ent enflée du même vent. » La poésie de M. de Laprade, grave et vide,
ressemble
à la barbe de cet ambassadeur de Venise, dont Pau
lever, en l’emportant ! Cette recherche de la naïveté le fait parfois
ressembler
à l’élégiaque M. Guiraud dont le Savoyard disait
la peinture, mais il peint épais quand il pense à être coloriste. Il
ressemble
à M. Victor Hugo comme un enlumineur à un peintre
etit chef-d’œuvre que Rubens signerait ? Seulement les deux pièces se
ressemblent
comme la lumière, irisant l’eau d’une source, res
x pièces se ressemblent comme la lumière, irisant l’eau d’une source,
ressemble
à un empâtement de vermillon ! IV Du reste,
t le Stylite de la poésie vertueuse. Dans sa perpétuelle attitude, il
ressemble
en ses vers, au bout de ses vers qui s’élancent t
Idylles héroïques que M. Victor de Laprade publie aujourd’hui. Elles
ressemblent
assez à l’air que l’on respire sur la montagne :
. Ceux-ci ont prétendu que le mérite principal d’un portrait était de
ressembler
; les artistes, que c’était d’être bien dessiné e
et bien peint. Eh que nous importe disaient ceux-ci, que les Vandeick
ressemblent
ou ne ressemblent pas ? En sont-ils moins à nos y
que nous importe disaient ceux-ci, que les Vandeick ressemblent ou ne
ressemblent
pas ? En sont-ils moins à nos yeux des chefs-d’œu
t pas ? En sont-ils moins à nos yeux des chefs-d’œuvre ? Le mérite de
ressembler
est passager ; c’est celui du pinceau qui émervei
plus rare qu’un beau pinceau, plus commun qu’un barbouilleur qui fait
ressembler
, et que quand l’homme n’est plus, nous supposons
n action, il ne doit pas conclure dogmatiquement par ce mot faux, qui
ressemble
au mot d’un niais d’honnête homme vertueux qui se
is Aristote et Longin jusqu’à Johnson, Schlegel, Joubert et Macaulay,
ressemble
assez à une des niches de la Gloire. Pourquoi en
Jugez tous les vrais poètes à cette lumière ! Avant Shakespeare, qui
ressemble
à Shakespeare ? Avant Byron, qui ressemble à Byro
e ! Avant Shakespeare, qui ressemble à Shakespeare ? Avant Byron, qui
ressemble
à Byron ? Avant Burns, cet adorable jaugeur de bi
cet adorable jaugeur de bière plus romantique que Byron lui-même, qui
ressemble
à Burns ?… Personne. L’âme, en poésie, est inatte
Burns ?… Personne. L’âme, en poésie, est inattentive à toute voix qui
ressemble
à quelqu’un de connu ou qui rappelle quelque chos
nnu ou qui rappelle quelque chose de senti déjà. Or, Charles Monselet
ressemble
beaucoup trop à Théophile Gautier. On peut refuse
’un homme de talent qui abusa de ses facultés, et dont le talent même
ressemblait
à la rage d’une maladie de débauche. A part encor
m’auriez vu quelque part ?-vous l’avez deviné. Tenez, monsieur, vous
ressemblez
comme deux gouttes d’eau à un certain Christ de B
r à ce quidam colérique qu’on n’en était pas moins honnête homme pour
ressembler
à un Christ ; et le quidam qui répondait au commi
aît à dire, mais vous n’avez pas vu celui de Brenet. Je ne veux point
ressembler
à un Christ, et moins à celui-là qu’à un autre. E
et moins à celui-là qu’à un autre. Et le Moret : oh ! Pardieu, vous y
ressemblerez
malgré vous, etc. Je voudrais avoir fait ce conte
hors d’elle, nulle idée de sciences distinctes et indépendantes. Elle
ressemble
à ces organismes rudimentaires où la division phy
attendant qu’elle devînt une science ayant son but en elle-même. Elle
ressemble
par là à la chimie, née de certaines inventions p
ères qui sont regardées comme une partie intégrante d’elle-même. Elle
ressemble
à ces êtres qui se reproduisent par division ou f
llement cette double ignorance. L’ensemble des connaissances humaines
ressemble
ainsi à un grand fleuve coulant à pleins bords, s
d’une source indéfectible. De là ces constructions philosophiques qui
ressemblent
à de grands poëmes. De là vient qu’à l’ordinaire
r), « domine évidemment la pensée de la limitation de notre savoir »,
ressemble
à la poésie sobre et mesurée du xviie siècle. La
ourir l’histoire entière de la métaphysique pour montrer combien elle
ressemble
à la poésie. Toutes deux se sont partagé ces âmes
n’est-ce pas dire que la métaphysique est d’autant plus haute qu’elle
ressemble
plus à une effusion ou à une rêverie ? Ceux même
nce, et il faut toujours en revenir à ce mot d’un anatomiste : « Nous
ressemblons
devant les fibres du cerveau à des cochers de fia
ou la botanique : elle sépare ceux qui diffèrent, réunit ceux qui se
ressemblent
, et forme ainsi des groupes ; à chaque groupe ell
cherche de physique ou de mathémathiques, la méthode des facultés lui
ressemble
à peu près, comme le calcul de mon ami ressemble
ode des facultés lui ressemble à peu près, comme le calcul de mon ami
ressemble
à un plan trigonométrique dressé avec soin. Il ne
ychologie et une métaphysique, elle ne sera ni l’une ni l’autre. Elle
ressemblera
en cela aux autres sciences qui toutes éliminent
x qui ne reconnaissent que l’observation extérieure, comme Broussais,
ressemblent
à ces combats indécis après lesquels chacun s’att
te en une étude abstraite, on substitue une entité à une réalité ; on
ressemble
au zoologiste qui prendrait pour base de ses rech
giques. Ainsi entendue, elle perdra ce caractère abstrait qui la fait
ressembler
si souvent à la logique. C’est à celle-ci en effe
es livres de notre temps », dit M. Lewes (un positiviste), « mais qui
ressemble
à un obélisque solitaire dans la plaine immense e
savons même pas et nous ne saurons jamais quelle tête avait Molière.
Ressemblait
-il à Monval ? ou peut-être à Porel ? Mystère !
n autre, où elle rappelle tout à fait la Madeleine de Guido Reni (qui
ressemble
elle-même à Adrienne Lecouvreur). Et pas un trait
il est vrai que les diverses figures peintes d’un même comédien ne se
ressemblent
jamais entre elles, il est également vrai que les
t également vrai que les portraits des comédiens d’une même époque se
ressemblent
tous, tous comme des frères. Arrangez cela ! Je
e bien que, dans cet accoutrement, Mlle Réjane elle-même finirait par
ressembler
à la statue de Lille ou à celle de Rouen. Devant
ste-Marie Vianney. C’était, comme saint Vincent de Paul, auquel il ne
ressemblait
pas, quoiqu’il fût aussi grand que lui et plus ét
ter sa paroisse, sous quelque prétexte que ce fût. En cela, il devait
ressembler
davantage à ce saint Siméon Stylite auquel je l’a
utrefois sur les lèvres de François de Sales, savez-vous à qui il eût
ressemblé
, ce Curé d’Ars dont l’abbé Monnin a publié un por
si stupéfiant, à la tête de son histoire ?… Tenez-vous bien ! Il eût
ressemblé
à Voltaire. Dieu, qui se joue de tout et qui veut
ère les traits de son ennemi le plus implacable ? Oui ! le Curé d’Ars
ressemble
à Voltaire comme saint Vincent de Paul ressemble
Oui ! le Curé d’Ars ressemble à Voltaire comme saint Vincent de Paul
ressemble
à un satyre, mais chez tous les deux, le Saint a
taphysique, dans la recherche du vrai, et préférer la dernière, c’est
ressembler
à un homme qui, voulant aller en Amérique, et tro
ira : cela s’explique par un principe vital : le battement du pendule
ressemble
à celui du cœur, les aiguilles marchent comme des
du cœur, les aiguilles marchent comme des antennes, l’heure qui sonne
ressemble
à un cri de colère et de douleur ; et il se perdr
ont le résultat d’un développement, non d’éléments préexistants. Kant
ressemble
à un homme qui dirait que la forme du chêne préex
odifie. La douleur causée par une brûlure est-elle une copie du feu ?
