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Albalat, Antoine.
(1905)
Les ennemis de l’art d’écrire. Réponse aux objections de MM. F. Brunetière, Emile Faguet, Adolphe Brisson, Rémy de Gourmont, Ernest Charles, G. Lanson, G. Pélissier, Octave Uzanne, Léon Blum, A. Mazel, C. Vergniol, etc…
« VI »
i ne se séparent point et que nous n’avons point séparées, quoi qu’on
prétende
. Il ne s’agit pas de dire : « Taine a écrit en co
ensuite comme il les avait vues. Cela va de soi. Nous n’avons jamais
prétendu
qu’on peut se créer une faculté par un simple act
peut se créer une faculté par un simple acte de volonté. Ce que nous
prétendons
, c’est que c’est la volonté qui développe, forme
leur style par cela seul qu’ils l’ont voulu, et c’est une naïveté de
prétendre
que, s’ils y sont parvenus, c’est qu’ils avaient
M. de Maupertuis, dans une brochure intitulée, Essais de cosmologie,
prétendit
que la seule preuve de l’existence de dieu est A
i, avoit mal parlé du qu’En dira-t-on & de l’auteur ; qu’il avoit
prétendu
que cet ouvrage étoit injurieux à sa majesté, qu’
humaine . Le même docteur ne conçoit pas le natif de S. Malo, d’avoir
prétendu
qu’on modifie l’ame avec de l’opium , qu’on fait
eaucoup varié, & sur lesquelles on ne sçait rien de certain. On a
prétendu
que ce prince, en disgraciant l’homme de génie qu
is actuellement je suis une de vos plus anciennes connoissances. » On
prétend
que, lorsqu’il le sçut en chemin pour la Prusse,
faussement qu’il étoit Prussien. De-là cette exclamation : « Peut-on
prétendre
sérieusement que l’auteur du Siècle de Louis XIV
on au moi et celle de causalité. On oppose la question préalable ; on
prétend
que, la causalité impliquant le déterminisme, la
logue n’arrivera devant un tel gouffre ; jamais il n’aura le droit de
prétendre
que ce qu’il n’a pu expliquer soit pour cela inex
ôté de l’avenir, d’être déterminée du côté du passé. Aucun de nous ne
prétend
agir sur le cours des astres, parce que ce cours
tièrement déterminé indépendamment de nos idées et désirs ; mais nous
prétendons
tous influer sur les mouvements de notre plume au
a liberté d’indifférence. D’autres partisans du libre arbitre, qui se
prétendent
en même temps adversaires de la liberté d’indiffé
ntentons-nous de dire : il est donné ou il est ; cela suffit. Si vous
prétendez
qu’il est librement, tandis que d’autres disent n
ire autant de chaque état du monde, à chaque instant ; si vous voulez
prétendre
que cet état est libre, à votre aise ; il est ce
hasard vivant. Ce serait le triomphe de cet indéterminisme auquel on
prétendait
échapper. L’indéterminisme ne consiste pas seulem
on prétendait échapper. L’indéterminisme ne consiste pas seulement à
prétendre
que les mêmes effets ne s’expliquent pas par les
bsolue qu’on imagine dans la conscience est chimérique. Nous n’avons,
prétend
-on, aucune raison de conserver à un sentiment « s
, prenant ainsi un aspect nouveau sans changer d’essence rationnelle.
Prétendra-t
-on que de tels problèmes soient factices et qu’un
complet équivalent de la liberté même. Il ne suffit pas, comme on l’a
prétendu
, d’envelopper dans une même unité de conscience l
onible, suffisante pour faire équilibre à tous les motifs173 », et on
prétend
que nous avons « conscience » de ce pouvoir. Cert
ne ce moi : j’agis sous l’idée de moi-même et de ma causalité propre.
Prétendre
que cette auto-détermination, pour laquelle l’ave
préjugé pour la leur, ce qui seroit bien plus vraisemblable. Nous ne
prétendons
pas l’apprécier, pour cela, d’après les Satires d
e le grand Jupiter à attacher ce boudin au nez d’une Héroïne, n’a pas
prétendu
travailler pour les Gens de goût, encore moins se
au mérite de faire de bons Ouvrages ; mais sont-ce-là des titres pour
prétendre
aux honneurs de la Philosophie ? Le génie de la p
n peu desobligeantes pour les poëtes tragiques françois. Cet écrivain
prétend
que l’affectation à mettre de l’amour dans toutes
ient à Phoenix son confident. L’auteur anglois qui réprend la parole,
prétend
que nos poëtes, afin de pouvoir mettre de l’amour
é. Ce qui prouve seul qu’ils ne sont pas veritablement amoureux ; ils
prétendent
mettre d’accord l’amour avec la raison, deux chos
re portrait, peindre Caton galand et Brutus dameret. L’auteur anglois
prétend
que l’ancienne chevalerie et ses infantes ont lai
alytique des vieilles formes culturelles, à quoi s’obstinent ceux qui
prétendent
consacrer leur vie à l’étude de l’humain, quel él
l ne leur conteste une magnificence archiépiscopale. Et même ceux qui
prétendent
ne point tomber dans le piège des confusions mélo
. Alors, l’abbé Bremondq croupier de la grande roulette bondieusarde,
prétendit
mettre dans son jeu, dans sa poche, la poésie tou
min, qui, d’ailleurs, se termine toujours en cul-de-sac. On a beau se
prétendre
explorateur, on ne s’en cogne pas moins à des thé
isation ampute et ampute de cela même, au nom, au profit de quoi elle
prétend
amputer. Après l’humanisme, le réalisme San
le bazar de la Réalité capitaliste et cléricale, de cette Réalité que
prétendait
nous imposer, à jamais, le réalisme à forme agres
illénaires, encombrer ce monde, qu’un abominable malentendu avait osé
prétendre
désexuer. La croix-squelette de pénis-vampire. Et
la femme se venge de ce par quoi, l’homme en vie, en vit, l’asservit,
prétendit
l’asservir, au moins la cloua sur sa paillasse. C
sépulcre, c’est sous sa protection que les hommes enjuponnés avaient
prétendu
mettre notre enfance. Elle avait la meilleure pla
otre-Dame du coup de pied dans le bas-ventre, par ce joli geste, elle
prétendait
venger Adam et Eve, le premier couple, le Couple.
diable, hideux, certes, mais dont la hideur se riait du couvercle qui
prétendait
l’écraser. Après lui, vint Oreste. En fait de fam
comme de m’entendre dire que je cachais ma pensée intime, lorsque je
prétendais
avoir préféré à mon frère aîné les sœurs qui m’ét
de la créature rassasiante, juge, au contraire de tout ce que peuvent
prétendre
les psychanalystes, miraculeuse la naissance du b
s, niait-il que le diable fût vivant là où le clergé a, si longtemps,
prétendu
qu’il s’incarne, alors, on se contentait de raval
int par les voies de la pure intellectualité, quoi qu’ils en aient pu
prétendre
, qu’aboutirent au dilettantisme anarchisant, les
un particulier que pour un général, il ne saurait être question de se
prétendre
au-dessus de la mêlée. La pensée, mais où irait-e
e de qui, instruisant un procès, demeurerait froid de ce froid à quoi
prétendent
les magistratures assise et debout, comme si la g
teraient-ils de les voir balayées par le souffle du devenir ? Ils ont
prétendu
enchaîner les quatre vents de l’esprit, et le mou
s, rétines, tympans assez exténués ou experts en hypocrisie pour oser
prétendre
ne s’être point aperçu de ce qu’ils ont perçu. Un
sans savoir, il batifolait, il ne lui en faudra point davantage pour
prétendre
que sa route a suivi quelque impondérable arc-en-
phatrice de la vieille psychologie, analytico-métaphysique) qui, sans
prétendre
, par démagogie, à l’humain, à l’humanisme, aux hu
t à moi, d’un simple rêve pour savoir que cette lumière, dans quoi on
prétend
nous baigner, nous laver, devient aussi fausse qu
e que le clair-obscur antérieur, dont les spécialistes hâtifs osaient
prétendre
qu’ils allaient le corriger. Voici les faits : En
sent tourner en terrain vague, ou si, tout au long des avenues qui se
prétendront
modernes, poussent des gratte-ciel scolastiques.
