Paria Korigan
Récits
de la Luçotte. [Le Constitutionnel, 24 juillet 1
ine un nom de femme ; car c’est une femme qui parle toujours dans ces
Récits
de la Luçotte 34, et monsieur Paria Korigan n’est
origan n’est que le nom d’un personnage auquel la Luçotte adresse ses
Récits
. En tant que si la femme qui a inventé… ou racont
son nom, son véritable nom, elle pouvait oublier d’en mettre un. Les
Récits
de la Luçotte — tout simplement — suffisaient com
une gloire pour une femme que de s’en tenir aussi loin. La femme des
Récits
de la Luçotte n’a rien de commun avec les femmes
e patoisante, rien de plus, mais c’est tout pour nous ! En lisant ces
Récits
de la Luçotte, on sent qu’on n’a pas le moindreme
la première langue que nous ayons entendue a été un patois… Dans ces
Récits
de la Luçotte, nous n’avons affaire qu’à la premi
pour cela que, brusquement et de plain-pied, elle est entrée dans ses
Récits
, sans explication, sans théorie et sans préface,
que se faire plaisir à elle-même et peut-être à nous, en écrivant ses
Récits
qui se trouvent finalement en être un. II D
sie du patois ! Elle voulait cependant faire pour le Berry ce que les
Récits
de la Luçotte ont si bien fait pour la Bretagne.
e la Luçotte ont si bien fait pour la Bretagne. C’est à propos de ces
Récits
qu’on a récemment rapproché leur auteur de madame
hes parlent comme J.-J. Rousseau et Bernardin de Saint-Pierre, et les
Récits
de la Luçotte, qui exprime, elle, des sentiments
il en puisse être d’ailleurs, il est bien évident que la femme de ces
Récits
de la Luçotte — qu’il m’est impossible d’appeler
: Perrault, tout plat qu’il est, pétille de génie, la femme de ces
Récits
de la Luçotte n’a droit qu’à la moitié du vers. E
à qui on feint de s’adresser pour offrir au public cette enfilade de
récits
, et pour qu’entre eux il y eût un lien dont ils a
osmogoniques, ethniques, héroïques, sociales, pseudo-scientifiques. —
Récits
d’imagination pure : anecdotes, hallucinations in
l n’a pas tardé à se rendre compte du parti qui peut être tiré de ces
récits
pour la compréhension de la psychologie indigène.
ce. Il n’éprouve aucune fausse honte à exposer, sous l’apparence d’un
récit
fantaisiste, la conception qu’il a de l’univers e
et, en général, de la vie. Au point de vue pratique, l’utilité de ces
récits
n’est pas moindre pour le fonctionnaire qui enten
bli. Elles le méritent encore au point de vue littéraire. Le fond des
récits
et la façon dont ils sont traités les maintiennen
au des contes populaires indo-européens ou sémites, avec lesquels ces
récits
offrent d’ailleurs de manifestes ressemblances. Q
teur européen. J’ai cru pourtant devoir les conserver pour laisser au
récit
sa couleur locale encore qu’il y ait une incohére
ique par les conditions dans lesquelles se racontent généralement ces
récits
. C’est le soir, aux lueurs vacillantes du feu prè
’Européen, qui affiche souvent l’incrédulité, peut s’intéresser à des
récits
de vieillards ou d’enfants. Aussi cherche-t-il un
ttérature merveilleuse indigène je tiendrai compte, non seulement des
récits
recueillis par moi personnellement, mais encore d
générale d’après les caractères prédominants. On peut répartir ces
récits
entre 7 grandes catégories : A. Légendes cosmogon
tes de science fantaisiste (histoire naturelle, astronomie, etc.). C.
Récits
d’imagination pure et dépourvus d’intentions dida
l’établir, j’ai dû ne tenir compte que du caractère le plus marqué du
récit
à classer, alors que, par ses caractères accessoi
u récit à classer, alors que, par ses caractères accessoires, ce même
récit
pourrait se voir rangé dans une ou deux autres ca
de science fantaisiste (histoire naturelle, astronomie, etc.) Ces
récits
, bien entendu, ne prétendent nullement à la scien
(Les obligés ingrats de Ngouala. — Le cultivateur, etc., etc.). C.
Récits
(merveilleux ou non) de pure imagination et sans
l’autre catégorie trahit des intentions d’enseignement moral. I. —
Récits
merveilleux. Les récits uniquement merveilleux
es intentions d’enseignement moral. I. — Récits merveilleux. Les
récits
uniquement merveilleux sont les plus nombreux. Il
n sentiment de la nature que l’on vient d’indiquer. Dans ces derniers
récits
le conteur rapporte un événement arrivé à d’autre
bambara. II — Contes anecdotiques et romanesques. A côté de ces
récits
fantastiques ou simplement merveilleux se placent
es. Les génies seuls assurent le respect des principes. Dans d’autres
récits
au contraire c’est Dieu qui intervient sous diver
oujours aisément intelligibles. Pour les contes proprement dits où le
récit
offre un élément d’intérêt plus accentué, se repo
attardée des noirs ne s’effraie ni de l’anecdote scatologique, ni du
récit
égrillard. On sait d’ailleurs qu’en France même,
e, de l’étreinte du passé et qui nous fait nous effaroucher devant le
récit
d’actes ou d’événements somme toute conformes à l
rons-nous voisiner les contes à combles dans cette catégorie avec les
récits
scabreux. Par « contes à combles » j’ai voulu dés
les récits scabreux. Par « contes à combles » j’ai voulu désigner ces
récits
d’exagération puérile où la drôlerie résulte du c
comme : Les coups de main du guinnârou. G. Contes-Charades. Ces
récits
ont pour objet d’animer les conversations de la v
is entendu raconter avec quelques variantes insignifiantes, les mêmes
récits
. Ainsi Le fils du sérigne (ouolof), Le plus terri
t mêmes symboles et les deux premiers reproduisent à peu près le même
récit
. Il en est de même d’un conte môssi recueilli par
vous le savez, plus que les contes anciens, des narrations, de petits
récits
, toujours, ou presque toujours, satiriques, et qu
ennuient parce que la littérature (au moment où La Fontaine place son
récit
) a toujours les mêmes caractères, parce que l’on
as didactique, bien entendu, mais une analyse présentée sous forme de
récit
, de la curiosité humaine qui ne se satisfait jama
n’y toucherais pas. Telle serait la moralité de Psyché contée comme
récit
psychologique. Il y aurait — et ce serait peut-êt
inventions populaires, des pensées que le peuple a déposées dans ses
récits
, qui est le propre des hommes de génie. Apulée no
oppé Psyché. Je vous en dirai seulement deux mots. Il a enveloppé son
récit
dans le tableau de la société des quatre amis. Le
Contes proprement dits. Les contes proprement dits, c’est-à-dire des
récits
galants, tels qu’ils sont dans Boccace, Machiavel
etc., comment La Fontaine les a-t-il pris ? Pour lui, le conte est un
récit
: 1° ayant le ton d’une causerie ; 2° toujours ga
tenu infiniment. Très souvent, et le plus souvent, il interrompt son
récit
, même commencé, il interrompt son conte par des r
je crois, l’âme même d’un conte. Voyez, par exemple, dans Joconde. Le
récit
est commencé, le conte est commencé depuis deux p
on frère arrive… Voilà le ton, presque toujours, dans les Contes. Le
récit
est interrompu par une réflexion ou plaisante, ou
t cet exemple, parce que, là, les propos du narrateur interrompent le
récit
. Mais, le plus souvent, je le reconnais, ce n’est
us souvent, je le reconnais, ce n’est pas ainsi. Ce n’est pas dans le
récit
que sont ces réflexions, c’est presque toujours a
it que sont ces réflexions, c’est presque toujours au commencement du
récit
. Voyez, par exemple, ce commencement de conte :
e amollir… Une petite dissertation qui est initiale, qui commence le
récit
, plus frappante encore, plus nette, si vous voule
ette. J’en dirais cent… C’est par cela que La Fontaine entre dans le
récit
. Ce n’est pas continuel, il ne faudrait pas que c
ût, ce serait monotone, mais c’est très fréquent dans La Fontaine. Un
récit
, donc, qui est interrompu très volontairement et
ncidents et même quelques catastrophes (c’est-à-dire quelques fins de
récit
), ce qui préparait ces catastrophes, et la nécess
eillards amoureux. C’est une des sagesses de nos pères que dans leurs
récits
ou dans leurs drames les vieillards amoureux soie
le conte est, pour La Fontaine, un… je ne peux pas dire cependant un
récit
à moralité, mais enfin un récit qui a un but, et
un… je ne peux pas dire cependant un récit à moralité, mais enfin un
récit
qui a un but, et qui est encore, dans une certain
nt un peu lents, un peu longs, d’une trame un peu lâche. Et encore le
récit
s’étend par ces réflexions dont je vous parlais t
t, soit à la fin, soit, comme je vous l’ai indiqué, même au milieu du
récit
. Il est bon que je vous signale que, quelquefois,
siècle, et qui, seulement, est en vers. Par exemple le Faucon est un
récit
tout à fait gracieux et charmant. J’ai le temps d
ort intéressante. On croit qu’elle a été inventée par La Fontaine. Le
récit
en soi est un peu banal. Surtout il l’est devenu
aussi l’Oraison de saint Julien, qui est absolument délicieuse comme
récit
. Brunetière, qui était un austère, certes ! admir
austère, certes ! admirait la Fiancée du roi de Garbe comme modèle de
récit
, et il admirait aussi l’Oraison de saint Julien.
ar un livre qui en est, pour l’heure, à la vingt-septième édition. Le
récit
d’une sœur, comme les Lettres et les Memoranda d’
siens qu’ils ne la vivent et ne la parlent eux-mêmes devant nous. Le
récit
de la sœur, est ce qu’il y a de moins long, en ce
rence, parce qu’elle seule peut expliquer que la femme qui a écrit le
Récit
à une sœur puisse écrire des livres comme le Mot
er flebat ! Que chacun ouvre son parapluie ! Depuis le succès de son
Récit
d’une sœur, Mme Craven, — une femme du faubourg S
servir, après avoir tracé les choses délicieuses et déchirantes de ce
Récit
d’une sœur, contre la plume d’oie d’un bas-bleu o
qu’elle fût une rosière d’académie, comme le fut Collet Attendrie au
Récit
d’une sœur comme une personne naturelle et comme
me si elle comprenait quelque chose à ce qu’il y a de plus beau en ce
récit
, c’est-à-dire à l’ardeur du catholicisme qu’on y
des livres que Mme Craven écrivait. Fleurange fut couronnée comme le
Récit
d’une sœur. Le Mot de l’énigme l’est aussi. Les a
ts à froid, la palpitation de cœur qui lui tient lieu de tout dans le
Récit
d’une sœur, est, dans la langue, d’une indigence
t perpétuellement l’ombilic. Le Mot de l’énigme, tout analyse et tout
récit
, sans aperçu, sans caractères, presque sans visag
it que l’Académie qui pouvait les mettre sous la même couronne que le
Récit
d’une sœur. Ni la critique, ni le monde qui sait
t, elle n’écrirait plus. Elle resterait dans le silence qui, après le
Récit
d’une sœur, aurait été d’une dignité si touchante
une sœur, aurait été d’une dignité si touchante. À quoi bon, après ce
Récit
, vouloir augmenter le bagage dont elle n’a pas be
es romans de Mme Craven ne sont point destinés à vivre, tandis que le
Récit
d’une sœur est destiné à ne pas périr… La vérité,
mieux fait de se taire, après avoir pleuré et chanté cette élégie du
Récit
d’une sœur. La plume qui l’avait écrite devait êt
ule face du sujet, celle qui est indispensable à la solidité de notre
récit
. Laissant de côté tout ce qui appartient au table
selon Jean », n’impliquent pas que, dans la plus vieille opinion, ces
récits
eussent été écrits d’un bout à l’autre par Matthi
t court, incomplet, non rangé par ordre chronologique, comprenant des
récits
et des discours [Greek : lechthenta ê prachthenta
ui qui n’avait dans son exemplaire que des discours voulait avoir des
récits
, et réciproquement. C’est ainsi que « l’Évangile
e sorte, d’une part, les Logia originaux de Matthieu ; de l’autre, le
récit
primitif tel qu’il sortit de la plume de Marc. Le
ffet, quand on les détache du reste, un tout assez complet. Quant aux
récits
du premier et du deuxième évangile, ils semblent
voit le prix de documents ainsi composés des souvenirs attendris, des
récits
naïfs des deux premières générations chrétiennes,
ait Presbyteros Joannes, Papias, qui avait recueilli avec passion les
récits
oraux de cet Aristion et de Presbyteros Joannes,
là. On est tenté de croire que Jean, dans sa vieillesse, ayant lu les
récits
évangéliques qui circulaient, d’une part, y remar
Passion, inintelligibles dans les synoptiques 52, reprennent dans le
récit
du quatrième évangile la vraisemblance et la poss
la vie de Jésus telle qu’on la savait dans l’école de Jean ; c’est le
récit
qu’Aristion et Presbyteros Joannes firent à Papia
tions seront suffisantes, je pense, pour qu’on voie, dans la suite du
récit
, les motifs qui m’ont déterminé à donner la préfé
isent comme spontanément, et viennent d’elles-mêmes se placer dans le
récit
, où elles gardent un relief sans pareil. Les part
les détails pour tâcher d’amener une concordance entre les différents
récits
65 ; il adoucit les passages qui étaient devenus
ment le trait essentiel des évangiles apocryphes. Enfin, il a dans le
récit
des derniers temps de Jésus quelques circonstance
de Jésus d’une délicieuse beauté 77, qui ne se trouvent pas dans les
récits
plus authentiques, et où l’on sent le travail de
crire la vie de Napoléon avec leurs souvenirs. Il est clair que leurs
récits
offriraient de nombreuses erreurs, de fortes disc
se résulterait certainement avec un haut degré de vérité de ces naïfs
récits
, c’est le caractère du héros, l’impression qu’il
e part d’idées préconçues dut se mêler à de tels souvenirs. Plusieurs
récits
, surtout de Luc, sont inventés pour faire ressort
elles-ci, le détail prête à des doutes infinis. Quand nous avons deux
récits
d’un même fait, il est extrêmement rare que les d
vons deux récits d’un même fait, il est extrêmement rare que les deux
récits
soient d’accord. N’est-ce pas une raison, quand o
s’est passé tel ou tel fait contemporain ; on n’y réussira pas. Deux
récits
d’un même événement faits par des témoins oculair
nt essentiellement. Faut-il pour cela renoncer à toute la couleur des
récits
et se borner à l’énoncé des faits d’ensemble ? Ce
baux sténographiés le sont-ils. J’admets volontiers que cet admirable
récit
de la Passion renferme une foule d’à peu près. Fe
ersonnes qui trouveront que j’ai accordé une confiance exagérée à des
récits
en grande partie légendaires, de tenir compte de
ont pas un caractère historique supérieur à celui des discours et des
récits
qui composent les évangiles. Elles furent écrites
er les textes et procéder par induction. Il est surtout une classe de
récits
à propos desquels ce principe trouve une applicat
s desquels ce principe trouve une application nécessaire, ce sont les
récits
surnaturels. Chercher à expliquer ces récits ou l
nécessaire, ce sont les récits surnaturels. Chercher à expliquer ces
récits
ou les réduire à des légendes, ce n’est pas mutil
re, nous maintiendrons donc ce principe de critique historique, qu’un
récit
surnaturel ne peut être admis comme tel, qu’il im
me évangile, lacéré, mais lisible encore, et désormais, à travers les
récits
de Matthieu et de Marc, au lieu d’un être abstrai
est d’avoir réussi à combiner les textes d’une façon qui constitue un
récit
logique, vraisemblable, où rien ne détonne. Les l
ant, naturel, harmonieux. Si on ne réussit pas à le rendre tel par le
récit
, c’est que sûrement on n’est pas arrivé à le bien
n n’a pas hésité à le prendre pour guide dans l’agencement général du
récit
. La lecture des évangiles suffirait pour prouver
s transitions destinées à rattacher les uns aux autres les différents
récits
. Laisser tous les renseignements fournis par les
arez Irénée, Adv. hær., III, II et III. 25. C’est ainsi que le beau
récit
Jean, VIII, 1-11 a toujours flotté sans trouver s
exemple, XIX, 12-27. 71. Ainsi, le repas de Béthanie lui donne deux
récits
(VII, 36-48, et X, 38-42.) 72. XXIII, 56. 73.
it de l’histoire une nabote, — une naine qui n’est pas une fée !
Récits
d’histoire romaine du v e siècle [Le Pays, 10
é de l’intelligence. Après Attila, M. Thierry a publié sous le nom de
Récits
d’histoire romaine au ve siècle un livre sans pr
ion, contre la ressemblance que l’imagination pourrait voir entre les
Récits
mérovingiens, de son illustre frère, et ces autre
r entre les Récits mérovingiens, de son illustre frère, et ces autres
Récits
qu’il a donnés, lui, au public. Mais, si le fond
ond des choses est aussi différent qu’il le dit, pourquoi ce titre de
Récits
qui est le même et qu’il emploie ? On est beaucou
énie ; il s’arrêta à la pénétration et à l’art, et voilà pourquoi ses
Récits
mérovingiens, qui sont plus des tableaux historiq
ans effacer la distance qui doit exister cependant entre l’auteur des
Récits
mérovingiens et celui des Récits de l’histoire ro
exister cependant entre l’auteur des Récits mérovingiens et celui des
Récits
de l’histoire romaine ! J’ai l’ai dit déjà, la di
ême coup de balancier, elle serait toute à l’avantage de l’auteur des
Récits
de l’histoire romaine qui a le sentiment chrétien
nt voir dans les ombres et les épaisseurs de l’histoire ! De même les
Récits
de l’histoire romaine au cinquième siècle, que l’
re romaine au cinquième siècle, que l’auteur eût mieux fait d’appeler
Récits
goths et ostrogoths, car l’intérêt barbare y dévo
rêt romain comme l’intérêt de la vie dévore l’intérêt de la mort, ces
Récits
à immenses contrastes pouvaient être pour le moin
le moins aussi terriblement et aussi pittoresquement sauvages que ces
Récits
mérovingiens, la meilleure gloire de M. Augustin
digne de l’être… relativement, que le soit M. Augustin Thierry en ses
Récits
mérovingiens, ces Récits très distribués, très en
ment, que le soit M. Augustin Thierry en ses Récits mérovingiens, ces
Récits
très distribués, très entendus, très bien faits,
pipé par les comparaisons. Publiés dans la Revue des Deux-Mondes, les
Récits
mérovingiens eurent peut-être… qui sait ? pour le
tait pourtant et a nous donné quelques-unes des âpres saveurs. En ces
Récits
mérovingiens, insuffisants pour les imaginations
ont nous venons de rendre compte, nous l’a dit assez. Où l’auteur des
Récits
mérovingiens éteint sa couleur, l’auteur des Réci
. Où l’auteur des Récits mérovingiens éteint sa couleur, l’auteur des
Récits
d’histoire romaine n’en met point, parce qu’en ré
ns l’histoire. Eh bien ! à plusieurs années de distance, l’auteur des
Récits
encourt le même reproche. Chrétien moderne du xix
s plus merveilleuses traditions. Il y a comme dans l’Attila, dans ces
Récits
du cinquième siècle deux ou trois grandes personn
eurs. Pourquoi, puisque M. Amédée Thierry est chrétien, coupe-t-il le
récit
des miracles de saint Séverin par de petites inte
vec son histoire des Gaulois sous la domination romaine — jusqu’à ces
Récits
d’aujourd’hui ! Mais n’importe, du reste ! Il n’y
onc besoin pour cela, ni d’un, ni de deux actes. C’est la longueur du
récit
, sa nature et sa nécessité, qui déterminaient l’é
dée générale de ce qui va se passer dans le cours de la pièce, par le
récit
de quelques événements que l’action suppose néces
de la pièce. Sans cette exposition, qui consiste quelquefois dans un
récit
, et quelquefois se développe peu à peu dans le di
exposition, c’est de faire faire à un acteur, par un autre, tous les
récits
dont il a besoin, tantôt dans le dessein d’instru
nne son exposition, comme le discours de Cinna aux conjurés, comme le
récit
de la mort de Cresfonte dans Mérope. L’exposition
les chants du chœur ; elle équivalait à nos trois actes du milieu. Ce
récit
des acteurs, interposé entre les chants du chœur,
ode. En effet, c’était quelquefois un même sujet divisé en différents
récits
, et quelquefois chaque récit contenait un sujet p
fois un même sujet divisé en différents récits, et quelquefois chaque
récit
contenait un sujet particulier dépendant des autr
us que des rapports arbitraires et fort éloignés avec la tragédie.
