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1 (1868) Les philosophes classiques du XIXe siècle en France « Chapitre VII : Théorie de la raison par M. Cousin »
science autre chose que ce qu’ils renferment. Ils ne renferment qu’un rapport de contingence, et ne renferment pas de rapport n
s ne renferment qu’un rapport de contingence, et ne renferment pas de rapport nécessaire. Dans ces deux jugements : « Je souffr
x jugements : « Je souffre ; cette pierre est ronde », il n’y a qu’un rapport contingent, il n’y a point de rapport nécessaire.
rre est ronde », il n’y a qu’un rapport contingent, il n’y a point de rapport nécessaire. On ne peut donc tirer d’eux un rappor
il n’y a point de rapport nécessaire. On ne peut donc tirer d’eux un rapport nécessaire. Donc les axiomes ou jugements nécessa
ient ainsi que de pures abstractions, suspendues dans le vide et sans rapport à quoi que ce soit. La vérité, la beauté, le bien
le sens. Dans une proposition, il y a deux choses, les termes et leur rapport . Vous dites vrai, si vous parlez du rapport. Vous
hoses, les termes et leur rapport. Vous dites vrai, si vous parlez du rapport . Vous dites faux, si vous parlez des termes. Vous
si vous parlez des termes. Vous dites vrai, si vous affirmez que d’un  rapport  contingent on ne peut tirer un rapport nécessaire
rai, si vous affirmez que d’un rapport contingent on ne peut tirer un rapport nécessaire. De ce que cette fleur est rose, on ne
faux, si vous affirmez que de termes contingents on ne peut tirer un rapport nécessaire. Une fois posé que ces quatre chevaux
ualité, comparer ces deux termes, isoler entre eux par abstraction un rapport nécessaire, celui de substance à qualité, et tire
e qu’entre l’attribut ou qualité, et le sujet ou substance, il y a un rapport nécessaire. Puisqu’il y est, je puis l’y trouver 
ition, vous confondez donc deux choses distinctes, les termes et leur rapport . Vous raisonnez comme si le rapport était la même
es distinctes, les termes et leur rapport. Vous raisonnez comme si le rapport était la même chose que les termes. Vous imposez
rmes. Vous imposez aux termes une conséquence qui ne s’applique qu’au rapport , et vous arrivez à une conséquence fausse par un
des vérités nécessaires » : dans ce membre de phrase, vérité signifie  rapport , et vous voulez dire, avec tout le monde, qu’il y
nifie rapport, et vous voulez dire, avec tout le monde, qu’il y a des rapports nécessaires entre certains sujets et certaines qu
 » : dans ce second membre vous entendez par vérité connaissance d’un rapport nécessaire et vous voulez dire qu’une connaissanc
ous le mot vérité deux choses fort distinctes, une connaissance et un rapport . Le rapport du tout et de la partie existe dans l
érité deux choses fort distinctes, une connaissance et un rapport. Le rapport du tout et de la partie existe dans le tout et da
partie existe dans le tout et dans la partie ; la connaissance de ce rapport n’existe ni dans le tout ni dans la partie, mais
partie, mais dans l’être intelligent qui connaît l’un et l’autre. Le rapport est une différence ou une ressemblance entre deux
t ; la connaissance est l’action d’un être qui pense. Vous imposez au rapport une propriété qui ne convient qu’à la connaissanc
. Quand je remarque que quatre est le double de deux, ce n’est pas un rapport que je vois, c’est une idée, une idée d’autrui, u
nérales et ces constructions générales, j’en ai extrait une vérité ou  rapport universel et nécessaire. J’ai retiré le triangle
le triangle particulier ; ce qui est une abstraction. J’ai retiré un rapport universel et nécessaire contenu dans les propriét
naître les propositions nécessaires. Réduisez les mots à leur valeur. Rapport universel signifie rapport entre deux abstraits ;
essaires. Réduisez les mots à leur valeur. Rapport universel signifie rapport entre deux abstraits ; mais il y a des abstraits
choses limitées ; on peut donc découvrir dans les choses limitées des rapports universels. Rapport nécessaire signifie rapport d
peut donc découvrir dans les choses limitées des rapports universels. Rapport nécessaire signifie rapport d’identité ; mais il
choses limitées des rapports universels. Rapport nécessaire signifie rapport d’identité ; mais il y a des données identiques à
s à d’autres dans les choses contingentes. On peut donc découvrir des rapports nécessaires dans des objets contingents. Reste un
t point dans les choses ce que l’analyse y découvre, c’est-à-dire les rapports nécessaires, ni ce que l’analyse en tire, c’est-à
alyser les idées, il ne voit pas qu’une proposition nécessaire est un rapport nécessaire, qu’un rapport nécessaire est un rappo
it pas qu’une proposition nécessaire est un rapport nécessaire, qu’un rapport  nécessaire est un rapport d’identité, qu’il y a d
nécessaire est un rapport nécessaire, qu’un rapport nécessaire est un rapport d’identité, qu’il y a dans tout objet, contingent
lyser les idées, il ne voit pas qu’une proposition universelle est un rapport entre deux abstraits, qu’il y a des abstraits dan
2 (1881) La psychologie anglaise contemporaine « M. Herbert Spencer — Chapitre II : La psychologie »
ites dans l’organisme par ce fruit : tant que nous n’examinons que le rapport À B, nous faisons une étude physique ; tant que n
B, nous faisons une étude physique ; tant que nous n’examinons que le rapport a b, nous faisons une étude de physiologie, « Mai
ie dès que nous cherchons comment il peut exister dans l’organisme un rapport entre a et b qui d’une manière ou de l’autre répo
sme un rapport entre a et b qui d’une manière ou de l’autre répond au rapport entre A et B. La psychologie s’occupe exclusiveme
e deux catégories d’éléments : les feelings (ce qui est senti) et les rapports entre ces états. Le feeling a pour caractère esse
une portion de conscience assez considérable pour être percevable. Le rapport n’occupe pas dans la conscience cette portion app
re, vive ou réelle ; la forme secondaire, faible ou idéale. Quant aux rapports , sur lesquels nous reviendrons plus tard, M. Herb
ondamentaux qui sont, en allant du plus complexe au plus simple : les rapports de coexistence, succession, différence. Les deux
la conscience, formées de groupes d’états de conscience unis par des rapports extrêmement compliqués. On peut entrevoir déjà qu
taires du monde externe, en vient à exprimer d’une façon complète les rapports extérieurs les plus variés et les plus complexes
ncer : celle de la continuité des phénomènes psychologiques, celle du rapport intime entre l’être et son milieu. Insistons sur
disant que la vie est une correspondance, « un ajustement continu des rapports internes aux rapports externes. » L’être vivant q
une correspondance, « un ajustement continu des rapports internes aux rapports externes. » L’être vivant quel qu’il soit, arbre,
son milieu spécial existe. Ici peu de changements, et qui ne sont en rapport qu’avec un milieu à peu près homogène. Au-dessus
s, que présente le milieu environnant, correspond dans l’organisme un rapport de séquence entre certaines impressions tactiles
tactiles et certaines contractions. Mais la correspondance entre des rapports internes et des rapports externes lointains est a
ntractions. Mais la correspondance entre des rapports internes et des rapports externes lointains est absente dans toutes ces fo
différences, mais des ressemblances ; de former en lui des groupes de rapports intérieurs qui répondent à des groupes de rapport
lui des groupes de rapports intérieurs qui répondent à des groupes de rapports et d’attributs externes : la correspondance croît
on terrier, jusqu’à celle de la science quantitative qui embrasse les rapports les plus précis et les données les plus complexes
être rien autre chose que des modes particuliers de l’ajustement des rapports internes aux rapports externes, ou des portions p
que des modes particuliers de l’ajustement des rapports internes aux rapports externes, ou des portions particulières de ce pro
a pensée. Mais ces coexistences et séquences ont entre elles tous les rapports possibles. Il y a celles qui sont unies par des r
les tous les rapports possibles. Il y a celles qui sont unies par des rapports immuables, fixes, sans exceptions connues ; il y
rience qu’une fois au plus, comme associées. Entre ces deux sortes de rapports , l’un intime, l’autre tout fortuit, il y a tous l
s cellules sont les corrélatifs objectifs de ce que nous appelons les rapports . Il en résulte que de même que l’association d’un
, dans une partie de cette partie, etc.. ; de même l’association d’un rapport avec sa classe, son ordre, son genre et son espèc
’instinct et la raison n’existe pas. Tous deux sont un ajustement des rapports internes aux rapports externes, avec cette seule
n’existe pas. Tous deux sont un ajustement des rapports internes aux rapports externes, avec cette seule différence que dans l’
dité. Dans ce sens donc qu’il existe dans le système nerveux certains rapports préétablis correspondant à des rapports dans le m
s le système nerveux certains rapports préétablis correspondant à des rapports dans le milieu environnant, « il y a du vrai dans
utiennent ses défenseurs, mais une vérité d’un ordre parallèle. » Ces rapports internes préétablis, quoique indépendants de l’ex
eurs, dans la suite des siècles, des Newton et des Shakespeare147. Le rapport intime du sentiment et de la raison est depuis lo
it être précise et ne souffre pas l’à-peu-près, ensuite parce que les rapports sont très nombreux. Voici un exemple de ce mode d
usion négative qu’en tenant compte d’un grand nombre d’éléments et de rapports déterminés, de plusieurs lois précises enseignées
f quel qu’il soit, l’intelligence parcourt une série d’identités. Les rapports qu’il saisit, ajoute, transforme, compare, sont h
e raisonnement quantitatif simple : le premier ayant pour objet « des rapports quantitatifs de rapports quantitatifs » ; le seco
f simple : le premier ayant pour objet « des rapports quantitatifs de rapports quantitatifs » ; le second se réduisant à une int
fs » ; le second se réduisant à une intuition directe et immédiate de rapports de quantité. Mais, en se simplifiant, le procédé
ractère de rigueur incontestable, c’est qu’il ne s’applique pas à des rapports de toute espèce, mais à un nombre restreint. Iden
terminer « la coexistence ou non-coexistence des choses, attributs ou rapports qui sont identiques en nature avec certaines autr
rapports qui sont identiques en nature avec certaines autres choses, rapports et attributs. » On ne peut cependant pas tracer d
ste en ce que nous passons de l’égalité à la simple ressemblance. Les rapports comparés ne sont plus considérés comme égaux ou i
s degrés possibles, la probabilité des conclusions varie dans le même rapport . C’est au raisonnement qualificatif qu’il faut ra
ute l’étude du raisonnement en le définissant une « classification de rapports . » Mais que signifie le mot classification ? Il s
ie le mot classification ? Il signifie l’acte de grouper ensemble les rapports semblables et l’acte de séparer les semblables de
les et l’acte de séparer les semblables des dissemblables. Inférer un rapport , c’est penser qu’il est semblable ou dissemblable
t, c’est penser qu’il est semblable ou dissemblable à certains autres rapports . Tout raisonnement se réduit donc à une assimilat
s font connaître les corps comme doués d’attributs de toute sorte. Le rapport qui s’établit entre le sujet et l’objet, dans l’a
fondamentaux de la perception. Il montre que la figure est résolue en rapport de grandeur, la grandeur en rapports de position 
ntre que la figure est résolue en rapport de grandeur, la grandeur en rapports de position ; et que tous les rapports de positio
rt de grandeur, la grandeur en rapports de position ; et que tous les rapports de positions peuvent être finalement réduits aux
e inoccupée, c’est-à-dire de l’espace ? Comment de la perception d’un rapport entre des positions résistantes, en venons-nous à
entre des positions résistantes, en venons-nous à la perception d’un rapport entre des positions non résistantes ? — C’est par
établie, qu’il est inutile de l’exposer. Le temps in abstracto est un rapport de position entre des états de conscience. Notre
, considérée dans ce qu’elle a de plus général, consiste à saisir les rapports que les sensations ont entre elles ; à apercevoir
sir les rapports que les sensations ont entre elles ; à apercevoir un rapport ou des rapports entre des états de conscience act
s que les sensations ont entre elles ; à apercevoir un rapport ou des rapports entre des états de conscience actuels, ou antérie
sser des rapports150. M. Herbert Spencer examine en détail les divers rapports de coïntensité, coétendue, coexistence, identité
ncature). Il montre qu’ils se ramènent tous en dernière analyse à des rapports de ressemblances et de différence. Mais, différen
nterne. Nous voici donc arrivés au dernier terme de notre analyse. Le rapport le plus simple que l’intelligence puisse percevoi
rapport le plus simple que l’intelligence puisse percevoir, c’est un rapport de séquence ou de succession ; c’est là le rappor
ercevoir, c’est un rapport de séquence ou de succession ; c’est là le rapport primordial qui constitue le fond même de la consc
, et que ce changement d’état engendre nécessairement les termes d’un rapport de dissemblance. Nous avons vu que, non-seulement
’autant que les changements continuent, qu’autant qu’il s’établit des rapports de dissemblance. Par suite donc, la conscience ne
be : dans l’image, les lignes n’ont ni la même longueur, ni les mêmes rapports , ni les mêmes directions, etc., etc., que dans le
ubjectifs produit est totalement différent du groupe des causes ; les rapports entre les effets sont totalement différents des r
causes ; les rapports entre les effets sont totalement différents des rapports entre les causes ; les lois de variation d’un gro
t, raisonnement en général. Le raisonnement est une classification de rapports , la perception une classification d’attributs. L’
sidérée en général, la perception est une classification organique de rapports  ; les deux rapports les plus simples sont celui d
la perception est une classification organique de rapports ; les deux rapports les plus simples sont celui de ressemblance et de
Parmi les longues analyses que M. Herbert Spencer a faites des divers rapports , l’une des plus remarquables est celle qui résout
divers rapports, l’une des plus remarquables est celle qui résout le rapport de coexistence ou simultanéité, en un rapport de
est celle qui résout le rapport de coexistence ou simultanéité, en un rapport de séquence. Comme MM. Bain et John Stuart Mill l
clusion. (Princ. de psych., tome II, § 367-368.) « On peut définir le rapport de coexistence, l’union de deux rapports de séque
67-368.) « On peut définir le rapport de coexistence, l’union de deux rapports de séquence, telle que, tandis que les deux terme
dans leur ordre de succession, ils sont exactement semblables sous le rapport du sentiment qui accompagne cette succession. En
emblent parfaitement par l’absence de contrainte. Et naturellement le rapport de non-coexistence diffère en ceci, que quoique l
3 (1893) La psychologie des idées-forces « Tome premier — Livre quatrième. Éléments sensitifs et appétitifs des opérations intellectuelles — Chapitre premier. Sensation et pensée »
par une opération sensitive ? — II. La forme des sensations et leurs rapports sont-ils saisis par une opération sensitive ? — I
? » À cette mobilité des choses sensibles Platon opposa les immuables rapports que saisit la pensée. « Il y a des objets que l’â
tu l’être ? — Dans la classe des objets avec lesquels l’âme se met en rapport immédiatement et par elle-même. — En est-il de mê
intellectualistes, quoiqu’ils l’aient parfois eux-mêmes indiqué : le rapport des idées au désir et au mouvement, à « l’appétit
que cette même action réciproque de l’appétit et du milieu dégage les rapports intelligibles entre les sensations, rapports attr
et du milieu dégage les rapports intelligibles entre les sensations, rapports attribués par les platoniciens à l’action du pur
omme la spécialisation et le développement des autres organes, par le rapport aux besoins de la vie. La connaissance n’est, qu’
entiments de différence et de ressemblance. Passons maintenant aux rapports établis par la pensée entre les sensations, rappo
s maintenant aux rapports établis par la pensée entre les sensations, rapports qu’on appelle la « forme » de la connaissance. — 
l et spontané, peut introduire l’unité dans ce chaos et y établir des rapports . — Nous voilà revenus à la discussion du Théétète
en de laquelle les représentations ne se peuvent saisir qu’en un seul rapport spécial et invariable. Si le son du tonnerre suit
uire enfin les relations qui existent entre nos sensations mêmes. Les rapports de nos sensations, leur coexistence ou leur séque
ent crée en toute liberté les formes qu’il applique aux choses et les rapports qu’il établit entre elles ; d’autre part, il n’ad
e sous la forme affaiblie et la pénombre du souvenir. En général, les rapports de nos états de conscience dans le temps, leurs r
général, les rapports de nos états de conscience dans le temps, leurs rapports mêmes de dépendance mutuelle et de causalité empi
n ordre imposé du dehors et qui demeure lui-même extérieur : c’est un rapport constant de simultanéité ou de succession qui n’a
comme deux couleurs, sont sans doute des images sensibles, mais « le rapport de différence ou de ressemblance, lui, n’est pas
entation sensible » ; les termes seuls sont sentis, la conscience des rapports n’a absolument rien de sensible. Au point de vue
lables ou différentes, unes ou multiples : il ne fait que dégager les rapports des objets. Or, il ne connaît les objets que par
jets. Or, il ne connaît les objets que par ses impressions ; donc ces rapports existent déjà d’une manière concrète dans ces imp
sions mêmes du Parménide, toutes les applications qu’il doit faire de rapports purement intellectuels entre des choses qui ne lu
nent, selon vous, aucun sentiment préalable et caractéristique de ces rapports  ? N’est-ce pas aussi impossible que de déclarer u
quand il saisit des relations. Sans cela, la prétendue aperception de rapports ne serait qu’une dénomination extrinsèque et arti
illeurs de reconnaître qu’il est au moins deux cas où l’intuition des rapports est impliquée dans l’intuition même des données :
quée dans l’intuition même des données : c’est ce qui a lieu pour les rapports d’espace et les rapports de temps. La couleur, pa
e des données : c’est ce qui a lieu pour les rapports d’espace et les rapports de temps. La couleur, par exemple, est inséparabl
de quelque représentation de l’étendue, qui enveloppe un ensemble de rapports  ; tous les états de conscience sont liés au senti
de la succession ou de la durée, qui enveloppe encore un ensemble de rapports . Ces rapports sont réalisés et représentés effect
ion ou de la durée, qui enveloppe encore un ensemble de rapports. Ces rapports sont réalisés et représentés effectivement dans l
tirée par la réflexion. — À quoi les platoniciens répondent : Si ces rapports sont représentés dans l’ensemble des données, ils
ie d’expériences successives que le sentiment concret de tels ou tels rapports , demeurant invariable sous les sentiments de term
ugement proprement dit. — Soit, dit-on encore ; il y a des cas ou les rapports sont représentés eux-mêmes d’avance avec leurs te
utres qui échappent à toute représentation de ce genre. Tels sont les rapports de différence et de ressemblance. Avant que j’aie
figure, plus l’idée de la différence ou de la ressemblance. Or, quel rapport y a-t-il entre celle-ci et celles-là ? Les figure
’appelle tantôt similitude, tantôt dissimilitude. En résumé, c’est le rapport dynamique d’opposition qui produit l’idée de l’au
maintenant au second fait élémentaire contenu dans la conscience des rapports  : la perception d’une ressemblance. Selon Spencer
il également vrai que j’y provoque d’autres mouvements pour saisir le rapport d’égalité qui existe entre ses côtés98 ? — Oui ce
rieur à la matière, soit dans des objets intelligibles, soit dans des rapports intelligibles, au lieu de le chercher dans l’inte
tte conclusion que tout objet proprement dit est sensible et que tout rapport d’objets est pour nous sensitif, réductible dans
es extérieures, elle leur répond en son langage. Nous avons vu que le rapport des sensations est un ordre imposé du dehors et p
ns-nous que nos idées ressemblent aux réalités, ou du moins que leurs rapports ressemblent aux rapports des réalités ? Pour cela
semblent aux réalités, ou du moins que leurs rapports ressemblent aux rapports des réalités ? Pour cela nous n’avons qu’un moyen
. Les conséquences pratiques manquent au rêve, qui ne modifie pas les rapports des choses conformément aux rapports de ses fanta
au rêve, qui ne modifie pas les rapports des choses conformément aux rapports de ses fantaisies. Seule, la force de l’idée, son
ment à satisfaire un besoin éveillé par une sensation ? C’est dans le rapport même qui existe entre notre volition et le mouvem
cience et inexplicables par l’influence du dehors. Ce ne sont pas des rapports intelligibles, mais au contraire quelque chose de
4 (1893) La psychologie des idées-forces « Tome premier — Livre deuxième. L’émotion, dans son rapport à l’appétit et au mouvement — Chapitre deuxième. Rapports du plaisir et de la douleur à la représentation et à l’appétition »
Chapitre deuxième Rapports du plaisir et de la douleur à la représentation e
plaisir et de la douleur à la représentation et à l’appétition I. Rapport du plaisir et de la douleur à la représentation e
es qualitatives, mais seulement des différences quantitatives ? — II. Rapport du plaisir et de la douleur à l’appétition. La te
tendance précède-t-elle le sentiment, ou en est-elle la suite ? I Rapport du plaisir et de la peine à la représentation
a peine à la représentation Nous pouvons maintenant déterminer les rapports du plaisir et de la douleur avec l’intelligence e
s des choses par notre activité ne nous sera pas enlevé d’avance. Les rapports de la sensibilité à l’intelligence ont donné lieu
e de la sensibilité, les plaisirs et les peines sont des idées ou des rapports entre les idées. Selon Hartmann, l’intelligence e
l’ouïe s’expliquent par des harmonies de sons, conséquemment par des rapports numériques dans la simplicité desquels l’âme se c
rs, à toutes les peines, et on a voulu les ramener à la perception de rapports harmoniques ou désharmoniques. Wolf alla jusqu’à
ents « le produit conscient d’une estimation inconsciente de certains rapports  ». C’est là se tirer d’affaire par un mode occult
autres à la refouler, comme le souvenir de sa mort ; il en résulte un rapport de tension et de lutte, qui est la peine. Toute p
tenu, par exemple à l’idée même de notre ami, et affectés par le seul rapport mutuel de nos représentations opposées ? Sans dou
ons, comme l’inquiétude, le contentement, etc. ; mais ce n’est pas le rapport même des représentations entre elles qui constitu
orielles. Or, comment expliquer une colique ou un mal de dents par un rapport de représentations ? Nous ne saurions donc accord
entations ? Nous ne saurions donc accorder que la représentation ou «  rapport à un objet » soit, selon l’expression de Brentano
tes semblent provoquer des sentiments de plaisir ou de déplaisir, par rapport auxquels nous, au contraire, nous sommes « blasés
he en proche. M. Richet ne compare donc pas les objets sous les mêmes rapports . Chez les animaux les plus primitifs, rien n’indi
ssement moins rapides. En résumé, voici quel est, selon nous, le vrai rapport du plaisir et de la peine avec l’intelligence. En
nous l’avons vu, le sentiment n’est pas la représentation même, ni un rapport de représentations, il n’a pas non plus pour caus
nc il ne faut pas composer les plaisirs avec des raisonnements sur le rapport des choses à notre intérêt vital ou sur leurs rap
nnements sur le rapport des choses à notre intérêt vital ou sur leurs rapports mutuels de symétrie, d’uniformité, de variété, il
tèmes qui ont voulu réduire le sentiment à l’intelligence jugeant les rapports des objets entre eux ou leurs rapports à nous-mêm
t à l’intelligence jugeant les rapports des objets entre eux ou leurs rapports à nous-mêmes. Le tort de ces systèmes est de repr
r le plaisir et la douleur comme un jugement, et comme un jugement de rapports plus ou moins extérieurs ou objectifs : ce sont d
e auxquels seuls appartiendraient la réalité et l’efficacité. II Rapport du plaisir et de la peine à l’appétition On
5 (1902) La métaphysique positiviste. Revue des Deux Mondes
du Gange ! Quelques années encore et l’universalité, la nécessité des rapports qu’elle exprime, leur interdépendance, apparaissa
s, en tout cas, la « conformité » d’aucune vérité avec son objet. Les rapports seuls sont certains : toute science, quand on l’a
te science, quand on l’approfondit, n’est en somme qu’un système de «  rapports  », et ces « rapports », en un certain sens, ne so
l’approfondit, n’est en somme qu’un système de « rapports », et ces «  rapports  », en un certain sens, ne sont eux-mêmes que des
e, — et on pourrait dire de génération en génération, — le système de rapports qu’elle est. Avant Auguste Comte et le positivism
te révolution. De ce que la science, en effet, n’est qu’un système de rapports , et de ce que ses progrès ne sauraient consister
ses progrès ne sauraient consister qu’à développer le système de ces rapports , il résulte, en premier lieu, que nous pouvons to
ier lieu, que nous pouvons toujours nous tromper sur la nature de ces rapports , et que la vérification, si je puis ainsi dire, e
cette seule raison, dès que la science est conçue comme un système de rapports , la science, d’âge en âge, est donc perpétuelleme
illeurs assez clairement qu’à mesure que nous connaîtrons mieux ces «  rapports  » qui sont toute la science ; à mesure qu’ils ser
la religion ? Mais, précisément, si la science n’est qu’un système de rapports , et de rapports humainement variables, quoique th
is, précisément, si la science n’est qu’un système de rapports, et de rapports humainement variables, quoique théoriquement néce
t de la « remplacer ! » L’absolu n’est pas le relatif ! Un système de rapports n’explique pas l’homme à lui-même, son origine ou
la connaissance. » La science, avons-nous dit, n’est qu’un système de rapports ou de signes, entre lesquels et ce qu’ils signifi
et ce qu’ils signifient nous ne saurions affirmer s’il y a plus de «  rapports  » qu’entre « le Chien, constellation céleste », e
n animal aboyant. » Il y en a même et certainement moins, puisque les rapports que nous ne voyons pas entre le Chien « constella
iens hommes qui jadis les ont nommés du même nom. En revanche, de ces rapports dont le système constitue notre science, nous pou
i distinguent la science d’avec l’art. Car ne sont-ce pas aussi des «  rapports  » qu’expriment la musique, par exemple, ou la pei
rts » qu’expriment la musique, par exemple, ou la peinture ? Mais ces rapports ne sont pas « constans », et ils ne sont pas « né
s ne sont pas « nécessaires. » Il arrive, dit-on, fréquemment, que le rapport soit le même entre la longueur de la tête humaine
par exemple, et la longueur du buste ou du corps tout entier. Mais ce rapport n’est pas « nécessaire », puisqu’il est souvent a
, et imprévu. On a pu dire que l’art consistait dans l’altération des rapports réels des choses6. En tout cas, les rapports des
it dans l’altération des rapports réels des choses6. En tout cas, les rapports des objets qu’ils imitent ne sont pas les mêmes a
ni en affirmer l’existence en dehors de nous. Il en est autrement des rapports que nous appelons « constans » et « nécessaires. 
en prendre et la réalité de ce qu’il est en son fond, il n’y a pas de rapport à nous connu, de communication certaine, de resse
et la constitution de notre mentalité, quelle qu’elle soit, il y a un rapport constant. Peut-être même y a-t-il quelque chose d
relatif, ou en d’autres termes, nous ne connaissons rien que dans son rapport avec autre chose, et, par conséquent, sous la con
de Corneille, ont fait d’une altération systématique et convenue des rapports réels des choses le principe de leur esthétique.
sur la marche des idées dans l’histoire, t. I, p. 296. 8. Ravaisson, Rapport sur le concours pour le prix Victor Cousin, 1884.
6 (1829) De la poésie de style pp. 324-338
i joliment enfilées les unes au bout des autres, sans liaison et sans rapport , comme les grains d’un chapelet, ne font presque
mondes dans l’autre. L’oreille, l’œil, trouvent leur plaisir dans le rapport harmonique de deux sons ou de deux couleurs ; mai
ouble plaisir est encore surpassé par celui qui naît simultanément du rapport entre les deux termes, c’est-à-dire de la similit
oésie vit de métaphore, et que le poète est un artiste qui saisit des rapports de tout genre par toutes les puissances de son âm
genre par toutes les puissances de son âme, et qui leur substitue des rapports identiques sous forme d’images, de même que le gé
istique. Mais le Mazeppa surtout est un parfait symbole, et, sous ce rapport , on peut le regarder comme une création qui n’ava
pourrait peut-être aussi tirer de là quelques considérations sur les rapports qui unissent maintenant notre prose et notre poés
Dans la science des nombres, on peut multiplier les deux termes d’un rapport sans que le rapport change ; on a ainsi deux rapp
nombres, on peut multiplier les deux termes d’un rapport sans que le rapport change ; on a ainsi deux rapports égaux et une pr
deux termes d’un rapport sans que le rapport change ; on a ainsi deux rapports égaux et une proportion ; et si on répète la même
i on répète la même opération plusieurs fois, on obtient une suite de rapports , tous identiques, quoique sous des formes différe
, le géomètre substitue des nombres, parce qu’il ne considère que des rapports . Nous pourrions continuer, et montrer que tout se
t le sensible aux conceptions pures, ou en d’autres termes saisir des rapports et leur substituer des rapports identiques pris d
res, ou en d’autres termes saisir des rapports et leur substituer des rapports identiques pris dans un autre ordre d’idées, de m
cas, il ne fait qu’abstraire et comparer, c’est-à-dire substituer le rapport de deux termes au rapport identique de deux autre
ire et comparer, c’est-à-dire substituer le rapport de deux termes au rapport identique de deux autres termes. L’identité est l
e sensible par l’abstrait ; mais tous deux ne font que substituer des rapports à d’autres rapports, ou plutôt reproduire sous de
trait ; mais tous deux ne font que substituer des rapports à d’autres rapports , ou plutôt reproduire sous des termes différents
’autres rapports, ou plutôt reproduire sous des termes différents des rapports identiques. Seulement ils ne travaillent pas sur
7 (1818) Essai sur les institutions sociales « Addition au chapitre X de l’Essai sur les Institutions sociales » pp. 364-381
oire d’un homme qui eût pu laisser un nom s’il eût voulu se mettre en rapport avec le public, et dont d’inexprimables chagrins
considérées comme peintures, comme expressions de nos idées et de nos rapports perçus ; et qu’elles n’avaient point été considér
elais la révélation. Les vieux monuments de la langue latine, sous ce rapport , nous raconteront, plus tard, comme la Bible. J’e
nt tout pour nous ; nous finissons par ne plus évoquer les idées (les rapports rendus concrets et fixés), et par ne plus opérer
ocaux pour représenter soit nos perceptions intellectuelles, soit les rapports intellectuels, les volontés, les actes de l’espri
on pense souvent avec des images ; un grand nombre de perceptions de rapports a lieu, et ces perceptions sont des idées, des pe
’est plus évoquée que par cette nature de signes ; la perception d’un rapport rappelle immédiatement son signe oral représentat
ue des langues dérivées, la valeur des mots qui peignent à la fois le rapport physique, ou l’être physique, avec le rapport ana
i peignent à la fois le rapport physique, ou l’être physique, avec le rapport analogique intellectuel ; s’est presque totalemen
l’expression nette, significative de nos idées, de nos perceptions de rapports intellectuels ; que l’analogie de ces rapports in
de nos perceptions de rapports intellectuels ; que l’analogie de ces rapports intellectuels avec les êtres physiques et les rap
nalogie de ces rapports intellectuels avec les êtres physiques et les rapports physiques n’est plus sentie ; que le langage a ce
avait reconnu l’absolu dans le moi de l’homme exprimant par le son un rapport entre l’être physique et l’être métaphysique, et
8 (1911) La valeur de la science « Troisième partie : La valeur objective de la science — Chapitre XI. La Science et la Réalité. »
voir de valeur objective parce qu’elle ne nous fait connaître que des rapports , c’est raisonner à rebours, puisque précisément c
rapports, c’est raisonner à rebours, puisque précisément ce sont les rapports seuls qui peuvent être regardés comme objectifs.
