mmes, generalement parlant, qui n’apportât en naissant quelque talent
propre
aux besoins ou aux agrémens de la societé, mais t
un talent déterminé pour une certaine profession : d’autres naissent
propres
à differentes professions. Ils sont capables de r
ors de laquelle ils n’auront point d’activité. Véritablement un homme
propre
à réussir dans plusieurs professions est très-rar
ropre à réussir dans plusieurs professions est très-rarement un homme
propre
à réussir éminemment dans aucune. C’est ainsi qu’
mme propre à réussir éminemment dans aucune. C’est ainsi qu’une terre
propre
à nourrir plusieurs especes de plantes, ne sçauro
même perfection, où elle parviendroit dans un terroir qui lui seroit
propre
si spécialement, qu’il ne conviendroit point aux
ment, qu’il ne conviendroit point aux autres especes. Une terre aussi
propre
à porter des raisins qu’à porter du bled, ne rapp
bled excellent. Les mêmes qualitez qui rendent une terre spécialement
propre
pour une certaine plante, font qu’elle ne vaut ri
r une autre plante. Quand un de ces esprits indéterminez, qui ne sont
propres
à tout que parce qu’ils ne sont propres à rien, e
its indéterminez, qui ne sont propres à tout que parce qu’ils ne sont
propres
à rien, est conduit sur le Parnasse par les conjo
qu’avec un grand ménagement. Il n’y a que certains réduits qui soient
propres
à leur servir de berceaux. Il faut qu’ils ne voïe
st heureux quand sa honte ne lui survit pas. Ces esprits médiocrement
propres
à beaucoup de choses, ont la même destinée quand
servile doit demeurer au-dessous de son modele, parce qu’il joint ses
propres
défauts aux défauts de celui qu’il imite. D’aille
uvrage dont il est en possession, comme un bien qui lui seroit devenu
propre
, et il trouve mauvais qu’on lui fasse acheter une
ion où il est capable de s’élever. Il atteint bien-tôt cette grandeur
propre
à chaque homme, et après laquelle il ne croît plu
insi dire. Que les hommes nez sans un génie déterminé, que ces hommes
propres
à tout s’appliquent donc aux arts et aux sciences
nous offrent les mots, soit isolément, par l’élasticité de leur sens
propre
et la puissance d’évocation qui leur appartient,
s que ceux auxquels ils correspondent par définition. Outre leur sens
propre
, ils peuvent prendre des sens figurés : c’est à c
ue instant, on se trouve en présence de termes détournés de leur sens
propre
: ils nous économisent des mois qu’il aurait fall
s que pour le philologue : dans la pratique ils font l’office de mots
propres
. Le roitelet, la bergeronnette, le bouvreuil, ne
le langage vulgaire fournirait, si l’on voulait rappeler à leur sens
propre
toutes les métaphores qu’on fait sans cesse sans
s métaphores inconscientes et effacées, qui sont l’expression pure et
propre
des objets. On devra seulement remarquer qu’il ne
ente à la fois deux objets à l’imagination, l’un qui est dans le sens
propre
du mot, l’autre qui par le moyen du premier s’éve
n’est pas désigné : il n’est révélé que par les qualités qui lui sont
propres
, et qu’on attribue à l’autre. C’est ce qui arrive
vers, et il a préféré écrire, enserrant la métaphore entre deux mots
propres
: Nous sommes un pays désemparé, qui flotte, San
le devient alors indépendante, elle se suffit à elle-même, et le sens
propre
des mots qui sont assemblés dans la phrase et dér
and nombre ne renferme point de comparaison. Elles substituent au nom
propre
de l’objet le mot qui fait ressortir un attribut,
ressortir un attribut, une propriété, un caractère, sur lequel le mot
propre
n’appellerait pas suffisamment l’attention : ains
ière, triviale même, a été reconquise avec le droit d’employer le mot
propre
, et nul ne s’étonne plus, quand V. Hugo, montrant
n’ont pour effet que de provoquer le lecteur à la recherche du terme
propre
qu’elles cachent. Si la figure n’est qu’un rébus,
ussi, à moins qu’elles n’aient acquis par l’usage la force des termes
propres
, et que se suffisant comme eux à elles-mêmes elle
e de l’objet sans que l’esprit sente le besoin de repasser par le mot
propre
qui le désigne, elle le présente accompagné et co
t dit : « Des faux recourbées on forge de dures épées » ; et les mots
propres
, par leur force d’attraction, nous mettaient sous
aient sous les yeux le paysan qui fauche et le soldat qui tue. Le mot
propre
surpasse donc ici la métaphore. Mais quand V. Hug
; l’esprit, n’ayant besoin d’aucun effort pour ramener l’idée du mot
propre
, les batailles et les victoires, n’ayant même pas
es batailles et les victoires, n’ayant même pas à repasser par ce mot
propre
, s’abandonne tout entier à l’impression de la fig
. Comment ménager le passage des expressions métaphoriques aux termes
propres
? Peuvent-ils se mêler dans la même phrase ? Tout
e procédé des précieux : mais jeter la métaphore au milieu des termes
propres
, n’est-ce pas scabreux aussi, et souvent ridicule
iveté ? (A. de Musset.) Cette confusion des métaphores et des termes
propres
n’est pas propre aux écrivains de notre siècle. O
set.) Cette confusion des métaphores et des termes propres n’est pas
propre
aux écrivains de notre siècle. On la rencontre da
présente successivement tous les membres. Pour le mélange des termes
propres
et des expressions métaphoriques, il est indispen
non d’instituer une comparaison formelle : le point de contact du mot
propre
et du terme figuré doit être indiqué avec une pré
usque ou préparée, suivie ou abandonnée, plongée au milieu des termes
propres
ou de métaphores dissemblables, lâchée dès qu’ell
d je serais demeuré derrière le théâtre. Au lieu de remplacer le mot
propre
par un autre mot qu’on détourne de son sens habit
quivalent un groupe de mots dont l’ensemble éveille l’idée que le mot
propre
exprime. On peut se servir d’une périphrase. Le p
classification. La périphrase qui n’a d’autre but que d’éviter le mot
propre
, ou d’amuser à sa recherche la curiosité du lecte
si vivement l’objet qu’on ne s’aperçoive même pas de l’absence du mot
propre
. Mais cela ne suffit pas : si elle ne contenait r
? Ce mot se prend ici dans un sens métaphorique. figure dans le sens
propre
, c’est la forme extérieure d’un corps. Tous les c
ssions figurées ont encore une modification particuliére qui leur est
propre
, et c’est en vertu de cette modification particul
ensées énoncées d’une maniére particuliére qui leur done un caractére
propre
, celles-là, dis-je, sont apelées figures, parce q
t, pour ainsi dire, sous une forme particuliére, et avec ce caractére
propre
qui les distingue les unes des autres, et de tout
gures de mots, dans lesquelles les mots conservent leur signification
propre
, telle est la répétition, etc. C’est aux rhéteurs
t par ces figures des significations diférentes de leur signification
propre
. Ce sont là les figures dont j’entreprens de parl
un mot une signification, qui n’est pas précisément la signification
propre
de ce mot : ainsi pour entendre ce que c’est qu’u
l faut comencer par bien comprendre ce que c’est que la signification
propre
d’un mot ; nous l’expliquerons bien-tôt. Ces figu
, afin de lui faire signifier ce qu’il ne signifie point dans le sens
propre
: voiles dans le sens propre ne signifie point va
ce qu’il ne signifie point dans le sens propre : voiles dans le sens
propre
ne signifie point vaisseaux, les voiles ne sont q
ris dans une signification qui n’est pas précisément sa signification
propre
: mais de plus chaque trope difére d’un autre tro
ére consiste dans la maniére dont un mot s’écarte de sa signification
propre
; par exemple : il n’y a plus de Pyrénées , dit L
nt : persone n’entendit cette expression à la lettre, et dans le sens
propre
: elle avoit un sens figuré. Boileau faisant allu
gesse… etc. Ni l’Aigle ni Neptune ne se prènent point là dans le sens
propre
. Telle est la modification ou diférence générale,
? Cela dépend de la maniére dont un mot s’écarte de sa signification
propre
pour en prendre une autre. Les Pyrénées dans le s
ification propre pour en prendre une autre. Les Pyrénées dans le sens
propre
sont de hautes montagnes qui séparent la France e
à un mot une signification qui n’est pas précisément la signification
propre
de ce mot : aveugle dans le sens propre, signifie
précisément la signification propre de ce mot : aveugle dans le sens
propre
, signifie une persone qui est privée de l’usage d
st a dit, les aveugles voient, alors aveugles n’est plus dans le sens
propre
, il est dans un sens que les philosophes apèlent
sage en latin ; nous l’expliquerons dans la suite. avéna dans le sens
propre
, veut dire de l’aveine, mais parce que les berger
es, qu’il ne se moque que des abus et du ridicule. Article 6, sens
propre
, sens figuré Avant que d’entrer dans le détail
st nécessaire de bien comprendre la diférence qu’il y a entre le sens
propre
et le sens figuré. Un mot est employé dans le dis
le sens figuré. Un mot est employé dans le discours, ou dans le sens
propre
, ou en général dans un sens figuré, quel que puis
être le nom que les rhéteurs donent ensuite à ce sens figuré. Le sens
propre
d’un mot, c’est la première signification du mot
c’est la première signification du mot : un mot est pris dans le sens
propre
, lorsqu’il signifie ce pourquoi il a été premiére
eu brûle, la lumiére nous éclaire, tous ces mots-là sont dans le sens
propre
. Mais, quand un mot est pris dans un autre sens,
la lumiére de l’esprit, la clarté d’un discours. masque dans le sens
propre
, signifie une sorte de couverture de toile cirée
ou pour se garantir des injures de l’air. Ce n’est point dans ce sens
propre
que Malherbe prenoit le mot de masque, lorsqu’il
s, qui se démontent, pour ainsi dire, le visage, et prènent des mines
propres
à marquer une situation d’esprit et de coeur tout
grêle, cassée, etc. En toutes ces ocasions voix est pris dans le sens
propre
, c’est-à-dire, dans le sens pour lequel ce mot a
x et la distinguent de la voix d’un autre home, ce qui seroit le sens
propre
; on veut marquer principalement qu’elles lui obé
ix, qui ne sont pas précisément le premier sens, qui seul est le sens
propre
, sont autant de sens figurés. Article 7, réflé
qu’acompagner, ou ceux dont elles nous réveillent le souvenir. Le nom
propre
de l’idée accessoire est souvent plus présent à l
ignant les objets avec plus de circonstances que ne feroient les noms
propres
de ces objets, les peignent ou avec plus d’énergi
n figurée est aussi facilement entendue que si l’on se servoit du mot
propre
; elle est même ordinairement plus vive et plus a
ec d’autres mots, ausquels souvent il ne se peut joindre dans le sens
propre
, soit parce qu’on s’en sert par extension et par
ventés que par nécessité, à cause du défaut et de la disette des mots
propres
, et qu’ils aient contribué depuis à la beauté et
n’ont point consulté, s’ils avoient ou s’ils n’avoient pas des termes
propres
pour exprimer ces idées, ni si l’expression figur
ées, ni si l’expression figurée seroit plus agréable que l’expression
propre
, ils ont suivi les mouvemens de leur imagination,
que l’on substitue quelquefois des termes figurés à la place des mots
propres
qui manquent, ce qui est très véritable, Ciceron,
ourgeon de la vigne : parce, disent-ils, qu’il n’y avoit point de mot
propre
pour l’exprimer. Mais si nous en croyons les etym
exprimer. Mais si nous en croyons les etymologistes, gemma est le mot
propre
pour signifier le bourgeon de la vigne, et ç’a ét
ses. En éfet, c’est toujours le plus comun et le plus conu qui est le
propre
, et qui se prête ensuite au sens figuré. Les labo
s, ils ont cru que le nom de ce qui leur étoit plus conu étoit le nom
propre
, et que le figuré étoit celui de ce qu’ils conois
ène en quelque sens figuré, c’est-à-dire, éloigné de sa signification
propre
et primitive. Les mots les plus comuns et qui rev
alors il doit avoir recours à quelque autre expression figurée de sa
propre
langue, qui réponde, s’il est possible, à celle d
ndre ma pensée par cet exemple. porter, se rend en latin dans le sens
propre
par ferre : mais quand nous disons porter envie,
’agit de traduire un mot latin ? Pourquoi joint-on à la signification
propre
d’un mot, quelqu’autre signification figurée qu’i
a langue d’un auteur, il faut d’abord doner à un mot sa signification
propre
, c’est-à-dire, celle qu’il avoit dans l’imaginati
ue nos dictionaires donassent d’abord à un mot latin la signification
propre
que ce mot avoit dans l’imagination des auteurs l
is de rendre la pensée à notre manière ; (…) etc. On dit dans le sens
propre
, (…), prendre le gouvernement d’une province, en
rimer chaque idée particulière, par un terme qui ne soit que le signe
propre
de cette idée ; ainsi l’on est souvent obligé d’e
opre de cette idée ; ainsi l’on est souvent obligé d’emprunter le mot
propre
de quelqu’autre idée, qui a le plus de raport à c
rentes nations : langue latine, langue françoise. glace, dans le sens
propre
, c’est de l’eau gelée : ce mot signifie ensuite p
qui sont en fleurs ; aujourd’hui on dit plus ordinairement fleurir au
propre
et florir au figuré ; si ce n’est à l’infinitif,
ue le mot françois ou alemand, qui répond au mot latin, selon le sens
propre
, ne se prend pas toujours en françois ou en alema
re signification ; elle a sa destination principale, son premier sens
propre
; et ensuite par extension, par imitation, par ab
es esclaves devenoient libres. Notre verbe aler signifie dans le sens
propre
se transporter d’un lieu à un autre : mais ensuit
progrès, aler étudier, aler lire, etc. devoir veut dire dans le sens
propre
être obligé par les loix à payer ou à faire quelq
enir à bas prix. Dans la suite on s’est écarté de cette signification
propre
d’avoir, et on a joint ce verbe par métaphore et
çons de parler, qu’on ne fait plus atention à l’anciène signification
propre
d’avoir ; on lui en done une autre qui ne signifi
ans tous les tropes, un mot n’étant pas pris dans le sens qui lui est
propre
, il réveille une idée qui pouroit être exprimée p
er à un ouvrage. Ce poinçon s’apeloit stilus, stile : tel est le sens
propre
de ce mot ; dans le sens figuré, il signifie la m
extension de ceux dont nous venons de parler. pinceau, outre son sens
propre
, se dit aussi quelquefois par métonymie, come plu
croirez-vous ? Aurez vous sujet de dire ? cedo veut dire dans le sens
propre
, je cède, je me rens ; cependant, par une métalep
rit plus ou moins que le mot dont on se sert ne signifie dans le sens
propre
. Quand au lieu de dire d’un home qu’il aime le vi
voiles une signification plus étendue que celle qu’il a dans le sens
propre
; je prens la partie pour le tout. La synecdoque
lle on done une signification particulière à un mot, qui dans le sens
propre
a une signification plus générale ; ou au contrai
ntraire, on done une signification générale à un mot qui dans le sens
propre
n’a qu’une signification particulière. En un mot,
ire la synecdoque de l’espece : c’est lorsqu’un mot, qui dans le sens
propre
ne signifie qu’une espèce particulière, se prend
s hivers, c’est-à-dire, après quelques années. l’onde, dans le sens
propre
signifie une vague, un flot ; cependant les poète
que la synecdoque fait entendre le plus par un mot qui dans le sens
propre
signifie le moins, ou au contraire elle fait ente
au contraire elle fait entendre le moins par un mot qui dans le sens
propre
marque le plus. dans l’une et dans l’autre figure
ne espèce de synecdoque, par laquelle on met un nom comun pour un nom
propre
, ou bien un nom propre pour un nom comun. Dans le
, par laquelle on met un nom comun pour un nom propre, ou bien un nom
propre
pour un nom comun. Dans le premier cas, on veut f
on fait entendre que celui dont on parle ressemble à ceux dont le nom
propre
est célèbre par quelque vice ou par quelque vertu
l’antonomase en fait des noms particuliers qui équivalent à des noms
propres
. Quand les anciens disent le philosophe, ils ente
de loix. La seconde espèce d’antonomase est lorsqu’on prend un nom
propre
pour un nom comun, ou pour un adjectif. Sardanap
fut un prince de mauvaises moeurs, et barbare jusqu’à faire mourir sa
propre
mére ; delà on a dit des princes qui lui ont ress
’avez vous fait ? ainsi nous dans ces exemples n’est pas dans le sens
propre
, il ne renferme point celui qui parle. On ménage
fait entendre bien plus que ces mots là ne signifient dans leur sens
propre
. Il en est de même de ces façons de parler, je ne
le que nous voulons y exciter, que si nous nous étions servis de mots
propres
: par exemple, si nous voulons faire comprendre l
ots qui sont employés dans cette figure conservent leur signification
propre
. De plus, elle est si ordinaire, que j’ai cru qu’
figure par laquelle on transporte, pour ainsi dire, la signification
propre
d’un nom à une autre signification qui ne lui con
l’esprit. Un mot pris dans un sens métaphorique perd sa signification
propre
, et en prend une nouvèle qui ne se présente à l’e
résente à l’esprit que par la comparaison que l’on fait entre le sens
propre
de ce mot, et ce qu’on lui compare, par exemple,
urs de la vérité : en cette phrase couleurs n’a plus sa signification
propre
et primitive ; ce mot ne marque plus cette lumièr
fie les dehors, les aparences ; et cela par comparaison entre le sens
propre
de couleurs et les dehors que prend un home qui n
lumière est pris métaphoriquement ; car come la lumière dans le sens
propre
nous fait voir les objets corporels, de même la f
e sert dans la métaphore est pris dans un autre sens que dans le sens
propre
, il est, pour ainsi dire, dans une demeure emprun
it et non dans les termes ; c’est une métaphore. mesurer dans le sens
propre
, c’est juger d’une quantité inconue par une quant
res ocupent l’esprit plus agréablement que si l’on se servoit de mots
propres
, et qu’elles rendent le discours plus énergique ;
e dans cet exemple (…) a un sens tout nouveau et diférent de son sens
propre
. (…) n’a ce nouveau sens, que parce qu’il est joi
il est joint à (…), avec lesquels il ne sauroit être uni dans le sens
propre
; car ce n’est que par une nouvèle union des term
mots se donent le sens métaphorique. lumière n’est uni dans le sens
propre
qu’avec le feu, le soleil et les autres objets lu
s ordinaire : en voici encore quelques exemples : on dit dans le sens
propre
s’enivrer de quelque liqueur ; et l’on dit par mé
mi les blés et qui leur est nuisible. zizanie n’est point en usage au
propre
, mais il se dit par métaphore pour discorde, mési
er la zizanie dans une famille. matéria, matière, se dit dans le sens
propre
de la substance étendue considérée come principe
plus touchés de ce malheur. C’est ainsi que callere, qui dans le sens
propre
veut dire avoir des durillons, être endurci, sign
coutumé à ses manières, je sai le prendre come il faut. vue se dit au
propre
de la faculté de voir, et par extension de la man
s vues, perdre de vue une entreprise, n’y plus penser. gout se dit au
propre
du sens par lequel nous recevons les impressions
est du gout pris dans le sens figuré, come du gout pris dans le sens
propre
. Les viandes plaisent ou déplaisent au gout, sans
aussi à l’égard des autres tropes ; par exemple : lumen dans le sens
propre
signifie lumière : les poètes latins ont doné ce
ai si cette correction répare la première faute. écorce, dans le sens
propre
, est la partie extérieure des arbres et des fruit
tent, s’atachent, s’amusent, conviènent fort bien avec écorce pris au
propre
; mais vous ne diriez pas au propre fondre l’écor
ent fort bien avec écorce pris au propre ; mais vous ne diriez pas au
propre
fondre l’écorce ; fondre se dit de la glace ou du
e et l’aile gauche. Il est si vrai que chaque langue a ses métaphores
propres
et consacrées par l’usage, que si vous en changez
quelle un même mot est pris en deux sens dans la même phrase, l’un au
propre
, l’autre au figuré ; par exemple, Corydon dit que
insi parle ce berger dans une églogue de Virgile : le mot doux est au
propre
par raport au thym, et il est au figuré par rapor
s belles pièces de Racine : je soufre tous les maux etc. brulé est au
propre
par raport aux feux que Pyrrhus aluma dans la vil
istique qui est gravé sur le tombeau de Despautère : (…). visu est au
propre
par raport à Argus, à qui la fable done cent yeux
e. L’allégorie est un discours, qui est d’abord présenté sous un sens
propre
, qui paroit toute autre chose que ce qu’on a dess
’on n’exprime point. La métaphore joint le mot figuré à quelque terme
propre
; par exemple, le feu de vos yeux ; yeux est au p
quelque terme propre ; par exemple, le feu de vos yeux ; yeux est au
propre
: au lieu que dans l’allégorie tous les mots ont
ge dans les proverbes. Les proverbes allégoriques ont d’abord un sens
propre
qui est vrai, mais qui n’est pas ce qu’on veut pr
ermes : qu’est-ce en éfet pour toi, etc. saules est pris dans le sens
propre
, et laurier dans le sens figuré : mais ce jeu pré
les mots dont on se sert dans l’ironie ne sont pas pris dans le sens
propre
et litéral. M. Boileau, qui n’a pas rendu à Quin
Horace ? Il n’y a point là d’ironie ; les mots sont pris dans le sens
propre
: parle-t-il de Zoïle ? C’est une ironie. Ainsi l
ables, odieuses, ou tristes, sous des noms qui ne sont point les noms
propres
de ces idées : ils leur servent come de voile, et
d’autres noms plus honètes qui ne doivent pas être pris dans le sens
propre
. C’est ainsi que le bourreau est apelé par honeur
n senti que marmoter entre les dents, n’étoit pas une contenance trop
propre
à faire naitre dans une coquète l’espérance d’un
ecours au latin pour exprimer des idées dont on n’oseroit dire le mot
propre
en françois ; mais c’est que come nous n’avons ap
vais. Il y avoit des mots consacrés pour les sacrifices, dont le sens
propre
et litéral étoit bien diférent de ce qu’ils signi
tropes ; en éfet, puisque les tropes tiènent la place des expressions
propres
, la périphrase est un trope, car la périphrase ti
git de traduire et que la langue du traducteur n’a point d’expression
propre
qui réponde à la langue originale, par exemple, p
tte figure n’est point un trope, puisque le mot se prend dans le sens
propre
: mais j’ai cru qu’il n’étoit pas inutile de la r
ecdoque et à la métaphore. chair ne se prend point alors dans le sens
propre
, ni dans toute son étendue ; il se prend pour le
qui est le fondement de la catachrèse et de la métaphore ; on dit au
propre
une feuille d’arbre, et par catachrèse une feuill
ecours à la catachrèse par nécessité, quand on ne trouve point de mot
propre
pour exprimer ce qu’on veut dire. Les autres espè
ntraire à la bienséance. Enfin chaque espèce de trope a son caractère
propre
qui le distingue d’un autre, come il a été facile
onc de deux sortes. Il y a un sens litéral-rigoureux ; c’est le sens
propre
d’un mot, c’est la lettre prise à la rigueur, str
quand on dit d’un politique qu’il sème à propos la division entre ses
propres
énemis ; semer ne se doit pas entendre à la rigue
res énemis ; semer ne se doit pas entendre à la rigueur selon le sens
propre
, et de la même manière qu’on dit semer du blé : m
qui met la main à la charue, et qui regarde derrière lui, n’est point
propre
pour le royaume de Dieu ; on voit bien qu’il n’a
’un laboureur qui en travaillant tourne quelquefois la tête n’est pas
propre
pour le ciel : le vrai sens que ces paroles prése
ns allégorique se tire d’un discours, qui, à le prendre dans son sens
propre
, signifie toute autre chose : c’est une histoire
ge qui a raport au sens adapté. cento en latin signifie, dans le sens
propre
, une pièce de drap qui doit être cousue à quelqu’
nous avons dit non : ensuite à mesure que nous avons réfléchi sur nos
propres
sentimens intérieurs, et que nous les avons rédui
oir par figure d’autres significations que celle qu’il a dans le sens
propre
et primitif : voiles peut signifier vaisseaux. Ne
d’observer que plus on fera de progrès, plus on reconoitra cet usage
propre
des termes, et par conséquent l’inutilité de ces
ndistinctement l’un ou l’autre de ces mots, puisqu’ils sont tous deux
propres
à exprimer ce qu’on veut faire entendre ; mais ce
Section 14, qu’il est même des sujets specialement
propres
à certains genres de poësie et de peinture. Du su
ialement propres à certains genres de poësie et de peinture. Du sujet
propre
à la tragedie Non seulement certains sujets son
r la peinture que pour la poësie ; mais il est encore des sujets plus
propres
à chaque genre de poësie et à chaque genre de pei
que le naturel. Des figures plus grandes que nature ne seroient point
propres
à répresenter une toilette de Venus. Qu’on ne me
l en est de même de la poësie : les évenemens tragiques ne sont point
propres
à être racontez en épigramme. L’épigramme peut to
t sanguinaires. Quelques reflexions que je vais faire sur les actions
propres
à la tragedie, empêcheront peut-être ceux qui vou
avoit sçu dans le tems de son combat, qu’il tiroit l’épée contre son
propre
pere. Le malheur des scelerats sont peu propres à
roit l’épée contre son propre pere. Le malheur des scelerats sont peu
propres
à nous toucher ; ils sont un juste supplice dont
nie. Mais un romain, contemporain de Cesar, qui voudroit sacrifier sa
propre
fille seroit un scelerat, il violeroit un précept
aré par le concours spontané de tous les grands travaux scientifiques
propres
aux trois derniers siècles, et finalement parvenu
mentale sous les trois formes principales qui lui sont successivement
propres
. La plus immédiate et la plus prononcée constitue
lois réelles. Les plus éminents penseurs peuvent alors constater leur
propre
disposition naturelle au plus naïf fétichisme, qu
absolues : seulement la solution y a subi une transformation notable,
propre
à mieux faciliter l’essor des conceptions positiv
ussi flexible, qui ne comporte aucunement la consistance si longtemps
propre
au système théologique, doit d’ailleurs parvenir,
forte raison sociale, sans pouvoir jamais rien organiser qui lui soit
propre
. Radicalement inconséquent, cet esprit équivoque
é leur âge métaphysique, en vertu de l’impuissance organique toujours
propre
à une telle manière de philosopher. Si la raison
nt constaté l’inanité radicale des explications vagues et arbitraires
propres
à la philosophie initiale, soit théologique, soit
us n’y pouvons vraiment connaître que les diverses liaisons mutuelles
propres
à leur accomplissement, sans jamais pénétrer le m
ns équivoque, cette intime dépendance où l’ensemble de nos conditions
propres
, tant intérieures qu’extérieures, retient inévita
ue l’exigent nos divers besoins réels. Ce second genre de dépendance,
propre
aux spéculations positives, se manifeste aussi cl
s spéculations n’importe pas moins à leur utilité effective qu’à leur
propre
dignité ; car, l’exploration directe des phénomèn
analogie, à des phénomènes plus compliqués, avant même que leurs lois
propres
pussent être aucunement connues. Mais outre sa st
aussi sa destination intérieure, pour la satisfaction continue de nos
propres
besoins, soit qu’ils concernent la vie contemplat
moins lié que ne le suppose ou ne le désire notre entendement, que sa
propre
faiblesse dispose davantage à multiplier des rela
ébauchée par Kant entre les deux points de vue objectif et subjectif,
propres
à une étude quelconque. Considérée sous le premie
individuelle et collective, destinés à la satisfaction normale de nos
propres
besoins quelconques. Ainsi rapportées, non à l’un
sophie théologique n’a été, pendant l’enfance de l’Humanité, la seule
propre
à systématiser la société que comme étant alors l
mme envers les événements célestes. Une telle application est surtout
propre
à rendre familièrement appréciable cette prévisio
dément apprécié l’une et l’autre. L’étude de l’astronomie est la plus
propre
de toutes à rectifier une telle tendance, soit pa
é devant, à tous égards, consister dans l’amélioration continue de sa
propre
nature individuelle ou collective, entre les limi
s trop s’enquérir de leur importance finale, dérivée de leur relation
propre
à un ensemble qui ne pouvait d’abord être aperçu.
sa lente évolution partielle, ne pouvait convenablement formuler ses
propres
tendances philosophiques, à peine devenues direct
incipe positif ne comportait, évidemment, qu’une existence passagère,
propre
à faciliter davantage le déclin continu de l’un e
: elle constitue seulement le plus puissant des moyens de transition
propres
au dernier office nécessaire de l’esprit métaphys
te critique passagère, la juste appréciation des divers inconvénients
propres
à la constitution effective du monde réel, doit ê
s de tous les modes possibles, soit théologiques, soit métaphysiques,
propres
à la philosophie initiale. Cette dernière signifi
tique. La cinquième acception que nous venons d’apprécier est surtout
propre
à déterminer cette, condensation du nouveau langa
relatif que la nouvelle philosophie peut toujours apprécier la valeur
propre
des théories qui lui sont le plus opposées, sans
véritables appréciations que d’après une analyse spéciale à la nature
propre
des phénomènes considérés. La saine philosophie n
l’aspect historique, cette intime solidarité naturelle entre le génie
propre
de la vraie philosophie et le simple bon sens uni
econdé. Aussi l’esprit positif n’a-t-il pu manifester suffisamment sa
propre
tendance philosophique quand il s’est trouvé enfi
aissé possible d’autre unité mentale que celle qui résulterait de son
propre
ascendant universel, chaque nouveau domaine succe
usqu’ici essentiellement impossible, faute d’une philosophie vraiment
propre
à lui fournir une base intellectuelle indispensab
qu’isolaient les deux opinions actives. Mais, faute d’une philosophie
propre
à réaliser cette grande combinaison de l’esprit d
entre l’esprit de conservation et l’esprit d’amélioration, également
propres
à l’état normal de l’humanité. La tendance corres
sophique, de manière à suivre enfin la marche prescrite par la nature
propre
de la réorganisation finale, qui doit d’abord s’o
t, inspiré aussi par une vaine intention de concilier, sans principes
propres
, des opinions incompatibles. D’après ce sentiment
isation aux idées de vie, et ensuite, par une dernière spécialisation
propre
à l’organisme social, la solidarité continue des
ationales, et désormais incapables de contenir les divagations de ses
propres
adeptes. Attaquant le désordre actuel à sa vérita
ations positives ; ce qui institue déjà une vraie discipline mentale,
propre
à améliorer radicalement de telles discussions, d
rès suffit ici pour signaler sommairement la haute efficacité sociale
propre
à la nouvelle philosophie générale. Sa valeur, à
tal qui doit d’abord prévaloir, à constituer une théorie sociologique
propre
à expliquer convenablement l’ensemble du passé hu
èrent enfin, autant qu’il était alors possible, du régime monothéique
propre
au Moyen Âge : cet immense service social, dû sur
à repousser d’odieuses insinuations par l’irrécusable exemple de leur
propre
vie journalière, personnelle, domestique et socia
ficulté tout entière à l’égard des intelligences affranchies, dont la
propre
moralité se trouve ainsi abandonnée à leur pure s
ctement l’influence réelle, directe ou indirecte, privée et publique,
propre
à chaque acte, à chaque habitude, et à chaque pen
naler la tendance continue qui résulte directement de sa constitution
propre
, soit scientifique, soit logique, pour stimuler e
n d’intérêts. Les sentiments bienveillants et désintéressés, qui sont
propres
à la nature humaine, ont dû, sans doute, se manif
nnaître pleinement leur nature et leur intensité, faute d’un exercice
propre
et direct. Il y a tout lieu de présumer d’ailleur
othéique, la vie sociale n’existe pas, à défaut d’un but qui lui soit
propre
; la société humaine ne peut alors offrir immédia
rche du bien public sera sans cesse représentée comme le mode le plus
propre
à assurer communément le bonheur privé : mais, pa
positif sur l’ancien esprit théologico-métaphysique, quant à l’essor
propre
et actif de l’instinct social. Cette prééminence
dangers de rétrogradation ou d’anarchie qui leur sont respectivement
propres
. Depuis que les gouvernements ont essentiellement
tiquement, dans la masse active, les principales études scientifiques
propres
à y constituer la base indispensable de sa grande
évocablement beaucoup de fausses opinions scientifiques, que les vues
propres
à l’élaboration préliminaire des deux derniers si
istorique, qui, en faisant prévaloir une fausse notion du type social
propre
à l’antiquité, empêche communément de comprendre
e et la sagesse naturelles de l’homme, qui, sous l’heureuse impulsion
propre
à l’ensemble de notre civilisation, contiennent s
nente, relative à l’influence mentale des diverses fonctions sociales
propres
aux deux ordres d’intelligence, d’après le caract
chez les opérateurs que parmi les entrepreneurs ; car, leurs travaux
propres
offrent un caractère plus simple, un but plus net
études réelles elles se rapportent aux principaux besoins collectifs
propres
à la condition sociale des prolétaires. On peut l
, mais non d’après des vues et pour un but qui lui fussent réellement
propres
. Tous les débats habituels sont restés essentiell
rendre et à s’y intéresser profondément. Les préjugés et les passions
propres
aux classes supérieures ou moyennes, s’opposent c
Or, tel est, évidemment, le caractère spontané de la doctrine sociale
propre
à la nouvelle école philosophique ; nos explicati
surtout la pratique sociale vers la sage amélioration continue de sa
propre
condition générale. Les chimériques espérances in
et égard, de l’impartiale modération de plus en plus inhérente à leur
propre
indifférence spéculative : l’école positive a mêm
énovation mentale et morale : seulement, du point de vue qui leur est
propre
, ils doivent apercevoir de plus loin ce qui pourr
samment les conditions indispensables de continuité et de spontanéité
propres
à un tel sujet : d’une part, elle laisse une lacu
itive, au milieu des préjugés irrationnels et des vicieuses habitudes
propres
à l’essor préliminaire du système scientifique, a
l, qui est toujours effectivement le plus caractéristique, et le plus
propre
à définir les grandes phases de l’évolution posit
r à une vraie positivité qu’autant que l’originalité de son caractère
propre
est pleinement consolidée. Une application direct
’est là, sans doute, le dernier office fondamental qui doive lui être
propre
dans le développement général de la raison humain
tés. 2. Sur cette appréciation générale de l’esprit et de la marche
propres
à la méthode positive, on peut étudier, avec beau
ui resteront se seront imposées à vous, non comme figures, mais comme
propres
expressions de votre pensée et de votre sentiment
travail de l’esprit fait éclore une métaphore, c’est qu’elle est plus
propre
en ce lieu que le mot propre : comment cela se pe
re une métaphore, c’est qu’elle est plus propre en ce lieu que le mot
propre
: comment cela se peut-il faire ? On le concevra
e ? On le concevra sans peine, si l’on songe que souvent l’expression
propre
ne rend que l’idée, tandis que dans l’esprit l’id
homme est passionné, plus il redouble les figures, moins l’expression
propre
et nue de l’idée lui suffit. Les sentiments débor
crit, et ses paroles insensées sont dans la circonstance l’expression
propre
du sentiment. Mais lorsqu’il s’agit de parler à l
ti contraire, et le bien que son parti fera, que d’indiquer en termes
propres
un seul moyen d’écarter le moindre des dangers et
e que Wellington à Waterloo : s’ils nommaient les choses par les mots
propres
, peut-être auraient-ils moins de complaisance pou
rte, que lorsqu’on sent qu’elle est dans la circonstance l’expression
propre
, adéquate de la pensée, lorsqu’elle apparaît comm
goureusement nécessaire. Il faut que la réduction de la figure au mot
propre
soit une véritable amputation qui laisse la phras
e sous un verbe ou un adjectif : toute la couleur est dans les termes
propres
. Enfin il y a des pensées et des pages de Pascal,
arts differens. La premiere méthode enseignoit l’ emelie ou le geste
propre
à la déclamation tragique. On appelloit cordax le
à la déclamation tragique. On appelloit cordax le recueil des gestes
propres
à la déclamation des comedies, et sicinis celui q
ropres à la déclamation des comedies, et sicinis celui qui étoit à la
propre
récitation des pieces dramatiques que les anciens
s ces trois genres de poësies, faisoient plusieurs gestes qui étoient
propres
spécialement à chaque genre. Lucien dit néanmoin
se, qu’en executant les pieces comiques, on mêloit souvent les gestes
propres
à la satyre, avec les gestes propres à la comédie
es, on mêloit souvent les gestes propres à la satyre, avec les gestes
propres
à la comédie, le sicinis avec le cordax. Comment,
de sentir que la tragédie et la comédie ont des gestes qui leur sont
propres
spécialement. Les gestes, les attitudes, le maint
ent son expression sur le visage, son ton et son geste particulier et
propre
. Les passions que la tragedie traite le plus ordi
ns avoient des écoles particulieres où l’on enseignoit l’art du geste
propre
au théatre. Quintilien y détourne quelquefois so
es attitudes convenables à ce qu’il vouloit exprimer actuellement, et
propres
encore au caractere particulier qu’on lui avoit d
e ou leur affliction ou leurs autres passions, par des démonstrations
propres
et particulieres à leur âge comme à leur sexe. Il
vre que ceux qui sont convenables à son talent et ausquels il se sent
propre
particulierement. Comme son genie ne lui fournit
ils lui paroissent ingrats. Il ne les regarde point comme des sujets
propres
à réussir. Un autre poëte les trouve des sujets h
x ; mais ces sujets frapperoient d’abord le poëte qui auroit un genie
propre
à les traiter. Voilà pourquoi le sujet d’Andromaq
tateurs n’ont pas mis sur la scene la quatriéme partie des caracteres
propres
à faire le sujet d’une comedie. Il en est de l’es
choses que dit, ou que fait un homme, trois ou quatre traits qui sont
propres
specialement à son caractere particulier. Il faut
r parler ainsi, de ses actions et de ses discours les traits les plus
propres
à faire reconnoître le portrait. Ce sont ces trai
it donner à chacun dans son portrait l’air et l’attitude qui lui sont
propres
en vertu de sa conformation. Le peintre habile a
re a reçu sa forme et sa rondeur théatrale ; mais tant que les traits
propres
à ce caractere, et qui doivent servir à le compos
as capable de discerner dans la nature quels sont les objets les plus
propres
à être peints. quàm multa vident pictores in umbr
e humaine, sinon dans les faits qui sont reconnus lui être absolument
propres
? Or aucune espèce d’observation ne découvre dans
elief de ses révélations ; elle a un intérêt scientifique qui lui est
propre
, en ce qu’elle sert à confirmer par une véritable
exclusivement à la moralité et à la religiosité pour en faire le type
propre
de l’humanité ? Si l’homme est le seul animal con
e pas possible. Nul ne contestera que le sentiment esthétique ne soit
propre
à l’homme aussi bien que le sentiment moral et le
d’un homme simplement vulgaire ? Le langage est encore un autre fait
propre
à l’homme. Et si l’on équivoque ici comme pour l’
res, toutes les institutions, tous les sentiments, tous les instincts
propres
à l’homme et étrangers à l’animal. L’humanité se
re à connaître le principe interne de ces manifestations qui lui sont
propres
. Sans parler des œuvres qui ne font que manifeste
s à l’état naturel et primitif, on a pu dégager ce qui fait la nature
propre
de cette race, à savoir la prédominance marquée d
curieuses, en partie vraies, en partie fausses et contradictoires au
propre
témoignage de la conscience. Sans vouloir les sui
cette disposition de l’esprit dont l’école de l’à priori fait une loi
propre
de la raison. S’agit-il d’expliquer telle concept
itudes, des dispositions combinées avec des circonstances extérieures
propres
à mettre en action les mobiles internes19. » Stua
nie le libre arbitre, à l’observation que chacun de nous fait de ses
propres
volitions, aussi bien que des actions volontaires
dans l’école spiritualiste de Maine de Biran et de Jouffroy n’est pas
propre
à nous révéler. Stuart Mill l’a dit avec une gran
la netteté d’intuition, la vigueur d’analyse, la précision de langage
propres
à l’esprit français, M. Taine, a singulièrement r
qu’elle a eu le plus à cœur de résoudre par les méthodes qui lui sont
propres
. Son principe de l’association et de l’habitude e
on pût identifier la nécessité logique avec cette espèce de nécessité
propre
à l’habitude, c’est-à-dire convertir un fait, si
par la fréquence des actes intellectuels dont elle fait le caractère
propre
. D’autre part, les phénomènes de la sensibilité n
ur de la vie morale, c’est l’instinct ou plutôt le penchant, selon sa
propre
expression. Bain lui-même, qui a si bien développ
nd elle a montré, par le genre d’observation et d’analyse qui lui est
propre
, que l’acte volontaire a son antécédent dans un a
l oppose le sentiment immédiat, direct, intime, qui fait le caractère
propre
de l’observation de conscience ; à la recherche p
-même à titre de personne ou de moi par l’exercice actuel de sa force
propre
et constitutive, et seulement autant que cet exer
ssi la langue des sciences naturelles manque-t-elle toujours du terme
propre
qui signifie précisément l’activité productive, l
e force et de cause, de spontanéité, de liberté, le sens qui leur est
propre
et qu’ignoreront toujours les partisans exclusifs
e remords n’en attestait l’invincible conscience, qui ne reconnaît sa
propre
nature prise sur le fait par une observation qui
dire, pourvu qu’elles ne franchissent pas les limites de leur domaine
propre
. Si, par exemple, l’école de l’expérience nie le
Section 47, quels vers sont les plus
propres
à être mis en musique Aprés cela j’oserai décid
donne plus de force aux vers que la déclamation, quand ces vers sont
propres
à être mis en musique. Mais il s’en faut infinime
ue. Mais il s’en faut infiniment que tous les vers y soient également
propres
, et que la musique leur puisse prêter la même éne
musique, et que ceux qui contiennent des peintures n’y sont pas bien
propres
. La nature fournit elle-même, pour ainsi dire, le
ien propres. La nature fournit elle-même, pour ainsi dire, les chants
propres
à exprimer les sentimens. Nous ne sçaurions même
s diversifier. Chaque sentiment a ses tons, ses accens et ses soupirs
propres
. Ainsi le musicien en composant sur des vers, tel
’images, et generalement parlant les plus beaux, ne sont pas les plus
propres
à réussir en musique. Il n’y a pas de comparaison
es. Leurs personnages se replient sur eux-mêmes, se drapent dans leur
propre
individualité, et ont tous je ne sais quel accent
u corps social, séparé même de son enveloppe corporelle, acquit à ses
propres
yeux et à ceux d’autrui une valeur infinie, la va
unique. Ils ne doutent pas d’eux-mêmes ; ils n’examinent jamais leur
propre
cause ; ils n’admettent point que la cause d’autr
’ils offensent ; tantôt il célèbre, dans un chant magnifique, et leur
propre
courage et la vertu divine qui agit en eux. IV
bre et contenant en lui-même sa fin, il a, dans son indépendance, son
propre
sens moral, son propre sens religieux, grave, éle
-même sa fin, il a, dans son indépendance, son propre sens moral, son
propre
sens religieux, grave, élevé, profond203. Symbole
ant son chef politique et sa hiérarchie sociale, n’est pas un terrain
propre
à faction comique, un État démocratique au contra
la comédie sentent eux-mêmes le néant de leur rôle. Il faut que leur
propre
personnage soit aussi frivole, aussi nul aussi so
st pas imposée par la morale seulement, mais qui résulte de la nature
propre
du comique. L’on doit bien se garder de confondre
é de l’homme fort, qui, se sentant bardé de fer et cuirassé contre sa
propre
fortune, brave les contretemps et rit quand son v
res de cet ordre étant moins capables de passions profondes sont plus
propres
à figurer sur une scène d’où le pathétique doit ê
ment, sans rien apercevoir au-delà, dans les étroites limites de leur
propre
sottise, au point de poursuivre l’impossible, l’a
e lourde et stupide impuissance de l’homme à s’élever au-dessus de sa
propre
contradiction offre le spectacle le plus pénible,
n et l’accepter gaiement. De peur d’être entraîné dans la ruine de sa
propre
activité, il n’a garde de s’intéresser à ce qu’il
scène, comique sans le savoir, resta grave dans l’inconscience de sa
propre
sottise, et les spectateurs, seuls à rire, eurent
e d’idées hautement générales, que le poète n’avait pas tirées de son
propre
fonds, dans une forme plastique, pure, transparen
x choses divines, ils doivent, pour se montrer comiques, rire de leur
propre
extravagance. Car le simple spectacle de la contr
e assez bien le second. Enfin don Quichotte, ce héros si riche de son
propre
fonds, et si follement révolté contre l’ordre soc
Pistol et le héros entre tous, Falstaff, sont bien supérieurs à leur
propre
personnage. Leurs idées valent beaucoup mieux que
ur fait défaut du côté de l’esprit. Pénétrés de la conscience de leur
propre
mérite, ils n’ont garde de se confiner tout entie
x pieds la nature, la règle et la coutume, efface, éclipse, annule sa
propre
conception par l’éblouissant éclat de ses caprice
t il met en scène non son objet, mais les grâces un peu lourdes de sa
propre
personne, cherchant à étonner le lecteur par des
ont repris le thème développé dans Don Quichotte, et rien n’est plus
propre
à jeter du jour sur la vraie nature du comique, q
de l’aigle229. » Le juge, enchaîné à un texte, ne peut juger selon sa
propre
inspiration. Le général d’armée, impatient de cou
trouvé. 2º Puisque le personnage comique doit avoir conscience de sa
propre
sottise, je puis admirer ce bon Sancho presque d’
i en moins d’une demi-heure ; mais quand tu auras vu celles-là de tes
propres
yeux, tu pourras juger en conscience pour toutes
abstrait du terme, ne représenter dans sa personne et par son énergie
propre
, que l’État romain, c’est là ce qui fait le série
nt dans ses résolutions et ses préparatifs d’exécution, périt par ses
propres
lenteurs et par la complication extérieure des ci
a comédie, qui nous fait rire des personnages qui échouent dans leurs
propres
efforts et par leurs efforts mêmes, apparaît cepe
infinie, la sécurité qu’on éprouve de se sentir élevé au-dessus de sa
propre
contradiction et de n’être pas dans une situation
liée avec elle-même qui, lors même qu’elle détruit sa volonté par les
propres
moyens qu’elle emploie et se porte préjudice à el
des mœurs, d’une société corrompue et dépravée qui se détruit par sa
propre
folie. C’est ainsi qu’Horace nous trace un portra
et ses rivaux dans l’art ; quelquefois même il livre publiquement su
propre
personne et les particularités de sa vie. T. V, p
res comiques le sont seulement pour les spectateurs, ou aussi à leurs
propres
yeux, Aristophane, le vrai comique, avait fait de
prendre toutes les formes sans en avoir aucune, il devient éminemment
propre
à être l’expression mobile de l’esprit qui se man
e soumis à lui comme individu ; ils n’obéissent pas à sa personnalité
propre
; ils sont là pour un tout autre objet que celui
iété du langage n’est plus absolue alors : elle est relative ; le mot
propre
est celui qui éveille le mieux dans l’esprit du l
tement recommandée, c’est que par définition, et généralement, le mot
propre
est celui qui montre le mieux l’objet : là où il
poussé : il cesse d’être, dans la circonstance, l’expression vraiment
propre
de l’objet. Si l’on méconnaissait ce caractère né
opre de l’objet. Si l’on méconnaissait ce caractère nécessaire du mot
propre
, qui est d’être clairement intelligible, à quels
echercher toujours la même sorte de clarté : chaque sujet a sa clarté
propre
, réglée par sa destination qui l’adresse à tel ou
généraux. Cependant la différence est grande : Buffon prescrit le mot
propre
partout et toujours en vue de la noblesse du styl
rmes généraux, clairs et intelligibles, seront préférables aux termes
propres
, prétentieusement obscurs. 16. Phrases citées p
ui les décorent et les déguisent : le péché, nommé de son nom laid et
propre
de péché, ne tentera plus guère. Cherchez des nom
mot, qu’il est ce qu’il devait être, qu’il est nécessaire, qu’il est
propre
. Cette propriété, cette équivalence exacte de la
t pas, et n’y fait pas réflexion, et que ce qui est figuré lui paraît
propre
: il n’imagine point d’autre moyen de dire ce que
nt des mots répétés, et qu’essayant de les corriger, on les trouve si
propres
qu’on gâterait le discours, il faut les laisser,
es mots qui ont survécu n’ont pas été gardés comme nobles, mais comme
propres
à certains objets : on parle de guerriers germain
faisait le vieux Boileau si exécré des romantiques. La liberté du mot
propre
n’a pas été une facilité offerte à la médiocrité
ots, égaux devant le besoin de l’écrivain, ont gardé leur physionomie
propre
, leur couleur, leur élégance, leur dignité, leur
Section 13, qu’il est des sujets
propres
specialement pour la poësie, et d’autres speciale
sujets propres specialement pour la poësie, et d’autres specialement
propres
pour la peinture. Moïens de les reconnoître Non
ce que ni les uns, ni les autres ne sont pas suivis d’aucun mouvement
propre
et specialement marqué dans notre attitude, ni pr
. Mais ce que la colere fait penser de singulier suivant le caractere
propre
de chacun, et suivant les circonstances où il se
possible de nous rendre compte des derniers sentimens de ce prince si
propres
à nous attendrir. Un poëte le peut faire : il peu
Agrippine une statuë de Tibere avec un geste et avec un air de visage
propres
à caracteriser ce sentiment ; mais il faut qu’il
ire mieux, et semblable à ceux qui cherchent dans leur memoire un nom
propre
oublié, il trouve tout hormis le trait qui pourro
retardement insupportable. D’ailleurs la poësie manque d’expressions
propres
à nous instruire de la plus grande partie de ces
ysique viendroit-elle à bout, avec le secours des termes qui lui sont
propres
, de bien expliquer le temperament plus ou moins c
utre paroît bilieux et mélancolique. Ce dernier, suivant le caractere
propre
à son temperament qui est l’obstination, commet l
yeux ceux des incidens de l’action qu’elle traite, qui sont les plus
propres
à faire une grande impression sur nous. Elle peut
g de ce dernier choix dans la suite. Revenons aux sujets specialement
propres
pour être traitez ou en vers ou dans un tableau.