ncyclopédie apparaît vraiment à refaire. D’autre part, quoi qu’en ose
prétendre
, tel soi-disant psychanalyste, la réaction colére
e intérieure, on a conseillé au vivant le silence, l’immobilité. On a
prétendu
ceux de la pensée, les attributs mêmes de la mort
stématique des problèmes culturels n’est pas mieux tolérable chez qui
prétend
travailler de toute sa violence à la résolution d
la bourgeoisie qui s’est donné pour mâle ce penseur à son image, elle
prétend
fruit de ses entrailles, de ses seules entrailles
ea en preuves. Le même historien ajoute que quelques autres écrivains
prétendaient
qu’Hermolaüs, dans son discours, avait reproché à
e avait été appliqué à la torture, ensuite mis en croix. Quelques-uns
prétendaient
que, ayant été renfermé dans une cage de fer, on
d’Alexandre à Olympias subsiste, et elle disculpe assez Alexandre du
prétendu
supplice du philosophe athénien, inventé par les
dans le temps d’Aristote, Rousseau et les utopistes de nos jours, ont
prétendu
s’inscrire en faux contre ce fatum des choses, et
individuelle qui nous assure ce bonheur-là. « On le détruit, quand on
prétend
établir cette unité excessive de l’État, de même
le ; car il est toujours à la veille de ne plus être. Autant vaudrait
prétendre
faire un accord avec un seul son, un rythme avec
oureurs. « Il a beau interdire tous plaisirs à ses guerriers, il n’en
prétend
pas moins que le devoir du législateur est de ren
les défenseurs mêmes de la cité ne sont pas heureux, qui donc pourra
prétendre
à l’être ? Ce ne sont point apparemment les artis
pas qu’il faut bannir ou chasser le citoyen qu’elle distingue. On ne
prétendra
pas davantage qu’il faut le réduire à l’obéissanc
ne prétendra pas davantage qu’il faut le réduire à l’obéissance ; car
prétendre
au partage du pouvoir, ce serait donner un maître
r but de donner la suprématie politique à ces citoyens éminents, on a
prétendu
, par suite, que les oligarchies se composent en m
ns l’application. La démagogie est née presque toujours de ce qu’on a
prétendu
rendre absolue et générale une égalité qui n’étai
ient l’être d’une manière absolue. L’oligarchie est née de ce qu’on a
prétendu
rendre absolue et générale une inégalité qui n’ét
on en vigueur, la garde telle qu’elle la trouve ; mais les vainqueurs
prétendent
gouverner personnellement, en observant cette con
au contraire, on trouvera des masses de pauvres. Il est dangereux de
prétendre
constituer l’égalité réelle ou proportionnelle da
réputation qui incommode jusqu’à ceux qui sont le moins à portée d’y
prétendre
. L’autre espece de public, qui par son petit nomb
a reprocher. Mais ce n’est véritablement qu’une inattention, elle n’a
prétendu
parler que de nôtre orient qui lui paroît plus fa
lus beaux endroits d’Homere, aucun ne lui peut échaper. quelques gens
prétendent
que c’est-là la fine ironie de Platon. Il n’y a r
droit donc plus crier, il ne sçait pas le grec, et il juge Homere, et
prétend
l’imiter ; ce sophisme séduit bien des gens ; c’e
pour m’attribuer là-dessus la gloire frivole de la nouveauté. Je n’ai
prétendu
remarquer dans Homere que les défauts les plus ap
de nôtre avis ; tous les hommes sont d’accord là-dessus : vous qui le
prétendez
, recueillez les voix, l’univers déposera de son e
ingt noms anciens et un nom moderne. Car, selon Me D il ne faut point
prétendre
à avoir aucune autorité de son temps : en vain le
au-delà des faits ? J’ai trouvé plusieurs défauts dans Homere ; Me D
prétend
que ce sont autant de beautez ; le lecteur n’a au
est pour nous. Le pere Rapin qui a éxaminé à fonds Homere et Virgile,
prétend
que le poëte grec a déshonoré son pays, par le ch
i selon moi, nous fait rentrer dans tous les droits de l’examen. Me D
prétend
qu’il n’en est pas ainsi ; que l’affaire est vuid
’esprit. Mais j’aime mieux croire que les anciens ont éxaminé ; et je
prétends
seulement que ce droit n’est pas éteint pour nous
e grand interest d’un parti est la bonne intelligence. Je n’ai point
prétendu
qu’on ne pût tirer cette vérité de l’iliade, quan
des poëmes épiques, à prendre ce terme dans toute sa rigueur. En vain
prétend
-on qu’Homere doit passer pour parfait dans ce gen
découvrir. Ces deux poëmes ne manquent d’aucune des conditions qu’on
prétend
essentielles à l’épopée. Ils sont l’un et l’autre
ncore quelques exemples ; ils sont plus sensibles que les raisons. On
prétend
que Jupiter n’éxauce point les desirs injustes. Q
c que les héros de l’iliade sont de fort malhonnêtes gens ; mais elle
prétend
qu’on n’a pas droit de le reprocher à Homere ; pa
l’invention, aussi-bien que de la grossiereté de son siecle ; je n’ai
prétendu
combattre que cette admiration sans discernement,
ez les iroquois et chez les sauvages. Je distingue dans le luxe qu’on
prétend
que je louë scandaleusement, ce qui fait honneur
sont livrez sans luxe à tous les desordres et à tous les crimes qu’on
prétend
que le luxe amene. Telle est la grossiereté des p
ire qu’Ulysse fit à Achille le détail des offres de son général. Me D
prétend
qu’il faloit répéter le discours qu’on vient de l
-semblable ? Que quand on dit qu’une chose n’est pas naturelle, on ne
prétend
pas absolument qu’elle ne puisse tomber dans la t
Les choses seroient d’un côté, les mots de l’autre ; et ce seroit au
prétendu
ignorant à juger des auteurs, que le sçavant pren
e plus court, à celui qu’il a fait à ses troupes dans le second. J’ai
prétendu
que de ces deux discours l’un étoit simulé, et l’
que de ces deux discours l’un étoit simulé, et l’autre sérieux. Me D
prétend
qu’ils sont tous deux simulez ; que si le second
rs. à l’égard de l’expression, nous sommes d’accord Me D et moi. Elle
prétend
qu’Homere excelle en cette partie, et j’en convie
re raison de mon poëme dans ma troisiéme partie, où je tâcherai, sans
prétendre
m’ériger en maître, de donner quelques idées de p
éja juger entre Me D et moi. L’iliade est-elle parfaite comme elle le
prétend
? Est-elle défectueuse comme elle me l’a paru ? N
e soutenois qu’il n’y a aucune beauté dans l’iliade ; mais loin de le
prétendre
, j’y en ai reconnu de tous les genres ; je crois
u’Homere ne sçauroit que perdre en françois, et elle juge que loin de
prétendre
à l’embellir, je n’ai pas dû me flatter de conser
ce miel qui coule de sa bouche est aussi doux et aussi fort qu’on le
prétend
; car la douceur du miel, dit là-dessus Me D est
ulager, que je ne me suis point engagé à imiter tout Homere, que j’ai
prétendu
seulement choisir dans l’iliade, ce qui m’en paro
e j’ai retranché bien des sentences des discours de l’iliade. Et Me D
prétend
que j’en ai ôté par-là toute la morale ; mais il
es raisonnemens que j’ai déja employez avec elle. Il est vrai qu’il a
prétendu
fortifier le sentiment de cette illustre sçavante
tante. Il convient qu’il n’y a pas trop de prise aux allégories qu’on
prétend
trouver par tout dans l’iliade, et que la plûpart
e sans elles, si j’allois prouver que cela même n’en est pas une ? Je
prétends
donc qu’on ne sçauroit prendre cet endroit qu’à l
é pour ma défense ; en ne condamnant dans ce que j’ai dit que l’excès
prétendu
qu’il a cru y voir, il a confirmé tout le reste ;
écepte, et n’a pas donné l’exemple dans son ode sur Namur. La Motte a
prétendu
que ce qu’on appelle dans l’ode un beau désordre,
ni fureur poétique, ni invocation, ni que vois-je, ni que sens-je, ni
prétendu
beau désordre. Vous en verrez d’excellentes, chac
nt dans la nôtre. Je suis bien éloigné, en hasardant ce parallèle, de
prétendre
affaiblir la juste admiration qu’on doit à ce poè
e évitent deux écueils où il leur arrive de tomber. Le premier est de
prétendre
surpasser les anciens en apercevant leurs fautes
t, & plusieurs autres illustres dont la Philosophie s’honore ; il
prétend
de l’autre, que j’ai beaucoup trop loué Jacques A
ie, il dit beaucoup de mal de presque tous les hommes de génie, &
prétend
que le plus grand honneur qu’ait pu recevoir Corn
destruction…… Voilà pourtant, Monsieur, les Libellistes auxquels vous
prétendez
que je dois répondre : voilà pourtant les hommes
ammes dont le fond n'est jamais de lui. Par qui M. de Voltaire a-t-il
prétendu
faire adopter un semblable paradoxe ? C'est mécon
gement toute espece d'autorité, décrier ses propres sentimens, que de
prétendre
affoiblir une gloire qui ne déplaît peut-être à s
né des excès auxquels lui-même s’est porté ? *. Plusieurs Auteurs
prétendent
qu'il est né en 1669 ; mais cette date est fautiv
s auteurs être de nature à satisfaire aux conditions du concours et à
prétendre
aux primes proposées ; quatorze seulement ont été
été envoyés et admis. Et en effet il ne suffit pas pour qu’un ouvrage
prétende
à un renom et à une récompense de moralité dans l
lexion et de la leçon soit venu. En médecine, il est une doctrine qui
prétend
guérir les semblables par les semblables ; en mor
e manière contraire à la vérité des choses ni au goût, et qu’un genre
prétendu
honnête mais faux, comme en d’autres temps, n’ail
Ecrits sur lesquels il fondoit sa réputation. C’est ainsi qu’on peut
prétendre
à des succès solides. Trop heureux, si, en choisi
milieu d’une dégradation sensible & journaliere, qu’ils pourront
prétendre
au respect & à la gloire destinée à payer les
Lecteur, & le forcent à se demander à lui-même ce que l’Auteur a
prétendu
établir. La plume de Rousseau n’a pas dédaigné de
s nous soumettent impérieusement à leurs décisions tranchantes, &
prétendent
nous donner, pour les vrais principes des choses,
nasse, & d’un Essai critique sur les Ouvrages de M. Rollin, où il
prétend
prouver que cet Ecrivain célebre n’entendoit pas
s, qui sont d’une utilité reconnue. M. Rollin étoit trop modeste pour
prétendre
aux honneurs de l’érudition, auxquels il avoit ce
ettant au jour. Rien de si extravagant que le Systême de Peyrere, qui
prétend
prouver, par quelques passages de Saint Paul, l’e
de son opinion, en l’abjurant publiquement, quoique plusieurs Auteurs
prétendent
qu’il y a persisté jusqu’à sa mort. Les plus esti
doit empêcher d’écrire quand on ne sait être agréable ni instructif.
Prétendre
égayer un Lecteur, en faisant dire par un Sultan
décence. Madame de Puisieux a composé un Livre de Caracteres, où l’on
prétend
qu’elle n’eût pas dû oublier celui de la Femme Be
de l’Odissée. Toute l’Angleterre souscrivit pour cette traduction. On
prétend
que l’auteur y gagna près de deux cent mille écus
charnés à lui nuire. Ils attaquèrent sa taille & sa figure, &
prétendirent
qu’il n’entendoit point le Grec, parce qu’il étoi
pour réussir dans tout ce qu’il embrasse, tout lui fait ombrage. « Il
prétend
règner seul sur le parnasse. Il ne veut, ainsi qu
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Albalat, Antoine.
