telle fin, plus elle se jugera indépendante et libre ; le maximum de
puissance
indépendante et consciente attribuable au moi dan
gnorance de la réalité qui en sortira : c’est un sentiment concret de
puissance
. Il a sa première origine dans la réelle activité
s futurs. Il n’y en a pas moins ici la révélation interne d’une vraie
puissance
qui se développe en nous et par nous. Outre le se
puissance qui se développe en nous et par nous. Outre le sentiment de
puissance
inhérente au désir, il y a aussi, pendant la déli
ente au désir, il y a aussi, pendant la délibération, un sentiment de
puissance
inhérente à l’intelligence même. Notre pouvoir co
pouvoir de notre conscience, comment n’aurions-nous pas l’idée de la
puissance
même des idées ? Que, là encore, il n’y ait point
un sens déterminé. Sous tous les rapports, nous avons un sentiment de
puissance
active et personnelle, qui est la base du sentime
Nous nous figurons alors non seulement que le choix résulte de notre
puissance
, — ce qui est vrai, — mais que cette puissance mê
choix résulte de notre puissance, — ce qui est vrai, — mais que cette
puissance
même est ambiguë, — ce qui n’est pas impliqué dan
-même en déterminisme mécanique. Pour vérifier par l’expérience notre
puissance
de vouloir au même instant, dans les mêmes condit
é, par pure hypothèse, le contraire du déterminisme, c’est-à-dire une
puissance
d’indétermination absolue, le psychologue peut en
propre contraire et de ses propres limites, façonné par l’idée d’une
puissance
d’indétermination, prenant ainsi un aspect nouvea
t être un but. Mais la liberté, étant le maximum relatif ou absolu de
puissance
indépendante et spontanée pour le moi, peut et do
s possibles et même nécessaires. Le premier de ces éléments, c’est la
puissance
, qui est un bien pour nous, puisqu’elle est le pr
e se procurer tous les biens. Nous désirons donc toutes les formes de
puissance
à leur maximum, y compris la puissance de la volo
rons donc toutes les formes de puissance à leur maximum, y compris la
puissance
de la volonté sur les objets extérieurs ou même s
désirable pour les mêmes raisons et est d’ailleurs inséparable de la
puissance
. En troisième lieu, pour posséder le maximum d’in
ième lieu, pour posséder le maximum d’indépendance, il faut que notre
puissance
se confonde le plus possible avec notre moi lui-m
ans limites, autant qu’il est possible. La forme intellectuelle de la
puissance
, qui est la puissance des idées, est également dé
’il est possible. La forme intellectuelle de la puissance, qui est la
puissance
des idées, est également désirable pour un être i
s l’histoire. Le concept de la liberté intérieure et celui même de la
puissance
des idées ne sont nullement indifférents : ils ne
t l’esprit dans la même inertie qu’une formule de pure algèbre. Notre
puissance
indépendante et spontanée doit pouvoir s’exercer
om de contingence. Et c’est le quatrième élément de la liberté. Notre
puissance
n’est pas pour cela absolument ambiguë et indéter
cette idée réveille l’amour que nous avons naturellement et de notre
puissance
personnelle et de notre intelligence impersonnell
tion ou sentiment, surtout agréable, puis les idées relatives à notre
puissance
personnelle, laquelle nous cause d’ailleurs un se
p un commencement de force pour le réaliser. L’idée et le désir de la
puissance
, surtout s’il s’y joint la conviction de la puiss
le désir de la puissance, surtout s’il s’y joint la conviction de la
puissance
même, produisent donc des effets dynamogènes. Il
dynamogènes. Il est bien clair qu’il ne suffit pas de s’attribuer une
puissance
quelconque pour la créer de toutes pièces en soi
i 100 au dynamomètre pour obtenir ce chiffre. Mais il s’agit là d’une
puissance
physique subordonnée à des conditions tout extéri
ieur ; bien plus, quand il est la volonté même. Il s’agit alors d’une
puissance
sur soi, d’une sorte de réflexion de la puissance
s’agit alors d’une puissance sur soi, d’une sorte de réflexion de la
puissance
. L’idée, ici, n’est pas encore omnipotente, mais
ssifs d’énergie interne. Au fond, il s’agit de développer en nous une
puissance
consciente et intelligente ; donc, plus j’ai cons
ance consciente et intelligente ; donc, plus j’ai conscience, plus la
puissance
croit : l’idée même de la puissance s’ajoute à la
nc, plus j’ai conscience, plus la puissance croit : l’idée même de la
puissance
s’ajoute à la puissance réelle et l’élève à un de
, plus la puissance croit : l’idée même de la puissance s’ajoute à la
puissance
réelle et l’élève à un degré supérieur. Il est bi
un degré supérieur. Il est bien entendu que nous ne parlons pas d’une
puissance
en l’air et sans objet, mais du pouvoir de se déc
possibilité pour moi de vouloir faire ces excuses, par conséquent ma
puissance
sur moi-même, et si, d’autre part, je conçois les
les excuses comme bonnes à tel ou tel point de vue, cette idée de ma
puissance
, jointe à celle de l’effet désiré, me mettra dans
t désiré, me mettra dans des conditions favorables à l’exercice de ma
puissance
propre. Il peut même arriver que toute ma puissan
l’exercice de ma puissance propre. Il peut même arriver que toute ma
puissance
réside de fait dans cette idée ; en tout cas, si
’excuses n’eût été possible : l’idée est donc bien la condition de ma
puissance
sur moi. Du même coup, elle enlève de leur force
me, est incomplète toute analyse qui considère seulement l’idée de la
puissance
sans celle de l’objet désirable auquel elle s’app
quel elle s’applique, ou l’idée de l’objet désirable sans celle de la
puissance
. Je ne me confère aucune puissance par la concept
l’objet désirable sans celle de la puissance. Je ne me confère aucune
puissance
par la conception d’une puissance sans objet ; ma
puissance. Je ne me confère aucune puissance par la conception d’une
puissance
sans objet ; mais, d’autre part, il n’est pas vra
ule, par son degré de désirabilité intrinsèque, sans que l’idée de ma
puissance
personnelle vienne y ajouter son action. La réali
r son action. La réalité concrète enveloppe à la fois et l’idée de ma
puissance
et l’idée d’un objet auquel elle s’applique : les
objets de pensée et de désir. Après les effets généraux de l’idée de
puissance
, examinons plus particulièrement les effets produ
rtent à nous répandre ont également besoin de trouver dans le moi une
puissance
de spontanéité toujours à leur disposition et con
x circonstances ; 3° à l’intensité avec laquelle notre moi conçoit sa
puissance
indépendante et l’oppose aux motifs extérieurs. D
atholiques depuis Jules II dans le monde actuel ? Oubliez-vous qu’une
puissance
de soixante millions d’hommes en Europe et en Asi
étachées aujourd’hui du tronc pontifical ? Oubliez-vous qu’une grande
puissance
germanique elle-même, la Prusse, qui forme à elle
on temporel des pontifes-rois ? Oubliez-vous enfin que, de toutes ces
puissances
allemandes, quelquefois auxiliaires, quelquefois
quelquefois auxiliaires, quelquefois ennemies des papes, trois seules
puissances
n’ont pas déserté l’obéissance spirituelle aux pa
disposait de l’Europe au service de la Rome papale, n’est plus qu’une
puissance
de huit millions d’hommes, qui ne compte plus en
and nom et par le caractère resté entier de sa chevalerie militaire ;
puissance
historique plus que politique aujourd’hui dans le
rimauté du génie des arts qui fait la gloire, mais qui ne fait pas la
puissance
militaire et politique des nations. IX Est-
rdanelles ni le Bosphore ; il faudrait enfin que l’Allemagne, devenue
puissance
navale et commerciale à son tour, n’eût pas créé
pes, pour adopter une autre forme de gouvernement civil, aucune autre
puissance
ne pourrait leur ravir ce droit et leur imposer l
des nations civilisées : Premièrement, la sécurité relative de chaque
puissance
, en ne plaçant à côté d’elle qu’une puissance sec
rité relative de chaque puissance, en ne plaçant à côté d’elle qu’une
puissance
secondaire et inoffensive qui ne puisse jamais me
ondaire et inoffensive qui ne puisse jamais menacer sa sûreté, ou des
puissances
intermédiaires plastiques qui, par leur interposi
che, fussent de nature à prévenir ou à amortir le choc de ces grandes
puissances
entre elles… Tel était, par exemple, le Piémont a
ar exemple, jusqu’ici restreinte au rôle de gardienne des Alpes et de
puissance
neutre interposée entre l’Autriche et la France ;
puissance neutre interposée entre l’Autriche et la France ; si cette
puissance
venait à s’annexer par les armes vingt ou trente
s vingt ou trente millions de sujets en Italie, et à former ainsi une
puissance
militaire de trois ou quatre cent mille hommes, l
et la France, sans cesse provoquées à des luttes incessantes par une
puissance
si forte et si active que le Piémont, n’auraient
roulerait pas moins de sang que le Pô et l’Adige. Comment la France,
puissance
déjà entourée d’une ceinture de grandes puissance
Comment la France, puissance déjà entourée d’une ceinture de grandes
puissances
souvent hostiles, telles que l’Autriche, la Pruss
sserait-elle river impunément autour d’elle cette ceinture de grandes
puissances
dont elle est déjà trop resserrée ? Comment créer
rée ? Comment créerait-elle de ses propres mains une cinquième grande
puissance
militaire qui, en cas de coalition, la forcerait
ain trente millions d’hommes en Italie ? contre une maison de Savoie,
puissance
très virile et très héroïque sur les champs de ba
ble, parce que la France ne supporterait pas longtemps ce poids d’une
puissance
de trente millions d’hommes ajouté au poids qu’el
e et ce pays pourront-ils se mesurer longtemps à force égale avec une
puissance
toute militaire comme l’Autriche, qui met sur pie
si aimés des Léopold, par les papes, par les rois de Naples, par les
puissances
ou par les populations catholiques en Espagne, en
nique jusqu’à Grenoble, Toulon, Lyon ; du jour où le Piémont sera une
puissance
de trente millions d’hommes, du jour où le Piémon
n de la maison de Savoie tantôt pour, tantôt contre ces trois grandes
puissances
et contre l’Europe, drapeau que chacune de ces pu
ois grandes puissances et contre l’Europe, drapeau que chacune de ces
puissances
viendra abattre à son tour dans une main monarchi
hostile comme la haine, pensée punique qui trompera bientôt les deux
puissances
qui l’ont conçue et qui trompera l’Italie elle-mê
; il faut rétablir l’élément de réaction, d’appétition, d’effort, de
puissance
et, abstraitement, de possibilité. À chaque sensa
que l’idée d’infini à une qualité, par exemple à l’intelligence, à la
puissance
, au bonheur, non plus seulement à une quantité ab
e quantité. Par exemple, la joie peut être plus ou moins intense ; la
puissance
que je déploie pour vaincre un obstacle intérieur
ut le reste. Je construis ainsi l’idée d’une béatitude infinie, d’une
puissance
infinie, d’une intelligence embrassant tout dans
ons que la joie est positive, parce que nous y avons conscience d’une
puissance
qui se développe sans obstacles ou en triomphant
nce bonne, parce que nous jouissons de connaître et de comprendre, la
puissance
bonne, parce que nous jouissons d’agir et de mouv
es, le côté négatif de notre bonheur, de notre intelligence, de notre
puissance
; le reste est donc constitué par des qualités po
t non négatives. 2° — Nous ne trouvons en nous, dit Descartes, que la
puissance
de progrès ; or la perfection est en acte, non pa
sance de progrès ; or la perfection est en acte, non pas seulement en
puissance
; donc ridée de perfection ne peut avoir en nous
magine, et que toutes les perfections sont en quelque façon en moi en
puissance
, quoiqu’elles ne se produisent pas encore et ne s
— Mais il ne suffit pas de remarquer ainsi qu’un être qui passe de la
puissance
à l’acte et qui se perfectionne n’est pas et ne s
elligible que notre pensée est intelligente ; il y a donc en nous une
puissance
qui dépasse ses actes particuliers et peut recomm
l’opération. Et il n’est pas vrai de dire, avec Descartes, que cette
puissance
n’est rien ; car il ne s’agit pas ici d’une puiss
rtes, que cette puissance n’est rien ; car il ne s’agit pas ici d’une
puissance
abstraite et nue comme celle de l’école : il s’ag
e puissance abstraite et nue comme celle de l’école : il s’agit d’une
puissance
vivante et concrète qui a toujours conscience de
ation actuelle. Nous sommes donc en possession de ces quatre termes :
puissance
, acte, unité de la puissance et de l’acte en cert
onc en possession de ces quatre termes : puissance, acte, unité de la
puissance
et de l’acte en certains points, rapprochement de
de la puissance et de l’acte en certains points, rapprochement de la
puissance
et de l’acte en d’autres points. Par abstraction,
mine toutes les différences qui peuvent encore rester en moi entre la
puissance
et l’acte, et je conçois alors le suprême degré d
s à mesure qu’ils se développent. La science produit, par exemple, la
puissance
et le bonheur. Nous avons donc, à la limite, une
ain céleste à l’image du souverain terrestre, ou plutôt on conçoit la
puissance
d’une certaine manière, et on les modèle l’un et
l’un et l’autre d’après cette conception. Tantôt on se représente la
puissance
comme un despote141 ; tantôt comme un roi légitim
l individu humain143, tantôt comme une loi abstraite indépendante des
puissances
particulières144, tantôt comme une loi abstraite
articulières144, tantôt comme une loi abstraite simple expression des
puissances
particulières145, et l’on façonne là-dessus son D
aux alentours, ce sont les monarchies régulières qui, abolissant les
puissances
particulières et indépendantes, instituent une ad
r le roi. La raison limitée et oratoire se complut à ce bel ordre des
puissances
civiles, et le transporta dans les puissances nat
plut à ce bel ordre des puissances civiles, et le transporta dans les
puissances
naturelles. Les choses du ciel se modelèrent sur
ieux intérieurs qui vivent dans les choses sont anéantis ; toutes les
puissances
particulières se concentrent dans le Dieu unique.
ns la nature. Le coeur de l’homme n’est point content s’il ne sent la
puissance
infinie par un attouchement intime ; et il n’a qu
es, celui des plantes et des bêtes, celui des dieux. N’est-ce pas une
puissance
étrange que ce talent qui nous les rend sensibles
oportionne suivant une idée maîtresse et pour un seul dessein ? Cette
puissance
vous a maintenant manifesté sa nature ; elle se r
’avaient point tort de l’appeler divine, et de trouver dans l’étrange
puissance
qui la forme une image des puissances immortelles
ne, et de trouver dans l’étrange puissance qui la forme une image des
puissances
immortelles qui opèrent dans l’univers. * * *
sans ruiner la mère patrie, décoration plutôt qu’élément vital de sa
puissance
: mais son aptitude à la marine militaire, mais s
te d’être dévorée si elle n’est pas complice, la Prusse n’est pas une
puissance
assise sur ses propres bases : c’est une puissanc
usse n’est pas une puissance assise sur ses propres bases : c’est une
puissance
debout, mécontente, inquiète de sa mauvaise assie
la Prusse ne lui ait été ou amie infidèle ou ennemie acharnée. Cette
puissance
, qui se pose comme allemande par excellence, n’es
ope centrale. Quelle alliance sûre la France peut-elle nouer avec une
puissance
qui représente l’Angleterre sur son flanc droit,
semble posséder aujourd’hui nos publicistes ! l’abaissement de notre
puissance
en Europe ! quatre-vingts millions d’Allemands gr
e en Europe ! quatre-vingts millions d’Allemands groupés en une seule
puissance
active contre trente-six millions de Français ! u
nce adossée à la Russie et inspirée par l’Angleterre contre nous ? La
puissance
autrichienne, noyau protecteur des petites puissa
contre nous ? La puissance autrichienne, noyau protecteur des petites
puissances
de l’Allemagne méridionale, n’a-t-elle donc pas,
ut, par les populations indigènes, comment serait-il remplacé par les
puissances
européennes elles-mêmes ? Sera-ce par la Russie ?
de religion : il s’agissait de la liberté et de l’équilibre du monde.
Puissance
civilisée, la France a été là à sa place, à la tê
mer de Marmara, l’Archipel, la mer Noire, à moins d’être la première
puissance
navale du monde ? Les flottes anglaises et les fl
lais, et l’Orient ne serait que le champ de bataille de l’Europe. Ces
puissances
se partageraient-elles l’empire ottoman ? Mais qu
re, et rien à gagner que la force doublée de ses ennemis naturels. La
puissance
du continent occupé par les Allemands et les Russ
a place aux rivalités de l’Europe, de la paix aux intérêts rivaux des
puissances
, des progrès aux civilisations chrétiennes : l’em
ait depuis longtemps de sa subalternité politique en face des grandes
puissances
militaires librement constituées qui prédominaien
la famille des monarchies, va grandir en un moment, non pas comme une
puissance
régulière et par un accroissement progressif, mai
pour se protéger mutuellement contre l’Autriche ou contre toute autre
puissance
armée, anglaise, russe, prussienne, même piémonta
voriser ce droit, s’il était nié ou attaqué dans son exercice par des
puissances
étrangères à l’Italie. XXI Ainsi, que le P
immiscer dans les transactions du peuple et des princes ? Laissons la
puissance
à l’un, la liberté à l’autre, la transaction éven
liés de l’unité monarchique piémontaise en Italie, nous serons quatre
puissances
militaires réunies en une seule agression contre
de sera, quand la Russie voudra, moscovite. Il n’y aura plus que deux
puissances
, l’Angleterre et la Russie ; ou bien la France, s
rance, sans alliance, sera obligée de descendre à la subalternité des
puissances
secondaires ; ou bien encore la France, comme apr
, enfin, couvre l’empire ottoman en Europe contre la Russie. Ces deux
puissances
, l’Autriche et la France, sont donc nécessaires l
quefois faire adopter de certaines idées par la rapide autorité de la
puissance
. Plusieurs écrivains ont avancé que la religion c
aines époques de l’histoire, dans lesquelles l’amour de la gloire, la
puissance
du dévouement, tous les sentiments énergiques, en
rants, pour relever de tels vaincus, il fallait l’enthousiasme, noble
puissance
de l’âme, l’égarant quelquefois, mais pouvant seu
e n’avaient qu’un seul usage parmi ces hommes, c’était d’accroître la
puissance
physique. La guerre était leur unique but. Voilà
ipes ; mais des hommes, jadis indomptables, reconnurent cependant une
puissance
au-dessus d’eux, des devoirs pour lois, des terre
la force des sacrifices, l’abnégation de l’intérêt personnel, et une
puissance
d’abstraction et de pensée, dont on vit sortir de
rs aussi que l’on connut véritablement le bonheur domestique. Trop de
puissance
déprave la bonté, altère toutes les jouissances d
tés, se fait sentir encore jusque dans la philosophie stoïcienne ; la
puissance
sur soi-même y est exercée, pour ainsi dire, avec
s, elle était beaucoup plus près que le stoïcisme de reconnaître leur
puissance
. Plus de modestie, plus d’indulgence dans les pri
rature lui doit beaucoup aussi dans tous les effets qui tiennent à la
puissance
de la mélancolie. La religion des peuples du Nord
i puéril qu’absurde. L’attention et l’abstraction sont les véritables
puissances
de l’homme penseur ; ces facultés seules peuvent
litaires ne conservent qu’un faible intérêt par-delà l’époque de leur
puissance
. Il n’y a qu’un fait pour l’homme éclairé depuis
ctions dans l’ordre moral. Qui sait jusqu’où l’on pourra porter cette
puissance
d’analyse, qui, réunie à l’imagination, loin de r
uand l’imagination qui les donne est captivée, et sert elle-même à la
puissance
de l’attention. Les ouvrages purement littéraires
éliore celui qui l’éprouve. Le talent d’écrire peut devenir l’une des
puissances
d’un état libre. Lorsque les premiers magistrats
état libre. Lorsque les premiers magistrats d’un pays possèdent cette
puissance
, elle forme un lien volontaire entre les gouverna
ement, de ranimer dans le cœur des hommes les principes de la morale,
puissance
dont les magistrats doivent se regarder comme les
ssance dont les magistrats doivent se regarder comme les représentai,
puissance
qui leur donne seule le droit de demander à la na
naître, par cela même qu’on l’avait en vain évoqué. Quand une fois la
puissance
de la parole est admise dans les intérêts politiq
ux que les discours les plus soutenus, les attributs nécessaires à la
puissance
du langage ; cette manière de s’exprimer agissait
pelés à gouverner l’état. Mais ce n’est là qu’une partie encore de la
puissance
du langage ; et les bornes de la carrière que nou
parcourons vont reculer au loin devant nous ; nous allons voir cette
puissance
s’élever à un bien plus haut degré, si nous la co
irs comme ses peines n’appartiennent qu’au développement entier de sa
puissance
. Après cette sublimité de vertu, qui fait trouver
eilles ; tout ce qui pense est en relation avec moi ; et dégagé de la
puissance
environnante des sentiments individuels, c’est à
exercice de toutes ses facultés, enivrer enfin par la certitude de la
puissance
de son être. C’est donc au plus haut point de bon
l’œuvre de ses mains ; et si le sort, la superstition, la magie, une
puissance
, enfin, indépendante des hommes, n’entre pas dans
sement qu’il faut montrer à l’opinion générale : certaine de sa toute
puissance
, elle en a la pudeur, et veut du respect sans fla
ts qui les décident, avec les discussions qui les éclairent ; mais la
puissance
des hommes supérieurs se renouvelle avec chaque g
xposé de tous les coups. Les événements du hasard, ceux qu’aucune des
puissances
de la pensée ne peuvent soumettre, sont cependant
besoin du suffrage des autres, a mis, tout à la fois, sa vie sous la
puissance
du calcul et du hasard, de manière que le travail
de la seule qui soit au-dessus de celle qu’on lui accorde ; toute la
puissance
de l’imagination se développe en elle, parce qu’a
mélancolie qu’on est ramené vers eux ; mais par la nécessité, funeste
puissance
, qui brise tout ce qu’elle courbe ! L’un des cara
s retrancher ce qui est l’essence des passions, l’asservissement à la
puissance
des autres.
