science autre chose que ce qu’ils renferment. Ils ne renferment qu’un
rapport
de contingence, et ne renferment pas de rapport n
s ne renferment qu’un rapport de contingence, et ne renferment pas de
rapport
nécessaire. Dans ces deux jugements : « Je souffr
x jugements : « Je souffre ; cette pierre est ronde », il n’y a qu’un
rapport
contingent, il n’y a point de rapport nécessaire.
rre est ronde », il n’y a qu’un rapport contingent, il n’y a point de
rapport
nécessaire. On ne peut donc tirer d’eux un rappor
il n’y a point de rapport nécessaire. On ne peut donc tirer d’eux un
rapport
nécessaire. Donc les axiomes ou jugements nécessa
ient ainsi que de pures abstractions, suspendues dans le vide et sans
rapport
à quoi que ce soit. La vérité, la beauté, le bien
le sens. Dans une proposition, il y a deux choses, les termes et leur
rapport
. Vous dites vrai, si vous parlez du rapport. Vous
hoses, les termes et leur rapport. Vous dites vrai, si vous parlez du
rapport
. Vous dites faux, si vous parlez des termes. Vous
si vous parlez des termes. Vous dites vrai, si vous affirmez que d’un
rapport
contingent on ne peut tirer un rapport nécessaire
rai, si vous affirmez que d’un rapport contingent on ne peut tirer un
rapport
nécessaire. De ce que cette fleur est rose, on ne
faux, si vous affirmez que de termes contingents on ne peut tirer un
rapport
nécessaire. Une fois posé que ces quatre chevaux
ualité, comparer ces deux termes, isoler entre eux par abstraction un
rapport
nécessaire, celui de substance à qualité, et tire
e qu’entre l’attribut ou qualité, et le sujet ou substance, il y a un
rapport
nécessaire. Puisqu’il y est, je puis l’y trouver
ition, vous confondez donc deux choses distinctes, les termes et leur
rapport
. Vous raisonnez comme si le rapport était la même
es distinctes, les termes et leur rapport. Vous raisonnez comme si le
rapport
était la même chose que les termes. Vous imposez
rmes. Vous imposez aux termes une conséquence qui ne s’applique qu’au
rapport
, et vous arrivez à une conséquence fausse par un
des vérités nécessaires » : dans ce membre de phrase, vérité signifie
rapport
, et vous voulez dire, avec tout le monde, qu’il y
nifie rapport, et vous voulez dire, avec tout le monde, qu’il y a des
rapports
nécessaires entre certains sujets et certaines qu
» : dans ce second membre vous entendez par vérité connaissance d’un
rapport
nécessaire et vous voulez dire qu’une connaissanc
ous le mot vérité deux choses fort distinctes, une connaissance et un
rapport
. Le rapport du tout et de la partie existe dans l
érité deux choses fort distinctes, une connaissance et un rapport. Le
rapport
du tout et de la partie existe dans le tout et da
partie existe dans le tout et dans la partie ; la connaissance de ce
rapport
n’existe ni dans le tout ni dans la partie, mais
partie, mais dans l’être intelligent qui connaît l’un et l’autre. Le
rapport
est une différence ou une ressemblance entre deux
t ; la connaissance est l’action d’un être qui pense. Vous imposez au
rapport
une propriété qui ne convient qu’à la connaissanc
. Quand je remarque que quatre est le double de deux, ce n’est pas un
rapport
que je vois, c’est une idée, une idée d’autrui, u
nérales et ces constructions générales, j’en ai extrait une vérité ou
rapport
universel et nécessaire. J’ai retiré le triangle
le triangle particulier ; ce qui est une abstraction. J’ai retiré un
rapport
universel et nécessaire contenu dans les propriét
naître les propositions nécessaires. Réduisez les mots à leur valeur.
Rapport
universel signifie rapport entre deux abstraits ;
essaires. Réduisez les mots à leur valeur. Rapport universel signifie
rapport
entre deux abstraits ; mais il y a des abstraits
choses limitées ; on peut donc découvrir dans les choses limitées des
rapports
universels. Rapport nécessaire signifie rapport d
peut donc découvrir dans les choses limitées des rapports universels.
Rapport
nécessaire signifie rapport d’identité ; mais il
choses limitées des rapports universels. Rapport nécessaire signifie
rapport
d’identité ; mais il y a des données identiques à
s à d’autres dans les choses contingentes. On peut donc découvrir des
rapports
nécessaires dans des objets contingents. Reste un
t point dans les choses ce que l’analyse y découvre, c’est-à-dire les
rapports
nécessaires, ni ce que l’analyse en tire, c’est-à
alyser les idées, il ne voit pas qu’une proposition nécessaire est un
rapport
nécessaire, qu’un rapport nécessaire est un rappo
it pas qu’une proposition nécessaire est un rapport nécessaire, qu’un
rapport
nécessaire est un rapport d’identité, qu’il y a d
nécessaire est un rapport nécessaire, qu’un rapport nécessaire est un
rapport
d’identité, qu’il y a dans tout objet, contingent
lyser les idées, il ne voit pas qu’une proposition universelle est un
rapport
entre deux abstraits, qu’il y a des abstraits dan
ites dans l’organisme par ce fruit : tant que nous n’examinons que le
rapport
À B, nous faisons une étude physique ; tant que n
B, nous faisons une étude physique ; tant que nous n’examinons que le
rapport
a b, nous faisons une étude de physiologie, « Mai
ie dès que nous cherchons comment il peut exister dans l’organisme un
rapport
entre a et b qui d’une manière ou de l’autre répo
sme un rapport entre a et b qui d’une manière ou de l’autre répond au
rapport
entre A et B. La psychologie s’occupe exclusiveme
e deux catégories d’éléments : les feelings (ce qui est senti) et les
rapports
entre ces états. Le feeling a pour caractère esse
une portion de conscience assez considérable pour être percevable. Le
rapport
n’occupe pas dans la conscience cette portion app
re, vive ou réelle ; la forme secondaire, faible ou idéale. Quant aux
rapports
, sur lesquels nous reviendrons plus tard, M. Herb
ondamentaux qui sont, en allant du plus complexe au plus simple : les
rapports
de coexistence, succession, différence. Les deux
la conscience, formées de groupes d’états de conscience unis par des
rapports
extrêmement compliqués. On peut entrevoir déjà qu
taires du monde externe, en vient à exprimer d’une façon complète les
rapports
extérieurs les plus variés et les plus complexes
ncer : celle de la continuité des phénomènes psychologiques, celle du
rapport
intime entre l’être et son milieu. Insistons sur
disant que la vie est une correspondance, « un ajustement continu des
rapports
internes aux rapports externes. » L’être vivant q
une correspondance, « un ajustement continu des rapports internes aux
rapports
externes. » L’être vivant quel qu’il soit, arbre,
son milieu spécial existe. Ici peu de changements, et qui ne sont en
rapport
qu’avec un milieu à peu près homogène. Au-dessus
s, que présente le milieu environnant, correspond dans l’organisme un
rapport
de séquence entre certaines impressions tactiles
tactiles et certaines contractions. Mais la correspondance entre des
rapports
internes et des rapports externes lointains est a
ntractions. Mais la correspondance entre des rapports internes et des
rapports
externes lointains est absente dans toutes ces fo
différences, mais des ressemblances ; de former en lui des groupes de
rapports
intérieurs qui répondent à des groupes de rapport
lui des groupes de rapports intérieurs qui répondent à des groupes de
rapports
et d’attributs externes : la correspondance croît
on terrier, jusqu’à celle de la science quantitative qui embrasse les
rapports
les plus précis et les données les plus complexes
être rien autre chose que des modes particuliers de l’ajustement des
rapports
internes aux rapports externes, ou des portions p
que des modes particuliers de l’ajustement des rapports internes aux
rapports
externes, ou des portions particulières de ce pro
a pensée. Mais ces coexistences et séquences ont entre elles tous les
rapports
possibles. Il y a celles qui sont unies par des r
les tous les rapports possibles. Il y a celles qui sont unies par des
rapports
immuables, fixes, sans exceptions connues ; il y
rience qu’une fois au plus, comme associées. Entre ces deux sortes de
rapports
, l’un intime, l’autre tout fortuit, il y a tous l
s cellules sont les corrélatifs objectifs de ce que nous appelons les
rapports
. Il en résulte que de même que l’association d’un
, dans une partie de cette partie, etc.. ; de même l’association d’un
rapport
avec sa classe, son ordre, son genre et son espèc
’instinct et la raison n’existe pas. Tous deux sont un ajustement des
rapports
internes aux rapports externes, avec cette seule
n’existe pas. Tous deux sont un ajustement des rapports internes aux
rapports
externes, avec cette seule différence que dans l’
dité. Dans ce sens donc qu’il existe dans le système nerveux certains
rapports
préétablis correspondant à des rapports dans le m
s le système nerveux certains rapports préétablis correspondant à des
rapports
dans le milieu environnant, « il y a du vrai dans
utiennent ses défenseurs, mais une vérité d’un ordre parallèle. » Ces
rapports
internes préétablis, quoique indépendants de l’ex
eurs, dans la suite des siècles, des Newton et des Shakespeare147. Le
rapport
intime du sentiment et de la raison est depuis lo
it être précise et ne souffre pas l’à-peu-près, ensuite parce que les
rapports
sont très nombreux. Voici un exemple de ce mode d
usion négative qu’en tenant compte d’un grand nombre d’éléments et de
rapports
déterminés, de plusieurs lois précises enseignées
f quel qu’il soit, l’intelligence parcourt une série d’identités. Les
rapports
qu’il saisit, ajoute, transforme, compare, sont h
e raisonnement quantitatif simple : le premier ayant pour objet « des
rapports
quantitatifs de rapports quantitatifs » ; le seco
f simple : le premier ayant pour objet « des rapports quantitatifs de
rapports
quantitatifs » ; le second se réduisant à une int
fs » ; le second se réduisant à une intuition directe et immédiate de
rapports
de quantité. Mais, en se simplifiant, le procédé
ractère de rigueur incontestable, c’est qu’il ne s’applique pas à des
rapports
de toute espèce, mais à un nombre restreint. Iden
terminer « la coexistence ou non-coexistence des choses, attributs ou
rapports
qui sont identiques en nature avec certaines autr
rapports qui sont identiques en nature avec certaines autres choses,
rapports
et attributs. » On ne peut cependant pas tracer d
ste en ce que nous passons de l’égalité à la simple ressemblance. Les
rapports
comparés ne sont plus considérés comme égaux ou i
s degrés possibles, la probabilité des conclusions varie dans le même
rapport
. C’est au raisonnement qualificatif qu’il faut ra
ute l’étude du raisonnement en le définissant une « classification de
rapports
. » Mais que signifie le mot classification ? Il s
ie le mot classification ? Il signifie l’acte de grouper ensemble les
rapports
semblables et l’acte de séparer les semblables de
les et l’acte de séparer les semblables des dissemblables. Inférer un
rapport
, c’est penser qu’il est semblable ou dissemblable
t, c’est penser qu’il est semblable ou dissemblable à certains autres
rapports
. Tout raisonnement se réduit donc à une assimilat
s font connaître les corps comme doués d’attributs de toute sorte. Le
rapport
qui s’établit entre le sujet et l’objet, dans l’a
fondamentaux de la perception. Il montre que la figure est résolue en
rapport
de grandeur, la grandeur en rapports de position
ntre que la figure est résolue en rapport de grandeur, la grandeur en
rapports
de position ; et que tous les rapports de positio
rt de grandeur, la grandeur en rapports de position ; et que tous les
rapports
de positions peuvent être finalement réduits aux
e inoccupée, c’est-à-dire de l’espace ? Comment de la perception d’un
rapport
entre des positions résistantes, en venons-nous à
entre des positions résistantes, en venons-nous à la perception d’un
rapport
entre des positions non résistantes ? — C’est par
établie, qu’il est inutile de l’exposer. Le temps in abstracto est un
rapport
de position entre des états de conscience. Notre
, considérée dans ce qu’elle a de plus général, consiste à saisir les
rapports
que les sensations ont entre elles ; à apercevoir
sir les rapports que les sensations ont entre elles ; à apercevoir un
rapport
ou des rapports entre des états de conscience act
s que les sensations ont entre elles ; à apercevoir un rapport ou des
rapports
entre des états de conscience actuels, ou antérie
sser des rapports150. M. Herbert Spencer examine en détail les divers
rapports
de coïntensité, coétendue, coexistence, identité
ncature). Il montre qu’ils se ramènent tous en dernière analyse à des
rapports
de ressemblances et de différence. Mais, différen
nterne. Nous voici donc arrivés au dernier terme de notre analyse. Le
rapport
le plus simple que l’intelligence puisse percevoi
rapport le plus simple que l’intelligence puisse percevoir, c’est un
rapport
de séquence ou de succession ; c’est là le rappor
ercevoir, c’est un rapport de séquence ou de succession ; c’est là le
rapport
primordial qui constitue le fond même de la consc
, et que ce changement d’état engendre nécessairement les termes d’un
rapport
de dissemblance. Nous avons vu que, non-seulement
’autant que les changements continuent, qu’autant qu’il s’établit des
rapports
de dissemblance. Par suite donc, la conscience ne
be : dans l’image, les lignes n’ont ni la même longueur, ni les mêmes
rapports
, ni les mêmes directions, etc., etc., que dans le
ubjectifs produit est totalement différent du groupe des causes ; les
rapports
entre les effets sont totalement différents des r
causes ; les rapports entre les effets sont totalement différents des
rapports
entre les causes ; les lois de variation d’un gro
t, raisonnement en général. Le raisonnement est une classification de
rapports
, la perception une classification d’attributs. L’
sidérée en général, la perception est une classification organique de
rapports
; les deux rapports les plus simples sont celui d
la perception est une classification organique de rapports ; les deux
rapports
les plus simples sont celui de ressemblance et de
Parmi les longues analyses que M. Herbert Spencer a faites des divers
rapports
, l’une des plus remarquables est celle qui résout
divers rapports, l’une des plus remarquables est celle qui résout le
rapport
de coexistence ou simultanéité, en un rapport de
est celle qui résout le rapport de coexistence ou simultanéité, en un
rapport
de séquence. Comme MM. Bain et John Stuart Mill l
clusion. (Princ. de psych., tome II, § 367-368.) « On peut définir le
rapport
de coexistence, l’union de deux rapports de séque
67-368.) « On peut définir le rapport de coexistence, l’union de deux
rapports
de séquence, telle que, tandis que les deux terme
dans leur ordre de succession, ils sont exactement semblables sous le
rapport
du sentiment qui accompagne cette succession. En
emblent parfaitement par l’absence de contrainte. Et naturellement le
rapport
de non-coexistence diffère en ceci, que quoique l
par une opération sensitive ? — II. La forme des sensations et leurs
rapports
sont-ils saisis par une opération sensitive ? — I
? » À cette mobilité des choses sensibles Platon opposa les immuables
rapports
que saisit la pensée. « Il y a des objets que l’â
tu l’être ? — Dans la classe des objets avec lesquels l’âme se met en
rapport
immédiatement et par elle-même. — En est-il de mê
intellectualistes, quoiqu’ils l’aient parfois eux-mêmes indiqué : le
rapport
des idées au désir et au mouvement, à « l’appétit
que cette même action réciproque de l’appétit et du milieu dégage les
rapports
intelligibles entre les sensations, rapports attr
et du milieu dégage les rapports intelligibles entre les sensations,
rapports
attribués par les platoniciens à l’action du pur
omme la spécialisation et le développement des autres organes, par le
rapport
aux besoins de la vie. La connaissance n’est, qu’
entiments de différence et de ressemblance. Passons maintenant aux
rapports
établis par la pensée entre les sensations, rappo
s maintenant aux rapports établis par la pensée entre les sensations,
rapports
qu’on appelle la « forme » de la connaissance. —
l et spontané, peut introduire l’unité dans ce chaos et y établir des
rapports
. — Nous voilà revenus à la discussion du Théétète
en de laquelle les représentations ne se peuvent saisir qu’en un seul
rapport
spécial et invariable. Si le son du tonnerre suit
uire enfin les relations qui existent entre nos sensations mêmes. Les
rapports
de nos sensations, leur coexistence ou leur séque
ent crée en toute liberté les formes qu’il applique aux choses et les
rapports
qu’il établit entre elles ; d’autre part, il n’ad
e sous la forme affaiblie et la pénombre du souvenir. En général, les
rapports
de nos états de conscience dans le temps, leurs r
général, les rapports de nos états de conscience dans le temps, leurs
rapports
mêmes de dépendance mutuelle et de causalité empi
n ordre imposé du dehors et qui demeure lui-même extérieur : c’est un
rapport
constant de simultanéité ou de succession qui n’a
comme deux couleurs, sont sans doute des images sensibles, mais « le
rapport
de différence ou de ressemblance, lui, n’est pas
entation sensible » ; les termes seuls sont sentis, la conscience des
rapports
n’a absolument rien de sensible. Au point de vue
lables ou différentes, unes ou multiples : il ne fait que dégager les
rapports
des objets. Or, il ne connaît les objets que par
jets. Or, il ne connaît les objets que par ses impressions ; donc ces
rapports
existent déjà d’une manière concrète dans ces imp
sions mêmes du Parménide, toutes les applications qu’il doit faire de
rapports
purement intellectuels entre des choses qui ne lu
nent, selon vous, aucun sentiment préalable et caractéristique de ces
rapports
? N’est-ce pas aussi impossible que de déclarer u
quand il saisit des relations. Sans cela, la prétendue aperception de
rapports
ne serait qu’une dénomination extrinsèque et arti
illeurs de reconnaître qu’il est au moins deux cas où l’intuition des
rapports
est impliquée dans l’intuition même des données :
quée dans l’intuition même des données : c’est ce qui a lieu pour les
rapports
d’espace et les rapports de temps. La couleur, pa
e des données : c’est ce qui a lieu pour les rapports d’espace et les
rapports
de temps. La couleur, par exemple, est inséparabl
de quelque représentation de l’étendue, qui enveloppe un ensemble de
rapports
; tous les états de conscience sont liés au senti
de la succession ou de la durée, qui enveloppe encore un ensemble de
rapports
. Ces rapports sont réalisés et représentés effect
ion ou de la durée, qui enveloppe encore un ensemble de rapports. Ces
rapports
sont réalisés et représentés effectivement dans l
tirée par la réflexion. — À quoi les platoniciens répondent : Si ces
rapports
sont représentés dans l’ensemble des données, ils
ie d’expériences successives que le sentiment concret de tels ou tels
rapports
, demeurant invariable sous les sentiments de term
ugement proprement dit. — Soit, dit-on encore ; il y a des cas ou les
rapports
sont représentés eux-mêmes d’avance avec leurs te
utres qui échappent à toute représentation de ce genre. Tels sont les
rapports
de différence et de ressemblance. Avant que j’aie
figure, plus l’idée de la différence ou de la ressemblance. Or, quel
rapport
y a-t-il entre celle-ci et celles-là ? Les figure
’appelle tantôt similitude, tantôt dissimilitude. En résumé, c’est le
rapport
dynamique d’opposition qui produit l’idée de l’au
maintenant au second fait élémentaire contenu dans la conscience des
rapports
: la perception d’une ressemblance. Selon Spencer
il également vrai que j’y provoque d’autres mouvements pour saisir le
rapport
d’égalité qui existe entre ses côtés98 ? — Oui ce
rieur à la matière, soit dans des objets intelligibles, soit dans des
rapports
intelligibles, au lieu de le chercher dans l’inte
tte conclusion que tout objet proprement dit est sensible et que tout
rapport
d’objets est pour nous sensitif, réductible dans
es extérieures, elle leur répond en son langage. Nous avons vu que le
rapport
des sensations est un ordre imposé du dehors et p
ns-nous que nos idées ressemblent aux réalités, ou du moins que leurs
rapports
ressemblent aux rapports des réalités ? Pour cela
semblent aux réalités, ou du moins que leurs rapports ressemblent aux
rapports
des réalités ? Pour cela nous n’avons qu’un moyen
. Les conséquences pratiques manquent au rêve, qui ne modifie pas les
rapports
des choses conformément aux rapports de ses fanta
au rêve, qui ne modifie pas les rapports des choses conformément aux
rapports
de ses fantaisies. Seule, la force de l’idée, son
ment à satisfaire un besoin éveillé par une sensation ? C’est dans le
rapport
même qui existe entre notre volition et le mouvem
cience et inexplicables par l’influence du dehors. Ce ne sont pas des
rapports
intelligibles, mais au contraire quelque chose de
Chapitre deuxième
Rapports
du plaisir et de la douleur à la représentation e
plaisir et de la douleur à la représentation et à l’appétition I.
Rapport
du plaisir et de la douleur à la représentation e
es qualitatives, mais seulement des différences quantitatives ? — II.
Rapport
du plaisir et de la douleur à l’appétition. La te
tendance précède-t-elle le sentiment, ou en est-elle la suite ? I
Rapport
du plaisir et de la peine à la représentation
a peine à la représentation Nous pouvons maintenant déterminer les
rapports
du plaisir et de la douleur avec l’intelligence e
s des choses par notre activité ne nous sera pas enlevé d’avance. Les
rapports
de la sensibilité à l’intelligence ont donné lieu
e de la sensibilité, les plaisirs et les peines sont des idées ou des
rapports
entre les idées. Selon Hartmann, l’intelligence e
l’ouïe s’expliquent par des harmonies de sons, conséquemment par des
rapports
numériques dans la simplicité desquels l’âme se c
rs, à toutes les peines, et on a voulu les ramener à la perception de
rapports
harmoniques ou désharmoniques. Wolf alla jusqu’à
ents « le produit conscient d’une estimation inconsciente de certains
rapports
». C’est là se tirer d’affaire par un mode occult
autres à la refouler, comme le souvenir de sa mort ; il en résulte un
rapport
de tension et de lutte, qui est la peine. Toute p
tenu, par exemple à l’idée même de notre ami, et affectés par le seul
rapport
mutuel de nos représentations opposées ? Sans dou
ons, comme l’inquiétude, le contentement, etc. ; mais ce n’est pas le
rapport
même des représentations entre elles qui constitu
orielles. Or, comment expliquer une colique ou un mal de dents par un
rapport
de représentations ? Nous ne saurions donc accord
entations ? Nous ne saurions donc accorder que la représentation ou «
rapport
à un objet » soit, selon l’expression de Brentano
tes semblent provoquer des sentiments de plaisir ou de déplaisir, par
rapport
auxquels nous, au contraire, nous sommes « blasés
he en proche. M. Richet ne compare donc pas les objets sous les mêmes
rapports
. Chez les animaux les plus primitifs, rien n’indi
ssement moins rapides. En résumé, voici quel est, selon nous, le vrai
rapport
du plaisir et de la peine avec l’intelligence. En
nous l’avons vu, le sentiment n’est pas la représentation même, ni un
rapport
de représentations, il n’a pas non plus pour caus
nc il ne faut pas composer les plaisirs avec des raisonnements sur le
rapport
des choses à notre intérêt vital ou sur leurs rap
nnements sur le rapport des choses à notre intérêt vital ou sur leurs
rapports
mutuels de symétrie, d’uniformité, de variété, il
tèmes qui ont voulu réduire le sentiment à l’intelligence jugeant les
rapports
des objets entre eux ou leurs rapports à nous-mêm
t à l’intelligence jugeant les rapports des objets entre eux ou leurs
rapports
à nous-mêmes. Le tort de ces systèmes est de repr
r le plaisir et la douleur comme un jugement, et comme un jugement de
rapports
plus ou moins extérieurs ou objectifs : ce sont d
e auxquels seuls appartiendraient la réalité et l’efficacité. II
Rapport
du plaisir et de la peine à l’appétition On
du Gange ! Quelques années encore et l’universalité, la nécessité des
rapports
qu’elle exprime, leur interdépendance, apparaissa
s, en tout cas, la « conformité » d’aucune vérité avec son objet. Les
rapports
seuls sont certains : toute science, quand on l’a
te science, quand on l’approfondit, n’est en somme qu’un système de «
rapports
», et ces « rapports », en un certain sens, ne so
l’approfondit, n’est en somme qu’un système de « rapports », et ces «
rapports
», en un certain sens, ne sont eux-mêmes que des
e, — et on pourrait dire de génération en génération, — le système de
rapports
qu’elle est. Avant Auguste Comte et le positivism
te révolution. De ce que la science, en effet, n’est qu’un système de
rapports
, et de ce que ses progrès ne sauraient consister
ses progrès ne sauraient consister qu’à développer le système de ces
rapports
, il résulte, en premier lieu, que nous pouvons to
ier lieu, que nous pouvons toujours nous tromper sur la nature de ces
rapports
, et que la vérification, si je puis ainsi dire, e
cette seule raison, dès que la science est conçue comme un système de
rapports
, la science, d’âge en âge, est donc perpétuelleme
illeurs assez clairement qu’à mesure que nous connaîtrons mieux ces «
rapports
» qui sont toute la science ; à mesure qu’ils ser
la religion ? Mais, précisément, si la science n’est qu’un système de
rapports
, et de rapports humainement variables, quoique th
is, précisément, si la science n’est qu’un système de rapports, et de
rapports
humainement variables, quoique théoriquement néce
t de la « remplacer ! » L’absolu n’est pas le relatif ! Un système de
rapports
n’explique pas l’homme à lui-même, son origine ou
la connaissance. » La science, avons-nous dit, n’est qu’un système de
rapports
ou de signes, entre lesquels et ce qu’ils signifi
et ce qu’ils signifient nous ne saurions affirmer s’il y a plus de «
rapports
» qu’entre « le Chien, constellation céleste », e
n animal aboyant. » Il y en a même et certainement moins, puisque les
rapports
que nous ne voyons pas entre le Chien « constella
iens hommes qui jadis les ont nommés du même nom. En revanche, de ces
rapports
dont le système constitue notre science, nous pou
i distinguent la science d’avec l’art. Car ne sont-ce pas aussi des «
rapports
» qu’expriment la musique, par exemple, ou la pei
rts » qu’expriment la musique, par exemple, ou la peinture ? Mais ces
rapports
ne sont pas « constans », et ils ne sont pas « né
s ne sont pas « nécessaires. » Il arrive, dit-on, fréquemment, que le
rapport
soit le même entre la longueur de la tête humaine
par exemple, et la longueur du buste ou du corps tout entier. Mais ce
rapport
n’est pas « nécessaire », puisqu’il est souvent a
, et imprévu. On a pu dire que l’art consistait dans l’altération des
rapports
réels des choses6. En tout cas, les rapports des
it dans l’altération des rapports réels des choses6. En tout cas, les
rapports
des objets qu’ils imitent ne sont pas les mêmes a
ni en affirmer l’existence en dehors de nous. Il en est autrement des
rapports
que nous appelons « constans » et « nécessaires.
en prendre et la réalité de ce qu’il est en son fond, il n’y a pas de
rapport
à nous connu, de communication certaine, de resse
et la constitution de notre mentalité, quelle qu’elle soit, il y a un
rapport
constant. Peut-être même y a-t-il quelque chose d
relatif, ou en d’autres termes, nous ne connaissons rien que dans son
rapport
avec autre chose, et, par conséquent, sous la con
de Corneille, ont fait d’une altération systématique et convenue des
rapports
réels des choses le principe de leur esthétique.
sur la marche des idées dans l’histoire, t. I, p. 296. 8. Ravaisson,
Rapport
sur le concours pour le prix Victor Cousin, 1884.
i joliment enfilées les unes au bout des autres, sans liaison et sans
rapport
, comme les grains d’un chapelet, ne font presque
mondes dans l’autre. L’oreille, l’œil, trouvent leur plaisir dans le
rapport
harmonique de deux sons ou de deux couleurs ; mai
ouble plaisir est encore surpassé par celui qui naît simultanément du
rapport
entre les deux termes, c’est-à-dire de la similit
oésie vit de métaphore, et que le poète est un artiste qui saisit des
rapports
de tout genre par toutes les puissances de son âm
genre par toutes les puissances de son âme, et qui leur substitue des
rapports
identiques sous forme d’images, de même que le gé
istique. Mais le Mazeppa surtout est un parfait symbole, et, sous ce
rapport
, on peut le regarder comme une création qui n’ava
pourrait peut-être aussi tirer de là quelques considérations sur les
rapports
qui unissent maintenant notre prose et notre poés
Dans la science des nombres, on peut multiplier les deux termes d’un
rapport
sans que le rapport change ; on a ainsi deux rapp
nombres, on peut multiplier les deux termes d’un rapport sans que le
rapport
change ; on a ainsi deux rapports égaux et une pr
deux termes d’un rapport sans que le rapport change ; on a ainsi deux
rapports
égaux et une proportion ; et si on répète la même
i on répète la même opération plusieurs fois, on obtient une suite de
rapports
, tous identiques, quoique sous des formes différe
, le géomètre substitue des nombres, parce qu’il ne considère que des
rapports
. Nous pourrions continuer, et montrer que tout se
t le sensible aux conceptions pures, ou en d’autres termes saisir des
rapports
et leur substituer des rapports identiques pris d
res, ou en d’autres termes saisir des rapports et leur substituer des
rapports
identiques pris dans un autre ordre d’idées, de m
cas, il ne fait qu’abstraire et comparer, c’est-à-dire substituer le
rapport
de deux termes au rapport identique de deux autre
ire et comparer, c’est-à-dire substituer le rapport de deux termes au
rapport
identique de deux autres termes. L’identité est l
e sensible par l’abstrait ; mais tous deux ne font que substituer des
rapports
à d’autres rapports, ou plutôt reproduire sous de
trait ; mais tous deux ne font que substituer des rapports à d’autres
rapports
, ou plutôt reproduire sous des termes différents
’autres rapports, ou plutôt reproduire sous des termes différents des
rapports
identiques. Seulement ils ne travaillent pas sur
oire d’un homme qui eût pu laisser un nom s’il eût voulu se mettre en
rapport
avec le public, et dont d’inexprimables chagrins
considérées comme peintures, comme expressions de nos idées et de nos
rapports
perçus ; et qu’elles n’avaient point été considér
elais la révélation. Les vieux monuments de la langue latine, sous ce
rapport
, nous raconteront, plus tard, comme la Bible. J’e
nt tout pour nous ; nous finissons par ne plus évoquer les idées (les
rapports
rendus concrets et fixés), et par ne plus opérer
ocaux pour représenter soit nos perceptions intellectuelles, soit les
rapports
intellectuels, les volontés, les actes de l’espri
on pense souvent avec des images ; un grand nombre de perceptions de
rapports
a lieu, et ces perceptions sont des idées, des pe
’est plus évoquée que par cette nature de signes ; la perception d’un
rapport
rappelle immédiatement son signe oral représentat
ue des langues dérivées, la valeur des mots qui peignent à la fois le
rapport
physique, ou l’être physique, avec le rapport ana
i peignent à la fois le rapport physique, ou l’être physique, avec le
rapport
analogique intellectuel ; s’est presque totalemen
l’expression nette, significative de nos idées, de nos perceptions de
rapports
intellectuels ; que l’analogie de ces rapports in
de nos perceptions de rapports intellectuels ; que l’analogie de ces
rapports
intellectuels avec les êtres physiques et les rap
nalogie de ces rapports intellectuels avec les êtres physiques et les
rapports
physiques n’est plus sentie ; que le langage a ce
avait reconnu l’absolu dans le moi de l’homme exprimant par le son un
rapport
entre l’être physique et l’être métaphysique, et
voir de valeur objective parce qu’elle ne nous fait connaître que des
rapports
, c’est raisonner à rebours, puisque précisément c
rapports, c’est raisonner à rebours, puisque précisément ce sont les
rapports
seuls qui peuvent être regardés comme objectifs.
