comédie à la mode ; et il y avait plus de sociétés particulières qui
représentaient
alors, que nous n’en voyons aujourd’hui. Poqueli
itulée Artaxerce, d’un nommé Magnon, et imprimée en 1645, qu’elle fut
représentée
sur l’Illustre Théâtre. Ce fut alors que Poqueli
emière pièce régulière en cinq actes qu’il composa, fut l’Étourdi. Il
représenta
cette comédie à Lyon en 1653. Il y avait dans cet
IV ; Monsieur le présenta au roi et à la reine mère. Sa troupe et lui
représentèrent
la même année devant leurs Majestés la tragédie d
donner une pièce d’un acte, qu’il avait jouée en province. La mode de
représenter
ces petites farces après de grandes pièces était
de vils bouffons, qui étaient les modèles de nos Jodelets ; et on ne
représentait
que le ridicule de ces misérables, au lieu de jou
r bien vu la cour et Paris, et bien connu les hommes, que Molière les
représenta
avec des couleurs si vraies et si durables. Les c
Menteur. LE DÉPIT AMOUREUX, Comédie en vers et en cinq actes,
représentée
au théâtre du Petit-Bourbon, en 1658. Le Dépit a
assuré, soit en tragique, soit en comique, à ces sortes de scènes qui
représentent
la passion la plus chère aux hommes dans la circo
LES, Comédie en un acte et en prose, jouée d’abord en province, et
représentée
pour la première fois à Paris sur le théâtre du P
le estimait. LE COCU IMAGINAIRE, Comédie en un acte et en vers,
représentée
à Paris le 28 mai 1660. Le Cocu imaginaire fut j
E, OU LE PRINCE JALOUX, Comédie héroïque en vers et en cinq actes,
représentée
pour la première fois le 4 Février 1661. Molière
l’auteur. L’ÉCOLE DES MARIS, Comédie en vers et en trois actes,
représentée
à Paris le 24 Juin 1661. Il y a grande apparence
a plaisanterie. LES FÂCHEUX, Comédie en vers et en trois actes,
représentée
à Vaux devant le roi, au mois d’Août, et à Paris
comédie, qui fut, comme il le dit dans la préface, faite, apprise et
représentée
en moins de quinze jours. Il n’est pas vrai, comm
e servir. L’ÉCOLE DES FEMMES, Comédie en vers et en cinq actes,
représentée
à Paris, sur le théâtre du Palais-Royal, le 26 D
ITIQUE DE L’ÉCOLE DES FEMMES, Petite pièce en un acte et en prose,
représentée
à Paris, sur le théâtre du Palais-Royal, le 1er
L’IMPROMPTU DE VERSAILLES, Petite pièce en un acte et en prose,
représentée
à Versailles le 14 octobre 1663 et à Paris le 4 N
imer. LA PRINCESSE D’ÉLIDE, OU LES PLAISIRS DE L’ÎLE ENCHANTÉE,
Représentée
le 7 Mai 1664, à Versailles, à la grande fête que
sévérité un ouvrage fait à la hâte pour embellir la fête. On a depuis
représenté
la Princesse d’Élide à Paris ; mais elle ne put a
ipidité. LE MARIAGE FORCÉ. Petite pièce en prose et en un acte,
représentée
au Louvre le 24 janvier 1664, et au théâtre du Pa
dansa. L’AMOUR MÉDECIN, Petite comédie en un acte et en prose,
représentée
à Versailles le 15 septembre 1665, et sur le théâ
N JUAN, ou LE FESTIN DE PIERRE. Comédie en prose et en cinq actes,
représentée
sur le théâtre du Palais-Royal le 15 février 1665
théâtre de la rue Guénégaud, et c’est de cette seule manière qu’on le
représente
aujourd’hui. À la première représentation du Fest
rimée depuis. LE MISANTHROPE, Comédie en vers et en cinq actes,
représentée
sur le théâtre du Palais-Royal le 4 juin 1666. L’
ère. LE MÉDECIN MALGRÉ LUI, Comédie en trois actes et en prose,
représentée
sur le théâtre du Palais-Royal, le 9 août 1666.
LE SICILIEN, OU L’AMOUR PEINTRE, Comédie en prose et en un acte,
représentée
à Saint-Germain-en-Laye en 1667, et sur le théâtr
d plus bouffon et moins agréable. MÉLICERTE, PASTORALE HÉROÏQUE
Représentée
à Saint-Germain-en-Laye pour le roi au Ballet des
jamais le génie. AMPHITRYON, Comédie en vers et en trois actes,
représentée
sur le théâtre du Palais-Royal le 13 janvier 1668
dans son Agésilas. L’AVARE, Comédie en prose et en cinq actes,
représentée
à Paris sur le théâtre du Palais-Royal le 9 septe
DANDIN, OU LE MARI CONFONDU, Comédie en prose, et en trois actes,
représentée
à Versailles le 15 de juillet 1668, et à Paris l
l’auteur au devant du Tartuffe. Les trois premiers actes avaient été
représentés
à Versailles devant le roi le 12 mai 1664. Ce n’é
ut délivré de la persécution ; il obtint un ordre du roi par écrit de
représenter
Le Tartuffe. Les comédiens, ses camarades, voulur
n de la troupe, toutes les fois qu’on jouerait cette pièce ; elle fut
représentée
trois mois de suite, et durera autant qu’il y aur
aut peu de chose pour faire réussir ce qu’on méprise à la lecture. On
représenta
sur le théâtre de l’hôtel de Bourgogne, à la suit
faite et jouée à Chambord, pour le roi au mois de septembre 1669, et
représentée
sur le théâtre du Palais-Royal le 15 novembre de
en cinq actes, faite et jouée à Chambord, au mois d’octobre 1670, et
représentée
à Paris le 23 novembre de la même année. Le Bour
. LES FOURBERIES DE SCAPIN, Comédie en prose et en trois actes,
représentée
sur le théâtre du Palais-Royal le 24 mai 1671. L
pas ? PSYCHÉ, Tragédie-ballet en vers libres et en cinq actes,
représentée
devant le roi, dans la salle des machines du pala
défauts. LES FEMMES SAVANTES, Comédie en vers et en cinq actes,
représentée
sur le théâtre du Palais-Royal le 11 mars 1672. C
était appelé aux premières représentations Tricottin. L’acteur qui le
représentait
avait affecté, autant qu’il avait pu, de ressembl
LES AMANTS MAGNIFIQUES, Comédie-ballet en prose et en cinq actes,
représentée
devant le roi à Saint-Germain, au mois de janvier
XIV lui-même donna le sujet de cette pièce à Molière. Il voulut qu’on
représentât
deux princes qui se disputeraient une maîtresse,
sirs de la société et ceux que donnent les beaux-arts. Le fou qui est
représenté
dans Molière, n’est point un fou ridicule, tel qu
LA COMTESSE D’ESCARBAGNAS, Petite comédie en un acte, et en prose,
représentée
devant le roi à Saint-Germain, en février 1672, e
LE MALADE IMAGINAIRE, En trois actes, avec des intermèdes, fut
représenté
sur le théâtre du Palais-Royal le 10 février 1673
à la profession de comédien. Ils étaient honorés dans Athènes, où ils
représentaient
de moins bons ouvrages. Il y a de la cruauté à vo
core avec empressement aux tragédies de Racine lorsqu’elles sont bien
représentées
? C’est que la peinture de nos passions nous touc
t comme j’ai ici affaire à des œuvres exemplaires, comme ces galeries
représentent
une sélection de nos meilleurs artistes, il est i
unes de ces œuvres, ce qui me frappe, c’est la beauté même de l’objet
représenté
, comme dans cette Vénus aux chairs blondes, aux f
qui me charmerait, quand je ne ferais même pas attention à ce qu’elle
représente
, par la seule suavité des tons, et qui produit su
a même manière et au même degré que les objets réels. Ils ne sont que
représentés
. Voilà qui est singulier à coup sûr. Je crois bie
à la convention essentielle de l’art. Tout ce qui est réellement ici
représente
quelque chose. Tout ce que je crois voir ici est
ement ici représente quelque chose. Tout ce que je crois voir ici est
représenté
par quelque chose. Partout l’illusion, au sens pr
oilà un arbre, voilà un ruisseau, comme si j’avais devant moi l’objet
représenté
. Le plus souvent je garde à la fois ces deux impr
résentation des choses, mais le plus souvent ces choses, qu’elle nous
représente
, n’ont jamais existé que dans le cerveau de l’art
doute composés ; ils ont été peints d’après une vision mentale qu’ils
représentent
: tels ce Demont et ce Pointelin. Voici maintenan
omie qu’elle lui fournissait ; mais cette scène même, telle qu’il l’a
représentée
, certainement il ne l’a pas vue : ces attitudes,
. Faut-il continuer cette sorte de démonstration sur les tableaux qui
représentent
quelque scène historique ? Il est trop évident qu
oublié. Ces effigies évoquaient avec tant de force l’idée de l’objet
représenté
, qu’un peu plus et nous aurions cru l’avoir vraim
dions des œuvres de style tout différent ; pensons à un art qui n’est
représenté
ici que par quelques spécimens exquis, mais en no
qu’il y ait quelque chose. Sur la couverture d’un livre nous verrons
représentées
des agrafes et des ferrures. Une table de marquet
drupède se promenant du haut en bas d’un mur : donc vous ne devez pas
représenter
des quadrupèdes sur vos murs. Vous devez affecter
physionomie de leurs œuvres, nous avons achevé de nous en convaincre.
Représenter
, créer, n’est-ce pas toute l’imagination ? Nous l
Les imaginatifs sentent plus fortement les choses parce qu’ils se les
représentent
avec plus de vivacité. Leurs sentiments s’exalten
qui tombe du toit. C’est cela qu’il faudrait faire à la lettre, pour
représenter
certains spectacles de la nature. Il est des effe
loisir, la mémoire pittoresque est indispensable. L’objet que je veux
représenter
est là, devant moi. Je n’ai qu’à en transporter l
des ébauches de forme humaine. Considérant une figure géométrique qui
représente
par exemple un cube, on supposera qu’elle représe
géométrique qui représente par exemple un cube, on supposera qu’elle
représente
une boîte creuse, et passant d’une hypothèse à l’
où je reconnais, dans un bloc de marbre ou un tableau, l’intention de
représenter
une chose déterminée, je ne la vois plus des même
ien que notre imagination y mette du sien, pour y reconnaître l’objet
représenté
. Nous n’avons conscience de faire aucun effort po
riolée de taches multicolores, sans même avoir l’idée que cela puisse
représenter
quelque chose. Quand nous sommes bien entrés dans
gination : vous croirez le percevoir, quand vous ne ferez que vous le
représenter
. Quelquefois le sculpteur, par un ingénieux artif
s, et ce que vous vous efforcez d’y voir, c’est l’objet même qu’elles
représentent
, tel qu’il vous apparaîtrait dans la nature. Alor
semblera plus qu’à peine bleuâtre, quand nous aurons compris qu’elle
représente
une ombre portée ; ici, où nous croyons voir un s
positif ? Entre la figure peinte en réalité sur la toile et la chose
représentée
, il y aurait un monde. Dans le décor, l’illusion
ur se contentera de l’illusion atténuée, celle qui nous invite à nous
représenter
les choses sans nous faire croire un instant que
ales, on peut dire qu’ici tous les modes du mouvement sont idéalement
représentés
. Ces illusions sont peut-être le principal attrai
les yeux avec ses lignes précises qui délimitent la forme de l’objet
représenté
; il ne nous reste donc plus qu’à compléter ces i
nt de simples images qu’il faut amener à la réalité. Essayons de nous
représenter
les diverses phases de ce travail et d’assister e
s dimensions adoptées ? D’instinct le dessinateur, comme les enfants,
représentera
plutôt les choses à une échelle assez réduite. Ma
s formes, et pourtant nous ne les voyons pas ressortir. Peintres, ils
représenteront
la profondeur sans nous en donner l’impression ;
ôté d’un dessin d’Ingres, la différence sautera aux yeux. Veulent-ils
représenter
un mouvement ? Peu leur importe dans quel sens ce
que dans la figure qu’il trace il aperçoit en présence réelle l’objet
représenté
. Aussi jamais sa pointe ne porte-t-elle à faux et
ique. Figurez-vous le plus nettement possible l’objet que vous voulez
représenter
, et peignez sur cette vision même, en vous appliq
tonnez de cet invraisemblable écart entre le modèle et la copie. Mais
représentez
-vous l’artiste au travail ; en le supposant très
in et jusqu’aux accidents de l’exécution prend un sens objectif, vous
représente
quelque chose. Mais il vous a fallu un effort, qu
out le contenu d’une œuvre d‘art quand nous avons constaté ce qu’elle
représente
? Voici une figure humaine, voici un paysage, voi
et rétabli autant que faire se pouvait l’apparence visible de l’objet
représenté
. Est-ce là tout ? L’œuvre n’a-t-elle rien de plus
? L’œuvre n’a-t-elle rien de plus à nous dire ? Rien de plus, si elle
représente
platement un objet vulgaire. Mais si elle a été c
roît de charme. Elle nous parlera de mille choses qui ne peuvent être
représentées
, n’étant pas visibles, mais exprimées seulement.
inspiration. Ne dessiner que sur une intense vision de la nature ; se
représenter
chaque fleur dans son milieu naturel, l’iris jaun
Enfin nous arrivons aux œuvres dans lesquelles la figure humaine est
représentée
seule ; et je dis que malgré les apparences c’est
. Voici une œuvre. Je la regarde sans phrases. Je constate ce qu’elle
représente
, ce qui peut se faire sans s’halluciner. Je vérif
Le symbolisme, au sens le plus large du mot, est simplement l’art de
représenter
une chose par une autre. Quand le peintre nous, m
s yeux ne doit plus être prise au sens propre, elle n’est là que pour
représenter
d’autres images trop légères pour être fixées sur
ncrète et matérielle : il emploie un symbole. De même le musicien qui
représente
la chute de Phaéton dans l’espace par un écroulem
éviter le vertige. I. Correspondance des sensations Que peut-on
représenter
avec la couleur, j’entends la couleur indépendamm
la main exercée, mais l’imagination impressionnable, le pouvoir de se
représenter
vivement les choses, le sentiment de la nature ;
oduire littéralement, et leurs diverses qualités sensibles qu’il veut
représenter
, il faut que nous trouvions une correspondance ;
u’il a devant lui, s’en remettant à notre imagination du soin de nous
représenter
le reste. Non, il insistera sur les teintes qui s
’à nous amener au goût quelque chose de sa saveur acide. S’agit-il de
représenter
la gelée blanche, il cherchera sur sa palette les
ndre les sensations d’un jeune Flamand fumant sa première pipe. Il le
représentera
, cela va sans dire, tout pâle, accoudé à une tabl
harmonie entre la tonalité de son coloris et le caractère des objets
représentés
. Soit un tableau de fleurs que nous devons sentir
légèreté, lourdeur, etc., pourront servir à exprimer dans les objets
représentés
une qualité correspondante. Et c’est en effet par
véritables métaphores que le peintre s’exprime, quand par exemple il
représente
par des tons frais à l’œil un objet qui doit para
du spectateur ne peut manquer d’être entendu. Je serai tout prêt à me
représenter
des sons, et le peintre n’aura plus qu’à colorer
harmonies s’impose : je parle des cas où le son et la musique mêmes,
représentés
par quelque figure allégorique, sont le sujet pri
figure allégorique, sont le sujet principal du tableau. Si l’on veut
représenter
les Voix du tocsin s’élançant de leur tour et jet
a palette pour nous rendre les rêveries d’un Mozart, l’assombrir pour
représenter
celles d’un Beethoven, et qu’il montrerait bien p
oven, et qu’il montrerait bien peu d’intelligence symbolique, ayant à
représenter
la Muse de Berlioz, s’il la faisait aussi incolor
ns pas tout à fait du même ton. Demandez au peintre pourquoi, voulant
représenter
cette matinée d’hiver, il a fait ses ombres si bl
gaiera sa couleur pour peindre des scènes joyeuses, l’assombrira pour
représenter
la douleur ou la misère. Ce n’est qu’un artifice
nous pénètre, se mêle et s’ajoute à l’émotion que nous donne la scène
représentée
; là encore notre esprit et notre œil se mettent
eur pourra traduire d’une certaine manière le caractère du personnage
représenté
. La nuance de nos vêtements, quand elle n’est pas
, elle aura une valeur d’indication. Il est des personnes qu’on ne se
représente
pas habillées en rouge hardi, d’autres qu’on ne v
ement ! Faites un échange entre les deux personnages, essayez de vous
représenter
l’un revêtu du costume de l’autre, ce sera une di
ées que nous exprimons si aisément par la parole. Ses tentatives nous
représenteront
assez bien la genèse du symbolisme ; car telle es
r exemple typique Le symbolisme le plus intelligible est celui qui
représente
toute une catégorie d’images par un exemple typiq
avec leurs travaux caractéristiques. À Amiens, par exemple, Mars est
représenté
par un paysan qui, d’un effort obstiné, bêche et
éternels. Sans doute, c’est le paysan de France que l’artiste a voulu
représenter
, mais c’est aussi l’homme de tous les temps courb
bration. II. Symbolisme par personnification D’autres symboles
représentent
les choses par une personnification. Reprenons un
Tandis que les hommes armés qui vont le glaive haut d’un si bel élan
représentent
par exemple typique le départ pour la frontière,
départ pour la frontière, la figure volante qui plane au-dessus d’eux
représente
en le personnifiant l’appel aux armes, le cri de
e tout un peuple au combat. Dans le tableau de Prud’hon, le Crime est
représenté
par un assassin qui fuit, tandis que la Justice e
te, les yeux clos, tandis que dans sa sombre chevelure elle entraîne,
représentés
en images saisissantes, le crime, la souffrance,
us compliqués. Il ne faudrait pas mettre un sculpteur au défi de nous
représenter
en images plastiques cette idée, assez peu sculpt
er. Que disent à notre imagination ces innombrables effigies qui nous
représentent
l’Amour, la Sagesse, l’Inspiration poétique, le G
l’élégance de ses formes, la sérénité de son triomphe. Mais que vous
représente-t
-il ? Rien de la nature. Rien de la puissance qu’i
e par transposition, le plus hardi de tous, celui dans lequel on nous
représente
la chose à laquelle on veut nous faire penser par
matériel. Cette figure a donc deux significations superposées ; elle
représente
une chose qui en représente une autre ; sa vertu
nc deux significations superposées ; elle représente une chose qui en
représente
une autre ; sa vertu suggestive est ainsi élevée
utre. À la rigueur toute chose, par convention préalable, pourrait en
représenter
une autre. Il serait même assez facile de combine
irement une fois pour toutes. On conviendrait par exemple qu’une rose
représentera
l’action de marcher, un palmier la fièvre, un mar
es associations, qui peuvent le mieux évoquer le souvenir de la chose
représentée
. Au reste l’artiste n’a pas grand effort à faire
’emblème soit employé non seulement pour désigner, mais vraiment pour
représenter
la chose. Un personnage historique, une ville, un
e, une ville, un peuple sera figuré par ses armoiries, Louis XII sera
représenté
par son porc-épic, Anne de Bretagne par son hermi
eux de retrouver les étapes de cette métamorphose ; ainsi la chouette
représentera
la sagesse parce que, d’une manière ou de l’autre
deux termes de la comparaison sont de même ordre, comme lorsque l’on
représente
le soleil par une roue. Mais le plus souvent, car
a toute sa raison d’être, une idée d’ordre intellectuel ou moral sera
représentée
par une image sensible : ainsi l’Esprit saint par
iation d’idées, l’éclat, la coloration, la sonorité des objets qu’ils
représentent
, le caractère moral des sentiments qu’ils exprime
omme, c’était l’Incarnation, ou saint Mathieu, ou la Raison ; le Veau
représentait
la Passion, ou saint Luc, ou l’Abnégation, etc. O
me, à la ne puissance, en convenant que les images qu’il nous suggère
représenteront
elles-mêmes par métaphore d’autres images, celles
mer, ils les retrouvent sans peine dans le symbole par lequel ils les
représentent
; ils vont par une pente toute naturelle de l’idé
suggère : vous obtiendrez ainsi une sorte d’illustration bizarre, qui
représenterait
assez bien, en images visuelles, la pensée du poè
ieux, dans l’attente du mot révélateur qui donnerait enfin à la scène
représentée
un sens quelconque ; nous nous avancerons à loisi
Dans le papier peint qu’il intitule Corona vitæ, Walter Crane entend
représenter
symboliquement « une vie pleine, ample et riche,
ence, c’est-à-dire la précision : ces images éclatantes mais confuses
représenteraient
plutôt le rêve d’un illuminé, les songes de l’Alc
ion ? Ici il faut s’attendre à quelques résistances. La faculté de se
représenter
vivement et nettement les choses est à ce point i
prendre plaisir à dessiner ou modeler dénote une aptitude innée à se
représenter
idéalement les formes ; et cette faculté, étant m
s féconds en impressions esthétiques. Faisons-nous même une loi de ne
représenter
que ce que nous estimons beau en soi, et digne qu
règle n’est-elle pas un peu sévère, nous demandera-t-on ? Que l’objet
représenté
ait existé ou non, peu nous importe au fond, pour
vrai. Nous maintiendrons donc en toute rigueur notre règle de ne rien
représenter
que d’après nature, puisque l’artiste ne saurait
e spectateur est-il déconcerté devant cette image d’objets très réels
représentés
sous un aspect tellement surnaturel qu’on serait
s plates, ni comme cerné d’un trait noir. Donc ces diverses façons de
représenter
un visage sont fausses, et de telles conventions
e fantaisie, des choses passées, lointaines ou irréelles ; et ils les
représentent
telles qu’ils se les figurent, avec les simplific
brusquement au vrai. De nouveaux artistes viennent, qui s’avisent de
représenter
les choses comme ils les voient ; et ces œuvres,
l’objet a de valeur propre et de dignité, plus il est digne qu’on le
représente
exactement. Il est dans le monde des choses si be
ous fait plaisir. Nous avons une faculté dont la fonction est de nous
représenter
les choses, et qui veut s’exercer. Mais si cette
es peuvent produire de loin semblable effet. — Soit encore un arbre à
représenter
. Il est tout à fait impossible de peindre le feui
ou moins ingénieux pour rendre ce que nous ne pouvons matériellement
représenter
, une fine et souple chevelure de femme, une barbe
’autre ? Il faudra que l’on s’ingénie. Cette différence de ton, on la
représentera
par des hachures plus ou moins serrées, par des n
ionnels que l’artiste s’assimile dans ses années d’apprentissage. Ils
représentent
une somme considérable de découvertes de détail,
s tournures, des mouvements de phrase, des cadres tout préparés. Cela
représente
son acquis. Mais il ne peut s’en contenter. Dans
nergique : car il va jusqu’à la vision concrète, intégrale de l’objet
représenté
; les images ont ici leur maximum de consistance
ent un rôle. L’animal ne tient pas la pose. L’œuvre d’art qui nous le
représente
dans la vérité de ses mouvements et de ses attitu
ail de l’invention plastique. III. Le corps humain S’agit-il de
représenter
le corps humain ? Le procédé d’invention sera exa
qui doit être un peu poussée d’exécution. Si un illustrateur qui veut
représenter
à la manière de Callot le fourmillement du popula
oile, que ce marbre, où je veux voir une sorte de création plastique,
représente
tout simplement telle jeune femme bien connue dan
Non, répondrai-je, car ce n’est pas cette femme que l’artiste a voulu
représenter
. Ce qu’il a vu en elle, ce qu’il a figuré, ce n’e
par l’habitude de la convention. Il y a chance pour qu’un mouvement,
représenté
d’imagination dans une improvisation rapide, ou b
ire, elles sont à peine vivantes, elles ne valent pas la peine d’être
représentées
. Entre les innombrables spécimens d’humanité réel
ou possibles, l’artiste fait forcément un choix, puisqu’il ne peut en
représenter
que quelques-uns : qu’il choisisse donc les plus
voir, et retenir ce qu’il avait vu. Cette œuvre légère et improvisée
représente
une somme considérable de remarques faites sur le
ées d’un coup ; les plus typiques, parce que l’imagination ne peut se
représenter
nettement que des formes très caractérisées. L’in
nt ensuite, ajoutant, modifiant, se servant de cette esquisse pour se
représenter
plus nettement l’objet à rendre et de cette repré
j’étais cet homme, si j’étais ainsi terrifié ; et mon imagination me
représentera
d’autant mieux le jeu de physionomie correspondan
, comme en témoignent les innombrables effigies dans lesquelles il se
représente
exprimant des sentiments variés, ici absorbé dans
. On procédera de même pour exprimer un caractère. Soit par exemple à
représenter
un personnage qui doit avoir un caractère de four
pparaître à l’esprit pendant que je serai dans de telles dispositions
représente
assez bien le masque cherché. J’ai pris mes exemp
éder au même degré que le romancier ou le poète dramatique, il se les
représente
en réalité. Il ne cherche pas dans Gall ou Lavate
ans toutes leurs compositions ce souci de la valeur propre de l’objet
représenté
. Ils rechercheront les attitudes élégantes, les l
orte vers un idéal de plus en plus élevé. Elle cherchera d’abord à se
représenter
le type de la parfaite beauté humaine ; et puis,
e combien sont vagues d’ordinaire les images par lesquelles nous nous
représentons
la beauté. Nous nous figurons qu’il suffirait d’u
au s’absorber dans une méditation profonde, il serait incapable de se
représenter
la beauté parfaite s’il n’avait jamais rien vu d’
faire cette étude sur des modèles aussi beaux que possible. Si, pour
représenter
une Diane, on nous fournissait un modèle du genre
tte évolution doit correspondre un nouvel idéal. Les anciens nous ont
représenté
la beauté antique : à nous de trouver la beauté m
ères de la religion en symboles visibles. On leur a donné la tâche de
représenter
ces hommes qui par leur puissance ou leur saintet
gagné, ont-ils perdu à l’entreprendre ? L’art religieux, qui prétend
représenter
les choses du ciel, est-il inférieur ou supérieur
r l’impression du divin, on n’a souvent trouvé que le monstrueux. Que
représentent
ces idoles aux bras multiples, ces femmes aux inn
l’aspect en sera monstrueux, mieux nous devrons comprendre qu’ils ne
représentent
rien de réel. Dans son dédain des apparences qui
ive. Presque toujours, dans les compositions où la divinité se trouve
représentée
en même temps que les hommes, on l’a figurée à un
Telle est l’œuvre de Michel-Ange. On peut discuter son parti pris de
représenter
la grandeur morale de ses personnages par le surn
ntemplation de l’extrême beauté. À coup sûr ces images ne veulent pas
représenter
un homme, une femme, mais un être supérieur à l’h
avoir été l’idéal de Raphaël et des peintres formés à son école. Pour
représenter
la divinité du Christ, ils eussent voulu le faire
ises à l’art. Il en est résulté que l’art du moyen âge, qui n’a guère
représenté
que des saints, est l’art idéaliste par excellenc
ges… L’obligation où les artistes furent, pendant trois cents ans, de
représenter
des hommes supérieurs à l’humanité a donné à l’ar
eur, une si surprenante énergie, qu’au premier aspect on sent qu’elle
représente
un être en dehors de l’humanité. — Cette traditio
llu à nous-mêmes une certaine tension d’esprit pour arriver à nous le
représenter
. Les opérations mentales qu’il nous reste à étudi
r conséquent prenant plaisir à l’exercer. Il ne pourra s’astreindre à
représenter
les choses telles qu’il les voit ; il se jouera d
ifférence est grande si l’on veut. La convention est dans la façon de
représenter
les choses, la fantaisie est dans la chose que je
açon de représenter les choses, la fantaisie est dans la chose que je
représente
. Si je dessine une rose au crayon bleu parce que
la main, je suis dans la convention ; si j’ai vraiment l’intention de
représenter
une rose bleue, j’entre dans la fantaisie. Comme
tion reçue dans tous les arts d’imitation que l’artiste a le droit de
représenter
les choses à une échelle arbitraire, en petit ou
en grandeur normale. Nous savons bien qu’une statuette de Tanagra ne
représente
pas une danseuse lilliputienne, et qu’une statue
putienne, et qu’une statue de Thiers dressée au milieu d’une place ne
représente
pas un géant. Les sculpteurs et les peintres n’us
e. Dans son Saint Michel, Frémiet a mis sous les pieds de l’archange,
représenté
en stature plus qu’humaine, un monstre qui évidem
ie encore et par conséquent éloignée. Dans le Laocoon, si le père est
représenté
, pour mieux équilibrer la composition, à une autr
al ne soient pas hors d’échelle. Bien plus il arrive que deux figures
représentées
à une échelle différente ne sont pas seulement ju
tions naturelles sont renversées ; c’est la figure principale qui est
représentée
en petit. Dans mainte composition décorative l’ar
quelque objet reproduit dans ses dimensions normales, des personnages
représentés
à une échelle très réduite, et tire un effet piqu
on serait tenté de l’amplifier. Ces flots ont trop fière allure pour
représenter
des vaguelettes clapotant autour d’un galet ; ils
liefs assyriens on voit une longue file de personnages, tous pareils,
représentés
dans une même attitude ; et cette répétition ryth
. N’y a-t-il pas quelque chose de vraiment génial dans cette façon de
représenter
les choses par de simples emblèmes, symboles plut
murs, dans les cassures d’un rocher. Au cours d’une promenade, ils se
représenteront
tout à coup un tableau à faire, une scène fantast
passé lui-même, que l’histoire et l’archéologie nous obligent à nous
représenter
nettement, prend un dur réalisme ; nous ne pouvon
quer les antiques légendes ; il croit à sa chimère au moment où il la
représente
, dans la mesure où il faut croire à l’existence d
en leur donnant un sens nouveau. Quand bien même les monstres ne lui
représenteraient
rien de merveilleux, il prendrait plaisir encore
coratives, par exemple dans ce Grenouillard dont on ne sait plus s’il
représente
un homme ou un batracien, tant les deux types org
s étudié l’imagination dans sa double fonction artistique, qui est de
représenter
et de créer. Le pouvoir qu’a l’artiste de se repr
, qui est de représenter et de créer. Le pouvoir qu’a l’artiste de se
représenter
vivement les choses explique le caractère halluci
pour comprendre les formes d’art les plus opposées : chacune d’elles
représente
l’expansion spontanée d’une des facultés imaginat
arrivera à un objet qui tombe sous nos sens ou que nous pouvons nous
représenter
; la définition deviendra alors inutile, on ne dé
n mouton. Et alors, nous devons nous demander s’il est possible de se
représenter
un point de l’espace. Ceux qui répondent oui ne r
nt de l’espace. Ceux qui répondent oui ne réfléchissent pas qu’ils se
représentent
en réalité un point blanc fait avec la craie sur
noir fait avec une plume sur un papier blanc, et qu’ils ne peuvent se
représenter
qu’un objet ou mieux les impressions que cet obje
essions que cet objet ferait sur leurs sens. Quand ils cherchent à se
représenter
un point, ils se représentent les impressions que
sur leurs sens. Quand ils cherchent à se représenter un point, ils se
représentent
les impressions que leur feraient éprouver des ob
sion. Mais ce n’est pas de cela qu’il s’agit ; il ne suffit pas de se
représenter
un point, il faut se représenter tel point et avo
u’il s’agit ; il ne suffit pas de se représenter un point, il faut se
représenter
tel point et avoir le moyen de le distinguer d’un
être discernés. Il faut donc que nous sachions dans certains cas nous
représenter
tel élément et le distinguer d’un autre élément.
