De là on a voulu conclure qu’on ne pouvait tirer aucune induction des
races
domestiques aux races sauvages. Je me suis vainem
ure qu’on ne pouvait tirer aucune induction des races domestiques aux
races
sauvages. Je me suis vainement efforcé de découvr
pourrions affirmer en toute sécurité, c’est qu’un grand nombre de nos
races
domestiques les plus distinctes ne sauraient vivr
r ou même à cultiver, pendant de longues générations, les différentes
races
du Chou, par exemple, en un sol très pauvre, elle
Ainsi que nous l’avons déjà dit, on observe généralement dans chaque
race
domestique une moins grande uniformité de caractè
nde uniformité de caractères que dans les espèces sauvages. Certaines
races
domestiques d’une même espèce ont souvent un aspe
dité des variétés croisées, sujet que nous discuterons plus tard, les
races
domestiques de la même espèce diffèrent les unes
onne toute évidence à cette règle, c’est qu’il n’y a presque point de
races
domestiques, soit parmi les animaux, soit parmi l
de simples variétés. Si quelque distinction tranchée existe entre les
races
domestiques et les espèces, cette source de doute
ne se représenterait pas si fréquemment. On a souvent répété que les
races
domestiques ne diffèrent pas entre elles par des
d’estimer la valeur des différences de structure qui distinguent nos
races
domestiques de la même espèce, on se perd aussitô
Lévrier, le Limier, le Terrier, l’Épagneul et le Bouledogue, dont les
races
se sont, à notre connaissance, propagées si pures
ages étroitement alliées, comme seraient, par exemple, les nombreuses
races
de Renards qui habitent en différentes parties du
pourquoi, que la somme des différences constatées entre nos diverses
races
de Chiens se soit produite entièrement à l’état d
se, au contraire, qu’une part de ces différences est due à ce que nos
races
canines descendent de plusieurs espèces sauvages
voir, lorsque pour la première fois il a apprivoisé un animal, que sa
race
varierait dans la suite des générations, et serai
ne varient autant, en moyenne, qu’ont varié les espèces mères de nos
races
domestiques actuelles. Pour la plupart de nos pla
ticulier sur les monuments de l’Égypte, une grande diversité dans les
races
qui existaient alors : c’est que plusieurs d’entr
l’être en réalité, que prouverait-il, sinon que quelques-unes de nos
races
existaient en ces contrées il y a plus de quatre
eur sang, plus ou moins mêlé, coule dans les veines de nos nombreuses
races
domestiques. À l’égard des Moutons et des Chèvres
, et contrairement à ce que pensent plusieurs auteurs, que toutes nos
races
descendent d’une même souche sauvage. M. Blyth, d
e et variée me fait évaluer l’opinion très haut, pense que toutes nos
races
volatiles proviennent du Coq d’Inde commun (Gallu
a). J’ai possédé moi-même des individus vivants de presque toutes les
races
, je les ai croisés, j’en ai examiné les squelette
prochain ouvrage. Pour ce qui est des Canards et des Lapins, dont les
races
diffèrent considérablement entre elles, les faits
ge et du Lapin commun. Le système de la multiplicité d’origine de nos
races
domestiques a été poussé à l’extrême et à l’absur
ême et à l’absurde par quelques naturalistes. Ils admettent que toute
race
qui se reproduit pure, si légers que soient ses c
gne, etc. ; mais qu’en revanche chacun de ces États possède plusieurs
races
particulières de Bœufs, de Moutons, etc., il nous
s de Bœufs, de Moutons, etc., il nous faut admettre que de nombreuses
races
domestiques se sont produites en Europe ; car, d’
é à l’état de nature ? On a souvent répété oiseusement que toutes nos
races
de Chiens ont été produites par le croisement de
recours à un pareil procédé pour expliquer l’origine de nos diverses
races
domestiques, il faut admettre alors l’existence p
ogue, etc., à l’état sauvage. De plus, la possibilité de produire des
races
distinctes à l’aide de croisements a été beaucoup
été beaucoup exagérée. On connaît des faits nombreux montrant qu’une
race
peut être modifiée par des croisements accidentel
és qui présentent le caractère désiré ; mais qu’on puisse obtenir une
race
presque intermédiaire entre deux autres très diff
but, et n’a pu réussir. Les produits du premier croisement entre deux
races
pures sont en général assez uniformes et quelquef
ou plutôt l’entière impossibilité de la tâche. Il est certain qu’une
race
intermédiaire entre deux formes très distinctes n
s continuée ; encore ne saurais-je trouver un seul cas reconnu où une
race
permanente se soit formée de cette manière. IV.
onnu où une race permanente se soit formée de cette manière. IV. Des
races
de Pigeons domestiques. — Le meilleur moyen d’arr
pour en faire le sujet de mes observations. J’ai rassemblé toutes les
races
que j’ai pu me procurer. De plus, j’ai été aidé d
’ai fait partie de deux « Pigeon-clubs » de Londres. La diversité des
races
est vraiment étonnante. Que l’on compare le Pigeo
ent, font entendre un roucoulement très différent de celui des autres
races
. Le Pigeon-Paon (Fantail, C. laticauda) a trente
s plumes se tiennent si étalées et si redressées que, dans les bonnes
races
, la tête et la queue se rejoignent ; mais la glan
de oléifère est complétement avortée. On pourrait mentionner d’autres
races
moins distinctes. Dans le squelette des diverses
onner d’autres races moins distinctes. Dans le squelette des diverses
races
, le développement des os de la face, tant en long
et la grandeur des œufs sont aussi variables. Le vol, et, en quelques
races
, la voix et les instincts, présentent des diversi
e genre, d’autant plus qu’on pourrait lui montrer dans chacune de ces
races
plusieurs sous-variétés de descendance pure, c’es
ait sans aucun doute. Si grandes que soient les différences entre les
races
de Pigeons, je me range pleinement à l’opinion co
Biset52 (Rock-Pigeon, C. livia), en comprenant sous ce nom plusieurs
races
géographiques ou sous-espèces qui ne diffèrent le
ables à d’autres cas, je les exposerai succinctement. Si les diverses
races
de nos Pigeons ne sont pas des variétés et ne pro
ou huit types originels ; car il serait impossible de reproduire les
races
domestiques actuellement existantes par les crois
de Pigeons de roche, et elles ne présentent aucun des caractères des
races
domestiques. Il faudrait donc, ou que les espèces
nt exterminés ; et le Biset commun, qui a les mêmes habitudes que les
races
domestiques, n’a pas été détruit, même sur plusie
et, me semble donc une supposition bien hardie. De plus, les diverses
races
domestiques déjà nommées ont été transportées dan
peut s’appliquer à plusieurs autres cas fort analogues, c’est que les
races
susmentionnées, bien que généralement assez sembl
ment bordées de blanc ; les ailes ont deux barres noires, et quelques
races
semi-domestiques, ainsi que quelques autres qui s
ces semi-domestiques, ainsi que quelques autres qui semblent de pures
races
sauvages, ont, en outre des deux barres obscures,
ne des espèces domestiques, même en ne considérant que des oiseaux de
races
bien pures, toutes ces marques, jusqu’au bord bla
loppées. De plus, lorsque des oiseaux appartenant à deux ou plusieurs
races
distinctes sont croisés, et que nul d’entre eux n
observé. J’ai croisé quelques Pigeons-Paons entièrement blancs, et de
race
très pure, avec quelques Barbes noirs, et je dois
et ils me donnèrent un oiseau d’un aussi beau bleu qu’aucun Pigeon de
race
sauvage, ayant le croupion blanc, la double barre
ternes de la queue barrées de noir et bordées de blanc. Si toutes les
races
de Pigeons domestiques descendent du Pigeon Biset
vations que j’ai pu faire. Si l’on nie l’origine unique de toutes nos
races
de Pigeons, il faut alors faire une des deux supp
e existante ne présente les mêmes caractères, de manière qu’en chaque
race
il y ait une tendance à revenir à cette couleur e
revenir à cette couleur et à ces marques ; ou bien il faut que chaque
race
, même la plus pure, ait, dans l’intervalle d’une
ndance de réversion vers un ancêtre accidentel plus éloigné. Dans une
race
croisée une seule fois avec une race distincte, l
ccidentel plus éloigné. Dans une race croisée une seule fois avec une
race
distincte, la tendance de réversion aux caractère
er ; mais, au contraire, lorsqu’il n’y a eu aucun croisement avec une
race
distincte, et qu’il se manifeste cependant chez l
faut enfin observer que les hybrides ou métis provenant de toutes les
races
de Pigeons domestiques sont parfaitement féconds
l’affirmer d’après mes propres observations faites à dessein sur les
races
les plus distinctes. Il est difficile au contrair
marques propres à ce dernier réapparaissent d’ailleurs en toutes les
races
pures ou croisées ; et enfin, leurs produits méti
s diverses raisons nous pouvons conclure avec sécurité que toutes nos
races
domestiques descendent de la Colomba livia et de
s parties de son organisation, et l’organisation et les habitudes des
races
domestiques. Secondement, quoiqu’un Messager Angl
rêmes. Troisièmement, les principaux caractères distinctifs de chaque
race
, tels que le barbillon et la longueur du bec du M
ste latin, qu’ils en sont venus jusqu’à pouvoir rendre compte de leur
race
et de leur généalogie. » Dans l’Inde, vers l’anné
s. » Et le chroniqueur royal ajoute que « Sa Majesté, en croisant les
races
, méthode qu’on n’avait encore jamais pratiquée ju
de de sélection. C’est alors que nous verrons aussi pourquoi quelques
races
ont un caractère en quelque sorte monstrueux. C’e
s Pigeons pour les observer, voyant avec quelle fidélité les diverses
races
se reproduisaient, j’éprouvais autant de répugnan
dont j’ai lu les traités, sont fermement convaincus que les diverses
races
à l’étude desquelles chacun d’eux s’est attaché s
élèbre éleveur de bœufs d’Hereford si son bétail peut descendre d’une
race
à longues cornes ; il se raillera de vous. Je n’a
s, de Poules, de Canards ou de Lapins qui ne fût convaincu que chaque
race
principale descend d’une espèce distincte. Van Mo
constantes un sentiment profond des différences qui caractérisent les
races
, et quoique sachant bien que chacune d’elles vari
lignées généalogiques, et qui admettent cependant que beaucoup de nos
races
domestiques descendent d’un même type, ne peuvent
appliqué et ses effets. — Considérons maintenant par quels moyens nos
races
domestiques ont été produites, soit qu’elles déri
et du Pigeon Culbutant. L’un des traits les plus remarquables de nos
races
domestiques, c’est qu’on voit en elles certaines
ait et le Cheval de course, le Dromadaire et le Chameau, les diverses
races
de Moutons, adaptées, soit aux plaines cultivées,
ges de montagnes, avec une laine propre à différents usages selon les
races
, puis les nombreuses races de Chiens, dont chacun
laine propre à différents usages selon les races, puis les nombreuses
races
de Chiens, dont chacune est utile à l’homme d’une
ple effet de la variabilité. Nous ne saurions supposer que toutes ces
races
aient été soudainement produites, avec toute leur
ou son caprice : en ce sens, on peut dire qu’il crée à son profit les
races
domestiques. La grande valeur du principe de séle
rs d’une seule vie d’homme, modifié, dans de larges limites, quelques
races
de Bœufs et de Moutons. Pour bien évaluer tout ce
s dans toutes les contrées du monde. Généralement, l’amélioration des
races
n’est aucunement due à leur croisement, et tous l
ec des dessins faits il y a seulement vingt ou trente ans. Dès qu’une
race
végétale est suffisamment fixée, les faiseurs de
écialement dans les feuilles, les fleurs ou le fruit, ne produise des
races
qui diffèrent les unes des autres plus particuliè
lquefois leurs Chiens avec des Canidés sauvages, pour en améliorer la
race
; et Pline atteste qu’ils agissaient de même en d
pports sociaux avec les Européens, évaluent à un haut prix les bonnes
races
d’animaux domestiques. Quelques-uns de ces faits
séder les meilleurs individus de chaque espèce, et d’en multiplier la
race
, est d’une beaucoup plus grande importance. Ainsi
il peut, mais sans avoir aucun désir ou aucune espérance d’altérer la
race
d’une façon permanente par ce moyen. Néanmoins, n
ttre que ce procédé, continué durant des siècles, modifierait quelque
race
que ce fût, et en l’améliorant, de la même manièr
tés, à moins que des mesures exactes ou des dessins très corrects des
races
modifiées, pris longtemps auparavant, ne puissent
t de comparaison. En quelques cas cependant, des individus de la même
race
, peu modifiés ou même sans aucune modification, p
fication, peuvent se retrouver en des districts moins civilisés où la
race
s’est moins améliorée. On a quelques raisons pour
sède sur les Pigeons Messagers et Culbutants, de l’état actuel de ces
races
dans les Iles Britanniques, dans l’Inde et dans l
et dans la Perse, il est possible de suivre toutes les phases que ces
races
ont traversées successivement pour en venir à tan
ndre à produire ni même désirer le résultat obtenu, c’est-à-dire deux
races
bien distinctes. MM. Buckley etBurgess possèdent
s de cinquante ans, observe Youatt, descendent en droite lignée de la
race
originale de M. Bakewell. Il n’est à supposer pou
e de l’un ou de l’autre troupeau ait jamais mélangé le pur sang de la
race
Bakewell ; et cependant la différence entre les M
nctes, et qu’il y ait eu ou non croisement entre deux espèces ou deux
races
. Ces progrès se manifestent avec évidence dans l’
es auteurs : c’est que les variétés domestiques qu’on trouve chez les
races
sauvages ont plus le caractère d’espèces que les
s adaptations si extraordinaires de la structure ou des habitudes des
races
domestiques à nos besoins ou à nos caprices. Nous
ellement le Pigeon-Paon de Java, ou comme quelques individus d’autres
races
, chez lesquels on en trouve jusqu’à dix-sept. Peu
fférence par les amateurs comme n’étant pas dans les caractères de la
race
. Qu’on ne pense pas cependant qu’une déviation de
identelles chez un seul individu d’une espèce, par celle que prend la
race
, lorsqu’elle s’est une fois solidement établie pa
fourni qu’un très petit nombre de variétés ; il s’en est suivi que la
race
de Toulouse et la race commune, qui diffèrent seu
nombre de variétés ; il s’en est suivi que la race de Toulouse et la
race
commune, qui diffèrent seulement en couleur, le m
uoi nous ne savons rien de l’origine ou de l’histoire d’aucune de nos
races
domestiques. En fait, une race, comme le dialecte
gine ou de l’histoire d’aucune de nos races domestiques. En fait, une
race
, comme le dialecte d’une langue, ne peut guère av
par le même procédé lent et graduel, ils sont enfin reconnus pour une
race
distincte ayant quelque valeur, et ils reçoivent
trées à demi civilisées, où les communications sont difficiles, cette
race
serait encore plus lentement multipliée et appréc
ils soient, mais sans doute avec une puissance variable, selon que la
race
nouvelle acquiert ou perd la vogue, et peut-être
prévenir les croisements, si l’on veut réussir à former de nouvelles
races
, au moins dans une contrée déjà peuplée d’autres
r de nouvelles races, au moins dans une contrée déjà peuplée d’autres
races
analogues. À cet égard, le mode de clôture des te
es ou les habitants de plaines ouvertes possèdent rarement plus d’une
race
de la même espèce. Les Pigeons peuvent être appar
dité de plus pour l’amateur, parce que de cette manière de nombreuses
races
peuvent être modifiées et gardées pures, quoique
e circonstance doit avoir beaucoup favorisé la formation de nouvelles
races
. Je pourrais encore ajouter que les Pigeons multi
e valeur aux yeux des femmes et des enfants, nous voyons rarement une
race
distincte se perpétuer parmi eux : de telles race
voyons rarement une race distincte se perpétuer parmi eux : de telles
races
, lorsqu’on les rencontre, sont presque toujours i
s ne varient moins que d’autres ; cependant la rareté ou l’absence de
races
distinctes, chez le Chat, l’Âne, le Paon, l’Oie,
rce que nul n’a jamais trouvé plaisir à élever ou rassembler diverses
races
de ces animaux ; mais il faut dire aussi que l’Oi
. Résumé. — Résumons ce qui vient d’être dit quant à l’origine de nos
races
domestiques, animales ou végétales. Je crois que
nctes, a probablement joué un rôle important dans la formation de nos
races
domestiques. Lorsque, dans une contrée, plusieurs
mation de nos races domestiques. Lorsque, dans une contrée, plusieurs
races
domestiques déjà établies ont été accidentellemen
le, avec la tendance constatée par M. Darwin lui-même chez toutes les
races
à produire des sujets huppés et pattus, caractère
expliquer l’apparition fréquente de ces caractères chez les diverses
races
du Pigeon domestique, il faudrait admettre ou que
e autre espèce de Colombins huppés et pattus est mêlé dans toutes nos
races
à celui du Pigeon Biset. La seconde hypothèse est
première. D’après ce qu’on croit et ce qu’on sait de l’origine de nos
races
de Chiens, de Chevaux, de Bœufs et de Moutons, ri
s non trop distinctes : ces croisements produisant l’affolement de la
race
dont la variabilité semble devenir ensuite presqu
ipe de sélection naturelle se trouve très explicitement appliqué à la
race
humaine dans les LOIS DE MANOU. La défense faite
ralité des effets de l’hérédité, l’utilité plus grande des meilleures
races
a fait conserver leurs représentants dans toutes
che du Chien d’arrêt anglais actuel (English Pointer). Le premier, de
race
plus pure, chasse et arrête d’instinct préalablem
el s’est mêlé le sang du Fox Hound (C. gallicus), et du Harrier, deux
races
de chiens courants, a l’inctinct moins sûr, mais
le connaître ? de quel fait tangible le faire dériver ? I. — De la
race
, disent plusieurs avec assurance. Les division
ès de diplomates, sont caduques. Ce qui reste ferme et fixe, c’est la
race
des populations. Voilà ce qui constitue un droit,
s nations est juste et légitime, autant celui du droit primordial des
races
est étroit et plein de danger pour le véritable p
e véritable progrès. Dans la tribu et la cité antiques, le fait de la
race
avait, nous le reconnaissons, une importance de p
ion de villes, de provinces absolument différentes, porte à l’idée de
race
le coup le plus grave. Le christianisme, avec son
; elles sont réglées par la force ou le caprice des envahisseurs. La
race
des populations qu’ils subordonnaient était pour
sa manière ce que Rome avait déjà fait : un empire unique composé des
races
les plus diverses ; les auteurs du traité de Verd
ux grandes lignes du nord au sud, n’eurent pas le moindre souci de la
race
des gens qui se trouvaient à droite ou à gauche.
singulièrement difficiles à définir. La vérité est qu’il n’y a pas de
race
pure et que faire reposer la politique sur l’anal
idées claires et de prévenir les malentendus. Les discussions sur les
races
sont interminables, parce que le mot race est pri
s. Les discussions sur les races sont interminables, parce que le mot
race
est pris par les historiens philologues et par le
ans deux sens tout à fait différents 2. Pour les anthropologistes, la
race
a le même sens qu’en zoologie ; elle indique une
incalculables. Ce qu’on appelle philologiquement et historiquement la
race
germanique est sûrement une famille bien distinct
le de l’humanité. Or le type de ce qu’on appelle très improprement la
race
anglo-saxonne 3 n’est ni le Breton du temps de Cé
nt étrangères les unes aux autres, mais tout à fait dissemblables. La
race
, comme nous l’entendons, nous autres, historiens,
riens, est donc quelque chose qui se fait et se défait. L’étude de la
race
est capitale pour le savant qui s’occupe de l’his
sidé à la confection de la carte d’Europe n’a tenu aucun compte de la
race
, et les premières nations de l’Europe sont des na
urope sont des nations de sang essentiellement mélangé. Le fait de la
race
, capital à l’origine, va donc toujours perdant de
rtance. L’histoire humaine diffère essentiellement de la zoologie. La
race
n’y est pas tout, comme chez les rongeurs ou les
tout simplement la vérité. II. — Ce que nous venons de dire de la
race
, il faut le dire de la langue. La langue invit
attache aux langues vient de ce qu’on les regarde comme des signes de
race
. Rien de plus faux. La Prusse, où l’on ne parle p
x origines, la similitude de langue n’entraînait pas la similitude de
race
. Prenons la tribu proto-aryenne ou proto-sémite ;
angue que leurs maîtres ; or l’esclave était alors bien souvent d’une
race
différente de celle de son maître. Répétons-le :
on exclusive de la langue a, comme l’attention trop forte donnée à la
race
, ses dangers, ses inconvénients. Quand on y met d
dans telle ou telle langue, avant d’être un membre de telle ou telle
race
, un adhérent de telle ou telle culture. Avant la
n des facteurs essentiels de l’histoire. Les rivières ont conduit les
races
; les montagnes les ont arrêtées. Les premières o
et ce sera la guerre sans fin. Non, ce n’est pas la terre plus que la
race
qui fait une nation. La terre fournit le substrat
s de voir ce qui ne suffit pas à créer un tel principe spirituel : la
race
, la langue, les intérêts, l’affinité religieuse,
ux ? Que des facteurs tout physiques, comme certaines dispositions de
races
, héritées de père en fils, ou des facteurs tout p
. Force nous est donc de commencer par chercher si la seule vertu des
races
ou celle des idées explique pleinement l’expansio
est capable de nous en donner la raison suffisante. Nous rangeons la
race
parmi les facteurs physiques de l’histoire. Et en
siques de l’histoire. Et en effet, il est impossible de fournir de la
race
une définition précise, et de lui assigner une ac
es et transmissibles héréditairement. Si l’on continue à donner aux «
races
» des qualificatifs qui ne conviennent qu’aux « c
e conviennent qu’aux « civilisations », et à tenir pour l’apanage des
races
germaine ou slave des institutions d’ailleurs var
ne pourra même pas noter de coïncidences précises. Dira-t-elle que la
race
latine ou la germaine portent « dans le sang » le
chez toutes les nations modernes occidentales, quelles que soient les
races
qui les composent. Et sans doute chacune de ces n
, et qui ne sauraient donc s’expliquer par les traits spécifiques des
races
. Dira-t-on que du moins l’égalitarisme ne se répa
aces. Dira-t-on que du moins l’égalitarisme ne se répand que chez les
races
blanches ou même aryennes, et que la civilisation
e parce qu’elles étaient œuvres d’Aryens ? On distinguerait alors des
races
mâles, celles de l’Occident, prédestinées à la dé
ces mâles, celles de l’Occident, prédestinées à la démocratie, et des
races
femelles, celles de l’Orient, prédestinées au des
ues restent forcément insaisissables. Tout expliquer par la vertu des
races
, c’est tout expliquer par des facultés « innées »
. Et c’est pourquoi tout ce qu’on enlève à l’influence du « génie des
races
» pour l’attribuer à l’influence de circonstances
xpliquer leurs idées directrices par les caractères anatomiques d’une
race
, puisque, dans nos sociétés démocratiques, on ne
ans nos sociétés démocratiques, on ne trouve justement plus de vraies
races
au sens biographique du mot39. La pureté d’une ra
t plus de vraies races au sens biographique du mot39. La pureté d’une
race
a-t-elle jamais été plus qu’un mythe ? Peut-être
the ? Peut-être ; mais ce qu’il y a de sûr aujourd’hui, c’est que les
races
qui se croient les plus pures ont subi des mélang
à son apogée. Est-ce dans la Rome impériale, au moment où toutes les
races
de l’antiquité se mêlaient, que vous irez cherche
soi-disant progrès de la civilisation a pour résultat l’amalgame des
races
, Gobineau reconnaît qu’on fait fausse route si l’
nnaît qu’on fait fausse route si l’on cherche dans les qualités d’une
race
la cause du développement de l’esprit démocratiqu
Entre « l’impureté croissante », qui efface les caractéristiques des
races
, et la démocratie, il y a un rapport de cause à e
es de Gobineau iront plus loin. Retenant ce fait que les divisions de
races
sont loin de correspondre aux divisions de nation
re aux divisions de nations, et rejetant par suite la confusion de la
race
« historique » avec la race « biologique », ils s
et rejetant par suite la confusion de la race « historique » avec la
race
« biologique », ils se font forts de reconnaître
ominance des brachycéphales, celle qui l’attribue au seul mélange des
races
pourrait citer des coïncidences ; il nous sera po
r des coïncidences ; il nous sera possible de prouver42 que là où les
races
sont mélangées, — là où par suite les diversités
un peut produire l’autre. Nous en avons assez dit pour prouver que la
race
reste, jusqu’à nouvel ordre, une force occulte à
ogie purement individuelle ne sauraient suffire. Comme la « force des
races
», la « force des idées » est un problème plutôt
me plutôt qu’une solution. Des systèmes d’idées comme des qualités de
race
, la genèse, et même la transmission restent obscu
d’anthropologie générale, p. 200-215. 40. Essai sur l’inégalité des
races
humaines, 2e éd., I, p. 219. 41. V. Vacher de La
son côté à penser « que le cerveau croît toujours, au moins dans les
races
caucasiques, depuis la première enfance jusqu’à l
une infériorité absolue. Vient ensuite la comparaison des différentes
races
humaines. Ici il n’est plus guère possible de pes
oir découvert la mesure de la capacité intellectuelle des différentes
races
. Pauvres gens qui, s’ils le pouvaient, pèseraient
apacité des crânes correspond au degré d’intelligence des différentes
races
. Ainsi tous les auteurs ont trouvé la tête plus g
ément la gradation du développement intellectuel dans les différentes
races
? La race blanche ou caucasique est supérieure à
adation du développement intellectuel dans les différentes races ? La
race
blanche ou caucasique est supérieure à la race mo
différentes races ? La race blanche ou caucasique est supérieure à la
race
mongole ; au moins elle le croit, et elle est en
; au moins elle le croit, et elle est en train de le lui prouver. La
race
mongolique est supérieure à la race noire, et dan
st en train de le lui prouver. La race mongolique est supérieure à la
race
noire, et dans celle-ci l’intelligence du nègre d
uvert que les sutures du crâne22 ne se soudent que très tard dans les
races
supérieures, ce qui permet au crâne de grandir, e
crâne de grandir, et à l’encéphale de s’accroître avec lui. Chez les
races
inférieures, au contraire, la soudure des os du c
pas s’agrandir. Un second fait non moins curieux, c’est que dans les
races
inférieures les sutures antérieures du crâne se f
dre la difficulté par un autre moyen. C’est en comparant le singe aux
races
inférieures de l’humanité, en montrant que l’inte
rant que l’intelligence va en se dégradant toujours dans les diverses
races
humaines, et qu’aux plus bas degrés elle est à pe
e. En admettant (ce qui du reste ne peut être contesté) que certaines
races
ont moins d’aptitude que d’autres à la civilisati
et restent dans un état très inférieur, on ne peut nier que dans ces
races
elles-mêmes tel ou tel individu ne soit capable d
u tel individu ne soit capable de s’élever au niveau moyen des autres
races
, et quelquefois même à un rang très distingué. C’
uefois même à un rang très distingué. C’est ce qui est prouvé pour la
race
nègre ; c’est ce qui serait prouvé sans doute aus
ace nègre ; c’est ce qui serait prouvé sans doute aussi pour d’autres
races
, si elles étaient depuis longtemps en contact ave
ce humaine, a montré que l’on avait beaucoup exagéré la stupidité des
races
australiennes. Nous lisions dernièrement le récit
pour pouvoir nier d’une manière absolue l’aptitude de telle ou telle
race
à la civilisation, il faudrait faire des expérien
lles sont très difficiles. Il faudrait, par exemple, choisir chez ces
races
sauvages et infirmes un enfant à la mamelle, et,
te pas à penser que dans ces conditions un enfant de n’importe quelle
race
(à moins qu’il n’appartint à une variété maladive
ut déjà conclure des faits mêmes que nous connaissons, que dans toute
race
il peut y avoir tel individu capable de s’élever
dividu capable de s’élever au niveau moyen de l’espèce humaine. Toute
race
contient donc en puissance ce niveau moyen, Or, c
on ! » Sans monter sur nos grands chevaux, nous dirons à M. Vogt : La
race
nègre a donné un correspondant à l’Institut30 ; c
l’esclavage. Cette répulsion elle-même n’est-elle pas un fait ? Notre
race
commence à reconnaître des sœurs dans les races i
le pas un fait ? Notre race commence à reconnaître des sœurs dans les
races
inférieures ; la conscience humaine franchit la q
qu’une : c’est ce phénomène qui a lieu plus ou moins tard, selon les
races
et les individus. 23. 1 328. selon M. Parchappe
des influences irréductibles à la socialité : physiologie, hérédité,
race
. Ils s’efforcent de tout réduire au déterminisme
éterminisme antisocial ou extrasocial, la physiologie, l’hérédité, la
race
, s’évanouissent, absorbées dans ce facteur unique
les partisans du sociologisme absolu la physiologie, l’hérédité et la
race
. Voyons d’abord ce qu’il faut penser de la physio
des deux éléments sexuels10. » M. Draghicesco adopte à l’égard de la
race
une attitude analogue à celle qu’il a prise vis-à
isme niveleurs. Assurément ce n’est qu’en un sens très général que la
race
peut être regardée comme un principe de différenc
ns une certaine période de la vie de l’humanité, quand il y avait des
races
nettement délimitées, la race était une marque co
ie de l’humanité, quand il y avait des races nettement délimitées, la
race
était une marque commune de vastes groupements d’
groupements d’hommes. Cela est si vrai que M. de Gobineau regarde la
race
comme le seul fondement possible d’une unité inte
ont insuffisants, superficiels et sans avenir. Seule, d’après lui, la
race
unifie les intelligences. Mais pour M. Draghicesc
ces. Mais pour M. Draghicesco qui est un niveleur farouche, l’idée de
race
est encore un élément regrettable de différenciat
é humaine, à la fusion non seulement des individus au sein d’une même
race
ou d’une même nation, mais de tous les peuples au
ation et de la morale. M. Draghicesco a-t-il raison ou bien l’idée de
race
répond-elle à une réalité ? Constitue-t-elle un p
iation et jusqu’à quel point ? Nous ne voulons pas défendre l’idée de
race
en histoire au moment où presque tous les histori
ns ont démontré qu’il est vain d’essayer de déterminer l’action de la
race
sur les institutions politiques et qu’on ne doit
s institutions politiques et qu’on ne doit plus en histoire parler de
races
, il ne faut pas conclure que physiologiquement le
re parler de races, il ne faut pas conclure que physiologiquement les
races
n’ont jamais existé. Il ne faut pas davantage en
ces n’ont jamais existé. Il ne faut pas davantage en conclure que les
races
, au temps où elles étaient pures et séparées, n’o
rées, n’ont pas eu d’influence sur la mentalité des peuples. Dans les
races
existant aujourd’hui, les races jaunes, les races
ur la mentalité des peuples. Dans les races existant aujourd’hui, les
races
jaunes, les races noires et les races blanches, i
s peuples. Dans les races existant aujourd’hui, les races jaunes, les
races
noires et les races blanches, il est évident que
races existant aujourd’hui, les races jaunes, les races noires et les
races
blanches, il est évident que les différences phys
s races blanches, il est évident que les différences physiques de ces
races
sont accompagnées de différences intellectuelles.
