Préface L’Écho de Paris
publiait
, sous ma signature, le 7 juin 1892, cet article.
e Tokougawa. Durant les années de l’ère Témpô (1830-1843), Hokousaï
publia
, en nombre immense, des nishikiyé, impressions en
du public, montent à seize ou dix-sept. En 1860, j’ai découvert, et
publié
d’après le manuscrit des Séances de l’Académie Ro
it vraiment pas assez. C’est alors que, dans la patrie d’Hokousaï, se
publiait
par le Japonais I-ijima Hanjûrô : Katsoushika Hok
Kiôdén, tandis que le texte et les dessins sont d’Hokousaï qui avait
publié
cette plaquette sous le pseudonyme de Koréwasaï,
rain d’une chansonnette du temps. L’année suivante, en 1782, Hokousaï
publie
les Courriers de Kamakoura, deux fascicules dont
ont soumis à la torture, — sa mère à la torture de « l’enfumage ». Il
publie
encore, la même année, un roman en deux volumes :
ainsi que les dessins signés : Shunrô. Cette année ou la suivante, il
publie
un autre livre jaune qu’il signe exceptionnelleme
Shunrô. Cet Ikoujimonaï pourrait bien être Hokousaï. En 1785 Hokousaï
publie
deux livres jaunes où il n’est pas parlé du texte
nt Hokousaï est à la fois l’illustrateur et l’écrivain du roman qu’il
publie
, et sa littérature est goûtée, grâce à des observ
bres, plus vus sous une optique personnelle. V En 1786 Hokousaï
publie
le Zénzèn Taïkeiki, un fragment de l’histoire de
upement d’hommes et de femmes. L’année 1804 est l’année où Hokousaï a
publié
un nombre de sourimonos tel que Hayashi dit que p
nombre de sourimonos tel que Hayashi dit que personne ne pourrait en
publier
le catalogue complet. À ce catalogue de sourimono
ons en arrière ; revenons à ces années où, en même temps que Hokousaï
publie
de nombreux sourimonos, il illustre un certain no
e couleur dominante dans les robes des femmes. La même année Hokousaï
publie
, sous la signature Kakô, l’ Histoire naturelle de
ant une espèce de vanité de cette pauvreté. XI En 1799 Hokousaï
publie
Azouma Asobi, Promenade de l’Est (Promenade de l
a fin du siècle, il est de toute nécessité de cataloguer les planches
publiées
séparément par l’artiste pendant ces vingt années
nt par l’artiste pendant ces vingt années. D’abord, dans ces planches
publiées
séparément, — quoique souvent réunies en albums,
d’aquarelles tirée sur un papier torchon. Vers cette époque Hokousaï
publie
encore une série de huit feuilles représentant hu
euilles au tirage le plus rapproché des sourimonos et qui ont dû être
publiés
à la fin du dernier siècle, ou au commencement de
averser le jardin et lui ouvrir la porte. XIII En 1800 Hokousaï
publie
encore un petit livre jaune, avec son titre bien
, qui quitte la signature Shunrô pour prendre la signature Goummateï,
publie
: Un Téngou tombé du haut de son nez dans le mon
dont le cliché a été gardé au fond d’une mémoire. XVI Hokousaï
publie
, en 1802, Isosouzou-gawa Kiôka-Gourouma. Cinquant
lancs traversés de papier portant des prières. La même année Hokousaï
publie
le Yéhon Tchûshin goura, Magasin des fidèles vass
03, au commencement de l’année, c’est encore un petit livre jaune que
publie
Hokousaï, et qui a pour titre : Boutchôhô Sokousé
, jusqu’au mirin qui est doux comme du muscat. La même année Hokousaï
publie
sous la signature de Tokitarô Kakô L’Inventaire
un autre roman dont le texte est également de Kohéda Shighérou, roman
publié
en dix volumes, dont les cinq premiers paraissent
ki. Cette illustration, supérieure à l’illustration des autres romans
publiés
cette année, pourrait faire supposer que les dess
lé par des bœufs, auxquels sont attachées ses deux jambes. Hokousaï
publie
encore, en 1807, l’illustration de Thinsétsou Yum
ieou seraient des descendants. Toujours en cette année 1807, Hokousaï
publie
l’illustration des cinq premières séries du Shimp
au public japonais dans une traduction arrangée par Bakin et Ranzan,
publiée
en neuf suites de dix volumes, dont la sixième, l
jeune homme avec la jeune fille qu’il a délivrée. En 1808 Hokousaï
publie
l’illustration de Shimoyo-no-Hoshi, Les Étoiles d
es dents noires aux gencives rongées par les vers. En 1808 Hokousaï
publie
l’illustration de Kana-déhon Gonitino Bounshô, Hi
e papier, en de caractéristiques ombres chinoises. En 1808 Hokousaï
publie
l’illustration d’Onna-moji Nouyé Monogatari, L’Hi
i est tué dans une image par Yozimasa ? La même année 1808 Hokousaï
publie
Yuriwaka Nozouyé no Taka, Le Faucon de Yuriwaka ,
lant à l’aquatinte obtenue sur le cuivre et l’acier. En 1808 Hokousaï
publie
l’illustration de Raïgô Ajari Kwaïso Dén, Le Rat
ce également de son sabre le casque de ce dernier. En 1808 Hokousaï
publie
l’illustration de Foutatsou Tchôtcho Shiraïto Zôs
uels est un papillon mort, tombé à terre. En 1808 et 1811, Hokousaï
publie
l’illustration de Sanshiti Zéndén Nanka no Yumé,
sait trop comment, le salut de la princesse Yénju. En 1810, Hokousaï
publie
l’illustration de On-yô Imoséyama, Les Fiancés is
evoient vaguement des visions d’êtres surnaturels. En 1812 Hokousaï
publie
l’illustration de Matsouwô Monogatari, Histoire d
e son amoureux Tokiyori, est d’un effet saisissant. En 1812, Hokousaï
publie
l’illustration de Aoto Foujitsouna Moriô-an, Les
e et innocente le condamné, qui va avoir sa grâce. En 1813 Hokousaï
publie
l’illustration de Ogouri Gwaïdén, La Légende sur
xive siècle, roman paru en deux séries de cinq volumes, la première
publiée
en 1813, la seconde en 1828. Le prince Soukéshigh
illes portant des noms d’assiettes, dont le texte est de Bakin, roman
publié
en huit volumes et auquel l’artiste japonais a do
ès des années d’interruption dans l’illustration des livres, Hokousaï
publie
l’illustration de Kan-So-Goundan, La Guerre des d
e têtes humaines. Enfin, en 1846, trois ans avant sa mort, Hokousaï
publie
Guénji Ittôshi, La Possession du pouvoir par la f
timent entre Hokousaï et Bakin, il entra dans la pensée du peintre de
publier
des dessins se passant du texte d’un littérateur,
pouvait se présenter devant le shôgoun. XXIII En 1811 Hokousaï
publie
, en collaboration avec Hokousou qui dessine le pr
ux hommes que trois autres ne peuvent séparer. La même année Hokousaï
publie
l’illustration de Hokou-yétsou Kidan, Les Légende
de choses réelles et de choses surnaturelles. La même année Hokousaï
publie
encore l’illustration de Tawara-Tôda Rôko dén, Co
pièce par pièce. C’est le Shashin gwafou, Études d’après nature 15,
publié
en 1814, avec une préface de Hirata, sans nom d’é
oir en obtenir un, par suite d’un échange. XXV En 1815 Hokousaî
publie
, avec la collaboration de Hokoutei Bokousén, le J
nservées dans des riens, comme une tige d’iris. XXVIII Hokousaï
publie
en 1819, avec la collaboration de ses élèves d’Os
Sekkwatei Hokoujoû, Shungôtei, Hokkei (un autre que le Hokkei connu),
publie
Hokousaï Gwashiki, Méthode de dessin par Hokousaï
r Nakamoura Kitibei. XXX De 1800 à 1826, les feuilles séparées,
publiées
par Hokousaï, sont nombreuses et de toute nature.
de nudité dans les deux bains. Cette « Maison Verte » et ce bain sont
publiés
, en même temps que deux suites sur les rônins, un
au-dessus d’un nuage est dans la collection Manzi. On connaît aussi,
publiées
vers ce temps, un certain nombre d’impressions d’
micycle de l’éventail. Enfin, en l’année 1823, l’année où Hokousaï va
publier
ses plus belles feuilles séparées, va faire paraî
e série intitulée : Shokokou Takimégouri, Voyage autour des cascades,
publiée
vers 1827, se compose de huit planches en hauteur
u Meikiô Kiran, vues pittoresques des ponts de diverses provinces, et
publiée
de 1827 à 1830, se compose de onze planches en la
its sourimonos, dont quelques-uns sont à cache, et ont été sans doute
publiés
vers les dernières années du xviiie siècle, et d
s, d’une coupe à saké, d’une pipe, d’une fleur. Le premier volume est
publié
en 1828, le second en 1848, le troisième est sans
n publiant ces planches séparées, Hokousaï a continué, depuis 1804, à
publier
de nombreux sourimonos, dont nous donnons un cata
ges. Un autre portrait d’Hokousaï, dont un fac-similé a été également
publié
dans le Katsoushika dén, nous le représente vers
men, son pinceau jetait ce portrait-charge. XL En 1833 Hokousaï
publie
Tôshisén Yéhon, Les Poésies (de la dynastie) des
raité de morale chinoise entré dans l’éducation japonaise : un traité
publié
en deux volumes, avec texte chinois et japonais.
eux pinceaux au lieu de béquilles.) Quant à l’Histoire de Çakyamouni (
publiée
en 1839), Souzanbô m’a promis de la faire graver
mais ne donna l’armure moyenageuse de l’Europe. Donc en 1835 Hokousaï
publia
un premier album, bientôt suivi de deux autres, o
lustration est due à la collaboration de plusieurs artistes, Hokousaï
publie
deux paysages d’après la cascade de Riûdzou (tête
qu’en 1836, le vieux peintre qui signe : le vieillard fou de dessin,
publie
le Shin-Hinagata, Nouveaux modèles de dessins d’a
mé Hokou-oun, qui s’assimila tellement la manière de son maître qu’il
publia
une Mangwa où des pages de croquis seraient donné
her le Shingata Komon-tchô, Album de petits dessins pour nouveautés ,
publié
en 1824. Une série de planches où l’ingénieuse co
prêtre faisant sa prière. Et ce sont aussi bon nombre de motifs déjà
publiés
par lui, et qu’il répète sans pudeur : ainsi le h
e l’éducation des femmes. Dans les environs de l’année 1840, Hokousaï
publie
encore quatre estampes en hauteur représentant le
Tiyénooumi, L’Océan d’idées , une série rarissime. En 1843 Hokousaï
publie
le Shoshin gwakan, Album de dessins pour les comm
de détails d’armures. LI En 1848, un an avant sa mort, Hokousaï
publie
Yéhon Saïshiki-tsou, Le Traité du coloris , sur l
son travail, doit s’en tirer selon son inspiration. La même année, il
publie
un second volume portant le même titre, où il dit
dans l’album intitulé Hokousaï Sogwa, Dessins grossiers d’Hokousaï ,
publié
en 1806, et dont la première planche représente l
suivi la Leçon rapide de dessin abrégé, et qui a paru en deux volumes
publiés
en 1817 et 1819. Ces albums, qui contiennent par
ans l’album d’Ippitzou gwafou, Le Dessin a un coup de pinceau , album
publié
en 1823, et où un seul coup de pinceau donne si c
ntre. Ainsi l’album Hokousaï Gwashiki, Méthode de dessin d’Hokousaï ,
publié
avec la collaboration de ses élèves, d’Ohsaka, Sé
de dessiner la forme des objets. Vers l’âge de cinquante ans, j’avais
publié
une infinité de dessins, mais tout ce que j’ai pr
crifice de sa vie. Trente ans après la mort d’Hokousaï, en 1879, on a
publié
en deux volumes d’après ses dessins, le Yéhon Tôs
mma Kôsô, à Sakata, et dont les reproductions photographiques ont été
publiées
dans le Magazine of Art Japanese, paraissant en j
anser un pantin attaché par des fils à un écran. Des têtes de femmes
publiées
dans le Japon artistique. Pêcheur, un feu allumé
usaï, en une réduction de 10 centimètres en hauteur, dans une gravure
publiée
parmi l’illustration de Souikô. Dans la collectio
dessins sont, avec des changements, des reproductions de compositions
publiées
ailleurs. Tous ces dessins auraient été faits au
nrô ou simplement Shunrô. En 1785, il signe un des deux livres, qu’il
publie
dans l’année : Goummatei. En 1786, à la sortie de
célèbres de Yédo, et les poésies illustrées sur les rôles des rônins,
publiées
en 1802 : Hokousaï Tokimasa. En 1801, 1802, 1803
aï, lui a été attribué par quelques-uns. Il est l’auteur d’une Mangwa
publiée
vers 1830, où il y a des compositions dignes de s
on, accompagnées d’un choix de leurs poésies réunies , par Gwuriuyén,
publiés
en 1806. Kioka Santo Meishô zouyé, Les Endroits c
ô zouyé, Les Endroits célèbres des trois capitales avec les poésies ,
publiées
en 1812 ; Tôto jûnikei Kiôkashû, Poésies sur les
en 1812 ; Tôto jûnikei Kiôkashû, Poésies sur les douze vues de Yédo ,
publiées
en 1819 ; Fûsô meishô, Kioka-shû, Poésies sur les
, Poésies sur les endroits célèbres de Fuso (nom poétique du Japon),
publiées
en 1824 ; Gakoumen Kiôka Siû, Les Poésies dans de
n 1824 ; Gakoumen Kiôka Siû, Les Poésies dans des cadres ornementés ,
publiées
en 1826. Un des beaux et rares livres d’Hokkei es
Sonikodeiô, trois volumes en couleur. Indépendamment des livres, il a
publié
nombre de sourimonos de la plus belle couleur. De
Hoshi-zoukiyo Kénkwaïrokou, Ombres et lueurs des astres de la nuit ,
publié
en 28 volumes à Yédo, en 1809. Hokouba avait la r
-itsou autrefois Hokousaï. Le Hokousaï Taïto a illustré des livres et
publié
des estampes en un assez grand nombre, mais sa si
des romans entre 1804 et 1805. Hokouju, signant aussi Shôteï, et qui
publia
des paysages dits de l’école hollandaise. Hokou-
essiné. On a de lui Hokousén sogwa, un recueil de planches en couleur
publiées
en 1815. Sôjï, qui signa successivement Tawarayo
Sadahidé et Keisaï Yeisén à l’illustration de Satomi Hakkendén, et a
publié
en 1821 deux albums : le Riûsén gwa-jô et le Riûs
euvent pas se chanter. 13. En effet nous avons une série en largeur,
publiée
, vers 1798, signée Kakô, puis deux séries en haut
donne la nomenclature des guerriers célèbres. A la fin de ce volume,
publié
en 1841, Hokousaï annonce qu’il prépare un volume
24. Un autre album, intitulé Sôhitsou gwafou, Album de dessin cursif,
publié
par Hokousaï en 1843, est fabriqué un peu dans le
I. 26. Yemma, roi des Enfers, le Pluton japonais. Cette lettre a été
publiée
par M. Morse, dans l’Art Review, et reproduite, p
e s’appartient pas réellement, puisque ses notes intimes peuvent être
publiées
sans son consentement. Dès l’instant où il meurt,
uristes et collaborateurs qui ont bien voulu envoyer leur réponse. Je
publie
séparément chacune d’elles à la fin de ce petit c
enfants et qui servent de sujet à leurs dissertations françaises. Ne
publie-t
-on pas actuellement la correspondance de Jacques
Code Civil, mais ceux du Code Pénal. Les fameux billets de Caillaux,
publiés
avant la guerre par Calmette dans le Figaro, ne s
ient jamais à l’expéditeur. Il est alors, en effet, très facile de la
publier
malgré les lois, en les « tournant » simplement.
s qui interdisent la publication d’une lettre privée : il n’a qu’à la
publier
« hors commerce ». Or, justement depuis la multip
ions originales, des grands papiers, des livres réimposés, numérotés,
publiés
spécialement pour des groupes d’amis, des société
me, qui a finalement obtenu de la famille du défunt l’autorisation de
publier
les lettres qu’il a reçues du vivant de son ami.
e s’appartient pas réellement, puisque ses notes intimes peuvent être
publiées
sans son consentement. Dès l’instant où il meurt,
e de Londres. Il a demandé dans son testament que le « Journal » soit
publié
vingt ans après sa mort. Ce Journal est d’ailleur
us donnaient tout à l’heure. Chacun de vous, disent-ils, est libre de
publier
, si vous le désirez, les lettres que vous détenez
plus souvent, lorsque les héritiers poursuivent des éditeurs qui ont
publié
sans leur consentement des lettres confidentielle
is le pouvoir discrétionnaire, je ferais saisir par la force armée et
publier
par l’Imprimerie Nationale les écrits de grands é
ion d’un roman de son mari35, dont le sujet est l’amour profane, mais
publie
par contre de gros volumes de correspondance36, d
pas. Ce qui le prouve, c’est que des éditions bon marché peuvent être
publiées
du vivant même des auteurs : la plupart des colle
lic ; s’il s’agit d’un manuscrit, à celle des éditeurs qui veulent le
publier
. Mais l’argent que cet ouvrage peut rapporter con
de manuscrits à les conserver, n’impliquerait pas l’obligation de les
publier
. Ils pourraient être déposés, par exemple, dans u
ruire les manuscrits posthumes et la liberté accordée à chacun de les
publier
constitueraient deux mesures, dont les conséquenc
s de Pascal, qu’il a laissées inachevées à sa mort, n’avaient pas été
publiées
? Chaque grande œuvre d’art et de pensée qui disp
’il a écrite pour les quatre lettres de lui sur Nietzsche qui ont été
publiées
par les Cahiers de la Quinzaine, M. Paul Valéry45
ellement, contre la volonté du signataire, circuler librement et être
publiées
sous des formes diverses ? 2° Pensez-vous que cet
si j’en ai donné gracieusement beaucoup —, mais je n’ai pas hésité à
publier
une lettre de grand écrivain, à moi adressée, qua
pour ne parler que des morts48. De même, quand j’ai jugé opportun de
publier
des missives inédites de Rimbaud ou de Verlaine49
mon Kra était parfaitement dans son droit. Et si tout cela a déjà été
publié
, nul inconvénient. Mais s’il y a de l’inédit, il
ut être un faux, incorporée au reste de mes ouvrages écrits pour être
publiés
; et un lecteur, un critique, peuvent désormais f
citation comme de n’importe quel autre passage des ouvrages que j’ai
publiés
. Je peux, nous pouvons tous, par ce moyen, nous v
nt sa mise en vente, par celui qui l’a écrite, ne devrait jamais être
publiée
, intégralement ou partiellement, sans l’autorisat
is le pouvoir discrétionnaire, je ferais saisir par la force armée et
publier
par l’Imprimerie nationale les écrits de grands é
s de M. Francis de Miomandre. Elles sont tirées des « papiers » qu’il
publie
chaque semaine dans les Nouvelles Littéraires. Le
et Jacques Rivière (Nouvelle Revue Française, n. 132, sept. 1924) est
publiée
en volume en 1927. En 1926 était publiée la corre
ise, n. 132, sept. 1924) est publiée en volume en 1927. En 1926 était
publiée
la correspondance de Jacques Rivière avec Paul Cl
Rivière et Alain-Fournier. [NdE] 13. La correspondance de Proust est
publiée
posthume, à partir de 1925, dans la Revue de Fran
(Comment parut du Côté de chez Swann, Paris, Kra, 1930), après avoir
publié
des « Fragments inédits de lettres de Marcel Prou
mier, avait plongé dans cette longue lettre écrite en prison (d’abord
publiée
en 1905) : Oscar Wilde. In memoriam (souvenirs).
al est loin de venir. L’Académie Goncourt, chargée, par testament, de
publier
l’intégralité du manuscrit, proposera encore dans
xistence d’un autre cahier de souvenirs. Le fameux Cahier rouge n’est
publié
qu’en 1907, pour Cécile il faudra attendre 1951.