r d’un autre élément. La question est de savoir si le point que je me
représentais
il y a une heure, est le même que celui que je me
je me représentais il y a une heure, est le même que celui que je me
représente
maintenant ou si c’est un point différent. En d’a
, et que nous transportons partout avec nous. Il est impossible de se
représenter
l’espace absolu ; quand je veux me représenter si
l est impossible de se représenter l’espace absolu ; quand je veux me
représenter
simultanément des objets et moi-même en mouvement
bjets et moi-même en mouvement dans l’espace absolu, en réalité je me
représente
moi-même immobile et regardant se mouvoir autour
. Qu’est-ce à dire ? Localiser un objet, cela veut dire simplement se
représenter
les mouvements qu’il faudrait faire pour l’attein
drait faire pour l’atteindre ; je m’explique ; il ne s’agit pas de se
représenter
les mouvements eux-mêmes dans l’espace, mais uniq
ésenter les mouvements eux-mêmes dans l’espace, mais uniquement de se
représenter
les sensations musculaires qui accompagnent ces m
ements qui permettraient également de l’atteindre. Si alors nous nous
représentons
un point, en nous représentant la série des sensa
re ce point, on aura plusieurs manières entièrement différentes de se
représenter
un même point. Si l’on ne veut pas se contenter d
es sensations musculaires, on aura une ou deux manières de plus de se
représenter
ce même point et la difficulté n’aura fait qu’aug
ous que toutes ces représentations si différentes les unes des autres
représentent
pourtant un même point ? Autre remarque : je vien
voir je n’ai donc pas besoin de savoir la géométrie d’avance et de me
représenter
les mouvements de mon corps dans l’espace géométr
conduit à juger que ces deux sensations, qualitativement différentes,
représentent
une même image qui s’est déplacée ? C’est parce q
personnage qui sortirait, en chair et en os, de la toile où il était
représenté
en peinture : c’était à la peinture et non pas au
it l’heure… ». Il faut dire : « Pierre, c’est-à-dire le physicien, se
représente
Paul lisant l’heure… ». Et, naturellement, puisqu
sque Pierre applique et doit appliquer les formules de Lorentz, il se
représentera
Paul lisant 1 h sur son horloge mobile au moment
heure par elle-même, indépendamment de tout ce que Pierre s’en pourra
représenter
? — Sans aucun doute. L’heure de cette horloge ré
ectivement son horloge mobile, mais à un Paul que Pierre physicien se
représente
regardant cette horloge (et que le physicien doit
sente regardant cette horloge (et que le physicien doit d’ailleurs se
représenter
ainsi, et que le physicien n’a pas à distinguer d
te distinction concerne le philosophe). C’est pour ce Paul simplement
représenté
et référé qu’il se sera écoulé 4 heures (représen
e Paul simplement représenté et référé qu’il se sera écoulé 4 heures (
représentées
) pendant qu’il se sera écoulé 8 heures (vécues) p
pour le système supposé mobile, ralentissement d’ailleurs uniquement
représenté
et qui n’atteint pas le Temps réel. La symétrie e
t, attribuant alors successivement au système S les Temps simplement
représentés
t″, t‴, etc. C’est dire que la secousse du voyage
e-Temps, une ligne d’Univers formée par l’ensemble des événements qui
représentent
les diverses positions successives de ce mobile d
être vécu, temps effectivement mesuré, et ce qui est temps simplement
représenté
à la pensée, temps qui s’évanouirait à l’instant
ue nouveau, ne comparant plus que du réel à du réel, ou bien alors du
représenté
à du représenté, on verra reparaître, là où l’acc
omparant plus que du réel à du réel, ou bien alors du représenté à du
représenté
, on verra reparaître, là où l’accélération sembla
ort à S″, est déjà un temps ralenti : ce n’est d’ailleurs qu’un temps
représenté
, je veux dire attribué par l’observateur en S″ au
ste en S″ et qu’il laisse le système S en mouvement, il se borne à se
représenter
un observateur qui prendrait S pour système de ré
pour système de référence ce système S que le physicien réel en S″ se
représente
en mouvement. Entre l’observateur en S (s’il deve
en mouvement, le physicien qui s’y trouve est un physicien simplement
représenté
: le physicien réel est en S″. Le système de réfé
e (le masquer, ou plutôt d’effacer, la différence entre le réel et le
représenté
. Une expression telle que équation semble nous
r l’aiguille de l’horloge mouvante aux yeux d’un physicien simplement
représenté
; l’horloge devant laquelle ce physicien est plac
e, comme nous le faisons nous-mêmes, en système de référence. S’il se
représente
, sur la surface du disque, des horloges situées à
champ de gravitation ? Évidemment non. Il s’agit d’horloges qu’on se
représente
en mouvement, et elles ne peuvent être représenté
d’horloges qu’on se représente en mouvement, et elles ne peuvent être
représentées
en mouvement que dans l’esprit d’un observateur c
nt n’y habite pas ; les Temps qui s’y déroulent ne sont que des Temps
représentés
; il y en aura évidemment une infinité ; le disqu
l’immobilisait, chassant alors le Temps fantasmatique qu’il s’y était
représenté
et qui ne pouvait être mesuré directement, effect
otre physicien le laisse en mouvement, tant qu’il en fait simplement,
représentés
dans sa pensée à lui, des systèmes de référence é
placé lui-même, d’où il mesure effectivement le Temps, et d’où il se
représente
alors en mouvement ces systèmes qui ne sont que v
me de référence qui est réellement adopté et celui qui est simplement
représenté
comme tel, disparaît nécessairement, comme nous l
« ligne de lumière » pour le personnage, extérieur au système, qui se
représente
la « figure de lumière » déformée par l’effet du
ts appétitifs. Volonté primordiale. L’activité primitive peut-elle se
représenter
objectivement ? I l’appétition I Ce qu
té est déjà au fond du plaisir et de la douleur, qu’on ne doit pas se
représenter
comme des états entièrement passifs et inertes ;
condition suffisante et adéquate de ce mouvement. Lorsque l’enfant se
représente
le saut à la corde, il a conscience d’un mouvemen
otions de plaisir attachées au jeu. Il ne suffit pas à l’enfant de se
représenter
la corde et le saut pour actualiser pleinement le
édant le mouvement appétitif défini. Les trois premières explications
représentent
une partie de la vérité ; la quatrième, qui est l
re comment et par quel mouvement précis, sans même avoir besoin de se
représenter
d’avance cette suppression de peine ou cette cons
une activité plus profonde et plus fondamentale qui s’exerce sans se
représenter
encore le résultat de son action. Elle agit parce
nts, et qui fait que nous nous sentons vivre, nous ne pouvons nous la
représenter
elle-même sous une forme directe et distincte, qu
sente à tous nos états successifs ; et pourtant, nous ne pouvons nous
représenter
ce qu’est être. De même, nous sommes certains de
st être. De même, nous sommes certains de vivre, mais essayez de vous
représenter
ce qu’est vivre. Nous sommes certains d’avoir con
vivre. Nous sommes certains d’avoir conscience, mais essayez de vous
représenter
ce qu’est avoir conscience. La critique du savoi
tence même de cette activité a pu être niée ; mais l’impossibilité de
représenter
sous la forme d’un état particulier ce qui est le
s tous nos états, quoique nous ne puissions, encore une fois, nous la
représenter
, c’est-à-dire l’imaginer sous la forme passive d’
rimitive qui le constitue ; le sujet est présent à lui-même, mais non
représenté
à lui-même ; il a conscience, mais il n’a pas con
aperçoit pas qu’ils forment deux catégories bien distinctes : les uns
représentent
des objets dont on peut faire l’expérience direct
entent des objets dont on peut faire l’expérience directe, les autres
représentent
quelque chose dont l’expérience est impossible. J
ividu désigné par un nom propre ; le nom commun, général et abstrait,
représente
toute une collection d’objets, et seulement les q
ères d’être, tous les accidents possibles de la substance. Comment se
représenter
la blancheur, la longueur, la force, sans se repr
. Comment se représenter la blancheur, la longueur, la force, sans se
représenter
une chose blanche, longue, forte ? Faute de senti
t de Guillaume de Champeaux. Ils ne conçoivent pas que ces mots-là ne
représentent
rien de sensible, et ils manient les abstractions
elon l’intellectualisme, la nature de la conscience est uniquement de
représenter
, d’exprimer en soi des événements qui ne dépenden
mettre cette définition et il se borne à ajouter : — Ce qui est ainsi
représenté
, c’est un mouvement d’atomes tout matériels ; le
ns des autres pour un spectateur. La question de savoir si les marées
représentent
les actions combinées du soleil, de la lune et de
nt ces actions combinées. De même, la question de savoir si ma pensée
représente
les phénomènes extérieurs présuppose l’action com
n’est donc qu’un dérivé. L’être vivant se soucie fort peu d’abord de
représenter
quoi que ce soit : il ne se soucie que de s’adapt
est au fond assez enfantine : à vrai dire, ma sensation du soleil ne
représente
pas le soleil et n’en est ni la copie ni le portr
i qui voit réellement le soleil ; seulement, sa sensation signifie et
représente
directement une perturbation cérébrale, au lieu d
ifie et représente directement une perturbation cérébrale, au lieu de
représenter
directement un fonctionnement normal du cerveau e
pport à l’intérieur, au centre de vie mentale qui non seulement les «
représente
» et les pense, mais y ajoute ses émotions et sa
que le biologiste commence par les premiers anneaux. Mais il peut se
représenter
hypothétiquement les états de conscience inférieu
mplique, ipso facto, un changement du contenu conscient et des objets
représentés
. Mais il n’en résulte pas qu’en dehors de la repr
nt, cet objectif se distribue en deux parts qui font contraste, l’une
représentée
comme moi, l’autre comme non-moi. — » Là est en e
se convertir en objet : c’est le plaisir et la peine. Essayez de vous
représenter
le plaisir comme un objet, vous reconnaîtrez que
eprésenter le plaisir comme un objet, vous reconnaîtrez que vous vous
représentez
toujours autre chose que le plaisir même ; ce ser
— qui est primordiale — un fond subjectif impossible à éliminer ou à
représenter
sous les formes de mouvements dans l’espace. En s
pour former un nouveau dessin interne ? Essayez, encore ici, de vous
représenter
cet objet, vous n’y parviendrez pas. C’est même p
nient la réalité du vouloir et du désir. Mais, de ce qu’on ne peut se
représenter
une réalité interne comme objet, il n’en résulte
elle n’est plus représentable comme objet extérieur à nous. Qui dit :
représenté
, présenté à une conscience, désigne nécessairemen
poser la dualité sujet-objet, et, ceci fait, elle n’a plus rien à se
représenter
: l’intelligence proprement dite a atteint sa lim
a sensibilité et la volonté, elles, vont plus loin. Le sujet, sans se
représenter
à lui-même, se sent jouir et souffrir ; en même t
plus haut, est un rapport ultérieurement conçu ; la représentation ne
représente
que par son rapport à autre chose qu’elle ; primi
onnaissance, une façon quelconque d’être son objet à soi-même, d’être
représenté
à soi-même. De plus, il ne faut pas confondre la
ner, c’est encore percevoir, observer des images venues du dehors, se
représenter
des objets. Cette représentation d’objets se mêle
hérente à la sensation, à l’émotion, à l’appétition, qu’on ne peut se
représenter
un état de conscience qui n’aurait pas un certain
d’intensité quelconque. En nous représentant l’espace vide, nous nous
représentons
une série de choses que nous pourrions voir ou to
r là, nous nous séparerons des physiologistes et des psychologues qui
représentent
l’acte réflexe comme le type primitif de toute ac
hysique, comme elle a cependant pour objet la conscience, où vient se
représenter
l’univers, elle se trouve avoir un domaine compar
namique. L’état de transition est obscur sans doute et difficile à se
représenter
d’une manière définie, par cela même qu’il n’est
es points de comparaison deviennent nécessaires. Pour l’espace, on se
représente
le bord immobile du trou où l’on est tombé ; pour
ble : il est la représentation faible d’une représentation dont je me
représente
une intensité plus forte. Le jeu d’images est don
tre chose sous les noms de passé ou d’avenir ? — Mais l’animal qui se
représente
sa proie absente et a faim ne se la représentera
— Mais l’animal qui se représente sa proie absente et a faim ne se la
représentera
jamais de la même façon que quand elle est présen
pération s’est accomplie un grand nombre de fois, la série des images
représentées
à l’esprit se distingue nécessairement de la séri
ace avec le temps, quand c’est avec l’espace que nous arrivons à nous
représenter
le temps. La représentation des événements dans l
du temps comme spatiale ; il va même jusqu’à dire qu’en croyant nous
représenter
la durée nous ne nous représentons que de l’espac
ême jusqu’à dire qu’en croyant nous représenter la durée nous ne nous
représentons
que de l’espace. En second lieu, comme Guyau, M.
mogène, s’ensuit-il que tout milieu homogène et indéfini, comme on se
représente
le temps, soit en réalité espace ? — L’homogénéit
du temps. Enfin, c’est par pure abstraction et fiction que nous nous
représentons
le temps comme « un milieu » où se dérouleraient
nce, comme vous le prétendez, que des états présents impossibles à se
représenter
en succession, rien qui puisse révéler sensibleme
sens134. Les partisans de l’a priori objectent que nous pouvons nous
représenter
le monde détruit, mais non le temps. —À vrai dire
ment la ligne du temps. Si, en réalité, nous arrivions à ne plus nous
représenter
absolument rien, le temps s’évanouirait avec tout
emps, mais indépendamment du temps lui-même. Ernest Renan a beau nous
représenter
le temps comme le « facteur » par excellence, c’e
rs. Comment donc les kantiens peuvent-ils soutenir qu’on ne peut « se
représenter
une représentation sans la représentation du temp
sso modo, pour pouvoir comparer deux durées, vous êtes obligé de vous
représenter
la durée prise pour mesure ; or, comment vous la
de vous représenter la durée prise pour mesure ; or, comment vous la
représenterez
-vous ? Ce sera, si vous y faites attention, en te
se de fixe dans ce perpétuel écoulement au temps, on est obligé de le
représenter
sous forme spatiale. » 131. Guyau lui-même a d
relativité. Elle est relative, en effet : 1° à l’intensité des images
représentées
; 2° à l’intensité des différences entre ces imag
les dents d’un autre s’enfoncer dans sa chair n’a aucun besoin de se
représenter
le temps pour sentir. Le temps n’est une « représ
exes de succession y ce qui revient à dire qu’il est nécessaire de se
représenter
le temps pour se le représenter. Ayant toujours e
ent à dire qu’il est nécessaire de se représenter le temps pour se le
représenter
. Ayant toujours eu des successions de représentat
résentations, nous ne pouvons pas concevoir une autre manière de nous
représenter
les phénomènes, car cette manière ne nous est don
a douleur nous excite à la fuir, voilà un fait ou une loi ; nous nous
représentons
le temps avec une seule dimension, l’espace avec
alignant sur une seule ligne mathématique. En d’autres termes, il se
représente
diverses successions dont chacune, objectivement,
et spatiales, disons le mot, sensitives. Nous sommes obligés de nous
représenter
le temps indirectement, par un détour. La conscie
uis voir le temps en lui-même, tout seul et comme un « objet ». Je me
représente
des successions de sensations, de passions, de pl
on ne trouve rien qui se rapporte à la sensation. » Mais comment vous
représenter
la succession des phénomènes, c’est-à-dire la suc
naît lui-même ce que nous disions tout à l’heure, à savoir que « nous
représentons
la suite du temps par une ligne qui s’étend à l’i
e condition de la sensibilité, les mêmes déterminations que nous nous
représentons
actuellement comme changement nous donneraient un
arguments analogues à ceux de Kant, soutenir que nous ne pouvons-nous
représenter
une sensation ou état quelconque de conscience sa
trouve que c’est la plus constante des intuitions sensibles, toujours
représentée
à l’imagination en termes « d’intuition extérieur
d’un ouvrage dramatique en cinq ou quatre actes, en vers ou en prose,
représenté
avec succès, pendant le cours de l’année, sur le
s’il lui avait été demandé seulement de désigner lequel des ouvrages
représentés
dans le cours de l’année au Théâtre-Français lui
l’auteur d’un ouvrage en moins de quatre actes, en vers ou en prose,
représenté
avec succès, pendant le cours de l’année, sur le
à l’auteur d’un ouvrage en cinq ou quatre actes, en vers ou en prose,
représenté
à Paris avec succès, pendant le cours de l’année,
à part qui permît de considérer en elles-mêmes les pièces qui y sont
représentées
, sans qu’on fût obligé de les comparer avec des o
z nombreuses qui s’offraient à elle en première ligne comme ayant été
représentées
sur le second Théâtre-Français, et dont quelques-
e en cinq actes, par MM. Anicet-Bourgeois et Michel Masson, qui a été
représenté
avec succès au théâtre de la Gaîté : il lui a sem
être décernée à chacun. Quant aux ouvrages en moins de quatre actes,
représentés
pendant l’année sur d’autres théâtres que le prem
t pour conducteur quelque sentiment pur, quelque passion plus élevée,
représentée
dans un des personnages, et en visant à une concl
d’un ouvrage dramatique en cinq ou quatre actes, en vers ou en prose,
représenté
avec succès pendant le cours de l’année sur le Th
d’un ouvrage en moins de quatre actes, en vers ou en prose, également
représenté
avec succès pendant le cours de l’année sur le Th
a seconde fois, bien qu’à la première plusieurs des auteurs de pièces
représentées
sur la scène française eussent songé à concourir,
mmission n’a pas eu à examiner si les auteurs qui ont eu des ouvrages
représentés
en 1853 sur la scène française ne se sont pas jug
’est l’Ariste de la pièce, un Ariste jeune, animé, chaleureux, et qui
représente
le bon génie, la morale vivante du drame. C’est a
à l’auteur d’un ouvrage en cinq ou quatre actes, en vers ou en prose,
représenté
à Paris, pendant le cours de l’année, sur tout au
l’auteur de l’ouvrage en moins de quatre actes, en vers ou en prose,
représenté
avec succès pendant le cours de l’année, à Paris
le mérite voulu, est un drame en cinq actes, L’Honneur de la maison,
représenté
à la Porte-Saint-Martin, et dont les auteurs sont
é aux théories mécaniques, ou plutôt cinétiques, de la matière. On se
représente
l’univers comme un amas de matière, que l’imagina
est loin d’offrir la même clarté, la même rigueur géométrique. On se
représente
des mouvements moléculaires s’accomplissant dans
récente, implique une conception associationniste de l’esprit. On se
représente
l’état de conscience actuel comme nécessité par l
iplicité des états de conscience. Le déterminisme associationniste se
représente
le moi comme un assemblage d’états psychiques, do
nt à la conscience du sujet sous des formes différentes, selon le but
représenté
. Le tort de l’associationnisme est d’avoir élimin
es sentiments, pourvu qu’ils aient atteint une profondeur suffisante,
représentent
chacun l’âme entière, en ce sens que tout le cont
es une existence réelle, et X et Y sont deux symboles par lesquels je
représente
, à leurs points d’arrivée pour ainsi dire, deux t
ts bien définis ou par des positions différentes dans l’espace. Il se
représentera
donc un moi qui, après avoir parcouru une série M
ibère, et opte enfin pour l’un d’eux. Comme on avait de la peine à se
représenter
la double direction de l’activité consciente dans
mun : les uns et les autres se placent après l’action X accomplie, et
représentent
le processus de mon activité volontaire par une r
uit la figure, et après avoir tracé les lignes OX et OY qui devraient
représenter
, réunies, le progrès de l’activité du moi, ils fo
ion OY. Poser une pareille question, c’est admettre la possibilité de
représenter
adéquatement le temps par de l’espace, et une suc
nt ou inconsciemment, sur cette figure géométrique. Mais cette figure
représente
une chose, et non pas un progrès ; elle correspon
se. Certes, une fois qu’il est écoulé, nous avons le droit de nous en
représenter
les moments successifs comme extérieurs les uns a
t pu être. Toute l’obscurité vient de ce que les uns et les autres se
représentent
la délibération sous forme d’oscillation dans l’e
certitude le choix que Pierre a fait. Il y a plusieurs manières de se
représenter
l’état d’une personne à un moment donné. Nous ess
icité d’états ou d’inclinations a abouti ? Dès lors, pour que Paul se
représente
adéquatement l’état de Pierre à un moment quelcon
ifféreraient alors sans cesse par quelque endroit, puisqu’elles ne se
représenteraient
le même corps à aucun moment de leur histoire. Se
al, je puis assigner à tous les antécédents leur valeur propre, et me
représenter
sous forme d’un conflit ou d’une composition de f
révoir ; c’est supposer à tort que l’image symbolique par laquelle on
représente
l’opération achevée a été dessinée par cette opér
ntervenir un philosophe Paul, prédécesseur de Pierre, et chargé de se
représenter
en imagination les conditions où Pierre agira. Vo
d il dessine à l’avance la trajectoire d’un corps céleste ou qu’il la
représente
par une équation. À vrai dire, il se borne à étab
xistence même, le fait psychologique devient une chose, qu’on peut se
représenter
tout d’un coup. Nous nous trouvons donc ici dans
quoi il ne saurait être question d’abréger la durée à venir pour s’en
représenter
à l’avance les fragments ; on ne peut que vivre c
On passera donc insensiblement du premier sens au second, et l’on se
représentera
la relation causale comme une espèce de préformat
substituer la formule abstraite du mouvement qui engendre la figure.
Représentez
-vous donc des relations algébriques s’enchevêtran
ne équation algébrique entre des grandeurs variables, mais non pas se
représenter
sous forme concrète d’images. Et l’on prouverait
ue le suivant n’ait point été contenu dans le précédent, nous nous en
représentions
alors plus ou moins confusément l’idée. La réalis
alogue à la nôtre, de quelque nature que cette durée puisse être : se
représenter
ainsi la relation de cause à effet, c’est suppose
ibles de la préformation de l’avenir au sein du présent. Tantôt on se
représente
tous les phénomènes, physiques ou psychologiques,
sens commun, cela n’est pas douteux, puisqu’elle nous permet de nous
représenter
de la même manière, et de désigner par un même mo
nces de la nature. Le physicien pourra parler de forces, et même s’en
représenter
le mode d’action par analogie avec un effort inte
. Ou bien alors on admet que la matière de la durée psychique peut se
représenter
symboliquement à l’avance, ce qui revient, avons-
sans qu’on s’en doute à la question suivante : « le temps peut-il se
représenter
adéquatement par de l’espace ? » — A quoi nous ré
et par stoïcisme, ont rarement développé les effets, Shakespeare l’a
représentée
sous tous les aspects. Il fait sentir cette impre
a grandeur de son caractère, captivent tout l’intérêt. Mais lorsqu’on
représente
des hommes d’une âme faible et d’une destinée san
la vie, que l’illusion en est plus grande. Lors même que Shakespeare
représente
des personnages dont la destinée a été illustre,
a lutte intérieure de l’ambition et de la vertu, que l’auteur a voulu
représenter
sous ces formes effrayantes ? Il n’a point eu rec
e par la volonté des rois ; et ces crimes, il n’est pas permis de les
représenter
devant leurs successeurs45. En Angleterre, les tr
es Français ont souvent condamné les scènes d’horreur que Shakespeare
représente
. Ce n’est pas comme excitant une trop forte émoti
ment effrayantes, que les mauvais imitateurs de Shakespeare ont voulu
représenter
, ne produisent qu’une sensation physique désagréa
ule ; ils peuvent détruire sans appel tout effet sérieux. Shakespeare
représente
aussi beaucoup trop souvent dans ses pièces la so
de sa prospérité, l’énergique et sombre imagination des Anglais nous
représente
l’infortuné séparé par ses revers, comme par une
la première tragédie dans laquelle un roi de France coupable ait été
représenté
sur le théâtre, la monarchie existant encore. 4
lus souvent encore à se tuer qu’à punir ; noble idée du poète d’avoir
représenté
l’homme vertueux ne pouvant supporter la vie, qua
pour les États de Languedoc. La seconde Comédie de M. de Molière fut
représentée
aux États de Béziers, sous le titre du Dépit amou
de petites Comédies, l’invention en parut nouvelle, et celle qui fut
représentée
ce jour-là, divertit autant qu’elle surprit tout
sa Troupe à Paris. La Salle du Petit Bourbon lui fut accordée pour y
représenter
la Comédie alternativement avec les Comédiens Ita
je l’ai déjà dit, prit le titre de la Troupe de MONSIEUR, commença à
représenter
en public le 3 Novembre 1658 et donna pour nouvea
a ses espérances : Comme ce n’était qu’une pièce d’un seul Acte qu’on
représentait
après une autre de cinq, il la fit jouer le premi
voulut qu’il y fût compris sur le pied de mille francs. La Troupe qui
représentait
ses Comédies était si souvent employée pour les d
Enfin en 1673 après avoir réussi dans toutes les Pièces qu’il a fait
représenter
, il donna celle du Malade imaginaire, par laquell
r observa que sur la fin de la Comédie Le Malade imaginaire qui était
représenté
par cet excellent Auteur, contrefait le mort. Ro
etenu par sa Majesté : Elle est établie en son Hôtel rue Mazarini, et
représente
tous les jours sans interruption, ce qui a été un
de représentation, est indispensable ; parce que nous ne pouvons nous
représenter
l’espace et cela pour une foule de raisons. L’esp
e est un continu mathématique, il est infini, et nous ne pouvons nous
représenter
que des continus physiques et des objets finis. L
Σ′ = Σ ; car bien que nous ayons employé le signe de l’addition pour
représenter
la succession de nos sensations, il est clair que
sions. Cette forme existe-t-elle, ou, si l’on veut, pouvons-nous nous
représenter
l’espace à plus de trois dimensions ? Et d’abord
question ? Au vrai sens du mot, il est clair que nous ne pouvons nous
représenter
l’espace à quatre, ni l’espace à trois dimensions
re, ni l’espace à trois dimensions ; nous ne pouvons d’abord nous les
représenter
vides, et nous ne pouvons non plus nous représent
d’abord nous les représenter vides, et nous ne pouvons non plus nous
représenter
un objet ni dans l’espace à quatre, ni dans l’esp
es espaces sont l’un et l’autre infinis et que nous ne pourrions nous
représenter
une figure dans l’espace, c’est-à-dire la partie
figure dans l’espace, c’est-à-dire la partie dans le tout, sans nous
représenter
le tout, et cela est impossible, puisque ce tout
’un et l’autre des continus mathématiques et que nous ne pouvons nous
représenter
que le continu physique ; 3° parce que ces espace
postérieure logiquement à l’espace, parce que nous ne pouvons nous le
représenter
que sous la forme d’une droite ; autant dire que
t postérieur logiquement à la culture des prairies, parce qu’on se le
représente
généralement armé d’une faux. Qu’on ne puisse pas
se le représente généralement armé d’une faux. Qu’on ne puisse pas se
représenter
simultanément les diverses parties du temps, cela
pas non plus celle de l’espace, car, lui aussi, on ne peut pas se le
représenter
, au sens propre du mot, pour les raisons que j’ai
sens propre du mot, pour les raisons que j’ai dites. Ce que nous nous
représentons
sous le nom de droite est une image grossière qui
à été rangées dans une des trois classes préexistantes, je ne puis me
représenter
qu’une série appartenant à l’une de ces trois cla
mœurs, la religion, et les lois du pays où elles ont été composées et
représentées
avec succès. Il faut, pour être applaudi au théât
es du christianisme étant trop abstraites et trop mystiques pour être
représentées
sur le théâtre, les auteurs dramatiques ont dû s’
it aux dieux une grande puissance sur les remords des coupables. Elle
représentait
, sous les couleurs les plus effrayantes, les tour
causent les tragédies modernes est mille fois plus profond. Ce qu’on
représente
de nos jours, ce n’est plus seulement la douleur
yle, que l’auteur lui-même a éprouvé quelques-unes des douleurs qu’il
représente
. Le goût des Grecs, dans les tragédies, est souve
ucoup de fautes dans leur manière de parler des femmes. Ils faisaient
représenter
leurs rôles dans les tragédies par des hommes, et
les scènes grotesques de la vie commune aux situations héroïques. On
représentait
les tragédies grecques dans les fêtes consacrées
refuserait toujours. L’importance donnée aux chœurs, qui sont censés
représenter
le peuple, est presque la seule trace de l’esprit
était pour fortifier l’esprit républicain que les Athéniens faisaient
représenter
les revers des rois sur leur théâtre. Je ne crois
e la Rivey. — Ses comédies. — Ses innovations. — Comédie des Esprits,
représentée
en 1576. — Les farces. — François Villon, auteur
aris eurent l’idée de former une société, d’élever un théâtre, et d’y
représenter
les Mystères de la Passion. C’est le bourg de Sai
urent : le Mystère des Actes des Apôtres, par Arnoul et Simon Gréban (
représenté
en 1450) ; le Mystère de la Passion, par Jean Mic
Qu’ils descendront tous en abîme. Le Mystère de la Passion, qui fut
représenté
en Suède, sous le règne de Jean II, devint la cau
la croix. Ce dernier tomba mort et écrasa dans sa chute l’actrice qui
représentait
Marie. Jean II, indigné de la brutalité de l’acte
oralités au théâtre. Au commencement du règne de Louis XII, il en fit
représenter
une intitulée le Nouveau-Monde, qui eut un grand
au, principal au collège de Lyon en 1542, qui, vers cette époque, fit
représenter
les Mystères de la Nativité par personnages. Anne
Farces, et qui mourut vers la fin du seizième siècle après avoir fait
représenter
quelques pièces. Bonfons, le plus ancien des aut
elles avaient pour personnages Dieu, le diable et les saints, étaient
représentées
dans les églises. Elles différaient des Mystères
urs de musique, des orgues, et sur plusieurs desquels des jeunes gens
représentèrent
diverses histoires de l’Ancien-Testament. Au moye
descendre des édifices plusieurs enfants vêtus comme on a coutume de
représenter
les anges. Ils posèrent des couronnes sur la tête
rions ou Clercs de la Bazoche. Les théâtres portatifs sur lesquels on
représentaient
d’habitude les Farces, finirent par inquiéter les
it de 1548, on doit signaler cependant trois drames ou tragédies qui,
représentés
par les Confrères de la Passion sur leur ancien t
e, vers pour vers, en rimes françaises. 2º Hecuba. Toutes deux furent
représentées
en 1537. La troisième pièce, la Destruction de Tr
de Boys, auteur de Comédie et Réjouissance de Paris, poëme dramatique
représenté
en 1559, composé à l’occasion du mariage du roi d
purent échapper aux châtiments des impies et des athées. Jodelle fit
représenter
également, en 1552, sa tragédie de Didon se sacri
ue et de l’Andrienne ; le Laquais, comédie en cinq actes et en prose,
représenté
en 1578 comme la précédente ; le Morfondu, les Éc
es comédies de La Rivey, les Esprits (en cinq actes et en prose), fut
représentée
en 1576. Elle offre une particularité qui mérite
e d’un petit scandale qui amusa le pays plus peut-être que le mystère
représenté
. Tout étant prêt pour jouer la Passion, on s’aper
ut pas chercher, dans les tragédies, en assez grand nombre, qu’il fit
représenter
, un style facile, des pensées bien élevées, ni de
ie, la Troade, Antigone, Bradamante et Sédécias, tragédies en chœurs,
représentées
de 1568 à 1588. Lors de la première représentatio
uellement : C’en est mort, il est fait. Dans l’Hippolyte de Garnier,
représenté
en 1568, on ne peut s’empêcher de remarquer la na
ue) auxquelles cet auteur n’hésitait pas à se livrer. En 1612, il fit
représenter
une tragi-comédie intitulée la Force du sang, tir
nt habituellement des strophes morales ayant rapport à la pièce qu’on
représentait
. Ils n’avaient aucun accompagnement, attendu que
un sans-façon incroyable. Ainsi, dans Alboin ou la Vengeance trahie,
représentée
en 1608, la veuve d’Alboin, forcée d’épouser le m
me celle-ci de Baptiste ou la Calomnie, tragédie traduite du latin et
représentée
en 1613 : Par moi le peuple obéirait aux rois, L
de ses parents ménage sans envie. De loin en loin on faisait encore
représenter
, et surtout par les écoliers, des espèces de trag
olletée et que nous n’osons reproduire. Un peu plus tard, en 1628, on
représentait
à Béziers une pièce à six personnages, Les Aventu
avoisiens et gascons de deux autres pièces. Dans la Sylvie de Mairet,
représentée
en 1627, la bergère Sylvie saute au cou de son am
l se soit trouvé dans aucun temps, un public pour accepter et laisser
représenter
des monstruosités semblables. Les héros de la fab
e mots, la confidente tranche toute difficulté. Thulin, en 1629, fit
représenter
une pièce en un acte sous ce singulier titre : le
ants des environs se rendaient à la procession, et des drames étaient
représentés
en l’honneur d’un certain capitaine Pépesuc, dont
et leur physique. Gauthier-Garguille, selon le sujet de leurs farces,
représentait
soit le maître d’école, soit un savant, débitant
roi Charles IX, moi y étant. » Voici le singulier titre d’une farce
représentée
en 1558 : les Femmes Salées, en un acte, en vers,
te, pouvant contenir six cents personnes et où l’on jouait les pièces
représentées
au Marais ; et une autre, d’apparat, pouvant rece
s 1633, fit défendre aux comédiens du Jeu de paume de la Fontaine, de
représenter
aucune pièce, jusqu’à ce qu’autrement en fût ordo
quitter Dreux, où il mourut à l’âge de quarante et un ans. Rotrou fit
représenter
plus de trente-cinq pièces au théâtre, en vingt-d
s, coulants, exprimant de belles pensées. Dans les Occasions perdues,
représentée
en 1631, il y a une scène de bonne comédie qui ne
nechmes, joués en 1632 ; Racine utilisa, dans sa Thébaïde, l’Antigone
représentée
en 1638 ; Tristan retoucha son Amarillis ; M. d’U
urait disconvenir, un grand air de famille avec les Sosies de Rotrou,
représentés
trente ans plus tôt. Rotrou, qui aimait beaucoup
du Marais. Il n’y eut donc plus à Paris que deux théâtres où étaient
représentées
les tragédies et les comédies françaises. La trou
de la Comédie-Française, dite troupe du Roi, qui fut seule chargée de
représenter
les comédies et les tragédies. Le nombre des acte
t, Dancourt imagina de sacrifier au goût du jour. Il résolut de faire
représenter
un divertissement dans lequel on verrait Arlequin
vais goût11. Par opposition, le théâtre de la foire Saint-Laurent fit
représenter
une espèce de prologue de Lesage, Fuzelier et d’O
i en exploitait le privilège à la Comédie-Française, l’autorisant à y
représenter
les tragédies, les drames et les comédies données
), mais enfin, elle obtint la liberté de l’emplacement sur lequel est
représentée
la pièce jouée par les acteurs. Jusqu’en l’année
our ses camarades de théâtre le vêtement spécial à l’œuvre dramatique
représentée
, elle ne fit que changer le costume de ville en c
l’habitude de mettre derrière son oreille une plaque jaune destinée à
représenter
le soleil. En 1747, une jolie comédie en trois ac
epoussées dans ses belles années. Voici, dans l’ordre où elles furent
représentées
au théâtre, et avec quelques anecdotes, les pièce
nquième comédie de Corneille. Elle porte ce nom de Suivante. Elle fut
représentée
à la fin de la même année 1634, et eut, comme les
on avait entendu jusqu’à ce moment à la scène. En 1635, Corneille fit
représenter
une jolie comédie en cinq actes et en vers, la Pl
; ce ne devait pas être la dernière, puisque cinq autres Médée furent
représentées
sur la scène à différentes époques. La muse tragi
e, qu’il revint dès l’année suivante à son genre favori, et qu’il fit
représenter
l’Illusion, pièce assez médiocre et que lui-même
ntissement fut en partie dû à cette circonstance, qu’à l’époque où on
représenta
l’ouvrage, les princes sortaient de prison et que
ante, Corneille composa la tragi-comédie de la Toison d’or, pour être
représentée
au château de Neubourg, chez le marquis de Sourde
Malgré cela, cet ouvrage ne resta pas au théâtre. Tite et Bérénice,
représenté
en 1670, était de plusieurs degrés au-dessous des
es plus belles productions dramatiques qui aient encore paru, étaient
représentées
sous le même nom que le sien ? Thomas Corneille m
gé à faire le partage des biens de leurs femmes. Thomas Corneille fit
représenter
trente-cinq ouvrages, tragédies, tragi-comédies,
rès la mort des deux auteurs, le roi Louis XV, encore fort jeune, fit
représenter
cette comédie au palais des Tuileries. Dans un ba
XIV, chose des plus rares, vint exprès au théâtre du Marais, où l’on
représentait
les compositions de Thomas Corneille, pour assist
ourons risque d’oublier nos autres pièces, trouvez bon que nous ne le
représentions
plus. » Les comédiens de l’Hôtel de Bourgogne, de
une comédie en cinq actes intitulée : Les Thuileries. Cette pièce fut
représentée
dans le Palais-Cardinal avec une sollicitude tout
e des meilleures places de la salle, et leurs pièces étaient toujours
représentées
devant le roi et devant toute la cour. Ces avanta
nence. Il s’exécuta donc de la meilleure grâce possible, et sa pièce,
représentée
devant le duc de Parme, fut beaucoup applaudie pa
ante pour en faire le sujet d’une de ses comédies, les Trois Orontes,
représentés
en 1652. Une demoiselle de Gournay avait un désir
n acte et en prose de Bois-Robert, resta quelque temps au théâtre. On
représenta
cette pièce avec le ballet des Plaisirs, de Bense
ne suivit la représentation de Clotilde, la voici : Quand les pièces
représentées
, De Boyer sont peu fréquentées, Chagrin qu’il est
s : l’Amarillis de Rotrou, retouchée par lui en 1650, et le Parasite,
représenté
au théâtre de l’Hôtel de Bourgogne en 1654. Trist
: Il fut père de Rome, et plus que de ses fils. La Calprenède a fait
représenter
encore quatre ou cinq tragédies plus ou moins méd
e universelle, donne à Tarquin, dans sa première tragédie de Lucrèce,
représentée
en 1637, le titre d’empereur de Rome. Après Lucrè
us connu par ses comédies, dont une surtout : les Charmes de Félicie,
représentée
pour la première fois en 1651, eut un tel succès
ette pièce ; mais l’abbé s’en est toujours défendu. Nitetis, tragédie
représentée
en 1663, fut également bien accueillie du public.