st ce lien, et ce lien seul qui est objet en eux, et ce lien c’est un
rapport
. Donc quand nous demandons quelle est la valeur o
hoses ? mais cela veut dire ; nous fait-elle connaître les véritables
rapports
des choses ? À la première question, personne n’h
la seconde. La science peut-elle nous faire connaître les véritables
rapports
des choses ? Ce qu’elle rapproche devrait-il être
que nous avons dit plus haut sur les conditions de l’objectivité. Ces
rapports
ont-ils une valeur objective ? cela veut dire : c
ité. Ces rapports ont-ils une valeur objective ? cela veut dire : ces
rapports
sont-ils les mêmes pour tous ? Seront-ils encore
qui le plus souvent survit. Si l’une d’elles nous a fait connaître un
rapport
vrai, ce rapport est définitivement acquis et on
nt survit. Si l’une d’elles nous a fait connaître un rapport vrai, ce
rapport
est définitivement acquis et on le retrouvera sou
s être par hasard. En résumé, la seule réalité objective, ce sont les
rapports
des choses d’où résulte l’harmonie universelle. S
pports des choses d’où résulte l’harmonie universelle. Sans doute ces
rapports
, cette harmonie ne sauraient être conçus en dehor
ns-nous dit, est d’autant plus vraie, qu’elle met en évidence plus de
rapports
vrais. À la lumière de ce nouveau principe, exami
dmettre l’existence de l’espace absolu. Mais si l’une nous révèle des
rapports
vrais que l’autre nous dissimule, on pourra néanm
En disant, la Terre tourne, j’affirme que tous ces phénomènes ont un
rapport
intime, et cela est vrai, et cela reste vrai bien
’action de forces centrales, la Mécanique Céleste est impossible. Les
rapports
intimes que la Mécanique Céleste nous révèle entr
nique Céleste nous révèle entre tous les phénomènes célestes sont des
rapports
vrais ; affirmer l’immobilité de la Terre, ce ser
apports vrais ; affirmer l’immobilité de la Terre, ce serait nier ces
rapports
, ce serait donc se tromper. La vérité, pour laque
Chapitre deuxième Les opérations intellectuelles. — Leur
rapport
à l’appétition et à la motion. I. Rôle de l’ap
eur véritable du processus, dont le mécanisme exprime la forme et les
rapports
extérieurs. II Quel est le véritable pouvoi
ique. À l’origine, l’être animé ne se préoccupe pas de contempler les
rapports
des choses pour eux-mêmes ; il sent, veut et se m
à la théorie de la logique formelle, qui établit entre les objets des
rapports
de contenant à contenu, de tout à parties, et qui
exe suivie de réaction. De plus, quand même nous pourrions établir un
rapport
dans notre pensée entre l’idée de feu et l’idée d
s où l’on tient compte des différences, des ressemblances et de leurs
rapports
selon les lois de la nature. Les idées sont des f
mouvements. — Mais, objectera-t-on, le jugement consiste à saisir le
rapport
des termes ; or « les termes sont des images, mai
isir le rapport des termes ; or « les termes sont des images, mais le
rapport
n’est pas une image. » Nous avons déjà répondu pl
t n’est pas une image. » Nous avons déjà répondu plus haut que, si le
rapport
n’est pas une image objective (encore est-il tel
boutissent à cette théorie : « Aucune association n’est perception de
rapport
ou jugement. » — Il faudrait simplement dire, pou
tre exact : « Toute association n’est pas par cela même perception de
rapport
ou jugement », car il faut, pour juger, non seule
e l’acte ; mais cela n’implique pas du tout que l’animal ait pensé un
rapport
quelconque entre l’éclair et le tonnerre, pas mêm
ensé un rapport quelconque entre l’éclair et le tonnerre, pas même le
rapport
de succession ; non plus qu’un rapport quelconque
ir et le tonnerre, pas même le rapport de succession ; non plus qu’un
rapport
quelconque entre l’idée de tonnerre et l’idée de
té, par cela même, dans l’impossibilité d’apercevoir aucune espèce de
rapport
. Il y aurait alors pure succession, simple déroul
mple déroulement d’une série : dans le jugement, il y a perception de
rapports
, liaison logique entre tous les termes de cette s
but prennent alors dans la conscience des formes nettes, ainsi que le
rapport
qui les unit. Tout ce qui eût passé inaperçu est
tème d’actions et de mouvements, on peut dire de nouveau que c’est le
rapport
au mouvement, la force plus ou moins intensive et
de toute cette multitude. Il résulte de ce qui précède que, par leurs
rapports
avec la mobilité de la pensée et avec la motilité
fonction, et cette fonction elle-même est sensorielle et motrice : le
rapport
intellectuel de généralité est un extrait 1° du s
des similitudes, des identités soit entre des objets, soit entre des
rapports
. Or, c’est là raisonner ; car je n’ai besoin que
: A = C, et jamais : A n’égale point C. Ce qui revient à dire que de
rapports
semblables on ne peut déduire des rapports différ
qui revient à dire que de rapports semblables on ne peut déduire des
rapports
différents, ou, plus généralement encore, que du
mbent toujours sur le même nombre, on dira qu’ils sont pipés. Plus un
rapport
est à la fois simple et constant, plus il est voi
e qui revient à dire que les choses identiques seulement par quelques
rapports
ont des raisons identiques seulement par quelques
r quelques rapports ont des raisons identiques seulement par quelques
rapports
. Deux objets étant donnés, si nous reconnaissons
tés ou attributs (homme, mortel, etc.), entre lesquels il établit des
rapports
de simple coexistence ou de succession ; le raiso
u contraire, roule sur des quantités, entre lesquelles il établit des
rapports
d’égalité ou d’inégalité. Par exemple, je puis dé
+ 4 = 10, x = 3. Cette sorte de raisonnement, ne portant que sur des
rapports
parfaitement définis, ceux de quantité, et procéd
nfondraient avec les lois des forces, mais elle n’exprimerait que les
rapports
nécessaires des choses sans en saisir le fond int
non une analogie de formes, mais une analogie de lois, de règles, de
rapports
, elle constitue le symbole proprement dit. Par ex
les lois du monde physique au monde moral. Enfin, quand il n’y pas de
rapport
réel, mais seulement un rapport plus ou moins con
nde moral. Enfin, quand il n’y pas de rapport réel, mais seulement un
rapport
plus ou moins conventionnel entre la représentati
e absolue et complète ; nous connaissons seulement, et en partie, les
rapports
des choses entre elles ou avec nous : nos concept
dans lesquels la partie est substituée au tout, la forme au fond, les
rapports
plus ou moins extrinsèques à l’être intime, le re
une direction nouvelle : le monde des idées est ainsi, sous tous les
rapports
, un monde de forces. 99. Voir Volkmann, Lehrbu
it ailleurs : « Si nous cherchons quel est, à l’origine de la vie, le
rapport
de ces deux choses, volonté et croyance (ou induc
e portrait de la Fornarina. La ressemblance et la différence sont des
rapports
tout extrinsèques, pour un troisième terme qui la
s représentations, qu’ils ne le deviennent que plus tard, en vertu de
rapports
très complexes, dérivés et secondaires. Ils sont
s ; par conséquent, ils sont des actions et réactions ; et tel est le
rapport
sous lequel une psychologie mieux entendue doit l
raits d’une réalité unique et totale, qui comprend à la fois tous les
rapports
mécaniques et tous les faits de sensibilité ou de
réalité qui peut s’exprimer en sensations visuelles ou tactiles et en
rapports
dans l’espace entre les causes supposées de ces s
tants, d’autres parties ou éléments du processus total, avec d’autres
rapports
à d’autres sens. Nous disons : si, en même temps
son tant que la sensation de son ne viendra pas s’ajouter aux autres
rapports
de ces vibrations avec d’autres sens, tels que la
coup, d’autres sensations possibles de la vue et de l’ouïe, d’autres
rapports
du même phénomène, d’autres richesses qu’il renfe
us l’avons formulé tout à l’heure, est très différent, sous plus d’un
rapport
, du problème que se posent les sciences physiques
n quelconque à l’être sentant et conscient ; car c’est précisément ce
rapport
à une conscience actuelle ou virtuelle qui consti
ence quelconque, en tant qu’appréhendées sous forme de sensations. Le
rapport
à un sujet sentant et voulant est donc bien carac
phénomènes doivent toujours être considérés synthétiquement dans leur
rapport
à l’intérieur, au centre de vie mentale qui non s
ntaire. Les phénomènes à étudier sont toujours concentriques. Sous ce
rapport
, la psychologie ressemble à la biologie, qui cons
a réaction de la volonté appelée aversion, il n’y a pas simplement un
rapport
dans le temps dont on ferait la constatation brut
rconstances, le même ordre se reproduira. Nous voyons un pourquoi, un
rapport
de convenance interne entre les phénomènes se con
ne même volonté tendant au plus grand bien. On peut donc dire que les
rapports
psychologiques sont, comme tels, des rapports de
peut donc dire que les rapports psychologiques sont, comme tels, des
rapports
de finalité immanente, très différents des lois d
le calcul que la patte gauche se lèverait. Tout est mécanique sous le
rapport
des changements dans l’espace ; mais la série des
st plus seulement : existe-t-il un sujet ? mais, comment agit-il ? Le
rapport
du sujet aux objets n’est plus un simple rapport
comment agit-il ? Le rapport du sujet aux objets n’est plus un simple
rapport
de représentation, mais d’adaptation et de finali
enu tout objectif et sensoriel est-elle la meilleure expression de ce
rapport
primordial auquel vient aboutir l’analyse intérie
e se comprend que par le sujet, et le sujet ne se saisit que dans son
rapport
à un objet ; donc l’intelligence arrive elle-même
t certain, c’est que l’objectivité, nous l’avons vu plus haut, est un
rapport
ultérieurement conçu ; la représentation ne repré
rt ultérieurement conçu ; la représentation ne représente que par son
rapport
à autre chose qu’elle ; primitivement, il n’y a q
eurs aussi pour le son et pour la chaleur. Il n’en résulte pas que le
rapport
des deux sensations puisse toujours être exprimé
une sensation de qualité différente, quoique semblable sous certains
rapports
? Mais une qualité qui admet du plus et du moins
onnaissance sont des éléments qu’on trouve dans l’esprit, et, sous ce
rapport
, ils font partie des objets de la science psychol
’objet sur le sujet, et ce que peut le sujet sur l’objet ; sous leurs
rapports
de « représentation » elle cherche à découvrir le
s leurs rapports de « représentation » elle cherche à découvrir leurs
rapports
d’action réciproque ; enfin elle montre comment l
verrait qu’elles impliquent deux hypothèses assez différentes sur les
rapports
de la loi avec le fait qu’elle régit. A mesure qu
ns opposées de l’activité humaine, selon la manière dont on entend le
rapport
du concret à l’abstrait, du simple au complexe, e
dans une certaine nuance ou qualité de l’action même, et non dans un
rapport
de cet acte avec ce qu’il n’est pas ou avec ce qu
ce point, car ce n’est pas lier l’avenir au présent que d’établir un
rapport
de convenance ou de disconvenance entre une condu
ous indiquât la position des points de cette ligne, non seulement par
rapport
les uns aux autres, mais encore par rapport aux p
car dans ces équations le symbole t ne désigne pas une durée, mais un
rapport
entre deux durées, un certain nombre d’unités de
nte par une équation. À vrai dire, il se borne à établir une série de
rapports
de position entre ce corps et d’autres corps donn
a même hypothèse s’étende à toute la série des opérations, et que les
rapports
successifs de position dans l’espace se trouvent
éduire de plus en plus un intervalle de temps futur en conservant les
rapports
de ses parties entre elles, ainsi qu’il arrive po
mouvement qui se produit, mais un mouvement que l’on pense ; c’est un
rapport
entre des rapports. On admet, sans bien s’en rend
roduit, mais un mouvement que l’on pense ; c’est un rapport entre des
rapports
. On admet, sans bien s’en rendre compte peut-être
imultanéités seulement, et l’on nous fournit le moyen de calculer ces
rapports
de simultanéité pour un moment quelconque de notr
nature tend à s’évanouir ainsi en fumée algébrique. Ainsi entendu, le
rapport
de causalité est un rapport nécessaire en ce sens
si en fumée algébrique. Ainsi entendu, le rapport de causalité est un
rapport
nécessaire en ce sens qu’il se rapprochera indéfi
un rapport nécessaire en ce sens qu’il se rapprochera indéfiniment du
rapport
d’identité, comme une courbe de son asymptote. Le
s l’absolu, à l’unité divine : il supposait ainsi, d’une part, que le
rapport
de causalité apparente entre les phénomènes se ra
rapport de causalité apparente entre les phénomènes se ramenait à un
rapport
d’identité dans l’absolu, et, d’autre part, que l
e notre temps, on trouvera partout la même préoccupation d’établir un
rapport
de nécessité, logique entre la cause et l’effet,
que cette préoccupation se traduit par une tendance à transformer en
rapports
d’inhérence les rapports de succession, à annuler
se traduit par une tendance à transformer en rapports d’inhérence les
rapports
de succession, à annuler l’action de la durée, et
a conception spinoziste ou cartésienne de la nature, inversement tout
rapport
de détermination nécessaire établi entre des phén
En d’autres termes, plus nous tendons à ériger la relation causale en
rapport
de détermination nécessaire, plus nous affirmons
paradoxale que cette opinion puisse paraître, que la supposition d’un
rapport
d’inhérence mathématique entre les phénomènes ext
ut affirmer a priori qu’il n’y aura plus entre la cause et l’effet un
rapport
de détermination nécessaire, car l’effet ne sera
lle des faits de conscience. À vrai dire, cette seconde conception du
rapport
de la cause à l’effet est plus naturelle que la p
sentatifs les uns des autres. Ainsi, avec notre seconde conception du
rapport
de causalité, nous aboutissons à Leibnitz, comme
x idées timides et confuses du sens commun. Or, il est évident que le
rapport
de causalité, entendu de cette seconde manière, n
harmonie préétablie, et point du tout dans la conception dynamique du
rapport
de causalité. Mais laissons de côté l’histoire. L
re qu’à l’état d’idée. En d’autres termes, la conception dynamique du
rapport
de causalité attribue aux choses une durée tout à
urs l’un par l’autre revêt maintenant à nos yeux la même forme que le
rapport
dynamique de notre force à l’acte qui en émane ;
ue de notre force à l’acte qui en émane ; mais en revanche ce dernier
rapport
prend l’aspect d’une dérivation mathématique, l’a
nter de la même manière, et de désigner par un même mot, d’un côté le
rapport
qui existe entre deux moments de notre propre exi
ts de notre existence pour ainsi dire objectivée nous établissions un
rapport
analogue à la relation objective de causalité, et
, considérée comme activité ou effort. Il est donc entendu ici que le
rapport
de causalité externe est purement mathématique, e
externe est purement mathématique, et n’a aucune ressemblance avec le
rapport
de la force psychique à l’acte qui en émane. Le m
ce psychique à l’acte qui en émane. Le moment est venu d’ajouter : le
rapport
de causalité interne est purement dynamique, et n
salité interne est purement dynamique, et n’a aucune analogie avec le
rapport
de deux phénomènes extérieurs qui se conditionnen
tenant formuler notre conception de la liberté. On appelle liberté le
rapport
du moi concret à l’acte qu’il accomplit. Ce rappo
ppelle liberté le rapport du moi concret à l’acte qu’il accomplit. Ce
rapport
est indéfinissable, précisément parce que nous so
u que l’explication sociologique consiste exclusivement à établir des
rapports
de causalité, qu’il s’agisse de rattacher un phén
logiques. Suivant lui, elles doivent principalement exprimer, non des
rapports
définis de causalité, mais le sens dans lequel se
qu’un effet puisse suivre tantôt une cause et tantôt une autre. Si le
rapport
qui unit C à A est purement chronologique, il n’e
it C à A est purement chronologique, il n’est pas exclusif d’un autre
rapport
du même genre qui unirait C à B par exemple. Mais
gible, il ne saurait être à ce point indéterminé. S’il consiste en un
rapport
qui résulte de la nature des choses, un même effe
ui résulte de la nature des choses, un même effet ne peut soutenir ce
rapport
qu’avec une seule cause, car il ne peut exprimer
es spécifiquement différentes et la pluralité des causes se trouve en
rapport
avec celle des effets ; et si entre toutes ces es
nsidérable de faits, on ne pourra jamais obtenir de lois précises, de
rapports
déterminés de causalités. On ne pourra qu’assigne
approximative, que deux peuples concordent ou diffèrent sous tous les
rapports
, sauf un. Les chances de laisser un phénomène se
une relation. Cette méthode doit ce privilège à ce qu’elle atteint le
rapport
causal, non du dehors comme les précédentes, mais
omènes varient régulièrement l’un comme l’autre, il faut maintenir ce
rapport
alors même que, dans certains cas, l’un de ces ph
ar ce procédé ne se présentent pas toujours d’emblée sous la forme de
rapports
de causalité. La concomitance peut être due non à
le est la méthode expérimentale qui permet d’obtenir mécaniquement un
rapport
de causalité sans que les faits qu’elle établit a
influence sur la liaison des idées I. Nature de l’aperception. Son
rapport
avec l’attention et l’appétition. — II. L’apercep
re, supérieure en extension et en homogénéité interne ; c’est donc un
rapport
entre des groupes de représentations. Enfin pour
selon nous, la reconnaissance et la classification instantanée, avec
rapport
plus ou moins implicite au moi. Nous avons vu que
nnent une combinaison de changements organisés et conscients de leurs
rapports
. De plus, ajouterons-nous, le groupe général et e
le sujet sentant et agissant prend à ses sensations, en vertu de leur
rapport
à son état total ; l’intérêt sensible produit une
elle indéterminée de sa nature, ou, comme toute réaction, est-elle en
rapport
nécessaire avec l’action subie ? La théorie de Wu
es vibrent seulement sous l’influence des sons qui ont avec elles des
rapports
harmoniques. Helmholtz a montré, dans son Optique
intenses et distinctes. « Mais, objecte Wundt, on ne peut établir de
rapport
constant et mesurable entre l’action déterminante
l’intérêt que nous prenons à la chose, — intérêt déterminé, fini, en
rapport
avec les deux termes subjectif et objectif, et qu
elle leur simplicité ? — V. Elément relationnel des sensations. — VI.
Rapport
nécessaire de la sensation au mouvement. I Rôl
ns la genèse et le développement des sensations Chaque être est en
rapport
avec tous les êtres ; il en subit l’influence, il
ssance avec le minimum de souffrance. En vertu de cette loi, c’est le
rapport
des sensations aux émotions agréables ou pénibles
sont encore qu’une langue dérivée, une algèbre propre à exprimer des
rapports
: le fond même de la vie, l’original de l’existen
renciation et intégration successives, ont intensité, qualité, durée,
rapport
plus ou moins vague à l’étendue, ou extensivité.
tance ne peut se sentir seule, puisqu’elle implique deux termes et un
rapport
. La résistance est une motion arrêtée, une action
s laquelle il ne serait ni distinct ni senti. Il y a là d’ailleurs un
rapport
réciproque : car, si les sensations de tension et
t nous ne sommes avertis de ces sentiments d’appétition que dans leur
rapport
avec la résistance appréhendée par le sens. Nous
dire passivement changé et activement changeant dans la durée avec un
rapport
vague à l’espace ; mais cet élément sensoriel, mê
et encore n’obtenez-vous ainsi qu’une unité de lois, c’est-à-dire de
rapports
de temps, d’espace, de durée, d’intensité et de q
isirs et douleurs, de nos appétitions. Mais, en premier lieu, sous le
rapport
du temps, nous ne saurions saisir en nous l’insta
conscience, principalement les sensations, sont des composés, sous le
rapport
du nombre, du temps, de l’intensité, et même de l
exes, qu’elles enveloppent une somme d’actions et de réactions en des
rapports
déterminés, elles renferment nécessairement un él
exemple la différence de 2 à 3, non des intensités en elles-mêmes, le
rapport
de 2 à 3 devrait être saisi partout où il existe.
rop faibles, il n’est pas perceptible. Donc ce n’est pas seulement le
rapport
que nous sentons, mais les intensités mêmes des a
i en résulte, mais il ne s’ensuit pas que nous sentions seulement des
rapports
. Un disque rouge trop éloigné n’est pas vu ; il n
c’est bien la qualité même de la couleur qui est appréhendée, non son
rapport
avec une autre couleur. Ce qui donne lieu, dans c
t plus intime dans la conscience : c’est le sentir et le vouloir. Les
rapports
qui constituent le raisonnement ne peuvent unir q
s un sentiment spécial où ils sont à la fois réalisés et aperçus : le
rapport
de ressemblance suppose, nous le verrons plus tar
ppose, nous le verrons plus tard22, un sentiment de ressemblance ; le
rapport
de différence suppose un sentiment de différence
certaine affection de la conscience particulière et concrète dont les
rapports
abstraits sont des extraits. Le sentiment seul un
l’existence mentale. Riehl s’est inspiré de Wundt, mais, au lieu d’un
rapport
entre des phénomènes inconscients, il fait consis
e des phénomènes inconscients, il fait consister la sensation dans un
rapport
entre une stimulation inconsciente et une stimula
hanger un pur vide, vacuum, en une réalité. C’est changer indûment le
rapport
entre sensation et absence de sensation en rappor
hanger indûment le rapport entre sensation et absence de sensation en
rapport
de sujet à objet. Quoi qu’il en soit du passage à
e combinés avec des éléments conscients, ni consister dans de simples
rapports
. Les relations entre les éléments sensitifs de la
sation générale, mais ils n’en sont pas plus les constituants que les
rapports
numériques, conditions d’un accord, ne constituen
mériques, conditions d’un accord, ne constituent l’accord même. VI
Rapport
nécessaire de la sensation au mouvement La sen
emble soit grand ou petit, ses parties peuvent être unies par le même
rapport
. Entre deux exemplaires, plus ou moins volumineux
ses éléments si cet accroissement même ne devait rien changer à leurs
rapports
. Mais c’est ce qui est invraisemblable. Déjà en b
est vrai que celle-ci doit s’expliquer, en dernière analyse, par les
rapports
des éléments biologiques, par les actions et réac
e que l’accroissement de la quantité de ces éléments, multipliant ces
rapports
et permettant par suite à ces actions et réaction
générale de l’organisme ? A fortiori s’il s’agit d’une société : les
rapports
qui unissent ses éléments pouvant être infiniment
ments, devant redoubler le nombre, la complexité et la variété de ces
rapports
, sera vraisemblablement capable de modifier jusqu
être modifiées par le nombre des hommes avec lesquels nous vivons en
rapports
constants. On n’aime pas de la même façon, — c’es
les aspirations et les croyances égalitaires, qui ont pour objet les
rapports
mêmes des individus, ne seraient-elles pas soumis
s distinctifs qui nous autorise à chercher, entre l’un et l’autre, un
rapport
de condition à conséquence. Et qu’on ne nous oppo
st celle qui a pour effet d’augmenter, de compliquer et de varier les
rapports
entre individus. L’immensité de l’aire couverte p
lée la densité. On mesure d’ordinaire la densité d’une société par le
rapport
qui unit la surface qu’elle recouvre aux éléments
lité. Si donc, comme nous cherchons à l’établir, il existe un certain
rapport
entre l’accroissement de la quantité sociale et l
a aussi atteint son maximum. * ** Mais si nous voulons prouver que ce
rapport
est plus qu’une coïncidence, et que l’accroisseme
solait d’être esclave, comme soumis au corps collectif, dans tous ses
rapports
privés ». Les grandes démocraties modernes n’offr
? L’accroissement numérique des hommes avec lesquels nous entrons en
rapports
donne à notre pensée une sorte d’élan, qui la por
ient et le démonétisent, ne faut-il pas compter la seule quantité des
rapports
sociaux ? Un homme que nous coudoyons journelleme
la déduction psychologique nous autorise à penser qu’il y a, dans le
rapport
établi tout à l’heure par l’induction historique,
tion civilisée, dans son ensemble et dans ses parties, entretient des
rapports
d’importance vitale, avec les autres nations, et
complexe développement social correspond l’ensemble le plus riche de
rapports
inter-nationaux. Pourquoi dès lors ne pas accepte
oitesse et de vanité bouffonne, et d’affirmer que l’accroissement des
rapports
inter-nationaux est l’une des bases les plus esse
ent isolés, se défient les uns des autres et n’ont entre eux d’autres
rapports
que ceux de la guerre », tandis que « aujourd’hui
développement de l’humanité est, en effet, lié à l’élargissement des
rapports
inter-sociaux. L’homme moderne ne borne plus ses
de la vie générale de l’organisme social. Le droit international, les
rapports
diplomatiques, les « Affaires étrangères » et, en
re, cette face externe d’un organisme, c’est le mutiler. L’étude des
rapports
de l’individu et du corps social qui constitue la
fatalement, l’analogie des deux organismes étant admise, à celle des
rapports
du corps social et de la société humaine dans son
at des cités. Si nous voulions exprimer par une brève formule que les
rapports
du nationalisme et de l’Inter-nationalisme sont d
et solidarité. Nous sommes donc naturellement conduits à éclaircir le
rapport
de ces deux derniers termes. De même que le sen
uvent être conçus comme in-solidaires, que tout agrégat humain est en
rapport
nécessaire avec un plus vaste agrégat qui est l’h
es relations commerciales ou diplomatiques, par exemple. Bien que ces
rapports
entrent en ligne de compte dans l’ensemble de la
ité dont nous allons envisager quelques-uns des éléments. Ce sont des
rapports
d’une très différente sorte qui nous intéressent
des liens matériels, se subdivisant en une multitude d’éléments. Les
rapports
commerciaux et industriels notamment, sont, de no
litiques ne peuvent rompre l’unité. Quelque soit l’importance de ces
rapports
matériels, celle des liens intellectuels de cité
ements nationaux. Je ne suis pas avec ceux qui considèrent ces libres
rapports
comme un attentat aux nationalités. J’y vois au c
atesses exagérées de quelques sociétés de l’ancien régime n’ont aucun
rapport
sans doute avec les vrais principes du goût, touj
in celui qui devait naître de l’esprit général créé par de semblables
rapports
. Il existait des sociétés qui pouvaient, par des
doivent briser ces légères digues. Mais la société, c’est-à-dire, des
rapports
sans but, des égards sans subordination, un théât
t croient encore aux sentiments vrais et aux intérêts graves. Sous ce
rapport
, il n’est pas dépourvu d’une sorte de philosophie
, à la liberté, à tout ce qui peut exister de bon et d’élevé dans les
rapports
des hommes entre eux ! Depuis la révolution, une
actions même, annonce une âme paisible et fière, qui saisit tous les
rapports
dans tous les instants, et ne perd jamais ni le s
oût ne devant consister que dans la connaissance parfaite de tous les
rapports
vrais et durables, manquer aux principes de ce go
qu’on briserait une barrière, on n’en respecterait plus aucune ; les
rapports
de la société n’auraient pas assez de puissance p
hent à votre famille, à vos amis, aux malheureux ; mais dans tous les
rapports
qui n’ont point pris encore le caractère d’un dev
ré de considération auquel chaque individu s’est élevé ; et ; sous ce
rapport
, elle dispense le prix, objet des travaux de tout
vertu : loin que la république doive donner plus de liberté dans les
rapports
habituels de la société, comme toutes les distinc
ans les grandes circonstances, aux sentiments du cœur ; mais dans les
rapports
détaillés de la société, on ne s’entend que par l
portance à telle manière de voir en affaires publiques, qu’à tous ces
rapports
de l’âme et de la pensée, seule fraternité dont l
me que l’on n’avait jamais abordé, cette aversion s’affaiblit par les
rapports
de conversation, d’égards, de prévenance, qui ran
ygiène ; Montesquieu, dans les temps modernes, l’a envisagée dans son
rapport
avec le gouvernement, et, par la manière paradoxa
’est que la force résultante de toutes ces forces. Continuellement en
rapport
et souvent en lutte avec elle, l’homme, qui n’est
; et celui-ci modifié réagit incessamment sur l’homme. [Il y a] là un
rapport
évident, mais complexe, qui lie les progrès de la
u nord et du raidi, il le raconte dans ce livre, et en fait sentir le
rapport
avec le climat. C’est un recueil d’observations m
e l’homme du nord a nécessairement un gîte, une vie intérieure et des
rapports
de famille, tandis que l’homme du midi est bien p
liquent en partie par la prédominance des nuits et des hivers, et les
rapports
de société qui en résultent. Je ne suivrai pas l’
t. Dans le premier cas, nous les considérons principalement dans leur
rapport
à nos divers sentiments et, par conséquent, au su
me. Dans le second cas, nous les considérons principalement dans leur
rapport
avec un ou plusieurs groupes de cette possibilité
nes de la nature, dit-il, sont les uns à l’égard des autres dans deux
rapports
distincts : simultanéité et succession95. C’est à
ts distincts : simultanéité et succession95. C’est à la catégorie des
rapports
de succession qu’appartient la causalité ; mais t
rie des rapports de succession qu’appartient la causalité ; mais tout
rapport
de succession n’est pas un rapport de causalité ;
ppartient la causalité ; mais tout rapport de succession n’est pas un
rapport
de causalité ; il faut pour cela qu’il remplisse
est appelé la cause ; le conséquent invariable est appelé l’effet. Le
rapport
de cause à effet a lieu d’ordinaire entre un grou
t en meurt : on dit que ce mets est la cause de sa mort. Mais le vrai
rapport
de causalité est entre la totalité des antécédent
l, avec sa grande autorité philosophique, n’ait traité nulle part des
rapports
de la psychologie et de la logique. Cette questio
iseuse qu’il pourrait sembler d’abord ; car, déterminer nettement les
rapports
de deux sciences voisines, c’est préciser leur ob
pourvu qu’elle fasse une large part aux faits), nous recherchons les
rapports
de la psychologie à la logique, nous verrons que
u que la cause pour M. Mill, c’est l’antécédent invariable, et que le
rapport
de causalité c’est la succession inconditionnelle
rience nous les ait montrés jusqu’ici (sans exception connue) dans un
rapport
de succession invariable et inconditionnelle, il
tes, des successifs constantes et inconditionnelles, c’est-à-dire des
rapports
de causalité. VII M. J. Stuart Mill a trait
ccord viennent d’une théorie erronée de la causalité qui considère le
rapport
de cause à effet comme nécessaire, qui imagine un
ici, il n’est pas hors de notre sujet de montrer en quelques mots les
rapports
de l’Associationisme avec les théories morales qu
des déterminations rigoureuses et vraiment scientifiques. Tel est le
rapport
qui existe entre la moralité fondée sur l’utilité
profondément la philosophie platonicienne, il faut que je la mette en
rapport
avec l’époque de l’histoire de la philosophie à l
ière sa forme et son prix. La destinée de l’homme (j’entends dans ses
rapports
avec le monde) est de s’assimiler le plus possibl
l n’embrasse pas l’homme tout entier ; il ne le considère que par son
rapport
à l’idée du juste et de l’injuste, c’est-à-dire c
e chose, il n’aperçoit plus que son caractère divin, c’est-à-dire son
rapport
à Dieu. Le monde de la religion, c’est le culte.
e rappeler Dieu à l’homme, tandis que la nature extérieure, outre son
rapport
à Dieu, en a beaucoup d’autres qui distraient san
ficacement l’homme à son auteur ? À la condition de lui présenter les
rapports
si obscurs en eux-mêmes du monde et de l’homme à
sa borne infranchissable ? Dans toute époque de l’humanité, tous les
rapports
connus du monde et de l’homme à Dieu sont déposés
sans en omettre ni en supposer aucun ; puis, nous avons observé leurs
rapports
, leurs rapports de ressemblance et de dissemblanc
ni en supposer aucun ; puis, nous avons observé leurs rapports, leurs
rapports
de ressemblance et de dissemblance ; enfin, nous
ce et de dissemblance ; enfin, nous les avons classés à l’aide de ces
rapports
. C’est là l’analyse appliquée à l’âme, c’est-à-di
i elle y soutient avec les autres éléments de la civilisation le même
rapport
que nous l’avons vue soutenir avec les autres élé
roblème terrible. Que ferez-vous du premier ? tuez-le ou mettez-le en
rapport
avec son espèce. Pourquoi n’aurait-il pas connu l
tant que Leibnitz sur lui-même, sur le monde et sur Dieu, et sur leur
rapport
; mais il n’a pas le secret de son savoir ; il ne
u développement intérieur de l’esprit et du mouvement d’une époque. —
Rapport
de l’histoire de la philosophie à l’histoire en g
soutient avec les autres branches de l’histoire universelle les mêmes
rapports
que soutient la philosophie avec les autres éléme
, et quelles qu’elles soient, j’affirme, nous affirmons tous que leur
rapport
numérique est un rapport d’égalité. Eh bien, je v
ent, j’affirme, nous affirmons tous que leur rapport numérique est un
rapport
d’égalité. Eh bien, je vous le demande, cette vér
t un rapport d’égalité. Eh bien, je vous le demande, cette vérité, ce
rapport
repose-t-il sur ce qu’il y a de concret dans ces
que d’abord il ait en lui-même l’intelligence claire et parfaite des
rapports
abstraits des nombres, et qu’ensuite, armé de cet
nombres, et qu’ensuite, armé de cette intelligence, il détermine les
rapports
des objets sensibles et des quantités concrètes ;
es quantités concrètes sont numériquement égales. Nous n’admettons le
rapport
des quantités concrètes que parce que nous admett
ns le rapport des quantités concrètes que parce que nous admettons le
rapport
des quantités abstraites en elles-mêmes. Ici donc
en, où est dans les choses extérieures, dans le phénomène visible, ce
rapport
que nous y supposons, le rapport de la cause à l’
eures, dans le phénomène visible, ce rapport que nous y supposons, le
rapport
de la cause à l’effet ? Il n’est plus permis, dep
ne sensible, dans ce qu’il a de déterminé, et de concret, renferme le
rapport
de l’effet à la cause ; il est prouvé que le phén
d’une autre, un mouvement qui a lieu et un autre qui lui succède. Le
rapport
de la cause à l’effet y est pourtant, et le genre
e seule, qui, partant de la raison humaine, de ses éléments, de leurs
rapports
et de leurs lois, chercherait le développement de
tion complète des éléments de la raison ; 2º leur réduction ; 3º leur
rapport
. — Antécédents historiques de cette recherche. Ar
la cause absolue et la cause relative, l’infini et le fini ; 3º leur
rapport
. — Contemporanéité des deux idées essentielles de
d’un élément particulier de la nature humaine, la réflexion ; sous ce
rapport
, elle a ses événements à elle, un mouvement qui l
s embrasserait dans leur développement extérieur, pût concevoir leurs
rapports
secrets, leur ordre véritable, et qui puisât l’in
d’abord de les constater et de les décrire ; puis de rechercher leurs
rapports
, de ces rapports de tirer des lois, et avec ces l
nstater et de les décrire ; puis de rechercher leurs rapports, de ces
rapports
de tirer des lois, et avec ces lois de déterminer
coles, ces systèmes : une observation assidue donnerait peu à peu les
rapports
qui les séparent et qui les unissent, et les lois
re j’entends leurs éléments essentiels, il s’agit de déterminer leurs
rapports
, rapports essentiels comme leurs éléments eux-mêm
ds leurs éléments essentiels, il s’agit de déterminer leurs rapports,
rapports
essentiels comme leurs éléments eux-mêmes. Or, qu
orts essentiels comme leurs éléments eux-mêmes. Or, qu’est-ce que les
rapports
essentiels des choses ? Montesquieu l’a dit, ce s
choses ? Montesquieu l’a dit, ce sont leurs lois : Les lois sont les
rapports
nécessaires qui dérivent de la nature des choses.
ure des choses ; les éléments essentiels déterminés, il a saisi leurs
rapports
: ces rapports essentiels et nécessaires lui ont
; les éléments essentiels déterminés, il a saisi leurs rapports : ces
rapports
essentiels et nécessaires lui ont été des lois, e
ait bien que ces éléments se retrouvassent dans l’histoire avec leurs
rapports
, c’est-à-dire avec leurs lois ; et de là est résu
entiels de l’humanité ; puis de la nature de ces éléments tirer leurs
rapports
fondamentaux ; de leurs rapports tirer leurs lois
a nature de ces éléments tirer leurs rapports fondamentaux ; de leurs
rapports
tirer leurs lois ; ensuite, passant à l’histoire,
philosophie. Les différents éléments de la raison humaine avec leurs
rapports
et avec leurs lois, voilà ce qu’on appelle, à pro
sera la philosophie elle-même avec tous ses éléments, avec tous leurs
rapports
, avec toutes leurs lois, représentée en grand et
s en imaginons un seul, un élément hypothétique nous conduirait à des
rapports
hypothétiques, et de là à un système hypothétique
l’analyse. La troisième loi de la méthode est l’examen des différents
rapports
de ces éléments entre eux ; je dis des différents
différents rapports de ces éléments entre eux ; je dis des différents
rapports
, car ces éléments peuvent soutenir un grand nombr
érents rapports, car ces éléments peuvent soutenir un grand nombre de
rapports
différents ; il n’en faudrait supposer aucun, mai
ts, quand nous les aurons réduits, quand nous aurons saisi tous leurs
rapports
, que nous serons en possession des fondements de
ces éléments soit la borne de l’analyse, ni qu’ils aient discerné les
rapports
fondamentaux de ces éléments. Quels sont ces élém
ces éléments légitimes ? Quelle est leur réduction ? Quels sont leurs
rapports
essentiels ? Ce sont là des questions bien graves
atés, décrits, je procéderais à leur réduction et à l’examen de leurs
rapports
. Mais il faut aller plus vite ; il faut vous dire
ccupe-t-elle de l’existence, considère-t-elle les choses sous ce seul
rapport
qu’elles existent ? elle ne peut concevoir que l’
ité et de la différence, etc. Arrivés à cette réduction, examinons le
rapport
de ces deux termes ; prenons, comme proposition e
’on peut s’exprimer ainsi, l’unité et la multiplicité. Quels sont les
rapports
de ces deux termes de la même proposition ? Dans
mental de conscience : trois termes encore, le fini, l’infini et leur
rapport
. — Tous les hommes possèdent ce fait ; leur seule
quel le premier terme est d’un côté, le second de l’autre, sans autre
rapport
que celui d’être aperçus en même temps par l’inte
apport que celui d’être aperçus en même temps par l’intelligence ; le
rapport
qui les lie est tout autrement essentiel : l’unit
, etc. Le résultat de tout ceci est que les deux termes, ainsi que le
rapport
de génération qui tire le second du premier et qu
, et un seul terme ne suffisant à aucune proposition ; enfin, ôtez le
rapport
qui lie intimement la variété à l’unité, et vous
ainsi : en fait nous déclarons en délire ceux qui n’admettent pas les
rapports
mathématiques des nombres, ceux qui n’admettent p
erait infaillible, mais tombée qu’elle est dans l’homme, et par là en
rapport
avec les sens, les passions et l’imagination, d’i
es aberrations : elles sont nombreuses ; et comme elles dérivent d’un
rapport
qui, dans l’état actuel des choses, est notre con
nous. Il y a dans la raison humaine deux éléments distincts avec leur
rapport
, c’est-à-dire trois éléments, trois idées. Ces tr
ensible ? Mais ce qui serait absolument incompréhensible n’aurait nul
rapport
à notre intelligence, et ne pourrait être admis n
e la puissance, avec la variété inhérente à cette unité, et avec leur
rapport
tout aussi nécessaire que les deux termes qu’il u
elle-même, quoiqu’elle soit manifestée dans le monde, qu’est le vrai
rapport
du monde à Dieu, rapport qui est à la fois un rap
oit manifestée dans le monde, qu’est le vrai rapport du monde à Dieu,
rapport
qui est à la fois un rapport de ressemblance et d
qu’est le vrai rapport du monde à Dieu, rapport qui est à la fois un
rapport
de ressemblance et de différence ; car il répugne
eule. Il y a déjà de la variété dans l’harmonie, et de plus il y a un
rapport
de la variété à l’unité, il y a le mélange de l’u
vers. Voilà pourquoi vous trouvez le monde une belle chose ; c’est ce
rapport
intime de l’unité et de la variété qui fait la be
unité et de la variété qui fait la beauté de ce monde ; c’est ce même
rapport
qui, en faisant son existence, sa durée et sa bea
é à la variété. Et c’est parce que ces deux lois universelles sont en
rapport
l’une avec l’autre, et se forment l’une à l’autre
ogie végétale et animale ; vous retrouvez ces deux mouvements et leur
rapport
; la cohésion et son contraire, l’assimilation et
ion et son contraire, l’assimilation et son contraire encore, avec le
rapport
intime qui les rapproche. Je n’insiste pas ; déjà
e monde extérieur peut se résumer dans deux grandes lois et dans leur
rapport
, de même tous les faits de conscience peuvent se
s, finis ; de plus, l’idée de l’infini ; et de plus encore, l’idée du
rapport
du moi et du non-moi, c’est-à-dire du fini à l’in
’infini le fini : le contraire appelle le contraire ; et il en est du
rapport
du fini et de l’infini comme des deux termes qui
re du non-moi, le moi et le non-moi dans leur opposition et dans leur
rapport
nous donnent l’idée claire du fini ; et comme le
es. Les catégories obtenues par la réflexion ont donc l’air, par leur
rapport
à la réflexion, à la volonté, à la personne, d’êt
si données sont des vérités absolues, subjectives sans doute par leur
rapport
au moi qui les aperçoit, mais objectives en elles
re contiendra de nouveaux éléments, lesquels engendreront de nouveaux
rapports
, des lois nouvelles. L’homme change beaucoup, mai
Vous l’avez vu : trois, ni plus ni moins, le fini et l’infini, et le
rapport
du fini et de l’infini. Il est donc absolument im
ées séparées, il cherchera, les deux termes étant connus, leurs vrais
rapports
. Il ne peut donc y avoir que trois époques ; chac
fini et de l’infini ne sont pas seuls, qu’il y en a un troisième, le
rapport
du fini à l’infini, et comme ce rapport est réel
qu’il y en a un troisième, le rapport du fini à l’infini, et comme ce
rapport
est réel et occupe une grande place dans la pensé
aucune autre. Dans toutes les époques est le fini et l’infini, et le
rapport
de l’un à l’autre ; car il n’y a de vie que dans
ue à elle ! Ou n’admettez-vous que ces deux époques, négligez-vous le
rapport
du fini et de l’infini, et ne donnez-vous pas une
i, et ne donnez-vous pas une époque particulière à l’expression de ce
rapport
? Vous condamnez l’humanité à aller sans cesse de
ne peut rien concevoir que sous la raison du fini, de l’infini et du
rapport
du fini à l’infini : il n’y a pas d’autre catégor
’unité séparées l’une de l’autre, mais fondues ensemble ; elle est le
rapport
même, l’union de la variété et de l’unité. Enfin
ent trois éléments, le moi et le non-moi ou le fini, l’infini et leur
rapport
; la réflexion en s’y appliquant les divise pour
éments qui le premier la sollicite ? Il est impossible que ce soit le
rapport
du fini à l’infini : un rapport, pour être bien c
te ? Il est impossible que ce soit le rapport du fini à l’infini : un
rapport
, pour être bien compris, suppose que ses deux ter
our être bien compris, suppose que ses deux termes l’ont été ; car un
rapport
a autant de caractères, de nuances, de degrés que
en ont eux-mêmes. Il est donc clair que la réflexion ne s’attache au
rapport
du fini et de l’infini qu’après avoir parcouru l’
comme dans toute sa faiblesse, elle arrive à la conception tardive du
rapport
nécessaire du fini et de l’infini : de là une épo
e, dans l’État, dans l’art, dans la religion, dans la philosophie, le
rapport
du fini et de l’infini, et donne dans l’histoire
hie, le rapport du fini et de l’infini, et donne dans l’histoire à ce
rapport
son expression propre, son empire77. Tel est l’or
es de l’humanité ne soutiennent pas seulement l’une envers l’autre un
rapport
de succession ; elles sont liées entre elles par
’autre un rapport de succession ; elles sont liées entre elles par un
rapport
de génération. La première époque de l’humanité e
auxquelles toutes les idées ont été ramenées. — Question générale du
rapport
des lieux à l’homme. — Des climats. Défense de l’
’histoire ; que ces trois époques soutenaient l’une envers l’autre un
rapport
invariable de succession, et même que ce rapport
ne envers l’autre un rapport invariable de succession, et même que ce
rapport
de succession en couvrait un autre, celui de géné
toire à l’humanité et au monde et par là à Dieu. Dieu, considéré sans
rapport
avec le monde et l’humanité, est déjà sans doute,
gne de ce nom [ἱστορία, de ἴσημι, ἐπίσταμω savoir], est la science du
rapport
des faits aux idées. Le premier devoir de l’histo
demander aux faits ce qu’ils signifient, l’idée qu’ils expriment, le
rapport
qu’ils soutiennent avec l’esprit de l’époque du m
Rappeler tout fait, même le plus particulier, à sa loi, examiner son
rapport
avec les autres faits élevés aussi à leur loi, et
iner son rapport avec les autres faits élevés aussi à leur loi, et de
rapports
en rapports arriver jusqu’à saisir celui de la pa
port avec les autres faits élevés aussi à leur loi, et de rapports en
rapports
arriver jusqu’à saisir celui de la particularité
toutes les autres. Un lieu représente ou l’infini, ou le fini, ou le
rapport
du fini à l’infini ; telle est la formule que la
de lacunes dans les choses ; tout se lie et se tient. Sans doute, le
rapport
de l’homme et de la nature, nous l’avons dit bien
l’homme et de la nature, nous l’avons dit bien souvent, n’est pas un
rapport
de l’effet à la cause, mais l’homme et la nature
époques. Nous avons l’époque de l’infini, celle du fini, et celle du
rapport
de l’infini et du fini. Où placerons-nous la prem
main ? Enfin, mettrez-vous l’époque du monde qui doit représenter le
rapport
du fini à l’infini, la mettrez-vous dans une peti
il n’y aura pas assez de jeu pour tous les extrêmes, et pour tous les
rapports
de tous les extrêmes ? Je demande si vous pouvez
fin, soyez sûrs que l’époque qui devra représenter dans l’histoire le
rapport
du fini à l’infini sera un continent considérable
un peuple. Dans la dernière leçon nous avons indiqué rapidement les
rapports
intimes qui lient la géographie physique à l’hist
les autres, il faut qu’elle les compare entre eux pour en saisir les
rapports
, car ces rapports sont loin d’être indifférents.
