r déplacement, dans la théorie de la Relativité, est tout juste aussi
réel
que le rapetissement des objets par la distance.
icien, passant de système en système, trouvera toujours le même Temps
réel
dans les systèmes où il se sera installé et qu’il
. Non moins paradoxales seront les conséquences si j’érige en horloge
réelle
, marquant cette heure pour un observateur réel, l
i j’érige en horloge réelle, marquant cette heure pour un observateur
réel
, l’horloge tout idéale, fantasmatique, qui donne
é l’heure du système en mouvement. Mes personnages distants sont bien
réels
, mais, en tant que réels, ils conservent leur gra
ouvement. Mes personnages distants sont bien réels, mais, en tant que
réels
, ils conservent leur grandeur : c’est comme nains
qui se déplacent par rapport à moi, immobile, sont bien des horloges
réelles
; mais, en tant que réelles, elles marchent comme
t à moi, immobile, sont bien des horloges réelles ; mais, en tant que
réelles
, elles marchent comme les miennes et marquent la
a théorie, mais il conservait alors le paradoxe de Temps multiples et
réels
, — comme si l’on eût dit que Paul, revenu auprès
oxe, mais il n’aurait pu l’écarter qu’en montrant dans Pierre un être
réel
et dans Paul devenu nain un pur fantôme — c’est-à
te, avec une multiplicité indéfinie de Temps fictifs et un seul Temps
réel
. Telle est justement notre argumentation. Qu’on a
un autre, ne fût-ce que pour un instant ; il localise sa personnalité
réelle
dans ce nouveau système, qui devient ainsi immobi
, une représentation. Pierre seul devra être traité désormais en être
réel
et conscient (à moins que vous n’abandonniez le p
’en pourra représenter ? — Sans aucun doute. L’heure de cette horloge
réelle
est précisément celle qu’y lirait Paul s’il redev
horloge réelle est précisément celle qu’y lirait Paul s’il redevenait
réel
, je veux dire vivant et conscient. Mais, à ce mom
isse être vécu, un temps qui l’est d’ailleurs effectivement, un temps
réel
. Maintenant, si nous prenons S′ comme système de
omme système de référence, c’est en S′ que va s’écouler ce même temps
réel
t, en S que se sera transporté le temps fictif t’
sement d’ailleurs uniquement représenté et qui n’atteint pas le Temps
réel
. La symétrie est donc parfaite entre S et S′, tan
t S‴, comme elle l’est entre S et S′. Si nous installons le physicien
réel
, tour à tour, en S″, S‴, etc. (il ne saurait être
sieurs à la fois), en chacun d’eux il trouvera et vivra le même Temps
réel
t, attribuant alors successivement au système S l
e de la Relativité est obligée de mettre sur le même plan la « vision
réelle
» et la « vision virtuelle », la mesure effective
nkowski a précisément pour effet de dissimuler la différence entre le
réel
et le virtuel, entre ce qui est perçu ou percepti
pouvons imaginer dans l’Espace-Temps une infinité de lignes d’Univers
réelles
… Prenons l’une quelconque de ces lignes d’Univers
le rôle du philosophe. D’une manière générale, il veut distinguer le
réel
du symbolique ; plus précisément et plus spéciale
r effectivement. De ce point de vue nouveau, ne comparant plus que du
réel
à du réel, ou bien alors du représenté à du repré
ement. De ce point de vue nouveau, ne comparant plus que du réel à du
réel
, ou bien alors du représenté à du représenté, on
arié. Soient S et S′ ces deux systèmes. Il est clair que le physicien
réel
se donne alors un troisième système S″ où il se s
des deux systèmes se trouverait immobilisé. Mais alors, le physicien
réel
étant en S″, le temps réel, je veux dire vécu et
erait immobilisé. Mais alors, le physicien réel étant en S″, le temps
réel
, je veux dire vécu et effectivement mesuré, est c
censé prendre pour système de référence ce système S que le physicien
réel
en S″ se représente en mouvement. Entre l’observa
″ se représente en mouvement. Entre l’observateur en S (s’il devenait
réel
) et l’observateur réel en S″ la réciprocité est d
ement. Entre l’observateur en S (s’il devenait réel) et l’observateur
réel
en S″ la réciprocité est d’ailleurs parfaite. L’o
é est d’ailleurs parfaite. L’observateur fantasmatique en S, redevenu
réel
, retrouverait aussitôt le temps réel du système S
eur fantasmatique en S, redevenu réel, retrouverait aussitôt le temps
réel
du système S″, puisque son système se serait immo
me S″, puisque son système se serait immobilisé, puisque le physicien
réel
s’y serait transporté, puisque les deux systèmes,
e même système S″, du système S′. En S″ immobile sera encore le Temps
réel
, vécu et effectivement mesuré par le physicien en
ués, passeraient avec elles en S″, et c’est en S′ que serait le Temps
réel
. Nous venons de considérer le rapport de S″ immob
bandonnant tour à tour. Dans l’un et l’autre cas il y a un seul Temps
réel
, celui que le physicien réel constatait d’abord e
l’un et l’autre cas il y a un seul Temps réel, celui que le physicien
réel
constatait d’abord en S″, et qu’il retrouve en S
qui s’y trouve est un physicien simplement représenté : le physicien
réel
est en S″. Le système de référence réellement ado
nt adopté est S″, et le système S est non pas un système de référence
réel
, mais le système de référence supposé qu’adoptera
ées à l’observateur en S′ par l’observateur en S. Mais alors, entre S
réel
et S′ réel, quel est le véritable rapport ? Pour
ervateur en S′ par l’observateur en S. Mais alors, entre S réel et S′
réel
, quel est le véritable rapport ? Pour le savoir,
rapport ? Pour le savoir, nous n’avons qu’à placer notre observateur
réel
, tour à tour, en S et S′. Nos deux systèmes vont
tour, en S et S′. Nos deux systèmes vont ainsi devenir successivement
réels
, mais aussi, successivement, immobiles. C’est d’a
mé d’une vitesse constante égale à zéro. Voilà donc notre observateur
réel
en S, cette fois immobile. Il est clair que cet o
’un des deux temps est susceptible d’être vécu, effectivement mesuré,
réel
, tandis que l’autre est incapable d’être vécu, si
pour essence (le masquer, ou plutôt d’effacer, la différence entre le
réel
et le représenté. Une expression telle que équat
e comme les autres. On oublie que ce système était celui du physicien
réel
, que les autres sont seulement ceux de physiciens
Temps de l’un d’eux — seul Temps constaté ou constatable, seul Temps
réel
— et les Temps de tous les autres, simplement ima
e fantasmatique, substituée pour toute la durée du voyage à l’horloge
réelle
: de fantasmatique elle redevient réelle à l’inst
durée du voyage à l’horloge réelle : de fantasmatique elle redevient
réelle
à l’instant où elle est rendue au système immobil
redevient réelle à l’instant où elle est rendue au système immobile.
Réelle
elle fût d’ailleurs restée pendant le voyage pour
elle elle fût d’ailleurs restée pendant le voyage pour un observateur
réel
. Elle n’eût pris alors aucun retard. Et c’est jus
pourquoi elle ne présente aucun retard quand elle se retrouve horloge
réelle
, à l’arrivée. Il va sans dire que nos remarques s
ar une horloge dans un champ de gravitation », s’agit-il de l’horloge
réelle
perçue dans le champ de gravitation par un observ
horloge réelle perçue dans le champ de gravitation par un observateur
réel
? Évidemment non : aux yeux de celui-ci, gravitat
loge est modifiée dans le champ de gravitation. Au contraire le Temps
réel
, marqué par l’horloge réelle, vécu ou capable de
hamp de gravitation. Au contraire le Temps réel, marqué par l’horloge
réelle
, vécu ou capable de l’être, reste un Temps à ryth
les sont ces horloges qui ne sont pas synchrones ? S’agit-il du Temps
réel
, des horloges réelles que percevait tout à l’heur
es qui ne sont pas synchrones ? S’agit-il du Temps réel, des horloges
réelles
que percevait tout à l’heure l’observateur réel p
réel, des horloges réelles que percevait tout à l’heure l’observateur
réel
placé dans ce qui lui apparaissait comme un champ
horloge devenue, dès ce moment, fantasmatique, n’étant plus l’horloge
réelle
du physicien réel : celui-ci est resté avec son h
ce moment, fantasmatique, n’étant plus l’horloge réelle du physicien
réel
: celui-ci est resté avec son horloge au point O,
era effectivement devenant, par là même, immobile, son horloge restée
réelle
se trouvera partout immobile et fonctionnera part
ionnera partout de la même manière). Où que vous mettiez le physicien
réel
, il apportera avec lui l’immobilité ; et tout poi
avec lui l’immobilité ; et tout point du disque où siège le physicien
réel
est un point d’où l’effet observé ne devra plus s
ples représentations. Disons donc, si nous maintenons notre physicien
réel
en O, que son horloge, après avoir voyagé vers la
le supposons immobile : mais alors, nous plaçons sur lui le physicien
réel
; et en quelque point du disque que soit ce physi
physicien réel ; et en quelque point du disque que soit ce physicien
réel
avec son horloge réelle, il y a, comme on vient d
n quelque point du disque que soit ce physicien réel avec son horloge
réelle
, il y a, comme on vient de le voir, le même Temps
s, portant le physicien, il ne « tourne » pas : ce temps est le temps
réel
que marquent effectivement toutes les horloges, r
mps est le temps réel que marquent effectivement toutes les horloges,
réelles
et par conséquent synchrones, du système. Il ne c
ous fictifs, en lesquels se sera pulvérisé ou plutôt évaporé le Temps
réel
. En résumé, de deux choses l’une. Ou le disque es
’inertie de tout à l’heure y devient alors gravitation ; le physicien
réel
y habite ; c’est bien un système unique ; le Temp
bien un système unique ; le Temps qu’on y trouve est du Temps vécu et
réel
. Mais alors on y trouve partout le même Temps.
représentation perspective qu’il s’en donne provisoirement. Le Temps
réel
est d’ailleurs celui que le physicien perçoit et
ble avec le sien au repos, notre physicien retrouverait ce même Temps
réel
dans le système mouvant qu’il considère s’il s’y
garde en tant que physiciens, puisque la distinction entre la vision
réelle
et la vision virtuelle, entre le système de référ
a Relativité. — Confusion spéciale où l’on risque ici de tomber. — Le
réel
et le virtuel. — Ce que représente effectivement
hose pour la soumettre au calcul. La chose est donnée dans une vision
réelle
; l’expression correspond tout au plus à ce que n
tiques comme entourant, fugitives, le noyau stable et ferme de vision
réelle
. Mais l’essence de la théorie de la Relativité es
e mettre toutes ces visions au même rang. La vision que nous appelons
réelle
ne serait que l’une des visions fantasmatiques. J
s où un observateur intérieur à un système S′, ayant eu la perception
réelle
d’une longueur invariable l, se représenterait l’
ité de temps, nous pouvons dire que ce qui est donné à un observateur
réel
en S′ comme la fixité d’une grandeur spatiale, co
s prises dans le système S′ par l’observateur en S′, — seules mesures
réelles
attribuables à un observateur réel, — et considér
rvateur en S′, — seules mesures réelles attribuables à un observateur
réel
, — et considérer les mesures prises dans les autr
vivons dans un Espace à trois dimensions, nous aurions la perception
réelle
de ce qu’il se serait simplement représenté comme
nous avons pu remplacer la succession par une juxtaposition, le temps
réel
par un temps spatialisé, le devenant par le deven
devenu, c’est parce que nous conservons en nous le devenir, la durée
réelle
: quand l’enfant lit actuellement le mot tout d’u
ibles ; et celui qu’on a constaté effectivement, bien qu’il soit seul
réel
, n’apparaît plus comme privilégié : on le mettra
eule, une certaine distribution particulière en Espace et Temps était
réelle
. Mais on ne fait pas de distinction entre elle et
voit plus qu’une infinité de distributions possibles, la distribution
réelle
n’étant plus que l’une d’elles. Bref, on oublie q
dure que par sa solidarité avec ce qui se fait, avec ce qui est durée
réelle
et succession : il faut tenir compte de cet entre
s propriétés de faits tout particuliers, découpés dans l’immensité du
réel
, dont s’occupe la science physique. Maintenant, j
’invention et de création. Le temps est pour moi ce qu’il y a de plus
réel
et de plus nécessaire ; c’est la condition fondam
s sens et à ma conscience : l’immédiatement donné doit être tenu pour
réel
tant qu’on ne l’a pas convaincu d’être une simple
lui-même et parcourant ainsi dans une autre direction la totalité du
réel
48. Vous aurez fait une nouvelle répartition de l
nt la vision d’une image faite de points empruntés à tous les moments
réels
de l’univers, il vivrait dans l’incohérence et l’
n nous en avertit en disant que les trois premières dimensions sont «
réelles
» et la quatrième « imaginaire ». Serrons donc d’
y regardant de plus près, nous n’avons jamais trouvé qu’un seul Temps
réel
, celui du physicien qui construit la science : le
vateurs fantômes, s’animant tout à coup, s’installerait dans la durée
réelle
de l’ancien observateur réel, devenu fantôme à so
t à coup, s’installerait dans la durée réelle de l’ancien observateur
réel
, devenu fantôme à son tour. De sorte que la conce
nu fantôme à son tour. De sorte que la conception habituelle du Temps
réel
subsiste tout simplement, avec, en plus, une cons
chose. Si l’on entend par Espace-Temps à quatre dimensions un milieu
réel
où évoluent des êtres et des objets réels, l’Espa
quatre dimensions un milieu réel où évoluent des êtres et des objets
réels
, l’Espace-Temps de la théorie de la Relativité es
el et portée à son plus haut degré de généralité, nous donnera sur le
réel
une prise inattendue. Nous aurons entre les mains
B′ C′ égale à cT, et nous remarquons tout de suite que l’observateur
réel
en S′ perçoit réellement comme invariable le côté
nt, supposons qu’un coup de baguette magique place notre observateur,
réel
en S′ et fictif en S, dans les conditions où nous
ou concevoir un Espace à plus d’une dimension. En tant qu’observateur
réel
en S′, il apercevra la ligne droite A′ B′ : c’est
observateur réel en S′, il apercevra la ligne droite A′ B′ : c’est du
réel
. En tant que physicien fictif en S, il apercevra
variable de la ligne droite A′ B′, celle-ci ligne de pur Espace, mais
réelle
. Ainsi, nous voyons exactement le rapport de l’am
l’Espace : un espace A′ B′, voilà tout ce qui est constaté, voilà le
réel
. Mais cette réalité peut être reconstituée virtue
implement pensés, tous équivalents à l’Espace pur et simple, perçu et
réel
. Mais l’essence de la théorie de la Relativité es
la théorie de la Relativité est de mettre sur le même rang la vision
réelle
et les visions virtuelles. Le réel ne serait qu’u
ettre sur le même rang la vision réelle et les visions virtuelles. Le
réel
ne serait qu’un cas particulier du virtuel. Entre
droit de s’exprimer ainsi. Mais le philosophe, qui doit distinguer le
réel
du symbolique, parlera autrement. Il se contenter
era de décrire ce qui vient de se passer. Il y a une longueur perçue,
réelle
, A′ B′. Et si l’on convient de ne se donner qu’el
Quand la réalité équation devient la virtualité L2 le zéro de temps
réel
s’épanouit en un temps virtuel c 2T2. Mais cet in
e en mouvement. Et l’amalgame n’existe que dans sa pensée. Ce qui est
réel
, c’est-à-dire observé ou observable, c’est l’Espa
ce équation que pour nos observateurs fantasmatiques. L’observateur
réel
laissera faire, car il est bien tranquille : comm
s qui s’entrepénètrent ne sont l’Espace et le Temps d’aucun physicien
réel
ou conçu comme tel. Le physicien réel prend ses m
e et le Temps d’aucun physicien réel ou conçu comme tel. Le physicien
réel
prend ses mesures dans le système où il se trouve
ps ne se pénètrent que dans les systèmes en mouvement où le physicien
réel
n’est pas, où n’habitent que des physiciens par l
nd bien de la science. Mais ces physiciens ne sont pas imaginés comme
réels
ou comme pouvant l’être : les supposer réels, leu
sont pas imaginés comme réels ou comme pouvant l’être : les supposer
réels
, leur attribuer une conscience, serait ériger leu
à revenir de B en O. De quel temps s’agit-il ? Évidemment d’un temps
réel
, au sens que nous donnions plus haut à cette expr
te, aucune difficulté. Un temps vécu et compté par une conscience est
réel
par définition. Regardons alors un second physici
loge est contemporain du flux de sa conscience. C’est encore un temps
réel
par définition. Ainsi, le temps vécu et compté pa
et compté par le second dans le sien, sont l’un et l’autre des temps
réels
. Sont-ils, l’un et l’autre, un seul et même Temps
e système animé. Nous ne changerons donc rien à n’importe quel Temps,
réel
ou fictif, du système S′ si nous supposons que ce
dans le système, le Temps intérieur et immanent au système, le Temps
réel
enfin, est le même pour S et pour S′. Mais alors,
posant de le peindre en grandeur naturelle, je lui donne sa dimension
réelle
; et, en représentant Jacques comme un nain, j’ex
iplicité des Temps que j’obtiens ainsi n’empêche pas l’unité du temps
réel
; elle la présupposerait plutôt, de même que la d
rre. Nous revenons donc toujours au même point : il y a un seul Temps
réel
, et les autres sont fictifs. Qu’est-ce en effet q
emps réel, et les autres sont fictifs. Qu’est-ce en effet qu’un Temps
réel
, sinon un Temps vécu ou qui pourrait l’être ? Qu’
état de repos absolu, aboutirait bien à poser des Temps multiples et
réels
. Pierre, réellement immobile, vivrait une certain
imaginaire en mouvement doit être la même que celle d’un observateur
réel
en repos. Donc, dans l’hypothèse de la réciprocit
vra donc s’attacher aussi le philosophe quand il voudra distinguer le
réel
du fictif. Est réel ce qui est mesuré par le phys
aussi le philosophe quand il voudra distinguer le réel du fictif. Est
réel
ce qui est mesuré par le physicien réel, fictif c
inguer le réel du fictif. Est réel ce qui est mesuré par le physicien
réel
, fictif ce qui est représenté dans la pensée du p
sicien réel, fictif ce qui est représenté dans la pensée du physicien
réel
comme mesuré par des physiciens fictifs. Mais nou
me ou un seul groupe à vivre du temps. Ce Temps-là devient alors seul
réel
: c’est le Temps réel de tout à l’heure, mais acc
vivre du temps. Ce Temps-là devient alors seul réel : c’est le Temps
réel
de tout à l’heure, mais accaparé par l’homme ou l
que le physicien se représente et qui ne sauraient plus être du Temps
réel
, n’étant pas vécus et ne pouvant pas l’être. Imag
lera paradoxal, et pourtant c’est la simple vérité. L’idée d’un Temps
réel
commun aux deux systèmes, identique pour S et pou
ntérieure et que par conséquent les deux systèmes aient le même Temps
réel
; il est même très difficile alors de définir ave
ement la même durée, et que les deux systèmes ont ainsi le même Temps
réel
. En est-il ainsi encore de tous les systèmes de l
mer plus rigoureusement qu’on ne le fait d’ordinaire l’unité du Temps
réel
. Elle permet de définir et presque de démontrer l
oncluons de toute manière, en ce qui concerne l’universalité du Temps
réel
, que la théorie de la Relativité n’ébranle pas l’
us disions de la simultanéité intuitive, celle qu’on pourrait appeler
réelle
et vécue. Einstein l’admet nécessairement, puisqu
sonnement s’écroule, car il impliquait l’existence d’hommes également
réels
, semblablement conscients, jouissant des mêmes dr
t plus être question que d’un seul homme ou d’un seul groupe d’hommes
réels
, conscients, physiciens : ceux du système de réfé
imaginés trouveraient à la lumière la même vitesse que lui, physicien
réel
, si cette expérience toute théorique devenait pra
ccessions, les choses vont s’arranger de telle sorte que l’expérience
réelle
en S et l’expérience simplement imaginée en S′ do
deux systèmes, S′ aussi bien que S, d’avoir des simultanéités vécues,
réelles
, et qui ne se règlent pas sur des réglages d’horl
, on ne fait rien de plus. S’agit-il de succession et de simultanéité
réelles
? C’est de la réalité, si l’on convient d’appeler
s ? C’est de la réalité, si l’on convient d’appeler représentative du
réel
toute convention une fois adoptée pour l’expressi
ion mathématique, vous avez une réalité conventionnelle. Mais réalité
réelle
est celle qui est perçue ou qui pourrait l’être.
ut être censé en repos ou en mouvement, peu importe : la simultanéité
réelle
y restera simultanéité ; et la succession, succes
rouvait signaler la présence d’une simultanéité naturelle, intuitive,
réelle
, et l’on pourrait croire maintenant qu’elle désig
qui se demande si la voie et le train ont ou n’ont pas le même Temps
réel
— c’est-à-dire le même temps vécu ou pouvant l’êt
ttache réellement au perçu, au vécu, si l’on interroge un observateur
réel
dans le train et un observateur réel sur la voie,
si l’on interroge un observateur réel dans le train et un observateur
réel
sur la voie, on trouvera qu’on a affaire à un seu
des lois de perspective mathématique. Nous nous demandions ce qui est
réel
, c’est-à-dire observé et constaté effectivement.
ndra plus à rien de perçu ou de perceptible ; ce ne sera donc plus du
réel
, ce sera du symbolique. Le physicien placé dans l
ie dans une construction scientifique ; elle est tout entière dans le
réel
, et elle ne fait d’ailleurs que s’approprier comp
d’une multiplicité de Temps qui seraient tous sur le même plan, tous
réels
par conséquent si l’un d’eux est réel. Mais la vé
nt tous sur le même plan, tous réels par conséquent si l’un d’eux est
réel
. Mais la vérité est que celui-ci diffère radicale
is la vérité est que celui-ci diffère radicalement des autres. Il est
réel
, parce qu’il est réellement vécu par le physicien
sé l’un ou l’autre en système de référence. Tout ce qu’un observateur
réel
, en chair et en os, observe en N, tout ce qu’il o
uel point éloigné de lui à l’intérieur de son système, un observateur
réel
, en chair et en os, placé en N′, l’apercevrait id
our à tour, pour des vitesses croissantes du système, dans le présent
réel
de l’observateur en N′. Mais le même événement du
en chacun de ces points, un seul événement faisant partie du présent
réel
de l’observateur en N′, quelle que soit la vitess
nt, la même grandeur ? Répétons encore une fois que nous appelons ici
réel
ce qui est perçu ou perceptible. Nous devons donc
état de repos la longueur qu’il considère. Les deux systèmes, en état
réel
de déplacement réciproque, étant interchangeables
s le supposerons maintenant préoccupé surtout de ce que nous appelons
réel
, c’est-à-dire de ce qu’il perçoit ou pourrait per
tache de la ligne mouvante de démarcation qui sépare le symbolique du
réel
, le conçu du perçu. Il parlera donc de « réalité
act. D’ailleurs, si le spectateur simplement imaginé par moi devenait
réel
, il se trouverait devant la même difficulté, aura
evra jamais perdre de vue que, dans toute cette affaire, lui seul est
réel
, et l’autre observateur fantasmatique. Il évoquer
évoqués ; et la théorie de la Relativité, en fournissant au physicien
réel
le moyen de se trouver d’accord avec eux, aura fa
te quel autre point de l’univers. En chacun d’eux il y a un physicien
réel
traînant à sa suite une nuée de physiciens fantas
nt qu’il imaginera de vitesses. Voulons-nous alors démêler ce qui est
réel
? Voulons-nous savoir qu’il y a un Temps unique o
iciens fantasmatiques, nous ne devons tenir compte que des physiciens
réels
. Nous nous demanderons s’ils perçoivent ou non le
n et conscience. — Origine de l’idée d’un Temps universel. — La Durée
réelle
et le temps mesurable. — De la simultanéité imméd
la quatrième dimension. — À quel signe on reconnaîtra qu’un Temps est
réel
. Il n’est pas douteux que le temps ne se confond
une continuation de ce qui n’est plus dans ce qui est. Voilà le temps
réel
, je veux dire perçu et vécu. Voilà aussi n’import
é constatable perd ici toute signification. D’autre part, si la durée
réelle
devient divisible, comme nous allons voir, par la
s restions dans la durée pure, car toute durée est épaisse : le temps
réel
n’a pas d’instants. Mais nous formons naturelleme
ait une durée si elle s’arrêtait. Mais elle ne s’arrête pas. Le temps
réel
ne saurait donc fournir l’instant ; celui-ci est
nt mathématique, c’est-à-dire de l’espace. Et pourtant, sans le temps
réel
, le point ne serait que point, il n’y aurait pas
t. Instantanéité implique ainsi deux choses : une continuité de temps
réel
, je veux dire de durée, et un temps spatialisé, j
: ce temps spatialisé, qui comporte des points, ricoche sur le temps
réel
et y fait surgir l’instant. Ce ne serait pas poss
iment, continuité d’un mouvement quelconque à travers l’espace. Durée
réelle
et temps spatialisé ne seraient donc pas équivale
nt des instantanéités ; elles ne participent pas à la nature du temps
réel
; elles ne durent pas. Ce sont de simples vues de
, qui jalonnent d’arrêts virtuels la durée consciente et le mouvement
réel
, utilisant à cet effet le point mathématique qui
a simultanéité de flux qui nous ramène à la durée interne, à la durée
réelle
. Certains se demanderont s’il est utile d’y reven
l’expérience, car nous voulons nous en tenir à l’expérience. La durée
réelle
est éprouvée ; nous constatons que le temps se dé
par lequel nous déroulons le passé et abolissons ainsi la succession
réelle
nous entraîne à un déroulement total du temps ; f
ne vision). On pressent qu’une philosophie où la durée est tenue pour
réelle
et même pour agissante pourra fort bien admettre
ionnel, grandeur auxiliaire introduite en vue du calcul des grandeurs
réelles
. C’est peut-être pour n’avoir pas analysé d’abord
notre représentation du temps qui coule, notre sentiment de la durée
réelle
, qu’on a eu tant de peine à déterminer la signifi
ein est la réalité même, que tous les Temps d’Einstein sont également
réels
, autant et peut-être plus que le temps qui coule
temps qui intervient dans l’expérience Michelson-Morley est un temps
réel
; — réel encore le temps où nous revenons avec l’
i intervient dans l’expérience Michelson-Morley est un temps réel ; —
réel
encore le temps où nous revenons avec l’applicati
ons avec l’application des formules de Lorentz. Si l’on part du temps
réel
pour aboutir au temps réel, on a peut-être usé d’
formules de Lorentz. Si l’on part du temps réel pour aboutir au temps
réel
, on a peut-être usé d’artifices mathématiques dan
oivent avoir quelque connexion avec les choses. C’est donc la part du
réel
, la part du conventionnel, qu’il s’agit de faire.