mais été inventé avant eux en diplomatie, l’alliance avec les petites
puissances
, c’est-à-dire l’alliance de la force avec la faib
avec la petitesse, l’alliance de quarante millions d’hommes avec des
puissances
de trois ou quatre cent mille sujets, l’alliance
t de Londres abandonnerait le cabinet d’Orléans à l’animadversion des
puissances
du Nord, animadversion que l’Angleterre seule ava
le cabinet de la république : c’est de déclarer la paix à toutes les
puissances
qui ne se déclareront pas en guerre avec elle ; c
ne revendiquera des rectifications éventuelles à cette géographie des
puissances
que de concert commun avec tous les autres peuple
prendra fait et cause, si cela lui convient, pour toute nation qu’une
puissance
étrangère voudrait contraindre ou opprimer dans s
fas aut nefas eût pour objet et pour résultat l’agrandissement de la
puissance
, ou dynastique ou nationale, des États ; le princ
petit prince des Alpes, qui éprouvait le besoin de devenir une grande
puissance
, et de peser du poids de trente millions de sujet
r la Méditerranée, et où elle a usurpé des ports tout creusés par des
puissances
catholiques, pour en faire des ports et des arsen
tions qui, de gré ou de force, ont composé, avec le laps du temps, la
puissance
dont ces nationalités forment aujourd’hui le bloc
’Espagne, Venise et Gênes s’appartenaient à elles-mêmes ; le Piémont,
puissance
alors insignifiante, oscillait entre l’Autriche e
e telle situation de l’Autriche dans la distribution géographique des
puissances
n’avait donc plus rien de menaçant en Europe, soi
s envieuse, disons le mot, la plus hostile contre nous : colère d’une
puissance
qui ne nous pardonne pas de caresser d’autres all
ces mers, qui sont chacun une lettre de cet alphabet diplomatique de
puissances
, et qui forment en se combinant la langue politiq
de tout l’univers. Il y a beaucoup de morts, beaucoup de cadavres de
puissances
dans tout cela ; nous vous en parlerons bientôt à
plus répandue, et on pourrait dire la plus universelle de toutes les
puissances
politiques (à l’exception de la Chine) qui ont ja
terre, il suffit d’être homme pour s’enorgueillir, comme homme, d’une
puissance
de civilisation, de richesse, de commerce, d’inte
les successions, et par elles les richesses, et avec les richesses la
puissance
restent dans l’ordre des nobles. Voilà pourquoi v
ent consister toutes leurs forces, toutes leurs richesses, toute leur
puissance
dans la multitude de leurs fils, commencèrent à s
introduisirent le peculium adventitium. Ils ôtèrent les effets de la
puissance
paternelle à l’adoption qui n’est pas faite par u
semblait diminuer la majesté impériale, ils introduisirent le mot de
puissance
paternelle, patria potestas 102. En dernier lieu
ient le privilège des nobles. Les droits privés étaient les noces, la
puissance
paternelle, la suite, l’agitation, la gentilité,
nt le privilège nominal de l’empire, imperium, il prit le titre de la
puissance
tribunitienne, potestas tribunitia, se déclarant
rotecteur de la liberté romaine. Le tribunat avait été simplement une
puissance
de fait ; les tribuns n’eurent jamais dans la rép
Esprits de ténèbres. Les dieux du polythéisme, à peu près égaux en
puissance
, partageaient les mêmes haines et les mêmes amour
Un autre trait distinctif de nos êtres surnaturels, surtout chez les
puissances
infernales, c’est l’attribution d’un caractère. N
t qu’au souffle impur de la haine. On doit sentir dans ces orages une
puissance
, forte seulement pour détruire ; on y doit trouve
des plantes et des philtres, tandis que parmi nous elle découle d’une
puissance
surnaturelle, quelquefois bonne, mais presque tou
des cabinets, à Rome, Rome, la grande école de la diplomatie moderne,
puissance
qui ne vit que de politique sur la terre, d’empir
sance arriérée dans la voie de la corruption des cabinets européens ;
puissance
de bonne foi, dont la candeur est à la fois la ve
e bonne foi, dont la candeur est à la fois la vertu et la faiblesse ;
puissance
naïve qui n’a jamais eu de diplomatie que la lign
puissance naïve qui n’a jamais eu de diplomatie que la ligne droite ;
puissance
qui a toujours cru à toutes les paroles, et qui n
ours cru à toutes les paroles, et qui n’a jamais manqué à la sienne ;
puissance
, enfin, destinée à être la grande et éternelle du
nt, malgré ses obscurités et ses contradictions. L’intervention d’une
puissance
chez une autre est illicite quand il s’agit de s’
que c’était l’homme qui parlerait le mieux à l’oreille de toutes les
puissances
, peuples, tribuns, femmes, empereurs, rois. Quelq
u’un nom aristocratique et des opinions populaires étaient une double
puissance
qu’il fallait habilement combiner dans sa personn
imprimait un certain prestige sur sa personne à l’Assemblée. C’est la
puissance
de l’inconnu, c’est l’attrait de l’énigme pour le
son de Bourbon sur le trône d’Espagne ; l’Angleterre avait anéanti la
puissance
navale des Espagnols ; la Hollande était redevenu
s et solidement incorporées à la monarchie autrichienne ; les petites
puissances
allemandes limitrophes du Rhin étaient une conféd
nt, corps et âme, à ce grand homme. Le disciple n’avait pas les mêmes
puissances
de persuasion sur l’esprit public, puisque Mirabe
d’État facile, un abandon certain de la France à toute usurpation de
puissance
qui lui promettrait la paix, la réconciliation av
es hommes, les choses, les négociations, les intérêts réciproques des
puissances
, tout ce qu’un grand diplomate pouvait enseigner
tes ou en dépêches avec les cours et les ministres, conclues avec les
puissances
, exposées devant les corps délibérants, que M. de
r du pouvoir dynastique : « La paix n’est solide, disait-il, qu’entre
puissances
qui ont les mêmes formes et les mêmes mœurs. L’Eu
de la chevalerie peut-être, lui dit-il, mais ce ne peut plus être une
puissance
; c’est le plus triste, mais le plus réel des fai
is. Pour la reconstruire, il faudrait anéantir les trois plus grandes
puissances
de l’Europe, et, quand vous l’auriez reconstruite
de l’épouse de Napoléon ? Mais l’impératrice n’était déjà plus en sa
puissance
: elle ne s’était pas jetée à propos entre les ar
ble. C’était l’axiome de la diplomatie ; il forçait la conviction des
puissances
: une acclamation l’adopta. M. de Talleyrand, maî
uerre. La révolution de Belgique démantelait donc l’Angleterre et les
puissances
du Nord de leurs principales fortifications contr
ent dans un homme ; et cet homme n’est plus un homme : il devient une
puissance
divine de destruction ou de conservation pour tou
franchir un abîme par un expédient ; plénipotentiaires de toutes les
puissances
, qui venaient honorer, dans ce plénipotentiaire d
e valeurs médiales, telles que la richesse, le confort, l’honneur, la
puissance
, la science, etc., qui exercent sur lui une attra
éléments nécessaires d’une culture harmonique destinée à augmenter la
puissance
totale de l’être humain, mais comme si elles étai
irée jadis comme un moyen d’embellir la vie ou comme un instrument de
puissance
entre beaucoup d’autres : elle est considérée auj
ividualités à se différencier et à étendre sur autrui leur volonté de
puissance
? Aucune culture « organique » ne fera cesser le
nt. Sous la fausse humilité socialiste, il y a l’éternelle volonté de
puissance
égoïste ; il n’y a pas de vie si médiocre qui n’a
éal économique est subordonné à un idéal esthétique de grandeur et de
puissance
humaine. Ceux qui se rallient à cet idéal sont in
laboration de tous. Un idéal nouveau : celui de l’accroissement de la
puissance
collective de l’humanité sur la nature se substit
humanité sur la nature se substitue à l’idéal ancien de la volonté de
puissance
individuelle s’exerçant sur autrui et contre autr
s’exerçant sur autrui et contre autrui. C’est à cet accroissement de
puissance
collective que chaque homme doit travailler et tr
-t-il disparaître entièrement l’ancien idéal du gain égoïste et de la
puissance
égoïste ? Fera-t-il disparaître toute tyrannie de
Alcan.) 77. Nietzsche, Aurore, § 173. 78. Nietzsche, La Volonté de
puissance
, t. II, § 406. 79. Otto Effertz, Les Antagonisme
e n’est pas un luxe, une vaine parure, mais la condition même de leur
puissance
et cette culture elle-même n’est pas un assemblag
er qu’en flattant, punir qu’en dégradant. Il fallait qu’il appuyât sa
puissance
sur une sorte d’assentiment public, dont sa volon
grâce dans le monarque, ou tout au moins dans les dépositaires de sa
puissance
; il fallait du goût et de la délicatesse dans le
ris, pour que l’on n’aperçût ni le commencement, ni les limites de la
puissance
royale. Quelques-uns de ses droits devaient être
plus redouté, du ridicule. Le ridicule est, à beaucoup d’égards, une
puissance
aristocratique ; plus il y a de rangs dans la soc
publique ; car à l’exception de quelques circonstances très rares, la
puissance
est de bon goût, le crédit a de la grâce, et les
ent par les paroles ; dans un tel état de choses, les femmes sont une
puissance
, et l’on cultive ce qui leur plaît. Le loisir que
us toutes ces formes et dans tous ces usages, elle apparaît comme une
puissance
régulatrice et organisatrice des instincts, des s
de l’ambitieux n’est accessible qu’à des motifs tirés de l’appétit de
puissance
. La volonté des voluptueux qu’à des images sensue
vidu que le coopérateur, notre sentiment de liberté personnelle et de
puissance
personnelle est en raison du nombre et de l’impor
ne s’accompagne pas nécessairement d’un accroissement du sentiment de
puissance
de l’individu, mais au contraire, du sentiment de
onnelle un produit et un bienfait social. Les racines du sentiment de
puissance
individuelle sont en grande partie physiologiques
n sentiment de dépendance. C’est elle qui différencie ce sentiment de
puissance
en l’appliquant chez les différents individus à d
de souffrance, la hauteur des espérances, la hardiesse des désirs, la
puissance
de la haine sont l’apanage du souverain et de l’i
u et la société. La volonté de l’individu aspire à la diversité, à la
puissance
, à l’indépendance ; la société s’efforce de répri
autour de la prépondérance, de la croissance, du développement de la
puissance
, conformément à la volonté de puissance qui est p
sance, du développement de la puissance, conformément à la volonté de
puissance
qui est précisément la volonté de vie ». Mais cet
e, ayant trouvé dans l’hégélianisme et le darwinisme les bornes de sa
puissance
destructive, se met à reconstruire. Il dresse un
évreuse création de quelque dieu imprévu, Bacchus barbare, ivre de sa
puissance
, ivre aussi de ce qu’il a bu. Or ce qu’il a bu n’
s extérieurs qui jettent sur nous une ombre malsaine ; ne laisser aux
puissances
divines, justice, chance, destinée, d’autre refug
s émerveillaient ne sont que des portions mal connues de notre propre
puissance
». « Notre propre puissance », quoiqu’il la dési
des portions mal connues de notre propre puissance ». « Notre propre
puissance
», quoiqu’il la désigne souvent par le mot « cœur
Notre temps adore les fantômes et n’aperçoit même pas les véritables
puissances
. Admirateur ahuri des disciples pauvrement bégaya
lque université ; en France, connaissez-vous un professeur qui ait la
puissance
de penser ou le courage de ne point répéter ? Che
tantôt égarés par une ambition mondaine et en disproportion avec leur
puissance
italienne, tantôt asservis à la pression armée de
Italie dans le courant des siècles. Par ordre de date il n’y a pas de
puissance
plus antique en Italie ; par ordre de services il
soutinrent contre l’empire germanique, antagoniste permanent de leur
puissance
temporelle : ils la poursuivirent contre la prépo
n. VIII Depuis Bossuet, les papes n’ont pas cessé de déchoir en
puissance
publique en Italie d’autant de degrés que Bossuet
les connaître, ne furent pas autre chose que le reflux de toutes les
puissances
dans leur territoire respectif après le débordeme
a France napoléonienne. Ces congrès et ces traités, dans lesquels les
puissances
non catholiques étaient en majorité, reconnurent
dans les affaires intérieures du pape, du roi de Naples et des autres
puissances
italiennes. Je me dis à moi-même : C’est une décl
leur long repos et de leurs richesses, laissèrent combattre les trois
puissances
, Espagne, France, Autriche, sur leur territoire,
nt temporel des papes caractérisait la politique de Venise en Italie.
Puissance
plus orientale qu’occidentale, les Vénitiens avai
publique, devenue conquérante en terre ferme, commença à décroître en
puissance
sur la mer. L’aventure et le mouvement étant dans
e leur indépendance ; mais les Turcs triomphent graduellement de leur
puissance
navale et coloniale en Orient ; Chypre et la Grèc
re et le commerce perpétuèrent l’ascendant jusqu’à nos jours. Devenus
puissance
navale, incapables par leur petit nombre de s’éte
e, de Galata, qui subsiste encore comme une colonne rostrale de cette
puissance
maritime ; on lui cédait l’île de Ténédos, qui le
us fort : ce n’est pas la moralité, mais c’est l’habitude des petites
puissances
. En 1696 elle déserta momentanément l’Allemagne.
e leur a inoculé ces mœurs politiques. Grandir est la loi des petites
puissances
. XXIX Napoléon tombé, la maison de Savoie s
nt et très informé, les insistances de la maison de Savoie auprès des
puissances
coalisées, pour obtenir d’elles le démembrement d
llemagne de vous effacer du sol italien ; nous vous laisserons petite
puissance
gardienne des Alpes ; ce ne sera qu’une question
dans la maison de Savoie un allié que nous avons fait redoutable, une
puissance
de trois cent mille hommes sous les armes pour y
ui un service est le prélude d’une exigence… Jamais, en six mois, une
puissance
n’a autant grandi par l’imprudente connivence de
ux sûretés bien insuffisantes contre la création d’une sixième grande
puissance
dans le monde, création qui enceindra la France d
N’est-il pas visible en effet, malgré les lenteurs et les doutes des
puissances
humaines, que l’époque de l’extension du christia
ée, ou capitale d’un État grec, ou conquête disputée entre de grandes
puissances
, Constantinople, si près de Malte et de Marseille
seulement sous la domination active d’une race d’Europe, mais sous la
puissance
électrique des arts nouveaux et de la science mod
uverné par ses arts et son humanité. On le voit donc : loin que cette
puissance
d’action, ce spectacle des réalités éclatantes, q
entiment chrétien a tant de ferveur, où la règle religieuse a tant de
puissance
, est aussi le pays où, comme dans l’Asie et dans
, ne change pas, ne dégénère pas, ne perd aucune des conditions de sa
puissance
. Quand la force tombe, quand le flambeau se dépla
au nom de quelque impérieux devoir de religion et de justice ? Cette
puissance
de création littéraire enfin, qui manque encore à
Chapitre deuxième Le génie, comme
puissance
de sociabilité et création d’un nouveau milieu so
ociabilité et création d’un nouveau milieu social I. Le génie comme
puissance
de sociabilité. — L’analyse scientifique et la sy
stique. Le génie combine les possibles ; son premier caractère est la
puissance
de l’imagination. — Son second caractère est la p
tère est la puissance de l’imagination. — Son second caractère est la
puissance
du sentiment, de la sympathie et de la sociabilit
vation et l’imitation dans la société humaine. I — Le génie comme
puissance
de sociabilité La religion commande aux hommes
certitude dans le domaine de l’art. Nul ne connaît les limites de la
puissance
d’action inhérente à la nature et de la puissance
t les limites de la puissance d’action inhérente à la nature et de la
puissance
de représentation inhérente à l’artiste. On ne pe
nalogie universelle. La première caractéristique du génie est donc la
puissance
de l’imagination. Le poète créateur est propremen
réant un monde nouveau, et un monde d’êtres vivants. Le génie est une
puissance
d’aimer qui, comme tout amour véritable, tend éne
e des facultés suffisamment intenses. En un mot, le génie complet est
puissance
et harmonie, le génie partiel est ou puissance ou
, le génie complet est puissance et harmonie, le génie partiel est ou
puissance
ou harmonie. Ceci posé, quelles sont les causes d
chez les génies. Mais, précisément à cause de cette infériorité de la
puissance
novatrice dans la masse, tout ce qui satisfait in
effets de dissolution sociale. Le génie est donc, en définitive, une
puissance
extraordinaire de sociabilité et de sympathie qui
sur leurs enfants. Dans le droit romain, tout citoyen affranchi de la
puissance
paternelle, est lui-même appelé père de famille.