ut qu’elle les compare entre eux pour en saisir les rapports, car ces
rapports
sont loin d’être indifférents. Il faut qu’elle ex
ine, lesquels sont subordonnés ; il faut qu’elle recherche surtout le
rapport
de l’élément religieux et de l’élément politique,
irent au hasard de leurs rêveries un certain nombre de systèmes, sans
rapport
avec l’esprit du temps, ni avec les autres élémen
us n’osez pas le soutenir, si vous accordez que la philosophie est en
rapport
intime avec l’époque et le peuple qui la produise
euples pour représenter différentes idées ; il faut donc examiner les
rapports
des différents peuples d’une même époque entre eu
tat, l’art, la religion et la philosophie ; nous avons parlé de leurs
rapports
de coexistence, de leurs rapports de prédominance
osophie ; nous avons parlé de leurs rapports de coexistence, de leurs
rapports
de prédominance ou de subordination, et nous avon
apports de prédominance ou de subordination, et nous avons décrit ces
rapports
avec le calme de la philosophie. Mais ces divers
; or la plus forte idée dans une époque est celle qui est le plus en
rapport
avec l’esprit même de cette époque. Chaque peuple
s idées ; d’où il suit que le peuple qui représente l’idée le plus en
rapport
avec l’esprit général de l’époque est le peuple a
stoire ! L’existence historique d’un peuple est tout entière dans son
rapport
avec l’idée qu’il représente. Ôtez à chacun des i
and homme est grand et il est homme ; ce qui le fait grand, c’est son
rapport
à l’esprit de son temps et de son peuple ; ce qui
puissance et de la gloire, à savoir l’idée qu’ils représentent, leur
rapport
intime avec l’esprit de leur temps et de leur peu
l’âge héroïque de l’humanité. La troisième époque, qui représente le
rapport
du fini et de l’infini, n’est pas moins fertile e
monde a été fait pour l’homme ; que l’homme est tout entier dans son
rapport
à Dieu, dans la religion ; que la vraie religion
e que les empires comme les individus n’ont d’importance que par leur
rapport
au service de Dieu, c’est-à-dire au christianisme
s idées qui n’en paraissent guère susceptibles. Il a très bien vu les
rapports
intimes qui rattachent l’homme à la nature, mais
composa deux discours en latin sur l’histoire de l’humanité dans ses
rapports
avec celle de l’Église et sur les immenses servic
réciproquement les uns sur les autres et sont unis entre eux par des
rapports
intimes et nécessaires, lesquels sont les lois mê
losophie de Locke à ses extrêmes et nécessaires conséquences. Sous ce
rapport
, le Traité des Sensations est un véritable monume
ue, le beau et le sublime considérés presque exclusivement dans leurs
rapports
avec l’homme, centre et mesure de toutes choses ;
me les Éléates, l’être pur sans mouvement, l’infini en soi sans aucun
rapport
au fini, l’absolu sans aucun rapport au relatif,
ment, l’infini en soi sans aucun rapport au fini, l’absolu sans aucun
rapport
au relatif, l’unité sans diversité. D’une autre p
monde et distinct du monde. P. 104. — Dans l’épineuse question des
rapports
de Dieu au monde, nous nous sommes constamment pr
rité divine. Voilà un Dieu réel, avec lequel nous pouvons soutenir un
rapport
réel aussi, que nous pouvons comprendre et sentir
tences, seulement il se trompait sur leur vrai caractère et sur leurs
rapports
. Selon Spinoza, l’homme n’est pas libre ; car sa
panthéisme et les théodicées abstraites, l’univers-Dieu et Dieu sans
rapport
à l’univers. Fragments de philosophie ancienne,
s deux termes extrêmes de toute spéculation : il reste à trouver leur
rapport
. La solution qui se présente d’abord à l’esprit h
elle est hautement contredite par celles de nos facultés qui sont en
rapport
avec ce monde et nous attestent sa réalité, et pa
r dans l’une ou l’autre extrémité de systèmes également vrais sous un
rapport
, également faux sous un autre, et tous vicieux au
ilieu Le milieu social, dont nous avons maintenant à rechercher les
rapports
avec la littérature, est si complexe qu’il est né
ui l’entourent ou qui l’ont précédée. Il faut donc encore étudier les
rapports
que chaque époque a pu avoir soit avec le dehors,
aque époque a pu avoir soit avec le dehors, soit avec le passé et ces
rapports
, comme tous ceux que nous avons à relever, sont d
en un développement parallèle, par suite des causes semblables, ou un
rapport
d’effet à cause, ou un rapport de cause à effet.
par suite des causes semblables, ou un rapport d’effet à cause, ou un
rapport
de cause à effet. Tantôt donc on découvrira une c
philosophique, la liberté a toujours été l’indépendance sous certains
rapports
. Nous adoptons cette notion, plus vivante et plus
liberté relative et limitée, c’est-à-dire une indépendance sous tels
rapports
n’excluant pas la dépendance sous tels autres rap
ance sous tels rapports n’excluant pas la dépendance sous tels autres
rapports
. Le problème est, encore une fois, de savoir jusq
ent d’énergie et à un mouvement dans un sens déterminé. Sous tous les
rapports
, nous avons un sentiment de puissance active et p
ce active et personnelle, qui est la base du sentiment de liberté. Le
rapport
du sujet aux objets dans l’intelligence est une n
it plus donner de raison, à savoir elle-même. Aucune détermination de
rapports
entre les objets de pensée ne peut nous rendre co
peut nous rendre compte de la pensée qui conçoit et ces objets et ces
rapports
. En tant que sujet pensant, je suis donc inexplic
ment ; nous n’arrivons donc pas arbitrairement à la conscience de tel
rapport
entre les diverses directions jugées et senties q
me quelconque, c’est admettre que certains actes, considérés sous tel
rapport
, ne sont pas déterminés par leurs antécédents et
s par leurs antécédents et n’y ont pas leur complète raison ; sous ce
rapport
, ils constituent des « commencements absolus », d
e qui les a précédés n’entraînait à sa suite. Or un acte qui, sous un
rapport
quelconque, n’a pas de raison capable d’expliquer
ale est « fonction » dépendante des deux termes, et elle exprime leur
rapport
; selon M. James, au contraire, on peut admettre
. En un mot, l’action est libre, selon cette doctrine, parce que « le
rapport
de l’action à l’état d’où elle sort ne saurait s’
ée véritable hors du calcul, pour se borner à déterminer une série de
rapports
de position, de simultanéités ou coïncidences, un
ne porte pas plus que l’autre sur la durée comme telle, mais sur des
rapports
de succession ou de simultanéité entre certains é
soin d’être spécifiée et n’offre vraiment de sens que sous tel ou tel
rapport
, par conséquent d’une façon relative. Etre indépe
pendance relativement à cet objet, et, si cette indépendance, sous un
rapport
quelconque, me paraît désirable, l’idée et le dés
d’une action, ni l’idée d’un objet ; elle n’est pas même l’idée d’un
rapport
; elle est précisément l’idée de la négation d’un
l’idée d’un rapport ; elle est précisément l’idée de la négation d’un
rapport
: comment donc pourrait-elle agir et surtout se r
tingence complète ; nous aurions alors, en effet, la négation de tout
rapport
, notamment du rapport des conditions et raisons à
us aurions alors, en effet, la négation de tout rapport, notamment du
rapport
des conditions et raisons à leurs conséquences. «
er notre vouloir, de manifester notre indétermination sous tel ou tel
rapport
. Par exemple, je veux remuer mon bras pour vouloi
proposer pour lin de réaliser une volonté indéterminée sous certains
rapports
. Mais, en se réalisant, la volonté se trouve déte
ste idée du mérite de ces ouvrages, il faut qu’ils la prennent sur le
rapport
des personnes qui entendent ces langues et qui le
uroient bien juger d’un objet dès qu’ils n’en sçauroient juger par le
rapport
du sens destiné pour le connoître. Nous ne sçauri
nous n’entendons point la langue, ne sçauroit nous être connu par le
rapport
du sens destiné pour en juger. Nous ne sçaurions
qui n’entend pas le latin au fait du mérite des odes d’Horace, que le
rapport
des qualitez d’une liqueur dont nous n’aurions ja
t au fait de la saveur de cette liqueur. Rien ne sçauroit suppléer le
rapport
du sens destiné à juger de la chose dont il s’agi
mes croiront toujours plusieurs témoins oculaires uniformes dans leur
rapport
, préferablement à tous ceux qui voudront en conte
diroit au critique d’aller voir le tableau, et l’on s’en tiendroit au
rapport
uniforme de tous ceux qui l’ont vû et qui assuren
et qui assurent qu’il les a charmez malgré ses défauts. En effet, le
rapport
uniforme des sens des autres hommes, est après le
n effet, le rapport uniforme des sens des autres hommes, est après le
rapport
de nos propres sens, la voïe la plus certaine que
et l’on n’ébranlera jamais la foi humaine, ou l’opinion prise sur le
rapport
uniforme des sens des autres. On ne sçauroit donc
la chute des corps, cela ne nous importe point ; mais quels sont les
rapports
des corps et de leurs mouvements avec nos percept
joutant un contrôle. La méthode subjective cherche la vérité dans les
rapports
des idées, la méthode objective la cherche dans l
dans les rapports des idées, la méthode objective la cherche dans les
rapports
des objets. Un raisonnement exact est la réunion
Un raisonnement exact est la réunion idéale d’objets dans leurs vrais
rapports
de coexistence et de succession : c’est voir avec
étaphysique. Otez de la loi de la gravitation la formule vérifiable «
rapport
direct des masses, rapport inverse du carré des d
de la gravitation la formule vérifiable « rapport direct des masses,
rapport
inverse du carré des distances », il ne reste qu’
nes des sens et du cerveau quoiqu’elle n’ait pas encore découvert les
rapports
qui les relient. Nous savons que le cerveau est u
essemble-t-elle en rien au feu ? Nullement. Elle exprime seulement un
rapport
entre nous et le feu, un effet que le feu produir
c un effet, et sa vérité est une vérité, non de ressemblance, mais de
rapport
. Elle ne peut nous faire connaître ce que sont le
toute chose. « La perception est l’identité du moi et du non-moi, le
rapport
de deux termes, le tertium quid de deux forces un
n’est pas une preuve que l’hydrogène ne puisse exister dans d’autres
rapports
avec d’autres gaz. De même, quoique le non-moi ne
s avec d’autres gaz. De même, quoique le non-moi ne puisse exister en
rapport
avec l’esprit, autrement que dans l’idée des deux
deux (perception), ce n’est point une preuve qu’il ne peut exister en
rapport
avec d’autres êtres sous des conditions toutes di
ur la fonction231. Son grand mérite a été d’apercevoir clairement les
rapports
de la psychologie avec la science de la vie, reco
nouveauté consiste dans sa précision. On avait vaguement reconnu les
rapports
du physique et du moral, et les rapports généraux
avait vaguement reconnu les rapports du physique et du moral, et les
rapports
généraux du système nerveux et des fonctions ment
8. P. 393. 229. P. 375. 230. Pour texte de la phrase, voir Cabanis,
Rapports
du physique et du moral, édit. Peisse, p. 138, av
u contraire, ce qui dépend d’elle ou dont elle dépend, en un mot, les
rapports
rationnels. » Soit ; mais M. Ravaisson ajoute : «
rmes ne lui sont pas préalablement donnés ? Jamais la conception d’un
rapport
ne pourra précéder la conscience des termes entre
a une cause et les révolutions des astres ont une cause » ; ces deux
rapports
ne lui auraient jamais donné le terme inconnu : g
épendante de la réaction intellectuelle qui saisit actuellement leurs
rapports
. Et il en est ainsi même quand une idée en suggèr
ier et non encore épuisés. Il résulte de ces lois physiologiques des
rapports
d’exclusion mutuelle ou d’affinité mutuelle soit
oif de vengeance, etc. Le lien qui les relie est l’unité d’un but par
rapport
auquel les impulsions sont moyens, l’unité d’un e
par rapport auquel les impulsions sont moyens, l’unité d’un effet par
rapport
auquel elles sont causes coopérantes. Cette solid
tion et de répulsion. Les idées ne s’enchaînent pas seulement par des
rapports
tout mécaniques et logiques ; elles s’enchaînent
des rapports tout mécaniques et logiques ; elles s’enchaînent par un
rapport
d’adaptation à nos sentiments. Ferri, dans son ét
oire. Du côté psychologique, le vrai lien primitif des idées est leur
rapports
l’unité de l’appétition, de l’effort, de la volon
et à l’unité de conscience. Du côté physiologique, leur lien est leur
rapport
à l’unité de la tension cérébrale, chaque décharg
e idée que se trouve la raison de l’apparition de la seconde ; « les
rapports
des ombres résultent de rapports entre les causes
l’apparition de la seconde ; « les rapports des ombres résultent de
rapports
entre les causes des ombres elles-mêmes. » Nous v
jours suivie d’un autre mot, qui détermine la relation ou l’espece de
rapport
que la préposition indique. Ainsi la préposition
avons ni déclinaison, ni cas, ni par conséquent de datif. V. Cas . Le
rapport
que les Latins marquoient par la terminaison du d
e préposition est entre deux termes, qu’elle lie & qu’elle met en
rapport
. 2. Que ce rapport est souvent marqué par la sign
ntre deux termes, qu’elle lie & qu’elle met en rapport. 2. Que ce
rapport
est souvent marqué par la signification propre de
ais que souvent aussi les prépositions, surtout à, de ou du, outre le
rapport
qu’elles indiquent quand elles sont prises dans l
ositions unitives ou indicatives, qui ne font que mettre deux mots en
rapport
; ensorte qu’alors c’est à l’esprit même à remarq
port ; ensorte qu’alors c’est à l’esprit même à remarquer la sorte de
rapport
qu’il y a entre les deux termes de la relation un
: du, lie feu avec approchez-vous, & l’esprit observe ensuite un
rapport
d’approximation, que du ne marque pas. Eloignez-v
du feu ; du, lie feu avec éloignez-vous, & l’esprit observe-là un
rapport
d’éloignement. Vous voyez que la même préposition
d’éloignement. Vous voyez que la même préposition sert à marquer des
rapports
opposés. On dit de même donner à & ôter à. Ai
ts opposés. On dit de même donner à & ôter à. Ainsi ces sortes de
rapports
different autant que les mots different entre-eux
que par conséquent elles n’indiquent pas par elles-mêmes la sorte de
rapport
particulier que celui qui parle veut faire entend
alors c’est à celui qui écoute ou qui lit, à reconnoître la sorte de
rapport
qui se trouve entre les mots liés par la préposit
ment que lui donne la connoissance & l’usage de sa propre Langue.
Rapport
de cause, rapport d’effet, d’instrument, de situa
la connoissance & l’usage de sa propre Langue. Rapport de cause,
rapport
d’effet, d’instrument, de situation, d’époque, ta
strument, de situation, d’époque, table à pieds de biche, c’est-là un
rapport
de forme, dit M. l’Abbé Girard, tom. II. p. 199.
port de forme, dit M. l’Abbé Girard, tom. II. p. 199. Bassin à barbe,
rapport
de service, (id. ib.) Pierre à feu, rapport de pr
. p. 199. Bassin à barbe, rapport de service, (id. ib.) Pierre à feu,
rapport
de propriété productive, (id. ib.) &c. La pré
p;c. La préposition à n’est point destinée à marquer par elle-même un
rapport
de propriété productive, ou de service, ou de for
propriété productive, ou de service, ou de forme, &c. quoique ces
rapports
se trouvent entre les mots liés par la prépositio
uvent entre les mots liés par la préposition à. D’ailleurs, les mêmes
rapports
sont souvent indiqués par des prépositions différ
souvent indiqués par des prépositions différentes, & souvent des
rapports
opposés sont indiqués par la même préposition. Il
raison de cette différence est que dans le dernier exemple de n’a pas
rapport
à facile, mais à il ; il, hoc, cela, à savoir de
habétique Abécédaire est différent d’Alphabéthique. Abécédaire a
rapport
au fond de la chose, au lieu qu’Alphabétique se d
ulgaires, parce que dans ces Langues les noms n’ont point de cas. Les
rapports
ou vûes de l’esprit que les Latins marquoient par
sa premiere dénomination, que parce que l’esprit y ajoûte un nouveau
rapport
, une nouvelle vûe. Quelle est cette vûe ou rappor
ajoûte un nouveau rapport, une nouvelle vûe. Quelle est cette vûe ou
rapport
qu’un tel ablatif désigne ? est-ce le tems, ou la
ou l’instrument, ou la cause, &c. Vous trouverez toûjours que ce
rapport
sera quelqu’une de ces vûes de l’esprit qui sont
e imperante Coesare Augusto, Christus natus est : on voit aisément le
rapport
de tems, & l’on sousentend sub. 3. Que lorsqu
ler absolues, c’est-à-dire, des phrases où les mots, sans avoir aucun
rapport
Grammatical avec les autres mots de la propositio
aisons, comme les noms Latins ; & voyant que ces mots n’ont aucun
rapport
grammatical ou de syntaxe avec les autres mots de
taxe avec les autres mots de la phrase, avec lesquels ils n’ont qu’un
rapport
de sens ou de raison, nous concevons aisément ce
) ABSOLUMENT, adv. Un mot est dit absolument, lorsqu’il n’a aucun
rapport
grammatical avec les autres mots de la propositio
y a des Langues qui énoncent en un seul mot ces vûes de l’esprit, ces
rapports
, ces manieres d’être, au lieu qu’en d’autres Lang
pports, ces manieres d’être, au lieu qu’en d’autres Langues ces mêmes
rapports
sont divisés par l’élocution & exprimés par p
noms ont des terminaisons particulieres destinées à marquer différens
rapports
, ou vûes particulieres sous lesquelles l’esprit c
me qu’un sens appellatif ; elle ne marque qu’une sorte, une espece de
rapport
particulier : mais ce rapport est ensuite appliqu
e ne marque qu’une sorte, une espece de rapport particulier : mais ce
rapport
est ensuite appliqué, & pour ainsi dire indiv
avant, cette préposition avant marque une priorité. Voilà l’espece de
rapport
: mais ce rapport doit être déterminé. Mon esprit
sition avant marque une priorité. Voilà l’espece de rapport : mais ce
rapport
doit être déterminé. Mon esprit est en suspens ju
iens, qui est au même cas que filius Maioe : tout cela se fait par le
rapport
d’identité. Voyez Construction . Pour épargner bi
ent leur terminaison que pour distinguer le pluriel du singulier. Les
rapports
ou vûes de l’esprit que les Latins font connoître
ou par le secours des prépositions. C’est ainsi que nous marquons le
rapport
de l’accusatif en plaçant le nom après le verbe.
s adjectifs métaphysiques. Ce sont des adjectifs de relation & de
rapport
numéral. Les noms de nombre cardinal, tels que de
, sa, &c. sont aussi des adjectifs métaphysiques qui désignent un
rapport
d’appartenance ou de propriété, & non une qua
. Enfin y a-t-il dans une Langue une maniere établie pour marquer les
rapports
ou points de vûe qu’on appelle cas : l’adjectif d
se conformer ici au substantif : en un mot il doit énoncer les mêmes
rapports
, & se présenter sous les mêmes faces que le s
qui ont des cas, c’est-à-dire, qui marquent par des terminaisons les
rapports
que les mots ont entre eux, la position n’est d’a
riens qui font la construction des mots de la phrase, relativement au
rapport
que les mots ont entr’eux dans la proposition que
marque ce que l’on dit que vous êtes, & se rapporte à vous par un
rapport
d’identité. Voilà la proposition complete. Hélas
let est composée de divers sens ou concepts particuliers, qui, par le
rapport
qu’ils ont entr’eux, forment l’ensemble ou sens c
puisqu’il se sert de ce mot en Latin, il le traduira par comparaison,
rapport
de ressemblance entre une chose & une autre :
oportio-ve dici potest. Cic. Analogie signifie donc la relation, le
rapport
ou la proportion que plusieurs choses ont les une
ntes. Il y a de l’analogie entre les êtres qui ont entre eux certains
rapports
de ressemblance, par exemple, entre les animaux &
commun soit la même, il se trouve une différence dans son habitude ou
rapport
; en ce sens salutaire est analogue tant à l’homm
estres. Ainsi l’oeil & l’entendement sont dits avoir analogie, ou
rapport
l’un à l’autre. En matiere de langage, nous dison
h garda la conduite dont nous parlons. En Grammaire l’analogie est un
rapport
de ressemblance ou d’approximation qu’il y a entr
A l’égard de it clamor coelo ; coelo est au datif, qui est le cas du
rapport
& de l’attribution, c’est une façon de parler
nd principe de syntaxe, que les mots ne sont construits que selon les
rapports
qu’ils ont entr’eux dans la même proposition ; c’
autre proposition, puisque les mots ne se construisent & n’ont de
rapport
entr’eux que dans la même proposition. Urbem qua
t, &c. c’est-à-dire qui est le théatre sanglant, &c. ainsi le
rapport
d’identité est la raison de l’apposition. (F)
linent, c’est-à-dire, qu’ils changent de terminaison selon les divers
rapports
ou vûes de l’esprit qu’on a à marquer, ils ont en
les prépositions ne sauroient entrer dans le discours sans marquer un
rapport
ou relation entre deux termes, entre un mot &
ne pour ; ces deux mots pour la patrie font un sens particulier qui a
rapport
à travaille, & ce dernier au sujet de la prép
eau. A est aussi une préposition qui, entre autres usages, marque un
rapport
d’attribution, donner son coeur à Dieu, parler à
ositions. Les Latins n’ont que six cas, cependant il y a bien plus de
rapports
à marquer ; ce plus, ils l’énoncent par le secour
n, quand la place du mot ne peut pas nous servir à faire connoître le
rapport
que nous avons à marquer, nous faisons alors ce q
génitif, nous avons recours à une préposition ; il en est de même du
rapport
d’attribution, nous le marquons par la prépositio
pour, & même par quelques autres, & les Latins marquoient ce
rapport
par une terminaison particuliere qui faisoit dire
un complément comme les autres prépositions, & ont également des
rapports
particuliers à marquer ; par conséquent si de &am
avec l’article, forment autant de nouveaux cas, qu’elles marquent de
rapports
différens ; pourquoi dit-on que di, a, da, ont ce
es de ces prépositions n’entrent dans le discours que pour marquer le
rapport
particulier qu’elles doivent indiquer chacune sel
age leur a donnée, sauf aux Latins à marquer un certain nombre de ces
rapports
par des terminaisons particulieres. Encore un mot
nt dit en François ; nous ne faisons que nommer : & à l’égard des
rapports
ou vûes différentes sous lesquels nous considéron
ion & à la détermination ; c’est-à-dire, qu’elle sert à mettre en
rapport
le mot qui qualifie, avec celui qui est qualifié
. les unes & les autres servent à faire connoître en François les
rapports
particuliers que l’usage les a chargés de marquer
és de marquer, sauf à la langue Latine à exprimer autrement ces mêmes
rapports
. A l’égard de le, la, les, je n’en fais pas une c
rimé ou sousentendu, avec lequel elle puisse mettre son complément en
rapport
: qu’ainsi il y a ellipse dans ces façons de parl
ert à tourner l’esprit vers deux objets, & à faire appercevoir le
rapport
que l’on veut indiquer entre l’un & l’autre.
un un ensemble, un tout particulier par la liaison, la continuité, le
rapport
& la dépendance de leurs parties. Quand une f
mbrable de ces êtres particuliers, de leurs propriétés & de leurs
rapports
. D’ailleurs comment apprendre & retenir tant
d’un lieu en un autre, qui ont des organes, dont la liaison & les
rapports
forment un ensemble. Ainsi l’on dit ce chien est
tirés des pronoms personnels ; ils marquent que leur substantif a un
rapport
de propriété avec la premiere, la seconde, ou la
de nombre est précédé de l’article ou prénom qui indiquent ce nouveau
rapport
. Le jour de la multiplication des pains, les Apôt
d’article, il ne lui faut que la simple préposition pour le mettre en
rapport
avec beaucoup, peu, rien, pas, point, sorte, &
hacune de ces phrases, le roi & le peuple sont considérés sous un
rapport
différent. Dans la premiere, c’est le roi qui aim
r la langue Latine, pour exprimer nettement & clairement certains
rapports
ou vûes de l’esprit, que l’article seul peut dési
ne, qui avoit ; dit-on, une voix frêle & qui bégayoit : mais quel
rapport
y a t-il entre la battologie & le bégayement
t, pour quiret ; relicu-um, pour reliquum. Il faut encore observer le
rapport
du c au g. Avant que le caractere g eût été inven
s la prononciation du g, ce fut ce qui donna lieu à Sp. Carvilius, au
rapport
de Terentius Scaurus, d’inventer le g pour distin
u Caius ; Gneius pour Cneius. Pour achever ce qu’il y a à dire sur ce
rapport
du c au g, je ne puis mieux faire que de transcri
ecueilli à ce sujet, p. 647. « Le g n’est qu’une diminution du c, au
rapport
de Quintilien ; aussi ces deux lettres ont-elles
ere des Hébreux : mais le chaph est une lettre aspirée, qui a plus de
rapport
au χ, chi, des Grecs qu’à notre c. D’ailleurs, le
age au κάππα & à notre c, c’est le kouph dont la figure n’a aucun
rapport
au c. Le P. Mabillon a observé que Charlemagne a
ur morale, leur politique, & sur tout dans les choses qui avoient
rapport
à leur fanatisme & à leur superstition. Les m
89 ; 2°. certains caracteres ont été en usage, qui semblent avoir du
rapport
aux lettres ; par exemple M, par lequel on exprim
n, r, s, t, &c. sont les caracteres des exposans indéterminés des
rapports
& des puissances ; ainsi xm, yn, zr, &c.
s auteurs se servent du même caractere = pour exprimer l’identité des
rapports
, ou pour marquer les termes qui sont en proportio
[non reproduit]30.15. ou 8 : 4 [non reproduit]30 : 15. montre que le
rapport
de 30 à 15 est le même que celui de 8 à 4, ou que
le caractere de la proportion géométrique continue ; il montre que le
rapport
est [non reproduit]jours le même sans interruptio
ues, des propriétés essentielles des corps désignés, & même leurs
rapports
génériques & spécifiques. Ces sept signes n’o
souvent précédés de certaines prépositions qui en font connoître les
rapports
: souvent aussi c’est le sens, c’est l’ensemble d
amp; par la considération des circonstances, donne l’intelligence des
rapports
des mots ; ce qui arrive aussi en latin à l’égard
. (Prisc. liv. V. de Casu.) Le datif sert à marquer principalement le
rapport
d’attribution, le profit, le dommage, par rapport
bles ont avec les autres mots de la même proposition, & sous quel
rapport
ils y doivent être considérés. Ainsi dans le prem
bien observer la destination de chaque terminaison particuliere : tel
rapport
, telle vûe de l’esprit est marquée par tel cas, c
nt qu’agricolam est à l’accusatif, j’apperçois qu’il ne peut avoir de
rapport
qu’avec continet : ainsi je range ces mots selon
rba moriens sitit prae vitio aeris. Ainsi les cas sont les signes des
rapports
, & indiquent l’ordre successif, par lequel se
de ma langue, la simple position de ces mots me fait connoître leurs
rapports
& les différentes vûes de l’esprit de celui q
le patient. C’est l’objet du sentiment que j’attribue au Roi. Or ces
rapports
sont indiqués en François par la place ou positio
leur position, & leur place, qui est le signe principal de leurs
rapports
. Or, comme en Latin il faut que le mot ait la ter
oine ; ce seroit-là pour lui trois mots qui n’auroient aucun signe de
rapport
. Mais reprenons la suite de nos réflexions sur le
nec non etiam structuroe rationem servamus. Prise. L. V. de Casu. Les
rapports
qui ne sont pas indiqués par des cas en Grec, en
en Grec, en Latin, & dans les autres langues qui ont des cas, ces
rapports
, dis-je, sont suppléés par des prépositions, clam
server que les objets peuvent être qualifiés ou absolument sans aucun
rapport
à d’autres objets, ou relativement, c’est-à-dire
ivement à un autre ou à d’autres, alors il y a entre ces objets ou un
rapport
d’égalité, ou un rapport de supériorité, ou enfin
’autres, alors il y a entre ces objets ou un rapport d’égalité, ou un
rapport
de supériorité, ou enfin un rapport de prééminenc
ts ou un rapport d’égalité, ou un rapport de supériorité, ou enfin un
rapport
de prééminence. S’il y a un rapport d’égalité, l’
pport de supériorité, ou enfin un rapport de prééminence. S’il y a un
rapport
d’égalité, l’adjectif qualificatif est toûjours r
les nuits sont aussi longues que les jours. 2°. Lorsqu’on observe un
rapport
de plus ou un rapport de moins dans la qualité de
longues que les jours. 2°. Lorsqu’on observe un rapport de plus ou un
rapport
de moins dans la qualité de deux choses comparées
s la qualité de deux choses comparées, alors l’adjectif qui énonce ce
rapport
est dit être au comparatif ; c’est le second degr
té distingués du positif par des terminaisons particulieres, comme le
rapport
d’égalité ne l’est point ; il y a, dis-je, bien d
urroit bien avoir dit autrefois en Latin peus pour malus : on sait le
rapport
qu’il y a entre le b & p ; ainsi peus, géniti
ord établir comme un principe certain, que les mots n’ont entr’eux de
rapport
grammatical, que pour concourir à former un sens
ammaire a trouvés établis en chaque langue, ne sont que des signes du
rapport
que l’esprit conçoit entre les mots, selon le sen
, doit commencer par ranger les mots selon l’ordre successif de leurs
rapports
, par lesquels seuls on apperçoit, après que la ph
e qui indique ce que j’ai vû. Observez qu’il n’y a que deux sortes de
rapports
entre ces mots, relativement à la construction. I
sortes de rapports entre ces mots, relativement à la construction. I.
Rapport
, ou raison d’identité (R. id. le même). II. Rappo
construction. I. Rapport, ou raison d’identité (R. id. le même). II.
Rapport
de détermination. 1. A l’égard du rapport d’ident
ntité (R. id. le même). II. Rapport de détermination. 1. A l’égard du
rapport
d’identité, il est évident que le qualificatif ou
ne, & du cas dans les langues qui ont des cas. Tel est l’effet du
rapport
d’identité, & c’est ce qu’on appelle concorda
’identité, & c’est ce qu’on appelle concordance. 2. A l’égard du
rapport
de détermination, comme nous ne pouvons pas commu
alors c’est l’ensemble qui forme le sens que nous voulons énoncer. Le
rapport
d’identité n’exclut pas le rapport de déterminati
sens que nous voulons énoncer. Le rapport d’identité n’exclut pas le
rapport
de détermination. Quand je dis l’homme savant, ou
le savane homme, savant modifié détermine homme ; cependant il y a un
rapport
d’identité entre homme & savant, puisque ces
individu, qui pourroit être exprimé en un seul mot, doctor. Mais le
rapport
de détermination se trouve souvent sans celui d’i
souvent sans celui d’identité. Diane étoit sœur d’Apollon ; il y a un
rapport
d’identité entre Diane & sœur : ces deux mots
n ils sont au même cas, &c. Diana erat soror. Mais il n’y a qu’un
rapport
de détermination entre sœur & Apollon : ce ra
il n’y a qu’un rapport de détermination entre sœur & Apollon : ce
rapport
est marqué en Latin par la terminaison du génitif
soror Apollinis ; au lieu qu’en François le mot d’Apollon est mis en
rapport
avec sœur par la préposition de, c’est-à-dire que
le nom qui la précede. Pierre aime la vertu : il y a concordance ou
rapport
d’identité entre Pierre & aime ; & il y a
cordance ou rapport d’identité entre Pierre & aime ; & il y a
rapport
de détermination entre aime & vertu. En Franç
y a rapport de détermination entre aime & vertu. En François, ce
rapport
est marqué par la place ou position du mot ; ains
position du mot ; ainsi vertu est après aime : au lieu qu’en Latin ce
rapport
est indiqué par la terminaison virtutem, & il
bes des mots qui précedent ou qui suivent. Il y a autant de sortes de
rapports
de détermination, qu’il y a de questions qu’un mo
on répond, à N. c’est la détermination de la personne à qui, c’est le
rapport
d’attribution. Ces trois sortes de déterminations
t un sens particulier, avec lequel les mots de la réponse n’ont aucun
rapport
grammatical. Si l’on répond Christus, c’est que l
rait, qui marque la propriété d’être blanc, conçue par l’esprit, sans
rapport
à aucun sujet particulier, & comme si c’étoit
bstrait marque une forme ou qualité considérée en elle-même, sans nul
rapport
à aucun sujet ; tels sont humanité, vérité, beaut
e la perception qu’il a de deux objets, apperçoit entre ces objets un
rapport
ou d’accompagnement, ou d’opposition, ou de quelq
n est la conjonction. Il en est de même si l’on veut marquer quelque
rapport
d’opposition ou de disconvenance ; par exemple, s
férences dans les points de vûe sous lesquels notre esprit observe un
rapport
entre un mot & un mot, ou entre une pensée &a
action est relative à un tems, puisqu’elle se passe dans le tems. Ces
rapports
de l’action au tems sont marqués en quelques lang
e d’un mot. Amusez-vous ensuite tant qu’il vous plaira à observer les
rapports
de filiation ou de paternité que ce mot peut avoi
. On dit construction pleine, quand on exprime tous les mots dont les
rapports
successifs forment le sens que l’on vent énoncer.
e ; car dans chacune de ces constructions il y a les mêmes signes des
rapports
que les mots ont entr’eux, ainsi ces rapports son
a les mêmes signes des rapports que les mots ont entr’eux, ainsi ces
rapports
sont les mêmes dans chacune de ces phrases. Chaqu
prit. Ces signes, quand on en sait la destination, font connoître les
rapports
successifs que les mots ont entr’eux ; c’est pour
e successif qui nous en fait appercevoir aisément la liaison & le
rapport
, sans qu’il y ait aucune proposition intermédiair
ensée ; nous en rassemblons toutes les parties selon l’ordre de leurs
rapports
; nous lions ces parties à des signes, ce sont le
personnes, & les tems, nous devenions plus habiles à démêler les
rapports
des mots & à en appercevoir l’ordre successif
& ne leur laissez que la premiere terminaison qui n’indique aucun
rapport
, vous ne formerez aucun sens ; ce seroit comme si
proposition est finie, nous les font regarder selon l’ordre de leurs
rapports
, & par conséquent selon l’ordre de la constru
ité de l’élocution nous fait donner à la pensée ; il nous indique les
rapports
que ces parties ont entr’elles ; rapports dont le
ensée ; il nous indique les rapports que ces parties ont entr’elles ;
rapports
dont le concert produit l’ensemble, & pour ai
simple, parce qu’on n’y suit pas l’ordre de l’état des choses, ni du
rapport
immédiat qui est entre les mots en conséquence de
ient : ainsi tous les mots se trouvent rangés successivement selon le
rapport
immédiat du mot qui suit avec celui qui le préced
n simple exige que les mots soient énoncés dans l’ordre successif des
rapports
qu’il y a entr’eux, ensorte que le mot qui est à
la destination des terminaisons ; elles indiquent la place & les
rapports
des mots ; ce qui est d’un grand usage lorsqu’il
tives des mots. II. De la construction figurée. L’ordre successif des
rapports
des mots n’est pas toûjours exactement suivi dans
e sont dans les langues qui ont des cas ; parce que dans celles-ci le
rapport
du mot exprimé avec le mot sousentendu, est indiq
x. Ainsi nous ne saurions faire usage de cette figure, que lorsque le
rapport
des correlatifs n’est pas difficile à appercevoir
dans un ordre différent. Quel est celui de ce, divers arrangemens par
rapport
auquel on doit dire qu’il y a inversion ? Ce ne p
, inspire. Cependant en ces occasions-là mêmes l’esprit apperçoit les
rapports
des mots, selon l’ordre de la construction signif
ion. Les mots forment un tout qui a des parties ; or la perception du
rapport
que ces parties ont l’une à l’autre, & qui no
ion simple, qui, énonçant les mots suivant l’ordre successif de leurs
rapports
, nous les présente de la maniere la plus propre à
es présente de la maniere la plus propre à nous faire appercevoir ces
rapports
& à faire naître la pensée totale. Cette prem
simple & bien ordonné, & que nous appercevons sans peine les
rapports
des parties qui font l’ensemble, nous ne faisons
e qui fait appercevoir la liaison, la dépendance, la suite, & les
rapports
des mots ; cependant les langues n’ont pas eu d’a
fait donner à la pensée, sur les signes de ces parties, & sur le
rapport
& le service de ces signes. Ils ont observé e
osition est un assemblage de mots, qui, par le concours des différens
rapports
qu’ils ont entr’eux, énoncent un jugement ou quel
la proposition, & en achever le sens, pour démêler exactement les
rapports
que les mots ont entr’eux selon l’usage de la lan
séparer des autres mots. C’est le sens total, qui résulte des divers
rapports
que les mots ont entr’eux, qui est le sujet de la
liées entr’elles par des conjonctions ou par des termes relatifs. Les
rapports
mutuels que ces propositions ont alors entre elle
i, auquel, auxquels, servent aussi à lier les propositions, selon les
rapports
que ces pronoms relatifs ont avec les mots qui su
ode. IV. Proposition principale, proposition incidente. Un mot n’a de
rapport
grammatical avec un autre mot, que dans la même p
à la proposition particuliere dont il fait partie, sur-tout quand le
rapport
des mots se trouve interrompu par quelque proposi
nd on considere une proposition grammaticalement, on n’a égard qu’aux
rapports
réciproques qui sont entre les mots ; au lieu que
se ou cet assemblage de mots grammaticalement, c’est-à-dire selon les
rapports
que les mots ont entr’eux ; rapports d’où résulte
calement, c’est-à-dire selon les rapports que les mots ont entr’eux ;
rapports
d’où résulte le sens : je trouve que cette phrase
terme de l’action de suit : car selon l’ordre de la pensée & des
rapports
, me est après suit ; mais selon l’élocution ordin
nnent le nom de proposition composée à tout sens total qui résulté du
rapport
que deux propositions grammaticales ont entr’elle
sulté du rapport que deux propositions grammaticales ont entr’elles ;
rapports
qui sont marqués par la valeur des différentes co
Telles sont encore les propositions conditionnelles qui résultent du
rapport
de deux propositions par la conjonction condition
e la connoître pour avoir des principes sûrs de construction. Deux
rapports
généraux entre les mots dans la construction : I.
n. Deux rapports généraux entre les mots dans la construction : I.
rapport
d’identité : II. rapport de détermination. Tous l
aux entre les mots dans la construction : I. rapport d’identité : II.
rapport
de détermination. Tous les rapports particuliers
tion : I. rapport d’identité : II. rapport de détermination. Tous les
rapports
particuliers de construction se réduisent à deux
s rapports particuliers de construction se réduisent à deux sortes de
rapports
généraux. I. Rapport d’identité. C’est le fondeme
s de construction se réduisent à deux sortes de rapports généraux. I.