l ; & l’Apologue a toujours été regardé comme la tournure la plus
propre
à inculquer les leçons. Qui ne comprendra, par ex
e, dans Ovide ; qu’il n’a rien qui lui appartienne, rien qui lui soit
propre
, & c. » ? Non sans doute. Cette assertion doi
; on ne pourroit en conclure autre chose, sinon qu’il a su se rendre
propres
des richesses étrangeres, par la maniere dont il
les sucs primitifs dont elle fait son miel, en les transformant en sa
propre
substance, il s’est nourri des beautés de ce gran
de même des Poëtes. Tant qu’ils se bornent à ne puiser que dans leur
propre
fond, on s’apperçoit d’une sécheresse, d’un désor
rebutante, partage ordinaire d’un esprit qui n’a pas su fortifier ses
propres
richesses par celles des autres. Ceux qui n’imite
te, il sait leur donner une forme & un caractere qui les lui rend
propres
. Tel est l’empire de l’exemple : il agit plus pui
ts du caractere de sa Phédre, va puiser dans Séneque d’autres traits,
propres
à le rendre plus intéressant. Apelle ne crut pouv
lation suprême, il est presque inévitable, ou bien que les caractères
propres
de la réalité échappent au philosophe placé à un
rêves de vie intime et commune avec Dieu. Avec ce dédain qui lui est
propre
des choses de l’expérience extérieure ou intérieu
me, que toutes les écoles de biologie avaient attribuées à des forces
propres
, les forces vitales, pourquoi ne seraient-elles p
volontaires ? N’est-ce pas supprimer les caractères et les conditions
propres
de la moralité ? N’est-ce pas oublier l’acte pour
de cette âme et de lui arracher jusqu’au dernier soupir de toute vie
propre
… Alors elle tombe en défaillance ; elle est, comm
éserve39. » On dira peut-être que ce sacrifice de la personnalité est
propre
aux âmes tendres, comme celle d’un Fénelon, ou au
re sur sa volonté, du moins son initiative personnelle, son autonomie
propre
, semblent s’effacer tantôt sous la pression de la
e ne s’entend bien à la justice, cette chose morale qui a pour mesure
propre
le degré de mérite proportionnel à l’effort de vo
volonté ? Qu’est-ce que le panthéisme ? Une imposante conception fort
propre
à séduire les esprits qui préfèrent à tout la gra
l’unité va jusqu’à la négation de tout être individuel, ce qui est le
propre
du panthéisme, elle n’est plus qu’une explication
l est certain que cette distinction et cette affirmation sont le fait
propre
de la personnalité humaine. L’homme réel est une
de la cause extérieure, elle réagit en vertu de l’énergie qui lui est
propre
, quelle que soit la violence de l’impression ; pa
laire toutes les autres sciences de la lumière supérieure qui lui est
propre
, comment elle les élève, les dirige et les corrig
end enfin la raison des faits qui lui avaient été déjà révélés par sa
propre
science, mais qui étaient restés pour lui à l’éta
icisme ? C’est encore parce que la théologie ne trouve point dans ses
propres
enseignements la limite et l’obstacle à ces entra
end alors un tout autre caractère, et, au lieu d’annuler les facultés
propres
de l’âme humaine, il ne fait que les porter à leu
; la volonté divine à laquelle elle se soumet n’est que l’idéal de sa
propre
volonté. Voilà le signe infaillible auquel on dis
, ne fait que rentrer de plus en plus dans l’essence même de son être
propre
, laquelle est l’idéal de toute perfection. C’est
concentre l’âme humaine pour y ranimer, y purifier, y transfigurer sa
propre
nature, y devenir plus intelligente, plus aimante
serait facile de montrer comment la politique, réduite à ses données
propres
, n’est plus que l’art de Machiavel plus ou moins
r que les sciences de l’esprit ont leurs conditions et leurs méthodes
propres
, de même que les sciences de la nature. Que le mo
ns pas qu’il soit bon de l’étendre jusqu’aux méthodes et aux formules
propres
à chacun d’eux. Ainsi, nous nous défions de l’emp
es contemporains, à cause de toutes ses complaisances pour notre sens
propre
, on verra tout à l’heure qu’il l’a jeté dans des
le amour de Dieu, cette piété distinguée, toutes ces rêveries du sens
propre
, ce rare, ce grand fin en religion, selon l’expre
es de Fénelon est de substituer le particulier à l’universel, le sens
propre
à la tradition. Il est vrai que, ne pouvant s’en
e degrés de délicatesse ! Abandonner la religion à la liberté du sens
propre
, c’est semer les sectes à l’infini ; témoin les p
contraire, se départir, flatte l’indépendance et cet indomptable sens
propre
qu’il est si dangereux ou tout au moins si superf
es, par un admirable instinct, se défendent sans cesse contre le sens
propre
, et, pour un article de leurs lois qui le reconna
ons humaines et à la merci des commodités de chacun ? Rien n’est plus
propre
à faire naître la foi où à l’entretenir que l’uni
e supérieur, qui s’est fait des disciples par quelque vue de son sens
propre
, n’a plus la force de les retenir dans la traditi
é, et personne n’en a eu l’invention. Il ne faut noter que ce qui est
propre
à Fénelon. Une royauté absolue, des sujets partag
ionnée. Pour le nombre et la distribution des classes, et le costume
propre
à chacune, si Fénelon n’a pas donné des prescript
eux qui les leurrent d’un bonheur imaginaire par les caprices du sens
propre
, que pour ceux qui leur proposent un bonheur poss
s, il faut s’attacher à ceux-là seulement qui ont exercé la séduction
propre
à Fénelon. Je prends pour exemple la lettre adres
n’avait pas à craindre qu’on y vît une confession involontaire de son
propre
fonds. Combien j’aime mieux Bossuet, retenu dans
onvenaient plus aux mécomptes. Fénelon entreprit alors de défaire son
propre
ouvrage. Il conseilla une piété moins disproporti
écautions infinies contre lui-même. Au reste, nul homme n’était moins
propre
à diriger et à soutenir les esprits dans une voie
La dureté est l’inévitable conséquence de toute doctrine née du sens
propre
; plus on a de vertu, moins on endure les infract
nt qu’il doit paraître dur ; ne serait-ce pas encore un effet du sens
propre
? On s’y attache davantage dans le moment même qu
un attachement foncier à moi-même », sont la confession naïve du sens
propre
. Les excuses au duc de Bourgogne et à la duchesse
ue le secret de ses beautés et les raisons de s’y plaire, paraît plus
propre
à l’enrichir que d’envier aux autres langues leur
taines qualités qui nous manquent, sinon à nous faire méconnaître nos
propres
privilèges ? Je ne souffre pas beaucoup de voir c
on à la ruine de l’art d’écrire en vers ? Qu’est-ce enfin que le sens
propre
, l’expérience personnelle, dont Fénelon est l’org
voilà pourquoi l’auteur l’impose aux autres en son nom, comme une vue
propre
, plutôt qu’il ne leur en fait le partage aimable,
n par l’imperfection humaine, mais par excès de confiance en son sens
propre
. Où Bossuet cesse de voir la vérité, on sent que
il a toute la gloire d’invention et de nouveautés solides que le sens
propre
pouvait donner de son temps. Dans tous les ordres
beaucoup trop loué Fénelon. Outre que l’invention ne lui en était pas
propre
, le défaut de ces théories, c’est d’être inconcil
’amour de la règle, qu’il porte jusque dans les insurrections du sens
propre
; l’accord du caractère et des écrits, par où les
e avec ses illustres contemporains. Il a d’autres traits qui lui sont
propres
. C’est d’abord un naturel qui diffère du naturel
et tenaient les peuples suspendus à leur bouche d’or. Un autre trait
propre
à Fénelon, c’est la vivacité et la variété de son
’imitation est si naturelle, et les raisons que donne Fénelon sont si
propres
à l’objet qu’il traite et au génie de notre pays,
souvenir de collège. En peignant Vénus après Virgile, il a craint sa
propre
imagination. Son Neptune et son Eole « aux sourci
écrit. Fénelon voulait faire voir au duc de Bourgogne, dans un cadre
propre
à intéresser son imagination, tout le détail des
Les opinions dont l’étenduë et la durée sont fondées sur le sentiment
propre
, et pour ainsi dire, sur l’expérience intérieure
ni s’étendre qu’à l’aide de la conviction intérieure et émanée de la
propre
expérience de ceux qui la reçoivent, on peut alle
répetans ce qu’ils ont entendu. Le petit nombre qui dit son sentiment
propre
, ne dit encore que ce qu’il a pû voir à travers s
mes senti en le lisant. Chacun porte un suffrage qu’il a formé sur sa
propre
expérience. Il l’a formé sur ce qu’il a senti en
en auroient été imbus, s’ils n’étoient pas fondez sur la verité. Leur
propre
expérience, leur propre sentiment, les en auroit
’ils n’étoient pas fondez sur la verité. Leur propre expérience, leur
propre
sentiment, les en auroit bien-tôt désabusez. Supp
préferé aux ouvrages de ces poëtes anciens, les poëmes composez en sa
propre
langue. Toutes les personnes qui entendent les po
e ne sçauroient s’être trompées de bonne foi, puisque c’étoit de leur
propre
sentiment qu’elles rendoient compte. Le nombre de
e s’en tenir à ce qu’il sçait certainement par voïe de sentiment. Son
propre
sentiment, confirmé par celui des autres, le pers
e en peine de démêler la source de son erreur, le condamnent sur leur
propre
expérience, qui leur apprend sensiblement que dan
hilosophique, parce qu’elle sert à l’expression des idées accessoires
propres
à la nature de l’idée primitive, & que la nat
lus coupée, plus embarrassée, plus irréguliere, & qui tire de son
propre
fonds moins de mots composés, que de celui des la
me parvenu à cet âge, est dans l’obligation réelle de mériter par ses
propres
services les secours qu’il tire de la société. Au
agrément de ce genre d’étude : nous osons avancer que rien n’est plus
propre
à déployer les facultés de l’esprit ; à rendre le
Les fréquentatifs naturels à la langue françoise lui viennent de son
propre
fonds, & sont en genéral terminés en ailler :
subjonctif, & il est aisé de le prouver aux méthodistes par leurs
propres
regles. Selon eux, la conjonction dubitative an é
é. Quoiqu’il semble que certaines langues n’ayent pas d’expressions
propres
à déterminer quelques points de vûe pour lesquels
’aucune langue restreigne exclusivement ces futurs à leur destination
propre
; le rapport de ressemblance & d’affinité qui
elles y prennent leur est étrangere, & a d’ailleurs son caractere
propre
: C représente alors l’articulation se, dont le c
tere propre : C représente alors l’articulation se, dont le caractere
propre
est s ; & l’on prononce cité, céleste, comme
de même G représente dans ce cas l’articulation je, dont le caractere
propre
est j ; & l’on prononce génie, gibier, comme
exprimer des articulations auxquelles l’usage à refusé des caracteres
propres
. C suivi de la lettre h est le type de l’articula
de parler éloignée des lois générales du langage, & exclusivement
propre
à la langue françoise. Voyez Idiotisme . « Lorsq
te maniere de parler semble indiquer que le mot gallicisme est le nom
propre
d’un vice de langage, qui dans un autre idiome vi
autre idiome vient de l’imitation gauche ou déplacée de quelque tour
propre
à la langue françoise ; qu’un gallicisme en un mo
gallicisme consiste en effet à être un écart de langage exclusivement
propre
à la langue françoise. Le gallicisme en françois
p; raisonnés des langues, ou tout au plus les principes, qui, quoique
propres
à une langue, sont pourtant du district de la Gra
te nouvelle. Les noms se divisent communément en appellatifs & en
propres
, & il semble que ces deux especes soient suff
; en noms spécifiques ou d’espece. « Les premiers, pour employer les
propres
termes de M. du Marsais, conviennent à tous les i
-la-fois & leur nature intrinseque & leur opposition aux noms
propres
: mais nous croyons devoir nous en tenir aux déno
idu, qui a de plus son suppôt particulier, ses qualités exclusivement
propres
& incommunicables à tout autre. Par une raiso
individus ; & en leur faisant remarquer ce que chacun d’eux a de
propre
, ce qui l’individualise, pour ainsi dire, faites-
rs de l’idée totale de l’individu, les idées singulieres qui lui sont
propres
, pour ne considérer que celles qui lui sont commu
s’approchent de l’individu, & disparoît entierement dans les noms
propres
qui ont tous un sens déterminé. On tire cependant
à cette fin dans le discours, sont quelquefois des équivalens de noms
propres
qui n’existent pas ou qu’on ignore ; cette pierre
par cet artifice à une énumération ennuyeuse & impossible de noms
propres
; les philosophes de l’antiquité, au lieu du long
auquel il est associé en exprime l’antécédent ; & la terminaison
propre
du génitif annonce que ce rapport qu’elle indique
, où l’on voit o du nominatif changé en in-is ; is est la terminaison
propre
de ce cas, in en est la figurative : or la figura
uel se rapporte le génitif. I. Il est quelquefois à la suite d’un nom
propre
; Terentia Ciceronis, supp. uxor ; Sophia Septimi
ifié dans les différentes occurrences (qu’on nous permette les termes
propres
) par la nature de son antécédent & de son con
’individu, n’est pas toûjours annoncé par le génitif : souvent le nom
propre
déterminant est au même cas que le nom appellatif
aux noms. N’est-il pas en effet plus que vraissemblable que les noms
propres
Asia, Africa, Hispania, Gallia, &c. sont des
if commun est terra ; que annularis, auricularis, index, &c. noms
propres
des doigts, se rapportent au substantif commun di
position, & rendre raison de la concordance des cas, c’est le nom
propre
qu’il faut y considérer comme adjectif, parce qu’
Voyez Apposition . La langue latine a encore une maniere qui lui est
propre
, de déterminer un nom appellatif d’action par le
ection d’objets réunis sous un point de vûe qui leur est commun &
propre
: il est assez naturel de croire que c’est dans l
de noms réunis sous un point de vûe commun qui leur est exclusivement
propre
. La distinction des sexes semble avoir occasionné
eut-être placé dans le genre masculin les noms communs & les noms
propres
des vents, ventus, Auster, Zephyrus, &c. ceux
lque langue que ce fût, que de vouloir chercher ou établir des regles
propres
à faire connoître les genres des noms : il n’y a
vains ont égard autant qu’ils peuvent à ces distinctions délicates si
propres
à enrichir une langue & à en caractériser le
is Priami fatorum. (Virg. Æneid. ij.) Sal au neutre est dans le sens
propre
, & au masculin il ne se prend guere que dans
. Il etoit naturel que les pronoms avec une signification vague &
propre
à remplacer celle de tout autre nom, ne fussent a
ine. L’usage en a déterminé quelques-uns par des formes exclusivement
propres
à un genre distinct : ille, a, ud ; il, elle. «
es domestiques sont à l’égard du maître : on dit des uns dans le sens
propre
, qu’ils sont gouvernés ; on le dit des autres dan
énigmatiques. Mais il est très-difficile de n’employer que des termes
propres
; & il faut avoüer d’ailleurs que les termes
s ; & il faut avoüer d’ailleurs que les termes figurés deviennent
propres
en quelque sorte, quand ils sont consacrés par l’
stinguer l’un de l’autre, d’assigner à l’un & à l’autre son objet
propre
, de prescrire leurs bornes respectives, & de
rt à cette idée primitive, ses mots peuvent être pris ou dans le sens
propre
, ou dans le sens figuré. Un mot est dans le sens
dans le sens propre, ou dans le sens figuré. Un mot est dans le sens
propre
, lorsqu’il est employé pour réveiller dans l’espr
lui convient que par son analogie avec celle qui est l’objet du sens
propre
. On donne communément le nom de tropes aux divers
langue à marquer sur chacun des mots qu’ils renferment, les décisions
propres
de l’usage, relatives à ces points de vûe. Voyez
e doit pas négliger la succession euphonique des expressions les pius
propres
à flater l’oreille. Ce mélange de vûes souvent op
re à la postérité, ils ne s’aviserent pas d’abord des signes les plus
propres
à produire cet effet. Ils commencerent par employ
’oreille en discerne toutes les variations, sans autre secours que sa
propre
sensibilité ; au lieu qu’il faut les lumieres de
ons demeurent toujours sans force sous la main même qui étoit la plus
propre
à leur en donner. Que nous importe en effet que l
la consonne l la lettre h est purement auxiliaire dans quelques noms
propres
, où elle donne à l la prononciation mouillée ; co
st un idiotisme grec, c’est-à-dire, une façon de parler exclusivement
propre
à la langue grecque, & éloignée des lois géné
latine, l’hellénisme y est mis au nombre des figures de construction
propres
à cette langue. Voici sur cela quelques observati
essence consiste à y être en effet un écart de langage exclusivement
propre
à cette langue. C’est sous ce point de vûe que le
qu’il y aura d’idiomes différens, dont elle aura adopté les locutions
propres
? M. du Marsais paroît avoir senti cet inconvénie
Irrégulier . Pour ce qui concerne les anomaux & les hétéroclites
propres
à chaque langue, c’est aux grammaires particulier
croire que le terme & le fait qu’il désigne soient exclusivement
propres
à la langue latine. On trouve plusieurs noms hété
r la voyelle, Quand une autre suit après elle. Ce principe n’est pas
propre
à la langue latine : inspiré par la nature, &
d’un bâillement trop soûtenu. Lorsque le son prépositif s’est trouvé
propre
à se prêter à une rapidité assez grande sans être
t dans le matériel, est destiné par l’usage à diverses significations
propres
, & dont par conséquent le sens actuel dépend
la monnoie ou les médailles, typus. J’ai dit diverses significations
propres
, parce que l’on ne doit pas regarder un mot comme
rder un mot comme homonyme, quoiqu’il signifie une chose dans le sens
propre
, & une autre dans le sens figuré. Ainsi le mo
st point homonyme, quoiqu’il ait diverses significations dans le sens
propre
& dans le sens figuré : dans le sens propre,
ications dans le sens propre & dans le sens figuré : dans le sens
propre
, il signifie le son qui sort de la bouche ; dans
il n’y a plus unité dans le matériel des homonymes, chacun a son mot
propre
, mais ces mots ont entre eux une relation de pari
Enallage . Mais ce terme n’est, selon lui, qu’un nom mystérieux, plus
propre
à cacher l’ignorance réelle de l’analogie qu’à ré
rouve rendue ainsi avec fidélité, il me semble que le mot en est plus
propre
à désigner que le changement dont il s’agit ne to
par les exemples mêmes de M. du Marsais, & je me servirai de ses
propres
termes : ce que je ferai sans scrupule par-tout o
ation & des guillemets, & d’y insérer entre deux crochets mes
propres
réflexions. « Cicéron, dans l’oraison pour Marce
erver le nom, sans charger vainement la mémoire de grands mots, moins
propres
à éclairer l’esprit qu’à l’embarrasser, ou même à
onsiste dans une véritable confusion des parties, & qu’elle n’est
propre
qu’à jetter de l’obscurité sur le sens dont elle
le prononçons dans le pronom de la premiere personne : car la valeur
propre
de ce caractere est de représenter l’articulation
lui que j’adopte sur le même sujet. On peut dire que cette lettre est
propre
à l’alphabet françois, puisque de toutes les lang
usages ordinaires, ou des lois générales du langage, adaptée au génie
propre
d’une langue particuliere. R. ἴδιος, peculiaris,
ptée au génie propre d’une langue particuliere. R. ἴδιος, peculiaris,
propre
, particulier. C’est un terme général dont on peut
Quand je dis qu’un idiotisme est une façon de parler adaptée au génie
propre
d’un langue particuliere, c’est pour faire compre
n, on a cru assez légérement que les idiotismes étoient des locutions
propres
& incommunicables, & en conséquence on a
s, & pour y découvrir, s’il est possible, les caracteres du génie
propre
de la langue qui les a introduits. I. Les idiotis
seul moyen qu’il y ait de reconnoître les caracteres précis du génie
propre
d’une langue, puisque ce génie ne consiste que da
de son domaine ; & son principal office est de bien fixer le sens
propre
de chacun des mots autorisés dans cet idiome. La
on. Si l’usage particulier d’une langue autorise l’altération du sens
propre
de quelques mots, & la substitution d’un sens
ui l’a adopté ; & cet idiotisme est irrégulier, parce que le sens
propre
des mots y est abandonne ; ce qui est contraire à
ter davantage (magis auctare) ; cet euphémisme, dis-je, est tellement
propre
au génie de cette langue, que la traduction litté
atachrese), & fondée néanmoins sur quelque analogie entre le sens
propre
& le sens figuré. Le verbe venir, par exemple
itatis causâ, liceret. Voici une ellipse qui est devenue une locution
propre
à notre langue, un gallicisme, parce que l’usage
auront chacune des termes & des façons de parler qui leur seront
propres
, & qui seront comme le caractere de ce génie
choses ; la traduction rigoureuse de chaque mot par sa signification
propre
, & la réduction de toute la phrase à la pléni
mieux on écrit & mieux on parle : or il n’y a rien qui soit plus
propre
à donner aux jeunes gens de la netteté & de l
n temporelle, & doivent prendre chacune dans le mode qui leur est
propre
, la même dénomination de présent postérieur. Cett
nominations. Je ne puis regarder comme indifférentes, celles qui font
propres
au langage didactique ; & j’adopterois volont
nol ; il est dérivé de la même racine immédiate qui est exclusivement
propre
aux présens, ce qui devient pour ceux qui entende
La dérivation philosophique sert à l’expression des idées accessoires
propres
à la nature d’une idée primitive. La dérivation g
amp; en françois ; mais les Grecs ont de plus un optatif qui leur est
propre
, & nous avons un mode suppositif qui n’est pa
naturelles de la liberté de l’usage, décidé quelquefois par le génie
propre
de chaque idiome, & quelquefois par le simple
nce un jugement accessoire subordonné au principal, dont le caractere
propre
est il faut. C’est à cause de cette propriété que
enues ou résolues. Les inflexions temporelles, qui sont exclusivement
propres
au verbe, en ont été regardées par Scaliger comme
doute pour cela qu’il a des inflexions & des usages qui lui sont
propres
, ce qui suffit pour constituer un mode dans le ve
dans le verbe, comme une terminaison différente avec une destination
propre
suffit pour constituer un cas dans le nom ; mais
au sens individuel. Jamais nous n’employons l’article avant les noms
propres
, parce que le sens en est de soi-même individuel
ire, qui emploient souvent l’article par emphase, même avant les noms
propres
(Voyez la méth. gr. de P. R. liv. VIII. ch. jv.),
morphoses, au moyen des additions qu’on y fait, pour ajoûter à l’idée
propre
du mot les idées accessoires communes à tous les
un a linea. 3°. Les lettres initiales du nom de Dieu, & des noms
propres
d’hommes, d’animaux, de villes, de provinces, de
astique, soit civile. Lorsque ces noms sont employés au lieu des noms
propres
, pour désigner les individus qui sont revêtus de
onation d’autrui ; mais tout homme les tient de soi-même & de son
propre
sentiment ; au moins dans ce qu’elles ont de radi
la curiosité naturelle de l’esprit humain, il cherche à tirer de son
propre
fonds même des ressources contre sa propre foible
il cherche à tirer de son propre fonds même des ressources contre sa
propre
foiblesse ; il lie volontiers les idées qui lui v
ame, & ne pas negliger la succession euphonique des sons les plus
propres
à flatter l’oreille. Voilà donc trois differens o
elations supposent une succession dans leurs termes ; la priorité est
propre
à l’un, la postériorité est essentielle à l’autre
ont toujours regardé le mot inversion, comme un terme qui leur étoit
propre
, qui étoit relatif à l’ordre méchanique des mots
qui est l’énonciation de la pensée ? N’est-ce pas aussi du méchanisme
propre
à chaque langue, que naissent les idiotismes ? Vo
. Batteux, ont fait de sa doctrine nouvelle sur l’inversion, sous ses
propres
yeux, & pour ainsi dire sur son bureau le fon
l’esprit, que comme le résultat des regles arbitraires du méchanisme
propre
de chaque langue ; d’où il s’ensuivroit que chaqu
e fait avec prudence, & sans doute d’après les principes qui sont
propres
à cet objet ; 2°. le choix des sons qu’il abandon
de rendre plus harmonieuses les langues qui ont adopté des inflexions
propres
à cette fin, sont les principaux motifs qui sembl
ton si recommandé est pour mettre les jeunes gens sur la voie du tour
propre
à notre langue. Mais M. Chompré me tire encore d’
qu’elle emploie, & la maniere dont elle les distribue : en termes
propres
, ce sont le vocabulaire & la syntaxe. Il ne s
Horace ; il n’y a point-là d’ironie ; les mots sont pris dans le sens
propre
. Parle-t-il de Zoïle ; c’est une ironie : ainsi l
on se sert dans cette figure, ne sont pas pris, dit-il, dans le sens
propre
& littéral : mais ce grammairien ne s’est-il
à un mot une signification qui n’est pas précisément la signification
propre
de ce mot ». Or il me semble que dans l’ironie i
ronie il est essentiel que chaque mot soit pris dans sa signification
propre
; autrement l’ironie ne seroit plus une ironie, u
mot ce sens appellatif, que l’on peut regarder en quelque sorte comme
propre
, relativement à l’ironie ; sans quoi l’auteur aur
speces de mots qui ne suivent pas la marche du paradigme qui leur est
propre
: il renferme sous soi deux mots spécifiques, qui
n appelle anomal un verbe irrégulier ; & le nom d’hétéroclite est
propre
aux mots irréguliers, dont les variations se nomm
cause & sans dessein ; il y a un sentiment éclairé, sinon par ses
propres
lumieres, du-moins par la lumiere universello que
équence, & de contradiction. Il est plus sage de se défier de ses
propres
lumieres, & même de la somme, si je puis le d
; si quelques bretons conservent le k dans l’ortographe de leurs noms
propres
, c’est qu’ils sont dérivés du langage breton plut
lui prêter un son ; mais ce doit être le moins sensible & le plus
propre
à l’épellation : ainsi l doit se nommer le. Le ca
iront les mots dont il s’agit de la maniere qui leur paroîtra la plus
propre
pour caractériser la sensation que je viens d’ana
n appelle langue, est une suite ou un amas de certains sons articulés
propres
à s’unir ensemble, dont se sert un peuple pour si
le sens principal & les sens accessoires qui constituent le sens
propre
que l’usage a attaché à chaque mot ; les divers s
amp; je dirois d’après cela, qu’une langue est la totalité des usages
propres
à une nation pour exprimer les pensées par la voi
es mots & de la même syntaxe, chaque peuple peut avoir des usages
propres
sur la prononciation ou sur les terminaisons des
chaque province a le sien. Si dans la totalité des usages de la voix
propres
à une nation, on ne considere que l’expression &a
t avec la même facilité. La mere alaitoit d’abord ses enfans pour son
propre
besoin, puis l’habitude les lui ayant rendus cher
ion, & que la langue qu’il emploie doit être en grande partie son
propre
ouvrage ; ce qui multiplie autant les langues qu’
voix, qui, sans avoir le même rapport avec certaines idées, sont plus
propres
à les représenter toutes, comme signes institués
effort de génie, les substantifs ne surent d’abord qu’autant de noms
propres
, l’infinitif fut le seul tems des verbes, & à
ensuit que les premiers substantifs n’ont pu jamais être que des noms
propres
. Mais lorsque, par des moyens que je ne conçois p
s réels, ne doit être regardée que comme une fiction chimérique &
propre
à égarer. Mais suivons le simple raisonnement. Un
raisonnement. Une langue est, sans contredit, la totalité des usages
propres
à une nation pour exprimer les pensées par la voi
Je ne pretends pas insinuer au reste, que le langage des animaux soit
propre
à peindre le précis analytique de leurs pensées,
on des mots primitifs, & cependant donner à chaque être son signe
propre
, cor excogitandi ; enfin l’intelligence nécessair
ne même langue n’étoit pour les habitans des plus mauvais une attache
propre
à les y retenir, & l’ignorance des autres lan
nfin d’être faute ; elle acquiert l’autorité de l’usage, elle devient
propre
à la même langue qui la condamnoit autrefois ; ma
pour trouver la maniere de ce changement ». C’est encore donner ses
propres
imaginations pour des raisons ; la multiplication
uses naturelles y auroient amenés par la suite, si les hommes de leur
propre
mouvement s’étoient dispersés en diverses colonie
ns ce qu’elles ont nécessairement de commun, & ce qu’elles ont de
propre
sous chacun de ces deux points de vûe, & nous
dis je, supposent un ordre fixe entre leurs termes : la priorité est
propre
au terme antécédent ; la posteriorité est essenti
n terme dans une langue, quoiqu’elles ayent dans une autre des signes
propres
& très énergiques. C’est que la nation qui pa
parle une de ces langues, ne s’est point trouvée dans les conjectures
propres
à y faire naître ces idées, dont l’autre nation a
ngues, par rapport aux diverses especes de mots, vient de la tournure
propre
de l’esprit national de chacune d’elles, qui fait
alternes ; par exemple, des noms en substantifs & abstractifs, en
propres
& appellatifs, &c. Voyez Nom . Par l’idée
fication des mots, j’entens l’idée singuliere qui caracterise le sens
propre
de chaque mot, & qui le distingue de tous les
ous les idiomes, & d’autres qui achevent de caractériser le génie
propre
de chacun d’eux. Ainsi comme les langues differen
, avec le même sens, mais défigurés par les terminaisons que le génie
propre
de chaque idiome y a ajoutées, & de maniere q
e latine en rend le génie semblable à celui des Romains, c’est à-dire
propre
aux choses fermes & mâles ; elle l’est d’un a
jugués avoient leurs langues… Lorsqu’enfin on voit aujourd’hui de ses
propres
yeux ces langues vivantes ornées d’un article, qu
ui la parle. Une langue, je l’ai déjà dit, est la totalité des usages
propres
à une nation, pour exprimer les pensées par la vo
axada, embassade ; au lieu de batten, battre, &c. si c’est de son
propre
fonds qu’elle tire la nouvelle idée, ce ne peut ê
nc aucune idée connue dans une nation qui ne soit désignée par un mot
propre
dans la langue de cette nation : & comme tout
ionale qui est le sceau nécessaire de sa naturalisation, il est aussi
propre
que les anciens à toutes les vûes de la syntaxe d
déterminées à tous égards par les principes mêmes de la constitution
propre
de chacune de ces langues. L’auteur de la Lettre
ue & réglée, à laquelle notre langue est assujettie, la rend plus
propre
aux sciences ; & que par les tours & les
atoire ; & que celui des langues analogues les rend d’autant plus
propres
à l’exposition nette & précise de la vérité,
ne, &c : & c’est avec raison qu’Esrame, Epist. liv. X, dit en
propres
termes : Hoc unum expertus, video nullis in litte
perçois encore quelque chose de si arbitraire, que je ne la crois pas
propre
à réunir tous les suffrages. D’après Hesychius, V
ux. Voyez Écriture chinoise . Chaque langue doit donc avoir son corps
propre
de lettres élémentaires ; & il seroit à souha
t donc un trope, par lequel on conçoit la chose autrement que le sens
propre
ne l’annonce ; c’est le caractere de tous les tro
c’est le caractere de tous les tropes (voyez Trope) ; & les noms
propres
de chacun rendent presque tous la même idée, parc
ici le conséquent pour l’antécédent.] « Cedo veut dire dans le sens
propre
, je cede, je me rends ; cependant par une métalep
figure, par laquelle on transporte, pour ainsi dire, la signification
propre
d’un nom (j’aimerois mieux dire d’un mot) à une a
l’esprit. Un mot pris dans un sens métaphorique perd sa signification
propre
, & en prend une nouvelle qui ne se présente à
résente à l’esprit que par la comparaison que l’on fait entre le sens
propre
de ce mot, & ce qu’on lui compare : par exemp
rs de la vérité ; en cette phrase, couleurs n’a plus de signification
propre
& primitive ; ce mot ne marque plus cette lum
les dehors, les apparentes ; & cela par comparaison entre le sens
propre
de couleurs & les dehors que prend un homme q
lumiere est pris métaphoriquement ; car comme la lumiere dans le sens
propre
nous fait voir les objets corporels, de même la f
sert dans la métaphore, est pris dans un autre sens que dans le sens
propre
; il est, pour ainsi dire, dans une demeure empru
n est composé par collatio, qui auroit très-bien exprimé le caractere
propre
du trope dont il est question, puisqu’il suppose
e dicitur. Quint. Inst. VIII. 6. de Tropis.] « Mesurer, dans le sens
propre
, c’est juger d’une quantité inconnue par une quan
es occupent l’esprit plus agréablement que si l’on se servoit de mots
propres
, & qu’elles rendent le discours plus énergiqu
s cet exemple sepultam a un sens tout nouveau & différent du sens
propre
. 2° Sepultam n’a ce nouveau sens que parce qu’il
nt à somno vinoque, avec lesquels il ne sauroit être uni dans le sens
propre
; car ce n’est que par une nouvelle union des ter
mots se donnent le sens métaphorique. Lumiere n’est uni dans le sens
propre
qu’avec le feu, le soleil & les autres objets
ès-ordinaire ; en voici encore quelques exemples. On dit dans le sens
propre
, s’enivrer de quelque liqueur ; & l’on dit pa
les blés & qui leur est nuisible. Zizanie n’est point en usage au
propre
, mais il se dit par métaphore pour discorde, mesi
r la zizanie dans une famille. Materia (matiere) se dit dans le sens
propre
de la substance étendue, considérée comme princip
plus touchés de ce malheur. C’est ainsi que callere, qui dans le sens
propre
veut dire avoir des durillons, être endurci, sign
tume à ses manieres, je sais le prendre comme il faut. Vûe se dit au
propre
de la faculté de voir, & par extension de la
vûes, perdre de vûe une entreprise, n’y plus penser. Goût se dit au
propre
du sens par lequel nous recevons les impressions
est du goût pris dans le sens figuré, comme du goût pris dans le sens
propre
. Les viandes plaisent ou déplaisent au goût sans
de l’exactitude etonnante de notre grammairien, à distinguer le sens
propre
du sens figure, & à assigner dans l’un le fon
u aussi à l’egard des autres tropes : par exemple, lumen dans le sens
propre
, signifie lumiere. Les poëtes latins ont donné ce
s si cette correction répare la premiere faute. Ecorce, dans le sens
propre
, est la partie extétérieure des arbres & des
, s’attachent, s’amusent, conviennent fort bien avec l’écorce pris au
propre
; mais vous ne diriez pas au propre, fondre l’éco
t fort bien avec l’écorce pris au propre ; mais vous ne diriez pas au
propre
, fondre l’écorce ; fondre se dit de la glace ou d
amp; l’aile gauche. Il est si vrai que chaque langue a ses métaphores
propres
& consacrées par l’usage, que si vous en chan
mot un sens métaphorique, ou par nécessité, quand on manque de terme
propre
, ou par une raison de préférence, pour présenter
nomen deesse videatur. Quintil. inst. VIII. vj. Ajoutez à cela que le
propre
des métaphores, pour employer les termes de la tr
es vivantes ne puissent ou ne doivent être regardées comme des moyens
propres
à acquérir ensuite des lumieres plus importantes
de vos éleves une connoissance suffisante des principes grammaticaux
propres
à cette langue, qui se réduisent à-peu-près à la
st le vrai-moyen de leur apprendre promptement & sûrement le sens
propre
& le sens figuré de vos mots, vos tropes, vos
e Priscien nous apprend, lib. V. de casibus, que l’ablatif est un cas
propre
aux Romains, nouvellement introduit dans leur lan
ttre en oeuvre tout ce que notre industrie peut nous suggérer de plus
propre
à donner aux commençans l’intelligence du latin &
rsion, tant de vive-voix que par écrit ; que l’un des moyens les plus
propres
à amener dans la méthode de l’institution publiqu
asculin, pour s’accorder en cas, en nombre & en genre avec le nom
propre
Spuri, auquel il a un rapport d’identité. Voyez C
ntité . Spuri (Spurius) est au vocatif singulier de Spurius, ii, nom
propre
, masculin & hétéroclite, de la deuxieme décli
us respectables & des maîtres les plus habiles, mais même par ses
propres
succès, qui n’aboutissent enfin qu’à la structure
lui de mettre dans la tête des enfans les principes raisonnés de leur
propre
langue, la langue qu’il leur importe le plus de s
ns générales comprises dans le premier, & se bornera à ce qui est
propre
à la langue latine. Ces différences propres naiss
p; se bornera à ce qui est propre à la langue latine. Ces différences