ient. C’est une loi du droit naturel des gens, que le domaine suit la
puissance
. Or les serviteurs ne jouissant d’abord de la vie
naissance les souverainetés civiles, soumises à Dieu seul. Toutes les
puissances
souveraines reconnaissent la Providence, et ajout
énements au hasard. En vertu de ce droit de domaine éminent donné aux
puissances
civiles par la Providence, elles sont maîtresses
ceux qui veulent maintenir l’ancien état des choses, (d’ops, secours,
puissance
, entraînant une idée de stabilité). Ici nous voyo
ant par leur union des corps politiques, ils donnèrent naissance à la
puissance
civile, puissance souveraine, de même que dans l’
des corps politiques, ils donnèrent naissance à la puissance civile,
puissance
souveraine, de même que dans l’état précédent cel
tions, fut, à l’origine des sociétés, une sorte de privilège pour les
puissances
souveraines. Aussi le peuple où l’on ne trouve po
s puissances souveraines. Aussi le peuple où l’on ne trouve point une
puissance
souveraine investie de tels droits, n’est point u
fs), et que l’existence de deux consuls annuels ne diminua rien de la
puissance
royale, nihil quicquam de regiâ potestate deminu
ainsi que nous le démontrerons, les vaincus conservaient seulement la
puissance
paternelle, donnée par la nature, les liens natur
que les Grecs, du mot χείρ, la main, qui par extension signifie aussi
puissance
chez toutes les nations, tirèrent celui de χύρια,
mmée. Par l’ambition, je désigne la passion qui n’a pour objet que la
puissance
, c’est-à-dire, la possession des places, des rich
doit amener, ou à s’affranchir de leur joug, ou à les dominer par la
puissance
. Ce qu’ils attendent de vous, ce qu’ils en espère
défiance, ou l’aveuglement, naissent de la possession continue de la
puissance
; cette situation où la modération est aussi néce
ns cesse devant le maître quelconque, peuple ou roi, dont il tient sa
puissance
. Dans une monarchie, il est condamné à l’adoption
les caractères les plus forts n’ont jamais trouvés, en eux-mêmes, la
puissance
de s’y soumettre. Le cardinal Alberoni voulait en
elle triste couronne elle promet ! Une révolution suspend toute autre
puissance
que celle de la force ; l’ordre social établit l’
onne foi qui puisse prédire ce qu’il fera le lendemain ; car c’est la
puissance
qu’il importe à une faction d’obtenir plutôt que
se peut pas que les premiers chefs de l’insurrection conservent de la
puissance
; il faut qu’ils excitent le mouvement qui les re
ropos, empêcha la guerre civile ; et s’il se remit sous l’égide de la
puissance
militaire, il subit une triste mais inévitable né
la suite d’une Révolution comme la nôtre. Ce n’est pas à l’abri de la
puissance
légale que tous les partis pouvaient venir se sou
es partis pouvaient venir se soumettre et se reposer ; il fallait une
puissance
plus forte, pour les réprimer, les rapprocher, le
fondre, et pour les protéger tous contre l’Europe en armes ; et cette
puissance
, c’était la puissance militaire. Le Directoire, p
otéger tous contre l’Europe en armes ; et cette puissance, c’était la
puissance
militaire. Le Directoire, par le 18 fructidor, pr
able. Mais, avant ce terme, les partis sont indomptables par la seule
puissance
de la raison. Le gouvernement qui veut leur parle
pâturage. L’obsequium des affranchis, ayant peu à peu disparu, et la
puissance
des patrons ou seigneurs s’étant en quelque sorte
es civiles, où les puissants deviennent dépendants des peuples, cette
puissance
se réunit sans peine dans la personne des monarqu
ois, la jurisprudence jusqu’alors secrète échappa aux nobles, et leur
puissance
s’en trouva peu à peu affaiblie. La même chose ar
royale par laquelle les paladins français se sont dépouillés de leur
puissance
en faveur des Capétiens, de même que le peuple ro
e loi royale, fondée en nature sur un principe éternel ; c’est que la
puissance
libre d’un état, par cela même qu’elle est libre,
avait pas été le seul qui, dans ces premiers jours, en eût éprouvé la
puissance
. Si la Révolution, en se précipitant, roulait ave
turbulente et souvent factice en prit la place, et parut en avoir la
puissance
. C’est à ce titre qu’un poëte, d’abord de l’école
mais il est encore un témoin éclatant du passé, l’image d’une grande
puissance
exercée sur les âmes, l’exemple salutaire d’un re
voix du vainqueur ; tu n’inspires pas ton âme aux représentants de la
puissance
humaine. La multitude même, bien qu’elle te loue,
n âme sur la terre, l’Océan, les airs, maître de toutes choses par la
puissance
du plus ardent amour, là je t’ai sentie, ô libert
tendre, poëte moins gracieux ; et, ce qu’il y a d’immense dans cette
puissance
anglaise dont il était un des modérateurs, cet, e
génie fut enlevé au monde, à ses compatriotes, dont il adoucissait la
puissance
, à ces millions d’hommes qui, dans leur abaisseme
essamment servi par les guerres, le commerce, les arts, l’ambition de
puissance
et de gain des nations de l’Europe. Un simple pré
n et une justice croissantes, les cruautés que leur a coûtées tant de
puissance
! 227. If thou wert by my side, my love, How f
tre des obstacles toujours renaissants, et priver l’homme enfin de sa
puissance
sur lui-même. Depuis la gloire, qui a besoin du s
de ceux qui les éprouvent. Il ne serait pas juste de vanter autant la
puissance
intérieure de l’homme, si ce n’était pas, par la
si, en ne méconnaissant aucune de ses peines, en avouant la terrible
puissance
des sentiments qui la gouvernent, en lui parlant
ins de cet écrit, si venant se briser, comme tant d’autres, contre la
puissance
terrible des passions, il ajoutait seulement à la
e faire un devoir de causer une peine, ou de refuser un service en sa
puissance
; il faut avoir si présent à la pensée la chaîne
ce qu’ils avaient estimé la veille, ils appartiennent uniquement à la
puissance
d’un raisonnement, et dépendent par conséquent de
des vainqueurs ; si cette espèce de sentiment ne reprend pas quelque
puissance
, jamais le gouvernement n’obtiendra un empire con
e que l’homme, s’il n’a pas consolé l’homme, s’il n’a pas combattu la
puissance
du mal sur la terre ? La plupart des gouvernement
ire, mais elle n’en était pas moins de la poésie, prouvée même par la
puissance
qu’elle a sur nous tous, cette poésie faussée dan
t invisible de la conscience, pouvait se prouver autrement que par la
puissance
de l’accent qu’elle a, et dont, ce soir-là, préci
constaté le genre d’inspiration du poète, de déterminer son degré de
puissance
et sa place dans le hiérarchique Pandémonium des
s Névroses, est-il puissant, oui ou non et quelle est la mesure de sa
puissance
? La mesure de sa puissance ? Je vais vous la dir
oui ou non et quelle est la mesure de sa puissance ? La mesure de sa
puissance
? Je vais vous la dire… C’est l’état de détestati
ne doive jamais poser, quand il s’agit de poètes, que la question de
puissance
, laquelle implique toujours la question de sincér
rté cela. VII Eh bien, c’est cette souveraine équation entre la
puissance
du talent et la sincérité, qu’atteste, dans sa te
C’est ce tremblement, l’inspiration vraie de M. Rollinat, qui fait sa
puissance
quand il la communique à ceux qui le lisent entre
contre moi. Force d’ailleurs incommensurablement supérieure à moi en
puissance
, en étendue, en durée, en ressources ; ce qui ne
ment de la vie individuelle ; elle est quelque chose de nouveau ; une
puissance
sui generis qui se forme en dehors et au-dessus d
s de suite que, selon M. Durkheim, la lutte est tellement inégale, la
puissance
de la société est tellement écrasante, que l’indi
ndividualisme économique. — Un homme ne peut avoir exactement la même
puissance
, ni par conséquent le même droit qu’un autre ; de
ande richesse considérée elle-même comme un moyen pour la plus grande
puissance
; dans l’ordre politique, un effort vers la plus
lisme intégral, une philosophie de la vie intense et de la volonté de
puissance
triomphante, une philosophie du surhomme. Y a-t-i
autres et à primer les autres ; il aspire à plus d’indépendance et de
puissance
; il revendique sa « différence » comme un gage d
ent détruit la force des préjugés, ne pourraient plus agir que sur la
puissance
des sentiments vrais, ces plaisanteries attaquera
er à la risée des enfants. Ce n’est rien que de tourner contre eux la
puissance
énergique de l’indignation ; il faut savoir leur
ui faisant manquer son objet. L’indignation attaque le vice comme une
puissance
. La comédie doit le ranger parmi les faiblesses d
tour, chez divers peuples, à l’art de la comédie. Mais en France, la
puissance
de l’amour-propre conserve une telle activité, qu
jours des sujets piquants à traiter, et le ridicule sera toujours une
puissance
qui peut servir aux progrès de la philosophie, co
ibres et de l’égalité politique, cet esprit diminue tous les jours la
puissance
des illusions sociales. La royauté avait été souv
oir de plus contraire aux effets de l’imagination. La splendeur de la
puissance
, le respect qu’elle inspire, la pitié qu’on resse
e, et l’on n’admire que les écrits qui développent dans notre cœur la
puissance
de l’exaltation. Le célèbre métaphysicien alleman
au milieu des créations bizarres de la rêverie ; mais quand toute la
puissance
qui reste à l’imagination consiste dans l’art d’a
La force de l’esprit ne se développe tout entière qu’en attaquant la
puissance
; c’est par l’opposition que les Anglais se forme
ans les ouvrages d’imagination, dans ce domaine de l’invention que la
puissance
légale abandonne, à peine est-il possible d’oubli
is pour se rendre propre aux magistratures d’un pays qui n’accorde la
puissance
qu’à la raison. Si le pouvoir militaire dominait
u d’enthousiasme. Mais lorsqu’elles ont chargé leurs magistrats de la
puissance
impassible des lois, elles peuvent se livrer sans
rder son estime, que la république fut renversée. Et cependant quelle
puissance
lutta seule contre César ? Ce ne furent ni les in
que quand cet homme n’exista plus. Caton représentait sur la terre la
puissance
de la vertu. Rome l’admirait, de cette admiration
é européenne. Ce qui doit être nos institutions, sans doute existe en
puissance
, mais n’existe point encore en réalité. Notre con
is nécessaires, éternelles, immuables, des bornes immobiles que nulle
puissance
ne peut déplacer. Les institutions des peuples so
, sera notre loi, existante, comme elle est actuellement notre loi en
puissance
d’être. Quoique l’Évangile soit une loi indépenda
ent jadis des villes florissantes, et attestent encore aujourd’hui la
puissance
des vastes empires qui, depuis tant de siècles, o
qui devait être une révolution européenne, prouvait, avec une, grande
puissance
de raisonnement, que les libertés de l’Angleterre
de la balance politique entre les différents états. Les deux grandes
puissances
qu’il faut concilier avant tout, ou isoler entièr
es. — visite d’eugène sue a george sand. — béranger. — quatre grandes
puissances
du jour. — dupin. Certains livres catholiques se
, Béranger le visite, et madame Sand le reconnaît. Ce sont de grandes
puissances
qui se traitent désormais d’égal à égal. — Je m’é
n’en soit pas. — Béranger, Lamennais, Sand et Sue, les quatre grandes
puissances
socialistes et philanthropiques de notre âge. — V
elle place les arts d’imagination avaient dans l’antiquité, et quelle
puissance
ils ont exercée sur ses destinées ? Que l’esprit
oyauté des races doriques, mais chantant avec une docile adoration la
puissance
des princes dominateurs de l’Égypte, et lui cherc
oëte145, qui t’a fait maître des dieux, mais ton bras, la force et la
puissance
placées debout près de ton trône. Tu as pris, en
le guerrier, le rameur, tous enfin ; car qui n’est pas rangé sous la
puissance
du souverain ? « Notre voix consacre à Vulcain le
ue les rois, enfants de Jupiter. Aussi toi-même tu leur as départi ta
puissance
: tu leur as donné la garde des fortes villes ; e
’un an pour les premières. Ô Jupiter, tu as éloigné de ces princes la
puissance
de faire, et tu as troublé leurs conseils. « Salu
part, comme eux. Il a près de lui ses deux ministres, la Force et la
Puissance
, les mêmes que, dans la Grèce libre, Eschyle repr
ron, ce que Callimaque célèbre dans Ptolémée, c’est la rapidité de la
puissance
arbitraire, ce sont ces images, empruntées à l’Or
sa sœur. Cette adulation même prend un accent élevé, pour décrire la
puissance
réelle du roi d’Égypte : « Il règne sur une vast
. Le bon goût du langage est en lutte avec l’idolâtrie de l’éloge. La
puissance
des Ptolémées, leurs possessions en Asie et dans
nt de cette poésie primitive de la Judée : et c’est ainsi que, par la
puissance
de l’imitation sur un heureux génie, par l’idéal
inant de son génie. Ses idées sur l’éducation. Esprit scientifique et
puissance
imaginative. — 3. Le réalisme de Rabelais. Indif
s comme avant eux, mêmes misères seront, et mêmes abus ; que toute la
puissance
de Dieu est dans le livre, entendez que le livre,
en de violent. Rabelais est de ces génies puissants qui dirigent leur
puissance
: ils construisent patiemment une œuvre fougueuse
t être. On n’aime pas la vie, si l’on n’aime pas le vouloir vivre, la
puissance
qui tend à l’acte, l’aspiration de l’être à plus
du gentilhomme, il n’a rien négligé ; il a mis en culture toutes les
puissances
de son esprit et de son corps. Le grand crime, ou
veulent vivre, aspirent à compléter, élargir, épanouir leurs intimes
puissances
. Il les posera nettement, vigoureusement ; il les
de la vie morale, des formes et du jeu des âmes. Avec une prodigieuse
puissance
, il nous donne les âmes et les corps, les actes a
se puissance, il nous donne les âmes et les corps, les actes avec les
puissances
: et, mieux que la farce, il prépare l’éclosion d
nent leur source dans les idées nouvelles, et leur doivent toute leur
puissance
. Nous ne nous livrerons point, sur ce sujet, à un
rait prendre garde de ne pas les blesser, car les mœurs aussi ont une
puissance
de révolte qui peut occasionner de grands malheur
omnie, les écrits indiscrets feront des blessures profondes que nulle
puissance
au inonde ne pourra guérir, la censure deviendra
férence entre les mœurs et les opinions se fait sentir avec une telle
puissance
. On peut s’égarer, il me semble, sur ce qu’est ré
pres et les vanités, car les intérêts tout seuls n’auraient pas eu la
puissance
d’émouvoir. On est parvenu ainsi à développer dan
ntatif n’était point encore dans nos mœurs. On a beaucoup parlé de la
puissance
des salons : elle est grande en effet ; c’est tou
ssible de régner à la fois de deux manières, il est certain que cette
puissance
dont nous parlions tout à l’heure, la puissance d
est certain que cette puissance dont nous parlions tout à l’heure, la
puissance
des salons, s’affaiblit de jour en jour sous le r
s plus humbles, on trouve une dépense de mouvement proportionnée à la
puissance
, sous la forme d’une perception à la fois une et
ce de la force. Nous jouissons de notre succès intellectuel, signe de
puissance
et, en dernière analyse, de vie cérébrale. La fac
llectuelle : elle est donc une économie de force et un déploiement de
puissance
. Aussi ne pouvons-nous trouver notre repos que da
la nature même de notre sensibilité et à ses rapports avec nos autres
puissances
. Dans les sentiments esthétiques, nous sentons po
qu’aux lapines et pleurer jusqu’au rire, comme pas un de bous ! Cette
puissance
du rire qu’a M. Pommier, tout autant que la puiss
de bous ! Cette puissance du rire qu’a M. Pommier, tout autant que la
puissance
de s’attendrir et de s’indigner, Balzac, ce rieur
ensemble, essai curieux, intitulé : Monsieur Orgon ! Or, c’est cette
puissance
du rire qui fait, du poète lyrico-satirique qu’es
eparaissent après le moyen âge, ils sont portés à de bien plus hautes
puissances
. Mais ces différences de degré elles-mêmes corres
l, dès lors, que de conclure du présent au passé, et d’attribuer à la
puissance
des idées égalitaires toutes les transformations
Ainsi, quand bien même on nous aurait prouvé que l’égalitarisme a la
puissance
de développer la densité sociale, ou l’homogénéit
u de réagir sur certaines de nos formes sociales, il n’a nullement la
puissance
de les susciter toutes, et que par suite, là où l
dées sont justes ; mais nous avons donné, du moins, la mesure de leur
puissance
. 228. Curtius, Histoire grecque, trad. fr. II,
is ces chansons-là vivront comme l’esprit français, dont elles ont la
puissance
. Et cependant, à l’heure même où triomphait cette
les images et l’harmonie avec cette facilité qui ajoute la grâce à la
puissance
, d’une pureté admirable quand il était inspiré, e
droit durable et de liberté garantie, où la dignité du caractère, la
puissance
du talent, n’ont qu’à persister, à travers des ob
’auteur. Mais que d’autres beautés grandes et fortes naissaient de sa
puissance
d’impressions ! Ce n’est pas en vain qu’il ramène
nouvel empire qu’elle avait obtenu. Cet ascendant parut là même où la
puissance
de ses armes avait échoué. Le monde sait quel fut
prits les plus inventifs, y succombent. Ainsi dut s’abaisser, avec la
puissance
, l’inspiration du peuple espagnol. Ainsi parut ép
le fond de la race ait changé et qu’elle n’ait pas pour les arts une
puissance
originale, dont les traits se retrouvent jusque d
’instrument natal et sonore, gardera-t-elle le même charme et la même
puissance
? Ne paraîtra-t-elle pas souvent, jusque dans son
e à mes accents, et accorde-moi de redire, dans une sévère poésie, la
puissance
de la croix. « Élevez, élevez votre drapeau de gl
s la liberté, et de la fortifier par une confédération, république de
puissances
, où chaque nationalité garde son nom et prête sa
auquel vous livrez si aveuglément aujourd’hui l’Italie ; le Piémont,
puissance
radicalement disproportionnée à son ambition ; mo
ôle plus grand que sa taille dans le drame géographique de l’Europe ;
puissance
trop faible pour constituer l’Italie et pour la d
vous consentez à lui annexer monarchiquement toute cette péninsule ;
puissance
trop forte, si vous la laissez former contre vous
nt la situation défensive de la France en changeant la géographie des
puissances
contiguës ? La géographie vous le dit : ce qu’il
tit bruit que les historiens profanes appellent gloire, civilisation,
puissance
, et que les philosophes appellent néant ! Car la