Rapport
d’identité. C’est le fondement de l’accord de l’a
t l’hébreu, où le verbe indique même le genre. Voilà ce que j’appelle
rapport
ou raison d’identité, du latin idem. II. La secon
rapport ou raison d’identité, du latin idem. II. La seconde sorte de
rapport
qui regle la construction des mots, c’est le rapp
seconde sorte de rapport qui regle la construction des mots, c’est le
rapport
de détermination. Le service des mots dans le dis
cer une idée ; lumen, lumiere ; sol, soleil. 2°. A faire connoître le
rapport
qu’une idée a avec une autre idée ; ce qui se fai
, & de nous servir des signes établis, pour en marquer les divers
rapports
. Si je veux parler de la lumiere du soleil, je di
proposition n’en seroit pas moins telle proposition. A l’occasion du
rapport
de détermination, il ne sera pas inutile d’observ
; à l’égard de l’adjectif, il se construit avec son substantif par le
rapport
d’identité. 1°. Lorsqu’un nom substantif détermin
minant se met au génitif en latin lumen, solis ; & en françois ce
rapport
se marque par la préposition de : surquoi il faut
e comme un adjectif, & alors on met les deux noms au même cas par
rapport
d’identité : urbs Roma, Roma quoe est urbs ; c’es
urs auteurs Latins ont aussi mis au génitif le nom de l’individu, par
rapport
de détermination. In oppido Antiochioe (Cic.) ; &
ajoûtez au sujet personnel, ou réel, ou abstrait, chaque mot qui y a
rapport
, soit par la raison de l’identité, ou par la rais
ttribut en commençant par le verbe, & ajoûtant chaque mot qui y a
rapport
selon l’ordre le plus simple, & selon les dét
par la terminaison, que filius unigenitus se rapporte à Christus par
rapport
d’identité ; & je vois que Dei étant au génit
té ; & je vois que Dei étant au génitif, se rapporte à filius par
rapport
de détermination : ce mot Dei détermine filius à
Est natus, voilà l’attribut nécessaire. Natus est au nominatif, par
rapport
d’identité avec Christus ; car le verbe est marqu
identifié à vous, à votre existence ; c’est ce que nous appellons le
rapport
d’identité. Vous paissez dans nos champs sans so
omplément de la préposition à. Cette préposition met ce sens total en
rapport
avec force, forcer, à cogere ad. Virgile a dit, c
t pas être. Ainsi, selon la pensée, jaloux se rapporte à animaux, par
rapport
d’identité, mais négativement, ne soyez pas jalou
t souvent cette préposition, comme nous l’avons observé en parlant du
rapport
de détermination. Les anciens disoient maugré, pu
incipes que je viens d’exposer, pourvû que l’on connût les signes des
rapports
des mots en cette langue, & ce qu’il y a d’ar
nsi on dit, grand’ardeur, gran-d’ame, &c. C’est en conséquence du
rapport
qu’il y a entre le d & le t, que l’on trouve
n’exclut pas les autres usages. En effet le datif marque également le
rapport
d’ôter, de ravir : Eripere agnum lupo, Plaut. enl
par rapport à vous. Le datif sert aussi à marquer la destination, le
rapport
de fin, le pourquoi, finis cui : do tibi pecuniam
t la cause des différentes inflexions que l’on donne aux noms qui ont
rapport
aux verbes. Voyez Cas, Concordance, Construction,
is ce qui me vient dans l’esprit. Ainsi alicui est là au datif par le
rapport
de fin ; le pourquoi, c’est accourir pour aider.
mari ; nubebat se marito, elle se voiloit pour, à cause de ; c’est le
rapport
de fin. Cet usage se conserve encore aujourd’hui
s l’esprit des hommes certaines vûes particulieres, ou perceptions de
rapports
, dont les unes sont exprimées par certaines combi
ervice & l’emploi de chaque terminaison, & de chaque signe de
rapport
entre un mot & un mot. Celui qui veut parler
font trois différences spéciales dans le nom, suivant trois sortes de
rapports
que les choses ont les unes avec les autres. Meth
p; qu’en admettant une distinction entre ce même mot, on fait voir un
rapport
merveilleux entre la langue françoise & la la
établi que l’on pût changer la terminaison des noms, selon les divers
rapports
sous lesquels on veut les faire considérer. On di
de même en espagnol, en italien, &c. On connoît en françois les
rapports
respectifs des mots entr’eux, 1°. Par l’arrangeme
s place. Voyez Cas . 2°. Par les prépositions qui mettent les mots en
rapport
, comme par, pour, sur, dans, en, à, de, &c. 3
. C’est que si nous considerons notre pensée en elle-même, sans aucun
rapport
à l’élocution, nous trouverons qu’elle est très-s
signes. Ces mots rapprochés forment d’abord divers ensembles, par les
rapports
que l’esprit a mis entre les mots dont ces ensemb
et, ne forme de sens ou d’ensemble, & ne devient tout que par les
rapports
que l’esprit met entre les mots qui le composent
: de même il faut des mots ; mais il faut que ces mots soient mis en
rapport
, si l’on veut qu’ils énoncent des pensées. Il y a
n doit étudier les signes établis en chaque langue, pour indiquer les
rapports
que celui qui parle met entre les mots dont il se
ndre le sens d’aucune phrase. C’est uniquement la connoissance de ces
rapports
qui donne l’intelligence de chaque sens partiel &
oute la proposition, l’esprit rétablit les mots dans l’ordre de leurs
rapports
successifs : si quando (aliquando) imber frigidus
t est un verbe ; or en françois la terminaison du verbe en indique le
rapport
: je connois donc par la terminaison de vainquit,
les autres langues dont les noms ne se déclinent point, la suite des
rapports
des mots commence par le sujet de la proposition
après quoi viennent les mots qui se rapportent à ce sujet, ou par le
rapport
d’identité, ou par le rapport de détermination :
qui se rapportent à ce sujet, ou par le rapport d’identité, ou par le
rapport
de détermination : je veux dire que le correlatif
fit-il ? il vainquit, & qui ? Pompée. Les mots sont aussi mis en
rapport
par le moyen des prépositions : un temple de marb
y avoir dans notre langue ni cas ni déclinaisons. La connoissance du
rapport
des mots nous vient ou des terminaisons des verbe
es prépositions par, pour, en, à, de, &c. qui mettent les mots en
rapport
, ou enfin de l’ensemble des mots de la phrase. S’
se rapporte, produit sur ce mot-là. L’amour de Dieu, de Dieu a un tel
rapport
de détermination avec amour, qu’on n’entend plus
es gens. Je dis dans ce discours, que toute syntaxe est fondée sur le
rapport
d’identité & sur le rapport de détermination
, que toute syntaxe est fondée sur le rapport d’identité & sur le
rapport
de détermination ; ce que j’explique page 14. &am
ce que j’explique page 14. & page 45. Je parle aussi de ces deux
rapports
au mot Concordance & au mot Construction .
entre lesquelles l’esprit apperçoit de l’opposition, ou ne voit aucun
rapport
. Il semble qu on tourne d’abord l’esprit d’un cer
r & sur les bornes de l’habitude. J’ajoûterai encore un mot qui a
rapport
à cet article, c’est que la société qui s’intéres
e qu’autant que notre corps se trouve en certaine disposition, par le
rapport
mutuel & la connexion réciproque qui est entr
te, ou à un cas différent, Diana soror Apollinis, on leur explique le
rapport
d’identité, & le rapport ou raison de détermi
ana soror Apollinis, on leur explique le rapport d’identité, & le
rapport
ou raison de détermination. Diana soror, ces deux
oître de qui Diane étoit soeur. Toute la syntaxe se réduit à ces deux
rapports
comme je l’ai dit il y a long-tems. Cette méthode
t de motif extérieur & propre : ce qu’il pensoit n’étoit point en
rapport
avec la réalité des choses : cogitare tuum nil po
e toûjours quelqu’heure ; mais elle ne va bien que lorsqu’elle est en
rapport
avec la situation du Soleil : notre sentiment int
tre sentiment intime, aidé par les circonstances, nous fait sentir le
rapport
de notre jugement avec la réalité des choses. Qua
on travaille en des tems marqués à acquérir les connoissances qui ont
rapport
à cet objet : telles sont les Langues, la Géométr
aire la construction de toute la phrase, & appercevoir les divers
rapports
que les mots ont entr’eux : par exemple, lorsque
aisoient un fréquent usage de l’ellipse ; car comme on connoissoit le
rapport
des mots par les terminaisons, la terminaison d’u
ts ne changent point de terminaison ; nous ne pouvons en connoître le
rapport
que par leur place ou position, relativement au v
ira que je fasse. (F) EN EN & DANS, prépositions qui ont
rapport
au lieu & au tems. En France, en un an, en un
ogie les regles de l’élocution, & qui croyent que chaque signe de
rapport
n’est le signe que du rapport particulier qu’il d
, & qui croyent que chaque signe de rapport n’est le signe que du
rapport
particulier qu’il doit indiquer, selon l’institut
gie & la destination des signes ; un tel mot, dis-je, seroit sans
rapport
, & ne feroit que troubler, sans aucun fruit,
quant point par lui-même un sens déterminé, il faut qu’il soit mis en
rapport
avec un autre verbe qui soit à un mode fini, &
s phrases d’un discours : c’est-à-dire qui les considere sous le même
rapport
. Nous n’avons pas oublié cette particule au mot
ver que lorsque les mots sont rangés selon l’ordre successif de leurs
rapports
dans le discours, & que le mot qui en détermi
élange de mots ; c’est lorsque l’on s’écarte de l’ordre successif des
rapports
des mots, selon la construction simple : en voici
ts changent de terminaisons, parce que ces terminaisons indiquent les
rapports
des mots, & par-là font appercevoir l’ordre ;
entre les parties d’une période, une certaine suite & un certain
rapport
grammatical qui est nécessaire pour la netteté du
m & quantum, tel & quei, quoique, cependant, &c. Quand ce
rapport
ne se trouve point, c’est un anacoluthon ; en voi
oint ainsi que parle la nature. Voici deux autres figures qui ont du
rapport
à celles dont nous venons de parler : l’une s’app
st. Ainsi l’idée d’étendu vous doit faire appercevoir la connexion ou
rapport
d’identité qu’il y a entre atome & divisible
que le moyen est le terme qui donne lieu à l’esprit d’appercevoir le
rapport
qu’il y a entre l’un & l’autre des termes de
a entre les idées accessoires, je veux dire, entre les idées qui ont
rapport
les unes aux autres, est la source & le princ
mot ; il est employé dans le sens passif, quand le sujet auquel il a
rapport
, est consideré comme le terme de l’impression pro
x mêmes mots ont le sens passif, parce que la robe à laquelle ils ont
rapport
, est considerée comme le terme de l’impression pr
t la liaison que les idées ont les unes avec les autres : le moin dre
rapport
réveille une idée de moralité dans un homme dont
trouvoit partout jusque dans les nombres. Métrodore de Lampsaque, au
rapport
de Tatien, avoit tourné Homere tout entier en all
res sens de l’Ecriture-sainte. Si les explications qu’on en donne ont
rapport
aux moeurs, c’est le sens moral. Si les explicati
me dans les constructions louches, les mots semblent avoir un certain
rapport
pendant qu’ils en ont un autre » : par conséquen
elles de très-grandes différences ; néanmoins’il y a beaucoup plus de
rapport
entre les couleurs les plus opposées, qu’entre un
e sont perceptibles que par les sens différens de la vue, sans au cun
rapport
aux idées de couleur. Le seul plaisir de sentimen
andeur véritable ou absolue des mouvemens du corps, mais seulement le
rapport
que ces mouvemens ont les uns avec les autres. Il
es qui agissent par l’impression nécessaire des objets, à laquelle le
rapport
des sens est toujours conforme. L’oeil placé sur
rompent ; c’est nous qui nous trompons par notre imprudence, sur leur
rapport
fidele. Leur fidélité ne consiste pas à avertir l
sujet de croire aussi-bien organisés que nous. Si mes yeux me font un
rapport
contraire à celui des yeux de tous les autres, je
que nos yeux nous portent continuellement à l’erreur, parce que leur
rapport
est ordinairement faux sur la véritable grandeur
la grandeur de l’objet auquel elle est appliquée. A moins donc que le
rapport
des yeux sur la grandeur ne soit vérifié par la m
e le rapport des yeux sur la grandeur ne soit vérifié par la main, le
rapport
des yeux sur la grandeur doit passer pour suspect
s mysteres de notre foi ; l’anagogique, la béatitude & ce qui y a
rapport
; le tropologique, le réglement de nos moeurs : c
fférentes especes de sensations, lesquelles ne paroissent avoir aucun
rapport
avec les premieres ; car toutes les fois que les
er, & celui dont on emprunte le nom ; car s’il n’y avoit point de
rapport
entre ces objets, il n’y auroit aucune idée acces
veille l’idée, & ne forme point un ensemble avec lui ; tel est le
rapport
qui se trouve entre la cause & l’effet, entre
ble, comme le tout & la partie ; leur union n’est point un simple
rapport
, elle est plus intérieure & plus indépendante
absurde. M. Schwob analyse : « Quand nous saisissons des choses leurs
rapports
de position, nous les classons suivant la cause e
otre esprit… on peut imaginer que les choses ont entre elles d’autres
rapports
que le rapport scientifique et le rapport logique
peut imaginer que les choses ont entre elles d’autres rapports que le
rapport
scientifique et le rapport logique. » Mais on peu
s ont entre elles d’autres rapports que le rapport scientifique et le
rapport
logique. » Mais on peut même dire qu’elles n’ont
Mais on peut même dire qu’elles n’ont ni l’un ni l’autre de ces deux
rapports
qui sont tous deux des façons subjectives de repr
pas impossible certes, mais que c’est improbable ! Schwob parlait des
rapports
des choses ; que sont tous ces rapports ? Des pro
probable ! Schwob parlait des rapports des choses ; que sont tous ces
rapports
? Des procédés variés d’association d’idées ; la
re, et les petites phrases n’y parviendraient pas, qui disloquent les
rapports
que la période souligne : « … Car c’est moins le
etc., comme lui ayant fourni des matériaux. Il diffère donc, sous ce
rapport
, des psychologues précédemment étudiés, dont la d
lus sans profit ses études sur le Darwinisme psychologique et sur les
rapports
de l’hypothèse de l’évolution avec la psychologie
siologique de la doctrine kantienne des formes de la pensée. Les deux
rapports
les plus généraux que conçoive l’intelligence hum
l’intelligence humaine sont ceux de succession et de simultanéité. Le
rapport
de succession est le plus simple : il constitue l
est le plus simple : il constitue le fait de conscience primitif. Le
rapport
de simultanéité est une duplication du précédent
e contraire ; de sorte que l’on va également de A à G et de C à B. Au
rapport
de succession se rattache une notion importante,
aux causes phénomènes, comme l’École entend le faire. L’ensemble des
rapports
de succession est le temps. L’ensemble des rappor
e. L’ensemble des rapports de succession est le temps. L’ensemble des
rapports
de simultanéité est l’espace. Le caractère d’infi
, simple en apparence, est une machine compliquée, faite de pièces de
rapport
. Les faits volontaires sont soumis à la loi unive
la propriété de joindre ensemble les idées des phénomènes suivant des
rapports
de ressemblance, de contiguïté et de causalité. E
s A = A, car le signe = est un signe mathématique, qui limite déjà le
rapport
qu’il s’agit d’établir. Le principe d’identité, a
n’appartienne pas à un même sujet dans le même temps et sous le même
rapport
. » La logique pure ne dit pas de quelle nature do
minée ; de plus, les expressions « dans le même temps et sous le même
rapport
» ne se trouvaient pas dans les formules de la lo
’épuisent en vains efforts pour établir la légitimité de la notion de
rapport
. C’est qu’il y a dans la logique syllogistique qu
dans la nature ; l’intelligence qui le caractérise doit avoir quelque
rapport
avec la nature des êtres en général. Il doit donc
traire, font une œuvre essentiellement synthétique ; elles posent les
rapports
que la logique suppose ; elles créent un lien ent
ns la nature, ce qui satisfait son intelligence ne doit pas être sans
rapport
avec le reste des choses. On peut donc conjecture
même. Et s’il n’est pas douteux qu’elles n’aient déjà avec l’être un
rapport
plus étroit que les lois logiques, on ne peut dir
ns l’espoir d’en tirer quelque conséquence, en ce qui concerne, et le
rapport
de ces lois à la réalité, et la situation de la p
e l’esprit n’arrive pas à s’assimiler complètement : elles créent des
rapports
de composition ; elles diversifient l’identique à
compte. Aussi les voit-on, aujourd’hui, s’efforcer de transformer le
rapport
de la force au mouvement en une simple dépendance
ort de la force au mouvement en une simple dépendance mutuelle, en un
rapport
de solidarité. C’est en ce sens que la force est
t une dépendance régulière entre ces choses. Il s’agit donc bien d’un
rapport
mathématique, mais ce rapport ne peut être affirm
re ces choses. Il s’agit donc bien d’un rapport mathématique, mais ce
rapport
ne peut être affirmé ni connu a priori. Et ainsi,
ctrine kantienne. En effet, penser les choses, c’est comprendre leurs
rapports
, leurs affinités naturelles ; c’est voir comment,
de tout contenu psychologique ou métaphysique, qu’on ne voit plus de
rapport
entre la force telle qu’on l’entend en métaphysiq
mblent déjà, ou ils ne sont pas pour nous. La distinction des lois ou
rapports
et des phénomènes ou éléments, calquée sur celle
étendu ne se concilie pas avec la force centrifuge qu’impliquent les
rapports
des atomes situés à de petites distances les uns
difficultés insurmontables de l’infini. L’étendue n’est jamais qu’un
rapport
. Il en est de même du poids : le poids est un rap
st jamais qu’un rapport. Il en est de même du poids : le poids est un
rapport
, et dépend de l’attraction terrestre. D’une maniè
empérature ou le mouvement de la population. Une loi naturelle est un
rapport
constant entre deux termes définis et immuables ;
un rapport constant entre deux termes définis et immuables ; c’est ce
rapport
que représente excellemment un couple d’atomes do
erre. Déjà la mécanique a dû substituer à l’intuition mathématique un
rapport
de simple causalité phénoménale, irréductible à c
énoménale, irréductible à cette intuition. La physique a compliqué ce
rapport
en y introduisant une notion de qualité, la notio
s. Conformément à cette division, nous allons aujourd’hui étudier les
rapports
de la physiologie avec la physique ; et, dans la
c la physique ; et, dans la prochaine leçon, nous nous occuperons des
rapports
des espèces entre elles et de l’évolution. Les lo
savants s’y trouvent amenés comme les autres hommes. Quel est donc le
rapport
des facultés vitales avec les propriétés physico-
cartes, notre confiance dans la vérité des idées claires et dans leur
rapport
à la réalité. Nous prétendons que notre intellige
la valeur absolue du mécanisme. Mais, dira-t-on, comment concevoir le
rapport
de la vie avec les phénomènes physico-chimiques ?
s étudier maintenant, non plus l’être vivant pris isolément, mais les
rapports
des êtres vivants entre eux, c’est-à-dire les loi
e la science aristotélicienne, des lois de finalité, mais des lois de
rapports
et de coexistence. Il ne s’agit plus de l’origine
n cherche, ce n’est pas la cause qui produit les êtres, mais bien les
rapports
de ressemblance qui les relient les uns aux autre
uvent demeurer analogues, lorsque demeurent et leur position et leurs
rapports
aux autres organes ; 3° le principe des connexion
la simple description. Lui aussi cherche des lois de solidarité et de
rapports
. Tel est son principe de la corrélation des forme
usalité ; elle prétend atteindre à l’origine et non pas seulement aux
rapports
de solidarité, et cela en dehors de toute considé
en effet, les natures des choses sont immuables, et les lois sont les
rapports
qui en résultent. Ici les natures des choses sont
nt l’un à l’autre pour l’esprit : ils peuvent n’avoir entre eux aucun
rapport
logique. D’autre part, Descartes, prenant pour ty
la psychologie comme science. Les lois baconiennes, qui consistent en
rapports
constants de coexistence ou de succession, vont-e
. De cette union résultent, dans l’âme, des modes accidentels qui ont
rapport
à l’étendue, qui peuvent être envisagés du point
tissant à la confiance en la véracité divine. C’est à ce problème des
rapports
de l’âme et du corps, impliqué dans la prétention
deviennent des idées. Ces idées s’associent d’elles-mêmes, selon les
rapports
de ressemblance, de contiguïté et de causation, l
’esprit et de l’idée, puisque les lois psychologiques ne sont que des
rapports
résultant de la nature des idées elles-mêmes. Cep
ont leur premier modèle dans la doctrine cartésienne, établissent un
rapport
entre un phénomène psychique et un phénomène phys
dé d’une autre idée ; comme l’associationnisme n’exige pas le moindre
rapport
logique entre deux idées pour que l’une soit dite
l’associationnisme, la psychologie physique considère l’âme dans ses
rapports
avec l’organisme. Elle espère superposer une psyc
rattache un phénomène mental à un phénomène physique, et relie par un
rapport
de constance et de nécessité deux termes hétérogè
t le mécanisme que détermine cette seconde psychologie n’est pas sans
rapport
avec la liberté que révèle la première. Il représ
l sens cet antécédent déterminera-t-il ce conséquent ? Y a-t-il là un
rapport
de nécessité semblable à celui qui lie l’attracti
re, sinon que ce qu’on prenait pour une loi de causalité enveloppe un
rapport
de finalité, et que l’on suppose l’intelligence e
mentales en vérités rationnelles. Connus par la seule expérience, les
rapports
les plus généraux des choses demeurent pour nous,
entre les formes de ces sociétés et le succès de cette idée il y a un
rapport
de condition à conséquence. * ** Toutefois, sur l
on à conséquence. * ** Toutefois, sur la nature et le vrai sens de ce
rapport
, ne peut-il subsister une dernière équivoque ? L’
es de groupement et l’idée de l’égalité vous avez justement aperçu un
rapport
, mais vous en avez faussement déterminé le sens :
e historique — sans parler de la rareté avec laquelle se montrent des
rapports
constants entre deux phénomènes — qui ne sait com
ance, mais rarement décider de l’antériorité. De ce point de vue, les
rapports
que nous avons établis inductivement paraîtront s
serait-elle nécessairement ruinée ? Nullement, s’il est vrai que les
rapports
« réversibles » sont presque de règle en matière
et que par suite, là où l’histoire nous montre entre elles et lui des
rapports
constants, il est, bien plutôt que leur cause uni
me elle amène, entraîne et produit des conséquences. Qu’est-elle ? Un
rapport
. Un rapport entre la vie et les opérations, entre
e, entraîne et produit des conséquences. Qu’est-elle ? Un rapport. Un
rapport
entre la vie et les opérations, entre la définiti
a force vitale n’est ni une qualité, ni une substance, mais un simple
rapport
. Je ne vois plus de fluide, de monade, de mystère
, les fonctions et la structure qui rend ces fonctions possibles ; un
rapport
, la nécessité qui attache ces faits subordonnés a
é qui attache ces faits subordonnés au fait principal. Des faits, des
rapports
, il n’y a rien d’autre. Nous avons purgé notre es
plutôt continuez-la seul ; vous réduirez de même à des faits ou à des
rapports
toutes les expressions des sciences physiques. L’
répète ; chaque fois il y a deux faits, et chaque fois il s’agit d’un
rapport
qui les lie. La présence de l’air et l’élévation
econd. Il n’y a là non plus ni fluide, ni monade, ni mystère, mais un
rapport
. Traduisez de même les autres expressions un peu
t produit par l’analyse désignera une portion, une combinaison, ou un
rapport
de faits. Portez-la dans le monde moral ; essayez
bés, et il n’est plus resté que des portions, des combinaisons ou des
rapports
de faits. Ce premier pas en amène un autre ; l’an
, de sens compliqué et douteux, aux faits, aux portions de faits, aux
rapports
ou aux combinaisons de faits qu’ils signifient. P
ne laissaient rien à désirer à cet égard ; mais je voulais montrer le
rapport
qui existe entre la littérature et les institutio
s chansons d’Anacréon. Mais cette manière d’être affectée n’a que des
rapports
très indirects avec le plan général de mon ouvrag
e Gray ne lui fut point inconnu : il a servi de modèle, sous quelques
rapports
, à Fontanes dans une de ses meilleures pièces, Le
ns mon ouvrage, ce qui appartient aux arts d’imagination, de ce qui a
rapport
à la philosophie ; j’ai dit que ces arts n’étaien
èce humaine déchaîne maintenant toutes les passions politiques ? quel
rapport
peut-il avoir avec elles5 ? Ceux qui pensent que
iences. Si l’on dirigeait un jour la navigation aérienne, combien les
rapports
de la société ne seraient-ils pas différents ? La
t été le type de la littérature du Nord en général, ont le plus grand
rapport
avec le caractère de la poésie d’Ossian. On trouv
les plus frappants dans l’homme, dit le citoyen Talleyrand, dans son
Rapport
sur l’instruction publique du 10 septembre 1791,
et de ce travail. On me dit : Vous paraissez craindre que si certains
rapports
précis et certains étaient trouvés entre l’intell
la physiologie ? Si cette science venait à établir rigoureusement les
rapports
que vous trouvez si incertains, s’ensuivrait-il q
: Est-il bien vrai que la science n’ait rien établi jusqu’ici sur les
rapports
du cerveau et de l’intelligence ? Et qui pourrait
sur deux instruments inégaux paraîtraient être l’un à l’autre dans le
rapport
de leurs instruments. Ainsi deux âmes qui auraien
a mesure et l’expression de celle-là ; mais il arrivera aussi que les
rapports
seront renversés, et, que l’on ne trouvera pas da
t toutes les fois qu’ils veulent soumettre à des lois rigoureuses les
rapports
du cerveau et de la pensée. La force intérieure,
u poème de Lucrèce. C’est dans ce chant que le grand poète expose les
rapports
de l’âme et du corps, la dépendance où l’une est
vers d’un accent si grand et si triste résument toute la science des
rapports
du physique et du moral, et Cabanis, dans son cél
au reste du corps lorsque les fonctions de cet organe ont précisément
rapport
au corps tout entier : par exemple, le système mu
ont pas seulement des organes d’intelligence, et qu’ils sont aussi en
rapport
avec les sensations, avec les mouvements. Il suit
s membres, les parties articulaires du coude ou du genou ». Mais quel
rapport
imaginer entre la forme ronde, carrée, ovale ou p
lut, Physiologie de la pensée, t. I, ch. x, et t. II, Mémoire sur les
rapports
de la pensée et du cerveau. 14. Appréciation de
ives de médecine, 1838). 15. Mémoire sur la forme du crâne dans son
rapport
avec le développement de l’intelligence (Bulletin
uret, p. 577. 17. De l’étendue et de la surface du cerveau dans son
rapport
avec le développement de l’intelligence. — Bullet
s, dans le grossissement des corps, la sui face croît dans un moindre
rapport
que le volume. Si les dimensions d’un corps passe
inisme. — II. Causes physiologiques au plaisir et de la douleur. Leur
rapport
à la vie. — III. La lutte pour la vie n’est-elle
conséquences morales ou métaphysiques auxquelles aboutit l’étude des
rapports
du plaisir et de la douleur avec la vie. I Part
lié un sentiment d’une intensité correspondante et convenable. » Les
rapports
anormaux se rencontrent surtout chez les hommes c
vement sur le mécanisme extérieur des choses déjà existantes, sur les
rapports
d’éléments une fois donnés. On comprend fort bien
es physiologiques et psychologiques du plaisir et de la douleur. Leur
rapport
à la vie. Le plaisir et la douleur varient en
uvement30. » Cette théorie vient de ce que Léon Dumont conçoit mal le
rapport
des deux travaux moléculaires. Le travail visible
de l’organisme. Quatre situations sont possibles, si on considère le
rapport
d’intensité entre l’énergie dépensée et l’énergie
loi de proportion qui veut que le travail positif d’exercice soit en
rapport
avec le travail négatif de réparation ? On a voul
té propre, encore moins une efficacité quelconque, mais seulement des
rapports
et des changements32. Selon cette doctrine, une s
ses extérieures qui leur correspondent, mais ils expriment un certain
rapport
entre les objets et ce qu’il y a en nous de plus
ndance de notre être qui demeure stable dans la multiplicité même des
rapports
qu’elle soutient avec le milieu extérieur. Sans d
qui, en lui-même, peut être légèrement pénible ou agréable selon son
rapport
avec le développement général de la vitalité. C’e
mme à une sorte d’excitation qui, en soi, serait indifférente sous le
rapport
du plaisir ou de la peine, et qui, en se combinan
inséparable de la sensibilité et de la motilité. La loi relative aux
rapports
du sentiment avec la durée consiste en ce que les
ière. Nous restons donc toujours en présence de l’intensité et de son
rapport
avec l’action. Jouir, c’est toujours agir, agir l
te en tous sens et son plaisir croît avec l’intensité de la motion en
rapport
avec les forces emmagasinées. Psychologiquement,
ent d’une quantité pure. L’action, enfin, doit toujours se trouver en
rapport
avec la forme même des organes, produit de la sél
lus qu’à une autre période antérieure de leur existence, soit sous le
rapport
des conditions générales de leur vie, soit sous l
it sous le rapport des conditions générales de leur vie, soit sous le
rapport
des relations d’un sexe à l’autre. Des organes de
intenant, comparons les sens supérieurs aux sens inférieurs dans leur
rapport
avec l’activité ; nous trouverons qu’avec leur pl
de la fatigue se dessiner aussi nettement l’un que l’autre, selon le
rapport
exact qui existe entre notre force musculaire et
Chapitre V :
Rapports
du physique et du moral. I Outre la psycho
. I Outre la psychologie proprement dite, M. Bain a étudié les
rapports
du physique et du moral dans son récent livre l’E
substance matérielle unie à une substance immatérielle par un certain
rapport
vaguement défini — subit maintenant une certaine
s ne tenons pas compte des deux faces. La seule difficulté réelle des
rapports
entre l’esprit et le corps, c’est qu’il est impos
nce étendue. » II Allant encore plus loin, M. Bain a montré le
rapport
entre la question qui nous occupe et celle de la
question posée en passant : à notre avis elle contient la question du
rapport
du physique et du moral dans sa totalité : mais c
a le plus de confiance. C’est au sens de la vûë que l’ame appelle du
rapport
des autres sens lorsqu’elle soupçonne ce rapport
que l’ame appelle du rapport des autres sens lorsqu’elle soupçonne ce
rapport
d’être infidele. Ainsi les bruits et même les son
dont l’énergie ne dépend pas de l’éducation. Ils tirent leur force du
rapport
que la nature elle-même a pris soin de mettre ent
e l’idée d’un bâtiment que notre imagination aura formée, même sur le
rapport
des gens du métier, se trouve conforme au bâtimen
s experts tombent aussi d’accord qu’ils auroient peine à concevoir le
rapport
d’une nouvelle découverte, si l’on ne joignoit pa
rt d’une nouvelle découverte, si l’on ne joignoit pas une figure à ce
rapport
. Un des proverbes italiens dont l’usage est le pl
Mais, dans la séance du vendredi 21 juin, M. le sénateur Suin fit un
rapport
sur une pétition de cent deux habitants de Saint-
stre de l’instruction publique. La discussion de cette pétition et du
Rapport
ayant été ajournée et fixée pour la séance du mar
ontredire dans sa forme, dans sa tendance et dans ses conclusions, le
Rapport
que vous avez entendu dans la séance de vendredi
t de la convenance dans les choix des bibliothèques populaires. Si le
Rapport
s’était tenu dans ces termes, il ne saurait y avo
ée de conciliation et de concorde chez tous les bons esprits. Mais le
Rapport
n’a point fait cela : le Rapport a pris fait et c
chez tous les bons esprits. Mais le Rapport n’a point fait cela : le
Rapport
a pris fait et cause pour une pétition ; il a pri
’on a saisi le Sénat d’une liste où ils sont nommément incriminés. Le
Rapport
(chose inouïe, inusitée parmi vous), le Rapport a
mément incriminés. Le Rapport (chose inouïe, inusitée parmi vous), le
Rapport
a épousé la pétition ; — il est la pétition même.
ute une branche de romans champêtres, purs et irréprochables. Mais le
Rapport
frappe de haut : il n’a pas daigné entrer dans ce
est pas excepté, pas plus que l’auteur de la Mare au Diable. Voilà un
Rapport
bien inflexible et bien draconien. Nicole un jour
é les deux amis avec lesquels M. de Reinach et lui seraient entrés en
rapport
, ce qui l’aurait dispensé d’avoir à lui adresser
et même. « Jamais, avant ce moment, nous n’avions eu, monsieur, aucun
rapport
personnel ; jamais nous n’avions eu l’occasion d’
M. Villemain, secrétaire perpétuel de l’Académie française, dans son
Rapport
lu en séance publique, en parlait comme il suit :
r cette combinaison d’impulsions psychiques simples à l’intérieur, de
rapports
mécaniques à l’extérieur, vous pourrez expliquer
essaire à la volonté primordiale. La finalité de l’entendement est un
rapport
conçu, représenté, entre une fin et un moyen ; ma
n de l’intelligence sur les appétitions, qui résultent elles-mêmes du
rapport
des circonstances extérieures à notre caractère.
ar des idées proprement dites. Ces jugements et idées portent sur les
rapports
des choses (similitude, différence, causalité, et
duit par tout ce qui n’est pas la réflexion même du moi, soit dans un
rapport
inverse avec le désir intellectuel, produit par c
tion même, conséquemment à la conscience qu’il a eue de soi et de ses
rapports
avec les autres motifs. De plus, ces rapports ne
a eue de soi et de ses rapports avec les autres motifs. De plus, ces
rapports
ne sont pas seulement des rapports de quantité, m
ec les autres motifs. De plus, ces rapports ne sont pas seulement des
rapports
de quantité, mais encore de qualité. Enfin, cette
e, esthétique, morale et sociale. La conscience réfléchie de tous ces
rapports
modifie l’intensité et la qualité primitives des
lier, consistant à être mû par des idées pures sans images et par des
rapports
tout abstraits. A coup sûr, la détermination par
ugement, pratique est la représentation anticipée d’un acte et de son
rapport
avec notre sensibilité, avec notre intelligence,
er, est toujours une image, accompagnée de quelque émotion. Quant aux
rapports
impliqués dans le jugement, s’ils n’enveloppent p
e sentir et de réagir, de certaines attitudes passives ou actives. Le
rapport
de différence, par exemple, si abstrait semble-t-
et à exécuter des mouvements comme si telles représentations et tels
rapports
de représentations étaient en accord ou en désacc
nies et les représentations et les impulsions corrélatives, dans leur
rapport
avec l’ensemble de toutes nos autres impulsions.
la loi : « Les lois, dans la signification la plus étendue, sont les
rapports
nécessaires qui dérivent de la nature des choses
elligents ? « Il y a donc une raison primitive ; et les lois sont les
rapports
qui se trouvent entre elle et les différents être
s rapports qui se trouvent entre elle et les différents êtres, et les
rapports
de ces divers êtres entre eux. « Dieu a du rappor
nts êtres, et les rapports de ces divers êtres entre eux. « Dieu a du
rapport
avec l’univers comme Créateur et comme Conservate
naît parce qu’il les a faites ; il les a faites parce qu’elles ont du
rapport
avec sa sagesse et sa puissance. « Les êtres part
tres intelligents, ces êtres étaient possibles ; ils avaient donc des
rapports
possibles, et par conséquent des lois possibles.
des lois possibles. Avant qu’il y eût des lois faites, il y avait des
rapports
de justice possibles. Dire qu’il n’y a rien de ju
t nécessaire qu’il y ait différents peuples, ils ont des lois dans le
rapport
que ces peuples ont entre eux ; et c’est le droit
nt dans une société qui doit être maintenue, ils ont des lois dans le
rapport
qu’ont ceux qui gouvernent avec ceux qui sont gou
nt gouvernés ; et c’est le droit politique. Ils en ont encore dans le
rapport
que tous les citoyens ont entre eux ; et c’est le
leur commerce, à leurs mœurs, à leurs manières. Enfin, elles ont des
rapports
entre elles, elles en ont avec leur origine, avec
ce que j’entreprends de faire dans cet ouvrage. J’examinerai tous ces
rapports
, ils forment tous ensemble ce que l’on appelle l’
ble ce que l’on appelle l’esprit des lois. « J’examinerai d’abord les
rapports
que les lois ont avec la nature et avec le princi
couler les lois comme de leur source. Je passerai ensuite aux autres
rapports
qui semblent être plus particuliers. » XII
s sur les lois politiques, Montesquieu passe aux lois qui règlent les
rapports
des citoyens entre eux. Mauvais publiciste, il re
s les pays chauds, l’âme est souverainement émue par tout ce qui a du
rapport
à l’union des deux sexes ; tout conduit à cet obj
t située dans des climats très-différents entre eux, n’y ait point de
rapport
entre les climats d’Espagne et d’Italie, et ceux
qués au jour où nous sommes. Il n’y a qu’un esprit des lois, c’est le
rapport
exact des lois et des croyances. On ne peut pas f
il existe par conséquent entre toutes les sciences humaines certains
rapports
qui ne permettent à aucune de refuser les lumière
’est la physiologie et la psychologie. Ici en effet, ce n’est plus de
rapports
entre objets différents qu’il s’agit, comme entre
homme moral de l’homme physique, de même ils ont toujours reconnu les
rapports
qui les unissent. Dans l’antiquité, cette dernièr
établie, comme dans tout le reste de l’univers. Cudworth explique les
rapports
de l’âme et du corps par l’hypothèse d’un médiate
. Enfin le dernier mot de l’école de la sensation sur la question des
rapports
du physique et du moral se trouve dans l’ouvrage
re la philosophie de la sensation. Maine de Biran répond au livre des
Rapports
du physique et du moral en distinguant deux vies,
sor des ambitions physiologiques dans la question toujours agitée des
rapports
du physique et du moral. On vit bientôt les plus
les plus délicats, ont répandu de telles lumières sur la question des
rapports
du physique et du moral qu’il en est sorti, non p
avait pour but de substituer à une juste, mais vague affirmation des
rapports
entre l’homme physique et l’homme moral, une clas
ie, où elle avait espéré d’abord trouver une théorie scientifique des
rapports
du physique et du moral, la physiologie reprit le
herche, et qui éclairent d’une lumière toute nouvelle la question des
rapports
de l’âme et du corps. Il ne s’agit plus ici d’une
iciter. Que cela contrarie ou non telle doctrine métaphysique sur les
rapports
de l’âme et du corps, il n’y a pas lieu de contes
ste. Une école cependant pousse la nouvelle science physiologique des
rapports
du physique et du moral jusqu’à des conclusions c
M. Lhuys, à propos de l’association des idées, parle de la notion du
rapport
qui les relie, et les anastomose ainsi l’une à l’
n, correspond à un certain état moléculaire défini du cerveau, que ce
rapport
du physique à la conscience existe invariablement
ne peut tenir un autre langage. La physiologie constate seulement des
rapports
entre les phénomènes organiques et les phénomènes
; entre ces deux faces, bien qu’elles diffèrent de nature, il y a un
rapport
défini de degrés ; et le côté physique est lui-mê
n faire le principe d’une science positive. Voilà donc le problème du
rapport
de la vie et de l’organisation résolu de manière
en problème ni en discussion rien de ce qui appartient aux bases des
rapports
sociaux et du commerce des hommes entre eux ; pay
le tint de même à distance, et jamais il ne s’établit entre eux aucun
rapport
de confiance. » Remarquez que ce reproche, adres
rconscrire l’essor des esprits dans la réalité. Vainement, fatigué de
rapports
vagues sur l’existence de tel ou tel corps de tro
ait s’ouvrir à Varsovie vers la mi-juin ; un comité spécial ferait un
rapport
sur les malheurs et les espérances de la patrie.
ferait un rapport sur les malheurs et les espérances de la patrie. Ce
rapport
devait être européen et polonais, mais dirigé ent
tait intervenu d’une manière indiscrète et intempestive. Mécontent du
rapport
que devait prononcer le comte Matuchewitz au nom
osait la Confédération de Pologne, il l’avait refait de sa main. « Ce
rapport
, nous dit M. de Senfft peu suspect de sévérité en
de déclamation et de faux brillant. M. de Senfft regretta de voir ce
rapport
substitué à un travail préparé pour cet objet par
é par un ardent dépit, de tous ceux avec qui il était précédemment en
rapports
officiels et en relations déférentes, mais qui so
d il est dispensé de découvrir. Le paganisme romain avait beaucoup de
rapport
avec le paganisme grec. Les préceptes des beaux-a
, pas même pour un succès présent, ce qui pouvait porter atteinte aux
rapports
durables de subordination, d’égards et de sagesse
popularité, occupent entièrement le temps, et n’ont presque point de
rapport
avec les travaux nécessaires à l’accroissement de
ient qu’on jouât devant eux de certaines mœurs théâtrales, sans aucun
rapport
avec leurs vertus domestiques, des pantomimes, ou
ient de l’ascendant : elles n’en avaient point acquis encore dans les
rapports
de la société. Le goût, l’urbanité romaine avaien
rit véritable ; c’est-à-dire, qu’ils voyaient un plus grand nombre de
rapports
entre les idées, et qu’ils approfondissaient dava
u cœur de l’homme ; et la philosophie morale y a perdu sous plusieurs
rapports
. Les opinions stoïciennes étaient le point d’honn
oit nécessaires, les coups répétés que Démosthène veut porter, tout a
rapport
au gouvernement et au caractère des deux peuples.
de Rome. Les sectes philosophiques de la grande Grèce avaient eu des
rapports
continuels avec Rome ; la langue latine avait emp
ls attachaient à ne pas corriger les pièces qu’ils composaient ? Quel
rapport
peut-il y avoir entre le caractère, les talents e
a contradiction logique dans l’opposition du présent et du passé. II.