propres
naissent du génie de cette langue, qui a admis tr
gaisons seront suivies de quelques remarques générales sur les usages
propres
de l’infinitif, des gérondifs, des supins, &
ce qui paroît avoir influé sur sa diction, lors même qu’il énonce ses
propres
pensées : on y sent le latinisme tout pur ; &
enir & à l’intelligence du sens, & à la connoissance du génie
propre
du latin : car loin de regarder cette interprétat
’un dictionnaire latin-françois qui leur présentât uniquement le sens
propre
de chaque mot, ou qui ne leur assignât aucun sens
assignât les radicaux latins des derivés & des composés, le sens
propre
en est plus sensible. Exercés quelque tems de cet
Marsais, je crois avoir suffisamment discuté ailleurs ce qui lui est
propre
. Voyez Inversion . B. E. R. M. MODES
, Personne, Concordance, Identité Il y a d’autres accidens qui sont
propres
au verbe, & dont aucune autre espece-de mot n
a concordance des personnes qui indiquent des relations exclusivement
propres
au sujet considéré comme sujet. Les modes imperso
airien, que la distinction des modes est chimérique, & uniquement
propre
à répandre des ténebres dans la Grammaire. La tro
res. Mais chaque espece de mot & même chaque mot ayant sa maniere
propre
de présenter l’objet dont il est le signe, la sig
appelle les modes des verbes, autrement chaque verbe auroit ses modes
propres
, parce qu’un attribut n’est pas susceptible des m
e ou plus pathétique, qui ne voit qu’un tour elliptique est bien plus
propre
à produire cet heureux effet qu’une construction
, elle consiste dans la totalité des idées qui en constituent le sens
propre
& figuré. Un mot est pris dans le sens propre
constituent le sens propre & figuré. Un mot est pris dans le sens
propre
lorsqu’il est employé pour exciter dans l’esprit
le il n’a rapport que par l’analogie de celle qui est l’objet du sens
propre
. Ainsi le sens propre est antérieur au sens figur
par l’analogie de celle qui est l’objet du sens propre. Ainsi le sens
propre
est antérieur au sens figuré, il en est le fondem
t des êtres déterminés ; c’est là le point de vûe commun qui leur est
propre
. Mais les adjectifs & les verbes ne se revêt
minés, voyez Identité , & c’est-là le point de vûe commun qui est
propre
à ces deux especes, & qui les distingue des d
ait attention à la premiere division des noms en appellatifs & en
propres
, & à la soudivision des appellatifs en généri
pellatifs, est celle d’une nature commune à plusieurs ; dans les noms
propres
, c’est l’idée d’une nature individuelle ; dans le
ifiques à l’égard de brute : Ciceron, Médor, Bucephale, sont des noms
propres
compris sous les spécifiques homme, chien, cheval
erminaisons différentes qu’ils prennent successivement selon le genre
propre
du nom auquel ils ont rapport, qu’ils imitent en
ur division métaphysique en appellatifs génériques, spécifiques &
propres
, sont également fondées sur l’idée déterminative
eur nature ; & de-là la division des noms en appellatifs & en
propres
, & celle des appellatifs en génériques &
ée totale, avec l’autre idée partielle qui constitue la signification
propre
ou de l’adjectif évangélique dans le second exemp
z Adjectif & Article . 6°. Les tems sont des formes exclusivement
propres
au verbe, & qui expriment les différens rappo
i ont admis des tems, que c’est une espece de variation exclusivement
propre
au verbe, puisqu’il n’y a que le verbe qui en soi
ien approfondi la nature des tems. Cette forme tient donc à l’essence
propre
du verbe, à l’idée différencielle & spécifiqu
n’est bonne qu’autant que le nom latin verbum sera pris dans son sens
propre
pour signifier mot, & non pas verbe, parce qu
tous la même idée fondamentale : mais chaque espece ayant sa maniere
propre
de présenter l’objet dont il est le signe, la sig
grément & d’élégance, mais, encore comme l’un des moyens les plus
propres
à faciliter l’intelligence & la communication
uisqu’il n’y a ni inflexion ni terminaison qui n’ait sa signification
propre
: mais les objets de cette signification ne sont
de qui nous descendons, eussent également trouvé ce radical dans leur
propre
fonds, & que l’onomatopée l’eût consacré chez
u’une articulation, & de donner à chaque articulation sa consonne
propre
.] « Quoi qu’il en soit de mon idée de réforme, d
est plus analogue au son nasal qui précéde, & conséquemment plus
propre
à le lier avec le son suivant que toute autre art
magnifique, regne, trogne, &c. Il faut en excepter quelques noms
propres
, comme Clugni, Regnaud, Regnard, où n a sa signif
t, est souvent l’abregé du mot nom, ou nomen, & le signe d’un nom
propre
qu’on ignore, ou d’un nom propre quelconque qu’il
m, ou nomen, & le signe d’un nom propre qu’on ignore, ou d’un nom
propre
quelconque qu’il faut y substituer dans la lectur
un attribut, non comme conçue par celui qui parle, mais comme un mode
propre
à sa pensée actuelle ; en un mot la négation ne p
nce elle-même qu’elle indique immédiatement comme l’un des caracteres
propres
au jugement actuellement énoncé. Si je dis, par e
qui ajoûtent à l’idée caractéristique de leur espece, & à l’idée
propre
qui les individualise l’idée particuliere de la n
nt l’absence de l’idée individuelle qui en constitue la signification
propre
; ce qui est communément indiqué par une particul
, non & ne, il y a dans notre langue quelques usages qui lui sont
propres
, & dont je pourrois grossir cet article ; mai
t je pourrois grossir cet article ; mais je l’ai déjà dit, ce qui est
propre
à certaines langues, n’est nullement encyclopédiq
es autres idiomes, parce que chaque langue est la totalité des usages
propres
à la nation qui la parle, pour exprimer les pensé
n entre deux partis opposés, &c. Le mot neutre est aussi un terme
propre
à la grammaire, & il y est employé dans deux
ux qui désignent des êtres qui ont ou qui peuvent avoir une existence
propre
& indépendante de tout sujet, & que les P
que l’esprit n’envisage en soi, & comme jouissant d’une existence
propre
, qu’au moyen de l’abstraction ; ce qui fait que l
ge la nature des êtres, on distingue les noms en appellatifs & en
propres
. Les noms appellatifs sont ceux qui présentent à
p; le troisieme, à chacun des individus de ces deux especes. Les noms
propres
sont ceux qui présentent à l’esprit des êtres dét
nt dans l’univers que des individus ; que chaque individu a sa nature
propre
& incommunicable ; & conséquemment qu’il
dans l’autre un chagement contraire. D’où il suit encore que les noms
propres
, déterminant les êtres par une nature individuell
re ; il semble qu’il ne devroit y avoir dans les langues que des noms
propres
, pour déterminer les êtres par l’idée de leur nat
yons cependant qu’il y a au contraire plus de noms appellatifs que de
propres
. D’où vient cette contradiction ? Est-elle réelle
? Est-elle réelle ? N’est-elle qu’apparente ? 1°. S’il falloit un nom
propre
à chacun des individus réels ou abstraits qui com
lui que le lecteur a actuellement sous les yeux. 2°. L’usage des noms
propres
suppose déja une connoissance des individus, sino
nnoît plus particulierement, y sont communément désignés par des noms
propres
, comme les empires, les royaumes, les provinces,
idus d’une certaine espece y est plus nécessaire ; ils ont leurs noms
propres
dans le langage de cette société particuliere : m
rande ourse, &c. entrez dans un manege, chaque cheval y a son nom
propre
, le brillant, le lutin, le fougueux, &c. chaq
. chaque particulier établit de même dans son écurie une nomenclature
propre
; mais il ne s’en sert que dans son domestique, p
phere. Si l’on ne vouloit donc admettre dans les langues que des noms
propres
, il faudroit admettre autant de langues différent
ve. Voyez Appellatif & Générique . § 2. Pour ce qui est des noms
propres
, c’est en vertu d’un usage postérieur qu’ils acqu
urroit pas prouver le contraire : au-lieu qu’il n’y a pas un seul nom
propre
dont on puisse assigner l’origine, dans quelque l
llative & générale. Tout le monde sait qu’en hébreu tous les noms
propres
de l’ancien Testament sont dans ce cas : on peut
ις, nova urbs, de νέος, novus, & de πόλις, urbs, &c. Les noms
propres
des Latins étoient encore dans le même cas : Luci
nemi, &c. Cette généralité de la signification primitive des noms
propres
pouvoit quelquefois faire obstacle à la distincti
n a cherché par-tout à y remédier. Les Grecs individualisoient le nom
propre
par le génitif de celui du pere ; Ἀλέξανδρος ὁ Φι
es ses branches ; Julii, Antonii, &c. c’étoit probablement le nom
propre
du premier auteur de la maison, puisque les Jules
téresser la Philosophie à l’égard des noms appellatifs & des noms
propres
, il faut nous arrêter un moment sur ce qui regard
pelloit B… Les premiers substantifs n’ont pû jamais être que des noms
propres
». L’auteur de la Lettre sur les sourds & mu
tisfaisante. Ce que l’on vient de remarquer sur l’étymologie des noms
propres
dans tous les idiomes connus, où il est constant
quelques appellatifs ayent cette priorité à l’égard de plusieurs noms
propres
: cependant il est certain que l’espece des noms
usieurs noms propres : cependant il est certain que l’espece des noms
propres
doit avoir la priorité de nature à l’égard des ap
me des autres langues. Car si l’on accorde à la dualité une inflexion
propre
, pourquoi n’en accorderoit-on pas aussi de partic
de ce que l’on prend pour appellatif des noms qui sont véritablement
propres
. Le nom de chaque métal, or, argent, fer, sont, s
ins qu’ils ne soient pris dans un sens figuré. Les noms reconnus pour
propres
sont précisément dans le même cas : essentielleme
s, c’est qu’il s’agit de noms véritablement appellatifs & devenus
propres
à quelque collection d’individus ; comme, Julii,
Romani, Afri, Aquinates, nostrates, &c. ou bien il s’agit de noms
propres
employés par antonomase dans un sens appellatif,
es, les Saumaises pour les fameux critiques, &c. Lorsque les noms
propres
prennent la signification plurielle en françois,
ment plusieurs individus d’une même famille, parce qu’ils sont le nom
propre
de famille, ils ne prennent pas la terminaison pl
lettres ; les Ciceron ne se sont pas également illustrés. Si les noms
propres
deviennent appellatifs par antonomase, ils prenne
ndividuelle de nombre, qu’il ne l’autorise d’appeller êtres, les noms
propres
qui expriment une idée individuelle d’être : il f
système numéral des langues ; chacune a été déterminée par son génie
propre
, qui n’est que le résultat d’une infinité de circ
ité est le nom appellatif ; couple, douzaine, vingtaine sont des noms
propres
ou individuels : & c’est ainsi que la nature
de vertu est exprimée par le nom appellatif vertu, & par les noms
propres
prudence, courage, chasteté, &c. Pour ce qui
, courage, chasteté, &c. Pour ce qui est des prétendus caracteres
propres
des mots que je regarde comme des noms numéraux c
seau, gâteau, veau. Cette irrégularité orthographique ne nous est pas
propre
: les Grecs ont dit ὦλαξ & αὖλαξ, sulcus (sil
avec la voyelle u pour représenter le son ou qui n’a pas de caractere
propre
en françois ; comme dans bouton, courage, douceur
e que dans le cas précédent, puisque ces sons ont d’autres caracteres
propres
. Or oi vaut ê : 1°. dans quelques adjectifs natio
int un trope, dit M. du Marsais, puisque le mot se prend dans le sens
propre
; mais j’ai cru qu’il n’étoit pas inutile de la r
aa, qui signifie fleuve ; ce nom générique est devenu ensuite le nom
propre
de trois rivieres dans les Pays-bas, de trois en
est jointe à l’échappement, on a joint de même deux caractéristiques
propres
: frangere, briser, breche, phur ou phour, c’est
stantivement dans la grammaire grecque, pour désigner un mode qui est
propre
aux verbes de cette langue. L’optatif est un mod
verbe. Voyez Mode & Oblique . Cette remarque me paroît bien plus
propre
à fixer l’optatif après le subjonctif dans l’ordr
qui le rendent reconnoissable ? Une langue est la totalité des usages
propres
à une nation pour exprimer les pensées par la voi
ement étymologique me paroît d’autant mieux fondé & d’autant plus
propre
à devenir universel, que l’on doit regarder les a
bles de la ponctuation. La premiere de ces deux formes me paroît plus
propre
à faciliter le coup d’oeil philosophique sur l’em
lations intérieures. L’Encyclopédie ne doit se charger d’aucun détail
propre
à quelque langue que ce soit en particulier, fût-
a été exposée dans le prospectus général de la Grammaire, étoit plus
propre
à faire embrasser d’un coup d’oeil toute l’étendu
z. M. l’abbé de Dangeau, opusc. 148. remarque que si dans quelque mot
propre
il y a pour finale un b ou un d, comme dans Amina
80. Les Latins employoient souvent p par abbréviation. Dans les noms
propres
, P. veut dire Publius ; dans S. P. Q. R. c’est po
deles fussent présentés aux jeunes gens sous une forme agréable &
propre
à intéresser leur imagination : il faudroit, selo
; & il est singulier qu’on se soit avisé si tard d’employer leur
propre
langue pour les instruire. Une autre méprise, c’e
minatif singulier en a ou en as, en e ou en es : ainsi après la regle
propre
à chaque espece, il faut un paradigme de chacune.
quent doit être connu ; & l’on remarquera l’irrégularité des noms
propres
en ius, de ceux en eus venus du grec, & de ce
ivent présenter les variations du mot sous les points de vûe les plus
propres
à fixer les lois usuelles de la Grammaire de chaq
. Cette disposition fera mieux sentir ce qu’il y a de commun & de
propre
à chaque personne. 2°. Comme l’expédient est égal
ens de dire de ceux de la langue latine, en observant ce que le génie
propre
de chaque langue exige de particulier, soit en pl
fication fondamentale qui le fait verbe ; & c’est ce point de vûe
propre
qui en fait dans le verbe un mode distingué des a
est séparer le participe du verbe, par la raison qu’il a un caractere
propre
qui l’empêche d’être confondu avec les autres mod
de la syntaxe usuelle, prouve directement que l’accusatif est le cas
propre
qui convient au complément objectif du participe,
cipe actif est toujours appliqué immédiatement à un sujet qui lui est
propre
, parce qu’il est adjectif, & que tout adjecti
oin ; accoutumé à déméler les nuances les plus delicates, & moins
propre
à approfondir la vraie nature des choses. Ce n’es
: il me semble seulement que ce tour est un peu plus éloigné du génie
propre
de notre langue, parce qu’il y a un hyperbate, qu
eule, dit M. l’abbé d’Olivet, & si connue de tout le monde, n’est
propre
qu’à confirmer la regle, & qu’à lui assurer l
fférenciées & par leurs noms spécifiques & par des caracteres
propres
très-marques : on ne s’avise point de dire que la
ître sous ce nom, puisqu’il faut blen en fixer la notion par un terme
propre
, ne sont les signes d’aucune idée totale ; la plu
, servant comme particule, conserve le même sens d’opposition qui est
propre
à la préposition ; contredire, contremander, cont
les noms patronymiques sont proprement ceux qui étant dérivés du nom
propre
d’une personne, sont attribués à tous ses descend
oit être donné qu’aux descendans immédiats de la personne dont le nom
propre
est radical, comme quand Hector, fils de Priam, e
qu’on l’a vûe avec réflexion, & qu’on ne l’assûre que d’après sa
propre
expérience bien constatée ; c’est donc un pléonas
ue hébraïque, & il semble en faire un caractere particulier &
propre
, tant l’usage en est fréquent & nécessaire. 1
e cette addition de l’infinitif au verbe n’a en hébreu aucune énergie
propre
: hac additio ejusdem verbi… nullam habet in hebr
M.) PLURIEL PLURIEL, le, adj. c’est un titre particulierement
propre
à la Grammaire, pour caractériser un des nombres
iel fait pareillement cieux au pluriel, quand il est question du sens
propre
; mais on dit des ciels de lit, & en peinture
e peut se restraindre à un nombre plus ou moins grand d’individus. Le
propre
de l’article est de déterminer l’étendue, de mani
ici que la dénomination du plus-que-parfait a tous les vices les plus
propres
à la faire proscrire. 1°. Elle ne donne aucune id
porté l’art de ponctuer à sa perfection, si l’Imprimerie, qui est si
propre
à éterniser les inventions de l’esprit humain, eû
ème de ponctuation construit sur de solides fondemens, n’est pas plus
propre
à la langue françoise qu’à toute autre langue. C’
plus pour le marquer : moins le tour ou la longueur de la phrase est
propre
à rendre sensible l’interrogation, plus il faut s
eptibles de ce genre. Quel inconvénient y a-t-il à les regarder comme
propres
aux deux, ainsi que leur pluriel ? Quoi ! on aime
t de mettre un acte en opposition avec l’habitude, l’adverbe est plus
propre
à marquer l’habitude, & la phrase adverbiale
end pour des prépositions, doit être rapporté à la classe qui lui est
propre
. Ainsi vis-à-vis, que l’on devroit, ce me semble,
L’opposition suppose toujours un fonds commun ; & rien n’est plus
propre
à faire bien sortir les différences des synonymes
’en second, & qui par conséquent se trouve conjointement avec son
propre
complément sous le régime de la premiere. Cette p
) employé quelquefois comme substantif ; c’est un terme exclusivement
propre
au langage grammatical, pour y signifier quelque
mbres & les cas dans les langues qui les admettent sont également
propres
aux deux especes, parce que les deux especes énon
ir des termes de M. l’abbé Girard, tome I. disc. vj. p. 283, que leur
propre
valeur n’est qu’un renouvellement d’idées qui dés
ue je ne l’aie désignée par aucun trait qui lui soit individuellement
propre
; le rôle dont elle étoit chargée dans la représe
rs ce sujet individuellement, & rappelle le souvenir de sa nature
propre
; mais ce souvenir n’est rappellé qu’accidentelle
t que par l’idée de la personne ou du rôle ; & c’est le caractere
propre
des pronoms. Quant à ce qu’ajoute M. Fréron que t
ois sujets déterminés, chacun par l’idée caractéristique de sa nature
propre
& individuelle. Voici une autre proposition d
elations supposent une succession dans leurs termes ; la priorité est
propre
à l’un, la postériorité est essentielle à l’autre
La proposition est simplement expositive, quand elle est l’expression
propre
du jugement actuel de celui qui la prononce : Die
0 ; & surmonté d’une petite barre, Q valoit 500000. Dans les noms
propres
des Romains, Q signifioit Quintus ou Quintius. Su
le fait à l’égard du premier ; ni l’un ni l’autre n’est l’objet de sa
propre
action ; l’action d’aimer est réciproque. Dans le
ppellé réfléchi, parce que le sujet qui agit, est alors l’objet de sa
propre
action ; l’action retourne en quelque maniere ver
dement à l’article Gouverner . Il s’agit ici d’en déterminer le sens
propre
par rapport au langage grammatical. Quoiqu’on ait
anieres possibles de déterminer la signification du mot. Rien de plus
propre
à mettre en abrégé, sous les yeux, toutes ces div
ne consulter que l’usage de notre langue, & de parler le langage
propre
de notre grammaire, sans égard pour la grammaire
elque chose de commun avec les autres pronoms, & quelque chose de
propre
. Ce qu’il a de commun, est qu’il se met au lieu d
is chrétien ; vous qui êtes chrétien ; lui qui est roi. Ce qu’il a de
propre
peut être considéré en deux manieres. La premiere
velle méthode pour cette langue. La seconde chose que le relatif a de
propre
, & que je ne sache point avoir encore été rem
d’une conjonction ; ce qui en le différenciant d’is, ea, id, le rend
propre
à unir la proposition dont il fait partie à une a
ement pour une conjonction & un pronom démonstratif : ce sont les
propres
termes de l’auteur : que dans d’autres occurrence
générale des adjectifs, que découlent les regles de syntaxe qui sont
propres
à cette sorte de mot. Premiere regle. L’adjectif
: il est vrai que le cas d’un pronom ne se décide que par le rapport
propre
dont il est chargé dans l’ensemble de la phrase,
ussi le fondement de la regle proposée par Vaugelas (rem. 369.) comme
propre
à notre langue, que le pronom relatif (c’est-à-di
est dit au mot Indéfini , (n. 2.) Coroll. 3. Comme la signification
propre
de chaque mot est essentiellement une ; c’est une
jà dit dans cet article, & je le répete encore : la signification
propre
des mots est essentillement une : la multiplicité
ion propre des mots est essentillement une : la multiplicité des sens
propres
seroit directement contraire au but de la parole,
y croy ent voir, ou qu’ils sont en état même de rendre raison de leur
propre
phrase, quelle heure est-il. Je n’irai pourtant p
es où entre qui, quae, quod, je veux dire, en rappellant l’antécédent
propre
& l’impératif qui doit marquer l’interrogatio
, &c. Il faut encore observer un principe étymologique qui semble
propre
à la lettre s relativement à notre langue, c’est
r sur les s muets, si ce n’est dans le seul mot est, ou dans des noms
propres
de famille, qui ne sont pas, rigoureusement parla
t dans les livres classiques. S, veut dire assez souvent Servius, nom
propre
, ou sanctus ; SS, sanctissimus. S. C, senatus con
itive est toujours l’objet immédiat des diverses acceptions. 1. Sens
propre
, sens figuré. Il n’en est pas ainsi à l’égard des
d’être détaillées ; on dit alors que le mot est employé dans le sens
propre
, comme quand on dit, le feu brûle, la lumiere nou
rimitive sans aucune altération, c’est pourquoi ils sont dans le sens
propre
. « Mais, dit M. du Marsais, Trop. Part. I. art.
ignant les objets avec plus de circonstances que ne feroient les noms
propres
de ces objets, les peignent ou avec plus d’énergi
n figurée est aussi facilement entendue que si l’on se servoit du mot
propre
; elle est même ordinairement plus vive & plu
nne en quelque sens figuré, c’est-à-dire, éloigné de sa signification
propre
& primitive. Les mots les plus communs, &
; alors il doit avoir recours à quelqu’autre expression figurée de sa
propre
langue, qui réponde, s’il est possible, à celle d
ndre ma pensée par cet exemple. Porter se rend en latin dans le sens
propre
par ferre : mais quand nous disons porter envie,
’agit de traduire un mot latin ? Pourquoi joint-on à la fignification
propre
d’un mot, quel qu’autre signification figurée, qu
nos dictionnaires donnassent d’abord à un mot latin la signification
propre
que ce mot avoit dans l’imagination des auteurs l
de deux sortes. 1. Il y a un sens littéral rigoureux ; c’est le sens
propre
d’un mot, c’est la lettre prise à la rigueur, str
uand on dit d’un politique, qu’il seme à propos la division entre ses
propres
ennemis, semer ne se doit pas entendre à la rigue
res ennemis, semer ne se doit pas entendre à la rigueur selon le sens
propre
, & de la même maniere qu’on dit semer du blé
met la main à la charrue & qui regarde derriere lui, n’est point
propre
pour le royaume de Dieu, on voit bien qu’il n’a p
un laboureur qui en travaillant tourne quelquefois la tête, n’est pas
propre
pour le ciel ; le vrai sens que ces paroles prése
ns allégorique se tire d’un discours, qui, à le prendre dans son sens
propre
, signifie toute autre chose : c’est une histoire
en votre main. Il me semble que de pareilles observations sont fort
propres
à faire concevoir qu’il est nécessaire d’apporter
ode subjonctif ; c’est sur-tout dans ce dernier sens que ce terme est
propre
au langage grammatical, pour y désigner un mode p
nnent véritablement noms : c’est lorsque l’on s’en sert comme de mots
propres
à marquer d’une maniere déterminée la nature des
e ; la comparaison que je fais de deux êtres est à moi, c’est un acte
propre
de mon esprit ; le rapport que je découvre entre
supériorité, comme le seul auquel l’usage ait destiné une terminaison
propre
, & le seul peut-être auquel il ait été fait a
spece, quoiqu’il en tire une conséquence assez différente ; voici ses
propres
termes : non parùm hanc sententiam juvat ; (il pa
ienne est plus conforme que l’allemande à celle des Latins. 6°. Notre
propre
usage ne nous démontre-t-il pas la même vérité ?
omme un signe de mépris, ou au contraire de caresse, que dans le sens
propre
de diminution physique, si ce n’est une diminutio
iversalité de notre analogie. 1°. Le sens ampliatif a une terminaison
propre
en grec, en latin, en italien & en espagnol ;
arque par la répétition matérielle du positif ; & ce tour qui est
propre
au génie de ces langues, a quelquefois été imité
latin tam magnus. 4°. Le comparatif de supériorité a une terminaison
propre
en grec & en latin : de σοφὸς, sage, vient σο
ues le seul des trois sens comparatifs qui y ait reçu une terminaison
propre
, on donne à l’adjectif pris sous cette forme le s
Pour ce qui est du superlatif, nous ne le différencions du comparatif
propre
qu’en mettant l’article le, la, les ou son équiva
ques idiomes, que l’usage les y eût caractérisés par des terminaisons
propres
; cependant la chose est évidente. Les adjectifs
e ou d’un article possessif ; ce qui fait la différence du comparatif
propre
& du superlatif. Outre ce mal-entendu, Vaugel
iens ont adopté dans ce sens le terme de supin, comme pouvant devenir
propre
au langage grammatical ; c’est assurément dans le
mae, Lugduni, est une phrase que l’usage n’autorise que pour les noms
propres
de villes qui sont singuliers & de l’une des
ment suivie d’un son qu’elle modifie, & auquel elle appartient en
propre
, sans pouvoir appartenir à aucun son précédent ;
oyelle écrite ; mais outre la précaution de ne pas imprimer le schéva
propre
à la consonne finale, un maître intelligent saura
s en deux sens différens dans la même phrase, d’une part dans le sens
propre
, & de l’autre dans un sens figuré. Voici des
oea thymo mihi dulcior Hyblae, Virg. ecl. vij. 37. le mot doux est au
propre
par rapport au thym, & il est au figuré par r
ts consumé, Brûlé de plus de feux que je n’en allumai. brûlé est au
propre
, par rapport aux feux que Pyrrhus alluma dans la
porte à cor eorum, est pris dans un sens métaphorique ; & le sens
propre
qui se rapporte à lac est nécessairement attaché
yllepse aux seuls cas où le sens figuré ne peut être rendu par un mot
propre
. M. du Marsais semble insinuer, que le sens figur
s n’est point une métaphore ; c’est une antonomase ; ce sont des noms
propres
employés pour des noms appellatifs. Je dis que da
it plus ou moins que le mot dont on se sert, ne signifie dans le sens
propre
. Quand au lieu de dire d’un homme qu’il aime le v
voiles une signification plus étendue que celle qu’il a dans le sens
propre
; je prends la partie pour le tout. La synecdoque
e on donne une signification particuliere, à un mot qui, dans le sens
propre
, a une signification plus générale ; ou au contra
raire, on donne une signification générale à un mot qui, dans le sens
propre
, n’a qu’une signification particuliere. En un mot
aire la synecdoque de l’espece : c’est lorsqu’un mot qui dans le sens
propre
ne signifie qu’une espece particuliere, se prend
es hivers, c’est-à-dire, après quelques années. L’onde, dans le sens
propre
, signifie une vague, un flot ; cependant les poet
. Que la synecdoque fait entendre le plus par un mot qui dans le sens
propre
signifie le moins ; ou au au contraire elle fait
au contraire elle fait entendre le moins par un mot qui dans le sens
propre
marque le plus. 2°. Dans l’une & l’autre figu
& leurs fausses diphtongues, & que ces termes sont absolument
propres
à leur prosodie ; nous ferons mieux de les regard
ticuliers de Regia Parnassi, de Gradus ad Parnassum, &c. est fort
propre
à perpétuer cette idée dans toutes les têtes qui
e à sa maniere par une idée accessoire qui lui constitue un caractere
propre
& singulier. La ressemblance que produit l’id
mme une source d’agrémens, mais encore comme l’un des moyens les plus
propres
à faciliter l’intelligence & la communication
s dignes de l’être. Ce n’est pas non plus une chose qui appartient en
propre
à notre idiôme. M. Gottsched vient de donner (175
le dans laquelle on traduit, ou même dans laquelle on veut écrire ses
propres
pensées. « Nous avons, dit M. du Marsais (Trop.
u de simplicité, que les idées peuvent avoir ; ils me paroissent plus
propres
à fatiguer la mémoire, qu’à enrichir & facili
e plutôt que comme une figure de construction ; puisque c’est, de son
propre
aveu, la loi de concordance qui est violée ici da
çue de l’autorité de l’usage, puisqu’elles n’ont aucune signification
propre
& naturelle. Que l’on reproche à notre usage,
leurs abusivement par le commun des Grammairiens, me paroissent assez
propres
à caractériser ces deux différences de tems. On p
quer que la dénomination de plusque parfait a tous les vices les plus
propres
à la faire proscrire. 1°. Elle implique contradic
espagnol, on trouve encore un prétérit antérieur périodique, qui est
propre
à ces langues, & qui differe du précédent par
mentale, différent entr’eux par les infléxions & les terminaisous
propres
à chacun. Je dis inflexions & terminaisons ;
modernes, nous conduit encore aux mêmes conclusions par ses analogies
propres
; & l’on peut même dire, qu’elle ajoute quelq
acine immédiate toute différente, & qui caracterise leur analogie
propre
: d’ailleurs, les tems correspondans de la voix p
séquent une racine commune, qui est comme le type de la signification
propre
à chaque verbe : cette racine passe ensuite par d
phoses, au moyen des additions que l’on y fait, pour ajouter à l’idée
propre
du verbe les idées accessoires communes à tous le
ajoutée à la racine commune modifiée par l’inflexion qui convient en
propre
à chaque verbe, caractérise le premier des prétér
ésens définis ont une inflexion commune b, qui leur est exclusivement
propre
, & qui indique dans ces deux tems une idée co
qu’il en exprime le rapport à l’action qui constitue la signification
propre
du verbe. On voit d’autre part les présens du ver
ujet, exprime l’état par rapport à l’action qui fait la signification
propre
du verbe, état d’antériorité qui devient dès-lors
ire l’épreuve, les mêmes analogies ou d’autres équivalentes également
propres
à confirmer mon systeme. Art. IV. Conformité du s
lleurs, & je le répete ici ; il est plus sage de se défier de ses
propres
lumieres, que de juger irrégulier ce dont on ne v
us universel. Mais notre langue en a adopté quelques-uns qui lui sont
propres
, & qui dès-lors méritent d’être également app
. Je ne sache pas qu’aucune langue ait admis des formes exclusivement
propres
à exprimer cette espece de tems ; mais, comme je
toutes les impressions des anciens préjugés par les détails les plus
propres
à justifier ce qu’ils mettent en-avant. 2°. Si l’
il se trouve même des gens de lettres, qui osent s’élever contre leur
propre
langue, la taxer d’anomalie, de caprice, de bisar
prétérit absolu & l’aoriste ont chacun une destination tellement
propre
, qu’il n’est jamais permis de mettre l’un à la pl
suffisante que chacune de ces formes a une destination exclusivement
propre
, & que je puis adopter toutes ses observation
semble que la version est plus littérale, plus attachée aux procédés
propres
de la langue originale, & plus asservie dans
La traduction ajoûte aux découvertes de la version littérale, le tour
propre
du génie de la langue dans laquelle elle prétend
ent & la source : le sens figuré ne peut prendre la place du sens
propre
que par analogie, & nervosus doit pareillemen
à un mot une signification qui n’est pas précisément la signification
propre
de ce mot … Ces figures sont appellées tropes, du
, afin de lui faire signifier ce qu’il ne signifie point dans le sens
propre
. Voyez Sens . Voiles, dans le sens propre, ne sig
signifie point dans le sens propre. Voyez Sens . Voiles, dans le sens
propre
, ne signifie point vaisseaux, les voiles ne sont
ris dans une signification qui n’est pas précisément sa signification
propre
… Par exemple, il n’y a plus de Pyrénées, dit Loui
: personne n’entendit cette expression à la lettre & dans le sens
propre
; elle avoit un sens figuré… Mais quelle espece p
? Cela dépend de la maniere dont un mot s’écarte de sa signification
propre
pour en prendre une autre ». I. De la subordinat
on embrasse ; & ces notions portent sur la connoissance des idées
propres
& distinctives qui les caractérisent : or cet
i est le fondement de la catachrese & de la métaphore ; on dit au
propre
une feuille d’arbre, & par catachrèse une feu
ecours à la catachrèse par nécessité, quand on ne trouve point de mot
propre
pour exprimer ce qu’on veut dire ». [Voilà, si j
hrèse, quand elle est employée par nécessité pour tenir lieu d’un mot
propre
qui manque dans la langue. D’où je conclus que la
étaphores, des tropes, mais si naturels & si clairs, que les mots
propres
ne le seroient pas davantage. Aussi notre langue,
st tellement accoutumé, qu’à peine les distingue-t-on des expressions
propres
, comme il paroît dans celles-ci qu’on donne pour
vec d’autres mots auxquels souvent il ne se peut joindre dans le sens
propre
, soit parce qu’on s’en sert par extension & p
tés que par nécessité, à cause du défaut & de la disette des mots
propres
, & qu’ils aient contribué depuis à la beauté
ntendoit pas assez ce qu’il faut entendre ici par la disette des mots
propres
. Rien ne peut, dit Loke, nous approcher mieux de
aturellement les terres : de même de rivales, qui se dit dans le sens
propre
, des bestiaux qui s’abreuvent à une même riviere,
purs êtres moraux. Citons encore un exemple tiré de la racine sidus,
propre
à montrer que les termes qui n’appartiennent qu’a
que l’on substitue quelquefois des termes figurés à la place des mots
propres
qui manquent, ce qui est très-véritable, Cicéron,
bourgeon de la vigne, parce, disent-ils, qu’il n’y avoit point de mot
propre
pour l’exprimer. Mais si nous en croyons les étym
exprimer. Mais si nous en croyons les étymologistes, gemma est le mot
propre
pour signifier le bourgeon de la vigne, & ç’
n effet, c’est toujours le plus commun & le plus connu qui est le
propre
, & qui se prête ensuite au sens figuré. Les l
ils ont cru que le nom de ce qui leur étoit plus connu, étoit le nom
propre
, & que le figuré étoit celui de ce qu’ils con
lites. 2°. L’idée du trope doit être tellement liée avec celle du mot
propre
, qu’elles se suivent, & qu’en excitant l’une
son simple, & qui, dans notre alphabet devroit avoir un caractere
propre
, plutôt que d’être représenté par la fausse dipht
lettre de l’alphabet françois, & la cinquieme voyelle. La valeur
propre
de ce caractere est de représenter ce son sourd &
mmaire générale dans la signification commune à tous les verbe, &
propre
à cette seule espece, lorsqu’après avoir remarque
quelques observations assez naturelles. 1°. L’affirmation est un acte
propre
à celui qui parle ; & l’auteur de la grammair
e idée ne peut donc pas être celle de l’affirmation, qui est reconnue
propre
à celui qui parle, & qui ne peut jamais conve
verbe susceptible. Or il est évident que nulle autre idée n’est plus
propre
que celle de l’existence à servir de fondement au
uit point que l’idée de l’existence intellectuelle ne soit pas l’idée
propre
de sa signification spécifique. Que dis je ? il s
en nettement l’origine des formes temporelles, qui sont exclusivement
propres
au verbe, & qui expriment en effet les divers
mp; la proprieté qui doivent lui convenir ; clarté qui doit la rendre
propre
à faire connoître la nature de l’objet défini, &a
. R. M.) VOIX Voix Voix, s. f. (Gram.) c’est un terme
propre
au langage de quelques grammaires particulieres,
l’on avoit en outre caractérisé les voix hébraïques par des épithetes
propres
à désigner les idées accessoires qui les différen
lui qui en joue, dit-il, (Consonne.) y souffle de l’air, on entend le
propre
son au trou que les doigts laissent ouvert… Voilà
r faire prendre à l’air qui sort de la trachée-artère la modification
propre
à exciter le son de telle ou telle voyelle. La si
est la matiere sort entierement par l’ouverture de la bouche qui est
propre
à ce son. Un son variable est nasal, lorsque l’ai
, lorsque l’air qui en est la matiere, sort en partie par l’ouverture
propre
de la bouche, & en partie par le nez. Par exe
eau avoit déja répondu à cette question d’une maniere détaillée &
propre
, ce me semble, à satisfaire. (Opusc. pag. 19-32.)