Récit
dramatique. Le récit dramatique qui termine or
traires et fort éloignés avec la tragédie. Récit dramatique. Le
récit
dramatique qui termine ordinairement nos tragédie
qui se sont accrues durant tout le cours de la pièce. Ces sortes de
récits
sont, pour l’ordinaire, dans la bouche des person
ais un concours de passions. On voit aisément que je me restreins aux
récits
qui décrivent la mort des personnages pour lesque
des personnages pour lesquels on s’est intéressé durant la pièce. Les
récits
de la mort des personnages odieux ne sont pas abs
cile de les y ramener, à l’aide d’un peu d’explication. Le but de nos
récits
étant donc de porter la terreur et la pitié le pl
tout entier. Cette seconde règle n’est pas moins nécessaire pour nos
récits
que la première. Les personnages qui les font, so
ourtant sur ce modèle si déraisonnable, que sont faits la plupart des
récits
de nos tragédies, et on n’en connaît guère qui ne
qui ne pèche contre la vraisemblance. La troisième règle est que les
récits
soient rapides, parce que les descriptions pathét
ours véhémentes, et qu’il n’y a point de véhémence sans rapidité. Nos
récits
sont asservis à cette règle ; mais il ne paraît p
giques la connaissent ou qu’ils se soucient de la pratiquer. Si leurs
récits
font quelque impression au théâtre, elle est l’ou
qui leur manque. Le style le plus vif et le plus serré convient à nos
récits
. Les circonstances doivent s’y précipiter les une
e n’est point à Racine, comme poète, que l’on fait le procès dans son
récit
: c’est à Racine faisant parler Théramène ; c’est
és aux poètes, qu’aucun personnage de tragédie. La première partie du
récit
de Théramène répond à ceux que les anciens ont fa
s jours, on a nommé monologues, ce que les anciens appelaient en grec
récit
d’un seul personnage, par exemple, plusieurs églo
e de n’y point admettre les raisonnements, ni à plus forte raison les
récits
. Quelques mouvements entrecoupés, quelques résolu
vous le voyez, de plus vulgaire, que le prétexte à conversations et à
récits
, découvert par l’auteur des Amours d’Italie, et q
er n’est, en effet, qu’un faiseur de nouvelles qui a voulu relier des
récits
divers les uns aux autres dans l’encadrement d’un
ours montrés assez indifférents à la manière dont ils amenaient leurs
récits
, ne se préoccupant que de l’intérêt du récit même
ont ils amenaient leurs récits, ne se préoccupant que de l’intérêt du
récit
même ; mais au dix-neuvième siècle, avec les accr
le soudaineté préparée, quelle science de composition supérieure, des
récits
, des romans entiers dans des conversations, il n’
artifices de M. Didier. On a tout faussé par des images. Un livre de
récits
qui se suivent n’est point un collier, quoique, m
tout ensemble solide et fin… Ou M. Charles Didier devait publier ses
récits
d’aujourd’hui sans les lier entre eux et sans leu
qu’il peut pour y échapper ! Il rit, il plaisante, il interrompt ses
récits
, aux moments les plus pathétiques, par de la caus
cités éprises, ni les grâces armées et désarmées de la causerie ou du
récit
, ni les gaietés d’alouette dans un ciel heureux,
, admirablement raconté, est, de sentiment et de circonstance, un des
récits
les plus poignants et les plus attendrissants tou
ire organiques de notre langue ne se montrent d’ailleurs que dans les
récits
. Autant la langue y est vive, claire, le tour fra
la lumière dans les matières du raisonnement, et qu’à cette clarté du
récit
nous joignions la clarté toute spirituelle de la
voir la suite d’événements historiques. C’est donc seulement dans le
récit
qu’il faut chercher et pour ainsi dire épier les
t la croisade au nom du grand pape Innocent III. Ses mémoires sont le
récit
de cette expédition si extraordinaire, dont le bu
de Villehardouin se terminent à la mort du marquis de Montferrat. Le
récit
en est pathétique. Le marquis s’était laissé entr
gauloise. Pour le tour, l’ordre et la suite des faits, le naturel du
récit
on n’y peut guère changer, même pour perfectionne
us chercher dans Villehardouin la profondeur des pensées que l’art du
récit
. Quoique chargé à diverses reprises de messages d
contrarient les projets des croisés. Ce qu’il faut chercher dans les
récits
de Villehardouin, c’est donc la franchise du chev
rel de son style, selon l’expression si juste de M. Daunou ; de là ce
récit
d’une clarté si égale et si soutenue, que le tour
rieux, plus animé que Villehardouin. Il mêle quelques jugements à ses
récits
. la différence du maréchal de Champagne, qui va t
tre, il en donne une description qui n’a pas cessé d’être exacte. Son
récit
l’amène-t-il à parler des Bédouins ? il décrit le
tre l’ouvrage d’un historien de cabinet, lequel ne fait que mettre en
récit
les souvenirs d’autrui. Tel est, en effet, pour l
fond le principal, qui était le roi Louis IX, que cette partie de ses
récits
n’est guère moins personnelle que le reste. Le pr
l’histoire, et il est glorieux pour Froissart de l’avoir en certains
récits
si bien connue et exprimée, que la vérité, ultéri
et des circonstances les plus ordinaires, et ne sort pas du cercle du
récit
ou de la description. Il remplit les lacunes des
’une cour à l’autre, lisant son poëme de Meliadus, et recueillant des
récits
pour ses chroniques. Il vit « plus de deux cents
mblant que ce portrait au bon et indifférent Froissart, changeant ses
récits
pour être agréable à ses hôtes, et donnant le pri
ont il portait le recueil de cours en cours, les lisant pour prix des
récits
qu’on lui faisait. Peintre avant tout, et faiseur
ntention de juger les choses qu’il raconte. Il mêle des réflexions au
récit
de la chute, et de la mort du roi d’Angleterre, R
numents écrits de notre langue, une sorte de maturité précoce pour le
récit
; il y en a des modèles dans Froissart. Le récit,
rité précoce pour le récit ; il y en a des modèles dans Froissart. Le
récit
, dans certains endroits de ses chroniques, n’a pa
écrites, l’esprit français se reconnaît aux qualités de ces charmants
récits
, à cette clarté, à cette suite, à cette proportio
rendre suspect, est le premier ouvrage historique où la morale et le
récit
aient tour à tour leur part. Il est vrai que chaq
. Il est vrai que chaque part est entièrement distincte ; qu’après un
récit
plus nu et moins agréable que celui de Froissart,
fais illusion, quand on s’est amusé jusqu’à la satiété des charmants
récits
de Froissart, ce n’est pas sans plaisir qu’on sen
langue qui se cherchait encore. Ils perdirent le secret des charmants
récits
de Froissart, et n’eurent pas la haute raison de
té des princes qui l’hébergent, ni l’Indiciaire officiel, qui fait du
récit
un panégyrique c’est un grave personnage qui juge
häuser, le 15 mars 1898. Dans Roncevaux et la Reine Sibylle, un petit
récit
de voyage introduit l’étude critique d’une tradit
reté, le grave échec dont il s’agit. Il faut probablement combiner ce
récit
avec celui des historiographes francs, et admettr
excitèrent et aidèrent les Basques. Ils n’ont pas mentionné dans leur
récit
le concours que ceux-ci leur avaient prêté, et d’
temps après, sans doute sous les yeux de Charles, terminent ainsi le
récit
du triste épisode : « Le souvenir de cette blessu
e ces lieux devenus sacrés, c’est ce que nous fait comprendre le naïf
récit
d’un brave prêtre bolonais, Domenico Laffi, qui,
iècle, passaient les monts pour aller à Compostelle étaient imbus des
récits
des chansons de geste, et les répandirent autour
gloire pour l’Espagne. Il n’osa pas toutefois rejeter complètement le
récit
généralement admis ; il supposa que les Espagnols
nd que, ne voulant ni froisser les pèlerins qui arrivaient pleins des
récits
épiques, ni s’associer à leur façon de comprendre
, ils ont pu le devoir, non à une vue personnelle des lieux, mais aux
récits
de quelque pèlerin revenu de Cornpostelle. Les pè
d’armement, ni le désavantage de la situation ne sont mentionnés. Le
récit
du faux Turpin, quoiqu’il présente des confusions
i-même dans l’armée de Charles, ou composa-t-il son poème d’après les
récits
des guerriers revenus en France ? Nous ne pouvons
is ces noms peuvent bien avoir été ajoutés après coup et provenir des
récits
des pèlerins, d’autant plus que plusieurs d’entre
onnages qui figurent dans les poèmes et de certaines circonstances du
récit
. Deux des personnages sont incontestablement auth
auprès de lui : l’imagination pouvait facilement tirer de là le beau
récit
qui le représente survivant le dernier, faisant,
rtie de l’expédition franque en Espagne. Trois circonstances, dans le
récit
même, sont notables, en dehors de celles que j’ai
’elle seule que je veux présentement parler ; je ne prendrai, dans le
récit
d’Antoine de la Sale, que ce qui se rapporte à el
ntèrent sur le prolongement de la « cave », et c’est la partie de son
récit
qui a le plus d’intérêt pour nous. À droite, dans
porteurs de lettres d’absolution ; mais ils ne purent qu’entendre le
récit
des pâtres et lire la lettre adressée au capitain
idération du but de son voyage et de sa résistance à la tentation. Ce
récit
, visiblement arrangé dans un sens édifiant, a cer
on le voit, qui avaient introduit le nom de « mont de Vénus » dans le
récit
qu’on leur avait sans doute fait du royaume soute
cet attrayant sujet. Je dois dire à l’avance que tout ce qui, dans ce
récit
, a quelque valeur pour l’étude des lieux ou de la
evenu synonyme de sorcier, — ce qui paraît injuste, car dans tous les
récits
ce sont des étrangers qui viennent faire consacre
servation fidèle et minutieuse qu’il manifestait déjà dans l’agréable
récit
de sa visite à la montagne sibylline. La Lége
, jusqu’à ces derniers temps eût rapproché de la chanson allemande le
récit
d’Antoine de La Sale, Alfred de Reumont, croyait
par lui le héros de l’aventure. Cela ne paraît pas vraisemblable. Le
récit
de Guerino est bien plutôt, comme je l’ai dit, un
l a résisté aux séductions de la Sibylle. Mais la présence même de ce
récit
dans un roman écrit en Toscane avant la fin du xi
aume de perdition. Seulement la dureté du pape a été atténuée dans ce
récit
, — soit par Antoine, soit par ceux de qui il la t
l’origine de la légende. Quant au héros, sans doute anonyme dans les
récits
italiens, il reçut le nom de Tannhäuser, pour les
e verdure ou de fleurs75, ce beau symbole qui donne tant de poésie au
récit
et lui a sûrement valu la plus grande part de son
e part de son succès ? On peut le croire, car il manque dans tous les
récits
italiens et aussi dans les plus anciens textes al
e l’Église et l’infinie miséricorde de Dieu. Cet antagonisme donne au
récit
son caractère original et tragique, car on ne sai
t, de leurs hauteurs, apercevoir le dôme de Saint-Pierre. L’esprit du
récit
convient au génie italien, et nous avons vu que d
vons vu que dès le xive siècle, et sans doute même dès le xiiie , ce
récit
devait exister en Italie avec ses traits essentie
, comme tant d’autres recueillies dans le Coran, a sa source dans les
récits
populaires des Juifs d’Arabie, nous montre un aut
il y ait peut-être plus qu’une ressemblance fortuite, entre ces vieux
récits
et les légendes qui se groupèrent autour du souve
yeux avec le sang qui en coula, etc. Tous les traits indiqués dans le
récit
évangélique devinrent le point de départ d’amplif
té au conte postérieur dont nous allons parler) qui se trouve dans un
récit
populaire recueilli au xviie siècle par un auteu
ne nous trompons, la même légende qui se retrouve au fond du curieux
récit
où, pour la première fois avec une date certaine
que en vers de Philippe Mousket, qui écrivait à Tournai vers 1243. Le
récit
de Mousket est donc indépendant de celui de Matth
vations. Ils ont cela de commun que des paroles dites par le héros du
récit
au Christ sont reprises par celui-ci et deviennen
ot : « Tu m’attendras », et c’est sur cette attente que porte tout le
récit
. Au reste, Cartaphilus (que Mousket ne nomme pas)
à un homme coupable d’une offense particulière envers le Christ. Les
récits
relatifs à l’immortalité de saint Jean sont connu
histoire du châtiment de Malc qui avait frappé le Sauveur, le bizarre
récit
de l’archevêque arménien sur Cartaphilus semble u
st malaisé de faire la part de la tradition et de l’invention dans le
récit
de l’archevêque arménien. Ajoutons qu’il fut tran
mystères du Moyen Âge, qui ont mis en scène, avec tous les détails du
récit
évangélique de la Passion, les légendes qui s’éta
leswig, donna sa démission en 1593 et mourut le 25 février 159886. Le
récit
qu’on met dans sa bouche n’a dû paraître qu’après
ien à tort sans doute qu’on a invoqué, pour attester la réalité de ce
récit
, l’autorité de son nom, alléguée par un audacieux
forme de lettres, exploitaient la curiosité publique en répandant le
récit
d’aventures extraordinaires, de prodiges, de crim
légende contée par l’évêque arménien que « parce qu’elle différait du
récit
reçu dans les contrées soumises à l’Église latine
orain même du Christ, ait été l’un des motifs de la composition de ce
récit
. Un autre a certainement été de convaincre les Ju
e Relation a trouvé la matière qu’il a arrangée à sa guise. Entre son
récit
et celui du moine anglais il subsiste des coïncid
l’a jamais vu rire ». Voilà ce qui atteste la dépendance où le second
récit
est du premier, mais le nouvelliste allemand a pr
é à notre auteur par la donnée même qu’il voulait introduire dans son
récit
. Il prétendait faire croire que son héros avait é
pularité de la légende, n’est pas encore très accusée dans ce premier
récit
: Ahasvérus est inquiet, pressé, mais non condamn
se concilierait mal avec ses perpétuels voyages. Un reste de l’ancien
récit
se retrouve dans ce fait qu’Ahasvérus sait à fond
odifications faites par Dudulaeus, que ce nom soit réel ou fictif, au
récit
de Matthieu Paris, rendaient Ahasvérus si différe
dans la reproduction qu’en a donnée Graesse, la lettre en question du
récit
d’autres apparitions du Juif en 1575, 1599 et 160
lle, mais il se justifie en disant : « Rien n’est plus répandu que ce
récit
, et notre histoire en langue vulgaire (nostratium
p. 20) n’offre rien de remarquable : elle est directement inspirée du
récit
attribué à Paul d’Eitzen ; elle fait seulement re
épense. Le premier n’était qu’indiqué, comme nous l’avons vu, dans le
récit
attribué à Paul d’Eitzen ; il était naturel qu’il
ons c’est un gros) que consent seulement à recevoir Ahasvérus dans le
récit
de Dudulaeus. Ici l’imagination populaire a heure
nommé au baptême Buttadaeus97 ». Ces deux traits semblent indiquer un
récit
où on aurait rapproché, et par le coup porté au S
s et soumise aux remaniements des lettrés. Née vraisemblablement d’un
récit
apocryphe relatif à Malc, altérée plus ou moins s
’ailleurs peu conforme à l’esprit d’autres légendes formées autour du
récit
de la Passion. Pourquoi Jésus, « tout débonnaire
itude, mais ce trait a précisément disparu des formes postérieures du
récit
. En revanche, ce récit a été influencé par les va
précisément disparu des formes postérieures du récit. En revanche, ce
récit
a été influencé par les vagues traditions relativ
lira certainement avec plaisir les extraits que je vais donner de son
récit
, bien que la traduction leur enlève forcément une
uit étaient fort désappointés, et ils eurent grande peine à croire le
récit
que leur fit Antonio. L’un d’eux, Giovanni Morell
que l’un a pu très facilement emprunter beaucoup des paraboles et des
récits
que l’autre avait créés pour rendre cet enseignem
on livre, pris dans la légende du Bouddha, mais pour plusieurs petits
récits
, bouddhiques aussi de caractère ou d’adoption. De
un ouvrage fort incohérent, mélange de préceptes, de proverbes et de
récits
, dans lequel un père est censé instruire son fils
» C’est cet enseignement qu’on en a généralement tiré. On voit que le
récit
de Pierre Alphonse a en commun avec celui du livr
téresse ; car l’auteur fait précéder l’histoire de l’oiseau captif du
récit
d’une autre aventure qui lui serait arrivée antér
tout dans la littérature écrite que notre conte, comme la plupart des
récits
à tendance morale, s’est transmis, en Orient auss
nsuite181. » Il y a bien des cas dans lesquels on peut prouver qu’un
récit
dont les personnages primitifs étaient exclusivem
mbre de trois préceptes et laissé tomber le second, fort essentiel au
récit
, il a gardé le premier, perdu dans les versions a
u roman grec. On a cru trouver l’origine de notre conte dans un autre
récit
oriental, que voici en abrégé : Un paysan avait
be 195. Le petit poème que je réimprime procède évidemment aussi du
récit
de Pierre Alphonse, bien qu’il y soit changé au p
être transformé presque complètement. Il se rattache à cette forme du
récit
, et s’écarte de celle que nous offre Barlaam par
, du conseil correspondant : Ne pleure pas ce qu’ainc n’eus ; et le
récit
se termine par ces vers : Quant le vilain out m
licieuse épreuve qu’il fait de leur utilité le point culminant de son
récit
: il fallut que le vilain fût dépouillé de ces bi
ur de l’invention par un trait qui lui appartient en propre. Dans les
récits
orientaux l’homme qui a pris l’oiseau est convain
lai ; ce nom ne lui convient pas exactement. Les lais sont de courts
récits
narratifs, d’origine celtique, nés de chants, mal
perdit ou du moins s’élargit, et on donna le nom de lai à beaucoup de
récits
en vers, d’un caractère sentimental ou gracieux,
é composé en français, et en France même on a reproduit d’habitude le
récit
du Barlaam ou celui de Pierre Alphonse, qui ne mê
ute vraisemblance, reconnaître l’influence de ce dernier dans un joli
récit
dont le lai n’est sans doute pas la source unique
ute pas la source unique, mais auquel il a fourni quelques traits. Ce
récit
se trouve dans un des ouvrages les plus attrayant
ique de Reims, ou, comme l’appelle son dernier et savant éditeur, des
Récits
d’un ménestrel de Reims au xiiie siècle. L’auteu
ans la critique aussi sobre que judicieuse à laquelle il a soumis les
récits
de la Chronique de Reims, dit que ce qui choque m
cependant quelques souvenirs personnels assez intéressants, comme le
récit
de la visite de l’auteur, tout jeune encore, aux
ait quelles étaient ces vertus, et ce talisman ne sert à rien dans le
récit
. Vergette, dans la langue du xve siècle, signifi
, c’est qu’il a inventé, en ayant l’air de les avoir trouvées dans le
récit
de La Sale, des réflexions contradictoires qu’aur
ons. On ne peut distinguer ce qui est traditionnel et inventé dans ce
récit
, d’ailleurs d’une grande platitude. 53. On trouv
cune Sibylle à cet endroit ; aussi désigne-t-il ainsi en manchette le
récit
qu’il donne dans le texte : « Voyez une belle fab
montrerons le chemin », ait ici conservé la forme primitive (voir le
récit
d’Antoine de la Sale). Dans un Meisterlied, qui e
t incident. 74. On pourrait voir un indice de l’origine allemande du
récit
de La Sale dans le fait que le héros en est un ch
.). Il est remarquable que dans ce que le bon Tusco nous rapporte des
récits
de Richard, il n’y a rien qui se rattache à l’épo
che le rire ironique de Giovanni de celui de l’uomo selvaggio dans un
récit
populaire italien ; mais l’anecdote ici racontée
du Chamsah va-Quhquhah de Mirza Berkhordàr Turkman, qui a revêtu ses
récits
de toutes les formes bizarres et recherchées du s
r conjecture, elle devait figurer dans l’original. 171. Allégories,
récits
poétiques et chants populaires traduits de l’arab
recherche. 184. Benfey, Pantschatantra, t. I, p. 380. 185. Dans le
récit
d’Ibn Ghisdai (d’après l’indication de M. Israël
r Schmidt), bien qu’il fasse de l’oiseau un rossignol. C’est aussi le
récit
de Pierre Alphonse qu’on retrouve en espagnol dan
e lai est incontestable, et ne peut guère être fortuit. 201. Ici, le
récit
s’accorde au contraire avec celui de Barlaam, et
de poule provient visiblement de l’œuf d’autruche de Barlaam. 205.
Récits
d’un Ménestrel de Reims au xiiie siècle, publiés
it une stigmatisée ! Ses livres (si on peut dire ses livres) sont les
récits
de ses Visions, écrites sous la dictée de ses ext
es plus impressifs pourtant qui aient jamais été écrits ?… C’était le
récit
de la douloureuse Passion, d’après les visions de
la Vie de la Vierge, — la Vie de Notre-Seigneur Jésus-Christ, — et le
Récit
de sa Passion. Quoique l’intuition suraiguë de la
qui écrase tous les pathétiques de toutes les tragédies humaines, le
Récit
de la Passion paraît supérieur à la Vie de Notre-
ie de Notre-Seigneur Jésus-Christ et à celle de sa Mère. Or, c’est ce
récit
qui a été traduit en France et traduit le premier
certainement ravivée dans toute sa profondeur à la seconde ; mais les
récits
nouveaux qu’on nous donné, quoique très curieux s
délié du détail, se dentelant et se détachant dans la transparence du
récit
, comme se dentellent et se détachent les rebords
ans la transparence de l’éther : voilà ce qui frappe d’abord dans les
récits
de cette visionnaire à l’œil perçant et clair qui
a foi. Mais, si théologiquement nous ne sommes pas liés vis-à-vis des
récits
de la sœur Emmerich, esthétiquement nous semblons
e mot le dit, — passe bien près de la vérité. Lisez en effet tous ces
récits
de la sœur Emmerich, et entre tous, ce splendide
récits de la sœur Emmerich, et entre tous, ce splendide et angoissant
récit
de la Passion, suivie d’heure en heure, de minute
; et voyez si la sublimité de l’Évangile a éteint les couleurs de ce
récit
et diminué son effet déchirant et profond ! Oui,
n syllogisme à la morale, nous nous trouverons assez éloquents. Notre
récit
fait les prémisses, le précepte est la conclusion
e morale ; nous dirons deux fois la même chose, d’abord sous forme de
récit
, ensuite sous forme de sentence ; nous aurons l’a
érité solennelle de notre dessein. Nous pourrons alors entrer dans le
récit
, en tailler toutes les parties, émonder le luxe l
rapporterons ses paroles sans le faire parler lui-même. Descriptions,
récits
, dialogues, nous abrégerons tout, pour courir plu
eu importe que nos preuves soient rigoureuses. Que le lecteur tire du
récit
ce précepte ou cet autre, s’il est intéressé ou é
herbier ? Puisqu’il y a dans l’apologue la maxime qui conclut, et le
récit
qui prouve, il faudra changer à la fois le récit
e qui conclut, et le récit qui prouve, il faudra changer à la fois le
récit
et la maxime. Nous la retirerons de cette place i
elle ne sera plus un précepte, mais un fait ; elle recevra la vie du
récit
dont elle est un membre, et sera active parce qu’
ur elle une poignée de ses fleurs. — Il sera facile alors d’animer le
récit
qui la confirme. Il est déjà tout préparé, puisqu
s quand l’image de l’objet est vive et expresse. Ainsi, descriptions,
récits
, discours, tout s’est reformé, tout s’est ranimé
souffrance, leur bonheur, leur passion. Il mêle ses sentiments à son
récit
; il juge ses personnages, il a oublié qu’ils son
de l’oeuvre, qui est le poëte. Il sera lui-même ému ou amusé par son
récit
, et sa parole reprendra un accent. A chaque insta
n jeune homme qui sent sa vocation littéraire l’entraîner du côté des
récits
rêveurs et touchants. Ce voisinage du doux Lauren
s, il faut savoir bon gré à un jeune homme d’avoir, dans ses premiers
récits
, été sobre et simple comme s’il avait eu l’expéri
paru très inférieur aux Légendes de la Vallée, est un petit volume de
Récits
antiques réunis sous le titre collectif et assez
nge 7… Nous acceptons le titre comme excellent s’il veut dire que ces
récits
n’ont pas d’autre valeur qu’un rêve de rhétorique
ns rarement lu quelque chose de plus froid, de plus exsangue, que ces
récits
dans lesquels traînent, au milieu de leurs roses
par la vivacité du dialogue, par la beauté sereine et majestueuse des
récits
, par la fidélité dans la peinture des mœurs et de
les ressources infinies qu’offre le roman, et tantôt en procédant par
récit
, tantôt en se servant de la forme épistolaire, ou
u titre de gloire, Mme Sand a peint l’amour ingénu et naïf dans trois
récits
qui resteront ses plus parfaits chefs-d’œuvre : l
art dans l’œuvre de l’incomparable écrivain. Venu un des derniers, ce
récit
prouve que le temps passe, sans l’affaiblir, sur
sans jamais ni complètement la satisfaire, ni la rebuter. Ce genre de
récit
exige une habileté particulière et un tour de mai
ersonnages, et écrivain de premier ordre par la beauté magistrale des
récits
. À combien d’observations utiles aux romanciers c
, par exemple, à admirer le soin qu’a l’auteur d’approprier le ton du
récit
au personnage qui le fait sous forme de Mémoires
vérité les défauts et les qualités du narrateur sont exprimés dans un
récit
qui est bien réellement fait à sa façon et non à
troublent l’esprit, comme une finisse note choque l’oreille. Dans ses
récits
écrits sous forme de mémoires, le personnage qui
nces dans les idées, les raffinements dans le sentiment encombrent le
récit
et l’obscurcissent ? Il est permis d’en douter. L
’a pu s’enchaîner à l’ordre, à la proportion des divers épisodes d’un
récit
. Le développement progressif et normal d’une acti
eur les condamne, mais l’admiration du lecteur les absout. Le superbe
récit
de la bataille de Waterloo, par exemple, occupe u
ses complices, et, à force de se laisser envahir par le charme de ses
récits
, à force de s’en imprégner tout entières, à force
és. Les nouvelles réunies sous le titre de le Nœud gordien et le long
récit
intitulé Gerfaut resteront la meilleure partie de
spirituels et d’un comique achevé. Le dénouement mélodramatique de ce
récit
est un regrettable sacrifice à la mode du temps.
de caractères, Dumas lui est de beaucoup supérieur par la vivacité du
récit
, la verve et le naturel du dialogue, la qualité p
fabrique, c’est-à-dire la verve dans le dialogue, la vivacité dans le
récit
, un entrain merveilleux dans la mise en scène. Mo
ux qui seraient tentés de surprendre ses projets. Il a débuté dans le
récit
par un petit volume de Chroniques contemporaines,
l y a mis son empreinte, et dans lequel peuvent entrer tour à tour le
récit
, le dialogue, le drame, l’ode, la comédie, la des
ctère, leurs actes, leur vie, il les subordonne aux nécessités de son
récit
et les soumet aux hasards de son inspiration. Pou
vait sans cesse l’auteur dramatique, introduisant le dialogue dans le
récit
, préférant le tableau à la description. Ses perso
paroles. Ne demandez pas à l’auteur les causes de l’interruption d’un
récit
qui aurait pu se prolonger indéfiniment. Il n’en
imaginaire, nommé Lestrange, qui faisait précéder sa traduction d’un
récit
fort vraisemblable de la vie de Clara Gazul. On s
rieux par un savant tel que vous. » Un autre aurait dit : « Mon petit
récit
» ; Mérimée, lui, affecte d’employer des termes q
vec les générations qui les ont lus avec avidité, les deux volumes de
récits
publiés par lui5 vivront aussi longtemps qu’il y
as être persuadé que ce qu’il lit est réellement arrivé. Tout dans le
récit
est concentré, resserré, éminemment propre à l’ef
à l’ensemble. Ceux qui voudront se former dans l’art si difficile du
récit
devront avoir sans cesse sur leur table, lire, re
e de la terrible et implacable vengeresse ? Cette œuvre accomplie, le
récit
est terminé. Un écrivain de moins de goût se sera
dibonde. C’est là d’ailleurs un des caractères essentiels de tous les
récits
de Ferry. Ce n’est pas un mince mérite, à l’époqu
avant d’avoir écrit son immortel chef-d’œuvre, a composé une foule de
récits
dans lesquels son imagination disposait avec cand
court sans cesse. Ces types se croisent, s’observent, luttent dans un
récit
qui se déroule en magnifiques anneaux au milieu d
ux au milieu des déserts de la Sonora, et qui est certainement un des
récits
les plus dramatiques que nous connaissions. L’aut
issance de tous ceux qu’il a divertis par l’intérêt saisissant de ses
récits
, mais encore par son style merveilleux, au suffra
leur guide. Tout est reproduit avec une fidélité scrupuleuse dans des
récits
dont le naturel et la sobriété font de Ferry un é
ce. L’auteur s’est identifié avec ses héros, et par la chaleur de son
récit
, par l’éclat de la forme, il a montré une fois de
désespérer les conteurs futurs ; si chacun des innombrables genres du
récit
et en outre plusieurs genres nouveaux comptent de
essaye de salir ce qu’il y a de plus sacré au monde, où l’on mêle au
récit
les prédications venimeuses, les programmes fanta
s attachantes de la littérature des filles insoumises, même parmi les
récits
où s’étale la prostitution élégante, nous connais
eur saisie dès la première ? Notre temps compte beaucoup d’auteurs de
récits
moraux ; mais combien peu ont su éviter l’écueil
r. Nous aurions aussi à parler de la Roche aux Mouettes, ce délicieux
récit
qui s’adresse aux enfants et qu’ont lu tant de gr
e proprement dite. Chateaubriand a bien introduit dans les Natchez un
récit
du voyage de Chactas à Paris, dans lequel sont in
x écrivains, leur sobriété parfaite, le naturel incomparable de leurs
récits
, l’absence de toute prétention, la simplicité des
es deux auteurs. Le Sage a eu l’ingénieuse idée de faire précéder son
récit
de ce charmant apologue : « Deux écoliers allaien
prêche. Sa morale est visible à travers le cristal transparent de son
récit
, mais il ne l’impose pas : il se contente de la l
i toujours penchent sur elle et y baignent leurs rameaux. De même les
récits
de M. Marmier sont limpides et transparents. Dans
des personnages et le cœur sympathique de l’écrivain. Mais, comme ces
récits
nous transportent tour à tour dans tous les pays
d’Hélène et Suzanne, des Souvenirs d’un voyageur, et de tant d’autres
récits
, est un de nos plus féconds écrivains. Il est aus
e septentrionale et ces bons Champenois rendus si sympathiques par le
récit
: Un village de France, dans cette nature mélanco
e a résisté M. Edmond About. Il est de notre temps par la vivacité du
récit
, l’éclat des couleurs, la fidélité des peintures.