st ce lien, et ce lien seul qui est objet en eux, et ce lien c’est un rapport . Donc quand nous demandons quelle est la valeur o
hoses ? mais cela veut dire ; nous fait-elle connaître les véritables rapports des choses ? À la première question, personne n’h
la seconde. La science peut-elle nous faire connaître les véritables rapports des choses ? Ce qu’elle rapproche devrait-il être
que nous avons dit plus haut sur les conditions de l’objectivité. Ces rapports ont-ils une valeur objective ? cela veut dire : c
ité. Ces rapports ont-ils une valeur objective ? cela veut dire : ces rapports sont-ils les mêmes pour tous ? Seront-ils encore
qui le plus souvent survit. Si l’une d’elles nous a fait connaître un rapport vrai, ce rapport est définitivement acquis et on
nt survit. Si l’une d’elles nous a fait connaître un rapport vrai, ce rapport est définitivement acquis et on le retrouvera sou
s être par hasard. En résumé, la seule réalité objective, ce sont les rapports des choses d’où résulte l’harmonie universelle. S
pports des choses d’où résulte l’harmonie universelle. Sans doute ces rapports , cette harmonie ne sauraient être conçus en dehor
ns-nous dit, est d’autant plus vraie, qu’elle met en évidence plus de rapports vrais. À la lumière de ce nouveau principe, exami
dmettre l’existence de l’espace absolu. Mais si l’une nous révèle des rapports vrais que l’autre nous dissimule, on pourra néanm
En disant, la Terre tourne, j’affirme que tous ces phénomènes ont un rapport intime, et cela est vrai, et cela reste vrai bien
’action de forces centrales, la Mécanique Céleste est impossible. Les rapports intimes que la Mécanique Céleste nous révèle entr
nique Céleste nous révèle entre tous les phénomènes célestes sont des rapports vrais ; affirmer l’immobilité de la Terre, ce ser
apports vrais ; affirmer l’immobilité de la Terre, ce serait nier ces rapports , ce serait donc se tromper. La vérité, pour laque
9 (1893) La psychologie des idées-forces « Tome premier — Livre quatrième. Éléments sensitifs et appétitifs des opérations intellectuelles — Chapitre deuxième. Les opérations intellectuelles. — Leur rapport à l’appétition et à la motion. »
Chapitre deuxième Les opérations intellectuelles. — Leur rapport à l’appétition et à la motion. I. Rôle de l’ap
eur véritable du processus, dont le mécanisme exprime la forme et les rapports extérieurs. II Quel est le véritable pouvoi
ique. À l’origine, l’être animé ne se préoccupe pas de contempler les rapports des choses pour eux-mêmes ; il sent, veut et se m
à la théorie de la logique formelle, qui établit entre les objets des rapports de contenant à contenu, de tout à parties, et qui
exe suivie de réaction. De plus, quand même nous pourrions établir un rapport dans notre pensée entre l’idée de feu et l’idée d
s où l’on tient compte des différences, des ressemblances et de leurs rapports selon les lois de la nature. Les idées sont des f
mouvements. — Mais, objectera-t-on, le jugement consiste à saisir le rapport des termes ; or « les termes sont des images, mai
isir le rapport des termes ; or « les termes sont des images, mais le rapport n’est pas une image. » Nous avons déjà répondu pl
t n’est pas une image. » Nous avons déjà répondu plus haut que, si le rapport n’est pas une image objective (encore est-il tel
boutissent à cette théorie : « Aucune association n’est perception de rapport ou jugement. » — Il faudrait simplement dire, pou
tre exact : « Toute association n’est pas par cela même perception de rapport ou jugement », car il faut, pour juger, non seule
e l’acte ; mais cela n’implique pas du tout que l’animal ait pensé un rapport quelconque entre l’éclair et le tonnerre, pas mêm
ensé un rapport quelconque entre l’éclair et le tonnerre, pas même le rapport de succession ; non plus qu’un rapport quelconque
ir et le tonnerre, pas même le rapport de succession ; non plus qu’un rapport quelconque entre l’idée de tonnerre et l’idée de
té, par cela même, dans l’impossibilité d’apercevoir aucune espèce de rapport . Il y aurait alors pure succession, simple déroul
mple déroulement d’une série : dans le jugement, il y a perception de rapports , liaison logique entre tous les termes de cette s
but prennent alors dans la conscience des formes nettes, ainsi que le rapport qui les unit. Tout ce qui eût passé inaperçu est
tème d’actions et de mouvements, on peut dire de nouveau que c’est le rapport au mouvement, la force plus ou moins intensive et
de toute cette multitude. Il résulte de ce qui précède que, par leurs rapports avec la mobilité de la pensée et avec la motilité
fonction, et cette fonction elle-même est sensorielle et motrice : le rapport intellectuel de généralité est un extrait 1° du s
des similitudes, des identités soit entre des objets, soit entre des rapports . Or, c’est là raisonner ; car je n’ai besoin que
 : A = C, et jamais : A n’égale point C. Ce qui revient à dire que de rapports semblables on ne peut déduire des rapports différ
qui revient à dire que de rapports semblables on ne peut déduire des rapports différents, ou, plus généralement encore, que du
mbent toujours sur le même nombre, on dira qu’ils sont pipés. Plus un rapport est à la fois simple et constant, plus il est voi
e qui revient à dire que les choses identiques seulement par quelques rapports ont des raisons identiques seulement par quelques
r quelques rapports ont des raisons identiques seulement par quelques rapports . Deux objets étant donnés, si nous reconnaissons
tés ou attributs (homme, mortel, etc.), entre lesquels il établit des rapports de simple coexistence ou de succession ; le raiso
u contraire, roule sur des quantités, entre lesquelles il établit des rapports d’égalité ou d’inégalité. Par exemple, je puis dé
+ 4 = 10, x = 3. Cette sorte de raisonnement, ne portant que sur des rapports parfaitement définis, ceux de quantité, et procéd
nfondraient avec les lois des forces, mais elle n’exprimerait que les rapports nécessaires des choses sans en saisir le fond int
non une analogie de formes, mais une analogie de lois, de règles, de rapports , elle constitue le symbole proprement dit. Par ex
les lois du monde physique au monde moral. Enfin, quand il n’y pas de rapport réel, mais seulement un rapport plus ou moins con
nde moral. Enfin, quand il n’y pas de rapport réel, mais seulement un rapport plus ou moins conventionnel entre la représentati
e absolue et complète ; nous connaissons seulement, et en partie, les rapports des choses entre elles ou avec nous : nos concept
dans lesquels la partie est substituée au tout, la forme au fond, les rapports plus ou moins extrinsèques à l’être intime, le re
une direction nouvelle : le monde des idées est ainsi, sous tous les rapports , un monde de forces. 99. Voir Volkmann, Lehrbu
it ailleurs : « Si nous cherchons quel est, à l’origine de la vie, le rapport de ces deux choses, volonté et croyance (ou induc
10 (1893) La psychologie des idées-forces « Tome premier — Introduction. Le problème des idées-forces comme fondamental en psychologie. »
e portrait de la Fornarina. La ressemblance et la différence sont des rapports tout extrinsèques, pour un troisième terme qui la
s représentations, qu’ils ne le deviennent que plus tard, en vertu de rapports très complexes, dérivés et secondaires. Ils sont
s ; par conséquent, ils sont des actions et réactions ; et tel est le rapport sous lequel une psychologie mieux entendue doit l
raits d’une réalité unique et totale, qui comprend à la fois tous les rapports mécaniques et tous les faits de sensibilité ou de
réalité qui peut s’exprimer en sensations visuelles ou tactiles et en rapports dans l’espace entre les causes supposées de ces s
tants, d’autres parties ou éléments du processus total, avec d’autres rapports à d’autres sens. Nous disons : si, en même temps
son tant que la sensation de son ne viendra pas s’ajouter aux autres rapports de ces vibrations avec d’autres sens, tels que la
coup, d’autres sensations possibles de la vue et de l’ouïe, d’autres rapports du même phénomène, d’autres richesses qu’il renfe
us l’avons formulé tout à l’heure, est très différent, sous plus d’un rapport , du problème que se posent les sciences physiques
n quelconque à l’être sentant et conscient ; car c’est précisément ce rapport à une conscience actuelle ou virtuelle qui consti
ence quelconque, en tant qu’appréhendées sous forme de sensations. Le rapport à un sujet sentant et voulant est donc bien carac
phénomènes doivent toujours être considérés synthétiquement dans leur rapport à l’intérieur, au centre de vie mentale qui non s
ntaire. Les phénomènes à étudier sont toujours concentriques. Sous ce rapport , la psychologie ressemble à la biologie, qui cons
a réaction de la volonté appelée aversion, il n’y a pas simplement un rapport dans le temps dont on ferait la constatation brut
rconstances, le même ordre se reproduira. Nous voyons un pourquoi, un rapport de convenance interne entre les phénomènes se con
ne même volonté tendant au plus grand bien. On peut donc dire que les rapports psychologiques sont, comme tels, des rapports de
peut donc dire que les rapports psychologiques sont, comme tels, des rapports de finalité immanente, très différents des lois d
le calcul que la patte gauche se lèverait. Tout est mécanique sous le rapport des changements dans l’espace ; mais la série des
st plus seulement : existe-t-il un sujet ? mais, comment agit-il ? Le rapport du sujet aux objets n’est plus un simple rapport
comment agit-il ? Le rapport du sujet aux objets n’est plus un simple rapport de représentation, mais d’adaptation et de finali
enu tout objectif et sensoriel est-elle la meilleure expression de ce rapport primordial auquel vient aboutir l’analyse intérie
e se comprend que par le sujet, et le sujet ne se saisit que dans son rapport à un objet ; donc l’intelligence arrive elle-même
t certain, c’est que l’objectivité, nous l’avons vu plus haut, est un rapport ultérieurement conçu ; la représentation ne repré
rt ultérieurement conçu ; la représentation ne représente que par son rapport à autre chose qu’elle ; primitivement, il n’y a q
eurs aussi pour le son et pour la chaleur. Il n’en résulte pas que le rapport des deux sensations puisse toujours être exprimé
une sensation de qualité différente, quoique semblable sous certains rapports  ? Mais une qualité qui admet du plus et du moins
onnaissance sont des éléments qu’on trouve dans l’esprit, et, sous ce rapport , ils font partie des objets de la science psychol
’objet sur le sujet, et ce que peut le sujet sur l’objet ; sous leurs rapports de « représentation » elle cherche à découvrir le
s leurs rapports de « représentation » elle cherche à découvrir leurs rapports d’action réciproque ; enfin elle montre comment l
11 (1889) Essai sur les données immédiates de la conscience « Chapitre III. De l’organisation des états de conscience. La liberté »
verrait qu’elles impliquent deux hypothèses assez différentes sur les rapports de la loi avec le fait qu’elle régit. A mesure qu
ns opposées de l’activité humaine, selon la manière dont on entend le rapport du concret à l’abstrait, du simple au complexe, e
dans une certaine nuance ou qualité de l’action même, et non dans un rapport de cet acte avec ce qu’il n’est pas ou avec ce qu
ce point, car ce n’est pas lier l’avenir au présent que d’établir un rapport de convenance ou de disconvenance entre une condu
ous indiquât la position des points de cette ligne, non seulement par rapport les uns aux autres, mais encore par rapport aux p
car dans ces équations le symbole t ne désigne pas une durée, mais un rapport entre deux durées, un certain nombre d’unités de
nte par une équation. À vrai dire, il se borne à établir une série de rapports de position entre ce corps et d’autres corps donn
a même hypothèse s’étende à toute la série des opérations, et que les rapports successifs de position dans l’espace se trouvent
éduire de plus en plus un intervalle de temps futur en conservant les rapports de ses parties entre elles, ainsi qu’il arrive po
mouvement qui se produit, mais un mouvement que l’on pense ; c’est un rapport entre des rapports. On admet, sans bien s’en rend
roduit, mais un mouvement que l’on pense ; c’est un rapport entre des rapports . On admet, sans bien s’en rendre compte peut-être
imultanéités seulement, et l’on nous fournit le moyen de calculer ces rapports de simultanéité pour un moment quelconque de notr
nature tend à s’évanouir ainsi en fumée algébrique. Ainsi entendu, le rapport de causalité est un rapport nécessaire en ce sens
si en fumée algébrique. Ainsi entendu, le rapport de causalité est un rapport nécessaire en ce sens qu’il se rapprochera indéfi
un rapport nécessaire en ce sens qu’il se rapprochera indéfiniment du rapport d’identité, comme une courbe de son asymptote. Le
s l’absolu, à l’unité divine : il supposait ainsi, d’une part, que le rapport de causalité apparente entre les phénomènes se ra
rapport de causalité apparente entre les phénomènes se ramenait à un rapport d’identité dans l’absolu, et, d’autre part, que l
e notre temps, on trouvera partout la même préoccupation d’établir un rapport de nécessité, logique entre la cause et l’effet,
que cette préoccupation se traduit par une tendance à transformer en rapports d’inhérence les rapports de succession, à annuler
se traduit par une tendance à transformer en rapports d’inhérence les rapports de succession, à annuler l’action de la durée, et
a conception spinoziste ou cartésienne de la nature, inversement tout rapport de détermination nécessaire établi entre des phén
En d’autres termes, plus nous tendons à ériger la relation causale en rapport de détermination nécessaire, plus nous affirmons
paradoxale que cette opinion puisse paraître, que la supposition d’un rapport d’inhérence mathématique entre les phénomènes ext
ut affirmer a priori qu’il n’y aura plus entre la cause et l’effet un rapport de détermination nécessaire, car l’effet ne sera
lle des faits de conscience. À vrai dire, cette seconde conception du rapport de la cause à l’effet est plus naturelle que la p
sentatifs les uns des autres. Ainsi, avec notre seconde conception du rapport de causalité, nous aboutissons à Leibnitz, comme
x idées timides et confuses du sens commun. Or, il est évident que le rapport de causalité, entendu de cette seconde manière, n
harmonie préétablie, et point du tout dans la conception dynamique du rapport de causalité. Mais laissons de côté l’histoire. L
re qu’à l’état d’idée. En d’autres termes, la conception dynamique du rapport de causalité attribue aux choses une durée tout à
urs l’un par l’autre revêt maintenant à nos yeux la même forme que le rapport dynamique de notre force à l’acte qui en émane ;
ue de notre force à l’acte qui en émane ; mais en revanche ce dernier rapport prend l’aspect d’une dérivation mathématique, l’a
nter de la même manière, et de désigner par un même mot, d’un côté le rapport qui existe entre deux moments de notre propre exi
ts de notre existence pour ainsi dire objectivée nous établissions un rapport analogue à la relation objective de causalité, et
, considérée comme activité ou effort. Il est donc entendu ici que le rapport de causalité externe est purement mathématique, e
externe est purement mathématique, et n’a aucune ressemblance avec le rapport de la force psychique à l’acte qui en émane. Le m
ce psychique à l’acte qui en émane. Le moment est venu d’ajouter : le rapport de causalité interne est purement dynamique, et n
salité interne est purement dynamique, et n’a aucune analogie avec le rapport de deux phénomènes extérieurs qui se conditionnen
tenant formuler notre conception de la liberté. On appelle liberté le rapport du moi concret à l’acte qu’il accomplit. Ce rappo
ppelle liberté le rapport du moi concret à l’acte qu’il accomplit. Ce rapport est indéfinissable, précisément parce que nous so
12 (1895) Les règles de la méthode sociologique « Chapitre VI : Règles relatives à l’administration de la preuve »
u que l’explication sociologique consiste exclusivement à établir des rapports de causalité, qu’il s’agisse de rattacher un phén
logiques. Suivant lui, elles doivent principalement exprimer, non des rapports définis de causalité, mais le sens dans lequel se
qu’un effet puisse suivre tantôt une cause et tantôt une autre. Si le rapport qui unit C à A est purement chronologique, il n’e
it C à A est purement chronologique, il n’est pas exclusif d’un autre rapport du même genre qui unirait C à B par exemple. Mais
gible, il ne saurait être à ce point indéterminé. S’il consiste en un rapport qui résulte de la nature des choses, un même effe
ui résulte de la nature des choses, un même effet ne peut soutenir ce rapport qu’avec une seule cause, car il ne peut exprimer
es spécifiquement différentes et la pluralité des causes se trouve en rapport avec celle des effets ; et si entre toutes ces es
nsidérable de faits, on ne pourra jamais obtenir de lois précises, de rapports déterminés de causalités. On ne pourra qu’assigne
approximative, que deux peuples concordent ou diffèrent sous tous les rapports , sauf un. Les chances de laisser un phénomène se
une relation. Cette méthode doit ce privilège à ce qu’elle atteint le rapport causal, non du dehors comme les précédentes, mais
omènes varient régulièrement l’un comme l’autre, il faut maintenir ce rapport alors même que, dans certains cas, l’un de ces ph
ar ce procédé ne se présentent pas toujours d’emblée sous la forme de rapports de causalité. La concomitance peut être due non à
le est la méthode expérimentale qui permet d’obtenir mécaniquement un rapport de causalité sans que les faits qu’elle établit a
13 (1893) La psychologie des idées-forces « Tome premier — Livre troisième. Le souvenir. Son rapport à l’appétit et au mouvement. — Chapitre quatrième. L’aperception et son influence sur la liaison des idées »
influence sur la liaison des idées I. Nature de l’aperception. Son rapport avec l’attention et l’appétition. — II. L’apercep
re, supérieure en extension et en homogénéité interne ; c’est donc un rapport entre des groupes de représentations. Enfin pour
selon nous, la reconnaissance et la classification instantanée, avec rapport plus ou moins implicite au moi. Nous avons vu que
nnent une combinaison de changements organisés et conscients de leurs rapports . De plus, ajouterons-nous, le groupe général et e
le sujet sentant et agissant prend à ses sensations, en vertu de leur rapport à son état total ; l’intérêt sensible produit une
elle indéterminée de sa nature, ou, comme toute réaction, est-elle en rapport nécessaire avec l’action subie ? La théorie de Wu
es vibrent seulement sous l’influence des sons qui ont avec elles des rapports harmoniques. Helmholtz a montré, dans son Optique
intenses et distinctes. « Mais, objecte Wundt, on ne peut établir de rapport constant et mesurable entre l’action déterminante
l’intérêt que nous prenons à la chose, — intérêt déterminé, fini, en rapport avec les deux termes subjectif et objectif, et qu
14 (1893) La psychologie des idées-forces « Tome premier — Livre premier. La sensation, dans son rapport à l’appétit et au mouvement — Chapitre premier. La sensation »
elle leur simplicité ? — V. Elément relationnel des sensations. — VI. Rapport nécessaire de la sensation au mouvement. I Rôl
ns la genèse et le développement des sensations Chaque être est en rapport avec tous les êtres ; il en subit l’influence, il
ssance avec le minimum de souffrance. En vertu de cette loi, c’est le rapport des sensations aux émotions agréables ou pénibles
sont encore qu’une langue dérivée, une algèbre propre à exprimer des rapports  : le fond même de la vie, l’original de l’existen
renciation et intégration successives, ont intensité, qualité, durée, rapport plus ou moins vague à l’étendue, ou extensivité.
tance ne peut se sentir seule, puisqu’elle implique deux termes et un rapport . La résistance est une motion arrêtée, une action
s laquelle il ne serait ni distinct ni senti. Il y a là d’ailleurs un rapport réciproque : car, si les sensations de tension et
t nous ne sommes avertis de ces sentiments d’appétition que dans leur rapport avec la résistance appréhendée par le sens. Nous
dire passivement changé et activement changeant dans la durée avec un rapport vague à l’espace ; mais cet élément sensoriel, mê
et encore n’obtenez-vous ainsi qu’une unité de lois, c’est-à-dire de rapports de temps, d’espace, de durée, d’intensité et de q
isirs et douleurs, de nos appétitions. Mais, en premier lieu, sous le rapport du temps, nous ne saurions saisir en nous l’insta
conscience, principalement les sensations, sont des composés, sous le rapport du nombre, du temps, de l’intensité, et même de l
exes, qu’elles enveloppent une somme d’actions et de réactions en des rapports déterminés, elles renferment nécessairement un él
exemple la différence de 2 à 3, non des intensités en elles-mêmes, le rapport de 2 à 3 devrait être saisi partout où il existe.
rop faibles, il n’est pas perceptible. Donc ce n’est pas seulement le rapport que nous sentons, mais les intensités mêmes des a
i en résulte, mais il ne s’ensuit pas que nous sentions seulement des rapports . Un disque rouge trop éloigné n’est pas vu ; il n
c’est bien la qualité même de la couleur qui est appréhendée, non son rapport avec une autre couleur. Ce qui donne lieu, dans c
t plus intime dans la conscience : c’est le sentir et le vouloir. Les rapports qui constituent le raisonnement ne peuvent unir q
s un sentiment spécial où ils sont à la fois réalisés et aperçus : le rapport de ressemblance suppose, nous le verrons plus tar
ppose, nous le verrons plus tard22, un sentiment de ressemblance ; le rapport de différence suppose un sentiment de différence 
certaine affection de la conscience particulière et concrète dont les rapports abstraits sont des extraits. Le sentiment seul un
l’existence mentale. Riehl s’est inspiré de Wundt, mais, au lieu d’un rapport entre des phénomènes inconscients, il fait consis
e des phénomènes inconscients, il fait consister la sensation dans un rapport entre une stimulation inconsciente et une stimula
hanger un pur vide, vacuum, en une réalité. C’est changer indûment le rapport entre sensation et absence de sensation en rappor
hanger indûment le rapport entre sensation et absence de sensation en rapport de sujet à objet. Quoi qu’il en soit du passage à
e combinés avec des éléments conscients, ni consister dans de simples rapports . Les relations entre les éléments sensitifs de la
sation générale, mais ils n’en sont pas plus les constituants que les rapports numériques, conditions d’un accord, ne constituen
mériques, conditions d’un accord, ne constituent l’accord même. VI Rapport nécessaire de la sensation au mouvement La sen
15 (1906) Les idées égalitaires. Étude sociologique « Deuxième partie — Chapitre I. La quantité des unités sociales : nombre, densité, mobilité »
emble soit grand ou petit, ses parties peuvent être unies par le même rapport . Entre deux exemplaires, plus ou moins volumineux
ses éléments si cet accroissement même ne devait rien changer à leurs rapports . Mais c’est ce qui est invraisemblable. Déjà en b
est vrai que celle-ci doit s’expliquer, en dernière analyse, par les rapports des éléments biologiques, par les actions et réac
e que l’accroissement de la quantité de ces éléments, multipliant ces rapports et permettant par suite à ces actions et réaction
générale de l’organisme ? A fortiori s’il s’agit d’une société : les rapports qui unissent ses éléments pouvant être infiniment
ments, devant redoubler le nombre, la complexité et la variété de ces rapports , sera vraisemblablement capable de modifier jusqu
être modifiées par le nombre des hommes avec lesquels nous vivons en rapports constants. On n’aime pas de la même façon, — c’es
les aspirations et les croyances égalitaires, qui ont pour objet les rapports mêmes des individus, ne seraient-elles pas soumis
s distinctifs qui nous autorise à chercher, entre l’un et l’autre, un rapport de condition à conséquence. Et qu’on ne nous oppo
st celle qui a pour effet d’augmenter, de compliquer et de varier les rapports entre individus. L’immensité de l’aire couverte p
lée la densité. On mesure d’ordinaire la densité d’une société par le rapport qui unit la surface qu’elle recouvre aux éléments
lité. Si donc, comme nous cherchons à l’établir, il existe un certain rapport entre l’accroissement de la quantité sociale et l
a aussi atteint son maximum. * ** Mais si nous voulons prouver que ce rapport est plus qu’une coïncidence, et que l’accroisseme
solait d’être esclave, comme soumis au corps collectif, dans tous ses rapports privés ». Les grandes démocraties modernes n’offr
 ? L’accroissement numérique des hommes avec lesquels nous entrons en rapports donne à notre pensée une sorte d’élan, qui la por
ient et le démonétisent, ne faut-il pas compter la seule quantité des rapports sociaux ? Un homme que nous coudoyons journelleme
la déduction psychologique nous autorise à penser qu’il y a, dans le rapport établi tout à l’heure par l’induction historique,
16 (1898) L’esprit nouveau dans la vie artistique, sociale et religieuse « II — L’inter-nationalisme »
tion civilisée, dans son ensemble et dans ses parties, entretient des rapports d’importance vitale, avec les autres nations, et
complexe développement social correspond l’ensemble le plus riche de rapports inter-nationaux. Pourquoi dès lors ne pas accepte
oitesse et de vanité bouffonne, et d’affirmer que l’accroissement des rapports inter-nationaux est l’une des bases les plus esse
ent isolés, se défient les uns des autres et n’ont entre eux d’autres rapports que ceux de la guerre », tandis que « aujourd’hui
développement de l’humanité est, en effet, lié à l’élargissement des rapports inter-sociaux. L’homme moderne ne borne plus ses
de la vie générale de l’organisme social. Le droit international, les rapports diplomatiques, les « Affaires étrangères » et, en
re, cette face externe d’un organisme, c’est le mutiler.‌ L’étude des rapports de l’individu et du corps social qui constitue la
fatalement, l’analogie des deux organismes étant admise, à celle des rapports du corps social et de la société humaine dans son
at des cités. Si nous voulions exprimer par une brève formule que les rapports du nationalisme et de l’Inter-nationalisme sont d
et solidarité. Nous sommes donc naturellement conduits à éclaircir le rapport de ces deux derniers termes.   De même que le sen
uvent être conçus comme in-solidaires, que tout agrégat humain est en rapport nécessaire avec un plus vaste agrégat qui est l’h
es relations commerciales ou diplomatiques, par exemple. Bien que ces rapports entrent en ligne de compte dans l’ensemble de la
ité dont nous allons envisager quelques-uns des éléments. Ce sont des rapports d’une très différente sorte qui nous intéressent
des liens matériels, se subdivisant en une multitude d’éléments. Les rapports commerciaux et industriels notamment, sont, de no
litiques ne peuvent rompre l’unité.‌ Quelque soit l’importance de ces rapports matériels, celle des liens intellectuels de cité
ements nationaux. Je ne suis pas avec ceux qui considèrent ces libres rapports comme un attentat aux nationalités. J’y vois au c
17 (1800) De la littérature considérée dans ses rapports avec les institutions sociales (2e éd.) « Seconde partie. De l’état actuel des lumières en France, et de leurs progrès futurs — Chapitre II. Du goût, de l’urbanité des mœurs, et de leur influence littéraire et politique » pp. 414-442
atesses exagérées de quelques sociétés de l’ancien régime n’ont aucun rapport sans doute avec les vrais principes du goût, touj
in celui qui devait naître de l’esprit général créé par de semblables rapports . Il existait des sociétés qui pouvaient, par des
doivent briser ces légères digues. Mais la société, c’est-à-dire, des rapports sans but, des égards sans subordination, un théât
t croient encore aux sentiments vrais et aux intérêts graves. Sous ce rapport , il n’est pas dépourvu d’une sorte de philosophie
, à la liberté, à tout ce qui peut exister de bon et d’élevé dans les rapports des hommes entre eux ! Depuis la révolution, une
actions même, annonce une âme paisible et fière, qui saisit tous les rapports dans tous les instants, et ne perd jamais ni le s
oût ne devant consister que dans la connaissance parfaite de tous les rapports vrais et durables, manquer aux principes de ce go
qu’on briserait une barrière, on n’en respecterait plus aucune ; les rapports de la société n’auraient pas assez de puissance p
hent à votre famille, à vos amis, aux malheureux ; mais dans tous les rapports qui n’ont point pris encore le caractère d’un dev
ré de considération auquel chaque individu s’est élevé ; et ; sous ce rapport , elle dispense le prix, objet des travaux de tout
vertu : loin que la république doive donner plus de liberté dans les rapports habituels de la société, comme toutes les distinc
ans les grandes circonstances, aux sentiments du cœur ; mais dans les rapports détaillés de la société, on ne s’entend que par l
portance à telle manière de voir en affaires publiques, qu’à tous ces rapports de l’âme et de la pensée, seule fraternité dont l
me que l’on n’avait jamais abordé, cette aversion s’affaiblit par les rapports de conversation, d’égards, de prévenance, qui ran
18 (1874) Premiers lundis. Tome I « Ch.-V. de Bonstetten : L’homme du midi et l’homme du nord, ou l’influence du climat »
ygiène ; Montesquieu, dans les temps modernes, l’a envisagée dans son rapport avec le gouvernement, et, par la manière paradoxa
’est que la force résultante de toutes ces forces. Continuellement en rapport et souvent en lutte avec elle, l’homme, qui n’est
; et celui-ci modifié réagit incessamment sur l’homme. [Il y a] là un rapport évident, mais complexe, qui lie les progrès de la
u nord et du raidi, il le raconte dans ce livre, et en fait sentir le rapport avec le climat. C’est un recueil d’observations m
e l’homme du nord a nécessairement un gîte, une vie intérieure et des rapports de famille, tandis que l’homme du midi est bien p
liquent en partie par la prédominance des nuits et des hivers, et les rapports de société qui en résultent. Je ne suivrai pas l’
19 (1881) La psychologie anglaise contemporaine « M. John Stuart Mill — Chapitre II : La Psychologie. »
t. Dans le premier cas, nous les considérons principalement dans leur rapport à nos divers sentiments et, par conséquent, au su
me. Dans le second cas, nous les considérons principalement dans leur rapport avec un ou plusieurs groupes de cette possibilité
nes de la nature, dit-il, sont les uns à l’égard des autres dans deux rapports distincts : simultanéité et succession95. C’est à
ts distincts : simultanéité et succession95. C’est à la catégorie des rapports de succession qu’appartient la causalité ; mais t
rie des rapports de succession qu’appartient la causalité ; mais tout rapport de succession n’est pas un rapport de causalité ;
ppartient la causalité ; mais tout rapport de succession n’est pas un rapport de causalité ; il faut pour cela qu’il remplisse
est appelé la cause ; le conséquent invariable est appelé l’effet. Le rapport de cause à effet a lieu d’ordinaire entre un grou
t en meurt : on dit que ce mets est la cause de sa mort. Mais le vrai rapport de causalité est entre la totalité des antécédent
l, avec sa grande autorité philosophique, n’ait traité nulle part des rapports de la psychologie et de la logique. Cette questio
iseuse qu’il pourrait sembler d’abord ; car, déterminer nettement les rapports de deux sciences voisines, c’est préciser leur ob
pourvu qu’elle fasse une large part aux faits), nous recherchons les rapports de la psychologie à la logique, nous verrons que
u que la cause pour M. Mill, c’est l’antécédent invariable, et que le rapport de causalité c’est la succession inconditionnelle
rience nous les ait montrés jusqu’ici (sans exception connue) dans un rapport de succession invariable et inconditionnelle, il
tes, des successifs constantes et inconditionnelles, c’est-à-dire des rapports de causalité. VII M. J. Stuart Mill a trait
ccord viennent d’une théorie erronée de la causalité qui considère le rapport de cause à effet comme nécessaire, qui imagine un
ici, il n’est pas hors de notre sujet de montrer en quelques mots les rapports de l’Associationisme avec les théories morales qu
des déterminations rigoureuses et vraiment scientifiques. Tel est le rapport qui existe entre la moralité fondée sur l’utilité
20 (1828) Introduction à l’histoire de la philosophie
profondément la philosophie platonicienne, il faut que je la mette en rapport avec l’époque de l’histoire de la philosophie à l
ière sa forme et son prix. La destinée de l’homme (j’entends dans ses rapports avec le monde) est de s’assimiler le plus possibl
l n’embrasse pas l’homme tout entier ; il ne le considère que par son rapport à l’idée du juste et de l’injuste, c’est-à-dire c
e chose, il n’aperçoit plus que son caractère divin, c’est-à-dire son rapport à Dieu. Le monde de la religion, c’est le culte.
e rappeler Dieu à l’homme, tandis que la nature extérieure, outre son rapport à Dieu, en a beaucoup d’autres qui distraient san
ficacement l’homme à son auteur ? À la condition de lui présenter les rapports si obscurs en eux-mêmes du monde et de l’homme à
sa borne infranchissable ? Dans toute époque de l’humanité, tous les rapports connus du monde et de l’homme à Dieu sont déposés
sans en omettre ni en supposer aucun ; puis, nous avons observé leurs rapports , leurs rapports de ressemblance et de dissemblanc
ni en supposer aucun ; puis, nous avons observé leurs rapports, leurs rapports de ressemblance et de dissemblance ; enfin, nous
ce et de dissemblance ; enfin, nous les avons classés à l’aide de ces rapports . C’est là l’analyse appliquée à l’âme, c’est-à-di
i elle y soutient avec les autres éléments de la civilisation le même rapport que nous l’avons vue soutenir avec les autres élé
roblème terrible. Que ferez-vous du premier ? tuez-le ou mettez-le en rapport avec son espèce. Pourquoi n’aurait-il pas connu l
tant que Leibnitz sur lui-même, sur le monde et sur Dieu, et sur leur rapport  ; mais il n’a pas le secret de son savoir ; il ne
u développement intérieur de l’esprit et du mouvement d’une époque. —  Rapport de l’histoire de la philosophie à l’histoire en g
soutient avec les autres branches de l’histoire universelle les mêmes rapports que soutient la philosophie avec les autres éléme
, et quelles qu’elles soient, j’affirme, nous affirmons tous que leur rapport numérique est un rapport d’égalité. Eh bien, je v
ent, j’affirme, nous affirmons tous que leur rapport numérique est un rapport d’égalité. Eh bien, je vous le demande, cette vér
t un rapport d’égalité. Eh bien, je vous le demande, cette vérité, ce rapport repose-t-il sur ce qu’il y a de concret dans ces
que d’abord il ait en lui-même l’intelligence claire et parfaite des rapports abstraits des nombres, et qu’ensuite, armé de cet
nombres, et qu’ensuite, armé de cette intelligence, il détermine les rapports des objets sensibles et des quantités concrètes ;
es quantités concrètes sont numériquement égales. Nous n’admettons le rapport des quantités concrètes que parce que nous admett
ns le rapport des quantités concrètes que parce que nous admettons le rapport des quantités abstraites en elles-mêmes. Ici donc
en, où est dans les choses extérieures, dans le phénomène visible, ce rapport que nous y supposons, le rapport de la cause à l’
eures, dans le phénomène visible, ce rapport que nous y supposons, le rapport de la cause à l’effet ? Il n’est plus permis, dep
ne sensible, dans ce qu’il a de déterminé, et de concret, renferme le rapport de l’effet à la cause ; il est prouvé que le phén
d’une autre, un mouvement qui a lieu et un autre qui lui succède. Le rapport de la cause à l’effet y est pourtant, et le genre
e seule, qui, partant de la raison humaine, de ses éléments, de leurs rapports et de leurs lois, chercherait le développement de
tion complète des éléments de la raison ; 2º leur réduction ; 3º leur rapport . — Antécédents historiques de cette recherche. Ar
la cause absolue et la cause relative, l’infini et le fini ; 3º leur rapport . — Contemporanéité des deux idées essentielles de
d’un élément particulier de la nature humaine, la réflexion ; sous ce rapport , elle a ses événements à elle, un mouvement qui l
s embrasserait dans leur développement extérieur, pût concevoir leurs rapports secrets, leur ordre véritable, et qui puisât l’in
d’abord de les constater et de les décrire ; puis de rechercher leurs rapports , de ces rapports de tirer des lois, et avec ces l
nstater et de les décrire ; puis de rechercher leurs rapports, de ces rapports de tirer des lois, et avec ces lois de déterminer
coles, ces systèmes : une observation assidue donnerait peu à peu les rapports qui les séparent et qui les unissent, et les lois
re j’entends leurs éléments essentiels, il s’agit de déterminer leurs rapports , rapports essentiels comme leurs éléments eux-mêm
ds leurs éléments essentiels, il s’agit de déterminer leurs rapports, rapports essentiels comme leurs éléments eux-mêmes. Or, qu
orts essentiels comme leurs éléments eux-mêmes. Or, qu’est-ce que les rapports essentiels des choses ? Montesquieu l’a dit, ce s
choses ? Montesquieu l’a dit, ce sont leurs lois : Les lois sont les rapports nécessaires qui dérivent de la nature des choses.
ure des choses ; les éléments essentiels déterminés, il a saisi leurs rapports  : ces rapports essentiels et nécessaires lui ont
; les éléments essentiels déterminés, il a saisi leurs rapports : ces rapports essentiels et nécessaires lui ont été des lois, e
ait bien que ces éléments se retrouvassent dans l’histoire avec leurs rapports , c’est-à-dire avec leurs lois ; et de là est résu
entiels de l’humanité ; puis de la nature de ces éléments tirer leurs rapports fondamentaux ; de leurs rapports tirer leurs lois
a nature de ces éléments tirer leurs rapports fondamentaux ; de leurs rapports tirer leurs lois ; ensuite, passant à l’histoire,
philosophie. Les différents éléments de la raison humaine avec leurs rapports et avec leurs lois, voilà ce qu’on appelle, à pro
sera la philosophie elle-même avec tous ses éléments, avec tous leurs rapports , avec toutes leurs lois, représentée en grand et
s en imaginons un seul, un élément hypothétique nous conduirait à des rapports hypothétiques, et de là à un système hypothétique
l’analyse. La troisième loi de la méthode est l’examen des différents rapports de ces éléments entre eux ; je dis des différents
différents rapports de ces éléments entre eux ; je dis des différents rapports , car ces éléments peuvent soutenir un grand nombr
érents rapports, car ces éléments peuvent soutenir un grand nombre de rapports différents ; il n’en faudrait supposer aucun, mai
ts, quand nous les aurons réduits, quand nous aurons saisi tous leurs rapports , que nous serons en possession des fondements de
ces éléments soit la borne de l’analyse, ni qu’ils aient discerné les rapports fondamentaux de ces éléments. Quels sont ces élém
ces éléments légitimes ? Quelle est leur réduction ? Quels sont leurs rapports essentiels ? Ce sont là des questions bien graves
atés, décrits, je procéderais à leur réduction et à l’examen de leurs rapports . Mais il faut aller plus vite ; il faut vous dire
ccupe-t-elle de l’existence, considère-t-elle les choses sous ce seul rapport qu’elles existent ? elle ne peut concevoir que l’
ité et de la différence, etc. Arrivés à cette réduction, examinons le rapport de ces deux termes ; prenons, comme proposition e
’on peut s’exprimer ainsi, l’unité et la multiplicité. Quels sont les rapports de ces deux termes de la même proposition ? Dans
mental de conscience : trois termes encore, le fini, l’infini et leur rapport . — Tous les hommes possèdent ce fait ; leur seule
quel le premier terme est d’un côté, le second de l’autre, sans autre rapport que celui d’être aperçus en même temps par l’inte
apport que celui d’être aperçus en même temps par l’intelligence ; le rapport qui les lie est tout autrement essentiel : l’unit
, etc. Le résultat de tout ceci est que les deux termes, ainsi que le rapport de génération qui tire le second du premier et qu
, et un seul terme ne suffisant à aucune proposition ; enfin, ôtez le rapport qui lie intimement la variété à l’unité, et vous
ainsi : en fait nous déclarons en délire ceux qui n’admettent pas les rapports mathématiques des nombres, ceux qui n’admettent p
erait infaillible, mais tombée qu’elle est dans l’homme, et par là en rapport avec les sens, les passions et l’imagination, d’i
es aberrations : elles sont nombreuses ; et comme elles dérivent d’un rapport qui, dans l’état actuel des choses, est notre con
nous. Il y a dans la raison humaine deux éléments distincts avec leur rapport , c’est-à-dire trois éléments, trois idées. Ces tr
ensible ? Mais ce qui serait absolument incompréhensible n’aurait nul rapport à notre intelligence, et ne pourrait être admis n
e la puissance, avec la variété inhérente à cette unité, et avec leur rapport tout aussi nécessaire que les deux termes qu’il u
elle-même, quoiqu’elle soit manifestée dans le monde, qu’est le vrai rapport du monde à Dieu, rapport qui est à la fois un rap
oit manifestée dans le monde, qu’est le vrai rapport du monde à Dieu, rapport qui est à la fois un rapport de ressemblance et d
qu’est le vrai rapport du monde à Dieu, rapport qui est à la fois un rapport de ressemblance et de différence ; car il répugne
eule. Il y a déjà de la variété dans l’harmonie, et de plus il y a un rapport de la variété à l’unité, il y a le mélange de l’u
vers. Voilà pourquoi vous trouvez le monde une belle chose ; c’est ce rapport intime de l’unité et de la variété qui fait la be
unité et de la variété qui fait la beauté de ce monde ; c’est ce même rapport qui, en faisant son existence, sa durée et sa bea
é à la variété. Et c’est parce que ces deux lois universelles sont en rapport l’une avec l’autre, et se forment l’une à l’autre
ogie végétale et animale ; vous retrouvez ces deux mouvements et leur rapport  ; la cohésion et son contraire, l’assimilation et
ion et son contraire, l’assimilation et son contraire encore, avec le rapport intime qui les rapproche. Je n’insiste pas ; déjà
e monde extérieur peut se résumer dans deux grandes lois et dans leur rapport , de même tous les faits de conscience peuvent se
s, finis ; de plus, l’idée de l’infini ; et de plus encore, l’idée du rapport du moi et du non-moi, c’est-à-dire du fini à l’in
’infini le fini : le contraire appelle le contraire ; et il en est du rapport du fini et de l’infini comme des deux termes qui
re du non-moi, le moi et le non-moi dans leur opposition et dans leur rapport nous donnent l’idée claire du fini ; et comme le
es. Les catégories obtenues par la réflexion ont donc l’air, par leur rapport à la réflexion, à la volonté, à la personne, d’êt
si données sont des vérités absolues, subjectives sans doute par leur rapport au moi qui les aperçoit, mais objectives en elles
re contiendra de nouveaux éléments, lesquels engendreront de nouveaux rapports , des lois nouvelles. L’homme change beaucoup, mai
Vous l’avez vu : trois, ni plus ni moins, le fini et l’infini, et le rapport du fini et de l’infini. Il est donc absolument im
ées séparées, il cherchera, les deux termes étant connus, leurs vrais rapports . Il ne peut donc y avoir que trois époques ; chac
fini et de l’infini ne sont pas seuls, qu’il y en a un troisième, le rapport du fini à l’infini, et comme ce rapport est réel
qu’il y en a un troisième, le rapport du fini à l’infini, et comme ce rapport est réel et occupe une grande place dans la pensé
aucune autre. Dans toutes les époques est le fini et l’infini, et le rapport de l’un à l’autre ; car il n’y a de vie que dans
ue à elle ! Ou n’admettez-vous que ces deux époques, négligez-vous le rapport du fini et de l’infini, et ne donnez-vous pas une
i, et ne donnez-vous pas une époque particulière à l’expression de ce rapport  ? Vous condamnez l’humanité à aller sans cesse de
ne peut rien concevoir que sous la raison du fini, de l’infini et du rapport du fini à l’infini : il n’y a pas d’autre catégor
’unité séparées l’une de l’autre, mais fondues ensemble ; elle est le rapport même, l’union de la variété et de l’unité. Enfin
ent trois éléments, le moi et le non-moi ou le fini, l’infini et leur rapport  ; la réflexion en s’y appliquant les divise pour
éments qui le premier la sollicite ? Il est impossible que ce soit le rapport du fini à l’infini : un rapport, pour être bien c
te ? Il est impossible que ce soit le rapport du fini à l’infini : un rapport , pour être bien compris, suppose que ses deux ter
our être bien compris, suppose que ses deux termes l’ont été ; car un rapport a autant de caractères, de nuances, de degrés que
en ont eux-mêmes. Il est donc clair que la réflexion ne s’attache au rapport du fini et de l’infini qu’après avoir parcouru l’
comme dans toute sa faiblesse, elle arrive à la conception tardive du rapport nécessaire du fini et de l’infini : de là une épo
e, dans l’État, dans l’art, dans la religion, dans la philosophie, le rapport du fini et de l’infini, et donne dans l’histoire
hie, le rapport du fini et de l’infini, et donne dans l’histoire à ce rapport son expression propre, son empire77. Tel est l’or
es de l’humanité ne soutiennent pas seulement l’une envers l’autre un rapport de succession ; elles sont liées entre elles par
’autre un rapport de succession ; elles sont liées entre elles par un rapport de génération. La première époque de l’humanité e
auxquelles toutes les idées ont été ramenées. — Question générale du rapport des lieux à l’homme. — Des climats. Défense de l’
’histoire ; que ces trois époques soutenaient l’une envers l’autre un rapport invariable de succession, et même que ce rapport
ne envers l’autre un rapport invariable de succession, et même que ce rapport de succession en couvrait un autre, celui de géné
toire à l’humanité et au monde et par là à Dieu. Dieu, considéré sans rapport avec le monde et l’humanité, est déjà sans doute,
gne de ce nom [ἱστορία, de ἴσημι, ἐπίσταμω savoir], est la science du rapport des faits aux idées. Le premier devoir de l’histo
demander aux faits ce qu’ils signifient, l’idée qu’ils expriment, le rapport qu’ils soutiennent avec l’esprit de l’époque du m
Rappeler tout fait, même le plus particulier, à sa loi, examiner son rapport avec les autres faits élevés aussi à leur loi, et
iner son rapport avec les autres faits élevés aussi à leur loi, et de rapports en rapports arriver jusqu’à saisir celui de la pa
port avec les autres faits élevés aussi à leur loi, et de rapports en rapports arriver jusqu’à saisir celui de la particularité
toutes les autres. Un lieu représente ou l’infini, ou le fini, ou le rapport du fini à l’infini ; telle est la formule que la
de lacunes dans les choses ; tout se lie et se tient. Sans doute, le rapport de l’homme et de la nature, nous l’avons dit bien
l’homme et de la nature, nous l’avons dit bien souvent, n’est pas un rapport de l’effet à la cause, mais l’homme et la nature
époques. Nous avons l’époque de l’infini, celle du fini, et celle du rapport de l’infini et du fini. Où placerons-nous la prem
main ? Enfin, mettrez-vous l’époque du monde qui doit représenter le rapport du fini à l’infini, la mettrez-vous dans une peti
il n’y aura pas assez de jeu pour tous les extrêmes, et pour tous les rapports de tous les extrêmes ? Je demande si vous pouvez
fin, soyez sûrs que l’époque qui devra représenter dans l’histoire le rapport du fini à l’infini sera un continent considérable
un peuple. Dans la dernière leçon nous avons indiqué rapidement les rapports intimes qui lient la géographie physique à l’hist
les autres, il faut qu’elle les compare entre eux pour en saisir les rapports , car ces rapports sont loin d’être indifférents.
