il ne nous est pas loisible de voir dans ces figures un
simple
décor de convention : elles forment trop tableau
du fabuleux. Ils pourraient s’épargner le voyage. Les sujets les plus
simples
, les plus prochains sont les meilleurs. Ce sont c
les formules connues. Les personnages qu’ils mettent en scène sont de
simples
fantoches, des êtres de convention, tout en surfa
’ils sont inventés. — On s’en aperçoit toujours. Qu’on nous montre un
simple
croquis, nous aurons vite discerné s’il est fait
commune des imaginatifs, de se figurer qu’ils peuvent évoquer par un
simple
effort de vision mentale l’image intégrale des ch
r ! Adoptons franchement, résolument le réalisme ! Cette doctrine est
simple
et franche. Elle fournit au goût un sûr critérium
modifier et transfigurer, ce ne sont pas les objets réels : c’est la
simple
représentation de ces objets. Des peupliers se re
divers aspects. Leurs secrets sont tombés dans le domaine commun. Le
simple
savoir-faire, en devenant accessible à tous, a pe
er de reproduire exactement ce qu’on avait devant les yeux : œuvre de
simple
praticien, non d’artiste. Nous attribuons au cont
ue d’une palette assez restreinte, le décorateur doit se contenter de
simples
approximations de coloris. Ayant d’abord altéré l
re même ne nous invite-t-elle pas à regarder les colorations comme un
simple
jeu d’apparences, plutôt que comme une qualité in
que le décorateur n’a pas le droit de dédaigner et d’abandonner à de
simples
praticiens. Il faut qu’il se fasse potier, verrie
iques montrent bien que la découverte des attitudes est œuvre, non de
simple
observation, mais d’invention. Il est d’ailleurs
ieux l’image du jeu de physionomie correspondant que ne le ferait une
simple
idée. Soit par exemple à rendre une physionomie d
trop d’inconnues. Pour l’imaginatif, au contraire, la chose est toute
simple
. Il ne s’embarrasse pas de se définir à lui-même
s voulions être. Dès lors, la tâche de l’artiste n’est-elle pas toute
simple
? Etant donné que nous avons une préférence bien
our redescendre ensuite : sa formule serait sans doute beaucoup moins
simple
que cela ; il est probable qu’on y trouverait un
portions et suivre le contour. Volontiers ils se contenteraient de la
simple
représentation de la beauté. S’ils n’eussent été
use plus que tout autre de conventions. Ce n’est pas mode arbitraire,
simple
usage faisant force de loi : la convention est à
ur être contemplé à part, un monstre chimérique. Considérées comme de
simples
ornements, appliquées sur un objet qu’elles décor
émontrer que l’on peut mettre autant de talent, de génie même dans un
simple
ornement que dans la composition d’un tableau ou
re principale, et n’a dans la composition d’autre rôle que celui d’un
simple
emblème distinctif. On peut aussi supposer une so
ccourci, concentrant avec une étrange précision tout un paysage en un
simple
point lumineux ; ou bien il nous la fait voir à l
qui de la complication des formes individuelles sait dégager le type
simple
, le schème de l’espèce. Cette extrême simplificat
s. Nous admettrons bien plus volontiers la répétition d’un motif plus
simple
, plus banal même ; et nous nous en lasserons d’au
temps de sa floraison. Préoccupé d’exprimer chaque chose par un signe
simple
, clair et cursif qui pût être indéfiniment reprod
stique. Enfermer le plus d’indications possible dans la ligne la plus
simple
, tel est le problème que le décorateur semble se
’est ainsi qu’il se fait un style personnel, si reconnaissable qu’une
simple
ligne tracée par lui se différenciera, à première
de vraiment génial dans cette façon de représenter les choses par de
simples
emblèmes, symboles plutôt qu’images de la réalité
qu’elle reparaît, différente et pourtant reconnaissable, réduite à un
simple
linéament et pourtant complète, dans cette nouvel
trouvant l’idée première dont elle semblait s’être inspirée, le thème
simple
sur lequel elle avait brodé ses variations. Ici,
hait parfois la forme, c’était de nuances étranges, obtenues dans une
simple
recherche d’effets chromatiques, qu’il tirait ses
é. En réalité elles ne supposent aucune fièvre, aucun délire, mais le
simple
laisser-aller de l’imagination et de la main. Ell
t pour lui que les images sont vraiment successives. Dessinant sur un
simple
plan, s’en remettant pour les détails aux rencont
s sur des monstres expriment des victoires sur l’idolâtrie… Ainsi une
simple
métaphore est devenue un récit vivant en passant
de lourdes et déplaisantes erreurs dans l’art décoratif ! Dans cette
simple
tendance à déconcerter les lois de la nature pour
ique. Nous voilà bien loin de la théorie qui fait de l’œuvre d’art un
simple
reflet des choses. Elle nous apparaît au contrair
complète. On l’exercera en réduisant au strict minimum le travail de
simple
copie, pour exiger de bonne heure un travail d’in
hercher le succès dans les œuvres faciles et de pur artifice, dans la
simple
imitation des réalités vulgaires, ces deux voix h
endement. Or, ce qui est le plus homogène à l’esprit, c’est l’élément
simple
et général. L’idée générale, le concept, au lieu
énéral. L’idée générale, le concept, au lieu d’être regardé comme une
simple
construction, commode mais arbitraire, devient ai
ais comme ils n’accordent au complexe qu’une demi-réalité, des moyens
simples
leur paraissent suffisants, pour arriver à leur b
oses, il oppose une fin de non-recevoir aux explications sommaires et
simples
. Sans condamner la raison à abdiquer, sans même a
cisément sur cet axiome que la conscience n’est pas une réalité aussi
simple
et aussi facile à connaître que le supposait l’éc
jamais, je crois, Taine, n’eût accepté de regarder la morale comme la
simple
conclusion d’un syllogisme dont telle ou telle th
erception extérieure. — Nous sommes tentés de la prendre pour un acte
simple
et spirituel. — Illusion psychologique analogue à
ement dites sont des sensations totales, composées de sensations plus
simples
, celles-ci de même, et ainsi de suite. On peut do
n des choses du dehors, nous sommes tentés de la prendre pour un acte
simple
et nu, dépourvu de tout caractère sensible, et mê
de conscience ou de raison, comme des actes d’une nature spéciale et
simple
, desquels on ne peut rien dire, sinon qu’ils sont
dire, sinon qu’ils sont une action et un rapport, l’action d’un être
simple
, qui, par eux, entre en rapport avec des êtres ét
ien à chercher ni à trouver dans une pareille action, puisqu’elle est
simple
; une fois qu’on l’a nommée, on est à bout. La vé
extérieure, ni les autres prises de connaissance ne sont des actions
simples
qui s’appliquent et se terminent à des objets dif
es l’ascendant de l’attitude l’a jeté et enchaîné. « Non seulement de
simples
émotions, dit Carpenter, mais encore des idées pr
e dans la parole, et ce procédé réussit parfois dans le somnambulisme
simple
. « Nous avons connu, dit Carpenter, une jeune fil
inaire, tous les jugements, croyances et conjectures qu’une sensation
simple
provoque sur la distance, la forme, l’espèce et l
versement ombrée selon ses diverses parties ; et cependant, sur cette
simple
indication visuelle, je juge qu’il est solide, mo
cres d’action, des semblants de sensation, reconnus à l’instant comme
simples
apparences, et, de plus, fugitifs, effacés, incom
e répétition automatique. Au bout de quelque temps, ce n’est plus une
simple
phrase mentale, mais une phrase composée de sons
ce lien ne suppose pas nécessairement un centre indivisible, un être
simple
, une monade. La continuité et la réciprocité d’ac
est l’élément irréductible de la conscience, et dont l’idée d’un moi
simple
et identique est la personnification plus ou moin
nnues ; on ne peut que la comparer avec la direction divergente qu’un
simple
mouvement des aiguilles imprime aux rails d’un ch
vement des aiguilles imprime aux rails d’un chemin de fer, ou avec le
simple
mouvement de ressort qui, dans un orgue, fait suc
oi (soit par une intuition profonde de sa vraie réalité, soit par une
simple
illusion d’optique), ses désirs et volitions se t
de convergence toujours présent à la pensée, des motifs immédiats et
simples
en apparence. L’idée-force du moi sert donc à ren
comme elles agissent ; elles demeureraient des entités abstraites, de
simples
signes logiques, tandis qu’elles deviennent des é
sations et appétitions dispersées vers le dehors. L’idée du moi un et
simple
, en effet, indépendamment de sa valeur objective,
oyer intellectuel et appétitif : le moi. Et plus l’être se croira un,
simple
, indivisible, intangible, plus il s’érigera en at
nombre est un, en effet, puisqu’on se le représente par une intuition
simple
de l’esprit et qu’on lui donne un nom ; mais cett
t l’appel. Nous dirons donc que l’idée de nombre implique l’intuition
simple
d’une multiplicité de parties ou d’unités, absolu
oir dans le temps, et dans le temps seulement, une succession pure et
simple
, mais non pas une addition, c’est-à-dire une succ
r là que nous nous le représentons dans sa totalité par une intuition
simple
et indivisible de l’esprit : cette unité renferme
ne sont plus des sommes, pensons-nous, mais bien des unités pures et
simples
, irréductibles, et destinées à donner la série de
e de ce nombre qui, multiple en lui-même, emprunte son unité à l’acte
simple
par lequel l’intelligence l’aperçoit. Et il est i
regardant de plus près, on verra que toute unité est celle d’un acte
simple
de l’esprit, et que, cet acte consistant à unir,
s’il s’agissait ici de cette unité définitive qui caractérise un acte
simple
de l’esprit ? Comment la fractionnerait-on tout e
un effort d’analyse n’en fera sortir autre chose, que l’unité pure ou
simple
. Sans doute, quand vous égalez le nombre 3 à la s
illeurs probable que le nombre 3 se présente d’abord sous cette forme
simple
à notre esprit, parce que nous songerons plutôt à
n sentiment complexe contiendra un assez grand nombre d’éléments plus
simples
; mais, tant que ces éléments ne se dégageront pa
d’un coup, ce qui revient à dire qu’on le soustrait à la durée. Cette
simple
réflexion devrait nous avertir que nous retombons
s faits de conscience, même successifs, se pénètrent, et dans le plus
simple
d’entre eux peut se réfléchir l’âme entière. Il y
nt la pure durée comme chose analogue à l’espace, mais de nature plus
simple
. Ils se plaisent à juxtaposer les états psycholog
franchi. Mais la vérité est que chacun des pas d’Achille est un acte
simple
, indivisible, et qu’après un nombre donné de ces
ause, en adoptent les contours précis et l’immobilité. Nos sensations
simples
, considérées à l’état naturel, offriraient moins
urquoi nous raisonnons sur ces états et leur appliquons notre logique
simple
: les ayant érigés en genres par cela seul que no
pparente une absurdité fondamentale, sous cette juxtaposition d’états
simples
une pénétration infinie de mille impressions dive
e. L’imagination du rêveur, isolée du monde externe, reproduit sur de
simples
images et parodie à sa manière le travail qui se
ode d’aligner dans un pareil milieu, pour les résoudre en termes plus
simples
, les états en quelque sorte nébuleux qui frappent
ailleurs avec quelques-uns de ces hommes distingués qui s’honorent du
simple
titre de lecteurs, et, à mon tour, je me permettr
r une sorte de délicatesse dans le bon sens, en fortifier les parties
simples
, en rabattre doucement les tendances déclamatoire
endamment du cours d’histoire proprement dit, d’établir un cours très
simple
, très clair, de littérature générale moderne et d
on pas l’anecdote futile, mais celle qui caractérise. Pour rendre ces
simples
cours intéressants, pour savoir être à la fois cl
ant, mais aussi ne jamais perdre une occasion de favoriser l’amour du
simple
, du sensé, de l’élevé, de ce qui est grand sans p
rand sans phrase. On arriverait quelquefois à faire sentir en quoi le
simple
peut être supérieur à ce qui frappe plus d’abord.
si la gloire militaire par son revers sombre. C’est ainsi que, par le
simple
choix des morceaux et avec deux mots d’indication
nt à finir les esprits cultivés et avertis. Je continue de donner les
simples
notes qui suggèrent, chemin faisant, plus d’une r
a fin comme elle peut. Les esprits droits et logiques (et tout esprit
simple
l’est aisément), qui comptent trop sur une vraie
artificiel ; Voltaire manque en partie le sien, parce, qu’il est trop
simple
. Comme moyen d’action, rien de plus souverain que
etc. Ces mouvements sont visibles. Même quand je fais attention à la
simple
représentation d’un objet absent, je commence des
ividuelle99. La différence entre l’attention et la conscience pure et
simple
, c’est que, dans l’attention, un fait donné a des
é, soit de leurs relations avec d’autres sensations. La forme la plus
simple
du jugement n’est autre que l’aperception d’un ch
t à l’origine non des idées proprement dites ou des concepts, mais de
simples
appréhensions de sensations sans lien, ou sans au
ciation par contiguïté qui les a amenées102. — Nous répondrons que la
simple
appréhension ou aperception est déjà un jugement
ercevoir aucune espèce de rapport. Il y aurait alors pure succession,
simple
déroulement d’une série : dans le jugement, il y
t, avec ses éléments logiques de sujet, prédicat et copule, d’avec la
simple
association qui suit son cours sans être remarqué
ouvement, s’il en est loin. Quand il sait parler, tout se réduit à de
simples
mots, qui deviennent les substituts de ses action
t motrice qui répond à la sensation. Elle a son premier germe dans le
simple
processus appétitif qui succède à une excitation
sentation du feu qui l’a causée ; voilà un état mental beaucoup moins
simple
et beaucoup plus riche en relations que la simple
ntal beaucoup moins simple et beaucoup plus riche en relations que la
simple
sensation d’odeur. Quand je reverrai un feu sembl
reverrai un feu semblable au premier, la vue de ce feu, renforçant le
simple
souvenir, me fera retirer ma jambe tout comme si
ont de distinct des images, d’abstrait et de vraiment générique, à de
simples
signes. Les mots sont eux-mêmes des images substi
able, etc. Toutes ces inférences sont implicitement contenues dans la
simple
reconnaissance d’une orange. Le raisonnement proc
induction scientifique est une complication et un développement de la
simple
inférence appétitive. Si je recommence un grand n
a nature n’a pas besoin d’être expliqué par un principe autre que les
simples
lois du mécanisme, car on démontre que, étant don
en prenant par exemple le feu pour principe de la brûlure : c’est une
simple
affaire de vérification et d’expérimentation ; ma
même nombre, on dira qu’ils sont pipés. Plus un rapport est à la fois
simple
et constant, plus il est voisin d’une loi de la n
buts (homme, mortel, etc.), entre lesquels il établit des rapports de
simple
coexistence ou de succession ; le raisonnement qu
if, portant sur des choses moins exactement définies et procédant par
simples
similitudes ou par égalités approximatives, offre
résoudre. Si Pythagore n’avait pas imaginé sa construction à la fois
simple
et féconde, le problème du carré de l’hypothénuse
r exemple entre un arbre et le mot arbre, cette représentation est un
simple
signe. Tels sont les signes conventionnels de l’a
s droit à lui, regardons-le sans concept interposé : nous le trouvons
simple
et tout d’une pièce. Avançons alors davantage ; o
jamais rien qui dure ? Ce qui est réel, ce ne sont pas les « états »,
simples
instantanés pris par nous, encore une fois, le lo
en très petit nombre, qui ont cru au libre arbitre, l’ont réduit à un
simple
« choix » entre deux ou plusieurs partis, comme s
ale et un réarrangement du préexistant, enfin entre la création et le
simple
choix, qu’on ne saurait éclairer cette distinctio
actuel, les symphonies des musiciens futurs. Pour prendre un exemple
simple
, rien ne nous empêche aujourd’hui de rattacher le
vant ces deux sensations, la sensation d’orangé eût été une sensation
simple
; jamais n’y auraient figuré, comme composantes o
t doit, à ses yeux, l’avoir été toujours. Elle n’admet pas qu’un état
simple
puisse, en restant ce qu’il est, devenir un état
erait de montrer l’extrême complication d’une méthode en apparence si
simple
; nous en reparlerons d’ailleurs, très brièvement
stincte, que notre entendement enfin la caractérisera toujours par de
simples
négations, ne l’atteindrons-nous pas en ressaisis
liables. Qu’on ne nous demande donc pas de l’intuition une définition
simple
et géométrique. Il sera trop aisé de montrer que
t une essence mathématique qui pourrait tenir, elle, dans une formule
simple
. Il y a pourtant un sens fondamental : penser int
u’à la longue. C’est celle de l’idée radicalement neuve et absolument
simple
, qui capte plus ou moins une intuition. Comme nou
philosophe n’a pas toujours cette patience. Combien n’est-il pas plus
simple
de s’en tenir aux notions emmaganisées dans le la
tre sue sang et eau pour la sienne. On dira toujours de lui qu’il est
simple
, qu’il est clair, qu’il est vrai. Il l’est aiséme
delée celle de l’intelligence. Telle est du moins l’hypothèse la plus
simple
et la plus probable. Nous devrons nous y tenir ta
te dans le sien. N’attendez pas de cette métaphysique des conclusions
simples
ou des solutions radicales. Ce serait lui demande
pts. On définira donc l’âme. On dira, avec Platon, qu’elle est une et
simple
. On en conclura qu’elle ne peut se dissoudre. Don
é du définitif, mais elle était suspendue en l’air, dans la région du
simple
possible. L’autre est inachevée, mais elle pousse
nce restreinte, elle opère moins sur les faits que sur quelques idées
simples
, suggérées ou non par eux, qu’elle traite alors d
si groupées, et cette question ne comporte pas une solution unique et
simple
. Disons tout de suite que la psychologie nous par
le chimique en physique, le physique en mathématique. Or, une logique
simple
a beau prétendre que la ressemblance est une iden
oix d’un certain ordre de grandeur pour la condensation. C’est là une
simple
hypothèse, mais elle nous paraît sortir tout natu
cette immensité mouvante peut devenir, pour que j’agisse sur elle, un
simple
rectangle, immobile et solide. Il en serait de mê
uvoir d’inventer et de construire un nombre indéfini d’outils. Or, si
simple
que soit la fabrication, elle se fait sur un modè
e l’idée de désordre absolu est contradictoire ou plutôt inexistante,
simple
mot par lequel on désigne une oscillation de l’es
sintéresse du contenu de la doctrine, qu’on en ignore la méthode : un
simple
coup d’œil jeté sur les applications montre quel
emble aux perles, rien qui ressemble à quoi que ce soit, entité vide,
simple
mot. L’intuition nous donne la chose dont l’intel
péciale dite stabilité, dans quelle mesure c’est le changement pur et
simple
, qu’il faut conseiller aux sociétés humaines. Son
iginal par une main d’artiste. Adieu l’image que je m’en étais faite,
simple
juxtaposition, figurable par avance, de choses dé
le temps est quelque chose. Donc il agit. Que peut-il bien faire ? Le
simple
bon sens répondait : le temps est ce qui empêche
ui revient à dire que l’idée de Rien, quand elle n’est pas celle d’un
simple
mot, implique autant de matière que celle de Tout
qu’elle l’aura été. » — « Qu’entendez-vous par là ? » — « C’est bien
simple
. Qu’un homme de talent ou de génie surgisse, qu’i
se pas le réel, on admet que la réalisation ajoute quelque chose à la
simple
possibilité : le possible aurait été là de tout t
perturbateur de l’éternité ; mais volontiers ils le réduiraient à une
simple
apparence. Le temporel n’est alors que la forme c
tre. Telle sera la conclusion de notre étude. Gardons-nous de voir un
simple
jeu dans une spéculation sur les rapports du poss
’il faille désespérer d’y atteindre. En ce point est quelque chose de
simple
, d’infiniment simple, de si extraordinairement si
d’y atteindre. En ce point est quelque chose de simple, d’infiniment
simple
, de si extraordinairement simple que le philosoph
uelque chose de simple, d’infiniment simple, de si extraordinairement
simple
que le philosophe n’a jamais réussi à le dire. Et
t à l’infini, n’est donc que l’incommensurabilité entre son intuition
simple
et les moyens dont il disposait pour l’exprimer.
ême. Dégageons-nous de cette complication, remontons vers l’intuition
simple
ou tout au moins vers l’image qui la traduit : du
l’intuition qui fut celle de Spinoza, intuition qu’aucune formule, si
simple
soit-elle, ne sera assez simple pour exprimer. Di
noza, intuition qu’aucune formule, si simple soit-elle, ne sera assez
simple
pour exprimer. Disons, pour nous contenter d’une
ache à l’une ou à l’autre, dans les deux cas on a affaire à une image
simple
qu’il faut garder sous les yeux, parce que, si el
idées, attachons-nous alors à cette formule et regardons-la, elle si
simple
, se simplifier encore, d’autant plus simple que n
et regardons-la, elle si simple, se simplifier encore, d’autant plus
simple
que nous aurons poussé en elle un plus grand nomb
u mot et au-dessus de la phrase il y a quelque chose de beaucoup plus
simple
qu’une phrase et même qu’un mot : le sens, qui es
suivent de loin nos discussions, notre domaine est en effet celui du
simple
possible, tout au plus celui du probable ; volont
terrain de la science, si elle embrasse parfois dans une vision plus
simple
les objets dont la science s’occupe, ce n’est pas
on un accessoire, la synthèse une apparence : philosopher est un acte
simple
. Plus nous nous pénétrerons de cette vérité, plus
onsiste à reconstruire idéalement notre vie mentale avec des éléments
simples
, puis à supposer que la composition entre eux de
, bien loin de se constituer par une association graduelle d’éléments
simples
, est l’effet d’une dissociation brusque : dans le
rcourant l’intervalle AB. Je dis que ce mouvement de A en B est chose
simple
. Mais c’est de quoi chacun de nous a la sensation
droit de se croire définitives. Il y aurait eu pourtant un moyen très
simple
de trancher la difficulté : c’eût été d’interroge
pport assigné au mouvement semble bien n’être qu’un schéma commode, —
simple
concession du savant aux habitudes de notre imagi
d’images différentes de cet objet. Et nous avons pris le cas le plus
simple
! — Supposons toutes ces images emmagasinées ; à
héros autant qu’il lui plaira : tout cela ne vaudra pas le sentiment
simple
et indivisible que j’éprouverais si je coïncidais
. Si je veux communiquer à celui qui ne sait pas le grec l’impression
simple
que me laisse un vers d’Homère, je donnerai la tr
ccomplissez un mouvement dont vous avez intérieurement, la perception
simple
; mais extérieurement, pour moi qui le regarde, v
ration se poursuivra sans fin. Vu du dedans, un absolu est donc chose
simple
; mais envisagé du dehors, c’est-à-dire relativem
donc à l’infini. Mais l’intuition, si elle est possible, est un acte
simple
. Ceci posé, on verrait sans peine que la science
ormes les unes aux autres, elles ramènent les plus complexes aux plus
simples
, enfin elles étudient le fonctionnement de la vie
au moins que nous saisissons tous du dedans, par intuition et non par
simple
analyse. C’est notre propre personne dans son éco
oments identiques chez un être conscient. Prenez le sentiment le plus
simple
, supposez-le constant, absorbez en lui la personn
caractéristique de la durée vécue pour ne plus voir que le mouvement
simple
par lequel la conscience passe d’une nuance à l’a
des concepts, c’est-à-dire par des idées abstraites, ou générales, ou
simples
. Sans doute aucune image ne rendra tout à fait le
le-même à l’intuition. Au contraire, l’inconvénient des concepts trop
simples
, en pareille matière, est d’être véritablement de
mine ou de cercles plus larges dans lesquels l’enfermer. Les concepts
simples
n’ont donc pas seulement l’inconvénient de divise
imie mentale, je n’obtiendrai jamais rien qui ressemble à l’intuition
simple
que j’ai de la durée ; au lieu que si je me repla
s. Elle résout le moi, qui lui a été donné d’abord dans une intuition
simple
, en sensations, sentiments, représentations, etc.
reflète l’ensemble d’une personnalité. Il n’y a pas de sentiment, si
simple
soit-il, qui ne renferme virtuellement le passé e
laquelle il nous achemine est au contraire une représentation unique,
simple
, dont on comprend d’ailleurs très bien, une fois
de la personne. Et elle ne le saura que si elle ressaisit l’intuition
simple
du moi par le moi. Alors, selon la pente qu’elle
on chercherait en vain à réconcilier logiquement, pour la raison très
simple
que jamais, avec des concepts, ou points de vue,
vie intérieure cette entité psychologique que j’appelle une sensation
simple
. Tant que je l’étudie, je suppose qu’elle reste c
pour son développement propre. Pourtant il n’y a pas d’état d’âme, si
simple
soit-il, qui ne change à tout instant, puisqu’il
ar un changement de qualité continuel, et que, s’il est sans qualité,
simple
théâtre du changement, il devient ainsi un milieu
la place où il faudrait le remettre en mouvement pour le ramener, de
simple
schéma qu’il est devenu, à la forme concrète qu’i
éfinition, étant un schéma, une reconstruction simplifiée, souvent un
simple
symbole, en tout cas une vue prise sur la réalité
llement. Pour fixer les idées, si nous prenons la durée sous l’aspect
simple
d’un mouvement s’accomplissant dans l’espace, et
es palpitations plus rapides que les nôtres, divisant notre sensation
simple
, en diluent la qualité en quantité : à la limite
ble que dans le mouvant, et l’on passe du stable à l’instable par une
simple
diminution. » Or, c’est le contraire qui est la v
lé pour dépasser nos idées actuelles et peut-être aussi notre logique
simple
, il est trop évident qu’elle devient artificielle
aissance scientifique est bien ce qu’a voulu Kant, il y a une science
simple
, préformée et même préformulée dans la nature, ai
nes ces oppositions irréductibles. La science moderne n’est ni une ni
simple
. Elle repose, je le veux bien, sur des idées qu’o
ne ici la diversité des systèmes, quelque chose, nous le répétons, de
simple
et de net comme un coup de sonde dont on sent qu’
éjà, en quelque sorte, un disciple vis-à-vis de lui-même. Mais l’acte
simple
, qui a mis l’analyse en mouvement et qui se dissi
ent se dégage la matérialité brute des faits connus. Même dans le cas
simple
et privilégié qui nous a servi d’exemple, même po
s applications qu’il en a faites, tout ce qu’il expose nous paraît si
simple
et si naturel qu’à peine était-il besoin, semble-
ns la plus humble recherche de fait, jusque dans l’expérience la plus
simple
. Là où il n’y a pas un effort personnel, et même
à laisser, prétend enfermer la totalité des choses dans des formules
simples
. Nous aurons une philosophie unique, qui s’édifie
mos » ; et ces mots, d’après leur origine, désignent quelque chose de
simple
, tout au moins de bien composé. On dit « l’univer
du sens commun : toujours on se représente un ou plusieurs principes
simples
, par lesquels s’expliquerait l’ensemble des chose
; notre science ne ferait que la retrouver. Mais l’expérience pure et
simple
ne nous dit rien de semblable, et James s’en tien
ix du maître, du moins put-il en recueillir l’écho. Ce ne fut pas par
simple
amusement qu’il apprit à peindre. À plusieurs rep
à que le peintre s’est placé. C’est en développant une vision mentale
simple
, concentrée en ce point, qu’il a retrouvé, trait
ntention originelle, l’aspiration fondamentale de la personne, pensée
simple
qui équivaut à la richesse indéfinie des formes e
es arts du dessin comme partout ailleurs, disait-on, il faut aller du
simple
au composé. L’élève s’exercera donc d’abord à tra
quand on commence par les courbes caractéristiques de la vie. Le plus
simple
sera ici, non pas ce qui se rapprochera le plus d
essinait maintenant dans son esprit sous une forme plus ample et plus
simple
. De cette forme nouvelle M. Ravaisson n’a pu nous
tration de ces différents points. Nous ne pouvons le résumer dans une
simple
note. Mais comme le livre a souvent été mal compr
dans l’interprétation de la physique. La raison en est pourtant très
simple
. Du point de vue de la physique newtonienne par e
e. De même pour l’idée d’une abolition de toutes choses. Rien de plus
simple
, dira-t-on, que le procédé par lequel on en const
s pièces sont capables de coexister ensemble : elle se réduirait à un
simple
mot, si les éléments qu’on rapproche pour la comp
on de tout, est une idée destructive d’elle-même, une pseudo-idée, un
simple
mot. Si supprimer une chose consiste à la remplac
dée de l’objet A supposé existant n’est que la représentation pure et
simple
de l’objet A, car on ne peut pas se représenter u
rable de sa représentation, est une existence tout idéale, celle d’un
simple
possible. Mais idéalité d’un objet, simple possib
ce tout idéale, celle d’un simple possible. Mais idéalité d’un objet,
simple
possibilité d’un objet, n’ont de sens que par rap
par rapport à une réalité qui chasse dans la région de l’idéal ou du
simple
possible cet objet incompatible avec elle. Suppos
e et plus substantielle, c’est l’existence atténuée et plus faible du
simple
possible qui va devenir la réalité même, et vous
encore une fois, entre l’idée de l’objet A existant et l’idée pure et
simple
de l’objet A ? Donc, par cela seul que je dis « l
’objet A », je lui attribue une espèce d’existence, fût-ce celle d’un
simple
possible, c’est-à-dire d’une pure idée. Et par co
et A sera », ou plus généralement : « l’objet A existe au moins comme
simple
possible ». Maintenant, quand j’ajoute les deux m
toutes choses, est une idée destructive d’elle-même et se réduit à un
simple
mot, — que si, au contraire, c’est véritablement
nscience ou ne lui arrivent que confusément. Considérons un acte très
simple
comme celui de lever le bras. Où en serions-nous,
une série de changements élémentaires sous forme de qualité ou d’état
simple
, par un travail de condensation. Plus grande est
rillions de ces oscillations dans la plus courte de leurs perceptions
simples
. Les premiers ne sentent guère que des mouvements
e du mouvement plutôt que le mouvement même. S’agit-il d’un mouvement
simple
? nous nous demandons où il va. C’est par sa dire
la représentation unique du devenir en général, devenir indéterminé,
simple
abstraction qui par elle-même ne dit rien et à la
r ainsi dire, passe sous nos yeux : nous nous arrangeons pour voir de
simples
différences de couleur, c’est-à-dire d’état, sous
ts propres à toutes les figures un mouvement impersonnel, abstrait et
simple
, le mouvement en général pour ainsi dire, à le me
part du point A pour retomber au point B, son mouvement AB est aussi
simple
, aussi indécomposable, en tant que mouvement, que
l’extension ? La course de la flèche est cette extension même, aussi
simple
qu’elle, indivisée comme elle. C’est un seul et u
ertain nombre de pas, Achille aura enjambé la tortue. Rien n’est plus
simple
. Si vous tenez a diviser davantage les deux mouve
i la réalité même. Enfance, adolescence, maturité, vieillesse sont de
simples
vues de l’esprit, des arrêts possibles imaginés p
: enfance et âge d’homme ne sont plus alors que des arrêts virtuels,
simples
vues de l’esprit : nous avons affaire, cette fois
multiplie dans l’espace et dans le temps. Par lui l’Idée immobile et
simple
se réfracte en un mouvement indéfiniment propagé.