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Les ennemis de l’art d’écrire. Réponse aux objections de MM. F. Brunetière, Emile Faguet, Adolphe Brisson, Rémy de Gourmont, Ernest Charles, G. Lanson, G. Pélissier, Octave Uzanne, Léon Blum, A. Mazel, C. Vergniol, etc…
« VIII »
rites de Télémaque que je trouve banales, on les juge excellentes. On
prétend
que je ne prouve rien quand j’affirme que ces cor
n voudrait avoir grand air ; il n’est que puéril. Nous n’avons jamais
prétendu
que des chefs-d’œuvre comme les Provinciales, Ser
ement de nos contradicteurs. Pour finir de réhabiliter Télémaque, on
prétend
que Fénelon a écrit comme on écrivait de son temp
et nous accuse d’avoir fait dire à M. Faguet plus qu’il n’a dit ; il
prétend
que rien dans le langage de M. Faguet « n’indique
et que la perversité du genre humain Système social, l’art. I.. Elle
prétend
avoir démontré que les devoirs que la Religion im
ame sentira, pensera, jouira, souffrira après la mort du corps, c’est
prétendre
qu’une horloge brisée en mille pieces peut contin
perboliques, lilencieux, qui la dégradent tous les jours ; mais qu’on
prétende
établir sur des Ecrits que la raison réprouve aut
s bourgeois, à M. Palissot ; celui de la Lettre d’un pere à son fils,
prétend
, de son côté, que les Trois Siecles ont été fabri
sophique des établissemens des Européens dans les deux Indes, où l’on
prétend
que les Peuples seront plus heureux, lorsqu’ils n
e], qui ont appelé la satire un métier facile & méprisable, &
prétendu
que le plus grand honneur qu’ait pu recevoir Corn
rrogent non seulement le privilége de diffamer leurs adversaires, ils
prétendent
encore que c’est-là faire une action juste &
aducteurs, de relever l’excellence de l’auteur qu’ils traduisent. Ils
prétendent
justifier leur goût, en prouvant la perfection de
use et intéressante de la guerre de Troye : les autres, qu’il n’avoit
prétendu
qu’exciter l’admiration de ses lecteurs pour la v
Le poëte le pensoit apparemment ainsi, répondent hardiment ceux qu’on
prétend
déconcerter par cette objection. Il étoit ébloüi
a varieté des épisodes. Il y a même des circonstances contraires à ce
prétendu
dessein, puisqu’Ajax auroit tué Hector en l’absen
devenu indifférent, dès que les points essentiels en sont connus. On
prétend
que la gravité du poëme l’exige ainsi : car c’est
exactement ses hardiesses à leurs lumieres. Seroit-il raisonnable de
prétendre
amuser des hommes faits par les mêmes fictions qu
chimériques ; eh ! Qu’est-ce qu’on ne justifieroit pas avec cela ? On
prétend
que cette foule de dieux dans l’iliade, ne blesse
redisent mot pour mot, les discours qu’ils sont chargés de faire. On
prétend
que cette exactitude est de leur devoir : mauvais
cisément les mêmes ? Madame Dacier a bien senti la difficulté ; elle
prétend
, pour la résoudre, que ces deux discours sont l’u
les personnes que les noms propres : encore n’a-t’on pas raison de le
prétendre
. Homere se passe souvent de ces attributs ; ils n
digressions. On ne sçait ce qui blesse le plus dans le discours de ce
prétendu
sage, ou l’envie demesurée de parler, ou la vanit
la plus grande partie de l’iliade, et qui l’avouent franchement sans
prétendre
la condamner ; ils y trouvent même beaucoup de be
ner tout à la fois. Je me déclare sans honte, de ces derniers ; et je
prétends
que l’admiration de tous les siécles ne fait rien
; c’est ce qui met de la grace et de l’harmonie dans le discours, je
prétends
seulement qu’on peut avoir cet égard en françois
trainte et plus uniforme. Mais avec tout cela, l’on n’a pas raison de
prétendre
que la versification ne puisse suivre par des équ
es poëtes cessent d’être poëtes, quand ils sont traduits en vers. Que
prétend-t
-on dire par ce paradoxe ? Entend-t-on que le poët
s que je me suis prescrites dans les endroits de mon ouvrage, où j’ai
prétendu
traduire Homere ; car je me regarde comme simple
e le plus méthodique et le plus judicieux que le préjugé ait produit,
prétend
que tout le dessein de l’iliade n’est que de fair
mot, je n’ai été plus court, qu’afin de dire plus nettement ce qu’on
prétend
qu’Homere a voulu dire. La seconde condition que
uccombe du moins glorieusement. Si ces corrections sont bonnes, je ne
prétends
pas en tirer vanité. Le défaut étoit si sensible,
le Cicéronien. Les sçavans d’audelà des monts, idolâtres de ce stile,
prétendirent
que, pour être bon Latiniste, il ne falloit écrir
e de Feltre. L’auteur se propose d’y montrer le ridicule qu’il y a de
prétendre
bien écrire en latin, bien parler & bien ente
un doit s’attacher uniquement à bien écrire en sa propre langue, sans
prétendre
enrichir de ses ouvrages celle des Romains, quelq
de de l’été : M. Henri Ghéon est l’un de ces poètes qui retournent ou
prétendent
retourner à la nature, et s’il mène à bien la sér
tisme soit clos à jamais ; c’est une conception contradictoire que de
prétendre
en même temps à l’exactitude scientifique et à la
culier & en public. Sans s'inquiéter des regles de la Logique, il
prétendit
réfuter la Déification, en soutenant que Saint-Hy
avagances, dont l'excès & le ridicule devroient corriger ceux qui
prétendent
s'élever au dessus des autres par leur savoir, &a
roman qui porte son nom ; le livre tout entier, d’un bout à l’autre,
prétend
n’être que son histoire, sa vie, sa biographie. C
istance, une exacte vérité dans le détail ; car un lecteur à qui l’on
prétend
tout dire et ne rien dérober est exigeant. Dès l’
, elle entre en colère contre sa gouvernante qui, au bord d’un étang,
prétend
l’empêcher de monter sur un cygne ; car Sibylle v
égende, mais comme une histoire. Si c’est une histoire, et comme elle
prétend
évidemment enseigner quelque chose, quel est cet
une mythologie inverse, ne faites pas tout le contraire. Qu’avez-vous
prétendu
au juste dans ce portrait de pure et angélique en
vant. Cet Ecrivain eût donc mieux fait de ne jamais mettre au jour un
prétendu
Eloge de M. de Crébillon, où ses mœurs ne sont pa
vrant au sien, étoit digne d’un genre de gloire, auquel il ne pouvoit
prétendre
lui-même, malgré ses efforts ? C’est renverser le
une vérité d’ordre tellement extra-humain, qu’il serait téméraire de
prétendre
l’expliquer. « Quand donc elle a marqué un enfant
ette les creuses formules qui lui furent imposées ; quant à celui qui
prétend
obéir à une règle qui lui prescrit la chasteté, t
par excellence, le guide nécessaire. Ce qui est passif par nécessité
prétend
animer ce qui est actif par essence. Le hors natu
ion, qui a érigé l’ignorance en principe moteur universel, il ne peut
prétendre
en imposer à d’autres qu’aux pauvres d’esprit : s
Comment ceux qui se placent d’eux-mêmes en dehors de toute humanité,
prétendraient
-ils la conduire ? Comment ceux qui sont fermés à
son, et que ces voix seront écoutées, l’humanité ne pourra évidemment
prétendre
à un sort meilleur. L’absorption du prêtre par l’
, des rapports intrinsèques et essentiels du cerveau et de la pensée.
Prétendrait
-on connaître la nature ou l’action d’une locomoti
es centrales ou de leur noyau relativement à leur périphérie, si l’on
prétendait
que la réunion des conceptions en une pensée ou e
et d’une action des prolongements qui les unissent ensemble ; si l’on
prétendait
que l’association des idées dépend de l’action so
l y aura les petits saints et les grands. Tout le monde ne pourra pas
prétendre
à une place d’honneur : on distinguera jusqu’en c
naturalisme, il faudrait avouer qu’il vient bien tard. La porte qu’il
prétend
enfoncer est ouverte depuis longtemps. Il y a déj
du moins devrait les rendre modestes. Il n’est sage à aucun d’eux de
prétendre
qu’il embrasse la réalité tout entière et que rie
celui de sa femme, il comprend tout, et se suicide. Quelques initiés
prétendent
que les deux auteurs dont je viens de parler ne p
nature douce et triste, faite pour les sacrifices, aime en secret le
prétendu
de sa sœur. Un oncle leur a laissé par testament
’applique à les mettre en œuvre. Il n’est point exact, ainsi qu’il le
prétend
, qu’il ait le premier essayé de se mettre en face
e chose. Il y a deux cents ans passés que Boileau, l’homme qui certes
prétendit
le moins à l’honneur d’avoir inventé quoi que ce
é, sont les seules qualités qu’il admet. Sans cela, on ne doit jamais
prétendre
au titre d’Historien. M. de Raynal n’a peut-être
ient-ils avoir pour défendre l'Etat » ? Et, dans un autre endroit, il
prétend
prouver, par l'exemple des Quakers, que les homme
e qu’elle pense… Une observation importante : nous n’avons aucunement
prétendu
assigner aux trois époques de la poésie un domain
la tendance qu’on a fatalement de plier les faits à un système. Je ne
prétends
pas avoir vu toutes les difficultés ; et pour plu
e ces catégories, que de parler d’une évolution des genres, et que de
prétendre
en fixer les lois. — Or, nul ne saurait rester in
nement scientifique, ont quelque chose de brutal et de factice ; nous
prétendons
établir, en classifiant, des catégories aux clois
es individualités, on s’expose à des erreurs parfois ridicules. Je ne
prétends
pas avoir évité toutes ces erreurs ; je sens comb
ement à la liberté était sans calcul et sans mesure. Avant de pouvoir
prétendre
à aucune célébrité, à aucune importance dans son
épendance de l’écrivain, en leur portant le défi d’exercer sur lui le
prétendu
droit d’arrestation préalable. Cette fois encore,
ctrices. Et il y a une incontestable pose dans le goût des femmes qui
prétendent
n’aimer plus Bourget. Pour nous, plus que la triv
c la petite Adèle, etc. » Le prototype de ces phrases (un de mes amis
prétend
l’avoir découvert dans un roman de Bourget) serai
t se documenter sur elles. — Remarque judicieuse ; mais aussi bien ne
prétend
-il pas connaître ces vierges. Il connaît les peti
s ! C’est là du romantique ; il est charmant, divin ! Cet auteur doit
prétendre
au plus noble destin. Je voulus sur un vers essay
espréaux est traité : Ce rimeur, se traînant dans l’ornière d’Horace,
Prétendait
à son tour régenter le Parnasse, Aux lois du sens
ibraire élève mes écrits À treize éditions, dussé-je en payer dix. Je
prétends
qu’à tout prix on me fasse une gloire ; Que dans
cience ne vaut qu’autant qu’elle peut rechercher ce que la révélation
prétend
enseigner. Si vous lui enlevez ce qui fait son pr
ctement contraires au véritable esprit scientifique. Dieu me garde de
prétendre
qu’il n’y ait eu parmi les plus sincères croyants
science et de son objet ; chez d’autres, comme chez Descartes 31, qui
prétendait
bien tirer de la raison les vérités essentielles
tendant ses moments de défaillance, pour la recevoir dans ses bras et
prétendre
ensuite que c’est l’humanité qui s’est donnée à e
ierons pas ; nous tiendrons ferme comme Ajax contre les dieux ; s’ils
prétendent
nous faire fléchir en nous frappant, ils se tromp
nie prend son île pour le monde. Plus téméraires encore sont ceux qui
prétendent
enserrer de lignes l’infini. Voilà pourquoi de to
ne ironie de la nature humaine, qui n’aboutit qu’à la superstition et
prétend
guérir Byron, en lui prêchant le pape. On parle b
-sens. Il faut s’entendre. Si la révélation est réellement ce qu’elle
prétend
être, la parole de Dieu, il est trop clair qu’ell
est-elle la parole de Dieu ? Et qu’on réponde oui ou non, le problème
prétendu
de l’accord de la foi et de la raison, supposant
s seraient à peine suffisantes pour remplir l’objet que celle Société
prétendait
embrasser toute seule. D’ailleurs les rédacteurs
gerie à l’astronomie, la fabrique des lunettes à l’optique ; mais ils
