térées. Un malade dit129 que, « lorsqu’il parlait, sa propre voix lui
semblait
étrange ; il ne la reconnaissait pas, il ne la cr
mbes étaient mues comme par un ressort étranger à sa volonté ; il lui
semblait
constamment qu’elles ne lui appartenaient pas… Lo
orté sur une autre planète. » — « Il était constamment étonné, il lui
semblait
qu’il se trouvait en ce monde pour la première fo
it rien à faire ; je me couchai sur un canapé, et j’attendis. — Il me
semblait
que quelque chose tendait à m’isoler du monde ext
e ne saurais vous dire combien cette sensation était profonde ; il me
semblait
être transporté extrêmement loin de ce monde, et
l, et je me rendis compte de sa résistance ; mais cette résistance me
semblait
illusoire ; il ne me semblait pas que le sol fût
a résistance ; mais cette résistance me semblait illusoire ; il ne me
semblait
pas que le sol fût mou, mais que le poids de mon
), je ressens quelque chose d’analogue, à cela près que les objets me
semblaient
moins petits en ce moment-là. Il en est de même e
ste ; mais il faut la corriger ; aussi je veux dire que les objets me
semblaient
moins petits, mais beaucoup plus éloignés. Voici
mittente. Les troubles de l’ouïe étaient absolument constants ; il me
semblait
que mes oreilles étaient bouchées ; j’étais étonn
e de noircir mes lunettes avec du noir de charbon… Constamment il m’a
semblé
que mes jambes n’étaient plus à moi ; il en était
il en était à peu près de même de mes bras ; quant à ma tête, elle me
semblait
ne pas exister… Il me semblait que j’agissais par
de mes bras ; quant à ma tête, elle me semblait ne pas exister… Il me
semblait
que j’agissais par une impulsion étrangère à moi-
et aussitôt après mon attaque, dit l’excellent observateur132, il m’a
semblé
que je n’étais plus de ce monde, que je n’existai
xistais pas. Je n’avais pas le sentiment d’être un autre ; non, il me
semblait
que je n’existais plus du tout. Je tâtais ma tête
nt le même langage : « Je me sentais si complètement changé, qu’il me
semblait
être devenu un autre134 ; cette pensée s’imposait
ublié une seule fois qu’elle était illusoire. » — « Quelquefois il me
semble
n’être pas moi-même, ou bien je me crois plongée
e me crois plongée dans un rêve continuel. » — « Il m’a littéralement
semblé
que je n’étais plus moi-même. » — « Je doutais de
ence, et même par instants je cessais d’y croire. » — « Souvent il me
semble
que je ne suis pas de ce monde ; ma voix me paraî
pital, je me dis à moi-même : “Ce sont les figures d’un rêve.” » — Il
semble
au malade « qu’il est un automate » ; « il sent q
’il est en dehors de lui-même ». — Il ne « se reconnaît plus ; il lui
semble
qu’il est devenu une autre personne ». M. Krishab
n croyant qu’il est un autre. « Non seulement, dit ce dernier, il m’a
semblé
que j’étais un autre ; mais j’étais effectivement
. — Exemples. — Aliénation de nos sensations de couleur. — Elles nous
semblent
une propriété des corps colorés. — Mécanisme de c
érature. — Caractère ambigu de l’odeur, du chaud et du froid qui nous
semblent
en partie des sensations, en partie des propriété
Ce qu’il y a de vrai dans le jugement localisateur. — À l’endroit où
semblent
situées les sensations du premier groupe se trouv
e situé le point de départ de l’ébranlement nerveux. — À l’endroit où
semblent
situées les sensations du second groupe se trouve
résument toutes en ceci que, dans beaucoup de cas, la sensation nous
semble
située en un endroit où très certainement elle n’
un ébranlement nerveux qui, à l’état normal, occupe l’endroit où elle
semble
être. Le nerf est un simple conducteur ; de quelq
de glace pilée. — Ce sont aussi les parties antérieures du membre qui
semblent
éprouver les sensations de picotement et d’engour
Dans ce cas, deux sensations se produisent à la fois, l’une qui nous
semble
située au bout de nos doigts, l’autre au bout du
une très grande distance. Les sons vibrants d’une grosse cloche nous
semblent
trembler bien loin et bien haut dans l’air ; un c
loin et bien haut dans l’air ; un coup de sifflet de locomotive nous
semble
percer l’air à cinquante pas, à gauche. — L’empla
sations visuelles. Cela va si loin que nos sensations de couleur nous
semblent
détachées de nous ; nous ne remarquons plus qu’el
us ; nous ne remarquons plus qu’elles nous appartiennent ; elles nous
semblent
faire partie des objets ; nous croyons que la cou
faire partie des objets ; nous croyons que la couleur verte, qui nous
semble
étendue à trois pieds de nous sur ce fauteuil, es
traste s’établit entre cette sensation et les autres. Les autres nous
semblent
situées dans un corps qui nous appartient et qui
onscrire notre personne. Au contraire, nos sensations de couleur nous
semblent
situées au-delà, à la surface de corps étrangers
fer décrit par un charbon tournant, un météore impalpable, elles nous
semblent
un simple événement situé et figuré. Si elles son
, d’un objet tangible, ce qui est le cas le plus fréquent, elles nous
semblent
une qualité plus ou moins permanente et fixe de c
en avant et en arrière, et la même en tous ces instants distincts. Il
semble
donc une qualité permanente dans ce groupe de pos
é est pourtant que toutes les couleurs dont le monde environnant nous
semble
peint sont en nous et sont des sensations de nos
la couleur rouge dont le fauteuil est revêtu, la couleur verte qui me
semble
incorporée à l’arbre n’est rien que ma sensation
faut chercher comment les sensations de l’œil, qui, toutes seules, ne
semblent
propres qu’à nous renseigner sur les couleurs, pe
aussitôt après, ce qu’il avait vu : « Votre tête, répondit-il ; elle
semblait
toucher mon œil. » Mais il ne put en dire la form
mois après l’abaissement de la seconde cataracte, que les objets lui
semblèrent
situés plus loin, quoique pourtant à une courte d
es soucoupes. « À quoi ressemblent-elles ? — Je ne sais pas, elles me
semblent
bien singulières ; mais je puis vous dire tout de
cet art était tout à fait rudimentaire. Le dix-huitième jour, « elle
semblait
encore éprouver la plus grande difficulté à décou
On voit maintenant pourquoi une sensation visuelle si courte qu’elle
semble
instantanée peut nous donner l’idée d’une étendue
ui leur correspondent, et, comme elles défilent en un éclair, il nous
semble
que le défilé beaucoup plus long des images tacti
pouvons saisir, en un temps très court et par une perception qui nous
semble
instantanée, un objet tout entier, une chaise, un
l, nous évaluons des centaines de mètres et même des lieues ; il nous
semble
alors que toutes les sensations que nous avons eu
nt simultanément, et que les points auxquels nous les rapportons nous
semblent
à la fois distincts et continus ; composée de sen
ue tel est le cas pour les sensations de chaleur et de froid qui nous
semblent
occuper tout un membre, pour la sensation de cont
lle verte placée à six pieds de nous. Dans tous ces cas, la sensation
semble
étendue. C’est qu’elle consiste en une quantité d
tendue que nous attribuons à nos sensations, notre être lui-même nous
semble
situé, étendu, circonscrit dans une enceinte. L’e
elconque de la surface nerveuse, c’est mon être et ma personne qui me
semblent
situés pour cet instant à l’endroit affecté. Tel
ue, en sorte que la couleur, qui est un événement de notre être, nous
semble
une qualité de l’objet. Quand à trois pas de moi
l’objet auquel nous l’attribuons et que, sous le nom de couleur, elle
semble
revêtir, s’oppose comme un dehors plus ou moins é
els, effectivement internes, qui, lorsque nous ouvrons les yeux, nous
semblent
des objets externes, et l’on comprend maintenant
ent comme étrangères à nous, que, parmi celles-ci, quelques-unes nous
semblent
les qualités permanentes d’un être autre que nous
et de froid. Sans doute, elles ne sont pas à l’endroit où elles nous
semblent
logées ; mais à cet endroit se trouve ordinaireme
eux qui provoque la douleur change effectivement de place, la douleur
semble
changer de place ; les différences d’emplacement
tort que tel son qui est une sensation de mes centres acoustiques me
semble
flotter là-bas et là-haut, à vingt pas sur ma dro
anches et bleues, qui sont des sensations de mes centres optiques, me
semblent
étendues sur le papier qui tapisse ma chambre ; m
nce ne s’accomplit pas, lorsque la forme blanche et sphérique, qui me
semble
située à trois pas de moi, ne provoque pas en moi
quelles je comptais, lorsqu’un corps, qui passe par l’endroit où elle
semble
être, ne subit, malgré mon attente, aucune diminu
long du livre, la sensation de couleur, qui est nôtre, cesse de nous
sembler
nôtre et nous paraît une tache étendue située à t
résistance qu’éprouverait alors le toucher explorateur, la tache nous
semble
une étendue solide. — Grâce à l’image associée de
être semblable à nous, qui recommencerait la même expérience, il nous
semble
qu’il y a à cet endroit un quelque chose permanen
ers la fenêtre, les objets du dehors, la rue, un jardin, etc., il lui
semblait
qu’il y avait, tout contre ses yeux, un volet cou
uence plus directe sur nos destinées, que M. Necker. Politiquement il
semble
que tout ait été dit sur lui, et que le pour et l
e commerce, il avait gardé de l’enfance un trait de son caractère qui
semblait
en tout l’opposé de l’esprit d’entreprise. Penseu
re un parti sans un motif qui fût à ses yeux de la dernière évidence,
semblait
un effort au-dessus de son pouvoir, quelquefois m
çon, un nouveau pli à l’esprit français. Un autre trait que M. Necker
semblait
également leur avoir communiqué et qui se liait a
ue de bien louer ; qui, n’ayant parlé au monde que par leurs actions,
semblent
avoir dédaigné de lui confier la chaîne de leurs
aisirs de la jeunesse, en rassemblant sur nous toute notre attention,
semblent
borner l’univers à notre individu, Colbert s’occu
rateur, pense-t-il, sont tellement étendues et diversifiées, qu’elles
semblent
pour ainsi dire hors de la domination de la langu
orateur académique se définit involontairement à travers son sujet et
semble
se désigner lui-même. Il y a des anachronismes fr
ges les plus difficiles, en s’accordant à reconnaître « que la langue
semblait
manquer à tout moment à l’auteur », le lui passèr
t que le désir et le soupçon de la grandeur sans en avoir la force »,
semblait
se désigner assez distinctement en plus d’un endr
de M. Necker, qui dura cinq années (22 octobre 1776-19 mai 1781), me
semble
avoir été parfaitement apprécié dans l’Histoire d
emier ministère, l’opinion publique en France, dans la haute société,
semblait
une reine sans tache, et à laquelle un homme d’Ét
ement, et avoir observé l’homme dans toutes les perspectives. Mais il
semble
, à la manière dont il en parle, qu’il ne l’avait
lles n’ont ni la généralité ni la grandeur, excepté quelques-unes qui
semblent
plutôt des chapitres détachés et qui iraient auss
Même en se jugeant de la sorte et à titre de simple connaissance, il
semble
que M. Necker n’ait jamais été mécontent de lui.
out comme ailleurs ? Il est un chapitre de M. Necker moraliste qui me
semble
aujourd’hui à préférer à son Bonheur des sots, ou
particulièrement destinées à la garde des vanités, et que les hommes
semblent
eux-mêmes l’avoir voulu ainsi. Elles ont, dès leu
face de son objet, et il a fait son dessin trait pour trait. — Il me
semble
que j’ai donné aujourd’hui., et pour commencer, u
et parmi les collectivités, apparaît ainsi qu’un cas exceptionnel. Il
semble
qu’il n’affecte que quelques individus parmi beau
quelques groupes sociaux à un moment déterminé de leur histoire ; il
semble
, qu’à ces exemples, choisis pour illustrer un cas
nes croyances communes à l’humanité tout entière, à ce point qu’elles
semblent
conditionner son existence, et dont on va montrer
rie — cette croyance sur laquelle toute notre civilisation d’occident
semble
fondée : l’homme se croit libre. L’homme se croit
aître qu’ils ne sont pas sous notre dépendance. Un acte libre, et qui
semble
supposer un choix entre plusieurs autres, exige l
hypothèse qui distingue d’une façon absolue le bien de l’agréable, il
semble
que la plupart des hommes souhaiteront que l’incl
son étrangeté, c’est précisément où la croyance à la liberté humaine
semble
entrer en composition avec la croyance contraire
joie de la foule indulgente. Mais parmi ces automates en voici un qui
semble
prendre part à la gaîté commune : il est si parfa
hopenhauer, et certaines interprétations, dans le détail où il entre,
semblent
contestables. Mais l’idée générale qu’il a formul
ttre. Par cette fiction, l’instinct qui exerce la souveraineté et qui
semble
commander au nom du moi acquiert sur tous les aut
r démesuré. Tout ce que ceux-ci accomplissent en réalité en sa faveur
semble
entrepris au service d’une entité majeure dont il
insi qu’au temps de la passion amoureuse, cet instinct vainqueur, qui
semble
tenir alors la place de la personne tout entière,
t les arts et se réfugient en une attitude esthétique. Mais c’est là,
semble-t
-il, le dernier effort d’une élite, après qu’elle
a possède par le moyen des religions dont les plus grossières furent,
semble-t
-il, les plus efficaces, le même besoin a induit u
que dans les religions les dernières venues. La certitude du chrétien
semble
beaucoup moins forte que celle du sauvage et du p
contre dans l’esprit moderne une résistance à ces conclusions, c’est,
semble-t
-il, en raison de la violence et du caractère reli
es conditions diverses et contraires. On observe alors que ce qui lui
semblait
désirable au temps de sa misère, cesse bientôt, a
au cours des siècles de l’histoire et de la préhistoire. Ce qui nous
semblerait
aujourd’hui une torture épouvantable fut pour nos
utilisée à son profit par le Génie de la Connaissance, et de fait, il
semble
bien qu’un tel souci soit une des premières sourc
à intervenir dans sa propre physiologie, le Génie de la Connaissance
semble
avoir créé une cause d’effort qui, s’étant une fo
devenue d’autant plus dangereuse, que la plupart des genres de poésie
semblent
successivement passer de mode. Le sonnet ne se mo
toral. Mais pourquoi notre siècle, en se refroidissant sur l’églogue,
semble-t
-il se refroidir aussi sur le genre le plus opposé
es qui ne sont point exaucées, ni par un enthousiasme de commande qui
semble
annoncer une foule d’idées et qui n’en produit pa
le d’idées et qui n’en produit pas une seule. Eu un mot, voici, ce me
semble
, la loi rigoureuse, mais juste, que notre siècle
poètes le choix des sujets, mais elle voit avec peine que les auteurs
semblent
se négliger à proportion de la liberté qu’elle le
rage de sang-froid, et ils trouvent que leurs juges ont eu raison. Il
semble
que le même esprit de sagesse qui a présidé à la
dant contre le malheureux qui oserait tenter cette innovation ! Il me
semble
entendre déjà l’anathème lancé contre lui de tout
ité absolue de les lire dans la meilleure traduction. Il n’y a, ce me
semble
, qu’un seul poète épique parmi les morts, dont la
, ne laisse pas de prouver, de convaincre, d’émouvoir, etc. Or il me
semble
que j’ai bien pu dire sans scandale du latin des
vé, parce qu’il tient à un objet respectable. C’est uniquement, ce me
semble
, sur de pareils motifs qu’on doit prendre la pein
la même époque ont considérablement changé. Les habitants de la terre
semblent
se transformer plus vite que ceux de la mer ; et
n de croire qu’elle puisse jamais y reparaître de nouveau. Le cas qui
semblerait
le plus faire exception à cette règle est celui d
, puis cèdent de nouveau la place aux anciennes formes. Mais Lyell me
semble
avoir donné une explication satisfaisante de cett
t continue. Je sais cependant qu’on cite un petit nombre de faits qui
semblent
déroger à cette règle ; mais ces exceptions sont
vu dans le dernier chapitre que parfois les espèces d’un même groupe
semblent
faussement apparaître toutes à la fois et soudain
inférieure de cette ligne, au lieu de commencer par une pointe aiguë,
semble
faussement obtuse et large dès le principe. Elle
nt disparu avant la fin de la période paléozoïque. Aucune loi fixe ne
semble
donc gouverner la durée de l’existence des espèce
s, tels que celui des Ammonites vers la fin de la période secondaire,
semble
avoir été extraordinairement brusque, relativemen
t dire. Ce Cheval fossile eût encore été vivant, quoique rare, il eût
semblé
tout naturel de penser, d’après les analogies tir
iées, parce qu’elles posséderont quelque désavantage en commun. Il me
semble
donc que le mode d’extinction des espèces, ou de
cette loi la largeur et la généralité que nous venons de lui donner,
semble
avoir vivement frappé deux habiles observateurs,
isse peut-être longtemps survivre à la ruine de ses congénères. Il me
semble
donc que la succession parallèle et simultanée de
accord avec la succession générale des formes de la vie, et cet ordre
semblerait
faussement parallèle ; néanmoins les espèces ne s
les témoignages concordants de nos plus savants paléontologistes, tel
semble
devoir être fréquemment le cas. Ainsi, d’après la
formes éteintes, soit entre elles, soit avec les formes vivantes, me
semblent
s’expliquer d’une façon satisfaisante ; tandis qu
a vérité de cette loi générale que de lui opposer quelques genres qui
semblent
faire exception. Par exemple, les Mastodontes et
e chaque étage soient distinctes. Cette loi seule, par sa généralité,
semble
l’avoir ébranlé dans sa ferme croyance à l’immuta
plus inférieurs ne soient découvertes ; or une pareille découverte me
semble
, comme je l’ai déjà dit, fort peu probable. IX.
t les genres et les espèces décroissent peu à peu en nombre, comme il
semble
que ce soit le cas pour les Édentés de l’Amérique
icultés, les autres faits principaux de la science paléontologique me
semblent
se déduire aisément des principes de la théorie d
qu’après de longs intervalles de temps les habitants du monde entier
semblent
avoir changé partout simultanément. Les données d
s principales de la paléontologie proclament hautement, à ce qu’il me
semble
, que les espèces se sont produites successivement
Malvacées aux Bambous, aux Palmiers et aux Baobabs des tropiques, il
semble
que chez nous le nombre des individus croisse en
x chefs-d’œuvre des artistes grecs. Une certaine perfection de détail
semble
avoir remplacé les lignes amples et majestueuses
me de nécessité, c’est-à-dire de mystère. Roitelet. Telle métaphore
semble
vraiment s’imposer au nomenclateur. Ayant à nomme
t-être parce que le tout petit oiseau porte sur la tête une huppe qui
semble
l’ironie d’une couronne. Il faut que cela suffise
etit bât ; la relation directe entre l’ancien français bast et baston
semble
évidente. L’Espagnol dit basto, bât, et baston, b
ctal qui fournit aussi gata et gattola, petite chatte. L’idée de chat
semble
d’abord se retrouver dans le mot anglais si singu
s charpleuse, chapleuse, chaplouse). En effet carpleuse et charpleuse
semblent
dérivés de l’ancien verbe charpir, qui nous a lég
ui vit dans les prés et voltige autour des troupeaux ne se trouve, il
semble
, qu’en français : les mœurs de la bergeronnette n
un usage identique, elles diffèrent absolument pour le reste et il ne
semble
pas que même une linotte puisse les confondre, ni
62 ; simultanément l’anglais adoptait le mot pike (pique). Cette idée
semble
d’origine germanique ; les noms du brochet en all
nique ; les noms du brochet en allemand, hecht, et en danois, giedde,
semblent
la contenir ; elle est évidente dans le suédois g
ravures et, de plus, elle se tourne sensiblement vers l’astre qu’elle
semble
suivre avec inquiétude : ses deux noms français,
e, tourne aussi selon le soleil ses odorantes fleurs violettes, et il
semble
qu’[mot en caractères grecs] ait été traduit litt
fois de plus dans le geste de cueillir la même fleur. L’idée de sang
semble
inséparable de cette renonculacée186 et son nom p
cependant l’a-t-il propagée dans quelques langues188. L’hépatique ne
semble
pas avoir189 de nom français, et on ne connaît pa
t pareille et tout aussi concluante. Son nom français le plus répandu
semble
coquelourde, où il est peut-être possible de reco
l’a constaté ingénieusement, mais sans analyser le phénomène. Voici,
semble-t
-il, la marche de cette métaphore qui n’a pu naîtr
es. L’amadou, c’est la nourriture et l’appât du feu199 . Il y a loin,
semble-t
-il, de l’idée de navire à celle de navette de tis
erzeruolo. En anglais le sacre, saker, désigna une sorte de canon. Il
semble
bien qu’il faille joindre à ces exemples l’arqueb
lusieurs noms de chèvre-feuille en allemand du xvie siècle ; les uns
semblent
vouloir dire la nourriture de la chèvre : speckgi
fusion de toutes les formes vivantes. Au premier abord, cette opinion
semble
, en effet, très probable, car les espèces qui viv
stérilité des espèces ; car ces deux ordres de phénomènes si opposés
semblent
établir une ligne de démarcation large et bien dé
yen produit par les deux espèces pures à l’état de nature. Mais il me
semble
qu’il y a ici une source de graves erreurs. Une p
t arrivé aux mêmes résultats en plusieurs autres cas analogues, il me
semble
de même permis de douter que les croisements entr
sont mélangées dans les bois de diverses parties de l’Angleterre. Il
semble
résulter d’expériences faites récemment sur une g
ication pendant les générations suivantes. Cette dernière supposition
semblerait
la plus probable, et j’incline fortement à la cro
nts entre espèces distinctes et celle des hybrides qui en proviennent
semble
être surtout gouvernée par ces mêmes affinités. C
e arrangement. D’autre part, les règles et les faits qui précèdent me
semblent
au contraire indiquer clairement que la stérilité
organes reproducteurs. Ces différences, en l’un comme en l’autre cas,
semblent
jusqu’à un certain point en corrélation, comme du
rvir à grouper les êtres organisés. Mais en aucune façon les faits ne
semblent
indiquer que la difficulté plus ou moins grande q
mais il est impuissant à produire le développement de l’embryon : tel
semble
avoir été le cas dans quelques-unes des expérienc
élément femelle. Dans l’un et l’autre cas, la tendance à la stérilité
semble
jusqu’à certain point en connexion avec les affin
certaine débilité de constitution et une diminution de fécondité. Il
semble
donc que, d’un côté, de légers changements dans l
eons, ou les variétés du Chou, est un fait réellement remarquable. Il
semble
encore plus frappant, lorsqu’on songe qu’il y a u
re sous des conditions de vie à peu près les mêmes. Enfin, et ceci me
semble
la plus importante de toutes les considérations,
différences cachées dans les fonctions du système reproducteur. Il me
semble
donc impossible de prouver que la fécondité très
puis le savoir, cette règle est établie sur une seule expérience, et
semble
en opposition directe avec les résultats de quelq
ôté la question de fécondité et de stérilité, à tous autres égards il
semble
y avoir une identité générale, étroite, entre la
ujours en relation directe avec les affinités systématiques ; mais il
semble
gouverné par diverses lois aussi curieuses que co
se greffent naturellement les uns sur les autres dans nos forêts. Il
semble
que la stérilité des premiers croisements entre d
blée par le mélange de deux organismes spécifiquement distincts, elle
semble
en rapport étroit avec la stérilité qui affecte t
tout en suivant jusqu’à un certain point d’autres lois. C’est ce qui
semblerait
résulter des analogies frappantes qu’on remarque
de face et en pleine lumière : la vision est si directe que le visage
semble
à nu, désarmé, et que nous lui attribuons la roug
même d’une monotonie. Chaque scène a une présence si impérieuse qu’il
semble
toujours qu’elle soit la première. Lorsque certai
ueil5. Cette phrase a tout le prestige du coup d’archet initial ; il
semble
que la voix de Mathilde tremble avant même qu’ell
res. Quelle garantie, quel dieu me répondra que la position que vous
semblez
, disposée à me rendre en cet instant vivra plus d
re » ainsi que l’écrit Stendhal lui-même de La Flûte Enchantée 10. Il
semble
que la grande émotion chez Stendhal fasse glisser
tre qu’ils adorent dans le moment même où ils l’adorent le plus ; ils
semblent
ne pas pouvoir se représenter ce que l’autre épro
ttribuer la vivacité de notre impression à quelque jeûne prolongé. Il
semblait
que fût tombée la taie qui s’interposait entre no
plus. Tout y est choix et tout y paraît abandon. Dans cette prose qui
semble
avoir sournoisement passé à travers je ne sais qu
sséder : une limpide indifférence, telle est la valeur esthétique qui
semble
ici présider, — cette indifférence fondamentale d
a fois son infidélité et son amour. « Hâte-toi d’aimer et de vivre… »
semblait
dire en mourant la petite rose prête à se flétrir
cette terre cependant le rosier jaillit, s’élance : tout ce qui vit,
semble
murmurer aux humains le même pressant et insidieu
eau nocturne les a effleurés au passage ; autour d’eux cependant tout
semble
revêtu d’un plus vif éclat : hâtivement, ils repr
a réunion dans un vase de deux ou trois roses fermes, concentrées, ne
semble
que mieux faire valoir l’isolement de chacune d’e
particulier — à mon gré le moins bien venu de ces livres — l’abandon
semble
fréquemment soustrait à la domination première du
e d’inspiration elle-même : le nonchaloir est devenu complaisance. Il
semble
qu’il n’y ait pas de péril plus mortel pour un éc
ton empêche presque d’abord de faire attention à rien d’autre ; où il
semble
que l’on soit merveilleusement introduit dans la
dant qu’il leur a paru que la partie imaginaire languissait un peu et
semblait
avoir moins diverti l’auteur que l’on aurait pu s
e sont ceux justement qui varient le moins dans leur départ ; placés,
semble-t
-il, une fois pour toutes, de par la grâce d’un na
nations de Rubens, aux luisants dorés, la Bethsabée de Rembrandt, qui
semble
, comme Esther, avoir macéré pendant six mois dans
et que l’on ne parvient que dans une certaine mesure à acquérir, — il
semble
qu’elle opère avec une sorte d’instantanéité, et
par laquelle, dans la critique d’art d’aujourd’hui, François Fosca me
semble
à peu près sans rival, — j’entends qu’il est le s
que gaine un bas à larges raies. L’orchestre joue du Lecoq… Ne vous
semble-t
-il pas entendre, après dîner, un causeur, qui a v
e de mieux équilibrer l’appréciation et les réserves. Sur Degas il me
semble
qu’il y aurait un peu à ajouter. J’ai voulu d’abo
es plus beaux pastels le grain de la pierre. C’est dans la pierre que
semblent
taillés ces nus monumentaux de Degas, — blocs équ
Bouquets exquis, feux d’artifice étincelants, mais auxquels l’artiste
semble
n’attacher qu’une importance secondaire. Je me so
lusieurs d’entre nous se trouvant réunis, quelqu’un observa qu’il lui
semblait
que Degas voyait la réalité à peu près du même an
t, — et il le voit de très haut ; c’est dans cette combinaison que me
semble
résider la signification singulière de son art ;
rrées, cette grandiose maussaderie sculpturale qui fait que la figure
semble
détachée d’une fresque ; — à l’autre extrémité, l
, dans la collection Viau, ces deux portraits d’une même jeune femme,
semble-t
-il ; purs chefs-d’œuvre de cette vie intérieure c
nstat, mais toujours à la cantonade ; d’une ironie si réfléchie qu’il
semble
presque que ce soit elle qui donne à l’ouvrage ce
e s’apparient qu’exceptionnellement. Si chez Strachey le fond premier
semble
la disposition de l’historien, la curiosité compl
iels), de Lord Melbourne, de Lord Palmerston, de combien d’autres, il
semble
qu’avec je ne sais quelle courtoisie narquoise ch
un tour si à lui que le moindre détail en est marqué, — mais dont il
semble
toujours que ce soit en se retirant qu’il s’inscr
ne rappelle rien autant que celle que donne un grand mémorialiste. Il
semble
qu’à vivre avec les témoignages, Strachey ait acq
’un artiste qui sait ce dont il est capable. A chacun de ces mots, il
semble
qu’avant de les employer Strachey ait fait subir
faudrait pas en inférer cependant que le détachement fût moindre ; il
semble
seulement que l’on en aperçoive mieux les motifs.
i collige les variétés des humeurs. L’intérêt qu’il porte à celles-ci
semble
en son cas fonction de ce détachement premier ; e
et égard. Le fait négatif fondamental concernant l’époque victorienne
semble
bien résider dans une acceptation passionnée des
er par exemple. Mais presque toujours l’épaisseur en est le prix : il
semble
que l’esprit critique soit obligé de payer par un
aut du temple d’Eupalinos, nous regardons la prose de Valéry, ne vous
semble-t
-il pas qu’entre les dialogues et les œuvres précé
r le contact ! Dans la pensée qui ne s’adresse pas à une personne, il
semble
qu’il voie comme une discourtoisie tant soit peu
es nombreuses convenances… je te dirai cette chose étrange « qu’il me
semble
que mon corps est de la partie »… Laisse-moi dire
si près d’elle et qu’elle pénètre. Elle devance, elle retarde ; elle
semble
fuir l’instant même. Elle en reçoit des chocs et
e nous font éprouver certains artistes nous dispense une richesse qui
semble
croître avec chaque œuvre nouvelle : aussi la der
ques, il n’est qu’un spectacle qui délivre : la Danse, — la danse qui
semble
tout résoudre dans l’entraînement de sa persuasiv
ion des plus parfaites pensées !… Leurs mains parlent, et leurs pieds
semblent
écrire. Quelle précision dans ces êtres qui s’étu
x, et qu’elle frappe du talon les sonores effigies du mouvement. Elle
semble
énumérer et compter en pièces d’or pur, ce que no
re monnaie de pas, quand nous marchons à toute final. Phèdre. — Elle
semble
d’abord, de ses pas pleins d’esprit, effacer de l
raits les plus beaux et les plus attachants de Théophile Gautier : il
semble
toujours que Gautier soit assis devant le modèle
ate ? Faut-il y voir comme le voudraient certains — et ainsi que cela
semble
à peu près établi pour Tout est bien qui finit bi
les avaient déversées l’année précédente en son chant. Aujourd’hui il
semble
qu’il ait pressenti son destin ; et lorsqu’on se
nte justesse. Shelley n’avait pas seulement pressenti son destin : il
semble
qu’il l’ait appelé. Je me bornerai ici à égrener
son génie même que Shelley veut rétablir la solitude ; et si ce génie
semble
alors replier ses ailes, c’est qu’il n’y abrite p
le moindre mouvement, pas le plus petit effort pour se sauverbf ». Il
semble
que dans la composition de son être aient été omi
pour elle-même, comme les draperies dans certains dessins de maîtres
semblent
soulevées par une brise matinale ; des suspension
ise par chacun d’eux dans l’émotion. Beaux chatoiements éphémères vus
semble-t
-il à la fois au fil du courant et sous l’eau. On
eux qu’enfante le courroux de la merbu. Floryse, dame créole, dont il
semble
toujours que la plie le désir ou la lassitude — s
t l’irradiation même est étroitement liée aux calories qu’il dégage —
semble
toujours antérieure à ces plans de l’espace et du
as dont chacun entraîne à sa suite son langage propre. Telles paroles
semblent
proférées, du fond de sa gigantesque langueur, pa
marque l’étenduecf. Après « et remplissant tout l’entre-deux » il me
semble
voir les autres mettre à la ligne, — assurer à l’
e figures, mais bien sur un peuple d’êtres vivants que l’on règne. Il
semble
que les idées chez Pascal aient des physionomies
e marge de pensée si désintéressée que de la vérité même cette pensée
semble
alors déprise ; — semble, mais son détachement es
ntéressée que de la vérité même cette pensée semble alors déprise ; —
semble
, mais son détachement est l’expérience nouvelle q
al des Pensées nous transperce —, il existe un style du silence où il
semble
toujours qu’affleure un recueillement qui nous ga
diffèrent des Pèlerins d’Emmaüs de Rembrandt ; si dans le Mémorial il
semble
que se prosterne une jubilation sacrée tandis que
nt qu’il survole, du mouvement le plus spontané, le plus aisé, et qui
semble
, non pas une « seconde nature », mais la nature m
iasmes les plus chargés, — où parfois c’est la décomposition même qui
semble
receler je ne sais quelle sourde vertu germinatri
peurs, de ses gauches étirements92 angoissés, de ses béatitudes où il
semble
que tantôt s’aère une force devenue sans limites
sé sur lui93 ; — enfin cette poésie en sa brièveté si poignante où il
semble
que sur le dehors une fenêtre reste toujours entr
ec le don même et qui en est le point de race, — cette impatience qui
semble
d’un seul mouvement savoir la vie, la fixer sur l
mme en se jouant, assument le masque d’une facilité désarmante, qu’il
semble
que l’on devine l’auteur murmurant à part soi : «
— une saveur âcre, mais d’une âcreté si saturée d’irrémédiable qu’il
semble
qu’elle se délie au sein de cet irrémédiable même
ries, peut-être nous les eût-il ici95 communiquées ; en y songeant il
semble
que d’une nuance nouvelle de tristesse se charge
plus récent : la postface à une nouvelle traduction de Hamlet. Il me
semble
y voir la justification en acte d’une phrase anté
i traverse sans cesse et les personnages et l’auteur lui-même, et qui
semble
toujours déborder la ténuité ou l’importance de l
. Lorsqu’il s’interroge mentalement sur un Prémery, sur une Olive, il
semble
presque que ce soit avec leur agrément, et que ce
une préparation : elle ne saurait en être l’équivalent. Et voici, me
semble-t
-il, la réponse que l’on pourrait opposer à l’obje
t même. Telle est, à mon avis, l’unique disparate de l’ouvrage. Il me
semble
que le drame pouvait, devait d’un bout à l’autre
on veut appliquer au sentiment quelque dénomination flétrissante, il
semble
aussitôt que le sentiment tourne vers vous un vis
urreaux et victimes. « Cet état dans lequel le faisceau de notre être
semble
se dénouer… qui nous met dans l’âme une sorte de
des Passions dont toute la littérature moderne est tributaire ; — il
semble
que se produise aujourd’hui — et le livre de Jalo
lus seulement dans les « passions » que le « vague » séjourne — là il
semble
bien qu’il soit installé à demeure —, mais dans u
la personnalité de l’influence réapparaît avec un relief affermi ; il
semble
que silencieusement un bond ait été accompli. Tel
ars vite ! » Il y avait dans ses yeux du triomphe, mais la souffrance
semblait
sur le point de la faire tomber en faiblesse. Mon
n’ayons aucune part, qui ne postulent même pas notre existence, — il
semble
que les liens du sang y apportent des obstacles p
veugles humeurs : qu’il s’agisse du père, de la mère, de la femme, il
semble
que la main qui opère ne touche jamais une plaie
rielle ou sentimentale, il exige de ne rien devoir qu’à lui-même : il
semble
qu’au moment de la crise il y ait comme une intol
roblème dont une conception trop étroite de l’idée même du bonheur me
semble
en grande partie responsable : sujet si cher que
e à obtenir de soi, — tel est le vrai sujet du Camarade infidèle : il
semble
qu’à travers un dédale de « boyaux » nous assisti
s découragéesfi. Entre un tel sujet et les moyens de Schlumberger il
semble
qu’il existât comme une prédestination. Esprit d’
plus particulier que cette volonté assume en ses écrits, c’est qu’il
semble
qu’elle ne se limite pas aux sentiments et aux id
et pas assez différencié que l’auteur accorde au petit Antoine. Il me
semble
qu’avec le goût des difficultés qui le caractéris
els nous sommes tour à tour transférés à des hauteurs différentes. Il
semble
qu’il sache, et non pas qu’il trouve ; d’autres c
eur leur fait porter ; ainsi que sur certains panneaux Louis XV où il
semble
que bondisse encore le torrent que l’on vient de
rendre le monde de la perception extérieure pour ce qu’il se donne, à
sembler
ajouter créance aux propriétés de solidité, de ré
Prophète du désespoir : j’en traduis un passage significatif : Il me
semble
que Proust possédait la très rare faculté de voir
se projeter si avant dans l’esprit des personnages qu’il décrit qu’il
semble
en savoir sur eux plus long qu’eux-mêmes n’en sau
anteresse de la vie, tout ce qu’il sentait et tout ce qu’il voyait ne
semble
qu’avoir confirmé chez le précoce jeune homme la
de son intéressante étude : Un Pétrone ingénu. Mieux que nous-mêmes,
semble-t
-il, ont-ils su rendre justice à ce jugement d’une
terdisait l’accès), — mais dans cette zone vulnérable, exposée, où il
semble
que l’on effleure la solitude même rien que dans
ue cette force ne s’exerçait jamais au profit de Shelley lui-même. Il
semblait
que l’idée de son propre intérêt lui fût tout à f
dans mon esprit d’une manière riantefz » : en l’esprit de Maurois il
semble
que toujours de la sorte les idées soient placées
e qui jamais ne passera dans notre action. Attitude irréprochable, me
semble-t
-il, toutes les fois où elle est le résultat et no
ulement atteint, si l’on peut dire, de sincérité ; il en est doué. Il
semble
qu’il ait compris toute la force de cette sentenc
mblante et juste, à travers laquelle une mélodie encore inentendue ne
semblait
d’abord hésiter un peu que pour percer avec plus
la fois rigide et haletantegp ». Et derrière telles de ces Études, il
semble
que surgisse en retrait la figure du jeune écriva
s à cause de cette inclinaison florale du sentiment qui de sa caresse
semble
les délier ; — un contenu tout en raccourcis, nul
ie, auprès de Dominique aussi en raison de certains paragraphes où il
semble
que tendrement étouffés les élans finissent en so
ine ; jusqu’à la nuit il a donné le même effort, et chaque minute lui
semblait
emplie à en déborder de sa besogne. Pourtant il a
te intensité dans la réflexion qu’obtient de nous le malheur —, il me
semble
que je conçois mieux pourquoi j’étais amené à dir
au bord de savoir, tout contre son prodige préféré ; et à l’apogée il
semble
qu’il goûte l’extase de la Connaissance en soi, e
règne sa vie posthume nous assiège, nous envahit de toutes parts : il
semble
qu’elle nous affronte à quelque insoutenable myst
autres laisse parfois le mot un peu en suspens, chez lui au contraire
semble
en développer le poids et la solidité. Ainsi de f
, op. cit., p. 179. NdE]. NdA 54. « Mon Dieu ! Mon Dieu ! combien me
semble
abject, plat, fatigant, improfitable tout l’ordin
e que chez un être à part ». — « Il m’est difficile de dire ce qui me
semble
remuer sous chaque ligne de ces morceaux. C’est j
es propres. — Le volume de Milsand contient une étude non datée (elle
semble
postérieure de peu au livre de Gilchrist et doit
, si naturelle m’apparaît la fascination de The amorous deep qu’il me
semble
qu’aujourd’hui rien plus d’extérieur n’est requis
le balayer… » [Ibid., p. 739. NdE] — « Il avait méprisé ce qui ne lui
semblait
pas objet de possession et, enfant goulu, il aura
ert seems to take in, and to give back, life through the nostrils. Il
semble
que ce soit par les narines que Flaubert reçoive
e l’impression de découverte progressive, de croissance naturelle qui
semble
le propre du roman », est-il dit dans la Note pou
brook et Percy Shelley n’étaient plus deux êtres isolés et libres. Il
semblait
que les souvenirs, les caresses, les souffrances,
délicatesse où, sans que la psychologie ait jamais à en souffrir, il
semble
que dans une aube frissonnante se distillent des
vue française, [1925. NdE]. NdA 138. « Ne pas croire que tout ce qui
semble
aller dans le sens de votre idée principale est b
le : son humilité garde la discrétion de ces primitifs français où il
semble
que les visages presque exsangues aient surtout p
ent débiles et nus dans un oubli parfois définitif. M. de Montesquiou
semble
avoir eu cette aventure. Actuellement, on prononc
complexe, il ne saurait être simple. En effet il manque à l’être, et
semble
pétri de contradictions. Ainsi l’on sent incontes
oin d’user de ce mode d’expression — et cependant jamais sa poésie ne
semble
spontanée ou jaillissante. Une impression de labe
é affrontée et surmontée, émane de ses poèmes. Il en est fort peu qui
semblent
venus d’un seul jet, comme une tige végétale, iss
nd sur le couchant où maint arbre changeant, où maint arbre changeant
semble
… etc. ou bien il s’exerce à la lourde monotonie
rt — l’azur léger — du firmament. ……………………………………………………… les rameaux —
semblent
des — balançoires le lotus — paraît un — encensoi
ue le talent qu’il dépense dans ces spirituelles et vives caricatures
semblait
suffisant pour entreprendre et mener à bien une p
iou, tant morales qu’esthétiques, se présentaient différemment, elles
sembleraient
moins exactement liées à son œuvre poétique. Elle
pe dans la galerie des Originaux et des Beaux-Esprits de ce temps. Il
semble
quelque capitan, quelque maréchal des belles-lett
ion. Il n’étale point de théorie ou de système dans ses œuvres qui ne
semblent
point disposées sur un plan d’ensemble. Elles lui
ai, est profondément pessimiste et d’expérience morose. La vie ne lui
semble
pas drôle, et il n’enregistre que des incidents a
irbeau ne furent point plus cruels. Mais tandis qu’ils s’efforçaient,
semble-t
-il, de répandre ou de faire partager leurs indign
e M. Courteline supporte presque cette écrasante comparaison. Il nous
semble
cependant que ce soit plutôt la veine même des vi
s les vues, ni d’ampleur. Et comment en attendrait-on d’un esprit qui
semble
au contraire rapetisser à ce quoi il s’applique,
étriques qui plus tard deviendront si fréquents dans son œuvre qu’ils
sembleront
presque l’effet d’un procédé. La nuance propre de
de gazon bordent le canal clair. il rencontre parfois une image qui
semble
exacte comme la description même : l’âpre déferl
de Régnier n’a pas sucé le lait de la tendresse humaine et son œuvre
semblerait
essentiellement égocentrique, si elle n’était par
tre en comparaison ni en parallèle. Ils n’ont aucun point commun mais
semblent
au contraire s’opposer trait par trait. La poésie
épisodique, et si l’on s’étonne qu’un poète donne dans le souci, qui
semble
propre au pur romancier, de rapporter des traits
me souvent drue et de bonne sorte. Ce qu’on y rencontre de surprenant
semble
l’effet d’une recherche d’archaïsme plutôt que d’
lumière vient les frapper d’un plus vif éclat. Romans, contes, poèmes
semblent
toujours trop étendus pour le sens qu’ils contien
e sur l’œuvre du poète, il n’offre plus que des fruits appauvris. Ils
semblent
conçus dans la lassitude et c’est dans la lassitu
sur les premières listes manuscrites de la fameuse Académie ? Il nous
semble
que si. Ce fut d’ailleurs chance qu’il y échappât
qu’il tombe parfois dans un travers commun aux virtuoses et qu’il ne
semble
pas toujours exempt d’une certaine sécheresse. Ce
un témoignage plus accablant ? Historiographe et témoin — M. Hermant
semble
avoir choisi ces deux termes pour se définir lui-
comparable aux mémoires du duc de Saint-Simon — à l’endroit duquel il
semble
nourrir une admiration de disciple et dont en plu
écrivains les possèdent, que le petit nombre chez qui on les remarque
semblent
exceptionnels. Les auteurs se font rares qui révè
t pas l’effort qui les a construites. Les comédies de M. Sacha Guitry
semblent
écrites d’un trait, sans retouches, ni repentirs.
abesque, comme un croquis adroit, sans le fatiguer, ni le salir. Cela
semble
fait sans y toucher. L’auteur prend plaisir à son
ain moment d’être fait superficiellement. Certains de ses ouvrages ne
semblent
que de hâtives esquisses. Sans doute, une esquiss
nombreuses voies s’offrent à son choix. Puisse-t-il bien choisir. Il
semble
que dans sa dernière pièce, ce Deburau, où certai
es, en affirmant que l’instinct seul détermine leurs mouvements et il
semble
considérer que le pur instinct est le plus passio
le bizarre et me sens fort épris Du rare… Bref, c’est un esprit qui
semblerait
se porter vers l’étude des curiosités intellectue
soin de répandre sur ses ouvrages certains ornements particuliers qui
semblent
, plutôt que d’un poète, le fait de ce que l’on ap
hète, voilà bien comme nous apparaît M. Bataille. Tout ce qu’il écrit
semble
l’être d’une main surchargée de bagues. Il a le g
onorité de la vie. La convention s’étale et les agréments de ce style
semblent
un fard. Or, chose étrange, ce n’est point par fa
se présente ainsi. Il se complaît dans toutes ces attitudes qui nous
semblent
si choquantes. Elles composent sa règle et sa doc
rd, sinon des sujets, est fort habile. Provocants et prometteurs, ils
semblent
les noms de parfumeries violentes : l’Enchantemen
présenter minutieusement ce qui se passe dans cet univers recréé, et
semble
nous dire qu’avec un peu d’effort sur nous-mêmes
tance où peuvent se réaliser des actions fausses ou improbables. S’il
semble
parfois s’écarter de la réalité, et si sa grâce f
esprit. Provoquer une mode — mettons celle des chiens de course — lui
semble
meilleur que de ne point exercer d’action ; point
s encore, lorsqu’on le rencontre en analysant l’œuvre d’un auteur qui
semblait
essentiellement mondain, et qu’on lui découvre ai
n son juste jour, et il ne s’aperçoit pas que cette parure incertaine
semble
un fard sur un visage malade, des atours trompeur
uste et le plus délicat, il joint une connaissance approfondie et qui
semble
sans lacune des ressources que le langage met à l
est exactement de son époque, mais qui par la façon dont il est écrit
semble
d’un autre temps. Le style en est alerte. Quand l
avec bonheur : c’est une matière de choix. Peut-être à cause de cela
semble-t
-il que l’on n’en puisse extraire que des bibelots
e des bibelots, de prix sans doute, mais un peu menus, et qui peuvent
sembler
maniérés. C’est ce qui induisit plusieurs judicie
dés ), dut toujours inquiéter et tenter l’esprit de notre auteur. Il
semble
que dans ses précédents ouvrages il en ait essayé
ouche en rien l’art ni la littérature. Mais lorsque ce succès déplacé
semble
devoir conduire un de ces auteurs jusqu’à l’Acadé
e ou de parade qui ressemble à la force comique. Une humeur satirique
semble
parfois élargir l’ouvrage et lui faire gagner de
oute pièce de ces auteurs en rappelle d’autres, d’autres auteurs. Ils
semblent
s’inspirer du succès d’autrui et s’employer à le
ove. Ce n’est pas tout à fait le cas de MM. de Flers et Caillavet. Il
semble
au contraire que ce que l’on retrouve chez eux ap
est saisi d’une gêne semblable en présence de sujets dont la gravité
semble
insoupçonnée de l’auteur qui les développe. Est-c
ertu peu commune que de savoir dégager le rire d’une situation qui ne
semblait
pas devoir le comporter. Ce n’est pas ce que font
tion dramatique ; leur gaucherie et la difficulté de leur dramaturgie
sembleraient
un effort ingénieux vers une affabulation plus si
s au hasard des lectures de petites compositions ou des fragments qui
semblaient
reliés entre eux par des analogies. Consciemment
nous venons de le dire, l’essentiel des recherches de M. P.-J. Toulet
semble
être dans les tours. Ils font de lui d’une part u
ni de ce qui constitue la musicalité littéraire. Non, intrinsèquement
semble-t
-il, ce style évoque la musique sinon la plus réce
ard le tenait d’Horace qui l’avait hérité d’Anacréon. M. P.-J. Toulet
semble
l’avoir reçu de Moréas qui, pour partie, le devai
it une griserie que l’on craint de goûter, qui ne rassure point, mais
semble
contenir je ne sais quoi de funeste et de mortel.