de Constant est plus qu’anecdotique, s’il est vrai qu’il projette de
publier
un livre sur lui, Plon éditeur (voir la liste des
ées 11 novembre 1901, 10 décembre 1902, 4 août 1903, octobre 1907, et
publiées
comme 2ème cahier de la 18ème série des Cahiers d
re de Paul Valéry constituant le point de départ de cette Enquête est
publié
dans les Cahiers de la Quinzaine, fondés en janvi
ressionnisme, du dadaïsme et de l’art moderne. Le n° 5 d’octobre 1920
publie
une anthologie de ces mêmes poètes expressionnist
Sage. Outre son œuvre philosophique dont je viens de parler Han Ryner
publia
d’ailleurs aussi jadis des romans et des livres d
Tombeaux — Gabriel Brunet (Figuière). — Comment l’individualisme qui
publia
dans le premier numéro d’Action une si curieuse é
nnes R. Becherbh et August Strammbi. Ce dernier (tombé à la guerre) a
publié
toutes ses œuvres aux éditions du Sturm. Un poème
e. Puis la guerre en a fait un véritable révolutionnaire. En 1915, il
publie
deux volumes importants : « Fraternité » et « A l
is chef de l’école romane, est mort le 25 mars 1910. Plusieurs revues
publient
à cette occasion un numéro d’hommage, par exemple
eur, anarchiste individualiste et franc-maçon. Après un premier roman
publié
sous son nom en 1889, Chair vaincue, Henri Ner ad
, Henri Ner adopte le pseudonyme de Han Ryner en 1898, sous lequel il
publie
Le Crime d’obéir dans la revue La Plume (1898-190
ouvements anticolonialistes. Les « Amis de Han Ryner » s’efforcent de
publier
ses nombreux inédits et de faire connaître davant
oraine et de nouvelles. Au début des années vingt (ca 1922), Figuière
publie
en effet des Pensées choisies de Brulat dans la c
fantaisistes. Son premier recueil, Quelques vers, paraît en 1906. Il
publie
ensuite plusieurs recueils, des nouvelles, un rom
res récits, Paris, Flammarion, 1972, p. 7-11. (NdE) x. Le livre est
publié
en 1919 par la Société littéraire de France (Pari
r volet de la trilogie. Ce drame, à nouveau illustré par Picasso, est
publié
en 1914 par Kahnweiler. (NdE) ac. Deuxième volet
ahnweiler. (NdE) ac. Deuxième volet de la trilogie de frère Matorel,
publié
en 1912 par Kahnweiler, illustré cette fois de gr
e « collection de caractères », pour reprendre les mots de « l’avis »
publié
par Jacob en tête de l’ouvrage, est publiée en 19
dre les mots de « l’avis » publié par Jacob en tête de l’ouvrage, est
publiée
en 1920 aux Éditions de la Sirène. Cette maison d
la justesse de ton et d’atmosphère de la pièce. L’édition originale,
publiée
aux éditions du Sablier (voir note suivante) à Ge
pas trouvé d’autres informations sur Louis Bagnan. Les mêmes éditions
publient
Le Char de Djaggernath de Philéas Lebesgue, illus
es Films, contes, soliloques, duodrames sont de Survage. Le livre est
publié
par l’Esprit nouveau. (NdE) ar. Frédéric Lefèvre
u’à sa mort. Ces entretiens parus dans les Nouvelles littéraires sont
publiés
en six volumes de 1924 à 1933. (NdE) as. Le suj
t proprement nominaliste”. », ibid. [non paginé]. Prikaz est ensuite
publié
chez Stock dans la collection « Les contemporains
fait partie des poètes groupés autour de Royère et de La Phalange. Il
publie
également en 1919 une plaquette, Six poèmes d’aut
honiques) et acteur. Il appartient à la troupe du Vieux-Colombier. Il
publie
un poème dans le premier numéro d’Action. Il cont
à des journaux anarchistes, dont Les Humbles. (NdE) ax. Jane Hugard
publie
ses premiers poèmes, « Poèmes des temps heureux »
ux », dans Les Cahiers idéalistes français, n° 18, juillet 1918. Elle
publie
à nouveau des poèmes dans le n° 33-34, octobre-no
ois en URSS, au moment de la NEP, elle rapporte son premier reportage
publié
, C’est la lutte finale !, description enthousiast
Rolland et du groupe de l’Abbaye de Créteil. Pacifiste tolstoïen, il
publie
durant la guerre dans Demain ou Les Cahiers idéal
l’art (sous le pseudonyme de Jacques Olivier) et la politique. Action
publie
une publicité pour cette revue dans son premier n
ion de Kasimir Edschmid ou Carl Sternheim dans Europe, Yvan Goll, qui
publie
des anthologies poétiques et traduit Kaiser, et J
gne où il prend part aux manifestations expressionnistes dès 1912. Il
publie
ses premiers recueils de poèmes en allemand, dont
Paris après la guerre avec la poétesse allemande Claire Studer et il
publie
, en 1924, un mois avant le manifeste de Breton, l
diteur. Il se lie au lycée de Prague avec Franz Kafka et Max Brod. Il
publie
d’abord des recueils de poèmes, tels L’Ami de l’u
y. Dans le recueil Jeunesse damnée (1914), il exalte l’anarchisme. Il
publie
en 1918 le roman Le Vivant et en 1919 le recueil
NdE) bm. Heinrich Mann (1871-1950), auteur de L’Ange bleu (1905). Il
publie
avant la première guerre mondiale des satires de
pour échapper à la Gestapo. Il a collaboré notamment à Die Aktion qui
publie
Bebuquin oder die Dilettanten des Wunders en 1912
ans Documents, la revue de Georges Bataille, en 1929 et 1930. Action
publie
des extraits de Bébuquin dans les n° 5 et 7 et fa
onner tout de suite une petite œuvre que nos fils, plus tard, eussent
publiée
, je ne puis lui en vouloir d’avancer ainsi nos pl
ne commit qu’une légère faute de goût : pour bien agir, il aurait dû
publier
ces sonnets seulement à une cinquantaine d’exempl
s démarches, les éditeurs Calmann-Lévy ne semblent que trop décidés à
publier
. Quel faux lettré, quel déplorable Baudelairien a
endes. Parfois j’ai songé, — c’était ma réflexion à chaque tome qu’il
publiait
de ses Origines de la France contemporaine, — qu’
faciliter l’éducation des autres. Peut-être même serait-il inutile de
publier
ses livres, ceux qui doivent les comprendre les a
mirable, et d’avoir repoussé les indiscrets, et d’avoir défendu qu’on
publiât
ses sonnets. (Le Journal, 17 mars 1892).
ans la revue qui lui consacre ensuite une place importante. Le numéro
publie
les poèmes d’un autre inconnu, Jean Charazac, qui
cle repris à la revue The Egoist, après « La musique » de Leigh Henry
publié
dans le n° 1. Dora Marsden (1882-1960) a fondé en
maires des numéros précédents de la revue, les ouvrages à paraître et
publie
un article de Duthuit sur Matisse qui se révèle u
en marquer qu’il ne s’agit pas d’un poème, Lautréamont écrit : « j’ai
publié
un volume de poésies ») sont d’un esthétique conf
. La revue le qualifie de « douanier Rousseau littéraire » et précise
publier
cette œuvre « en respectant jusqu’aux moindres or
de Francis Carco, créée le 10 mars 1920 au Théâtre de la Renaissance,
publiée
chez J. Ferenczi en 1921. La pièce repose sur le
20. Cette année-là, outre le roman Le Sacrifice d’Abraham, Flammarion
publie
La Guerre des soldats, écrit avec Paul Vaillant-C
outurier, et La Révolution et la mort paraît aux Éditions Clarté, qui
publiera
l’année suivante deux autres ouvrages de Raymond
Univers historique », 1993, p. 149. (NdE) ag. L’édition originale,
publiée
en 1919 par les éditions du Sablier, est illustré
des poèmes du Cantique des morts (1914-1916) et des Statues mutilées,
publiées
en 1918 par la Librairie d’action d’art de la ghi
s idéalistes français dans lesquels nombre des contributeurs d’Action
publient
. Il a collaboré aux Humbles. (NdE) am. Louis de
1887-1944), poète français, pacifiste et proche de l’unanimisme. Il a
publié
son premier recueil, L’Homme et la vie, en 1910.
les poètes allemands ». Ses poèmes de guerre, Les Temps maudits, sont
publiés
dans de petites revues littéraires, dont Les Cahi
« littérature féminine » de Vingt-cinq ans de littérature française (
publié
sous la direction d’Eugène Montfort, t. II, Paris
ine Arnauld, est annoncée dans plusieurs revues Dada sans jamais être
publiée
. (NdE) aw. Fernand Vandérem (1864-1939), pseudon
écoles. Cette critique a eu un grand écho, et a abouti à une pétition
publiée
dans L’Intransigeant. (NdE) ax. Marcel Boulenger
evue Soi-même (n° 1, février 1917-n° 24-25, janvier-février 1919). Il
publie
des poèmes dans le n° 17 (juin 1918) des Cahiers
sur bois de Vlaminck, ne comporte pas d’informations sur l’auteur qui
publie
une nouvelle, « Les hommes de la mort », dans ce
e, 1928). (NdE) bg. Nicolas Beauduin (1881-1963), poète français. Il
publie
d’abord des recueils d’inspiration moderniste et
niste et anime des revues d’avant-gardes comme La Vie des lettres qui
publie
des poèmes d’Apollinaire, Cendrars, Jacob, Breton
lassique. (NdE) bh. Râteliers platoniques et Poésie ron-ron ont été
publiés
à Lausanne en 1918 et 1919 (sans nom d’éditeur),
rdonner à un éditeur — et par là je n’entends point le libraire — qui
publie
des Correspondances inédites et trompeuses sous d
s là, je le dis pour Saint-René Taillandier et pour les lettres qu’il
publie
. Ce que je dis là, je ne le dis point pour Sismon
lettres de Sismondi, l’historien, que lui, Taillandier, s’empressa de
publier
avec une Notice préalable, insérée dans la Revue
Les huit piètres lettres adressées à Madame d’Albany que Taillandier
publie
à la suite de celles de Sismondi, quoique moins p
onnalité qu’on avait entrevue à travers les livres délicats qu’elle a
publiés
. L’âme qui se mêle à tout, s’y est mêlée. Il y a
qu’une dizaine de billets d’elle, fragmentés, écrits à la hâte, qu’il
publie
comme si c’étaient des merveilles, en nous disant
utant que moi Madame de Staël n’aurait jamais, par respect pour elle,
publié
ces bribes vulgaires ; car tout ce qui n’augmente
la Correspondance inédite de Madame de Staël ; et qu’il faudrait les
publier
!
x Mondes, où il aurait remplacé M. Rossi. — La Revue des Deux Mondes
publie
un très-intéressant travail du comte Alexis de Sa
ait beaucoup d’érudition et de talent. Dans le morceau qu’il vient de
publier
très à propos, il fait preuve d’un esprit fin, ra
otre temps, est enfin inoculée et, sans agiter, occupe. Les livres se
publient
coup sur coup à ce sujet, et se débitent et se li
le premier volume d’une Histoire de la Société de Jésus que vient de
publier
M. Crétineau-Joly : cet auteur est déjà connu par
une bonne et sérieuse publication. — Le Constitutionnel de Véron doit
publier
le Juif errant de M. Eugène Sue et l’a payé, dit-
Salinis et de Scorbiac, directeurs du collège de Juilly, viennent de
publier
un manuel fort plein de science et de faits, non-
e. M. Damiron avec lequel nous sommes, bien malgré nous, en retard, a
publié
, il y a quelques mois, la seconde partie de son c
ainsi que Dugald Stewart, après sa Philosophie de l’esprit humain, a
publié
sa Philosophie des facultés actives et morales. L
un jour. Nous signalerons dans le Dictionnaire de physique générale,
publié
par Mame, un article Alchimie, de M. Gilbert, l’a
s à l’entour. Les dernières livraisons de l’Encyclopédie pittoresque,
publiée
par Lachevardière, contiennent de remarquables ar
t des points de vue éclairés par une littérature plus générale. 21.
Publiée
dans la Revue des Deux-Mondes.
vre par une critique de La Crise de l’esprit de Paul Valéry, un texte
publié
en revue en 1919, qui vient de reparaître en volu
nts, au club du Faubourg, à l’université du faubourg Saint-Antoine et
publié
en mai 1920 dans la revue Littérature, Louis Arag
tervalle, dans une brochure intitulée Légitime Défense qu’il vient de
publier
, précise : « Il ne s’agit pas du tout pour nous d
ceutique, formule que son pseudo-inventeur, depuis certain prospectus
publié
en toute complaisance par la Nouvelle Revue franç
ie Albert Fleichtheim en mars 1928, op. cit. p. 39-40. g. Massis a
publié
dans Le Figaro du 19 juillet 1919 un manifeste ma
ent sur cet arrière-plan idéologique qu’ils entendent contrer. Desnos
publie
en réponse à Massis son « Pamphlet contre Jérusal
fil conducteur de la réflexion de Crevel. Ces deux lettres de Valéry
publiées
en anglais à Londres en avril-mai 1919 dans l’heb
nature Saint John Perse, en janvier 1924, La Nouvelle Revue française
publie
presqu’intégralement Anabase écrit pendant le séj
est encore présent dans un texte où Crevel rend hommage à Paul Klee (
publié
à Berlin en 1928) : « Et le sommeil n’est pas nom
il écrivit Journal de voyage d’un philosophe autour du monde, volume
publié
après la guerre (traduit en 1927). Il fonda en 19
ements de la forme chez Valéry. ad. « Manifeste du mouvement Dada »
publié
en tête des « Vingt-trois manifestes du mouvement
, Bibliothèque de la Pléiade, Gallimard, 1989, t. I, p. 312. Le texte
publié
dit : « Réduire l’imagination à l’esclavage » ; p
de son roman Le Jardin de Bérénice, troisième volume du Culte du moi
publié
en 1910. ak. Ce qui précède, comme l’articulati
la conception ornementale du jeu verbal dans « Les mots sans rides »,
publié
dans Littérature nouvelle série n°7, le 1er décem
que entre Marcel Noll et l’épouse du critique, Anne-Michel Fumet, est
publiée
partiellement dans le n°8 du 1er décembre 1926, p
décembre 1926, p. 26-27. ap. L’article « Pour la simple honnêteté »
publié
dans Les Cahiers du mois n° 20-21 juin 1926 passe
as. Roman de Maurice Barrès daté de Charmes, juillet-octobre 1921,
publié
en 1922, qui se situe en Orient au temps des croi
jours avant la sortie du Manifeste du surréalisme le 11 octobre 1924
publiait
dans la rubrique « Opinions et portraits » un élo
’un livre en réponse aux histoires littéraires, panoramas critiques »
publié
dans Le S.A.S.D.L.R., n° 3, décembre 1931. Dans «
vée, la dénomination de la terre inconnue…) bv. Depuis le Manifeste,
publié
en octobre 1924, selon la date (1926) portée à la
armes (1922). bx. Littérature n°9, novembre 1919. les réponses sont
publiées
dans les numéros 10, 11, 12 de décembre à février
ande, qui le croirait ? Han d’Islande, commencé dès 1820, et qu’il ne
publia
par suite d’obstacles matériels qu’en 1823, devai
e complète de ses travaux jusqu’à ce jour : Le premier volume d’Odes,
publié
en juin 1822 ; Han d’Islande, publié en janvier 1
jour : Le premier volume d’Odes, publié en juin 1822 ; Han d’Islande,
publié
en janvier 1823 ; Le second volume d’Odes et Ball
slande, publié en janvier 1823 ; Le second volume d’Odes et Ballades,
publié
en février 1824 ; La Muse française : ce recueil,
it en juillet 1824, comprend plusieurs articles de Hugo ; Bug Jargal,
publié
en janvier 1826 ; Relation d’un Voyage au Mont-Bl
anc, fait en 1825 avec M. Ch. Nodier : le manuscrit vendu n’a pas été
publié
; Le troisième volume d’Odes, publié en octobre 1
: le manuscrit vendu n’a pas été publié ; Le troisième volume d’Odes,
publié
en octobre 1826 ; Cromwell, publié en décembre 18
blié ; Le troisième volume d’Odes, publié en octobre 1826 ; Cromwell,
publié
en décembre 1827 ; Les Orientales, publiées en dé
en octobre 1826 ; Cromwell, publié en décembre 1827 ; Les Orientales,
publiées
en décembre 1828 ; Le Dernier Jour d’un Condamné,
rientales, publiées en décembre 1828 ; Le Dernier Jour d’un Condamné,
publié
en janvier 1829 : cette même année, il fait Mario
rier 1830 ; Une Préface aux Poésies de Dovalle ; Notre-Dame de Paris,
publiée
le 15 mars 1831. Telles sont les réponses de Vict
. La première marque éclatante qu’il en donna fut l’Ode à la Colonne,
publiée
en février 1827. Le général Hugo, qui ne mourut q
e plus achevé que nous ayions dans ce genre. L’auteur l’avoit d’abord
publié
en allemand par demandes & réponses, & ce
e main de maître. Il a débuté par l’Histoire des Abeilles, & il a
publié
depuis l’abrégé de l’Histoire des Insectes. Joign
sont sans contredit ceux de l’Académie Royale des Sciences de Paris,
publiés
sans interruption depuis l’an 1699. Ces mémoires,
iere dont M. de Bremond, mort à la fleur de son âge, avoit commencé à
publier
les Transactions philosophiques, les auroit mis e
les années 1751. & 1757., & les dix derniers volumes ont été
publiés
au commencement de l’année 1766. Il y a de très b
ces derniers tems l’Académie des sciences. Cette illustre Compagnie a
publié
dans des cahiers séparés divers morceaux sur cett
h Delorme, aurait-on pu prévoir qu’un jour viendrait où le même homme
publierait
le livre calme, lumineux et pur, sur Virgile, que
ains pas d’appeler le chef-d’œuvre de Sainte-Beuve, et qu’il faudrait
publier
à part du Port Royal et tirer de cette chiffonniè
’est palpitant et c’est exquis ! et il faut tout de suite imprimer et
publier
cela. Et on le publie ! Les éditeurs patentés, le
exquis ! et il faut tout de suite imprimer et publier cela. Et on le
publie
! Les éditeurs patentés, les légataires universel
rès toutes ces torsions, lui, il n’est plus le même ! Le Sainte-Beuve
publié
aujourd’hui par M. Troubat, qui vend le nom de Sa
e lui-même dans son legs, et qui avait gratté déjà le vieux tiroir et
publié
une série de premières lettres, l’a-t-il raclé po
une série de premières lettres, l’a-t-il raclé pour le coup et a-t-il
publié
les Lettres à la Princesse, lesquelles ne sont pa
ise ; et elle, la nièce par le sang de Mme Récamier, — qui avait déjà
publié
un volume sur cette femme dans lequel cette Légen
arme incontesté d’une femme, il n’est permis, sous aucun prétexte, de
publier
des choses si évidemment, si manifestement inféri
ici ce n’est point le cas. Ici, ce n’est pas un valet de chambre qui
publie
ces Lettres à la Princesse, qu’il fallait supprim
le possible pour ces deuxièmes publications ?… Quand madame Lenormand
publia
le premier volume : Souvenirs et Correspondances
n’auraient-ils pas dû l’avertir et la faire songer quand elle a voulu
publier
le second ? De même, aussi, peut-on se méprendre
trouve aucune trace en ces Lettres, qu’un ami eût dû avoir pudeur de
publier
… Et remarquez, par-dessus le marché, l’inconséque
le brûler, vous n’auriez pas brûlé l’Énéide. Vous avez mieux aimé le
publier
chez Lévy. Je doute que ce soit là une bien triom
politique et un vaudevilliste, ce que j’estime infiniment plus (on a
publié
dernièrement quelques-unes de ses chansons), — Ch
rit et d’oreille à ses œuvres. Mais il fallait sa mort pour qu’il fût
publié
; il fallait le respect de son fils, M. Paul de R
la Vérité, et le plus noble langage d’un fils — fût-ce le Cid ! — qui
publie
un livre médiocre de son père, ne peut lui faire
es cris-là, il n’y a pas de ces beautés dans l’œuvre posthume qu’on a
publiée
de Charles de Rémusat, tête, en somme, de peu de
artes à jouer ! Ce qui serait nouveau, par exemple, si on n’avait pas
publié
déjà des chansons de Charles de Rémusat, c’est le
je vais le lui prouver. C’est une œuvre faible, qu’il fallait ne pas
publier
, par piété filiale, au lieu de la publier par pié
aible, qu’il fallait ne pas publier, par piété filiale, au lieu de la
publier
par piété filiale. Elle n’honorera point sa mémoi
on, font partie du volume de Mélanges que la Société des bibliophiles
publie
pour cette année, et qui paraît en ce moment. La
été instituée « pour entretenir et propager le goût des livres, pour
publier
ou reproduire les ouvrages inédits ou rares, surt
ie française ». Elle n’a pas manqué jusqu’ici à son programme. Elle a
publié
, de 1820 à 1834, sept volumes de Mélanges, qui co
pour autant de têtes seulement qu’il y avait de membres. La Société a
publié
depuis lors (1844) un magnifique recueil de gravu
ction par quelque titre auprès du grand nombre. Le Ménagier de Paris,
publié
il y a trois ans, au nom de la Société, par les s
si l’on y avait vécu. Dans un tout autre genre, la Société va bientôt
publier
les Contes de la reine de Navarre, revus sur les
u service de l’esprit le plus délicat. Comme tout cela est imprimé et
publié
, je ne vois pas pourquoi j’en ferais mystère, car
s pas pourquoi j’en ferais mystère, car il n’y a pas deux manières de
publier
. Ces deux noms de femmes, qui honorent la liste d
es et les plus séduisantes dans sa course fugitive. Les lettres qu’on
publie
d’elle aujourd’hui ne sont que des billets qui n’
bile quand les choses lui tenaient à cœur. Les quelques lettres qu’on
publie
d’elle au duc de Noailles, et où elle dit qu’elle
XVII. Mémoires du duc de Luynes,
publiés
par MM. Dussieux et Soulier [Le Pays, 18 septem
uc de Luynes sur la cour de Louis XV. Les Mémoires d’un duc de Luynes
publiés
par Didot, ce doit être là une chose grave, d’un
on a écrit au frontispice de ces Mémoires cette ligne majestueuse : «
Publiés
sous le patronage (on a oublié le mot haut) de M.