prétendaient
encore, qu’on nous passe cette expression, accole
. » Avec cela, le Journal de Lhuynes nous apprend que certain jour il
prétendit
, ainsi que les princes du sang, ne pas devoir pay
i dit qu’il avait tort et qu’il devait les payer comme les autres. Il
prétendait
aussi ne point payer de droits d’entrée pour ses
campagne à la fin de 1733. Là encore il s’annonça par un travers : il
prétendit
tout aussitôt, pour commencer, au commandement de
ystaspe. Quelques jésuites ont vanté l’antiquité de Confucius, et ont
prétendu
avoir lu des livres imprimés avant Jésus-Christ ;
e perdit dans celui de la seconde. Mais les Chaldéens ont été jusqu’à
prétendre
qu’ils avaient conservé des observations astronom
t mille ans. Josèphe17 a cru à ces observations antédiluviennes, et a
prétendu
qu’elles avaient été inscrites sur deux colonnes,
récède est confirmé par le témoignage du peuple Hébreux lui-même, qui
prétendait
qu’à l’époque où parut la version des Septante, l
n’obéit pas et ne se dresse pas à votre voix, si le nom par lequel on
prétendait
l’évoquer n’est pas le plus juste et le plus frap
nt pas des plus triomphantes pour le glorieux monarque. Mais pourquoi
prétendre
que ce moment est celui qui le montre le plus à n
est moins métaphysique que le droit divin, moins brutal que le droit
prétendu
historique. Dans l’ordre d’idées que je vous soum
donc ! quelle naïveté ! Voilà bien ces chétives idées françaises qui
prétendent
remplacer la diplomatie et la guerre par des moye
ase avec son piédestal est d’une belle forme. O, le joli morceau ! On
prétend
que la femme assise a l’oreille un peu haute ; je
uai de la ferraille. Mais encore un mot sur la Marchande de modes. On
prétend
que les Anciens n’en auraient jamais fait le suje
cet avis. Toute la différence qui se trouve entr’eux, c’est que l’un
prétend
qu’il est de toute nécessité de réduire en pratiq
il semble avoir voulu se former lui même, ainsi que d’après Lamotte,
prétend
que Fontenelle ne ressemble à personne ; qu’il n’
tint la négative dans une dissertation lue à l’académie Françoise. Il
prétend
qu’on ne peut, ni qu’on ne doit fixer cette langu
s ans soient beaucoup dans la vie d’un siècle, il serait téméraire de
prétendre
décider de sa physionomie générale à cet âge de s
le, nous sommes à cet âge qui est censé celui de la maturité, nous ne
prétendons
aucunement engager l’avenir littéraire ni préjuge
es points essentiels et à les caractériser. La critique ne peut guère
prétendre
à plus pour éclairer et pour avertir. Que s’est-i
moins pour l’un des deux), n’est pas près de s’épuiser encore. Je ne
prétends
pas du tout évaluer ici ces deux faits en eux-mêm
s, en réunissant des traits que je crois vrais de toute vérité, je ne
prétends
pas former un tableau. Il y a surtout à dire, à r
ssance des événements historiques a posteriori, les principes dont il
prétend
les déduire ne lui en feraient pas deviner un seu
i paraissait dans le même cas pour son système sur l’état sauvage, ce
prétendu
âge d’or de félicité et de vertu. Tout en s’étonn
tion et des arts, il croit un seul grand siècle dans une nation. Sans
prétendre
à en pénétrer les causes, il lui semble qu’une ex
orce de génie, et, l’esprit même devenu plus général, tout le monde y
prétend
bientôt ; de là le bon esprit devient rare, et la
t excessive ; il s’applique à réfuter et à rectifier l’idée. Rousseau
prétend
toujours ramener l’homme à je ne sais quel âge d’
t me place avec lui au point de vue de l’absolu, au moment même où il
prétend
m’en exclure. — Non pas ; il se place au point de
lane, n’enveloppait pas la richesse incalculable de ses ondes ? Notre
prétendu
parfait ou achevé est précisément l’inachevé et l
a une, est absolument inconnue et inconnaissable. Il ne faut donc pas
prétendre
expliquer la conscience même, le sentiment et la
ible et de scientifique, à des éléments plus primordiaux. Ce principe
prétendu
a priori est une simple conséquence du principe d
ue chose de donné dans notre constitution mentale. Seulement, peut-on
prétendre
avec lui « qu’il y ait une vérité donnée dans cet
qu’il semble, entre la vérité et l’erreur : dans cette science, on ne
prétend
pas seulement découvrir des vérités, mais on croi
out ce qui est acquis sans renoncer à y ajouter ; mais la science qui
prétend
atteindre au fond des choses ne peut pas admettre
e, c’est une création dans la création. Le métaphysicien au contraire
prétend
représenter la nature des choses. Si son œuvre n’
nt chimériques est également un fait bien difficile à comprendre, car
prétendre
que l’homme cherche le secret des choses, mais qu
et l’image fidèle de la raison tout entière. Dans une théorie où l’on
prétendrait
qu’il n’y a pas de choses en soi, les systèmes eu
es points le trop d’esprit. Ce n’était pas le compte de Voltaire, qui
prétendait
, et avec raison, peindre, animer ses tableaux, te
le d’honnête homme austère et impitoyable qu’il est bien ambitieux de
prétendre
tenir, qui suppose dans celui qui l’exerce de bie
e 1754. Duclos s’y singularise par une orthographe particulière qu’il
prétend
soustraire aux irrégularités de l’usage et rendre
t un degré d’intimité au-delà duquel il n’est pas permis à l’homme de
prétendre
dans l’étude de son semblable : c’est un secret q
es ouvrages de la nature. » Et continuant de développer sa pensée, il
prétend
que ces discours, qui tendent à démontrer Dieu da
ce grand et important sujet, le cours de la lune ou des planètes, et
prétendre
avoir achevé sa preuve avec un tel discours, c’es
ecture faite dans cette dernière édition des Pensées, c’est de ne pas
prétendre
trop pénétrer dans le Pascal particulier et jansé
elque part contrepoids ; que, dans quelques cabinets solitaires, sans
prétendre
protester contre le mouvement du siècle, des espr
toujours dans le débat. — L’art, c’est l’idéalisation de la nature !
prétendent
les uns. — Non pas, ce n’en est que le miroitage
lementation du dehors. Des goûts ni des couleurs il ne faut discuter,
prétend
le proverbe ; ce qui revient à dire qu’en fait d’
dis-je, mais je ne m’avise pas de vouloir les imposer, ce qui serait
prétendre
à l’impossible. Cent hommes, même compétents, mis
d’un enterrement ; d’où je conclus que tout ce à quoi un artiste peut
prétendre
, c’est, non pas de nous faire voir les choses tel
t fort évident que les bonnes œuvres d’alors auront aussi le droit de
prétendre
l’être à leur propre guise, et d’une tout autre m
ez belle pour se passer de charmes imaginaires et surérogatoires. Ils
prétendent
qu’en dehors de ce qui est, on tombe dans le faux
nt un cimetière, — le cimetière d’Ornans, — était le berceau. Nous ne
prétendons
pas dire que l’école réaliste n’est pas née viabl
s sommes aujourd’hui les modernes ; à ce titre nous avons le droit de
prétendre
vivre notre vie personnelle, mais demain d’autres
fants à l’hospice, faute de courage pour avouer qu’il était, à ce que
prétend
M. H. Heine, assez étranger au fait de leur naiss
tants critiques (et nous ne sommes pas sur des roses !), M. Toussenel
prétend
que ce sont les nez rouges qui ont sauvé la Franc
nouveau-nés la paysanne la plus joufflue qu’ils peuvent trouver. On a
prétendu
que les roturiers n’avaient pas qualité pour pein
ositif. L’humanité étant bâtie tout d’un bloc, il serait singulier de
prétendre
qu’à l’instant où d’autre part tout devient pour
e main en le repoussant de l’autre. — L’idéalisme est une tricherie !
prétendez
-vous, Messieurs. Belle recommandation en vérité p
dit, il faut bien que ce soit vrai. Voilà qui est entendu. Et moi je
prétends
qu’une œuvre d’art n’est et ne veut être, si parf
mien. Chaque homme a le sien. Vous voilà satisfaits, j’espère ; mais
prétendre
que pour être de recette, il faut absolument que
on toute simple que celle-ci est la propriété de tout le monde. Je ne
prétends
convertir personne, mais seulement exhiber les mo
les Peintres de Laon et Saint-Quentin. Total : 13 volumes. 11. On a
prétendu
, au contraire, que les types de Balzac ne sont vr
grandes généralisations de Balzac. Mais est-il bien sûr qu’au lieu de
prétendre
résumer ainsi toute une espèce dans un type qui e
aussi pour celles qui se sont moins éloignées de la pure nature. Vous
prétendez
que les premiers offrent des situations touchante
l doit craindre d’affaiblir, et dont il ne restera rien du tout, s’il
prétend
nous transporter à sa guise sur tous les points d
onventions que celles qui tiennent à la nature même de l’art que vous
prétendez
exercer. Changez d’art, faites un roman ; je souf
ses attentats ont exterminée, l’environne ; il n’y a là personne qui
prétende
ne pas la voir, et c’est une invraisemblance de m
rs, mais aussi en vers et en très beaux vers. Est-ce, ainsi qu’on l’a
prétendu
, est-ce uniquement afin que le poète ait le mérit
es pénibles font mieux remarquer l’objet ignoble ou vulgaire qu’elles
prétendent
voiler ; et le ridicule sous-entendu devient plus
relativement à notre Europe, se conçoivent aisément ; l’auteur, sans
prétendre
jamais résoudre à l’avance ce que recèle l’avenir
cun de ces petits centres concourt à la stabilité de l’ensemble. Sans
prétendre
conclure de là directement à l’Europe, M. de Tocq
créer une Assemblée héréditaire et une autre élective ; ils n’ont pas
prétendu
faire de l’une un Corps aristocratique, et de l’a
n’y a plus de rire, si le désavantage de l’homme aux dépens duquel on
prétendait
nous égayer, nous fait songer, dès le premier mom
rde un certain degré d’estime à la personne aux dépens de laquelle on
prétend
me faire rire. Je prise beaucoup le talent de M.
mépris de tous les critiques. Ces pauvres gens, impuissants à créer,
prétendent
à l’esprit, et ils n’ont point d’esprit. Par exem
poëtique & plus agréable que les plus beaux vers. On alla jusqu’à
prétendre
que la mesure eût gâté le chef-d’œuvre de Fénélon
a tête de cette tragédie imprimée avec ses autres œuvres dramatiques,
prétendre
qu’elle fut interrompue au milieu du plus grand s
son systême à l’ode. Il en publia deux en prose : il en vint jusqu’à
prétendre
que la prose étoit du ressort de tous les genres
52
Albalat, Antoine.
(1905)
Les ennemis de l’art d’écrire. Réponse aux objections de MM. F. Brunetière, Emile Faguet, Adolphe Brisson, Rémy de Gourmont, Ernest Charles, G. Lanson, G. Pélissier, Octave Uzanne, Léon Blum, A. Mazel, C. Vergniol, etc…
« VII »
le fond de la littérature ; et je tiens que l’on se moque, lorsqu’on
prétend
qu’on ne doit peindre ni faux déraillement, ni fa
e je n’ai pas été le moins du monde « privé de la réalité », comme le
prétend
M. de Gourmont, qui, entre parenthèses, ne trouve
otographies du monde extérieur », je ne crois pas que quelqu’un l’ait
prétendu
; mais que les descriptions d’Homère soient vivan
s, dessinées sur la superficie du marbre par de simples traits. Je ne
prétend
pas loüer l’Algarde d’avoir tiré de son génie la
tribuera encore tout ce qui peut avoir été dit d’ingénieux sur ce roi
prétendu
qui ne porte point d’aiguillon. Je ne disconviens
54
Albalat, Antoine.
(1905)
Les ennemis de l’art d’écrire. Réponse aux objections de MM. F. Brunetière, Emile Faguet, Adolphe Brisson, Rémy de Gourmont, Ernest Charles, G. Lanson, G. Pélissier, Octave Uzanne, Léon Blum, A. Mazel, C. Vergniol, etc…
« XII »
nt de mettre à point quelques-unes de ses opinions. M. Ernest Charles
prétend
que mon premier livre « donne en peu de préceptes
is la forme d’une phrase… » (C’est notre avis, et nous n’avons jamais
prétendu
le contraire. Nous avons rnême affirmé (Travail d
55
Albalat, Antoine.