yable patience de faire en sorte que tous les acteurs et actrices qui
représentaient
cette tragédie, eussent leur acrostiche dans leur
résence du roi. — En 1702, après la mort de Racine, Louis XIV la fait
représenter
à Versailles. — Les principaux personnages de la
la mort de Montfleury, qui tomba malade par suite de ses efforts pour
représenter
les fureurs d’Oreste. Mondory était mort de la mê
s le parc de Versailles. Le monarque vainqueur fit choix, pour y être
représentée
, d’une tragédie nouvelle de Racine, Iphigénie, jo
lle de Brinon, première supérieure de ce grand établissement, faisait
représenter
aux jeunes filles. En outre, elle fut scandalisée
tourner de répondre aux vues de madame de Maintenon. Esther fut donc
représentée
à Saint-Cyr pendant le carnaval de 1689. Racine s
, un des chefs-d’œuvre du maître, et sa dernière tragédie, ne fut pas
représentée
à Saint-Cyr, comme on le croit généralement. Vers
ilection marquée. C’est au point qu’en 1702, Louis XIV voulut la voir
représenter
à Versailles. La duchesse de Bourgogne se chargea
algré la clause insérée dans le privilège et qui leur défendait de la
représenter
. Par une suite de circonstances politiques, Athal
’excuser, dit le poëte, je ne sais pas la chronologie. » La Troade,
représentée
en 1679, fut parodiée de la manière suivante, dan
désigna au duc de Vendôme lorsque ce dernier voulut faire composer et
représenter
, à son château d’Anet, une pastorale héroïque. A
ccueillie du public. Malheureusement pour lui, au même moment où l’on
représentait
cette tragédie, on représentait également le Télé
ment pour lui, au même moment où l’on représentait cette tragédie, on
représentait
également le Téléphonte de La Chapelle, et madame
le nom d’un acteur nommé La Thuillerie. La première tragédie que fit
représenter
l’abbé Abeille, donna lieu à une plaisanterie qui
Ce fut celle de Jugurtha. Voici ce qu’il dit à propos de cette pièce,
représentée
en 1694, dans les dernières années de la vie de R
, qui n’avait pas été reçue favorablement du public. Mon Adherbal fut
représenté
. Le prince de Conti, qui voulut bien assister à l
gardez de près, tout y est gothique et sans goût. » Dans Sophonisbe,
représentée
en 1716, mais non imprimée, il se trouvait quatre
eph, à la protection de quelques grands personnages. Ces deux pièces,
représentées
d’abord au château de Clagny près Versailles, ava
Marie Stuart, en 1683, et de Méléagre, en 1694. Germanicus, d’abord
représenté
sans succès sous le titre de la Princesse de Clèv
omédie sans titre. Phaéton, comédie en cinq actes et en vers libres,
représentée
en 1691, eut aussi un grand succès. « Au moment o
que nous ne parlons ici que de ses bonnes pièces, de celles qu’il fit
représenter
lorsque, sa première jeunesse étant passée, il eu
modestie : « On me fait beaucoup d’honneur ; mais quand cet opéra fut
représenté
pour la première fois, il tomba, et personne ne m
la tragédie-opéra de Bellérophon, dont Lully fit la musique, qui fut
représentée
en 1679 et eut un immense succès, puisqu’on la do
ire une belle traduction. La tragédie de Lafosse, Polixène, qu’il fit
représenter
en 1696, fut la première pièce de théâtre à laque
’est la meilleure pièce de son répertoire. En 1700 et en 1703, il fit
représenter
Thésée et Corésus, qui réussirent également. Dan
endue sans ses élèves. Tancrède, deuxième tragédie-opéra de Danchet,
représenté
en 1702, eut une vogue immense, non-seulement grâ
édies sacrées pour Saint-Cyr, Débora, Absalon et Jonathas, qui furent
représentées
à Paris en 1706, 1712, 1714, longtemps après la m
r, ainsi que son opéra de Jephté. Sa Princesse d’Élide, opéra-ballet,
représentée
en 1728, donna lieu à un fort joli mot. Un auteur
et sans amour, faite pour les collèges d’Harcourt et de Mazarin, fut
représentée
pour la première fois à l’hôtel de Sassenage. Ell
e de plagiat. Un certain Clément, de Genève, affirma qu’il avait fait
représenter
une tragédie semblable à celle de Voltaire, et du
ule de belles et bonnes pièces. Il en fut de même d’Olympie, tragédie
représentée
en 1764. Bien évidemment, Voltaire était au décli
tard, en 1733, cet auteur, qui prenait goût aux œuvres tragiques, fit
représenter
Gustave Vasa. Les Italiens s’en emparèrent et en
oint un auteur, si à son nom ne se rattachait une tragédie de Tibère,
représentée
en 1726, laquelle tragédie a pour histoire un vra
plus bas ! reprit-il vivement, se croyant sans doute le prince qu’il
représentait
. Comme, à cette époque, le public ne plaisantait
a fallu beaucoup diminuer de la vérité pour le rendre tel que je l’ai
représenté
. » Cette sortie donna matière à bien des question
ait pas encore arrivé. Zoraïde, également de M. Le Franc, ne fut pas
représentée
. Cet auteur donna une jolie comédie, les Adieux d
bois de M. Brioché. La troisième tragédie de Lamotte, Inès de Castro,
représentée
en 1723, fut fabriquée, dit-on, d’une façon singu
en vers, et jouée en 1726, sans succès, puis en prose, mais sans être
représentée
. Une polémique, fort polie du reste et des plus c
q ans dans la capitale de la Normandie. Pendant ce temps, La Noue fit
représenter
à Paris sa tragédie de Mahomet II, qu’il avait co
autres de celui d’Acante et Céphise, dont la musique était de Rameau.
Représentée
en 1751, pour les fêtes du premier mariage du Dau
emierre, un des bons auteurs des règnes de Louis XV et Louis XVI, fit
représenter
plusieurs tragédies dans lesquelles on trouve de
ituel : Titus perdit un jour ; un jour perdit Titus. Après Zelmire,
représentée
en 1762, et qui fut un peu mieux accueillie que l
histoire de l’ancien théâtre. Le roi Louis XV donna ordre de la faire
représenter
gratis, afin que le peuple de Paris pût y venir p
vogue dans le monde de la cour et des grands seigneurs. Il avait été
représenté
devant le roi. Le Dauphin et Leurs Altesses Royal
par Panard. L’une de ces pièces, les Fêtes sincères, fut, plus tard,
représentée
devant la Cour. C’est dans cette comédie, dédiée
aduite d’Aristophane, par Ronsard, le père de la poésie française, et
représentée
en 1539, à Paris, au collège de Coquerel. 4. Il
ia (Escarmouche) existait déjà dans la troupe des Fedeli ; il y était
représenté
par un acteur du nom de Goldoni, et il a été dess
pistoles, si nous en croyons Loret. La pièce la plus remarquable que
représenta
la troupe de Giuseppe Bianchi, à ce voyage, fut u
omique, demi-lyrique, intitulée : La Finta Pazza (la Folle supposée),
représentée
au Petit-Bourbon, le 14 décembre 1645. Ce sujet d
Folles supposées ne laissèrent pas de se multiplier. La pièce qui fut
représentée
au Petit-Bourbon était due au poète Giulio Strozz
de succès à la ville et à la cour, que les baladins et figurants, qui
représentaient
à cette époque les mascarades et les ballets du r
honneur, soutient des thèses dédiées à Scaramouche ». Scaramouche est
représenté
par Baptiste Lulli. L’âne-docteur qui subit la th
ense bien, ils sont dupes de celles-ci. Jean Doucet et son frère sont
représentés
par les sieurs Hance et Dolivet. MM. De La Chesna
e du célèbre Giulio Strozzi, très illustre poète italien, qui se doit
représenter
par la grande troupe royale des comédiens italien
ur Torelli. » 33. À la page 6 de l’imprimé, on lit : « Flore sera
représentée
par la gentille et jolie Louise-Gabrielle Locatel
harmonie. » À la page 7 : « Cette scène sera chantée, et Thétis sera
représentée
par la signora Giulia Gabrielli, nommée Diane, la
à la scène vii du Ier acte de Colombine avocat pour et contre, pièce
représentée
en 1685 ; la plupart de ces noms appartiennent à
ciale où l’on risque ici de tomber. — Le réel et le virtuel. — Ce que
représente
effectivement l’amalgame Espace-Temps. Laissons
ce que nous appelons une vision fantasmatique. D’ordinaire, nous nous
représentons
les visions fantasmatiques comme entourant, fugit
ème S′, ayant eu la perception réelle d’une longueur invariable l, se
représenterait
l’invariabilité de cette longueur en se plaçant p
s, nous aurions la perception réelle de ce qu’il se serait simplement
représenté
comme possible : nous nous rendrions exactement c
ne. Nous qui habitons un monde à trois dimensions, nous pourrons nous
représenter
le mobile M entraînant avec lui une ligne MN perp
uvement dans un espace d’un nombre quelconque de dimensions peut être
représenté
comme forme dans un espace ayant une dimension de
n de plus. Mais cette représentation est-elle réellement adéquate au
représenté
? Contient-elle tout juste ce que celui-ci contie
; elle ne s’occupe que du résultat une fois obtenu : si elle peut se
représenter
d’un seul coup tous les résultats acquis à tous l
acée, qui serait l’équivalent de la courbe à n dimensions se traçant,
représente
réellement moins que ce qu’elle prétend représent
nsions se traçant, représente réellement moins que ce qu’elle prétend
représenter
. Mais, en un autre sens, elle représente davantag
oins que ce qu’elle prétend représenter. Mais, en un autre sens, elle
représente
davantage. Retranchant par ici, ajoutant par là,
l’écran spontanément. Maintenant, les habitants du plan P pourront se
représenter
de deux manières différentes la succession des im
’espace va vous donner à la fois plus et moins que ce que vous voulez
représenter
. Elle vous donnera moins, car le tas d’images emp
mouvement uniforme. Or, l’Espace-Temps de Minkowski et d’Einstein ne
représente
pas autre chose. Si l’on entend par Espace-Temps
ée et concrète de la longueur A′ B′ ou de son carré l 2 ; il ne se la
représente
plus que sous une forme abstraite comme l’invaria
e à l’intérieur de son système, seraient successifs pour celui qui se
représenterait
, du dehors, le système en mouvement. Nous l’accor
ur toutes les vitesses dont on pourrait supposer le système animé, se
représenterait
cette constance en se plaçant par la pensée dans
essé, dans le fond, des échafauds, dont le plus élevé était destiné à
représenter
le paradis ; un autre représentait la maison de P
dont le plus élevé était destiné à représenter le paradis ; un autre
représentait
la maison de Pilate, etc. À chaque côté du théâtr
re pour cacher aux spectateurs certains détails qu’on ne pouvait leur
représenter
. Le théâtre est aujourd’hui une grand’salle dont
pelons particulièrement théâtre, qui comprend l’espace où les acteurs
représentent
, et dans lequel sont les décorations et les machi
trefois le nom de moralités à des espèces de ballets ou opéras. On en
représenta
un de cette espèce au mariage du prince palatin d
se rend capable en un jour de mettre dans les figures qu’il fait pour
représenter
le pere éternel le caractere de grandeur, de fier
réation, lorsque l’avanture dont je vais parler arriva. La figure qui
représente
Dieu le pere dans ces trois tableaux, est véritab
uivant les loix de l’art, entre deux têtes, dont l’une est destinée à
représenter
le pere, et l’autre à représenter le fils. Tandis
ux têtes, dont l’une est destinée à représenter le pere, et l’autre à
représenter
le fils. Tandis que Raphaël peignoit la voûte des
maniere sur ce point, et il prit celle de son concurrent. Raphaël a
représenté
le pere éternel dans le dernier tableau de la pre
modele. Raphaël fit son essai d’imitation en peignant le tableau qui
représente
un miracle arrivé à Bolséne, où le prêtre qui dis
e. Par une liberté poëtique, Raphaël emploïe la tête de Jules II pour
représenter
le pape, devant qui le miracle arriva. Jules rega
raconté des combats d’Alligators mâles au temps du rut. Ils nous les
représentent
poussant des mugissements et tournant en cercle a
e. Il est aisé de concevoir, du reste, que toute forme qui n’est plus
représentée
que par un petit nombre d’individus, exposés à de
ux australiens, divisés, comme ils sont, en groupes peu tranchés, qui
représentent
faiblement, ainsi que M. Waterhouse et d’autres l
oblème un peu difficile. Supposons que les lettres depuis A jusqu’à L
représentent
les espèces d’un genre très nombreux en espèces d
es, ainsi qu’il arrive généralement dans l’ordre naturel, et comme le
représente
la figure sur laquelle les lettres sont placées à
s répandue dans une vaste station et appartenant à un genre largement
représenté
dans la contrée. Le petit éventail de lignes poin
pointées, divergentes et d’inégales longueurs, qui partent de A, peut
représenter
l’ensemble de sa postérité variable. Je suppose q
ar sélection naturelle, ainsi que les lignes pointées de la figure le
représentent
. Chacune de ces lignes pointées, qui atteint l’un
que intervalle entre deux lignes horizontales de la figure peut ainsi
représenter
un millier de générations ; mais ce ne serait que
millier de générations ; mais ce ne serait que mieux encore, s’il en
représentait
dix mille. On suppose donc qu’après mille générat
mille générations l’espèce A a produit deux variétés bien tranchées,
représentées
par a1 et m1. Ces deux variétés continueront géné
ujours s’accroissant en nombre et divergeant de caractères. La figure
représente
la série continuée jusqu’à la dix-millième généra
rmation continue toujours d’agir aussi régulièrement que la figure le
représente
, bien que la figure elle-même soit à dessein irré
nombre aussi bien qu’à diverger en caractère : c’est ce que la figure
représente
par les diverses branches divergentes qui partent
ment augmentée dans les générations successives. Ce cas se trouverait
représenté
sur la figure, si toutes les lignes qui procèdent
x espèces (W10 et z10), selon la valeur des changements qu’on suppose
représentés
entre chaque ligne horizontale ; et, après quator
endant la longue série de ces lentes modifications, telle qu’elle est
représentée
dans la figure, la loi d’extinction aura joué aus
peuvent continuer d’exister. Si donc la figure qui précède est censée
représenter
une somme considérable de modifications, l’espèce
spèce d’un genre antérieur. Cette ramification généalogique se trouve
représentée
sur la figure, où des lignes brisées partent de c
, où des lignes brisées partent de chacune des lettres majuscules qui
représentent
les onze espèces considérées jusqu’ici comme orig
ésentant mille générations ; mais chaque intervalle peut également en
représenter
un million ou même cent millions. Ces intervalles
genres. Si dans la figure nous supposons que la somme des changements
représentée
par chaque groupe successif de lignes divergentes
ordres, selon la somme des modifications divergentes que l’on suppose
représentée
par les intervalles de la figure. Or, ces deux no
n esprit à l’aube de la vie terrestre, à l’époque où nous devons nous
représenter
tous les êtres organisés comme pourvus chacun de
ces, chacune d’elles, ou au moins le grand nombre, ne pourraient être
représentées
que par un très petit nombre d’individus. Or, de
dis que la production d’espèces nouvelles serait très lente. Qu’on se
représente
le cas extrême où l’Angleterre contiendrait autan
que nous l’avons montré dans le chapitre précédent. On a quelquefois
représenté
les affinités des êtres de même classe sous la fi
bre : cette comparaison est très exacte. Les rameaux et les bourgeons
représentent
les espèces vivantes ; ceux qui ont végété et fle
vantes ; ceux qui ont végété et fleuri pendant les années précédentes
représentent
la succession des espèces éteintes. À chaque sais
tre les bourgeons passés et présents, au moyen de branches ramifiées,
représente
parfaitement la classification de toutes les espè
sont tombés ; et ces branches perdues, de grandeurs diverses, peuvent
représenter
ces ordres entiers, ces familles, ces genres qui
ouard, auteur d’ailleurs fort estimable et d’un grand talent, nous le
représente
comme un homme froid, impassible ami de la justic
ion de ce principe au grand maître des Templiers ; mais il a voulu le
représenter
comme un modèle de perfection idéale, et cette pe
, soit par crainte, soit par l’espoir de sauver son ordre, et nous le
représenter
ensuite rendu au sentiment de l’honneur, par un r
coup de calcul ou encore plus de bonheur dans cette première tragédie
représentée
de Raynouard, mais il est impossible de prodiguer
ès prosaïques, très communes. Un jour, quelqu’un se permettait de lui
représenter
que « peut-être ces deux ou trois vers d’une stro
se de Napoléon, Raynouard ajoutait : Le chantre de Napoléon l’aurait
représenté
d’après l’histoire, grand au-dessus des rois, tel
istoire, grand au-dessus des rois, tel qu’Homère, d’après la fable, a
représenté
Jupiter grand au-dessus des dieux ; gouvernant l’
ard s’exerça et où il fut défricheur et inventeur. Qu’on essaye de se
représenter
par la pensée l’état de l’ancienne France, de la
il eut raison. 4. [NdA] Cette tragédie en cinq actes et en vers fut
représentée
pour la première fois le 22 juin 1810, à Saint-Cl
e de la pièce : « Une chose passablement singulière est de l’avoir vu
représenter
devant l’Empereur. Il est probable qu’elle ne ser
st probable qu’elle ne sera pas donnée à Paris. L’inconvénient de l’y
représenter
a été développé avec force et vérité à l’Empereur
’en laisserait désormais jouer aucune qu’elle n’eût été préalablement
représentée
sur le théâtre de la Cour. » (Journal et souvenir
es sentiments de nature plus complexe (sympathie pour les personnages
représentés
, intérêt, pitié, indignation, etc.), en un mot, t
Le véritable objet de l’art c’est l’expression de la vie. L’art, pour
représenter
la vie, doit observer deux ordres de lois : les l
our donner l’illusion de la réalité, d’outrer certains traits ; il ne
représente
la vie qu’avec des infidélités calculées. Quant a
sentir avec force dans la vie que ce qui lui paraît le plus facile à
représenter
par l’art, ce qui peut immédiatement se transpose
rs la machine humaine sous une plus haute pression. Il cherche à nous
représenter
plus de vie encore qu’il n’y en a dans la vie véc
de produire des émotions sympathiques et, pour cela, non pas de nous
représenter
de purs objets de sensations ou de pensées, au mo
après avoir paru de purs chefs-d’œuvre aux contemporains, — dont ils
représentaient
, en les outrant peutêtre, les tendances, qualités
en définitive à nous faire sympathiser avec les individus qu’il nous
représente
, s’adresse ainsi aux cotés sociaux de notre être
resse ainsi aux cotés sociaux de notre être ; il doit donc aussi nous
représenter
ses personnages par leurs côtés sociaux : le héro
ui est plus complexe. Enfin, il est des types proprement sociaux, qui
représentent
l’homme d’une époque, dans une société donnée. Or
froid, qui fait que l’art de cette époque, comme l’a fait voir Taine,
représentait
encore des modèles vivants au moment même où il s
à une seule personne, n’a pas entièrement manqué son but, puisqu’il a
représenté
une forme de la vie capable de trouver chez un êt
avoir, et je m’étonne alors qu’il y ait quelque chose. Ou bien je me
représente
toute réalité comme étendue sur le néant, ainsi q
ens commun. Voyons donc a quoi l’on pense quand on parle du néant. Se
représenter
le néant consiste ou à l’imaginer ou à le concevo
ur ou intérieur, il y a donc toujours un objet que mon imagination se
représente
. Elle peut, il est vrai, aller de l’un à l’autre,
e côtés, quoiqu’on ne le voie pas en imagination : il suffit qu’on se
représente
clairement la possibilité de le construire. De mê
ur et à mesure qu’on les assemble. Quand j’ai défini le cercle, je me
représente
sans peine un cercle noir ou un cercle blanc, un
imiter cette figure avec des lignes droites. Ainsi mon esprit peut se
représenter
abolie n’importe quelle chose existante, mais si
l’opération par laquelle notre esprit abolit un objet et arrive à se
représenter
, dans le monde extérieur, un néant partiel. Voyon
monde extérieur, un néant partiel. Voyons maintenant comment il se le
représente
à l’intérieur de lui-même. Ce que nous constatons
peut penser la disparition d’un objet extérieur ou intérieur sans se
représenter
, — sous une forme indéterminée et confuse, il est
arition ou d’abolition ; ce sont là des opérations physiques. Ne nous
représentons
plus que l’objet A soit aboli ou absent. Disons s
la représentation pure et simple de l’objet A, car on ne peut pas se
représenter
un objet sans lui attribuer, par là même, une cer
ologique. Dès lors, qu’est-ce que penser l’objet A inexistant ? Se le
représenter
inexistant ne peut pas consister à retirer de l’i
e de la représentation de l’objet et ne fait même qu’un avec elle. Se
représenter
l’objet A inexistant ne peut donc consister qu’à
t incompatible, le supplante. Seulement, il est inutile que nous nous
représentions
explicitement cette dernière réalité ; nous n’avo
réel pose donc l’existence du réel en général. En d’autres termes, se
représenter
un objet comme irréel ne peut pas consister à le
le du simple possible qui va devenir la réalité même, et vous ne vous
représenterez
plus alors l’objet comme inexistant. En d’autres
que viennent ici toutes les difficultés et toutes les erreurs. On se
représente
la négation comme exactement symétrique de l’affi
e la continuité de l’expérience. Dans les deux cas, ces concepts sont
représentés
par les mêmes mots conventionnels. Dans les deux
ne notera plus seulement l’état actuel de la réalité qui passe. Il se
représentera
le passage comme un changement, par conséquent co
nsi sur la voie de la négation. Et surtout il sera sur le point de se
représenter
une disparition. Il n’y arrivera pourtant pas enc
ésenter une disparition. Il n’y arrivera pourtant pas encore. Pour se
représenter
qu’une chose a disparu, il ne suffit pas d’aperce
tion plus générale, il n’y a maintenant qu’un pas. Il suffit qu’on se
représente
le contraste de ce qui est, non seulement avec ce
de là vient aussi que le terme où notre activité se reposera est seul
représenté
explicitement à notre esprit : les mouvements con
, en quelque sorte, par le vide de ses interstices. L’intelligence ne
représente
donc à l’activité que des buts à atteindre, c’est
rder que l’image anticipée du mouvement accompli. Or, pour qu’elle se
représente
, immobile, le résultat de l’acte qui s’accomplit,
e mouvements élémentaires. Qu’on y voie des vibrations ou qu’on se la
représente
de toute autre manière, un fait est certain, c’es
c’est-à-dire par la position de son but provisoire, que nous nous le
représentons
à tout moment. S’agit-il d’un mouvement complexe
ments. Une fois en règle de ce côté, nous cherchons simplement à nous
représenter
le plan d’ensemble de chacun de ces mouvements co
ors, dans chaque cas particulier, une ou plusieurs images claires qui
représentent
des états et qui servent à distinguer tous les de
es. Ainsi fait le cinématographe. Avec des photographies dont chacune
représente
le régiment dans une attitude immobile, il recons
de la réalité intelligible, c’est-à-dire de la vérité, en ce qu’elles
représentent
, réunies, l’équilibre théorique de l’Être. Quant
ses sur le changement, elles en sont les éléments constitutifs, elles
représentent
tout ce qu’il y a de positif dans le devenir. L’é
ainsi n’ont pas plus de « positivité » que le mouvement lui-même. Ils
représentent
l’écart entre la position artificiellement donnée
vement circulaire indéfiniment répété des sphères célestes, tout cela
représente
simplement un certain déficit fondamental en lequ
continuité du devenir, elles seraient relatives à l’esprit qui se les
représente
, elles n’auraient pas d’existence en soi. Tout au
t précipité dans l’espace et le temps, mais la durée et l’étendue qui
représentent
cette première diminution seront aussi voisines q
espace idéal les termes qu’elle perçoit tour à tour, parce qu’elle se
représente
toujours la succession passée sous forme de juxta
n un seul, ils embrassent ainsi la totalité du réel, car les concepts
représentent
les choses mêmes et possèdent au moins autant de
tenu par la compression et la compénétration réciproque des Idées qui
représentent
, à l’état achevé ou en leur point culminant, les
ivalence exacte de l’état cérébral et de l’état psychologique, qui se
représente
la possibilité, pour quelque intelligence surhuma
! Plus la physique progresse, plus elle montre l’impossibilité de se
représenter
les propriétés de l’éther ou de l’électricité, ba
sait bien que ce qu’il y a de visible et de tangible dans les choses
représente
notre action possible sur elles. Ce n’est pas en
ent dans la nature projettent dans l’esprit humain des images qui les
représentent
. Aux relations entre les phénomènes correspondent
es choses. Je le veux bien ; mais, pour que l’esprit humain puisse se
représenter
des relations entre les phénomènes, encore faut-i
nt pas, à l’imitation des peintres académiques de l’école de Tosa, de
représenter
, dans une convention précieuse, les fastes de la
et qui est, côte à côte, l’exposition de deux vies comme aimait à les
représenter
le peintre Hogarth. La première planche représen
mme aimait à les représenter le peintre Hogarth. La première planche
représente
le lavage de l’enfant pauvre par le père, près du
end qu’il est le père de son sauveur, amoureux d’elle. Et Hokousaï la
représente
lâchant sa chevelure qu’elle tient dans sa main,
ousaï est à la date de 1793, avec la signature de Mougoura Shunrô. Il
représente
un jeune marchand d’eau fraîche, assis sur le bât
ment de la terre dans le calendrier japonais, beaucoup des sourimonos
représentent
un cheval, et cette représentation du cheval va d
quelque coin de la composition, cet animal. Un de ces sourimonos même
représente
un Japonais tenant en ses bras un mouton, et c’es
Une série de sept sourimonos : Les Sages des bambous, de vieux sages
représentés
par des femmes modernes. Une série de vingt-quatr
le vent au-dessus de la laveuse. Une série des douze mois de l’année,
représentés
par des femmes, où est un gracieux dessin de fill
n plancher et que regarde paresseusement sa maîtresse. Trois musiques
représentées
par trois musiciennes. Une série intitulée : Huit
les pièces séparées, des acteurs et des scènes théâtrales, dont l’une
représente
Daïkokou faisant pleuvoir des pièces d’or sur une
nins par des femmes et des enfants. Une série en l’honneur de la Lune
représentée
par des femmes, et dans laquelle rien de plus gra
re main, tenant contre son côté un parasol fermé. Une série sur Yédo,
représentée
par des industries et de petits paysages. Une sér
Les Cinq Chevaliers élégants : les cinq chevaliers élégants toujours
représentés
par des femmes. Une série de sept planches : Les
ée, étant sous le signe zodiacal du rat, un sourimono du Jour de l’An
représente
un énorme rat en neige, auquel un peintre peint l
s et de Japonaises examinant les tableaux accrochés au mur, et où est
représenté
un groupe de deux Japonais arrêtés devant un kaké
imono unique, le plus grand sourimono qu’on connaisse (L. 100) et qui
représente
un pont dans le genre du grand pont de la Soumida
’illustration était due à Yeshi, Kitao Shighémasa, et à Hokousaï, qui
représente
la rive de la mer, à Yénoshima, où déferle une gr
urs. Une impression charmante est la planche en couleur où Hokousaï a
représenté
une collation dans la campagne, et où des femmes
s’annonce la maîtrise future de l’artiste. Un dessin, où Kintoki est
représenté
une main autour du cou d’un ours, un aigle sur l’
s à l’interminable nez pointu, aux ailes de chauve-souris, si souvent
représentés
dans les albums japonais. Du haut du ciel, un Tén
s et de nouilles), tombe malade, a la vision, en un rêve, d’un acteur
représenté
dans un kakémono, qui a un nez comme les Téngou,
ui ont dépêché un messager pour le ramener. Et la dernière planche le
représente
écrivant les Mémoires de sa vie sur la terre. La
usaï et le poète Taïguéntei. » La première planche du premier volume
représente
la colline du temple Hatiman d’Ityaga, et l’on y
gieuse, dont la légende a servi à la fabrication du roman, et qui est
représentée
près d’un plateau assailli par des volées d’oisil
i a eu un grand succès au Japon. En tête de la table des matières est
représenté
, ainsi que c’est l’habitude dans les romans quasi
apier et qu’envahit une troupe d’hommes armés. Et la dernière planche
représente
le traître écartelé par des bœufs, auxquels sont
n oiseau. Et Tamétomo terrorise et dompte ces populations sauvages, —
représentées
par Hokousaï assez semblables aux Aïnos couverts
tretiennent comme d’un tour de force, est la composition où l’artiste
représente
ce prêtre poursuivant un fonctionnaire prévaricat
’escalier extérieur des habitations chinoises et japonaises, tente de
représenter
des scènes d’intérieur coupées par la montée ou l
umes très chargé d’incidents, où il est question d’une méchante femme
représentée
dans un beau dessin, un sabre dans les dents, des
Ce sont d’abord deux figurations en pied de ce prêtre Raïgô, qui est
représenté
dans l’une élevant en l’air un rouleau magique, a
, en une illustration très coloriste dans le noir. L’une des planches
représente
Hanarégoma déracinant des rochers à la force de s
texte est de Bakin, édité en dix volumes. Une des premières planches
représente
le juge sur un pont, assistant à la recherche, da
un homme, c’est la légende de la gravure. Une planche caractéristique
représente
le terrible Shôki, le tueur des diables, venant r
dans le fond, les loups mangent des cadavres. Une planche singulière
représente
un chat monstre, en robe, tenant par le cou un mé
x anciens fiancés sont repris d’un sentiment amoureux. Et une planche
représente
Hanako se regardant dans un miroir où se reflète
peut-être ses dessins les plus rembranesques. La première composition
représente
un dignitaire japonais tendant à une femme qui pl
e », et était tout dévoué à l’amie de son amoureuse. Que fait-il ? Il
représente
à la mère que le fils du ministre est d’une grand
hrist. C’est, tout d’abord, la planche où se voit ce sujet si souvent
représenté
sur les gardes de sabre, ce vieillard mystérieux
les cinquante feuilles de ce premier volume dont la première planche
représente
le couple Takasago, le type du vieux ménage parfa
es (les dessins de l’École vulgaire). Plusieurs planches de ce volume
représentent
les durs et laborieux travaux de l’industrie mini
plantes marines, prenant des poissons à la main. La dernière planche
représente
un homme et une femme, gras à lard, aux bajoues t
. L’une, c’est Kasané, la femme laide, assassinée par son mari, qu’il
représente
avec son front de foetus hydrocéphale, sous la br
heureux, les âmes pécheresses retenues de l’autre côté du fleuve, est
représentée
dans une glorieuse image avec la sérénité bouddhi
a une dizaine d’années, de l’imposition d’un dollar. La peinture les
représente
d’habitude, sous un rayon de lune, comme dans le
nages disparaissent dans le paysage, mais où peut-être Hokousaï s’est
représenté
léchant son pinceau dans la dernière planche.