t pourquoi j’ai cru devoir définir une langue, la totalité des usages
propres
à une nation pour exprimer les pensées par la voi
iffere alors des deux premieres que par le t, qui en est le caractere
propre
. Il faut prendre garde au reste, que je ne préten
plausibles ; parce qu’une langue est en effet la totalité des usages
propres
à une nation pour exprimer la pensée par la parol
Elle ne se trouve au commencement que d’un très petit nombre de noms
propres
, empruntés des langues étrangeres, & il faut
, différentes valeurs. 1°. Elle vaut autant que C S à la fin des noms
propres
, Palafox, Pollux, Styx ; des noms appellatifs, bo
prit devient lion, il veut conquérir la liberté et être maître de son
propre
désert ». Il rugit : « Je veux », et il lutte con
les maîtres qui ne se moquent pas d’eux-mêmes », mais encore de notre
propre
passé, de toute continuité personnelle, de la cra
vers qui lui semble tout neuf, un univers qu’il croit l’œuvre de « sa
propre
volonté » et qu’il affirme « son propre monde ».
s qu’il croit l’œuvre de « sa propre volonté » et qu’il affirme « son
propre
monde ». En réalité, il est aidé par Hegel et Dar
l’instant, mais pour nous « surmonter », pour désirer et causer notre
propre
« déclin », pour nous donner à l’avenir et à la c
plus ceux qui fuyaient en silence aux premières questions, mais notre
propre
cœur, qui renferme en même temps la question et l
et nous émerveillaient ne sont que des portions mal connues de notre
propre
puissance ». « Notre propre puissance », quoiqu’
nt que des portions mal connues de notre propre puissance ». « Notre
propre
puissance », quoiqu’il la désigne souvent par le
es plus sûres et les plus personnelles. S’il veut désigner par un nom
propre
l’esprit d’analyse, il se donne le double ridicul
. » Et il dit à tous : « On n’agit décemment qu’en conformité avec sa
propre
nature ; les gens qui veulent agir ou ne pas agir
riel qui touche à la science divine avec des mains lourdes et avides,
propres
seulement aux grossiers labeurs terrestres : les
er. De l’union des deux antiquités dans Bossuet. — § II. Du caractère
propre
et distinctif de ce grand homme. — § III. Comment
les illusions du mysticisme et de l’ascétisme. § II. Du caractère
propre
et distinctif de Bossuet. Le caractère propre
§ II. Du caractère propre et distinctif de Bossuet. Le caractère
propre
et distinctif de Bossuet, c’est le bon sens. La d
as privé la vérité de ses preuves les plus sensibles, et éteint de sa
propre
main une des plus vives lumières auxquelles s’écl
holocaustes de la gloire humaine, et nul n’en a tracé des images plus
propres
à la faire aimer. Chrétien orthodoxe, il tient co
les mâles beautés de sa langue, avertissaient le futur orateur de son
propre
génie. De 1652 à 1659, ses années sont remplies p
ombien qui de bonne foi s’ignorent, qui sont pris aux pièges de leurs
propres
fautes, et qui confondent le mal avec le bien ! L
saints un texte où ce vice est caractérisé avec la force de peinture
propre
à ces livres. Il ajoute à cette première condamna
sien, par la connaissance des mouvements qu’il a pu réprimer, par ses
propres
fautes peut-être ; car telle est la faiblesse hum
s dont on a le soin, on s’éclaire, on s’avertit, on s’éprouve sur son
propre
esprit. On sent jusqu’où l’on peut être hardi san
d’accorder deux vérités contradictoires, mais également évidentes, sa
propre
prescience et la liberté humaine. C’est pour cela
les affaires de l’univers. On y voit chaque nation avec son caractère
propre
, ses révolutions, ses accroissements, sa ruine ;
rselle. Il a, dans chaque ordre d’idées, le langage à la fois le plus
propre
et le plus élevé. Condé n’eût pas mieux caractéri
ienne, ni le choc de la légion romaine ; il n’eût pas mieux peint ses
propres
modèles, les Alexandre, les Ahnibal, les Scipion,
bal, les Scipion, les César. Colbert n’aurait pas jugé en termes plus
propres
et plus précis, ni vu de plus haut la sage admini
rité de la matière ; ce qui prouve que les genres ont leurs richesses
propres
et que les grandes qualités de Bossuet lui vienne
utes les vicissitudes humaines, à la persécution, aux hérésies, à ses
propres
succès ; le seul empire qui se soit affermi par s
faits et les actes authentiques. Il battait les protestants par leurs
propres
paroles, par des actes de foi publique, par des c
ition, l’un par les petites raisons ingénieuses et captieuses du sens
propre
, l’autre par les grandes et invincibles raisons d
ce qui est de la théologie. Défenseur de la tradition contre le sens
propre
, il ne fait pas un pas au hasard, ne quittant pas
es ; il y faut chercher leurs contradictions, nées de l’excès du sens
propre
; leurs repentirs, toujours trop tardifs ; leurs
ements de plume ; le génie même de la tradition en lutte avec le sens
propre
d’un homme médiocre, chargé par son parti de fair
personnes instruites citer ce passage comme de Bossuet exprimant ses
propres
sentiments, et cédant à un moment de colère contr
dre à la fois plus claire la doctrine du théologien protestant, et sa
propre
réfutation plus éclatante. Il n’y a là qu’une fic
du particulier contre le général, de ce que Fénelon appelait le sens
propre
contre ce que Bossuet appelle la tradition et l’u
rieuse de la liberté, le général du particulier, la tradition du sens
propre
. Aussi bien ces victoires n’ont pas été meurtrièr
ombrages de Louis XIV, qui ne sut l’affaire que fort tard, mais à ses
propres
scrupules religieux, éveillés et commandés par ce
e à la fois le docteur de la tradition et le mystique de l’expérience
propre
, le chrétien actif et le parfait. Doué d’une imag
se combine, dans des proportions décroissantes, un mélange d’intérêt
propre
, et dont le dernier est cet amour entièrement dés
rêt de la compagnie et qui favorisait toutes les imaginations du sens
propre
, pour la prise que lui donnaient ces excès sur le
utenue par l’idée même de son bonheur, pour éviter le désespoir de sa
propre
destruction144. » La pièce la plus piquante du r
l’histoire de notre littérature. Chacun y déploya, outre les qualités
propres
à son génie, les qualités de sa cause ; mais la s
èrent avec éclat. Pendant que Rome examinait ce livre avec la lenteur
propre
au saint-siège, la guerre de plume commença. Les
, rendu sanglant par les passions qui s’y mêlent, du principe du sens
propre
, d’où naît l’activité et l’invention, et du princ
’à la condition de ne rien exclure, s’enrichit des inventions du sens
propre
, tout en lui faisant contre-poids. Dans la querel
le entre Bossuet et Fénelon, la transaction était impossible. Le sens
propre
n’y apportait que les pires de ses excès, des sub
qu’il y eût autre chose qu’illusion et ténèbres. Le défenseur du sens
propre
, Fénelon, est tout entier de sa personne dans ses
me quand il est paré de tant de grâces, remplit sa polémique. Le sens
propre
, l’expérience disent, en effet : Moi. De là vient
n intérêt médiocre pour le plus grand nombre et qu’il traite comme sa
propre
chose, les adoucissant, les atténuant, les modifi
’une main respectueuse. Je reconnais là les formes qu’affecte le sens
propre
, et je les note dans Fénelon, parce qu’elles sont
échappatoires pour se dérober aux décisions ! Encore un trait du sens
propre
: c’est d’adoucir le refus de ce qu’on nous deman
ui pouvaient s’y méprendre. Qu’offre-t-il ? De brûler Mme Guyon de sa
propre
main, et de se brûler lui-même ; ce qui fait dire
et trouva tout ce que peut suggérer de plus solide la défense du sens
propre
. Il voulait faire sortir du concours de certains
uet s’émeut non contre la personne, mais contre la diplomatie du sens
propre
; il s’impatiente à la poursuite de ces raisons q
re voir clair aux autres là où il confesse et s’attribue à mérite ses
propres
ténèbres. « Vous croyez, dit-il aux pieuses fille
re avec plus de précision que nous ne l’avons fait jusqu’ici le sujet
propre
de la classification proposée. (1) Tous les trava
ordre que nous puissions concevoir avec facilité (ce qui est l’objet
propre
de toutes les théories scientifiques) est telleme
y ait encore à cet égard beaucoup de confusion. Le corps de doctrine
propre
à cette classe nouvelle, et qui doit constituer l
a formation systématique de cette philosophie, les théories générales
propres
aux différents arts principaux doivent, au contra
stinction importante, qui achèvera de circonscrire nettement le sujet
propre
de l’étude que nous entreprenons. (6) Il faut dis
os études dans ce cours ; les autres, quelle que soit leur importance
propre
, ne sont réellement que secondaires, et ne doiven
terrestre, et sous l’influence des seules circonstances qui lui sont
propres
. Ce qui montre clairement la différence du point
ître ici, en effet, une nouvelle propriété essentielle de cette étude
propre
des généralités de physique abstraite ; c’est de
t que puisse nous présenter la physique concrète. III. Le sujet
propre
de ce cours étant par là exactement circonscrit,
ais cette étude doit être conçue comme entièrement séparée de l’étude
propre
et dogmatique de la science, sans laquelle même c
n caractère nettement distinct, de manière à ne pas altérer la nature
propre
de notre travail principal. (4) La discussion pré
de cas est, par cela même, dégagé le plus possible des circonstances
propres
à chaque cas séparé. C’est donc par l’étude des p
électriques et chimiques, modifiés par la structure et la composition
propres
aux corps organisés, notre division fondamentale
la gravitation universelle, plus quelques autres effets qui leur sont
propres
, et qui modifient les premiers. Il s’ensuit que,
leur, de l’électricité, etc., et présente, en outre, quelque chose de
propre
qui modifie l’action des agents précédents. Cette
le doit être fondée sur un corps d’observations directes qui lui Soit
propre
, tout en ayant égard, comme il convient, à son in
e vue général ; les chimistes qui, avant de s’occuper de leur science
propre
, n’ont pas étudié préalablement l’astronomie et e
ence fondamentale a donc, sous ce rapport, des avantages qui lui sont
propres
; ce qui prouve clairement la nécessité de les co
estituer à cette série son véritable premier terme, dont l’importance
propre
exigeait un examen spécial plus développé. On voi
un mauvais gouvernement, la France a copié, avec l’ardeur qui lui est
propre
, tantôt les défauts du peuple conquis, tantôt ceu
s et compris de tous. Vous ne le reconnaîtrez pas dans cette ambition
propre
à notre temps, qui prétend réunir toutes les qual
sens qui appartient à ce mot, c’est l’ensemble des procédés les plus
propres
à exprimer cet idéal sous des formes durables. De
blesse de vue qui ne peut pas percer les nuages qui nous dérobent nos
propres
pensées, y jouit d’un domaine sans limites. La su
tage. Il nous manque peut-être une certaine espèce de rêverie solide,
propre
aux grands poëtes du Nord ; une certaine richesse
opre aux grands poëtes du Nord ; une certaine richesse d’imagination,
propre
à ceux du Midi. Notre imagination, à force d’être
s, comme chez nos voisins, comme autrefois dans la Grèce, son domaine
propre
, son pays de chimères ingénieuses et charmantes ?
ui, entre toutes les langues littéraires modernes, la rendent la plus
propre
à exprimer des idées générales. Il suffit de cons
constitution physique du pays ; l’autre dépend du tour d’imagination
propre
à ce pays. Notre langue coule des lèvres sans con
. Je veux bien n’y pas voir un privilège ; mais si ce caractère n’est
propre
qu’à elle, et si d’ailleurs il n’a pas empêché qu
rts pour être clair, simple, précis, pour ne se servir que des termes
propres
, c’est-à-dire, pour n’être pas un méchant écrivai
quoi c’est à l’inspiration de les en tirer, et de les animer de notre
propre
vie dans la composition, afin qu’en même temps qu
le monde, par l’emploi que nous en faisons ils nous appartiennent en
propre
. Ainsi l’écrivain doit réunir deux qualités qui s
plus de tours incertains et équivoques qui sont goûtés comme l’allure
propre
à l’écrivain ; plus de nuances infinies : ne sera
ite et cette logique que nous voulons dans nos écrivains contre notre
propre
naturel en quelque sorte, lequel n’est ni si aust
t regardée successivement dans les images vraies ou prétendues de son
propre
esprit. Dans les unes, elle ne s’est pas reconnue
la pensée, de cette faculté inexplicable dont l’examen suffirait à sa
propre
occupation, si au lieu de se développer successiv
qu’il tient d’elle. On peut proposer au génie, de se plaire dans ses
propres
progrès, au cœur, de se contenter du bien qu’il p
étude et la méditation des sciences et des idées. Il semble que notre
propre
destinée se perde au milieu du monde qui se décou
dont la mélancolie est plus facile à supporter que le tourment de ses
propres
peines. Le joug d’une loi commune à tous, ne fait
à spiritualiser son être. Toutes les époques de la vie sont également
propres
à ce genre de bonheur ; d’abord, parce qu’il est
t à les mesurer, et ne laissent à l’homme aucun juge intérieur de son
propre
affaiblissement. Dans la carrière de l’étude tout
vie. C’est là que l’on voit l’homme véritablement aux prises avec ses
propres
forces. Nul être vivant ne le secourt, nul être v
lles sont d’un caractere opposé. Les unes ont été composées pour être
propres
à produire un certain effet, et les autres pour ê
our être propres à produire un certain effet, et les autres pour être
propres
à produire un effet contraire. à la guerre, lorsq
es de Quintilien et de Longin qu’on vient de lire, mais il m’a semblé
propre
à fermer la bouche à ceux qui voudroient douter q
Macrobe qui parle, qu’on fait jouër aux instrumens militaires un air
propre
à rechauffer le courage, lorsqu’il faut aller à l
os chagrins et notre mauvaise humeur : chacun en est convaincu par sa
propre
experience. Je sçai bien que les circonstances où
ur le dire en passant, ce point là n’est pas le seul sur lequel notre
propre
experience les ait défendus contre l’accusation d
la cité » le « Volksgeist », l’« esprit du temps » aurait ses pensées
propres
. Et ce seraient les pensées de ce mystère, les rê
même de leurs théories, et, en suivant le fil des idées qui leur sont
propres
, de rencontrer, en lieu et place de l’unanimité c
point : le socialisme et l’individualisme discutent sur les pratiques
propres
à réaliser les principes égalitaires moins que su
abord le premier postulat qui leur est commun est l’idée de la valeur
propre
l’individu. N’est-ce pas à cette idée qu’obéit le
té en général nous a paru être, en même temps que l’idée de la valeur
propre
à la personne, une des pierres angulaires de l’ég
modernes, elles reconnaissent aux hommes en tant qu’hommes une valeur
propre
. Et sans doute ces tendances humanitaires, comme
t de l’histoire ait préalablement ramené la combinaison de conditions
propre
à le susciter. Quant aux faits qu’on allègue, et
part, est-il même permis d’affirmer qu’elles reconnaissent des droits
propres
à leurs membres, comme à des personnes distinctes
est l’histoire des longs efforts de l’individu pour posséder enfin en
propre
. — Mais le gouvernement n’est pas réservé à une c
est primitive, ce sera justement l’absence de cette idée de la valeur
propre
à l’individu qui nous a paru si nécessaire à la c
cette église, est-il vrai que nous rencontrons notre idée des droits
propres
à l’individu ? L’analyse des institutions civiles
e fait jour qu’il existe une humanité, dont chaque membre a sa valeur
propre
: ce sont bien nos théories égalitaires qui brill
n de l’idéal est à distinguer de la recherche scientifique des moyens
propres
à le réaliser. 5. Cf. ce que dit M. Jaurès dans
nner tout ce qu’elle peut avoir. D’ailleurs, si les finesses de notre
propre
langue exigent de nous tant d’étude pour être bie
te foule de latinistes modernes, dont la plupart, insipides dans leur
propre
langue, nous en imposent dans une langue qui n’es
point de caractère qui les distingue : mais si toutes sont également
propres
à chaque genre d’ouvrage, elles ne le sont pas ég
mitation servile ; le traducteur copie avec des couleurs qui lui sont
propres
. Le caractère des écrivains est ou dans la pensée
galanterie, et de ces riens agréables que la langue italienne est si
propre
à rendre, et qu’il faut lui laisser ; enfin les L
e pouvaient rendre, des idées également heureuses et prises dans leur
propre
fonds, de suppléer aux vers d’image par des vers
les hommes de génie, les idées naissent sans efforts, et l’expression
propre
à les rendre naît avec elles ; exprimer d’une man
e à les rendre naît avec elles ; exprimer d’une manière qui nous soit
propre
des idées qui ne sont pas à nous, c’est presque u
il s’est réfugié ; ce n’est pas au moins faute de modèles dans notre
propre
langue, qui ne cèdent en rien aux anciens. Pour n
e qui mérite davantage d’être retenu ? Par ce moyen ils se rendraient
propre
, non tout ce que les anciens ont pensé, mais ce q
mpêtres, ne mêlant aucun autre prestige au sien, il est à soi-même sa
propre
illusion, sa propre folie, sa propre substance. I
ucun autre prestige au sien, il est à soi-même sa propre illusion, sa
propre
folie, sa propre substance. Ignorée de l’artisan
ge au sien, il est à soi-même sa propre illusion, sa propre folie, sa
propre
substance. Ignorée de l’artisan trop occupé, et d
; plus on est de bonne foi, plus on souffre ; on est le martyr de ses
propres
défiances : vous le savez, et ce n’est pas à moi
mante, elle n’implore le fils de Vénus que par des larmes, que par la
propre
main du perfide. Si elle y joint le souvenir de l
qu’il rassemble ; à chacune de leurs formes correspondent des effets
propres
. Et d’abord, c’est du nombre même et des rapports
istiques des sociétés primitives, auxquelles manque l’idée d’un droit
propre
aux individus, s’il en est un qui semble établi,
Chacun fabrique pour lui-même ce dont il a besoin, chacun a ses dieux
propres
, qui sont ses ancêtres. La famille antique idéale
isent des divisions nouvelles. C’était, semblait-il, le moyen le plus
propre
à affaiblir l’esprit aristocratique : « Si l’on v
utefois, sans parler encore de tout ce qui peut limiter ces exigences
propres
, est-il vrai que ces influences soient, partout e
rquer ce qu’ajoutent, à ces influences déjà analysées, les caractères
propres
à la forme sociale que nous venons de définir. Si
sons pour lesquelles l’émancipation des hommes devait être la mission
propre
des sociétés occidentales. De quelque nature qu’e
tout ses prétentions ; elle est faite pour mettre en relief la valeur
propre
à la personne. Lorsqu’un individu n’appartient qu
ses, et invite l’esprit à en faire abstraction pour mesurer la valeur
propre
aux individus. On dira peut-être que, pour divers
as, au contraire, porté à juger a priori, indépendamment de ses actes
propres
, de la valeur d’un individu par la place qui lui
es esprits qui, pour être idéale, n’en devait pas moins, par sa forme
propre
et la situation qu’elle occupait au milieu des au
es grades, au-dessus des autres, s’ils l’on mérité par leurs qualités
propres
de fonctionnaires185.. Les salons du xviiie sièc
par là même à diminuer, en même temps qu’augmente l’idée de la valeur
propre
à l’individu. On nous dit ; que quand tous les ci
s, et leurs titres n’empêchent plus de mesurer la valeur qui leur est
propre
. Ainsi, par la variété aussi bien que par la mult
de lui-même, ou dont il ne se seroit avisé que bien tard. On se rend
propre
en un jour des tours et des façons d’operer, qui
ns hardi que Le Florentin, ne seroit jamais parvenu, en volant de ses
propres
aîles, au sublime de cette idée. Du moins n’y ser
Le peintre a très-bien conservé à chacun des assistans son caractere
propre
; mais sur tout l’on voit avec plaisir le genre d
ns les ouvrages faits avant eux les frappent vivement. Ils se rendent
propre
facilement la façon de tourner les vers et la méc
rfection dont elles sont susceptibles. Il croit reconnoître ses idées
propres
dans les beautez d’un chef-d’oeuvre consacré par
ar l’impression que ces ouvrages feroient sur lui. La balance est peu
propre
à décider du prix des perles et des diamans. Une
ivité de son génie. Le monde n’est pour lui qu’un assemblage d’objets
propres
à être imitez avec des couleurs. Ce qu’il trouve
constituë le plagiaire, c’est de donner l’ouvrage d’autrui comme son
propre
ouvrage. C’est de donner, comme étant de nous, de
, pour faire un larcin en galant homme. Trouver en sa langue les mots
propres
, et les expressions équivalentes à celles dont se
des anciens ? Moliere a fait souvent la même chose, et riche de son
propre
fonds, il n’a pas laissé de traduire dix vers d’O
rence entre emporter d’une gallerie l’art du peintre, entre se rendre
propre
la maniere d’operer de l’artisan qu’on vient d’ad
s figures. Un homme sans génie n’est point capable de convertir en sa
propre
substance, comme le fit Raphaël, ce qu’on y remar
as bien lui-même, comme ils n’ont pas encore un stile formé, qui soit
propre
au caractere de leur génie, et convenable pour ex
grands artisans. Au lieu que les artisans sans génie, qui sont aussi
propres
à être les éleves du Poussin que du Titien, demeu
n fit des passions humaines. De cette idée dut naître le noble effort
propre
à la volonté de l’homme, de tenir en bride les mo
cipe, nous établissons que l’homme dans l’état bestial, n’aime que sa
propre
conservation ; il prend femme, il a des enfants,
celle de sa famille ; arrivé à la vie civile, il cherche à la fois sa
propre
conservation et celle de la cité dont il fait par
vaine curiosité d’en demander d’antérieures ; ce qui est le caractère
propre
des principes. Alors s’expliquera la manière part
nature (axiome 14) ; or l’explication de la nature des choses est le
propre
de la science. Enfin cette explication de leur na
irer de la chronologie et de la géographie métaphysiques qui lui sont
propres
, la science nouvelle applique une Critique pareil
ire des choses exprimées par les mots, en examinant d’abord leur sens
propre
et originaire, et en suivant le progrès naturel d
’une collectivité. Toute cette part de son œuvre est merveilleusement
propre
à mettre en relief, sous son jour le plus néfaste
arent suivant lequel un groupe social est contraint de renoncer à ses
propres
manières d’être pour se soumettre à celles d’un g
proprement une attitude d’utilité, c’est-à-dire un moyen de créer sa
propre
réalité par la discipline d’un commandement qui s
e, du lieu commun ou de la vérité rationnelle, une attitude d’utilité
propre
à une physiologie sociale différente. Ce Bovarysm
dire d’un pouvoir de réduction des forces extérieures à la loi de son
propre
mécanisme, ou selon qu’elle est flexible et mallé
rire son nom sur des phénomènes différents engendrés par son activité
propre
. Il exploite ainsi le prestige de l’idée à son pr
t d’abord un cas singulièrement typique d’une attitude d’utilité qui,
propre
à une physiologie collective déterminée, se propo
intervenue parmi ces ferments d’énergie forcenée que comme un poison
propre
à les engourdir et à les atténuer, et il s’est tr
idée générale, détachée d’une attitude d’utilité autre que la sienne
propre
; chacune de ces sociétés en se concevant chrétie
ue une attitude d’utilité préparée par une autre nation en vue de ses
propres
besoins. De fait il semble que, sous couleur d’an
évangélique et déprimante. Tandis qu’il déprécie les mobiles qui sont
propres
à susciter notre énergie, il ne procure pas, en c
idéal humanitaire et cosmopolite est donc bien une attitude d’utilité
propre
au groupe des nouveau-venus dans tout état organi
ndre pour une vérité d’application universelle une attitude d’utilité
propre
à une autre collectivité déterminée. C’est parce
auxquels son anatomie ne serait plus adaptée, ou qui ne seraient plus
propres
à le servir dans un milieu modifié. Si Ibsen a ex
et les Romains des premières périodes historiques appliquèrent à leur
propre
gouvernement des règles et des maximes instituées
e du beau jusque dans les œuvres destinées à représenter à l’homme sa
propre
laideur morale et physique ! Et, chose non moins
t cette découverte le physiologiste se fût mis à rire en pensant à sa
propre
supériorité. Aussi, il fallait dire : Le rire vie
e supériorité. Aussi, il fallait dire : Le rire vient de l’idée de sa
propre
supériorité. Idée satanique s’il en fut jamais !
Or, il est notoire que tous les fous des hôpitaux ont l’idée de leur
propre
supériorité développée outre mesure. Je ne connai
ura baissé d’un degré en pureté, elle commencera à avoir l’idée de sa
propre
supériorité, elle sera plus savante au point de v
ofondément humain. Il est dans l’homme la conséquence de l’idée de sa
propre
supériorité ; et, en effet, comme le rire est es
dans l’objet du rire. Ce n’est point l’homme qui tombe qui rit de sa
propre
chute, à moins qu’il ne soit un philosophe, un ho
u Sage. Comme le comique est signe de supériorité ou de croyance à sa
propre
supériorité, il est naturel de croire qu’avant qu
l’adjectif. Ainsi, tel artiste allemand ou anglais est plus ou moins
propre
au comique absolu, et en même temps il est plus o
bsolu et significatif, et de caractériser brièvement l’esprit comique
propre
à quelques nations principalement artistes, avant
manie irrésistible du vol, se dressait, escamotait victorieusement sa
propre
tête, comme un jambon ou une bouteille de vin, et
velopper chez le spectateur, ou plutôt chez le lecteur, la joie de sa
propre
supériorité et la joie de la supériorité de l’hom
stence phénoménale puisqu’elle ne lui donne d’autre aspiration que sa
propre
suppression. En dehors de ces deux tentatives d’e
deux attitudes selon lesquelles l’être parvient à se représenter à sa
propre
vue : l’attitude active de l’objet, l’attitude co
que antérieure au phénomène, quelque vague ressouvenir d’avoir été le
propre
impresario et le propre artisan de sa destinée. M
ène, quelque vague ressouvenir d’avoir été le propre impresario et le
propre
artisan de sa destinée. Mais le sentiment même de
ur qu’il en retire. C’est cet espoir d’un bonheur à conquérir pour sa
propre
personne ou d’une douleur à s’épargner, qui donne
é, avec le héros qui, parvenu à l’émotion esthétique, se reconnaît le
propre
créateur de la suggestion qui lui fit accomplir s
leurement. C’est ce monde souterrain qui est le second objet, l’objet
propre
de l’historien. Quand son éducation critique est
d’une narration décente, reparaissent au jour chacun avec sa saillie
propre
et ses diversités innombrables ; comment, sous de
avec son génie, si pliant, si large, si prompt aux métamorphoses, si
propre
à reproduire les plus lointains et les plus bizar
tats de la pensée humaine ; l’Angleterre avec son esprit si exact, si
propre
à serrer de près les questions morales, à les pré
est le second pas ; nous sommes en train de l’achever. Il est l’œuvre
propre
de la critique contemporaine. Personne ne l’a fai
e ; on est tombé sur quelque disposition primitive, sur quelque trait
propre
à toutes les sensations, à toutes les conceptions
sources, pendant une multitude de siècles, sont venues entasser leurs
propres
eaux. Le milieu. Lorsqu’on a ainsi constaté la st
ment commun reçoive du milieu, du moment ou de la race des caractères
propres
, il est clair que tous les groupes où il entre se
art et la philosophie seront différents. Si l’homme est naturellement
propre
aux plus larges conceptions universelles, en même
té, aptitude, disposition efficace et notable qui, ayant un caractère
propre
, l’introduit avec elle dans toutes les opérations
elle disparaît ; la faiblesse ou l’intensité de cette cause mesure sa
propre
intensité ou sa propre faiblesse. Elle lui est li
blesse ou l’intensité de cette cause mesure sa propre intensité ou sa
propre
faiblesse. Elle lui est liée comme un phénomène p
quelles sont les conditions de race, de moment et de milieu les plus
propres
à produire cet état moral ? Il y a un état moral
péciale qu’il faut faire ; c’est le tableau complet de ces conditions
propres
qu’il faut aujourd’hui travailler à composer. Rie
sont différentes ; chacun d’eux a son histoire morale et sa structure
propre
, avec quelque disposition maîtresse et quelque tr
dans ses livres qu’on trouvera encore aujourd’hui les essais les plus
propres
à frayer la route que j’ai tâché de décrire. Nul
e rend les sentiments visibles, plus il est littéraire ; car l’office
propre
de la littérature, est de noter les sentiments. P
uissant de l’entretien de ses poètes et leur faisant rivalité avec sa
propre
poésie. L’Écosse, durant tout ce temps, ne lui pa
n épousant ce jeune homme, son vassal, mais du nom de Stuart et de sa
propre
famille (29 juillet 1565), Marie échappait aux di
n David Riccio, homme de trente-deux ans pour lors environ, également
propre
aux affaires et aux plaisirs, qui la conseillait
et la servait comme secrétaire, et qui avait ce talent de musicien si
propre
à en recouvrir et à en introduire quelque autre a
contient ses mouvements. Elle ne devient politique, comme cela est le
propre
des femmes passionnées, que dans l’intérêt de sa
à les désavouer, et achève ainsi de l’avilir et de l’abîmer dans son
propre
esprit. Elle s’en tient là avec lui tant qu’une n
resbytère peu convenable pour recevoir un roi et une reine, mais très
propre
au crime qu’on voulait commettre. Darnley y périt
positions des témoins, et par les confessions des acteurs, et par les
propres
lettres de Marie Stuart, dont M. Mignet, dans un
ulait l’entendre, « qu’elle quitterait la France, l’Angleterre et son
propre
pays, et le suivrait jusqu’au bout du monde, vêtu
udent abandon de sa personne aux mains d’Élisabeth, semblent bien peu
propres
à faire de Marie Stuart l’héroïne touchante et pa
xiste en nous comme le principe de la vie, sans être l’effet de notre
propre
volonté ; elle semble un don du ciel comme toutes
s se connaître, et ce n’est que par la comparaison qu’elle apprend sa
propre
valeur. Jusques à ce qu’il eût rencontré le mécha
croire à la possibilité d’une manière d’être différente de la sienne
propre
. La triste connaissance du cœur humain fait, dans
her aux plaisirs que nous a valu la bonté. L’amour pleure souvent ses
propres
sacrifices, l’ambition voit en eux la cause de se
ance remplit le cœur comme l’étude occupe l’esprit ; le plaisir de sa
propre
perfectibilité s’y trouve également, l’indépendan
livrer aux douces émotions du cœur, et de vivre ailleurs que dans sa
propre
destinée : enfin, tout ce qu’il y a de généreux d
d’une coutume étrangère au lieu de subir la suggestion de la coutume
propre
à son groupe. Voici dès lors la collectivité divi
ion plus puissant ne fut projeté dans les consciences, ni ne fut plus
propre
à détourner de leur propre voie des activités en
ojeté dans les consciences, ni ne fut plus propre à détourner de leur
propre
voie des activités en formation. Sous l’influence
e se concevoir différent de soi-même. Il méprisa quelques-unes de ses
propres
aspirations pour s’attacher à un idéal en partie
oir perdu à cette, contemplation aucune des qualités qui leur étaient
propres
. Pour ce qui est de l’art de construire, si une m
difformité les œuvres d’une sensibilité qui a perdu conscience de ses
propres
manières d’être et se conçoit à l’imitation de mo
de ses écrits, et surtout de ceux qui datent de sa jeunesse, est bien
propre
à redoubler pour lui le respect. Le sourire, que
i-même pourquoi un autre lui doit commander jusqu’à ce que son besoin
propre
le lui fasse sentir. Mais ce besoin même, aussitô
t c’est par là qu’il vient à aimer l’obéissance, autant qu’il aime sa
propre
vie et sa propre tranquillité. Voilà ce qu’écrit
’il vient à aimer l’obéissance, autant qu’il aime sa propre vie et sa
propre
tranquillité. Voilà ce qu’écrit, ce que dicte Lo
sa supériorité souveraine. Laissons à chacun le nom qui le désigne en
propre
. Saint-Simon était un grand peintre et un profond
ommis qui, par art et flatterie, surent lui faire adopter comme de sa
propre
impulsion ce qu’eux-mêmes ils désiraient. Mais au
écipitation ; et il arrive même souvent que nous retardons, par notre
propre
impatience, ce que nous avions voulu trop avancer
esprits, et l’application de chacun à l’emploi auquel il est le plus
propre
et le plus utile au public, c’est là proprement l
i d’être léger et irrévérent à son égard. De temps en temps, dans ses
propres
discours, on le voit qui s’arrête et se retourne
atisfaction que doit avoir une âme généreuse quand elle a contenté sa
propre
vertu. » Parlant de ces six volumes de Mémoires
té, et finalement de moralité, qui est aussi celui qui règne dans ses
propres
écrits et dans l’habitude de sa pensée3. 54. [
persuadé que l’obscurité dans les pensées & dans le style seroit
propre
à donner du prix à ses Productions ? Mais on a dé
n ne croye cependant pas que ce Génie mystérieux ait tout tiré de son
propre
fonds : le plus souvent il n’a fait que copier le
er cet enthousiasme avec la haute opininion que notre siecle a de ses
propres
lumieres ? Sera-t-il croyable qu’en se laissant a
Philosophie n’est-elle pas déjà venue au point de se décrier par ses
propres
Ouvrages ? & ses Zélateurs ne sont-ils pas à
er que le nom de Sophistes, le seul que dans tous les temps on a jugé
propre
à les caractériser ?
ur originalité consiste précisément à attribuer aux hommes une valeur
propre
, différente de la valeur des choses. La notion de
if de l’égalitarisme, c’est l’affirmation que l’humanité a une valeur
propre
, et que par suite tous les hommes ont des droits.
s établies par l’expérience ? Au contraire, le sentiment de la valeur
propre
à l’individu nous paraît être un élément essentie
dépendants et originaux. Et c’est justement le sentiment de la valeur
propre
à la personne qui interdit de parquer les personn
s n’écarte nullement, mais appelle, au contraire, l’idée de la valeur
propre
à l’individu. Si donc l’idée de l’égalité exclut
us ; qui osera lui disputer celle de s’être fait un genre qui lui est
propre
, d’avoir égalé, surpassé même, à quelques égards,
également supérieur lorsqu’il s’agissoit de leur donner les couleurs
propres
à les embellir. Par-tout une poésie noble, tendre
ppée avec ses diverses nuances, manifestée par le langage qui lui est
propre
, sans s’écarter en rien de la Nature. Aucun Poëte
ts leur auroient manqué, ils eussent dédaigné tout ce qui n’étoit pas
propre
à repaître & à soutenir l’élévation de leur a
des fautes où peut conduire un instinct aveugle ; il est riche de son
propre
fond, &, avec le secours de l’imitation, maît
qui commencent, & dont on veut se faire des Panégyristes, ne sont
propres
qu’à produire des hommes vains & médiocres.