; et constamment, dans ce qui va suivre, nous parlerons de ce qui est
réel
, de ce qui ne l’est pas. Qu’entendrons-nous par l
philosophie et celui de la science : celle-là considère plutôt comme
réel
le concret, tout chargé de qualité ; celle-ci ext
e montrer que là où il n’y a pas quelque mémoire, quelque conscience,
réelle
ou virtuelle, constatée ou imaginée, effectivemen
a suivre, quand nous voudrons savoir si nous avons affaire à un temps
réel
ou à un temps fictif, nous aurons simplement à no
eut pas, sous peine de contradiction, être perçue par une conscience,
réelle
ou imaginaire ? Ne sera-ce pas alors, par définit
erons de perçus ou de perceptibles ; ceux-là pourront être tenus pour
réels
. Mais il en est d’autres auxquels la théorie défe
dans la présente recherche, pour tout ce qu’on nous offrira comme du
réel
. Nous ne trancherons pas la question de savoir si
rofonde transformation que puisse comporter l’ensemble de sa destinée
réelle
, en ce que la vie y est enfin retirée aux objets
mps une grande influence sociale, toutefois plus apparente encore que
réelle
, subit dès lors un rapide décroissement intellect
uelconques, et surtout envers ceux dont nous ignorons encore les lois
réelles
. Les plus éminents penseurs peuvent alors constat
t être d’ailleurs des spéculations ainsi dépourvues de tout fondement
réel
. Tel est l’heureux privilège des principes théolo
giques a dû toujours tendre à empêcher aussi toute autre organisation
réelle
du système spéculatif ; en sorte que le plus dang
s connaissances vraiment accessibles, sagement adaptées à des besoins
réels
. La logique spéculative avait jusqu’alors consist
ation d’un fait, ou particulier ou général, ne peut offrir aucun sens
réel
et intelligible. Les principes qu’elle emploie ne
e constater ainsi, même très superficiellement, toutes les existences
réelles
, dont la majeure partie peut-être doit nous échap
omie cette nature nécessairement relative de toutes nos connaissances
réelles
, puisque, l’investigation des phénomènes ne pouva
ment cette nature nécessairement relative de toutes nos connaissances
réelles
, il importe de sentir, en outre, du point de vue
rocher de cette limite idéale autant que l’exigent nos divers besoins
réels
. Ce second genre de dépendance, propre aux spécul
beaucoup de ce grand principe logique pour faire dégénérer la science
réelle
en une sorte de stérile accumulation de faits inc
tes entre les phénomènes, ne permettra jamais de confondre la science
réelle
avec cette vaine érudition qui accumule machinale
calcul des chances, qui suppose implicitement l’absence de toute loi
réelle
à l’égard de certains événements, surtout quand l
tisfaction beaucoup plus complète, à tous égards, aussi bien que plus
réelle
, de ces deux besoins élémentaires. Telle est, évi
latifs d’existence et de mouvement ; d’où résulte, dans toute science
réelle
, une indifférence fondamentale entre l’appréciati
pliquer ou de prévoir, tout se réduit toujours à lier : toute liaison
réelle
, d’ailleurs statique ou dynamique, découverte, en
ons aux recherches vraiment accessibles, en considérant ces relations
réelles
, soit de similitude, soit de succession, comme ne
e telle dispersion nécessaire, parce qu’on apprécie mal les avantages
réels
que présente la transformation des inductions en
vaine déperdition de forces mentales, n’empêche nullement la science
réelle
de comporter, sous un autre aspect, une suffisant
tion extérieure de nos théories, comme exacte représentation du monde
réel
, notre science n’est certainement pas susceptible
l’univers, mais à l’homme, ou plutôt à l’Humanité, nos connaissances
réelles
tendent, au contraire, avec une évidente spontané
a rapportait à l’univers et non à l’homme ; puisque toutes nos études
réelles
y sont nécessairement bornées à notre monde, qui
a dû témoigner d’abord sa prédilection finale pour les connaissances
réelles
. C’est surtout, en effet, comme base rationnelle
e de la vraie science ; car, la pure érudition, où les connaissances,
réelles
mais incohérentes, consistent en faits et non en
limites qu’indique, de même qu’en tout autre cas, l’ensemble des lois
réelles
. Lorsque cette solidarité spontanée de la science
peut aussi bien manifester le vrai caractère et faciliter l’ascendant
réel
. Notre ardeur spéculative se trouve ainsi entrete
radicale serait incontestable ; mais loin d’offrir aucun inconvénient
réel
, cette inévitable disposition deviendra dès lors
olonté, ne peut aucunement s’accorder avec la constance des relations
réelles
. Ainsi à mesure que les lois physiques ont été co
conduite qui en résulte exigent évidemment une profonde connaissance
réelle
de l’être au sein duquel les volontés se produise
endant facile de reconnaître que le progrès naturel des connaissances
réelles
donnait seul une sérieuse consistance à sa bruyan
ucoup moins contraire que les précédentes à l’essor des connaissances
réelles
, qui n’y rencontraient plus, à chaque pas, la dan
monothéique, longtemps favorable à l’essor primitif des connaissances
réelles
, entrave profondément la marche systématique qu’e
désuétude de l’esprit théologique, le spectacle journalier de l’ordre
réel
aurait déjà déterminé une adhésion universelle au
faisant de plus en plus ressortir l’imperfection radicale de l’ordre
réel
, ainsi opposée à l’inévitable optimisme provident
quer les profondes imperfections que présente, à tous égards, l’ordre
réel
, presque toujours inférieur en sagesse à l’économ
hilosophique, à toutes les autres parties essentielles de la, science
réelle
. Mais il importe surtout de comprendre, en généra
des divers inconvénients propres à la constitution effective du monde
réel
, doit être conçue désormais comme inhérente à l’e
nsi, cette apparente ambiguïté n’offrira désormais aucun inconvénient
réel
. Il y faudra voir, au contraire, l’un des princip
eption la plus ancienne et la plus commune, le mot positif désigne le
réel
, par opposition au chimérique : sous ce rapport,
ique. Quelle qu’ait été, en effet, l’action dissolvante de la science
réelle
, cette influence fut toujours en elle purement in
ue, est tellement inhérent à la nature fondamentale des connaissances
réelles
, que sa considération générale ne tardera pas à s
lément et de systématisation, que doit aujourd’hui remplir la science
réelle
pour s’élever à la dignité d’une vraie philosophi
ique, soit logique, qui puisse dominer l’ensemble de nos spéculations
réelles
, toujours nécessairement réductibles à l’aspect h
soit critiques, graduellement remplacées par un sentiment universel,
réel
quoique confus, de la nécessité, et même de la po
le état normal de toutes les classes plus simples de nos spéculations
réelles
. Forte de tels antécédents, scientifiques et logi
ue, de l’ordre naturel résulté, en chaque cas, de l’ensemble des lois
réelles
, dont l’action effective est ordinairement modifi
ciale, sans que les questions agitées aient jamais pu faire aucun pas
réel
, à raison même de leur insolubilité radicale. Il
tant toujours l’extension et le perfectionnement de nos connaissances
réelles
comme le but essentiel de nos divers efforts théo
re nature, autant que le comporte, à tous égards, l’ensemble des lois
réelles
, extérieures ou intérieures. Érigeant ainsi la no
érive habituellement des penchants intérieurs, que notre constitution
réelle
rend nécessairement beaucoup plus énergique. Ains
esure que le vulgaire est devenu plus capable d’apprécier l’influence
réelle
de chaque conduite sur l’existence humaine, indiv
es motifs purement humains ils ne peuvent conserver aucune efficacité
réelle
aussitôt qu’ils ne dominent plus. Il n’existe don
possède maintenant notre espèce, détermineront exactement l’influence
réelle
, directe ou indirecte, privée et publique, propre
les besoins moraux. Désormais, au contraire, toutes les spéculations
réelles
, convenablement systématisées, concourront sans c
stimuler qu’à l’aide de pénibles artifices indirects, dont le succès
réel
devait être fort imparfait, vu la tendance essent
l’opposition fréquente de ces intérêts chimériques avec les intérêts
réels
a fourni à la sagesse sacerdotale un puissant moy
e l’intensité de vie que comporte, en chaque cas, l’ensemble des lois
réelles
. Cette grande identification pourra devenir d’aut
ellement théologiques ou métaphysiques, elle offrirait peu de gravité
réelle
, parce qu’il resterait un puissant appui chez ceu
puisse maintenant produire l’entière vulgarisation des connaissances
réelles
: le public rendra ainsi à la nouvelle école un p
tal de cette philosophie première, résultée de l’ensemble des notions
réelles
, et qui doit alors devenir la base systématique d
es esprits populaires, un notable avantage, au lieu d’un inconvénient
réel
. Sans revenir ici sur une critique malheureusemen
nelle, et au fond, plus dangereuse, à la conduite ordinaire de la vie
réelle
, soit active, soit même spéculative, que celle qu
hez ceux qui s’y sont plus spécialement livrés. L’inaptitude à la vie
réelle
, le dédain des professions vulgaires, l’impuissan
e caractère respectif de leurs travaux habituels. Depuis que l’action
réelle
de l’Humanité sur le monde extérieur a commencé,
s nécessités correspondantes, elles disposent à sentir que le bonheur
réel
est compatible avec toutes les conditions quelcon
, comme le Premier des êtres connus, destiné, par l’ensemble des lois
réelles
, à toujours perfectionner autant que possible, à
ve par leur ardeur continue pour l’universelle propagation des études
réelles
elles se rapportent aux principaux besoins collec
ncentration nécessaire de nos pensées et de notre activité sur la vie
réelle
de l’Humanité, en écartant toute vaine illusion,
sentiront bientôt combien l’universelle propagation des connaissances
réelles
peut seconder de plus en plus leurs efforts conti
ique, celle de l’Humanité. Cet objet final de toutes nos spéculations
réelles
exige, évidemment, par sa nature, à la fois scien
ique, c’est-à-dire géométrique ou mécanique, commune à tous les êtres
réels
. Mais, même quand on condense le plus possible le
d’ailleurs comprend évidemment tous les éléments de nos spéculations
réelles
, permet enfin à chaque intelligence de renouveler
ent utile de réduire ainsi la hiérarchie élémentaire des spéculations
réelles
à trois couples essentiels, dont chacun pourra d’
ence des corps vivants, caractérise aujourd’hui ce que contiennent de
réel
, au fond, les longues controverses, d’ailleurs si
es connaissances qui servent de base à toutes les autres spéculations
réelles
. Quoique cette stricte obligation conduise nécess
régularité et la grandeur supérieures nous manifestent le seul ordre
réel
qui soit complètement indépendant de toute modifi
que comportait leur nature : depuis leur restauration, leur influence
réelle
a été, au fond, beaucoup plus nuisible qu’utile à
la nécessité de la croyanceen une vérité objective pour constituer le
réel
. À défaut de cette vérité objective qui eût pu êt
ce de l’être. Il convient de noter que si quelque état particulier du
réel
se constitue par l’intervention de cette croyance
ité, absurde du point de vue intellectuel, conditionne l’existence du
réel
qui se fonde sur l’arbitraire et sur l’irrationne
int de vue engendre une façon différente de la commune d’apprécier le
réel
. Que l’on mette en cause une conception de l’ordr
ier et à la développer si l’on se propose de favoriser cette forme du
réel
, — à la dissocier, si au contraire on a pour obje
erstition, le préjugé, la croyance sont l’étoffe et l’unique tissu du
réel
, se préoccupe uniquement de rechercher quelle for
de répétition sont les facteurs indispensables de toute invention de
réel
: c’est par eux, au moyen du phénomène de ralenti
omène de ralentissement et de condensation qu’ils déterminent, que le
réel
apparaît stationnaire en marge de la fuite contin
ette résistance dessinent en leurs points d’équilibre les contours du
réel
; mais pour que le réel se forme et devienne perc
t en leurs points d’équilibre les contours du réel ; mais pour que le
réel
se forme et devienne perceptible une condition es
mme idéaliste, en tant qu’elle nous apparut en proie à cette haine du
réel
qui lui fait imaginer en face de toute réalité pr
état incessant de guerre et de contrariété conditionne l’existence du
réel
. Toute réalité vivante est soumise à la nécessité
de choisir, pour l’amener à la conscience distincte par l’efficacité
réelle
qu’il lui confère, le souvenir utile, celui qui c
u’elle apparaîtrait à une intuition immédiate, mais une adaptation du
réel
aux intérêts de la pratique et aux exigences de l
ité de l’action et du langage. Justement parce que ce morcellement du
réel
s’est opéré en vue des exigences de la vie pratiq
ntuition dans sa pureté première et nous reprendrions contact avec le
réel
. Cette méthode présente, dans l’application, des
les éléments infiniment petits que nous apercevons ainsi de la courbe
réelle
, la forme de la courbe même qui s’étend dans l’ob
ecompose. Les sens, laissés à eux-mêmes, nous présentent le mouvement
réel
, entre deux arrêts réels, comme un tout solide et
sés à eux-mêmes, nous présentent le mouvement réel, entre deux arrêts
réels
, comme un tout solide et indivisé. La division es
ême, l’illusion qui accompagne et recouvre la perception du mouvement
réel
. Le mouvement consiste visiblement à passer d’un
la conclusion de tout ce qui précède : II. — Il y a des mouvements
réels
. Le mathématicien, exprimant avec plus de préc
vers matériel change, que la configuration intérieure de tout système
réel
varie, et que nous n’avons plus le choix ici entr
ne peuvent exprimer que des distances. Mais qu’il y ait un mouvement
réel
, personne ne peut le contester sérieusement : sin
ni de croire à un mouvement absolu. Dira-t-on alors que le mouvement
réel
se distingue du mouvement relatif en ce qu’il a u
vement réel se distingue du mouvement relatif en ce qu’il a une cause
réelle
, en ce qu’il émane d’une force ? Mais il faudrait
Le passage de l’une à l’autre est, lui aussi, un phénomène absolument
réel
. Je tiens donc les deux extrémités de la chaîne,
ent dits. Comment distinguer ici un mouvement apparent d’un mouvement
réel
? De quel objet, extérieurement aperçu, peut-on d
ent ce que nous appelons vivre. Mais si cette première subdivision du
réel
répond beaucoup moins à l’intuition immédiate qu’
Mais des expériences fort simples montrent qu’il n’y a jamais contact
réel
entre deux corps qui se poussent 101 ; et d’autre
ons la toucher, ses contours palpables deviennent pour nous sa limite
réelle
, et nous voyons alors dans son action un je ne sa
ient pas tout au moins une direction où chercher la représentation du
réel
? Or, la direction qu’ils indiquent n’est pas dou
pugneraient donc à cette dernière proposition : IV. — Le mouvement
réel
est plutôt le transport d’un état que d’une chose
e l’autre. Mais la question est justement de savoir si les mouvements
réels
ne présentent entre eux que des différences de qu
ominateur commun permettant de comparer entre eux tous les mouvements
réels
; mais ces mouvements, envisagés en eux-mêmes, so
soin et aux nécessités de la vie pratique. Mais pour diviser ainsi le
réel
, nous devons nous persuader d’abord que le réel e
pour diviser ainsi le réel, nous devons nous persuader d’abord que le
réel
est arbitrairement divisible. Nous devons par con
re, sont bien les moments successifs obtenus par la solidification du
réel
. Mais pour distinguer ces moments, et aussi pour
ion et de division que nous faisons subir à la continuité mouvante du
réel
pour nous y assurer des points d’appui, pour nous
nes des principes de division et de solidification introduits dans le
réel
en vue de l’action, et non de la connaissance, qu
ion, et non de la connaissance, qui attribuerait aux choses une durée
réelle
et une étendue réelle, et verrait enfin l’origine
aissance, qui attribuerait aux choses une durée réelle et une étendue
réelle
, et verrait enfin l’origine de toutes les difficu
nous mettons en elle. Il n’est pas le support sur lequel le mouvement
réel
se pose ; c’est le mouvement réel, au contraire,
le support sur lequel le mouvement réel se pose ; c’est le mouvement
réel
, au contraire, qui le dépose au-dessous de lui. M
çant désormais sur cette idée qui représente justement l’inversion du
réel
, n’y découvre que des contradictions ? Ayant assi
ientifique, quand elle est un travail de la pensée sur les phénomènes
réels
; ou philosophique et métaphysique, quand elle es
n du tout et des relations universelles. Sommes-nous quelque chose de
réel
, nous qui vivons, sentons, pensons ? Sommes-nous
s, pensons ? Sommes-nous tout au moins un composé de quelque chose de
réel
, quoi que ce soit d’ailleurs, matière ou esprit,
té ? Si nous sommes quelque chose, si nous avons en nous des éléments
réels
, ces éléments intrinsèques sont antérieurs à leur
e l’intelligence, on en devait venir à se poser ce problème : tout le
réel
est-il vraiment intelligible ? Ce point d’interro
intelligence. Ce serait quelque chose d’inintelligible et pourtant de
réel
; ce serait une puissance féconde pour créer, quo
e et de la contingence dans la nature, contestent que tout ce qui est
réel
soit rationnel ; ils pensent qu’il peut y avoir d
l est clair que cette abstraction n’agira pas, ne sera pas un facteur
réel
, et que les mêmes principes subsisteront identiqu
norance n’ont qu’une valeur abstraite et hypothétique, non une action
réelle
. De plus, répétons que la raison suffisante n’est
nséquemment par le mécanisme. Mais ce monde vrai est-il tout le monde
réel
? Le mécanique est-il, comme les cartésiens l’ont
utres termes, il doit y avoir un fondement objectif du sensible et du
réel
en tant que tel. Le principe des causes efficient
n’a, selon nous, d’autre objet que de poser ce fondement objectif du
réel
. Dire que tout ce qui est réel a non seulement un
que de poser ce fondement objectif du réel. Dire que tout ce qui est
réel
a non seulement une raison intelligible, mais une
ur la pensée est un ordre abstrait de vérités, qui présuppose l’ordre
réel
des choses et ne suffit pas à le produire. En d’a
réel des choses et ne suffit pas à le produire. En d’autres termes le
réel
ne s’explique pas seulement par le rationnel pur,
le réel ne s’explique pas seulement par le rationnel pur, mais par le
réel
; le réel vient du réel, non de l’abstrait. En mê
s’explique pas seulement par le rationnel pur, mais par le réel ; le
réel
vient du réel, non de l’abstrait. En même temps d
s seulement par le rationnel pur, mais par le réel ; le réel vient du
réel
, non de l’abstrait. En même temps donc que, par l
le principe de causalité efficiente nous maintenons la différence du
réel
et du pensé, tout au moins du réel et de ce qui n
e nous maintenons la différence du réel et du pensé, tout au moins du
réel
et de ce qui n’est pour nous que pensé. Le princi
sé. Le principe d’intelligibilité universelle semblait subordonner le
réel
à l’intelligible, le principe de causalité subord
l’intelligible, le principe de causalité subordonne l’intelligible au
réel
. Les deux ne sont conciliables que dans l’hypothè
dans l’hypothèse d’une réalité intelligible ou d’une intelligibilité
réelle
, c’est-à-dire non abstraite, mais concrète et viv
te, mais concrète et vivante. Maintenant, comment nous représenter ce
réel
qui, dans les choses, se manifeste d’une manière
ainsi la série intelligible des raisons et conséquences en une série
réelle
de causes et d’effets, c’est-à-dire d’actions et
attribut n’est jamais à l’état abstrait, jamais séparé d’un ensemble
réel
et actif, auquel il est lié par une synthèse abou
’action réciproque. Un phénomène isolé serait un phénomène conçu, non
réel
; il serait de plus sans raison et sans cause, ét
anés, se conditionnant et le conditionnant, formant ainsi un ensemble
réel
. En outre, cet ensemble est plus ou moins durable
s ne faisons que projeter en toutes choses notre propre constitution,
réelle
ou apparente ; nous prêtons à toute une sorte de
la cause active, laquelle n’est elle-même que le schéma de la raison
réelle
, de l’intelligibilité réelle ou, si l’on veut, de
est elle-même que le schéma de la raison réelle, de l’intelligibilité
réelle
ou, si l’on veut, de la réalité se manifestant se
d’unités mentales sans songer à les adapter aux collections d’unités
réelles
. — Ultérieurement et à l’expérience, toute collec
éelles. — Ultérieurement et à l’expérience, toute collection d’unités
réelles
se trouve adaptée à une collection d’unités menta
nérales de ces constructions mentales correspondent des constructions
réelles
. — Il y a dans la nature des surfaces, des lignes
structions mentales correspondent approximativement des constructions
réelles
. — Pourquoi cette correspondance n’est-elle qu’ap
espondance n’est-elle qu’approximative. — Exemples. — La construction
réelle
est plus compliquée que la construction mentale.
simples de ces constructions mentales correspondent des constructions
réelles
. — Tendance des corps en repos ou doués d’un mouv
s qui sont moins simples correspondent encore certaines constructions
réelles
. — Hypothèse de la vitesse uniformément accrue ;
bre il se soutient, et à quelles conditions il correspond à l’édifice
réel
et naturel des choses. § I. Idées générales qui
re part, s’appliquer jusqu’à comprendre tous les corps imaginables et
réels
. — Ainsi les caractères généraux s’ordonnent par
nté de le prononcer ; cette attache aussi est exclusive ; la présence
réelle
ou mentale d’un individu d’une autre classe ne l’
u les étendre, pour ajuster leurs dimensions corrigées aux dimensions
réelles
des objets. — Tant que l’examen se faisait en gro
mille espèces d’animaux, et, dans la plupart des cas, démêler le type
réel
et constant qui fait chaque espèce, chaque genre,
sciences qui, comme les mathématiques, traitent du possible et non du
réel
. Nous formons ces idées sans examiner s’il y a da
ui corresponde à notre idée. Y a-t-il quelque part un groupe d’unités
réelles
auquel s’adapte, trait pour trait, ce groupe d’un
e pour que la construction mentale coïncide avec quelque construction
réelle
. Car aux éléments dont mon idée est faite corresp
parce que les éléments mentaux de l’un sont calqués sur les éléments
réels
de l’autre, ensuite parce que la structure artifi
ables ; quand nous en faisons un, nous n’avons point en vue une chose
réelle
à laquelle nous tâchions de conformer notre pensé
t néanmoins notre pensée se trouve conforme à une ou plusieurs choses
réelles
encore inconnues, qui, lorsqu’elles seront connue
ort maniables, choisis pour tenir lieu de tous les autres, la surface
réelle
d’un tableau noir ou d’un papier blanc, le mince
s de ne point faire attention à sa longueur ni à sa largeur, qui sont
réelles
; par cette omission, nous en faisons involontair
nous sommes disposés à ne point nous inquiéter de sa largeur, qui est
réelle
; par cette omission, nous la retranchons, et, sa
avorables, elle manque sur quelque point ; on dirait que la substance
réelle
essaye de se mouler sur la forme mentale, mais qu
’autres directions perturbatrices. Par conséquent, si la construction
réelle
ne s’ajuste qu’à peu près à la construction menta
re, si différents qu’ils soient, si différentes que soient les forces
réelles
par lesquelles ils sont mis en mouvement ou les c
réelles par lesquelles ils sont mis en mouvement ou les circonstances
réelles
dans lesquelles ils se trouvent en repos, tendent
double conception ; on s’en est assuré par l’expérience ; la matière
réelle
est inerte, indifférente au repos et au mouvement
renante ; à notre construction intellectuelle correspond un mouvement
réel
, composé de la même façon à tous les points de vu
sont fabriqués soient calqués exactement sur les éléments des choses
réelles
; car alors les éléments de notre moule se retrou
onformément à l’idée du mur ainsi construit, nous construisons le mur
réel
qui nous préservera du vent. — Étant donnés les h
es visions virtuelles se télescopent, pour ainsi dire, dans la vision
réelle
de la figure primitive AOB. Quelle est la conclus
te, intuitivement, la relation des Temps multiples au Temps unique et
réel
. Non seulement les Temps multiples évoqués par la
ués par la théorie de la Relativité ne rompent pas l’unité d’un Temps
réel
, mais encore ils l’impliquent et la maintiennent.
réel, mais encore ils l’impliquent et la maintiennent. L’observateur
réel
, intérieur au système, a conscience, en effet, et
ent la même durée vécue. Sans cette unique durée vécue, sans ce Temps
réel
commun à tous les Temps mathématiques, que signif
i les perçoit tous dans la même durée, ni par aucun autre observateur
réel
ou possible. Ils ne conserveraient le nom de temp
nition, des Temps conventionnels, puisqu’ils ne mesurent aucune durée
réelle
ou possible. Mais comment expliquer, d’une manièr
dislocations, toutes ces successions sont donc virtuelles ; seule est
réelle
la simultanéité. Et c’est parce que toutes ces vi
iné, du pur possible, tandis que de l’autre côté c’est du perçu et du
réel
. Mais le fait que, consciemment ou non, la théori
ours être converti en durée psychologique et qui se trouve ainsi être
réel
par définition, la théorie de la Relativité subst
es Temps multiples. Et cela nous semble paradoxal, parce que la durée
réelle
continue à nous hanter. Mais cela devient au cont
mécanistique. Coup d’œil sur l’histoire des systèmes. Le devenir
réel
et le faux évolutionnisme. Esquisse d’une cri
l’action est seule en cause. Mais lorsque, spéculant sur la nature du
réel
, nous le regardons encore comme notre intérêt pra
et va du vide au plein, d’une absence à une présence, de l’irréel au
réel
. L’irréalité dont il s’agit ici est d’ailleurs pu
d’ordre, est possible, ou imaginable, ou concevable. Or, il n’y a de
réel
que l’ordre ; mais, comme l’ordre peut prendre de
Comparons, en effet, entre elles les deux idées de l’objet A supposé
réel
et du même objet supposé« inexistant ». L’idée de
L’acte par lequel on déclare un objet irréel pose donc l’existence du
réel
en général. En d’autres termes, se représenter un
tres ou on se la fait à soi-même. On prend à partie un interlocuteur,
réel
ou possible, qui se trompe et qu’on met sur ses g
on que, si l’on va plus loin, si l’on érige l’objet possible en objet
réel
, on se trompe, et que le possible dont je parle e
nce, l’une pensée et l’autre constatée) dans des cas où une personne,
réelle
ou imaginaire, croyait à tort qu’un certain possi
nt le pas de l’expérience, qui n’avance ni ne retarde sur le cours du
réel
, n’aurait aucune velléité de nier. Elle ne saurai
se réveille de sa torpeur, qu’elle formule la déception d’une attente
réelle
ou possible, qu’elle corrige une erreur actuelle
t, il est vrai, que ce poisson se fût élevé jusqu’à la distinction du
réel
et du possible, et qu’il se souciât d’aller au-de
er une non-réalité également objective et, pour ainsi dire, également
réelle
. En quoi nous avons à la fois tort et raison : to
n vain nous montrons que, dans la représentation d’une « abolition du
réel
», il n’y a que l’image de toutes réalités se cha
tique, partant intemporelle. Et, dès lors, une conception statique du
réel
s’impose : tout paraît donné en une seule fois, d
a forme est de l’immobile et que la réalité est mouvement. Ce qui est
réel
, c’est le changement continuel de forme : la form
rrange pour solidifier en images discontinues la continuité fluide du
réel
. Quand les images successives ne diffèrent pas tr
doute à lui-même qu’il imite par son instabilité le mouvement même du
réel
. Mais si, en s’entraînant lui-même au vertige, il
is avec ces états successifs, aperçus du dehors comme des immobilités
réelles
et non plus virtuelles, vous ne reconstituerez ja
ut instant la possibilité d’un arrêt, prétend recomposer le mouvement
réel
avec ces immobilités possibles. Elle s’évanouit d
s’évanouit dès qu’on adopte par la pensée la continuité du mouvement
réel
, celle dont chacun de nous a conscience quand il
des parties intégrantes de l’évolution : elles deviennent des arrêts
réels
, et nous ne concevons plus comment l’évolution es
nts du trajet. La vérité est que, si le langage se moulait ici sur le
réel
, nous ne dirions pas « l’enfant devient homme »,
à l’autre les images successives pour imiter le mouvement de l’objet
réel
. Dans la seconde, « devenir » est un sujet. Il pa
sible. Mais la réalité intelligible, celle qui devrait être, est plus
réelle
encore, et celle-là, dira-t-on, ne change pas. So
lique le mécanisme cinématographique de l’intelligence à l’analyse du
réel
. Mais, dès qu’on met les Idées immuables au fond
ntelligence, il importe que nous montrions à quelle représentation du
réel
le jeu de ce mécanisme aboutit. Cette représentat
conséquences extrêmes, la réduire en système ? Elle composera donc le
réel
avec des Formes définies ou éléments immuables, d
autres. La science, entendue comme le système des concepts, sera plus
réelle
que la réalité sensible. Elle sera antérieure au
e de division aura été imposé à l’esprit par des crises apparentes du
réel
, comparables à celle de la puberté, par le déclan
éritables éléments de la matière, à supposer qu’il y ait des éléments
réels
, et, même si nous les connaissions à un moment do
tuelles, toujours, en somme, des immobilités. C’est dire que le temps
réel
, envisagé comme un flux ou, en d’autres termes, c
en tant que distincte de la simple juxtaposition, n’a pas d’efficace
réelle
, si le temps n’est pas une espèce de force, pourq
ssent été abolis ; c’est l’écoulement du temps, c’est le flux même du
réel
qu’on eût essayé de suivre. Le premier genre de c
st-à-dire des vues prises sur elle par notre esprit : il symbolise le
réel
et le transpose en humain plutôt qu’il ne l’expri
ire de celle-là, on s’ouvrirait une perspective sur l’autre moitié du
réel
. Car, dès qu’on se retrouve en présence de la dur
issement continu de l’univers apparaîtrait, je veux dire d’une vie du
réel
. Et dès lors on envisagerait sous un nouvel aspec
le temps. Dès lors on supposait donnée d’un seul coup la totalité du
réel
. La détermination réciproque des apparences juxta
cepts de leur science en un seul, ils embrassent ainsi la totalité du
réel
, car les concepts représentent les choses mêmes e
De fait, le premier résultat de la nouvelle science fut de couper le
réel
en deux moitiés, quantité et qualité, dont l’une
vait se résigner ou à ne comprendre dans sa synthèse qu’une moitié du
réel
, ou à profiter au contraire de l’irréductibilité
arfait), et qu’il n’y a que des monades, entendant par là que le Tout
réel
n’a pas de parties, mais qu’il est répété à l’inf
our elle. Il est vrai qu’après avoir concentré en Dieu la totalité du
réel
, il leur devenait difficile de passer de Dieu aux
globent donc, en dépit de leur développement, qu’une petite partie du
réel
. Supposer a priori que la totalité du réel est ré
t, qu’une petite partie du réel. Supposer a priori que la totalité du
réel
est résoluble en éléments de ce genre, ou du moin
la croyance à une science une et intégrale, embrassant la totalité du
réel
. Même, à l’envisager d’un certain côté, elle n’es
osophie, Mais la durée y joue-t-elle véritablement un rôle ? La durée
réelle
est celle où chaque forme dérive des formes antér
rète où s’opère sans cesse une refonte radicale du tout. Elle suit le
réel
dans toutes ses sinuosités. Elle ne nous conduit
us suggère et les objets qu’il s’agit d’expliquer. C’est le détail du
réel
qu’elle prétend éclaircir, et non plus seulement
ujourd’hui, car c’est par rapport à elle, et à elle seulement, que le
réel
se décompose de cette manière. Pense-t-on que le
qu’elles sont aujourd’hui en moi, car ce sont elles qui lotissent le
réel
, elles qui découpent les faits dans le tout de la
écoulement, un devenir. Et il se préparera ainsi à retrouver la durée
réelle
là où il est plus utile encore de la retrouver, d
ts, c’est-à-dire deux manières différentes de comprendre l’analyse du
réel
. Pour l’idéaliste, il n’y a rien de plus, dans la
dans la représentation que nous en avons, et que les articulations du
réel
sont celles mêmes de notre représentation. Le réa
ls nous désignerons, au cours de la présente étude, deux notations du
réel
, dont l’une implique la possibilité et l’autre l’
sine déjà quelques-unes des réactions motrices naissantes que l’objet
réel
(c’est-à-dire la représentation complète) aurait
sme ne se maintient jamais à l’état pur. On peut poser l’existence du
réel
en général derrière la représentation : dès que l
nt pour l’idéaliste la réalité même. Réaliste au moment où il pose le
réel
, il devient idéaliste dès qu’il en affirme quelqu
ra établir des relations de plus en plus intimes entre les parties du
réel
qui se juxtaposent à nos yeux dans l’espace. Mais
partie de la représentation une partie de la réalité, il articule le
réel
comme la représentation, il déploie la réalité da
le tout de notre perception. Mais voici que, descendant au détail du
réel
, on continue à le composer de la même manière et
e bien le cerveau tel qu’il est représenté, mais on oublie que, si le
réel
est déplié dans la représentation, étendu en elle
rs des origines expérimentales : la partie effectivement mesurable du
réel
n’en reste pas moins limitée, et la loi, envisagé
pas vers une réalité qui a été supposée en tension, et d’autant plus
réelle
, par conséquent, qu’elle est plus inextensive. Au
aussitôt l’homme s’indigne, alléguant les droits imprescriptibles du
Réel
, et proteste par des œuvres nouvelles, où s’affir
e le monde et notre intelligence, postulent l’identité à sa limite du
réel
et de la raison, de la nature et de l’être2. Au f
le représente7. » Et puis il y a aussi les symbolistes 8. Au nom du
réel
ils s’emporteront. « Parnassiens, se sont-ils écr
s les peuples, depuis l’antiquité jusqu’à nos jours, par la notion de
réel
. Après tout, le demi-cercle, sans cesse recommenc
polite, plus compréhensive, le prisme à travers lequel se réfracte le
réel
change de couleur. Nous ne percevons jamais qu’un
e réservoir d’images et de sensations. Impuissant à embrasser tout le
réel
, chaque siècle n’y puise que ce qu’il est capable
age ne nous frappe pas de même manière. Il se trouve que pour vous le
réel
c’est le monde visible, une chose ; pour moi, adm
monde visible, une chose ; pour moi, admettons, comme pour Platon, le
réel
est une idée. Cette idée d’ailleurs n’est nulleme
si, qu’on le veuille ou non, un vers, la poésie adaptation de nous au
réel
, suppose toute une métaphysique. À cette métaphys
de la poésie. D’une part, la métaphysique va au-delà du vrai jusqu’au
réel
; elle étudie l’essence de l’être et de la vie16.