Ressemble-t
-elle en rien au feu ? Nullement. Elle exprime seu
s de l’être sentant, causées par quelque chose d’externe, mais qui ne
ressemble
pas plus à leur cause que la peine causée par un
semble pas plus à leur cause que la peine causée par un instrument ne
ressemble
à cet instrument. » L’erreur radicale de ceux qu
e à prendre une métaphore pour un fait, et à croire que la perception
ressemble
à un miroir dans lequel les objets se réfléchisse
ce : elle peut être causée par des objets externes, mais elle ne leur
ressemble
en rien. Tout ce que nous pouvons faire, c’est d’
a des choses dont les idées sont des copies ? Comme une idée ne peut
ressembler
qu’à une idée, il faut de deux choses l’une : ou
lors l’idéalisme triomphe ; ou bien que vous souteniez qu’une couleur
ressemble
à quelque chose d’invisible, le rude à quelque ch
se tut sur les mérites de cet aîné, plus beau que lui, mais auquel il
ressemble
. Il trouva peut-être qu’il lui ressemblait trop p
beau que lui, mais auquel il ressemble. Il trouva peut-être qu’il lui
ressemblait
trop pour en parler, et il fut modeste pour deux.
les ; eux, ces indolents lazzaroni de la rêverie ou de la pensée, qui
ressemblent
au beau moissonneur appuyé sur le timon du char r
est, en effet, sur bien des points, un débile et un erroné. Quoiqu’il
ressemble
à Joubert par l’accent, le coloris, le platonisme
’heure qu’il est, publient les œuvres de l’homme qui, de nature, leur
ressemblait
si peu, et paient son convoi (croient-ils) pour l
par ces « qualités », quelles qu’elles soient, les unités sociales se
ressemblent
-elles ou diffèrent-elles ? Telle est la première
quelle application l’inférieur n’a-t-il pas essayé, en tout temps, de
ressembler
extérieurement au supérieur — le supérieur de se
s réglées qu’avec des reflets de nous-mêmes, avec des frères qui nous
ressemblent
tant par le corps que par l’âme, tant par les man
activités individuelles altruistes, tous ces traits, par lesquels se
ressemblent
les sociétés fortement homogènes, nous prouvent a
s sont ces civilisations où l’on rencontre le plus d’individus qui se
ressemblent
par certains côtés pendant qu’ils diffèrent par c
rs désignés des types collectifs ; aux groupes étroits de gens qui se
ressemblent
sous tous les rapports ils sont faits pour substi
faits pour substituer les groupes indéfiniment élargis de gens qui se
ressemblent
par quelque côté, et en ce sens, — si nos déducti
suivant les points de vue, tantôt que leurs membres sont ceux qui se
ressemblent
le plus, tantôt qu’ils sont ceux qui diffèrent le
croissantes. » — De même M. Brunetière (Ibidem, V, p. 626) : On ne se
ressemblera
pas tous ! Mais les différences n’auront « plus r
progression des habitations des hommes sur la terre, se seront moins
ressemblé
. Enfin cette ressemblance diminuant toujours à ch
ent encore aujourd’hui, et déja les descendans des premiers colons ne
ressemblent
plus aux portugais nez dans le roïaume de Portuga
ens et les béotiens, fait que les florentins ont des voisins qui leur
ressemblent
si peu, et que nous trouvons en France tant de se
ce des esprits devient immense. Les chinois n’ont point un esprit qui
ressemble
à celui des europeans. voiez, dit l’auteur de la
les désarmer. Toute l’Europe sçait si les catalans d’aujourd’hui leur
ressemblent
. Ne reconnoît-on pas les castillans dans le portr
nt les mêmes idées, et souvent la même manière de les rendre. Tous se
ressemblent
. Des milliers d’hommes ne forment qu’un seul homm
, et sur le monde entier, qu’il verse sa lumière. On ne peut donc lui
ressembler
sans être bienfaisant. Croit-on, dit-il à Valenti
ire, le simulacre saint de la divinité ; nous l’adorerons alors. Pour
ressembler
à Dieu, il ne suffit pas d’usurper ses honneurs,
ateur, que c’est en sauvant, et non en égorgeant les hommes, que l’on
ressemble
aux dieux. Quand on a remporté la victoire sur de
onduite des nations. On brise une statue, on efface un tableau qui ne
ressemble
point à son modèle : le prince serait-il donc moi
(aux professeurs de ce temps-là) ; mais ils veulent écrire et ne pas
ressembler
aux Muses. » Eh bien ! lui, il suivait son consei
pas ressembler aux Muses. » Eh bien ! lui, il suivait son conseil, il
ressemblait
aux Muses. Il était le public de ses amis, l’orch
ieux et blanchissant, il se comparait avec grâce à un peuplier : « Je
ressemble
à un peuplier ; cet arbre a toujours l’air d’être
» Je dirai encore cette magnifique pensée qui, dans son anachronisme,
ressemble
à quelque post-scriptum retrouvé d’un traité de P
aysage, avec un tour et une coupe dans les moindres détails, qui fait
ressembler
sa phrase familière à quelque billet de Cicéron :
uché sur sa litière : « Vous voyez, poursuit-il, que mon existence ne
ressemble
pas tout à fait à la béatitude et aux ravissement
n’y a d’heureux par la vieillesse que le vieux prêtre et ceux qui lui
ressemblent
. » Il s’élevait et cheminait dans ce bonheur en a
ide, sur le même sujet ; mais ces deux Pieces sont aussi éloignées de
ressembler
à celles des deux Poëtes Grecs, que la Muse tragi
eux Poëtes Grecs, que la Muse tragique de MM. Lemiére & Marmontel
ressemble
peu à celle de Corneille & de Racine. On repr
si elles sont vraies ? Cette préface de M. de Balzac a le malheur de
ressembler
, au style près, à l'une des nombreuses préfaces d
nt sans cesse, la série des Études de Mœurs de M. de Balzac finit par
ressembler
à l’inextricable lacis des corridors dans certain
rampe ; et cette page me résume et me figure tout ce style même, qui
ressemble
souvent au mouvement brisé d’une orgie, à la dans
aucun bruit et les tapages politiques de notre temps. Quoique nous ne
ressemblions
guères aux hommes qui vivaient vers 1550 et que n
ous, affecté, dans sa biographie d’Henri Estienne, une modération qui
ressemble
beaucoup au faux air de l’indifférence, et il a a
e trop modeste titre d’Essai sur la Typographie. Cet essai, en effet,
ressemble
beaucoup à une chose complète. Henri Estienne et
onnage de roman pourra n’être pas comique. Mais il est comique de lui
ressembler
. Il est comique de se laisser distraire de soi-mê
ent général. Rien de plus singulier que le personnage de Hamlet. S’il
ressemble
par certains côtés à d’autres hommes, ce n’est pa
a alors, consciemment ou non, du tragique au comique. Personne ne lui
ressemble
, parce qu’il ne ressemble à personne. Au contrair
on, du tragique au comique. Personne ne lui ressemble, parce qu’il ne
ressemble
à personne. Au contraire, un instinct remarquable
r où plusieurs d’entre elles se touchent et deviennent capables de se
ressembler
. Elle n’ira pas plus loin. Et lors même qu’elle l
n côté une personne n’est jamais ridicule que par une disposition qui
ressemble
à une distraction, par quelque chose qui vit sur
tudes d’esprit et certaines particularités de caractère par où ils se
ressemblent
entre eux et par où aussi ils se distinguent des