. Toulet. La connaissance profonde qu’il a des hommes et de leur cœur
semble
l’avoir rendu non point amer ni pessimiste, mais
s malsaines, celui des vices, l’entente de l’inadmissible, du défendu
semblent
l’avoir empoisonné. Sans doute s’en est-il d’abor
us nous trouvons amené à dire au terme de cette étude que l’isolement
semble
une des conditions de la délicate perfection de c
semble une des conditions de la délicate perfection de cet œuvre. Il
semble
qu’il soit de son essence de ne point propager d’
nous nous souvenons d’époques de désordre où les signes de modération
semblaient
ceux-là même de la révolte, il fallut, par exempl
mes et sur les œuvres que pour obéir à des impulsions momentanées. Il
semble
que ce soit chez lui, à de certaines heures, un b
nge union donne à tout ce qu’il imagine sa singulière couleur, car il
semble
au premier abord qu’il y ait une antinomie entre
façons de mettre en lumière les traits essentiels de ses compositions
semblent
spontanées et instinctives. Là encore son tempéra
me dût-il être mince, il serait exquis : au lieu que ces deux volumes
semblent
un peu trop écrits pour l’agrément des gens du mo
n caractère plus que des insinuations, et si malveillantes ? « Racine
semble
aujourd’hui un peu dédaigné29. » Encore faudrait-
, c’est que le XVIIIe siècle a préféré Racine à Corneille ; et ce qui
semble
vrai, c’est que notre siècle préfère Corneille à
xcentrique, d’une complexion singulière, obscure pour nous comme elle
semble
l’avoir été pour lui-même ? Il n’a presque point
istiques des différents génies nationaux aux diverses époques : il me
semble
que l’œuvre de Racine aurait alors une autre impo
que chez Racine. C’est le vieux poète qui avait commencé, à ce qu’il
semble
. On dira que Racine devait tenir compte de la vie
r loué Mme de Maintenon, qui avait du goût pour lui, pour laquelle il
semble
avoir eu beaucoup d’affection, qui était pieuse à
e ses faiblesses, il me paraît avoir été un fort honnête homme. Il me
semble
, du reste, que tous ceux qui ont marqué dans notr
dit M. Deschanel, Racine avait la sensibilité d’imagination ; mais il
semble
avoir eu le cœur un peu sec35. » Ainsi, pour se m
ec rapidité. L’artiste, habitué à regarder, et pour qui toutes choses
semblent
« se transposer » et n’être plus, à un certain mo
veau, sans le dire, « originalité » au sens de « romantisme » ; et il
semble
que cette confusion, volontaire ou non, joue à sa
rtés de la versification de Racine. Mais justement, bien des libertés
semblent
prises au hasard dans la versification romantique
pas le compliment. ) Pour moi, le Néron de Racine me plaît fort et me
semble
d’une grande vérité historique et humaine ; mais
aitant de la façon la plus agréable aux hommes du XVIIe siècle. Il me
semble
qu’ici M. Deschanel avait une belle occasion de r
et de contrastes romantiques »60. Les contrastes se réduisent, ce me
semble
, à celui de la forme et du fond, à celui que fait
tation éclatante d’une passion ou d’une énergie humaine. Jéhovah vous
semble
horrible ? Et les dieux qui ordonnaient l’immolat
ent que partout ailleurs sur sa bizarre théorie et nous prête par là,
semble-t
-il, les meilleures armes pour la repousser. Il dé
mione bouleversée par toutes les tempêtes de l’amour, et cependant il
semble
qu’il y ait en elle un La Rochefoucauld pénétrant
ullement odieux, et peu s’en faut qu’ils ne soient sympathiques et ne
semblent
plus à plaindre que leurs victimes. Néron même, N
ans aucune intrusion du hasard, voilà tout le théâtre de Racine. Cela
semble
peu ; mais ce peu, je me demande s’il s’est renco
os ; encore n’est-ce pas là la moitié des œuvres soumises au jury. Il
semble
vraiment qu’il n’y ait que faire d’encourager des
inconvénients que bien des gens reconnaissent, et auxquels le remède
semble
facile. Ce qu’on admet moins généralement, c’est
e dernier et le moins heureux des adorateurs de l’éternelle beauté me
semble
plus digne d’estime que le soupirant le plus favo
nt d’une façon prééminente sous tous les rapports. Il eût été bon, ce
semble
, avant de permettre aux candidatures de se poser,
rs un point sur lequel ils faisaient bon marché de ses mérites, et il
semblait
que le vainqueur, quel qu’il fût, dût passer sous
écartés au moment décisif, et M. Thiers, que sa qualité d’académicien
semblait
exclure, a vaincu sans péril, sur la proposition
uvres, lui a toujours rendu hommage ; et tel candidat qui, la veille,
semblait
en passe d’être proclamé le plus grand écrivain d
n choix de famille, et que l’accord au sujet d’un lauréat extra-muros
semblait
impossible, certains immortels ont proposé, assur
je n’en vois pas une seule qui eût rempli toutes les conditions qu’on
semble
imposer aujourd’hui, car madame de Staël elle-mêm
cher ni le livre qui se lit à bon marché, choses qui au premier abord
semblent
incompatibles ; ce que je leur envie, c’est le dr
s la résolution de renvoyer la jeune fille, parce que sa jeunesse lui
semblait
une raillerie rivée à son déclin. » On cherche
ns ne manqueront jamais de grands maîtres. Pourtant, cette règle, que
semblent
s’être imposée à plaisir tant d’associations pour
e-même. Il y a du vrai, croyez-le bien, dans ces deux aphorismes, qui
semblent
, au premier abord, dictés par une philosophie san
contrariétés des soldats du Ier corps d’armée est une entreprise qui
semble
dépasser les bornes de la patience humaine. L’esp
elques années. J’ai besoin de me le redire pour le croire, tant il me
semblerait
naturel de supposer que ce petit livre a paru en
i lui faisaient accepter le supplice comme une rédemption suprême. Il
semble
que le sang soit devenu pour tous, bourreaux et v
leur insouciance aimable jusque sur les marches de la guillotine. Ne
semblerait
-il pas, à entendre ces apologistes de Robespierre
t-il l’espérer s’il s’agit d’un homme politique ; car tous les partis
semblent
si bien avoir adopté le principe d’hérédité, — qu
s mêmes choses, dites à la Convention par le collègue de Robespierre,
semblent
naturelles ou du moins ne font pas rire. Nulle mé
us vaillant, aurait continué à marcher au combat et à la victoire. Il
semble
pourtant évident que, lorsque des hommes se renco
ne direction unique chez tous les partis de la Révolution ; car il me
semble
y voir une pensée de conciliation, et j’aime à cr
rtyrs de la liberté que la Révolution les a écrasés sous son char, il
semble
qu’on ait tout dit, et que la fatalité soit seule
urs seulement le 2 septembre 1792. À cette date funèbre la Révolution
semble
, pour ainsi dire, se bifurquer ; aussi suis-je to
quand il a dit : « Il ne s’agit pas de savoir si ce qu’on a fait vous
semble
bien ou mal, mais si le peuple le voulait. » Car
de parti, une condition de popularité, elle est aussi un devoir. S’il
semble
inutile de discuter tout ce qui s’écrit, il est f
iré de nous. Non seulement nous ne nous divertissons guère, mais nous
semblons
un peu fiers de notre tristesse. Vilain et sot or
ndis que la vie réelle n’a pas encore revêtu des formes précises ? Il
semble
alors que sur les tablettes merveilleuses du cerv
meil comme un obstacle, ou à le retenir comme une protection ; car il
semble
qu’il dépende de nous de hâter ou de retarder le
eu vulnérable du côté de la tendresse. Toute notre éducation publique
semble
combinée dans le but d’émousser en lui la sensibi
au concours général par M. le ministre de l’instruction publique, il
semble
peu probable que ces tendances de l’enseignement
s ? Tout rapporte aujourd’hui, jusqu’aux choses qui, par leur nature,
semblent
le plus devoir être gratuites. C’est le moment où
iteront à l’avenir. On est heureux aussi de pouvoir rassurer ceux qui
semblent
craindre que la nomination de neuf cents nouveaux
mais. La question des loyers le préoccupe surtout. Malheureusement il
semble
impossible que cette question soit résolue dans l
x gros volumes, écrits par une femme belle, spirituelle, entourée, me
semblent
un véritable monument de vaillance. Ils représent
s connue, mais que je juge d’après sa vie et ses écrits. Quelle femme
sembla
jamais plus fatalement prédestinée à être une int
au caractère, je voudrais maintenant analyser les œuvres. La tâche me
semble
facile, tant il y a d’unité dans ce talent, que s
en que la chose se passât en 1839, c’est-à-dire à une époque qui nous
semble
aujourd’hui l’âge d’or de la presse. Le but de l’
e talent de madame Émile de Girardin était très perfectible, et il me
semble
prouvé qu’elle faisait encore des progrès quand l
facile, incisif, plein de recherches, et pourtant toujours clair ! Il
semble
qu’on ait inventé pour lui ce bizarre assemblage
e où il veut ; mais il faut que son souffle soit bien puissant, ce me
semble
, pour enlever un homme aux réalités d’une pareill
é renouvelle. Fière des sucs puissants qui gonflent sa mamelle, Elle
semble
nous dire, insensible à nos pleurs, Que rien ne d
mêler, avec une sorte de curiosité hostile. Cette foule inconnue leur
semble
occuper la place de leur société dispersée, de le
i longtemps. Cela est vraiment heureux, car depuis quelques mois nous
semblions
n’échanger avec nos voisins que des scandales et
institution du Grand Jury est battue en brèche de tous côtés, et l’on
semble
disposé à lui substituer dans la machine judiciai
tions. Les mauvais plaisants dirent, il est vrai, que si la longévité
semblait
le privilège de tous les ex-chanceliers d’Anglete
s célèbres des critiques de la force de ce jeune et naïf Écossais. Il
semble
que l’éclat qui les environne empêche de les bien
un écrivain dont on a pu suivre les incroyables métamorphoses, et qui
semble
avoir toujours érigé en principes ses engouements
avoir son opinion. À force de penser à ce critique imaginaire, il me
semble
parfois que je l’ai créé ; je l’interroge, et voi
ni peintures licencieuses, ni doctrines immorales, et pourtant il me
semble
qu’il est telle œuvre d’un écrivain franchement g
le soupçonnerais d’avoir trop lu les ouvrages de M. Michelet, qui me
semblent
avoir déteint sur lui. Tenez ! reprenez toutes ce
ntes, ces livres pleins de passion parlée où la vie n’est pas, et qui
semblent
écrits par des vieillards attardés pour des adole
z devant ce tribunal fictif Homère, Shakespeare ou Dante. L’immensité
semble
se peupler de ceux qui, un jour ou l’autre, ont p
er. C’est une jouissance bien rare dans ce temps-ci, où-le bon marché
semble
être la seule qualité qu’on recherche, de feuille
ntomanes de la France et de l’étranger prenaient un exemplaire, il me
semble
que le succès serait assuré ; mais, hélas ! tous
ement que ceux qui connaissent imparfaitement l’œuvre première. Il me
semble
, à vrai dire, que les livres de voyages devraient
certaine réputation, même en Italie ; mais, au premier coup d’œil, ce
semble
vraiment une plaisanterie que de les comparer à l
du dessin, ne sauraient donner l’idée de la perduta gente . M. Doré
semble
si convaincu du développement que la damnation im
rce que j’y retrouve toutes les qualités et tous les défauts qu’il me
semble
voir dans l’œuvre de M. Doré, mais aussi parce qu
çoise ? quel cœur bien épris n’a envié ta bienheureuse damnation ? Il
semble
que pour inventer ton ineffable supplice le poète
amais ; et ces longues lignes d’âmes errantes que le vent noir châtie
semblent
, en effet, comme dit le poète, traîner leurs plai
esurques mettent en lumière depuis soixante ans. Au premier abord, il
semble
inexplicable que cette lacune dans la loi n’ait p
usqu’à un certain point, motivé l’erreur de la justice ; mais qu’elle
semble
inexplicable quand on lit le simple compte rendu
ement, même dans des temps où l’intérêt personnel et l’amour du repos
semblent
être la préoccupation principale de chacun. D
, la possibilité d’un triomphe comme celui de l’historien grec, il me
semble
qu’on ne serait pas embarrassé du choix de la div
qu’un tourniquet, il faut bien le dire, n’est pas seulement ce qu’il
semble
être, une barrière physique qui s’abaisse devant
élever une statue dans l’enceinte même de la Bourse ? » Le témoignage
semble
plus exagéré encore quand on songe qu’il s’agissa
ons la responsabilité. » Cette formule prudente, mais peu concise, ne
semble
offrir aucune nouvelle garantie. La loi s’en cont
me. Tous ces tristes débats, où les passions religieuses sont en jeu,
semblent
reporter la France à trente-cinq années en arrièr
out de ce monde, et les intérêts matériels y sont seuls en jeu. Il ne
semblait
pas devoir prétendre, par son origine, au grand r
vilégiée, d’une raillerie brevetée, avec garantie du gouvernement, me
semble
profondément triste. Elle rappelle ces danses ris
e Paris bien entendu, et avant la réunion du fleure avec la Marne. Il
semblait
donc qu’il y eût lieu d’espérer que les Champenoi
nt volontiers leurs cadeaux de nouvelle année à la Noël. Les journaux
semblaient
pressentir depuis quelque temps déjà les disposit
éforme — deux sœurs qui ont tant fait pour la liberté moderne — et il
semblerait
, à les entendre, que la grandeur de la Renaissanc
bout. — Une Nichée de gentilshommes, par Ivan Tourguénef. I Il
semble
que Paris ait voulu ce mois-ci donner un démenti
toujours une certaine fertilité après soi, et longtemps après qu’elle
semble
tarie ; on reconnaît encore, à une verdure plus l
mme qu’on avait eu le tort d’encourager et de prôner outre mesure. Il
semblerait
vraiment qu’il a déçu des espérances, et qu’on av
s à notre ami D., qu’on a tort de traîner dans la boue. » M. About me
semble
s’être porté à lui-même un toast à peu près sembl
lgré eux, à redire les mêmes choses et à subir les mêmes réponses. Il
semble
que cela pourrait continuer ainsi toujours ; et e
areille circonstance, il ne faut pas de demi-mesures. Eh bien ! il me
semble
que nous parlons depuis trop longtemps de nos pet
ilshommes, — titre, par parenthèse, que rien ne justifie et qui ne me
semble
pas heureux, — est le plus considérable qu’on ait
pliqua alors bien des choses ; le coup même qui l’avait frappé ne lui
semblait
plus aussi imprévu ; il comprit sa femme. On-ne c
leuse et la plus désespérante qu’il puisse revêtir. Mais lorsque tout
semble
le séparer de celle qu’il aime, un journal lui ap
n’est pas jusqu’à la forme un peu vague de ses récits, dont plusieurs
semblent
inachevés, qui ne viennent confirmer habilement c
ines. Le trône, tout d’abord, pour parler de chaque chose à son rang,
semble
s’en aller en fumée, et nos politiques d’Europe o
matériels, et l’on se demande si ces commotions continuelles qui nous
semblent
une effroyable anarchie ne doivent pas être pour
Renan a été publié en brochure. Malgré tout ce qu’on en a dit, il me
semble
difficile de nier que M. le ministre ait raison e
n qu’il appartienne, la négation de la divinité du Christ, et elle me
semble
clairement formulée dans la phrase que voici : «
te à l’histoire des peuples dont il devait étudier les langues, qu’il
semble
impossible que ce qui est arrivé n’ait pas été pr
pu la croire désaccoutumée ; le temps des équivoques est passé, et il
semble
vraiment que ce grand système de bascule, dont pe
de celle du ministre, et qui n’a point été adoptée. Il existe, ce me
semble
, une certaine contradiction entre cette assertion
agitation à laquelle ils se refusaient de croire, tant l’habitude en
semblait
perdue parmi nous. Il y est dit que les élèves ou
nter une pétition au Sénat en faveur de nos alliés les Anglais. Il me
semble
que leurs amis ont été bien durs envers eux. Les
ne, les bâtons de jade, qui n’ont jamais orné personne. Que la vanité
semble
aimable et gracieuse à côté de tout cela ! On se
brûlés, et enfin de cette boue du ruisseau de Paris dont M. Veuillot
semble
avoir emporté une provision jusque dans la ville
ste, M. Veuillot le train express, et j’admets qu’au premier abord il
semble
exister un rapport singulier entre la rapidité de
ne peut se défendre. Il est impitoyable pour ceux dont le visage lui
semble
disgracieux. J’ai déjà dit qu’il ne trouvait pas
’il consacre au P. Passaglia, « le vrai infâme près de qui les autres
semblent
innocents ; le monstre plus redoutable que le feu
t espérer d’être bien accueillis. Trop empressés ou trop tardifs, ils
semblent
également barbares : dans le premier cas, ils ont
ver ni dans la première ni dans la dernière de ces catégories ; il me
semble
donc que le moment est venu de dire mon opinion.
omme qui montre la lanterne magique. Le mot m’est échappé, et il peut
sembler
dur, mais je ne le retire pas : je demande seulem
arcisse qui s’adore lui-même et qui applaudit le vulgaire. » Ne vous
semble-t
-il pas avoir lu cela quelque part, et même partou
ssion, entreprise, à ce qu’on assure, dans un but tout commercial, ne
semble
pas avoir jeté les fondements d’une grande intimi
eur a surtout recommandé, dans des termes que la modestie occidentale
semblait
devoir nous interdire, d’étudier la grandeur de l
et il m’a toujours fallu me contenter de ce détail un peu frivole qui
semble
avoir surtout frappé les observateurs parisiens :
érique, en Allemagne, en Russie même dans ces derniers temps, la sève
semble
se porter avec force du côté du roman, et le mora
ement l’encombrement. Le talent si simple et si vrai de M. Ruffini me
semble
plutôt gêné que rehaussé par cette mise en scène
it couchée. L’amour qu’ils éprouvent pour des femmes de chair et d’os
semble
bien faible auprès de cette passion toute-puissan
ne croire que ces rêves ardents, ces espérances du héros de roman qui
semblaient
si chimériques, soient réalisés aujourd’hui. Le d
nt un conspirateur. Tout cela suit un développement si logique, qu’il
semble
fatal. Au sortir du collège, Lorenzo, plein de fo
de tout cela, nous aussi ; pourquoi donc les revues et le Cirque nous
semblent
-ils seuls dignes d’être montrés ? Si jamais on pu
iel des mœurs, le seul qu’il leur soit possible d’apprécier ; mais il
semble
singulier qu’ils n’attendent pas, pour publier le
fusion des peuples, et se féliciter comme d’un progrès de tout ce qui
semble
devoir étendre le règne de cette uniformité que n
té que nous confondons volontiers avec la grandeur et la force. Il me
semble
, au contraire, que tout esprit vraiment libéral r
ergie féroce, les mœurs, en s’adoucissant, ne se sont pas épurées. Il
semble
que la barbarie fasse graduellement place à la co
. Si jamais cette image architecturale devait tenir ses promesses, il
semblait
que ce dût être à propos de la franc-maçonnerie :
nique octroyé par l’empereur en lui imposant un chef de son choix, ne
semble
pas avoir été considéré comme une concession libé
r chez nous ! Cette position officielle imposée à la franc-maçonnerie
semble
devoir changer singulièrement le caractère de l’i
du bon goût et du bon sens une œuvre que, du consentement général, on
semble
vouloir placer au-dessus de la loi commune ? Évid
semblance encore ? Mais c’est surtout la portée que l’auteur lui-même
semble
accorder à son œuvre, qui est faite pour intimide
endre dire qu’il a fait une épopée, sans le savoir. En général, il me
semble
voir que toute grande machine littéraire ayant be
t du drapeau agite la page, et en plus d’un endroit la plume du poète
semble
avoir été trempée dans le sang du soldat ; mais n
toire littéraire des écrivains, là même où précisément cette histoire
semble
le plus faire défaut ; les poëtes grecs ou latins
Virgile, les avait traduites ou imitées en vers latins, comme Virgile
semble
y faire allusion dans la belle églogue où il intr
curité, le néologisme. Ces éternelles accusations ne manquent pas. Il
semble
qu’une loi fatale asservisse les talents des dive
: Omnia jam vulgata…, et Tite-Live, dans la préface de son histoire,
semble
comme accablé d’avance sous le nombre de je ne sa
trouve décrite, dès l’aube du jour, avec un détail et une réalité qui
semblerait
n’appartenir qu’à la poésie d’aujourd’hui, à cell
passant pût le retenir et peut-être le répéter. Leur folie de gloire
semblait
d’autant plus incurable et plus amère, qu’elle av
n temps et qu’elle n’avait pas toujours été folie. Quelques-unes, qui
semblaient
plus impatientes et plus désespérées que les autr
porté dans les galeries supérieures de la Bibliothèque royale, qui me
semblaient
se prolonger à l’infini ; les livres y affluaient
nte de quelques bijoux, des restes enfin d’une situation qui avait pu
sembler
brillante. Elle préférait tout à la seule idée de
déjà que M. Dessolle se retirait) ; leur vie était établie telle, ce
semble
, qu’elle devait demeurer longtemps. Elles ne sort
omte Hervé de T…, et toutes les trois de la même main, d’une main qui
semblait
élégante, et de femme, et comme mystérieuse. Parm
à brisé l’un des cachets, et qu’il commençait à lire avidement ce qui
semblait
si pressé de l’atteindre. D’autres lettres vinren
uand il repasse devant les fenêtres et qu’elle le voit monter. Il lui
semble
qu’elle connaisse tout de lui : oh ! combien elle
restante, à un nom de femme qui ne devait pas être le véritable ; il
semblait
qu’elles fussent au fond bien plus sérieuses. Ave
ait paru l’accueillir, lui promettre quelque retour ; elle avait même
semblé
lui accorder, lui permettre sans déplaisir quelqu
y avait quelquefois des ralentissements dans la correspondance. Hervé
semblait
s’y attendre en ne venant pas, ou par moments il
onse d’Hervé, Christel le sentait avec une anxiété cruelle, et il lui
semblait
que le courrier qui emportait cette réponse lui a
es (car en ces cas d’attente il décachetait brusquement), et s’il lui
semble
plus triste après avoir parcouru, elle demeure tr
ulement elle souriait désormais, et ses yeux, d’un bleu plus céleste,
semblaient
remercier d’un bonheur. Son mal réel l’obligeant
uparavant. Malgré sa faiblesse croissante, depuis quelques jours elle
semblait
mieux ; je ne sais quel mouvement de physionomie
u front son pur contour ; et quand tu y imprimes ton baiser glacé, il
semble
que ce soit une dernière couronne. — O Mort, que
utionnelles, que d’autres en seraient impatients. Les devoirs ne Vous
semblent
jamais des bornes mais des appuis, et c’est ainsi
nthousiasme en général à la censure méritée d’un acte coupable. Il me
semble
au contraire, que c’est par les principes mêmes d
ortable, c’est celle qui nous empêche de comprendre les autres. Il me
semble
que le bonheur consiste dans la possession d’une
de ceux qui ne nous ressemblent pas, une équité philosophique. Il me
semble
donc qu’il ne faut jamais disputer sur ce que cha
tirée ; mais de tous les malheurs de l’amour il n’en est qu’un, ce me
semble
, contre lequel la force de l’âme puisse se briser
un grand nombre de plus perverses que le Suicide, il n’en est pas qui
semble
nous dérober aussi formellement à la protection d
dre pour être mis à sa place. Le temps est quelque chose de sacré qui
semble
agir indépendamment même des événements qu’il ren
outes ces misères enfin que l’existence corporelle traîne après elle,
sembleraient
une des causes de Suicide les plus plausibles, et
rieures, que le désespoir n’ait atteint plus d’une fois, et la vie ne
semble
souvent qu’un long naufrage, dont les débris sont
-elle pas également donné l’une et l’autre ? Un passage de l’Évangile
semble
répondre textuellement à ce sophisme : Si votre
ne sais quelle musique céleste se faisait entendre dans le désert et
semblait
annoncer que la source sortirait bientôt du sein
n instant l’éternité des peines. La dernière scène de la vie de J.-C.
semble
être destinée surtout à confondre ceux qui croien
nt dans le sacrifice de la vie à ses devoirs. Mais l’homme qui se tue
semble
arriver avec d’hostiles armes sur l’autre rive du
a cessé d’être jeune, dès que l’on descend la montagne dont le sommet
semblait
environné de tant d’illusions brillantes. Un homm
llards, mais il en est qui par le développement de la dignité morale,
semblent
nous annoncer l’approche d’une autre vie comme da
matin suivant. J’ai vu ces nobles regards tout pénétrés d’avenir, ils
semblaient
déclarer prophète le vieillard qui ne s’occupait
petits, même dans cette vie, que sont-ils en présence de la mort ? Il
semble
que rien n’est trop profond ni trop fort pour dét
ais pas qu’elle voulût répandre mon sang qui est aussi le sien. Il me
semblait
que ma jeunesse suffisait pour m’excuser, quand i
ers le soleil ; le gazon était déjà vert, quelques fleurs prématurées
semblaient
préluder par leurs parfums à la mélodie de la nat
oute sa magnificence ! L’air était d’une douceur inexprimable : il me
semblait
que j’entendais la voix de Dieu dans le souffle i
s encore sans ombrage que la verdure doit bientôt revêtir : les flots
semblaient
étinceler par le reflet des rayons du ciel, mais
protections secrètes exercées en faveur du chrétien, lors même qu’il
semble
le plus malheureux, et ce que nous sentons au-des
ma conscience n’étaient pas d’accord, lequel de ces deux pouvoirs me
semblerait
légitime ? — Lord Guilford, me dit Asham, n’a pas
hain, dont cinq jours encore me séparaient. Je vous l’avouerai, il me
sembla
que je n’étais préparée à rien, tant la désignati
is je refusais de vivre, et l’échafaud consenti par ma volonté, ne me
semblait
plus que l’autel choisi par la victime. Renoncer
vant vous, mon digne ami. Asham qui dans notre entretien de la veille
semblait
moins religieux que moi, reprit bientôt tout son
ous regrettez, qui l’a faite ? et si ses incomplètes jouissances vous
semblent
d’un tel prix, pourquoi les croyez-vous irréparab
à celle des deux hommes célèbres qui, en le suivant, l’ont effacé. Il
semble
qu’il s’essaie à la vigueur de Bossuet et aux dét
nous frappent plus que les malheurs qui se développent par degrés. Il
semble
que la douleur s’use dans les détails. D’ailleurs
es inscriptions, vaines marques de ce qui n’est plus, des figures qui
semblent
pleurer autour d’un tombeau, et de fragiles image
s d’une douleur que le temps emporte avec le reste ; des colonnes qui
semblent
vouloir porter jusqu’au ciel le magnifique témoig
r sacré n’a parlé de Dieu avec tant de dignité et de hauteur. Bossuet
semble
déployer aux hommes l’intérieur de la divinité, e
i fait mépriser les objets de ses passions, comme indignes d’elle, et
semble
la détacher de l’univers. Bossuet s’arrête tantôt
est l’ardeur de ses mouvements ; c’est son âme qui se mêle à tout. Il
semble
que du sommet d’un lieu élevé, il découvre de gra
milière à une idée grande ; et alors il étonne davantage, parce qu’il
semble
même au-dessus de la hauteur des pensées. Son sty
ni qu’il s’abaisse ; et dans sa négligence, jointe à sa grandeur, il
semble
se jouer même de l’admiration qu’il inspire. Tel
donc en fait, d’une façon peut-être un peu présomptueuse, mais il me
semble
, tout de même, justifiée, que les hésitations et
on des rêves et des lapsus, qui est pleine de remarques profondes, me
semble
tout de même dans l’ensemble, beaucoup plus facti
e ses découvertes et sur la valeur même de ses découvertes. Même s’il
semble
logique de montrer d’abord l’inconscient à l’œuvr
ais présenter les trois grandes découvertes psychologiques dont il me
semble
que nous sommes redevables à Freud et montrer que
t à la conviction de l’existence de l’inconscient psychique 3. Il ne
semble
pas, au premier abord, qu’il y ait, dans ces pass
est pas une découverte de Freud. On citera tout de suite des noms qui
semblent
réduire aux plus minces proportions son originali
ncé cet appel à la modestie et au recueillement, mais c’est à eux que
semble
échoir la mission de défendre cette manière de vo
che à amener au jour lui est plus ou moins désagréable. La résistance
semble
donc être l’effet d’une force, de nature propreme
s deux. * * * Le troisième point de la doctrine de Freud, qu’il me
semble
que nous pouvons, bien que dans de moindres propo
istence, la profession, les ascendances de chacun de ses héros. Il me
semble
impossible, après Freud, qu’il puisse se passer d
à bien marquer les nuances et les moindres aspects de chaque vie. Il
semble
même que, sous ce rapport, les deux auteurs que n
cher un de ces gâteaux courts et dodus appelés Petites Madeleines qui
semblent
avoir été moulés dans la valve rainurée d’une coq
ns que la seconde. Il est temps que je m’arrête, la vertu du breuvage
semble
diminuer. Il est clair que la vérité que je cherc
ir récalcitrant : Il est temps que je m’arrête, la vertu du breuvage
semble
diminuer. Il est clair que la vérité que je cherc
ce de la pierre qui, sans que je pusse comprendre pourquoi, m’avaient
semblé
pleines, prêtes à s’entrouvrir, à me livrer ce do
: je m’arrêtais, croyant acquérir une notion précieuse , car il me
semblait
avoir sous les yeux un fragment de cette région f
que notre âme a projeté sur elles, on est déçu en constatant qu’elles
semblent
dépourvues dans la nature, du charme qu’elles dev
e à vous relire. Il est temps que je m’arrête, la vertu du breuvage
semble
diminuer. Il est clair que la vérité que je cherc
14. Et si je cherche, maintenant, les raisons de cette émotion, il me
semble
qu’une des principales est que j’avais la sensati
itude de se voir tous les jours dont elle rêvait alors qu’elle ne lui
semblait
à lui qu’un fastidieux tracas, puis qu’elle avait
e tout espoir parmi les ombres errantes dans cette nuit qui lui avait
semblé
presque surnaturelle et qui en effet — nuit d’un
les Verdurin et qu’il avait appelée si souvent « la vraie vie », lui
semblait
la pire de toutes, et leur petit noyau le dernier
les rêves et avec tous les symptômes névrotiques est frappante ; elle
semble
impliquer, encore une fois, une conception dynami
avait disparu si longtemps, était de nouveau si près de moi qu’il me
semblait
encore entendre les paroles qui avaient immédiate
t des sentiments qui du moins peuvent être appréhendés directement et
semblent
ne pouvoir jamais tromper sur leur essence. Toute
le ; — s’efforçant à convertir en quelque chose d’actif le passif qui
semblait
son lot ; tendu vers le plus, le trop, jusque d
la Primavera. Elle avait en ce moment leur visage abattu et navré qui
semble
succomber sous le poids d’une douleur trop lourde
Swann pour qu’elle eût ce regard douloureux, cette voix plaintive qui
semblaient
fléchir sous l’effort qu’elle s’imposait, et dema
onception habituelle que la douleur est la cause de l’amour dont elle
semble
découler, que c’est non pas la désharmonie qui se
it à aborder l’amour dans cet esprit. E. Jaloux l’a bien marqué : Il
semble
que les romanciers aient toujours menti sur ce po
out objet précis, tellement détachée qu’au début, chez l’enfant, elle
semble
ne pas savoir qu’elle puisse s’appliquer jamais à
la préoccupation exclusive dont vous étiez censé être habité, qui ne
semblait
aucunement pouvoir émaner de l’être pour lequel v
ux points sur lesquels la conception que Proust se fait de l’amour me
semble
pouvoir et devoir être corrigée ou complétée. Le
fait. Et c’est ce fait — voici mon second reproche — que Proust ne me
semble
avoir ni connu, ni analysé suffisamment. Sans dou
’était pas une passion. Et je ne le prétends pas non plus. Mais-il me
semble
qu’il y manquait tout de même un élément importan
ent, cette tentation du don de soi. Il faut songer que d’aucune il ne
semble
moralement avoir jamais rien eu. Cette privation
à prendre. Et c’est là encore un autre élément de l’amour que Proust
semble
avoir négligé, ou voulu ignorer : le besoin de sa
our lui créer des raisons extérieures d’être à lui. Mais justement il
semble
ne penser jamais qu’à des raisons extérieures. C’
sentiment qui l’empêcherait de faire ces choses. À aucun moment il ne
semble
ressentir cette inspiration qui permet de pénétre
e ; elle peut déterminer un changement d’orientation. Et voici, il me
semble
, en quoi. Le psychique a été conçu jusqu’ici, à p
soulignée avec une insistance croissante. Je cite des noms qu’il peut
sembler
bizarre de rapprocher, mais qui forment jalons su
s les siens sans qu’il eût l’espérance d’en être jamais délivré, elle
semblait
lui dire comme jadis de son bonheur : « Qu’est-ce
et jusqu’à leur essence qui est pourtant d’être incommunicables et de
sembler
frivoles à tout autre qu’à celui qui les éprouve,
dés, et ceux de Proust. Un même esprit, à voir les choses en gros, me
semblait
avoir donné naissance à Célimène et à Odette. Je
le ; — s’efforçant à convertir en quelque chose d’actif le passif qui
semblait
son lot ; tendu vers le plus, le trop, jusque dan
ue : « s’efforçant à convertir en quelque chose d’actif le passif qui
semblait
son lot ». Oui, il y avait chez Proust, je ne veu
venir, qui savait pourtant bien que l’escalier était repeint, etc. Il
semblait
admettre que l’écran seul de Céleste eût pu le pr
; et « s’efforçant à convertir en quelque chose d’actif le passif qui
semblait
son lot ». Il y a là une indication très précieus
M. Desjardins « pour convertir en quelque chose d’actif le passif qui
semblait
son lot ». On ne peut comprendre Proust et son œu
ue chose. II En effet le premier caractère qui doit frapper, me
semble-t
-il, quiconque aborde son œuvre sans prévention, c
e, avec les trois hautes marches de grès presque devant chaque porte,
semblait
comme un défilé pratiqué par un tailleur d’images
des paupières, ses yeux brillants, larges et minces comme les leurs,
semblaient
prêts à se détacher ainsi que deux larmes. Elle f
nts-là et qu’elle faisait attention à ne pas oublier de prendre, elle
semblait
avoir besoin de toute sa force pour retenir son v
re, apparaissent dans ce court passage et là encore nous avons, il me
semble
, cette même impression d’intégrité, de parfaite p
e, cet effort « pour convertir en quelque chose d’actif le passif qui
semblait
son lot », et plus généralement encore, dans le p
ce de la pierre qui, sans que je pusse comprendre pourquoi, m’avaient
semblé
pleines, prêtes à s’entrouvrir, à me livrer ce do
e et une vallée, et situé sur un plateau plus élevé dans le lointain,
semblait
pourtant tout voisin d’eux. En constatant, en no
it derrière ce mouvement, derrière cette clarté, quelque chose qu’ils
semblaient
contenir et dérober à la fois 86. Tout ce qui le
à la fois 86. Tout ce qui le frappe, tout ce qui émeut ses sens lui
semble
ainsi à la fois « contenir et lui dérober » quelq
des archétypes de chaque objet ou de chaque être que Proust au début
semble
vouloir à tout prix découvrir. Il a une véritable
itude de se voir tous les jours dont elle rêvait alors qu’elle ne lui
semblait
à lui qu’un fastidieux tracas, puis qu’elle avait
e tout espoir parmi les ombres errantes dans cette nuit qui lui avait
semblé
presque surnaturelle et qui en effet — nuit d’un
embaumées du souvenir qui viennent battre un esprit souffrant, à quoi
semblaient
-elles pouvoir prêter en littérature sinon à quelq
e tout espoir parmi les ombres errantes dans cette nuit qui lui avait
semblé
presque surnaturelle… », il continue tout naturel
igence de son esprit « changer en quelque chose d’actif le passif qui
semblait
son lot ». Quand on y réfléchit, quelqu’un de si
r disait : « La librairie ne produit guère que des réimpressions. Il
semble
que chacun, en attendant l’ère nouvelle qui va s’
ient des fleurs ; l’air grisait, on était fou de lyrisme et d’art. Il
semblait
qu’on vînt de retrouver le grand secret perdu, et
t coloré, d’enivrante et forte saveur ! La tête nous en tournait ; il
semblait
qu’on entrait dans des mondes inconnus. À chaque
s yeux comme les Tables de la Loi sur le Sinaï, et ses arguments nous
semblaient
sans réplique. Les injures des petits journaux cl
ations, et l’idée de lui demander un billet, nous rapin inconnu, nous
semblait
d’une audace inexécutable… Heureusement Gérard de
ressortait bientôt, car cette nature légère, ailée, que des souffles
semblaient
soulever comme Euphorion, le fils d’Hélène et de
’est déjà formée une légende. Elle aura son chapitre à part ; il nous
semble
qu’en tête de cette histoire du Romantisme que no
re de Velasquez comme s’il y eût habité. S’il mettait son chapeau, il
semblait
se couvrir devant le roi comme un grand d’Espagne
encadrait de son ombre noire ce pâle et beau visage. Une barbe ! cela
semble
bien simple aujourd’hui, mais alors il n’y en ava
it pas contemporain ; rien en lui ne rappelait l’homme moderne, et il
semblait
toujours venir du fond du passé, et on eût dit qu
C’était aussi une étrange figure que celle de Joseph Bouchardy. Il ne
semblait
pas né dans nos pâles climats, mais au bord de l’
in orgueil, le monstre à la peau jaune d’or et aux cheveux indigo, et
semblait
flatté qu’on pût se perdre dans son œuvre comme d
t connu ; mais nous étions soulevés comme par des souffles et il nous
semblait
que nous allions être emportés vers un radieux av
’expression de l’idée romantique, c’est assurément la sculpture. Elle
semble
avoir reçu de l’antiquité sa forme définitive. Dé
s, ou le toupet caractéristique de Louis-Philippe. Cette coiffure qui
semblerait
étrange aujourd’hui, dessinait un beau front blan
philistin qui, l’oreille guillotinée par ce triangle de toile empesé,
semblaient
apporter eux-mêmes leur tête comme un bouquet dan
ux, Aux regards méticuleux Des bourgeois à menton glabre, Devons-nous
sembler
follet Dans ce monde où tout se range ! Devons-no
vons-nous sembler follet Dans ce monde où tout se range ! Devons-nous
sembler
étrange Nous faisant ce qui nous plaît ? Le fai
souffrances silencieusement supportées, car il était de ceux à qui il
semble
naturel de mourir de faim, de mener à bien ce gig
stature et de prestance sénatoriale, une veste blanche sur l’épaule,
semblait
rêver profondément, en proie à une nostalgie ; il
au stufato, aux tagliarini, aux gnocchi ; une pluie dorée de parmesan
semblait
descendre du ciel dans les assiettes, comme la pl
fleurée par des lèvres de rose avec un léger sentiment d’effroi, nous
semblaient
la suprême expression du dandysme, par l’absolue
al les acanthes des chapiteaux. Sa taille spiritualiste s’effilait et
semblait
vouloir monter vers le ciel avec un redoublement
ait fourni le bleu de ses prunelles, ses cheveux d’un blond d’auréole
semblaient
peints un à un avec l’or des miniaturistes du moy
nteuil cherchât le style maigre, émacié, simplifié jusqu’au néant qui
semble
le comble de l’art religieux à Overbeck. Il ne se
remiers essais Nanteuil dessinait comme avec des plombs de vitrail et
semblait
colorier avec une palette de peintre verrier. Pou
oulées déjà depuis les belles soirées d’Hernani, où toute la jeunesse
semblait
se ruer d’un seul élan vers l’avenir, ivre d’enth
Le mot paroxyste employé pour la première fois par Nestor Roqueplan,
semble
avoir été inventée l’intention de Philothée. Tout
araissons-nous aussi laids, aussi vieux, aussi moroses qu’ils nous le
semblent
? Voilà donc ce qui reste de la brillante escadri
voyait toujours et elle l’enveloppait d’une atmosphère spéciale ; il
semblait
vraiment qu’on obligeât Gérard en lui demandant s
egarde en rapprochant deux ou trois fois ses mains, gantées en blanc,
semble
comprendre, juger et décerner la palme. Le roman-
de facture, car les élèves de Victor Hugo savent faire les vers, nous
semblait
devoir prêter à quelques situations dramatiques.