ire des lois et des rapports entre les phénomènes, est plus vraie que
réelle
et se réduit en définitive à une création logique
ps et l’espace, elle nous oblige à sentir en frissonnant le voisinage
réel
de l’éternité qu’on oublie. » * * * Ne nous dé
si chaque système philosophique devient un miroir où se réverbère le
réel
, il en est de plus ou moins vastes, déplus ou moi
n subsiste d’avoir voulu créer une poésie amplement représentative du
réel
conçu comme une idée22, et d’avoir essayé de déga
ment. Par un violent effort ils ont voulu se placer au centre même du
réel
et, par une sorte de sympathie intellectuelle, co
, — se sont approchés plus près du tabernacle de l’arche où repose le
réel
, puisque la seule réalité vraie — porro unum ess
arnassiens : de même que pour s’être efforcés d’épuiser le contenu du
réel
, d’élargir leur conscience, de concevoir la vie d
l’objet à des éléments déjà connus et, comme l’algèbre, substitue au
réel
des signes et des lois abstraites. — De même, le
avec toute son âme, pénètre au-delà des phénomènes, jusqu’au cœur du
réel
, sans le secours d’une dialectique. Le monde n’es
sur le mur de Vie et prend son propre fantôme — son symbole — pour le
Réel
. Le symboliste a rompu les chaînes qui le rivaien
le Soleil. Une différence de nature dans la manière de percevoir le
réel
sépare à jamais l’esthétique parnassienne et cell
istes. * * * Une différence de degré dans la manière d’exprimer le
réel
en résulte. « Si le Connaissable n’est pas, à lu
levant au-dessus des contingences pour s’adapter de mieux en mieux au
Réel
. Nos sentiments aussi ne sont pas en eux-mêmes ce
cèdent par intuitions ou visions directes. Ils ont pris possession du
réel
et chacune de leurs pensées est un acte simple· D
s et puisent dans le plein épanouissement de la raison et dans la vie
réelle
de l’esprit leur pouvoir intuitif et créateur. À
rais aimé atteindre à l’acuité de vision nécessaire pour découvrir le
réel
derrière la nature, l’idée vivante par-delà la fo
e a chance de nous renseigner. Provisoirement par nature j’entends le
réel
, c’est-à-dire l’objectif, et par vérité, comme to
é. Seulement, pour l’atteindre, cet absolu, et communier avec tout le
réel
, il faut que mon âme ne soit pas « un empire dans
. 124 note). Taine en effet, a montré que « l’altération des rapports
réels
des choses », en vue d’un effet à obtenir, a été
ste ? On en est donc toujours réduit à se demander : qu’est-ce que le
réel
? comme on se demande ce que signifie l’expressio
ntation. Mais si mon corps est un objet capable d’exercer une action
réelle
et nouvelle sur les objets qui l’entourent, il do
j’appelle mon corps était d’exercer sur d’autres images une influence
réelle
, et par conséquent de se décider entre plusieurs
pour elle-même et dans la mesure bien définie où elle subit l’action
réelle
des images environnantes, l’autre où toutes varie
t en absolu, et tiennent la science pour une expression symbolique du
réel
. Mais pour les uns et pour les autres, percevoir
atériel, et imaginons çà et là, dans ce système, des centres d’action
réelle
représentés par la matière vivante : je dis qu’il
ence passée. Le plus souvent, ces souvenirs déplacent nos perceptions
réelles
, dont nous ne retenons alors que quelques indicat
qualités sensibles consiste surtout dans une espèce de contraction du
réel
, opérée par notre mémoire. Bref, la mémoire sous
veau. Les objets ne feront qu’abandonner quelque chose de leur action
réelle
pour figurer ainsi leur action virtuelle, c’est-à
lles n’ajoutent rien à ce qui est ; elles font seulement que l’action
réelle
passe et que l’action virtuelle demeure. Ce n’est
s de la méthode scientifique ; on ne décrira pas du tout le processus
réel
. En fait, il n’y a pas une image inextensive qui
Si le psychologue dédaigne une idée aussi simple, aussi rapprochée du
réel
, c’est que le processus intracérébral, cette mini
cette mémoire, pas plus que la perception elle-même, n’a sa condition
réelle
et complète dans un état cérébral. Sans aborder e
ure » et de la mémoire. Mais elles se rattachent en outre à des faits
réels
, que nous pouvons dès maintenant signaler pour en
us solidement établie que pour l’oreille nulle part aussi l’existence
réelle
de la chose perçue n’est devenue plus probable. N
s allons voir, que chacun de ses éléments dits sensitifs a son action
réelle
propre, qui doit être de même genre que son actio
ques remarques préliminaires sont indispensables sur la signification
réelle
de la douleur. Quand un corps étranger touche un
se immédiate, plus l’action virtuelle tend à se transformer en action
réelle
. Passez maintenant à la limite, supposez que la d
percevoir. Alors ce n’est plus une action virtuelle, mais une action
réelle
que cette perception toute spéciale exprimera : l
cela même. Nos sensations sont donc à nos perceptions ce que l’action
réelle
de notre corps est à son action possible ou virtu
concerne les autres objets et se dessine dans ces objets ; son action
réelle
le concerne lui-même et se dessine par conséquent
t se passera donc enfin comme si, par un véritable retour des actions
réelles
et virtuelles à leurs points d’application ou d’o
léchies par notre corps dans l’espace qui l’environne, et les actions
réelles
arrêtées par lui à l’intérieur de sa substance. E
e que ses actions virtuelles se compliquent et s’imprègnent d’actions
réelles
, ou, en d’autres termes, de ce qu’il n’y a pas de
ntre la perception et la sensation, — celle-ci enveloppant une action
réelle
et celle-là une action simplement possible, — ne
t par submerger l’autre. Il est incontestable que le fond d’intuition
réelle
, et pour ainsi dire instantanée, sur lequel s’épa
pouvant par là mieux éclairer notre décision, il déplace l’intuition
réelle
, dont le rôle n’est plus alors — nous le prouvero
de ce que nous avons tout intérêt enfin à ériger en simples signes du
réel
ces intuitions immédiates qui coïncident, au fond
’est que le symbole par lequel nous exprimons, à côté des perceptions
réelles
, les perceptions possibles. Mais pour le réalisme
e si, en l’isolant de l’action, en coupant ainsi ses attaches avec le
réel
, on ne la rendait pas à la fois inexplicable et i
a perception pure, un système d’actions naissantes qui plonge dans le
réel
par ses racines profondes : cette perception se d
, de sorte que nos perceptions successives ne sont jamais des moments
réels
des choses, comme nous l’avons supposé jusqu’ici,
elles, par le fil continu de la mémoire, des visions instantanées du
réel
. Mais, en fait, il n’y a jamais pour nous d’insta
tallant du premier coup sur un terrain abstrait, métaphysique, et non
réel
. M. Jouffroy a pris soin, en mainte occasion, de
ntre nous ; il nous suffira pour triompher de rester en plein dans le
réel
, dans l’unité substantielle de l’esprit et de la
forces des divers organes, est le moi supérieur, le vrai moi, l’homme
réel
et vivant : que devient alors votre dualité ? Ce
devient alors votre dualité ? Ce moi supérieur et complet, cette vie
réelle
et vraiment vivante, ce sentiment au sein duquel
sitôt abstraction de tous ces sens lointains, épars, obscurs bien que
réels
, qui président sourdement, et dans la profondeur
éfinie sont déclarés extérieurs au moi véritable, étrangers à l’homme
réel
. « Le principe intelligent (le moi, l’homme), dis
notre observation. » Et par le fait d’agir, il n’entend pas l’action
réelle
, l’activité qui se produit, mais simplement l’int
e et sainte qu’il avait d’abord gagnée et appliquée à des luttes plus
réelles
. Mais ces commémorations en l’honneur de la force
ces convenables, mais avec peu d’estime au fond. Cette réhabilitation
réelle
et l’harmonie qui doit en résulter ne pourront s’
ucinatoire. — En beaucoup de cas, l’objet apparent diffère de l’objet
réel
. — Trois indices du simulacre. — Confondu ou non
cre. — Confondu ou non confondu en totalité ou en partie avec l’objet
réel
, il suit toujours la sensation. II. En quoi consi
intérieurs me paraîtront objets extérieurs, c’est-à-dire personnages
réels
et vrais. D’où l’on voit que les objets que nous
c il se produit dans la perception où rien ne le distingue de l’objet
réel
, comme dans la maladie où tout le distingue de l’
e l’objet réel, comme dans la maladie où tout le distingue de l’objet
réel
. Si son existence est établie par ses précédents,
fantôme que dans le premier moment nous avions confondu avec l’objet
réel
. Il y a d’autres cas encore où, directement, nous
s ; il est trop clair qu’ici l’objet apparent se distingue de l’objet
réel
, puisque l’objet réel n’est pas. Je parle de cell
qu’ici l’objet apparent se distingue de l’objet réel, puisque l’objet
réel
n’est pas. Je parle de celles qui proviennent de
oviennent de sensations mal interprétées ; en ce cas, il y a un objet
réel
, mais il diffère de l’objet apparent. Par exemple
et dans tous les autres semblables, ce que nous prenons pour l’objet
réel
diffère de l’objet réel ; la chose affirmée n’est
semblables, ce que nous prenons pour l’objet réel diffère de l’objet
réel
; la chose affirmée n’est qu’une chose apparente,
beaucoup de cas, et pour cela il suffit que les caractères de l’objet
réel
ne coïncident pas tous et parfaitement avec les s
parfaite de tous ses caractères et de tous les caractères de l’objet
réel
empêche l’expérience ultérieure de constater entr
éel empêche l’expérience ultérieure de constater entre lui et l’objet
réel
aucune différence. — Quel est cet objet réel ? Et
ter entre lui et l’objet réel aucune différence. — Quel est cet objet
réel
? Et en a-t-il un ? Et, si nous en reconnaissons
ns est abstraite et vaut non seulement pour moi et tous les individus
réels
, mais pour tous les individus possibles. Quand mê
ndant de nous, et les possibilités sont regardées comme beaucoup plus
réelles
que les sensations actuelles, bien plus, comme le
testent pour les motifs d’après lesquels je l’atteste, me paraît plus
réel
que ce dont ils ne savent rien, à moins que je ne
tons et que nous croyons être son effet. De cette façon, l’antécédent
réel
d’un effet — le seul antécédent qui, étant invari
ut qu’elle soit en outre une série distincte de faits ou d’événements
réels
ou possibles, événements qui se produiraient enco
rit des réductions. Ainsi nous découvrons dans les corps un caractère
réel
et propre, le mouvement, et nous le concevons com
e série à la pierre, et, à ce titre, elle est pour nous un être aussi
réel
, aussi complet, aussi distinct de nous, que tel h
ition des êtres sentants, rien n’existait ; il n’y avait aucune chose
réelle
ou actuelle, mais seulement des possibilités de s
ette distinction n’est pas, comme il arrive souvent, plus subtile que
réelle
; car, dans, chacune de ses sphères d’activité, n
ophiques des botanistes et des zoologistes permet d’espérer un succès
réel
dans un semblable travail, en nous offrant un gui
étude même des objets à classer, et être déterminée par les affinités
réelles
et l’enchaînement naturel qu’ils présentent, de t
evons procéder à leur classification ; et cette dépendance, pour être
réelle
, ne peut résulter que de celle des phénomènes cor
ou d’action. Ainsi, la division la plus générale de nos connaissances
réelles
consiste à les distinguer en théoriques et pratiq
considérations philosophiques d’un grand intérêt et d’une importance
réelle
. Mais un travail qui les embrasserait conjointeme
tif que la physique concrète a fait jusqu’à présent si peu de progrès
réels
, car elle n’a pu commencer à être étudiée d’une m
système de conceptions positives sur tous nos ordres de connaissances
réelles
, suffit, par cela même, pour constituer cette phi
aut néanmoins ajouter, pour prévenir toute exagération, que tout mode
réel
d’exposition est, inévitablement, une certaine co
nt général de la société humaine. Ce vaste enchaînement est tellement
réel
, que souvent, pour concevoir la génération effect
re la véritable histoire de chaque science, c’est-à-dire la formation
réelle
des découvertes dont elle se compose, qu’en étudi
ntelligible. Nous considérerons donc avec beaucoup de soin l’histoire
réelle
des sciences fondamentales qui vont être le sujet
de l’histoire scientifique ; en ce sens, que, malgré la simultanéité
réelle
et continue du développement des différentes scie
cher le principe. Ce que nous voulons déterminer, c’est la dépendance
réelle
des diverses études scientifiques. Or cette dépen
puéril, si elle entraînait à méconnaître ou à exagérer les analogies
réelles
ou les différences effectives des phénomènes. Or
écèdent dans notre hiérarchie encyclopédique, n’a pu faire de progrès
réels
et prendre son véritable caractère, qu’après un g
ons donc ainsi la certitude de la considérer dans toutes les variétés
réelles
dont elle est susceptible, ce qui n’aurait pu avo
ce mathématique est bien moins importante par les connaissances, très
réelles
et très précieuses néanmoins, qui la composent di
ue la science met en œuvre. Il y aurait donc une manière de penser le
réel
, et une autre, très différente, pour l’idéal ; et
devient facile à justifier. C’est que l’idéal n’est pas au service du
réel
; il est là pour lui-même ; ce ne sont donc pas l
. Comment, en effet, serait-ce possible ? Si l’idéal ne dépend pas du
réel
, il ne saurait y avoir dans le réel les causes et
ble ? Si l’idéal ne dépend pas du réel, il ne saurait y avoir dans le
réel
les causes et les conditions qui le rendent intel
ses et les conditions qui le rendent intelligible. Mais, en dehors du
réel
, où trouver la matière nécessaire à une explicati
vient que nous avons, à la fois, le besoin et le moyen de dépasser le
réel
, de surajouter au monde sensible un monde différe
pporte un semblant de réponse. On suppose que le monde des idéaux est
réel
, qu’il existe objectivement, mais d’une existence
ns égoïstes et vulgaires. L’idéal tend alors à ne faire qu’un avec le
réel
; c’est pourquoi les hommes ont l’impression que
d la fraîcheur et la vie de l’actualité, il se rapproche à nouveau du
réel
, mais il ne tarde pas à s’en différencier de nouv
ls sont essentiellement moteurs ; car derrière eux, il y a des forces
réelles
et agissantes : ce sont les forces collectives, f
être faite. Voilà comment il se fait que l’idéal peut s’incorporer au
réel
: c’est qu’il en vient tout en le dépassant. Les
le s’enrichit sous l’action de l’idéal. Et sans doute, cet aspect est
réel
, lui aussi, mais à un autre titre et d’une autre
. Que le genre humain se trompe ou non, que la matière soit une chose
réelle
, ou une apparence illusoire, il n’y met point de
toute seule, sans considérer avec les yeux aucun triangle effectif et
réel
. Il découvrira dans cette idée toutes les manière
llusion vient. Le fantôme prend un corps. L’objet imaginaire10 paraît
réel
; la forêt intérieure devient extérieure. Vous ap
s ajouterez foi à votre songe. Les objets rêvés vous sembleront aussi
réels
et aussi consistants que vous-même. Pour achever,
us prenons pour l’objet, qui, comme l’objet, nous paraît extérieur et
réel
, dont la naissance coïncide avec la présence d’un
rieur et réel, dont la naissance coïncide avec la présence d’un objet
réel
et extérieur. Malebranche a raison : le soleil qu
par le dehors11, suscite le simulacre d’un objet extérieur qui paraît
réel
. Donc, dans la perception extérieure, il y a en n
térieure, il y a en nous le simulacre d’un objet extérieur qui paraît
réel
. — Au sortir d’une perception extérieure, nous co
nous a fait illusion, et nous est apparue comme un objet extérieur et
réel
. — Dans un très-grand nombre de cas, par exemple
ns toutes les illusions des sens, l’objet apparent diffère de l’objet
réel
, et par conséquent s’en distingue12. On conclut,
un objet apparent, c’est-à-dire un simulacre qui paraît être l’objet
réel
et ne l’est pas. — La perception extérieure, selo
te d’hallucination naturelle, ordinairement correspondante à un objet
réel
, opération qui mène par l’illusion à la vérité, q
, a dit justement Amiel, ne doit pas se mettre tellement au-dessus du
réel
, qui, lui, a l’incomparable avantage d’exister. »
te parole. L’idéal ne vaut même, dans l’art, qu’autant qu’il est déjà
réel
, qu’il devient et se fait : le possible n’est que
il est déjà réel, qu’il devient et se fait : le possible n’est que le
réel
en travail ; or il n’y a pas d’idéal en dehors du
e ta propre évolution ; — mais, ajouterons-nous, il faut aussi que le
réel
ne puisse refuser son assentiment à l’idéal même
anger ; non, car tu es faux. Il est donc nécessaire que l’idéal et le
réel
soient pénétrés tous deux l’un par l’autre, et se
mot qu’il prononce, sous chaque objet qu’il nous montre. Dans la vie
réelle
, s’il y a une partie poétique, il y a aussi une p
ut mérite d’être entendu : le difficile est de savoir entendre. Et le
réel
est loin d’être toujours entendu, contenu, exprim
s leurs œuvres un seul portrait, une seule copie exacte d’un individu
réel
vivant sous leurs yeux. Même lorsqu’ils se sont i
éel vivant sous leurs yeux. Même lorsqu’ils se sont inspirés de types
réels
, il les ont toujours plus ou moins transfigurés e
essifs, violents en tout et monstrueux. La qualité a son rôle dans le
réel
. Nous ne nions pas pour cela que la recherche de
préoccuper de la conformité du monde où il nous promène avec le monde
réel
? C’est en partie parce que les images que nous f
ez fortes pour produire, elles aussi, la conviction, et pour paraître
réelles
malgré leurs dissemblances avec toutes les images
ur paraître réelles malgré leurs dissemblances avec toutes les images
réelles
jusqu’alors connues de nous. C’est un art d’hallu
, pour compenser ce qu’il y a d’insuffisant dans la représentation du
réel
, ils sont obligés, dans une juste mesure, d’augme
t parfois repoussantes. Le vrai réalisme consiste donc à dissocier le
réel
du trivial ; c’est pour cela qu’il constitue un c
de l’habituel ; et pour cela le seul vrai moyen est d’approfondir le
réel
, d’aller par-delà les surfaces auxquelles s’arrêt
s de hasard comme dans les rêves, tandis que, pour qui ne sort pas du
réel
, la poésie et la beauté ne sauraient guère être u
chose de nouveau aperçu là où tous avaient regardé. La vie auparavant
réelle
et commune, c’est le rocher d’Aaron, rocher aride
re résultat que de nous persuader que nous assistons à une scène très
réelle
, parmi les choses que nous voyons chaque jour. Un
sque. I. Le second moyen d’échapper au trivial tout en peignant le
réel
, c’est de déplacer l’imagination dans l’espace, c
), c’est qu’on y craignait le trivial encore plus qu’on n’y aimait le
réel
; or il faut aimer le réel assez pour le transfig
le trivial encore plus qu’on n’y aimait le réel ; or il faut aimer le
réel
assez pour le transfigurer et le dégager du trivi
e de souffrir beaucoup : cela inspire et dirige l’inspiration du côté
réel
. Nous pouvons le constater mieux que jamais aujou
eau, s’est fait jour à travers sa rhétorique : rien ne vous ramène au
réel
comme une plaie ouverte, et celui qui ne distingu
dons, cela va de soi, que la reproduction exacte de détails de la vie
réelle
, sans embellissement. « Je n’arrivais point de fo
ble que ma dévotion augmente. » Tout cela encadré dans des détails de
réelle
familiarité : « — Pourquoi vas-tu si loin et si h
à la porte de la caverne. Mais le pittoresque sans la vision nette du
réel
est vide de sens. Le pittoresque n’est qu’un proc
inction radicale de nature que nous établissions jadis entre le Temps
réel
et l’Espace pur, indûment considérés comme analog
sée du physicien entre le point de départ du calcul, qui est le Temps
réel
, et le point d’arrivée, qui est ce même Temps rée
, qui est le Temps réel, et le point d’arrivée, qui est ce même Temps
réel
encore. Dans celui-ci l’on a pris les mesures sur
elativité restreinte. Leur pluralité, loin d’exclure l’unité du Temps
réel
, la présuppose. Le paradoxe commence quand on aff
dans l’instant — à l’étendue : la physique, à ses yeux, atteignait le
réel
dans la mesure où elle était géométrique. Une étu
n y ferait tenir tout le possible, et même de l’impossible, à côté du
réel
. L’explication que nous devons juger satisfaisant
s attendait. Nous fûmes très frappé en effet de voir comment le temps
réel
, qui joue le premier rôle dans toute philosophie
la philosophie de Spencer, doctrine d’évolution, faite pour suivre le
réel
dans sa mobilité, son progrès, sa maturation inté
rendre le problème de l’évolution de la vie en tenant compte du temps
réel
; nous trouverions alors que l’« évolutionnisme »
mot : on a remplacé « juxtaposition » par « succession ». De la durée
réelle
on s’est détourné systématiquement. Pourquoi ? La
d’accord, si l’intelligence, spontanée ou réfléchie, écarte le temps
réel
, ne serait-ce pas que la destination de notre ent
st censée être celle du temps. Mais c’est toujours à des immobilités,
réelles
ou possibles, qu’elle veut avoir affaire. Enjambo
; obtenons qu’il coïncide avec un de ces mouvements incontestablement
réels
, absolus, que nous produisons nous-mêmes. Cette f
u stable accolé à du stable ne fera jamais rien qui dure ? Ce qui est
réel
, ce ne sont pas les « états », simples instantané
toujours la même broderie, préfigurée sur la soie. Mais une évolution
réelle
, pour peu qu’on l’accélère ou qu’on la ralentisse
e-ci dure, il faut que ceux-là se relient de quelque façon à la durée
réelle
. En théorie, le film sur lequel sont dessinés les
s accompli s’il n’avait pas pu s’accomplir : de sorte qu’avant d’être
réel
, il faut qu’il ait été possible. Mais regardez-y
ien compose une symphonie, son œuvre était-elle possible avant d’être
réelle
? Oui, si l’on entend par là qu’il n’y avait pas
rtuelle, la symphonie ne résidait en qualité de possible avant d’être
réelle
. Mais n’en peut-on pas dire autant d’un état quel
re de toute éternité, à l’état de possible, dans quelque intelligence
réelle
ou virtuelle. En approfondissant cette illusion,
événement fût déjà figuré sous nos yeux et qu’il n’y eût pas de durée
réelle
. Nous transmettons aux générations futures ce qui
arter les concepts déjà faits, si l’on se donne une vision directe du
réel
, si l’on subdivise alors cette réalité en tenant
par avance, dans un principe qui est le concept des concepts, tout le
réel
et tout le possible. Mais cette explication sera
une métaphysique vraiment intuitive, qui suivrait les ondulations du
réel
! Elle n’embrasserait plus d’un seul coup la tota
l’intuition par tout ce qu’il contient de changement et de mouvement
réels
. Nous croyons précisément que l’idée de différent
ire exprimable en termes statiques. Bref, le changement pur, la durée
réelle
, est chose spirituelle ou imprégnée de spirituali
art, davantage 4. De ce qui n’est pas abstrait et conventionnel, mais
réel
et concret, à plus forte raison de ce qui n’est p
qu’il faut pour embrasser l’ensemble, on s’aperçoit qu’on est dans le
réel
, et non pas devant une essence mathématique qui p
ence, telle que les modernes l’entendent, peut atteindre l’essence du
réel
. Sans doute elle n’embrasse qu’une partie de la r
que est nécessairement alors — à moins de perdre tout contact avec le
réel
— un extrait condensé ou une extension hypothétiq
. L’autre est inachevée, mais elle pousse des racines solides dans le
réel
. Une science naissante est toujours prompte à dog
se, d’abord parce qu’elle accepte la subdivision et la répartition du
réel
en concepts que la société a consignées dans le l
ui n’a rien de métaphysique. Pour les former, la société a découpé le
réel
selon ses besoins. Pourquoi la philosophie accept
sion qui a toutes chances de ne pas correspondre aux articulations du
réel
? Elle l’accepte pourtant d’ordinaire. Elle subit
pond lui-même à une division naturelle. Dans cette désarticulation du
réel
selon ses tendances propres gît la difficulté pri
ation, pour quelle raison, et surtout en vertu de quelle structure du
réel
les choses peuvent être ainsi groupées, et cette
inerte et non encore informée par l’homme, nous retrouvons des genres
réels
, mais d’un caractère tout différent : des qualité
’est cette action virtuelle qui extrait de la matière nos perceptions
réelles
, informations dont elle a besoin pour se guider,
e soit la fabrication, elle se fait sur un modèle, perçu ou imaginé :
réel
est le genre que définit ou ce modèle lui-même ou
tout le possible, et parfois aussi l’impossible ! Contentons-nous du
réel
, matière et esprit. Mais demandons à notre théori
s sociale. Les choses que le langage décrit ont été découpées dans le
réel
par la perception humaine en vue du travail humai
certaine puissance d’obtenir des concepts sociaux la connaissance du
réel
en les combinant plus ou moins adroitement entre
ais tenu de faire un livre 15. Janvier 1922. III.Le possible et le
réel
Essai publié dans la revue suédoise Nordisk Tid
t n’est-elle pas déployée ? À quoi sert le temps ? (Je parle du temps
réel
, concret, et non pas de ce temps abstrait qui n’e
d’extraire ce qu’il y a de stabilité et de régularité dans le flux du
réel
. S’agit-il de percevoir ? La perception se saisit
é et de la stabilité, à ce qu’il y a de stable et de régulier dans le
réel
, à la matérialité. Elle touche alors un des côtés
nt, ou de rien, est donc inséparablement liée à celle de suppression,
réelle
ou éventuelle, et celle de suppression n’est elle
erreurs. Mais il y a surtout l’idée que le possible est moins que le
réel
, et que, pour cette raison, la possibilité des ch
états successifs que dans leur réalité. Car le possible n’est que le
réel
avec, en plus, un acte de l’esprit qui en rejette
omme de talent ou de génie surgisse, qu’il crée une oeuvre : la voilà
réelle
et par là même elle devient rétrospectivement ou
rimer sa marque en arrière ? » — Cela dépend. Qu’on puisse insérer du
réel
dans le passé et travailler ainsi à reculons dans
ère. En jugeant d’ailleurs ainsi que le possible ne présuppose pas le
réel
, on admet que la réalisation ajoute quelque chose
image aperçue dans le miroir, sous prétexte qu’il y a dans cet homme
réel
tout ce qu’on trouve dans cette image virtuelle a
Mais la vérité est qu’il faut plus ici pour obtenir le virtuel que le
réel
, plus pour l’image de l’homme que pour l’homme mê
s trouver évident que l’artiste crée du possible en même temps que du
réel
quand il exécute son œuvre. D’où vient donc qu’on
ute autre hypothèse, en posant une préexistence idéale du possible au
réel
, ne réduisait pas le nouveau à n’être qu’un réarr
isait l’ennemi dans la place. Il faut en prendre son parti : c’est le
réel
qui se fait possible, et non pas le possible qui
’est le réel qui se fait possible, et non pas le possible qui devient
réel
. Mais la vérité est que la philosophie n’a jamais
ence, une fois le brouillard tombé, comme un système de relations. Le
réel
devient encore une fois l’éternel, avec cette seu
un simple jeu dans une spéculation sur les rapports du possible et du
réel
. Ce peut être une préparation à bien vivre.