(1905)
Les ennemis de l’art d’écrire. Réponse aux objections de MM. F. Brunetière, Emile Faguet, Adolphe Brisson, Rémy de Gourmont, Ernest Charles, G. Lanson, G. Pélissier, Octave Uzanne, Léon Blum, A. Mazel, C. Vergniol, etc…
« XIII »
sottise. Répétons-le donc pour la centième fois : nous n’avons jamais
prétendu
que le travail donnait du génie et qu’il suffisai
savoir ce que vous trouverez, ce qui en résultera, et je n’ai jamais
prétendu
, corrigées ou non, que vos pensées vaudront celle
t pas attendre la poussée des feuilles et la maturité des fruits. Ils
prétendent
aux fruits, mais il faut qu’ils les aient sur l’h
pour aussi coupables que beaucoup de gens les font. Néanmoins nous ne
prétendons
pas, tant s’en faut, donner à la littérature une
, on s’étonne car André Chénier, sauf de rares exceptions, n’a jamais
prétendu
lui-même à reproduire le côté sérieux de l’esprit
que la Coupe et les lèvres, par exemple, seraient assez étendues pour
prétendre
à donner un dernier mot ; mais c’est ce qu’elles
admettre donc que les méditations nuageuses soient de nos jours, nous
prétendons
qu’elles leur appartiennent moins qu’à tout autre
u lecteur par des peintures de faits matériels. Ce n’est pas que nous
prétendions
ici nous montrer méprisants pour l’exactitude des
voir qu’ils boivent du vin en secret, et prêchent l’eau en public. Il
prétend
, lui, chanter autre chose que les dictons rebattu
es circonstances dont il n’est pas sorti aussi immaculé qu’on le veut
prétendre
. Aussi, toutes les conversations sur ce point dél
C’est presque aller chercher l’occasion d’un tour de force que de
prétendre
parler avec impartialité du critique des Débats.
tention, on aurait mis moins de mauvaise humeur à écouter le critique
prétendu
, et c’eût été avec simplicité de cœur et naïveté
oint la qualité dont elle se targuait le plus était peu en elle. Elle
prétendait
à une naïveté poussée jusqu’à la sauvagerie et se
fficile que de prouver la descendance illustre d’un homme nouveau. On
prétend
que, dans une pareille besogne, les chercheurs de
l’expression d’un sentiment suffit à dénaturer tout à fait ce qu’elle
prétend
rendre et quand traduire exactement est déjà si d
us les voiles qui nous cachent les grâces attiques, et lui n’a jamais
prétendu
qu’à nous donner le secret de quelques perfection
me résolution qu’elle prend de se tuer après avoir épousé Pyrrhus. Il
prétend
qu’elle expose témérairement les jours d’Astyanax
st scandalisé que la reine d’Argos demande le sang de sa nièce. Je ne
prétends
point ici soutenir l’humanité de Clytemnestre ; e
feint d’accepter la condition ; mais elle a bien d’autres vues : elle
prétend
sauver son fils, sans qu’il lui en coûte rien ; e
s : elle prétend sauver son fils, sans qu’il lui en coûte rien ; elle
prétend
donner un père à son fils sans donner la mère ; e
extrêmement borné dans ses idées ; ils le reléguaient au cabinet, et
prétendaient
que Voltaire devait régner seul au théâtre. II
et[pour le sénat, il se prive de ce qu’il aime. Le courtisan français
prétend
qu’il aurait pu donner des leçons d’amour à l’emp
Ce qui est bien peu philosophique, c’est que le vertueux Jean-Jacques
prétend
que Titus serait plus intéressant s’il sacrifiait
dre le véritable amour, qui presque toujours exclut la galanterie. On
prétend
que Corneille, assistant à une représentation de
aisse bien loin derrière elle tous les phosphores dramatiques qu’on a
prétendu
nous faire admirer depuis : on fera l’intervalle
-il ordonné aux personnages tragiques de ne rien faire que de noble ?
Prétendrait
-on que ce vieux Mithridate, plein de passions et
er rang : Voltaire, en vingt endroits de ses discussions littéraires,
prétend
que c’est ce dont on se passe le mieux dans une t
sont appelantes et réappelantes au tribunal de la chevalerie : elles
prétendent
à la souveraineté, et se l’adjugent provisoiremen
l’intérieur. C’est par ce partage de la souveraineté que les femmes
prétendent
terminer la dispute ; mais On ne partage point l
qui est l’agresseur ; il vient demander compte à un père de ce qu’il
prétend
faire de sa fille : il devrait peut-être penser q
entreprend de forcer Iphigénie par la peur à désobéir à son père ; il
prétend
la protéger malgré elle, l’enlever et la conduire
eut-il quelque raison de dire : Parce que Racine fait bien des vers,
prétend
-il m’apprendre à gouverner ? Mais le plus grand t
s sa fureur il eût repoussé comme inutile à sa conviction. On n’a pas
prétendu
donner dans cette pièce Thésée comme un modèle de
ou comme le sont tous les hommes possédés d’une passion violente. On
prétend
, dit M. de La Harpe, que les petitesses de l’orgu
s personnages de sa pièce. Un philosophe du temps alla plus loin ; il
prétendit
que Racine n’avait jamais peint que des Juifs, ou
ivine ; mais ceux qui ne la regardent que comme un recueil de contes,
prétendent
que Dieu ne peut être fourbe, et qu’il est au-des
e raison, elle en avait conservé l’habitude sur le trône : au lieu de
prétendre
que tout pliât sous ses volontés, elle se fit tou
de la communauté. Ce n’était qu’une simple répétition. Racine le fils
prétend
que la pièce ainsi déclamée, sans apprêt et sans
peuple dans la Palestine, Dieu lui-même s’établit leur souverain, et
prétendit
les gouverner en personne : c’était donc Dieu qui
eligion. IV 29 mars 1809 On a accusé Racine de plagiat ; on a
prétendu
qu’il avait pris quelques-uns des plus beaux vers
rruque enhuilée. Enfin, ce qui est décisif, c’est que les vers qu’on
prétend
avoir été imités par Racine, ne se trouvent point
, qu’il ne faisait pas mal des vers pour son temps. Les vers que l’on
prétend
avoir été imités par Racine se trouvent dans cett
audit et se caresse lui-même dans sa petite et sotte présomption : il
prétend
effacer tous les siècles qui l’ont précédé : si o
: toutes les deux, n’en ayant point de nouvelles depuis huit ans, se
prétendent
veuves : enfin le mari cru mort revient assez à p
e Quinault ne veut point entendre parler de couvent pour sa fille, et
prétend
la garder auprès d’elle, afin de pouvoir aller dé
nes de la pièce, quoi qu’en dise l’auteur du Cours de Littérature. Il
prétend
que le repentir soudain de Rodhope a toujours fai
ridicule d’un vieux bossu, qui aime une jolie fille, et, qui pis est,
prétend
en être aimé. La scène du vieux avare, qui veut ê
t pris un grand plaisir ; et Montfleury, dans son épître dédicatoire,
prétend
très sérieusement qu’il était impossible que son
gereux que ceux qu’on voudrait lui interdire. Dans ce temps-là, on ne
prétendait
pas que les spectacles fussent une école de mœurs
rgeoises pour les gens d’épée, et la grossièreté des gens d’épée, qui
prétendaient
que la brutalité avec les femmes était le fin de
s et les prêtres, ils ont nié hautement la divinité du sexe ; ils ont
prétendu
qu’on l’ennuyait beaucoup par une adoration super
ressusciter comme pour donner un démenti aux juges de Châtillon, qui
prétendaient
avoir la preuve légale de sa mort. La justice n’a
n’était bon que pour amuser les libertins et les femmes perdues. Sans
prétendre
justifier ici Dancourt, il est évident que ceux q
ant de la barbarie, et commençant à cultiver les lettres avec succès,
prétendrait
l’emporter sur les Français dans la tragédie, quo
e, ne tarit point sur les louanges de cet excellent original, dont il
prétend
ne pouvoir donner qu’une faible copie ; et malheu
obriété dans nos comédies : elles laissent les spectateurs à jeun. On
prétendait
que les auteurs, pour avoir des partisans donnaie
aussi plus varié. C’est tout le contraire chez nous : notre Euripide
prétendu
est beaucoup plus régulier que notre soi-disant S
ensonges. C’est dans l’une de ces sources impures que l’on a puisé un
prétendu
jugement de Boileau sur Rhadamiste et Zénobie ; j
e les grandes passions justifient les grands crimes ; et ceux qui ont
prétendu
tirer ce résultat de la morale du théâtre, l’ont
usqu’aux goujats de l’Encyclopédie, quelque peu élevés qu’ils soient,
prétendaient
prouver par leur harangue que la tragédie d’Atrée
ts, ou qu’il est lui-même encore plus sot que ses lecteurs, puisqu’il
prétend
leur faire accroire que je suis toujours en fureu
cour l’objet de sa passion soudaine. Thaler suit Chriséis, comme son
prétendu
père. Démocrite, sottement amoureux de la petite
se veut un roi pour époux ; le roi ne veut point de la princesse ; il
prétend
épouser la petite paysanne. Il faut bien que l’au
n, Le prit en sa possession. III 10 novembre 1813 Démocrite
prétendu
fou est le chef-d’œuvre d’Autreau, et vit en phil
l s’enflamme lui-même : il est atteint du mal qu’il vient guérir ; il
prétend
épouser Sophie, quoique affaibli par l’âge et par
er pour un maître d’italien ; elle ne doit pas souffrir que ce maître
prétendu
donne la leçon devant elle ; elle doit le chasser
dont la vie avait été remplie par des incidents fort étranges : on a
prétendu
qu’il était mort d’une médecine de cheval qu’il a
une scène où le marquis faisait de la philosophie avec la baronne, et