ut qu’elle les compare entre eux pour en saisir les rapports, car ces rapports sont loin d’être indifférents. Il faut qu’elle ex
ine, lesquels sont subordonnés ; il faut qu’elle recherche surtout le rapport de l’élément religieux et de l’élément politique,
irent au hasard de leurs rêveries un certain nombre de systèmes, sans rapport avec l’esprit du temps, ni avec les autres élémen
us n’osez pas le soutenir, si vous accordez que la philosophie est en rapport intime avec l’époque et le peuple qui la produise
euples pour représenter différentes idées ; il faut donc examiner les rapports des différents peuples d’une même époque entre eu
tat, l’art, la religion et la philosophie ; nous avons parlé de leurs rapports de coexistence, de leurs rapports de prédominance
osophie ; nous avons parlé de leurs rapports de coexistence, de leurs rapports de prédominance ou de subordination, et nous avon
apports de prédominance ou de subordination, et nous avons décrit ces rapports avec le calme de la philosophie. Mais ces divers
 ; or la plus forte idée dans une époque est celle qui est le plus en rapport avec l’esprit même de cette époque. Chaque peuple
s idées ; d’où il suit que le peuple qui représente l’idée le plus en rapport avec l’esprit général de l’époque est le peuple a
stoire ! L’existence historique d’un peuple est tout entière dans son rapport avec l’idée qu’il représente. Ôtez à chacun des i
and homme est grand et il est homme ; ce qui le fait grand, c’est son rapport à l’esprit de son temps et de son peuple ; ce qui
puissance et de la gloire, à savoir l’idée qu’ils représentent, leur rapport intime avec l’esprit de leur temps et de leur peu
l’âge héroïque de l’humanité. La troisième époque, qui représente le rapport du fini et de l’infini, n’est pas moins fertile e
monde a été fait pour l’homme ; que l’homme est tout entier dans son rapport à Dieu, dans la religion ; que la vraie religion
e que les empires comme les individus n’ont d’importance que par leur rapport au service de Dieu, c’est-à-dire au christianisme
s idées qui n’en paraissent guère susceptibles. Il a très bien vu les rapports intimes qui rattachent l’homme à la nature, mais
composa deux discours en latin sur l’histoire de l’humanité dans ses rapports avec celle de l’Église et sur les immenses servic
réciproquement les uns sur les autres et sont unis entre eux par des rapports intimes et nécessaires, lesquels sont les lois mê
losophie de Locke à ses extrêmes et nécessaires conséquences. Sous ce rapport , le Traité des Sensations est un véritable monume
ue, le beau et le sublime considérés presque exclusivement dans leurs rapports avec l’homme, centre et mesure de toutes choses ;
me les Éléates, l’être pur sans mouvement, l’infini en soi sans aucun rapport au fini, l’absolu sans aucun rapport au relatif,
ment, l’infini en soi sans aucun rapport au fini, l’absolu sans aucun rapport au relatif, l’unité sans diversité. D’une autre p
monde et distinct du monde. P. 104. — Dans l’épineuse question des rapports de Dieu au monde, nous nous sommes constamment pr
rité divine. Voilà un Dieu réel, avec lequel nous pouvons soutenir un rapport réel aussi, que nous pouvons comprendre et sentir
tences, seulement il se trompait sur leur vrai caractère et sur leurs rapports . Selon Spinoza, l’homme n’est pas libre ; car sa
panthéisme et les théodicées abstraites, l’univers-Dieu et Dieu sans rapport à l’univers. Fragments de philosophie ancienne,
s deux termes extrêmes de toute spéculation : il reste à trouver leur rapport . La solution qui se présente d’abord à l’esprit h
elle est hautement contredite par celles de nos facultés qui sont en rapport avec ce monde et nous attestent sa réalité, et pa
r dans l’une ou l’autre extrémité de systèmes également vrais sous un rapport , également faux sous un autre, et tous vicieux au
21 (1900) La méthode scientifique de l’histoire littéraire « Troisième partie. Étude de la littérature dans une époque donnée causes et lois de l’évolution littéraire — Chapitre VI. La littérature et le milieu social. Décomposition de ce milieu » p. 155
ilieu Le milieu social, dont nous avons maintenant à rechercher les rapports avec la littérature, est si complexe qu’il est né
ui l’entourent ou qui l’ont précédée. Il faut donc encore étudier les rapports que chaque époque a pu avoir soit avec le dehors,
aque époque a pu avoir soit avec le dehors, soit avec le passé et ces rapports , comme tous ceux que nous avons à relever, sont d
en un développement parallèle, par suite des causes semblables, ou un rapport d’effet à cause, ou un rapport de cause à effet.
par suite des causes semblables, ou un rapport d’effet à cause, ou un rapport de cause à effet. Tantôt donc on découvrira une c
22 (1893) La psychologie des idées-forces « Tome second — Livre sixième. La volonté — Chapitre troisième. La volonté libre »
philosophique, la liberté a toujours été l’indépendance sous certains rapports . Nous adoptons cette notion, plus vivante et plus
liberté relative et limitée, c’est-à-dire une indépendance sous tels rapports n’excluant pas la dépendance sous tels autres rap
ance sous tels rapports n’excluant pas la dépendance sous tels autres rapports . Le problème est, encore une fois, de savoir jusq
ent d’énergie et à un mouvement dans un sens déterminé. Sous tous les rapports , nous avons un sentiment de puissance active et p
ce active et personnelle, qui est la base du sentiment de liberté. Le rapport du sujet aux objets dans l’intelligence est une n
it plus donner de raison, à savoir elle-même. Aucune détermination de rapports entre les objets de pensée ne peut nous rendre co
peut nous rendre compte de la pensée qui conçoit et ces objets et ces rapports . En tant que sujet pensant, je suis donc inexplic
ment ; nous n’arrivons donc pas arbitrairement à la conscience de tel rapport entre les diverses directions jugées et senties q
me quelconque, c’est admettre que certains actes, considérés sous tel rapport , ne sont pas déterminés par leurs antécédents et
s par leurs antécédents et n’y ont pas leur complète raison ; sous ce rapport , ils constituent des « commencements absolus », d
e qui les a précédés n’entraînait à sa suite. Or un acte qui, sous un rapport quelconque, n’a pas de raison capable d’expliquer
ale est « fonction » dépendante des deux termes, et elle exprime leur rapport  ; selon M. James, au contraire, on peut admettre
. En un mot, l’action est libre, selon cette doctrine, parce que « le rapport de l’action à l’état d’où elle sort ne saurait s’
ée véritable hors du calcul, pour se borner à déterminer une série de rapports de position, de simultanéités ou coïncidences, un
ne porte pas plus que l’autre sur la durée comme telle, mais sur des rapports de succession ou de simultanéité entre certains é
soin d’être spécifiée et n’offre vraiment de sens que sous tel ou tel rapport , par conséquent d’une façon relative. Etre indépe
pendance relativement à cet objet, et, si cette indépendance, sous un rapport quelconque, me paraît désirable, l’idée et le dés
d’une action, ni l’idée d’un objet ; elle n’est pas même l’idée d’un rapport  ; elle est précisément l’idée de la négation d’un
l’idée d’un rapport ; elle est précisément l’idée de la négation d’un rapport  : comment donc pourrait-elle agir et surtout se r
tingence complète ; nous aurions alors, en effet, la négation de tout rapport , notamment du rapport des conditions et raisons à
us aurions alors, en effet, la négation de tout rapport, notamment du rapport des conditions et raisons à leurs conséquences. «
er notre vouloir, de manifester notre indétermination sous tel ou tel rapport . Par exemple, je veux remuer mon bras pour vouloi
proposer pour lin de réaliser une volonté indéterminée sous certains rapports . Mais, en se réalisant, la volonté se trouve déte
23 (1733) Réflexions critiques sur la poésie et la peinture « Seconde partie — Section 35, de l’idée que ceux qui n’entendent point les écrits des anciens dans les originaux, s’en doivent former » pp. 512-533
ste idée du mérite de ces ouvrages, il faut qu’ils la prennent sur le rapport des personnes qui entendent ces langues et qui le
uroient bien juger d’un objet dès qu’ils n’en sçauroient juger par le rapport du sens destiné pour le connoître. Nous ne sçauri
nous n’entendons point la langue, ne sçauroit nous être connu par le rapport du sens destiné pour en juger. Nous ne sçaurions
qui n’entend pas le latin au fait du mérite des odes d’Horace, que le rapport des qualitez d’une liqueur dont nous n’aurions ja
t au fait de la saveur de cette liqueur. Rien ne sçauroit suppléer le rapport du sens destiné à juger de la chose dont il s’agi
mes croiront toujours plusieurs témoins oculaires uniformes dans leur rapport , préferablement à tous ceux qui voudront en conte
diroit au critique d’aller voir le tableau, et l’on s’en tiendroit au rapport uniforme de tous ceux qui l’ont vû et qui assuren
et qui assurent qu’il les a charmez malgré ses défauts. En effet, le rapport uniforme des sens des autres hommes, est après le
n effet, le rapport uniforme des sens des autres hommes, est après le rapport de nos propres sens, la voïe la plus certaine que
et l’on n’ébranlera jamais la foi humaine, ou l’opinion prise sur le rapport uniforme des sens des autres. On ne sçauroit donc
24 (1881) La psychologie anglaise contemporaine «  M. Georges Lewes — Chapitre I : L’histoire de la philosophie »
la chute des corps, cela ne nous importe point ; mais quels sont les rapports des corps et de leurs mouvements avec nos percept
joutant un contrôle. La méthode subjective cherche la vérité dans les rapports des idées, la méthode objective la cherche dans l
dans les rapports des idées, la méthode objective la cherche dans les rapports des objets. Un raisonnement exact est la réunion
Un raisonnement exact est la réunion idéale d’objets dans leurs vrais rapports de coexistence et de succession : c’est voir avec
étaphysique. Otez de la loi de la gravitation la formule vérifiable «  rapport direct des masses, rapport inverse du carré des d
de la gravitation la formule vérifiable « rapport direct des masses, rapport inverse du carré des distances », il ne reste qu’
nes des sens et du cerveau quoiqu’elle n’ait pas encore découvert les rapports qui les relient. Nous savons que le cerveau est u
essemble-t-elle en rien au feu ? Nullement. Elle exprime seulement un rapport entre nous et le feu, un effet que le feu produir
c un effet, et sa vérité est une vérité, non de ressemblance, mais de rapport . Elle ne peut nous faire connaître ce que sont le
toute chose. « La perception est l’identité du moi et du non-moi, le rapport de deux termes, le tertium quid de deux forces un
n’est pas une preuve que l’hydrogène ne puisse exister dans d’autres rapports avec d’autres gaz. De même, quoique le non-moi ne
s avec d’autres gaz. De même, quoique le non-moi ne puisse exister en rapport avec l’esprit, autrement que dans l’idée des deux
deux (perception), ce n’est point une preuve qu’il ne peut exister en rapport avec d’autres êtres sous des conditions toutes di
ur la fonction231. Son grand mérite a été d’apercevoir clairement les rapports de la psychologie avec la science de la vie, reco
nouveauté consiste dans sa précision. On avait vaguement reconnu les rapports du physique et du moral, et les rapports généraux
avait vaguement reconnu les rapports du physique et du moral, et les rapports généraux du système nerveux et des fonctions ment
8. P. 393. 229. P. 375. 230. Pour texte de la phrase, voir Cabanis, Rapports du physique et du moral, édit. Peisse, p. 138, av
25 (1893) La psychologie des idées-forces « Tome premier — Livre troisième. Le souvenir. Son rapport à l’appétit et au mouvement. — Chapitre deuxième. La force d’association des idées »
u contraire, ce qui dépend d’elle ou dont elle dépend, en un mot, les rapports rationnels. » Soit ; mais M. Ravaisson ajoute : «
rmes ne lui sont pas préalablement donnés ? Jamais la conception d’un rapport ne pourra précéder la conscience des termes entre
a une cause et les révolutions des astres ont une cause » ; ces deux rapports ne lui auraient jamais donné le terme inconnu : g
épendante de la réaction intellectuelle qui saisit actuellement leurs rapports . Et il en est ainsi même quand une idée en suggèr
ier et non encore épuisés. Il résulte de ces lois physiologiques des rapports d’exclusion mutuelle ou d’affinité mutuelle soit
oif de vengeance, etc. Le lien qui les relie est l’unité d’un but par rapport auquel les impulsions sont moyens, l’unité d’un e
par rapport auquel les impulsions sont moyens, l’unité d’un effet par rapport auquel elles sont causes coopérantes. Cette solid
tion et de répulsion. Les idées ne s’enchaînent pas seulement par des rapports tout mécaniques et logiques ; elles s’enchaînent
des rapports tout mécaniques et logiques ; elles s’enchaînent par un rapport d’adaptation à nos sentiments. Ferri, dans son ét
oire. Du côté psychologique, le vrai lien primitif des idées est leur rapports l’unité de l’appétition, de l’effort, de la volon
et à l’unité de conscience. Du côté physiologique, leur lien est leur rapport à l’unité de la tension cérébrale, chaque décharg
e idée que se trouve la raison de l’apparition de la seconde ; «  les rapports des ombres résultent de rapports entre les causes
l’apparition de la seconde ; «  les rapports des ombres résultent de rapports entre les causes des ombres elles-mêmes. » Nous v
26 (1765) Articles de l’Encyclopédie pp. 11-15754
jours suivie d’un autre mot, qui détermine la relation ou l’espece de rapport que la préposition indique. Ainsi la préposition
avons ni déclinaison, ni cas, ni par conséquent de datif. V. Cas . Le rapport que les Latins marquoient par la terminaison du d
e préposition est entre deux termes, qu’elle lie & qu’elle met en rapport . 2. Que ce rapport est souvent marqué par la sign
ntre deux termes, qu’elle lie & qu’elle met en rapport. 2. Que ce rapport est souvent marqué par la signification propre de
ais que souvent aussi les prépositions, surtout à, de ou du, outre le rapport qu’elles indiquent quand elles sont prises dans l
ositions unitives ou indicatives, qui ne font que mettre deux mots en rapport  ; ensorte qu’alors c’est à l’esprit même à remarq
port ; ensorte qu’alors c’est à l’esprit même à remarquer la sorte de rapport qu’il y a entre les deux termes de la relation un
 : du, lie feu avec approchez-vous, & l’esprit observe ensuite un rapport d’approximation, que du ne marque pas. Eloignez-v
du feu ; du, lie feu avec éloignez-vous, & l’esprit observe-là un rapport d’éloignement. Vous voyez que la même préposition
d’éloignement. Vous voyez que la même préposition sert à marquer des rapports opposés. On dit de même donner à & ôter à. Ai
ts opposés. On dit de même donner à & ôter à. Ainsi ces sortes de rapports different autant que les mots different entre-eux
que par conséquent elles n’indiquent pas par elles-mêmes la sorte de rapport particulier que celui qui parle veut faire entend
alors c’est à celui qui écoute ou qui lit, à reconnoître la sorte de rapport qui se trouve entre les mots liés par la préposit
ment que lui donne la connoissance & l’usage de sa propre Langue. Rapport de cause, rapport d’effet, d’instrument, de situa
la connoissance & l’usage de sa propre Langue. Rapport de cause, rapport d’effet, d’instrument, de situation, d’époque, ta
strument, de situation, d’époque, table à pieds de biche, c’est-là un rapport de forme, dit M. l’Abbé Girard, tom. II. p. 199.
port de forme, dit M. l’Abbé Girard, tom. II. p. 199. Bassin à barbe, rapport de service, (id. ib.) Pierre à feu, rapport de pr
. p. 199. Bassin à barbe, rapport de service, (id. ib.) Pierre à feu, rapport de propriété productive, (id. ib.) &c. La pré
p;c. La préposition à n’est point destinée à marquer par elle-même un rapport de propriété productive, ou de service, ou de for
propriété productive, ou de service, ou de forme, &c. quoique ces rapports se trouvent entre les mots liés par la prépositio
uvent entre les mots liés par la préposition à. D’ailleurs, les mêmes rapports sont souvent indiqués par des prépositions différ
souvent indiqués par des prépositions différentes, & souvent des rapports opposés sont indiqués par la même préposition. Il
raison de cette différence est que dans le dernier exemple de n’a pas rapport à facile, mais à il ; il, hoc, cela, à savoir de
habétique Abécédaire est différent d’Alphabéthique. Abécédaire a rapport au fond de la chose, au lieu qu’Alphabétique se d
ulgaires, parce que dans ces Langues les noms n’ont point de cas. Les rapports ou vûes de l’esprit que les Latins marquoient par
sa premiere dénomination, que parce que l’esprit y ajoûte un nouveau rapport , une nouvelle vûe. Quelle est cette vûe ou rappor
ajoûte un nouveau rapport, une nouvelle vûe. Quelle est cette vûe ou rapport qu’un tel ablatif désigne ? est-ce le tems, ou la
ou l’instrument, ou la cause, &c. Vous trouverez toûjours que ce rapport sera quelqu’une de ces vûes de l’esprit qui sont
e imperante Coesare Augusto, Christus natus est : on voit aisément le rapport de tems, & l’on sousentend sub. 3. Que lorsqu
ler absolues, c’est-à-dire, des phrases où les mots, sans avoir aucun rapport Grammatical avec les autres mots de la propositio
aisons, comme les noms Latins ; & voyant que ces mots n’ont aucun rapport grammatical ou de syntaxe avec les autres mots de
taxe avec les autres mots de la phrase, avec lesquels ils n’ont qu’un rapport de sens ou de raison, nous concevons aisément ce
) ABSOLUMENT, adv. Un mot est dit absolument, lorsqu’il n’a aucun rapport grammatical avec les autres mots de la propositio
y a des Langues qui énoncent en un seul mot ces vûes de l’esprit, ces rapports , ces manieres d’être, au lieu qu’en d’autres Lang
pports, ces manieres d’être, au lieu qu’en d’autres Langues ces mêmes rapports sont divisés par l’élocution & exprimés par p
noms ont des terminaisons particulieres destinées à marquer différens rapports , ou vûes particulieres sous lesquelles l’esprit c
me qu’un sens appellatif ; elle ne marque qu’une sorte, une espece de rapport particulier : mais ce rapport est ensuite appliqu
e ne marque qu’une sorte, une espece de rapport particulier : mais ce rapport est ensuite appliqué, & pour ainsi dire indiv
avant, cette préposition avant marque une priorité. Voilà l’espece de rapport  : mais ce rapport doit être déterminé. Mon esprit
sition avant marque une priorité. Voilà l’espece de rapport : mais ce rapport doit être déterminé. Mon esprit est en suspens ju
iens, qui est au même cas que filius Maioe : tout cela se fait par le rapport d’identité. Voyez Construction . Pour épargner bi
ent leur terminaison que pour distinguer le pluriel du singulier. Les rapports ou vûes de l’esprit que les Latins font connoître
ou par le secours des prépositions. C’est ainsi que nous marquons le rapport de l’accusatif en plaçant le nom après le verbe.
s adjectifs métaphysiques. Ce sont des adjectifs de relation & de rapport numéral. Les noms de nombre cardinal, tels que de
, sa, &c. sont aussi des adjectifs métaphysiques qui désignent un rapport d’appartenance ou de propriété, & non une qua
. Enfin y a-t-il dans une Langue une maniere établie pour marquer les rapports ou points de vûe qu’on appelle cas : l’adjectif d
se conformer ici au substantif : en un mot il doit énoncer les mêmes rapports , & se présenter sous les mêmes faces que le s
qui ont des cas, c’est-à-dire, qui marquent par des terminaisons les rapports que les mots ont entre eux, la position n’est d’a
riens qui font la construction des mots de la phrase, relativement au rapport que les mots ont entr’eux dans la proposition que
marque ce que l’on dit que vous êtes, & se rapporte à vous par un rapport d’identité. Voilà la proposition complete. Hélas
let est composée de divers sens ou concepts particuliers, qui, par le rapport qu’ils ont entr’eux, forment l’ensemble ou sens c
puisqu’il se sert de ce mot en Latin, il le traduira par comparaison, rapport de ressemblance entre une chose & une autre :
oportio-ve dici potest. Cic. Analogie signifie donc la relation, le rapport ou la proportion que plusieurs choses ont les une
ntes. Il y a de l’analogie entre les êtres qui ont entre eux certains rapports de ressemblance, par exemple, entre les animaux &
commun soit la même, il se trouve une différence dans son habitude ou rapport  ; en ce sens salutaire est analogue tant à l’homm
estres. Ainsi l’oeil & l’entendement sont dits avoir analogie, ou rapport l’un à l’autre. En matiere de langage, nous dison
h garda la conduite dont nous parlons. En Grammaire l’analogie est un rapport de ressemblance ou d’approximation qu’il y a entr
A l’égard de it clamor coelo ; coelo est au datif, qui est le cas du rapport & de l’attribution, c’est une façon de parler
nd principe de syntaxe, que les mots ne sont construits que selon les rapports qu’ils ont entr’eux dans la même proposition ; c’
autre proposition, puisque les mots ne se construisent & n’ont de rapport entr’eux que dans la même proposition. Urbem qua
t, &c. c’est-à-dire qui est le théatre sanglant, &c. ainsi le rapport d’identité est la raison de l’apposition. (F)
linent, c’est-à-dire, qu’ils changent de terminaison selon les divers rapports ou vûes de l’esprit qu’on a à marquer, ils ont en
les prépositions ne sauroient entrer dans le discours sans marquer un rapport ou relation entre deux termes, entre un mot &
ne pour ; ces deux mots pour la patrie font un sens particulier qui a rapport à travaille, & ce dernier au sujet de la prép
eau. A est aussi une préposition qui, entre autres usages, marque un rapport d’attribution, donner son coeur à Dieu, parler à
ositions. Les Latins n’ont que six cas, cependant il y a bien plus de rapports à marquer ; ce plus, ils l’énoncent par le secour
n, quand la place du mot ne peut pas nous servir à faire connoître le rapport que nous avons à marquer, nous faisons alors ce q
génitif, nous avons recours à une préposition ; il en est de même du rapport d’attribution, nous le marquons par la prépositio
pour, & même par quelques autres, & les Latins marquoient ce rapport par une terminaison particuliere qui faisoit dire
un complément comme les autres prépositions, & ont également des rapports particuliers à marquer ; par conséquent si de &am
avec l’article, forment autant de nouveaux cas, qu’elles marquent de rapports différens ; pourquoi dit-on que di, a, da, ont ce
es de ces prépositions n’entrent dans le discours que pour marquer le rapport particulier qu’elles doivent indiquer chacune sel
age leur a donnée, sauf aux Latins à marquer un certain nombre de ces rapports par des terminaisons particulieres. Encore un mot
nt dit en François ; nous ne faisons que nommer : & à l’égard des rapports ou vûes différentes sous lesquels nous considéron
ion & à la détermination ; c’est-à-dire, qu’elle sert à mettre en rapport le mot qui qualifie, avec celui qui est qualifié 
. les unes & les autres servent à faire connoître en François les rapports particuliers que l’usage les a chargés de marquer
és de marquer, sauf à la langue Latine à exprimer autrement ces mêmes rapports . A l’égard de le, la, les, je n’en fais pas une c
rimé ou sousentendu, avec lequel elle puisse mettre son complément en rapport  : qu’ainsi il y a ellipse dans ces façons de parl
ert à tourner l’esprit vers deux objets, & à faire appercevoir le rapport que l’on veut indiquer entre l’un & l’autre.
un un ensemble, un tout particulier par la liaison, la continuité, le rapport & la dépendance de leurs parties. Quand une f
mbrable de ces êtres particuliers, de leurs propriétés & de leurs rapports . D’ailleurs comment apprendre & retenir tant
d’un lieu en un autre, qui ont des organes, dont la liaison & les rapports forment un ensemble. Ainsi l’on dit ce chien est
tirés des pronoms personnels ; ils marquent que leur substantif a un rapport de propriété avec la premiere, la seconde, ou la
de nombre est précédé de l’article ou prénom qui indiquent ce nouveau rapport . Le jour de la multiplication des pains, les Apôt
d’article, il ne lui faut que la simple préposition pour le mettre en rapport avec beaucoup, peu, rien, pas, point, sorte, &
hacune de ces phrases, le roi & le peuple sont considérés sous un rapport différent. Dans la premiere, c’est le roi qui aim
r la langue Latine, pour exprimer nettement & clairement certains rapports ou vûes de l’esprit, que l’article seul peut dési
ne, qui avoit ; dit-on, une voix frêle & qui bégayoit : mais quel rapport y a t-il entre la battologie & le bégayement 
t, pour quiret ; relicu-um, pour reliquum. Il faut encore observer le rapport du c au g. Avant que le caractere g eût été inven
s la prononciation du g, ce fut ce qui donna lieu à Sp. Carvilius, au rapport de Terentius Scaurus, d’inventer le g pour distin
u Caius ; Gneius pour Cneius. Pour achever ce qu’il y a à dire sur ce rapport du c au g, je ne puis mieux faire que de transcri
ecueilli à ce sujet, p. 647. « Le g n’est qu’une diminution du c, au rapport de Quintilien ; aussi ces deux lettres ont-elles
ere des Hébreux : mais le chaph est une lettre aspirée, qui a plus de rapport au χ, chi, des Grecs qu’à notre c. D’ailleurs, le
age au κάππα & à notre c, c’est le kouph dont la figure n’a aucun rapport au c. Le P. Mabillon a observé que Charlemagne a
ur morale, leur politique, & sur tout dans les choses qui avoient rapport à leur fanatisme & à leur superstition. Les m
89 ; 2°. certains caracteres ont été en usage, qui semblent avoir du rapport aux lettres ; par exemple M, par lequel on exprim
n, r, s, t, &c. sont les caracteres des exposans indéterminés des rapports & des puissances ; ainsi xm, yn, zr, &c.
s auteurs se servent du même caractere = pour exprimer l’identité des rapports , ou pour marquer les termes qui sont en proportio
[non reproduit]30.15. ou 8 : 4 [non reproduit]30 : 15. montre que le rapport de 30 à 15 est le même que celui de 8 à 4, ou que
le caractere de la proportion géométrique continue ; il montre que le rapport est [non reproduit]jours le même sans interruptio
ues, des propriétés essentielles des corps désignés, & même leurs rapports génériques & spécifiques. Ces sept signes n’o
souvent précédés de certaines prépositions qui en font connoître les rapports  : souvent aussi c’est le sens, c’est l’ensemble d
amp; par la considération des circonstances, donne l’intelligence des rapports des mots ; ce qui arrive aussi en latin à l’égard
. (Prisc. liv. V. de Casu.) Le datif sert à marquer principalement le rapport d’attribution, le profit, le dommage, par rapport
bles ont avec les autres mots de la même proposition, & sous quel rapport ils y doivent être considérés. Ainsi dans le prem
bien observer la destination de chaque terminaison particuliere : tel rapport , telle vûe de l’esprit est marquée par tel cas, c
nt qu’agricolam est à l’accusatif, j’apperçois qu’il ne peut avoir de rapport qu’avec continet : ainsi je range ces mots selon
rba moriens sitit prae vitio aeris. Ainsi les cas sont les signes des rapports , & indiquent l’ordre successif, par lequel se
de ma langue, la simple position de ces mots me fait connoître leurs rapports & les différentes vûes de l’esprit de celui q
le patient. C’est l’objet du sentiment que j’attribue au Roi. Or ces rapports sont indiqués en François par la place ou positio
leur position, & leur place, qui est le signe principal de leurs rapports . Or, comme en Latin il faut que le mot ait la ter
oine ; ce seroit-là pour lui trois mots qui n’auroient aucun signe de rapport . Mais reprenons la suite de nos réflexions sur le
nec non etiam structuroe rationem servamus. Prise. L. V. de Casu. Les rapports qui ne sont pas indiqués par des cas en Grec, en
en Grec, en Latin, & dans les autres langues qui ont des cas, ces rapports , dis-je, sont suppléés par des prépositions, clam
server que les objets peuvent être qualifiés ou absolument sans aucun rapport à d’autres objets, ou relativement, c’est-à-dire
ivement à un autre ou à d’autres, alors il y a entre ces objets ou un rapport d’égalité, ou un rapport de supériorité, ou enfin
’autres, alors il y a entre ces objets ou un rapport d’égalité, ou un rapport de supériorité, ou enfin un rapport de prééminenc
ts ou un rapport d’égalité, ou un rapport de supériorité, ou enfin un rapport de prééminence. S’il y a un rapport d’égalité, l’
pport de supériorité, ou enfin un rapport de prééminence. S’il y a un rapport d’égalité, l’adjectif qualificatif est toûjours r
les nuits sont aussi longues que les jours. 2°. Lorsqu’on observe un rapport de plus ou un rapport de moins dans la qualité de
longues que les jours. 2°. Lorsqu’on observe un rapport de plus ou un rapport de moins dans la qualité de deux choses comparées
s la qualité de deux choses comparées, alors l’adjectif qui énonce ce rapport est dit être au comparatif ; c’est le second degr
té distingués du positif par des terminaisons particulieres, comme le rapport d’égalité ne l’est point ; il y a, dis-je, bien d
urroit bien avoir dit autrefois en Latin peus pour malus : on sait le rapport qu’il y a entre le b & p ; ainsi peus, géniti
ord établir comme un principe certain, que les mots n’ont entr’eux de rapport grammatical, que pour concourir à former un sens
ammaire a trouvés établis en chaque langue, ne sont que des signes du rapport que l’esprit conçoit entre les mots, selon le sen
, doit commencer par ranger les mots selon l’ordre successif de leurs rapports , par lesquels seuls on apperçoit, après que la ph
e qui indique ce que j’ai vû. Observez qu’il n’y a que deux sortes de rapports entre ces mots, relativement à la construction. I
sortes de rapports entre ces mots, relativement à la construction. I. Rapport , ou raison d’identité (R. id. le même). II. Rappo
construction. I. Rapport, ou raison d’identité (R. id. le même). II. Rapport de détermination. 1. A l’égard du rapport d’ident
ntité (R. id. le même). II. Rapport de détermination. 1. A l’égard du rapport d’identité, il est évident que le qualificatif ou
ne, & du cas dans les langues qui ont des cas. Tel est l’effet du rapport d’identité, & c’est ce qu’on appelle concorda
’identité, & c’est ce qu’on appelle concordance. 2. A l’égard du rapport de détermination, comme nous ne pouvons pas commu
alors c’est l’ensemble qui forme le sens que nous voulons énoncer. Le rapport d’identité n’exclut pas le rapport de déterminati
sens que nous voulons énoncer. Le rapport d’identité n’exclut pas le rapport de détermination. Quand je dis l’homme savant, ou
le savane homme, savant modifié détermine homme ; cependant il y a un rapport d’identité entre homme & savant, puisque ces
individu, qui pourroit être exprimé en un seul mot, doctor. Mais le rapport de détermination se trouve souvent sans celui d’i
souvent sans celui d’identité. Diane étoit sœur d’Apollon ; il y a un rapport d’identité entre Diane & sœur : ces deux mots
n ils sont au même cas, &c. Diana erat soror. Mais il n’y a qu’un rapport de détermination entre sœur & Apollon : ce ra
il n’y a qu’un rapport de détermination entre sœur & Apollon : ce rapport est marqué en Latin par la terminaison du génitif
soror Apollinis ; au lieu qu’en François le mot d’Apollon est mis en rapport avec sœur par la préposition de, c’est-à-dire que
le nom qui la précede. Pierre aime la vertu : il y a concordance ou rapport d’identité entre Pierre & aime ; & il y a
cordance ou rapport d’identité entre Pierre & aime ; & il y a rapport de détermination entre aime & vertu. En Franç
y a rapport de détermination entre aime & vertu. En François, ce rapport est marqué par la place ou position du mot ; ains
position du mot ; ainsi vertu est après aime : au lieu qu’en Latin ce rapport est indiqué par la terminaison virtutem, & il
bes des mots qui précedent ou qui suivent. Il y a autant de sortes de rapports de détermination, qu’il y a de questions qu’un mo
on répond, à N. c’est la détermination de la personne à qui, c’est le rapport d’attribution. Ces trois sortes de déterminations
t un sens particulier, avec lequel les mots de la réponse n’ont aucun rapport grammatical. Si l’on répond Christus, c’est que l
rait, qui marque la propriété d’être blanc, conçue par l’esprit, sans rapport à aucun sujet particulier, & comme si c’étoit
bstrait marque une forme ou qualité considérée en elle-même, sans nul rapport à aucun sujet ; tels sont humanité, vérité, beaut
e la perception qu’il a de deux objets, apperçoit entre ces objets un rapport ou d’accompagnement, ou d’opposition, ou de quelq
n est la conjonction. Il en est de même si l’on veut marquer quelque rapport d’opposition ou de disconvenance ; par exemple, s
férences dans les points de vûe sous lesquels notre esprit observe un rapport entre un mot & un mot, ou entre une pensée &a
action est relative à un tems, puisqu’elle se passe dans le tems. Ces rapports de l’action au tems sont marqués en quelques lang
e d’un mot. Amusez-vous ensuite tant qu’il vous plaira à observer les rapports de filiation ou de paternité que ce mot peut avoi
. On dit construction pleine, quand on exprime tous les mots dont les rapports successifs forment le sens que l’on vent énoncer.
e ; car dans chacune de ces constructions il y a les mêmes signes des rapports que les mots ont entr’eux, ainsi ces rapports son
a les mêmes signes des rapports que les mots ont entr’eux, ainsi ces rapports sont les mêmes dans chacune de ces phrases. Chaqu
prit. Ces signes, quand on en sait la destination, font connoître les rapports successifs que les mots ont entr’eux ; c’est pour
e successif qui nous en fait appercevoir aisément la liaison & le rapport , sans qu’il y ait aucune proposition intermédiair
ensée ; nous en rassemblons toutes les parties selon l’ordre de leurs rapports  ; nous lions ces parties à des signes, ce sont le
personnes, & les tems, nous devenions plus habiles à démêler les rapports des mots & à en appercevoir l’ordre successif
& ne leur laissez que la premiere terminaison qui n’indique aucun rapport , vous ne formerez aucun sens ; ce seroit comme si
proposition est finie, nous les font regarder selon l’ordre de leurs rapports , & par conséquent selon l’ordre de la constru
ité de l’élocution nous fait donner à la pensée ; il nous indique les rapports que ces parties ont entr’elles ; rapports dont le
ensée ; il nous indique les rapports que ces parties ont entr’elles ; rapports dont le concert produit l’ensemble, & pour ai
simple, parce qu’on n’y suit pas l’ordre de l’état des choses, ni du rapport immédiat qui est entre les mots en conséquence de
ient : ainsi tous les mots se trouvent rangés successivement selon le rapport immédiat du mot qui suit avec celui qui le préced
n simple exige que les mots soient énoncés dans l’ordre successif des rapports qu’il y a entr’eux, ensorte que le mot qui est à
la destination des terminaisons ; elles indiquent la place & les rapports des mots ; ce qui est d’un grand usage lorsqu’il
tives des mots. II. De la construction figurée. L’ordre successif des rapports des mots n’est pas toûjours exactement suivi dans
e sont dans les langues qui ont des cas ; parce que dans celles-ci le rapport du mot exprimé avec le mot sousentendu, est indiq
x. Ainsi nous ne saurions faire usage de cette figure, que lorsque le rapport des correlatifs n’est pas difficile à appercevoir
dans un ordre différent. Quel est celui de ce, divers arrangemens par rapport auquel on doit dire qu’il y a inversion ? Ce ne p
, inspire. Cependant en ces occasions-là mêmes l’esprit apperçoit les rapports des mots, selon l’ordre de la construction signif
ion. Les mots forment un tout qui a des parties ; or la perception du rapport que ces parties ont l’une à l’autre, & qui no
ion simple, qui, énonçant les mots suivant l’ordre successif de leurs rapports , nous les présente de la maniere la plus propre à
es présente de la maniere la plus propre à nous faire appercevoir ces rapports & à faire naître la pensée totale. Cette prem
simple & bien ordonné, & que nous appercevons sans peine les rapports des parties qui font l’ensemble, nous ne faisons
e qui fait appercevoir la liaison, la dépendance, la suite, & les rapports des mots ; cependant les langues n’ont pas eu d’a
fait donner à la pensée, sur les signes de ces parties, & sur le rapport & le service de ces signes. Ils ont observé e
osition est un assemblage de mots, qui, par le concours des différens rapports qu’ils ont entr’eux, énoncent un jugement ou quel
la proposition, & en achever le sens, pour démêler exactement les rapports que les mots ont entr’eux selon l’usage de la lan
séparer des autres mots. C’est le sens total, qui résulte des divers rapports que les mots ont entr’eux, qui est le sujet de la
liées entr’elles par des conjonctions ou par des termes relatifs. Les rapports mutuels que ces propositions ont alors entre elle
i, auquel, auxquels, servent aussi à lier les propositions, selon les rapports que ces pronoms relatifs ont avec les mots qui su
ode. IV. Proposition principale, proposition incidente. Un mot n’a de rapport grammatical avec un autre mot, que dans la même p
à la proposition particuliere dont il fait partie, sur-tout quand le rapport des mots se trouve interrompu par quelque proposi
nd on considere une proposition grammaticalement, on n’a égard qu’aux rapports réciproques qui sont entre les mots ; au lieu que
se ou cet assemblage de mots grammaticalement, c’est-à-dire selon les rapports que les mots ont entr’eux ; rapports d’où résulte
calement, c’est-à-dire selon les rapports que les mots ont entr’eux ; rapports d’où résulte le sens : je trouve que cette phrase
terme de l’action de suit : car selon l’ordre de la pensée & des rapports , me est après suit ; mais selon l’élocution ordin
nnent le nom de proposition composée à tout sens total qui résulté du rapport que deux propositions grammaticales ont entr’elle
sulté du rapport que deux propositions grammaticales ont entr’elles ; rapports qui sont marqués par la valeur des différentes co
Telles sont encore les propositions conditionnelles qui résultent du rapport de deux propositions par la conjonction condition
e la connoître pour avoir des principes sûrs de construction. Deux rapports généraux entre les mots dans la construction : I.