les raisons sembleraient t’inviter à croire que cela est possible et
réel
et certain. Impossible, parce qu’une certaine exp
ue les grandes routes tracées par nos sens à travers la continuité du
réel
sont celles par où la science passera, que la per
des degrés de profondeur ; mais l’esprit qu’on aura ramené à la durée
réelle
vivra déjà de la vie intuitive et sa connaissance
n temps infiniment divisé, il apercevra la fluidité continue du temps
réel
qui coule indivisible. Au lieu d’états superficie
’elle avance dans ce travail d’intégration, est réduite à éliminer du
réel
un grand nombre de différences qualitatives, d’ét
onnées des sens et de la conscience : aucune qualité, aucun aspect du
réel
, ne se substituerait au reste sous prétexte de l’
solubles, nous fermons les yeux à ce qu’il y a de plus vivant dans le
réel
. Je n’ai pas besoin de vous rappeler les argument
mais j’en dirais autant de n’importe quel changement. Tout changement
réel
est un changement indivisible. Nous aimons à le t
nerai donc à dire, pour répondre à ceux qui voient dans cette durée «
réelle
» je ne sais quoi d’ineffable et de mystérieux, q
e mystérieux, qu’elle est la chose la plus claire du monde : la durée
réelle
est ce que l’on a toujours appelé le temps, mais
e bourdonnement ininterrompu de la vie profonde. Et pourtant la durée
réelle
est là. C’est grâce à elle que prennent place dan
l je voulais attirer votre attention. C’est que, si le changement est
réel
et même constitutif de la réalité, nous devons en
re abstraction, une vue de l’esprit ; il ne saurait avoir d’existence
réelle
. Jamais avec de pareils instants vous ne feriez d
es vues abstraites, prises du dehors, sur la continuité du changement
réel
, abstractions que l’esprit hypostasie ensuite en
re qu’elles ne doivent pas se poser, étant nées d’une vision figée du
réel
et n’étant que la traduction, en termes de pensée
choses sub specie durationis, plus nous nous enfonçons dans la durée
réelle
. Et plus nous nous y enfonçons, plus nous nous re
note que la silhouette de la tour. Il substitue donc à l’organisation
réelle
et intérieure de la chose une reconstitution exté
uns et les autres prennent les notations partielles pour des parties
réelles
, confondant ainsi le point de vue de l’analyse et
combiner ensemble jusqu’à ce qu’on obtienne un équivalent pratique du
réel
. Mais il ne faut pas oublier que le travail norma
émarcation bien nette entre l’intuition et l’analyse. On reconnaît le
réel
, le vécu, le concret, à ce qu’il est la variabili
. Mais l’erreur est de croire qu’avec ces schémas on recomposerait le
réel
. Nous ne saurions trop le répéter : de l’intuitio
poursuit indéfiniment l’addition des points aux points, le mouvement
réel
et indivisé du mobile. Finalement, nous disons qu
enons ainsi qu’une imitation maladroite, une contrefaçon du mouvement
réel
, mais cette imitation nous sert beaucoup plus dan
celui de la diversité des points de vue possibles à l’indivisibilité
réelle
de l’objet. Beaucoup d’autres problèmes sont nés
une variation sont donc autant de visions stables de l’instabilité du
réel
. Et penser un objet, au sens usuel du mot « pense
jusqu’à la nature intime des choses, c’est appliquer à la mobilité du
réel
une méthode qui est faite pour donner des points
entre les écoles, dont chacune reproche aux autres d’avoir laissé le
réel
s’envoler. Mais si la métaphysique doit procéder
loin en loin des vues quasi instantanées sur la mobilité indivisée du
réel
. Il obtient ainsi des sensations et des idées. Pa
ns doute, pour obtenir une connaissance intérieure et métaphysique du
réel
. C’est simplement pour s’en servir, chaque concep
ires, par un oui ou par un non. Mais, par là, elle laisse échapper du
réel
ce qui en est l’essence même. IV. Les difficultés
e partie de ce que nous appliquons à la connaissance désintéressée du
réel
les procédés dont nous nous servons couramment da
un moyen de reconstituer, avec la fixité des concepts, la mobilité du
réel
. Le dogmatisme, en tant que constructeur de systè
ins commencé par prendre contact avec la continuité et la mobilité du
réel
là où ce contact est le plus merveilleusement uti
te mobilité des choses l’entendement s’attache à marquer des stations
réelles
ou virtuelles, il note des départs et des arrivée
cience, n’auraient-ils pas eu le sentiment de la continuité mobile du
réel
? Comment ne se seraient-ils pas placés dans ce q
matique, un système unique de relations qui emprisonne la totalité du
réel
dans un filet monté d’avance, elle devient une co
les choses et des rapports entre les faits : ces relations sont aussi
réelles
, aussi directement observables, selon William Jam
ui agitent l’âme à certains moments privilégiés sont des forces aussi
réelles
que celles dont s’occupe le physicien ; l’homme n
nels, que cette définition du vrai trouve son application. Ce qui est
réel
, c’est tel ou tel fait déterminé s’accomplissant
cipes les Nombres et les Idées. Mais le progrès fut plus apparent que
réel
. Avec les nombres pythagoriciens, avec les idées
a réalité, mais qui nous laissaient du moins sur le terrain solide du
réel
. Il y aurait un tout autre parti à prendre. Ce se
rait, sans quitter le domaine de l’intuition, c’est-à-dire des choses
réelles
, individuelles, concrètes, de chercher sous l’int
’ébauchoir, s’exerçait à modeler, arrivait, à force de travail, à une
réelle
habileté. L’occasion s’offrit bientôt à lui d’en
ce qui est donné dans une expérience, ou ce qui pourrait l’être : est
réel
ce qui est constaté ou constatable. Or il est de
ctivement adopté comme système de référence — contient des physiciens
réels
, pourquoi surtout la distinction entre le physici
physiciens réels, pourquoi surtout la distinction entre le physicien
réel
et le physicien représenté comme réel prend une i
distinction entre le physicien réel et le physicien représenté comme
réel
prend une importance capitale dans l’interprétati
siciens virtuels, simplement conçus comme physiciens par le physicien
réel
. Si vous conférez à l’un d’eux (en tant que physi
s virtuel, non plus simplement conçu comme pouvant devenir un système
réel
, mais bien un système de référence réel ; il est
me pouvant devenir un système réel, mais bien un système de référence
réel
; il est donc immobile, c’est à une nouvelle figu
une nouvelle figure du monde que vous avez affaire ; et le physicien
réel
de tout à l’heure n’est plus qu’un physicien repr
. En d’autres termes, l’univers de la Relativité est un univers aussi
réel
, aussi indépendant de notre esprit, aussi absolum
intellectuellement pour ne plus laisser de place qu’à l’intuition du
réel
. Dans les deux cas que nous avons cités, c’est l’
insi conçue cesse-t-elle jamais d’être présente à elle-même, la durée
réelle
impliquant la persistance du passé dans le présen
de ce qu’on a abordé les applications de notre conception de la durée
réelle
avec l’idée qu’on se faisait du temps spatialisé.
ffaire au temps spatialisé et à l’espace ; dans le second, à la durée
réelle
. Il nous a paru de plus en plus utile, pour la cl
les Gunterius, les Guillaume de Pouille, ne chantèrent que des faits
réels
. Les romanciers du même temps s’imaginaient écrir
e philosophique, a représenté dans sa Divine Comédie, des personnages
réels
et des faits historiques. Il a donné à son poème
l’ancienne comédie des Grecs, qui prenait pour sujet des personnages
réels
. Dante ressembla sous ce rapport à l’Homère de l’
histoires, c’est que la satire attaquait non-seulement des personnes
réelles
, mais les personnes les plus connues ; que la tra
ire rappelle les objets, l’imagination en imite et en altère la forme
réelle
, le génie ou faculté d’inventer leur donne un tou
donnée de cette loi à la première. — Selon qu’il s’agit des composés
réels
ou des composés mentaux, la méthode pour découvri
aux. — La seule différence entre nos composés mentaux et les composés
réels
, c’est que les premiers sont plus — simples. — Em
mples. — Emploi des composés mentaux pour l’intelligence des composés
réels
. — Conséquences. — L’application des lois mathéma
médiaire explicatif I Lorsque entre deux données possibles ou
réelles
nous avons constaté une liaison, il arrive souven
nt mentale ; elle n’est point tenue de correspondre à une combinaison
réelle
. Elle diffère en cela des autres combinaisons men
autres combinaisons mentales par lesquelles nous concevons les objets
réels
; elle ne court pas chance, comme celles-ci, de p
s, de laisser de côté quelque caractère important inclus dans l’objet
réel
, d’omettre l’intermédiaire explicatif qui attache
bjet réel, d’omettre l’intermédiaire explicatif qui attache à l’objet
réel
la propriété énoncée ; affranchie de cette obliga
es combinaisons mentales n’a pas une prise égale sur les combinaisons
réelles
. Ayant construit les premières, je sais tout ce q
st procuré et on a emboîté beaucoup de ces boîtes. Entre les composés
réels
dont ces sciences traitent et les composés idéaux
tion, l’analogie est frappante. — Soient quelques-uns de ces composés
réels
, le mouvement d’un boulet de canon lancé avec tel
il n’existe pas en fait dans la nature ; il n’est que possible et non
réel
. Peut-être même, avec une nature arrangée comme c
né. — Les choses ne se passent pas ainsi quand il s’agit d’un composé
réel
. Nous sommes tenus d’expliquer ses propriétés par
nt les composés mentaux que pour les lois qui concernent les composés
réels
; il y a une raison pour les propriétés de l’elli
molécules élémentaires dont le cristal blanc de carbone est la somme
réelle
. Il manquera donc son intermédiaire, comme nous m
jamais. — En effet, si l’on met en regard le monde idéal et le monde
réel
, on s’aperçoit que leur structure est semblable.
façon, sans s’inquiéter de savoir si dans la nature il y a des cadres
réels
qui s’adaptent à ses cadres mentaux, si quelque s
ue. À cause de cela, nous étudions le composé mental avant le composé
réel
, et la connaissance du premier nous conduit à la
n dans les secondes. Étant donnés deux composés, l’un mental, l’autre
réel
, ils s’adaptent l’un à l’autre, sauf cette différ
t qu’au composé mental, finit par s’ajuster rigoureusement au composé
réel
. C’est dans une science de construction qu’elle a
s peuvent s’appliquer. En effet, il suffit pour cela que les composés
réels
, lointains ou prochains, entrent dans nos cadres
même, leur application est universelle. Car, en tant que les composés
réels
sont formés des mêmes éléments que les composés m
es propriétés, les altérations et les transformations de tout composé
réel
. III Ce sont là des vraisemblances considér
res, on ne devra jamais admettre des exceptions ou des contradictions
réelles
, ce qui serait antiscientifique ; on conclura uni
de contradiction. Pareillement encore, il ne pose aucune donnée comme
réelle
; il n’établit qu’un cadre auquel pourront s’adap
elle ; il n’établit qu’un cadre auquel pourront s’adapter les données
réelles
. Il n’affirme point qu’en fait il y ait des carac
nique dans la nature ; car elle vaut, non seulement pour tous les cas
réels
, mais encore pour tous les cas possibles. Ainsi,
ité interne. Les mathématiciens admettent aujourd’hui que la quantité
réelle
est un cas de la quantité imaginaire, cas particu
s les autres cas. Ne pourrait-on pas admettre de même que l’existence
réelle
n’est qu’un cas de l’existence possible, cas part
idée de sa causalité propre et l’idée de sa finalité. La liberté sera
réelle
et étendue dans la proportion où sera réelle et o
inalité. La liberté sera réelle et étendue dans la proportion où sera
réelle
et où s’étendra la causalité appartenant à la vol
e la finalité : plus la volonté raisonnable trouvera en elle-même les
réelles
conditions requises pour causer tel effet et pour
t un sentiment concret de puissance. Il a sa première origine dans la
réelle
activité du désir, qui n’est point un état passif
t à la sensation de tension physique ne suppose nullement l’ambiguïté
réelle
et absolue des futurs. Il n’y en a pas moins ici
uïté absolue ni arbitraire, cela est certain ; encore y a-t-il action
réelle
. La résolution, enfin, ne peut pas ne point nous
ne peut remonter. En résulte-t-il qu’il y ait dans la conscience une
réelle
indétermination ? Non sans doute, mais il y a une
re cette détermination incomplètement connue pour une indétermination
réelle
. Si, dans les causes passées et présentes d’un ac
nsi de fait, et le fait coïncide avec le droit, parce que le fait est
réel
et que toute autre hypothèse est purement imagina
porte sur les intervalles mêmes, non sur les extrémités, sur la durée
réelle
et non sur les limites dans lesquelles on l’enfer
: — Jusqu’à quel point l’idée de cette indétermination, idée qui est
réelle
alors même que l’indétermination ne le serait pas
ra une certaine conciliation, non pas sans doute de l’indétermination
réelle
, mais de l’idée d’indétermination avec le détermi
confond de prime abord l’idée et le sentiment de la liberté avec une
réelle
suspension du déterminisme réclamé par l’intellig
our la science psychologique, cette indépendance est-elle possible et
réelle
? Jusqu’à quel point, pour la science morale, est
ulsion : par le fait même, il se produit déjà une certaine opposition
réelle
. Si, de plus, l’idée de l’opposition possible éve
puissance croit : l’idée même de la puissance s’ajoute à la puissance
réelle
et l’élève à un degré supérieur. Il est bien ente
la notion du libre arbitre. On a défini le libre arbitre « un pouvoir
réel
et présent, une quantité de force actuellement di
Certes, il y a des cas où nous avons en effet conscience d’un pouvoir
réel
, d’une force disponible qui peut faire équilibre
La première, c’est que nos idées et sentiments soient des conditions
réelles
de changement interne, conséquemment des facteurs
ions mentales sur les événements mentaux. L’espoir déçu n’est plus la
réelle
condition du chagrin ; le passage à une conclusio
tatif de quelque objet, toujours extériorisé et projeté dans un monde
réel
, jamais conçu comme isolé dans un moi sans fenêtr
i. Toute image qui est seule dans l’esprit implique donc un mouvement
réel
au dehors et est projetée au dehors ; il y a réal
eu d’être empruntés au sens de l’ouïe. En croyant par là concevoir le
réel
de la sensation de son, comme le prétendent Mauds
e », c’est se contenter des accompagnements tangibles et visibles. Le
réel
du son, c’est le processus concret et complet, qu
ginal et de spécifique, le phénomène se prenant lui-même sur le fait,
réel
et conscient de sa réalité. On dit encore avec De
ation des chairs sont de simples antécédents et ne constituent pas le
réel
de la douleur même. Ici encore on confond les ant
n confond les antécédents avec les éléments constitutifs du phénomène
réel
et concret, qui ne peut se faire sentir qu’en se
omène interne. Ce dernier n’est pas un moyen terme interposé entre le
réel
du son et une modification purement psychique qui
t ainsi, l’objet qu’on veut poser en face de la conscience comme seul
réel
lui resterait totalement étranger, et, en voulant
le droit de conclure que la psychologie des idées-forces roule sur le
réel
, et même sur le réel par excellence. III Le
que la psychologie des idées-forces roule sur le réel, et même sur le
réel
par excellence. III Le problème psychologiq
plaisirs et peines, impulsions et aversions, qui sont les seuls faits
réels
et primitifs. Ces faits ont tous en commun d’être
tensité, donc ces changements qualitatifs dispensent d’admettre comme
réels
les changements d’intensité. La seconde raison qu
nnombrable de feuilles distinctes, et je me sens dans l’impossibilité
réelle
de les compter : ici, c’est une matière qui m’est
et, conséquemment, une impression totale plus intense. Devant l’arbre
réel
, en pleine lumière, nous sommes pour ainsi dire f
est un simple objet, de contemplation et de rêve. La religion vise au
réel
, l’art se contente du possible ; il n’en superpos
e plein. L’art n’a point cette patience : il improvise, il devance le
réel
et le dépasse ; c’est une synthèse par laquelle o
uelle on s’efforce, étant données ou simplement supposées les lois du
réel
, de reconstruire pour l’esprit une réalité quelco
analogues et cherchent également dans des domaines divers à faire du
réel
, à faire même de là vie, à créer. Dans la composi
ement varié la combinaison. Pour le génie proprement créateur, la vie
réelle
au milieu de laquelle il se trouve n’est qu’un ac
ilités encore plus que des réalités ; il est à l’étroit dans le monde
réel
comme le serait un être qui, ayant vécu jusqu’alo
; seulement, il faut que l’idéal conçu, même s’il n’appartient pas au
réel
coudoyé chaque jour par nous, ne sorte pas de la
onnaît le vrai génie à ce qu’il est assez large pour vivre au-delà du
réel
, et assez logique pour ne jamais errer à côté du
agination. Le poète créateur est proprement un voyant, qui voit comme
réel
le possible, parfois même l’invraisemblable. « Le
ement subjectif : le monde de l’imagination est, à sa façon, un monde
réel
; le monde intérieur n’est-il pas un prolongement
erveau seul enfante, mais pourtant encore une vision ? Le spectre du
réel
traverse ta pensée. . . . . . . . . . . . . . . .
isfait dans un domaine fictif, provoque par imitation chez autrui une
réelle
évolution de la sympathie et de la sociabilité gé
ociétés liées par une relation de dépendance mutuelle : 1° la société
réelle
préexistante, qui conditionne et en partie suscit
ue Shelley presque vieux d’un siècle, est encore, parmi nous, le plus
réel
, le plus proche et le meilleur des amis. C’est po
eux cette marque distinctive des génies héroïques : l’amour de la vie
réelle
et le désir de son épanouissement. Que nous appri
veut des corps vigoureux et souples, des cerveaux nourris de science
réelle
, des natures puissantes et libres, transfigurées,
e poursuite spirituelle n’est plus un ciel chimérique, mais une terre
réelle
que nous devons tous, du plus humble au plus fort
ations et de leurs efforts, c’est-à-dire la poursuite de plus en plus
réelle
, de plus en plus parfaite, de plus en plus riche
grandiose embrasse et pénètre le monde infini des vivants, qui est un
réel
sentiment vécu de nos liens avec le tout, une pén
a douleur ; « dans la fleur se cache le démon » ; le ciel est le seul
réel
séjour de lumière et de beauté. Mais la fausse et
a fausse et faible parole chrétienne s’efface à mesure que grandit la
réelle
et forte parole humaine. Nous disons maintenant :
ne œuvre d’art, à côté du mépris devant le plus simple fait de la vie
réelle
, nous paraît l’odieux héritage de siècles sans es
ous sentons qu’elle a trop longtemps déjà fait obstacle à la libre et
réelle
sympathie humaine, pour que nous admettions encor
s et de désirs qui dormaient en nous. Le « divin » pris dans ce sens,
réel
et véridique, n’est-il pas l’ensemble de toutes l
, autour de nous, naissent, s’entr’ouvrent et s’élaborent dans la vie
réelle
, dans le fait, dans la vie entière, les premiers
pposer à son tour une inexplicable correspondance entre ma perception
réelle
des choses et nia perception possible de certains
éférence le réalisme kantien ? Entre la chose en soi, c’est-à-dire le
réel
, et la diversité sensible avec laquelle nous cons
lligence et les choses. Le réalisme naïf fait de cet espace un milieu
réel
où les choses seraient en suspension ; le réalism
ontinuité étendue, et, dans cette continuité même, le centre d’action
réelle
qui est figuré par notre corps, cette activité pa
s environne. Tout se passera comme si nous laissions filtrer l’action
réelle
des choses extérieures pour en arrêter et en rete
s et le nôtre, plus l’action possible tend à se transformer en action
réelle
, l’action devenant d’autant plus urgente que la d
e quand le corps à percevoir est notre propre corps, c’est une action
réelle
, et non plus virtuelle, que la perception dessine
attribue un rôle tout spéculatif ; et comme on a négligé ces actions
réelles
et virtuelles avec lesquelles elles font corps et
rdonner enfin pour construire une expérience universelle ? Ce qui est
réel
, ce n’est pas davantage une étendue divisée en pa
et aux rapporte de nos représentations ? Ce qui est donné, ce qui est
réel
, c’est quelque chose d’intermédiaire entre l’éten
uand on change de point de repère, pourrait-il fonder des changements
réels
, c’est-à-dire sentis ? Comment, composé d’une sér
: cette conscience n’a fait qu’écarter un obstacle, extraire du tout
réel
une partie virtuelle, choisir et dégager enfin ce
lexe qui ne répond pas à une personnalité distincte et à une fonction
réelle
. En parlant du travail théâtral, des décors, des
tif idéal dans un esprit cultivé. — Imperfections de la mise en scène
réelle
. — Sa nécessité pour les esprits peu cultivés. —
scène idéale est le modèle et le point de départ de la mise en scène
réelle
. L’effet représentatif, on le conçoit, n’est pa
iage, qu’il nous soit donné d’éprouver. Combien l’effet représentatif
réel
est violent par rapport à cet effet représentatif
cène et de la décoration n’admettent donc pas toutes les possibilités
réelles
; comme tous les arts, c’est un art qui a ses lim
ais pour retomber dans un art absolument enfantin, où se coudoient le
réel
et l’imaginaire. En se plaçant à un point de vue
eux catégories distinctes, la première feinte et immobile, la seconde
réelle
et mobile. Tout ce qui doit faire partie de la pr
personne ne la poussera. Mais, au contraire, tout ce que son œil juge
réel
et voit détaché de la décoration éveille son atte
ue de l’esprit, qui est exactement la même au théâtre que dans la vie
réelle
. Supposez, par exemple, qu’une violente querelle
équences fatales d’un fait ; et que ce soit au théâtre ou dans la vie
réelle
, la vue du couteau déterminera la même émotion, q
a scène, il ne faut pas donner à cet objet peint la valeur de l’objet
réel
. Il est à peine besoin de signaler le cas où un o
it avoir un pendant similaire : il est clair que ce pendant doit être
réel
et non peint. Dans un cabinet de travail, à gauch
deux, ou que, si l’une est utile à l’action, elles soient toutes deux
réelles
. Il est inutile d’insister sur d’aussi simples dé
rapport particulier avec l’action, il suit de là qu’aucun des objets
réels
qui le composent ne peut être indifférent. C’est
férent. C’est donc une loi absolue de la mise en scène qu’aucun objet
réel
, prédestiné par sa nature ou par sa place à attir
figuratif. Naturellement, il y a toujours un certain nombre d’objets
réels
qui peuvent figurer dans la décoration sans attir
maîtresse, il pourrait lui arriver, sur le théâtre comme dans la vie
réelle
, d’approcher un nombre de sièges supérieur à celu
s événements et de l’influence qu’exercera sur eux, comme dans la vie
réelle
, la contingence inévitable des choses. Dans le pr
ges émouvantes, sans l’interposition nécessaire d’images sensibles et
réelles
. Quand je dis toute la salle, je me trompe, car t
isons originales et fantaisistes doivent s’y sentir dégagés du inonde
réel
, sans quoi ils se trouveraient aussi mal à l’aise
a scène, pour en tirer des effets comiques, des personnages de la vie
réelle
, auxquels nous attachons des idées, factices peut
e les images associées, et quand nous redescendons de la fantaisie au
réel
, nous ne trouvons rien que de respectable dans l’
contradiction choquante entre l’image qu’on nous présente et l’image
réelle
que nous évoquons en nous ; et nous nous sentiron
du temps exact n’est jamais nécessaire au théâtre. Comme dans la vie
réelle
, le spectateur perd la notion du temps dès que so
Villemer. Dans un trophée d’armes, toutes n’auront pas besoin d’être
réelles
, si toutes ne doivent pas éveiller une égale atte
brante et maintient les yeux du spectateur sur les objets qui ont une
réelle
importance. Un habile directeur de théâtre arrive
ont absolument indispensables pour formuler un jugement sur la nature
réelle
des objets. Il semble que nous les touchions, et
d de détails particuliers faciles à constater dans tel ou tel paysage
réel
. Seulement il est une œuvre artistique et corresp
du plaisir dans toute la force du terme et y éprouver des sensations
réelles
, qui mettent en émoi notre organisme tout entier.