l, d’ailleurs, M. About a pu l’écrire sans les choquer. La base de ce
récit
est des plus équivoques. Un écrivain vulgaire ser
auront profit à étudier tous ceux qui veulent apprendre à composer un
récit
. Les diverses parties de ce roman admirable sont
retranchée sans inconvénient. Pas un mot ne saurait être ajouté à ce
récit
complet autant que rapide. L’auteur a toujours su
rles de Bernard l’avait déjà employé dans l’Innocence d’un Forçat. Le
récit
de la mort horrible du vieux due est trop sinistr
oi des montagnes que M. About a atteint à la perfection. Tolla est un
récit
poétique tout imprégné de passion. Germaine est l
’élégance du langage, la vivacité du dialogue, l’agréable rapidité du
récit
, le relief saisissant dans les portraits, la verv
s et dans chaque pays. Mais les mérites littéraires de ce merveilleux
récit
peuvent être sans désavantage rapprochés des plus
le. Une seule invraisemblance est à signaler, car elle est énorme. Ce
récit
, dont chaque ligne est une fusée étincelante, ce
est énorme. Ce récit, dont chaque ligne est une fusée étincelante, ce
récit
où tout est esprit comme dans les écrits germaniq
ut est esprit comme dans les écrits germaniques tout est lourdeur, ce
récit
admirablement français par la grâce piquante, l’é
frent aussi ce trait caractéristique de M. About : la satire mêlée au
récit
. Cette collection de nouvelles, moins heureusemen
iantes dans la formation des bibliothèques de leurs filles. Parmi les
récits
contenus dans ce volume, il en est un, l’Inspecti
donc rien que d’avoir renouvelé un genre national par excellence, le
récit
, et d’y avoir brillé par des dons qui, jusqu’à ce
réer le Docteur Herbeau. Mais n’est-ce rien que d’avoir construit ses
récits
avec un art consommé et de les avoir écrits dans
e banales et de véhémentes diatribes, mais en la mêlant intimement au
récit
? Avant M. About, bien d’autres romanciers avaien
qui tous participent plus ou moins à nos imperfections. Outre que le
récit
de la vie d’un ange ne saurait en rien nous intér
n par ces mots : « Le 14 décembre, jour où commence ce très véridique
récit
. » Ce sont là des subterfuges qui ne trompent per
s subterfuges qui ne trompent personne, et nous serions désolé que ce
récit
fût vrai. Au point de vue de l’art, nous préféron
mpression peut-être rendue trop favorable par l’intérêt saisissant du
récit
. Nous en avons donc appelé à nous-même, et nous v
e que sa mort ne laissera aucun vide dans aucun cœur ? Quel admirable
récit
que celui de ce suicide ! Quel tact, quelle mesur
’art, est un commencement, un milieu et une fin. Si court que soit le
récit
, il peut renfermer plus d’émotions poignantes et
nécessité de donner à chaque personnage un caractère propre, à chaque
récit
un commencement, un milieu et une fin. Écouté, il
fils d’un exilé ? Le premier tiers du volume est pourtant consacré au
récit
de l’exil et de la mort du père. Le tableau de ce
beaucoup de cœur pour peindre ces gens de cœur. On ne saurait lire ce
récit
sans verser des larmes, et cela parce que l’auteu
hef-d’œuvre, et que Fleurange, de Mme Craven, peut être rapproché des
récits
les plus émouvants et les plus littéraires de not
tteindra bientôt la première place pour ne plus la quitter. Aucun des
récits
de Mme Bentzon ne pourrait soutenir la comparaiso
ue. Inégales par la conception des sujets et la construction de leurs
récits
, elles doivent être mises au même rang pour l’élé
Mot de l’énigme. Nous n’avons à parler, à propos de Mme Craven, ni du
Récit
d’une sœur, ni d’Anne Severin. Le premier de ces
soit de beaucoup supérieure à Aime Severin et au Mot de l’énigme. Les
récits
qui ont pour titre Trop tard, la Dame d’Alligny,
entre elle et son prosaïque mari. Il faut lire et relire l’admirable
récit
du voyage de noces en Angleterre. Tout y porte, t
mauvais gré de notre franchise. Son défaut est de ne pas donner à ses
récits
tout le développement qu’ils comportent. Les suje
ivorce et Une Vie manquée renferment des descriptions achevées, et le
récit
breton qui a pour titre le Violon de Job est enca
ne parlons pas non plus de ce fou, parfois lucide, qui, dans tant de
récits
, du raisonnement quintessencié est arrivé au dout
e Morgue, la Lettre volée, le Scarabée d’or. Chacun connaît ces trois
récits
, qui sont en réalité trois problèmes posés et rés
idées, nulle part on ne les voit mieux se déployer que dans les trois
récits
qui ouvrent la série des Histoires extraordinaire
tion pour les Histoires extraordinaires, avait entrepris d’écrire les
Récits
étranges qui en eussent été sans doute le pâle re
oriau. On lut avec avidité et comme s’il était nouveau ce merveilleux
récit
où, par un tour de force d’invention, deux action
r l’heureux emploi de qualités toutes littéraires, par la vivacité du
récit
, par le naturel du dialogue, par la création de t
a compris la gravité de cette difficulté. Il aurait pu commencer son
récit
par une scène saisissante et splendide au milieu
ssement il faisait une fatigue. Mais il ne parvenait pas à éviter ces
récits
rétrospectifs auxquels, comme tous ses devanciers
iau en ce qu’il évite les retours en arrière en mêlant à l’action les
récits
rétrospectifs, en les confondant avec le drame, e
de Paris. Eugène Sue avait à faire faire par un de ses personnages un
récit
long, assez insignifiant, mais indispensable à l’
e de l’action. Qu’a-t-il imaginé non seulement pour faire accepter ce
récit
au lecteur, mais encore pour le déterminer à le s
t s’éloigner quand il aura fini de raconter, c’est donc la fin de son
récit
qui sera le signal de sa mort. On conçoit dès lor
le signal de sa mort. On conçoit dès lors que l’intérêt secondaire du
récit
du prisonnier menacé se fortifie du puissant attr
s des seconds comme des premiers. Rien n’égale la désinvolture de ses
récits
, le ton dégagé du narrateur. À la liberté de ses
és de construction, il a préféré prodiguer ses trésors, resserrer son
récit
, précipiter son dialogue et courir vers le dénoue
sence de peintures systématiquement immorales fait la moralité de ses
récits
. Moral sans y prétendre, il a pu ainsi éviter le
es est chose impossible. Découvrir et indiquer entre ces innombrables
récits
un lien commun, nous ne saurions, car il n’y en a
Féval n’a jamais prétendu. Il conte sans se préoccuper aujourd’hui du
récit
qu’il a fait hier. Si un fil conducteur existait
ue Fernand c’est M. Paul Féval ? Aucun de ceux qui ont lu ce touchant
récit
ne nous démentira. On n’obtient une telle émotion
n. Que de romans d’aventures du fécond auteur nous sacrifierions à ce
récit
simple, touchant, sincère ! Quelle intensité de v
en dirions autant de Madame Gil Blas, si la seconde partie de ce long
récit
ne versait pas dans le mélodrame. Mais la premièr
s ni l’en blâmer, ni l’en louer. Mais l’intérêt et l’honnêteté de ses
récits
méritent les plus grands éloges, en un temps où c
rément bien d’autres avant lui s’étaient efforcés de mêler dans leurs
récits
, avec une juste mesure, l’utile à l’agréable, et
, et que les lecteurs de roman dévorent avec autant d’intérêt que les
récits
d’Alexandre Dumas, ni la science n’est sacrifiée
ait, de près ou de loin, à la question qui sera le but sérieux de son
récit
. « Il pousse son étude aussi loin que lui permet
triomphes. Trois types principaux se retrouvent fréquemment dans les
récits
de M. Verne : l’un représente la force intelligen
in scrupuleux ne contribue pas peu à la vraisemblance générale de ses
récits
et à la satisfaction complète du lecteur. Presque
essorts vraisemblables et nouveaux, on le trouve dans ces merveilleux
récits
, où la science est d’autant mieux la bienvenue qu
le, la piquante gaieté du Voyage à la lune et l’incessante variété du
récit
qui a pour titre Cinq semaines en ballon ? Parmi
a première forme, la meilleure ? Quelle rapidité merveilleuse dans le
récit
! Comme à partir du moment où Phileas Fogg, quitt
ssi variées que les aspects d’une forêt, sont comme le refrain de ces
récits
, auxquels ils ne contribuent pas peu à donner de
principe admissible, on est allé jusqu’au réalisme, comme de l’ancien
récit
d’aventures, on est allé jusqu’à cet enchevêtreme
de M. Theuriet est plus poétique et délicat que viril. Dans un de ces
récits
, qui est peut-être le meilleur, l’Abbé Daniel, il
urs de la France n’étaient pas les mœurs sataniques décrites dans les
récits
de Frédéric Soulié. Mais il n’est pas bon qu’elle
ais eu une grâce plus juvénile ni plus de charme. 13. Chacun a lu le
récit
dramatique de l’expédition de M. Marmier au Spitz
es à faire peur, de scènes comiques ou pathétiques. Et tandis que ces
récits
pénétraient dans les bibliothèques de famille, pl
on que l’œuvre soit plutôt une étude de personnage et de mœurs, qu’un
récit
romanesque ou une effusion personnelle de l’auteu
re et de montrer les lieux et les milieux où il place l’action de ses
récits
. Peu d’auteurs décrivent autant que le romancier
s lieux scélérats. Quand dans Bleak House, l’avoué qui figure dans ce
récit
, regarde l’heure qu’il est à diverses horloges, e
loi ne put entendre. On chercherait en vain chez l’auteur anglais un
récit
contenu et impassible, une scène où l’écrivain ai
a plus frémissante, la plus volontairement agitée qui soit. Le ton du
récit
, le coloris du style, les tournures partiales ne
spoir de nouvelles destinées ; une antre de ses meilleures scènes, le
récit
du sinistre où Steerforth perdit si bravement la
le type qu’il entend représenter, d’une phrase, d’un monologue, d’un
récit
rapporté et interjeté, la nature morale particuli
cunière et timorée, un peu folle, un peu stupide, qui tout le long du
récit
étonnera le lecteur par ses attitudes d’effarée v
s douces jeunes filles qui se marient au dénouement de la plupart des
récits
de la première période. Plus tard, sur la fin de
rayant et misérable forçat des Grandes Espérances ; le rude et sombre
récit
que cet homme fait de sa vie pourrait prendre ran
Dickens, caractérisent également au plus haut degré les scènes où le
récit
de leurs actions, la reproduction de leurs conver
ontés mais avec toute l’ardeur de parti pris que Dickens met dans ses
récits
, tantôt encore esquissés en termes si vagues qu’o
res divers de l’œuvre du romancier ne contribuent guère au progrès du
récit
, s’y rattachent plutôt qu’ils ne le constituent,
de garçon, ses rapports timorés avec sa trop sensible hôtesse, et le
récit
du mémorable dîner où M. Micawber, à l’instigatio
me, qui, grossi sans mesure, infléchit brusquement toute la marche du
récit
au gré du goût de l’auteur plus soucieux d’incide
l’humour, la gaieté communicative et innocente qui fait le fond de ce
récit
, un des meilleurs, n’a manqué dans aucune des œuv
e Affery avec ses airs de somnambule effarée ; on aura un ensemble de
récits
terrifiants où Dickens ne touche plus que respect
personnels introduits à propos ou hors de propos dans la trame de son
récit
, comment son style est trépidant et empanaché, co
ce d’un dîner de cérémonie dans le monde, il éprouve, tout au long du
récit
qu’il en fait, la même humeur satirique et mépris
ite d’épisodes détachés et développés chacun pour son compte, que des
récits
bien assemblés. Enfin aucune idée générale n’a eu
r rempli l’âme, d’ordinaire si gaie et si sereine, de Jésus. Tous les
récits
sont d’accord pour lui prêter avant son arrestati
des synoptiques, et qui leur fait souvent obéir dans l’agencement du
récit
à des raisons de convenance ou d’effet, a été pla
té le témoin intime d’un épisode si émouvant, n’en parlât pas dans le
récit
très circonstancié qu’il fait de la soirée du jeu
n avènement 1079. De très bonne heure, ce mystère se fixa en un petit
récit
sacramentel, que nous possédons sous quatre forme
évangéliques, a ici la valeur d’un témoin oculaire, ne connaît pas ce
récit
. C’est la preuve qu’il ne regardait pas l’institu
et sa préoccupation exclusive du rôle divin de Jésus aient effacé du
récit
les circonstances de faiblesse naturelle racontée
rc, XIV, 42 et suiv. ; Luc, XXII, 7 et suiv., 45). Mais Jean, dont le
récit
a pour cette partie une autorité prépondérante, s
20. 1077. Jean, XIII, 24 et suiv., qui lève les invraisemblances du
récit
des synoptiques. 1078. Luc, XXII., 20. 1079. I
84. Jean, XIII, 1 et suiv. Les discours placés par Jean à la suite du
récit
de la Cène ne peuvent être pris pour historiques.
XI de son Histoire de la Révolution française : il a fait justice du
récit
qui se lit dans le recueil de Victoires et Conquê
et glorieuses, on recueillît, pour ne parler que de ce qui compte, le
récit
de Jomini (1820), celui de M. Thiers, celui de Lo
tes relatés dans ce Journal, les inexactitudes matérielles des autres
récits
; on n’oublierait pas d’y joindre la lettre écrit
s de la mer Noire, ne dura pas moins de trois ans, et il en a fait le
récit
. « Je fus trois ans prisonnier ou plutôt esclave
nuité de son existence politique ? Nous l’apprenons en détail par son
récit
. Chose singulière ! Si en lisant la Relation de J
ens ambassadeurs en disgrâce ; il se méprenait de beaucoup. Le ton du
récit
est naturel et conforme aux divers moments de la
ean-Bon le sentait par une dure et cruelle expérience. Dans ce simple
récit
, il se montre, sans y songer, tout à son avantage
e encore parfois et se laissait-elle deviner ? Si je m’en rapporte au
récit
de M. Michel Nicolas, d’ordinaire bien informé, J
t dit : « Jean-Bon Saint-André a voulu faire son petit Simplon. » Le
récit
est piquant, mais je dois dire que ce mode de pro
esse ; aussi j’incline à croire qu’il y a quelque exagération dans le
récit
. Il est certain d’ailleurs que, plus d’une fois,
té du magistrat. On raconte (et feu le chancelier Pasquier faisait ce
récit
fort vivement) qu’un jour, à une entrée de troupe
e combattre. Le vent seul lui a donné l’avantage. Voilà, Citoyens, le
récit
le plus vrai de cette malheureuse journée. Je cro
obe. La Fontaine met en Europe la scène où il suppose que fut fait le
récit
de cette aventure, récit que les Orientaux metten
urope la scène où il suppose que fut fait le récit de cette aventure,
récit
que les Orientaux mettent dans la bouche du fameu
qui dépendait en quelque sorte de ses grands vassaux. Au surplus, ce
récit
ne peut pas s’appeler une fable ; c’est une petit
oprement parler, cette pièce n’est pas exactement une fable, c’est un
récit
allégorique ; mais il est si joli et rend si sens
t faire le repas du renard et de la cigogne. Fable XIX. Dans ce
récit
, La Fontaine pouvait se dispenser d’annoncer son
n de sa fable qu’au commencement. La morale est toute entière dans le
récit
du fait. Cet Apologue est non-seulement le meille
Chapitre III. Du
récit
des faits. — Antécédents et conséquents. — Causes
, tirés du sens commun et du bon goût, s’appliquent à toute espèce de
récit
: Il faut qu’une narration réunisse trois qualit
par le moyen de ce qu’on dit ; à écarter non seulement ce qui nuit au
récit
, mais aussi cc qui ne lui nuit ni ne lui sert, à
ouve aussi son application ici… La vraisemblance consiste à donner au
récit
tous les caractères de la réalité ; à observer la
nsibilité du lecteur que toutes les exclamations. Or que contient son
récit
? Rien que de minces circonstances minutieusement
mite extrême de la patience du lecteur. Ainsi a fait Michelet dans le
récit
de la première crise qui troubla la raison du pau
sont les antécédents physiques. Voilà qui double reflet dramatique du
récit
, qui prépare l’âme à l’émotion, l’esprit à l’inte
exprimée aussi nettement, ressort pourtant, en bien des endroits, du
récit
de Villehardouin. Je n’ai à suivre ce récit qu’au
en bien des endroits, du récit de Villehardouin. Je n’ai à suivre ce
récit
qu’autant qu’il sert à peindre l’historien lui-mê
ésirée, la veille de la Pentecôte (1203). Ici Villehardouin, dans son
récit
, laisse percer un éclair d’enthousiasme et une jo
commises sur cette cité alors unique et incomparable. Il y a, dans ce
récit
de Nicétas, une parole d’estime pour Villehardoui
a confusion des scènes et l’horreur naturelle qui s’attache à de tels
récits
. Nicétas, l’historien des vaincus, et Villehardou
s entremêlés d’un retour d’Anacréon. Il est surtout un passage de son
récit
qui m’a paru charmant au milieu de sa recherche,
ne marche pas, il vole, il traverse les airs laissant en arrière tout
récit
; il marche vers l’Isthme, il renverse l’armée ro
s lecteurs par la simplicité, la franchise et le cours naturel de son
récit
. » Ce cours naturel est très bien dit : son récit
ours naturel de son récit. » Ce cours naturel est très bien dit : son
récit
marche et se presse. Rien n’y ressemble moins que
de la première croisade. Par malheur ces poèmes se continuent par des
récits
de plus en plus romanesques, extravagants et gros
rs prétendues chroniques59. L’idée d’appliquer la poésie française au
récit
des faits historiques germa de divers côtés : sur
inspirait Lancelot, nous met sous les yeux, en sa personne et par son
récit
, le monde réel en face du fantastique idéal que d
aller à la joie de l’« aventure ». Et de là dans la sécheresse de son
récit
, ces brèves impressions qui y sont comme des poin
mène Yvain à la fontaine merveilleuse. Et il faut voir, dans tout le
récit
, de quel intérêt le sage maréchal de Champagne et
la même étendue, de l’épopée au fabliau, et du roman à la chronique :
récits
bibliques ou évangéliques, vies de saints et de s
eine Jeanne de Navarre, femme de Philippe IV, voulut connaître par un
récit
fidèle la vie du saint roi, elle s’adressa à son
t en disgrâce pour avoir parlé selon l’honneur et selon la vérité. Ce
récit
nous fait surgir devant les yeux un saint Louis i
il faut. Son humanité, aimable et faible, éclate à chaque page de son
récit
, comme lorsque, au départ, il n’ose se retourner
lexion, en sens esthétique, ce chevalier inhabile à penser a dans son
récit
enfantin des impressions d’une fraîcheur, d’une v
du départ de la flotte athénienne pour la Sicile, et je ne sais si le
récit
de Thucydide est d’un pathétique plus sobre et pl
nger le tableau, a sciemment altéré la vérité, — par exemple, dans le
récit
qu’il a fait de certaine scène célèbre au Parleme
bre au Parlement, dans laquelle il a joué un rôle : on lui oppose des
récits
contradictoires de témoins oculaires ou des procè
ù il lui conteste avec rudesse sa qualité d’historien, c’est dans les
récits
et jugements sur Louis XIV, sur Mme de Maintenon,
? dit Louis XIV à Maréchal : c’est un fanfaron de crimes. » — « À ce
récit
de Maréchal, ajoute Saint-Simon, je fus dans le d
plet. M. Chéruel est dans le vrai de la critique lorsqu’il oppose aux
récits
de Saint-Simon, vagues et confus dès qu’il s’agit
. L’aîné des jeunes Saint-Hilaire était là, dans le groupe ; on a son
récit
: « Un spectacle aussi tragique, dit-il, me péné
ure. « Saint-Hilaire n’est pas mort, écrivait Mme de Sévigné, dont le
récit
est dans toutes les mémoires, il vivra avec son b
nt le talent de Saint-Simon et l’accent par lequel il tranche sur les
récits
ordinaires. Il s’agit du maréchal de La Feuillade
es amis, saluons celui-ci, il en vaut bien un autre ! » Voilà de bons
récits
, clairs, circonstanciés, fidèles. Veut-on mainten
ns récits, clairs, circonstanciés, fidèles. Veut-on maintenant non un
récit
(il n’en a pas fait), mais une page de Saint-Simo
tine, les chants d’Église ou d’école n’y sont pas oubliés ; les longs
récits
épiques en français, dits chansons de geste, y so
y a plus et mieux, il y a pis. On a, dans ce recueil de fables et de
récits
dont le Renard est le héros, un assemblage de bie
o du monde chevaleresque dans notre littérature et notre poésie : les
récits
en prose de Villehardouin en donnent une haute id
d’Aucassin et Nicolette : en prose et dans un ordre plus sérieux, les
récits
du sire de Joinville éveillent le même sentiment
le aussi, possède, dès le xiie et le xiiie siècle, toutes sortes de
récits
en vers, dont le Renard est le sujet et le héros.
adoptaient et remaniaient le plus volontiers. C’est l’ensemble de ces
récits
, appelés branches, qu’un érudit estimable, M. Méo
e, pourtant suffisante. On y a ajouté depuis39. Tels qu’ils sont, ces
récits
en vers du Renart, ouvrage de divers auteurs, la
it le nom si en honneur, eût été bien grand. Commençons par un de ces
récits
quelconques où Renart figure, et prenons-en un où
ner, le miracle cette fois passe pour faux. Je n’ai fait dans tout ce
récit
que suivre fidèlement mon auteur, et j’ai ôté plu
feuillets sont consacrés à Parsifal, tout le reste su propre thème du
récit
, et le nom du héros y est tour à tour orthographi
lier, Nasion. C’est alors, sur les défis du magicien, que commence le
récit
des aventures de Lohengrin, Wolfram ayant chassé
es, l’une purement celtique, bretonne, l’autre provençale, liée à des
récits
espagnols, italiens, grecs, arabes. Les documents
u à lui rendre sa couleur méridionale, à faire réapparaître, dans les
récits
merveilleux des poètes, des noms et des personnag
vec la brièveté la plus grande. L’origine aryenne, commune à tous nos
récits
légendaires, permet de retrouver les premiers lin
tte question se trouve dans l’Amour et Psyché, dans mainte légende ou
récit
, Frédéric de Souabe et Angelberg, Partenoplis et
et déclare avoir suivi « Kiot le Provencal » (Guyot de Provins ?), le
récit
qui termine l’œuvre (chant XVI, à partir de la st
ne bague. C’est ainsi que la douce femme perdit son époux. » Ce court
récit
de Wolfram est conforme à la version française se
st aussi à Hélinand que l’emprunte Gerhard von der Schuirren. Dans ce
récit
, Lohengrin s’appelle Hélias et Elsa Béatrix. Pour
ux à la représentation de Lohengrin, mais nous remettons au 15 mai le
récit
détaillé de ce mémorable événement wagnérien. A.