n. Deux rapports généraux entre les mots dans la construction : I. rapport d’identité : II. rapport de détermination. Tous l
aux entre les mots dans la construction : I. rapport d’identité : II. rapport de détermination. Tous les rapports particuliers
tion : I. rapport d’identité : II. rapport de détermination. Tous les rapports particuliers de construction se réduisent à deux
s rapports particuliers de construction se réduisent à deux sortes de rapports généraux. I. Rapport d’identité. C’est le fondeme
s de construction se réduisent à deux sortes de rapports généraux. I. Rapport d’identité. C’est le fondement de l’accord de l’a
t l’hébreu, où le verbe indique même le genre. Voilà ce que j’appelle rapport ou raison d’identité, du latin idem. II. La secon
rapport ou raison d’identité, du latin idem. II. La seconde sorte de rapport qui regle la construction des mots, c’est le rapp
seconde sorte de rapport qui regle la construction des mots, c’est le rapport de détermination. Le service des mots dans le dis
cer une idée ; lumen, lumiere ; sol, soleil. 2°. A faire connoître le rapport qu’une idée a avec une autre idée ; ce qui se fai
, & de nous servir des signes établis, pour en marquer les divers rapports . Si je veux parler de la lumiere du soleil, je di
proposition n’en seroit pas moins telle proposition. A l’occasion du rapport de détermination, il ne sera pas inutile d’observ
; à l’égard de l’adjectif, il se construit avec son substantif par le rapport d’identité. 1°. Lorsqu’un nom substantif détermin
minant se met au génitif en latin lumen, solis ; & en françois ce rapport se marque par la préposition de : surquoi il faut
e comme un adjectif, & alors on met les deux noms au même cas par rapport d’identité : urbs Roma, Roma quoe est urbs ; c’es
urs auteurs Latins ont aussi mis au génitif le nom de l’individu, par rapport de détermination. In oppido Antiochioe (Cic.) ; &
ajoûtez au sujet personnel, ou réel, ou abstrait, chaque mot qui y a rapport , soit par la raison de l’identité, ou par la rais
ttribut en commençant par le verbe, & ajoûtant chaque mot qui y a rapport selon l’ordre le plus simple, & selon les dét
par la terminaison, que filius unigenitus se rapporte à Christus par rapport d’identité ; & je vois que Dei étant au génit
té ; & je vois que Dei étant au génitif, se rapporte à filius par rapport de détermination : ce mot Dei détermine filius à
Est natus, voilà l’attribut nécessaire. Natus est au nominatif, par rapport d’identité avec Christus ; car le verbe est marqu
identifié à vous, à votre existence ; c’est ce que nous appellons le rapport d’identité. Vous paissez dans nos champs sans so
omplément de la préposition à. Cette préposition met ce sens total en rapport avec force, forcer, à cogere ad. Virgile a dit, c
t pas être. Ainsi, selon la pensée, jaloux se rapporte à animaux, par rapport d’identité, mais négativement, ne soyez pas jalou
t souvent cette préposition, comme nous l’avons observé en parlant du rapport de détermination. Les anciens disoient maugré, pu
incipes que je viens d’exposer, pourvû que l’on connût les signes des rapports des mots en cette langue, & ce qu’il y a d’ar
nsi on dit, grand’ardeur, gran-d’ame, &c. C’est en conséquence du rapport qu’il y a entre le d & le t, que l’on trouve
n’exclut pas les autres usages. En effet le datif marque également le rapport d’ôter, de ravir : Eripere agnum lupo, Plaut. enl
par rapport à vous. Le datif sert aussi à marquer la destination, le rapport de fin, le pourquoi, finis cui : do tibi pecuniam
t la cause des différentes inflexions que l’on donne aux noms qui ont rapport aux verbes. Voyez Cas, Concordance, Construction,
is ce qui me vient dans l’esprit. Ainsi alicui est là au datif par le rapport de fin ; le pourquoi, c’est accourir pour aider.
mari ; nubebat se marito, elle se voiloit pour, à cause de ; c’est le rapport de fin. Cet usage se conserve encore aujourd’hui
s l’esprit des hommes certaines vûes particulieres, ou perceptions de rapports , dont les unes sont exprimées par certaines combi
ervice & l’emploi de chaque terminaison, & de chaque signe de rapport entre un mot & un mot. Celui qui veut parler
font trois différences spéciales dans le nom, suivant trois sortes de rapports que les choses ont les unes avec les autres. Meth
p; qu’en admettant une distinction entre ce même mot, on fait voir un rapport merveilleux entre la langue françoise & la la
établi que l’on pût changer la terminaison des noms, selon les divers rapports sous lesquels on veut les faire considérer. On di
de même en espagnol, en italien, &c. On connoît en françois les rapports respectifs des mots entr’eux, 1°. Par l’arrangeme
s place. Voyez Cas . 2°. Par les prépositions qui mettent les mots en rapport , comme par, pour, sur, dans, en, à, de, &c. 3
. C’est que si nous considerons notre pensée en elle-même, sans aucun rapport à l’élocution, nous trouverons qu’elle est très-s
signes. Ces mots rapprochés forment d’abord divers ensembles, par les rapports que l’esprit a mis entre les mots dont ces ensemb
et, ne forme de sens ou d’ensemble, & ne devient tout que par les rapports que l’esprit met entre les mots qui le composent 
 : de même il faut des mots ; mais il faut que ces mots soient mis en rapport , si l’on veut qu’ils énoncent des pensées. Il y a
n doit étudier les signes établis en chaque langue, pour indiquer les rapports que celui qui parle met entre les mots dont il se
ndre le sens d’aucune phrase. C’est uniquement la connoissance de ces rapports qui donne l’intelligence de chaque sens partiel &
oute la proposition, l’esprit rétablit les mots dans l’ordre de leurs rapports successifs : si quando (aliquando) imber frigidus
t est un verbe ; or en françois la terminaison du verbe en indique le rapport  : je connois donc par la terminaison de vainquit,
les autres langues dont les noms ne se déclinent point, la suite des rapports des mots commence par le sujet de la proposition 
après quoi viennent les mots qui se rapportent à ce sujet, ou par le rapport d’identité, ou par le rapport de détermination :
qui se rapportent à ce sujet, ou par le rapport d’identité, ou par le rapport de détermination : je veux dire que le correlatif
fit-il ? il vainquit, & qui ? Pompée. Les mots sont aussi mis en rapport par le moyen des prépositions : un temple de marb
y avoir dans notre langue ni cas ni déclinaisons. La connoissance du rapport des mots nous vient ou des terminaisons des verbe
es prépositions par, pour, en, à, de, &c. qui mettent les mots en rapport , ou enfin de l’ensemble des mots de la phrase. S’
se rapporte, produit sur ce mot-là. L’amour de Dieu, de Dieu a un tel rapport de détermination avec amour, qu’on n’entend plus
es gens. Je dis dans ce discours, que toute syntaxe est fondée sur le rapport d’identité & sur le rapport de détermination 
, que toute syntaxe est fondée sur le rapport d’identité & sur le rapport de détermination ; ce que j’explique page 14. &am
ce que j’explique page 14. & page 45. Je parle aussi de ces deux rapports au mot Concordance & au mot Construction .
entre lesquelles l’esprit apperçoit de l’opposition, ou ne voit aucun rapport . Il semble qu on tourne d’abord l’esprit d’un cer
r & sur les bornes de l’habitude. J’ajoûterai encore un mot qui a rapport à cet article, c’est que la société qui s’intéres
e qu’autant que notre corps se trouve en certaine disposition, par le rapport mutuel & la connexion réciproque qui est entr
te, ou à un cas différent, Diana soror Apollinis, on leur explique le rapport d’identité, & le rapport ou raison de détermi
ana soror Apollinis, on leur explique le rapport d’identité, & le rapport ou raison de détermination. Diana soror, ces deux
oître de qui Diane étoit soeur. Toute la syntaxe se réduit à ces deux rapports comme je l’ai dit il y a long-tems. Cette méthode
t de motif extérieur & propre : ce qu’il pensoit n’étoit point en rapport avec la réalité des choses : cogitare tuum nil po
e toûjours quelqu’heure ; mais elle ne va bien que lorsqu’elle est en rapport avec la situation du Soleil : notre sentiment int
tre sentiment intime, aidé par les circonstances, nous fait sentir le rapport de notre jugement avec la réalité des choses. Qua
on travaille en des tems marqués à acquérir les connoissances qui ont rapport à cet objet : telles sont les Langues, la Géométr
aire la construction de toute la phrase, & appercevoir les divers rapports que les mots ont entr’eux : par exemple, lorsque
aisoient un fréquent usage de l’ellipse ; car comme on connoissoit le rapport des mots par les terminaisons, la terminaison d’u
ts ne changent point de terminaison ; nous ne pouvons en connoître le rapport que par leur place ou position, relativement au v
ira que je fasse. (F) EN EN & DANS, prépositions qui ont rapport au lieu & au tems. En France, en un an, en un
ogie les regles de l’élocution, & qui croyent que chaque signe de rapport n’est le signe que du rapport particulier qu’il d
, & qui croyent que chaque signe de rapport n’est le signe que du rapport particulier qu’il doit indiquer, selon l’institut
gie & la destination des signes ; un tel mot, dis-je, seroit sans rapport , & ne feroit que troubler, sans aucun fruit,
quant point par lui-même un sens déterminé, il faut qu’il soit mis en rapport avec un autre verbe qui soit à un mode fini, &
s phrases d’un discours : c’est-à-dire qui les considere sous le même rapport . Nous n’avons pas oublié cette particule au mot
ver que lorsque les mots sont rangés selon l’ordre successif de leurs rapports dans le discours, & que le mot qui en détermi
élange de mots ; c’est lorsque l’on s’écarte de l’ordre successif des rapports des mots, selon la construction simple : en voici
ts changent de terminaisons, parce que ces terminaisons indiquent les rapports des mots, & par-là font appercevoir l’ordre ;
entre les parties d’une période, une certaine suite & un certain rapport grammatical qui est nécessaire pour la netteté du
m & quantum, tel & quei, quoique, cependant, &c. Quand ce rapport ne se trouve point, c’est un anacoluthon ; en voi
oint ainsi que parle la nature. Voici deux autres figures qui ont du rapport à celles dont nous venons de parler : l’une s’app
st. Ainsi l’idée d’étendu vous doit faire appercevoir la connexion ou rapport d’identité qu’il y a entre atome & divisible 
que le moyen est le terme qui donne lieu à l’esprit d’appercevoir le rapport qu’il y a entre l’un & l’autre des termes de
a entre les idées accessoires, je veux dire, entre les idées qui ont rapport les unes aux autres, est la source & le princ
mot ; il est employé dans le sens passif, quand le sujet auquel il a rapport , est consideré comme le terme de l’impression pro
x mêmes mots ont le sens passif, parce que la robe à laquelle ils ont rapport , est considerée comme le terme de l’impression pr
t la liaison que les idées ont les unes avec les autres : le moin dre rapport réveille une idée de moralité dans un homme dont
trouvoit partout jusque dans les nombres. Métrodore de Lampsaque, au rapport de Tatien, avoit tourné Homere tout entier en all
res sens de l’Ecriture-sainte. Si les explications qu’on en donne ont rapport aux moeurs, c’est le sens moral. Si les explicati
me dans les constructions louches, les mots semblent avoir un certain rapport pendant qu’ils en ont un autre » : par conséquen
elles de très-grandes différences ; néanmoins’il y a beaucoup plus de rapport entre les couleurs les plus opposées, qu’entre un
e sont perceptibles que par les sens différens de la vue, sans au cun rapport aux idées de couleur. Le seul plaisir de sentimen
andeur véritable ou absolue des mouvemens du corps, mais seulement le rapport que ces mouvemens ont les uns avec les autres. Il
es qui agissent par l’impression nécessaire des objets, à laquelle le rapport des sens est toujours conforme. L’oeil placé sur
rompent ; c’est nous qui nous trompons par notre imprudence, sur leur rapport fidele. Leur fidélité ne consiste pas à avertir l
sujet de croire aussi-bien organisés que nous. Si mes yeux me font un rapport contraire à celui des yeux de tous les autres, je
que nos yeux nous portent continuellement à l’erreur, parce que leur rapport est ordinairement faux sur la véritable grandeur 
la grandeur de l’objet auquel elle est appliquée. A moins donc que le rapport des yeux sur la grandeur ne soit vérifié par la m
e le rapport des yeux sur la grandeur ne soit vérifié par la main, le rapport des yeux sur la grandeur doit passer pour suspect
s mysteres de notre foi ; l’anagogique, la béatitude & ce qui y a rapport  ; le tropologique, le réglement de nos moeurs : c
fférentes especes de sensations, lesquelles ne paroissent avoir aucun rapport avec les premieres ; car toutes les fois que les
er, & celui dont on emprunte le nom ; car s’il n’y avoit point de rapport entre ces objets, il n’y auroit aucune idée acces
veille l’idée, & ne forme point un ensemble avec lui ; tel est le rapport qui se trouve entre la cause & l’effet, entre
ble, comme le tout & la partie ; leur union n’est point un simple rapport , elle est plus intérieure & plus indépendante
27 (1897) Le monde où l’on imprime « Chapitre XVIII. Gentils conteurs » pp. 218-231
absurde. M. Schwob analyse : « Quand nous saisissons des choses leurs rapports de position, nous les classons suivant la cause e
otre esprit… on peut imaginer que les choses ont entre elles d’autres rapports que le rapport scientifique et le rapport logique
peut imaginer que les choses ont entre elles d’autres rapports que le rapport scientifique et le rapport logique. » Mais on peu
s ont entre elles d’autres rapports que le rapport scientifique et le rapport logique. » Mais on peut même dire qu’elles n’ont
Mais on peut même dire qu’elles n’ont ni l’un ni l’autre de ces deux rapports qui sont tous deux des façons subjectives de repr
pas impossible certes, mais que c’est improbable ! Schwob parlait des rapports des choses ; que sont tous ces rapports ? Des pro
probable ! Schwob parlait des rapports des choses ; que sont tous ces rapports  ? Des procédés variés d’association d’idées ; la
re, et les petites phrases n’y parviendraient pas, qui disloquent les rapports que la période souligne : « … Car c’est moins le
28 (1881) La psychologie anglaise contemporaine « Conclusion »
etc., comme lui ayant fourni des matériaux. Il diffère donc, sous ce rapport , des psychologues précédemment étudiés, dont la d
lus sans profit ses études sur le Darwinisme psychologique et sur les rapports de l’hypothèse de l’évolution avec la psychologie
siologique de la doctrine kantienne des formes de la pensée. Les deux rapports les plus généraux que conçoive l’intelligence hum
l’intelligence humaine sont ceux de succession et de simultanéité. Le rapport de succession est le plus simple : il constitue l
est le plus simple : il constitue le fait de conscience primitif. Le rapport de simultanéité est une duplication du précédent 
e contraire ; de sorte que l’on va également de A à G et de C à B. Au rapport de succession se rattache une notion importante,
aux causes phénomènes, comme l’École entend le faire. L’ensemble des rapports de succession est le temps. L’ensemble des rappor
e. L’ensemble des rapports de succession est le temps. L’ensemble des rapports de simultanéité est l’espace. Le caractère d’infi
, simple en apparence, est une machine compliquée, faite de pièces de rapport . Les faits volontaires sont soumis à la loi unive
29 (1895) De l’idée de loi naturelle dans la science et la philosophie contemporaines pp. 5-143
la propriété de joindre ensemble les idées des phénomènes suivant des rapports de ressemblance, de contiguïté et de causalité. E
s A = A, car le signe = est un signe mathématique, qui limite déjà le rapport qu’il s’agit d’établir. Le principe d’identité, a
n’appartienne pas à un même sujet dans le même temps et sous le même rapport . » La logique pure ne dit pas de quelle nature do
minée ; de plus, les expressions « dans le même temps et sous le même rapport  » ne se trouvaient pas dans les formules de la lo
’épuisent en vains efforts pour établir la légitimité de la notion de rapport . C’est qu’il y a dans la logique syllogistique qu
dans la nature ; l’intelligence qui le caractérise doit avoir quelque rapport avec la nature des êtres en général. Il doit donc
traire, font une œuvre essentiellement synthétique ; elles posent les rapports que la logique suppose ; elles créent un lien ent
ns la nature, ce qui satisfait son intelligence ne doit pas être sans rapport avec le reste des choses. On peut donc conjecture
même. Et s’il n’est pas douteux qu’elles n’aient déjà avec l’être un rapport plus étroit que les lois logiques, on ne peut dir
ns l’espoir d’en tirer quelque conséquence, en ce qui concerne, et le rapport de ces lois à la réalité, et la situation de la p
e l’esprit n’arrive pas à s’assimiler complètement : elles créent des rapports de composition ; elles diversifient l’identique à
compte. Aussi les voit-on, aujourd’hui, s’efforcer de transformer le rapport de la force au mouvement en une simple dépendance
ort de la force au mouvement en une simple dépendance mutuelle, en un rapport de solidarité. C’est en ce sens que la force est
t une dépendance régulière entre ces choses. Il s’agit donc bien d’un rapport mathématique, mais ce rapport ne peut être affirm
re ces choses. Il s’agit donc bien d’un rapport mathématique, mais ce rapport ne peut être affirmé ni connu a priori. Et ainsi,
ctrine kantienne. En effet, penser les choses, c’est comprendre leurs rapports , leurs affinités naturelles ; c’est voir comment,
de tout contenu psychologique ou métaphysique, qu’on ne voit plus de rapport entre la force telle qu’on l’entend en métaphysiq
mblent déjà, ou ils ne sont pas pour nous. La distinction des lois ou rapports et des phénomènes ou éléments, calquée sur celle
 étendu ne se concilie pas avec la force centrifuge qu’impliquent les rapports des atomes situés à de petites distances les uns
difficultés insurmontables de l’infini. L’étendue n’est jamais qu’un rapport . Il en est de même du poids : le poids est un rap
st jamais qu’un rapport. Il en est de même du poids : le poids est un rapport , et dépend de l’attraction terrestre. D’une maniè
empérature ou le mouvement de la population. Une loi naturelle est un rapport constant entre deux termes définis et immuables ;
un rapport constant entre deux termes définis et immuables ; c’est ce rapport que représente excellemment un couple d’atomes do
erre. Déjà la mécanique a dû substituer à l’intuition mathématique un rapport de simple causalité phénoménale, irréductible à c
énoménale, irréductible à cette intuition. La physique a compliqué ce rapport en y introduisant une notion de qualité, la notio
s. Conformément à cette division, nous allons aujourd’hui étudier les rapports de la physiologie avec la physique ; et, dans la
c la physique ; et, dans la prochaine leçon, nous nous occuperons des rapports des espèces entre elles et de l’évolution. Les lo
savants s’y trouvent amenés comme les autres hommes. Quel est donc le rapport des facultés vitales avec les propriétés physico-
cartes, notre confiance dans la vérité des idées claires et dans leur rapport à la réalité. Nous prétendons que notre intellige
la valeur absolue du mécanisme. Mais, dira-t-on, comment concevoir le rapport de la vie avec les phénomènes physico-chimiques ?
s étudier maintenant, non plus l’être vivant pris isolément, mais les rapports des êtres vivants entre eux, c’est-à-dire les loi
e la science aristotélicienne, des lois de finalité, mais des lois de rapports et de coexistence. Il ne s’agit plus de l’origine
n cherche, ce n’est pas la cause qui produit les êtres, mais bien les rapports de ressemblance qui les relient les uns aux autre
uvent demeurer analogues, lorsque demeurent et leur position et leurs rapports aux autres organes ; 3° le principe des connexion
la simple description. Lui aussi cherche des lois de solidarité et de rapports . Tel est son principe de la corrélation des forme
usalité ; elle prétend atteindre à l’origine et non pas seulement aux rapports de solidarité, et cela en dehors de toute considé
en effet, les natures des choses sont immuables, et les lois sont les rapports qui en résultent. Ici les natures des choses sont
nt l’un à l’autre pour l’esprit : ils peuvent n’avoir entre eux aucun rapport logique. D’autre part, Descartes, prenant pour ty
la psychologie comme science. Les lois baconiennes, qui consistent en rapports constants de coexistence ou de succession, vont-e
. De cette union résultent, dans l’âme, des modes accidentels qui ont rapport à l’étendue, qui peuvent être envisagés du point
tissant à la confiance en la véracité divine. C’est à ce problème des rapports de l’âme et du corps, impliqué dans la prétention
deviennent des idées. Ces idées s’associent d’elles-mêmes, selon les rapports de ressemblance, de contiguïté et de causation, l
’esprit et de l’idée, puisque les lois psychologiques ne sont que des rapports résultant de la nature des idées elles-mêmes. Cep
ont leur premier modèle dans la doctrine cartésienne, établissent un rapport entre un phénomène psychique et un phénomène phys
dé d’une autre idée ; comme l’associationnisme n’exige pas le moindre rapport logique entre deux idées pour que l’une soit dite
l’associationnisme, la psychologie physique considère l’âme dans ses rapports avec l’organisme. Elle espère superposer une psyc
rattache un phénomène mental à un phénomène physique, et relie par un rapport de constance et de nécessité deux termes hétérogè
t le mécanisme que détermine cette seconde psychologie n’est pas sans rapport avec la liberté que révèle la première. Il représ
l sens cet antécédent déterminera-t-il ce conséquent ? Y a-t-il là un rapport de nécessité semblable à celui qui lie l’attracti
re, sinon que ce qu’on prenait pour une loi de causalité enveloppe un rapport de finalité, et que l’on suppose l’intelligence e
mentales en vérités rationnelles. Connus par la seule expérience, les rapports les plus généraux des choses demeurent pour nous,
30 (1906) Les idées égalitaires. Étude sociologique « Conclusion »
entre les formes de ces sociétés et le succès de cette idée il y a un rapport de condition à conséquence. * ** Toutefois, sur l
on à conséquence. * ** Toutefois, sur la nature et le vrai sens de ce rapport , ne peut-il subsister une dernière équivoque ? L’
es de groupement et l’idée de l’égalité vous avez justement aperçu un rapport , mais vous en avez faussement déterminé le sens :
e historique — sans parler de la rareté avec laquelle se montrent des rapports constants entre deux phénomènes — qui ne sait com
ance, mais rarement décider de l’antériorité. De ce point de vue, les rapports que nous avons établis inductivement paraîtront s
serait-elle nécessairement ruinée ? Nullement, s’il est vrai que les rapports « réversibles » sont presque de règle en matière
et que par suite, là où l’histoire nous montre entre elles et lui des rapports constants, il est, bien plutôt que leur cause uni
31 (1868) Les philosophes classiques du XIXe siècle en France « Chapitre XIII : De la méthode »
me elle amène, entraîne et produit des conséquences. Qu’est-elle ? Un rapport . Un rapport entre la vie et les opérations, entre
e, entraîne et produit des conséquences. Qu’est-elle ? Un rapport. Un rapport entre la vie et les opérations, entre la définiti
a force vitale n’est ni une qualité, ni une substance, mais un simple rapport . Je ne vois plus de fluide, de monade, de mystère
, les fonctions et la structure qui rend ces fonctions possibles ; un rapport , la nécessité qui attache ces faits subordonnés a
é qui attache ces faits subordonnés au fait principal. Des faits, des rapports , il n’y a rien d’autre. Nous avons purgé notre es
plutôt continuez-la seul ; vous réduirez de même à des faits ou à des rapports toutes les expressions des sciences physiques. L’
répète ; chaque fois il y a deux faits, et chaque fois il s’agit d’un rapport qui les lie. La présence de l’air et l’élévation
econd. Il n’y a là non plus ni fluide, ni monade, ni mystère, mais un rapport . Traduisez de même les autres expressions un peu
t produit par l’analyse désignera une portion, une combinaison, ou un rapport de faits. Portez-la dans le monde moral ; essayez
bés, et il n’est plus resté que des portions, des combinaisons ou des rapports de faits. Ce premier pas en amène un autre ; l’an
, de sens compliqué et douteux, aux faits, aux portions de faits, aux rapports ou aux combinaisons de faits qu’ils signifient. P
32 (1800) De la littérature considérée dans ses rapports avec les institutions sociales (2e éd.) « Préface de la seconde édition » pp. 3-24
ne laissaient rien à désirer à cet égard ; mais je voulais montrer le rapport qui existe entre la littérature et les institutio
s chansons d’Anacréon. Mais cette manière d’être affectée n’a que des rapports très indirects avec le plan général de mon ouvrag
e Gray ne lui fut point inconnu : il a servi de modèle, sous quelques rapports , à Fontanes dans une de ses meilleures pièces, Le
ns mon ouvrage, ce qui appartient aux arts d’imagination, de ce qui a rapport à la philosophie ; j’ai dit que ces arts n’étaien
èce humaine déchaîne maintenant toutes les passions politiques ? quel rapport peut-il avoir avec elles5 ? Ceux qui pensent que
iences. Si l’on dirigeait un jour la navigation aérienne, combien les rapports de la société ne seraient-ils pas différents ? La
t été le type de la littérature du Nord en général, ont le plus grand rapport avec le caractère de la poésie d’Ossian. On trouv
les plus frappants dans l’homme, dit le citoyen Talleyrand, dans son Rapport sur l’instruction publique du 10 septembre 1791,
33 (1867) Le cerveau et la pensée « Avant-propos »
et de ce travail. On me dit : Vous paraissez craindre que si certains rapports précis et certains étaient trouvés entre l’intell
la physiologie ? Si cette science venait à établir rigoureusement les rapports que vous trouvez si incertains, s’ensuivrait-il q
: Est-il bien vrai que la science n’ait rien établi jusqu’ici sur les rapports du cerveau et de l’intelligence ? Et qui pourrait
sur deux instruments inégaux paraîtraient être l’un à l’autre dans le rapport de leurs instruments. Ainsi deux âmes qui auraien
a mesure et l’expression de celle-là ; mais il arrivera aussi que les rapports seront renversés, et, que l’on ne trouvera pas da
t toutes les fois qu’ils veulent soumettre à des lois rigoureuses les rapports du cerveau et de la pensée. La force intérieure,
34 (1867) Le cerveau et la pensée « Chapitre II. Le cerveau chez les animaux »
u poème de Lucrèce. C’est dans ce chant que le grand poète expose les rapports de l’âme et du corps, la dépendance où l’une est
vers d’un accent si grand et si triste résument toute la science des rapports du physique et du moral, et Cabanis, dans son cél
au reste du corps lorsque les fonctions de cet organe ont précisément rapport au corps tout entier : par exemple, le système mu
ont pas seulement des organes d’intelligence, et qu’ils sont aussi en rapport avec les sensations, avec les mouvements. Il suit
s membres, les parties articulaires du coude ou du genou ». Mais quel rapport imaginer entre la forme ronde, carrée, ovale ou p
lut, Physiologie de la pensée, t. I, ch. x, et t. II, Mémoire sur les rapports de la pensée et du cerveau. 14. Appréciation de
ives de médecine, 1838). 15. Mémoire sur la forme du crâne dans son rapport avec le développement de l’intelligence (Bulletin
uret, p. 577. 17. De l’étendue et de la surface du cerveau dans son rapport avec le développement de l’intelligence. — Bullet
s, dans le grossissement des corps, la sui face croît dans un moindre rapport que le volume. Si les dimensions d’un corps passe
35 (1893) La psychologie des idées-forces « Tome premier — Livre deuxième. L’émotion, dans son rapport à l’appétit et au mouvement — Chapitre premier. Causes physiologiques et psychologiques du plaisir et de la douleur »
inisme. — II. Causes physiologiques au plaisir et de la douleur. Leur rapport à la vie. — III. La lutte pour la vie n’est-elle
conséquences morales ou métaphysiques auxquelles aboutit l’étude des rapports du plaisir et de la douleur avec la vie. I Part
lié un sentiment d’une intensité correspondante et convenable. » Les rapports anormaux se rencontrent surtout chez les hommes c
vement sur le mécanisme extérieur des choses déjà existantes, sur les rapports d’éléments une fois donnés. On comprend fort bien
es physiologiques et psychologiques du plaisir et de la douleur. Leur rapport à la vie. Le plaisir et la douleur varient en
uvement30. » Cette théorie vient de ce que Léon Dumont conçoit mal le rapport des deux travaux moléculaires. Le travail visible
de l’organisme. Quatre situations sont possibles, si on considère le rapport d’intensité entre l’énergie dépensée et l’énergie
loi de proportion qui veut que le travail positif d’exercice soit en rapport avec le travail négatif de réparation ? On a voul
té propre, encore moins une efficacité quelconque, mais seulement des rapports et des changements32. Selon cette doctrine, une s
ses extérieures qui leur correspondent, mais ils expriment un certain rapport entre les objets et ce qu’il y a en nous de plus
ndance de notre être qui demeure stable dans la multiplicité même des rapports qu’elle soutient avec le milieu extérieur. Sans d
qui, en lui-même, peut être légèrement pénible ou agréable selon son rapport avec le développement général de la vitalité. C’e
mme à une sorte d’excitation qui, en soi, serait indifférente sous le rapport du plaisir ou de la peine, et qui, en se combinan
inséparable de la sensibilité et de la motilité. La loi relative aux rapports du sentiment avec la durée consiste en ce que les
ière. Nous restons donc toujours en présence de l’intensité et de son rapport avec l’action. Jouir, c’est toujours agir, agir l
te en tous sens et son plaisir croît avec l’intensité de la motion en rapport avec les forces emmagasinées. Psychologiquement,
ent d’une quantité pure. L’action, enfin, doit toujours se trouver en rapport avec la forme même des organes, produit de la sél
lus qu’à une autre période antérieure de leur existence, soit sous le rapport des conditions générales de leur vie, soit sous l
it sous le rapport des conditions générales de leur vie, soit sous le rapport des relations d’un sexe à l’autre. Des organes de
intenant, comparons les sens supérieurs aux sens inférieurs dans leur rapport avec l’activité ; nous trouverons qu’avec leur pl
de la fatigue se dessiner aussi nettement l’un que l’autre, selon le rapport exact qui existe entre notre force musculaire et
36 (1881) La psychologie anglaise contemporaine « M. Bain — Chapitre V : Rapports du physique et du moral. »
Chapitre V : Rapports du physique et du moral. I Outre la psycho
. I Outre la psychologie proprement dite, M. Bain a étudié les rapports du physique et du moral dans son récent livre l’E
substance matérielle unie à une substance immatérielle par un certain rapport vaguement défini — subit maintenant une certaine
s ne tenons pas compte des deux faces. La seule difficulté réelle des rapports entre l’esprit et le corps, c’est qu’il est impos
nce étendue. » II Allant encore plus loin, M. Bain a montré le rapport entre la question qui nous occupe et celle de la
question posée en passant : à notre avis elle contient la question du rapport du physique et du moral dans sa totalité : mais c
37 (1733) Réflexions critiques sur la poésie et la peinture « Première partie — Section 40, si le pouvoir de la peinture sur les hommes est plus grand que le pouvoir de la poësie » pp. 393-405
a le plus de confiance. C’est au sens de la vûë que l’ame appelle du rapport des autres sens lorsqu’elle soupçonne ce rapport
que l’ame appelle du rapport des autres sens lorsqu’elle soupçonne ce rapport d’être infidele. Ainsi les bruits et même les son
dont l’énergie ne dépend pas de l’éducation. Ils tirent leur force du rapport que la nature elle-même a pris soin de mettre ent
e l’idée d’un bâtiment que notre imagination aura formée, même sur le rapport des gens du métier, se trouve conforme au bâtimen
s experts tombent aussi d’accord qu’ils auroient peine à concevoir le rapport d’une nouvelle découverte, si l’on ne joignoit pa
rt d’une nouvelle découverte, si l’on ne joignoit pas une figure à ce rapport . Un des proverbes italiens dont l’usage est le pl
38 (1875) Premiers lundis. Tome III «  À propos, des. Bibliothèques populaires  »
Mais, dans la séance du vendredi 21 juin, M. le sénateur Suin fit un rapport sur une pétition de cent deux habitants de Saint-
stre de l’instruction publique. La discussion de cette pétition et du Rapport ayant été ajournée et fixée pour la séance du mar
ontredire dans sa forme, dans sa tendance et dans ses conclusions, le Rapport que vous avez entendu dans la séance de vendredi
t de la convenance dans les choix des bibliothèques populaires. Si le Rapport s’était tenu dans ces termes, il ne saurait y avo
ée de conciliation et de concorde chez tous les bons esprits. Mais le Rapport n’a point fait cela : le Rapport a pris fait et c
chez tous les bons esprits. Mais le Rapport n’a point fait cela : le Rapport a pris fait et cause pour une pétition ; il a pri
’on a saisi le Sénat d’une liste où ils sont nommément incriminés. Le Rapport (chose inouïe, inusitée parmi vous), le Rapport a
mément incriminés. Le Rapport (chose inouïe, inusitée parmi vous), le Rapport a épousé la pétition ; — il est la pétition même.
ute une branche de romans champêtres, purs et irréprochables. Mais le Rapport frappe de haut : il n’a pas daigné entrer dans ce
est pas excepté, pas plus que l’auteur de la Mare au Diable. Voilà un Rapport bien inflexible et bien draconien. Nicole un jour
é les deux amis avec lesquels M. de Reinach et lui seraient entrés en rapport , ce qui l’aurait dispensé d’avoir à lui adresser
et même. « Jamais, avant ce moment, nous n’avions eu, monsieur, aucun rapport personnel ; jamais nous n’avions eu l’occasion d’
M. Villemain, secrétaire perpétuel de l’Académie française, dans son Rapport lu en séance publique, en parlait comme il suit :
39 (1893) La psychologie des idées-forces « Tome second — Livre sixième. La volonté — Chapitre deuxième. Le développement de la volonté »
r cette combinaison d’impulsions psychiques simples à l’intérieur, de rapports mécaniques à l’extérieur, vous pourrez expliquer
essaire à la volonté primordiale. La finalité de l’entendement est un rapport conçu, représenté, entre une fin et un moyen ; ma
n de l’intelligence sur les appétitions, qui résultent elles-mêmes du rapport des circonstances extérieures à notre caractère.
ar des idées proprement dites. Ces jugements et idées portent sur les rapports des choses (similitude, différence, causalité, et
duit par tout ce qui n’est pas la réflexion même du moi, soit dans un rapport inverse avec le désir intellectuel, produit par c
tion même, conséquemment à la conscience qu’il a eue de soi et de ses rapports avec les autres motifs. De plus, ces rapports ne
a eue de soi et de ses rapports avec les autres motifs. De plus, ces rapports ne sont pas seulement des rapports de quantité, m
ec les autres motifs. De plus, ces rapports ne sont pas seulement des rapports de quantité, mais encore de qualité. Enfin, cette
e, esthétique, morale et sociale. La conscience réfléchie de tous ces rapports modifie l’intensité et la qualité primitives des
lier, consistant à être mû par des idées pures sans images et par des rapports tout abstraits. A coup sûr, la détermination par
ugement, pratique est la représentation anticipée d’un acte et de son rapport avec notre sensibilité, avec notre intelligence,
er, est toujours une image, accompagnée de quelque émotion. Quant aux rapports impliqués dans le jugement, s’ils n’enveloppent p
e sentir et de réagir, de certaines attitudes passives ou actives. Le rapport de différence, par exemple, si abstrait semble-t-
et à exécuter des mouvements comme si telles représentations et tels rapports de représentations étaient en accord ou en désacc
nies et les représentations et les impulsions corrélatives, dans leur rapport avec l’ensemble de toutes nos autres impulsions.