nsations que nous font éprouver les œuvres classiques sont tout aussi
réelles
, mais qu’elles sont d’un autre ordre, et d’un ord
rtiste dans un simulacre humain. C’est donc en résumé cette sensation
réelle
et tout organique qui constitue le plaisir partic
finitive (que n’en sont-ils persuadés !) à leur procurer des plaisirs
réels
, des émotions aussi vraies, moralement et physiqu
il soit. En généralisant le phénomène, on peut dire que dans un temps
réel
infiniment petit nous pouvons faire tenir un temp
es drames conserveraient leur physionomie propre, l’action son allure
réelle
et les différents moments de cette action leur ma
son jeu, qu’on le remarque, sera d’autant plus vrai qu’il sera moins
réel
, c’est-à-dire moins compliqué de détails particul
de mourir, observée par lui-même, il s’exposerait, tout en étant plus
réel
, à paraître moins vrai, car l’image qu’il offrira
t des quinze cents spectateurs. Nous pouvons donc conclure que, si le
réel
est le vrai dans la présentation des phénomènes,
a réalité, mais seulement l’image qui est la représentation idéale du
réel
. Un acteur doit donc être un observateur de la na
ui est la synthèse idéale d’un ensemble de phénomènes particuliers et
réels
; deuxièmement, retour fréquent à l’observation d
deux excellents comédiens, provenant précisément d’une judicieuse et
réelle
observation : beaucoup de personnes savent que le
es bras l’un de l’autre. L’embrassade, en effet, n’admet, dans la vie
réelle
, que le simulacre du baiser, qui aux yeux de la p
he du détail et par suite l’introduction de plus en plus fréquente du
réel
. Dans la comédie de Molière, pour prendre un exem
n ; Bertrand et Raton : Pot-Bouille ; la Charbonnière. — Invasion du
réel
. — Du procédé. — Retour nécessaire au répertoire
re, car elle pousse furieusement à l’envahissement de la scène par le
réel
, et elle n’y réussit que trop bien. Cette année,
t escalier en spirale, avec ses commis, ses acheteuses qu’un équipage
réel
attend à la porte ; et le lendemain vous avez peu
e qui allait étudier sa langue au port au foin, et, à la poursuite du
réel
, il saisit la vérité partout où il la rencontre,
iques qui prennent aisément la forme des moules où il les enferme. Le
réel
des pièces modernes disloque le talent des comédi
ur, il est nécessaire de mettre un frein à cette poursuite aveugle du
réel
, et surtout à son influence sur le théâtre. Or il
e. Tout le matériel, tout l’accidentel et le circonstanciel de la vie
réelle
n’entrent que pour fort peu de chose dans la repr
rtout d’une actrice, il passe instantanément des syllabes qui ont une
réelle
puissance musicale et nous font tressaillir comme
ue et moral et mettait en présence des êtres qui, sous des apparences
réelles
, n’étaient qu’idéalement vrais. Sous les traits i
itablement surhumaine. Comparés aux personnages de théâtre, les êtres
réels
n’en paraissaient que des extraits incomplets et
i, une foi en quelque sorte innée, pour croire à la vérité dégagée du
réel
, pour être convaincu que la peinture de l’idéal e
Elles ne séparent pas l’action tragique ou comique de la possibilité
réelle
, ramènent les héros de la tragédie et les personn
ourquoi la nouvelle école voudrait ramener l’art à la présentation du
réel
, sans se rendre compte de ce que cette ambition a
e chimérique. Toute œuvre d’art ne peut être qu’une représentation du
réel
et partant est une création idéale : il suffit po
ne logique sévère, qui ne réside que rarement dans l’esprit des êtres
réels
, mener cette action d’un commencement à une fin.
our l’art. Cette tendance consiste à transformer la représentation du
réel
en une sorte de présentation directe, de telle so
qui, au théâtre comme dans la vie, doit au charme mystérieux des sons
réels
l’empire qu’elle exerce sur notre sensibilité. Ce
ques-uns ont critiqué, à tort, à mon sens, cette recherche d’un effet
réel
. C’est la vue de l’eau qui éveille chez Sichel le
ive à l’effet dramatique qui en découle, on verra que la présentation
réelle
de l’eau détermine une représentation idéale dans
esprit, et que la mise en scène décrite par lui n’est pas la peinture
réelle
d’un effet vu et observé par ses yeux. Dans la co
ions. Or, du moment que l’on ne présente pas au spectateur les objets
réels
qui, selon le poète, devraient avoir une influenc
énérateurs. — Des milieux contingents. — Conjonction de l’idéal et du
réel
. — La Charbonnière . — Du réel dans la perspecti
gents. — Conjonction de l’idéal et du réel. — La Charbonnière . — Du
réel
dans la perspective théâtrale. — Le Pavé de Pari
e, dans la juxtaposition, incohérente pour l’esprit, de l’idéal et du
réel
, et, au point de vue théâtral, dans la juxtaposit
uira l’impression très vive que nous aurait causée la présentation du
réel
, ou réciproquement l’effet de la première sera dé
le vrai et le faux, anéantira immédiatement l’illusion et réduira le
réel
à l’imaginaire. On peut aisément fournir des exem
des traits particuliers. Or, dès que l’idéal surgissait au milieu du
réel
, l’impression première se dissipait immédiatement
endre de ce double dénouement. En outre, la recherche de l’impression
réelle
avait d’avance annihilé tout l’effort artistique
ésentation idéale au milieu de tableaux fondés sur la présentation du
réel
. Par conséquent, l’école est condamnée à n’introd
âtrale, et par conséquent elles étaient trop petites pour la distance
réelle
. Dans La Jeunesse du roi Henri, un des décors rep
ction qui résulte de la juxtaposition d’êtres soumis à la perspective
réelle
de la nature et d’objets soumis à la perspective
usion serait injuste et contraire à la vérité. Par la présentation du
réel
, chaque fois qu’elle pourra éviter la double cont
fin ; cette émotion se distingue de celle que produirait le spectacle
réel
substitué au spectacle représenté du roman, en ce
t sans suites pratiques. Que l’artiste use d’éléments choisis dans le
réel
et agissant par leur vérité, ou d’éléments emprun
émouvantes, toutes les espèces de qualités par lesquelles les choses
réelles
, ou concevables sont susceptibles d’exercer sur n
fond de l’âme, comme le feraient à peu près des spectacles analogues
réels
, mais dépouillés de la plus grande partie de leur
d’un spectacle représenté, se distinguera de l’émotion d’un spectacle
réel
perçu, et à plus forte raison de l’émotion résult
sont fictives, mensongères, innocentes. Au contraire, dans l’émotion
réelle
, ces images ont toute l’intensité que leur donne
s de l’émotion esthétique sont, contrairement aux causes de l’émotion
réelle
, une hallucination que l’on sait inconsciemment ê
sa sécurité, de sa non souffrance, — cessent d’agir comme des images
réelles
, demeurent sans cohésion avec le reste du cours m
oment où on en a besoin ; b). Que des objets utiles, bons, agréables,
réels
, vivants peuvent susciter une émotion esthétique
on semblables à l’émotion qu’inspireraient des spectacles pathétiques
réels
. L’application de ce principe à la musique, par e
emeure très loin, peut-être aux antipodes — est un fait qui, s’il est
réel
, manifeste sans doute une loi analogue aux lois p
y ait, comme vous dites, « télépathie ». Si la télépathie est un fait
réel
, c’est un fait susceptible de se répéter indéfini
de se répéter indéfiniment. Je vais plus loin : si la télépathie est
réelle
, il est possible qu’elle opère à chaque instant e
point est en tout cas incontestable, c’est que, si la télépathie est
réelle
, elle est naturelle, et que, le jour où nous en c
à traiter historiquement ou judiciairement des faits qui, s’ils sont
réels
, obéissent sûrement à des lois, et qui devraient
vi par le hasard qu’il se trouve avoir exécuté le portrait de soldats
réels
, réellement mêlés ce jour-là à une bataille où il
ue le hasard fît de la scène de fantaisie la reproduction d’une scène
réelle
7 : en d’autres termes, il est mathématiquement i
exécutait un tableau. Si le tableau était la reproduction d’une scène
réelle
, il fallait, de toute nécessité, qu’elle aperçût
conserve jusque dans ses moindres détails et qu’il n’y a pas d’oubli
réel
. Vous avez entendu parler des noyés et des pendus
n elle la représentation consciente ou inconsciente de la totalité du
réel
. Je n’irais pas aussi loin ; mais j’estime que no
ellectuelle. C’est que le monde où nous vivons, et que nous dénommons
réel
est une pure création de notre âme. L’esprit ne p
rdre la conscience joyeuse de notre pouvoir créateur ; nous avons cru
réels
ces rêves que nous enfantions, et ce moi personne
éalisme transcrivant, sans autre but, les apparences que nous croyons
réelles
: d’un réalisme artistique, arrachant ces apparen
songeons involontairement que, si ressemblante de matière à un homme
réel
, cette statue a sur lui une infériorité ; le défa
données, dans la vie artistique, par d’autres moyens que dans la vie
réelle
. A ce besoin répond la Peinture. Les moyens qu’el
images ; mais aussi différents, en somme, des couleurs et des lignes
réelles
, qu’un mot diffère d’une notion ou un son musical
créer les sensations qu’ils éprouvaient. Leur ignorance des anatomies
réelles
était constante, extrême leur souci de l’expressi
ce qu’ils nous montrent est faux, impuissant à nous suggérer une Vie
réelle
de vision. Mais leurs tableaux nous émeuvent par
accord harmonique : ces peintres, pour ne pas représenter une vision
réelle
, sont puissamment réalistes en ce qu’ils recréent
sont puissamment réalistes en ce qu’ils recréent une émotion totale,
réelle
et vivante. Mais ne sent-on pas combien cette émo
einture pouvait, avec un égal bonheur, être descriptive de sensations
réelles
, ou suggestives de réelles émotions. Ils ont comp
al bonheur, être descriptive de sensations réelles, ou suggestives de
réelles
émotions. Ils ont compris, seulement, que ces deu
eut-être, dans le groupe central : l’œuvre suggère, pourtant, une vie
réelle
et neuve. La scène a été vue par un artiste qui l
justement dédaigné, pour cette fin, la reproduction exacte des formes
réelles
et de leurs tons. Il a dressé des poèmes passionn
ait, dans le besoin d’une émotion à créer, les couleurs et les lignes
réelles
des objets. Puis il osa peindre de jolis poèmes s
ution de la vie, on a situé précédemment la cause de la production du
réel
, dont on vient de déterminer quelques modes, dans
s des émotions. Mais la loi de Bovarysme, qui gouverne l’existence du
réel
, intervient ici, ainsi qu’on l’a montré, pour imp
sance qui fut tout d’abord désignée comme cause de toute invention de
réel
, il est nécessaire de faire place à une autre uti
yque, chacune de ces conceptions, qui tend à envahir tout le champ du
réel
, ne reçoit elle-même sa réalité que des limites q
rmis, d’après les uns et les autres, de supposer qu’une conception du
réel
, différente du tout au tout de celle que nous avo
les lois formelles que l’on vient de dire, que s’élève, pour créer le
réel
, ce pouvoir arbitraire de l’esprit qui, suscité p
tant qu’elle confère la puissance aux vérités propres à constituer le
réel
, il convient de faire remarquer que ces vérités n
antagonistes. — La représentation faiblit et cesse de paraître objet
réel
. — Même lorsque la représentation demeure nette e
représentation demeure nette et colorée, elle cesse de paraître objet
réel
. — Mécanisme général de cette dernière rectificat
eau : non seulement le fantôme pâlit, mais il cesse de paraître objet
réel
. Il était déclaré extérieur, il est déclaré intér
utres termes niée à tel ou tel titre, tantôt comme objet extérieur et
réel
, tantôt comme objet actuel ou présent, et cette o
xactement chez lui comme s’il y avait devant ses yeux des personnages
réels
. Quoique le cordon ne tire pas, la grosse cloche
d’après ses fantômes, comme il imagine et raisonne d’après les objets
réels
; le micrographe essayerait d’effacer les taches
certains moments, pendant une demi-seconde, on croit voir des objets
réels
; je l’éprouvais tout à l’heure, et les artistes,
voyage intéressant, nous nous croyons en face de faits éloignés, mais
réels
. Les images de sons, de couleurs, de peines, de p
niées à chaque instant par la perception plus ou moins vague du monde
réel
, voilà la vision pittoresque ou poétique, très di
ps, elles apparaissent comme exclues du temps, c’est-à-dire de la vie
réelle
, et sont déclarées sensations apparentes, fausses
répétées, elles atteignent le détail et la précision de la sensation
réelle
, en suspendant les sensations contemporaines et l
fantômes correspondent ordinairement à des choses et à des événements
réels
, et constituent ainsi des connaissances, tel est
propositions un mélange de vérité et d’inexactitude. La notion d’être
réel
n’est pas la même chose que la notion d’objet. L’
tre conscience : il est représenté. Mais nous concevons encore l’être
réel
, l’existence de la chose en tant qu’elle est à pa
possibles, et, derrière cette possibilité de sensations, une activité
réelle
autre que notre sensation même. L’animal, nous l’
en rapport avec du non-senti, et c’est ce non-senti qui devient « le
réel
» au-delà de la sensation. — Nous avons déjà répo
pas le non-senti et l’inconscient que nous objectivons sous forme de
réel
au-delà du senti, c’est au contraire le senti et
on, placée ainsi derrière nos sensations, qui devient objet, et objet
réel
. Une fois construite, l’idée d’objet est, par exc
a personne humaine : l’une figurant tout ce qu’il y a dans un être de
réel
et de virtuel à la fois, tout ce qui est en lui t
mesure l’écart qui existe en chaque individu entre l’imaginaire et le
réel
, entre ce qu’il est et ce qu’il croit être. I
is elle ose accomplir des actes véritables. Or elle entreprend sur le
réel
avec des moyens qui ne sont valables qu’à l’égard
le n’était, cette présomption d’idéaliste d’avoir tenté d’asservir le
réel
à l’imaginaire. Si le Bovarysme, selon le degré d
ur à défaut d’une auto-suggestion venue du dedans. Pourtant un mobile
réel
demeure en ces fantoches : c’est l’instinct de co
e entre les deux forces antagonistes qui se heurtent ici. La haine du
réel
est à, vrai dire si forte chez Bovary, qu’elle po
humaine, la source du mouvement et du changement. Ainsi, la haine du
réel
se confond, chez Mme Bovary, au centre même de sa
existence quelle qu’elle eût été, et par le seul fait qu’elle eût été
réelle
, eût suscité en Emma Bovary une conception contra
interposer son rêve entre sa vue et les réalités et d’en obscurcir le
réel
. Son âme ne supporte pas le contact immédiat auqu
dressant l’idée en face de l’instinct, créant, à côté de nos besoins
réels
, des besoins imaginaires auxquels nous donnons l’
divisions et des solutions de continuité parmi la trame indéfinie du
réel
. Par ces moyens, par l’artifice de ses convention
sibles de la vie », vision qui fera reculer au rang d’accident la vie
réelle
. Au fond, l’œuvre de l’artiste sera la même que c
ociétés liées par une relation de dépendance mutuelle : 1° la société
réelle
préexistante, qui conditionne et en partie suscit
des individualités de la cité de l’art », sont à la fois profondément
réels
et cependant symboliques : Hamlet, Alceste, Faust
, pour compenser ce qu’il y a d’insuffisant dans la représentation du
réel
, l’art est obligé, dans une juste mesure, d’augme
parfois repoussantes. » Le vrai réalisme consiste donc à dissocier le
réel
du trivial ; c’est pour cela qu’il constitue un c
l’habituel ; » et pour cela le seul vrai moyen est d’approfondir le
réel
, d’aller par-delà les surfaces auxquelles s’arrêt
lque chose de nouveau là où tous avaient regardé auparavant. « La vie
réelle
et commune, c’est le rocher d’Aaron, rocher aride
ntiment élevé, c’est que ce sentiment leur apparaît en eux-mêmes plus
réel
que tous les autres faits secondaires de leur exi
aturellement « la science humaine avec sa vie ». L’art, figuration du
réel
, représentation de la vie, n’en deviendra l’expre
t de prix que si elles reposent sur cette base humble et profonde, le
réel
: de là, sans doute, vient à Guyau cet accent d’e
ais les schèmes qu’il construit ainsi ne correspondent à rien dans le
réel
; ils ne peuvent même pas être pensés en tant que
principes de toute intelligibilité. D’où il suit que non seulement le
réel
est intelligible, mais encore que cela seul est r
non seulement le réel est intelligible, mais encore que cela seul est
réel
qui est pleinement intelligible, c’est-à-dire de
ec son infinie diversité, n’est pas pour lui une apparence ; c’est le
réel
, tout le réel. Il a conscience de l’écart qu’il y
diversité, n’est pas pour lui une apparence ; c’est le réel, tout le
réel
. Il a conscience de l’écart qu’il y a entre le si
ature, pourvue de tous les caractères qui appartiennent à la personne
réelle
, ou, plus exactement, de tous les caractères qui
qui appartiennent à la sensation éprouvée en présence de la personne
réelle
. — On peut donc affirmer avec certitude que l’évé
uïe, notre vue, notre goût, notre odorat n’éprouvent aucune sensation
réelle
. Nous ne sommes pas hallucinés ; nous ne disons p
ujours accompagnés d’une croyance (au moins momentanée) à l’existence
réelle
de l’objet qui les occupe… Il y a très peu d’homm
ion, produisent, pendant ce temps-là, la persuasion de leur existence
réelle
». C’est pourquoi les personnes qui ont des image
on physique ; il avait devant lui son enfer imaginaire comme un enfer
réel
, et il croyait à ses fantômes du dedans comme à d
me suis donné deux indigestions coup sur coup, deux indigestions très
réelles
, car j’ai vomi tout mon dîner. » Un peintre angl
urs minutes de suite, il prenait la figure imaginaire pour une figure
réelle
. En effet, l’erreur qui d’abord était passagère d
ençai à perdre la distinction de la figure imaginaire et de la figure
réelle
, et quelquefois je soutenais aux modèles qu’ils a
nt, nous ne pouvons l’isoler et l’observer. — Elle n’en est pas moins
réelle
, et la simple analyse des mots que nous employons
sur la langue une gorgée de vin ou un morceau de sucre, la sensation
réelle
et la sensation imaginée s’excluaient l’une l’aut
t sans intervalle appréciable par le choc antagoniste de la sensation
réelle
. — Cherchons donc un cas dans lequel la sensation
re incomparables ; le sommeil est venu, je ne sais plus rien du monde
réel
où je suis. Plusieurs fois, comme M. Maury, je me
et état l’esprit reste sain et le malade sait que la figure n’est pas
réelle
; c’est le réducteur spécial, à savoir la sensati
e est général ; toute secousse reporte l’attention sur les sensations
réelles
; un bain froid, une douche, l’arrivée d’un perso
robablement, à la suite de quelque sensation de froid ou de mouvement
réel
, la conscience ordinaire renaissait, quoique faib
e leurs fantômes n’étaient que des fantômes, finissent par les croire
réels
, au même titre que les personnes et les objets qu
à la lumière intérieure de son Univers, univers profond où gît l’Être
réel
des choses » ; Beethoven « créant, librement, au
non Schopenhauer ? dira-t-on. — Nullement. Le Moi créateur est le moi
réel
, individuel, personnel, et non le noumène absolu
de l’esprit. C’est que le monde où nous vivons, et que nous dénommons
réel
, est une pure création de notre âme. L’esprit ne
rdre la conscience joyeuse de notre pouvoir créateur ; nous avons cru
réels
ces rêves que nous enfantions, et ce moi personne
transcrivant, sans autre but, les vaines apparences que nous croyons
réelles
: mais d’un réalisme artistique, arrachant ces ap
us songeons involontairement que, si ressemblante d’aspect à un homme
réel
, cette statue a sur lui une infériorité : le défa
données, dans la vie artistique, par d’autres moyens que dans la vie
réelle
. À ce besoin répond la Peinture. Les moyens qu’el
images ; mais aussi différents, en somme, des couleurs et des lignes
réelles
, qu’un mot diffère d’une notion, ou un son musica
créer les sensations qu’ils éprouvaient. Leur ignorance des anatomies
réelles
était constante, extrême leur souci de l’expressi
nt est dénué de réalité et de vie, impuissant à nous suggérer une vie
réelle
de vision. C’est que leurs tableaux nous émeuvent
cord harmonique : et ces peintres, pour ne pas représenter une vision
réelle
, n’en sont pas moins puissamment réalistes en ce
moins puissamment réalistes en ce qu’ils recréent une émotion totale,
réelle
et vivante. Mais ne sent-on pas combien cette émo
einture pouvait, avec un égal bonheur, être descriptive de sensations
réelles
, ou suggestive de réelles émotions. Ils ont senti
gal bonheur, être descriptive de sensations réelles, ou suggestive de
réelles
émotions. Ils ont senti, seulement, que ces deux
e qu’il créera sera faite des éléments qui constituent la vie appelée
réelle
, parce que l’on ne peut recréer, dans la vie supé
veau leur perception des choses. Naît ainsi un sens du possible et du
réel
, à travers lequel, désormais, devra être créée to
e faire vivre pour nous des faits surnaturels3. Et, comme le sens du
réel
et du possible va toujours s’affinant, l’art doit
’atténuation de tout intermédiaire. Nous avons besoin, pour concevoir
réelle
la vie de l’art, qu’entre elle et nous rien ne se
e sur un théâtre ; d’autres encore qui, impuissantes déjà à concevoir
réels
des faits surnaturels, cherchent l’illusion de la
lusion de la vie dans les romans d’action et d’aventure. Leur sens du
réel
est trop subtil déjà pour pouvoir reconstituer de
les sensations neuves, n’avaient guère pu encore se faire un sens du
réel
: toutes les sensations leur paraissaient possibl
: mais ses romans recréent une vie plus naturelle, d’événements plus
réels
et plus simples. À sa suite, c’est Flaubert, ce s
er, au-dessus de la réalité habituelle, la réalité supérieure et plus
réelle
d’une vie artistique, y transposant, avec la joie
odifier sans cesse ses visions. Une difficulté en résulte à concevoir
réelles
ces vies qui paraissent, s’effacent, reparaissent
cliquettes, les carillons. Mais ces chansons exprimaient des émotions
réelles
, des émotions simples et naïves, plus fines cepen
omaine de l’Art ; un musicien dans l’âme duquel ont vécu, précises et
réelles
, toutes les émotions humaines, toutes absolument
s ; et le maître les recréa volontairement, les promut à la vie enfin
réelle
de l’art, en son dernier quatuor5. Quelque douce
milieu de la plus joyeuse ondée, voyez-le ! Fini le doux exil au bon
réel
du rêve. Le chant d’angoisse qui l’a interrompu e
gement, par les procédés spéciaux de leur temps et de leurs arts, une
réelle
vie bienheureuse : Platon et le Vinci, et Rubens,
éros imposé par le livret de l’œuvre. Recréer exactement des émotions
réelles
, au moyen d’une langue musicale précise, ce fut l
rogrès au service de l’art. Ils tentèrent de recréer des émotions non
réelles
dans la vie coutumière, impuissantes donc à produ
les passages de ses œuvres où il soit parvenu à exprimer des émotions
réelles
, à nous faire sentir profondément la touchante pe
ndonnés : voici déjà la vie entière considérée sous un double aspect,
réel
et fictif. L’artiste voit constamment, avec une é
s nuages, et les sociétés humaines effarées, ce sont rêves de l’âme :
réels
, mais tous rêves ne sont-ils point réels ? Notre
es, ce sont rêves de l’âme : réels, mais tous rêves ne sont-ils point
réels
? Notre âme est un atelier d’incessantes fictions
a disparition en nous d’un de nos rêves ? Les hommes que nous croyons
réels
, ils sont — et rien de plus — la triste opacité d
haleur, — il a vu le scintillement de cette console, il a retrouvé le
réel
foyer, la flambée du rêve tout-puissant qui jamai
t s’effaçait, voyez comme elle est un somptueux décor au lit vraiment
réel
, où le poète se veut naître ! M. Mallarmé a voulu
e tient enfermé ; et jamais la réalité des choses ne lui a paru assez
réelle
pour le troubler dans la contemplation de la réal
de — et sans doute ils l’ignoraient — la faculté d’agir dans le monde
réel
. Non point d’agir par de généreuses et passagères
ilosophe : il méditera des théories sur l’enchaînement des phénomènes
réels
, leur valeur métaphysique, leur provenance ; pous
ntie. L’esprit ne sort jamais de lui-même. L’univers que nous croyons
réel
est formé de nos idées, et nos idées sont la créa
la création de notre âme. Seule donc vit notre âme : elle est tout le
Réel
: mais contrainte, pour se connaître, à s’épandre
i, — illusion ; et nous périssons par l’habitude funeste de la croire
réelle
. Nous nous sommes imaginé que certaines de nos id
lle. Nous nous sommes imaginé que certaines de nos idées étaient plus
réelles
que d’autres : nous nous sommes astreints à ne cr
rer lui-même, tout à l’angoissante vision de ces fantômes qu’il croit
réels
? N’est-ce point le νοῦς, unique réalité, empriso
lace qu’on lui offre dans le creux de la main. Car tu possèdes l’être
réel
de toutes choses en ta pure volonté, et tu es le
l est clair que, pour M. de Villiers, les lois hermétiques sont aussi
réelles
, nullement davantage, que les lois étiquetées de
blouissants bandeaux de sa chevelure sombre, la méprisable vanité des
réels
illusoires. Il contemplera maintenant le pâle vis
, par un libre effort de son esprit, un monde plus digne de lui, plus
réel
et plus beau. Il y fut amené encore par les concl
raties. Ces lointains héroïsmes passionnés, d’instinct il les conçoit
réels
. Il ignore notre vision moderne des choses. Il cr
était trop différente de sa nature pour rendre possible une imitation
réelle
. Edgar Poe, malgré son incontestable génie, avait
ons négatives ou imaginaires, mais qui dans certains cas, en donne de
réelles
: comme un van qui laisse passer ce qui a droit d
l’origine de cette évolution, comme toutes les origines, la substance
réelle
des êtres, comme toutes les substances, sont au-d
physique. M. Renan en admet une troisième. Il croit que l’Univers est
réel
, que nos sens nous donnent les images adéquates d
de externe, mais encore les notions et vérités mathématiques seraient
réelles
et vraies, si même aucun esprit n’existait pour l
ivement l’origine, la cause et la substance de ce monde qu’il déclare
réel
. Et, comme l’explication est, a priori, impossibl
Néant. Il avait compris que l’univers est un jeu de notre âme, seule
réelle
, supérieure aux questions d’origine et de cause,
vait paru une fantaisie utile, un effort à coordonner, à refaire plus
réelles
, les vaines ombres qui s’agitent pour nous décevo
uterait Platon, sera la Vertu, c’est-à-dire l’orgueil d’être les plus
réels
, le désir d’accroître cette réalité en donnant au
t plus ni besoins ni fonctions, elles évoqueront la meilleure et plus
réelle
vie de rêves supérieurs. Et, lorsque la science a
se fasse d’un grand homme une image différente, pourvu qu’il l’a voie
réelle
et pourvu qu’il l’aime. Si M. Taine avait publié
thode. À aucun endroit de son livre vous ne trouverez la marque d’une
réelle
sympathie pour ce gros clergyman, le plus honnête
oète. La beauté et la bonté lui sont apparues comme des réalités plus
réelles
que l’intelligence. Et toutes deux il les a servi
is pour être aimées, pour plaire, pour distraire des soucis de la vie
réelle
. C’est précisément à force de vouloir les juger q
nologie. M. Brunetière a mis dans son histoire de la poésie une unité
réelle
; il en a fait une façon de biographie, la biogra
souvenirs d’un vieux soldat illettré. Cette réalité n’est guère plus
réelle
, probablement, que celle que crée pour nous le gé
cela simplement parce que, à tort ou à raison, nous les jugeons plus
réelles
. Sans compter la part d’émotion que contient d’av
depuis dix ans, en particulier, il y en a beaucoup qui apportaient de
réels
, de solides, de précieux talents ; en d’autres te
é ; et qu’ils faisaient aussi voir des couleurs sans nul objet coloré
réel
; qu’ils transformaient, à leur fantaisie, une ti
es, dans les bras de leurs épouses, n’est point plus extérieure, plus
réelle
, comme ils disent, que ces fantômes de la modiste
qui reste immobile. Voilà pourquoi les miracles ont été possibles et
réels
, jadis, puis sont devenus impossibles, et mainten
ent ésotérique et t’appartient bien en propre, attendu que tu es seul
réel
: Tout est possible dès que ton esprit peut le co
t est possible dès que ton esprit peut le concevoir ; et tout devient
réel
, dès que ton esprit a plus de motifs pour le voul
as aux réalités immortelles, mon enfant ! Une joie, cela est positif,
réel
, apodictique. Recherche donc les vraies, les dura
uveras l’occasion de recréer un monde de pure passion, mais autrement
réel
et permanent que les mondes les plus garantis par
h ! comme les aventures des Rougon-Macquart nous auraient semblé plus
réelles
, si M. Zola les avait transportées à Brodbignag o
remier des docteurs, et personne n’a enseigné avec une éloquence plus
réelle
la doctrine du salut. « Car il résista au monde,
e mystification, mais bien la plus charmante, la plus fidèle, la plus
réelle
des réalités. On m’avait trompé seulement, en me
jusqu’à se fatiguer de la vie. Aussi longtemps qu’on prend un intérêt
réel
à la lecture d’un journal, je ne crois pas que l’
l’esprit de son élément fini, et lui ouvrit les portes de la vraie et
réelle
existence179. Voilà pourquoi l’élément subjectif
emier dessein du poète moderne : faire vivre des êtres individuels et
réels
, peindre des caractères 201. Or la tragédie sort