a campagne, vous aperceviez au sommet d’une colline quelque chose qui
ressemble
vaguement à un grand corps immobile avec des bras
ns doute, aiguë ou chronique, dans certaines formes de la folie. Elle
ressemble
par bien des côtés à l’idée fixe. Mais ni la foli
n est membre. On se relâche de l’attention qu’on devrait à la vie. On
ressemble
plus ou moins à un distrait. Distraction de la vo
ntiments acquis antérieurement pour produire quelque construction qui
ressemble
à la réalité ? C’est par des associations que je
gie ; toutes ces opérations, se réduisant à associer des idées qui se
ressemblent
, diffèrent, ou se ressemblent et diffèrent tout à
e réduisant à associer des idées qui se ressemblent, diffèrent, ou se
ressemblent
et diffèrent tout à la fois. II Avant d’e
e peuvent se résumer ainsi : Connaître une chose c’est savoir qu’elle
ressemble
à quelques-unes et diffère de quelques autres. Qu
ions, pensées ou émotions présentes tendent à raviver celles qui leur
ressemblent
, parmi les impressions ou états antérieurs. » L’
it lui refuser à la tribune. Il avait mieux que de l’esprit ; mais il
ressemblait
en cela à ces figures qui, pour paraître belles,
nise de Shakespeare en lisant cette pièce. La simplicité chez Arnault
ressemble
trop souvent à de la nudité ; la veine, chez lui,
s et dire simplement : Prenez ses fables. Les Fables de M. Arnault ne
ressemblent
pas à d’autres ; il les conçoit à sa manière et e
espèces de moralités ou de mots incisifs qui terminent chaque pièce,
ressemblent
souvent à certains traits également aiguisés et l
une pâle matinée de janvier de 1816, par un de ces ciels d’hiver qui
ressemblent
à l’extrême automne et qui ne laissent point enco
roit Où l’on voit briller la paillette. Un bruit accru par des échos
Ressemble
beaucoup à la gloire. … Au milieu du discours le
nuages, Changent à chaque instant leur magique hypallage. Cela doit
ressembler
un peu à Lycophron, que je n’ai guère lu ; mais à
c’est une plaie toute livide, un râle d’agonisant, quelque chose qui
ressemble
aux symptômes d’un empoisonnement physique. Les m
èvre écrirait probablement mieux en anglais qu’en français. Son style
ressemble
assez à une traduction soignée et empesée d’un bo
u’un qui l’a bien connu, « il avait un tel éloignement de tout ce qui
ressemble
à l’intrigue, qu’il poussait cette aversion jusqu
fait la Divine Comédie, et l’épisode d’Ugolin, la chose au monde qui
ressemble
le moins à l’Énéide, c’est qu’il comprit que de s
éputation du grand Racine. Par hasard, la nouvelle tragédie française
ressemblerait
beaucoup à celle de Shakspeare. Mais ce serait un
et qui avait plus de courage que de finesse. Notre tragédie nouvelle
ressemblera
beaucoup à Pinto, le chef-d’œuvre de M. Lemercier
Théodore de Banville En dépit de la légende. Victorien Sardou ne
ressemble
pas plus au général Bonaparte que M. de Girardin
rdou ne ressemble pas plus au général Bonaparte que M. de Girardin ne
ressemble
à Napoléon empereur. Un poète trop peu connu, Jul
d’émouvoir, et nullement de convaincre ? Penser autrement, ce serait
ressembler
à ce mathématicien sévère, qui après avoir lu la
rer par sa véhémence ce qu’elle pourra ne pas avoir en durée, elle ne
ressemblera
pas à cette agitation superficielle que l’éloquen
multitude : plus l’auditeur aura de génie, plus aussi son impression
ressemblera
à celle de l’orateur ; plus il sera capable d’imi
a place. » Le style de Thucydide, auquel il ne manque que l’harmonie,
ressemble
, selon Cicéron, au bouclier de Minerve par Phidia
haleine, et celui qui oblige à chaque instant de la reprendre, et qui
ressemble
à une sorte de marqueterie ; à savoir enfin entre
t en effet celui de la plupart de nos prédicateurs modernes ; il fait
ressembler
leurs sermons, non à l’épanchement d’un cœur péné
se. L’Histoire du Parlement d’Angleterre & celle du Stathoudérat,
ressemblent
à ces portraits où la vérité est sacrifiée au col
p; des Rois. Ce sont des Dieux cruels qui ont besoin de Rois qui leur
ressemblent
; ce sont des Rois méchans qui ont besoin de Dieu
classique de la psychologie expérimentale, cependant, comme ils leur
ressemblent
à beaucoup d’égards, on pouvait souhaiter de voir
ion du monde extérieur n’est pas un état purement passif, où l’esprit
ressemblerait
à un miroir reflétant fatalement les objets. Elle
es des sciences de croire que ce monde matériel, pris en lui-même, ne
ressemble
nullement aux perceptions que nous en avons : ce
internes qui correspondent aux existences externes, mais qui ne leur
ressemblent
pas. Quand je perçois un chêne, ma perception cor
qui écrit ces lignes le rencontra, — il y a de cela des années, — il
ressemblait
encore à ce portrait de son salon où, sous de lon
trangleur avec un bracelet ! C’est là qu’il a taillé tant de mots qui
ressemblent
à des diamants dont les angles coupent, et qu’il
indre des facettes de ses œuvres les plus courtes ; de ces œuvres qui
ressemblent
souvent à des bagues et à des bijoux de femme, po
doré à ces deux choses. Il n’imitait pas Balzac, mais parfois il lui
ressemblait
, il le réfléchissait. Si vous étudiez Gozlan à la
de trèfles. Quelquefois, dans les débordements du fleuve, ces ruines
ressemblent
sur les eaux à une grande flotte ; quelquefois de
les d’Apollon et des Muses ; et le paysage entier, baigné par la mer,
ressemble
à un tableau d’Apelles, consacré à Neptune et sus
ns, et l’illusion ne s’est pas détruite ! Leur manière et leur talent
ressemblent
à cette « verge couverte d’yeux » à laquelle Amel
« Dieu est le grand célibataire », a dit Henri Heine. Le grand talent
ressemble
à Dieu. Il ne se marie pas pour créer. III
s-feuilleton ! Mais, il faut bien le dire, l’observation du romancier
ressemblait
à l’amour de son ami Chamfort. Elle se contentait
riettes de Fervaques ont un accent que n’ont pas les autres. Elles ne
ressemblent
pas, par exemple, aux Historiettes de Tallemant d
ncts et ses· goûts, serait, j’en suis sûr, bien heureux, parbleu ! de
ressembler
à Grammont, l’adorable Grammont, raconté par l’ét
théorie des passions, lorsqu’il a voulu que pas un soupir de l’âme ne
ressemblât
au soupir qui l’avait précédé. Partout où il y a
e par les modernes, mais le fond nous en paraît hébraïque ; car il ne
ressemble
point aux airs grecs du plain-chant. Le Pentateuq
aël dans son livre de l’Allemagne : « La poésie du style de Jean Paul
ressemble
aux sons de l’harmonica, qui ravissent d’abord, e
rre. C’est ainsi que l’homme s’éclipse, et jamais l’infini. Mais nous
ressemblons
au peuple qui regarde une éclipse de lune dans l’
Voyez comme le soleil se bat avec la lune ! * * * Beaucoup d’hommes
ressemblent
au verre, si uni, si poli et si doux au toucher t
* * Ceux qui redoutent les lumières comme un danger pour les peuples
ressemblent
aux personnes qui craignent que la foudre ne tomb
de Staël que nous avons déjà cité : « La poésie du style de Jean Paul
ressemble
aux sons de l’harmonica, qui ravissent d’abord et