40 (1869) Cours familier de littérature. XXVII « CLVIIIe Entretien. Montesquieu »
la loi : « Les lois, dans la signification la plus étendue, sont les rapports nécessaires qui dérivent de la nature des choses 
elligents ? « Il y a donc une raison primitive ; et les lois sont les rapports qui se trouvent entre elle et les différents être
s rapports qui se trouvent entre elle et les différents êtres, et les rapports de ces divers êtres entre eux. « Dieu a du rappor
nts êtres, et les rapports de ces divers êtres entre eux. « Dieu a du rapport avec l’univers comme Créateur et comme Conservate
naît parce qu’il les a faites ; il les a faites parce qu’elles ont du rapport avec sa sagesse et sa puissance. « Les êtres part
tres intelligents, ces êtres étaient possibles ; ils avaient donc des rapports possibles, et par conséquent des lois possibles.
des lois possibles. Avant qu’il y eût des lois faites, il y avait des rapports de justice possibles. Dire qu’il n’y a rien de ju
t nécessaire qu’il y ait différents peuples, ils ont des lois dans le rapport que ces peuples ont entre eux ; et c’est le droit
nt dans une société qui doit être maintenue, ils ont des lois dans le rapport qu’ont ceux qui gouvernent avec ceux qui sont gou
nt gouvernés ; et c’est le droit politique. Ils en ont encore dans le rapport que tous les citoyens ont entre eux ; et c’est le
leur commerce, à leurs mœurs, à leurs manières. Enfin, elles ont des rapports entre elles, elles en ont avec leur origine, avec
ce que j’entreprends de faire dans cet ouvrage. J’examinerai tous ces rapports , ils forment tous ensemble ce que l’on appelle l’
ble ce que l’on appelle l’esprit des lois. « J’examinerai d’abord les rapports que les lois ont avec la nature et avec le princi
couler les lois comme de leur source. Je passerai ensuite aux autres rapports qui semblent être plus particuliers. » XII
s sur les lois politiques, Montesquieu passe aux lois qui règlent les rapports des citoyens entre eux. Mauvais publiciste, il re
s les pays chauds, l’âme est souverainement émue par tout ce qui a du rapport à l’union des deux sexes ; tout conduit à cet obj
t située dans des climats très-différents entre eux, n’y ait point de rapport entre les climats d’Espagne et d’Italie, et ceux
qués au jour où nous sommes. Il n’y a qu’un esprit des lois, c’est le rapport exact des lois et des croyances. On ne peut pas f
41 (1870) La science et la conscience « Chapitre I : La physiologie »
il existe par conséquent entre toutes les sciences humaines certains rapports qui ne permettent à aucune de refuser les lumière
’est la physiologie et la psychologie. Ici en effet, ce n’est plus de rapports entre objets différents qu’il s’agit, comme entre
homme moral de l’homme physique, de même ils ont toujours reconnu les rapports qui les unissent. Dans l’antiquité, cette dernièr
établie, comme dans tout le reste de l’univers. Cudworth explique les rapports de l’âme et du corps par l’hypothèse d’un médiate
. Enfin le dernier mot de l’école de la sensation sur la question des rapports du physique et du moral se trouve dans l’ouvrage
re la philosophie de la sensation. Maine de Biran répond au livre des Rapports du physique et du moral en distinguant deux vies,
sor des ambitions physiologiques dans la question toujours agitée des rapports du physique et du moral. On vit bientôt les plus
les plus délicats, ont répandu de telles lumières sur la question des rapports du physique et du moral qu’il en est sorti, non p
avait pour but de substituer à une juste, mais vague affirmation des rapports entre l’homme physique et l’homme moral, une clas
ie, où elle avait espéré d’abord trouver une théorie scientifique des rapports du physique et du moral, la physiologie reprit le
herche, et qui éclairent d’une lumière toute nouvelle la question des rapports de l’âme et du corps. Il ne s’agit plus ici d’une
iciter. Que cela contrarie ou non telle doctrine métaphysique sur les rapports de l’âme et du corps, il n’y a pas lieu de contes
ste. Une école cependant pousse la nouvelle science physiologique des rapports du physique et du moral jusqu’à des conclusions c
M. Lhuys, à propos de l’association des idées, parle de la notion du rapport qui les relie, et les anastomose ainsi l’une à l’
n, correspond à un certain état moléculaire défini du cerveau, que ce rapport du physique à la conscience existe invariablement
ne peut tenir un autre langage. La physiologie constate seulement des rapports entre les phénomènes organiques et les phénomènes
 ; entre ces deux faces, bien qu’elles diffèrent de nature, il y a un rapport défini de degrés ; et le côté physique est lui-mê
n faire le principe d’une science positive. Voilà donc le problème du rapport de la vie et de l’organisation résolu de manière
42 (1867) Nouveaux lundis. Tome IX « Souvenirs d’un diplomate. La Pologne (1811-1813), par le baron Bignon. (Suite et fin.) »
en problème ni en discussion rien de ce qui appartient aux bases des rapports sociaux et du commerce des hommes entre eux ; pay
le tint de même à distance, et jamais il ne s’établit entre eux aucun rapport de confiance. » Remarquez que ce reproche, adres
rconscrire l’essor des esprits dans la réalité. Vainement, fatigué de rapports vagues sur l’existence de tel ou tel corps de tro
ait s’ouvrir à Varsovie vers la mi-juin ; un comité spécial ferait un rapport sur les malheurs et les espérances de la patrie.
ferait un rapport sur les malheurs et les espérances de la patrie. Ce rapport devait être européen et polonais, mais dirigé ent
tait intervenu d’une manière indiscrète et intempestive. Mécontent du rapport que devait prononcer le comte Matuchewitz au nom
osait la Confédération de Pologne, il l’avait refait de sa main. « Ce rapport , nous dit M. de Senfft peu suspect de sévérité en
de déclamation et de faux brillant. M. de Senfft regretta de voir ce rapport substitué à un travail préparé pour cet objet par
é par un ardent dépit, de tous ceux avec qui il était précédemment en rapports officiels et en relations déférentes, mais qui so
43 (1800) De la littérature considérée dans ses rapports avec les institutions sociales (2e éd.) « Première partie. De la littérature chez les anciens et chez les modernes — Chapitre V. De la littérature latine, pendant que la république romaine durait encore » pp. 135-163
d il est dispensé de découvrir. Le paganisme romain avait beaucoup de rapport avec le paganisme grec. Les préceptes des beaux-a
, pas même pour un succès présent, ce qui pouvait porter atteinte aux rapports durables de subordination, d’égards et de sagesse
popularité, occupent entièrement le temps, et n’ont presque point de rapport avec les travaux nécessaires à l’accroissement de
ient qu’on jouât devant eux de certaines mœurs théâtrales, sans aucun rapport avec leurs vertus domestiques, des pantomimes, ou
ient de l’ascendant : elles n’en avaient point acquis encore dans les rapports de la société. Le goût, l’urbanité romaine avaien
rit véritable ; c’est-à-dire, qu’ils voyaient un plus grand nombre de rapports entre les idées, et qu’ils approfondissaient dava
u cœur de l’homme ; et la philosophie morale y a perdu sous plusieurs rapports . Les opinions stoïciennes étaient le point d’honn
oit nécessaires, les coups répétés que Démosthène veut porter, tout a rapport au gouvernement et au caractère des deux peuples.
de Rome. Les sectes philosophiques de la grande Grèce avaient eu des rapports continuels avec Rome ; la langue latine avait emp
ls attachaient à ne pas corriger les pièces qu’ils composaient ? Quel rapport peut-il y avoir entre le caractère, les talents e
44 (1893) La psychologie des idées-forces « Tome second — Livre cinquième. Principales idées-forces, leur genèse et leur influence — Chapitre quatrième. L’idée du temps, sa genèse et son action »
a contradiction logique dans l’opposition du présent et du passé. II. Rapports du temps et de l’espace. L’ordre dans le temps. —
A, j’ai l’image-souvenir de la sensation B ; de là la perception d’un rapport de succession. Il faut donc que le passé reste en
isons les plus profondes de la conception de la durée ; c’est par son rapport à la sensibilité et à l’activité motrice que chaq
-dire, en somme, le réel. Que ce réel ne soit pas indivisible sous le rapport du temps, qu’il ait en lui-même un commencement,
t ; la distinction nette des temps ne pourra sortir que de la mise en rapport et de la comparaison entre ces trois diverses att
t capital, mais elle n’est pas le seul : il faut encore considérer le rapport de l’activité à l’objet, selon que cette activité
ers ce qui n’est, pas, mais peut être et sera. En même temps, sous le rapport intellectuel, il est la projection dans le futur
ons intenses et des représentations évanouissantes ; mais pourquoi le rapport de ces représentations simultanées, au lieu d’êtr
quoi le rapport de ces représentations simultanées, au lieu d’être un rapport de coexistence entre des représentations faibles
tations faibles et des représentations intenses, apparaît-il comme un rapport de succession entre des représentations passées e
onnée. C’est qu’il s’en tient toujours à des représentations et à des rapports de représentations statiques, au lieu de faire ap
du temps une forme de l’appétition et non de la représentation. II Rapports du temps et de l’espace Les rapports du temps
n de la représentation. II Rapports du temps et de l’espace Les rapports du temps à l’espace ont donné lieu à de nombreuse
érogénéité absolue d’états purement qualitatifs, sans intensité, sans rapport à l’espace, sans loi contraignante ; ce n’est plu
t rien, pas plus de temps qu’autre chose. Le temps étant la série des rapports de succession, une fois supprimés tous les objets
ous les objets et toutes les successions, comment voulez-vous que les rapports subsistent, sinon comme pures possibilités pour n
ion motrice sont les expressions de la vie dans tout animal. C’est le rapport de ces deux termes qui, selon nous, a engendré to
; 6° au temps nécessaire pour la conception de ces images et de leurs rapports  ; 7° à l’intensité de notre attention à ces image
aux appétits, désirs ou aversions qui accompagnent ces images ; 9° au rapport de ces images avec notre attente, avec notre prév
attente, avec notre prévision. « On voit combien sont nombreux les rapports de représentation, d’émotion et de volition qui i
onde a priori la possibilité de principes apodictiques concernant les rapports du temps, ou d’axiomes du temps en général, comme
par les astronomes arrivent à point nommé, comme si le temps était un rapport objectif des choses. Comment donc a lieu cette ha
45 (1906) Les idées égalitaires. Étude sociologique « Introduction »
elles sont ses causes, ses conséquences, avec quels faits elle est en rapports constants. Autre chose est apprécier, autre chose
moins générales et les enchaîne logiquement, n’impliquent pas le même rapport du sujet à l’objet que les jugements de la scienc
oriques. Mais combien ces interférences nuisent à l’exacte vision des rapports de fait, on le sait de reste. Rien ne trouble plu
it, dont il faut établir, soit inductivement, soit déductivement, les rapports avec d’autres faits. Nos préférences fondées ou n
ces de leur apparition, à découvrir les phénomènes avec lesquels leur rapport est constant, et d’autre part à prouver, en dériv
leur rapport est constant, et d’autre part à prouver, en dérivant ce rapport de vérités plus générales, qu’il est autre chose
es en Allemagne, 1896, les diverses façons dont on peut comprendre le rapport de la sociologie à la pratique, à l’histoire, à l
46 (1765) Articles de l’Encyclopédie pp. 7172-17709
sons ou inflexions que l’usage a établies pour exprimer les différens rapports du mot à l’ordre de l’énonciation. Ce n’est donc
accessoires qui peuvent modifier en elle-même l’idée primitive, sans rapport à l’ordre de l’énonciation : ainsi cantare, canti
ive exprimée par canere y est modifiée en elle-même, & sans aucun rapport à l’ordre de l’énonciation. Felicior & felici
que l’idée principale exprimée par cano y est modifiée par différens rapports à l’ordre de l’énonciation, rapports de nombres,
ano y est modifiée par différens rapports à l’ordre de l’énonciation, rapports de nombres, rapports de tems, rapports de personn
r différens rapports à l’ordre de l’énonciation, rapports de nombres, rapports de tems, rapports de personnes : cantatoris, cant
ts à l’ordre de l’énonciation, rapports de nombres, rapports de tems, rapports de personnes : cantatoris, cantatori, cantatorem,
mp; fodico sont fréquentatifs ; outre que cette terminaison n’a aucun rapport au supin des primitifs vello & fodio, la sign
iculiere ou une espece d’inflexion qui désigne l’idée accessoire d’un rapport au tems à venir, ajoûtée à l’idée principale du v
uve dans toutes les langues différentes sortes de futur, parce que ce rapport au tems à venir y a été envisagé sous différens p
rai ; accipiam, je recevrai. Le futur relatif marque l’avenir avec un rapport à quelque autre circonstance du tems ; il est com
conjugaisons, non plus que les tems composés du subjonctif qui ont un rapport à l’avenir, comme laudaturus sim, laudaturus esse
ont admis à l’infinitif, & tous les tems composés qui marquent un rapport au passé dans la voix passive. Ce n’est pas la se
soupé quand vous entrerez, caenavero cum intrabis ? c’est de fixer le rapport du tems de son souper au tems de l’entrée de celu
ipalement la coexistence des deux actions comparées. S’il renferme un rapport au tems passé, ce rapport n’est qu’une idée secon
es deux actions comparées. S’il renferme un rapport au tems passé, ce rapport n’est qu’une idée secondaire, & seulement rel
te anteriorité est donc en quelque sorte l’idée principale ; & le rapport à l’avenir, une idée accessoire qui lui est subor
ous avons de plus deux futurs relatifs, qui marquent l’avenir avec un rapport spécial au présent ; & voilà en quoi convienn
ue restreigne exclusivement ces futurs à leur destination propre ; le rapport de ressemblance & d’affinité qui est entre ce
verticale G, pour avertir le lecteur d’en affoiblir l’expression. Le rapport d’affinité qui est entre les deux articulations q
aggelus, agcora, Agchises : ils avoient même porté cette pratique, au rapport de Varron, jusque dans des mots purement latins,
t reçu : son usage universel est de présenter le nom comme terme d’un rapport quelconque, qui détermine la signification vague
individuel d’où elle émane ; c’est ici un détermination fondée sur le rapport de l’effet à la cause. La détermination produite
mination produite par le génitif peut être fondée sur une infinité de rapports différens. Tantôt c’est le rapport d’une qualité
t être fondée sur une infinité de rapports différens. Tantôt c’est le rapport d’une qualité à son sujet, fortitudo regis ; tant
t du sujet à la qualité, puer egregiae indolis : quelquefois c’est le rapport de la forme à la matiere, vas auri ; d’autre fois
ri ; d’autre fois de la matiere à la forme, aurum vasis. Ici c’est le rapport de la cause à l’effet, creator mundi ; là de l’ef
mundi ; là de l’effet à la cause, Ciceronis opera. Ailleurs c’est le rapport de la partie au tout, pes montis ; de l’espece à
plicii, &c. Partout le nom qui est au génitif exprime le terme du rapport  ; le nom auquel il est associé en exprime l’antéc
l’antécédent ; & la terminaison propre du génitif annonce que ce rapport qu’elle indique est une idée déterminative de la
t une idée déterminative de la signification du nom antécédent. Voyez Rapport . Cette diversité des rapports auxquels le géniti
signification du nom antécédent. Voyez Rapport . Cette diversité des rapports auxquels le génitif peut avoir trait, a fait donn
iens. Les uns l’ont appellé possessif, parce qu’il indique souvent le rapport de la chose possédée au possesseur, praedium Tere
edium Terentii ; d’autres l’ont nommé patrius ou paternus, à cause du rapport du pere aux enfans, Cicero pater Tuiliae : d’autr
pere aux enfans, Cicero pater Tuiliae : d’autres uxorius, à cause du rapport de l’épouse au mari, Hectoris Andromache. Toutes
mache. Toutes ces dénominations péchent en ce qu’elles portent sur un rapport qui ne tient point directement à la signification
servir à déterminer la signification vague d’un nom appellatif par un rapport quelconque dont il exprime le terme ; c’étoit dan
éposition de, qui par le vague de sa signification semble exprimer un rapport quelconque ; ce rapport est spécifié dans les dif
vague de sa signification semble exprimer un rapport quelconque ; ce rapport est spécifié dans les différentes occurrences (qu
de son antécédent & de son conséquent. Le créateur de l’univers, rapport de la cause à l’effet : les écrits de Cicéron, ra
de l’univers, rapport de la cause à l’effet : les écrits de Cicéron, rapport de l’effet à la cause : un vase d’or, rapport de
les écrits de Cicéron, rapport de l’effet à la cause : un vase d’or, rapport de la forme à la matiere : l’or de ce vase, rappo
e : un vase d’or, rapport de la forme à la matiere : l’or de ce vase, rapport de la matiere à la forme, &c. En hébreu, on e
iber pertinens ad me ; domus regia, c’est domus regis. On voit que le rapport de la chose possédée au possesseur, s’exprime par
r, mais qui s’accorde avec le nom de la chose possédée ; parce que le rapport d’appartenance est réellement en elle & s’ide
’appartenance est réellement en elle & s’identifie avec elle. Le rapport de l’espece à l’individu, n’est pas toûjours anno
e qui lui est propre, de déterminer un nom appellatif d’action par le rapport de cette action à l’objet ; ce n’est pas en metta
issimulons pas les inconvéniens. Il détermine quelquetois en vertu du rapport d’une action au sujet qui la produit, quelquefois
t d’une action au sujet qui la produit, quelquefois aussi en vertu du rapport de cette action à l’objet ; c’est une source d’ob
ent d’aucun genre relatif au sexe, ou ce genre n’auroit au sexe qu’un rapport d’exclusion, & alors le nom de genre neutre l
ficulté, &c. Pour rendre sensible par une application décidée, le rapport vague des adjectifs aux noms, on leur a donné dan
inaisons, dans les langues qui admettent cette maniere d’exprimer les rapports des mots. C’est pour rendre la corrélation des no
ication l’équivoque d’une application douteuse au sujet auquel elle a rapport  : c’est une conséquence que les Orientaux ont sen
r à déterminer le choix des terminaisons des mots qui ont avec eux un rapport d’identité ; & dans les mots qui ont avec eux
c eux un rapport d’identité ; & dans les mots qui ont avec eux ce rapport d’identité, les genres sont les diverses terminai
mmes & d’animaux, la justesse & l’analogie exigeroient que le rapport réel au sexe fût toûjours caractérisé ou par des
ngues qui en admettent, auroient suffi pour caractériser nettement ce rapport , l’esprit ne peut qu’être satisfait de rencontrer
e langue débarrassée de toutes les inflexions qui ne marquent que des rapports , seroit plus facile à apprendre que toute autre q
Régime , en y exposant les principes de Grammaire qui peuvent y avoir rapport . On y verra que l’on peut quelquefois à peu de fr
nom d’usage dans l’expression censurée. Mais cet usage a toûjours un rapport nécessaire aux lois immuables de la Grammaire gén
nt la même idée, entre les moyens qu’elles adoptent pour désigner les rapports énonciatifs de ces mots, entre les tours de phras
les que la syntaxe prescrit sur la concordance, ont pour fondement un rapport d’identité entre les mots qu’elle fait accorder,
st le signe que l’usage a établi dans chaque langue, pour indiquer le rapport de determination d’un mot à un autre. Le mot qui
de l’explosion gutturale, est donc une véritable consonne, & ses rapports analogiques avec les autres consonnes, sont autan
s principes comme les difficultés, faute de sagacité pour démêler les rapports de convenance entre ces principes, & les poin
s’y méprendre : mais il falloit prendre garde si les deux cas avoient rapport au même ordre, ou s’ils présentoient la même espe
ophe, la parenthèse & la synchyse. La premiere est l’inversion du rapport de deux mots autorisée dans quelques cas seulemen
tant point assujetti ses infinitifs à ce genre d’inflexion ; mais les rapports à l’ordre analytique que les cas désignent dans l
e langue, à cause des cas qui y sont admis, exige quelquefois que les rapports de l’infinitif à l’ordre analytique y soient cara
s ne marquons l’ordre analytique que par le rang des mots ; & les rapports analytiques, que par les prépositions. La langue
ciliam tendere (Salust. Jugurth.) où il est évident qu’audito est en rapport & en concordance avec tendere qui tient lieu
sens, indéfini par soi-même, exige l’expression du terme auquel il a rapport  : amo (j’aime), eh quoi ? car l’amour est une pas
ppe l’intonation des divers sentimens de l’ame, & de voir que ces rapports se trouvant les mêmes partout où il y a des machi
coute, s’ils ne sont assortis d’une maniere qui rende sensibles leurs rapports mutuels, qui sont l’image des relations qui se tr
us immédiate des idées. Il faut peindre telle liaison, fondée sur tel rapport  ; ce rapport a un premier terme, puis un second :
des idées. Il faut peindre telle liaison, fondée sur tel rapport ; ce rapport a un premier terme, puis un second : s’ils se sui
riel des mots & leur ensemble qui détermine une langue ; elle n’a rapport qu’aux idées, aux conceptions, à l’intelligence d
’intelligence de ceux qui la parlent. Le langage paroît avoir plus de rapport au caractere de celui qui parle, à ses vues, à se
lui substituer les articulations de la voix, qui, sans avoir le même rapport avec certaines idées, sont plus propres à les rep
pendant la construction de la ville & de la tour de Babel, qui au rapport d’Eusebe in Chron. dura quarante ans ; que les pr
s qu’elles s’éloignent plus du centre de l’ondulation, ainsi plus les rapports de liaison entre les hommes sont affoiblis par l’
jet, & les diverses relations qu’elles ont entre elles à cause du rapport qu’elles ont toutes à la pensée indivisible dans
adverbes & les conjonctions : les prépositions, pour désigner les rapports généraux avec abstraction des termes ; les adverb
énéraux avec abstraction des termes ; les adverbes, pour désigner des rapports particuliers à un terme déterminé ; & les con
ce qui est des relations qui naissent entre les idées partielles, du rapport général qu’elles ont toutes à une même pensée ind
nsée, il y a une succession fondée sur leurs relations résultantes du rapport qu’elles ont toutes à cette pensée. Voyez Inversi
on grand & savant ouvrage sur la langue celtique, trouve bien des rapports entre cette langue & les orientales, notammen
noncent les enfans : de-là viennent papa, maman, & autres qui ont rapport à ceux-ci ; & il y a apparence que les enfans
uer les diverses circonstances où l’on se trouve, & les différens rapports sous lesquels on envisage les langues. La simple
ole, & l’objet commun de tous les idiomes : c’est donc le premier rapport sous lequel il convient ici de les envisager pour
st. La langue hébraïque & les autres langues orientales qui y ont rapport , comme la chaldaïque, la syriaque, l’arabique, &a
tous les tropes. De plus, il y a une sorte de comparaison où quelque rapport équivalent entre le mot auquel on donne un sens m
les métaphores sont régulieres, il n’est pas difficile de trouver le rapport de comparaison. La métaphore est donc aussi étend
arte rhet. 2°. Quand elles sont forcées, prises de loin, & que le rapport n’est point assez naturel, ni la comparaison asse
as, en nombre & en genre avec le nom propre Spuri, auquel il a un rapport d’identité. Voyez Concordance & Identité . S
en genre, en nombre & en cas avec le nom virtutum, auquel il a un rapport d’identité, & qu’il doit suivre dans la const
ion dont le complément doit être à l’accusatif, quand elle exprime un rapport de tendance vers un terme, soit physique, soit mo
complément doit être à l’ablatif, quand cette préposition exprime un rapport d’adhésion à ce terme physique ou moral. Mentem
er en cas, en nombre & en genre avec le nom finem, auquel il a un rapport d’identité. Finem (fin) est à l’accusatif singuli
on dont le complément est ici à l’accusatif, parce qu’elle exprime un rapport de tendance vers un terme moral. In hunc finem ut
d’employer les adjectifs mien, tien, sien avec le nom auquel ils ont rapport , comme nous faisions autrefois, & comme font
raison naissante des enfans ; & j’en ai, de mon côté, qui ont un rapport immédiat à l’utilité de la méthode analytique tel
sont les différentes formes qui expriment dans le verbe les différens rapports d’existence aux diverses époques que l’on peut en
lorsqu’il présente à l’esprit une autre idée totale à laquelle il n’a rapport que par l’analogie de celle qui est l’objet du se
our être en concordance avec les noms ou les pronoms auxquels ils ont rapport , & qui sont comme leurs originaux. Par exempl
êtent des terminaisons numériques que par imitation ; ils ont donc un rapport nécessaire aux noms ou aux pronoms leurs corélati
apport nécessaire aux noms ou aux pronoms leurs corélatifs : c’est le rapport d’identité qui suppose que les adjectifs & le
rentes qui ajoûtent à l’idée principale du mot l’idée accessoire d’un rapport déterminé à l’ordre analytique de l’énonciation.
s, par la raison qu’il n’y a que des êtres qui soient susceptibles de rapports , & qui puissent en être les termes. La second
atif est le cas destiné par l’usage de la langue latine à designer ce rapport à l’ordre analytique. Voilà des raisons de nécess
les adjectifs & les verbes sont du second. Les cas désignent des rapports déterminés, & les cas des noms & des pron
prit de celui qui parle : or on ne peut fixer dans son esprit que les rapports des êtres déterminés, parce que des êtres indéter
res déterminés, parce que des êtres indéterminés ne peuvent avoir des rapports fixes. Il suit donc encore de ceci que les noms &
e celui qui parle, mais selon le genre même du nom auquel le pronom a rapport  : ainsi ἐγὼ en grec, ego en latin, ich en alleman
exions & terminaisons. Voilà donc entre le nom & le pronom un rapport d’identité fondé sur le genre ; mais l’identité s
s prennent successivement selon le genre propre du nom auquel ils ont rapport , qu’ils imitent en quelque maniere, & avec le
mes exclusivement propres au verbe, & qui expriment les différens rapports d’existence aux diverses époques que l’on peut en
du verbe qui n’exprime d’une maniere ou d’une autre quelqu’un de ces rapports d’existence à une époque (Voyez Tems), quoique qu
le faire aussi, mais sous un autre aspect. Tous les tems expriment un rapport d’existence à une époque ; c’est là l’idée commun
nt l’antériorité, les futurs la postériorité ; les tems indéfinis ont rapport à une époque indéterminée, & les définis à un
les définis à une époque determinée ; parmi ceux-ci, les actuels ont rapport à une époque co-incidente avec l’acte de la parol
ne se déclinent point, on désigne par des prépositions la plûpart des rapports dont les cas sont ailleurs les signes : manus Dei
derniere observation nous indique que les prépositions désignent des rapports  : l’application que l’on peut faire des mêmes pré
sitions à une infinité de circonstances différentes, démontre que les rapports qu’elles désignent font abstraction de toute appl
8 est à 16, comme 25 est à 50, &c. que veulent-ils dire ? que le rapport de 3 à 6 est le même que le rapport de 5 à 10, qu
;c. que veulent-ils dire ? que le rapport de 3 à 6 est le même que le rapport de 5 à 10, que le rapport de 8 à 16, que le rappo
que le rapport de 3 à 6 est le même que le rapport de 5 à 10, que le rapport de 8 à 16, que le rapport de 25 à 50 ; mais ce ra
st le même que le rapport de 5 à 10, que le rapport de 8 à 16, que le rapport de 25 à 50 ; mais ce rapport n’est aucun des nomb
5 à 10, que le rapport de 8 à 16, que le rapport de 25 à 50 ; mais ce rapport n’est aucun des nombres dont il s’agit ici ; &
ême chose d’une préposition ; c’est, pour ainsi dire, l’exposant d’un rapport considéré d’une maniere abstraite & générale,
ces observations que les prépositions sont des mots qui désignent des rapports généraux avec abstraction de tout terme antécéden
par lui-même est vague & indéfini ; c’est le terme conséquent du rapport , envisagé vaguement dans la préposition. De-là en
général se trouve modifié & restraint par l’idée accessoire de ce rapport  ; l’adjectif, le verbe, ou le nom appellatif, en
sans témérité, aimer avec fureur ; chacune de ces phrases exprime un rapport complet ; on y voit l’antécédent, l’utilité, cour
différent donc des prépositions, qu’en ce que celles-ci expriment des rapports avec abstraction de tout terme antécédent & c
es adverbes renferment dans leur signification le terme conséquent du rapport . Les adverbes sont donc des mots qui expriment de
séquent du rapport. Les adverbes sont donc des mots qui expriment des rapports généraux, déterminés par la désignation du terme
selon que l’idée individuelle du terme conséquent qui y est enfermé a rapport au tems, au lieu, à l’ordre, à la quantité, à la
y a de commun entre ces deux especes : l’une & l’autre énonce un rapport général, c’est l’idée générique fondamentale des
& l’autre fait abstraction du terme antécédent, parce que le même rapport pouvant se trouver dans différens êtres, on peut
du terme antécédent ne suppose donc point que dans aucun discours le rapport sera envisage de la sorte ; si cela avoit lieu, c
 : l’abstraction dont il s’agit ici, n’est qu’un moyen d’appliquer le rapport à tel terme antécédent qui se trouvera nécessaire
e Richelet ; c’est donc un adverbe. Quant signifie relativement, par rapport . Surtout vient de sur tout, c’est-à-dire princip
une liaison : & comme l’expression déterminée du complément d’un rapport , fait qu’un mot, sous cet aspect, n’est plus une
mots qui désignent entre les propositions, une liaison fondée sur les rapports qu’elles ont entre elles. De-là la distinction de
causatives, transitives & déterminatives, selon la différence des rapports qui fondent la liaison des propositions. Les conj
bre, de la personne, du tems ; & dans celle du tems, les idées du rapport d’existence à l’époque, & du rapport de l’épo
celle du tems, les idées du rapport d’existence à l’époque, & du rapport de l’époque au moment de la parole. Cette complex
. liv. I. ch. iv.), ne signifient rien par eux-mêmes, ils n’ont aucun rapport naturel avec les idées dont ils sont les signes ;
r, doubte, advenir, aultre, moult, recepvoir, vostre, pour marquer le rapport de ces mots avec les noms latins directus, sanctu
miné par un n nasal, se trouve immédiatement suivi du nom auquel il a rapport , & que ce nom commence par une voyelle, ou pa
on, s’ils ne sont séparés du nom que par d’autres adjectifs qui y ont rapport  : un excellent ouvrage, mon intime & fidele a
°. par un adjectif possessif qui caractériseroit les individus par un rapport de dependance, meus ensis, tuus ensis, Evandrius
 : 4°. par un adjectif démonstratif qui fixeroit les individus par un rapport d’indication précise, ce livre, cette femme, ces
s : 5°. par un adjectif ordinal qui spécifieroit les individus par un rapport d’ordre, le second tome, chaque troisieme année :
addition d’un autre nom ou d’un pronom qui seroit le terme de quelque rapport , & qui seroit annoncé comme tel par les signe
par imitation avec les noms ou les pronoms avec lesquels ils sont en rapport d’identité. Voyez Identité . Il suit de-là que le
oprium vescor ; il est certain que vescor n’a ni ne peut avoir aucun rapport à mei, & qu’il n’est relatif qu’à ipse ; il f
la plûpart des terminaisons des noms grecs en ος ; qu’ils ont dit, au rapport de Quintilien & de Priscien, huminem pour hom
d’une maniere qui puisse le distinguer des autres ; comme l’ouïe a un rapport immédiat avec l’organe de la voix, l’homme sans r
nsidérer deux choses dans la signification générale des tems ; 1°. un rapport d’existence à une époque, 2°. l’époque même qui e
rme de comparaison. L’existence peut avoir à l’époque trois sortes de rapports  ; rapport de simultanéité, qui caractérise les pr
araison. L’existence peut avoir à l’époque trois sortes de rapports ; rapport de simultanéité, qui caractérise les présens ; ra
de rapports ; rapport de simultanéité, qui caractérise les présens ; rapport d’antériorité, qui caractérise les prétérits ; &a
résens ; rapport d’antériorité, qui caractérise les prétérits ; & rapport de postériorité, qui caractérise les futurs : ain
à Dieu en est un autre. Dans ce cas l’un des complémens a au verbe un rapport plus immédiat & plus nécessaire, & il se
l’énergie du sens, & qui font entendre qu’on ne parle pas sur le rapport douteux d’autrui, ou qu’on n’a pas vû la chose pa
ette disparate, que les parties similaires du premier exemple sont en rapport d’union, & celles du second en rapport de par
du premier exemple sont en rapport d’union, & celles du second en rapport de partie intégrante, c’est fonder une différence
rence trop réelle sur une distinction purement nominale, parce que le rapport de partie intégrante est un vrai rapport d’union,
ement nominale, parce que le rapport de partie intégrante est un vrai rapport d’union, puisque les parties intégrantes ont entr
nsérée accidentellement dans la principale, à laquelle elle n’a aucun rapport grammatical, quoiqu’elle ait avec elle une liaiso
rimitive & fondamentale de l’adjectif ou de l’adverbe, sans aucun rapport au plus ni au moins dont elle est susceptible ; c
us, parce qu’ils sont employés seuls & sans le nom auquel ils ont rapport . Voilà comment les différentes manieres de voir u
sessifs, puisqu’ils ne servent qu’à qualifier le sujet auquel ils ont rapport , par l’idée d’une dépendance relative à quelqu’un
e y a introduit deux articles & deux adjectifs possessifs qui ont rapport à la troisieme personne du singulier ; l’un s’emp
ITION, s. f. (Gram.) les prépositions sont des mots qui désignent des rapports généraux, avec abstraction de tout terme antécéde
dre l’usage plus général, par la liberté d’appliquer l’idée de chaque rapport à tel terme, soit antécédent, soit conséquent, qu
écédent, dont elle restraint le sens général par l’idée nécessaire du rapport dont elle est le signe, & sans être suivie d’
sans être suivie d’un terme conséquent qui acheve d’individualiser le rapport indiqué d’une maniere vague & indéfinie dans
es & les adverbes. Le terme conséquent devant énoncer le terme du rapport dont la préposition est le signe, ne peut être qu
ece de nom. Le terme conséquent servant à completter l’idée totale du rapport individuel que l’on se propose d’énoncer, est app
adjectif, d’un verbe, ou d’un adverbe, qui est le terme antécédent du rapport . Je travaille pour vous ; le pronom vous est comp
différentes qui servent à présenter les mots comme termes de certains rapports  : en latin, par exemple, le cas nommé génitif pré
génitif présente le nom qui en est revêtu comme terme conséquent d’un rapport quelconque, dont le terme antécédent est un nom a
ue, dont le terme antécédent est un nom appellatif ; fortitudo regis, rapport d’une qualité au sujet qui en est revêtu ; puer e
rt d’une qualité au sujet qui en est revêtu ; puer egregiae indolis , rapport du sujet à sa qualité ; creator mundi , rapport d
er egregiae indolis , rapport du sujet à sa qualité ; creator mundi , rapport de la cause à l’effet ; Ciceronis opera, rapport
é ; creator mundi , rapport de la cause à l’effet ; Ciceronis opera, rapport de l’effet à la cause, &c. V. Génitif, Cas ,
variété de terminaisons, & qui ne peuvent exprimer les différens rapports des êtres, des idées, & des mots, que par la
, on est forcé de recourir aux prépositions pour exprimer quantité de rapports dont l’expression n’a point été comprise dans le
prépositions ou par la construction de rendre avec fidélité tous les rapports désignés par des cas dans les autres langues ; d’
quelque système, au moyen duquel ils auroient exprimé par des cas les rapports que nous exprimons par la construction ou par des
e l’adverbe. L’une désigne, comme je l’ai dit dès le commencement, un rapport général, avec abstraction de tout terme antécéden
action de tout terme antécédent & conséquent ; l’autre exprime un rapport déterminé par la désignation du terme conséquent,
mp; de composées, qui comprennent plusieurs mots pour l’expression du rapport . Telle est à cet égard la doctrine de l’abbé Régn
le complément grammatical de à, & le terme antécédent d’un autre rapport exprimé par de ; enfin de, autre préposition. C’e
s, contre a un sens d’opposition : dans les suivans ce mot exprime un rapport de voisinage ; sa maison est contre la mienne, co
positions contraires sont réunies par une conjonction copulative avec rapport à un même & unique complément, comme quand on
riens, je n’ai pas cru devoir m’occuper de la distinction de tous les rapports que chaque préposition peut exprimer en vertu de
ications régulieres. « Non seulement une même préposition marque des rapports différens, ce qui est déja un défaut dans une lan
: ces différentes significations ne sont point dans le mot vers : les rapports sont compris dans la signification des termes ant
termes antécédens, & c’est l’ordre ; les termes conséquens de ces rapports sont les complémens de la préposition ; & la
ion ne fait qu’indiquer que son complément est le terme conséquent du rapport renfermé dans la signification du terme antécéden
pport renfermé dans la signification du terme antécédent. Nous disons rapport de tems, quand le complément est un nom de tems ;
Nous disons rapport de tems, quand le complément est un nom de tems ; rapport de lieu, quand c’est un nom de lieu, &c. Dans
eu, quand c’est un nom de lieu, &c. Dans le fait, vers indique un rapport d’approximation, & l’approximation se mesure
st-à-dire de les souffrir dans les complémens dont elles indiquent le rapport  ; de façon qu’il se trouve alors un rapport parti
s dont elles indiquent le rapport ; de façon qu’il se trouve alors un rapport particulier compris dans le général : celui-ci es
s (ib. p. 177.), de mettre deux avec qui se suivent & qui ont des rapports différens, dont l’un regarde la personne & l’
nés, ne me plaisent point dans une même période, quand ils ont divers rapports  ; je dis quand ils ont divers rapports ; car si l
période, quand ils ont divers rapports ; je dis quand ils ont divers rapports  ; car si l’un & l’autre se rapportent ou à la
ou dans des sens différens, un même mot qui annonce vaguement quelque rapport . C’est que l’esprit ayant été déterminé par le pr
ndépendante de celle de l’autre. Toutes les prépositions désignent un rapport vague qui n’est bien déterminé que par l’applicat
e, &c. sont encore dans le même cas, parce qu’elles désignent des rapports généraux. Notre on doit suivre la même regle, par
ous l’une des qualités désignées par les nombres, & sous l’un des rapports marqués par le cas de quelque espece que soit l’i
à la préposition à : en & y sont donc des mots qui expriment des rapports généraux déterminés par la désignation du terme c
individus de l’espece nommée pris distributivement, communément avec rapport à un sens négatif. Exemples : Aucun contretems n
tous les individus de l’espece nommée pris distributivement, avec le rapport à un sens affirmatif, au-contraire d’aucun, aucun
ie seul, les circonstances font toujours connoître un nom auquel il a rapport . Quel, quelle . Adjectif qui énonce un objet qu
osition est un assemblage de mots, qui, par le concours des différens rapports qu’ils ont entre eux, énoncent un jugement ou que
est en particulier exprime l’existence du sujet ; juste en exprime le rapport de convenance à la justice. Si la relation du suj
. vivre comme si on ne doutoit point qu’elle ne fût fausse ; & le rapport du nom général ce à cette double addition est mar
sque tous les mots en sont disposés selon l’ordre & la nature des rapports successifs qui fondent leur liaison : omnes sunt
irati constantiam Catonis. La phrase est inverse, lorsque l’ordre des rapports successifs qui fondent la liaison des mots est su
ati sunt omnes. Enfin la phrase est hyperbatique, lorsque l’ordre des rapports successifs & la liaison naturelle des mots co
lles, mais il n’y a que le premier qui soit aussi l’ordre naturel des rapports  ; il est renversé dans le second. Enfin la dispos
prime plus ni les liaisons des idées, ni l’ordre qui résulte de leurs rapports  ; ce qui arrive quand on jette entre deux corréla
quand on jette entre deux corrélatifs quelque mot qui est étranger au rapport qui les unit : il n’y a plus alors ni constructio
quantité des sons dans chaque syllabe, ne consiste donc point dans un rapport déterminé de la durée du son, à quelqu’une des pa
soi, se, à soi, & de soi sont les cas de on, qu’autant qu’ils ont rapport à on. Il faudroit donc dire que soi est un autre
de même en latin, parce que la terminaison du complément y désigne le rapport qui le lie au terme antécédent, & rend inutil
gne le complément qui exprime l’objet sur lequel tombe directement le rapport énoncé par le mot completé : tel est le complémen
sirer les richesses, bâtir une maison, teindre une étoffe, &c. Le rapport énoncé par plusieurs verbes relatifs exige souven
. Or il est constant que la phrase a d’autant plus de netteté, que le rapport mutuel de ses parties est plus marqué ; ainsi il
iation, sert au contraire à l’augmenter, en fortifiant les traits des rapports mutuels des parties de la phrase : il consiste à
cer le plus près du mot completé, celui des complémens auquel il a un rapport plus nécessaire. Or le rapport au complément modi
é, celui des complémens auquel il a un rapport plus nécessaire. Or le rapport au complément modificatif est le plus nécessaire
positives, où la terminaison des mots sert à caractériser l’espece de rapport auquel ils sont employés, la nécessité de marquer
spece de rapport auquel ils sont employés, la nécessité de marquer ce rapport par la place des mots n’existe plus au même degré
ue doit prendre un complément grammatical d’un mot, en conséquence du rapport particulier sous lequel il est alors envisagé. Ai
nom Petri est au génitif, parce qu’il exprime le terme conséquent du rapport dont liber est le terme antécédent, & que le
nt, & que le régime d’un nom appellatif que l’on détermine par un rapport quelconque à un autre nom, est en latin le géniti
’action énoncée par un verbe actif relatif, ou le terme conséquent du rapport abstrait énoncé par certaines prépositions, c’est
m faciem tuam (Job. 22. 26.) : si ce nom est le terme conséquent d’un rapport sous lequel on envisage un nom appellatif pour en
llatif pour en déterminer la signification, sans pourtant exprimer ce rapport par aucune préposition, c’est Dei ; comme dans no
o Deum, ex Deo, sapientia Dei, &c. c’est qu’il ne peut y avoir de rapport qu’entre des choses différentes, & que tout r
que tout régime caracterise essentiellement le terme conséquent d’un rapport  ; ainsi le régime est fondé sur le principe de la
e régime est fondé sur le principe de la diversité des idées mises en rapport , & des termes rapprochés dont l’un détermine
amp; des termes rapprochés dont l’un détermine l’autre en vertu de ce rapport . Voyez Détermination . Il suit de-là qu’à prendre
que doit prendre un complément grammatical d’un mot en conséquence du rapport particulier sous lequel il est alors envisagé : o
xe, car dans chacune de ces constructions il y a les mêmes signes des rapports que les mots ont entre eux ». C’est-à-dire que l
e régime tome I. disc. iij. pag. 87. Il consiste, selon lui, dans des rapports de dépendance soumis aux regles pour la construct
ormes des complémens grammaticaux considérés comme termes de certains rapports , & il ne consiste pas dans les rapports mêmes
comme termes de certains rapports, & il ne consiste pas dans les rapports mêmes, comme le prétend M. l’abbé Girard. Une sec
nt peut-il se faire que le régime consiste, comme il le dit, dans des rapports de dépendance, & qu’il y ait cependant des mo
M. B.) RELATIF RELATIF, ve, adj. (Gramm.) qui a relation ou rapport à quelque chose, ou qui sert à l’expression de qu
ion ou rapport à quelque chose, ou qui sert à l’expression de quelque rapport . Relatif vient du supin relatum (rapporter), &
relatif signifie littéralement qui aide à rapporter, ou qui sert aux rapports . L’opposé de relatif est absolu, formé d’absolutu
es sous un autre aspect. Si A & B sont des grandeurs inégales, le rapport de A à B n’est pas le même que celui de B à A ; c
A à B n’est pas le même que celui de B à A ; cependant un de ces deux rapports étant une fois fixé, l’autre par-là même est déte
déterminé : si A, par exemple, contient B quatre fois, l’exposant du rapport de A à B est 4 ; mais 4 n’est pas l’exposant du r
l’exposant du rapport de A à B est 4 ; mais 4 n’est pas l’exposant du rapport de B à A, parce que B ne contient pas réciproquem
ois, il en est le quart, & c’est pourquoi l’exposant de ce second rapport , au-lieu d’être 4, est ¼, ce qui est analogue san
logue sans être identique. Si A & B sont des grandeurs égales, le rapport de A à B est le même que celui de B à A : A conti
proquement B contient une fois A ; & 1 est toujours l’exposant du rapport de ces deux grandeurs sous chacune des deux combi
s sous chacune des deux combinaisons. C’est la même chose de tous les rapports imaginables, tous supposent deux termes, & ce
ermes peuvent être vus sous deux combinaisons. Il peut arriver que le rapport du premier terme au second ne soit pas le même qu
ond au premier, quoiqu’il le détermine ; & il peut arriver que le rapport des deux termes soit le même sous les deux combin
ciproquement relatifs, ceux qui déterminent les êtres par l’idée d’un rapport qui est toujours le même sous chacune des deux co
s simplement relatifs, ceux qui déterminent les êtres par l’idée d’un rapport , qui n’est tel que sous une seule des deux combin
n’est tel que sous une seule des deux combinaisons ; de sorte que le rapport qui se trouve sous l’autre combinaison est différ
t doublement, parce que toute comparaison envisage essentiellement un rapport entre les deux termes comparés ; ainsi on peut di
ble, sont simplement relatifs, parce qu’ils désignent par l’idée d’un rapport qui n’est tel que sous l’une des deux combinaison
completté par l’expression de l’objet qui est le terme conséquent du rapport renfermé dans le sens de ce verbe ; mais si je di
ns relatives, celles qui renferment quelque comparaison & quelque rapport  : comme, où est le trésor, là est le coeur ; tell
être considéré en deux manieres. La premiere, en ce qu’il a toujours rapport à un autre nom ou pronom qu’on appelle antécédent
i. « Pour moi, dit-il, je crois que c’est le relatis, qui a toujours rapport à un antécédent, mais qui est dépouillé de son us
même à tous les mots d’une phrase, puisqu’ils sont tous liés par les rapports respectifs qui les font concourir à l’expression
n pronom : il est vrai que le cas d’un pronom ne se décide que par le rapport propre dont il est chargé dans l’ensemble de la p
mots qui désignent entre les propositions, une liaison fondée sur les rapports qu’elles ont entre elles : d’ailleurs la concorda
qui est l’un des caracteres de cet adjectif, est le signe naturel du rapport de la proposition incidente à l’antécédent ; elle
récedent ; absolus, quand ils n’ont pas d’antécédent auquel ils aient rapport . Voyez la gram. fr. de M. Restaut, ch. v. art. 5.