û porter le drame. Quelques-uns regrettaient Trois pour une, qui leur
semblait
un vrai titre à la Calderón, un titre de cape et
ut devant les portraits de ses aïeux ; tout le drame complet. Il nous
semblait
même entendre encore la rumeur de la première rep
ns façon à l’autre vers, cet enjambement audacieux, impertinent même,
semblait
un spadassin de profession, un Saltabadil, un Sco
rder comme des morceaux pour ainsi dire classiques les nouveautés qui
semblaient
alors de pures barbaries, l’effet que produisaien
tirade sont si beaux, que dits même par ces canards de Vaucanson, ils
semblaient
encore admirables. Madame Gay, qui fut plus tard
u public s’est faite insensiblement ; ce qui le révoltait naguère lui
semble
tout simple. Les prétendus défauts se transformen
ure, ses passions gigantesques, son lyrisme effréné et son action qui
semble
une légende du Romancero mise au théâtre comme la
lière du dialogue où les répliques s’entrecroisent comme des lames et
semblent
jeter des étincelles, et planant avec des ailes d
and monologue de don Carlos devant le tombeau de Charlemagne, il nous
semblait
monter par un escalier dont chaque marche était u
s les rues précédé par les clairons des renommées où nulle affiche ne
semblait
assez grande, nul caractère assez voyant, où l’on
tentifs. Comme Henri Beyle, mais sans aucune ironie, Gérard de Nerval
semblait
prendre plaisir à s’absenter de lui-même, à dispa
p éloignés de l’idéal, et les marquer d’un cachet particulier lui eût
semblé
une vanité puérile. Un des premiers il traduisit
pièce, d’un poète enivré à la coupe capiteuse du mysticisme allemand,
semble
, chose bizarre, l’œuvre froidement réfléchie d’un
le mieux conduit. Sylvie, l’œuvre la plus récente de l’écrivain, nous
semble
un morceau tout à fait irréprochable ; ce sont de
a dédaigné de l’être. Les louis lui causaient une sorte de malaise et
semblaient
lui brûler les mains ; il ne redevenait tranquill
pendant lesquelles sa pensée s’excitait par la marche et quelquefois
semblait
l’enlever de terre comme la Madeleine dans sa Bau
us présentent les sphinx dont l’indéfinissable sourire de granit rose
semble
railler la sagesse moderne. Les cosmogonies et le
s beau que de ramper toute sa vie sur la terre. Cette exaltation peut
sembler
bizarre à la génération qui a maintenant l’âge qu
pas d’argent, rigide pour les autres comme il l’a été pour lui-même,
semble
le seul personnage raisonnable de la pièce. Le qu
es lèvres ! » Ces éloges, quelque talent qu’on reconnaisse à Bocage,
sembleront
aujourd’hui d’un lyrisme bien exagéré ; en ce tem
me suprême, une grâce irrésistible ; avec sa voix émue, troublée, qui
semblait
vibrer dans les larmes, elle s’insinuait doucemen
rmi ces bouquets de roses blanches — le défunt était garçon — il nous
semble
qu’il y avait passablement d’épines. Refuser de l
idées du jour. Les triomphes, pourtant très réels, de Bouchardy leur
semblent
inexplicables, et d’ailleurs ils remontent à des
e fort bonne grâce. Bouchardy avait une tête tout à fait exotique. Il
semblait
appartenir à la race malaise, et il eût dit qu’il
au à la ceinture et la carabine à l’épaule, et que les Maures vaincus
semblent
avoir abandonnée d’hier ; en allant du Parader à
n que des faits, et quels faits, grands dieux ! de vrais miracles qui
semblent
à tout le monde très simples et très naturels ! L
de beaux vers dans la bonne et la mauvaise acception du mot, et il ne
semble
pas avoir tenu compte de ce cri naïf de Talma aux
r locale est étalée d’un pinceau timide sur le fond de la tragédie et
semble
effacée à nos yeux, habitués aux violences et aux
miers moments de sa fureur contre le poncif classique, la jeune école
semblait
avoir adopté sa théorie d’art des sorcières de Ma
alle à manger. Le moulin de Watelet, que nous citions tout à l’heure,
semblait
déjà un peu bien romantique à MM. Bidault et Bert
que ses toiles couvraient en devinrent rayonnantes et lumineuses. Il
semblait
y avoir dans cette salle un soleil qui n’éclairai
ntaisie si libre et si puissante. L’enthousiasme tenait du délire. Il
semblait
qu’on eût découvert la poésie, et c’était, en eff
rière lui. Il tourne vers Méphistophélès un visage plein d’anxiété et
semble
épier sa réponse. Méphistophélès est tranquille,
n squelette ayant encore sa peau. Cette carcasse est de ton clair, et
semble
jeter dans l’obscurité de la nuit des lueurs phos
mpruntât rien du milieu où il baignait. Les grands maîtres à distance
semblent
isolés, mais ils n’en furent pas moins enveloppés
rissent leurs fauves crinières, allongent leurs ongles tranchants, et
semblent
provoquer la zagaie barbelée du Cafre ou la balle
yants, calmes ou convulsifs, ruinés ou magnifiques, mais toujours ils
semblent
épouser les colères, les haines, les douleurs et
vrai que la réalité. Ce caractère du génie d’Eugène Delacroix ne nous
semble
pas avoir été suffisamment compris, même en ces d
t ces élégantes excentricités pittoresques. Ces fantaisies de costume
sembleraient
étranges maintenant, mais alors on les trouvait n
sommes allé revoir au Luxembourg, où elle se trouve, cette toile qui
semblait
si merveilleuse en 1827 ; elle a parfaitement sup
u en fut exclu systématiquement pendant de longues années. L’Institut
semblait
craindre que ce feuille révolutionnaire ne renver
toilettes tapageuses. Les arbres des parcs princiers ou seigneuriaux
semblent
porter des blasons. Sans doute la nature inculte
t colorée, sa barbe où se glissaient à peine quelques touches grises,
semblait
logiquement promis à une longue vie. Nul pressent
jà mené Decamps, à travers la forêt, par une journée de printemps qui
semblait
rire de la douleur humaine. Il a voulu être enter
tuaire resta presque impassible dans sa sérénité de marbre. Les Grecs
semblent
en avoir à tout jamais fixé les lois, les conditi
des Débats, où il soutenait ses doctrines, attaquait tout ce qui lui
semblait
vulgaire, et célébrait ses dieux, Glück et Beetho
re ! Nous connaissions à peine madame Dorval, et, cependant, il nous
semble
avoir perdu une amie intime : une part de notre â
vers du maître admiré que vous récitez en même temps qu’elle, il vous
semble
que c’est pour vous seul qu’elle parle ainsi, pou
pareil aux spectatrices de la salle ne s’était montré au théâtre : il
semblait
qu’on regardât, non sur une scène, mais par un tr
. Aussi comme elle était heureuse et fière et rayonnante ! comme elle
semblait
à son aise dans cette grande passion et dans ce g
ans compter cent drames qu’il a fait vivre de sa vie puissante et qui
semblaient
des chefs-d’œuvre lorsqu’il les jouait. Frédérick
sine de l’acteur un sujet de rapprochement mélancolique ? Le comédien
semble
, comme M. de Bois-Doré, avoir voulu montrer combi
s qui laissent dans le souvenir une trace tellement radieuse qu’elles
semblent
devoir être immortelles ; même quand depuis longt
e les pères vantaient sa beauté indestructible. Le temps, edax rerum,
semblait
avoir peur d’altérer ce pur marbre ; il le respec
lui d’œuvres qui ont été les événements de notre jeunesse, et il nous
semble
qu’une partie de nous-même s’en aille avec elle.
-Philippe d’une façon si brillante, n’a pas encore fermé son cycle et
semble
devoir imposer sa forme à la poésie de ce siècle.
me. Théodore de Banville est exclusivement poète ; pour lui, la prose
semble
ne pas exister ; il peut dire, comme Ovide : « Ch
la plume, a fait paraître les Exilés, où sa manière s’est agrandie et
semble
avoir donné sa suprême expression, si ce mot peut
z rares dans l’école nouvelle, et surtout les poèmes didactiques ; il
semble
que ce genre soit suranné, il n’est qu’antique po
ne s’est jamais démenti. Depuis 1845, date de son dernier volume, il
semble
avoir quitté la poésie pure pour le théâtre et la
conditions nécessaires pour être cités dans ce travail : les omettre
semblerait
peut-être une affectation de modestie plus déplai
i-même et inventa une chanson nouvelle qui ne doit rien à Béranger et
semble
d’abord étrangère à l’art, quoiqu’il y en ait du
céda l’oubli injuste. L’ombre descendit sur le front où la popularité
semblait
avoir posé un laurier éternel. D’autres préoccupa
circonstance. Tout ce qui peut attirer et charmer le public, l’auteur
semble
l’avoir évité avec une pudeur austère et une fier
ut-être même Leconte de Lisle est-il trop sévère, car il y a, ce nous
semble
, dans le génie grec quelque chose de plus ondoyan
es noms résonnent voluptueusement à l’oreille comme de la musique, et
semblent
répandre des parfums inconnus. La Ravine Saint-Gi
que sait par cœur quiconque en France aime encore les vers. La scène
semble
se passer dans un paysage de la Provence, de l’It
eux et la sereine tristesse. Dans ses vers, la flamme de l’atmosphère
semble
danser aux chants des cigales ; mais le poète ne
tour à tour dans tout l’éclat de leur bizarrerie. Les sujets modernes
semblent
moins favorables à la verve du poète, quoique Fes
et plus grande qu’elle encore. Dans la préface de ce livre, l’auteur
semble
se tracer sa tâche pour l’avenir, tâche qu’il a r
poussé sur l’humus noir des civilisations corrompues, ces fleurs qui
semblent
avoir été rapportées de l’Inde ou de Java, et le
ar Poe a été l’auteur de Baudelaire, et le Corbeau du poète américain
semble
parfois croasser son irréparable Never, oh ! neve
e un sphinx, avec ses parfums endormeurs et ses caresses de torpille,
semble
un symbole de la nature ou de la vie primitive, à
eune homme propose d’imprimer un volume de vers. Deux ou trois poètes
semblent
suffire à la France, et la mémoire publique est p
éressement parfait et cette fidélité à la poésie que la cité nouvelle
semble
vouloir bannir de son sein comme le faisait la ré
ne son cœur rouge et fumant pour le porter à la blanche fille d’Ymer,
semble
dicté par une Walkyrie ! et la Prière pour les mo
oniques et ses mystères inextricables touffus comme des jungles, nous
semble
, malgré tout le talent qu’on y dépense, d’une acc
ur force, et ont au moins ce mérite de ne pas désespérer d’un art que
semble
abandonner le public. Il serait bien difficile de
qui donnait son allure à bien des talents, il y a quelques années, ne
semble
plus influencer beaucoup la génération présente.
tueuse un art que délaisse l’attention publique, Sully Prudhomme nous
semble
destiné à prendre le premier rang parmi ces poète
ter la vierge irréprochable qu’elle est, et tracer avec une plume qui
semble
arrachée à l’aile d’un ange le chaste et naïf rép
lui emprunte le cadre et le fond de ses tableaux. Les pièces qui nous
semblent
résumer le mieux sa première veine d’inspiration
u poète sa trop grande ingéniosité. Dès à présent, André Lefèvre nous
semble
pouvoir être catalogué comme étoile de première g
ès vrai, ce qui n’est pas la même chose ; le Donaniel de Grandet, qui
semble
avoir été à l’école de Mardoche, de Hassan et de
son profit les vocations poétiques féminines, Mme Ackermann, qui nous
semble
aujourd’hui mériter la couronne aux feuilles d’or
s, qui courbent, affaiblissent et rident le génie des autres maîtres,
semblent
apporter des forces, des énergies et des beautés
te du poète cherche les mots sombres, mystérieux et profonds, et elle
semble
écouter dans l’altitude du Pensiero de Michel-Ang
ère d’un siècle ou d’un pays. Quand on lit la Légende des siècles, il
semble
qu’on parcoure un immense cloître, un espèce de c
es avec l’inspiration et le style des prophètes. La Décadence de Rome
semble
un chapitre de Tacite versifié par Juvénal. Tout
artielles et qui les résorbera dans son vaste sein. Et ce tableau qui
semble
peint avec la palette de Vélasquez, la Rose de l’
culé, comme dit Homère, d’une façon plus hautaine et plus superbe. Il
semble
que le poète, dans cette région où il n’y a plus
catesse rare ; Dans les Sylves, Auguste Barbier, l’auteur des Iambes,
semble
un poète plein de grâce et de fraîcheur qui début
ntroduire du naturel et de la fraîcheur dans une poésie qui jusque-là
semblait
trop craindre ces mêmes qualités, l’auteur du Cid
re livrée de croquemort un corbeau privé, dont le croassement lugubre
semblait
adressé au suicide un appel qui fut entendu, héla
médecins, palingénésiques, comme disent de modernes philosophes. Cela
semble
aussi se reproduire assez fidèlement dans la vie
aucun des instants qui ont couru durant ces dix dernières années. Il
semble
qu’après dix ans les dispositions littéraires se
ourner à son gré, en étendre ou en resserrer les termes. Le moment me
semble
extrêmement favorable pour la laisser envisager d
i une conciliation entre toutes les parties généreuses et saines peut
sembler
possible au sein de la littérature moderne, c’est
la noble, accueillante et expansive nature de M. de Lamartine, et qui
semblait
tellement faite pour être de celles qui concilien
r indiscret des secrètes maladies. — A défaut de M. de Balzac, qui ne
semble
pas en mesure de modifier la verve croissante de
se féliciter. Avec bon nombre de ces qualités qui peuvent à bon droit
sembler
souveraines, il ne s’est rien rencontré (exceptio
on, mais qui ont développé depuis lors des secondes phases complètes,
semblent
merveilleusement s’y prêter pour le fond ; il leu
ion sans terme de tous les pouvoirs et de toutes les fonctions. Il me
semblerait
, en leur place, que la distance de quelques point
et de certaines distinctions plus théoriques que vraies, a dû, ce me
semble
, se guérir au moins de tout dédain envers ceux qu
rmises : voilà des mœurs littéraires de juste et saine démocratie, ce
semble
, et qui seraient d’un utile exemple à offrir aux
ces mêmes esprits développés, rapprochés, peuvent, quand on les lit,
sembler
unis en une large nuance commune, qui ne laisse g
vie, dans la poésie même, n’est-il pas ce nom galant et pomponné qui
semblait
fait exprès pour la belle marquise et qui rimait
Watteau, venu trop tôt pour elle, créant un monde pastoral enchanté,
semble
ne l’avoir décoré et embelli que pour qu’elle en
rmier général, mariée comme provisoirement au neveu de ce dernier, il
sembla
de bonne heure que toute la famille, en la voyant
rancas. Longtemps maladif dans son enfance, le jeune roi, dont la vie
semblait
ne tenir qu’à un souffle, avait été élevé avec de
t l’inspiration généreuse et la communiqua. Elle tourmenta ce roi qui
semblait
l’être à regret, en lui parlant des affaires d’Ét
reconnaissable. Nous ne sommes pas si loin de Mme de Pompadour qu’il
semblerait
. C’est ce roi-là que, n’étant encore que Mme d’Ét
elle-ci : il avait un autre candidat en vue, une grande dame ; car il
semblait
que, pour devenir maîtresse du roi, la condition
le cœur s’était senti pris uniquement pour un héros fidèle. Tout ceci
semble
étrange et presque ridicule ; mais, pour peu qu’o
s paroles, ajoute l’honnête femme de chambre. On surprend ici, ce me
semble
, la veine bourgeoise pervertie, mais persistante,
utes choses dans l’entresol de Quesnay et disposaient de l’avenir. Il
semblait
que la marquise eût le sentiment de tout ce qui s
s propres fautes et l’humiliation de la monarchie et de la France. Il
semble
que la nation elle-même l’ait senti, qu’elle ait
s ! Et après avoir décrit le tableau, il conclut un peu rudement, ce
semble
: Les Suppliants de Vanloo n’obtinrent rien du D
postérité, ou du moins les amateurs qui aujourd’hui la représentent,
semblent
accorder à l’influence de Mme de Pompadour, et ra
avec légèreté et négligence, elle en est tout à coup distraite ; elle
semble
avoir entendu du bruit et retourne la tête. Est-c
sur tous les objets. Il n’est rien, dans ce boudoir enchanté, qui ne
semble
faire sa cour à la déesse, rien, pas même L’Espri
e ; si bien que quelquefois le livre qui vous sort des mains, ne vous
semble
pas sorti de vous-même : il vous étonne comme que
me machinalement la pensée retourne au sommeil où elle se réfugie, et
semble
se pelotonner, pour ainsi dire, dans ses bras.
ande de lansquenets, mi-partie rouge, mi-partie jaunes, avalanche qui
semble
descendre d’une gravure d’Aldegrever. Puis nous v
s nous voici à errer dans un labyrinthe de corridors, de couloirs qui
semblent
se resserrer, ainsi que dans un rêve. « La loge n
mour la reconnaissance qu’elle n’est pas encore vieille. Un amant lui
semble
une protestation contre son acte de naissance.
d’un rococo si tourmenté, si joliment furibond, avec ses stalles qui
semblent
une houle de bois, en voyant ces églises de Saint
ue de Vénus : toute une religion descendue du Corrège, et que Noverre
semble
avoir réglée comme le plus délicieux opéra de Die
race d’un enlèvement, d’un monsieur avec sa maîtresse : l’oreiller ne
semble
avoir gardé que le moule du plaisir. * * * 8 s
age de couleurs, une mosaïque fondue, un fourmillement de touches qui
semblent
le grain et comme la palpitation de la peau au so
ous voudrez ; et à côté, cette espèce de gnome et de pitre idéal, qui
semble
glisser à son oreille les paroles des confidents
d’une tout autre manière : une rue de Delft aux maisons de brique, —
semble
le précurseur de Decamps. 13 septembre La H
ro qui leur apporte la force d’une dizaine ! » 10 octobre Il me
semble
, je le présume du moins, il me semble que l’amour
aine ! » 10 octobre Il me semble, je le présume du moins, il me
semble
que l’amour doit être cela : Entrer quelque part,
e chanson pour me tenir en haleine ! » C’était Béranger, et l’endroit
semblait
vraiment choisi pour la rencontre. Et comme nous
» Puis, après un silence : « Ah ! le théâtre ! La comédie en vers me
semble
finie. Ou vous faites des vers qui ne sont pas de
nous une tendance distincte et ce nom que nous appelons une idée, il
semble
que nous ne devons jamais avoir une idée de ces c
que la limitation naturelle de notre imagination et de notre mémoire
semblait
nous empêcher pour toujours de penser, c’est-à-di
t. Si loin que nous allions, nous retombons toujours sur des noms. Il
semble
que les choses les plus éloignées de notre expéri
aux, des idées générales ; nous distinguons l’idée du mot ; elle nous
semble
une action à part, dont le mot est seulement l’au
inissons qu’en niant d’elle toutes les qualités sensibles ; elle nous
semble
donc une pure action dénuée de toute qualité, sau
incorporel ; nous supposons un être dont elle soit l’action ; il nous
semble
aussi pur et aussi éthéré qu’elle ; nous l’appelo
quons plus ; nous n’en avons plus conscience ; quoique présente, elle
semble
absente. Telles sont les petites sensations muscu
n ayons ; elles sont pour nous comme si elles n’étaient pas ; il nous
semble
que nous connaissons, directement et sans leur en
emarquées ; dès lors, dans le manuscrit comme dans l’imprimé, il nous
semble
que nous ne suivons plus des mots, mais des idées
r s’appliquer à leur emploi. Voilà, un élément de la connaissance qui
semblait
primitif et qui rentre dans un autre. Il s’agit m
eure à regarder, d’une loge, la danse et les masques, une heure où il
semble
faire une sérieuse étude du costume nouveau et pr
physionomie une grâce mutine et affolée, femme aux yeux étranges qui
semblent
rire, quand sa parole est sérieuse. Toutes les fe
jours, au bout d’une de ses phrases attendries, un strident rrrr, qui
semble
la crécelle de l’ironie. Et l’on ne sait vraiment
d’hui ce sont les Grassot. L’acteur dominant, culminant d’une époque,
semblerait
donner le la à la séduction amoureuse. * * * — Ce
un Hôtel de la Farce, où il y avait la Fête de la Vidange… Homais me
semble
la figure réduite, pour les besoins du roman, du
mon enfant ! » * * * — L’esprit ne dort pas dans le sommeil, mais il
semble
tomber, la nuit, sous l’esclavage des sensations
n’avoir pas développé le sens moral dans son enfant. À ce mot le père
semble
vaguement chercher une araignée au plafond. La pe
pas, non de ces choses, mais de nous. Il y a des jours de soleil qui
semblent
gris à l’âme, et des ciels gris que l’on se rappe
artons pour l’Allemagne avec Saint-Victor… J’ai vu Heidelberg. Il m’a
semblé
voir l’œuvre de Victor Hugo, quand la postérité a
le vieillard, la douce lumière du ménage, le rayonnement des enfants,
semblent
l’admirable image de la famille : Soir, Midi, Aub
écourté et ravalé par l’édentement, a un perpétuel tremblotement. Il
semble
mâcher des restes d’idées, de souvenirs, de mots.
uvrant de plus en plus, le vieux soldat de Blücher, de cette voix qui
semble
sortir d’un trou, de cette voix de son passé, un
ence, ces grands chapeaux d’où pend une dentelle noire, dont les pois
semblent
faire danser sur la figure des femmes des grains
s voir, de ces diamants, de ces pierres précieuses, sur lesquelles il
semble
que la lumière soit heureuse, il semble que le ra
précieuses, sur lesquelles il semble que la lumière soit heureuse, il
semble
que le rayon jouisse… S’il était riche, il aimera
bras, l’ombre calme de ces yeux clos, le sourire de cette bouche d’où
semble
s’exhaler un souffle, la mollesse et la tendresse
ous sentez, dans la journée, lourde de la crasse d’une cervelle, vous
semble
à la nuit, pleine d’un gaz, léger, spirituel, cap
le à la nuit, pleine d’un gaz, léger, spirituel, capiteux. * * * — Il
semble
que dans la création du monde, Dieu n’a pas été l
ent très peu besoin du fouet et du charme irritant de l’orgie, et qui
semblent
avoir passé beaucoup de leur vie avec des bourgeo
sous. Même sur les catastrophes qu’ils voient, qu’ils entendent, ils
semblent
avoir les sens de l’âme émoussés comme leurs phys
t cela une lointaine vision, la réminiscence d’une matinée qu’il nous
semble
plutôt avoir rêvée que vécue. Et chose étrange, l
s. Et les odeurs mêmes que nous mettons dans l’eau, prennent, il nous
semble
, cette fade et nauséeuse odeur de cérat… Il nous
sir de terminer ses quatre tableaux est bien positif : c’est là qu’il
semble
fixer son vœu d’artiste et borner le plus fort de
sensibilité et de sagesse, les jours où la raison lui parle et où il
semble
plus enclin à l’écouter. Artiste supérieur en que
ns. C’est d’une nature si forte, d’une énergie si étonnante, qu’il me
semble
qu’on ne peut rien mettre en ligne. Je le regarde
lesquels recommandaient toujours les maîtres, les grands maîtres, et
semblaient
les proposer pour uniques modèles, lorsqu’il écri
la singulière direction que l’on adopte pour devenir peintre : il me
semble
qu’elle est absurde ; car je ne peux pas me repré
atie cet été. Il me prend des envies terribles de voir du neuf. Il me
semble
que la peinture vieillit. Peut-être est-ce le déf
mais les classiques trouveront que je donne dans le romantique. Il me
semble
pourtant qu’il y a une sévérité dans cette bizarr
ent où, dans son désir de s’élever au beau et au sévère grandiose, il
semble
près de sortir de sa théorie et d’en adopter une
le d’Ingres, et qui habituellement n’est pas celle de Léopold Robert,
semble
pourtant le frapper et le pénétrer en passant, lo
re à part, et parmi les André Chénier de la peinture. Vers la fin, il
semble
avoir tenté quelque chose d’impossible ; il exige
la vie morale : « En vieillissant, on devient d’un froid de cœur ! il
semble
qu’on n’a plus rien à y mettre, et qu’il est ferm
nouvelles. De ce fait, la faculté tout entière de se concevoir autre
semblait
frappée de discrédit. Comme conséquence du procéd
s yeux — et celle que leurs gestes nous dessinent. D’autre part, il a
semblé
que s’il est aisé de classer dans le domaine de l
er que d’une façon insensible, la croissance intellectuelle et morale
semble
déterminée en grande partie par cette interventio
s et toutes les difformités morales et mentales que l’on y exposa, ne
sembleront
pas une trop forte rançon des bénéfices qu’il pro
on énergie employée tout entière en un vain effort va se dissiper. Il
semble
donc que le mode le plus favorable du Bovarysme c
récision, dont l’extrême multiplicité des cas défie l’application. Il
semble
pourtant possible de formuler à l’égard de ce dom
r un éventail, dont toutes les branches issues d’un même angle, où il
semble
qu’elles se confondent, vont par la suite s’écart
le des formes d’une extrême simplicité et dont la période d’évolution
semble
avoir été très brève : l’amibe est de ce nombre.
, et par ce défaut de coïncidence, y causerait un désordre mortel. Il
semble
donc qu’il faudrait interpréter comme le signe d’
s nouvelles. L’exemple de la Chine, figée depuis une période voisine,
semble-t
-il, de ses origines dans la répétition des mêmes
ontinûment quelque peu différent de lui-même. La vitalité d’un peuple
semble
compromise par deux mesures extrêmes : l’imitatio
e et offraient un asile à son repos ; les cieux, pendant son sommeil,
semblaient
se couvrit d’un voile, et n’envoyaient à son séjo
t de l’année, au commencement des saisons, à chaque nouvelle lune. Il
semble
que vers l’origine du monde, l’homme, peu assuré
s dont nous allons encore admirer les ruines, où le ciseau de Phidias
semblait
faire descendre la divinité sur le marbre ; ce pa
ton de leurs hymnes est imposant ; mais l’initié, en parlant à Dieu,
semblait
ne s’occuper que de ses propres besoins ; il oubl
ne cesserai de te chanter. Cet univers suspendu sur nos têtes, et qui
semble
rouler autour de la terre, c’est à toi qu’il obéi
s’écouler, les vœux pour le bonheur du siècle qui allait naître ; il
semble
que toutes ces idées auraient dû fournir à un poè
dans un genre d’ouvrage le plus susceptible de beautés fortes, et qui
semblerait
devoir être grand et sublime, comme le tableau de
aisément d’un fonds que deux siècles déjà d’une gloire toute moderne
semblaient
recouvrir et suppléer. Ils commentaient Corneille
le temps manquait évidemment ; on courait, on tranchait d’un mot. Il
semblait
qu’on se fût dit : A quoi donc serviraient l’espr
être un moment obscurcies ; elles reprennent rang aujourd’hui, ce me
semble
, et elles subsistent en se combinant avec les tra
malgré les comparaisons peu aimables dont il les accompagnait et qui
semblaient
en compromettre la justesse. Rappelons toutefois
x et profonds, le sentiment littéraire des beautés, faut-il le dire ?
semble
avoir faibli, ou du moins il se tait volontiers p
ernes à leur tour en étaient là et se guidaient sur les autorités, ce
semble
, les plus compétentes, lorsque la publication que
aissons ces extrémités. Sans entrer dans un détail ici impossible, il
semble
qu’on revient aujourd’hui des deux côtés à une op
e faisant le nœud des uns aux autres, c’est ce que l’œuvre résultante
semblerait
déclarer suffisamment ; et la tradition n’a pas c
entraînements et ses préjugés ; il en est de plus d’une sorte. Il me
semble
qu’à un certain moment, et par réaction contre le
quence immédiate de l’hypothèse des forces centrales ; bien mieux, il
semble
sinon contredire directement cette hypothèse, du
dont les attractions mutuelles ne dépendraient que de la distance, il
semble
que tous ces phénomènes devraient être réversible
t battu en brèche. Supposons deux corps électrisés ; bien qu’ils nous
semblent
en repos, ils sont l’un et l’autre entraînés par
duites dans la même proportion, nous ne nous apercevons de rien. Tout
semble
ainsi arrangé, mais tous les doutes sont-ils diss
ion et de la réaction. Celui-ci est intimement lié au précédent et il
semble
bien que la chute de l’un entraînerait celle de l
expériences récentes sur les mouvements des électrons issus du radium
semblent
plutôt les confirmer. Le principe de Lavoisier
entendu ; mais les électrons positifs, d’après le peu qu’on en sait,
semblent
beaucoup plus gros. Peut-être ont-ils, outre leur
s radio-actif était une source inépuisable de radiation. Son activité
semblait
subsister sans altération à travers les mois et l
s soit bonne. Depuis quelque temps toutefois, une de ces explications
semble
prendre le dessus et on peut raisonnablement espé
aphysique. À considérer les choses d’un point de vue plus positif, il
semble
possible de situer cette cause productrice de la
é personnelle dont nous ne saisissons le sens que dans les fins où il
semble
qu’il aboutit. L’utilité humaine, parce qu’elle r
e apparaît donc la loi qui préside à l’invention de toute réalité. Il
semble
tout d’abord, pour le moi humain, comme pour l’Et
ion d’ennui ou en un malaise nouveau : à cette fin, que les individus
semblent
poursuivre et qu’ils ne réalisent jamais un surcr
poursuivre et qu’ils ne réalisent jamais un surcroît de bien-être, il
semblerait
donc qu’il convienne do substituer cette autre qu
, qui s’exprime dans la recherche du bonheur par la sensation, et qui
semble
jusqu’ici avoir donné naissance à presque toute s
utient également nos notions le plus universellement acceptées et qui
semblent
le plus incontestables. Si nous ne les voyons pas
is. Quelques savants ont eu la même hardiesse ou le même scrupule. Il
semblerait
permis, d’après les uns et les autres, de suppose
es. Les vérités morales, c’est-à-dire celles qui, dans l’ordre vital,
semblent
aussi les dernières venues et se sont constituées
a spécialisation ont eu pour résultat premier, le divorce complet qui
semble
à l’heure actuelle officiellement proclamé, non s
rement, mais également — et nos contemporains l’ignorent… ou du moins
semblent
l’ignorer : ils savent qu’ils sont romanciers, ou
tant qu’il aura créé — non pas indiqué, ébauché : créé. Si hautes que
semblent
ses idées, si purs ses sentiments, si jeune sa vi
nsi. À chaque grande époque où naît, renaît, s’épanouit la poésie, il
semble
que les ressources de la langue, images, rhythmes
termine. Et l’on ne saurait alors distinguer la forme de l’esprit qui
semble
l’animer ; la forme, c’est l’esprit lui-même. Mai
égnait, dans le domaine du roman trônait l’empirisme à son apogée. Il
sembla
que les genres eussent divergé de concert, afin d
e alors magnifié par vingt romanciers, prôné par autant de critiques,
semblait
vivre de la plus authentique des vies, de la plus
re plus qu’une différence de temps. Quand il « réussissait », rien ne
semblait
plus composé, plus nécessaire et plus classique q
a crise s’accentue. Trop exploitée, mal exploitée, la matière humaine
semble
tristement s’épuiser. Et les romanciers s’inquièt
iper à la conservation de l’espèce ou à celle de l’individu, et qu’il
semble
, dans l’universalité des choses, ne se rattacher
rie, sans doute, n’est pas celle communément admise, et quelque chose
semble
répugner chez l’homme — chez l’Européen moderne e
expérience historique, en dehors des arguments de philosophie, il ne
semble
nullement prouvé que l’art, pour avoir droit à l’
analysés et commentés en ce volume, plusieurs points encore pourront
sembler
obscurs. Si le qualificatif par lequel ils sont i
uelque chose dans leur œuvre, dont la structure esthétique seule nous
semble
déjà tout une révélation. Et qu’on n’allègue pas
naire, n’ont rien à voir avec la littérature. Or, quelque bizarre que
semble
la proposition, il est permis de dire que les qua
préciables qu’après une longue initiation antérieure ; par contre, il
semble
extraordinaire de ne prendre aucun souci de l’édu
odernes. Politiquement par l’abolition de la moindre hiérarchie, nous
semblons
tendre chaque jour davantage à l’abaissement et à
ui prêtent la philosophie et la science, et dont le plus grave défaut
semblera
peut-être de supprimer les ambiguïtés embarrassan
s profondément surpris de cette sorte de perversion cérébrale où nous
semblons
nous plaire ; il n’en ignorait ni la portée ni l’
ine philosophique moderne, les condamner en bloc, alors même qu’elles
sembleraient
et plausibles et fécondes ? Au milieu de l’univer
e qu’ont prétendu ses adversaires, l’auteur de Mademoiselle de Maupin
semble
, entre tous les poètes modernes, un de ceux dont
u fond de son œil tari41 ». Toute excitation, quelle qu’elle fût, lui
semblerait
désirable, pourvu qu’elle fournît un aliment à so
u siècle pour ressusciter des dogmes qui agonisent — le christianisme
semble
une religion qui ne marche plus que par la force
doute le cas de l’homme qui nous occupe ici. Lui qui, tout à l’heure,
semblait
craindre de ne pas pouvoir se dissoudre sans reto
nt singulièrement douloureuse, et peu de pages dans notre littérature
semblent
aussi navrantes que les confidences intimes qu’il
acasse ; s’il lâche encore la bride aux fantaisies de son cerveau, il
semble
vouloir réprimer sans pitié les mouvements de son
ce particulière et peu répandue, c’est possible, mais qui pourtant ne
semblent
pas indignes qu’on s’y intéresse, puisqu’elles co
s juvéniles, il perdit les exubérances de sentiment et de langage qui
semblaient
confiner parfois aux grossièretés de l’érotisme ;
rose. Sa personnalité se révèle sous une forme si particulière, qu’il
semble
presque impossible d’en rencontrer une seconde à
écrits ses professions de foi littéraires, le témoignage de ses amis
semblent
l’affirmer à l’unanimité. « Le principe de la poé
es huit derniers vers qui ferment le volume des Fleurs du Mal, et qui
semblent
placés là en forme de conclusion et de résumé. Ô
l grandit au contraire, il domine, au moment où la religion du Christ
semble
perdre sa prépondérance incontestée. C’est qu’alo
ur est-elle à ce point réservée ? Oui, par sa généralité, puisqu’elle
semble
être descendue jusqu’au moujick à demi sauvage. M
148 ». L’âme est sous l’influence d’un pouvoir diabolique. La théorie
semble
bizarre : elle reparaît pourtant sans cesse dans
é humaine aussi absolue les uns que les autres, et tous indépendants,
semble-t
-il, dans leurs actes et dans leurs passions, des
rit ont des lendemains d’un gris que je ne puis dire, et où la vie me
semble
plate comme un vin éventé166. La nature les avai
à cette théorie assez étrange, ce n’est pas que, par elle-même, elle
semble
jamais appelée à produire de bien merveilleux rés
nt tout naturellement conduits à se soutenir l’un l’autre. Il ne leur
semblait
pas qu’ils pussent se gêner ; et nous leur devons
d’une de ces genèses multiples. Ils sont les seuls dont la tentative
semble
avoir abouti. Les motifs de l’infériorité inconte
goûts et un caractère fixes. Quand on les examine minutieusement, il
semble
qu’on arrive à reconstituer à peu près la part de
V. — Questions de style. Sur un point cependant MM. de Goncourt
semblent
avoir accusé leur personnalité, et s’être montrés
auteur dans un certain nombre d’axiomes fixes, indiscutables, issus,
semble-t
-il, d’une sorte d’inspiration supérieure ; et pro
mme but unique et dernier de toute existence humaine, peu préoccupés,
semble-t
-il, de satisfactions ambitieuses, de richesses, d
s d’eux qu’ils cherchèrent des inspirateurs. Ce choix de modèles peut
sembler
singulier : Sainte-Beuve l’avait déjà noté comme
loin. Ils ont vu, dès 1860, les approches de ce socialisme d’État qui
semble
aujourd’hui sourdre de toutes parts en Europe, et
e de toute science, de toute logique, de tout labeur cérébral, et qui
semble
, en somme, le seul trait caractéristique de leur
à moitié justifiée ; depuis bientôt quarante ans, le cerveau du poète
semble
n’avoir subi de l’extérieur aucune transformation
rtiste en une aussi longue période : celui-ci, par un rare privilège,
semble
ne les avoir pas subies. Si l’on admet donc que l
écrivit, par exemple, son Chemin de la Croix 217 — la religiosité ne
semble
l’avoir absorbé ni très longtemps ni très profond
érielles n’ont plus avec les nôtres que d’insaisissables rapports. Il
semble
que l’auteur soit toujours demeuré éloigné de la
par des divergences fondamentales, et qui pourtant, depuis un siècle,
semble
tendre à s’infiltrer peu à peu dans notre monde g
e siècle et les mystiques d’il y a trois mille ans, un rapprochement
semble
presque fatal par une sorte de communauté d’origi
gronde, murmure, se tait, se meut, s’inquiète, s’apaise, s’endort, et
semble
créer en rêvant. Quel mystère nouveau222 ! » La m
n dehors de toute question d’appréciation personnelle, vient prouver,
semble-t
-il, d’une irréfutable manière l’absolue sincérité
le moi de ses semblables. Il osait là une énorme entreprise, et il ne
semble
pas y avoir échoué, quoique, à vrai dire, l’immen
bien un abîme qui sépare les deux civilisations, alors même qu’elles
semblent
se toucher. Avant que la soif du non-être ait com
ntrer, la bête qui sent, qui aime et qui souffre assurément, mais qui
semble
végéter plutôt que vivre, se rapprochaient bien d
rd’hui pour le maître l’objet de lectures assidues. Si paradoxale que
semble
l’assertion, elle n’est sans doute pas très éloig
e que tout cela, qui n’est pas éternel 257 ? D’autre part, le maître
semble
si peu pénétré de ce renoncement torpide qu’ont p
e de notre époque, et que nous comprenons chez la victime de Calchas,
semble
peu conforme à ce que l’on se figure d’une fille
ut d’éducation artistique et pour nous dispenser d’y répondre. Ce qui
semble
plus sérieux, — et nous l’avons admis par avance,
n compromise, et c’est à celle de M. Maxime Du Camp que la postérité,
semble-t
-il, devra se rallier. Le volume le plus complètem
a voyait particulière à l’auteur de Salammbô ; mais quelque forcé que
semble
au premier abord un rapprochement, il faut se sou
is sans l’avoir atteint. En ce qui concerne spécialement Flaubert, il
semble
bien hors de doute que cette curiosité de l’horre
tout ce qu’il ne possède pas ; il ne désire rien tant que ce qui lui
semble
impraticable, découragé et dégoûté d’ailleurs dès
vingt siècles, dans la cité aux origines fabuleuses et dont les mœurs
semblent
avoir combiné les raffinements pervers des Asiati
ns parler du désespoir immense et justifié où elles le plongèrent, il
semble
leur avoir dû, pour une bonne part, cette lenteur
ar malheur, elle se vengea en des révoltes furieuses où son enveloppe
semblait
près d’éclater ; elle ébranla le puissant artiste
concours imprévu de circonstances il a été amené à des travaux qui ne
semblent
en harmonie, ni avec ses goûts, ni avec ses capac
après lui, s’est recommandée de son exemple. Quoique les deux termes
semblent
s’exclure, il ne se passionnait pas moins, à son
ù sont sorties les Orientales ou Albertus et l’auteur de Salammbô, il
semble
n’avoir aperçu que les ressemblances extérieures
résultat contre des sentiments invincibles. Une courte explication ne
semble
pourtant pas inutile avant de revenir à Flaubert
s les aventures bourgeoises d’Emma Bovary ; la famille des Atrides ne
semblait
pas plus fabuleuse aux spectateurs d’Eschyle que
ement observés ? Il le fallait ainsi. Sans celle conviction, qui nous
semble
illusoire maintenant que les idées et les mœurs o
s sa pensée le récit qui plus tard s’intitulera Salammbô ; le lyrisme
semblait
le dominer alors presque exclusivement ; il fallu
ontre bien peu conformes à la doctrine et aux principes vers lesquels
semblent
incliner ses romans modernes. Il est clair que so
privée et de ses fouilles historiques ; les descriptions de paysages
semblent
plaquées après coup ; le style est moins éclatant
. Ce n’est pas le livre, parmi ceux de Flaubert, que les naturalistes
semblent
apprécier avec le plus de conviction ; c’est pour
itique nous paraîtrait frapper dans le vide, et toute discussion nous
semblerait
oiseuse. Ici du reste, comme pour les précédentes
sa tristesse, une liberté d’esprit pour regarder et pour décrire qui
semblerait
indiquer parfois un témoin désintéressé. Pas une
-il noter qu’il subit la seconde plutôt qu’il ne la chercha, et qu’il
semble
s’en être lassé assez vite, si tant est qu’il ne
tendresse toute chrétienne » qu’il éprouve à son égard, et dont elle
semble
d’ailleurs modérément satisfaite310. Dans cette c
principe serait défendable, mais qui, en l’appliquant à son ami, nous
semble
être tombé dans la plus lourde des erreurs, et n’
l’infini, dans ses moindres phases et sous ses moindres aspects. Tout
semble
avoir été dit sur son compte, et cependant tout s
aspects. Tout semble avoir été dit sur son compte, et cependant tout
semble
encore à dire, tant il suggère d’idées et tant il
rbable quiétude optimiste avec laquelle il considère le monde, et qui
semble
ne l’avoir abandonné à aucun moment. Sans intenti
s’être passionné au contraire pour des sujets dont l’importance nous
semble
secondaire et de n’en avoir vu surtout que le côt
hérents. D’une intelligence simpliste et d’une sensibilité naïve, que
semblent
n’avoir jamais secouées aucune commotion violente
e blasé pour les complications ingénieuses mais inutiles, et déjà, il
semblerait
assez significatif, s’il n’était corroboré par un
Traité de Poésie, et répétés à quelques pages d’intervalle, peuvent,
semble-t
-il, passer à eux seuls pour une révélation. L’éto
du genre comique, son procédé triomphe et l’application qu’il en fait
semble
généralement réussir ; elle devient désastreuse d
tercets physiquement plus courts que les quatrains de manière qu’ils
semblent
plus majestueux, à quoi servira cette interversio
solu des problèmes en apparence insolubles ou exécuté des travaux qui
semblaient
impossibles, et il n’était pas homme à confondre
ion de savoir s’il mérite des éloges ou s’il est condamnable, il nous
semble
devoir suggérer une dernière observation plus gén
y a deux siècles, et quelque paradoxal, quelque désobligeant même que
semble
un rapprochement, il serait impossible de ne pas
examiner les manifestations récentes, qui, pour être nouvelles, n’en
semblent
ni moins grandes ni moins hautes, et qui chaque j
tentatives, il a toujours rencontré le succès. Son plus grave défaut
semblerait
ainsi de s’être répandu au hasard, et de n’avoir
édés théoriques d’une école antérieure ; sa plus curieuse originalité
semble
de s’être méconnue elle-même, et d’avoir renié av
mparaison339. » Et tout cela n’a l’air de rien. Le sonnet de Rimbaud
semble
une fantaisie amusante et inoffensive, destinée à
e de ses tentatives les plus rares supériorités d’un esprit original,
semblerait
justement un de ceux qui ont le mieux compris et
aimer la vie, à lui-même et aux autres, n’est-ce pas en effet à quoi
semble
tendre l’effort secret du poète qui a modulé ces
les sait illusoires, incomplètes et fugitives. Si M. Anatole France
semble
principalement un être intellectuel, il faut voir
ns d’un psychologue merveilleusement clairvoyant. Son modernisme nous
semble
le seul qui intéresse ; bien plus : nous le croyo
expression de l’aède antique, et l’heure actuelle, il faut l’avouer,
semble
moins propice encore que toute autre pour essayer
avait donné, contre l’utilité même de l’art utile, un argument qui ne
semble
pas avoir été réfuté encore :« Malgré tout le gén
des Odes funambulesques. 19. Cette bizarre forme de la névrose dont
semblent
avoir étéatteints, à différents degrés, plusieurs
, on ne l’explique pas, et toutes les conjectures qu’elle a suggérées
semblent
également valables. La nôtre, dans le cas particu
affection, dont une bonne partie de la neuve génération artistique me
semble
atteinte, sans chercher à s’en guérir, à la racin
sonnage qui, mis en présence de n’importe quel aspect de notre monde,
semble
être tombé subitement d’une planète en décomposit
qui prétend abstraire la poésie de l’homme et du monde en général, me
semble
jeter ses derniers feux ; mais néanmoins, une par
abeth Browning, Berthe de Suttner, Olive Schreiner, qui ont su, il me
semble
, concilier l’amour sexuel avec l’intellectualité
nstrueuse folie, ou plutôt une plaisanterie de mauvais goût… Aussi me
semble-t
-il vain d’insister sur cette étrange pensée jésui
pendait flasque et sans énergie, Ma démarche était pénible, mes pieds
semblaient
de plomb. Aujourd’hui ? Mes sens fleurissent
leur cerveau. L’exemple du clergé catholique, chez lequel le cerveau
semble
vouloir prendre sa part de la stérilité du corps,
a malgré son observance plus ou moins scrupuleuse du vœu de chasteté,
semble
confirmer cette loi d’humanité. Justement ce doc
es et solitaires. J’ose à peine l’avouer au nouvel apôtre, mais il me
semble
que l’idéal qu’il nous propose, n’est pas fort él
ent commune et indiscutée, que les réaffirmer après tant d’autres, me
semblait
inutile. Entraîné par le courant de mon idée néo-
béir à leur façon. Il y a des volontés d’une telle puissance qu’elles
semblent
parfois plier l’individu à de véritables tours de
ntourage, de ces grands spéculatifs, dont l’étonnante vigueur mentale
semble
impunément braver les plus fondamentales nécessit
sprit libre », le cerveau que titille incessamment besoin sexuel ! Il
semblerait
plutôt que les sens sont en repos lorsqu’ils sont
la récapitulation des faits qui suit le huitième chapitre, et qui me
semble
démontrer avec toute évidence que cette stérilité
peut lui faire. Pourquoi encore des groupes entiers d’espèces alliées
semblent
-ils apparaître soudain dans les divers étages géo
t et qu’on les découvre dans une formation géologique éloignée, elles
semblent
y avoir été soudainement créées, et on les classe
état domestique on constate une grande variabilité. Cette variabilité
semble
principalement due à ce que le système reproducte
vie. Même sans aller plus loin, la théorie de sélection naturelle me
semble
donc en elle-même probable. J’ai déjà récapitulé,
Nul ne saurait le dire. Beaucoup d’autres faits encore, à ce qu’il me
semble
, s’expliquent par cette théorie. N’est-il pas étr
dites spécifiques. Dans l’un et l’autre cas, les conditions physiques
semblent
n’avoir produit directement que peu d’effet. Cepe
me à l’égard des espèces, l’usage ou le défaut d’exercice des organes
semble
avoir eu quelque influence. Il est difficile de n
ez les variétés, comme chez les espèces, la corrélation de croissance
semble
avoir eu une influence des plus importantes, de s
relle, il n’est point surprenant qu’il y en ait quelques-uns qui nous
semblent
imparfaits ou qui soient susceptibles d’erreurs,
ants font qu’après de longs intervalles de temps les formes de la vie
semblent
avoir changé simultanément dans le monde entier.