actions49. De là résulte une conséquence pratique. « La richesse, la
puissance
et les dignités sont peut-être le plus remarquabl
de attention dans l’éducation et dans la morale50. » La richesse, la
puissance
et la dignité n’étant la source d’affections si p
s et de nos peines ; sans compter qu’il s’éveille en nous une idée de
puissance
qui est toujours agréable. Une autre source d’ass
ous par association. Ainsi les sons qui s’associent avec des idées de
puissance
, de majesté, de profonde mélancolie sont en génér
lée cause et effet, on imaginait une troisième chose appelée force ou
puissance
, qui n’était pas la cause, mais en émanait. « Un
philosophe60 a montré d’une manière incontestable que la cause et la
puissance
c’est tout un ; et par suite tout se réduit à rec
r vie immortelle. De même la parole fut douée, au commencement, d’une
puissance
et d’une fécondité dont elle ne jouit plus, il es
is ce qui existe par elle continue d’exister. Si Dieu lui a retiré la
puissance
dont il l’avait revêtue, c’est sans doute parce q
hère sensible, les efforts de la pensée ont augmenté de vigueur et de
puissance
pour secouer des chaînes qui devenaient de plus e
insuffisant, ce qu’on sera beaucoup plus porté à croire. La nouvelle
puissance
de l’opinion, qui sort en effet d’un tel état de
n effet d’un tel état de choses, et dont nous avons déjà parlé, cette
puissance
de l’opinion peut, au reste, fort bien être consi
r un sens extérieur presque insignifiant, mais symbolique à plusieurs
puissances
, affecte une forme artistique d’une remarquable p
s deux drames précédents, les scènes sont menées vers le but avec une
puissance
magistrale. Mais ce qu’il faut louer spécialement
o, 2 avril 1894), on y reconnaît « je ne sais quelle présence, quelle
puissance
ou quel dieu qui vit avec moi dans ma chambre… qu
rlinck, est un homme de génie authentique, un très grand phénomène de
puissance
mentale à la fin du xixe siècle. L’enthousiaste
ez-moi la pudeur : cet attrait de préférence exclusive, qui a tant de
puissance
, serait-il un produit de l’art ? L’homme ne doit-
ssement terrible. Les anciens, qui avaient mis en symboles toutes les
puissances
de la nature, n’avaient pas manqué d’établir des
e qu’elles se sont ce qu’il faut qu’elles soient pour le protéger. Sa
puissance
est plus grande sur le sol et sur le climat que s
tait un beau spectacle pour les dieux. Nous trouvons un instant où la
puissance
guerrière et la puissance commerçante se sont dis
r les dieux. Nous trouvons un instant où la puissance guerrière et la
puissance
commerçante se sont disputé l’empire du monde. Ca
reçu de pouvoir que dans la société ; hors de la société il est sans
puissance
. Ce n’est donc que dans la société qu’il faut étu
ervatrices des traditions, et qui deviennent inutiles à mesure que la
puissance
des traditions s’affaiblit et s’éteint ; mais avo
sentation. On peut dire que l’énoncé de la question contient déjà, en
puissance
, l’équivoque par laquelle on y répondra. Plaçons-
n, semble-t-il, que mon corps, ou quelque partie de mon corps, ait la
puissance
d’évoquer les autres images. Admettons qu’il ne l
ais pas le droit d’attribuer à ces mouvements internes la mystérieuse
puissance
de se doubler de la représentation des choses ext
en choses et non plus en simples représentations) comme renfermant en
puissance
la représentation tout entière. En cela consister
étendu en elle et non plus tendu en lui, il ne peut plus receler les
puissances
et virtualités dont parlait le réalisme ; on érig
ou actualisable, et un système où la réalité devient un réservoir de
puissances
, étant alors ramassée sur elle-même et par conséq
monnaie usée, en perdant la marque précise de sa valeur, a acquis une
puissance
indéfinie d’achat. 4° L’idée que, si deux touts s
— Immensité de l’empire des Perses. Le grand Roi, ses richesses et sa
puissance
. Le Vendidad, un des livres sacrés de la Perse
de l’insupportable chaleur. Les Prophètes mêmes d’Israël sacraient sa
puissance
et oignaient sa force. Daniel eut une vision où i
aine, dressés aux portes de son palais, symboles de sa force et de sa
puissance
. Un rideau de pourpre voilait, comme un nuage, ce
eaucoup de Perses. Tel était le Grand Roi, incarnation formidable des
puissances
et des monstruosités de l’Orient, armé de forces
; il tenait tout entier dans cette double offrande. La terreur de la
puissance
perse était telle que la plupart des villes conse
’auteur cache, ou plutôt il ne cache pas, qu’il est l’historien de la
puissance
temporelle de la Papauté, puisque le gouvernement
rreurs les plus profondes du spiritualisme humain, que de croire à la
puissance
spirituelle réduite à sa seule force isolée ; c’e
it à son tour M. de L’Épinois, — aucun dessein préconçu n’amena cette
puissance
du clergé. Elle venait parce qu’ailleurs tout s’e
s effroyables anarchies romaines ; et, plus tard, sur elle-même. Car,
puissance
temporelle, elle s’arma enfin, comme toutes les p
-même. Car, puissance temporelle, elle s’arma enfin, comme toutes les
puissances
temporelles, et combattit ses ennemis jusque par
de ma connaissance, — et qui la vengea ! Elle devint alors une autre
puissance
, non moins applaudie, non moins retentissante. El
est-elle vraie, d’ailleurs ? Sophie Arnould, parce qu’elle était une
puissance
, a été traitée comme toutes les puissances, qui s
ld, parce qu’elle était une puissance, a été traitée comme toutes les
puissances
, qui sont, un jour, vilipendées par ceux qui les
ce que MM. de Goncourt n’ont pas fait. Ils ne discutent pas l’étrange
puissance
de Sophie Arnould sur une société qui avait des c
les qu’elle et tout aussi débauchées ; ils la prennent en bloc, cette
puissance
, et ils ne l’analysent pas. Pour ces amoureux des
t héroïque anarchie de cinq ou six nationalités qui se disputaient la
puissance
, la gloire, la primauté dans cette cendre du vieu
n appelle les légations, lui firent connaître à fond la politique des
puissances
auprès desquelles il alla ménager les intérêts de
ate, perfide comme un brigand, il aspirait à fonder en Italie, par la
puissance
papale de son père, une dynastie des Borgia. Il l
r l’amour, en relief sur les vases étrusques, est le symbole de cette
puissance
de souffrir et de jouir en même temps qui caracté
Le roi de France Louis XII fit cinq fautes en Italie : il y ruina les
puissances
faibles, il y accrut la puissance d’un prince pui
fautes en Italie : il y ruina les puissances faibles, il y accrut la
puissance
d’un prince puissant, il y introduisit un prince
France d’hier relativement à l’Italie ? La France y laisse tomber les
puissances
faibles et secondaires, la Toscane, Parme, Modène
e n’aurait dû consentir à affaiblir ou à laisser absorber ces petites
puissances
, parce que, tant qu’elles auraient existé, elles
l’occasion ; c’est du mariage de la fortune avec le génie que naît la
puissance
; sans cela, rien. La multitude ignore trop cette
truire, dit Machiavel, c’était le moyen de son génie et la base de sa
puissance
. En résumant sa conduite, je n’y trouve rien à cr
ses rochers d’un côté, par la mer de l’autre, se constitue aussi une
puissance
carthaginoise de commerce et de liberté, patrie f
de la Savoie, domaine sauvage des peuplades allobroges, sortirait une
puissance
envahissante, militaire et politique, qui aspirer
gleterre, avec le pape, avec l’Autriche et la Russie, avec toutes les
puissances
et toutes les causes qui voulaient arrêter ce tor
ez doux de plaire et d’exercer ainsi sur tout ce qui vous entoure une
puissance
due à soi seule, une puissance qui n’obtient que
ainsi sur tout ce qui vous entoure une puissance due à soi seule, une
puissance
qui n’obtient que des hommages volontaires, une p
seule, une puissance qui n’obtient que des hommages volontaires, une
puissance
qui ne se fait obéir que parce qu’on l’aime, et d
e entre deux personnages. Il est, au contraire, d’autres sujets où la
puissance
de la musique et du chant devait singulièrement r
désir passionné de la mort, mais repoussé de la mort par l’inexorable
puissance
de Jupiter, il est tout à coup délivré par le fil
rgonautes devait rassembler, à côté des passions humaines, toutes les
puissances
de la magie et de la religion, depuis les incanta
ûlante d’Eschyle, dans cette lave tragique coulant à pleins bords, la
puissance
lyrique ne dominât toujours, et sous les deux for
fit-il pas des drames conservés du poëte, pour nous émerveiller de sa
puissance
lyrique ? À part même les Perses, quels accents r
meurtrière d’un époux ; tu me conduis sur un sol sanglant. » Quelle
puissance
dramatique dans cette prophétie, non pas régulièr
de Sophocle que Voltaire avait cru perfectionner, l’abaissement de la
puissance
, le châtiment des fautes dont elle est coupable,
e manifester leur justice, n’était-ce pas l’hymne sacré dans toute sa
puissance
, transporté sur le théâtre et y continuant l’inst
poésie grecque. Il suffit de quelques souvenirs, pour en rappeler la
puissance
. Les Chœurs d’Euripide renouvelaient pour la Grèc
la poésie même : Aristote l’a nommé le premier un art d’imitation. La
puissance
de la raison se développe et s’étend chaque jour
sciences progressives le dernier pas est le plus étonnant de tous, la
puissance
de l’imagination est d’autant plus vive que l’exe
sance de l’imagination est d’autant plus vive que l’exercice de cette
puissance
est plus nouveau. Les anciens étaient animés par
un homme puisse atteindre, dans quelque autre sujet que ce soit, à la
puissance
d’abstraction qu’exige la composition d’une gramm
corps ; la valeur se composait beaucoup moins de vertu morale que de
puissance
physique ; la délicatesse du point d’honneur, le
de l’âme, et l’on en voit l’énergique peinture dans Homère ; mais la
puissance
d’aimer semble s’être accrue avec les autres prog
e ; et lorsque la nature du gouvernement promet à l’homme de génie la
puissance
et la gloire, des vainqueurs dignes de remporter
e de la mort peut seule remuer les âmes. La parole conserve encore la
puissance
d’une arme meurtrière ; mais elle n’a plus de for
; ils ôtent successivement à tous les mots dont ils se servent, leur
puissance
naturelle. Une âme délicate éprouve une sorte de
c’était sans doute la conscience de la vertu dans l’âme du juste, la
puissance
de la vérité réunie à l’éloquence du talent. Mais
eillance : vous serez également repoussé. Si vous parlez au nom de la
puissance
, ils vous écouteront avec respect, quel que soit
omme dangereuse, si elle se concentre dans son foyer naturel, dans la
puissance
des sentiments sur notre âme. Il s’établit depuis
fois à l’insu même du caractère qu’elle gouverne ; jamais du moins sa
puissance
n’est publiquement reconnue par celui qui s’y sou
tir du cercle le plus étroit, et cependant dans ce cercle, il y a une
puissance
de malheur plus grande que dans toute autre exist
ais c’est comme un moyen d’avoir accès auprès de la nouvelle sorte de
puissance
qu’on veut flatter. On approche d’une femme disti
a succédé à l’émulation de la vanité, mais la vanité avait créé cette
puissance
qui a anéanti, pendant un temps, tous les mouveme
tu, cherche à les diviser pour les opposer l’un à l’autre, et crée la
puissance
du crime, comme la seule qui dégrade celui qui la
inées dans toutes les classes, dans tous les individus, qui arrête la
puissance
de la gloire, comme les brins de paille repoussen
nce, Goethe en Allemagne de nos jours. Car le génie n’est rien qu’une
puissance
développée, et nulle puissance ne peut se dévelop
jours. Car le génie n’est rien qu’une puissance développée, et nulle
puissance
ne peut se développer tout entière, sinon dans le
s, et qu’il est le plus capable, par l’ampleur et la diversité de ses
puissances
, de reproduire ce monde en face duquel il est pla
tes ne purent en supporter le spectacle ; les terreurs de l’enfer, la
puissance
de la superstition, bien plus que la beauté de la
eligieux et politique ? Leur religion attribuait aux dieux une grande
puissance
sur les remords des coupables. Elle représentait,
i par ce moyen de terreur, que les législateurs exerçaient une grande
puissance
, et que des principes de moralité se maintenaient
ommandés par les dieux ; il place un développement moral à côté de la
puissance
du fatalisme : dans un pays où l’on ne croit poin
s anciens, à l’effet des situations touchantes ; mais plus souvent la
puissance
de ces dogmes dispense du besoin de convaincre, d
excès ? — le gouvernement. — Peut-il jamais être considéré comme une
puissance
impartiale ? et les bornes qu’il voudra poser aux
omme qui choisit le bien et sait le faire, pour qui la vérité est une
puissance
de gouvernement, et la générosité un moyen de for
aux crimes que je déteste, aux malheurs que j’ai secourus de toute la
puissance
que peut avoir encore l’esprit sans adresse, et l
re, et soit que j’excite ou que je désarme l’injustice, en avouant sa
puissance
sur mon bonheur, je n’affecterai point une force
re avant tout certains écrits, parce que seuls ils ont ému toutes les
puissances
morales de notre être. Les esprits froids voudrai
les sentiments qui résultent de la liberté ou d’une contrainte de la
puissance
ou de l’impuissance. A cette classe appartiennent
rire en est-il le mode le plus fort d’expression. Le sentiment de la ‘
puissance
, de la supériorité, du pouvoir proprement dit : l
la plupart, tels d’aspect et d’apparence qu’ils expriment une grande
puissance
, énergie ou immensité, et sont par là capables d’
t sont par là capables d’élever l’esprit par un sentiment emprunté de
puissance
. Le sentiment de notre propre pouvoir se déploie
te, de Shakespeare et d’Homère — qui nous suggère cette émotion. « La
puissance
humaine est le sublime vrai et littéral, et il es
e vrai et littéral, et il est le point de départ pour la sublimité de
puissance
dans toute autre chose. La nature, par une extens
es : elles sont imposées par un pouvoir réel, par un individu dont la
puissance
est quelquefois dictatoriale. Tels ont été Mahome
De même j’interprétais la musique allemande comme l’expression d’une
puissance
dionysiaque de l’âme allemande… On voit que je mé
uchons au ridicule et c’est une simple absurdité que de concevoir une
puissance
qui crée des êtres par bonté pour les faire souff
n aillent donc ! Mes frères, restez fidèles à la terre, avec toute la
puissance
de votre vertu ! Que votre amour qui donne et vot
c’est de nous développer, de nous déployer tout entiers en toutes nos
puissances
, c’est d’arriver à être pleinement ce que nous no
ce qu’ils appellent aujourd’hui dominer : trafiquer et marchander de
puissance
avec la canaille. » Et il se forme ainsi un sing
es, cela veut dire que les hommes, d’une part ont supposé, à côté des
puissances
mauvaises et hostiles qui les entouraient, des pu
à côté des puissances mauvaises et hostiles qui les entouraient, des
puissances
bonnes et favorables ; d’autre part, qu’ils se so
tiles par des paroles et des actes respectueux et de les convertir en
puissances
favorables et bienfaisantes. Ne voyez-vous pas, d
e, quand il lui arrive d’en avoir, l’attribue à Dieu : « Les états de
puissance
inspirent à l’homme le sentiment qu’il est indépe
s, et un beau sens, un sens divin, un sens mystérieux, agréable à une
puissance
supérieure et voulu par elle. Les juifs sont un p
ont très longtemps cru à l’immortalité de l’âme humaine. « Volonté de
puissance
», dira-t-on à Nietzsche, désir puissant et inten
tre olympien ! — Il est possible, répondrait Nietzsche, la volonté de
puissance
, elle aussi, a ses erreurs. Mais ceci est une fau
sance, elle aussi, a ses erreurs. Mais ceci est une fausse volonté de
puissance
et au fond n’est qu’une faiblesse, l’horreur et l
, qui est une nouvelle vie et la seule désirable. Aucune « volonté de
puissance
», aucune « volonté de domination » aussi formida
nté de domination » aussi formidable ; car tout effort est volonté et
puissance
. Mais où va cet effort ? À la mort, d’abord, à la
aturel et le meilleur des sentiments humains, qui est « la volonté de
puissance
. » Mais la volonté de puissance, détournée seulem
ents humains, qui est « la volonté de puissance. » Mais la volonté de
puissance
, détournée seulement de son cours, s’est revanché
est l’instrument d’un prince, d’un parti, d’une secte, ou même d’une
puissance
d’argent ; mais qui veut être cet instrument, ou
iment de fierté croissante ». Voici son processus : « L’homme sent sa
puissance
, son bonheur, comme on dit. Il faut bien qu’en fa
face de cet état sa volonté soit en jeu ; autrement il lui semble que
puissance
et bonheur ne lui appartiendraient pas. La vertu,
ement présente dans la conscience, on peut prévoir qu’un sentiment de
puissance
en sera l’effet. » Or ceci est une illusion, asse
tendance à persévérer dans l’être et à augmenter son être, volonté de
puissance
, et c’est cet être comme desséché et énervé, qu’e
ond d’orgueil. Elle consiste à croire très profondément qu’il y a une
puissance
supérieure, immense, sublime, infinie, avec laque
c’est l’égoïsme ardent, énergique et illimité, c’est la « volonté de
puissance
», c’est le désir d’extension, c’est le désir et
gite pour s’accroître et son seul vrai besoin est l’agitation pour la
puissance
. Et aussi bien, subconsciemment, il le sait. Quan
rs eu l’espoir secret de mourir avant de l’avoir finie. La volonté de
puissance
, le désir de persévérer dans l’être et d’accroîtr
oilà tout ; ils étaient pleinement hommes ; ils avaient la volonté de
puissance
, c’est-à-dire l’égoïsme sain, jeune et vivace, et
s, il faut réhabiliter la seule vertu vraie de l’homme, la volonté de
puissance
, l’égoïsme intégral, l’égoïsme radical et intrans
ui a pour nature, pour loi et pour but de se surmonter. La volonté de
puissance
, en sa fin, et peut-être bien en son fond même, c
ur l’esprit, hélas ! combien souvent ces vices, qui ont une véritable
puissance
dynamique, n’ont-ils pas donné naissance à la ver
supérieure fait défaut, c’est à savoir celle dont la fécondité et la
puissance
inépuisables maintiennent la croyance à l’homme.
l ne s’agit pas de patrie à défendre, de cité à servir, de volonté de
puissance
à aider et à soutenir, etc. ; il s’agit d’un code
d’esclaves ! » Ici, (chez l’hébreu), on admet un Dieu puissant, d’une
puissance
suprême, et pourtant un Dieu vengeur, vindicatif.