prétendait
lui prouver que l’univers était l’effet du hasard
er dans une pièce des qualités dont le public se passe si bien, et de
prétendre
qu’on leur fît de bons ouvrages, lorsque l’art d’
sur ce qu’on désire savoir, il y a des chercheurs d’anecdotes qui ont
prétendu
que Destouches avait présenté son Dissipateur aux
ufresne, qui venait de jouer le Glorieux avec tant de succès. Ils ont
prétendu
que cet orgueilleux Dufresne avait trouvé le rôle
onscience tous les trésors de Timon : il n’est pas plutôt riche qu’il
prétend
tout avoir avec son or, noblesse, talent, gloire,
Le Philosophe marié I 6 ventôse an 11 (25 février 1803) On a
prétendu
que Destouches s’était joué lui-même, et que le m
sophe exprime un être libre, indépendant, supérieur aux préjugés, qui
prétend
réunir aux avantages de l’ordre social les privil
mpe pas ? Voltaire, qui ne croyait pas à l’infaillibilité du pape, ne
prétendait
pas sans doute être lui-même infaillible. Ce qui
lui-même et de son mérite. Quoique les caractères soient épuisés, il
prétend
qu’il lui en reste encore plusieurs à traiter ; e
rme s’il était véritablement aussi instructif et aussi utile qu’on le
prétend
, il y a longtemps que nous serions les hommes les
e leur nature, s’il faut en croire J.-J. Rousseau ? car ce philosophe
prétend
que tout Monime qui paie est traité comme un mari
elle est indigne du marquis de Moncade : aussi l’auteur n’a-t-il pas
prétendu
nous montrer un seigneur, honnête et vertueux, ma
s depuis longtemps. D’Alembert, qui semble l’avoir assisté à la mort,
prétend
qu’il en a eu une contrition sincère, qu’il en a
e figure. Rien n’est plus futile que la remarque de d’Alembert sur un
prétendu
ménagement de Boileau à l’égard de l’Académie, le
de la conjuration, paraît au censeur fort peu tragique . Ailleurs il
prétend
que cette faiblesse fait toute la pièce , qu’ell
a guerre ; mais, en montrant qu’il n’en était pourtant pas ennemi, il
prétendait
obtenir pour les Hollandais une paix plus forte,
le roi d’Espagne aurait voulu exclure les Hollandais, et que ceux-ci
prétendaient
bien conserver. On pourvut à cet article délicat
ec des États libres sur lesquels le roi d’Espagne et les archiducs ne
prétendent
rien ; que si l’on sait bien profiter de cette tr
Pôle-Nord. Plancius soutenait que le passage devait exister ; mais il
prétendait
aussi qu’au-delà d’un certain degré plus on appro
à eux tout d’abord, indépendamment de la moralité finale que l’auteur
prétend
tirer de leurs actions. On n’a pas besoin de song
Barataria, est plus méditée, plus réfléchie que la première, et sans
prétendre
rien ôter à la grâce de celle-ci ni à sa charmant
ni si indigne de la première partie du Don Quichotte à laquelle elle
prétendait
s’adjoindre et succéder. M. G. de Lavigne a fait
et de ce spleen à couper au couteau. Le système d’interprétation qui
prétendait
découvrir et démasquer en Don Quichotte une satir
lgariser » la langue, et — très faussement, très dangereusement — ils
prétendirent
se faire un vocabulaire exquis, séparé du vocabul
ou trente ans ». Mais s’il ne se flattait pas d’arrêter la langue, il
prétendait
la régler : et s’il prétendait la fixer, ce n’éta
e flattait pas d’arrêter la langue, il prétendait la régler : et s’il
prétendait
la fixer, ce n’était pas dans la multiplicité de
ces accords, contribuë encore à l’expression du bruit que le musicien
prétend
imiter. La basse continuë et les autres parties a
onsiste dans la ressemblance de cette symphonie avec le bruit qu’elle
prétend
imiter. Il y a de la verité dans une symphonie, c
on n’ait jamais vû la nature dans les circonstances où ces symphonies
prétendent
la copier. Ainsi, bien que ces symphonies soient
eux Juda de Kerioth, des légendes terribles coururent sur sa mort. On
prétendit
que du prix de sa perfidie il avait acheté un cha
es, les évêques ont été des princes et le pape a été un roi. L’empire
prétendu
des âmes s’est montré à diverses reprises comme u
blâme, de réprobation et de mésestime pour cette classe d’esprits qui
prétendent
ne relever que du droit d’examen et qu’on appelle
tables, plus désirables que d’autres ; mais ces doctrines-là, si vous
prétendez
les imposer et les exiger, vous les ferez fuir et
à fait justice des assertions peu précises sur lesquelles la pétition
prétend
s’appuyer. Le pétitionnaire n’a voulu, dit-il, dé
auteur, à la suite de ses maîtres, abuse dans les conséquences qu’il
prétend
tirer. Mais n’est-il pas étrange, messieurs, que
irconstances, accueillie par lui comme alliée et auxiliaire, laquelle
prétend
établir un moyen terme entre le symbole religieux
prélats de France, il trouve moyen d’insulter un de vos ministres il
prétend
vous imposer sa destitution : ce qui ne s’était j
ut l’enseignement : là même où il n’est pas et où il n’a pas pied, il
prétend
en dicter les règles, en circonscrire la portée,
anceler sur leurs bases. Ces codes absolus, audacieuses synthèses qui
prétendaient
prévoir le génie et l’emprisonner d’avance dans l
ent le mérite et l’éclat de l’histoire littéraire et des théories qui
prétendent
sonder la base des beaux-arts, la critique qui s’
qu’il a d’enivrant et de grossier, se souciant peu de la critique qui
prétend
introduire de la distinction dans ses plaisirs. P
ontre qu’il ne faut pas « forcer notre talent » ! Quand le feuilleton
prétendait
m’instruire, je me résignais à l’écouter dans l’e
ible, un critique mesurât sa juridiction sur ses études, et que, sans
prétendre
tout connaître, il se piquât principalement de sa
odestes pour y aspirer eux-mêmes ou assez clairvoyants pour n’y point
prétendre
. Ils méritent une gloire brillante encore : car,
s critiques que chez les autres gens de lettres. Je sais bien qu’on a
prétendu
que certains arbitres de la renommée tarifaient l
ires les défauts de quantité d’Ecrivains de notre Siecle, je n’ai pas
prétendu
pour cela ôter à ces Ecrivains le mérite qu’ils p
ces Ecrivains le mérite qu’ils peuvent avoir d’ailleurs. Je n’ai pas
prétendu
, dis-je, par exemple, qu’il n’y eût point d’espri
te ombre de difficulté, s’ils avoient daigné le chercher. La tragédie
prétend
bien que toutes les passions dont elle fait des t
nce, laquelle est capable de porter à des excès si funestes. Le poëte
prétend
seulement nous inspirer les sentimens qu’il prête
les symbolise, il n’a rien d’inconciliable avec les doctrines qu’il a
prétendu
remplacer, même avec celle des créations séparées
i pour la vie et pour les phénomènes physico-chimiques en lesquels on
prétendrait
la résoudre. L’analyse découvrira sans doute dans
n. Mais tout au plus peut-on rêver une pareille intégration ; nous ne
prétendons
pas que le rêve devienne jamais réalité. Nous avo
tion mécanistique de la vie. De cette conception mécanistique nous ne
prétendons
pas, sans doute, apporter une réfutation mathémat
l’avenir et le passé comme calculables en fonction du présent, et de
prétendre
ainsi que tout est donné. Dans cette hypothèse, p
rente des choses, il met en avant de nous la lumière avec laquelle il
prétend
nous guider, au lieu de la placer derrière. Il su
totalité des vivants par d’invisibles liens. C’est donc en vain qu’on
prétend
rétrécir la finalité à l’individualité de l’être
ent. Telle est la philosophie de la vie où nous nous acheminons. Elle
prétend
dépasser à la fois le mécanisme et le finalisme ;
mple dont elle subit l’influence. Mais c’est précisément de quoi l’on
prétend
se passer. On veut que la physique et la chimie n
à peu près indépendantes des cellules somatiques. Partant de là, on a
prétendu
et beaucoup prétendent encore que la transmission
tes des cellules somatiques. Partant de là, on a prétendu et beaucoup
prétendent
encore que la transmission héréditaire d’un carac
èse de la transmissibilité des caractères acquis, en supposant que le
prétendu
caractère acquis ne soit pas, dans la plupart des
onde organique ne doit pas être prédéterminée dans son ensemble. Nous
prétendons
au contraire que la spontanéité de la vie s’y man
tout la même histoire. Où nous nous séparons d’Eimer, c’est lorsqu’il
prétend
que des combinaisons de causes physiques et chimi
font dispenser en une seule fois par la cause finale ; les mécanistes
prétendent
l’obtenir petit à petit par l’effet de la sélecti
river, vous désirez encore ce plaisir ; quand vous contemplez l’objet
prétendu
indifférent, vous désirez le connaître, vous tend
t. Où, encore une fois, puisons-nous ce sentiment irréductible ? Sans
prétendre
l’expliquer par réduction à quelque chose de plus
qualité, autre mode ou processus d’existence et d’apparition. Dans le
prétendu
espace sans qualités, il y a trois dimensions, il
ions, il y a du haut ou du bas, du droit et du gauche, etc. On a beau
prétendre
qu’on a dépouillé l’espace de toute qualité pour
ue les dieux d’Epicure ; ou il n’y a dans l’expérience, comme vous le
prétendez
, que des états présents impossibles à se représen
otions de l’infini, de l’immensité, de la causalité universelle, etc.