Mois wagnérien de Paris 5 Mars : Conservatoire (dir. Garcin) :
Récit
et chœur des Pèlerins, 5 Mars : Concert Lamoureux
, où elle forme une tache sombre. Pendant la plainte d’Amfortas et le
récit
des malheurs du Gral, elle semble prise d’un trem
par une admiration douloureuse, elle essaie de le retenir. Pendant le
récit
de sa possession, elle semble repasser par toute
pleure, rit, brusquement ; les émotions le trouvent sans force, et le
récit
de la mort de sa mère le fait souffrir comme une
ise, comme si un souvenir vague remontait dans son esprit. Pendant le
récit
de la mort de sa mère, il reprend possession de s
n est celui-ci : Un jeune homme qui a dix-neuf ans au commencement du
récit
et vingt et un ans à la fin, Octave, né vers 1810
e, qui disparaît et s’évanouit presque dans une trop grande partie du
récit
: ce sont, le discours nocturne de Desgenais à so
u’il ne l’eût écrit tout différemment. L’auteur, en avançant dans son
récit
, a fait maintes fois autre chose que ce qu’il ava
ous le retrouvons avec tout son charme et son avantage, c’est dans le
récit
légèrement dramatique, coupé avec art, svelte d’a
f, net, court, transparent ; le tour aisé et concis, surtout dans les
récits
du second volume, se ressent de la prédilection q
fond il est bien clair aujourd’hui que cette Confession n’est que le
récit
, un peu voilé et dépaysé, du roman réel qui a fou
. Il ne reste plus à présent, pour démêler le vrai dans ce conflit de
récits
passionnés et même envenimés, qu’à attendre la pu
raison. Au lieu de célébrer le courage civil, et d’associer au simple
récit
d’une résistance héroïque les sentiments éveillés
ouplir et se varier. Mais dès que l’auteur tentait autre chose que le
récit
du serment, le sujet semblait naturellement appel
goût de l’antiquité grecque sans discréditer la valeur de ces simples
récits
. Écrite avec une pureté constante, l’histoire de
yen de Killerine, on ne peut se dissimuler que la lenteur de ces deux
récits
s’accorde mal avec l’impatience des lecteurs de n
on Lescaut, il ne prévoyait pas la destinée littéraire de ce touchant
récit
. L’exercice de son imagination était pour lui un
œuvre d’autrui. Habitué à tracer les premières pages de chacun de ses
récits
, sans savoir comment il le poursuivrait, encore m
e, s’il est richement doué, il apporte dans toutes les parties de son
récit
une ardeur continue qui manque souvent à la prévo
pour ce dernier parti, et nous devons dire que, dans le cours de son
récit
, il est demeuré presque toujours fidèle à son des
éserve dont nous devons lui savoir gré. Entraîné par le charme de son
récit
; séduit, comme un lecteur de vingt ans, par la p
diquons. Il a craint sans doute d’affaiblir l’intérêt poétique de son
récit
en poussant trop loin l’analyse du cœur de des Gr
a lutte de Manon et du chevalier suffisait certainement à défrayer le
récit
de Prévost. Toutefois, le personnage de Tiberge e
éprochable ; il est facile de relever dans les deux cents pages de ce
récit
des taches que Prévost connaissait sans doute, et
il trouve moyen de racheter, d’expier cette faute par la rapidité du
récit
. L’esprit blessé n’a pas le temps d’analyser l’im
t ? À quoi se réduit l’idée génératrice qui anime et gouverne tout le
récit
? L’auteur a-t-il voulu célébrer ou flétrir la pa
ibué le droit de franchir les limites marquées par les besoins de son
récit
. Doué d’une imagination abondante, il a toujours
l est en effet le caractère général des Orientales. Non seulement les
récits
qui veulent être dramatiques se nouent et se déno
le dégoût. Il est juste d’ajouter qu’Éthel et Ordener jettent sur le
récit
, d’ailleurs très vulgaire et très monotone, qui r
du thème qu’il avait choisi. Il y aurait de l’injustice à dire que le
récit
du Dernier Jour d’un condamné a été pour M. Hugo
se rattache précisément au côté négligé par M. Hugo dans le reste du
récit
. Le tableau de cet amour si frais et si pur, si a
estions sociales. Pourvu qu’il réussisse à encadrer la pensée dans le
récit
, à déguiser la prédication sous le mouvement des
tre but que de tromper l’ennui. À lire, ou seulement à feuilleter ces
récits
sans fin que la presse livre chaque jour en pâtur
e rêverie, à la pensée un sujet de méditation. Je sais que chacun des
récits
inventés par cet artiste laborieux est plein de v
l a développé avec un soin si scrupuleux les moindres épisodes de son
récit
, il a si habilement idéalisé la réalité qu’il ava
nt que le temps n’a manqué ni à la conception, ni à l’exécution de ce
récit
. On voit dès les premières pages que l’auteur a t
uisqu’il désire venger son ami, il n’a pas besoin de s’exalter par le
récit
de ses exploits de garnison. Pour dire toute ma p
u sont d’une irréprochable vérité. Il n’y a pas une page de ce rapide
récit
qui n’émeuve profondément, car chaque page respir
e à point nommé pour que les acteurs obéissent au programme, donne au
récit
quelque chose d’artificiel, et rappelle maladroit
rande partie de Marianna. M. Sandeau a introduit dans la trame de son
récit
des idylles et des élégies qui sont quelquefois b
sont placés, je ne balance pas à les blâmer ; car ils ralentissent le
récit
, et paraissent entamer la réalité des personnages
Fernand et Madeleine méritent les mêmes éloges que Marianna. Ces deux
récits
, conçus dans de moindres proportions, offrent la
en des hommes qui croiront, en lisant le roman de M. Sandeau, lire le
récit
de leur vie. Fernand réussit à séduire la femme d
oyait perdu sans retour, elle l’a racheté. J’ai omis, pour laisser au
récit
toute sa simplicité, plusieurs épisodes pleins de
e fraîcheur et de grâce. Pour mieux expliquer le sens et la portée du
récit
, je l’ai réduit à ses lignes principales. Cependa
ai réuni à dessein Marianna, Fernand et Madeleine, quoique ce dernier
récit
soit séparé de Marianna par un intervalle de sept
emoiselle de La Seiglière est probablement le plus achevé de tous les
récits
que M. Sandeau a composés depuis l’époque de ses
. La pensée qui s’est produite pour la première fois sous la forme du
récit
, perd, en se montrant sous la forme dramatique, l
n langage. J’ai dit que ce roman me paraît le plus achevé de tous les
récits
composés par M. Sandeau. Ce n’est pas que le suje
qui lui plaît, hâtant ou ralentissant son allure selon les besoins du
récit
. Il a tiré de son sujet tout le parti qu’on pouva
, une franchise de coloris, qui se rencontrent bien rarement dans les
récits
que nous voyons se multiplier chaque jour. Après
s garder dans sa mémoire l’image vivante du Coat-d’Or. Richard est un
récit
dont l’intérêt ne saurait être contesté. Karl Hen
tant de vérité, que l’invention semble à peine jouer un rôle dans son
récit
. Pour moi, je pense qu’il a dû assister aux misèr
ont à leur place, les caractères sont dessinés avec netteté ; mais le
récit
manque d’air. À proprement parler, c’est plutôt u
récit manque d’air. À proprement parler, c’est plutôt un programme de
récit
qu’un récit achevé. La manière dont M. Sandeau a
d’air. À proprement parler, c’est plutôt un programme de récit qu’un
récit
achevé. La manière dont M. Sandeau a su traiter l
er ; si nous nous demandons quel est le caractère général de tous ces
récits
, quelle est l’idée constante qui les domine, la r
tateur ne voit rien. L’auditoire écoute sans émotion, sans effroi, le
récit
de toutes les scènes auxquelles il devrait assist
N’est-ce pas compléter, par l’analyse et la peinture des passions, le
récit
des historiens ? Or, M. Ponsard a-t-il rien fait
et Tacite. — § VI. Du rôle politique de Saint-Simon. — § VII. De ses
récits
comparés à ceux des historiens de l’antiquité. —
n fonds. On ne se défie pas du moins de cet esprit dans ces charmants
récits
ou le siècle de Louis XIV nous est débité en anec
t de ses Mémoires. Il n’est pas, en effet, de petite affaire dans son
récit
, parce qu’il n’en est pas une qui ne mette en jeu
n y ait figuré comme acteur. Il se commet, à son insu, dans plus d’un
récit
, parce qu’au lieu d’avoir vu les choses de la gal
onne, et qu’il a sa part du ridicule qu’il observait. § VII . Des
récits
de Saint-Simon comparés à ceux des historiens de
de Saint-Simon comparés à ceux des historiens de l'antiquité. Les
récits
de Saint-Simon ne ressemblent point à ceux des hi
rassé et éteint. Si l’on voulait avoir quelque modèle du genre de ses
récits
chez les anciens, il faudrait les chercher dans l
fois que le même original ait posé devant les deux peintres. Mais les
récits
de Saint-Simon n’ont pas cette brièveté de Tacite
oquente, ni cet art merveilleux qui donne à l’histoire l’intérêt d’un
récit
et l’aspect saisissant d’un tableau, ni ces profo
sujet, non le propos de l’auteur, a donné une forme plus régulière au
récit
de la mort de Monseigneur, le plus beau morceau p
t, comme dans la vie réelle ; enfin ce pêle-mêle de la peinture et du
récit
, dans lequel surnage le trait principal du héros,
gnait sur le papier. Quand venait le moment de les introduire dans le
récit
, je suppose qu’il reprenait toutes ces esquisses
oins toujours utiles ; on ne recommencerait pas sans cesse d’éternels
récits
qui n’ont de prix que chez les narrateurs vraimen
t avec succès pareille chose pour le sien. Il ne faut pas demander au
récit
du général Pelleport, son ami et son collègue com
ment et très sensément. Pelleport ne cherche pas à se donner dans son
récit
un enthousiasme qu’il n’a pas. Lui et ses compagn
e vont bien changer les points de vue. On saisit parfaitement dans le
récit
de Pelleport cette transformation presque soudain
mme sur l’esprit des officiers qui se trouvaient sous ses ordres. Le
récit
de Pelleport est intéressant par un cachet de sim
préparait, et Pelleport avec la 18e fut destiné à en faire partie. Le
récit
qu’il fait de cette expédition a son prix sous sa
cipe que, quand on se sent digne, il faut obtenir sans solliciter. Le
récit
qu’il fait de la campagne de Russie où il eut une
, de retracer religieusement et sans phrases. Il le fera, et dans un
récit
qui, sur quelques points, atteint, à force de sim
mmes) avait pensé à remettre le dépôt au camarade qui survivait. — Le
récit
de Pelleport, colonel du 18e, est à joindre désor
du général Pelleport la partie la plus vive et la plus émouvante. Son
récit
ne s’arrête pas là, à cette fin des grandes guerr
bien. II. Il est naturel par le fond des choses et dans le courant du
récit
, sinon dans le détail de l’expression ; il est fa
ius, qui était celui d’un précédent narrateur, qu’Apulée commence son
récit
, et il confondra plus d’une fois, en avançant, so
Apulée. Selon lui, tout ce que l’imitateur latin a ajouté au premier
récit
du Lucius grec n’est qu’un insipide développement
res, ne serait qu’une sottise ! Certes je prise et goûte fort le joli
récit
traduit par Courier : il est net, proportionné, p
vœux constants se réalisent ; tu vas te rassasier le cœur de tous ces
récits
merveilleux. Bannis des craintes puériles, aborde
il ne songe qu’à bien conter avant tout, à donner du mouvement à ses
récits
et à être plaisant. Pendant qu’on est dans ce rep
aura soufflé la vie et la couleur, aura rejoint les divers anneaux du
récit
, mais un conteur amusé et amusant, un vrai Milési
onnable qu’on ne le voit chez Apulée. Ne demandez pas la raison à ces
récits
et à ces jeux de l’enfance et du caprice. Non que
e toute la nature…, aucune de ces imitations, d’ailleurs, ne vaut le
récit
primitif ; elles sont froides par quelque endroit
lieutenant général. (1849.) Lundi 14 janvier 1850. Voilà un court
récit
, très simple, très intéressant, qui n’a nullement
t dans ses dernières conséquences, bien mieux encore qu’en lisant des
récits
plus généraux et plus étendus. Ici on n’est pas e
voulu, j’étais digne de mourir avec vous. Dans la première partie du
récit
, qui va jusqu’à la bataille de la Moskova, et qui
’aide de camp devint colonel du 4e régiment de ligne. Depuis lors son
récit
n’est plus que l’histoire de ce régiment et du 3e
incidents de cette seconde moitié de la marche sont à suivre dans le
récit
de M. de Fezensac. À un moment, les restes de son
cet instant, le 3e corps partage le sort du reste de l’armée. Mais le
récit
de M. de Fezensac, en devenant un peu moins parti
men six mois auparavant. Les réflexions morales se pressent durant ce
récit
, dont j’ai encore omis bien des particularités sa
s romantiques, l’intérêt passe des faits aux mœurs, à la couleur : de
récit
apocryphe le roman historique devient ou prétend
endant quarante ans, elle donne un ou deux romans, des nouvelles, des
récits
biographiques ou critiques. Sa vie n’est plus qu’
si que les caractères se déforment au courant de l’histoire, ou qu’un
récit
entamé d’enthousiasme avec une robuste allégresse
Villemer (1861), des idylles bourgeoises ou aristocratiques, de beaux
récits
d’amour sans brutalité, encadrés dans des paysage
t, tâte le pouls au siècle, il réfléchit, disserte, expose, coupe son
récit
de tirades sociales ou philosophiques, où il affa
ublié, sous le pseudonyme de Stendhal, des romans, des nouvelles, des
récits
de voyage, des impressions d’art : il passait pou
de la vie italiennes. A peine touche-t-elle à la France par le fameux
récit
de la bataille de Waterloo : récit d’un homme d’e
e-t-elle à la France par le fameux récit de la bataille de Waterloo :
récit
d’un homme d’expérience, original et saisissant p
route. Il mêle des réflexions, des dissertations d’archéologue à ses
récits
; il nous rappelle ainsi de temps à autre, de peu
essentiellement objectif : il se répand autour de son sujet, mais le
récit
lui-même est impersonnel. Lisez ses chefs-d’œuvre
hronique de Charles IX. Colomba, Tamunjo, Matteo Falcone, le corps du
récit
de Carmen, etc. ; Mérimée s’efface ; ce n’est plu
plaît à déconcerter nos intelligences, à troubler nos nerfs, par des
récits
étranges, qui nous laissent dans le doute, si nou
sprit. Tous ses ouvrages, pour ne parler que des excellents, sont des
récits
en action. Le sujet est le même que dans les pièc
au dix-septième siècle. Il s’en glisse quelquefois dans les charmants
récits
de La Fontaine ; c’est comme une volupté de sa pe
à laquelle il se laisse aller un moment ; mais bientôt il reprend son
récit
; le poète ne s’est regardé un moment que pour mi
omme, y sont touchées avec justesse : la morale sort naturellement du
récit
; mais tout cela est court et sommaire. Le fabuli
ir d’aphorismes tirés de quelque poète gnomique et adaptés à un petit
récit
. La fable et la morale semblent n’être qu’un rais
mmencé, le fabuliste a suivi. J’aime mieux celui qui pense d’abord au
récit
; la morale y est ce qu’elle peut. Aussi ne se pl
t ; ou plutôt, il en change par plaisir. Plus d’une fable n’est qu’un
récit
sans interlocuteur et sans dialogue. D’autres son
cuteur et sans dialogue. D’autres sont mélangées de description et de
récit
. Souvent le poète intervient de sa personne, comm
nances très délicates. Pour une description, pour un tableau, pour un
récit
où les événements n’ont pas à se presser, c’est d
prête alors à sa pompe et se met à son pas. Dans le dialogue, dans le
récit
pressé, ou quand le poète y jette quelque réflexi
râces, propre aux gens dont le cœur est bon et l’esprit juste. Par le
récit
, par la narration si malaisée, comme il dit, par
rt a tenu ce qu’il promettait au début, de ne rien introduire dans le
récit
de son devancier ni de n’en rien retrancher qui p
itiers (1356), par laquelle il débute dans la partie originale de son
récit
, est de tout point, comme on le verra, un chef-d’
e les écouter tous les deux, chacun faisant son échange et payant les
récits
de l’autre par quelque beau récit en retour. Froi
faisant son échange et payant les récits de l’autre par quelque beau
récit
en retour. Froissart contant les guerres de Loire
! ci vous ne les perdrez pas, car toutes seront mises en mémoire, en
récit
et chronique dans l’histoire que je poursuis, si
bonnes informations, en leur accordant une trop belle place dans ses
récits
. Ce sont là des inconvénients inévitables ; mais
; car il n’était pas homme à se boucher une oreille, ni à retenir un
récit
qui lui aurait été conté, ce récit eût-il dû cont
ucher une oreille, ni à retenir un récit qui lui aurait été conté, ce
récit
eût-il dû contredire sur quelque point une autre
ie, et peut passer pour une simple politesse. Quoi qu’il en soit, son
récit
, d’autant moins ambitieux qu’il ne le donnait qu’
bataille à laquelle assista Commynes, et rien n’est piquant comme le
récit
qu’il en fait. Jamais homme ne fut moins dupe de
et le plus brillant, décrivait la bataille de Poitiers (1356) dans un
récit
tout à fait épique et grandiose. Rien n’est plus
uerre, en a l’honneur ». L’ironie de Commynes se joue dans ce premier
récit
; c’est cette ironie que nous cherchons, et non l
ent avec l’image de Tibère s’enfermant dans l’île de Caprée ; mais le
récit
de Tacite est d’un caractère à la fois plus atroc
e occasion Commynes ; celui-ci, dans les réflexions qu’il joint à son
récit
, sur la misère des hommes et spécialement des pri
ouis XI, les Mémoires de Commynes perdent sensiblement en intérêt. Le
récit
de la conquête d’Italie, sous Charles VIII, et de
ste en personne, dans le détail des négociations de Venise et dans le
récit
de la bataille de Fornoue. Je ne fais pas la biog
tion gauloise, c’est-à-dire purement française, il tient l’esprit, le
récit
leste et vif, la raillerie subtile et pénétrante,
Taine aussi le secret de la perfection artistique des Fables. Chaque
récit
est composé comme un drame, avec son exposition,
sentimental ; et ce public s’étonne du charme singulier de ces petits
récits
et de ces petites comédies, sans se douter que ce
ntaine l’a faite. La moralité, je veux dire la formule morale dont le
récit
est l’illustration exacte, passe assurément au se
rice du poète, tantôt elle est double, tantôt elle est absente : deux
récits
se juxtaposent pour une seule morale. Souvent le
bsente : deux récits se juxtaposent pour une seule morale. Souvent le
récit
exquis, original, amène une moralité insignifiant
que la morale qu’on peut tirer des Fables, tant des moralités que des
récits
, est une morale épicurienne. L’idéal du poète est
unique, et ne pas le confondre avec la foule de ses réminiscences. Un
récit
exact et simple, circonstancié et fidèle, de cett
? Je le crois, et pourtant, en ce qui est de la véritable Elvire, un
récit
fidèle et simple, où l’homme se souviendrait de t
Ici, dans Raphaël, nous voyons tout d’abord que ce n’est point un tel
récit
que l’auteur prétend nous donner, et que nous dev
. Le voile, dira-t-on, est transparent ; il y a pourtant un voile. Ce
récit
s’intitule : Pages de la vingtième année. En réal
s détails que pour montrer que nous ne pouvons nous attendre, dans ce
récit
en prose, à trouver toute la vérité et la réalité
notre pensée : l’auteur de Raphaël, dans cette partie délicate de son
récit
, a voulu tout nous dire, et il n’a pas osé. Il a
lier), dans presque tous les chapitres ou couplets dont se compose le
récit
, des accents vrais, des touches heureuses et fine
ais tout au moins qu’il fût un écrivain exact, clair et bonhomme. Ses
récits
en seraient beaucoup plus émouvants ; et nous aur
l’air de l’être, ce qui est un grand point. Mais, comme j’ai dit, ces
récits
et ces descriptions sont étrangement dénués de si
c’est ce qui aurait pu, tourné autrement, ajouter à la beauté de son
récit
: ce sont les ressouvenirs de son éducation prote
es morceaux de prêche, très emphatiques et compassés, et qui, dans le
récit
d’une entreprise commandée par des intérêts si év
era l’année suivante le voyage d’Auvergne, et pour qui il rédigera le
récit
des Grands Jours. Ce fut très probablement pour e
avec alternative et comme on assortit des nuances. Il ne commence son
récit
qu’à l’arrivée à Riom, et lorsqu’on est sur la te
s précieuses chez une belle de province ; et tout en notant ce que le
récit
a pour nous de singulier de la part d’un jeune ab
se. Il veut introduire de l’agrément en tout et partout, même dans le
récit
des plus grands crimes. De ces défauts il gardera
ueur, assorti pourtant, et où rien ne jure. Fléchier, en écrivant son
récit
, ne songeait qu’à faire sourire son beau monde au
qu’un : Si on ne leur parle avec honneur, nous dit Fléchier dans son
récit
, et si l’on manque à les saluer civilement, ils e
fait point état de philanthropie, il n’étale rien. Lorsque, dans son
récit
, il en a assez de ces détails sur la question, la
aisible entretien. Il a introduit habilement et ménagé, à travers son
récit
, quatre ou cinq de ces entretiens développés, dan
lustre M. Dongois, rédigea à son retour à Paris, et par curiosité, un
récit
de ce qui s’était passé à Clermont. Ce récit, en
is, et par curiosité, un récit de ce qui s’était passé à Clermont. Ce
récit
, en style de procès-verbal, vient contrôler utile
able un discours tout en contrastes et en concetti. Je le demande, ce
récit
n’est-il pas signé de Fléchier, à chaque ligne, p
ochement. Les honneurs des Grands Jours sont et devaient être dans le
récit
de Fléchier pour M. de Caumartin son Mécène. Par
i sert de préface à son livre, Feuillet nous a fait l’histoire de ces
récits
qu’il reprend en sous-œuvre aujourd’hui. Ce sont,
lus ou moins éclairer le berceau des peuples, ni des ressemblances de
récit
qui attestent les analogies intellectuelles du ge
é à avoir une origine plus obscure et moins savante ; car, en fait de
récits
merveilleux et de légendes, tout ce qui nous vien
de ceux-là qui croient que rien ne vaut, pour un conteur, le premier
récit
, le récit immédiat, cueilli n’importe où, mais en
à qui croient que rien ne vaut, pour un conteur, le premier récit, le
récit
immédiat, cueilli n’importe où, mais en dehors de
e, tout ce qui est dialogue, tout ce qui est tirades, tout ce qui est
récit
, cela pourrait être écrit par de Belloy aussi bie
oici, pour moi, ce qui est intéressant et curieux : Ragotin abonde en
récits
, en narrations, naturellement je dis naturellem
ait un peu le texte de Scarron et que le texte de Scarron est tout en
récits
d’autre part, comme La Fontaine est un narrateu
et égard, il ne s’est pas refusé de traduire en vers quelques-uns des
récits
de Scarron, et ce petit travail que vous pouvez t
. De même La Fontaine traduisait Scarron de la façon suivante. De ces
récits
qui sont très divertissants, je ne vous en citera
cet avocat sans cause Et pourquoi ? » Et Ragotin fait piteusement le
récit
de son équipée. (Il porte un mousqueton suspendu
s tout à fait dans la manière de Molière jeune, de Molière faisant le
récit
de l’Etourdi, par exemple, ou aussi dans la maniè
tourdi, par exemple, ou aussi dans la manière de Corneille faisant le
récit
du Menteur, des vers de récit comiques ; je n’ai
dans la manière de Corneille faisant le récit du Menteur, des vers de
récit
comiques ; je n’ai pas besoin de vous dire qu’un
de vous dire qu’un très grand poète moderne a introduit d’excellents
récits
comiques dans des pièces du reste fort intéressan
s dans des pièces du reste fort intéressantes et même admirables. Ces
récits
comiques étaient tout à fait dans la manière du d
et martyre M. Jules Lemaître a réuni, en un volume, plus de vingt
récits
qui sont autant de morceaux de l’art le plus déli
gres et, de toutes ses forces, il la poussa vers le lion. » Tous les
récits
qui composent le livre de M. Jules Lemaître ne so
otice de M. Gréard n’est pas un éloge de Prévost-Paradol, elle est un
récit
de sa vie pleine de travail, d’honnêteté, elle co
ence, pour tout ! Le cerveau ne travaille pas… Il reste chez lui. Le
récit
n’est pas chargé, le type existe absolument, et c
, comme il le dit dans une courte préface. Bien que ne commençant son
récit
qu’à la Révolution de février, l’auteur remonte p
nt. Qu’on ajoute à cela le grossissement voulu pour le pittoresque du
récit
, et on pourra avoir une idée juste de ce livre éc
de chirurgiens, de médecins, après avoir été leur malade, et c’est du
récit
de ses aventures comme patient et comme aide-bour
etc., etc., et j’arrive à ce passage, exagéré, j’espère, mais dont le
récit
est certainement basé sur des faits constatés. Il
dences d’hommes Confidences d’hommes est le titre d’une suite de
récits
que M. Hugues Le Roux vient de publier ; l’amour
s et qu’ils exigent des femmes toute la vie. » J’ai tenu à donner ce
récit
, dont la naïveté est une des notes les plus carac
ntière bonne foi de l’enfant, qui devait payer d’une vie cloîtrée ses
récits
de la visite divine à la Grotte de Lourdes. Il es
mitié qui s’est établie entre un jeune médecin et sœur Hyacinthe ; le
récit
des premiers jours où ils se sont connus tous deu
ous le montrera au moins un peu plus exact que ses confrères dans ses
récits
de la Guerre de Gascogne et de la campagne d’Écos
lages sont pleins du charme que quatre cents ans peuvent ajouter à un
récit
écrit par un poète comme Froissart. XXXV. Char
mieux faire, pour permettre de les juger, que de reproduire un de ces
récits
; celui-ci a pour titre : « Fin de soleil » : «
ai maintenant un compagnon de nuit ! » N’y a-t-il pas là mieux qu’un
récit
, un apologue ? Combien plus heureuses eussent été
beaucoup d’habileté il a coupé, sans l’interrompre, les pages de son
récit
par des tableaux, des croquis d’après nature de g
de scènes de la vie réelle au Sénégal ; son livre, outre le charme du
récit
, commande l’intérêt par un grand nombre de rensei
comme par le passé, et il fera bien. Lire, pour s’en convaincre, les
récits
exquis intitulés : Baraterie, le Banqueroutier, M
lui qui a donné son titre au livre : la Jambe coupée. L’action de ces
récits
est tellement serrée qu’il est difficile d’en don
qui ait pour moi plus de charme que celle d’un livre qui contient le
récit
d’une existence écrit honnêtement par celui qui l
y trouvera de curieuses remarques et sous la forme de fantaisies, des
récits
voilés, des tableaux pleins d’ombre d’abord, mais
dans le premier, les documents abondent, mais présentés sous forme de
récits
, de traits de mœurs, d’anecdotes, de mots même. J
’intérêt sur le Canada français, ses institutions, après avoir lu les
récits
sur San-Francisco, Sydney, l’Australie en général
ffections, il était ivre aussi en débarquant ! Il y a bien d’autres
récits
que des histoires d’ivrognes dans ce livre, mais
douzaine d’autres qui ne sont pas moins captivantes par le charme du
récit
, l’élégance et la fluidité de la langue que par l
titre n’est pas tout à fait une supercherie, car chacun de ses trente
récits
est une histoire complète, ayant son exposition,
orme légère, sa philosophie. Malgré la diversité des sujets, tous ces
récits
peuvent se ramener à trois thèmes principaux, le
réduit au rôle de conteur et double l’intérêt de sa prose de celui du
récit
. L’anecdote, recueillie au cours de son voyage en
de la folie », c’est : l’Éloge de la haine qu’on pourrait appeler ce
récit
qui a pour titre : « La haine emporte tout. » Je
n vient de publier sous ce titre : Humble amour, il en est deux, deux
récits
bretons, qui m’ont particulièrement frappé. Le pr
r tous les sujets, le fait du jour, une rêverie, une protestation, le
récit
d’une impression, d’une belle action, d’un crime,
philosophique qui semble faite pour donner raison à ma définition. Ce
récit
a pour titre : le Petit squelette ; je l’abrège à
teurs et qui contient, outre des chapitres intimes comme celui-ci, le
récit
de bien des événements, et notamment de l’entrevu
années 1818 et 1848. Le Prince a écrit comme on parle, donnant à ses
récits
un pittoresque et une couleur qui les gravent dan
nfance, j’arrive aux jours qui ont précédé la révolution de 1830 ; le
récit
, fait avec une grande simplicité, est précédé de
l’histoire, quelle que soit l’injustice des hommes. » Reprenant son
récit
, le prince ajoute : « Nous sûmes seulement bient
scaladaient la maison et sa voisine, le café Barfetti. » Le reste du
récit
n’est pas moins captivant. La revue continue, on
trouvaient bien là. Quelques-unes ne devaient plus les revoir. » Les
récits
des campagnes et des voyages du prince de Joinvil
pelle toujours l’inflexibilité du devoir.” » Je passe forcément, les
récits
des funérailles du général Damrémont, le combat d
» À côté de ces graves chapitres, il en est d’autres consacrés aux
récits
des beaux jours d’enfance passés à Neuilly, à ceu
ut dans ce livre, mais quels que soient les faits, les anecdotes, les
récits
qui s’y trouvent, la note dominante est le patrio
(2e série) Ce volume des Mémoires du baron Thiébault comprend le
récit
des événements auxquels a été mêlé le général pen
Salle qui, lui aussi, partage son cœur entre « Bellone et Vénus ». Le
récit
d’une expédition qu’il fait à Vienne avec quelque
t particulièrement intéressante et dramatique ; nous retrouvons là un
récit
du miracle de saint Janvier auquel a assisté Thié
ente ans (de 1820 à 1851). Ce sont surtout les guerres d’Afrique, les
récits
des batailles qui s’y sont livrées, le détail de
; entre bien des traits d’héroïsme, je prends au vol de ma lecture le
récit
suivant : « Les Arabes battirent en retraite, ma
ier Pasquier, publiés par le duc d’Audiffret-Pasquier, est composé du
récit
des événements qui se sont passés de 1814 à 1815,
tée à ce sujet, est du plus haut intérêt. Le volume se termine par le
récit
de l’occupation étrangère, le détail des mouvemen
d on a lu les Mémoires d’une Inconnue. En effet, on y trouve bien des
récits
d’événements, des appréciations d’un intérêt souv
trouve non plus grâce devant elle, et rien n’est plus curieux que le
récit
qu’elle fait de son mariage avec le député Rouzet
argnée. Le point le plus intéressant des Mémoires est certainement le
récit
des événements qui se passaient à la cour de Mura
étion, il faut en convenir, nommant volontiers ses amants. À côté des
récits
des révoltes de Murat, toujours contenu par la pe
dres proportions, vient d’en faciliter la lecture pour tous. C’est le
récit
d’un soldat de belle race qui, comme ses ancêtres
a poitrine du duc d’Enghien. Le commencement du livre est consacré au
récit
des faits qui ont amené l’auteur à embrasser la c
naparte à la chapelle des Tuileries. Je copie cette belle page de son
récit
: « Il traversa la foule entr’ouverte et silenci
la guerre. Il est impossible de contenir son admiration en lisant le
récit
de la façon dont fut conçu le plan d’Austerlitz.