de plus ! Un Dangeau sans Louis XIV, voilà le duc de Luynes, dont on
publie
aujourd’hui les Mémoires. Ces mémoires qu’il a éc
quer que ce n’est pas du tout le texte, en soi, de ces quatre volumes
publiés
qui me fait induire le texte des huit qui vont su
omment donc n’a-t-il pas senti que c’est un crime en royalisme que de
publier
des mémoires comme ceux dont il autorise la publi
par le rire qu’elle fait naître ? Dans le premier des quatre volumes
publiés
, le duc de Luynes rapporte (p. 99) que le roi env
lui lisait du Marivaux à Washington, où il nous représentait8. Elle a
publié
des poèmes et les Pensées d’une Amazone 9, où ell
ce de Dieu ? Eh ! n’est-ce pas tout le contraire ? M. Henri Bremond a
publié
un livre pour défendre le romantisme15. Et le R.
ouvenirs de sa vie errante et passionnée. Ses premiers récits ont été
publiés
ces jours-ci ; on y remarque des dons surprenants
est difficile 28 est le recueil des critiques que Jacques Boulenger a
publiées
dans l’Opinion depuis 1919 : il comporte trois to
n dandy. Un érudit. Il a fondé la Revue des Études rabelaisiennes, il
publie
une édition de Rabelais ; ce philologue, m’écrit
écrivait une langue si pure ! Scarron plus délicat, Brillant vient de
publier
une sorte de Roman comique où l’on rencontre M. R
Marne, et M. Benoist-Méchin en a traduit quelques passages qui, déjà
publiés
en France, ont fait connaître Unruh. Ce sont des
mé, fui placé sous scellés. Et quand, l’éditeur, plus tard, voulut le
publier
, il ne reprit pas le titre qui évoquait la défait
nt, notamment, concilié la faveur ; et l’Illustration se proposait de
publier
, en septembre 1914, un long roman qui marquait en
démettre de sa fonction administrative. Le Journal, de Xau, dès 1896,
publie
du Chérau, puis le Gil Blas. Mais Chérau, devenu
Valentine Pacquault, cette fois, Gaston Chérau n’a pas biaisé : il a
publié
deux volumes à la fois sous un titre unique63. Le
s à la tribune, ses campagnes pour la défense des laboratoires seront
publiées
en premier. Ensuite, le Mystère en pleine lumière
bases d’un roman dont des extraits seraient peut-être intéressants à
publier
. Il rêvait aussi d’un pendant au Greco avec un Zu
harmes, cela se fera très vite. » Il espérait aussi avoir le temps de
publier
lui-même ses Mémoires. Ils existent. Mais, sans d
arles Maurras se promet d’écrire un ouvrage sur Barrès dans lequel il
publiera
les lettres de son ami ; trouvera-t-il le temps d
ssi la plus récente. Un choix s’impose, enfin, parmi les articles que
publia
Barrès. Le Figaro, le Journal ont livré, nouvelle
ntaine, se disputent les quatre coins d’une pièce triste et basse. Il
publie
les Joues en feu, une plaquette de poèmes75 chez
itre sous lequel ses poèmes seront rassemblés77), et que Paris-Soir a
publiés
le 17 juillet dernier, il avouera ce véritable âg
écouvrirez ces vers À peine dignes d’un zéro. On doit, m’a-t-on dit,
publier
tous les poèmes de Radiguet ; on y trouvera, en d
e il avait lorsque, en 1913, il débuta à la Phalange de Royère, où il
publia
des vers d’une harmonie toute mallarméenne, et qu
Jacques Vaché n’a laissé que des lettres assez décevantes qui furent
publiées
, quelques années plus tard, dans la collection de
aïsme avait été provoqué par le cubisme et le futurisme. Si Breton ne
publie
son manifeste surréaliste que maintenant85, il se
ir. Et ce qui nous intéresse dans le livre que M. Benjamin Crémieux a
publié
sous le titre toutefois bien ambitieux de Vingtiè
lle ne s’exprime pas toujours avec assez d’aisance, Benjamin Crémieux
publia
le Premier de la classe 110. Le romancier écrit m
compte en lisant Au service de la pensée française 119 qu’il vient de
publier
, et qui est le recueil et comme l’anthologie harm
it, certes, un moment, donné de l’ambition littéraire : il avait même
publié
à ses frais, et pour lui seul, à Rouen, un petit
de l’artiste dans des nouvelles, inspirées de l’art de Mérimée, qu’il
publiera
bientôt. En politique aussi bien que dans le doma
1909, dans les Provinciales 139, où figure également la Pharmacienne,
publiée
sous le même pseudonyme, dans la Revue du Temps p
e pour qui veut s’efforcer de le croire. Adorable Clio que Giraudoux
publia
en 1920 est dans la même ligne que ces Lectures p
« une sorte de pamphlet composé pour attirer l’attention d’un certain
publie
français sur la nécessité de reprendre contact av
re à Paris, le Grand Printemps et de nombreux livres qui doivent être
publiés
dans une édition parisienne. Pendant la guerre, R
ançaise par le cœur, l’esprit, l’histoire, sinon par la politique. Il
publiait
alors dans la Gazette de Lausanne des « Au jour l
direction de Bruno Curatolo, le 17 septembre 2010 ; les actes en sont
publiés
sur le site Fabula.org. 3. Par exemple, Nicole V
de Pierre Jean Jouve, Livre de la nuit et Livre de la grâce, ont été
publiés
à Genève en 1919 et 1920. (NdE) 19. Benjamin Con
ationalisme mais également une remarquable revue littéraire où furent
publiés
des auteurs comme Hermann Hesse, Léon Tolstoï, Ja
nce du Livre, 1918. (NdE) 27. André Thérive et Jacques Boulenger ont
publié
plusieurs volumes des Soirées du Grammaire-Club,
et de Mlle Faure, Bloud & Gay, 1923. (NdE) 43. M. Brillant avait
publié
un article sur les Ballets russes dans Le Corresp
1911. (NdE) 53. Louis Ferdinand Prinz von Preußen, 1913. (NdE) 54.
Publié
en 1922. (NdE) 55. Jour anniversaire de l’assass
aire de l’assassinat du ministre. Poème traduit par Benoist-Méchin et
publié
dans le numéro d’Europe de juin 1924, p. 149-152.
n-Nourrit, 1924. (NdE) 66. Jacques-Napoléon Faure-Biguet (1893-1954)
publie
, en 1924, Maurice Barrès, son œuvre. (NdE) 67. P
l., Plon, 1920-1924. (NdE) 70. Les Maîtres, de Maurice Barrès, sera
publié
chez Plon en 1927. (NdE) 71. Émile-Paul Frères,
ner de soleil », « Pelouse » ; la partition de ces trois morceaux fut
publiée
aux éditions de la Sirène en 1921. (NdE) 79. Le
ions de la Sirène en 1921. (NdE) 79. Le second roman de Radiguet fut
publié
en 1924 par Bernard Grasset, quelques mois après
s, de mars 1919 à août 1921. Les Lettres de guerre de J. Vaché furent
publiées
en trois livraisons, de juillet à septembre 1919
la littérature contemporaine recueil de ses articles de presse, sera
publié
par Simon Kra en 1925. (NdE) 85. Le Manifeste du
(NdE) 98. « Pierre Hamp », p. 128-135. (NdE) 99. Ces trois volumes
publiés
aux Éditions de la NRF, en 1918, 1919 et 1920. (N
. (NdE) 142. Émile-Paul. (NdE) 143. Émile-Paul. (NdE) 144. D’abord
publié
sous le titre « Cinq soirs, cinq réveils » dans L
159. Lausanne, 1917. (NdE) 160. Par C. Eggimann en 1903. (NdE) 161.
Publié
en mars 1914 dans le premier numéro des Cahiers v
rs du scepticisme historique. — A propos de M. Monmerqué, il vient de
publier
dans les Débats (du 4 octobre) un petit billet it
i nous n’y prenons garde, badauds comme des Byzantins. — On vient de
publier
dans le format Charpentier une traduction assez c
à donné une histoire (très-partiale) de Luther et de Calvin, vient de
publier
celle de Léon X : ici il est plus intéressant par
ces inventions très-flatteuses pour l’éditeur. Par malheur Latouche a
publié
, pour son compte, des vers distingués sans doute,
s dénoncer ensuite avec esprit, avec fiel aussi et âcreté. Latouche a
publié
autrefois Fragoletta, roman brillanté et lascif,
avril 1887). C’est dans le Petit-Bulletin du 20 mars que furent enfin
publiées
et la distribution complète des rôles et la date
Lohengrin recommence à préoccuper les esprits. Le 20 mars, le Figaro
publie
un article humoristique de M. Albert Millaud, éno
s seront soumis les auditeurs de Lohengrin. Le même jour, la Revanche
publie
un article assez violent contre l’entreprise de M
un des plus extraordinaires documents de cette histoire, l’interview
publié
par le Gaulois du 1er et du 2 avril, des composit
senter Lohengrin à l’Eden-Théâtreu. Comme l’authenticité des réponses
publiées
par le Gaulois nous a semblé douteuse, nous avons
âchions de les garder pour nous seuls. » Le 2 avril, l’Intransigeant
publie
un article de M. de Rochefort, « Wagnérophobie »,
engrin, du pur Weber… Dans le Petit Bulletin du 8 avril, M. Lamoureux
publiait
le prix des places de l’Eden-Théâtre33 : la premi
« Wagner vient !… » et la signature « Gallus », la France du 10 avril
publiait
en première page le court article suivant : « …
e plus tard, l’événement de Pagny-sur-Moselle. Le 16 avril, le Figaro
publiait
dans son Supplément littéraire une série de lettr
ntitulé « l’esthétique wagnérienne en amour », commentant les lettres
publiées
dans le Figaro, la traduction de Une Capitulation
ent au mardi 26 de la représentation. La Lanterne du 22 (datée du 23)
publiait
la note suivante, résumé des articles des journau
ffervescence et grande incertitude. Le 26, tous les journaux du matin
publient
cette note. Nous avons reçu hier soir, à sept he
oursé au bureau de location à partir du lendemain. Le 6, les journaux
publient
ces deux notes : lettre de M. Lamoureux : « Par
, M. de Fourcaud compare Hector Berlioz (sur lequel M. Alfred Ernst a
publié
un livre, il y a quelques années) et Richard Wagn
dans notre dernier numéro que notre correspondant de Bruxelles avait
publié
son article sur la Valkyrie dans la Réforme, il f
d’opinion sur ces très hautes questions avec les articles que j’ai pu
publier
dans la Revue. Je suis heureux de cette occasion
eureuse. Dans ce dernier cas, et pour qu’elle le fût, il aurait fallu
publier
d’un seul coup toute la Correspondance dont on no
r en plusieurs volumes, ce collier, qui n’est pas de perles ! Mais le
publier
volume par volume est une imprudence et peut-être
de ses vieilles pantoufles, tandis que Madame Sand et ceux-là qui ont
publié
sa Correspondance ont fait du socle, où la Comédi
ndance qui ressemble presque à une trahison de la part de ceux qui la
publient
, tant elle ravale de toutes manières Madame Sand,
pour la personnalité intellectuelle et morale de Madame Sand, soient
publiées
par d’autres que par des ennemis, heureux de la t
qui n’avons jamais été ni l’un ni l’autre, était-ce bien la peine de
publier
cela ?
— mot de chateaubriand. — mot de m. thiers. La Revue des Deux Mondes
publie
une satire de M. Amédée Pommier sur les trafiquan
ille, il faut tirer le père. M. Amédée Pommier, nous dit-on, a déjà
publié
beaucoup de recueils de vers et plusieurs ouvrage
encore un Corneille en M. Ponsard. — Voir la lettre de Chateaubriand
publiée
dans l’Univers du 3 décembre. Je la lis dans les
aine promet d’être bruyante ; mais vous avez les éléments. Les Débats
publient
ce matin la réponse de M. Dujarrier, gérant de la
s et des airs, avait-il conscience de cela quand il prescrivait de ne
publier
ses Mémoires que trente ans après sa mort ?… Il c
au-dessous de ce que l’imagination les croyait avant qu’elles fussent
publiées
. Elles sont, pour la plupart, des tissus de riens
nt-propos de cette correspondance tronquée, dont Adhémar d’Antioche a
publié
les tronçons, nous apprend que, de 1836 à 1843, l
tronçons, nous apprend que, de 1836 à 1843, le comte Raczynski avait
publié
, en plusieurs volumes, un grand livre intitulé :
tioche, dans son introduction en l’honneur de la Correspondance qu’il
publie
, les diplomaties que voici ont pu voir, mais elle
ut s’équilibrer, et les voilà égaux tous deux dans un livre médiocre,
publié
par un homme qui croit probablement encore plus a
t illustrer l’histoire littéraire de son île il y a deux mille ans, a
publié
des renseignements curieux sur le Sardus ille Tig
e, mais par où la remarque se vérifie également, M. George Guiffrey a
publié
dernièrement (1866) des Lettres inédites de Diane
tome II des Causeries d’un Curieux (1862), il a pris les devants et a
publié
, comme la plus délicate des primeurs et bien fait
utes, adressées bien réellement à l’impératrice par sa fille, ont été
publiées
à Vienne par M. d’Arneth ; et dès ce moment le co
eulent une discussion véritable et complète au travail de M. Geffroy,
publié
à la fin du tome II de son ouvrage sur Gustave II
naux et exerça des métiers aussi variés que professeur ou matelot. Il
publia
en 1876, l’année de l’inauguration du festival de
ui valut une forte amende et une condamnation à un mois de prison. Il
publia
plusieurs autres recueils de poèmes, dont Les Car
o. Amédée Pigeon (1851-1905) est un poète et un écrivain français. Il
publia
dans La Gazette des Beaux-Arts, des articles sur
de Guillaume premier. Jules Laforgue lui succéda à ce même poste. Il
publia
sur l’Allemagne plusieurs ouvrages dont L’Allemag
s de l’homme, Le Journal du Peuple, L’Humanité, L’Action, Gil Blas et
publia
plusieurs romans après une mission en Indochine.
s artistes, leur vie, leur œuvre (1910). Il traduisit Swinburne qu’il
publia
en 1891. [NdE] br. Catulle Mendès (1841-1909) eu
ément de la tuberculose. Il écrivit dans diverses revues poétiques et
publia
un recueil, L’automne, en 1886. Il fréquentait Ma
e de l’art à l’école nationale supérieure des Beaux-Arts de Paris. Il
publia
de nombreux articles dans Le Figaro et Le Gaulois
e ou qui veut compter a son journal à lui. » — M. de Rémusat vient de
publier
le volume premier d’un ouvrage sur Abélard et sa
n ouvrage tout à fait historique, un ouvrage sérieux et profond qu’il
publie
. Le premier livre contient la vie d’Abélard, les
éométrie ou d’algèbre, et que la scolastique elle-même. — On vient de
publier
un volume de Lettres adressées par Louis XVIII au
point de départ, avant l’expérience acquise. — Lord Brougham vient de
publier
en français, écrit par lui-même, un volume sur Vo
e de cette méthode de tentatives dignes de mention. M. Paul Bourget a
publié
des Essais de Psychologie d’une valeur littéraire
çaise protestante, comme en témoignent ces lignes combatives de Zola,
publiées
dans Le Figaro en 1881 : « c’est notre République
umes intitulés « Etudes critiques sur la littérature contemporaine »,
publiées
chez Michel-Lévy frères, puis chez Calmann-Lévy.
a Revue Bleue, au Journal des Débats, ce fils d’instituteur du Loiret
publia
de nombreuses études critiques qui furent réunies
du Loiret publia de nombreuses études critiques qui furent réunies et
publiées
dans les années 1880-1890 : ce sont les huit séri
de ses essais les plus significatifs, traduits par S. Garling, furent
publiés
au Mercure de France en 1914. Selon le témoignage
de l’hellénisme, pédagogue, inspecteur des écoles, Arnold a notamment
publié
des réflexions sur la littérature classique, issu
Préface-réponse Jamais on a tant
publié
de Souvenirs et de Mémoires. Les livres d’histoir
le, d’attendre la mort de certaines personnes, pour avoir le droit de
publier
des compilations menaçantes, comme cela est arriv
and Baudelaire !8 » M. Pierre Lièvre, à son tour, dans deux articles
publiés
par le Divan s’est montré extrêmement sévère pour
l nourri/ lui-même pour tout ce qu’il produit les exigent. A force de
publier
qu’il est l’égal de Sophocle, il le fait admettre
une légende. La question a été définitivement tranchée par une lettre
publiée
dans le Gil Blas en décembre 1883 et reproduite p
venait de recevoir d’Allemagne. Ce travail, le plus complet qu’on ait
publié
sur lui, comprend deux volumes de 500 pages et po
gue, je lui exprimai un jour le désir que nous avions tous de le voir
publier
un livre qui serait uniquement un recueil descrip
ntes réalistes comme la Mort du paysan, que le grand journal parisien
publiait
en première page. Remis aujourd’hui à sa place, Z
nnu Maurice Barrès. Ce dilettante, rassasié de littérature, venait de
publier
sa fameuse Journée parlementaire, pamphlet qui de
ec corrections manuscrites, de son Voyage de Sparte. Je me propose de
publier
quelque jour les curieuses leçons de style que dé
près sa mort, Edmond de Goncourt ne put résister à la tentation de le
publier
de son vivant, ce qui déchaîna bien des froisseme
a une lettre mille fois trop élogieuse, que je crois devoir néanmoins
publier
, parce qu’elle révèle un des beaux côtés de sa na
trouvé le moyen de s’intéresser à ce discours. — « Voici : Mazade a
publié
un livre sur Lamartine… Je passe avec un mépris r
sans restriction, comme Victor Hugo admirait Shakespeare. Les travaux
publiés
depuis cette époque sur Lamartine n’ont fait que
rovince, je vivais à cette époque du seul produit des articles que je
publiais
dans la Revue de Mme Adam. Heredia, qui connaissa
t entre Heredia et Flaubert étaient nombreux. L’auteur des Trophées a
publié
, en tête de sa traduction du Journal de Bernal-Di
l’Académie », disait Heredia. Il tint parole. Quand Henri de Régnier
publia
ses poèmes libres, Heredia ne put s’empêcher d’ad
l’Académie », disait Heredia. Il tint parole. Quand Henri de Régnier
publia
ses poèmes libres, Heredia ne put s’empêcher d’ad
vait pour mission de choisir les « nouvelles » que le Journal devait
publier
; pour tout le reste, on ne le consultait même pa
se. On vous nomme pour en écarter un autre. » Heredia, on le sait, ne
publia
ses Trophées en librairie que pour se présenter à
ires s’enlevèrent en très peu de temps. Avant les Trophées il n’avait
publié
qu’une œuvre, la traduction française en quatre v
it de L’Armature). Lisez-le. C’est un des plus beaux romans qu’on ait
publiés
depuis vingt ans. » L’éloge n’était pas exagéré.