us… juvénile dans un hors-d’œuvre brillant, audacieux et colère. Cela
ressemble
presque à une expédition ! Il y défend le régicid
lomon, et en faire deux Pitt très distincts, — l’un d’avant 1792, qui
ressemblerait
beaucoup à Fox, un Pitt philanthrope, négrophile,
us on a d’esprit, plus on voit de différences entre les choses qui se
ressemblent
, Macaulay a dû en avoir une fière quantité ce jou
, qui est le coup de hache définitif et mérité par lequel le critique
ressemble
à l’homme d’État, et dont l’un ne peut pas plus s
ui est la gloire de Macaulay ! Cette critique qui le prend de haut ne
ressemble
nullement, je l’ai dit déjà, mais il faut insiste
ien ; le philosophe stoïcien ; l’épicurien sceptique et tolérant, qui
ressemble
plus ou moins au Sévère de Polyeucte, et le fonct
de cuisine, d’ameublement ou d’habillement : gauche mosaïque qui fait
ressembler
la conversation des personnages au texte de ces «
mples et profonds, que je ne me charge point de trouver, des mots qui
ressembleraient
à quelques-uns de ceux que Tolstoï a su prêter au
histes, des chrétiens de la primitive Église, et d’affirmer qu’ils se
ressemblent
comme des frères. Si l’on considère en elles-même
eut-être oublié ; mais nous nous en souvenons toujours. Ah ! celui-là
ressemblait
vraiment à la corbeille de figues sous lesquelles
voir ; car il n’imite pas Alfred de Musset, mais naturellement il lui
ressemble
, comme un frère brun ressemble à son frère blond,
d de Musset, mais naturellement il lui ressemble, comme un frère brun
ressemble
à son frère blond, — plus idéal et plus lumineux
tout jeune qu’il fût, n’était nullement de cette école de poésie qui
ressemble
à celle des Lakistes à peu près comme le lac d’En
qui ressemble à celle des Lakistes à peu près comme le lac d’Enghien
ressemble
aux lacs de l’Ecosse. Il n’y avait plus alors d’a
de cette troupe de descriptifs, qui, même quand ils ont du talent, se
ressemblent
tous au point de faire croire qu’ils ne sont qu’u
ement « Voilà quelqu’un ! », parmi toute cette plèbe d’esprits qui se
ressemblent
comme les nègres se ressemblent entre eux, comme
mi toute cette plèbe d’esprits qui se ressemblent comme les nègres se
ressemblent
entre eux, comme se ressemblent toutes les races
ui se ressemblent comme les nègres se ressemblent entre eux, comme se
ressemblent
toutes les races physiologiquement inférieures, q
ièrement embarrassé. Ou les Gallo-Celtes qui habitaient notre pays ne
ressemblaient
guère aux Celtes de Grande-Bretagne et d’Irlande,
Grande-Bretagne et d’Irlande, ou leurs descendants de France ne leur
ressemblent
guère. Car un abîme sépare aujourd’hui le génie c
rs membres de la famille des Baleines ; car ces différents Cétacés se
ressemblent
par tant de caractères de petite ou de grande imp
erhouse l’a remarqué, de tous les Marsupiaux c’est le Phascolomys qui
ressemble
de plus près, non pas à quelque espèce particuliè
tants de la même classe, indépendamment de leurs habitudes de vie, se
ressemblent
par le plan général de leur organisation. Cette r
ves vermiformes des Papillons, des Mouches, des Coléoptères, etc., se
ressemblent
beaucoup plus que les insectes adultes ; et cepen
liquer que les, embryons des différentes espèces de la même classe se
ressemblent
généralement, mais non pas universellement ? Pour
es espèces de notre genre supposé tendront d’une façon manifeste à se
ressembler
les uns aux autres beaucoup plus que les adultes,
e l’embryon des divers descendants modifiés d’une même souche mère se
ressembleront
toujours étroitement, car ils n’auront pas été at
parents. En l’un ou l’autre cas, le jeune individu ou l’embryon devra
ressembler
parfaitement à l’adulte qui le produit : c’est ce
s individus ne subissent-ils aucune métamorphose, mais, au contraire,
ressemblent
étroitement à leurs parents dès les premières pha
clairement pourquoi quelques formes organiques anciennes et éteintes
ressemblent
aux embryons de leurs descendants, nos espèces ac
Coléoptères du même genre, et mieux encore de la même espèce, qui se
ressemblent
parfaitement sous tous les rapports, et cependant
s illusions morales au sein desquelles habitent la plupart des hommes
ressemble
à cette coupole étoilée du firmament qui nous fai
qu’une ou tout au plus deux idées à la fois. Il y a des écrivains qui
ressemblent
au maréchal de Soubise dans la guerre de Sept Ans
vernement de la société, supposent trop que le commun des hommes leur
ressemblent
. L’humanité est plus grossière et plus forte en a
s sur un visage, s’il n’y a pas deux portraits de Marie Stuart qui se
ressemblent
, si deux photographies même du même original diff
t-ils sur l’homme moral ? Il y a vingt portraits de Fénelon qui ne se
ressemblent
point, et l’on peut en faire vingt autres qui ne
ui ne se ressemblent point, et l’on peut en faire vingt autres qui ne
ressembleront
point aux premiers. Chacun prend l’homme d’un côt
rid ce que l’autre faisait à Berlin et plus tard à Paris. S’ils ne se
ressemblaient
pas par la célébrité, ils se ressemblaient par le
tard à Paris. S’ils ne se ressemblaient pas par la célébrité, ils se
ressemblaient
par les idées. Aussi est-ce sous la lumière attir
mais ce n’est, certes ! pas la diplomatie. Leur diplomatie, à eux, a
ressemblé
à toutes les autres diplomaties, pour la plupart
que les histoires superstitieusement réimprimées par Livet ; rien qui
ressemble
moins à ce que nous autres gens du xixe siècle n
ue que Louis XIV, toute critique franche, directe et à fond de train,
ressemblait
à une grossièreté, et personne ne se la permettai
yeux les catalogues des académiciens jusqu’à 1700, et ces catalogues
ressemblent
aux restes noirs d’un papier brûlé et consumé, su
ment intellectualiste, soit au point de vue matérialiste (les deux se
ressemblent
), ne considère le plus souvent que le contenu et
t ce que peut faire une représentation, c’est non pas d’agir, mais de
ressembler
ou de ne pas ressembler : une représentation ne t
représentation, c’est non pas d’agir, mais de ressembler ou de ne pas
ressembler
: une représentation ne tombe que sous la catégor
n, elle lui est également semblable ou dissemblable, comme un tableau
ressemble
çà un autre tableau ou en diffère : elle n’agit p
étudier sont toujours concentriques. Sous ce rapport, la psychologie
ressemble
à la biologie, qui considère chaque fonction de l
chaque fonction, de manière à former une sorte de cercle vital. Elle
ressemble
aussi à la biologie en ce que celle-ci considère,
n de ces deux états de conscience forme une espèce distincte ; ils se
ressemblent
, ils appartiennent au même genre, qui est la sens
de mouvements tout mécaniques. Ceux qui sont dupes de cette apparence
ressemblent
à des gens qui prendraient les soldats d’un régim
ts champs de vignes basses, enclos de buis ou de pierres sèches, font
ressembler
, trait pour trait, ces hameaux du Mâconnais à ces
t de papillons. Tous ces printemps étaient italiens ou grecs ; ils se