e suis ennemie jusqu’à ce point, ni du plaisir des autres, ni du mien
propre
. Je me souviens même d’avoir lu, il n’y a pas bie
plus de mérite pour être mises en beaux vers, parce qu’à leur mérite
propre
elles en joignent deux autres, celui de la diffic
les poésies de pur agrément, pourvu qu’elles contiennent des beautés
propres
à l’auteur, et par conséquent nouvelles ; je dira
ges sont l’âme de la poésie. On dit et on nous répète partout, que le
propre
du poète est de peindre, que la poésie est une pe
ées heureuses ou neuves ; c’est en second lieu quand l’expression est
propre
et juste sans être commune. C’est là le grand mér
plus la vraie langue française, les tours et la manière qui lui sont
propres
; que les ouvrages de Despréaux sont le code du b
peut jamais savoir parfaitement qu’une seule langue ; c’est la sienne
propre
: encore cela est-il rare ; et je me souviens que
bles à définir et d’autant plus clairs qu’ils brillent de leur clarté
propre
, c’est chose incontestable : tel est le fait de l
a volonté raisonnable deux idées directrices : l’idée de sa causalité
propre
et l’idée de sa finalité. La liberté sera réelle
nt qu’elle a pour ressort : 1° notre caractère même ; 2° l’idée de sa
propre
causalité. Mais, comme nous ne pouvons prendre un
ainsi déterminé le vouloir, sous l’idée elle-même déterminante de sa
propre
autonomie, nous finissons par prendre cette déter
e sera, en d’autres termes, un déterminisme modifié par l’idée de son
propre
contraire et de ses propres limites, façonné par
un déterminisme modifié par l’idée de son propre contraire et de ses
propres
limites, façonné par l’idée d’une puissance d’ind
tre a beau se trouver déterminé par quelque chose de soi, à savoir sa
propre
douleur, il est évident qu’il n’est pas libre. On
e reflet et qui, en tout cas, contribuent à lui donner sa physionomie
propre
, son caractère d’agitation et de « perturbation »
c notre moi lui-même et nous soit ainsi vraiment inférieure, vraiment
propre
et personnelle ; c’est ce qui constitue la sponta
me mettra dans des conditions favorables à l’exercice de ma puissance
propre
. Il peut même arriver que toute ma puissance rési
produit un effet d’arrêt sur les mouvements contraires à sa direction
propre
. En somme, est incomplète toute analyse qui consi
aît comme contrainte, soit externe, soit interne. Elle est éminemment
propre
à développer l’instinct de résistance à l’égard d
lors qu’elle est l’intelligence exerçant son action sous l’idée de sa
propre
causalité. Par cela même, la liberté n’est pas «
r cela même, la liberté n’est pas « sans lois », mais elle a des lois
propres
, très différentes par leur nature des lois physiq
pas voir que le moi, en se concevant lui-même, arrive à concevoir sa
propre
indépendance, sa propre liberté, et à la vouloir
se concevant lui-même, arrive à concevoir sa propre indépendance, sa
propre
liberté, et à la vouloir ; qu’ainsi le sujet pens
détermine ce moi : j’agis sous l’idée de moi-même et de ma causalité
propre
. Prétendre que cette auto-détermination, pour laq
posture de prendre le change sur eux-mêmes et de s’identifier à leur
propre
vue avec l’image qu’ils ont substituée à leur per
mi des péripéties de roman. Il lui faut donc, après avoir falsifié sa
propre
sensibilité, falsifier les conditions extérieures
onnages, c’est un défaut essentiel de caractère fixe et d’originalité
propre
, en sorte que, si l’on peut formuler que sous l’i
t choisit, parmi les circonstances qui l’environnent, celles qui sont
propres
à, satisfaire sa tendance. Ce besoin de se concev
’elle est contrainte de transformer afin de les percevoir, figure son
propre
moi, sa propre personne. Elle ne tient compte d’a
ainte de transformer afin de les percevoir, figure son propre moi, sa
propre
personne. Elle ne tient compte d’aucun de ses ins
si forte chez Bovary, qu’elle pourrait la contraindra à répudier son
propre
rêve, s’il venait, par impossible, à prendre lui-
toute réalité. Ayant exilé de son âme tous les sentiments qu’elle est
propre
à éprouver, s’en étant attribué d’autres qui sont
stances qui semblent le déterminer, il révélait une source d’activité
propre
. Par cet exemple, ce fait de se concevoir autre,
e moderne : à celui-ci, la vulgarisation de l’enseignement, phénomène
propre
à notre temps, ouvre des perspectives illimitées
s plus médiocres parmi les derniers venus prennent le change sur leur
propre
valeur ; ils se gonflent, comme d’un mérite indiv
’avec l’universalité des modes de la connaissance, l’homme se conçoit
propre
à atterrir en des régions qui lui demeurent inacc
l’idéal érigé en Dieu par Aristote, — la pensée suspendant tout à ses
propres
lois et se repliant sur soi dans la pensée de la
ie qu’elle réalise entre nos puissances, n’a besoin que de suivre son
propre
élan, de se dégager des entraves extérieures et d
métaphysique, comme la morale, l’art enlève donc l’individu à sa vie
propre
pour le faire vivre de la vie universelle, non pl
l’artiste, car « on ne donne après tout la vie qu’en empruntant à son
propre
fonds… Produire par le don de sa seule vie person
n sent, avant de se demander le pourquoi et de chercher à utiliser sa
propre
existence. C’est s’arrêter à la superficie des ch
des masses, les prêtres d’une religion sociale sans dogme. « C’est le
propre
du vrai poète que de se croire un peu prophète, e
t-il tort ? Tout grand homme se sent providence, parce qu’il sent son
propre
génie. » On retrouvera dans ce livre les qualités
ême, sa plus haute et dernière expression ; quant à son individualité
propre
, elle comptera pour peu de chose. Nul ne pouvait
os membres, et ce qu’il faut avant tout sauver dans la vie, c’est son
propre
cœur12. » Voilà pourquoi le savant, par exemple,
e pour traverser et animer la nature entière ; il n’écoute battre son
propre
cœur que pour sentir venir jusqu’à lui quelques-u
laire » ; et il ajoute ces belles paroles, qu’on peut appliquer à son
propre
ouvrage sur l’art : « Le livre ami est comme un œ
rde les mots du côté de leur signification qui les rend plus ou moins
propres
à reveiller en nous certaines idées, la mécanique
ont point de tort. Ainsi, après avoir fait voir que le latin est plus
propre
à faire des images que le françois, à cause de sa
atin qui sçait mal cette langue ne rencontrant point assez-tôt le mot
propre
pour signifier le mot françois qu’il veut rendre,
naval ou d’une séance du parlement a eu sous sa main tous les termes
propres
qui sont necessaires à sa narration, ne peut trou
dont le traducteur doit parler, les romains n’avoient point de termes
propres
pour les signifier. Ils n’avoient point de mots p
int de termes propres pour les signifier. Ils n’avoient point de mots
propres
pour dire un mortier, et l’angle saillant d’une c
ts pour lesquels les deux langues sont également avantagées de termes
propres
. Or rien ne sert plus à rendre une phrase énergiq
par rapport à la poësie du stile ; mais il est encore infiniment plus
propre
que le françois pour réussir dans la mécanique de
agnon que de celui de collegue en une phrase où collegue étoit le mot
propre
. Il s’est prévalu de la maxime de Ciceron, qui pe
valeur des sons, la combinaison des syllabes ; l’arrangement des mots
propres
à produire de certains effets, ni le rithme qui p
oreille du poëte à chercher quel étoit le mélange de ces sons le plus
propre
à produire une harmonie agréable et convenable au
s autres corps en mouvement ; la mesure étant d’abord empruntée à nos
propres
mouvements. II Abordons maintenant l’étud
culier dans les viscères, elles n’ont point d’organes qui leur soient
propres
. Leur action sourde, obscure, mais continue, exer
stème musculaire. Le système nerveux n’est pas seulement l’instrument
propre
de la faculté de sentir, il a aussi des sensation
es conditions d’un sens ; un objet externe, la nourriture ; un organe
propre
, le canal alimentaire. Nous lui devons les sentim
roites ? elle montre qu’on s’est complètement mépris sur les procédés
propres
au sens de la vision. Nos idées de haut et de bas
ivoque. On peut croire d’abord qu’il s’agit de ces phénomènes curieux
propres
aux animaux inférieurs dont l’origine et la cause
ontanéité s’arrête donc en deçà de ce qu’il faudrait faire pour notre
propre
conservation. La volonté, au contraire, connaît l
e Corps, et M. L. Peisse, la Médecine et les Médecins. Les sensations
propres
à la migraine, à l’indigestion, aux palpitations,
rminable tremblement heureux, caressent sur le corps des lévriers son
propre
prurit de tuer. Et, cependant qu’il explique « l’
e sorte que l’avenir ne trouvera rien de plus comique chez lui que sa
propre
grandiloquence. Car on apercevra dans cinquante a
que de telles absences d’âmes nient toute l’âme, il ne prouve que son
propre
vide intérieur. En vain son âpre volonté de beaut
actère, son tempérament, son sang, ses nerfs ; en la persuadant de sa
propre
bonté, de sa propre vertu, de sa propre supériori
ent, son sang, ses nerfs ; en la persuadant de sa propre bonté, de sa
propre
vertu, de sa propre supériorité ». Le plaisant, c
erfs ; en la persuadant de sa propre bonté, de sa propre vertu, de sa
propre
supériorité ». Le plaisant, c’est que Matilde Ser
uzanne, quelquefois par celle des autres personnages, et aussi en son
propre
nom, Thomas Hardy fait une critique victorieuse d
e connaître les types vivants conçus par l’auteur en analogie avec sa
propre
vie et sa propre nature : nous verrons alors jusq
ypes vivants conçus par l’auteur en analogie avec sa propre vie et sa
propre
nature : nous verrons alors jusqu’à quel point il
ez la personnalité des œuvres, leur ordonnance intérieure et leur vie
propre
. « Vous me parlez, écrit Flaubert, de la critique
ition. Dans ces moments-là, le maître devient, pour ainsi parler, son
propre
disciple. On a dit encore43 que « la critique des
fait pas bonne moisson : le critique est jugé par la stérilité de sa
propre
critique. Quant à espérer mieux comprendre le gén
une si capitale importance aux opinions de l’Académie, et aux siennes
propres
! Celui qui se fâche a tort, même s’il a raison,
u où tel chef-d’œuvre a pris naissance, pour nous dépouiller de notre
propre
esprit et de nos préjugés personnels. Nous consid
t en garde les ames vertueuses, qui ne veulent faire que des lectures
propres
à leur former l’esprit sans corrompre le cœur. J’
dont l’histoire nous raconte la chûte, accablés sous le poids de leur
propre
grandeur. Le Polexandre du verbeux Gomberville ;
timens sont délicats ; les passions y parlent le langage qui leur est
propre
. Il y regne le ton du monde & d’un monde poli
réables. La peinture trop peu voilée de certaines foiblesses est plus
propre
à inspirer le vice, qu’à le corriger. L’auteur a
rcevoir la morale dans la lecture. Leur mérite particulier est d’être
propres
à être accommodés au théâtre : aussi depuis qu’il
vêtues de ce style enchanteur, & contées avec cette grace qui est
propre
à M. de Voltaire. Les Contes philosophiques &
le désavoua, & pour qu’on ajoutât foi à ce désaveu, il réfuta son
propre
ouvrage dans une assez plate production intitulée
tend se servir pour exciter la terreur et la compassion, sentimens si
propres
à purger les passions. Par langage préparé pour p
veux dire du choix des accens ou des tons convenables aux paroles et
propres
par conséquent à toucher le spectateur. C’étoit d
lus grande passion. Il répond à cette question que ces deux tons sont
propres
à l’expression des passions emportées des hommes
de certaines passions, comme il y a des modes dans notre musique plus
propres
que d’autres à les bien exprimer. Ce que les grec
originairement signifioit autre chose, et d’ailleurs il étoit le mot
propre
pour signifier la déclamation, et détermine encor
e rapportez, et où il veut dire simplement des vers, la signification
propre
de ce mot leur a échappé, et faute d’en avoir eu
erdu. Ce temps serait bien mieux employé à apprendre par principes sa
propre
langue, qu’on ignore toujours au sortir du collèg
ude de l’histoire, c’est peut-être l’enfance qui est le temps le plus
propre
à l’apprendre. L’histoire, assez inutile au commu
ntes études, celle des beaux-arts, et surtout de la musique, étude si
propre
pour le former le goût et pour adoucir les mœurs,
. Ce vice naît toujours d’un défaut de logique, quand on écrit de son
propre
fonds ; ou d’ignorance soit de la matière, soit d
ué du dictionnaire historique, en ce qu’il exclut les faits, les noms
propres
de lieux, de personnes, etc. ; et il est distingu
nous parlons, il faudra observer de placer les mots suivant leur sens
propre
et primitif, et non suivant leur sens métaphoriqu
ire du sens précis, par rapport au sens vague, nous le dirons du sens
propre
par rapport au sens métaphorique ; la définition
ns métaphorique ; la définition ne doit jamais tomber que sur le sens
propre
, et le sens métaphorique ne doit y être ajouté qu
ble des mots y est employée dans le sens métaphorique, et que le sens
propre
des mots ainsi employés dans un sens métaphorique
us en usage, la définition doit néanmoins toujours tomber sur le sens
propre
, en avertissant qu’on y a substitué le sens figur
ns chaque phrase. Le sens qu’on attachera à ces mots sera, ou le sens
propre
, ou le sens figuré : dans le premier cas, on aura
’idée commune qu’ils peuvent renfermer, et cette idée donnera le sens
propre
et primitif. Il est certain qu’on pourrait appren
sonnement et d’analyse. Je reviens à la distinction du sens précis et
propre
des mots d’avec leur sens vague et métaphorique :
r l’autre. On nous permettra d’observer ici qu’un des moyens les plus
propres
pour se former à cet égard le style et le goût, c
ctionnaire de langue. Premièrement on doit en exclure, outre les noms
propres
, tous les termes de sciences qui ne sont point d’
ue la prose et la poésie admettent également, d’avec ceux qui ne sont
propres
qu’à l’une ou à l’autre ; les mots qui sont emplo
ils ont un pluriel ou s’ils n’en ont point ; distinguer les adjectifs
propres
, c’est-à-dire, qui doivent être nécessairement jo
r un même mot, à moins qu’on ne distingue exactement la signification
propre
et précise d’avec celle qui n’est qu’une extensio
sse distinguer le mot pousser de tous les autres, comme étant le sens
propre
. On peut faire cette distinction en deux manières
r ; mais je crois qu’il vaudrait mieux encore s’en tenir au seul sens
propre
, sans y joindre aucun autre ; c’est charger, ce m
it suffira toujours pour déterminer si la signification du mot est au
propre
ou au figuré. Les enfants, dira-t-on peut-être, y
les égaux, et l’espèce de monotonie qui y règne rendaient cette forme
propre
à exprimer l’abattement et la langueur qu’inspire
s pentamètre qui y entre, aurait une sorte de légèreté et de facilité
propres
à exprimer la joie ? serait-ce qu’à mesure que le
l’orateur ni au musicien du talent et de l’oreille ; mais elles sont
propres
à l’aider. Ouvrez le traité de Cicéron intitulé O
ns, donnons en peu de mots, d’après les grands maîtres et d’après nos
propres
réflexions, les principales règles de l’élocution
autres la rendent et la font saisir avec justesse par une expression
propre
. De la propriété des termes naissent trois différ
donc la convenance du style au sujet ? 1°. à n’employer que des idées
propres
au sujet ; c’est-à-dire, simples dans un sujet si
tes dans un sujet agréable ; 2°. à n’employer que les termes les plus
propres
pour rendre chaque idée. Par ce moyen, l’orateur
sie des anciens, cependant elles ont chacune une mélodie qui leur est
propre
; peut-être même celle de la prose a-t-elle un av
, trop difficiles à suppléer, à rendre enfin chaque idée par le terme
propre
: par ce moyen on évitera toute répétition et tou
Tacite. Il ne suffit pas au style de l’orateur d’être clair, correct,
propre
, précis, élégant, noble, convenable au sujet, har
en général les opinions avancées ou soutenues ailleurs que dans leurs
propres
articles, puisque tout est libre dans cet ouvrage
prédilection, que je serais embarrassé aujourd’hui d’y revenir, si le
propre
de ces grands et féconds esprits n’était pas d’ex
général, n’a rien de beau. Toutefois, après qu’on s’est emparé de ses
propres
aveux à lui-même, après qu’on a écouté sur son co
nce que son empereur mettait en lui. Tant que l’homme n’a pas, de son
propre
mouvement, dépouillé et disséqué sa fibre secrète
s à faire ton bonheur du salut d’autrui, au prix de ta gêne et de ton
propre
sacrifice, ô égoïste sublime ! » — Que dis-je ? n
ne peut plus être défini que le principe intime d’action et d’attrait
propre
à chaque être. L’inconvénient du système de La Ro
goût d’emboucher ainsi la trompette à tout moment et de proclamer sa
propre
gloire en si tendre sujet. Pourquoi la trompette
ses 6. Le défaut, précisément, de M. Cousin est l’exagération, et le
propre
de cette belle époque est la mesure. Au moment où
temporains, par ces oppositions manifestes, ne font que déclarer leur
propre
nature, proclamer ce qui leur manque, et deviner
sité des conditions et des vocations : « Chacun tient de Dieu son don
propre
, l’un d’une façon, l’autre d’une autre. » (Premiè
mes sont tout d’une pièce… M. Saint-Marc Girardin pratiqua, pour son
propre
compte, ce conseil si juste, et prêcha d’exemple.
i sauter au cou en l’embrassant. Or, le dirai-je ? c’est ce mouvement
propre
au poète que je ne sens jamais dans le spirituel
renouvelé en l’appliquant ; il se l’est rendu tout à fait original et
propre
. L’échelle qu’il parcourt est des plus étendues,
avec lui des termes d’un éloge continu. Si j’osais lui emprunter son
propre
langage ou du moins essayer de lui appliquer sa p
emprunter son propre langage ou du moins essayer de lui appliquer sa
propre
méthode pour le caractériser, voici comment je m’
elle a ses perpétuels changements à vue. Elle dissimule l’inquiétude
propre
aux modernes sous la mobilité, sous une agilité s
Là où il me paraît tout à fait à l’aise et dans le milieu qui lui est
propre
, sans effort, avec une bonne grâce et une mesure
personnage, ils pensoient qu’ils devoient donner le dessein du masque
propre
à le représenter. Ils plaçoient donc après la déf
ollux dans l’ouvrage que nous citons, dit quelque chose qui me paroît
propre
à confirmer la conjecture ingénieuse et sensée do
i ressembloit lors qu’Aristophane lui fit joüer un personnage sous le
propre
nom de Socrate dans la comédie des nuées. Ce même
e pût être autre chose que la commodité d’y mieux ajuster les cornets
propres
à rendre plus forte la voix des acteurs. Nous voï
’apprenons dans les vers que prudence a fait contre Symmaque, étoient
propres
à recevoir cette incrustation. Ceux qui récitent
e nous dit sur la maniere d’y placer des echaea ou des vases d’airain
propres
à servir d’échos. Cet auteur, en parlant de l’arc
r toutes ces choses, s’ils avoient négligé de chercher des inventions
propres
à faire faire aux masques de théatre l’effet, qui
poèmes seront peut-être accusés d’archaïsme et d’allures érudites peu
propres
à exprimer la spontanéité des impressions et des
stériles, impuissants que vous étiez à exprimer autre chose que votre
propre
inanité. Instituteurs du genre humain, voici que
lligent et de plus triste que cette excitation vaine à l’originalité,
propre
aux mauvaises époques de l’art. Nous en sommes à
traditions oubliées, qu’il fera revivre dans les formes qui lui sont
propres
. Au milieu du tumulte d’idées incohérentes qui se
ignorance des traditions mythiques et l’oubli des caractères spéciaux
propres
aux époques successives ont donné lieu à des mépr
arrive donc que nous ne devions plus rien produire qui soit dû à nos
propres
efforts, sachons garder le souvenir des œuvres vé
us eu de raison d’être du jour où les races ont perdu toute existence
propre
, tout caractère spécial. Que sera-ce donc si elle
beauté visible, et qu’il le concentre et l’enchâsse dans l’expression
propre
, précise, unique. Il porte à la majesté de l’art
, à la grande poésie anglaise, allemande, orientale, ainsi qu’à notre
propre
renaissance littéraire, Béranger, on peut l’affir
; la langue dans laquelle elles sont exprimées n’a point de caractère
propre
; les vers différent peu de la prose courante et
nt de la critique sans recul, sans arrêt, et qui assiste encore à son
propre
triomphe, plus fort qu’aux heures orageuses de sa
émoigneraient seuls, au besoin, de l’exactitude du fait, si son œuvre
propre
ne le démontrait surabondamment. Le vers des Médi
e qu’il est. Les piqûres envenimées, les insultes, les négations, ses
propres
efforts au besoin, ne le transformeront pas. On n
t parler. Il faut réduire à ce qu’elle vaut cette prétention comique,
propre
aux Français, de penser et d’exiger qu’on pense.
des vertus d’art souvent refusées au poète ; mais celles qui lui sont
propres
et qui ne lui font jamais défaut, l’élévation, la
e l’homme, et de se pénétrer à son gré des sentiments et des passions
propres
aux époques et aux races disparues. Si poète veut
tel que la révolution de 1830, par exemple ; s’il possède les vertus
propres
à la poésie, c’est-à-dire la puissance de général
es. C’est à ce prix qu’on sauvegarde la dignité de l’art et la sienne
propre
. Quant à ceux qui s’enorgueillissent de n’être qu
mécaniques. Cette ardeur indécente et ridicule de prosélytisme moral,
propre
aux vertueuses générations parmi lesquelles la nô
oque et qu’il y revécût exclusivement, au lieu d’y choisir des thèmes
propres
au développement des idées et des aspirations du
semblait méconnaître ainsi la nature essentielle de l’art qui est son
propre
but à lui-même, du moins n’a-t-il jamais oublié q
s reconnaître qu’il ne doit sa magnifique conception du beau qu’à son
propre
génie, comme ses élans de bonté et de vaste indul
ropre génie, comme ses élans de bonté et de vaste indulgence qu’à son
propre
cœur. Mais qu’importe ! Cette foi, faite d’ébloui
ue des idées de durée et de vie. La médiocrité, non plus, n’est guère
propre
à faire naître en nous un sentiment d’espèce si d
endu et lucide, d’une vaste mémoire, inépuisable en œuvres, également
propre
aux histoires sérieuses et aux amusantes, renommé
mbre qui en éclipsent le vrai règne, elle peut garder au fond sur son
propre
sort cette indifférence folâtre et languissante q
le aisément sans les tenir ; elle avait puisé dans l’ingénuité de son
propre
fonds et avait développé en elle, par l’excellent
is ils étoient morts comme moi ! » L’étude en effet, qui, suivant sa
propre
expression, a des douceurs, mais mélancoliques et
nt à la vie d’un dom Martenne, non à celle de dom Prévost. Il y était
propre
toutefois, mais il l’était aussi à trop d’autres
n accepter toutes les conséquences. Riche de savoir, rompu à l’étude,
propre
aux langues, regorgeant, en quelque sorte, de sou
ins inconnues, le marquis raconte les malheurs de son père, les siens
propres
, ses voyages en Angleterre, en Allemagne, sa capt
ce sur le grand étang du monde. Ce genre de vie, auquel il est si peu
propre
, l’engage au milieu des situations les plus amusa
Verdun. En retour, quand Prévost a eu à parler de lui-même et de ses
propres
livres, il l’a fait de bonne grâce, et ne s’est p
il pas écrit ainsi, sans plus de façon, des articles d’éloges sur ses
propres
romans ? 100. On peut lire à ce sujet une gracie
ontre les modernes ; mais ils sont suspects et semblent juger en leur
propre
cause, tant leurs ouvrages sont faits sur le goût
raits ainsi corrompus et défigurés, qui ne sont autre chose que leurs
propres
pensées et leurs expressions, ils les exposent à
angements, aux Bérénices et à Pénélope : il en faut aux Opéras, et le
propre
de ce spectacle est de tenir les esprits, les yeu
aleur à défendre leurs préventions, et à la faction opposée et à leur
propre
cabale : ils découragent par mille contradictions
ivre qui dort ou qui vomit : y a-t-il rien de plus naturel ? c’est le
propre
d’un efféminé de se lever tard, de passer une par
paraison, et les marquer l’un et l’autre par ce qu’ils ont eu de plus
propre
et par ce qui éclate le plus ordinairement dans l
re nettement, doit se mettre à la place de ses lecteurs, examiner son
propre
ouvrage comme quelque chose qui lui est nouveau,
oses : l’on doit avoir une diction pure, et user de termes qui soient
propres
, il est vrai ; mais il faut que ces termes si pro
rmes qui soient propres, il est vrai ; mais il faut que ces termes si
propres
expriment des pensées nobles, vives, solides, et
es tout ce qu’ils expriment sur le papier ; dangereux modèles et tout
propres
à faire tomber dans le froid, dans le bas, et dan
cieuses, ont été la vraie cause de l’abus qu’il a fait de ses talens,
propres
d’ailleurs à le faire estimer. La candeur, la bie
u, les illusions de sa Philosophie. Nous pouvons assurer, d’après nos
propres
observations, qu’elle étoit dans lui une espece d
indigeste ; une triste doléance de M. de Voltaire, qui y parle en son
propre
nom. Et que dit-il ? Il m’impute ce à quoi je n’a
que méritoit un tel procédé, ni l’empêcher de me dire le lendemain en
propres
termes : Ces vilains Philosophes dégradent perpét
ours qui nous ramenent à nous-mêmes, et qui nous entretiennent de nos
propres
sentimens, ont pour nous un attrait particulier.
des mouvemens naturels du coeur en general, par les mouvemens de son
propre
coeur. Ainsi ceux qui n’ont point de pente vers u
ne veritable demence. Suivant leur sentiment ce sont des hommes moins
propres
à joüer un rolle sur la scene, qu’à être reclus d
tage, peuvent donc bien interesser vivement ceux qui sçavent par leur
propre
experience que la passion que le poëte dépeint pe
ls, elle lui permit de grandir par lui-même, de se développer sur son
propre
fonds, d’écouter la muse inconnue dans la solitud
le prouver, il suffirait d’opposer à M. de Chateaubriand lui-même ses
propres
souvenirs et ses témoignages, qu’il a consignés d
et Bernardin de Saint-Pierre, il n’a guère plus d’indulgence pour sa
propre
postérité, pour ses propres enfants en littératur
re, il n’a guère plus d’indulgence pour sa propre postérité, pour ses
propres
enfants en littérature. Il faut voir comme il se
sans le nommer et sans lui en faire honneur ; il ajoute que, dans sa
propre
jeunesse, le Werther de Goethe, les Rêveries de R
r combien, à ce miroir brillant, il s’est inexactement souvenu de ses
propres
impressions antérieures, et comme il leur a subst
composés en vue d’un effet présent. Ne me fiant pas entièrement à ma
propre
impression sur ces Mémoires d’outre-tombe, j’ai v
; qui a des étonnements, des attendrissements sur elle-même, sur ses
propres
fortunes ; qui, à chaque chance humaine qui lui a
que beauté avec le sentiment moderne, c’est-à-dire le genre de beauté
propre
à M. de Chateaubriand, celle où il est véritablem
ire assassiné par ordre de son maître, Richelieu, qui se reporte à sa
propre
situation de ministre calomnié et sans cesse mena
illier, se remuent, et font songer à lui comme au négociateur le plus
propre
pour ramener et adoucir l’esprit de la reine, à l
, pour n’en pas être, mais il en est encore d’une manière qui lui est
propre
. Les grands et les seigneurs, qu’il avait autrefo
même, homme d’autorité et d’établissement, ne venait bientôt, par son
propre
exemple, les combattre et les corriger. Mais pour
. » Dans toute cette peinture, Richelieu nous livre indirectement ses
propres
pensées, et, en nous représentant ainsi le favori
à une certaine grandeur morale dans les choses publiques, à une vertu
propre
en chaque ordre de l’État, à une rectitude élevée
s de former des doutes que de les résoudre, et beaucoup seraient plus
propres
à s’opposer aux vérités qu’à les défendre. » Il c
esseurs excellents, et qu’ils ne se remplissent que de dignes sujets,
propres
à conserver dans sa pureté le feu du temple. Le r
scrire ici, il semble encore aujourd’hui qu’on puisse mettre des noms
propres
au bas des qualités et des défauts : Les plus gr
Égypte, des catacombes immenses et élevées dans le flanc des rochers,
propres
à contenir des populations entières. On ne peut l
il plane sur les ailes de son religieux enthousiasme au-dessus de ses
propres
déchirements ; du fond de son désespoir il justif
devenue juge par l’impersonnalité sublime de la raison, célébrant son
propre
supplice et jetant comme le Brutus des Romains le
eur silence, leur physionomie sont pour Job un miroir dans lequel ses
propres
misères se réfléchissent et lui paraissent plus t
rraché de la terre, Je vais d’où l’on ne revient pas. Mes vallons, ma
propre
demeure, Et cet œil même qui me pleure, Ne reverr
s : « Vous ai-je priés de venir ? » Il s’attendrit de nouveau sur son
propre
supplice ; il amollit son discours ; il a pitié d
t. Il condense les eaux dans les nuées, et les nuées soutiennent leur
propre
poids, etc. » Puis, comme se repentant aussi d’a
a dégradation et perverti par sa misère, il s’enfle du souvenir de sa
propre
vertu. « Qu’on ose m’accuser ! » dit-il avec orgu
rend sa place dans l’esprit du poète arabe, à la voix de Dieu dont sa
propre
parole est l’écho. La douleur crie, l’orgueil mur
destructible, se lève de lui-même et fait parler la conscience par sa
propre
voix ; la création tout entière se lève en témoig
. Pour nous en rendre bien compte, résumons-nous, en nous-même, notre
propre
philosophie naturelle, abstraction faite de ce qu
est l’intelligence. Et que vous dit de plus cette intelligence sur sa
propre
existence ? sur le monde intérieur et sur le mond
ait cessé d’être méritoire. L’homme n’aurait plus eu sa part d’action
propre
dans sa propre destinée ; en cessant d’être libre
e méritoire. L’homme n’aurait plus eu sa part d’action propre dans sa
propre
destinée ; en cessant d’être libre il aurait cess
ité ! » Il y a un amer plaisir et un âpre orgueil à chanter ainsi son
propre
avilissement et sa propre honte. On se venge du s
isir et un âpre orgueil à chanter ainsi son propre avilissement et sa
propre
honte. On se venge du sort qui nous a fait fange
venge du sort qui nous a fait fange en se barbouillant soi-même de sa
propre
boue et en lui disant, ainsi défiguré : « Je te d
Mais c’est une habitude de l’esprit humain de projeter au dehors ses
propres
états d’âme. Cette habitude naïvement égoïste exp
naïvement égoïste explique que les Français attribuent au siècle leur
propre
sénilité et parlent de « fin de siècle » là où, e
carner un modèle quelconque de l’art qui n’a aucune parenté avec leur
propre
schéma et souvent même lui est violemment opposé
rminé passe pour suranné, lourdement provincial ; et quant à un style
propre
, l’époque ne l’a pas encore produit. L’unique ten
ordinaires ou amènent sur leurs visages cette expression de courroux
propre
à l’homme qui se croit mystifié, et qu’elle se hâ
iété qui possède, comme toutes les autres, la faculté de léguer à ses
propres
descendants, à un degré qui s’accroît de plus en
nant la pensée entière, il assigne des motifs rationnels à toutes ses
propres
décisions. Déjà Spinoza a exprimé cela d’une joli
’action et se complaît dans l’inactivité ; et pour se justifier à ses
propres
yeux, il se construit une philosophie de renoncia
rnier, c’est le mysticisme. « De toutes les manifestations délirantes
propres
aux héréditaires », dit M. Henri Colin, « il n’en
e ultérieurement. Ils dirigent également l’humanité, par des sentiers
propres
qu’ils ont trouvés eux-mêmes, vers des buts nouve
de ses folles fantaisies jusqu’à ce qu’une suggestion nouvelle, soit
propre
, soit émanant d’un tiers, ait chassé la précédent
eille mesure, il s’en faut même de beaucoup, chez les gens sains. Son
propre
« moi » apparaît gigantesque à l’œil intérieur de
lie d’acheter. On ne doit pas le confondre avec le plaisir d’acheter,
propre
aux malades dans le premier stade de la paralysie
ours personnel. Ce qu’il rend dans ses créations, c’est lui-même, ses
propres
vues et ses sentiments, et non pas les dogmes app
yeux le tableau d’ensemble de cette époque et y établissent pour leur
propre
commodité des sections et des classes, afin de se
hallucinée avait elle-même vu l’apparition, mais tous virent de leurs
propres
yeux la Sainte Vierge. M. Edmond de Goncourt raco
fonctionnelle de plus en plus grande, qu’ils se développent par leur
propre
activité et peuvent répondre à des exigences pour
t. Et ces symptômes certains et non équivoques d’épuisement sont bien
propres
à éclairer les profanes qui pourraient croire à p
cinquante-cinq ans… ». M. Gritchett (un éminent oculiste) dit : « Ma
propre
expérience, qui s’étend maintenant sur un quart d
jadis. Le Dr Lieving assure que la calvitie précoce est « surtout le
propre
des gens de tempérament nerveux et d’esprit actif
e coup noue mille entrecroisements. La faculté du souvenir n’est pas
propre
à la cellule nerveuse seulement, mais aussi à la
insi pour prémisse une volonté forte, et celle-ci, à son tour, est le
propre
d’un cerveau normalement construit et non fatigué
immuable78 ». Le lecteur ou l’auditeur sain, qui a confiance en son
propre
jugement et examine les choses en pleine clarté e
intellectuelle déterminé par la seule association d’idées sans frein,
propre
au mystique ; il éveille aussi en eux ses représe
tusion, il peut y avoir de l’hyperexcitabilité, et celle-ci peut être
propre
à tout le système nerveux et au cerveau ou seulem
notes musicales le fait aussi. Un mot inconnu, un mot baroque, un nom
propre
, un air raclé sur un crin-crin, font penser aussi
a conscience le souvenir d’une aperception acquise par une perception
propre
, ou celui d’une notion composée d’aperceptions se
gmenter son fonds d’aperceptions de pleine valeur par des perceptions
propres
et une observation attentive. Et comme l’homme n’
nt, les phénomènes du monde, et qui, avec la satisfaction de soi-même
propre
aux imbéciles, présente son défaut comme une qual
et il possède par cela même à un haut degré le besoin de connaissance
propre
à l’homme normal vigoureux. Il a de tout temps re
radoxe, à la négation, à la singularité, qui est, nous l’avons vu, le
propre
de l’imbécile. La théorie de Ruskin en soi est em
erait indifférente si elle ne leur était pas présentée par les moyens
propres
à la peinture, mais simplement racontée, par exem
es, et dans laquelle le tableau ne doit pas agir par lui-même, par sa
propre
perfection artistique, mais par son contenu intel
ui de changer les œuvres de Dieu suivant son bon plaisir, de jeter sa
propre
ombre sur tout ce qu’il voit. Toute modification
e ma critique des moyens par lesquels Rossetti cherche à exprimer son
propre
état d’âme rêveur et à le communiquer au lecteur,
Sparte dans le temple de Vénus, et, enivrée de la magnificence de son
propre
corps, supplie avec ferveur la déesse de la donne
ême le lecteur, qui voit encore à Sparte la jeune reine enivrée de sa
propre
beauté, doit avoir en même temps présent à l’espr
e comprendre la strophe, tandis qu’en fait il interprète seulement sa
propre
émotion d’après son degré de culture, son caractè
sur les écrivains reconnus et faisant de l’argent, et vantaient leurs
propres
talents, encore inconnus du monde. Ceux qui y ten
aibles d’esprit : la vanité sans bornes et l’opinion exagérée de leur
propre
mérite, la forte émotivité, la pensée confuse et
été et la civilisation, et il éprouve le besoin de se justifier à ses
propres
yeux. Il le fait en attribuant une haute importan
’elle lui avait dérobé, mais peut-être bien aussi quelque chose de la
propre
part de la science. La réaction contre les négati
ne et prolonge la vie de l’individu qui ne la contrecarre pas par ses
propres
folies anti-hygiéniques, en supprimant les causes
iques, connu et estimé de peu de gens, travaillant uniquement pour sa
propre
conscience, sans autre ambition que celle d’établ
te pas d’un sentiment de hautaine virilité et d’une affirmation de sa
propre
valeur, mais d’une basse envie et d’une intoléran
es qui, dans ces dernières années, se sont appliqués à inculquer leur
propre
manière de penser à la jeunesse dorée de France à
tinct poétique et artistique, ils veulent naturellement exprimer leur
propre
état d’esprit. Ils ne peuvent employer de mots pr
mots précis à signification claire, car ils ne trouvent pas dans leur
propre
conscience d’aperceptions nettement dessinées et
parle, mais lui permet de s’abandonner librement au vagabondage de sa
propre
rêvasserie, de même que son propre langage n’a pa
ner librement au vagabondage de sa propre rêvasserie, de même que son
propre
langage n’a pas pour but de communiquer une pensé
de Verlaine est enveloppée de mystère, mais on sait pourtant par ses
propres
aveux qu’il a passé deux années en prison. Dans l
ns vers la Beauté dans la Vérité. Dieu, c’est par excellence LE « mot
propre
», — le mot propre, c’est-à-dire ce verbe inconnu
ans la Vérité. Dieu, c’est par excellence LE « mot propre », — le mot
propre
, c’est-à-dire ce verbe inconnu et certain dont to
ier, quoique emprunté au domaine d’un autre sens, que de créer un mot
propre
pour la perception particulière. Mais même cet em
aque figure humaine ne doit pas seulement signifier son individualité
propre
et sa destinée contingente, mais représenter un t
nce. Ils prouvent, d’ailleurs, qu’ils ne comprennent pas du tout leur
propre
formule, car ces mêmes théoriciens de l’école, qu
enseignement religieux, et ne rectifie que rarement plus tard par ses
propres
réflexions les erreurs qui lui ont été inculquées
rche alors lui-même dans la foi des éclaircissements sur le but de sa
propre
existence. « Je fus amené au christianisme », rac
s canoniques qu’en offrent les Fragments physionomiques « tirés de sa
propre
tête » par « le joyeux petit maître d’école Maria
ré de toute sa vie, n’est donc que brouillard, incompréhension de ses
propres
questions et réponses, et verbiage creux. Il n’en
positif : on doit aimer tous les hommes, leur sacrifier tout, même sa
propre
vie, leur faire du bien quand on le peut. « Il es
re un être humain), est un instinct égoïste qui cherche uniquement sa
propre
satisfaction, et non celle de l’être aimé ; à un
ésentation de souffrances, même de celles qui ne sont pas les siennes
propres
, provoque chez ce même homme sain une douleur plu
elles directes sont les plus vives, les souffrances qu’il voit de ses
propres
yeux lui procurent la douleur la plus aiguë, et,
se propose d’autre but que de s’éviter la douleur et d’accroître ses
propres
sentiments de plaisir. Au contraire, l’amour du p
et lui fait véritablement du bien. On doit complètement sortir de ses
propres
habitudes et idées, et s’efforcer d’entrer dans l
qui serait agréable et utile au pauvre diable ; il n’a pensé qu’à ses
propres
émotions, à sa colère, à son mécontentement. Ce p
ue un anthropomorphisme sentimental. Il transporte sans hésitation sa
propre
manière de sentir sur d’autres êtres qui sentent
œur et non seulement à la femme étrangère, mais aussi et surtout à sa
propre
femme152 ». Tolstoï en qui, comme dans tout dégé
ou153 ». Mais dans son Court Exposé de l’Évangile, où il parle en son
propre
nom, il développe la même doctrine, quoique avec
mmodant ainsi Bouvard et Pécuchet, se vengeait de la niaiserie de ses
propres
tentatives pour conquérir la science comme un lie
qu’il y a de curieux dans ce système, c’est qu’il ne remarque pas sa
propre
superfluité. S’il se comprenait lui-même, il se l
des sculpteurs, mais réalisent leurs inspirations plastiques par leur
propre
corps. C’est ainsi que Wagner a arrangé à son usa
se superficiellement, non l’idée de l’auteur, mais un reflet de leurs
propres
rêveries vagabondes. Ceux qui ont observé d’un œi
raduit en paroles virulentes, menaces sauvages et rage de destruction
propre
aux bêtes fauves. Wagner est un bon échantillon d
eusement, afin de délivrer de la puissance du mal les hommes, dont la
propre
force ne suffit pas pour atteindre ce but. Ainsi
ourtant l’a inspirée. Amfortas a besoin d’être rédimé par suite de sa
propre
faiblesse et de sa faute, non par suite d’une fat
doit même employer toute sa force de volonté à rendre impossible son
propre
salut. Car sa rédemption dépend de ceci : qu’elle
? Nous sommes ici en face du même manque d’auto-compréhension de ses
propres
hypothèses qui nous a déjà frappés chez Dante-Gab
spiration pour les scènes du Graal et y a vulgarisé la liturgie à son
propre
usage, à la façon de la Biblia Pauperum, de même
désespérée, et finalement victorieuse. Ce n’est toutefois pas par sa
propre
force que l’homme s’arrache au charme paralysant
le a beau être la femme d’un autre, il a beau la reconnaître comme sa
propre
sœur, cela ne l’arrête pas un instant. Ces consid
ave de l’amour entraîne, en périssant, tous les dieux du ciel dans sa
propre
perdition. Tristan et Iseult est l’écho de cette
lieu d’asservir l’homme, se dépouillerait, en esclave aimante, de sa
propre
nature, pour se fondre dans la sienne ; en un mot
male lui est refusée. Il tire le fond émotionnel de ses pièces de ses
propres
émotions mystico-érotiques, et les faits extérieu
es dessins existants, et les colorier ensuite subjectivement avec ses
propres
émotions. Il ne voit la vie que si elle est couch
comme on l’observe chez tous les dégénérés, ne vit pas clair dans son
propre
être. Il ne comprit pas ses impulsions naturelles
comme partie d’une action, ils se justifient artistiquement par leur
propre
beauté, qui en fait des manifestations esthétique
. Tout pareillement, Wagner veut dépouiller la musique de son essence
propre
, et, de transmetteuse d’émotion, la rendre transm
tternich, fille du comte Sandor, cet original bien connu, et dont les
propres
excentricités ont défrayé la chronique de la cour
die sans fin répondait complètement à la rêvasserie vagabonde de leur
propre
pensée. Une mélodie claire éveille et exige l’att
mysticisme maladif, trouvât chez lui des satisfactions, rien n’étant
propre
à évoquer des « pressentiments », c’est-à-dire de
Puis on rencontre en latin une « prière de saint Thomas d’Aquin, très
propre
à prémunir le lecteur contre les erreurs possible
la Bible, et une fois cette idée née, il trouva dans le galbe de son
propre
visage, dans la couleur de ses cheveux et la form
ctuerait sainement. C’était une erreur. Il n’y a pas de monomanie. Le
propre
élève d’Esquirol, Falret père, l’a suffisamment d
rants », remarque Lombroso, « sont très épris et très occupés de leur
propre
moi216 », et Sollier écrit au sujet de leurs anti
sance immédiate seulement des transformations qui ont lieu dans notre
propre
organisme. Si, malgré cela, nous sommes en état d
troubla pas de contredire constamment dans toutes leurs actions leur
propre
verbiage, de se livrer, de leur naissance à leur
e idée de leur « moi », puisqu’ils ne sentent ni ne reconnaissent les
propres
parties de leur corps comme parties constitutives
ui naturellement n’a pour objet que les processus se passant dans son
propre
organisme. Dans le cours de son existence, et cel
représentation de mouvement qui n’a pas exclusivement pour objet nos
propres
muscles. Nous voulons, par exemple, lever le bras
tre conscience élabore une représentation de mouvement impliquant nos
propres
muscles et la pierre. Quand nous exécutons le mou
état, non un état même, et ensuite parce que la cellule accomplit ses
propres
fonctions par sa propre force, ce qui rend inutil
t ensuite parce que la cellule accomplit ses propres fonctions par sa
propre
force, ce qui rend inutile l’intervention du cerv
perçoit d’abord directement comme représentation et acte volitionnel
propres
, comme image de mouvement élaborée dans les centr
exécuté. Elle s’habitue à rattacher les mouvements musculaires à ses
propres
actes, à ses représentations de mouvements élabor
e une substance spéciale et une, prétend que ce « moi » considère son
propre
corps comme quelque chose de non identique avec l
onde extérieur qui lui sont transmis par les nerfs sensoriels, et ses
propres
états remplissent à peu près complètement sa cons
onscience prend de moins en moins garde aux processus vitaux dans son
propre
organisme, et de plus en plus aux excitations de
nde extérieur et s’occupe seulement des processus organiques dans son
propre
corps. Il est plus qu’égoïste, il est maladivemen
même qui mangent des ordures ou des choses repoussantes, … même leurs
propres
excréments… Les mêmes remarques s’appliquent à l’
saire de la préoccupation exclusive des processus se passant dans son
propre
organisme. Le rapport naturel sain entre les sens
e. L’égotiste doit nécessairement exagérer de façon extraordinaire sa
propre
importance et celle de tous ses actes, car il n’e
ontraignent la conscience à consacrer constamment son attention à son
propre
« moi » somatique ; plus spécialement, l’activité
nent. Le malade s’explique l’importance que son « moi » obtient à ses
propres
yeux, par l’invention d’une grandiose situation s
l n’a pas besoin du monde et de son appréciation pour justifier à ses
propres
yeux qu’il est lui-même l’objet de son unique int
fait pour aboutir à un beau livre ». Cette exagération absurde de nos
propres
occupations et intérêts donne en littérature les
ue fois qu’il peut agir d’après son penchant, et lui trouve la beauté
propre
que l’homme sain trouve au bien. Suivant la class
’aise ou dans une situation dominante, il commet des méfaits qui sont
propres
aux classes supérieures et n’ont pas pour but la
us arrangeons de façon que les tendances des forces naturelles et nos
propres
désirs coïncident. Nous construisons la roue là o
mêmes et en dehors du sens qu’ils expriment, une beauté et une valeur
propres
, comme des pierres précieuses qui ne sont pas enc
firmation de Th. Gautier, « ont en eux-mêmes une beauté et une valeur
propres
». Un autre parnassien éminent, Théodore de Banvi
des mots que vous savez et vous renseigner sur leur acception exacte,
propre
ou figurée. Une fois votre tête ainsi meublée, vo
tance de la forme, notamment de la rime, pour la poésie, de la beauté
propre
du son des mots, du plaisir sensuel que peuvent d
uetis de rimes dénué de sens et une kyrielle de soi-disant beaux noms
propres
, c’est déjà là une sotte suffisance dont on ne pe
ais ce qui les tourmente ou les enchante, ce sont exclusivement leurs
propres
états, leurs propres expériences vitales. L’uniqu
nte ou les enchante, ce sont exclusivement leurs propres états, leurs
propres
expériences vitales. L’unique fond de leur poésie
omber gravement malade, pour pouvoir se repaître dans la glace de ses
propres
contorsions248 ». Ainsi nous reconnaissons, à la
de style qui ne permettent pas de douter un instant qu’il exprime sa
propre
opinion, le raisonnement suivant : « Nous nous dé
té des centres cérébraux, pour satisfaire le besoin de fonctionnement
propre
aux centres cérébraux comme à tous les autres org
crains bien que Giosuè Carducci lui-même, d’ailleurs si riche de son
propre
fonds et si personnel, n’ait coulé des regards ve
rgogne, aux livres du marquis de Sade ; ce qui seul lui appartient en
propre
, c’est la tournure catholico-théolologique qu’il
transformée et préparée pour la vie spirituelle, — est singulièrement
propre
à exprimer la passion telle que l’a comprise et s
ans. La vérité est que ces dégénérés ont attribué arbitrairement leur
propre
état d’âme aux auteurs de la décadence romaine et
un Prudence, à un Sidoine Apollinaire, etc., et ont créé d’après leur
propre
modèle ou leurs instincts maladifs un « homme idé
e idéal et Chateaubriand l’Indien idéal, et l’ont transporté par leur
propre
imagination dans un passé fabuleux ou dans un pay
monotones à peine modulées, donne à l’auteur prétexte d’exprimer ses
propres
idées sur toutes les choses possibles : sur Léona
. M. Barrès ne cache nullement que, dans ses romans, il a dépeint son
propre
être et qu’il se tient pour le représentant typiq
tendue, du jugement, et comme celui-ci n’est jamais capable, par ses
propres
ressources, de résister à une forte cohue d’insti
furieux ou un idiot. M. Barrès contredit d’ailleurs à chaque pas ses
propres
théories. Tandis qu’il prétend croire que les ins
s de sentir, alourdis d’opinions qui ne sont pas dans le sens de leur
propre
fonds, réapprendraient du chien la belle aisance,
te espèce pourrait-il se rendre compte du trouble pathologique de son
propre
cerveau, quand il ne perçoit pas même que Louis I
adotage, que c’est une preuve d’indépendance distinguée de suivre son
propre
goût sans s’astreindre à la réglementation philis
vie indépendante comme l’idée, et se développe exclusivement vers ses
propres
buts… Secondement : tout mauvais art provient du
« esthètes » affirme, avec les parnassiens, que l’œuvre d’art est son
propre
but ; avec les diaboliques, qu’elle n’a pas besoi
ossible, que le lecteur attentif pourra sans peine développer par ses
propres
réflexions. Les bonzes de l’art qui proclament le
elle de ceux-ci est l’émotion284. L’activité artistique n’est pas son
propre
but, mais elle a une utilité directe pour l’artis
en société et ayant parfois besoin de celle-ci, à faire partager ses
propres
émotions à ses semblables, comme lui-même ressent
les actions elles-mêmes reçoivent un autre but que leur but théorique
propre
, l’artiste, il est vrai, n’a plus uniquement l’in
rs scientifiques. Même dans l’état monarchique qui, conformément à sa
propre
nature atavique, mesure l’importance du guerrier
l nomme le beau « la présence de l’idée en phénomène limité ». Par sa
propre
compréhension profonde de la loi naturelle, l’art
ous l’avons vu, ne résiste à la critique. L’œuvre d’art n’est pas son
propre
but, mais elle a une tâche individuellement organ
ouvrir à l’usage des marins une auberge à femmes, engage justement sa
propre
fille à entrer comme odalisque dans son « établis
ssurer contre l’incendie l’asile qu’elle vient de fonder ? « Pour mon
propre
compte, dit-il, je ne verrais aucun inconvénient
éclaterait parmi les baigneurs. Et à cela, le préfet de la ville, le
propre
frère du docteur, lui répondrait (p. 201) : « La
d le dénouement commencera » (p. 216). Le Dr Rank souffre, d’après sa
propre
déclaration, d’une maladie de la moelle épinière
s et des souvenirs de lectures, il est nécessaire qu’il ait vu de ses
propres
yeux chaque cas représenté, pour le présenter exa
Wagner. Mais que prouve cela ? C’est qu’il ne voit pas clair dans sa
propre
pensée et dans sa propre manière de sentir. « C’e
cela ? C’est qu’il ne voit pas clair dans sa propre pensée et dans sa
propre
manière de sentir. « C’est chose curieuse, dit He
dissimuler sans cesse. Il est forcé de porter un masque même dans sa
propre
famille : oui, devant sa femme et ses enfants ».