nt sur ce nouveau théâtre se consommer au dernier acte la destruction
réelle
de leurs droits. J’ai vu le triomphe réel de ces
rnier acte la destruction réelle de leurs droits. J’ai vu le triomphe
réel
de ces idées et de ces sentiments dans l’apparent
r debout. Ainsi, le dénouement du drame comique me montre le triomphe
réel
de la personne humaine dans sa destruction appare
arente, et le dénouement du drame tragique m’avait montré le triomphe
réel
aussi du Divin dans sa destruction également appa
ses210. Au contraire, à mesure que la séparation entre l’idéal et le
réel
se prononça davantage, à mesure que l’habitude de
haut degré le sens du vrai, non pas de cette vérité large, concrète,
réelle
, que j’ai admirée dans Shakespeare, mais d’une vé
etenir cette froide jouissance par la privation de toute satisfaction
réelle
. Cependant il ne peut parvenir au bonheur, parce
ne contradiction essentielle, il doit toujours exister une différence
réelle
entre ces deux grandes divisions de l’art dramati
t guère poétique. Ne restez pas dans cette prosaïque contradiction du
réel
avec l’idéal ; sortez-en, comme Shakespeare, par
s leur essence, se continue victorieusement et conserve une existence
réelle
et vraie. T. V, p. 153. 182. Parmi les chefs-
ité humaine. Un homme parmi les hommes est Dieu, et Dieu est un homme
réel
. Il résulte de là que chaque homme comme homme a
plus de réalité et de vérité que les existences phénoménales du monde
réel
, te monde de l’art est plus vrai que celui de la
La satire, qui retrace avec d’énergiques couleurs le tableau du monde
réel
dans son opposition avec la vertu, nous en donne
s’érige en maîtresse sur ce qui apparaît dans la réalité. La présence
réelle
du principe substantiel a disparu. Mais, si ce qu
cette froide jouissance par la privation de toute autre satisfaction
réelle
; tandis que, dans cette impuissance de son but c
est la chevalerie de nouveau prise au sérieux et rentrée dans la vie
réelle
… Les jeunes gens sont ces nouveaux chevaliers qui
bles ; c’est là vouloir former le concret avec l’abstrait, les choses
réelles
avec des limites idéales, les contenus avec les e
ndeur. Le plus petit élément de durée consciente n’est pas un présent
réel
, mais un présent apparent, d’un certain nombre de
ns un chemin qui est à trouver et qui peut-être m’égare. Le mouvement
réel
serait impossible s’il se ramenait entièrement et
ela même qu’il n’est aucun terme défini et intellectuel ; mais il est
réel
. C’est cet état de transition que nous exprimons
ésent, pour la conscience, c’est l’actuel, c’est-à-dire, en somme, le
réel
. Que ce réel ne soit pas indivisible sous le rapp
a conscience, c’est l’actuel, c’est-à-dire, en somme, le réel. Que ce
réel
ne soit pas indivisible sous le rapport du temps,
uel, parce qu’il est ce en quoi la conscience s’actualise ; il est le
réel
, parce qu’il est ce en quoi la conscience se réal
perspective où les termes, sous un même regard, sont distingués comme
réels
et idéaux, intenses ou faibles, clairs ou obscurs
dinaire après une certaine expérience de la vie ; le premier stimulus
réel
qui agirait après la création sur le cerveau d’Ad
un cadre ; il est simplement la succession indéfinie des successions
réelles
ou possibles. L’homogénéité relative que nous y i
disons l’illusion, car, en réalité, s’il n’y avait absolument rien de
réel
, il n’y aurait rien, pas plus de temps qu’autre c
il est vrai, prendre un souvenir de temps elle comparer avec un temps
réel
, mais l’étalon, ici, n’a rien de fixe et la compa
ent. » Selon nous, comme selon Guyau, c’est juste l’opposé de l’ordre
réel
. L’animal a d’abord, en fait, une représentation,
de l’expérience même, constamment confirmée par son harmonie avec la
réelle
existence hors de nous dc mouvements dans le temp
s avoir une intuition d’un objet appelé temps, qui n’est pas un objet
réel
, qui ne peut pas, en tant que tel, affecter notre
succession des phénomènes, c’est-à-dire la succession des sensations
réelles
ou virtuelles, sans rien qui se rapporte à la sen
ombre, une illusion de la caverne. Et cependant, le monde des choses
réelles
a la complaisance de venir se ranger dans ce cadr
ment donc a lieu cette harmonie entre noire sensibilité et les choses
réelles
? Dire que nous imposons nos farines à l’Univers
de haut. Vous savez que je n’ai jamais approuvé le mélange des êtres
réels
et des êtres allégoriques ; et le tableau qui a p
lication de la paix en 1749 ne m’a pas fait changer d’avis. Les êtres
réels
perdent de leur vérité à côté des êtres allégoriq
tes les figures allégoriques sont d’un côté ; et tous les personnages
réels
de l’autre. À gauche de celui qui regarde, la Pai
s. »30. Ils ont préféré leur idéal mystique à l’immense variété de la
réelle
nature. A l’avenir — et peut-être même au présent
la nature en art. Ruskin prêchait, il est vrai, un retour sincère et
réel
à la nature et à la vérité ; et les peintres dont
isant aucun fragment, aucun aspect de la nature, en respectant la vie
réelle
des choses, de la communion même de ce monde exté
oit être au contraire l’expression d’une vérité plus profonde et plus
réelle
que la vérité courante, comme je le crois, il nou
aélites et ceux qui les suivirent demeurent pour nous à l’écart de la
réelle
peinture contemporaine, de celle que l’on peut ha
chez presque tous les maîtres anciens, qui toujours rendaient un ton
réel
par un ton faux, quand ils n’en atténuaient pas p
rendu scrupuleux de la lumière. Cette fidèle observation des couleurs
réelles
de la nature l’a conduit à les traduire sur la to
énéré. Aussi lorsque nous comparons sa renommée bruyante et sa valeur
réelle
vis-à-vis du présent et surtout de l’avenir, nous
consiste à imiter les objets qui auroient excité en nous des passions
réelles
. Les passions que ces imitations font naître en n
s font naître en nous ne sont que superficielles Quand les passions
réelles
et veritables qui procurent à l’ame ses sensation
us les sentons, et incapables de nous causer dans la suite des peines
réelles
et des afflictions veritables ? La poësie et la p
. C’est en vertu du pouvoir qu’il tient de la nature même que l’objet
réel
agit sur nous. Voilà d’où procede le plaisir que
— Illusion métaphysique que leur idée provoque. — Les seuls éléments
réels
de notre être sont nos événements. IV. Le caractè
. — Opposition finale du moi et de ses événements. VI. À quel composé
réel
correspond effectivement l’idée du moi. — Elle es
pparent de l’image refoulée correspond presque toujours l’emplacement
réel
de la sensation antécédente. — Véracité générale
ement prévu. — Correspondance ordinaire de la loi mentale avec la loi
réelle
— Deux états du couple mental. — Il agit avant d’
t partie que de mon être possible, ils ne font pas partie de mon être
réel
. Un seul d’entre eux naîtra à chaque moment ; les
gié, entrera seul et fera seul partie de moi-même. En fait d’éléments
réels
et de matériaux positifs, je ne trouve donc, pour
t notre conception du sujet actuel ; voilà tous les faits présents et
réels
qu’elle renferme. Ce que je suis actuellement, ce
elle renferme. Ce que je suis actuellement, ce qui constitue mon être
réel
, c’est tel groupe présent et réel de sensations,
ellement, ce qui constitue mon être réel, c’est tel groupe présent et
réel
de sensations, idées, émotions, désirs, volitions
série d’événements imaginaires s’insère dans la série des événements
réels
; nous nous attribuons alors ce que nous n’avons
une par rapport à l’autre, un ordre apparent qui correspond à l’ordre
réel
des sensations dont elles sont le reliquat. Conti
onde : voilà tous les pas de l’opération ; d’où l’on voit que la date
réelle
d’une sensation détermine la date apparente de so
eurs attaches, correspondent à la présence, aux diversités, aux dates
réelles
, aux attaches des faits réels ; c’est que les fai
a présence, aux diversités, aux dates réelles, aux attaches des faits
réels
; c’est que les faits réels eux-mêmes les ont tis
aux dates réelles, aux attaches des faits réels ; c’est que les faits
réels
eux-mêmes les ont tissés. L’esprit ressemble à un
tière ne désignent que des entités métaphysiques, qu’il n’y a rien de
réel
dans la nature sauf des trames d’événements liés
la signifie, comme dans les exemples précédents, qu’entre la présence
réelle
d’une tête de mort et la perception affirmative i
aillissement de rayons lumineux, enfin la présence d’une tête de mort
réelle
. Mais ces trois antécédents ne précèdent la sensa
au même moment les rayons lumineux qui partiraient d’une tête de mort
réelle
. Il n’y a pas devant lui de tête de mort réelle ;
nt d’une tête de mort réelle. Il n’y a pas devant lui de tête de mort
réelle
; il n’y a point de rayons gris et jaunâtres qui
de solidité, fantôme interne, mais si semblable à un objet externe et
réel
que le malade pousse un cri d’horreur. — Telle es
ses antécédents normaux ; par conséquent, lorsque la tête de mort est
réelle
et présente, lorsqu’un faisceau de rayons gris et
cas, que l’objet n’est qu’apparent, et, dans le second cas, qu’il est
réel
. Il est aisé de voir que cette analyse s’applique
cas, des objets et des événements extérieurs, indépendants de nous et
réels
, constatés par l’expérience ultérieure des autres
n l’habitude, nous considérons ce fantôme comme un objet extérieur et
réel
, nous retranchons de la perception tout ce qui la
fait tenir un caractère dans un portrait. S’il s’agit d’un personnage
réel
, vous l’étudierez dans ce qu’on a écrit sur lui e
vous en former une image individuelle et particulière comme d’un être
réel
. Un écrivain dramatique de notre temps, qui certe
en scène, il se présentait à l’auteur avec la netteté d’un personnage
réel
dont tout un ensemble de faits moraux antérieurs
tion romanesque : on ignore trop le détail particulier des événements
réels
, les ressorts cachés, les causes secrètes, les pa
et prendre rang de causes efficaces les incidents familiers de la vie
réelle
, les relations sociales, les affections de famill
s impertinences qu’en ont dites des critiques mal placés, « les juges
réels
de la pièce, ceux qui vivent parmi les choses et
l’écrit pas ce feuilleton, il le joue. Le plus ou moins de vrai et de
réel
dans le détail, que lui importe ? S’il a mis le d
pour trait, peuvent être plus ou moins des copies d’un certain monde
réel
; il s’agit de savoir si tout cet ensemble est co
n générale sur le peu de vérité scénique, si l’on passait à la vérité
réelle
, et, pour ainsi dire, biographique des personnage
éales, s’élever au-delà du vraisemblable et du possible, connaître le
réel
d’une façon certaine, telle fut, en dépit d’appar
core insuffisamment discernées, les principes de lois universelles et
réelles
. Descartes analyse la matière qui nous est immédi
de l’esprit qu’on les a tirés, permettront-ils d’atteindre à des lois
réelles
? Tel est le problème que Descartes rencontre imm
le principe de raison suffisante. Celui-là sera le principe propre du
réel
. Ce n’est pas tout : au sein même des choses exis
es distinctions deviennent des séparations. De plus, au sein du monde
réel
, entre les lois physiques et les lois morales app
ce et les lois d’existence sont insuffisantes : pour rendre raison du
réel
, il faut poser des lois de développement, détermi
l’intellectualisme a presque dû la renier pour parvenir à enserrer le
réel
. Mais, estiment d’autres philosophes, les empiris
rée les rationalistes. Pour Descartes, le problème était de relier le
réel
à l’universel ; pour Bacon, ce sera de relier l’u
le réel à l’universel ; pour Bacon, ce sera de relier l’universel au
réel
. Pour ce dernier philosophe, en effet, l’esprit e
concevoir les lois de la nature à la fois comme universelles et comme
réelles
. Quand nous nous expliquons l’universalité, la ré
nsée est que si, dans la formule A est A, on remplace A par sa valeur
réelle
, on a, avant toutes choses, l’être identique au n
tes de la nature qui peut nous apprendre dans quelle mesure les êtres
réels
participent de l’identité et de la contradiction.
ation de ses actes, les lois mathématiques peuvent être conçues comme
réelles
, en tant qu’elles sont, au sein de l’esprit lui-m
n de l’infini présente à l’intelligence : c’est de dire que la loi du
réel
est précisément l’illogisme et même l’identité de
de la matière et de la forme n’est que logique, elle ne saurait être
réelle
. Donc, non seulement les lois mathématiques ne so
urait être réelle. Donc, non seulement les lois mathématiques ne sont
réelles
ni au sens substantialiste, ni au sens idéaliste
ns de toutes les autres. Nous avons montré que les lois de la logique
réelle
ne se laissent déjà pas ramener exactement au seu
boles imaginés par l’esprit : c’est à l’observation et à l’analyse du
réel
qu’il appartient de nous apprendre si la mathémat
citée par des raisons esthétiques et morales ? En fait, la science du
réel
fit peu de progrès tant qu’elle resta placée à ce
seul, ne renferme pas le principe d’unité dont il a besoin pour être
réel
. Newton corrigea le mécanisme de Descartes, mais
cations simplement possibles, mais qu’il prétend découvrir les causes
réelles
et effectives, des choses, les lois que Dieu lui-
lois mécaniques. C’est ainsi qu’il reconnaît l’existence du mouvement
réel
, tandis que, chez Descartes, il n’existait que de
une explication plus subtile : l’action de l’âme sur le corps serait
réelle
, mais métaphysique et non mécanique. Descartes ad
st qu’une relation numérique. Et, comme rien ne prouve que le support
réel
des phénomènes dits mécaniques soit lui-même méca
picure au-dessus de notre monde ? La pensée, non moins que le sens du
réel
, ne demande-t-elle pas que les divers éléments du
ossible la réunion de la réalité et de l’intelligibilité. L’atome est
réel
, car il est déterminé : il est tel, en masse, en
une immobilité tout idéale, permettant, appelant même une variabilité
réelle
et en un sens indéfinie, en même temps qu’elle s’
vation externe et l’observation interne. Selon lui, pour atteindre au
réel
et non pas seulement à quelque chose d’abstrait,
, comme le mécanicien applique les principes de sa science aux forces
réelles
que lui offre la nature. Rousseau part du fait de
ion immédiate de la logique. Or, la logique déjà, du moins la logique
réelle
, qui comprend la théorie du concept, du jugement
la mécanique est à elle seule, au moins en droit, toute la science du
réel
. Car, dans l’état actuel de nos connaissances, la
i. Historiquement, c’est à l’ignorance de cette incommensurabilité du
réel
et du mathématique qu’est due l’idée de réduire l
surabilité du réel et du mathématique qu’est due l’idée de réduire le
réel
au mathématique ; l’ignorance, cette fois, a eu d
tre manière de nous représenter clairement les choses plutôt que leur
réelle
manière d’être. Le mouvement en soi n’est, semble
est plus qu’une illusion. Mais si l’on discerne dans ce sentiment une
réelle
activité mentale, un afflux d’idées motions, un c
à prendre les fables au sérieux, à faire entrer l’imaginaire dans le
réel
au point de ne plus bien les distinguer l’un de l
eler un seul rêve où soit entré un souvenir précis et exact de la vie
réelle
. S’il m’arrive, chose d’ailleurs assez rare, de r
eurs assez rare, de revenir pendant le sommeil à des scènes de la vie
réelle
qui m’avaient frappé, je ne les retrouve dans mes
l’image ; pas un instant nous ne songeons à la prendre pour un objet
réel
; elle nous apparaît comme un objet purement idéa
dans les profondeurs du sommeil, quelques perceptions ou impressions
réelles
arrivent jusqu’à la conscience, nous les faisons
bsistera : longtemps encore après que nous serons rentrés dans la vie
réelle
, notre disposition morale se ressentira des senti
t s’effacer. Est-il certain qu’ils ne subsistent pas, invisibles mais
réels
encore, comme la veilleuse que l’on a oublié d’ét
is de se laisser prendre à des événements fictifs comme s’ils étaient
réels
, le sérieux affecté qui se retrouve dans toute ac
us agréable, soit qu’ils aient été amenés par les mécomptes de la vie
réelle
à se réfugier dans le monde des souvenirs, des il
l doit être exceptionnel que se dégage quelques représentations d’une
réelle
valeur esthétique. La rêverie moyenne, j’entends
uente et si complète parfois que j’en étais comme ravie hors du monde
réel
. » L’imagination de l’enfant s’exalte ; elle dres
e que dans notre état lucide nous maintenons entre l’imaginaire et le
réel
tend à s’effacer ; et nous aimons cette indécisio
l’animer. C’est encore une manière de mettre de l’imaginaire dans le
réel
, et du merveilleux dans le monde. Ce serait en ef
Il faut d’ailleurs le remarquer. Ce n’est pas en présence des objets
réels
que cette illusion tend à se produire. L’objet pe
éveloppent simultanément dans une phrase métaphorique. Ainsi le monde
réel
, en passant par notre esprit, s’y charge de poési
très poétiques, et quand nous reviendrons au spectacle de l’existence
réelle
, nous n’y trouverons que de la prose très vulgair
’opère d’elle-même, où la poésie déborde tellement en nous que la vie
réelle
nous semble plus belle que le plus beau rêve ; ai
tout cela est pure fiction ; rien de cela ne doit être perçu au sens
réel
; ce n’est qu’une représentation au sens le plus
image d’un drame idéal, que nous substituons mentalement au spectacle
réel
. Dans ces diverses œuvres d’art il serait diffici
us ne songeons même pas à distinguer quelle est la part de perception
réelle
, quelle est la part de l’imagination. Croyons-nou
jet étrange, de nature indécise, ni tout à fait idéal, ni tout à fait
réel
, que nous pouvons à volonté porter dans un sens o
s avertir que les scènes représentées ne se passent pas dans le monde
réel
, mais dans le monde des symboles, de la fantaisie
es figures pensives, ces yeux dont le regard se perd au-delà du monde
réel
, ces attitudes de mélancolie apaisent notre pensé
sprit du dramaturge, mais qui figurées sur la scène et prises au sens
réel
déconcertent le spectateur par leur bizarrerie. Q
e en scène la rappellent à la réalité. L’épreuve de la représentation
réelle
nous fera constater encore une chose peut-être pl
n effet poétique. Mais on sait aussi combien cet idéal est opposé aux
réelles
tendances de l’art dramatique. La poésie veut l’i
saisis tout entiers, elle ne nous donne plus l’impression d’un bruit
réel
que nous percevrions au dehors ; elle devient int
d de nous-mêmes alors même que nous n’y pensons plus, comme une chose
réelle
quand nous en détournons les yeux. La poésie, avo
du langage pour nous les représenter. Ce sont des états de conscience
réels
, concrets, isolables, indépendants de toute expre
ès partagés. Toute une école littéraire se refuserait à attribuer une
réelle
valeur poétique au sentiment. Elle concevrait plu
mps qu’il se retire de nous, il nous éloigne de lui. Quelle sympathie
réelle
peut nous porter vers cet homme qui n’a pas une p
ils resteront dans la mémoire des hommes, plus vivants qu’aucun être
réel
. L’heure de la poésie objective est venue. On a r
disparaîtrait. Nous sortirions de la poésie, pour rentrer dans la vie
réelle
. Le seul fait de composer un poème suppose un cer
plus sûr moyen d’avoir l’air ému, c’est encore d’éprouver une émotion
réelle
. — Mais s’il n’est pas dans mon tempérament d’en
étendus sentiments imaginaires sont tout simplement des émotions très
réelles
, que j’éprouve par sympathie en me représentant l
des images de sentiments, qui psychiquement diffèrent d’un sentiment
réel
autant que la simple représentation d’un objet di
ent réel autant que la simple représentation d’un objet diffère de sa
réelle
vision. La différence n’est pas seulement dans le
sous l’influence directe des sentiments qu’il exprime, dans la vision
réelle
des images qu’il nous décrit. — La poésie lyrique
s comme de simples formes verbales, ne correspondant pas à une pensée
réelle
. Si elles ne servaient qu’à rendre l’idée princip
Les principes mêmes de l’esthétique rationnelle, qui nous montrent la
réelle
beauté dans l’exacte adaptation de chaque chose à
fait une pure représentation. Elle les transporte en dehors du monde
réel
; et c’est dans ces conditions que nous en pouvon
à ce degré, est une sorte d’ivresse qui se paie. Elle décolore la vie
réelle
et en éloigne. Elle n’augmente pas tant notre bon
it a pu être tentée et qu’elle peut se poursuivre. Cependant, quelque
réels
que soient ces progrès, il est incontestable que
hoses, ce n’est donc pas les classer dans telle ou telle catégorie du
réel
; c’est observer vis-à-vis d’eux une certaine att
te, on l’a accusée d’être trop large et de comprendre presque tout le
réel
. En effet, a-t-on dit, tout milieu physique exerc
tude vient simplement de ce que les uns et les autres sont des choses
réelles
. Car tout ce qui est réel a une nature définie qu
ue les uns et les autres sont des choses réelles. Car tout ce qui est
réel
a une nature définie qui s’impose, avec laquelle
sociaux, pour n’être pas matériels, ne laissent pas d’être des choses
réelles
qui comportent l’étude. Pour être arrivé à penser
en et du devoir qui expriment deux aspects différents, mais également
réels
, de la vie morale. Or il n’est peut-être pas de p
ifficulté. — Deux sortes de lois. § I. Lois qui concernent les choses
réelles
. I. Premiers jugements généraux de l’enfant. — Mé
duelle de nos couples de caractères mentaux aux couples de caractères
réels
. — Nous croyons aujourd’hui que tout caractère gé
s composés mentaux, sortes de moules préalables auxquels les composés
réels
aient chance de se trouver conformes, sortes de m
odèles préalables auxquels nous ayons envie de conformer les composés
réels
. — Il nous reste une seconde recherche à faire. D
au nerf auditif sain sera suivie par la sensation de son. « La cause
réelle
est la série des conditions, l’ensemble des antéc
avons distingué deux sortes de caractères généraux. Les premiers sont
réels
, et les idées générales qui leur correspondent, p
ées par combinaison, ne sont que des cadres auxquels certaines choses
réelles
ont chance de s’ajuster : ils sont l’objet des sc
l’esprit qui les parcourt. § I. — Lois qui concernent les choses
réelles
I Ici, dans le premier chemin, notre poin
nt admis est non seulement possible, mais le seul possible et partant
réel
. Ce sont là des formules ; un exemple sera plus c
traction et graduellement ajustées aux caractères généraux des choses
réelles
, sont tenues de correspondre à leur objet. — Tout
entale ait ou même puisse avoir sa contrepartie dans les combinaisons
réelles
. On pourrait imaginer un état de choses dans lequ
ous inquiéter de ce que permettent ou interdisent les lois des choses
réelles
; nous supposons dans notre mobile l’indépendance
uniformes, indestructibles. Dans l’un sont inclus tous les événements
réels
, dans l’autre tous les corps réels. Si longue que
un sont inclus tous les événements réels, dans l’autre tous les corps
réels
. Si longue que soit une série d’événements réels,
autre tous les corps réels. Si longue que soit une série d’événements
réels
, par exemple la suite des changements arrivés dep
mation de notre système solaire, si vaste que soit un groupe de corps
réels
, par exemple l’assemblage de tous les systèmes st
x nombres imaginables, ce que la durée est par rapport aux événements
réels
ou imaginables, ce que l’espace est par rapport a
ments réels ou imaginables, ce que l’espace est par rapport aux corps
réels
ou imaginables, un réceptacle sans limites, où to
t ne pourraient jamais avoir de correspondantes effectives ; l’espace
réel
aurait une ou plusieurs courbures que notre espac
n imaginer une quatrième ; cela ne prouve pas que, dans le réceptacle
réel
, il n’y en ait pas une quatrième. Tout au rebours
puissances, et la vraie raison que nous avons pour refuser à l’espace
réel
la quatrième dimension est encore une analogie. D
ce réel la quatrième dimension est encore une analogie. Dans l’espacé
réel
, chaque dimension est influente. Placez des corps
homogènes exactement divisibles en portions égales, bref des données
réelles
conformes à nos constructions mentales. Pour le m
us ces cas, les propositions nécessaires s’appliquent, et les données
réelles
ont la soudure intrinsèque que Kant et Mill leur
sacrifier la compréhension à l’extension. Telle n’est pas la logique
réelle
de l’être animé ; ce dernier se préoccupe fort pe
attribuer une valeur objective à la brûlure, c’est être dans le monde
réel
, non dans un monde de sensations-fantômes, toutes
d’une réaction aperçue devient parle fait même un jugement ; le lien
réel
de la sensation à la réaction n’a besoin que de s
r avec conscience, c’est affirmer, c’est donner parle fait une valeur
réelle
à sa pensée, puisqu’on la réalise en mouvements e
uit l’état intellectuel. On peut, par le langage, mal traduire l’état
réel
de son intelligence, mais la croyance interne et
es motions corrélatives s’ensuivaient, l’affirmation de l’objet comme
réel
se traduirait en actes. Spinoza a donc parfaiteme
onscience, et qui donne à ma douleur un caractère plus pratique, plus
réel
, conséquemment aussi plus « vrai » qu’à une sensa
s mots particuliers acquièrent une sorte de généralité virtuelle, non
réelle
. En d’autres termes, chaque représentation que je
une espèce de vision imaginaire qui remplit les lacunes de la vision
réelle
. Cette vision peut même aller jusqu’à l’hallucina
ns ces cas maladifs, la vision idéale surpasse en intensité la vision
réelle
. De même pour l’abbé somnambule cité par Ernest B
ord de comprendre, puis de modifier à notre usage les forces du monde
réel
. Au lieu d’associer arbitrairement ses représenta
rêverie, l’imagination peut s’efforcer de reproduire les associations
réelles
des choses, les lois et les phénomènes réels de l
duire les associations réelles des choses, les lois et les phénomènes
réels
de l’univers. Elle est alors la science en action
du monde physique au monde moral. Enfin, quand il n’y pas de rapport
réel
, mais seulement un rapport plus ou moins conventi
a réalité. Mais cette infériorité de la représentation par rapport au
réel
crée aussi une supériorité : elle rend possible l
nd possible le monde des idées, qui n’est pas une pure copie du monde
réel
, mais un prolongement de la réalité dans la pensé
ur ce point particulier de notre sujet, plus d’instruction que la vie
réelle
. Peut-être même devrions-nous pousser la simplifi
ont le fil est aux mains de la Nécessité. Il n’y a donc pas de scène
réelle
, sérieuse, dramatique même, que la fantaisie ne p
e abstraite, cette fois générale et complète, des procédés de comédie
réels
et possibles. La vie se présente à nous comme une
e d’une série enfermée en elle-même, voilà les caractères extérieurs (
réels
ou apparents, peu importe) qui distinguent le viv
l’un simplement possible, celui que les acteurs lui prêtent, l’autre
réel
, celui que le public lui donne. Nous apercevons l
l’autre réel, celui que le public lui donne. Nous apercevons le sens
réel
de la situation, parce qu’on a eu soin de nous en
x au jugement vrai ; nous oscillons entre le sens possible et le sens
réel
; et c’est ce balancement de notre esprit entre d
st une série d’événements tout idéale qu’il intercalera dans la série
réelle
, par exemple un passé qu’on voudrait cacher, et q
épétition, avec effets réversibles et pièces interchangeables. La vie
réelle
est un vaudeville dans l’exacte mesure où elle pr
n de le faire naître. Ainsi s’explique le vaudeville qui est à la vie
réelle
ce que le pantin articulé est à l’homme qui march
e certaine raideur naturelle des choses. Le fil qui le relie à la vie
réelle
est bien fragile. Ce n’est guère qu’un jeu, subor
ubtils. La plus générale de ces oppositions serait peut-être celle du
réel
à l’idéal, de ce qui est à ce qui devrait être. I
ivement l’existence de Temps multiples, tous sur le même plan et tous
réels
. Que si, au contraire, on se place dans l’hypothè
emps multiples subsisteront, mais il n’y en aura jamais qu’un seul de
réel
, comme nous nous proposons de le démontrer : les
lui-même. De ceux-là seulement il peut garantir que ce sont des actes
réels
, des mouvements absolus. Déjà pour les mouvements
l n’y en aurait pas moins, toujours, quelque chose d’inébranlablement
réel
que la physique continuerait à résoudre en vibrat
t, comment mettre sur le même rang l’acte par lequel ces oscillations
réelles
, éléments d’une qualité et participant à ce qu’il
ra par exemple dans quelle mesure les Temps d’Einstein sont des Temps
réels
, et qui sera obligé pour cela de poster des obser
tails qui exprimeront l’action et les caractères, que tout ce qui est
réel
et vrai n’est pas à recevoir. Il ne faut prendre
r aussi exactement que possible l’allure et le ton d’une conversation
réelle
. Il y a beaucoup à en retrancher : il faut resser
ain, dans le dialogue qu’il compose, à l’imitation de la conversation
réelle
, ne garde que ces points brillants et fait abstra
ème à résoudre, délicat, s’il en fut, est de choisir dans le dialogue
réel
les mots expressifs, de les achever au besoin, et
inductive ou la forme déductive : prouver par l’expérience des faits
réels
, ou par les conséquences des principes évidents.