ent ainsi fréquemment le caractère de la plus complète inutilité ? Il
semble
que dans les organes rudimentaires et dans les ho
e qu’elles ont été indépendamment créées. Une semblable conclusion me
semble
étrange. Ils rejettent du rang spécifique une mul
le de l’aveuglement causé par les opinions préconçues. Ces auteurs ne
semblent
pas plus s’étonner d’un acte miraculeux de créati
l’union de deux cellules élémentaires, l’une mâle et l’autre femelle,
semble
être de temps à autre nécessaire à la production
principe de sélection naturelle, avec divergence de caractères, il ne
semble
pas incroyable que les animaux et les plantes se
vue l’étude de chaque être organisé et de la nature tout entière nous
semblera
bien autrement intéressante. Un champ d’observati
homme et son histoire. VI. Dernières remarques. — D’éminents auteurs
semblent
pleinement satisfaits de l’hypothèse que chaque e
ue les premières couches du système silurien fussent déposées, ils me
semblent
tout à coup anoblis. Préjugeant l’avenir du passé
chologiques, c’est-à-dire les modifications instinctives et mentales,
semblent
accroître leur mouvement en raison contraire, com
pulation parisienne au canon, et le bombardement, loin de l’effrayer,
semble
la pousser, toute nerveuse, au dédain du danger.
toutes ses fenêtres fermées, et sans un vivant derrière ses carreaux,
semble
évacuée de toutes ses vieillesses, descendues à l
. Mardi 10 janvier Le tir de la matinée est si précipité, qu’il
semble
avoir la régularité du battement d’un piston de m
oissants. Le peuple mangeur de pain blanc, condamné au pain de chien,
semblait
souffrir seulement de cette faveur, achetée du re
roche, et, avec l’imagination des heures de peur et de trouble, il me
semblait
, un moment, que les Prussiens avaient pris le for
tous les soirs, au jour tombant, et le sifflement aigu par lequel il
semblait
vouloir s’annoncer, et les deux ou trois traversé
! ». Vendredi 20 janvier La dépêche de Trochu, d’hier soir, me
semble
le commencement de la fin : elle me tue l’estomac
nnade ! Pourquoi ? Cette interruption du bruit tonnant à l’horizon me
semble
d’un mauvais augure. Le pain actuel est d’une qua
colat. Jeudi 26 janvier Ça se rapproche. De nouvelles batteries
semblent
démasquées. Il éclate des obus, à toute minute, s
s voitures à bras ramenant les mobiliers, et la circulation de la vie
semble
y renaître. Un militaire, en manteau blanc, tenda
din ! Le chalet du marchand de tripes a son toit percé d’un obus, qui
semble
avoir mis intérieurement en capilotade la fragile
enue de Saint-Gratien, mais aujourd’hui si taché, si graisseux, qu’il
semble
la veste d’un cuisinier napolitain. Et le maître
ons de morue séchée. Il y a une grande ironie, une ironie divine, qui
semble
se plaire à faire mentir les programmes humains.
gris et fruste d’une carrière de pierre. Les conditions de la paix me
semblent
si pesantes, si écrasantes, si mortelles à la Fra
passe là-bas. La population en a tant vu depuis six mois, que rien ne
semble
plus l’émouvoir. J’arrive à la gare d’Orléans, où
nde quel est le nouveau gouvernement, me jette de sa grosse face, que
semblent
réjouir nos désastres : « Vous avez Assi ! » Il y
dominant le bruit de la générale, dominant les clameurs humaines qui
semblent
appeler aux armes. Quel renversement de toute pré
x armes. Quel renversement de toute prévision humaine ! Et comme Dieu
semble
rire et se moquer, dans sa grande barbe blanche d
st-elle dissoute, sans tirer un coup de fusil ? Tout, dans ces jours,
semble
arriver à plaisir pour montrer le néant de l’expé
tre boulevard, passant au milieu d’un étonnement un peu narquois, qui
semble
les gêner et leur faire regarder, de leurs yeux v
s, le bout de leurs souliers, aux chaussettes rares. Vraiment oui, il
semble
que ce qui est, en dépit de la blancheur gouverne
Toute la journée le bruit de ces mécaniques de mort qui, par moment,
semblent
avoir des colères humaines. Les omnibus ont retou
D’après le dire des journaux de ce matin, le gouvernement du Comité
semble
à sa fin, et cependant la canonnade dure toute la
et à répondre frénétiquement. Dans le soleil, et sur cette avenue qui
semble
, en sa montée toute droite, un praticable du vieu
é, s’il y a lieu. Cette loi, jointe à celle sur les propriétaires, me
semble
un joli préambule de la Terreur. Quelqu’un vivant
s, est d’avoir admis dans son ministère, les hommes dont l’incapacité
semble
au peuple une trahison. Ce soir, sur le boulevard
baller, moi ! ». Sur le boulevard, du monde, quelques jeunes gens. Il
semble
que l’insuccès de la journée fasse ressortir des
ale. » Depuis la Madeleine jusqu’à l’Opéra, le boulevard est vide. On
semble
s’être recaché, et c’est pitié de voir dans quell
ock les filles qui font le quart, dans les cafés, près de l’Opéra. Il
semble
planer sur Paris de mauvaises nouvelles. Les jour
tentatives qui n’ont pas réussi contre Vanves et Issy, et les fédérés
semblent
passer de la défensive à l’offensive, du côté d’A
e abominable : quelque couvert qu’on soit, on a toujours froid, et il
semble
qu’on vous souffle sur la figure un air ayant pas
’on y voit des gardes nationaux extraordinaires, un entre autres, qui
semble
un des nains de Vélasquez, affublé d’une capote c
gnies composées de vieillards en cheveux blancs, et de garçonnets qui
semblent
des enfants. J’en vois un, porteur d’un long fusi
. À la tombe de mon frère, à Montmartre, la fusillade et la canonnade
semblent
toutes proches et comme dans l’intérieur de Paris
peut pourtant pas s’en aller dans ce moment, où nos amis les ennemis,
semblent
se rapprocher tellement, qu’on se demande s’ils n
vant le spectacle de cette dévastation, un petit vieux, dont les yeux
semblent
deux jets de gaz, parle de supplices effroyables
siller le premier parlementaire qui en apportera une seconde. Cela me
semble
la suppression du dialogue entre les deux armées.
l’enchantement des couleurs grises et barboteuses du plâtre de Paris
semble
avoir été surpris par un magicien, dans un rayonn
ier collé. Cela m’est expliqué par le voisinage de deux canons… Il me
semble
apercevoir une partie de la grille de la colonne
: au-dessus des maisons, un nuage blanc solide, dont les concrétions
semblent
du marbre sculpté. On crie autour de moi : « C’es
rées coloniales d’un épicier. Les tuiles de l’hôpital du Gros-Caillou
semblent
avoir été mises en danse par un tremblement de te
t aux gens d’hier. Ils sont aussi tranquillement consternés. Aucun ne
semble
informé du cri jeté sur la place de la Concorde.
rd. Je rentre enfin… Je me couche désespéré. Je ne puis dormir. Il me
semble
entendre, à travers mes rideaux hermétiquement fe
us entoure, dans cette occupation qui se rapproche sans bruit, et qui
semble
sans combats. Je suis venu faire une visite à Bu
antes jusqu’à Montmartre. À l’heure qu’il est, c’est à Montmartre que
semble
se concentrer le gros de l’action. Au milieu du g
vide, et l’on entend pendant longtemps une canonnade rapprochée, qui
semble
éclater à la hauteur du nouvel Opéra. Puis le tro
aire une trombe. On voit d’énormes arbres brisés, dont le tronc haché
semble
un paquet de cotterets, des tronçons de rail pesa
de province, réalisant le type de Clodoche. D’Auteuil, ce soir, Paris
semble
tout entier la proie d’un incendie, avec, à toute
es, avec leurs poches de toiles grises ballantes autour d’eux, et qui
semblent
déjà à demi déshabillés pour la fusillade. Je ren
e, et encore deux roulements précipités l’un sur l’autre. Ce bruit ne
semble
jamais finir. Enfin ça se tait. Chez tous, il y a
toine. Il est resté le même : — littérateur avant tout. Ce cataclysme
semble
avoir passé sur lui, sans le détacher en rien, de
me voici à Saint-Gratien. Le pavillon, de Catinat, où nous habitions,
semble
une caserne. Des têtes, coiffées de bérets, sont
a pas touché à ce suffrage mortel. Ah ! ce monsieur Thiers est, il me
semble
, un sauveur de société, à bien courte échéance. I
a gorge et est prête à jaillir, mais aussitôt elle ferme les yeux, et
semble
endormir dans de la somnolence ses colères. Dans
e donnent une absence de l’existence qui n’est pas sans charme. Il me
semble
que le restant de ma vie demi-morte se perd et s’
st due à la cellule, la cellule scientifique. Le curieux, c’est qu’il
semble
s’étonner de mon étonnement. Dimanche 22 octob
le diadème de l’Impératrice sur la tête. 25 novembre Ce qui me
semble
annoncer la fin de la bourgeoisie, c’est l’apothé
es. « Au fait, dit le commissaire de police à un de ces hommes, il me
semble
qu’il était plus grand ? » Sur ce, l’homme passan
os bras. » Et sur toutes ces parties mises à nu, l’œil du commissaire
semblait
chercher les marques d’un tatouage. Enfin il remo
distingué tant d’hommes éminents sortis de ces mêmes contrées et qui
semblent
un héritage ininterrompu de l’ancienne Grèce. Il
elle de l’archevêque M. de Villeroi, mort en 1693. Ces premier succès
semblèrent
plutôt l’effrayer que l’enhardir : sa retraite à
e l’impression), et le cadre, et l’auditoire, et l’orateur : Ne vous
semble-t
-il pas, disaient après des années les témoins qui
disaient après des années les témoins qui l’avaient entendu, ne vous
semble-t
-il pas le voir encore dans nos chaires avec cet a
qu’il les aperçut ; elles étaient si simples, si naturelles, qu’elles
semblaient
lui échapper contre son gré et n’entrer pour rien
et de la noblesse des termes, c’est là en quoi Massillon excelle. Il
semble
être né exprès pour justifier le mot de Cicéron :
monieux. Buffon, qui estimait Massillon le premier de nos prosateurs,
semble
l’avoir eu présent à la pensée lorsque, dans son
associer son auditoire à ses descriptions et l’intéresser dans ce qui
semblerait
n’être qu’une énumération générale. Il s’applique
au passage, la plaie cachée de chaque auditeur, après qu’il avait dû
sembler
en venir presque aux personnalités auprès de chac
n n’est accoutumé à en rencontrer dans le siècle de Louis XIV, et qui
semblent
un soupir confus annonçant les temps nouveaux ; d
Une telle nuance de regret exprimée en chaire par l’orateur sacré me
semble
indiquer déjà toute une transition vers un autre
’un naturaliste plus de place qu’elle n’en tient dans la nature. » Il
semble
que Buffon, se tenant au point de vue de l’homme
s intestins, l’épine du dos, les sens, etc., se trouvent toujours, ne
semblent
pas indiquer qu’en créant les animaux l’Être supr
e savants aussi positifs et plus philosophes (Cuvier le premier), qui
semblent
au contraire avoir vu chez Buffon tout ce qui est
op dans cet examen, qui est d’ailleurs plein de fermeté et qui, ce me
semble
, place Buffon naturaliste au rang où Cuvier le vo
e, place Buffon naturaliste au rang où Cuvier le voyait déjà. Mais il
semble
que les auteurs, dans leur préoccupation morale,
vier, dont le jugement a fait loi pour les zoologistes contemporains,
semble
lui-même placer le mérite le plus réel de Buffon
Saint-Hilaire voit le mérite de Buffon autre part encore : mais il me
semble
que Cuvier et M. de Blainville ne restreignaient
sa pensée, dont la lumière, au lieu de s’affaiblir avec la distance,
semble
se projeter plus éclatante à mesure qu’elle attei
Buffon, toute sa vie, fut combattu entre des idées opposées : sa tête
semble
un chaos sublime, sillonné de mille éclairs et pl
lonné de mille éclairs et plein des germes des mondes futurs. » Il me
semble
que l’historien, en ces endroits, a fait un Buffo
portée. La distance du nez à la lèvre supérieure est assez grande, et
semble
signifier un peu de dédain et de hauteur. J’y tro
a Nouvelle Revue, la Revue des deux mondes, s’en enquèrent. Il nous a
semblé
intéressant de reconstituer les aspects des prime
ce de bien dire m’induisit à cette assertion, car, à la vérité, il me
semble
avoir toujours admiré Lamartine autant que Baudel
langue renouvelée. Et ils ont fait de ce côté des essais qui ne nous
semblent
pas indignes de l’attention de ceux qui aiment le
angue. Enragés de délices inconnues, ils essaient d’exprimer ce qui a
semblé
inexprimable jusqu’à présent. Ici nous pénétrons
qu’on voudra de cette violence, en rire ou s’en alarmer, mais il nous
semble
qu’il ne s’en est point vu d’aussi curieuse depui
le a été souvent prononcé dans toute cette logomachie, — et M. Bourde
semble
le prendre particulièrement à partie ; il se croi
s idées, mêmes expressions, mêmes sens ; tout ce qui est nouveau leur
semble
ridicule ; tout ce qui est inusité, barbare. » Je
e, Byron, Gœthe, Lamartine, Hugo et tous les autres grands poètes, ne
semblent
pas avoir vu dans la vie une folle kermesse aux j
ier à sa juste valeur l’ésotérisme de la poésie soi-disant décadente,
semble
en avoir mieux compris l’extériorité. Il dit : «
e la poésie ? Les poètes médiocres. Eux seuls ! Le Détracteur. Il me
semble
pourtant que la révolution romantique… Théodore
ien que ce style a été employé de nos jours avec avantage. Mais il me
semble
que c’est par M. Thiers ou par M. Dufaure, plutôt
Il est ésotérique autant que possible et suffisamment complexe, ce me
semble
. Je serais curieux de savoir ce que vous en pense
arle pas de Rutebœuf, dites-vous, que je n’ai guère pratiqué. » Il me
semblait
cependant que le « doux trouvère » avait droit à
lure de mon article relativement à M. Théodore de Banville ? Il ne me
semble
pas être si « en querelle » avec ce maître. Tout
eures sympathies. Jean MORÉAS. 1. Le libraire Léon Vanier, qui
semble
ambitionner de devenir le Lemerre de cette poésie
s, cette longue orgie de voluptés oiseuses, de fêtes et de crimes, ne
semble
avoir été tolérée que pour montrer combien la sci
, en luttes jalouses de grands orateurs, en procès publics et privés,
semblait
n’avoir désormais qu’une seule ambition et qu’une
ents de culte divers qui s’amassaient dans cette cité cosmopolite, il
semble
que plus d’une inspiration devait s’offrir à la p
cette gravité calme et non sans grâce, quelques traits de lumière ne
semblent
-ils pas se réfléchir sur l’état de langueur et la
us autres hommes jouons avec la poésie, dont lui-même se pare. » Tout
semble
ici plus fastueux et plus sévère. Le dieu des roi
ion de ses indignes successeurs en Macédoine, en Égypte, en Syrie, il
semble
incontestable que, dans l’ordre moral, dans la fo
i, qui frappe d’impuissance les rois et dissipe leurs vains conseils,
semble
se rapprocher des idées plus pures de la Divinité
t-puissant lorsqu’on les lui demande en même temps que la vertu, tout
semble
ici reproduit du charnel et du divin, des ombres
ion est reconnaissable encore dans d’autres hymnes de Callimaque, qui
semblent
, à la première vue, tout mythologiques. Là même,
contre les dieux146. » À part l’intention morale du poëte, qui peut
sembler
imitée du langage des antiques mystères, on remar
e l’avenir. Mais c’est de Jupiter que j’attends la vertu. » Rien, ce
semble
, de plus élégant que le style de l’original, dans
etracent le repos de l’Égypte, sa paix féconde et son vaste commerce,
semblent
d’une beauté durable ; mais là même apparaît tout
sionnés et nouveaux. L’origine de la pastorale dans la poésie grecque
semble
se reporter, soit à l’influence de l’Asie Mineure
ne mort ; mais la singularité du mouvement de passion ainsi reproduit
semble
attester l’imitation. Théocrite paraît avoir imit
ssignol et de la rose, et tant d’autres images du poëte Hafiz, ont pu
sembler
de mystiques symboles à l’ascétisme musulman, un
mure qui s’élevait des pages feuilletées, le son de deux âmes, il m’a
semblé
qu’en dépit des vers de Paul Verlaine, la voix de
sfaite d’être « simplement une princesse ». La tâche lui eût pourtant
semblé
digne de tous ses efforts, et rude, si elle en av
ntéressant traité par un spécialiste : tel apparaît l’idéal ; et cela
semblerait
, en effet, l’idéal, si l’on n’apercevait le résul
es lois générales d’un pays et de faire respecter les contrats usuels
semble
le comble de l’aberration4. Avec non moins de fi
t-Paradol, quinze jours l’un, quinze jours l’autre. C’était là, il me
semble
, le type parfait du journal. Les lecteurs connais
ent, à travers les siècles, l’aliment du cerveau des hommes ! Il nous
semble
que le monde manquera pour nous de saveur, tant q
nt professeur. Oui, M. Émile Faguet n’a jamais fait que des cours. Il
semble
qu’au moment où il se met à l’ouvrage, il ait dev
pas que l’on s’en aperçoive. Lorsque M. Jean Jaurès, les bras levés,
semble
exécuter des tractions sur l’invisible trapèze su
M. Émile Faguet, à vrai dire on peut convenir aussi que cet écrivain
semble
parfois s’être plu à en accentuer les bizarreries
e c’est le cas pour les Amies de Rousseau. La psychologie de Rousseau
semble
bien définitivement établie. M. Émile Faguet, qui
», et la courtisane vénitienne lui avait donné un bon conseil. Il me
semble
que le livre de M. Émile Faguet apporte, chemin f
912.] À relire Julie ou la Nouvelle Héloïse 8, l’on soupçonne, il me
semble
, que le vrai Rousseau était beaucoup moins absurd
révèle, dit-il. Froide et ennuyeuse, certes ; mais bien plutôt, il me
semble
, par défaut d’art que par défaut de vérité. Et je
iait bien de faire œuvre artistique ! Une telle préoccupation lui eût
semblé
le signe d’une déchéance. Ce vice essentiel, cett
mpons point : nous sommes sur le chemin de l’animalité. Ces êtres qui
semblent
toujours soumis à des émotions trop fortes et prê
sée. « Mon cœur est mort, disait-elle, mon pauvre petit ! » et il lui
semblait
qu’il le fût en effet. Elle devenait vraiment la
ids de la vie, la tristesse d’exister, la lassitude de penser. Il lui
semblait
avoir vécu cent existences, et en traîner le fard
mais l’intelligence qui abstrait, distingue, ordonne et construit, ne
semble
pas indispensable pour former un bon écrivain. El
hamps incultes, sur une source, comme des oiseaux seuls. De loin, ils
semblent
impénétrables. Dès que j’approche, leurs troncs s
, sa femme et lui-même, comme matière à copie. Et Jules Renard tantôt
semble
railler Éloi, et tantôt l’admirer. Et Jules Renar
s poussé assez loin la psychologie de son personnage, si bien qu’elle
semble
, par certains côtés, incohérente. Pourquoi fait-i
ait-il de l’Écornifleur un pique-assiette ? Cela n’ajoute rien, il me
semble
, à l’œuvre, qu’un élément de comique facile, et l
en réalité, l’original n’est plus le même, et tous les autres acteurs
semblent
exprimer pour une moitié leurs propres sentiments
es héros prennent corps peu à peu, par petits fragments accumulés. Il
semble
qu’on ne les voie jamais tout entiers, d’un regar
rquent des minutes furtives où deux sensibilités battent d’accord. Il
semble
que Jules Renard, à mesure qu’il poursuivait son
nt rythmé qu’au premier coup d’œil on dirait un jeu de la nature ; il
semble
vivant de la vie même du ciel, des nuées et des c
se transforme en une flèche octogone, si bien que la pyramide extrême
semble
jaillir d’une longue corolle. Puis les siècles on
nstitue la vie quotidienne, chaîne infinie dont les anneaux, de loin,
semblent
identiques. La tendresse attentive de M. André Ha
n quand nous l’aurons mérité ; et je disais en commençant que cela me
semblait
de moins en moins impossible ; jusque-là, sachons
paraît sur son visage. Et toute pantelante et prête à succomber, elle
semble
, aux yeux de son amant, revêtue d’une armure invi
, de ce récit où il n’y a pas une erreur de ton, et dont chaque ligne
semble
avoir été écrite, comme la fiction l’exige, par M
ts ou sombres ravis à la tapisserie du monde, pour l’oreille ses vers
semblent
les phrases d’un chant intérieur, où persiste un
nt la main : J’aime l’heure où les bruits comme des chants lointains
Semblent
porter vers nous dans leur calme murmure L’adieu
vers chante un instant, disparaît et revient, Un mot sanglote, un mot
semble
vouloir sourire, Le secret de la nuit vient se mê
’a pas laissé couler tout son butin entre les mailles trop larges, il
semble
vraiment que ce poète ait capté plus de rêves qu’
dait pas sans curiosité son premier livre de prose. Le rythme du vers
semblait
si naturellement adapté au mouvement de sa pensée
uffrance. Et leur idéal voluptueux, à la fois sentimental et sensuel,
semble
consister dans un état de vie ralentie, où l’âme
lis de sa robe toute son île sensuelle, languissante et triste ; elle
semble
venue là du fond de l’horizon, et penche vers moi
yeux au loin, et vous me demandiez ce que je regardais ainsi ; il me
semble
aujourd’hui que je voyais déjà dans le mirage loi
t jusqu’à dire que M. Anatole France y brûle ce qu’il adora, du moins
semble-t
-il bien que son ironie ait laissé quelques égrati
licieuse. Mais quand Évariste, entraîné par ce mouvement de folie qui
semble
le rythme même de la vie de ces temps-là, tombe à
’aucun prix, dit ton ami Brotteaux des Ilettes, le capitaliste, et tu
sembles
partager son avis. Nos passions te fournissent de
te par « révolution » et planète par « société capitaliste », il vous
semblera
lire un discours composé pour une réunion proléta
aint Évariste, mais comme Élodie, l’héroïne de Les dieux ont soif, il
semble
rechercher le frisson délicieux de cette crainte.
épétitions dans le résumé de cette histoire de famille). La situation
semble
inextricable. Elle le serait peut-être dans la vi
argir, à ennoblir un sujet trop frêle. L’œuvre de Mme Delarue-Mardrus
semble
ballottée entre le conte moral, dont je parlais a
de Mélisande, c’est toute l’inquiétude douloureuse de l’humanité qui
semble
balbutier sur les lèvres de ce petit être. Mais l
l’arbre fut planté et taillé selon les plus sûres méthodes. Le temps
semble
passé, décidément, des auteurs qui écrivent sans
le « moi » a été dit haïssable, et que tout ce qui est haïssable leur
semble
romantique, pourront seuls faire grief de cette t
leur propos fut de nous conter l’histoire d’une vie d’homme, et cela
semble
convenir assez bien à leurs goûts d’écrivains ami
privilégiée traverse les rues en compagnie de la femme qu’il aime, il
semble
que toute vie contemporaine s’abolisse. Le cabare
e conçoit M. Vaudoyer, et qui, plutôt que de Vénus aux belles fesses,
semble
le fruit de l’hymen improbable de M. Georges Ohne
fin de ce livre m’a arraché des larmes. M. Vaudoyer a écrit là, il me
semble
, quelques-unes de ses meilleures pages. J’en aime
e l’esprit et de l’art, elle fournit la définition du classicisme. Il
semble
que le nouveau livre de M. Lucien Corpechot forme
ent que deux flèches : le dithyrambe ou l’injure ; et son vocabulaire
semble
hanter tour à tour la voie lactée et le labyrinth
e lui qui, en même temps que fort jolies, — elles le sont toutes — me
semblent
merveilleusement justes. M. Marcel Boulenger se m
de, vous avez lu Cornélie ou le latin sans pleurs. Cette forte parole
semble
n’avoir été prononcée que pour fournir une devise
eure, mais un tel procédé, contestable déjà dans l’œuvre de M. Péguy,
semble
bien inutile chez un cérébral comme M. Benda, don
que, mêlé de mélancolie. L’anecdote psychologique qui y est rapportée
semble
avoir été conçue par un adolescent perdu d’orguei
hallucination intellectuelle, ce délire des idées que M. Julien Benda
semble
tenir pour le véritable état de grâce philosophiq
re à l’idée de son être ». Jadis, la transformation de l’être en idée
semblait
un danger, l’effet d’une maladie dont se plaignai
de ce fait à cette idée que Félix goûte le souverain bien. Aussi lui
semble-t
-il insupportable d’exister sans juger à toute min
ste intervient, à qui l’idée de cette communion est odieuse. Elle lui
semble
« peuple », et les intellectuels sont de fameux a
ingantes et des sourires, ces éclairs de chaleur et de précoce orage,
semblaient
promettre à la France un Byron. Les chansons svel
ns son sein qu’il avait préludé, qu’il s’était produit, et il pouvait
sembler
y être éclos. Il s’appliqua à montrer que cela n’
nt au don Juan de Namouna, à cette forme nouvelle du roué qui pouvait
sembler
l’enfant chéri de l’auteur, l’idéal, hélas ! de s
t jeté aux autres ces lambeaux, ces membres éblouissants du poète qui
semblaient
parfois des membres de Phaéton et d’un jeune dieu
utrefois : Étoile de l’amour, ne descends pas des cieux ! tout cela
semblait
présager une saison plus tempérée et le règne dur
yage ; il eût dédaigné d’accepter ce qu’on appelle sagesse et qui lui
semblait
la diminution graduelle de la vie. Se transformer
pas son fait. Arrivé au haut et déjà au revers de la montagne, il lui
semblait
être arrivé à l’extrémité et au-delà de tous les
eux-là. 56. [NdA] La Revue des deux mondes du 15 mai 1857 (page 475)
semble
contester l’exactitude de ce mot. Mais, on n’a pa
tes couleurs. Certaines taches, avec du recul et de la bonne volonté,
semblent
belles dans leur imprécision et font rêver, comme
un jardin anglais (shocking !) qui veut la faute. Et certaines pages
semblent
détachées, ou plutôt involontairement parodiées,
e reconnu, elles tombent dans l’oubli. D’autres œuvres, au contraire,
semblent
d’abord uniquement des parodies qui, plus tard, a
tyr jeté aux bêtes. Il n’en est que plus admirable. C’est quand l’âme
semble
vaincue par les choses que sa vraie supériorité é
lus complet peut-être et le moins mal composé de ses romans. L’auteur
semble
d’abord occupé uniquement de Jude l’autodidacte,
ue aussi incertain que la conduite de son héroïne. Au commencement il
semblait
vouloir nous donner une étude sur l’autodidactism
les apercevoir simultanément et chacune, à l’instant où il l’exprime,
semble
pour lui l’explication totale. Il ignore d’ailleu
du beau livre que le sujet et quelques-unes des qualités de l’auteur
semblaient
promettre, nous n’avons qu’un curieux, mais gauch
ouvrages représentés dans le cours de l’année au Théâtre-Français lui
semblait
le plus digne, littérairement, d’un encouragement
l largement conçu, comme il doit l’être pour la scène française, nous
semble
être de ce côté. La Commission, monsieur le minis
rille dans le caractère des personnages et dans toutes leurs paroles,
semble
couler naturellement de l’âme de l’auteur ; une v
n, qui a été représenté avec succès au théâtre de la Gaîté : il lui a
semblé
que le ton général de ce drame, l’émotion qui en
en qu’il y en ait de très agréables, et quelques-uns même où l’auteur
semblait
se proposer un but utile, la Commission n’en a tr
e tout ce qui est à guérir parmi nous et à réparer. De jeunes talents
semblent
déjà l’avoir entrevu ; c’est à les encourager, c’
duirait surtout à penser que la vie est un voyage, c’est que rien n’y
semble
ordonné comme un séjour. Voulez-vous attacher vot
ituation très dangereuse. Ce repos auquel la nature nous appelle, qui
semble
la destination immédiate de l’homme ; ce repos do
agination qui est restée la même, quoiqu’on ait éloigné d’elle ce qui
semblait
l’enflammer, pousse à l’extrême toutes les chance
oit à l’éternité de la douleur qu’il éprouve. La paix qui l’environne
semble
insulter au tumulte de son âme ; l’uniformité des
mélancolie qui a plus de charme qu’on ne pense, et vers laquelle tout
semble
nous ramener. Les aspects, les incidents de la ca
ance, et n’ambitionne plus que l’absence de la peine. Toute la nature
semble
se prêter aux sentiments qu’ils éprouvent alors.
ité, sont unies entre elles par un lien de dépendance si étroit qu’il
semble
préférable de ne pas les séparer, pour les examin
entes avait bien pour effet de rendre sans objet toute l’amertume que
semblait
devoir entraîner après elle la découverte du cara
des combinaisons nouvelles ? L’individu recherche la volupté qui lui
semble
son but à elle-même, il veut augmenter son bien-ê
enhardit à donner un sens au fait même de l’existence phénoménale, il
semble
qu’il faille mettre à sa source un désir de conna
lui-même en une infinité d’objets pour une infinité de sujets, il ne
semble
pas possible de donner à cet acte une autre expli
iquement vraie de ces deux principes d’action et de contemplation qui
semblent
absorber toute la substance de l’être. L’illusion
onument-épouvantail symbolise si bien Beethoven et son oeuvre dont il
semble
une transposition plastique. Beethoven aimait à c
ant l’humidité du cerveau ». Cette pipe à lavande, trouvée à Valence,
semble
taillée dans ce que nous appelons si singulièreme
t un aventurier plus sombre et plus ingénieux encore que Casanova. Il
semble
avoir eu une fin assez malheureuse. Il était beau
, dans l’anecdote la plus inane, la sentimentalité la plus basse, qui
semblent
conçus pour récréer un peuple d’acéphales. On me
brandt. Cela ne peut donc pas être une œuvre sans intérêt, mais il ne
semble
pas (j’en ai vu de belles reproductions) que cela
tre que cela. Visages Réunis en volume, les Visages de Rouveyre
semblent
peut-être un peu moins cruels que lorsqu’ils défi
emi du latin, mais je ne suis pas non plus ami du latin pour tous. Il
semble
que la tradition soit rompue et que toute une cla
tes un peu plus larges que les autres. Il y aurait ce moyen, mais qui
semble
tout à fait hors de la portée de l’Université : c
formation uniforme de lettrés, de professeurs, d’écrivains. Car cela
semble
bien dans cette vue qu’elle gave la jeunesse et i
s. Car cela semble bien dans cette vue qu’elle gave la jeunesse et il
semble
bien aussi que cette vue ne soit plus absolument
un peu. Elle disait ounous (pour unus) et bien d’autres choses qui me
semblaient
saugrenues. Depuis cela, j’ai appris que chaque p
ui règne dans les esprits. Les noms étrangers Une revue, qui ne
semble
pas pourtant ennemie de l’extension du français,
it n’indiquent pas que l’action est au passé plutôt qu’au présent, il
semble
qu’il y ait là comme une ruse linguistique incons
e peuple ne sent pas la grossièreté comme nous, ou plutôt ce qui nous
semble
grossier ne l’est pas nécessairement pour lui. Il
toute cette littérature, médiocre et médiocrement gaie d’ailleurs, me
semble
au retour ridicule ! J’en suis un peu honteux et
tant de revues qui s’occupent des livres nouveaux qu’il était temps,
semble-t
-il, qu’il y en eût au moins une qui s’occupât des
ainsi fait. Il est catholique et tout ce qui n’est pas catholique lui
semble
digne de mépris. Cet état d’esprit ne me déplaît
ant trop gaie, car cette poétesse était de l’humeur la plus riante et
sembla
toujours plus heureuse qu’éblouie de sa gloire. C
ouvrir aucun. Le goût se blase. Il est un moment où toutes les femmes
semblent
pareilles. De même pour les livres. Et comme on d
érent aux idées représentées par la ligue du même nom et la revue qui
semble
la représenter. On a réussi dans la première hypo
sel, même parmi les végétaux ? La vie sans sel est-elle possible ? Il
semble
que non, et la recherche d’un régime sans sel ser
encore, et tout cela était considéré comme un bienfait quotidien. Il
semble
, si ces boissons furent, à un certain moment, jug
ard, la cause de son rhume. Il ne la trouve jamais avec certitude. Il
semble
qu’on n’ait rien à se reprocher et pourtant le ma
ariée d’un grand restaurant. Pour lui, pour nous, qui l’observons, il
semble
libre d’ordonner son menu. Mais dans le fait, cet
admire plutôt la verdeur de cet homme qui, à soixante-dix ans passés,
semble
vouer ses derniers ans au laborieux métier de tou
ges follement agités du cinéma et le feuillage rigide du théâtre nous
semble
encore moins naturel. Je faisais cette remarque à
et de M. de La Rochefoucauld, auxquels on s’est précédemment arrêté,
semblent
en appeler un autre, lié naturellement au leur pa
qu’à ce prix-là. Tout ce qui avait un air de conversation solide leur
semblait
grossier, vulgaire. C’était une résolution et une
lqu’un ramassa une lettre perdue, sans adresse ni signature, mais qui
semblait
d’une main de femme écrivant tendrement à quelqu’
xe chez Mme la Princesse, et lut le papier, mais d’un ton fier et qui
semblait
dire : Je m’en moque. A peu de temps de là, Colig
eveux blonds argentés, qui accompagnaient à profusion ces merveilles,
semblaient
d’un ange. Avec cela une taille accomplie, ce je
chargé de palmes ; revenez couverte des myrtes de la paix : car il me
semble
que ce n’est pas assez pour vous que des branches
rre de près cet amour lui-même (et plus tard elle nous l’avouera), il
semble
que ce n’est plus que de l’ambition travestie, un
autres. Au reste, s’il a observé évidemment d’après elle, elle aussi
semble
avoir conclu d’après lui ; l’accord est parfait.