Rapports
du temps et de l’espace. L’ordre dans le temps. —
A, j’ai l’image-souvenir de la sensation B ; de là la perception d’un
rapport
de succession. Il faut donc que le passé reste en
isons les plus profondes de la conception de la durée ; c’est par son
rapport
à la sensibilité et à l’activité motrice que chaq
-dire, en somme, le réel. Que ce réel ne soit pas indivisible sous le
rapport
du temps, qu’il ait en lui-même un commencement,
t ; la distinction nette des temps ne pourra sortir que de la mise en
rapport
et de la comparaison entre ces trois diverses att
t capital, mais elle n’est pas le seul : il faut encore considérer le
rapport
de l’activité à l’objet, selon que cette activité
ers ce qui n’est, pas, mais peut être et sera. En même temps, sous le
rapport
intellectuel, il est la projection dans le futur
ons intenses et des représentations évanouissantes ; mais pourquoi le
rapport
de ces représentations simultanées, au lieu d’êtr
quoi le rapport de ces représentations simultanées, au lieu d’être un
rapport
de coexistence entre des représentations faibles
tations faibles et des représentations intenses, apparaît-il comme un
rapport
de succession entre des représentations passées e
onnée. C’est qu’il s’en tient toujours à des représentations et à des
rapports
de représentations statiques, au lieu de faire ap
du temps une forme de l’appétition et non de la représentation. II
Rapports
du temps et de l’espace Les rapports du temps
n de la représentation. II Rapports du temps et de l’espace Les
rapports
du temps à l’espace ont donné lieu à de nombreuse
érogénéité absolue d’états purement qualitatifs, sans intensité, sans
rapport
à l’espace, sans loi contraignante ; ce n’est plu
t rien, pas plus de temps qu’autre chose. Le temps étant la série des
rapports
de succession, une fois supprimés tous les objets
ous les objets et toutes les successions, comment voulez-vous que les
rapports
subsistent, sinon comme pures possibilités pour n
ion motrice sont les expressions de la vie dans tout animal. C’est le
rapport
de ces deux termes qui, selon nous, a engendré to
; 6° au temps nécessaire pour la conception de ces images et de leurs
rapports
; 7° à l’intensité de notre attention à ces image
aux appétits, désirs ou aversions qui accompagnent ces images ; 9° au
rapport
de ces images avec notre attente, avec notre prév
attente, avec notre prévision. « On voit combien sont nombreux les
rapports
de représentation, d’émotion et de volition qui i
onde a priori la possibilité de principes apodictiques concernant les
rapports
du temps, ou d’axiomes du temps en général, comme
par les astronomes arrivent à point nommé, comme si le temps était un
rapport
objectif des choses. Comment donc a lieu cette ha
elles sont ses causes, ses conséquences, avec quels faits elle est en
rapports
constants. Autre chose est apprécier, autre chose
moins générales et les enchaîne logiquement, n’impliquent pas le même
rapport
du sujet à l’objet que les jugements de la scienc
oriques. Mais combien ces interférences nuisent à l’exacte vision des
rapports
de fait, on le sait de reste. Rien ne trouble plu
it, dont il faut établir, soit inductivement, soit déductivement, les
rapports
avec d’autres faits. Nos préférences fondées ou n
ces de leur apparition, à découvrir les phénomènes avec lesquels leur
rapport
est constant, et d’autre part à prouver, en dériv
leur rapport est constant, et d’autre part à prouver, en dérivant ce
rapport
de vérités plus générales, qu’il est autre chose
es en Allemagne, 1896, les diverses façons dont on peut comprendre le
rapport
de la sociologie à la pratique, à l’histoire, à l
sons ou inflexions que l’usage a établies pour exprimer les différens
rapports
du mot à l’ordre de l’énonciation. Ce n’est donc
accessoires qui peuvent modifier en elle-même l’idée primitive, sans
rapport
à l’ordre de l’énonciation : ainsi cantare, canti
ive exprimée par canere y est modifiée en elle-même, & sans aucun
rapport
à l’ordre de l’énonciation. Felicior & felici
que l’idée principale exprimée par cano y est modifiée par différens
rapports
à l’ordre de l’énonciation, rapports de nombres,
ano y est modifiée par différens rapports à l’ordre de l’énonciation,
rapports
de nombres, rapports de tems, rapports de personn
r différens rapports à l’ordre de l’énonciation, rapports de nombres,
rapports
de tems, rapports de personnes : cantatoris, cant
ts à l’ordre de l’énonciation, rapports de nombres, rapports de tems,
rapports
de personnes : cantatoris, cantatori, cantatorem,
mp; fodico sont fréquentatifs ; outre que cette terminaison n’a aucun
rapport
au supin des primitifs vello & fodio, la sign
iculiere ou une espece d’inflexion qui désigne l’idée accessoire d’un
rapport
au tems à venir, ajoûtée à l’idée principale du v
uve dans toutes les langues différentes sortes de futur, parce que ce
rapport
au tems à venir y a été envisagé sous différens p
rai ; accipiam, je recevrai. Le futur relatif marque l’avenir avec un
rapport
à quelque autre circonstance du tems ; il est com
conjugaisons, non plus que les tems composés du subjonctif qui ont un
rapport
à l’avenir, comme laudaturus sim, laudaturus esse
ont admis à l’infinitif, & tous les tems composés qui marquent un
rapport
au passé dans la voix passive. Ce n’est pas la se
soupé quand vous entrerez, caenavero cum intrabis ? c’est de fixer le
rapport
du tems de son souper au tems de l’entrée de celu
ipalement la coexistence des deux actions comparées. S’il renferme un
rapport
au tems passé, ce rapport n’est qu’une idée secon
es deux actions comparées. S’il renferme un rapport au tems passé, ce
rapport
n’est qu’une idée secondaire, & seulement rel
te anteriorité est donc en quelque sorte l’idée principale ; & le
rapport
à l’avenir, une idée accessoire qui lui est subor
ous avons de plus deux futurs relatifs, qui marquent l’avenir avec un
rapport
spécial au présent ; & voilà en quoi convienn
ue restreigne exclusivement ces futurs à leur destination propre ; le
rapport
de ressemblance & d’affinité qui est entre ce
verticale G, pour avertir le lecteur d’en affoiblir l’expression. Le
rapport
d’affinité qui est entre les deux articulations q
aggelus, agcora, Agchises : ils avoient même porté cette pratique, au
rapport
de Varron, jusque dans des mots purement latins,
t reçu : son usage universel est de présenter le nom comme terme d’un
rapport
quelconque, qui détermine la signification vague
individuel d’où elle émane ; c’est ici un détermination fondée sur le
rapport
de l’effet à la cause. La détermination produite
mination produite par le génitif peut être fondée sur une infinité de
rapports
différens. Tantôt c’est le rapport d’une qualité
t être fondée sur une infinité de rapports différens. Tantôt c’est le
rapport
d’une qualité à son sujet, fortitudo regis ; tant
t du sujet à la qualité, puer egregiae indolis : quelquefois c’est le
rapport
de la forme à la matiere, vas auri ; d’autre fois
ri ; d’autre fois de la matiere à la forme, aurum vasis. Ici c’est le
rapport
de la cause à l’effet, creator mundi ; là de l’ef
mundi ; là de l’effet à la cause, Ciceronis opera. Ailleurs c’est le
rapport
de la partie au tout, pes montis ; de l’espece à
plicii, &c. Partout le nom qui est au génitif exprime le terme du
rapport
; le nom auquel il est associé en exprime l’antéc
l’antécédent ; & la terminaison propre du génitif annonce que ce
rapport
qu’elle indique est une idée déterminative de la
t une idée déterminative de la signification du nom antécédent. Voyez
Rapport
. Cette diversité des rapports auxquels le géniti
signification du nom antécédent. Voyez Rapport . Cette diversité des
rapports
auxquels le génitif peut avoir trait, a fait donn
iens. Les uns l’ont appellé possessif, parce qu’il indique souvent le
rapport
de la chose possédée au possesseur, praedium Tere
edium Terentii ; d’autres l’ont nommé patrius ou paternus, à cause du
rapport
du pere aux enfans, Cicero pater Tuiliae : d’autr
pere aux enfans, Cicero pater Tuiliae : d’autres uxorius, à cause du
rapport
de l’épouse au mari, Hectoris Andromache. Toutes
mache. Toutes ces dénominations péchent en ce qu’elles portent sur un
rapport
qui ne tient point directement à la signification
servir à déterminer la signification vague d’un nom appellatif par un
rapport
quelconque dont il exprime le terme ; c’étoit dan
éposition de, qui par le vague de sa signification semble exprimer un
rapport
quelconque ; ce rapport est spécifié dans les dif
vague de sa signification semble exprimer un rapport quelconque ; ce
rapport
est spécifié dans les différentes occurrences (qu
de son antécédent & de son conséquent. Le créateur de l’univers,
rapport
de la cause à l’effet : les écrits de Cicéron, ra
de l’univers, rapport de la cause à l’effet : les écrits de Cicéron,
rapport
de l’effet à la cause : un vase d’or, rapport de
les écrits de Cicéron, rapport de l’effet à la cause : un vase d’or,
rapport
de la forme à la matiere : l’or de ce vase, rappo
e : un vase d’or, rapport de la forme à la matiere : l’or de ce vase,
rapport
de la matiere à la forme, &c. En hébreu, on e
iber pertinens ad me ; domus regia, c’est domus regis. On voit que le
rapport
de la chose possédée au possesseur, s’exprime par
r, mais qui s’accorde avec le nom de la chose possédée ; parce que le
rapport
d’appartenance est réellement en elle & s’ide
’appartenance est réellement en elle & s’identifie avec elle. Le
rapport
de l’espece à l’individu, n’est pas toûjours anno
e qui lui est propre, de déterminer un nom appellatif d’action par le
rapport
de cette action à l’objet ; ce n’est pas en metta
issimulons pas les inconvéniens. Il détermine quelquetois en vertu du
rapport
d’une action au sujet qui la produit, quelquefois
t d’une action au sujet qui la produit, quelquefois aussi en vertu du
rapport
de cette action à l’objet ; c’est une source d’ob
ent d’aucun genre relatif au sexe, ou ce genre n’auroit au sexe qu’un
rapport
d’exclusion, & alors le nom de genre neutre l
ficulté, &c. Pour rendre sensible par une application décidée, le
rapport
vague des adjectifs aux noms, on leur a donné dan
inaisons, dans les langues qui admettent cette maniere d’exprimer les
rapports
des mots. C’est pour rendre la corrélation des no
ication l’équivoque d’une application douteuse au sujet auquel elle a
rapport
: c’est une conséquence que les Orientaux ont sen
r à déterminer le choix des terminaisons des mots qui ont avec eux un
rapport
d’identité ; & dans les mots qui ont avec eux
c eux un rapport d’identité ; & dans les mots qui ont avec eux ce
rapport
d’identité, les genres sont les diverses terminai
mmes & d’animaux, la justesse & l’analogie exigeroient que le
rapport
réel au sexe fût toûjours caractérisé ou par des
ngues qui en admettent, auroient suffi pour caractériser nettement ce
rapport
, l’esprit ne peut qu’être satisfait de rencontrer
e langue débarrassée de toutes les inflexions qui ne marquent que des
rapports
, seroit plus facile à apprendre que toute autre q
Régime , en y exposant les principes de Grammaire qui peuvent y avoir
rapport
. On y verra que l’on peut quelquefois à peu de fr
nom d’usage dans l’expression censurée. Mais cet usage a toûjours un
rapport
nécessaire aux lois immuables de la Grammaire gén
nt la même idée, entre les moyens qu’elles adoptent pour désigner les
rapports
énonciatifs de ces mots, entre les tours de phras
les que la syntaxe prescrit sur la concordance, ont pour fondement un
rapport
d’identité entre les mots qu’elle fait accorder,
st le signe que l’usage a établi dans chaque langue, pour indiquer le
rapport
de determination d’un mot à un autre. Le mot qui
de l’explosion gutturale, est donc une véritable consonne, & ses
rapports
analogiques avec les autres consonnes, sont autan
s principes comme les difficultés, faute de sagacité pour démêler les
rapports
de convenance entre ces principes, & les poin
s’y méprendre : mais il falloit prendre garde si les deux cas avoient
rapport
au même ordre, ou s’ils présentoient la même espe
ophe, la parenthèse & la synchyse. La premiere est l’inversion du
rapport
de deux mots autorisée dans quelques cas seulemen
tant point assujetti ses infinitifs à ce genre d’inflexion ; mais les
rapports
à l’ordre analytique que les cas désignent dans l
e langue, à cause des cas qui y sont admis, exige quelquefois que les
rapports
de l’infinitif à l’ordre analytique y soient cara
s ne marquons l’ordre analytique que par le rang des mots ; & les
rapports
analytiques, que par les prépositions. La langue
ciliam tendere (Salust. Jugurth.) où il est évident qu’audito est en
rapport
& en concordance avec tendere qui tient lieu
sens, indéfini par soi-même, exige l’expression du terme auquel il a
rapport
: amo (j’aime), eh quoi ? car l’amour est une pas
ppe l’intonation des divers sentimens de l’ame, & de voir que ces
rapports
se trouvant les mêmes partout où il y a des machi
coute, s’ils ne sont assortis d’une maniere qui rende sensibles leurs
rapports
mutuels, qui sont l’image des relations qui se tr
us immédiate des idées. Il faut peindre telle liaison, fondée sur tel
rapport
; ce rapport a un premier terme, puis un second :
des idées. Il faut peindre telle liaison, fondée sur tel rapport ; ce
rapport
a un premier terme, puis un second : s’ils se sui
riel des mots & leur ensemble qui détermine une langue ; elle n’a
rapport
qu’aux idées, aux conceptions, à l’intelligence d
’intelligence de ceux qui la parlent. Le langage paroît avoir plus de
rapport
au caractere de celui qui parle, à ses vues, à se
lui substituer les articulations de la voix, qui, sans avoir le même
rapport
avec certaines idées, sont plus propres à les rep
pendant la construction de la ville & de la tour de Babel, qui au
rapport
d’Eusebe in Chron. dura quarante ans ; que les pr
s qu’elles s’éloignent plus du centre de l’ondulation, ainsi plus les
rapports
de liaison entre les hommes sont affoiblis par l’
jet, & les diverses relations qu’elles ont entre elles à cause du
rapport
qu’elles ont toutes à la pensée indivisible dans
adverbes & les conjonctions : les prépositions, pour désigner les
rapports
généraux avec abstraction des termes ; les adverb
énéraux avec abstraction des termes ; les adverbes, pour désigner des
rapports
particuliers à un terme déterminé ; & les con
ce qui est des relations qui naissent entre les idées partielles, du
rapport
général qu’elles ont toutes à une même pensée ind
nsée, il y a une succession fondée sur leurs relations résultantes du
rapport
qu’elles ont toutes à cette pensée. Voyez Inversi
on grand & savant ouvrage sur la langue celtique, trouve bien des
rapports
entre cette langue & les orientales, notammen
noncent les enfans : de-là viennent papa, maman, & autres qui ont
rapport
à ceux-ci ; & il y a apparence que les enfans
uer les diverses circonstances où l’on se trouve, & les différens
rapports
sous lesquels on envisage les langues. La simple
ole, & l’objet commun de tous les idiomes : c’est donc le premier
rapport
sous lequel il convient ici de les envisager pour
st. La langue hébraïque & les autres langues orientales qui y ont
rapport
, comme la chaldaïque, la syriaque, l’arabique, &a
tous les tropes. De plus, il y a une sorte de comparaison où quelque
rapport
équivalent entre le mot auquel on donne un sens m
les métaphores sont régulieres, il n’est pas difficile de trouver le
rapport
de comparaison. La métaphore est donc aussi étend
arte rhet. 2°. Quand elles sont forcées, prises de loin, & que le
rapport
n’est point assez naturel, ni la comparaison asse
as, en nombre & en genre avec le nom propre Spuri, auquel il a un
rapport
d’identité. Voyez Concordance & Identité . S
en genre, en nombre & en cas avec le nom virtutum, auquel il a un
rapport
d’identité, & qu’il doit suivre dans la const
ion dont le complément doit être à l’accusatif, quand elle exprime un
rapport
de tendance vers un terme, soit physique, soit mo
complément doit être à l’ablatif, quand cette préposition exprime un
rapport
d’adhésion à ce terme physique ou moral. Mentem
er en cas, en nombre & en genre avec le nom finem, auquel il a un
rapport
d’identité. Finem (fin) est à l’accusatif singuli
on dont le complément est ici à l’accusatif, parce qu’elle exprime un
rapport
de tendance vers un terme moral. In hunc finem ut
d’employer les adjectifs mien, tien, sien avec le nom auquel ils ont
rapport
, comme nous faisions autrefois, & comme font
raison naissante des enfans ; & j’en ai, de mon côté, qui ont un
rapport
immédiat à l’utilité de la méthode analytique tel
sont les différentes formes qui expriment dans le verbe les différens
rapports
d’existence aux diverses époques que l’on peut en
lorsqu’il présente à l’esprit une autre idée totale à laquelle il n’a
rapport
que par l’analogie de celle qui est l’objet du se
our être en concordance avec les noms ou les pronoms auxquels ils ont
rapport
, & qui sont comme leurs originaux. Par exempl
êtent des terminaisons numériques que par imitation ; ils ont donc un
rapport
nécessaire aux noms ou aux pronoms leurs corélati
apport nécessaire aux noms ou aux pronoms leurs corélatifs : c’est le
rapport
d’identité qui suppose que les adjectifs & le
rentes qui ajoûtent à l’idée principale du mot l’idée accessoire d’un
rapport
déterminé à l’ordre analytique de l’énonciation.
s, par la raison qu’il n’y a que des êtres qui soient susceptibles de
rapports
, & qui puissent en être les termes. La second
atif est le cas destiné par l’usage de la langue latine à designer ce
rapport
à l’ordre analytique. Voilà des raisons de nécess
les adjectifs & les verbes sont du second. Les cas désignent des
rapports
déterminés, & les cas des noms & des pron
prit de celui qui parle : or on ne peut fixer dans son esprit que les
rapports
des êtres déterminés, parce que des êtres indéter
res déterminés, parce que des êtres indéterminés ne peuvent avoir des
rapports
fixes. Il suit donc encore de ceci que les noms &
e celui qui parle, mais selon le genre même du nom auquel le pronom a
rapport
: ainsi ἐγὼ en grec, ego en latin, ich en alleman
exions & terminaisons. Voilà donc entre le nom & le pronom un
rapport
d’identité fondé sur le genre ; mais l’identité s
s prennent successivement selon le genre propre du nom auquel ils ont
rapport
, qu’ils imitent en quelque maniere, & avec le
mes exclusivement propres au verbe, & qui expriment les différens
rapports
d’existence aux diverses époques que l’on peut en
du verbe qui n’exprime d’une maniere ou d’une autre quelqu’un de ces
rapports
d’existence à une époque (Voyez Tems), quoique qu
le faire aussi, mais sous un autre aspect. Tous les tems expriment un
rapport
d’existence à une époque ; c’est là l’idée commun
nt l’antériorité, les futurs la postériorité ; les tems indéfinis ont
rapport
à une époque indéterminée, & les définis à un
les définis à une époque determinée ; parmi ceux-ci, les actuels ont
rapport
à une époque co-incidente avec l’acte de la parol
ne se déclinent point, on désigne par des prépositions la plûpart des
rapports
dont les cas sont ailleurs les signes : manus Dei
derniere observation nous indique que les prépositions désignent des
rapports
: l’application que l’on peut faire des mêmes pré
sitions à une infinité de circonstances différentes, démontre que les
rapports
qu’elles désignent font abstraction de toute appl
8 est à 16, comme 25 est à 50, &c. que veulent-ils dire ? que le
rapport
de 3 à 6 est le même que le rapport de 5 à 10, qu
;c. que veulent-ils dire ? que le rapport de 3 à 6 est le même que le
rapport
de 5 à 10, que le rapport de 8 à 16, que le rappo
que le rapport de 3 à 6 est le même que le rapport de 5 à 10, que le
rapport
de 8 à 16, que le rapport de 25 à 50 ; mais ce ra
st le même que le rapport de 5 à 10, que le rapport de 8 à 16, que le
rapport
de 25 à 50 ; mais ce rapport n’est aucun des nomb
5 à 10, que le rapport de 8 à 16, que le rapport de 25 à 50 ; mais ce
rapport
n’est aucun des nombres dont il s’agit ici ; &
ême chose d’une préposition ; c’est, pour ainsi dire, l’exposant d’un
rapport
considéré d’une maniere abstraite & générale,
ces observations que les prépositions sont des mots qui désignent des
rapports
généraux avec abstraction de tout terme antécéden
par lui-même est vague & indéfini ; c’est le terme conséquent du
rapport
, envisagé vaguement dans la préposition. De-là en
général se trouve modifié & restraint par l’idée accessoire de ce
rapport
; l’adjectif, le verbe, ou le nom appellatif, en
sans témérité, aimer avec fureur ; chacune de ces phrases exprime un
rapport
complet ; on y voit l’antécédent, l’utilité, cour
différent donc des prépositions, qu’en ce que celles-ci expriment des
rapports
avec abstraction de tout terme antécédent & c
es adverbes renferment dans leur signification le terme conséquent du
rapport
. Les adverbes sont donc des mots qui expriment de
séquent du rapport. Les adverbes sont donc des mots qui expriment des
rapports
généraux, déterminés par la désignation du terme
selon que l’idée individuelle du terme conséquent qui y est enfermé a
rapport
au tems, au lieu, à l’ordre, à la quantité, à la
y a de commun entre ces deux especes : l’une & l’autre énonce un
rapport
général, c’est l’idée générique fondamentale des
& l’autre fait abstraction du terme antécédent, parce que le même
rapport
pouvant se trouver dans différens êtres, on peut
du terme antécédent ne suppose donc point que dans aucun discours le
rapport
sera envisage de la sorte ; si cela avoit lieu, c
: l’abstraction dont il s’agit ici, n’est qu’un moyen d’appliquer le
rapport
à tel terme antécédent qui se trouvera nécessaire
e Richelet ; c’est donc un adverbe. Quant signifie relativement, par
rapport
. Surtout vient de sur tout, c’est-à-dire princip
une liaison : & comme l’expression déterminée du complément d’un
rapport
, fait qu’un mot, sous cet aspect, n’est plus une
mots qui désignent entre les propositions, une liaison fondée sur les
rapports
qu’elles ont entre elles. De-là la distinction de
causatives, transitives & déterminatives, selon la différence des
rapports
qui fondent la liaison des propositions. Les conj
bre, de la personne, du tems ; & dans celle du tems, les idées du
rapport
d’existence à l’époque, & du rapport de l’épo
celle du tems, les idées du rapport d’existence à l’époque, & du
rapport
de l’époque au moment de la parole. Cette complex
. liv. I. ch. iv.), ne signifient rien par eux-mêmes, ils n’ont aucun
rapport
naturel avec les idées dont ils sont les signes ;
r, doubte, advenir, aultre, moult, recepvoir, vostre, pour marquer le
rapport
de ces mots avec les noms latins directus, sanctu
miné par un n nasal, se trouve immédiatement suivi du nom auquel il a
rapport
, & que ce nom commence par une voyelle, ou pa
on, s’ils ne sont séparés du nom que par d’autres adjectifs qui y ont
rapport
: un excellent ouvrage, mon intime & fidele a
°. par un adjectif possessif qui caractériseroit les individus par un
rapport
de dependance, meus ensis, tuus ensis, Evandrius
: 4°. par un adjectif démonstratif qui fixeroit les individus par un
rapport
d’indication précise, ce livre, cette femme, ces
s : 5°. par un adjectif ordinal qui spécifieroit les individus par un
rapport
d’ordre, le second tome, chaque troisieme année :
addition d’un autre nom ou d’un pronom qui seroit le terme de quelque
rapport
, & qui seroit annoncé comme tel par les signe
par imitation avec les noms ou les pronoms avec lesquels ils sont en
rapport
d’identité. Voyez Identité . Il suit de-là que le
oprium vescor ; il est certain que vescor n’a ni ne peut avoir aucun
rapport
à mei, & qu’il n’est relatif qu’à ipse ; il f
la plûpart des terminaisons des noms grecs en ος ; qu’ils ont dit, au
rapport
de Quintilien & de Priscien, huminem pour hom
d’une maniere qui puisse le distinguer des autres ; comme l’ouïe a un
rapport
immédiat avec l’organe de la voix, l’homme sans r
nsidérer deux choses dans la signification générale des tems ; 1°. un
rapport
d’existence à une époque, 2°. l’époque même qui e
rme de comparaison. L’existence peut avoir à l’époque trois sortes de
rapports
; rapport de simultanéité, qui caractérise les pr
araison. L’existence peut avoir à l’époque trois sortes de rapports ;
rapport
de simultanéité, qui caractérise les présens ; ra
de rapports ; rapport de simultanéité, qui caractérise les présens ;
rapport
d’antériorité, qui caractérise les prétérits ; &a
résens ; rapport d’antériorité, qui caractérise les prétérits ; &
rapport
de postériorité, qui caractérise les futurs : ain
à Dieu en est un autre. Dans ce cas l’un des complémens a au verbe un
rapport
plus immédiat & plus nécessaire, & il se
l’énergie du sens, & qui font entendre qu’on ne parle pas sur le
rapport
douteux d’autrui, ou qu’on n’a pas vû la chose pa
ette disparate, que les parties similaires du premier exemple sont en
rapport
d’union, & celles du second en rapport de par
du premier exemple sont en rapport d’union, & celles du second en
rapport
de partie intégrante, c’est fonder une différence
rence trop réelle sur une distinction purement nominale, parce que le
rapport
de partie intégrante est un vrai rapport d’union,
ement nominale, parce que le rapport de partie intégrante est un vrai
rapport
d’union, puisque les parties intégrantes ont entr
nsérée accidentellement dans la principale, à laquelle elle n’a aucun
rapport
grammatical, quoiqu’elle ait avec elle une liaiso
rimitive & fondamentale de l’adjectif ou de l’adverbe, sans aucun
rapport
au plus ni au moins dont elle est susceptible ; c
us, parce qu’ils sont employés seuls & sans le nom auquel ils ont
rapport
. Voilà comment les différentes manieres de voir u
sessifs, puisqu’ils ne servent qu’à qualifier le sujet auquel ils ont
rapport
, par l’idée d’une dépendance relative à quelqu’un
e y a introduit deux articles & deux adjectifs possessifs qui ont
rapport
à la troisieme personne du singulier ; l’un s’emp
ITION, s. f. (Gram.) les prépositions sont des mots qui désignent des
rapports
généraux, avec abstraction de tout terme antécéde
dre l’usage plus général, par la liberté d’appliquer l’idée de chaque
rapport
à tel terme, soit antécédent, soit conséquent, qu
écédent, dont elle restraint le sens général par l’idée nécessaire du
rapport
dont elle est le signe, & sans être suivie d’
sans être suivie d’un terme conséquent qui acheve d’individualiser le
rapport
indiqué d’une maniere vague & indéfinie dans
es & les adverbes. Le terme conséquent devant énoncer le terme du
rapport
dont la préposition est le signe, ne peut être qu
ece de nom. Le terme conséquent servant à completter l’idée totale du
rapport
individuel que l’on se propose d’énoncer, est app
adjectif, d’un verbe, ou d’un adverbe, qui est le terme antécédent du
rapport
. Je travaille pour vous ; le pronom vous est comp
différentes qui servent à présenter les mots comme termes de certains
rapports
: en latin, par exemple, le cas nommé génitif pré
génitif présente le nom qui en est revêtu comme terme conséquent d’un
rapport
quelconque, dont le terme antécédent est un nom a
ue, dont le terme antécédent est un nom appellatif ; fortitudo regis,
rapport
d’une qualité au sujet qui en est revêtu ; puer e
rt d’une qualité au sujet qui en est revêtu ; puer egregiae indolis ,
rapport
du sujet à sa qualité ; creator mundi , rapport d
er egregiae indolis , rapport du sujet à sa qualité ; creator mundi ,
rapport
de la cause à l’effet ; Ciceronis opera, rapport
é ; creator mundi , rapport de la cause à l’effet ; Ciceronis opera,
rapport
de l’effet à la cause, &c. V. Génitif, Cas ,
variété de terminaisons, & qui ne peuvent exprimer les différens
rapports
des êtres, des idées, & des mots, que par la
, on est forcé de recourir aux prépositions pour exprimer quantité de
rapports
dont l’expression n’a point été comprise dans le
prépositions ou par la construction de rendre avec fidélité tous les
rapports
désignés par des cas dans les autres langues ; d’
quelque système, au moyen duquel ils auroient exprimé par des cas les
rapports
que nous exprimons par la construction ou par des
e l’adverbe. L’une désigne, comme je l’ai dit dès le commencement, un
rapport
général, avec abstraction de tout terme antécéden
action de tout terme antécédent & conséquent ; l’autre exprime un
rapport
déterminé par la désignation du terme conséquent,
mp; de composées, qui comprennent plusieurs mots pour l’expression du
rapport
. Telle est à cet égard la doctrine de l’abbé Régn
le complément grammatical de à, & le terme antécédent d’un autre
rapport
exprimé par de ; enfin de, autre préposition. C’e
s, contre a un sens d’opposition : dans les suivans ce mot exprime un
rapport
de voisinage ; sa maison est contre la mienne, co
positions contraires sont réunies par une conjonction copulative avec
rapport
à un même & unique complément, comme quand on
riens, je n’ai pas cru devoir m’occuper de la distinction de tous les
rapports
que chaque préposition peut exprimer en vertu de
ications régulieres. « Non seulement une même préposition marque des
rapports
différens, ce qui est déja un défaut dans une lan
: ces différentes significations ne sont point dans le mot vers : les
rapports
sont compris dans la signification des termes ant
termes antécédens, & c’est l’ordre ; les termes conséquens de ces
rapports
sont les complémens de la préposition ; & la
ion ne fait qu’indiquer que son complément est le terme conséquent du
rapport
renfermé dans la signification du terme antécéden
pport renfermé dans la signification du terme antécédent. Nous disons
rapport
de tems, quand le complément est un nom de tems ;
Nous disons rapport de tems, quand le complément est un nom de tems ;
rapport
de lieu, quand c’est un nom de lieu, &c. Dans
eu, quand c’est un nom de lieu, &c. Dans le fait, vers indique un
rapport
d’approximation, & l’approximation se mesure
st-à-dire de les souffrir dans les complémens dont elles indiquent le
rapport
; de façon qu’il se trouve alors un rapport parti
s dont elles indiquent le rapport ; de façon qu’il se trouve alors un
rapport
particulier compris dans le général : celui-ci es
s (ib. p. 177.), de mettre deux avec qui se suivent & qui ont des
rapports
différens, dont l’un regarde la personne & l’
nés, ne me plaisent point dans une même période, quand ils ont divers
rapports
; je dis quand ils ont divers rapports ; car si l
période, quand ils ont divers rapports ; je dis quand ils ont divers
rapports
; car si l’un & l’autre se rapportent ou à la
ou dans des sens différens, un même mot qui annonce vaguement quelque
rapport
. C’est que l’esprit ayant été déterminé par le pr
ndépendante de celle de l’autre. Toutes les prépositions désignent un
rapport
vague qui n’est bien déterminé que par l’applicat
e, &c. sont encore dans le même cas, parce qu’elles désignent des
rapports
généraux. Notre on doit suivre la même regle, par
ous l’une des qualités désignées par les nombres, & sous l’un des
rapports
marqués par le cas de quelque espece que soit l’i
à la préposition à : en & y sont donc des mots qui expriment des
rapports
généraux déterminés par la désignation du terme c
individus de l’espece nommée pris distributivement, communément avec
rapport
à un sens négatif. Exemples : Aucun contretems n
tous les individus de l’espece nommée pris distributivement, avec le
rapport
à un sens affirmatif, au-contraire d’aucun, aucun
ie seul, les circonstances font toujours connoître un nom auquel il a
rapport
. Quel, quelle . Adjectif qui énonce un objet qu
osition est un assemblage de mots, qui, par le concours des différens
rapports
qu’ils ont entre eux, énoncent un jugement ou que
est en particulier exprime l’existence du sujet ; juste en exprime le
rapport
de convenance à la justice. Si la relation du suj
. vivre comme si on ne doutoit point qu’elle ne fût fausse ; & le
rapport
du nom général ce à cette double addition est mar
sque tous les mots en sont disposés selon l’ordre & la nature des
rapports
successifs qui fondent leur liaison : omnes sunt
irati constantiam Catonis. La phrase est inverse, lorsque l’ordre des
rapports
successifs qui fondent la liaison des mots est su
ati sunt omnes. Enfin la phrase est hyperbatique, lorsque l’ordre des
rapports
successifs & la liaison naturelle des mots co
lles, mais il n’y a que le premier qui soit aussi l’ordre naturel des
rapports
; il est renversé dans le second. Enfin la dispos
prime plus ni les liaisons des idées, ni l’ordre qui résulte de leurs
rapports
; ce qui arrive quand on jette entre deux corréla
quand on jette entre deux corrélatifs quelque mot qui est étranger au
rapport
qui les unit : il n’y a plus alors ni constructio
quantité des sons dans chaque syllabe, ne consiste donc point dans un
rapport
déterminé de la durée du son, à quelqu’une des pa
soi, se, à soi, & de soi sont les cas de on, qu’autant qu’ils ont
rapport
à on. Il faudroit donc dire que soi est un autre
de même en latin, parce que la terminaison du complément y désigne le
rapport
qui le lie au terme antécédent, & rend inutil
gne le complément qui exprime l’objet sur lequel tombe directement le
rapport
énoncé par le mot completé : tel est le complémen
sirer les richesses, bâtir une maison, teindre une étoffe, &c. Le
rapport
énoncé par plusieurs verbes relatifs exige souven
. Or il est constant que la phrase a d’autant plus de netteté, que le
rapport
mutuel de ses parties est plus marqué ; ainsi il
iation, sert au contraire à l’augmenter, en fortifiant les traits des
rapports
mutuels des parties de la phrase : il consiste à
cer le plus près du mot completé, celui des complémens auquel il a un
rapport
plus nécessaire. Or le rapport au complément modi
é, celui des complémens auquel il a un rapport plus nécessaire. Or le
rapport
au complément modificatif est le plus nécessaire
positives, où la terminaison des mots sert à caractériser l’espece de
rapport
auquel ils sont employés, la nécessité de marquer
spece de rapport auquel ils sont employés, la nécessité de marquer ce
rapport
par la place des mots n’existe plus au même degré
ue doit prendre un complément grammatical d’un mot, en conséquence du
rapport
particulier sous lequel il est alors envisagé. Ai
nom Petri est au génitif, parce qu’il exprime le terme conséquent du
rapport
dont liber est le terme antécédent, & que le
nt, & que le régime d’un nom appellatif que l’on détermine par un
rapport
quelconque à un autre nom, est en latin le géniti
’action énoncée par un verbe actif relatif, ou le terme conséquent du
rapport
abstrait énoncé par certaines prépositions, c’est
m faciem tuam (Job. 22. 26.) : si ce nom est le terme conséquent d’un
rapport
sous lequel on envisage un nom appellatif pour en
llatif pour en déterminer la signification, sans pourtant exprimer ce
rapport
par aucune préposition, c’est Dei ; comme dans no
o Deum, ex Deo, sapientia Dei, &c. c’est qu’il ne peut y avoir de
rapport
qu’entre des choses différentes, & que tout r
que tout régime caracterise essentiellement le terme conséquent d’un
rapport
; ainsi le régime est fondé sur le principe de la
e régime est fondé sur le principe de la diversité des idées mises en
rapport
, & des termes rapprochés dont l’un détermine
amp; des termes rapprochés dont l’un détermine l’autre en vertu de ce
rapport
. Voyez Détermination . Il suit de-là qu’à prendre
que doit prendre un complément grammatical d’un mot en conséquence du
rapport
particulier sous lequel il est alors envisagé : o
xe, car dans chacune de ces constructions il y a les mêmes signes des
rapports
que les mots ont entre eux ». C’est-à-dire que l
e régime tome I. disc. iij. pag. 87. Il consiste, selon lui, dans des
rapports
de dépendance soumis aux regles pour la construct
ormes des complémens grammaticaux considérés comme termes de certains
rapports
, & il ne consiste pas dans les rapports mêmes
comme termes de certains rapports, & il ne consiste pas dans les
rapports
mêmes, comme le prétend M. l’abbé Girard. Une sec
nt peut-il se faire que le régime consiste, comme il le dit, dans des
rapports
de dépendance, & qu’il y ait cependant des mo
M. B.) RELATIF RELATIF, ve, adj. (Gramm.) qui a relation ou
rapport
à quelque chose, ou qui sert à l’expression de qu
ion ou rapport à quelque chose, ou qui sert à l’expression de quelque
rapport
. Relatif vient du supin relatum (rapporter), &
relatif signifie littéralement qui aide à rapporter, ou qui sert aux
rapports
. L’opposé de relatif est absolu, formé d’absolutu
es sous un autre aspect. Si A & B sont des grandeurs inégales, le
rapport
de A à B n’est pas le même que celui de B à A ; c
A à B n’est pas le même que celui de B à A ; cependant un de ces deux
rapports
étant une fois fixé, l’autre par-là même est déte
déterminé : si A, par exemple, contient B quatre fois, l’exposant du
rapport
de A à B est 4 ; mais 4 n’est pas l’exposant du r
l’exposant du rapport de A à B est 4 ; mais 4 n’est pas l’exposant du
rapport
de B à A, parce que B ne contient pas réciproquem
ois, il en est le quart, & c’est pourquoi l’exposant de ce second
rapport
, au-lieu d’être 4, est ¼, ce qui est analogue san
logue sans être identique. Si A & B sont des grandeurs égales, le
rapport
de A à B est le même que celui de B à A : A conti
proquement B contient une fois A ; & 1 est toujours l’exposant du
rapport
de ces deux grandeurs sous chacune des deux combi
s sous chacune des deux combinaisons. C’est la même chose de tous les
rapports
imaginables, tous supposent deux termes, & ce
ermes peuvent être vus sous deux combinaisons. Il peut arriver que le
rapport
du premier terme au second ne soit pas le même qu
ond au premier, quoiqu’il le détermine ; & il peut arriver que le
rapport
des deux termes soit le même sous les deux combin
ciproquement relatifs, ceux qui déterminent les êtres par l’idée d’un
rapport
qui est toujours le même sous chacune des deux co
s simplement relatifs, ceux qui déterminent les êtres par l’idée d’un
rapport
, qui n’est tel que sous une seule des deux combin
n’est tel que sous une seule des deux combinaisons ; de sorte que le
rapport
qui se trouve sous l’autre combinaison est différ
t doublement, parce que toute comparaison envisage essentiellement un
rapport
entre les deux termes comparés ; ainsi on peut di
ble, sont simplement relatifs, parce qu’ils désignent par l’idée d’un
rapport
qui n’est tel que sous l’une des deux combinaison
completté par l’expression de l’objet qui est le terme conséquent du
rapport
renfermé dans le sens de ce verbe ; mais si je di
ns relatives, celles qui renferment quelque comparaison & quelque
rapport
: comme, où est le trésor, là est le coeur ; tell
être considéré en deux manieres. La premiere, en ce qu’il a toujours
rapport
à un autre nom ou pronom qu’on appelle antécédent
i. « Pour moi, dit-il, je crois que c’est le relatis, qui a toujours
rapport
à un antécédent, mais qui est dépouillé de son us
même à tous les mots d’une phrase, puisqu’ils sont tous liés par les
rapports
respectifs qui les font concourir à l’expression
n pronom : il est vrai que le cas d’un pronom ne se décide que par le
rapport
propre dont il est chargé dans l’ensemble de la p
mots qui désignent entre les propositions, une liaison fondée sur les
rapports
qu’elles ont entre elles : d’ailleurs la concorda
qui est l’un des caracteres de cet adjectif, est le signe naturel du
rapport
de la proposition incidente à l’antécédent ; elle
récedent ; absolus, quand ils n’ont pas d’antécédent auquel ils aient
rapport
. Voyez la gram. fr. de M. Restaut, ch. v. art. 5.