uccessif, chaque qualité, chaque Forme enfin lui apparaîtra comme une
simple
coupe pratiquée par la pensée dans le devenir uni
-dessous d’elle. Écartez de sa position d’équilibre un pendule idéal,
simple
point mathématique : une oscillation sans fin se
énératrice des choses. Et en effet, si l’on tenait les Formes pour de
simples
vues prises par l’esprit sur la continuité du dev
l’âme antique. C’est en vain qu’on voudrait la déduire d’un principe
simple
104. Mais, si l’on en élimine tout ce qui est ven
ute le problème ne se pose en ces termes précis que dans des cas très
simples
, pour une réalité schématisée, car nous ne connai
uelle je ne puis rien ? Si la succession, en tant que distincte de la
simple
juxtaposition, n’a pas d’efficace réelle, si le t
n, ou continuité d’interpénétration dans le temps, irréductible à une
simple
juxtaposition instantanée dans l’espace. C’est po
, et si évidente qu’il n’était même pas nécessaire de la formuler. Le
simple
bon sens nous dit, en effet, que lorsque nous som
e siècle, et très près de l’expérience. Pourtant l’expérience pure et
simple
ne nous dit rien de semblable. Elle nous montre l
, déjà peinte. De même, en composant entre eux les résultats les plus
simples
de l’évolution, vous en imiterez tant bien que ma
les et tangibles ont tout l’air d’être les particules mêmes des corps
simples
, qu’il suppose d’abord disséminées à travers l’es
apercevons. Mais la philosophie remonte plus haut encore que l’éther,
simple
figuration schématique des relations saisies par
cerveau et dans une moelle, tandis que l’activité première est chose
simple
, qui se diversifie par la production même de méca
u’un symbole imaginatif, il verra le monde matériel se résoudre en un
simple
flux, une continuité d’écoulement, un devenir. Et
e comédie. Beaucoup de scènes comiques se ramènent en effet à ce type
simple
. Ainsi, dans la scène du Mariage forcé entre Sgan
comique qui réponde d’une manière satisfaisante à cette question très
simple
. Et la question reste en effet insoluble, tant qu
sonnage unique qui se dédouble, son interlocuteur jouant le rôle d’un
simple
prisme, pour ainsi dire, au travers duquel s’effe
nchement mécanique en adoptant la forme connue d’un dispositif usuel,
simple
, enfantin : vous aurez cette fois l’image que nou
l de la vie, alors qu’envisagé d’un certain côté il apparaît comme un
simple
jouet entre les mains d’un autre qui s’en amuse.
ue la fantaisie ne puisse pousser au comique par l’évocation de cette
simple
image. Il n’y a pas de jeu auquel un Champ plus v
scènes bouffonnes, combien de comédies même vont se ramener à ce type
simple
! Qu’on relise le récit de Chicaneau dans les Pla
mite, par sa raideur d’un genre tout particulier, le mécanisme pur et
simple
, l’automatisme, enfin le mouvement sans la vie. I
e, d’aller puiser à leur source même, dans leur principe permanent et
simple
, les procédés multiples et variables du théâtre c
iels par lesquels la vie, envisagée du dehors, paraît trancher sur un
simple
mécanisme. Il nous suffira alors de passer aux ca
rieurs (réels ou apparents, peu importe) qui distinguent le vivant du
simple
mécanique. Prenons-en le contre-pied : nous auron
scène appartiendrait : vous réduirez ainsi le mot d’esprit à ses plus
simples
éléments et vous aurez l’explication complète. Ap
ans son laboratoire, et qui prétendrait ne les étudier qu’à l’état de
simples
traces dans l’atmosphère ? Mais cette comparaison
rdité n’est pas ici la source du comique. Elle n’est qu’un moyen très
simple
et très efficace de nous le révéler. Nous n’avons
solennel et le familier. On obtiendra les effets les plus gros par la
simple
transposition de l’un dans l’autre. De là, deux d
e transposition, etc., qu’on voudrait exécuter sur elle comme sur une
simple
chose. Le raide, le tout fait, le mécanique, par
plus en plus rapprochés de ceux que nous prononçons, et la série des
simples
cris est devenue presque semblable à ce que serai
cution facile et sûre (toujours sans en comprendre le sens), comme un
simple
gazouillement qu’il lui est agréable de faire. —
nt plus de quinze jours, sans intention, sans signification, comme un
simple
ramage, comme une articulation facile et amusante
em comme le mot papa, sans lui donner un sens précis, à la façon d’un
simple
ramage ; elle exerçait une articulation dentale t
t bien des pas à un enfant pour arriver à des idées qui nous semblent
simples
. Quand ses poupées avaient la tête cassée, on lui
s semaines, les sons qu’il a proférés n’étaient que des cris, et très
simples
, cris de douleur, de malaise, de besoin, analogue
te du cri primitif, ne traduisait plus seulement la douleur brute, le
simple
malaise ; quoique rudimentaire et bornée, elle ma
e. — Jamais il ne dit ce mot devant une personne vivante ni devant un
simple
paysage sans figures. Bien mieux, jamais il ne le
e temps, M. Max Müller, vient d’en donner une solution à la fois très
simple
, très ingénieuse et très solidement fondée. Sur t
’un est un chien et l’autre un arbre, outre l’intuition et perception
simple
, il a un concept ; il range l’objet dans une clas
grand ; dans y-cang (avec un bâton, en latin baculo), y n’est pas une
simple
préposition comme en français, c’est une racine,
nimum de matière et de sens, à une particularité d’orthographe, à une
simple
lettre terminale, presque vides et presque nuls,
est là que la clef doit se trouver, si elle est quelque part. Le plus
simple
concept est celui qui consiste à réunir deux chos
famille ? Ici, la faculté d’abstraire nous vient en aide. Un cas très
simple
nous montrera comment le travail de la pensée et
e la grêle ; mais à la fin elles se combinèrent toutes dans la racine
simple
pat, exprimant le mouvement rapide, soit pour tom
’un spectacle de marionnettes, c’est de ne pas apercevoir le fil. Les
simples
prennent la chose au sérieux, à peu près comme si
s dupes. Il en est ainsi du respect : le respect est naturel chez les
simples
, les superficiels s’en défendent avec une fatuité
ce n’est pas la peine de faire tant de fracas d’une découverte aussi
simple
. Les superficiels, au contraire, crient, tempêten
le : car il devient alors de bon ton de faire le malin et de dire aux
simples
: Ah ! que vous êtes bons de vous y laisser prend
Notre costume est bien étroit et bien artificiel comparé à l’ampleur
simple
et noble du costume antique : mais enfin ce n’est
tits-fils des héros de la grande épopée ! Je m’entends mieux avec les
simples
, avec un paysan, un ouvrier, un vieux soldat. Nou
Le génie, c’est d’avoir à la fois la faculté critique et les dons du
simple
. Le génie est enfant ; le génie est peuple, le gé
ns du simple. Le génie est enfant ; le génie est peuple, le génie est
simple
. La vie brahmanique offre le plus puissant modèl
es sources poétiques du passé et à nous séparer par notre langage des
simples
qui adorent si bien à leur manière. Dites aux sim
tre langage des simples qui adorent si bien à leur manière. Dites aux
simples
de vivre d’aspiration à la vérité et à la beauté,
je crois la question impertinente ; car il faut s’arrêter aux notions
simples
. Au-delà est le gouffre. La raison ne porte qu’à
; sans racines, sans feuilles, il n’y a pas de fleurs. L’acte le plus
simple
de l’intelligence renferme la perception de Dieu
e plus parfait modèle de son gouvernement. La France, qui trouve tout
simple
qu’une loi émanée de Paris devienne à l’instant a
tendances inconciliables avec la culture moderne. Mais qu’importe au
simple
tout cela ? Il ne cueille que la fleur : que lui
e l’idéal qui pénètre jusque sous ce toit de chaume. J’aime cette foi
simple
, comme j’aime la foi du Moyen Âge, comme j’aime l
re œil. Au contraire l’idée d’une orange résulte réellement des idées
simples
de couleur, forme, goût, etc., parce qu’en interr
des cas de chimie mentale où il est plus exact de dire que les idées
simples
produisent les idées complexes, que de dire qu’el
raisonnement, selon notre auteur) s’explique par l’expérience pure et
simple
; elle n’est que la succession invariable et inco
ions de l’expérience, les généralisations les plus aisées et les plus
simples
des faits fournis par les sens et la conscience10
tions générales correspondantes. » Les propositions générales sont de
simples
registres des inférences déjà effectuées, et de c
ce de tout le cours de la nature. Toutes ces uniformités, qui sont de
simples
résultats de causation, seraient alors mises à nu
ut raisonner sans elles, et c’est ce qu’on fait dans les cas les plus
simples
; elles ne sont nécessaires que pour faire avance
invariable, certaine et inconditionnelle : et il en est peu à qui la
simple
constance de la succession semble un lien assez f
re par la nécessité qu’ils reconnaissent dans nos actions plus qu’une
simple
uniformité de succession qui permet de les prévoi
essité, et on l’éviterait en s’abstenant d’employer, pour exprimer le
simple
fait de la causalité, un terme aussi complètement
mpropre que celui-là. Ce mot, en effet, implique beaucoup plus qu’une
simple
uniformité de succession, il implique irrésistibi
ines : deux qu’il repousse et une qu’il accepte : Le fatalisme pur et
simple
, — le fatalisme asiatique ou celui d’Œdipe, — sou
rancher la difficulté, l’esprit seul ne suffit pas toujours ; le plus
simple
est que le cœur s’en mêle. Frédéric Cuvier mouran
écrivant en français et non venus à Paris, c’est précisément le goût
simple
. Par là il ressemble à Mme de Charrière : on n’en
e, dit-il, ramène toujours ceux qui l’ont faite avec fruit à paraître
simples
et sans prétentions, en sorte que l’on travaille
au point par où l’on devrait commencer. » Ainsi Hamilton est aisé et
simple
de goût, comme l’est Voltaire. Le comte Xavier s’
re preuve d’un esprit bien subtil ou bien inquiet que de voir dans la
simple
histoire de ce bon Lépreux, à côté de passages re
u raisonnement en peine qui ne parvient qu’à surcharger le naïf et le
simple
. Les auteurs du Lépreux corrigé ont méconnu l’une
e l’autre, éloquent. Ah ! laissez, laissez le lecteur conclure sur la
simple
histoire ; il tirera la moralité lui-même plus sû
e même que la nudité d’un terrain le fait paraître moins étendu. » Le
simple
et doux Lépreux fit son chemin dans le monde sans
de lui donner un missionnaire ; elle finit par épouser son amant. La
simple
, la réelle, la pieuse et vaillante jeune fille, P
me, il semble les adopter naturellement comme l’ordre d’idées le plus
simple
du monde ; il trouve que le plus beau livre du co
thentique, et je le donne comme consolant. Le culte du touchant et du
simple
conserve donc encore et sait rallier à petit brui
grets de la vie élevée et choisie pour laquelle elle était née. Fille
simple
, généreuse, capable de tous les devoirs et de tou
mère et elle ne reçussent habituellement aucune personne du lieu, les
simples
propos des voisines, la plupart du temps en émoi
vraiment. Mais de tous ces amours le plus parfait pourtant et le plus
simple
, à les bien comparer, sera toujours celui qui est
role inutile, pas un regard. Elle ne le connaît que de nom et par une
simple
information dérobée aux propos voisins. Elle l’ad
saisissait, sans qu’un seul mot fût dit. Ses lettres, à lui, étaient
simples
, sous enveloppe, sans cachet, adressées à Paris,
l ne l’a pas vue ! Il est vrai qu’elle ne lui apparaît qu’en toilette
simple
, sans autre fleur qu’elle-même, derrière des barr
S’il entre pourtant, s’il a paru au seuil, en ce moment même, avec sa
simple
question habituelle, tête découverte et stricteme
obstacle… Quoi ? ni muraille, ni cloison, ni grille de fer, mais une
simple
grille de bois comme ici, et entr’ouverte encore,
tes dépouillées ; c’était maintenant l’hiver. Que cette chambre d’une
simple
et virginale élégance, qu’ornait en un coin le po
e celle qui lui vient. » Christel tressaillit et l’arrêta ; ce fut un
simple
geste, un signe de tête accompagné d’un coup d’œi
ce achevait sa lettre par ces conseils aux jeunes écrivains : Soyons
simples
, enfin. Disons-nous que nous parlons pour être en
llez agréer, etc. Qu’il me soit permis, sans prétendre clore par une
simple
lettre une discussion à l’objet de laquelle je co
s, le clair des passions étant déduit, que pour des’entreprises moins
simples
et moins courtes des procédés plus lents et plus
s, comme M. Mallarmé, ce très pur poète, disent des mots si hautement
simples
que cette époque ne les saurait entendre, perdue
la langue d’une part et de l’autre aux sources des Mythes. — « Soyons
simples
», dites-vous encore ; Ici, et pour conclure, lai
coulant », Vous ne parlez pas de cette simplicité-là. M. Zola est-il
simple
? Vous l’estimez vulgaire. M. Daudet ? Il est fai
estimez vulgaire. M. Daudet ? Il est fait de petits artifices, « Etre
simple
, c’est parler pour être entendu. » — De qui « De
ue generalement parlant, la musique est beaucoup plus efficace que la
simple
déclamation, que la musique donne plus de force a
parlant de la poësie du stile qu’elle devoit exprimer avec des termes
simples
les sentimens, mais qu’elle devoit nous présenter
oeur agité d’une nouvelle passion. Il n’y entre qu’une image des plus
simples
, celle de l’amour qui décoche ses traits sur Medé
la composition, ou par l’arrangement des mots regardez en tant que de
simples
sons, c’est de quoi il a fallu convenir dans tous
s. — Ces liaisons sont de diverses sortes. — Liaisons unilatérales ou
simples
. — Liaisons bilatérales ou doubles. — Les deux ca
t que, ayant dégagé et pensé à part certains caractères généraux très
simples
, nous combinions entre elles les idées ainsi acqu
ns ce cas, l’attache qui joint les deux caractères est unilatérale ou
simple
. — Ou bien le premier caractère entraîne par sa p
st le plus fréquent, l’attache des deux caractères est unilatérale ou
simple
; c’est le plus important, et c’est celui que nou
upe bonne, chat méchant, etc. Le mécanisme de cette jonction est très
simple
, et ici la pensée animale conduit naturellement à
et, nous nous reportons à côté de lui, nous en étudions d’autres plus
simples
; nous examinons divers effets ou conséquents ana
auses du mouvement des planètes, nous établissons, par des inductions
simples
, d’une part, la loi qui lie le mouvement dirigé s
qui ont réuni des phénomènes vastes et compliqués sous quelques lois
simples
. » Elle n’est qu’une dérivation des précédentes,
naissance et nous démêlons son fonds ; elle renferme un élément plus
simple
et se ramène à l’idée du même ; en effet, à un ce
ène une notion à d’autres que l’on n’a pas et qui sont beaucoup moins
simples
que la première. Qu’entend-on en effet par une li
t dites parallèles l’une à l’autre. Mais il est une construction plus
simple
encore, ou du moins plus naturelle, et qui nous p
il en est ainsi de toutes les constructions mentales qui, étant très
simples
, engendrent le premier-né d’une famille nouvelle
tion précédente à propos de la ligne droite ; elle engendrait la plus
simple
des lignes et, avec le point en mouvement, créait
ension. Telle est notre construction présente ; elle engendre la plus
simple
des surfaces et, avec la droite en mouvement, cré
e serait une dernière construction analogue, qui engendrerait le plus
simple
des solides et, avec notre surface en mouvement,
e construire les mouvements composés, il faut construire le mouvement
simple
, puisque les mouvements composés ne sont que des
que les mouvements composés ne sont que des combinaisons du mouvement
simple
. Or tout mouvement qui n’est pas uniforme et rect
qui n’est pas uniforme et rectiligne est composé ; seul, celui-ci est
simple
. Car, au point de vue du temps, sa forme est simp
eul, celui-ci est simple. Car, au point de vue du temps, sa forme est
simple
, puisque, à tous les moments, sa vitesse est la m
tesse est la même ; et, au point de vue de l’espace, sa direction est
simple
, puisque la ligne qu’il décrit, étant droite, se
imple, puisque la ligne qu’il décrit, étant droite, se trouve la plus
simple
des lignes. À ce double titre, il est l’élément d
. Le lecteur voit sans difficulté qu’un raisonnement analogue et plus
simple
encore s’applique au corps en repos ; car, dans c
es dans une supposition ou construction initiale. — C’est pourquoi la
simple
analyse nous a suffi jusqu’ici et nous suffit enc
nt qui n’est pas uniforme. Nous n’examinerons que le premier, le plus
simple
de tous ; dans celui-ci, la vitesse de AB pendant
CD, comme S est le milieu de AB. Des considérations géométriques fort
simples
montrent que ce point S′ est sur la diagonale, c’
s a formés, comme on forme toute autre proposition analytique, par la
simple
analyse de la combinaison mentale dans laquelle,
u’elle est comprise dans la définition de la grandeur. — Soit la plus
simple
de toutes les grandeurs, une collection d’individ
s éléments empruntés à la réalité externe, avec les éléments les plus
simples
et combinés de la façon la plus simple. Mais il n
e, avec les éléments les plus simples et combinés de la façon la plus
simple
. Mais il n’y a là que des chances ; au dernier fo
riverait à considérer l’ensemble des événements et des êtres comme un
simple
monceau. Nulle nécessité intérieure ne produirait
scientifique et philosophique ramène l’art, comme le beau même, à un
simple
jeu de nos facultés ; du reste, elle ne prétend p
générale ; et non seulement en théorie, mais en fait, l’art semble un
simple
jeu d’adresse, où c’est une preuve de force que d
se restreint à une sensation plus ou moins raffinée, se réduit à une
simple
forme intellectuelle, à une fiction fugitive, pur
es sons et des couleurs, ou même celui des odeurs subtiles, naît d’un
simple
exercice, d’un simple jeu de tel ou tel organe, s
s, ou même celui des odeurs subtiles, naît d’un simple exercice, d’un
simple
jeu de tel ou tel organe, sans profit visible ; i
la vie intérieure. Bien avant la danse et les mouvements rythmés, la
simple
action de se mouvoir a pu fournir à l’homme des é
e, est en somme invisible et cachée ; quand ce mot ne désigne pas une
simple
formule de mécanique abstraite, il désigne un dép
r la conscience. La force, cette première beauté, se ramène donc à un
simple
état de la conscience, lié lui-même à des sentime
volonté avec soi. Quant à la grâce, elle est bien autre chose que la
simple
économie de la force, seule définition que M. Spe
qu’il aperçoit pour la première fois. Dans l’Assomption du Titien, le
simple
renversement de la tête et les yeux agrandis suff
ussi l’émotion artistique peut-elle être considérée souvent comme une
simple
forme dérivée de l’émotion morale. L’art, qui a p
nt MM. Spencer et Grant Allen pour ramener le plaisir esthétique à un
simple
jeu de nos organes excluant tout but utile. Les s
l pas alors qu’on ait raison de réduire les plaisirs de ce genre à un
simple
jeu ? Pour le savoir, analysons plus intimement l
t l’accord parfait après une longue série de dissonances ; mais cette
simple
sensation de fraîcheur était bien plus profonde,
t par des contrebandiers en des circonstances analogues, — et même la
simple
trouvaille d’une source sur le flanc d’une montag
riche gamme de couleurs d’un Delacroix ne produira qu’une impression
simple
et confuse. Cependant, tous deux pourront goûter
l’offrir, peut-être un corsage dont elle pourrait être la parure. Une
simple
couleur est déjà expressive. Ce n’est pas sans ra
t acquiert-elle ce caractère ? — C’est là, nous l’avons déjà dit, une
simple
affaire de degré, et il ne faut pas demander des
voix solitaire à une symphonie, correspond au passage de la sensation
simple
à l’émotion esthétique. Au reste, il n’est pas de
ion esthétique. Au reste, il n’est pas de sensation qui soit vraiment
simple
, pas plus qu’il n’est de son simple ; il n’est pa
as de sensation qui soit vraiment simple, pas plus qu’il n’est de son
simple
; il n’est pas de plaisir purement local dans leq
èse, serait ou purement sensuel, ou purement intellectuel, ou dû à un
simple
exercice de la volonté, ne pourrait acquérir de c
e supériorité, le jeu est le mouvement qui se rapproche le plus de la
simple
action réflexe ou instinctive, et, d’autre part,
général tout objet réel de désir et de possession pour se réduire au
simple
exercice, au simple jeu de notre activité. Selon
réel de désir et de possession pour se réduire au simple exercice, au
simple
jeu de notre activité. Selon nous, au contraire,
cette clarté matinale de l’étoile, le poète entend autre chose qu’une
simple
lueur matérielle ; on entrevoit le symbole et la
e. Puisque, croyons-nous, rien ne sépare le beau et l’agréable qu’une
simple
différence de degré et d’étendue, voici ce qui te
l existe encore en lui des émotions plutôt animales qu’humaines, trop
simples
, incapables d’acquérir cette infinie variété que
: s’il se déforme, peu importe ; l’industrie, les grands ateliers, le
simple
bureau de l’employé penché sur sa table, les salo
fin, est pour le sculpteur le moyen… Le détail n’est pas pour lui une
simple
matière de curiosité ou un sujet de recherche, ma
e ! Dès maintenant, nous ne pouvons plus nous contenter d’une mélodie
simple
soutenue par un accompagnement simple ; peut-être
us nous contenter d’une mélodie simple soutenue par un accompagnement
simple
; peut-être, dans quelques siècles, nous faudra-t
images nouvelles et expressives que le poète, avec les mots les plus
simples
, sait évoquer devant l’esprit de son lecteur. Un
nt dans les rues et lançant sur les flammes un jet d’eau démesuré. Le
simple
marteau du forgeron n’a pas la sublimité du marte
mplations sur le sort de notre globe et de l’humanité a pour titre un
simple
point d’interrogation. Y a-t-il des découvertes q
ui suffira toujours à entretenir dans l’art, au-dessus du beau pur et
simple
, le sentiment du sublime. L’obscurité qui prête u
nts était tout à coup mise en liberté, elle produirait un éclair ! Un
simple
tas de neige devient une merveille pour celui qui
ppliquer non seulement à des êtres réels, mais à de pures idées, à de
simples
possibilités, à des formes, à des lois ; par exem
donc se réduire, pas plus que la science même, à la sensation pure et
simple
, à la couleur, aux sons, à la chair, à la superfi
re toutes choses à sa manière, sous forme d’accords. Rien n’y restera
simple
et pauvre, isolé, abstrait artificiellement du re
s les mouvements, change l’agitation en ondulation régulière. Dans la
simple
impatience ou dans l’inquiétude, notre jambe se r
au cœur de l’auditeur. Ainsi, parler en vers, c’est déjà dire par la
simple
cadence de son langage : Je souffre trop ou je su
, soit en deux parties inégales dont les nombres offrent des rapports
simples
et soient divisibles par le même chiffre. Ces pri
ussi, pour comprendre la rime, faut-il y voir tout autre chose que la
simple
répétition du même son ; elle est un moyen de mar
douzième syllabe ; la rime était ce moyen. Elle ne fut d’abord qu’une
simple
assonance, puis alla se perfectionnant avec le se
ls on se repose ; elle est une sorte d’écho nous renvoyant non pas un
simple
bruit, mais un même son musical, et nous le renvo
qu’on a nommée règle d’or, et qui établit entre les lignes un rapport
simple
. Par exemple, une croix n’est élégante que si ce
pport simple. Par exemple, une croix n’est élégante que si ce rapport
simple
existe entre le pilier et les bras. De même, en m
e même, en musique, les accords résultent, comme on sait, de rapports
simples
entre les nombres des vibrations. Il en est ainsi
e loi du vers n’a été violée ; la mesure de | a été conservée avec un
simple
contre-temps à la seconde mesure, et cependant qu
eux vers en un53. On voit combien la « révolution romantique » · est
simple
au fond, et combien ceux qui l’ont faite ont eu t
dans ces deux parties, les nombres des syllabes offrent des rapports
simples
et sont divisibles par le même chiffre. C’est ce
é οù l’on est de le diviser en parties égales ou offrant des rapports
simples
, nous semble vraiment le condamner. Le voici sous
indépendante de chacune de ses syllabes ; 3º à cause du son franc et
simple
de ses voyelles, qui peuvent plus difficilement q
d’une véritable gamme de sons : il suffit de prendre pour exemple la
simple
interjection : Ah ! La rencontre des voyelles ne
n ne se fane comme les papillotes : il n’y a d’éternel que ce qui est
simple
. C’est pourtant vers cette époque d’effort stéril
u second rang dans la rime, que celle-ci a commencé par n’être qu’une
simple
assonance. Empruntons un point de comparaison à l
e grand V. Hugo de certaines de ses œuvres. L’impossibilité de rester
simple
en cherchant des rimes riches risque à son tour d
ou tel effet des Orientales, où le heurt d’images rapprochées par le
simple
hasard de la rime produit des couleurs crues comm
t non seulement au sujet de sons musicaux comme les voyelles, mais de
simples
bruits comme les consonnes. Il n’est pas plus néc
e dans la musique, quoi qu’en aient dit MM. Hanslick et Beauquier, le
simple
plaisir de l’oreille ne nous suffit pas : nous vo
riant sans cesse la hauteur des sons, peut encore nous charmer par de
simples
roulades et des fioritures. Il n’en est plus ains
re son harmonie du rythme et de l’accent ; nous ne l’écoutons plus en
simples
dilettanti et pour ainsi dire avec notre oreille
stera le langage naturel de toute émotion grande et durable. Les mots
simples
, primitifs, concrets, qui seuls conviennent à ce
beau (Mind, oct. 1880) ; pour nous, nous croyons que ce n’est pas un
simple
facteur, mais un élément même de l’émotion esthét
eurs vers ; le chant prolonge habituellement les syllabes plus que la
simple
parole. — Enfin, pour enlever au rythme sa monoto
iii. 41. Voici comme exemple deux vers de Racine du rythme le plus
simple
et le plus typique : 42. Rien ne nous semble
dans les expériences de Helmholtz, on peut démontrer d’une façon très
simple
que la variation des voyelles est due aux variati
profondes. La forme 9 et 3 (ou 3 et 9), offrant encore des rapports
simples
, ne manque pas d’harmonie ; ce qui la rend moins
facilement parce qu’il s’agit ici de deux très petits nombres, et une
simple
variété est introduite au sein d’un rythme consta
ec écrit, luth avec salut, etc. Th. Gautier se contente parfois de la
simple
assonance et fait rimer par exemple baisers et ap
d il exprime les idées les plus hautes, c’est par les moyens les plus
simples
, et l’idée grandit dans cette simplicité même de
t pas du déterminisme profond qui relie toutes choses, qui fait qu’un
simple
détail a parfois le prix d’un monde et que, chang
re un meilleur effet pour l’œil. Le beau n’a jamais été absolument le
simple
, mais le complexe simplifié ; il a toujours consi
t dernier de produire la conviction, n’ont pas en somme de moyen plus
simple
pour cela que d’être véridiques ; l’éloquence la
ne amie de la lumière. Mais on a trop fait du laid et du dissonant de
simples
condiments dans la préparation savante de l’œuvre
pourraient pas rendre par des consonances ou des rythmes réguliers et
simples
. La vie est une lutte avec des alternatives sans
par le génie ; mais la recherche ou même la tolérance du laid tue le
simple
talent. Tersite est peut-être au fond pour l’arti
pas déjà prédisposés à cet état mental. C’est une voie beaucoup plus
simple
pour produire, par exemple, l’émotion de la peur,
nt la couleur, qui, depuis Delacroix est le tourment des peintres. La
simple
nouvelle comme le roman renferment cette idée pro
ns le passé qu’un point sombre, bientôt effacé lui-même : c’est là un
simple
exemple de ce qui se passe sans cesse dans la vie
ue par la date à laquelle on les place, et qui reste trop souvent une
simple
étiquette, un simple chiffre, sans nous faire voi
elle on les place, et qui reste trop souvent une simple étiquette, un
simple
chiffre, sans nous faire voir la Grèce d’alors. L
le passé concret. Elle fait du réalisme, mais elle l’idéalise par le
simple
recul et par l’effet du lointain. Spencer constat
e esprit, des objets replacés ainsi dans le temps passé, qu’une image