elun le journal local de M. de Choiseul. Il revint bientôt à Paris et
publia
dans le Gil Blas un document qui fit sensation. C
vait pour mission de choisir les « nouvelles » que le Journal devait
publier
; pour tout le reste, on ne le consultait même pa
se. On vous nomme pour en écarter un autre. » Heredia, on le sait, ne
publia
ses Trophées en librairie que pour se présenter à
ires s’enlevèrent en très peu de temps. Avant les Trophées il n’avait
publié
qu’une œuvre, la traduction française en quatre v
it de L’Armature). Lisez-le. C’est un des plus beaux romans qu’on ait
publiés
depuis vingt ans. » L’éloge n’était pas exagéré.
elun le journal local de M. de Choiseul. Il revint bientôt à Paris et
publia
dans le Gil Blas un document qui fit sensation. C
s Deux Mondes. Brunetière, alors secrétaire, reçut le roman et le fit
publier
. Hervieu n’oublia jamais cet accueil et, à la mor
. Hervieu n’oublia jamais cet accueil et, à la mort de Brunetière, il
publia
sur lui un bel article élogieux. Contraste qui n
ne figure de tout repos ; le mélancolique Pierre Louys, qui venait de
publier
Aphrodite et qui accueillait avec modestie l’oura
les précieux volumes de documents historiques ; Léon Baracand, qui a
publié
de délicats romans ; Marcel Schwob, le classique
la source de ses productions. Il admira Ronsard et La Pléiade, et il
publia
les Syrtes et les Cantilènes, qui, par l’archaïsm
glais Scherard, entre autres, qui venait souvent au Vachette et qui a
publié
à Londres un agréable livre de souvenirs parisien
gea. Ce sont les seules relations que j’ai eues avec Rebell. Il avait
publié
la Nitchina, les Nuits chaudes du cap français, l
oué d’une facilité d’élocution qui n’était jamais ennuyeuse, il avait
publié
un excellent recueil de chansons populaires et un
té à celle du jeu de quilles. Neuf fois sur dix, un volume de vers se
publie
aux frais de l’auteur, qui le distribue à la pres
revenus. Tout le monde sait que Moréas ne travaillait pas beaucoup et
publiait
peu. Tailhade l’appelait le poète au compte-goutt
dans la tête, il reconnaissait avec moi la nécessité du travail ; il
publia
même, dans la Gazette de France, à propos d’un de
eur de Mounet Sully ; Paul Vulliaud, rabbinisant farouche, qui allait
publier
deux gros volumes sur la Kabbale ; l’ineffable Ma
, mais j’y suis à l’étroit » ; Jean Giraudoux, qui n’avait pas encore
publié
ses charmants volumes humoristiques et qui arriva
hette. Amateur de calembours futiles et d’érudition sérieuse, Mazel a
publié
des livres de psychologie sociale et quelques dra
un rôle à la Cour des papes de la Renaissance et sur lequel il avait
publié
une plaquette dont il fit toujours état dans ses
is son œuvre ne lui semblait à point ; il n’était jamais pressé de la
publier
. Il écrivait à son ami Fréjaville : « Mon cher a
l’épitaphe de Brunetière ; mais je crois qu’il eût été fâché qu’on la
publiât
. Rimée ou non, la malice n’était pas son fait. Je
, ajouter quelques traits aux souvenirs que ses amis ont le devoir de
publier
pour faire mieux connaître celui qui tint parmi n
ou au blâme. Les notes satiriques que certains journaux s’amusaient à
publier
sur cette absence de préjugés ne parvenaient pas
re laissé que quelques volumes, tandis que sa méthode lui a permis de
publier
une centaine d’ouvrages. Ce don d’improvisation,
on premier professorat. Le Courrier de la Vienne et des Deux Sèvres a
publié
, le lendemain de sa mort, quelques détails qui no
honneur à l’imagination des journalistes. En voici un qu’une Revue a
publié
et qui a bien là marque du Maître : « Un jour qu
impérieuse et dominatrice qui l’absorba tout entier. Mgr. Herscher a
publié
dans la Revue Hebdomadaire le récit de la mort d’
que le labeur de Flaubert ne peut plus être contesté, depuis que j’ai
publié
dans mon Travail du style les cinq rédactions, av
u surpris « Eh oui ! reprit-il. Je lui dois tout, à Paris. Quand j’ai
publié
Mireille en 1856, j’envoyai mon poème aux journau
ravaillait à son livre sur Musset et George Sand. Le Figaro venait de
publier
des extraits de la correspondance inédite qui fig
Je ne pus m’empêcher de lui exprimer le regret qu’il n’eût pas encore
publié
son journal de route. Il me dit qu’il avait des n
reux d’un caractère que l’on a trop souvent accusé d’égoïsme. J’avais
publié
des nouvelles et des pages de critique qui ne lui
inguées et de solide carrure normande, n’aimait pas beaucoup que l’on
publiât
son portrait. Je fus très impressionné par l’expr
te consciencieux croit pouvoir ajouter à la transposition du réel. Il
publia
dans le Gil Blas, contre Pêcheur d’Islande, un ér
te italien ! Cette anecdote eût pu figurer dans le livre de souvenirs
publiés
par le valet de chambre de « M. Guy ». L’auteur d
demandé, dit-il à Mme Lecomte du Nouy. » Dans une étude physiologique
publiée
en 1913, le Dr Maurice Pillet épilogue avec un gr
t, Du Camp, Gautier, Mme Franklin-Grout n’a jamais eu la tentation de
publier
ses Mémoires. La préface qu’elle a mise en tête d
, je crois, un des premiers à étudier les brouillons de Flaubert et à
publier
ses ratures. Ces après-midi passées dans le cabin
considérer comme la dernière copie du célèbre ouvrage. J’ai également
publié
ces ratures dans mon livre sur le Travail du Styl
t de retour à Paris pour lui envoyer deux courtes nouvelles. Elle les
publia
avec plaisir et accepta ensuite régulièrement des
son d’appliquer au roman les procédés qui lui ont permis à la fois de
publier
/tant d’œuvres considérables et de faire de si ma
e dans la solitude des grands voyages. Mme Adam devint sa marraine et
publia
quelques uns de ses livres, entre autres le Déser
ux appareillages, comme il disait. A la suite d’une étude que j’avais
publiée
sur son œuvre, l’auteur de Mon frère Yves me donn
. L’homme et le poète avaient les mêmes scrupules. Sully-Prudhomme a
publié
beaucoup de vers et a laissé de nombreux poèmes q
herchait-il tout simplement à se réconcilier avec son image. J’avais
publié
, sur les origines de la poésie de Coppée, une étu
Zola. C’est encore à peu près à cette époque que l’auteur du Passant
publia
dans le Journal le fameux article qui lança le ro
chanel et avec qui j’ai eu les meilleurs rapports. Bien qu’ayant déjà
publié
des livres et des articles de critique, je fus mo
pas cependant entreprendre une telle œuvre sans être sûr qu’elle sera
publiée
; on souhaiterait seulement qu’elle vous fût comm
nua à me préoccuper pendant quelque temps. J’ai toujours eu l’idée de
publier
un travail critique sur ce genre de littérature.
, l’autre qui vous renseignera sur les journaux où ces romans ont été
publiés
. Que vous dirai-je encore ? Mes habitudes de trav
grand art littéraire. J’aurais bien d’autres lettres intéressantes à
publier
; mais elles sont vraiment un peu trop personnell
ées d’efforts et de travail. Quand mon contradicteur eut tout dit, je
publiai
un petit livre qui est une réponse aux objections
oujours sincèrement admiré le talent et le caractère. J’ai cru devoir
publier
ces courtes lettres, pour montrer par quels éloge
lignes. Déjà deux mois plus tôt la même Revue (1er avril 1867) avait
publié
de Tissot des notes de voyage dont une partie éta
entendit Tristan pendant un voyage en Allemagne, et ses notes ont été
publiées
récemment par Alexandre Büchner, professeur de li
Association Wagnérienne Universelle qui a succédé au Patronat. Elle a
publié
des articles de Richard Wagner, et des articles d
vieux Marc’h. Quelques-unes ont été racontées dans un livre récemment
publié
de Mme Judith Gautierae Iseult 3. Nous en citeron
e de l’art à l’école nationale supérieure des Beaux-Arts de Paris. Il
publia
de nombreux articles dans Le Figaro et Le Gaulois
connu pour ses analyses des motifs musicaux des Maîtres chanteurs. Il
publia
en 1885 ses souvenirs sur le compositeur (Paris,
en Allemagne. Suite du voyage au pays des milliards (Dentu) et qu’il
publie
dans L’Éclipse en 1876. [NdE] ab. La rubrique Le
d Wagner. Les dix volumes de ses œuvres en prose ont été regroupés et
publiés
sous le titre de Gesammelte Schriften entre 1871
. Hans-Paul von Wolzogen (1848-1938) est un musicographe allemand. Il
publia
une quinzaine d’ouvrages sur le compositeur qu’il
t le rédacteur en chef jusqu’à sa mort et la revue cessa alors d’être
publiée
. Il se distingue avec ses collaborateurs par sa l
r fils Siegfried. Elle fit beaucoup pour la défense du compositeur et
publia
plusieurs ouvrages sur lui dont : Richard Wagner
théâtre de marionnettes baptisé « Bayreuth de poche », en 1880. Elle
publia
l’une des premières traductions de Parsifal après
1869 et ils avaient été reçus par le compositeur. Elle avait ensuite
publié
un article passionné sur la création de L’Or du R
inction et souvenir, un hommage avant tout aux poètes discrets qui ne
publient
pas ! Il est aujourd’hui un assez grand nombre de
on cultive entre soi la musique, le piano ou le chant. La velléité de
publier
peut quelquefois leur venir, mais l’occasion manq
é les siennes par l’épigramme politique. Les Fables de Lachambeaudie,
publiées
dans un magnifique volume (1851), nous avertissen
ophile Duchapt, magistrat, conseiller à la cour d’appel de Bourges, a
publié
également un recueil de Fables (1850), irréprocha
demi populaire, dont le nom revient souvent dans les joyeux recueils
publiés
par les frères Garnier, et chez qui la chanson pr
la littérature du Moyen Âge, et qui n’y est pas étranger lui-même, a
publié
, sous le titre d’Offrandes (1851), une cinquantai
ment. M. Brizeux, auteur bien connu de Marie et des Bretons, vient de
publier
un nouveau recueil de vers qui a pour titre Prime
ompte : c’est une nature individuelle très fine et très marquée. Il a
publié
, il y a vingt ans, le joli recueil de Marie, qui
aintenant un politique, MM. Henri Chevreau et Laurent-Pichat, qui ont
publié
en commun un recueil de vers, Les Voyageuses (184
1827, les articles sur la Poésie française au xvie siècle qui furent
publiés
en volume l’année suivante (1828) ; et j’y ajouta
1834 et qui eut le genre de succès que je pouvais désirer. En 1837 je
publiai
les Pensées d’Août, recueil de Poésies. Depuis 18
ique de M. Sainte-Beuve ou même y donna jour. En 1829 M. Sainte-Beuve
publiait
, sans y mettre son nom, le petit volume in-16, in
ssé parmi les critiques. « L’année suivante, au mois de mars 1830, il
publiait
le recueil de Poésies intitulé : les Consolations
er les diverses éditions ou tirages. « Mais, en 1834, M. Sainte-Beuve
publiait
un roman en deux volumes in-8° qui avait titre Vo
quatre dernières formant un volume in-1216. « En 1837 M. Sainte-Beuve
publia
un volume de Poésies (in-18) : Pensées d’août. Ce
aire de M. Sainte-Beuve. Cet ouvrage de Port-Royal (3e édition) a été
publié
en six volumes (format in-12) en 1867 ; et cette
elgique son tribut public de reconnaissance qu’un peu tard, lorsqu’il
publia
, en 1861, les deux volumes intitulés : Chateaubri
ublics de sympathie et d’indulgence. « Il tint à honneur toutefois de
publier
la première partie du cours qu’il devait professe
sujets. M. de Sainte-Beuve père n’était étranger à rien de ce qui se
publiait
et qui faisait quelque bruit de son temps. Je ret
fait partie du Panthéon des Illustrations françaises au XIXe siècle,
publié
sous la direction de M. Victor Frond, Paris, Leme
on de Rouen, expurgée — cela va sans dire — à l’usage des classes, et
publiée
par un jésuite, Josephus Juvencius, S. J., 1736).
oliers d’aujourd’hui, obligés de nous cacher pour connaître ce qui se
publiait
au dehors de beau et de grand ; il y avait un esp
1865), qui seront prochainement réunis en volumes. — Nous avons eu à
publier
, depuis la mort de M. Sainte-Beuve, un dernier et
’un écrivain bien oublié aujourd’hui, Mme de Genlis, et qui venait de
publier
alors Les Arabesques mythologiques, — « avec fig
arde et pédante de Mme de Genlis, qui essayait de les châtrer, et qui
publiait
, en 1801, des Heures nouvelles. 24. Il marquait,
our celui qui lui paroîtra fait avec le plus de clarté. M. Clairaut a
publié
des Elémens de Géométrie, à Paris in-8°. 1741. qu
ématiques d’Ozanam sont un livre qui a eu beaucoup de cours ; mais on
publie
à présent un ouvrage sous le même titre, qui écli
n italien & en françois. Le Cours d’Architecture de Vignole a été
publié
& commenté par Daviler, augmenté par Mariette
st aussi un très-bon livre. Il y a un autre auteur du même nom, qui a
publié
en 1738. à Paris un Traité de la décoration des E
mmes ; un futur philosophe y fera entrer tout ce qu’il voudra. — On a
publié
des Mémoires de Fléchier sur les Grands jours ten
emps et les vogues diverses. — M. Thomas, jeune professeur à Dijon, a
publié
un volume qu’on dit piquant, intitulé : Une provi
notre temps. — Félix Pyat, condamné pour diffamation envers Janin, a
publié
, sous le titre de Pourvoi en cassation, une petit
on ne se fût pas encore avisé de donner un Journal de Littérature, en
publia
un au commencement de 1684., sous le titre de Nou
prit à sa sollicitation au mois de Septembre de la même année. Il les
publia
sous le titre d’Histoire des ouvrages des Savans,
terdam, émule de Bayle, entreprit aussi un Journal dès 1686. & le
publia
sous le titre de Bibliothèque universelle & h
estime, exposés eux-mêmes à la risée publique. Lorsque l’Abbé Prévot
publia
la traduction des Lettres familieres de Ciceron,
ués que jusqu’en 1753. Au commencement de l’année suivante, M. Freron
publia
son Journal sous le titre d’Année littéraire. Il
de Moréas ; dans ces derniers écrits il suit, par ses proses rythmées
publiées
dans La Vogue, le mouvement qui a porté MM. Lafor
à cause de — son apparente obscurité. La Revue Indépendante vient de
publier
une édition auto-lithographique de ses poésies, é
it volume Cueille d’avril, qui n’a rien de bien remarquable, vient de
publier
Les Cygnes où son talent s’affirme davantage. La
’avenir de ce poète. Jean Ajalbert Poète, « impressionniste » a
publié
Sur le vif, Paysages de femmes, et tout récemment
ur à son érudition, que sa version en fait à son goût. Longe-pierreen
publia
trois ans après une autre en vers, qui est langui
en latin & en françois, en 3. vol. in-8°. ; le Prospectus qu’il a
publié
cette année 1770., fait très-bien espérer de sa t
aduit, l’a été encore de nos jours par M. l’Abbé Batteux. Sa version,
publiée
en 2. vol. in-12., est écrite avec moins de légér
té de n’avoir presque que des traducteurs médiocres. L’Abbé Pellegrin
publia
en 1715. en deux vol. in-12. Ses Odes traduites e
une foible idée de ses Héroïdes, il faut lire la nouvelle traduction
publiée
à Paris chez du Chêne 1763. in 8°. Cette version
lesque, Ovide fut habillé de ces guenilles du mauvais goût. D’Assouci
publia
en 1650. Ovide en belle humeur enrichi de toutes
quelle maniere il s’en plaint dans la rélation de ses aventures qu’il
publia
lui-même d’un style très-bouffon : “Ah ! cher lec
se aussi, à peu de chose près, la vie de Tibulle tirée de ses écrits,
publiée
à Paris 1743. en deux vol. in-12. C’est le fruit
traducteur. Le même Auteur, après nous avoir donné la vie de Tibulle,
publia
celle de Properce. C’est encore un ouvrage de sa
cité. C’est ce que dit Van-Effen de Phédre, affranchi d’Auguste, qui
publia
cinq Livres de Fables, imitées d’Esope & plei
sieurs Ecrivains ont mis les fables de Phedre en françois. M. de Sacy
publia
, sous le nom de St. Aubin, sa traduction en 1646.
le de M. de Sacy ; sans parler de celle que le P. Fabre de l’Oratoire
publia
en 1728. ; M. l’Abbé Lallemand nous a donné les F
ction en vers françois par M. Denise de l’ouvrage de Phedre. Elle fut
publiée
en 1708. in-12. La versification est plus aisée q
teur de la même trempe, l’avoient traduit avant le Pere Tarteron, qui
publia
sa version en 1689. in-12. Ce Jésuite a mieux aim
& en général cette traduction est trop paraphrasée. M. Lavaur en
publia
une beaucoup plus littérale en 1726. in-12. sous
ueil de leurs œuvres. Il y en a une assez foible traduction en prose,
publiée
in-12. 1753. à Avignon. Il y auroit encore beauco
e nombre & la cadence caractérisent la Muse de Quillet. M. d’Egli
publia
en 1746. in-12. une traduction françoise en prose
Jardins du Pere Rapin, & il a eu de plus un traducteur. Il a été
publié
en françois sous le titre d’Economie rurale par M
et travaux de Daru, tous inédits, excepté la traduction de l’Orateur
publiée
en 1788 ; pour les voir à leur point de vue comme
ets, mais de ne s’y point livrer trop rapidement, d’attendre avant de
publier
: « L’âge est le meilleur des Aristarques. » Ses
précipitant rien. Il lui conseille, comme antidote à l’impatience de
publier
trop tôt, de jeter les yeux sur le Petit almanach
ressa à l’auteur de L’Année littéraire, et qui, je crois, n’a pas été
publiée
, conteste avec politesse la prompte conclusion du
e autres pièces originales, son Épître à mon sans-culotte, qui ne fut
publiée
que quelques années après, et qui était, à son he
omme traducteur d’Horace, des Odes, des Épîtres et de l’Art poétique,
publiés
l’année précédente (1798)93. Dans l’espèce de pom
Cette traduction chantée alors était, en effet, celle que venait de
publier
Daru lui-même. Il était encore à l’armée dite du
e La Cléopédie ou la Théorie des réputations en littérature, que Daru
publia
vers le même temps (1800), réussit moins. On y di
ui se hâtait trop de produire : « Tout ce qui sort de sa plume, il le
publie
; ce sont des enfants morts qu’on n’a pas le temp
un des fruits de la vieillesse de ce grand homme. M. l’Abbé Colin en
publia
une excellente traduction en 1737., exactitude, f
peut pas donner le même éloge à la traduction que M. de Villefore en
publia
en 1726. in-12. On n’y trouve point l’élégance de
de tous les esprits, & qui perdit entiérement le goût. M. Morabin
publia
en 1722. à Paris une traduction de ce Dialogue qu
Je commencerai la liste de leurs écrits par l’ouvrage que M. Gibert a
publié
sous ce titre : Jugement des Savans sur les auteu
us grands éloges dans quatre Lettres anonymes à une Dame de Province,
publiées
en 1688. Il n’y avoit guéres que l’amour propre d
marquera encore dans les Agrémens du langage réduits à leur principe,
publiés
en 1718. in-12. par M. de Gamache, Chanoine de St
dispenser de lire ce bon ouvrage. L’ Art du Poëte & de l’Orateur,
publié
en 1766. in-12. par le P. Papon de l’Oratoire, n’
vera l’apologie de ce Jésuite dans l’Art de prêcher la parole de Dieu
publié
à Paris en 1687. in-12., par le P. Marc-Antoine d
our la lecture des Orateurs, que j’ai oublié de vous faire connoître,
publia
la même année un Essai sur les bienséances oratoi
un service rendu à l’Église que d’avoir pensé à les traduire et à les
publier
dans cette langue française qui n’est pas seuleme
les étalages de la pensée. Et il avait raison ! Mais ses amis qui le
publient
aujourd’hui n’ont pas tort pourtant de le publier
is ses amis qui le publient aujourd’hui n’ont pas tort pourtant de le
publier
. Ils savent que Dieu, pour traverser les cœurs, m
et de la Charité ! Du reste, catholiques avant tout, ils n’ont point
publié
les œuvres complètes du marquis de Valdegamas. Il
x sœurs pieuses, l’Admiration et l’Amitié. Les éditeurs de Donoso ont
publié
avec son ouvrage principal, l’Essai sur le cathol
onc un grand écrivain dont la Critique est appelée, aujourd’hui qu’on
publie
ses œuvres, à dire les défauts et leur étendue, l
es personnes dont on avait pu le croire éloigné. Dans cette année, il
publia
son épître y à Guilleragues, secrétaire du cabine
de La Sablière que s’appliquent ces quatre vers de sa dixième satire,
publiée
en 1693, dix-neuf ans après l’épître critiquée, p
énie regardait comme une injure ; mais qu’il aura été détourné de les
publier
par la crainte de se mettre subitement en contrad
nnait d’avoir protégé Pradon contre Racine. Dans cette année 1677, il
publia
son épître à Racine ; là il marqua fortement le d
ître à Racine, jusqu’en 1693, temps où parut la satire des Femmes, ne
publia
aucun autre écrit que son discours de réception à
cun 3 000 fr. de pension. Depuis cette année jusqu’en 1677, Racine ne
publia
aucun ouvrage, non plus que Boileau. En 1677, il
e personne comme admirateur de Pradon. La dixième satire de l’auteur,
publiée
en 1693 contre les femmes, parle d’une
me Deshoulières avait quarante-trois ans, et on 1693, quand Boileau a
publié
sa dixième satire, elle en avait cinquante-neuf.