a entre les idées accessoires, je veux dire, entre les idées qui ont rapport les unes aux autres, est la source & le princ
mot ; il est employé dans le sens passif, quand le sujet auquel il a rapport , est consideré comme le terme de l’impression pro
x mêmes mots ont le sens passif, parce que la robe à laquelle ils ont rapport , est considerée comme le terme de l’impression pr
t la liaison que les idées ont les unes avec les autres : le moin dre rapport réveille une idée de moralité dans un homme dont
trouvoit partout jusque dans les nombres. Métrodore de Lampsaque, au rapport de Tatien, avoit tourné Homere tout entier en all
res sens de l’Ecriture-sainte. Si les explications qu’on en donne ont rapport aux moeurs, c’est le sens moral. Si les explicati
me dans les constructions louches, les mots semblent avoir un certain rapport pendant qu’ils en ont un autre » : par conséquen
mparaison il faut distinguer l’acte de l’esprit qui compare, & le rapport que cette comparaison lui fait appercevoir entre
és : il y a en effet la même différence entre la comparaison & le rapport , qu’entre le télescope & les taches qu’il me
fais de deux êtres est à moi, c’est un acte propre de mon esprit ; le rapport que je découvre entre ces êtres par la comparaiso
raison ; au lieu que l’adjectif que l’on nomme comparatif, exprime le rapport de supériorité de l’un des termes comparés sur l’
paraison même, qui en est fort différente. J’avoue néanmoins que tout rapport énoncé, & conséquemment connu, suppose nécess
a préposition vraiment comparative proe, suffisamment indiquée par le rapport énoncé dans l’adjectif comparatif. Mais ce que l’
Si l’adjectif ou l’adverbe comparatif, par la raison qu’il énonce un rapport , suppose nécessairement une comparaison des deux
ve en soi, suppose pareillement que l’adjectif ou l’adverbe énonce un rapport découvert par la comparaison ; ce rapport est en
ctif ou l’adverbe énonce un rapport découvert par la comparaison ; ce rapport est en latin celui de supériorité, comme le seul
contredit comparative, & l’adjectif miserior, qui qualifie par un rapport de supériorité, suppose nécessairement cette comp
e distinction : l’origine du mot superlatif indique nécessairement un rapport de supériorité ; & par conséquent un superlat
mp; par conséquent un superlatif absolu est une forme qui énonce sans rapport , un rapport de supériorité : c’est une antilogie
équent un superlatif absolu est une forme qui énonce sans rapport, un rapport de supériorité : c’est une antilogie insoutenable
différens. Or il y a trois especes de sens comparatifs, selon que le rapport accessoire que l’on considere, est d’égalité, de
d’égalité est celui qui ajoute au sens positif l’idée accessoire d’un rapport d’égalité entre les degrés actuellement comparés.
périorité est celui qui ajoute au sens positif l’idée accessoire d’un rapport de supériorité à l’égard du degré avec lequel on
fériorité est celui qui ajoute au sens positif l’idée accessoire d’un rapport d’infériorité à l’égard du degré avec lequel on l
rre avec le degré de sagesse de l’autre sujet Paul : & les divers rapports du savoir de l’un à la sagesse de l’autre, sont e
idérés dans des sujets, & différencier par les mêmes adverbes les rapports d’égalité, de supériorité ou d’infériorité. Ainsi
nomme exclusivement comparatif, parce que c’est le seul qui énonce le rapport de supériorité, dont l’idée est nettement désigné
nient ; sur-tout si l’on se rappelle que ce sens comparatif énonce un rapport de supériorité, quelquefois individuelle & qu
rme qu’au comparatif, parce qu’en effet l’un exprime comme l’autre un rapport de supériorité ; mais le superlatif exige de plus
paré ma passion, & le terme de comparaison, ma crainte ; & le rapport de supériorité de l’un à l’égard de l’autre, plus
és sous cet aspect, que : ainsi l’esprit voit clairement qu’il y a un rapport de supériorité individuelle. Mais quand on dit, l
ngeres à cet article, & je ne m’arrêterai qu’à la seconde qui y a rapport direct. Rien de mieux que les observations de M. 
e semble avoir assez prouvé que notre plus est toujours le signe d’un rapport de supériorité, & conséquemment qu’il exprime
il faut pourtant répéter l’article simple avant le mot qui exprime le rapport de supériorité ; mais sans répéter la préposition
s grammairiens, comme sum, existo, fio, sto, &c. Diomedes dit, au rapport de Vossius, (Anal. III. 2.) que le nom de supins
de la puissance, (res acta), mais considéré en soi, & sans aucun rapport à la puissance qui l’a produit, ni au sujet sur q
que ou moral, qu’elle se donne pour produire l’effet, mais sans aucun rapport au sujet sur qui peut tomber l’opération. La pass
de l’existence sous un attribut, qui est marquée dans le supin par le rapport d’antériorité qui le met dans la classe des prété
ou suivie ou censée suivie d’une voyelle qu’elle modifie, sans aucun rapport à la voyelle précédente : ainsi, les mots or, dur
les phrases explicitement comparatives, de quelque nature que soit le rapport énoncé par la comparaison, ou d’égalité, ou de su
er, & celui dont on emprunte le nom ; car s’il n’y avoit point de rapport entre ces objets, il n’y auroit aucune idée acces
veille l’idée, & ne forme point un ensemble avec lui ; tel est le rapport qui se trouve entre la cause & l’effet, entre
ble, comme le tout & la partie ; leur union n’est point un simple rapport , elle est plus intérieure & plus indépendante
énéral les tems sont les formes du verbe, qui expriment les différens rapports d’existence aux diverses époques que l’on peut en
e doit finir, &c. J’ajoute que ces formes expriment les différens rapports d’existence aux diverses époques que l’on peut en
nification, dans laquelle il y a deux choses à considérer, savoir les rapports d’existence à une époque, & l’époque qui est
nérale des Tems . L’existence peut avoir, en général, trois sortes de rapports à l’époque de comparaison : rapport de simultanéi
oir, en général, trois sortes de rapports à l’époque de comparaison : rapport de simultanéité, lorsque l’existence est coïncide
de simultanéité, lorsque l’existence est coïncidente avec l’époque ; rapport d’antériorité, lorsque l’existence précede l’époq
; rapport d’antériorité, lorsque l’existence précede l’époque ; & rapport de postériorité, lorsque l’existence succede à l’
st pas possible que les tems des verbes expriment autre chose que des rapports d’existence à quelque époque de comparaison ; il
omparaison ; il est également impossible d’imaginer quelque espece de rapport autre que ceux que l’on vient d’exposer : il ne p
s de tems, & chacune doit être différenciée par l’un de ces trois rapports généraux. Je dis trois especes générales de Tems
iné. Sous le premier aspect, les tems des verbes expriment tel ou tel rapport d’existence à une époque quelconque & indéter
née : sous le second aspect, les tems des verbes expriment tel ou tel rapport d’existence à une époque précise & déterminée
erminée, & qu’ils n’expriment en quelque sorte que l’un des trois rapports généraux d’existence, avec abstraction de toute é
ur ne plus signifier la simultanéité, mais c’est pour l’exprimer avec rapport à une époque déterminée. Or II. Nous avons vu le
. de 1660, ch. xv. édit. de 1756), est celui qui marque le passé avec rapport au présent, & on l’a nommé prétérit imparfait
question ; il falloit conclure que cette forme marque le présent avec rapport au passé, plutôt que de dire au contraire qu’elle
u passé, plutôt que de dire au contraire qu’elle marque le passé avec rapport au présent. Cette inconséquence est dûe à l’habit
l, antérieur ou postérieur, selon que le terme a lui-même l’un de ces rapports au moment de l’acte de la parole. Or le tems, don
des tems antérieurs. Il reste donc à déterminer l’espèce génerale de rapport que ce tems exprime relativement à ce période ant
un quatrieme tems composé, savoir celui qui eût marqué l’avenir avec rapport au présent… néanmoins dans l’usage on l’a confond
le : l’auteur dit que le tems dont il parle, eût marqué l’avenir avec rapport au présent ; & il prouve lui-même qu’il fallo
l prouve lui-même qu’il falloit dire qu’il eût marqué le présent avec rapport à l’avenir, puisque, de son aveu, coenabo, dans l
amp; les propositions d’une vérité contingente ont nécessairement des rapports différens aux diverses époques ; rapport de la si
ente ont nécessairement des rapports différens aux diverses époques ; rapport de la simultanéité pour l’une, d’antériorité pour
la grammaire générale (loc. cit.) est celui qui marque l’avenir avec rapport au passé, savoir le futur parfait, comme coenaver
r ce nom : c’est pour cela qu’il dit que ce tems marque l’avenir avec rapport au passé : au-lieu qu’il suit de l’exemple même d
e l’exemple même de la grammaire générale, qu’il marque le passé avec rapport à l’avenir. Quelle est en effet l’intention de ce
ui dit, quand j’aurai soupé il entrera ? c’est évidemment de fixer le rapport du tems de son souper, au tems de l’entrée de cel
d’une maniere conséquente à l’observation, elle marque le passé avec rapport à l’avenir. Une autre erreur de cet écrivain céle
s des autres verbes, n’expriment absolument que le second de ces deux rapports , & loin d’exprimer le premier, il ne le suppo
er les tems, que ceux de tout autre verbe, pour marquer les différens rapports d’existence qui caractérisent les tems de tous le
tems d’un autre verbe, pour ne lui laisser que celle qui convient aux rapports d’existence qu’il est alors chargé de caractérise
mbre, & en cas avec le sujet du verbe ; c’est qu’il en exprime le rapport à l’action qui constitue la signification propre
uturition exprimée par le participe, dans le sens indéfini & sans rapport à aucune époque déterminée ; ce qui, dans l’occur
ieu que quand il convient de rendre en quelque sorte plus sensible le rapport général d’existence, que le terme de comparaison 
l’existence est coincidente avec l’époque ; mais sous les deux autres rapports , d’antériorité & de postériorité, l’existence
cond, si nos procédés sont analogiques, doit désigner encore un autre rapport d’antériorité, dont l’idée est accessoire à l’éga
sées. Je pensois que ce qui avoit trompé ce grammairien, c’est que le rapport de postériorité étoit essentiel au mode impératif
ntérieur : c’est que le premier est destiné par l’usage à exprimer le rapport d’existence, qui lui convient, à l’égard d’une ép
l, ou avec un présent postérieur ; au lieu que le second n’exprime le rapport qui lui convient, qu’à l’égard d’une époque envis
fixent l’époque de comparaison. A l’indicatif, les tems expriment des rapports d’existence à une époque dont la position est fix
relativement au moment de la parole : au subjonctif ils expriment des rapports d’existence à une époque dont la position est fix
role, puisqu’il peut être, ou actuel, ou antérieur, ou postérieur. Le rapport d’existence au moment de la parole, qui est expri
par un tems de l’indicatif : celui de l’indicatif est composé de deux rapports , rapport d’existence à l’époque, & rapport de
s de l’indicatif : celui de l’indicatif est composé de deux rapports, rapport d’existence à l’époque, & rapport de l’époque
f est composé de deux rapports, rapport d’existence à l’époque, & rapport de l’époque au moment de la parole : celui du sub
e au moment de la parole : celui du subjonctif est composé de trois ; rapport d’existence à une époque, rapport de cette époque
u subjonctif est composé de trois ; rapport d’existence à une époque, rapport de cette époque au moment déterminé par l’un des
ue au moment déterminé par l’un des présens du verbe principal, & rapport de ce moment principal à celui de la parole. Quan
ini antérieur ; je ne considérois dans ces tems que les deux premiers rapports élémentaires, celui de l’existence à l’époque, &a
ems de chaque classe : car si l’on considere tout à la fois les trois rapports élémentaires, l’indétermination devient générale,
losophe. Ibid.] « Toutes les fois qu’il y a de la différence dans le rapport naturel qui donne lieu à la signification emprunt
cation empruntée, on peut dire que l’expression qui est fondée sur ce rapport appartient à un trope particulier. C’est le rappo
est fondée sur ce rapport appartient à un trope particulier. C’est le rapport de ressemblance qui est le fondement de la catach
ressemblance pour fondement. L’ironie au contraire est fondée sur un rapport d’opposition, de contrariété, de différence, &
speces de l’une ou de l’autre, sont fondées sur quelqu’autre sorte de rapport , qui n’est ni un rapport de ressemblance, ni un r
utre, sont fondées sur quelqu’autre sorte de rapport, qui n’est ni un rapport de ressemblance, ni un rapport du contraire. Tel
utre sorte de rapport, qui n’est ni un rapport de ressemblance, ni un rapport du contraire. Tel est, par exemple, le rapport de
de ressemblance, ni un rapport du contraire. Tel est, par exemple, le rapport de la cause à l’effet ; ainsi dans la métonymie &
regne dans toute l’étendue du discours. Les autres sont fondés sur un rapport de correspondance : c’est la métonymie, à laquell
omination superflue de métalepse. Les autres enfin sont fondés sur un rapport de connexion : c’est la synecdoque avec ses dépen
modification : & ce dernier trait, en facilitant l’explication du rapport qu’a le verbe à l’expression de nos jugemens obje
tion normande que ce grand homme pourroit y avoir introduite. Dans le rapport analysé des remarques de M. Duclos & du suppl
47 (1840) Kant et sa philosophie. Revue des Deux Mondes
tracé le caractère de la poésie de l’Italie et de l’Espagne dans son rapport avec la religion et l’état politique de ces deux
mais j’ai voulu d’abord signaler son caractère le plus général et son rapport avec l’esprit de la civilisation dont elle émane.
r le monde ; on a comparé les divers êtres entre eux ; on a saisi des rapports  ; on a tiré des conséquences, toujours en travail
st peu de philosophes qui aient considéré les connaissances dans leur rapport avec l’esprit humain. C’était là cependant le seu
fondie du jugement. Kant distingue deux sortes de jugemens. Tantôt le rapport lie l’attribut au sujet comme inhérent au sujet m
t nécessairement dans la nature du sujet, en sorte qu’en exprimant ce rapport vous n’exprimez pas deux connaissances différente
notion de pesanteur n’en sortira pas comme partie intégrante. Donc ce rapport n’est pas un rapport d’identité, comme le premier
’en sortira pas comme partie intégrante. Donc ce rapport n’est pas un rapport d’identité, comme le premier, car un des termes é
des termes étant donné, l’autre n’est pas supposé nécessairement. Le rapport n’étant plus le même, le jugement qui l’exprime n
même du même, parce qu’en effet il suffit d’analyser un des termes du rapport qu’ils expriment, pour en tirer l’autre terme, et
ment, pour en tirer l’autre terme, et pour avoir par conséquent et le rapport et le jugement, expression du rapport ; et il app
pour avoir par conséquent et le rapport et le jugement, expression du rapport  ; et il appellesynthétiques les jugemens qui affi
ribut qui n’y est pas contenu logiquement, parce que, pour trouver le rapport , il ne s’agit plus d’analyser un des termes, mais
fet, l’expérience ne donne que des successions de faits, et jamais un rapport tel que celui de causalité. Les jugemens synthéti
es jugemens synthétiques à priori ou à posteriori, les deux termes du rapport fussent identiques, c’est-à-dire que, l’un étant
es à priori, ni les jugemens synthétiques à posteriori n’expriment un rapport d’identité. — Loin donc que tous nos jugemens soi
notion de douze, la notion du sujet sans celle de l’autre terme et du rapport d’égalité qui les unit. Or, après que vous avez a
moins que des jugemens synthétiques à priori, car le second terme du rapport que ces jugemens expriment n’est nullement renfer
48 (1870) Nouveaux lundis. Tome XII « L’Académie française »
ement de M. Suard ne dura pas moins de treize années (1803-1817). Les rapports de ce secrétaire perpétuel, lus dans leur continu
ut l’honneur aux pièces couronnées. Seulement, dans le dernier de ses rapports , daté de 1816, ayant à parler du concours pour l’
n partie aux malheurs d’un temps où régnaient les haines civiles. Les rapports de M. Raynouard, dont le gouvernement comme secré
’offrait la manière de Suard. M. Raynouard est homme d’affaires ; ses rapports sont consciencieux, un peu longs, un peu lourds,
Ils aspirent à prendre leurs grades dans ses concours. Aussi dans les rapports de Suard et dans ceux de Raynouard, il n’y a pas
aynouard, il n’y a pas trace de polémique. On voit seulement dans les rapports de Suard que l’Académie se reconnaît et se présen
i, pour la plupart, ne pensaient qu’à divertir le public. Et dans les rapports de Raynouard, on entrevoit, au milieu de grands é
nouard, il est vrai, continua, malgré sa démission, de se charger des rapports annuels jusqu’en 1830 et de s’acquitter de cette
c’est plaisir encore aujourd’hui de lire ou de parcourir ces premiers rapports , tracés d’une plume élevée et brillante : on se s
depuis, se sont développés et comme déployés de plus en plus dans des rapports toujours savants et composés avec art ; mais, en
orte qu’en vivant elle se rajeunisse et qu’elle se maintienne dans un rapport vrai avec une société qui change. La France, quel
nne son avis, ait ses discussions intérieures et les consigne dans un Rapport public, qu’elle ne craigne pas, en un mot, de fai
les branches réputées légères. Pourquoi, deux ou trois fois l’an, des rapports spéciaux et succincts, confiés à deux ou trois de
49 (1800) De la littérature considérée dans ses rapports avec les institutions sociales (2e éd.) « Discours préliminaire » pp. 25-70
vais examiner d’abord la littérature d’une manière générale dans ses rapports avec la vertu, la gloire, la liberté et le bonheu
e la jeunesse à la mort. De l’importance de la littérature dans ses rapports avec la vertu La parfaite vertu est le beau id
rfaite vertu est le beau idéal du monde intellectuel. Il y a quelques rapports entre l’impression qu’elle produit sur nous et le
onsidéré comme un défaut. L’esprit donc ainsi assimilé, sous tous les rapports , à la raison supérieure, ne peut pas plus nuire q
t indifférents aux malheurs des autres. De la littérature dans ses rapports avec la gloire Si la littérature peut servir u
a gloire du moins était encore l’objet. De la littérature dans ses rapports avec la liberté La liberté, la vertu, la gloir
inion parmi les troupes. À cet égard, leur esprit de corps a quelques rapports avec celui des prêtres ; il exclut de même le rai
e : vous y retrouvez tout, hors la vie. De la littérature dans ses rapports avec le bonheur On a presque perdu de vue l’id
ce de quelques larmes ; et par des émotions semblables, j’ai quelques rapports avec ceux dont je plains si profondément la desti
idérés selon le but général de cet ouvrage, c’est à dire, d’après les rapports qui existent entre l’état politique d’un pays et
ue de la France depuis dix ans ; mais je ne la considère que dans ses rapports avec la littérature et la philosophie, sans me li
ques désastreuses de la révolution ; mais rien cependant n’a moins de rapport avec de telles conséquences que ce noble système.
50 (1896) Matière et mémoire. Essai sur la relation du corps à l’esprit « Résumé et conclusion »
mouvement plus ou moins nécessairement exécuté, le cerveau les met en rapport avec des mécanismes moteurs plus ou moins libreme
intellectuelle toute désintéressée : mais toujours elles négligent le rapport de la perception à l’action et du souvenir à la c
La complexité croissante du système nerveux met l’ébranlement reçu en rapport avec une variété de plus en plus considérable d’a
vont découler de là pour la perception, pour la mémoire, et pour les rapports du corps avec l’esprit. III. Pour la percep
e et l’idéalisme. Que toute réalité ait une parenté, une analogie, un rapport enfin avec la conscience, c’est ce que nous concé
anneaux. Mais pour établir ainsi entre la perception et la réalité le rapport de la partie au tout, il fallait laisser à la per
tive, parce qu’il n’y a pas entre le « phénomène » et la « chose » le rapport de l’apparence à la réalité, mais simplement celu
vec laquelle nous construisons notre connaissance, on ne trouve aucun rapport concevable, aucune commune mesure. Maintenant, en
, que la perception entretienne avec son concomitant physiologique le rapport de l’action virtuelle à l’action commencée, c’est
ée en parties indépendantes : comment d’ailleurs, n’ayant ainsi aucun rapport possible avec notre conscience, déroulerait-elle
cience, déroulerait-elle une série de changements dont l’ordre et les rapports correspondraient exactement à l’ordre et aux rapp
ive n’est acceptée par les choses. 3º Mais si l’on envisage ainsi les rapports de l’étendu à l’inétendu, de la qualité à la quan
51 (1867) Nouveaux lundis. Tome VIII « Jean-Bon Saint-André, sa vie et ses écrits. par M. Michel Nicolas. (suite et fin.) »
anc qui, vivant à Londres, se trouvait à la source pour contrôler les rapports français par ceux de la marine anglaise, et qui a
it de Jomini (1820), celui de M. Thiers, celui de Louis Blanc, et les rapports mêmes à la Convention, soit de Jean-Bon, soit de
mai 1795, et où on l’accusait d’en avoir imposé à la France dans son Rapport sur le combat du 13 prairial, Jean-Bon n’opposait
11 messidor dernier va faire cesser, Citoyen commissaire général, les rapports qu’en cette qualité vous avez entretenus jusqu’ic
r ; le maréchal lui demandant pourquoi il partait si tôt : « J’ai mon rapport à faire et à envoyer cette nuit même à Paris », r
cent à se manifester dans les villages ; Votre Excellence en aura les rapports détaillés. Mes moyens sont insuffisants ou même n
he adjoint de la Marine, de pouvoir ajouter ici quelques extraits des rapports du temps qui viennent à l’appui de nos conclusion
Duras, secrétaire de la Commission des Représentants », — Extrait du rapport du contre-amiral Villaret-Joyeuse à la Commission
nt déployé dans toutes les affaires qu’il a traitées. » — Extrait du rapport du contre-amiral Villaret-Joyeuse à la Commission
saye de tout remettre en question, ne veut voir dans ces passages des rapports de Villaret relatifs à Jean-Bon que de la courtoi
ence pendant l’armistice de 1813 : « Il s’y montrait sous beaucoup de rapports , dit-il, le préfet modèle. Mettant à l’écart la r
52 (1865) Introduction à l’étude de la médecine expérimentale
inactif dans l’observation, et l’on serait amené à distinguer sous ce rapport deux sortes d’observations : les unes passives, l
e ce médecin que la production de cette maladie pourrait bien être en rapport avec certaines circonstances météorologiques ou h
n véritable contremaître de la création ; et l’on ne saurait, sous ce rapport , assigner de limites à la puissance qu’il peut ac
apparaît jamais à son esprit que sous la forme d’une relation ou d’un rapport absolu et nécessaire. Mais ce rapport ne peut êtr
la forme d’une relation ou d’un rapport absolu et nécessaire. Mais ce rapport ne peut être absolu qu’autant que les conditions
nscience qu’il les connaît toutes. Les mathématiques représentent les rapports des choses dans les conditions d’une simplicité i
onditions d’une simplicité idéale. Il en résulte que ces principes ou rapports , une fois trouvés, sont acceptés par l’esprit com
ourrait concevoir autrement. Mais quand, au lieu de s’exercer sur des rapports subjectifs dont son esprit a créé les conditions,
ifs dont son esprit a créé les conditions, l’homme veut connaître les rapports objectifs de la nature qu’il n’a pas créés, imméd
nde objectif ou extérieur, la vérité est également constituée par des rapports nécessaires, mais la connaissance des conditions
des rapports nécessaires, mais la connaissance des conditions de ces rapports lui manque. Il faudrait, en effet, qu’il eût créé
ance et la conception absolues. Toutefois l’homme doit croire que les rapports objectifs des phénomènes du monde extérieur pourr
hénomènes les plus simples, la science expérimentale a saisi certains rapports qui paraissent absolus. Telles sont les propositi
plus forte raison dans la biologie, les phénomènes se compliquent de rapports tellement nombreux, que les principes représentés
sibilité et de sa volonté. De plus nous admettons encore qu’il y a un rapport nécessaire entre les actes et leur cause ; mais q
ui l’entourent et qu’il veut les connaître en eux-mêmes et dans leurs rapports mutuels et complexes de causalité, tout critérium
blables peuvent naître chez tous les hommes, à l’occasion de certains rapports simples des objets que tout le monde peut saisir.
s n’ont pas toutes la même puissance ni la même acuité, et il est des rapports subtils et délicats qui ne peuvent être sentis, s
nterprète le même fait tout autrement qu’auparavant et lui trouve des rapports tout nouveaux. L’idée neuve apparaît alors avec l
ns philosophes d’avoir accordé trop de puissance à la méthode sous ce rapport . L’idée expérimentale résulte d’une sorte de pres
choses doivent se passer d’une certaine manière. On peut dire sous ce rapport que nous avons dans l’esprit l’intuition ou le se
tique ; il faut croire à la science, c’est-à-dire au déterminisme, au rapport absolu et nécessaire des choses, aussi bien dans
 ; mais il faut en même temps être bien convaincu que nous n’avons ce rapport que d’une manière plus ou moins approximative, et
ent opposée à l’invention. En effet, une découverte est en général un rapport imprévu qui ne se trouve pas compris dans la théo
gnorant, qui ne connaîtrait pas la théorie, serait, en effet, sous ce rapport , dans de meilleures conditions d’esprit ; la théo
cience ne doive plus faire de progrès, ce qui est impossible. Sous ce rapport , il y aurait peut-être une distinction à établir
t ainsi, en effet, si l’homme n’avait dans sa raison le sentiment des rapports et du déterminisme qui deviennent critérium de la
e procédé physiologique. De même, quand l’expérimentateur déduira des rapports simples de phénomènes précis et d’après des princ
certaine et nécessaire, tandis que, quand il se trouvera au milieu de rapports complexes, ne pouvant s’appuyer que sur des princ
e n’est point le fait lui-même qui donne la preuve, mais seulement le rapport rationnel qu’il établit entre le phénomène et sa
port rationnel qu’il établit entre le phénomène et sa cause. C’est ce rapport qui est la vérité scientifique et qu’il s’agit ma
l a la certitude a priori que ces variations sont déterminées par des rapports rigoureux et mathématiques. L’expérience ne fait
expérience ne fait que nous montrer la forme des phénomènes ; mais le rapport d’un phénomène à une cause déterminée est nécessa
ématiques, puisque de part et d’autre, ce principe est exprimé par un rapport des choses nécessaire et absolu. Seulement dans l
nécessaire et absolu. Seulement dans les sciences expérimentales ces rapports sont entourés par des phénomènes nombreux, comple
que la science des phénomènes des corps bruts, et qu’il n’y a sous ce rapport aucune différence entre les principes des science
effet c’est le milieu intérieur des êtres vivants qui est toujours en rapport immédiat avec les manifestations vitales, normale
intérieur, qui est un véritable produit de l’organisme, conserve des rapports nécessaires d’échanges et d’équilibres avec le mi
vons pour la commodité du langage. Pour le mécanicien la force est le rapport d’un mouvement à sa cause. Pour le physicien, le
Les propriétés des corps vivants ne se manifestent à nous que par des rapports de réciprocité organique. Une glande salivaire, p
Une glande salivaire, par exemple, n’existe que parce qu’elle est en rapport avec le système digestif, et que parce que ses él
estif, et que parce que ses éléments histologiques sont dans certains rapports entre eux et avec le sang ; supprimez toutes ces
s des autres, la glande salivaire n’existe plus. La loi nous donne le rapport numérique de l’effet à sa cause, et c’est là le b
rminisme absolu des conditions de son existence, mais on a encore les rapports qui sont relatifs à toutes ses variations, de sor
e l’étude des phénomènes de la matière vivante ne saurait avoir aucun rapport avec l’étude des phénomènes de la matière brute.