d’une puissance suprême, et pourtant un Dieu vengeur, vindicatif. Sa
puissance
est si grande qu’on ne peut en général lui causer
vérité, évolua. Il cessa d’être démagogique. Accepté ou subi par les
puissances
de ce monde, il devint aristocratique, aspirant,
tocratique, aspirant, en la personne de ses chefs, soit à partager la
puissance
gouvernante, soit à l’accaparer tout entière en g
issance gouvernante, soit à l’accaparer tout entière en gouvernant la
puissance
gouvernante elle-même. Il cessa d’être antiartist
té est au début l’organisation des faibles pour faire équilibre à des
puissances
menaçantes… ou pour être supérieure à ces puissan
équilibre à des puissances menaçantes… ou pour être supérieure à ces
puissances
menaçantes. » Le plus souvent cette organisation
té de vivre. Car il faut, ou bien qu’ils se groupent eux-mêmes en une
puissance
équivalente, ou bien qu’ils se soumettent à un ho
’ils se soumettent à un homme qui soit à même de contrebalancer cette
puissance
. On donne généralement l’avantage à ce second pro
déré la vertu autrement que comme moyen pour arriver à la force, à la
puissance
, à l’ordre. » Mais quel est le mécanisme de cette
uellement le droit de punir], etc. ; — à l’extérieur comme volonté de
puissance
, de guerre, de conquête et de vengeance. » Or, de
a grande masse des esclaves et des demi-esclaves veulent arriver à la
puissance
. Premier degré : ils se libèrent, ils se dégagent
: ils exigent des privilèges ; ils entraînent les représentants de la
puissance
de leur côté. Quatrième degré : ils veulent le po
est une vertu négative et nihilisante. — La morale est la volonté de
puissance
des impuissants. X. Perspectives lointaines de
même. À son premier plan se trouve le sentiment de la plénitude de la
puissance
, qui veut déborder, le bonheur de la grande tensi
passion, mais plutôt par une impulsion que crée la surabondance de la
puissance
. Il honore le puissant et, non le moins, celui qu
« bon » et « mal ». C’est dans le concept mal que l’on fait entrer la
puissance
et ce qui est dangereux26 , quelque chose de form
ne folie dans la grandeur d’âme. La grandeur d’âme est une volonté de
puissance
, une volonté de noblesse, une volonté d’élévation
force en expansion, de beauté en réalisation qui dépasse ses propres
puissances
et qui les épuise, l’homme n’ayant pas d’autre lo
sur soi-même, mais comme une éducation, un dressage de la volonté de
puissance
. « Le jeûne : recommandable à tous les points de
e rude, à la vie de force, à la vie guidée et menée par la volonté de
puissance
. Les philosophes humanitaires gémissent de ce que
e sens du beau, romaine par la persévérance et l’illimitée volonté de
puissance
, elle existera : les éléments en existent ; dans
ue Dieu leur ressemble autant que possible. Non ! Dieu, la plus haute
puissance
, Cela suffit. De là résulte tout ce qui résulte :
et obscure. Il y a là un Nietzsche qui aurait été, si « la plus haute
puissance
» lui avait donné une plus longue vie. Il n’a pas
conde personne. Ce sont 1° l’ivresse ; l’augmentation du sentiment de
puissance
et la nécessité intérieure de faire des choses un
égard de tout ce qui se passe au dehors ». — Cet état particulier, de
puissance
surexcitée et en acte, fièvre d’un genre particul
optique du spectateur, du critique, c’est exiger qu’il appauvrisse sa
puissance
créatrice. Il en est ici comme de la différence d
uteurs ont eue à l’égard de leurs propres forces. Ils ont cherché des
puissances
alliées, des intercesseurs, des couvertures — tel
le surchargé dans l’art est la conséquence d’un appauvrissement de la
puissance
organisatrice, accompagné d’une extrême prodigali
er un contraste à la souveraineté et à la noblesse de naissance, à la
puissance
héréditaire du vouloir et de la passion ! » Et v
e foule d’applications différentes de la loi morale selon le degré de
puissance
pour le bien que chacun possède, avec des compens
rigine de la Tragédie grecque ; il a fini par dire dans sa Volonté de
Puissance
, au chapitre de la critique des valeurs supérieur
nt en temps ordinaire la confiance en eux-mêmes et le sentiment de la
puissance
, éprouvent en état de passion de la timidité et u
ion sublime de la passion, elles ont leur fierté et leur sentiment de
puissance
, lesquels demandent : « Qui donc est digne de moi
épendant, fougueux, indomptable, il imposera sa manière, s’il en a la
puissance
, et il n’aura ni plus tort ni plus raison en théo
du grand dans la peinture est souvent élevé chez lui à la plus haute
puissance
qu’ait jamais atteinte la parole humaine. Cela me
es de Théodore, parce que je les sens anéanties par un grand fait, la
puissance
de l’individualité, puissance irrésistible, qui d
es sens anéanties par un grand fait, la puissance de l’individualité,
puissance
irrésistible, qui détruit parfois toutes les noti
donc à dire, reprit Théodore, qu’il n’est possible d’avoir de grandes
puissances
qu’à la condition d’avoir de grandes erreurs ? —
du poète, car le vrai poète est un voyant, et c’est en vous que cette
puissance
exceptionnelle se manifeste le plus vivement de n
elle-même. Elle avait une double mission puisqu’elle avait une double
puissance
. Elle devait doter son époque de beaux ouvrages,
entourée, admirée. Elle a eu des éléments de sécurité, de calme et de
puissance
appropriés à l’influence heureuse qu’elle devait
t la créature, quelle qu’elle soit, l’imagination émue m’initie à une
puissance
, tandis qu’en classant la beauté des créatures pa
fférence qui sépare l’idée chrétienne de l’idée païenne ; et, par une
puissance
et une universalité de génie incomparables, Miche
ettes. Ces vieux types de la création primitive ont leur caractère de
puissance
brutale ou terrible. Ils ressemblent à des rocher
l martyr, ouvrant ses bras à celui dont le métier est de susciter les
puissances
temporelles et d’enivrer souvent ceux qu’il place
jouet des passions et la victime de l’orgueil. Il ne reconnut qu’une
puissance
dans l’univers, l’inflexible réalité. Goethe ferm
y voit anéanti, main c’est l’enfer qui est mis à sa place. Il y a une
puissance
de sorcellerie, une pensée de mauvais principe, u
pas un poète sans enthousiasme, sans croyance ou sans passions, et la
puissance
de Goethe, agissant dans l’absence de ces élément
ésie, expression de la vie en nous, ingénieuse ou sublime, suivant la
puissance
de ces deux ordres de facultés en nous. L’idéal d
s enchantés : les anges du ciel ne descendent pas à notre voix. Notre
puissance
ne peut évoquer ni les génies de l’air, ni les es
effleurer la terre de son aile pour que la terre entière tombe en sa
puissance
. Si le fameux docteur Faust est là seulement en q
question, Dieu et le lecteur se trompent grandement au début, sur la
puissance
intellectuelle de ce sage que la moindre plaisant
iable. Son cerveau poursuit toujours un certain idéal de gloire et de
puissance
surhumaine qui n’est pas pourtant l’idéal divin ;
émente, Faust, se dessinant pour la première fois, est animé de cette
puissance
de droiture et de cette franchise grande et simpl
nivers en lutte avec un esprit jaloux dont, à son tour, il jalouse la
puissance
; l’amour lui révélera dans son être une autre fa
sé d’être le maître de l’univers, l’égal de Dieu ; il reconnaîtra une
puissance
devant laquelle il est doux de se prosterner dès
té une des grandes voix qui ont prêché avec fruit, avec honneur, avec
puissance
, le retour au spiritualisme. Tout était juste alo
nité… Et, avec ma science, s’accrut en moi la soif de connaître et la
puissance
et la joie de cette brillante intelligence, jusqu
par l’appât de la prospérité humaine. Ils lui offrent « l’empire, la
puissance
, la force, et de longs jours ». Mais l’ancien Fau
a mort, elle le ranime et lui fait retrouver le sublime orgueil de sa
puissance
. Que fait-il ici ? dit le vieillard. — Mais oui,
agnifique dans le sentiment et dans l’expression que cette invincible
puissance
de Manfred à l’heure de sa mort, méprisant le dés
disant : Non, l’esprit du mal ne contrebalance pas dans l’univers la
puissance
céleste ! Non, Satan n’a pas prise sur nous, Ahri
lyses métaphysiques et anatomiques, me l’a révélé. Je sens en moi une
puissance
qui ne peut tomber sous l’empire de la mort. L’en
de souffrir ; mais le néant se refuse à m’ouvrir son sein. Ma propre
puissance
, éternelle, invincible, se révolte contre les déc
ns l’ordre matériel, ils sont vaincus dans l’ordre intellectuel. À la
puissance
temporelle, les ukases du czar Knutopotent, les t
u moins la persécution, la torture et l’exil ont développé en lui des
puissances
qui lui étaient inconnues auparavant ; car rien,
ète exhale un cri de désespoir et de fureur ; il rassemble toutes les
puissances
de son cœur et de son génie, pour arracher à Dieu
en parlant de la concession infâme faite par le souverain Pontife aux
puissances
coalisées : Tiens-toi là près de l’échafaud, lui
ives du Tanaïs. Il y a certainement dans cette moitié de l’Europe une
puissance
formidable qui gronde, et qui renversera l’odieux
me, pleure des larmes de sang sur la Pologne. Comprimée encore, cette
puissance
éclatera. Elle aura de terribles luttes à souteni
rsévérer. Un Esprit. — Homme ! pourquoi ignores-tu l’étendue de ta
puissance
? Quand la pensée dans ta tête, comme l’éclair au
est un chant grand, un chant créateur !… Ce chant, c’est la force, la
puissance
; ce chant, c’est l’immortalité… Que pourrais-tu
t de siècles et de nations, ne vous procureront pas la félicité et la
puissance
que je sens aujourd’hui dans cette nuit solitaire
s je n’ai senti comme dans ces instants. — Ce jour est mon zénith, ma
puissance
atteindra aujourd’hui son apogée. Aujourd’hui, je
t-on, sont dans les cieux. Me voilà… me voilà : tu vois quelle est ma
puissance
; — vois où s’élèvent mes ailes : je suis homme,
n du monde. Les forces me manquent, et je viens ici, armé de toute la
puissance
de ma pensée, de cette pensée qui a ravi aux cieu
t comme un volcan, et qui parfois seulement fume en paroles. Et cette
puissance
, je ne l’ai puisée ni à l’arbre d’Éden, dans le f
l’as ravi toi-même, cet œil pénétrant, puissant ? Dans mes moments de
puissance
, si j’élève les yeux vers les traces des nuages,
es vents ne l’ébranleront pas. — Si je regarde une comète de toute la
puissance
de mon âme, tant que je la contemple, elle ne bou
, je viens ici chercher un moyen infaillible, ici dans le ciel. Cette
puissance
que j’ai sur la nature, je veux l’exercer sur les
es. Montre-toi et fais-moi sentir ta supériorité… Moi, je veux de la
puissance
, donne-m’en ou montre-m’en le chemin. J’ai appris
Je le crois… Mais ce qu’ils pouvaient, je le puis aussi ! Je veux une
puissance
égale à la tienne ; je veux gouverner les âmes co
ois, je t’ai deviné, je comprends qui tu es, et comment tu exerces ta
puissance
; il a menti celui qui t’a donné le nom d’Amour,
res, dans les cadavres, a seul réussi à s’approprier une partie de ta
puissance
. Il reconnaîtra le poison, la poudre, la vapeur ;
e sur la terre avec un grand peuple. J’ai pour moi les armées, et les
puissances
, et les trônes ; si je me fais blasphémateur, je
je t’ai dévoilé les abîmes de mon cœur. Je t’en conjure, donne-moi la
puissance
, une part chétive, une part de ce que sur la terr
ieux que les archanges, je suis digne que tu me cèdes la moitié de ta
puissance
… Réponds… Toujours le silence !… Je ne mens pas,
vrai en disant que ce ne serait pas là un assez grand éloge pour une
puissance
comme la sienne. Ce ne sont pas des romans comme
devant une conviction attristée, devant un reproche du cœur, toute sa
puissance
diabolique s’écroulait sous l’instinct naïf et bo
tude effrayante. Et quand on pense qu’il n’avait pas, comme Dumas, la
puissance
d’une mémoire merveilleuse ; comme M. de Lamartin
ligence. Il avait peint la famille, le ménage, l’intérieur, par cette
puissance
d’intuition qui lui faisait tout reconstruire, co
ctait sont radicalement détruites et balayées, à chaque ligne, par la
puissance
de son propre souffle. Il est bien heureux qu’ell
définir la personnification réelle d’un genre parvenu à sa plus haute
puissance
. » Voilà une excellente définition ; elle est de
veilleux soleil de l’art. » Oui, certes, voilà la grande et la vraie
puissance
de l’artiste. Personne ne l’a encore possédée ave
de même race, ils sont presque frères, en ce sens que la base de leur
puissance
est cette sagesse, cette persistance, cette appar
de talent que cette figure ressort du cadre avec tant de charme et de
puissance
: le talent de Cooper est simple, et, comme nous
stesse. Et puis, le côté de grandeur de certaines tribus sauvages, la
puissance
des instincts et des sentiments de la race indien
n Américain devait hésiter à flétrir ces iniquités, d’où naquirent la
puissance
et l’individualité de sa race. Cooper s’isola dan
et non par le glaive ou l’abrutissement. Cette fatale situation d’une
puissance
acquise au prix du dol, du meurtre et de la fraud
pas le méconnaître) a moins de portée. Il pleure une nationalité, une
puissance
, une aristocratie surtout. Ce que chante et pleur
de nos sens, qui atteint le plus loin, entraîne l’imagination vers la
puissance
et la majesté suprêmes. L’espace sans limites est
iquent la fécondité de son talent, la pureté de ses conceptions et la
puissance
de cette belle création de Nathaniel qui résume e
i l’âme et la vie et tout ce que je puis être ; la beauté du jour, la
puissance
de l’air et du soleil, all, tout ce qui peut rend
d’amour et de soin ? Pour nous, ce furent des prêtres investis de la
puissance
gouvernementale qui tyrannisaient nos consciences
concours fraternel, de toute protection dans les hautes régions de la
puissance
? Où sont donc les hommes forts qui se sont levés
bsorbe tous vos soins et dépasse toutes vos forces. En attendant, les
puissances
de l’esprit se développent et se dressent de tout
ans ces moments, je m’inquiétais de mes forces, j’y reconnaissais une
puissance
qui ne pouvait demeurer solitaire, et, me prenant
en que, malgré nous, nous sentions que le génie c’est le cœur, que la
puissance
c’est la foi, que le talent c’est la sincérité, e
absorbé. Toujours maître de son individualité, on sent bien en lui la
puissance
d’une âme rêveuse et contemplative, mariée pour a
dre digne d’elles. Enfin, il était essentiellement fécondant pour des
puissances
isolées ou fatiguées qu’il savait grouper ou reno
bien que Rossini ne se fût pas arrêté au milieu de sa gloire et de sa
puissance
sans les dégoûts dont l’abreuva la légèreté avec
oncluante. Jusqu’ici on avait dû accorder aux cantatrices une part de
puissance
égale à celle des plus grands chanteurs. On a dit
paritions de chanteurs et de virtuoses qui, renfermés dans une grande
puissance
d’exécution, ne laissent après eux que des souven
alent dramatique de mademoiselle Garcia, pas plus que l’étendue et la
puissance
extraordinaire de sa voix. Peu nous importerait l
présentations que divers accidents ont accumulés sur lui, prodigue sa
puissance
avec une vaillante ardeur. Le public qui entend c
it là ce qu’ont fait tous les maîtres véritables : il donna sa propre
puissance
à son œuvre, en croyant la surprendre dans l’âme
cteurs ont sans doute prévue, c’est que la parole a conservé toute sa
puissance
et toute sa fécondité dans la sphère des idées re
-ce donc un si grand malheur que les rois eussent au-dessus d’eux une
puissance
mystérieuse qui venait les épouvanter et leur ann
épouvanter et leur annoncer, les oracles de la justice éternelle, une
puissance
qui venait leur dire : Ce sceptre que vous tenez
nté ? pourquoi les peuples ont-ils refusé de reconnaître à la fois la
puissance
du génie et celle de la force ? Il faut le dire,
nous sommes aujourd’hui peu frappés, dans la longue habitude de notre
puissance
et de ses effets. Le premier qui mesura l’espace
e et l’a métamorphosée ? Eh bien ! ce monde ainsi métamorphosé par la
puissance
de l’homme, cette nature qu’il a refaite à son im
ne suffisent point à l’homme. Tout puissant qu’il est, il conçoit une
puissance
supérieure à la sienne et à celle de la nature, u
oit une puissance supérieure à la sienne et à celle de la nature, une
puissance
qui sans doute ne se manifeste que par ses œuvres
rellement. L’absolu véritable n’est pas le pur être en soi : c’est la
puissance
et la cause prise absolument et par conséquent cr
xclusivement ; il n’était pas, il commence à être, par la vertu de la
puissance
causatrice que nous possédons. Voilà ce que c’est
ction qu’il n’a pas faite encore et qu’il va faire ; il la tire de la
puissance
très réelle qu’il a de la faire. La création divi
peut pas être, qui est un pur mot ; il le tire de lui-même, de cette
puissance
de causation et de création dont nous possédons u
ccident paralyse mon bras ; l’obstacle le plus vulgaire s’oppose à ma
puissance
; et mes créations, comme ma force créatrice elle
de la conception de la création divine. Dieu crée donc en vertu de sa
puissance
créatrice ; il tire le monde, non pas, encore une
t si Dieu est pour nous l’unité de l’être, de l’intelligence et de la
puissance
, avec la variété inhérente à cette unité, et avec
le monde entier, comme le monde entier réfléchit Dieu, si toutes les
puissances
de l’essence divine passent dans le monde et revi
oi il nous est impossible de rien concevoir en fait d’existence et de
puissance
. L’identité de la conscience constitue l’identité
e qui change. La variété dans l’unité est l’élément de l’histoire. La
puissance
de la variété, entre les mains du temps et sur le
icularité, afin qu’elle s’y déploie tout entière, afin que toutes les
puissances
cachées qu’elle recèle dans son sein se fassent j
ours et à travers tout. Et quand je dis l’humanité, je dis toutes les
puissances
qui la représentent dans l’histoire, l’industrie,
a nature humaine : elle la développe et rien de plus ; voilà sa seule
puissance
, et par conséquent sa fin véritable. L’humanité a
sion d’y jouer le rôle qui lui a été assigné, d’y déployer toutes les
puissances
qui sont en lui, et de ne se retirer qu’après avo
nres d’industrie, toutes les sciences mathématiques et naturelles, la
puissance
territoriale et la puissance maritime, la force p
sciences mathématiques et naturelles, la puissance territoriale et la
puissance
maritime, la force prépondérante de l’État et la
à ce point de force et de confiance en lui-même qu’il s’abuse sur sa
puissance
. Certes, ce n’est pas l’affaire d’un jour. Ajoute
Dieu. L’obscurité même qui accompagne l’idée de l’infini ajoute à sa
puissance
sur l’âme ; tout autre sentiment languit devant c
monde animé et plein de forces, et une humanité qui est elle-même une
puissance
active et productrice. De même les époques de l’h
est à sa place, tout y est bien, car tout mène au but marqué par une
puissance
bienfaisante. De là cet optimisme historique qui
; et dans ce principe nous avons retrouvé en germe, sous la forme de
puissances
substantielles et éternelles, tous les éléments q
ue la raison dans toute sa rigueur, le bon sens élevé à sa plus haute
puissance
. En effet, ce que je viens de vous dire dans le l
si vous pouvez concevoir qu’une petite île soit à la fois une grande
puissance
territoriale et maritime ? Je vous demande si c’e
e pour l’Europe, accablant pour Constantinople ; car, héritière d’une
puissance
immense, si Constantinople avait eu quelque vertu
ople avait eu quelque vertu, non seulement elle aurait conservé cette
puissance
, mais elle l’aurait agrandie. Au lieu de cela, Co
vidus et des peuples. L’âme tout entière passe dans l’action avec ses
puissances
les plus diverses. Voulez-vous savoir ce que vaut
en elle-même. À l’aspect d’une légion on sent que l’on est devant une
puissance
, non seulement capable de balayer l’ennemi devant
mme. Naît et meurt à propos. Son signe est le succès. — Théorie de la
puissance
. — Théorie de la gloire. — Les grands hommes cons
ividu, mais il se rapporte à une idée générale qui lui communique une
puissance
supérieure, en même temps qu’il lui donne la form
le grand homme est impossible. Le grand homme est l’instrument d’une
puissance
qui n’est pas la sienne ; car toute puissance pur
est l’instrument d’une puissance qui n’est pas la sienne ; car toute
puissance
purement individuelle est misérable, et nul homme
érable, et nul homme ne se rend à un autre homme. Quand donc la vraie
puissance
, celle de l’idée, n’est pas ou n’est plus, quand
suis l’enfant des circonstances. » Le même homme sentait bien que la
puissance
qui l’animait ne lui appartenait point, et qu’ell
iraient comme de simples individus, et qu’ils n’auraient pas toute la
puissance
qui leur est nécessaire. Sans entrer dans des dét
arence les plus désastreuses. Le résultat des grands succès, c’est la
puissance
et une grande puissance. Mais quand on est arrivé
uses. Le résultat des grands succès, c’est la puissance et une grande
puissance
. Mais quand on est arrivé là, quand on est monté
erviteur de ceux-là mêmes auxquels il commande. Voilà le secret de sa
puissance
, et de l’obéissance facile qu’il rencontre. Ne vo
le fût capable d’aucun autre ; elle sert qui la sert. La racine de la
puissance
d’un grand homme est bien mieux que le consenteme
la dernière leçon, j’ai défendu la victoire : je viens de défendre la
puissance
; il me reste à défendre la gloire, pour avoir en
’humanité qui le fait, ne fût-ce qu’en le permettant ; que maudire la
puissance
, j’entends une puissance vraie, longue et durable
fût-ce qu’en le permettant ; que maudire la puissance, j’entends une
puissance
vraie, longue et durable, c’est blasphémer l’huma
les constitue des personnages historiques, ce qui leur a donné de la
puissance
et de la gloire, à savoir l’idée qu’ils représent
res ; car n’oubliez pas ce principe, les peuples ne reconnaissent les
puissances
cachées qui dorment en eux que dans leurs grands
es arts, c’est dans le gouvernement des États, que se révèle toute la
puissance
de quelques individus privilégiés. Voyez les noms
ècle, preuve assurée de l’harmonie de leur siècle avec eux et de leur
puissance
sur leur siècle. Cependant je ne crains pas d’aff
terre comme si peu de chose, à porter la parole sur le tombeau de la
puissance
, de la beauté, de la gloire, à célébrer toutes le
ordé l’histoire avec un système philosophique trop peu favorable à la
puissance
et à la liberté de l’homme. Herder est l’élève de
n’est assurément pas destituée d’invention ; mais il lui manque cette
puissance
de généralisation qui seule tire d’un principe to
ein de la sensation ; sans l’idéalisme, vous n’auriez jamais connu la
puissance
propre de la pensée. Dans ce dix-huitième siècle,
côté opposé, afin, ne nous lassons pas de le répéter, que toutes les
puissances
de l’âme humaine soient connues et développées. C
lait au spiritualisme une autre terre que l’Écosse pour y déployer la
puissance
et la fécondité de ses principes. En France il a
me, ce qui n’est pas une cause effective et véritable ? On détruit sa
puissance
, on détruit la possibilité de l’humanité et celle
unité de son essence, dépourvu d’attributs et du premier de tous, la
puissance
créatrice. Et ce n’est pas non plus le Dieu-Unive
en jour davantage, et qu’il regagne sans cesse et du respect et de la
puissance
. Mais n’y a-t-il que cet élément dans la Charte ?