n ménage. « La consigne est de blaguer », écrivait Louis Dumur, qui y
publia
les chapitres de son roman Albert, d’un ordre pou
ivoles. Willy tenait à Lutèce la rubrique des théâtres. Robert Caze y
publiait
des nouvelles dans le goût réaliste. Jean Moréas
t de renouveler la littérature. Pourtant, c’est là que Jules Laforgue
publia
ses Complaintes d’un tour si particulier. Jean Mo
ns dévorés en cachette. Alexandre Dumas m’avait appris l’histoire. Je
publiai
aussi dans Lutèce, par ironie, Carnet d’un Décade
aucoup mieux fait, & moins cher. Le fameux Bayle ayant dessein de
publier
un Dictionnaire historique d’un goût nouveau, avo
torique, ou Mémoires littéraires & critiques de Prosper Marchand,
publié
en 1758. in-fol. Cet ouvrage intéresse particulié
e glissent si facilement dans un ouvrage si long & si varié. On a
publié
en 1768. deux Dictionnaires qui peuvent être mis
icles nouveaux, & revue avec beaucoup de soin. M. de Bonnegarde a
publié
cette même année, 1771., un Dictionnaire critique
dit les rancœurs de sa profession, et le peintre Aimé Pinault, qui a
publié
des études remarquées sur la perspective et la th
discutait passionnément les Poètes maudits. Jules Laforgue venait de
publier
ses Complaintes. Le vent soufflait de ce côté. Il
présenta même, comme député, dans sa province. Il ne fut pas élu. Il
publiait
, à longs intervalles, des brochures sociales chez
affaires de la maison, écrivit entre temps divers articles ou poèmes
publiés
çà et là. « L’obsession de la littérature lui fit
de Bellac, il composa l’Assaut de l’Olympe (1882), recueil de poèmes
publié
à Limoges et devenu aujourd’hui introuvable. « Ce
entre les jeunes gens dont il a été parlé plus haut, qui avaient déjà
publié
des vers — amateurs de l’obscur, propagateurs de
. Voici qu’on annonce encore sept ou huit kilogrammes de manuscrits à
publier
. C’est un défi à la civilisation. » Voilà le ton
recherche de ses œuvres perdues. C’est alors que l’idée nous vint de
publier
, sous sa signature, des sonnets du style décadent
lade sans venin, dans, la Jeune France, revue libre où Maurice Barrès
publia
des fragments de Sous l’œil des barbares. Le dire
°. Ce Dictionnaire rentre un peu dans celui des Epithètes françoises,
publié
en 1759. in-8°, par le P. Daire Célestin, puisqu’
ier qui mérita quelque attention fut celui de Pierre Richelet ; il le
publia
à Genève en 1680. in-4°. sous ce titre : Dictionn
Abbé Goujet en donna en 1757. en trois vol. in-fol. Le même écrivain
publia
un abrégé de ce volumineux Dictionnaire en un vol
il faut lire les différentes observations que les bons écrivains ont
publiées
. Celui qui se signala le premier en ce genre fut
en ce genre fut Vaugelas, dont les Remarques sur la Langue françoise,
publiées
en 1647. in-4°., ont eu beaucoup plus de réputati
emarques sur la Langue françoise, qu’il donna en 1675., & dont il
publia
une suite en 1692. Les Doutes furent très-bien ac
amp; absolument nécessaire pour l’intelligence des loix d’Angleterre,
publiées
en françois depuis Guillaume le conquérant jusqu’
s connu & le moins digne de l’être, est celui qu’un nommé le Roux
publia
en 1718. in-8°. à Amsterdam. Je suis bien éloigné
lier le Dictionnaire des proverbes, que Panckouke, Libraire de Lille,
publia
en 1749. in-8°. ; mais il ne s’est point permis l
par lui-même à M. de Sinner, si capable d’en bien juger, et qui en a
publié
des extraits132. En tête d’un cahier contenant le
tome, Ælius Aristide, Hermogène et Fronton. M. Mai n’avait pas encore
publié
les lettres exhumées de Fronton à Marc-Aurèle. El
us à l’aise en son entreprise, il n’a pas lu les deux premiers chants
publiés
à cette date par Pindemonte, et il marche seul et
t plus sincèrement virgilien que celui de Caro. Lui-même, en 1817, il
publia
un essai de traduction en vers du second livre de
n aussi, mais de bas aloi. Quelques années plus tard (1826), Leopardi
publiera
une traduction d’une ancienne chronique sacrée gr
supercherie qui sent davantage son Chatterton ou son Macpherson ; il
publiait
dans le Spectateur une traduction en vers d’un pr
rticles sur le Philon arménien d’Aucher, sur la République de Cicéron
publiée
par Mai ; il donna une grande dissertation critiq
; il donna une grande dissertation critique sur la Chronique d’Eusèbe
publiée
par le même infatigable Mai conjointement avec Zo
le premier recueil de ses Canzoni, contenant les trois premières déjà
publiées
et sept autres inédites. Le poëte était retourné
ne mélancolie personnelle, toujours profonde et à la fois aimable. Il
publia
à Pologne, en 1826, un petit volume pour compléte
ligé, par la sévérité de son père, de demander secours à sa plume, il
publia
une édition des vers de Pétrarque avec commentair
i ses infirmités n’avaient augmenté de jour en jour. Il recueillit et
publia
, en 1827, ses Essais de morale (Operette morali,
(Martyre des saints Pères du mont Sinaï), en style trécentiste, qu’il
publia
en 1826 ; et peu après, en 1827, la traduction qu
êné par la censure locale dans les éditions définitives qu’il voulait
publier
de ses écrits, mais jouissant du moins et profita
vœux a paru à Florence, en 1845, chez Félix Le Monnier. Deux volumes,
publiés
par Ranieri, contiennent les poésies, les œuvres
et de pensées inédites, et quelques traductions. Un troisième volume,
publié
par MM. Pellegrini et Giordani, renferme les étud
us efficacement que les livres modernes. » — Dans la liste des écrits
publiées
ou inédits de Leopardi nous trouvons, en conséque
Oeuvres inédites de la Rochefoucauld
publiées
d’après les manuscrits et précédées de l’histoire
de la Littérature française. Il semble qu’éditer un vieux livre déjà
publié
ou quelques bribes inédites insignifiantes soit a
es du médecin Valant, où M. Cousin avait pris d’emblée le meilleur, a
publié
récemment un livre sur la comtesse de Maure, l’am
ux et infatigable chercheur a retrouvé dans les papiers Conrart, et a
publié
dans la troisième édition de Madame de Longuevill
’histoire de la langue. » On avait dit, à propos du livre des Maximes
publié
en 1665, que l’auteur avait « cette netteté et ce
l’honneur après deux siècles. Mais le Discours ou Mémoire retrouvé et
publié
par M. Cousin a cela véritablement de très-curieu
re, porte avec elle ses inconvénients. M. Édouard de Barthélémy ayant
publié
, depuis son La Rochefoucauld, un autre volume int
chefoucauld. Aujourd’hui, dans ce volume des Amis de Mme de Sablé, il
publie
les restes des portefeuilles du médecin Valant, l
Mémoires de madame Roland
Publiés
d’après les manuscrits. Étude sur la même Par M.
ions semblaient faites à son sujet. Après ses Mémoires plusieurs fois
publiés
et accompagnés d’éclaircissements — par Bosc d’ab
e, des confidences trop vives ou trop nues. Convenait-il qu’un livre,
publié
au profit de la fille de l’auteur, et d’une fille
le notait ses souvenirs, ne pouvait prévoir le moment exact où on les
publierait
; elle pouvait juger ce moment beaucoup plus éloi
qui, le lendemain de la mort de Pascal et lorsque ses amis avaient à
publier
ses Pensées qui ne sont pour la plupart que les e
tefois qu’on y mettra un correctif : c’est que lorsqu’on est appelé à
publier
les écrits inédits d’un auteur mort d’hier, les c
s au lendemain de la mort de Mme Roland, et quand ses Mémoires furent
publiés
pour la première fois ; c’était le cas encore tan
n symptôme significatif de l’esprit du temps où l’ouvrage fut d’abord
publié
, est celle-ci. À la fin des Mémoires particuliers
les années 1843, 184 et 1845. Ce sont ces Chroniques que nous allons
publier
en leur conservant ou plutôt en leur rendant tout
nir avec M. Olivier une Correspondance de la nature de celle que nous
publions
. Dans ses articles sur Mathieu Marais (Nouveaux L
erprète de sa pensée, — à qui il adressera les éléments d’un Journal,
publié
par les soins de cet ami, de ce fidus Achates. So
aujourd’hui, celui de rechercher ces Chroniques littéraires et de les
publier
. Nous n’y voyons pas plus d’inconvénient en Franc
ce que s’expliqueront aisément ceux des lecteurs qui savent que j’ai
publié
une édition des œuvres de Molière avec toutes les
is, deux manières de concevoir une édition des œuvres de Molière : ou
publier
le texte dans sa nudité magistrale, ou fournir en
oitié du dix-huitième siècle, l’Histoire de l’ancien théâtre italien,
publiée
par les frères Parfait en 1753, celle de Des Boul
; les deux volumes intitulés Masques et bouffons de M. Maurice Sand,
publiés
en 1862 ; un article de M. Jules Guillemot sur le
ésuites, et dans vingt ans je vous promets un Voltaire. » — Quinet va
publier
un volume, résultat de ses leçons de l’année, et
Au même moment, dans un Recueil intitulé : Revue du Midi, et qui se
publie
à Montpellier, un professeur de philosophie, l’ab
l’abbé Flottes, plaide en faveur de Pascal contre Cousin ; il a déjà
publié
deux articles développés, et en promet un troisiè
llustration, nous ouvrons le petit volume de Poésies qu’il se hâta de
publier
dans le même temps, nous tombons de haut. Sa Préf
ce plaisir dans l’excellente édition choisie que vient précisément de
publier
, en la faisant précéder d’une savante étude, un d
08. Certainement, si l’on n’avait que le premier volume de Du Bellay,
publié
par M. Marty-Laveaux, à mettre en regard de ce ch
, ses Soupirs, en grande partie composés pendant le séjour de Rome et
publiés
en 1557 ; ils sont comme le pendant des Regrets d
imés de son vivant, et qui, retrouvés seulement de nos jours, ont été
publiés
en 1849 par M. Anatole de Montaiglon. On conçoit
qui suivirent son retour à mettre en ordre ses derniers vers et à les
publier
: vers français, vers latins, il donna tout. Cepe
ellay. Il fut dénoncé au cardinal pour ses recueils de vers récemment
publiés
, et d’abord pour ses sonnets des Regrets, qu’on p
de mes écrits, lesquels je ne faisois lors en intention de les faire
publier
, ains me contentois de les laisser voir à ceux de
autre remède et qu’il m’étoit impossible de supprimer tant de copies
publiées
partout, pour ce que le feu roy (que Dieu absolve
ui-même préparé, ne leur arriva point de sitôt ; il ne fut imprimé et
publié
que quelques années plus tard. L’à-propos était m
rnemine, Jésuite, anti-Harduiniste, s’éleva contre ce Roman sacré. Il
publia
des observations qui renferment une critique vive
ers, & les Actes choisis des Martyrs, in-4°. vingt-trois volumes,
publiés
depuis 1729. jusqu’en 1763. Cet ouvrage ne va que
& des connoissances que n’avoit pu acquérir M. du Pin, lorsqu’il
publia
les premiers volumes de sa Bibliothèque ; ce qui
n latin les trois premiers volumes de son ouvrage, & qu’il ne les
publia
en françois qu’à la priére de ses amis. Ses analy
eux traductions en françois ; une par Amelot de la Houssaye, l’autre,
publiée
sous ce titre : Histoire du Concile de Trente, éc
; les débauches scandaleuses firent gémir tous les gens de bien. On a
publié
à Amsterdam en 1732. en deux volumes in-12. la vi
e Paul V., par l’Abbé Goujet, écrite d’une maniere languissante &
publiée
en 1765. en deux vol. in-12. Il y a pourtant des
ès de ces deux volumes détermina l’auteur à donner la suite, & il
publia
successivement treize volumes. Le mérite de cet o
uniforme. Mais ces taches sont légeres, & le savant éditeur qui a
publié
en 1766. l’édition in-4°. en a fait disparoître u
blié en 1766. l’édition in-4°. en a fait disparoître une partie. On a
publié
en 1762. deux vol. pour servir de continuation à
e cents livres, un manuscrit intitulé le Danger des liaisons, qui fut
publié
, la même année, en quatre volumes in-douze sous l
. Les Liaisons dangereuses ou Lettres recueillies dans une Société et
publiées
pour l’instruction de quelques autres, tel est le
irée de la Nouvelle Héloïse. « J’ai vu les mœurs de ce siècle et j’ai
publié
ce livre », s’écrie Rousseau ! Laclos va plus loi
ses projets et, si l’on peut dire, les nuées et les éclairs. Il avait
publié
déjà les deux drames Morgane, Elen, et préparait
épuisé de corps, mais dans sa plus belle activité d’esprit. Il allait
publier
les Histoires insolites, il préparait une Adorati
urs il est sorti plus sympathique de ces épreuves. Sa correspondance,
publiée
par M. Marsan, avec de précieux commentaires, n’a
bigarrée ! Lettres de poète En même temps que la Revue de Paris
publiait
les intéressantes lettres de Gambetta à Mme Léon,
toriété soudaine et faire de lui un auteur à succès. Il semble que le
publié
, en effet, accorde une réelle valeur au jugement
nées » d’obscurité. M. Victor Marguerite, dans la belle étude qu’il a
publiée
au Figaro sur le maître de Valvins, en convient a
arquer que cette obscurité eut des degrés. Entre les premières pièces
publiées
par le Parnasse contemporain et le mystérieux mor
dans la presse et dans le public, accueillaient les rares poèmes que
publiait
Mallarmé. On allait les chercher dans les petites
ui qu’un fardeau imposé par la nécessité. Le très intéressant article
publié
dans le Mercure de France s par M. Charles Chassé
à cette souffrance que fait allusion le beau poème en prose, la Pipe,
publié
plus tard et tout imprégné de spleen et de brume
etite Philologie anglaise, à l’usage des classes et du monde t, qu’il
publia
en 1877, chez le libraire Truchy, et dont je poss
te, demeurent nombreux et se montrent d’une remarquable activité. Ils
publient
beaucoup et leur apport dans la production littér
tons à la lecture d’un livre, comme cet essai sur Greco, que vient de
publier
M. Barrès. En effet, c’est aux années de jeunesse
’un moment, la causerie tomba sur un poème que Leconte de Lisle avait
publié
, quelques semaines auparavant, dans une revue. L’
, à mon grand regret, les Vies des Gentilshommes de Grand Chemin, que
publia
, à Londres, en 1719, le capitaine Alexandre Smith
pièce de théâtre portant ce titre était imminente, mais rien n’a été
publié
et la seule trace que nous ayons de ce travail ét
el Théâtre de la Ville, à la place du Châtelet… f. La Revue de Paris
publia
en trois fois une série de lettres écrites par Lé
e Léon entre 1873 et 1882. Une première série de quarante lettres fut
publiée
dans la livraison du 1er décembre 1906 (A13/T6, p
une soixantaine d’autres lettres furent envoyées à la revue, qui les
publia
en deux temps, le 15 décembre 1906 (A13/T6, p. 67
ent les deux premiers extraits du roman de Régner La Peur de l’Amour,
publié
dans cette même Revue de Paris entre le 15 décemb
du poète », entre décembre 1902 et janvier 1903. En janvier 1903, il
publie
aussi dans le Mercure de France un article titré
le volume Œuvres posthumes et correspondances inédites de Baudelaire,
publié
chez Quantin en 1887, et réédité, avec quelques a
se trouve que c’est justement à lui qu’il succèdera. m. En 1868 fut
publié
, à l’Imprimerie impériale, un Rapport sur le prog
nouvelle (et troisième) édition des Fleurs du mal. En 1856, il avait
publié
une petite plaquette consacrée à l’histoire du so
exte fut ensuite repris en guise d’introduction à un choix de sonnets
publié
chez Lemerre en 1874. p. Il s’agit du texte comm
de la période byzantine. Bon nombre d’épigrammes ont été traduits et
publiés
dans le cadre de chrestomathies ou de volumes pré
alisée en 1863 par Félix Déhèque (2 vol. Hachette). q. Joseph Vianey
publia
dans la Revue des cours et conférences une étude
poraine ». La partie consacrée aux « sonnets grecs de Heredia » a été
publiée
en deux fois dans les volumes du 29 juin et du 6
de Stravinski, chorégraphié par le même Nijinski. s. Charles Chassé
publia
dans le Mercure de France du 1er octobre 1912, un
roman, Le Mauvais désir (chez Ollendorff) ; chez le même éditeur, il
publia
l’année suivante La Carrière d’André Tourette, pu
’amour dans un parc (1902). x. L’art de voler ses maîtres de Swift (
publié
originellement sous le titre Directions to Servan
ders de Defoe (1722), pour sa part, traduite par Marcel Schwob, a été
publiée
chez Ollendorff en 1895. Quelques années plus tar
n français. Édité en 1897 chez Heinemann (Londres) à partir de textes
publiés
dans diverses revues, le livre fut réédité plusie
e, comme on disait l’amour de l’art pour l’art, dans les temps bêtes…
Publiées
par Ballanche pour faire contraste aux romans inf
s le matérialisme le plus épais ! Il n’était pas moins instant de les
publier
. N’y aurait-il qu’une âme — une seule âme — qui s
beauté de ces lettres et le charme de leur pureté, qu’il faudrait les
publier
pour cette seule âme ! Et n’y en aurait-il plus —
l plus — tout serait-il fini dans le cœur humain — qu’il faudrait les
publier
encore, comme on élève un autel dans la solitude,
ns la solitude, pour l’honneur de Dieu ! II Quand Ballanche les
publia
, ces lettres, pour la première fois, non seulemen
’attention qu’a eu M. l’Abbé Auger, auteur d’une nouvelle traduction,
publiée
à Rouen 1768. in-12. Le génie grec y est mieux co
de ses vertus. Nous avons de lui cinq volumes de Sermons, qui furent
publiés
en 1704., par le Pere Bretonneau, son confrere. L
aut regne encore dans les Sermons du P. de la Boissiere de l’Oratoire
publiés
en 1731. en six volumes in-12. L’on en est bien d
ain, Prédicateur du premier ordre, a mérité au recueil de ses Sermons
publié
en six vol. in-12. l’accueil le plus distingué. O
osophique, le paroît beaucoup moins dans ses Panégyriques des Saints,
publiés
pour la seconde fois à Paris, 1764., en deux vol.
oine de Montauban, Ecrivain original, a employé dans ses Panégyriques
publiés
en trois volumes in-8°. Quoiqu’on ne cesse de nou
se & de la force du brillant & de la solidité. Ses plaidoyers
publiés
en 1696. ont eu l’honneur de la réimpression en 1
au, un des plus estimés est celui des plaidoyers de Mathieu Terrasson
publiés
en 1737. On a dit qu’il étoit plus éloquent que s
. M. de Sacy, Membre de l’Académie françoise & Avocat au Conseil,
publia
en 1724. en deux vol. in-4°. un recueil de Factum
t illustre Avocat contenant ses Mémoires & Consultations, ont été
publiées
à Paris en six volumes in-4°. Ses adversaires mêm
vir à un Avocat, est celui des œuvres de M. le Chancelier Daguesseau,
publiées
en plusieurs volumes in-4°. Toutes les matieres d
er à des ouvrages plus connus, aux différens éloges historiques qu’on
publie
dans la Capitale. Quoique le ton de ces sortes d’
, de Bougainville & le Beau, Secrétaires de la même Académie, ont
publiés
ensuite. Ils méritent d’être lus pour la correcti
eaux prétextes (Mercure de France, 1911) un certain nombre d’articles
publiés
dans la NRF, dont l’importante série « Nationalis
dans la NRF, dont l’importante série « Nationalisme et littérature »,
publiés
dans la NRF. Approuvé par Gide, le titre Nos Dire
s, ont paru. » Nos Directions rassemble effectivement des articles
publiés
dans la décennie précédente et donc, pour un nomb
nnée à La Libre Esthétique de Bruxelles, le 6 mars 1901, initialement
publié
dans L’Ermitage, en avril 1901, sous le titre « L
étude, « Notes sur le drame poétique », reprend la série de critiques
publiées
dans diverses livraisons de L’Ermitage, en 1900 e
dramatique », auxquelles s’ajoute un article sur les ballets russes,
publié
dans le numéro 20 de la NRF, en août 1910. Il s’a
troisième article, « Le classicisme et M. Moréas », a quant à lui été
publié
— sous le même titre — dans la toute jeune NRF, d
lité » nationale, enrichie par divers apports depuis le XVIIe siècle.