simple
, l’expression du sentiment primitif qui les a fai
e, l’expression du sentiment primitif qui les a faits ; et ce qui est
simple
et profond n’a rien de vil. Une pique du temps de
océdé est celui qui inspire les descriptions de la nature, depuis les
simples
campagnes des diverses régions de notre France ju
ouveaux, plus sympathiques, doués de sentiments plus profonds et plus
simples
tout ensemble, enfin une nouvelle cité de l’art,
ol de la Judée, c’est cette littérature beaucoup plus colorée et plus
simple
tout ensemble que les œuvres grecques, beaucoup p
re littérature romantique se soit inspirée de la Bible, cela est tout
simple
, puisqu’elle chercha dès ses débuts à faire des p
e femme. » Ainsi doit être le poète. Le paysage n’est pas pour lui un
simple
groupement des sensations ; il leur donne une tei
re générale, on peut dire qu’un des moyens d’enlever, même dans cette
simple
proportion, la vie à la nature, c’est de tomber d
pouvait s’arrêter, ils n’avaient qu’à descendre, et cette chose bien
simple
n’était pas plus facile, cependant, que de remuer
ière à faire distinguer un petit nombre de détails précis qui sont de
simples
points de repère dans la vue d’ensemble, qui accu
its distingués et dédaigneux de ce temps-ci, ne se rebutent jamais du
simple
, et il se réservait d’en relever ce qui touchait
he, en s’oubliant, s’élevaient chacun à la poésie, à l’art naturel et
simple
, à la pure source première du beau et du grand. C
ont les historiens hommes de lettres se dispensent trop aisément. Une
simple
teinture, à lui, ne lui suffisait pas ; il veut,
cit. Ce qu’on a droit de trouver, c’est que ce récit est souvent plus
simple
, plus lucide que les choses elles-mêmes ; qu’il n
et, lacrymæ volvuntur inanes. N’oublions pas toutefois que, dans les
simples
et admirables pages où il raconte, après le 9 the
istoire les modernes ne doivent viser qu’au fait même, à l’expression
simple
de leur idée : moindres que les anciens à tant d’
son Histoire de l’Empire, il s’est efforcé de joindre à ses qualités
simples
celle qui y mettrait le relief et le cachet, la c
rhétorique, un beau lieu-commun académique, on a la réalité grande et
simple
. M. Thiers, qui loue chez le maréchal Saint-Cyr l
e soir, chez ses amis, en récitant d’un accent pénétré cette noble et
simple
parole finale du Système du Monde : « Conservons,
ervices publics, M. Thiers conseillait, au contraire, le rejet pur et
simple
du budget ; « ne pas affaiblir le gouvernement, l
e, écrivait le 12 février : « Elle (la nation anglaise) fit donc une
simple
modification de personnes en 1688, pour compléter
aimé le génie, et elle a vu ce que lui a coûté cet amour. Des vertus
simples
, modestes, solides, qu’une bonne éducation peut t
t, ne nous concernent plus ici, et sortent de notre portée dans cette
simple
esquisse littéraire que nous essayons. Puisque no
rs, lui, n’en eut jamais. Naturellement passionné pour le grand et le
simple
, amoureux de ses propres études et vivant dans l’
ce naturel exquis de Voltaire. Les temps sont passés ; mais un style
simple
, vrai, calculé, un style savant, travaillé, voilà
du monde, de Napoléon dans ses Mémoires, voilà les modèles du langage
simple
et réflechi propre à notre âge. » Et il finit pa
ive. Et puis l’idée du grand homme s’ajoute aussitôt à son expression
simple
, l’imagination du lecteur fait le reste, et l’œil
n tout, l’expression a beau être grandiose et mâle, il la veut encore
simple
; il admire Corneille, dit-il, mais il préfère Ra
ue celle du sujet, l’éloquence n’est que celle des choses. Parfois un
simple
mot jeté, un mouvement rapide trahit l’émotion de
III est d’une critique chaude, cordiale et franche ; c’est du Diderot
simple
. 23. Voir, dans l’article de M. de Rémusat sur M
e, la façon dont M. Zola assemble ses mots en phrases est extrêmement
simple
, commode, apte à tout. Il procède d’habitude par
ulation énorme des nourritures de Paris, rendent ce spectacle, par le
simple
narré des sensations que perçoivent leurs yeux et
Goncourt. M. Zola a constamment proposé à son analyse des caractères
simples
et sains, ou déséquilibrés par une maladie concrè
uente, identique et directe, se sent parfois en présence d’êtres trop
simples
pour des hommes. De même, mais dans une plus faib
u profit de l’espèce, la séduction de leur sensualité. Que ce soit le
simple
et presque symbolique attrait d’une enfant ignora
n, personnifie, en des êtres devenus tout à coup surhumains, les plus
simples
et les plus abstraites manifestations de la force
Il vaut mieux %99 %faire observer qu’un précepte de facture reste une
simple
recette, que peindre d’une certaine façon ne veut
ne, si douce, sensée, aimante, d’une si belle noblesse d’âme et toute
simple
; c’est même cette brute de Lantier, qui, s’il ne
anœuvre à clamer des théories ridicules, serait en somme un être bon,
simple
et fort, qui eût pu être un brave homme faisant d
ameurs sur ses talons. Toutes ces âmes sans doute sont rudimentaires,
simples
, sans développement vers le haut et sans complexi
qu’il y a des actes intellectuels, que la conscience nous donne comme
simples
et indécomposables, et que l’analyse résout parfa
eront communes à toutes pourront être considérées comme primitives et
simples
; et celles qui sont propres aux races civilisées
en ajouter une dernière : M. Bain porte à neuf le nombre des émotions
simples
. Faut-il croire qu’elles sont absolument irréduct
sion sous une autre forme et d’une autre manière. Toutes les émotions
simples
ou composées avaient pour première source l’amour
émotions, tandis que les associations par contiguïté, fondées sur une
simple
routine, nous laissent indifférents. Il y a au co
ndis que les sentiments rangés sur les neuf titres qui précèdent sont
simples
, irréductibles, les émotions esthétiques et les é
uisse. Sa méthode expérimentale, très bonne quand elle s’applique aux
simples
phénomènes psychiques, ne nous paraît pas aussi h
aient le caractère esthétique, il faut donc qu’elles ne soient pas la
simple
propriété de l’individu ; c’est ce qui fait que l
oppement et en quelle mesure ? Comment, par la composition d’éléments
simples
, a-t-il pu se produire pour l’homme des émotions
voit aisément le but de cette disposition de notre être. Si un rayon
simple
n’éveillait en nous qu’une seule sensation de cou
celles du blanc, du gris et du noir. — D’autre part, si chaque rayon
simple
éveillait seulement deux sensations de couleur, n
outes ensemble, mais chacune différemment, sont excitées par un rayon
simple
du prisme. Leur assemblage fait une couleur spect
sives et semblables qui, pour nous, forment un bloc indécomposable et
simple
. Nouvelle preuve du travail sourd qui se passe au
ons excitées par son action se laissent elles-mêmes ramener à un type
simple
, comme il arrive pour celles de son, ou à des typ
as besoin, comme l’autre, d’une action chimique pour se produire ; un
simple
contact l’excite ; une barbe de plume, les doigts
rviennent pour la faire naître. La bouche est donc, non pas un organe
simple
, mais une succession d’organes, et une saveur, mê
traordinairement petites ; que chacune d’elles, si le corps n’est pas
simple
, est elle-même composée de plusieurs atomes diffé
stinctif de leurs sensations, c’est que chacune d’elles, même la plus
simple
, lorsqu’elle arrive à la conscience, est constitu
rs des blocs indivisibles pour la conscience, et semblent des données
simples
, différentes d’essence et opposées de qualité. Tr
ensation dont nous avons conscience est un composé de sensations plus
simples
, qui sont elles-mêmes composées de sensations plu
tions plus simples, qui sont elles-mêmes composées de sensations plus
simples
, et ainsi de suite. Ainsi la sensation d’un accor
t qu’une sensation indécomposable pour la conscience, et en apparence
simple
, est un composé de sensations successives et simu
troisième, les odeurs qui, comme le blanc, paraissent des sensations
simples
, sont, comme le blanc, des sensations composées,
de sensations momentanément absentes, que les noms généraux les plus
simples
sont des substituts d’images et de sensations imp
es faits du dehors, présents, passés, futurs, particuliers, généraux,
simples
, complexes, ont leurs représentants internes, et
ne une vue d’ensemble et une explication extraordinairement claire et
simple
de tous les phénomènes qui appartiennent à la sci
Fénelon l’est par le goût, le délicat, le fin le négligent d’un tour
simple
et divin ; il l’est dans son Télémaque, dans ses
se. Bernardin de Saint-Pierre, sans tant d’étude, y atteint mieux par
simple
génie ; héritier en partie de Fénelon, il a, dans
rès parisien, qui ne remontait pas au grand et ne rendait pas même le
simple
et le pur. Heureusement André Chénier était né, e
t et refaisant la Grèce, quelque chose de cette qualité grecque fine,
simple
et subtile, négligée et élégante, railleuse et ré
ans ses diverses sphères d’activité, depuis son premier essor le plus
simple
jusqu’à nos jours, je crois avoir découvert une g
de l’univers. (4) Dans l’état métaphysique, qui n’est au fond qu’une
simple
modification générale du premier, les agents surn
xcitée par le pur espoir de découvrir les lois des phénomènes, par le
simple
désir de confirmer ou d’infirmer une théorie. Mai
dis que, d’un autre côté, ce fait général nous est présenté comme une
simple
extension d’un phénomène qui nous est éminemment
omènes astronomiques d’abord, comme étant les plus généraux, les plus
simples
et les plus indépendants de tous les autres, et s
hique d’un caractère absolument opposé. (3) Tout se réduit donc à une
simple
question de fait la philosophie positive, qui, da
tuel ; car, si vous étiez seulement occupés à faire le calcul le plus
simple
, que deviendrait l’observation intérieure ? D’un
omme irrévocablement terminée. Car ce n’est pas là, ce me semble, une
simple
question de chimie. Je crois pouvoir avancer que,
tre regardé, dans l’état présent de nos connaissances, comme un corps
simple
ou comme un corps composé. Vous savez par quelles
rès cela, que, pour décider réellement si l’azote est ou non un corps
simple
, il faudra nécessairement faire intervenir la phy
ler ici une considération aussi essentielle. Quelques réflexions bien
simples
suffiront pour justifier ce qu’une telle qualific
urir à son triomphe. La recherche étant une fois réduite à ces termes
simples
, elle ne paraît pas devoir rester longtemps incer
par laquelle on pourrait ne voir dans les phénomènes chimiques que de
simples
effets moléculaires de l’attraction newtonienne,
et la chimie. Aussi Laplace n’a-t-il présenté cette idée que comme un
simple
jeu philosophique, incapable d’exercer réellement
ption abstraite, une association d’idées sont des faits naturellement
simples
et surtout homogènes. Mais une passion, un sentim
’être en état de ramener une émotion très complexe à une émotion plus
simple
, et de remonter ainsi graduellement jusqu’à un fa
le ; ou bien au contraire de partir des phénomènes affectifs les plus
simples
, et de montrer comment, par addition, se forment
taché à montrer comment les émotions complexes résultent des émotions
simples
par association. La méthode reste donc la même, e
e sur les sentiments. Le mode d’exposition est également net, lucide,
simple
, peut-être simple à l’excès, ce qui est bien près
ts. Le mode d’exposition est également net, lucide, simple, peut-être
simple
à l’excès, ce qui est bien près de l’inexactitude
ar la juxtaposition, ou pour mieux dire, par la fusion des sentiments
simples
; que l’affection étant le résultat d’un plaisir,
ons fait en état de somnambulisme) uniquement par leurs résultats. Ce
simple
fait détruit l’argument entier de M. Comte. Tout
qui est fourni par l’esprit en vertu de ses facultés propres. Le plus
simple
de tous les phénomènes, une sensation extérieure,
is non un fait ultime. Elle pense qu’on peut le résoudre en lois plus
simples
et en faits plus généraux ; et qu’on peut découvr
hénomènes les plus abstrus de l’esprit sont formés de phénomènes plus
simples
et plus élémentaires. 2° Que la loi mentale par l
s, mais aux phénomènes complexes eux-mêmes, et les résout en éléments
simples
, comme cela se fait en chimie pour tout corps com
ie pour tout corps composé. La première analyse les lois en lois plus
simples
, la seconde analyse les substances en substances
cipes se distinguent, d’une part, des lois empiriques résultant de la
simple
observation ; d’autre part, des hautes généralisa
eux, et rien pour lui. Je veux un sublime si familier, si doux et si
simple
, que chacun soit d’abord tenté de croire qu’il l’
on, il faut des peintures naïves ; il faut de la variété ; il faut du
simple
, d’élevé, de l’agréable. Je ne dis pas que j’ai t
et sur Fénelon et sur Voltaire, à ne les prendre tous deux que comme
simples
critiques et gens de goût, que ne dirait-on pas ?
e le raffinement est lui-même légèrement raffiné, ou, s’il revient au
simple
, il n’y revient qu’à force d’esprit, de dextérité
a trouverai, cette marque, dans sa méthode même. Elle n’est pas assez
simple
, assez suivie ; elle fait trop de chemin en peu d
es recoins du cœur humain où ils se jettent, après que les sentiments
simples
sont épuisés. » — Pardon, répondrai-je encore ; v
Pour en sortir, préférez à tous les plaisirs des mœurs régulières et
simples
, des devoirs et des intérêts de tous les jours. P
t sur le cœur même des choses. Tel psychologue annonce au lecteur une
simple
étude de « psychologie descriptive », mais en réa
la reconnaissance, c’est ce jugement que l’image de la chose est une
simple
image. Si, par exemple, je me rappelle les ténèbr
rapport au sujet pensant et voulant. La première distinction entre la
simple
image et la perception réelle est fondée sur la f
on réelle est fondée sur la force intrinsèque des représentations. La
simple
image n’a généralement pas la même force que la p
naïveté et d’ingéniosité si un petit coup sur la tête nous paraît une
simple
image et un grand coup une perception actuelle ;
fixité qui, d’ordinaire, n’appartiennent pas à l’image. Le cours des
simples
images est un véritable flux, tandis que les chos
Des milieux divers se forment ainsi pour les perceptions et pour les
simples
images ; comme il y a un milieu visible, un milie
ent elle demeure cérébrale et n’est pas projetée hors de notre corps.
Simple
question de plans. Et ces plans diffèrent en ce q
même. » Mais cette conscience est précisément ce qu’il y a de moins «
simple
» à expliquer, et elle ne saurait se confondre av
cher aux dernières profondeurs de la conscience et aux actes les plus
simples
de l’esprit. Ici encore, nous allons voir qu’on s
es harmonies. C’est parce que la conscience est ainsi composée et non
simple
, que la reproduction des sentiments semblables pe
onscience, pris en lui-même, n’est qu’une lumière sans efficacité, la
simple
révélation d’un travail inconscient », il ajoute
ier outrage, on lui tuait son connétable, et personne ne remuait ; un
simple
gentilhomme en pareil cas aurait eu vingt amis po
oi toutes les déceptions de son triste règne, les désillusions de son
simple
cœur ; ce sont les antécédents moraux de la folie
eils, si beaux qu’on les suppose. F. de l’osier flexible, ou bien du
simple
bois ! L’artiste a dessiné la forme qu’elle impos
ffet parallèle de la cause même qu’on cherche ; prendre pour effet un
simple
, conséquent, comme pour cause un simple antécéden
erche ; prendre pour effet un simple, conséquent, comme pour cause un
simple
antécédent ; dans les faits complexes, attribuer
e, sont plus éloignés de la vérité et de la saine critique, que l’âme
simple
qui croit et incline, sa raison. 2. M. Eug. Man
a troisieme personne du présent de l’indicatis du verbe avoir, ou une
simple
préposition. Ainsi à n’est jamais adverbe, comme
n régime, elle ne peut jamais être adverbe. A n’est pas non plus une
simple
particule qui marque le datif ; parce qu’en franç
& propre, ne sont ensuite par figure & par extension, que de
simples
prépositions unitives ou indicatives, qui ne font
ifférence qu’il y a entre l’une & l’autre, c’est que à est un mot
simple
, & que au est un mot composé. Ainsi il faut c
considérer la préposition à en deux états différens. I. Dans son état
simple
: 1°. Rendez à César ce qui appartient à Céfar ;
-t-on dit de cet Empereur que sa maniere de parler étoit facile &
simple
, & qu’il évitoit tout ce qui pouvoit ne pas s
. En Latin la vûe de l’esprit qui dans les phrases de la construction
simple
est énoncée par une préposition, est la cause de
u’on dit le beau, le bon, le vrai. On ne s’en est pas tenu à ces noms
simples
abstraits spécifiques : d’homme on a fait humanit
s qui ont hors de nous des objets réels, ou celles qui ne sont que de
simples
abstractions de notre esprit, ont entre elles une
musique dont les cordes sont touchées, ne reçoive en lui-même qu’une
simple
modification, lorsqu’il rend le son du ré ou celu
&c. on dit nous faisons abstraction. Le parfait & le prétérit
simple
ne sont pas usités, mais on dit j’ai abstrait, tu
elle du mot ; car de ce qu’un mot sera primitif ou qu’il sera dérivé,
simple
ou composé, il n’en sera pas moins un terme ayant
e primitive ou de l’espece dérivée. 3. On peut observer si un mot est
simple
ou s’il est composé ; juste, justice, sont des mo
un mot est simple ou s’il est composé ; juste, justice, sont des mors
simples
: injuste, injustice, sont composés. En Latin res
simples : injuste, injustice, sont composés. En Latin res est un mot
simple
, publica est encore simple, mais respublica est u
ce, sont composés. En Latin res est un mot simple, publica est encore
simple
, mais respublica est un mot composé. Cet accident
ncore simple, mais respublica est un mot composé. Cet accident d’être
simple
ou d’être composé a été appellé par les anciens G
anciens Grammairiens la figure. Ils disent qu’un mot est de la figure
simple
ou qu’il est de la figure composée ; en sorte que
amp; se prend pour la forme ou constitution d’un mot qui peut être ou
simple
ou composé. C’est ainsi que les Anciens ont appel
dératifs. 3. Les verbes ont aussi la figure, c’est-à-dire qu’ils sont
simples
, comme venir, tenir, faire ; ou composés, comme p
sence de son pere ; ce mot coram, en Latin, est un mot primitif &
simple
qui n’exprime qu’une maniere d’être considérée pa
mp; simple qui n’exprime qu’une maniere d’être considérée par une vûe
simple
de l’esprit. L’élocution n’a point en François de
s juste, sensé, poli, absolu, tel, &c. 2. La figure, c’est d’être
simple
ou composé. Les adverbes sont de la figure simple
igure, c’est d’être simple ou composé. Les adverbes sont de la figure
simple
, quand aucun autre mot ni aucune préposition insé
ition ; ainsi justement, lors, jamais, sont des adverbes de la figure
simple
. Mais injustement, alors, aujourd’hui, & en L
e leur figure & leur position. 1. Quant à la figure, il y en a de
simples
, comme &, ou, mais, si, car, ni, &c. Il y
nous n’avons ni déclinaison ni cas ; nous ne faisons usage que de la
simple
dénomination des noms, qui ne varient leur termin
s aligner, aguérir, améliorer, anéantir ; on conserve le d lorsque le
simple
commence par une voyelle, selon son étymologie ;
la parole a fait que le d se change en la lettre qui commence le mot
simple
, selon l’étymologie ; ainsi on dit accumuler, aff
nce & de propriété ; car quand je dis meus ensis, meus est autant
simple
adjectif qu’Evandrius, dans ce vers de Virgile :
ieu qu’un galant-homme est un honnête-homme, qui n’a que des procédés
simples
. Un homme plaisant est un homme enjoüé, folâtre,
a & de e, on ne lui donne dans la prononciation que le son de l’e
simple
ou commun, & même on ne l’a pas conservée dan
gemens. Quand la destination de chacun de ces sons particuliers, tant
simples
que composés, a été fixée par l’usage, & qu’a
appelle lettres, dont chacune fut destinée à marquer chacun des sons
simples
qui forment les mots. Dès que l’art d’écrire fut
servir l’x pour deux ss dans Auxerre, Flexelles, Uxel, & pour une
simple
s dans Xaintonge, &c. L’& n’est qu’une ab
raphe s’est bien réformée depuis quelques années. 4°. Enfin, c’est un
simple
alphabet de plus que je voudrois qui fût fait &am
st obscur. La superstition des Anciens leur faisoit éviter jusqu’à la
simple
prononciation des noms qui réveillent des idées t
s-élégante & très-réguliere, qu’il faut réduire à la construction
simple
par l’ellipse ; & pour cela il faut observer
our cela il faut observer que le relatif qui, quoe, quod, n’est qu’un
simple
adjectif métaphysique ; que par conséquent il fau
ont servis, fait mention de l’anti-sigma, qui, selon lui, n’est qu’un
simple
[non reproduit]tourné de l’autre côté [non reprod
lle, quand il n’est pas employé comme pronom, & qu’il n’est qu’un
simple
adjectif indicatif, que vient notre article le ;
eines ; les jours, les nuits. 4°. Le, la, les sont les trois articles
simples
: mais ils entrent aussi en composition avec la p
& au prendre congé. C’est le son obscur de l’e muet de l’article
simple
le, & le changement assez commun en notre lan
e roi, au roi ; to the queen, à la reine. Cette remarque n’est pas de
simple
curiosité ; il est important, pour rendre raison
ue du génitif ; & l’autre, celle du datif. Mais n’est-il pas plus
simple
& plus analogue au procédé des langues, dont
le verbe : dans l’une & dans l’autre occasion le nom n’est qu’une
simple
dénomination. Le génitif, selon nos Grammaires, e
lifié : un palais de roi, un courage de héros. Lorsqu’il n’y a que la
simple
préposition de, sans l’article, la préposition &a
urroit être un datif en François. Je regarde donc de & à comme de
simples
prépositions, aussi bien que par, pour, avec, &am
aphysiques, puisqu’ils marquent, non des qualités physiques, mais une
simple
vûe particuliere de l’esprit. Presque tous nos G
traire, quand on dit le Sauveur des hommes, la construction est toute
simple
; on dit au singulier, le Sauveur de l’homme, &am
mmes, la vanité des hommes. Ainsi regardons 1°. ie, la, les, comme de
simples
adjectifs indicatifs & métaphysiques, aussi-b
genre, c’est-à-dire, noms plus généraux, plus étendus encore que les
simples
noms d’espece ; ce sont ceux qui sont communs à c
orsqu’avec le secours de la préposition de il ne fait que l’office de
simple
qualificatif d’espece, c’est-à-dire, lorsqu’il ne
°. Mon, ma, mes ; ton, ta, tes ; son, sa, ses, &c. ne sont que de
simples
adjectifs tirés des pronoms personnels ; ils marq
, pour quatrieme. II. Quand on se sert de l’adjectif pour marquer une
simple
qualité du substantif qu’il précede, alors l’arti
es Romains. Il paroît par les observations ci-dessus, que lorsqu’à la
simple
idée du nom propre on joint quelqu’autre idée, ou
dans leur origine, & c’est pour cela qu’ils sont modifiés par un
simple
qualificatif indéfini, qui n’étant point pris ind
ris individuellement, n’a pas besoin d’article, il ne lui faut que la
simple
préposition pour le mettre en rapport avec beauco
r exprimer le sens négatif, se servirent d’abord comme en Latin de la
simple
négative ne, sachiez nos ne venismes porvos mal f
un seul nihilum, nihil, nil, & que nihil se prend souvent pour le
simple
non, nihil circuitione usus es. (Ter. And. I. ij.
préposition sans article. Les noms d’especes qui sont pris selon leur
simple
signification spécifique, se construisent avec un
e sont pas exprimés ; en réduisant ces propositions à la construction
simple
, on voit qu’il n’y a rien contre les regles ; &am
elque préposition : en quelles occasions faut-il n’employer que cette
simple
préposition, & en quelles occasions faut-il y
pas générale, car dans le sens qualificatif indéfini on se sert de la
simple
préposition de, même devant le substantif, sur-to
ne chose, d’un individu réel ou métaphysique, & jamais celle d’un
simple
qualificatif qui n’a aucune existence, & qui
différentes vûes ne sont pas distinguées en latin d’une maniere aussi
simple
. Si, en se mettant à table, on demande le pain, c
appellés tems composés. Il y a dans les verbes des tems qu’on appelle
simples
, c’est lorsque la valeur du verbe est énoncée en
ieurs de ces tems, qui sont composés ou surcomposés en François, sont
simples
en Latin, sur-tout à l’actif amavi, j’ai aimé, &a
out à l’actif amavi, j’ai aimé, &c. Le François n’a point de tems
simples
au passif ; il en est de même en Espagnol, en Ita
verbes étant suivis d’un nom verbal, deviennent équivalens à un verbe
simple
des Latins, veni, je suis venu ; c’est ainsi que
st verbe, le mot qui est nom, & la périphrase qui équivaut au mot
simple
des Latins. Si cette précision paroît trop recher
à nos verbes des tems qui répondissent comme en un seul mot aux tems
simples
des Latins, ont inventé le mot de verbe auxiliair
nt pas commencé par l’étude de la langue Latine. Ils ont assujetti de
simples
équivalens à des regles étrangeres : mais on ne d
it, c’est à l’oreille à le décider ; & quand elle préfere l’on au
simple
on, c’est souvent par la raison de l’euphonie, c’
apparence des sons que forme la voix, il y en a un certain nombre de
simples
auxquels tous les autres peuvent se réduire, &
ne sont que des combinaisons. On chercha donc à représenter ces sons
simples
par des caracteres, & les sons combinés par l
embler à ceux dont on se sert en Algebre, qui sont effectivement fort
simples
, quoique très-expressifs, sans avoir rien de supe
spece. Il devoit contenir une énumération de tous les sons ou lettres
simples
, usités dans une langue quelconque ; moyennant qu
s ici la difficulté est bien moins d’inventer les caracteres les plus
simples
, les plus aisés, & les plus commodes, que d’e
Les Grecs avoient trois manieres d’exprimer les nombres. 1°. La plus
simple
étoit pour chaque lettre en particulier, suivant
amp; 3 égale 12. Voyez Addition . Quand le signe-précede une quantité
simple
, il exprime une négation, ou bien une existence n
euple est à l’accusatif ; je ne vois en l’un ni en l’autre mot qu’une
simple
dénomination, le Roi, le peuple : mais comme je s
comme je sai par l’usage l’analogie & la syntaxe de ma langue, la
simple
position de ces mots me fait connoître leurs rapp
ra finie, l’esprit de celui qui lit ou qui écoute les remettra par un
simple
point de vûe dans le même ordre où ils auront été
métaphysiques, c’est-à-dire, mots qui par eux-mêmes n’excitent que de
simples
concepts ou vûes de l’esprit, sans indiquer aucun
tantif ce, ont formé coci, & cela. Ces mots indiquent ou un objet
simple
, comme quand on dit cela est bon, ceci est mauvai
(Hist. nat.) On fait aussi plusieurs classes d’animaux, d’arbres, de
simples
ou herbes, &c. par la même analogie. Classe
on selon l’ordre successif de leurs relations, est la maniere la plus
simple
d’analyser la pensée. Je sai bien qu’il y a des G
ent la figure. Ils entendent par ce terme, la propriété d’être un mot
simple
ou d’être un mot composé. Il y a des conjonctions
’être un mot simple ou d’être un mot composé. Il y a des conjonctions
simples
, telles sont &, ou, mais, si, car, ni, aussi,
fin que, parce que, à cause que, &c. ce qui est bien différent du
simple
adverbe & de la simple préposition, qui ne fo
que, &c. ce qui est bien différent du simple adverbe & de la
simple
préposition, qui ne font que marquer une circonst
faisons voir la différence qu’il y a entre une proposition & une
simple
énonciation. Le subjonctif exprime l’action d’une
t désignés par des terminaisons particulieres, au moins dans les tems
simples
: tel est l’usage en Grec, en Latin, en François,
avenir ou futur, comme amabo, j’aimerai. Ces trois tems sont des tems
simples
& absolus, auxquels on ajoûte les tems relati
ue cette valeur à un sujet, soit dans les propositions, soit dans les
simples
énonciations ; & c’est ce qui distingue le ve
; c’est ce qui distingue le verbe des autres mots, qui ne sont que de
simples
dénominations. Mais revenons au mot conjugaison.