poésies où une seule planche double signée Hokousaï, fou de la Lune,
représente
trois de ces chevaux chevelus, à la crinière hirs
au de paille, d’un panier de légumes, etc. Et encore un écran où sont
représentés
deux esprits du saké, ces petits êtres fantastiqu
s : Manji (vers 1834), font partie de la collection de M. Vever. L’un
représente
un établissement thermal dans la province de Kahi
é son cheval et où, par une allusion à ce souvenir historique, il est
représenté
dans cette impression un cheval rouge qu’un homme
divisant en Koïtcha et Mattcha ; un faiseur de macaronis de sarrasin,
représenté
à côté des figures comiques de deux avaleurs de m
te petite plante grande comme une laitue qui sert dans l’image qui la
représente
de parasol à un homme et à une femme. Et dans les
stration due pour la plus grande part à Hokousaï. La première planche
représente
, à côté de boîtes de sables de différentes couleu
te, toutes deux en train de composer un tableau. Et l’album contient,
représentés
en deux couleurs, — une couleur grisâtre, une cou
ite gourde imprimée en rouge. Et ce rappel du cheval va jusqu’à faire
représenter
à Hokousaï la rue des Étriers où l’on vend des im
un fac-similé a été également publié dans le Katsoushika dén, nous le
représente
vers l’âge de 80 ans, près d’un pot à pisser, acc
Une planche curieuse, c’est la figuration des quatre classes du Japon
représentées
par un membre de la première classe, un guerrier
e bâton à la poignée noire, ayant l’autre enlacé dans un chapelet, et
représenté
dans les nuages du sommet de la montagne. Et comm
oqués ; enfin la planche curieuse où bien certainement Hokousaï s’est
représenté
en train de peindre le Fouzi-yama, accroupi sur u
rtiste. Ici, sa lettre finie, il la date du dix-septième mois, et se
représente
, dans un croquis microscopique, saluant humblemen
us tôt possible, la soie pour peindre la déesse Daghinitén (la déesse
représentée
montée sur un renard) car le temps passe rapide c
les nénuphars d’un étang. A côté de ces culs-de-lampe, un beau dessin
représente
la veuve de Kousounoki Masashighé, élevant en l’a
, ou sur une pipe en bronze avec des parties en ivoire. Et les motifs
représentent
tout un monde : un tigre, un ascète, une cascade,
vail en paille exposé dans la cour du temple d’Asakousa. Ces planches
représentent
les douze signes du zodiaque, les deux guerriers
s le titre du volume et le nom de l’auteur, et où la première planche
représente
, au-dessus d’un petit rapin japonais préparant l’
éciales qu’il faut employer pour colorier les animaux et les plantes,
représentés
en noir dans les planches qui se succèdent, — pou
ui-même la proportion des choses. Dans le second volume, Hokousaï se
représente
peignant avec la bouche, les mains, les pieds, de
guration de ces mots au-dessus des sujets dessinés, la première image
représente
le peintre qui a signé la préface du second volum
ns grossiers d’Hokousaï , publié en 1806, et dont la première planche
représente
le génie fantastique de l’encre de Chine, le préf
, d’étudier les choses et les êtres qui vous entourent, qu’un peintre
représente
un oiseau qui a l’air de voler, un homme qui a l’
nistre a la plus nombreuse famille de tous les ministres de la terre,
représenté
assis sur une chaise tournante, la tête penchée v
, et qui a écrit, au viiie siècle, Le Cahier de l’oreiller. Elle est
représentée
, ainsi que toutes les femmes de la noblesse dont
rable… » Et les balayeurs furent pardonnés. Généralement le sujet est
représenté
avec les trois balayeurs habillés en blanc et coi
d’albums provenant de la collection Gierke. Ces dessins à l’aquarelle
représenteraient
comiquement un moine mendiant volant des pêches,
a plus belle qualité, et formé de deux panneaux (H. 170. — L. 80). Il
représente
, sur le panneau de droite, la déesse Béntén plana
Un album très curieux, dont les dessins n’ont pas été gravés, et qui
représentent
huit vues (H. 28. — L. 40) de la Soumida, aux riv
marquer justement l’art particulier avec lequel le pinceau d’Hokousaï
représentait
la matière de l’objet dessiné : le duveteux de la
tivement et ne fait plus qu’un avec OB à l’instant même où l’on se la
représente
? Cette ligne est égale à équation , alors que l
rs que la double ligne primitive de lumière était 2l. Son allongement
représente
donc exactement l’allongement du temps, tel que n
our lui synonymes. Quand, se figurant son système en mouvement, il se
représentera
sa ligne de lumière plus longue, il dira que le t
Relativité restreinte, avons-nous dit, consiste essentiellement à se
représenter
la ligne double de lumière BOA d’abord, puis à la
sé au repos. Mais, dans notre seconde figure de lumière, comment nous
représenter
l’appareil, les deux lignes d’espace rigides supp
en le caractère d’une ligne d’espace rigide, si par conséquent O″₁B₁,
représente
bien l’un des bras de l’appareil, au contraire l’
e que les deux moments O₁″ et A₁, sont successifs. La longueur O″₁A₁,
représente
par conséquent le second bras de l’appareil avec,
ères longueurs est égale à équation puisque la ligne totale O₁A₁O₁′
représente
le même temps que la ligne O₁B₁O₁′, on voit que O
ntenant à contenu, de tout à parties, et qui ainsi, en définitive, se
représente
toutes choses d’une représentation numérique et g
tres termes elle est une croyance que les choses sont comme je me les
représente
, une objectivation. Ainsi, affirmer que le tonner
sposé à agir d’après ce qu’on a senti et subi, ou d’après ce qu’on se
représente
. C’est ce côté actif qui, réfléchi dans l’intelli
te est objectivée, affirmée comme elle est, par cela seul qu’elle est
représentée
. Et Spinoza a raison encore de dire qu’il y a dan
un Alexandre le Grand, d’après six médailles du British Museum qui le
représentaient
à différents âges, et une Cléopâtre, d’après cinq
de l’image ou représentation. « Je ne puis sans doute, disent-ils, me
représenter
un triangle qui ne serait que le triangle en géné
la page écrite : « il remplaçait la vue par le raisonnement. » Pour
représenter
par comparaison le mécanisme du raisonnement et s
ne pouvons penser sans images, sans représentations. Tantôt nous nous
représentons
un objet extérieur et la sensation qu’il nous cau
— par exemple la campagne et tout ce qu’on y voit, — tantôt nous nous
représentons
tels états de conscience, sentiments, plaisirs, d
phénomène, qui consiste à avoir conscience ; c’est ce côté qui ne se
représente
pas. La conscience, en soi et dans ce qu’elle a d
ective, nous est trop immédiate, est trop nous-même pour pouvoir être
représentée
. Seulement il n’y a point de conscience distincte
s. Son utilité consiste à remplacer les objets par des images qui les
représentent
dans leurs traits principaux et qui en sont pour
le Cosmos. Le psychologue, lui aussi, a besoin d’imagination pour se
représenter
les combinaisons d’états intérieurs, sentiments,
onstruire le monde entier par la pensée. L’imagination, au lieu de se
représenter
directement un objet, peut se le représenter indi
agination, au lieu de se représenter directement un objet, peut se le
représenter
indirectement au moyen d’un objet plus ou moins a
s degrés, selon que l’analogie est plus ou moins grande entre l’objet
représenté
et la représentation qui en est le substitut. La
figure d’un triangle, est une représentation très analogue à l’objet
représenté
, qui est le triangle en général ; pourtant ce n’e
pplications principales du symbolisme sont celles qui ont pour but de
représenter
un idéal sous des formes sensibles. L’idéal étant
enveloppe en soi l’indestructible désir du mieux. L’imagination peut
représenter
l’idéal par des formes, par des sentiments, par d
réateurs et inventeurs dans la morale sont ceux qui ont pu trouver et
représenter
dans leurs actions les formes les plus hautes de
— Monsieur le peintre, je veux que vous fassiez mon portrait. Vous me
représenterez
assis à l’entrée principale de ma ferme, dans le
litiques d’un chef d’empire des pétards de rapin). Ce tableau ne peut
représenter
qu’un personnage qui fait trois choses à la fois,
nement eu le droit de répondre : « Je trouve inutile et fastidieux de
représenter
ce qui est, parce que rien de ce qui est ne me sa
n exemple que me fournissait le hasard. Que cet homme, qui a l’air de
représenter
la vitalité universelle, louât magnifiquement une
es. Tout le monde sait que le jaune, l’orangé, le rouge, inspirent et
représentent
des idées de joie, de richesse, de gloire et d’am
, pour mieux caractériser son erreur, un positiviste, dit : « Je veux
représenter
les choses telles qu’elles sont, ou bien qu’elles
ueil à obéir à un code de fausse dignité. Pendant que ceux-ci croient
représenter
la nature et que ceux-là veulent peindre leur âme
ls exécutent l’ouvrage en question, croient à la réalité de ce qu’ils
représentent
, échauffés qu’ils sont par la nécessité. Ainsi l’
tance de ce jeune chroniqueur se réduit, mais c’est bien suffisant, à
représenter
l’esprit moyen de la bourgeoisie. Songez donc que
? et cela nous venge un peu de ce gros poupard troué de fossettes qui
représente
l’idée populaire de l’Amour. Pour moi, si j’étais
représente l’idée populaire de l’Amour. Pour moi, si j’étais invité à
représenter
l’Amour, il me semble que je le peindrais sous la
e premier des esprits pointus. Que ces jeux romains soient exactement
représentés
; que la couleur locale soit scrupuleusement obse
’ombre. Mais cette excuse impliquerait que M. Gérome est incapable de
représenter
une chair blanche dans une pénombre, et cela n’es
gible et conséquemment intéressante comme bataille, elle ne peut être
représentée
que par des lignes blanches, bleues ou noires, si
l’époque de noble renaissance dont j’ai parlé au début de ce travail,
représentaient
le joli, le précieux, le délicieux, Eugène Lami q
té, mais dramatique, emphatique même ; car nos amis d’outre-Manche ne
représentent
pas les sujets tirés du théâtre comme des scènes
Le geste, la grimace, le vêtement, le décor même, tout doit servir à
représenter
un caractère. De grands peintres, et d’excellents
plus toutes les qualités littéraires et tout l’esprit nécessaire pour
représenter
dignement des comédiennes. Plus d’une fois, en co
pas à demi l’artiste auquel il donne plus volontiers commission de la
représenter
. Parmi tous ceux qui ont su arracher cette faveur
yon rappelait les vieux et excellents aquafortistes. J’ai rarement vu
représentée
avec plus de poésie la solennité naturelle d’une
excellentes estampes, il a dû être content ; il a retrouvé, dignement
représentée
, sa Morne Isis, couver
le ciel et le désert les épouvantent. Je regrette ces grands lacs qui
représentent
l’immobilité dans le désespoir, les immenses mont
mblant de fini et de perfection. Devant un objet tiré de la nature et
représenté
par la sculpture, c’est-à-dire rond, fuyant, auto
die et par une misère continue de quarante ans. L’auteur a-t-il voulu
représenter
l’affaiblissement, l’épuisement d’une femme qui n
ardez ces deux petits mondes dramatiques inventés par M. Butté et qui
représentent
, je crois, la Tour de Babel et le Déluge. Mais le
les moyens étrangers à cet art. Et à propos de M. Butté, qui a voulu
représenter
dans de petites proportions de vastes scènes exig
j’aperçois les marionnettes accrochées à la selle. L’idée de sagesse
représentée
par le hibou m’entraîne à croire que les marionne
j’ai positivement et patiemment découvert que l’ouvrage de M. Frémiet
représente
l’intelligence humaine portant partout avec elle
eut bien m’avertir que je cherche midi à quatorze heures, et que cela
représente
simplement le cheval d’un saltimbanque… Ce hibou
nt modelés, où la vie respire, où le regard même étincelle. Celui qui
représente
le Général Bizot est un des bustes les plus milit
t à fait analogue, l’autre plus gracieusement allégorique. Ce dernier
représente
une femme nue, d’une grande et vigoureuse tournur
son ouvrage contre les superstitions des païens, qu’un pantomime ait
représenté
Adonis en se servant des gestes qu’enseigne l’art
eur public instruisit le peuple à haute voix du sujet qu’ils alloient
représenter
avec leur jeu muet. Même encore aujourd’hui, ajou
ylade executa l’endroit où il avoit repris si hautement son éleve, il
représenta
par son geste et par son attitude la contenance d
endant, ajoute-t-il, toute la ville se met en mouvement pour lui voir
représenter
en gesticulant les infamies de l’antiquité fabule
ui paroîtra surprenant, c’est que ces comédiens qui entreprenoient de
représenter
des pieces sans parler, ne pouvoient pas s’aider
l leur cria donc, après avoir ôté son masque : fous que vous êtes, je
représente
un plus grand fou que vous. Macrobe rapporte enco
artage de la déclamation entre deux acteurs. Nous ne les avons pas vû
représenter
. Il me semble néanmoins que les personnes qui se
profession, et pour tout dire, capables d’inventer. On leur fit donc
représenter
en gesticulant sur le théatre de Sceaux la scéne
ots de la langue parce que ce sont des imitations du phénomène qu’ils
représentent
; ils ne font pas tache dans la phrase sur les mo
les autres phénomènes du même genre, incapable par conséquent de bien
représenter
ce qu’ils ont de commun ou le genre tout entier.
par celle du timbre le plus fréquemment entendu. Or : 1° une moyenne
représente
mal les quantités différentes auxquelles on la su
s’agit de qualités, comme pour le timbre, la qualité la plus commune
représente
encore plus mal l’ensemble des qualités hétérogèn
ntée à l’espèce-type, dans cette espèce à la variété-type, et qu’elle
représente
un individu-type de cette variété, elle sera l’id
nérale ; sans doute, l’idéal n’est pas l’idée, mais il la vaut, il la
représente
; il en est le signe le meilleur, joignant aux av
tie seulement de l’humanité révèle par ses créations cette tendance à
représenter
les genres par des types individuels parfaits, et
l’idée de l’homme proprement dit, de l’homme ordinaire, la seule que
représente
, à vrai dire, l’image visuelle intérieure264. En
ant des individus plus ou moins semblables à l’image, est inégalement
représenté
par elle. Tout signe analogue au genre est inégal
x individus qui composent le genre ; les représentant inégalement, il
représente
mal le genre tout entier. Tout au contraire, un s
ué de tout rapport d’analogie avec chacun des individus du genre, les
représente
également, et, par suite, est propre à bien repré
du genre, les représente également, et, par suite, est propre à bien
représenter
leur ensemble, c’est-à-dire le genre, comme une u
thie particulière pour telle ou telle partie du genre ; chargés de le
représenter
tout entier, ils s’acquittent de leur tâche avec
tiles, sonores, etc. Tout signe étant une image d’un ordre déterminé,
représentera
mal les images qui lui sont irréductibles ; c’est
hant habilement des mots dont le sens est tout conventionnel, on peut
représenter
analogiquement des phénomènes sonores : c’est ce
s,41 » où les mots qui signifient par convention trois et quatre fois
représentent
aussi par analogie le phénomène que le reste de l
au premier ; et il ne faut pas croire, rappelons-le, que l’onomatopée
représente
un cri général ; tout au plus serait-ce le cri mo
qui ne sont pas sensibles et des idées sensibles qui ne peuvent être
représentées
au-dehors par un mouvement musculaire analogique,
rigueur pour spécifier l’objet qui a frappé nos sens. Si nous voulons
représenter
au dehors notre pensée, c’est lui que nous cherch
urellement dans la conscience ne sont pas toujours les plus faciles à
représenter
par des mouvements musculaires ; souvent une des
n, à le situer de force au premier, et à lui attribuer la fonction de
représenter
l’ensemble. C’est ainsi que, aux origines du lang
choisie pour servir de signe commun ; dès lors, une partie de l’idée
représente
l’ensemble ; seule elle devient, pour celui qui e
n deux séries parallèles, les images les plus vives étant chargées de
représenter
les autres ; en se constituant ainsi, la pensée n
r personnel et de droit divin. L’organisation d’un gouvernement libre
représente
mieux, selon nous, les rapports que soutiennent l
incte à la conscience285, et comme le signe, étranger à l’idée, ne la
représente
pas à proprement parler, il semble que les différ
exact est une discussion sur le drame et ce qu’il convient ou non de
représenter
sur scène ou d’écarter des yeux du spectateur par
lustration idéographique à cette théorie de l’évolution du signe : 1°
représente
une idée particulière dont les éléments sont inég
ne idée particulière dont les éléments sont inégalement distincts. 2°
représente
une idée particulière ou générale, exprimée par u
nes images subissent l’attraction du signe et se portent en avant. 3°
représente
une métaphore. Si la partie supérieure de cette f
apitre XIII. Retour de Molière à Paris À la fin de l’année où l’on
représenta
La Rosaure, une troupe de campagne, ayant obtenu
i de chaque semaine. Le 3 novembre, les nouveaux venus commencèrent à
représenter
en public. Les deux troupes qui occupaient la mêm
ît un extrait de la pièce de Nicolo Secchi dans ce dessein, et la fit
représenter
plusieurs fois sur le théâtre de l’Hôtel de Bourg
lement : « Le sujet est italien : il a été traduit dans notre langue,
représenté
de tous côtés. » La Jalousie du Barbouillé a une
la fin il nous a fait voir qu’il avait le visage assez plaisant pour
représenter
sans masque un personnage ridicule. » Il faut ent
ient plus favorables à la représentation43. Voyons ce que Molière fit
représenter
après le départ des Italiens : il importe d’insis
essor. Peu après le départ des Italiens, le 18 novembre, les Français
représentèrent
au Petit-Bourbon Les Précieuses ridicules. Les It
ière expérience de cette sorte qu’il dût faire. L’École des maris fut
représentée
le 24 juin 1661 : elle marque une nouvelle époque
gne, dirigée contre Molière en réponse à L’Impromptu de Versailles et
représentée
en 1663. 43. Chapuzeau nous explique pourquoi l’
rançais, 1674, in-12, p. 90.) 44. Nous reproduisons ce portrait, qui
représente
Molière adressant au public le compliment d’usage
de l’un et du multiple. Tout nombre est un, en effet, puisqu’on se le
représente
par une intuition simple de l’esprit et qu’on lui
tions, on a tout intérêt à n’en rien faire. Mais, dès qu’on désire se
représenter
le nombre, et non plus seulement des chiffres ou
ffirmons que le nombre est un, nous entendons par là que nous nous le
représentons
dans sa totalité par une intuition simple et indi
re transporter. Il faut donc bien que, dès l’origine nous nous soyons
représenté
le nombre par une juxtaposition dans l’espace. C’
notre pensée continuera cette opération indéfiniment plutôt que de se
représenter
deux corps à la même place. Or, si l’impénétrabil
arce qu’elles se pénètrent, on ne les compte qu’à la condition de les
représenter
par des unités homogènes, occupant des places dis
nier point. Si, pour compter les faits de conscience, nous devons les
représenter
symboliquement dans l’espace, n’est-il pas vraise
analogie, pour ne pas dire davantage. Car si le temps, tel que se le
représente
la conscience réfléchie, est un milieu où nos éta
çoive le monde extérieur absolument comme nous, et surtout qu’il s’en
représente
tout à fait comme nous l’extériorité. Les natural
deront alors de telle manière que je ne puisse, à un moment donné, me
représenter
plusieurs d’entre elles comme simultanées et pour
endule, battant la seconde, a exécuté soixante oscillations. Si je me
représente
ces soixante oscillations tout d’un coup et par u
insi dire, une oscillation du pendule. — Si, d’autre part, je veux me
représenter
ces soixante oscillations successivement, mais sa
connaîtra qu’elle procède ainsi toutes les fois qu’elle s’abstient de
représenter
la durée symboliquement. Quand les oscillations r
ent de l’espace. Mais nous éprouvons une incroyable difficulté à nous
représenter
la durée dans sa pureté originelle ; et cela tien
ue la durée vraie. C’est parce que je dure de cette manière que je me
représente
ce que j’appelle les oscillations passées du pend
prouve assez que notre intelligence a ses instincts : et comment nous
représenter
ces instincts, sinon par un élan commun à toutes
ce homogène est déjà un acheminement à la vie sociale. L’animal ne se
représente
probablement pas, comme nous, en outre de ses sen
bre suivant64, auquel état est jointe la dépense de quelques comédies
représentées
à Versailles pendant ledit mois de novembre 1670.
sans magie, en décembre 1678. Le Combat à cheval, comédie italienne,
représentée
à Fontainebleau le 18 mai 1680. Eularia, muette
présentée à Fontainebleau le 18 mai 1680. Eularia, muette par amour,
représentée
le 29 mai de la même année. Les Quatre Scaramouc
ur, représentée le 29 mai de la même année. Les Quatre Scaramouches,
représentée
le 11 juin. C’était, sans doute, le pendant de la
caramouche et d’Arlequin, le 20 du même mois. Les Juifs de Babylone,
représentés
le 1er juillet. Arlequin, soldat déserteur, le 2
6. Arlequin, vendangeur, en décembre 1681. Arlequin, valet étourdi,
représenté
à Saint-Germain-en-Laye le 2 avril 1682. Arlequi
lleur, le 24 juin. Arlequin, cabaretier, turc et capitaine espagnol,
représenté
le 30 juin67. On peut constater, d’après les ét
ctables, à la religion, au commerce, enfin à tous les arts utiles. On
représente
un poëte comme un être tout particulier, dont la
vit le contrepoison qu’au dénouement de la pièce. En France, on n’en
représente
point qui n’ait auparavant obtenu l’approbation d
ne sont d’aucune ressource. L’injustice qu’on faisoit aux poëtes fut
représentée
vivement. On les jugeoit tous par l’imagination d
on. On a pris pour autant de dieux les perfections de l’être suprême,
représentées
sous des noms divers & sous les différens att
er. Rien ne lui paroissoit au-dessus de ce beau pays de Féerie. Il en
représenta
tous les agrémens dans des vers latins publiés en
aine, M. de Malézieux, le cardinal de Polignac, madame de Staal, sont
représentées
sous des figures de singes. On a bien de la peine
voir mieux mentir que personne. *. Un fameux peintre à portrait l’a
représenté
appuyé sur un bureau, ayant devant lui les œuvres
ée de désigner, parmi les ouvrages dramatiques envoyés au concours et
représentés
dans le courant de l’année 1855, ceux qui lui par
imer une conclusion positive en faveur de l’ouvrage. Parmi les pièces
représentées
sur un autre théâtre que le Théâtre-Français, la
du talent, et qui est, sans contredit, la plus remarquable des pièces
représentées
pendant l’année. Le Demi-Monde, de M. Alexandre
n faits ces odieux personnages et leurs manèges honteux si fidèlement
représentés
, venaient se résumer dans un seul mot : “C’est un
’auteur d’un ouvrage en cinq ou en quatre actes, en vers ou en prose,
représenté
avec succès à Paris, pendant le cours de l’année,
édie de l’Hypocrite que Molière a faite et que S. M. lui a défendu de
représenter
. » Les registres de la paroisse de Saint-Barthél
édie de l’Hypocrite que Molière a faite et que S. M. lui a défendu de
représenter
. C’était prendre le nom d’un port pour un nom d’
loi avait allouée. Affaire Martin-Melchior Dufort. Pièces qu’il fait
représenter
à Pézenas. Va à Béziers pour les états ; Le Dépit
Elle joue devant la famille royale avec succès. Origine de l’usage de
représenter
une petite pièce après la grande. Il s’établit au
ce, d’un auteur nommé Magnon, imprimée en 1645, dont le titre porte :
Représentée
par l’Illustre Théâtre. Ce fut alors que Poquelin
dont il avait reçu les leçons dans son enfance, et le chargea de lui
représenter
qu’il compromettait l’honneur des siens, et les c
; mais, je ne vous le cèle point, je vous serais plutôt un obstacle.