Publié
dans le numéro 31 de la NRF, en juillet 1911, « M
tre l’écrivain italien ; fraîchement installé en France, il venait de
publier
un Martyre de Saint-Sébastien, pour la scène, en
« décadente ». L’étude suivante, consacrée à « L’exemple de Racine »,
publiée
peu de temps auparavant, dans le numéro 26 de la
t qui n’eut qu’une représentation… Dans « Le lyrisme de M. Rostand »,
publié
initialement dans le volume 59 de La Grande Revue
amaturge à succès : « Brio, mauvais goût, rhétorique ». Autre article
publié
auparavant dans La Grande Revue, en novembre 1909
e ». Sur les huit études qui composent Nos Directions, deux ont été
publiées
dans L’Ermitage, trois dans la NRF (auxquels il c
rmitage, presque la moitié du recueil — une centaine de pages — a été
publiée
dans cette revue, les contributions à la NRF et à
’infirme pourtant aucunement, et pas seulement parce que les articles
publiés
dans la NRF, rassemblés au cœur du recueil, lui d
cisme ». À différents égards, les deux revues dans lesquelles ont été
publiées
les articles qui n’ont pas paru dans la NRF ont u
hyle, Shakespeare etc.) (NdA) 10. M. Paul Claudel, depuis l’Arbre, a
publié
deux drames : Partage de Midi et l’Otage ; sans c
y aîné (pseudonyme de Joseph Henri Honoré Boex, 1856-1940) a écrit et
publié
avec son cadet Nell Horn de l’armée du salut, pro
et Nell Horn de l’armée du salut, proche du naturalisme ; en 1911, il
publie
La Guerre du feu et La Mort de la terre. Un des a
l Bourget, reconnu comme un critique et un romancier majeur, vient de
publier
ses Œuvres complètes chez Lemerre (1899), en douz
oétique » (voir infra). 6. Henri de Régnier (1864-1936) a commencé à
publier
des vers dès 1885. Proche du symbolisme, il fréqu
ier volet du Culte du Moi, de Barrès (1891) ; L’Ennemi des lois a été
publié
en 1893. 29. En Arcadie : 1897 ; Swannhilde : 1
est créé à la Comédie Française. 32. Le Roi Candaule a d’abord été
publié
dans L’Ermitage, en trois livraisons (septembre,
York et Boston en 1893-1894, L’Échange (dans sa première version) est
publié
en 1901 et ne sera créé sur scène qu’en 1914, par
e qu’en 1914, par Jacques Copeau. 37. Sous le titre L’Arbre, Claudel
publie
en 1901 les pièces qu’il souhaite conserver de so
dés en 1907 —, à l’exemple de Jacques Rivière, notamment, Henri Ghéon
publie
d’abord une petite note à leur sujet dans la NRF
, susceptible d’être continuée ? ». Une trentaine de réponses ont été
publiées
, commentées de façon parfois acerbe par Clouard.
es notes étaient des « crottes de chèvre ». 58. Les Stances ont été
publiées
en deux volumes (1899 ; 1901). Dans sa chronique
fait allusion à un article de Maurras intitulé « Le plus beau vers »,
publié
dans l’Action française le 11 mai 1909, en marge
ance, en 1910, où il écrit en français Le Martyre de Saint Sébastien.
Publiée
par Calmann-Lévy en 1911, cette œuvre est présent
premier drame de d’Annunzio. 62. Achevé dès 1898 par Gide, Saül est
publié
en volume en 1903. La Jeanne d’Arc, de Péguy, a é
, Saül est publié en volume en 1903. La Jeanne d’Arc, de Péguy, a été
publiée
en 1897. 63. Sur le contexte dans lequel Ghéon é
faire ressortir la modernité de Racine. 65. p. 152. Jules Lemaître a
publié
son Jean Racine en 1908, en valorisant sa clarté
t notamment à La Revue des deux mondes et au Temps, il vient alors de
publier
Autour d’un Racine ignoré, au Mercure de France (
admiration pour Edmond Rostand ; dans « Les autres et nous », article
publié
dans Les Annales du théâtre et de la musique en 1
raditionnel et neuf ». 69. Les Musardises, recueil de poèmes, a été
publié
chez Lemerre en 1890 et fait l’objet d’une réédit
e réédition chez Fasquelle, en 1911. Le poème Un Soir à Hernani a été
publié
en 1902 chez Fasquelle. Le Bois sacré, pantomime,
ni a été publié en 1902 chez Fasquelle. Le Bois sacré, pantomime, est
publié
dans L’Illustration en 1908. 70. Romancier, mais
-1926), poète proche du naturisme que Gide avait rencontré en 1899, a
publié
Le Jardin d’où l’on voit la vie en 1897. Charles
Principes de Phonétique Expérimentale, dont les deux volumes ont été
publiés
en 1897 et 1901. Le poète Robert de Souza (1864-1
, proche du symbolisme, fut l’un des théoriciens du vers libre ; il a
publié
Le Rythme poétique en 1895. 76. Le poète Auguste
plus tôt, autour de 1890 : Chansons d’amants, de Gustave Kahn, a été
publié
en 1891 ; Joies, de Vielé-Griffin, en 1889 ; en 1
tion des Flambeaux noirs de Verhaeren. 80. Toutes ces œuvres ont été
publiées
à la fin des années 1890, en pleine crise des val
872-1960), le créateur de la revue Vers et Prose (1905), a commencé à
publier
des poèmes, regroupés dans l’ensemble (continuell
r d’un recueil de Poèmes (premier cahier), édité en province en 1907,
publie
Tancrède en 1911. 87. Connu pour son engagement
sager, 1882-1971), l’un des fondateurs du groupe de l’Abbaye, a alors
publié
Livre d’Amour (1910). 89. Jules Romains (1885-19
Jules Romains (1885-1972), proche du cercle de l’Abbaye de Vildrac, a
publié
La Vie unanime en 1908 ; soucieux d’atteindre à l
aye de Créteil, un phalanstère de poètes et d’artistes. Tous deux ont
publié
, ensemble, des Notes sur la technique poétique (1
s ou journal de l’abbé Le Dieu sur la vie et les ouvrages de Bossuet,
publiés
pour la première fois par M. l’abbé Guetté Tomes
un trésor ; que ce serait rendre un bon office à l’Église que de les
publier
, et qu’il n’y avait que lui, Le Dieu, qui fût en
nt cités et mis à contribution, la lecture, lorsqu’on les a récemment
publiés
. en a encore été agréable et sur quelques points
actère tout différent, et j’ai peine à ne pas regretter qu’il ait été
publié
in extenso : car il ne fait honneur à personne. S
erait une malignité subtile. Les deux derniers volumes qu’on vient de
publier
nous font mieux connaître l’abbé Le Dieu en lui-m
iviale en l’écrivant. Ainsi, il fera dire à Bossuet qu’il pressait de
publier
son ouvrage contre Richard Simon : « Avant toute
. L’abbé Bossuet, que l’ambition dissipe et qui n’est guère pressé de
publier
, ne s’avance pas jusque-là avec Le Dieu, et la fa
(manuscrits, biographie., etc.) ; il craint les concurrences. Si l’on
publie
quelque écrit posthume sans le consulter (comme p
y créa une feuille périodique littéraire, une gazette manuscrite, et
publia
un volume de Pensées, dont une, légère de ton, al
aveu du même La Harpe, le meilleur ouvrage polémique qu’on ait jamais
publié
contre Voltaire : « Elles sont pleines d’esprit e
res, et ensuite exilé dans le midi de la France, avec défense de rien
publier
; il éluda cet ordre, le plus pénible peut-être p
en 1750, un recueil manuscrit de lettres de Mme de Maintenon ; il les
publia
en 1752. Cette publication le mit en rapport avec
ui se vérifie trop bien dans l’ouvrage posthume de lui qu’on vient de
publier
. Cet ouvrage, qu’il était assez naturel que La Be
Dans l’édition aujourd’hui terminée des Œuvres de Frédéric, qui s’est
publiée
à Berlin sous les auspices du gouvernement et par
rrespondance réelle de Frédéric et de Maupertuis reste tout entière à
publier
. Cette correspondance, telle que je viens de la l
trouve quelques mois sur Maupertuis dans la correspondance, récemment
publiée
(1860), de Buffon ; c’est peu, mais c’est dans le
ans tous les sens, a donné les lettres du Père André qu’il avait déjà
publiées
dans le Journal des Savants : ce Père André est u
la même activité, qui se porte actuellement sur de l’inédit, Cousin a
publié
ses Fragments littéraires, anciens discours acadé
s et moraux les plus curieux de notre temps. Les huit ou neuf volumes
publiés
ont été payés à l’auteur trente mille francs, je
e on dit ; il semble que Dumas ait détaché un chapitre du livre qu’il
publie
sous ce titre. Pourtant cela n’est vrai que pour
is. Est-il nécessaire d’ajouter que la signature sous laquelle il fut
publié
dans le journal n’est qu’un prête-nom ? M. Sainte
et le tout a passé sans anathème ni excommunication. L’ouvrage qu’il
publie
aujourd’hui et où il a résumé en un corps de réci
gé, comme il l’explique dans sa Préface, d’un scrupule excessif et il
publie
ce livre : l’Histoire de la puissance pontificale
sous les yeux le récit et les dessins, que M. Dubochet se propose de
publier
comme un tome second des Voyages en zigzag. Jamai
à ces tristes bains produisit un charmant cahier de paysages qui fut
publié
au bénéfice des pauvres baigneurs de l’endroit. C
845), on le vit dessiner, en le refondant, M. Cryptogame, composer et
publier
son Histoire d’Albert en scènes, à la plume, puis
que datait la première excursion pédestre de Topffer. Lorsqu’on aura
publié
ce dernier voyage de 1842, on aura sous les yeux
yeux la série de toutes ses courses depuis 1837. Il restera encore à
publier
quelques-unes de celles d’auparavant, qu’il avait
ar l’esprit et par le cœur. 274. Ces pages ont été écrites pour être
publiées
d’abord en tête du roman même.
c’est seulement en 1664 et 1665 que Boileau, pour la première fois, a
publié
des épigrammes contre Chapelain. Or, en cette ann
e partie, des lettres qui lui ont été écrites par des dames. « Il les
publie
, dît-il dans sa préface, pour faire valoir l’espr
us piquantes, les plus variées, les plus charmantes. Dans les lettres
publiées
on voit un peu trop peut-être la mère de madame d
prit, mais j’ai réformé son cœur. » C’était à l’occasion des Maximes,
publiées
en 1665, qu’ils faisaient l’utile échange de leur
me de La Fayette, auteur de Zaïde, de La Princesse de Clèves, a aussi
publié
La Comtesse de Tendes, La Princesse de Montpensie
Le Constitutionnel, 27 novembre 1876.] I C’est au moment où l’on
publia
les Mémoires de Philarète Chasles, auquel je repr
er, de pied en cap, de fond et de surface, dans cette Correspondance,
publiée
, avec raison, comme le dernier volume de ses Œuvr
e, de ces insectes littéraires. Lorsque même cette Correspondance fut
publiée
, ne sont-ils pas revenus à la charge, comme mouch
cœur et par l’esprit, et les lettres d’amour de Balzac devaient être
publiées
, parce qu’elles importent au Cœur humain comme le
système de la gravitation importe à l’Esprit humain, et devrait être
publié
si, Newton mort, il était resté inédit. IV
tagée. Le premier est Le Royaume de Coquetterie, de l’abbé d’Aubignac
publié
en 1654 ; le second est le roman de l’abbé de Pur
e l’abbé de Pure, intitulé La Précieuse, ou Les Mystères des ruelles,
publié
en 1656, un vol. in-8° ; le troisième est le Dict
656, un vol. in-8° ; le troisième est le Dictionnaire des Précieuses,
publié
en 1660 par Somaise, secrétaire de la princesse C
n vol. in-18 ; le quatrième est Le Grand Dictionnaire des Précieuses,
publié
par le même Somaise en 1661, deux volumes in-12.
auteur d’une Vie de Molière, rédigée sur les témoignages de Baron, et
publiée
en 1705, l’affirme. Il n’a été alors contredit pa
té en 1648, et fini en 1652. Aussi de Pure dit-il dans ce même roman,
publié
en 1656, que le mot de précieuse « est un mot du
ns qui ne leur en donnent pas de sujet. » Huet, évêque d’Avranches, a
publié
, en 1659, les portraits écrits par Mademoiselle,
poque elle avait fait des romans, mais elle sciait bien gardée de les
publier
sous son nom. En 1641, elle fait paraître, sous l
Scudéry, son frère, Ibrahim ou L’Illustre Passa. En 1650 encore, elle
publia
, toujours sous le nom de son frère, Artamène ou L
rand Cyrus, en 10 vol. Mais quand sa ruelle fut bien accréditée, elle
publia
sous son nom le roman de Clélie, en 1656, 1658, 1
de Clélie, héros des deux premiers romans que mademoiselle de Scudéry
publia
sous son nom après la dispersion de l’hôtel de Ra
tte Réplique au général Stuart, si l’on y joint un deuxième Appendice
publié
plus tard en réponse à des attaques allemandes, f
capitale de son apologie, la Correspondance avec le baron de Monnier,
publiée
en 1819, et de laquelle j’ai extrait tant de pass
ise qui m’a aidé à filer sans ennui ces quatre dernières années. J’ai
publié
depuis mon retour de 1817 : Un Traité des grandes
éloge qu’on puisse faire de ce livre, c’est qu’après tout ce qu’on a
publié
de Napoléon et de ses textes authentiques, il se
reur Nicolas ; il fit auprès de lui la campagne de 1828. Rien n’a été
publié
sur la part qu’il y a prise. Je ne crois pas me t
tirés. On m’assure que par suite d’une volonté dernière ils ne seront
publiés
que dans dix ans. Ce que je puis dire, c’est que
a France. *** Cette Étude sur Jomini, qui se compose de cinq articles
publiés
dans le journal le Temps, a eu la faveur d’être r
crois pas m’écarter de la pensée de Jomini en signalant deux ouvrages
publiés
sur ce sujet de la guerre de 1866, et dus l’un et
croissant d’esprits cultivés. Un relevé complet de tout ce qui s’est
publié
depuis 1830 concernant ces poètes, dissertations,
e meilleur, et en écrivaient des notices. Le Bulletin du Bibliophile,
publié
chez Techener à partir de 1834, est semé de ces d
des Lettres de Caen, pelotait, comme on dit, en attendant partie, et
publiait
dans le Recueil de l’Académie normande tout un mé
e des livres composant la Bibliothèque poétique de M. Viollet-le-Duc,
publié
en 1843, donnait des indications bibliographiques
M. Frédéric Chavannes a inséré, en 1847, dans la Revue suisse, qui se
publiait
à Neufchâtel. J’allais omettre une spirituelle di
ure les jeunes intelligences, que de dérouler de nouveau le manifeste
publié
par Joachim Du Bellay, ce brillant programme qu’i
gures. 101. Il y avait eu un Choix des œuvres et poésies de Ronsard,
publié
par M. Paul Lacroix en un volume (1840), et il y
un volume (1840), et il y a, de 1862, un autre Choix en deux volumes
publié
chez M. Didot par les soins de M. A. Noël. 102.
quelque colline où elle attend ? Au reste, ce que les recueils qui se
publient
sans relâche (quatre ou cinq peut-être chaque moi
le Bonheur de l’Étude eut un accessit à l’Académie française ; il la
publia
avec d’autres poésies en 1817. Un autre recueil (
ité exclusivement. Lorsqu’il y a un ou deux ans, le prince Metcherski
publia
ses ingénieuses poésies, tout empreintes du cache
que les affaires réclament, cet Érostrate était déjà imprimé, et non
publié
, quand le poëme de M. Barbier parut : les deux po
. On s’en ressouvient aujourd’hui pour lui, et ce volume que l’amitié
publie
est le seul héritage de ses deux filles. Comme il
i fut continuelle jusqu’à son dernier soupir. Ses Préludes poétiques,
publiés
en 1827 comme le ballon d’essai d’une Académie pr
IV, page 51. 143. Outre les articles critiques de Loyson, le Lycée
publia
de lui des vers qui n’ont pas été recueillis aill
ux lieux où il passait, quand il lui plaisaient. » (Lettres de Rancé,
publiées
par M. Gonod, page 271.) 150. L’impératrice du B
lique la formule de l’humanité au dix-neuvième siècle, c’est folie de
publier
un volume de pauvres vers désintéressés. Folie !
splendeur de ces titres, au-dessus desquels il n’y a rien. Non ; s’il
publie
en ce mois de novembre 1831 les Feuilles d’Automn
eux ou trois odes inspirées par les événements contemporains, qu’il a
publiées
à différentes époques depuis dix-huit mois, serai
de poésie politique, que l’auteur tient en réserve. Il attend pour le
publier
un moment plus littéraire. Ce que sera ce recueil
cience par ses belles études sur la physiologie de la pensée, et il a
publié
récemment un intéressant ouvrage sur ce sujet, su
un savant éminent de l’Allemagne, M. Ch. Vogt, professeur à Genève, a
publié
des Leçons sur l’homme, sa place dans la créatio.
ce : je veux parler de la Société médico-psychologique. Cette Société
publie
des annales trimestrielles, où se trouvent de nom
sur les propriétés et les fondions du système nerveux, M. Flourens a
publié
sous forme populaire plusieurs ouvrages qui se ra
e essaie de l’être en littérature. En 1875. M. Louis Xavier de Ricard
publia
Le Fédéralisme. Avec Auguste Fourès, Jourdanne et
onale organisa le premier congrès des Poètes60 ; — L’Aube Méridionale
publiait
(avril 1899), un numéro spécial des Jeunes Poètes
et, Th. Varlet, F. Éon, Léon Deubel, Floris Delattre, etc… À Nancy se
publie
la Grange lorraine, qui mêle en ses sommaires au
ocateur des Landes de Gascogne, Marc Varenne dont les trop rares vers
publiés
apportaient dans la nostalgique évocation du sol
offert dans ces derniers temps quelques livres supérieurs à ce qui se
publie
d’ordinaire, et nous les avons examinés avec le s
ans doute, aux exigences de ce siècle superficiel et pressé, Louandre
publie
aussi un petit livre, comme s’il appartenait, lui
es les trésors de leur érudition ? Le livre que cet écrivain vient de
publier
rappelle trop les articles de revue qu’on doit à
oire à écrire, et que jamais moment n’aurait été mieux choisi pour la
publier
. Et, en effet, nous avons beau être du xixe sièc
Note. Ce travail sur Benjamin Constant,
publié
d’abord en avril 1844, a eu des conséquences qu’i
Benjamin Constant qu’elle avait inspirée, Mme Récamier songea à faire
publier
les lettres qu’elle avait reçues de cet homme dis
par Bruxelles, 31 octobre 1815, etc., etc. » Et maintenant, quand on
publiera
les lettres d’amour de Benjamin Constant à Mme Ré
, avant le bombardement, avant la famine ; — et elle ne fut pas alors
publiée
: la Capitulation parut — seulement — en 1873… Un
nde devant Paris, et la Marche impériale (kaisermarsch). Elle n’a été
publiée
qu’en 1873, dans le neuvième volume des Écrits et
ettre datée de Sorrente, du 25 octobre 1876, dont la traduction a été
publiée
après la mort du Maître, par la Revue Politique e
çais et allemands, puis dans le volume de souvenirs de Richard Wagner
publié
par M. Camille Benoit. De cette lettre, où Wagner
ut créer. Il avait ébauché un autre roman réaliste41 l’avait, à demi,
publié
. — Et, ayant, au degré suprême, élevé l’Art, le c
Chamberlain). Bibliographie53 La maison Breitkopf et Hœrtel va
publier
prochainement Œuvres posthumes de Wagner, Esquis
de les Vainqueursbx. Nous en ferons un compte rendu, détaillé, et en
publierons
des extraits, notamment des Vainqueurs, le dernie
prétendre à traduire l’œuvre de Wagner. M. Wilder ne pourra même pas
publier
son texte. Quelque chef-d’œuvre de traduction que
italique sont en français dans le texte. [NdA] 39. Religion et Art,
publié
en 1880 dans la livraison d’octobre des Bayreuthe
t nous citerons — une traduction française anonyme, très excellente —
publiée
dans les livraisons du 1er et du 15 novembre 1881
] 41. Les Dekabristes, Pétersbourg, 1879. Le premier volume seul fut
publié
. [NdA] 42. Ma Religion, 1884, Moscou. Nous n’avo
traduction française (magnifique de clarté et d’évidente correction)
publiée
en 1885, à Paris, par la maison Fischbacher. [NdA
par Wagner pour conclure Parsifal, et supprimés par lui dans le texte
publié
. Voir le livre de M. Wilhelm Tappert sur Wagner.