rablement étudiées par de Gobineau dans son livre sur l’Inégalité des
races
humaines 12. Aujourd’hui, l’idée de race, sauf l
livre sur l’Inégalité des races humaines 12. Aujourd’hui, l’idée de
race
, sauf lorsqu’il s’agit d’établir des distinctions
f lorsqu’il s’agit d’établir des distinctions entre les trois grandes
races
, ne peut servir à étayer aucune théorie ethnique
r à étayer aucune théorie ethnique avant une valeur scientifique. Les
races
sont trop mélangées pour qu’au sein des peuples b
cision les qualités intellectuelles qui correspondaient autrefois aux
races
bien tranchées. Il n’en reste pas moins que l’act
igences est tout aussi considérable qu’autrefois. Aujourd’hui que les
races
sont mélangées, l’influence de la race se confond
utrefois. Aujourd’hui que les races sont mélangées, l’influence de la
race
se confond avec celle de l’hérédité. Chacun des g
rt négligeables. Il croit, au nom d’une réfutation vague de l’idée de
race
, avoir le droit d’oublier les travaux des physiol
ur l’avenir. Conclusion arbitraire : car il suffit d’admettre que les
races
furent autrefois un élément de différenciation me
ifférences dues à l’hérédité ont leur origine dans des différences de
races
. C’en est assez pour qu’on soit fondé à voir dans
érences de races. C’en est assez pour qu’on soit fondé à voir dans la
race
combinée avec l’hérédité un principe important de
uit social, mais impliquant d’autres éléments (physiologie, hérédité,
race
) capables d’influer sur son intelligence, on conç
e bonheur ou la grandeur ? L’assimilation ou la différenciation de la
race
humaine ? L’idéal est-il l’ascension glorieuse de
es. Renan, après avoir accordé un certain rôle historique à l’idée de
race
dans (La Poésie des races celtiques), renonce plu
cordé un certain rôle historique à l’idée de race dans (La Poésie des
races
celtiques), renonce plus tard à cette idée (Disco
Discours sur l’idée de patrie). 12. Selon de Gobineau, la poésie des
races
blanches supérieures serait la poésie épique ; ce
ie des races blanches supérieures serait la poésie épique ; celle des
races
noires, la poésie lyrique ; la poésie grecque, mé
ue n’a pu exister que parce que le peuple grec n’appartenait pas à la
race
aryane pure et qu’il entrait dans le sang grec à
un élément blanc et un élément noir. — La qualité intellectuelle des
races
blanches supérieures (races nordiques) serait la
ent noir. — La qualité intellectuelle des races blanches supérieures (
races
nordiques) serait la supériorité du jugement ; la
supérieures (races nordiques) serait la supériorité du jugement ; la
race
hindoue se caractériserait par l’imagination débo
t par l’imagination débordante et par la puissance d’abstraction ; la
race
jaune par le sens de l’utilité. 13. De Gobineau
le sens de l’utilité. 13. De Gobineau, partisan de l’inégalité des
races
, admet en principe que des individualités fortes
en principe que des individualités fortes ne peuvent naître que d’une
race
pure, en particulier de la race blanche supérieur
és fortes ne peuvent naître que d’une race pure, en particulier de la
race
blanche supérieure, la race nordique ou scandinav
que d’une race pure, en particulier de la race blanche supérieure, la
race
nordique ou scandinave dont il décrit la psycholo
ont il décrit la psychologie dans son Ottar Jarl. Aujourd’hui que les
races
sont mélangées, les individualités fortes sont ra
de l’individualisme dit à propos de Gobineau : « Aujourd’hui que les
races
sont mélangées, l’inégalité ethnique s’est indivi
u, le cerveau humain n’a pas une capacité plus grande chez aucune des
races
existantes, qu’aux premiers jours de la civilisat
maîtres s’interdisent de prendre des esclaves parmi les gens de leur
race
, ou du moins, s’ils en prennent, ils ne les trait
sont-ils prompts à renaître, lorsqu’elles entrent en contact avec des
races
totalement différentes de leurs races ! On sait a
les entrent en contact avec des races totalement différentes de leurs
races
! On sait assez, par l’histoire des explorations
iétés où l’inégalité règne, on la déduit souvent de la différence des
races
. Platon justifie la hiérarchie qu’il veut établir
hie qu’il veut établir dans sa République en rappelant la légende des
races
d’or, d’argent et d’airain. Inversement, dans les
invoquera : l’antisémitisme ne déclare-t-il pas que « la question de
race
prime tout » ? Qu’on ne croie pas d’ailleurs que
x qui communient dans une même foi se sentent portés à oublier que la
race
ou l’habit les séparaient. C’est ainsi que, dans
usulmans n’ont pas le préjugé de la naissance, et l’hétérogénéité des
races
ne les choque pas ; mais en revanche ils ne saura
113 disait, en 1806, que les progrès de la mécanique avaient créé une
race
d’hommes supplémentaire. À l’origine des castes,
rès de l’égalitarisme étaient aussi celles où le plus grand nombre de
races
se rencontrait. Si Athènes, plus que Sparte, frai
a plus accueillante aux « Pamphyles ». Peut-être n’eut-elle jamais de
race
originale : on accusait le peuple romain de n’êtr
notion du Droit universel et personnel était aussi le rendez-vous des
races
? Cette promiscuité même prédestinait Rome à être
. Que nos sociétés à leur tour soient constituées par des mélanges de
races
, c’est chose désormais acquise. L’assimilation de
prement dite paraît y renoncer décidément126. Elle reconnaît qu’entre
race
et nation il n’y a plus aucun rapport. Les races
le reconnaît qu’entre race et nation il n’y a plus aucun rapport. Les
races
sont des conceptions, dit M. Topinard 127, les pe
par le reflux des événements ». Il y a longtemps qu’il n’y a plus de
race
pure, et l’impureté ethnique des nations augmente
de l’homme est aussi, on l’a répété souvent, « parente de toutes les
races
». Répondant aux craintes provoquées par le dével
e « notre nation, au point de vue ethnique, se compose d’Aquitains de
race
ibérique, comme beaucoup d’Espagnols, de Ligures
ains de race ibérique, comme beaucoup d’Espagnols, de Ligures de même
race
que certains Italiens, de Celtes de même race que
ols, de Ligures de même race que certains Italiens, de Celtes de même
race
que la plupart des Suisses, de Belges, de Germain
s Suisses, de Belges, de Germains, de Burgondions, de Francs, de même
race
que beaucoup d’Allemands et de Scandinaves ». Il
res chez les étrangers. La promiscuité européenne, cette « chimie des
races
» que déplore Gobineau, a pour premier résultat,
, les différences de volume du crâne existant entre individus de même
race
sont d’autant plus grandes que la race est plus é
istant entre individus de même race sont d’autant plus grandes que la
race
est plus élevée dans l’échelle de la civilisation
mer « que les variations individuelles soient moins étendues dans les
races
inférieures que dans les races supérieures ». Si
duelles soient moins étendues dans les races inférieures que dans les
races
supérieures ». Si cinq crânes de Patagons possédé
aison des caractères, comme une conséquence forcée de ces mélanges de
races
universellement reconnus. On sait en effet que, p
e-t-il pas si les éléments générateurs sont eux-mêmes les produits de
races
différentes ? Si, en un mot, l’« amphimixie » se
s’explique ce fait que dans les sociétés « métisses », tandis que les
races
anciennes disparaissent, il ne se forme pas, à vr
es races anciennes disparaissent, il ne se forme pas, à vrai dire, de
races
nouvelles. L’« anthropo-sociologie » peut donc ch
les supérieurs et inférieurs. La civilisation occidentale impose aux
races
qu’elle réunit la multiplication des différences
ée d’un Droit naturel prend corps est aussi celle où, avec toutes les
races
, toutes les pratiques et toutes les croyances s’e
spécifiques : mais pas plus que la panmixie ne constitue de nouvelles
races
distinctes, la mode n’arrive à constituer de nouv
hommes de sa terre et de son sang. Il a constamment sous les yeux la
race
dont il sort et dont le génie et la tradition l’e
intimement liée non pas seulement aux habitudes intellectuelles d’une
race
, mais à l’existence même d’un pays, que cela devi
parcourent l’Afrique, l’Asie, l’Extrême-Orient, tous ces pays où des
races
neuves grandissent, où des peuples réveillés de l
bité du fond, se reconnaît le naturel positif et raisonnable de notre
race
. C’est en cela que nous différons littérairement
ne plus savoir quelles sont les formes d’art qui conviennent à notre
race
et de perdre même la vigueur nécessaire pour les
de la conception. Mais, par votre tempérament, votre hérédité, votre
race
, êtes-vous aptes à concevoir tel ou tel sujet ? L
t à rien. Mais le poète qui l’a solidement enfoncé au cœur même de sa
race
et de sa patrie sait que le fondement en est immu
n de réalités historiques, ethniques, physiologiques. Une nation, une
race
, des tempéraments et des individus ont été nécess
produire des œuvres viables. Sommes-nous encore cette nation et cette
race
, sommes-nous ces tempéraments et ces individus ?
ion. Taine est le premier qui ait défini nettement l’importance de la
race
, non seulement en littérature, mais dans tous les
littérature nationale, que Taine avait si profondément analysés, — la
race
, le milieu et le moment, — les naturalistes n’ont
ttérature anglaise — manifestation incomparable de la puissance d’une
race
— s’évertuaient par tous les moyens à tuer chez l
moyens à tuer chez leurs compatriotes ce qui subsistait encore de la
race
et de la tradition françaises. En dehors de la ra
tait encore de la race et de la tradition françaises. En dehors de la
race
, la littérature dégénère en pur dilettantisme, el
uple. Le lien social de l’art est brisé. Au contraire, la santé de la
race
est la condition première et nécessaire de tout a
vraiment social et vraiment humain. La forme la plus apparente de la
race
, c’est la nation. Dans ce cadre en grande partie
s il faut aller plus avant. Nous l’avons dit : la Patrie a façonné la
Race
, elle en est la forme extérieure et palpable. Or,
façonné la Race, elle en est la forme extérieure et palpable. Or, la
race
est la substance même de l’individu, la source fé
source féconde où s’alimente son sang comme sa pensée. L’apport de la
race
et celui du milieu national sont si intimement un
ble de les séparer autrement que par l’analyse. Qu’est-ce donc que la
race
? Il va sans dire que nous n’avons pas la prétent
tier. Or jusqu’ici nos littérateurs semblent avoir confondu l’idée de
race
avec l’idée d’hérédité. À les en croire, tous les
a mort, — tout cela, pêle-mêle, rentre pour eux sous le concept de la
race
. D’autres, frappés de ce fait que nulle nation pe
ique par les migrations et les croisements perpétuels, ont fait de la
race
une pure entité physiologique qui ne répond à rie
açon du peuple, dont l’instinct reconnaît sans hésiter « les êtres de
race
», — exemplaires uniques d’une perfection relativ
. L’erreur est de croire qu’une nation tout entière peut composer une
race
. Les races les plus pures n’ont jamais été que de
est de croire qu’une nation tout entière peut composer une race. Les
races
les plus pures n’ont jamais été que des aristocra
à quarante mille aristocrates qui ont défini en eux le type de notre
race
et l’ont offert à l’imitation de toute l’Europe.
e intelligence lucide et une volonté sans défaillance. En ce sens, la
race
est, autant qu’une œuvre de nature, une œuvre d’a
à l’aristocratie naturelle d’un pays. S’il est vraiment l’homme de sa
race
, — de la race qui, dans une nation, s’est rendue
ie naturelle d’un pays. S’il est vraiment l’homme de sa race, — de la
race
qui, dans une nation, s’est rendue conquérante et
era tout ce qu’il n’a pas et tout ce qu’il envie chez les autres : la
race
, le génie, l’amour même, — toutes ces grandes réa
des déshérités. Est-il besoin de dire que nous ne faisons point de la
race
le privilège d’une caste ? Tous les vrais aristoc
ar droit de naissance, il était comte Hugo ! S’il en est ainsi, si la
race
est pour nous la condition première de notre art,
ns récemment colonisées, ces pays d’immigration où se confrontent les
races
, est atterré par l’infériorité des nôtres. L’ouvr
feront le sang de la nation. Il est encore aux frontières de vieilles
races
résistantes et dures dont aucune invasion n’a pu
créerons des individus qui sont l’épanouissement et la conscience des
races
, des aristocraties qui sont la sauvegarde des nat
ni générosité, ni bonté. Ils savent que l’Individu, expression de la
race
, est la base de tout et que les démocraties elles
s’appelle Robespierre ! Ils savent aussi que l’individu séparé de la
race
n’est rien, que l’aristocratie privée du sol qui
rez vos rangs, unissez-vous ! Préparons ensemble la revanche de notre
race
, nécessaire à la paix comme à la beauté du monde
rmée par la volonté toute-puissante d’un seul, avec le concours d’une
race
et d’un peuple. Ce palais, c’est le plus illustre
ent la sottise des foules, la médiocrité de l’individu, la hideur des
races
. » Une bonne moitié de notre préface n’est guère
t plus souvent jetés à la mer, où se noyait avec eux l’avenir de leur
race
. Ces considérations offrent d’autant plus de prob
en des tropiques et du pôle, par exemple, est peut-être mêlé dans nos
races
domestiques. On ne peut mettre au rang des animau
me il n’est pas vraisemblable que l’homme ait réussi à former tant de
races
et de sous-races ayant chacune une constitution s
n côté ; si une telle particularité avait été de quelque utilité à la
race
, elle aurait pu devenir permanente par suite de s
n naturelle, il me semble possible d’éclaircir ce problème. Parmi nos
races
domestiques, si quelque organe, ou l’animal tout
, tel par exemple que la crête chez les volailles Dorking, ou même la
race
tout entière cesse de présenter une presque unifo
nue, sont éminemment sujets à des déviations de type. Ainsi, chez nos
races
de Pigeons, quelles prodigieuses différences n’ob
variations de toutes sortes, qui agit d’une part pour faire dévier la
race
, et le pouvoir de constante sélection qui agit d’
endre à ce qu’un oiseau tel qu’un Culbutant commun naisse d’une bonne
race
de Courtes-Faces. Mais, aussi longtemps que l’act
reviennent à d’anciens caractères perdus. — Ce qu’on observe chez nos
races
domestiques suffit à prouver ces propositions. Ai
z nos races domestiques suffit à prouver ces propositions. Ainsi, les
races
de Pigeons les plus distinctes, et dans les contr
eon Biset (C. livia) ; ce sont donc des variations analogues chez des
races
très distinctes. L’apparition fréquente de quator
rée comme une variation représentant la structure normale d’une autre
race
, celle des Pigeons-Paons. Nul ne doutera, je prés
areilles analogies de variations ne soient dues à ce que les diverses
races
de Pigeons ont hérité d’un parent commun la même
n autre exemple : c’est la réapparition, si fréquente dans toutes les
races
, d’oiseaux d’un bleu ardoisé, avec un croupion bl
un cas de variations analogues apparaissant soudain chez les diverses
races
. Nous pouvons adopter cette conclusion avec autan
éminemment sujettes à réapparaître chez la postérité croisée de deux
races
distinctes et très diversement colorées ; et il e
e des centaines de générations réapparaissent ensuite. Mais quand une
race
a été croisée seulement une fois avec une autre,
postérité mutuelle montre une tendance à revenir aux caractères de la
race
étrangère pendant plusieurs générations, et, selo
e manifeste encore des tendances de réversion. Au contraire, chez une
race
qui n’a pas été croisée, mais chez laquelle les d
générations presque indéfini. Lorsqu’un caractère réapparaît dans une
race
après avoir été perdu pendant un grand nombre de
on ne peut supposer comme probable que la postérité actuelle de cette
race
soit ainsi revenue tout à coup à la forme d’un an
pattu ni huppé, nous ne pourrions décider si ces caractères chez nos
races
domestiques sont de simples réversions ou des ana
rques distinctives qui l’accompagnent, apparaissent surtout quand des
races
distinctes de diverses couleurs sont croisées. Or
eux exemples chez des individus de toutes couleurs et appartenant aux
races
les plus diverses. Des raies transversales sur le
aire se voit quelquefois chez les Chevaux gris-brun, et j’en ai vu la
race
chez un Cheval bai. Mon fils a examiné avec soin
oney gallois, de même nuance, comme ayant aussi les mêmes marques. La
race
des Chevaux Kattywar, au nord-ouest de l’Inde, es
de l’examiner, qu’un Cheval sans zébrure n’est pas considéré comme de
race
pure. La raie dorsale existe toujours ; la raie s
s qui m’ont été fournis par M. W. W. Edwards que, chez les Chevaux de
race
anglaise, la raie dorsale se montre beaucoup plus
rayures sur les jambes ou sur les épaules, dans les plus différentes
races
et en diverses contrées, depuis l’Angleterre jusq
onel Hamilton Smith, qui a écrit sur ce sujet, croit que les diverses
races
chevalines descendent de plusieurs espèces origin
éorie ne saurait me satisfaire, et je répugnerais à l’appliquer à des
races
aussi distinctes que le pesant Cheval de trait be
tes que le pesant Cheval de trait belge, le Poney gallois, le Cob, la
race
élancée de Kattywar, etc., habitant des contrées
lus prononcées que chez le pur Couagga ; et même chez la postérité de
race
pure produite ensuite par la même jument avec un
stinctes. Or, qu’avons-nous observé, en pareil cas, chez les diverses
races
de Pigeons ? C’est qu’elles sont toutes descendue
utes descendues d’une espèce comprenant deux ou trois sous-espèces ou
races
géographiques, qui sont toutes de couleur bleue,
couleur bleue, avec certaines raies ou autres marques ; et lorsqu’une
race
quelconque assume par simple variation la couleur
mais sans aucun autre changement de forme et de caractère. Quand des
races
de diverses couleurs sont croisées, même parmi le
chez les jeunes sujets que chez les vieux. Qu’on appelle espèces nos
races
de Pigeons, ou celles du moins qui sont restées p
parent commun du Zèbre, du Couagga, de l’Âne, de l’Hémione et de nos
races
diverses de Chevaux domestiques, que du reste ces
entre des variétés assez tranchées pour provoquer un affolement de la
race
et un retour à d’anciens caractères perdus. Telle
’attribuer au climat, comme cause de leur apparition première dans la
race
où ils peuvent ensuite se transmettre par hérédit
eurs et horticulteurs : le mâle donne la variété, la femelle donne la
race
? Du reste, sans avoir besoin d’invoquer une caus
ions dans la suite des temps écoulés, et je vois le parent commun des
races
diverses de notre cheval domestique dans un anima
l’ancêtre zébré réapparaissent quelquefois, quand des croisements de
race
ou autres causes de variation leur donnent l’occa
ntièrement au siècle dernier ; on se représentait les hommes de toute
race
et de tout siècle comme à peu près semblables, le
nge et incompréhensible pour quiconque n’a pas étudié le climat et la
race
; comment avec une centaine de lettres éparses et
l’homme ; car pour expliquer cette conception, il faut considérer la
race
elle-même, c’est-à-dire le Germain et l’homme du
toutes les sensations, à toutes les conceptions d’un siècle ou d’une
race
, sur quelque particularité inséparable de toutes
aux, certains caractères d’esprit et de cœur communs aux hommes d’une
race
, d’un siècle ou d’un pays. De même qu’en minéralo
ne création poétique et figurative, un symbole vivant, comme chez les
races
aryennes, la langue devient une sorte d’épopée nu
eloppement régulier, mais l’explosion violente, alors, comme chez les
races
sémitiques, la métaphysique manque, la religion n
e trouvent les germes des plus grandes différences humaines. Quelques
races
, par exemple les classiques, passent de la premiè
es forces étrangères sont venues contrarier les forces primitives. La
race
a émigré, comme l’ancien peuple aryen, et le chan
le de l’esprit et de l’âme, soit innée et attachée naturellement à la
race
, soit acquise et produite par quelque circonstanc
e, soit acquise et produite par quelque circonstance appliquée sur la
race
. Ces grands ressorts donnés font peu à peu leur e
s circonstances où elle agit. V. Les trois forces primordiales. La
race
. Trois sources différentes contribuent à produ
ces différentes contribuent à produire cet état moral élémentaire, la
race
, le milieu et le moment. Ce qu’on appelle la race
ral élémentaire, la race, le milieu et le moment. Ce qu’on appelle la
race
, ce sont ces dispositions innées et héréditaires
provisionnées plus richement de certains instincts, comme on voit des
races
de chiens mieux douées, les unes pour la course,
deux autres moteurs lui impriment, on la reconnaît encore, et qu’une
race
, comme l’ancien peuple aryen, éparse depuis le Ga
. Le milieu. Lorsqu’on a ainsi constaté la structure intérieure d’une
race
, il faut considérer le milieu dans lequel elle vi
affirmer cependant que la profonde différence qui se montre entre les
races
germaniques d’une part et les races helléniques e
ifférence qui se montre entre les races germaniques d’une part et les
races
helléniques et latines de l’autre, provient en gr
de soi les instincts régulateurs et les facultés implantées dans une
race
, bref le tour d’esprit d’après lequel aujourd’hui
ns exactement dans le même sens, selon que les effets distincts de la
race
, du milieu et du moment se combinent pour s’ajout
complet des puissances agissantes, et lorsque nous avons considéré la
race
, le milieu, le moment, c’est-à-dire le ressort du
nsi la disposition d’esprit ou d’âme introduite dans un peuple par la
race
, le moment ou le milieu se répand avec des propor
supposez que cet élément commun reçoive du milieu, du moment ou de la
race
des caractères propres, il est clair que tous les
ales, le respect naturel et habituel de la loi. Pareillement dans une
race
, selon que l’aptitude aux idées générales sera di
nce ; si on remarquait en outre qu’il y a certains moments, certaines
races
et certains milieux, où la croyance, la faculté p
e héroïque, au moment de la renaissance universelle, et à l’éveil des
races
germaniques ; pourquoi elle pullule en sectes biz
rtions et des particularités si différentes selon les différences des
races
et des civilisations. Il en est ainsi pour chaque
l est l’état moral qui la produit ? et quelles sont les conditions de
race
, de moment et de milieu les plus propres à produi
chologie d’une âme, souvent celle d’un siècle, et parfois celle d’une
race
. À cet égard un grand poëme, un beau roman, les c
utes les conquêtes, et que les trois données d’où elle est sortie, la
race
, le climat, l’invasion normande, peuvent être obs
sidérable porte dans son œuvre la trace des facultés marquantes de sa
race
, des caractères saillants du pays, de l’époque, d
i à ceux des leurs, et ainsi de suite à travers toute l’étendue de la
race
; la sélection naturelle (dans le 2e chapitre de
ntestable. L’hérédité existe et s’exerce ; très probablement dans une
race
homogène, stable et peu nombreuse, à force de mar
aisemblable, il est vrai, mais une pure hypothèse. Il n’existe pas de
race
ayant ces caractères de pureté et d’homogénéité,
ure. L’anthropologie a démontré que dès la plus lointaine époque, les
races
sont mêlées et de types divers. L’histoire expose
istoire expose de même qu’il n’est pas de nations formées d’une seule
race
. Toutes, des Égyptiens aux Assyriens, des Hébreux
dû protéger contre les invasions, présente un nombre considérable de
races
diverses. M. Spencer en fait l’énumération sommai
ps ont été composites et changeants. Une nation est une agrégation de
races
diverses dont aucune ne peut être considérée comm
e, cette littérature, de même, est une littérature d’idiome et non de
race
, à laquelle coopèrent des talents venus de toutes
tièrement différentes de celles que l’on s’accorde à attribuer à leur
race
; ni la littérature française qui est constamment
ice d’une théorie qui se fonde sur la permanence des caractères de la
race
dans ses individus, il suffit d’observer que la r
montrer à la fois que cette force existe et opère pour les signes de
race
et de variété, quand on prend ces mots dans le se
et obscure pour les caractères d’individu, et, au sens historique, de
race
ou de variété, c’est-à-dire de clan et de tribu13
s le problème des rapports des artistes avec leurs ascendants et leur
race
. Jusque-là ces rapports sont hypothétiques, varia
iques, variables, impossibles à utiliser, et parce qu’il n’y a pas de
races
pures, et parce que nous ne connaissons pas les c
nous ne connaissons pas les caractères intellectuels et physiques des
races
composites, et parce que nous ignorons la mesure
ns et les tâches étaient les mêmes pour tous, où tous étaient de même
race
, où la lutte encore ardue contre tout l’ambiant a
tiste et l’habitatdp soit de sa jeunesse et de sa famille, soit de sa
race
, à l’exemple de Sainte-Beuve qui avait déjà essay
un même pays, de faire remarquer combien les immenses migrations des
races
indo-européennes, mongoles, ou sémitiques ont peu
de l’employer pour expliquer les facultés d’un homme par celles de sa
race
ou de ses parents, et encore moins pour conclure
tion inverse. Enfin l’influence de l’habitat sur l’individu et sur la
race
, vraisemblable, puisque aucune cause n’est sans e
ins, dont quelques-uns dépendent visiblement de leur famille, de leur
race
, de leur temps, de leur demeure : mais s’il n’exi
de la littérature anglaise retrace l’art d’une nation où l’esprit de
race
s’est maintenu longtemps intact, sans que cependa
dant de causes communes. Ces causes ne peuvent en tout cas être ni la
race
, ni le milieu, ni l’habitat, puisque l’essence d’
dmis qu’un artiste ne dépend pas essentiellement de son milieu, de sa
race
, de son pays, et que l’on ne peut, par ces causes
sont probants : ils ne peuvent être expliqués ni par la théorie de la
race
, ni par la théorie du milieu. Complétés par tous
montrent bien qu’il n’existe aucun rapport fixe entre un auteur et sa
race
ou son milieu, tandis qu’il en existe un, ondoyan
clairé par aucune des lois de l’ancienne critique sociologique. Ni la
race
, ni le milieu, hostiles ou tout au plus indiffére
ux théories de M. Taine, le fait que, dans un même milieu et une même
race
, des auteurs et des artistes ont vécu, dont les œ
Nous voyons clairement comment un artiste libre des influences de la
race
, du goût et des mœurs ambiantes, créant une œuvre
e d’hommes dénués souvent du caractère que l’on peut attribuer à leur
race
ou à leur époque, montre par la suite de ses mani
sformisme et les « précurseurs » de Darwin, « l’histoire générale des
races
humaines », ou encore la question de « l’unité de
de même. Il expose au § 16, les faits de permanence des caractères de
race
en dépit du temps et du changement d’habitat. (Nd
oque, rappelons, entre autres choses, que l’Essai sur l’inégalité des
races
humaines (1853-1855) de Gobineau, mort en 1882, v
la consanguinité de ces deux hommes, tous les deux de la même double
race
: tous les deux Juifs, tous les deux Allemands, t
a philosophie et la science ; mais dont l’un a brisé tout : religion,
race
, philosophie, système, pour s’asseoir, isolé et d
ble, ferme et pur. Et celui-ci, c’est Louis Wihl. II Il est des
races
contre lesquelles ne peut le génie. En aurait-on
le génie. En aurait-on une immensité à son service, si on est de ces
races
, la personnalité la plus robuste et la plus profo
à l’homme qui en est investi et reste franc du collier de force de la
race
. Dans les premières de ces deux espèces, comptent
ans les premières de ces deux espèces, comptent au plus haut degré la
race
juive et la race germanique, et peut-être de tout
de ces deux espèces, comptent au plus haut degré la race juive et la
race
germanique, et peut-être de toutes sont-elles cel
çus comme l’enclume qui fait ressauter le marteau ! L’influence de la
race
juive sur les esprits les plus vigoureusement ind
les, que sera-ce pour ceux qui sont restés fidèles à l’esprit de leur
race
?… Que sera-ce pour Louis Wihl, par exemple, qui
Hirondelles ; mais c’est qu’on aurait oublié l’influence de la double
race
de Louis Wihl. Le Parnasse avait une double cime,
2. Caractère de la
race
. Il ne nous appartient pas — et il serait sans
ête romaine et l’immigration franque ont modifié le tempérament de la
race
, où s’étaient déjà mêlés plusieurs éléments. Césa
er de la littérature gallo-romaine, c’est l’aptitude et le goût de la
race
pour l’exercice littéraire. Quant aux Francs, ce
dessin abstrait de la vie, et des vérités universelles de la science.