, ses vertus invisibles sont rendues visibles dans ses ouvrages” ; sa
puissance
, dans les milliers de mondes semés dans les déser
aie, c’est-à-dire l’absolue négation de toutes bornes dans toutes les
puissances
de son être. Dès lors, il répugne qu’un effet ind
ture et de ses perfections essentielles, il faut bien admettre qu’une
puissance
essentiellement créatrice n’a pas pu ne pas créer
uissance essentiellement créatrice n’a pas pu ne pas créer, comme une
puissance
essentiellement intelligente n’a pu créer qu’avec
ntiellement intelligente n’a pu créer qu’avec intelligence, comme une
puissance
essentiellement sage et bonne n’a pu créer qu’ave
théorie incomplète et vicieuse de la liberté. C’est ici qu’éclate la
puissance
de la psychologie. Toute erreur psychologique ent
écessairement dans l’auteur de l’humanité, mais portés à leur suprême
puissance
, à leur puissance infinie, distincts et unis tout
l’auteur de l’humanité, mais portés à leur suprême puissance, à leur
puissance
infinie, distincts et unis tout ensemble dans la
n’est qu’en lui sans doute, mais dont la cause enfin est une sorte de
puissance
abstraite, mécanique ou métaphysique, peu importe
l dit que Dieu est la pensée de la pensée, qu’il n’est pas une simple
puissance
, mais une puissance passée à l’acte et effectivem
a pensée de la pensée, qu’il n’est pas une simple puissance, mais une
puissance
passée à l’acte et effectivement agissante, enten
point indéterminée, puisque, étant finie, elle a toujours en soi des
puissances
qui ne sont pas réalisées ; cette indétermination
e sont pas réalisées ; cette indétermination diminue à mesure que ces
puissances
se réalisent. Ainsi la vraie unité divine n’est p
c’est la nôtre, à laquelle on ajoute la nécessité de l’essence et la
puissance
infinie. De même notre justice et notre charité,
es arrivé à une cause et à une substance réelle, à une cause ayant en
puissance
tous ses effets essentiels, à une substance riche
rs, c’est la nécessité, c’est l’étendue, c’est la division, c’est une
puissance
qui agit sans se connaître et qui ne veut rien de
u’en tant qu’il est, comme tout effet, la manifestation de toutes les
puissances
renfermées dans la cause. Le système opposé au pa
pe nous est donné d’abord, ainsi que nous le montrons ici, dans notre
puissance
volontaire et libre qui crée à proprement parler,
e libre, sollicitée par sa sagesse et sa bonté, aussi infinies que sa
puissance
, ne peut pas ne pas passer à l’acte, en sorte que
tacte dans les citoyens finit toujours par revenir à la communauté en
puissance
, en richesse, en éclat, en prestige et en influen
On convient que tout ce que chacun aliène, par le pacte social, de sa
puissance
, de ses biens, de sa liberté, c’est seulement la
’il pense. On ne doit insulter ni par écrit, ni dans ses discours les
puissances
et les lois à l’abri desquelles on jouit de sa fo
onde est bon pour cela. » Le gouvernement rationnel doit combiner les
puissances
, les régler, les tempérer, les faire agir. » C’es
stocratie est celle où la partie du peuple qui n’a point de part à la
puissance
est si petite et si pauvre que la partie dominant
sent naturellement des canaux moyens [intermédiaires] par où coule la
puissance
; car s’il n’a dans l’Etat que la volonté momenta
lus tard, pouvoirs en soi, pouvoirs de résistance douce et sourde aux
puissances
proprement d’Etat, pouvoirs de tempérament et de
ume. Et si, depuis deux ou trois siècles, il a augmenté sans cesse sa
puissance
, il faut attribuer cela à la bonté de ses lois, e
orsque dans la même personne ou dans le même corps de magistrature la
puissance
législative est réunie à la puissance exécutrice,
e même corps de magistrature la puissance législative est réunie à la
puissance
exécutrice, il n’y a point de liberté, parce que
exercer tyranniquement. — Il n’y a point encore de liberté lorsque la
puissance
de juger n’est pas séparée de la puissance législ
core de liberté lorsque la puissance de juger n’est pas séparée de la
puissance
législative, ou de l’exécutrice. Si elle était jo
puissance législative, ou de l’exécutrice. Si elle était jointe à la
puissance
législative, le pouvoir sur la vie et la liberté
rbitraire ; car le juge serait législateur. Si elle était jointe à la
puissance
exécutrice, le juge pourrait avoir la force d’un
es. Le même corps de magistrature a comme exécuteur des lois toute la
puissance
qu’il s’est donnée comme législateur. Il peut rav
t ravager l’Etat par ses volontés générales, et, comme il a encore la
puissance
de juger, il peut détruire chaque citoyen par ses
ssez facile. Le pouvoir judiciaire y est absolument indépendant de la
puissance
exécutive et c’est le seul pays d’Europe où il en
e trois ordres forts par eux-mêmes, qui, s’ils s’unissent, auront une
puissance
extraordinaire Voilà à quelle monarchie votre doc
n’a ni ne peut avoir d’intérêt contraire au leur ; par conséquent la
puissance
souveraine n’a nul besoin de garant envers les su
ré la théorie de la volonté générale et celle de la concentration des
puissances
. L’idée de Montesquieu est qu’on ne doit pas être
divisent dans son objet ; ils la divisent en force et en volonté, en
puissance
législative et en puissance exécutive, en droits
ls la divisent en force et en volonté, en puissance législative et en
puissance
exécutive, en droits d’impôt, de justice et de gu
uver dur : « Pour former un gouvernement modéré, il faut combiner les
puissances
, les régler, les tempérer, les faire agir, donner
i peut maintenir séparés les différents pouvoirs ; mais, s’il a cette
puissance
, il trouvera plus court de les absorber en lui ou
dans cette formule d’une admirable franchise : « Le peuple est cette
puissance
qui seule n’a pas besoin d’avoir raison pour vali
avoir raison pour valider ses actes2. » Tout le Contrat social est en
puissance
dans cette formule magistrale et toute la moderne
ement la même thèse, « celle du despotisme irresponsable, celle de la
puissance
qui n’a pas besoin d’avoir raison. » Ils soutienn
fessions d’un État. — Le gouvernement ne peut être bon s’il n’y a une
puissance
unique. — -> Il ne doit pas y avoir deux puiss
s’il n’y a une puissance unique. — -> Il ne doit pas y avoir deux
puissances
dans un État. — Dans un État quelconque le plus g
les jours, et l’Etat deviendrait si faible qu’il n’y aurait si petite
puissance
qui ne fût en état de le conquérir. » Dans l’Esp
ard de l’égalité il ne faut pas entendre par ce mot que les degrés de
puissance
et de richesse soient absolument les mêmes ; mais
nce et de richesse soient absolument les mêmes ; mais que, quant à la
puissance
, elle soit au-dessus de toute violence et ne s’ex
velle qui peut s’agrandir par de nouveaux associés, jusqu’à ce que sa
puissance
suffise à la sûreté de ceux qui se sont unis. »
se défendit contre eux ; car lorsque Rome fut arrivée au comble de la
puissance
, ce fut par des associations derrière le Danube e
de son ressort. » Et c’est cette compagnie de robins, qui ne tient sa
puissance
que de son argent, qui ose traiter la royauté fra
puissance que de son argent, qui ose traiter la royauté française de
puissance
à puissance ! C’est elle qui a, au temps de la Fr
ue de son argent, qui ose traiter la royauté française de puissance à
puissance
! C’est elle qui a, au temps de la Fronde, « levé
, le Tiers ayant proposé de recevoir comme loi fondamentale que nulle
puissance
spirituelle n’est en droit de déposer les Rois et
étaient ses moments favorables, et en 1715, il reparut avec toute sa
puissance
législative, et plus que législative, de 1610. Il
igion catholique y subsiste cinq cents ans. Avant l’abaissement de la
puissance
d’Espagne, les catholiques étaient beaucoup plus
ugal depuis la perte de leurs lois sans ce pouvoir qui arrête seul la
puissance
arbitraire ? Barrière toujours bonne lorsqu’il n’
cessé d’agiter les peuples chrétiens… Il est résulté de cette double
puissance
un perpétuel conflit de juridiction qui a rendu t
furent subjugués par des barbares : alors la division entre les deux
puissances
recommença. Quoiqu’elle soit moins apparente chez
corps, il est maître et législateur dans sa patrie. Il y a donc deux
puissances
, deux souverains, en Angleterre et en Russie, tou
ntermédiaire. Vous créez, petite, mais qui pourra devenir grande, une
puissance
spirituelle dont Rousseau ne veut pas entendre pa
es ; bonheur universel. — Un petit peuple d’Orient connaît « les deux
puissances
», l’une spirituelle et l’autre temporelle, et le
iversel. — Avenir : Retour au système antique, concentration des deux
puissances
en une seule main, despotisme absolu, spirituel e
très longtemps d’un très bon œil, parce que la richesse aussi est une
puissance
, et dans un Etat bien constitué il ne doit y avoi
enverser les fondements de l’Empire, c’était haïr les victoires et la
puissance
du peuple romain. Ainsi les chrétiens, ennemis de
vaux, avec pleins pouvoirs d’admettre à une trêve de vingt années les
puissances
qui voudraient y entrer, les jansénistes, sous le
s. Il faut des « deux royaumes » en supprimer un ; il faut des « deux
puissances
» en abolir une. Le pouvoir spirituel est inutile
lé, et tout le monde est tranquille. » « Il ne doit pas y avoir deux
puissances
dans un Etat. — Dans ma maison reconnaît-on deux
s se bornent à lui mordre la queue. Ils reconnaissent encore les deux
puissances
ou du moins ils feignent de les reconnaître. Ils
-pape qu’il en vient à être partisan du Pape-roi. Pourvu que les deux
puissances
soient confondues, il lui suffit ; et tout est bi
être et d’être toujours prête à le devenir. Rousseau, ennemi des deux
puissances
, comme de tout ce qui peut limiter, modérer ou al
ratiquer, sous peine d’être exilé ou pendu. Voltaire, ennemi des deux
puissances
, comme de tout ce qui peut limiter, modérer ou al
— enfin que dans le gouvernement républicain on a besoin de toute la
puissance
de l’éducation, puisque ce gouvernement est fondé
s réglées (armées permanentes où le militarisme est un métier) que la
puissance
exécutrice peut asservir l’Etat. » — « Les troupe
maintient principalement l’équilibre, parce qu’il éreinte les grandes
puissances
Aussi l’Europe est-elle si ruinée que les particu
particuliers qui seraient dans la situation où sont les trois grandes
puissances
de cette partie du monde les plus opulentes, n’au
. C’est les Etats-Unis d’Europe, une fédération de toutes les grandes
puissances
par la désarmement ; ou la conquête de tous les E
Etats d’Europe, à en excepter si l’on veut les petits, par une grande
puissance
qui imposerait la « paix romaine » et pourrait, a
où les soldats soient une des plus viles parties de la nation, que la
puissance
législative puisse le casser sitôt qu’elle le dés
ions probables des généraux, n’auraient pas de peine à maintenir leur
puissance
légale. — LesEtats-Unis donnent quelque idée de c
e les mains de l’homme la répudiation ne soit qu’un nouvel abus de sa
puissance
. Mais une femme qui répudie n’exerce qu’un triste
La noblesse ambitieuse et turbulente qui se mit à leur tête, avide de
puissance
et mue par le seul espoir d’une revanche contre l
e, s’écrierait en levant vers les cieux ses mains ensanglantées : « Ô
puissance
et grandeur de Dieu, qui a permis que cet homme t
e d’énorme, une faculté extraordinaire, développée à son maximum, une
puissance
qu’il est impossible de lui contester. Il représe
aison. Coutumière infamie de ceux qui se disent les instruments d’une
puissance
d’amour et qui ne mettent en œuvre que la haine e
er tort aux Réformés, de faire en sorte qu’on laissât agir sur eux la
puissance
du livre, du prêche, de la controverse ? A qui fe
Lorraine. Rétablis par la Prusse, ils sont le plus solide appui de la
puissance
prussienne dans les provinces annexées… La puissa
lide appui de la puissance prussienne dans les provinces annexées… La
puissance
militaire de la Prusse remonte à cette époque, el
vait les éléments d’une prospérité qui devait faire d’elle une grande
puissance
, tandis que la France, appauvrie d’autant, commen
tous les autres, de la bouche de ce même sociologue impartial : « La
puissance
de la Prusse, son hégémonie en Allemagne et en Eu
es Réformés de France, chassés à la voix de Bossuet, qui ont fondé la
puissance
militaire de la Prusse. Nous savons d’autre part
issance militaire de la Prusse. Nous savons d’autre part que c’est la
puissance
militaire de la Prusse qui a donné à l’Allemagne
. Une forte part de ces proscrits vient coloniser la Prusse, fonde sa
puissance
militaire. La Prusse nous écrase moins de deux si
t de la grandeur de la France, pour le plus grand avantage de quelque
puissance
ennemie, et réciproquement dans le monde entier,
ccasions, et à feindre de vous emporter contre ceux dont il a fait la
puissance
et qui deux siècles après, s’en sont servis contr
r l’Église, cette vertu des souverains qui n’ont reçu le glaive et la
puissance
que pour être les appuis des aRoyutels et les déf
avoir quelle est la force de cette passion. Elle est la seule dont la
puissance
ne se démontre pas également dans tous les temps
rce que des âmes généreuses avaient attaqué leurs adversaires dans la
puissance
, et ne prenant du patriotisme que les sentiments
agance, n’aurait jamais à cet égard l’avantage d’un véritable fou. La
puissance
guerrière est une puissance toute d’impulsion, et
t égard l’avantage d’un véritable fou. La puissance guerrière est une
puissance
toute d’impulsion, et il n’y a que de la guerre d
ctuation des idées ramène les affaires au point juste et possible, la
puissance
, la considération de l’esprit de parti est finie,
; il y a quelque chose de vrai dans les satisfactions que donnent la
puissance
, la gloire, mais lorsque l’esprit de parti triomp
f et pur, de la doctrine catholique sur les rapports éternels de deux
puissances
, — la puissance séculière et la puissance religie
octrine catholique sur les rapports éternels de deux puissances, — la
puissance
séculière et la puissance religieuse, — est divis
rapports éternels de deux puissances, — la puissance séculière et la
puissance
religieuse, — est divisé en deux parties. La prem
laissent à ceux qui en sont sortis ou déchus de vieux clients de leur
puissance
ou de jeunes clients de leur renommée ; un tel ho
our de plus l’air de la France. Elle l’aimait : l’amour est aussi une
puissance
! Elle apprend que ses funérailles auront lieu le
sage. C’était là sans doute que, dans le temps de l’opulence et de la
puissance
des parlementaires, l’antique famille logeait les
auché comme un pré, finit par s’y associer sans le comprendre, par la
puissance
d’une éternelle répétition. Les récits villageois
e recherchèrent ; ils lui offrirent tout, patronage, solde, honneurs,
puissance
dans les victoires futures du parti. Il n’accepta
Nous ne parlons pas encore ici du caractère de Béranger, sa véritable
puissance
. Nous ne parlons encore que de son talent. Ce tal
enys, c’était véritablement, de nos jours, le cœur de Béranger. Cette
puissance
de souffrir pour tous, et cette puissance de comp
le cœur de Béranger. Cette puissance de souffrir pour tous, et cette
puissance
de compatir à tous, lui donnaient la puissance d’
ir pour tous, et cette puissance de compatir à tous, lui donnaient la
puissance
d’exprimer pour tous, et tous aussi reconnaissent
lent, c’était sa nature ; sa popularité, c’était son patriotisme ; sa
puissance
, c’était son humanité ! Toute rumeur cherche son
est obsédé et les paroles qui répugnent à vos opinions. Telle est la
puissance
de la chanson sur le peuple illettré des capitale
déroger le nom de famille pour faire monter plus haut l’ambition, la
puissance
, la popularité de l’individu. Il faut, quand on e
à les bien comprendre et à les bien conseiller dans les autres : les
puissances
financières, les Laffitte, les Pereire, qui ont é
litique. « Bah ! reprenait-il, à quoi bon ? Emporte-t-on son or ou sa
puissance
à la semelle de ses souliers ? J’ai mieux aimé n’
ues ensemble, j’ai pensé qu’il importait de connaître quelle était la
puissance
que cette révolution a exercée sur les lumières,
liquer les motifs, d’en faire ressortir les couleurs, est d’une telle
puissance
sur l’opinion, que, dans tout pays où la liberté
a haine du crime n’a-t-elle pas fait découvrir à l’éloquence ? quelle
puissance
vengeresse de tous les sentiments généreux ! Bien
t intérêt au perfectionnement d’eux-mêmes, et sont trop frappés de la
puissance
du hasard pour croire à l’ascendant des facultés
L’estime, l’approbation, le respect, sont des degrés nécessaires à la
puissance
de l’enthousiasme. La morale pose les fondements
nt soit enrichi de tous les dons de l’esprit humain. Je ne sais si la
puissance
de la pensée doit détruire un jour le fléau de la
urnent souvent l’esprit des jouissances même des beaux-arts. La seule
puissance
littéraire qui fasse trembler toutes les autorité
rès avoir rassemblé quelques-unes des idées générales qui montrent la
puissance
que peut exercer la littérature sur la destinée d
n homme, et que la force du gouvernement doit agir sur elle, comme la
puissance
de la raison d’un individu sur lui-même. Le philo
ain nombre, les résultats sont toujours pareils. L’organisation de la
puissance
publique, qui excite ou comprime l’ambition, rend
ssent pour multiplier les chocs, qu’ils conquièrent pour étendre leur
puissance
; enfin, que voulant exciter leurs facultés, recu
liberté, le maintien de l’ordre, ne peut subsister qu’à l’aide d’une
puissance
héréditaire, et conservatrice ; les autres, recon
ième pouvoir est purement représentatif ; ou comme à Rome, lorsque la
puissance
politique était divisée entre la démocratie et l’
uvernements de mesurer assez les deux actions contraires, pour que la
puissance
aristocratique et démocratique se balança, comme
ors il n’a point de passions ; ou il sent qu’il règne en lui-même une
puissance
plus forte que lui, et alors il dépend entièremen
t un examen complet, de tout ce qui livre la destinée de l’homme à la
puissance
du malheur. 1. Il me semble que les véritables
olie. Médiocrité de la littérature révolutionnaire. — 2. Expansion et
puissance
du journalisme. Le journalisme révolutionnaire :
nt du journalisme. Il y avait eu antérieurement des journaux 623 : la
puissance
du journalisme date de la Révolution. C’est donc
dent-ils ? à leur journal. Le journal est le véritable héritier de la
puissance
des salons, pour la direction du goût littéraire.