écembre de la même année mais il faut attendre 1873 pour qu’elle soit
publiée
dans les Œuvres complètes du compositeur avec la
Religion et Art de Wagner date de 1880, Ma Religion de Tolstoï a été
publié
en 1884. Tous deux lient l’art à une évolution sp
La Détresse des Nibelungen), très probablement dans l’édition célèbre
publiée
en 1827 par Simrock. Lorsqu’il a voulu élargir so
connu ce texte par l’imitation en vers allemands qu’en fit Fr. Mayer,
publiée
dans les Récits de moyen âge de Biisching et cité
ait l’exposition de ses vues esthétiques. C’est ainsi que le Diapason
publia
le premier (3 octobre 1850) une traduction frança
qu’un incommensurable orgueil sans l’ombre d’un talent. Les articles
publiés
dans la Revue et Gazette musicale de Paris tout e
elung, inspirent à M. Charles Tardieu une série d’excellents articles
publiés
dans l’Indépendance belge et réunis plus tard en
un article de l’auteur dans le Figaro d’août 1886, article d’ailleurs
publié
ensuite en une brochure du même titre. Chap. II :
KIETZ Vous recevons la lettre suivante, que l’auteur nous autorise à
publier
, à titre de renseignement documentaire : Le livre
itre de renseignement documentaire : Le livre que M. Jullien vient de
publier
sur Richard Wagner est surtout précieux par les d
réunies sous ce titre auront leur développement en un volume qui sera
publié
ultérieurement. [NdA] 87. Traduction de F. Schut
Paris. C’est dans cette Revue et Gazette musicale de Paris que Wagner
publia
ses premiers textes, essais, critiques musicales
llénistes consultés par moi, M. Adner, « si, de 1836 à 1866, il a été
publié
en France cent volumes de grec, on peut hardiment
tres sortes de travaux auxquels il s’adonna : la série des classiques
publiés
par M. Lecoffre, et les éditions des Pères de l’E
u de M. Didot, mais encore dans de nombreuses lettres et des articles
publiés
dans les journaux ou revues de l’Instruction publ
au fond, il avait sur le cœur certain article sévère que Dübner avait
publié
à l’occasion de son livre des Journaux chez les R
Inscriptions, dans la préface de ses Mélanges de Littérature grecque
publiés
en 1868, a rendu un juste hommage à Dübner, et en
écède… Mais quand, de plus, elles sont une rénovation de l’œuvre déjà
publiée
, quand l’auteur y apparaît derrière le libraire,
onnée, s’est avisé de refondre et d’améliorer. Ce livre est Le Maçon,
publié
il y a vingt-six ans (un quart de siècle déjà !)
36, les travaux de M. Brucker curent l’intermittence de la fièvre. Il
publia
une épître de Jeux mille vers, adressée à M. Rasp
cialiste ; grand coup de ralliement bien frappé ! Depuis, en 1848, il
publia
ce terrible Testament, avec une préface expiatoir
eare. Incorrigiblement littéraire à travers ses travaux de parole, il
publiait
les Docteurs du jour, un livre qui eut un grand s
re. On regretta le parti qu’il prenait. Le contraste des livres qu’il
publia
avec les romans et les contes qu’il avait publiés
ste des livres qu’il publia avec les romans et les contes qu’il avait
publiés
, servit énormément à ses premières publications,
quelque homme supérieur un idéal. Dans la Correspondance de Stendhal,
publiée
après sa mort, nous trouvons des lettres à M. Mér
ne s’est-il pas inspiré de la poésie des chants de la Grèce moderne,
publiés
par Fauriel, pour nous donner une fausse poésie i
et l’antiquaire viendront ailleurs… En ces derniers temps, celui-ci a
publié
deux livres d’histoire, où la vocation de l’ancie
Mémoires du comte de Senfft ont récemment paru rédigés en français et
publiés
à Leipsick38. M. de Senfft, à qui Lamennais adres
psick38. M. de Senfft, à qui Lamennais adressait quantité de lettres,
publiées
également dans ces dernières années, était famili
ent-elles des motifs élevés. La politique était sa passion ; il avait
publié
, à différentes époques, des ouvrages qui en trait
tendre et pour tout retenir. Quoi qu’il en soit, quand on crut devoir
publier
un précis de cet entretien, M. de Champagny s’adr
enfft veut bien convenir que dans l’entretien mémorable tel qu’il fut
publié
, si l’on s’écarta plus d’une fois des paroles ori
ne et leur caractère. 37. Un vol. in-18, chez Dentu, Palais-Royal ;
publié
par les soins de M. le baron Ernouf, gendre de M.
Mémoires de madame de Staal-Delaunay
publiés
par M. Barrière Nous sommes décidément le plus
rd’hui, un homme d’esprit bien connu de nos lecteurs252, M. Barrière,
publie
un choix fait avec goût parmi les nombreux Mémoir
aux premières années de l’Empire. C’est alors que le vicomte de Ségur
publia
les Mémoires de Bezenval, que M. Craufurd publia
le vicomte de Ségur publia les Mémoires de Bezenval, que M. Craufurd
publia
ceux de Mme du Hausset, et qu’on vit paraître cet
ne la duchesse du Maine fut-elle morte a son tour, qu’on se disposa à
publier
les Mémoires : ils parurent en 1755 ; on n’attend
bord inséré. 253. Cet Allemand, qui s’appelait Juste Zinzerling , a
publié
son voyage sous ce titre : Jodoci Sinceri Itinera
n à-propos tout particulier au travail que M. de Viel-Castel vient de
publier
dans la Revue des Deux Mondes du 1er mars sur lor
Il a fort connu dans sa jeunesse Bernardin de Saint-Pierre, dont il a
publié
la vie et les écrits, dont il a même épousé la ve
manteau d’Élie. Son ouvrage sur l’Éducation par les mères de famille,
publié
il y a une dizaine d’années, renferme quelques be
rielles que nous pourrions donner en diraient moins que le prospectus
publié
par la Presse elle-même dans son numéro du 1er dé
diocrité, nourrice des bonnes et saines pensées. — Comme M. Thiers va
publier
l’Histoire du Consulat dans quelque temps, on esp
ain sur la détermination, qu’on disait invariable, de ne rien laisser
publier
, avant sa mort, de son livre tant convoité. — La
oit une littérature parce qu’elle fait de la production littéraire, a
publiés
depuis quelques années avec un redoublement d’ard
postérité. À cette époque, il est vrai, l’Amérique n’avait pas encore
publié
la Case de l’Oncle Tom, mais cet ouvrage, qui est
us sommes fort laids ! Avons-nous tout cela ? Le peu de livres qui se
publient
(nous parlons de livres, entendons-nous ! et non
Marie-Antoinette (suite.) Correspondance inédite
publiée
par M. le comte Paul Vogt d’Hunolstein. Lettres d
ul Vogt d’Hunolstein. Lettres de Louis XVI, de Marie-Antoinette et de
Madame Élisabeth Publiées
par M. Feuillet de Conches. Lundi 15 août 186
qui tous concordent. Dans une des lettres à sa sœur Marie-Christine,
publiée
par M. d’Hunolstein, la reine dit, à la date du 1
t décisif. D’autre part encore, dans une lettre du jour de l’an 1778,
publiée
par M. Feuillet de Conches, Joseph II écrivait à
une fois de plus à ce spectacle dans cette Correspondance aujourd’hui
publiée
, et il n’y a que des esprits bien prompts, bien p
t m’apprend ce détail qui m’avait échappé. M. Louis Lacour, qui avait
publié
le catalogue des Livres du Boudoir de la reine, e
nt pas cet effet. » — De son côté, le bibliophile Paul Lacroix, qui a
publié
le catalogue des livres du Petit-Trianon, et qui
Vers l’âge de vingt ans, il écrivit ces pages du Sentiment qui furent
publiées
en 1801. Mais avant ce livre, et durant ses année
et de tristesse. Dans les entretiens du Vieillard et du Jeune Homme,
publiés
en 1819, le vieillard qui, par un gracieux renver
i qui s’avance, le long du sable fin des mers. Le livre du Sentiment,
publié
en 1801, ne passa point sans être remarqué de que
que anonyme, on nous annonce depuis longtemps, et je crois même qu’on
publie
déjà un ouvrage plus considérable ayant, dit-on,
Pie VII à Lyon, avant et après le Couronnement. Une petite brochure,
publiée
sous le titre de Lettres d’un jeune Lyonnais à un
ns la couleur des débuts de M. Ballanche, la Parthénéide de Baggesen,
publiée
en français vers ce même temps6, n’a d’autre suje
t dans les écrits qui suivirent, dans le Vieillard et le Jeune Homme,
publié
en 181910, dans l’Homme sans nom, publié en 1820,
Vieillard et le Jeune Homme, publié en 181910, dans l’Homme sans nom,
publié
en 1820, dans l’Élégie, les formes, les locutions
urs dans la jeunesse. Entre l’Essai et l’Homme sans nom, M. Ballanche
publia
, en 1819, le Vieillard et le Jeune Homme, enseign
x autres ouvrages que les Prolégoménes nombreux et féconds, en entier
publiés
, déterminent suffisamment. Toutefois, si, malgré
entra peu dans les théories et les promesses de ce singulier ouvrage,
publié
en 1808 ; aujourd’hui il se contente d’accorder à
istique et de nouvelles formes intellectuelles. 10. Cette expression
publié
est inexacte pour les écrits de M. Ballanche qui
n’avait été donné jusque-là que de rares et courts extraits, ont été
publiés
pour la première fois en 1844, et ont obtenu auss
L’abbé Ducreux, éditeur des Œuvres complètes de Fléchier (1682), l’a
publié
en entier pour la première fois : seulement il av
t immanquablement arrivé à la relation des Grands Jours si on l’avait
publiée
plus tôt83. Cette production, aussi curieuse qu’a
ignés. » Or Fléchier réunissait ces flatteuses conditions, ayant déjà
publié
des vers qu’on avait distingués dans les recueils
d, et qui sait comment on termine un ouvrage même facile, et qu’il ne
publiera
pas. Cependant, après avoir vaqué au charme et à
[NdA] Ce morceau a servi d’introduction à l’édition des Grands Jours,
publiée
chez M. Hachette en 1856. Je l’intitule L’abbé Fl
ts contemporains ; et dans un autre article sur les lettres de Rancé,
publiées
également par M. Gonod, j’ai touché quelque chose
savants curés de Paris, me parlant de cette relation des Grands Jours
publiée
par M. Gonod, m’affirmait qu’elle était de toute
mes, tome iii, page 170. 83. [NdA] Le conseiller Ménard essaya de la
publier
dans le tome second des Œuvres de Fléchier, dont
s Houlières sont en bonnes mains, et j’espère qu’elles seront bientôt
publiées
. On y pourrait mettre pour épigraphe ce joli mot
M. Boissonade. Ses articles de critique littéraire recueillis et
publiés
par M. Colincamp11. Lundi 28 septembre 1863. L
econd titre, comme on l’a fait, au frontispice des deux volumes qu’on
publie
, c’est un peu abuser de la permission qu’on se do
ait. L’illustre De Candolle, dans ses Mémoires et Souvenirs récemment
publiés
, raconte qu’allant en Angleterre, en 1816, il ava
ire. Un jour Beuchot, un homme excellent, mais de peu de vue, voulait
publier
en 1814 je ne sais quoi de satirique contre des h
, le pressait sans relâche. « Il fallait, — à moi du moins, — pour le
publier
convenablement, disait M. Boissonade, un an et pl
place était marquée, ce semble, dans les deux volumes qu’on vient de
publier
: il y brille par son absence. On eût gagné certa
nous est donnée par les Lettres de Wyttenbach (Wyttenbachii Epistolæ)
publiées
par Mahne à Gand, 1829. Wyttenbach s’était occupé
à Wyttenbach, dans l’extrait rapporté par Mahne, « que vous songez à
publier
séparément, et dans un livre particulier, votre t
e avec la Restauration en 1814 ; il avait quarante-cinq ans, il avait
publié
tous ses grands ouvrages littéraires, et il se se
l’écusson politique de M. de Chateaubriand. Dans les Réflexions qu’il
publiait
en décembre 1814, il revenait sur cette idée : «
e au solide. M. de Chateaubriand était ardent et pressé. Carnot avait
publié
en 1814 un Mémoire au roi, plus ou moins opportun
. Note. Au moment où cet article est écrit, les journaux anglais
publient
le codicille du testament de sir Robert Peel, qui
de choisir dans cette correspondance ce qui leur paraîtra devoir être
publié
; je les laisse juges de l’opportunité de cette p
e tout ou partie de cette correspondance. J’autorise mes exécuteurs à
publier
ceux de ces documents qui leur paraîtront devoir
e détruits…, etc., etc. Qu’on ouvre maintenant Le Congrès de Vérone,
publié
du vivant de l’auteur, et les Mémoires publiés le
t Le Congrès de Vérone, publié du vivant de l’auteur, et les Mémoires
publiés
le lendemain de sa mort, et qu’on juge de la diff
rrespondances de Madame, la plupart écrites en allemand, et dont on a
publié
à diverses reprises de volumineux extraits à Stra
usé beaucoup de surprise. Depuis que les Mémoires de Saint-Simon sont
publiés
en entier, je ne dirai pas que les pages de chron
par l’éducation, par le caractère. À cet égard, les Nouvelles lettres
publiées
dans le texte allemand par M. Menzel en 1843, et
par Madame à cette seconde institutrice, Mme de Harling ; il en a été
publié
un extrait à Dantzig en 1791, avec une biographie
i doivent surpasser en intérêt toutes les autres. Elles n’ont pas été
publiées
, et M. Menzel dit qu’on ne sait ce qu’elles sont
ttres qu’elle écrivait à Leibniz seraient précieuses à recouvrer et à
publier
. Elle aurait volontiers emprunté de l’illustre ph
prévalurent. 16. [NdA] La première traduction et édition française,
publiée
en 1788, sous le titre de Fragments de lettres or
travers l’Europe sous l’Empire. Sa correspondance qu’on doit bientôt
publier
nous le montrera en plus d’une occurrence mémorab
ujours ? Je prends Beyle en 1814, et dans le premier volume qu’il ait
publié
: Lettres écrites de Vienne en Autriche sur le cé
royer pour la cause du romantisme tel qu’il le concevait. En 1817, il
publiait
l’Histoire de la peinture en Italie, dédiée à Nap
érament s’y est aguerri. Je n’ai point parlé de son livre De l’amour,
publié
d’abord en 1822, ni de bien d’autres écrits de lu
res écrits de lui qui datent de ces années. Dans une petite brochure,
publiée
en 1825 (D’un nouveau complot contre les industri
présente le premier ouvrage de Beyle : L’ouvrage de Beyle sur Haydn,
publié
d’abord sous le pseudonyme de Bombet (1814), puis
rages relatifs à la numismatique et à l’archéologie, Schlichtegroll a
publié
pendant dix ans une Nécrologie contenant les déta
e de connaître la véritable. Celle, en effet, dont M. de Courchamps a
publié
en dix volumes les prétendus mémoires et Souvenir
chapitre en disant : « Nous donnons ici le feuilleton que M. D… doit
publier
demain. » Puis, quand il inventait, ou du moins q
petit nombre de lecteurs. Grâce aux lettres qui vont être aujourd’hui
publiées
, on a d’ailleurs à ajouter aux preuves qu’il donn
des questions de dates, on arriverait, rien qu’avec les lettres qu’on
publie
et dont j’ai les originaux sous les yeux, à être
M. Necker. Celui-ci lui envoie en manière d’hommage les livres qu’il
publie
, même quand ils sont pleins de chiffres : « Ce qu
que sait le moindre bourgeois. Or on a, dans les lettres aujourd’hui
publiées
, le récit même, le vrai récit de la marquise au m
que sont adressées la plus grande partie des lettres ou billets qu’on
publie
(au nombre d’environ 80). Mme de Créqui en faisai
rapidité, du moins pour la cohésion et pour la suite : c’est qu’il a
publié
ce morceau dans la Bibliothèque universelle de Ge
ire, d’infirmité chez un si grand esprit. Il ne nous aimait pas. On a
publié
depuis sa mort des poésies françaises de sa façon
es qui se rattachent aux Évangiles, Guillaume Favre le détourna de le
publier
, et, dans une belle lettre adressée à l’auteur, i
e-Guillaume de Schlegel et d’Angelo Maï, recueillis par sa famille et
publiés
par M. J. Adert. Deux volumes in-8°, 1856. 40. [
e Metz. 41. [NdA] Les Œuvres de Schlegel écrites en français ont été
publiées
en trois volumes, par M. Édouard Boecking, à Leip
Duyn (ancien ambassadeur et administrateur hollandais), recueillis et
publiés
par le baron de Grovestins ; — imprimés à Saint-G
eurs, et il les a jetés dans la rue à la tête du passant. Enfin, il a
publié
les Jeudis de Madame Charbonneau, qui ont fait un
l a une singulière doctrine en matière de satire. — Quoi ! dit-il, je
publie
, il y a près de trois ans de cela, des articles d
r m’agacer : « Vous avez là les matériaux d’un joli volume ; quand le
publierez
-vous ? » Je me suis laissé gagner à leur idée. Vo
, et maintenant tout est connu ; je parlerai donc du tout. Ce qui est
publié
est publié. Il n’est pas en votre pouvoir, quand
nant tout est connu ; je parlerai donc du tout. Ce qui est publié est
publié
. Il n’est pas en votre pouvoir, quand vous le vou
timable M. Delécluze, recueille dans sa vieillesse ses Souvenirs, les
publie
alors, dépeigne à ses contemporains de ce temps-l
91
Albalat, Antoine.