aut observer la terminaison. Cette terminaison est marquée ou par une
simple
lettre, ou par plus d’une lettre. 2. La figurativ
si facile qu’on le dit, pour un étranger qui ne se contente pas d’une
simple
routine, & qui veut avoir une connoissance ra
u telle consonne : voilà deux causes qu’il faut bien distinguer ; 1°.
simple
situation d’organes ; 2°. action ou mouvement de
, &c. quoiqu’écrits par plus d’une lettre, n’en sont pas moins de
simples
voyelles. Nous avons donc la voyelle u & la v
; la voyelle ou ; les Italiens n’ont que l’ou, qu’ils écrivent par le
simple
u, Nous avons de plus la voyelle eu, feu, lieu ;
oix ; cette union est appellée articulation. Il y a des articulations
simples
, & d’autres qui sont plus ou moins composées
voyelle fait aussi fort souvent une syllabe. La syllabe est un son ou
simple
ou composé, prononcé par une seule impulsion de v
aquelle seule les mots font un sens : on l’appelle aussi construction
simple
& construction naturelle, parce que c’est cel
les mots ne sont ni tous arrangés suivant l’ordre de la construction
simple
, ni tous disposés selon la construction figurée.
st pourquoi je l’appelle construction usuelle. 1°. De la construction
simple
. Pour bien comprendre ce que j’entens par constru
ruction simple. Pour bien comprendre ce que j’entens par construction
simple
& nécessaire, il faut observer qu’il y a bien
liere est excitée en nous en un instant, sans division, & par une
simple
affection intérieure de nous-mêmes. C’est une vér
e concevoir, & de juger. C’est ainsi que nous voulons par un acte
simple
de notre volonté, acte dont notre sens interne es
leurs rapports, & par conséquent selon l’ordre de la construction
simple
, nécessaire, & significative. Cano arma atqu
font acquérir un goût éclairé pour la belle latinité. La construction
simple
est aussi appellée construction naturelle, parce
autres sortes de construction ne forment un sens, que lorsque par un
simple
regard de l’esprit nous y appercevons aisément l’
prit nous y appercevons aisément l’ordre successif de la construction
simple
. Cet ordre est le plus propre à faire appercevoir
ais son premier devoir est de respecter les regles de la construction
simple
, & d’éviter les obstacles qui pourroient nous
u celui des effets avec leur cause ; je veux dire que la construction
simple
procede, ou en allant de la cause à l’effet, ou d
oi, horloger habile ; Antoine fut vaincu par Auguste. La construction
simple
présente d’abord l’objet ou sujet, ensuite elle l
des charmes, comme l’on dit que le roi a des soldats. La construction
simple
, comme nous l’avons déjà remarqué, énonce d’abord
Pour mieux faire entendre ma pensée, quand je dis que la construction
simple
suit l’état des choses, j’observerai que dans la
elle modification ; tel est l’état des choses : aussi la construction
simple
ne sépare-t-elle jamais l’adjectif du substantif.
une construction élégante, mais jamais une phrase de la construction
simple
, parce qu’on n’y suit pas l’ordre de l’état des c
ifs qui en étendent ou qui en restraignent la valeur, la construction
simple
place ces modificatifs à la suite des mots qu’ils
ui qui le précede : par exemple, Alexandre vainquit Darius, voilà une
simple
proposition ; mais si j’ajoûte des modificatifs o
des modificatifs ou adjoints à chacun de ses termes, la construction
simple
les placera successivement selon l’ordre de leur
ls déterminent. Je dis donc que pour s’exprimer selon la construction
simple
, on doit 1°. énoncer tous les mots qui sont les s
ngue en laquelle on a à s’énoncer. 2°. En second lieu la construction
simple
exige que les mots soient énoncés dans l’ordre su
t de placer un mot dans l’ordre où il doit être selon la construction
simple
, sans lui donner la terminaison destinée à indiqu
lorsque les mots ne sont pas énoncés dans l’ordre de la construction
simple
; ordre toûjours indiqué, mais rarement observé d
e prend une figure, une forme, qui n’est pas celle de la construction
simple
. La construction figurée est à la vérité autorisé
remiere en françois. Qu’il me soit permis de comparer la construction
simple
au droit commun, & la figurée au droit privil
ortent de l’anomalie, elles sont pourtant analogues à la construction
simple
. C’est ce que nous tâcherons de faire voir dans l
rsque quelque mot nécessaire pour réduire la phrase à la construction
simple
n’est pas exprimé ; cependant ce mot est la seule
: c’est lorsque l’on s’écarte de l’ordre successif de la construction
simple
; Saxa vocant Itali, mediis, quoe in fluctibus, a
elles sont aisées à ramener à l’ordre significatif de la construction
simple
; ce n’est que relativement à cet ordre, que lors
Ce ne peut jamais être que relativement à l’ordre de la construction
simple
. Il n’y a inversion que lorsque cet ordre n’est p
l’onde Les gouffres les plus profonds. Deshoul. Ode. La construction
simple
est, que les aquilons fougueux ouvrent sous sa ne
, on doit, dans le discours ordinaire, les préférer à la construction
simple
. Madame Deshoulieres a dit : Dans les transports
ersation des honnêtes gens. Cette construction n’est souvent ni toute
simple
, ni toute figurée. Les mots doivent être, simples
est souvent ni toute simple, ni toute figurée. Les mots doivent être,
simples
, clairs, naturels, & exciter dans l’esprit pl
ndroits qui sont les plus beaux dans les anciens, sont aussi les plus
simples
& les plus faciles. Il y a donc 1°. une const
plus simples & les plus faciles. Il y a donc 1°. une construction
simple
, nécessaire, naturelle, où chaque pensée est anal
n fait concevoir l’ensemble, nous vient uniquement de la construction
simple
, qui, énonçant les mots suivant l’ordre successif
pas croire, avec quelques grammairiens, que ce soit par cette maniere
simple
que quelque langue ait jamais été formée ; ç’a ét
été faits les édifices les plus réguliers ; sont-ils élevés, l’ordre
simple
qu’on y observe cache ce qu’il en a coûté à l’art
e qu’il en a coûté à l’art. Comme nous saisissons aisément ce qui est
simple
& bien ordonné, & que nous appercevons sa
ction figurée ; celle-ci s’écarte de l’arrangement de la construction
simple
, & de l’ordre de l’analyse énonciative. 3°. E
s expressions dont on se sert se trouvent conformes à la construction
simple
, ou qu’on s’énonce par la figurée. Au reste, par
ce avec des personnes qui ont ces mêmes avantages. Toute construction
simple
n’est pas toûjours conforme à la construction usu
la plus élégante, peut être énoncée selon l’ordre de la construction
simple
. Turenne est mort ; la fortune chancelle ; la vic
camp demeure immobile : (Fléch. or. fun. de M. de Tur.) Quoi de plus
simple
dans la construction ? quoi de plus éloquent &
toute construction figurée est élégante, & que toute construction
simple
ne l’est pas. Au reste, la construction figurée e
toujours si facile d’en réduire les mots à l’ordre de la construction
simple
. C’est pourtant à cet ordre qu’il faut tout ramen
entend, comme si le sens étoit énoncé dans l’ordre de la construction
simple
. C’est par ce motif, sans doute, que dans les éco
si l’on avoit commencé par le texte sans le réduire à la construction
simple
. Hé, n’est-ce pas ainsi que quand on enseigne que
éleves comme par la main, on les fait passer par ce qu’il y a de plus
simple
& de plus facile ; on leur montre les fondeme
me un sens, sont donc ou le signe d’un jugement, ou l’expression d’un
simple
regard de l’esprit qui considere un objet avec te
ition directe énoncée par le mode indicatif. Proposition oblique ou
simple
énonciation exprimée par quelqu’un des autres mod
férentes sortes de sujets. Il y a quatre sortes de sujets : 1°. sujet
simple
, tant au singulier qu’au pluriel : 2°. sujet mult
forment un sens total, & qui sont équivalens à un nom. 1°. Sujet
simple
, énoncé en un seul mot : le soleil est levé, le s
e, énoncé en un seul mot : le soleil est levé, le soleil est le sujet
simple
au singulier. Les astres brillent, les astres son
et simple au singulier. Les astres brillent, les astres sont le sujet
simple
au pluriel. 2°. Sujet multiple ; c’est lorsque po
autre modificatif : Alexandre vainquit Darius, Alexandre est un sujet
simple
; mais si je dis Alexandre fils de Philippe, ou A
ns sont composées d’un sujet et d’un attribut. Le sujet est ou 1.
Simple
tant au pluriel qu’au singulier. 2. Multiple, lor
ns total, & qui sont équivalens à un nom. L’attribut est, ou
Simple
. Composé, c’est-à-dire, énoncé par plusieurs mots
la conjonction ou de l’adverbe conjonctif, ou du relatif qui unit les
simples
propositions partielles, & en fait un tout. P
ons particulieres. L’esprit conçoit une pensée tout d’un coup, par la
simple
intelligence, comme nous l’avons déjà remarqué ;
erbe, & ajoûtant chaque mot qui y a rapport selon l’ordre le plus
simple
, & selon les déterminations que les mots se d
de la proposition ou de la période, selon que cela vous paroîtra plus
simple
& plus naturel. Par exemple, imperante Coesar
allarmes. Voici une autre proposition. Vous en est encore le sujet
simple
: c’est un pronom substantif ; car c’est le nom d
C’est se faire une fausse idée des pronoms que de les prendre pour de
simples
vicegérens, & les regarder comme des mots mis
après produit, dans l’ordre des pensées, & selon la construction
simple
: mais la construction usuelle l’énonce avant pro
bas la fortune décide Selon ses caprices divers. La fortune, sujet
simple
, terme abstrait personnifié ; c’est le sujet de l
illustre dame peint si bien le sentiment. Mais comme la construction
simple
& nécessaire est la base & le fondement d
élégante ; que les pensées les plus sublimes aussi bien que les plus
simples
perdent leur prix, quand elles sont énoncées par
leur accent. Il y a deux sortes de contractions ; l’une qu’on appelle
simple
, c’est lorsque deux syllabes se réunissent en une
implement par une terminaison particuliere du nom. C’est ainsi qu’une
simple
terminaison d’un verbe passif latin équivaut à pl
la regle VI. c. ij. l. VII. de la méthode de P. R. N’est-il pas tout
simple
de tenir le même langage à l’égard du datif grec
dire que l’exercice de notre faculté de penser se fait en nous par un
simple
regard de l’esprit, par un point de vûe, par un a
rit a mis entre les mots dont ces ensembles sont composés : de-là les
simples
énonciations qui ne marquent que des sens partiel
e de Grammaire.) qui se dit de l’article le, la, les, soit qu’il soit
simple
ou qu’il soit composé de la préposition de. Ainsi
ou discours, dans lequel j’explique la maniere qui me paroît la plus
simple
& la plus raisonnable pour apprendre le latin
e, μονόφθογγος, c’est-à-dire une syllabe énoncée par un son unique ou
simple
; au lieu que la syllade au, prononcée à la latin
et grave, on se sert de termes bas, ou qui ne conviennent qu’au style
simple
. Il y a aussi des disconvenances dans les pensées
la forte de l’e muet, est une véritable voyelle : ce n’est qu’un son
simple
sur lequel on peut faire une tenue. Cette voyelle
hangé ; mais ces lettres multipliées ne changent pas la nature du son
simple
, qui seul est aujourd’hui en usage, comme dans la
l pour cela ne pas appeller d’architecte, & se livrer plûtôt à un
simple
manoeuvre ? II. Le second objet de l’éducation, c
amp;c. ne sont point encore en état de voir où ils vont ; il est plus
simple
& plus conforme à la maniere dont les connois
t expliqués en françois, & rangés dans l’ordre de la construction
simple
, qui seule donne l’intelligence du sens. Quand le
goût d’un fruit, au lieu de s’amuser à de vains discours, il est plus
simple
de montrer ce fruit & d’en faire goûter ; aut
personnes, qu’est venu l’usage des noms propres de famille. Quand le
simple
adjectif ajoûté à un nom commun ou appellatif le
riture. 1°. Eu, quoiqu’écrit par deux caracteres, n’indique qu’un son
simple
dans les deux syllabes du mot heureux, dit M. l’a
énérale de Port-royal a remarqué il y a long-tems, que eu est un son
simple
, quoique nous l’écrivions avec deux voyelles, cha
une ou par plusieurs lettres. Les Italiens désignent le son ou par le
simple
caractere u ; ce qui n’empêche pas que ou ne soit
le caractere u ; ce qui n’empêche pas que ou ne soit également un son
simple
, soit en italien, soit en françois. Dans la dipht
’y avoit point dans l’alphabet grec de caractere pour désigner ce son
simple
, ils en inventerent un ; ce fut de représenter de
e ce verbe. Ainsi les mots & les phrases sont pris dans leur état
simple
, lorsqu’on les prend selon leur premiere destinat
ais faire entendre ma pensée par des exemples : selon la construction
simple
& nécessaire, pour dire en latin ils ont aimé
rte de l’ordre successif des rapports des mots, selon la construction
simple
: en voici un exemple où il n’y a pas un seul mot
mot qui soit placé après son correlatif, & selon la construction
simple
. Aret ager ; vitio, moriens, sitit, aeris, herba
oriens, sitit, aeris, herba. Virg. Eccl. VII. v. 52. La construction
simple
est ager aret ; herba moriens prae vitio aëris si
avec aussi peu de raison, c’est l’énallage, ἐναλλαγὴ, permutatio. Le
simple
changement des cas est une antiptose ; mais s’il
in : c’est un accident qui arrive aux mots, & qui consiste à être
simple
, ou à être composé ; res est de la figure simple,
qui consiste à être simple, ou à être composé ; res est de la figure
simple
, publica est aussi de la figure simple, mais resp
composé ; res est de la figure simple, publica est aussi de la figure
simple
, mais respublica est un mot de la figure composée
t, que la figure est la différence qu’il y a dans les mots entre être
simple
ou être composé : figura est simplicis à composit
tio. Mais aujourd’hui nous nous contentons de dire qu’il y a des mots
simples
, & qu’il y en a de composés, & nous laiss
e,. Les partisans des idees innées se sont si fort écartés de la voie
simple
de la nature & de la droite raison, qu’ils so
sieurs dans les acceptions distinctives : qu’elle est déterminée à la
simple
désignation de la nature commune dans l’acception
tachez simplement à la lettre, vous ne verrez dans ces paroles qu’une
simple
avanture arrivée à deux animaux : mais cette narr
e grands mots : il faut qu’ils fassent parler leur douleur d’un style
simple
& naturel, s’ils veulent nous toucher, &
uelque uniformité, ordre, arrangement ou imitation, & non pas des
simples
idées de couleur, de son. Il paroît qu’il s’ensui
que nos philosophes semblent considérer, est celui qui accompagne les
simples
idées de sensation. Mais il y a un très-grand nom
érité des choses. L’analogie a pour fondement ce principe extrêmement
simple
, que l’univers est gouverné par des lois générale
existe & qu’il pense, que l’esprit le plus médiocre & le plus
simple
. Dans les choses où il faut des connoissances acq
tre à Vincent le donatiste, reconnoît qu’on ne peut se sonder sur une
simple
allégorie, à moins qu’on n’ait des témoignages cl
me n’a-t-il point un oeil microscopique ? C’est par cette raison bien
simple
, que l’homme n’est point une mouche. Et quel en s
ée sur l’organe des nerfs, produit l’apoplexie. Dès-lors plus d’idées
simples
ni accessoires, plus de mémoire, plus de passion,
l’imagination pour trouver des idées complexes, au lieu que les mots
simples
& faciles, se présentent d’eux-mêmes. D’où vi
n homme qu’il aime le vin, je dis qu’il aime la bouteille ; c’est une
simple
métonymie (voyez Métonymie) ; c’est un nom pour u
prime qu’une espece particuliere ; on restreint le mot générique à la
simple
signification d’un mot qui ne marque qu’une espec
déesse, c’est-à-dire, de son sanctuaire ? Cette explication est toute
simple
, & de l’autre part la figure est tirée de bie
n ensemble, comme le tout & la partie ; leur union n’est point un
simple
rapport, elle est plus intérieure & plus indé
e l’homme triomphe du prêtre. Je me persuade qu’il y a là plus qu’une
simple
coïncidence. Le fait est significatif. L’un, c’
intelligence, à regretter l’illusion, le mensonge, le divin amour des
simples
d’esprits, dont son cœur n’était plus capable. »
té, qui va tout à l’heure l’entraîner. Sa conscience s’éclaire : « La
simple
honnêteté ne lui commandait-elle pas de sortir d’
ère pénétrait Paul Allain, l’échauffait, le refaisait l’être franc et
simple
, aux pieds fermes dans le sol où il puise sa sève
gifle de lumière. » La conclusion s’impose aussitôt à son esprit ; la
simple
honnêteté lui commande de quitter le sacerdoce. L
pe dans l’œuvre de M. Guinaudeau, c’est le caractère merveilleusement
simple
et vivant du récit. La vérité vécue est là devant
d’avoir concentré dans le drame lui-même toute la force du récit. Ce
simple
livre, dans la modestie de ses trois cent quinze
nt la vérité. La vérité du séminaire, c’est ce que nous appelons d’un
simple
mot : erreur. Tout ce qu’on y enseigne est nécess
nt dévirilisée et flétrie : Il n’est plus un homme distinct, mais une
simple
figure dans la pâle multitude des gens d’église.
. Qu’il se persuade de cette vérité qu’il est notre inférieur, à nous
simples
humains, et que s’il veut prendre sa part de trav
temps de la duchesse Anne, tous les exquis poèmes d’un passé d’amour
simple
et de simple croyance. Toutefois le ton local ne
duchesse Anne, tous les exquis poèmes d’un passé d’amour simple et de
simple
croyance. Toutefois le ton local ne s’y hausse qu
uteur d’Annaïk est bien du pays des matelots et des bardes. C’est un
simple
et c’est un sincère. [La Bretagne-Artiste (1890).
s sont d’ailleurs soumis, ne pourrait-on pas faire une hypothèse plus
simple
et plus naturelle ? On pourrait imaginer, par exe
ans leurs moindres détails ; elles sont très précises et relativement
simples
. La première étude de ces distributions fait song
Fourier pour le refroidissement d’un corps solide. Les lois sont plus
simples
, mais elles sont de toute autre nature et pour ne
èle aux autres. Alors les faits qui d’abord nous apparaissaient comme
simples
ne seraient plus que les résultantes d’un très gr
e deviendrait une limite infranchissable. La mécanique vulgaire, plus
simple
, resterait une première approximation puisqu’elle
le encore, et pourtant, sans connaître cette analyse, l’homme le plus
simple
sait en faire jouer tous les ressorts. C’est que
eurs vis-à-vis de la réalité. Il se mêle à tous ses récits : le narré
simple
et objectif du fait lui est impossible ; il ne sa
cher notre théologie ! Certes cette façon de concevoir les choses est
simple
et majestueuse ; mais combien elle est pâle auprè
inaire les lois de l’évolution de l’esprit humain comme beaucoup trop
simples
. Il y a un extrême danger à donner une valeur his
des lois, mais des lois très profondes ; on n’en voit jamais l’action
simple
, le résultat est toujours compliqué de circonstan
gement, une manière de voir du narrateur. La première narration était
simple
, la seconde est complexe et mêle à l’affirmation
remarqué, c’est que le germe primitif est tout juif ; c’est qu’il y a
simple
simultanéité entre l’apparition de Jésus et le ch
ganisées que le livre sacré et n’est au fond que l’expression la plus
simple
du naturalisme. Différence plus remarquable encor
our symbole. La variété ici devient parfois presque individuelle, une
simple
affaire de famille. Tout ce qu’on peut faire, c’e
t pure de la conscience humaine, comme le rayon de soleil, âge de foi
simple
et naïve, sans retour, sans objection, ni réfutat
n a dit que Rollin est beau s’étonnent de n’y trouver que des phrases
simples
et ne savent à quoi s’en prendre pour admirer, in
te espèce et expriment un fait vrai compliqué d’une cause fictive. La
simple
énonciation du fait est ce qu’il y a de plus diff
se blesseraient ; mais, n’en voyant pas la cause, elles trouvent tout
simple
d’en appeler à un ange. L’explication des maladie
e morale en quelques aphorismes. Ces aphorismes étant pour la plupart
simples
et de tous les temps, il n’y a pas de découverte
’imagine plus. 142. La religion des Sémites nomades est extrêmement
simple
. C’est le culte patriarcal du Dieu unique, pur, c
rient, que deviennent-elles transportées dans nos États modernes ? De
simples
incommodités, qui obligent certains religionnaire
a simplicité d’Homère ne décrivant la grotte de Calypso que par cette
simple
épithète « tapissée de lilas ». Or voici le passa
du biographe antique : Plutarque n’a souvent que le bon esprit d’être
simple
; il court volontiers après la pensée : ce n’est
Chez les anciens, il fallait être docte pour écrire ; parmi nous, un
simple
chrétien, livré, pour seule étude, à l’amour de D
e génie de l’antiquité : la narration du vertueux recteur est pleine,
simple
et tranquille ; et le christianisme, attendrissan
l est aisé de trouver des exemples24. Nous connaissons les sensations
simples
et ces sentiments secondaires qui en sont les ima
de l’association. L’association a lieu non-seulement entre des idées
simples
, mais aussi entre des idées complexes, qui se fon
exes, qui se fondent ensemble de façon à composer une idée qui paraît
simple
. Telles sont nos idées de la plupart des objets f
mots suffiront. Après avoir parlé, dit-il28, des états de conscience
simples
, nous devons passer aux états complexes. Mais tou
nce qui remplissent l’intervalle. Cette explication de la mémoire est
simple
et ingénieuse, malheureusement elle n’est pas san
e. » « De là résulte que le mot homme n’est ni un mot répondant à une
simple
idée, ce qui était l’opinion des réalistes ; ni u
ette croyance implique donc une théorie de la cause laquelle est très
simple
chez l’auteur : soit un fait B et un antécédent A
nomme induction. L’auteur pense qu’on peut la résoudre aussi dans une
simple
association. « L’anticipation du futur par le moy
de vue pourtant, si un tel mot est permis en présence d’une figure si
simple
et si vraie, et la plus étrangère à toute attitud
ntra jusqu’au jour où y mourut son frère, et elle l’a fait d’un style
simple
, correct, précis, sans un mot de trop, sans une p
première fois qu’elle daignait les questionner. » Dans ce récit tout
simple
et que nul ne lira sans larmes, il y a des traits
uffre, tout gémit ici-bas ; les reines ont été vues pleurant comme de
simples
femmes, et l’on s’est étonné de la quantité de la
résentera jamais, je puis l’assurer, à celui qui viendra de relire le
simple
récit chrétien et humain de Madame Royale au Temp
er des chansons atroces : Pour moi, dit-elle, je ne demandais que le
simple
nécessaire ; souvent on me le refusait avec duret
te de saint Louis. Sa vie était la plus régulière du monde et la plus
simple
, soit aux Tuileries, soit depuis dans l’exil. La
citées d’elle, et probablement toutes celles qu’elle a écrites, sont
simples
, sensées, un peu sèches au fond, et ne présentant
nouveau dans l’action ; c’est un sujet de passion, quand, d’un fonds
simple
en apparence, le poète a l’art de faire sortir de
en définit la composition des choses. Il divise les fables, en fables
simples
et en fables implexes ; il appelle simples, les a
vise les fables, en fables simples et en fables implexes ; il appelle
simples
, les actions qui, étant continues et unies, finis
u la reconnaissance, ou, mieux encore, toutes les deux. Dans la fable
simple
, il n’y point de révolution décisive ; les choses
assez loin la terreur et la pitié. La fable implexe est à révolution
simple
ou à révolution composée. Dans le premier cas, s’
les faire changer de fortune en sens contraire. Dans la fable unie et
simple
, si l’on représente le malheur du méchant, ce mal
us décourage, et finit par nous révolter. Il ne reste donc à la fable
simple
que le malheur d’un personnage mixte, c’est-à-dir
e fable, que celui qui a entrepris le crime ne l’abandonne pas par un
simple
changement de volonté, mais qu’il en soit empêché
t pas intelligible pour un homme de bon sens tout court. Qu’elle soit
simple
et claire. Par conséquent aucune figure oisive, a
un emblème, un logogriphe à déchiffrer. Si la scène est une, claire,
simple
et liée, j’en saisirai l’ensemble d’un coup d’œil
ut qu’elles concourent toutes à un effet commun, d’une manière forte,
simple
et claire ; sans quoi je dirai comme Fontenelle à
ce que Carle Vanloo en a fait. C’est sans contredit le sujet le plus
simple
et la plus belle de ses esquisses. On a prétendu
tes de nous effrayer autant par son pinceau que nous le sommes par le
simple
récit du gazetier, de cette foule d’Anglais expir
jamais vu ou n’a vu qu’un instant la sienne. Et puis l’un est pur et
simple
imitateur, copiste d’une nature commune ; l’autre
sant nu on éloigne la scène, on rappelle un âge plus innocent et plus
simple
, des mœurs plus sauvages, plus analogues aux arts
ects ou points de vue subordonnés ; c’est le mieux. Quel groupe plus
simple
, plus beau que celui du Laocoon et de ses enfants
r cette diagonale, vous nous représentez non un être vivant, mais une
simple
ligne géométrique. C’est un excès dans lequel Bal
ômes insignifiants, non pas des causes. Ces événements constituent de
simples
moyens empiriques de mesurer la catastrophe intér
n des plus remarquables drames de la littérature moderne, — les pages
simples
dans lesquelles Loti représente Gaud attendant so
e produire des preuves visibles et tangibles pour être cru. Le roman,
simple
et complexe comme la vie, n’exclut rien, accueill
rès, parfois, d’un personnage de roman qui se meut comme nous dans la
simple
clarté du jour. La forme la moins compliquée du r
fférent que je compte des pois ou des lentilles ? » Un événement très
simple
se produit, le retour d’Albert, fiancé de Charlot
end par degrés jusqu’à lui-même, et cela par l’effet d’incidents très
simples
: la rencontre d’une femme qui a perdu son enfant
que la préparation du coup de pistolet final55. Lorsqu’on passe de la
simple
monographie, comme Werther ou Adolphe, au roman à
une œuvre complètement différente de Werther, d’une psychologie aussi
simple
que celle de Gœthe est raffinée. Cette œuvre, qui
était plus fort que moi. » A partir de ce moment, les événements très
simples
de l’action se suivent avec la rigueur d’une dédu
onne odeur. » C’est la dégradation, c’est la faction humiliante comme
simple
soldat, à la porte du colonel, un jour où précisé
rigandage. Toute cette première partie est dominée par une scène très
simple
, impossible à rendre au théâtre : nous voulons pa
rs mobiles. Stendhal analyse des idées, mais des idées en somme assez
simples
parce qu’elles sont superficielles. La conception
s n’ont pas mis seul en jeu l’intérêt scientifique70. Le récit pur et
simple
, c’est-à-dire purement et simplement scientifique
our le travail de leur vie à la minutieuse reproduction de ces choses
simples
. Les pittoresques lazzaroni ou les criminels dram
emue le terrain fétide de la vie, on tâche de trouver le déterminisme
simple
, initial, pour arriver ensuite au déterminisme co
ozé Lizavrabengoa devient un « tourlourou » sentimental et Carmen une
simple
fille de mauvaise vie. 57. On voit par cet exem
. Le caractère de Gaud se dessinera le premier. D’abord c’est l’amour
simple
et instinctif d’une belle jeune fille pour un bea
-delà et il va par-delà la mort. Puis vient l’attente, des faits très
simples
, comme une visite manquée ; une rencontre prend u
lité. Quant à Sylvestre, ce n’est qu’une esquisse : un sentiment très
simple
l’anime, l’amour de la Bretagne et de la vieille
les lois du mécanisme. Par cette combinaison d’impulsions psychiques
simples
à l’intérieur, de rapports mécaniques à l’extérie
é154. Mais, selon nous, une telle conclusion dépasse les prémisses du
simple
mécanisme et suppose un point de départ psychique
me immanent ; mais, avec Spencer, il considère ce finalisme comme une
simple
« expression » du mécanisme, et il le rattache, e
sme mécanique est sans doute manifeste dans les mouvements appétitifs
simples
, qui peuvent être prévus avec autant de certitude
Voilà le vrai début de la volonté, qui, pour être encore extrêmement
simple
et infailliblement déterminée, n’en est pas moins
as encore tirée en divers sens, ni divisée d’avec soi ; sa marche est
simple
et rectiligne. C’est pourquoi l’idée de la fin n’
ction mécanique ne faisaient qu’un dans les êtres à constitution très
simple
, puisque le processus primordial de l’appétit coï
on peut former une gradation ascendante qui va des instincts les plus
simples
aux plus compliqués dans une même espèce, par exe
reine des abeilles, ne semblent point avoir. Mais les neutres sont de
simples
femelles arrêtées dans leur développement sexuel
choses (similitude, différence, causalité, etc.), non plus sur leurs
simples
qualités sensitives, et il en résulte des actions
se la remarque. Dès lors, il n’y a pas volition proprement dite, mais
simple
impulsion. Nous, au contraire, nous agissons semb
agit d’abord, — selon la loi que nous avons posée plus haut, — par la
simple
similitude de fait, qui existe entre les deux sen
fiée à l’habile ciseau de M. Mathieu Meusnier. Ce monument élégant et
simple
consiste en une fable de marbre verticale, d’un s
, un petit recueil d’aménités littéraires philologiques à l’usage des
simples
amateurs de l’Antiquité, des humanistes curieux e
sans vieillir, où il a vécu ! » [Note de fin] Ce discours, bien
simple
et où je n’ai rien avancé que d’incontestable. m’
igre : « Nous avons résolu à l’Académie de ne nommer personne pour de
simples
recensions de textes. » M. Le Clerc en parlant ai
éjà aliéné l’Académie. Lui étranger, il aurait manqué en cela du plus
simple
esprit de conduite. Ah ! que le circonspectissime
de l’Empereur, où fut tranché le conflit en faveur de Dübner et de la
simple
équité. Mais, encore une fois, je n’avais point l
remplacer les tournures et les expressions usuelles par d’autres plus
simples
ou plus expressives à notre goût, modifier la syn
en évitant cette fois le lapsus qui la gâtait. VI. 4° Elle est une
simple
image sonore ; comment l’image tactile a disparu.