Race
de bon sens, parce que l’intelligence, les idées
la heurtent à l’implacable réalité des intérêts et des circonstances.
Race
plus raisonnable que morale, parce qu’elle est go
ou penser avec tout le monde ou faire penser tout le inonde avec soi.
Race
enfin discoureuse, conteuse, sociable, tempérant
plexité des formes individuelles. 5. Renan, Essai sur la Poésie des
races
celtiques.
dans les récents travaux des plus illustres maîtres sur nos vieilles
races
. Nourri de vastes lectures, armé d’une érudition
en traits énergiques et éloquents ce contraste du caractère des deux
races
, particulièrement cette attitude négligente et ha
es qu’il puisait, lui aussi, de haute source dans la mythologie d’une
race
sacrée. Les Mérovingiens chez les Franks, comme l
ns chez les Franks, comme les Amales chez les Goths, comme les autres
races
royales des barbares, étaient des Ases, c’est-à-d
légitime méthode. L’auteur va plus loin : il fait descendre sur cette
race
mérovingienne et sur son droit inné une sorte de
sa carrière, de restaurer la puissance déjà déclinante de la vieille
race
, de combattre à mort l’opposition conjurée des le
ire l’histoire de France, disait : Moi, je saute toujours la première
race
. C’est au contraire la première race qu’il faut l
i, je saute toujours la première race. C’est au contraire la première
race
qu’il faut lire et relire aujourd’hui pour s’inté
t, pris d’un certain côté. Ce prince, le dernier vraiment grand de sa
race
, marcha sur les errements de Brunehaut. Pénétré d
qui fut peut-être un grand roi, énergique, le quasi-Charlemagne de sa
race
, mort à la fleur de l’âge et dans la vigueur de s
de mire. Cependant, tout aussitôt après Dagobert, la décadence de sa
race
, un moment retardée, reprend son cours et se décl
eux, Hébroïn, essaye encore de maintenir en honneur l’idée de vieille
race
et de défendre le pouvoir sacré de ses rois ; mai
ire : bornons-nous à dire que la hache de son assassin brisa toute la
race
des Mérovéades. Voilà la gloire de ce Richelieu p
tère d’invasion franke qu’on a donné à son usurpation sur la première
race
abâtardie. Il tient à montrer les Carlovingiens a
de positif des noms plus ou moins romains ou franks par rapport à la
race
directe des personnages, puisqu’on voit des Gaulo
retien dans une sorte de fidélité traditionnelle, de religion pour la
race
, et de vieil honneur barbare. Si les Carlovingien
ermanie, alors seulement devenue chrétienne. Pepin, premier roi de sa
race
, recueillit le prix de cette politique ; élu roi
’il y avait là un sujet tout neuf : retrouver les vieux titres de nos
races
monarchiques et ceux aussi de l’Église à ces époq
pensée. Il y a un monde, un univers de la pensée et dedans il y a des
races
de la pensée. Une grande philosophie se reconnaît
ant entendu que le peuple juif est et fut et sera toujours une longue
race
et la race même de la non-réussite et que le peup
que le peuple juif est et fut et sera toujours une longue race et la
race
même de la non-réussite et que le peuple romain é
ereusement menacée. Ici éclate la différence internelle de leurs deux
races
. Tout Juif procède d’un certain fatalisme. Orient
creux de moelle qui court au long du cieux de la tige de cette longue
race
, lit par Jésus la greffe incurable de ce souci su
s troncs plus drus de la force française. Ainsi est née la plus belle
race
de peine qui soit jamais venue au monde. Et ceci
ment gravée il fallait cette greffe et ce sauvageon, il fallait cette
race
et il fallait cette autre race, il fallait cette
effe et ce sauvageon, il fallait cette race et il fallait cette autre
race
, il fallait cette âme et il fallait cette autre â
. Il fallait un virus aussi âcre et aussi sacré, macéré dans la seule
race
d’Orient qui eût été créée contre l’Orient, conce
oncentration de trente et de quarante siècles dans le secret de cette
race
, brusquement inséré dans une race neuve, dans tan
nte siècles dans le secret de cette race, brusquement inséré dans une
race
neuve, dans tant d’innocence et tant de pureté, d
ette macération trente et quarante fois séculaire dans le creux d’une
race
graduellement vaccinée, ce brusque éclatement dan
eux d’une race graduellement vaccinée, ce brusque éclatement dans une
race
saine et jeune et qui ne s’y attendait pas. Eh
dent. Ici encore éclate la différence et la contrariété de leurs deux
races
. Le Juif trouve naturel d’être malade. Fils et po
re malade. Fils et pour ainsi dire cellule et fibre élémentaire d’une
race
qui souffre dans les siècles des siècles et qui v
t contre son foie. Il y trouve la différence. Il est le premier de sa
race
qui est forcé de filer doux. Il est le premier de
emier de sa race qui est forcé de filer doux. Il est le premier de sa
race
à qui la carcasse n’obéit pas. Il est le premier
ier de sa race à qui la carcasse n’obéit pas. Il est le premier de sa
race
qui est vaincu. Le Juif est vaincu depuis septa
it cela pour que la dévoration de cette inquiétude, atténuée dans une
race
atténuée, émoussée dans une ancienne race, habitu
quiétude, atténuée dans une race atténuée, émoussée dans une ancienne
race
, habituée dans une race habituée, gagnât dans une
une race atténuée, émoussée dans une ancienne race, habituée dans une
race
habituée, gagnât dans une nouvelle race, et presq
ienne race, habituée dans une race habituée, gagnât dans une nouvelle
race
, et presqu’instantanément, une profondeur enfin i
e), qui est la plus savante et la plus implacable tricherie contre la
race
. Combien de patiences ne sont que des inventions
. C’est une différence entre deux remontante, une autre différence de
race
, plus subtile, une scission de fissuration peut-ê
ndrie ou de Byzance ou à quelque Bédouin du désert, le Juif est d’une
race
où l’on trouve toujours quelqu’un qui sait lire.
us et moi). Le catholique, le français, le paysan se retourne vers sa
race
et de quelque côté qu’il remonte il se heurte, au
ée dans cette innombrable ascendance. Aucune tenure dans cette longue
race
. Rien qui laisse trace dans les papiers des notai
es. C’est-à-dire le livre des baptêmes. L’homme se retourne vers sa
race
et aussitôt après son père et sa mère il voit s’a
derrière il ne voit plus rien qu’une immense masse et une innombrable
race
, aussitôt après, aussitôt derrière il ne distingu
a nuit est opaque, et plus il veut être sorti de cette ombre. Plus la
race
est commune et plus il a de joie secrète et il fa
secrète et il faut le dire un secret orgueil à être un homme de cette
race
. Il est bien le même homme dans le goût de sa rac
un homme de cette race. Il est bien le même homme dans le goût de sa
race
qu’il est dans le goût de tout. Il est bien le mê
paroisse. Et un pécheur de la plus commune espèce. Il regarde vers sa
race
et comme dans le passage de la mer Rouge une mura
pères, ses deux grands-mères, lui masque le silence d’une innombrable
race
. C’est comme une paroi de l’Océan même. Et comme
roi, sinon que c’est de l’eau, ainsi il ne sait rien de cette immense
race
qui est derrière cette muraille de quatre, sinon
il s’enfonce avec joie dans cet énorme anonymat. Il regarde vers sa
race
. Cette muraille même, cette muraille de quatre, e
ustement de ce que ses grands-pères ne savaient ni lire ni écrire. Sa
race
n’a pas encore eu le temps de s’habituer. Ni les
n’ont eu le temps de lui entrer dans la main. Il est le premier de sa
race
qui écrit. Comment s’étonner que sa race en lui n
ain. Il est le premier de sa race qui écrit. Comment s’étonner que sa
race
en lui ne sache pas encore écrire, ou enfin ne sa
ont elle sera la rançon, et ce bien sera justement d’être sorti d’une
race
, de tremper directement dans une race encore tout
ra justement d’être sorti d’une race, de tremper directement dans une
race
encore toute plongée dans le secret de ne pas sav
nsi passe son père, qu’il n’a pas même connu, passé sa mère nul de sa
race
n’a jamais mis la main à la plume. Et sa mère mêm
ailler, l’homme se dit que c’est la preuve que par la nouveauté de sa
race
intellectuelle il échappe à ce durcissement, à ce
condition faite aux hommes de son temps, l’homme se retourne vers sa
race
non plus même avec cette secrète joie, non plus m
-à-dire d’y avoir si longtemps totalement échappé dans le passé de sa
race
. Et il a l’impression que ce qu’il tient de cela,
dans la nuit des publicités monstrueuses. L’homme se retourne vers sa
race
, vers cette longue nuit non troublée. Comme ce si
l’innombrable, vers le tacite, vers l’immense océan de sa silencieuse
race
. Quelle réserve. (Et lui qu’en a-t-il fait). Quel
en âge dans le silence de l’ignorance de l’âme. Et cette silencieuse
race
est le seul écho que nous puissions percevoir du
se parlement du monde moderne l’homme écoule le silence immense de sa
race
. Pourquoi tout le monde cause-t-il, et qu’est-ce
on publie. L’homme se tait. L’homme se replonge dans le silence de sa
race
et de remontée en remontée il y trouve le dernier
’homme, comme tout homme de ce temps honteux de son temps, fier de sa
race
, tournant le dos à tout un monde l’homme se retou
sa race, tournant le dos à tout un monde l’homme se retourne vers sa
race
. Qu’en reste-t-il au monde ? Qu’en reste-t-il en
é dans le monde moderne qui fait périr, qui anéantit la famille et la
race
. Et c’est bien d’ailleurs la même confusion, la m
iétaires de nos pauvres vertus. La grâce nous fait une famille et une
race
. La grâce nous fait fils de Dieu et frères de Jés
parfaite : elle est parfaite de toute part, elle est féconde de toute
race
, elle donne de toute main. Et elle est pleine de
moi-même j’introduirai ce grand débat. M. Bergson a aujourd’hui deux
races
d’ennemis, ou comment dire, deux classes d’ennemi
x est présenté dans le plein de son exactitude et dans le plein de sa
race
. Il n’est pas jusqu’à cette somptueuse délibérati
ifficultés tomberaient si l’on voulait bien distinguer qu’il y a deux
races
de la guerre et qui n’ont peut-être rien de commu
dirai pas même que la vieille lutte pour la vie s’est divisée en deux
races
, dont l’une est la lutte pour l’honneur, et l’aut
utte pour le pouvoir. Je n’irai même pas jusqu’à attribuer à ces deux
races
de la guerre une origine commune. Je dirai : il y
s deux races de la guerre une origine commune. Je dirai : il y a deux
races
de la guerre qui n’ont peut-être rien de commun e
t au même), entre des individus délégués par des peuples). Il y a une
race
de la guerre qui est une lutte pour l’honneur et
la guerre qui est une lutte pour l’honneur et il y a une toute autre
race
de la guerre qui est une lutte pour la domination
nneur. Mais elle n’est pas du tout étrangère à l’héroïsme. Il y a une
race
de la guerre qui étant pour l’honneur est tout de
i étant pour l’honneur est tout de même pour l’éternel. Et il y a une
race
de la guerre qui étant pour la domination est uni
étant pour la domination est uniquement pour le temporel. Il y a une
race
de la guerre où c’est la bataille qui importe et
une race de la guerre où c’est la bataille qui importe et il y a une
race
de la guerre où c’est la victoire. Il y a une rac
orte et il y a une race de la guerre où c’est la victoire. Il y a une
race
de la guerre où une victoire déshonorante. (par e
défaite subie, et je dirai obtenue en un combat loyal). Et il y a une
race
de la guerre au contraire pour qui la réussite ju
ace de la guerre au contraire pour qui la réussite justifie tout, une
race
de la guerre où l’idée ne vient pas même qu’il pu
e y avoir une guerre qui soit déshonorante, pourvu qu’on y gagne, une
race
de la guerre où l’idée ne vient même pas qu’il pu
s qu’il puisse y avoir une victoire qui soit déshonorante. Il y a une
race
de la guerre où tout tend à la beauté du combat,
e race de la guerre où tout tend à la beauté du combat, et il y a une
race
de la guerre où tout tend au prononcé de la victo
n a une qui tend à la chevalerie et une qui tend à l’empire. Ces deux
races
de la guerre se sont plus ou moins liées et délié
e il ne devrait rien être), comme il est difficile de distinguer deux
races
, pourtant absolument étrangères, aussitôt que dan
l’autre de l’histoire on s’appliquait seulement à distinguer ces deux
races
, à diviser ce qui dans la réalité est divisé. Dan
ssière. Il est déjà l’homme de pied, le fantassin, pedes, et de cette
race
pour qui la cavalerie n’a jamais été que l’infant
rdant de ce point de regard que nous occupons la remontée de ces deux
races
de la guerre infatigables et montantes de siècle
nde il est permis de dire sans déformer beaucoup la réalité que l’une
race
de la guerre, la chevaleresque, est chez nous d’o
s sont encore les représentants éminents et peut-être les seuls de la
race
chevaleresques, (ainsi rigoureusement définie), e
mands sont les représentants imminents, et peut-être les seuls, de la
race
de domination. Et c’est pour cela que nous ne nou
âce. Jamais l’Allemagne ne referait une France. C’est une question de
race
. Jamais elle ne referait de la liberté, de la grâ
. Je ne dis pas que nous valons mieux que les autres. Nous sommes une
race
. Et ils sont une certaine autre race. Nous sommes
que les autres. Nous sommes une race. Et ils sont une certaine autre
race
. Nous sommes hommes. (Nous sommes pécheurs). Nous
tous les despotes, surtout quand ils sont populaires, nous sommes, de
race
, des hommes de liberté. C’est un bien unique, uni
t refondé que sur nos ruines, et il y a quarante-quatre ans, sont, de
race
, et ont toujours été, des hommes d’empire. Le sai
le et libertaire, et non pas seulement par système mais de cœur et de
race
, ne pouvait naître qu’en français et en terre et
l’immense appareil de l’empire, quand on compare elles-mêmes ces deux
races
de la guerre, celle qui compare et celle qui domi
rapper. Le fait est seulement qu’il a tenu le coup et que la première
race
de la guerre n’a jamais été exterminée par la deu
ut dire une grâce et un secret de destination. De tout temps les deux
races
de la guerre se sont mêlées et démêlées, de tout
el traverse l’humanité, long soulèvement sacré qui louche au loin les
races
lentes ou basses, les étonne, les irrite, et bon
tout. Ce ne fut pas seulement et en outre la profonde ingratitude de
race
de cette famille qui fournit les plus célèbres in
e plus grand, c’est-à-dire vers un roi de l’ordre de la mesure, de la
race
de la mesure. Et elle ne trouva qu’un roi qui ten
pourrait-on choisir de cette longue guerre poursuivie entre les deux
races
de la guerre, liaison, déliaison, et de ce long d
rre, liaison, déliaison, et de ce long débat poursuivi entre les deux
races
de roi, (si ce mot race ne fait pas ici amphibolo
et de ce long débat poursuivi entre les deux races de roi, (si ce mot
race
ne fait pas ici amphibologie), que déconsidérer q
e de la tige de saint Louis poussât ce rejeton moderne et pour que la
race
de saint Louis devint la race de Philippe le Bel
ussât ce rejeton moderne et pour que la race de saint Louis devint la
race
de Philippe le Bel et pour que les fils de saint
ans. Voilà ce qui fut payé le jour du 21 janvier. Celui qui trahit sa
race
, son être, son institution propre, où veut-il que
ans qui était le fils de son fils, né à Fontainebleau, l’homme de sa
race
et celui qui à son tour allait monter sur le trôn
faibles. Tels sont les deux systèmes de pensée, telles sont les deux
races
de la guerre, tels sont les deux systèmes de mesu
onde un certain niveau de noblesse. Tout homme qui est d’une certaine
race
optera pour la théorie, pour le système de pensée
Ou plutôt il n’optera pas. Il est d’avance de ce système et de cette
race
. Tant que l’on parlera le langage français Corn
ais Corneille demeurera le poète de ce noble jeu. Du système et de la
race
pour qui toute vie même et toute action et toute
ur et d’un amour qui se nourrissent mutuellement, qui sont de la même
race
, de la même noblesse, de la même famille. Et qui
ns la tradition des théologiens. Mais il est dans la ligne et dans la
race
et dans la tradition des saints et des martyrs. E
adition des saints et des martyrs. Et il est dans la ligne et dans la
race
de Jésus-Christ. Misereor super turbam. Il ne m
remier degré. Faire la guerre à son frère, être en proie à ceux de sa
race
spirituelle, voilà le deuxième degré de l’épreuve
t conjointes, qui eut affaire ensemble aux Juifs et aux Romains, à sa
race
et à la race étrangère, à Caïphe et à Pilate, à l
qui eut affaire ensemble aux Juifs et aux Romains, à sa race et à la
race
étrangère, à Caïphe et à Pilate, à la tourbe et a
èle et la plus prochaine imitation de Jésus-Christ. Il y a aussi des
races
spirituelles et le monde est assez grand pour ten
lles et le monde est assez grand pour tenir des saints de différentes
races
. J’en reconnais deux ici, et fort profondément sé
et et l’ombre à une humble enfant, fleur et couronnement de toute une
race
, fleur et couronnement de tout le monde. Cette pr
tout un peuple, publiée pour tout le monde, proclamée pour toute une
race
, elle aboutissait à une cime secrète, à une fleur
outes les maisons royales les naissances sont attendues par toute une
race
, escomptée par tout un peuple. Dans cette seule m
e charnel qu’en passant par un certain point d’être, par un centre de
race
et un point de germination, ainsi cet être mystiq
son immense héritier qu’en passant par un certain point d’être et de
race
qui est non pas même le fruit du cèdre mais le ge
ain point d’être et de génération mystique. Cette immense et publique
race
d’Israël ne pouvait donner cette immense et publi
e d’Israël ne pouvait donner cette immense et publique et universelle
race
chrétienne qu’en passant par un certain point de
réparons, pour être tranquilles demain, l’anéantissement de toute une
race
. En psychologie, en métaphysique nous sacrifions
rifions aujourd’hui à demain. En économique nous sacrifions toute une
race
à notre tranquillité de demain. C’est toujours
ne immense maison finale et mortuaire, sans soucis, sans pensée, sans
race
. Un immense asile de vieillards. Une maison de re
s l’infécondité de tout un peuple, dans l’anéantissement de toute une
race
n’est qu’un grossissement sur un plan énorme de c
dernes, est essentiellement principe d’infécondité. C’est toujours la
race
qui paie. Pour avoir la paix demain, on n’a pas d
aujourd’hui. Mais cette figure d’abdication et d’anéantissement d’une
race
n’est, reportée sur un plan plus gros, et plus gr
jours. Au lieu de penser à ces jeunes jours que sont les jours de la
race
. Et de la race à venir. De là cette universelle i
de penser à ces jeunes jours que sont les jours de la race. Et de la
race
à venir. De là cette universelle infécondité et c
ut un peuple peut engager sa liberté, aliéner sa fécondité, vendre sa
race
, pour acheter des rentes sur l’État. Mais quand i
er des rentes sur l’État. Mais quand il n’y aura plus de peuple et de
race
, où sera l’État. Et en psychologie et en métaphys
livrets de caisse d’épargne, c’est l’argent pour lequel il a vendu sa
race
. Toute l’opération a pour point d’origine, toute
dissement, de l’amortissement, du dessèchement de la famille et de la
race
. Et la sécheresse du cœur et la sécheresse de la
amille et de la race. Et la sécheresse du cœur et la sécheresse de la
race
, qui sont les deux grandes et affreuses invention
e frauduleuse. Rien n’est dur (sinon raide) et sec de cœur (et sec de
race
) comme les vénaux et comme les dissolus. Et l’ava
insi que tout un peuple non seulement effectue l’anéantissement de sa
race
, mais trouve encore que c’est très bien, parce qu
nvolontairement sur moi : un savant véritable, enclin au mépris de la
race
humaine et dans lequel la science seule était vra
usqu’à la géographie des plantes et des animaux, en terminant par les
races
d’hommes. Ce tableau est précédé de considération
controversé de la possibilité d’une origine commune pour différentes
races
humaines, rentre dans la sphère d’idées qu’embras
aptitudes des peuples, confine de très près à celui de la parenté des
races
; et ce que sont capables de produire même les mo
; et ce que sont capables de produire même les moindres diversités de
race
, nous l’apprenons par un grand exemple, celui de
la vivacité des premières impressions, on fut porté à considérer les
races
, non comme de simples variétés, mais comme des so
le débat relatif à cette problématique influence des climats sur les
races
d’hommes. “Les familles des animaux et des plante
extérieures, qui ne sauraient être signalées en détail, sont nées les
races
présentes des animaux ; et leurs variétés les plu
partage la faculté d’extension la plus considérable sur la terre. Les
races
humaines sont les formes d’une espèce unique, qui
aient, en se croisant, elles deviendraient stériles. De savoir si les
races
d’hommes existantes descendent d’un ou de plusieu
n simples variétés, que l’on désigne par le mot un peu indéterminé de
races
. De même que dans le règne végétal, dans l’histoi
rassant des masses considérables ; de même, dans la détermination des
races
, il me paraît préférable d’établir de petites fam
es. Que l’on suive la classification de mon maître Blumenbach en cinq
races
(Caucasique, Mongolique, Américaine, Éthiopique e
, Éthiopique et Malaie), ou bien qu’avec Prichard on reconnaisse sept
races
(Iranienne, Touranienne, Américaine, des Hottento
les qui échappent à ces grandes classes et que l’on a nommées, tantôt
races
scythiques, tantôt races allophyliques. Iraniens
randes classes et que l’on a nommées, tantôt races scythiques, tantôt
races
allophyliques. Iraniens est, à la vérité, une dén
ut bien avouer que les noms géographiques, pris comme désignations de
races
, sont extrêmement indéterminés, surtout quand le
minés, surtout quand le pays qui doit donner son nom à telle ou telle
race
se trouve, comme le Touran ou Mawerannahar, par e
rtance, pour aider à reconnaître la ressemblance ou la différence des
races
. Ce qui leur donne cette importance, c’est que la
vivre ensemble, l’influence d’une religion étrangère, le mélange des
races
, lors même qu’il aurait eu lieu avec un petit nom
ues entièrement différentes peuvent se trouver dans une seule et même
race
; que, d’un autre côté, chez des peuples très div
es considérations, toutes rapides qu’elles sont, sur les rapports des
races
et des langues. « En maintenant l’unité de l’espè
rejetons, par une conséquence nécessaire, la distinction désolante de
races
supérieures et de races inférieures. Sans doute i
uence nécessaire, la distinction désolante de races supérieures et de
races
inférieures. Sans doute il est des familles de pe
sur la pensée et l’imagination des hommes, suivant les époques et les
races
, jusqu’à ce que, par le progrès des esprits, la s
lture chez les modernes, et des dispositions de l’âme, qui, selon les
races
et les temps, est plus ou moins sensible aux impr
a nature, qui fut, à une époque si reculée, un trait distinctif de la
race
sémitique. Je rappellerai à ce sujet la descripti
er des sociétés civiles. De ces trois vertus gouvernementales dans la
race
anglo-saxonne est résulté le phénomène que nous v
sur les provinces du Danube, s’annexer les provinces grecques, non de
race
mais de religion, de la Turquie d’Europe, se natu
e populations chrétiennes opprimées, asservies, compactes, d’une même
race
, d’un même culte, et qu’il suffirait de se délivr
ent par les Turcs. La preuve que les Turcs n’ont jamais exterminé les
races
chrétiennes de l’Orient à cause de leur culte, c’
la religion qui fait le signe de distinction dans l’empire : c’est la
race
conquérante et la race conquise. Les chrétiens vi
signe de distinction dans l’empire : c’est la race conquérante et la
race
conquise. Les chrétiens vivent, multiplient, prie
eux batailles suffiraient sans doute pour le changer, en refoulant la
race
d’Othman d’où elle est venue, ou en l’exterminant
erminant sur place, comme Timour ou Gengis-Kan, ces exterminateurs de
race
. Mais que gagnerez-vous, vous Europe, à ce meurtr
s gouvernés ? Je le concevrais s’il y avait dans l’empire ottoman une
race
, chrétienne ou non chrétienne, assez nombreuse, a
urtout en nombre considérable ; en tout, je crois, trente ou quarante
races
différentes d’origine, de mœurs, de sol, de relig
andues çà et là dans toute la surface de l’empire. Mais aucune de ces
races
néanmoins, chrétienne ou non chrétienne, n’y exis
spontanée ou par la violence de l’Europe. De plus, ces peuplades, de
race
et de religion semblables, telles que les Grecs,
amas ; enfin elle se perd au-delà de la Mésopotamie, dans l’océan des
races
arabes, kurdes, persanes, égyptiennes, qui vont s
s peuples noirs du Sennaar et de l’Éthiopie. XIII Aucune de ces
races
, pas même la race grecque, n’est donc assez agglo
Sennaar et de l’Éthiopie. XIII Aucune de ces races, pas même la
race
grecque, n’est donc assez agglomérée dans les mêm
tion héritière des Turcs. » Il y a plus encore : c’est que toutes les
races
, chrétiennes ou autres, disséminées sur le sol ot
entre elles qu’elles ne le sont aux Turcs sous l’empire desquels ces
races
vivent, et que, si l’on mettait aux voix à qui l’
cs plutôt qu’aux Arabes ; aux Turcs plutôt qu’à aucune de ces petites
races
faibles et tyranniques, assez fortes pour nous op
de ces populations rivales qui nous haïssent. » La substitution d’une
race
politique en Turquie à la race gouvernante des Ot
nous haïssent. » La substitution d’une race politique en Turquie à la
race
gouvernante des Ottomans serait donc une anarchie
te des Ottomans serait donc une anarchie sanguinaire qu’aucune de ces
races
ne serait assez prédominante pour étouffer sous l
t des Grecs catholiques à la porte du saint sépulcre. Ces conflits de
race
, de schisme et d’orthodoxie sont tels qu’en 1817
rd’hui en Italie. XVII L’Italie, par la noblesse légitime de sa
race
, par le prestige éternel de ses souvenirs, par l’
n petit peuple à peine italien, plus cisalpin que romain, le Piémont,
race
de soldats héroïques, rudement maniés, tantôt con
talie, est beau de souvenir et d’espérance. L’aspiration d’une grande
race
éclairée, courageuse, à rentrer en possession d’e
clama. Cela se ressemble… Avec les différences de rabougrissement, de
race
et de peau, comme le crapaud, dont Lavater faisai
s rentrent dans toutes les notions générales et incontestables sur la
race
nègre recueillies par les meilleurs observateurs.