tie des princes et dans les préliminaires de la reprise d’armes, elle
semblait
suivre encore les mêmes sentiments, bien qu’avec
cessent positivement d’être la boussole de Mme de Longueville : elle
semble
accueillir sans défaveur les hommages de M. de Ne
noncée : « Tout ce que j’ai vu en peu de temps de cette princesse m’a
semblé
tout d’or fin. » M. Singlin, déjà obligé à cette
mbre où personne ne le verra qui le conncisse, et il est mieux, ce me
semble
, qu’il vienne d’assez bonne heure, c’est-à-dire e
’aussi bonnes mains, j’aurai une grande joie, je vous l’avoue ; il me
semble
que je serai comme ces personnes qui voient leur
ourtant savoir où elle étoit, ni par où il la falloit chercher. Il me
semble
, au contraire, depuis que je me suis mise sous la
issant on plaît, qu’on regagne par là l’estime qu’on a perdue. Il lui
semble
, en un mot, voir jusque dans cette docilité son o
Sa description, en un endroit, tombe juste avec ce qu’en dit Retz, et
semble
précisément y répondre. On se rappelle cette pare
Mais on ne peut, sans contredire tous les témoignages du temps, ce me
semble
, et à ne consulter même que les écrits de ces deu
re ; il y aura assez d’algèbre sans cela. 177. Si complet que puisse
sembler
ce portrait de Mme de Longueville, les lecteurs q
mpensation dont il faut bien se contenter, a pris un nouvel essor. Il
semble
qu’au déclin des années les littératures, comme l
dogmatiques des siècles précédents, comme tout pouvoir de tradition,
semblaient
chanceler sur leurs bases. Ces codes absolus, aud
t le passé s’éclaira d’une nouvelle lumière, la poussière des siècles
sembla
se ranimer. Le moyen âge apparut avec ses pieuses
l pourrait se passer d’être savant, si érudit que son esprit charmant
semble
chez lui presque un luxe inutile. Les années qui
science de l’esthétique14. L’Angleterre elle-même, le pays de Bacon,
semblait
ne plus se contenter des théories littéraires fon
rofondeur le lien intime qui existe entre la nature et l’art15. » Il
semble
que ce soit là le programme qu’à la même époque,
de l’art, et assigne la beauté pour limite à l’émotion. Le philosophe
semble
prévoir l’importance exagérée qu’on va donner à l
ologie. Une des matières les plus neuves de l’enseignement, celle que
semblait
appeler le mouvement littéraire de l’époque, c’ét
ti pris, chemine avec précaution à travers les sentiers épineux où il
semble
égaré, arrachant ici un préjugé, plus loin une ob
e de voir ce chaos d’opinions s’arranger sous cette main patiente qui
semblait
d’abord désespérer elle-même de l’éclaircir. Peu
es beaux-arts, la critique qui s’attache aux œuvres contemporaines me
semble
à la fois plus malaisée et plus utile. Les deux p
ecdotes piquantes que sa plume ingénieuse a su nous transmettre33. Il
semble
qu’aujourd’hui des circonstances analogues devrai
savoir universel qu’autrefois Cicéron voulait imposer à l’orateur ne
semblerait
pas de trop pour ces arbitres universels des œuvr
’autorité ou la critique en perdra-t-elle ? Progrès à désirer Il
semble
que les juges du camp devraient être des combatta
ue comme une vengeance. Aimons et respectons les hommes que la nature
semble
avoir faits pour distribuer les couronnes, trop m
oule de livres se pressent aujourd’hui aux portes de la publicité. Il
semble
que la plume des écrivains, comme la presse qui l
ne de son attention ; ses doigts eux-mêmes, en feuilletant un volume,
semblent
s’arrêter sur une heureuse page et y appeler le r
rts commence souvent par la critique. L’Allemagne, au xviiie siècle,
semblait
vouée à l’imitation et à la médiocrité : une écol
, dont on leur parle trop souvent d’un ton de légèreté affectée, leur
sembleront
moins à dédaigner. Ils auront vu, en effet, par d
go nous avait donné en ce genre depuis un certain nombre d’années. Il
semble
qu’il lui ait été salutaire de revenir au milieu
qui exploite la crédulité des pauvres gens qu’il envoie à la mort, il
semble
regretter de l’avoir fait si odieux. Brusquement,
st Cimourdain, son ancien précepteur, un ex-prêtre. Et l’intention me
semble
évidente. Celui qui tue, c’est le noble ; celui q
même matelot dont il avait fait fusiller le frère sur la Claymore. Il
semble
que la lutte doive se prolonger encore : cependan
e. Trop souvent encore il s’admire et s’écoute parler, trop encore il
semble
dire : Voyez cette antithèse ! Que dites-vous de
: Voyez cette antithèse ! Que dites-vous de ce mot ? Trop souvent il
semble
oublier l’action principale pour se complaire et
quer le rire que de faire naître en nous les graves réflexions. Il me
semble
qu’il a voulu, là comme toujours, être un initiat
s derniers ont tous quelque trait de ressemblance avec lui-même et il
semble
les avoir faits plus ou moins à son image. Remarq
bien moi dont le front rayonne d’une lueur divine ! Telle est, ce me
semble
, je le dis sans trop l’affirmer, l’intention géné
personnages, que le ton général de l’œuvre, qui confine à l’opérette,
sembleraient
exiger un dialogue d’allure vive et pressée. C’es
i déjà quelque honte d’avoir réclamé sur tant de points, au risque de
sembler
irrévérencieux. C’est, au contraire, parce que j’
sard, qui, de son côté, devait nécessairement aller à l’empire. Il me
semble
même que le représentant de la littérature diffic
à tout autre collègue, il eût demandé l’explication de ce mot qui lui
semblait
équivoque, au lieu de lancer sur-le-champ l’anath
st que ceux des ennemis même ne sont pas trop cruellement noircis. Il
semble
que Désiré Nisard ait mis une sorte de coquetteri
ont donné leur eau glacée, aux ronces même qui l’ont meurtri. Il lui
semble
qu’il ne peut s’éloigner ainsi avant d’avoir dit
ette route. Je referai en imagination chacune de ces étapes, et il me
semblera
entendre l’écho lointain de ma jeunesse et de mon
us les aspects des choses, et la face et le revers, le critique poète
semble
hésiter et osciller, comme on le lui reproche dan
ce de M. Homais ni du jeune vicaire. Cet apparent scepticisme, ce qui
semble
de l’indifférence ou du dédain pour ce qui passio
ar instants, sans se rendre compte peut-être de son doute qui lui eût
semblé
criminel. Il faut citer encore l’influence d’une
s qu’elles pensent, ce critique qui leur défend de critiquer. Il leur
semblera
aussi que c’est bien de l’orgueil à lui de vouloi
r, enfin tout le signalement de certains autres volumes où il m’avait
semblé
que la richesse du papier, de l’impression et mêm
l’abandon. Les âmes paisibles se consolent, mais non le poète. Il lui
semble
que c’est un renversement monstrueux des rôles, q
i le maître ne témoignait pas à son endroit une sorte de défiance. Ne
semble-t
-il pas craindre, en effet, que la construction du
», et Raton, « un sacré petit rageur ». Que d’autres détails qui nous
semblent
puérils à nous, mais qui ont leur sens caché et l
traite de M. Zola est heureuse même pour sa réputation d’écrivain. Il
semble
qu’il ait besoin de loisirs et de longs efforts p
le douloureux spectacle ; les siens, grâce à ce qu’il leur fait dire,
semblent
avoir mérité leur sort. L’agresseur a l’air d’un
pparence à leurs hypothèses malignes. Donc, pour ces malveillants, il
semblerait
que M. Daudet n’est pas content du Midi, que les
il n’en a pas souffert ; quand il y retourne aujourd’hui, ce qui lui
semblait
autrefois naturel l’offense et le blesse ; ses ye
e est-elle un danger public ou un ridicule national ? Voilà ce qui ne
semble
pas absolument démontré. En tout cas, M. Daudet a
entry, il ne serait pas loin de s’entendre et son unique grief, ce me
semble
, c’est qu’elle tient absolument à ce que l’Académ
contre les Petdeloup l’entraînait hors des limites équitables. Il me
semble
, en effet, qu’il a voulu réparer cette injustice
ent ; que l’intérêt dramatique de ce roman, qui ne finit même pas, me
semble
nul ou à peu près, et que cependant, une fois ce
es pages, ses héros sont déjà pour nous comme de vieux amis ; il nous
semble
que nous avons vécu toujours avec eux. Les person
ropos de chacun de ses ouvrages), mais indiquer ou hasarder ce qui me
semble
une vue plus neuve, — ne quittons pas encore ces
ez dans une tempête un malheureux englouti par une vague écumante qui
semble
irritée contre lui ; en outre, le vent fait rage,
navrant ! Eh bien, à l’égard de Sylvestre, de Yann et de Gaud, il me
semble
que Pierre Loti procède un peu comme le matelot d
tôt qu’il n’a l’invention, car rien de ce qu’il a mis sur la toile ne
semble
avoir été imaginé par lui. Eh bien, il se trouve
voient volontiers des aliénés un peu partout. Le docteur Bourget, qui
semble
prendre une spécialité, le pessimisme, ne verrait
t atteints de toutes les affections que nous voyons décrites. Il nous
semble
que tous les symptômes précurseurs du mal, nous l
pour lui qu’une seule et unique maladie, et, bien que les phénomènes
semblent
quelque peu différer, c’est toujours un même prin
sultation très rassuré, le cœur léger et le sourire aux lèvres. Il me
semble
bien que M. Dumas fils ne doit pas non plus s’inq
ue je recueille pour me guérir de la peur que m’a faite M. Bourget ne
semblent
pas aux esprits plus profonds d’une autorité suff
get. Est-ce bien une énigme et est-elle cruelle tant que cela ? Il me
semble
que la clef n’en est pas si difficile à trouver,
ns réponse, s’il faut en croire M. Bourget. Comment ? le problème lui
semble
insoluble à ce point, à lui, un psychologue si cu
e jeune fille et je ne sais quelle crainte de profaner cet enfant. Il
semble
qu’elle l’ait moins perverti qu’il ne l’a purifié
maladive et la santé débordante de son rival rappellent un peu, ce me
semble
, les tortures du célèbre héros de M. Feydeau dans
plus mince, de plus ténu et de presque impalpable. Un seul sentiment,
semble-t
-il d’abord, comme sujet d’analyse. Oui, mais ce s
esoins du roman, nous voici soumis à une assez redoutable épreuve. Il
semble
d’abord que ce ne soit rien. Et, en effet, à quoi
le héros prend, si l’on peut dire, la teinte de son âme. Je crains de
sembler
en ce moment raffiné et subtil ; c’est le danger
ui doit nous intéresser seule. Les faits ne sont que l’accessoire. Il
semble
même que M. Bourget ait choisi ce sujet à dessein
a police et la justice, n’est-ce pas là un thème à la Gaboriau ? — Il
semble
qu’on va voir surgir M. Lecoq avec ses déguisemen
est pas lui-même menteur, voilà qui sera intéressant. Cependant il ne
semble
pas que les deux menteuses mises là en scène soie
nous passons du plaisant au sévère, comme le conseillait Boileau. Il
semble
que M. Lemaître ait voulu essayer, par ces prélud
e M. Lemaître n’ait senti ce jour-là comme un coup douloureux. Il lui
semblait
que c’était lui qui eût dû la conduire à l’autel.
celles que comporte et demande même un genre modeste et familier. Il
semble
que M. Lemaître ait voulu caractériser sa manière
ses, Sont laids, ridés et rabougris, Ces loqueteux, défi suprême, Qui
semblent
sans l’avoir cherché Tenir le mot du grand problè
ne demeuraient pas toujours convaincus, car certaines sévérités leurs
semblaient
excessives et certains enthousiasmes immodérés, a
t heureux d’être enfin dépouillé. Il y songe, j’en ai peur, car il me
semble
tenir à faire croire qu’il ne l’a jamais portée.
l’en féliciter d’autant plus que son talent y a gagné encore, ce qui
semblait
malaisé. Qu’a-t-il donc gagné, en effet ? Un peu
ses à mi-côte. Les genres secondaires où la médiocrité est admise lui
semblaient
indignes d’exister. Rien ne vous corrige mieux de
ond très réel de brutalité. De même pour le Cid et Chimène : ils nous
semblent
l’un et l’autre jouer une comédie un peu naïve, l
ré que, dans le Misanthrope, Philinte soit le sage de la pièce. Il me
semble
plutôt que Molière a voulu dire : Le vrai sage, c
à le danger de nous présenter une quintessence trop subtilisée. Il me
semble
que les décadents, outre qu’ils concentrent à l’e
fet produit par le cri d’une conscience naïve a été considérable ; il
semblait
que les spectateurs fussent heureux d’entendre en
n est allé en guerre : trop peut-être au point de vue de l’art. Il me
semble
, en effet, que parfois son drame sent le réquisit
Est-ce à dire que ses œuvres n’aient point de portée sociale ? Il me
semble
, au contraire, que si elles ne s’attaquent pas au
lus belle eau, entretenant des actrices, perdant gros au baccarat. Il
semble
se ranger depuis quelque temps ; mais c’est qu’un
que le jour où il n’y aura plus en lui ni haine ni colère. Ce jour ne
semble
pas proche, car son ressentiment légitime s’accro
a peut-être de ce revirement : aussi trouve-t-il un expédient qui lui
semble
heureux. Le jeune Fourchambault a compromis Marie
hètes ou chercher des lumières chez les diseurs de bonne aventure, il
semble
en effet que sa vue se soit troublée. J’ai ouï di
igure dessinée par Dumas première manière. « Je suis du ciel, moi ! »
semble
dire la figure qu’a esquissée le Dumas nouveau. A
e, car ses tempes sont arides et ses cheveux argentés ; cet amour, il
semble
heureux de n’y croire qu’à moitié, car il sent bi
. Et, en effet, son principal défaut est d’être ennuyeux. Le mot peut
sembler
étrange appliqué à une œuvre de M. Alexandre Duma
et profanation ! Pourquoi pas des mammifères unguiculés ? Que vous en
semble
? N’êtes-vous pas surtout choqués de ce perpétuel
ne suis pas venu au théâtre pour discuter cela, et je m’ennuie. Il me
semble
que l’impression générale de fatigue et d’ennui s
onfusion, ces sentiments nouveaux, s’expliqueraient moins bien, ce me
semble
, si le jeune homme aimé était un Yankee. Mais c’e
t et mousseux. L’interprétation ne nuit pas à l’œuvre ; il ne m’a pas
semblé
qu’elle fût merveilleuse : Mlle Bartet m’a seule
ant valoir les plus petits détails. Peut-être souligne-t-elle trop et
semble-t
-elle trop contente des jolies choses qu’elle dit.
sans assez de fantaisie. Le public des premiers soirs était froid et
semblait
fatigué avant la fin. J’entends dire qu’on a fait
itée en vaudevilliste. À ne considérer même que la question d’art, il
semblerait
qu’il ait comme à plaisir amoindri son sujet et q
a entendre, si la déclaration de guerre qui va être lancée à l’Église
semble
l’effrayer, eh bien, tout est dit, adieu le rêve
’il est brave et aussi parce que ce péril, il ne veut pas le voir. Il
semble
qu’il mette sa cuirasse non devant sa poitrine, m
eux ouverts, envoyer même des éclaireurs, se défier de ce qui de loin
semble
une fondrière et qui est peut-être un précipice.
ue fois il est tellement entré dans l’esprit de chaque régime qu’il a
semblé
en être un historien spécial et presque partial,
as s’arrêter à mi-chemin avant le triomphe et la bonne issue, qu’il a
semblé
être, avant tout, un historien révolutionnaire. O
le charme de l’historien dans ce premier ouvrage, c’est que tout cela
semble
enlevé, tout cela court et n’appuie pas. Le table
t sous un génie réparateur, a été celui du Consulat. Quel historien a
semblé
plus fait que M. Thiers pour en raconter et en dé
et des princes des portraits justes, convenables, et qui même peuvent
sembler
adoucis et un peu flattés plutôt que sévères (tan
ens amis ; il n’y a pas mis tant de façons : M. Thiers, au contraire,
semble
par moments s’être méfié davantage de sa plume, e
ne patriotique tristesse, qui pourtant doit être aujourd’hui, ce nous
semble
, soulagée en partie et consolée. Le retour de l’î
es chênes, tant qu’il y avait dans la société des murs de clôture qui
semblaient
les gêner, n’ont plus été en plein vent que des a
talents et de leurs natures. Le cadre de la Restauration avait été et
semblait
devoir être à tout jamais celui de M. de Lamartin
s celui de M. de Lamartine. Les rayons étaient réciproques : le poëte
semblait
à l’aise et y était doucement maintenu. Ce cadre
u moins d’en ressaisir et d’en sauver les débris. Elle y a réussi, ce
semble
, avec quelque honneur : à l’unité plus étroite qu
« Quand on critique aujourd’hui un auteur, un poëte, un romancier, il
semble
qu’on lui retire le pain, qu’on l’empêche de vivr
s ; la perfection du genre n’est pas venue. M. de Lamartine, qui peut
sembler
comme le prince des poëtes du jour, l’est dans un
nnu leurs traces, et la vraie poétique est trouvée. 152. Ceci devra
sembler
en contradiction avec ce qui est dit, tome I, pag
15 avril 1839. Entre tant de gens de talent qui se fourvoient, et qui
semblent
, à chacune de leurs œuvres nouvelles, vouloir réa
naître et de la suivre. M. Dumas qui, en un ou deux moments, avait pu
sembler
forcer la sienne, a bien plutôt, le reste du temp
devenus vainqueurs et glorieux apparemment, notre idéal se repose et
semble
être aux délices de Capoue, à ce bon xviiie sièc
méprise et de la ruse. La personne de l’actrice, dans le cas présent,
semble
choisie exprès pour doubler l’invraisemblance. Ma
lleurs caractères de la pièce, les plus vrais d’un bout à l’autre, me
semblent
Richelieu et la marquise. Ce que celle-ci ne pren
illamment et bruyamment éclaté. A entendre nos espérances d’alors, il
semblait
que, pour l’entier triomphe d’un genre plus vrai
portée naturelle de talent ? Le succès de Mademoiselle de Belle-Isle
semble
assez l’indiquer à M. Dumas. Qu’il s’accoutume à
les. Le fleuve Hélicon, après un cours de quelques lieues, s’abîme et
semble
se perdre sous terre pendant vingt-deux stades, p
rmonie que, permettaient ses magistrats, était Lydien de naissance et
semblait
apporter à Lacédémone, vers le milieu du septième
ant sa teinte originelle d’Asie, elle était devenue toute laconienne,
semble
du reste avoir été grave et calme comme le son de
un poëte d’Alexandrie, mais avec une sensibilité tout originale, nous
semblait
lui devoir en partie ces vers d’un charme sans ég
sous cette forme lyrique ou gnomique, mais toujours concise, qui, ce
semble
, était le mieux assortie à l’esprit sévère et occ
oussière des débris qui nous restent encore des inspirations d’Alcman
semble
partout indiquer cet emploi. Il avait dans ses hy
res. Lus et relus, les vers épars conservés sous son nom jusqu’à nous
semblent
comme un indice de cette poétique ardeur qui couv
là une force d’expansion intérieure. D’où vient-elle ? On ne sait. Il
semble
que la graine ait été semée au hasard ; mais quel
ssine. Les yeux ont certainement quelque chose de particulier. Ce qui
semble
plutôt exercé en eux, c’est la faculté de mise au
beauté propre du sujet, comme dans ce saint homme Job dont le modèle
semble
avoir été choisi pour sa laideur typique, dans ce
ns tout à l’heure sans pouvoir encore nous l’expliquer, quand il nous
semblait
que dans ce peuple de statues aux gestes fixes, d
érentes. Le champ est librement ouvert aux interprétations. La phrase
semble
très précise quand on la parcourt des yeux : dès
fait un instant attention. Il s’impose même avec tant de force, qu’il
semble
presque naïf de l’avoir signalé. Nous nous sommes
stres chimériques. Une cariatide, les traits contractés par l’effort,
semblera
soutenir de son épaule le poids d’un balcon. Tout
n à l’autre les incidents ; et pendant qu’ils parlent, des images qui
semblaient
à jamais effacées reparaissent tout à coup ; dans
e résumé. La vision du paysage avait été pour moi si intense qu’il me
semblait
qu’une observation sur place en eût affaibli la s
du tout au tout. Regarder une œuvre d’art que l’on a devant soi, cela
semble
très simple. Mais notre machine est étrangement c
tables suggestions s’opèrent. Les figures, prenant un étrange relief,
semblent
se détacher de la toile ; les fonds se reculent ;
rré, l’ellipse qui prend l’aspect d’un cercle. Les nuances mêmes, qui
sembleraient
devoir être la chose positive par excellence, se
l’influence de l’interprétation. Cette traînée de violet cru ne nous
semblera
plus qu’à peine bleuâtre, quand nous aurons compr
l conduit et entrelace suivant une loi régulière. Voilà certes qui ne
semble
pas fait pour parler beaucoup à l’imagination. Vo
i berce la pensée de son rythme monotone, tout dans le décor linéaire
semble
disposé pour exercer sur le spectateur une sorte
; et ces figures, bien que cernées d’un trait réel, pour un peu nous
sembleront
tout idéales. Tels sont les jeux d’imagination fi
tantôt sur le motif principal : et chaque fois les lignes considérées
semblent
prendre une netteté plus grande, se détacher en r
se détachent en silhouette sur un fond de couleur différente, il nous
semble
qu’elles seules ont une forme. Quant au fond lui-
est opéré le raccord ? Peut-être au moment où ce filet de cuivre, qui
semblait
n’être là que pour doubler une ligne de contour,
her de la toile qu’avec un effort sensible. En sculpture même, ils ne
semblent
vouloir user qu’avec une discrétion extrême de la
e. Gustave Doré, un puissant imaginatif que les critiques d’art ne me
semblent
pas avoir mis à son rang, avait à un degré surpre
s un visage qu’une tache blafarde. Certains peintres, comme Carrière,
semblent
ne voir les choses qu’à travers une brume qui les
vec stupeur, dans nos expositions, des tableaux où toutes les nuances
semblent
systématiquement faussées ; et l’on se demande si
t naturelle et attendue ; s’il fait partie de ce milieu ; si lui-même
semble
pénétré des impressions que nous ressentons et pl
t pur, d’une jeune fille dans sa grâce virginale, d’un adolescent qui
semble
s’éveiller à la vie et à l’amour, n’a-t-elle pas
l’heure calme et grave, l’heure de silence où les êtres et les choses
semblent
se recueillir dans l’attente de la nuit ; il me r
expression, la pure sensation colorée ? Au premier abord la question
semble
de mince importance. Quand on verra quel parti le
qui stimulent l’appétit ou provoquent le dégoût ? Certains tons verts
semblent
acides ; certain rouge groseille agacera les dent
rtement associées. Le parfum de la fleur d’églantier et sa couleur me
semblent
en parfait accord. Par contre, je suis surpris qu
accord musical, ou bien aussi désagréable que telle dissonance. Cela
semble
former des équations assez compliquées. Avec quel
ression dans l’emploi symbolique de la couleur, si paradoxale qu’elle
semble
, n’a rien de déraisonnable en soi. Il ne faut pou
immense de la nef. Mieux encore, on nous présentera un personnage qui
semble
prêter l’oreille à quelque bruit, pour que nous é
de goûter un effet d’orchestration et d’en être émus. Un timbre nous
semble-t
-il moins expressif parce que notre oreille préven
équent changer d’expression du tout au tout. Ainsi le vert frais peut
sembler
une couleur d’espérance (pour mon compte je verra
aux couleurs sombres qui s’accorderont mieux avec notre état d’âme et
sembleront
même y répondre par une secrète sympathie. Chaque
champs, à leur tâche du jour. De ces images il en choisit une qui lui
semble
plus que les autres caractéristique du labeur hum
Prouvé, La Nuit qui passe est personnifiée par une tête de femme qui
semble
glisser dans l’espace, indifférente, les yeux clo
lu. Seule une imagination rompue à la pratique du symbolisme devrait,
semble-t
-il, être capable d’un tel tour de force. Mais c’e
être gracieuse au temps jadis, mais dont l’art a tellement usé qu’il
semble
bien difficile d’en rien tirer de nouveau. Prud’h
s dont on entoure une figure pour la qualifier. Ce rapprochement vous
semble-t
-il un peu forcé ? Plus vous y réfléchirez au cont
nce avec laquelle elle se formule en phrases dans votre pensée ; elle
semble
entrer d’elle-même dans les moules de la proposit
celles-là d’autres encore, et ainsi de suite ? Si invraisemblable que
semble
ce système, il a souvent été proposé dans l’inter
ce lion que le poète rencontre au sortir de la forêt obscure, et qui
semble
vouloir lui barrer le chemin ? Est-ce Florence, o
out à l’imagination pour la frapper directement. Certaines allégories
semblent
faites pour exercer la sagacité de l’Œdipe du caf
dans le poème, évoquées un instant par le jeu subtil des métaphores,
sembleront
presque monstrueuses quand on les verra ainsi éta
talées et comme solidifiées. Elles ne choqueront pas seulement, elles
sembleront
inintelligibles ; le fil qui nous aurait permis d
leurie ; à l’une de ses mamelles est attaché un gros enfant rose, qui
semble
gorgé de sève et de vie ; de l’autre sort un file
t des profanations. Je ne parle même pas de ces monstres bizarres qui
semblent
conçus dans un délire ; ni de ces étranges manipu
nnent certaines images quand l’objet est trop rapproché de l’œil : il
semble
que le système soit d’ouvrir les yeux au hasard e
oses que l’on voit. Les impressionnistes ne s’en sont pas avisés. Ils
semblent
au contraire s’être appliqués à compenser le réal
s s’être porté, d’un effort puissant et énergique, vers la nature, il
semble
la perdre de vue, ferme les yeux, et s’endort dan
Il s’efforcera enfin de rendre avec son crayon la couleur même. Cela
semble
difficile. Le dessinateur n’emploie qu’une gamme
a lumière plus ou moins amortie. La couleur au sens propre du mot lui
semble
interdite. Aussi a-t-elle pour lui un attrait irr
premiers peintres qui ont systématiquement employé cette méthode ont
semblé
bien audacieux. Puis ils ont fait école, et maint
artiste ait besoin d’une grande fécondité d’imagination. L’essentiel,
semble-t
-il, n’est pas de trouver quantité de procédés, ma
anément dans son esprit hanté de réminiscences de la nature ; l’objet
semble
de lui-même se recouvrir d’ornements, de représen
ons d’abord d’informes essais, des effigies d’hommes et de femmes qui
semblent
taillées dans quelque tronc d’arbre ou dans quelq
on imagine un corps on peut imaginer un visage ; les mêmes conditions
semblent
requises pour conserver dans l’invention plastiqu
On peut enfin combiner les deux procédés, et c’est ce que font, ce me
semble
, la plupart des artistes. Sur une première image
saie de le faire vivre ; si je m’identifie un instant avec lui, il me
semblera
que cette transformation morale ne pourrait manqu
l’art pour s’élever au-dessus de la réalité. Toute la question, ce me
semble
, est de savoir s’il y peut réussir. Mais l’art id
un type qui soit conforme à notre idéal de la beauté humaine. Cela ne
semble
pas au premier abord trop difficile. Tous nous av
n’y a pas d’invention plastique possible. Des études ainsi conduites
sembleraient
devoir amplement suffire à l’artiste. Je crois po
hanches serrées, qui est beau déjà mais trop mécanique encore, et qui
semble
fait pour les brusques détentes musculaires plutô
ent. Mais le point de départ est tout à fait arbitraire. La nature ne
semble
nullement éprise d’uniformité. Autant que l’on pe
s ces types possibles, il en est un certain nombre auxquels la nature
semble
vouloir s’arrêter un instant comme à une position
che de représenter ces hommes qui par leur puissance ou leur sainteté
semblent
s’être élevés au-dessus de l’homme. Pour explique
ur un corps d’homme une tête d’éléphant, créatures déconcertantes qui
semblent
avoir été conçues dans un véritable délire d’inve
mage plutôt que par ses dimensions, si bien que, même réduites, elles
sembleraient
toujours colossales. Telle est l’œuvre de Michel-
re, loin de nos misères et de nos vulgarités. Dans l’art moderne, tel
semble
bien avoir été l’idéal de Raphaël et des peintres
dans une auréole de grâce féminine, dans un rayonnement de beauté. Il
semble
que l’art ne saurait aller beaucoup plus loin dan
C’est le véritable idéal de l’art chrétien. Pourquoi cette conception
semble-t
-elle particulière aux artistes du Nord ? Sont-ils
thétique. Il a dû s’ingénier à traduire des conceptions auxquelles il
semblait
presque impossible de trouver une expression plas
des cadres inattendus, se mouler sur des formes pour lesquelles il ne
semblait
pas fait : cela exige de la souplesse, et une fac
st dépourvu de la faculté d’invention, tout cela n’est rien. Il ne me
semble
pas qu’on ait suffisamment dégagé ce qu’il y a da
lement la situation. Dans l’Artémis du Louvre, la biche que la déesse
semble
saisir est bien petite. Mais, comme on le voit, i
ra toujours. Elle est évidemment recherchée pour elle-même. L’artiste
semble
s’amuser à nous montrer la nature dans un miroir
imprévue de la convention avec la réalité : ainsi une figure de femme
semble
se pencher sur l’ouverture d’une coquille, et en
d’écume ; celle-là bondit avec la vague et, dominant tout le groupe,
semble
lancer d’une voix grêle d’oiseau de mer un appel
e dans la ligne la plus simple, tel est le problème que le décorateur
semble
se poser. C’est ainsi qu’il se fait un style pers
c’était dans la nature même, en retrouvant l’idée première dont elle
semblait
s’être inspirée, le thème simple sur lequel elle
résenteront tout à coup un tableau à faire, une scène fantastique qui
semble
spontanément surgir des profondeurs de leur cerve
un peu attention, une attitude expressive, une physionomie : celui-ci
semble
accroupi sur lui-même, celui-là fait effort pour
t à point, la matière qui devait rendre sa pensée. Les veines du bois
semblent
s’être infléchies d’elles-mêmes pour lui fournir
en adaptée aux accidents de la matière, que c’est la matière même qui
semble
aller au-devant de sa fantaisie. De cette collabo
os yeux, et ces dragons volatilisés en nuages bleus et rouges dont il
semble
que le vent emporte de ci de là les lambeaux diap
leur bizarrerie radicale, pour déconcerter un cerveau européen. Il ne
semble
pas qu’elles puissent être inventées de sang-froi
à queue de poisson, hippogriffes, etc., monstres hybrides où l’esprit
semble
avoir voulu épuiser toutes les combinaisons possi
ux n’a tout son charme que lorsqu’on y croit à demi. Il faut qu’il ne
semble
ni tout à fait réel, ni tout à fait inventé, mais
ression, lui faire dire des choses que la peinture et la sculpture ne
semblaient
pas pouvoir dire. Même quand nous avons dû consta
on pour les grands imaginatifs, telle est la triple impression qui me
semble
résulter de cette enquête sur la psychologie de l
ante et essentielle d’une éducation artistique. On l’a compris, ce me
semble
, dans les écoles d’art décoratif récemment fondée
thme compliqué du vers, la rime, cet arrangement délicat des mots qui
semble
si artificiel au premier abord, est ce qui déplaî
ccupation générale ; et non seulement en théorie, mais en fait, l’art
semble
un simple jeu d’adresse, où c’est une preuve de f
blème, relatif à la forme de l’art et surtout de la poésie, l’art qui
semble
le plus abaissé depuis un certain nombre d’années
rer un plus entier affranchissement par la morale Quelque complet que
semble
l’accord des écoles actuelles sur l’identité de l
rme, ainsi complétée, la théorie évolutionniste du beau, elle ne nous
semble
pas à l’abri de sérieuses objections. D’abord, si
tte définition, qui enlève à l’action tout caractère esthétique, nous
semble
inacceptable. Il s’ensuivrait qu’un mouvement gra
ies ; une maison ornementée avec beaucoup d’élégance, mais où rien ne
semblerait
fait pour la commodité de l’habitation, où les fe
re un caractère agréable fixé d’une manière définitive ; un objet qui
semble
toujours prêt à nous rendre service, à nous faire
up à nous paraître beau. Ainsi, dans les objets extérieurs, l’utilité
semble
être un premier degré de beauté. Passons maintena
fonctions peuvent toutes revêtir un caractère esthétique. La première
semble
indifférente au premier abord ; pourtant, il est
hétique indépendamment de l’instinct sexuel et de son évolution, nous
semble
donc aussi superficiel que de considérer le senti
ens, plus directement liés aux fonctions vitales. De même que le tact
semble
avoir appris à l’œil à juger des vraies dimension
peuple un pays riche où l’on mange abondamment ; pour un marin la mer
semblera
belle lorsqu’elle sera sûre, et laide précisément
oux, et s’écrie : « En effet, il y a là une vue magnifique. » Le beau
semble
en grande partie dérivé du profitable et du désir
même, le conquérir à chaque pas avec effort, et que le désir d’infini
semblait
devoir être rassasié sans cesse à mesure qu’il s’
ter ce poids en souriant. Dès maintenant, entre deux œuvres d’art qui
semblent
également animées et vivantes, c’est à la plus be
ons, l’impression de la grâce ? C’est celui où tout effort musculaire
semble
avoir disparu, où les membres se jouent librement
de la force. Si telles sont les qualités esthétiques du mouvement, ne
semble-t
-il pas tout d’abord que les mouvements du jeu, no
ar lui le mouvement, devenu régulier, offre prise à l’intelligence et
semble
lui-même la manifester. Le rythme n’est pas seule
er-aller des bras, indique de plus la mélancolie et la tristesse, qui
semble
faire appel à la pitié d’autrui ; elle excitera d
expression de l’amour, et c’est pour cela qu’elle l’excite ; la grâce
semble
aimer et c’est pour cela qu’on l’aime. Avant d’av
érons ; dans le beau, c’est l’activité même qui la réalise. — Il nous
semble
au contraire que l’activité, la volonté, par exem
exemple la vue d’une belle couleur, d’un dessin, d’un feu d’artifice,
semblent
rester pour la plupart superficielles, sans influ
ouïe, sont la ride passagère produite par un caillou jeté du bord. Ne
semble-t
-il pas alors qu’on ait raison de réduire les plai
but. En somme, la perception n’est point aussi contemplative qu’il le
semblait
d’abord : nous y sommes acteurs autant que specta
étiques. Considérons d’abord les sensations de chaud et de froid, qui
semblent
si étrangères à la beauté. Un peu d’attention nou
rien en soi d’antipoétique : c’est l’allusion à cette jouissance qui
semble
, au contraire, éveiller le plus facilement le sen
s, les sensations visuelles ne sont pas aussi superficielles qu’il le
semblerait
d’abord et que sont portés à le croire les esthét
mot envahit la conscience entière. À cet instant la sensation, qui ne
semblait
d’abord qu’agréable ou désagréable, tend à deveni
end à devenir esthétique ou antiesthétique. L’émotion esthétique nous
semble
ainsi consister essentiellement dans un élargisse
cérébral, d’où il suit que la conscience, absorbée sur un seul point,
semble
sur les autres suspendue. Le plaisir reste alors
ion comme à tout sentiment qui vient ébranler notre être, la vie même
semble
travailler dans le même sens et se proposer une f
r au beau. D’autre part, les plaisirs intellectuels eux-mêmes ne nous
semblent
pas toujours mériter le nom d’esthétiques, parce
u’un nom ; les statues et les monuments tombent eu poussière : seule,
semble-t
-il, l’idée dure, et celui qui a ajouté une idée a
traire, la force et la beauté du corps ne sont plus notre idéal. Tout
semble
montrer d’ailleurs que la préoccupation trop excl
, mais la beauté même qui, selon certaines inductions physiologiques,
semble
aujourd’hui en décadence ; de telle sorte que le
l’art serait-il absolument compromis, comme l’affirme M. Renan, comme
semble
le craindre M. Taine regrettant les superbes et t
rtain nombre d’arguments spécieux. Le développement de tel ou tel art
semble
le plus souvent attaché à certaines mœurs et à un
r un sentiment aussi fort que nos Titien et nos Delacroix. L’humanité
semble
devenue de plus en plus sensible à la langue des
ue française ? D’ailleurs le style fleuri, auquel les langues du Midi
semblent
plus propres, ne doit pas être confondu avec le s
davantage désormais ? Jusqu’à présent, le génie, quand il existe, ne
semble
guère à plaindre en ce temps de démocratie ; il l
émocratie comme essentiellement « jalouse du génie » ; cette jalousie
semble
aussi platonique que l’a été bien souvent l’amour
achevée, et chez qui le développement excessif des goûts mercantiles
semble
avoir tué le grand art, doivent être plaints sans
mais parce que son mouvement, qui est le germe du mouvement réflexe,
semble
un signe et un commencement de vie. Moins une mac
, des hurlements, des rugissements (comme ceux de la « sirène »), qui
semblent
les éclats de joie d’un monstre épouvantable et p
e vraie poésie, ajoutait Goethe. Et, en effet, l’imagination poétique
semble
avoir besoin à la fois d’une certaine superstitio
ngles d’ombre, tout ce qu’on ne voit pas du premier coup, tout ce qui
semble
nous fuir, fait la poésie de la campagne. Le gran
de mollesse : l’ombre est la parure des choses. Les rayons de la lune
semblent
faire flotter tous les objets dans une nuée trans
inis. Pas plus que le mystère et l’ignorance, la superstition ne nous
semble
indispensable à l’essor de l’imagination poétique
rent tout de leurs branches légères. Une science prise à part ne peut
sembler
, au premier abord, ennemie de la poésie que parce
dont la doctrine fut d’ailleurs souvent mal interprétée) ; la science
semble
encore de nos jours, avec Darwin comme avec Goeth
Le raisonnement même, en tant qu’il précède la conception de l’œuvre,
semble
un signe de médiocrité : c’est l’opposé du génie.
libéré les pièces d’un meuble. Maintenant, cet instinct spontané, qui
semble
seul constituer le vrai génie, ne subira-t-il pas
rps trop nourri disparaît sous de lourds vêtements, où tous les goûts
semblent
si peu esthétiques, et qui est à l’antipode de la
s peintres, et parmi eux un Murillo, — un mystique, à qui les nudités
semblent
avoir fait peur ? — Tous ces problèmes sont inso
erdre de leur force et de leur poésie. Le sentiment de la nature, qui
semblerait
au premier abord devoir rester invariable, n’est
esse, tandis que le soleil disparaît lentement et que le gouffre noir
semble
« entrer dans son âme » avec les frissons de la n
l’enrichissement de la pensée. De même qu’à l’origine l’intelligence
semble
être sortie du pouvoir de sentir, de même, par un
te originalité de la sensation ? Tient-elle seulement, comme M. Taine
semble
parfois le croire, à une perception plus facile,
e à son tour acte de possession, mais graduellement ; c’est là ce que
semblent
oublier plusieurs poètes contemporaine qui veulen
ve encore, amplifiée à l’infini, l’accent d’une voix humaine. Il y a,
semble-t
-il, trois périodes distinctes dans le développeme
se ; les mélodies dont a frémi le violon d’un Kreutzer ou d’un Viotti
semblent
avoir peu à peu façonné le bois dur ; ses molécul
nsée, en passant au travers, prend une voix musicale et chante, et il
semble
qu’il n’y ait qu’à le toucher pour en tirer une m
x ciselés où l’on a essayé de la retenir ? Le nom même de ποίημα, qui
semble
indiquer une chose créée une fois pour toutes, co
lument parfaite qu’exige la poésie. Les vers avaient leur dieu, et il
semblait
qu’un beau vers fût l’incarnation même d’Apollon.
rose, ce qu’il y a de plus relatif et de plus mobile dans le langage,
semble
mieux convenir pour l’expression de nos idées mod
nt pourquoi le nombre douze, qui régit l’alexandrin, est-il celui qui
semble
satisfaire le plus complètement notre oreille ? N
ir un nouvel élément, la rime. La rime est, au premier abord, ce qui
semble
le plus artificiel dans le vers moderne. Autant l
. Autant le rythme est l’expression naturelle de l’émotion, autant il
semble
étrange au premier moment de rimer sa joie ou ses
seraient préférables à ces phrases mal équilibrées où les consonances
sembleront
nécessairement produites par le hasard. Si le pro
accent tonique ; l’oreille sent que c’est ici le temps fort, la voix
semble
devoir y appuyer, s’y reposer longtemps : tout d’
de le diviser en parties égales ou offrant des rapports simples, nous
semble
vraiment le condamner. Le voici sous ses deux typ
Lors même que, poussé par la rime, le poète rapproche deux images qui
semblent
discordantes, il produit souvent ainsi des contra
nnent, le mot doit perdre sa valeur pour lui-même, s’effacer. Il nous
semble
qu’un vrai poète devrait trembler à la pensée qu’
he du texte qu’elle donne parfois l’illusion de l’original : le poète
semble
se livrer à nous tout entier, et on croit sentir
s : c’est une sorte de monstruosité. Un vers bien scandé, sonore, qui
semble
tout frémissant d’émotion, prêt à chanter, et qui
principe de la poésie — la sensibilité, avec sa joie et ses peines —
semble
être aussi le principe premier de toute pensée co
paisseur des lèvres. Or, tous ces signes physiologiques de la laideur
semblent
nécessairement liés à une infériorité intellectue
sparaissent quand la barbarie laisse place à la civilisation ; ils ne
semblent
plus, dans les individus isolés chez qui brusquem
e du rythme le plus simple et le plus typique : 42. Rien ne nous
semble
plus étrange que la notation musicale adoptée par
ant M. Sully-Prudhomme, dans une lettre publiée par M. Vergalo et qui
semble
authentique, lui a donné absolution entière pour
uthentique, lui a donné absolution entière pour ses hiatus. C’est là,
semble-t
-il, une absence momentanée de la part d’un musici
iment pas, et pourtant ce sont bien des vers. L’exactitude de la rime
semble
devenir assez peu de chose, aux yeux mêmes de V.