idérées comme états de conscience. La parole intérieure est une image
simple
, une image purement sonore ; de même, la parole e
me, la parole extérieure d’autrui entendue par nous est une sensation
simple
, purement sonore ; mais il en est autrement de no
arole intérieure serait essentiellement un mouvement interrompu ou la
simple
image de ce mouvement. Notre expérience personnel
plique pas autre chose que cette définition très empirique, mais très
simple
et très exacte, de la pensée : ce qui se parle ou
osé, admettons un instant avec Bain que la parole intérieure soit une
simple
image tactile : les voyelles n’étant jamais remém
l reste établi que la parole intérieure est essentiellement une image
simple
, une image sonore ; l’image tactile qui, théoriqu
pourquoi, elle me paraît être plus fréquente quand je lis que dans la
simple
méditation ; — enfin, dans notre première enfance
Bossuet, Rivarol, Bonald n’ont-ils aperçu dans leur conscience qu’une
simple
image sonore ? et comment Bonald a-t-il osé contr
Mais ce travail, si complexe qu’il soit, se résume en une affirmation
simple
, toujours la même ; aussi peut-on l’envisager d’u
ssi peut-on l’envisager d’une vue synthétique et l’appeler d’un terme
simple
: le jugement de perception externe. D’ailleurs,
ière de ces deux associations. Une solution, sinon complète, du moins
simple
et séduisante, du problème, serait de considérer
n pas inné, mais acquis : c’est le bon sens dans son application à la
simple
expérience ; ce qui le contrarie, ce qui l’étonne
e peut contenir aucun événement ; l’avenir n’est qu’une hypothèse, un
simple
possible auquel nous croyons ; ce n’est pas une r
ieur à l’existence duquel je ne prends aucune part, un non-moi pur et
simple
et absolu. Comme d’ailleurs l’attention a pour ef
attention, et peu à peu elle disparaît. Le souvenir devient alors une
simple
réminiscence, un simple fait d’habitude ; il cess
elle disparaît. Le souvenir devient alors une simple réminiscence, un
simple
fait d’habitude ; il cesse d’être connu comme sou
n silencieuse qui revient avec elle à la conscience reste à l’état de
simple
réminiscence. Le mot intérieur est pourtant, dans
/ Ni les fureurs de l’hiver déchaîné », Folio, p. 70) deviennent une
simple
répétition allusive « Ne crains plus » (« No fear
roprement dite, signe d’un véritable mouvement musculaire, et non une
simple
image ; mais je me crois en droit d’appliquer ses
s la monère jusqu’aux vertébrés supérieurs ? On trouve qu’à l’état de
simple
masse protoplasmique la matière vivante est déjà
on doit être immédiate, plus il faut que la perception ressemble à un
simple
contact, et le processus complet de perception et
ptions réelles, dont nous ne retenons alors que quelques indications,
simples
« signes » destinés à nous rappeler d’anciennes i
ussent forcées d’abandonner quelque chose d’elles-mêmes pour que leur
simple
présence les convertît en représentations. Or, vo
geait celles qui la précèdent. Pour transformer son existence pure et
simple
en représentation, il suffirait de supprimer tout
un effet de mirage. Cela revient à dire qu’il y a pour les images une
simple
différence de degré, et non pas de nature, entre
ous intéresse. Mais si elle se distingue justement de l’image pure et
simple
en ce que ses parties s’ordonnent par rapport à u
en lui, et non pas en nous. Si le psychologue dédaigne une idée aussi
simple
, aussi rapprochée du réel, c’est que le processus
men de ces deux points, bornons-nous à présenter une observation fort
simple
, qui n’est d’ailleurs pas nouvelle. Beaucoup d’av
nlent mon corps et ceux que je pourrais influencer, joue le rôle d’un
simple
conducteur, qui transmet, répartit ou inhibe du m
inextensive, et il fait dès lors de la sensation en général l’élément
simple
avec lequel nous obtenons par voie de composition
e, nous le répétons, on ne trouvera jamais dans des états intérieurs,
simples
et inextensifs, une raison pour qu’ils adoptent d
avancions, multiplié les données irréductibles et grossi l’hypothèse
simple
d’où nous étions partis. Mais y avons-nous gagné
illis, de l’autre utilisés. La matière vivante, sous sa forme la plus
simple
et à l’état homogène, accomplit déjà cette foncti
r les seconds : ces derniers sont faits pour agir ; ils ont pour type
simple
une chaîne d’éléments nerveux, tendue entre deux
degré d’utilité, de ce que nous avons tout intérêt enfin à ériger en
simples
signes du réel ces intuitions immédiates qui coïn
ses inégales, de perception pure et de souvenir pur, soient des états
simples
. Par là on se condamne à ignorer aussi bien le so
onnée, à la manière d’un souvenir, comme un état intérieur, comme une
simple
modification de notre personne. On méconnaîtra l’
Il ne pourra donc subsister entre la perception et la mémoire qu’une
simple
différence de degré, et pas plus dans l’une que d
s les autres, de manière à les saisir dans une intuition relativement
simple
, des moments aussi nombreux qu’on voudra d’un tem
nous trouvons qu’il n’y a pas entre le souvenir et la perception une
simple
différence de degré, mais une différence radicale
ts sont de l’espece primitive ou dérivée, & ils sont de la figure
simple
ou composée. Voyez Accident . Peut-être se sont-i
qu’ils expriment. C’est de-là que les mots sont primitifs ou dérivés,
simples
ou composés. Un mot est primitif relativement aux
s dérivés, dont le primitif est en quelque sorte le germe. Un mot est
simple
relativement aux autres mots qui en sont formés,
iculiere qu’on lui associe ; & ceux-ci sont les composés, dont le
simple
est en quelque sorte l’élément. On donne en génér
ifs à l’égard de leurs dérivés ; & racines élémentaires, les mots
simples
à l’égard de leurs composés. Eclaircissons ces dé
la vérité de ce qu’on avance ici, nous nous contenterons de jetter un
simple
coup-d’oeil sur l’analogie des formations latines
s mots qui peuvent également paroître dans le discours sous la figure
simple
& sous la figure composée, c’est-à-dire seuls
osition, quoiqu’anciennement elles ayent pû être employées comme mots
simples
: telles sont jux & jugium, ses & sidium,
é de mots réellement composés, qui au premier aspect peuvent paroître
simples
, à cause de ces racines élémentaires inusitées ho
à la formation d’un meme mot ; ensorte que l’on trouve des primitifs
simples
& des primitifs composés, comme des dérivés s
des primitifs simples & des primitifs composés, comme des dérivés
simples
& des dérivés composés. Capio est un primitif
des dérivés simples & des dérivés composés. Capio est un primitif
simple
; particeps est un primitif compose ; capax est u
itif simple ; particeps est un primitif compose ; capax est un dérivé
simple
; participare est un dérivé composé. Les uns &
tirée d’un verbe : car si on l’appliquoit à un nom, elle en feroit un
simple
diminutif ; tels sont les mots corculum, opusculu
iles grammairiens : mais on va bien-tôt reconnoître que ce sont ou de
simples
écarts qui ont paru préférables à la cacophonie,
y a été envisagé sous différens points de vûe ; & ces futurs sont
simples
ou composés, selon qu’il a plû à l’usage de désig
s ou composés, selon qu’il a plû à l’usage de désigner les uns par de
simples
inflexions, & les autres par le secours des v
oivent être des listes exactes de toutes les formes analogiques, soit
simples
, soit composées, que l’usage a établies pour expr
gue. Nous avons en françois un futur absolu, que nous rendons par une
simple
inflexion, comme je partirai. Nous avons de plus
on ne devoit les trouver que dans une grammaire françoise ou dans un
simple
vocabulaire. Nous ajoûtons en second lieu, que le
que les idées abstraites que l’esprit se forme ainsi, deviennent plus
simples
, & par-là plus générales, plus vagues & a
dont on a seulement supprimé la terminaison latine. De-là les dérivés
simples
: de capitaine, capitainerie ; d’art, artiste, ar
qui doit en constituer la nature & en fixer la définition. Or un
simple
coup-d’oeil sur les parties du discours assujetti
ue des mots régie & régime, destinés au même usage. Il étoit plus
simple
de donner le nom de complément à ce que l’on appe
sur celui de réunir plusieurs caracteres pour représenter un élément
simple
, &c ? C’est la comparaison secrete des instit
l’usage des langues s’accordât toûjours avec les vûes générales &
simples
de la nature ? Cet usage est le produit du concou
par composition. De-là les mots primitifs & les dérivés, les mots
simples
& les composés. Voyez Formation . Le second o
s logiques, font naître les différentes especes de propositions ; les
simples
& les composées, les incomplexes & les co
e l’usage avoués même par la raison. La construction usuelle est donc
simple
ou figurée : simple, quand elle suit sans écart l
e par la raison. La construction usuelle est donc simple ou figurée :
simple
, quand elle suit sans écart le procédé ordinaire
avoir des sons & des articulations. Voy. Lettres . Le son est une
simple
émission de la voix, dont les différences essenti
pour le son de la voyelle suivante, qui reste dans l’état naturel de
simple
émission de la voix ; dans ce cas, h n’a pas plus
s la nature primitive de la parole ; il n’y a de naturel que les sons
simples
. Mais dans plusieurs occasions, le hasard ou les
: c’est lorsque l’on s’écarte de l’ordre successif de la construction
simple
[ou analytique] : Saxa vocant Itali, mediis, quae
u’aucun des modernes, de distinguer les locutions figurées d’avec les
simples
dans sa langue naturelle ; & quand le jugemen
lques phrases que l’on ne puisse par aucun moyen ramener aux procédés
simples
de la construction analytique, disons nettement q
lonté de celui qui parle. Je crois, par exemple, que lege exprime une
simple
exhortation, un conseil, un avertissement, une pr
avertissement, une priere même, ou tout au plus un consentement, une
simple
permission ; & que legito marque un commandem
er pour telle, il faut bien que je consente à votre refus, nega » : (
simple
concession). Sin es non dura, venito ; priere ur
ux vers de Virgile. Et potum pastas age, Tityre ; ce n’est ici qu’une
simple
instruction, le ton en est modeste, age. Mais qua
u liras ou vous lirez ne differe en rien de ce qu’il appelle le futur
simple
de l’indicatif, & que je nomme le présent pos
’est point ici une these métaphysique que je prétends poser, c’est le
simple
résultat de la déposition combinée des usages des
s Grammairiens emploient les termes déclinable & indéclinable. Un
simple
coup d’oeil jetté sur les différentes especes de
uefois par le génie propre de chaque idiome, & quelquefois par le
simple
hasard ou le pur caprice. Que les noms ayent en g
reconnoîtroit pour article que le, la, les, la conséquence est toute
simple
. Si l’on veut déterminer un nom, soit en l’appliq
ent le nom de défini à celui de ces deux prétendus prétérits, qui est
simple
, comme j’aimai, je pris, je reçus, je tins ; &
mmaire générale & M. du Marsais, appellent indéfini celui qui est
simple
, & défini celui qui est composé. Cette opposi
au moyen de l’ellipse, ramener la phrase à l’ordre analytique le plus
simple
, pourvû que l’on ne perde jamais de vûe la vérita
e se font point témérairement, & de maniere à faire croire que le
simple
hasard en ait fixé la loi ; on y reconnoît des tr
dans nos langues formées & articulées, ne s’apprennent pas par la
simple
audition & par l’intonation d’autrui ; mais t
hinal & tiennent partout à la langue primitive. Ce ne sont pas de
simples
mots, mais quelque chose de plus, puisqu’elles ex
u’elles expriment le sentiment qu’on a d’une chose, & que par une
simple
voix promte, par un seul coup d’organe, elles pei
s, quoique primitives, n’ont que peu de dérivés ». [La raison en est
simple
. Elles ne sont pas du langage de l’esprit, mais d
u verbe, se mette immédiatement après le verbe, s’il est dans un tems
simple
, & après l’auxiliaire, s’il est dans un temps
observe lors même que le sujet est exprimé d’ailleurs par un nom soit
simple
, soit accompagné de modificatifs : Viendrez-vous
ion du pronom personnel ne marqueroit point l’interrogation, mais une
simple
hypothèse, ou un desir dont l’énonciation explici
sensiblement l’impression uniforme de la nature qui est une, qui est
simple
, qui est immuable, & qui établit par-tout une
se détruire, ni se cacher ». Je n’ajoûte à un texte si précis qu’une
simple
question. Que reste-t-il de commun à toutes les l
ainquit Alexandre, si l’on s’écarte de l’ordre naturel, c’est par une
simple
inversion ; & en disant Darius qu’Alexandre v
mp; précis, & dont l’inobservation feroit de la parole humaine un
simple
bruit semblable aux cris inarticulés des animaux.
ividus même de son espece, que celle qu’il avoit avec les brutes, une
simple
co habitation dans les mêmes forêts. Quel parti a
e comme une fiction chimérique & propre à égarer. Mais suivons le
simple
raisonnement. Une langue est, sans contredit, la
r : ici l’usage a fixé toutes les constructions. Dans une proposition
simple
& absolue, la construction usuelle suit l’ord
positif ; & toutes les institutions humaines ont des commencemens
simples
. Cette conclusion, qui me semble fondée solidemen
langue italienne, par exemple, est plus accentuée que la nôtre ; leur
simple
parole, ainsi que leur musique, a beaucoup plus d
qui en étoient issus ; ou bien cette transmission s’est faite par un
simple
emprunt, tel que nous en voyons une infinité d’ex
dre les unes sur les autres, ne peut pas se résoudre par une décision
simple
& précise. Il n’y a point d’idiome qui n’ait
amp; les différens rapports sous lesquels on envisage les langues. La
simple
énonciation de la pensée est le premier but de la
& les plus ordinaires. Si l’on veut porter ses vûes au-delà de la
simple
énonciation de la pensée, & envisager tout le
idemment à la grossiereté de la conception… Les premiers hommes étant
simples
; grossiers & plongés dans le sens, ne pouvoi
écrits dans la langue que nous étudions. La raison de ce procédé est
simple
: les langues vivantes s’apprennent pour être par
prévalu dans le latin, que dice n’y est plus usité, ni dans le verbe
simple
, ni dans ses composés. Spuri, que l’on a déja di
amp; enfin les syllabes, qui sont, dans la parole prononcée, des sons
simples
ou articulés ; & dans l’écriture, des voyelle
ation des mots, où l’on parlera des primitifs & des dérivés ; des
simples
& des composés ; des mots radicaux, & des
oit grammaticales, sont les sujets, l’attribut, lesquels peuvent être
simples
ou composés, incomplexes ou complexes ; & tou
à connoître, & suffisantes dans ce traité, sont les propositions
simples
, composées, incomplexes & complexes, dont la
que des phrases très-simples & très-courtes ; puis d’autres aussi
simples
, mais plus longues ; ensuite des phrases complexe
leures sources, & sans aucune altération ; & la raison en est
simple
. Je l’ai déja dit ; nous n’étudions le latin que
à sentir ses beautés, si l’on ne commence par reconnoître le procédé
simple
dont elles doivent s’écarter ? Je n’irai pas me d
es, n’en savent pas profondément la valeur d’une seule, par la raison
simple
qu’ils n’ont rien approfondi, même avec les plus
on peut essayer de faire traduire correctement du premier coup sur la
simple
lecture du texte : c’est le dernier point où l’on
ent les idées qui y sont attachées ; mais ce ne doit être que par une
simple
nomenclature, telle à-peu-près qu’est l’indiculus
assez des attentions minutieuses d’un pareil détail. Il est bien plus
simple
de rechercher la nature des modes dans l’usage qu
a valeur. Le matériel des mots comprend tout ce qui concerne les sons
simples
ou articulés qui constituent les syllabes qui en
s de sa part, ou un attribut qui n’est ni action, ni passion, mais un
simple
état du sujet. De-là enfin, toutes les autres pro
e même sens. C’est par la même raison que l’on doit regarder comme de
simples
adverbes, les mots suivans réputés communément co
la valeur d’une préposition avec son complément, & de plus un mot
simple
qui ne peut servir qu’à lier. Par exemple, ainsi,
états opposés, n’exclut ni l’un ni l’autre de la notion du mot : son
simple
, son articulé, son aigu, son grave, son bref, son
on ne peut pas disconvenir que souvent une seule syllabe, ou même une
simple
articulation, ne soit le signe d’une idée, puisqu
rs endroits des manuscrits dont je parle, une orthographe encore plus
simple
, & plus conforme à la prononciation actuelle,
emeurées dans une foule de mots où nous ne prononçons qu’une consonne
simple
? Quelques progrès que fasse à l’avenir la nouvel
n ons ; que l’imparfait [c’est dans mon systeme, le présent antérieur
simple
] de l’indicatif se forme par le changement de cet
vement à cet usage ; nous nous servons de m ou de n après une voyelle
simple
pour en marquer la nasalité, an ou am, ain ou aim
une impression produite dans le sujet sans concours de sa part ou un
simple
état qui n’est dans le sujet, ni action ni passio
i actifs ni passifs, parce que les attributs qu’ils expriment sont de
simples
états, qui à l’egard du sujet ne sont ni action n
e l’idée d’un attribut, qui, sans être action ni passion, n’est qu’un
simple
état du sujet ; mais encore ceux dont l’attribut
conjugaisons pourroit se diviser, par rapport à la formation des tems
simples
, en d’autres especes subalternes. M. l’abbé de Da
e peut fournir qu’un nombre assez borné de sons & d’articulations
simples
; & elle ne pourroit fournir à l’infinie nome
ndividus qu’en multipliant à l’infini les combinaisons de ces élemens
simples
: or, sans entrer fort avant dans les profondeurs
signes généraux & appellatifs combinés entre eux comme les idées
simples
dont ils sont les signes. Voyez Générique . Ainsi
lles en les réduisant à des idées élémentaires que l’on peut appeller
simples
par rapport à nous ; le nombre n’en est pas à bea
us sommes arrivés par degrés, & nous retournons de l’idée la plus
simple
à la plus composée par des additions successives
il nous a fallu décomposer les idées complexes pour parvenir aux plus
simples
qui sont & les plus générales & les plus
al, parce qu’il n’indique pas avec la précision numérique. L’adjectif
simple
, considéré comme exprimant une relation à l’unité
s du singulier, & aux troisiemes du pluriel, du présent antérieur
simple
de l’indicatif, & du présent du suppositif ;
: 1°. dans les troisiemes personnes singulieres du présent antérieur
simple
de l’indicatif, & du présent du suppositif ;
rimer. Pour faire entendre ma pensée, rappellons-nous ici la division
simple
& naturelle des élémens de la voix en sons &a
nsonnes. Le son ou la voyelle n’exige, pour se faire entendre, que la
simple
ouverture de la bouche ; qu’elle soit disposée d’
res articles antécédens, plus aisés à saisir, plus faciles & plus
simples
à exécuter. Qu’importe ? Vous devez vous conforme
mais un son differe à-peine d’un autre, parce que c’est toûjours une
simple
émission de l’air par l’ouverture de la bouche, v
tème des points massorétiques, & depuis, le système beaucoup plus
simple
de Masclef. On pourroit augmenter cet article de
aniere, si ce n’est que les composés se déclinent comme les primitifs
simples
; ainsi il faut détailler les paradigmes de chacu
ns (lage), insons (innocent), vecors (lâche), audax (hardi), simplex (
simple
), felix heureux), atrox (atroce), trux (cruel). I
dior : il me semble que ce n’est pas assez pour les commençans, d’une
simple
remarque telle que celle du rudiment de P. R. pag
système complet de, tems auroit exigé dan les verbes latins neuf tems
simples
, savoir trois présens, trois prétérits, & tro
ts, & trois futurs ; & il y a quantite de verbe, qui n’ont de
simples
que les présens : tels sont les verbes déponens,
: tels sont les verbes déponens, dont les prétérits & les futurs
simples
sont remplacés par le prétérit & le futur du
emplacés par le prétérit & le futur du participe avec les présens
simple
du verbe auxiliaire ; & comme on peut égaleme
alement remplacer les présen, par celui du participe avec les présens
simples
du même verbe auxiliaire : voici sous un seul cou
Precatus ero. Precaturus ero Les verbes les plus riches en tems
simples
, comme les verbes actifs relatifs, n’ont encore q
ns avec son sujet immédiat. Notre syntaxe à cet égard n’est pas aussi
simple
que celle de ces deux langues, parce qu’il me sem
On a coutume de distinguer dans nos verbes deux sortes de participes
simples
; l’un actif & toujours terminé en ant, comme
iellement un sujet auquel il se rapporte. Notre gérondif est toujours
simple
, & il est toujours au présent ; mais c’est un
bé dans une meprise toute pareille au sujet de notre participe passif
simple
, que l’on a confondu avec le supin de nos verbes
e nature des choses. Ce n’est point par la forme extérieure ni par le
simple
matériel des mots qu’il faut juger de leur nature
res servent encore à former nos prétérits avec notre participe passif
simple
, & non plus avec le supin, comme quand on dit
icipe actif : de sorte que comme on distinguoit alors, sous une forme
simple
, les trois tems généraux de l’infinitif, le prése
On emploie dans la composition de cette espece de verbe, ou des tems
simples
, ou des tems composés de l’auxiliaire être : il n
mposés de l’auxiliaire être : il n’y a aucune difficulte sur les tems
simples
, puisqu’ils sont toujours indéclinables, du moins
ais nulle difficulté réelle ; ils resultent toujours de l’un des tems
simples
de l’auxiliaire avoir & du supin été, qui est
alement M. l’abbé d’Olivet, appellent le complément principal, régime
simple
, & le complément accessoire, régime composé.