a entre les idées accessoires, je veux dire, entre les idées qui ont
rapport
les unes aux autres, est la source & le princ
mot ; il est employé dans le sens passif, quand le sujet auquel il a
rapport
, est consideré comme le terme de l’impression pro
x mêmes mots ont le sens passif, parce que la robe à laquelle ils ont
rapport
, est considerée comme le terme de l’impression pr
t la liaison que les idées ont les unes avec les autres : le moin dre
rapport
réveille une idée de moralité dans un homme dont
trouvoit partout jusque dans les nombres. Métrodore de Lampsaque, au
rapport
de Tatien, avoit tourné Homere tout entier en all
res sens de l’Ecriture-sainte. Si les explications qu’on en donne ont
rapport
aux moeurs, c’est le sens moral. Si les explicati
me dans les constructions louches, les mots semblent avoir un certain
rapport
pendant qu’ils en ont un autre » : par conséquen
mparaison il faut distinguer l’acte de l’esprit qui compare, & le
rapport
que cette comparaison lui fait appercevoir entre
és : il y a en effet la même différence entre la comparaison & le
rapport
, qu’entre le télescope & les taches qu’il me
fais de deux êtres est à moi, c’est un acte propre de mon esprit ; le
rapport
que je découvre entre ces êtres par la comparaiso
raison ; au lieu que l’adjectif que l’on nomme comparatif, exprime le
rapport
de supériorité de l’un des termes comparés sur l’
paraison même, qui en est fort différente. J’avoue néanmoins que tout
rapport
énoncé, & conséquemment connu, suppose nécess
a préposition vraiment comparative proe, suffisamment indiquée par le
rapport
énoncé dans l’adjectif comparatif. Mais ce que l’
Si l’adjectif ou l’adverbe comparatif, par la raison qu’il énonce un
rapport
, suppose nécessairement une comparaison des deux
ve en soi, suppose pareillement que l’adjectif ou l’adverbe énonce un
rapport
découvert par la comparaison ; ce rapport est en
ctif ou l’adverbe énonce un rapport découvert par la comparaison ; ce
rapport
est en latin celui de supériorité, comme le seul
contredit comparative, & l’adjectif miserior, qui qualifie par un
rapport
de supériorité, suppose nécessairement cette comp
e distinction : l’origine du mot superlatif indique nécessairement un
rapport
de supériorité ; & par conséquent un superlat
mp; par conséquent un superlatif absolu est une forme qui énonce sans
rapport
, un rapport de supériorité : c’est une antilogie
équent un superlatif absolu est une forme qui énonce sans rapport, un
rapport
de supériorité : c’est une antilogie insoutenable
différens. Or il y a trois especes de sens comparatifs, selon que le
rapport
accessoire que l’on considere, est d’égalité, de
d’égalité est celui qui ajoute au sens positif l’idée accessoire d’un
rapport
d’égalité entre les degrés actuellement comparés.
périorité est celui qui ajoute au sens positif l’idée accessoire d’un
rapport
de supériorité à l’égard du degré avec lequel on
fériorité est celui qui ajoute au sens positif l’idée accessoire d’un
rapport
d’infériorité à l’égard du degré avec lequel on l
rre avec le degré de sagesse de l’autre sujet Paul : & les divers
rapports
du savoir de l’un à la sagesse de l’autre, sont e
idérés dans des sujets, & différencier par les mêmes adverbes les
rapports
d’égalité, de supériorité ou d’infériorité. Ainsi
nomme exclusivement comparatif, parce que c’est le seul qui énonce le
rapport
de supériorité, dont l’idée est nettement désigné
nient ; sur-tout si l’on se rappelle que ce sens comparatif énonce un
rapport
de supériorité, quelquefois individuelle & qu
rme qu’au comparatif, parce qu’en effet l’un exprime comme l’autre un
rapport
de supériorité ; mais le superlatif exige de plus
paré ma passion, & le terme de comparaison, ma crainte ; & le
rapport
de supériorité de l’un à l’égard de l’autre, plus
és sous cet aspect, que : ainsi l’esprit voit clairement qu’il y a un
rapport
de supériorité individuelle. Mais quand on dit, l
ngeres à cet article, & je ne m’arrêterai qu’à la seconde qui y a
rapport
direct. Rien de mieux que les observations de M.
e semble avoir assez prouvé que notre plus est toujours le signe d’un
rapport
de supériorité, & conséquemment qu’il exprime
il faut pourtant répéter l’article simple avant le mot qui exprime le
rapport
de supériorité ; mais sans répéter la préposition
s grammairiens, comme sum, existo, fio, sto, &c. Diomedes dit, au
rapport
de Vossius, (Anal. III. 2.) que le nom de supins
de la puissance, (res acta), mais considéré en soi, & sans aucun
rapport
à la puissance qui l’a produit, ni au sujet sur q
que ou moral, qu’elle se donne pour produire l’effet, mais sans aucun
rapport
au sujet sur qui peut tomber l’opération. La pass
de l’existence sous un attribut, qui est marquée dans le supin par le
rapport
d’antériorité qui le met dans la classe des prété
ou suivie ou censée suivie d’une voyelle qu’elle modifie, sans aucun
rapport
à la voyelle précédente : ainsi, les mots or, dur
les phrases explicitement comparatives, de quelque nature que soit le
rapport
énoncé par la comparaison, ou d’égalité, ou de su
er, & celui dont on emprunte le nom ; car s’il n’y avoit point de
rapport
entre ces objets, il n’y auroit aucune idée acces
veille l’idée, & ne forme point un ensemble avec lui ; tel est le
rapport
qui se trouve entre la cause & l’effet, entre
ble, comme le tout & la partie ; leur union n’est point un simple
rapport
, elle est plus intérieure & plus indépendante
énéral les tems sont les formes du verbe, qui expriment les différens
rapports
d’existence aux diverses époques que l’on peut en
e doit finir, &c. J’ajoute que ces formes expriment les différens
rapports
d’existence aux diverses époques que l’on peut en
nification, dans laquelle il y a deux choses à considérer, savoir les
rapports
d’existence à une époque, & l’époque qui est
nérale des Tems . L’existence peut avoir, en général, trois sortes de
rapports
à l’époque de comparaison : rapport de simultanéi
oir, en général, trois sortes de rapports à l’époque de comparaison :
rapport
de simultanéité, lorsque l’existence est coïncide
de simultanéité, lorsque l’existence est coïncidente avec l’époque ;
rapport
d’antériorité, lorsque l’existence précede l’époq
; rapport d’antériorité, lorsque l’existence précede l’époque ; &
rapport
de postériorité, lorsque l’existence succede à l’
st pas possible que les tems des verbes expriment autre chose que des
rapports
d’existence à quelque époque de comparaison ; il
omparaison ; il est également impossible d’imaginer quelque espece de
rapport
autre que ceux que l’on vient d’exposer : il ne p
s de tems, & chacune doit être différenciée par l’un de ces trois
rapports
généraux. Je dis trois especes générales de Tems
iné. Sous le premier aspect, les tems des verbes expriment tel ou tel
rapport
d’existence à une époque quelconque & indéter
née : sous le second aspect, les tems des verbes expriment tel ou tel
rapport
d’existence à une époque précise & déterminée
erminée, & qu’ils n’expriment en quelque sorte que l’un des trois
rapports
généraux d’existence, avec abstraction de toute é
ur ne plus signifier la simultanéité, mais c’est pour l’exprimer avec
rapport
à une époque déterminée. Or II. Nous avons vu le
. de 1660, ch. xv. édit. de 1756), est celui qui marque le passé avec
rapport
au présent, & on l’a nommé prétérit imparfait
question ; il falloit conclure que cette forme marque le présent avec
rapport
au passé, plutôt que de dire au contraire qu’elle
u passé, plutôt que de dire au contraire qu’elle marque le passé avec
rapport
au présent. Cette inconséquence est dûe à l’habit
l, antérieur ou postérieur, selon que le terme a lui-même l’un de ces
rapports
au moment de l’acte de la parole. Or le tems, don
des tems antérieurs. Il reste donc à déterminer l’espèce génerale de
rapport
que ce tems exprime relativement à ce période ant
un quatrieme tems composé, savoir celui qui eût marqué l’avenir avec
rapport
au présent… néanmoins dans l’usage on l’a confond
le : l’auteur dit que le tems dont il parle, eût marqué l’avenir avec
rapport
au présent ; & il prouve lui-même qu’il fallo
l prouve lui-même qu’il falloit dire qu’il eût marqué le présent avec
rapport
à l’avenir, puisque, de son aveu, coenabo, dans l
amp; les propositions d’une vérité contingente ont nécessairement des
rapports
différens aux diverses époques ; rapport de la si
ente ont nécessairement des rapports différens aux diverses époques ;
rapport
de la simultanéité pour l’une, d’antériorité pour
la grammaire générale (loc. cit.) est celui qui marque l’avenir avec
rapport
au passé, savoir le futur parfait, comme coenaver
r ce nom : c’est pour cela qu’il dit que ce tems marque l’avenir avec
rapport
au passé : au-lieu qu’il suit de l’exemple même d
e l’exemple même de la grammaire générale, qu’il marque le passé avec
rapport
à l’avenir. Quelle est en effet l’intention de ce
ui dit, quand j’aurai soupé il entrera ? c’est évidemment de fixer le
rapport
du tems de son souper, au tems de l’entrée de cel
d’une maniere conséquente à l’observation, elle marque le passé avec
rapport
à l’avenir. Une autre erreur de cet écrivain céle
s des autres verbes, n’expriment absolument que le second de ces deux
rapports
, & loin d’exprimer le premier, il ne le suppo
er les tems, que ceux de tout autre verbe, pour marquer les différens
rapports
d’existence qui caractérisent les tems de tous le
tems d’un autre verbe, pour ne lui laisser que celle qui convient aux
rapports
d’existence qu’il est alors chargé de caractérise
mbre, & en cas avec le sujet du verbe ; c’est qu’il en exprime le
rapport
à l’action qui constitue la signification propre
uturition exprimée par le participe, dans le sens indéfini & sans
rapport
à aucune époque déterminée ; ce qui, dans l’occur
ieu que quand il convient de rendre en quelque sorte plus sensible le
rapport
général d’existence, que le terme de comparaison
l’existence est coincidente avec l’époque ; mais sous les deux autres
rapports
, d’antériorité & de postériorité, l’existence
cond, si nos procédés sont analogiques, doit désigner encore un autre
rapport
d’antériorité, dont l’idée est accessoire à l’éga
sées. Je pensois que ce qui avoit trompé ce grammairien, c’est que le
rapport
de postériorité étoit essentiel au mode impératif
ntérieur : c’est que le premier est destiné par l’usage à exprimer le
rapport
d’existence, qui lui convient, à l’égard d’une ép
l, ou avec un présent postérieur ; au lieu que le second n’exprime le
rapport
qui lui convient, qu’à l’égard d’une époque envis
fixent l’époque de comparaison. A l’indicatif, les tems expriment des
rapports
d’existence à une époque dont la position est fix
relativement au moment de la parole : au subjonctif ils expriment des
rapports
d’existence à une époque dont la position est fix
role, puisqu’il peut être, ou actuel, ou antérieur, ou postérieur. Le
rapport
d’existence au moment de la parole, qui est expri
par un tems de l’indicatif : celui de l’indicatif est composé de deux
rapports
, rapport d’existence à l’époque, & rapport de
s de l’indicatif : celui de l’indicatif est composé de deux rapports,
rapport
d’existence à l’époque, & rapport de l’époque
f est composé de deux rapports, rapport d’existence à l’époque, &
rapport
de l’époque au moment de la parole : celui du sub
e au moment de la parole : celui du subjonctif est composé de trois ;
rapport
d’existence à une époque, rapport de cette époque
u subjonctif est composé de trois ; rapport d’existence à une époque,
rapport
de cette époque au moment déterminé par l’un des
ue au moment déterminé par l’un des présens du verbe principal, &
rapport
de ce moment principal à celui de la parole. Quan
ini antérieur ; je ne considérois dans ces tems que les deux premiers
rapports
élémentaires, celui de l’existence à l’époque, &a
ems de chaque classe : car si l’on considere tout à la fois les trois
rapports
élémentaires, l’indétermination devient générale,
losophe. Ibid.] « Toutes les fois qu’il y a de la différence dans le
rapport
naturel qui donne lieu à la signification emprunt
cation empruntée, on peut dire que l’expression qui est fondée sur ce
rapport
appartient à un trope particulier. C’est le rappo
est fondée sur ce rapport appartient à un trope particulier. C’est le
rapport
de ressemblance qui est le fondement de la catach
ressemblance pour fondement. L’ironie au contraire est fondée sur un
rapport
d’opposition, de contrariété, de différence, &
speces de l’une ou de l’autre, sont fondées sur quelqu’autre sorte de
rapport
, qui n’est ni un rapport de ressemblance, ni un r
utre, sont fondées sur quelqu’autre sorte de rapport, qui n’est ni un
rapport
de ressemblance, ni un rapport du contraire. Tel
utre sorte de rapport, qui n’est ni un rapport de ressemblance, ni un
rapport
du contraire. Tel est, par exemple, le rapport de
de ressemblance, ni un rapport du contraire. Tel est, par exemple, le
rapport
de la cause à l’effet ; ainsi dans la métonymie &
regne dans toute l’étendue du discours. Les autres sont fondés sur un
rapport
de correspondance : c’est la métonymie, à laquell
omination superflue de métalepse. Les autres enfin sont fondés sur un
rapport
de connexion : c’est la synecdoque avec ses dépen
modification : & ce dernier trait, en facilitant l’explication du
rapport
qu’a le verbe à l’expression de nos jugemens obje
tion normande que ce grand homme pourroit y avoir introduite. Dans le
rapport
analysé des remarques de M. Duclos & du suppl
tracé le caractère de la poésie de l’Italie et de l’Espagne dans son
rapport
avec la religion et l’état politique de ces deux
mais j’ai voulu d’abord signaler son caractère le plus général et son
rapport
avec l’esprit de la civilisation dont elle émane.
r le monde ; on a comparé les divers êtres entre eux ; on a saisi des
rapports
; on a tiré des conséquences, toujours en travail
st peu de philosophes qui aient considéré les connaissances dans leur
rapport
avec l’esprit humain. C’était là cependant le seu
fondie du jugement. Kant distingue deux sortes de jugemens. Tantôt le
rapport
lie l’attribut au sujet comme inhérent au sujet m
t nécessairement dans la nature du sujet, en sorte qu’en exprimant ce
rapport
vous n’exprimez pas deux connaissances différente
notion de pesanteur n’en sortira pas comme partie intégrante. Donc ce
rapport
n’est pas un rapport d’identité, comme le premier
’en sortira pas comme partie intégrante. Donc ce rapport n’est pas un
rapport
d’identité, comme le premier, car un des termes é
des termes étant donné, l’autre n’est pas supposé nécessairement. Le
rapport
n’étant plus le même, le jugement qui l’exprime n
même du même, parce qu’en effet il suffit d’analyser un des termes du
rapport
qu’ils expriment, pour en tirer l’autre terme, et
ment, pour en tirer l’autre terme, et pour avoir par conséquent et le
rapport
et le jugement, expression du rapport ; et il app
pour avoir par conséquent et le rapport et le jugement, expression du
rapport
; et il appellesynthétiques les jugemens qui affi
ribut qui n’y est pas contenu logiquement, parce que, pour trouver le
rapport
, il ne s’agit plus d’analyser un des termes, mais
fet, l’expérience ne donne que des successions de faits, et jamais un
rapport
tel que celui de causalité. Les jugemens synthéti
es jugemens synthétiques à priori ou à posteriori, les deux termes du
rapport
fussent identiques, c’est-à-dire que, l’un étant
es à priori, ni les jugemens synthétiques à posteriori n’expriment un
rapport
d’identité. — Loin donc que tous nos jugemens soi
notion de douze, la notion du sujet sans celle de l’autre terme et du
rapport
d’égalité qui les unit. Or, après que vous avez a
moins que des jugemens synthétiques à priori, car le second terme du
rapport
que ces jugemens expriment n’est nullement renfer
ement de M. Suard ne dura pas moins de treize années (1803-1817). Les
rapports
de ce secrétaire perpétuel, lus dans leur continu
ut l’honneur aux pièces couronnées. Seulement, dans le dernier de ses
rapports
, daté de 1816, ayant à parler du concours pour l’
n partie aux malheurs d’un temps où régnaient les haines civiles. Les
rapports
de M. Raynouard, dont le gouvernement comme secré
’offrait la manière de Suard. M. Raynouard est homme d’affaires ; ses
rapports
sont consciencieux, un peu longs, un peu lourds,
Ils aspirent à prendre leurs grades dans ses concours. Aussi dans les
rapports
de Suard et dans ceux de Raynouard, il n’y a pas
aynouard, il n’y a pas trace de polémique. On voit seulement dans les
rapports
de Suard que l’Académie se reconnaît et se présen
i, pour la plupart, ne pensaient qu’à divertir le public. Et dans les
rapports
de Raynouard, on entrevoit, au milieu de grands é
nouard, il est vrai, continua, malgré sa démission, de se charger des
rapports
annuels jusqu’en 1830 et de s’acquitter de cette
c’est plaisir encore aujourd’hui de lire ou de parcourir ces premiers
rapports
, tracés d’une plume élevée et brillante : on se s
depuis, se sont développés et comme déployés de plus en plus dans des
rapports
toujours savants et composés avec art ; mais, en
orte qu’en vivant elle se rajeunisse et qu’elle se maintienne dans un
rapport
vrai avec une société qui change. La France, quel
nne son avis, ait ses discussions intérieures et les consigne dans un
Rapport
public, qu’elle ne craigne pas, en un mot, de fai
les branches réputées légères. Pourquoi, deux ou trois fois l’an, des
rapports
spéciaux et succincts, confiés à deux ou trois de
vais examiner d’abord la littérature d’une manière générale dans ses
rapports
avec la vertu, la gloire, la liberté et le bonheu
e la jeunesse à la mort. De l’importance de la littérature dans ses
rapports
avec la vertu La parfaite vertu est le beau id
rfaite vertu est le beau idéal du monde intellectuel. Il y a quelques
rapports
entre l’impression qu’elle produit sur nous et le
onsidéré comme un défaut. L’esprit donc ainsi assimilé, sous tous les
rapports
, à la raison supérieure, ne peut pas plus nuire q
t indifférents aux malheurs des autres. De la littérature dans ses
rapports
avec la gloire Si la littérature peut servir u
a gloire du moins était encore l’objet. De la littérature dans ses
rapports
avec la liberté La liberté, la vertu, la gloir
inion parmi les troupes. À cet égard, leur esprit de corps a quelques
rapports
avec celui des prêtres ; il exclut de même le rai
e : vous y retrouvez tout, hors la vie. De la littérature dans ses
rapports
avec le bonheur On a presque perdu de vue l’id
ce de quelques larmes ; et par des émotions semblables, j’ai quelques
rapports
avec ceux dont je plains si profondément la desti
idérés selon le but général de cet ouvrage, c’est à dire, d’après les
rapports
qui existent entre l’état politique d’un pays et
ue de la France depuis dix ans ; mais je ne la considère que dans ses
rapports
avec la littérature et la philosophie, sans me li
ques désastreuses de la révolution ; mais rien cependant n’a moins de
rapport
avec de telles conséquences que ce noble système.
mouvement plus ou moins nécessairement exécuté, le cerveau les met en
rapport
avec des mécanismes moteurs plus ou moins libreme
intellectuelle toute désintéressée : mais toujours elles négligent le
rapport
de la perception à l’action et du souvenir à la c
La complexité croissante du système nerveux met l’ébranlement reçu en
rapport
avec une variété de plus en plus considérable d’a
vont découler de là pour la perception, pour la mémoire, et pour les
rapports
du corps avec l’esprit. III. Pour la percep
e et l’idéalisme. Que toute réalité ait une parenté, une analogie, un
rapport
enfin avec la conscience, c’est ce que nous concé
anneaux. Mais pour établir ainsi entre la perception et la réalité le
rapport
de la partie au tout, il fallait laisser à la per
tive, parce qu’il n’y a pas entre le « phénomène » et la « chose » le
rapport
de l’apparence à la réalité, mais simplement celu
vec laquelle nous construisons notre connaissance, on ne trouve aucun
rapport
concevable, aucune commune mesure. Maintenant, en
, que la perception entretienne avec son concomitant physiologique le
rapport
de l’action virtuelle à l’action commencée, c’est
ée en parties indépendantes : comment d’ailleurs, n’ayant ainsi aucun
rapport
possible avec notre conscience, déroulerait-elle
cience, déroulerait-elle une série de changements dont l’ordre et les
rapports
correspondraient exactement à l’ordre et aux rapp
ive n’est acceptée par les choses. 3º Mais si l’on envisage ainsi les
rapports
de l’étendu à l’inétendu, de la qualité à la quan
anc qui, vivant à Londres, se trouvait à la source pour contrôler les
rapports
français par ceux de la marine anglaise, et qui a
it de Jomini (1820), celui de M. Thiers, celui de Louis Blanc, et les
rapports
mêmes à la Convention, soit de Jean-Bon, soit de
mai 1795, et où on l’accusait d’en avoir imposé à la France dans son
Rapport
sur le combat du 13 prairial, Jean-Bon n’opposait
11 messidor dernier va faire cesser, Citoyen commissaire général, les
rapports
qu’en cette qualité vous avez entretenus jusqu’ic
r ; le maréchal lui demandant pourquoi il partait si tôt : « J’ai mon
rapport
à faire et à envoyer cette nuit même à Paris », r
cent à se manifester dans les villages ; Votre Excellence en aura les
rapports
détaillés. Mes moyens sont insuffisants ou même n
he adjoint de la Marine, de pouvoir ajouter ici quelques extraits des
rapports
du temps qui viennent à l’appui de nos conclusion
Duras, secrétaire de la Commission des Représentants », — Extrait du
rapport
du contre-amiral Villaret-Joyeuse à la Commission
nt déployé dans toutes les affaires qu’il a traitées. » — Extrait du
rapport
du contre-amiral Villaret-Joyeuse à la Commission
saye de tout remettre en question, ne veut voir dans ces passages des
rapports
de Villaret relatifs à Jean-Bon que de la courtoi
ence pendant l’armistice de 1813 : « Il s’y montrait sous beaucoup de
rapports
, dit-il, le préfet modèle. Mettant à l’écart la r
inactif dans l’observation, et l’on serait amené à distinguer sous ce
rapport
deux sortes d’observations : les unes passives, l
e ce médecin que la production de cette maladie pourrait bien être en
rapport
avec certaines circonstances météorologiques ou h
n véritable contremaître de la création ; et l’on ne saurait, sous ce
rapport
, assigner de limites à la puissance qu’il peut ac
apparaît jamais à son esprit que sous la forme d’une relation ou d’un
rapport
absolu et nécessaire. Mais ce rapport ne peut êtr
la forme d’une relation ou d’un rapport absolu et nécessaire. Mais ce
rapport
ne peut être absolu qu’autant que les conditions
nscience qu’il les connaît toutes. Les mathématiques représentent les
rapports
des choses dans les conditions d’une simplicité i
onditions d’une simplicité idéale. Il en résulte que ces principes ou
rapports
, une fois trouvés, sont acceptés par l’esprit com
ourrait concevoir autrement. Mais quand, au lieu de s’exercer sur des
rapports
subjectifs dont son esprit a créé les conditions,
ifs dont son esprit a créé les conditions, l’homme veut connaître les
rapports
objectifs de la nature qu’il n’a pas créés, imméd
nde objectif ou extérieur, la vérité est également constituée par des
rapports
nécessaires, mais la connaissance des conditions
des rapports nécessaires, mais la connaissance des conditions de ces
rapports
lui manque. Il faudrait, en effet, qu’il eût créé
ance et la conception absolues. Toutefois l’homme doit croire que les
rapports
objectifs des phénomènes du monde extérieur pourr
hénomènes les plus simples, la science expérimentale a saisi certains
rapports
qui paraissent absolus. Telles sont les propositi
plus forte raison dans la biologie, les phénomènes se compliquent de
rapports
tellement nombreux, que les principes représentés
sibilité et de sa volonté. De plus nous admettons encore qu’il y a un
rapport
nécessaire entre les actes et leur cause ; mais q
ui l’entourent et qu’il veut les connaître en eux-mêmes et dans leurs
rapports
mutuels et complexes de causalité, tout critérium
blables peuvent naître chez tous les hommes, à l’occasion de certains
rapports
simples des objets que tout le monde peut saisir.
s n’ont pas toutes la même puissance ni la même acuité, et il est des
rapports
subtils et délicats qui ne peuvent être sentis, s
nterprète le même fait tout autrement qu’auparavant et lui trouve des
rapports
tout nouveaux. L’idée neuve apparaît alors avec l
ns philosophes d’avoir accordé trop de puissance à la méthode sous ce
rapport
. L’idée expérimentale résulte d’une sorte de pres
choses doivent se passer d’une certaine manière. On peut dire sous ce
rapport
que nous avons dans l’esprit l’intuition ou le se
tique ; il faut croire à la science, c’est-à-dire au déterminisme, au
rapport
absolu et nécessaire des choses, aussi bien dans
; mais il faut en même temps être bien convaincu que nous n’avons ce
rapport
que d’une manière plus ou moins approximative, et
ent opposée à l’invention. En effet, une découverte est en général un
rapport
imprévu qui ne se trouve pas compris dans la théo
gnorant, qui ne connaîtrait pas la théorie, serait, en effet, sous ce
rapport
, dans de meilleures conditions d’esprit ; la théo
cience ne doive plus faire de progrès, ce qui est impossible. Sous ce
rapport
, il y aurait peut-être une distinction à établir
t ainsi, en effet, si l’homme n’avait dans sa raison le sentiment des
rapports
et du déterminisme qui deviennent critérium de la
e procédé physiologique. De même, quand l’expérimentateur déduira des
rapports
simples de phénomènes précis et d’après des princ
certaine et nécessaire, tandis que, quand il se trouvera au milieu de
rapports
complexes, ne pouvant s’appuyer que sur des princ
e n’est point le fait lui-même qui donne la preuve, mais seulement le
rapport
rationnel qu’il établit entre le phénomène et sa
port rationnel qu’il établit entre le phénomène et sa cause. C’est ce
rapport
qui est la vérité scientifique et qu’il s’agit ma
l a la certitude a priori que ces variations sont déterminées par des
rapports
rigoureux et mathématiques. L’expérience ne fait
expérience ne fait que nous montrer la forme des phénomènes ; mais le
rapport
d’un phénomène à une cause déterminée est nécessa
ématiques, puisque de part et d’autre, ce principe est exprimé par un
rapport
des choses nécessaire et absolu. Seulement dans l
nécessaire et absolu. Seulement dans les sciences expérimentales ces
rapports
sont entourés par des phénomènes nombreux, comple
que la science des phénomènes des corps bruts, et qu’il n’y a sous ce
rapport
aucune différence entre les principes des science
effet c’est le milieu intérieur des êtres vivants qui est toujours en
rapport
immédiat avec les manifestations vitales, normale
intérieur, qui est un véritable produit de l’organisme, conserve des
rapports
nécessaires d’échanges et d’équilibres avec le mi
vons pour la commodité du langage. Pour le mécanicien la force est le
rapport
d’un mouvement à sa cause. Pour le physicien, le
Les propriétés des corps vivants ne se manifestent à nous que par des
rapports
de réciprocité organique. Une glande salivaire, p
Une glande salivaire, par exemple, n’existe que parce qu’elle est en
rapport
avec le système digestif, et que parce que ses él
estif, et que parce que ses éléments histologiques sont dans certains
rapports
entre eux et avec le sang ; supprimez toutes ces
s des autres, la glande salivaire n’existe plus. La loi nous donne le
rapport
numérique de l’effet à sa cause, et c’est là le b
rminisme absolu des conditions de son existence, mais on a encore les
rapports
qui sont relatifs à toutes ses variations, de sor
e l’étude des phénomènes de la matière vivante ne saurait avoir aucun
rapport
avec l’étude des phénomènes de la matière brute.
ples que possible Un phénomène naturel n’étant que l’expression de
rapports
ou de relations, il faut au moins deux corps pour
offre, il règne toujours une complexité plus ou moins grande. Sous ce
rapport
, la complexité des phénomènes minéraux est beauco
propriétés de la matière vivante ne peuvent être connues que par leur
rapport
avec les propriétés de la matière brute ; d’où il
ires chimiques qui constituent les éléments du physiologiste. Sous ce
rapport
, le biologue ressemble plus au physicien qu’au ch
ire. Dans l’état actuel de la science, il n’y aurait d’ailleurs aucun
rapport
possible à établir entre les propriétés vitales d
rganismes élémentaires, considérés d’abord isolément, puis dans leurs
rapports
réciproques. Quand le physicien, le chimiste ou l
nce des conditions d’existence des phénomènes, et la détermination du
rapport
défini qui existe entre le corps qui manifeste se
exactement défini dans sa nature et rigoureusement déterminé dans le
rapport
de ses conditions matérielles, c’est-à-dire quand
l’anéantissons par cela même, et si nous multiplions au contraire ses
rapports
avec le milieu extérieur, nous multiplions ses pr
ec les autres, au moyen de propriétés vitales qui sont elles-mêmes en
rapports
nécessaires avec les conditions physico-chimiques
il s’agit des organismes élevés et complexes, ce n’est point dans les
rapports
de l’organisme total avec le milieu cosmique géné
cause prochaine ou des conditions d’existence des phénomènes. Sous ce
rapport
, les limites de notre connaissance sont, dans les
e cette relation établie numériquement, de manière à faire prévoir le
rapport
de la cause à l’effet dans tous les cas donnés. C
r le rapport de la cause à l’effet dans tous les cas donnés. C’est ce
rapport
établi par l’observation, qui permet à l’astronom
l’astronome de prédire les phénomènes célestes ; c’est encore ce même
rapport
, établi par l’observation et par l’expérience, qu
e les modifier à son gré et à coup sûr, pourvu qu’il ne sorte pas des
rapports
que l’expérience lui a indiqués, c’est à-dire de
leurs manifestations. Les phénomènes ne sont que l’expression même du
rapport
de ces conditions ; d’où il résulte que, les cond
conditions ; d’où il résulte que, les conditions étant semblables, le
rapport
sera constant et le phénomène identique, et que l
et le phénomène identique, et que les conditions venant à changer, le
rapport
sera autre et le phénomène différent. En un mot,
corps et les êtres qui sont à la surface de notre terre expriment le
rapport
harmonieux des conditions cosmiques de notre plan
éé ni en force ni en matière : qu’il y aurait seulement production de
rapports
différents et par suite création d’êtres et de ph
tre appliquée à l’étude des phénomènes physiologiques et que, sous ce
rapport
, les sciences physiologiques et les sciences phys
alors comme le résultat d’une force vitale distincte n’ayant que des
rapports
éloignés avec les conditions physico-chimiques du
ssection préalable sur le mort. IV. De l’anatomie normale dans ses
rapports
avec la vivisection L’anatomie est la base néc
res ou nerveux ont des formes anatomiques déterminées, il a établi un
rapport
entre la forme de l’élément anatomique et ses fon
alors l’anatomiste mettra les propriétés physiologiques constatées en
rapport
avec les formes anatomiques déterminées des éléme
ans un organe, suivant de Blainville, on devait pouvoir comprendre un
rapport
mécanique nécessaire entre la structure et la fon
ue l’on explique. Mais, pour l’encéphale, ajoutait-il, il n’y a aucun
rapport
matériel à établir entre la structure du cerveau
ue les dispositions des instruments de la vie sont entre eux dans des
rapports
nécessaires et harmoniques avec l’ensemble de l’o
V. De l’anatomie pathologique et des sections cadavériques dans leurs
rapports
avec la vivisection Ce que nous avons dit dans
rations des tissus. Mais on a voulu de plus mettre les altérations en
rapport
avec les phénomènes morbides et déduire, en quelq
aient dans les éléments organiques. Alors, ne pouvant plus établir de
rapport
anatomique, on disait que la maladie était essent
ie pathologique pour désigner cette sorte de fonction pathologique en
rapport
avec l’anatomie anormale. Je n’examinerai pas ici
. Mais il faudrait, pour saisir les lésions physiologiques dans leurs
rapports
avec le mécanisme de la mort, faire des autopsies
végétaux et les animaux, comme on sait, ne se ressemblent pas sous le
rapport
des altérations qu’ils produisent dans l’air ambi
qu’on veut étudier deviennent plus mobiles et plus délicats ; sous ce
rapport
, jamais aucun animal n’est absolument comparable
e un poids de 64 kilogrammes ; par conséquent le calcul établi sur ce
rapport
nous donne pour les glandes sous-maxillaires de l
live obtenue par le poids des glandes salivaires, on aurait obtenu un
rapport
plus approché, mais je n’admets pas qu’on puisse
s donner des descriptions moyennes d’expériences, parce que les vrais
rapports
des phénomènes disparaissent dans cette moyenne ;
par une personne de l’administration étrangère à la médecine. Sous ce
rapport
, il ne pourrait y avoir de statistique pathologiq
teront toujours des différences, d’où il résulte que la moyenne ou le
rapport
que l’on déduira de la comparaison des faits sera
ité dans cette opération est de deux sur cinq. Eh bien, je dis que ce
rapport
ne signifie absolument rien scientifiquement et n
e cette idée comme le pivot de la médecine expérimentale, et, sous ce
rapport
, le médecin expérimentateur se place à un tout au
êt à rechercher ce que les anciens nous ont laissé, parce que sous ce
rapport
ils peuvent encore nous servir de modèle. Mais la
idérer comme un démembrement des sciences qui l’ont précédée. Sous ce
rapport
la physiologie, qui est la science des êtres viva
qui doit donner l’explication des phénomènes morbides en montrant les
rapports
qu’ils ont avec l’état normaL Il n’y aura jamais
pprendre comme des fragments de connaissances détachées n’ayant aucun
rapport
entre elles. En un mot, je considère l’hôpital se
autres sciences. Le laboratoire du médecin physiologiste doit être en
rapport
avec l’hôpital, de manière à en recevoir les dive
eux qui sont relatifs à l’idée préconçue et ceux même qui n’ont aucun
rapport
avec elle. Si l’on ne voyait que les faits relati
vint que cette coloration rouge du sang veineux pourrait bien être en
rapport
avec l’état sécrétoire ou fonctionnel du rein. Da
étion de l’urine. J’obtins ainsi la preuve expérimentale qu’il y a un
rapport
entre la sécrétion de l’urine et la coloration du
ouleur rutilante du sang, dis-je, est spéciale au sang artériel et en
rapport
avec la présence de l’oxygène en forte proportion
s le foie, je n’ai jamais pu trouver deux animaux comparables sous ce
rapport
, même en les mettant dans des conditions alimenta
ais sans avoir pour but d’agir directement sur leur marche70. Sous ce
rapport
il est très rare de trouver un médecin purement h
ramener à des explications et à des lois vitales qui comprendront le
rapport
de l’état pathologique avec l’état normal ou phys
et le charlatan, aussi bien que l’homme instruit. Cela n’a donc aucun
rapport
avec l’inspiration de l’artiste qui doit se réali
s doivent se trouver dans des conditions organiques déterminées et en
rapport
avec des propriétés de liquides ou de tissus. Il
voir expérimenté empiriquement ou pour voir. Or, l’empirisme, sous ce
rapport
, n’est pas autre chose que le premier degré de la
rium expérimental. Elle a une marche lente et laborieuse, et, sous ce
rapport
, elle plaira toujours moins à l’esprit. Les systè
s, etc. 65. Sydenham, Médecine pratique. Préface, p. 12. 66. Voy.