, diagnostiquant hardiment, à travers Soulouque, les caractères de la
race
dont il est sorti… Malheureusement, comme beaucou
cette préface, que l’homme qui l’a écrite pût peindre Soulouque et sa
race
avec cette énergie de ressemblance, ou, ayant lu
homme à la mer ! L’histoire de Soulouque, qui est bien le type de sa
race
, n’aurait pas appris à son historien que le nègre
nt les vaines rages de l’eunuque, le nègre appartient-il à une de ces
races
déchues comme il en est plusieurs dans la grande
a une première parmi les nations, il y a forcément une dernière. Les
races
qui servent sont aussi nécessaires dans l’ordre u
les, les nègres, qui probablement ont leurs origines comme les autres
races
, semblent avoir été mis particulièrement dans le
singulière, il voyait davantage en lui la nature et la destinée de sa
race
. La gaîté du mépris ne vaut pas sa miséricorde. R
nègres ou sur des nègres doit être précédée d’une étude à fond sur la
race
, et Gustave d’Alaux était digne de la faire, cett
ques d’en méconnaître la valeur. Soucieux d’accroître la beauté de la
race
dont nous nous sentons les gardiens, convaincus d
e répéter et je le dirai de nouveau : Nous sommes les héritiers d’une
race
, il nous appartient de la fortifier, de lui donne
opérer la transformation intégrale qui doit être faite. L’avenir des
races
nous préoccupe. C’est pour le réaliser dans le se
les limiter là. Écrire des odes à l’aurore, faire des invocations aux
races
, consacrer les dons des prairies sont les moindre
au du statuaire réalisent des types absolus dont l’imitation rend les
races
parfaites. En pétrissant des substances brutes, e
poètes, musiciens et savants, qui tentons aujourd’hui d’organiser la
race
. La plus forte patience intérieure nous sera sans
re compris. La classification des sciences, le perfectionnement de la
race
, la mise en ordre du système et l’anéantissement
y réussir. Et peut-être aurons-nous la joie de voir naître un jour la
race
de héros dont sans nul doute auparavant, nos stat
sommes plus des isolés. Nous exprimons les intentions confuses d’une
race
. C’est ce que j’affirme sans cesse. 3. Je trou
e courant des âges soit bien puissant. Ce profond désir de fonder une
race
héroïque qui soulève toutes nos poitrines, ce gra
é par suite de l’équivoque funeste de ces mots : nation, nationalité,
race
, je désire qu’on se souvienne de ces vingt pages-
finira par s’en lasser. L’homme n’appartient ni à sa langue, ni à sa
race
: il n’appartient qu’à lui-même, car c’est un êtr
iomes divers, poursuivre le même idéal. Au-dessus de la langue, de la
race
, des frontières naturelles, de la géographie, nou
ons le consentement des populations, quels que soit leur langue, leur
race
, leur culte. La Suisse est peut-être la nation de
is ou quatre langues, deux ou trois religions et Dieu sait combien de
races
. Une nation, c’est pour nous une âme, un esprit,
à leur malfaisance. — Intervention éventuelle. — Leurs unions avec la
race
humaine. — Leurs métis. — Enlèvements et substitu
iquant les attributions qui leur sont conférées selon les différentes
races
qui les imaginèrent. Tout d’abord, constatons le
nde du crédit à ses obligés. Outênou philosophe avec un marabout. Les
races
qui ont imaginé ces potentats accommodants ne peu
ue les accidents de terrain sont rares en Afrique et que les quelques
races
qui habitent les régions accidentées sont peu com
insi que les portent les femmes maures (ou syriennes, c’est-à-dire de
race
blanche). Aucune indication précise, différente d
gourmantié : « pora » signifie aussi jumeau. Il y a chez beaucoup de
races
noires un préjugé hostile aux jumeaux qui sont co
es comme le guinnârou de Fonfoya. Cependant ils ont l’orgueil de leur
race
et opposent volontiers, en paroles sinon en actio
ontiers, en paroles sinon en actions, leur loyauté à la félonie de la
race
des hommes (v. Mamadou et Anta la guinné). Quelqu
ortann) en est la preuve. Les guinné s’unissent assez volontiers à la
race
des hommes, les guinné mâles principalement car i
s Gow. D.-Y.) Le cas le plus fréquent est celui où c’est une femme de
race
humaine qui épouse un guinné (Nancy Mâra — Kahué
nfants nés de ces unions tiennent en général du guinné plus que de la
race
humaine. Ils se sentent plus à l’aise parmi les g
cas, après le mariage. Les guinné adoptent volontiers des enfants de
race
humaine et les enlèvent à leurs parents dans cett
ertaines conditions et en les adjurant de retourner avec ceux de leur
race
. Le procédé breton et alllemand consiste à les ob
des hommes, et, cependant, combien l’espoir d’une harmonie entre ces
races
est peu concevable ! Ce lien qui unit tous les Eu
L’homme naît seulement dans une famille, une maison, une nation, une
race
; à ces origines il appartient corps et âme ; et
par la famille, la maison, la nation, ils sont au moins sortis d’une
race
commune. Cette race qui nous relie est la race Ar
maison, la nation, ils sont au moins sortis d’une race commune. Cette
race
qui nous relie est la race Aryenne. Son nom signi
au moins sortis d’une race commune. Cette race qui nous relie est la
race
Aryenne. Son nom signifie « les harmonieux » (ar
es fidèles », ou encore, puisque la fidélité était l’honneur de cette
race
, « les honnêtes ». Trois fois la race Aryenne en
délité était l’honneur de cette race, « les honnêtes ». Trois fois la
race
Aryenne en Asie s’est divisée. D’abord elle s’est
gres et les Malais au sud ; enfin les plus pures tribus de l’ancienne
race
sont venues en Europe, Parler d’une humanité euro
urope, Parler d’une humanité européenne, c’est parler seulement de la
race
Aryenne : car en elle consiste la seule unité de
ncore mêlés : au nord avec des Mongols, au sud avec des Sémites ; les
races
Slaves et Romanes sortirent de ces mélanges. Elle
ois, encore que nul ne prendra le héros Vercingétorix pour issu d’une
race
irlandaise ou de Cornouailles. Mais, plus intensé
s de forêts, au milieu de l’Europe, une tribu guerrière de la vieille
race
asiatique s’était conservée presque intacte du sé
us parlons lorsque nous disons que le peuple franc de la Gaule est de
race
germanique. Nous indiquons seulement la vieille p
mands le sang de ceux qui sont restés fixés, qui ont conservé pure la
race
européenne des Aryens. Mats c’est le même sang to
lus pure, la plus divine, ce pouvait être seulement la plus noble des
races
humaines ; ainsi le pur Christianisme affranchi d
de l’art Wagnérien résonné l’harmonie de l’humanité idéale ; c’est la
race
Aryenne qui se retrouve, non plus comme la race b
ité idéale ; c’est la race Aryenne qui se retrouve, non plus comme la
race
barbare de la nature héroïque, mais comme la race
, non plus comme la race barbare de la nature héroïque, mais comme la
race
chrétienne de la culture idéale. Au temps de la p
ers d’années, s’égara de la manière la plus étrange. Chez beaucoup de
races
, il ne dépassa point la croyance aux sorciers sou
lettes et d’abraxas. Aucune grande pensée morale ne pouvait sortir de
races
abaissées par un despotisme séculaire et accoutum
teté, le dévouement, apparaissent dans le monde avec les deux grandes
races
qui, en un sens, ont fait l’humanité, je veux dir
x grandes races qui, en un sens, ont fait l’humanité, je veux dire la
race
indo-européenne et la race sémitique. Les premièr
sens, ont fait l’humanité, je veux dire la race indo-européenne et la
race
sémitique. Les premières intuitions religieuses d
enne et la race sémitique. Les premières intuitions religieuses de la
race
indo-européenne furent essentiellement naturalist
ontières le drapeau de l’unité divine proclamée par l’islam. C’est la
race
sémitique 83 qui a la gloire d’avoir fait la reli
va Jean-Baptiste, Jésus, saint Paul, au-dessus des mesquines idées de
races
n’existait pas encore ; par une étrange contradic
r du IIIe siècle, quand le christianisme est tombé entre les mains de
races
raisonneuses, folles de dialectique et de métaphy
produit : il suffit que, sans avoir aucunement la pensée d’altérer la
race
, chacun conserve de préférence les individus qui,
t ce procédé sélectif a été le principal agent dans la production des
races
domestiques les plus distinctes et les plus utile
domestiques les plus distinctes et les plus utiles. Que plusieurs des
races
produites par l’homme aient, dans une large mesur
tat domestique n’agissent pas à l’état de nature. La conservation des
races
et des individus favorisés dans la lutte perpétue
oient descendues d’un ancêtre rayé, de la même manière que toutes les
races
de Pigeons domestiques descendent du Pigeon biset
es a nécessairement produit dès l’origine la multiplicité infinie des
races
. À mesure que les races se sont fixées et perfect
uit dès l’origine la multiplicité infinie des races. À mesure que les
races
se sont fixées et perfectionnées, leur nombre a d
mbre de souches primitives devait successivement prendre la place des
races
qui succombaient dans la concurrence universelle,
s rattache en ligne directe à la cellule primordiale. Beaucoup de ces
races
ont pu s’éteindre sans envoyer des représentants
e classe, un ordre ou un groupe et qui tous ont au moins commencé une
race
. Mais les premiers effets de la concurrence vital
ssies de ces premiers essais d’organisation ; et la proportion de ces
races
vaincues aux races victorieuses peut avoir été én
rs essais d’organisation ; et la proportion de ces races vaincues aux
races
victorieuses peut avoir été énorme, si l’on songe
s doit à l’origine avoir été représenté par un nombre considérable de
races
, issues chacune d’un germe primitif, et qui variè
ant le cours des siècles avant de se fixer. Un groupe nombreux de ces
races
dut ainsi s’animaliser et un autre se végétaliser
nimaux et de végétaux, à l’état naissant et encore intermédiaire, des
races
durent varier encore parallèlement par faisceaux
ranches. Et le parallélisme des destinées, produisant chez toutes ces
races
une résultante d’innéités, non pas identique, mai
e comme probable, mais non pas comme prouvé, c’est que chacune de ces
races
, indépendantes bien que parallèles, eût gardé le
ut croisement serait absolument infécond et même impossible entre des
races
de souches distinctes, c’est-à-dire sorties de ge
, doit nécessairement avoir été trop différent. L’espèce ou plutôt la
race
aurait donc ainsi un fondement dans la nature aut
ystématistes actuels, et que les groupes plus élevés sont composés de
races
dont le développement, après avoir été longtemps
nt que trop en faveur de la grande supériorité physiologique de notre
race
sur toutes les formes du même embranchement et so
ructives, souvent solides, sur les caractères essentiels du génie des
races
diverses qui peuplent le globe. En recueillant le
el et primitif, on a pu dégager ce qui fait la nature propre de cette
race
, à savoir la prédominance marquée de la sensibili
d’imagination grossière. On commence à connaître assez les peuples de
race
jaune, Chinois, Japonais, Tartares, pour se faire
e faire une idée des aptitudes et des incapacités naturelles de cette
race
, de son goût et son talent pour les sciences prat
de raisonnement. En sorte qu’on a pu aussi donner la formule de cette
race
: la prédominance des instincts et des facultés p
rochant les monuments religieux et poétiques des divers peuples de la
race
sémitique, et en les comparant avec les monuments
ts religieux et poétiques du même genre chez les grands peuples de la
race
âryane, les Indous, les Perses et les Grecs, l’et
hnographie a découvert que le génie symbolique manque absolument à la
race
des sémites, dont la répugnance invincible pour l
bservation directe ! Quelle autre science nous aurions du génie de la
race
nègre ou de la race jaune, si nous découvrions to
Quelle autre science nous aurions du génie de la race nègre ou de la
race
jaune, si nous découvrions tout à coup des livres
livres où tel esprit supérieur, tel philosophe, tel moraliste de ces
races
, eût essayé, même grossièrement, de faire l’histo
ars et sous des formes poétiques ou théologiques, chez les peuples de
race
sémitique, que l’ethnographie est bien plus riche
itique, que l’ethnographie est bien plus riche en documents sur cette
race
que sur les précédentes. Encore faut-il dire qu’u
mesure de définir d’une manière sûre et précise les caractères de la
race
; elle ne suffirait point à donner, dans toute sa
omme lui-même. Et si elle essaye de le faire, en comparant toutes les
races
entre elles et en dégageant les caractères commun
rches de philologie, arrivent à des vues neuves et précieuses sur les
races
, les peuples, les œuvres, les institutions de not
ent plus l’homme dans la statistique des faits et dans l’histoire des
races
; mais, en l’observant dans la succession des fai
té de la chute des Bourbons et sur la légitimité de l’élévation d’une
race
nouvelle. Nous nous en sommes souvent préoccupé,
r les ruminants de Voltaire ! Et de fait, quand on s’attaque à cette
race
molle et têtue d’intelligences qui ont la patienc
qui n’était pas le pouvoir dont elle était folle pour elle et pour sa
race
, toutes ces choses, compliquées de la mort du duc
catholicisme, son essence même, l’a préservée de l’idolâtrie. Trop de
races
royales s’y sont succédées, et toujours en vertu
e Henri IV allaient achever de détremper l’organisation populaire. La
race
entière des Bourbons devait porter jusqu’à son de
bert, il aurait, sous le couvert de cette Providence qui ne donne aux
races
royales que la durée de leurs vertus, conclu hard
propos de la Ligue qui l’avait trouvé dans le ciel, et en face de la
race
nouvelle érigée sur les débris des races ancienne
ans le ciel, et en face de la race nouvelle érigée sur les débris des
races
anciennes parmi nous, il aurait proclamé l’arrêt
t mort poignardé pour avoir voulu faire ce qui, plus tard, a perdu sa
race
, de la conciliation entre les partis et des fusio
et à son oxygénation, ou ceux qui ont pour fonction de reproduire la
race
, se montrent presque uniformes, on les considère
re généalogique complet de l’humanité, un groupement généalogique des
races
humaines nous fournirait certainement aussi la me
igrations, de l’isolement ou des différents états de civilisation des
races
qui les ont parlées, se sont altérées considérabl
gronome Marshall, les cornes sont d’une haute valeur pour classer les
races
bovines, parce qu’elles sont moins variables que
ques variétés diffèrent des autres par leur long bec, ce qui, dans la
race
, est un caractère de haute importance : cependant
ux autres par l’habitude commune de faire la culbute : et, quoique la
race
à courte face ait presque ou même complétement pe
nité connue et de ses ressemblances à d’autres égards avec les autres
races
. Si l’on pouvait prouver que les Hottentots sont
r d’un de ses parents. C’est encore ainsi que les cornes des Bœufs de
race
croisée sont affectées par la forme des cornes de
ormément, admettant comme probable que les différences entre ces deux
races
sont entièrement le résultat d’une sélection long
mesures soigneusement prises sur deux juments appartenant l’une à la
race
des Chevaux de course, et l’autre à une pesante r
enant l’une à la race des Chevaux de course, et l’autre à une pesante
race
de Chevaux de trait, et sur leurs deux poulains,
tionnelles. Comme il me semblait suffisamment prouvé que les diverses
races
de Pigeons domestiques descendent d’une seule esp
’une seule espèce sauvage, j’ai comparé de jeunes Pigeons de diverses
races
, douze heures après leur éclosion. J’ai mesuré av
its à l’état de nature. Mais lorsque les oisillons de ces différentes
races
furent placés les uns à côté des autres sur le mê
aient presque autant des petits du Pigeon Biset et de ceux des autres
races
que les adultes eux-mêmes. Les deux principes déj
ue les différences caractéristiques qui donnent de la valeur à chaque
race
, et qui ont été accumulées par la sélection de l’
e manifestant de plus en plus tôt chez les diverses générations de la
race
modifiée. Il faut aussi se rappeler que la loi su
nes rudimentaires dans nos productions domestiques : ce sont chez des
races
sans queues et sans oreilles des vestiges de ces
organes ; c’est la réapparition de petites cornes pendantes, chez des
races
sans cornes, et surtout, selon Youatt, chez les j
refois appartenu à quelque ancêtre du Pigeon Biset ; ou bien, quelque
race
particulière et déjà domestique du Pigeon Biset p
nant peut-être de cette même souche dont le sang mêlé dans toutes les
races
du Pigeon domestique tend à reproduire des variét
e, ou du moins à peu près ressemblant, de toutes les variations de la
race
et des formes qu’elle a successivement revêtues,
res, et non pas à les dépasser pour y revenir ensuite. Ainsi dans une
race
de Pigeons dont le bec, originairement court, se
turelle ou systématique de variations en ce sens, si quelque nouvelle
race
à, bec court se formait par des réversions succes
lus dans sa vie fœtale aucune trace de l’évolution généalogique de la
race
au-delà de ce point ; mais il en résulterait seul
ment vers les formes ancestrales, au point où la forme actuelle de la
race
tend, soit à diverger de chacune de ces formes su
ale des individus est donc bien la résultante de la vie entière de la
race
qui les engendre, ou plutôt de la lignée généalog
qui connaissent, par l’instinct du sang, les qualités propres à leur
race
; aussi est-il plus capable de faire rêver que d’
ément caché dans les mystères de l’organisme humain, du sang et de la
race
, et plus profondément caché encore dans les secre
t qui rapproche encore davantage cette vieille histoire de la moderne
race
anglaise. Chez eux prédomine le solide intérêt ma
admirons aujourd’hui l’éblouissant épanouissement, et qui dénote une
race
vierge, chaste et rustique. L’Angleterre représen
ntact avec la civilisation. Dans l’étroite arène de l’Angleterre, ces
races
sœurs et ennemies se combattirent jusqu’à extinct
’esprit germanique, et le même principe, la liberté individuelle. Les
races
n’ont pas été croisées ; les alliances accomplies
de son génie national, se retrouvent les qualités natives propres aux
races
barbares. La civilisation les a transformées et l
que les crimes de l’Italie étaient une preuve de la supériorité de la
race
. On pourrait dire de l’Angleterre que c’est une m
e la campagne. La grande beauté des Anglais doit tout au sang et à la
race
, et rien à la civilisation. Dès les premiers âges
ples développent leur beauté en même temps que leur civilisation ; la
race
anglaise au contraire a été belle de tout temps.
pas à cette influence spiritualiste, c’est une beauté qui tient à la
race
, au sang. Son caractère est essentiellement barba
e du sang. Ce qui réunit les Anglais, ce n’est pas la terre, c’est la
race
. Leur patrie n’est pas circonscrite par conséquen
partout où se parle la langue anglaise, où se trouvent des hommes de
race
anglaise. C’est là ce qui explique la facilité av
obile Capitole. Il semblerait au premier abord que ce sentiment de la
race
dût être moins fort que celui qui provient de l’a
fois très matériel et très moral est précisément propre à toutes les
races
germaniques. Cette patrie qui coule dans le sang
ns le sang est la seule qu’elles possèdent. Seulement l’orgueil de la
race
a été poussé par les Anglais plus loin que par au
ns encore l’esprit barbare, exclusif de leurs ancêtres, cet esprit de
race
qui jadis poussa les Saxons à refouler et à massa
n caractère et ses goûts individuels ; l’Anglais représente toute une
race
; il ne s’assimile pas aux autres peuples, il s’i
centralisations et toutes les machines administratives. L’orgueil de
race
efface toutes les distinctions et crée une frater
vélé. Ces facultés d’appréciation féminine ne conviennent pas à cette
race
virile ; ils n’ont d’autre moyen d’appréciation q
rritoriale, préférence qui est, dit-on, caractéristique de toutes les
races
germaniques. Ils construisent leurs maisons en pi
intain de cette indépendance dans la pauvreté qui a été le partage de
races
plus délicates. Emerson cite un mot de Nelson qui
nt, aussi bien que l’homme extérieur qui lui sert de masque, selon la
race
à laquelle il appartient, le milieu où son activi
r. Reste à s’entendre sur l’importance relative de ces différences de
race
, de milieu et de temps, sur les modifications qu’
orces primordiales concourent à la création de l’homme intérieur : la
race
, le milieu, le moment. Ces mêmes forces concouren
de tel ou tel poète, il faut d’abord déterminer les caractères de la
race
à laquelle il appartient, puis les caractères de
lle il appartient, puis les caractères de la société fondée par cette
race
et ceux de la nature extérieure dans laquelle ell
té, Shakespeare n’est si grand que parce que ces trois éléments de la
race
, du milieu, du moment, se sont combinés en lui da
akespeare et dire hardiment : Voilà l’Anglo-Saxon. Pas un trait de la
race
n’y manque, en bien ou en mal. Elle est là tout e
té formé par les conséquences de la conquête normande et la fusion de
races
longtemps ennemies, mais enfin broyées et amalgam
Irlandais, et tous à peu près sont exclusivement des gentilshommes de
race
comme d’imagination. Shakespeare, au contraire, c
êmement complexe, car des trois forces que nous venons de nommer : la
race
, le milieu, le moment, il n’y en a qu’une qui soi
ment, il n’y en a qu’une qui soit invariable et immuable, celle de la
race
, et encore est-elle à chaque instant altérée par
de lord Byron. Dans lord Byron, que voyons-nous, sinon la force de la
race
alliée à la force du moment contre la force du mi
s ? Il n’y a de changé que les noms. L’hérédité, c’est la force de la
race
; l’éducation, c’est la force du milieu ; l’expér
pres actes ; 2º il admet que les dispositions morales générales de la
race
sont le dernier point que les recherches de l’ana
ndre. Or, comme ces dispositions générales sont différentes selon les
races
, ainsi qu’on peut aisément le constater, il faudr
rait en conclure qu’il y a autant de types d’homme moral qu’il y a de
races
, et transporter ainsi dans l’histoire de la civil
u moral préexiste à toute action des forces de temps, de milieu et de
race
; 2º qu’il n’y a qu’un seul et même type d’homme
2º qu’il n’y a qu’un seul et même type d’homme moral pour toutes les
races
, et que les différences que l’on constate entre l
s, et il n’y a qu’une seule et même âme pour les hommes de toutes les
races
et de toutes les conditions ; seulement cette âme
, chez le Slave et chez l’Indou, et, si elle est commune à toutes les
races
, elle nous ramène à une loi plus générale encore
aces, elle nous ramène à une loi plus générale encore que celle de la
race
. M. Taine, énumérant les causes qui ont fait du p
éduction en déduction à certaines dispositions générales propres à la
race
et nous dit : « Là s’arrête la recherche ; on est
on primitive, sur quelque trait propre à toutes les conceptions d’une
race
, sur quelque particularité inséparable de toutes
trouver le fond de l’âme humaine, il faut donc non pas s’arrêter à la
race
, comme nous le conseille M. Taine, mais aller au-
ais aller au-delà et saisir cet instinct universel dont l’instinct de
race
n’est qu’une première diminution et une première
tion. Ainsi l’homme intérieur est, au fond, identique dans toutes les
races
et préexiste à toute action des forces auxquelles
c pas créé, mais seulement dégagé et traduit par toutes ces forces de
race
, de milieu et de moment qui lui sont des auxiliai
un instant de votre esprit l’idée que les hommes appartiennent à des
races
différentes, évoquez par l’imagination quatre hom
f, le Celte, et vous aurez une image exacte des différents génies des
races
et des modifications qu’ils impriment à l’homme u
nstances et les accidents du monde extérieur, par-delà la chair et la
race
se dérobe la mystérieuse monade humaine avec ses
l pas venu ? La force du moment, la force du milieu et la force de la
race
le réclamaient également. Oui, même la force de l
a force de la race le réclamaient également. Oui, même la force de la
race
, car, en dépit de l’opinion consacrée, les França
homme, et son poème d’Hudibras, un chef-d’œuvre. Les instincts de la
race
ne manquent pas à Butler : c’est un lourdaud et u
. Cependant de ces trois forces il n’y en a qu’une seule, celle de la
race
, qui soit invariable et qu’on puisse dire fatale.