, selon sa manière de sentir, le besoin d’une traduction nouvelle. Il
semble
toujours que cette étrange et magnifique épopée,
France, si ornée de talents illustres et de grands poètes originaux,
semblait
vouloir se suffire à elle-même, et le goût sévère
ue je lui ai vu donner sur l’Arioste par de bons connaisseurs : il me
semble
que c’est comme si on mettait le Roman de la rose
e le juger très finement sur des beautés de détail et d’exécution qui
semblaient
être du ressort des seuls Italiens : Il faut sur
frappent, ses rapports avec l’histoire, ce qui est du temps et ce qui
semble
en avant du temps, tout cela était touché, parcou
e effort, en partie heureux, et qui est encore à saluer là même où il
semble
à peu près impraticable. M. Antoni Deschamps en 1
Dante conserva toute sa vie le culte inconcevable de cette ardeur qui
semblerait
fabuleuse si elle n’était d’accord avec les idées
u un peu plus tard dans les liens positifs du mariage ; cet amour qui
semblait
d’ailleurs à jamais rompu par la mort prématurée
toile. Toutes les fois qu’il s’engagea dans des actes par lesquels il
semblait
y déroger, il lui arrivait bientôt de s’en repent
riand, sera frappée de la cadence monotone de ces rimes redoublées où
semble
retentir et expirer cet éternel cri de douleur qu
poésie, comme d’une religion, l’univers, et à qui le rameau de Dante
semblerait
parfois trop léger. Qu’offrir, en retour de leurs
tal pour le résultat et pour l’effet. Dans les deux vases, le liquide
semble
le même ; c’est presque le même poids, la même qu
sé d’un mot en disant que ce n’était qu’un grand espoir, Ahasvérus me
semble
appartenir à l’espèce de ces poëmes confus dont j
la France, depuis les ébranlements de la Révolution et de l’Empire, a
semblé
acquérir, du côté de l’imagination et du penchant
dire, autour de cette statue posée d’hier. La légende de toutes parts
semble
déjà commencer et prendre. Les Arabes du désert l
aux hommes de notre temps, voilà pour le poëte la vraie réalité. » Il
semblerait
, d’après ce passage, que nous soyons autre chose
les eaux ; c’est de plus un certain nombre de morceaux très-beaux qui
semblent
lui assurer une manière. M. Quinet est de tous le
d’indifférence, parfois de lâcheté, dans le caractère politique, dont
semble
travaillé le pays ; ce mal, dont 1814 et 1815 ne
et ; il se révèle aujourd’hui, et Napoléon est son chant. Ses vers me
semblent
une levée en masse, indisciplinée, orageuse, arde
est sombre : ce ne sont pas des victoires romaines. Trois morceaux me
semblent
, entre autres, très-beaux dans ce poëme, où il se
s, les rues, les appartements, les bureaux. Dans ces décors éclairés,
semble-t
-il, d’une lumière, grise ou rousse, de bruine ou
pas le sien : il ne décrit ni n’analyse, pour reproduire la vie et il
semble
qu’il n’use de ses aptitudes à la vraisemblance,
ie distante, aperçue cependant, et haïe en ses seules cruautés. Il ne
semble
pas que Dostoïewski parle des événements et des ê
ix de sa haine. De cet effroi, de cette horreur et de cette pitié, il
semble
que Dostoïewski ne peut se détourner. Comme si la
tres phases que de durs assauts sans cesse donnés et repoussés. Il ne
semble
pas que Dostoïewski se propose jamais l’étude d’u
perçus à la fois par le dehors et par leur fonds charnel de bêtes, il
semble
que Dostoïewski soit à la fois un psychologue idé
ituelle de Raskolnikoff est trop intense et trop désintéressée. Il ne
semble
pas admissible qu’un crime, et qu’un seul crime,
ise de si profondes modifications, sans retour d’habitudes ; et il ne
semble
pas non plus que la spéculation sur soi-même puis
ception de vie que nous avons dite, et une sorte de bonté rêveuse qui
semble
douer la race slave. Mais ici un conflit devait s
lstoï, son grand rival. Ils dépeignent la vie avec détachement, et il
semble
qu’ils ne tiennent à la montrer soit eu sa totali
estion] Depuis quelque temps, le xixe siècle littéraire français
semble
être l’objet de critiques violentes et d’attaques
Victor Hugo. Par l’ampleur et la variété de son œuvre, Victor Hugo me
semble
dépasser Dante, Shakespeare et Racine. Quand on a
plus grand nombre, même parmi ceux que leur ascendance ou leur milieu
semblaient
destiner à une haute culture. Les jeunes hommes d
es qui ne sauraient être exprimées dans son atmosphère sereine. Il me
semble
que littérature, arts, philosophie, histoire, etc
de la beauté suprême, et la beauté suprême c’est : l’amour humain. Il
semble
précisément que tous les grands esprits du xixe
rs aussi, et ce premier quart du xxe n’en manque pas non plus. Il me
semble
qu’il n’est pas de l’intérêt de la grandeur et de
e. Frantz-Jourdain Supprimer ou même ravaler le xixe siècle me
semble
suprêmement comique, car il est et restera comme
r. Dans la nomenclature rapide que vous énumérez, vous oubliez, il me
semble
, Michelet et Villiers de l’Isle-Adam et Becque et
s jeunes contemporains, mais en plaçant la littérature de côté, il me
semble
qu’un siècle qui a produit Pasteur, Wagner et Rod
ons pour lui les yeux que l’on a pour une maison natale : tout nous y
semble
beau. Ses écrivains, ses savants, ses philosophes
ue, sans doute, mais, aux environs de 1820, sans cette maladie, il me
semble
que c’était la mort. J’aime mieux que nous ayons
urité et Anatole France et bien d’autres. Les hommes d’action ? Il me
semblait
d’abord que les attaques contre le xixe siècle d
nt sur la qualité des œuvres, c’est affaire de goût personnel ; et il
semble
bien aussi de tendances politiques. « Réprobation
er le romantisme. Et puis encore, ne calomnions pas notre pays. Il me
semble
que nous venons de payer assez cher tout le mal q
pas nous traîner à genoux entre des statues de carton-pâte. Et il me
semble
qu’en ma jeunesse on en fabriquait beaucoup. Chac
siècle », nous écrit Mme Lucie Delarue-Mardrus, et l’ardente poétesse
semblerait
penser que c’est le fait de quelque adolescent da
e paraît avoir été travaillée par un tel désir de renouveau. L’Europe
semblait
secouée de frissons, traversée d’enthousiasmes et
plendides miroirs où les âmes étonnées se reconnaissent. Notre patrie
semble
illuminée par des phares géants qui embrasent l’h
. Fagus, c’est à qui en vantera les splendeurs. M. Bainville lui-même
semble
hésitant à excuser les incartades de son chef de
ons pour lui les yeux que l’on a pour uni maison natale ; tout nous y
semble
beau (Pierre Lièvre) ; l’histoire ne présente a
de préférence à l’école du xviie et du xixe siècle. » Voilà, ce me
semble
, qui satisfera Lucien Descaves, lequel nourrit po
ses et des mieux tournées. V. 19. Ses œufs, ses tendres œufs, etc. Il
semble
que l’âme de La Fontaine n’attend que les occasio
déjà brave, et son amour-propre devient son consolateur. Voilà ce me
semble
la pensée dont il fallait achever le développemen
e conjecture n’est pas assez fondée. Fable XV. Il fallait ce me
semble
que le renard commençât par dire au coq : « Eh !
t de la justesse à employer cette expression, se mit en tête ; ce mot
semble
indiquer une fantaisie nouvelle ou du moins assez
dit l’âne en se donnant tout l’honneur de la chasse. Il fallait ce me
semble
que l’âne se rendît tout-à-fait insupportable au
ence sans cesse. Cela est surtout vrai en littérature. Le terrain qui
semblait
solide se déplace ; les textes qu’on croyait surs
ait de sa famille, vieille souche de ligueurs, qui depuis Henri IV ne
semblait
pas avoir dû se déraciner du sol de la Cité qui l
Bruyère. Celui-ci marquait parfois l’envie d’être gai plus qu’il, ne
semblait
l’être naturellement. On sait ce passage d’une le
r ses exemples dans Horace et chez les Anciens : il n’y a rien là, ce
semble
, que de naturel et d’un heureux à-propos125. Son
ce genre. Tout ce qu’il y a d’esprits piquants dans le xviiie siècle
semble
tenir et relever de lui ; tous ces hommes de lett
er, les Duclos, les Chamfort, les Rulhière, les Meilhan, les Rivarol,
semblent
avoir trempé la pointe de leurs traits dans l’écr
e un peu marquée et appliquée, qui faisait question en son temps, qui
semblait
trop forte, qui n’est que suffisante aujourd’hui
, dans lesquelles il maintient vivement son système de conjectures et
semble
attribuer à l’histoire littéraire, moins grave, u
r (voir Nouveaux Lundis, t. VII, p. 208 et suiv.). Mais cette fois il
semble
avoir voulu élever l’abus à la hauteur d’une méth
pinion d’un plus autorisé que lui et plus connaisseur. Il s’efface et
semble
ne faire que répéter. C’est, selon moi, une délic
ement. » On a beau vouloir en rabattre, il en reste quelque chose qui
semblait
alors un défaut, un inconvénient. 127. Dans la C
étaient loin de se diriger vers un prix si glorieux et pouvaient même
sembler
s’en détourner quelquefois ; qui eût considéré, i
ant de croire qu’il manquât de fermeté. Il y a plus de force qu’il ne
semble
dans cette tenue constante de caractère, de métho
des trois premiers chœurs d’Athalie, ne pâlissaient pas auprès, mais
semblaient
s’être éclairés à cette magnificence. De la pièce
gré de la foule, vient assez confirmer ce jugement. Sur ce thème, qui
semble
usé, du mariage, le poëte avait su trouver un com
a pas vu et ne l’a pas connu, il ne l’a qu’entendu. Casimir Delavigne
semblait
comprendre de loin que ce monde si aimable, si fl
asser, quelques luttes pénibles à soutenir contre le flot. Mais il me
semble
, et ne vous semble-t-il pas également, Messieurs,
tes pénibles à soutenir contre le flot. Mais il me semble, et ne vous
semble-t
-il pas également, Messieurs, qu’après quelques an
u regrettables manières consiste (et la nature de notre versification
semble
y convier les rares élus) à revêtir sa pensée d’h
e 1830 portait au pouvoir tous les amis de Casimir Delavigne, et elle
semblait
du même coup devoir porter avec elle son poëte bi
udir, en cette œuvre presque dernière, le sacrifice de ce qui pouvait
sembler
son idole. Il fit précéder sa pièce, à l’impressi
ille et qui florissait dans la maturité des années, fût déjà ravi. Il
semblait
qu’il était devenu pour tous avec le temps un de
main. Ainsi, en inscrivant son nom au bas de l’œuvre de Newton, elle
semblait
appeler déjà la méthode d’exposition de M. de Lap
rie par le peuple. Mme du Châtelet, qui était moins belle, à ce qu’il
semble
, et qui n’avait pas non plus toutes les vertus d’
lleurs ; on n’ose en rien transcrire, de peur de brûler le papier. Il
semble
avoir été tracé par une Furie à froid, qui sait é
’elle avait choisi ; il y avait du bruit, de la fumée sans feu, il me
semble
que c’est son emblème. Le bruit, ce n’est pas la
ienté dans ses fers. » Ce dernier trait est au moins solennel et peut
sembler
disproportionné, mais c’est ainsi que raisonne la
prêche n’est pas la véritable sagesse. Oh ! que le souffle de Platon
semble
donc loin, et que sa grâce divine est envolée ! P
; elle veut supprimer les uns et conserver les autres. L’illusion lui
semble
nécessaire ; elle veut qu’on se la donne ; que, l
efroidissement ». Mais un tel accord de deux êtres si à l’unisson lui
semble
trop beau : Un cœur, capable d’un tel amour, dit
œur, capable d’un tel amour, dit-elle, une âme si tendre et si ferme,
semble
avoir épuisé le pouvoir de la Divinité ; il en na
r épuisé le pouvoir de la Divinité ; il en naît une en un siècle ; il
semble
que d’en produire deux soit au-dessus de ses forc
Châtelet, il faut l’avouer, sont charmantes et vraiment tendres ; il
semble
que, sous l’empire d’un sentiment vrai, il se soi
elui qui y est entré était plein de force, de fécondité, d’avenir, et
semblait
encore si plein d’œuvres et de jours. Tout ce que
s incontesté en Europe. Les détails qu’on pourrait donner à cet égard
sembleraient
fabuleux, et ne seraient que vrais. Oui, M. de Ba
aient une réalité après coup ; on copiait avec exactitude ce qui nous
semblait
à nous un rêve d’artiste millionnaire ; on se meu
il savait écouter ; mais, même quand il n’avait pas écouté, quand il
semblait
n’avoir vu que lui et son idée, il sortait ayant
s décrivait, il l’avait vu hier dans le palais d’un prince romain. Il
semblait
pour lui que, d’une capitale à l’autre, d’une vil
tait. On ne peut pas dire pour lui que ce fut là un rêve ; car ce qui
sembla
longtemps le rêve et l’illusion du poète, une fem
i soit la bonne, et qu’il faut la trouver. M. de Balzac, en écrivant,
semble
ignorer ce mot de La Bruyère. Il a des suites d’e
orte maturité et se donnant toute carrière. Il surabonde, il nage, il
semble
en plein dans ses eaux. On n’a jamais plus étalé
ière, qui donne son nom au roman, est une de ces exagérations : il ne
semble
pas que cette pauvre personne qu’on a vue d’abord
lleure idée de la nature humaine que M. de Balzac, et, si quelqu’un a
semblé
la calomnier, ce n’est pas lui certes qui la réha
fice de la civilisation raffinée, telle qu’il l’avait rêvée toujours,
semblait
s’écrouler ; l’Europe un moment, son Europe à lui
Seulement nos personnages, à nous, n’ont rien de créé, même quand ils
semblent
le plus imprévus. Ils sont vrais, ils ont existé
robe, ses pensées ; car je vous demanderai compte de tout cela. Il me
semble
qu’un volume entier de titres ne me ferait pas en
rès ses discours, je me répondis : C’est le droit de chasser. » Il me
semble
qu’on commence à la connaître ; voilà son esprit
d’un tel » (aussi d’une des nombreuses familles) : de sorte qu’il me
semble
que tous les Neuchâtelois sont parents ; et il n’
atement qu’il a pu ; quoiqu’il n’y ait rien à tout cela qui doive lui
sembler
bien imprévu, il se trouble. Elle devait chanter
s, de plus éclatantes, mais aucune qui plaise comme la sienne ; il me
semble
, à voir comme on la regarde, que tous les hommes
’est l’espèce de confiance et même de gaieté qu’elle m’inspire. Il me
semblait
quelquefois, à ce bal, que nous étions d’ancienne
is quelquefois si nous ne nous étions point vus étant enfants ; il me
semblait
qu’elle pensait la même chose que moi, et je m’at
je n’intéresse personne. Avec toi tout avait vie, et sans toi tout me
semble
mort. Il faut que les autres n’aient pas le même
déjà mieux et correspond, pour l’éclairer, à notre mystère : « Il me
semble
que j’ai quelque chose à te dire ; et quand je ve
: elle est trop confuse aussi pour la bien rendre. Quelquefois il me
semble
qu’il ne m’est rien arrivé ; que je n’ai rien à t
u dont je pusse te faire une histoire détaillée ? D’autres fois il me
semble
qu’il m’est arrivé mille choses ; que, si tu avai
atience de m’écouter, j’aurais une immense histoire à te faire. Il me
semble
que je suis changée, que le monde est changé, que
dès qu’il a brillé : « Quoi qu’il puisse m’arriver d’ailleurs, il me
semble
que, si on m’aime beaucoup et que j’aime beaucoup
je ? de cette lumière que j’ai trouvée tout à coup dans mon cœur, qui
semblait
luire exprès pour éclairer le tien. Ne t’y fie po
roy ! Pourquoi ne pas me dire si c’est en mal ou en bien ? Mais il me
semble
que ce doit être en bien, quand j’aurais moi-même
onnu, qui n’eût occupé que l’espace d’une nouvelle ; mais cela eût pu
sembler
bien confiant. Je continue d’y glaner. — Une renc
terribles aussi, pour peu que vous ayez un cœur. Et même quand elles
sembleraient
ne pas venir et quand on ne mourrait pas, n’est-c
te ; c’était un message perpétuel d’une chambre à l’autre ; cela leur
semblait
plus facile que de se lever, étant tous deux très
e étaient pleines d’errata sur les ouvrages qu’elle avait publiés, et
semblait
croire que l’infidélité des imprimeurs l’occupait
d, pour ne pas se commettre près de Henri, l’amant de Joséphine, elle
semble
moins sensible qu’elle ne devrait à la peine de c
léchir longtemps. Qu’il y a là, me disais-je, plus de choses qu’il ne
semble
! combien de résultats et d’observations y passen
’il y ait quelque chose dans quelqu’un 235 Mme de Charrière eut, ce
semble
, une vieillesse assez triste et qui renfermait st
es résultats, que l’essentiel ; enfin, pour les poètes, le symbolisme
semble
lié au vers libre, c’est-à-dire démailloté, et do
pris de l’idée et le dédain du symbole. On en connaît la théorie, qui
semble
culinaire : Prenez une tranche de vie, etc. M. Zo
qui ont l’air de fantômes, sont gonflés de vie, comme ces boules qui
semblent
inertes et qui, chargées d’électricité, vont fulg
i donnent une signification qui le rapprocherait de cet autre mot qui
semble
clair, individualisme ; et il est certain que cel
ù de grands esprits çà et là ouvrent leurs bras comme des oasis, — il
semble
bien qu’il ait augmenté vers l’infini la profonde
eure et qu’on l’interroge, il répond par une parabole dont chaque mot
semble
scandé sur l’enclume, et, pour conclure, il donne
e Christ, avec leurs papes immobiles Et leurs martyrs et leurs héros,
semblent
trembler Au bruit d’un train hautain qui passe su
gnes noirs s’inquiètent de leur nid et qu’un paon, seul comme un roi,
semble
boire superbement l’orgueil mourant d’un crépuscu
de la plus ancienne religion » et songer, encore comme Emerson : « Il
semble
qu’une journée n’a pas été tout entière profane,
ètement de la poésie populaire — cette poésie de si peu d’art qu’elle
semble
incréée — mais il eût été moins discret qu’il n’e
sur un banc Ma jeunesse déjà grave comme une veuve… Cela, c’est, il
semble
, d’un Vigny attendri et consentant à l’humilité d
s-uns des caractères de la prose. Le plus beau vers reste bien, il me
semble
, le vers formé d’un nombre régulier de syllabes p
il lui faut des thèmes étrangers à sa vie, et il en choisit même qui
semblent
étrangers à ses croyances : ses reines n’en sont
ylle eut pour premier épilogue une admirable plainte, Mon âme, il me
semble
que vous êtes un jardin… un jardin où l’on voit,
otre esprit le degré d’être plus ou moins riche en contenu qu’il nous
semble
atteindre, et que, par conséquent, il est légitim
hamps incultes, sur une source comme des oiseaux seuls. « De loin ils
semblent
impénétrables. Dès que j’approche, leurs troncs s
e amertume, s’il voulait sourire pour se défendre et se distraire, il
semble
que toute l’assemblée des poètes protesterait, ét
nuits, des parfums et des seins. C’est vers le théâtre que M. Dumur
semble
avoir orienté définitivement son activité intelle
es et toutes les formes de la vie. Aux uns les mouvements du vulgaire
semblent
négligeables, peut-être parce qu’ils manquent de
imé, vient d’être rendu au public, Mes communions, parues l’an passé,
semblent
les deux livres de M. Eekhoud où ce passionné cri
éduire. Ce fut le public de Balzac ; c’est le public que M. Paul Adam
semble
en train de reconquérir. Le roman de mœurs (je la
et même, çà et là, trop sage. On ne sait rien de sa vie brève ; il ne
semble
avoir eu aucunes relations littéraires, les nombr
elle-ci, pour ces pelletées de mots et ces phrases sous lesquelles il
semble
avoir voulu enterrer la raison elle-même ! c’est
us choque et nous courbe souverainement. » Maldoror (ou Lautréamont)
semble
s’être jugé lui-même en se faisant apostropher ai
lontiers à la poésie. Aucune des pièces authentiques du Reliquaire ne
semble
plus récente que 1873, quoiqu’il ne soit définiti
ne maison publique ; mais ce qui révolte encore davantage c’est qu’il
semble
avoir été une maîtresse jalouse et passionnée : i
quasi diaphanéité, posée, non paresseuse, mais qui n’appréhende plus,
semblerait
avertir, moins exaltée que déjà et indulgemment r
iginal, érudit et délicat, révélateur d’une belle intelligence : cela
semble
la condensation de toute une jeunesse d’étude, de
rivain n’est souvent que la faculté terrible de redire en phrases qui
semblent
belles les éternelles clameurs de la médiocre hum
brasés de lumière ! Le Clos-Vougeot surtout l’éblouissait. Ce vin lui
semblait
être le sirop des grands dignitaires. L’étiquette
es malveillants, accusé devant le public de stupides attentats. Il ne
semble
pas, cependant, que les faits d’amour ou plutôt d
images de nature et d’art ; et même les dernières vues de la science
semblent
lui avoir été familières. C’était le génie orné e
l’éternellement la même chose, Laforgue la redit en tel mode qu’elle
semble
rêvée et avouée pour la première fois3. Et je son
’opération de logique qui s’appelle la dissociation des idées, car il
semble
de justice élémentaire d’évaluer séparément la va
après tout, fut de ne pas vouloir « faire comme tout le monde » et il
semble
qu’elles l’aient assez payé cher, elles — et tout
, plus académique et peut-être plus mondain, car, en France, le génie
semble
toujours un peu ridicule. Verlaine est une nature
principes. Il est presque arrivé déjà à la moitié de son terme, et il
semble
vouloir justifier cette parole que Mme de Staël p
avançant, permettent beaucoup12. La Restauration, au moins au début,
semblait
remplir un des vœux de M. de Barante ; ses liaiso
rs, il est vrai, du cercle régulier de l’histoire, mais si prés qu’il
semblait
qu’il n’y eût qu’un pas à faire pour y rentrer. E
hose d’antérieur et d’enchaîné ! Ce qu’il sait d’hier ou du matin, il
semble
le savoir de toujours14. Un autre esprit, maître
rès et percer si avant, qu’il en tirerait couleur, vie et lumière. Il
semblerait
créer en trouvant. C’est assez indiquer le rôle d
de cette dynastie (les Ducs de Bourgogne de la maison de Valois) m’a
semblé
du plus grand intérêt. J’ai cru trouver ainsi un
ton en 1760, disait : « Froissart est un de mes livres favoris. Il me
semble
étrange que des gens qui achèteraient au poids de
onteurs, Monstrelet, le Religieux de Saint-Denis et bien d’autres. Il
sembla
donc à M. de Barante que, par une construction ar
ms de Granson et de Morat, cette lutte corps à corps dans laquelle il
semblerait
que les Suisses traqués ne faisaient que se défen
enirs. » Ce passage dut plus d’une fois lui revenir en mémoire, ce me
semble
, avec le regret de penser qu’il ne se rapportait
e morale, la disposition religieuse, qu’il a témoignée de tout temps,
semble
même prévaloir en lui avec les années, et rien n’
ir. » 13. Globe, 3 juin 1826. 14. « Ce qu’il a appris le matin, il
semble
le savoir de toute éternité. » Le mot a été dit e
un sentiment de crainte respectueuse en brisant les barrières qui lui
semblaient
posées par une force supérieure, que, n’osant pla
les agents surnaturels qui sont eux-mêmes les auteurs des oeuvres qui
semblent
dépasser les forces de l’homme. Dans Homère, Héph
uer des explications théologiques aux explications psychologiques. Il
semble
naturel de croire que la grâce vient d’en haut ;
est l’enfant lui-même qui fait sa réponse avec la même naïveté. Il me
semble
aussi difficile de comprendre le vrai point de vu
comprends la foi, je l’envie et la regrette peut-être. Mais ce qui me
semble
un monstre dans l’humanité, c’est l’indifférence
s pas, parce qu’il est trop près de nous, mais qui constituera, ce me
semble
, aux yeux de l’avenir, une révolution comparable
ne pouvait être de tout point irréprochable. Car ces institutions qui
semblent
si absurdes ne le sont pas au fond autant qu’elle
établissait le devoir, comme une invention utile. En psychologie, il
semblait
le créateur des résultats les plus nécessaires de
de conscience soit un immense progrès, l’état qui en est résulté a pu
sembler
par quelques faces inférieur à celui qui avait pr
cles. Au lieu de vieilles institutions qui n’avaient pas d’origine et
semblaient
le résultat nécessaire du balancement des choses,
ue, tout bien pesé, la tentative des réformateurs politiques de 89 me
semble
plus hardie, quant à son objet, et surtout plus i
omme fait. Notre politique machinale, nos partis aveugles et égoïstes
sembleront
des monstres d’un autre âge. On n’imaginera plus
Huet se livrait avec ardeur et avec verve à la poésie latine, qui ne
semblait
pas du tout alors une récréation futile ni même u
ble de l’érudition qui l’a toujours possédé, une conséquence qu’il me
semble
qu’on pourrait tirer de là, c’est que M. d’Avranc
tout en s’appliquant à ces diverses choses avec sa passion studieuse,
semble
pourtant s’être un peu douté que ce pouvaient êtr
jeux ; il s’est surtout développé et comme amusé à l’entour, et il ne
semble
pas y avoir pris au vif plus qu’il ne fallait. Au
, et vous soutenez vos opinions avec une impétuosité si grande, qu’il
semble
qu’elles vous deviennent une passion. Cette pass
avec tant de justesse et de goût. Pourtant Huet devait apprécier, ce
semble
, Mme de La Fayette ; c’est pour lui complaire qu’
. Boileau se fâcha de l’air et du ton qu’il prenait quand le goût lui
semblait
en cause. Huet répondit par une lettre assez vert
lui disant, non sans un grain d’ironie : « Monsieur Despréaux, il me
semble
que cela nous regarde encore plus que vous. » Hue
possédait l’Antiquité incomparablement plus que Boileau, qui pouvait
sembler
un ignorant à côté de lui. Mais ce sentiment litt
ent de lire le traité de Huet sur la Faiblesse de l’esprit humain, il
semble
qu’on n’ait qu’à tourner le feuillet pour lire la
ué que ce traité posthume de Huet sur la Faiblesse de l’esprit humain
semble
contredire et démentir sa Démonstration évangéliq
toutes sortes de choses galantes qu’il lui adresse, cette phrase qui
semblerait
bien étrange aujourd’hui : « N’ayant jamais vu vo
sujets, dans le dramatique, à de longues suites de vers pompeux, qui
semblent
forts, élevés, et remplis de grands sentiments ;
en faveur des anciens contre les modernes ; mais ils sont suspects et
semblent
juger en leur propre cause, tant leurs ouvrages s
n trouvée, est celle qui était la plus simple, la plus naturelle, qui
semblait
devoir se présenter d’abord et sans effort. Ceux
ique, il n’exerce que sa mémoire ; il est abstrait, dédaigneux, et il
semble
toujours rire en lui-même de ceux qu’il croit ne
uste, que tout connus qu’ils sont, ils ont le charme de la nouveauté,
semblent
être faits seulement pour l’usage où elles les me
ds hommes en vers et en prose. Marot, par son tour et par son style,
semble
avoir écrit depuis Ronsard : il n’y a guère, entr
et à marquer quelque faiblesse, surtout en un sujet faux, et dont il
semble
que l’on soit la dupe ? Mais sans citer les perso
nforme à son original ; mais plus aussi il sera froid et insipide. Il
semble
que le roman et la comédie pourraient être aussi
ur le dessein entre un si grand nombre de poèmes qu’il a composés. Il
semble
qu’il y ait plus de ressemblance dans ceux de Rac
elles de Racine : Corneille est plus moral ; Racine plus naturel : il
semble
que l’un imite Sophocle, et que l’autre doit plus
igures, de l’usage des grands mots, et de la rondeur des périodes. Il
semble
que la logique est l’art de convaincre de quelque
y a des esprits, si je l’ose dire, inférieurs et subalternes, qui ne
semblent
faits, que pour être le recueil, le registre, ou
poésie subit, à chaque siècle, des interruptions, des coupures, et il
semble
qu’elle ait eu, à plusieurs reprises, à recommenc
rer un recommencement. Dans la première moitié du xvie siècle, Marot
semble
continuer et perfectionner Villon. Il est son dig
de cette mythologie raffinée, alambiquée, mais ingénieuse. Tout cela
semble
promettre une suite ; on pouvait croire que cette
urmentée désormais, cette langue des vers, et souvent des beaux vers,
semblait
vouloir se châtier et se perfectionner sous les s
directement à l’ancienne école française, à Marot, ni à Villon qu’il
semble
ignorer, ni aux vieux poètes épiques, non imprimé
va nous le confirmer en effet. On ne connaît pas Malherbe jeune : il
semble
qu’il n’ait pas eu de jeunesse. Les particularité
ier et l’élève délicat des Anciens ; mais quelques-unes, je l’ai dit,
semblent
bien jeunes et ne sont pas encore d’un maître. En
; elle avait son à-propos heureux et son action vive dans ce qui nous
semble
précisément aujourd’hui des digressions et des ho
se et périlleux hors-d’œuvre : Pindarum quisquís studet æmulari… Il
semblait
d’avance présager l’excès de certains modernes, l
t lui rendre en louanges ce qu’il en recevrait en bienfaits : « Il me
semble
que ce qu’il eût eu de moi valait bien ce que j’e
s de sept syllabes) qui donne à la pensée toute son impulsion, et qui
semble
fait pour sonner la charge ou pour chanter la vic
de nos propres luttes civiles et de nos acharnements pour ce qui nous
semblait
si absolument la bonne cause. Ainsi Malherbe n’en
ieu, il y a eu tant d’éloges, de son temps et depuis, que le célébrer
semble
tout d’abord un lieu commun et une banalité ; mai
e136, Pour te rendre content. Je la vois qui t’appelle137 et qui
semble
te dire : Roi, le plus grand des rois et qui m’es
igueur plus forte qu’en siècle qui nous ait jamais précédés. La chose
semble
mal aisée et l’est à la vérité ; mais puisqu’il l
’insolence, et l’autorité du roi descendue au plus bas du mépris ? Il
semble
qu’il ne se puisse rien dire de plus honteux. Si
qu’il le faut faire. L’espace d’entre le Rhin et les Pyrénées ne lui
semble
pas un champ assez grand pour les fleurs de lys ;
ver. » L’homme sensé, le bon citoyen clairvoyant et ferme, celui qui
semble
avoir connu à l’avance le Testament politique du
leur course plus belle, Depuis qu’elle est ici. Alfred de Musset
semble
s’être inspiré de cette douceur d’harmonie dans s
oppement. C’est ainsi seulement qu’on peut s’expliquer que Balzac ait
semblé
vouloir ridiculiser, en cette rencontre, celui qu
l parla de vous et de vos écrits avec une modération si grande, qu’il
semblait
plutôt proposer des scrupules pour en avoir l’avi
ît plaise ou déplaise à tout le monde, c’est passer des limites où il
semble
que Dieu même ait commandé à sa toute-puissance d
ème en cinq chants (1852). 134. Ceci est moins hyperbolique qu’il ne
semble
. Richelieu, tout à la fin de sa vie, octroiera à
us à un heureux et naturel arrangement ou conflit de syllabes ; elles
semblent
même plutôt en avoir peur. Que du moins elles n’e
enu vieux, sa plus grande peine était dans la privation de ce qui lui
semblait
, comme à La Fontaine, le plus charmant des biens
à la fois ironique, spirituelle et volontaire, est dans les yeux qui
semblent
, à mesure qu’ils observent, renfermer ce qu’ils o
celui de Laclos, dénoncent un aspect inavoué et exact des mœurs ? Il
semble
alors que la société, qui se sent atteinte dans s
parlais tout à l’heure. Je ne le regarde jamais sans émotion ; il me
semble
que j’écoute grincer sur le papier la plume qui é
te certains esprits à rechercher parmi les apparences celles qui leur
semblent
satisfaire le mieux leur désir de beauté. Un pare
négaux, formés de gros pavés, et les façades basses qui la bordent et
semblent
surveiller le rare passant, de leurs fenêtres sou
résence de celui dont un moulage nous montre la main puissante et qui
semble
à peine détendue du formidable labeur de plume qu
, Balzac vous considère. Il est là, lointain, et proche à la fois. Il
semble
que vous n’auriez qu’à briser cette barrière frag
rd ait péri victime d’un guet-apens comme certain l’ont soutenu, cela
semble
peu probable. Sa mort fut le résultat d’une de ce
indiscrétions de la postérité, un certain sentiment de gêne, et il me
semble
que l’admiration, sur ce point, outrepasse quelqu
arde-t-il jusque dans l’immortalité un air de hauteur et de dédain et
semble-t
-il accueillir l’hommage et le geste de la gloire
e, que ces observations ne visent qu’à sauvegarder un principe qui me
semble
excellent et dont les applications imprudentes me
it sa route olympienne dans la lumière dorée qui poudroyait et qui me
semblait
l’envelopper d’une poussière divine … Plus tard,
n, les candidats ne manquent point, mais les plus intéressants, il me
semble
pouvoir le dire, ne me paraissent pas ceux qui br
inconnu une notoriété soudaine et faire de lui un auteur à succès. Il
semble
que le publié, en effet, accorde une réelle valeu
eillage, enguirlandé de roses grimpantes, à la mode du XVIIIe siècle,
semblait
s’ouvrir sur le passé, ce passé de la vieille Fra
et de sonorité, mais, quand leur rumeur héroïque s’est apaisée, il me
semble
y entendre peu à peu une voix mélancolique et ten
nes toscanes, celui qu’il avait gardé de l’Espagne n’était pas, il me
semble
, très enthousiaste. Il avait traversé pourtant ce
es du Valois eurent peut-être plus de puissance sur son esprit que ne
semble
le croire M. Maurice Barrès. Il en goûta pleineme
et dont les larges feuilles, couvertes de la magnifique écriture, me
semblaient
déjà palpiter d’un vent de gloire et d’immortalit
e, un sobre raccourci de pensées et de métaphores.En les écrivant, ne
semble-t
-il pas que Théophile Gautier faisait, à son insu
ersée et Andromède. Je me bornerai à signaler un fait analogue qui me
semble
ajouter Théophile Gautier au nombre des poètes in
s volontiers toute une série d’œuvres et d’écrivains dont la place me
semble
marquée ainsi dans une enceinte réservée qui a dr
gement taillée dans une matière plus ou moins translucide, mais il me
semble
, dans cet oratoire, y voir assemblés côte à côte
tueuses au point de vue de son développement propre ! Ce sentiment me
semble
devoir être inhérent au professorat et en constit
indique. Ils ne le font guère qu’occasionnellement et toujours il m’a
semblé
, avec l’arrière-pensée qu’ils sortent un peu de l
t de brusque qui me rappelle bien le geste et la voix du poète. Il me
semble
encore l’entendre disserter, comme il aimait à le
peu les modernes, et Hugo ne l’enthousiasmait guère, pas plus, il me
semble
bien, que les autres romantiques, encore qu’il le
hlfeld n’avait rien, ni dans l’esprit, ni dans le visage, de ceux qui
semblent
nés pour disparaître trop tôt. Il n’avait ni la m
ique ses méthodes. Il est célèbre. Voici les honneurs, la gloire … Il
semble
y avoir, entre la médecine et la politique, des a
e plaisir des premiers succès, quand des espérances lui font signe et
semblent
l’appeler au bonheur. Puis la voici aux premières
peu de chose, en ce dernier cas, pour qu’elles se démentent de ce qui
semble
leur caractère le plus assuré. La Geneviève Telli
, il savait, dans une pièce, discerner ce qu’elle était de ce qu’elle
semblait
être. Rare et précieuse aptitude ! Le théâtre est
tière, avec son inextricable labyrinthe de canaux et de « calli », ne
semble-t
-elle pas faite pour nous ramener continuellement
mystérieux dont j’ai parlé, à ce sortilège vénitien dont l’emblème me
semble
être cet anneau nuptial et symbolique que le Doge
habilement déguisées. Avec Laurent Evrard, cette opération de dosage
semble
presque impossible à accomplir. Sa formation inte
otion et de pensée qui s’en dégage. Les conteurs et les romanciers me
semblent
se diviser assez bien en deux catégories distinct
’amie disparue dont le souvenir est précieux à mon cœur. Et il me
semblait
la revoir, debout sur les marches de la porte mar
comme l’affirme le vieux proverbe, les livres ont leur « destin », il
semble
bien qu’ils aient aussi leur saison, et le temps
s sur une simple prédilection instinctive. Il y a certains livres qui
semblent
porter en eux l’assurance de leur « destin ». Ils
ences, ses intérêts. Et tout cela est si naturel, si exact qu’il nous
semble
que nous nous souvenions ! Nous voilà à Tours, da
u domaine de Courance avec la tante Félicie, avec des gens qu’il nous
semble
avoir connus, tant la représentation que nous en
oix toujours élégant et discret des réalités. Le voici maintenant qui
semble
se manifester plus librement, car c’est presque a
ses premières esquisses, d’une période relativement éloignée, mais il
semble
bien que ce ne soit que récemment que M. Barrès a
irigeables et les aéroplanes évoluer avec aisance au ciel conquis, il
semble
que nous puissions considérer comme enfin réalisé
de forces occultes et mystérieuses. Leconte de Lisle s’était tu ; il
semblait
embarrassé. Enfin, il laissa tomber son monocle.