Représentez
-vous la peine que nous avons. Incommodés ou non,
tion à laquelle Montesquieu accordait une entière confiance, il y fit
représenter
une tragédie de lui qui avait pour titre La Théba
s tard, et à Vienne, en Dauphiné. Dans la première de ces villes, ils
représentèrent
une Irène de Claude Basset, alors auteur de tragé
sne et leurs camarades, la permission de monter sur le théâtre et d’y
représenter
leurs comédies13. Ce théâtre était dressé sur des
ravane comique et son chef qu’au commencement de 1653, à Lyon, où fut
représentée
pour la première fois la comédie de L’Étourdi. La
upe à madame de Calvimont engagèrent à les retenir. Lorsque je voulus
représenter
à M. le prince de Conti que je m’étais engagé à M
acteurs, soit par la magnificence des habits. Peu de jours après, ils
représentèrent
encore, et Sarrasin, à force de prôner leurs loua
e 1653 fut rendu fructueux pour la troupe par le succès de L’Étourdi,
représenté
à Lyon pour la première fois. La belle saison ven
de franchise, tant d’honnêteté que parmi ces gens-là, bien dignes de
représenter
réellement dans le monde les personnages des prin
présenter réellement dans le monde les personnages des princes qu’ils
représentent
tous les jours sur le théâtre ». Les États de Lan
rant ces diverses excursions et ces stations successives, Molière fit
représenter
, outre son Étourdi, quelques farces dans le goût
de petites comédies, l’invention en parut nouvelle, et celle qui fut
représentée
ce jour-là divertit autant qu’elle surprit tout l
tobre, « le jour des Trépassés, 3 novembre 1658, la troupe commença à
représenter
en public », dit La Grange, sur le théâtre du Pet
aux besoins de ses camarades, et non pour travailler à sa gloire, fit
représenter
dans la province, où cette caravane comique se tr
vorable, il lui annonce la pièce qui doit suivre celle qu’on vient de
représenter
, et l’invite à la venir voir par quelques éloges
de Soyecourt. Il fallut entreprendre des démarches, et, en attendant,
représenter
une pièce nouvelle. On se trouvait précisément al
d’entreprendre leur pèlerinage commun en province, avaient, en 1645,
représenté
l’Artaxerce sur l’Illustre Théâtre. Ils le retrou
tait trouvé renouvelé par le changement de salle, lui fit hasarder de
représenter
une œuvre qui n’était plus sans doute selon son g
es envieux, obtint d’abord les applaudissements de Paris, fut ensuite
représentée
dans une réjouissance donnée par Fouquet le 12 du
la dernière fois, à un autre triomphe de Molière. Les Fâcheux furent
représentés
le 17 août chez ce favori et cette victime de l’i
apprend Molière dans son Avertissement, fut conçue, faite, apprise et
représentée
en quinze jours. Rien ne prouve mieux combien Gri
e qui l’avait aidé de sa propre épargne ! Le 26 décembre, Molière fit
représenter
L’École des femmes. Les applaudissements prodigué
raire. Le Roi n’y mettait pas autant de ménagement, car la pièce fut
représentée
au Louvre les 6 et 20 janvier, et Madame, Henriet
ptembre sans doute ou au commencement d’octobre, et comme devant être
représenté
prochainement, Le Portrait du peintre (le peintre
nations méritaient un châtiment public. L’Impromptu de Versailles fut
représenté
le 4 novembre suivant sur le théâtre du Palais-Ro
personnage de L’Impromptu, Du Croisy, chargé d’un rôle de poète, l’a
représenté
comme un prête-nom57. Non, Molière eut un tort au
, parce que, dit Montchesnay, il était pénible au parterre de le voir
représenter
un personnage odieux et de « lui vouloir du mal »
l’École des femmes, par de La Croix, dissertations dialoguées et non
représentées
, qu’il faut citer tout de suite pour clore cette
Molière et ses acteurs avaient été appelés par eux à Chantilly pour y
représenter
, du 29 septembre au 5 octobre, presque tout le ré
isant que le séduisant Gramont, que Tallemant, dans ses Historiettes,
représente
d’ailleurs comme fort « décrié pour la bravoure »
Le 11 mai, le soir, « Sa Majesté, dit le récit imprimé des fêtes, fit
représenter
sur l’un de ses théâtres doubles de son salon, qu
la regarde, comme il le fit encore voir naguères par ses défenses de
représenter
une pièce de théâtre intitulée L’Hypocrite, que S
repousser l’outrage, Il a fait coup sur coup voyage, Et le bon droit
représenté
De son travail persécuté. Mais de cette plainte s
tait aussi une gagiste qui avait fourni son nom au personnage qu’elle
représentait
. On lit sur le livre de La Thorillière, au 8 juin
re et qui n’en laissait pas passer les occasions, parut alors et leur
représenta
très vivement les torts qu’ils s’étaient donnés e
el de Bourgogne. C’est le 20 de ce malencontreux mois de juin que fut
représentée
La Thébaïde de Racine. La pièce fit peu d’argent
i, la Reine et la Reine mère. Deux mois après, le prince de Condé fit
représenter
la pièce entière au Raincy. Sans doute cet empres
du Roi, L’Amour médecin fut, en cinq jours, proposé, fait, appris et
représenté
. La cour l’applaudit à Versailles le 15 septembre
r. « Mon père, dit Louis Racine qui nous a transmis cette anecdote,
représenta
que, le premier hémistiche du second vers rimant
rêts de son ami, autorisa secrètement la troupe rivale à étudier et à
représenter
simultanément son Alexandre, que Molière avait fa
qui devait soupirer après une pièce nouvelle, il se détermina à faire
représenter
, le 4 juin, le plus correct de ses chefs-d’œuvre,
est original, mais controuvé. Le Registre de La Grange fait foi que,
représenté
vingt et une fois de suite, nombre de représentat
arest, avait lu son Misanthrope à toute la cour avant que de le faire
représenter
; chacun lui en disait son sentiment ; mais il ne
caprices enfantaient de semblables ouvrages ? Le Ballet des Muses fut
représenté
une seconde fois à Saint-Germain, au mois de janv
ver, le déterminèrent à la faire disparaître de ce divertissement. On
représenta
seulement la Pastorale comique et Le Sicilien. Ce
pension qu’il lui faisait. Huit jours après, le 4 mars suivant, elle
représenta
pour la première fois la tragédie d’Attila, « piè
si cela Qu’après lui le même Attila Est, par le sieur La Thorillière,
Représenté
d’une manière Qu’il donne l’âme à ce tableau Qu’e
ère cherchant à jeter la discorde jusque dans sa propre famille, et à
représenter
la Reine, sa mère, comme révoltée de l’impiété de
caractère sacré. Ce fut le 5 août que L’Imposteur, ainsi châtié, fut
représenté
pour la première fois en public. Il serait, dans
liter. Celui qui fit l’annonce, la veille que cette pièce devait être
représentée
, dit au parterre : “Messieurs, Le Juge (c’était l
e voulait pas qu’on le jouât ; mais enfin Sa Majesté consent qu’on le
représente
.” » Cette anecdote, qu’on lit dans le Menagiana,
montré par notre promoteur, que, le vendredi cinquième de ce mois, on
représenta
sur l’un des théâtres de cette ville, sous le nou
s aurait requis de faire défense à toute personne de notre diocèse de
représenter
, sous quelque nom que ce soit, la susdite comédie
resses inhibitions et défenses à toutes personnes de notre diocèse de
représenter
, lire ou entendre réciter la susdite comédie, soi
de nos jours, que Molière exigeait de ses interprètes : Un soir qu’on
représentait
Le Tartuffe, Champmêlé alla voir Molière dans sa
e talent ; et son mari, dont on avait désespéré absolument jusque-là,
représenta
d’une manière satisfaisante certains personnages
reuse et la plus enjouée du drame le plus original qui ait jamais été
représenté
sur aucun théâtre, Amphitryon. Voltaire disait qu
théâtres de l’Europe ont eu leur Amphitryon. Au siècle dernier, on en
représentait
un à Vienne, dans lequel le dieu, en lorgnant Alc
me ; car, quelques siècles encore après la mort du poète latin, on le
représentait
aux fêtes de Jupiter. Les Romains avaient pensé q
e rigueur qu’on exerçait contre lui, avait bien, plusieurs fois, fait
représenter
cette comédie à Chantilly, et tout récemment enco
on et pour en balancer le succès ; c’est dans ce dernier but que l’on
représenta
, six semaines après, sur le théâtre de l’hôtel de
ue du Tartuffe. Il est fort douteux que cette rapsodie ait jamais été
représentée
. Elle était précédée d’une satire contre le même
ua la farce si plaisante de Monsieur de Pourceaugnac. Cette pièce fut
représentée
devant Louis XIV, et la gaieté et le comique de s
t servir à lui déguiser la faiblesse de son ouvrage. Il ne le fit pas
représenter
sur son théâtre, et le garda en portefeuille. Ce
e Sévigné du 19 décembre 1670. Or, Les Amants magnifiques avaient été
représentés
, comme nous l’avons dit, dès le 7 septembre 1670,
ra dans le premier intermède des Amants magnifiques, pour le Roi, qui
représentait
Neptune, des vers tout à fait dans le genre de ce
eut avoir des pages. Ce fut à Chambord, le 14 octobre 1670, que l’on
représenta
, pour la première fois, cet important ouvrage. La
que j’ai appréhendé d’être séduit par la manière dont elle avait été
représentée
; mais, en vérité, Molière, vous n’avez encore ri
ut tout d’abord de l’avis de Louis XIV ; et Le Bourgeois gentilhomme,
représenté
à la ville le 23 novembre 1670, contribua par son
e et du Misanthrope y remplissait le rôle de Sancho. Un jour qu’on la
représentait
(c’était, a-t-on dit, en 1670), comme il devait p
jour, mercredi xve avril, après une délibération de la compagnie de
représenter
Psyché, qui avait été faite pour le Roi l’hiver d
eprésenter Psyché, qui avait été faite pour le Roi l’hiver dernier et
représentée
sur le grand théâtre du palais des Tuileries, on
tenir les ballets. » Psyché, après six semaines de répétitions, fut
représentée
le 24 juillet sur le théâtre de Molière. On conço
heureusement ses desseins et donna naissance à leur amour. La Molière
représentait
Psyché à charmer, et Baron, dont le personnage ét
ment qu’il lui fit sur le bonheur qu’il avait d’avoir été choisi pour
représenter
son amant ; qu’il devait l’approbation du public
s Fourberies de Scapin furent le premier ouvrage que notre auteur fit
représenter
après avoir acquitté l’impôt qu’il devait aux pla
à Châlons, le 16 novembre précédent. La Comtesse d’Escarbagnas ne fut
représentée
à Paris que le 8 juillet de l’année suivante. Les
coup le plus redoutable. Le Malade imaginaire, ce chant du cygne, fut
représenté
le 10 février 1673 ; mais, hélas ! la Faculté dev
e trouvait à Lyon, était bien loin de songer à son Malade imaginaire,
représenté
vingt ans plus tard, se sera borné à remarquer le
ce interdisant à tous comédiens autres que ceux de la rue Mazarine de
représenter
Le Malade imaginaire, tant que la pièce n’aurait
t les spectateurs au point qu’ils ne distinguaient plus le personnage
représenté
d’avec le comédien ; aussi se chargeait-il toujou
ue l’on donne à l’auteur et à son ouvrage, et à la troupe qui le doit
représenter
. « Molière, dit le même historien, ne composait p
duisit toutes les situations de ce roman dans un drame qui ne fut pas
représenté
, La Fausse Clélie. Thomas Corneille y fit aussi a
arquer que cette trame scandaleuse, que cette fille perdue chargée de
représenter
une autre femme et d’abuser des yeux crédules par
médie, M. Régnier, fit appel à l’administration de la ville de Paris,
représenta
la convenance du lieu, fit valoir qu’occasion par
aloir qu’occasion pareille ne s’était jamais présentée, qu’elle ne se
représenterait
peut-être jamais. Une commission fut instituée ;
le en fit Son divertissement durant les entractes de la comédie qu’on
représentait
devant Elle. » C’est un comédien de la troupe de
tharite (1653), déterminé par Fouquet à rentrer dans la carrière, fit
représenter
son Œdipe le 24 janvier 1659. 29. Histoire du T
Véritables Précieuses, comédie en un acte, en prose, par Somaize, non
représentée
; Paris, Jean Ribou, 1660, in-12.) 37. Le privil
ique de l’École des femmes et la Critique de la Critique, comédie non
représentée
, achevée d’imprimer le 4 août 1663, suppose une l
mbre on le mena au théâtre du Palais-Royal, où « la troupe de Molière
représenta
l’Amphitryon avec des machines et des entrées de
omédie fut jouée le 6 octobre 1669, tandis qu’Élomire hypocondre, non
représenté
, ne fut imprimé et publié qu’en janvier 1670. C’e
s requises pour mériter une place dans la troupe de ses Comédiens qui
représentent
dans la salle de son Palais-Royal, Sadite Majesté
atialise. C’est dire que la philosophie évolutionniste, quand elle se
représente
, dans l’espace, une matière découpée selon les li
ent de ce qu’ils s’accordent à affirmer l’unité de la nature, et à se
représenter
cette unité sous une forme abstraite et géométriq
e que nous réclamons. L’intelligence humaine, telle que, nous nous la
représentons
, n’est point du tout celle que nous montrait Plat
tement étendue dans l’espace que notre intelligence et nos sens se la
représentent
. Nous avons traité du premier point ailleurs. En
ie que celle où Kant s’engage. L’intelligence, telle que Kant nous la
représente
, baigne dans une atmosphère de spatialité à laque
entre les éléments. Pourtant cette complication et cette extension ne
représentent
rien de positif : elles expriment une déficience
explicitement, s’il ne forme pas explicitement des concepts, il ne se
représente
pas non plus un espace homogène. Vous ne pouvez v
oses de ce biais vient de ce que le travail logique de l’intelligence
représente
à leurs yeux un effort positif de l’esprit. Mais,
iques n’est à la base de la nature, et que la mathématique en général
représente
simplement le sens dans lequel la matière retombe
volant entre les deux raquettes, et nous la traiterons comme si elle
représentait
, non plus l’absence de l’un ou de l’autre ordre i
analysant l’idée de désordre ainsi subtilisée, on verrait qu’elle ne
représente
rien du tout, et du même coup s’évanouiraient les
matière. De là notre habitude de désigner par le même mot, et de nous
représenter
de la même manière, l’existence de lois dans le d
ison ; elle n’a de réalité objective que pour une intelligence qui se
représente
en même temps plusieurs termes. Cette intelligenc
as volontaire, mais analogue à l’ordre « voulu ». Or, dès qu’on s’est
représenté
clairement la distinction entre l’ordre « voulu »
disant que c’est du désordre. Inversement, quand nous déclarons nous
représenter
un chaos, c’est-à-dire un état de choses où le mo
nt donc nécessairement conçus comme relatifs. Que si l’on veut se les
représenter
comme absolus, on s’aperçoit qu’involontairement
vers de chaque addition pourrait bien être un monde, ce que nous nous
représentons
, symboliquement d’ailleurs, comme une juxtapositi
abrication et j’emploi d’explosifs de plus en plus puissants. Or, que
représentent
ces explosifs sinon un emmagasinage de l’énergie
e en gouttelettes qui retombent, et cette condensation et cette chute
représentent
simplement la perte de quelque chose, une interru
un monde. L’évolution des espèces vivantes à l’intérieur de ce monde
représente
ce qui subsiste de la direction primitive du jet
otre intelligence, fonction essentiellement pratique, faite pour nous
représenter
des choses et des états plutôt que des changement
, formes capables de se prolonger elles-mêmes en mouvements imprévus,
représentent
de l’action qui se fait. Or, j’ai tout lieu de cr
par cette forme sans matière ? Mais la difficulté naît de ce qu’on se
représente
, statiquement, des particules matérielles toutes
berté. Comment s’y prend-il ? Un animal élevé dans la série peut se
représenter
en gros, disions-nous, par un système nerveux sen
and on voudra, un moulin ou une turbine. Chaque atome de carbone fixé
représente
quelque chose comme l’élévation de ce poids d’eau
as autre chose. En réalité, un être vivant est un centre d’action. Il
représente
une certaine somme de contingence s’introduisant
u qu’en abandonnant en route une partie de lui-même. Ces déchets sont
représentés
par le reste de l’animalité, et même par le monde
rait dû, semble-t-il, être aussi intuition. Intuition et intelligence
représentent
deux directions opposées du travail conscient : l
alade imaginaire, accompagné de la cérémonie ; ce même jour, on avait
représenté
, aux Matinées littéraires de la Gaîté, Le Bourgeo
tière, à ses côtés, a été vivement applaudie ; puis, L’Avare une fois
représenté
, le rideau s’est levé sur le buste de Molière ent
nos yeux comme le père et l’ami des comédiens. Après quoi, il nous a
représenté
qu’il estimait convenable et honorable d’annoncer
he. M. Gondinet célébra, en quelques strophes, la gloire de celui qui
représentait
la France éternelle aux yeux de la France martyre
jouer. Champmeslé les cousit ensemble, tant bien que mal, et les fit
représenter
avec succès. Le 15 janvier 1866, M. Alphonse Pag
destiné à servir de prologue à la farce du Médecin volant que l’Odéon
représentait
alors. Ce Molière à Pézenas était la mise en scèn
e franchise ni tant d’honnêteté que parmi ces gens-là, bien dignes de
représenter
réellement dans le monde les personnages des Prin
présenter réellement dans le monde les personnages des Princes qu’ils
représentent
tous les jours sur le théâtre. » Dassoucy change
tre du Palais-Royal, où le cardinal de Richelieu avait autrefois fait
représenter
ses propres tragédies et fait parodier Le Cid de
t et rusé. Autant que le lion de Saint-Marc, Pantaleone, le marchand,
représente
la commerçante Venise asservie. Et les plaisanter
la contraignit à se déshabiller, disant : Oubliez-vous donc que vous
représentez
une honnête femme ! La Molière devait se remarier
fit un divertissement pour le roi, le 15 de septembre 1665, et qu’il
représenta
à Paris, le 12 du même mois. » Il faut prendre l
Neuve-des-Petits-Champs ; elle est remarquable par les ornements qui
représentent
des instruments de musique. C’est bien la demeure
n écoutant la pièce à tout ce que l’auteur supporta avant de la faire
représenter
. Nous nous plaignons parfois, et avec raison, de
la représentation des trois premiers actes à Versailles, Molière fit
représenter
Tartuffe au Raincy, devant le grand Condé, le con
on voulait étouffer cette œuvre virile, honnête et fière, on laissait
représenter
sur le Théâtre-Italien je ne sais quelle farce gr
nge réimprimèrent Dom Juan, ou le Festin de Pierre, tel qu’on l’avait
représenté
la première fois, un ordre supérieur enjoignit au
de « ce grand homme » de Monsieur de Montfleury, l’hôtel de Bourgogne
représenta
bravement La Critique de Tartuffe, et dans le pro
de Paris, exaspéré par Tartuffe, qui n’avait cependant pas encore été
représenté
et n’était qu’à l’état de menace latente pour les
ensait de Tartuffe et de l’accès de libéralisme de Louis XIV laissant
représenter
la pièce. Or voici ce que Napoléon Ier a répondu
ière tâchait d’exprimer, avons-nous dit, dans une autre pièce qui fut
représentée
le 16 février 1665, quelques-unes des idées qu’il
t-il payer cher de telles audaces. La comédie de Dom Juan n’était pas
représentée
depuis six semaines qu’un certain de Rochemont, d
, ni un geste. « Il est vrai, ajoute-t-il, qu’il n’était bon que pour
représenter
le comique ». C’est toujours le même reproche, ce
rempli les meilleurs rôles. Voici d’ailleurs la liste des personnages
représentés
par Molière dans ses comédies38 : Le Barbouillé d
aits (daté de 1658), Molière, couronne en tête, la barbe entière, est
représenté
dans le rôle de Vulcain ; dans l’autre, daté de 1
1668, Molière, les cheveux longs, la petite moustache aux lèvres, est
représenté
dans le rôle d’Harpagon. Les gravures sont médioc
il y a environ huit ans, avec un homme de lettres qu’on prétend être
représenté
par M. Trissotin, dit le Mercure, a donné lieu à
ubliés sur Molière, c’est Le Mariage sans mariage du comédien Marcel,
représenté
sur le théâtre du Marais en 1671. Ce Marcel, d’ab
fublée — ou parée. Clotaire, ami d’Anselme, et épris d’Isabelle, nous
représenterait
Baron, ce petit Baron que Molière avait adopté et
is, Les Amours de Calotin (1663), la trace de cette anecdote qui nous
représente
Molière allant bravement assister, devant la foul
Mignard. Molière, dans le costume de César de La Mort de Pompée, est
représenté
en toge rouge, le bâton de commandement à la main
ogiquement, d’une utilité évidente. C’est Molière chez lui qu’il nous
représente
, Molière assis, la plume d’une main, un livre de
inture, conservée jadis à l’Hôtel de ville et brûlée aujourd’hui, qui
représente
Le Triomphe de Molière. Molière est couché et vêt
c la première édition des Œuvres de Molière (Paris, Thierry, 1682). —
Représenta
nombre de personnages dans les comédies de Molièr
es Femmes savantes. Le beau petit baron, comme on disait, avait aussi
représenté
l’Amour dans Psyché. La Thorillière (Pierre Le N
. Battista Chiacchiarone 57. Molier. — C’est le nom d’un danseur qui
représenta
un Maure dansant dans Les Plaisirs de l’Île encha
exemple Don Quichotte (30 janvier 1666. Registre de La Grange). Elle
représentait
à la fois les reines dans la tragédie et les soub
e, vêtue de draperies blanches, une branche d’olivier à la main, pour
représenter
la muse antique de l’histoire. Puis venaient : MM
7. N’est-ce pas plutôt celui que possède la Comédie-Française et qui
représente
Molière dans son costume de La Mort de Pompée ?
e de Molière, ballet héroïque, aussi en vers, par l’abbé de Schosnes,
représentée
par les comédiens français le 17 février 1773 (Pa
Artaud ; suivie d’un divertissement relatif à l’apothéose de Molière,
représenté
par les comédiens français le 18 février 1773 (Pa
ui n’a rien d’improbable : « Molière, fameux comédien, ayant fait et
représenté
une pièce de théâtre ayant pour titre Le Marquis
t confusion) dans laquelle il avait, avec une exactitude nonpareille,
représenté
les gestes, les actions, et paroles ordinaires du
En histoire, le trait est grossier ; chaque linéament, au lieu d’être
représenté
par un individu ou par un petit nombre d’hommes,
rsépolis, on voit les différentes nations tributaires du roi de Perse
représentées
par un individu portant le costume et tenant entr
éduit souvent à un seul mot. Ce type abrégé et expressif demeure pour
représenter
les millions d’hommes à jamais obscurs qui ont vé
e la grande figure fût complète ; or, pour qu’elles fussent dignement
représentées
, il ne suffisait pas de quelques individus, il fa
sans la vie monastique ; la vie monastique ne pouvait d’ailleurs être
représentée
que par un groupe innombrable : donc tous ceux qu
n’eussent fait presque aucune figure dans l’humanité ; réunies, elles
représentent
avec énergie un de ses éléments les plus essentie
a science, comme toutes les autres faces de la vie humaine, doit être
représentée
de cette large manière. Il ne faut pas que les ré
le, l’œuvre écrite de tous les prosateurs et versificateurs réunis ne
représente
qu’une infime partie de la poésie totale qui sous
nous les écartons plutôt, nous les tenons à l’état virtuel, nous les
représentons
par de simples figures schématiques, par des sign
ouvenirs, bien qu’ils ne manquent pas tout à fait de mouvement, ne me
représentent
que très rarement un mouvement continu, une actio
que des instantanés. Quant à la suite des événements, nous ne nous la
représentons
pas, nous la reconstituons plutôt par induction.
ire, a pleinement conscience de son activité. S’il nous plaît de nous
représenter
un objet, nous sentons l’effort de vision mentale
sont des rêveries trop vagues pour que la pensée lucide puisse se les
représenter
, et justement leur disparition coïncide avec la r
agite, cherche à comprendre les choses à sa façon, travaille à se les
représenter
, et qu’ainsi se produit spontanément un afflux d’
t. Il nous arrive sans doute, dans nos rêves ou nos rêveries, de nous
représenter
de beaux paysages, des architectures magnifiques,
ons que la nature se transforme à ce point. Alors elle n’est plus que
représentée
par des images plastiques, transformables, que l’
logues à ceux de l’homme, les seuls que nous puissions nettement nous
représenter
; et avec la représentation de tels sentiments ap
se retrouvera forcément un rappel de la forme humaine. La nature sera
représentée
maternelle, berçant les hommes sur son sein ; ou
u fictif, dans tous les cas absent, et que nous sommes invités à nous
représenter
. Dans quelques linéaments tracés au crayon sur le
dans l’autre par un simple jeu d’imagination. Quand bien même l’objet
représenté
serait de ceux que dans la réalité nous trouvons
rdons. Nous cherchons à nous rendre compte. Qu’est-ce que cette toile
représente
? Nous émettons une hypothèse, d’après les indica
distance, en grandeur naturelle et dans leur forme juste, les objets
représentés
. Le moment précis où cette opération de restituti
er ce que nous éprouverions, si nous assistions réellement à la scène
représentée
. Nous évoquons le souvenir d’impressions analogue
teau, Gustave Moreau, Besnard) comme pour nous avertir que les scènes
représentées
ne se passent pas dans le monde réel, mais dans l
tique au style conventionnel que sa technique lui impose ; ne pouvant
représenter
les choses que par des symboles, il est plus qu’u
d’une œuvre d’art pourra tenir encore au caractère propre des objets
représentés
. En reproduisant les spectacles de la nature qui
elle présentera ce caractère imaginatif. Une des attitudes que l’art
représente
le plus volontiers est celle de la méditation ; c
rude compagnon redescend vers la vie ? Ce sont là des métaphores qui
représentées
idéalement garderaient le sens symbolique qu’elle
e son réellement émis que la sonorité idéale qu’il a la prétention de
représenter
; pourvu que l’exécution ne soit pas décidément t
ommaire, aussi conventionnel que la ligne par laquelle le dessinateur
représente
une image visuelle ; notre imagination complète c
t apparaître l’image intégrale de l’objet. C’est ainsi que la musique
représente
sans les reproduire tout à fait les bruits de la
ut des rochers. Nous ne pouvons entendre une marche funèbre sans nous
représenter
des images de deuil. Le timbre de certains instru
t-à-dire s’il n’a pas suivi un programme trop déterminé. S’il a voulu
représenter
formellement quelque chose, voilà des intentions,
ar une transposition symbolique, par de véritables métaphores qu’elle
représentera
l’apparence visible des choses. Ce qu’elle nous f
oésie. On s’expliquera de la même manière comment la musique arrive à
représenter
des sentiments complexes tels que l’espérance, le
voir des formes sonores en dehors desquelles nous n’avons rien à nous
représenter
. Elle est poétique, elle aussi. Elle peut l’être
res musicales, dont pourtant il serait impossible de dire ce qu’elles
représentent
ou ce qu’elles expriment. Notre théorie psycholog
s même que l’on me parlerait de choses concrètes qu’il faut que je me
représente
(description d’une machine, récit d’un fait histo
e de la poésie. Choisirons-nous entre elles, en décidant que celle-ci
représente
la poésie plutôt que celle-là ? Un tel choix sera
s de même des images. Nous n’avons que faire du langage pour nous les
représenter
. Ce sont des états de conscience réels, concrets,
t être dit pour être pensé ; conservez ce qu’il est plus facile de se
représenter
que d’exprimer : ce qui restera sera précisément
êt passionné, avec une large sympathie. Sa fonction n’est pas de nous
représenter
les choses telles qu’elles sont, ou telles qu’ell
man engagé dans quelque situation pathétique, en même temps que je me
représente
les objets dont il est ému, je me figure ses émot
er avec une émotion, il faut bien que nous ayons commencé par nous la
représenter
. Le plus souvent même, nous en restons là. Nous n
ous émeut, notre émotion personnelle différera de celle que l’on nous
représente
, en sorte qu’il sera impossible de les confondre
sion. La différence n’est pas seulement dans le degré d’intensité. Se
représenter
la souffrance par exemple, ce n’est pas réellemen
ligence et le goût disposent. C’est bien ainsi, je crois, que l’on se
représente
communément la composition poétique, ce qui tend
finit par épuisement. Comment le poète a-t-il procédé ? On peut se le
représenter
assez aisément. Il a senti s’abattre sur lui des
venus. Il n’en est pas de même des images, des sentiments. Je puis me
représenter
très nettement un objet coloré sans trouver aucun
les rythmes poétiques. Autant que l’on peut entrevoir l’avenir, je me
représente
la poésie future comme établie sur des rythmes au
i-là sera le Distrait, ou le Rêveur. Parfois l’auteur se proposera de
représenter
un type ethnique (l’Américain dans le Roi de la m
pement. 42. « Il est probable que chacun de nous a sa manière de se
représenter
les idées abstraites, qui lui appartient en propr
en dehors du petit rond de métal, il n’y a que la patte — et ce qu’a
représenté
au milieu du tout petit disque noir le ciseleur,
de Chine. La petite bimbeloterie fabriquée de deux morceaux de bambou
représentait
des jeux d’enfants gravés en noir sur le jaune fa
Chevaliers du devoir et du dévouement), ou le peintre Kouniyoshi nous
représente
les ronins dans l’action de l’attaque du yashki d
Hayashi, en le priant de désigner Otaka dans les quarante-sept ronins
représentés
, et en lui demandant s’il ne connaissait pas quel
il y a une défense d’indiquer les vrais noms des ronins, et ils sont
représentés
avec les noms défigurés qu’ils ont au théâtre. »
osi, avec une nuance un peu différente du caractère. Le capitan y fut
représenté
par Girolamo Gavarini, de Ferrare, qui prit le no
ivait le dialogue, tantôt en prose et tantôt en vers. En 1613, il fit
représenter
à Milan une sorte de mystère (rappresentazione sa
arnaval de 1623. Pendant l’année 1622, Giovanni-Battista Andreini fit
représenter
et imprimer à Paris cinq pièces de sa façon : La
é en Italie l’été de 1623, les Comici Fedeli revinrent en France et y
représentèrent
pendant l’année 1624 et le commencement de l’anné
es Œuvres de M. de Morand, trois Ballets héroïques, qui n’ont pas été
représentés
, quoiqu’ils méritassent cet honneur aussi bien qu
nt. Parmi ses Comédies, il y en a une, intitulée l’Esprit de Divorce,
représentée
pour la premiere fois en 1738. Elle est très-esti
fallu diminuer beaucoup de la vérité, pour le rendre tel que je l’ai
représenté
». Un moment après, lorsqu’on annonça la même Pie
; les autres ne le deviennent pas : ils agissent sans être connus et
représentés
; ils sont en dehors de notre expérience et peuve
phie de l’expérience » n’a vu qu’un des côtés de la question : elle a
représenté
nos formes cérébrales comme de simples empreintes
’état de termes purement intellectuels, l’un représentatif et l’autre
représenté
: le sujet est un vouloir, qui ne se contente pas
autre représenté : le sujet est un vouloir, qui ne se contente pas de
représenter
les objets, mais tend à les modifier en vue de lu
de lui-même. Par la volonté, au lieu de se disperser dans les objets
représentés
, le sujet se fait centre et tâche de tout ramener
ous cherchons l’autre immédiatement. Les trois éléments du temps sont
représentés
dans l’arc réflexe : le présent, par la cellule c
evons un temps abstrait, un ordre linéaire des phénomènes en tant que
représenté
par nous, il est clair que cette abstraction n’ag
ire non abstraite, mais concrète et vivante. Maintenant, comment nous
représenter
ce réel qui, dans les choses, se manifeste d’une
de quelque objet, et par conséquent elle ne peut plus être elle-même
représentée
; mais elle est une conscience immédiate d’agir q
is elle est une conscience immédiate d’agir qui n’a pas besoin d’être
représentée
pour exister : étant subjective, étant le subject
la part du sentiment de l’effort dans l’idée de cause, il est faux de
représenter
l’effort comme une révélation de la causalité tra
de causation efficiente et transitive. Celle-ci est une manière de se
représenter
, à notre image, les raisons explicatives qui néce
ehors ; mais, même pour les êtres dits inanimés, nous ne pouvons-nous
représenter
leur réalité que comme une action, car ce qui ne
ir un phénomène isolé que par un artifice, et, malgré nous, nous nous
représentons
immédiatement d’autres phénomènes simultanés, se
ivers, ne sont possibles, ajoute-t-on, que si les mouvements qu’elles
représentent
sont harmoniques, et si toutes les parties de la
ois quelque bien, et nous avons l’espoir que les deux volumes qui les
représentent
en feront encore. Le premier de ces volumes offre
tre enseignement. Ces sérieuses et intimes conférences comprennent et
représentent
l’âge mûr de notre vie et de notre pensée. On en
re, beaucoup plus d’architecture : c’est-à-dire que l’art de l’Orient
représente
ce qui est fixe et impersonnel, tandis que l’art
irable sculpture, et déjà une portion assez considérable de peinture,
représente
surtout la vie, et ce qui en est le type le plus
e naquit Socrate. Socrate est un personnage éminemment historique. Il
représente
une idée, et la plus élevée de toutes, l’idée de
celle de l’Orient ; et il en devait être ainsi. L’époque du monde qui
représente
l’immobilité doit rester longtemps immobile. L’ép
te l’immobilité doit rester longtemps immobile. L’époque du monde qui
représente
le mouvement doit avoir moins de durée et plus de
mbler et s’anéantir ; comment l’art, dans sa tentative impuissante de
représenter
l’être en soi, a dû se livrer sans mesure à des c
la société, et que dans les salons de la capitale une personne42 qui
représentait
pour ainsi dire en petit l’intelligence de son ép
tous ses éléments, avec tous leurs rapports, avec toutes leurs lois,
représentée
en grand et en caractères éclatants dans la march
onc la création n’est pas un mal, elle est un bien ; et ainsi nous la
représentent
les saintes Écritures : « Il vit que cela était b
vos lèvres ; et il ne vient sur vos lèvres que parce que l’idée qu’il
représente
domine irrésistiblement votre pensée. Voilà comme
ons d’après lui même, d’après la raison qui nous le révèle et nous le
représente
. Il n’est pas étonnant que la raison nous fasse c
tout. Et quand je dis l’humanité, je dis toutes les puissances qui la
représentent
dans l’histoire, l’industrie, l’État, la religion
é de développer à travers toutes ces sphères. Ainsi l’époque qui doit
représenter
l’idée du fini dans l’histoire, l’imposera à l’in
me comme le centre et la mesure de toutes choses75. L’époque qui doit
représenter
dans l’histoire l’idée de l’infini est-elle venue
plus profond encore. L’ordre de succession est purement extérieur, il
représente
pour ainsi dire le mécanisme matériel de l’histoi
tion de cette règle à la géographie physique. Tout lieu pris en grand
représente
une idée, une des trois idées auxquelles toutes l
ent, pour ainsi dire, la parole à quelques individus éminents qui les
représentent
. En effet, les peuples ne paraissent pas dans l’h
r où il faudrait finir ; je vous dirai que tout lieu, tout territoire
représente
nécessairement une idée, et par conséquent une de
fondamentales auxquelles nous avons ramené toutes les autres. Un lieu
représente
ou l’infini, ou le fini, ou le rapport du fini à
Tel climat donné, tel peuple suit. J’en conclus que des lieux divers
représentent
des idées diverses, et que par conséquent si nous
mière ? Cherchons un théâtre pour cette époque de l’humanité qui doit
représenter
l’infini, l’unité, l’immobilité. Essayons de donn
’hypothèse : cherchez un théâtre pour l’époque de l’histoire qui doit
représenter
l’idée du fini, du mouvement, de l’activité, de l
nt se donner la main ? Enfin, mettrez-vous l’époque du monde qui doit
représenter
le rapport du fini à l’infini, la mettrez-vous da
vilisation et de l’humanité. Enfin, soyez sûrs que l’époque qui devra
représenter
dans l’histoire le rapport du fini à l’infini ser
e, il faut bien qu’il y ait dans chaque époque plusieurs peuples pour
représenter
les diverses idées qui constituent la vie réelle
le monde, ce qu’il a à y faire, quel but il poursuit, quelle idée il
représente
. Remarquez que si ce peuple ne représente point u
il poursuit, quelle idée il représente. Remarquez que si ce peuple ne
représente
point une idée, son existence est tout simplement
une idée commune ; et cette idée est celle que ce peuple est appelé à
représenter
. Ainsi, demander à un peuple ce qu’il vient faire
faire en ce monde, quelle destinée il doit accomplir, quelle idée il
représente
, telle est la première règle de la philosophie de
losophie de l’histoire. Voici la seconde. Si tout peuple est appelé à
représenter
une idée, les événements dont se compose la vie d
exemple, que vous ne sachiez pas que le peuple romain était appelé à
représenter
sur la terre telle ou telle idée, à atteindre tel
omplet s’il n’a fait passer pour ainsi dire l’idée qu’il est appelé à
représenter
par l’industrie, l’État, l’art, la religion et la
ent aussi s’y rencontrer : elle doit contenir différents peuples pour
représenter
différentes idées ; il faut donc examiner les rap
particulier à une formule déjà fort générale, la formule dernière qui
représentera
tous les peuples d’une même époque dans leurs res
es, parce que dans une époque il y a différentes idées. Chaque peuple
représente
une idée et non pas une autre. Cette idée, généra
ée, générale en elle-même, est particulière relativement à celles que
représentent
les autres peuples de la même époque ; elle est p
Toute idée qui domine dans un peuple y domine comme l’idée unique qui
représente
pour ce peuple la vérité tout entière ; et pourta
le plus en rapport avec l’esprit même de cette époque. Chaque peuple
représente
une idée, et les peuples différents représentent
époque. Chaque peuple représente une idée, et les peuples différents
représentent
différentes idées ; d’où il suit que le peuple qu
rents représentent différentes idées ; d’où il suit que le peuple qui
représente
l’idée le plus en rapport avec l’esprit général d
harsale. J’aime et j’honore assurément le dernier des Brutus, mais il
représentait
l’esprit ancien, et l’esprit nouveau était du côt
ois, la guerre, qui tient une si grande place dans l’histoire, qui en
représente
tous les grands mouvements et pour ainsi dire les
ole de l’expansion rapide et puissante de la civilisation grecque, et
représente
tout ce qu’il y avait d’impétuosité, de célérité
, nous irons aujourd’hui des peuples à ces individus éminents qui les
représentent
dans l’histoire et qu’on appelle les grands homme
rique d’un peuple est tout entière dans son rapport avec l’idée qu’il
représente
. Ôtez à chacun des individus dans lesquels se div
individus dont se compose un peuple sont remplis de son esprit et le
représentent
en eux, mais ils le représentent plus ou moins. V
ple sont remplis de son esprit et le représentent en eux, mais ils le
représentent
plus ou moins. Voilà déjà une assez forte ligne d
individus d’un même peuple. Mais ceux qui sont sur le premier plan et
représentent
davantage l’esprit de leur peuple sont encore un
ne foule, dans laquelle se détache une nouvelle élite d’individus qui
représentent
leurs semblables avec plus de fidélité et d’éclat
d’être pénétré de l’esprit général de son peuple, et en même temps de
représenter
cet esprit général sous une forme profondément in
la force limitée de l’imagination humaine et le sublime. Quand l’art
représente
le sublime seul, il s’élance hors du fini et enge
tte immense scène du monde où ils paraissent quelques minutes, est de
représenter
, quoi ? eux-mêmes, et rien de plus. Aussi personn
, d’une époque et de toutes les époques : donc l’histoire entière est
représentée
par les grands hommes. Donnez-moi la série des gr
elque époque du monde, chez quelque peuple qu’il paraisse, vient pour
représenter
une idée, telle idée et non pas telle autre, tant
elle autre, tant que cette idée a de la force et vaut la peine d’être
représentée
, pas avant, pas après il paraît quand il doit par
le elle sympathise et qui la sert. La fortune d’un grand homme est de
représenter
mieux qu’aucun autre homme de son temps les idées
is sans le génie nécessaire pour les réaliser et les satisfaire ; ils
représentent
leur temps et leur peuple, mais d’une manière imp
n est de même des qualités particulières des grands hommes. Comme ils
représentent
les beaux côtés de leur temps, ils en représenten
hommes. Comme ils représentent les beaux côtés de leur temps, ils en
représentent
aussi les mauvais. Alexandre avait d’assez vilain
leur a donné de la puissance et de la gloire, à savoir l’idée qu’ils
représentent
, leur rapport intime avec l’esprit de leur temps
dant aucune trace de son passage sur la terre. Mais l’époque qui doit
représenter
dans le monde l’idée du fini, du mouvement, de la
n peut appeler l’âge héroïque de l’humanité. La troisième époque, qui
représente
le rapport du fini et de l’infini, n’est pas moin
astes aux idées qui, dans leur siècle, étaient appelées à l’empire et
représentaient
alors les destinées de la civilisation. D’ailleur
istote. Le genre humain ne se rend pas compte, il est vrai, de ce que
représentent
ces deux noms, mais il ne se rend pas compte dava
tent ces deux noms, mais il ne se rend pas compte davantage de ce que
représentent
les noms de César et d’Alexandre. Le genre humain
après tout, ce n’est qu’un grand orateur. Démosthène, dans son temps,
représente
le passé de la Grèce, l’esprit des petites villes
re place à un autre dont le tour est venu. Le combat entre deux idées
représentées
par deux grands philosophes, loin d’affliger les
mme l’humanité ; et il n’y a progrès qu’à deux conditions, d’abord de
représenter
tous ses devanciers, ensuite d’être soi-même, de
de vue nécessaire de l’histoire ? il naît un grand théologien pour le
représenter
; et il se trouve encore que la nature du talent
e est en parfaite harmonie avec celle du point de vue qu’il s’agit de
représenter
. Ne semble-t-il pas en effet que la pensée d’une
eurs propres ouvrages bien des ouvrages du siècle et du peuple qu’ils
représentent
. Le premier encore il a discuté les temps primiti
devait produire et il a produit une histoire de la philosophie qui le
représente
. — Brucker. Son caractère général ; ses mérites e
ercice, et si, dans un peuple et dans une époque, la philosophie, qui
représente
la réflexion, se développe après tous les autres
st jamais que sous le point de vue de nos propres idées que nous nous
représentons
les idées des autres. Appliquons ceci au sujet de
an, mais qui ne contiennent pas le plan véritable. En résumé, Brucker
représente
dans l’histoire de la philosophie la révolution q
ivé à Tiedemann. Son ouvrage peut bien être considéré comme celui qui
représente
le mieux la philosophie du temps appliquée à l’hi
a lutte remplit la fin du dix-huitième siècle. Tiedemann et Tennemann
représentent
cette lutte dans l’histoire de la philosophie. Te
; et l’avenir de la France décidera de leur avenir. Comme le midi est
représenté
par la France, ainsi le nord est représenté par l
avenir. Comme le midi est représenté par la France, ainsi le nord est
représenté
par l’Allemagne. De fait la Suède, le Danemark, l
lus d’énergie, se résoudre en un grand individu qui se chargeât de le
représenter
. La révolution se fit donc général, consul, emper
oins et à son esprit, et tout siècle aboutit à une philosophie qui le
représente
. C’est là ma plus intime conviction. Elle n’est p
ble, et qu’ainsi ce n’est pas à la raison, et à la philosophie qui la
représente
, à expliquer Dieu. Ailleurs nous avons établi ave
que l’Académie soit en décadence. Considérée dans son ensemble, elle
représente
aujourd’hui, comme autrefois, la moyenne de l’esp
mul. L’Académie est, par fondation, conservatrice, et ceux même qui y
représente
la fameuse « gauche » n’y sont que pour ce qu’ils
ar une réclame intensive, sont excusables de croire que cette société
représente
quelque chose : mais nous ne pouvons qu’en rire.