nsées, les mêmes visions, les mêmes sentiments, les mêmes images à la
race
d’hommes qui habite au milieu d’elle. Le poète le
utres images en face de cette nature renouvelée. Reste la force de la
race
. Elle est fatale, il est vrai ; mais cette fatali
r est mordu et à la fin détruit par la rouille ? La vérité est que la
race
ne se conserve réellement pure que dans l’état de
èmes n’est pas moins saxon que l’auteur des premiers ; le génie de la
race
reste intact et vierge, parce que cette race pers
remiers ; le génie de la race reste intact et vierge, parce que cette
race
persiste dans la barbarie. Maintenant, vienne la
s ne voulons pas dire par là que la civilisation prête au génie de la
race
des masques de plus en plus habiles pour se dissi
altérations lentes et successives. Ainsi la fatalité de l’instinct de
race
, comme celle de la nature, n’est après tout qu’un
Quoi qu’on puisse penser des opinions de M. Taine sur la force de la
race
, il faut reconnaître qu’elles sont parfaitement j
out autre sujet il donnait une importance prédominante à la notion de
race
, autant nous le louons de lui avoir donné la prem
historien de distinguer les sujets historiques où cette théorie de la
race
doit recevoir son entière application de ceux où
ne pourrait le supposer : il consiste à attribuer à cette force de la
race
exactement la même importance que lui attribue le
ier. Allez demander à un Français s’il lui importe beaucoup d’être de
race
celtique, il vous répondra qu’il lui importe surt
ais, qu’il ne sait ce que vous voulez lui dire avec votre question de
race
, et que jusqu’alors il avait cru lorsqu’on lui de
t. Chez le Français, l’idée de nationalité est distincte de l’idée de
race
, ou, pour mieux dire, l’idée toute morale de la n
e toute morale de la nationalité a effacé l’idée toute physique de la
race
. Maintenant, tournez-vous vers un Anglais et un A
ournez-vous vers un Anglais et un Allemand, et demandez-leur à quelle
race
ils appartiennent, l’un vous répondra qu’il est d
ur peu que vous les pressiez, vous découvrirez que le sentiment de la
race
est chez eux une religion qui touche presque à la
eux. Chez eux, l’idée de nationalité n’est pas distincte de l’idée de
race
, ou plutôt l’idée de nationalité s’est identifiée
plutôt l’idée de nationalité s’est identifiée avec l’idée même de la
race
. Ce n’est jamais un Anglais ou un Allemand qui au
est ou non de sang celtique ? L’Anglais a-t-il tort d’être fier de sa
race
et de se prévaloir à tout propos de son titre d’A
par un instinct profond dans leurs opinions sur cette question de la
race
et qu’ils ont des raisons excellentes soit pour o
s’est développée sans en tenir aucun compte. Cela veut-il dire que la
race
n’existe pas et que l’ancien génie gaulois ait ét
défenseurs de Numance ; seulement les choses du tempérament et de la
race
ne jouent malgré tout dans l’histoire de France q
ue rapide. Lorsque la nation française prit naissance, la théorie des
races
n’était pas encore inventée, et ses éducateurs et
raison. Ce fut avec l’homme absolu, qui est identique dans toutes les
races
, qu’ils dialoguèrent dès le premier jour, et non
jamais eu l’occasion de montrer de quelle poésie il était capable. La
race
ne joue donc pour ainsi dire aucun rôle dans la l
tant il se tromperait s’il attribuait une trop grande importance à la
race
en parlant de la France, autant il se tromperait
tance d’ailleurs, qu’il ne le pourrait pas, tant les caractères de la
race
sont accusés et marqués. Les génies des autres pe
rtain point en opposition avec tous les autres. Les génies des autres
races
échappent et fuient sous le regard de l’observate
ie d’un caractère déjà singulièrement tranché. Cette importance de la
race
une fois constatée, une conclusion s’en déduit na
il pas plus juste de dire que, comme Froissart, il représente non une
race
ou un peuple, mais un certain état de société qui
dmet pas dans la littérature anglaise cette marque particulière de la
race
confessent eux-mêmes que Shakespeare et Milton co
ds noms en revue ; chez tous, nous retrouverons cette substance de la
race
. Qu’y a-t-il de plus saxon que John Bunyan ? Et S
race. Qu’y a-t-il de plus saxon que John Bunyan ? Et Swift, à quelle
race
rapporterez-vous sa forme solide d’esprit, sa mis
, qui écrit dans Robinson Crusoé l’autobiographie psychologique de la
race
saxonne, ne peut, j’imagine, faire l’ombre d’un d
échappe pas plus que les sentiments vrais du cœur à l’influence de la
race
: quelle différence entre nos utopistes et ce rêv
ques, ces préférences sont pour les doctrines les plus ennemies de la
race
et du génie purement saxons. Il fait tout ce qu’i
haute voix. S’il est un poète qui eût dû échapper à la fatalité de la
race
, c’est bien celui-là ; ses admirations, ses haine
est celui dans lequel on retrouve le plus facilement les instincts de
race
tels qu’ils furent à l’origine, avant toute compl
s conceptions de notre manière de sentir et de penser ; l’instinct de
race
est tellement fort en lui, qu’il triomphe, et de
si vaste. Nous avons appuyé plus particulièrement sur la question de
race
, parce que cette question est la plus neuve de ce
u utile de montrer que la vérité de cette théorie si controversée des
races
était essentiellement relative aux sujets auxquel
portements et de colère : c’est une infirmité commune à ceux de notre
race
; mais, à cette exception près, sa vie fut irrépr
ur et de politesse qu’il avait élaboré pendant tout le moyen âge. Les
races
qu’il avait broyées et amalgamées en les brisant
Les doctrines de Jacques Ier ont duré, à tout prendre, autant que sa
race
, et ne se sont éteintes qu’avec la dernière consp
échapper au présent, il remontait en imagination dans le passé de sa
race
, il n’y rencontrait que meurtres et révoltes, roi
était le propre neveu de Bussy d’Amboise ; on voit qu’il chassait de
race
. Avec de pareils contemporains, les occasions de
ère qui réclame protection et pitié, inquiet pour les destinées de sa
race
et l’avenir de son pays ? Son cœur est trop plein
iens sincères et probes, il ne respecte rien à force de vertu. Chaque
race
d’hommes, quelque médiocre qu’elle soit, a produi
e l’art. Elis Wyn est vraiment le visionnaire et le mystique de cette
race
d’hommes à l’intelligence étroite et au cœur mora
oumises à toutes les crédulités de la chair. Elis Wyn appartient à la
race
des pasteurs qui ne savent moraliser que par l’ef
u Barde endormi à ceux qui doutent de la persistance des instincts de
race
et qui croient que l’on prononce de vains mots lo
oilà qui n’est point douteux. Que ce soit le dernier des hommes de la
race
inspirée, c’est possible ; mais certainement c’es
ossible ; mais certainement c’est un homme appartenant à cette grande
race
. Un atome, une étincelle, voilà en effet le génie
téraire ; il n’a été acteur dans aucun événement important pour notre
race
, il n’a même imposé au goût de son pays aucune di
à la tâche conjugale et à l’œuvre importante de la perpétuation de la
race
des Sterne. Nous ne les suivrons pas dans leurs d
nte, et dans peu de temps te chargeront de leurs plus doux fruits. La
race
emplumée t’appartient tout entière, et avec elle
saurait pas qu’on devinerait à sa gesticulation effrénée qu’il est de
race
mêlée. Il n’a rien, à aucun degré, de cette grave
contes où se traduisent les tendances — tout au moins idéales — de la
race
. Il n’éprouve aucune fausse honte à exposer, sous
traditions sont les suprêmes vestiges des croyances primitives de la
race
noire et, à ce titre, méritent d’être sauvées de
……………….. 1 Voici la répartition détaillée de ces contes, classés par
races
, pour permettre à ceux qui désireront étudier plu
udier plus spécialement la littérature merveilleuse de telle ou telle
race
, de se retrouver plus aisément dans ce recueil :
ueil : Classification des contes par répartition entre les diverses
races
I. Contes Ouolof (26). La légende de Diâ
aôbé et le yébem du cailcédrat. La mangeuse de clients. La fiancée de
race
yblisse. Le congé à l’hyène. Le fer qui coupe le
conviction, d’ailleurs — la création du monde, l’origine de certaines
races
ou de certains peuples, l’histoire des héros fabu
de la création de la femme selon les Môssi. Enfin, la différence des
races
et l’infériorité des noirs sont expliqués par des
parpiller leur manger (Pourquoi les poules etc…) ; les motifs qu’a la
race
caprine de redouter l’eau (La peur de l’eau) ceux
sorcière punie », de « L’implacable créancier », du « Vampire »). Les
races
gourmantié, haoussa et bambara surtout, semblent,
Les races gourmantié, haoussa et bambara surtout, semblent, comme la
race
bretonne en France, très hantées de l’idée de la
Op. cit.). 15. Le téné est l’animal « tabou » pour une famille, une
race
ou une tribu, celui qu’on ne doit pas tuer, ni su
vé et si cher au Matérialisme contemporain. Il ne croit, lui, qu’à la
race
. La race, selon lui, décide de tout dans la diffé
cher au Matérialisme contemporain. Il ne croit, lui, qu’à la race. La
race
, selon lui, décide de tout dans la différence des
. Faliés l’a posée nettement au début de son livre, cette question de
race
, comme le lampadaire de l’Histoire, et cela donne
séquent à ce principe, qu’il a posé : de l’influence du sang et de la
race
. Les sottes idées d’un temps égalitaire le prenne
Les sottes idées d’un temps égalitaire le prennent à la gorge. Si les
races
humaines supérieures doivent commander nécessaire
i les races humaines supérieures doivent commander nécessairement aux
races
inférieures, il n’y a donc dans le monde, selon l
opre aux Hellènes du Nord était brachycéphale ; c’est le résultat des
races
blanches avec les races jaunes. L’autre type, dol
d était brachycéphale ; c’est le résultat des races blanches avec les
races
jaunes. L’autre type, dolichocéphale, pris de la
scientifique. Influence de sa doctrine. Déterminisme littéraire : la
race
, le milieu, le moment. Principes de l’imitation a
il y a des familles d’esprits, comme en histoire naturelle il y a les
races
et des variétés. Mais on ne voit pas que Sainte-B
omplète. La littérature est déterminée par trois causes générales, la
race
, le milieu (physique ou historique), le moment (p
produisent866. » Ainsi, la littérature anglaise est le produit de la
race
anglaise, sous tel climat, dans telles circonstan
ociété du xviie siècle. La tragédie française est ce que, dans notre
race
, devait donner la tradition antique à la cour de
: non pas du caractère, qui est résolu en influences composées de la
race
, du milieu et du moment ; mais du génie, de la pr
taliennes, dans la peinture des Pays-Bas, l’action déterminante de la
race
, du milieu et du moment. Il donne les formules d’
its faits significatifs, il a encore ici fait jouer ses trois forces,
race
, milieu, moment, avec une étonnante vigueur d’ima
pour comprendre. Il note très finement les caractères généraux que la
race
, le milieu, le moment déterminent ; il explique l
es milieux où s’agitent les problèmes contemporains, ces formules : «
races
latines », « famille latine », « infériorité ou s
cette terminologie n’a aucune valeur scientifique. Il n’y a pas de «
race
latine », au sens anthropologique. Cette appellat
sion est empreinte d’une réelle signification. Il n’y a certes pas de
race
latine, mais il y a une civilisation latine. Les
n « groupe latin », un « monde latin » — en laissant de côté le mot «
race
», qui prête trop à l’équivoque par la rareté de
d’ailleurs les plus diverses familles humaines au point de vue de la
race
aient contribué à la formation de chacun de ces d
intime analogie, malgré tout persistante — malgré les différences de
races
, de vicissitudes historiques, de situation géogra
l’univers antique, parcourant l’Europe, l’Afrique et l’Asie comme une
race
de géants et de conquérants. Le Gaulois surgit co
nqueur, conservant au dedans de lui-même la fidélité à l’esprit de sa
race
: c’est tout entier qu’il se donne, qu’il oublie
rême vieillesse sans transition. Quel plus sûr moyen de corrompre une
race
? Si l’on mettait un enfant en présence des œuvre
idi, sa puissance de dévirilisation et de dissolution. L’individu, la
race
n’ont pas été entamés ; ce ne fut en rien cette p
résentatives de ce fort individualisme, rebelle à l’absorption, de la
race
germanique. On sait de quelle gloire, en pays ger
eut là qu’une reprise de soi, une fidélité à l’appel réentendu de la
race
et de l’instinct, après qu’il se fut laissé naïve
demeuré lui-même, au sein du christianisme. Durant le moyen âge « la
race
germaine, écrit Chasles, restait malgré son somme
igieuse ! Comme il dénonce clairement l’initiale dévirilisation de la
race
! Telle est, à notre sens, la raison véritable d
formule déjà énoncée, au degré d’originalité ethnique et d’énergie de
race
demeurées au fond de chaque peuple. L’insuccès de
iècle, la tardive mais logique conséquence de l’usure primitive de la
race
, de sa dénaturation, de sa perte d’énergie de fon
secrètes de la conscience, des ressources suffisantes, en énergie de
race
, en vigueur d’origine, pour vaincre quand même et
e supériorité. On sait que de nos jours un pur « Latin » se doit à sa
race
et à lui-même de considérer — intérieurement tout
oyalement accepté, avait recouvert et non remplacé le sentiment de la
race
. Et le réveil de ce sentiment, le besoin à nouvea
dance intime est enseveli depuis vingt siècles, où les énergies de la
race
se sont dissoutes avant même que se constitue un
même temps qu’une réforme religieuse, une sorte de résurrection de la
race
allemande, du sentiment et de l’esprit allemands.
rce ethnique et la pureté d’énergie que l’on doit à la nature et à la
race
? Le Væ victis n’est pas seulement un mot de rhét
t que cet esprit natif indigène était le trésor inaliénable de chaque
race
. Nous mettons notre honneur à nous faire dès l’or
fondons dès lors et sans retour avec l’idée de civilisation. » Une
race
d’hommes s’évanouit, elle perd la conscience de s
llit une certaine lumière sur le fond permanent de notre histoire. La
race
indigène a été conquise deux fois, d’abord par le
l’épuisement. Par là s’expriment notre génie natif, notre énergie de
race
, notre endurance particulière. Sur ce terrain nou
suffit à notre ambition. Et telle est l’irréductible propension de la
race
à agir verbalement, que l’expérience n’a jamais p
érieux » de l’âme latine le résultat d’une corruption primitive de la
race
? Le Français d’aujourd’hui, avec ses tares carac
que, vaincus, ils ont inhalé le poison romain. Dès lors le sang de la
race
a charrié un germe morbide. Deux fois l’antidote
lide base, un capital d’énergie initiale venant des profondeurs de la
race
, un fonds de réserve, quelque chose comme un « tr
érieure, l’atonie des caractères, l’anéantissement des énergies de la
race
? Une senteur de mort flotte autour de ces cervea
est la seule vraie, la seule belle, la seule digne de l’avenir. Sa «
race
» est la race élue pour distribuer la vérité et l
vraie, la seule belle, la seule digne de l’avenir. Sa « race » est la
race
élue pour distribuer la vérité et la beauté au mo
n-Francisco, considérés comme expressions d’une civilisation et d’une
race
? Je suis bien loin de nier que Paris et certains
étudié scientifiquement ce problème, tout se réduit à une question de
race
. Le monde septentrional, « barbare » et protestan
e de par ses qualités natives. Elle est, dans le monde occidental, la
race
entre toutes audacieuse, entreprenante, libre, au
assez exactement proportionnelle au nombre absolu d’individus de pure
race
Europœus. » Si on admet celle opinion, il faut r
l’influence zoologique : tout en admettant absolument la théorie des
races
humaines supérieures et inférieures, niée par cer
utte non sanglante, de cette refonte méthodique et scientifique d’une
race
sous la direction d’une intelligence nette et réa
la base du nouvel édifice, ce serait la reconstruction physique de la
race
. Il n’y a pas de partie dans l’œuvre de réforme
ncore qui serait à réaliser. Ce mode de reconstitution physique de la
race
par un travail opéré sur l’ensemble d’une générat
moins. Le sélectionnisme préconise la formation d’une humanité, d’une
race
ou d’une nation nouvelle au moyen de procédés rig
ion obligatoire dans le but d’éliminer quelques-uns des défauts de la
race
». Suivant les sélectionnistes, les moyens à empl
but à atteindre demeure identique : la reconstitution physique de la
race
sur une base de santé et de force, la création mé
ue d’un animal humain normal et vigoureux, et rien autre. Tant que la
race
ne sera pas réinvigorée, nulle réforme n’aura de
ment de muscles qu’exige la vie normale. Cette refonte physique de la
race
aurait pour résultat de réintégrer l’homme des na
et présente affiche le dédain. Rentrée dont la réforme physique de la
race
constitue la première phase, la plus significativ
et de reconstruire sur des bases nouvelles, suivant les besoins de la
race
et de l’époque. Sur ce terrain nous rencontrons t
de combattre et de refouler les ataviques tendances irréalistes de la
race
, sa propension au rêve stérile, au sophisme, à l’
vastes dépotoirs — que de milieux nouveaux pour l’expansion de notre
race
, que de réservoirs d’énergie jeune, de santé et d
tes les terres disponibles du globe étant accaparées, l’attention des
races
énergiques et conquérantes se tournera vers les c
les besoins incompressibles d’activité, de création, d’expansion des
races
jeunes ou en pleine virilité, par la force perpét
exploitation méthodique de l’Espagne par des individus de différentes
races
va sans doute commencer. La France aura également
oujours éliminés. Les civilisations inférieures, anachroniques, les «
races
incompétentes » disparaîtront. Cela est certain.
une conscience moderne, ou bien ils périront, éliminés, au profit des
races
supérieures dont rien ne peut arrêter l’accroisse
ieux. Ce ne serait nullement par simple raison d’inimitié entre notre
race
et celle de nos vainqueurs. Ce serait pour faire
L’Italien qui émigré n’apporte-t-il pas les qualités spéciales de sa
race
aux contrées nouvelles ? Il y a des exemples très
s prolifiques et pullulants, et ils sont revenus usés et stériles. La
race
fameuse par ses larges épaules, ses bras musculeu
ang bouillant comme un jeune vin, s’est épuisée à détruire toutes les
races
antérieures, à façonner la terre conquise, à domp
isant par les religions, les lettres et les arts. C’est à présent une
race
malingre, chétive, aux membres d’avorton, au sang
savoir accumulé de toute la civilisation conquise et formulée par la
race
entière. Chacun sent approcher le moment où il se
sent approcher le moment où il sera le dernier représentant de cette
race
, et à lui seul, l’âme de la terre. Car les naissa
les, moins épaisses et moins hautes que celles de jadis, grouille une
race
vierge pour qui le monde aussi redevient vierge ;
s’empêcher de croire que l’avenir se passera du concours de certaines
races
retardataires — poids trop lourd à traîner après
t que, dans l’économie générale de l’univers, la priorité passe d’une
race
à une autre race et que des organismes meurent po
nomie générale de l’univers, la priorité passe d’une race à une autre
race
et que des organismes meurent pour faire place à
identique au problème moral de la destinée de l’humanité. « Voici des
races
d’hommes qui descendent du sommet des plateaux de
fondent des villes, des empires qui passent. « Voici, en Europe, des
races
d’hommes dont on ignore encore les commencements,
dent des villes, des empires ; c’est la Grèce, elle n’est plus !… Une
race
d’hommes différente encore est venue qui a détrui
ires, apporté une civilisation nouvelle, elle n’est plus !… Voici des
races
d’hommes sorties des forêts de la Germanie, qui f
velle transformée par le christianisme. Voici encore, en Afrique, une
race
d’hommes qui ont le crâne, la peau, l’intelligenc
d’une autre manière. Voici, dans les deux Amériques, encore d’autres
races
d’hommes. « La science moderne, en fouillant cett
moderne, en fouillant cette terre, a découvert les restes informes de
races
d’hommes, d’espèces informes aussi, immenses ; …
uedoc est-il réuni à la France du nord, union que ni la langue, ni la
race
, ni l’histoire, ni le caractère des populations n
s serions sérieux, actifs, protestants, parlementaires. Notre fond de
race
est le même que celui des Iles Britanniques ; l’a
taire dans le monde est un fait germanique. C’est probablement par la
race
germanique, en tant que féodale et militaire, que
la sera conforme aux précédents historiques ; car un des traits de la
race
germanique a toujours été de faire marcher de pai
des avantages d’éducation et quelquefois une certaine supériorité de
race
. Quand il s’agit de la désignation du souverain e
demi-siècle la plupart des nations de l’Europe, et en particulier la
race
qui offre en tout le contraire de nos qualités et
ns d’autrefois, l’envie de s’agrandir, la foi nationale, l’orgueil de
race
duraient encore. La Russie, par ses instincts pro
les et en particulier la qualité qui donne toujours la victoire à une
race
sur les peuples qui l’ont moins, la chasteté 5, e
ne seconde fois voir se dresser devant elle son éternelle ennemie, la
race
germanique ou plutôt slavo-germanique du Nord, en
ations à régler leur sort. Ces dernières idées, loin de fortifier une
race
, la désarment, la rendent impropre à toute action
ction créant artificiellement pour le bien de la société une sorte de
race
à part. La noblesse n’a plus chez nous aucune sig
e race à part. La noblesse n’a plus chez nous aucune signification de
race
, Elle résulte d’une cooptation presque fortuite,
n homme, préfère toujours s’appliquer à ce en quoi il excelle ; or la
race
germanique sent sa supériorité militaire. Tant qu
quelle sentira cela, elle ne fera ni révolution, ni socialisme. Cette
race
est vouée pour longtemps à la guerre et au patrio
euples germaniques et slaves conserveraient leurs illusions de jeunes
races
, nous leur resterions inférieurs ; mais ces races
illusions de jeunes races, nous leur resterions inférieurs ; mais ces
races
vieilliront à leur tour ; elles entreront dans la
absorbent le monde au même degré. Les questions de rivalité entre les
races
et les nations paraissent devoir longtemps encore
cialisme, à la guerre du riche et du pauvre, la conquête d’un pays de
race
inférieure par une race supérieure, qui s’y établ
riche et du pauvre, la conquête d’un pays de race inférieure par une
race
supérieure, qui s’y établit pour le gouverner, n’
toute conservation et de toute légitimité. Autant les conquêtes entre
races
égales doivent être blâmées, autant la régénérati
entre races égales doivent être blâmées, autant la régénération, des
races
inférieures ou abâtardies par les races supérieur
, autant la régénération, des races inférieures ou abâtardies par les
races
supérieures est dans l’ordre providentiel de l’hu
bards, des Normands ; chacun sera dans son rôle. La nature a fait une
race
d’ouvriers, c’est la race chinoise, d’une dextéri
un sera dans son rôle. La nature a fait une race d’ouvriers, c’est la
race
chinoise, d’une dextérité de main merveilleuse sa
ur le bienfait d’un tel gouvernement un ample douaire au profit de la
race
conquérante, elle sera satisfaite ; — une race de
ouaire au profit de la race conquérante, elle sera satisfaite ; — une
race
de travailleurs de la terre, c’est le nègre ; soy
gre ; soyez pour lui bon et humain, et tout sera dans l’ordre ; — une
race
de maîtres et de soldats, c’est la race européenn
out sera dans l’ordre ; — une race de maîtres et de soldats, c’est la
race
européenne. Réduisez cette noble race à travaille
maîtres et de soldats, c’est la race européenne. Réduisez cette noble
race
à travailler dans l’ergastule comme des nègres et
r la vie héroïque, et que vous appliquez à une besogne contraire à sa
race
, mauvais ouvrier, trop bon soldat. Or la vie qui
orale n’est pas le résultat d’une doctrine en particulier, mais de la
race
et de la vigueur de l’éducation. Nous avait-on as
au moyen de l’industrie, par la réduire à peu de chose. La lutte des
races
se dresse alors. Quand une population a fait prod
européen n’en vienne a être uniquement occupée par deux colosses, la
race
germanique et la race slave, qui ont gardé la vig
a être uniquement occupée par deux colosses, la race germanique et la
race
slave, qui ont gardé la vigueur du principe milit
s dans les contes et fables les tendances idéales et théoriques de la
race
dont ils émanent. La geste de S.-G. Diêgui, nota
tre évolution à l’état présent de la civilisation chez telle ou telle
race
indigène, il n’y aurait aucune audace à admettre
xiste toujours — avouée ou non avouée — au fond du cœur de toutes les
races
. Les apologues et les fables sont intéressants en
rs de dévouement des parents envers leurs enfants chez les peuples de
race
blanche. Dans le conte peuhl de La Mauresque, dan
père pour ses enfants, ce que l’on constatera chez les mères de toute
race
(V. le conte du prince qui ne veut pas d’une femm
r l’Européen, prendrait comme type de la beauté pure les traits de la
race
blanche. Ce ne serait donc que sous les plus expr
raits du visage et la couleur de la peau se rapprochent le plus de la
race
blanche ». Une seule certitude ressort, à ce poi
a, comme dans l’histoire de Yamadou Hâvé, un acte de dévouement à la
race
, ce dévouement-là n’a qu’un rapport relatif avec
le conte de ce nom elle se sacrifie pour son père plutôt que pour sa
race
. Esprit d’association. — Le noir a-t-il tendance
ation de la part de gens qui traitent dédaigneusement ceux des autres
races
de mangeurs d’herbe124 — mais on ne verra pas d’e
efuse son admiration — toute platonique — aux qualités que toutes les
races
humaines s’accordent à honorer, sinon à mettre en
retrouvent pour la plupart dans les littératures mythiques des autres
races
avec des variantes assez légères. D’autres, au co
d nombre qui prouvent que tel est un colosse, comparé aux êtres de sa
race
, qui se trouve n’être plus qu’un nain minuscule e
thème est très fréquemment développé. Le dévouement d’un homme à sa
race
. — (V. Le Dévouement de Yamadou Hâvé et (peut-êtr
le thème de maints contes gaillards de tous les pays et de toutes les
races
d’hommes. L’humanité ne se lasse pas de se gausse
là un sûr moyen de gagner des trésors. V. MBaye Poullo, La fiancée de
race
yblisse, etc.42 Les épreuves bizarres auxquelle
en effet que l’influence qui paraîtrait la moins probable — celle des
races
européennes avec lesquelles le noir est en contac
des obstacles naturels suscités par la sorcellerie. Cf. La fiancée de
race
yblisse — La queue d’Yboumbouni — Khadidia l’avis
raîche. Voir La femme de l’ogre — La lionne coiffeuse — La fiancée de
race
yblisse. Cf. Le petit Poucet. L’ogresse ou la so
te d’un animal pour déjouer les invites doucereuses d’un ennemi de sa
race
. — Cf. L’hyène et le bouc à la pêche. — L’hyène e
s. Les substitutions d’enfants. — Un génie substitue un enfant de sa
race
à un enfant de race humaine. Cette tradition est
s d’enfants. — Un génie substitue un enfant de sa race à un enfant de
race
humaine. Cette tradition est également allemande
sucrier, des pinces à feu, etc. (Es war einmal. Paul Arndt). Pas de
races
traditionnellement caricaturées comme les Souabes
a littérature ne soit pas le reflet toujours fidèle de l’esprit de la
race
qui en fait son moyen d’expression. Pas de légen
ent on pouvait remonter, de degré en degré, jusqu’à l’intrusion d’une
race
étrangère au sein de la Gaule, et à sa domination
ace étrangère au sein de la Gaule, et à sa domination violente sur la
race
indigène ». Ainsi, occupé à chercher des armes «
anismes intérieurs et profonds. Thierry se contentait de regarder les
races
: Michelet sentit qu’aux races il fallait donner
Thierry se contentait de regarder les races : Michelet sentit qu’aux
races
il fallait donner « une bonne, forte base, la ter
que région, au physique et au moral. Thierry posait l’antagonisme des
races
comme donnée primordiale et comme loi supérieure
et comme loi supérieure de l’histoire, en Angleterre, en France : les
races
étaient pour lui des entités irréductibles, indes
orce vive, de l’humanité qui se crée ». Ce qu’il aperçoit, au lieu de
races
immuables, « c’est le puissant travail de soi sur
ropre va transformant tous ses éléments bruts ». Au début, il y a des
races
, et dans les temps barbares, la race est un facte
s bruts ». Au début, il y a des races, et dans les temps barbares, la
race
est un facteur considérable de l’histoire : plus
race est un facteur considérable de l’histoire : plus on va, plus la
race
est faible et plus elle s’efface. Michelet veut v
t des Atrides que l’Orestie met en scène. La fable grecque n’a pas de
race
plus sinistre ; celle des Labdacides ne l’égale p
mangé des serpents. » De même la Chimère de crimes que représente la
race
de Pélops s’est formée sans doute par des absorpt
m ou Rama, Siegfried ou Pélage. La première malédiction portée sur la
race
remonte à Tantale, son ancêtre et son patriarche.