vigoureux, où l’on voit qu’à ses dons de poète il unissait une réelle
puissance
oratoire. Mais le talent original et personnel qu
l et la force d’expansion du principe intellectuel sont devenues deux
puissances
tout à fait distinctes. Les limites de la liberté
nt été de même. La guerre civilisait ; le commerce affranchissait. La
puissance
affranchissante, c’est-à-dire le commerce, reste
es enfants. Dès qu’un fils est chef de famille, il est soustrait à la
puissance
paternelle. L’Europe luttera en vain contre l’asc
sacrer : celles qui continueront d’exister n’existeront point par une
puissance
de perpétuité : mais elles seront adoptées de nou
en l’expression émotive et dramatique, après la musique, rendue à ses
puissances
désormais ! dominera : et telle elle sera, savant
le elle se sait, elle devient à se savoir. Que si, en l’arcane de ses
Puissances
amorphes, eût assenti l’Unité à un destin de s’ig
on signe. Donc, en sa même propriété qui soit d’être éternellement en
puissance
de ses propriétés amorphes et in-scientes, la Mat
rvenir à plus d’harmonie et d’équilibre — un moyen. Donc, c’est d’une
puissance
d’Amour-procréateur, et procréateur du Mieux, don
on éternité où l’une de l’autre l’Origine et la Fin sont en virtuelle
puissance
. Et toute son évolution tend donc à opérer l’anal
toute connaissance individuelle dépend, pour la plus grande part, des
puissances
d’âmes ataviquement transmises, l’homme doit grat
langue allemande il n’a même d’autre dénomination ? La manière et la
puissance
de percevoir évoluent et progressent, doit-on en
stant marquera des temps, de toute l’intensité du son se répondant en
puissances
de suggestion. Encore, dans l’intérieur du vers l
e sur l’autre en mille nuances, et ainsi se multiplient en plus aiguë
puissance
d’apporter de nouveaux et plus rares matériaux à
d ses principaux avantages. L’imagination est la plus indomptable des
puissances
morales de l’homme, ses désirs et ses incertitude
plicite, c’est dans ce temps aussi que les plus grands exemples de la
puissance
de la religion ont existé ; on a sans cesse prése
u’elles avaient de plus cher ; jeunesse, beauté, vertus, talents, une
puissance
plus arbitraire que le destin, et non moins irrév
omphe encore, c’est à l’instant où le malheur est sans espoir, que la
puissance
de la foi se développa toute entière dans la cond
sa véritable valeur ; la société, dis-je, en France, avait créé cette
puissance
du ridicule que l’homme le plus supérieur n’aurai
tenté d’avoir de la considération pour le caractère qu’il n’a pas la
puissance
d’affliger. Cette tyrannie du ridicule qui caract
réunie à l’exercice d’une autorité quelconque. Or, les défauts de la
puissance
sont contagieux. En France surtout, il semble que
rait plus aucune ; les rapports de la société n’auraient pas assez de
puissance
pour arrêter encore, quand les liens sacrés ne re
e ce qu’ils avaient de frivole, c’est en concentrant, par la terrible
puissance
de la douleur, leurs facultés éparses. Il faut co
our la servitude, éprouvent d’abord une sorte de prévention contre la
puissance
. Si les formes grossières de celui qui commande a
érie (1899).] Charles de Pomairols Lamartine seul aurait eu la
puissance
nécessaire pour continuer, étendre le genre de li
e que l’âme du grand poète, qui avait exprimé ces choses avec tant de
puissance
, appartienne elle-même au type féminin, si l’on a
entiellement ou plutôt exclusivement poète et il eut, avec toutes les
puissances
, toutes les faiblesses du poète. Il semble vraime
s, qui vont, qui passent, avec la facilité, avec l’amplitude, avec la
puissance
d’un vaste fleuve répandu dans une large plaine,
’âge des chefs-d’œuvre, à cette maturité où le poète atteint toute sa
puissance
de conception et possède en même temps une expéri
cratique. La beauté correspond à une supériorité de force, de vie, de
puissance
; elle procède d’un désir de se distinguer et d’ê
el. Nietzsche nous paraît avoir tiré de son principe de la volonté de
puissance
une esthétique trop exclusive qui se résume en un
n classicisme intransigeant52. Au nom de ce principe de la volonté de
puissance
, il prononce la condamnation d’un certain nombre
he : Par-delà le Bien et le Mal et surtout la partie de La Volonté de
puissance
où Nietzsche expose sa physiologie de l’art. D’ap
nt de la force… Sommet de l’évolution : le grand style. » (Volonté de
puissance
, § 359.) 53. Il en est tout autrement de l’art r
emandez donc qu’une liberté modérée, et attachez-vous-y de toutes les
puissances
de votre âme. Ne fléchissez pas le genou devant l
me : car elle lui doit l’esprit qui l’anime et la méthode qui fait sa
puissance
. Après la chute de la scolastique et les déchirem
e mais n’explique point, et qui nous sont directement suggérés par la
puissance
propre de la raison. Nous suivrons Kant jusque-là
à la succession, ce ne sera pas le moins du monde la connexion d’une
puissance
causatrice et de son effet, celle par exemple que
u’ils nous révèlent ; car la conscience n’a d’autre office ni d’autre
puissance
que de servir en quelque sorte de miroir à la rai
t Kant qui reconnaît avec nous ces principes, mais qui en renferme la
puissance
dans les limites du sujet qui les conçoit, et, en
re, mais qu’au-delà de ces impressions, au-delà de l’expérience, leur
puissance
expire. Cette concession a ruiné toute l’entrepri
ce et la raison29. Kant veut-il donc que la raison, pour posséder une
puissance
véritablement objective, ne fasse pas son apparit
e ne peut pas soupçonner qu’il y a un soleil ; mais il n’y a point de
puissance
, pas même celle de Dieu, qui par aucun moyen y pu
ruellement déçues, la raison humaine, ayant perdu la foi en sa propre
puissance
sans pouvoir perdre le besoin de Dieu, pour satis
la profondeur de l’abîme qu’elle franchit, et elle le franchit par la
puissance
qui est en elle, sauf à s’étonner ensuite de ce q
qu’au commencement ; seulement dans l’inspiration primitive était une
puissance
qui s’ignorait elle-même, et dans les résultats l
it elle-même, et dans les résultats légitimes de la réflexion est une
puissance
qui se connaît : ici le triomphe de l’instinct, l
té de notre cœur. Le mysticisme corrompt le sentiment en exagérant sa
puissance
. Le mysticisme commence par supprimer dans l’homm
irectement jusqu’à Dieu, et il ne voit pas qu’en ôtant à la raison sa
puissance
, il ôte à l’homme précisément ce qui lui fait con
dit que Dieu est la pensée de la pensée80, qu’il n’est pas une simple
puissance
, mais une puissance en acte, entendant par là que
pensée de la pensée80, qu’il n’est pas une simple puissance, mais une
puissance
en acte, entendant par là que Dieu, pour être par
sens, indéterminée, puisque, étant finie, elle a toujours en elle des
puissances
qui ne sont pas réalisées ; cette indétermination
e sont pas réalisées ; cette indétermination diminue à mesure que ces
puissances
se réalisent. Ainsi la vraie unité divine n’est p
les objets et de reproduire leurs images absentes ou évanouies, et la
puissance
de modifier ces images pour en composer de nouvel
u, on l’embellit, à son gré. Il y a dans le fond de l’âme humaine une
puissance
infinie de sentir et d’aimer à laquelle le monde
uisse être. Toute beauté mortelle, vue de près, ne suffit pas à cette
puissance
insatiable qu’elle excite et ne peut satisfaire.
ivace et continue de son objet dans l’imagination, il manque de cette
puissance
inspiratrice sans laquelle il n’y a ni artiste ni
génie n’est autre chose que le goût en action, c’est-à-dire les trois
puissances
du goût portées à leur comble, et armées d’une pu
e les trois puissances du goût portées à leur comble, et armées d’une
puissance
nouvelle et mystérieuse, la puissance d’exécution
à leur comble, et armées d’une puissance nouvelle et mystérieuse, la
puissance
d’exécution. Mais nous entrerions déjà dans le do
apparaître ; ne les regardons-nous pas comme des manifestations d’une
puissance
, d’une intelligence et d’une sagesse admirables ;
05 ! » Huitième leçon. De l’art Du génie : son attribut est la
puissance
créatrice. — Réfutation de l’opinion que l’art es
e qui distingue essentiellement le génie du goût, c’est l’attribut de
puissance
créatrice. Le goût sent, il juge, il discute, il
là, comme celle de la croix, est la partie divine de la raison. Cette
puissance
mystérieuse, Socrate l’appelait son démon. Voltai
génie ; d’abord la vivacité du besoin qu’il a de produire, ensuite la
puissance
de produire ; car le besoin sans la puissance n’e
de produire, ensuite la puissance de produire ; car le besoin sans la
puissance
n’est qu’une maladie qui simule le génie, mais qu
qui n’est pas lui. Le génie, c’est surtout, c’est essentiellement la
puissance
de faire, d’inventer, de créer. Le goût se conten
nsparentes. C’est par cet endroit que l’art, quand il connaît bien sa
puissance
et ses ressources, institue avec la nature une lu
Établissons bien la fin de l’art : elle est là précisément où est sa
puissance
. La fin de l’art est l’expression de la beauté mo
ne. Il se confie à la vertu de la beauté ; il la fortifie de toute la
puissance
, de tout le charme de l’idéal ; c’est à elle ensu
s il n’en est pas moins vrai que l’art, l’État, la religion, sont des
puissances
qui ont chacune leur monde à part et leurs effets
ec force. Elle fait paraître la vanité des prétentions immodérées, la
puissance
de la sagesse et de la vertu, l’impuissance de la
port merveilleux. Il semble que l’âme est un écho où le son prend une
puissance
nouvelle. On raconte de la musique ancienne des c
t jusqu’à un certain point susciter des images et des idées ; mais sa
puissance
directe et naturelle n’est ni sur l’imagination r
r lui faire exprimer la beauté idéale. Elle lui donne le charme et la
puissance
de la mesure ; elle en fait quelque chose d’inter
peintre, au musicien même, d’évoquer ainsi d’un seul coup toutes les
puissances
de la nature et de l’âme ! Ils ne le peuvent, et
pes, des Nuées a sans doute une imagination, une verve bouffonne, une
puissance
créatrice au-dessus de toute comparaison. Molière
e saint Benoît ; comme si Lesueur eût voulu rassembler ici toutes les
puissances
de son âme, toutes les ressources de son talent13
poète sait qu’il y a dans le fond de l’âme humaine je ne sais quelle
puissance
merveilleuse de désintéressement et de dévouement
ment désintéressé. Voyez s’il y a quelque intérêt au monde qui ait la
puissance
de vous donner de l’admiration pour quelque chose
d’admirer, d’estimer et de respecter, comme aussi de mépriser. Cette
puissance
est en nous, nous en avons la conscience, nous sa
savons que les autres hommes la possèdent comme nous, et c’est cette
puissance
qui nous épouvante. L’opinion est notre propre co
est elle-même de la plus stricte justice. Voilà les fondements de la
puissance
de juger et de punir qui est la société tout enti
s sont légitimes par leur rapport à ces lois éternelles. La plus sûre
puissance
des institutions réside dans le respect que ces p
istence en chacun de ses membres d’une certaine force, d’une certaine
puissance
qu’on appelle la liberté. C’est parce qu’elle cro
l est vrai que la personne humaine réside particulièrement dans cette
puissance
éminente que l’on appelle la volonté185. Singuliè
éminente que l’on appelle la volonté185. Singulière destinée de cette
puissance
si souvent méconnue et pourtant si manifeste ! Ét
ésultats meilleurs. En distinguant le phénomène passif du désir de la
puissance
de se déterminer librement, elle restitue la vrai
qu’un mode d’un autre être, trouverait-il dans son être emprunté une
puissance
capable de vouloir et de produire des actes dont
et d’obtenir à volonté ? Si je suis obligé, il faut qu’il soit en ma
puissance
de remplir l’obligation imposée. Mais ma liberté
et le droit se supposent réciproquement. Il ne faut pas confondre la
puissance
et le droit. Un être pourrait avoir une puissance
ut pas confondre la puissance et le droit. Un être pourrait avoir une
puissance
immense, celle de l’ouragan, de la foudre, celle
hommes. Elle peut avoir à son service des instruments différents, des
puissances
différentes, et par conséquent inégales, soit mat
ar conséquent inégales, soit matérielles, soit spirituelles. Mais les
puissances
dont la volonté dispose ne sont pas elle188, car
ent au plaisir, à la richesse, au bonheur. Dieu nous a faits avec des
puissances
inégales pour toutes ces choses. Ici l’égalité es
i une source permanente d’exquises jouissances : car il a toujours la
puissance
de faire le bien ; tandis que le succès, dépendan
. Est-ce parce que ma volonté est bornée ? Non ; fût-elle armée d’une
puissance
infinie, elle serait à cet égard dans la même imp
rreur instinctive que vous avez ressentie. Il y a donc dans l’âme une
puissance
de s’indigner qui est étrangère à tout intérêt pe
vons même empêcher par la force le suicide d’un de nos semblables. La
puissance
légitime de la charité se mesure sur le plus ou m
ses yeux un mineur qu’il faut tenir en tutelle entre les mains de la
puissance
paternelle, qui dans l’origine est absolue et par
à toutes les forces particulières. Ce tiers désintéressé, armé de la
puissance
nécessaire pour assurer et défendre la liberté de
é serait une guerre de tous contre tous. C’est la société qui fait la
puissance
morale du gouvernement, comme le gouvernement fai
r employer à son gré dans toute circonstance, comme il l’entendra, la
puissance
qui lui a été confiée ? C’est ainsi qu’a dû s’exe
n’est qu’en lui sans doute, mais dont la cause enfin est une sorte de
puissance
abstraite, mécanique ou métaphysique, mais bien i
poésies, toutes les traditions. Nous tendons à l’infini de toutes nos
puissances
; la mort vient interrompre cette destinée qui ch
l’âme. Selon nous, cette tendance de tous les désirs et de toutes les
puissances
de l’âme vers l’infini, éclairée par le principe
plus dangereuses qu’utiles, mais cela seul qui est toujours en notre
puissance
, dans toutes les situations et dans toutes les co
Smith. Mais en même temps que nous reconnaissons la raison comme une
puissance
supérieure à la sensation et au sentiment, comme
es, ni suffire au gouvernement de l’homme sans le secours d’une autre
puissance
: cette puissance qui n’est pas la raison, et don
gouvernement de l’homme sans le secours d’une autre puissance : cette
puissance
qui n’est pas la raison, et dont la raison ne peu
autorité, tandis que le sentiment prête à la raison son charme et sa
puissance
. La preuve la plus répandue et la plus touchante
e est le cri de l’âme. Mais c’est surtout dans la morale qu’éclate la
puissance
du sentiment. Le sentiment, nous l’avons déjà dit
, c’est la nôtre à laquelle on ajoute la nécessité de l’essence et la
puissance
infinie. De même notre justice et notre charité,
arrivés à une cause et à une substance réelles, à une cause ayant en
puissance
tous ses effets essentiels, à une substance riche
l’est pas moins, c’est que tous mes actes n’épuisent ni n’égalent ma
puissance
ni ma substance ; car ma puissance, celle au moin
s actes n’épuisent ni n’égalent ma puissance ni ma substance ; car ma
puissance
, celle au moins de ma volonté, peut toujours ajou
tés. Cette doctrine est si simple, elle est tellement dans toutes nos
puissances
, elle est si conforme à tous nos instincts, qu’el
et vient de lui porter le coup mortel. Pénétré de la conviction de sa
puissance
, et comme abîmé dans une joie concentrée, son aug
lle s’élève un ciel resplendissant. Au-dessous de la Trinité sont les
puissances
célestes. En descendant d’un degré, on voit la Vi
nt Jésus, n’est pas indigne du Poussin. La tête de l’enfant est d’une
puissance
surhumaine. Les Batailles d’Alexandre, avec leurs
succès est un problème compliqué qui pour être résolu exige toute la
puissance
du calcul des probabilités. Quel travail et quell
s une sorte de société naturelle qui s’accroît et se développe par la
puissance
des mêmes causes qui l’ont produite ?… Divisés pu
un dégoût même, ne pussent prévaloir contre elle. Il fallait toute la
puissance
de l’esprit de système pour faire dire à Hobbes q
, ses vertus invisibles sont rendues visibles dans ses ouvrages” : sa
puissance
, dans les milliers de mondes semés dans les déser
aie, c’est-à-dire l’absolue négation de toutes bornes dans toutes les
puissances
de son être Dès lors, il répugne qu’un effet indé
ue les autres arts, n’a pas le secret de ses propres charmes et de sa
puissance
. Bien plus, si elle recherche ce secret, elle s’a
’intelligence et la nutrition sont-elles soumises à une seule et même
puissance
? L’homme est-il composé de deux principes ? Obéi
le une substance ? N’est-elle qu’une qualité ? Est-elle simplement en
puissance
? ou est-elle une réalité complète ? Plus tard, i
u’elle est une substance, qu’elle est en acte et non pas seulement en
puissance
; mais nous verrons en quel sens il prête à l’âme
rd, qui n’est par elle-même rien de déterminé, et n’est qu’une simple
puissance
; la forme, qui détermine l’être, lui donne un no
matière organisée, lui apporte donc actuellement la vie. De la simple
puissance
, elle la fait passer à la réalité entière et comp
ure et la réalité ne changent pas ; et le génie, quand il applique sa
puissance
à les observer, peut d’un premier effort les péné
ujours, même de lui, des œuvres aussi achevées. C’est qu’à côté de la
puissance
du génie, qui est individuel, il y a cette autre
côté de la puissance du génie, qui est individuel, il y a cette autre
puissance
de l’esprit humain qui grandit de siècle en siècl
s peines ; il a découvert la loi morale et l’a montrée, dans toute sa
puissance
et sa pureté, au fond de la conscience humaine. S
une apparente et réelle négligence, des allures où éclate toujours la
puissance
du génie. Ce sont là les qualités extérieures du
trente ans devant lui. Le dialogue, la discussion, avait été toute sa
puissance
et tout son enseignement. En voulant reproduire l
eposer avec une sécurité imperturbable sur la bonté, la justice et la
puissance
de Dieu. Fonder méthodiquement ces grandes croyan
s faibles, convaincus de leur faiblesse, renoncent à la lutte pour la
puissance
, ils renoncent à jouer une partie qui n’offre pas
e par la culture romaine, se contentaient du frein catholique dont la
puissance
était déjà amoindrie, les races du nord plus proc
ice constant de la conscience individuelle, leur donna un frein d’une
puissance
d’inhibition plus grande et mieux appropriée à le
par la collectivité à l’époque où son instinct de conservation et de
puissance
était le plus lucide et le plus florissant, le fr
t qu’il était nécessaire pour qu’elle ne se blessât pas elle-même, sa
puissance
d’inhibition s’est trouvée épuisée tout entière.