actes. Moi-même je n’ai pas, je l’avoue, travaillé toujours pour vos
propres
intérêts ; je me rends compte maintenant que le d
ment, à tuer le canard, et elle préfère tourner le pistolet contre sa
propre
poitrine, rachetant ainsi la vie du volatile par
contre sa propre poitrine, rachetant ainsi la vie du volatile par sa
propre
vie. Cette conclusion cruelle est douloureuse et
Mlle Bernick a élevé Dina, fruit d’un adultère, et lui a consacré sa
propre
vie (p. 66) : « Mlle Martha. J’ai été une mère po
e l’aurais perdu quand même, je le sens. Il voulait déjà voler de ses
propres
ailes, et c’est pour cela que je lui ai fait croi
ffrir au pasteur Manders et faire l’entremetteuse entre Régine et son
propre
demi-frère ? Ou bien la loi morale est-elle valab
fend rageusement cette thèse, que l’individu obéisse seulement à « sa
propre
loi », c’est-à-dire à chacun de ses caprices, à c
comme un aveu. Dans Le Canard sauvage, il raille très abondamment son
propre
dogme. Il y a là un candidat, Molvik, qui obéit a
onté de s’épanouir », comme « liberté d’un esprit qui n’obéit qu’à sa
propre
loi », et la recommande comme unique règle d’exis
avec Relling, envisager comme pieuse et charitable, et il croit à ses
propres
simagrées. Généralement, dis-je, mais pas toujour
ses inventions sa profonde horreur des hommes qui « obéissent à leur
propre
loi pour s’épanouir ». Il punit le chambellan Alv
contraire, repliés dans la mort, parce qu’ils n’ont pas obéi à « leur
propre
loi », mais à la loi des autres, à la loi morale
faux dont elle s’est rendue coupable, il ne songe avant tout qu’à sa
propre
réputation, c’est-à-dire au « devoir envers lui-m
dissimuler sans cesse. Il est forcé de porter un masque même dans sa
propre
famille : oui, devant sa femme et ses enfants. Et
toutes ses pièces il revient là-dessus avec la monotonie qui lui est
propre
. Tout le malheur de Mme Alving s’explique (Les Re
i. Si elle ne se sentait pas libre en se mariant, c’était, d’après sa
propre
explication, parce qu’à ce moment elle était pauv
t accoupler hors mariage, par l’entremise de la mère, le fils avec sa
propre
sœur, et en mettant en outre dans la bouche d’Osw
innocent habitant d’une petite ville norvégienne n’a jamais vu de ses
propres
yeux une « union libre » et a tiré l’idée qu’il s
ndonné au plaisir de la chair en dehors du mariage, est puni dans son
propre
corps et dans ses enfants Oswald et Régine. Cela
rse le monde sans le voir, et son regard est toujours plongé dans son
propre
intérieur. Contrairement au mot du poète, « tout
au mot du poète, « tout ce qui est humain lui est étranger », et son
propre
« moi » seul l’occupe et captive son attention. C
les voûtes du cœur et du cerveau. Être poète, c’est comparaître à son
propre
tribunal316 ». « Le spectre qui habite les voûtes
ieur ; et qu’une poésie qui n’est qu’« une comparution du poète à son
propre
tribunal » ne puisse refléter l’existence humaine
ntelligible à d’autres. Brand croit que la force qui le pousse est sa
propre
volonté inflexible. Cette force est en réalité so
volontés… Je veux les réveiller. C’est à eux d’agir ensuite… par leur
propre
force. Il n’en existe pas d’autre… Les esprits on
les emploie ou bien invente librement ou auxquelles il donne un sens
propre
s’écartant de l’usage habituel, est un des phénom
liberté n’a pas pour but la conquête de la liberté, mais elle est son
propre
but. Lorsque l’on croit posséder la liberté et qu
risque d’être prolixe et lourd, je l’ai toujours caractérisé avec ses
propres
paroles, afin que le lecteur ait sous les yeux la
Relling le mot « démoniaque » absolument dépourvu de sens, d’après sa
propre
déclaration, comme lui-même emploie son verbiage
ance. Ensuite, sa doctrine du droit de l’individu de vivre suivant sa
propre
loi. Est-ce véritablement là sa doctrine ? On doi
r particulier les brebis expiatoires qui ne sont que négation de leur
propre
« moi », que suppression de leurs instincts les p
rté de l’individu ! Le droit de disposer de soi-même ! Le « moi » son
propre
législateur ! Quel est ce « moi » qui doit se don
de cellules ou organes qui ont tous leurs fonctions et leurs besoins
propres
. Ils se sont associés dans le cours de l’évolutio
, sa prévision est probablement nulle, sa faculté d’adaptation par sa
propre
force est si faible que, pour peu qu’elle soit no
’organe, a déjà une conscience plus étendue, ayant son siège dans ses
propres
ganglions nerveux ; sa fonction est plus compliqu
s désirs des organes, mais aussi dans le travail des sens et dans ses
propres
images rappelées. La « liberté » ibsénienne est l
losophe aussi individualiste qu’Herbert Spencer, dit : « Pour devenir
propre
à l’état social, il faut… que l’homme possède l’é
ologique, que l’on n’aperçoive pas ce qui ne s’accorde point avec nos
propres
penchants, et que l’on s’arrête seulement à ce qu
trine d’une façon aussi serrée que possible, le plus souvent dans les
propres
termes de l’auteur, mais sans le caquetage de ses
de noble ; mauvais, de vulgaire ; elle sentit comme bonnes toutes ses
propres
qualités comme mauvaises, celles de la race assuj
ivations et dévoré de la nostalgie du désert, qui devait créer de son
propre
corps une aventure, un lieu de torture, une solit
utonome surmoral (car autonome et moral s’excluent), bref, l’homme du
propre
long vouloir indépendant ». Cette même idée est e
x et la soumettre à la critique, avant de mettre en regard d’elle les
propres
affirmations de Nietzsche directement opposées. D
qu’il est glorieux pour un homme de se dépouiller complètement de son
propre
« moi », de ne connaître l’honneur que comme refl
t empêchés de s’abandonner à leur instinct ; précisément chez eux, le
propre
déchirement par les remords de conscience devrait
méchant. Cette première et stupéfiante façon de ne pas comprendre son
propre
point de vue est déjà un bon exemple de sa « prof
es professeurs de morale qui ordonnent à l’homme de se mettre sous sa
propre
puissance, amènent ainsi sur lui une étrange mala
e jamais à l’étranger, à l’homme du dehors, les mêmes droits qu’à ses
propres
membres. Droit, coutume, égards ne s’étendent pas
-devant de sa Gaie Science l’épigraphe suivante : Je demeure dans ma
propre
maison, Je n’ai jamais rien imité de personne, Et
volupté et de méchanceté » (La gaie Science, p. 226). « Le sentier du
propre
ciel passe toujours par la volupté du propre enfe
p. 226). « Le sentier du propre ciel passe toujours par la volupté du
propre
enfer » (Ibid., p. 249). « Comment se fait-il que
r, en partie pour critiquer le bavardage de son « prophète », par son
propre
bavardage390. Une série d’imitateurs s’efforce ac
secrets en soi-même et d’épier ce qui se passe dans les recoins de la
propre
âme, etc. » Intuition psycho-physique ! Prêter l’
rche de ses idées… Il continue à exercer la critique à l’égard de son
propre
état et prouve sa conscience pour son état anorma
oyai jamais au-dessus de moi des cieux silencieux et m’envolai de mes
propres
ailes dans mes propres cieux… Si ma méchanceté es
e moi des cieux silencieux et m’envolai de mes propres ailes dans mes
propres
cieux… Si ma méchanceté est une méchanceté riante
qu’il mêle à sa fuite d’idées. « Je suis trop chaud et brûlé par mes
propres
idées ». « Ah ! la glace m’entoure ; ma main se b
». « Comme couvant, le soleil de mon amour pesait sur moi ; dans son
propre
jus cuisait Zarathoustra ». « Prenez soin que j’a
ière… mais c’est ma solitude, d’être ceint de lumière… Je vis dans ma
propre
lumière, je rebois en moi les flammes qui s’élanc
nt toutes les échelles te manquent, tu dois apprendre à monter sur ta
propre
tête : autrement, comment voudrais-tu monter ? »
inente et la plus choquante pour le goût de la vieille Europe — à son
propre
insu… Et aussi à l’insu des bons Allemands, qui a
sacrifices aussi qu’il ne peut accomplir sans perte destructive de sa
propre
estime : à savoir des sacrifices de jugement, de
ouver clairement exprimées, dans l’aristocratisme de Nietzsche, leurs
propres
idées obscures sur la nécessité de natures d’élit
ective du phénomène, est interdit même aux beaux-arts par leur nature
propre
, à combien plus forte raison ne l’est-il pas à la
out ce qu’il a perçu, mais ils se succèdent, et le poète doit, de son
propre
intellect, leur assigner des limites, il doit déc
e d’expériences d’un paysan qui décrit, avec un réalisme honnête, son
propre
monde, et donne aux figures et aux circonstances
d’hypothèses scientifiques inachevées, les compléter au moyen de ses
propres
lubies fantastiques, et enseigner : « Voyez-vous
Zola pose aussi des questions. Mais à qui ? A la nature ? Non : à sa
propre
imagination. Et ses réponses auraient une force d
té enferme dans le monde du papier et a puisé tous ses sujets dans sa
propre
âme, tous ses détails « réalistes » dans les jour
amais dirigés sur la nature et sur l’humanité, mais seulement sur son
propre
« moi ». Il n’a connaissance de rien par lui-même
e tient trop près, et où l’on ne peut distinguer que le reflet de son
propre
visage. M. Zola nomme la série de ses romans : «
r à la nature la mesure de notre logique, de notre morale et de notre
propre
avantage, et la nommer déraisonnable, immorale ou
uper de ces dégénérés ou aliénés qui créent leurs œuvres d’après leur
propre
vie psychique morbide et trouvent eux-mêmes la fo
l’histoire de la propagation d’une contagion intellectuelle dans son
propre
pays a incontestablement de l’importance pour le
vement contemporain des esprits, sans s’arrêter aux frontières de son
propre
pays, celui-là n’a aucun doute que le réalisme al
s faibles et les plus timides de la bande reconnaissaient, outre leur
propre
génie, un autre génie encore. Bleibtreu n’a pas d
même pas assez d’originalité pour trouver un nom leur appartenant en
propre
, et qu’ils ont tranquillement plagié la désignati
rue, qu’il découvre, après des efforts à vous briser le cœur, dans sa
propre
maison, où elle a vécu depuis des mois à son insu
, « rendu du Havre en Egypte ». C’est qu’alors il aura frété pour son
propre
compte un bateau, car il n’y a pas de ligne de na
e de s’incliner sous une volonté étrangère, il renonçait à sa volonté
propre
; et d’ailleurs, depuis que l’autre le voulait, l
Hauptmann n’est vrai et vigoureux que là où il fait parler dans leur
propre
dialecte de pauvres gens de la classe la plus inf
té possédant une puissante organisation, ses journaux et ses éditeurs
propres
ainsi qu’un public enrôlé, et toujours prête à pr
isante pour des douzaines d’artistes différents, dont chacun joue son
propre
instrument. Aucun ne considère qu’après lui naîtr
ût du peuple, en tant qu’il ne s’appliquait pas exclusivement à leurs
propres
œuvres. Et de même que nous n’avons pas de Consei
re devient seulement dangereuse lorsque des aliénés qui suivent leurs
propres
chemins originaux ont auparavant empoisonné et re
ne leur reste pas de temps pour périr en une lente déchéance par leur
propre
incapacité de travail. L’homme normal à l’esprit
telligence saine et au cœur chaud comme Gœhre, qui dépeint d’après sa
propre
expérience l’existence d’un ouvrier de fabrique45
pteront aux conquêtes de la civilisation ou les subordonneront à leur
propre
capacité organique. Les aberrations de l’art n’on
réellement des sentiments de plaisir. Elles sont l’expression de leur
propre
trouble intellectuel et de la perversion de leurs
sion de leur propre trouble intellectuel et de la perversion de leurs
propres
instincts. Les demi-fous éprouvent, à la lecture
imer simplement et naturellement ; être jeune, c’est se réjouir de sa
propre
force et de sa santé, de l’existence de tous les
s bien tournées à l’aide desquelles il explique et justifie tout à sa
propre
satisfaction. 209. Walt Whitman, Leaves of Grass
que de sa vie exclusivement personnelle ; il n’agit plus qu’avec ses
propres
excitations, qu’avec le mouvement automatique de
ration constitue une dérogation aux lois qui régissent la sensibilité
propre
des organes et des facultés. Par ce mot nous ente
ons qui donnent aux organes de nouvelles qualités et les rendent plus
propres
à faire prospérer l’être vivant. Que l’impulsion
e beaucoup de costumes grotesques… Helmer. — … As-tu une idée de ton
propre
costume ? Rank. — Quant à cela, mon cher ami, c’
celui-ci est incontestablement inspiré par un obscur sentiment de son
propre
état d’âme. 383. Dr R. von Krafft-Ebing, Nouvell
. L’objection de Zerbst ne s’adresse donc pas au Dr Türck, mais à son
propre
maître Nietzsche. 388. Dr Hugo Kaatz, op. cit.,
o, dit de cette physionomie, qui a été inspirée à M. Zola, d’après sa
propre
déclaration, par L’Homme criminel : « M. Zola, d’
intensiviste. 2° L’espace est une forme engendrée par les ressources
propres
de l’esprit, pour recevoir et envelopper des sens
t de même de l’appétit, fond de la vie. Avant tout, l’appétit sent sa
propre
intensité, sa propre force interne, son énergie d
t, fond de la vie. Avant tout, l’appétit sent sa propre intensité, sa
propre
force interne, son énergie d’action, tantôt accru
répondant à l’intensité corporelle. Cette manière d’être et de réagir
propre
à la conscience n’est point une forme, ni une sor
inction de lieu précis, le caractère extensif qui, joint à sa qualité
propre
, permettra plus tard de construire l’étendue, et
, une forme vide, absolument uniforme, homogène, dépourvue de qualité
propre
, d’intensité, de ton sensitif, cadre indifférent,
ne perçoit que l’existence de quelque chose d’actif, différent de ses
propres
sentiments de passivité, et qu’en général il ne p
lect ? De même, dans les sensations, outre les éléments irréductibles
propres
à chacune, il y a un caractère irréductible qui a
inie de l’espace ; ce n’est point une chose qui n’aurait aucune unité
propre
et pourrait être divisée indéfiniment, capable d’
ant des diverses parties de notre corps et ayant chacune un caractère
propre
, une couleur locale. La cœnesthésie est un concer
e les sensations qu’ils nous fournissent et dont chacune a une nuance
propre
. Mais la qualité particulière de chaque sensation
abstraire et raisonner ; mais pour la voir, et la voir avec sa forme
propre
, il n’y a qu’à ouvrir les yeux. Si la ligne est u
usage, le côté des sensations auditives, olfactives, etc., qui serait
propre
à nous donner une représentation de l’étendue, de
ance nous révèle l’objectif, c’est-à-dire un objet différent de notre
propre
activité, l’étendue devient pour nous l’ordre des
est la réflexion individuelle par laquelle chacun de nous affirme sa
propre
vie et sa propre durée, et s’en distingue en les
individuelle par laquelle chacun de nous affirme sa propre vie et sa
propre
durée, et s’en distingue en les affirmant. La sec
sont introduites par imitation, par abus, ou catachrese. On a dit au
propre
, Pierre a de l’argent, il a de l’esprit ; & p
en rapport. 2. Que ce rapport est souvent marqué par la signification
propre
de la préposition même, comme avec, dans, sur, &a
elles indiquent quand elles sont prises dans leur sens primitif &
propre
, ne sont ensuite par figure & par extension,
ue les prépositions ne sont, ou ne paroissent pas prises dans le sens
propre
de leur premiere destination, & que par consé
eur au discernement que lui donne la connoissance & l’usage de sa
propre
Langue. Rapport de cause, rapport d’effet, d’inst
erre. Habile à dessiner, à écrire. Payable a ordre. Pareil à, &c.
Propre
à, &c. Semblable à, &c. Utile à la santé.
t plus savant que Pierre. Varron l’appelle cas latin, parce qu’il est
propre
à la Langue Latine. Les Grecs n’ont point de term
épitomes où l’on a réduit les Auteurs en gardant régulierement leurs
propres
termes & les expressions de leurs originaux,
res réels, il n’a pas été possible que chacun de ces êtres eût un nom
propre
. On a donné un nom commun à tous les individus qu
, la terre, la mer, cet homme, ce cheval, cette pierre, &c. notre
propre
expérience & le concours des motifs les plus
ais le mot qui exprime le concept, n’a pas hors de nous un exemplaire
propre
. Nous avons vû de l’or, & nous avons observé
re qu’il y ait eu des hommes assez déraisonnables pour réaliser leurs
propres
abstractions : mais entre autres exemples, on peu
esprit abstrait, c’est un esprit inattentif, occupé uniquement de ses
propres
pensées, qui ne pense à rien de ce qu’on lui dit.
ont souvent abstraits. Une nouvelle passion rend abstrait : ainsi nos
propres
idées nous rendent abstraits ; au lieu que distra
e si vous les retranchiez, le mot n’auroit plus la valeur qui lui est
propre
; alors ces syllabes n’ayant point la significati
n son particulier de la langue, on auroit dû donner à chacun un signe
propre
dans l’écriture. Pour suppléer à ce défaut, on s’
le point sur l’i, on donnât toûjours à l’e, dans l’écriture, l’accent
propre
à en marquer la prononciation ; ce qui seroit, di
es jettons ; coin ou coing est le fruit du coignassier. Outre le sens
propre
qui est la premiere acception d’un mot, on donne
i quels sont ces accidens. 1. Toute diction ou mot peut avoir un sens
propre
ou un sens figuré. Un mot est au propre, quand il
ion ou mot peut avoir un sens propre ou un sens figuré. Un mot est au
propre
, quand il signifie ce pourquoi il a été premierem
s de la foire, j’y ai vû un beau Lion ; Lion est pris là dans le sens
propre
: mais si en parlant d’un homme emporté je dis qu
de plus chaque sorte particuliere de mots a ses accidens qui lui sont
propres
; ainsi le nom substantif a encore pour accidens
’égard des verbes, ils ont aussi par accident l’acception, qui est ou
propre
ou figurée : ce vieillard marche d’un pas ferme,
re ou figurée : ce vieillard marche d’un pas ferme, marcher est là au
propre
: celui qui me suit ne marche point dans les téne
st que par le secours d’une périphrase, & non par une terminaison
propre
, que nous exprimons le sens passif. Ainsi en Lati
n. Couleur jaune. Coûtume abusive. Diable boiteux. Dîme royale. Dîner
propre
. Discours concis. Empire Ottoman. Esprit invisibl
e précèdent aussi les substantifs appellatifs, & suivent les noms
propres
: le premier homme, François, premier, quatre per
es les nations qui écrivent leur langue, ont un alphabet qui leur est
propre
, ou qu’elles ont adopté de quelque autre langue p
eptieme, &c. Pour nous nous n’avons pas d’alphabet qui nous soit
propre
; il en est de même des Italiens, des Espagnols,
langue ; par exemple, les trois e devroient avoir chacun un caractere
propre
, comme l’ε, & l’η des Grecs. 2°. Que l’ancien
qu’on n’en remplit pas la fin, & qu’on ne prend point les moyens
propres
pour arriver à cette fin. Il est évident que notr
autres, quoique d’ailleurs différentes par des qualités qui leur sont
propres
. Ainsi le pié d’une montagne a quelque chose d’an
des Latins, ou si dice des Italiens : ce sont-là des façons de parler
propres
& particulieres à chacune de ces langues. Mai
tour de leur langue naturelle, mais qui ne sont pas conformes au tour
propre
à la langue originale qu’ils ont voulu imiter. Vo
ISME, s. m. (Gramm.) idiotisme Anglois, c’est-à-dire, façon de parler
propre
à la langue Angloise : par exemple, si l’on disoi
nt d’appellare, appeller, nommer. Le nom appellatif est opposé au nom
propre
. Il n’y a en ce monde que des êtres particuliers,
ste à mettre ensemble sans conjonction deux noms dont l’un est un nom
propre
, & l’autre un nom appellatif, ensorte que ce
Latin articulus, diminutif de artus, membre ; parce que dans le sens
propre
, on entend par article les jointures des os du co
différentes manieres, & selon les divers mouvemens qui leur sont
propres
: de-là par métaphore & par extension, on a d
même usage ; les Grees mettent souvent leurs articles devant les noms
propres
, tels que Philippe, Alexandre, César, &c. Nou
evant leurs substantifs, & qui ont chacun un service qui leur est
propre
. On pourroit les appeller prénoms. Comme la socié
autre. Il paroît donc que chaque être singulier devroit avoir son nom
propre
, comme dans chaque famille chaque personne a le s
entoient à moi, je les prenois comme j’ai pris dans la suite les noms
propres
. Cet animal à quatre pattes qui venoit badiner av
, par rapport au sujet principal dont nous avons à parler. 1°. Le nom
propre
, c’est le nom qui n’est dit que d’un être particu
s la sphere où cet être se trouve ; ainsi Louis, Marie, sont des noms
propres
, qui, dans les lieux où l’on en connoît la destin
iseaux des autres animaux, &c. Chaque espece a donc un caractere
propre
qui la distingue d’une autre espece, comme chaque
ou méthaphysiques ; c’est ce besoin, dis-je, qui, au défaut des noms
propres
pour chaque idée particuliere, nous a donné lieu
ts particuliers dont nous voulons parler, & qui n’ont pas de noms
propres
, se trouvent confondus avec tous les autres indiv
indétermination du nom d’espece, & en font ainsi une sorte de nom
propre
. Par exemple, si l’astre qui nous éclaire n’avoit
propre. Par exemple, si l’astre qui nous éclaire n’avoit pas son nom
propre
soleil, & que nous eussions à en parler, nous
rès quoi nous aurions recours aux mots qui nous paroîtroient les plus
propres
à déterminer singulierement cet individu d’astre
acune de ces vûes particulieres de notre esprit : voyons donc l’effet
propre
ou le service particulier de ces prénoms. 1°. Tou
catif individuel de l’esprit de ce ministre ; on le regarderoit comme
propre
singulierement à la conduite des affaires du pays
ois bien que ce seroit le roi du royaume dont il s’agiroit. Des noms
propres
. Les noms propres n’étant pas des noms d’especes,
roit le roi du royaume dont il s’agiroit. Des noms propres. Les noms
propres
n’étant pas des noms d’especes, nos peres n’ont p
p; le bon ami ! on sousentend que tu es. Mais revenons aux vrais noms
propres
. Les Grecs mettent souvent l’article devant les n
ais noms propres. Les Grecs mettent souvent l’article devant les noms
propres
, sur-tout dans les cas obliques, & quand le n
prit qui se tourne vers un objet. N’importe que cet objet soit un nom
propre
ou un nom appellatif ; pour nous, nous ne mettons
f ; pour nous, nous ne mettons pas l’article, surtout devant les noms
propres
personnels : Pierre, Marie, Alexandre, César, &am
ici quelques remarques à ce sujet. I. Si par figure on donne à un nom
propre
une signification de nom d’espece, & qu’on ap
à nos Tristans, & à nos Rotrous ; où vous voyez que tous ces noms
propres
prennent en ces occasions une s à la fin, parce q
Dieu des chrétiens, &c. II. Il y a un très-grand nombre de noms
propres
, qui dans leur origine n’étoient que des noms app
onvoisins. Il y a aussi plusieurs qualificatifs qui sont devenus noms
propres
d’hommes, tels que le blanc, le noir, le brun, le
vient des Italiens. Qu’il me soit permis d’observer ici que les noms
propres
de famille ne doivent être précédés de la préposi
rincipale terre que le chef de la maison possédoit avant que les noms
propres
de famille fussent en usage. Alors le nom est pré
décele tant l’homme nouveau & peu instruit. Quelquefois les noms
propres
sont accompagnés d’adjectifs, sur quoi il y a que
ît par les observations ci-dessus, que lorsqu’à la simple idée du nom
propre
on joint quelqu’autre idée, ou que le nom dans sa
de tous les êtres. Le monde, du Latin mundus, adjectif, qui signifie
propre
, élégant, ajusté, paré, & qui est pris ici su
ont tous les petits meubles dont elles se servent pour se rendre plus
propres
, plus ajustées & plus séduisantes : le mot Gr
incipes que nous avons établis, s’il trouve qu’il y ait lieu. Noms
propres
employés seulement avec une préposition sans l’ar
propres employés seulement avec une préposition sans l’article. Noms
propres
employés avec l’article. Royaume de Valence. L
ler est encore en usage en Flandre. Le substantif brin, qui se dit au
propre
des menus jets des herbes, sert souvent par figur
nt d’argent, de coeur, de charité, d’ambition ; parce que, dit-on, le
propre
de la négation est de tout ôter. (ibid.) Je convi
par similitude. Quand nous disons, j’ai un livre, &c. j’ai est au
propre
, & nous tenons le même langage par comparaiso
recs écrivoient les mots Latins où il y avoit un c, sur-tout les noms
propres
, Coesar, Καῖσαρ ; Cicero, Κικέρων, qu’ils auroien
C, condemnationis. (Asconius Pedianus in Divinat. Cic.) Dans les noms
propres
, le C écrit par abréviation signifie Caius : s’il
grammairiens Latins, Auctores linguoe Latinoe. Le C mis après un nom
propre
d’homme, ou doublé après deux noms propres, marqu
inoe. Le C mis après un nom propre d’homme, ou doublé après deux noms
propres
, marquoit la dignité de consul. Ainsi Q. Fabio &a
éviation. On entend par caractere littéral, une lettre de l’alphabet,
propre
à indiquer quelque son articulé : c’est en ce sen
primer des lettres ou des sons. Ainsi chaque nation auroit retenu son
propre
langage, & cependant auroit été en état d’ent
pté Ι, cela montroit que la lettre renfermée étoit le quintuple de sa
propre
valeur, comme [non reproduit]50, [non reproduit]5
ristique ou figurative, c’est-à-dire celle qui précéde la terminaison
propre
qui fait la différence des déclinaisons : par ex.
nt il s’agit, sans que par eux-mêmes ils en excitent l’idée. Ainsi la
propre
valeur de ces mots ne consiste que dans la désign
. I. sc. j. vers 1. Ainsi il faut bien distinguer en ces occasions la
propre
signification du mot, & les idées accessoires
CESURE, s. f. (Gram.) ce mot vient du Latin coesura, qui dans le sens
propre
signifie incision, coupure, entaille, R. coedere,
ans les langues où l’optatif n’a point de terminaisons qui lui soient
propres
, il est inutile d’en faire un mode séparé du subj
Anglois, du-moins celles dont j’ai en connoissance, ne m’ont pas paru
propres
pour nous donner une idée juste de la maniere de
aque mot d’un verbe comme un mot particulier, qui a une signification
propre
; par exemple, i am, je suis ; thou art, tu es ;
act. II. sc. 2. Après tout a-t-on besoin de ces connoissances pour sa
propre
conservation, & pour se procurer une sorte de
donne à l’air sonore une agitation & un trémoussement momentanée,
propre
à faire entendre telle ou telle consonne : voilà
et fournira de vent ou d’air, le tuyau rendra le son, qui est l’effet
propre
de l’état & de la situation où se trouvent le
ûte ; tant que celui qui en joüe y souffle de l’air, on entend le son
propre
au trou que les doigts laissent ouvert : le tuyau
r faire prendre à l’air qui sort de la trachée-artere la modification
propre
à exciter le son de telle ou telle voyelle. La si
ctere, telles que a, e, i, o, u, que celles qui, faute d’un caractere
propre
, sont écrites par plusieurs lettres, telles que o
s de la langue, donnent à l’air qui sort de la bouche la modification
propre
à faire entendre telle ou telle consonne. Or si a
parole fussent en même tems en deux états, qui ont chacun leur effet
propre
& différent. Ce que nous venons d’observer à
de consonne n’est point contestée. Nous devrions donner un caractere
propre
, déterminé, unique & invariable à chacun de c
t. chap. vj. Cette maniere consiste à nommer les consonnes par le son
propre
qu’elles ont dans les syllabes où elles se trouve
ans les syllabes où elles se trouvent, en ajoûtant seulement à ce son
propre
celui de l’e muet, qui est l’effet de l’impulsion
e, le cou, queue, querir, querelle. Comme je ne cherche que les sons
propres
de chaque lettre de notre langue, désignés par un
e mets pas ici la lettre x, parce qu’elle n’a pas de son qui lui soit
propre
. C’est une lettre double que les copistes ont mis
hon. Exhorter, eg-zhorter. A la fin des mots, l’x a en quelques noms
propres
le son de c s : Ajax, Pollux, Styx, on prononce A
lent. Voilà déjà quinze sons consonnes désignés par quinze caracteres
propres
; je rejette ici les caracteres auxquels un usage
x Pays de Coca-gne. lettres, quand elles gardent leur Allema-gne. son
propre
, comme dans gnomon, Ma-gnanime. magnus, il s’agi
mou-ill-er. Le son mouillé du l est aussi marqué dans quelques noms
propres
par lh. Milhaud ville de Rouergue, M. Silhon, M.