ressemblaient
les uns les autres, comme le même visage répété p
e répandre dans leurs petits jardins bordés de sureaux, dont la fleur
ressemble
à la neige qui n’a pas encore été touchée du sole
gnent les hautes collines d’une traînée de lumière rose ; cette lueur
ressemble
aux reflets que la gueule du four, où pétillent l
gne, et à cueillir au buisson les fruits verts de cet arbrisseau, qui
ressemblent
à de petites marmites à trois pieds, amusement et
t qui se trouve à son insu avoir fait de ces taches quelque chose qui
ressemble
à un tableau. Il se croit peintre et il s’admire
ed pour y entrer à la suite de mon guide. XXVIII Cette chambre
ressemblait
, dans son désordre et dans son chaos, à un écroul
uation, et après les épreuves que j’ai traversées ou que je traverse,
ressemble
à ces spectacles dont on sort le dernier et où l’
On possède bien des observations de fausse reconnaissance : elles se
ressemblent
d’une manière frappante ; elles sont souvent form
tion de la perception actuelle avec une perception antérieure qui lui
ressemblait
réellement par son contenu, ou tout au moins par
eurs qui la proposent 31. Elle s’applique en effet à un phénomène qui
ressemble
par certains côtés à la fausse reconnaissance. Il
per, d’une expérience actuelle avec une expérience antérieure qui lui
ressemble
. Ajoutons (et c’est là peut-être l’essentiel) que
t lié à un souvenir réel, celui de la personne ou d’une autre qui lui
ressemblait
: peut-être n’est-il que la conscience vague et p
s et deux images prises au hasard, si éloignées qu’on les suppose, se
ressembleront
toujours par quelque côté, puisqu’on trouvera tou
sont possibles, mais le souvenir qui tend à reparaître est celui qui
ressemble
à la perception par un certain côté particulier,
a vie réelle. Cherchant, parmi nos expériences passées, celle qui lui
ressemble
le plus, c’est au rêve que nous la comparerons. O
mille. Madame Émile de Girardin, en particulier, la patronne du lieu,
ressemble
, nous le reconnaissons, à madame de Sévigné, à ce
i cordial et si sensé, à peu près aussi exactement qu’Alexandre Dumas
ressemble
à Raphaël. — La prétention affichée et proclamée
her des analogies ou des différences : on se demandera à quoi l’objet
ressemble
le plus, à quoi il est le plus opposé. L’esprit e
aisait penser au son de la trompette. On ne cherchera à quoi un objet
ressemble
que lorsqu’on saura bien ce qu’il est. Des compar
et ne s’élevent pas assez l’une sur l’autre. Il suffit donc, pour lui
ressembler
en cela, de se négliger et de ne point se donner
geant ses reminiscences avec discernement, composer une épigramme qui
ressemblera
si bien à celles de Martial, qu’on pourra la pren
toujours tromper un peu les hommes pour s’en faire écouter. La vérité
ressemble
à ces personnes qu’on estime & qu’on néglige
que l’histoire même le héros de son lecteur. Les hommes en général se
ressemblent
par les foiblesses ; leurs penchants sont à-peu-p
as sans effort, que le bon goût parvient à s’établir. Le mauvais goût
ressemble
à ces plantes parasites que le cultivateur ne ces
le blâmer. C’étoit le sien. On sait que celui de chaque peintre ne se
ressemble
pas. L’Albâne mettoit plus de petits détails dans
aussi beaucoup d’autres qui ne peuvent produire ni bien ni mal ; ils
ressemblent
à ces jeux de commerce qui aident à passer le tem
nt servir à prouver que le génie est de tous les climats, & qu’il
ressemble
à ces plantes heureuses, pour qui toute espece de
siers fatigués de ses instrumentistes ordinaires… Saint-Marc Girardin
ressemblait
à un cachalot qui expire. M. John Lemoinne, autre
icles qu’il a publiés. Propre à tout, d’une facilité de rédaction qui
ressemble
à du mécanisme, il parla de l’Antiquité, ce sujet
s singulières, le sentiment du regret le plus inattendu, qui les fait
ressembler
à une jérémiade éternelle ! Or, savez-vous quel é
iasme plus incompréhensible encore, du monde qui les acclama. Cela se
ressemble
… Avec les différences de rabougrissement, de race
, de race et de peau, comme le crapaud, dont Lavater faisait Apollon,
ressemble
à la tête de Méduse ; car les nègres donnent à to
es nègres et pour les mulâtres. Dans le détail de cette histoire, qui
ressemble
à un conte d’Edgar Poe, l’auteur nous fait parfai
nt pas voulus si visiblement pour fils, et d’autant moins qu’ils leur
ressemblent
davantage. La ressemblance est un partage, et tou
stance, qu’il est devenu presque un avec lui, et qu’il a fini par lui
ressembler
comme les Ménechmes se ressemblent. Il est devenu
n avec lui, et qu’il a fini par lui ressembler comme les Ménechmes se
ressemblent
. Il est devenu le Ménechme du père d’élection qu’
itée, à son tour, à côté de sa propre victime. Ces vengeances du sort
ressemblent
à des hasards. Ce sont des justices souvent. »
ent plus de doute sur la mort. Ses imprécations et ses fureurs firent
ressembler
un moment le cachot à une boucherie. Il fallut l’
on ; il se respectait lui-même dans sa victime. Quelque chose faisait
ressembler
ce supplice à un suicide du peuple. Un petit nomb
dire par son attitude : “Regarde-moi bien, tu n’en verras pas qui me
ressemblent
.” La nature cependant fondit un instant cet orgue
te histoire est pleine de deuil, elle est pleine surtout de foi. Elle
ressemble
au drame antique, où, pendant que le narrateur fa
u vague, fuyante, inconsistante. Les personnages qu’elle construit se
ressemblent
presque tous, n’ont point cette variété et cette
lieu des bruyères de Bretagne par un grand-père et une grand’mère qui
ressemblent
à deux pastels fanés et très anciens, veut, à cin
a, c’est Sabine, c’est Mme de Campvallon. A vrai dire, elles aussi se
ressemblent
entre elles : ce sont variétés d’un même type. Ma
trouverait, à la rigueur, le plus de ressemblance. Ces amoureuses ne
ressemblent
point à celles de George Sand, qui sont, en génér
décentes et d’une élégance irréprochable. Et c’est pourquoi elles se
ressemblent
si fort. Comme elles n’ont que des apparences d’â
orants, que l’on sait davantage, car on en sait mieux combien on leur
ressemble
encore ». L’étude ne rendait Huet ni mélancolique
, peut-être que ceux qui viendront après ne seront pas fâchés de vous
ressembler
, et d’être faits comme vous aurez été. Vous avez
, vous en avez assurément autant qu’on en peut avoir, et votre esprit
ressemble
à votre visage ; il a plus de beauté que d’agréme
us vif, ce mouvement net et prompt, cette impétuosité de jugement qui
ressemble
presque à une ardeur de cœur, Huet ne l’avait pas
le en son temps et de loin si original. Une vie si calme et si pleine
ressemble
bien peu à celles d’aujourd’hui, et elle a droit
s, corrects, comme il s’en confectionne beaucoup à Londres, et qui se
ressemblent
tous les uns aux autres, comme toutes les vignett
e toutes les vignettes anglaises et toutes les écritures anglaises se
ressemblent
. Eh bien ! telle est ma raison de douter de l’aut