particules interjectives, que tout le monde connoît sous le nom plus
simple
d’interjections, appartiennent exclusivement au l
n laisse indécis par malhabileté ou par paresse. Il seroit & plus
simple
& plus sage, ou de déclarer qu’on ignore la n
composition de certains mots, pour ajouter à l’idée primitive du mot
simple
auquel on les adapte, une idée accessoire dont ce
s, à cause des deux manieres dont elles peuvent s’adapter avec le mot
simple
dont elles modifient la signification primitive,
t (ad alienam causam dicendam vocatus). On se sert de ad quand le mot
simple
commence par une voyelle, par un h muet, par la c
ques cas, le d de ad se transforme en la consonne qui commence le mot
simple
, si c’est un cou un q, comme accumuler, acquérir
lle garde le sens dans la composition. On se sert de co devant un mot
simple
qui commence par une voyelle ou par un h muet ; c
combattre, compétiteur, commutation. On se sert de col, quand le mot
simple
commence par l ; collection, colliger, collusion
tive & sert à marquer la suppression de l’idée énoncée par le mot
simple
, comme dans débarquer, décamper, dédire, défaire,
le dis dont le s final est changé en f, à cause du f initial des mots
simples
, & elle y est négative. E & ex sont des
engrosser, enhardir, enrichir, ensanglanter, enivrer. Lorsque le mot
simple
commence par une des labiales b, p ou m, la parti
de la préposition, que l’usage les partage quelquefois entre des mots
simples
qui ont une même origine & un même sens indiv
ative, qui marque l’absence de l’idée individuelle énoncée par le mot
simple
: inanimé, inconstant, indocile, inégal, infortun
ens de cette particule, on en change la finale n en m devant les mots
simples
qui commençent par une des labiales b, p, ou m ;
dans les mots où cette lettre se prononce, & c’est lorsque le mot
simple
commence par une voyelle ; j’ai retranché quelque
arquerai seulement sur la particule re ou ré, que souvent un même mot
simple
reçoit des significations très-différentes, selon
ésent postérieur ; que l’on connoît vulgairement sous le nom de futur
simple
, & l’on diroit dans le sens actif, je débiter
e est correcte ou incorrecte, claire ou obscure, élégante ou commune,
simple
ou figurée, &c. une proposition est vraie ou
due par des phrases toutes différentes. Contrà Italiam est une phrase
simple
, Italiam contrà est une phrase figurée. Aio te, Æ
Rem. nouv. tome II. p. 426. c’est quitter une expression courte &
simple
qui se présente d’elle-même, pour en prendre une
ter in mente. Nous disons de même en franÇois, au-moins dans le style
simple
, il y a coutume & coutume, il y a donner &
’ajoute que ce seroit sans aucune nécessité, parce que la conjugaison
simple
fournissoit la même idée. Qu’on y prenne garde ;
en confondre l’orthographe avec celle de la seconde personne des tems
simples
de nos verbes dont la voyelle finale est un e fer
n suivante ; & il y a pour cela trois sortes de points : le point
simple
, qui termine une proposition purement expositive
; commodiorem inveniret punctandi. Au lieu d’imaginer un systeme plus
simple
de points-voyelles, M. Masclef, chanoine de la ca
s frais d’aller la chercher fort loin, quoiqu’elle soit souvent assez
simple
& assez frappante : il lui arrive alors de la
exige la virgule : il faut alors en séparer les deux membres par une
simple
virgule. Exemples : la certitude de nos connoissa
des suivantes (tom. I. pag. 458), auroit donc dû les ponctuer par une
simple
virgule, en cette maniere : l’homme manque souven
ent, & dont chacune a un sens fini, & qui semble complet ; la
simple
virgule suffit encore pour séparer ces propositio
n, & par des virgules dans l’écriture. 5°. Si une proposition est
simple
& sans hyperbate, & que l’étendue n’en ex
eurs. Télémaque, liv. XXIV. Lorsque l’ordre naturel d’une proposition
simple
est troublé par quelque hyperbate ; la partie tra
nce des grands hommes nous jette ordinairement. La raison de ceci est
simple
. Le renversement d’ordre, amené par l’inversion,
squels, desquels, auxquels, où, comment, &c. c’est quelquefois un
simple
adjectif ou un participe suivi de quelques complé
es, les parties subalternes doivent être séparées entre elles par une
simple
virgule, & les parties principales par un poi
re elles les parties principales ou de la premiere division, & la
simple
virgule doit distinguer les parties subalternes o
mbres de l’énumération qui renferment une comparaison ; & par une
simple
virgule, les parties subalternes de ces membres c
gué les parties de l’une ou de l’autre. Si les deux propositions sont
simples
& sans division, une virgule est suffisante e
mp; il y auroit une sorte d’inconséquence à l’en séparer par un point
simple
, qui marque une indépendance entiere : mais il en
ez Caractere . IV. Du point. Il y a trois sortes de points ; le point
simple
, le point interrogatif, & le point admiratif
nt interrogatif, & le point admiratif ou exclamatif. 1°. Le point
simple
est sujet à l’influence de la proportion qui jusq
s distinguent deux sortes de prépositions par rapport à la forme : de
simples
, qui sont exprimées par un seul mot ; & de co
-651.). Ainsi, dit-on, dans, avec, pour, après, sont des prépositions
simples
; vis-à-vis de, à l’égard de, à la réserve de, so
ui se puissent justifier, on ne doit reconnoître que des prépositions
simples
. Nous en avons en françois quarante-huit, que je
ot Accident) avance que les prépositions sont toutes primitives &
simples
. C’est une erreur évidente. Concernant, durant, j
crivoit il n’y a pas long-tems horsmis, est composé de la préposition
simple
hors & du supin mis du verbe mettre ; malgré
des bruits naturels ; & souvent ceux des êtres physiques, quoique
simples
en apparence, ont encore trait à quelque qualité
enouvellement d’idées qui désigne sans peindre, qu’ils ne sont que de
simples
vicegérens des noms, & que le sujet qu’ils ex
ture commune. Il est donc faux de dire que les pronoms ne sont que de
simples
vicegérens des noms, & que le sujet qu’ils ex
; xiv. de la II. part. de la gramm. génér. que le verbe n’est pas une
simple
liaison ou copule, comme la plûpart des logiciens
e, elle est supposée & reconnue ; le verbe est ne signifie que la
simple
affirmation de l’attribut tout-puissant, qu’il li
ence toujours par le verbe. Le sujet & l’attribut peuvent être 1°
simples
ou composés, 2° incomplexes ou complexes. 1°. Le
1° simples ou composés, 2° incomplexes ou complexes. 1°. Le sujet est
simple
quand il présente à l’esprit un être déterminé pa
t total est pareillement composé en apparence, quoiqu’au fond il soit
simple
: croire a l’Evangile et vivre en paien, est une
ces deux idées particulieres, & par conséquent que c’est un sujet
simple
. Ce que j’appelle ici sujet composé, M. du Marsai
peut faire prendre pour sujet multiple ou composé un sujet réellement
simple
. Quand on dit, par exemple, les hom mes sont mor
sais, que le sujet les hommes est multiple ou composé, quoiqu’il soit
simple
& avoué simple par cet auteur : un sujet simp
les hommes est multiple ou composé, quoiqu’il soit simple & avoué
simple
par cet auteur : un sujet simple, dit-il, est éno
é, quoiqu’il soit simple & avoué simple par cet auteur : un sujet
simple
, dit-il, est énoncé en un seul mot ; le soleil es
simple, dit-il, est énoncé en un seul mot ; le soleil est levé, sujet
simple
au singulier ; les astres brillent, sujet simple
leil est levé, sujet simple au singulier ; les astres brillent, sujet
simple
au pluriel. Au reste, cette définition n’est pas
e, il ne faut que se rappeller les exemples que j’ai cités des sujets
simples
; aucun de ceux qui sont énoncés en plusieurs mot
de l’unité de l’idée qui le détermine. L’attribut peut être également
simple
ou composé. L’attribut est simple, quand il n’exp
ine. L’attribut peut être également simple ou composé. L’attribut est
simple
, quand il n’exprime qu’une seule maniere d’être d
xcès, c’est etre fou : les attributs de toutes ces propositions sont
simples
, parce que chacun n’exprime qu’une seule maniere
justice & la toute-puissance. Les propositions sont pareillement
simples
ou composées, selon la nature de leur sujet &
selon la nature de leur sujet & de leur attribut. Une proposition
simple
est celle dont le sujet & l’attribut sont éga
sition simple est celle dont le sujet & l’attribut sont également
simples
, c’est-à-dire également déterminés par une seule
on composée par le sujet peut se décomposer en autant de propositions
simples
qu’il y a d’idées partielles dans le sujet compos
x sujets, l’Ecriture & la tradition ; de-là les deux propositions
simples
sous le même attribut : 1° l’Ecriture est un appu
composée par l’attribut peut se décomposer en autant de propositions
simples
qu’il y a d’idées partielles dans l’attribut comp
buts, sont aveugles & sont injustes ; de-là les deux propositions
simples
avec le même sujet : 1° la plûpart des hommes son
ions élémentaires peut se décomposer encore en autant de propositions
simples
qu’il y a d’idées partielles dans l’attribut comp
l’attribut composé, & chaque comparaison donnant une proposition
simple
, le nombre des propositions simples qui sortiront
omparaison donnant une proposition simple, le nombre des propositions
simples
qui sortiront de celle qui est composée par le su
prompts à décider & lents à se rétracter : il y a ici deux sujets
simples
, 1° les savans, 2° les ignorans, & trois attr
sujets simples, 1° les savans, 2° les ignorans, & trois attributs
simples
, 1° sont sujets à se tromper, 2° sont prompts à d
se rétracter ; il en sortira donc deux fois trois ou six propositions
simples
: en les comparant entre elles par le sujet, troi
a apparence que M. du Marsais confondoit le sujet incomplexe avec le
simple
, quand il donnoit de celui-ci une définition qui
ne peut convenir qu’à l’autre. En effet il définit de suite le sujet
simple
, le sujet multiple que j’appelle composé, & l
complexe. Il y a cependant une très-grande différence entre le sujet
simple
& l’incomplexe : le sujet simple doit être dé
grande différence entre le sujet simple & l’incomplexe : le sujet
simple
doit être déterminé par une idée unique, voilà so
lles-mêmes des propositions ayant leurs sujets & leurs attributs,
simples
ou composés, incomplexes ou complexes ; ces propo
a de trois sortes ; 1°. des caracteres prosodiques d’expression ou de
simple
prononciation ; 2°. des caracteres prosodiques d’
; 3°. & des caracteres prosodiques de quantité. Les caracteres de
simple
prononciation, sont la cédille, l’apostrophe, le
nificative, qui altere en quelque maniere que ce soit, le sens du mot
simple
, comme amovible, comprendre, défaire, insinuer, i
& destiné à peindre les élemens de la voix de la maniere la plus
simple
; & ce vice est commun au q & au k. Prisc
llu que l’art vînt mettre la nature à notre portée, en réduisant à la
simple
distinction de longues & de breves toutes les
signe qui puisse y suppléer ». La réponse à cette objection est fort
simple
. Nous écrivons deux consonnes à la vérité ; mais
ot completé : communément cette expression est un adverbe de maniere,
simple
ou modifié, ou bien une phrase adverbiale commenç
une impression produite dans le sujet sans concours de sa part, ou un
simple
état qui n’est dans le sujet ni action ni passion
n en détermine le cas par celui du nom qui suit ? N’étoit-il pas plus
simple
de rapporter tout au nom suivant, & de déclar
ù nous plaçons entre l’antécédent & l’adjectif conjonctif, ou une
simple
proposition, ou même une phrase adverbiale dans l
sieurs dans les acceptions distinctives : qu’elle est déterminée à la
simple
désignation de la nature commune dans l’acception
tachez simplement à la lettre, vous ne verrez dans ces paroles qu’une
simple
avanture arrivée à deux animaux : mais cette narr
e grands mots : il faut qu’ils fassent parler leur douleur d’un style
simple
& naturel, s’ils veulent nous toucher, &
ie de la proposition qui exprime ce sujet logique. Le sujet peut être
simple
ou composé, incomplexe ou complexe ; propriétés q
du véritable sens de la forme qu’on a nommée superlative ; c’est une
simple
extension du sens primitif & fondamental enon
res idiomes ; j’ai quelquefois vu des enfans, sous l’impression de la
simple
nature, dire de quelqu’un, par exemple, qui fuyoi
ne terminaison propre, on donne à l’adjectif pris sous cette forme le
simple
nom de comparatif. Pourvu qu’on l’entende ainsi,
leur, moindre, &c. & au superlatif nous disons avec l’article
simple
, la plus grande de mes passions, le plus fidele d
n rapport de supériorité ; mais le superlatif exige de plus l’article
simple
ou l’article possessif, & c’est par-là qu’est
nsemble de la phrase, & d’ailleurs plus grande n’étant plus qu’un
simple
comparatif exige un que & un terme individuel
grande (que toutes mes autres passions). Dans ces deux cas, l’article
simple
ou possessif, servant à individualiser l’objet qu
ous le faisons comme il vient d’être dit, par l’addition de l’article
simple
ou possessif ; le moins instruit des enfans, votr
noms adjectifs & les adverbes, augmentative de ce que signifie le
simple
; & dans le plus grand nombre des verbes, ell
sans article, & l’autre plus, précédé immédiatement d’un article
simple
ou d’un article possessif ; ce qui fait la différ
om soit accompagné de son article, il faut pourtant répéter l’article
simple
avant le mot qui exprime le rapport de supériorit
, c’est qu’il présente toujours l’idée fondamentale du supin ; l’idée
simple
de l’acte, soit qu’on le regarde comme appartenan
n cas qui est essentiellement destiné à caractériser ou le complément
simple
d’une préposition, ou le complément objectif d’un
uaero illum locum, &c. Voyez Relatif, Interrogatie . Ailleurs une
simple
inversion qui déroge à la construction ordinaire,
ibus aures : ce qui est expressément défendu par Horace, & par le
simple
bon sens, qui est de toutes les langues : que d’a
irects, que les grammairiens hébreux ont regardé l’impératif comme un
simple
tems de l’indicatif ; mais c’est parce que l’indi
me chose en latin, mais non pas en françois, lorsqu’il s’agit du tems
simple
, appellé communément imparfait. Quand Ovide dit,
cellente, & qui nous servira de point fixe, la syllabe est un son
simple
ou composé, prononcé avec toutes ses articulation
sont de deux sortes, les sons & les articulations. Le son est une
simple
émission de la voix, dont la forme constitutive d
re. C’est, dit-il, (vrais princip. tom. l. disc. I. pag. 12.) un son,
simple
ou composé, prononcé avec toutes ses articulation
ir beaucoup plus de vérité que la maniere ordinaire, qu’elle est plus
simple
, & par conséquent plus facile pour les enfans
: chacun de ces sons est prononcé naturellement, puisque l’un est une
simple
émission spontanée de la voix, & que l’autre
tui-lier. Par rapport à l’articulation, les syllabes usuelles sont ou
simples
ou composées. Une syllabe usuelle simple est un s
s syllabes usuelles sont ou simples ou composées. Une syllabe usuelle
simple
est un son unique ou double, qui n’est modifié pa
n homme qu’il aime le vin, je dis qu’il aime la bouteille ; c’est une
simple
métonymie (voyez Métonymie) ; c’est un nom pour u
prime qu’une espece particuliere ; on restreint le mot générique à la
simple
signification d’un mot qui ne marque qu’une espec
déesse, c’est-à-dire, de son sanctuaire ? Cette explication est toute
simple
, & de l’autre part la figure est tirée de bie
n ensemble, comme le tout & la partie ; leur union n’est point un
simple
rapport, elle est plus intérieure & plus indé
exemples de synthèse cités plus haut ; & l’on va voir que par de
simples
supplémens d’ellipse ils vont rentrer dans les re
du verbe, afin de comprendre dans cette définition, non-seulement les
simples
inflexions consacrées à cet usage, mais encore to
; ensorte qu’elle peut convenir également à ce qu’on appelle des tems
simples
, des tems composés ou surcomposés, & même à q
t c’est le présent indéfini qui en fait la fonction. La raison en est
simple
: le présent indéfini ne se rapporte lui-même à a
ois donc que j’étois, je louois, j’admirois sont au présent antérieur
simple
, & que je fus, je louai j’admirai sont au pré
a point de présent antérieur périodique, se sert du présent antérieur
simple
pour exprimer la même idée : ichwar (j’étois ou j
le présent antérieur périodique, ils se servent du présent antérieur
simple
, & disent, par exemple, je le trouvois hier e
ge on l’a confondu… & en latin même on se sert pour cela de futur
simple
: cum coenabo, intrabis (vous entrerez quand je s
le même défaut que j’ai déja relevé à l’occasion du présent antérieur
simple
: l’auteur dit que le tems dont il parle, eût mar
t M. Lancelot ; le présent postérieur n’existe point ; c’est le futur
simple
qui en fait l’office dans l’occurrence. Si je pre
troisieme. II. Le second de nos prétérits, est le prétérit antérieur
simple
, fueram (j’avois été), laudaveram (j’avois loué),
ù je le dis : coenaveram est donc véritablement un prétérit antérieur
simple
, ou relatif à une simple époque. III. En françois
est donc véritablement un prétérit antérieur simple, ou relatif à une
simple
époque. III. En françois, en italien, & en es
n, comme le présent antérieur périodique differe du présent antérieur
simple
; j’eus eté, j’eus loué, j’eus admiré, sont des p
. Remarquons d’abord que dans la plûpart des langues, il y a des tems
simples
& des tems composés. Les tems simples, sont c
es langues, il y a des tems simples & des tems composés. Les tems
simples
, sont ceux qui ne consistent qu’en un seul mot, &
sés, sont ceux qui résultent de plusieurs mots, dont l’un est un tems
simple
du verbe même, & le reste est emprunté de que
amp; l’espagnole. 1°. On trouve dans ces trois langues les mêmes tems
simples
; & dans l’une, comme dans l’autre, il n’y a
êmes tems simples ; & dans l’une, comme dans l’autre, il n’y a de
simples
, que ceux que je regar de comme des présens. P
nç. ital. espagn. indéfini. je loue. lodo. alabo. antérieur
simple
. je louois. lodava. alabava. antérieur pé
étérit, franç. ital. espagn. indéfini. j’ai ho hé antérieur
simple
. j’avois havévo avia antérieur périodique
mp; que je comprends, pour cette raison, sous le nom de présens, sont
simples
en latin, tant à la voix active, qu’à la voix pas
ndamentale qui leur est commune, est celle d’antériorité, sont encore
simples
à la voix active ; mais le changement d’inflexion
elle consiste. Les présens & les prétérits actifs sont également
simples
, & ont par conséquent une racine commune, qui
à tous les verbes : ainsi laud est la racine commune de tous les tems
simples
du verbe laudare (louer) ; c’en est le fondement
est tunc potero dicere, precatus nunc sum. Quoique les présens soient
simples
dans tous les verbes latins, cependant l’analyse
tte idée, & qui fait abstraction de celle du terme. Cette maniere
simple
de rendre raison des différens emplois d’un même
énominations, on pourroit conserver aux tems de cette classe les noms
simples
de prétérits ou de futurs, parce qu’on n’y exprim
ux dire qu’elle n’a autorisé pour cela, dans ses verbes, aucune forme
simple
, ni aucune forme composée résultante de l’associa
eu, que cette dénomination n’a aucune conformité avec les lois que le
simple
bon sens prescrit sur la formation des noms techn
e dira-t-on, l’analogie même n’est pas trop observée ici : les verbes
simples
qui se conjuguent avec l’auxiliaire avoir, prenne
surcomposés ; j’ai eu chanté, j’aurois eu chanté, &c. les verbes
simples
qui se conjuguent avec l’auxiliaire être, prennen
ontraire les tems surcomposés des verbes pronominaux prennent un tems
simple
du verbe être avec le supin du verbe avoir ; ce q
t indéfini comparatif, comme j’ai eu chanté. 2. Le prétérit antérieur
simple
comparatif, comme j’avois eu chanté. 3. Le prétér
que je viens d’analyser. Je mettrai en parallele trois verbes ; l’un
simple
, empruntant l’auxiliaire avoir ; le second égalem
es ; l’un simple, empruntant l’auxiliaire avoir ; le second également
simple
, mais se servant de l’auxiliaire naturel être ; e
être un commandement absolu, un desir, une permission, un conseil, un
simple
acquiescement. Si la volonté de celui qui parle e
elativement à l’avenir : mais si la volonté de celui qui parle est un
simple
acquiescement, il peut se rapporter indifféremmen
atif) §. 3. Des tems du suppositif. Nous avons dans ce mode un tems
simple
, comme les présens de l’indicatif ; je chanterois
erois, je me révolterois : nous en avons un qui est composé d’un tems
simple
de l’auxiliaire avoir, ou de l’auxiliaire être, c
spondantes de l’indicatif & des autres modes : les présens y sont
simples
; les prétérits positifs sont composés d’un tems
ésens y sont simples ; les prétérits positifs sont composés d’un tems
simple
de l’un des deux auxiliaires avoir ou être ; les
que nous l’avons observée dans notre langue : tous les présens y sont
simples
; les prétérits positifs y sont composés d’un tem
ens y sont simples ; les prétérits positifs y sont composés d’un tems
simple
du même auxiliaire avoir ou être ; les comparatif
des occasions où l’imparfait même (c’est-à-dire le présent antérieur
simple
) entre en concurrence avec l’aoriste & le pré
moins déterminé, & que c’est absolument le premier & le plus
simple
radical d’où est dérivé le mot dont on cherche le
re, en quelque sorte, l’hébreu même à la portée du vulgaire, sous les
simples
apparences du latin dont il emprunte les mots. Mi
pulsat pede pauperum tabernas regumque turres. On sait la paraphrase
simple
& naturelle que Malherbe a fait de ces vers :
venté les caracteres de l’Ecriture, ce qui seroit une expression trop
simple
pour la poésie, Brébeuf a dit : Pharsale, l. III.
p; du corps aux pensées. Lucain avoit ennobli à sa maniere la pensée
simple
dont il s’agit, & l’avoit fait avec encore pl
e nous le faisons entendre dans fou, loup, nous, vous, qui est un son
simple
, & qui, dans notre alphabet devroit avoir un
sept, huit : V = 5000. Celles de nos monnoies qui portent la lettre V
simple
, ont été frappées à Troyes : celles qui sont marq
vantage dans le grammatical, & je dirois que l’affirmation est la
simple
position de la signification de chaque mot, &
ui les rendent négatifs, parce que la négation est contraire à l’acte
simple
de la parole, & qu’on ne la suppléeroit jamai
inition du verbe qui n’assigne pour objet de sa signification, qu’une
simple
modification qui peut être comprise dans la signi
p; cesse quelquefois de l’être. Le participe dans son système, est un
simple
adjectif, parce qu’il ne conserve pas l’idée de l
ns relatives aux personnes, parce que l’un & l’autre expriment de
simples
idées ; l’un, un être déterminé par sa nature ; l
nd deux sortes d’élémens, le son & l’articulation. Le son est une
simple
émission de la voix, dont les différences essenti
yelles, ditil, est-elle bien nécessaire ? & ne seroit-il pas plus
simple
de regarder ces prétendues voyelles (nasales) com
qu’il nommoit pareillement voyelles nasales, sont de véritables sons
simples
& inarticulés en eux-mêmes ; & ses preuve
& beaucoup moins dans les opéra de Quinault. Voici donc sous un
simple
coup-d’oeil, le système de nos sons fondamentaux.
l’usage universel ne sauroit jamais être mauvais, par la raison toute
simple
que ce qui est très-bon n’est pas mauvais, &
miner sur le langage national ? La réponse à cette question est assez
simple
. On ne parle que pour être entendu, & pour l’
erâ necessariò utimur. Le néographisme moderne tend à substituer l’i
simple
à l’y dans les mots d’origine grecque où l’on pro
pocrite. Si cet usage devient général, notre orthographe en sera plus
simple
de beaucoup, & les étymologistes y perdront b
les écrivains avoient introduit l’y à la fin des mots, au lieu de l’i
simple
: on ne le fait plus aujourd’hui, & nous écri
gue & l’angloise sont les seules où la lettre z soit une consonne
simple
. Elle étoit double en grez, où. elle valoit δσ, c
s laquelle il est exprimé ; ce qui pourroit faire nommer le zeugme ou
simple
ou composé. Les trois exemples déja cités appart
le ou composé. Les trois exemples déja cités appartiennent au zeugme
simple
: en voici pour le zeugme composé. Changement dan
ière350, il n’y a point de lieu où les décisions soient si justes… Du
simple
bon sens naturel et du commerce de tout le beau m
che ou l’incohérence des parties363 La méthode qui arrange la phrase
simple
arrange aussi la période, le paragraphe et la sér
t aisément et promptement tout lecteur, par une série de combinaisons
simples
, jusqu’aux combinaisons les plus hautes365. À ce
se et une complexité qui embarrasseraient l’action. Plus le thème est
simple
, et plus le développement est clair ; or, dans to
qui transforment l’esprit humain du tout au tout, soient pour lui de
simples
dehors, des enveloppes accidentelles qui, bien lo
es champs et dans la rue ; on se la figure toujours comme un automate
simple
, dont le mécanisme est connu. Chez les écrivains,
mathématiciens ; extraire, circonscrire, isoler quelques notions très
simples
et très générales ; puis, abandonnant l’expérienc
cartes, éd. Cousin, t. XI, 333, 340 ; I, 121. Descartes déprime « les
simples
connaissances qui s’acquièrent sans le secours du
approche de la conversation. » 370. Sauf dans les Pensées de Pascal,
simples
notes griffonnées par un chrétien exalté et malad
la vérité, liv. I, ch. I.) — « Ces longues chaînes de raisons, toutes
simples
et faciles, dont les géomètres ont coutume de se
tre plus grande, plus piquante, plus originale, et en même temps plus
simple
dans le choix de ses caractères et de son express
la lui jetter sur le visage ; et je ne nie pas que cette idée ne soit
simple
et sublime. Mais où est l’incident remarquable ?