ples que possible Un phénomène naturel n’étant que l’expression de rapports ou de relations, il faut au moins deux corps pour
offre, il règne toujours une complexité plus ou moins grande. Sous ce rapport , la complexité des phénomènes minéraux est beauco
propriétés de la matière vivante ne peuvent être connues que par leur rapport avec les propriétés de la matière brute ; d’où il
ires chimiques qui constituent les éléments du physiologiste. Sous ce rapport , le biologue ressemble plus au physicien qu’au ch
ire. Dans l’état actuel de la science, il n’y aurait d’ailleurs aucun rapport possible à établir entre les propriétés vitales d
rganismes élémentaires, considérés d’abord isolément, puis dans leurs rapports réciproques. Quand le physicien, le chimiste ou l
nce des conditions d’existence des phénomènes, et la détermination du rapport défini qui existe entre le corps qui manifeste se
exactement défini dans sa nature et rigoureusement déterminé dans le rapport de ses conditions matérielles, c’est-à-dire quand
l’anéantissons par cela même, et si nous multiplions au contraire ses rapports avec le milieu extérieur, nous multiplions ses pr
ec les autres, au moyen de propriétés vitales qui sont elles-mêmes en rapports nécessaires avec les conditions physico-chimiques
il s’agit des organismes élevés et complexes, ce n’est point dans les rapports de l’organisme total avec le milieu cosmique géné
cause prochaine ou des conditions d’existence des phénomènes. Sous ce rapport , les limites de notre connaissance sont, dans les
e cette relation établie numériquement, de manière à faire prévoir le rapport de la cause à l’effet dans tous les cas donnés. C
r le rapport de la cause à l’effet dans tous les cas donnés. C’est ce rapport établi par l’observation, qui permet à l’astronom
l’astronome de prédire les phénomènes célestes ; c’est encore ce même rapport , établi par l’observation et par l’expérience, qu
e les modifier à son gré et à coup sûr, pourvu qu’il ne sorte pas des rapports que l’expérience lui a indiqués, c’est à-dire de
leurs manifestations. Les phénomènes ne sont que l’expression même du rapport de ces conditions ; d’où il résulte que, les cond
conditions ; d’où il résulte que, les conditions étant semblables, le rapport sera constant et le phénomène identique, et que l
et le phénomène identique, et que les conditions venant à changer, le rapport sera autre et le phénomène différent. En un mot,
corps et les êtres qui sont à la surface de notre terre expriment le rapport harmonieux des conditions cosmiques de notre plan
éé ni en force ni en matière : qu’il y aurait seulement production de rapports différents et par suite création d’êtres et de ph
tre appliquée à l’étude des phénomènes physiologiques et que, sous ce rapport , les sciences physiologiques et les sciences phys
alors comme le résultat d’une force vitale distincte n’ayant que des rapports éloignés avec les conditions physico-chimiques du
ssection préalable sur le mort. IV. De l’anatomie normale dans ses rapports avec la vivisection L’anatomie est la base néc
res ou nerveux ont des formes anatomiques déterminées, il a établi un rapport entre la forme de l’élément anatomique et ses fon
alors l’anatomiste mettra les propriétés physiologiques constatées en rapport avec les formes anatomiques déterminées des éléme
ans un organe, suivant de Blainville, on devait pouvoir comprendre un rapport mécanique nécessaire entre la structure et la fon
ue l’on explique. Mais, pour l’encéphale, ajoutait-il, il n’y a aucun rapport matériel à établir entre la structure du cerveau
ue les dispositions des instruments de la vie sont entre eux dans des rapports nécessaires et harmoniques avec l’ensemble de l’o
V. De l’anatomie pathologique et des sections cadavériques dans leurs rapports avec la vivisection Ce que nous avons dit dans
rations des tissus. Mais on a voulu de plus mettre les altérations en rapport avec les phénomènes morbides et déduire, en quelq
aient dans les éléments organiques. Alors, ne pouvant plus établir de rapport anatomique, on disait que la maladie était essent
ie pathologique pour désigner cette sorte de fonction pathologique en rapport avec l’anatomie anormale. Je n’examinerai pas ici
. Mais il faudrait, pour saisir les lésions physiologiques dans leurs rapports avec le mécanisme de la mort, faire des autopsies
végétaux et les animaux, comme on sait, ne se ressemblent pas sous le rapport des altérations qu’ils produisent dans l’air ambi
qu’on veut étudier deviennent plus mobiles et plus délicats ; sous ce rapport , jamais aucun animal n’est absolument comparable
e un poids de 64 kilogrammes ; par conséquent le calcul établi sur ce rapport nous donne pour les glandes sous-maxillaires de l
live obtenue par le poids des glandes salivaires, on aurait obtenu un rapport plus approché, mais je n’admets pas qu’on puisse
s donner des descriptions moyennes d’expériences, parce que les vrais rapports des phénomènes disparaissent dans cette moyenne ;
par une personne de l’administration étrangère à la médecine. Sous ce rapport , il ne pourrait y avoir de statistique pathologiq
teront toujours des différences, d’où il résulte que la moyenne ou le rapport que l’on déduira de la comparaison des faits sera
ité dans cette opération est de deux sur cinq. Eh bien, je dis que ce rapport ne signifie absolument rien scientifiquement et n
e cette idée comme le pivot de la médecine expérimentale, et, sous ce rapport , le médecin expérimentateur se place à un tout au
êt à rechercher ce que les anciens nous ont laissé, parce que sous ce rapport ils peuvent encore nous servir de modèle. Mais la
idérer comme un démembrement des sciences qui l’ont précédée. Sous ce rapport la physiologie, qui est la science des êtres viva
qui doit donner l’explication des phénomènes morbides en montrant les rapports qu’ils ont avec l’état normaL Il n’y aura jamais
pprendre comme des fragments de connaissances détachées n’ayant aucun rapport entre elles. En un mot, je considère l’hôpital se
autres sciences. Le laboratoire du médecin physiologiste doit être en rapport avec l’hôpital, de manière à en recevoir les dive
eux qui sont relatifs à l’idée préconçue et ceux même qui n’ont aucun rapport avec elle. Si l’on ne voyait que les faits relati
vint que cette coloration rouge du sang veineux pourrait bien être en rapport avec l’état sécrétoire ou fonctionnel du rein. Da
étion de l’urine. J’obtins ainsi la preuve expérimentale qu’il y a un rapport entre la sécrétion de l’urine et la coloration du
ouleur rutilante du sang, dis-je, est spéciale au sang artériel et en rapport avec la présence de l’oxygène en forte proportion
s le foie, je n’ai jamais pu trouver deux animaux comparables sous ce rapport , même en les mettant dans des conditions alimenta
ais sans avoir pour but d’agir directement sur leur marche70. Sous ce rapport il est très rare de trouver un médecin purement h
ramener à des explications et à des lois vitales qui comprendront le rapport de l’état pathologique avec l’état normal ou phys
et le charlatan, aussi bien que l’homme instruit. Cela n’a donc aucun rapport avec l’inspiration de l’artiste qui doit se réali
s doivent se trouver dans des conditions organiques déterminées et en rapport avec des propriétés de liquides ou de tissus. Il
voir expérimenté empiriquement ou pour voir. Or, l’empirisme, sous ce rapport , n’est pas autre chose que le premier degré de la
rium expérimental. Elle a une marche lente et laborieuse, et, sous ce rapport , elle plaira toujours moins à l’esprit. Les systè
s, etc. 65. Sydenham, Médecine pratique. Préface, p. 12. 66. Voy. Rapport des prix de médecine et de chirurgie pour 1864 (C
unden und kranken Zustand der Menschen. Leipzig, 1800. 69. Béclard, Rapport général sur les prix décernés en 1862 (Mémoires d
53 (1818) Essai sur les institutions sociales « Chapitre X. Seconde partie. Émancipation de la pensée » pp. 300-314
éories et les hypothèses. M. Ancillon se distingue entre tous sous ce rapport . Le système social s’appuie dès lors sur une base
es. Les termes qui expriment les notions primitives, les faits et les rapports primitifs, ont proprement occasionné et amené les
ald et M. Ancillon professent tous les deux la même doctrine, sous le rapport qu’ils voient l’un et l’autre la métaphysique tou
autre la métaphysique tout entière déposée dans les langues ; sous le rapport qu’ils pensent l’un et l’autre que les termes qui
que les termes qui expriment les notions primitives, les faits et les rapports primitifs, ont proprement occasionné et amené les
proprement occasionné et amené les recherches métaphysiques ; sous le rapport enfin que les philosophes qui sont partis de ces
54 (1881) La psychologie anglaise contemporaine « M. Herbert Spencer — Chapitre I : La loi d’évolution »
ne. Tout germe à l’origine est une substance uniforme, sous le double rapport de la texture et de la composition chimique ; par
iniment étendu et presque homogène en densité, température et sous le rapport des autres attributs physiques. Le premier progrè
ne n’est point justifiable. Si elles ne diffèrent pas en nature, quel rapport y a-t-il donc entre elles ? 1° Ce que la science
la prédiction d’une éclipse de lune par l’astronome diffère, sous ce rapport , de cette prévision d’une servante quelconque, qu
nsemble des choses semblables ; raisonner, c’est grouper ensemble des rapports semblables. Il est de l’essence du raisonnement d
s tard ridée d’égalité en deux idées : égalité de choses ; égalité de rapports (deux triangles égaux et deux triangles semblable
t le germe abstrait : et toutes deux sortent de cette ressemblance de rapports que nous avons rencontrée déjà. En même temps et
bre. Nombre, égalité, ressemblance, ce sont là des notions qui ont un rapport intime. La simple énumération est un enregistreme
remarque aussi que plusieurs nations, qui ne semblent avoir eu aucun rapport entre elles, ont adopté pour base de leur numérat
diverses sciences. Par des faits nombreux, il en a fait ressortir les rapports étroits et la dépendance réciproque. De nos jours
55 (1922) Durée et simultanéité : à propos de la théorie d’Einstein « Chapitre I. La demi-relativité »
contraction telle que sa nouvelle dimension soit à l’ancienne dans le rapport de équation à l’unité. Cette contraction, natur
le second, de sorte que les temps de parcours sont entre eux dans le rapport de c + v à c − v. En marquant le zéro au milieu d
ar la lumière de O en A est à la distance parcourue de A en O dans le rapport de c + v à c − v, au lieu de lui être égale. Il c
on compare les indications des deux horloges, sont en réalité dans le rapport de c + v à c − v. Il y a donc eu, se dira-t-il, e
sens de son mouvement. La nouvelle longueur est à l’ancienne dans le rapport de équation à l’unité. 2° Le Temps du système s
du système s’est dilaté. La nouvelle seconde est à l’ancienne dans le rapport de l’unité à équation . 3° Ce qui était simultan
me la mesure de ces longueurs, à l’intérieur de mon système, est leur rapport au mètre ainsi déplacé, cette mesure doit rester
ains encore, pour ne pas avoir à envisager d’une manière nouvelle les rapports de ces événements entre eux d’abord, et ensuite a
sur un plan absolument différent du tien. Ainsi toutes choses et tous rapports entre choses conserveront leur grandeur, resteron
urer un intervalle de temps ou de situer exactement deux instants par rapport l’un à l’autre. Dans les expériences relatives à
56 (1868) Les philosophes classiques du XIXe siècle en France « Chapitre XIV : De la méthode (Suite) »
t les opérations de ce corps vivant, et considéré quelque temps leurs rapports et leurs suites, je dégage un fait général, c’est
j’appelle une cause ? Un fait d’où l’on puisse déduire la nature, les rapports et les changements des autres. Si la nutrition es
la nutrition est une cause, on pourra déduire d’elle la nature et les rapports d’un groupe d’opérations et d’organes ; on pourra
justifiée devient une vérité. Première vérification : considérez les rapports et la nature des opérations et des organes. Les a
arties et tous les mouvements d’un grand système concourent par leurs rapports et par leur nature à produire la nutrition finale
roduire la nutrition finale. Donc de la nutrition on peut déduire les rapports et la nature d’un groupe de faits. Deuxième vérif
ême conclusion. « Première vérification : considérez la nature et les rapports des opérations et des organes. Si la décompositio
n. Il y a donc une multitude d’organes et d’opérations qui, par leurs rapports et leur nature, concourent à la décomposition fin
ion finale. Donc de la décomposition on peut déduire la nature et les rapports d’une série de faits. Deuxième vérification : si
57 (1796) De l’influence des passions sur le bonheur des individus et des nations « Section première. Des passions. — Chapitre VII. De l’esprit de parti. »
ateur qui ne fut pas précisément de leur opinion sous tous les autres rapports . Un triomphe acquis par une condescendance, est u
tent dans l’âme, pour y substituer des liens formés seulement par les rapports d’opinion : l’on sait moins de gré à un homme de
usiastes ; ce qu’elles ont été, ce qu’elles peuvent devenir n’a aucun rapport avec les sensations que leurs partisans éprouvent
r à examiner, à s’occuper d’une idée nouvelle, à combiner de nouveaux rapports . Cette manière de ne considérer qu’un seul côté d
, le crime et la vertu. Un siècle, une nation, un homme, sous le seul rapport des lumières, sont très longtemps à se relever du
elever du fléau de l’esprit de parti. Les réputations n’ayant plus de rapport avec le mérite réel, l’émulation se ralentit en p
’esprit de parti efface les traits de sympathie pour y substituer des rapports d’opinion, et présente enfin les malheurs actuels
jouissance ; car il n’en est point dont les illusions aient moins de rapport avec la réalité ; il y a quelque chose de vrai da
58 (1827) Génie du christianisme. Seconde et troisième parties « Seconde partie. Poétique du Christianisme. — Livre quatrième. Du Merveilleux, ou de la Poésie dans ses rapports avec les êtres surnaturels. — Chapitre XVI. Le Paradis. »
la nature de l’homme de ne sympathiser qu’avec les choses qui ont des rapports avec lui, et qui le saisissent par un certain côt
ser de faire lutter le christianisme avec la mythologie, sous le seul rapport du merveilleux. Nous ne sommes entré dans cette é
muses, puisque nous avons achevé de l’envisager poétiquement dans ses rapports avec les hommes, et dans ses rapports avec les êt
envisager poétiquement dans ses rapports avec les hommes, et dans ses rapports avec les êtres surnaturels. Nous couronnerons ce
59 (1830) Cours de philosophie positive : première et deuxième leçons « Première leçon »
re des recherches qui occupent primitivement l’esprit humain. Sous ce rapport , elles offrent à l’homme l’attrait si énergique d
s de phénomènes qui ont été si longtemps regardés comme n’ayant aucun rapport entre eux. Aucun esprit juste ne cherche aujourd’
onséquent, arriver simultanément à l’état positif. Il existe, sous ce rapport , un ordre invariable et nécessaire, que nos diver
ont encore, au contraire, exclusivement usitées, sous l’un et l’autre rapport , pour tout ce qui concerne les phénomènes sociaux
n en fondant la physique sociale. Tel est aujourd’hui, sous plusieurs rapports capitaux, le plus grand et le plus pressant besoi
, et quant à l’esprit qui la caractérise, c’est-à-dire sous le double rapport , de ses méthodes essentielles et de ses résultats
ucune mesure quelconque, nous ne parviendrons jamais à égaler sous ce rapport les anciens, chez lesquels une telle supériorité
iences a pris séparément assez d’extension pour que l’examen de leurs rapports mutuels puisse donner lieu à des travaux suivis,
ut être vivant, peut être étudié, dans tous ses phénomènes, sous deux rapports fondamentaux, sous le rapport statique et sous le
é, dans tous ses phénomènes, sous deux rapports fondamentaux, sous le rapport statique et sous le rapport dynamique, c’est-à-di
sous deux rapports fondamentaux, sous le rapport statique et sous le rapport dynamique, c’est-à-dire comme apte à agir et comm
véritables sur les phénomènes intellectuels. On voit que, sous aucun rapport , il n’y a place pour cette psychologie illusoire,
aux phénomènes moraux, que l’homme puisse s’observer lui-même sous le rapport des passions qui l’animent, par cette raison anat
iété ; c’est entre elles seules que subsiste encore la lutte, sous ce rapport . La philosophie positive n’est intervenue jusqu’i
60 (1800) De la littérature considérée dans ses rapports avec les institutions sociales (2e éd.) « Première partie. De la littérature chez les anciens et chez les modernes — Chapitre IX. De l’esprit général de la littérature chez les modernes » pp. 215-227
n assez grand nombre d’entre elles. Les modernes connaissant d’autres rapports et d’autres liens, ont pu seuls exprimer ce senti
tait impossible qu’aucun écrivain de l’antiquité pût avoir le moindre rapport avec Montesquieu ; et rien ne doit lui être compa
publics ; ce n’est que dans les pays libres qu’il existe de généreux rapports et de constants devoirs entre les citoyens et la
ont fait une vertu de tout ce qui peut servir au bonheur mutuel, aux rapports consolateurs des individus entre eux. Les liens d
saisir les événements passés et les ouvrages durables sous l’éternel rapport des combinaisons abstraites ; si dans ces régions
61 (1800) De la littérature considérée dans ses rapports avec les institutions sociales (2e éd.) « Première partie. De la littérature chez les anciens et chez les modernes — Chapitre XVIII. Pourquoi la nation française était-elle la nation de l’Europe qui avait le plus de grâce, de goût et de gaieté » pp. 366-378
éfendre ou de se servir les uns des autres pour établir entre eux des rapports d’agréments et de plaisir. La galanterie des Maur
des formes de la liberté. Il fallait qu’ils conservassent, dans leurs rapports avec leur maître, une sorte d’esprit de chevaleri
onté. Les liens délicats, les préjugés maniés avec art, formaient les rapports des premiers sujets avec leur maître : ces rappor
rt, formaient les rapports des premiers sujets avec leur maître : ces rapports exigeaient une grande finesse dans l’esprit ; il
stocratique ; plus il y a de rangs dans la société, plus il existe de rapports convenus entre ces rangs, et plus l’on est obligé
62 (1911) Jugements de valeur et jugements de réalité
stion. D’une part, toute valeur suppose l’appréciation d’un sujet, en rapport défini avec une sensibilité déterminée. Ce qui a
en raison de ses propriétés intrinsèques. Mais quel est le sujet par rapport auquel la valeur des choses est et doit être esti
ux faits. Il y a nombre de cas où il n’existe, pour ainsi dire, aucun rapport entre les propriétés de l’objet et de la valeur q
’homme a une éminente dignité morale, l’animal n’en a aucune. Sous le rapport des valeurs, il y a donc entre eux un abîme. Les
ées autrement que d’une manière grossièrement approximative ? Sous ce rapport encore, il ne peut y avoir entre les unes et les
u lieu de rester séparées les unes des autres, entrent étroitement en rapports , agissent activement les unes sur les autres, il
erait en relation avec un monde transcendant. La valeur vient bien du rapport des choses avec les différents aspects de l’idéal
Deux êtres peuvent être très différents et très inégaux sous bien des rapports  : s’ils incarnent un même idéal, ils apparaissent
idéaux qu’elle construit. IV Comment faut-il donc concevoir le rapport des jugements de valeur aux jugements de réalité 
63 (1800) De la littérature considérée dans ses rapports avec les institutions sociales (2e éd.) « Première partie. De la littérature chez les anciens et chez les modernes — Chapitre VIII. De l’invasion des peuples du Nord, de l’établissement de la religion chrétienne, et de la renaissance des lettres » pp. 188-214
hrétienne, qu’il me soit permis de m’arrêter ici pour faire sentir un rapport qui m’a frappée entre cette époque et la révoluti
position des enfants, le pouvoir des époux assimilé, sous beaucoup de rapports , à celui des pères, toutes les lois civiles enfin
r la dégradation ; mais c’est le christianisme qui, du moins dans les rapports moraux et religieux, leur a accordé l’égalité. Le
es relations entretenues avec ces êtres mobiles et délicats. Tous les rapports se sont doublés, pour ainsi dire, depuis que les
e l’esprit. Si l’on ne juge le résultat d’un tel travail que dans ses rapports avec les arts d’imagination, rien ne peut en donn
’art du raisonnement, la force de méditation qui permet de saisir les rapports les plus métaphysiques, et de leur créer un lien,
rmes des partis, la haine, la fureur, la jalousie parcourent tous les rapports , saisissent tous les côtés des objets en discussi
considère cette époque de la renaissance des lettres que sous le seul rapport des ouvrages de goût et d’imagination, l’on trouv
64 (1884) L’art de la mise en scène. Essai d’esthétique théâtrale
où l’œuvre représentée s’approche de la perfection. Chapitre IV Rapports de la mise en scène avec la valeur d’une œuvre dr
intellectuelles doivent, premièrement, être très faibles ou avoir un rapport commun, et, deuxièmement, conserver entre elles l
On pourrait ainsi rassembler un grand nombre d’exemples ayant tous un rapport plus ou moins prochain avec les devoirs et les pr
, faibles ou vives, souvent lointaines, et qu’il calcule encore leurs rapports avec toute la succession des faits écoulés et des
La perspective d’un décor doit être considérée comme rationnelle, par rapport du moins à une rangée de spectateurs. Quand l’act
perspective du décor, il semble au contraire grandir et n’est plus en rapport avec les objets dont les dimensions sont calculée
tif. Les objets de mise en scène de la première catégorie n’ont qu’un rapport général avec faction, tandis que ceux de la secon
général avec faction, tandis que ceux de la seconde ont avec elle un rapport particulier, plus ou moins étroit. C’est cette di
voit détaché de la décoration éveille son attention, et il devine un rapport particulier entre tel ou tel objet et l’action du
n du drame. Puisque nous avons dit que le matériel figuratif avait un rapport particulier avec l’action, il suit de là qu’aucun
du spectateur, ne peut être mis sous nos yeux à moins qu’il n’ait un rapport certain avec la marche du drame. Chacun d’eux jou
le-même sa propre fin. L’esprit n’est sollicité en rien à chercher un rapport entre cette scène et une scène subséquente qui ne
e l’individualité dans le goût actuel. — Dérogations aux principes. —  Rapports de la mise en scène avec le milieu théâtral. — Ca
. En outre, dans la vie moderne, l’individualité des goûts suppose un rapport plus étroit entre le sujet et les objets qui l’en
dont est susceptible la mise en scène, selon qu’on l’étudie dans ses rapports soit avec le milieu théâtral, soit avec le milieu
l qu’elle doit conserver, et nous ne serons pas tentés de scruter les rapports spéciaux que le matériel figuratif, un peu trop a
xemple, chacun des détails du matériel figuratif nous attirera par le rapport probable que nous le soupçonnerons d’avoir avec l
es atténuantes, soit des circonstances aggravantes. Chapitre XV Rapport de la mise eu scène avec le milieu dramatique. — 
s croyons plus profitable de considérer le milieu dramatique dans ses rapports avec l’imagination, le sentiment et la fantaisie.
nt, celle qui est surtout séduite par les contours et les formes, les rapports des formes entre elles, leur agencement, les qual
laisse charmer par la couleur, les effets d’ombre et de lumière, les rapports de nature entre les objets, leurs qualités substa
que nous avons exposé dans les premières pages de cet ouvrage, sur le rapport inverse qu’il y a entre la richesse de la mise en
Ma Camarade. — Les féeries. Nous examinerons, dans ce chapitre, les rapports de la mise en scène avec ce que nous avons appelé
nnent pas à une même série et n’ont par conséquent pas entre elles de rapport nécessaire et prochain. Le contraste apparent des
ue ces images associées doivent présenter immédiatement à l’esprit un rapport inattendu, qui, bien que lointain et inaccoutumé,
tre identiques à celles de la gaieté et du rire, et consister dans le rapport soudain que l’auteur nous fait apercevoir entre d
rrection que de l’excentricité banale. Il y faut conserver un certain rapport avec la vérité. Aussi ce sont les artistes les mi
logique dans les limites du compréhensible, et présenter toujours un rapport , amusant pour l’esprit, entre la fiction et la ré
agérations burlesques de ces mêmes qualités. La fantaisie conserve un rapport certain entre les images associées, et quand nous
cherchant dans des séries d’images de plus en plus éloignées quelque rapport apparent entre le possible et l’impossible. La fé
ioler trop ouvertement les lois de la fantaisie. Chapitre XVIII Rapports de la mise en scène avec le milieu social. — La m
e la mise en scène. — Vieillissement rapide du théâtre moderne. Les rapports de la mise en scène avec le milieu social sont tr
tout ce que le temps et la distance amènent de modifications dans ces rapports . Nous poserons ce principe, qui n’a pas, il sembl
t entraîner à de larges accroissements de mise en scène, tant sous le rapport du personnel que sous celui du matériel figuratif
, qui ont chacun une certaine importance, les uns parce qu’ils ont un rapport avec le texte, les autres parce qu’ils servent à
téristique, souvent dans un but avoué d’imitation. Chapitre XXI Rapports de la mise en scène avec l’espace et le temps, — 
la connaissance que nous avons de ce milieu ou de cette époque et des rapports que les idées, les mœurs, les costumes peuvent av
itulaire ; car la première loi du costume de théâtre, c’est d’être en rapport avec l’âge, la stature et l’air de la personne qu
iques ; et ce que je chercherai surtout à mettre en lumière, c’est le rapport direct qu’a la mise en scène avec l’interprétatio
s en eux-mêmes qui nous offrent un sujet d’étude intéressant, mais le rapport du costume à l’action et à la situation des perso
recs donnent aux héros, aux Ajax et aux Diomède. Chapitre XXVII Rapport du costume avec la personnalité. — Le costume doi
r la nécessité pour un acteur de se composer un extérieur physique en rapport avec le sentiment moral du personnage qu’il repré
ffets qui en sont la conséquence que la mise en scène doit établir un rapport de valeur entre l’importance d’un jeu de scène et
nages ne sont pas arbitraires. Il faut naturellement tenir compte des rapports qui enchaînent les personnages à des objets fixes
uche de la scène et non loin de la zone invisible, n’est nullement en rapport avec l’importance psychologique et dramatique du
présentation mît en lumière et imposât à l’esprit des spectateurs les rapports que doivent avoir entre eux les tableaux renfermé
suite considérable d’événements. La durée des entractes est donc sans rapports avec le temps supposé écoulé par le poète et avec
itre XXXII De l’acteur. — De la formation subjective des images. —  Rapport de la création de l’acteur avec l’idéal du public
uition et de l’introspection. — Développement des images initiales. —  Rapport ou contraste entre les images initiales de différ
t examiner, au moins succinctement, la mise en scène d’un rôle et son rapport avec le développement de l’action, mais en nous p
secondaires, dérivées de l’idée première, ou autrement des images en rapport de ressemblance avec l’image initiale. Tout cela,
d’Aubigny, voilà encore des images initiales qui sont dans un certain rapport , d’une part, avec le marquis de Presle et Olivier
Dans chaque classe, les rôles ont entre eux quelque analogie, quelque rapport plus ou moins proche, quelque affinité secrète, t
sienne propre, et que par conséquent son aspect, son image a quelque rapport avec l’image générale de laquelle se déduisent le
et caractéristiques, car il n’a que fort rarement à tenir compte des rapports du physique ou du moral avec une fonction sociale
ience du geste d’autant plus grande qu’il est plus rare et qu’il a un rapport plus étroit avec le texte poétique, une attitude
nous la musique : la qualité des sons, leur hauteur, leur timbre, les rapports mélodiques des sons successifs, les rapports harm
auteur, leur timbre, les rapports mélodiques des sons successifs, les rapports harmoniques des sons simultanés, le mouvement, le
intégrante du drame ; et si, par impossible, on pouvait concevoir un rapport entre un courant électrique et les ondulations ne
ar des exemples. Chapitre XXXVII De l’exécution musicale. — Des rapports de la musique avec l’action dramatique. — Le Mond
, ceux qui résultent uniquement du caractère de la musique, et de son rapport avec le sentiment d’un personnage. Au premier act
mbitieusement ses expériences. La nature ne doit y entrer que par ses rapports avec la vie, et par le rôle passif qu’elle joue d
e formelle et non finale d’une évolution dramatique. — L’Ami Fritz. —  Rapports de la mise en scène avec la conception poétique.
entre Sichel et Sûzel ; elle n’en est que la cause formelle. Sous ce rapport , cet emploi remarquablement habile de l’illusion
. Tout le surplus de nos impressions, souvent très complexes, naît du rapport que ces sensations simples ont avec l’état moral
attacher aux effets humains et sociaux de la vie. Quelle est, sous ce rapport et en quelques mots, l’esthétique de l’école ? Si
65 (1895) Les règles de la méthode sociologique « Chapitre V : Règles relatives à l’explication des faits sociaux »
« qui pousse directement l’homme à améliorer sans cesse sous tous les rapports sa condition quelconque58 », et M. Spencer, au be
ait de le parcourir sans guide, ne risquât pas de s’égarer67. Mais le rapport entre les lois fondamentales de la nature humaine
hénomène, par soi-même, infécond, qui consiste simplement à mettre en rapports extérieurs des faits acquis et des propriétés con
juridiques et morales qui déterminent la structure de la famille, les rapports des personnes entre elles, des choses avec les pe
: La fonction d’un, fait social doit toujours être recherchée dans le rapport qu’il soutient avec quelque fin sociale. C’est pa
rive pas de la vie individuelle, l’une et l’autre sont étroitement en rapports  ; si la seconde ne peut expliquer la première, el
ou se font concurrence, mais vivent d’une vie commune. Car, comme les rapports purement économiques laissent les hommes en dehor
on la rejette, la sociologie est dans l’impossibilité d’établir aucun rapport de causalité. En effet, cet ordre de causes écart
loi qui exprime ce développement ne saurait avoir rien de causal. Un rapport de causalité, en effet, ne peut s’établir qu’entr
lien causal. L’état antécédent ne produit pas le conséquent, mais le rapport entre eux est exclusivement chronologique. Aussi,
récédents. Aussi, sa fameuse loi des trois états n’a-t-elle rien d’un rapport de causalité ; fût-elle exacte, elle n’est et ne
rmi les changements dont il est la cause, ceux-là servent qui sont en rapport avec l’état ou il se trouve, puisqu’il est la con
qu’un but et qu’un seul, il ne peut y avoir qu’un point de repère par rapport auquel on calcule l’utilité ou la nocivité des ph
66 (1900) La méthode scientifique de l’histoire littéraire « Troisième partie. Étude de la littérature dans une époque donnée causes et lois de l’évolution littéraire — Chapitre II. Recherche des vérités générales » pp. 113-119
revient à dire qu’il faut constater entre les choses trois sortes de rapports  : rapports de coexistence et rapports de successi
dire qu’il faut constater entre les choses trois sortes de rapports : rapports de coexistence et rapports de succession, qui peu
ntre les choses trois sortes de rapports : rapports de coexistence et rapports de succession, qui peuvent être des rapports de c
pports de coexistence et rapports de succession, qui peuvent être des rapports de cause à effet ou d’effet à cause. Instituer en
s phases successives d’un genre littéraire. Un jour, on cherchera des rapports d’idées ou de sentiments ; le lendemain, des anal
67 (1733) Réflexions critiques sur la poésie et la peinture « Première partie — Section 12, qu’un ouvrage nous interesse en deux manieres : comme étant un homme en general, et comme étant un certain homme en particulier » pp. 73-80
pour les italiens. Je ne parlerai pas plus au long de cet interêt de rapport et particulier à certains hommes comme à certains
nt que nous le sommes déja pour le meilleur de nos rois. L’interêt de rapport , ou l’interêt qui nous est particulier, excite au
une et plus prompte et plus grande. D’ailleurs il est des interêts de rapport qui subsistent long-tems et qui peuvent concilier
celle de l’éneïde, qui est celle de toucher sans cet interêt qui a un rapport particulier au lecteur, à moins d’une grande prés
68 (1893) La psychologie des idées-forces « Tome premier — Livre troisième. Le souvenir. Son rapport à l’appétit et au mouvement. — Chapitre premier. La sélection et la conservation des idées dans leur relation à l’appétit et au mouvement. »
ation des idées. Base mécanique et psychologique de la mémoire. — II. Rapport de la mémoire avec la sensibilité et l’activité.
omplication, il avait conservé la représentation des sons et de leurs rapports , il la reproduisait, enfin il la reconnaissait po
ux, avec irradiations différentes. L’image étant ainsi, sous certains rapports , une répétition des sensations, émotions, pensées
ce, selon La Rochefoucauld, est faite d’inconstance ? Sous ce nouveau rapport , à combien d’objets divers n’a-t-on pas comparé l
autre note, l’autre corde donnera toujours l’ut ; l’une sera, sous le rapport mécanique, la mémoire du la, l’autre de l’ut. Il
oins l’intensité des constituants originels que leur qualité et leurs rapports complexes. James Ward remarque avec raison que no
enirs ; or ce caractère distinct et complet tient à la qualité et aux rapports plus ou moins nombreux que nous saisissons, bien
’esprit, en relation avec telle ou telle action extérieure : c’est un rapport déterminé et constant du moi au non-moi. Il peut
emble précisément le compte rendu qu’on se fait de tel état mental en rapport avec tel objet : pour être une idée réelle et non
iverses pour reproduire sans effort l’image précise de l’objet. II Rapport de la mémoire avec la sensibilité et l’activité.
ns divers problèmes difficiles. Le premier de ces problèmes, c’est le rapport de la mémoire avec la sensibilité et avec l’activ
eparaissent ; et encore faut-il qu’ils se renouvellent avec les mêmes rapports . Les états de conscience primitifs sont donc ou d
69 (1889) Essai sur les données immédiates de la conscience « Chapitre II. De la multiplicité des états de conscience. L’idée de durée »
tiplicité des unités d’un nombre ? La vraie durée a-t-elle le moindre rapport avec l’espace ? Certes, notre analyse de l’idée d
er que par une étude directe des idées d’espace et de temps, dans les rapports qu’elles soutiennent entre elles. On aurait tort
pothèse de l’inextensif ; et à supposer que l’extension ne soit qu’un rapport entre des termes inextensifs, encore faut-il que
oit qu’un rapport entre des termes inextensifs, encore faut-il que ce rapport soit établi par un esprit capable d’associer ains
science réfléchie. L’école anglaise s’efforce en effet de ramener les rapports d’étendue à des rapports plus ou moins complexes
e anglaise s’efforce en effet de ramener les rapports d’étendue à des rapports plus ou moins complexes de succession dans la dur
procurer à nouveau, dans un ordre inverse, les mêmes sensations : les rapports de situation dans l’espace se définiraient alors,
n dans l’espace se définiraient alors, si l’on peut parler ainsi, des rapports réversibles de succession dans la durée. Mais une
que nous comptons les moments successifs de la durée, et que, par ses rapports avec le nombre, le temps nous apparaît d’abord co
e hétérogène du moi, sans moments extérieurs les uns aux autres, sans rapport avec le nombre. Ainsi, dans notre moi, il y a suc
chés d’un vice originel, et la représentation d’une multiplicité sans rapport avec le nombre ou l’espace, quoique claire pour u
Extérieures les unes aux autres, elles entretiennent entre elles des rapports où la nature intime de chacune d’elles n’entre po
apports où la nature intime de chacune d’elles n’entre pour rien, des rapports qui peuvent se classer : on dira donc qu’elles s’
Considérés en eux-mêmes, les états de conscience profonds n’ont aucun rapport avec la quantité ; ils sont qualité pure ; ils se
e notre second chapitre, on pourrait soutenir, avec M. Pillon, que le rapport de coexistence suffit à la construction du nombre
ens ont été confondus, croyons-nous, par tous ceux qui ont traité des rapports du nombre avec l’espace. 27. Évellin, Infini et
70 (1893) La psychologie des idées-forces « Tome second — Livre cinquième. Principales idées-forces, leur genèse et leur influence — Chapitre septième. Les sentiments attachés aux idées. Leurs rapports avec l’appétition et la motion »
Chapitre septième Les sentiments attachés aux idées. Leurs rapports avec l’appétition et la motion I. — Le mou
ues, moraux, religieux ; il faut procéder plutôt en sens inverse. Les rapports du rythme ou de la symétrie, par exemple, ne nous
causé par une pensée, par un raisonnement, par la compréhension d’un rapport de cause à effet, de moyen à fin, de tout à parti
ce qu’elles sont liées à la nature même de notre sensibilité et à ses rapports avec nos autres puissances. Dans les sentiments e
71 (1870) De l’origine des espèces par sélection naturelle, ou Des lois de transformation des êtres organisés « De l’origine des espèces par sélection naturelle, ou Des lois de transformation des êtres organisés — Introduction »
diter, les observations de toutes sortes qui pourraient avoir quelque rapport à sa solution. Seulement, après cinq années de tr
éfléchit à ce problème de l’origine des espèces, en tenant compte des rapports mutuels des êtres organisés, de leurs relations e
vident qu’on ne saurait attribuer la structure de ce parasite, et ses rapports si compliqués avec plusieurs êtres organisés dist
pèce alliée est rare ou n’habite qu’un étroit espace ? Cependant, ces rapports sont de la plus haute importance, car ils détermi
72 (1876) Chroniques parisiennes (1843-1845) « LII » pp. 203-205
LII Ce 25 avril 1844. rapport du duc de broglie sur la loi de l’enseignement se
térêt est en ce moment à la loi sur l’instruction secondaire. Le beau Rapport de M. de Broglie a été lu avidement malgré sa lon
ultra-cléricaux. Au fond les gens sages du clergé en passeront par ce Rapport et seront trop heureux si les conclusions en sont
73 (1890) Conseils sur l’art d’écrire « Principes de composition et de style — Troisième partie. Disposition — Chapitre II. Utilité de l’ordre. — Rapport de l’ordre et de l’originalité »
Chapitre II. Utilité de l’ordre. —  Rapport de l’ordre et de l’originalité On affecte souve
e, sans savoir d’avance pourquoi, sans en avoir médité l’utilité, les rapports avec tout l’édifice, ce qu’elle ajoutait à lu sol
e l’œuvre. En effet, comme l’invention consiste alors à découvrir des rapports inaperçus, à créer des liaisons nouvelles d’idées
nt, d’une subordination, d’une proportion, qui mettent en lumière des rapports nouveaux entre des pensées anciennes, et leur att
rmes, dans la combinaison nouvelle des éléments, dans l’expression de rapports inexprimés jusque-là ; il innove, suivant son tem
74 (1870) De l’origine des espèces par sélection naturelle, ou Des lois de transformation des êtres organisés « De l’origine des espèces par sélection naturelle, ou Des lois de transformation des êtres organisés — Chapitre XIII : Affinités mutuelles des êtres organisés »
remarqué, qu’une espèce peut s’éloigner de ses alliées sous plusieurs rapports , à la fois de grande importance physiologique et
ure de l’embryon doit être d’une plus grande importance, sous ce même rapport , que celle de l’adulte, qui seul joue son rôle co
nde valeur, au point de vue d’une classification impliquant l’idée de rapports généalogiques. Souvent nos classifications suiven
s ; mais de telles ressemblances, au lieu de révéler leurs véritables rapports de consanguinité, tendraient plutôt à les dissimu
nt fait d’autres Rongeurs ; et, par conséquent, elle ne doit avoir de rapports particuliers avec aucun des Marsupiaux vivants, m
sement en groupes subordonnés à d’autres groupes. C’est en raison des rapports généalogiques que nous classons les individus des
vers organes sont considérés comme homologues. La connaissance de ces rapports mutuels entre des formes en apparence différentes
il n’y aura aucune tendance à altérer la charpente même des os et les rapports mutuels de position de leurs diverses parties. Si
en arc des crosses artérielles le long des fentes branchiales ait un rapport quelconque avec les conditions de vie toujours id
l’aile d’une Chauve-souris, et de la nageoire d’un Marsouin soient en rapport avec des conditions de vie identiques. Aucun natu
erles, soient de quelque usage à ces animaux, ou qu’ils aient quelque rapport avec leurs conditions de vie particulières. Le ca
se, que nous pouvons aisément nous laisser entraîner à considérer ces rapports comme une conséquence nécessaire des lois de la c
universellement ? Pourquoi la structure de l’embyron n’a-t-elle aucun rapport à ses conditions d’existence, sauf dans le cas où
core de la même espèce, qui se ressemblent parfaitement sous tous les rapports , et cependant les uns ont des ailes très développ
rès sujets à varier dans leur degré de développement ou sous d’autres rapports . De plus, chez des espèces proche-alliées qui pos
iaire, qui a pour objet de rapprocher des objets divers suivant leurs rapports mutuels. Or ces deux principes de classement sont
cession dans le temps, ou l’ordre de succession dans l’espace, ou les rapports de cause à effet, et d’antécédent à conséquent, q
et, et d’antécédent à conséquent, qui interviennent. Le nombre de ces rapports augmente avec la complexité des êtres à classer,
s êtres à classer, et il en résulte que l’échelle la plus complexe de rapports appartient aux êtres vivants qui de tous les obje
75 (1800) De la littérature considérée dans ses rapports avec les institutions sociales (2e éd.) « Première partie. De la littérature chez les anciens et chez les modernes — Chapitre XVII. De la littérature allemande » pp. 339-365
progrès de la littérature allemande, s’opposent encore, sous quelques rapports , à sa perfection ; et c’est d’ailleurs un désavan
t des affaires publiques. Ils considèrent toutes les idées dans leurs rapports naturels ; les institutions qui existent chez eux
oir à celles de la pensée ; et leur âme ne se refroidit point par des rapports trop continuels avec les hommes. Les ouvrages des
n vous-même des sentiments étouffés ou contenus par la régularité des rapports et des liens de la société. Ces expressions vous
neusement évités. Les Allemands ressemblent aux Anglais sous quelques rapports  ; ce qui fait qu’ils s’égarent beaucoup moins en
and sont politiquement nécessaires ; mais je répéterai59 que, sous le rapport du mérite littéraire, l’on se tromperait en croya
ai voulu caractériser l’esprit général de chaque littérature dans ses rapports avec la religion, les mœurs et le gouvernement. S
76 (1893) La psychologie des idées-forces « Tome second — Livre cinquième. Principales idées-forces, leur genèse et leur influence — Chapitre troisième. L’idée-force du moi et son influence »
struction complexe, représentant un moi possible dans l’avenir et son rapport avec le moi présent. Ce moi conçu et imaginé devi
, soit parce qu’il devient un substitut symbolique d’agrément par son rapport à la satisfaction idéale du moi. L’école anglaise
n’eut pu ni se faire comprendre, ni comprendre autrui. Même dans nos rapports avec les animaux, nous subissons encore une logiq
Au sentiment concret des termes se joint le sentiment concret de leur rapport . L’être n’abstrait pas ce rapport, mais il n’est
joint le sentiment concret de leur rapport. L’être n’abstrait pas ce rapport , mais il n’est pas dans la même attitude mentale
squ’elle est d’abord une harmonie de sensations, puis une harmonie de rapports entre ces sensations, rapports qui eux-mêmes ont
ie de sensations, puis une harmonie de rapports entre ces sensations, rapports qui eux-mêmes ont toujours un côté sensitif et ap
77 (1889) L’art au point de vue sociologique « Introduction »
omène sociologique », une extension à l’univers et à son principe des rapports sociaux qui relient les hommes, un effort, en un
le seul lien véritable est celui qui relie par le dedans, non par des rapports extrinsèques de temps et d’espace ; c’est la vie
pouvons entrer en société6. » Le génie et son milieu social, dont les rapports ont tant préoccupé les esthéticiens contemporains
ieux nouveaux ou un modificateur des milieux anciens. » L’analyse des rapports entre le génie et le milieu permet de déterminer
e. Pour bien comprendre un artiste, dit Guyau, il faut se mettre « en rapport  » avec lui, selon le langage de l’hypnotisme ; et
ue nous la connaissons, en solidarité avec toutes les autres vies, en rapport direct ou indirect avec des maux sans nombre, exc
mités : « C’est une extension de la sociabilité esthétique. » Sous ce rapport , l’art suit nécessairement le développement de la
ans. » Le roman, dit Guyau, raconte et analyse des actions dans leurs rapports avec le caractère qui les a produites et avec le
zac, c’est précisément qu’ils ont voulu peindre les hommes dans leurs rapports sociaux ; c’est qu’ils ont fait surtout des roman
78 (1881) La parole intérieure. Essai de psychologie descriptive « Chapitre premier. Aperçu descriptif. — Histoire de la question »
de physique, un simple état du moi, un fait psychique. C’est dans son rapport avec l’écriture, quand nous écrivons ou lisons en
l a eu seulement, une intuition synthétique des différentes sortes de rapports qui unissent la parole et la pensée, rapports don
s différentes sortes de rapports qui unissent la parole et la pensée, rapports dont la parole intérieure constitue elle-même un
ieure, qui est toujours localisée5, — mais aussi en vertu de certains rapports intrinsèques qui expliquent à ses yeux l’associat
acée par l’usage de la langue, « l’esprit grec exprima par ce mot les rapports intimes du langage avec la pensée et la conscienc
phores. Les Egyptiens, comme les Grecs, eurent une notion confuse des rapports de la parole avec la pensée ; leur langue écrite
stence duquel elle eût été un paradoxe insoutenable16. L’intimité des rapports du langage avec la pensée, son utilité pour pense
impliquent l’activité de l’entendement et supposent la conception de rapports purement intellectuels34 ; la parole intérieure,
ur idéer, c’est-à-dire pour penser les objets intellectuels, esprits, rapports , concepts généraux. Un son intérieur ou extérieur
a d’abord voulu connaître que les concepts définis et nommés et leurs rapports logiques ; il a découvert trop tard les petites p
ine à ses conclusions. 3° Simultanéité du mot et de l’idée. — Sur les rapports du mot et de l’idée dans le temps, le même parti
ent nous nous idéons nous-mêmes, nous idéons les autres êtres, et les rapports qu’ils ont entre eux et avec nous »50. On voit qu
» Ce n’est pas tout : entre les idées et les réalités, il y a le même rapport qu’entre les mots et les idées ; à toute idée cor
vent puériles quand elles portent sur la grammaire, l’étymologie, les rapports mystérieux des mots et des idées. Toujours préocc
valeur du procédé reposait, dans la doctrine de Bonald, sur certains rapports du langage et de la pensée, dont quelques-uns ava
tion aux idées, et, par suite, l’analyse de leurs éléments et de leur rapports [ch. VI, passim]. En réalité, Cardaillac a vaguem
oire n’est qu’un cas particulier de l’habitude, tout ce qu’il dit des rapports de la parole intérieur avec l’habitude est vague
l’étude de Mesnet, Annales médico-psychologiques, juillet 1865, et le rapport de Cerise, Académie de médecine, 1865. 4. Sophi
es mouvements auxquels elle se livre sans voix et sans écho, entre en rapport avec ce qui est sensible ; alors naissent des opi
s, et dont le raisonnement développe analytiquement dans la durée les rapports mutuels. Cette définition se rapporte exactement
s des autres ; 2° Sa loi, ou son extension dans la vie psychique, ses rapports de concomitance avec les autres faits psychiques 
es sur le développement de l’instinct et de l’intelligence dans leurs rapports avec le phénomène du sommeil (Paris, Didier, 1861
79 (1884) Cours de philosophie fait au Lycée de Sens en 1883-1884
On peut remarquer dans ce passage le mot positif, qui marque bien les rapports des deux critériums proposés. Cette méthode soume
e science, dans quelle mesure elle en était une, et quels étaient ses rapports avec les autres sciences. Pour en trouver la solu
e connu et le cherché. Donc, les mathématiques expliquent au moyen de rapports d’identité. Comment démontre-t-on que les trois a
si. Les sciences physiques expliquent autrement : ce ne sont plus des rapports d’identité, mais des rapport de causalité qu’elle
liquent autrement : ce ne sont plus des rapports d’identité, mais des rapport de causalité qu’elles établissent. Tant qu’on ne
ut donc généraliser et dire : l’objet de la science est d’établir des rapports rationnels — rapports d’identité ou de causalité
dire : l’objet de la science est d’établir des rapports rationnels — rapports d’identité ou de causalité — puisque nous avons é
ut d’expliquer, et qu’expliquer, c’était établir entre les choses des rapports d’identité ou de causalité. Connaissant tout cela
donc remplie. — Les faits qui constituent son objet sont soumis à des rapports rationnels : l’on ne saurait prétendre que les ét
ience. La philosophie étant reconnue pour une science, quels sont les rapports avec les autres sciences ? À l’origine de la spéc
science distincte au milieu des autres sciences. Quels sont donc les rapports de la philosophie avec ces autres sciences ? — Il
losophie avec ces autres sciences ? — Il y en a de deux espèces : les rapports généraux, qui sont les mêmes avec toutes les scie
rapports généraux, qui sont les mêmes avec toutes les sciences ; les rapports particuliers, qui sont différents pour chaque sci
nt différents pour chaque science particulière. Examinons d’abord les rapports généraux. Les objets qu’étudient les différentes
ces condamnées par là même a être uniquement subjectives. Passons aux rapports particuliers. Ils sont de deux sortes : la philos
rtante partie de la logique qu’on appelle Méthodologie. Tels sont les rapports de la philosophie et des différentes sciences qui
ntellectuel est matériel ou non, on constate que le corps a d’étroits rapports avec l’âme. On peut presque dire que rien ne s’y
on écho dans l’âme. Le fait d’ailleurs est réciproque. À cause de ces rapports , il faut déterminer avec exactitude les limites d
des poids de différentes grosseurs, on sent bien qu’il y a un certain rapport de l’excitation à la sensation. Calculer ce rappo
il y a un certain rapport de l’excitation à la sensation. Calculer ce rapport exactement, voilà ce que recherche la psychophysi
z le mobile, supprimez l’espace, on ne saurait mesurer ces forces par rapport l’une à l’autre. On ne peut donc mesurer que des
on ne saurait la remplacer par une science établissant uniquement les rapports de l’âme et du corps. En second lieu, nous ne pro
’activité que de la sensibilité ; mais ils ont avec cette faculté des rapports si étroits qu’il est impossible de les en séparer
ble confus des émotions. Pour cela nous n’avons qu’à faire varier les rapports de l’objet au moi : le moi passera par diverses é
trois conditions, il n’y en a qu’une seule qu’il faille étudier : les rapports des sens et de l’objet. Il ne peut y avoir sujet
son centre, entre l’idée de dedans et celle de moi, il y a de grands rapports  ; mais on ne peut faire de leur identification la
mènes des groupes au centre desquels est un être. Mais quels sont les rapports des phénomènes entre eux ? Il est nécessaire qu’i
t ordre est encore insuffisant. Entre ces diverses séries, il y a des rapports à établir. L’esprit est ainsi amené à se représen
s, mais seulement des états de conscience ayant entre eux de certains rapports de position. Les uns sont avant, les autres après
it le droit d’admettre d’une manière générale cette universalité d’un rapport de succession plusieurs fois constaté, il faut qu
Les associations d’idées rationnelles sont celles qui sont dues à un rapport rationnel. Voici les types principaux : 1. L’idée
est une opération qui rapproche deux idées et établit entre elles un rapport de ressemblance ou de dissemblance. Les idées com
finit le beau par l’ordre, cela revient au même : l’ordre n’est qu’un rapport exact entre les parties du tout. Ce que nous veno
aire. Nous ne connaissons que nous ; c’est par comparaison dans leurs rapports avec nous que nous jugeons les objets. Si donc l’
ent de la passivité ? Voici comment : Toute affection sensible est un rapport entre un besoin et l’objet qui doit le satisfaire
l’architecte dans ses prévisions, on verrait qu’elles ne sont pas en rapport avec la force de l’affirmation. Il en serait de m
confondre, un nombre infini de caractères communs. Un jugement est un rapport entre deux idées. La proposition examine ce rappo
n jugement est un rapport entre deux idées. La proposition examine ce rapport à l’aide de mots. Tout jugement se compose de tro
d’existence mise à part. La copule ne marque jamais en réalité qu’un rapport de convenance ou de disconvenance entre deux idée
un cercle l’extension de chacun des trois termes du syllogisme ; leur rapport de convenance ou de disconvenance est indiqué par
e ; leur rapport de convenance ou de disconvenance est indiqué par le rapport de contenance ou d’extériorité de ces cercles. Re
tion algébrique que nous avons indiquée plus haut, mais de marquer un rapport de contenant à contenu. De plus, cette méthode mo
articulier au général, ou du fait à la loi. Toute loi se compose d’un rapport de causalité entre deux ou plusieurs faits d’obse
uction se composera donc de deux moments : 1. Il faudra rechercher un rapport de causalité entre deux faits déterminés. 2. Ce r
rechercher un rapport de causalité entre deux faits déterminés. 2. Ce rapport trouvé, il faudra l’étendre de tous les cas parti
l trouve ainsi une loi qui régit le phénomène dans les cas donnés. Le rapport de causalité cherché est déterminé pour un certai
né pour un certain nombre d’expériences particulières. 2e Moment. Ce rapport observé seulement dans un certain nombre d’expéri
e la pesanteur de l’atmosphère. Dans le premier moment, on cherche un rapport de causalité. Comment le déterminer ? Pour cela,
ption. On voit souvent, si l’on n’emploie que cette seule méthode, un rapport de causalité là où il n’y a qu’un rapport de séqu
que cette seule méthode, un rapport de causalité là où il n’y a qu’un rapport de séquence. C’est le sophisme connu sous le nom 
moment de l’induction, on étend à l’universalité des cas possibles le rapport observé dans quelques cas donnés. Qu’est-ce qui a
ion de l’effet n’aurait donc pas de cause. Or, comme toute loi est un rapport de causalité, la loi vraie dans un cas le sera da
turelles au contraire répartissent les êtres d’après leurs véritables rapports . Elles ne sont plus fondées sur un caractère exté
açon l’économie politique, en déterminant d’une manière abstraite les rapports entre les intérêts humains : cette méthode est ma
êts humains : cette méthode est maintenant abandonnée. On cherche ces rapports dans l’expérience du passé et du présent. Le rais
voit un visage en colère. L’enfant saisirait donc instinctivement le rapport qui unit certains signes et les états d’esprit qu
t d’idées ; qu’il soit capable avant toute éducation de comprendre le rapport entre un phénomène matériel et un phénomène psych
nes et certains sentiments. Mais s’il était capable de comprendre ces rapports , il l’était aussi de constituer un système de sig
e mien ? Les plaisirs sont subjectifs, et l’on ne peut faire que leur rapport ne le soit pas. Mais, dira Stuart Mill, je ne me
x ; la morale kantienne nous a appris de plus qu’elle devrait être en rapport avec notre nature et nous intéresser pour se fair
s ordonne bien de respecter notre personnalité, mais ne règle pas nos rapports avec autrui. Devons-nous donc nous abstraire des
res hommes ? C’est impossible. La loi morale doit donc déterminer nos rapports avec nos semblables. En nous rappelant que la loi
nant en mesure de définir un certain nombre d’idées qui ont un étroit rapport avec les théories précédents. Qu’est-ce que le de
la moralité ; on se représente l’homme vivant d’une vie isolée, sans rapport avec les autres hommes. Cet état est si naturel,
est isolé alors de ses semblables et ne peut par conséquent avoir de rapports avec eux : Quels sont les devoirs de l’homme enve
ale domestique La morale domestique a pour objet de déterminer les rapports des membres de la famille entre eux. La famille,
la nature de l’homme importe à la règle de son activité : c’est là le rapport de la psychologie et de la morale. Mill réduisait
qui les supporte ne peut être atteinte par les sens. Leçon 72 Des rapports de l’âme et du corps Si l’âme est distincte du
et du corps Si l’âme est distincte du corps, comment expliquer les rapports continuels entre la vie physiologique et la vie p
ne propose pas à proprement parler de théorie pour l’explication des rapports de l’âme et du corps, ou plutôt de l’âme et des e
i font mouvoir le corps ; il admettait comme un fait irréductible les rapports de la substance pensante et de la substance étend
he, avec la théorie des causes occasionnelles, essaye d’expliquer ces rapports de deux substances absolument hétérogènes. Selon
harmonie préétablie. Telles sont les hypothèses métaphysiques sur les rapports de l’âme et du corps. Voici maintenant d’autres h
si l’on s’en tient à cette doctrine, il est difficile d’expliquer les rapports de choses aussi différentes que l’étendue régie p
eur doctrine a-t-elle reçu le nom de vitalisme. On explique alors les rapports de l’âme et du corps en disant : toute la vie du
par conséquent agir l’une sur l’autre. On ne pourrait comprendre les rapports de la pensée et de l’étendue, mais on s’explique
rquoi une dernière doctrine a simplifié la précédente et expliqué les rapports de l’âme et du corps en identifiant les deux prin
i agit librement. 4. L’unité de cette cause se conclut de l’unité des rapports mutuels des parties du monde, envisagées comme le
artisans de la finalité partent de ce fait d’observation qu’il y a un rapport exact entre les moyens et leurs résultats, par ex
et leurs fonctions. Les finalistes partent de là pour établir que ce rapport n’a pu être établi que par une intelligence. Les
être établi que par une intelligence. Les mécanistes affirment que ce rapport a pu se produire autrement : il dérive pour eux d
ontraire la personne parfaite a pour idéal l’absolu. Leçon 79 Des rapports de Dieu et du monde. Du dualisme. Du panthéisme.