s. Avant leur noble transformation, opérée par le génie clément de la
race
, quelques dieux venus de l’Asie avaient rapporté
e ciel. Mais, dès qu’elle eut pleine conscience d’elle-même, la noble
race
abjura ces meurtres sacrés, son âme généreuse en
malédiction atteignit encore le fils de Tantale, et rejaillit sur sa
race
. Parvenu à l’adolescence, le héros « à l’épaule d
d’une malédiction nouvelle. Le ciel se faisait sombre autour de cette
race
; le trésor des colères divines amassé par elle t
dernières conquêtes normandes au Xe ? Ils changèrent peu le fond des
races
; mais ils imposèrent des dynasties et une aristo
Goths, les Lombards, les Normands avaient très peu de femmes de leur
race
avec eux. Pendant plusieurs générations, les chef
habitants de la France sont des Français. L’idée d’une différence de
races
dans la population de la France, si évidente chez
mment la Suisse, qui a trois langues, deux religions, trois ou quatre
races
, est-elle une nation, quand la Toscane, par exemp
n ? En quoi le principe des nationalités diffère-t-il du principe des
races
? Voilà des points sur lesquels un esprit réfléch
rcher par un exemple en quoi consiste le beau et comment il naît. Une
race
se rencontre ayant reçu son caractère du climat,
dans son art, plus il a pénétré dans le génie de son siècle et de sa
race
. Il a fallu la finesse, la sobriété, la gaieté, l
ntier, l’écrivain est un Racine. Si cet esprit est le fond même de la
race
et reparaît à chaque siècle, l’écrivain est un La
facultés primitives ou maîtresses qui constituent ou transforment les
races
et les âges, et nous embrassons l’infiniment gran
ossibilité où nous sommes de rien savoir concernant les instincts des
races
éteintes. Les changements d’instincts peuvent êtr
nes époques. Il suffit de songer à ce qu’on observe chez nos diverses
races
de Chiens. On ne saurait contester que de jeunes
me un exemple frappant. Le sauvetage est de même héréditaire chez les
races
dressées à cet effet, comme chez les Chiens de be
ulée sous des conditions de vie moins constantes. Lorsque différentes
races
de Chiens sont croisées, on voit encore mieux que
nté pendant de nombreuses générations le courage et la ténacité d’une
race
entière de Lévriers, de même qu’un seul croisemen
urs aurait pu y réussir ? C’est si bien un instinct héréditaire de la
race
, que j’ai vu moi-même de jeunes sujets accomplir
prendre cette étrange habitude, et ayant légué la même tendance à sa
race
, la sélection longtemps continuée à travers les g
sait qu’une pareille tendance se manifeste quelquefois chez diverses
races
, et je l’ai constatée moi-même chez un pur Terrie
ée. Dès que la disposition à arrêter fut devenue assez forte dans une
race
pour être remarquée et appréciée, la sélection mé
par ce seul fait que chacun, sans avoir aucun dessein d’améliorer la
race
, cherche sans cesse à se procurer les chiens qui
stique. Nous avons un remarquable exemple de cette loi dans certaines
races
de Poules qui ne demandent jamais à couver. C’est
d’Inde commun, que l’on considère comme la souche mère de toutes nos
races
domestiques, lors même que ces poussins ont été c
dant, comme elles-mêmes sont stériles, elles ne peuvent propager leur
race
. Un tel sujet mériterait d’être longuement discut
ont des cornes plus longues que les taureaux ou les vaches de la même
race
. Je ne puis donc regarder comme impossible qu’une
; mais l’horticulteur sème un plus grand nombre de graines de la même
race
dans l’espérance d’obtenir la même variété. De mê
élection, que je ne doute en aucune façon qu’on ne puisse obtenir une
race
de bétail produisant constamment des bœufs à corn
nt aucun bœuf n’aurait jamais contribué lui-même à propager une telle
race
. Il doit en avoir été de même, je pense, parmi le
urs habitudes et jusqu’à leur stérilité, tout est héréditaire dans la
race
, en tenant compte seulement de cette loi étrange
ette progression est rapide. Cette règle s’applique même aux diverses
races
humaines, et aux divers représentants de ces race
même aux diverses races humaines, et aux divers représentants de ces
races
; car les nations les moins avancées comme civili
dépassé, du côté de l’ouest, la plage de Saint-Michel en Grève. Notre
race
est coutumière de courir ainsi le monde quand le
i, j’aime mieux la superstition que le fanatisme. Toutes nos vieilles
races
de l’Occident et du Nord ont été ou sont encore s
la nôtre, neufs dans la vie et antiques à la fois. Nous croyons à la
race
, car nous la sentons en nous. C’est ce que je me
isme étroit. Ce qu’il y a de meilleur en nous vient d’avant nous. Une
race
donne sa fleur, quand elle émerge de l’oubli. Les
en nous sans nous, et forment la meilleure partie de l’apanage d’une
race
et d’une nation ? Merci donc, chers amis, d’avoir
istoire des gains. — § I. Histoire naturelle de l’homme. Variétés des
races
humaines ; unité de l’homme. — § II. Histoire de
rs sur le style. §. I. Histoire naturelle de l’homme. Variétés des
races
humaines ; unité de l’homme. En passant de Vol
était de leur avis. Le seul titre du chapitre sur les Variétés de la
race
humaine trancha la question en la posant. Il y a
la race humaine trancha la question en la posant. Il y a différentes
races
humaines ; il n’y a qu’une espèce : le nègre est
les quatre parties du monde ; il en divise les populations en quatre
races
principales, dont il peint les traits caractérist
le conquête de l’espèce humaine désormais réhabilitée dans toutes ses
races
: c’est l’unité de l’homme. Parmi les vérités sci
niée. Voltaire y opposa une théorie qui, en expliquant la variété des
races
par l’apparition multiple de l’homme sur divers p
berté des noirs. Buffon, traçant un portrait du caractère moral de la
race
nègre, avait dit : « Je ne puis écrire leur histo
l’homme. — Chasteté du pinceau de Buffon. Le premier historien des
races
humaines est aussi le plus fidèle historien de l’
n alors qu’aujourd’hui, a créé dès le premier jour tout être et toute
race
d’êtres au degré de perfection que comporte la na
u degré de perfection que comporte la nature de ces êtres ou de cette
race
d’êtres dans l’économie divine de son plan parfai
ration prolongeait indéfiniment sa vie et multipliait à proportion sa
race
sur la terre, d’une part cette génération sans fi
umière, de vertu, de civilisation, de félicité sur la terre, dans les
races
qui nous ont précédés ici-bas ? Où est la perfect
nous ont précédés ici-bas ? Où est la perfectibilité visible dans ces
races
qui ont pullulé en tribus, en nations, en dominat
tions sur ce globe, depuis les temps historiques ? Quelle est donc la
race
qui n’ait pas suivi le cours régulier de naissanc
il apporte et emporte incessamment les choses mortelles. XI Ces
races
en passant nous ont laissé, soit dans leurs livre
rs le sépulcre. Or, qu’est-ce que le progrès dans le bonheur pour une
race
dont chaque être marche à son supplice prochain e
me une impulsion au dévouement méritoire que nous devons tous à notre
race
, à notre famille humaine, à nos frères en bien et
mal, à notre patrie, à l’humanité : s’intéresser au sort commun de sa
race
, travailler avec désintéressement au sort futur d
n de sa race, travailler avec désintéressement au sort futur de cette
race
que l’on ne verra pas, c’est le dévouement, c’est
attesté comme une vérité. XIII Nous voyons partout en effet une
race
humaine tombée dans l’ignorance et dans la barbar
la vertu d’un seul sanctifie une foule, le sang d’un seul rachète une
race
; le plus glorieux ou le plus humble dévouement s
conséquence de cette première altération par la liberté, toute cette
race
solidaire subirait une expiation inexpliquée, jus
lateur, ton éternité compensera ta minute ; souffre pour justifier ta
race
coupable, ou souffre pour conquérir ta propre fél
is je remerciai Dieu à haute voix, en me relevant, d’appartenir à une
race
de créatures capables de concevoir de si claires
hilosophie et dans la poésie de la prodigieuse vieillesse d’une telle
race
humaine. XXXIII Aussi, avant d’entrer dans
iers par leurs grandes qualités de peuple, par la supériorité de leur
race
. C’est en raison même de cette supériorité que le
omptement romaine, c’est qu’elle avait compris, avec l’instinct d’une
race
supérieure, que l’unité Romaine valait mieux pour
t, que dis-je ? eux-mêmes, les Germains, malgré l’infériorité de leur
race
comparée à la race gauloise, furent atteints à le
-mêmes, les Germains, malgré l’infériorité de leur race comparée à la
race
gauloise, furent atteints à leur tour par ce prod
uer qu’il ne parle nulle part des Germains comme des vainqueurs de sa
race
. Quant à l’Empire Romain, que les Barbares ne dét
historien s’acharne à prouver qu’il n’y eut jamais dépossession d’une
race
par une autre race. La Gaule romanisée resta l’ég
à prouver qu’il n’y eut jamais dépossession d’une race par une autre
race
. La Gaule romanisée resta l’égale de la société f
parmi nos produits domestiques et des variations moins apparentes des
races
sauvages ; on se rappelle aussi quelle est la for
n’aient plus de chance que les autres de survivre et de propager leur
race
. D’un autre côté, il n’est pas moins certain que
t laissé ces étrangères prendre définitivement possession du sol. Des
races
étrangères ayant ainsi battu partout quelques-une
ient beaucoup plus franchement accusées dans leurs caractères que les
races
domestiques, qu’elles soient infiniment mieux ada
us de couleur particulière ne puisse produire que peu d’effet sur une
race
. Nous avons déjà vu combien il est essentiel dans
ection sexuelle, en permettant toujours au vainqueur de reproduire sa
race
; peut sûrement donner à celle-ci, à l’aide du co
ssi bien que le brutal éleveur de Coqs de combat peut en améliorer la
race
par un choix rigoureux des plus beaux individus.
rences sexuelles à cette cause ; car nous voyons se produire chez nos
races
domestiques des singularités qui deviennent propr
les ou les protubérances en forme de corne chez les Coqs de certaines
races
, etc. Des exemples analogues se présentent à l’ét
séder les meilleurs Chiens sans avoir aucune intention de modifier la
race
. Sans même supposer aucun changement dans les nom
nes près des autres, il est presque impossible d’élever des plants de
race
pure, tant elles se croisent naturellement. D’apr
s près des autres, et, sur ce nombre, il ne s’en est trouvé que 78 de
race
pure, encore quelques-uns d’entre eux étaient-ils
bilité des caractères n’a pas empêché l’homme de créer d’innombrables
races
héréditaires dans le règne animal et dans le règn
s ; mais quand beaucoup d’hommes, sans avoir l’intention d’altérer la
race
, ont un idéal commun de perfection et que tous s’
ne cause d’extinction analogue résulter du choix que fait chacune des
races
les plus utiles. On pourrait citer de fréquents e
iter de fréquents exemples montrant avec quelle rapidité de nouvelles
races
de Bœufs, de Moutons et autres animaux, ou de nou
res animaux, ou de nouvelles variétés de fleurs, se substituent à des
races
inférieures plus anciennes. Dans le comté d’York,
successives de variations semblables n’aurait jamais pu produire des
races
aussi différentes que nos Bœufs à petites cornes
ue nos Chevaux de trait et nos Chevaux de courses ou que nos diverses
races
de Pigeons, etc. Mais qu’un amateur remarque chez
s ; après des siècles écoulés, ces deux sous-races sont devenues deux
races
permanentes et bien distinctes. À mesure que ces
es différences d’abord à peine appréciables, et de faire diverger les
races
de forme, de constitution et d’habitudes, soit en
i l’un ni l’autre aient donné naissance à quelque nouvelle branche ou
race
. Au bout de dix mille générations, on peut donc c
nos variétés domestiques : quoiqu’elles puissent différer des autres
races
de la même espèce en l’un de leurs organes princi
J’emploierai, donc ici endémique dans le sens propre ou spécial à la
race
sans considération des milieux, aborigène comme s
e ces espèces, et nous garderons celui d’autochtone pour désigner les
races
que l’on sait historiquement ou par preuves certa
ionomie et en font une personnalité. Ils ne sont que des portraits de
race
, — d’une race de guerre forte comme le Nord, dont
font une personnalité. Ils ne sont que des portraits de race, — d’une
race
de guerre forte comme le Nord, dont ils sont les
a rayonné sur les champs de bataille du monde. L’individualité de la
race
prime en eux et étouffe l’autre et véritable indi
elle, qui sait ? il rentrerait peut-être dans l’aspect général de sa
race
, et, comme les autres de cette race unitaire, de
-être dans l’aspect général de sa race, et, comme les autres de cette
race
unitaire, de cette moelle de roi comme dit le nom
e siècle ! Quelle objection contre les systèmes de température et de
race
que la figure de cette femme du Nord (madame de P
t tous ces tonnerres, que c’était le triomphe grandissant d’une autre
race
. Enfin, les lucides héros de M. Henrik Ibsen, un
lution française, était encore suffisamment vivante pour régénérer la
race
actuelle et fortifier notre jeune sang. La sensib
t. Son hérédité particulière reproduit en petit l’hérédité même de la
race
française, de qui la substance première, d’origin
ction divine des espèces, du transformisme auguste et merveilleux des
races
. Grâce à un enseignement plus conforme aux nécess
lescence. Mais il s’est roulé sur la poitrine de Pan. Il a rajeuni sa
race
, dans cette absorption de tout son être parmi les
. Nourri de la science moderne, il voulait chanter la descendance des
races
sur la terre, évoluant et se métamorphosant, dans
al, comme le phénomène contient la loi, il détacha du grand arbre des
races
une grappe humaine, forte, gonflée de vie et de s
l’on peut, sans peine, retrouver dans les entrailles ténébreuses des
races
. C’est ainsi que le Romantisme, dont Émile Zola l
itait comme un ci-devant. Or, un tel empire moral, s’il a illustré la
race
, plus que la gloire des armes, n’a pas manqué de
e. En vérité, son œuvre est admirable. Il a glorifié la fécondité des
races
, la végétation splendide et vivace de la chair hu
tes mamelles des mères, richement épanouies pour la santé des futures
races
. Il a dit encore la pudeur peureuse des vierges,
un être conscient et libre, responsable, sans aucune attache avec sa
race
ou avec la nature. Dans les romans de ses devanci
. Puis, c’est la descendance biblique des familles, des tribus et des
races
, s’accomplissant selon de simples rythmes graves
eux et sculptural de cellules mouvantes. Il sait que le mouvement des
races
se dessine déjà en principe dans les tendances qu
ves et moins beaux, moins chastes et moins grands. * * * Noces des
races
, fêtes du travail, hymne de la matière glorieuse,
emps antérieurs, élaboré lentement les formes actuelles des nouvelles
races
. Après avoir fleuri, après s’être épanouis à la l
stons au recommencement d’une humanité, à la nouvelle floraison d’une
race
. Car il faut bien l’avouer, au cours de la longue
aissant et se fondant, dans la splendeur, la force et la vitalité des
races
. Il aura simplifié les gestes et les aventures de
d’abord, comme décidément inférieure et rapetissante, la question de
race
et surtout celle de nationalité. Si un homme souf
’âme blanche du Moyen Âge », si chère à M. Huysmans… quoi ! voilà une
race
que vous avez murée pendant des siècles dans les
ment, dans les salons de la Finance ! Maintenant, toutes questions de
race
et de religion écartées, nous nous retournons ver
eulement, de merveilleuses occasions de montrer, soit en faveur d’une
race
, soit en faveur d’une nation, soit en faveur d’un
que et un mystère ; que le peuple juif est un abrégé symbolique de la
race
humaine, représentant, dans ses aventures, tout c
de sang qui inondent le globe depuis le fratricide de Caïn, dans les
races
maudites descendues de Cham, qui habitent une des
trouvé assez de plaintes pour la multitude des maux partagés entre la
race
humaine. De plus, comme dans l’Écriture tout a un
un prêtre nommé Zacharie, du sang d’Abia : sa femme était aussi de la
race
d’Aaron ; elle s’appelait Élisabeth. « Ils étaien
u monde. Arrivé aux premières générations, et continuant à nommer les
races
, il dit : Cainan qui fuit Henos, qui fuit Seth,
son héroïsme ; il a en lui du Polonais, et il n’est pas fait pour sa
race
. L’armée des Zaporogues, après avoir bien ravagé
avec des vivres. Dès ce moment il est perdu pour sa religion, pour sa
race
, pour son père. Le moment où le vieux Tarass appr
mployées l’écrivain devenu poëte nous font entrer dans le génie de la
race
: « Tarass voyait bien que, dans les rangs mornes
lle puissance le courage dans leur âme. C’est une qualité propre à la
race
slave, race grande et forte, qui est aux autres r
e le courage dans leur âme. C’est une qualité propre à la race slave,
race
grande et forte, qui est aux autres races ce que
lité propre à la race slave, race grande et forte, qui est aux autres
races
ce que la mer profonde est aux humbles rivières.
réussirent pas à le supprimer. Une fois plantée dans les mœurs d’une
race
militaire, de cette race mêlée de Gaulois et de F
rimer. Une fois plantée dans les mœurs d’une race militaire, de cette
race
mêlée de Gaulois et de Francs, guerrière des deux
pas assez, en réalité, pour qui pense ; mais c’était l’illusion d’une
race
si profondément militaire qu’à ses yeux la magie
, même mérité ! Et il n’y avait pas là que l’instinct militaire de la
race
dans cette persistance de la coutume du duel, en
ire, depuis si longtemps insulté, et la décadence même physique de la
race
, visible maintenant à tous les yeux. C’est que, s
intenant à tous les yeux. C’est que, si décadente qu’elle soit, cette
race
a en elle (nous l’avons dit plus haut) ce qui ne
n’osant se faire une idée du futur, se demandant même parfois si les
races
n’allaient pas être englouties dans quelque unive
t 1873. S’il ne fallait considérer que l’honneur et la vitalité de la
race
, je ne pourrais le croire. Je n’en fais ici ni un
s celle-ci dans l’esprit de ces subtils prélats : « Nous sommes d’une
race
qui est la race française, mais nous sommes avant
l’esprit de ces subtils prélats : « Nous sommes d’une race qui est la
race
française, mais nous sommes avant tout les fils r
itime orgueil et d’espoir insondable cette nécropole des génies de sa
race
? Ses grands politiques, les Palmerston, les Rich
ui se puisse trouver, le laboratoire le plus actif de l’énergie d’une
race
. Comprend-on quel lien peut constituer dans les â
st précisément ce lien qui manque à nos êtres épars et dissociés ? La
race
française ondoyante, incertaine — je n’ose dire i
trouver dans toute son ampleur et dans toute sa richesse l’âme et une
race
glorifiée. En face de cette clarté et de cet hori
jourd’hui les traits que l’hérédité et le climat maintiennent dans la
race
, et ce sont ceux que les historiens romains leur
nseveli dans la vie brutale ; au premier aspect, nous autres, gens de
race
latine, nous ne voyons jamais chez eux que de gra
tion volontaire que s’assiéra la société féodale. L’homme, dans cette
race
, peut accepter un supérieur, être capable de dévo
e homme, jeune homme ! — de quel jeune homme es-tu né ? — de quelle
race
d’hommes es-tu ? — Car tu as trempé et rougi dan
ent plus les blessures. Voilà le héros tel qu’il est conçu dans cette
race
à sa première aurore. N’est-il pas étrange de les
es qu’il détruit, derniers souvenirs des anciennes guerres contre les
races
inférieures et de la religion primitive, considér
elà pour montrer l’étrange et puissant génie poétique qui est dans la
race
, et pour faire voir d’avance la fleur dans le bou
obles, — et son frère aussi — Edmond l’Étheling, — noble d’ancienne
race
, — ont tué dans la bataille, — avec les trancha
es Funérailles. — Poëme de Judith. — Paraphrase de la Bible. Une
race
ainsi faite était toute préparée pour le christia
e remplacer la religion par le conte agréable ou beau. Plus qu’aucune
race
de l’Europe, ils sont voisins par la simplicité e
u dans une esquisse ; c’est que tous les deux ont leur modèle dans la
race
; et Cœdmon a trouvé ses originaux dans les guerr
pliée, et remplace l’analyse par l’intuition. VIII. Opposition des
races
germaniques et des races latines. — Caractère de
yse par l’intuition. VIII. Opposition des races germaniques et des
races
latines. — Caractère de la race saxonne. — Elle
sition des races germaniques et des races latines. — Caractère de la
race
saxonne. — Elle persiste sous la conquête norman
xonne. — Elle persiste sous la conquête normande. Telle est cette
race
, la dernière venue, qui, dans la décadence de ses
oins fondée sur la justice et la vérité74. En tout cas, jusqu’ici, la
race
est intacte, intacte dans sa grossièreté primitiv
es idées apporte aussi des hommes. Mais les Saxons, selon l’usage des
races
germaines, races vigoureuses et fécondes, ont mul
aussi des hommes. Mais les Saxons, selon l’usage des races germaines,
races
vigoureuses et fécondes, ont multiplié énormément
fini par maîtriser le sang normand dans leurs veines. Après tout, la
race
demeure saxonne. Si le vieux génie poétique dispa
nis, etc. 42. Fafnismâl, Edda, t. III. Cette épopée est commune aux
races
du Nord comme l’Iliade aux peuplades de la Grèce,
i bourdonnent au-dessus du sarrasin en fleur : beautés légères qu’une
race
sobre et fine peut seule goûter. Ajoutez que le c
on trouve que leurs gestes, les formes de leurs visages annoncent une
race
à part. Il y a un mois, en Flandre, surtout en Ho
s, il y a un moyen de s’assurer de ce caractère que nous prêtons à la
race
. La première bibliothèque va vous montrer s’il es
du dix-huitième siècle : tant cette légèreté de main est propre à la
race
, et prompte à paraître sous les armures et parmi
se engendrent chez les Germains. Dès l’origine et dans les pays où la
race
s’est gardée pure, on trouve nos Gaulois sensuels
i-même et en vous un pétillement d’idées agréables. — Telle est cette
race
, la plus attique des modernes, moins poétique que
erce. Comptez enfin les Arabes de Damas, reste du peuple des kalifes,
race
active, chevaleresque, fanatique, séditieuse d’ha
eur pacha. Voilà la Syrie ; à moins de la dépeupler, d’y détruire une
race
par l’autre et d’y appliquer le mot de Tacite :
nationalité garde son nom et prête sa main à la ligue universelle des
races
diverses et des droits égaux ? Ouvrez l’atlas, vo
u globe, qui vous dit la biographie complète du globe, des temps, des
races
, des idées, des religions, des empires, par où l’
tence visible, comme occupant sous le nom d’empire, de république, de
race
, de tribu, de nation, telle ou telle place dans l
éloquemment possible ce que tout homme doit savoir du globe et de la
race
à laquelle il appartient, pour être vraiment inte
répliqua la vieille. Expose-le sous un arbre de la plage. S’il est de
race
humaine, il restera où tu l’auras placé. Mais si
acé. Mais si c’est un bâri — comme j’en suis convaincue, — ceux de sa
race
viendront le prendre et l’emporteront avec eux. I
s qu’à te mettre à pleurer. Mais si tu veux retourner avec ceux de ta
race
, va-t’en tout de suite. Nous renonçons à toi ». D
ment divines et humaines selon la grande acception de ces deux mots ;
race
de brigands qui s’est contentée de bien distribue
I Dépouillez-vous un moment de tout préjugé de patrie, de lieu, de
race
et de temps, et demandez-vous dans le silence de
lus authentiques, ce peuple n’en commence pas moins, comme toutes les
races
humaines, par le mystère. Chacun des savants qui
es, et après lequel il y eut sur la terre comme une renaissance de la
race
humaine dont une partie avait échappé à la submer
e la race humaine dont une partie avait échappé à la submersion de sa
race
. Soit que la prodigieuse élévation des plateaux d
nous confondre, le mystère d’un livre qui paraît aussi ancien que la
race
elle-même s’y surajoute. Les premiers chefs et le
s hommes, triple divinité de l’âme. XVII Confucius était né de
race
noble. Sa généalogie remontait à vingt-deux siècl
e remontait à vingt-deux siècles et demi avant J.-C. ; nous disons de
race
noble, car l’égalité démocratique des institution
ur le culte de la famille pour les ancêtres. Il descendait même d’une
race
qui avait donné des rois à un des royaumes dont s
ation de Confucius ; c’était celle qui convenait par excellence à une
race
humaine aussi exclusivement raisonneuse et aussi
est l’humanité, sentiment inspiré par Dieu pour la conservation de la
race
. Voici ce qu’en dit Confucius dans ses livres pol
é, nourri, enseigné les enfants ; il était naturellement le roi de sa
race
. La conscience, cette révélation du sentiment inn
sation basée sur de si sublimes axiomes !… Ô ignorance et préjugé des
races
les unes contre les autres !) Les relations entre
l manque au premier ancêtre, à l’homme saint d’où est sortie toute la
race
humaine ; s’il manque à ce premier homme, l’homme
t des temps ! Il n’y a pas de barbare au berceau du monde, toutes les
races
sont nobles, car elles descendent toutes de Dieu
es émigrations qui portèrent dans la péninsule armoricaine le nom, la
race
et les institutions religieuses de l’île de Breta
de l’invasion, les chefs de paroisse, les premiers du peuple, de même
race
que lui, possédant par héritage le droit de march
t le jour. Tréguier a d’ordinaire beaucoup de fous ; comme toutes les
races
du rêve qui s’usent à la poursuite de l’idéal, le
te, car il était presque seul de son espèce. Cette petite noblesse de
race
avait disparu en grande partie ; les autres étaie
re de la force de son sang, qu’il possédait éminemment les dons de sa
race
, et qu’il pouvait, avec sa salive et ses attouche
: elle n’avait pas de place ici-bas. Son père était le dernier de sa
race
, et elle semblait jetée à plaisir sur la terre po
nd, qui occupa bientôt son être tout entier. La vertueuse et mystique
race
à laquelle elle appartenait ne connaît pas la fré
aractère breton. Ce qu’il y a de plus particulier chez les peuples de
race
bretonne, c’est l’amour. L’amour est chez eux un
ionaux. Le paradis qu’ils rêvent est frais, vert, sans ardeurs. Nulle
race
ne compte plus de morts par amour ; le suicide y
ont nous parlons ne tue que celui qui l’éprouve, et voilà pourquoi la
race
bretonne est une race facilement chaste ; par son
e que celui qui l’éprouve, et voilà pourquoi la race bretonne est une
race
facilement chaste ; par son imagination vive et f
teur. Un instrument nouveau est trouvé par les Aryens, pères de notre
race
. C’est un rond de bois creusé au milieu ; on fait
is-je dire ? que dois-je penser ? » Agni survit à la dispersion de la
race
aryenne ; chaque tribu, en se séparant, emporte u
r Agni d’une caverne où il s’était endormi. Il le livre à l’insolente
race
des Brighus, qui, énorgueillie de ce don splendid
Prométhée transparaît si visiblement, emporté par les ancêtres de la
race
grecque, des pentes de l’Hymalaya dans les vallée
éclaré le patron des hommes haïs par Zeus, à son avènement, comme une
race
suspecte de titanisme, capable elle aussi de révo
’as point oublié tes ruses adroites. » — Et châtiant sur Prométhée la
race
qu’il protège, content au fond d’avoir un prétext
et trompé mon esprit. Mais ceci te sera un grand malheur ainsi qu’aux
races
futures. J’enverrai aux hommes un Mal qui séduira
t dès qu’ils eurent vu cette belle calamité. C’est d’elle que sort la
race
des femmes femelles, le plus cruel fléau qui soit
éterminassent cet obscur travail, d’où sortirent ces deux choses, une
race
, une langue française. La langue, on la connaît.