ataille où se confirma encore le génie du grand capitaine, et dont le
récit
, merveilleux de clarté dans l’œuvre de Ségur, don
il monta dessus et s’éloigna au galop. » Tel est, textuellement, le
récit
véridique du baron de Mèneval qui circonstancie,
neval a esquissé, dans des Mémoires qui comprennent trois volumes, le
récit
des grands faits de l’épopée impériale ; mais ce
en est un, fait de jeunesse et d’amour ; il faut lire ces lettres, le
récit
des luttes des-deux amants, luttes désespérées co
— Mémoires Nous trouvons dans la Revue rétrospective un curieux
récit
inédit de la bataille de Fontenoy extrait des Mém
rrible toilette ! Constant a appris de la bouche de madame Tallien le
récit
de sa captivité à La Force : « Elle fut amenée d
qu’aux détails de l’occupation de la France à Rome ; ce sont même les
récits
de ces menus événements qui donnent un caractère
t l’oraison funèbre que l’Empereur crut prononcer sur ma tombe. » Le
récit
de l’action dans laquelle fut frappé le général T
s sont des parties de musique. Dans les trouvères la finesse naïve du
récit
tient la place du talent poétique. Nous analysero
uelques chants malins ou passionnés, mais qui s’égarait dans de longs
récits
. En petits vers de huit syllabes, on faisait des
nte des choses nées en même temps que lui. Joinville, enfin, dans son
récit
trop court, se montre admirateur si sincère de sa
ce noviciat progressif de l’enfer, ne vous semble-t-il pas qu’un tel
récit
, que des récits analogues, partis d’abord de cett
ogressif de l’enfer, ne vous semble-t-il pas qu’un tel récit, que des
récits
analogues, partis d’abord de cette bouche terribl
la langue nationale met de vérité dans la peinture du moyen âge. Les
récits
latins sont menteurs par la forme, à moins qu’ils
lement séparés par la religion, voilà ce que nous étudierons dans les
récits
espagnols, depuis le vieux poëme du Cid jusqu’aux
ique des saints lui en fournit : car il y a telle légende pieuse, tel
récit
miraculeux du moyen âge, qui n’est plus maintenan
’enlevait à son temps, dont cependant il écrivait l’histoire. De tels
récits
, sans doute, laissent à désirer. Historiquement,
ues-uns de ces essais de génie, il faudrait les encadrer dans un long
récit
; il faudrait leur restituer toutes ces circonsta
que le chroniqueur est un moine quelque peu savant, ce sont de vagues
récits
chargés de phrases de Tite-Live. L’intelligence d
ous la tente ; vous sentez mieux cette nature orientale que par aucun
récit
, aucune recherche profonde. J’admets, comme le di
é par les Livres saints, depuis longtemps répandus dans l’Orient. Des
récits
conformes ou faiblement altérés, des allusions fr
es. Non seulement elle eut cette abondance de fictions riantes et de
récits
poétiques, naturels à la jeunesse d’un peuple d’O
des Arabes ! Ce n’est pas tout ; lisez les chroniques du temps et les
récits
des plus graves auteurs, le Speculum historiale d
bientôt après, mourut. Cette mort est obscure, et enveloppée, dans le
récit
original, d’une sorte de terreur magique et presq
re comme l’islamisme à sa naissance ; elle ne se perdait pas en longs
récits
; elle n’en avait pas la patience. Elle était lyr
animaux magiques, de perroquets merveilleux, qui sont les agents d’un
récit
. Une autre analogie me paraît plus spontanée qu’i
n peu plus tard. Nous avons donc été conduits, par le mouvement de ce
récit
, au grand événement où vient se concentrer tout l
a terre sainte, et que l’on ne voyait reparaître nulle part. Selon ce
récit
, le troubadour Blondel, après avoir erré dans bea
paix des monastères. Ils avaient involontairement communiqué à leurs
récits
quelque chose de la quiétude et du calme de la vi
; c’étaient les inquisiteurs qui s’étaient faits historiens. Puis le
récit
des inquisiteurs fut commenté plus tard uniquemen
ise, et le frappa d’anathème ; puis il écrivit à la cour de Rome. Nul
récit
moderne n’atteindrait à la réalité pour peindre c
e Montfort marcha bientôt sur Toulouse. Je ne veux pas entrer dans le
récit
de cette guerre ; elle dura vingt ans. La souvera
es du treizième siècle, des paroles gothiques. Au reste, en lisant le
récit
de cette affreuse guerre, on éprouve une espèce d
tre part, sous l’influence de ces auteurs, de longs poëmes, de grands
récits
, des suites d’ouvrages en vers prosaïques. À cet
sques. D’autres éléments venaient s’y mêler. Un des caractères de ces
récits
, c’est un esprit presque religieux de galanterie,
de du voyage de Charlemagne, par Turpin. Tout est gigantesque dans ce
récit
. Ce n’est plus l’héroïsme des guerriers d’Homère,
trouverez les formes de la chevalerie soigneusement retracées dans un
récit
des croisades. Ces deux choses se touchent. En mê
chevalier par un Français. Sur cette anecdote, le trouvère a fait un
récit
que nous ne donnons pas pour une œuvre de poésie,
ité que vous retrouvez dans la poésie provençale. Combien du reste ce
récit
est une vive peinture du moyen âge, dans une de s
de cette époque. Qu’est-ce que l’ouvrage de Ville-Hardouin ? C’est le
récit
d’une conquête que font par accident des seigneur
sie. C’est à la fois une chronique et un roman de chevalerie. Dans ce
récit
, les tournois paraissent le rendez-vous naturel,
ans les rimes alignées des trouvères. Par la vivacité et la vérité du
récit
il intéresse plus encore. Ce n’est pas un histori
arle et conte ainsi, le charme de vérité n’est plus seulement dans le
récit
tout entier, mais dans chaque mot : l’auteur, le
sont plus qu’une même chose que vous avez devant les yeux. Ouvrez le
récit
de Ville-Hardouin, vous voyez tout d’abord un sai
i grande noise, qu’il semblait que la terre fondît . Ce discours, ce
récit
mettent certainement les choses sous les yeux ave
rapprochement des Grecs et des Francs, opposés et réunis dans un même
récit
. Rien de plus singulier que ce peuple grec de Con
nement de son frère Henri, choisi par les barons français, forment un
récit
plein d’intérêt, que l’on regrette de ne pas voir
ier et malin ; on peut y chercher curieusement l’origine de plus d’un
récit
de Boccace et des autres conteurs italiens ; surt
bliaux sans nombre et sans nom de nos auteurs sont oubliés : quelques
récits
de Boccace et de deux ou trois de ses contemporai
nobles entraves du siècle de Louis XIV, aimait à revenir à ces vieux
récits
gaulois ; il n’en redoutait pas la licence, et en
bien peu de chose. La même recherche pourrait s’appliquer à d’autres
récits
des trouvères ; mais nous ne nous perdrons pas da
devant le public, a rassemblé de curieuses citations qui tiennent aux
récits
des faits par la peinture des mœurs. Pour nous, i
ue ; nul merveilleux, nulle circonstance extraordinaire ne se mêle au
récit
: tout est dans la peinture des sentiments et des
t : tout est dans la peinture des sentiments et des mœurs, et dans le
récit
d’une vengeance atroce, qui paraît authentique. C
expressions plus modernes, mais équivalentes. Toutefois le charme du
récit
, la fidèle expression du costume, font lire cette
certaines nuances de pathétique qu’il sait répandre avec art sur son
récit
. Souvent la passion du châtelain de Coucy, je dir
e l’esprit distinctes des beautés du style qui se font sentir dans le
récit
des trouvères ; c’est une sorte d’enjouement et d
ans la simplicité, pour ainsi dire, technique, de quelques parties du
récit
. De nos jours, un poëte d’un rare talent, et dont
À ces savantes créations du talent, il serait curieux de comparer des
récits
presque officiels de tournois, écrits en vers for
’éperon, plus vite qu’oiseau vole à sa proie, etc. Je n’achève pas ce
récit
; vous vous figurez sans peine le prix de cette p
: c’était une guerre personnelle. Quant à l’enjouement et aux libres
récits
des romanciers, on n’y mit nul obstacle ; et les
asse un chaque année, depuis deux siècles. Dans l’ordre des temps, le
récit
de Joinville est le premier monument de génie en
gaieté, supportée ou plutôt animée par saint Louis, se répand sur le
récit
, et l’anime de ce tour d’esprit que La Fontaine a
versions en prose que l’on en fit dans les siècles suivants ; car ces
récits
n’y perdent rien ; et l’on peut étudier, de cette
ut entière dans les premiers poëtes anglais ; elle se mêle aux libres
récits
de Chaucer ; elle remplit le poëme savamment trav
ibrement des prêtres et des moines, il y avait de pieux fabliaux, des
récits
édifiants et comiques, où d’ordinaire le diable é
une littérature, imitée par les autres nations. Source principale des
récits
chevaleresques, la France était de plus une sorte
e, les livres remplis des actions des Grecs et des Romains, les longs
récits
d’Artus, et beaucoup d’autres ouvrages d’histoire
rps n’avaient plus qu’une apparence de vie animée par les démons. Ces
récits
terribles faisaient fuir les Florentins à l’appro
ique. Cette idée d’un homme qui chante pour les autres hommes un long
récit
de faits merveilleux, cette idée, si elle n’est q
s, le Purgatoire et l’Enfer ; cet ouvrage est la Vita nuova. C’est un
récit
d’amour ; c’est la confession d’un poëte, et non
ce qui le montre sous le joug de la fantaisie poétique, c’est un long
récit
dont je ne veux rien retrancher : tant les expres
ouerai souvent de toi à lui.” Alors elle se tut. » Virgile achève ce
récit
, où figurent encore deux femmes mystérieuses, une
ce. C’est un des admirables passages du poëme. Le Dante en plaçant ce
récit
dans la bouche d’un bienheureux, le premier de se
oulez-vous connaître la cérémonie de son couronnement ? Nous avons le
récit
d’un contemporain, habitant de la ville. Au temp
originale des physionomies italiennes ; elle paraît avec les premiers
récits
en langue vulgaire ; elle y est vive et complète.
même pas à Froissart, qui a tant de supériorité et de charme dans ses
récits
. Au contraire, dès que vous avez des historiens e
utant que je le pourrais, de rechercher, de découvrir et de suivre le
récit
des événements passés, présents et futurs. Et ain
ous paraît un peu nu. Tâchons cependant de saisir le caractère de ses
récits
: choisissons un événement remarquable, l’oppress
s Gibelins, s’empara du pouvoir absolu. Vous ne trouverez pas dans ce
récit
l’indignation républicaine des écrivains antiques
le setier, ce qui mécontenta le petit peuple. » Villani continue ce
récit
des griefs de Florence contre son nouveau maître
re côté de l’eau se perdait, de tenir bravement sur cette rive. » Ce
récit
, où une citation de Lucain succède à un proverbe
plus originales du moyen âge ; elle se trouve incidemment mêlée à nos
récits
: c’est Jeanne de Naples. Vous croyez peut-être,
urs souvenir de Paris ; et il y fait de fréquentes allusions dans ses
récits
. Mais Paris, sale, mal bâti, ne pouvait l’inspire
e petite société, qui, dans la plus charmante retraite, s’égaye à des
récits
d’amour. Je reconnais là cette vie de Naples. Boc
. Un savant littérateur a nié le défaut que j’accuse ; il dit que les
récits
du Décaméron ne forment pas toujours un si étrang
e élégance, cette harmonie se retrouvent dans les descriptions et les
récits
de Boccace. C’est son langage naturel, toutes les
upprimer des histoires, à remplacer des mots, à couper la moitié d’un
récit
. Il en résulta une édition solennellement publiée
mœurs qui fait partie de l’histoire. Si l’on songe que plus tard des
récits
semblables se sont trouvés sous la plume et sous
fait contemporains du Cid. Le poëme du Cid, qui, par la simplicité du
récit
et par la barbarie gothique du langage, paraît pl
x écuyers musulmans qui furent les premiers historiens de sa vie. Ces
récits
furent répétés et traduits. Telle est l’origine v
de du Cid fut bonne et complète. » Le poëte chroniqueur continue son
récit
avec la même exactitude minutieuse : « Mon Cid p
oins que chez les autres nations romanes, les longs poëmes, les longs
récits
chevaleresques et les fabliaux. Ce n’est qu’au so
dans un passé déjà lointain, nos héros véritables ne servaient pas au
récit
de nos trouvères. Les personnages de tous ces rom
e rend curieuse et pensive. Je veux que moi et toi nous composions un
récit
. — Signora, dit le moine, je sais bien que la tri
fflictions ; car je suis glorifiée.” » La Vierge alors commence son
récit
: c’est la Passion racontée, non plus par un disc
d’autres circonstances, la même forme que le Dolopathos, une suite de
récits
divers, pour éclairer l’esprit d’un prince. C’est
gne avait changé, pour être parvenue de ses traditions chantées à des
récits
graves, impartiaux, politiques. Les temps qu’il d
satisfaisant par la clarté, rien de plus net et de plus ferme que ses
récits
. On peut les opposer aux chroniques de Villani, e
ct, expressif, nourri de faits et de détails ; chez lui, la beauté du
récit
consiste dans une simplicité qui ne permet aucun
mmes passionnés, dans un temps encore barbare. Cette insensibilité du
récit
tient à ces fibres grossières du moyen âge, qui n
racontait les crimes que dans celui qui les avait faits. Cependant le
récit
même d’Ayala, sans exprimer l’émotion de l’écriva
n cadavre de dessous les pieds des taureaux. Du reste, comme ce court
récit
est complet dans son horreur ! Cette absolution d
, ses crimes et ses fêtes. D’autres faits caractéristiques sortent du
récit
d’Ayala. Ainsi vous disserteriez beaucoup pour sa
été tenté » ; et sur chaque crime, il lui donne un conseil. Après ce
récit
, l’historien continue à raconter toutes les cruau
e, d’autres blessures. Quelle était l’émotion de l’historien dans ce
récit
terrible ? Il continue par ces mots : « Et là mou
rance, la vivacité du coloris, l’enjouement de l’imagination anime le
récit
historique ; Froissart a commencé d’écrire. Quel
t cependant son histoire et ses poésies ne sont, comme il le dit, que
récits
de guerre et d’amour. Il faut prendre le quatorzi
e année. On a soupçonné Froissart d’avoir fait des variantes dans ses
récits
. On a dit que, changeant de maître, allant d’une
V, les malheurs et l’égarement de Charles VI. Autour de ce centre de
récit
, premier objet de l’historien, venaient se réunir
stématique ; la préoccupation de l’historien devenant la règle de son
récit
. Quelquefois d’heureux contrastes, d’adroites tra
par ruse, enfin, tout ce qui s’est passé. Froissart met cela dans son
récit
, avec tout le dialogue. Quand on lit Hérodote, on
tercale dans ses chroniques son voyage de Blois à Orthez, et tous les
récits
que lui fait le chevalier. « En chevauchant le g
faits et des circonstances ; ils sont obligés de les exposer dans un
récit
bien long, ou de les résumer en réflexions abstra
les résumer en réflexions abstraites. Froissart ne suspend jamais le
récit
; mais il, change de narrateur : tantôt c’est lui
un interlocuteur ; et la vivacité de l’entretien ajoute une nuance au
récit
et pique l’attention du lecteur. Conter est tout
: du reste, leurs maisons étaient bonnes à prendre. Mais écoutons le
récit
de Froissart, admirable, à cette nuance près. «
urope, et l’argent que cela lui coûtait. Froissart, endoctriné par le
récit
de l’écuyer, soupçonne seulement que le comte Gas
e. Heureusement, de ces contes à dormir debout, Froissart passe à des
récits
de la plus expressive vérité. J’ai cité la mort d
ment durer et vivre, et en telle fortune persévérer. » Dans certains
récits
de bataille, dans le récit de la bataille de Créc
elle fortune persévérer. » Dans certains récits de bataille, dans le
récit
de la bataille de Crécy, Froissart est véritablem
eresque se répandre, s’étendre à toutes les classes du peuple, et les
récits
d’aventures, les romans, se multiplier dans la la
de Grisélidis, si bien racontée par Boccace. Il en met à son tour le
récit
dans la bouche d’un clerc d’Oxford, avec un prolo
ppose pas, comme l’a fait Boccace, avec une insouciance immorale, des
récits
amoureux, au milieu d’une peste ; il rassemble à
pas. Il accumule les enchantements et les prodiges. Mais au milieu du
récit
, lorsqu’il avait déjà tué grand nombre de-géants,
rouve plus intelligibles, et non moins naturels. Dans la foule de ces
récits
, il en est un, peu connu, je crois, et le plus in
ort différent, dont je dois dire aussi quelques mots. Ce n’est pas un
récit
chevaleresque ; c’est à la fois un roman de mœurs
avaient fait en France au quinzième siècle, offre la perfection d’un
récit
à la fois judicieux et naïf. Au talent de conter
tion de fripon vaut pour lui probité. Je dis, messieurs, qu’un pareil
récit
est trois et quatre fois historique, et m’apprend
détache les nœuds ; je suis délivré. Il introduit çà et là de petits
récits
; je me sens attiré. Il module des vers ; je suis
en même temps qu’elle, subi jadis la conquête romaine. À travers les
récits
malheureusement mutilés des Latins, nous voyons q
onde, il médite sur les ouvrages géographiques des anciens et sur les
récits
de quelques voyageurs du moyen âge ; il étudie Pt
ions que les croisades avaient fait arriver en Occident ; de quelques
récits
hyperboliques et menteurs des cosmographes arabes
e don Pèdre, de l’époux de la malheureuse Inès. En Portugal, c’est un
récit
populaire que jadis régnait Alphonse, prince sévè
le souvenir d’Inès. Il n’y a rien de tel dans le vieil historien. Son
récit
, sans cette terreur théâtrale, n’en est pas moins
rt. Cette cérémonie n’en est pas moins imposante et tragique, dans le
récit
de Fernand Lopez. Elle est racontée après plusieu
un agréable office. » Voilà, messieurs, les fidèles et épouvantables
récits
de Fernand Lopez : on y voit à nu la férocité du
ce genre de composition, s’appelait Marcias. Sa vie est elle-même un
récit
amoureux. Attaché à la cour, ami du marquis de Vi
e Ceylan, les rivages de Mosambique, la presqu’île du Gange. Dans les
récits
de leurs historiens éclatent tous les trésors, to
hui, romantique. Le peintre de Conrad et de Médora désavouerait-il ce
récit
, que Ribeiro met dans la bouche d’une jeune fille
rer les bénédictions » de Dieu, sur soi, sa femme et ses enfants. Son
récit
a pour nous un double intérêt : il embrasse l’his
lui étaient fort attachés. Muntaner fait très bien concevoir par ses
récits
la cause de cette vive affection. Les libertés mu
naïveté de mœurs, cette vive peinture que l’on cherche dans les vieux
récits
, ne se trouvent point là. Ce n’est ni Froissart,
ent point là. Ce n’est ni Froissart, ni même Ramon Muntaner. C’est un
récit
tout roide et tout solennel. Ces chroniqueurs éta
iques en langue vulgaire, l’unité du style et des faits, manque à ces
récits
trop ornés. La pompe uniforme des chroniques lati
licité des romances du Cid, et dans la simplicité austère des anciens
récits
d’Ayala. Rien n’est plus éloigné de l’enflure et
prince, la froideur d’Isabelle, les perfidies de la cour. Écoutez son
récit
, dont la fin ressemble à un délire fébrile traver
ouvrages, en plus grand nombre qu’on ne croit. Le Dante rappelle des
récits
en prose du troubadour Arnold Daniel : Versi d’a
e le moraliste aille en droite ligne vers la conclusion, et abrège le
récit
pour s’arrêter dans la maxime ; le poëte suivra a
avec complaisance la ligne onduleuse de la passion, et développera le
récit
en s’attardant autour des détails vrais. Aussi La
le qui produit partout la vie poétique. Vous allez la suivre dans les
récits
, les descriptions et les discours. Elle porte sa
et elle resta morte. » La Fontaine n’ajoute rien et met seulement le
récit
en dialogue ; on va voir la différence.
nécessaire et de l’inutile ? Une chose toute-puissante, le but. Tout
récit
, tout discours, toute description, tout ensemble
e but. Tout récit, tout discours, toute description, tout ensemble de
récits
, de descriptions et de discours, concourt à un ef
s détails. Vous allez trouver cette vertu moyenne tour à tour dans le
récit
, dans la description, dans le discours et dans l’
e discours et dans l’ensemble. La fable du bûcheron la montre dans le
récit
. Celui d’Esope est inanimé. Ces tristes fables d’
ce de l’imagination qui déborde et se répand de tous côtés et noie le
récit
, troublée, emportée, ruisselante ! C’est justemen
à revendre. Ce dernier trait est d’un paysan et manque dans l’autre
récit
. Au fond la plainte de Rabelais est exagérée et t
i ; le petit vers bref, les mots plaisants qui vont venir allègent le
récit
, le font courir ; il ne faut pas tant appuyer sur
poëme d’une simple matière, ce qu’il a dû changer pour accommoder le
récit
à la morale, combien de fois il a fallu créer de
lpay veut ouvrir son drame d’une façon naturelle, il se perd dans des
récits
sans fin, et souvent détruit d’avance sa morale.