Rapport
des prix de médecine et de chirurgie pour 1864 (C
unden und kranken Zustand der Menschen. Leipzig, 1800. 69. Béclard,
Rapport
général sur les prix décernés en 1862 (Mémoires d
éories et les hypothèses. M. Ancillon se distingue entre tous sous ce
rapport
. Le système social s’appuie dès lors sur une base
es. Les termes qui expriment les notions primitives, les faits et les
rapports
primitifs, ont proprement occasionné et amené les
ald et M. Ancillon professent tous les deux la même doctrine, sous le
rapport
qu’ils voient l’un et l’autre la métaphysique tou
autre la métaphysique tout entière déposée dans les langues ; sous le
rapport
qu’ils pensent l’un et l’autre que les termes qui
que les termes qui expriment les notions primitives, les faits et les
rapports
primitifs, ont proprement occasionné et amené les
proprement occasionné et amené les recherches métaphysiques ; sous le
rapport
enfin que les philosophes qui sont partis de ces
ne. Tout germe à l’origine est une substance uniforme, sous le double
rapport
de la texture et de la composition chimique ; par
iniment étendu et presque homogène en densité, température et sous le
rapport
des autres attributs physiques. Le premier progrè
ne n’est point justifiable. Si elles ne diffèrent pas en nature, quel
rapport
y a-t-il donc entre elles ? 1° Ce que la science
la prédiction d’une éclipse de lune par l’astronome diffère, sous ce
rapport
, de cette prévision d’une servante quelconque, qu
nsemble des choses semblables ; raisonner, c’est grouper ensemble des
rapports
semblables. Il est de l’essence du raisonnement d
s tard ridée d’égalité en deux idées : égalité de choses ; égalité de
rapports
(deux triangles égaux et deux triangles semblable
t le germe abstrait : et toutes deux sortent de cette ressemblance de
rapports
que nous avons rencontrée déjà. En même temps et
bre. Nombre, égalité, ressemblance, ce sont là des notions qui ont un
rapport
intime. La simple énumération est un enregistreme
remarque aussi que plusieurs nations, qui ne semblent avoir eu aucun
rapport
entre elles, ont adopté pour base de leur numérat
diverses sciences. Par des faits nombreux, il en a fait ressortir les
rapports
étroits et la dépendance réciproque. De nos jours
contraction telle que sa nouvelle dimension soit à l’ancienne dans le
rapport
de équation à l’unité. Cette contraction, natur
le second, de sorte que les temps de parcours sont entre eux dans le
rapport
de c + v à c − v. En marquant le zéro au milieu d
ar la lumière de O en A est à la distance parcourue de A en O dans le
rapport
de c + v à c − v, au lieu de lui être égale. Il c
on compare les indications des deux horloges, sont en réalité dans le
rapport
de c + v à c − v. Il y a donc eu, se dira-t-il, e
sens de son mouvement. La nouvelle longueur est à l’ancienne dans le
rapport
de équation à l’unité. 2° Le Temps du système s
du système s’est dilaté. La nouvelle seconde est à l’ancienne dans le
rapport
de l’unité à équation . 3° Ce qui était simultan
me la mesure de ces longueurs, à l’intérieur de mon système, est leur
rapport
au mètre ainsi déplacé, cette mesure doit rester
ains encore, pour ne pas avoir à envisager d’une manière nouvelle les
rapports
de ces événements entre eux d’abord, et ensuite a
sur un plan absolument différent du tien. Ainsi toutes choses et tous
rapports
entre choses conserveront leur grandeur, resteron
urer un intervalle de temps ou de situer exactement deux instants par
rapport
l’un à l’autre. Dans les expériences relatives à
t les opérations de ce corps vivant, et considéré quelque temps leurs
rapports
et leurs suites, je dégage un fait général, c’est
j’appelle une cause ? Un fait d’où l’on puisse déduire la nature, les
rapports
et les changements des autres. Si la nutrition es
la nutrition est une cause, on pourra déduire d’elle la nature et les
rapports
d’un groupe d’opérations et d’organes ; on pourra
justifiée devient une vérité. Première vérification : considérez les
rapports
et la nature des opérations et des organes. Les a
arties et tous les mouvements d’un grand système concourent par leurs
rapports
et par leur nature à produire la nutrition finale
roduire la nutrition finale. Donc de la nutrition on peut déduire les
rapports
et la nature d’un groupe de faits. Deuxième vérif
ême conclusion. « Première vérification : considérez la nature et les
rapports
des opérations et des organes. Si la décompositio
n. Il y a donc une multitude d’organes et d’opérations qui, par leurs
rapports
et leur nature, concourent à la décomposition fin
ion finale. Donc de la décomposition on peut déduire la nature et les
rapports
d’une série de faits. Deuxième vérification : si
ateur qui ne fut pas précisément de leur opinion sous tous les autres
rapports
. Un triomphe acquis par une condescendance, est u
tent dans l’âme, pour y substituer des liens formés seulement par les
rapports
d’opinion : l’on sait moins de gré à un homme de
usiastes ; ce qu’elles ont été, ce qu’elles peuvent devenir n’a aucun
rapport
avec les sensations que leurs partisans éprouvent
r à examiner, à s’occuper d’une idée nouvelle, à combiner de nouveaux
rapports
. Cette manière de ne considérer qu’un seul côté d
, le crime et la vertu. Un siècle, une nation, un homme, sous le seul
rapport
des lumières, sont très longtemps à se relever du
elever du fléau de l’esprit de parti. Les réputations n’ayant plus de
rapport
avec le mérite réel, l’émulation se ralentit en p
’esprit de parti efface les traits de sympathie pour y substituer des
rapports
d’opinion, et présente enfin les malheurs actuels
jouissance ; car il n’en est point dont les illusions aient moins de
rapport
avec la réalité ; il y a quelque chose de vrai da
la nature de l’homme de ne sympathiser qu’avec les choses qui ont des
rapports
avec lui, et qui le saisissent par un certain côt
ser de faire lutter le christianisme avec la mythologie, sous le seul
rapport
du merveilleux. Nous ne sommes entré dans cette é
muses, puisque nous avons achevé de l’envisager poétiquement dans ses
rapports
avec les hommes, et dans ses rapports avec les êt
envisager poétiquement dans ses rapports avec les hommes, et dans ses
rapports
avec les êtres surnaturels. Nous couronnerons ce
re des recherches qui occupent primitivement l’esprit humain. Sous ce
rapport
, elles offrent à l’homme l’attrait si énergique d
s de phénomènes qui ont été si longtemps regardés comme n’ayant aucun
rapport
entre eux. Aucun esprit juste ne cherche aujourd’
onséquent, arriver simultanément à l’état positif. Il existe, sous ce
rapport
, un ordre invariable et nécessaire, que nos diver
ont encore, au contraire, exclusivement usitées, sous l’un et l’autre
rapport
, pour tout ce qui concerne les phénomènes sociaux
n en fondant la physique sociale. Tel est aujourd’hui, sous plusieurs
rapports
capitaux, le plus grand et le plus pressant besoi
, et quant à l’esprit qui la caractérise, c’est-à-dire sous le double
rapport
, de ses méthodes essentielles et de ses résultats
ucune mesure quelconque, nous ne parviendrons jamais à égaler sous ce
rapport
les anciens, chez lesquels une telle supériorité
iences a pris séparément assez d’extension pour que l’examen de leurs
rapports
mutuels puisse donner lieu à des travaux suivis,
ut être vivant, peut être étudié, dans tous ses phénomènes, sous deux
rapports
fondamentaux, sous le rapport statique et sous le
é, dans tous ses phénomènes, sous deux rapports fondamentaux, sous le
rapport
statique et sous le rapport dynamique, c’est-à-di
sous deux rapports fondamentaux, sous le rapport statique et sous le
rapport
dynamique, c’est-à-dire comme apte à agir et comm
véritables sur les phénomènes intellectuels. On voit que, sous aucun
rapport
, il n’y a place pour cette psychologie illusoire,
aux phénomènes moraux, que l’homme puisse s’observer lui-même sous le
rapport
des passions qui l’animent, par cette raison anat
iété ; c’est entre elles seules que subsiste encore la lutte, sous ce
rapport
. La philosophie positive n’est intervenue jusqu’i
n assez grand nombre d’entre elles. Les modernes connaissant d’autres
rapports
et d’autres liens, ont pu seuls exprimer ce senti
tait impossible qu’aucun écrivain de l’antiquité pût avoir le moindre
rapport
avec Montesquieu ; et rien ne doit lui être compa
publics ; ce n’est que dans les pays libres qu’il existe de généreux
rapports
et de constants devoirs entre les citoyens et la
ont fait une vertu de tout ce qui peut servir au bonheur mutuel, aux
rapports
consolateurs des individus entre eux. Les liens d
saisir les événements passés et les ouvrages durables sous l’éternel
rapport
des combinaisons abstraites ; si dans ces régions
éfendre ou de se servir les uns des autres pour établir entre eux des
rapports
d’agréments et de plaisir. La galanterie des Maur
des formes de la liberté. Il fallait qu’ils conservassent, dans leurs
rapports
avec leur maître, une sorte d’esprit de chevaleri
onté. Les liens délicats, les préjugés maniés avec art, formaient les
rapports
des premiers sujets avec leur maître : ces rappor
rt, formaient les rapports des premiers sujets avec leur maître : ces
rapports
exigeaient une grande finesse dans l’esprit ; il
stocratique ; plus il y a de rangs dans la société, plus il existe de
rapports
convenus entre ces rangs, et plus l’on est obligé
stion. D’une part, toute valeur suppose l’appréciation d’un sujet, en
rapport
défini avec une sensibilité déterminée. Ce qui a
en raison de ses propriétés intrinsèques. Mais quel est le sujet par
rapport
auquel la valeur des choses est et doit être esti
ux faits. Il y a nombre de cas où il n’existe, pour ainsi dire, aucun
rapport
entre les propriétés de l’objet et de la valeur q
’homme a une éminente dignité morale, l’animal n’en a aucune. Sous le
rapport
des valeurs, il y a donc entre eux un abîme. Les
ées autrement que d’une manière grossièrement approximative ? Sous ce
rapport
encore, il ne peut y avoir entre les unes et les
u lieu de rester séparées les unes des autres, entrent étroitement en
rapports
, agissent activement les unes sur les autres, il
erait en relation avec un monde transcendant. La valeur vient bien du
rapport
des choses avec les différents aspects de l’idéal
Deux êtres peuvent être très différents et très inégaux sous bien des
rapports
: s’ils incarnent un même idéal, ils apparaissent
idéaux qu’elle construit. IV Comment faut-il donc concevoir le
rapport
des jugements de valeur aux jugements de réalité
hrétienne, qu’il me soit permis de m’arrêter ici pour faire sentir un
rapport
qui m’a frappée entre cette époque et la révoluti
position des enfants, le pouvoir des époux assimilé, sous beaucoup de
rapports
, à celui des pères, toutes les lois civiles enfin
r la dégradation ; mais c’est le christianisme qui, du moins dans les
rapports
moraux et religieux, leur a accordé l’égalité. Le
es relations entretenues avec ces êtres mobiles et délicats. Tous les
rapports
se sont doublés, pour ainsi dire, depuis que les
e l’esprit. Si l’on ne juge le résultat d’un tel travail que dans ses
rapports
avec les arts d’imagination, rien ne peut en donn
’art du raisonnement, la force de méditation qui permet de saisir les
rapports
les plus métaphysiques, et de leur créer un lien,
rmes des partis, la haine, la fureur, la jalousie parcourent tous les
rapports
, saisissent tous les côtés des objets en discussi
considère cette époque de la renaissance des lettres que sous le seul
rapport
des ouvrages de goût et d’imagination, l’on trouv
où l’œuvre représentée s’approche de la perfection. Chapitre IV
Rapports
de la mise en scène avec la valeur d’une œuvre dr
intellectuelles doivent, premièrement, être très faibles ou avoir un
rapport
commun, et, deuxièmement, conserver entre elles l
On pourrait ainsi rassembler un grand nombre d’exemples ayant tous un
rapport
plus ou moins prochain avec les devoirs et les pr
, faibles ou vives, souvent lointaines, et qu’il calcule encore leurs
rapports
avec toute la succession des faits écoulés et des
La perspective d’un décor doit être considérée comme rationnelle, par
rapport
du moins à une rangée de spectateurs. Quand l’act
perspective du décor, il semble au contraire grandir et n’est plus en
rapport
avec les objets dont les dimensions sont calculée
tif. Les objets de mise en scène de la première catégorie n’ont qu’un
rapport
général avec faction, tandis que ceux de la secon
général avec faction, tandis que ceux de la seconde ont avec elle un
rapport
particulier, plus ou moins étroit. C’est cette di
voit détaché de la décoration éveille son attention, et il devine un
rapport
particulier entre tel ou tel objet et l’action du
n du drame. Puisque nous avons dit que le matériel figuratif avait un
rapport
particulier avec l’action, il suit de là qu’aucun
du spectateur, ne peut être mis sous nos yeux à moins qu’il n’ait un
rapport
certain avec la marche du drame. Chacun d’eux jou
le-même sa propre fin. L’esprit n’est sollicité en rien à chercher un
rapport
entre cette scène et une scène subséquente qui ne
e l’individualité dans le goût actuel. — Dérogations aux principes. —
Rapports
de la mise en scène avec le milieu théâtral. — Ca
. En outre, dans la vie moderne, l’individualité des goûts suppose un
rapport
plus étroit entre le sujet et les objets qui l’en
dont est susceptible la mise en scène, selon qu’on l’étudie dans ses
rapports
soit avec le milieu théâtral, soit avec le milieu
l qu’elle doit conserver, et nous ne serons pas tentés de scruter les
rapports
spéciaux que le matériel figuratif, un peu trop a
xemple, chacun des détails du matériel figuratif nous attirera par le
rapport
probable que nous le soupçonnerons d’avoir avec l
es atténuantes, soit des circonstances aggravantes. Chapitre XV
Rapport
de la mise eu scène avec le milieu dramatique. —
s croyons plus profitable de considérer le milieu dramatique dans ses
rapports
avec l’imagination, le sentiment et la fantaisie.
nt, celle qui est surtout séduite par les contours et les formes, les
rapports
des formes entre elles, leur agencement, les qual
laisse charmer par la couleur, les effets d’ombre et de lumière, les
rapports
de nature entre les objets, leurs qualités substa
que nous avons exposé dans les premières pages de cet ouvrage, sur le
rapport
inverse qu’il y a entre la richesse de la mise en
Ma Camarade. — Les féeries. Nous examinerons, dans ce chapitre, les
rapports
de la mise en scène avec ce que nous avons appelé
nnent pas à une même série et n’ont par conséquent pas entre elles de
rapport
nécessaire et prochain. Le contraste apparent des
ue ces images associées doivent présenter immédiatement à l’esprit un
rapport
inattendu, qui, bien que lointain et inaccoutumé,
tre identiques à celles de la gaieté et du rire, et consister dans le
rapport
soudain que l’auteur nous fait apercevoir entre d
rrection que de l’excentricité banale. Il y faut conserver un certain
rapport
avec la vérité. Aussi ce sont les artistes les mi
logique dans les limites du compréhensible, et présenter toujours un
rapport
, amusant pour l’esprit, entre la fiction et la ré
agérations burlesques de ces mêmes qualités. La fantaisie conserve un
rapport
certain entre les images associées, et quand nous
cherchant dans des séries d’images de plus en plus éloignées quelque
rapport
apparent entre le possible et l’impossible. La fé
ioler trop ouvertement les lois de la fantaisie. Chapitre XVIII
Rapports
de la mise en scène avec le milieu social. — La m
e la mise en scène. — Vieillissement rapide du théâtre moderne. Les
rapports
de la mise en scène avec le milieu social sont tr
tout ce que le temps et la distance amènent de modifications dans ces
rapports
. Nous poserons ce principe, qui n’a pas, il sembl
t entraîner à de larges accroissements de mise en scène, tant sous le
rapport
du personnel que sous celui du matériel figuratif
, qui ont chacun une certaine importance, les uns parce qu’ils ont un
rapport
avec le texte, les autres parce qu’ils servent à
téristique, souvent dans un but avoué d’imitation. Chapitre XXI
Rapports
de la mise en scène avec l’espace et le temps, —
la connaissance que nous avons de ce milieu ou de cette époque et des
rapports
que les idées, les mœurs, les costumes peuvent av
itulaire ; car la première loi du costume de théâtre, c’est d’être en
rapport
avec l’âge, la stature et l’air de la personne qu
iques ; et ce que je chercherai surtout à mettre en lumière, c’est le
rapport
direct qu’a la mise en scène avec l’interprétatio
s en eux-mêmes qui nous offrent un sujet d’étude intéressant, mais le
rapport
du costume à l’action et à la situation des perso
recs donnent aux héros, aux Ajax et aux Diomède. Chapitre XXVII
Rapport
du costume avec la personnalité. — Le costume doi
r la nécessité pour un acteur de se composer un extérieur physique en
rapport
avec le sentiment moral du personnage qu’il repré
ffets qui en sont la conséquence que la mise en scène doit établir un
rapport
de valeur entre l’importance d’un jeu de scène et
nages ne sont pas arbitraires. Il faut naturellement tenir compte des
rapports
qui enchaînent les personnages à des objets fixes
uche de la scène et non loin de la zone invisible, n’est nullement en
rapport
avec l’importance psychologique et dramatique du
présentation mît en lumière et imposât à l’esprit des spectateurs les
rapports
que doivent avoir entre eux les tableaux renfermé
suite considérable d’événements. La durée des entractes est donc sans
rapports
avec le temps supposé écoulé par le poète et avec
itre XXXII De l’acteur. — De la formation subjective des images. —
Rapport
de la création de l’acteur avec l’idéal du public
uition et de l’introspection. — Développement des images initiales. —
Rapport
ou contraste entre les images initiales de différ
t examiner, au moins succinctement, la mise en scène d’un rôle et son
rapport
avec le développement de l’action, mais en nous p
secondaires, dérivées de l’idée première, ou autrement des images en
rapport
de ressemblance avec l’image initiale. Tout cela,
d’Aubigny, voilà encore des images initiales qui sont dans un certain
rapport
, d’une part, avec le marquis de Presle et Olivier
Dans chaque classe, les rôles ont entre eux quelque analogie, quelque
rapport
plus ou moins proche, quelque affinité secrète, t
sienne propre, et que par conséquent son aspect, son image a quelque
rapport
avec l’image générale de laquelle se déduisent le
et caractéristiques, car il n’a que fort rarement à tenir compte des
rapports
du physique ou du moral avec une fonction sociale
ience du geste d’autant plus grande qu’il est plus rare et qu’il a un
rapport
plus étroit avec le texte poétique, une attitude
nous la musique : la qualité des sons, leur hauteur, leur timbre, les
rapports
mélodiques des sons successifs, les rapports harm
auteur, leur timbre, les rapports mélodiques des sons successifs, les
rapports
harmoniques des sons simultanés, le mouvement, le
intégrante du drame ; et si, par impossible, on pouvait concevoir un
rapport
entre un courant électrique et les ondulations ne
ar des exemples. Chapitre XXXVII De l’exécution musicale. — Des
rapports
de la musique avec l’action dramatique. — Le Mond
, ceux qui résultent uniquement du caractère de la musique, et de son
rapport
avec le sentiment d’un personnage. Au premier act
mbitieusement ses expériences. La nature ne doit y entrer que par ses
rapports
avec la vie, et par le rôle passif qu’elle joue d
e formelle et non finale d’une évolution dramatique. — L’Ami Fritz. —
Rapports
de la mise en scène avec la conception poétique.
entre Sichel et Sûzel ; elle n’en est que la cause formelle. Sous ce
rapport
, cet emploi remarquablement habile de l’illusion
. Tout le surplus de nos impressions, souvent très complexes, naît du
rapport
que ces sensations simples ont avec l’état moral
attacher aux effets humains et sociaux de la vie. Quelle est, sous ce
rapport
et en quelques mots, l’esthétique de l’école ? Si
« qui pousse directement l’homme à améliorer sans cesse sous tous les
rapports
sa condition quelconque58 », et M. Spencer, au be
ait de le parcourir sans guide, ne risquât pas de s’égarer67. Mais le
rapport
entre les lois fondamentales de la nature humaine
hénomène, par soi-même, infécond, qui consiste simplement à mettre en
rapports
extérieurs des faits acquis et des propriétés con
juridiques et morales qui déterminent la structure de la famille, les
rapports
des personnes entre elles, des choses avec les pe
: La fonction d’un, fait social doit toujours être recherchée dans le
rapport
qu’il soutient avec quelque fin sociale. C’est pa
rive pas de la vie individuelle, l’une et l’autre sont étroitement en
rapports
; si la seconde ne peut expliquer la première, el
ou se font concurrence, mais vivent d’une vie commune. Car, comme les
rapports
purement économiques laissent les hommes en dehor
on la rejette, la sociologie est dans l’impossibilité d’établir aucun
rapport
de causalité. En effet, cet ordre de causes écart
loi qui exprime ce développement ne saurait avoir rien de causal. Un
rapport
de causalité, en effet, ne peut s’établir qu’entr
lien causal. L’état antécédent ne produit pas le conséquent, mais le
rapport
entre eux est exclusivement chronologique. Aussi,
récédents. Aussi, sa fameuse loi des trois états n’a-t-elle rien d’un
rapport
de causalité ; fût-elle exacte, elle n’est et ne
rmi les changements dont il est la cause, ceux-là servent qui sont en
rapport
avec l’état ou il se trouve, puisqu’il est la con
qu’un but et qu’un seul, il ne peut y avoir qu’un point de repère par
rapport
auquel on calcule l’utilité ou la nocivité des ph
revient à dire qu’il faut constater entre les choses trois sortes de
rapports
: rapports de coexistence et rapports de successi
dire qu’il faut constater entre les choses trois sortes de rapports :
rapports
de coexistence et rapports de succession, qui peu
ntre les choses trois sortes de rapports : rapports de coexistence et
rapports
de succession, qui peuvent être des rapports de c
pports de coexistence et rapports de succession, qui peuvent être des
rapports
de cause à effet ou d’effet à cause. Instituer en
s phases successives d’un genre littéraire. Un jour, on cherchera des
rapports
d’idées ou de sentiments ; le lendemain, des anal
pour les italiens. Je ne parlerai pas plus au long de cet interêt de
rapport
et particulier à certains hommes comme à certains
nt que nous le sommes déja pour le meilleur de nos rois. L’interêt de
rapport
, ou l’interêt qui nous est particulier, excite au
une et plus prompte et plus grande. D’ailleurs il est des interêts de
rapport
qui subsistent long-tems et qui peuvent concilier
celle de l’éneïde, qui est celle de toucher sans cet interêt qui a un
rapport
particulier au lecteur, à moins d’une grande prés
ation des idées. Base mécanique et psychologique de la mémoire. — II.
Rapport
de la mémoire avec la sensibilité et l’activité.
omplication, il avait conservé la représentation des sons et de leurs
rapports
, il la reproduisait, enfin il la reconnaissait po
ux, avec irradiations différentes. L’image étant ainsi, sous certains
rapports
, une répétition des sensations, émotions, pensées
ce, selon La Rochefoucauld, est faite d’inconstance ? Sous ce nouveau
rapport
, à combien d’objets divers n’a-t-on pas comparé l
autre note, l’autre corde donnera toujours l’ut ; l’une sera, sous le
rapport
mécanique, la mémoire du la, l’autre de l’ut. Il
oins l’intensité des constituants originels que leur qualité et leurs
rapports
complexes. James Ward remarque avec raison que no
enirs ; or ce caractère distinct et complet tient à la qualité et aux
rapports
plus ou moins nombreux que nous saisissons, bien
’esprit, en relation avec telle ou telle action extérieure : c’est un
rapport
déterminé et constant du moi au non-moi. Il peut
emble précisément le compte rendu qu’on se fait de tel état mental en
rapport
avec tel objet : pour être une idée réelle et non
iverses pour reproduire sans effort l’image précise de l’objet. II
Rapport
de la mémoire avec la sensibilité et l’activité.
ns divers problèmes difficiles. Le premier de ces problèmes, c’est le
rapport
de la mémoire avec la sensibilité et avec l’activ
eparaissent ; et encore faut-il qu’ils se renouvellent avec les mêmes
rapports
. Les états de conscience primitifs sont donc ou d
tiplicité des unités d’un nombre ? La vraie durée a-t-elle le moindre
rapport
avec l’espace ? Certes, notre analyse de l’idée d
er que par une étude directe des idées d’espace et de temps, dans les
rapports
qu’elles soutiennent entre elles. On aurait tort
pothèse de l’inextensif ; et à supposer que l’extension ne soit qu’un
rapport
entre des termes inextensifs, encore faut-il que
oit qu’un rapport entre des termes inextensifs, encore faut-il que ce
rapport
soit établi par un esprit capable d’associer ains
science réfléchie. L’école anglaise s’efforce en effet de ramener les
rapports
d’étendue à des rapports plus ou moins complexes
e anglaise s’efforce en effet de ramener les rapports d’étendue à des
rapports
plus ou moins complexes de succession dans la dur
procurer à nouveau, dans un ordre inverse, les mêmes sensations : les
rapports
de situation dans l’espace se définiraient alors,
n dans l’espace se définiraient alors, si l’on peut parler ainsi, des
rapports
réversibles de succession dans la durée. Mais une
que nous comptons les moments successifs de la durée, et que, par ses
rapports
avec le nombre, le temps nous apparaît d’abord co
e hétérogène du moi, sans moments extérieurs les uns aux autres, sans
rapport
avec le nombre. Ainsi, dans notre moi, il y a suc
chés d’un vice originel, et la représentation d’une multiplicité sans
rapport
avec le nombre ou l’espace, quoique claire pour u
Extérieures les unes aux autres, elles entretiennent entre elles des
rapports
où la nature intime de chacune d’elles n’entre po
apports où la nature intime de chacune d’elles n’entre pour rien, des
rapports
qui peuvent se classer : on dira donc qu’elles s’
Considérés en eux-mêmes, les états de conscience profonds n’ont aucun
rapport
avec la quantité ; ils sont qualité pure ; ils se
e notre second chapitre, on pourrait soutenir, avec M. Pillon, que le
rapport
de coexistence suffit à la construction du nombre
ens ont été confondus, croyons-nous, par tous ceux qui ont traité des
rapports
du nombre avec l’espace. 27. Évellin, Infini et
Chapitre septième Les sentiments attachés aux idées. Leurs
rapports
avec l’appétition et la motion I. — Le mou
ues, moraux, religieux ; il faut procéder plutôt en sens inverse. Les
rapports
du rythme ou de la symétrie, par exemple, ne nous
causé par une pensée, par un raisonnement, par la compréhension d’un
rapport
de cause à effet, de moyen à fin, de tout à parti
ce qu’elles sont liées à la nature même de notre sensibilité et à ses
rapports
avec nos autres puissances. Dans les sentiments e
diter, les observations de toutes sortes qui pourraient avoir quelque
rapport
à sa solution. Seulement, après cinq années de tr
éfléchit à ce problème de l’origine des espèces, en tenant compte des
rapports
mutuels des êtres organisés, de leurs relations e
vident qu’on ne saurait attribuer la structure de ce parasite, et ses
rapports
si compliqués avec plusieurs êtres organisés dist
pèce alliée est rare ou n’habite qu’un étroit espace ? Cependant, ces
rapports
sont de la plus haute importance, car ils détermi
LII Ce 25 avril 1844.