n’est pas aussi facile qu’on le pense de se rendre compte de la forme
réelle
et de la véritable couleur des choses. Ceux qui d
e fixité, une expression d’extase, comme s’il se détachait des objets
réels
et s’absorbait dans quelque vision intérieure. Po
ils n’existent pas de la même manière et au même degré que les objets
réels
. Ils ne sont que représentés. Voilà qui est singu
st qu’un leurre. Un tableau, une statue est sans doute une chose bien
réelle
, qui est là devant nous, et que nous voyons de no
technique du mot, c’est-à-dire le mélange en proportions variables du
réel
et du fictif, les données positives de la percept
tenant des tableaux de genre, représentant quelque anecdote de la vie
réelle
: ainsi ce Meeting de Marie Bashkirtseff. Ce sont
os, que ces scènes peintes sur la toile n’étaient pas des événements
réels
auxquels nous assisterions, mais que tout cela ét
es ombres un peu vagues et lointaines, mais tels qu’on a dû les voir,
réels
, vivants, le geste précis, l’éclair du regard dan
issance d’aimer et de sentir. Dans la vie courante et pour les choses
réelles
, on ne voit pas qu’ils soient plus passionnés que
rtiste se suggère à lui-même dans le feu de la composition ? Ils sont
réels
, ils sont sincères, mais c’est dans l’imagination
e terrain, il se trouve que ces impressions chiffrées lui furent d’un
réel
secours4. » Nul doute qu’avec de l’exercice un pe
r, taillé en forme féminine sans doute, mais si différent de la femme
réelle
! Si vous faites disparaître ainsi, par un rappel
ement qu’à peine vous apercevrez-vous que le marbre porte une couleur
réelle
, et vous croirez alors, par une illusion inverse
effets obligés de perspective qui tromperaient le regard sur la forme
réelle
de l’objet décoré. Le vrai décorateur se contente
motifs divers que je puis sans invraisemblance me figurer en présence
réelle
sur sa surface ; mais l’illusion n’étant pas abso
prends un plaisir particulier à contempler cet objet étrange, à demi
réel
, à demi fictif, ce vase de vraie faïence où rampe
eu trouble ne distinguera plus nettement le monde imaginaire du monde
réel
, d’étranges changements vont se produire dans l’a
s, des figures diverses ; et ces figures, bien que cernées d’un trait
réel
, pour un peu nous sembleront tout idéales. Tels s
Où voyez-vous rien qui se meuve ? — Non, il n’y a pas de là mouvement
réel
; mais il y a un mouvement imaginaire, perceptibl
ement intense, que dans la figure qu’il trace il aperçoit en présence
réelle
l’objet représenté. Aussi jamais sa pointe ne por
it gardé de l’objet, la vision qu’il s’en était faite, que son aspect
réel
. Au cours même de l’exécution, cette vision s’est
e l’autre son modèle et sa copie et qui l’empêchait d’apercevoir leur
réelle
différence. Sans aller jusqu’à cette extrême biza
mprenons sans trop de peine, et qui, par conséquent, reposent sur une
réelle
correspondance de sensations. Les sensations visu
sombre et beau monument que Bartholomé a dédié aux morts. Les images
réelles
qu’il nous présente, par leur beauté sculpturale
tive. Elles nous donnent par leur contraste avec les images de la vie
réelle
l’impression du merveilleux ; elles nous mettent
uste. Sensibles à l’attrait du style figuré et comprenant qu’il a une
réelle
valeur esthétique, certains artistes s’y enfoncen
s dira-t-on ? À quoi bon ? L’artiste manque-t-il de sujets ? Le monde
réel
est là, source intarissable de beauté, qui doit a
que l’imagination d’un artiste peut faire subir à la forme des objets
réels
sont des profanations. Je ne parle même pas de ce
tinuer son œuvre et faire les choses comme elle les ferait. Sortir du
réel
, c’est en même temps sortir du vrai. Nous maintie
ussi le spectateur est-il déconcerté devant cette image d’objets très
réels
représentés sous un aspect tellement surnaturel q
avec la vie. On découvre à nouveau, avec un plaisir infini, le monde
réel
. C’est une crise de réalisme, crise salutaire don
rdre. S’il est un réalisme froid et indifférent, qui copie les choses
réelles
par impuissance à rien inventer, et les reflète p
me titre que l’art d’imitation. On n’invente ni par pénurie de sujets
réels
, ni par impuissance à imiter, ni par dédain de la
l prend plaisir à modifier et transfigurer, ce ne sont pas les objets
réels
: c’est la simple représentation de ces objets. D
. Que cet effort de l’imagination pour transformer l’image des choses
réelles
soit aventureux ; qu’il expose l’artiste à tomber
tion a aussi une place. L’aptitude à inventer n’exclut pas le sens du
réel
. Dans les compositions du peintre ou du sculpteur
en jour du terrain. Ce qui fait actuellement sa valeur, c’est sa très
réelle
difficulté. Avec les procédés d’art dont nous dis
lée en bronze, cela ne nous inquiète guère. Quelle que soit la teinte
réelle
de la matière employée, comme elle est arbitraire
as choqué. Ces teintes paradoxales s’écartent trop franchement du ton
réel
pour faire l’effet de fausses notes. Nous compren
mbrables fils qui s’entrecroisent dans sa tête peut aller jusqu’à une
réelle
souffrance. Ce labeur et cette angoisse ne sont p
lastique un jeu. Et ce sera la pure fantaisie. Chapitre V. Dans le
réel
Nous nous sommes convaincus, en étudiant quel
eine d’être représentées. Entre les innombrables spécimens d’humanité
réels
ou possibles, l’artiste fait forcément un choix,
eurs de l’inconscient, mais toujours tout d’une pièce, comme un objet
réel
qui aurait son existence propre avant d’être aper
ctions, et voyons l’art idéaliste au travail, transformant les objets
réels
pour les amener à un degré plus élevé de perfecti
nstant comme à une position d’équilibre stable, et qui présentent une
réelle
valeur esthétique. Celui-ci vaudra par sa force,
strueux, mieux nous devrons comprendre qu’ils ne représentent rien de
réel
. Dans son dédain des apparences qui peuvent choqu
ffigies des rois divinisés une énorme taille. À défaut de la grandeur
réelle
on leur donnait au moins la grandeur relative. Pr
s ne sont que des pygmées. Cette exagération des dimensions est d’une
réelle
valeur d’art. Elle peut produire un effet grandio
ir si son œuvre doit être regardée comme l’image fantaisiste d’objets
réels
ou l’image réelle d’objets de fantaisie. Les pein
oit être regardée comme l’image fantaisiste d’objets réels ou l’image
réelle
d’objets de fantaisie. Les peintres et les sculpt
etit. Dans mainte composition décorative l’artiste figure en présence
réelle
, sur quelque objet reproduit dans ses dimensions
’une voix grêle d’oiseau de mer un appel dans la rafale. La dimension
réelle
des figures est médiocre. Quelle sera leur grande
tif qu’elle s’efforce de rendre aussi différent que possible du monde
réel
. Certaines figures fantastiques seront obtenues p
ation méthodique de la forme humaine qui appuie sur ses imperfections
réelles
en les exagérant, a sa très réelle valeur esthéti
qui appuie sur ses imperfections réelles en les exagérant, a sa très
réelle
valeur esthétique. Mais il n’en faut pas abuser,
e la muraille qu’elles décorent, étalées sur une table comme un objet
réel
, ce serait à frémir. Ce n’est donc pas ainsi qu’i
que lorsqu’on y croit à demi. Il faut qu’il ne semble ni tout à fait
réel
, ni tout à fait inventé, mais qu’il flotte dans u
re, à exprimer quelque idée d’ordre moral ; avant d’être pris au sens
réel
et regardés vraiment comme des monstres, ils ont
e pures représentations que nous faisons à volonté semblable au monde
réel
; ou différent et plus beau encore ; incruster da
s transfigure, telle est, dans sa multiplicité apparente et son unité
réelle
, la fonction de l’artiste. N’est-elle pas bien be
ui n’ignore pas que la plupart des gens courent vite aux conséquences
réelles
ou présumées d’une doctrine pour la juger, nous p
nité, ce serait assurément considérer l’existence de Dieu comme aussi
réelle
que la mienne ; ce serait faire ce qu’au fond on
nt la mémoire, constitue aussi le moi. « Qu’il y ait quelque chose de
réel
dans ce lien, dit-il en concluant, réel comme les
Qu’il y ait quelque chose de réel dans ce lien, dit-il en concluant,
réel
comme les sensations elles-mêmes, et que ce ne so
i, — à mon propre esprit, — une réalité différente de cette existence
réelle
comme possibilité permanente, qui est la seule qu
. Il s’agirait en réalité d’un trouble plus général. La « fonction du
réel
» se trouvant affaiblie, le sujet n’arriverait pa
e imaginée, il y aurait évocation confuse ou incomplète d’un souvenir
réel
30. Cette explication peut être acceptée dans les
cipe . nous croyons que la fausse reconnaissance implique l’existence
réelle
, dans la conscience, de deux images, dont l’une e
ce dernier sentiment est sans doute inséparablement lié à un souvenir
réel
, celui de la personne ou d’une autre qui lui ress
re si originale : le sujet, dérouté par ce qu’il y a d’incomplètement
réel
et par conséquent d’incomplètement actuel dans sa
rcevons et agissons. Nous verrous alors en même temps notre existence
réelle
et son image virtuelle, l’objet d’un côté et le r
conformément à ce que la situation réclame, un moi inséré dans la vie
réelle
et s’adaptant à elle par un libre effort de sa vo
s avons de notre liberté et s’insère tout naturellement dans le monde
réel
; la seconde nous fait croire que nous répétons u
quelque chose du même genre. C’est un dédoublement plutôt virtuel que
réel
. On agit et pourtant on « est agi ». On sent qu’o
puisque la connaissance illusoire est l’imitation d’une connaissance
réelle
, et que le phénomène auquel nous avons affaire n’
pprendre, n’étant que le double de la perception. Nous tenons l’objet
réel
: que ferions-nous de l’image virtuelle ? Autant
cours du mouvement de la phrase. Elle ne fait plus corps avec la vie
réelle
. Cherchant, parmi nos expériences passées, celle
irmation de soi. satisfaction de soi. — Moi actuel et moi futur ; moi
réel
et moi idéal. Action du moi idéal. — 2. Le moi so
uvement, comme elle réalise la conscience : des deux côtés, c’est une
réelle
continuité ; seulement, dans la conscience, les p
cient veut se plaire à lui-même : dès qu’il a le sentiment de son moi
réel
, il conçoit une sorte de moi idéal qu’il veut réa
nes logiques, tandis qu’elles deviennent des éléments et des facteurs
réels
de ma volonté par leur pénétration dans mon moi.
issons par penser invinciblement notre être sous la forme de l’unité.
Réelle
ou illusoire, l’idée du moi est pour nous nécessa
atome spirituel, insécable et inviolable, plus il accroîtra sa force
réelle
, plus il se rapprochera en fait de cet idéal qu’i
otre plaisir. Il y a donc des faits intérieurs et non sensibles aussi
réels
que des faits extérieurs et sensibles. Il y a don
uire et se contrôler. Ainsi la psychologie est utile. Elle a un objet
réel
. Elle a un instrument véridique. Elle est capable
ccordent pour conclure que la beauté est un développement apparent ou
réel
, lequel, étant conçu par nous, passe en nous.
d’une idée ; que bien loin d’être une chose distincte et une personne
réelle
, il n’est que la qualité périssable d’une idée pé
distingué ces facultés des faits, et vous les avez changées en choses
réelles
, forces actives attachées autour de la substance,
s de notre cerveau, lesquels correspondent ordinairement à des objets
réels
. Le maître de philosophie de M. Jourdain ne disai
core, malgré vous, la renfermer dans l’étude des faits, seules choses
réelles
, à l’exemple des sciences physiques. Ce n’est pas
mite indivisible qui séparerait le passé de l’avenir. Mais le présent
réel
, concret, vécu, celui dont je parle quand je parl
conscience ne serait pas synonyme d’existence mais seulement d’action
réelle
ou d’efficacité immédiate, et l’extension de ce t
’elle possède en fait, et que, dans le domaine de la conscience, tout
réel
est actuel. Mais rendez à la conscience son vérit
ption, au contraire, dans notre vie intérieure, cela seul nous semble
réel
qui commence avec le moment présent ; le reste es
tions assurent à chacun des états psychologiques passés une existence
réelle
, quoique inconsciente. Mais nous sommes si habitu
tués à renverser, pour le plus grand avantage de la pratique, l’ordre
réel
des choses, nous subissons à un tel degré l’obses
r, pour la plus grande commodité de la vie pratique, la continuité du
réel
. L’association n’est donc pas le fait primitif ;
écues ; d’autres nous choquent ou ne nous donnent pas l’impression du
réel
, parce que nous y sentons l’effet d’un rapprochem
ou par contiguïté. Au contraire, plus nous nous détachons de l’action
réelle
ou possible, plus l’association par contiguïté te
se détendent ou se gâtent entre sensations et mouvements, le sens du
réel
s’affaiblit ou disparaît 89. Il y aurait d’ailleu
ices, affaiblissant ou abolissant ce que nous avons appelé le sens du
réel
, il en est d’autres qui se traduisent par une dim
les souvenirs seront moins lestés, moins solidement orientés vers le
réel
, d’où une rupture véritable de l’équilibre mental
ibuant ainsi au corps l’unique fonction d’orienter la mémoire vers le
réel
et de la relier au présent, considérerait cette m
isie ainsi comprise peut servir d’interprète aux impressions les plus
réelles
, tandis que l’imagination dans le sens d’imaginai
er une sorte de nature conventionnelle, en lieu et place de la nature
réelle
. Les autres se piquent, au contraire, de la suivr
s, d’actions impossibles, il est nécessaire de peindre des sentiments
réels
, des mœurs que chacun est à même d’observer, l’au
étudier attentivement l’enchaînement des faits, de peindre des objets
réels
, et là est la difficulté de l’art moderne. En fai
qu’on ne peut reproduire sous peine de fatiguer le lecteur. Un drame
réel
ne commence pas par une action saillante ; quelqu
es scènes domestiques et une œuvre que l’artiste intitule : Allégorie
réelle
. D’un coup d’œil, il est permis de suivre les pro
me, qui les éteint et les annihile : aussi la critique n’a-t-elle une
réelle
importance que dans les mains d’illustres créateu
tenter de sortir cette fois du domaine de la réalité pure : allégorie
réelle
, dit-il dans son catalogue. Voilà deux mots qui j
re, mais que la grammaire n’adopte pas. Une allégorie ne saurait être
réelle
, pas plus qu’une réalité ne peut devenir allégori
înée à Ornans, grand tableau d’intérieur de famille, obtint un succès
réel
sans trop de contestations. Il en est toujours ai
J’ai un peu critiqué l’Atelier du peintre, quoiqu’il y ait un progrès
réel
dans la manière de Courbet : il gagnera sans dout
n système de peinture qui consiste à exalter et à outrer un des côtés
réels
de la nature, je parle de la matière, au détrimen
la nature, je parle de la matière, au détriment d’un autre non moins
réel
, qui est l’esprit. Le peintre a donc grandement r
s, la nature se suffit à elle-même, parce que la nature vit d’une vie
réelle
; mais cette vie, qui nous intéresse, n’existe pl
me, qui les éteint et les annihile : aussi la critique n’a-t-elle une
réelle
importance que dans les mains d’illustres créateu
lier du peintre est le dernier coup de canon de M. Courbet. Allégorie
réelle
, telle est la qualification que le peintre réalis
la qualification que le peintre réaliste donne à son œuvre. Allégorie
réelle
, voilà encore un mot que, sans doute, on n’est pa
e-réalisme. L’ennui qu’il éprouve est trop bien peint pour n’être pas
réel
. On a pitié de sa peine, et on voudrait aider le
iment d’une grande fidélité envers la nature, accompagné d’une morale
réelle
, telle est la trame esthétique sur laquelle repos
oilà l’analyste et le penseur par excellence. L’exploration de la vie
réelle
et l’initiation à ses mystères a été faite par lu
eproduit dans toute leur sécheresse glaciale les événements de la rie
réelle
, il n’en voit encore qu’une partie et la moins di
utier qui a inventé cette distinction superbe qu’une rose étant aussi
réelle
qu’un chou, on a parfaitement le droit de préfére
s la mesure du talent des artistes, l’art aspire à vivre de notre vie
réelle
, à revêtir nos costumes et nos passions réels, à
e à vivre de notre vie réelle, à revêtir nos costumes et nos passions
réels
, à se mettre, en un mot, à l’unisson des pulsatio
os passions réels, à se mettre, en un mot, à l’unisson des pulsations
réelles
de notre cœur. Et sans aller courir si loin, n’av
Courbet ne voudrait pas passer pour un utopiste ; mais son allégorie
réelle
ressemble furieusement à « l’Épître secrète adres
hique. Cercle vicieux apparent de la méthode proposée. Cercle vicieux
réel
de la méthode inverse Au cours de notre premie
Une fois ce principe admis, l’intelligence devient aussi vaste que le
réel
, car il est incontestable que ce qu’il y a de géo
z elle. Le cercle vicieux n’est donc qu’apparent. Il est au contraire
réel
, croyons-nous, avec toute autre manière de philos
es aux faits et relatives aux lignes qu’on a suivies pour découper le
réel
en faits distincts. On ne peut pas décrire l’aspe
ligence pour dépasser l’intelligence, on tournera dans un cercle bien
réel
, celui qui consiste à retrouver laborieusement, e
ela seul qu’on abandonnait toute l’expérience à la science et tout le
réel
à l’entendement pur. Commençons, au contraire, pa
de l’intelligence que les faits qui se répètent. Or, sur les moments
réels
de la durée réelle l’intelligence trouve sans dou
que les faits qui se répètent. Or, sur les moments réels de la durée
réelle
l’intelligence trouve sans doute prise après coup
tence faite d’un présent qui recommencerait sans cesse, plus de durée
réelle
, rien que de l’instantané qui meurt et renaît ind
autres, nous construisons une science suffisamment représentative du
réel
. Il est incontestable que, s’il n’y a pas de syst
s que les parties ont entre elles, puisque la même indivision du tout
réel
continue à planer sur la multiplicité croissante
faut en appeler au bon sens, c’est-à-dire à l’expérience continue du
réel
, pour infléchir les conséquences déduites et les
l’étonnement, c’est la création sans cesse renouvelée que le tout du
réel
, indivisé, accomplit en avançant, car aucune comp
e l’analyse physico-chimique découvre sont des causes et des éléments
réels
, sans doute, pour les faits de destruction organi
les lois de l’univers physique exprimeraient des rapports de parenté
réelle
entre des genres réels. On sait quelle physique s
hysique exprimeraient des rapports de parenté réelle entre des genres
réels
. On sait quelle physique sortit de là, et comment
ossibilité d’une science une et définitive, embrassant la totalité du
réel
et coïncidant avec l’absolu, les anciens durent s
alors désordre l’absence de cet ordre. Au fond, tout ce qu’il y a de
réel
, de perçu et même de conçu dans cette absence de
e deux. Cette longue analyse était nécessaire pour montrer comment le
réel
pourrait passer de la tension à l’extension et de
rs sur la matière et qui n’y arrive qu’en pratiquant, dans le flux du
réel
, des coupes instantanées dont chacune devient, da
le est coextensive à la frange d’action possible qui entoure l’action
réelle
: conscience est synonyme d’invention et de liber
hain chapitre, une philosophie qui méconnaît la fonction et la portée
réelles
de l’intelligence. 80. Bastian, Le cerveau, Par
, que Wagner a nommé « la conversation idéale », le langage ordinaire
réel
, mais condensé, affiné, abstrait, quintescencié,
imagination, faire naître en lui une joie vraie dans un attristement
réel
, grâce à l’entraînement de la spiritualité et des
e qu’il créera sera faite des éléments qui constituent la vie appelée
réelle
, parce qu’on ne peut recréer, dans la vie supérie
à nouveau leur perception des choses. Naît un sens du possible et du
réel
, à travers lequel, désormais, doit être créée la
ire vivre des faits surnaturels ou prodigieux.19 Et comme le sens du
réel
et du possible va toujours s’affinant, l’art doit
ténuation de tout intermédiaire. Nous avons le besoin, pour concevoir
réelle
la vie de l’art, de ce qu’entre elle et nous rien
rt recréée sur un théâtre, d’autres qui, impuissants déjà à concevoir
réels
des faits surnaturels, cherchent l’illusion de la
sion de lavis dans les romans d’actions et d’aventures ; leur sens du
réel
est trop subtil pour reconstituer des prodiges, p
les sensations neuves, n’avaient guère pu encore se faire un sens du
réel
: toutes les sensations leur paraissaient possibl
ns recréent une vie plus naturelle, d’événements plus simples et plus
réels
. Après lui c’est Flaubert, c’est MM. de Goncourt
er, nu dessus de la réalité habituelle, la réalité supérieure et plus
réelle
d’une vie artistique, y transposant, avec la joie
éation artistique de sensations non ordinairement perçues dans la vie
réelle
. C’est une vie tout sensible et matérielle qu’il
alité vulgaire qu’il ne perçoit plus. Il enfante les images, toujours
réelles
et magnifiques, d’âmes harmonieuses : il recrée l
odifier sans cesse ses visions. Une difficulté en résulte à concevoir
réelles
ces vies qui paraissent, s’effacent, reparaissent
ir et de connaître ne sont peut-être pas tous les moyens de connaître
réels
; la science même met en suspicion la valeur obje
conditions, et en supposant que quelque chose est encore possible ou
réel
en dehors de ces conditions, en dehors même de to
ible. — Nous croyons tous, disent-ils, à l’objectivité, à l’existence
réelle
du monde extérieur ; nous avons donc une conscien
e le voulait Platon, qui est pour nous le type et la mesure de l’être
réel
. » C’est cette idée qui est, et qui seule peut êt
qui pourtant ne répondent pas, comme le croyait Platon, à des objets
réels
. — Il est bien vrai, peut-on répondre à Platon et
es, tenant à l’imperfection même de notre vue, qui n’aperçoit pas les
réelles
sinuosités d’une ligne droite ou d’un cercle, ni
le), le noumène inconnaissable et cependant connu comme éternellement
réel
! Comment admettre que cette notion à formes chan
ébrales. Créer, c’est savoir être à la fois subtil comme la pensée et
réel
comme la vie. La vie, au fond, n’est qu’un degré
l pour être et purement simplement vrai. Ni dans l’art ni dans la vie
réelle
la beauté n’est une pure question de sensation et
maine de la fiction. Peu à peu l’art prend pour lui le pas sur la vie
réelle
; toutes les fois qu’il est ému, il rapporte son
ntiment élevé, c’est que ce sentiment leur apparaît en eux-mêmes plus
réel
tous les autres faits secondaires que de leur exi
andes individualités de la cité de l’art, sont à la fois profondément
réels
et cependant symboliques. C’est à la réunion de c
ature ; pourquoi ? Parce que ce ne sont que des fragments détachés du
réel
qui n’ont rien de symbolique, qui ne sont pas l’e
personnages créés par Shakespeare sont symboliques en même temps que
réels
; plus d’un même, comme Hamlet, est surtout symbo
gue et du rhythme, tous les mélanges de l’individuel et du social, du
réel
, du mythique et du prophétique ; c’est comme une
rculer dans le tout avec art, mais sans masquer jamais les événements
réels
et les situations historiques. Il faudrait, en un
fondé dans la composition de son poëme, avant d’en venir aux beautés
réelles
et d’un ordre supérieur que j’aurai à signaler en
Le désordre des assonances dans l’ode de Malherbe convient au trouble
réel
de la poésie lyrique ; mais le vers épique doit a
rlemagne ou Siegfrid, Bounaberdi et le peuple fait homme, le Napoléon
réel
, vivant, qu’on a vu, qu’ont connu et admiré ceux
par voie claire et directe, du moins à la longue par mille sensations
réelles
et continues, comme il arriverait à la vue des ru
, dont il faut défalquer un capital de 12 359 livres pour les charges
réelles
; elle rapporte net par an 3 140 livres, et vaut
donné au Châtelet, le 29 avril 1702, « connaît de toutes les matières
réelles
et personnelles, civiles et criminelles, même des
s ce sergent ne paye aucun fermage ni loyer. 4° Taille personnelle et
réelle
. En Bourbonnais, jadis la taille était serve et l
Hodes de Sully, ayant donné une charte, renonça à ce droit de taille
réelle
et personnelle moyennant un droit de bourgeoisie
es. Note 3. Livre premier, chapitre III, III. Différence du revenu
réel
et du revenu nominal des dignitéset bénéfices ecc
s qui pourront montrer l’écart des chiffres officiels et des chiffres
réels
: 1° Dans l’Almanach Royal, l’évêché de Troyes es
châtiment. Fascinants et durs récits, sans cesse le fantastique et le
réel
mêlés se pénétrent de plausibilité et se saturent
t l’étonnante nouveauté de l’art de Dostoïewski. Cet homme connaît le
réel
; certaines de ses observations, celle par exempl
éveloppement et ses réactions aux influences de la vie. Ici encore le
réel
exact et complet, bien qu’il ait montré pouvoir e
lliage aussi surprenant que celui, dans son art, du fantastique et du
réel
, en ses personnages il étudie à la fois, comme un
lixité dissertante, poussée ici encore à une exubérance qui altère le
réel
par excès. Comment exprimer cependant la perfecti
observées, car les sens seuls apprennent peu de chose en psychologie
réelle
, mais imaginées, et imaginées à l’image de leur a
pour un milieu homogène. Il ne paraît pas avoir remarqué que la durée
réelle
se compose de moments intérieurs les uns aux autr
; et comme il avait confondu la durée avec l’espace, il fit de ce moi
réel
et libre, qui est en effet étranger à l’espace, u
ue de la raison pure aboutit. Mais au lieu d’en conclure que la durée
réelle
est hétérogène, ce qui, en éclaircissant cette se
chir qu’on ne le suppose. Car si, par hasard, les moments de la durée
réelle
, aperçus par une conscience attentive, se pénétra
dans leur multiplicité, toute qualitative, des phases de notre durée
réelle
et concrète, de la durée hétérogène, de la durée
ne hallucination ? Voulez-vous dire simplement que le même objet, non
réel
dans l’hallucination, est réel dans la perception
dire simplement que le même objet, non réel dans l’hallucination, est
réel
dans la perception ? C’est ce qui est trop éviden
mment savez-vous que dans un cas l’idée correspond à quelque chose de
réel
, et dans l’autre, non ? La perception sera donc n
s ce qu’elle a de plus exclusif et de plus étroit, car la seule chose
réelle
et certaine pour le condillacien, c’est la sensat
mpossible de deviner. Que dit en effet M. Taine ? Qu’il n’y a rien de
réel
que le phénomène, que le commencement de toute sc
système de Hegel, l’extérieur n’est que le symbole de l’intérieur, le
réel
de l’idéal. Dans le système de M. Taine, tout est
au rebours, le dedans vient du dehors, l’idéal n’est que le revers du
réel
; enfin, comme disait Cabanis, le moral n’est que
la raison supérieure aux sens, l’intelligible au sensible, l’idéal au
réel
, les principes aux faits. L’hégélianisme ne se ra