sorte de construction, par une métaphore tirée de ce que dans le sens
propre
les louches semblent regarder d’un côté pendant q
a suite, & que d’ailleurs cette construction est le moyen le plus
propre
& le plus facile que la nature nous ait donné
C’est une vérité dont nous pouvons aisément nous convaincre par notre
propre
expérience. & sur-tout en nous rappellant ce
nt l’ordre successif de la construction simple. Cet ordre est le plus
propre
à faire appercevoir les parties que la nécessité
loye ce que l’art a de plus séduisant pour nous plaire, & de plus
propre
à nous toucher, nous applaudirons à ses talens ;
que de pouvoir être considéré comme ayant telle ou telle modification
propre
, ou bien tel ou tel de ces accidens qui donnent l
l est, ou qu’il fait, ou qu’il souffre, ou qu’il a, soit dans le sens
propre
, soit au figuré. Pour mieux faire entendre ma pen
e vexat ; à l’article de la mort les méchans sont tourmentés par leur
propre
conscience. Je dirai donc par analogie, par imita
ines occasions on dit, je l’ai vû de mes yeux, je l’ai entendu de mes
propres
oreilles, &c. je me meurs ; ce me n’est-là qu
est aussi usitée dans la même langue, sur-tout quand on passe du sens
propre
au sens figuré. On dit au sens propre, qu’un homm
successif de leurs rapports, nous les présente de la maniere la plus
propre
à nous faire appercevoir ces rapports & à fai
ce. In, préposition de lieu déterminée par civitate David. David, nom
propre
qui détermine civitate. David, ce mot se trouve q
eur en apprendra point d’antres que celles dont la nature & leurs
propres
lumieres leur feront sentir la vérité. Rien de pl
v. 22. ad Tutic. O vous que depuis mon enfance j’ai aimé comme mon
propre
frere. Il est évident que cognite est au vocatif,
it nubere alicui, ce dernier mot est au datif, parce que dans le sens
propre
nubere, qui vient de nubes, signifie voiler, couv
ut pas donner un ablatif à la langue greque. Quand on employe dans sa
propre
langue quelque mot d’une langue étrangere, chacun
bes changent de terminaison, & que chaque terminaison a son usage
propre
, & indique le correlatif du mot. Il en est de
par un effet du préjugé de l’enfance, ils ayent voulu adapter à leur
propre
langue les notions qu’ils avoient prises de cette
mot degré se prend alors dans un sens figuré : car comme dans le sens
propre
un degré sert à monter ou à descendre, de même ic
sage à Athenes ; l’ionique, qui étoit usitee dans l’Ionie, ancien nom
propre
d’une contrée de l’Asie mineure, dont res villes
onné lieu à nos Grammairiens de diviser les diphthongues en vraies ou
propres
, & en fausses ou impropres. Ils appellent aus
ire oi dans les mots François, croire, &c. comme si ai étoit plus
propre
que oi à représenter le son de l’e. Si vous avez
liées entr’elles de la même maniere qu’elles le seroient dans le sens
propre
. On a reproché à Malherbe d’avoir dit, Prends ta
sent à l’écorce. Ces verbes conviennent fort bien avec écorce pris au
propre
; mais on ne diroit pas au propre, fondre l’écorc
nnent fort bien avec écorce pris au propre ; mais on ne diroit pas au
propre
, fondre l’écorce : fondre se dit de la glace ou d
t que les auteurs de notre alphabet ne lui ont pas donné un caractere
propre
. Les lettres écrites qui, par les changemens surv
état, pour lesquels il n’y eût une sorte d’éducation qui leur seroit
propre
; éducation pour les enfans des souverains, éduca
hamp ne peut y faire travailler utilement, que lorsque le terrein est
propre
à ce qu’il veut y faire produire ; de même un per
inclinations, son goût, son caractere, & connoître à quoi il est
propre
, & quelle partie, pour ainsi dire, il doit te
us prévoyez qu’ils reconnoîtront dans la suite qu’ils n’étoient point
propres
. On doit, autant qu’on le peut, leur épargner les
qu’il entend ce qu’on lui dit, il devroit être regardé comme un sujet
propre
à être soûmis à la jurisdiction de l’éducation, q
ope ou de quelqu’autre piece de Moliere. Cette pratique est-elle bien
propre
à faire prendre intérêt à ce qu’on lit, à donner
remarqué, parce que l’enfant ne peut point encore avoir d’idée de sa
propre
individualité, ou du moi. Ce sentiment refléchi d
n, c’est le régime, la tempérance, la continence, l’usage des alimens
propres
à guérir chaque sorte de maladie de l’esprit (voy
noissance individuelle doit avoir sa cause particuliere, ou son motif
propre
. Ce motif doit avoir deux conditions également es
Il doit être extérieur, c’est-à-dire qu’il ne doit pas venir de notre
propre
imagination, comme il en vient dans le sommeil :
le sommeil : cogitare tuum nil ponit in re. 2°. Il doit être le motif
propre
, c’est-à-dire celui que telle connoissance partic
amp; nous, nous avons un motif légitime, un motif extérieur, un motif
propre
, pour assûrer qu’il y a des Antipodes. Ce Grec qu
consentement de l’esprit ; il n’avoit point de motif extérieur &
propre
: ce qu’il pensoit n’étoit point en rapport avec
nombre d’exemples, pour faire voir la nécessité d’un motif extérieur,
propre
, & légitime dans tous nos jugemens, même de c
ent ; mais si dans une autre phrase la même enclitique suivoit un nom
propre
, elle cessoit d’être enclitique & gardoit son
ue & gardoit son accent ; car l’union de l’enclitique avec le nom
propre
, auroit rendu ce nom méconnoissabble : ainsi τι,
t de donner des épithetes aux personnes, qu’est venu l’usage des noms
propres
de famille. Quand le simple adjectif ajoûté à un
ple adjectif ajoûté à un nom commun ou appellatif le fait devenir nom
propre
, alors cet adjectif est un épithete : urbs, ville
e ; mais alors philosophe & poëte n’étant point joints à des noms
propres
, sont pris substantivement, & par conséquent
e de Grammaire greque, Le mot esprit, spiritus, signifie dans le sens
propre
un vent subtil, le vent de la respiration, un sou
nous fait voir ce qui est cause & ce qui est effet, ensuite notre
propre
réflexion nous fait observer la liaison & l’e
tre la cause & l’effet. Chacun tire plus ou moins de profit de sa
propre
expérience, selon le plus ou le moins de lumieres
aites avec l’esprit d’observation, & avoir sû mettre à profit ses
propres
fautes & celles des autres. La raison qui doi
qui donne plus de force au discours. Je l’ai vû, dis-je, vû, de mes
propres
yeux vû, Ce qu’on appelle vû. Moliere, Tartuffe,
témoignage d’un autre ; je l’ai vû moi-même ; je l’ai entendu de mes
propres
oreilles : & dans Virgile, au neuvieme livre
goge. Autre exemple : ces deux mots Céres & Bacchus sont les noms
propres
& primitifs de deux divinités du paganisme ;
primitifs de deux divinités du paganisme ; ils sont pris dans le sens
propre
, c’est-à-dire, selon leur premiere destination, l
guées l’une de l’autre par une conformation particuliere ou caractere
propre
qui fait leur différence ; c’est la considération
figurées ont encore chacune une modification singuliere qui leur est
propre
, & qui les distingue l’une de l’autre. On ne
amp; dans Tibulle dissoluenda pour dissolvenda. En françois Laïs, nom
propre
, est de deux syllabes, & dans les freres-lais
eres-lais, ce mot n’est que d’une syllabe ; & de même Créüse, nom
propre
de trois syllabes, creuse, adjectif feminin dissy
lle tropes, à cause du changement qui arrive alors à la signification
propre
du mot ; car trope vient du grec, τροπὴ, conversi
de Pyrénées ; personne ne prit ce mot à la lettre & dans le sens
propre
: on ne crut point que le roi eût voulu dire que
les mots dont on se sert dans l’ironie, ne sont pas pris dans le sens
propre
& primitif. Ainsi, quand Boileau, satyre IX.
nt point des tropes, puisque les mots y conservent leur signification
propre
. Ce ne sont point des figures de pensées, puisque
expressions figurées ont chacune une forme particuliere qui leur est
propre
, & qui les distingue les unes des autres ; pa
a communication, quand l’orateur expose amicalement ses raisons à ses
propres
adversaires ; il en délibere avec eux, il les pre
ement en un seul mot. Les idées accessoires que l’on substitue au mot
propre
, sont moins seches & occupent l’imagination.
t le goût, ce sont les circonstances qui doivent décider entre le mot
propre
& la périphrase. L’hyperbole est une exagérat
arable de tout atome, j’ai recours à une troisieme idée qui me paroît
propre
à faire appercevoir cette connexion ou identité,
idées des êtres particuliers. Nous voyons ces êtres bornés par leurs
propres
limites & par l’étendue ultérieure qui les en
l fonds. Ce mot a plusieurs acceptions analogues entre elles, tant au
propre
qu’au figuré. Fond signifie premierement la part
rendre fond, c’est jetter l’ancre : couler à fond se dit dans le sens
propre
d’un vaisseau qui se remplit d’eau & s’enfonc
cre. On sonde quelquefois sans trouver fond. Un bon fond dans le sens
propre
, en terme de Marine, veut dire un bon ancrage, c’
eut dire un bon ancrage, c’est-à-dire que le fond de la mer se trouve
propre
à retenir l’ancre : bas-fond est un endroit de la
’on veut bien y faire attention. 3°. Fond se prend aussi dans le sens
propre
pour le terrein, pour ce qui sert de base. On a p
itive est toujours l’objet immédiat des diverses acceptions. 1. Sens
propre
, sens figuré. Il n’en est pas ainsi à l’égard des
d’être détaillées ; on dit alors que le mot est employé dans le sens
propre
, comme quand on dit, le feu brûle, la lumiere nou
rimitive sans aucune altération, c’est pourquoi ils sont dans le sens
propre
. « Mais, dit M. du Marsais, Trop. Part. I. art.
ignant les objets avec plus de circonstances que ne feroient les noms
propres
de ces objets, les peignent ou avec plus d’énergi
n figurée est aussi facilement entendue que si l’on se servoit du mot
propre
; elle est même ordinairement plus vive & plu
nne en quelque sens figuré, c’est-à-dire, éloigné de sa signification
propre
& primitive. Les mots les plus communs, &
; alors il doit avoir recours à quelqu’autre expression figurée de sa
propre
langue, qui réponde, s’il est possible, à celle d
ndre ma pensée par cet exemple. Porter se rend en latin dans le sens
propre
par ferre : mais quand nous disons porter envie,
’agit de traduire un mot latin ? Pourquoi joint-on à la fignification
propre
d’un mot, quel qu’autre signification figurée, qu
nos dictionnaires donnassent d’abord à un mot latin la signification
propre
que ce mot avoit dans l’imagination des auteurs l
de deux sortes. 1. Il y a un sens littéral rigoureux ; c’est le sens
propre
d’un mot, c’est la lettre prise à la rigueur, str
uand on dit d’un politique, qu’il seme à propos la division entre ses
propres
ennemis, semer ne se doit pas entendre à la rigue
res ennemis, semer ne se doit pas entendre à la rigueur selon le sens
propre
, & de la même maniere qu’on dit semer du blé
met la main à la charrue & qui regarde derriere lui, n’est point
propre
pour le royaume de Dieu, on voit bien qu’il n’a p
un laboureur qui en travaillant tourne quelquefois la tête, n’est pas
propre
pour le ciel ; le vrai sens que ces paroles prése
ns allégorique se tire d’un discours, qui, à le prendre dans son sens
propre
, signifie toute autre chose : c’est une histoire
es qui nous déplaisent malgré nous : & nous ne pouvons, par notre
propre
volonté, recevoir du plaisir & éloigner le ma
sens est infaillible, quand il n’est contredit dans nous ni par notre
propre
raison, ni par un témoignage précédent des mêmes
bsolument juger de la grandeur des objets ? Qui ne sait que son objet
propre
& particulier sont les couleurs ? Il est vrai
oprement de mesurer au juste la grandeur, en mesurant par son étendue
propre
la grandeur de l’objet auquel elle est appliquée.
nt relative, ils jugeroient chacun de la grandeur des objets sur leur
propre
étendue, dont ils auroient le sentiment : ils pou
’ils la mesurent chacun de leur côté, au sentiment qu’ils ont de leur
propre
étendue. On peut dire de nos sens ce que l’on dit
& uniforme, sur des objets différens du sentiment intime de leur
propre
perception ; jugement qui n’est point la conséque
les & aussi sûres que la regle tirée du sentiment intime de notre
propre
perception ; non pas qu’elle emporte notre esprit
ité des philosophes ou des astronomes, plutôt qu’au témoignage de ses
propres
yeux. Aussi n’a-t-on jamais vu de gens, même parm
approche. Ainsi les hommes les plus stupides sont persuadés que leurs
propres
yeux les trompent sur la vraie étendue des objets
l est celui que les termes du texte présentent à l’esprit, suivant la
propre
signification des termes. Ainsi quand on dit que
ui en ébranlant toute la machine, la met quelquefois en garde pour sa
propre
défense, & quelquefois hors d’état d’y pourvo
tion, ni la connoissance des choses, ni le sentiment interne de notre
propre
existence ne peuvent résider en nous sans la mémo
; la mémoire plus heureuse. Ceux qui sont devenus aveugles, sont fort
propres
à combiner à la fois un grand nombre d’idées. Pou
it plus ou moins que le mot dont on se sert, ne signifie dans le sens
propre
. Quand au lieu de dire d’un homme qu’il aime le v
voiles une signification plus étendue que celle qu’il a dans le sens
propre
; je prends la partie pour le tout. La synecdoque
e on donne une signification particuliere, à un mot qui, dans le sens
propre
, a une signification plus générale ; ou au contra
raire, on donne une signification générale à un mot qui, dans le sens
propre
, n’a qu’une signification particuliere. En un mot
aire la synecdoque de l’espece : c’est lorsqu’un mot qui dans le sens
propre
ne signifie qu’une espece particuliere, se prend
es hivers, c’est-à-dire, après quelques années. L’onde, dans le sens
propre
, signifie une vague, un flot ; cependant les poet
. Que la synecdoque fait entendre le plus par un mot qui dans le sens
propre
signifie le moins ; ou au au contraire elle fait
au contraire elle fait entendre le moins par un mot qui dans le sens
propre
marque le plus. 2°. Dans l’une & l’autre figu
a puissance. Après cette sublimité de vertu, qui fait trouver dans sa
propre
conscience le motif et le but de sa conduite, le
ir notre âme est l’amour de la gloire. Je laisse au sens de ce mot sa
propre
grandeur en ne le séparant pas de la valeur réell
du peuple, qui compte sur vos lumières, la plus vive attention à vos
propres
pensées ; les acclamations de la foule remuent l’
ermet pas d’atteindre à la célébrité. On ne sait pas au-dehors un nom
propre
du gouvernement de Venise, du gouvernement sage e
e une place au-dessus de tous les autres, à renoncer à l’usage de ses
propres
lumières pour le croire et lui obéir, qu’en lui s
de la surprise, et le doit aux résultats du talent, bien plus qu’à la
propre
valeur de ce talent même. Si les revers de la for
conquérir sur le passé : un jour de gloire est si multiplié par notre
propre
pensée qu’il peut suffire à toute la vie. Les plu
assion de la gloire excite le sentiment et la pensée au-delà de leurs
propres
forces ; mais loin que le retour à l’état naturel
ntité d’une énergie déterminée, — une énergie particulière, la sienne
propre
, qui ne relève jamais de ce concept. Il suit de l
e la façon la plus tragique, à cette fausse conception de soi-même sa
propre
personne et son instinct de conservation le plus
enfuie en courant vers les genoux de sa bonne. En faisant appel à ses
propres
souvenirs chacun peut se représenter combien est
elle est détournée de ses fins pendant la période où elle est le plus
propre
à s’amplifier et à se définir. En même temps que
pas jusqu’à Gœthe, qui ne donne quelques signes d’aveuglement sur son
propre
génie. On sait le prix qu’il attachait à ses trav
èle s’ingénie à la lui cacher. Il s’agit pour lui de se déguiser à sa
propre
vue derrière un masque de supériorité. Il faut qu
e derrière un masque de supériorité. Il faut qu’il se reflète dans sa
propre
conscience autre qu’il n’est, revêtu d’apparences
autre qu’il n’est, revêtu d’apparences où il prenne le change sur sa
propre
personne. Il ne peut être question pour lui d’acq
Mais cette hallucination qui le détournait de la satisfaction de son
propre
moi, ne parvenait pas à l’égaler au modèle qu’il
Il faut l’avouer, les exemples que l’on avait mis en scène n’étaient
propres
à illustrer qu’un cas particulier des effets de l
trie de l’humanité, et de hisser, par un raidissement de l’effort, sa
propre
et frêle personnalité jusqu’au plateau conquis et
convertie en notion en une première conscience individuelle, la voici
propre
. à se refléter dans toutes les intelligences et à
ortance du facteur de la durée, concevons qu’un bloc d’argile demeure
propre
à recevoir toutes les formes tant qu’un statuaire
oir duré, ait acquis des droits à vivre et à persévérer dans sa forme
propre
. D’ailleurs, ce moule dont le groupe nouveau va a
er l’empreinte n’est jamais si rigide que, par la vertu d’originalité
propre
qu’il possède, il ne le modifie à son tour. Aux p
et sanctionnée par la durée. Elle leur tenait lieu d’une, discipline
propre
à assembler et modeler les énergies désordonnées
s l’imitation des tons, des accens, des soûpirs, et des sons qui sont
propres
naturellement aux sentimens contenus dans les par
ale dans leur culte religieux. Tous les peuples ont eu des instrumens
propres
à la guerre, et ils s’y sont servi de leur chant
s en mouvement lorsqu’ils s’éveilloient, et pour se rendre ainsi plus
propres
à l’application. Pour le dire en passant, le prem
ntiment, nous trouvons en l’examinant par quelles raisons elle est si
propre
à faire l’impression que nous avons déja sentie.
et le raisonnement nous enseignent qu’il est des bruits beaucoup plus
propres
à le faire, que le silence même. Ces bruits sont
mouvement, que suivant une proportion lente et uniforme, soient plus
propres
à faire reprendre aux esprits ce cours égal, dans
morale, quelque chose qui, comme le platonisme ou le stoïcisme, soit
propre
à purifier ou à retremper les âmes ; on n’en a po
omme dans celle des individus, on peut considérer ce qui fait l’objet
propre
des études historiques, les événements politiques
ins intéressante pour un simple public de spectateurs, mais bien plus
propre
à fixer les regards de l’observateur curieux de s
me un Thucydide, a une noblesse, une beauté, une moralité qui lui est
propre
. C’est que là on voit l’homme agir de lui-même et
leur font jamais obstacle, n’étant que des personnifications de leurs
propres
volontés. La seule puissance qui domine les héros
rage, de leur vertu, de leur génie. Chacun a le sentiment de sa force
propre
, rarement de la force des choses qui le favorise
ne se doute, parmi les anciens, des vraies sources et des caractères
propres
de la poésie homérique. Dans les temps modernes j
ble, dans laquelle excelle l’esprit philosophique de M. Guizot, n’est
propre
ni à l’historien ni à sa manière d’expliquer plut
tilien, dans l’antiquité. La critique moderne y voit, à côté du génie
propre
de l’individu, le génie de la race, du peuple, de
tion sourde et invisible n’en est pas moins souveraine. Cela est bien
propre
à faire réfléchir sur le danger des entreprises t
a formule avec cette netteté et cette force d’expression qui lui sont
propres
. « Que les faits soient physiques ou moraux, il n
ouvent même de la légitimité de tous les faits qui ont pour caractère
propre
la puissance et la durée. C’est ainsi que Saint-S
t un grand mal”, disent les montagnards instruits plus tard par leurs
propres
calamités. Et nous, plus terroristes que les terr
tre temps, M. Renan, l’a dit avec cette sérénité d’esprit qui lui est
propre
: « Le gouvernement des choses d’ici-bas appartie
la fatalité et la liberté, font chacune leur œuvre suivant leurs lois
propres
. La première obéit aux lois de la force, la secon
e et sombre, comme tous les sentiments qui, voués au secret par notre
propre
jugement sur leur nature, sont d’autant plus épro
erté dans le cœur, pour démêler et repousser les sentiments que votre
propre
pouvoir inspire : si vous voulez donc aimer les h
? Dans les situations communes de la vie, on se fait illusion sur son
propre
mérite ; mais un sentiment actif fait découvrir à
ent présent est une véritable douleur. On ne brave pas impunément ses
propres
qualités ; et celui que son ambition entraîne à s
el plus grand malheur que d’avoir mérité une réputation opposée à son
propre
caractère ! L’homme qui s’est jugé comme la voix
ses regrets. Mais l’ambitieux, privé du pouvoir, ne vit plus qu’à ses
propres
yeux : il a joué, il a perdu ; telle est l’histoi
itable force ; c’est une sorte d’ardeur qui ne peut se nourrir de ses
propres
ressources ; c’est le sentiment le plus ennemi du
amène autant à soi, mais il n’en est aucune qui vienne moins de notre
propre
mouvement, toutes ses impulsions arrivent du deho
resque une ressource qu’on trouve en soi, et cette crédulité dans son
propre
mérite a bien quelques-uns des avantages de tous
se, on ne peut s’y soumettre, on ne peut s’en affranchir, c’est à ses
propres
yeux que l’on rougit, c’est à ses propres yeux qu
’en affranchir, c’est à ses propres yeux que l’on rougit, c’est à ses
propres
yeux que l’on produit l’effet que le spectacle de
elles tous les événements, et les considèrent dans le rapport de leur
propre
influence, de leur intérêt individuel, alors à pe
lie personne, en déjouant ces distinctions, se flatte de signaler ses
propres
avantages. Une femme qui se croit remarquable par
e soumet aux lois, comme un moyen d’éviter l’éclat personnel des noms
propres
, et préserve une nation nombreuse et libre, lorsq
(1) Pour expliquer convenablement la véritable nature et le caractère
propre
de la philosophie positive, il est indispensable
es fondamentales de la seconde. Or, chacun de nous, en contemplant sa
propre
histoire, ne se souvient-il pas qu’il a été succe
à la parfaite convenance de la philosophie théologique avec la nature
propre
des recherches sur lesquelles l’esprit humain dan
n est de découvrir les lois des phénomènes, dont le premier caractère
propre
est précisément de regarder comme nécessairement
a dû se servir de conceptions intermédiaires, d’un caractère bâtard,
propre
, par cela même, à opérer graduellement la transit
, il nous sera maintenant aisé de déterminer avec précision la nature
propre
de la philosophie positive : ce qui est l’objet e
ogiques, méritent, soit par leur importance, soit par les difficultés
propres
à leur étude, de former une catégorie distincte.
plus important de présenter cet esprit sous un nouveau point de vue,
propre
à achever d’en éclaircir la notion générale. Dans
leur enchaînement, à résumer, s’il est possible, tous leurs principes
propres
en un moindre nombre de principes communs, en se
te, incessamment contrôlée par toutes les autres, ayant pour fonction
propre
et permanente de lier chaque nouvelle découverte
esprit humain, qui ont été recherchées jusqu’ici par des voies si peu
propres
à les dévoiler. Pour expliquer convenablement ma
main peut observer directement tous les phénomènes, excepté les siens
propres
. Car, par qui serait faite l’observation ? On con
mmense exception ? Ne tiendrait-elle pas à ce même caractère général,
propre
à tous les corps organisés, qui fait que, dans au
e serait possible. Le fait même qu’il n’y a point de vérité objective
propre
à servir de base à la vie implique la nécessité d
; car ils croient l’un et l’autre qu’il existe une vérité objective,
propre
, à l’exclusion de toute autre conception, à assur
u’elle n’exprime autre chose qu’un état de sensibilité particulier et
propre
à un temps donné. Ce qui importe, c’est de consid
c’est de considérer dans quelle mesure cette conception nouvelle est
propre
à s’agencer avec la réalité actuelle, à la fortif
dans quel sens précis elles agirent. Ces diverses connaissances sont
propres
à déterminer quelles transformations peut subir e
veulent à leur tour commencer quelque chose, marcher en tête de leurs
propres
nouveautés, avec musique et fanfares, et guidées
table et la limite sont principalement en nous, et que c’est avec son
propre
talent qu’on a surtout affaire, pour l’exercer, p
upidités et ses avarices, à la sourdine, et sans se dire tout bas ses
propres
vérités ? ou bien n’est-ce qu’un hypocrite, un ta
l en l’approfondissant, et soutient-il l’examen ? Est-il surtout bien
propre
au théâtre, et prête-t-il à la comédie ? Y a-t-il
etc. La pensée crée de toutes pièces la notion d’absolu en niant ses
propres
conditions, et en supposant que quelque chose est
bjectivité de la conscience sensible et l’érige en vérité. Même à nos
propres
états de conscience nous attribuons une vérité in
e empiriste, continue-t-on, parle lui-même de ce qui se passe dans sa
propre
conscience « comme de quelque chose de vrai en so
s, nous ne pouvons pas supposer une autre solution ni sortir de notre
propre
expérience. L’absolu est donc ici tout négatif. C
renant conscience de soi. Nous prenons simplement conscience de notre
propre
constitution intellectuelle, et nous concevons la
ellement complexe : c’est une combinaison ou synthèse de nos facultés
propres
, que nous supposons pouvoir être portées à l’infi
orité ; car, non seulement il est donné dans la constitution de notre
propre
conscience, mais il est impossible d’imaginer une
fisante. L’impossibilité pour la volonté et la pensée de sortir de sa
propre
nature crée la nécessité subjective, laquelle pro
onscience se projetant en toutes choses, imposant à toutes choses ses
propres
manières d’être et trouvant dans l’expérience ext
ntures d’une imagination aiguë et raffinée, en est venu à chanter ses
propres
chants, à pleurer ses propres larmes ; maître ach
et raffinée, en est venu à chanter ses propres chants, à pleurer ses
propres
larmes ; maître achevé du rythme, de recherches e
res d’une imagination aiguë ». Enfin M. Armand Renaud, « pleurant ses
propres
larmes », avait « épuisé la coupe ». Sans vouloir
ntité morale. — Chaque homme a sa physionomie singulière, ses nuances
propres
et particulières de caractère ; nous ne croyons p
ans, Boileau, en général, regarde le vers comme la forme originale et
propre
de la poésie. On sait combien il était sévère dan
e hiérarchie des genres, mais chaque genre a son idéal, sa perfection
propre
, absolue en soi ; et pour juger d’un ouvrage, il
considère en un mot dans leur valeur expressive et dans leur couleur
propre
, et il en marque le rapport à la nature d’une par
dition que l’on ne méconnaisse point les lois essentielles et l’objet
propre
de chaque genre, et qu’on ne fasse point retomber
ourtant eu pour Boileau ce bon effet de l’obliger à se représenter le
propre
et l’essence de chaque genre : et l’on peut s’ass
n ni une narration d’histoire, et que ce genre a son ordre, sa clarté
propres
et d’un caractère tout spécial. Boileau y arriva
de faire le tour d’un objet, et d’en coucher par écrit, sous leur nom
propre
, toutes les particularités visibles. L’art est un
que les exprimer par les moyens de l’art, et les couler dans la forme
propre
à chaque genre. C’est le vers, c’est le style, c’
ut être à l’égard de Louis XIV : si bien que la traduction par le mot
propre
est plus fausse que si on prend la périphrase : «
antôt au visage. » Mais par où donc sublime ? Par l’emploi des termes
propres
et simples. Enfin, voici le passage décisif, et q
gaux ou ses supérieurs ; et loin de prendre en soi le sentiment de sa
propre
valeur, on cherchait dans les regards des autres
s faiblesses d’un beau talent, trouble jusqu’à cette confiance en ses
propres
forces, dont le génie a souvent besoin ; et la pl
re ; il porte atteinte à la morale. On se permet de plaisanter sur sa
propre
bassesse, sur ses propres vices, de les avouer av
la morale. On se permet de plaisanter sur sa propre bassesse, sur ses
propres
vices, de les avouer avec impudence, de se jouer
es habitudes de tous les jours, qui font de la grâce et du goût votre
propre
nature, sans que la réflexion ait besoin de vous
urpation politique. Cette honorable mission dont on est revêtu par sa
propre
conscience, c’est la noblesse du caractère qui pe
urs fois qu’un incident ridicule pouvait distraire les hommes de leur
propre
malheur. Comment espérer que des pensées, qu’un o
par son rang, par sa naissance, par tous les avantages étrangers à sa
propre
valeur. Ce que j’ai dit pour les femmes peut s’ap
ire mutuellement respectueux de la pensée. Ils auront ce certain goût
propre
de la pensée sur lequel rien ne donne le change e
qui divise les hommes en barbares et en cultivés. Ils auront ce goût
propre
qui est en même temps une gourmandise et une pass
ssion profonde, à nulle autre pareille. Une passion d’un certain goût
propre
sur lequel, et sur laquelle rien ne peut tromper.
pectueux des personnes je dirai qu’ils en sont venus à respecter leur
propre
personne. Non point au sens kantien, naturellemen
st servi pour se faire beaucoup de mal. Et pour tenir constamment son
propre
examen de conscience. Tout ce qu’il peut faire c’
utres, il dit, il sait que le travail spirituel se paye par une sorte
propre
de fatigue inexpiable. Il trouve même que c’est j
e l’enfance ont laissé leurs difformités. Cette plume, son instrument
propre
, elle lui paraît un instrument dangereux. Il la d
mi). Un brevet d’être nouveau. Il y a dans l’écriture un durcissement
propre
. Il y a dans l’imprimé un vieillissement propre.
iture un durcissement propre. Il y a dans l’imprimé un vieillissement
propre
. Les jours où il ne peut pas travailler, l’homme
s de journaux. Pris d’une sorte de profond effroi devant son métier
propre
et devant ce que ce métier est devenu et devant l
ce n’est pas dire la même chose. Et qu’il y a dans le vers une vertu
propre
, une destination propre. Tout ce que je voudrais
me chose. Et qu’il y a dans le vers une vertu propre, une destination
propre
. Tout ce que je voudrais retenir de cette admirab
u à la limite de l’habitude. Ou encore c’est du bois tout plein de sa
propre
mémoire et des résidus de sa mémoire végétale. Et
là qu’elle a reçu la promesse qu’elle ne succomberait jamais sous son
propre
vieillissement, sous son durcissement, sous son r
e du service de la création continuée. Les deux autres ont leur objet
propre
, mais sans elle, qui n’a pas d’objet propre, les
eux autres ont leur objet propre, mais sans elle, qui n’a pas d’objet
propre
, les objets propres des deux autres s’envaseraien
objet propre, mais sans elle, qui n’a pas d’objet propre, les objets
propres
des deux autres s’envaseraient graduellement dans
llement dans les amortissements de l’habitude. Elle n’a point d’objet
propre
précisément parce que son objet est tout. C’est l
ent de Dieu et au peu que nous rendons à Dieu), un certain traitement
propre
dont elle a le secret et qui est le traitement de
applique et qu’elle seule applique à tout l’objet. La foi a un objet
propre
qui est la créance. La charité a un objet propre
t. La foi a un objet propre qui est la créance. La charité a un objet
propre
qui est l’amour. Mais sans l’enfant espérance la
e moins besoin d’explications. (On dit que ces contradictions sont le
propre
de l’amour, et cette gaucherie, ce soin de parler
règles du jeu n’est pas seulement une fidélité de forme. Et c’est le
propre
de la fidélité que toute fidélité se tient et que
d initial étant tombé) est pareil à celui de duonus en bonus. Le nom
propre
Duilius est de même devenu Bilius. Dans perduelli
stice, (et peut-être dans la vérité), un secret de force, une vigueur
propre
, un jaillissement, une espérance et pour tout dir
ureuses victimes de leurs adversaires modernes. Car ils renient leurs
propres
vertus, et les plus chères filles de Jésus-Christ
lui qui se trahit lui-même et qui n’est pas fidèle à lui-même et à sa
propre
institution. Jeanne d’Arc était allée vers un che
ur du 21 janvier. Celui qui trahit sa race, son être, son institution
propre
, où veut-il que se prenne le respect. Où veut-il
gue pour l’honneur est une des nourritures les plus profondes de leur
propre
amour. Et leur amour est une nourriture profonde
ers Sévère. Il ne fait aucun doute qu’il a pour lui une considération
propre
. Il ne le traite pas seulement en galant homme, e
mme de la bonne compagnie. Il a pour lui un attachement et un respect
propre
, une sorte de fidélité dont les origines sentimen
profane et si je puis dire laïque, d’une humanité comme réduite à ses
propres
forces, et considérée indépendamment de l’introdu
ilosophique. Il l’aime comme un noble partenaire et il voit en lui sa
propre
figure. C’est une dilection et c’est une admirati
. Il est celui que l’on n’aura pas. Polyeucte mesure Sévère. Car sa
propre
sainteté est fondée sur le dépassement et non sur
r le dépassement et non sur l’ignorance de l’héroïsme antique. Et son
propre
martyre est fondé sur le dépassement et non sur l
de Polyeucte n’exige pas que Dieu méconnaisse et ignore et méprise sa
propre
création, le monde sorti de ses mains. (En ceci e
avoir éprouvé l’ingratitude des hommes et d’avoir, qui sait, connu sa
propre
ingratitude (quelques-uns exceptés). Rien de cett
mmation, c’est un mandement. Ou plutôt c’est même un mandat. C’est le
propre
mandat qu’elle a reçu et qu’elle ne fait que fair
oldat qui ne se battrait pas seulement aux frontières, mais à qui son
propre
foyer serait une immense, une universelle frontiè
c’est bien. Mais se battre au cœur de sa maison, se dévorer dans son
propre
cœur, quel doublement. Cette différence et ce dou
es et un centre. (Le centre est Rome). Là aussi il y a l’ennemi et le
propre
foyer. Là aussi il y aura donc, en ce sens, deux
e la grâce. Mais dans toute guerre civile il y a un point de disgrâce
propre
. Et toute guerre étrangère ne sort point de la ca
’honneur. Mais dans toute guerre civile il y a un point de déshonneur
propre
. Et c’est encore un de ces cas où le plus innocen
ce et peut-être de nul exercice. (J’entends ici par exercice exercice
propre
(au sens de amour-propre) exercice par soi, pour
elonné de Dieu. Elle n’y introduit pas l’ombre d’invention d’exercice
propre
. Elle a bien autre chose à faire. Elle a assez de
Dieu. Son effort au contraire, sa haute méthode, son devoir mystique
propre
, sa science et son gouvernement c’est de garder t
. Ainsi dans la sainteté de Jeanne d’Arc il faut balayer l’exercice
propre
, ces misérables inventions de l’homme, comme elle
ce, la promesse est la promesse et la tenue est la tenue. Ce sont des
propres
, des spécifiques. Ainsi la liaison de la promesse
non point seulement une liaison causale, mais une liaison spécifique,
propre
. Or c’est cette liaison même qui est la liaison
ministère chronologique. Le présent est un certain point d’une nature
propre
. Il est un point de nature et un point de pensée.