alors que le maître de la maison, voyant que la personne en question
semblait
dépitée de ce refus, fit remarquer à son hôte que
rmer, c’est l’entière bonne foi du grand poète. Je dois dire qu’il ne
semblait
pas avoir conservé un très agréable souvenir de s
illeur emploi à ses qualités de bravoure, d’audace et d’ironie, et ne
semble-t
-il pas un peu que, comme ce cheval pommelé qu’il
ns aboutit à la conception toute intellectuelle de Le Nôtre, et il me
semble
préférable de renvoyer le lecteur, sur tous ces p
ucien Corpechot de cet homme admirable et singulier, dont le nom même
semble
dire combien il fut l’expression profonde d’un se
et douce sous la perruque poudrée à catogan. Aussi, à le considérer,
semble-t
-il assez improbable que ce brave officier ait été
ras tendu, frémissant et flamboyant comme s’il eût secoué une torche,
semblait
vouloir chercher jusqu’au fond des tribunes des a
ans le naturel, il a trouvé des tons tout à fait aimables. Mais il me
semble
s’être tout à fait mépris lorsqu’en finissant il
r. Je saurais bien que dire là-dessus tout comme un autre, mais il me
semble
que ce n’est vraiment pas le lieu, et que, même à
e même de leurs vocations et de leurs destinées, cette vue ingénieuse
semblait
terminer à souhait un discours constamment applau
st demandé comment il se faisait que M. de Tocqueville et lui, qui ne
semblaient
aujourd’hui, et dans ce raccourci de conciliation
e de l’expérience devrait être de savoir distinguer, dans des cas qui
sembleront
toujours différents, ce qu’il y a au fond de semb
quels il est possible de reconnaître les hommes de premier ordre est,
semble-t
-il, un certain sceau d’uniformité dont toutes leu
ur d’une même déformation, et les montre atteints d’une même tare. Il
semble
que les procédés de la connaissance soient les mê
pinions qu’exigent leur profession, leur fortune et leur monde, et il
semble
bien que les uns et les autres seraient fort empê
ce, une même inconsistance, une même absence de réaction individuelle
semblent
les destiner à obéir à la suggestion du milieu ex
timement unies que l’on ne saurait dire laquelle engendré l’autre. Il
semble
en effet parfois que la fausse conception qu’elle
pée qu’elle s’est faite de la passion. Mais on d’autres occasions, il
semble
au contraire que la haine des réalités soit, au l
actes aboutissent. De ce point de vue, les diverses circonstances qui
semblent
déterminer Mme Bovary à se concevoir autre qu’ell
n volontaire et tragique qui marque sa puissance et sa frénésie, il a
semblé
que Mme Bovary symbolisait, mieux qu’aucun autre
relief pathologique dans tout le cours de son œuvre. Avec elle, il a
semblé
que le phénomène apparaissait sous son aspect le
us universel et que, sous le jeu des mobiles et des circonstances qui
semblent
le déterminer, il révélait une source d’activité
e qui permet aux hommes de prendre le change sur eux-mêmes et parfois
semble
les y contraindre. Lorsqu’il a composé avec La Te
nité de l’affirmation et toujours l’éternelle misère de tout ». Et il
semble
, en effet, que, transportant dans la philosophie
a perspective s’éloigne après chaque effort fait pour l’atteindre. Il
semble
qu’il ait voulu nous faire toucher la disproporti
ouvert par l’antiquité pour n’avoir pas besoin de se justifier. Il me
semble
donc que M. de Tocqueville s’est privé d’une gran
ois déshéritées, a pu juger par lui-même quels biens il a conquis. Il
semble
n’avoir aperçu dans l’égalité qu’une augmentation
à ses dernières conséquences, s’indigne d’autant plus de tout ce qui
semble
faire résistance à ses théories. Aussi voyons-nou
cependant s’il faut dire : « La doctrine de l’intérêt bien entendu me
semble
la mieux appropriée aux besoins des hommes de not
ux, et se contenter d’affirmer qu’il rapporte autant qu’il coûte ? Il
semble
qu’ici l’auteur laisse un peu trop paraître son d
apables d’entendre parler de la vertu d’une manière désintéressée. Il
semble
même qu’il n’est pas ici entièrement fidèle à sa
dans le doute, et son esprit, curieux surtout des choses politiques,
semble
avoir mis en réserve les vérités révélées pour s’
e de ses pensées les plus persistantes et les plus invétérées. Il lui
semblait
que plus l’homme s’accorde de liberté sur la terr
les vertus publiques ? De telle sorte que la grande société nationale
semble
plus corrompue, plus lâche, plus infirme dans le
! Vous touchez à ce sujet en plus d’un endroit, jamais à fond, ce me
semble
. Il mériterait, suivant moi, d’être traité à part
ns et les différentes conditions des hommes. Cette grande question me
semble
digne de votre esprit, et celui-ci capable de la
ui permettait-elle pas de le sonder dans toute sa profondeur. Il nous
semble
que M. de Tocqueville pose la question en termes
discours si remarquable du 27 janvier 1848. 9. Lui-même, à son insu,
semble
avoir donné raison à quelques-uns des griefs du s
grand poëte, trop négligé en France, même au dix-septième siècle. Il
semble
, en effet, qu’alors l’Écriture sainte, associée,
des, comme des chanteurs de vers épiques recousus : expression qui
semble
amener le nom de Rapsodes, en même temps que la p
ubli d’un homme de goût marquait bien le déclin commencé du style. Il
semble
qu’aujourd’hui on se ferait un point d’honneur to
e du poëte français, banni maintenant comme l’exilé de Crète, il nous
semble
qu’en prose du moins, l’essai le plus naturel ser
et, même dans le grand siècle qui venait de finir, un seul homme nous
semblerait
avoir réuni en soi de tels dons et en offrir l’id
de Théocrite sur les noces infidèles de Ménélas et d’Hélène, Bossuet
semble
plus épris encore de cette concise et poétique ph
ent aux deux poëtes et leur reviennent d’un attrait si vif que ce qui
semblerait
parfois image vulgaire brille toujours nouveau so
agment, que tous les traducteurs ont négligé, confirme ce souvenir et
semble
le salut d’entrée du génie venant frapper à la po
signés parfois comme le dépôt d’antiques et saintes vérités ? Pindare
semblait
en juger ainsi, dans ces deux vers qu’a conservés
at dans Lacédémone, des rois dans la Sicile et dans la Cyrénaïque, et
semblait
en tout opposée au génie démocratique de la brill
fugitif qui repasse la mer dans une barque, avec un carquois vide, il
semble
plutôt un conseiller qu’un flatteur de la cité tr
noms obscurs jette une gloire corrompue21. » Sa complaisance de cœur
semble
être pour l’île d’Égine, la conquête et l’auxilia
discipline des cités, dans la patrie de l’impétueux Achille : tant il
semble
surtout vouloir armer les hommes contre ce géant
l’attention de la critique que celui de M. Gabriel Sarrazin. Mais il
semble
que, de plus en plus, sauf en de rares périodique
tendant la naissance de son fils, éloigne les visages humains qui lui
semblent
insincères et grimaçants, et ne trouve de consola
du Tsar vice-roi d’Asie et maître de 200 millions d’hommes. Son rêve
semble
enfin être réalisé. Il domine un monde qu’il gouv
’ai abordée, si elle se rattache par certains côtés à ce concours, me
semble
toutefois beaucoup plus profonde, beaucoup plus s
résente et permettent de poser le problème de la poétique comme il me
semble
possible de le poser. M. Sully Prudhomme dit en e
ur variation, aussi lente que celle de l’espèce et de la race, ne lui
semble
pas affecter notre littérature poétique. » M. Su
nous a donné un très beau poème : Éternité 3 ; M. Maurice Magre, qui
semblait
promettre plus qu’il n’a jusqu’ici tenu, avait dé
spose, mais j’espère pouvoir leur conserver toute leur netteté. Il me
semble
qu’il est psychologiquement faux de prétendre qu’
li de la sorte. Ce que nous trouvons aujourd’hui légitime et agréable
semblait
odieux et barbare aux « honnêtes gens » du xviie
la Révolution française, la société entière est en fermentation. Elle
semble
grosse d’une pensée encore inconnue : de quoi acc
finitive l’abîme qui sépare l’homme moderne de l’homme antique, et ne
semblent
avoir eu la sensation du mystère nouveau qu’est d
à laquelle on aboutit, et tout en admirant la pensée de l’auteur, qui
semble
en poésie neuve, ingénieuse ou profonde, on s’att
rdera du moins l’avenir. * * * Telles sont les réflexions qu’il m’a
semblé
utile de présenter ici. Je sais bien qu’il ne fau
er. Mes habitudes intellectuelles m’éloignent des problèmes qui ne me
semblent
pas nettement posés. Comment discuter sur le vers
ples et les objections viennent en foule à mon esprit. Le problème me
semble
même si vaste qu’il me paraît impossible de le tr
mouvement rythmique (mais est-ce là le prétendu « vers libre ? ») me
semble
, parmi beaucoup d’autres, une forme très souple d
lphe Lacuzon vient de publier aux « Colloques » quelques pages qui me
semblent
décisives, en expliquant pourquoi, en son nom et
n action aboutit à créer des personnages de pensée et de rêve, et qui
semble
antérieur à l’intelligence proprement dite et à l
ites. Ce sont si peu là des imaginations en l’air, et cette hypothèse
semble
si bien être la plus admissible de toutes, que no
peut pas être quelque chose d’étendu, mais la réalité même de ce qui
semble
reposer sur l’étendue, comme ce que nous appelons
me de l’âme, et les idées ou images accessoires qui le vêtent ne nous
semblent
sublimes que parce qu’on sent confusément qu’elle
d’une érudition sûre et discrète, indiquait les tempéraments qui lui
semblaient
devoir être apportés à certaines règles de la poé
de M. Catulle Mendès dans son rapport sur les lettres françaises, me
semblent
s’inspirer de la raison même. Quand on aura accep
ication claire de ce mode d’expression nouveau que des œuvres futures
semblent
devoir préciser et qu’une conception profonde de
s, pourvu que cette forme ne soit ni bizarre ni médiocre. Ce qui doit
sembler
surtout désirable, c’est de chercher à établir de
gélienne, à un point de vue supérieur, la conciliation des contraires
semble
toute naturelle. Ce n’est plus éclectisme, jeu d’
thode qui consiste non à opposer systématiquement, mais à comprendre,
semble
devoir être de plus en plus celle de l’avenir. Un
alors en vigueur. Ce terme de classe même sent la gêne et l’école, et
semble
ne pas appeler la poésie. « Le goût et la raison,
outefois que l’Ordonnance du 21 mars 1816, contresignée Vaublanc, qui
semblait
restaurer dans son principe et dans son intégrité
uvre, s’inquiètent, s’effrayent des projets de la secte naissante, et
semblent
demander qu’on les rassure, L’Académie française
assez178 pour être témoin de l’élection de Lamartine (1829), qui, ne
semblât
-elle qu’une exception glorieuse, ne laissait pas
n. C’était un charme alors d’ouïr cette voix harmonieuse et dorée qui
semblait
celle de la sirène : c’est plaisir encore aujourd
par de justes réserves, mais l’inspiration nouvelle reste libre : on
semble
lui faire appel et la désirer. Sous M. Villemain,
a supporté la république de 1848 ; mais le dernier et présent régime
semble
avoir été jusqu’ici pour elle plus difficile à ép
i ne put être prononcé. En cela encore, il fut précurseur. L’Académie
semble
s’être ressouvenue plus d’une fois de cet exemple
mplissait les conditions demandées, mais à cause de ce nom masqué qui
semblait
une armure de guerre. La question était devenue t
3), lorsqu’il s’est agi de remplacer M. Biot. L’élection de M. Littré
semblait
chose convenue et assurée : les académiciens des
ns les élections diverses qui se sont succédé depuis quelques années,
semblent
faits et ménagés de telle manière qu’ils ne satis
Il faut qu’une porte soit ouverte ou fermée » est un proverbe qui ne
semble
pas à l’usage de l’Académie. Ce n’est pas faire l
s les raisons se produisent. Or, depuis trente ans, l’Académie a trop
semblé
réserver son opinion sur toute chose littéraire,
’Académie, au lieu de soutenir et de favoriser un genre faible et qui
semble
usé, de provoquer d’utiles travaux d’un intérêt a
. Servières appelle « la vieille garde » contemplent leur victime, et
semblent
dire au public : « Vois comme nous te sommes supé
ant tu es forcé d’être de notre avis ». Un entrepreneur de traduction
semble
même avoir pris à tâche de déformer la poésie wag
à convertir le public. L’adoption des « motifs conducteurs » n’a pas,
semble-t
-il jusqu’ici, porté bonheur à la jeune école mode
le triomphe des œuvres du maître aurait dû suffire à sa gloire, et où
semblait
se clore l’ère des vaines polémiques quelques par
d’essayer de la comprendre. Par le plus grand des bonheurs, le public
semble
aimer à présent la musique de ce maître ; il sera
obée avec autant de soin que l’impression lumineuse lui est fixée. Il
semble
que notre organisme perd pied, pour ainsi dire, d
une tension directe de toutes les facultés esthétiques, et le silence
semble
plus absorbant encore autour de ces sonorités sur
ologique, c’est-à-dire par la sonorité expressive du mot et du motif,
semble
nous pénétrer et se perdre en nous, notre moi, pa
eur angulaire et en la jugeant d’après la distance à laquelle il nous
semble
placé. Remarquons en passant que ce rapport de la
lle, et, comme nous les voyons dans leurs dimensions vraies, ils nous
semblent
plus grands qu’ils ne devraient être. Comment se
tendent a lieu plus tôt ; l’horizon s’approche, c’est-à-dire que tout
semble
s’approcher de lui, et cependant les dimensions d
que les personnages aient rien perdu de leurs dimensions, bien qu’ils
semblent
devoir paraître plus petits. Toutes ces illusions
x tableaux du Gral. Néanmoins, de partout l’effet est produit. Wagner
semble
avoir pensé que la meilleure manière de se compos
le motif du Gral, né aux plus sereines hauteurs de l’instrumentation,
semble
descendre vers nous par degrés, avec le vol des a
ons en un panthéisme gigantesque et radieux. Ah ! comme ces gens nous
semblent
fades et puérils, avec leurs petits sadismes, leu
t à se passionner pour des Édens charnels, quand la matière divinisée
semble
reconquérir des croyants et à l’aube, semble-t-il
and la matière divinisée semble reconquérir des croyants et à l’aube,
semble-t
-il, d’une renaissance païenne. Dans l’étreinte u
plus particulièrement sur les pensées de cet écrivain, parce qu’il me
semble
étrangement original et que son œuvre a eu déjà u
cte d’expansion, glace les paroxysmes, anéantit les enthousiasmes. Il
semble
que, des génies qui nous ont précédé, nous ayons
gique et d’un certain à-propos. Mais les personnes qui l’entreprirent
semblèrent
ignorer que l’organisme intellectuel se transform
que nous ne devons point sacrifier. Ainsi la Renaissance païenne qui
semble
devoir fleurir, sera dotée malgré nos vœux d’une
es insexuées et brouillées des crépuscules, lorsque toutes les formes
semblent
se fondre et toutes les âmes s’unir pour un canti
ssaient ces exégètes qui sous un mot, une tournure de phrase démodée,
semblaient
percevoir des successions d’événements, de causes
mes passées, présentes et futures de sa changeante Statue. M. L. Il
semble
qu’il y ait des dynasties intellectuelles, où l’o
ès n’apporte pas en littérature une forme nouvelle. Dans le roman, il
semblerait
qu’il méconnut les conceptions de Flaubert, des G
méthode éthique, qu’il emprunta à Loyola, et sa manière d’ironie, qui
semble
dérobée à Saint-Simon, ne manquèrent de séduire q
eut-être qui eut le plus d’extension et qui, à cause de cela même, me
semble
justement condamnée. « On attache beaucoup trop d
servie, des fleurs comme attentives, proportionnées à ses désirs, qui
semblaient
lui offrir amoureusement les douceurs des saveurs
ima d’abord de sa psychologie toutes les formes d’alentour, et il lui
sembla
charmant d’exprimer toute la nature par la grâce
evenait un genre périmé, l’art de reconstitution était passé de mode,
semblait
surtout piteux devant les magnifiques théories de
t passionné. Mais c’est en vain qu’il regarde autour de lui. Tout lui
semble
anormal, dégradé, factice. Rien n’est que désordr
nt chauves et rases, où végète un gazon bistre. Des moulins, au loin,
semblent
d’énormes araignées. Les hommes ont déserté cette
dominant de sa statue, voici la Mort, atroce et grandiose figure qui
semble
résumer l’horreur entière de cette contrée pestil
-ce une hallucination nouvelle ? — de rares et fantomatiques villages
semblent
avoir survécu. Sont-ils réels ou sont-ce des song
que clocher croule dans l’incendie ; le blanc cordier visionnaire qui
semble
attirer à lui les horizons, et enfin, vision maca
sont les Villes Tentaculaires qui, pareilles à de colossales pieuvres
semblent
s’être gorgées du sang de toute la terre. Les usi
es aspects humains — de deux civilisations différentes. Laforgue, qui
semble
émigrer des bords du Gange, souffre du fatalisme
e Charpentier. Malgré qu’il la désire, qu’il l’aime passionnément, il
semble
qu’il persiste entre elle et lui comme un voile,
strophes à l’étiquette, que rigide et rébarbatif, M. Henri de Régnier
semble
conduire à la parade. * * * Après tant de philo
rmurent des futilités ou énoncent de savantes propositions, tout cela
semble
sourdre d’un tempérament unique et animé d’une an
lte, les fous sourires, les roses candeurs et les fougueux élans dont
semblent
tressaillir ses frères d’âge. On dirait qu’il les
à dans l’Annonciation, et qui fut instaurée d’une manière définitive,
semble-t
-il dans, sa Vie Héroïque, eut l’admirable résulta
hélier ne s’est pas limité à ce strict impressionnisme littéraire, où
semblent
se complaire les jeunes hommes actuels. Pour lui,
avaient été observées sous le jour d’une présomption défavorable. Il
semblait
alors que l’intervention néfaste de ce pouvoir dé
main d’atteindre un état de certitude, de perfection et de repos, qui
semblait
devoir être le but de tout effort et dans lequel
repos, qui semblait devoir être le but de tout effort et dans lequel
semblaient
devoir se résoudre, en une harmonie bienheureuse,
de l’existence phénoménale. Cet état que l’on convoitait et qui seul
semblait
digne de susciter et d’orienter l’aspiration huma
. L’œil, du haut du portique, ne mesurait pas le fond du ravin, et il
semblait
, par suite de l’inclinaison des talus, qu’un abîm
6, et où il avait lui-même administré le baptême. Il y recueillit, ce
semble
, quelques consolations, surtout à Jéricho. Cette
quoiqu’on lui enjoignit de se taire. Le cycle des miracles galiléens
sembla
un moment se rouvrir dans ce pays, que beaucoup d
int à son séjour chéri de Béthanie, où se passa un fait singulier qui
semble
avoir eu sur la fin de sa vie des conséquences dé
’en douter à l’acte important qu’on désirait. Jésus y était adoré. Il
semble
que Lazare était malade, et que ce fut même sur u
i chaque jour devenait plus exigeant, plus difficile à soutenir. Tout
semble
faire croire, en effet, que le miracle de Béthani
., XIX, 1 ; Marc, X, 1. Ce voyage est connu des synoptiques. Mais ils
semblent
croire que Jésus le fit en venant de Galilée à Jé
tions que dire précisément ceux sur qui tombe ici mon reproche. Il me
semble
toutefois qu’une société qui de fait n’encourage
ndra la première place dans les affaires humaines. Il ne faut pas, ce
semble
, prendre trop au sérieux ces déclamations devenue
tent eux-mêmes à la fatale nécessité du siècle. Presque tous en effet
semblent
assez disposés à dire en finissant : Oh ! le bon
s instruit ni plus moral. La science du bonhomme Richard m’a toujours
semblé
une assez mauvaise science. Quoi ! un homme qui r
s doute l’absence de la grande originalité et le peu d’initiative que
semble
révéler l’esprit humain, à mesure qu’il s’enfonce
rte que celle du christianisme primitif apparaissant de nos jours. Il
semble
au premier coup d’œil qu’elle n’aurait aucune cha
dire : « Bien des fois déjà on l’a crue morte ; la pierre du tombeau
semblait
à jamais scellée, et, le troisième jour, elle est
. 51. La libation est de tous les usages de l’antiquité celui qui me
semble
le plus religieux et le plus poétique : sacrifice
solennel le lieu d’où il cause si familièrement et si à son aise. Il
semble
avoir pris tout aussitôt pour devise ce mot de Va
ui qu’on se flatte d’avoir aboli les distinctions de naissance, il me
semble
que les fils de personnages considérables, que le
les s’accordent si bien avec celles de Fénelon : Le grand art, ce me
semble
, est de passer du familier à l’héroïque, et de de
tique, à ce degré, est devenue une magistrature, et ses arrêts ont pu
sembler
à quelques-uns une religion. Même dans la décaden
e : pourtant, en un ou deux cas, elle dirige, elle guide aussi ; elle
semble
recouvrer son antique autorité. Boileau devance R
du jour, aux contemporains, à nous-mêmes, et je dirais : La critique
semble
, au premier coup d’œil, avoir fait beaucoup de pr
ucoup de progrès, en avoir fait autant que l’art en a fait peu ; elle
semble
avoir gagné ce que l’autre a perdu. Pourtant ne n
s fait sentir, en se jouant, le creux et le faux. Si ces auteurs, qui
semblent
avoir été mis au monde tout exprès pour lui procu
e, et, partant, comprend deux moments, le premier, illusoire, où elle
semble
la chose elle-même ; le second, rectificateur, où
rouble, qui part d’une idée et dure à travers une série d’idées, nous
semble
interne comme les idées, si les désirs et les vol
vons décrit et expliqué, d’un côté, l’image qui constitue un souvenir
semble
projetée en arrière et recule au-delà des sensati
lles ; et, de l’autre côté, la même image, se situant avec précision,
semble
se souder par son extrémité postérieure à l’extré
ie, qui, par conséquent, dure et subsiste, qui, à cause de cela, nous
semble
d’importance supérieure et qui se rattache, comme
e langage ; nous oublions que sa permanence est apparente ; que, s’il
semble
fixe, c’est qu’il est incessamment répété ; qu’en
ont ainsi contraste avec les événements qui sont transitoires, et ils
semblent
la portion essentielle de l’homme. À ce titre, le
es détails imaginaires, faisant corps avec le souvenir, finissent par
sembler
des souvenirs comme lui. La plupart des légendes,
t haut la beauté de l’œuvre ; je tourne les pages, et les paysages me
semblent
de plus en plus mauvais, et tout d’un coup je me
e elles sont repoussées hors de notre superficie nerveuse, elles nous
semblent
détachées de nous ; par cette aliénation, le son
r métaphore, faute d’un meilleur ; la voix n’a pas de timbre, elle ne
semble
point partir du dehors comme à l’ordinaire ; les
nt, au bout de quelque temps, elle cessa d’être simplement mentale et
sembla
proférée par un gosier corporel, avec un timbre e
rouve affirmative ; et le roman, qui d’abord avait été déclaré roman,
semble
une histoire vraie. — Ainsi notre idée de notre p
contre la fin de son antagoniste, d’où il arrive que l’image refoulée
semble
soudée par sa fin au commencement de l’image ou s
r des changements, le seul en qui les sensations que je m’attribue me
semblent
situées. Tout ce groupe d’idées vraies et de souv
nique, mais diversement, sans impulsion extérieure, vers un terme qui
semble
un but, comme se meut et se dirige le nôtre, ce q
éléments présentent un caractère constant qui, étant toujours répété,
semble
persistant, à savoir la particularité d’être un d
une éclipse de telle grandeur. Ici, comme dans le souvenir, une image
semble
projetée hors du présent ; seulement, au lieu d’ê
ite tortue ronde. — Le mouvement, en apparence spontané, surtout s’il
semble
avoir un but, suggère toujours l’idée d’une volon
iabilité est en connexion partielle avec l’excès de nourriture. Il me
semble
encore évident que les êtres organisés doivent êt
certaines conditions déterminées sont affectés de la même manière, il
semble
d’abord que le changement soit directement dû à l
nimal étant plus rarement alarmé par quelque danger, et cette opinion
semble
très probable. Un assez grand nombre de lois gouv
urs accompagnés d’une tête allongée. Quelques exemples de corrélation
semblent
purement capricieux : ainsi les Chats blancs avec
utres en structure et en constitution. Leur organisation tout entière
semble
être devenue plastique, et tend à s’éloigner au m
ment en quelques occasions aux caractères de leurs ancêtres, il ne me
semble
pas improbable que, si nous pouvions réussir à na
de faits serait plus exactement et plus généralement vrai qu’il ne me
semble
l’être en réalité, que prouverait-il, sinon que q
itement identiques, ainsi que je l’ai vu pour les Pigeons. Les choses
semblent
donc assez simples jusque-là ; mais lorsque ces m
s, et qu’elles soient néanmoins inconnues aux ornithologistes, ce qui
semble
fort improbable, si l’on considère leur taille, l
tant d’espèces, ayant des habitudes semblables à celles du Biset, me
semble
donc une supposition bien hardie. De plus, les di
parfaitement fécondes à l’état de réclusion. Un autre argument qui me
semble
de grand poids, et qui peut s’appliquer à plusieu
es, et quelques races semi-domestiques, ainsi que quelques autres qui
semblent
de pures races sauvages, ont, en outre des deux b
ujourd’hui, puissent produire des hybrides féconds entre eux, cela me
semble
d’une hardiesse extrême. Je me résume : il y aura
au sujet de ce que les éleveurs ont fait à l’égard des Moutons : « Il
semblerait
qu’ils aient esquissé une forme parfaite, et qu’i
ler diverses races de ces animaux ; mais il faut dire aussi que l’Oie
semble
avoir une organisation singulièrement fixe58. IX
es croisements produisant l’affolement de la race dont la variabilité
semble
devenir ensuite presque indéfinie. Or, sous ce ra
e. Or, sous ce rapport, la grande variabilité des Pigeons domestiques
semblerait
appuyer l’opinion qu’ils ne descendent pas d’une
pas l’héritage transmis par une ancienne souche sauvage, c’est qu’ils
sembleraient
devoir être plutôt nuisibles qu’utiles à des oise
tre par les caprices de la sélection sexuelle, caractères qui parfois
semblent
, en une certaine mesure, mal adaptés, sinon compl
loire sur cette toile tendue, dans ce champ de bataille éteint, où il
semblait
qu’on finissait par entendre germer le bruit d’un
ndes loupes carrées, que le mari et la femme tiennent en main, et qui
semblent
, par moments, avoir les lueurs fantastiques des l
u’on réagisse contre ces états d’avachissement et de paresse, qui lui
semblent
le signe des siècles descendant la pente d’une ci
de ma chambre à coucher est jeté le fichu de ma maîtresse. L’heure me
semble
voilée de dentelle. Samedi 12 mars Nous por
’enrichissant, deviennent olivâtres. Ils prennent un ton de métal. Il
semble
qu’ils aient, sous une peau de bilieux, le reflet
ts si délicatement découpés, d’un dessin si caressé et si net, qu’ils
semblent
comme ciselés aux paupières ; une tête qui a la f
’alcôve, et le dessous de l’œil tout enveloppé de nuit : des yeux qui
semblent
les yeux du Soir. 18 mai Henri Monnier tomb
mai C’est après le dîner que l’homme a le plus d’idées. L’estomac
semble
dégager la pensée, comme ces plantes qui suent in
dans de la terre de pipe ; j’aime ces contrastes. — À la campagne il
semble
que le matin, il y ait de l’air neuf. 4 juin
rivière lucide. J’adore ces plantes, ces fleurs aquatiques. L’eau me
semble
rouler la flore de l’Orient et l’Orient même. Le
te s’est mariée, hier. Elle a mené les bêtes aux champs, le matin. Il
semble
qu’ici, pour les paysans, il y ait moins de solen
n aux choses d’amour. Rien du manège coquet, excitant de la femme. Il
semble
qu’en sortant de la chambre de son amant, elle y
e dentelle noire, étroit comme un loup, et finissant au sourire qu’il
semble
chatouiller, en laissant le haut du visage dans u
de Janin, moitié à une villa que j’ai vue, je ne sais plus où. Il me
semblait
qu’il y avait eu une grande bataille aux environs
uis l’attache du fruit jusqu’à l’enveloppe, charme l’œil ! Dieu ne me
semble
avoir fait à la main, et avec un caprice d’artist
ne touffe d’herbe. — Près de l’étang, des silhouettes d’arbres, qu’on
semble
entrevoir à travers la buée d’un carreau. — Comme
Plaisir de Paris. Un caveau bas et étouffant à deux arceaux, où il me
semble
voir, en bonnets et en casquettes, une population
nquante ans, que celle qui marche sur notre tête. C’est du peuple qui
semble
avoir appris, tout à l’heure, la victoire d’Auste
que nous entendons. Il y a eu le monde des sots au moyen âge, il nous
semble
vivre dans le monde des gogos et des abonnés… Il
de d’Osmoy… À l’affût dans le parc. Les arbres roux, dans un ciel qui
semble
coloré de la chaude fumée d’un incendie, et la li
! ” » Voici deux faits qui sont le jugement du haut et du bas, ça me
semble
décider la question. Interrogé sur les hommes du
Elle a la tête penchée sur l’épaule, avec un mouvement de fatigue qui
semble
coucher sur un oreiller la découpure aiguë de son
avais substitué la phrase qu’il lisait à l’Impératrice. L’Impératrice
semblait
blessée que nous fassions revivre le nom de l’Emp
à Naples. Là, il essaye de refaire de l’aquarelle. Les lignes ne lui
semblent
pas avoir d’assiette. Il remonte alors toute l’It
sur un divan, en disant : « Au fond, rien ne m’intéresse plus… il me
semble
que je ne suis plus un contemporain… je suis tout
evet d’un malade. C’est aujourd’hui l’enterreur officiel. Sa présence
semble
précipiter les décès. Je me rappelle Murger, Sain
sation agréable dans les joues ! Il ajoute que dans la colère, il lui
semble
avoir un grand vide dans la poitrine, dans l’esto
ette, un petit cours d’esthétique, qui, tout en s’adressant à moi, me
semble
l’historique des évolutions de son esprit. « Vous
able de tout le bas du visage, et tout ce qui sort maintenant de lui,
semble
être arraché, par de la volonté douloureuse, à l’
une menace de rhumatisme articulaire. Jamais les hommes de lettres ne
semblent
nés plus morts, qu’en notre temps, et jamais cepe
ion, à être à tout jamais dépouillé de son moi. En l’entendant, il me
semblait
écouter mes pensées de tous les jours. Ah ! la be
t, et ce qu’il dit, de sa voix assoupie, avec des ébauches de gestes,
semble
le langage de son ombre — qui se souviendrait. Au
. Et, à ce moment, les choses que vous lui dites, pour arriver à lui,
semblent
parcourir des distances immenses. Une phrase sur
s allemands, que c’est nous qui les avons battus, tant les vainqueurs
semblent
avoir gardé, comme la rancune d’une défaite. M
célébré par une jeune humanité. Mercredi 7 août La femme, ici,
semble
de la femme fabriquée à la pacotille, une créatur
nté à l’adoration des fidèles. Cette bijouterie de la relique ne vous
semble-t
-elle pas la plus abominable profanation de la mor
le haut sommet, jouissant de ma solitude, dans ce lieu foudroyé, qui
semble
l’endroit affectionné de l’orage, toutes les fois
’est pas un château, c’est un magasin de curiosités, dont les maîtres
semblent
les conservateurs. Au milieu de cette bibelotteri
le poète, et non l’auteur de Mademoiselle de Maupin. Pour moi, il me
semble
, que mon cadavre aurait horreur d’avoir derrière
ux caves. Et cette lampe allumée, et ces petits morceaux de cire, qui
semblent
, en leur boîte à cigare, de petits morceaux de ch
onction et de son charme, essayèrent de lui ôter de son autorité. Il
semble
, en plusieurs de ses sermons, y avoir songé et y
s ministres des saints autels : le monde, si indulgent pour lui-même,
semble
n’avoir conservé de sévérité qu’à leur égard, et
ut ce qui nous environne des chagrins secrets qui nous déchirent ; il
semble
qu’on fait un crime au reste des hommes de l’impu
à soi-même, et l’on met l’humeur à la place des plaisirs. Certes, il
semble
qu’il avait souffert et tout connu, celui qui a é
sentir dans tout ce qu’il y avait d’âmes restées encore honnêtes. Il
semblait
que, Louis XIV ayant abusé de sa méthode de régne
Massillon, comme Fénelon lui-même, poussait un peu à la chimère ; il
semblait
croire à cet amour de nourrice que les peuples n’
es pas de mes ennemis ! » Il peut se tromper et il se trompe, mais il
semble
du moins deviner en lui une âme plus facile que n
dre. Les Sermons de Massillon n’étant pas imprimés de son vivant, il
semble
qu’il y ait ici un anachronisme : mais il se pouv
it une procession le 5 janvier 1595, à laquelle il assista. Le peuple
semblait
vouloir le dédommager et le venger de l’attentat
pareille de Cromwell ; mais dans la bouche de Henri IV le mot, ce me
semble
, a encore plus de poids. 13. [NdA] La tendre lia
qu’on ne connaît pas le prix du temps. » Cette pensée de Vauvenargues
semble
avoir été la règle de conduite de Pline. Il lisai
rs ; ce sont surtout des explications vagues. Mais dès l’abord, ce me
semble
, on ne laisse pas de reconnaître en Pline un homm
llait, lui amiral, général d’armée, de se livrer à ces recherches qui
semblaient
parfois minutieuses et frivoles, de s’en aller de
e chez eux, des idées morales s’y mêlent et relèvent vite ce qui a pu
sembler
de pure rhétorique. Comparant sur ce globe la ché
a terre par rapport à celle de l’Océan et des mers (disproportion qui
semblera
encore évidente aujourd’hui malgré la découverte
l’Homme, commence par un tableau énergique, éloquent et sombre, où il
semble
se ressouvenir des couleurs du poète Lucrèce, et
is je parle d’une vigueur qui lui était propre, et d’une rapidité qui
semblait
de feu. Et après quelques détails connus, il ajo
sophie… Le jugement de Buffon est extrêmement favorable à Pline ; il
semble
que le grand écrivain ait eu pour lui de la recon
iennent d’hommes spéciaux dans les sciences, ils sont sévères jusqu’à
sembler
durs. Je m’incline ; ces maîtres compétents ont s
ut, et il se fait honneur de l’être. Il y a telle lettre de lui où il
semblerait
à demi chrétien par la morale. Mais, dans son pro
n’est toute la musique. L’orgue n’est pas le violon… » « Il nous a
semblé
qu’il serait d’un intérêt certain pour l’histoire
religion de la Bonté. Et puis… c’est le grand Pan qui chante. Sa Lyre
semble
embrasée de toutes les lueurs du monde. Elle ne r
— mais il a négligé la beauté si humaine de son temps. Baudelairea me
semble
monocorde. Verlaine est demeuré un poète mineur.
indre parcelle poétique. Cela dit, je puis ajouter que Victor Hugo me
semble
le souverain poète du dix-neuvième siècle. Avec u
ors à moi-même sous la forme de cette sensation : tout ce que je suis
semble
, à ce moment-là, être cela. Aussi, à ce moment, c
elligence que d’une sensibilité, si tout poète, pour être grand, nous
semble
devoir se doubler d’un philosophe. Et, pour regar
vouer au fond de son cœur un culte exclusif à un unique poète ? Il me
semble
plutôt que l’on soit porté vers l’un ou l’autre,
ma réponse, je dirai, probablement après d’autres, que Victor Hugo me
semble
notre plus grand poète parce qu’il a tiré le meil
ent. J’ai lu un peu de Vigny, de Baudelaire et de Verlaine : cela m’a
semblé
vrai, et parfaitement répondre à ma vision des ch
ictor Hugo, je lui préfère Alfred de Vigny. L’auteur des Destinées me
semble
en effet avec Chateaubriand être le départ de tou
et nécessaire dans l’œuvre poétique du xixe siècle. Mais aucun ne me
semble
posséder à un égal degré les dons de création, de
e de la Pensée. Victor Hugo a été, certes, un grand poète, mais il me
semble
que Vigny est, par excellence, le Poète. Fran
si à tirer des mots les plus diverses harmonies, nul plus que Hugo ne
semble
avoir droit à cette gloire unique. Mais si, comme
tion de l’ineffable Unité que la création réfracte en symboles, il me
semble
que Shelley, malgré ses préjugés antichrétiens et
te poésie essentielle, dont tous les autres poètes que nous aimons ne
semblent
avoir reflété, à divers degrés, que des lueurs.
Verlaine, l’exquis de Nerval aussi — et tant d’autres ! Mais il nous
semble
qu’Hugo les domine tous comme la plus haute cime
qu’on se fait presque un scrupule de placer l’un d’eux avant tous. Ne
semble-t
-il point qu’on va briser d’un seul coup, comme de
j’adore Wagner ; Tolstoï — sa résignation et son déisme réfutés — me
semble
suppléer avec avantage aux christs dont certains
Est-il bien vrai que Victor Hugo soit orgue et non pas violon ? Il me
semble
qu’il est toutes sortes d’instruments de musique
ne et Musset. Victor Hugo, plus orateur que poète, à mon humble avis,
semble
trouver sa verve dans une inspiration castillane,
e le poète vraiment nouveau, l’homme de pensée du xixe siècle, il me
semble
bien, quant à moi, qu’on le trouverait, plus qu’a
eul signifie « toute la poésie » du siècle dernier. Aucun homme ne me
semble
du reste avoir résumé en lui toute la pensée, tou
journaliste morigéné, et M. Remy de Gourmont qui tient la férule, me
semblent
cependant commettre l’erreur. Or, tout le débat p
mulé un choix précis. Et voici l’ordre des préférences tel qu’il nous
semble
imposé par l’examen de toutes les réponses. VICT
ambition que de parcourir le cercle entier de la science humaine, et
semblait
croire qu’il ne fût pas permis d’aborder la poési
ans aucun plan arrêté. À chaque instant il revient sur ses pas, et il
semble
oublier la déduction de ses idées pour s’abandonn
aint de tenter ce qui, sans doute, quelques années plus tard, lui eût
semblé
contraire aux lois du goût et de la raison. Au li
lés dans son âme par le souvenir du serment qu’il voulait chanter, il
semble
s’être efforcé d’effacer la couleur de son sujet.
ès que l’auteur tentait autre chose que le récit du serment, le sujet
semblait
naturellement appeler la strophe pindarique ; car
re inintelligible, dont André Chénier caractérise le Jeu de paume. Il
semble
que la paume n’ait pas droit de bourgeoisie dans
prose indécise et embarrassée de l’Avis aux Français. Autant le poète
semble
gêné quand il n’a pas la rime à satisfaire, autan
énier, de cet ïambe inachevé qu’il murmurait sous les verrous, et qui
semble
destiné à compter les minutes qui le séparent du
indécis ; les paroles s’ordonnent avec une merveilleuse précision, et
semblent
défier le temps qui va leur échapper. Entre les o
aux pensées de la jeune captive ont tant de grâce et de pureté, qu’il
semble
superflu d’appeler l’attention sur cet ensemble h
a traversé toutes les langues, qui appartient à tout le monde, et qui
semble
défier la poésie par sa vulgarité ? Il serait vra
ers une vertu singulière, que la critique française du dernier siècle
semble
avoir complètement méconnue, qui condense la pens
ensée. Les élégies consacrées aux joies et aux souffrances de l’amour
semblent
dérobées tantôt à Properce, plus souvent encore à
plaisir. Rien chez lui ne témoigne l’exaltation et le dévouement qui
semblent
inséparables de l’amour. Cette manière de compren
ce qui était naturel et nécessaire sous l’empire du polythéisme nous
semble
singulier chez un poète né dans la seconde moitié
it laissé un chef-d’œuvre ; car les agitations innombrables de sa vie
semblaient
le condamner à ne produire que des ouvrages vulga
mme qu’il faut garder ne mérite pas qu’on la garde. » Cette pensée me
semble
pleine de justesse, et peut servir à expliquer la
t bien entendu ; mais il obéit à un sentiment qui, au premier aspect,
semble
exclusivement généreux, et qui, cependant, n’est
t de l’auteur est tellement voilé, que la prévoyance et la volonté ne
semblent
jamais intervenir dans l’invention et l’ordonnanc
ette sobriété dans l’invention, est d’autant plus remarquable qu’elle
semble
ne pouvoir se concilier avec l’imprévoyance. Le p
Hugo une singulière puissance dans le maniement de la langue. Mais il
semble
que l’auteur ait besoin d’une lutte acharnée pour
it pas être prise dans un sens absolu ; si les œuvres de M. Hugo nous
semblent
condamnées à un prochain oubli, le nom de M. Hugo
ue littéraire, exprime une série d’idées et de sentiments que M. Hugo
semble
aujourd’hui avoir complètement oubliés, ou qu’il
ns une langue obscure dont nous cherchons vainement la clef ? Il nous
semble
que l’achèvement d’un édifice tel que les Orienta
étique, demandait un ordre de développements que le poète français ne
semble
pas même avoir entrevu. Dans cette pièce, comme d
, mais dont le cœur a besoin, est un tourment digne de pitié. M. Hugo
semble
n’avoir entrevu aucune des conditions du sujet ;
ues de M. Hugo, paraîtra sévère à ses admirateurs ; cependant il nous
semble
difficile que la réflexion ne les amène pas à not
ne page qui respire une émotion sincère ? Le cinquième livre des Odes
semble
répondre à la question que nous posons. Mais M. H
il avait engagée contre lui-même, en écrivant les Feuilles d’automne,
semblait
donner à cette opinion le caractère d’une vérité
uts et les qualités de ce recueil lyrique. Le sujet, pris au sérieux,
semblait
promettre une étude psychologique ; M. Hugo, sans
dispensé d’insister sur le caractère qu’il lui prête. Toutefois il me
semble
que, sans se rendre coupable de pruderie, elle po
oit s’adresser pour estimer le mérite humain de Notre-Dame. Or, il me
semble
que ces deux personnages, qui, rapprochés l’un de
a Sachette n’est pas moins pathétique. Le dirai-je, cependant ? il me
semble
que dans la peinture du Trou aux Rats, M. Hugo a
e lichen sur le chêne. Sous la plume de M. Hugo, la pierre s’anime et
semble
obéir à toutes les passions humaines. L’imaginati
roman, en effet, tel que nous le voyons se multiplier sous nos yeux,
semble
n’avoir d’autre but que de tromper l’ennui. À lir
ur des souffrances qu’il ne comprend pas et qu’il dédaigne d’étudier,
semble
à Marianna plus voisine de l’injure que du pardon
nt de se réhabiliter par un mensonge, imposant silence à Noëmi, m’eût
semblé
plus poétique, plus grande que Marianna se résign
plaisir singulier, difficile à caractériser, dont Mackenzie et Sterne
semblent
offrir le plus parfait modèle. La passion contenu
n à désirer. On ne sent nulle part l’effort ou l’inquiétude. L’auteur
semble
si convaincu de ce qu’il raconte, il croit si bie
ne musicien, réservé peut-être aux plus hautes destinées, dont le nom
semblait
promis à la gloire, et qui, pour soutenir sa fami
andeau a su traiter cette donnée avec tant de vérité, que l’invention
semble
à peine jouer un rôle dans son récit. Pour moi, j
ocre triomphe que de donner à sa pensée un accent de réalité où l’art
semble
n’avoir aucune part. Quant à Mademoiselle de Kéro
l’ombre la meilleure partie, la partie la plus féconde de son sujet,
semble
inviter lui-même la critique à le juger avec une
ieurs parties importantes de la réalité, de négliger des éléments qui
semblaient
appelés à la résurrection, nous avons le droit de
as d’une façon directe au sujet. Je ne sais si je m’abuse, mais il me
semble
qu’il y a dans les éléments que j’ai passés en re
cile d’intéresser le spectateur aux douleurs d’une reine répudiée qui
semble
condamnée à subir la marche des événements sans p
e Philippe-Auguste et d’Agnès. Le roi est tout entier à sa passion et
semble
avoir oublié les avertissements de Célestin III,
n pour elle, de la traiter avec douceur. Arrive le légat, que rien ne
semblait
annoncer, dont la parole austère et menaçante réd
is ce qu’en pense aujourd’hui le public ; mais, le premier jour, il a
semblé
méconnaître complètement la valeur des passages c
rval, j’en conviens, à souvent manqué d’élégance et de noblesse, elle
semblait
oublier le diadème placé sur son front ; mais ell
écoles ; mais la forme sous laquelle M. Ponsard a présenté ces idées
semble
empruntée à l’Essai sur les Mœurs. Six siècles pl
tous les morceaux où le poète célèbre l’unité politique de la France,
semblait
ignorer que l’autorité royale au temps de Philipp
coutant la tragédie nouvelle, empruntée à l’histoire du moyen âge, il
semble
avoir dépouillé toute son indulgence ; bien qu’il
Introduction Il est des questions qui
semblent
tellement rebattues qu’à simplement les énoncer o
lot énorme et trouble des commentaires et des polémiques, la question
semble
bien être restée au même point et comporter les m
te trop à l’équivoque par la rareté de son emploi au figuré — cela me
semble
absolument hors de discussion, pour qui n’a pas s
ance, à un moment où la Gaule étant vide de troupes romaines, rien ne
semblait
s’opposer au succès d’un soulèvement. Librement c
elle comporte, mais aussi avec tous ses risques, toute son inutilité,
semble
traverser la vie comme enveloppé d’une atmosphère
milable et irréductible, ce fut assurément celui-là, le barbare-type,
semblait
-il. Or, c’est l’exact contraire qui par la suite
ue, qui a vécu d’une vie étrangère pendant quatre siècles et demi. Il
semble
vraiment qu’à moins de se résigner au rôle de pur
s. Dès le premier aspect, les deux contrées, les deux peuples avaient
semblé
moins se connaître que se revoir et se retrouver.
, l’aristocratie était sans force… Il se produira alors des faits qui
semblent
aujourd’hui presque incompréhensibles, mais qui é
sion germanique en Gaule se transforme en conquête définitive. Alors,
semble-t
-il, la situation a changé du tout au tout. Par l’
Clovis s’avère d’une portée considérable. L’épée germaine aurait pu,
semble-t
-il, opérer le salut moral de la Gaule — en s’alli
le romanisme religieux que naguère le romanisme impérial. Il ne nous
semble
pas nécessaire d’insister davantage pour montrer
Nous sommes chez les Barbares, plongés dans une autre atmosphère. Il
semble
qu’au sortir d’une chambre l’air vicié on respire
ermanie véritable. Auguste d’ailleurs, soit prudence soit prescience,
semble
avoir compris que Rome ne devait point tenter la
Quelque mauvais génie — le génie de la terre germanique, dirait-on —
semble
méthodiquement ruiner tout ce que les Romains ten
e envers Rome qui lui avait confié un commandement militaire. Il nous
semble
qu’il n’y eut là qu’une reprise de soi, une fidél
reusement souscrit. Tel est le merveilleux prodige de sophisme auquel
semblent
avoir collaboré le rhéteur antique et le disciple
x périls du contact méridional. Ce jugement du perspicace Chasles me
semble
exprimer ce que fut, en son caractère réel et pro
t contradictoires et mobiles les aspects de l’esprit latin. La nature
semble
avoir prodigué là des trésors d’ironie et d’antit
discours est chez lui la fonction centrale. C’est par ce moyen qu’il
semble
se prouver à lui-même son existence et jouer son
loie magnifiquement. S’il est un moment dans la vie des peuples où il
semble
que l’action doive primer tout autre manifestatio
nombreux siècles n’a pu parvenir encore à les rendre conscients. Ils
semblent
encore ignorer ce qu’exige la vie normale et plei
hargé de miasmes des chambres de malades, fermées au grand air libre,
semble
y flotter. Ce qui fait qu’incapables de vouloir,
. Chose curieuse, c’est un artiste — et un artiste non latin — qui me
semble
avoir incarné avec le plus de profondeur, bien qu
ssurer une supériorité de fait, en tant que nations. Bien plus, il me
semble
qu’une supériorité de ce genre est la plus solide
rme dans le sens d’anti-réalisme — l’appel perpétuel à l’« idéal » me
semblent
impliquer avant tout l’aveu qu’on est inférieur d
nder sous leurs flots cette merveilleuse fleur de siècles de culture,
semblent
-ils n’accomplir qu’une besogne naturelle d’hygièn
ès d’esprit on tend à se prouver inintelligent. Les peuples latins me
semblent
illustrer cet axiome. Maintes fois il arrive que
t aussi par suite du climat, sur cette terre latine où les peuples ne
semblent
descendre tour à tour que pour ¡y perdre leurs ve
ilée aujourd’hui que d’autres vérités dominent la vie des peuples, me
semble
d’une éloquence amplement persuasive. L’Autriche,
éloquence amplement persuasive. L’Autriche, catholique et romanisée,
semble
n’attendre que le fossoyeur. L’Amérique latine, a
Platon au sujet de l’immortalité de l’âme. À ce propos, si une vérité
semble
désormais acquise et fixe, c’est que les peuples
élection à rebours qui s’opère à peu près partout sur le globe et qui
semble
constituer un péril sérieux pour l’espèce. Un sél
s occupons, et en laissant de côté toutes les mesures de violence, il
semble
qu’une opération assez simple en elle-même pourra
le cours des maladies dont souffrent les grands organismes latins. Il
semble
bien qu’il y ait toujours eu, quelque part dans l
la grandeur et la fécondité. En fait, les peuples latins de nos jours
semblent
se soucier fort peu de l’Eglise ; l’indifférence,
ontenterez-vous les appétits religieux demeurés sans aliment ?… Il me
semble
tout d’abord que la question ne se pose pas ainsi
s’opérer dans les conditions de sérieux et de paix nécessaires, il me
semble
qu’une mesure s’imposerait, urgente et complément
ur eu possession du pouvoir par on ne sait quel hasard, auquel cas il
semble
difficile qu’elle s’y maintint, et que le « tyran
faire naître l’emploi d’un remède insolite, il est une méthode qui me
semble
avoir fait ses preuves de stérilité : la méthode
anciennes fois qui nous dévorent, que la tolérance, l’éclectisme. Il
semble
que leur vision mentale n’aille pas au-delà de ce
uent une vertu magique, une puissance de fécondité miraculeuse… Il me
semble
, au contraire, que nous avons impérieusement beso
conscience que certaines choses doivent disparaître à jamais, cela me
semble
tout simplement le produit de la déliquescence me
u en pleine réalité. Je dois néanmoins reconnaître que les chances me
semblent
nombreuses pour qu’un programme de ce genre ne so
ur l’observateur vulgaire il est certaines conquêtes et annexions qui
semblent
dues simplement à l’esprit de rapt et d’appropria
relève, il sera brutalement ou lentement dépossédé. Cette loi peut
sembler
à première vue brutale et injuste. Il n’en est pa
jours odieuse, notamment dans certaines circonstances où ceux qu’elle
semble
tellement choquer dans les cas qui nous occupent,
cation et une purification des choses et des notions de ce monde ? Ne
semble-t
-il pas juste que ce reste d’Orient que nous const
t que cela soit de toute nécessité. Et après avoir maudit la loi qui
semble
broyer toutes nos idées contemporaines de droit e
nettement, c’est à dire la lutte révolutionnaire ou la sécession. Il
semble
bien, du moins à première vue, que de ces deux mé
lle n’a tressauté que pour retomber à la même place ou en arrière. Il
semble
qu’il y ait là une force de tradition, un poids d
nts aient renoncé à la lutte. Beaucoup s’efforcent encore. Mais il me
semble
discerner dans leur action comme une semi-conscie
r, persuadé qu’il ne vaut pas la peine de tenter le salut de ceux qui
semblent
vouloir leur perte ni de se prostituer à une beso
r son être intérieur. Il les ignore, les dédaigne ou s’en amuse. S’il
semble
parfois les accueillir, ce n’est guère que par di
ts-Unis notamment, un élément important de la prospérité générale. Il
semble
que ses vertus spéciales, inutiles ou nuisibles d
la constitution de groupes humains en activité sociale. De ce fait me
semble
sortir un précieux enseignement. Puisqu’il est am
nyme, au développement des sociétés vivantes et jeunes ? Ce destin me
semble
bien valoir la perspective d’user chez soi son bo
Les Aryas, autrefois marcheurs vers l’Occident, et devant qui la mer
semblait
fuir alors, ont dû rétrograder peu à peu devant l
tout en nerfs et en cerveau ; et leur joie unique, la seule qui leur
semble
avoir du prix, est de savoir. Eh bien ! ils saven
s ne peuvent grandir. Telle est une des raisons capitales pourquoi il
semble
que nous devions être éliminés, — à moins de nous
n aurait fait d’elle comme un échantillon d’humanité supérieure. Tout
semblait
la désigner pour ce rôle. Elle n’a pas voulu ou e
Introduction Peu d’idées
semblent
plus vivantes aujourd’hui, plus agissantes et pas
e les affirmer sans essayer de les déduire ; elles se suffisent, nous
semble-t
-il, à elles-mêmes, et, quelles que soient d’aille
nctivement nous lui prêterons les causes ou les conséquences qui nous
sembleront
les plus propres à rehausser ou à rabaisser sa va
savoir quels moyens sont propres à la réaliser. À cette question, il
semble
que l’observation scientifique devrait répondre.