leurs sabres contre la pierre de sa tombe ; cela est plus beau, plus
simple
, plus énergique et plus neuf que tout votre fatra
ment réclament encore contre son prétendu caractère ; l’innocence est
simple
en tout. Du reste, figure charmante, bien composé
r une de ses cuisses, la figure de l’amitié. Ce modèle de tombeau est
simple
et beau, l’ensemble en est pittoresque, et l’on n
impressions présentes ou passées, futures ou possibles, complexes ou
simples
. Cela est si vrai que des philosophes comme Berke
ttribut ou une substance, qu’il soit complexe ou abstrait, composé ou
simple
, son étoffe pour nous est la même : nous n’y mett
de scalpel, qui leur servent de fondement. Elle réduit le composé au
simple
, le dérivé au primitif. Elle ramène notre connais
ile ; notre croyance naît tout entière, et avec toute sa force, de la
simple
comparaison de nos idées. De plus, l’expérience n
aison de ces petits faits isolés et momentanés. Nous apprenons par la
simple
pratique que le soleil éclaire, que les corps tom
e l’absence des nuages, et que les nuages, comme tous les corps qu’un
simple
fluide élastique sépare d’un objet donné, ont cet
ne, nous nous reportons à côté de lui, nous en étudions d’autres plus
simples
, nous établissons leurs lois, et nous lions chacu
uses des mouvements des planètes, nous recherchons par des inductions
simples
les lois de deux causes, l’une qui est la force d
qui ont réuni des phénomènes vastes et compliqués sous quelques lois
simples
. » Ses détours nous ont conduits plus loin que la
ns distinctes au fond de toutes nos connaissances, comme des éléments
simples
, indécomposables, absolument séparés les uns des
son idée jusqu’au bout, on arriverait à considérer le monde comme un
simple
monceau de faits. Nulle nécessité intérieure ne p
t du tout. — Vous croyez comme nous qu’on découvre les causes par la
simple
expérience ? — Pas davantage. — Vous pensez qu’
toutes, et qui consiste à décomposer ces données complexes en données
simples
. Une faculté magnifique apparaît, source du langa
ition ; elle ne se contente pas d’expliquer un nom, elle n’est pas un
simple
signalement ; elle n’indique pas simplement une p
nit deux termes dont le second est une portion du premier. Il est une
simple
analyse. Et tous les axiomes sont ainsi. Il suffi
s portions de phénomènes, des extraits de cas complexes, des éléments
simples
enfermés dans des ensembles plus composés. Je les
il y a deux royaumes, celui des faits complexes et celui des éléments
simples
. Le premier est l’effet, le second la cause. Le p
Tout notre effort consiste à passer de l’un à l’autre, du complexe au
simple
, des faits aux lois, des expériences aux formules
oit continuer jusqu’à ce qu’on soit arrivé à des éléments tout à fait
simples
, c’est-à-dire tels que leur décomposition soit co
à toute chose, que tout fait a sa loi ; que tout composé se réduit en
simples
; que tout produit implique des facteurs ; que to
a nécessité logique qui transforme l’un dans l’autre le composé et le
simple
, le fait et la loi. Par là nous désignons d’avanc
té leurs grandes constructions. Ils ont compris qu’il y a des notions
simples
, c’est-à-dire des abstraits indécomposables, que
nt dans le détail, que l’on considère seulement les éléments les plus
simples
de l’être et les tendances les plus générales de
tuents, air, water, and the other distinguishable substances, whether
simple
or compound, of which nature is made up, are such
exercés dans le répertoire, mais dépourvus de l’invention véritable,
simples
exécutants qui succèdent aux compositeurs. En ce
impressions présentes ou passées, futures ou possibles, complexes ou
simples
. Cela est si vrai, que des philosophes comme Berk
ttribut ou une substance, qu’il soit complexe ou abstrait, composé ou
simple
, son étoffe pour nous est la même : nous n’y mett
de scalpel, qui leur servent de fondement. Elle réduit le composé au
simple
, le dérivé au primitif. Elle ramène notre connais
ile ; notre croyance naît tout entière, et avec toute sa force, de la
simple
comparaison de nos idées. De plus, l’expérience n
aison de ces petits faits isolés et momentanés. Nous apprenons par la
simple
pratique que le soleil éclaire, que les corps tom
ne, nous nous reportons à côté de lui, nous en étudions d’autres plus
simples
, nous établissons leurs lois, et nous lions chacu
uses des mouvements des planètes, nous recherchons par des inductions
simples
les lois de deux causes, l’une qui est la force d
qui ont réuni des phénomènes vastes et compliqués sous quelques lois
simples
. » Ses détours nous ont conduits plus loin que la
ns distinctes au fond de toutes nos connaissances, comme des éléments
simples
, indécomposables, absolument séparés les uns des
son idée jusqu’au bout, on arriverait à considérer le monde comme un
simple
morceau de faits. Nulle nécessité intérieure ne p
nt du tout. — Vous croyez comme nous qu’on découvre les causes par la
simple
expérience ? — Pas davantage. — Vous pensez qu’il
toutes, et qui consiste à décomposer ces données complexes en données
simples
. Une faculté magnifique apparaît, source du langa
ition ; elle ne se contente pas d’expliquer un nom, elle n’est pas un
simple
signalement ; elle n’indique pas simplement une p
nit deux termes dont le second est une portion du premier. Il est une
simple
analyse. Et tous les axiomes sont ainsi. Il suffi
s portions de phénomènes, des extraits de cas complexes, des éléments
simples
enfermés dans des ensembles plus composés. Je les
il y a deux royaumes, celui des faits complexes et celui des éléments
simples
. Le premier est l’effet, le second la cause. Le p
Tout notre effort consiste à passer de l’un à l’autre, du complexe au
simple
, des faits aux lois, des expériences aux formules
oit continuer jusqu’à ce qu’on soit arrivé à des éléments tout à fait
simples
, c’est-à-dire tels que leur décomposition soit co
à toute chose, que tout fait a sa loi ; que tout composé se réduit en
simples
; que tout produit implique des facteurs ; que to
a nécessité logique qui transforme l’un dans l’autre le composé et le
simple
, le fait et la loi. Par là nous désignons d’avanc
té leurs grandes constructions. Ils ont compris qu’il y a des notions
simples
, c’est-à-dire des abstraits indécomposables, que
nt dans le détail, que l’on considère seulement les éléments les plus
simples
de l’être et les tendances les plus générales de
tuents, air, water, and the other distinguishable substances, whether
simple
or compound, of which nature is made up, are such
marquable que cette découverte se soit produite si tard. Rien de plus
simple
, en apparence, que de remarquer que cette loi d’a
n avec bien d’autres découvertes, d’être venue tard et de paraître si
simple
qu’on ait le droit de s’en étonner. Peut-être n’e
successives et entre elles une différence de nature, moins encore, un
simple
hiatus entre deux moments d’une même sensation, m
eux pôles d’un aimant qui ne peuvent exister l’un sans l’autre. « Une
simple
impression équivaut à une non-impression. » Les a
u, suivant, qui pourra servir de guide au lecteur : I. Associations
simples
. 1. Par contiguïté conjointes successives 2. Par
us curieux que cette fusion des mouvements réels, c’est la fusion des
simples
idées de mouvements. Elles s’associent très bien
laire. La perception d’un objet externe n’est nullement un acte aussi
simple
qu’il semble au vulgaire ; pour qu’elle se produi
plus grand nombre échappe naturellement à ses sens, et l’observation
simple
ne lui suffit pas. Pour étendre ses connaissances
les divers procédés d’investigation ou de recherches qui peuvent être
simples
ou complexes : les premiers s’adressent aux objet
l’état naturel ils sont hors de notre portée. L’investigation, tantôt
simple
, tantôt armée et perfectionnée, est donc destinée
tion. Cette manière d’expérimenter, qui remonte à Galien, est la plus
simple
, et elle devait se présenter à l’esprit des anato
e nom d’observateur à celui qui applique les procédés d’investigation
simples
ou complexes à l’étude de phénomènes qu’il ne fai
om d’expérimentateur à celui qui emploie les procédés d’investigation
simples
ou complexes pour faire varier ou modifier, dans
dans un sens abstrait signifient, le premier, la constatation pure et
simple
d’un fait, le second, le contrôle d’une idée par
ne nous serait pas possible d’en tirer une science d’observation. La
simple
constatation des faits ne pourra jamais parvenir
re avec une longue vue afin de ne point l’effaroucher, il faisait une
simple
observation, parce qu’il ne la comparait pas à un
nce expérimentale. Sans doute la médecine doit commencer par être une
simple
observation clinique. Ensuite comme l’organisme f
s ce rapport ne peut être absolu qu’autant que les conditions en sont
simples
et subjectives, c’est-à-dire que l’esprit a la co
er complètement. C’est ainsi que dans l’étude des phénomènes les plus
simples
, la science expérimentale a saisi certains rappor
ion de l’analyse mathématique à des phénomènes naturels, quoique très
simples
, peut avoir des dangers si la vérification expéri
tes et les sciences expérimentales. Elles renferment les cas les plus
simples
. Mais, dès que nous entrons dans la physique et d
euvent naître chez tous les hommes, à l’occasion de certains rapports
simples
des objets que tout le monde peut saisir. Mais co
toute sa liberté. En chimie et en physique les faits deviennent plus
simples
, les sciences sont plus avancées, les théories so
s étant immuables et absolues, la science s’accroît par juxtaposition
simple
et successive de toutes les vérités acquises. Dan
à des relations de choses considérées dans des conditions extrêmement
simples
et que le mathématicien choisit et crée en quelqu
physiologique. De même, quand l’expérimentateur déduira des rapports
simples
de phénomènes précis et d’après des principes con
er comme absolu et en dehors des atteintes de l’expérience. Les corps
simples
des chimistes ne sont des corps simples que jusqu
es de l’expérience. Les corps simples des chimistes ne sont des corps
simples
que jusqu’à preuve du contraire. Toutes les théor
in de les réduire à des relations et à des conditions de plus en plus
simples
. Nous voulons ainsi saisir la forme de la vérité
’erreur et croire à des relations de cause à effet quand il n’y a que
simple
coïncidence. Les coïncidences constituent, ainsi
on verra bientôt que cette spontanéité des corps vivants n’est qu’une
simple
apparence et la conséquence de certain mécanisme
ener les phénomènes à des conditions expérimentales définies et aussi
simples
que possible Un phénomène naturel n’étant que
ement tous les phénomènes complexes en des phénomènes de plus en plus
simples
jusqu’à leur réduction à deux seules conditions é
essivement la matière complexe, et en parvenant ainsi, soit aux corps
simples
, soit aux corps définis (principes immédiats ou e
écomposer le problème total en des problèmes partiels de plus en plus
simples
et de mieux en mieux définis. Ils ramèneront ains
mèneront ainsi les phénomènes à leurs conditions matérielles les plus
simples
possible, et rendront ainsi l’application de la m
mener les phénomènes en apparence les plus complexes à des propriétés
simples
, se rattachant à des espèces minérales bien défin
enir à décomposer les parties vivantes en éléments chimiques ou corps
simples
, ce ne sont pourtant pas ces corps élémentaires c
Ceux-ci, de même que les principes immédiats organiques, ne sont pas
simples
chimiquement, mais, considérés physiologiquement,
possible, en ce sens qu’ils possèdent les propriétés vitales les plus
simples
que nous connaissions, propriétés vitales qui s’é
hénomènes complexes et les ramener à un certain nombre des propriétés
simples
appartenant à des organismes élémentaires, et ens
t point été détruit. Les phénomènes nous apparaissent ainsi comme des
simples
effets de contact ou de relation d’un corps avec
complexes trois espèces de corps définis : 1º des corps chimiquement
simples
; 2º des principes immédiats organiques et inorga
norganiques ; 3º des éléments anatomiques organisés. Sur les 70 corps
simples
environ que la chimie connaît aujourd’hui, 16 seu
rganisme le plus complexe qui est celui de l’homme. Mais ces 16 corps
simples
sont à l’état de combinaison entre eux, pour cons
s et paraissent fonctionner dans l’être vivant sous la forme de corps
simple
. Les principes immédiats inorganiques (sels terre
ine d’un phénomène en déterminant les conditions et les circonstances
simples
dans lesquelles il se manifeste, nous avons attei
ous restera toujours inconnue. L’essence du phénomène minéral le plus
simple
est aussi totalement ignorée aujourd’hui du chimi
issance de la nature intime ou de l’absolu, dans le phénomène le plus
simple
, exigerait la connaissance de tout l’univers ; ca
iologiques complexes sont constitués par une série de phénomènes plus
simples
qui se déterminent les uns les autres en s’associ
me du médecin expérimentateur consiste donc à trouver le déterminisme
simple
d’un dérangement organique, c’est-à-dire à saisir
nt des plus complexes en apparence peut être ramené à un déterminisme
simple
initial qui provoque ensuite des déterminismes pl
e que cette étude nous montre comment un déterminisme unique des plus
simples
, tel que la lésion d’une extrémité nerveuse motri
synthèse et dans l’analyse, ne peuvent pas être considérées comme une
simple
addition ou une pure soustraction des propriétés
s, quoique distincts et autonomes, ne jouent pas pour cela le rôle de
simples
associés, et que leur union exprime plus que l’ad
ur science, veulent encore absorber la physiologie et la réduire à de
simples
phénomènes physico-chimiques. Ils donnent de la v
es qu’il faut remonter pour trouver les explications vitales les plus
simples
. En résumé, la vivisection est la dislocation de
ologie normale le point de vue zoologique, le point de vue anatomique
simple
et comparatif, le point de vue physiologique spéc
este pas plus que personne. En effet, l’anatomie est une science plus
simple
que la physiologie, et, par conséquent, elle doit
us complexe, à la chimie ou à la physique, qui sont des sciences plus
simples
. Ce qui n’empêche pas que beaucoup de travaux de
ble. La composition chimique du milieu cosmique ou extérieur est très
simple
et constante. Elle est représentée par la composi
xcréments et les ont calculés avec les substances éliminées comme une
simple
perte de poids40. Je crois qu’il faudrait justifi
liquées, et les décomposer au moyen de l’expérimentation en questions
simples
et distinctes. J’ai déjà fait quelques tentatives
peu et se rapportant à des cas parfaitement déterminés et absolument
simples
. Je signalerai encore comme entachée de nombreus
essaires des manifestations vitales, normales ou pathologiques. Cette
simple
indication fait déjà pressentir que le laboratoir
nature complexe, oscillé plus longtemps que les autres sciences plus
simples
, dans les régions philosophiques et systématiques
fortuite. Rien n’est plus ordinaire, et c’est même le procédé le plus
simple
pour commencer un travail scientifique. On se pro
lines en leur donnant de l’herbe, etc. Je répétai cette expérience si
simple
un grand nombre de fois sur les lapins et toujour
les à celles des carnivores. Il s’agit ici d’un fait particulier bien
simple
qui permet de suivre facilement l’évolution du ra
l’esprit. Seulement on ne s’en rend pas compte, par cette raison bien
simple
qu’on commence par raisonner avant de savoir et d
épétées dans les mêmes conditions, m’apprirent qu’il y avait eu là un
simple
échange volume à volume entre l’oxyde de carbone
as parce qu’il ne disait rien à l’esprit. Il était cependant des plus
simples
à apercevoir, et, depuis que je l’ai signalé, tou
uisent jamais un seul fait positif C’est pourquoi la négation pure et
simple
n’est point de la critique, et, en science, ce pr
ucun effet sur le crapaud lui-même. En effet, voici l’expérience bien
simple
qui semble le prouver : si l’on prend sur le bout
ne suffit pas qu’un fait expérimental se présente avec une apparence
simple
et logique pour que nous l’admettions, mais nous
de désordres moteurs spéciaux. Rien ne semblait plus naturel et plus
simple
que d’attribuer cette influence sur les mouvement
’expérimentateur vit, en revenant continuer son expérience, que cette
simple
opération préliminaire avait produit la même titu
ssairement la pratique bien plus longtemps que dans les sciences plus
simples
. Aujourd’hui la pratique médicale est empirique d
ires qui peuvent devenir des causes d’erreurs et lui faire prendre de
simples
coïncidences pour des relations de cause à effet.
mère dont les mouvements étaient régis par des lois que l’observation
simple
pouvait nous faire découvrir de manière à prévoir
rouve dans toute sa pureté dans Hippocrate. La médecine d’observation
simple
, on le comprend, exclut toute intervention médica
toxiques et médicamenteuses se ramènent, comme nous le verrons, à de
simples
modifications physiologiques dans les propriétés
’abord médecin observateur ; c’est de partir de l’observation pure et
simple
du malade faite aussi complètement que possible ;
la pathologie, science plus complexe, à la physiologie, science plus
simple
. En effet, c’est l’inverse de ce qui a été dit pr
J’ai la pensée d’être utile à la médecine scientifique en publiant ce
simple
essai sur les principes de la médecine expériment
oit expliquer toujours le plus obscur et le plus complexe par le plus
simple
et le plus clair. Or, la vie, qui est ce qu’il y
n cas pouvait être vrai. La plus petite idée scientifique et les plus
simples
notions de physiologie auraient cependant pu le d
que l’on croit posséder en soi, par suite d’une inspiration ou par un
simple
sentiment. Mais, ainsi que je viens de le dire, c
és par hasard ou par nécessité se sont transmis ensuite par tradition
simple
ou avec des pratiques religieuses. Mais après ce
a force thérapeutique ou autre imaginée par l’empirique paraîtront de
simples
hypothèses aux yeux du médecin expérimentateur. P
dans l’expectation en se bornant à favoriser par quelques médications
simples
les tendances heureuses de la nature. L’empirique
devra donc pas être, comme certaines personnes semblent le croire, un
simple
physiologiste qui attendra les bras croisés que l
n de la méthode expérimentale, et que la connaissance du déterminisme
simple
ou complexe des phénomènes vitaux est la seule ba
rimentale deviendra ainsi l’œuvre de tous, et chacun, ne fût-il qu’un
simple
médecin de campagne, y apportera son concours uti
endant quelque douze semaines, pour la plus grande gloire, non pas du
simple
greffier que j’étais bientôt devenu, mais de la p
ti, d’un Barrès ne se distingue plus de la poésie. Mais D’Ablancourt,
simple
traducteur d’ouvrages en prose, mais Balzac l’anc
nent, mais pour recevoir le fluide mystérieux qu’elles transmettent :
simples
conducteurs, plus ou moins précieux ou sonores, i
stes ou des formules magiques, des charmes au sens premier de ce mot.
Simple
harmonie et nouée au sens dans la prose, cette mu
ière n’est pas l’idole la plus vénérée de son panthéon. Est-ce là une
simple
distraction ? Non, c’est la dialectique instincti
ncher et à régler le rythme d’une pensée quelconque, même sublime, la
simple
logique — c’est-à-dire la prose — suffit ? Pour m
t sépare. C’est là un de ces pièges que tend le dictionnaire aux âmes
simples
. J’aurais pu tout aussi bien confondre le rossign
es plus ou moins semblables : les saints, les héros, les enfants, les
simples
, tous ceux qui n’ont pas étranglé leur âme. De ce
nt pas, si l’on peut dire, en fonction de leur expérience ineffable ;
simples
signes qui la rappellent confusément, mais qui, l
, comme je le crois, il est poète-vrai magicien, veux-je dire, et non
simple
prestidigitateur- Valéry a beau se persuader qu’
es, les lettres qu’a provoqués jusqu’ici notre enquête magnifique. Le
simple
cortège de ces correspondants et de ces critiques
dmirer Paul Valéry. Chez l’un, c’est une surprise amusée, narquoise «
simple
rougeole. Vous en reviendrez ». Chez l’autre, une
écoulement des choses ?… oui, sans doute, mais l’incantation, pure et
simple
, a commencé. Le fond de l’âme a frémi d’abord, pu
sements ». réactions scientifiques. — peu de mots nous suffiront : un
simple
geste, assez mélancolique, d’admiration confiante
leur concède que j’ai peut-être appelé trop facilement « miracle » un
simple
beau vers de Malherbe. Au cours d’un remarquable
amais l’amalgame d’une image et d’une idée, que l’image n’est pas une
simple
métaphore ou une allégorie « conscious » (voulue,
t été consacrés à notre débat, il y en a plusieurs qui ne sont pas de
simples
chroniques et que je regrette fort de ne pouvoir
: oui. Toutefois, il arrive souvent que ce mot, pour n’être pas assez
simple
ni assez court, ne me contente plus. Je cherche d
opos d’art. Deux peintres l’ont évitée en m’écrivant des lettres très
simples
. Ils ne cherchent qu’à distinguer le véritable la
ligieux ou social) est « picturalement parlant » secondaire, voire un
simple
prétexte… etc : je n’ai pas voulu interrompre mon
et la poésie (suite) la mystique du chef-d’œuvre. — le sentiment des
simples
. : la deuxième lettre que je reçois d’un peint
je ruminais : je pressens que vous allez aborder cette question : les
simples
et la poésie… eh ! Oui ! Mais, de divers côtés, o
omaine désintéressé : sentimental, poétique, religieux, mystique. Les
simples
, les enfants. Les poètes, les artistes : de grand
’avaient pas su se défaire-et à renouer le contact avec la poésie des
simples
? Relisez là-dessus un des manifestes symbolistes
te ces malheureux ou bien à rétrograder doucement vers la demeure des
simples
, qu’ils n’auraient jamais dû quitter, ou bien à s
savants en « psychodynamique » distinction d’une force à caractère de
simple
« impulsion » (logique) ; — « induction » (morale
t remarquable dont M. Alfred Lartigue passe scientifiquement des plus
simples
sensations aux abstractions les plus hautes, sans
oujours très sûre, et qu’il pourrait être dupe sur certains points de
simples
analogies. Puis il ne peut être question de trans
ines du château Bayard : « Ici naquit Pierre Du Terrail, cet homme si
simple
, dit Beyle, qui, comme le marquis de Posa de Schi
teur avait en vue n’y sont pas peints avec vérité, par la raison très
simple
que Beyle ne les connaissait pas. Il y avait enco
iste, homme important, riche, médiocrement sot, qui a une jolie femme
simple
et deux beaux enfants ; il s’agit pour lui d’avoi
Au sortir de cette lecture, j’ai besoin de relire quelque roman tout
simple
et tout uni, d’une bonne et large nature humaine,
ordinaires et acceptés comme indifférents ; où, sous prétexte d’être
simple
et de fuir l’effet, on ne me jette pas dans des c
Manzoni, tout bon roman de Walter Scott, ou une adorable et vraiment
simple
nouvelle de Xavier de Maistre. Le reste n’est que
les malheurs et petitesses de la province ! Je voudrais un style plus
simple
; mais, dans ce cas, les provinciaux l’achèteraie
. Enfin il se donne bien de la peine pour s’expliquer une chose très
simple
; il n’était pas de ceux à qui l’image arrive dan
surface de la société qu’elle favorisait, d’autres combinaisons moins
simples
que celles-là. Il y avait entre les cercles doctr
le crédit du duc de Duras, ses manières à elle, son esprit délicat et
simple
, sa générosité qui la portait vers tout mérite, e
es, à la bienfaisance pour ce qui l’entourait, et à la vie de ménage.
Simple
comme elle était, il semble qu’elle aurait pu s’i
llement, sans effort et sans calcul ; elle était très-simple avec les
simples
, peu spirituelle avec les insignifiants, non par
ne savais pas qu’il n’y a de repos qu’en vous ; » quand on entend ce
simple
élan interrompre le récit, on sent que l’auteur l
me temps que pour Eugène de Rothelin ; les personnages sont également
simples
, purs, d’une compagnie parfaitement élégante, et
ni du tâtonnement ni de la négligence. Il est né naturel et achevé ;
simple
, rapide, réservé pourtant, un style à la façon de
est soumettre l’involontaire… » Quel sens mélancolique et profond les
simples
paroles suivantes n’empruntent-elles pas sur les
a sélection des idées et leur suggestion a lieu tantôt en vertu de la
simple
rencontre ou contiguïté des impressions dans le t
sentiments, qui les font onduler en sens divers. Les associations par
simple
contiguïté sont ici extrinsèques et superficielle
connaît guère que la similitude, dont la contiguïté est pour elle une
simple
espèce et une ébauche. La contiguïté même devient
le pouvoir d’accepter ou de rejeter la soudure déjà commencée par la
simple
coïncidence de temps. En second lieu, l’intellige
xtérieures et les plus superficielles, comme celles qui tiennent à de
simples
coïncidences de temps ou de lieu, la pensée dégag
W. James, de dissocier préalablement ce qui avait été associé par la
simple
habitude et par la fréquence des simples contiguï
qui avait été associé par la simple habitude et par la fréquence des
simples
contiguïtés. Le savant ne doit-il pas d’abord sép
ce indépendante du mécanisme naturel, mais elle n’est pas non plus un
simple
effet accidentel et superficiel de ce mécanisme ;
t traduit dans un autre langage ; il ferait évidemment beaucoup moins
simple
. De sorte que la définition implicitement adoptée
défini de telle façon que les équations de la mécanique soient aussi
simples
que possible. En d’autres termes, il n’y a pas un
nous perdre dans cette infinie complexité, faisons une hypothèse plus
simple
; considérons trois astres, par exemple, le Solei
les règles ils recherchent la simultanéité. Je prendrai deux exemples
simples
; la mesure de la vitesse de la lumière et la dét
que les lois astronomiques compatibles avec cette valeur soient aussi
simples
que possible. Quand les marins ou les géographes
e définies de telle sorte que l’énoncé des lois naturelles soit aussi
simple
que possible. En d’autres termes, toutes ces règl
par la femme d’un régisseur. Le reste se composait de pêcheurs et de
simples
gens. Leur ignorance était extrême ; ils avaient
perpétuel enchantement. Ils préludaient vraiment au royaume de Dieu,
simples
, bons, heureux, bercés doucement sur leur délicie
car l’homme les portait en son cœur. L’œil clair et doux de ces âmes
simples
contemplait l’univers en sa source idéale ; le mo
tristes pays nous font une nécessité, était la conséquence de la vie
simple
et douce qu’on menait en Galilée. Les climats fro
», contre lequel la morale chrétienne a été si sévère, était alors le
simple
attachement à la propriété. La première condition
Jeunes gens ou vieillards ? De quelle condition ? De quel caractère ?
Simples
ou complexes ? Excessifs ou tempérés ? Élevés ou
anthrope ou dans un roman d’analyse signé Stendhal ? Est-elle courte,
simple
, violente, réduite à une crise rapide, comme c’es
a-t-on pas fait le compte de ceux qu’a employés Racine ? Rien de plus
simple
ensuite que de les classer d’après leur nature. O
de Guyau à ce sujet, dans ses Problèmes d’esthétique 10. En allant du
simple
au composé, nous rencontrons bientôt sur notre ch
le d’autres questions. Est-il pauvre ou somptueux ? fin ou grossier ?
simple
ou élégant ? original ou banal ? Je pourrais prol
urs manières de s’exprimer ? La sublime est un mot vuide de sens : la
simple
est la seule qu’on puisse employer ? Convient il
e Rollin, qui, l’ayant divisée après Aristote & Cicéron, en genre
simple
, en genre tempéré & en genre sublime, fait de
verse tout ce qui lui résiste ? Qui ne voit, sans tout cela, que le
simple
est celui qui n’a que des choses simples à dire ;
voit, sans tout cela, que le simple est celui qui n’a que des choses
simples
à dire ; le tempéré, celui qui regarde des matièr
ire qu’il ne jugeoit pas un concurrent digne de lui, mais une réponse
simple
, courte, & dans laquelle il lui reproche ses
e caractérise en ceci : qu’il s’exprime en phrases très claires, très
simples
, mais à double ou à triple sens, sens de plus en
à excellemment un procédé de fantastique. M. Maeterlinck n’est pas un
simple
fantastique, et cet art n’est chez lui qu’une mét
d’accidents, une tranche d’histoire légendaire, n’est pas non plus le
simple
fait normal de l’Intruse ou des Aveugles. De même
ité spontanée et neuve, il y a l’emploi d’une phrase dont l’apparence
simple
est un miroir profond d’attitudes séculaires et d
min de la lumineuse Damas, c’est peut-être tout Saint-Pol-Roux, poète
simple
à la ferveur gaie, en qui se recèle un adorateur
. Ainsi la scène III du sixième tableau où la Communion des Amants :
Simples
comme la brise des vallons et de la mer, Simples
munion des Amants : Simples comme la brise des vallons et de la mer,
Simples
comme l’aurore et comme l’eau de source… Le styl
e phrase, à un mot, on s’aperçoit qu’il s’agit au fond de choses très
simples
dans le décor de l’éternelle poésie. L’homme s’ap
nce propre ; elle est associée à l’anatomie, dont elle semble être un
simple
corollaire. On juge des fonctions et des usages p
s notions primitives, on ne peut jamais les éclairer par rien de plus
simple
; on est toujours obligé d’introduire dans la déf
iences de la nature ; toute tentative de définition ne traduit qu’une
simple
hypothèse. On ne connaît les objets que successiv
er dans son fonctionnement, mais qu’elle peut seulement contempler en
simple
spectatrice. Ce qui agit réellement ce sont des r
dans la route qu’il suit et amené dans la place qu’il occupe. La plus
simple
méditation nous fait apercevoir un caractère de p
rôle de l’homme en présence des faits vitaux devrait être celui d’un
simple
spectateur, non d’un acteur ; les sciences physio
averser les mers et aller germer d’un continent à l’autre. L’appareil
simple
dont nous nous servons pour faire germer les plan
ère fois. Un grand nombre de graines véritables ou de spores (graines
simples
des acotylédonées) sont enfouies dans le sol ou d
lle du blé. On voit que ce rapport n’a rien de mystérieux ; c’est une
simple
condition physique qui fait que le chemin est pra
e26. On voit donc que pour les tissus, qu’on peut considérer comme de
simples
matériaux physiques de l’organisation, leurs prop
nts et qu’il s’agit ici de fermentation. Or, les expériences les plus
simples
nous montrent que ces fermentations, comme toutes
. Un organisme complexe doit être considéré comme une réunion d’êtres
simples
qui sont les éléments anatomiques et qui vivent d
e qu’il ne saurait y avoir de vie libre, indépendante, pour les êtres
simples
, dont les éléments constitutifs sont en contact d
s mêmes conditions que celles qui sont nécessaires à la vie des êtres
simples
; seulement chez l’animal perfectionné à vie indé
mpliqué de tous, celui de l’homme, jusqu’à l’être élémentaire le plus
simple
, la cellule vivante. On ne peut, en un mot, conce
est d’avoir compris l’importance et toute la portée de cette division
simple
et féconde et d’en faire ressortir toutes les con
rganisme qui l’a produite, il faudra bien conclure qu’il n’y a pas eu
simple
mise en place de l’aliment introduit. On pourrait
e ce genre. C’est ainsi que la mousse de platine, disait-on, agit par
simple
présence ou par catalyse sur l’alcool pour le fai
mentation était une catalyse organique. C’était là, bien entendu, une
simple
désignation et non une explication. Le rapprochem
omposés complexes des organismes, leur dédoublement en des corps plus
simples
, accompagné d’une hydratation. Elles jouent un rô
isqu’ils produisent la destruction, le dédoublement des matières plus
simples
avec lesquelles elles sont en contact. II. Com
ermes à peu près constants, des acides gras volatils, des ammoniaques
simples
et composés, la leucine, la tyrosiue, l’acide car
trument d’analyse très puissant, le microscope. Le premier microscope
simple
avait été fabriqué en 1590 par le Hollandais L. J
apporter l’emploi de ce précieux instrument. D’ailleurs le microscope
simple
était incommode et insuffisant ; le microscope co
’origine de tous les êtres vivants se trouvait ramenée à cet organite
simple
, la cellule. La cellule est donc l’élément anatom
ément anatomique végétal et animal, l’organisme morphologique le plus
simple
dont soient constitués les êtres complexes. Il y
observa les zoospores et les anthérozoïdes des algues, éléments plus
simples
que la cellule, en ce sens qu’ils sont formés d’u
lus grand nombre ; mais le procédé de reproduction est toujours aussi
simple
. Il y a chez ces protistes un mélange si intime d