oup de théâtre final… et féminin de toutes ces petites médisances qui
ressemblent
à des turlututus d’un sou, il n’était pas laid, l
de soie et la culotte aimés du prince de Galles, comme ses pantalons
ressemblaient
à des jupes et même, à ce qu’il paraît, ont donné
ent d’un seul flot sur une grande figure un de ces jours complets qui
ressemblent
à la clarté d’or de l’apothéose, mais il promène
i ne consulterent jamais que leur imagination pour les forger. Ils ne
ressemblent
en rien aux habitans de nos campagnes et à nos be
la rime, combien d’autres sont remplies d’un amour sophistiqué qui ne
ressemble
en rien à la nature. Les auteurs de ces chansons,
nation s’était idéalisé cette figure. Cette parente me disait qu’elle
ressemblait
beaucoup à ma mère lorsque ma mère avait seize an
amier, son amie ; ces deux figures se confondent, bien qu’elles ne se
ressemblent
pas. L’une, génie inquiet et politique, consacra
ma mère, qui logeait chez moi dans un hôtel garni. Ces deux femmes se
ressemblaient
étonnamment par leur âge, par leur figure, par le
effet presque tous les jours avec des tendresses d’empressements qui
ressemblaient
au regret de s’être connues trop tard. XV L
les nobles visiteurs, le demi-voix des entretiens sur les marches qui
ressemblait
au recueillement d’une entrée d’église, tout cela
nt de passions ambitieuses que de jours ; un faux air de modestie qui
ressemblait
à la pudeur ou plutôt au fard de la gloire, tel é
’était leur ombre, un pastiche d’homme de génie, mais pastiche ; cela
ressemblait
aux tragédies en monologues du Piémontais Alfieri
e échappée en une nuit (celle du 9 thermidor) à son naufrage de sang,
ressemblait
en ce moment à une plage où tous les naufragés pê
ectes, des maçons, des sculpteurs et des mouleurs, contre tout ce qui
ressemble
à de la peinture ; mais comment se fait-il que de
ncipaux fondateurs du christianisme Peinture sérieuse, mais pédante —
ressemble
à un Lehmann très-solide. Sa Sapho faisant le sau
ncifs qui traînent dans tous les jeunes ateliers ; — au contraire, il
ressemble
au Passé ; trop peut-être. — M. Auguste Hesse con
u’on retrouve dans certains piédestaux des statues antiques. — Homère
ressemble
peut-être trop à Bélisaire. — Un autre tableau pl
Brillouin M. Brillouin a envoyé cinq dessins au crayon noir qui
ressemblent
un peu à ceux de M. de Lehmud ; mais ceux-ci sont
volonté ferme et laborieuse ; mais aussi il est un peu dur et sec, et
ressemble
peu au dessin d’un peintre. Antonin Moine T
réable et rustique, surtout par devant. — La tête d’Adam, quoiqu’elle
ressemble
à celle de Jupiter olympien, est affreuse. — Le p
s ne croyons pas avoir fait d’omissions graves. — Le Salon, en somme,
ressemble
à tous les salons précédents, sauf l’arrivée soud
la poésie et défigure entièrement l’éloquence. Cette dernière surtout
ressemble
assez aux momies que l’on charge de clinquant : ô
e, et qui jouissait à la fois de sa gloire et de ses vertus ». Bodmer
ressemblait
physiquement à Voltaire : Cette ressemblance, di
te et remarquable réponse : « Il ne manquerait rien à ma gloire si je
ressemblais
en tout à M. de Voltaire ; mais peut-être serait-
tout à M. de Voltaire ; mais peut-être serait-il plus heureux s’il me
ressemblait
davantage. » — Bodmer fit présent à Ramond du re
es, de termes inexacts, de métaphores, d’expressions vagues. L’auteur
ressemble
à un homme qui voudrait calculer avec des chiffre
ma personne ; ils font partie de moi-même. Les grands mots abstraits
ressemblent
aux gros ornements nouvellement adoptés par les d
ut qu’il soit au-dessus du public, mais d’un degré seulement. On doit
ressembler
à ceux qu’on persuade : on n’entre dans leurs sen
rône désert d’une éternité silencieuse et d’une existence absolue qui
ressemble
au néant même de l’existence ; c’est un Dieu à la
s le savoir, il se jugeait lui-même. Tel talent, tel goût. Son esprit
ressemblait
à celui du dix-septième siècle ; il n’a pu s’empê
ait qu’il est quasi impossible que vous le puissiez croire. M. Cousin
ressemble
à un homme qui, après avoir manié des morceaux de
torique ; ses dissertations sur le vrai, sur l’honneur, sur le style,
ressemblent
aux amplifications d’un écolier laborieux et fort
graphe et peintre de portraits. C’est que l’imagination du peintre ne
ressemble
guère à celle de l’orateur. On a beau être éloque
confus et contradictoire, atteste à quel point son esprit tout entier
ressemblait
à son livre. On y voit que ce démocrate de raison
e des deux volumes : c’est le langage d’un homme bien élevé, mais qui
ressemble
trop au langage de tous les hommes qui sont bien
yle d’un autre ! Il a, dans le langage, de l’écriture américaine, qui
ressemble
à toutes les écritures, cet Américain ! Voilà pou
nom d’auteur, et dans lequel il a montré une vaillance de talent qui
ressemble
fort à la vocation la plus déterminée. M. Bernard
trembler le feu de l’esprit dans des plaisanteries désespérées et qui
ressemble
à une pâmoison de la flamme ! S’il n’est pas poèt
ous les comtés de l’Angleterre dont la vie, dans son ensemble, ne pût
ressembler
à la sienne. La vie de Livingstone est la vie de
mes de cette École : horriblement poncif ; que ses Turcs et ses Grecs
ressemblaient
à des sujets de pendule ; que tout cela était vie
le costume de ses héros. La Grèce moderne, qui, malgré ses malheurs,
ressemble
tant à sa mère morte, imprimait sa sublime ressem
d’Alcée et de Pindare, et qui, bien plus sculptés que peints encore,
ressemblent
à des bas-reliefs de Phidias ! Dans un livre34 pl
nom d’auteur, et dans lequel il a montré une vaillance de talent qui
ressemble
fort à la vocation la plus déterminée. M. Bernard
trembler le feu de l’esprit dans des plaisanteries désespérées et qui
ressemble
à une pâmoison de la flamme ! S’il n’est pas poët
ous les comtés de l’Angleterre dont la vie, dans son ensemble, ne pût
ressembler
à la sienne. La vie de Livingstone est la vie de
Bleue ? Or, Margiste a sa fille Aliste, suivante de Berte, Aliste qui
ressemble
à Berte mieux qu’un peintre ne saurait la peindre
te, leur fille, est ici ? » La situation de cette pauvre Berte égarée
ressemble
extrêmement à celle d’Una dans Spencer, de la vie
re collées sur les yeux, et je ne sais quoi sous sa robe, qui le fait
ressembler
à une naine enceinte. Ce magot sautèle d’une patt
de leurs mains devient un sujet de dégoût et d’effroi. Elle les fait
ressembler
à des pattes de lézard. Elle donne la sensation d
numents écrits s’enrichit ainsi d’un monument de plus. Ce monument ne
ressemblait
à aucun autre ; les poëtes coloristes comptèrent
oran ; je l’ai vu haut et menaçant comme un rocher de glace. Sa lance
ressemble
à ce vieux sapin ; son bouclier est aussi grand q
is toi, tu es blanche comme la neige de ces bruyères, et ta chevelure
ressemble
aux vapeurs qui couronnent le sommet du Cromla, l
st, dit-il, ce murmure qui vient roulant le long de la colline et qui
ressemble
aux sourds bourdonnements des insectes du soir ?