nt des auteurs représentant aujourd’hui ce que Flaubert et Baudelaire
représentaient
de leur temps… » Opinion, à mon avis, mal fondée.
adémie française ne me paraît pas être en décadence. Elle ne doit pas
représenter
, comme on le croit trop souvent, la littérature,
certainement dans une phase de prestige renaissant, comme tout ce qui
représente
un cadre et une tradition dans ce pays un peu eff
pondants, c’est que l’Académie française n’est pas en décadence. Elle
représente
la moyenne de l’esprit et de la culture, et son n
ion et dont le pouvoir s’étend infiniment plus loin que ce qui en est
représenté
. Pourquoi ce glissement de l’idéalisme au réalism
s répondrons que, dans l’hypothèse idéaliste, il est impossible de se
représenter
un objet en l’absence complète de l’objet lui-mêm
-même. S’il n’y a rien de plus dans l’objet présent que ce qui en est
représenté
, si la présence de l’objet coïncide avec la repré
ggestion d’activité que consiste le sentiment de l’actualité, l’objet
représenté
n’apparaît plus comme actuel : c’est ce qu’on exp
hoses extérieures, car ils tenaient tout entiers dans ce qui en était
représenté
, et puisque, par hypothèse, on se les représentai
dans ce qui en était représenté, et puisque, par hypothèse, on se les
représentait
comme des mouvements de certains atomes du cervea
it y rester. Point du tout. On conserve bien le cerveau tel qu’il est
représenté
, mais on oublie que, si le réel est déplié dans l
ble soirée qu’hier ; il y a dans la petite scène que M. Coppée a fait
représenter
hier à l’Odéon plus de talent que dans cette comé
] Auguste Dorchain La poésie de détail, voilà, en effet, ce que
représente
excellemment M. François Coppée. Il est venu aprè
e côté son théâtre, la Guerre de Cent ans, ce drame shakespearien non
représenté
, où les spectres jouent un grand rôle et ne ferai
genres. Poète, il est un des quatre ou cinq qui, depuis Victor Hugo,
représentent
quelque chose d’essentiel dans le développement d
Jules Lemaître Le drame de M. François Coppée, Pour la Couronne,
représenté
à l’Odéon avec un si éclatant succès, a d’abord u
te ; qui donne un plus saint respect pour la vertu malheureuse, et la
représente
d’une manière plus auguste, ou dans les fers, ou
’il était aussi facile à l’homme d’oublier que de se taire44. » Il se
représente
ensuite, au sortir du règne de Domitien, comme éc
des grands hommes ; mais ces images sont mortelles, comme ce qu’elles
représentent
, au lieu que l’empreinte de l’âme est éternelle.
e n’est point par l’art, ce n’est point par de vils métaux qu’on peut
représenter
l’âme d’un grand homme, c’est par notre conduite
liqué comment et dans quelles circonstances les Italiens réussirent à
représenter
des pièces dont le dialogue était abandonné à l’i
d’un privilège en vertu duquel il était fait défense à tous autres de
représenter
des jeux dramatiques dans la ville, faubourgs et
is. En 1584 et 1585, Paris reçut la visite des Comici confidenti, qui
représentèrent
notamment chez le duc de Joyeuse une pièce intitu
a, joué on ne sait par qui ; Zanobio, le vieux bourgeois de Piombino,
représenté
par Girolamo Salembeni de Florence ; enfin le doc
. 5. Nous donnons ici le personnage de Franca-Trippa, tel qu’il est
représenté
dans I balli di Sfessania de Callot. On n’a point
ariniques. 6. Nous donnons ci-contre le capitaine Cerimonia : il est
représenté
une main sur sa rapière, dont la pointe soulève s
stion de l’objet de l’art que s’accuse le conflit entre la morale qui
représente
l’intérêt social et l’individualisme esthétique q
e fantaisie, de liberté individuelle intolérable aux moralistes. Elle
représente
la liberté de la passion : l’apothéose de la joie
eprésente la liberté de la passion : l’apothéose de la joie de vivre.
Représenter
la beauté, glorifier la beauté, c’est glorifier l
et à la joie de vivre, la Beauté est tout cela et par tout cela, elle
représente
l’égoïsme, l’amour de la personnalité, le dédain
et morale que l’art romantique ou que l’art décadent. L’art classique
représente
la règle, l’ordre, la discipline, l’idée du gouve
ement servir la société, c’est se servir lui-même. L’esprit classique
représente
ainsi, à certains égards, une volonté d’unité est
groupes. Sur cette figure, chaque lettre de la ligne supérieure peut
représenter
un genre renfermant plusieurs espèces ; et tous l
ppliquer, soit qu’on parte du point de vue qu’une classification doit
représenter
le plan inconnu de la création, soit qu’on ne con
atrième chapitre. Nous supposerons que les lettres depuis A jusqu’à L
représentent
des genres alliés, qui vécurent pendant l’époque
(A, F et 1) ont transmis jusqu’aujourd’hui des descendants modifiés,
représentés
par les quinze genres (a14 à z14) de la ligne hor
ale supérieure. Tous ces descendants modifiés d’une seule espèce sont
représentés
ici comme parents au même degré de consanguinité.
poser selon le système naturel ; car il est de toute impossibilité de
représenter
par une série, et sur une surface plane, les affi
qui ont subi de nombreuses extinctions ; car elles sont généralement
représentées
par un très petit nombre d’espèces ; et ces espèc
ple, n’en auraient pas été moins aberrants, si chacun d’eux avait été
représenté
par une douzaine d’espèces au lieu d’une seule170
tégés par un concours de circonstances exceptionnellement favorables,
représentent
seuls aujourd’hui. M. Waterhouse a remarqué que,
invincible que les naturalistes ont dû rencontrer quand ils ont voulu
représenter
, sans l’aide de figures, les affinités diverses q
e à l’inspection de la figure. Les lettres depuis A jusqu’à L peuvent
représenter
onze genres de l’époque silurienne, dont quelques
ncêtres plus anciens et inconnus. Néanmoins l’arrangement naturel que
représente
la figure n’en serait pas moins juste ; et, en ve
e prouvée que dans le cas où l’ancien état de l’adulte, qu’on suppose
représenté
par l’embryon actuel, n’a pas été oblitéré, soit
ents de membranes ; or, on ne saurait douter ici que les rudiments ne
représentent
des ailes. Les organes rudimentaires gardent quel
lui est fort utile, car elle lui sert de nageoire. Elle pourrait donc
représenter
l’état naissant des ailes des oiseaux. Non que je
e ; mais peut-on admettre que les papilles presque microscopiques qui
représentent
souvent le pistil dans les fleurs mâles, et qui n
nération ; car, dans la théorie de l’auteur, un degré généalogique ne
représente
pas un individu et la durée de sa vie, mais une e
sœurs dans la mythologie antique et les peintres se plaisaient à les
représenter
fraternellement unies ; ils plaçaient côte à côte
. Victor Hugo125, qui est un voyant du monde visible et invisible, se
représente
le carillon des cités flamandes sous les traits d
troits et constants. Au moyen âge, églises, châteaux, hôtels de ville
représentent
les trois faces principales de la société françai
ier. Théophile Gautier, un soir qu’il rêve à son existence passée, se
représente
visitant « le Château du Souvenir131 », un vieux
ie larmoyante s’est réveillé dans le cœur des citadins blasés, Greuze
représente
l’Accordée de village et d’autres scènes villageo
riminibus. Au salon de 1827, Mlle de Fauveau exposa un bas-relief qui
représentait
Christine, reine de Suède, faisant assassiner son
d’aurores qu’il ne pouvait plus les compter ! Ils étaient condamnés à
représenter
les pourpres du soir, les nuances délicates du ma
tain : car l’imagination plus parfaite d’un artiste nous force à nous
représenter
les situations comme il se les est représentées à
iste nous force à nous représenter les situations comme il se les est
représentées
à lui-même. Et s’il me faut avouer que M. Delacro
oins d’une société où la guerre sévissait partout et toujours ; on se
représente
aisément en ce château-fort une vie large, puissa
ciété (il ne s’agit, cela va de soi, que de la haute société) où l’on
représente
perpétuellement ; ils s’harmonisent, chez les pri
a changé. La femme qui par son âge ou par sa volonté de rester jeune
représente
la nouvelle génération est éprise de poésie, de r
re l’épreuve sur un siècle. Au début du xive siècle, la littérature,
représentée
surtout par la seconde partie du Roman de la Rose
Charles VII, un contemporain de Jeanne d’Arc. Ogier, Lancelot, Hector
représentent
nos trois grands cycles épiques, celui de France,
iaires éteintes et de leur nombre. — En premier lieu, il faut bien se
représenter
quelles sont les formes intermédiaires qui, d’apr
e la difficulté, en considérant deux espèces quelconques, à ne pas me
représenter
leur souche commune comme présentant des caractèr
es anglais et trois quarts. Quelques-unes des formations, qui ne sont
représentées
en Angleterre que par de minces couches de strate
leur juste valeur dans le commun résultat. Bien que chaque formation
représente
une période d’années d’une longueur considérable,
iter beaucoup d’exemples de couches de quelques pieds d’épaisseur qui
représentent
, dans une contrée, des formations dont les puissa
uable, qui aurait pu soupçonner quelle immense suite de siècles était
représentée
par quelques strates superposées ? On pourrait en
alliées. » Si nous considérons la série graduée des formes d’un genre
représenté
par une vingtaine d’espèces vivantes ou éteintes,
vastes et nombreuses, séparées par des mers larges et peu profondes,
représente
probablement l’ancien état de l’Europe, à l’époqu
e la série des temps étaient rassemblées, combien cette collection ne
représenterait
-elle pas encore imparfaitement l’histoire naturel
ipèdes sessiles fossiles. Vu le nombre extraordinaire d’individus qui
représentent
beaucoup d’espèces de cette famille dans le monde
es caractères intermédiaires entre les diverses formes qui ont depuis
représenté
ces ordres. De plus, si elles avaient servi de so
théâtre des plus grandes oscillations de niveau et que les continents
représentent
les aires de soulèvement. Mais avons-nous le droi
ite, devenant plus ou moins différents dans les chapitres successifs,
représentent
les changements en apparence soudains et brusques
ilités la supposition que les terrains Siluriens, où l’on trouve déjà
représentés
les quatre embranchements principaux du règne ani
dressèrent ensemble leur prière aux dieux protecteurs. Un tableau qui
représentait
les adieux d’Hector à Andromaque, frappa d’abord
t le sujet était national26. Les Romains n’auraient point voulu qu’on
représentât
sur le théâtre ce qui pouvait tenir à leur histoi
s premières comédies en vers, composées par Titus Andronicus, ont été
représentées
; et c’est l’année suivante qu’Ennius a été connu
èque, on en ignore l’auteur, et l’on ne sait pas si elle a jamais été
représentée
. 27. On oppose à cette opinion les quatre vers
, dit un commentateur, avait composé une tragédie sur Brutus, qui fut
représentée
aux jeux apollinaires. Mais une lettre de Cicéron
ttre de Cicéron à Atticus dit que ce fut la tragédie de Térée qui fut
représentée
à ces jeux ; et un autre commentateur assure que
r, d’après la lecture des pièces de théâtre, si elles seraient ou non
représentées
: comment donc savoir s’ils ont autorisé la repré
utre sens l’expression de force vitale est d’une grande utilité. Elle
représente
une limite, à savoir l’ensemble des phénomènes ir
emble des phénomènes irréductibles à la physique et à la chimie. Elle
représente
ainsi une protestation contre une hypothèse non d
eurt. Telle est l’idée générale d’après laquelle M. Claude Bernard se
représente
la vie, et cette idée générale, nous n’avons aucu
la liberté, j’entends la liberté morale, peut-elle subsister, si l’on
représente
la vie, ainsi que le fait M. Claude Bernard, comm
veugle et capricieuse dont parle M. Claude Bernard. Les anciens se la
représentaient
comme une divinité jalouse, qui élevait ou abaiss
nnu qu’intérieurement ; bien plus, qu’il ne peut être en aucune façon
représenté
sous une forme objective. La distinction du subje
e connaît toutes les autres que par leurs manifestations externes. Se
représenter
cette cause intérieure sous la forme des phénomèn
de Kant, renouvelées du stoïcisme, seront éternellement admirées, et
représentent
sans doute un des progrès les plus réels de la ph
cules par une action gauche les scénes les plus touchantes. Nous nous
représentons
les choeurs de la comédie composez des gagistes e
r de bons acteurs bien exercez, et la dépense qui se faisoit pour les
représenter
étoit même si grande, que les athéniens avoient o
lement particulier que les magistrats en feroient les frais. Qu’on se
représente
donc pour se faire une juste idée de ces choeurs
xcellens répondans au personnage qui leur adresse la parole. Qu’on se
représente
chacun des acteurs du choeur, faisant les gestes
de Rezké et Devoyod, Mme Nilsson. Nous souhaitons que l’Opéra-Comique
représente
Lohengrin. Les acteurs sont, là, bons chanteurs,
s), — les ineffables intimités des âmes. Or, que les théâtres d’opéra
représentent
des opéras, et qu’ils représentent cette merveill
âmes. Or, que les théâtres d’opéra représentent des opéras, et qu’ils
représentent
cette merveille exquise, où est, suprêmement, la
siciens, interprètes, soient persuadés du caractère spécial à l’œuvre
représentée
; où le public, libre de faux préjugés, écoute un
l mérite. C’est précisément à ce titre que nous regrettons de le voir
représenter
aujourd’hui dans une salle si défectueuse, où il
’appelle éloquemment l’illustre compositeur Franz Liszt, ne doit être
représenté
qu’à Bayreuth, dans le Temple même de l’Art. Mais
Or du Rhin, la Walkyrie, Siegfried et le Crépuscule des Dieux, seront
représentés
à Paris. Et avec quel sentiment de profonde recon
884, après un an et demi d’existence, l’Association Wagnérienne était
représentée
dans quatre cents villes, et avait, environ, cinq
83 et de 1884 plus parfaites encore que celles de 1882. Parsifal fut
représenté
douze fois, du 18 au 30 juillet 1883, et dix fois
s à l’explication philosophique de la Musique même. La Musique qui ne
représente
pas les Idées contenues dans l’Apparence du Monde
par une description, le caractère humain, mais laisse ce caractère se
représenter
, immédiatement, lui-même, devant nous ; ainsi la
otifs est comparable à la création du Drame, mais encore le Drame qui
représente
les Idées, ne peut, en vérité, être clairement co
écemment encore, à Vienne, la Tétralogie de l’Anneau du Nibelung sera
représentée
au théâtre de Munich pendant le mois de septembre
caractère impératif : il faut vraiment lutter contre soi-même pour se
représenter
les principes de la mécanique autrement qu’inscri
il s’attache, il est lui-même socialisé. L’obligation, que nous nous
représentons
comme un lien entre les hommes, lie d’abord chacu
it que penser, il se parle encore à lui-même. En vain on essaie de se
représenter
un individu dégagé de toute vie sociale. Même mat
figurera l’essentiel. Tel est celui que nous avons essayé de tracer.
Représentez
-vous l’obligation comme pesant sur la volonté à l
nature instinctive ou somnambulique : joué comme tel à l’état normal,
représenté
comme tel si la réflexion s’éveille juste assez l
ent qui sépare l’obligation purement vécue de l’obligation pleinement
représentée
et justifiée par toute sorte de raisons, l’obliga
les uns aux autres ; elle offre donc, ou simplement vécu ou, de plus,
représenté
, un ensemble de règles ou de lois. Mais, dans une
igine naturelle, qui servent probablement dans une société d’insectes
représentent
ce qu’eût été notre langage si la nature, en nous
ent obligés. Au-dessus de ces devoirs bien nets nous aimons à nous en
représenter
d’autres, plutôt flous, qui s’y superposeraient.