lien des sciences absolues ; mais les sciences absolues n’ont pas le
réel
pour objet. Il est l’absolu lui-même ; mais rien
abstractions pour des réalités, des causes nominales pour des causes
réelles
. Qu’est-ce, je vous prie, que l’instinct de la na
u platonisme et au spiritualisme ; mais cette doctrine d’un idéal non
réel
ne me paraît pas un moyen terme satisfaisant, c’e
, des viandes solides ou savoureuses, aux prix desquelles les viandes
réelles
ne sont que de pures apparences. Il peut dire enc
t non dans la réalité. La réalité est indigne de lui. Tout ce qui est
réel
est imparfait. L’existence elle-même à rencontre
ître que le monde est Dieu, et que de l’autre vous n’admettez rien de
réel
en dehors du monde ! — M. Vacherot proteste énerg
ères. Je conçois que l’on dise : Il faut à la vertu un type vivant et
réel
, Jésus-Christ suivant les chrétiens, Dieu suivant
re infini, et la théodicée l’être parfait. La métaphysique a un objet
réel
, la théorie un objet idéal. La métaphysique a pou
e de cette distinction en affirmant que l’une de ces idées a un objet
réel
, et que l’autre n’en a pas, en faisant de celle-c
parfait ne peut exister par cette raison que l’idéal ne peut pas être
réel
; mais la question est précisément de savoir si l
ux après tout que ne pas être. Je vois bien, à la vérité, que le seul
réel
que je connaisse, le réel qui tombe sous mes sens
tre. Je vois bien, à la vérité, que le seul réel que je connaisse, le
réel
qui tombe sous mes sens, qui est en contact avec
poir et à toute pensée de se distinguer des écoles empiriques, car le
réel
, sévèrement étudié, sera toujours une règle d’act
de avec le monde, soit qu’on l’en sépare, qu’on lui prête une étendue
réelle
ou une étendue d’action et de puissance, est imme
’infini d’espace et de temps (soit qu’on l’entende comme une présence
réelle
dans l’espace et dans le temps, ou comme une prés
gique et du langage, précisément parce qu’on en aura éliminé le temps
réel
. Mais quant à la vie psychologique, telle qu’elle
u’elle se fraye d’avance, par la perception, dans l’enchevêtrement du
réel
, l’individualité du corps se résorbe dans l’unive
ui exercera cette action, le corps qui, avant d’accomplir des actions
réelles
, projette déjà sur la matière le dessin de ses ac
, la corps qui n’a qu’à braquer ses organes sensoriels sur le flux du
réel
pour le faire cristalliser en formes définies et
rence capitale qui sépare le temps concret, le long duquel un système
réel
se développe, et le temps abstrait qui intervient
présent instantané qui se renouvelle sans cesse, jamais dans la durée
réelle
, concrète, où le passé fait corps avec le présent
r instantané. Ce qui coulera dans l’intervalle, c’est-à-dire le temps
réel
, ne compte pas et ne peut pas entrer dans le calc
actéristique de la vie ? L’évolution, elle, implique une continuation
réelle
du passé par le présent, une durée qui est un tra
ux que le transformisme nous présente comme des rapports de filiation
réelle
entre des individus vivants, — soit enfin dans qu
rtificiellement isolables dans le tout de l’univers, ou celui du tout
réel
? Le tout réel pourrait bien être, disions-nous,
isolables dans le tout de l’univers, ou celui du tout réel ? Le tout
réel
pourrait bien être, disions-nous, une continuité
ficielle de l’aspect extérieur du protoplasme, doit-on y attacher une
réelle
importance théorique, alors qu’on n’est pas encor
ien. Le mécanisme radical implique une métaphysique où la totalité du
réel
est posée en bloc, dans l’éternité, et où la duré
pourquoi ils s’accordent encore à faire table rase du temps. La durée
réelle
est celle qui mord sur les choses et qui y laisse
ent et solidifie tout ce qu’elle touche. Nous ne pensons pas le temps
réel
. Mais nous le vivons, parce que la vie déborde l’
action sur les choses, action tout entière localisée à la surface du
réel
, on peut présumer qu’elle ne s’exerce plus simple
nflit des systèmes, l’impossibilité de faire entrer définitivement le
réel
dans ces vêtements de confection que sont nos con
es choses. Platon fut le premier à ériger en théorie que connaître le
réel
consiste à lui trouver son Idée, c’est-à-dire à l
res les uns des autres. Alors seulement nous pressentirions la nature
réelle
du mouvement évolutif ; encore ne ferions-nous qu
Mais ni dans un cas ni dans l’autre nous n’atteindrions le processus
réel
, car il n’y a pas eu de carreaux assemblés. C’est
taires, qui ont organisé les parties, seront censés être les éléments
réels
du travail qui a organisé le tout. Voilà le point
Il ne saurait être partiel, parce que, encore une fois, le processus
réel
qui lui donne naissance n’a pas de parties. C’est
re que, dans le domaine de la vie, les éléments n’ont pas d’existence
réelle
et séparée. Ce sont des vues multiples de l’espri
mé, je pensais moins l’étudier en lui-même qu’en fonction de cet être
réel
, de cette idée dynamique qu’est la littérature fr
tous les Valérys possibles, néanmoins le Valéry de hasard, le Valéry
réel
, Valéry in the flesh , est un Valéry artiste. «
où la détente de l’esprit excité se dépense à vaincre des résistances
réelles
. » Ces résistances le poète ne les trouve pas hor
lèmes techniques, problèmes d’une action sur la matière, soit matière
réelle
, soit matière inventée. De là l’importance du cor
e réalité efficace, que mécanicienne. Mais au-delà de la mécanique du
réel
il y a la mécanique du possible ; au-delà de la p
truire. » Construire un navire, et partir ! Dans Eupalinos le Socrate
réel
, le philosophe, n’existe que parce qu’il a abando
ler leur grandeur que le reflet de leur œuvre sur eux : de leur œuvre
réelle
et non de leur œuvre possible, puisqu’il nous est
s de rêve (car la destinée a rempli de pensées plus ordinaires sa vie
réelle
) d’une technique pure comme il y a une mécanique
nature de vérité formelle plus vraie que ne l’est la nature de vérité
réelle
représentée par la matière des choses qui sont di
constitue une masse indifférenciée où tout est possible, où tout est
réel
. « La pensée, par sa nature, manque de style. » L
crit est tenu à d’autres préoccupations que celles du style pur. « Le
réel
d’un discours, dit Valéry, c’est après tout cette
ns à tort comme détails et accidents. » Jusqu’à un certain point ! Le
réel
du discours c’est encore la raison raisonnante et
la rédaction, à cette difficulté de principe la figure d’une facilité
réelle
. Salut ! encore endormies A nos sourires jumeaux
monde, il est passé à sa pulpe sensuelle, à son fruit. C’est le vers
réel
, musical, rapport dans le langage de l’esprit, ma
e. Mais en renversant le point de vue, ce faire peut être dit le seul
réel
, le corps, le présent, étant du fait. « Pourquoi
d l’on dispose du mouvement et de la mesure, qui sont ce qu’il y a de
réel
dans le monde ? » La danseuse est « l’acte pur de
uvement qui crée la substance poétique avec l’absence de la substance
réelle
. C’est par tout autre chose qu’une source que le
ce, ils représentent un plus, et ce plus, comme en algèbre, est aussi
réel
que les éléments avec lesquels il forme binôme. C
stractions — et vision idéale que limite, fragmente, abolit la vision
réelle
. Mais cela ne peut se dire en prose sans tomber d
é dynamique d’un être de mouvement ; aucun mouvement des bras n’étant
réel
, tous sont possibles, et le foyer vivant de la st
ais en moi, en tant que mes doutes et mes contradictions. » Le Valéry
réel
qui a passé, qui a réussi, qui a trouvé son corps
eux états distincts ; et le vers de Monime ne fait que révéler un feu
réel
, senti par Monime elle-même comme une chaleur phy
écrivains est à la critique ce que le monde des personnages de la vie
réelle
est au romancier. Elle ne doit pas craindre de le
est venu en accabler à son tour l’impie, l’effrontée Tarpéia. L’idée
réelle
de Lélia, avons-nous dit, est l’impuissance d’aim
foi de leur cœur. Comme la donnée première de Lélia est tout à fait
réelle
et a ses analogues dans la société où nous vivons
vent des Camaldules, et pourtant la fantaisie continue. Ce mélange de
réel
et d’impossible, qui était presque inévitable dan
e à ce genre. L’auteur, nous l’espérons, reviendra au roman de la vie
réelle
, comme Indiana et Valentinel’ont posé ; mais il y
apere manu) se firent d’abord verâ manu, c’est-à-dire, avec une force
réelle
. La force est un mot abstrait, la main est chose
outes les nations elle a signifié la puissance 109. Cette mancipation
réelle
n’est autre que l’occupation, source naturelle de
ct poétique que leur avait donné la nature, durent imiter cette force
réelle
par laquelle ils avaient auparavant défendu leurs
s emblèmes propres aux familles étaient, si je puis le dire, des noms
réels
, antérieurs à l’usage des langues vulgaires. Le s
onformité des faits qu’ils racontent avec les faits communs de la vie
réelle
, et même avec les faits particuliers de l’histoir
profond et original, il est du moins observateur attentif des effets
réels
de la vie morale ; par là il est homme du xviie
moins amère et plus riante. Lesage n’est pas de ceux que la vision du
réel
oppresse. Il voit nombre de coquins, de fripons,
la dernière partie du roman, Lesage ne dépasse pas le possible et le
réel
: on ne saurait dire que Gil Blas soit un idéal ;
rtout, répondent mieux que celle de Gil Blas aux conditions de la vie
réelle
, et par conséquent à celles du roman réaliste. La
oc, frère de Manon, qui s’en fait l’exploiteur : nous aurons ce roman
réel
plutôt que réaliste, pathétique sans déclamation,
deux sortes de mérite, qu’on me pardonne cette expression, un mérite
réel
et un mérite de comparaison. Le mérite réel consi
tte expression, un mérite réel et un mérite de comparaison. Le mérite
réel
consiste à plaire et à toucher. Le mérite de comp
que ce qu’ils ont fait. Les contemporains jugent très-bien du mérite
réel
d’un ouvrage, mais ils sont sujets à se tromper q
dire que nous devions nier, par là même, toute espèce de distinction
réelle
entre les hommes ? L’idée de l’égalité des hommes
é des facultés juridiques, n’est pas proclamer l’égalité des facultés
réelles
. Reconnaître aux individus mêmes droits n’est pas
ressemblances, — leur reconnaissant par suite, non les mêmes facultés
réelles
, mais les mêmes droits, — et réclamant enfin qu’à
tendait par le principe de continuité. Ce qui est vrai d’une quantité
réelle
, disait Poncelet, doit l’être d’une quantité imag
imaginaire ; ce qui est vrai de l’hyperbole dont les asymptotes sont
réelles
, doit donc être vrai de l’ellipse dont les asympt
que l’intuition vous a fait connaître ; ou bien encore que tel objet
réel
et concret dont vous croyiez reconnaître immédiat
é expérimentale. L’expérience seule peut nous apprendre que tel objet
réel
et concret répond ou ne répond pas à telle défini
les d’inventer ? Non, notre distinction correspond à quelque chose de
réel
. J’ai dit plus haut qu’il y a plusieurs espèces d
ts du récit sera bien loin d’éveiller dans mon intelligence une image
réelle
aussi précise et aussi riche que celle qui naîtra
à vérifier le contenu, qui ne deviendront jamais pour lui des images
réelles
, et qu’il lui faudra accepter par un acte de foi.
c la même force, avec laquelle elle propage les vérités. Si une image
réelle
emporte avec elle la certitude de son objet, il n
ù se confondent — transformées par un apprêt dialectique — des images
réelles
en nombre souvent considérable, celles-ci sont to
e, fuit bien loin devant un tel rire. Elle voltige au-dessus du monde
réel
, et glisse, sans jamais s’y abattre, sur nos misè
et tous ces incidents minutieux, importuns, qui entravent dans la vie
réelle
le cours des grands événements, afin de concentre
endante en face d’elles ; elle voltige d’objet en objet dans le monde
réel
et dans tous les mondes imaginaires, sans se pose
l’on me la vante comme une imitatrice beaucoup plus exacte de la vie
réelle
, oh n’aura pas besoin de longs développements, ca
remière comédie des Grecs, ce n’est pas l’introduction de personnages
réels
sur la scène. Ce n’est pas non plus l’esprit tout
lle faite aux poètes par le gouvernement d’introduire des personnages
réels
sur la scène, l’installation même de la Muse au f
ie a jamais pu renoncer absolument à corriger les mœurs ?), mais plus
réelle
dans cette farce vraiment assez gaie que dans auc
omédie, quel prosaïsme partout ! Prosaïques par l’imitation de la vie
réelle
, elles le sont aussi par le but pratique, positif
dole mystique de je ne sais quel culte superstitieux devienne l’objet
réel
d’une admiration tempérée ? Je serai pour Molière
llent Harpagon ; mais Harpagon n’est qu’une abstraction, car un avare
réel
ne saurait être tous ces gens-là87. La manie d’en
apital des tragiques français ; il met sur la scène non des individus
réels
, mais des abstractions personnifiées. Passons aux
tique, et sont fondés uniquement sur cette froide imitation de la vie
réelle
, qui ne peut jamais satisfaire les besoins de l’i
n : il faut qu’elle soit vraisemblable, c’est-à-dire qu’elle paraisse
réelle
. — Septième leçon. 41. Aussitôt qu’on abando
aux fictions idéals de l’imagination l’imitation prosaïque de la vie
réelle
, ce n’est plus le génie et le sentiment des arts
noncer à tous que le monde perçu par les yeux du corps est sans doute
réel
, mais qu’il y a autre chose, et que ce West pas s
perçu ou qui pourrait l’être. Il est donc donné dans une expérience,
réelle
ou possible. Libre à vous de construire l’idée d’
en ce qu’il serait inaccessible à notre expérience et pourtant aussi
réel
qu’eux ? Je l’admets un instant, encore qu’une af
nte une propriété ou un état stable cueilli le long d’un devenir : le
réel
est mouvant, ou plutôt mouvement, et nous ne perc
e percevons que des continuités de changement ; mais pour agir sur le
réel
, et en particulier pour mener à bien le travail d
que des instantanés pris sur le changement, deviennent à nos yeux le
réel
et l’essentiel, justement parce qu’ils sont ce qu
ité d’intuition qui s’expliquerait le plus simplement par l’existence
réelle
de l’Être avec lequel ils se croient en communica
éjà faites, des mots déjà existants, enfin des découpures sociales du
réel
. Tout le long du chemin, il la sentira s’explicit
s profondes et durables des nôtres : comptons-nous comme des douleurs
réelles
celles que nous avons éprouvées en rêve ? Chez l’
ut », si l’on prétend désigner par ce mot non seulement l’ensemble du
réel
, mais encore l’ensemble du possible ? Je me repré
de l’âme ainsi définie ? Et comment les problèmes relatifs à une âme
réelle
, à son origine réelle, à sa destinée réelle, pour
e ? Et comment les problèmes relatifs à une âme réelle, à son origine
réelle
, à sa destinée réelle, pourraient-ils être résolu
blèmes relatifs à une âme réelle, à son origine réelle, à sa destinée
réelle
, pourraient-ils être résolus selon la réalité, ou
ellement le sens du mot que la société a inscrit sur une découpure du
réel
pratiquée pour la commodité de la conversation ?
M. Albert Brandenburg est un très jeune poète, et son Euphorion a de
réelles
qualités de lyrisme. Encore que le poème soit par
gulier est devenu si facilement beau, il est difficile de juger de la
réelle
valeur des poèmes de M. Brandenbourg et de présum
nnus de poésie délicate et rafraîchissante. Ce qui fait l’originalité
réelle
de M. Gabriel Sarrazin, c’est qu’il est, en Franc
ssi prodigieusement riche que celle de Victor Hugo, puisse épuiser le
Réel
. Il est incontestable qu’il y a chez tous les hom
quelques esprits aventureux, quelques poètes vraiment visionnaires du
Réel
, synthétisant les données de la science et les dé
recommande de dépasser le pur concept, et de chercher à atteindre le
réel
par l’intuition, et de même qu’une refonte des co
faire illusion longtemps, aujourd’hui moins que jamais, sur la valeur
réelle
d’une œuvre d’art. Un histrion grimé peut duper u
sciences, c’est-à-dire des systèmes de représentations symboliques du
réel
, qui ne sont pas rigoureusement complémentaires.
l’écrivain. Que se propose l’écrivain, prosateur ou poète ? Fixer le
réel
, le devenir, la durée, la vie qui s’écoule. (Il f
nt par ce terme, la cadence des vers, mais dans ce rythme spontané et
réel
qui est la vie même. Comme le dit M. Adolphe Lacu
actice, — artificielle, — ce sera l’intérieur même du mouvement d’âme
réel
, exprimé, traduit, fixé… La prose, au contraire,
, j’ai cru qu’il importait d’insister sur ce qui différencie, dans le
réel
, la poésie de la prose, — et nous avons vu que su
e individualisée et concentrée, qui s’enrichit pendant les siècles du
Réel
qu’elle comprend, qu’elle embrasse et qu’elle s’a
issent au contraire continuellement des points de vue nouveaux sur le
Réel
dans des ordres de connaissance différents, les h
initive une loi, une loi vivante et vraie qui correspond aux rapports
réels
des êtres, et qui domine par sa puissance les ord
forcé de le faire, mais il importe de savoir qu’en découpant ainsi le
Réel
en fractions distinctes, l’esprit humain agit aut
r à établir des concordances évocatrices et de découvrir des rapports
réels
que nous ignorons encore. Il nous est apparu que
u qui, aux limites des choses visibles et sur la lisière de l’univers
réel
, a trouvé je ne sais quel coin obscur, mystérieux
ns ce mélange habile, dans cette mesure discrète de merveilleux et de
réel
que consiste une grande partie du secret d’Hoffma
es langues éloquentes l’éclat, la pieuse persévérance, et la grandeur
réelle
des âges passés. Aussi, dès qu’il se borne à pein
ent, l’idée intense et exclusive d’un mouvement entraîne le mouvement
réel
. La conscience trouve donc ici, dans la seule idé
même. Il y a ainsi supériorité de la représentation sur le mouvement
réel
. C’est cet excès qui constitue le sentiment de pu
mme d’une existence abstraite et générale, mais comme d’une existence
réelle
qui est présente à tous nos états successifs ; et
a notion abstraite et générale d’activité n’exprime point une faculté
réelle
et distincte de ses actes concrets, une entité mé
tivité comme faculté, c’est l’existence de l’action même, de l’action
réelle
, de l’agir ; or, c’est cette action dont, nous av
oujours virtuellement et la compréhension, et l’amour, et la haine du
réel
. I L’œuvre de Tolstoï est de contenu compréh
a Guerre et la Paix ; rien n’y est plus merveilleusement identique au
réel
que la croissante, la graduelle transformation de
ière-pensée de déplaisir, comme un immense désir d’autre chose que le
réel
se glisse en son esprit lentement lassé, sans qu’
prise qui les inquiète, c’est l’énigme même de cette âme maîtresse du
réel
, devine des âmes, égale au vaste domaine du monde
els ils s’exercent, ni le spectacle de leur œuvre, ni le spectacle du
réel
auquel elle équivaut, ni cette humanité qu’il aim
isant. L’homme le plus près d’accomplir cet acte d’adhésion à tout le
réel
, qui est le principe de tout grand poète et de to
t qui tend à égaler la grandeur, l’illogisme, l’existence autonome du
réel
, mis face à face avec lui en une contemplation si
ne. Si l’artiste ou le penseur réalistes, exposés à percevoir tout le
réel
, ne peuvent mettre leur esprit et leur œuvre en c
t répondre à la voix de son angoisse et choisir entre son adhésion au
réel
qu’il ne pouvait rendre sincèrement complète, et
ications métaphysiques. Il ne pouvait non plus détacher son esprit du
réel
et se consoler du spectacle du monde par un espoi
me de la multitude diverse, créées mobiles, variables, individuelles,
réelles
, agitées, bruissantes et telles que la sagacité d
anité futile d’être l’idole de quelques savants, pour l’honneur moins
réel
encore et plus funeste d’être la terreur de l’Eur
s grands ait une espèce d’attrait pour les gens de lettres. L’utilité
réelle
ou apparente qu’ils peuvent retirer d’un tel comm
r naissance, et qu’on ne trouve point pour les exciter de motifs plus
réels
et plus nobles ; au lieu de leur redire sans cess
à avilir des motifs, qui sans avoir, si l’on veut, un fondement bien
réel
, sont pourtant la source de tout ce qui s’est fai
re qu’on ne soit plus, pour recevoir sa récompense de cette postérité
réelle
, devant laquelle la jalousie s’éclipse, et tous l
evoirs extérieurs ; je dis extérieurs ; car les devoirs intérieurs et
réels
sont d’ailleurs parfaitement égaux pour tous, quo
extérieur que les talents doivent aux titres, il en est un autre plus
réel
que les titres doivent aux talents. Mais combien
e est le fruit de l’estime qu’ils ont pour les talents, et du plaisir
réel
qu’ils trouvent dans la société des gens de lettr
e lettres par des satires n’est qu’une preuve du peu de considération
réelle
qu’on a pour eux, lu plaisir même qu’on prend à l
rés que les autres, et qu’on peut regarder comme des protecteurs plus
réels
de la littérature ; ce sont ceux qui cherchent à
res, c’est que la considération personnelle est la récompense la plus
réelle
des talents, celle qui met le prix à toutes les a
hercher leur commerce, vous leur témoignez encore cette considération
réelle
sur laquelle ils ne se méprennent pas quand ils e
timent, et qui diminuent beaucoup leur plaisir. D’ailleurs les fautes
réelles
qui sont dans un tableau comme une figure trop co
n qu’il devroit faire. Il n’en est pas de même d’un poëme, ses fautes
réelles
comme une scene qui sort de la vrai-semblance, ou
dé sera reconnu, de séparer en tout spectacle ses nombreux composants
réels
, de les énumérer en un détail merveilleusement vi
due de son ensemble de romans, M. Zola emprunte ces éléments à la vie
réelle
, et les reproduit tels que sa mémoire et ses sens
un souffle de volupté ou un afflux de force, que M. Zola dénature le
réel
et le grossit. La végétation épanouie et luxurian
force, et pour qui toute force est similaire. Ayant ainsi délaissé le
réel
pour l’idéal, M. Zola devint nécessairement pessi
ptitudes à la généralisation. Cesser tout à coup de penser les choses
réelles
, en détacher un caractère extrêmement compréhensi
s et faibles, c’est-à-dire pour toutes choses et pour tous les hommes
réels
. Ces spectacles quotidiens et cette humanité cour
tes, « la société humaine est, comme les organismes naturels, un être
réel
… elle est un prolongement de la nature… elle est
laircir le rapport de ces deux derniers termes. De même que le sens
réel
de l’individualisme, scruté depuis les temps hist
ielles trouveront de plus en plus difficilement crédit et qu’une plus
réelle
interprétation des lois de la vie permettra de fo
ein de l’universel. Si l’on a pénétré, en le réduisant à son unité
réelle
, l’apparent dualisme de la vie individuelle, l’ap
s efficacement contre le péril, mais qui n’ont pas forcément de liens
réels
entre leurs deux existences, étant peut-être inté
7. (NdA) 46. Paul de Lilienfeld, La Société humaine comme organisme
réel
, 1873. (NdA) 47. M. R. Maurin, Internationalism
on veut le laisser où il est, on devrait, pour avoir une simultanéité
réelle
entre les zéros définitifs des deux horloges, rec
et du mouvement, chacune de ces secondes apparentes vaut, en secondes
réelles
, équation . Il calculera donc que si l’horloge H
, H₁′, H₂′…, etc., comme elles étaient ; il croit à des simultanéités
réelles
quand les aiguilles indiquent le même chiffre du
Hₒ′ de H₂′ à H₁′ etc., s’aperçoit que, pour qu’il y eût simultanéité
réelle
quand les horloges marquent la même heure, il fau
ation que le zéro de l’horloge H₂′ fût reculé de équation , etc. De
réelle
, la simultanéité est devenue nominale. Elle s’est
du zéro » devra être entendue dans ce qui va suivre comme l’opération
réelle
ou idéale, effectuée ou simplement pensée, par la
ints de vue de l’histoire, les documents de l’érudition, les variétés
réelles
, innombrables, qui déconcertent les unités étroit
rnavals comme le dernier feront plus, à coup sûr, pour l’émancipation
réelle
de la femme, que quatre ou cinq religions ex prof
la Montolieu répandue sur l’ensemble, empêchent l’effet d’être vif et
réel
, bien que la facilité, la grâce et une certaine o
qu’au cœur. On aurait tort pourtant : il y a dans Champavert un fonds
réel
, beaucoup d’esprit, de l’observation mordante, du
ésus lui-même il y a 1830 ans. Nous supposons les conditions du monde
réel
tout autres qu’elles ne sont ; nous représentons
e accompli, la matière n’étant pour lui que le signe de l’idée, et le
réel
l’expression vivante de ce qui ne paraît pas. À q
qui représente ici évidemment la rédaction primitive, suppose un fait
réel
, qui plus tard a fourni le thème de développement
surtout le chapitre XVII de saint Jean, exprimant, sinon un discours
réel
tenu par Jésus, du moins un sentiment qui était t
de la vie sociale. Ces instincts sont en nous les organes d’un être,
réel
ou virtuel, plus grand que nous, qui nous pénètre
mission, par impuissance, par maladresse ou par ignorance de son but
réel
dont elle s’est même interdit de connaître la vra
aminée dans ses rapports, non point avec un idéal abstrait ou supposé
réel
, mais avec le peuple qui la possède. Cela n’empêc
quel point une morale, théorique ou réalisée, correspond aux besoins
réels
d’un peuple, jusqu’à quel point elle repose sur u
r d’esprits, et que, en tous cas, il reflète et condense des opinions
réelles
. Kanut est un grand roi dont les hauts faits et l
vivre et pour agir. § 15 Rien ne montre mieux notre barbarie
réelle
que les crises où le mécanisme social, si fragile
plaisir d’imagination et sans doute aussi quelque profit pratique et
réel
. Dès que nous sortons du cercle étroit de l’expér
’idéal du Sermon sur la montagne ? Mais si aucun rêve ne se soumet le
réel
, il n’en est point qui n’y laisse sa trace, obscu
as tant d’optimisme. Les conflits de l’individu et de la société sont
réels
. Il n’est pas du tout sûr que l’individu se laiss
t plutôt l’effet du caprice de l’esprit humain, que celui d’un mérite
réel
. Il est cependant peu d’Auteurs qui aient conserv
raison ? Il est donc à propos de chercher ailleurs que dans le mérite
réel
de ses Ouvrages, le principe du cours prodigieux
moi et à la matière. — Idée mathématique des atomes. — Une substance
réelle
n’est qu’une série distincte d’événements. — Une
r le langage et par l’habitude, nous admettons qu’il y a là une chose
réelle
, et, réfléchissant à faux, nous agrandissons à ch
te sur le mur. » Laissons là les mots, étudions les événements, seuls
réels
, leurs conditions, leurs dépendances, et certaine
ois, ils posent une région inaccessible, celle des substances, choses
réelles
et dont la science serait certainement très préci
uvement. La notion de fait ou événement correspond seule à des choses
réelles
. À ce titre, le moi est un être aussi bien que te
▲