ts d’une évolution qui dura neuf siècles. Les trois facteurs de notre
race
ont mis leur empreinte, bien inégalement, sur la
orrompit diversement sous d’insaisissables influences de climat et de
race
, selon d’occultes différences de structure des or
ne, et tout ce vaste bassin de la Garonne où le premier élément de la
race
est fourni par un fond indigène de population non
artenant à la même plante ou à une plante distincte, mais toujours de
race
hybride, aurait eu sûrement lieu à chaque générat
ne cause ou pour une autre, la moindre disposition à la stérilité, la
race
s’éteindrait inévitablement en quelques génératio
si les petits enfants de deux espèces pures. Dans l’Inde, ces Oies de
races
croisées doivent être beaucoup plus fécondes ; ca
mment placés sous les mêmes conditions de vie, amène toujours dans la
race
une certaine débilité de constitution et une dimi
rents les uns des autres, donnent à la fois vigueur et fécondité à la
race
. Mais nous avons vu, au contraire, que des change
le, que le chien Spitz d’Allemagne s’allie plus aisément que d’autres
races
avec le Renard, ou que certain Chien domestique,
nera de ces faits, et probablement la vraie, c’est que chacune de ces
races
descend d’une espèce originairement distincte. Né
s unes des autres en apparence, telles, par exemple, que les diverses
races
de Pigeons, ou les variétés du Chou, est un fait
semble la plus importante de toutes les considérations, les nouvelles
races
d’animaux domestiques et de plantes cultivées son
e monstrueuse, et qui, en général, apparaissent soudainement dans les
races
, tels que l’albinisme, le mélanisme, l’absence de
étroit avec la stérilité qui affecte très fréquemment les espèces de
race
pure, quand leurs conditions de vie naturelles on
ifférentes donne une vigueur et une fécondité toute particulière à la
race
qu’il produit, de même de légers changements dans
Il sortait d’une famille de marins ; par son père, il appartient à la
race
bretonne pure, à cette race triste, douce, inflex
marins ; par son père, il appartient à la race bretonne pure, à cette
race
triste, douce, inflexible, dont il a si bien parl
que, sous sa formephilosophique la plus consommée, il a encore de sa
race
première certains traits que lui-même a notés com
à tirer la formule, l’idée, l’image abrégée de chaque pays, de chaque
race
, de chaque groupe historique, de chaque individu
uelle dans laquelle il ne peut entrer que les chefs de file de chaque
race
, de chaque série. Je me figure encore cette human
poids à l’esprit malin, moqueur, sceptique, incrédule, du fonds de la
race
; et M. Renan est une de ces intelligences, s’il
e littérature : l’influence qu’y ont exercée des auteurs étrangers de
race
, de langue, de tournure d’esprit à tout ce que l’
uses formatrices des grands hommes dans l’hérédité, l’influence de la
race
, du milieu, de l’habitat, nous laissons comme ins
ère, brisent le moral des nations et suscitent souvent au héros d’une
race
des sectateurs d’une autre. Ce livre est une faib
belles contrées entre le Danube et la côte d’Asie seront laissées aux
races
chrétiennes ; Sainte-Sophie sera redevenue chréti
ourrait redevenir, non plus seulement sous la domination active d’une
race
d’Europe, mais sous la puissance électrique des a
alors, d’étrangers envahisseurs ! On ne peut donc en douter : à cette
race
sans nom, et ce peuple multiple et mêlé qui s’éte
et qui a respiré l’amour des lois avec l’air natal. Et puis, à cette
race
fière de sa force, ne pouvant presque supporter d
ques s’altèrent, les langues se détruisent, et la transplantation des
races
peut accroître et hâter toutes ces mutations inév
’histoire, ce qui seul en fait la valeur, l’esprit de la nation ? Les
races
les plus philosophiques sont aussi les plus mytho
combien elle est pâle auprès de ces grandes évolutions de Pan que la
race
indo-germanique, à ses débuts poétiques comme à s
vaut celui que fournit l’étude comparée des procédés par lesquels les
races
diverses ont exprimé les nexes différents de la p
océdés grammaticaux proviennent directement de la manière dont chaque
race
traita la pensée ; que le langage, en un mot, par
a part, que la langue que parlèrent les premiers êtres pensants de la
race
sémitique différait très peu du type commun de to
retentirent dans les poitrines fortes et profondes des pères de cette
race
. Et, quoiqu’il semble paradoxal de soutenir la mê
n ne peut dire rigoureusement que les religions soient une affaire de
race
, puisque des peuples indo-germaniques ont créé de
es les religions sémitiques sont essentiellement monothéistes ; cette
race
n’a jamais eu de mythologie développée. Toutes le
sophique en un mot, de la vérité semble avoir été le partage de cette
race
indo-germanique qui, du fond de l’Inde jusqu’aux
t une seule école de philosophie indigène 142, sont par excellence la
race
des religions, destinée à leur donner naissance e
r en arrière et de s’assurer de sa marche, tel est le caractère de la
race
religieuse et théocratique des Sémites. C’est par
Jérusalem au Sinaï et du Sinaï à La Mecque 143. Toutefois, comme les
races
diffèrent non par des facultés diverses, mais par
parfaitement rationnelles, à cause de l’élément individuel de chaque
race
qui modifie le résultat. Toute formule est partie
oins faits pour elle, la littérature des Hébreux, ouvrage d’une autre
race
et d’un autre esprit. Aussi ne se les accommode-t
e histoire (car je ne parle pas des premiers siècles et des premières
races
), Mézeray est encore notre meilleur historien. »
il se nommait Eudes de son nom, et appartenait à une famille et à une
race
originale. Fils d’un chirurgien, il avait pour fr
uiller. Et puis l’obscurité est si grande dans la première et seconde
race
de nos rois, qu’on peut dire que ces temps-là son
faits généraux qui se rapportent à cette première et à cette seconde
race
fussent éclaircis, pour que la société féodale fû
vre l’ordre qui a été gardé jusque-là par les historiens. La première
race
est pour Mézeray comme une lande aride à traverse
tout moment en disette et le fait sentir : « La fin de cette première
race
étant si vaste et si déserte comme elle est, dit-
des cadres plutôt qu’il ne les remplit. Au commencement de la seconde
race
, il lui semble, dit-il, passer d’une nuit obscure
puisées dans la vive méditation de son sujet. Après avoir parlé de la
race
née aux confins de la terre des monstres, dans la
la terre des monstres, dans la limoneuse vallée du Nil, et de l’autre
race
dite sémitique, habitante du désert et de l’antiq
iel d’airain, il ajoute, par un vivant contraste, en leur opposant la
race
aryenne venue du haut berceau de l’Asie, et de la
t s’est détachée la branche hellénique, le rameau d’or : « Une autre
race
encore s’éveille sur les hauteurs, aux premières
honie, un chant d’admiration, de reconnaissance et d’amour ; c’est la
race
pure des Aryas ; leur première langue est la poés
agnes, entourés de nuages d’or, ils vivent avec les Dieux. « La forte
race
grandit sous les célestes influences ; une voix m
e la vie et des splendeurs du soleil, qui vous sentez hautement de la
race
et de l’étoffe de ceux qui ont droit de se dire :
lgaire. Avec ces éléments, en puisant au trésor poétique de toute une
race
, il a composé ses œuvres les plus pures, les plus
nt et solitairement par une élite. Ils ont pénétré l’âme de toute une
race
; ils ont des airs propres, des auditoires nombre
popée napoléonienne lui restèrent toute sa vie ; les sympathies de sa
race
et de sa famille durent le porter du côté de la n
iel d’équinoxe. II Si Heine a été l’homme en effet de plusieurs
races
, s’il a pris au Midi et au Nord quelques unes des
dies de Musset. Elle n’est pas non plus la joie sèche des comiques de
race
latine, le rire d’un homme sanguin, équilibre, sa
rop de temps s’était écoulé depuis le Pœan de Salamine, le sang de sa
race
était trop pénétré d’une religion de douleur, pou
rt plausible. L’hérédité morale se manifeste aussi clairement dans la
race
juive. Heine compare dans ses Confessions le peup
fait que rendre plus forte sa cohésion et plus purs ses éléments. Une
race
aussi homogène et aussi nettement caractérisée do
orieux préjugé et que si comme président il fait la guerre pour cette
race
avilie, comme Américain il la méprise et la répud
ont la loi du mépris, l’ostracisme de la misère, l’extinction de leur
race
par la faim dans la fédération qui prétend faire
tion du rachat par l’État de cette nature honteuse de propriété d’une
race
humaine par une autre race ! Le premier jour, en
e cette nature honteuse de propriété d’une race humaine par une autre
race
! Le premier jour, en 1833, où je fus admis dans
nies, ces sources de l’or ; sur l’Amérique centrale, sur les États de
race
latine, sur tous les territoires espagnols, deven
fatal d’un envahissement accompli, l’extinction de toutes ces belles
races
latines, civilisées, civilisantes, nobles de sent
té collective du genre humain, et non de l’union déchirée d’une seule
race
sans titre et sans droit, du moins sur l’Amérique
sans titre et sans droit, du moins sur l’Amérique espagnole et sur la
race
latine, mère de toute civilisation, le principe d
e l’ancien monde. Il faut prévoir les événements, il faut protéger la
race
latine, et, pour protéger, il faut prendre positi
rope a le droit, et nous ajoutons le devoir, de ne pas leur livrer la
race
latine, l’Amérique espagnole, la moitié qui reste
sein de la solitude qui le nourrit. Pendant que les gens de lettres,
race
vaniteuse et parlière, entraient dans cette arène
Dieu même. Il était ornithologiste à son berceau. Il lui fallait des
races
ailées à peindre, à observer, à détailler, à aime
iseau que je venais de dessiner ! Mon pinceau, père et créateur d’une
race
inouïe et disproportionnée, me faisait pitié à mo
omme et du monde, et dans un mépris naturel de tout travail sérieux ;
race
inconsistante et fanfaronne, épris de vous-mêmes,
ce qui constitue la raison d’être, de croire, de penser, d’agir, des
races
anciennes appelle l’attention générale. Le génie
place et s’y assied définitivement, grâce au merveilleux instinct des
races
gréco-latines. Quant aux créations des poètes pos
et son idéal religieux, n’ont plus eu de raison d’être du jour où les
races
ont perdu toute existence propre, tout caractère
its épiques, l’histoire de l’ère sacerdotale et héroïque d’une de ces
races
mystérieuses venues de l’antique Orient pour peup
es, ni son intelligence, ne percevront jamais le monde divin du Beau.
Race
d’orateurs éloquents, d’héroïques soldats, de pam
les rêves, les terreurs, les espérances, les passions vigoureuses des
races
jeunes et naïves jaillissent de toute part en lég
l’âme humaine, les grands poètes populaires et nationaux. Quand les
races
ont vécu, lutté, souffert, vieilli ; quand elles
érentes, en France, de celles admises par les autres nations, sauf la
race
chinoise peut-être. Les aperçus ingénieux, les fo
ouement à la liberté, ont produit des actes héroïques dans toutes les
races
et dans tous les siècles ; qui en doute et qui ne
ité, est-ce une perturbation mentale ? Est-ce le désir de plaire à la
race
impure des Philistins modernes ? Rien de cela. La
r à son gré des sentiments et des passions propres aux époques et aux
races
disparues. Si poète veut dire créateur, celui-là
s lointaines où les rêves, les terreurs, les passions vigoureuses des
races
jeunes et naïves jaillissent confusément en légen
es poèmes sublimes qui ne seront jamais oubliés. Les grands hommes de
race
homérique, Eschyle, Sophocle, Euripide, inauguren
ellénique devient l’éducatrice du monde intellectuel latin. Puis, les
races
vivent, luttent, vieillissent ; les langues se mo
atisait à la fois, en 1822, la Révolution et l’Empire, et chantait la
race
royale revenue derrière l’étranger victorieux. De
ours de ce siècle, ont trouvé une expression souveraine. Il est de la
race
, désormais éteinte sans doute, des génies univers
é tout d’abord l’histoire, la religion, la philosophie de chacune des
races
et des civilisations disparues ; qu’il se fit tou
uelles il fréquentait, au titre de sa nationalité ; de la noblesse de
race
et de nom qu’il s’attribuait ; — et de sa beauté.
la trace, assez difficile à saisir, de son éducation et surtout de sa
race
? Il était de Saint-Malo, mais La Mettrie, par ex
e romantisme ; et le romantisme lui-même atteint mortellement dans la
race
des faux élégiaques qui croyaient le représenter.
’elle. » C’est d’abord cette représentation, ce « type abrégé » de la
race
que Leconte de Lisle a essayé d’immortaliser dans
en fasse la remarque, ce type abrégé, cette formule ethnique que les
races
disparues laissent en mémoire d’elles aux races q
mule ethnique que les races disparues laissent en mémoire d’elles aux
races
qui les remplacent, c’est dans les symboles de la
péché d’Adam continue de faire peser, depuis tant de siècles, sur sa
race
; et qu’y a-t-il de plus humain ? Il est temps de
ue l’observation des « rites » et les apparences d’un culte. D’autres
races
, comme la race aryenne, ne paraissent pas s’être
des « rites » et les apparences d’un culte. D’autres races, comme la
race
aryenne, ne paraissent pas s’être élevées au-dess
ulière d’une autre grande idée : c’est l’idée de la Providence. « Nos
races
, dit M. Renan, se contentèrent toujours d’une jus
dentique au fond de son creuset, quand elle a comme évaporé ce que la
race
, le temps, les lieux, les circonstances, l’histoi
plus attirante, mais surtout de plus importante que la question de «
race
». Toutes les autres, en effet, n’y viennent-elle
trouve-t-elle pas dans le mystère même des aptitudes originelles des
races
? Pourquoi les Allemands n’ont-ils pas de théâtre
plus intérieur, et de plus permanent dans l’âme même ou le génie des
races
? Puisque donc il n’y a pas de question littérair
question littéraire un peu complexe qui n’aboutisse à la question de
race
, il n’en est pas non plus qui n’en dépende ; si t
nt pas de nous voir parler du livre de M. Gumplowicz sur la Lutte des
races
. Intéressant, curieux et ambitieux, ce livre est-
ns y sont traitées, ou indiquées, dont le rapport avec la question de
race
, pour n’être pas d’abord apparent, n’en est pas m
e renouveler la manière d’écrire l’histoire ; de définir la notion de
race
avec plus de précision qu’on ne l’avait encore fa
tures, c’est d’elle cependant que se réclame l’auteur de la Lutte des
races
, et c’est elle qu’il s’est proposé de rendre vrai
ujours été que l’exploitation de la faiblesse ou de l’ignorance d’une
race
par l’habileté, l’avidité, la cupidité d’une autr
es sont bien incertaines, et sans doute on ne saurait citer une seule
race
au monde qui soit parfaitement pure, je veux dire
s enveloppent ou confondent sous l’unité d’une même désignation vingt
races
autrefois différentes ou ennemies. Grande ou peti
au contraire ici de l’hétérogène à l’homogène. C’est la pluralité des
races
qui est ancienne. Tout le mouvement de l’histoire
sion de M. Gumplowicz, nous comprenons la nécessité de la « lutte des
races
pour la domination ». Comme les espèces dans la n
races pour la domination ». Comme les espèces dans la nature, si les
races
humaines sont nées pour ainsi dire ennemies ; s’i
des forces qui règnent dans les éléments hétérogènes de l’humanité ».
Race
ou espèce, de quelque nom que l’on se serve pour
ctimes de nos propres instincts. Fondée sur l’hostilité naturelle des
races
, elle est aussi nécessaire ou fatale « que l’est
détruisent les unes les autres en tant que formations naturelles, les
races
se reconstituent en tant que formations historiqu
nt religieux ne nous sont pas plus innés. Cette manière de définir la
race
a plusieurs avantages, dont le moindre n’est pas
es pour le rendre à celle des historiens. S’il a pu jadis exister des
races
naturelles, c’est-à-dire dont tous les représenta
eur commun, l’histoire n’en connaît pas de telles, mais seulement des
races
historiques. « La notion de race aujourd’hui, dit
t pas de telles, mais seulement des races historiques. « La notion de
race
aujourd’hui, dit très bien M. Gumplowicz, n’est p
s bien M. Gumplowicz, n’est plus partout qu’une notion historique… La
race
est une unité qui, au cours de l’histoire, s’est
se d’une manière encore plus brève : ce n’est pas le sang qui fait la
race
, mais, au contraire, la race fait le sang. Par là
brève : ce n’est pas le sang qui fait la race, mais, au contraire, la
race
fait le sang. Par là, une question, non seulement
ctoire dans les termes, — car, si l’on ne peut nulle part observer de
races
naturelles, comment, en vérité, les définirait-on
de lointain et de mystérieux s’éclaire en se rapprochant de nous. Des
races
, encore aujourd’hui, se forment sous nos yeux, pr
ui, se forment sous nos yeux, prennent conscience d’elles-mêmes comme
races
, se posent et s’opposent à d’autres comme telles.
hie de l’histoire ainsi renouvelée, par une définition nouvelle de la
race
, M. Gumplowicz essaie, pour compléter son œuvre,
démêler ce que M. Gumplowicz appelle le « processus de formation des
races
». Là, en effet, est, comme on l’a vu, le phénomè
e nous est l’intérêt de l’histoire nationale. Comment s’est formée la
race
française ? par quels mélanges de sang ? dans que
s religions, ou extérieurs, dans la formation des nationalités et des
races
voisines ? Comment encore en a-t-on triomphé ? qu
ar la force ou par l’adresse ? au prix aussi de quels sacrifices ? La
race
étant en voie de formation, quels accidents, de q
quelques observations. Et d’abord, si l’histoire de la formation des
races
est sans doute, — comme nous venons de le dire no
sans doute pour leur part à la formation ou au développement de la «
race
» dont ils sont, opèrent donc ainsi, comme des fo
n de la science ; et, de ne voir dans l’histoire que la formation des
races
historiques, c’est en expulser, si je puis ainsi
et d’une appréciation plus délicate, — l’influence de la « lutte des
races
» dans l’histoire, ou dans le processus même de l
r, ni de soulever seulement. En quoi donc, premièrement, la notion de
race
, telle que la définit M. Gumplowicz, diffère-t-el
nous l’a dit lui-même, et nous le répétons volontiers avec lui : « La
race
est une unité qui s’est constituée au cours de l’
s faits historiques et sociaux, et rien de moins, ni rien de plus. La
race
française est une création de l’histoire de Franc
u quinze siècles d’efforts communs vers l’unité. Il n’y aurait pas de
race
française si quelques-uns ne l’avaient pas voulu,
de talent ou d’art aussi, — quelle utilité d’introduire la notion de
race
, que personne jamais ne dépouillera de toute sign
r le fait de leur diversité d’origine, la doctrine de l’inégalité des
races
humaines et je crains, en vérité, qu’il n’y ait u
de la multiplicité des centres de création à celle de l’inégalité des
races
humaines, il n’y a comme on dit, que deux doigts
ntervalle : nous arriverons plus vite encore à proclamer le droit des
races
supérieures sur les autres, et si ce droit n’est,
ute que nous ne saurions voir avec M. Gumplowicz, dans « la lutte des
races
pour la domination », ce qu’il appelle quelque pa
hisme des sociologues, a-t-il remis dans l’homme, avec sa théorie des
races
, l’animal qu’il semblait en avoir voulu d’abord ô
avoir voulu d’abord ôter ? Car là est bien toute la question. Si les
races
humaines, encore que séparées de l’animalité par
suggestions du physique, nous pouvons transformer la lutte entre les
races
, de sanglante qu’elle était jadis, en une concurr
commencer par lui-même, au contraire, c’est toujours par celle de sa
race
ou de sa nation, de son groupe, de sa tribu, de s
eaucoup de peine. Car l’influence que l’on a longtemps attribuée à la
Race
, dans la détermination du caractère essentiel des
gue doit être profondément modifiée ? Mais surtout, si nulle part une
race
ne retrouve d’image ou d’expression plus fidèle d
le sentiment de la solidarité nationale celui de la perpétuité de la
race
, comment pourrait-on mieux établir, sur quel fond
t puis, et surtout, messieurs, ne faut-il pas nous souvenir que si la
race
, le milieu, l’éducation peuvent rendre compte au
promise, par M. Paul Bourget. Paris, 1892. Lemerre. 7. La Lutte des
races
, par M. Gumplowicz, traduction de M. Charles Baye
oïl. Il n’y en a pas dans toute la terre de langue d’oc, parce que la
race
a perdu sa langue, qui était une des plus propres
de Mirèio, à aucun moment, et c’est en quoi M. Chaumié se trompe, la
race
ne l’a perdue. Effectivement et pratiquement parl
ud, qui est un admirable lyrique. Cela, à seule fin de prouver que la
race
méridionale possède un fonds de poésie aussi rich
n dans l’effort, vertus qui ne sont pas, dit-on, caractéristiques des
races
du Midi et que, d’ailleurs, les conditions de vie
is osé la compromettre en vulgaire prose. Quoi d’étonnant à ce que la
race
qui la parlait ait été, pour des siècles, poétiqu
oésie, ne sont-elles pas les plus riches en éléments celtiques ? De «
race
» pure, il n’est point question. Partout il y a m
rrive à se demander s’il n’y a point là affaire de génie spécial à la
race
— à la race telle que l’a fait évoluer en partie
emander s’il n’y a point là affaire de génie spécial à la race — à la
race
telle que l’a fait évoluer en partie sa langue, d
aine sorte de vague métaphysique naturaliste à laquelle répugnent les
races
latines, qui sont théologiennes tant qu’on voudra
d’oïl. Il n’y en a pas dans les régions de langue d’oc, parce que la
race
a perdu son idiome, et que les poètes méridionaux
presque rien n’est pas seulement la mort d’un droit et la mort d’une
race
, mais c’est, en plus, l’hérédité monarchique boul
foi. On ne sait pas assez combien les peuples chicanent peu avec les
races
qu’ils aiment, et quelle puissance de fautes de t
aces qu’ils aiment, et quelle puissance de fautes de toute espèce ces
races
prédestinées peuvent porter dans leur tête ou en
ceux qui se dévouent pour elle, et elle a revêtu dans son tombeau la
race
ensevelie des Stuarts d’un suaire incorruptible a
l’étoffe d’un homme. À lui seul, il avait plus de fierté que toute sa
race
. Frappé dans sa dignité de roi par la croyance re
emonter aux influences du sang et de la parenté, de la famille, de la
race
, du sol, du climat ? Cela est tellement évident q
le siècle où elle a été produite, mais aussi le climat, le pays ; la
race
à laquelle appartient l’auteur ; puis l’auteur lu
diversité originelle, que le résultat instinctif de la diversité des
races
et des climats. « A chaque époque apparaît le mer
ens de la montagne et ceux de la plaine ne forment-ils pas comme deux
races
distinctes ? De même, ceux des champs et ceux des
de terre et ceux de mer : autant de caractères différents, autant de
races
diverses dans une seule. Eh bien ! comment toutes
s font d’abord les idées, quelquefois les croyances4. » Le sol, la
race
Avec le climat, avons-nous dit, on voit se réf
n voit se réfléchir, dans la littérature et dans les arts, le sol, la
race
, et le caractère de la nation, Les esprits du Nor
ais ne démentent pas dans leurs écrits le caractère essentiel de leur
race
: ils sont sociables par nature, et, comme tels,
côtes de Bretagne ne tient-elle pas intimement au corps entier de la
race
gallique, qui a laissé son empreinte dans tout le
le en siècle. Au commencement, les invasions germaniques fécondent la
race
gallo-romaine ; et réciproquement, comme il arriv
ointains à travers les airs. Par là les influences des climats et des
races
se croisent et se modifient. Mais la flore de cha
n ce temps-là. Notre Montaigne, l’auteur des Essais, est donc de deux
races
qui se croisent : il est Anglo-Gascon. Comme Gas
exemple de l’influence que peut avoir sur les ouvrages de l’esprit la
race
à laquelle appartient l’auteur : Pourquoi Corneil
que chose. Mais n’est-ce pas aussi parce qu’il est Normand, et que la
race
normande, — elle-même l’avoue, — est naturellemen
t un critique, était Souabe ; Gœthe, Franconien. Le premier, comme la
race
allemanique d’où il sortait, race fière, hautaine
e, Franconien. Le premier, comme la race allemanique d’où il sortait,
race
fière, hautaine, concentrée, démocratique, nous p
Mais c’est assez parler de l’influence du climat, du sol, et de la
race
. Le sexe Nous avons avancé que le sexe lui-
anté parfaite. Dans mistress Harriet Beecher Stowe (elle aussi est de
race
anglo-saxonne et protestante), que de sermons éva
fatigué. Le tempérament Outre le siècle, le climat, le pays, la
race
, le sexe même et l’âge de l’écrivain ou de l’arti
» Par la différence des complexions, il y a en quelque sorte diverses
races
d’écrivains, de musiciens, de peintres, comme il
s races d’écrivains, de musiciens, de peintres, comme il y a diverses
races
de peuples. M. Michelet, je crois, nous peint que
dans mille ans, faire croire Ce qu’il me plaira de vous. Chez cette
race
nouvelle, Où j’aurai quelque crédit, Vous ne pass
agédies de Corneille, s’expliquaient également, soit par son origine,
race
normande, soit par sa première profession, avocat
er. En effet, outre les influences générales du climat, du sol, de la
race
, il est évident que les influences particulières
ologie. Selon le spirituel docteur, il y a dans l’espèce humaine deux
races
bien distinctes, celle qui boit du vin et celle q
sorte de barbarie misérable. Pourquoi, chez ces peuples si divers de
races
, de mœurs, de religions, les classes élevées imit
bitudes, sa profession ; son sexe, son âge, sa santé ; sa famille, sa
race
; son pays, son siècle ; son climat physique et m
si un des plus réalistes, traduisant les sentiments des hommes et des
races
, les mœurs et les civilisations diverses, les car
ette vie que je m’assimilais sous le prestige de la musique. » Chaque
race
a son caractère, en musique comme en tout le rest
ent passer pour innocents : ce sont des protestations déguisées. » La
race
germanique est naturellement musicienne ; la race
ons déguisées. » La race germanique est naturellement musicienne ; la
race
italienne aussi, mais autrement, différence de cl
muse du maestro se marie, pour ainsi dire, au génie de son public, La
race
anglo-saxonne, essentiellement industrielle, a to
indications pour faire voir qu’en musique, comme en littérature, les
races
et les nationalités ont chacune leur caractère pr
sultent pas de l’hérédité physique et morale, et des influences de la
race
, du sol, du climat et du siècle ? Il serait facil
sans vérité : c’est qu’il y a, dans les arts et la littérature, deux
races
distinctes : les talents blonds et les génies bru
d’un côté, Michel-Ange de l’autre, nous représenteraient cette double
race
, — qui se retrouverait de même dans tous les arts
spiritualistes ne sont que des phraseurs. Toujours est-il que chaque
race
humaine se fait un beau idéal différent, et que l
s madones de Jules Romain (tempérament bilieux). » Les natures et les
races
idéalistes excellent dans le dessin, les natures
et les races idéalistes excellent dans le dessin, les natures et les
races
sensualistes excellent dans la couleur. Le très b
ance, il y a, chez l’artiste comme chez l’écrivain, l’influence de la
race
et de la nationalité. Notre contemporain Diaz de
ture aussi bien que dans les autres arts. Et, dans chaque peuple, les
races
diverses se reconnaissent aisément, et c’est ce q
; et tout cela se dit d’un mot : l’art florentin. Puisque le sang, la
race
, le climat, ont leur influence sur les œuvres d’a
e pas la sienne, si la religion n’est ordinairement qu’un effet de la
race
, du climat, du milieu ? Il y a les peuples polyth
y a les peuples polygamiques et les peuples monogamiques. Il y a les
races
latines et catholiques, et il y a les races germa
monogamiques. Il y a les races latines et catholiques, et il y a les
races
germaniques et protestantes. Ces influences diver
réel au fond, c’est que les grands maîtres de la Renaissance sont de
race
latine, par conséquent païens, même lorsqu’ils tr
enaissance avaient eu des devanciers : dans la société chrétienne, la
race
nouvelle (germanique) avait apporté un sentiment
des formes, ils arrivèrent au beau idéal grec, que tous les hommes de
race
caucasique et blanche considèrent comme le beau i
le fut jamais pour Phidias, sous les yeux duquel se mouvait toute une
race
fine et forte, qui ne connaissait ni les hideux p
uvement, d’une grandeur et d’un charme de lignes incomparables. Toute
race
hellénique était artiste ; mais, par une riche ha
vous voir comment une même idée était rendue diversement par les deux
races
principales et rivales ? Il y avait à Sparte une
n fébrile. Tempérament ultra-nerveux. Il appartient, dans l’art, à la
race
des tribuns. Voilà bien des types divers, mais, d
tit train de plaisir. L’architecture Le climat, la religion, la
race
, le tempérament le caractère des peuples et des i
onstitue, sortant des profondeurs les plus intimes du caractère d’une
race
et d’une époque, œuvre du sol et de l’âme d’un pe
l’esprit de conservation et de stabilité, représenté en Grèce par la
race
dorienne, dans la monarchique Lacédémone. Le styl
imat de l’Asie Mineure et de l’esprit indépendant et progressif de la
race
ionienne, a moins de sévérité et plus d’élégance.