Dans la première, l’émotion est consécutive à une idée ou à une image
représentée
; l’état sensible résulte bien d’un état intellec
fort. Le génie a été défini une longue patience. Il est vrai qu’on se
représente
l’intelligence à part, et à part aussi une facult
e lui-même. Pour en prendre conscience, il n’est pas nécessaire de se
représenter
un terme que l’on vise ou une perfection dont on
rincipe explicatif de cette structure. Dans la première, l’obligation
représente
la pression que les éléments de la société exerce
d’une démonstration en règle : la supériorité est vécue avant d’être
représentée
, et ne pourrait d’ailleurs être ensuite démontrée
age portent en effet sur des choses ; ils sont moins à leur aise pour
représenter
des transitions ou des progrès. La morale de l’Év
ration qui avaient renoncé chacune à leur action propre en se faisant
représenter
ensemble par une idée. Longue serait la parenthès
mpensation » et « récompense », a le sens de peser ; la justice était
représentée
avec une balance. Équité signifie égalité. Règle
et d’influencer le passé rétroactivement. De quelque manière qu’on se
représente
la transition de la justice relative à la justice
ble ce qui est effectivement impossible dans une société donnée, a se
représenter
ce qui en résulterait pour l’âme sociale, et à in
éternité, la notion pourtant ouverte et de contenu indéterminé qu’il
représente
; chacun des progrès acquis serait alors autant d
l faudra toujours revenir à la conception de créateurs moraux, qui se
représentent
par la pensée une nouvelle atmosphère sociale, un
qui recouvre aujourd’hui le roc de la nature originelle. Elle a beau
représenter
les effets lentement accumulés de causes infinime
appels lancés à la conscience de chacun de nous par des personnes qui
représentent
ce qu’il y eut de meilleur dans l’humanité. L’obl
llement capable de la transfigurer, grâce à des individus dont chacun
représente
, comme eût fait l’apparition d’une nouvelle espèc
rte que lorsqu’on donne la religion pour fondement à la morale, on se
représente
un ensemble de conceptions, relatives à Dieu et a
traduit par Tola Dorian L’art aryen Récemment, voulant
représenter
Lohengrin à Paris, le directeur du théâtre parisi
seul peut naître l’homme idéal de l’avenir, parce que cet homme idéal
représente
seulement dans sa conscience morale la nature la
encore exister ; l’art est le prophète d’une humanité idéale, mais il
représente
comme un idéal la plus noble image de la nature h
grande, qui ne se contente pas de jouer avec l’apparence, mais qui la
représente
idéalement comme l’être de l’homme, devient un fa
uparavant la nature librement humaine et cependant idéale n’a pu être
représentée
d’une façon aussi vive et parfaite, et unie plus
e la plus pure nature humaine est, avec une complète force et vérité,
représenté
dans Parsifal. Oui, l’œuvre entier de Wagner, com
ar l’art le plus compréhensible peut amener des malentendus, s’il est
représenté
d’une façon incompréhensible. Pour saisir l’âme A
ait le désigner comme l’Homère de l’art chrétien ; car, comme lui, il
représente
la mondalisation de la poésie. Mais le drame angl
réalisent pleinement leur besoin d’artistes de se communiquer. Wagner
représente
la parfaite conciliation de ces deux artistes ; s
, par les vaillants artistes de la troupe allemande. Lohengrin a été
représenté
six fois, la Walküre sept fois, Tannhaeuser sept
voyait avec raison l’analogue de la projection géométrique, qui peut
représenter
les objets solides par des surfaces, les surfaces
er cette conservation et cette reproduction des idées quand on se les
représente
comme purement spirituelles, sans relations avec
et tenons-la longtemps fixée devant notre imagination ; par exemple,
représentons
-nous avec assez de force une croix d’un rouge écl
moire avec la sensibilité et avec l’activité. D’une part, l’esprit se
représente
moins aisément les émotions que les perceptions e
a souffrance. Pour me souvenir de tel mal de dents, il faut que je me
représente
les dents où j’ai localisé jadis la douleur, puis
is le mot douleur même, qui sert de signe ; mais comment arriver à me
représenter
ce mal en lui-même ? Pour cela il faut que je rep
lus grand du sang dans la gencive, et même des battements. Puis je me
représente
un certain mouvement qui s’accomplit d’un point à
erse de part en part un organe ; c’est le trajet de la douleur. Je me
représente
aussi la réaction motrice occasionnée par le mal,
ès un bon dîner, nous n’avons guère que le mot dans l’esprit. Pour se
représenter
la faim même, il faut se représenter confusément
ue le mot dans l’esprit. Pour se représenter la faim même, il faut se
représenter
confusément l’estomac et reproduire l’anxiété vag
s constitutionnels qu’on a tracés si à l’étroit. Notre législature ne
représente
pas plus l’opinion vivante et active, que l’Acadé
nte pas plus l’opinion vivante et active, que l’Académie française ne
représente
la littérature féconde. Qu’importe ! Le progrès s
s des barrières, et le Pauvre Jacques dans chaque bourgade ? Qu’on se
représente
l’étonnement, les larmes, les gonflements de cœur
sse, remplissaient le théâtre de la porte Saint-Martin où l’on allait
représenter
la Lucrèce Borgia de M. Hugo. L’attente était gra
distincte de celle d’avocat, médecin, agent de change, etc., qu’il le
représente
communément : ce sont là des classes artificielle
cientifiques, de lier nos idées, nos impressions particulières, et de
représenter
synthétiquement la marche, les accroissements, le
éléments d’informations qui font comprendre plus et mieux. Mais pour
représenter
le caractère des écrits et la physionomie des écr
d’une nouvelle période de notre littérature. On peut donc essayer de
représenter
aujourd’hui dans son ensemble l’effort d’un siècl
on chronologique des hommes et des œuvres : c’est-à-dire, en somme, à
représenter
le plus possible le mouvement de la vie. Au moins
e, comme on peut, le tas de traînards des prosateurs. Mais comment se
représentera-t
-on le xvie siècle, si Rabelais y vient en compag
. « Les élèves de l’École polytechnique », dit en effet Μ. Adam, qui
représente
la sagesse, la vérité et l’opinion de Μ. de Girar
ntion et quelle porte la société de l’avenir, de l’écu, des parvenus,
représentée
par les Adam, vient s’aligner visage à visage ave
sage à visage avec la société du passé, des traditions et des déchus,
représentée
par les La Rochetravers. Le dernier comte du nom
e baron, le major, le conseiller, parce que les rôles qu’ils créaient
représentaient
tous les barons, tous les majors et tous les cons
n, sa marquise et son millionnaire, n’ont aucune réalité humaine. Ils
représentent
seulement les idées de marquise, de baron et de m
ion. — Le déterminisme existe-t-il réellement dans la nature, ou bien
représente-t
-il seulement la manière dont nous devons enchaîne
rapport qu’il s’agit d’établir. Le principe d’identité, ainsi défini,
représente
le type de la possibilité. Le principe de contrad
e type de la possibilité. Le principe de contradiction, au contraire,
représente
le type du faux, de l’impossibilité logique : A e
plus une multiplicité absolue, car il ramène le divers à l’unité. Il
représente
donc une certaine liaison d’éléments intelligible
de syllogismes. Cependant, peut-on leur répondre, cette syllogistique
représente
exactement le procédé de raisonnement de la consc
e tendance vers l’intelligibilité. S’il en est ainsi, le raisonnement
représente
un mode d’interprétation, d’interrogation qu’il e
adaptation volontaire et intelligente de la pensée aux choses ; elles
représentent
les formes qui permettront de surmonter la divers
similer sans se faire quelque violence. D’ailleurs, nos mathématiques
représentent
une forme particulière de la mathématique ; d’aut
la substance des choses nous échappe, mais les lois mathématiques en
représentent
la forme, les relations ; elles sont ce qu’il y a
e la connaissance a priori ni de la connaissance a posteriori ; elles
représentent
l’œuvre de l’esprit qui, sollicité par les choses
t au repos : c’est le principe d’inertie. Sans doute, si l’on veut se
représenter
l’origine du mouvement, il faut supposer une prem
ffort que nous faisons pour adapter les choses à notre esprit. La loi
représente
le caractère qu’il nous faut attribuer aux choses
l’activité de l’esprit, s’appliquant à une matière étrangère ; elles
représentent
l’effort qu’il fait pour établir une coïncidence
l’action d’un corps brut sur un autre, de quelque manière qu’on se la
représente
: tous ces symboles, pris pour des réalités absol
logie ; mais elle constitue la seule manière dont nous puissions nous
représenter
la réalité de l’action mécanique. C’est, pour nou
nnaître, est la forme la plus parfaite du déterminisme, parce qu’elle
représente
la coïncidence de la réalité expérimentale et des
le schème imaginatif de la notion de loi, exactement comme une courbe
représente
pour la vue les variations de la température ou l
onstant entre deux termes définis et immuables ; c’est ce rapport que
représente
excellemment un couple d’atomes dont l’action mut
fin elle assure par la reproduction la perpétuité de la forme qu’elle
représente
. La vie, on l’a dit, est essentiellement un « cer
à l’harmonie préétablie. Mais cette difficulté sur la manière de nous
représenter
la vie et sa relation avec le mécanisme vient de
, ne sont ni ne peuvent être exactement réalisés par la matière ; ils
représentent
des modèles autour desquels la nature gravite, qu
n est nécessairement unique : c’est la classification naturelle. Elle
représente
la pensée même du Créateur. Les espèces sont d’ai
nce en un principe suprême d’ordre et d’harmonie. L’échelle des êtres
représente
, disait-il, « l’ordre qui appartient à la nature
e, correspondent deux groupes de doctrines. La première direction est
représentée
par les philosophes qu’on peut justement appeler
ues. Pour établir de pareilles lois, Locke et ses disciples ont dû se
représenter
les faits psychiques d’une manière tout à fait ar
ors comme les éléments de la matière dans l’atomisme. Mais comment se
représenter
, comment concevoir un élément psychique indivisib
cultés exposées plus haut. Vouloir qu’un certain équivalent mécanique
représente
chacun des états d’âme, c’est admettre que ceux-c
gie n’est pas sans rapport avec la liberté que révèle la première. Il
représente
l’instrument sur lequel s’exerce immédiatement la
ent la liberté et la responsabilité humaines, en face de ces lois qui
représentent
pour nous la nature des choses. Le problème est p
t, avec l’abîme qui les sépare, ne seraient pas notre manière de nous
représenter
clairement les choses plutôt que leur réelle mani
faire au besoin. Cela même n’est pas purement égoïste. Chacun de nous
représente
une société à laquelle il s’adapterait mieux qu’à
envers lui-même, et surtout peut-être envers la société idéale qu’il
représente
. Celle-ci peut-être d’ailleurs inférieure ou supé
les. Chacun de nous, même chacun de nos actes, chacune de nos pensées
représente
un monde auquel il serait adapté, une société dan
fortune empêche ses héritiers d’en jouir. Tout objet dont je me sers
représente
les peines, les privations d’autrui ; l’argent do
te les peines, les privations d’autrui ; l’argent dont je l’ai acquis
représente
les miennes propres ou celles de quelque autre en
t rendu possible sa venue en ce monde après tant de générations ; que
représentent
sa vie même, sa nourriture, ses vêtements, les ob
fins plus hautes, la vie sociale d’un peuple ou de l’humanité, qu’ils
représentent
et que, bien souvent, ils représentent mal. Ils s
euple ou de l’humanité, qu’ils représentent et que, bien souvent, ils
représentent
mal. Ils sont comme les préfets d’un gouvernement
érir son maximum de personnalité. Elle ajoutera que chacun de nous ne
représente
pas seulement lui-même, mais une société entière
veloppe encore un ensemble de rapports. Ces rapports sont réalisés et
représentés
effectivement dans la représentation des choses é
réflexion. — À quoi les platoniciens répondent : Si ces rapports sont
représentés
dans l’ensemble des données, ils n’en sont pas dé
ment dit. — Soit, dit-on encore ; il y a des cas ou les rapports sont
représentés
eux-mêmes d’avance avec leurs termes ; mais il y
aie reconnu la différence ou la ressemblance, elles ne sont nullement
représentées
dans mon esprit : ces idées, quand elles m’appara
r ; la différence, la ressemblance, comment la dessiner ? Par quoi la
représenter
? Il n’y a pas de représentation sensible ou imag
La différence a-t-elle une couleur ? Une différence ne peut jamais se
représenter
par quelque chose d’analogue aux choses mêmes qui
. — Aucun état de conscience simple, un, homogène ne peut, dira-t-on,
représenter
une différence ; or, tout état sensitif, conflit
oici deux lignes égales : — Comment, demandent les platoniciens, vous
représenterez
-vous l’égalité ? Vous en êtes réduit à dessiner d
s en êtes réduit à dessiner deux lignes égales, c’est-à-dire que vous
représentez
seulement les lignes et laissez à l’esprit le soi
ire. « S’il est vrai, dit-on encore avec Platon, que je ne puisse me
représenter
un triangle équilatéral sans provoquer un mouveme
conscience et dans la conscience, existence saisie telle qu’elle est,
représentée
d’une manière identique à sa réalité. Cette « rep
systèmes. Cette école, qui sans être encore organisée, avait été déjà
représentée
dans l’antiquité par la Nouvelle-Académie et par
s comprendre, c’est là une satisfaction d’ordre supérieur. On peut se
représenter
la science comme une lutte entre l’intelligence e
yons facilement que cet objet sera complexe : les états de conscience
représentent
des phénomènes de genres bien différents les uns
uvent pas par conséquent être ramenés à des mouvements. On ne peut se
représenter
une sensation comme on se représente un mouvement
à des mouvements. On ne peut se représenter une sensation comme on se
représente
un mouvement nerveux. Les sensations n’ont rien à
ions dans les corps organisés. La seule différence est que la faculté
représente
une plus grande somme d’activité que la fonction,
e de l’âme de l’homme, dans la tête ; le [en grec dans le texte], qui
représente
en partie l’activité les appétits nobles de l’hom
s de l’homme, dans la poitrine ; enfin l’[en grec dans le texte], qui
représente
les besoins, les désirs bas et vulgaires, sont pl
faut que nous sachions ce qui doit être — ceci du moins que nous nous
représentions
quelque chose comme étant bon, bien, avantageux,
’idée. Ce qui la caractérise, c’est d’être représentative. Toute idée
représente
un objet. Voilà donc un moyen de classer les diff
de notre moi. Reste donc seulement l’activité. Nous pouvons donc nous
représenter
les éléments des corps comme semblables à ce que
rine réaliste. Mais il y a différentes sortes de réalisme. On peut se
représenter
le monde extérieur comme formé de parties d’étend
là le mécanisme ou le dynamisme ; théorie de Descartes. On peut se le
représenter
comme composé d’êtres semblables à nous, chez qui
e abstraction : On remarquera que les animaux n’ont aucun moyen de se
représenter
un être non vivant ; ils ne connaissent qu’eux-mê
n retrouve pas. On cesse d’y songer. Au bout de quelque temps elle se
représente
comme d’elle-même à l’esprit. Il y a donc eu trav
ience de cette réflexion prétendue inconsciente. En outre, comment se
représenter
un phénomène psychique inconscient ? il y a contr
renant ? Prenons des comparaisons dans la géométrie. L’idée de dedans
représenterait
assez bien une sphère, l’idée de moi le centre de
ui donne de Biran est de servir de support au moi. Mais on ne peut se
représenter
un pareil être. Le concept de la substance est do
ent ; on doit toutefois reconnaître que si l’esprit humain ne peut se
représenter
la contradictoire, la proposition forcément sera
multiples, il devra les voir par un biais qui lui permette de se les
représenter
comme simples. Sans doute, il ne les simplifiera
sprit, puisqu’elles en expriment la nature, ont donc pour but de nous
représenter
les choses dans un certain ordre avec une certain
effet. C’est sous l’influence du principe de causalité que nous nous
représentons
le monde comme composé d’immenses séries de phéno
séries, il y a des rapports à établir. L’esprit est ainsi amené à se
représenter
ces séries de phénomènes comme convergeant vers c
uand nous pensons le monde sous la forme de la finalité, nous nous le
représentons
comme formé de systèmes aboutissant à un même cen
après. Tous présentent ce caractère. Nous le généralisons. Nous nous
représentons
d’une manière abstraite les états de conscience c
remarquer que l’esprit, s’il n’avait auparavant l’idée de temps ne se
représenterait
pas les états de conscience comme situés les uns
’idée de cause nous est donnée expérimentalement. Mais alors on ne se
représente
pas bien comment le principe peut être a priori a
ière abstraite et générale. L’expérience nous permet seule de nous le
représenter
d’une manière plus concrète. Suivant certains phi
rps de cheval. Il n’y a pourtant nulle impossibilité pour nous à nous
représenter
un centaure. » L’expérience n’engage donc jamais
ats de conscience, non centralisés et dont les effets sont assez bien
représentés
par l’action réflexe. À mesure que le système ner
s moins avec toute sa force. Il y a plus. Non seulement on ne peut se
représenter
l’esprit avant l’expérience, si l’on n’admet pas
distincts. Enlevons par la pensée ces états de conscience. Nous nous
représentons
fort bien le temps comme composé d’instants succe
dmet que l’étendue est composée d’éléments discontinus, on peut se la
représenter
sous la forme d’un ensemble de points discontinus
la représenter sous la forme d’un ensemble de points discontinus qui
représenteraient
l’emplacement des forces élémentaires dont nous a
, mais seulement des états de conscience où ils ont été primitivement
représentés
. Aussi Royer Collard a-t-il dit que nous ne souve
articulier et l’individuel tandis que l’imagination laisse aux objets
représentés
leurs caractères personnels. Elle donne à l’indiv
tion oubliera tout ce qui est individuel. La mémoire imaginative nous
représente
au contraire les objets déjà perçus, sous des for
atériaux que lui fournit la mémoire. C’est grâce à elle que nous nous
représentons
ce que nous n’avons jamais vu. Cette combinaison
cience disparaît, le moi cesse d’agir, cesse d’être. Comment alors se
représenter
que le moi renaisse après avoir été anéanti, et c
est rien qu’un flatus vocis. Quand nous énonçons ce mot, nous ne nous
représentons
même selon eux, rien de réel et de concret. Suppr
Müller n’a donc pas de portée. Or, d’une manière générale, comment se
représenter
que l’homme commence par penser les idées général
onie, mais ne conviendrait pas à la littérature de nos jours, où l’on
représente
volontiers des passions fougueuses, ne conviendra
ées. C’est ce qu’a fait, par exemple, Dugald Stewart. Ce philosophe a
représenté
l’habitude comme n’étant autre chose qu’une assoc
lance inclinant du côté où les poids sont les plus lourds ; les poids
représentent
les motifs, et le fléau la volonté. (Flaubert) Ai
ut et l’élection du motif le plus fort. Une fois que nous nous sommes
représenté
le but nous avons la faculté de délibérer, et de
nature de Dieu et la liberté humaine. Deux attributs de Dieu ont été
représentés
comme inconciliables avec notre liberté : ce sont
es sacrifient cette dernière. Cette contradiction vient de ce qu’on a
représenté
Dieu dans le temps : pour lui il n’y a ni passé,
ure à tort de l’intuition d’une représentation l’existence de l’objet
représenté
. Restent les deux facultés discursives, analyse e
ompons parce qu’au nombre des propriétés qui constituent A, nous nous
représentons
B, c’est-à-dire qu’aux propriétés nous en ajouton
es : la compréhension, ensemble des caractères qui distinguent l’idée
représentée
de toute autre. L’extension au contraire est l’en
emagne, Euler a exposé une théorie fort ingénieuse du syllogisme : il
représente
par un cercle l’extension de chacun des trois ter
indiqué par le rapport de contenance ou d’extériorité de ces cercles.
Représentons
par le cercle H l’idée d’homme, par le cercle M l
nt des sectes philosophiques, venant de l’esprit de système. Bacon se
représente
les philosophes de tout temps comme jouant sur un
ment le rapport qui unit certains signes et les états d’esprit qu’ils
représentent
. Cette théorie supposerait chez l’enfant des inst
ans doute il n’est pas venu un homme qui a cherché telle syllabe pour
représenter
telle idée, mais ce n’est pas non plus instinctiv
e dis : « J’ai vu au Louvre les Noces de Cana », j’étais obligé de me
représenter
en entier et le Louvre et le tableau, il me faudr
affirmé très catégoriquement que non. En effet, dit-il, comment nous
représenter
l’abstrait, puisqu’il n’existe pas ? Il faut que
é par exemple l’ensemble des êtres intelligents et libres. Comment se
représenter
cela sans signes ? Nous ne pouvons pas penser seu
Nous ne pouvons pas penser seulement ces deux qualités, il faut nous
représenter
un être intelligent et libre. Mais alors ce ne se
individuelle C’est là la sphère élémentaire de la moralité ; on se
représente
l’homme vivant d’une vie isolée, sans rapport ave
éterminer le concept de l’âme, puis remarque que ce concept peut être
représenté
à l’esprit sans le concept du corps ; il en concl
e ne sois pas, et par conséquent que je ne pense pas. Je puis donc me
représenter
l’âme définie par la pensée, abstraction faite de
a vie des propriétés un principe spécial. L’Organicisme, par exemple,
représente
ces propriétés comme disséminées dans les organes
nçue par une intelligence ordonnatrice qu’est due l’harmonie que nous
représente
le monde. La cause de cette harmonie n’est pas no
ation nécessaire et mécanique. Mais il est bien des cas où l’on ne se
représente
pas comment a pu avoir lieu cette adaptation. Une
’ici nous avons établi l’existence d’une fin. Mais comment faut-il se
représenter
cette finalité ? L’argument physico-théologique a
es attributs métaphysiques et les attributs moraux. Les premiers nous
représentent
Dieu comme être en général, les seconds nous repr
emiers nous représentent Dieu comme être en général, les seconds nous
représentent
Dieu comme une personne. Attributs métaphysique
ser absolument comme il lui plaisait. Mais, peut-on dire, pourquoi se
représenter
Dieu en dehors du monde ? Pourquoi l’univers ne s
l a revêtu des formes très différentes. Tantôt le Dieu-monde nous est
représenté
comme un principe matériel. Le panthéisme est dit
nique, du moins en grande partie. Tantôt le premier principe nous est
représenté
comme spirituel ; ainsi, Hegel met l’Idée au comm
dire qu’une chose, c’est qu’il l’a créé. Il ne faut pas chercher à se
représenter
ce que veut dire ce mot ; l’imagination ni la rai
théodicée de Leibniz. Suivant lui, au moment de la création, Dieu se
représente
l’infinité des univers possibles. Il choisit non
pensée le comprenne. Les tragédies, les ouvrages d’imagination, vous
représentent
l’adversité comme un tableau où le courage et la
vous déchire. Les indifférents, les connaissances intimes mêmes, vous
représentent
, par leurs manières avec vous, le tableau raccour
le attente de tout le jour, le réveil est un coup douloureux qui vous
représente
chaque matin votre malheur avec l’effet de la sur
us nobles operations de la peinture. Telle étoit l’histoire de Niobé,
représentée
avec quatorze ou quinze statuës liées entr’elles
nte Therese par Le Bernin, comme le grand bas-relief de l’Algarde qui
représente
saint Pierre et saint Paul en l’air ménaçants Att
u qu’on put voir ce fleuve sous la forme d’un ruisseau. La statuë qui
représente
le Nil, et que Le Bernin a rendu reconnoissable p
tradictions inhérentes au mouvement et au changement, tels que se les
représente
notre intelligence. À surmonter, à tourner par un
ternité. De là vient qu’ils n’arrivent pas, quoi qu’ils fassent, à se
représenter
la nouveauté radicale et l’imprévisibilité. Je ne
é, il faut se replacer dans la durée pure. Essayez, en effet, de vous
représenter
aujourd’hui l’action que vous accomplirez demain,
Comme si ces termes ne dataient pas de l’apparition des objets qu’ils
représentent
! Comme si la chose et l’idée de la chose, sa réa
r et érigée par notre esprit en substitut de l’ensemble. La pensée se
représente
ordinairement le nouveau comme un nouvel arrangem
agir, de penser à ce qu’on fera, de comprendre ce qu’on a fait, de se
représenter
ce qu’on aurait pu faire : la nature nous y invit
Les idées abstraites toutes seules nous inviteraient donc ici à nous
représenter
l’esprit sur le modèle de la matière et à le pens
érigé par eux en explication du monde, alors qu’ils se bornaient à le
représenter
conventionnellement par un signe. Nous le disions
manque d’ordre ou d’un manque d’être puisse seulement l’effleurer. Se
représenter
la possibilité du désordre absolu, à plus forte r
pas. Mais la question qui se surajoute chez lui à la besogne faite ne
représente
en réalité que du négatif ; ce n’est pas du plus,
e l’être ? Ils s’évanouissent, puisqu’ils ne se posent que si l’on se
représente
l’être et l’ordre comme « survenant », et par con
tous : et ceux qui voulurent bien la faire n’eurent pas de peine à se
représenter
la substantialité du moi comme sa durée même. C’e
tre chose que du solide. L’inévitable propension de notre esprit à se
représenter
l’élément comme fixe était légitime dans d’autres
dinairement intelligence ? Nous disons que c’est de l’intuition. Elle
représente
l’attention que l’esprit se prête à lui-même, par
tre esprit attribuera à des choses diverses la même propriété, se les
représentera
de la même manière, les groupera enfin sous la mê
calquées sur les mots devait céder la place à une connaissance exacte
représentée
par des signes plus précis : la science se consti
est convenu d’appeler immobilité. Mais la vérité est qu’il a beau se
représenter
la stabilité comme une complexité de changement,
Pour ma part, je crois l’expérimenter à chaque instant. J’ai beau me
représenter
le détail de ce qui va m’arriver : combien ma rep
ntuelle ou virtuelle à la multiplicité et à la variabilité des objets
représentés
, voilà d’abord ce que marque et dessine la généra
t à tout instant des formes inattendues. Mais notre intelligence s’en
représente
l’origine et l’évolution comme un arrangement et
n carré rond — l’existence d’un son, flatus vocis, — ou bien, si elle
représente
quelque chose, elle traduit un mouvement de l’int
i, par hypothèse, en comprenait deux. Ou l’idée de désordre absolu ne
représente
qu’une combinaison de sons, flatus vocis, ou, si
tenu intellectuel dans les idées de désordre et de néant, quand elles
représentent
quelque chose, que dans celles d’ordre et d’exist
culier, les préoccupait. On vint un jour me demander comment je me le
représentais
. Je déclarai, un peu confus, que je ne me le repr
nt je me le représentais. Je déclarai, un peu confus, que je ne me le
représentais
pas. « N’apercevez-vous pas tout au moins, me dit
m’a fait en m’invitant à venir parler chez elle. Je me suis toujours
représenté
Oxford comme un des rares sanctuaires où se conse
si une conception ne vaut que par les perceptions éventuelles qu’elle
représente
. Il ne s’agit pas seulement, bien entendu, de la
ine de la qualité, où tout est hétérogène à tout, et où une partie ne
représentera
jamais l’ensemble qu’en vertu d’un décret contest
s nuances d’émotion et de pensée nous apparaissent qui pouvaient être
représentées
en nous depuis longtemps, mais qui demeuraient in
sible. Pourquoi la jugea-t-il impossible ? Précisément parce qu’il se
représenta
une vision de ce genre — je veux dire une vision
— je veux dire une vision de la réalité « en soi » — comme se l’était
représentée
Plotin, comme se la sont représentée en général c
té « en soi » — comme se l’était représentée Plotin, comme se la sont
représentée
en général ceux qui ont fait appel à l’intuition
route. Nous avons besoin d’immobilité, et plus nous réussirons à nous
représenter
le mouvement comme coïncidant avec les immobilité
me. Mais ce qui favorise ici l’action serait mortel à la spéculation.
Représentez
-vous un changement comme réellement composé d’éta
e : le mouvement n’implique pas un mobile 19. On a de la peine à se
représenter
ainsi les choses, parce que le sens par excellenc
ndivisible. Sans doute nous avons une tendance à la diviser et à nous
représenter
, au lieu de la continuité ininterrompue de la mél
on qu’en aurait un chef d’orchestre regardant sa partition. Nous nous
représentons
des notes juxtaposées à des notes sur une feuille
ont abouti les théories de la personnalité viennent de ce qu’on s’est
représenté
, d’une part, une série d’états psychologiques dis
le faire par la philosophie et par le langage. Nous inclinons à nous
représenter
notre passé comme de l’inexistant, et les philoso
sans mémoire. Elle périrait et renaîtrait donc sans cesse. Comment se
représenter
autrement l’inconscience ? Il faudra donc évoquer
qualités, continuité de progrès, unité de direction. On ne saurait la
représenter
par des images. Mais on la représenterait bien mo
de direction. On ne saurait la représenter par des images. Mais on la
représenterait
bien moins encore par des concepts, c’est-à-dire
r lui, adopte les mêmes contours. Extraite de l’objet métaphysique et
représentée
en un concept, elle s’élargit indéfiniment, elle
verse, même quand je mets des lettres bout à bout, je commence par me
représenter
une signification plausible : je me donne donc un
s, comme nous le montrerons ailleurs, vont d’ordinaire par couples et
représentent
les deux contraires. Il n’est guère de réalité co
le mouvement dans l’espace. Je puis, tout le long de ce mouvement, me
représenter
des arrêts possibles — c’est ce que j’appelle les
l’intérieur d’une réalité sur le modèle de laquelle nous devons nous
représenter
les autres. Toute réalité est donc tendance, si l
a pour principale fonction, dans le cours ordinaire de la vie, de se
représenter
des états et des choses. Il prend de loin en loin
bien prise et une généralisation bien fondée. Trop souvent nous nous
représentons
encore l’expérience comme destinée à nous apporte
pres théories : « Elles seront plus tard remplacées par d’autres, qui
représenteront
un état plus avancé de la question, et ainsi de s
fférent à la philosophie et satisfait du sens commun : toujours on se
représente
un ou plusieurs principes simples, par lesquels s
ère. Tandis que notre intelligence, avec ses habitudes d’économie, se
représente
les effets comme strictement proportionnés à leur
e la vie que nous vivons tous les jours et celle que les acteurs nous
représentent
, le soir, sur la scène. Au théâtre, chacun ne dit
» de William James ne signifie guère autre chose. L’antiquité s’était
représenté
un monde clos, arrêté, fini : c’est une hypothèse
ttribué à sa pensée le pouvoir de tout embrasser, il est obligé de se
représenter
toutes choses en termes de pensée : à ses aspirat
it et naturelle aussi à la philosophie, parce qu’il est naturel de se
représenter
la réalité comme un tout parfaitement cohérent et
as cet univers économique et systématique que notre logique aime à se
représenter
, si elle n’est pas soutenue par une armature d’in
en fait du vert ; nous ne pouvons la définir qu’en disant qu’elle ne
représente
ni du rouge, ni du bleu, ni du vert ; c’est une a
trer réciproquement et s’animer d’une vie commune les deux génies qui
représentaient
à ses yeux la philosophie dans ce qu’elle a de pl
nature que l’auteur y expose. Qu’est-ce que la nature ? Comment s’en
représenter
l’intérieur ? Que cache-t-elle sous la succession
ne conscience obscurcie et une volonté endormie, que nous devons nous
représenter
la nature ? L’habitude nous donne ainsi la vivant
l genre d’opération ? Si la vie est une création, nous devons nous la
représenter
par analogie avec les créations qu’il nous est do
e, tout revient à l’unité de l’esprit », inversement nous devons nous
représenter
au début une distension d’esprit, une diffusion d
son choix, et il ne les lui impose pas sans regret. Un bas-relief le
représente
tenant d’une main un papillon (âme et papillon, s
urquoi surtout la distinction entre le physicien réel et le physicien
représenté
comme réel prend une importance capitale dans l’i
e ; et le physicien réel de tout à l’heure n’est plus qu’un physicien
représenté
. M. Langevin a exprimé en termes définitifs l’ess
sions où entrent des paramètres qui sont tout ce qu’on voudra, qui ne
représentent
pas plus du Temps ou de l’Espace que n’importe qu
, plus tard à l’Hôtel de Flandre, ils lurent peut-être les premiers à
représenter
le drame de la Passion : ils furent sans doute le
deux à Paris, qui se sont fait une tradition et comme un privilège de
représenter
des œuvres profanes et comiques. Ce sont les baso
grelots. Il se peut que, selon une hypothèse assez vraisemblable, ils
représentent
les célébrants de la fête des fous, quand cette j
avait qu’une existence virtuelle et nominale. La basoche au contraire
représentait
un état : elle reposait sur la profession habitue
de la sottie. En 1511, au Mardi gras, Gringore, étant Mère Sotte, fit
représenter
aux Halles le Jeu du prince des Sots, suivi d’une
n’ont sans doute pas été faits pour la scène. Mais ces 150 pièces ne
représentent
qu’une partie infiniment petite de la production
e et toutes les femmes. Le mari, en général, est un nigaud : la farce
représente
toujours le ménage du voisin. L’amoureux est plut
Mystères inédits, Paris, 1837, 2 vol. in-8 : ces mystères paraissent
représenter
le répertoire des Confrères de la Passion antérie
Qu’y a-t-il de vrai, qu’y a-t-il d’illusoire dans cette manière de se
représenter
les choses ? Ce qui importe pour le moment, ce n’
s’il fixait son attention sur le temps lui-même, nécessairement il se
représenterait
de la succession, et par conséquent de l’avant et
y attache un sens anthropomorphique. Mais point n’est besoin, pour se
représenter
une chose qui dure, de prendre sa mémoire à soi e
mporte quel temps conçu, car on ne peut concevoir un temps sans se le
représenter
perçu et vécu. Durée implique donc conscience ; e
us que l’espace, et un espace qui, ne sous-tendant plus une durée, ne
représenterait
plus du temps. Maintenant, rien n’empêche de supp
a une réalité positive, si le retard de la durée sur l’instantanéité
représente
une certaine hésitation ou indétermination inhére
s enfants. Les esprits les plus réfractaires aux premiers éléments se
représentent
tout de suite, et sans difficulté, des lignes san
l est évident que l’hypothèse perdrait de sa signification si l’on se
représentait
la conscience comme un « épiphénomène », se suraj
ts faits, qui appartiennent à un ancien monde disparu, et qui nous le
représentent
dans une entière vérité, nous plaisent et nous at
« Son portrait, qui est à Motteville, dit le Journal des savants, la
représente
comme une brune fort jolie. » Le seul portrait gr
ne peuvent plus être belles passé vingt-deux ans. Pour achever de la
représenter
telle que je l’ai vue, il faut avouer qu’elle ava
mille nuages : « La Vérité, dit-elle, que les poètes et les peintres
représentent
toute nue, est-toujours devant eux habillée de mi
tacle en diminue fort le plaisir, et que les vers, répétés naïvement,
représentent
plus aisément la conversation et touchent plus le
que disposé à la tendresse ou à la passion. Cette comédie italienne,
représentée
chez le cardinal, excita l’enthousiasme de quelqu
caractère, les artifices et les talents du cardinal Mazarin, elle le
représente
, pendant un séjour qu’il fait à Paris (mai 1647),
u, Racine ou Bossuet, c’est ce qu’il appelle l’esprit français, qu’il
représente
comme un type, Platon dirait comme une idée à laq
scipline, du sens commun ? Il faut alors abandonner Descartes, car il
représente
précisément le principe contraire, le principe de
tes soit l’idéal du faux, car l’un est le contraire de l’autre : l’un
représente
le sens propre, l’autre le sens commun ; l’un la
s de M. Nisard sur Corneille et Racine. Rien n’est moins exact que de
représenter
le théâtre français comme une imitation du théâtr
iations qu’il nous reste à discuter. Le principe de la discipline est
représenté
au xviie siècle, selon M. Nisard, par deux grand
la raison et la discipline ne marchaient pas ensemble. La discipline
représentée
par l’Académie était ennuyeuse, médiocre et sans
tée par l’Académie était ennuyeuse, médiocre et sans goût ; la raison
représentée
par Boileau était alors une indiscipline. Boileau
lorifiques ou électriques, bien plus encore, la formule mécanique qui
représente
la masse, la vitesse, et la position de tous les
de son toucher et les perceptions de sa vue. Avant l’opération, il se
représentait
une tasse de porcelaine comme froide, polie, capa
aire ; la seconde vient du dehors, par plusieurs intermédiaires. — Se
représenter
une sensation, c’est avoir présente l’image de ce
nsation elle-même directement répétée et spontanément renaissante. Se
représenter
un mouvement moléculaire des centres nerveux, c’e
s mécaniques, et toutes les indications de la science concourent à le
représenter
comme autre en degré, mais le même en nature160 ;
te. Phrase à phrase, mot à mot, l’événement physique, tel que nous le
représentons
, traduit l’événement moral. Que le lecteur suive
qu’à ce prix ; tout de même le lecteur doit voir, comme si elle était
représentée
, la pièce qu’il lit et pour ainsi dire presque li
t que pour insister sur l’avantage de cette méthode qui consiste à se
représenter
les mouvements et les attitudes des acteurs et re
me autrement, et il me semble qu’en vérité on ne le peut pas. J’ai vu
représenter
le commencement d’Athalie de la façon suivante :
qui se reconnaîtra toujours quand il fait parler le personnage qui le
représente
, ou toutes les fois, dans quelque rôle que ce soi
en son nom et je veux dire quand il fait parler le personnage qui le
représente
ou le personnage qui lui est particulièrement sym
i dire. Le personnage, par exemple, qui raille le personnage ridicule
représente
approximativement l’auteur, et il n’y a pas à dou
commedia dell’arte a atteint son plus haut point de perfection ; ils
représentent
en quelque sorte son âge classique. C’est donc ch
Naples, à Ferrare, à Pérouse, à Parme, à Pesaro, etc. Mais le théâtre
représente
presque toujours le même décor traditionnel, au m
sa femme, ses enfants, les soldats et jusqu’au capitaine. Le théâtre
représentait
aussi des jardins, des forêts, des cavernes, etc.