istence de Dieu et déterminé sa nature. Reste à savoir quels sont les rapports de Dieu et du monde. On s’entend généralement à c
ènes divers d’une substance commune, Dieu. Le panthéisme explique les rapports de Dieu et du monde en les ramenant au rapport d’
nthéisme explique les rapports de Dieu et du monde en les ramenant au rapport d’une substance et de ses phénomènes. Il a revêtu
er. Qu’est-ce que des mots qui ne veulent rien dire ? Leçon 80 Des rapports de Dieu et du monde. De la Providence, du Mal, de
nde. De la Providence, du Mal, de l’Optimisme et du Pessimisme Les rapports de Dieu et du monde ne se bornent pas à l’acte cr
80 (1868) Les philosophes classiques du XIXe siècle en France « Chapitre III : M. Maine de Biran »
de l’âme ; j’aperçois à la fois et directement ces deux faits et leur rapport . Ce rapport n’est point connu par raisonnement, a
’aperçois à la fois et directement ces deux faits et leur rapport. Ce rapport n’est point connu par raisonnement, au moyen d’un
n’est point connu par raisonnement, au moyen d’un axiome étranger. Ce rapport n’est point connu par expérience répétée, au moye
, cette loi fût démentie. Il n’y a dans le monde que des faits et des rapports nécessaires ; quand on transforme ces relations e
me du moyen âge. On a commencé, avec Duns Scot, par métamorphoser les  rapports en substances, et l’on finit, comme les mystiques
agnent leur dignité, les forces redeviennent des qualités dérivées de rapports nécessaires. La nature apparaît telle qu’elle est
e faits observables, dont le groupement fait les substances, dont les rapports fondent les forces ; et la science, ramenée dans
80. 18. Ibid., p. 244, 245. 19. Tome IV, p. 207, 208 et 211. 20. Rapports du physique et du moral, p. 24. 21. Ibid., p. 2
81 (1889) Essai sur les données immédiates de la conscience « Conclusion »
us n’avons plus les mains libres. Or, de même que pour déterminer les rapports véritables des phénomènes physiques entre eux nou
déroulent dans le temps, ils constituent la durée. Enfin, dans leurs rapports entre eux, et en tant qu’une certaine unité se co
ce ; c’est du moins ce qu’il admit implicitement quand il attribua au rapport de causalité le même sens et le même rôle dans le
us : dans ce prétendu monde phénoménal, fait par la science, tous les rapports qui ne se peuvent traduire en simultanéité, c’est
pénétraient au lieu de se juxtaposer, et si ces moments formaient par rapport les uns aux autres une hétérogénéité au sein de l
s verrions que, si notre action nous a paru libre, c’est parce que le rapport de cette action à l’état d’où elle sortait ne sau
82 (1874) Premiers lundis. Tome I « M.A. Thiers : Histoire de la Révolution française Ve et VIe volumes — I »
faires, elle ne se réunit que pour entendre, applaudir, adopter leurs rapports et conclusions. Ses séances, courtes et silencieu
r et ses rigueurs ; elle est surtout explicitement professée dans les rapports de Saint-Just et de Barrère. Au bruit des succès
nancière, à la dépense de ce grand déplacement ; il fallait mettre en rapport le papier-monnaie avec le prix des subsistances e
u, pour mieux dire, du triumvirat qui en était sorti, n’était plus en rapport avec les besoins publics ; sa tyrannie, dès lors,
83 (1881) La psychologie anglaise contemporaine « M. James Mill — Chapitre II : Termes abstraits »
Sous le nom de termes relatifs, l’auteur étudie les diverses idées de rapport . Leur caractère essentiel, c’est de n’exister que
dans le fait concret que les deux noms expriment. On dit qu’il y a un rapport entre deux objets, lorsqu’il y a un fuit simple o
gurent. Deux ou plusieurs objets, physiques ou intellectuels, sont en rapport l’un avec l’autre, en vertu de quelque état de co
nomènes dont père et fils sont des parties : de là vient qu’il y a un rapport entre eux. Sur la connotation voy. Logique, liv. 
84 (1893) La psychologie des idées-forces « Tome second — Livre cinquième. Principales idées-forces, leur genèse et leur influence — Chapitre deuxième. L’idée de l’espace. Son origine et son action »
f. Puisqu’on dit signe local, la sensation-signe doit être signe d’un rapport à l’étendue, d’un lieu ; ou plutôt elle doit avoi
ensations. Si, au contraire, vous reconnaissez dans les sensations un rapport vague mais, significatif, à telle région plus ou
e différence de fait entre les diverses qualités sensitives dans leur rapport à l’intuition pure de l’espace est, pour la doctr
à tel autre, le temps à tel autre, ou que l’étendue convient sous tel rapport , dans telle relation, dans telle mesure, s’il n’y
ation ait un attribut de position locale ? Non ; il faut pour cela un rapport entre elle et d’autres sensations. La place d’un
s sensations. La place d’un point ne peut pas être déterminée sans un rapport à d’autres points ; établissons donc en principe
avait pas encore en elles des différences de coloris produites par le rapport vaguement senti de chaque position à l’ensemble d
es yeux à la lumière perçoit immédiatement « l’étendue plane avec les rapports de grandeur et de position des figures qui peuven
ntable, selon quelques-uns, — avec lequel on mettrait l’impression en rapport , pour l’y situer comme un livre sur le rayon. La
st elle-même qu’un résidu ou extrait d’impressions sensori-motrices à rapports complexes. III Caractère actif et moteur de la
mes, par nos mouvements de réaction, la forme des objets, et c’est le rapport entre ces mouvements successifs de réaction qui n
vements successifs de réaction qui nous permet de nous représenter le rapport des éléments sensitifs transmis sous la forme pas
ubjective, et tiendrait à notre, organisation physiologique. Tous les rapports d’étendue se résoudraient, au fond, en rapports d
ysiologique. Tous les rapports d’étendue se résoudraient, au fond, en rapports d’activités coexistantes clans le temps. En ce se
85 (1919) L’énergie spirituelle. Essais et conférences « Chapitre VII. Le cerveau et la pensée : une illusion philosophique »
le problème dont il s’agit, étant le problème psychophysiologique des rapports du cerveau et de la pensée, nous suggère par sa p
e modification des groupements atomiques et moléculaires. Quel est le rapport de cette modification cérébrale aux objets extéri
tion sera dès lors autre chose : il y aura, entre eux et le reste, un rapport de contenu à contenant. Tel est le point de vue i
était donc qu’une représentation, et nous étions dans l’idéalisme. Le rapport du cerveau au reste de la représentation était dè
ception, ne nous rapprochera de la seconde. Tout ce qu’on aura dit du rapport du cerveau à la représentation dans un idéalisme
’a été observé ou inféré que des deux touts, et de convertir ainsi un rapport de solidarité en une relation d’équivalent à équi
rvir de point de départ à une théorie de l’esprit, considéré dans ses rapports avec le déterminisme de la nature. Fin du texte.
86 (1881) La parole intérieure. Essai de psychologie descriptive « Chapitre VI. La parole intérieure et la pensée. — Second problème leurs différences aux points de vue de l’essence et de l’intensité »
son empreinte. La succession des pensées révèle son existence, leurs rapports révèlent son identité ; les pensées sont donc les
signes. Ceux de la troisième classe, liés à l’idée du cheval par des rapports de coexistence fréquente, contribuent à constitue
cs hippos ; c’est ainsi que des conventions différentes régissent les rapports commerciaux et judiciaires d’un état donné avec l
un mot à une idée peut être, non pas arbitraire, mais motivée par un rapport plus ou moins éloigné entre les deux termes que l
u’aux origines du langage la plupart des mots, sinon tous, avaient un rapport plus ou moins direct avec l’idée : onomatopées di
ait, est celui qui est un signe et rien autre chose, celui qui n’a de rapport avec la chose signifiée que par la volonté arbitr
r. Tout au contraire, un signe conventionnel, également dénué de tout rapport d’analogie avec chacun des individus du genre, le
ne analogique n’échappe pas plus que le signe arbitraire, et, sous ce rapport , une idée particulière est aussi difficile à bien
du temps, les mots dont elle se compose n’ont avec les idées que des rapports conventionnels, la parole intérieure est presque
comprend qu’elle soit possible lorsqu’on s’est rendu compte des vrais rapports qui, durant l’état de veille normal, unissent le
faible ; voilà pourquoi la fleur est devenue un signe ; renversez ce rapport et que le mot devienne le plus fort des deux term
rganisation d’un gouvernement libre représente mieux, selon nous, les rapports que soutiennent les signes avec les choses signif
, les éléments caractéristiques de l’idée n’étant plus distincts, ses rapports logiques avec les idées voisines ne peuvent plus
est rare, et surtout difficile à bien constater, nous retrouvons les rapports ordinaires de la parole et de la pensée durant l’
que la première est approuvée et reconnue, parce qu’elle est en bons rapports logiques avec les idées qui la précèdent ou l’acc
seule et même cause ; pour que les idées conservent entre elles leurs rapports logiques, il faut que toutes, même les plus effac
s au moment même, seulement vraisemblables, qui n’ont avec elle qu’un rapport logique et non psychologique. A qui n’est-il pas
faiblies pour la conscience. 2° Nous nous servions tout à l’heure des rapports mutuels des idées pour prouver qu’elles conserven
urs quelque spécificité consciente. Ajoutons maintenant que les mêmes rapports créent pour chaque idée une spécificité indirecte
les mots recouvrent, chercher à avoir une claire conscience de leurs rapports , comparer, après les notions, ces rapports eux-mê
claire conscience de leurs rapports, comparer, après les notions, ces rapports eux-mêmes, de façon à porter la lumière de la con
de ce qui lui est transmis par l’oreille que des tableaux offerts au rapport fidèle des yeux (v. 180-181) et perçus sans inter
che, nous avons 4°, c’est-à-dire un signe arbitraire, impartial, sans rapport d’analogie avec l’idée ; la disposition interne d
ncontre du narrateur à la fin du chap. I avec deux Houyhnhnms pour le rapport avec l’onomatopée chevaline, Swift, Œuvres, Galli
87 (1893) La psychologie des idées-forces « Tome premier — Livre troisième. Le souvenir. Son rapport à l’appétit et au mouvement. — Chapitre troisième. La reconnaissance des souvenirs. Son rapport à l’appétit et au mouvement. »
Chapitre troisième La reconnaissance des souvenirs. Son rapport à l’appétit et au mouvement. I. Comment a lieu
’y a pas encore de vrai souvenir. En effet, tout reste présent, et le rapport avec le passé n’existe pas encore ; or, ce rappor
ste présent, et le rapport avec le passé n’existe pas encore ; or, ce rapport est essentiel pour qu’on puisse dire : je me souv
ultent : 1° du caractère intrinsèque des représentations, 2° de leurs rapports mutuels, 3° de leur rapport au sujet pensant et v
insèque des représentations, 2° de leurs rapports mutuels, 3° de leur rapport au sujet pensant et voulant. La première distinct
loyant dans la lutte des intensités variables. Si nous considérons le rapport des représentations entre elles, nous reconnaisso
s que les choses perçues ont une stabilité relative, surtout par leur rapport à l’espace. En troisième lieu, nous localisons ex
e à une impression ; c’est avoir conscience de la force centrifuge en rapport avec la force centripète, dans une représentation
on leurs forces ou leurs qualités respectives, mais encore selon leur rapport à la volonté centrale. Les images simultanées du
onc saisir à la fois des différences et des ressemblances, saisir des rapports , comparer. Le problème de la reconnaissance nous
88 (1896) Matière et mémoire. Essai sur la relation du corps à l’esprit « Chapitre I. De la sélection des images, pour la représentation. Le rôle du corps »
une certaine image déterminée, mon corps. Approfondissons ce dernier rapport . Je considère mon corps avec les nerfs centripète
ature et de la position des objets. Changez les objets, modifiez leur rapport à mon corps, et tout est changé dans les mouvemen
oit extérieur, puisque l’intériorité et l’extériorité ne sont que des rapports entre images. Se demander si l’univers existe dan
le réalisme et l’idéalisme devient alors très claire : quels sont les rapports que ces deux systèmes d’images soutiennent entre
l’univers, c’est-à-dire d’un ensemble d’images gouvernées dans leurs rapports mutuels par des lois immuables, où les effets res
ndément le triple problème de la matière, de la conscience et de leur rapport . Suit-on en effet, pas à pas, le progrès de la pe
tue bien réellement un centre, où l’excitation périphérique se met en rapport avec tel ou tel mécanisme moteur, choisi et non p
breux et plus éloignés deviennent les points de l’espace qu’il met en rapport avec des mécanismes moteurs toujours plus complex
tion de l’objet qui l’intéresse. Par la vue, par l’ouïe, il se met en rapport avec un nombre toujours plus grand de choses, il
riori le nombre et l’éloignement des choses avec lesquelles il est en rapport . Quel que soit ce rapport, quelle que soit donc l
nement des choses avec lesquelles il est en rapport. Quel que soit ce rapport , quelle que soit donc la nature intime de la perc
s l’exacte proportion où l’action dispose du temps. Mais pourquoi ce rapport de l’organisme à des objets plus ou moins lointai
ou bien encore (ce qui revient à peu près au même), on imaginera des rapports de grandeur qui se composeraient entre eux, des f
homogène, d’où naîtra donc la qualité ? Surtout, comment imaginer un rapport entre la chose et l’image, entre la matière et la
rotoplasmiques des éléments nerveux moteurs, dans l’écorce, seront en rapport avec un nombre beaucoup moins grand, cette fois,
els que dans les centres moteurs ; elle mesure la complexité de leurs rapports , et existe là où elle apparaît. Les psychologues
e corps, on ne peut rien connaître ni du corps, ni de l’esprit, ni du rapport qu’ils soutiennent entre eux. Maintenant, en quoi
egré, et non de nature, la perception pure étant à la matière dans le rapport de la partie au tout. C’est dire que la matière n
esprit, et à compléter ainsi la théorie que nous aurons esquissée des rapports de l’esprit avec la matière.   4. LOTZE. Métap
89 (1922) Durée et simultanéité : à propos de la théorie d’Einstein « Chapitre III. De la nature du temps »
tour de la question du mouvement s’évanouissent dès qu’on aperçoit le rapport de l’instant au temps spatialisé, celui du temps
estime que la dimension n’est pas un absolu, qu’il y a seulement des rapports entre dimensions, et que tout se passerait de mêm
ement les dimensions de toutes choses, à condition d’en conserver les rapports . Mais il est temps de fermer la parenthèse. Reven
de la conscience, pour obtenir des termes entre lesquels établir des rapports , puis ne conserve que les rapports et tient les t
termes entre lesquels établir des rapports, puis ne conserve que les rapports et tient les termes pour inexistants. Mais c’est
bstraction que nous distinguons des termes, par abstraction aussi des rapports  : un continu fluent d’où nous tirons à la fois te
des rapports : un continu fluent d’où nous tirons à la fois termes et rapports et qui est, en plus de tout cela, fluidité, voilà
ignification philosophique des théories d’Einstein, je veux dire leur rapport à la réalité. Ceux que gênait l’apparence paradox
tités mathématiques. Mais ceux qui voudraient dissoudre les choses en rapports , qui considèrent toute réalité, même la nôtre, co
90 (1874) Premiers lundis. Tome II « Jouffroy. Cours de philosophie moderne — II »
re sentimental, intelligent et actif1, il n’est tout cela que par ses rapports avec l’humanité et la nature, c’est-à-dire avec D
r de Satan, de même qu’il n’a plus besoin de médiateur pour entrer en rapport avec Dieu ; la communication est directe, immédia
vie ; le fait essentiel de toute religion est de produire un nouveau rapport plus parfait entre l’homme et ce qui l’entoure, e
entre l’homme et ce qui l’entoure, entre l’homme et Dieu. Bien que ce rapport ne soit point nécessairement un lien de plus de l
complet détachement, toutefois la conception nouvelle qui établit ce rapport tend toujours à se réaliser socialement ; elle s’
moi à la nature extérieure. Pour nous, l’acte se rapporte toujours au rapport que le moi établit, entre lui et l’extérieur ; pa
91 (1922) Durée et simultanéité : à propos de la théorie d’Einstein « Chapitre II. La relativité complète »
on a beau dire que seul existe le mouvement réciproque de S et S′ par rapport l’un à l’autre, on n’étudie pas cette réciprocité
u que S se meut par rapport à S′, ou mieux que S et S′ se meuvent par rapport l’un à l’autre. Bref, ce qui est réellement donné
plus près encore de l’expérience en disant que A et B se meuvent par rapport l’un à l’autre, ou plus simplement que l’écart en
el. Mais s’en tenir à cette formule eût été considérer globalement le rapport de tout à tout ; on ne pouvait obtenir une soluti
appellerons donc « système de référence » le trièdre trirectangle par rapport auquel on conviendra de situer, en indiquant leur
iprocité, c’est pour n’avoir pas eu constamment présent à l’esprit le rapport de la relativité radicale à la relativité atténué
92 (1870) De l’intelligence. Deuxième partie : Les diverses sortes de connaissances « Livre quatrième. La connaissance des choses générales — Chapitre III. Le lien des caractères généraux ou la raison explicative des choses » pp. 387-464
s les éléments ou points d’une ligne. — Définition d’une ligne par le rapport constant de ses coordonnées. — La géométrie analy
e, Newton n’en avait conservé qu’un, la propriété d’être une masse en rapport avec une autre masse ; il avait éliminé le reste.
anète, il n’en avait conservé qu’un, la propriété d’être une masse en rapport avec une autre masse ; il avait aussi éliminé le
comme il arrive aux étoiles doubles, toute masse, dès qu’elle est en rapport avec une autre masse, tend à se rapprocher d’elle
core vers le soleil et vers toute masse avec laquelle ils seraient en rapport . — Mais cette différence des deux cas n’altère en
s si diverses, est la raison principale de leur structure et de leurs rapports . Cet intermédiaire est la propriété d’être utile 
e tend à se rapprocher d’une masse centrale avec laquelle elle est en rapport , le soleil. Cette loi est un couple de deux donné
e tend à se rapprocher de la masse centrale avec laquelle elle est en rapport . Comparons ces trois données l’une à l’autre. — L
e tend à se rapprocher de la masse centrale avec laquelle elle est en rapport  ; donc toute planète tend à se rapprocher de la m
e tend à se rapprocher de la masse centrale avec laquelle elle est en rapport , c’est-à-dire du soleil. — De ces trois couples,
poursuivre dans tous les détails les propriétés du syllogisme et les rapports obligés de ses propositions ou de ses termes ; ce
sont des grandeurs qui, comparées l’une à l’autre, offrent un certain rapport . Voilà donc la position du point définie par le r
nt un certain rapport. Voilà donc la position du point définie par le rapport mutuel de deux grandeurs auxiliaires. — À présent
ns une série continue de points, c’est-à-dire une ligne telle, que ce rapport soit le même pour tous ses points ; la ligne et s
somme des carrés des deux coordonnées est égale au carré du rayon. Ce rapport constant qui se maintient partout le même à trave
tits que toute grandeur finie. Ainsi, quand un corps se refroidit, le rapport entre les variations élémentaires de la chaleur e
iations élémentaires de la chaleur et du temps est la vraie raison du rapport qui s’établit entre les variations de ces mêmes g
mêmes grandeurs quand elles ont acquis des valeurs finies. Ce dernier rapport , il est vrai, est le seul qui puisse tomber direc
re logique humaine. Mais, une fois en possession de l’idée du premier rapport , nous nous conformons à la nature des choses, en
incipe d’explication de la valeur que l’observation assigne au second rapport . C’est pour cette raison que la notation des quan
93 (1893) La psychologie des idées-forces « Tome second — Livre cinquième. Principales idées-forces, leur genèse et leur influence — Chapitre cinquième. Genèse et action des principes d’identité et de raison suffisante. — Origines de notre structure intellectuelle »
ut entière à son mode externe et passif, qui est l’enregistrement des rapports extérieurs dans le cerveau par voie de répétition
ant à se satisfaire par des actes appropriés. Il faut donc montrer le rapport intime qui relie les croyances nécessaires, princ
rveau, en actions d’abord, en idées ensuite. Il faut, de même, que le rapport de la cause à l’effet, de faction à la passion, i
ou stable ; ils sont antérieurs aux jeux de la sélection et aussi aux rapports sociaux : ce qu’ils sont, ils le sont en eux-même
toires, par exemple une chose à la fois blanche et noire sous le même rapport  ? Ne fait-il pas partie, lui aussi, de l’univers,
nous. Au lieu de la causalité primitive, qui est psychologiquement le rapport de l’appétit à la motion, la science considère la
ose la volonté en elle-même, le principe d’intelligibilité exprime le rapport uniforme des volontés entre elles. Ce sont deux i
gibilité universelle ou d’universelle rationalité, considérée sous le rapport intellectuel, est la projection dans les choses d
ombre des cas, dit le kantien Helmholtz, où nous pouvons démontrer le rapport d’un fait à sa condition est bien peu considérabl
ransitive qui constitue la causation proprement dite, c’est-à-dire le rapport , d’agent à patient. L’idée d’action en général es
lle est inexplicable par cette idée. La causation, en effet, étant un rapport do quelque agent à quelque patient, ne peut expli
t analogique, au lieu de constituer un axiome. C’est surtout dans nos rapports avec nos semblables et avec les animaux qu’elle e
c’est-à-dire s’il existe entre leurs vitesses et leurs directions des rapports faciles à saisir140 ». Nos perceptions confuses e
e suppose un mécanisme extérieur où toutes les parties soient dans un rapport de dépendance réciproque et, par conséquent, form
94 (1896) Matière et mémoire. Essai sur la relation du corps à l’esprit « Chapitre IV. De la délimitation, et de la fixation des images. Perception et matière. Âme et corps. »
risme, en effet, sentant vaguement ce qu’il y a d’artificiel dans les rapports qui unissent les termes entre eux, s’en tient aux
i unissent les termes entre eux, s’en tient aux termes et néglige les rapports . Son tort n’est pas de priser trop haut l’expérie
stinguerait absolument d’un autre lieu que par sa qualité, ou par son rapport à l’ensemble de l’espace : de sorte que l’espace
ps aux arêtes bien découpées, qui changent de place,) c’est-à-dire de rapport entre eux ? À côté de la conscience et de la scie
ls celui-ci entrera en relation comme avec des personnes. Établir ces rapports tout particuliers entre des portions ainsi découp
manifestement prise, sont ceux qui nous intéressent le plus dans nos rapports avec le monde extérieur, et parce que le contact
uvement, et qui nous le présentait, non comme un simple changement de rapport entre des objets auxquels il s’ajouterait comme u
imagination qu’un accident, une série de positions, un changement de rapports  ; et comme c’est une loi de notre représentation
re en profondeur. À vrai dire, personne ne se représente autrement le rapport de la quantité à la qualité. Croire à des réalité
la psychologie de la perception, et plus généralement la question des rapports de la conscience avec la matière. Sans insister s
toucher, et qu’il n’y a rien de plus, dans la perception visuelle des rapports d’espace, qu’une suggestion de perceptions tactil
omogènes dans l’espace évoque des sensations diverses qui n’ont aucun rapport avec eux. Tout à l’heure, la genèse de la percept
ici, toutes les sensations naissent de rien, ou du moins n’ont aucun rapport avec le mouvement qui les occasionne. Au fond, ce
aculté d’attendre avant de réagir, et de mettre l’excitation reçue en rapport avec une variété de plus en plus riche de mécanis
95 (1800) De la littérature considérée dans ses rapports avec les institutions sociales (2e éd.) « Seconde partie. De l’état actuel des lumières en France, et de leurs progrès futurs — Chapitre VI. De la philosophie » pp. 513-542
me la recherche de la vérité par le secours de la raison ; et sous ce rapport , le seul qu’indique le sens primitif de ce mot, l
t être l’objet, s’étend à toutes les pensées qui en dépendent par les rapports les plus éloignés. Si l’on jugeait à ces signes d
e dans la carrière de la raison. L’on est déjà parvenu, sous quelques rapports , à appliquer avec succès la méthode des mathémati
que proposition, sans avoir essayé de les juger ; il crée ensuite des rapports factices dont l’apparente vérité lui plaît et l’e
du petit nombre au plus grand : rien n’est plus erroné, même sous le rapport des combinaisons politiques. L’effet des injustic
la morale publique et à la morale individuelle. C’est sous le premier rapport surtout que l’idée contraire a causé de grands ma
on et le calcul, la théorie même de la morale, d’indiquer de nouveaux rapports de délicatesse et de dévouement entre les hommes 
96 (1870) De l’origine des espèces par sélection naturelle, ou Des lois de transformation des êtres organisés « De l’origine des espèces par sélection naturelle, ou Des lois de transformation des êtres organisés — Chapitre II : Variations des espèces à l’état de nature »
ourrait obtenir d’intéressants résultats, concernant la nature et les rapports des espèces qui varient le plus, en dressant des
e la nature des stations qu’elles occupent et n’a que peu ou point de rapport à la grandeur des genres auxquels ces espèces app
es sont géographiquement très circonscrites. — Il est encore d’autres rapports importants entre les espèces des grands genres et
picaces et, après mûr examen, ils ont confirmé ces résultats. Sous ce rapport , les espèces des plus grands genres ont donc plus
nne. De plus, les espèces des grands genres ont entre elles les mêmes rapports que les variétés dans chacune de ces espèces. Auc
e les espèces qui sont très voisines de quelque autre, et qui sous ce rapport ressemblent à des variétés, ont aussi fort souven
es espèces paraissent avoir une extension restreinte. Sous ces divers rapports , les espèces des grands genres présentent de fort
97 (1857) Causeries du lundi. Tome IV (3e éd.) « Madame Necker. » pp. 240-263
n tourne une phrase en mille manières, on compare l’idée par tous ses rapports … » Et elle crut atteindre elle-même au goût en fa
érir sur l’idée naturelle ou sur l’expression, en y cherchant quelque rapport inusité. Il est curieux de voir jusqu’où elle a p
puisse leur faire partager les jouissances qui supposent toujours les rapports de l’âme avec des objets réels et extérieurs. Il
le pénible image ! et à quoi bon ce porte-voix ? et puis toujours des rapports  ; ce terme de rapports est continuel dans sa lang
quoi bon ce porte-voix ? et puis toujours des rapports ; ce terme de rapports est continuel dans sa langue. On reconnaît ici mê
e cœur touchantes : Nous fûmes unis dans notre jeunesse par tous les rapports honnêtes, lui écrivait Mme Necker (1778), et jama
la société de Paris avec le ferme propos d’être femme d’esprit et en rapport avec les beaux esprits, elle a su préserver sa co
8. Les curieux peuvent chercher des considérations très fines sur ces rapports des esprits et du pays, au tome second, p. 1191,
98 (1864) Portraits littéraires. Tome III (nouv. éd.) « Études sur Blaise Pascal par M. A. Vinet. »
té magnifique ou touchant du catholicisme, considéré surtout dans ses rapports avec la société ; il n’aurait pas cependant négli
le. Elle servira en même temps à bien fixer le point de départ de nos rapports , sur lesquels des critiques estimables (M. Saint-
t excusable : il y va de trop pour moi, sous toutes sortes de sérieux rapports , d’être jugé avec une si extrême bienveillance da
employer le reste de cette lettre à vous dire combien, sous d’autres rapports que ceux qui frapperont tout le monde, il m’est p
99 (1800) De la littérature considérée dans ses rapports avec les institutions sociales (2e éd.) « Première partie. De la littérature chez les anciens et chez les modernes — Chapitre VII. De la littérature latine, depuis la mort d’Auguste jusqu’au règne des Antonins » pp. 176-187
t un centre avec lequel les individus conservent toujours de certains rapports  ; et l’esprit général du siècle, s’il ne change p
, l’autre combattre le crime ; l’un ne considère l’homme que dans ses rapports avec les intérêts de son pays ; l’autre, qui n’av
e plus approché de la vérité dans les sciences. Tacite, sous tous les rapports , l’emporte de beaucoup sur les meilleurs historie
t devient plus avide d’idées abstraites, la pensée se généralise, les rapports des hommes entre eux se multiplient avec les sièc
100 (1867) Le cerveau et la pensée « Chapitre I. Les travaux contemporains »
nné le signal des belles études expérimentales de notre temps sur les rapports du cerveau et de la pensée. Sans doute Haller, Sœ
comparée du système nerveux chez les animaux et chez l’homme dans ses rapports avec le développement de l’intelligence. Le premi
x, sans déclamation, mais un peu systématique, incline à exagérer les rapports physiologiques du cerveau et de la pensée. Gratio
t être encore lus et étudiés par ceux qu’attire le grand problème des rapports du cerveau et de la pensée. Ce sont les ouvrages
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