rapport
du duc de broglie sur la loi de l’enseignement se
térêt est en ce moment à la loi sur l’instruction secondaire. Le beau
Rapport
de M. de Broglie a été lu avidement malgré sa lon
ultra-cléricaux. Au fond les gens sages du clergé en passeront par ce
Rapport
et seront trop heureux si les conclusions en sont
Chapitre II. Utilité de l’ordre. —
Rapport
de l’ordre et de l’originalité On affecte souve
e, sans savoir d’avance pourquoi, sans en avoir médité l’utilité, les
rapports
avec tout l’édifice, ce qu’elle ajoutait à lu sol
e l’œuvre. En effet, comme l’invention consiste alors à découvrir des
rapports
inaperçus, à créer des liaisons nouvelles d’idées
nt, d’une subordination, d’une proportion, qui mettent en lumière des
rapports
nouveaux entre des pensées anciennes, et leur att
rmes, dans la combinaison nouvelle des éléments, dans l’expression de
rapports
inexprimés jusque-là ; il innove, suivant son tem
remarqué, qu’une espèce peut s’éloigner de ses alliées sous plusieurs
rapports
, à la fois de grande importance physiologique et
ure de l’embryon doit être d’une plus grande importance, sous ce même
rapport
, que celle de l’adulte, qui seul joue son rôle co
nde valeur, au point de vue d’une classification impliquant l’idée de
rapports
généalogiques. Souvent nos classifications suiven
s ; mais de telles ressemblances, au lieu de révéler leurs véritables
rapports
de consanguinité, tendraient plutôt à les dissimu
nt fait d’autres Rongeurs ; et, par conséquent, elle ne doit avoir de
rapports
particuliers avec aucun des Marsupiaux vivants, m
sement en groupes subordonnés à d’autres groupes. C’est en raison des
rapports
généalogiques que nous classons les individus des
vers organes sont considérés comme homologues. La connaissance de ces
rapports
mutuels entre des formes en apparence différentes
il n’y aura aucune tendance à altérer la charpente même des os et les
rapports
mutuels de position de leurs diverses parties. Si
en arc des crosses artérielles le long des fentes branchiales ait un
rapport
quelconque avec les conditions de vie toujours id
l’aile d’une Chauve-souris, et de la nageoire d’un Marsouin soient en
rapport
avec des conditions de vie identiques. Aucun natu
erles, soient de quelque usage à ces animaux, ou qu’ils aient quelque
rapport
avec leurs conditions de vie particulières. Le ca
se, que nous pouvons aisément nous laisser entraîner à considérer ces
rapports
comme une conséquence nécessaire des lois de la c
universellement ? Pourquoi la structure de l’embyron n’a-t-elle aucun
rapport
à ses conditions d’existence, sauf dans le cas où
core de la même espèce, qui se ressemblent parfaitement sous tous les
rapports
, et cependant les uns ont des ailes très développ
rès sujets à varier dans leur degré de développement ou sous d’autres
rapports
. De plus, chez des espèces proche-alliées qui pos
iaire, qui a pour objet de rapprocher des objets divers suivant leurs
rapports
mutuels. Or ces deux principes de classement sont
cession dans le temps, ou l’ordre de succession dans l’espace, ou les
rapports
de cause à effet, et d’antécédent à conséquent, q
et, et d’antécédent à conséquent, qui interviennent. Le nombre de ces
rapports
augmente avec la complexité des êtres à classer,
s êtres à classer, et il en résulte que l’échelle la plus complexe de
rapports
appartient aux êtres vivants qui de tous les obje
progrès de la littérature allemande, s’opposent encore, sous quelques
rapports
, à sa perfection ; et c’est d’ailleurs un désavan
t des affaires publiques. Ils considèrent toutes les idées dans leurs
rapports
naturels ; les institutions qui existent chez eux
oir à celles de la pensée ; et leur âme ne se refroidit point par des
rapports
trop continuels avec les hommes. Les ouvrages des
n vous-même des sentiments étouffés ou contenus par la régularité des
rapports
et des liens de la société. Ces expressions vous
neusement évités. Les Allemands ressemblent aux Anglais sous quelques
rapports
; ce qui fait qu’ils s’égarent beaucoup moins en
and sont politiquement nécessaires ; mais je répéterai59 que, sous le
rapport
du mérite littéraire, l’on se tromperait en croya
ai voulu caractériser l’esprit général de chaque littérature dans ses
rapports
avec la religion, les mœurs et le gouvernement. S
struction complexe, représentant un moi possible dans l’avenir et son
rapport
avec le moi présent. Ce moi conçu et imaginé devi
, soit parce qu’il devient un substitut symbolique d’agrément par son
rapport
à la satisfaction idéale du moi. L’école anglaise
n’eut pu ni se faire comprendre, ni comprendre autrui. Même dans nos
rapports
avec les animaux, nous subissons encore une logiq
Au sentiment concret des termes se joint le sentiment concret de leur
rapport
. L’être n’abstrait pas ce rapport, mais il n’est
joint le sentiment concret de leur rapport. L’être n’abstrait pas ce
rapport
, mais il n’est pas dans la même attitude mentale
squ’elle est d’abord une harmonie de sensations, puis une harmonie de
rapports
entre ces sensations, rapports qui eux-mêmes ont
ie de sensations, puis une harmonie de rapports entre ces sensations,
rapports
qui eux-mêmes ont toujours un côté sensitif et ap
omène sociologique », une extension à l’univers et à son principe des
rapports
sociaux qui relient les hommes, un effort, en un
le seul lien véritable est celui qui relie par le dedans, non par des
rapports
extrinsèques de temps et d’espace ; c’est la vie
pouvons entrer en société6. » Le génie et son milieu social, dont les
rapports
ont tant préoccupé les esthéticiens contemporains
ieux nouveaux ou un modificateur des milieux anciens. » L’analyse des
rapports
entre le génie et le milieu permet de déterminer
e. Pour bien comprendre un artiste, dit Guyau, il faut se mettre « en
rapport
» avec lui, selon le langage de l’hypnotisme ; et
ue nous la connaissons, en solidarité avec toutes les autres vies, en
rapport
direct ou indirect avec des maux sans nombre, exc
mités : « C’est une extension de la sociabilité esthétique. » Sous ce
rapport
, l’art suit nécessairement le développement de la
ans. » Le roman, dit Guyau, raconte et analyse des actions dans leurs
rapports
avec le caractère qui les a produites et avec le
zac, c’est précisément qu’ils ont voulu peindre les hommes dans leurs
rapports
sociaux ; c’est qu’ils ont fait surtout des roman
de physique, un simple état du moi, un fait psychique. C’est dans son
rapport
avec l’écriture, quand nous écrivons ou lisons en
l a eu seulement, une intuition synthétique des différentes sortes de
rapports
qui unissent la parole et la pensée, rapports don
s différentes sortes de rapports qui unissent la parole et la pensée,
rapports
dont la parole intérieure constitue elle-même un
ieure, qui est toujours localisée5, — mais aussi en vertu de certains
rapports
intrinsèques qui expliquent à ses yeux l’associat
acée par l’usage de la langue, « l’esprit grec exprima par ce mot les
rapports
intimes du langage avec la pensée et la conscienc
phores. Les Egyptiens, comme les Grecs, eurent une notion confuse des
rapports
de la parole avec la pensée ; leur langue écrite
stence duquel elle eût été un paradoxe insoutenable16. L’intimité des
rapports
du langage avec la pensée, son utilité pour pense
impliquent l’activité de l’entendement et supposent la conception de
rapports
purement intellectuels34 ; la parole intérieure,
ur idéer, c’est-à-dire pour penser les objets intellectuels, esprits,
rapports
, concepts généraux. Un son intérieur ou extérieur
a d’abord voulu connaître que les concepts définis et nommés et leurs
rapports
logiques ; il a découvert trop tard les petites p
ine à ses conclusions. 3° Simultanéité du mot et de l’idée. — Sur les
rapports
du mot et de l’idée dans le temps, le même parti
ent nous nous idéons nous-mêmes, nous idéons les autres êtres, et les
rapports
qu’ils ont entre eux et avec nous »50. On voit qu
» Ce n’est pas tout : entre les idées et les réalités, il y a le même
rapport
qu’entre les mots et les idées ; à toute idée cor
vent puériles quand elles portent sur la grammaire, l’étymologie, les
rapports
mystérieux des mots et des idées. Toujours préocc
valeur du procédé reposait, dans la doctrine de Bonald, sur certains
rapports
du langage et de la pensée, dont quelques-uns ava
tion aux idées, et, par suite, l’analyse de leurs éléments et de leur
rapports
[ch. VI, passim]. En réalité, Cardaillac a vaguem
oire n’est qu’un cas particulier de l’habitude, tout ce qu’il dit des
rapports
de la parole intérieur avec l’habitude est vague
l’étude de Mesnet, Annales médico-psychologiques, juillet 1865, et le
rapport
de Cerise, Académie de médecine, 1865. 4. Sophi
es mouvements auxquels elle se livre sans voix et sans écho, entre en
rapport
avec ce qui est sensible ; alors naissent des opi
s, et dont le raisonnement développe analytiquement dans la durée les
rapports
mutuels. Cette définition se rapporte exactement
s des autres ; 2° Sa loi, ou son extension dans la vie psychique, ses
rapports
de concomitance avec les autres faits psychiques
es sur le développement de l’instinct et de l’intelligence dans leurs
rapports
avec le phénomène du sommeil (Paris, Didier, 1861
On peut remarquer dans ce passage le mot positif, qui marque bien les
rapports
des deux critériums proposés. Cette méthode soume
e science, dans quelle mesure elle en était une, et quels étaient ses
rapports
avec les autres sciences. Pour en trouver la solu
e connu et le cherché. Donc, les mathématiques expliquent au moyen de
rapports
d’identité. Comment démontre-t-on que les trois a
si. Les sciences physiques expliquent autrement : ce ne sont plus des
rapports
d’identité, mais des rapport de causalité qu’elle
liquent autrement : ce ne sont plus des rapports d’identité, mais des
rapport
de causalité qu’elles établissent. Tant qu’on ne
ut donc généraliser et dire : l’objet de la science est d’établir des
rapports
rationnels — rapports d’identité ou de causalité
dire : l’objet de la science est d’établir des rapports rationnels —
rapports
d’identité ou de causalité — puisque nous avons é
ut d’expliquer, et qu’expliquer, c’était établir entre les choses des
rapports
d’identité ou de causalité. Connaissant tout cela
donc remplie. — Les faits qui constituent son objet sont soumis à des
rapports
rationnels : l’on ne saurait prétendre que les ét
ience. La philosophie étant reconnue pour une science, quels sont les
rapports
avec les autres sciences ? À l’origine de la spéc
science distincte au milieu des autres sciences. Quels sont donc les
rapports
de la philosophie avec ces autres sciences ? — Il
losophie avec ces autres sciences ? — Il y en a de deux espèces : les
rapports
généraux, qui sont les mêmes avec toutes les scie
rapports généraux, qui sont les mêmes avec toutes les sciences ; les
rapports
particuliers, qui sont différents pour chaque sci
nt différents pour chaque science particulière. Examinons d’abord les
rapports
généraux. Les objets qu’étudient les différentes
ces condamnées par là même a être uniquement subjectives. Passons aux
rapports
particuliers. Ils sont de deux sortes : la philos
rtante partie de la logique qu’on appelle Méthodologie. Tels sont les
rapports
de la philosophie et des différentes sciences qui
ntellectuel est matériel ou non, on constate que le corps a d’étroits
rapports
avec l’âme. On peut presque dire que rien ne s’y
on écho dans l’âme. Le fait d’ailleurs est réciproque. À cause de ces
rapports
, il faut déterminer avec exactitude les limites d
des poids de différentes grosseurs, on sent bien qu’il y a un certain
rapport
de l’excitation à la sensation. Calculer ce rappo
il y a un certain rapport de l’excitation à la sensation. Calculer ce
rapport
exactement, voilà ce que recherche la psychophysi
z le mobile, supprimez l’espace, on ne saurait mesurer ces forces par
rapport
l’une à l’autre. On ne peut donc mesurer que des
on ne saurait la remplacer par une science établissant uniquement les
rapports
de l’âme et du corps. En second lieu, nous ne pro
’activité que de la sensibilité ; mais ils ont avec cette faculté des
rapports
si étroits qu’il est impossible de les en séparer
ble confus des émotions. Pour cela nous n’avons qu’à faire varier les
rapports
de l’objet au moi : le moi passera par diverses é
trois conditions, il n’y en a qu’une seule qu’il faille étudier : les
rapports
des sens et de l’objet. Il ne peut y avoir sujet
son centre, entre l’idée de dedans et celle de moi, il y a de grands
rapports
; mais on ne peut faire de leur identification la
mènes des groupes au centre desquels est un être. Mais quels sont les
rapports
des phénomènes entre eux ? Il est nécessaire qu’i
t ordre est encore insuffisant. Entre ces diverses séries, il y a des
rapports
à établir. L’esprit est ainsi amené à se représen
s, mais seulement des états de conscience ayant entre eux de certains
rapports
de position. Les uns sont avant, les autres après
it le droit d’admettre d’une manière générale cette universalité d’un
rapport
de succession plusieurs fois constaté, il faut qu
Les associations d’idées rationnelles sont celles qui sont dues à un
rapport
rationnel. Voici les types principaux : 1. L’idée
est une opération qui rapproche deux idées et établit entre elles un
rapport
de ressemblance ou de dissemblance. Les idées com
finit le beau par l’ordre, cela revient au même : l’ordre n’est qu’un
rapport
exact entre les parties du tout. Ce que nous veno
aire. Nous ne connaissons que nous ; c’est par comparaison dans leurs
rapports
avec nous que nous jugeons les objets. Si donc l’
ent de la passivité ? Voici comment : Toute affection sensible est un
rapport
entre un besoin et l’objet qui doit le satisfaire
l’architecte dans ses prévisions, on verrait qu’elles ne sont pas en
rapport
avec la force de l’affirmation. Il en serait de m
confondre, un nombre infini de caractères communs. Un jugement est un
rapport
entre deux idées. La proposition examine ce rappo
n jugement est un rapport entre deux idées. La proposition examine ce
rapport
à l’aide de mots. Tout jugement se compose de tro
d’existence mise à part. La copule ne marque jamais en réalité qu’un
rapport
de convenance ou de disconvenance entre deux idée
un cercle l’extension de chacun des trois termes du syllogisme ; leur
rapport
de convenance ou de disconvenance est indiqué par
e ; leur rapport de convenance ou de disconvenance est indiqué par le
rapport
de contenance ou d’extériorité de ces cercles. Re
tion algébrique que nous avons indiquée plus haut, mais de marquer un
rapport
de contenant à contenu. De plus, cette méthode mo
articulier au général, ou du fait à la loi. Toute loi se compose d’un
rapport
de causalité entre deux ou plusieurs faits d’obse
uction se composera donc de deux moments : 1. Il faudra rechercher un
rapport
de causalité entre deux faits déterminés. 2. Ce r
rechercher un rapport de causalité entre deux faits déterminés. 2. Ce
rapport
trouvé, il faudra l’étendre de tous les cas parti
l trouve ainsi une loi qui régit le phénomène dans les cas donnés. Le
rapport
de causalité cherché est déterminé pour un certai
né pour un certain nombre d’expériences particulières. 2e Moment. Ce
rapport
observé seulement dans un certain nombre d’expéri
e la pesanteur de l’atmosphère. Dans le premier moment, on cherche un
rapport
de causalité. Comment le déterminer ? Pour cela,
ption. On voit souvent, si l’on n’emploie que cette seule méthode, un
rapport
de causalité là où il n’y a qu’un rapport de séqu
que cette seule méthode, un rapport de causalité là où il n’y a qu’un
rapport
de séquence. C’est le sophisme connu sous le nom
moment de l’induction, on étend à l’universalité des cas possibles le
rapport
observé dans quelques cas donnés. Qu’est-ce qui a
ion de l’effet n’aurait donc pas de cause. Or, comme toute loi est un
rapport
de causalité, la loi vraie dans un cas le sera da
turelles au contraire répartissent les êtres d’après leurs véritables
rapports
. Elles ne sont plus fondées sur un caractère exté
açon l’économie politique, en déterminant d’une manière abstraite les
rapports
entre les intérêts humains : cette méthode est ma
êts humains : cette méthode est maintenant abandonnée. On cherche ces
rapports
dans l’expérience du passé et du présent. Le rais
voit un visage en colère. L’enfant saisirait donc instinctivement le
rapport
qui unit certains signes et les états d’esprit qu
t d’idées ; qu’il soit capable avant toute éducation de comprendre le
rapport
entre un phénomène matériel et un phénomène psych
nes et certains sentiments. Mais s’il était capable de comprendre ces
rapports
, il l’était aussi de constituer un système de sig
e mien ? Les plaisirs sont subjectifs, et l’on ne peut faire que leur
rapport
ne le soit pas. Mais, dira Stuart Mill, je ne me
x ; la morale kantienne nous a appris de plus qu’elle devrait être en
rapport
avec notre nature et nous intéresser pour se fair
s ordonne bien de respecter notre personnalité, mais ne règle pas nos
rapports
avec autrui. Devons-nous donc nous abstraire des
res hommes ? C’est impossible. La loi morale doit donc déterminer nos
rapports
avec nos semblables. En nous rappelant que la loi
nant en mesure de définir un certain nombre d’idées qui ont un étroit
rapport
avec les théories précédents. Qu’est-ce que le de
la moralité ; on se représente l’homme vivant d’une vie isolée, sans
rapport
avec les autres hommes. Cet état est si naturel,
est isolé alors de ses semblables et ne peut par conséquent avoir de
rapports
avec eux : Quels sont les devoirs de l’homme enve
ale domestique La morale domestique a pour objet de déterminer les
rapports
des membres de la famille entre eux. La famille,
la nature de l’homme importe à la règle de son activité : c’est là le
rapport
de la psychologie et de la morale. Mill réduisait
qui les supporte ne peut être atteinte par les sens. Leçon 72 Des
rapports
de l’âme et du corps Si l’âme est distincte du
et du corps Si l’âme est distincte du corps, comment expliquer les
rapports
continuels entre la vie physiologique et la vie p
ne propose pas à proprement parler de théorie pour l’explication des
rapports
de l’âme et du corps, ou plutôt de l’âme et des e
i font mouvoir le corps ; il admettait comme un fait irréductible les
rapports
de la substance pensante et de la substance étend
he, avec la théorie des causes occasionnelles, essaye d’expliquer ces
rapports
de deux substances absolument hétérogènes. Selon
harmonie préétablie. Telles sont les hypothèses métaphysiques sur les
rapports
de l’âme et du corps. Voici maintenant d’autres h
si l’on s’en tient à cette doctrine, il est difficile d’expliquer les
rapports
de choses aussi différentes que l’étendue régie p
eur doctrine a-t-elle reçu le nom de vitalisme. On explique alors les
rapports
de l’âme et du corps en disant : toute la vie du
par conséquent agir l’une sur l’autre. On ne pourrait comprendre les
rapports
de la pensée et de l’étendue, mais on s’explique
rquoi une dernière doctrine a simplifié la précédente et expliqué les
rapports
de l’âme et du corps en identifiant les deux prin
i agit librement. 4. L’unité de cette cause se conclut de l’unité des
rapports
mutuels des parties du monde, envisagées comme le
artisans de la finalité partent de ce fait d’observation qu’il y a un
rapport
exact entre les moyens et leurs résultats, par ex
et leurs fonctions. Les finalistes partent de là pour établir que ce
rapport
n’a pu être établi que par une intelligence. Les
être établi que par une intelligence. Les mécanistes affirment que ce
rapport
a pu se produire autrement : il dérive pour eux d
ontraire la personne parfaite a pour idéal l’absolu. Leçon 79 Des
rapports
de Dieu et du monde. Du dualisme. Du panthéisme.
istence de Dieu et déterminé sa nature. Reste à savoir quels sont les
rapports
de Dieu et du monde. On s’entend généralement à c
ènes divers d’une substance commune, Dieu. Le panthéisme explique les
rapports
de Dieu et du monde en les ramenant au rapport d’
nthéisme explique les rapports de Dieu et du monde en les ramenant au
rapport
d’une substance et de ses phénomènes. Il a revêtu
er. Qu’est-ce que des mots qui ne veulent rien dire ? Leçon 80 Des
rapports
de Dieu et du monde. De la Providence, du Mal, de
nde. De la Providence, du Mal, de l’Optimisme et du Pessimisme Les
rapports
de Dieu et du monde ne se bornent pas à l’acte cr
de l’âme ; j’aperçois à la fois et directement ces deux faits et leur
rapport
. Ce rapport n’est point connu par raisonnement, a
’aperçois à la fois et directement ces deux faits et leur rapport. Ce
rapport
n’est point connu par raisonnement, au moyen d’un
n’est point connu par raisonnement, au moyen d’un axiome étranger. Ce
rapport
n’est point connu par expérience répétée, au moye
, cette loi fût démentie. Il n’y a dans le monde que des faits et des
rapports
nécessaires ; quand on transforme ces relations e
me du moyen âge. On a commencé, avec Duns Scot, par métamorphoser les
rapports
en substances, et l’on finit, comme les mystiques
agnent leur dignité, les forces redeviennent des qualités dérivées de
rapports
nécessaires. La nature apparaît telle qu’elle est
e faits observables, dont le groupement fait les substances, dont les
rapports
fondent les forces ; et la science, ramenée dans
80. 18. Ibid., p. 244, 245. 19. Tome IV, p. 207, 208 et 211. 20.
Rapports
du physique et du moral, p. 24. 21. Ibid., p. 2
us n’avons plus les mains libres. Or, de même que pour déterminer les
rapports
véritables des phénomènes physiques entre eux nou
déroulent dans le temps, ils constituent la durée. Enfin, dans leurs
rapports
entre eux, et en tant qu’une certaine unité se co
ce ; c’est du moins ce qu’il admit implicitement quand il attribua au
rapport
de causalité le même sens et le même rôle dans le
us : dans ce prétendu monde phénoménal, fait par la science, tous les
rapports
qui ne se peuvent traduire en simultanéité, c’est
pénétraient au lieu de se juxtaposer, et si ces moments formaient par
rapport
les uns aux autres une hétérogénéité au sein de l
s verrions que, si notre action nous a paru libre, c’est parce que le
rapport
de cette action à l’état d’où elle sortait ne sau
faires, elle ne se réunit que pour entendre, applaudir, adopter leurs
rapports
et conclusions. Ses séances, courtes et silencieu
r et ses rigueurs ; elle est surtout explicitement professée dans les
rapports
de Saint-Just et de Barrère. Au bruit des succès
nancière, à la dépense de ce grand déplacement ; il fallait mettre en
rapport
le papier-monnaie avec le prix des subsistances e
u, pour mieux dire, du triumvirat qui en était sorti, n’était plus en
rapport
avec les besoins publics ; sa tyrannie, dès lors,
Sous le nom de termes relatifs, l’auteur étudie les diverses idées de
rapport
. Leur caractère essentiel, c’est de n’exister que
dans le fait concret que les deux noms expriment. On dit qu’il y a un
rapport
entre deux objets, lorsqu’il y a un fuit simple o
gurent. Deux ou plusieurs objets, physiques ou intellectuels, sont en
rapport
l’un avec l’autre, en vertu de quelque état de co
nomènes dont père et fils sont des parties : de là vient qu’il y a un
rapport
entre eux. Sur la connotation voy. Logique, liv.
f. Puisqu’on dit signe local, la sensation-signe doit être signe d’un
rapport
à l’étendue, d’un lieu ; ou plutôt elle doit avoi
ensations. Si, au contraire, vous reconnaissez dans les sensations un
rapport
vague mais, significatif, à telle région plus ou
e différence de fait entre les diverses qualités sensitives dans leur
rapport
à l’intuition pure de l’espace est, pour la doctr
à tel autre, le temps à tel autre, ou que l’étendue convient sous tel
rapport
, dans telle relation, dans telle mesure, s’il n’y
ation ait un attribut de position locale ? Non ; il faut pour cela un
rapport
entre elle et d’autres sensations. La place d’un
s sensations. La place d’un point ne peut pas être déterminée sans un
rapport
à d’autres points ; établissons donc en principe
avait pas encore en elles des différences de coloris produites par le
rapport
vaguement senti de chaque position à l’ensemble d
es yeux à la lumière perçoit immédiatement « l’étendue plane avec les
rapports
de grandeur et de position des figures qui peuven
ntable, selon quelques-uns, — avec lequel on mettrait l’impression en
rapport
, pour l’y situer comme un livre sur le rayon. La
st elle-même qu’un résidu ou extrait d’impressions sensori-motrices à
rapports
complexes. III Caractère actif et moteur de la
mes, par nos mouvements de réaction, la forme des objets, et c’est le
rapport
entre ces mouvements successifs de réaction qui n
vements successifs de réaction qui nous permet de nous représenter le
rapport
des éléments sensitifs transmis sous la forme pas
ubjective, et tiendrait à notre, organisation physiologique. Tous les
rapports
d’étendue se résoudraient, au fond, en rapports d
ysiologique. Tous les rapports d’étendue se résoudraient, au fond, en
rapports
d’activités coexistantes clans le temps. En ce se
le problème dont il s’agit, étant le problème psychophysiologique des
rapports
du cerveau et de la pensée, nous suggère par sa p
e modification des groupements atomiques et moléculaires. Quel est le
rapport
de cette modification cérébrale aux objets extéri
tion sera dès lors autre chose : il y aura, entre eux et le reste, un
rapport
de contenu à contenant. Tel est le point de vue i
était donc qu’une représentation, et nous étions dans l’idéalisme. Le
rapport
du cerveau au reste de la représentation était dè
ception, ne nous rapprochera de la seconde. Tout ce qu’on aura dit du
rapport
du cerveau à la représentation dans un idéalisme
’a été observé ou inféré que des deux touts, et de convertir ainsi un
rapport
de solidarité en une relation d’équivalent à équi
rvir de point de départ à une théorie de l’esprit, considéré dans ses
rapports
avec le déterminisme de la nature. Fin du texte.
son empreinte. La succession des pensées révèle son existence, leurs
rapports
révèlent son identité ; les pensées sont donc les
signes. Ceux de la troisième classe, liés à l’idée du cheval par des
rapports
de coexistence fréquente, contribuent à constitue
cs hippos ; c’est ainsi que des conventions différentes régissent les
rapports
commerciaux et judiciaires d’un état donné avec l
un mot à une idée peut être, non pas arbitraire, mais motivée par un
rapport
plus ou moins éloigné entre les deux termes que l
u’aux origines du langage la plupart des mots, sinon tous, avaient un
rapport
plus ou moins direct avec l’idée : onomatopées di
ait, est celui qui est un signe et rien autre chose, celui qui n’a de
rapport
avec la chose signifiée que par la volonté arbitr
r. Tout au contraire, un signe conventionnel, également dénué de tout
rapport
d’analogie avec chacun des individus du genre, le
ne analogique n’échappe pas plus que le signe arbitraire, et, sous ce
rapport
, une idée particulière est aussi difficile à bien
du temps, les mots dont elle se compose n’ont avec les idées que des
rapports
conventionnels, la parole intérieure est presque
comprend qu’elle soit possible lorsqu’on s’est rendu compte des vrais
rapports
qui, durant l’état de veille normal, unissent le
faible ; voilà pourquoi la fleur est devenue un signe ; renversez ce
rapport
et que le mot devienne le plus fort des deux term
rganisation d’un gouvernement libre représente mieux, selon nous, les
rapports
que soutiennent les signes avec les choses signif
, les éléments caractéristiques de l’idée n’étant plus distincts, ses
rapports
logiques avec les idées voisines ne peuvent plus
est rare, et surtout difficile à bien constater, nous retrouvons les
rapports
ordinaires de la parole et de la pensée durant l’
que la première est approuvée et reconnue, parce qu’elle est en bons
rapports
logiques avec les idées qui la précèdent ou l’acc
seule et même cause ; pour que les idées conservent entre elles leurs
rapports
logiques, il faut que toutes, même les plus effac
s au moment même, seulement vraisemblables, qui n’ont avec elle qu’un
rapport
logique et non psychologique. A qui n’est-il pas
faiblies pour la conscience. 2° Nous nous servions tout à l’heure des
rapports
mutuels des idées pour prouver qu’elles conserven
urs quelque spécificité consciente. Ajoutons maintenant que les mêmes
rapports
créent pour chaque idée une spécificité indirecte
les mots recouvrent, chercher à avoir une claire conscience de leurs
rapports
, comparer, après les notions, ces rapports eux-mê
claire conscience de leurs rapports, comparer, après les notions, ces
rapports
eux-mêmes, de façon à porter la lumière de la con
de ce qui lui est transmis par l’oreille que des tableaux offerts au
rapport
fidèle des yeux (v. 180-181) et perçus sans inter
che, nous avons 4°, c’est-à-dire un signe arbitraire, impartial, sans
rapport
d’analogie avec l’idée ; la disposition interne d
ncontre du narrateur à la fin du chap. I avec deux Houyhnhnms pour le
rapport
avec l’onomatopée chevaline, Swift, Œuvres, Galli
Chapitre troisième La reconnaissance des souvenirs. Son
rapport
à l’appétit et au mouvement. I. Comment a lieu
’y a pas encore de vrai souvenir. En effet, tout reste présent, et le
rapport
avec le passé n’existe pas encore ; or, ce rappor
ste présent, et le rapport avec le passé n’existe pas encore ; or, ce
rapport
est essentiel pour qu’on puisse dire : je me souv
ultent : 1° du caractère intrinsèque des représentations, 2° de leurs
rapports
mutuels, 3° de leur rapport au sujet pensant et v
insèque des représentations, 2° de leurs rapports mutuels, 3° de leur
rapport
au sujet pensant et voulant. La première distinct
loyant dans la lutte des intensités variables. Si nous considérons le
rapport
des représentations entre elles, nous reconnaisso
s que les choses perçues ont une stabilité relative, surtout par leur
rapport
à l’espace. En troisième lieu, nous localisons ex
e à une impression ; c’est avoir conscience de la force centrifuge en
rapport
avec la force centripète, dans une représentation
on leurs forces ou leurs qualités respectives, mais encore selon leur
rapport
à la volonté centrale. Les images simultanées du
onc saisir à la fois des différences et des ressemblances, saisir des
rapports
, comparer. Le problème de la reconnaissance nous
une certaine image déterminée, mon corps. Approfondissons ce dernier
rapport
. Je considère mon corps avec les nerfs centripète
ature et de la position des objets. Changez les objets, modifiez leur
rapport
à mon corps, et tout est changé dans les mouvemen
oit extérieur, puisque l’intériorité et l’extériorité ne sont que des
rapports
entre images. Se demander si l’univers existe dan
le réalisme et l’idéalisme devient alors très claire : quels sont les
rapports
que ces deux systèmes d’images soutiennent entre
l’univers, c’est-à-dire d’un ensemble d’images gouvernées dans leurs
rapports
mutuels par des lois immuables, où les effets res
ndément le triple problème de la matière, de la conscience et de leur
rapport
. Suit-on en effet, pas à pas, le progrès de la pe
tue bien réellement un centre, où l’excitation périphérique se met en
rapport
avec tel ou tel mécanisme moteur, choisi et non p
breux et plus éloignés deviennent les points de l’espace qu’il met en
rapport
avec des mécanismes moteurs toujours plus complex
tion de l’objet qui l’intéresse. Par la vue, par l’ouïe, il se met en
rapport
avec un nombre toujours plus grand de choses, il
riori le nombre et l’éloignement des choses avec lesquelles il est en
rapport
. Quel que soit ce rapport, quelle que soit donc l
nement des choses avec lesquelles il est en rapport. Quel que soit ce
rapport
, quelle que soit donc la nature intime de la perc
s l’exacte proportion où l’action dispose du temps. Mais pourquoi ce
rapport
de l’organisme à des objets plus ou moins lointai
ou bien encore (ce qui revient à peu près au même), on imaginera des
rapports
de grandeur qui se composeraient entre eux, des f
homogène, d’où naîtra donc la qualité ? Surtout, comment imaginer un
rapport
entre la chose et l’image, entre la matière et la
rotoplasmiques des éléments nerveux moteurs, dans l’écorce, seront en
rapport
avec un nombre beaucoup moins grand, cette fois,
els que dans les centres moteurs ; elle mesure la complexité de leurs
rapports
, et existe là où elle apparaît. Les psychologues
e corps, on ne peut rien connaître ni du corps, ni de l’esprit, ni du
rapport
qu’ils soutiennent entre eux. Maintenant, en quoi
egré, et non de nature, la perception pure étant à la matière dans le
rapport
de la partie au tout. C’est dire que la matière n
esprit, et à compléter ainsi la théorie que nous aurons esquissée des
rapports
de l’esprit avec la matière. 4. LOTZE. Métap
tour de la question du mouvement s’évanouissent dès qu’on aperçoit le
rapport
de l’instant au temps spatialisé, celui du temps
estime que la dimension n’est pas un absolu, qu’il y a seulement des
rapports
entre dimensions, et que tout se passerait de mêm
ement les dimensions de toutes choses, à condition d’en conserver les
rapports
. Mais il est temps de fermer la parenthèse. Reven
de la conscience, pour obtenir des termes entre lesquels établir des
rapports
, puis ne conserve que les rapports et tient les t
termes entre lesquels établir des rapports, puis ne conserve que les
rapports
et tient les termes pour inexistants. Mais c’est
bstraction que nous distinguons des termes, par abstraction aussi des
rapports
: un continu fluent d’où nous tirons à la fois te
des rapports : un continu fluent d’où nous tirons à la fois termes et
rapports
et qui est, en plus de tout cela, fluidité, voilà
ignification philosophique des théories d’Einstein, je veux dire leur
rapport
à la réalité. Ceux que gênait l’apparence paradox
tités mathématiques. Mais ceux qui voudraient dissoudre les choses en
rapports
, qui considèrent toute réalité, même la nôtre, co
re sentimental, intelligent et actif1, il n’est tout cela que par ses
rapports
avec l’humanité et la nature, c’est-à-dire avec D
r de Satan, de même qu’il n’a plus besoin de médiateur pour entrer en
rapport
avec Dieu ; la communication est directe, immédia
vie ; le fait essentiel de toute religion est de produire un nouveau
rapport
plus parfait entre l’homme et ce qui l’entoure, e
entre l’homme et ce qui l’entoure, entre l’homme et Dieu. Bien que ce
rapport
ne soit point nécessairement un lien de plus de l
complet détachement, toutefois la conception nouvelle qui établit ce
rapport
tend toujours à se réaliser socialement ; elle s’
moi à la nature extérieure. Pour nous, l’acte se rapporte toujours au
rapport
que le moi établit, entre lui et l’extérieur ; pa
on a beau dire que seul existe le mouvement réciproque de S et S′ par
rapport
l’un à l’autre, on n’étudie pas cette réciprocité
u que S se meut par rapport à S′, ou mieux que S et S′ se meuvent par
rapport
l’un à l’autre. Bref, ce qui est réellement donné
plus près encore de l’expérience en disant que A et B se meuvent par
rapport
l’un à l’autre, ou plus simplement que l’écart en
el. Mais s’en tenir à cette formule eût été considérer globalement le
rapport
de tout à tout ; on ne pouvait obtenir une soluti
appellerons donc « système de référence » le trièdre trirectangle par
rapport
auquel on conviendra de situer, en indiquant leur
iprocité, c’est pour n’avoir pas eu constamment présent à l’esprit le
rapport
de la relativité radicale à la relativité atténué
s les éléments ou points d’une ligne. — Définition d’une ligne par le
rapport
constant de ses coordonnées. — La géométrie analy
e, Newton n’en avait conservé qu’un, la propriété d’être une masse en
rapport
avec une autre masse ; il avait éliminé le reste.
anète, il n’en avait conservé qu’un, la propriété d’être une masse en
rapport
avec une autre masse ; il avait aussi éliminé le
comme il arrive aux étoiles doubles, toute masse, dès qu’elle est en
rapport
avec une autre masse, tend à se rapprocher d’elle
core vers le soleil et vers toute masse avec laquelle ils seraient en
rapport
. — Mais cette différence des deux cas n’altère en
s si diverses, est la raison principale de leur structure et de leurs
rapports
. Cet intermédiaire est la propriété d’être utile
e tend à se rapprocher d’une masse centrale avec laquelle elle est en
rapport
, le soleil. Cette loi est un couple de deux donné
e tend à se rapprocher de la masse centrale avec laquelle elle est en
rapport
. Comparons ces trois données l’une à l’autre. — L
e tend à se rapprocher de la masse centrale avec laquelle elle est en
rapport
; donc toute planète tend à se rapprocher de la m
e tend à se rapprocher de la masse centrale avec laquelle elle est en
rapport
, c’est-à-dire du soleil. — De ces trois couples,
poursuivre dans tous les détails les propriétés du syllogisme et les
rapports
obligés de ses propositions ou de ses termes ; ce
sont des grandeurs qui, comparées l’une à l’autre, offrent un certain
rapport
. Voilà donc la position du point définie par le r
nt un certain rapport. Voilà donc la position du point définie par le
rapport
mutuel de deux grandeurs auxiliaires. — À présent
ns une série continue de points, c’est-à-dire une ligne telle, que ce
rapport
soit le même pour tous ses points ; la ligne et s
somme des carrés des deux coordonnées est égale au carré du rayon. Ce
rapport
constant qui se maintient partout le même à trave
tits que toute grandeur finie. Ainsi, quand un corps se refroidit, le
rapport
entre les variations élémentaires de la chaleur e
iations élémentaires de la chaleur et du temps est la vraie raison du
rapport
qui s’établit entre les variations de ces mêmes g
mêmes grandeurs quand elles ont acquis des valeurs finies. Ce dernier
rapport
, il est vrai, est le seul qui puisse tomber direc
re logique humaine. Mais, une fois en possession de l’idée du premier
rapport
, nous nous conformons à la nature des choses, en
incipe d’explication de la valeur que l’observation assigne au second
rapport
. C’est pour cette raison que la notation des quan
ut entière à son mode externe et passif, qui est l’enregistrement des
rapports
extérieurs dans le cerveau par voie de répétition
ant à se satisfaire par des actes appropriés. Il faut donc montrer le
rapport
intime qui relie les croyances nécessaires, princ
rveau, en actions d’abord, en idées ensuite. Il faut, de même, que le
rapport
de la cause à l’effet, de faction à la passion, i
ou stable ; ils sont antérieurs aux jeux de la sélection et aussi aux
rapports
sociaux : ce qu’ils sont, ils le sont en eux-même
toires, par exemple une chose à la fois blanche et noire sous le même
rapport
? Ne fait-il pas partie, lui aussi, de l’univers,
nous. Au lieu de la causalité primitive, qui est psychologiquement le
rapport
de l’appétit à la motion, la science considère la
ose la volonté en elle-même, le principe d’intelligibilité exprime le
rapport
uniforme des volontés entre elles. Ce sont deux i
gibilité universelle ou d’universelle rationalité, considérée sous le
rapport
intellectuel, est la projection dans les choses d
ombre des cas, dit le kantien Helmholtz, où nous pouvons démontrer le
rapport
d’un fait à sa condition est bien peu considérabl
ransitive qui constitue la causation proprement dite, c’est-à-dire le
rapport
, d’agent à patient. L’idée d’action en général es
lle est inexplicable par cette idée. La causation, en effet, étant un
rapport
do quelque agent à quelque patient, ne peut expli
t analogique, au lieu de constituer un axiome. C’est surtout dans nos
rapports
avec nos semblables et avec les animaux qu’elle e
c’est-à-dire s’il existe entre leurs vitesses et leurs directions des
rapports
faciles à saisir140 ». Nos perceptions confuses e
e suppose un mécanisme extérieur où toutes les parties soient dans un
rapport
de dépendance réciproque et, par conséquent, form
risme, en effet, sentant vaguement ce qu’il y a d’artificiel dans les
rapports
qui unissent les termes entre eux, s’en tient aux
i unissent les termes entre eux, s’en tient aux termes et néglige les
rapports
. Son tort n’est pas de priser trop haut l’expérie
stinguerait absolument d’un autre lieu que par sa qualité, ou par son
rapport
à l’ensemble de l’espace : de sorte que l’espace
ps aux arêtes bien découpées, qui changent de place,) c’est-à-dire de
rapport
entre eux ? À côté de la conscience et de la scie
ls celui-ci entrera en relation comme avec des personnes. Établir ces
rapports
tout particuliers entre des portions ainsi découp
manifestement prise, sont ceux qui nous intéressent le plus dans nos
rapports
avec le monde extérieur, et parce que le contact
uvement, et qui nous le présentait, non comme un simple changement de
rapport
entre des objets auxquels il s’ajouterait comme u
imagination qu’un accident, une série de positions, un changement de
rapports
; et comme c’est une loi de notre représentation
re en profondeur. À vrai dire, personne ne se représente autrement le
rapport
de la quantité à la qualité. Croire à des réalité
la psychologie de la perception, et plus généralement la question des
rapports
de la conscience avec la matière. Sans insister s
toucher, et qu’il n’y a rien de plus, dans la perception visuelle des
rapports
d’espace, qu’une suggestion de perceptions tactil
omogènes dans l’espace évoque des sensations diverses qui n’ont aucun
rapport
avec eux. Tout à l’heure, la genèse de la percept
ici, toutes les sensations naissent de rien, ou du moins n’ont aucun
rapport
avec le mouvement qui les occasionne. Au fond, ce
aculté d’attendre avant de réagir, et de mettre l’excitation reçue en
rapport
avec une variété de plus en plus riche de mécanis
me la recherche de la vérité par le secours de la raison ; et sous ce
rapport
, le seul qu’indique le sens primitif de ce mot, l
t être l’objet, s’étend à toutes les pensées qui en dépendent par les
rapports
les plus éloignés. Si l’on jugeait à ces signes d
e dans la carrière de la raison. L’on est déjà parvenu, sous quelques
rapports
, à appliquer avec succès la méthode des mathémati
que proposition, sans avoir essayé de les juger ; il crée ensuite des
rapports
factices dont l’apparente vérité lui plaît et l’e
du petit nombre au plus grand : rien n’est plus erroné, même sous le
rapport
des combinaisons politiques. L’effet des injustic
la morale publique et à la morale individuelle. C’est sous le premier
rapport
surtout que l’idée contraire a causé de grands ma
on et le calcul, la théorie même de la morale, d’indiquer de nouveaux
rapports
de délicatesse et de dévouement entre les hommes
ourrait obtenir d’intéressants résultats, concernant la nature et les
rapports
des espèces qui varient le plus, en dressant des
e la nature des stations qu’elles occupent et n’a que peu ou point de
rapport
à la grandeur des genres auxquels ces espèces app
es sont géographiquement très circonscrites. — Il est encore d’autres
rapports
importants entre les espèces des grands genres et
picaces et, après mûr examen, ils ont confirmé ces résultats. Sous ce
rapport
, les espèces des plus grands genres ont donc plus
nne. De plus, les espèces des grands genres ont entre elles les mêmes
rapports
que les variétés dans chacune de ces espèces. Auc
e les espèces qui sont très voisines de quelque autre, et qui sous ce
rapport
ressemblent à des variétés, ont aussi fort souven
es espèces paraissent avoir une extension restreinte. Sous ces divers
rapports
, les espèces des grands genres présentent de fort
n tourne une phrase en mille manières, on compare l’idée par tous ses
rapports
… » Et elle crut atteindre elle-même au goût en fa
érir sur l’idée naturelle ou sur l’expression, en y cherchant quelque
rapport
inusité. Il est curieux de voir jusqu’où elle a p
puisse leur faire partager les jouissances qui supposent toujours les
rapports
de l’âme avec des objets réels et extérieurs. Il
le pénible image ! et à quoi bon ce porte-voix ? et puis toujours des
rapports
; ce terme de rapports est continuel dans sa lang
quoi bon ce porte-voix ? et puis toujours des rapports ; ce terme de
rapports
est continuel dans sa langue. On reconnaît ici mê
e cœur touchantes : Nous fûmes unis dans notre jeunesse par tous les
rapports
honnêtes, lui écrivait Mme Necker (1778), et jama
la société de Paris avec le ferme propos d’être femme d’esprit et en
rapport
avec les beaux esprits, elle a su préserver sa co
8. Les curieux peuvent chercher des considérations très fines sur ces
rapports
des esprits et du pays, au tome second, p. 1191,
té magnifique ou touchant du catholicisme, considéré surtout dans ses
rapports
avec la société ; il n’aurait pas cependant négli
le. Elle servira en même temps à bien fixer le point de départ de nos
rapports
, sur lesquels des critiques estimables (M. Saint-
t excusable : il y va de trop pour moi, sous toutes sortes de sérieux
rapports
, d’être jugé avec une si extrême bienveillance da
employer le reste de cette lettre à vous dire combien, sous d’autres
rapports
que ceux qui frapperont tout le monde, il m’est p
t un centre avec lequel les individus conservent toujours de certains
rapports
; et l’esprit général du siècle, s’il ne change p
, l’autre combattre le crime ; l’un ne considère l’homme que dans ses
rapports
avec les intérêts de son pays ; l’autre, qui n’av
e plus approché de la vérité dans les sciences. Tacite, sous tous les
rapports
, l’emporte de beaucoup sur les meilleurs historie
t devient plus avide d’idées abstraites, la pensée se généralise, les
rapports
des hommes entre eux se multiplient avec les sièc
nné le signal des belles études expérimentales de notre temps sur les
rapports
du cerveau et de la pensée. Sans doute Haller, Sœ
comparée du système nerveux chez les animaux et chez l’homme dans ses
rapports
avec le développement de l’intelligence. Le premi
x, sans déclamation, mais un peu systématique, incline à exagérer les
rapports
physiologiques du cerveau et de la pensée. Gratio
t être encore lus et étudiés par ceux qu’attire le grand problème des
rapports
du cerveau et de la pensée. Ce sont les ouvrages
▲