ciales doivent au moins provisoirement, rester « théoriques » : telle
semble
être aujourd’hui la première condition de leur pr
ésien, diviser les difficultés, c’est-à-dire procéder par analyse. Il
semble
qu’on ne puisse actuellement constituer de scienc
idérations de méthode, la spécificité de la sociologie. 1. Il nous
semble
inutile de marquer encore une fois, en revenant s
cribe secret, le courbe au travail de peindre le seul tableau qui lui
semblât
représenter un spectacle digne d’intérêt, la Cour
aintenant vivre la vie du passé. Il se donnait à la France. Et, il me
semble
le voir, en sa jeune prédestination, entreprendre
ère fois, l’aurore se leva à ses yeux sur les campagnes. La terre lui
sembla
belle, la forte terre ardennaise, pays de forges,
es arrêts ou ses reprises, Annibal menaçant ou Carthage renversée. Il
semble
qu’il se soit assis sur la borne d’or d’où partai
e, rapide et bref. Napoléon tombé, les destinées nationales pouvaient
sembler
compromises ; elles entraient en pleine réaction
e ; c’est mieux rester dans le caractère de cette grande figure. Elle
semble
mal faite pour l’immobilité. On hésite à en trop
nations et n’entendait nullement confondre les patries. La sienne lui
semblait
grande et belle entre toutes. Il avait assisté en
te guerrier, recommençait avec d’autres héros et d’autres dieux. Tout
semblait
rapprocher les deux épopées. Mille détails famili
leur, et n’a su être en même temps lapidaire et vivant. Un bas-relief
semble
là, sculpté au revers d’une table de la loi. Deux
que et plus grave, que Nerval rendit plus souple et plus intime. L’un
semble
conter pour le roi Salomon, l’autre pour la reine
a rancune humaine, amoureuse et divine. Un triple sceau de cire noire
semble
pendre au bas du parchemin funèbre. Vigny fut d’â
eur Noir aurait eu deux malades à guérir en un seul. La Tour d’ivoire
semblait
déjà muette comme un tombeau. Durant ces années,
e veux m’arrêter un peu, avant d’en examiner un autre plus récent. Il
semble
évident, pour quelqu’un soucieux de biographie et
Sa présence auguste ne se contente pas d’inspirer, elle intervient et
semble
dicter le témoignage. La plume qui écrivait certa
e main. Celui qu’on nous offre aujourd’hui paraît plus intéressant et
semble
plus véridique. Nous avons le premier volume de l
olidifié et irrémédiable, et leur survie étonne et dément l’oubli que
semblait
leur assurer leur fragilité. Une correspondance r
diverses de l’écriture, et la passion morte, aussi bien que le temps,
semble
avoir jauni de son feu les papiers d’autrefois. C
pour être clair et correct. On n’y trouve pas de matière perdue. Hugo
semble
s’y garder soigneusement de tout ce qui l’y dépen
e différente ; elles créent après elles ce premier silence où l’œuvre
semble
se dissoudre dans les esprits épars. Sa substance
e est inévitable. D’ordinaire, ces attentes vis-à-vis de la postérité
semblent
les indices d’une durée perpétuelle. Baudelaire a
, en son excès et sa splendeur, la vieillesse même ne l’éteint pas et
semble
plutôt la renforcer encore ; elle finit par donne
e de la langue. Hugo est singulier par cette progression continue. Il
semble
qu’il s’agrège peu à peu toute l’époque, puisant
pour lui un refuge mais un instrument de travail. C’est d’elle qu’il
semble
avoir appris le printemps et l’automne, la beauté
an, Hugo fit de la douce flûte retrouvée un instrument prodigieux. Il
semble
jouer dans une forêt sonore. Les arbres en échos
erse : le poème commence en pleine lumière, s’achève en crépuscule et
semble
s’effacer peu à peu, retourner au silence où il s
d’une rue ou le seuil d’un logis, avec la poignée de main d’adieu qui
semblait
figurer tout ce que venait de vous donner en espr
vite leurs fumées aériennes en un subtil tissu arachnéen dont chacun
semblait
avoir tissé un des fils. Parfois, le timbre annon
t ce d’où ils sortent. Cette sorte de bruit, dont l’écho est partout,
semble
l’apanage des écrivains qui reproduisent la vie e
’augmenter le nombre des vivants par d’autres à peine imaginaires qui
semblent
s’adjoindre au spectacle quotidien de la vie. Ils
a vie. Stéphane Mallarmé, par le caractère métaphysique de sa poésie,
semblait
à l’abri de la rumeur hostile qui bourdonna autou
se, le second plus récent ; l’un tourmenté, douloureux presque, où il
semble
attentif à l’avenir ; l’autre résigné, presque so
semble attentif à l’avenir ; l’autre résigné, presque souriant, où il
semble
déjà attentif au passé. Il aimait ce double chef-
les yeux beaux, la chevelure abondante et bouclée. Les épaules hautes
semblent
porter le poids d’une lourde fatigue. Un air d’en
e et politique dont nous suivons chaque jour les péripéties nouvelles
semble
nous détourner de nos devoirs envers le génie et,
ctualité. Dans une époque comme la nôtre, de polémiques acharnées, il
semble
assez naturel de penser à ce devancier, qui fut u
ce roseau rompu et ces roses plus rouges d’être teintes de sang. Il
semble
néanmoins que la Destinée ait voulu réparer enver
illustre, on se reprocherait peut-être une chicane posthume, mais il
semble
qu’on se sente peu de scrupules envers quelqu’un
ent un certain sens cinématographique de leurs contemporains et il me
semble
voir s’animer la mouvante ressemblance de leurs i
’anime et fonctionne en rouages compliqués et délicats. Sa forme, qui
semble
arbitraire, est faite en vue de son existence int
re à peindre et à disserter. Il y a là des héros de toutes sortes. Il
semble
que l’existence toute spéciale qui fut la leur ai
r une sorte de coquetterie anachronique, prenait un certain plaisir à
sembler
dater d’hier et même d’autrefois. Ce n’était, je
re à larges bords lui donnaient la tournure d’un jeune romantique. Il
semblait
sortir du Cénacle de l’impasse du Doyenné pour al
s, sa beauté, surtout si elle est raisonnée et convaincue, mais il me
semble
qu’il faut, en quelque sorte, y avoir droit. Elle
ait il extrayait une fable. Il écoutait la Schéhérazade intérieure et
semblait
être le premier à s’étonner de ses inventions fab
frages d’or ; son Dorian Gray, sous une couverture de papier gris qui
semblait
de la cendre de cigarettes ; son House of Pomegra
aut lire l’extase où le plonge sa première heure de liberté. Tout lui
semble
paré d’une beauté nouvelle ; il est convulsif de
l’huile, des épices, du musc, du camphre et de l’ambre gris ». Il me
semble
voir la figure basanée de Trelawnay se dessiner s
est fougueux de mouvements et haut en couleur. Ce n’est point, il me
semble
, dans les vers de M. Rudyard Kipling qu’on trouve
où la main frappe et où se montre cette sorte d’animalité humaine qui
semble
bien être pour M. Kipling l’attitude vitale dont
es qui eussent jamais eu lieu ? Certes, l’histoire du duc de Portland
semblait
plutôt faite pour hanter la rêverie des poètes qu
ssait, fatal et lointain, ce personnage tragiquement exceptionnel qui
semblait
reculé au fond de quelque noire légende du moyen
ce que sa haute situation lui rendait difficile. Un motif sentimental
semble
s’être ajouté à ces raisons sociales. Le duc voul
i l’on peut dire, avec la faculté de se reprendre un jour, si bon lui
semblait
. Il lui suffirait d’arracher de son visage le mas
qui, non seulement savait l’anglais, mais encore le français, ce qui
semble
naturel, mais n’en est pas moins extraordinaire.
eints des couleurs les plus propres à leurs figures, s’effacent ; ils
semblent
une sorte de tapisserie vivante qui sert de fond
tabilité vitale. Aussi voit-il avec terreur et colère tout ce qui lui
semble
, à tort ou à raison, la menacer. Il a un instinct
ille Amérique. L’aspect en est propre, clair et gai. Entrons. Rien ne
semble
guère avoir changé là depuis l’époque où Washingt
fours des rues bruyantes, ces colossales bâtisses à trente étages qui
semblent
être, en leur masse et leur carrure, comme les Py
rs elle. Ne doit-on pas, en effet, conserver avec soin ces débris qui
semblent
se confier à nous pour que nous aidions leur duré
autour d’elle un peu de sa sainte poussière. Cette cendre imaginaire
semble
être tombée sur le quartier d’alentour, tant les
es passants furtifs, les portes closes, les maisons canonicales. Tout
semble
endormi à l’ombre de cet énorme rêve de pierre qu
stant, l’impression de se promener à côté d’une âme voilée ; alors il
semble
qu’on se voie à travers la transparence de ses pe
ouffre, on aime ; ici, on pense, on rêve. Le Temps, qui détruit tout,
semble
avoir adouci ses mains dangereuses. Il prend des
es, mais les seules lèvres de la solitude et du silence. Toute la vie
semble
coalisée pour nous éloigner à jamais de ce réduit
met point qu’on se dérobe aux autres pour se rendre à soi-même. Il me
semble
qu’à avoir parlé ainsi l’heure s’achève. Les vitr
, cisèle les sonnets des Trophées qui ne paraîtront que plus tard. Il
semble
que, par instinct, il attende. Il eut raison ; so
s Décadents ? Il y a deux sens au mot décadent, et le premier seul me
semble
plausible. Définissons-le. Une Littérature de Déc
olement au milieu de l’inattention contemporaine lui permettait, nous
semblait
-il, toute liberté. N’était-elle pas désormais un
ofessant la volonté de réintégrer l’idée dans la littérature. » Il me
semble
que M. de Gourmont met excellemment les choses au
re sans que décrire soit toujours évoquer. On en était là. Le procédé
semblait
immuable. Or, en examinant bien, nous verrons qu’
suggérer. Le lecteur aura moins à comprendre qu’à deviner. La poésie
semble
donc résigner son vieux pouvoir oratoire dont ell
l est déjà méritoire d’avoir envisagés, même en pensée. Si le Symbole
semble
bien être la plus haute expression de la poésie,
signalées et qui sont un des traits marquants de l’école actuelle. Il
semble
que ce mot d’École soit en contradiction avec ce
i. Ces notes, écrites un an après la mort de Stéphane Mallarmé, m’ont
semblé
propres à ajouter à l’étude précédente un peu de
, l’année suivante, Un vilain Monsieur !… Pour la petite histoire, il
semble
attesté que Tinan a eu, quelques mois avant sa mo
’hui, qui est une anthologie commentée de la génération 1880-1900. Il
semble
bien que le passage du siècle invite à une mise e
donne pas une mauvaise idée de son adversaire, si l’on admet, ce qui
semble
certain, qu’il le cite toujours exactement. Les o
lle de la marmite de Papin. Encore n’est-ce pas très sûr, car il me
semble
parler non de matières à dissoudre, mais d’eau à
r de couleur, d’odeur et de goût ». Cette opération, en tout cas, lui
semblait
d’une importance excessive. Si vous faites cela,
est l’œuvre réelle de Joseph de Maistre. Avant lui, le Novum Organum
semblait
avoir été écrit avec la collaboration de Voltaire
é ; il sait dissocier les hommes et les œuvres, encore que sa méthode
semble
de les unir au contraire bien plus intimement qu’
s qui s’est organisé depuis dans le terrain du XVIe siècle. Il nous
semble
tout naturel aujourd’hui d’aimer Ronsard et de re
ous le nom à l’Operette morali. Léopardi est mort en 1837. Ses écrits
semblent
d’aujourd’hui même. Presque toutes les questions
des tares et des fardeaux. 1905. La logique d’un saint13 Il
semble
que l’Eglise, qui n’a jamais beaucoup compris les
ne destinait pas ses frères au service politique de l’Eglise ; il ne
semble
avoir eu d’autre but que de vivre humble, pauvre
omme. Il est vrai que cette manière de dominer la vie en s’y dérobant
semble
un peu archaïque ; elle avait sa valeur. Le but é
e à comprendre. On se sert généralement du phénomène de la vision. Il
semble
simple : analysé, il est fort mystérieux. Voir es
ante, y produisent des modifications locales. Les organes des sens ne
semblent
autre chose que des surfaces sensibilisées par le
à-vis de l’autre : c’est que la matière a préexisté à la vie. Le gain
semble
mince, mais cela veut dire que les phénomènes per
ités capables de le sentir, d’intelligences capables de le percevoir,
semble
alors insoutenable. Et pourtant, que serait un mo
e ; elle l’est, mais guère plus qu’en telles occurrences où elle nous
semble
vraie. Une religion est donc une magie ; les prin
es cheveux, cette pénitente qui, au moment qu’elle pleure ses péchés,
semble
plutôt les revivre avec cette exaltation que donn
urs l’image de Renan, telle que nous la donnaient alors les journaux,
semble
fort corrompue. Les journalistes de profession so
matière de la connaissance est illimitée. L’art et la littérature qui
semblent
le luxe du génie de l’espèce en sont au contraire
n eut jamais de moins scientifique. Sans doute, la théorie de Pasteur
semble
avoir travaillé pour la vie et non contre la vie,
e linguistique. La biologie est peu accessible ; la linguistique, qui
semble
à la portée de tout homme qui parle, est absolume
ntion, Le chapitre initial de l’ouvrage de M. Féré porte un titre qui
semble
bien résumer les idées de l’auteur : Dignité du t
humain, il faut se servir d’un mot plus vaste : activité. L’activité
semble
nécessaire à l’homme bien portant. C’est un hérit
ence, que l’on constate naturellement dans les groupes inférieurs, ne
semble
pas être en rapport avec le climat, l’homme étant
. Les Chinois, longtemps assoupis, après de grands efforts créateurs,
semblent
se réveiller. Des groupes européens, au contraire
ue la plupart des autres espèces animales. Eux seuls, et les oiseaux,
semblent
capables de mouvements sans utilité immédiate : i
t, si utile aux hommes supérieurs, est fatal au peuple. Cette opinion
semblera
empreinte d’un aristocratisme cruel. Nullement. O
e une quantité de petits efforts multipliés et contradictoires, il ne
semble
pas que la fourmi le soit à la montagne abrupte.
eut être considérée par un observateur comme à peu près nulle. Or, il
semble
très probable que le sens de l’inégalité, inclina
e perdent. Celle-ci, tout en allant assez vite, hésitait beaucoup. Il
semble
cependant que le mur qu’elle longeait aurait dû ê
s’égarer le long d’un arbre, si elle a le sens de la verticalité ? Il
semble
permis de conclure qu’elle n’a pas ce sens, qu’el
e cause. Si l’on demande grâce pour l’idée de cause, sans laquelle il
semble
que meure la logique, on fera remarquer que l’idé
Et encore : « S’il est des heures, des journées, des années qui nous
semblent
courtes, qui paraissent s’évanouir comme des rêve
l y a des périodes si pleines de sensations de toutes sortes qu’elles
semblent
longues à l’infini ; des mois paraissent des anné
les semblent longues à l’infini ; des mois paraissent des années ; il
semble
qu’on ait toujours vécu ainsi. L’amour, l’ambitio
u’ils se sont assurés de leur amour, se disent l’un à l’autre : Il me
semble
que je vous ai toujours connu. X — La Vie et l
le que je vous ai toujours connu. X — La Vie et la Mort Rien ne
semble
plus clair que ces mots, qui sont en même temps d
s les sciences exactes sont basées sur le principe d’identité, qui ne
semble
pas d’origine expérimentale38, puisque son existe
Le duo n’est pas sans tendresse. Mais l’homme, qui protégeait jadis,
semble
protégé aujourd’hui. Et la femme en a quelque fie
ent, et encore que l’on ait vu son domaine s’élargir de jour en jour,
semble
avoir des limites. L’égalité fut civile ; on s’en
ages, mais seulement des villes et des fermes isolées, les routes ont
semblé
moins utiles : on les a négligées. D’ailleurs, un
nt on les nourrit ; mais ce sont bien des allées de jardin. Cela nous
semble
tout naturel, et c’est extraordinaire. Aucun autr
la sensation d’être le maître d’un merveilleux domaine. Les paysages
semblent
fuir : on finit toujours par les atteindre. Il n’
it tout à fait sans les jeux des insectes et des bêtes aquatiques qui
semblent
soulever avec effort, çà et là, un coin de ce lin
ifie aux dunes armées d’herbes coupantes et de ces chardons bleus qui
semblent
d’acier, à la tristesse des roches où rampent glu
s appelons naturels. Il n’y a pas de paysages naturels. Ceux qui nous
semblent
le moins préparés le sont presque autant que ces
eurs sous la dépendance de mille causes souvent très éloignées et qui
semblent
étrangères à son évolution. Ainsi, il y a quelque
emblable en cela à Delacroix. Un peintre m’en donna cette raison, qui
semble
un peu confuse : étant complet par lui-même il n’
d’être naturelle et vraie. Il y a de lui au Luxembourg un pastel qui
semble
fait avec des ailes de papillon ; c’est le même v
une série de tableaux de Claude Monet, on éprouve comme une peur ; il
semble
qu’on se trouve en présence des créations d’un di
me on la subit à un premier regard large et enveloppant. Le mécanisme
semble
photographique ; mais, en cet éclair, le génie a
n génie une idée plus intègre. Les Nymphéas de sa dernière exposition
semblent
avoir été transplantés presque avec patience. Mai
llait, comme on sait, l’emploi des termes les plus généraux. Ce moyen
semble
paradoxal, puisqu’il éloigne indéfiniment toute c
risme de l’examen de quantité de manuscrits d’écrivains illustres. Il
semble
presque raisonnable. Cependant prenons un nombre
l se souciait de l’harmonie de la phrase plus que de l’exactitude. Il
semble
bien prouvé maintenant que le récit de son voyage
exotiques. La persistance de Chateaubriand révèle encore ceci : « Il
semble
que pour créer il ait souvent besoin de la sugges
. Il se met à sa place, avec bonhomie : « A la place de Pascal, il me
semble
que j’eusse… (p. 136). » Et tout le temps, M. Alb
tablir une distinction entre a et à, la et là, ou et où. Rien ne nous
semble
plus commode et plus logique ; mais tel n’est pas
e pas la défigurer. 2. Tréma. — En ce qui est du tréma, la Commission
semble
professer pour ce signe, difficile à écrire nette
représentant le plus audacieux de cette tendance parmi ses confrères
semble
être M. Brunot47, mais tous en sont atteints ; l’
de l’avoir compris, méditer comme un texte mutilé du moyen âge. Il me
semble
qu’il a voulu dire ceci : encore au XVIIe siècle
« heurler et hurler. Tous les deux sont bons. » Au renvoi : « Heurler
semble
plus usité que hurler. » A heur, il ne dit rien,
le n’avait jamais été adoptée unanimement, même pour heureux. « Il me
semble
, dit Damon (l’ouvrage de Hindret est dialogué com
pourraient évidemment s’écrire sin ; cela n’augmenterait que de peu,
semble-t
-il, la beauté et la clarté de la langue française
vasche, bastelier, gausche, où la lettre intercalée (on la souligne)
semble
jetée au hasard dans le mot qu’elle rend bossu. D
qu’un emploi ironique. Cette question des consonnes parasites a été,
semble-t
-il, résolue bien cavalièrement par la Commission
it de bonnes raisons de le respecter, d’autant plus que ce d insolite
semble
régler par sa présence la prononciation fermée de
poids ou puits, de revenir sur un usage aussi fortement établi. Il ne
semble
pas d’ailleurs que ces consonnes, quoique parasit
ent apporter de la logique dans la langue française. La Commission ne
semble
avoir réussi, en général, qu’à remplacer des exce
simple ; rien surtout de plus séduisant pour les esprits simples. Il
semble
, en effet, quand on parle du langage et de l’écri
lant us. Alors, chevaus s’écrivait chevax, comme Deus (Dieu), Dex. Il
semble
bien que jusqu’au quinzième siècle l’orthographe
imés, entre les deux sexes de la grammaire. Selon quelles règles ? Il
semble
, au premier abord, dit M. de la Grasserie, qu’il
iles et on féminisera les autres. On donnera le masculin aux mots qui
semblent
représenter l’activité, la précision, la limitati
amen qu’il fait des poètes français commence à Jean de Meung, qui lui
semble
représenter la plus haute antiquité connue. Un si
ère les poètes du xve siècle, il passe à Lemaire des Belges, qui lui
semble
« avoir premier illustré et les Gaules et la lang
our essayer de donner une beauté neuve à ces vieilles légendes. Il ne
semble
d’ailleurs en connaître que les thèmes ou les réc
ités selon un principe où l’état du nom, sa longueur, sa composition,
semblent
jouer un rôle. Les monosyllabes de prononciation
r la littérature à tout l’ensemble de la société. Ce point de vue lui
sembla
d’autant plus indiqué, que jamais les lettres n’a
tion de pouvoir le réimprimer absolument comme il parut alors. Il lui
semble
surtout qu’il s’était fait peu d’illusion sur le
damentales qu’on ne peut s’empêcher de regarder d’un œil d’effroi. Il
semble
qu’elles ne se soient jamais présentées, et que n
D’une part, en voyant reparaître les races royales qui, par leur nom,
semblent
les représentants de tout l’ordre ancien de la so
toutes les opinions et par toutes les influences, par celles même qui
semblaient
les plus contradictoires ; et qu’il n’y a rien de
rter par un esprit d’exagération et d’animosité, sont tombés, ce nous
semble
, dans une erreur remarquable. Isolant ce dix-huit
proche en proche, de l’effet à la cause, ne peut jamais s’arrêter. Il
semble
donc que l’esprit humain soit soumis en quelque s
de pouvoir et de considération ; il ne restait plus que le trône, qui
semblait
plus élevé, parce qu’il n’était plus enveloppé de
ractère pendant ces variations du gouvernement et de la politique. Il
semble
que dans les ouvrages publiés durant la première
mière direction. Il prit une autre route, et heureusement son génie a
semblé
n’y rien perdre. Le besoin du repos et de l’ordre
ne touche Bayle, rien ne peut le déterminer. Toutes les opinions lui
semblent
probables ; quand il en trouve de mal défendues,
eur appui pour qu’elles ne perdent pas leur cause. Chose étrange ! il
semble
se complaire dans une telle incertitude ; son âme
matière de doute. Tel est le tableau que présentent, à ce qu’il nous
semble
, la fin du dix-septième siècle et le commencement
e céder à de telles impressions ; son génie présente, à ce qu’il nous
semble
, ce singulier phénomène d’un homme le plus souven
lants dehors, elles acquièrent alors le charme le plus séduisant ; il
semble
qu’elles naissent sans effort, toutes brillantes
des avantages qu’elle lui offrait, et en suivant la conduite qu’elle
semblait
lui prescrire. On s’afflige que, se laissant entr
’il s’y est conformé. Souvent, au milieu de la scandaleuse ivresse où
semblaient
le plonger la vanité et le désir d’influer sur so
i ; qu’il se soit complu quelquefois dans un langage brillant, et qui
semble
peu digne de lui et de son sujet, ce sont là des
nduire à la renommée ! Que d’événements reculés dans les siècles nous
semblaient
solennels et imposants, et se présentent maintena
ontesquieu eût vécu de nos jours, peut-être ses ouvrages auraient-ils
semblé
plus profonds dans la triste connaissance des mau
de Racine, de Despréaux, de Rousseau. La critique, en l’attaquant, ne
semblait
pas encore une révolte contre un pouvoir établi ;
é ni vertu a pu devenir l’objet d’une lutte d’amour-propre. Gresset a
semblé
croire que cette absence de tout sentiment honnêt
simple de raconter. Rien, dans ses compositions ni dans son style, ne
semble
tendre à l’effet. Il dit les événements sans y jo
i de les raconter. En tout, le caractère des écrits de l’abbé Prévost
semble
un peu appartenir à un autre temps que le sien. D
e suivre cet essor des lettres et de la philosophie, par lequel elles
semblent
usurper un empire universel. Nous essaierons de v
rvoyance pour donner plus de durée aux effets de son gouvernement. Il
sembla
ne s’inquiéter que de terminer doucement, et sans
ondit : J’attendrai ; et peu d’années après il gouverna la France. Il
semble
qu’il en ait été de même pour l’influence des opi
un sentiment de révolte contre cette inégalité, dont la nécessité ne
semble
plus indiquée par l’ordre des choses. Ce que nous
s pesante, parce qu’elle n’avait plus de fondements réels, et qu’elle
semblait
porter à faux. Qui entreprendrait l’histoire de l
deux sciences : la science de la pensée et celle de la sensation, qui
semblent
au premier aspect avoir le même domaine, mais qui
tion, et s’était occupé de développer les mêmes questions. Mais il ne
semble
pas avoir voulu, comme ses disciples, que toute l
e songeait pas à douter de l’essence divine de l’âme, sa métaphysique
semble
toucher davantage au matérialisme ; si bien que,
à la jalousie. La contradiction les irritait, et la moindre gêne leur
semblait
tyrannie. Quand on fait de l’orgueil la base de s
e, été écrits sous sa dictée. On vit même des hommes dont les talents
semblaient
annoncer une carrière illustre, dissiper leur vie
outes ces choses avaient pu imprimer du respect et de l’affection. Il
semble
que sa haine pour l’ordre actuel ne pouvait pardo
plutôt par l’effet d’une prévention aveugle ; mais enfin l’auteur ne
semble
pas comprendre l’histoire de sa patrie. Il est un
loignées de la réalité que les systèmes des premiers. On retrouve, ce
semble
, dans cette double école de politique l’esprit qu
rri de longues méditations et de chagrins secrets, il est, à ce qu’il
semble
, de tous les littérateurs contemporains celui qui
en est, à cet égard, comme pour toutes les prérogatives dont l’homme
semble
avoir été doué par la nature. Afin de pouvoir viv
et d’élevé à la fois ; ils sont dignes sans être ambitieux. L’auteur
semble
d’un vaste regard embrasser la nature, sans être
sa pédanterie, l’insouciance ses démonstrations, et où les ridicules
semblaient
prescrits par les uns et recherchés par les autre
rendre solennels les personnages vulgaires et d’ennoblir tout ce qui
semblait
abaissé par sa situation, tels étaient les caract
nte et soignée d’idées qui n’ont rien de poétique par elles-mêmes. Il
semble
que la légère contrainte à laquelle on est soumis
savoir assez, on se persuade que tout est inutile, parce que rien ne
semble
agréable. Ce fut de cette sorte que l’instruction
des extraits dépouillés de tout le charme des détails ; leur brièveté
semblait
destinée à aider la mémoire. Ce but même était ma
qu’un grand spectacle, l’ornement du triomphe de ses opinions. Il lui
semble
courageux de ne point changer de pensée, malgré t
ait. L’éloquence du barreau acquit ainsi un intérêt plus étendu, elle
sembla
plus forte et plus nourrie de pensées ; peut-être
se à des prétentions dont on n’a pas conservé le souvenir, tant elles
semblent
s’accorder mal avec l’incertitude et la débilité
eau plus grand et plus vif des dispositions universelles ; les écrits
sembleront
petits et peu importants, s’ils ne se bornent qu’
e bien qu’ils avaient espéré. Cependant l’incertitude du monarque qui
semblait
reconnaître qu’un changement dans l’ordre des cho
s crises dont on ne saurait assigner la cause précise et directe, qui
semblent
le résultat de mille circonstances simultanées, m
ses universelles et nécessaires. Toutes les circonstances dont elle a
semblé
résulter sont liées entre elles, et n’ont été pui
s avaient amorti toutes les passions, adouci tous les caractères ; il
semblait
que la morale était devenue facile à pratiquer, e
r des principes, en négligeant de s’occuper de leur application, nous
semble
parfois puérile. Nous sommes tentés de mépriser n
ôle bien secondaire. On doit remarquer toutefois une circonstance qui
semble
particulière à un temps civilisé : aucun parti, a
n a pu acquérir un certain degré de chaleur et de vraie passion, elle
semble
, à nos yeux, comme l’exaltation produite par l’iv
t et de pitié. Enfin, avec le siècle se termina cette convulsion, qui
semblait
se renouveler sans cesse ; une main puissante vin
ccupe sa pensée, et la France des premiers jours de la révolution lui
semble
s’élever à la hauteur de l’éloquence et de l’enth
l nous paraît avoir déjà toute l’impartialité de l’histoire. L’auteur
semble
n’avoir jamais rien à faire avec aucun préjugé de
et ses principes sont extrêmement religieux, mais sa manière de voir
semble
quelquefois empreinte de la doctrine de la fatali
s de leurs pères. Les causes qui ont produit de si vastes effets leur
semblent
si générales et si puissantes, que les événements
s encouragements à l’industrie, la bonne administration ; tout ce qui
semble
maintenant en voie de s’accomplir fut aussi deman
sa aux principes généraux, aux théories, aux opinions ; et bientôt il
sembla
qu’une antique nation, après avoir traversé les s
nnèrent les vices ; le lien social se brisa, et le droit de la guerre
sembla
régner entre les citoyens d’une même patrie. L’âm
ure manquent de foi, ce fut lui qui inspira la méfiance. Vainement il
semblait
se résigner ; le consentement de la veille ne pou
les discours de ce temps-là, en recueillant ses propres souvenirs, il
semble
qu’on traverse, avec le Dante, un des cercles de
généreux esprits, tant d’hommes éclairés, ce que souhaita Louis XVI,
semble
prêt à s’accomplir. La volonté première de la Fra
a civilisation. La jalousie Dans notre état social, la jalousie
semble
un produit particulier de l’esprit provincial. Je
suis borné à rassembler quelques vues nouvelles qui pourraient, il me
semble
, servir de point de départ à une science nouvelle
stomac, suspend la sécrétion gastrique et repose les glandes ». Il me
semble
qu’on n’avait pas attendu ce banquet hygiéniste p
arfois, quand les crieurs ont bu un coup de trop, ce qui était, il me
semble
bien, le cas, ce jour que l’un d’eux assassinait
onne des émotions sans dommage pour personne. Témoignages Il ne
semble
pas que les magistrats français soient perfectibl
trop rigide, mais ils retombent toujours dans les mêmes préjugés. Il
semble
que tout ce qu’on a écrit depuis dix ans sur la f
moyennant cent sous, d’une commission de trois millions, voilà qui me
semblera
toujours singulier. Il y a trop grande disproport
Nous avons mis longtemps à comprendre le charme de la danse, mais il
semble
que nous y arrivons enfin. Encore quelques années
comprenait rien et surtout les malheureux dont les actes discutables
semblaient
justement demander une certaine discussion. Mais
y en a presque toujours une, et ce n’est pas toujours celle qui nous
semble
la mieux armée. On sait que les astéries ou étoil
semble la mieux armée. On sait que les astéries ou étoiles de mer qui
semblent
inertes et inoffensives, connaissent parfaitement
été, c’est une formidable superstition, très compliquée. Et cette vue
semble
assez juste. Les Chinois, qui n’ont aucunement l’
sous ce rapport, aux anciens Romains, et toute pratique magique leur
semble
redoutable. Ils ont été longtemps à comprendre qu
t même à contester, ce qui est bien inutile. Le miracle étant absurde
semble
tout indiqué comme preuve de l’absurde, mais souv
ment volontaire, mais quelle était la qualité de cette volonté ? Elle
semble
très saine et très décidée. Cet homme qui est un
’est-il pas si exceptionnel qu’on pourrait le croire tout d’abord. Il
semblerait
même assez représentatif d’une race peu exigeante
outé de nouveaux. Celui de l’inauguration est un des plus tenaces. Il
semblerait
qu’une chose est finie quand elle est faite et qu
une invention grecque dont on ne sait pas bien l’origine, mais qui ne
semble
pas antérieure aux conquêtes d’Alexandre, ce gran
ou leur font peur, ni les autres parce que la garantie de l’État leur
semble
salutaire, ni enfin les femmes soumises qui trouv
el canal et peut-être en creusera un autre un peu plus loin. L’isthme
semble
en effet destiné à être coupé par les soins mêmes
gne de l’autre. Abolie pour les écrivains de profession et même il me
semble
pour les militaires, elle vient d’être rétablie p
ur jugement. D’ailleurs, c’est toujours le dernier état des mœurs qui
semblera
le meilleur à un homme sensé. Célibataires
t que jamais, d’un impôt sur les célibataires. Rien, en apparence, ne
semble
plus juste, mais ce n’est peut-être qu’une appare
int et dont il faut se munir d’avance. La statistique de la mortalité
semblait
prouver qu’on meurt plus en France que n’importe
e demain le soin d’organiser à leur gré la cité agrandie. M. Delanney
semble
surtout préoccupé de ménager dans la banlieue, te
mot. Les trois quarts de cette région étant encore à bâtir, le souci
semblera
un peu prématuré. Le jardin public est une heureu
passants ; il y avait tout le long un tas de boutiques à louer. Cela
semble
à cette heure à peine vraisemblable et c’est l’ex
us. En trente ans cet aspect ancien de Paris s’est évanoui. Ces temps
semblent
archaïques. Quand on se les rappelle, il semble q
évanoui. Ces temps semblent archaïques. Quand on se les rappelle, il
semble
qu’on commence à être très vieux, beaucoup plus v
si retentissantes. Peu de monde et pas très gai. Ces divertissements
semblent
s’acheminer vers le marasme définitif. Dévasta
pour la vie d’aujourd’hui. Mieux on connaît cette ville et plus elle
semble
se dérober à l’observateur. Le présent n’y est pa
autour de Saint-Séverin. Rouen n’a cédé que fort peu à cette manie et
semble
s’en repentir, car on n’y démolit plus rien. Malg
ins, mais je l’ai toujours traversée avec une telle facilité qu’il me
semble
que la nécessité de lui agrandir ses rues pourrai
rit gracieux et poétique ; les pages charmantes intitulées la Prairie
semblent
avoir pour objet principal de mettre en évidence
. On rencontre souvent dans les villages des hommes que la Providence
semble
tenir en réserve pour châtier un jour les partisa
tch parle d’une voix douce et flûtée : il a la prononciation lente et
semble
confier avec satisfaction à ses belles moustaches
s’arrêta comme s’il eût été soudainement pétrifié, et pâlit. — Il me
semble
que je t’adresse une question, mon ami ? ajouta A
onnant à sa physionomie une expression d’attendrissement si vif qu’il
semblait
au moment de verser un torrent de larmes, — vous
bourgeons à peine éclos, et gagnent enfin leurs cimes immobiles, qui
semblent
assoupies. Mais celles-ci s’éteignent à leur tour
et nous n’avons que cela… — Je n’ai pas faim. — Faites comme bon vous
semble
. Je vous aurais bien fait chauffer le samovar, ma
ible, tremblant ; on eût dit qu’il ne sortait pas de sa poitrine ; il
semblait
un écho lointain, et produisit une impression étr
de la mer empourprée, et ouvrant de temps en temps ses énormes ailes,
semblait
saluer et les flots qui s’avançaient et le disque
s’avançaient et le disque du soleil… J’y songeai en ce moment. Iakof
semblait
avoir complétement oublié son rival et tous ceux
it brisée. Personne n’ouvrit la bouche ; chacun restait immobile ; on
semblait
attendre qu’il reprît son chant ; mais il ouvrit
je venais de ressentir. Mais la chaleur était encore excessive ; elle
semblait
avoir embrasé l’atmosphère, et on croyait disting
it entendre, et ce silence avait quelque chose de navrant ; la nature
semblait
tombée dans une sorte d’accablement. Je gagnai un
âleur effrayante. Au milieu de la chambre, Obaldouï, dont les membres
semblaient
disloqués, dansait en chemise devant le paysan à
flots de brouillard qui l’inondaient l’agrandissaient encore, et elle
semblait
se confondre avec le ciel. Je marchais en silence
à coup, on lui répondit à l’extrémité de la plaine, et d’une voix qui
semblait
venir de l’autre monde : — Quoi… oi… oi… oi… ? —
délices, et les buissons qui couvrent le flanc du ravin, devant vous,
semblent
jaunir à l’ardeur du soleil. Mais qu’est-ce ? Un
soleil. Mais qu’est-ce ? Un vent subit passe sur la campagne ; l’air
semble
s’ébranler ; ne serait-ce point le tonnerre. Vous
mais dans le lointain, vous voyez descendre mollement des vapeurs qui
semblent
encore chaudes ; la rosée se répand ; les plaines
t disparaissent subitement ; des moucherons s’agitent par essaims qui
semblent
clairs à l’ombre et noirs au soleil ; les oiseaux
t encore çà et là sur les branches nues des tilleuls. La terre humide
semble
élastique sous le pied ; les herbes hautes et des
vie se déroule alors à vos yeux ; l’homme se possède complétement, il
semble
ressaisir tout son passé, tous ses sentiments, to
s de tremble, entièrement dépouillé de feuilles et inondé de lumière,
semble
tout joyeux de sa nudité ; la gelée blanchit enco
t. Vous passez devant un arbre ; aucune de ses feuilles ne bouge ; il
semble
goûter le repos avec délices. Une ligne noire se
re confusément à travers la brume raréfiée qui se met en mouvement et
semble
flotter comme de la fumée ; un éclatant rayon de
complète des autres. Des mémoires remplis uniquement par la femme qui
semble
avoir pris absolument possession de son moi : et
e sorte de messe devant un public de dévots. Il y a là une claque qui
semble
officier, et des renversements d’extase et des pâ
dans parfois, un petit bateau s’encadrant dans cette grosse lentille,
semble
une marine peinte sur un galet de cristal. Sur le
ette bonne enfance de la répression. Ces villes des États Romains, me
semblent
les dernières villes, où le pauvre est encore che
mpathique du public, pendant qu’il marche entre deux carabiniers, qui
semblent
avoir, sur le front, la honte que devrait avoir l
rtains Américains de Paris, je me disais que ces hommes et ces femmes
semblaient
destinés à devenir les futurs conquérants du mond
comme un sequin rongé de vert de-gris par les siècles, une statue qui
semble
un corps de géant dans la damasquinure d’une armu
me depuis 1826, marié à une grosse femme qui nous a ouvert, et qui me
semble
avoir eu sa carrière d’artiste, sa patrie, sa lan
ragédies de Saint-Charlemagne, d’yeux, où un professeur bien appliqué
semble
avoir mis le trait de force dans le point visuel.
alie finit par donner la nostalgie du ciel gris. La pluie en revenant
semble
une patrie… Paris encore une fois. Vendredi 24
ommencent à tâtonner la forme, et dont on va violer l’infini sommeil,
semble
mettre, en la salle, en la curiosité historique q
oule, on déroule toujours, toujours, toujours, sans que l’empaquetage
semble
diminuer, sans qu’on sente, pour ainsi dire, s’ap
ouille l’aisselle, il fait sortir quelque chose qu’on se passe et qui
semble
une fleur qui a senti bon : un petit bouquet plan
, blanchissait des blancheurs sacrées d’Apis. Et par moments, il nous
semblait
marcher dans une image peinte du Japon, autour de
secret des affaires, par des idées personnelles, par des axiomes qui
semblent
l’expérience de la Fortune, par une originalité s
d’une illumination rose, et s’enlevant sur un ciel bleu si pâle qu’il
semble
blanc : un coin de coucher de jour d’un tableau p
ue bien. La littérature chez les hommes de lettres que je vois, ne me
semble
plus qu’un moyen de mettre le gratis dans beaucou
nnier, une pauvre colombe, habituée à être escamotée, immobile et qui
semble
de bois. Et le gentilhomme disparaît… Je ne vois
qu’à la jaunisse nègre, et des têtes de femmes, où la maladie de foie
semble
avoir développé une répugnante pilosité. Là-dedan
uses de Mesdames, un bubon en deuil, dont la mère, dans sa grossesse,
semble
avoir eu un regard d’une caricature idiote de Gra
de Vélasquez, en sa coloration violette aux glacis argentins. Et elle
semble
entourée des petites infantes du maître, assises
monde qui n’y ont plus guère qu’une jambe, des pianistes femelles qui
semblent
revenues de partout, et qui dans des robes noires
ée tout blanc, tout doré, avec son meuble jonquille battant neuf, qui
semble
le meuble fourni à une cocotte par un tapissier.
on ne voit plus que la science… la science c’est si beau… Mais il me
semble
que je ne vivrais plus, si je n’opérais plus… C’e
vierge. Et là-dedans, des lumières sur des feuilles de bananier, qui
semblent
des lumières électriques, et partout ce doux vert
tume, point de ressentiment du reste chez lui contre cette femme, qui
semble
l’avoir enivré avec son amour de folle furieuse.
sant à ces femmes terribles de sens et d’emportements d’âme, qui nous
semblent
devoir éreinter l’amour à coups de grosses émotio
s siens à lui-même. Or, il y a des gueuloirs dans ses phrases qui lui
semblent
harmoniques, mais il faudrait lire comme lui, pou
montait, quelque coupe qui était de bois, de bois doré, mais qui nous
semblait
d’or. Et comme, perdu là-dedans, les idées flotta
pour les soulever. Il y a aussi des tableaux là-dedans dont le choix
semble
une ironie. Au milieu de la soie claire d’un pann
a femme et sa fille, Gaiffe, et un de ces interlopes quelconques, qui
semble
toujours faire le quatorzième de la société. Les
lesques paroles. * * * — Le corps humain n’a pas l’immutabilité qu’il
semble
avoir. Les sociétés, les civilisations retravaill
te de melon oubliée. … La nature pour moi est ennemie. La campagne me
semble
mortuaire. Cette terre verte me paraît un grand c
serait sur une flamme. La nuit est noire et pleine d’étoiles, l’heure
semble
homicide et sereine. Il y a répandu, et comme tom
tion… On se dit qu’on ne peut rien faire, qu’on ne fera plus rien. Il
semble
qu’on soit vidé. L’idée est pourtant là, attirant
mieux tout voilé. Elle aspire à s’en aller. Elle est pressée. Il lui
semble
qu’elle va guérir là. À deux heures, Simon arrive
d’artifice, de me fondre dans la foule, d’y égarer mon chagrin. Il me
semble
que la tristesse se perd parmi tant de monde. Je
nous avions l’habitude d’avoir à côté de nous, autour de nous, et qui
semblait
ne devoir finir qu’avec nous. Et jamais nous ne l
lle ! Grand déchirement, grand changement dans notre vie, et qui nous
semble
, je ne sais pourquoi, une de ces coupures solenne
cette salle d’admission, où sur le fauteuil contre le guichet, il me
semble
revoir le spectre de la maigre créature que j’y a
je ne sais quelle horreur nous est venue de cette mort d’hôpital qui
semble
n’être qu’une formalité administrative. On dirait
pourquoi, deux vues du Vésuve encadrées, de malheureuses gouaches qui
semblent
là, toutes frissonnantes et toutes dépaysées. Par
omme à coups d’étrons, dans un flux de paroles verveuses, où Michelet
semble
doublé d’un père Duchêne : « Un porc grêlé comme
tre, du calcaneum de ses talons : une voix enrouée, extravagante, qui
semble
du Rabelais gloussé. 4 septembre Bar-sur-Se
sans sexe, habillé d’un casaquin et d’une jupe, dont les couleurs ne
semblent
que la déteinte des deux éléments entre lesquels
des rebouteux, un de ces hommes sans études, sans lectures, mais qui
semblent
nés dans les secrets de la nature, qui soignent p
rnard et jusqu’à Sophie Arnould qui y eut son prieuré. La nature même
semble
du xviiie siècle : ce sont les paysages, où Dema
u d’elles, restent penchées sur leur tâche, la physionomie fermée. Il
semble
qu’il y ait un mur entre votre regard et elles. L
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