t d’abord il est frappé du « portrait fidèle » par lequel commence le
récit
. « Il avait le visage petit et basané, de grosses
, et un troisième, « Fuentes d’Onoro », contiennent principalement le
récit
de Pexpédition de Masséna en Portugal (1810-1811)
niers volumes, et je me suis remis par là trop avant dans le train du
récit
et dans le procédé de l’historien pour n’en pas d
re et les idées des principaux chefs consultés par Masséna : c’est un
récit
des plus piquants, et qu’il n’eût tenu qu’à l’his
comme toutes les pages de M. Thiers, font mieux dans le cours même du
récit
. Une publication récente, celle des Mémoires du r
s pages, mais des volumes tout entiers, et à fournir un long cours de
récit
, on ne se laisse pas trop aller à ces bonnes fort
cter est venu, il épanche une dernière fois et tout d’une haleine son
récit
facile, naturel, explicatif, développé, imposant
ination ; ce ne sont que journées pénibles : cependant il n’est aucun
récit
plus attachant et plus instructif dans toute l’Hi
re en soi une idée de nécessité qui subjugue ; dans l’entraînement du
récit
on a peine à concevoir que les événements aient p
, le lecteur n’aurait qu’à se laisser aller de toute sa conviction au
récit
, et à reposer son intelligence dans le spectacle
atrice toute-puissante des événements, la mêler à chaque ligne de ses
récits
, et les pénétrer, les vivifier tout entiers de ce
; mais qu’il eût été moins incorrect et négligé, loin de distraire du
récit
, il l’eût mieux fait ressortir encore : la pensée
« Henri, répond Froissart, à qui l’eau est venue à la bouche d’un tel
récit
, je le crois bien et voudrois qu’il m’eût coûté d
de son époque, Froissart, qui, en son genre, est aussi clair dans son
récit
de la bataille de Poitiers que tel moderne peut l
à la fois brillant et senti. L’art du narrateur a été, dans ce vaste
récit
, tout en ne sacrifiant rien de l’action principal
nd talent de composition sans qu’il y paraisse. Il entrelace tous ses
récits
et les retrouve quand il le veut. Chaque chose et
a tête : Jean Chandos l’arrête à temps. Froissart, dans sa netteté de
récit
, n’oublie rien. Je l’ai dit, toutes ces parties e
tient à ne rien omettre, et c’est difficile. Il s’engage donc dans le
récit
de quelques particularités singulières qui eurent
e semble comme négligemment touchée dans les paroles qui concluent le
récit
, et, qu’il l’ait eue ou non, il met le lecteur à
ellence le fait des chevaliers et gentilshommes, il a montré dans ses
récits
des affaires et des troubles de Flandre qu’il n’e
n rend compte. Cela est surtout vrai pour Poitiers : c’est le premier
récit
de bataille, tout à fait développé. (Voir le père
28 avril 1827. Dans ces deux volumes nouveaux, M. Thiers continue le
récit
de la Révolution depuis le 9 thermidor et le pour
i de rien de ce qui honore une nation. Telle qu’elle se peint dans le
récit
de l’historien, la seconde moitié de la Conventio
e, M. Thiers en fait jaillir autant d’instruction que d’intérêt ; son
récit
est à la fois un drame et une leçon, sans jamais
cit est à la fois un drame et une leçon, sans jamais cesser d’être un
récit
, tant il a su y mettre de compassion et d’imparti
u’on partage et à sentir un cœur d’homme palpiter sous ces attachants
récits
. Nous continuerons dans un prochain article l’exa
nter, que lorsqu’on les entendoit déclamer, a donné lieu à mettre des
récits
en musique dans les spectacles, et l’on en est ve
ramatique en entier. Voilà nos opera. Il est donc une verité dans les
récits
des opera, et cette verité consiste dans l’imitat
auroient produit de ces effets qui nous paroissoient fabuleux dans le
récit
des auteurs anciens, si l’on les avoit fait enten
e des cantates et des sonates des italiens avec les symphonies et les
récits
de Lulli, s’il les eut connus, lorsqu’il écrivit
cieux, et il leur suffit qu’ils expriment en passant quelques mots du
récit
. Le nombre des musiciens qui se conforment à ce g
limite puisse être clairement tracée entre les ensemble ! qui forment
récit
. Ainsi se marquent les grandes scènes guerrières
ier qui est devenu l’ambulance ; d’autres tableaux apparaissent et le
récit
de cette grandiose rencontre de deux peuples se d
tures, ne se propose plus ouvertement pour but de les révéler par des
récits
et des scènes inventés à une plus parfaite imitat
tières, de décrire peu à peu par une lente accumulation de scènes, de
récits
et d’indications, toute l’évolution vitale, en se
idents toujours renouvelés et produits non tant par la marche même du
récit
, que par le besoin où est l’auteur, où ils sont p
rt, ils ne peuvent ni être ordonnés en série comme les incidents d’un
récit
unipersonnel, ni résumés, par rapports de dépenda
é d’images, d’actes et d’âmes qui le hante, à traiter négligemment le
récit
, les descriptions, les expositions successives, l
se jette à genoux sous la sombre masse roulante d’un wagon ; — ou au
récit
des pensées de Lévine après cette conversation av
nt. Par ces procédés d’un art imparfait et ramassé, les scènes et les
récits
, les épisodes, les digressions, les crises de pen
satellites, de connaissances, se poursuivent à travers de grandioses
récits
de batailles, de négociations, d’entrevues, dans
la permanence indélébile des individus, ils sont À chaque tournant du
récit
montrés autres et mêmes avec une si incontestable
ou de Nicolas Rostow avec Denissow ; la vérité sans embellissement du
récit
est la même et provoque de cordiales adhésions. E
un paysan, qu’il faut vivre pour autrui ; que l’on relise la série de
récits
moraux, publiés sous le titre : La Recherche du B
popée grandiose et par bonheur acquise de La Guerre et la Paix, à des
récits
comme Le Tilleul, à des moralités puissantes enco
écut assez pour être une des belles indignées qui se vengèrent par un
récit
où elles mirent leur âme. Le sien a des caractère
de Tourzel. Oh ! cette dernière relation (Souvenirs de quarante ans,
récits
d’une dame de Mme la dauphine) est bien touchante
eurs esprits ont porté de ce déplorable prince ; Ainsi, il résulte du
récit
de Mme Elliott que ce soir du 12 juillet, en arri
ns la gueule du monstre et en pleine fournaise. Il faut voir dans ses
récits
la suite de ses effrois et de ses stratagèmes de
Champcenetz, frère aîné de l’aimable mauvais sujet, fait dans tout ce
récit
, on en conviendra, une assez triste figure. Vous
n montra d’abord inconsolable. Mais, on le sent, on le devine dans le
récit
de Mme Elliott, ces réunions même les plus menacé
’autorité pour elles que celle de l’éditeur anglais qui a continué le
récit
: nous aurions besoin, pour nous y arrêter, que M
d’hui avec l’érudition d’hier. » Le fait est qu’en lisant de suite ce
récit
de Duclos, on n’est point intéressé, on n’entre p
règne de Charles VII, sont résumées chez Duclos aux mêmes endroits du
récit
, et presque dans les mêmes termes que l’a fait l’
nge qu’à raconter fidèlement et non à peindre, se trouve présenter un
récit
qui a plus de corps et de substance, et qui est n
pour douze cents écus. La ville de Tartas, etc. » Et il poursuit son
récit
sur d’autres points. Qui ne voit (sans compter le
imitations et les emprunts que nous allons signaler, on sent dans le
récit
de Duclos une vive impression personnelle, qui y
ue fait Duclos ? Ne trouvant pas, apparemment, assez de vivacité à ce
récit
de Saint-Simon et à ce discours indirect, il le m
ant au roi, avoir une pointe de jurement comme dans un café. Voici ce
récit
, refait par Duclos d’après Saint-Simon : Sire, l
r entre une jeune personne et Louis XIV. Duclos, dans la suite de son
récit
, ne quitte Saint-Simon, ou plutôt n’est abandonné
c d’Anguien qu’on nous présente, nous sommes un peu fâchés de voir le
récit
d’une partie de la guerre de Trente ans tourner a
urs passages du livre. Lorsque M. le duc d’Aumale lut à l’Académie le
récit
de la bataille de Rocroy, l’auditoire fut travers
J’ai lu, pour ma part, avec une sorte d’admiration mêlée de pitié ce
récit
de l’éducation d’un prince. A peine né, son père
ncipal honneur de la journée : il est impossible d’en douter après le
récit
de M. le duc d’Aumale. Dans ce récit fort bien fa
impossible d’en douter après le récit de M. le duc d’Aumale. Dans ce
récit
fort bien fait, très clair, malgré la multiplicit
llonne, Anguien », etc. Rien de plus. Je recueille, à travers le long
récit
de M. le duc d’Aumale, les quelques phrases qui c
t retrancher toutes les phrases où celui-ci est nommé sans enlever au
récit
rien d’essentiel. Ainsi, pour M. le duc d’Aumale,
dans la narration de M. le duc d’Aumale : or, avant de commencer son
récit
, M. le duc d’Aumale nous fait un portrait de Gass
mestiques du duc de Bourgogne avaient égayé l’exil du Dauphin par des
récits
imités de Boccace ou du Pogge. Un auteur ou rédac
détails piquants, la langue facile et claire c’est toujours ce don du
récit
, qui, dans les lettres, est tout le génie de nos
ères. Mais il manque à ce recueil ce qui fait le principal mérite des
récits
qui touchent au licencieux, je veux dire la grâce
que historiette de galanterie. Chaque personnage paye son tribut. Les
récits
sont suivis d’entretiens auxquels toute la compag
rience, dame Oysille, est l’âme de la réunion. Elle règle l’ordre des
récits
, elle discute les points délicats, elle décide le
ent par le don d’exprimer leurs pensées avec esprit. Pour le fond des
récits
, comme pour l’arrangement, Marguerite cherche vis
, ce qui lui arrive trop souvent, et qu’elle ne fait que tirer de ces
récits
des leçons de conduite mondaine, rien de plus neu
d’autant plus malin beaucoup de bonté au fond, dame Oysille, après un
récit
où figure deux cordeliers libertins, s’écrie : «
cette année-ci (1920) aura fait relire quelques-uns de ses vigoureux
récits
: Colomba, Carmen, la Double Méprise, Tamango, la
es raisons qui l’ont fait y exceller, son originalité dans ces courts
récits
, et ses limites. II C’est un lieu commun de
puissance de repliement qui avait comme préparé Mérimée à cet art du
récit
ramassé, musclé, râblé, le rendait incapable du l
Mérimée. C’était sa réaction de défense et c’est leur force. Tous ces
récits
sont tragiques. Colomba, c’est l’histoire d’un me
ousie, la Navarre, la Corse, la Grèce, l’Asie Mineure. Place-t-il son
récit
dans un milieu plus raffiné, il manque rarement d
roxysme. Cette disposition d’esprit permet de comprendre pourquoi les
récits
de ce Mérimée, que nous savons avoir été ironique
e dans le souci, constant chez cet idéologue, d’éviter dans ces mêmes
récits
toute idéologie, conséquent en cela encore avec s
ontinue, l’a mené à une perfection de technique, grâce à laquelle ses
récits
, composés pour la plupart avant 1840, ont gardé d
adage : « Excelle et tu vivras. » À étudier de près la facture de ces
récits
, on discerne quel travail critique a contrôlé leu
, dans l’Enlèvement de la redoute. C’est une façon de familiariser le
récit
, déjà indiquée par cet autre artiste si réfléchi
de Waterloo ne s’y trouvait pas, la Chartreuse de Parme. Ce sont des
récits
par allusions. L’histoire racontée est bien une h
s nette de notre tradition nationale. Cette question du style dans le
récit
est d’ailleurs de celles dont il faut dire le :
ue et intensément sensitif. Rappelez-vous, pour ne citer qu’un de ses
récits
, la fable du Rouge et le Noir. Vous y trouverez t
n lui. Il y a de tout dans cette histoire, qui est, comme on sait, le
récit
de la maladie d’un vieux musicien collectionneur,
ant d’eux la défiance… » Vous tournez le feuillet, vous rencontrez le
récit
de la fondation d’un théâtre à Paris qui résume e
Saint-Hilaire. Il met ces noms ensemble, sans hésiter. Dans tous ses
récits
ces deux éléments contradictoires : la frénésie d
ne conviction sur l’art du roman, il ne songea plus qu’à composer ses
récits
d’après ce Credo, celui-là même dont Balzac avait
que l’ont pratiqué un Aloysius Bertrand ou un Baudelaire, figerait le
récit
et détruirait radicalement la crédibilité, condit
rien ! La destinée a fait tomber la plume des mains du romancier : le
récit
commencé en chef-d’œuvre s’arrête brusquement.
rop bas, ni trop inférieur, ni trop rare, — et à cause de cela que le
récit
prend aussitôt une valeur irrésistible d’humanité
art il n’a manifesté cette préoccupation plus que dans le dernier des
récits
qu’il ait publiés : Notre Cœur. Dans ce livre d’u
réserves. Il lui reprochait un style trop écrit, une facture dans le
récit
trop différente de la sensibilité des gens mis en
voici que les anciennes formules s’abolissent et qu’un type inédit de
récit
se manifeste. Je voudrais dire à quelle tradition
reine Pédauque et les Dieux ont soif, de M. Anatole France, sont des
récits
établis aussi sur des documents. Mais le dix-huit
et tragique aventure, rien n’est resté que des noms, répétés dans des
récits
tout mêlés d’admiration et de terreur, de railler
tout mêlés d’admiration et de terreur, de raillerie et de pitié. Ces
récits
, M. Barrès, toujours hanté par son désir de pénét
xemple ne sauraient figurer dans un roman ou sur la scène sans que le
récit
ou le drame rendent un son faux. Nous touchons le
nner de ce livre une analyse qui serait forcément incomplète, tant le
récit
est riche d’épisodes, mais pour formuler derechef
le romanesque amour de sa Mme de Clèves, elle eut soin de placer son
récit
à la cour de Henri II, de ce roi sentimental que
les Misérables évoluent si bien dans la France du dix-neuvième que le
récit
de la bataille de Waterloo et le portrait du roi
e laisse réduire par une servante-maîtresse. La portion historique du
récit
recule à l’arrière du tableau. Elle occupe le pre
ar conséquent du dix-septième siècle, que M. Louis Bertrand situe son
récit
. Une douloureuse tragédie d’amour en est le nœud
e révélation nous donne un document de premier ordre sur l’éveil d’un
récit
épique dans l’imagination d’un romancier de race.
égende orale qui le produit, non moins nécessairement. Ainsi pour les
récits
de Scott, ainsi pour ce chef-d’œuvre de Barbey d’
i dit plus haut, la France et l’Espagne, en face l’une de l’autre. Le
récit
des amours d’Inès de Llar et du lieutenant du roi
stes par la seule suggestion de sa personnalité. Peu d’événements, un
récit
uni, j’allais dire terre à terre, et c’était un p
at faisait le thème de l’Appel des armes. Elle fait aussi celui de ce
récit
posthume auquel son auteur avait donné ce titre é
aphique ; l’autre, — et c’est celle que l’on va lire, — sous forme de
récit
objectif. Le titre s’éclaire par les deux versets
ticularité qu’il faut comprendre pour bien entrer dans l’esprit de ce
récit
. Déjà, dans l’Appel des armes, il était parlé de
déjà cité. Pourquoi le Voyage ? Parce que ce livre est réellement le
récit
d’un voyage, le journal, étapes par étapes, d’une
s. Nous ignorerions tout de sa personne que nous dirions encore de ce
récit
qu’il est vrai. Il emporte avec lui cette crédibi
de la prière, se rejoignent, s’unissent. Souvenez-vous maintenant des
récits
que nous font ceux qui reviennent, en ce mois de
t agissante. On a depuis longtemps remarqué, non sans ironie, que les
récits
consacrés aux épisodes galants ou tragiques de la
i aient, comme le génial Dumas, conté pour conter. Le plus souvent le
récit
leur a été une occasion à faire des études de mœu
lus qualifié, car il en connaît la technique. Il sait démêler dans un
récit
toutes sortes de détails de facture qui échappent
nel se rend compte aussi de cette autre vertu non moins nécessaire au
récit
, la transcription du temps. La durée, c’est, pour
s précisément la réalité. Le romancier se rend compte aussi devant un
récit
de ce qu’il vaut comme qualité typique. C’est une
nson. Pourquoi ne pas reconnaître que l’insuffisance de ces puissants
récits
est justement dans ce défaut d’ordonnance ? Nous
’est une vertu nationale, à ne jamais sacrifier. Quand on examine les
récits
des romanciers nouveaux, on voit qu’ils se laisse
isez les comptes rendus des séances de la Convention ou simplement le
récit
de la nuit du 4 Août. — Spasmodique, c’est la réa
ann, d’un Werther, d’un Édouard. Je prends au hasard quelques-uns des
récits
mentionnés dans la préface de Joseph Delorme. Pén
plus sévères détracteurs de la monarchie de Juillet n’ont pu lire le
récit
que M. Thureau-Dangin a fait de sa grandeur et de
cette activité. Une valeur d’enseignement général se dégagera du seul
récit
de cette vie. Commencer par l’humble besogne prof
. Ce que fut pour vous, Monsieur, le souvenir de Lauze de Perret, les
récits
de M. de Mâcon le furent pour le général Langlois
uillaume II à Donchery25 I Je lis dans un journal italien un
récit
bien significatif, celui d’une visite faite par G
de service de l’auteur de Verdun sont la meilleure des préfaces à ce
récit
. Ils en garantissent la sincérité. C’est le cas d
uels hommes ! » IV Ce Verdun, auquel j’arrive enfin, abonde en
récits
pareils. Dans un projet de dédicace à ses générau
cœur. Cette suite de chapitres détachés, sans transition, donne à ce
récit
un halètement qui enfièvre. Aujourd’hui le secteu
e Verdun, il tenait à ses officiers le discours par lequel s’ouvre ce
récit
: « Messieurs, Verdun est menacé. Vous êtes à Ver
trait juste, celui qui suffit, et il s’y borne. S’il y eut jamais un
récit
improvisé d’après nature, c’est celui-là, et il e
fesse dix fois lui-même avec un esprit plus hautain que juste dans le
récit
et dans la discussion du Concordat. Il le raconte
celui qui voit tout s’intéresse à tout. On ne peut reprendre dans ce
récit
de quelques mois de paix que deux ou trois jugeme
loient à la tribune ou dans le journalisme, elle est déplacée dans le
récit
. Il n’y eut jamais, en réalité, deux esprits plus
gens ; entre Grotius et Tacite il y a la différence d’un traité à un
récit
. M. Thiers fait trop souvent un traité de son his
e meurtre de sang-froid plus impardonnable à l’histoire. XVI Le
récit
du jugement nocturne de Vincennes par M. Thiers e
ictime était sous le feu des juges !… Nous ne saurions trop blâmer ce
récit
, aussi infidèle qu’insensible, de l’acte le plus
avec le caractère de son héros. Nous ne saurions trop le répéter : le
récit
est admirable, mais un récit doit faire penser. P
s. Nous ne saurions trop le répéter : le récit est admirable, mais un
récit
doit faire penser. Pour qu’un tel livre fût parfa
it faire penser. Pour qu’un tel livre fût parfait, il faudrait que le
récit
fût écrit par M. Thiers et que la moralité du réc
l faudrait que le récit fût écrit par M. Thiers et que la moralité du
récit
fût écrite par Bossuet. XXIII Le vingt et u
, le lendemain, pour traiter d’une suspension d’armes, ce sont là des
récits
qui dureront autant que l’histoire. D’autres en o
e premier des compositeurs. Lisez ces quelques lignes jetées après le
récit
si animé de la bataille d’Austerlitz sur l’entrev
lexion vide, tardive ou prématurée, selon nous, à la fin d’un si beau
récit
; car, s’il a applaudi au dix-huit brumaire, pour
xplique les grands événements qui font la matière de son histoire. Le
récit
des guerres médiques n’est-il pas une sorte de po
langage d’une prose sévère aussi bien dans ses harangues que dans ses
récits
. C’est un politique expliquant tous les faits qu’
ques elles-mêmes des faits racontés. Il est bien vrai qu’il ouvre son
récit
par une fort belle description géographique et et
Thucydide ; il mêle à chaque instant la morale à l’histoire, leçon au
récit
, à tel point que Quintilien croit devoir le class
s ou moins historiques, en ce sens qu’il fait constamment tourner son
récit
à l’enseignement moral. Cela n’est pas seulement
s dix mille, dans les Républiques de Sparte et d’Athènes. Ici plus de
récits
pour l’imagination et la curiosité, comme chez Hé
nt point à cet égard une autre méthode que les Grecs. Sans parler des
récits
fabuleux sur les origines de Rome, auxquels il n’
times ? Cæsarem vehis . C’est par le caractère tout personnel de ses
récits
que le livre de Plutarque peut être considéré com
aconter l’histoire. L’histoire narrative elle-même l’emploie dans ses
récits
et ses tableaux. L’ouvrage de M. Henri Martin, so
ement ils y sont fondus, comme il convient au genre, dans la trame du
récit
et dans l’unité de la composition. Et cette même
ophie de cette histoire ; elle n’a rien de commun avec les classiques
récits
de l’antiquité. On le voit bien dans le récit que
un avec les classiques récits de l’antiquité. On le voit bien dans le
récit
que nous a fait M. Michelet de la nuit du 4 août.
, et, à part quelques minuties, fruit de l’imagination rabbinique, le
récit
des évangiles répond trait pour trait à la procéd
ce et refusa d’expliquer la parole incriminée. S’il faut en croire un
récit
, le grand-prêtre alors l’aurait adjuré de dire s’
les, mais dont la couleur paraît avoir été bien devinée par Jean. Son
récit
, en effet, est en parfait accord avec ce que l’hi
pérant que le préliminaire, suffirait. Alors eut lieu, selon tous les
récits
, une scène révoltante. Des soldats lui mirent sur
, 3 ; Act., I, 16. 1096. C’est la tradition des synoptiques. Dans le
récit
de Jean, Jésus se nomme lui-même. 1097. Les deux
tentative d’« Harmonie des Évangiles. » Luc aura eu sous les yeux un
récit
où la mort de Jésus était attribuée par erreur à
d monde ; elle avait de plus fait lecture, dans son salon, d’un petit
récit
non publié qui avait pour titre Olivier. Cette le
nçues ; il n’a point reçu de la nature ce talent large et fécond d’un
récit
dans lequel entrent à l’aise et se meuvent ensuit
ituler ce recueil : « Historiettes romaines, fidèlement traduites des
récits
écrits par les contemporains, de 1400 à 1650. » S
comme puriste) était de savoir si l’on pouvait dire historiette d’un
récit
tragique. L’Abbesse de Castro, publiée d’abord da
u pays s’y venge de la légèreté d’un Français infidèle et galant : le
récit
y est vif, cru et brusqué. Il y a profusion, à la
mais quand je vois ce que devient sous la plume de Beyle et dans ses
récits
cet amour-passion chez les êtres qu’il semble nou
mportune ! m. [1re éd.] elle avait de plus fait lecture d’un petit
récit
non publié qui avait pour titre Olivier. Cette le
’histoire philosophique : Guizot, Tocqueville. Thierry a écrit des
Récits
mérovingiens : en une page, Guizot nous en donne
à la manière des écrivains de l’école philosophique, pour extraire du
récit
un corps de preuves et d’arguments systématiques
Lettres sur l’Histoire de France : mais son chef-d’œuvre, ce sont les
Récits
mérovingiens (1840). Le parti pris politique s’y
s documents originaux l’expression colorée qui date et caractérise le
récit
, qui contient comme l’âme du passé : mais, malgré
ent, il s’efforça jusqu’à ce qu’il fût des premiers de sa classe. Les
récits
d’une tante, une promenade au musée qui avait rec
quel point la poésie de son style et ce don d’évocation qui rend ses
récits
si vivants résultent d’une communion d’âme avec t
opéen, le Courier Français et ailleurs, de 1817 à 1827), 1831, in-8 ;
Récits
des Temps mérovingiens, 9 vol. in-8, 1840 ; Essai
réclamant d’eux du vrai et du nouveau, et accueillant avidement leurs
récits
. Mais c’est surtout aux détails de mœurs, à l’inf
mieux ressortir la différence. En prêtant à ses personnages de longs
récits
, M. Denis ne s’aperçoit pas que c’est lui qui par
m’asseoir au milieu des palmiers qui sont étendus sur le sable ; tes
récits
sont revenus à ma mémoire. J’ai considéré tristem
Camoëns qui conte son histoire à Jozé Indio. Pourquoi ces perpétuels
récits
? Pourquoi s’imposer cette tâche pénible de faire
il les consacra au peuple. Il a composé les pages de Geneviève ; les
récits
du Tailleur de Pierres ont été transcrits par cet
rages apostoliques ? Pourquoi ne lit-on plus Geneviève ? Pourquoi les
récits
de Jeanne d’Arc n’ont-ils pas eu une action plus
, des parties lyriques et épiques, une fermeté extraordinaire dans le
récit
. L’œuvre est d’un homme simple, héroïque et primi
arrachées d’Hésiode. Les chapitres sur Chantebled, les paysages, les
récits
de la fin sont prodigieux. La netteté de l’expres
un poème épique ? Examinons : Qu’est-ce qu’un poème épique ? C’est un
récit
chanté. Un récit suppose un fait. Où est le fait
Examinons : Qu’est-ce qu’un poème épique ? C’est un récit chanté. Un
récit
suppose un fait. Où est le fait dans le poème de
le vertige au lecteur. En troisième lieu, un poème épique suppose un
récit
continu, un commencement, un milieu, une fin, réc
épique suppose un récit continu, un commencement, un milieu, une fin,
récit
inspirant, par ses péripéties, un intérêt épique
et de dévouement qui est l’héroïsme de la femme dans la passion ; Le
récit
lui-même, qui est simple, court, naïf comme la co
eur indécis si un tel enfer ne vaut pas le ciel… Quoi de plus dans un
récit
d’amour ? La poésie ou l’émotion par le beau, n’e
utres damnés qui se déchirent à coups de dents comme des tigres ; des
récits
sans cesse brisés qui fuient derrière vous en lai
l’impression de l’horreur succédant à l’horreur ; puis tout à coup un
récit
qui dépasse tous les autres, au trente-troisième
. » X En écartant les dégoûtantes images du commencement de ce
récit
, la poésie ou l’émotion par le beau ne peut aller
eux avant sa propre mort. Le beau moral, le beau humain égale dans ce
récit
l’horreur pathétique. C’est ce qui en fait la poé
» Cette réticence accusatrice et vengeresse est plus sinistre que le
récit
tout entier de l’assassinat. Une âpre et sublime
outer lui-même avec elle ! » Un chant tout entier est consacré à un
récit
des destinées politiques de l’Italie et à la gloi
cendre l’escalier d’autrui ! » Béatrice interrompt son amant dans le
récit
de son infortune, de ses exils et de ses asiles.