’est pas seulement spectateur et témoin. Il est un point d’une nature
propre
et tout passe par ce point et Jésus même, étant h
ue du futur sur le passé par le ministère du présent. Ce qu’il y a de
propre
et de libre dans cette advenue, dans cette surven
, dans cette survenue est au germe de ce qu’il y a de singulier et de
propre
dans l’événement, de ce qui n’était qu’une annonc
fois dans l’histoire du monde a attiré l’attention sur ce qu’avait de
propre
l’être même et l’articulation du présent. Quelle
eur. Ce qu’ils nomment méthode scientifique, c’est la méthode de leur
propre
établissement. Ce qu’ils nomment le progrès de la
Ce qu’ils nomment le progrès de la science, c’est le progrès de leur
propre
carrière. Ce qu’ils nomment sécurité, fixité, ét
établissement, c’est la sécurité, la fixité, l’établissement de leur
propre
carrière. Ce sont des fonctionnaires et des tranq
dable, vénal. Aussitôt raidi, aussitôt fixé il devenait tout cela. Le
propre
d’une unité de mesure est d’être fixe. Tant que l
sous toutes ses formes, et notamment sous la sienne), est l’invention
propre
du monde moderne. Les livres de débauche n’ont ja
dans les magasins de l’histoire. Elle sera même mieux. Elle sera plus
propre
. Il n’y aura plus cette gangue. Aujourd’hui, pen
qu’on n’a plus le présent. Qu’il y a dans le présent un certain être
propre
. Et qu’attendre pour le mieux connaître, et pour
à l’heure sera passé. Qu’aujourd’hui est aujourd’hui, un certain être
propre
, et non pas seulement, et même en un certain sens
assé déjà ou encore un peu futur. Qu’il est le présent, un temps très
propre
, un être très particulier, nullement un mélange n
u futur et le total ensevelissement du passé. Mais un certain passage
propre
. Et qu’il n’est ni d’une part un programme, ni d’
a de réponse à ce qu’ils disent et mon deuxième mot sera le mot de ma
propre
position. Et pour parler avec eux le langage de l
rait dépareillé, que cet ensemble manquerait de son caractère le plus
propre
s’il n’y avait les poteaux indicateurs et les bor
pas, ils ne le voient pas, ils ne se le représentent pas. Cette sorte
propre
de gratuité qu’il y a dans le catholique. Et nous
omplir un certain rite qui est un rite de la route. Une joie rituelle
propre
non interchangeable, inconnue de quiconque n’est
e peut pas se représenter, ne peut pas même penser. Une joie rituelle
propre
incommunicable aux autres. Une joie d’inutilité,
ntitulé l'Accord de la Philosophie avec la Religion, nous semble plus
propre
à augmenter qu'à diminuer le nombre des Incrédule
curiosité ? Seroit-ce cette indocilité d’esprit, qui n’admet que ses
propres
conceptions, abonde dans son propre sens, & r
té d’esprit, qui n’admet que ses propres conceptions, abonde dans son
propre
sens, & rejette tout ce qui s’oppose à sa tur
Foi si naturelle, n’exigeoient pas la croyance des peuples pour leurs
propres
discours : la Doctrine qu’ils prêchoient n’étoit
hiques, parmi ces ames enivrées d’elles-mêmes, concentrées dans leurs
propres
intérêts, & prêtes à tout sacrifier aux mouve
r rapport à lui ; dans ce qu'il bâtit, au physique comme au moral, sa
propre
commodité est le premier & souvent même l’uni
Chrétienne est celle dont les principes & la morale sont les plus
propres
à soutenir, entre vous & vos peuples, cet amo
à la Religion, & en humiliant le Criminel, cet aveu n'est-il pas
propre
à retenir par l'exemple ceux qui seroient tentés
, les adversités humaines. Comme l’ordre de la Société exige pour son
propre
soutien de la subordination, de la dépendance, de
hrétien n’est, aux yeux de sa foi, qu’un mal passager, & toujours
propre
à lui mériter des récompenses éternelles. Le mal
ps, d’étude et d’exercice, qu’on peut devenir un bon écrivain dans sa
propre
langue ; on sait même combien il est rare encore
lein de gallicismes ; aucun auteur n’est si riche en tours de phrases
propres
la langue française ; il est même, pour le dire e
t permis dans le genre moins élevé, mais sérieux, et ceux qui ne sont
propres
qu’au genre familier. Or voilà ce qu’il me paraît
d’entre eux se sont appliqués principalement à bien écrire dans leur
propre
langue ; imitons-les sur ce point. C’est déjà un
cuper entièrement. Les Grecs avaient l’avantage de n’étudier que leur
propre
langue, aussi nous voyons à quel point de perfect
e les soutienne pas en français. D’abord on y apprendrait à parler sa
propre
langue, qu’on sait pour l’ordinaire très mal au s
t à souhaiter qu’on n’écrivît jamais des ouvrages de goût que dans sa
propre
langue, autant il serait utile que les ouvrages d
d’un journaliste qu’il veut décrier, que c’est tout au plus un homme
propre
à panser la mule de Potius . 5°. De ne pas appele
e borner, dans ses critiques, à relever les erreurs de dates, de noms
propres
, d’une lettre mise pour une autre, d’une virgule
172) que des religieux, voués par état à la prière, doivent être plus
propres
par cette raison même à faire des progrès dans la
Mais il y a en lui quelque chose qui, dès la première heure, lui fut
propre
; et il s’agit de quelque chose de remarquable, n
cette aptitude même l’a de bonne heure admirablement secondé ; et ses
propres
puissances s’en sont de bonne heure aussi fortifi
t de notre tragique misère. Adolescent, les plaisirs auxquels, de son
propre
aveu, il se livra immodérément, dans les disposit
propre aveu, il se livra immodérément, dans les dispositions les plus
propres
à activer l’épanouissement de ses vertus clairvoy
s dégénérescences, ce pouvoir va même jusqu’à contrarier les desseins
propres
du goût, nous admettons que l’on veuille en rendr
n autre en buttes à mille contrastes, auxquels ce ne peut être de son
propre
gré qu’il se rend ni, par conséquent, aisément qu
par idiopathie, qu’il a pu s’aventurer dans une métaphysique fort peu
propre
à s’accommoder d’une méditation sommaire, et qui
ivifiée emprunte à la phrase un élément indépendant ou étranger à son
propre
fonds. Au contraire, la pensée réellement autonom
voureux, à la nécessité toujours plus affirmative d’un modus vivendi,
propre
à calmer notre soif jamais étanchée de bonheur, c
émue par l’œuvre, intervient un grave élément de déformation : notre
propre
personnalité. Entre la sensation du poète et la n
bissons le contre-coup selon une façon à nous de ressentir pour notre
propre
compte les sentiments dont le poète a souffert ou
vre exprime l’auteur, puisque tout bon artiste ne fait jamais que son
propre
portrait. Voilà pourquoi Corot et Courbet peuvent
te double notion et l’affirmation que le poète ne fait jamais que son
propre
portrait ? Par la Beauté. Quand nous parlons de n
plication, un peu d’homme de lettres, mais brève : Dieu, c’est le mot
propre
. En réalité le mot propre n’existe pas — le mot p
de lettres, mais brève : Dieu, c’est le mot propre. En réalité le mot
propre
n’existe pas — le mot propre, c’est-à-dire le ter
, c’est le mot propre. En réalité le mot propre n’existe pas — le mot
propre
, c’est-à-dire le terme quelconque qui correspondr
ance de mots, restent vibrantes du rêve que nous avions fait d’un mot
propre
imaginaire. Il n’y a peut-être que lui qui n’exis
t aiguillonnée du désir de ne point déchoir et sûre d’ailleurs de son
propre
pouvoir, elle s’est laissé dérober en souriant, à
emple de l’humanité. Sans consulter d’autres documents que ceux de sa
propre
destinée, il accomplit le monument d’une œuvre pe
rompue. Les tergiversations mêmes de la philosophie quant à son objet
propre
, qui est la Vérité de Dieu, de l’Âme et du Monde,
ûrement, d’anciennes servitudes et surtout elles lui ont enseigné ses
propres
limites. Aujourd’hui, la philosophie, penchée ver
qui ne le dépassera jamais et ne s’élève que pour retomber. Dans leur
propre
histoire, dans l’histoire des lettres et des arts
ode ! En sorte, comme le disait avec l’accent délicieux qui lui était
propre
, Théodore de Banville, en sorte que « Grâce à l’é
« La vérité, disent-elles à l’homme, tu ne saurais la trouver par tes
propres
forces, et c’est chose d’essence étrangère à ta n
force de la doctrine révélée. La poésie se crée un mysticisme à elle
propre
dans la contemplation des mystères naturels de la
a vie. Est-ce à dire que le poète, dans la société rêvée, prendra, au
propre
, les guides et conduira le monde ? Comme auparava
, des Raphaëls, des Bembes et des Machiavels ? Tous les païs sont-ils
propres
à produire de grands poëtes et de grands peintres
glacées. Les arts naissent d’eux-mêmes sous les climats qui leur sont
propres
. Avant que les arts aïent pû être transportez, il
ance. Les arts naîtroient d’eux-mêmes dans les païs qui leur seroient
propres
, si l’on ne les y transportoit pas. Ils y paroîtr
t pas fleuri, sont les peuples qui habitent un climat qui n’est point
propre
aux arts. Ils y seroient nez d’eux-mêmes sans cel
me de lui-même, et devient bien-tôt un taillis, quand son terroir est
propre
à porter des arbres. Depuis deux siecles que les
ue les ouvriers anglois. Mais ils n’ont pas sçû jusques ici se rendre
propre
le goût de dessein que quelques ouvriers étranger
n Europe et sur les côtes voisines de l’Europe, ont toujours été plus
propres
que les autres peuples aux arts, aux sciences et
les égyptiens avoient nui beaucoup à cet art, en inventant des regles
propres
à en rendre l’apprentissage moins long et la prat
eaux que Marot a composé dans la sphere de son génie, qui n’étoit pas
propre
aux grands ouvrages, ils ne nous empêcheroient pa
ir sur le point de perfection où ils semblent s’être élevez par leurs
propres
forces. voilà ma premiere raison pour montrer que
s n’avoient point de génie ? C’est qu’ils ne reconnoissoient pas leur
propre
goût dans le Marc-Aurele et dans tous les ouvrage
ignez : des hommes sans précurseur, et qui étoient les éleves de leur
propre
génie. Venise se vit riche tout-à-coup en peintr
êmes. Ces grands hommes, qui pour ainsi dire, se sont formez de leurs
propres
mains, ne sçauroient former par leurs leçons ni p
irez des dépoüilles qui avoient paru dans un triomphe, et qui étoient
propres
pour orner l’arc qu’on dressoit afin d’en perpetu
l’arc qu’on dressoit afin d’en perpetuer la mémoire, n’étoient point
propres
pour embellir l’arc qu’on élevoit en mémoire d’un
élevoient pour les vendre, il ne s’en trouvoit pas quelqu’un qui fut
propre
à devenir un sculpteur habile. On peut imaginer a
ux qu’ils jugeoient capables d’exceller dans la sculpture l’éducation
propre
à perfectionner leur talent. Un esclave bon ouvri
de son goût ; & l’on peut dire que son travail est d’autant plus
propre
à lui faire honneur, que les morceaux où il s’est
voit pris Horace pour modele, avant de tirer des chef-d’œuvres de son
propre
fonds. Corneille & Racine ont puisé dans Soph
es Grands Hommes qui les avoient précédés, ils sont devenus eux-mêmes
propres
à seconder l’essor de quiconque voudroit s’élever
l’original qu’ils ont choisi ; et ils recommandent en même tems leur
propre
ouvrage, où ils se flatent d’avoir fait passer le
de peindre le vice et la vertu de leurs véritables couleurs, il n’est
propre
qu’à encourager les scélérats, et qu’à égarer les
émoire de ces dieux, qui n’ont pas toujours trouvé grace devant leurs
propres
adorateurs. Peut-être auroit-on abandonné Homere
s, et il voulut bien me faire confidence d’un sentiment qui lui étoit
propre
, quoique tout persuadé qu’il en étoit, il n’ait p
encore sans reproche, s’il les avoit toujours fait agir d’une maniere
propre
à soûtenir du moins l’estime et le respect de ceu
infléxible et capable de sacrifier tout à son ressentiment. Ajax mal
propre
aux délibérations, ne respire que les combats. Ne
es différends. Ainsi Homere donne à chacun de ses héros, des qualités
propres
et dominantes qui le distinguent ; mais malgré ce
vouloit encore en faire le personnage le plus intéressant et le plus
propre
à enlever l’admiration. Les avantages extérieurs
somptueuses : Agamemnon s’habille lui-même, et Achille apprête de ses
propres
mains le repas qu’il donne aux ambassadeurs d’Aga
dans le choix des circonstances. Il peut imaginer à son gré des faits
propres
à exciter l’admiration, la compassion, la joye, o
étoient pas moins essentiels pour désigner les personnes que les noms
propres
: encore n’a-t’on pas raison de le prétendre. Hom
essaires ; et il ne lui restoit d’autre raison de les employer que sa
propre
négligence. Quel préjugé contre lui que cette nég
s histoires variées, où il étoit le maître de mêler des circonstances
propres
à soutenir et à réveiller l’attention ? Je n’ai g
ement ces discours, ils sont encore rangés avec art, et dans un ordre
propre
à augmenter toujours le plaisir du lecteur. Ulyss
r, pour faire sentir qu’Homere ne contraste pas assez le style de son
propre
recit, et celui des discours de ses acteurs : ce
ours ; la premiere, absolument hors de place, puisque c’est la sienne
propre
, qu’Achille devoit avoir entendue déja plus d’une
s d’un discours est l’éloquence, la fin doit en être le trait le plus
propre
à persuader. Cette regle est fort bien observée p
ertains chemins, pour finir indispensablement dans le ton qui lui est
propre
; autrement l’oreille est blessée. Il faut de mêm
bien parlé sa langue, et qu’il en ait fait un usage vif et ingénieux,
propre
à faire valoir ses fictions. Mais je crois aussi
nt. Si le poëte juge l’action odieuse, il ne choisit que des couleurs
propres
à exciter le mépris ou la haine ; s’il la juge be
d’un esprit poëtique ? C’est dans une imagination sublime et féconde,
propre
à inventer de grandes choses différentes entr’ell
randes choses différentes entr’elles ; c’est dans un jugement solide,
propre
à les arranger dans le meilleur ordre ; et enfin,
r ordre ; et enfin, dans une sensibilité, et une délicatesse de goût,
propre
à entrer avec choix dans les passions et dans les
’ouvrage me paroît aussi éloigné de la perfection, que l’auteur étoit
propre
à l’atteindre, s’il eût été placé dans les bons s
goût, s’ils n’en étoient charmés ; ainsi pour ne pas s’avilir à leurs
propres
yeux, ils s’excitent eux-mêmes à l’admiration, et
es. De la traduction Il s’agit à présent de rendre raison de ma
propre
entreprise ; j’ai mis en vers l’iliade, toute imp
littérales, et c’est à celles-là que le nom de traduction semble être
propre
; les autres plus hardies, et qui doivent plutôt
ngue ? Mais qu’y a-t-il qu’elle n’exprime avec la force et les graces
propres
au sujet ? Manque-t-elle de clarté dans les ouvra
mé pour tous la plupart des nouveaux résultats et y a ajouté pour son
propre
compte, dans le grave et majestueux tableau qu’il
? ou de construire des horloges ? ou d’assister et de présider à ses
propres
funérailles ? — Toutes ces questions, sur lesquel
, il soupait, mangeant dans ces divers repas, toutes sortes de choses
propres
à engendrer des humeurs épaisses et visqueuses. »
ositifs à l’aide desquels chacun peut désormais se former un jugement
propre
. Il résulte assez clairement de cette lecture que
proie. Aussi Charles-Quint, à Saint-Just, racontant et commentant sa
propre
vie, la jugeant et la regardant du port, du derni
, dans ses derniers jours, la fantaisie lugubre de faire célébrer ses
propres
funérailles ? Grave et piquante question, fort ag
il dit au père Fray Juan Regia : “Je désirerais aussi faire faire mes
propres
obsèques, et les voir, et y assister vivant : que
cupé jusqu’à la fin et des intérêts de la monarchie et du soin de son
propre
salut, entouré de prélats et de religieux qui l’e
onnaient aux objets de leur admiration une existence analogue à leurs
propres
idées. C’est ce que font précisément les enfants
ons bientôt. Comme ils parlaient par signes, ils crurent d’après leur
propre
nature que le tonnerre et la foudre étaient les s
spirèrent pas cette crainte les uns aux autres ; ils la durent à leur
propre
imagination (ce qui répond à l’axiome : les fauss
dû naître ainsi, c’est ce caractère éternel et singulier qui lui est
propre
: le sujet propre à la poésie c’est l’impossible,
c’est ce caractère éternel et singulier qui lui est propre : le sujet
propre
à la poésie c’est l’impossible, et pourtant le cr
la théologie civile, elle éclaire elle-même avec celles qui lui sont
propres
, les preuves que la philologie tire de l’histoire
Chapitre V. Autres preuves tirées des caractères
propres
aux aristocraties héroïques. — Garde des limites,
et la propriété absolue de leurs acquêts. Ils les mariaient pour leur
propre
avantage, c’est-à-dire, pour faire entrer dans le
de famille nous est conservé par l’expression spondere, qui dans son
propre
sens, veut dire, promettre pour autrui ; de ce mo
ne perdent que lentement et le moins possible le sens qui leur était
propre
. Ainsi en changeant de forme de gouvernement, Rom
telle. Après avoir dans les premières tables établi les lois qui sont
propres
à une démocratie (particulièrement la loi testame
par ses effets ; celui qui commence par haïr, inspire une irritation
propre
à faire mériter sa haine qui d’abord était injust
ion contre le crime étant d’abord ce qui est le plus apparent dans sa
propre
douleur, on croit, en satisfaisant ce mouvement,
physique qu’on peut abattre, et soi-même, comme un être moral que sa
propre
volonté seule doit diriger. S’il est une passion
nt pas assez criminels pour que le pardon même ne fût pas cru de leur
propre
cœur. Sans doute, ce serait un héroïque oubli, ma
prouve suffisamment que tous les hommes ne naissent pas avec un génie
propre
à les rendre peintres ou poëtes : nous en voïons
e en evidence sans être appellé aux emplois ausquels ce génie le rend
propre
, et il meurt souvent avant qu’on les lui ait conf
sses et par des vices. Il doit donc arriver que plusieurs génies, nez
propres
aux grands emplois, meurent sans avoir manifesté
tre le dégoût par l’attrait d’une profession à laquelle il se sentent
propres
, et par le progrès sensible qu’ils font dans leur
tre par le sentiment qui respire dans les pièces où elle parle en son
propre
nom. Elle appartient à cette école des grands dés
ienne… Madame Ackermann a trouvé, en poésie, des accents qui lui sont
propres
pour exprimer le dernier état de l’âme humaine au
gueur et une sûreté de main qui indiquent que l’artiste, ici, est son
propre
maître, et sans excuse, comme Lucifer, qui ne tom
rouvé bon de la revêtir, il n’auroit pas dû la choisir comme un sujet
propre
à la scene tragique. La gloire du succès ne répar
campagne qu’après un combat de douze heures, seroient honteux de leur
propre
victoire. Aussi quoique Berenice soit une piece t
qu’il eut bien empêché son ami de se consommer sur un sujet aussi peu
propre
à la tragedie que Berenice, s’il avoit été à port
est-à-dire les idées, et il y découvre des éléments dont le caractère
propre
est d’être évidents au regard de l’intuition inte
absolu : le principe de raison suffisante. Celui-là sera le principe
propre
du réel. Ce n’est pas tout : au sein même des cho
sprit humain, il ne saurait être évident que la nécessité qui lui est
propre
se trouve effectivement réalisée dans les choses.
ines. D’autre part, toute l’école empiriste met en doute la certitude
propre
des mathématiques. Et l’on peut dire que la disti
nt par élimination, il recueille les axiomes qui lui ont paru le plus
propres
à engendrer un développement fécond et exempt de
levée, il faut introduire des lois nouvelles douées d’une spécificité
propre
et irréductibles aux précédentes. Les lois mathém
mathématiques avec les lois des choses ; mais c’est l’examen des lois
propres
et concrètes de la nature qui nous apprendra jusq
de cette déduction même. Dans quelle mesure la nécessité qui leur est
propre
règne-t-elle dans les choses ? C’est ce que nous
ne force distincte, plus ou moins semblable à une âme, et comme telle
propre
à agir sur les corps. Cette vue se relie facileme
à la matière elle-même : un atome n’a pas le pouvoir de modifier son
propre
mouvement, mais il peut modifier le mouvement des
rs. Toutefois si les lois mécaniques ne sont connues, sous leur forme
propre
, ni a priori ni a posteriori, il ne s’ensuit pas
prête à des objections graves. Sur quoi se fonde-t-il ? Sur la clarté
propre
à l’idée d’étendue. Mais comment de cette clarté
ion mécanique, ou si elles ont leur originalité et leur signification
propre
. Le premier sentiment de l’homme fut de considére
lui, ne se ramène pas au mécanisme, mais est une propriété spéciale,
propre
aux êtres vivants ; elle est une forme inférieure
e qu’une métaphore et une façon de parler. Claude Bernard attribue en
propre
aux vivants les caractères suivants : organisatio
considéré comme individu, se sert de ce qui l’entoure pour assurer sa
propre
subsistance. L’action réflexe qui le caractérise
adaptation victorieuse aux conditions d’existence, ce choix de moyens
propres
à assurer la persistance de l’individu, cette ten
es. Chaque ordre de sciences suppose ainsi des postulats qui lui sont
propre
. Nous allons étudier maintenant, non plus l’être
totélicienne, est formé de deux éléments : une matière dont la nature
propre
est la mobilité sans loi, et un principe qui fixe
es êtres un instinct qui choisit plus ou moins confusément les moyens
propres
à assurer leur existence ? Quoi qu’il en soit, le
nes, celui de la pensée et celui de l’étendue. Ce dernier est l’objet
propre
de la science, tandis que l’esprit en est l’auteu
est une faculté, et elle se développe grâce à l’activité qui lui est
propre
. Cette activité consiste à s’analyser elle-même,
ence soient eux-mêmes connus dans le substratum matériel qui leur est
propre
. Et, suivant la méthode de Descartes, la psycholo
uelle qui se sert de ce mécanisme pour réaliser des fins qui lui sont
propres
. Plusieurs sont disposés à aller plus loin dans c
moins, laisser de côté les phénomènes moraux et tout ce qui paraît le
propre
de l’homme, pour s’en tenir à considérer les phén
que l’on attribue à l’être psychique ne sont pas de simples réflexes
propres
à réaliser la vie. Elles sont de nature à procure
vie : il est capable de se proposer une fin et d’imaginer des moyens
propres
à la réaliser. Il peut se proposer comme fin, non
ropres à la réaliser. Il peut se proposer comme fin, non seulement sa
propre
existence, mais une infinité d’objets qui n’y tie
ganisation pourra s’en déduire mathématiquement. Or, selon Hobbes, le
propre
de l’homme est d’être intelligent ; et son intell
impartialité. Mais la société conserve, aux yeux de Comte, une nature
propre
, irréductible aux formes inférieures de l’être. P
gie ne réclamerait-elle pas des postulats particuliers et une méthode
propre
, comme le pensait Auguste Comte ? Il ne suffit pa
storique, aimait à dire M. Zeller, est le discernement des caractères
propres
à chaque époque ; et l’on se trompe d’ordinaire q
ion de l’homme ; il faut le prendre avec sa nature, avec ses facultés
propres
d’intelligence et de volonté. Ce sont là peut-êtr
ont chacune, en même temps qu’elle tient aux autres, a sa physionomie
propre
. À mesure que de l’étude des mouvements des corps
s d’être applaudi, il s’agit d’être honnête et vrai. La fidélité à sa
propre
pensée, voilà le suprême devoir de l’écrivain. Qu
nes à tous. Les principes communs à tous les beaux-arts et les règles
propres
à un art distinct se prêtent une mutuelle lumière
forme, ils ont tellement répudié, en faveur du symbolisme, le charme
propre
de la peinture, que leurs tableaux ont réalisé, p
emière impression faite sur l’homme par la nature est par-dessus tout
propre
à être représenté par la poésie. Le premier cri d
se sont détachés de l’architecture, et ont commencé à vivre d’une vie
propre
. On n’eut pas d’abord la pensée d’isoler de l’édi
les arts divers qui dérivent de ces deux synthèses conquérir une vie
propre
. À des époques cependant très avancées et déjà pl
ois son indépendance contre le joug de l’ancienne unité, et son unité
propre
contre le morcellement. On ne voit aucun d’entre
re le morcellement. On ne voit aucun d’entre eux faire abandon de ses
propres
ressources pour empiéter sur un art étranger ; ai
n de toute sorte ; elle est surtout dans ce fait : que les caractères
propres
à la musique tendent à prévaloir autour d’elle da
prétend se passer des autres arts plus clairs, plus révélateurs, plus
propres
à l’enseignement, comme la peinture et la poésie.
gnification et d’action morale ; mais, si les caractères qui lui sont
propres
s’insinuent dans la peinture et dans la poésie, e
dans la poésie, elle fait perdre à ces arts leur valeur et leur sens
propre
et leur communique son matérialisme. Le procès de
t doit rompre avec la synthèse primitive pour conquérir son existence
propre
, et à quel point il commence à se détruire comme
faire copistes. Suivre la tradition des maîtres, c’est soumettre son
propre
génie aux mêmes lois générales, circonscrire son
art spiritualiste, pour se conformer à ces règles, n’a qu’à suivre sa
propre
pente ; et ces règles le mènent infailliblement v
a d’influence directe sur ses idées, et il n’appartint jamais qu’à sa
propre
inspiration. Sa pensée fut indépendante et sponta
e qu’à être amusé ; il recherche avidement tout ce qui lui retrace sa
propre
nature, tout ce qui flatte ses passions sans gran
s n’ont rien concédé aux préjugés de la foule, et rien refusé à leurs
propres
convictions ; ils ont obéi à tous leurs sentiment
isposés, il faut se préoccuper de leurs idées beaucoup plus que de sa
propre
inspiration, et rechercher l’effet avec plus de s
ie, sont artificielles comme son inspiration. Cette fidélité aux lois
propres
de sa nature, qui est le premier devoir du génie,
influa beaucoup sur la nature du génie de Ballanche. C’est d’après sa
propre
expérience qu’il a pu écrire du personnage d’Héba
’Hébal : il lui semblait que l’atmosphère fût l’organe général de ses
propres
sensations ; et tous les troubles qu’elle éprouva
plus remarquable degré. Ce n’est pas sans une liaison intime avec sa
propre
nature qu’apparaissent si souvent dans ses écrits
e vision et de prophétie. Sans nul doute, l’auteur d’Hébal a peint sa
propre
nature dans ce personnage doué d’une intuition si
t s’écoute elle-même, non point dans une égoïste contemplation de ses
propres
douleurs, mais avec une large sympathie pour les
pensée du poète ; il y avait plutôt comme un lointain souvenir de ses
propres
destinées dans l’amour sans bonheur, dans l’hymen
versé le sang de son frère, de son père, de quelqu’un de sa race, son
propre
sang, en un mot, emblème de l’établissement de l’
faut que toute créature parvienne à la perfection à laquelle elle est
propre
, à laquelle elle a droit par son essence même. Pa
t même qu’à partir de Bacon que la science naturelle a joui d’une vie
propre
et indépendante de la science morale ; il est cer
vec l’hôte familier, pour s’appliquer à de vulgaires calculs et à ses
propres
intérêts, dès qu’il s’agissait des intérêts d’aut
de tous. Mais, quelque usage que fasse un homme de son génie pour son
propre
perfectionnement moral, il est rare que l’action
nitiateurs sont chargés de répandre, il entre toujours un peu de leur
propre
sang. Le pain qu’ils nous offrent est toujours pé
et acte souverain de l’artiste qui contraint ces objets à exprimer sa
propre
pensée, entre ces deux genres d’imagination il y
rir. L’imagination, parmi nous, a d’autres ennemis à redouter que ses
propres
excès. Sous ce rapport comme sous tant d’autres n
ler en lui l’esprit de son temps avec plus de défiance encore que son
propre
génie. Les écarts d’imagination d’un homme de gén
utrui ne lui offre qu’un élément stérile, si par lui-même, si dans sa
propre
vie, il n’a pas connu tout ce qui peut ébranler f
d’allumer la fièvre dans ses veines, au lieu de s’entourer des objets
propres
à susciter dans son cerveau le tumulte des images
Grèce où la philosophie et les arts ont commencé à vivre de leur vie
propre
en se séparant des religions, où l’homme a fait s
x infini, au sein duquel la vraie notion de Dieu disparaît avec notre
propre
individualité. L’univers matériel dans sa totalit
sservies comme elle à un cours fatal, immobiles, sans action sur leur
propre
destinée, les sociétés qui précédèrent la société
a guerre ? Cette mansuétude inouïe avant le christianisme est si bien
propre
à la race athénienne, que l’invasion même des art
du droit et du devoir qu’a la raison de poursuivre la vérité par ses
propres
voies, et de sa capacité il la posséder. Et cette
llures qui sembleraient les plus inhérentes à son siècle et même à sa
propre
vie. Du moment où nous abordons la sphère de l’ar
. Or, cette beauté forte et paisible de la statuaire, c’est la beauté
propre
à la poésie, à toute la littérature des Grecs.
l’Orient dans les guerres médiques, eut conquis la perfection de son
propre
génie ; lorsqu’elle eut produit ses poètes, ses a
tre les mains d’un seul chef, pour attaquer et vaincre l’Asie sur son
propre
territoire et jusqu’au bord des fleuves mystérieu
odeler ; sa physionomie présente des contrastes, des dissonances très
propres
à l’effet, et, disons-le, beaucoup plus faciles à
ens convaincus qu’ils avaient découvert, que dis-je ? édifié de leurs
propres
mains les églises gothiques, et qui s’en sont emp
les ont découvert qu’il existe une poésie et des nuances de sentiment
propres
aux temps modernes ; vous, mesurez vos progrès da
ée, de liberté respectueuse. L’art a une vie et des lois qui lui sont
propres
; il n’existe pas encore quand l’artiste ne fait
une création. D’ailleurs ce charme des sens qui résulte des qualités
propres
aux vers, n’est point un effet purement physique,
lligence ne peut s’assimiler et retenir que ce qui est conforme à ses
propres
lois ; tout ce qu’elle rejette d’elle-même ou lai
re, ou du moins plus faciles à démontrer que ceux mêmes du rythme. Le
propre
de la poésie, c’est de parler par figures. Dans q
par l’observation des rythmes, et enfin par l’usage des symboles. Le
propre
des symboles dans la nature, c’est-à-dire le prop
des symboles. Le propre des symboles dans la nature, c’est-à-dire le
propre
de toutes les formes, de toutes les couleurs, de
, plus elle sera vraie. L’expression figurée et symbolique qui est le
propre
de la poésie a de plus que la formule abstraite l
forme un tableau. VI Cet emploi des images dans le style est le
propre
de la poésie ; c’est là ce qui distingue essentie
trer ses secrets, se rendre maîtresse de ses lois et l’asservir à ses
propres
volontés. Par cela même que l’homme a matériellem
ait indépendant de la vie du cœur, et que nous nommons la science. Le
propre
de la science et de l’intelligence pure, c’est de
symbole immense ; chacun de ses phénomènes, outre sa forme et sa vie
propre
, renferme une idée ; chaque objet visible a une s
n un mot, ils ne sont poétiques que parce qu’ils sont symboliques. Le
propre
de la beauté, c’est d’être un symbole ; le beau e
ment, du milieu social où il s’est développé. Comme elle a ses germes
propres
dans l’âme, la poésie a ses origines particulière
des misères morales s’applique à tout ce qui peut nous relever à nos
propres
yeux, nous pénétrer de la noblesse, de la grandeu
i positif que l’électricité ou le calorique ; la poésie existe par sa
propre
vertu, et non pas en vertu de la prosodie et de l
entiment, et abstraction faite des conditions de langage qui lui sont
propres
. La poésie est un état particulier de l’âme humai
ré et décrit les divers genres de style et les qualités qui leur sont
propres
. Le style est autre chose que la langue ; la lang
le, de la chimie, mais une langue courante, un style merveilleusement
propre
aux expositions scientifiques et à la vulgarisati
s contre tout ce qu’il y a dans notre système d’éducation commune, de
propre
à détruire l’énergie, la spontanéité, la vitalité
sciences et les lettres. Il s’agit de savoir lesquelles sont les plus
propres
à devenir la substance qui doit vivifier la perso
plus abstraites, les expressions moins pittoresques, et par là moins
propres
à se graver dans la mémoire ; en même temps la co
rde encore pourtant cette fleur de grâce simple et sereine qui est le
propre
d’une saine et robuste adolescence. « Cette litté
tre la superstition et contre les sophistes ne lui appartenait pas en
propre
; elle était si bien d’origine grecque, et aux ma
re que s’épanchera dans sa liberté et sa vigueur la sève de raillerie
propre
aux Latins. Dans l’énergique concision de Perse,
loise, emploieront encore la forme mélangée de sérieux et de moquerie
propre
à l’ironie des époques religieuses. En France, la
malsaine qui voient tous les objets de la même couleur, celle de leur
propre
fiel extravasé dans tous leurs organes. C’est le
ue, toutes les œuvres d’art où les choses sont envisagées par le côté
propre
à exciter le rire. Mais il des états plus élevés
oisième genre à qui nous ne savons pas trouver de nom, quoiqu’il soit
propre
à la poésie de notre siècle ; poésie triste et rê
rsonnifie avec un immense éclat cette forme transcendante de l’ironie
propre
à une société mûrie par le christianisme, et qui
ource de cette multitude d’œuvres d’un caractère si complexe qui sont
propres
à l’époque et à la poésie modernes, et qu’on a dé
nt pas le grotesque, parce qu’ils ignorèrent la mélancolie, et que le
propre
du grotesque, c’est le mélange du difforme au sub
moignage, de le parer avec ferveur de toutes les beautés qui lui sont
propres
, de le montrer à tous ce qu’il est réellement : s
nt, une conscience bien distincte de leurs facultés, des lois de leur
propre
nature. II Chaque nation, au point de vue l
ique risque de faire perdre au poète toutes les qualités qui lui sont
propres
, sans lui rien faire acquérir de ce qui manque à
d’une idée ; et comme la physiologie de l’homme est merveilleusement
propre
à servir l’étude de la psychologie et de la moral
ngendrent, cette langue n’offre pas de signes radicaux qui lui soient
propres
et sur lesquels aient germé des familles entières
ologique. Le latin fut la langue des jurisconsultes, merveilleusement
propre
à aider l’interprétation du préteur cherchant à é
les lois de l’accent ; son abondance en syllabes muettes la rend peu
propre
à être chantée, et dans la réalité la versificati
de la lettre morte. Chacune de ces formes de la pensée a sa fonction
propre
; celle de la prose s’agrandit chaque jour dans l
ons ; l’homme dans ses mille rapports avec ses semblables et avec son
propre
cœur ; la nature, œuvre de Dieu et dont chaque ph
à son mobilier. Cette noble invention est la seule qui appartienne en
propre
aux poètes et aux métaphysiciens de l’industrie m
à laquelle l’homme ne peut pas facilement appliquer par la pensée sa
propre
dimension pour mesure est étrangère à l’ordre du
ormes et dans ses perspectives, tout ce que l’homme peut mesurer à sa
propre
taille ; mais autre chose est le beau dans la nat
tatuaire et de l’architecture, dès qu’elle prétend les soumettre à sa
propre
inspiration et leur imposer ses fonctions diverse
faire obéir, voit sa maison inondée et tremble pour sa vie devant sa
propre
création. Ainsi les machines modernes, qui semble
la sphère d’action immédiate de l’industrie que la poésie qui lui est
propre
doit sortir, c’est peut-être du monde moral qu’el
a ferveur et la naïveté de la foi religieuse au besoin de vivre de sa
propre
vie, de se distinguer comme un pouvoir particulie
pur, ils s’inspirent de l’opinion plus souvent peut-être que de leur
propre
conscience. Nulle part le génie national ne domin
ns le préjugé et l’illusion de son histoire ; il se respecte dans ses
propres
œuvres, dans ses monuments, dans ses grands homme
dans le monde moral, aucune nation n’a fait autant de ruines sur son
propre
sol et n’a renversé avec plus de colère ce qu’ell
e de critique, d’ironie, de dissolution appliquée par une nation à sa
propre
histoire, à sa religion, à ses mœurs, à sa royaut
é en des sens si contraires, que ce don de critiquer si violemment sa
propre
inspiration, après l’avoir traduite en actes si é
ains esprits avaient rêvé d’imposer au style des formes exclusivement
propres
à frapper les sens. Dans tous les arts on prônait
et le sens moral, M. de Musset n’avait qu’à consulter sincèrement sa
propre
inspiration. Il en donnait la preuve à chaque nou
ocratie de la cohue, ramas de gens qui s’ingèrent de penser pour leur
propre
compte et, sans que ce soit leur destinée, de déc
! C’étaient les qualités de la Foule, et si elle ne les avait pas en
propre
, c’étaient les Grâces dont la vivifiait l’influen
n calembour. — Car à ce débordement de la Science hors de son domaine
propre
, nous devons une altération spéciale de la langue
oguer les inventions populaires. Ils ont eu le tort d’y ajouter leurs
propres
imaginations, leurs pénibles productions, toutes
s spectateurs veulent se reconnaître dans nos œuvres, y trouver leurs
propres
pensées avec un reflet même de la « vie courante
ui espérons d’eux la manne de la vie, ou plutôt symbolisent-ils notre
propre
Idéal, et l’espoir de les contenter est notre mei
veau, envahisseur de la Littérature même sans, pourtant, passer leurs
propres
limites8. Enfin les Religions, immémoriales pierr
intime, de plus spécial, de plus inconnu aux autres hommes et à leur
propre
conscience pour en faire leurs romans. Et ces rom
ne grande volonté pénétrant toutes choses par l’intensité qui lui est
propre
. L’homme ne cède aux anges et ne se rend tout à f
et pourtant subtilisée par le doute, n’ayant plus la plénitude de sa
propre
maîtrise ni la pleine confiance d’autrefois en se
e raison. Cette discipline si rigoureuse pressentait et présageait sa
propre
décadence : on ne garde avec tant de soin que des
t dit — nous éloigne d’un Credo qui n’est plus, pensons-nous, que son
propre
simulacre et nous croyons suivre son originelle i
eflets. — Mais il se peut que la mer, à l’heure de son retour dans sa
propre
immensité, y rentre autrement colorée qu’elle n’é
çoit une coloration comme conséquente et qu’elle mire dans son action
propre
, dans son action philosophique et artistique : ma
ment, et plus sûrement alors, de tout ébranlement externe, par la vie
propre
dont elle porte en soi la secrète force d’expansi
même, en une fiction d’âme. Son étude psychologique dégage la passion
propre
qu’elle a choisie pour objet des autres accidents
dans une tragédie et sans doute ont-ils pour champ d’observation leur
propre
intuition, leur imagination ou leurs personnelles
ienne à concevoir l’invisible et formidable vie universelle où sa vie
propre
se perd comme l’unité dans l’infini ! Pythagore e
lement d’une certitude passionnée et qui, par là même, échappait à sa
propre
maîtrise. Et peu à peu, à mesure que s’entassaien
les opinions. À quels signes, donc, reconnaître ce qui appartient en
propre
au Romantisme et ce qu’il partage avec les écoles
il lui était donné de connaître Shakespeare, sans perdre ses qualités
propres
, sans l’imiter, lui emprunterait l’idée heureuse
e que pour le relever, qui ne lui fait toucher du pied le fond de son
propre
abîme que pour qu’il se hâte de remonter à la sur
s les poëtes du même instant vont reconnaître l’écho magnifié de leur
propre
cri. Elle ne s’explique que par la mode de révolt
qui lui ont bouleversé l’âme alors qu’il se demandait, exalté par la
propre
fumée de son génie et par l’électricité de l’air
hâtiments éternels est inutile à sa noblesse naturelle : « Dans leurs
propres
cœurs les bons trouveront toujours l’ardeur de l’
rêve le bonheur au lieu de se condamner à considérer stérilement son
propre
fantôme dans le miroir de son propre malheur : T
ner à considérer stérilement son propre fantôme dans le miroir de son
propre
malheur : Tum quoque se, postquam est inferna se
t pourquoi il a pu les suivre toutes, indifféremment. Son génie était
propre
à tout, sans préférence, — sans les préférences,
celui de Jésus ! et ses vers philosophiques ne sont faits que de noms
propres
. — Il est vrai qu’il a les prodigieux mérites de
ôt ces élans, ces transports sans langage Sont eux-mêmes l’écho de ta
propre
grandeur… Quelques-uns m’entendront ; quoique Al
rnation aimable, le reflet de sa grâce et jusqu’à l’indulgence de son
propre
accueil. Car nul effroi, dans ce jardin des doux
liberté, par le respect de la rime et l’enjambement. Il songea au mot
propre
, idéal illusoire, mais utile. Il inventa la prose
cielle (encore que cette qualité lui vienne plutôt, sans doute, de sa
propre
initiative que du consentement des camarades, et
e qu’en ses organes. Quand ils sont sincères, ils s’effrayent de leur
propre
conclusion et s’en reculent avec une secrète horr
ur d’eux, ils n’ont pas eu l’imprudence de ne s’en remettre qu’à leur
propre
expérience et à leurs yeux matériels. L’expérienc
’elle lui avait dérobé, mais peut-être bien aussi quelque chose de la
propre
part de la Science. La réaction contre les négati
qui nous ne pouvons voir des ombres qu’aux lumières, au reflet de sa
propre
clairvoyance, — le tort principal de Balzac est d
ppression du temps et de l’espace, par l’épanouissement du Rêve en sa
propre
patrie qui est sans heure et sans lieu, non pas l
équence et comme au serviteur de tel Évangile, mais en principe et en
propre
! La doctrine de Wagner, sur ce point, tout au pl
et comme un qui lui-même, par amour pour la Justice, prononcerait sa
propre
damnation. Baudelaire est un sensuel condamné au
t raisonnable et mûr, qui ne veut être ni la victime des autres ni sa
propre
dupe. Chez lui tout n’est plus que nuances. Les i
naître, qu’il a sans cesse au bord des lèvres. Ce mot, c’est le « mot
propre
», — le mot qui n’existe pas, celui qu’emploie Fl
désintéressé. Ils ont été plus curieux de mettre en œuvre, pour leur
propre
compte, les trésors acquis déjà, que d’ouvrir des
ant leur vie personnelle, étrangère à l’humanité ainsi vaincue par sa
propre
victoire et impuissante à reconquérir ses ruines
aine beaucoup plus que par ses recherches de documents humains — plus
propres
à fausser l’ensemble par l’exagération du détail
e moderne ; il a pu, sans consulter d’autres documents que ceux de sa
propre
destinée, accomplir le monument d’une œuvre perso
tuel des esprits, ou n’ayant lui-même peut-être pas encore conquis sa
propre
et définitive maîtrise, il ne pouvait réaliser l’
entreprises géographiques répugne à la vraie nature de l’Art, qui au
propre
n’a que deux patries : l’âme et l’air — étant l’a
go, lieu commun de toutes les innovations, sans y rien ajouter de son
propre
, leur donne force de loi. — Les deux grands foyer
chacun des arts. Pour ce rêve où elle reconnaît le plus intime de ses
propres
désirs, la Littérature songe s’il ne serait pas p
st une aspiration. L’âme s’essore de soi par la musique et reprend sa
propre
conscience dans le silence solide de la peinture.
eune, homme, sans l’influence d’aucune révélation que l’éclair de son
propre
génie et de son art compris et aimé par-delà et m
isée103. Or, tous ces efforts qui correspondent si justement avec ses
propres
désirs, le Poëte les observe en tremblant. Vaguem
re réduite à sa médiocrité intime, qui se croit sensée pour avoir, au
propre
, perdu la tête. — Mais le fait même répugne à la
e l’âge mûr, n’ont pas encore accompli la formule personnelle de leur
propre
humanité ? « Il ne faut disséquer que les morts »
ba magistri. Je ne parlerai que de ceux qui, sincèrement et pour leur
propre
compte, cherchent la Vérité Nouvelle. Je ne les n
a jeune Littérature ? Le futur dira comme l’Église saura glorifier sa
propre
vitalité ou témoignera de sa mort, en laissant le
n des plus personnels qu’on ait écrits. D’une souplesse noble, par sa
propre
mélodie évocateur de toutes choses lointaines et
Villiers de l’Isle-Adam, de ceux qui portent dans leur poitrine leur
propre
gloire, a puisé des beautés très nouvelles et trè
’elle s’est voulue, un danger social : que si le génie parvenait à sa
propre
et parfaite réalisation, c’est-à-dire à son propr
nie parvenait à sa propre et parfaite réalisation, c’est-à-dire à son
propre
avènement dans l’Absolu, cette étreinte d’un Homm
l’assouplir trop peu et de laisser croire qu’il ait l’illusion du mot
propre
, quand c’est d’âmes et de choses simples qu’il a
que la singularité d’un esprit personnel n’est autre chose que sa vie
propre
, et que la recherche, dirigée par la conscience d
que voudrait disparaître pour ne point gêner l’expert analyste de ses
propres
sentiments transposés en des choses de nature, le
naguère le conducteur d’hommes aussi, et le prêtre encore, divise sa
propre
personnalité, descend du trône, quitte l’autel :
les bienfaits des arts géométriques, mais en leur ajoutant les moyens
propres
de la poésie et des autres arts arithmétiques, qu
ton droit ne font qu’un : intrangressible, imprescriptible. C’est ta
propre
joie (et, par ainsi, tu symbolises à miracle les
is lire, où s’épanouirait ton cœur, où s’accomplirait ton esprit : ta
propre
joie. Mais n’oublie pas, puisque tu te sers d’un
ette initiale prudence d’éviter la précision, tu iras, Poëte, par tes
propres
intuitions restées indépendantes, plus loin dans
r, pour le Poëte, de chasser le souvenir, afin de mieux contempler sa
propre
pensée, devient un devoir, pour le lecteur lui-mê
te d’intime néologisme par les alliances de mots, par les passages du
propre
au figuré, par les retours aux origines. Ainsi le
as une émotion vraiment artistique ; — l’Art t’a parlé par ses signes
propres
, qui sont dans l’exemple choisi les lignes et les
ysique Établir d’abord que l’Art est une reprise, par l’âme de ses
propres
profondeurs, que l’âme s’y libère de toutes entra
onseil même de l’Infini ; aussitôt, l’âme acquiert la certitude de sa
propre
éternité dans cette solitude d’exception, et qu’i
mme, de la démesurée petitesse des socles brisés où il avait érigé sa
propre
statue, à la juste grandeur de la conscience parv
tion qu’il est entré dans un monde étranger au tous les jours et à sa
propre
vie, puisqu’il a désormais les souvenirs d’une vi
xprimer des choses leur reflet, elle pénètre en elles et devient leur
propre
voix. La suggestion n’est jamais indifférente et,
ns vers la Beauté dans la Vérité. Dieu, c’est par excellence le « mot
propre
», — le mot propre, c’est-à-dire ce verbe inconnu
ans la Vérité. Dieu, c’est par excellence le « mot propre », — le mot
propre
, c’est-à-dire ce verbe inconnu et certain dont to
selon les hommes, je n’aurai dans l’oppression extérieure ou dans ma
propre
contrainte que l’éternel tourment d’une vie toujo
en plus encore selon la situation où elles le trouvent que selon leur
propre
nature. » 54. Parmi les plus beaux et les moin
Y a-t-il donc d’autres Vérités que le Rêve lui-même, en Art, le rêve
propre
de chaque artiste ? Mais j’entends très bien et t
suivant des lois naturelles, ils les réduisent aux lois de leur norme
propre
, lesquelles ne sont pas plus celles de la norme u
pour la conception esthétique entre toutes, la plus harmonieuse à mon
propre
Idéal. 102. Notons en passant que cette impuissa
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