e : son pied frappe et fait retentir la terre ; sa crinière flottante
ressemble
aux ondes de ce torrent de fumée qui roule sur le
oiles reparurent. » « Telle était l’intrépidité de ma race, et Calmar
ressemble
à ses ancêtres. Le danger fuit l’épée du brave, l
Laisse-moi réveiller le roi de Morven, lui qui sourit au danger : il
ressemble
au radieux enfant du ciel lorsqu’il se lève et di
r de lui, debout, appuyé sur sa lance et gardant un morne silence, il
ressemblait
dans sa taille gigantesque à un chêne antique des
z, dit le roi, comme l’armée de Loclin se partage sur la plaine ; ils
ressemblent
à une forêt de chênes à demi dévastée par l’incen
réel, le héros anonyme de ce récit, où l’on ne nomme personne, et qui
ressemble
au linge démarqué des suicidés ou des criminels,
importent les descriptions plus ou moins réussies de cette femme qui
ressemble
à un portrait de Rubens : ce que nous cherchons e
ue toutes les révoltes du cœur et ses imbéciles divorces ! Les amants
ressemblent
aux gouvernements provisoires des révolutions. Il
qui mériterait bien, par parenthèse, de s’appeler Fanny, car elle lui
ressemble
horriblement, si ce n’est pas elle. Il y a souven
que Fanny descend de l’Amaury de Volupté. Toujours est-il que rien ne
ressemble
plus au romantisme qui se lève que le romantisme
tive poétique en prose. Il restera auprès de M. Dumas fils, auquel il
ressemble
plus qu’à lord Byron, et auquel il fait bien de d
sont aujourd’hui connues et aimées que d’un petit nombre de lettrés,
ressemblent
déjà par endroits, sinon à des « fleurs du mal »,
us les avions sous les yeux telles qu’elles ont été, qui sait ? elles
ressembleraient
peut-être à une bande de trottins, de bonnes et d
soler de Voltaire, de Béranger, de M. Thiers, et des esprits qui leur
ressemblent
. Et réciproquement. 1. Feuilleton climatique de
royaume de Dieu est fait : 1° pour les enfants et pour ceux qui leur
ressemblent
; 2° pour les rebutés de ce monde, victimes de la
le, qui est, entre tous les essais de fondation religieuse, celui qui
ressemble
le plus au mouvement galiléen, se passa tout enti
communion délicate, fine et tendre avec la vie universelle, a le plus
ressemblé
à Jésus, fut un pauvre. Les ordres mendiants, les
ont ni meilleurs ni plus mauvais que tous ces romans de femmes qui se
ressemblent
, comme les gravures de mode se ressemblent. On le
es romans de femmes qui se ressemblent, comme les gravures de mode se
ressemblent
. On les lit, et je les ai lus sur leurs titres. M
et puis, qui s’en va… Le vieux xixe siècle, — car le voilà vieux, —
ressemble
au vieux célibataire, qui souffre qu’une femme so
, quoiqu’on en ait immensément parlé, de ce peuple magot et falot qui
ressemble
aux visions produites par l’opium qu’il fume, et
rite le petit salut de la critique en passant, il ne faut pas qu’elle
ressemble
au pêle-mêle des numéros d’un sac de loto qu’un e
and’chose, pourtant, de ce quaker Oriental, dont la haute philosophie
ressemble
à une Civilité puérile et honnête… Et c’est ainsi
oire, cette vieille et étonnante Espagne, des grandeurs de choses qui
ressemblent
aux mystérieux colosses de l’Égypte, et des grand
n, plus haute et plus satisfaisante que des détails biographiques qui
ressemblent
à des rayons brisés, né reçoit d’ailleurs de déme
e qu’il faut regarder en plein visage pour le pénétrer. Charles-Quint
ressemble
beaucoup à cette colonne mystérieuse qui guidait
ume, et avant de l’avoir lu vous aurez déjà l’idée d’une femme qui ne
ressemble
aux femmes de son siècle ni par les passions, ni
xtravagant de ce temps de plaisir et de renversement où les duchesses
ressemblaient
à des courtisanes et les courtisanes à des duches
e, je ne connais point, dans tout le xviiie siècle, un sentiment qui
ressemble
à l’amour de Madame de Sabran pour Boufflers, à c
e ne nommerai pas. Cette prose de Quinet, si elle avait des rimes, ne
ressemblerait
-elle pas d’une manière frappante aux vers de Vict
crânes : « Certainement, — dit-il, en ce chapitre gorgé d’erreurs qui
ressemblent
à des folies, — certainement ! le crâne était tou
ever enfin cette grosse caisse… La Création est un pauvre livre. Elle
ressemble
à celle des Indiens, qui mettent le monde sur un
siècle. Ce sage conteur, qui s’appelle providentiellement Le Sage, ne
ressemble
guères, par exemple, à cet autre conteur à tous c
ck ou de Piccini, auxquels cette plume, sans éclat et sans vibration,
ressemble
si peu ! Assurément, France est trop un homme d’a
dures, ce ne doit pas être avec le sourire d’une ironie sceptique qui
ressemble
à de l’indulgence ; ce n’est pas à l’huile qu’on
! En ceci, M. About, si différent, par le talent, de M. Flaubert, lui
ressemble
. L’homme du lâché ressemble à l’homme de la séche
érent, par le talent, de M. Flaubert, lui ressemble. L’homme du lâché
ressemble
à l’homme de la sécheresse et de la lime. Tous de
nt pas impossibles. L’honnêteté du médecin qui maquignonne le mariage
ressemble
à la fierté de celle qui l’accepte. Rien n’est sa
mporte. Seulement, n’oublions pas cette particularité : si M. Mérimée
ressemblait
à la plupart des esprits de son temps (j’excepte
temps (j’excepte Balzac) par le manque d’originalité intrépide, il ne
ressemblait
nullement aux autres esprits de cette époque arde
e pour l’imagination ! à une certaine hauteur, toutes les sociétés se
ressemblent
. Quand on dit littérature française, littérature
politique toute pure, sans la galanterie ou sans rien du moins qui y
ressemble
par la grâce, la femme politique âpre, active, ar
cas de dire : qui veut trop prouver ne prouve rien. La vieillesse qui
ressemble
au groupe d’Ariane, c’est comme Lamennais tout à
essemble au groupe d’Ariane, c’est comme Lamennais tout à l’heure qui
ressemblait
à Clorinde ; j’appelle cela un manque de goût. Ce
icates. Elle en fait quelque chose d’essentiellement à part et qui ne
ressemble
pas à ce que le commun des gens entend sous ce no
la prose : et le voilà obligé de juger des tragédies modernes qui ne
ressemblent
plus au Cid et qui se ressemblent toutes, des com
juger des tragédies modernes qui ne ressemblent plus au Cid et qui se
ressemblent
toutes, des comédies applaudies du public, et qui
descriptions sont arides comme des cartes de géographie : l’Indoustan
ressemble
à l’Europe ; la physionomie n’y est pas. ». Mais
s comme une gorge de pigeon. D’autres croupes bizarrement chiffonnées
ressemblaient
à ces étoffes des anciens tableaux, jaunes d’un c
ant. Ou, sinon précisément une « morale », quelque chose du moins qui
ressemblât
à cela. Mais la vie individuelle peut en général
qui existe par lui-même. De plus, c’est un miroir dont la courbure ne
ressemble
exactement à celle d’aucun autre, et qui déforme
evêt en passant par chacun de nous la grande voix de l’humanité. Nous
ressemblons
plus ou moins à tout le monde, nous ne ressemblon
e l’humanité. Nous ressemblons plus ou moins à tout le monde, nous ne
ressemblons
entièrement à personne. L’originalité varie beauc
imple. Mais la simplicité de Fontenelle, dans sa rare distinction, ne
ressemble
à nulle autre : c’est une simplicité tout exquise
qui deviennent ici les qualités de Pariset. Il y a quelqu’un à qui il
ressemble
bien plus qu’à Massillon, c’est Garat, le beau di
re bien appris, de sourire et d’applaudir. Pourtant, de telles grâces
ressemblent
trop à ces fausses beautés poétiques par lesquell
ns le sage esprit de Cuvier. » Et c’est précisément parce que rien ne
ressemble
moins au procédé de Cuvier, que, dans un éloge de
es moins importants. — VII. Beaucoup d’espèces des plus grands genres
ressemblent
à des variétés en ce qu’elles sont étroitement, m