Prétendre
que, pour avoir des représentations quelconques,
pprend (comme s’il y était allé voir) que le temps s’évanouirait ; ce
prétendu
objet pur d’une intuition pure finit donc par êtr
e et le temps « les forteresses imprenables de l’apriorisme », et ils
prétendent
que les partisans de la genèse expérimentale veul
ne intuition transcendante : irréductibilité n’est point, comme on le
prétend
, apriorité. Ceux qui le croient (parmi lesquels M
l’histoire ancienne pour le faire parler dans sa langue ; mais, sans
prétendre
à son nerveux et sublime langage, laissons parler
fait des départements subalpins de ce Piémont inaperçu alors, et qui
prétend
régner seul aujourd’hui sur vous au nom des secou
ontre tous ! car voilà exactement Rome antique. Est-ce là ce que vous
prétendez
ressusciter ? Alors restituez les Gaules à ces lé
à la petite Italie, à l’Italie du moyen âge, à l’Italie d’hier : qui
prétendez
-vous ressusciter dans ces huit ou dix Italies inc
caine de l’Italie ! VIII Est-ce la Toscane des Médicis que vous
prétendez
ressusciter ? Mais la Toscane, ce merveilleux phé
e militaire et politique des nations. IX Est-ce Venise que vous
prétendez
ressusciter telle qu’elle éblouit l’Europe, assuj
trouve quelque instruction, elle n’y est qu’à titre d’ornement. On a
prétendu
prouver qu’Homere s’étoit proposé d’instruire dan
cette régle est générale : mais si elle étoit aussi générale qu’on le
prétend
, le début des plus belles odes seroit vicieux, on
idées poëtiques ne sont pas assez familiéres ; car enfin un poëte ne
prétend
parler qu’aux gens d’esprit ; et à moins que d’en
aucoup de chansons de son goût, dont les auteurs n’ont jamais lû leur
prétendu
modéle. Pour moi, j’ai tâché véritablement de lui
ui fit naître ce proverbe : cela s’entend moins qu’un dithyrambe . On
prétend
même qu’Aristophane a voulu railler ces poëtes, e
des géans. J’ai suivi une excellente remarque de Monsieur Dacier. Il
prétend
que toutes ces fables qu’Horace rassemble ne sont
emièrement, en parlant de la perfectibilité de l’esprit humain, je ne
prétends
pas dire que les modernes aient une puissance d’e
a pas paru assez sûre pour le citer jamais comme une autorité. L’on a
prétendu
que j’avais pris quelques idées de mon ouvrage, o
t qui soit haut, Et femme qui compose en sait plus qu’il ne faut ; Je
prétends
que la mienne, en clartés peu sublime, Même ne sa
s 1. L’Académicien. — À Dieu ne plaise que nous ayons l’absurdité de
prétendre
que la durée fictive de l’action doive correspond
r Racine ? Le Romantique. — D’abord, il n’y a que des charlatans qui
prétendent
enseigner l’algèbre sans peine, ou arracher une d
cêtres les Gaulois, on a inventé la poudre à canon ? Tout ce que nous
prétendons
, c’est que si César retenait au monde, son premie
mais je ne m’arrêterai qu’aux principaux, à celui du partage réel ou
prétendu
de la récitation & du geste, & à celui de
iment de l’abbé Dubos & celui des musiciens qu’il a consultés. Il
prétend
que, si l’usage des notes déclamatoires a eu lieu
doit pas être donné pour une règle générale. Il va plus loin, &
prétend
que, quand même il seroit possible de noter la dé
e est le véritable lieu de l’infini pour l’espèce humaine. Selon moi,
prétendre
faire commencer le langage par l’interjection et
commencer le langage par l’interjection et l’onomatopée, c’est comme
prétendre
faire commencer la religion par le fétichisme ; e
dinaire sur des bases incontestables ? Pour expliquer comment il a pu
prétendre
à établir une telle opinion, comment il est arriv
ou moins artificiel de concepts, une construction hypothétique. Elle
prétendait
dépasser l’expérience ; elle ne faisait en réalit
t vaudrait disserter sur l’enveloppe d’où se dégagera le papillon, et
prétendre
que le papillon volant, changeant, vivant, trouve
r la réalité dans la mobilité qui en est l’essence. Une intuition qui
prétend
se transporter d’un bond dans l’éternel s’en tien
lligence est spécialement destinée à l’étude d’une partie, et si nous
prétendons
néanmoins l’employer à la connaissance du tout. M
re illusoire. À ceux qui déclarent notre science relative, à ceux qui
prétendent
que notre connaissance déforme ou construit son o
dehors, peut encore s’exercer sur celles du dedans, pourvu qu’elle ne
prétende
pas s’y enfoncer trop profondément. Mais la tenta
ecte, tandis que le terme abstrait, qui est d’origine spatiale et qui
prétend
exprimer, nous laisse le plus souvent dans la mét
eux termes usuels, c’est-à-dire deux habitudes sociales. Mais si l’on
prétend
faire davantage, saisir des réalités et non pas m
physique, le physique en mathématique. Or, une logique simple a beau
prétendre
que la ressemblance est une identité partielle, e
x-ci étaient dupes, en effet, de la mauvaise métaphysique qu’on avait
prétendu
tirer de la science et qui, revenant à la science
issance de l’esprit, nous ne retirons rien à l’intelligence, car nous
prétendons
que la métaphysique qui était œuvre d’intelligenc
olontiers à l’intelligence si l’intelligence tient à la garder ; nous
prétendons
seulement qu’il y en a une autre. Sur aucun point
faites et prendre contact avec la chose, on oppose la solution qu’on
prétend
« raisonnable ». Le vrai chercheur devrait protes
ppelions l’attention sur la mobilité qui est au fond des choses, on a
prétendu
que nous encouragions je ne sais quel relâchement
iment rénovateur de la nature. L’erreur commence quand l’intelligence
prétend
penser un des aspects comme elle a pensé l’autre,
passé et travailler ainsi à reculons dans le temps, je ne l’ai jamais
prétendu
. Mais qu’on y puisse loger du possible, ou plutôt
une acquisition d’existence, est donc illusion pure. Autant vaudrait
prétendre
que l’homme en chair et en os provient de la maté
ainsi : « la matière est un ensemble d’idées ». La seconde consiste à
prétendre
que les idées abstraites et générales se réduisen
e un élément qui leur soit commun avec celles du toucher. Que si vous
prétendez
abstraire des unes et des autres quelque chose qu
ure, d’ériger la philosophie en synthèse des sciences positives et de
prétendre
, par la seule vertu de l’esprit philosophique, s’
uit, en elle-même, à une série d’oscillations extrêmement rapides. Ce
prétendu
mouvement d’une chose n’est en réalité qu’un mouv
e matière dure, on ne lui attribuait pas précisément la mémoire qu’on
prétend
expliquer par elle ! Quoi que nous fassions, même
a métaphysique est cela même. La métaphysique est donc la science qui
prétend
se passer de symboles. Il y a une réalité au moi
on à l’analyse, qui en est la négation même. Ils cherchent le moi, et
prétendent
le trouver dans les états psychologiques, alors q
ici plutôt que là, qui dépasse chacune des limites successives qu’on
prétend
lui assigner, qui va toujours s’élargissant et qu
distance est donc beaucoup moins grande qu’on ne le suppose entre un
prétendu
« empirisme » comme celui de Taine et les spécula
antérieur au mouvement ! Comme si le mystère ne tenait pas à ce qu’on
prétend
aller des arrêts au mouvement par voie de composi
mobilité, où nous trouvons un point d’appui pour la pratique, et nous
prétendons
recomposer la mobilité avec elle. Nous n’obtenons
us haute antiquité viennent de là. Elles tiennent toujours à ce qu’on
prétend
aller de l’espace au mouvement, de la trajectoire
que les philosophes voient si souvent fuir devant eux l’objet qu’ils
prétendent
étreindre, comme des enfants qui voudraient, en f
prendre sur la durée en général deux vues opposées avec lesquelles je
prétendrai
ensuite la recomposer. Cette combinaison ne pourr
en arithmétique, une addition de nombres donnés. Mais si, au lieu de
prétendre
analyser la durée (c’est-à-dire, au fond, en fair
erser avec lui les positions immobiles. Elles viennent de ce que nous
prétendons
reconstituer la réalité, qui est tendance et par
le plus souvent à leur pensée. Elle vaut contre une métaphysique qui
prétend
nous donner un système unique et tout fait de cho
orie platonicienne des Idées, ou d’un temple grec. Si la métaphysique
prétend
se constituer avec des concepts que nous possédio
alité mais ne s’emboîtent pas toujours les unes dans les autres, elle
prétend
être une immense mathématique, un système unique
s où Claude Bernard critique l’hypothèse d’un « principe vital », ont
prétendu
qu’il ne voyait rien de plus, dans la vie, qu’un
s à une succession de doctrines dont chacune, à prendre ou à laisser,
prétend
enfermer la totalité des choses dans des formules
rçons notre entendement ; brisons, s’il le faut, nos cadres ; mais ne
prétendons
pas rétrécir la réalité à la mesure de nos idées,
d’un philosophe éminent, occupant une chaire d’Université, aurait pu
prétendre
à cet honneur. M. Duruy aima mieux s’adresser à M
s que la géométrie fournit ; ou bien c’est l’art proprement dit qu’on
prétend
enseigner, mais alors l’expérience montre que l’a
dehors du calcul, renoncerait à son essence à l’instant même où l’on
prétendrait
en constater l’existence. Il faudrait en effet, d
es plus ou moins distinctement. Est-ce à dire, comme M. de Falloux le
prétend
, que ce déchiffrement « a exigé des prodiges de s
le, elle en veut comme d’une aile puissante et incorruptible. Elle ne
prétend
à rien moins qu’à réhabiliter la vieille femme ;
ste, il faut peu de chose pour que, partant de l’unisson, on arrive à
prétendre
à l’unité. » Et, jusqu’à l’article de la mort, pr
ntir. Je n’ose dire pourtant, après cela, qu’on la connaît ; car elle
prétend
absolument « qu’il faut aimer pour connaître », e
ons, sous quelque prétexte que ce fût, et de revendiquer le droit que
prétendaient
les nouveaux évêques sur tous ces anciens vassaux
ête des évêques, abbés, etc., les maires et échevins des lieux qu’ils
prétendent
leur avoir été usurpés par les ducs de Lorraine o
i, en peu de temps, l’on aura fait assigner tous les lieux qu’on peut
prétendre
avoir été autrefois desdits évêchés. » La tactiq
ns, qui s’étaient abandonnés à leur foi, furent trompés ; les Romains
prétendirent
que la signification de ces mots, s’abandonner à
ertie, la mollesse, une timidité qui allait jusqu’à la lâcheté. Je ne
prétends
pas dénigrer Louis XV, ni ajouter au mal qu’on a
ement engagé, entre le duc de Bourbon et l’évêque de Fréjus. Celui-ci
prétendait
être toujours présent quand M. le Duc travaillait
t quand M. le Duc travaillait avec le roi, et M. le Duc, de son côté,
prétendait
avoir des audiences particulières, ce qui était a
îtresse qui eût du caractère et le désir de se mêler des affaires. On
prétend
qu’il fit choix lui-même de la comtesse de Mailly
dain, après une aventure qu’on n’a pas oubliée, il disparaît. Les uns
prétendent
qu’il s’est retiré chez les trappistes de Staouél
’y mêle la joie d’une perversité et d’une protestation contre l’ordre
prétendu
de l’univers. Ajoutez que, considérée par l’extér
ctés d’esprit religieux ? Il est bon, là, ce rhéteur mal embouché qui
prétend
affranchir nos intelligences ! Comment n’a-t-il p
ahib Maurice Dreyfous. 69. Je ne parle pas de Braves gens, et je ne
prétends
pas, du reste, que M. Richepin ait dit son dernie
maladroitement employées, que peu conformes à la bonne logique. « On
prétend
, dit-il*, que les Articles Ame & Dieu sont de
de la Nature, & celui du livre de l'Homme & de ses Facultés,
prétendent
, d'un côté, que le joug de la foi contredit &
nre de misere auquel la Religion n’ait pas tâché de remédier. Nous ne
prétendons
pas dire qu’elle soulage tous les maux : le table
faveur de la Religion ! Fût-elle plus austere que nos Philosophes le
prétendent
, son joug n'est-il pas infiniment avantageux, pui
rouve tous fiers, affirmatifs, dogmatiques, même dans leur septicisme
prétendu
, n'ignorant rien, ne pouvant rien, se moquant les
our une coterie même, et pour trois amis si l’on veut. Tout ce que je
prétends
, c’est que la majorité des œuvres contemporaines,
e soif et de faim, de poursuite et d’attente du pain quotidien. Je ne
prétends
pas qu’on ne puisse pas nommer d’autres œuvres qu
de légal. » Ainsi du roman populaire. Une école, nombreuse et forte,
prétend
que la littérature et l’art s’adressent et s’adre
rop de recherche, de subtilité et d’habileté desséchante ? On peut le
prétendre
. Quand un homme écrit en vue d’un public détermin
s lecteurs, comme il arrive, connaissent mieux le monde que celui qui
prétend
le mettre en scène ; soit qu’ils aient, de la van
sont là des remarques bien superficielles. Il serait aussi inexact de
prétendre
que les progrès de l’industrie, les magnifiques p
de toutes les tractations de ce genre. Quels sont ceux, en effet, qui
prétendent
qu’on doit prêter aux lettres qu’on écrit une att
tre, du vivant de leur auteur, leur commerce. Cependant les juristes
prétendent
que les lois actuelles protègent parfaitement les
tages de propriétés foncières, ne veut pas tenir compte. Les juristes
prétendent
, il est vrai, que les lois interdisent en princip
paresse apparaîtra plus fort encore d’avoir su les vaincre. Ceux qui
prétendent
que la vérité, même poursuivie dans ses plus humb
pelées à se dissiper au premier choc avec le monde extérieur. Ceux-là
prétendent
que la vérité peut abîmer les belles choses, parc
-t-il paraître le texte intégral ? Pas du tout. Il est de son devoir,
prétend
-il, de les soumettre à sa censure personnelle. Et
estataires11. Ce qui montre l’inanité de toute objection basée sur le
prétendu
respect dû aux « tiers », c’est le cas typique du
ils tremblent devant des révélations possibles, qui compromettraient,
prétendent
-ils, leur dignité. Pires que les avares légendair
connue et transmissible aux héritiers. Sous l’Ancien Régime, quoi que
prétendent
quelques journalistes de parti plus ou moins soph
Valery Larbaud a trouvé dans ce catalogue une dizaine de lignes qu’on
prétend
être de lui, et au sujet desquelles ses souvenirs
onnage. Mais ce quelqu’un garde non moins le droit de s’étonner qu’on
prétende
l’empêcher de parler de gens dont la vie fut publ
En croyant par là concevoir le réel de la sensation de son, comme le
prétendent
Maudsley et Spencer, nous concevons simplement de
vement une sensation. Or, c’est ce qu’il est difficile de nier. Si on
prétend
que la conscience de l’appétition est elle-même u
eine, enfin appétition, — nous avons le droit de les distinguer, sans
prétendre
pour cela ni les séparer l’un de l’autre, ni les
d’avoir conscience ; et cette action n’est pas, comme Münsterberg le
prétend
, une pure forme où il n’y a de discernable que le
flexion ? Est-ce un acte nouveau et original de l’esprit, comme on le
prétend
d’ordinaire, ou n’est-ce qu’une combinaison de fo
ent réserver l’intensité aux objets extérieurs, qui vont même jusqu’à
prétendre
, comme on l’a fait récemment, que les états menta
appropriés ; les réflexes purement mécaniques, au contraire, que l’on
prétend
primitifs, sont presque absents chez les animaux
ence. Vite, il se détourne et s’enfuit. Il n’est presque pas d’esprit
prétendu
libre, en cette époque si profondément timide, ch
cif doctrinaire et pompier, d’une fibre, d’une qualité unique, car il
prétend
à l’innovation, à la singularité, à la hardiesse.