en tête de chaque pièce les accessoires qui sont nécessaires pour la
représenter
. Il inscrit, par exemple, dans la liste des robbe
comme une des plus simples et des plus communes qu’offrent les pièces
représentées
par les Gelosi. Voici encore quelques analyses so
éponses sont possibles. La première est naturaliste ; elle consiste à
représenter
la pensée comme le reflet ou l’enregistrement pas
à exister une seconde fois ». En face de cette doctrine, l’idéalisme
représente
le sujet pensant comme le principe même des lois
du miroir qui explique celle de l’image, et par cela même de l’objet
représenté
. L’idéalisme kantien de Schopenhauer peut être pr
voir me restreindre à ceux que je pouvais tirer des ouvrages modernes
représentés
depuis peu, ou des œuvres classiques jouées le pl
discrétion de la mise en scène idéale, dans la proportion où l’œuvre
représentée
s’approche de la perfection. Chapitre IV Ra
onscience susceptible de goûter, soit la beauté littéraire de l’œuvre
représentée
, soit la profondeur et la vérité psychologique de
n scène doivent être en raison inverse de la valeur propre de l’œuvre
représentée
. L’idéal pour un directeur, serait de n’avoir à m
our un directeur, serait de n’avoir à monter que des pièces qu’on pût
représenter
dans un décor banal. Ainsi donc, la direction d’u
eur intrinsèque et son effet représentatif. C’est, en un mot, l’œuvre
représentée
qui perd à cette transformation insensible ; et s
ie immédiatement à des coordinations tout à fait étrangères à l’œuvre
représentée
sous nos yeux, ou pour que cette force nerveuse s
et représentatif d’objets qui, appartenant censément à l’un des plans
représentés
en peinture sur la toile de fond, semblent s’en d
t encore nous suggérer quelques réflexions importantes. Un tableau ne
représente
jamais qu’un moment d’une action, tandis que la m
un de ses plus beaux tableaux, aujourd’hui détruit par un incendie, a
représenté
un arbre tordu par le vent et aux pieds duquel un
in vers une coupe que lui présente le serviteur des Onze : ce tableau
représente
la mort de Socrate. L’esprit du spectateur achève
ement ; et tous deux, par suite de la logique rigoureuse de l’esprit,
représentent
la mort de Socrate et celle de Jane Grey aussi sû
le de produire sur l’esprit une excitation spéciale. Quant aux objets
représentés
, qui par leur nature auraient pu faire partie du
ent les spectateurs et les personnages de la plupart des pièces qu’on
représente
à ce théâtre. Au Châtelet, comme à la Gaîté ou à
ccorder tous les éléments avec la personnalité morale des personnages
représentés
. C’est donc par une conséquence logique que le dé
effet analogue ? Du bois blanc habilement peint ne suffira-t-il pas à
représenter
à nos yeux le meuble le plus précieux ? Qu’on le
en donner un exemple historique frappant. Supposons qu’un poète nous
représente
Périclès pleurant sur le tombeau du dernier de se
iculier en proportion de la connaissance que nous possédons du milieu
représenté
. En tout cas, il faut avoir le courage de répudie
ères. Si donc, pour en revenir à l’objet de ce chapitre, il s’agit de
représenter
un milieu éloigné du nôtre par la distance ou le
et modérée, d’éviter la recherche des effets trop spéciaux au milieu
représenté
, enfin de ne marquer l’œuvre que des traits parti
s devons rapporter tout ce que nous créons aujourd’hui dans le but de
représenter
telle ou telle époque passée. Ce sont donc, dans
urs du temps, le rencontrer sur la scène tragique elle-même où furent
représentés
les drames de Sophocle et d’Euripide ? Nos recher
t la seule indication portée par Racine en tête de Phèdre. Le théâtre
représente
le péristyle du palais de Thésée, entouré d’un po
je ne saurais en dire autant de la toile du fond, qui, en définitive,
représente
l’acropole d’Athènes, ou une colline sainte qui l
ves. Si par impossible on pouvait arrivera une vérité absolue et nous
représenter
nos tragédies dans les véritables costumes des co
nache éclatant. L’aspect n’est pas tel qu’il devrait être. Si on nous
représentait
Thésée au cours d’un de ses exploits amoureux, il
la composition d’un rôle. Dans la tragédie de Racine, telle qu’on la
représente
, Phèdre est vêtue d’une simple tunique rattachée
rieur physique en rapport avec le sentiment moral du personnage qu’il
représente
. Or, nous avons dit que le costume fait partie de
uche ou de droite. Pour eux toutefois le point de convergence optique
représente
encore une moyenne de distance et d’obliquité. Ce
ualité, il y a quelques précautions à prendre. Ainsi, si l’on voulait
représenter
la mort du duc de Guise, et que l’on s’appliquât
ingt-quatre heures. L’action se divisait en général en cinq actes qui
représentaient
cinq moments successifs. Toutefois, la règle des
icultés de mise en scène. C’est ainsi que l’Othello de M. de Gramont,
représenté
il y a deux ans à l’Odéon, est dénommé drame en c
nuation, après interruption, du moment précédent de l’action. Un acte
représente
une suite de sensations étroitement associées ; s
le souvenir de ces mêmes faits nous revient à la mémoire, ceux-ci se
représentent
à notre esprit. Or, entre la présentation et la r
ès claire des idées qui fait les grands comédiens. Si l’un d’eux doit
représenter
une scène de folie, ira-t-il à Bicêtre étudier un
e que vous dessinez à ses yeux avec l’idée qu’il s’est formée du fait
représenté
. Chapitre XXXII De l’acteur. — De la format
blic. — Toute évolution idéale implique une modification dans l’image
représentée
. — C’est la généralité d’un phénomène qui justifi
a de l’intuition et de la pénétration, ne se contentera plus pour les
représenter
des traditions de métier, mais modifiera son jeu
’image générale qui seule répondait à l’idée que se faisaient du fait
représenté
les dix-huit cents spectateurs. À un autre point
’idée générale, de telle sorte que, si le cas particulier devait être
représenté
, il faudrait de la part de l’auteur beaucoup d’ha
nature ne nous offre jamais et que l’esprit peut seul concevoir et se
représenter
. Aussi le point de départ essentiel de cet art tr
mais à l’acte qu’ils accomplissent ; non à la vérité générale qu’ils
représentent
, mais aux traits particuliers sous lesquels la vé
ires part d’un bon naturel, je veux le croire, mais l’entraîne à nous
représenter
trop souvent comme contradictoires l’élévation mo
e acte de Il ne faut jurer de rien, le décor, à la Comédie-Française,
représente
un bois sombre et sauvage. Les arbres qui montent
i coule de la fontaine, la légende de Rébecca n’a aucune raison de se
représenter
à la mémoire de Sichel. Les cas où une mise en sc
ification dans la direction de sa trajectoire. Tous ces tableaux nous
représentent
la vie dans sa complexité et dans son hétérogénéi
relief cette double contradiction. Dans la Charbonnière , un tableau
représentait
une salle d’hôpital. L’aspect de cette salle nue,
re. Dans le Pavé de Paris , joué à la Porte-Saint-Martin, un tableau
représentait
l’intérieur d’un tunnel. À un moment donné, un tr
pour la distance réelle. Dans La Jeunesse du roi Henri, un des décors
représentait
un carrefour dans une forêt, et la perspective ha
nsécutives ne peut être égale, et il s’ensuit que chaque formation ne
représente
pas un acte complet de la création, mais seulemen
ou plus tard, il commence de même graduellement à décroître. Si l’on
représente
le nombre des espèces d’un genre ou des genres d’
les formations géologiques successives dans lesquelles ce groupe est
représenté
, il se peut quelquefois que l’extrémité inférieur
nte que leur production. Si, comme nous l’avons vu précédemment, l’on
représentait
l’apparition et la disparition d’un groupe d’espè
indique le mouvement de décadence, qu’à son extrémité inférieure, qui
représente
l’apparition première du groupe et la multiplicat
n de ces genres. La figure se trouve ainsi trop simple, en ce qu’elle
représente
trop peu de genres et trop peu d’espèces ; mais c
est sans importance pour la question. Les lignes horizontales peuvent
représenter
des formations géologiques successives, et toutes
ccessives les mêmes traits caractéristiques. C’est ce que nous voyons
représenté
dans la figure par la lettre F14. Ainsi que nous
à divers étages inférieurs de la série, les trois familles vivantes,
représentées
sur la ligne supérieure, deviendraient moins dist
ces qui ont vécu pendant la sixième époque de filiation généalogique,
représentée
sur la figure, sont la postérité modifiée de cell
de dégénérescence ? C’est ainsi que peut-être le monde microscopique
représente
aujourd’hui la photographie réduite des premières
tirer, sans le forcer, tout ce qu’il contient. Le Théâtre Français a
représenté
une pièce nouvelle de M. Émile Augier, déjà connu
est tenté de croire que c’est le premier caractère que M. Féline nous
représente
, et c’est le seul qui aurait quelque originalité
tion presque, ou du moins tout ce qui en tient lieu socialement et la
représente
, et cela en envoyant promener sa conscience et mê
conditions, dont la première et la plus fondamentale, est que l’être
représenté
par l’artiste soit vivant : « la vie, fût-ce cell
en définitive à nous faire sympathiser avec les individus qu’il nous
représente
, s’adresse ainsi aux côtés sociaux de notre être
resse ainsi aux côtés sociaux de notre être ; il doit donc aussi nous
représenter
ses personnages par leurs côtés sociaux. » Le hér
tz. En outre il est des types proprement sociaux, qui ont pour but de
représenter
l’homme d’une époque dans une société donnée ; or
sentir avec force dans la vie que ce qui lui paraît le plus facile à
représenter
par l’art, « ce qui peut immédiatement se transpo
a vécu le plus longtemps parmi nous, et qui a ainsi le plus longtemps
représenté
en sa personne le dix-neuvième siècle : Victor Hu
s puissants génies littéraires ou dramatiques préfèrent ordinairement
représenter
le vice, plutôt que la vertu. « Le vice est la do
é à Yorick enterré, et où ce qu’il y a de plus réel, c’est la royauté
représentée
par un fantôme et la gaieté représentée par une t
e plus réel, c’est la royauté représentée par un fantôme et la gaieté
représentée
par une tête de mort. Hamlet est le chef-d’œuvre
i à part des hommes, Hamlet a pourtant en lui on ne sait quoi qui les
représente
tous. Agnosco fratrem. À de certaines heures, si
ut maladif qu’il est, Hamlet exprime un état permanent de l’homme. Il
représente
le malaise de l’âme dans la vie pas assez faite p
aite pour elle. La chaussure qui blesse et qui empêche de marcher, il
représente
cela ; la chaussure, c’est le corps. Shakespeare
me qui est devenu force.” Ce drame a les proportions épiques. Macbeth
représente
cet effrayant affamé qui rôde dans toute l’histoi
ce et Léir roi d’Angleterre. Toute la terre était alors mystérieuse ;
représentez
-vous cette époque : le temple de Jérusalem est en
nnages et faire rapidement un fond de tableau ; mais ils n’ont jamais
représenté
nuement, comme nous, les fleuves, les montagnes e
pas à moi de publier ces merveilles, pendant que le Saint-Esprit nous
représente
si vivement la joie triomphante de la céleste Jér
cité de mon peuple219. » Voilà de quelle manière le Saint-Esprit nous
représente
les joies de ses enfants bienheureux. Puis, se to
e, les fait doucement entrer dans le cœur ; mais de la manière que se
représente
le prédicateur dont je parle, il est bien aisé de
des ânes, etc. C’est l’École flamande. Il dit ensuite qu’Auguste fit
représenter
, sur les murs des palais et des temples, des pays
es voûtes des thermes de Titus, dont Raphaël étudia les peintures, ne
représentaient
que des personnages. Quelques empereurs iconoclas
iés. La fameuse mosaïque du palais des princes Barberins à Palestrine
représente
dans sa partie supérieure un pays de montagnes, a
lligemment leur voie pour se transformer en mouvements accomplis ; il
représente
donc bien l’état actuel de mon devenir, ce qui, d
de ce terme se trouvant ainsi limitée, on aurait moins de peine à se
représenter
un état psychologique inconscient, c’est-à-dire,
sentiels. D’abord, les objets échelonnés le long de cette ligne AB
représentent
à nos yeux ce que nous allons percevoir, tandis q
ique. Nous avons montré en effet que les objets situés autour de nous
représentent
, à des degrés différents, une action que nous pou
s un rôle du même genre. Mais nous éprouvons beaucoup de peine à nous
représenter
ainsi les choses, parce que nous avons contracté
es j’agis, le siège, en un mot, des phénomènes sensori-moteurs. Si je
représente
par un cône SAB la totalité des souvenirs accumul
e qu’elle engendre jouerait sans cesse son existence au lieu de se la
représenter
véritablement : automate conscient, il suivrait l
gagera, et l’idée générale aura ainsi été sentie, subie, avant d’être
représentée
. — Nous voici donc enfin affranchis du cercle où
s extrêmes ; il se meut entre elles, adopte tour à tour les positions
représentées
par les sections intermédiaires, ou, en d’autres
sont pas là des formes contingentes de notre vie psychologique. Elles
représentent
les deux aspects complémentaires d’une seule et m
est de même de l’association par contiguïté. Dans le plan extrême qui
représente
la base de la mémoire, il n’y a pas de souvenir q
d’elle-même, être plus ou moins jouée par le corps en même temps que
représentée
par l’esprit. Notre corps, avec les sensations qu
ardouin allait bien avec tout ce qu’on savait de lui, et quand on lui
représentait
qu’il aimait trop à s’écarter en tout des opinion
s cette assemblée, où les chefs des deux partis furent convoqués. J’y
représentais
la neutralité. On but à la santé d’Homère, et tou
ractère dans la société, un certain abbé Cartaud de La Vilate nous la
représente
sous une forme grotesque et ridicule qui ne fut j
e en vieillissant une demoiselle de Gournay, une sorte de sibylle qui
représentait
avec emphase et solennité le bon vieux temps. Sai
, dans une élégie également latine sur la mort de Mme Dacier, nous la
représente
arrivant aux champs Élysées et reçue par sa fille
z agréable d’ensemble. Dans le seul portrait qu’on a d’elle, elle est
représentée
déjà vieille, avec une coiffure montante et, je l
isies, demanderaient pourtant à être serrées d’un peu plus près ; qui
représentez
bien plus un ton et une couleur de société, des i
vait prise20. Cette place, cette fonction, quelle est-elle ? et que
représente-t
-il dans la presse ? Pour bien répondre à la quest
t mêlés, on n’en saurait méconnaître la valeur et la portée. Qu’on se
représente
où en était, en général, le libéralisme sur la fi
u moins aux classes politiques avancées et suffisamment éclairées qui
représentent
cette humanité à leurs yeux. Et je n’ai pas à all
s en mesure de répondre à la question que j’avais posée d’abord : que
représente-t
-il dans la presse quotidienne ? Il me représente
osée d’abord : que représente-t-il dans la presse quotidienne ? Il me
représente
quantité d’esprits comme il y en a dans notre pay
issante de la lumière de la rampe. » Il en résulte qu’il ne peut que
représenter
grossièrement et avec affectation les gestes exté
ec eux les décors qu’il faut donner au drame : « La peinture, dit-il,
représentera
(dans le théâtre) le paysage, qui, vivant, sera c
fond devant lequel se manifestera l’homme vivant ; la scène, qui doit
représenter
l’image de la vie humaine, doit pouvoir contenir
L’Art de la danse, dit-il, est le plus réaliste de tous les arts. Il
représente
l’homme vivant (animé), non seulement dans une de
ntrepris des rôles de coryphées, les Filles-Fleurs de Klingsor », que
représentaient
avec un empressement joyeux des chanteuses de tou
décor dans la mimique, c’est-à-dire d’en faire une chose vivante. Il
représente
le milieu ; et, en particulier dans Parsifal, où
bes dominent, mais dans une orientation parfaite. Les verticales sont
représentées
par les colonnades et par l’axe de la pyramide qu
pparaissent enlacés, apportant du lac d’où ils viennent la fraîcheur,
représentent
la pureté du Gral — comme, aussi, le cortège de l
e de calme résigné ; Gurnemanz, enfin, le vieux compagnon de Titurel,
représente
l’ancien temps de splendeur guerrière, par sa rud
, revêtue d’un costume étrange qui n’appartient à aucune époque, elle
représente
la séduction profonde opposée à ce charme joyeux
amp; Marmontel ressemble peu à celle de Corneille & de Racine. On
représente
pourtant encore la Médée de Longepierre, tandis q
n représente pourtant encore la Médée de Longepierre, tandis qu’on ne
représente
plus Denys le Tyran, Aristomene, Cléopatre, &
, mais quelques-uns de ses termes et un de leurs caractères abstraits
représenté
en nous par un nom. — Substitution de la formule
élevé où tout esprit s’arrête ; nous ne pouvons pas percevoir ou nous
représenter
distinctement ensemble au-delà d’un certain nombr
lle-là est la limite, un mouvement et une force par une ligne qui les
représente
. De chaque province, on passe à l’autre par des s
erschell. Des objets infinis, séries ou quantités8, peuvent donc être
représentés
par une propriété abstraite ; il suffit que celle
prit, et nous disons que notre esprit, par-delà toutes les images, se
représente
et combine les qualités abstraites des choses. Le
and nous cherchons à imaginer une courbe, nous ne pouvons pas nous la
représenter
sans épaisseur ; de même, quand nous nous représe
ons pas nous la représenter sans épaisseur ; de même, quand nous nous
représentons
une droite, nous la voyons sous la forme d’une ba
s cette limite. Et alors il est clair que nous pourrons toujours nous
représenter
ces deux rubans étroits, l’un rectiligne, l’autre
la plupart mal définis ; on croyait les connaître, parce qu’on se les
représentait
avec les sens ou l’imagination ; mais on n’en ava
eviendraient bientôt impuissants ; nous ne pouvons, par exemple, nous
représenter
le chilogone, et cependant nous raisonnons par in
l’un contre l’autre de tout l’élan de leur vertu exclusive, le chœur
représente
la majestueuse et paisible harmonie de l’Idée div
est un art et un art important, je puis affirmer a priori qu’elle la
représente
à sa manière, que certainement elle ne la contred
u de son suicide insensé. Mais ce tableau n’est point immoral, car il
représente
comme nécessaire la destruction de l’immoralité ;
ersonnalité ne paraissait pas. La tragédie classique s’était bornée à
représenter
l’harmonie nécessaire et la collision accidentell
ge de Falstaff, le plus beau modèle du premier. Le théâtre de Molière
représente
assez bien le second. Enfin don Quichotte, ce hér
ie. T. V, p. 182. 189. T. II, p. 273 à 275. 190. L’imagination se
représente
objectivement les lois divines et les puissances
195. Être exclusivement Romain dans le sens abstrait du terme, ne
représenter
dans sa personne et par son énergie propre, que l
T. II, p. 443. 201. Le développement de la personnalité permet de
représenter
le côté particulier de l’existence, dans la multi
es individualités qui se combattent, leur côté faux et exclusif, elle
représente
dans leur accord profond, les idées vraies que po
éritable, la comédie doit aussi se soumettre à l’obligation de ne pas
représenter
ce qui est en soi le vrai, la raison absolue, com
personnel de la passion, qui contredit leur nature divine, se laisse
représenter
comme une fausse exagération. T. V, p. 194. 209
des traits de sa mordante ironie. La forme de l’art qui entreprend de
représenter
cette lutte est la satire . T. II, p. 363. 210.
t pour destination commune de couvrir le corps ; mais le vêtement que
représente
l’art antique est une surface sans forme détermin
si le nom de Wagner devenait trop célèbre, si l’œuvre de Wagner était
représentée
, connue, quelle mine auraient leurs opéras !… Et
extraordinaire qu’a prise la musique moderne. Je cherchais ainsi à me
représenter
l’œuvre d’art qui doit embrasser tous les arts pa
oujours sur le ferme terrain de l’action dramatique, et cette action,
représentée
sur la scène, est le plus clair, le plus facile à
établit surtout les qualités que doivent avoir les acteurs chargés de
représenter
l’œuvre artistique. Leur but doit être le style,
éations de la seconde manière de Wagner était traduite en français et
représentée
par des chanteurs français : quelle physionomie p
s », M. Camille Benoit, ne veut pas, assurément, que le premier motif
représente
une bannière, le second Sachs ; la musique — étan
a musique — étant, essentiellement, purement, sentimentale, — ne peut
représenter
un objet, et elle ne peut représenter qu’une émot
rement, sentimentale, — ne peut représenter un objet, et elle ne peut
représenter
qu’une émotion innommée ; il y a seulement corres
xemple, dans la tétralogie. Comment une succession de notes peut elle
représenter
une épée, si ce n’est par une pure convention ? E
a relevé par une musique magnifique. Il est vrai qu’à l’époque où fut
représenté
Fidelio, on vit surgir au théâtre l’énergique Goe
ir. M. Seguin, chargé du rôle écrasant de Hans Sachs, en est arrivé à
représenter
magistralement cette grande figure, héroïque dans
ison dramatique de dix jours, pendant laquelle Tristan seulement sera
représenté
. Il y aura six représentations très soignées dont
peintre, il lui consacre une monographie en 1909 et Fantin-Latour l’a
représenté
à l’extrême gauche du tableau Les wagnéristes (18
table et provisoire de toute monstruosité dans la nature, que de nous
représenter
une figure morte de l’idéal, un composé de lignes
et si lointain. « Je n’aspire, disait à son tour George Elliot, qu’à
représenter
fidèlement les hommes et les choses qui se sont r
dre et à ramener à l’unité les actions ou les pensées d’un personnage
représenté
dans une œuvre d’art ; et de fait tous les grands
le plus grand ; les derniers échangent leur place avec les premiers.
Représenter
le monde ou l’humanité d’une manière esthétique,
7. Mais l’écrivain ne doit pas perdre de vue que nous ne pouvons nous
représenter
complètement un symptôme physiologique d’un état
ion de la peur, de décrire cette émotion entérines moraux que de nous
représenter
la sensation d’angoisse au creux de l’estomac, qu
quence très lointaine, très indirecte et que nous aurons peine à nous
représenter
si nous n’éprouvons pas déjà le sentiment même de
urrait bien s’appliquer cette vérité, lui qui a la prétention de nous
représenter
la vie absolument telle qu’elle est. Il aura beau
les choses que nous voyons chaque jour. Un peintre réaliste, voulant
représenter
la même scène, nous met la réalité vraie devant l
e contraste de la nouveauté et à la concentrer sur l’objet qu’il nous
représente
. Exemple, un palanquin ; nous voilà transportés d
cipal est de dissocier nos idées, de rompre nos attentes habituelles.
Représentez
-vous par la pensée une de ces cannes de Provence
caractéristiques impersonnels. Au contraire, si le héros en scène est
représenté
dans un état passionnel quelconque, voilà sa pers
n’est pas énumérer, classer, étiqueter, analyser avec effort ; c’est
représenter
ou, mieux encore, présenter, rendre présent. Décr
, et non d’un autre. Tandis que, dans les arts plastiques, les objets
représentés
gardent une beauté intrinsèque de forme ou de cou
avec une représentation politique. C’est ainsi que la première n’est
représentée
au Parlement qu’avec une mauvaise conscience, qu’
cadémie française : c’est un dieu tombé qui se souvient des cieux. Il
représente
sous une enveloppe grossière un Parlement des Idé
sous une enveloppe grossière un Parlement des Idées, comme l’Académie
représente
, par sa forme, le Concile des Lettres françaises.
ort de zéro. En effet, à la Chambre des Députés, l’extrême droite est
représentée
par les « indépendants », nom qui désigne aujourd
s par rapport aux pères, c’est la tradition des pères aux enfants qui
représente
le bien, et qui sert de gage de durée. Honorer se
chera plus d’importance à ceci, que, si le néo-opportunisme est censé
représenter
les intérêts des « gros » (et il ne nourrit point
fet l’intention de leur nuire), les partis de gauche se glorifient de
représenter
les intérêts des « petits », lesquels sont tout d
idées politiques, c’est pour les partis de gauche un avantage que de
représenter
les idées, il n’en va pas de même à Paris. Paris
encore un plan où les intérêts ne se justifient que par l’idée qu’ils
représentent
. La crise de l’héritage Or l’idée qui justi
Église à cette époque, l’appeler à un rôle et à des devoirs nouveaux,
représenter
une génération qui sait et fait ce que les généra
est posée au minimum, puisque le libéralisme envers les personnes ne
représente
qu’une forme pâle, une ombre timide de la charité
tout au moins d’un organisme spirituel dirigeant. Le corps enseignant
représentait
un spirituel de gouvernement, qui eut ses évêques
e parti radical a une doctrine, une politique, a-t-il une idéologie ?
Représente-t
-il une idée ? Quand Barres dirigeait la Cocarde,
tendances et tous les groupes de la Révolution française sont encore
représentés
chez nos radicaux, et s’affrontent dans leurs con
ons même que, si toutes les tendances de la Révolution française sont
représentées
dans le radicalisme, si son chef actuel nous offr
es radicaux, interprètes, conservateurs, idéologues de la Révolution,
représentent
une infanterie, une reine des batailles de la pol
respiration même d’une démocratie. Ils sont seuls, avec la presse, à
représenter
le citoyen contre l’État, à constituer une puissa
dit : « Il y a toute la question religieuse ! » La césure du vers que
représentait
cette époque dans le grand poème de l’histoire de
uvrier bien plus que ne l’ont fait les intellectuels bourgeois qui le
représentent
au Parlement. L’esprit des congrès et du parti so
simple figariste d’extrême-gauche, pour un socialiste. Mais enfin il
représentait
pour Paris la tradition de la Commune, l’Intransi
s tous les régimes le genre de vie politique. Rochefort l’a longtemps
représentée
. Il y a en second lieu une critique politique pos
légués à la vie, leur libre jeu. Ces termes de géographie et de roman
représentent
d’ailleurs un idéal. En réalité, il y a aussi une
nce compréhensive, que systématise l’industrialisme ? En principe, il
représente
la production. Si j’avais écrit mon livre dans le
me pour les industriels, ne fut pas précisément un bien ; le fascisme
représente
probablement pour arriver au socialisme, en Itali
re Jules Ferry. Ni Clemenceau, ni Léon Bourgeois, ni aucun radical ne
représentent
plus authentiquement la Révolution que Poincaré,
u’il « est urgent d’attendre » ou « il court s’abstenir ». Le radical
représente
ce que les théologiens appellent la thèse, le mod
ituel, il est hors de doute que les idées de la Révolution Française,
représentées
éminemment par le jacobinisme radical, par ce jac
faite des fortes minorités plus ou moins contre-révolutionnaires qui
représentent
la « réaction », sont les idées du Français moyen
identité actuelle des idées jacobines avec le sol et le sens français
représente
évidemment, pour elles, une garantie de santé. El
ançais représente évidemment, pour elles, une garantie de santé. Elle
représente
aussi une faiblesse. Le Français moyen, parce qu’
vient après le trait d’union de radical-socialiste. M. Pierre Cot qui
représente
cette gauche indique la ligne de cette évolution
la pluralité des mondes, à la peinture de Watteau et de Lancret. Elle
représente
, dans la poésie dramatique, l’art français du xvi
aimer ; une fée s’éprend d’Arlequin balourd et niais : ces données ne
représentent
rien, ou pas grand chose, de réel. Mais ces donné
Ni les uns ni les autres ne sont proprement des « caractères » : ils
représentent
des « moments » de la vie, ces moments de jeuness
c un rythme et des gestes convenus : nous comprendrons le progrès que
représentait
un Greuze mis à la scène. Diderot a l’idée d’un j
Ils ont même plus que le droit d’être : ils ont l’être. Ils sont tous
représentés
par des œuvres ; il convient seulement de remarqu
indications scéniques d’une parodie de Vadé : « Le théâtre change et
représente
une veillée ou encreigne ; une vieille est occupé
uit. La mort plane sur tout le drame ; le spectre du roi assassiné la
représente
et la personnifie ; il est toujours là, tantôt pr
e sa mère, passait pour être le diable ou le dieu des Patagons qui le
représentaient
, disait-on, avec des cornes à la tête. On ne saur
e Caliban qu’on prend si souvent pour un poisson ; il paraît qu’on le
représente
avec les bras et les jambes couverts d’écailles ;
t avec une autre conjecture assez vraisemblable. En lisant le Masque,
représenté
devant Ferdinand et Miranda, il est impossible de
tre pas frappé de l’idée que la Tempête a été faite d’abord pour être
représentée
à quelque fête de mariage ; et la légèreté du suj
composée en 1611 pour le mariage du comte d’Essex, cette pièce ne fut
représentée
à Londres que l’année suivante ? Notice sur Co
seconde, sous le titre de Véritable Coriolan, est de Chapoton, et fut
représentée
en 1638 ; la troisième, de Chevreau, dans la même
din, mise au théâtre en 1776. La dernière enfin, du rhéteur La Harpe,
représentée
en 1784, est la seule qui soit restée au théâtre.
r, c’est entre la portion du monde et de la nature qu’il a dessein de
représenter
et le tableau qu’il en fait, que se doit établir
aille de Pharsale jusqu’à celle de Philippes inclusivement, avait été
représentée
sur un théâtre particulier, par quelques étudiant
e de M. Malone rapporte à cette même année 1607. Le Jules César a été
représenté
, corrigé par Dryden et Davenant, sous le titre de
ntre eux, qui, réunissant autour de lui ses parents et ses amis, leur
représenta
Duncan comme un lâche au cœur faible (taint heart
es au meurtre des deux chambellans, sont telles que Shakespeare les a
représentées
dans Macbeth. Il en est de même des prodiges qu’i
e, les seuls où il soit capable d’atteindre. On croit que Macbeth fut
représenté
en 1606 ; l’idée de faire une tragédie sur ce suj
o della Corte que Shakspeare a composé sa tragédie ; elle fut d’abord
représentée
, à ce qu’il paraît, en 1595, chez lord Hundsdon,
vre ; Shakspeare n’y retranche, n’y ajoute et n’y change rien ; il le
représente
simplement, hardiment, dans son énergique et comp
’une physiologie profonde. Bottom, qui exerce un état sédentaire, est
représenté
comme suffisant, sérieux et fantasque. Il est prê
t d’abord digne de concentrer sur lui tout l’intérêt, parce qu’il est
représenté
comme le plus aimable, nous surprend tout à coup
un de ces serviteurs fidèles que Shakspeare a souvent pris plaisir à
représenter
, et Iachimo un des plus adroits menteurs que l’It
tter qu’à partir du second acte ses commentaires sur la comédie qu’on
représente
devant lui ne soient pas parvenus jusqu’à nous. C
époques arriérées où une grange servait souvent de salle, on pouvait
représenter
des pièces d’une exécution aussi difficile que Pé
n diligence pour Venise, et le reste de l’histoire se passe comme l’a
représenté
Shakspeare. On conçoit aisément la raison et la n
à cette aventure ; elle n’était cependant pas tellement impossible à
représenter
de son temps sur le théâtre qu’on ne puisse croir
u juif Shylock est justement célèbre en Angleterre. Cette pièce a été
représentée
avant 1598. C’est ce qu’on sait de plus certain s
bord donné de cette comédie qu’une espèce d’ébauche qui fut cependant
représentée
pendant assez longtemps, telle qu’on la trouve da
it déjouée et humiliée dans toutes ses entreprises », ne pouvait être
représenté
dans toute sa vérité devant un public anglais et
parlant, assez conforme à l’histoire ; et la manière dont le poëte a
représenté
la déposition de Richard et l’avènement au trône
oyait Richard II déposé et tué sur le théâtre. Les acteurs leur ayant
représenté
que la pièce était tout à fait hors de mode et ne
e nous fait connaître l’incapacité et la nullité, qu’il a choisi pour
représenter
ce dévouement toujours si ardent pour l’homme qui
i comique ; et la comédie est obligée de descendre d’un étage pour le
représenter
dans sa propre nature, livré à ses goûts véritabl
e Henri IV a paru, à ce qu’on croit, en 1598 ; avant cette époque, on
représentait
sur la scène anglaise une pièce intitulée les Fam
erraient tout fraîchement blessé dans la personne du tragédien qui le
représente
! » Nashe, intime ami de Green, n’aurait probable
stoire de cette fille héroïque, et des traits sous lesquels ils l’ont
représentée
: en ce sens, la pièce est historique. La seconde
space de quatorze ans, depuis 1471 jusqu’en 1485. Il paraît avoir été
représenté
en 1597 : on avait, avant cette époque, plusieurs
ans un petit nombre de passages, assez peu de poésie. Henri VIII fut
représenté
, à ce qu’on croit, en 1601, à la fin du règne d’É
enté de la croire composée pour un peuple de cannibales, ou pour être
représentée
au milieu des saturnales d’une révolution. Cepend
de Macbeth. Le poëme de Vénus et Adonis fut publié en 1593, et Médée
représentée
en 1635, c’est-à-dire quarante-deux ans plus tard
talent porte naturellement en soi prenne ainsi forme au dehors et se
représente
à temps dans la personne d’un ami, d’un juge assi
soupir au xviiie siècle31. Avant la reprise actuelle, elle avait été
représentée
en dernier lieu le 7 et le 13 février 1807, c’est
pas ; mais elle avait encore un intérêt secret à voir cette victoire
représentée
sur le théâtre : elle se ressouvenait des sentime
venaient en quelque sorte se jouer à la traverse. Lorsqu’en effet on
représenta
, en novembre 1670, la pièce désirée et inspirée p
arme contre ceux qu’il appelle les voltairiens en tragédie, et qu’il
représente
comme altérés de sang et et de carnage dramatique
00 liv. » Ce n’est pas tout. Lorsque les comédiens italiens allaient
représenter
à Versailles, à Saint-Germain-en-Laye, à Chambord
s canevas, sans grand appareil. Quand Molière et ses acteurs allèrent
représenter
la comédie-ballet du Bourgeois gentilhomme à Cham
lerio qu’elle aime et promet de fuir avec lui. ACTE PREMIER. La scène
représente
une rue ; il est nuit. Valerio, masqué, sort de l
un manuscrit des scènes qui lui étaient personnelles dans les pièces
représentées
de son temps, manuscrit où il notait avec un soin
du Tartuffe : « Huit jours après que ma comédie eut été défendue, on
représenta
devant la cour une pièce intitulée Scaramouche er
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