s un solide argument. VII. Beaucoup d’espèces des plus grands genres
ressemblent
à des variétés en ce qu’elles sont étroitement, m
oyenne, sont en train de se former, beaucoup des espèces déjà formées
ressemblent
encore en une certaine mesure à des variétés : ca
pèces qui sont très voisines de quelque autre, et qui sous ce rapport
ressemblent
à des variétés, ont aussi fort souvent une extens
n écartent en étant supérieurs ou inférieurs à elle, mais doivent lui
ressembler
et sont de purs monstres d’imagination s’ils ne l
nt lui ressembler et sont de purs monstres d’imagination s’ils ne lui
ressemblent
pas. Vous avez donc les éléments nécessaires et s
pas exister ; car pour être conçu comme pouvant exister, il faut déjà
ressembler
à quelque chose. Tout ce que je viens de dire est
st presque absolument étranger et indifférent aux temps où il vit. Il
ressemble
à Montaigne et, tout compte fait, c’est préciséme
ervalle qui sépare l’aversion et le dégoût, du penchant à imiter et à
ressembler
. Que pouvaient sur elles ces tableaux satiriques
oi qu’il en soit, la vanité de la haute bourgeoisie qui veut toujours
ressembler
à la cour, finit par imiter à la longue sa réserv
érature, espece d’hommes qu’on peut diviser en deux classes : les uns
ressemblent
à ces peuples imbécilles qui croyoient leurs Orac
bles, pour quelques prédictions justifiées par le hasard : les autres
ressemblent
aux Prêtres de ces mêmes idoles, qui profitoient
leurs poignards, il ne pouvait manquer de les voir. — S’il n’eût pas
ressemblé
à mon père endormi, je m’en serais chargée. — Mon
! — Donnez-moi ces poignards. Ceux qui dorment, ceux qui sont morts,
ressemblent
à des figures peintes : il n’y a que l’œil de l’e
dernier tenant un miroir dans sa main. Banquo les suit.) MACBETH. Tu
ressembles
trop à l’ombre de Banquo ; à bas ! ta couronne br
rcle d’or, tes cheveux sont pareils à ceux du premier. — Un troisième
ressemble
à celui qui le précède. Sorcières impures, pourqu
s, finis, court flambeau : la vie n’est qu’une ombre ambulante ; elle
ressemble
à un comédien qui se pavane et s’agite sur le thé
s, pas plus qu’entre les deux peuples. Ce sont deux saisons qui ne se
ressemblent
pas et qu’il faut également admirer. Molière, qui
e se ressemblent pas et qu’il faut également admirer. Molière, qui ne
ressemble
à rien dans l’antiquité comique, rend en vers pla
ru et tout nu est l’art ; je pense que les portraits au daguerréotype
ressemblent
… — C’est un paradoxe ! cria Florissac. — Je pense
t ce qui fait qu’une rue, un café, un salon, une femme d’à présent ne
ressemblent
pas, extérieurement, à une femme, à un salon, à u
ilomène, Germinie Lacerteux, Renée Mauperin et même Madame Gervaisais
ressemblent
davantage à ce qu’on entend d’ordinaire par un ro
omme avili, abruti, fini. Une remarque en courant. Les deux sujets se
ressemblent
passablement. MM. de Goncourt ont éprouvé par deu
ce coup de tête est fort inattendu, qu’il y a là je ne sais quoi qui
ressemble
à une lâcheté et qui s’accorde mal avec le caract
rouge : Masson, qui est sans doute Théophile Gautier ; Boisroger, qui
ressemble
à Banville ; Franchemont, qui rappelle Barbey d’A
la construction qui fait douter si ce sont les vols ou les ailes qui
ressemblent
à des atomes de bonheur, ainsi que pouvant se rat
ballades et veut en faire encore, en faire toujours. Ces ballades ne
ressemblent
guère à celles de François Villon ou de M. Lauren
uère à celles de François Villon ou de M. Laurent Tailhade ; elles ne
ressemblent
à rien. Typographiées comme de la prose, elles so
e couvrait l’enfance du prince. On peut dire qu’Honorius et son frère
ressemblaient
aux idoles des Indes, dont la réputation dépend d
e je l’ai dit, est parvenu jusqu’à nous ; mais ces sortes de lectures
ressemblent
aux voyages des antiquaires parmi des ruines. On
bronze ; c’est un bas-relief. De loin, les portraits de Lesdiguières
ressemblent
à ceux de Louis XIII ; mais, en approchant, la fi
plus bientôt qu’un petit monstre odieux, impossible, un scélérat qui
ressemble
à un Robespierre jeté dans la vie civile et dans
trop. Je sais bien que Beyle a posé en principe qu’un Italien pur ne
ressemble
en rien à un Français et n’a pas de vanité, qu’il
e Metternich : Beyle n’y avait jamais pensé. On ne peut d’ailleurs se
ressembler
moins que Beyle et M. de Balzac. Ce dernier était
et l’art, il forma sa gloire. La nature l’avait fait ainsi, et il ne
ressemblait
, par certains côtés essentiels, à nul autre des é
: « Je suis dessous, me voilà ! » L’homme des Mémoires d’outre-tombe
ressemble
extraordinairement à celui de l’Essai, mais il n’
re-tombe ressemble extraordinairement à celui de l’Essai, mais il n’y
ressemble
pourtant qu’avec cette différence que, dans l’int
il y disait avec ce qu’il a dit depuis dans ses Mémoires : rien ne se
ressemble
moins. Je n’en indiquerai qu’un tout petit exempl
rite de Valois, la première des trois Marguerites du xvie siècle, ne
ressemble
pas tout à fait à la réputation qu’on lui a faite
, Monseigneur, vous seriez ébahi de les entendre. La petite Margot me
ressemble
, qui ne veut être malade ; mais ici, m’a-t-on ass
ait faire si l’on prenait à la lettre les éloges du temps. Marguerite
ressemble
beaucoup à son frère. Elle a le nez légèrement aq
a fui ; il y a, jusque dans nos plaisirs, un acharnement qui les fait
ressembler
à des affaires ; la paix elle-même est sans trêve
ns ses bras, on balbutiait, on pleurait, on était dans un trouble qui
ressemblait
à l’amour le plus passionné ». Eh bien ! les plus
llisson, ce qui fait répéter aux plaisants le dicton connu : « Qui se
ressemble
s’assemble ». On cite encore, en ce temps-là, des
corps en font un autre et, ma tête se penchant sur mon estomac, je ne
ressemble
pas mal à un Z. J’ai les bras raccourcis aussi bi
débute très jeune, avant de devenir tout à fait des qualités, peuvent
ressembler
à des défauts. Ainsi la confiance en sa propre id
certitude dans l’affirmation, avant d’être de l’autorité réelle, peut
ressembler
à de la témérité. Je mentirais à ma pensée si je
quarante-deux à cinquante-six ans. Observation large et juste, et qui
ressemble
à une loi ! bien de vivants exemples, autour de n
st dit ici a été dit ailleurs sur le grand poëte anglais, dont la vie
ressemble
à ces fragments sublimes interrompus du Giaour, p
s vaillant que le génie de Mme de Staël… C’était un genre de cœur qui
ressemblait
à son genre d’esprit. Un jour, elle avait voulu a
cite partout. Elle le délaye, en y mêlant tout le sucre d’un cœur qui
ressemble
à une canne à sucre, et des vanités de femme flat
ls des circonstances, comme Napoléon, ç’a été sa seule manière de lui
ressembler
, car il n’était guère besoin de génie pour devine
des Deux Mondes fût revêtue, en tous ses articles, d’un uniforme qui
ressemblait
à l’habit des pauvres dans certains hôpitaux, et
ier pas qui coûte aux gens modestes. En ces incroyables Mémoires, qui
ressemblent
à un conte… des Mille et une Nuits, Véron se drap
recommencer l’histoire de ce qui n’est plus, ou bien c’est l’y faire
ressembler
. Le P. Theiner, qui est un prêtre, le P. Theiner,
a révolution romaine et de toutes les autres révolutions qui ont fait
ressembler
l’Europe à la terre rompue d’un volcan, pour que
ité pratique de leur génie et leur sentiment de la réalité politique,
ressemblassent
peu aux chefs aveugles et sourds d’une société mo
mne ; et Dorilas, contre qui j’étais, a été de mon avis. Que de gens
ressemblent
au marquis de Molière ! Ils ont trois ou quatre m
e daubait volontiers, là et ailleurs. Il ne faut pas croire qu’on lui
ressemble
, parce qu’on déchire ses amis et connaissances ;
▲