sacré à son Prytanée, Athènes réunit les tendances opposées des deux
races
: dans les arts, comme dans les lettres, elle eut
luences combinées du climat, du tempérament et du caractère de chaque
race
: chez les Grecs, les théâtres, les portiques, le
d’injures, qui se couronne par un bouquet en faveur des Arabes, cette
race
fine et légère : « Chers Arabes ! votre pou, votr
é même ! Que c’est bien là le jugement que doit porter en effet de la
race
accroupie, aux jambes croisées, cet homme mince,
l naît, sans qu’on sache comment, du sentiment collectif de toute une
race
, dominée par la même pensée et aspirant au même b
logie des individus et des peuples, l’influence des tempéraments, des
races
, des climats et des siècles. Je crois avoir donné
aque individu à ceux de la mère et du père, et de la famille et de la
race
. De la race, elle remonte au sol natal, et au cli
u à ceux de la mère et du père, et de la famille et de la race. De la
race
, elle remonte au sol natal, et au climat, et enfi
xplique pas par la matière. Tout n’est pas affaire de tempérament, de
race
, de sol et de climat. De quelque pays et de quelq
cela viendrait seulement — des nerfs, du sang ou de la bile, — de la
race
, du sol ou du climat ? — Rien ne pourrait nous le
artiennent pas : à ce titre, je suis de mon temps, de mon pays, de ma
race
, et j’en porte l’empreinte. Mais ce n’est pas tou
mais on n’aurait eu les droits de l’homme. Alors les influences de la
race
et du sol, du climat et de la matière, sont forte
é, il semble en faire partie. L’histoire alors regarde la terre et la
race
, elle-même si puissamment influencée par la terre
trie universelle, de la cité de la Providence78. » Les influences des
races
sont très puissantes, mais elles ne sont pas tout
conde en conséquences, de l’âme grecque, du tempérament grec et de la
race
grecque, et cette idée il la caresse, et il s’en
ietzsche se fait de l’art tragique des Grecs et de l’âme grecque. Une
race
a été, qui n’aimait que la beauté et la vie. Elle
publique parce qu’il craint qu’ils n’efféminent par la sensiblerie la
race
forte et joyeuse. Aristote, toujours en contradic
iques, joyeux et forts. Et c’est-à-dire que tous les deux veulent une
race
énergique et amoureuse de la vie et entendent bie
nietzschéenne, Nietzsche dit davantage. Il dit que ce goût même de la
race
grecque pour un art qui, encore que dionysiaque e
, était triste, et étalait l’horreur et la misère humaine, révèle une
race
forte et allègre, qui ne craignait pas l’étalage
sement et de sensibilité apitoyée. Il croyait découvrir un art et une
race
allègres, joyeux, énergiques, amoureux de la vie
a croyance que la vie est mauvaise ; et il croyait voir un art et une
race
enivrés de l’amour de la vie, un art et une race
t voir un art et une race enivrés de l’amour de la vie, un art et une
race
profondément optimistes, mieux que cela, un art e
rt et une race profondément optimistes, mieux que cela, un art et une
race
qui faisaient servir le pessimisme à l’optimisme
l’autre, l’antinomie fausse de celui-ci et de celui-là, un art et une
race
qui, par-delà l’optimisme et le pessimisme, renco
, mais que maintenant il jugeait débilitante ; et il croyait voir une
race
et un art où la musique ne servait qu’à accompagn
cette réflexion ; mais, persuadé, peut-être à tort, qu’il y a eu une
race
, à savoir la grecque, qui a été organisée en soci
ever nos cris contre tout ce qui est puissant »… « C’est une mauvaise
race
; ils ont sur le visage les traits du bourreau et
rit pas sur les « tarentules ». Il considère les socialistes comme la
race
« la plus honnête, la plus bornée et la plus malf
C’est quelque chose. C’est croire à la beauté et à la noblesse de la
race
humaine. C’est croire que l’homme peut réaliser u
ne vertu, cela indique une déchéance et comme une déliquescence de la
race
humaine. Qu’est-ce que la pitié ? Un attendrissem
des et nonchalants. Or, le peuple, sentant au-dessus de lui, soit une
race
conquérante qui n’était pas la sienne et qui avai
ncts énergiques et une aspiration vers le grand et le beau ; soit une
race
sortie de lui, mais qui avait, par auto-sélection
t, mais a fini par prendre, des mesures pour museler et énerver cette
race
supérieure. Mesures de divers ordres. Dans certai
ette race supérieure. Mesures de divers ordres. Dans certains pays la
race
supérieure, très sagement, s’était interdit de s’
cette « immoralité » et qu’elle n’adoucît, intimidât, dévirilisât la
race
supérieure par le mélange des sangs. Dans d’autre
ève industrielle, ou la grève militaire, profitant des insuccès de la
race
supérieure, etc., elle est entrée dans la cité et
dans la cité et le gouvernement de la cité et a comme noyé en elle la
race
supérieure ; et c’en a été fait de la cité conqué
artout, le peuple a inventé la morale, c’est-à-dire qu’il a soumis la
race
supérieure à ses idées à lui, en trouvant le moye
nde de la Méditerranée et le monde oriental, un petit peuple, d’autre
race
, qui, sans doute, lui aussi, est patriote ; qui,
que l’un seulement de ces instincts prend une certaine force dans une
race
d’hommes, il renverse l’ordre des valeurs. Ce n’e
çaise, et les seuls logiques, les socialistes de toutes nuances, « la
race
la plus honnête et la plus stupide qui soit au mo
infériorité, d’oppression. Cela explique pourquoi les classes (ou les
races
) dominantes, ainsi que les individus, ont mainten
bien-être, a eu pleine conscience de ce qui la place au-dessus de la
race
dominée, ou bien parmi les dominés, les esclaves
» Voilà, selon Nietzsche les deux morales en présence, voilà les deux
races
en présence l’une de l’autre, chacune avec sa règ
le, et c’est là leur injustice : « Dans son idiosyncrasie du goût, la
race
supérieure s’imagine, généralement, ne pas avoir
e. Quelle ? Celle que j’ai cent fois dite ; mais précisons encore. La
race
supérieure devra pratiquer cet égoïsme supérieur
aristocratie aussi, qui sentait le besoin de devenir et de rester une
race
supérieure. Aussi, comme les directeurs du Christ
puissante dans l’élargissement et la joie. Ainsi pourra se former une
race
d’hommes supérieurs dont on ne sait pas, l’hérédi
re la science moderne, on peut, et c’est notre devoir même, créer une
race
supérieure non seulement à l’humanité actuelle, m
re non seulement à l’humanité actuelle, mais à l’humanité connue, une
race
inattendue et imprévue, une race de surhommes, rê
uelle, mais à l’humanité connue, une race inattendue et imprévue, une
race
de surhommes, rêvée toujours plus ou moins nettem
que lui-même soit et une condition et une cause de la formation d’une
race
noble destinée à régner dans l’avenir. « Il faut,
ne race noble destinée à régner dans l’avenir. « Il faut, pour qu’une
race
forte et noble s’établisse, qu’il y ait un niveau
asse européenne se fait esclave elle-même et l’existence d’une grande
race
esclave, esclave essentiellement et de complexion
et de complexion propre, est la condition même de la naissance d’une
race
noble, et l’amoindrissement progressif de l’homme
ez le mouvement, l’évolution] qui permet de croire à la culture d’une
race
plus forte, d’une race qui aurait précisément son
ution] qui permet de croire à la culture d’une race plus forte, d’une
race
qui aurait précisément son excédent dans ce en qu
peut être la cause même de la création, assez rapide peut-être, d’une
race
supérieure Les éléments de la race supérieure exi
ion, assez rapide peut-être, d’une race supérieure Les éléments de la
race
supérieure existent toujours ; voilà ce que je cr
r une hiérarchie », c’est à cause de tout cela que les éléments de la
race
noble se dégagent, se démêlent et émergent. Ce qu
« substruction » qui pourra parfaitement servir à l’édification d’une
race
plus forte. Loin donc qu’il faille déplorer le pl
lui qui, non pas subit l’esclavage, mais le pratique. Ainsi naîtra la
race
des maîtres, d’où pourra sortir la race des surho
le pratique. Ainsi naîtra la race des maîtres, d’où pourra sortir la
race
des surhommes. « Ce ne sera pas seulement une rac
ù pourra sortir la race des surhommes. « Ce ne sera pas seulement une
race
de maîtres, dont la tâche consisterait simplement
de maîtres, dont la tâche consisterait simplement à régner ; mais une
race
ayant sa propre sphère vitale, avec un excédent d
s manières, et cela jusque dans le domaine le plus intellectuel ; une
race
affirmative qui peut s’accorder toute espèce de g
le mal ; une serre pour les plantes singulières et choisies… » Cette
race
, Spartiate par la volonté et l’endurance, athénie
e, Renan, Henri Heine et Nietzsche. Aussi bien Nietzsche est de cette
race
— internationale — fine, enjouée, ironique, humor
sche extrêmement. Il reconnaît, avec raison, l’artiste, l’écrivain de
race
, par exemple, à ce qu’il sait « trouver la fin »,
baie de Gênes finit de chanter sa mélodie. » L’allure est affaire de
race
et d’hérédité autant que de culture, et c’est-à-d
ginative d’un peuple. Le temps de la pleine vigueur imaginative d’une
race
c’est l’époque de l’épopée. Mais dès que le peupl
t quel profond psychologue des grandes âmes et quel historien de la «
race
supérieure » fut Corneille : « On me dit que not
i ; elle acceptait de ne plus tirer de son sein un gouvernement de sa
race
et de sa tradition ; elle cessait d’être aristocr
ortie d’eux, jaillie du sol, se rattachant aux vieilles racines de la
race
, représentant l’ascension lente et régulière du m
lles et n’étaient les élus que de quelques soldats mutinés. Fin d’une
race
, mentalité d’une race qui n’a plus conscience d’e
élus que de quelques soldats mutinés. Fin d’une race, mentalité d’une
race
qui n’a plus conscience d’elle-même, qui ne sait
ar une combinaison de l’élection et de la naissance ; mentalité d’une
race
, en un mot, qui n’a plus le sens aristocratique.
riage, comme disait cet évangéliste de Beaumarchais. Sterne est de la
race
de ces bouffons charmants ou sublimes qui s’appel
Mais je l’ai dit, partout ailleurs qu’en Angleterre, il est toute une
race
d’esprits parmi ceux qui se croient littéraires,
ue les yeux du bouffon s’emplissent de ses pleurs… C’est contre cette
race
d’esprits ou plutôt pour cette race d’esprits, qu
de ses pleurs… C’est contre cette race d’esprits ou plutôt pour cette
race
d’esprits, que M. Stapfer a écrit son livre ; car
force d’imagination qu’assurément il exagère ; Cervantes est comme sa
race
, monotone et pompeux. Sterne, qu’il voit trop en
), et d’appartenir à la grande philosophie du xviiie siècle, à cette
race
« des vaillants athlètes, nos pères », qui ont co
. Il était de ce petit nombre qui continuait la tradition et comme la
race
de l’ancienne Université dans la nouvelle. Entré
e que des littérateurs de profession. C’est qu’il appartenait à cette
race
, totalement éteinte aujourd’hui, de savants modes
moindres travaux ou de leurs plus insignifiantes découvertes. Cette
race
n’était pas aussi totalement éteinte qu’il le cro
se ne fait point de doute. Étudions-la. * * * La multiplication des
races
, voilà ce que prêche Zola. Ce n’est pas une doctr
ils n’ont qu’à vivre, à croître, à grandir, à agir, à développer leur
race
. Voilà pourquoi une telle morale est consolante.
es réalités, conforme à notre évolution et appropriée aux besoins des
races
nouvelles. Voilà pourquoi son livre est beau, nob
e que peu de livres laissent transparaître : le souci de l’avenir des
races
, l’intérêt de leur ordre et de leur force, la pas
sang de l’homme par la main d’un frère ; puis la multiplication de la
race
pervertie dans sa source ; puis le déluge couvran
e, morte, ressuscitée, est contenue et exprimée dans cette épopée des
races
hébraïques ; que le prêtre et le poète n’est qu’u
ter contre l’Angleterre : Et pourquoi nous haïr, et mettre entre les
races
Ces bornes de nos cœurs qu’abhorre l’œil de Dieu
le flot des épis la terre inculte plie, Le linceul, pour couvrir leur
race
ensevelie, Manque-t-il donc aux nations ?
de platoniciens ; après avoir succombé sous les Romains, le flot des
races
orientales et des émigrations du Nord l’envahit,
la France ; et la France elle-même n’est plus qu’une grande mêlée de
races
, de sang, de langues, de mœurs, de législations,
bien plus beau, car elle en a plusieurs. C’est la pauvreté des autres
races
nationales de l’Europe, de n’avoir qu’un caractèr
qui n’est pas achevée encore, il en sortit la France, c’est-à-dire la
race
multiple et une tout à la fois, le caractère, non
le bon sens moderne. XII Sans doute cette fusion de toutes ces
races
, de tous ces caractères et de toutes ces facultés
temps effacer quelque chose des facultés dominantes de chacune de ces
races
. Nous ne le nions pas. C’est par là que la France
sera ici. Nous ne croyons, en sentant ainsi, ni déprécier les autres
races
européennes, ni flatter la France. Dieu partage s
ter de l’Europe. XIII Ce caractère de diversité prodigieuse des
races
qui composèrent peu à peu la nationalité français
es romans bretons sont la rentrée en scène et comme la revanche de la
race
celtique : c’est, au moins en apparence, la prise
out à fait à la domination, du moins à la civilisation romaine. Cette
race
rêveuse, passionnée, capable de fougueuse exaltat
litique du christianisme romain, l’Eglise celtique laissa l’âme de la
race
façonner une religion nationale à son image. Tout
e héritage, avaient plutôt excité que brisé l’activité poétique de la
race
. Cantonnés les uns dans un coin de la grande île,
étaient déposés les antiques croyances et les chers souvenirs de leur
race
: de notre Bretagne, du pays de Galles, des deux
t national, ont fait le symbolique représentant de la fortune de leur
race
. Mais Arthur n’a plus rien du chef celtique les q
qui l’a apporté en Occident. Le roi Pêcheur, qui le garde, est de la
race
de Joseph, et, comme à Joseph jadis, le Graal app
te-Marc et le Roman de Troie. 52. Cf. Renan, Essai sur la poésie des
races
celtiques. D’Arbois de Jebainville, Littérature c
r-delà les territoires, ces frontières artificielles, et par-delà les
races
, ces frontières naturelles. Je ne prétends aucun
communauté de vision chez des êtres profondément différents d’âge, de
race
et de caractère, vivant sous les plus dissemblabl
t de nous enrichir, de donner des sources et des fruits, de créer des
races
nouvelles, plus saines et plus durables, de créer
é des Élites, l’alliance intime des pensants d’avant-garde, à quelque
race
, à quelque territoire qu’ils appartiennent. Si no
est en vertu de cette communauté de vision que les pensante de toutes
races
doivent se considérer comme positivement associés
ut des êtres qui sentent comme moi, qui sont véritablement de la même
race
, une race dont on ne parle pas, dont on ne tient
es qui sentent comme moi, qui sont véritablement de la même race, une
race
dont on ne parle pas, dont on ne tient pas compte
race, une race dont on ne parle pas, dont on ne tient pas compte, la
race
humaine. En un mot, la vie supérieure pour nous c
nnaître un auteur, qu’on se renseigne sur sa patrie immédiate, sur sa
race
, sur ses parents, de façon à dériver ses facultés
ont l’écrivain est entouré, et qu’il groupe sous ces trois chefs : la
race
, le milieu physique et social, le moment. Il pose
que et social dans lequel il se trouve placé, abstraction faite de sa
race
, de son habitat. M. Taine expose ici comment la p
er des écrivains anglais des propriétés originelles de l’esprit de la
race
anglo-normande, que la sculpture grecque, la pein
orce d’appliquer aux individus isolés sa théorie de l’influence de la
race
et des milieux. Partant du principe que les chose
us des formes où la théorie moderne ne le chercherait guère. Chez une
race
mobile, enthousiaste, charmée des fêtes et des pl
upplier, cédant au malheur et à l’affreuse pauvreté : il déshonore sa
race
; il dément la noblesse de ses traits. Partout le
du désespoir animant la discipline. « Vous êtes, dit le poëte79, la
race
invincible d’Hercule ; prenez cœur. Le regard de
ébris sont encore des statues. Le génie, comme le courage d’une noble
race
, est vivant et debout dans ces courtes élégies de
ages anciens, que ce poëte fut un courageux citoyen. Né en Sicile, de
race
dorienne, il lutta contre la tyrannie qui, d’Agri
er des Grignan, dont le nom, qui timbre un livre aujourd’hui, dit une
race
et ne dit personne. Pour être matière et sujet d’
arge, la plus triomphale, la plus appienne des grandes naissances… La
race
dont il descendait était presque royale à force d
teur féodale, et se pressant, avec un incroyable amour, — un amour de
race
, — autour de cette Royauté qui l’a frappée un jou
la puissance avec laquelle il a analysé ce fait, cruel et mortel aux
races
, de la mésalliance, — de ce sac à hontes et à dou
être frotté aux nobles et aux écoliers, il est resté bohême de petite
race
, de probité variable, avec la lâcheté égayée d’im
utant de façons de penser françaises. Les cours qui ont façonné notre
race
, ne l’ont dotée à l’origine, ni de la roideur de
s, la complexité de nos sensations. Nous avons tout pris à toutes les
races
. Par une dénaturalisation périlleuse, nous penson
ous les âges divers que nous voyons échelonnés dans son histoire. Les
races
et les climats produisent simultanément dans l’hu
l’éveil de la conscience se retracent dans l’éternelle enfance de ces
races
non perfectibles, restées comme des témoins de ce
solument que le sauvage est l’homme primitif : l’enfance des diverses
races
humaines dut être fort différente selon le ciel s
èrent peu à ces naïfs et gracieux enfants qui servirent de pères à la
race
religieuse et théocratique des Sémites, et aux vi
ligieuse et théocratique des Sémites, et aux vigoureux ancêtres de la
race
philosophique et rationaliste des peuples indo-ge
a-t-on pas compris qu’il y a, dans l’observation psychologique de ces
races
, que dédaigne l’homme civilisé, une science du pl
fférentielles des sentiments de l’humanité ! On dirait que toutes les
races
et tous les siècles ont compris Dieu, l’âme, le m
ldt (histoire d’un sentiment de l’humanité poursuivie dans toutes les
races
et à travers tous les siècles, dans ses variétés
s parties, en proportions diverses. Tel élément, principal dans telle
race
, n’apparaît dans telle autre que rudimentaire. Le
une échelle infiniment réduite. La philosophie, élément dominant des
races
indo-germaniques, semble complètement étrangère a
st pas d’avoir un nom à soi, un génie à soi, c’est de participer à la
race
noble des fils de Dieu, c’est d’être soldat perdu
ré les plus vives jouissances intellectuelles qu’on puisse goûter. Ma
race
, ma famille, ma ville natale, le milieu si partic
ul, maladroit, au-dessous du médiocre. Le trait caractéristique de la
race
bretonne, à tous ses degrés, est l’idéalisme, la
le ou intellectuelle, souvent erronée, toujours désintéressée. jamais
race
ne fut plus impropre a l’industrie, au commerce.
ur de notre art est de savoir faire de notre maladie un charme. Cette
race
a au cœur une éternelle source de folie. Le « roy
ennent vraiment qu’à nous. La religion est la forme sous laquelle les
races
celtiques dissimulent leur soif d’idéal ; mais l’
ue la religion est pour elles une chaîne, un assujettissement. Aucune
race
n’a le sentiment religieux plus indépendant. Ce n
ntiques, il put y avoir des mélanges entre des branches perdues de la
race
celtique et les races analogues aux Lapons qui co
ir des mélanges entre des branches perdues de la race celtique et les
races
analogues aux Lapons qui couvraient le sol à leur
é ; mais ce que l’anthropologie traite de stupidité chez les vieilles
races
incomplètes n’est souvent qu’une force extraordin
de l’âme et de l’imagination, à l’idéal pur. Je sortais de la vieille
race
idéaliste en ce qu’elle avait de plus authentique
u même de Pologne, que j’ai formé mes idées sur la vertu innée de nos
races
, quand elles sont organisées selon le type du cla
jugement dernier. En cela, j’ai été vraiment Breton. Nous sommes une
race
naïve, qui a la simplicité de croire au vrai et a
ont de la valeur. Le monde est en train de se laisser envahir par des
races
tristes, qui n’ont jamais su ce que c’est que jou
ir par des races tristes, qui n’ont jamais su ce que c’est que jouir,
races
dures, sans sympathie, qui n’ont ni l’amour ni l’
es ou qu’il les trouvât légitimes, mais j’ai dit qu’il considérait la
race
allemande, comme une race supérieure à la race fr
gitimes, mais j’ai dit qu’il considérait la race allemande, comme une
race
supérieure à la race française, peut-être par le
t qu’il considérait la race allemande, comme une race supérieure à la
race
française, peut-être par le même sentiment que Ne
s la tombe, voilà, pour Crétineau-Joly, le devoir suprême des grandes
races
qui n’ont pas su trouver de champs de bataille po
en détail la nature humaine et ses mystères, a montré souvent de ces
races
, fatalement prédestinées, chez lesquelles la tran
phes romains, les portraits des ancêtres devant le triomphateur de la
race
. Idée plus haute qu’une ironie ! Les derniers d’O
s auraient fait oublier les premiers, et c’eût été dommage. Quand une
race
finit par des hommes comme le Régent, Égalité et
d au berceau manifeste de notre civilisation, à la source commune des
races
et des religions, à ce point central de l’Asie d’
haut plateau de l’Asie sont venues successivement et par essaims des
races
, des branches de races qui ont fondé dans les pla
sont venues successivement et par essaims des races, des branches de
races
qui ont fondé dans les plaines et les vallées pro
: tout, à la fin, s’harmonise et concorde, tout se coordonne. Pays et
race
, et forme sociale, et histoire, c’est tout un. Ce
l’Asie et l’Europe. « Tel est le pays que les premiers rameaux de la
race
de Japhet (indo-européenne), partis d’Asie, ont p
opposés. De là l’action exercée en sens inverse par les deux grandes
races
qui ont fait la civilisation de l’ancien monde :
ntre les désirs de l’individu et les exigences de la famille et de la
race
. La vie sociale, en ces cas, s’impose sans troubl
sortir de la famille des singes, aurait pu prolonger, par exemple, la
race
de l’éléphant ou quelque autre espèce analogue et
l’activité d’un ensemble systématisé d’esprits, d’une société, d’une
race
, de l’humanité même. Et c’est une partie, une gra
tous les êtres, et sur plus de points aux êtres de son espèce, de sa
race
, de sa nation, de son temps et de sa famille, res
l satisfait ce qu’il y a de plus fort en lui, une personne aimée, une
race
entière, en un mot : les autres. Mais ce n’est po
en temps de guerre, surtout quand les adversaires ne sont pas de même
race
et de même couleur, les massacres désintéressés,
ghan entièrement dégagé des préjugés de l’islam ; il appartient à ces
races
énergiques du haut Iran, voisin de l’Inde, où l’e
s souvent proclamé, savoir que les religions valent ce que valent les
races
qui les professent. La liberté de sa pensée, son
ux mains. Je n’ai pas dit que tous les musulmans, sans distinction de
race
, sont et seront toujours des ignorants ; j’ai dit
du New-York Hérald : « Je suis un pur Latin et chez tout individu de
race
différente j’aperçois un côté barbare. » Le Franç
, non plus des Français dignes de ce nom, c’est-à-dire des fils de la
race
élue. Il nous a fallu un certain courage pour rec
ale, politique, commerciale, industrielle, financière et morale de la
race
anglo-saxonne ; et c’est notre faiblesse, notre m
pas nous-mêmes. Tant que nous pourrons nous croire les enfants d’une
race
privilégiée, notre inconscience s’épanouira. Seul
e commerce, notre industrie, notre agriculture, notre richesse, notre
race
, notre influence politique et intellectuelle, il
e en une vie posthume et souterraine. I Avec la Renaissance, la
race
française du xvie siècle, en même temps qu’elle
aient du frein catholique dont la puissance était déjà amoindrie, les
races
du nord plus proches de la sauvagerie barbare et
de son habitat et des circonstances historiques. Plus qu’aucune autre
race
, la nation anglaise a emprunté, à la forme religi
tude d’utilité particulière engendrée par l’instinct de puissance des
races
anglo-saxonnes, on peut pousser plus loin la démo
ntéchrist, a signalé le christianisme comme la manœuvre suprême de la
race
juive, vaincue en tant qu’état politique et dispe
l’inconscient, dicté par l’instinct de conservation le plus sûr de la
race
. Or cette vue du philosophe paraît bien profonde
oses et la logique de l’instinct contraignent donc tous les hommes de
race
israélite à se rallier en toute circonstance auto
tel de Coulanges, une conception particulière que les hommes de cette
race
avaient alors formée sur le destin de l’âme après
Grèce, — est-ce là réellement le dernier mot du génie humain dans une
race
, et du génie d’un homme qui, dans cette race, à u
du génie humain dans une race, et du génie d’un homme qui, dans cette
race
, à un moment donné, écrit l’histoire ? Que si cel
de la Grèce, car dans la Grèce il faut distinguer les époques et les
races
. Il est de la Grèce harangueuse, disputeuse et ci
emple, le religieux et majestueux Hérodote, étant d’un temps et d’une
race
qui savaient affirmer, est par cela seul plus gra
de plus naturel. Joseph de Maistre et Fréron, c’étaient gens de même
race
, de même religion, de mêmes principes ; mais Jani
comme en ont les hommes faits pour la guerre, et vous reconnaissez la
race
opiniâtre qui ne sait pas reculer, la race héroïq
e, et vous reconnaissez la race opiniâtre qui ne sait pas reculer, la
race
héroïque qui va de Beaumanoir, du combat des Tren
it pas moins, par-dessus la frontière, les qualités de l’esprit d’une
race
différente de la sienne, et il l’a bien prouvé po
es esprits les plus substantiellement personnels, — je veux dire : la
race
dont on sort et la société dont on fait partie. O
n’était plus hostile au génie natif d’Edgar Poe que sa société et sa
race
, et les modifications que devaient naturellement
ins de réalité, ancrés si profondément dans l’esprit des hommes de sa
race
, détruisent l’effet fantastique qu’il avait d’abo
oe oublie tout à fait son génie fantastique pour le génie propre à sa
race
: la découverte (toujours la découverte !) et la
e. On ne reconnaît plus en lui que le Yankee, l’enfant perdu de cette
race
puritaine qui a mis sa main musclée sur le Nouvea
t pas moins le génie américain deviné ! Le caractère général de cette
race
, qui ne le sait ? est le manque d’entrailles. Ell
aucun poète, n’est jamais assez vigoureux pour effacer la trace de la
race
. La Table rase de Descartes est un mensonge, et j
et dans lequel au besoin d’art se mêle la mystification féroce de la
race
anglo-saxonne dont il descend. Sa conscience est
libuste ne méritait guères d’être flibusté. Doué de la force de cette
race
de puritains qui se sont abattus d’Angleterre com
sère, a poussé au suicide contre elle. Fatalité de l’origine et de la
race
! On n’efface jamais à son front sa nationalité o
us a donné une idée formidable de cette horrible pesée. Quoique d’une
race
noble et ancienne, mais déchue, Poe était sorti d
armi tant d’aimables et délicats esprits qui se sont constitués de la
race
française, j’en connais assurément peu qui soient
douleurs ressenties par les hommes de tous les temps et de toutes les
races
, dans leur désir de beauté, dans leur soif de lèv
Qu’ils veillent sur la pureté de leur cœur, qu’ils propagent dans la
race
des vertus nouvelles, qu’ils soient des sages et
a foi dans l’avenir qui le soutient ; il croit à la venue des futures
races
, il rêve de prochaines ères, pacifiques et bienhe
uscles forts et ses torses puissants qui portent orgueilleusement les
races
de demain. Et les larges seins roses de cette pay
sions éphémères des individus au nom des aspirations éternelles de la
race
. Elles préviennent le pouvoir, elles hâtent les r
vent advenir de l’extension d’une telle caste : appauvrissement de la
race
, corruption morale, accroissement de la criminali
, saines et ordonnées, il vous sera impossible de voir apparaître ces
races
d’or dont nous souhaitons tous la future éclosion
institutions qui sont les formes extériorisées de tout l’esprit d’une
race
. Il y a de sensibles différences entre le livre d
e christianisme la plaie la plus épouvantable dont aient souffert les
races
occidentales ; il regarde la Renaissance, la Réfo
comme Léon Bazalgette, et qui, hâtant un peu la marche millénaire des
races
, s’occupent de les guider vers de nouvelles cathé
rmonieuse et plus conforme aussi aux aspirations impérieuses de notre
race
. Mais si l’école Romane n’a pas réussi, si même e
e ces statues vivantes qui bravent les temps futurs et subjuguent les
races
. Il n’a pas animé les formes qu’il façonna du sou
fier le succès, c’est flatter l’un des plus funestes travers de notre
race
et saper en même temps les bases de la moralité p
les sentiments les plus nobles, les aspirations les plus hautes d’une
race
s’énoncent et s’interprètent. Le ton doit en être
illonneur. Elles nous apparaissent comme d’émouvantes monographies de
races
mourantes, figées dans un songe passé, résorbées
enfant futur de l’étranger, qui allait commencer dans l’île une autre
race
». Tel est ce petit roman dont j’ai voulu indique
ndides, comme deux puissants fruits détachés du rameau mystérieux des
races
, ils se sentiront plus sacrés de se savoir plus p
ent et avec une égale anxiété ces mots : l’enfant futur, une nouvelle
race
. Cette rencontre est significative, surtout chez
îtra-t-il l’enfant divin, l’homme nouveau, d’où sortiront les futures
races
? Sera-ce de nos cités en décadence, ou de quelqu
ationale. Il y eut ainsi cinq siècles environ pendant, lesquels notre
race
, quoi qu’on ait dit, eut bien « la tête épique ».
, et tantôt historique, célébrant les dieux ou les anciens rois de la
race
: le Siegfrid des Nibelungen n’est autre que Sigo
nt sur la masse gallo-romaine. Par eux, les aptitudes poétiques de la
race
celtique, engourdies sous la domination romaine p
elle n’est pas franque pour cela : elle est française, œuvre de cette
race
complexe qui se constitue du mélange des Gallo-Ro
es, et germant spontanément dans toutes les âmes, sans distinction de
race
, non échappées encore ou retournées, peu importe,
vres épiques. A la fin du xe siècle, la fécondité épique de notre
race
est épuisée. Sauf les interpolations que la flatt
lique de Ganelon : ce félon Bernard de Naisil, dévoué à sa façon à sa
race
ou plutôt à la haine de sa race, toujours occupé
ard de Naisil, dévoué à sa façon à sa race ou plutôt à la haine de sa
race
, toujours occupé à réveiller ou attiser la discor
t surtout — et en cela ils semblent révéler l’aptitude éminente de la
race
— ils ont le sens du drame et du roman : sans poé
hacun a de donner une signification à son nom, afin de vivre chez les
races
futures, car nul ne peut espérer de vivre sans, u
out concilier. Ne pourrait-on pas dire, en effet, qu’il y a plusieurs
races
d’hommes, qui, chacune à part, ont été conservatr
s formes de civilisation ? Ne pourrait-on pas même dire que certaines
races
sont inhabiles à parvenir à certains degrés ou à
certains degrés ou à recevoir certaines formes de civilisation ? Ces
races
ont cependant une origine commune ; mais, dès le
nnements que nous ignorons ? Ne pourrait-on pas dire aussi que chaque
race
humaine ayant été affectée de prérogatives différ
un droit d’aînesse, comme tout paraît le prouver, et que ce sont les
races
aînées qui sont restées dépositaires des titres d
montré qu’il y a plusieurs familles de langues comme il y a plusieurs
races
d’hommes. Nous parviendrons sans doute à arriver
d’hommes. Nous parviendrons sans doute à arriver aux généalogies des
races
humaines par les généalogies des langues. Si les
e succédant, comme les générations humaines se détériorent, comme les
races
royales perdent de leur ascendant et de leurs pré
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