érations précédentes établissent donc que la vie, à son degré le plus
simple
, dépouillée des accessoires qui la compliquent, n
dans cet amas de substance protoplasmique. Cet état, qui est le plus
simple
et le plus jeune sous lequel se présente l’élémen
ence de faire du noyau, amas de protoplasma jusqu’ici considéré comme
simple
, un corps complexe à la fois au point de vue anat
leur ont dévoilé la complexité de cet élément considéré à tort comme
simple
. N. Auerbach distingue dans le noyau quatre parti
. Après avoir été considéré comme une matière d’une constitution très
simple
, il est aujourd’hui regardé comme étant d’une str
ote et l’oxygène, et comme éléments accessoires quelques autres corps
simples
. Il faut y reconnaître en un mot, de même que pou
s corps quaternaires, ternaires, et des matières terreuses. Les corps
simples
que la chimie nous a fait connaître comme entrant
s sont peu nombreux. Il n’y a pas de substance particulière, de corps
simple
vital, comme Buffon l’avait imaginé pour explique
ot, tous les corps « organiques ternaires pourraient se former par ce
simple
mécanisme de la désoxydation par le grain de chlo
éléments empruntés au règne minéral. Dans ce milieu à constitution si
simple
, sans albumine, sans produits organisés, on dépos
vie ne serait pas possible si l’on donnait le carbone à un état plus
simple
, par exemple à l’état d’acide carbonique. La chlo
ses de principes carbonés ou ternaires, en partant des corps les plus
simples
ou les plus saturés, tels que CO2. Le protoplasma
nce directe ou non du soleil, elle croît, et tout être vivant est une
simple
molécule d’albumine dérivée de la molécule albumi
l n’est pas plus possible au chimiste de fabriquer le ferment le plus
simple
que de fabriquer l’être vivant tout entier. En ré
par des idées préconçues, mais au contraire par l’observation pure et
simple
des faits. On croyait alors à la formation exclus
ez la plante aussi bien que chez l’animal, existe à son degré le plus
simple
dans le protoplasma. C’est l’irritabilité. D’une
le ; elles sont les modes divers d’une faculté unique, l’irritabilité
simple
. Il n’est pas nécessaire selon nous de distinguer
d’une part, et le milieu extérieur d’autre part ; la faculté la plus
simple
et la plus générale de la vie dans les animaux co
iver à un but déterminé. On trouverait là, non seulement le mouvement
simple
, mais le mouvement approprié à un but déterminé,
t été bien étudiés. On peut les amplifier au moyen d’un appareil très
simple
qui les rend appréciables à distance. Vous voyez
une propriété commune à tous les êtres vivants, animaux ou végétaux,
simples
ou complexes. Bien loin par conséquent que la sen
s expériences d’anesthésie germinative à l’aide de moyens encore plus
simples
(voy. fig. 22). Il suffit d’humecter, par exemple
J’ai voulu régulariser l’expérience et la rendre très exacte et aussi
simple
que possible à répéter. Voici comment il convient
ai poursuivies assez loin. Seulement je me bornerai aujourd’hui à une
simple
indication, me réservant de revenir avec détail s
iques l’activité des ferments solubles. Nous nous bornerons ici à une
simple
indication, ne voulant pas anticiper sur les étud
ode supérieur de la vie animale, on y reconnaît non pas une propriété
simple
, mais une manifestation vitale complexe qui répon
, êtres, mais qui se ramènerait cependant à un phénomène général plus
simple
, l’irritabilité. Broussais, nous l’avons déjà dit
xpression dans le sens ordinaire, au lieu d’être une propriété vitale
simple
, est donc une manifestation très complexe. On voi
’appareil nerveux tout entier ; soit d’une de ses parties, soit d’une
simple
cellule. L’aptitude à réagir de la cellule, c’est
t entier, et alors la vie ne réside plus que dans l’organisme le plus
simple
, tel que l’organisme cellulaire. La sensibilité,
re défaut pour cela. Aussi l’irritabilité, cette sorte de sensibilité
simple
, existe dans le protoplasma de la cellule, c’est
ystème nerveux, ne serait donc qu’un degré élevé d’une propriété plus
simple
qui existe partout : elle n’a rien d’essentiel ou
devient tout à fait évidente si l’on considère surtout les conditions
simples
et claires de l’expérience. En résumé, au point d
smes vitaux, morphologiquement déterminés. Ce sont les êtres les plus
simples
, ne possédant que la vie nue, sans les formes var
une enveloppe bien caractérisée. Dans le premier cas, il y a scission
simple
; dans le second cas, division endogène. Les monè
endogène, on la décrivait, il y a quelques années, d’une manière fort
simple
. Le noyau, disait-on, en prend l’initiative, et d
nnaître les recherches nouvelles qui tendent à réformer ces vues trop
simples
. Nous devons y revenir63. Strasburger a étudié la
ule forme une cellule nouvelle, par une sorte de renouvellement ou de
simple
rajeunissement de ce protoplasma. C’est par ce mo
re cellule ; par lesquels se constitue, en somme, l’organisme le plus
simple
. Nous examinerons, maintenant, la morphologie spé
est là l’origine commune de tous les êtres vivants : cette cellule si
simple
jouit de la faculté de donner naissance, par une
plus loin encore l’origine de l’ovule. — Pour lui, l’œuf n’est pas un
simple
élément anatomique, c’est déjà un organisme : il
nitz. Leibnitz considérait tous, les phénomènes de l’univers comme la
simple
conséquence d’un acte primordial, la création. La
ation dans cette forme partout identique, qui est l’ovule primordial,
simple
masse proloplasmique à noyau. Cette identité d’or
nitive, à expliquer par quels procédés successifs la cellule ovulaire
simple
a donné naissance à cette construction polycellul
G. 41. — Développement des articulés ; exemple d’évolution symétrique
simple
(evolutio gemina de Baër). — Œuf d’une arachnide
esquelles peut se présenter l’activité vitale et de la classification
simple
et féconde qui en résulte pour les phénomènes de
uis le plus compliqué des animaux jusqu’à l’organisme végétal le plus
simple
, nous présentent les deux ordres de phénomènes de
la leçon V, une complication de la notion vitale. À son degré le plus
simple
(réalisé isolément d’ailleurs dans la nature, ou
aire qu’il soit, n’est pas encore une substance purement chimique, un
simple
principe immédiat de la chimie : il a une origine
nditions de cette vie : humidité, chaleur, oxygène, réserves. La plus
simple
des formes sous lesquelles la matière vivante se
ue des êtres supérieurs, la cellule est donc la forme vivante la plus
simple
; elle nous offre le premier degré de la complica
ux quand l’organisme est plus compliqué, moins nombreux s’il est plus
simple
; mais le but est toujours le même. On pourrait e
me ce fait n’est pas actuellement au moins réductible à un autre plus
simple
, qu’il n’est explicable par aucun autre, nous le
appelons propriété. Ainsi, en résumé, la propriété est le nom du fait
simple
, abstrait, comme le dit M. Chevreul, et actuellem
de la complication croissante des êtres organisés, depuis les formes
simples
jusqu’aux plus compliquées, au moyen de deux prin
e d’ammoniaque. La transformation de ce sel en urée se produit par un
simple
jeu d’isomérie. On lui a plus tard donné naissanc
ut d’institution purement humaine. Non qu’il soit né, cependant, d’un
simple
artifice, de quelque convention volontaire entre
ie, et de l’art qui l’exprime, est le passage constant d’un état plus
simple
, relativement homogène, à un état plus complexe d
s âmes « différentes ». Elle fut d’abord populaire, universelle, très
simple
et comprise par tout un peuple. Puis tels artiste
e des esprits exige, dans les musiques, une hiérarchie pareille : aux
simples
âmes incultes la mélodie, la chanson ; à beaucoup
? Nous pouvons savoir, seulement, que les émotions furent, au début,
simples
et peu nombreuses, fort vagues : et que les musiq
stituent une précieuse mélodie expressive, le plain-chant, traduction
simple
et profonde des premières émotions religieuses. L
ons. Mais ces chansons exprimaient des émotions réelles, des émotions
simples
et naïves, cependant plus fines que celles des pe
aître Jean Sébastien Bach. Le peuple d’Allemagne était resté une race
simple
et naïve, spécialement disposée, par une multitud
ne foi aimante, tout cordiale. Jean Sébastien Bach fut ainsi un homme
simple
et naïf, étranger aux subtilités de la passion, m
ix-huitième siècle, les émotions n’avaient point cessé être naïves et
simples
t elles étaient devenues plus spirituelles. Les m
iciens de ce temps, Haydn et Mozart, firent une musique à peine moins
simple
et naïve, mais plus finement spirituelle que la m
idées conservées et se reconnaît elle-même à travers le temps, est un
simple
« accompagnement » des fonctions nerveuses ; auss
sychologie ; le but sera de montrer que le souvenir conscient est une
simple
« efflorescence », dont les racines plongent bien
ion de la difficulté. De plus, l’« âme » est par définition un « être
simple
», et cet être prétendu simple devient par la mém
l’« âme » est par définition un « être simple », et cet être prétendu
simple
devient par la mémoire une sorte de réceptacle et
milieu, l’écho affaibli pourra se produire encore à l’occasion d’une
simple
représentation de la cloche. Il en est de même da
nsuite l’image d’un disque vert ; or il peut en être de même pour une
simple
représentation, en apparence toute mentale : elle
appelle « l’astronomie moléculaire du cerveau ». Sans doute, outre la
simple
propagation continue du mouvement, il faut consid
t dans le même mouvement ou dans la même figure. Le mouvement le plus
simple
, qui suppose une répétition de soi-même au moins
t profonds : elles sont donc autrement difficiles à reproduire qu’une
simple
esquisse de nature intellectuelle. Les émotions s
uence que les idées peuvent avoir sur la production des émotions. Une
simple
idée, causée par l’excitation des centres et non
puis les verbes. Ici encore la régression va du plus complexe au plus
simple
, du moins organisé au plus organique. Ajoutons qu
des certitudes à son objet. La raison de cet insuccès me paraît assez
simple
. C’est qu’on s’obstine à ne pas embrasser le prob
cartes si humbles d’apparence et de si profonde signification. Cette
simple
ligne qui, sur la carte, sépare le romain du barb
demi. Il semble vraiment qu’à moins de se résigner au rôle de pur et
simple
annaliste, il faille tirer les conséquences de ce
sont restés droits et purs. Pour comprendre l’énorme importance de ce
simple
fait, rappelons-nous l’état de la Gaule, province
leur entrée dans la vie consciente, dont l’un serait demeuré au pays,
simple
, robuste et sain, tandis que l’autre aurait subi
e. L’insuccès de la Réforme chez les peuples latins n’est donc que la
simple
conséquence — et le témoignage aussi — de la dimi
gnons glorieux de notre ancestralité, les peuples qui surent demeurer
simples
et sains ont droit à bien plus d’orgueil encore —
chercher les véritables « origines de la France contemporaine ». Les
simples
faits cependant ont assez d’éloquence. La romanis
ffinement esthétique d’une nation, considérée dans son élite, avec sa
simple
valeur morale en tant que nation, considérée en b
e lourd, fruste, grossier Romain, qui s’avance méthodiquement avec sa
simple
force brutale et neuve, sa pure énergie animale d
son goût et de sa culture, peut mépriser l’homme jeune, pourvu de sa
simple
force naturelle et de son instinct de vie, sans q
L’énergie qui prime tout et détermine tout, qui comprend à la fois la
simple
énergie corporelle — cette fleur des organismes p
us qu’il ne vit. L’être qui a conservé la foi et la naïveté du vivant
simple
et sain prend contact avec le dehors, le modifie
ique tout, donnant, pour ainsi dire, la clef d’un problème qui serait
simple
, si tant de nuages et de malentendus ne l’obscurc
la situation des peuples latins dans le monde a fortement décliné. Un
simple
regard jeté sur le monde suffit à l’établir. La p
omme attire une femme, je veux dire une femme qui séduit moins par le
simple
attrait normal de son sexe que par ses caprices,
civilisation latine dans le monde contemporain, il suffit d’une très
simple
expérience : sortir du monde latin et l’envisager
entrepris de pleinement appliquer à leur situation les remèdes que le
simple
bon sens suffit à leur prescrire. Jamais ils n’on
ration devrait être tentée par l’intelligence, l’intelligence pure et
simple
. Une intelligence toute-puissante, celle d’un hom
urs est employée à contre-sens. Une révolution de ce genre serait une
simple
rentrée dans l’ordre par le lent, graduel, intens
e l’éducation, pour être féconde, ne devrait pas être conçue comme un
simple
divertissement, comme une pure récréation, au poi
côté toutes les mesures de violence, il semble qu’une opération assez
simple
en elle-même pourrait suffire à transformer l’ave
nation de fournir une nouvelle période d’existence. Ce serait là une
simple
opération d’élevage, parfaitement réalisable, de
le moins de mots possible, des faits, de la démonstration, des idées
simples
, fortes et nettes, des choses vivantes, — c’est à
toutes échoué dans notre monde. Or la raison de ceci est extrêmement
simple
: toujours les efforts entrepris dans ce sens fur
tendre traiter de naïf — parce que je crois l’opération beaucoup plus
simple
qu’on ne se l’imagine ordinairement, pourvu qu’el
nt et l’agitation soulevés. Ce serait là, nous le répétons, comme une
simple
mesure prophylactique au point de vue moral et me
lité aux suggestions du milieu, et qui n’y demeurent attachés que par
simple
respect humain ou bien parce qu’ils y trouvent le
, sinon funeste, une mesure aussi radicale que l’interdiction pure et
simple
de toute pratique romaine sur l’étendue d’un terr
rement dit, le bien sortira du mal, par une lente germination, par le
simple
jeu de l’évolution. Je ne voudrais pas contrister
ion de fond », on a compris que nous préconisions leur passage pur et
simple
au protestantisme. Or telle n’était pas exactemen
ent celui d’une révolution intérieure — supérieure, selon nous, à une
simple
progression de scepticisme — d’une révolution de
(ecclesia, le lieu de l’assemblée). Je n’entends pas désigner ici un
simple
avatar du pur édifice administratif, banal, froid
it exécutée aussi souvent que possible, avec un orgue, des chœurs. De
simples
causeries y exposeraient les questions qui, suiva
ine, les mieux pourvus d’intelligence et de bonne volonté tendant aux
simples
, jusque-là trompés et pervertis, la main qui les
r sa tâche et d’enfanter sans trouble une vie nouvelle. Après que les
simples
, les positifs, les non-intellectuels, les marchan
re assez cuisant. D’une manière ou de l’autre, cela apparaît comme un
simple
retour à la tyrannie, négation de l’œuvre politiq
entale. Dans l’état où nous sommes, fonder de l’espoir sur la pure et
simple
tolérance, c’est de la puérilité. Presque tout ch
épugnance extrême qu’éprouve le tempérament latin pour l’intelligence
simple
et allant droit au but. En pays catholiques, l’in
our totalement dépourvus, n’ayant plus pour continuer de vivre que la
simple
force mécanique d’impulsion que créent quinze siè
sique, sous cet aphorisme : « La nature a horreur du vide. » C’est du
simple
jeu de ce phénomène que seront victimes les natio
vec l’Anglo-Saxon, de civilisation industrielle, il a dû céder par le
simple
jeu de la loi sus-énoncée. Les Boers ont été vain
fatal se produira, il est probable que personne parmi nous ne fera ce
simple
raisonnement : si, lorsqu’une nation — la France,
gaillard vigoureux déterminé à user d’elle normalement ? C’est là un
simple
fait de nature, inéluctable et bienfaisant, alors
emuer profondément la conscience latine. Et ceci pour une raison bien
simple
, c’est que le Latin moyen a une horreur intime po
tant que réceptacles de germes pernicieux. Ce ne serait nullement par
simple
raison d’inimitié entre notre race et celle de no
étendre que cette rencontre d’individus, comparable à celle des corps
simples
qui s’unissent dans une combinaison chimique, a f
r le seul fait d’abandonner certaines thèses ou de les donner pour de
simples
hypothèses, se rapproche davantage de nos vues. E
s les unes aux autres, apparaîtrait peut-être du dedans comme un acte
simple
: tel, un mouvement de notre main, que nous sento
doublement, non pas composés ensemble mais constitutifs d’une réalité
simple
sur laquelle intelligence et instinct ne seraient
optères tels que la fourmi et l’abeille, et chez l’homme. A l’état de
simple
tendance, elle est partout dans la rature. On a p
groupements la cohésion voulue, la nature disposerait d’un moyen bien
simple
: elle n’aurait qu’à doter l’homme d’instincts ap
coutumes, les unes justifiées par un besoin réel, la plupart dues au
simple
hasard ou à une extension irréfléchie des premièr
tre part, l’idée de responsabilité individuelle est loin d’être aussi
simple
qu’on pourrait le croire. Elle implique une repré
ées en avant, telles quelles ; ce sont déjà, il est vrai, plus que de
simples
formules ; ce sont des résistances, des pressions
fit de la nature est d’ordre religieux. Commençons par le cas le plus
simple
. Les animaux ne savent pas qu’ils doivent mourir.
ehors à l’état pur. Il aura tout de suite rencontré d’autres éléments
simples
, de même origine, avec lesquels il se sera compos
ment continué de la fonction fabulatrice. Il existe ainsi des thèmes,
simples
ou complexes, fournis par la nature ; et il y a,
nfini selon les temps et les lieux. Il n’est pas douteux que le thème
simple
que nous venons d’indiquer se compose tout de sui
e ceux de la fable, ou des divinités de plus en plus basses comme les
simples
esprits, ou même des forces qui ne retiendront de
’il le crève, il le répandrait en gouttelettes. Mais il trouvera plus
simple
de se supposer presque redescendu à terre, et de
contrarier l’homme. On voit comment il y a une magie naturelle, très
simple
, qui se réduirait à un petit nombre de pratiques.
sera déjà entrée dans la voie de la civilisation, la perspective d’un
simple
accroissement de bien-être suffira sans doute à v
onsister dans une création de qualités nouvelles, et non plus dans un
simple
agrandissement ; au lieu de profiter seulement de
ion qu’elle accomplit, passera d’autant plus complètement à l’état de
simple
chose. Il est vrai que les âmes des morts viennen
mblaient se présenter à l’état pur chez l’animal, dont l’activité est
simple
, tout d’une pièce, orientée en apparence dans une
s que l’homme traite une espèce animale, ou même végétale, parfois un
simple
objet inanimé, avec une déférence qui n’est pas s
eim, il occupe trop de place dans leur existence pour qu’on y voie un
simple
moyen de désigner le clan. La vérité doit être qu
e 15. Reconnaissons d’ailleurs que nous sommes ici dans le domaine du
simple
probable, pour ne pas dire du pur possible. Nous
es dieux ne paraissent que plus tard, quand la substantialité pure et
simple
qu’avaient les esprits s’est haussée, chez tel ou
verain serait détenteur, tandis que celle-là fut conférée à César par
simple
flagornerie et utilisée par Auguste comme un inst
nécessaire, on l’utilise ensuite, puisqu’elle reste présente, pour de
simples
jeux. Par le fait, nous passons sans peine du rom
x, et cette dernière création n’est que l’extension d’une autre, plus
simple
, celle des « puissances semi-personnelles » ou «
comme une complication infinie est donné à l’intuition comme un acte
simple
. L’acte pouvait ne pas s’accomplir ; mais, s’il s
uite un effort qui se poursuivra, en vertu de son élan, au-delà de la
simple
fabrication pour laquelle il était fait, créant a
t très complexes si on les prend un à un. Mais l’ensemble en est fort
simple
. L’homme est le seul animal dont l’action soit ma
ui a été dit de l’œil et de la vision. Il y a l’acte de voir, qui est
simple
, et il y a une infinité d’éléments, et d’actions
, avec lesquels l’anatomiste et le physiologiste reconstituent l’acte
simple
. Éléments et actions expriment analytiquement et
ut ce que les religions y apportèrent d’apaisement, devient une chose
simple
. Perturbation et fabulation se compensent et s’an
Mais un fait est en réalité un faisceau d’inférences : un fait aussi
simple
que celui de voir une pomme sur une table, suppos
si simple que celui de voir une pomme sur une table, suppose outre la
simple
sensation de couleur, le rappel des idées de rond
uvons aucune trace du système nerveux ; en remontant nous trouvons un
simple
ganglion avec ses prolongements ; plus haut quelq
uides dans toutes les questions biologiques, parce que les organismes
simples
sont plus faciles à étudier que les organismes co
s problèmes factices. Pourquoi, avec des jeux, voyons-nous les objets
simples
? Pourquoi les images étant renversées sur la rét
e s’appuie sur les faits. On peut, le montrer. Nous voyons les objets
simples
avec nos deux yeux ; mais nous entendons aussi le
bjets simples avec nos deux yeux ; mais nous entendons aussi les sons
simples
avec deux oreilles ; nos deux narines nous donnen
simples avec deux oreilles ; nos deux narines nous donnent une odeur
simple
; nos cinq doigts nous donnent les objets simples
us donnent une odeur simple ; nos cinq doigts nous donnent les objets
simples
. Ces faits auraient dû être rapprochés et sollici
doit être psychologique, et je crois, dit M. Lewes, qu’elle est très
simple
. La voici. Nous ne pouvons avoir deux sensations
mier moment du processus est la conscience d’une construction la plus
simple
par laquelle nous concevons des volontés autre qu
ement volontaire de mon bras et un coup reçu sur mon bras, ou même un
simple
déplacement involontaire de mon bras, quoique non
es notions à la conscience même prise en son tout ? D’une chose toute
simple
ils font un mystère insondable. Et leur dialectiq
tre conscience qu’un objet matériel quelconque. Il y a toujours là un
simple
effet de déduction, de projection et, en définiti
a métaphysique instinctive de tous les animaux, et il se réduit à une
simple
combinaison d’images. Une fois construite, la rep
dès le point A, il y ait dans le mobile quelque chose d’autre que la
simple
position actuelle, quelque chose qui amène la pos
ive, l’attente indifférente dans la contemplation pure est encore une
simple
apparence recouvrant un fond de désir. Quand vous
il y a un sentiment de délivrance particulier, qui suppose encore une
simple
idéalité par opposition à la réalité. Mais, sauf
ais enfin c’est toujours un jeu d’images statiques et simultanées, un
simple
spectacle kaléidoscopique qui n’enveloppe pas, co
le ? Sans prétendre l’expliquer par réduction à quelque chose de plus
simple
, au moins faut-il le rattacher à sa vraie origine
tous les psychologues ont cherché à expliquer l’idée de temps par un
simple
jeu de représentations ; c’est pour cela qu’ils o
sentation de la succession, qu’il faut se garder de confondre avec la
simple
succession des représentations. Si nous avons, à
de la pensée en tant que successifs et plus ou moins durables », une
simple
« fonction du temps », une simple « loi » aboutis
fs et plus ou moins durables », une simple « fonction du temps », une
simple
« loi » aboutissant à la « représentation des suc
’une intuition, mais pure de tout élément sensible ; il n’est pas une
simple
loi de notre expérience, mais l’objet d’une intui
vient avant l’autre133. M. Renouvier, lui, transforme en a priori une
simple
loi générale de notre expérience, de notre « imag
résence de choses toutes actuelles, alors même que ces choses sont de
simples
images ; qu’il apprend plus tard à reporter ces i
ssus de l’univers détruit, se survivant à elle-même pour concevoir sa
simple
possibilité et la possibilité de toutes les autre
i supposent qu’on peut avoir plusieurs idées présentes à la fois. Une
simple
conception est elle-même un complexus de sensatio
t des choses. Le rêve d’éternité intemporelle, fait par Kant, est une
simple
idée dont rien ne peut garantir la valeur. Toute
n pure, se contentent, avec plus de modestie, de poser le temps comme
simple
« loi de la représentation ». Ils n’en appellent
on la ramène à sa quintessence, on la fait tenir dans un principe si
simple
qu’on pourrait le croire vide : de ce principe on
jugement sur le fait sont deux choses distinctes, par la raison très
simple
qu’il y a alors au-dessus du fait, indépendante d
d’appel, sera amené, de degré en degré, à ne plus faire d’elle qu’une
simple
cour d’enregistrement, chargée tout au plus de li
ue du besoin matériel. A priori elle acceptera la doctrine de l’unité
simple
de la connaissance, et de l’unité abstraite de la
asserait du premier au second par voie d’inversion, peut-être même de
simple
interruption, s’il est vrai qu’inversion et inter
ations inétendues, artificiellement localisées dans l’espace, est une
simple
vue de l’esprit, suggérée par une métaphysique in
hypothèse, l’atome ou plus généralement le point matériel devient une
simple
vue de l’esprit, celle où l’on arrive en continua
entrer dans sa pensée, m’insérer dans ses sentiments, revivre l’état
simple
qu’il a éparpillé en phrases et en mots. Je sympa
théorie, en quelque sorte, de l’imposition de ces deux formes à cette
simple
matière. Sa question serait absurde, et l’absurdi
s l’absence des deux ensemble, — chose qui n’est ni perçue ni conçue,
simple
entité verbale. Ainsi naîtrait le problème de sav
trouve qu’il ne peut pas y avoir de contremaître, par la raison très
simple
qu’il n’y a pas d’ouvriers. Les causes et les élé
conception de la loi physique était exacte, la loi ne serait plus une
simple
relation établie par l’esprit, la subdivision de
i fait planer sur l’ensemble des volitions élémentaires une intention
simple
. Ainsi l’absence de l’un des deux ordres consiste
fait de leur combinaison. Mais notre intelligence passe outre. Par un
simple
sic jubeo, elle pose un désordre qui serait une «
esprit entre deux espèces d’ordre, ou enfin la représentation pure et
simple
du mot vide qu’on a créé en accolant le préfixe n
son parcours. Dans la composition d’une oeuvre géniale comme dans une
simple
décision libre, nous avons beau tendre au plus ha
essort de notre activité et créer ainsi ce qu’aucun assemblage pur et
simple
de matériaux n’aurait pu donner (quelle juxtaposi
éléments qui préexistent et survivent à leur organisation. Mais si un
simple
arrêt de l’action génératrice de la forme pouvait
enrichisse, nous le comprenons fort bien : cette création est un acte
simple
de l’esprit, et l’action n’a qu’à l’aire une paus
lles. De sorte que ce n’est pas artificiellement, pour des raisons de
simple
commodité, que nous isolons notre système solaire
le présuppose, notre entendement recule déconcerté. Que le jeu pur et
simple
des forces physiques et chimiques puisse faire ce
ialité est le mouvement inverse, et chacun de ces deux mouvements est
simple
, la matière qui forme un monde étant un flux indi
multiples et un ordre infiniment savant, nous devinerons un processus
simple
, une action qui se fait à travers une action du m
a, l’énergie mise en réserve se retrouvera, enfin, le jour où, par un
simple
déclanchement, on permettra au carbone d’aller re
ais à travers les mots, les vers et les strophes, court l’inspiration
simple
qui est le tout du poème. Ainsi, entre les indivi
épargner cette peine, d’éteindre ma pensée, de me condamner à une vie
simple
et vulgaire, j’accepterais. Que de fois j’ai cher
ur vie que dormir et rêver ! Je vois autour de moi des hommes purs et
simples
auxquels le christianisme a suffi pour les rendre
t raisonné là-dessus ma conscience : Dieu me garde de scandaliser ces
simples
! Quand je considère dans quel inextricable filet
vec délices. J’aime beaucoup à être dans les églises ; la piété pure,
simple
, naïve, me touche beaucoup dans mes moments lucid
r ma mère, ma Bretagne, ma vie toute orée, tant d’affections pures et
simples
. Seul maintenant dans ce monde, pour qui je suis
ssait avec ses besoins grossiers et impérieux ! J’enviais le sort des
simples
qui naissent, vivent et meurent sans bruit et san
d’une foule turbulente, grossièrement ambitieuse, et moi, au milieu,
simple
et timide ; et il fallait se mêler à cette tourbe
se mêler à cette tourbe. Que de fois je fus tenté de choisir une vie
simple
et vulgaire, que j’aurais su ennoblir par l’intér
omme spirituel qui juge tout et n’est jugé par personne. Que les âmes
simples
possèdent, beaucoup de vrai, oh ! mon Dieu ! je l
plaies, il n’a pas le droit de les aviver ou de les traiter comme une
simple
matière à description. L’amour ne s’arrête jamais
x de ces vastes tableaux faits pour séduire les imaginations les plus
simples
, tout révèle une divination géniale de l’âme popu
ême volume, après Waterloo, nous avons Cosette. La phrase reste toute
simple
; elle parlait à l’imagination, elle parle au cœu
re, l’enfant, parce qu’ils sont des thèmes universels, d’une grandeur
simple
, qui caractérisent l’œuvre de Hugo. On pourrait y
nforme au cours même de la vie et mieux en harmonie avec l’esprit des
simples
. Tout ce que nous venons de dire tend à prouver,
nri Conscience, comme un ami véritable. Or ses livres sont des livres
simples
. Remarquez d’ailleurs, qu’en peinture également,
artie, à l’erreur où nous sommes tombés, en prenant le roman pour une
simple
distraction et un amusement de lettrés. On a fait
l rejeter, dans l’immense confusion d’idées qui nous presse, nous les
simples
, nous les pauvres ? » Et nous leur répondons par
populaires, une œuvre de haute et saine émotion. » Et d’abord, soyez
simples
, afin d’être compris. Prenez la vie comme elle es
se. Après une journée de tumulte, on recouvre la tranquillité, par le
simple
effet sympathique de mouvements mesurés, comme la
is le toucher, considéré comme source de ces idées, n’est pas un sens
simple
; il suppose de plus le sens du mouvement. Notre
up de l’exercice des muscles, quoiqu’elle puisse résulter aussi d’une
simple
sensation de pression exercée sur la peau. Weber
e, mais qui sont distincts l’un de l’autre. La succession est un fait
simple
, la coexistence un fait complexe. Quand l’ordre s
d de chaque œil, sur chaque rétine, l’objet cependant est perçu comme
simple
et non comme double ? Ce problème, tant de fois d
nstinctif de la volition. L’auteur traite les deux premiers points en
simple
physiologiste ; et j’ai regretté, pour ma part, q
l y a longtemps qu’on a dit que la nature agit par les voies les plus
simples
, selon la loi de « la moindre action », qui devie
a moindre peine. Mais, si la fonction du langage est primitivement la
simple
communication intellectuelle entre les hommes, le
e la détruire. Les vieux traités de rhétorique distinguaient le style
simple
du style sublime ; ils opposaient le style simple
tinguaient le style simple du style sublime ; ils opposaient le style
simple
au style figuré. Pourtant le style sublime n’est
figuré. Pourtant le style sublime n’est souvent qu’une forme du style
simple
: rien de plus simple que le « qu’il mourût » ; r
yle sublime n’est souvent qu’une forme du style simple : rien de plus
simple
que le « qu’il mourût » ; rien de plus simple que
e simple : rien de plus simple que le « qu’il mourût » ; rien de plus
simple
que la plupart des traits sublimes de la Bible et
traits sublimes de la Bible et de l’Evangile. D’autre part, le style
simple
est fort souvent figuré, par la raison qu’il n’es
les jours pour l’homme des sociétés modernes), ce n’est pas sortir du
simple
. Le langage ordinaire, dans son évolution, transf
nt substituer l’algèbre à l’arithmétique pour les opérations les plus
simples
, et poser en équation, deux et deux font quatre e
plus grand qu’elle sera rendue en moins de mots. Balzac dit, dans une
simple
parenthèse : — « Car on hait de plus en plus, com
ooks on the sea. Vous voyez aussitôt surgir, dans ses grandes lignes
simples
, tout le paysage ; et en même temps surgissent to
tte d’église. » L’image peut, en donnant une très grande netteté à un
simple
fragment de l’objet qu’il s’agit de percevoir, fa
vers rappelle seul au lecteur qu’il a affaire à des mètres, non à de
simple
prose. C’est ainsi que la nature produit des nain
brebis au milieu des loups. Soyez donc prudents comme des serpents et
simples
comme des colombes… Ce que je vous dis dans les
ression ; or, l’expression est d’autant plus vive que le mot est plus
simple
et s’applique plus exactement à l’idée. La fusion
ssifs et si fréquents. Qu’il s’agisse d’une chose, d’un être ou d’une
simple
idée, nous éprouvons une joie infinie à retrouver
▲