timulent que faiblement, on nous contraint d’engager la lutte pour la
puissance
sur un terrain qui ne nous est pas favorable. Au
erce, une attitude d’utilité particulière engendrée par l’instinct de
puissance
des races anglo-saxonnes, on peut pousser plus lo
réalité ne répond, elle ne va faire que se soumettre à la volonté de
puissance
d’une autre collectivité. Fascinée par l’idée, el
en question les principes de la foi : nulle voix surtout n’attaque la
puissance
de l’Eglise dans l’ordre temporel. La dispute est
il ne serait qu’un niais. Enfin, les manifestations temporelles de la
puissance
ecclésiastique révoltent les consciences. La dest
l’Église, de la noblesse et de la royauté, c’est-à-dire de toutes les
puissances
de l’ancien régime, est faite. La réaction aristo
raire. Il n’y a personne, pas même Rousseau, qui puisse pressentir la
puissance
de ces explosifs qu’on s’amuse à fabriquer et à m
le livre sacré que la force de l’esprit humain élevé à sa plus haute
puissance
, que pour l’interpréter besoin serait, je ne dis
is cru aux traducteurs ou aux illustrateurs à la douzaine, quoique la
puissance
de s’incorporer à un génie, déjà très rare, n’imp
e de s’incorporer à un génie, déjà très rare, n’implique nullement la
puissance
de s’incorporer avec tous ou avec plusieurs, et q
, et il les a exprimés souvent comme il les a sentis, avec une grande
puissance
, relativement (bien entendu) aux conditions dans
souvenir de son règne, que là même, l’ostentation orgueilleuse de la
puissance
, et ce je ne sais quoi d’asiatique et de barbare
rcule, et les fils de Léda ont grandement souffert, et témoigné de ta
puissance
par leurs œuvres. Pour l’amour de toi, Achille et
ire grec, et que le génie de la liberté se perdait dans l’unité de la
puissance
, la grande poésie, l’audace de l’imagination et l
sous l’impulsion que tu lui donnes ; et il est soumis volontiers à ta
puissance
. Sous tes mains invincibles, tu tiens asservi le
que les puissants dirigèrent le conseil public dans l’intérêt de leur
puissance
, lorsque le peuple corrompu par l’intérêt privé c
r les démagogues, lorsqu’ils promettent à la multitude la liberté, la
puissance
ou la richesse. Aurait-on promis la liberté aux p
t tous non-seulement libres, mais souverains dans leur domestique… La
puissance
? à des solitaires, qui, tels que le Polyphème d’
e la vérité. M. de Maistre lui-même exprime en style proverbial cette
puissance
du sophisme bien écrit. « Les fausses opinions,
l’homme entier n’est qu’une maladie. Assemblage inconcevable de deux
puissances
différentes et incompatibles, centaure monstrueux
une raison qui affirme, et d’une volonté qui agit. Les deux premières
puissances
ne sont qu’affaiblies dans l’homme ; mais la troi
te honteuse de sa douloureuse impuissance. C’est dans cette troisième
puissance
que l’homme se sent blessé à mort. Il ne sait ce
ofondes et les monuments les plus magnifiques de l’industrie et de la
puissance
humaines. À côté du temple de Saint-Pierre, à Rom
péennes. Cette époque touche celle des Étrusques, dont les arts et la
puissance
vont se perdre dans l’antiquité, qu’Hésiode appel
dans la famille humaine, il faut un décret particulier, un fiat de la
puissance
créatrice. Il est créé comme un monde. Voyez ce q
les hommes, et il n’en a point. « Et cependant toute grandeur, toute
puissance
, toute subordination repose sur l’exécuteur : il
istration morale par le sacerdoce, la suppression des schismes par la
puissance
armée de l’unité dans la main du souverain pontif
e l’erreur, tu es depuis dix-huit siècles le centre de la vérité ! La
puissance
romaine avait fait de toi la citadelle du paganis
ces grands monuments, il subsiste dans toute son intégrité. Toute la
puissance
des empereurs chrétiens, tout le zèle, tout l’ent
éveillait, l’esprit des sciences positives, qui se répandait avec une
puissance
incalculable. En même temps un souffle venait de
tinée à recevoir les premiers coups et engagée au service d’une autre
puissance
. Au reste, dans les débats compliqués et ardents
grand succès : d’une part, il satisfaisait certaines rancunes qu’une
puissance
trop prolongée finit toujours par provoquer contr
dans l’homme autre chose que la sensation, à savoir une volonté, une
puissance
d’effort et d’action qui fait jaillir les phénomè
e avec Hume que la volonté n’est elle-même qu’un phénomène et non une
puissance
, un effet et non une cause. Jouffroy enfin essaye
fût la cause du jour, ni le jour de la nuit. Supprimer toute idée de
puissance
et d’activité, c’est multiplier indéfiniment les
confondre la raison suffisante avec la causalité. Enfin, sans quelque
puissance
active, rien ne serait, car selon le mot de la sc
alyse, à ce que Descartes appelle le bon sens, « c’est-à-dire à cette
puissance
de discerner le vrai d’avec le faux, qui est, dit
saire que le progrès se fasse par des transformations insensibles. La
puissance
créatrice ou productrice (quelle qu’elle soit) pe
d’être la philosophie elle-même. C’est ce qui arrive d’ordinaire aux
puissances
qui ont été trop longtemps méconnues. Lorsque leu
taire, préméditée, insidieuse, ayant pour objet l’établissement d’une
puissance
nouvelle sur les ruines d’une puissance passée :
r objet l’établissement d’une puissance nouvelle sur les ruines d’une
puissance
passée : c’est une recherche pure et sincère, com
conscience n’atteint pas seulement les phénomènes, mais l’être et ses
puissances
essentielles, l’activité, l’individualité, la lib
cette pensée même, et croit que ce dieu est trop grand pour qu’aucune
puissance
, même la puissance absolue, atteigne jamais à cet
et croit que ce dieu est trop grand pour qu’aucune puissance, même la
puissance
absolue, atteigne jamais à cette grandeur ! Avant
r à la faiblesse de notre esprit ; mais quand ils disent que Dieu est
puissance
, entendement et amour, ils parlent la langue des
ourquoi tel degré plutôt que tel autre ? Si vous lui supposez quelque
puissance
, pourquoi ne serait-ce pas la toute-puissance, —
are, qu’on lui prête une étendue réelle ou une étendue d’action et de
puissance
, est immense et sans limites dans l’espace. Voilà
c’est-à-dire la plénitude d’existence, l’entier épanouissement de la
puissance
et de l’être. Quoique je ne comprenne pas comment
ns du nombre ; mais il est aussi infini dans le sens de l’être, de la
puissance
, de la perfection. Il est à la fois un infini de
n Dieu, dans leur type absolu et éminent, et non pas comme les vagues
puissances
d’une substance d’où tout sort indifféremment. Vo
immédiate dans le phénomène humain. Où il n’y avait que la force, la
puissance
se révèle. L’idéal appliqué aux faits réels, c’es
, le penseur chasse la férocité. Nous reviendrons plus tard sur cette
puissance
du livre, n’y insistons pas en ce moment ; elle é
e. Non, certes, en valeur intrinsèque, il est ce qu’il était, mais en
puissance
efficace, il agit où il n’agissait pas ; les âmes
que dans l’algèbre. La nature, plus l’humanité, élevées à la seconde
puissance
, donnent l’art. Voilà le binôme intellectuel. Mai
e virtuelle. Les sciences peuvent étendre sa sphère, non augmenter sa
puissance
. Homère n’avait que quatre vents pour ses tempête
ants puissent être les pairs des génies antérieurs, ce serait nier la
puissance
continuante de Dieu. Oui, et nous revenons souven
le de l’esprit d’un peuple conduit par degré à un point plus élevé de
puissance
et de culture sociale. Évidemment, son premier pr
s jours de printemps et que le souffle délivré du Zéphire a repris sa
puissance
féconde, d’abord les oiseaux de l’air t’annoncent
d’un personnage consulaire, ami de César, il ne fut esclave ni de la
puissance
ni des vices du dictateur ; et il s’honora par sa
ssis les rois du ciel et de la mer, faisant apparaître les dons et la
puissance
qu’ils destinaient à sa race. » Depuis lors, cet
l : « Ô soutien glorieux, qui par tes vertus agrandis et protèges la
puissance
de l’Épire, père illustre par ton fils, apprends
romain, il n’y avait guère de place pour l’enthousiasme du beau et la
puissance
des arts. Lucrèce, presque seul, fut inspiré et é
icitent, et se contentent de recevoir à genoux quelques reflets de la
puissance
suprême. L’élite des courtisans se compose d’homm
us. Pour les hommes a grandes pensées, ils sont des instruments d’une
puissance
incomparable pour l’accomplissement d’illustres d
courtisan. C’est céder eu même temps à trois séductions, celle de la
puissance
, celle de la gloire, celle des femmes. Trop souve
faire un pas de plus, sous ce rapport, à l’art dramatique, et que la
puissance
des effets du théâtre ne s’en soit accrue. L’illu
la personnalité, tout ce qui l’agrandit et l’honore, appartient à la
puissance
de l’émotion. Du moment où la littérature commen
utres, n’empreint jamais son style ni ses idées du caractère ni de la
puissance
de la volonté. Vers le dix-huitième siècle, quelq
querrait-il pas dans un gouvernement où l’esprit serait une véritable
puissance
? L’écrivain, l’orateur se sent exalté par l’impo
ni une question ni deux que ce livre de cinq cents pages secoue avec
puissance
, mais c’est tout un ordre de questions qui, résol
Étienne s’était montré si révolté, c’est-à-dire la reconnaissance des
puissances
spirituelles et leur intervention dans les affair
lles et médicales de son époque ; il a même, ici et là, trop de cette
puissance
de plaisanterie qui ne manque jamais en France au
pté davantage aux yeux de ces sortes d’hommes, sans hardiesse et sans
puissance
logique, qui ne veulent jamais voir que les faits
ec leurs dieux, si l’on peut dire qu’ils comptent réellement avec des
puissances
qui ne leur font jamais obstacle, n’étant que des
n’étant que des personnifications de leurs propres volontés. La seule
puissance
qui domine les héros de l’histoire comme ceux du
ment du drame bruyant et superficiel que joue l’humanité ; mais cette
puissance
n’a pas plus de rapport avec l’activité humaine q
trie, et ne songent point à reporter une part de responsabilité à des
puissances
supérieures dont ils ne seraient que les instrume
, en pleine conscience de leur liberté, en parfaite confiance dans la
puissance
de leurs facultés et dans l’efficacité de leurs œ
triomphe d’un parti. On comprend dès lors comment la conscience de la
puissance
individuelle devait contribuer à donner, aux pers
e de la légitimité de tous les faits qui ont pour caractère propre la
puissance
et la durée. C’est ainsi que Saint-Simon embrasse
e véritable acteur, mais simplement l’agent toujours subordonné d’une
puissance
supérieure, s’il n’en est pas le jouet. Voilà ce
lus de raisons d’espérer dans le triomphe des forces morales, dans la
puissance
politique et pratique de ceux qui les comprennent
pression de l’antithèse de la nécessité et de la conscience. Les deux
puissances
de l’histoire, la fatalité et la liberté, font ch
e ses jugements historiques ; que ses convictions déterministes et la
puissance
logique de son esprit lui ont fait méconnaître ce
d’insuffisant dans ses conceptions philosophiques ne paralysât pas sa
puissance
créatrice. Son instinct profond de la vie, sa pui
alysât pas sa puissance créatrice. Son instinct profond de la vie, sa
puissance
de sympathie, ses dons de visionnaire, lui ont pe
dans son œuvre historique, un créateur et un peintre d’une merveille
puissance
, me paraît surtout grand pour avoir, avec une pén
t avec lui pour que cette impression s’effaçât. On était frappé de la
puissance
et de la largeur de son front ; ses yeux pétillai
uteurs de notre siècle, parce qu’il a égalé les plus illustres par la
puissance
pittoresque de l’expression avec une simplicité p
et l’éclat de son style venaient de la plénitude de sa science, de la
puissance
de son imagination et de l’abondance de ses idées
don de le communiquer aux autres sous une forme enchanteresse. Cette
puissance
de contemplation créatrice de l’univers, qui est
Thomas Graindorge. Il retrouvait dans les sonates de Beethoven cette
puissance
de construction qui était à ses yeux la marque su
tout en admirant son talent. Taine avait une foi trop candide dans la
puissance
de la vérité pour aimer la polémique. Il croyait
t été appelé pour faire des conférences à Oxford, il fut frappé de la
puissance
de ce pays aux fortes traditions historiques, en
iècle et peut-être davantage. Cette structure a fait de la France une
puissance
de second ordre ; nous lui devons nos révolutions
re, historien, il en a manifesté les tendances avec rigueur, éclat et
puissance
; il a exercé sur elle une influence profonde. Si
scrutateurs sur le monde et sur les hommes qu’il a dû précisément la
puissance
d’impression et d’expression qui est son original
voyant de près, en causant avec lui, on était frappé du caractère de
puissance
et de solidité de la structure du crâne et du vis
e qui a dominé et façonné toutes les autres ? C’est, il me semble, la
puissance
logique. Quoi donc ? Cet écrivain si coloré, cet
i pourtant. Là se trouve sa grandeur et sa faiblesse, le secret de sa
puissance
et de ses lacunes. Tout se ramène pour lui à un p
prit avait toujours pour point de départ les faits, observés avec une
puissance
extraordinaire de vision, recueillis avec une con
, par des comparaisons longuement poursuivies où se retrouve toute la
puissance
d’analyse du logicien, elle nous aide à classer l
et à le rendre sévère pour un pays enthousiaste et capricieux, où la
puissance
des habitudes sociales émousse l’originalité des
vue et dans ses peintures, il faut rendre hommage, non seulement à la
puissance
et à la sincérité de son œuvré, mais aussi à sa v
trôler, le rectifier, et très souvent le contredire. Il voit avec une
puissance
extraordinaire, mais il ne voit pas tout et il ne
assion irrésistible ; c’est ce qui fait sa grandeur comme artiste, la
puissance
de vie qui anime son histoire ; c’est ce qui fait
devoir exercer une influence semblable sur l’étude de l’antiquité. La
puissance
de son imagination, la magie de son style donnaie
, qui donnait tant d’originalité à sa parole. Mais, en même temps, sa
puissance
d’imagination et d’expression avait encore grandi
moral où le jetèrent ces catastrophes s’il n’avait pas eu en lui une
puissance
indestructible de foi et d’amour, et si un événem
, et cette série de tableaux et de descriptions d’une vérité et d’une
puissance
merveilleuses formaient dans leur large développe
que et la communion avec la nature. De même qu’il avait révélé quelle
puissance
de relèvement et de régénération la nature porte
accablantes fatalités de l’histoire ; l’Insecte lui avait enseigné la
puissance
du lent et persévérant labeur ; la Mer lui avait
est moins réglé et moins sage, son génie n’en éclate qu’avec plus de
puissance
. Ce n’est plus une lumière continue et limpide, c
pourraient se ramener à une seule, principe de toutes les autres : la
puissance
extraordinaire d’amour et de sympathie qui était
tout ce qu’elles pouvaient produire. Mais je ne puis admettre que la
puissance
d’aimer qui est en moi soit anéantie. » Il trouva
ante, la faculté maîtresse de Michelet, je dirais donc que c’était la
puissance
et le besoin d’aimer. Si sa pensée a quelque chos
tion même est gouvernée par son cœur et n’est qu’une des formes de sa
puissance
de sympathie. S’il anime toute la nature, s’il re
e sensibilité errant au hasard dans l’espace n’aurait jamais eu cette
puissance
créatrice. Chaque chose, chaque être que l’imagin
’isolement, la concentration sur lui-même qu’il lui conserva toute sa
puissance
. Jamais vie ne fut mieux réglée que la sienne.
la mer, la fatigue et le manque de sommeil avaient blessé en lui une
puissance
, « la plus délicate de l’écrivain, le rythme. Ma
, au chapitre viie de la Mer, se trouvent de nombreux exemples de la
puissance
d’expression qu’il trouve dans la variété du ryth
a. » Grâce en effet à une érudition solide et à une imagination d’une
puissance
et d’une fraîcheur incomparables, il a fait vraim
ngénieux et profonds ; son génie ne perdit rien de son éclat et de sa
puissance
, mais la sérénité et l’équilibre de son esprit fu
artiste, si l’un a décrit avec une émotion éloquente et avec une rare
puissance
d’analyse les inquiétudes intellectuelles et mora
jour dans l’atmosphère d’une autre âme, attirée par cette mystérieuse
puissance
d’attraction dont nous subissons la loi aussi bie
ude du cœur ne s’obtient qu’avec le recueillement de la solitude. Les
puissances
de l’âme et de la volonté ne se rencontrent guère
crivain auquel plus d’un critique a refusé la facilité, trompé par sa
puissance
. 53. M. Jules Simon a consacré à Michelet une t
de, de remarquables qualités d’ordre et de méthode et une très réelle
puissance
d’imagination. Il y a, dans son œuvre de pamphlét
plus d’acharnement encore, je ne dis pas avec plus de sérieux. Toute
puissance
établie, quelle qu’elle soit, l’a pour ennemi imp
? Ainsi les serfs, comme dit quelque part M. Renan, jouissaient de la
puissance
et de la richesse de leur seigneur et étaient heu
il est inoffensif, une attitude d’insurrection, et qu’il contient en
puissance
, si j’ose dire, tout un infini de révolte. Cet es
étant toujours, sans examen, sans nul souci de l’équité, l’ennemi des
puissances
établies, il a des chances d’avoir raison une foi
, se reproduisait, ailleurs. Il n’est pas indifférent d’en étudier la
puissance
chez une nation moins musicale que les Hellènes,
, elle était bien loin d’en renouveler l’éclat lyrique. Bien de cette
puissance
de mélodie, de ce chœur aux cent voix, de ce dith
rises dernières de la liberté de Rome. On sent ce contrecoup et cette
puissance
dans le trouble avoué de Cicéron, à qui ces vers
les Romains, quelque chose restait de cette ardeur première, de cette
puissance
lyrique dont Eschyle avait passionné les âmes. En
es vers, dans quelques expressions, lorsque nous en avons constaté la
puissance
par des souvenirs liés à l’histoire, ce serait st
manité Rôle subalterne de la raison dans la conduite de l’homme Les
puissances
brutes et dangereuses Nature et utilité du gouve
lle est bien loin de jouer le premier rôle ; il appartient à d’autres
puissances
, nées avec nous, et qui, à titre de premiers occu
s ou Latins ; on verra tout cela à l’œuvre. — Voilà quelques-unes des
puissances
brutes qui gouvernent la vie humaine. En temps or
habitude de rester dans leur lit. La vérité est que, comme toutes les
puissances
brutes, comme un fleuve ou un torrent, elles n’y
euple est ainsi assemblé, toute juridiction du gouvernement cesse, la
puissance
exécutive est suspendue », la société recommence,
il lui plaît439 ». Non seulement il garde toujours pour lui seul « la
puissance
législative qui lui appartient et ne peut apparte
appartenir qu’à lui », mais encore il délègue et retire à son gré la
puissance
exécutive. Ceux qui l’exercent sont ses employés.
rces matérielles de la nature : Agni, ou le dieu du feu ; Siva, ou la
puissance
destructive. Dans la Judée, au contraire, le Dieu
ssable ne sera-t-il pas répété quelque jour ? On sait quelle était la
puissance
de ce souvenir chez le peuple d’Israël, et commen
âmés d’effroi. « Tombe sur eux le trouble et l’épouvante ! que par la
puissance
de ton bras ils restent immobiles comme le pierre
représentation enthousiaste et populaire qui devait porter si haut la
puissance
des cantiques sacrés. Là où même difficulté se re
s le Dieu qui fais les miracles : tu as fait connaître aux nations ta
puissance
. « Tu as de ton bras revendiqué ton peuple, la po
l’un à l’autre les peuples nouveaux. Quelle ne fut pas, en effet, la
puissance
de ces paroles de feu des anciens prophètes, lors
sacrifice, à la liberté morale, même pour bien juger les grâces et la
puissance
du lyrisme hellénique, vous aimerez à réfléchir s
dire que, d’après sa nature, lui, ne savait être heureux qu’ainsi. La
puissance
d’aimer, l’activité de la pensée, le prix qu’on a
ait que la Divinité pût communiquer à la créature des qualités ou des
puissances
sans bornes, et qu’ainsi l’infini fût transmissib
er qu’entre deux. La plupart des hommes ne comprennent guère que deux
Puissances
dans la vie, le Sort et leur Volonté, qui peut, à
-il vrai qu’on doit avoir pour le Sort un genre de respect. C’est une
puissance
qui tour à tour subite et lente, imprévue ou prép
l’homicide de soi-même. On veut que l’amour subjugue les plus hautes
puissances
de l’âme, et qu’il n’y ait rien au-dessus de son
qu’il faut donc le plus soigner parmi nos moyens de bonheur, c’est la
puissance
de la contemplation. On est si à l’étroit dans so
ction sur l’homme ; nous ne pouvons donc considérer ce Sort comme une
puissance
aveugle : reste à considérer si Celui qui la gouv
s ce qui lui est interdit c’est de détruire son être, c’est-à-dire la
puissance
qu’il a reçue de choisir entre le bien et le mal.
qu’il a reçue de choisir entre le bien et le mal. Il existe par cette
puissance
, il doit renaître par elle et tout est subordonné
e l’esclavage, étaient capables d’une soumission religieuse envers la
puissance
du Ciel, tandis que des écrivains modernes qui pr
’harmonie du langage et des émotions qu’il retrace, nous enivre de la
puissance
de sentir et d’admirer ; et ce n’était plus pour
s, me dit-il, vous servir des bienfaits mêmes pour mettre en doute la
puissance
du Bienfaiteur : cette· vie que vous regrettez, q
mides ou grossièrement conquérantes. Au contraire j’accorde, selon sa
puissance
, sympathie ou admiration à quiconque sort des voi
enthousiasme le jaillissement spontané et intarissable des images, la
puissance
nerveuse du rythme. J’ai dit aussi, avec trop de
cle élargi. Car les choses lui disent de toutes parts la beauté et la
puissance
d’un renouveau, et il marche, aspirant la force q
ainte de toujours. Il la relève, il la rappelle à l’espoir. Il dit la
puissance
de renouvellement de la nature, et que l’hiver es
ique, ils chantent des théories jeunes encore ; mais ils n’ont pas la
puissance
de les créer eux-mêmes. Ils s’éprennent des nouve
acuzon est coupable de rester si longtemps le poète d’Éternité. Toute
puissance
crée un devoir et Lacuzon est mon débiteur pour l
, de noblesse dans le sentiment ; il est fait surtout d’une étonnante
puissance
de voir vite et de faire voir vite. Le penseur, c
’œuvre vaine des rapprochements, il me ferait penser uniquement à des
puissances
nobles, à des sommets abrupts que les foules ne g
rouvera-t-on dans ce léger pamphlet des réflexions qui contiennent en
puissance
l’Esprit des Lois. Quand la satire sociale se sub
et pourtant les choses ne vont pas au hasard ; le développement de la
puissance
romaine, sa décadence ensuite se font nécessairem
n du collège et des livres avait formé, et d’autre part s’affirmer la
puissance
de l’homme aux larges vues, créateur d’un ordre p
aquelle travaillent les législateurs, l’humanité vivante, contient en
puissance
une infinité d’énergie, qu’elle n’est pas seuleme
quel peuple, en quelque sorte sans qu’il s’en mêle, à son maximum de
puissance
et de prospérité. Dès le début de son livre, avan
it dans la doctrine de l’Esprit des Lois de quoi inquiéter toutes les
puissances
. Au point de vue politique, Montesquieu se montre
t lequel le moi peut sortir au dehors ; mais c’est là, selon eux, une
puissance
viagère et fortuite à laquelle il ne faut pas tro
aient qu’obscurément dans la pensée terne et stagnante de l’homme. La
puissance
encore indomptée de la nature accablait à chaque
nous, et dans notre propre individu entre notre intelligence et notre
puissance
. Ce n’est certes pas à dire qu’il s’agisse de ram
d’amortir nos désirs en nous se tait devant le devoir d’étendre notre
puissance
au dehors. On sent que toute une nouvelle morale
évrisme, et c’est ainsi que Mme Gustave Haller prouve du même coup la
puissance
de l’amitié chez son héros, et chez elle, la puis
u même coup la puissance de l’amitié chez son héros, et chez elle, la
puissance
de l’invention et de la pensée ! Enfantin et chét
sublimée par l’intelligence, en vue d’obtenir un effet quelconque de
puissance
, de pathétique et de beauté ! Mais l’auteur de Ve
, je le veux bien, des besoins dramatiques, mais elle n’en a point la
puissance
. Elle invente des situations, singulières, inatte
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