omprendre maintenant pourquoi j’ai pris la résolution de traduire les
Récits
d’un Chasseur ; il serait parfaitement inutile d’
le. La pensée qui a inspiré cette composition est digne d’éloges. Les
Récits
d’un Chasseur sont principalement destinés à nous
n inconnue pour la littérature russe. Quoiqu’on puisse considérer les
Récits
d’un Chasseur comme un éloquent plaidoyer en fave
ne peut, à cet égard, lui être comparé. Si une lecture attentive des
Récits
d’un Chasseur inspire une profonde aversion pour
e m’en plaindrai pas, les nombreuses observations qui remplissent les
Récits
d’un Chasseur portent principalement sur l’état s
littéraire que l’auteur a suivie dans cet ouvrage. Après avoir lu les
Récits
d’un Chasseur, on demeure convaincu qu’elle ne sa
iante situation où il se trouve est admirablement dépeinte dans trois
récits
: le Bourgmestre, Lgove et les Deux Propriétaires
cule personnage, et l’auteur en dépeint loyalement plusieurs dans ses
récits
, mais, ce ne sont là que des accidents heureux, c
eurs pièces de théâtre qui ont été accueillies avec faveur ; mais les
Récits
d’un Chasseur sont toujours le plus beau fleuron
toi aussi, s’écrie Tourgueneff, en se rappelant à la fin d’un de ses
récits
un pauvre instituteur russe qui élevait les fils
s. Oui, les Russes meurent d’une façon vraiment étrange. VI Le
récit
d’une grande foire aux chevaux dans un village de
figures et toutes les ruses de maquignon sont prises sur le fait. Le
récit
d’une nuit passée au milieu des Prairies avec les
merveilles populaires que les mères ont raconté aux enfants. Enfin le
récit
touchant des chanteurs. Comme tous les peuples en
ts, un turc, et un chantre nomade nommé Iakof. …………. Je reprends mon
récit
, que j’avais interrompu au moment où l’entreprene
t la steppe Il est fort possible que le lecteur soit lassé de mes
récits
. Qu’il se rassure ; je me bornerai aux pages qu’i
ventures qui font encore le charme enfantin du vieux monde ; mais les
récits
de Tourgueneff n’ont pas d’autres fées et d’autre
emps. Lamartine. 20 février 1864. 1. La première édition russe des
Récits
d’un Chasseur est épuisée depuis longtemps ; mais
sible de l’auteur des Souvenirs, se peignait à mes yeux à travers ces
récits
plus ou moins semés de jolis mots et sur lesquels
ec finesse et goût par la femme du monde. Il y a dans cette partie du
récit
une sobriété de style et une simplicité de tour q
a ! « Elle parlait pourtant assez bien espagnol, nous dit l’auteur du
récit
, mais elle n’en prononça pas un mot.Il semble que
t lui qui, en pleurant toujours sa belle, a donné, dit-on, le premier
récit
. On sent dans toute cette ballade des traces cert
jour, Sent son œil qui se mouille et son cœur qui s’enflamme A tes
récits
d’amour ; Si, parmi les amis qu’a chéris ton enf
ne amitié ; Ou, si d’enfants chéris une troupe rieuse Qu’amusent tes
récits
, que charment tes accents, En t’écoutant, devient
s’en tire par le talent de la rédaction, par l’intérêt dramatique du
récit
, et par des portraits brillants. Celui de Mirabea
ur eux, leur histoire est finie ; il ne reste plus à y ajouter que le
récit
de leur mort héroïque. Leur opposition a été dang
ans résistance et sans indignation. » Et pourtant, en poursuivant son
récit
, l’historien entraîné passe outre : « On ne pourr
exagérée, comme cela arrive toujours. Le fait est qu’elle ressort du
récit
de M. Thiers à la réflexion, bien plutôt qu’elle
ions qui, ainsi posées, jurent plutôt avec la forme de cet entraînant
récit
. Ce qu’on a droit de trouver, c’est que ce récit
me de cet entraînant récit. Ce qu’on a droit de trouver, c’est que ce
récit
est souvent plus simple, plus lucide que les chos
vu et de plus rapide ; les obstacles disparaissent, sont aplanis. Ce
récit
dramatique encourage, enflamme, et produit un peu
’espèce d’épilogue qui termine le huitième volume, et qui couronne le
récit
des victoires toutes républicaines de la première
t simple. M. Thiers, qui loue chez le maréchal Saint-Cyr la beauté du
récit
militaire, définit ainsi cette expression qui s’a
souvent à lui-même : « Nous considérons, dit-il, comme beauté dans un
récit
militaire, la clarté, la précision, et le degré d
Rhin que de celle de l’armée d’Italie, sait joindre à ces qualités du
récit
la rapidité de l’éclair. Cependant, au sortir de
ndis qu’il parle ou qu’il écrit, il vous associe insensiblement à son
récit
, à sa nouveauté ; il vous emmène avec lui dans so
es objections ont disparu. Tel il est en chaque matière, tel dans son
récit
historique comme dans ses développements de tribu
a simplicité seule, par la grandeur et la netteté des lignes, que son
récit
prétend à les égaler. Pas un effet cherché ; l’an
er de la scène où Tannhaeuser est reconnu par Wolfram, et lui fait le
récit
de son pèlerinageah. Les vers de ce récit sont re
par Wolfram, et lui fait le récit de son pèlerinageah. Les vers de ce
récit
sont remarquablement beaux ; mais l’auteur a trou
aroles à ses mélodies, ou s’il cherche des mélodies à ses paroles. Le
récit
amer et poignant qui tombe avec de douloureux sar
ans la complication des notions. Ainsi la première littérature fut le
récit
: un homme narrait quelque histoire. Bientôt les
chronologique. A maintes âmes suffisent encore les arts primitifs, le
récit
, renonciation très générale de notions brèves et
s étaient satisfaites, dans leur besoin d’une vie artistique, par ces
récits
très vagues, On leur disait un alignement de fait
: l’âme première des Grecs y paraît. Et voici le théâtre, au lieu des
récits
. A peine assez d’action pour légitimer les disput
vos passions. » Mais à cette race exemplaire de dialecticiens ni le
récit
ni le drame ne pouvaient suffire longtemps : ils
e ; maints auteurs composaient, sous le titre de poèmes, histoires ou
récits
, des romans médiocres, dont l’attrait nous demeur
u récits, des romans médiocres, dont l’attrait nous demeure aboli. Le
récit
, le théâtre, le roman, ce fut les trois formes su
les sensations que ces motifs produisent. Toutefois l’incohérence du
récit
est extrême : vingt personnages occupent successi
par places, la série des notions. L’artiste devra mêler à la forme du
récit
, la forme musicale de la Poésie. Il exprimera les
r la vie du Maître à Triebchen ; — Épître au roi de Thuringe, amusant
récit
des représentations du Rheingold, à Munich, en 18
iorité et de solennité. [NdE] ah. Il s’agit de ce qu’on appelle « le
récit
de Rome », très long monologue d’Heinrich (Tannhä
tant déjà ses poèmes qui l’enchantaient, des chansons, et surtout des
récits
de caractère épique : seulement on ne les écrivai
igieux : ils gardèrent leurs poèmes historiques et leur goût pour les
récits
épiques qui exaltent le courage et enchantent l’i
stiges de vieux poèmes francs ; dans les chansons de gestes, certains
récits
, certains personnages, des traits de mœurs, des u
es poèmes, les derniers événements dont le souvenir y soit élaboré en
récits
légendaires sont de cette époque. Alors vécut le
a reçu sa forme : elle est distribuée déjà en amples compositions, en
récits
détaillés. Bertolais, le premier auteur du poème
on littéraire, nul souci de l’effet ne gâtent l’absolue simplicité du
récit
. Le style, tel quel, purement déclaratif, ne s’in
eau. Il n’est pas jusqu’à la forme que le mouvement et la grandeur du
récit
n’emportent et n’élèvent. Et surtout le rythme sa
ont des scènes qui ont vie et mouvement. Mais la mort de Bègue est un
récit
d’un grand effet dans sa couleur grise, avec cett
en là que leurs dialogues ou discours sont supérieurs souvent à leurs
récits
: la logique d’un rôle, la nécessité d’une situat
rdre dans cette abondance : or quoi de plus simple que de grouper les
récits
selon les rapports de parenté qui en unissaient l
ort d’étudier très superficiellement, et comme avec dédain, les vieux
récits
qu’il prétendait rajeunir. Il faut le dire, la my
n poème, fut de les prendre du côté ridicule, et de donner à tout son
récit
une tournure ironique. Telle fut la manière de Ha
donner l’assaut. Plus tard Pouchkine trouva le style qui convient aux
récits
merveilleux, et quelques-unes de ses ballades son
mais il oblige son lecteur à se transformer avec lui. C’est dans les
récits
de cette nature que j’admire surtout sa sobriété
es. Sur ce léger canevas Pouchkine a jeté de charmantes broderies. Le
récit
s’enchevêtre à chaque instant des réflexions de l
a mode cette sorte de commentaire perpétuel inséré dans le texte d’un
récit
des plus simples. Avant Sterne, Rabelais, avec sa
sont des fragments qui se suivent, sans transition ; tantôt de courts
récits
, tantôt des dialogues entremêlés quelquefois de m
inces où Pougatchev avait passé, et le résultat de son travail fut un
récit
aussi froid que le procès-verbal d’un greffier de
lité en face de Richelieu. On a beau suivre et étudier de près le
récit
que M. de Rohan a fait des guerres civiles religi
re jusqu’au bout. Ses mémoires, fort bons à lire, sont loin d’être un
récit
complet auquel on puisse se fier sans contrôle ;
yant tué plusieurs, meurent libres. » Ce sont là les seuls éclairs du
récit
chez Rohan, qui voudrait bien assurer aux noms de
t-à-dire la faculté de recommencer la guerre. Dès cette partie de son
récit
on peut remarquer la plainte ordinaire que fait R
et l’effet qu’il prétendait en tirer. Bref, et comme on l’a vu par le
récit
deRohan, après la défaite de Soubise en l’île de
ux choses et qui le consume, éclatent en mille traits de feu dans son
récit
: Cependant, dit-il en un endroit, tandis que le
règne à la fortune qu’il voulait faire à son fils46. En ce qui est du
récit
de la capitulation et de la prise de La Rochelle,
es à combattre et cette occasion soudaine, développée dans un si beau
récit
, cette fois tout cornélien et original : « Il n’
Cid dont les deux rois maures captifs l’ont salué. On a ce magnifique
récit
de l’expédition nocturne et de la victoire : « N
gement toutes ses invraisemblances. On aime incomparablement mieux ce
récit
que celui de Théramène ; la rhétorique y paraît m
beautés. C’est le plus noble des bulletins, le plus chevaleresque des
récits
de guerre. Condé ne devait pas raconter autrement
» Nous nous levons alors… On peut dire de ce mouvement, de ce beau
récit
impétueux, ce que Cicéron disait de pareils récit
uvement, de ce beau récit impétueux, ce que Cicéron disait de pareils
récits
guerriers de Thucydide : Canit bellicum. C’est le
victorieux et comme à pleines voiles. Chimène, survenant à la fin du
récit
pour redemander justice, ne laisse pas le temps d
ire, ont été dans tous les temps matière à épopée, c’est-à-dire à des
récits
plus ou moins merveilleux, lesquels, accueillis,
très-éclairées, se sont trouvés de toutes parts entourés et suivis de
récits
exacts, circonstanciés, de mémoires, de commentai
me, plus d’un vieux matelot ou d’une vieille paysanne a là-dessus son
récit
que les jeunes écoutent et croient. On cite un ma
élange d’imagination et d’histoire, d’enthousiasme et de sévérité, de
récit
idéal et de prophétie sensée, de personnification
compose tous ces objets épars ; il les enchaîne et les anime dans un
récit
vivant, fidèle, expressif, philosophique ou lyriq
r lui-même et sur ses propres émotions ; c’est une œuvre d’art que ce
récit
de voyage : le sens historique et le sens des lie
t aux infidèles, aux bons et aux méchants : peut-on s’en étonner ? Le
récit
qu’elle a tracé des événements du Temple fut écri
sans être touché au cœur ni serviable, a une mauvaise marque. Dans ce
récit
exact, méthodique, sensé et touchant, Madame donn
c’était la première fois qu’elle daignait les questionner. » Dans ce
récit
tout simple et que nul ne lira sans larmes, il y
ra jamais, je puis l’assurer, à celui qui viendra de relire le simple
récit
chrétien et humain de Madame Royale au Temple. To
a jeunesse de Madame Royale, ne l’atteignit évidemment en rien, et le
récit
qu’elle a tracé en 1795 des événements du Temple
n 1795 des événements du Temple serait la critique de tous ces autres
récits
et de ces faux tableaux d’alentour, si on pouvait
es ordres de son père. Il exprima le désir d’entendre de sa bouche le
récit
détaillé et méthodique des campagnes d’Italie, d’
ux et triomphes de l’habileté et de la fortune ; il mena cet ordre de
récits
, sans discontinuer, jusqu’à la fin de la première
emière campagne d’Italie, il passa sans transition à 1814, prenant le
récit
dans ses deux points les plus saillants et embras
us la vérité de l’impression. Il termina cette espèce de cours par un
récit
des événements de 1830. Les réflexions du jeune p
mon père. Tu sais combien mon âme attentive à ta voix S’échauffait au
récit
de ses nobles exploits… Le premier vers avait ét
s remarques positives et spéciales n’absorbent pas le voyageur, et le
récit
perd, en avançant, toute sécheresse. L’homme d’ai
, se vit avant tout, se pratique, se démontre par l’exemple et par le
récit
; elle ne se préconise pas. Quisapit, in tacito
sé avec les beaux esprits. L’auteur, on le conçoit, prend occasion du
récit
de Simiane pour juger la première moitié du xviii
viiie siècle et en retracer les principales figures ; aussi, dans le
récit
de Simiane, sent-on par trop fauteur de nos jours
par la morale ; mais par le goût à ce point-là, c’est impossible. Le
récit
de Simiane a touché Rousseau, mais ne l’a pas con
lleure démonstration serait celle qui transpirerait dans une suite de
récits
fidèles et de peintures variées ; on oublierait s
piniâtrement les moindres erreurs, complètent les moindres lacunes du
récit
qu’on fait : si le narrateur est fait à leur mode
perte de vue sur un point de nulle valeur, et l’on n’en sort pas, le
récit
ne s’achèvera jamais ; si c’est un homme d’esprit
t de La Fontaine. Je conseillerai donc, si l’on veut apporter quelque
récit
à l’appui d’un conseil ou pour preuve d’une thèse
réel ; cela aura plus d’intérêt et un tour plus moderne. Le charmant
récit
où Voltaire nous peint les différentes destinées
Tellier son principal siège d’observation. À la même époque, tous ses
récits
expriment la philosophie la plus simple, la plus
source, secrète et profonde, d’où venaient à la plupart de ses petits
récits
leur âcre saveur. Cela, sans pédanterie, sans nul
action ? pour le plaisir de les définir ?… Le résultat, c’est que les
récits
de M. de Maupassant intéressent et émeuvent comme
r ne transforme plus complètement que vous la matière première de ses
récits
; vous ajoutez votre esprit tout entier à chacune
pavots : Il n’a été donné qu’à La Fontaine de jeter, au milieu d’un
récit
très-simple, des traits de poésie aussi nobles et
araît singulier que La Fontaine réduise à un résultat si médiocre, le
récit
d’un fait aussi intéressant que celui qui est le
compter l’aurore, Plus d’une fois sur vos tombeaux. Vient ensuite le
récit
très-rapide de la mort des trois jeunes gens ; ma
faut bien que cet Apologue-ci approche du précédent. Ce n’est que le
récit
d’un fait singulier qui prouve l’intelligence des
Voilà, en effet, une idée heureuse et qui a de la grandeur vraie. Les
récits
de guerre se mêlent bien aux récits champêtres. L
t qui a de la grandeur vraie. Les récits de guerre se mêlent bien aux
récits
champêtres. L’épée est faite du même fer que la c
poésie lyrique repousse, d’essence, le dialogue qui n’est pas lié au
récit
et qui n’y entre pas comme l’intaille même dans l
divisent donc en trois poèmes d’une certaine haleine, comprenant des
récits
et des dialogues grossièrement attachés les uns a
pressement à prévenir M. Thiers et à lui arracher des mains le triste
récit
de Waterloo ? C’était évidemment contre le présen
eux entendu et le plus digne de présider son conseil général. Tout ce
récit
de M. Thiers est charmant. — Mais un jour, sans c
e départ de l’île d’Elbe jusqu’à l’entrée dans Paris. Appelez cela un
récit
ou un tableau, peu m’importe ! Le but de l’art n’
malice ou plutôt la gaieté du bon sens y perce sous l’indulgence. Le
récit
de ce qui se passe à Lille entre le roi fugitif,
assez populaires pour qu’un clerc flamand fit une compilation de ces
récits
en vers latins, l’Ysengrinus. Puis, vers 1180, un
t de l’histoire de Renart un poème suivi, qui semble attester que les
récits
français tendaient déjà à se grouper dans un cert
une tiède sympathie qui enveloppe, adoucit, allège l’ironie. Puis le
récit
court, léger, malicieux, aimable, jetant sur chaq
multiple et changeante du drame. Mais c’est aussi la même vivacité de
récit
, la même aisance de dialogue, le même art de rail
mesure manque dans l’assimilation des animaux aux hommes. Bien peu de
récits
échappent à l’incohérence et à l’absurdité. Jusqu
G. Paris a donné l’appui de son autorité — on a soutenu que nombre de
récits
dont s’égayaient nos pères avaient une origine pl
euvage, sont nettement, spirituellement indiqués par le conteur ; son
récit
, un peu prolixe et languissant dans la seconde pa
ont l’air de prétendre, la plupart, qu’à être d’exactes copies et des
récits
fidèles. Se figurer et nous représenter si au net
e s’expliquer les choses comme elles se sont passées, nous a donné un
récit
instructif, enchaîné, attachant, et qui jette, ch
ce ; il y a là matière toute spéciale et demi-grimoire ; mais pour le
récit
, pour le corps même du volume, dussé-je parler pa
git pas de les exprimer simplement. Il observe le sens moral dans ses
récits
. Les Samnites révoltés, sous le commandement de M
quefois ces tardives et terribles réparations. » Maintenant voici le
récit
du préteur battu de verges : la condition des Ita
at probable où il trouva les comices ou assemblées du peuple. Dans un
récit
destiné au public, on pourrait désirer que quelqu
— et ce sont les meilleures pages, parce qu’elles sont morales, de ce
récit
, abusivement physique, où l’éternelle description
tie livre combiné, et donne comme une pointe d’unité dramatique à ces
récits
qui ne se suivent plus pour se suivre, à ces impr
as le dire, tant la chose reste vague, mystérieuse, indécise, dans ce
récit
, chef-d’œuvre de gaze transparente et voilante à
ui. Il est le premier. Il est la source. Il est la source de tous les
récits
qui vont suivre. Les flots peuvent se révolter et
qui ne sera pas perdu pour l’historien de la Commune, c’est, dans un
récit
nécessaire dont l’humanité ne pouvait se passer,
il sait, quand il le veut, lier les épisodes dans la trame serrée du
récit
; il a un dessein qu’il déroule, un but qu’il pou
sque introduite avec art dans ce cadre terrible ; nous voyons dans le
récit
de Polybe qu’Hamilcar avait une fille, et qu’un j
rthage à l’autre. Il faudrait emprunter des exemples à chaque page du
récit
. Depuis le suffète-de-la-mer et l’ annonciateur
ou non, elle doit être avant tout une créature humaine ; or, dans le
récit
de M. Flaubert, on ne sait si elle veille ou si e
ns paraître en soupçonner la valeur. Si la pensée fait défaut dans le
récit
de M. Flaubert, si l’intérêt moral est nul, en ad
s étendus à terre tout de leur long : presque tous les acteurs de son
récit
se vautrent sur le sol ; ils mangent à plat ventr
era pas un clou de l’armure des éléphants. Un seul être, dans ce long
récit
, a échappé à l’implacable analyse du peintre, c’e
inexactes, impossibles, qui forment le défaut capital de ce laborieux
récit
: la grande faute que la critique doit reprocher
texte pour M. Bourget à de bien précieuses observations, ou plutôt au
récit
de sensations rapportées avec une grande fidélité
ée, dans le brouillard d’émanations de plantes médicinales. À Rome le
récit
de la vie de Mme Gervaisais, de la vie de ma tant
. Les Rois Le livre de M. Jules Lemaître n’est ni un roman, ni un
récit
historique, ni une fantaisie, bien qu’il se compo
des légendes à la d’Artagnan, sublimes d’invraisemblance, parfois des
récits
dramatiques empreints d’une puissante poésie. Cer
livre et j’affirme que personne ne lira sans émotion les dramatiques
récits
qu’il a intitulés : Ombres parisiennes, la Chinoi
tude d’un cœur qui a tenté cette fois l’auteur de Madame Lambelle. Le
récit
de M. Toudouze se résume à ceci : la veuve d’un m
r du maître ; sa personnalité s’est révélée déjà, et la clarté de ses
récits
, l’air qui circule dans ses romans, le sentiment
orce descriptive dans l’ensemble de l’œuvre. Je signalerai surtout le
récit
d’une symphonie, dominée par le chant d’un violon
’en faudrait pas de beaucoup, si l’auteur l’avait voulu, pour que ces
récits
prissent place comme mémoires authentiques dans l
a montré, avec le sang-froid dans l’observation, la précision dans le
récit
, qui sont la marque de son talent, un coin de ce
. D’autant plus Que c’est elle, parbleu, qui m’ennuyait… Je coupe le
récit
, j’en passe d’autres racontés avec le même abando
e, savait accommoder toutes choses. Une cinquantaine de nouvelles, de
récits
, de critiques, composent : Mon franc-parler ; je
voici une petite nouvelle : Mariette, écrite avec cette simplicité de
récit
, cette petite mise en scène si familière à l’aute
la petite bonne, ouvrant des yeux arrondis par l’étonnement. Tous ces
récits
de maris qui trompent leurs femmes et de femmes q
’habileté, le talent d’observation du romancier ; mais tout à coup le
récit
change de ton et grandit à partir du moment où l’
u précepteur est de ceux-là, et je me demande qui ne serait charmé au
récit
de la vie de ce pauvre diable de professeur, port
itions ingénieuses qui les rattache les uns aux autres ; le charme du
récit
est tel, en effet, que l’action constamment diver
le comte de Tocqueville vient de faire paraître, est surtout dans le
récit
des faits qui ont amené ces deux catastrophes pol
les de sa réconciliation avec son fils et celles de sa mort. Voici le
récit
des dispositions que prit ce roi soldat, sentant
conte d’un Voltaire croyant, plein d’une philosophie sereine, que le
récit
de M. de Wyzewa. La fausse interprétation de deux
autement manifestée lors des fêtes de Cronstadt, dont il faut lire le
récit
authentique pour voir que les nôtres n’avaient ri
re côté du détroit. C’est un réquisitoire impitoyable, accumulant les
récits
de crimes qui auraient été accomplis par les Angl
que je l’aie pu oublier. Ceux qui douteraient de l’authenticité de ce
récit
pourraient retrouver le nom du bourreau en questi
shooting-box d’Aughavenna, le jeune Parnell, à son tour, répétait ce
récit
à ses amis. Et, pendant qu’ils pâlissaient d’horr
et redoutables contrées, des descriptions naïves et pittoresques, des
récits
de chasse à l’ours, au renne, au loup, des observ
s explorations fait de notes quasi-journalières. Voici par exemple le
récit
d’une singulière fête funèbre à laquelle assista
pages qui composent le livre de l’abbé Émile Petitot sont bourrées de
récits
incroyables s’ils n’étaient rapportés par le pieu
maréchal le garda jusqu’à sa mort au chevet de son lit. Je passe des
récits
, des anecdotes sur bien des gens, car le futur gé
aître à fond, et par les grands faits de sa vie militaire, et par les
récits
des contemporains, et par l’intimité surprise dan
eil d’érudition relégué dans les notes ne nuit en rien à l’intérêt du
récit
qui court rapide, vivant et clair. M. Henry Houss
prit des Parisiens. Sans accorder plus de confiance qu’il ne faut aux
récits
des cruautés des triples alliés, on doit reconnaî
ntéresse le théâtre et l’art : La querelle entre deux collaborateurs,
récit
charmant de la collaboration de Jules Sandeau et
Thalberg, une exquise étude sur un grand comédien, Delaunay, un beau
récit
des funérailles de Manin à Venise, des anecdotes
beaucoup écrit sur la guerre d’Espagne de 1808, mais presque tous les
récits
, aussi bien ceux que nous donnent M. Loredan Larc
la vaillante insouciance de la jeunesse. C’est, en même temps que le
récit
d’une guerre terrible, l’étude par croquis, par m
ots échappés, d’un pays que nous connaissons mal ou seulement par les
récits
officiels de la guerre de 1877. L’auteur nous pro
sé de poète, d’artiste, parce qu’il avait entendu parler Socrate ; le
récit
du festin et du discours aux convives couronnés d
tement aux bons moments ; c’est ce que je demanderais aux surprenants
récits
de la vie de l’Astre noir, dont il n’est pas une
n inconnu. À y bien regarder, Astre noir doit être considéré comme le
récit
d’un voyage autour de l’orgueil humain que, d’ail
heur de prévoir le sort terrible auquel elle ne peut pas échapper. Le
récit
de la rencontre de la terre et de la comète est u
s qu’on puisse lire. En érudit qu’il est, M. Flammarion reproduit les
récit
des terreurs causées par la crainte de la fin du
travaux une grande unité, parce qu’il donne un seul titre à plusieurs
récits
; il sait bien, tout autant que nous, que ce qui
e, qu’il eût été intéressant d’étudier et de mettre en valeur dans le
récit
qu’on eût fait du règne de cet homme qui avait, à
niqueur de journal qu’il ne cesse d’être pendant tout le cours de son
récit
a le ton propret de son métier, quand il n’en a p
émotion partagée, sans expression digne des faits pathétiques dont le
récit
déborde à chaque pas ! L’auteur y décrit tout. Il
ses poèmes, s’il portait quelque part l’influence ou l’empreinte des
récits
bibliques ! Mais non ! impossible d’en saisir la
jeune verve de M. Autran, Et c’est ce poëme qui a des prétentions de
récit
épique, malgré l’étroitesse de son cadre et sa br
vers écrits pour un concours académique, ne peuvent lutter contre le
récit
du commandant de Milianah, le colonel d’Illens, c
sublime à quelque chose de plus beau encore que la mâle simplicité du
récit
: ce serait nier la poésie et l’art du poète que
ses périodes d’activité de vingt-cinq ans ; c’est que ce livre est le
récit
de la vie d’un de ces grands acteurs armés du dra
d on est arrivé ainsi à s’emparer des nombreux éléments dont un vaste
récit
doit se composer, l’ordre dans lequel il faut les
matique, profond, tracer de fiers portraits qui se détachent de votre
récit
comme d’une toile et se gravent dans la mémoire,
in que vous ne serez rien de tout ce que vous prétendez être, que vos
récits
seront forcés, vos scènes exagérées, et vos portr
uis appliquez-vous à les rendre simplement… Si, pour systématiser vos
récits
, vous n’avez pas cherché à les grouper arbitraire
nthousiasme, et tout ce que Tacite appelle avec raison l’éloquence du
récit
? Tacite aurait cessé d’être Tacite, il aurait br
ait sa théorie historique de l’intelligence supérieure à tout dans le
récit
des événements humains. L’intelligence, selon nou
re. Cette faute historique le poursuivra partout dans le cours de son
récit
. On a beau ensevelir la conscience dans un drapea
souvent inférieure à l’impression, et que le style, suffisant pour le
récit
, soit insuffisant pour la majesté de l’histoire ;
e, ce grand lyrique des grands événements ; mais dès qu’on reprend le
récit
avec M. Thiers on ne regrette plus rien. Le passa
queur, la campagne et la bataille de Marengo ne répondent pas dans le
récit
à la grandeur des résultats. Malgré la partialité
ivante et intrinsèque de l’histoire, sont la partie faible de ce long
récit
. M. Thiers est l’historien des événements ; il le
la paix maritime. » La mort de Paul Ier, empereur de Russie, est un
récit
digne des annales de Rome. Le régicide par assass
lesquelles le pinceau de l’historien n’a ni tremblé ni pâli. Ce beau
récit
n’a pas le mérite de la nouveauté, car il avait é
e Loti, Le Livre de la Pitié et de la Mort est composé d’une suite de
récits
détachés, d’impressions tout intimes et venues le
prendre place à côté de ses autres œuvres. Les infiniment petits, les
récits
demi-enfantins semblent cette fois avoir captivé
rendu de l’auteur de Pêcheurs d’Islande. Témoin ce commencement d’un
récit
intitulé : Chagrins d’un vieux forçat : C’est un
ouvé, même chez M. Hermant, autant de discrétion et de mesure dans un
récit
plein de dangers pour un écrivain inexpérimenté.