(1905)
Les ennemis de l’art d’écrire. Réponse aux objections de MM. F. Brunetière, Emile Faguet, Adolphe Brisson, Rémy de Gourmont, Ernest Charles, G. Lanson, G. Pélissier, Octave Uzanne, Léon Blum, A. Mazel, C. Vergniol, etc…
« I »
tique, je m’étais, jusqu’à ce jour, interdit de répondre aux articles
publiés
contre mes livres. Mais on m’a fait remarquer que
que mes contradicteurs eux-mêmes l’adoptent. M. Lanson, entre autres,
publie
en ce moment dans les Annales un petit ouvrage de
ntradiction ne nous a pas étonnés. Ce sont les prosateurs faciles qui
publient
chaque année de nombreux articles et de gros volu
thène ? S’est-on jamais avisé de demander à un professeur de style de
publier
des chefs-d’œuvre ? Il s’agit tout simplement de
tique et le public ; mais enfin j’aurais pu ne rien produire, ne rien
publier
du tout, avant d’enseigner l’Art d’écrire. Qu’on
t tous les auteurs sont dans ce cas. Lorsque Victor Hugo ou Lamartine
publient
des poésies, ils nous offrent des pensées et des
river à tout le monde ; on a eu besoin d’argent, ou bien l’on voulait
publier
les matériaux d’une histoire qu’on préparait. Fai
mplacer, il s’est contenté d’exposer les diverses philosophies ; il a
publié
une foule de documents sur Descartes et son école
tres, il veut à toute force le présenter au public. Il s’approprie et
publie
une seconde fois, avec corrections, la correspond
ons, la correspondance de Malebranche et de Mairan, qui venait d’être
publiée
. Un peu plus tard, on découvre à Caen et on lui c
st la preuve et l’effet du zèle érudit de M. Cousin, Peu d’hommes ont
publié
autant de documents nouveaux et utiles. Ses Fragm
s, demi-formés, de comparer mot à mot le texte vrai avec les éditions
publiées
, de noter ligne par ligne toutes les erreurs, tou
t aussi vivement frappé l’attention que les quelques lettres inédites
publiées
par Kestner en Allemagne, quand elles parurent. T
œur de son ivresse. Il avait rejeté son amour. Dans la correspondance
publiée
, il est une lettre datée du 21 novembre 1774, qui
ait jamais ou songé même à faire les Femmes de Shakespeare. Il aurait
publié
le texte dans lequel elles respirent. C’est comme
t. C’est comme celles de Balzac, quand l’idée viendra à un éditeur de
publier
les Femmes de Balzac. Celles-là sont trop bien fa
est Goethe qui est la Muse, consolez-vous ! 22. Lettres inédites,
publiées
par Kestner et traduites par M. L. Poley. — Les O
t pas sans amener ses incidents. On peut voir dans la Correspondance,
publiée
par M. Paul Boiteau, les lettres du célèbre chans
été rendues par MM. Perrotin et Boiteau. Autant vaut qu’elles soient
publiées
par moi qu’après moi. Voici la première, qui exp
lume à ajouter à Joseph Delorme et aux Consolations, volume que je ne
publierai
pas quand il sera achevé, mais qui alors me laiss
services comme médecin et dans l’instruction publique) ; il voudrait
publier
son recueil de traductions avec toutes les notes
oyons que M. Papus a grandement raison quand il pense qu’on peut tout
publier
parce que, seuls, comprendront ceux qui doivent c
l. C’est là qu’Alfred Jarry, l’auteur d’Ubu-roi, fit ses débuts. Il y
publia
les Minutes de sable mémorial et de curieuses fan
Rieux, Moréas, Maurice du Plessys ; Gustave Kahn… C’est là que furent
publiées
les Joyeusetés d’Aimé Passereau. On y trouve des
Un jour enfin, ses amis ont pu croire qu’il était vraiment guéri : il
publiait
un livre, Ainsi a parlé Zarathustra, où les idées
trouver qui égale en profonde et tragique horreur une grande planche
publiée
par la revue berlinoise Pan au frontispice d’une
it, peut-être, de ne point peindre, et la revue allemande de ne point
publier
, — cette image nous montre tel qu’il est maintena
Kœgel, elle dirigeait cette publication, Mme Fœrster vient encore de
publier
le premier volume d’une grande biographie de son
ous autres Philologues, et dont le plan et l’esquisse viennent d’être
publiés
dans le second volume des Écrits et Projets. C’ét
n opinion sur Jean-Paul-Richter : « Jean-Paul vient de mourir, et on
publie
une nouvelle édition de ses œuvres. J’ai peu lu d
en France, à la fois célèbre et inconnu. Vers 1830, Alfred de Musset
publiait
de ses Confessions une traduction française, d’ai
ien brillante ce début dans la littérature. C’est en 1821 que Quincey
publia
, dans le London Magazine, la première série des C
ne travaillait que par force. Lorsque, en 1850, M. Hogg entreprit de
publier
la collection complète de ses œuvres, il dut char
ont restées un livre populaire ; et tous les éditeurs anglais les ont
publiées
dans leurs collections d’œuvres classiques à bon
sateur National du Rêve et de la Poésie. Aussi ses poèmes ont-ils été
publiés
en autant d’éditions diverses qu’il y avait en An
usiques qui se jouaient en lui. Son dernier recueil de vers, Demeter,
publié
en 1890, contient deux ou trois de ses poèmes les
rchait, et que le même Révérend Rufus Griswold, qui s’était chargé de
publier
une biographie d’Edgar Poe et une édition complèt
nt il avait tiré sa biographie. Et ce sont ces documents que vient de
publier
, sur la demande du fils de Griswold, la Century d
Je ne crois pas, en tout cas, que l’on puisse trouver dans les pièces
publiées
par la Century un seul vrai grief autre que celui
tre, par votre entremise, la maison Carey et Lea se déciderait-elle à
publier
mon volume et à m’avancer une petite somme en man
! Quelques-unes sont si longues que M. Woodberry doit renoncer à les
publier
en entier. Et quelle abondance de conseils, d’obs
re célébrité, Paulding, annonce à Poe que la maison Harpers refuse de
publier
, ses contes « à cause d’une certaine obscurité da
de leur suite et de l’unité de mon œuvre. Et je pense que si l’on en
publiait
une édition complète, c’est surtout la diversité
dans le premier volume des poèmes de Walt Whitman, les Brins d’herbe,
publié
en 1855. Ces innovations, Dieu me garde de préten
les d’enfants, puis se sauvant de nouveau. À vingt ans, il imprima et
publia
un journal hebdomadaire, le Long-Islander. Mais l
l’imprima lui-même, comme il a fait de presque tous ses livres, et la
publia
. Ce ne fut, d’un bout à l’autre des États-Unis, q
d’esprit et de sagesse que l’Amérique eût encore produite ». Whitman
publia
la lettre d’Emerson, il publia à droite et à gauc
mérique eût encore produite ». Whitman publia la lettre d’Emerson, il
publia
à droite et à gauche des appréciations enthousias
l’intérieur ; on le lui retira peu après, pour le punir d’avoir jadis
publié
un livre obscène, les Brins d’herbe. Mais des ami
essais, les Portraits imaginaires, des analyses de tragédies grecques
publiées
dans le Macmillan’s Magazine, ont achevé de mettr
qu’une seule de toutes les études qu’on lui a consacrées, celle qu’a
publiée
M. Gosse dans la Contemporary Review 9. C’est la
absolu dont elle avait soif. Et lorsque, en 1867, le jeune philosophe
publia
dans la Westminster Review son essai sur Winkelma
irait qu’au repos. Quelques courts Essais, un roman qui ne fut jamais
publié
en volume, quatre ou cinq contes philosophiques :
caractère du grand historien. Une longue série de lettres de Froude,
publiée
dans le Blackwood’s Magazine, nous le fait voir s
cette profession de foi que se termine la série des lettres de Froude
publiées
dans le Blackwood’s Magazine. Janvier 1895.
valeur absolue de la raison et de l’expérience scientifique. Il avait
publié
en 1879 un petit traité anonyme : Naïf examen du
nception de la vie s’était modifiée ; et ses Pensées sur la Religion,
publiées
, au lendemain de sa mort, par les soins d’un ami,
ut ce qui pouvait le rendre vivant. Depuis deux cents ans qu’il a été
publié
, son livre n’a point converti deux cents personne
out cela, simplement, parce qu’il a plu à je ne sais quel reporter de
publier
, après la mort de Tourguenef, de soi-disant conve
à Serge Timoféevitch Aksakof et à ses fils, et qui ont été récemment
publiées
dans le Messager d’Europe. Lorsque fut annoncée e
égué en 1852, après un mois de prison à Saint-Pétersbourg, pour avoir
publié
, à propos de Gogol, un article de revue un peu tr
jà que je l’ai pensé. — Alors, me demanderez-vous, pourquoi avez-vous
publié
ces malheureux Mémoires ? — Je les ai publiés pou
vous, pourquoi avez-vous publié ces malheureux Mémoires ? — Je les ai
publiés
pour m’en débarrasser, pour m’alléger de cette vi
devenues plus pratiques au contact de l’action, et les articles qu’il
publie
depuis trois mois dans la Niediela, la Gazette ru
, et on a simplement gâté le métier. Je ne connais pas une traduction
publiée
depuis vingt ans qui vaille, pour m’intéresser sa
u printemps passé, Mlle Hélène Swarth, et c’est sous ce nom qu’elle a
publié
ses premiers recueils. Elle porte aujourd’hui un
sible, deux de ces sonnets. Je les prends dans une série que vient de
publier
la plus considérable des revues hollandaises, le
térature hollandaise. Aujourd’hui Mme Swarth-Lapidoth, M. Couperus, y
publient
leurs œuvres ; et c’est là encore que j’ai appris
Byvanck sur notre mouvement littéraire : M. van Hall, notamment, qui
publie
dans le Gids d’excellents comptes rendus des nouv
st vraiment extraordinaire. Tour à tour, à deux mois d’intervalle, il
publie
dans le Gids de longues études sur Villon, sur le
, et d’une minutie d’analyse plus impitoyable, que les deux histoires
publiées
récemment par M. Emants, l’une dans le Gids, l’au
sespoirs qui s’ensuivent. Tantôt, comme dans la nouvelle que vient de
publier
le Gids, une femme s’aperçoit avec épouvante qu’e
onstructeur Solness et du Petit Eyolf. 11. C’était son Hedda Gabler,
publiée
et représentée quelques mois plus tard. 12. All
laisir d’être leurs contemporains ; car s’il a beaucoup écrit, il n’a
publié
qu’une moitié de ses œuvres et n’a livré qu’une d
œuvres et n’a livré qu’une des faces de son talent ; car, eût-il tout
publié
, il aurait encore plus d’idées qu’il n’en aurait
ste sans doute avec bien de la diversité dans ses écrits présentement
publiés
; on l’apprécie tout à la fois comme critiqué, co
ans une brochure, la première à laquelle il ait mis son nom, et qu’il
publia
en 1820 sous le titre : De la Procédure par jurés
s’est mis, vers 1836, à faire un drame d’Abélard, qui, lorsqu’il sera
publié
(car il le sera, nous l’espérons bien), paraîtra
1-1822). — C’était le moment où il faisait pour l’édition de Cicéron,
publiée
par M. Victor Le Clerc, la traduction du De Legib
u 26, et poussa aux décisions irrévocables. Le Globe du mardi 27, qui
publiait
les ordonnances avec la protestation, commençait
méro du Globe est de lui. Il a fait encore en partie un Globe-affiche
publié
et placardé le jeudi. Si l’on ajoute un article d
uis ces cinq années seulement, et dans son loisir très-animé, qu’il a
publié
les ouvrages préparés ou composés auparavant : 1°
on avenir, il pouvait être ministre un jour ; c’était inutile de rien
publier
que ce qui serait compatible avec cette carrière-
taisie de faire une Saint-Barthélemy (1826), dans le genre des scènes
publiées
cette même année par M. Vitet222. Maintenant on c
de là qu’il put essayer des lectures, vers le temps précisément où il
publiait
ses Essais de philosophie. Il ne hait pas ces sor
jet, tout attestait une œuvre durable. L’auteur fut mis en demeure de
publier
. Il s’y préparait ou en avait l’air, et, pour s’e
n’est pas mort ; Iphigénie tôt ou tard reparaîtra. Lorsque M. Mérimée
publia
son théâtre de Clara Gazul, il n’avait pas encore
u’il ne prévoit pas seront peut-être les principaux. Mais, quoi qu’il
publie
ou de tout nouveau ou de composé déjà, il ne fera
matinée, il se mit à parler du dernier roman de sa série, qu’il avait
publié
dans Le Gil-Blas. Ah ! on le lui arrangeait, son
netain, Rosny et Margueritte, rompaient franchement leurs attaches et
publiaient
par la suite des œuvres d’une très vigoureuse per
preinte du maître qu’ils venaient de renier. IV M. Bonnetain a
publié
, depuis Charlot s’amuse (qu’il reconnaît très gen
ur de vitres qui se rue sur la littérature comme sur un matelas. Il a
publié
Les Misères du sabre 12 qui est une insulte en tr
’on se rappelle encore que M. Bourget dans cette curieuse étude qu’il
publia
, à vingt et un ans et au lendemain de nos désastr
où sombrent ses idées d’amour. Depuis Une belle journée, M. Céard n’a
publié
aucun roman. « Cette affirmation de sa personnali
ant à condenser en quelques paragraphes de petits drames pessimistes,
publiés
d’abord dans les journaux et qu’il recueillait en
vélations, j’ai comme un scrupule et un regret. Peut-être qu’avant de
publier
leur Journal ils n’ont pas suffisamment médité ce
comme on sait, de la réputation de son collaborateur. M. Paul Arène a
publié
depuis lors un certain nombre de nouvelles, La Mo
r la grâce chantante et l’ironie ailée du récit33. M. Paul Chalon n’a
publié
, lui aussi, que des nouvelles, et c’est le titre
s bien qu’ils échappent entièrement à toute littérature. Ce dernier a
publié
dans les revues sémites des pages dont il n’y a r
sémites des pages dont il n’y a rien à écrire49. M. Dujardin, lui, a
publié
Les Hantises (un recueil dans la manière noire d’
né, MM. Edmond Haraucourt et Maurice Barrès. M. Haraucourt n’a encore
publié
qu’un roman : Amis 57 ; mais, à mon sens, on n’a
vec l’idée que nous prenions d’eux. M. Maurice Barrès n’a, lui aussi,
publié
qu’un livre60. Ce livre de début s’appelle Sous l
s nostalgiques compatriotes qu’y fait vivre la compagnie du gaz. Il a
publié
un volume intitulé : Loin de Bretagne, qui est ju
sur le Serenus de M. Jules Lemaître : « M. Jules Lemaître vient de
publier
un petit conte philosophique, Serenus 77, qui ne
menues aventures de mes débuts dans le monde. Gyp n’avait pas encore
publié
Autour du mariage. Méditez-moi ces deux traits, M
fort nos parents. Ils pourraient encore délasser les fils. Ils furent
publiés
dans le Journal illustré, où ils eurent le succès
uraient oublier de sitôt cette pénétrante analyse. M. Pigeon n’a rien
publié
depuis Femme jalouse. J’ai peur qu’il ne renonce
mière année. 7. Voir aussi les vives et fines impressions de voyage
publiées
par M. Bonnetain sur l’extrême Orient et réunies
e, L’Opium, Marsouins et mathurins, Au Tonkin). 8. M. Margueritte a
publié
, depuis que ceci est écrit, un maître roman : Jou
ticles, admirables de dédain et d’ironie, de M. Henri Fouquier. 39.
Publiées
dans Le Monde illustré, d’abord. Sur la querelle
e nouvelle n’a point été recueillie en volume. 57. La Revue bleue a
publié
, depuis que ceci est écrit, un Conte philosophiqu
un côté : Huit jours chez M. Renan. Tout récemment enfin, il vient de
publier
son second roman, Un homme libre, qui consacre dé
ur la très belle scène romantique de la confession. L’auteur a depuis
publié
un autre roman à succès, Mademoiselle Jaufre. 68
, qui fut écrit quand Tellier vivait encore. Notre pauvre ami n’avait
publié
qu’un livre : Nos poètes, et des articles, çà et
l laisse seulement un livre de vers, La Cité intérieure, que ses amis
publieront
bientôt et qui le classera en un haut rang, et, a
, Le Forestier, Le Marinier, Le Père, Le Berger, etc. M. de Glouvet a
publié
sous l’anonyme, depuis que ceci est écrit, un rom
!… 132. Mort depuis. 133. Cf. L’Aventure de Briscart. M. Dayot a
publié
aussi chez Magnier des Souvenirs de voyage (Itali
, qui ont marqué ailleurs, non plus que des recueils en collaboration
publiés
annuellement par la Société des gens de lettres,
, dont les nouvelles, contes, « proses », traductions et adaptations,
publiés
un peu partout dans nos périodiques parisiens, n’
ppée. — Tout dernièrement (trop tard pour mon texte) L’Illustration a
publié
de lui un nouveau roman. Le héros du livre, Amédé
degerte, reine de Norwège, ou L’amour magnanime, nouvelle historique,
publiée
en 1646, et précédée d’un à-qui-lit dont je les a
te universalité qui, plus tard, caractérisa le génie de son neveu. Il
publia
des traductions de tragédies grecques, des traduc
smotiv » (motif de réminiscence). Cet article est la suite d’articles
publiés
dan » le Musikalisches Wochenblatt : il sera l’ob
in-8° de 7 fr. 50, à Leipzig). Les éditeurs Breitkopf et Haertel ont
publié
, sous ce titre, un volume de notes recueillies da
t éveillés du rêve du Présent. » (p. 93). Quatre morceaux achevés que
publiera
, sans doute, la Revue58 : le plan d’un drame indi
us vivante Vie. Teodor de Wyzewa. La librairie académique Didier va
publier
prochainement Le Drame Musical, par Édouard Schu
es sont particulièrement nouvelles, la grande étude sur Parsifal, ici
publiée
; et, en tête du premier volume, deux pages, un «
it accomplie. » L’esthétique de demain : l’Art suggestif, article
publié
en français par M. Maurice Barrès, dans la premiè
ra : Le Hollandais volant. Correspondancescb BAYREUTH. — Nous
publierons
la prochaine fois les dates exactes et les condit
de vient d’être donnée. Nous recevons à ce sujet, — trop tard pour la
publier
, — de notre collaborateur M. H. S. Chamberlain, u
ité des jugements et des théories exposées dans les articles que nous
publions
(La Red.). [NdA] 55. Cette idée singulière est t
lobal qui relierait tous les domaines de la connaissance. En 1860, il
publie
Système de philosophie synthétique, Principes de
ovembre-décembre Le 4 novembre, le Journal des débats, le premier,
publia
la note suivante : Il paraît qu’il vient de se
andonne, les autres qu’il garde son projet. Le 19 novembre, le Figaro
publie
une chronique de Caliban (M. Emile Bergerat), « l
t dans les journaux pendant la première moitié de décembre, M. Besson
publia
, le 10 décembre, dans l’Événement, l’information
taient reproduites et commentées dans plusieurs journaux et le Figaro
publiait
une lettre de M. Carvalho : Mon cher Monsieur M
our exprimer mon avis sur le pamphlet plus imbécile qu’odieux qu’il a
publié
sur la capitulation de Paris. Que Wagner n’aimât
conclusion par des arguments analogues. La lettre que M. Saint-Saëns
publie
dans la France du 24, ne se rapporte qu’indirecte
ès un compte-rendu de la représentation du Chevalier Jean, à Cologne,
publiait
un article où, distinguant la question artistique
alheureusement, il y a une ombre au tableau. L’Association artistique
publie
un journal, Angers-Revue, idée excellente en soi,
tibilités allemandes, et plus récemment un article de ce compositeur,
publié
dans la France, avait été vivement relevé à Berli
chestre, et elle le couvre de fleurs. Le Montagshlatt de Berlin du 25
publiait
le récit suivant : … L’empereur ayant demandé à
pareil ne se serait pas produit. La Nouvelle Presse libre de Vienne,
publie
une lettre que M. Saint-Saënso a adressée le 5 fé
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