vite en ouvrant le livre de M. Paul Margueritte, un volume de petits
récits
paru chez Lecène et Oudin. Le Cuirassier blanc es
ssura, plaisanta même. Trois jours après, les journaux contenaient le
récit
de l’arrestation de Lebiez et ses aveux. Le père
et je m’arrête à regret, ne pouvant citer une belle page contenant le
récit
de la mort d’un soldat qui, à travers son agonie,
que nous n’avions pas su prévoir. Avant d’entrer plus avant dans le
récit
de M. Zola, je relèverai dans son livre une idée
st, au contraire, efforcé d’être juste et indépendant en écrivant son
récit
; les silhouettes qu’il a tracées de l’Empereur,
telles que la bataille de Sedan, qui restera comme un des plus beaux
récits
de combats que nous connaissions. Il peut sans ex
ne relatent que des faits réels, et qui semblent le plus souvent des
récits
de cauchemars enfiévrés. Une remarque curieuse qu
les bas-fonds du monde parisien, l’auteur a cherché des exemples, des
récits
touchant cette incroyable monomanie. Il a questio
nt dit : une forte tempête éclata sur Paris, et j’aurais continué mon
récit
! » Banville était indigné ! Quelques jours plus
vedan, et c’est en lisant son livre qu’on les entendra. Mais c’est au
récit
des perfidies féminines et masculines, à la profo
Silvestre, me contentant d’expliquer mon silence par la vivacité des
récits
de ce maître Jacques qui est tantôt un poète raff
ublier chez Charpentier, et à côté de nouvelles auprès desquelles les
récits
de Poe et ceux d’Hoffmann ne sont que contes d’en
pas aussi immorale qu’elle voudrait le paraître, et le charme aisé du
récit
, la gaîté du détail, — la gaîté, l’ennemie des so
’Âge de fer, que M. Léonce de Larmandie a publié chez Jouaust, est le
récit
de la vie d’un enfant depuis le jour où on le met
où il va entrer à l’École polytechnique. Point de roman, rien que le
récit
de cette vie étape par étape ; réfectoire, dortoi
e du talent de l’auteur de la Famille Cardinal se retrouvent dans ces
récits
simplement écrits et qui en disent souvent plus l
, et pour moi, je la trouve très spirituellement défendue. Les autres
récits
: Karikari, Un tour de valse, Tom et Bob, La plus
ire seule ne peut conserver cette vivacité d’impression qui anime ses
récits
. C’est avec la crainte, la terreur, qu’on avait d
e photographie qui me les ait reproduites avec plus de netteté que ce
récit
: L’horreur s’élargissait, se compliquait ; au m
st le titre d’un livre de M. Anatole France qui contient une suite de
récits
ou plutôt de vivantes évocations, de véritables r
ses affaires, toutes celles des autres et quels autres ! Ce sont des
récits
sur l’Empereur, l’Impératrice, le Prince impérial
lewski, Meissonier, Baudelaire, Caro, Métra, About, Balzac ; et quels
récits
! tous écrits d’après nature, dans l’intimité abs
ce qu’il avait à nous raconter, et nous n’aurions pas les si curieux
récits
de ses Mémoires. Un trait de sa vie pour explique
torien et du philosophe. La tradition nous a fait parvenir en bloc le
récit
d’un fait quel qu’il soit ; aussitôt le savant le
t sur le cœur, mais de combien d’erreurs passionnées sont remplis ses
récits
! S’ils eussent été connus de ses contemporains,
s, de la mer, — le poète des fluides ! » Plus loin je trouve tout le
récit
des premiers temps de la vie de Ziem ; le peintre
t justement plaint de la passion qui entrait le plus souvent dans ces
récits
écrits par un seul qui ne juge que par ses deux y
seul qui ne juge que par ses deux yeux et par son seul bon sens ; les
récits
faits par tout le monde sont-ils beaucoup plus di
ues comme elles viendront à bien d’autres. Qui pourrait remplacer ces
récits
d’un soldat retrouvant sous sa plume toute l’éner
illiers les habitants et, les soldats de la ville assiégée ; c’est un
récit
effroyable que celui de ce siège qui finit par l’
Jean. C’est ce héros qui lui sert de modèle pour son Pantagruel ; le
récit
de sa vie intime avec lui est des plus curieux et
! Voilà des lettres qui feront mieux connaître Flaubert que tous les
récits
, toutes les biographies qui ont été écrits et qu’
cevoir une blessure mortelle, sont particulièrement intéressants ; le
récit
de sa discussion avec Bessières, des traits de ca
init comme ça ! » Il partit aussitôt. Quelle page d’histoire dans le
récit
de ce simple chirurgien ! C’est à l’aide de docum
dis-je, votre comédie est impossible si je respecte entièrement votre
récit
comme vous paraissez y tenir. « — Pourtant, fis-j
ésite pas à se prononcer sur les points les plus délicats, témoin son
récit
de la mort de Philippe-Égalité, dans lequel se tr
ndre pour cela, lorsque le comte de Montalivet (de qui nous tenons ce
récit
) entra dans le cabinet royal. — « Que faire pour
à la marche de l’humanité, comme il le disait lui-même. Puis vient le
récit
de sa campagne en Orient et la constatation des f
mps que de hautes spéculations philosophiques, un grand nombre de ces
récits
charmants, où l’esprit, la sincérité et le scepti
t le fait tel qu’il s’est passé ; la nature parle toute seule dans ce
récit
et c’est sous sa dictée que M. Renan a écrit ; ra
ent aujourd’hui. M. E. Spuller a joint à cette étude très complète le
récit
des derniers moments et de l’inhumation de Lamenn
longtemps crédit. Le livre renferme bien, d’autres anecdotes et des
récits
sur différentes campagnes, notamment sur celle d’
t nous nous remîmes à dîner de bon appétit ! » dit-il dans un nouveau
récit
. Ce n’est point ici le cas d’examiner le cas de M
Il vint apporter à Mme de La Fayette des consolations et lui faire le
récit
des derniers moments de sa mère, de sa grand-mère
-parler ne plut pas toujours, et La Fayette eut à s’en apercevoir. Le
récit
de la mort de Mme de La Fayette est des plus touc
e La Fayette qu’il a puisé les éléments de ce livre, qui complète les
récits
du général qui présida à deux de nos Révolutions.
humanité de plume envers le roi, la reine, la famille royale, dans le
récit
du 10 août. Les royalistes se sont abstenus de me
ole ces calomnies démenties par chacune de mes pitiés de cœur dans ce
récit
. Lisez de bonne foi aujourd’hui : « L’Assemblée
nnibales m’inspire, comme à tous les hommes civilisés ? Qu’on lise ce
récit
compulsé tête par tête, dans cette mêlée de cadav
r avaient disputée si éloquemment au commencement. J’ai versé dans le
récit
de la captivité de la famille royale tout ce que
té par une révolution faite au nom de l’humanité. Le pathétique de ce
récit
dans les Girondins n’est que la justice de l’hist
s la note ci-jointe1. XIV J’ai commis une erreur légère dans le
récit
de l’entrevue de Louis XVI au Temple, au moment d
de quatre-vingts ans pour me prouver l’inexactitude de détail de mon
récit
en ce qui touche son père. Il ne veut pas d’une g
t hardi d’idées, mais implacable de justice, par lequel je termine le
récit
du jugement de Louis XVI, même en me plaçant au p
justice aux juges, nous nous demandons, en finissant ce mélancolique
récit
, ce qu’il faut accuser, ce qu’il faut absoudre du
blongue, ne se dissipe qu’à la catastrophe Par le lent déroulement du
récit
, l’aiguë terreur que désigne l’exorde de Bérénice
Gordon Pym. Par un prodige d’identification avec le personnage de ce
récit
, Poe réalise, dans l’ordre strict où le narrateur
nchant, une rêverie. Il n’emploie pas les conversations, le minutieux
récit
des antécédents, les aventures amenées pour cause
e. Pour les figurer, celui-ci ne dut consulter que les besoins de son
récit
, et puiser dans l’intuition de sa propre âme, bou
illiam Wilson, comme l’a remarqué M. Ingram, aucun trait du singulier
récit
ne dément la révélation allégorique de la fin. Et
rissent. Le problème moins long à résoudre tient moins en suspens. Le
récit
d’un voyage fabuleux, une hallucination opiacée,
judiciaires et le Scarabée, s’atténue mais persiste dans la série de
récits
allant de Hans Pfaal aux poèmes en prose et en ve
eux assassinat, et désigne les plaies. Dans d’autres œuvres, dans les
récits
d’aventure, il suscite la peur communicative que
de devenir sa femme, la ferveur d’une adoration extasiée s’altère du
récit
d’une hallucination aussi étrange et cruelle que
cet événement extraordinaire, et il en fit, à son retour à Paris, des
récits
qui charmèrent la société. La comtesse d’Egmont,
genre différent, mais qui tenaient à une même nature d’esprit, par ce
récit
anecdotique de la Révolution de Russie et par un
ne sont eux-mêmes envisagés qu’au point de vue des mœurs. Le côté du
récit
où l’auteur vise au Salluste et rappelle le Saint
avis indépendant. Pourtant il me semble que les principaux points du
récit
de Rulhière ont été généralement adoptés depuis,
amais plus de force que lorsqu’il a tort. Je ne puis que renvoyer au
récit
de Dusaulx84 ceux qui désireraient ne rien perdre
de point de vue. S’il n’avait voulu qu’écrire des mémoires, tracer un
récit
extrait des conversations, des dépêches, des conf
n finir, à relever quelques indications de psychologie, découlant des
récits
du présent recueil. Assurément on ne peut conclur
e les défauts ou possède les qualités qu’il attribue aux héros de ses
récits
. Cela équivaudrait à juger des Français d’après l
e. Pour un lecteur attentif, il ressortira aisément de la lecture des
récits
de ce recueil une impression, sinon très nette du
à son mari, comme elle le lui exprime sans équivoque dans le cours du
récit
. De même, la femme cherche toujours à desservir s
lige celui qui pardonne une offense. S’il y a, dans leurs contes, des
récits
dont un ressentiment, souvent féroce128, fait le
et complète. J’ai indiqué seulement à titre de curiosité les quelques
récits
relatifs à ces idées. Ici se termine une étude qu
osité recherchant de plus vastes horizons ; elle s’attarde parfois au
récit
des légendes et des faits glorieux ; elle interro
es de France, — elle ne suffit pas à nous lasser d’autres légendes ou
récits
comme la Huche, l’Embaumeur et les Accordailles d
qui s’excuse, par une pointe, d’être profonde, que, relu ce soir, le
récit
me semblerait défraîchi. Mais alors c’était presq
rnifleur est un roman nouveau, et c’est déjà extraordinaire. C’est un
récit
que n’avions-nous pas lu, en substituant Pierre à
ni de drôlerie d’écriture. C’est de l’ironie sentimentale ; point un
récit
attendri dont on relève la fadeur par des plaisan
et les délayages où s’embourbent les vieux comiques, sous prétexte de
récit
« bon enfant », puis enfin qu’il surveille son st
uite à Quelques années de ma vie, offre un double intérêt, et par les
récits
très curieux du monde où a vécu la femme de l’ill
justement. Je ne sais rien de plus touchant dans sa simplicité que ce
récit
qui restera comme un chef-d’œuvre de langue et de
x du couvent de la rue des Fossés Saint-Victor. » Je trouve ce petit
récit
absolument adorable, et c’est pourquoi je l’ai tr
i, comme tout ce qui a été vécu ; car, malgré les exagérations de ses
récits
, tout ce que Brichanteau raconte lui est arrivé o
très spirituellement d’ailleurs, il reproche de fatiguer le public de
récits
oiseux, de le déranger pour lui souffler à l’orei
an plein de passion, mais aussi celui d’une sorte d’autobiographie. «
Récit
de jeunesse », a écrit l’auteur au-dessous de son
e », a écrit l’auteur au-dessous de son œuvre ; et, effectivement, le
récit
de M. Émile Ollivier commence à son enfance pour
ellit tout !” dit une femme du peuple qui venait d’entendre un de ses
récits
. » Peut-être sourira-t-on en lisant ces lignes o
contiendra une autre toute charmante, sorte d’oasis pour ceux que le
récit
des luttes sociales présentes et les sinistres pr
malades pour qu’ils y guérissent ou pour qu’ils y restent ; c’est le
récit
d’une promenade en voiture dans ces chemins monta
our le mien. Il a été cordial et pratique. » C’est cette légèreté de
récit
, cette sorte de façon de converser avec son lecte
nous conduit du livre d’Ézéchiel au foyer des Bouffes-Parisiens, des
récits
de foudroiements d’archanges rebelles aux aventur
nt appris quelque chose de la vie. C’est là, en gros, le résumé de ce
récit
, charmant de tous points et dont je suis fort heu
s brutale du Nord de l’Amérique ; en feuilletant ces pages pleines de
récits
vivants et colorés, je trouve ce chapitre qui pou
sages-Pâles ne vont pas. Tout était bien fini cette fois. » Tous les
récits
que renferme ce livre ne sont pas aussi dramatiqu
auteur anonyme ait permis la publication. XXXIV. Armand Silvestre.
Récits
de belle humeur Il y a un peu de tout, de la
dans ces contes que M. Armand Silvestre fait paraître sous le titre :
Récits
de belle humeur. Et certes, il y en a de la belle
e leur immortelle gloire. Je ne raconterai par le détail aucun de ces
Récits
de belle humeur, ni les « Vœux inutiles », ni le
l entendait bien faire passer à son petit doigt. » On devine que ces
récits
ne sont pas faits pour être lus aux demoiselles d
s variés ; nul mieux que lui ne sait jeter un grain de poésie dans un
récit
de jeunesse, de comique, dans une nouvelle à la P
rai ! » C’est exactement l’impression que j’ai ressentie en lisant ce
récit
qui a pour cadre la retraite de Russie. Il faut a
s vastes plaines de neige, linceul de la Grande Armée, sont faites de
récits
recueillis aussi bien en Russie qu’en France. Je
iculté, il raconte l’histoire ou plutôt les histoires de ses amours ;
récits
très amusants, décolletés comme il convient entre
le grande aventure historique qui aura bouleversé le monde ? » Et le
récit
commence, récit plein de la poésie d’un jeune cœu
re historique qui aura bouleversé le monde ? » Et le récit commence,
récit
plein de la poésie d’un jeune cœur, et aussi des
c’est-à-dire à toutes. Le roman, puisque c’en est un, se résume en le
récit
des amours d’un homme et d’une femme du monde qui
a vérité ; ce sont de magnifiques pages, dans leur simplicité, que le
récit
de ces terribles jours où, malgré les efforts de
nant Woodberry, concluons en disant qu’il peut être mis au nombre des
récits
les plus impartiaux de nos guerres qui aient été
de celui qui l’a écrit ? C’est que l’humanité éclate partout dans ses
récits
. et qu’il est heureux de la croire en celui qui e
ettrai en quatre pour leur rendre le séjour d’ici agréable. » Suit le
récit
du séjour de Leurs Altesses à Lyon, où elles visi
des relations fort agréables s’établirent entre eux. » Puis c’est le
récit
d’une visite à Chantilly : « Le prince de Condé
ls détails ont été enregistrés par l’histoire. Lire dans ce volume le
récit
, fait par ce prince et recueilli par la baronne d
us, et sauva ainsi sa tête et celle de bien d’autres. Il faut lire le
récit
de ses audaces bien prouvées pour y croire. Se jo
te langue une énigme perpétuelle. » Rien de plus intéressant que ces
récits
du derviche, intrépide monomane de voyages, qui a
de les lire tous. M. P. Gaulot, dans la Bibliothèque de souvenirs et
récits
militaires s’est chargé d’en faire connaître le p
ataille de la Moskowa. Voici une partie de cet authentique et curieux
récit
relatif au moment où Méda arrive dans la salle du
e de dix-huit heures. » Et comme Méda, en finissant la lecture de ce
récit
, on se sent pris de pitié en pensant aux douleurs
verra aussi se développer un véritable roman d’amour qui n’est qu’un
récit
fait de stricte vérité. Je ne puis ici entrer dan
re-Neuve, celles du Labrador et le golfe Saint-Laurent. Puis vient le
récit
de sa seconde navigation et de ses essais d’insta
nt consacré à son œuvre, réservant uniquement pour son livre tous les
récits
, toutes les notes, tous les renseignements pris a
r des peuplades jalouses, par les Toucouleurs, par les Touaregs ; les
récits
de l’historien Abderraïnan Sâdi, qui datent du xv
sujet des documents inestimables ; c’est un charme que de suivre ces
récits
dans leur naïveté ; il ne nous cache rien, même l
à de quoi s’émouvoir. Mais n’y a-t-il pas d’exagération dans tous ces
récits
? Michelet ignorait-il ce que rapporte Fromenteau
remier volume des Mémoires de madame de Chastenay, qui comprennent le
récit
de bien des événements qui se sont passés de 1771
C’est celle que M. Flaubert a choisie pour fond et pour sujet de son
récit
, et qu’il a voulu peindre dans tout le détail de
mant la réalité, il n’avait pour base et pour texte authentique qu’un
récit
de quelques pages ; il lui fallait inventer ou re
. Il n’existe pas d’historien ni de poète carthaginois. On n’a que le
récit
de la navigation autour de l’Afrique, le Périple
e homme qui a exécuté a écrit ; il ne met aucune ostentation dans ses
récits
. Les grands capitaines écrivent leurs actions ave
j’ajourne toute réflexion, et j’en viens à l’analyse de Salammbô. Le
récit
, qui se divise en quinze chapitres ou tableaux, c
mpire, par exemple sur François de Neufchâteau, qui, ayant à faire le
récit
du 19 brumaire, le soir même, devant des auditeur
ir, comment il avait eu toutes les peines du monde à passer. Tous ces
récits
étaient fort bien rendus et mimés, d’une voix que
st aujourd’hui sous les yeux du lecteur. Aussi c’est bien moins comme
récit
continu, comme témoignage et contrôle positif con
ait sans cesse devant ses yeux et troublait ses nuits. Dès ce premier
récit
, M. Beugnot se dessine à nous comme un observateu
ssayer de nous amuser au détail, il a beau donner un tour plaisant au
récit
de son voyage à travers la Picardie après qu’il s
par le supplice des moderniseurs, et aujourd’hui un exemplaire de ses
récits
naïfs et joyeux, écrits dans la langue railleuse
uestion en faveur de Lesage. Que ceux qui, après avoir lu l’admirable
récit
de Clavijo dans les Mémoires de Beaumarchais, ser
l’insouciance considèrent comme absolument étrangères entre elles. Le
récit
, avec ses nombreux épisodes, avec ses péripéties
lors il s’occupa des fonctions de sa charge. » Il faut faire dans le
récit
de cette anecdote, si humiliante qu’elle soit d’a
menu du banquet qu’il va lui offrir, et il suit la comparaison de son
récit
avec un exploit culinaire si finement, si spiritu
Vieillard de la Colline, liv. viii, chap. xi, absolument étrangère au
récit
principal, comme l’histoire de Leonoram, dans Jos
t le style d’une conversation élégante et polie ; rarement celui d’un
récit
fait avec la prétention de produire un effet donn
, tout s’y trouve réfléchi. On ne recommence pas impunément un pareil
récit
, on est fatalement condamné à le copier. On conço
explique suffisamment pourquoi je me complais si délibérément dans le
récit
des biographies d’artistes, pourquoi j’essaie si
a mis, je ne sais pourquoi, sur le compte de Spindler. Dans les deux
récits
, il y a la même puissance d’évocation ; car je ne
du vieil oncle ouvre bien le premier acte du drame. Dans le cours du
récit
, Maturin trouve moyen de mêler aux touches les pl
prenne pour guide et pour conseil l’ami et le courtisan d’Auguste, le
récit
de ses voyages n’est pourtant qu’une magnifique e
le convenable d’épuiser la liste des travaux du poète écossais, et le
récit
de sa biographie, avant d’entamer l’analyse et la
euse encore par la délicatesse psychologique de l’analyse, que par le
récit
clair et rapide des anecdotes. C’est dans ce genr
s livres égale en intérêt le chef-d’œuvre de Bernardin, que le simple
récit
, non pas des événements, car il n’y en a pas un s
ner la main, de s’endormir et de se réveiller à propos au milieu d’un
récit
ou d’une conversation, s’est fait nommer secrétai
aux de la semaine ; au lieu d’y lire, comme dans le Court Journal, le
récit
détaillé d’un bal donné à Windsor ou dans les sal
deux filles est un beau prologue et qui ouvre simplement la marche du
récit
. Madeline et sa sœur rappellent peut-être Minna e
rituel, rapide, mais diffus, d’un salon ou d’une promenade ; c’est un
récit
de conversation plutôt dit qu’écrit. La compositi
lui faire. Comme on ne conserverait que l’impression générale de son
récit
, on oublierait les parties défectueuses pour ne s
e peuvent s’en tenir à la simple succession des images, comme dans le
récit
; ils choisissent une figure une et multiple, sim
net, dont le sonnet ne peut guère se passer, quand on l’applique à un
récit
ou à une action, à l’épopée ou à la tragédie, au
images se fît entendre à de fréquents intervalles dans le cours d’un
récit
; car alors le poète ou le romancier, deux artist
s l’analyse d’une passion, dans la révélation d’un caractère, dans le
récit
d’une catastrophe, dans la peinture d’un amour fr
alise les merveilles de la tente arabe. Quand une fois il commence un
récit
d’aventure ou de guerre, de sang ou d’alcôve, de
profond encore. Il ne trompe jamais, il est sincère et loyal dans le
récit
qu’il brode et qu’il ciselle comme un vase de la
révoque en doute la désignation des lieux, il accuse de mensonge les
récits
populaires qui se distribuent et se vendent au pi
uffi au succès des Méditations et des Harmonies ne pouvait suffire au
récit
d’un voyage. Le poète et le narrateur sont placés
ge ; c’est pourquoi Jocelyn parle toujours en son nom. Cette forme de
récit
, invraisemblable lorsqu’elle descend aux détails
ans secousse et sans angoisses, du moins assez rapidement pour que le
récit
ne soit pas ralenti. Tout entier à ses nouveaux d
rtie de ce journal ? N’y a-t-il pas dans les derniers feuillets de ce
récit
trois moments principaux, à savoir : l’ordination
style, si utile en toute occasion, n’est-il pas indispensable dans le
récit
? La pensée du narrateur est complexe et multiple
us précise, plus nette que la logique épique. Il y a toujours dans un
récit
, si réel qu’il soit, une part inévitable de fanta
deviner ce qui lui manque. Mais, en 1829, il paraissait croire qu’un
récit
n’a besoin ni de logique ni de fantaisie, et que
découverte, car depuis que j’ai lu ce volume accusateur, j’ai pour le
récit
français un enthousiasme plus sérieux. Si les vin
les compositions de Mérimée par des qualités particulières : c’est un
récit
qui commence comme une satire, et qui finit comme
ns Tamango une magnifique poésie. La partie de trictrac n’est pas un
récit
complet. Le commencement surtout est confus ; mai
noue rien : autant vaudrait Deus ex machina. À tout prendre, c’est un
récit
plein de coquetterie, de papillotage, de faux goû
tre chose que la colère et le dépit ; si la hautaine raillerie de son
récit
exprimait la sagesse et l’apaisement, ou bien s’i
tirer ; j’ai grand peur qu’il ne réduise l’action et la fable de son
récit
à rien ou presque rien, et qu’il ne couvre un mil
; ou le mercredi chez le baron Gérard, écoutant, en buvant le thé, le
récit
spirituel d’une anecdote de l’empire. Sa tête ne
e littéraire une œuvre inévitable et prévue ; c’est, sous la forme du
récit
, l’expression plus familière et plus vive, plus a
s remarques techniques sur la trame intérieure du langage appliqué au
récit
et en particulier au roman. La forme choisie par
squinerie et de nudité les nuances voisines et plus simples ? Pour le
récit
, par exemple, ne serait-il pas utile de s’interdi
ingués, préoccupés de controverses religieuses, ont vu, dans ces deux
récits
, écrits avec une simplicité si rare de nos jours,
lle manque d’élévation et de poésie, n’est pas inutile à l’intérêt du
récit
. Pour Raymond, Noun est une distraction, ce n’est
’abandonnent plus rarement aux inutiles effusions qui ralentissent le
récit
, et qui, loin de servir de halte et de point d’or
e, plusieurs autres types finement indiqués, et qui donnent à tout le
récit
un naturel parfait. Athénaïs, Louise, la marquise
iesses ignorantes ? II. Lélia. 1833[1833.] Lélia n’est pas le
récit
ingénieux d’une aventure, ou le développement dra
Lélia. Quant à la philosophie qui se mêle au dialogue, à la trame du
récit
, aux monodies de Lélia et de Sténio ; si la pensé
traînement. Non : dans les douleurs auxquelles j’ai assisté, dans les
récits
éplorés que j’ai entendus, dans les larmes que j’
secret de cette passagère inquiétude. Elle n’a pas dépravé son âme au
récit
des passions égoïstes ; elle n’a pas maudit la so
je viens d’analyser. Je n’ai rien dit des épisodes gracieux, dont le
récit
est entremêlé ; je n’ai tracé que les grandes lig
des femmes, leurs secrets sensibles ou sensuels ; il leur pose en ses
récits
des questions hardies, familières, équivalentes à
ileté dans le choix successif des lieux où il établit la scène de ses
récits
. On montre au voyageur, dans une des rues de Saum
tudes au collége de Vendôme probablement, car j’aime à croire que son
récit
de Louis Lambert n’est en rien une fiction, et qu
mprimer en 1832, chez Félix Locquin, rue Notre-Dame-des-Victoires, le
récit
de ses tribulations et de sa découverte, sous le
s et de sa découverte, sous le titre d’Hermès dévoilé. L’auteur de ce
récit
, qui ne se nomme pas, est évidemment un homme ver
On raconte à ce sujet une historiette assez piquante dont on prête le
récit
à M. de Latouche : je la donne ici sans la garant
. de Balzac dans le cas de M. de Latouche. Il commence si bien chaque
récit
, il nous circonvient si vivement, qu’il n’y a pas
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