bliothèques de la contenance de celle d’Alexandrie. Car tout le monde
prétend
plus ou moins à écrire, résumer, juger, expliquer
des hommes de bonne volonté ? Ce serait une forte injustice que de le
prétendre
. Mais les hommes perspicaces n’eurent pas, en gén
i que le renégat ajoute à l’amertume de la catégorie sociale, dont il
prétendait
vouloir le bonheur et par qui il a fait sa fortun
Parlement, Chambre et Sénat, avec ses groupes, ses commissions et son
prétendu
contrôle ? C’est un immense trompe-l’œil. Je le s
l existe déjà et il est sensible dans le vieillissement précoce de ce
prétendu
sublime, qui émut si vivement nos pères et nos gr
onception romantique et très XIXe siècle. Mais, de même que Bonaparte
prétendait
faire le bonheur du peuple français, en le mainte
n état de guerre et de tueries perpétuelles, de même Hugo et Michelet
prétendaient
faire le bonheur de l’humanité, à l’aide de métho
est plutôt une amusette, un hors-d’œuvre, qu’une nourriture, et il ne
prétend
plus à l’éducation, ni à l’évangélisation des mas
e de lui un écrivain de génie et un penseur de premier plan. Ceux qui
prétendent
cela sont au même niveau intellectuel que le proc
acettes ; et il est fort amusant de constater qu’une philosophie, qui
prétend
s’étayer avant tout sur les faits (sur la poussiè
ssons à l’enseignement, il n’est pas niable, une seule minute, que le
prétendu
enseignement laïque du dernier quartier du XIXe e
Alfred), vigneron comme lui, épelait, dans une feuille quelconque, le
prétendu
progrès du socialisme, ou de n’importe quoi en is
é, spécial aux époques de décomposition intellectuelle et morale, qui
prétendent
donner le ton, et dicter la loi, en matière d’int
catégorie du corps féminin. On n’imagine rien de plus affreux que ce
prétendu
Beau selon l’Ecole. Le fait d’avoir produit un te
e constater qu’il n’est pas avec ces « énergumènes » de droite, qu’il
prétend
confondre avec ceux de gauche, mais qu’en fait il
en son universalité, que la théorie contraire du génie demi-Dieu. On
prétendit
qu’Hercule était un fou, chargé de tares épouvant
lus déplaisante — et plaisante— façon. L’excrément Zola, par exemple,
prétendit
être un excrément sérieux : « Je n’ai pas d’espri
rges taches rouges, semble jeté sur le XIXe siècle français. Chacun y
prétend
enseigner son voisin. Chacun éprouverait quelque
te de ces destinées, appuyées, l’une sur la tradition, l’autre sur le
prétendu
progrès, donne tristement à réfléchir. De même, i
à réfléchir. De même, il est comique de songer que les colonisateurs
prétendent
apporter le progrès à des populations raffinées,
t avec le dépérissement de l’intelligence. L’époque 1860-1900, qui se
prétendit
observatrice et expérimentale, fut ainsi, au poin
, sous-jacente aux déclarations et proclamations émancipatrices et de
prétendu
libre examen, a mis dans les bouches de nos bisaï
ction sexuelle et de la lutte pour la vie, comme agents principaux du
prétendu
transformisme. Ce ne sont là que deux procédés, e
les templa serena et les tours d’ivoire. Nul n’y échappe et ceux qui
prétendent
s’y soustraire en sont quelquefois les plus profo
contradiction de deux notions fortes et universellement répandues. Je
prétends
que l’illusion du poids de la chaîne héréditaire
disent pacifistes, aboutissent à déchaîner les tueries énormes qu’ils
prétendent
conjurer, de même l’affirmation solennelle des Dr
ste-t-elle point à aller donner précisément dans les écueils que l’on
prétendait
éviter ? C’est par une telle voie contrariée que
lliers et des milliers d’exemplaires, n’a pas prolongé le mal qu’elle
prétendait
définir et combattre. Il faut tenir compte, en ef
e qui connaissait l’homme. Il est bien entendu que jamais Pasteur n’a
prétendu
apporter un système, complet et définitif, de gué
brandissent quelque chose : admonestation, mensonge ou menace ; tous
prétendent
, eux aussi, ériger leur point de vue en maxime un
lement une pensée, mais une doctrine ! L’intangibilité du penseur, ou
prétendu
tel, a ainsi déchaîné sur la société une nuée d’e
comme pilote et fut accepté, Napoléon, était lourd des erreurs qu’il
prétendait
réparer, et dont il augmenta les ravages. Ensuite
imie ? n’y a-t-il pas pour le philosophe quelque chose de plus ? Sans
prétendre
, comme l’ont cru les saint-simoniens, que la phil
ccorderons, si vous voulez, que les nôtres le sont également, car qui
prétend
posséder la science absolue ? Mais, au nom du cie
sement le docteur Reid (qui n’est pas un philosophe aussi naïf que le
prétend
M. Taine), le jour et la nuit se succèdent consta
ors de moi, sans savoir si elles me viennent de Dieu, et surtout sans
prétendre
qu’elles soient Dieu lui-même. La seule question
iple de Condillac et de Laromiguière, non de Hegel, quoi qu’il puisse
prétendre
. Il est vrai que M. Taine nous dit qu’une, fois e
là de pures métaphores qui ne signifient rien pour l’esprit. Quoi que
prétende
Spinoza, le cercle et l’idée du cercle sont deux
idées les plus confuses et les plus imparfaites sur la science qu’ils
prétendent
abolir et remplacer. Rien de plus facile que d’él
’être une philosophie des sciences, au lieu de vouloir, comme elle le
prétend
hautement, être la philosophie tout entière. Mais
contraire vous êtes assuré que le cerveau pense, pourquoi affecter ce
prétendu
désintéressement entre le matérialisme et le spir
que c’est encore là le domaine du relatif, tandis que la métaphysique
prétend
connaître l’inaccessible, c’est à-dire l’absolu,
ses instincts, à ses sens, à ses appétits, à ses imaginations ! Nous
prétendons
qu’il y a quelque autre chose, c’est la pensée. E
au-dessus de la raison vulgaire et prendre le titre de sciences. Nous
prétendons
qu’elles en ont le droit : vous le contestez, soi
s un athée », non-seulement par politesse, mais encore par équité. On
prétend
que l’idéal ne suffit pas à distinguer une doctri
a même chose divers noms suivant ses rapports extérieurs ; mais je ne
prétends
point, par ces divers noms, exprimer des choses r
stialiser ses héros ! Ah ! certes, s’il avait pour juges ceux qu’il a
prétendu
glorifier, il en serait singulièrement renié et h
l’histoire naturelle ? Ils exclameraient « Quoi ! c’est nous qu’on a
prétendu
représenter ! » Et ils jetteraient leur chantre p
italité de son esprit. Quant à la physiologie sur laquelle les jeunes
prétendent
se baser pour innover dans les lettres, comment p
le traduire fidèlement. De là, on est en droit d’inférer que ceux qui
prétendent
qu’en art et en littérature, il est possible de s
la nature des écrits et des publications à la mode, non pas que nous
prétendions
porter atteinte à la liberté de parler et d’écrir
ncêtres, des prédécesseurs, Diderot en tête, duquel ses représentants
prétendent
procéder. Dire que l’école naturaliste, y compris
tant donné, trouver sa fonction. » Ce problème, le maître naturaliste
prétend
le résoudre. « Étant donnés une famille, un grou
ées, alambiquée. En voici quelques spécimens. Dans la Curée, l’auteur
prétend
que la chevelure d’une blonde a des tons beurre f
la politique, la proscription, la halle et la charcuterie ? M. Zola a
prétendu
qu’en intitulant son roman le Ventre de Paris, il
. Elle veut augmenter la somme du génie national ; et pour cela, elle
prétend
procurer à chaque individu les moyens d’atteindre
e sorte de consentement public, c’est-à-dire si les individus qu’elle
prétend
soumettre la même loi ont bien la volonté de vivr
oup d’autres, qui favorisent le succès de ces tendances. Déjà nous ne
prétendons
pas que l’ensemble des différentes formes sociale
: il peut être vrai à la fois que les sociétés unifiées, comme il le
prétend
, oppriment les individus, et, comme nous le préte
iées, comme il le prétend, oppriment les individus, et, comme nous le
prétendons
, les égalisent, — puisqu’il est vrai peut-être qu
voir rassemblé les membres du grand poëte dispersé. Elle-même n’a pas
prétendu
faire autre chose, et il faut convenir qu’elle au
résultats extrêmes qu’on tirait de sa découverte ; il n’avait jamais
prétendu
à tant de bouleversement. Comme ces dignes Parlem
hapsodes, qui l’ont récité, copié, amplifié ; c’est à quoi Pisistrate
prétendit
mettre ordre. Mais qu’entre ces seconds chanteurs
rceau. Je gage que l’esquisse en était très-belle. Voici comment l’on
prétend
que Bounieu ordonne sur sa toile. Il place d’abor
avoir six vessies. Grande tache de blanc sale ; figure comme Gauthier
prétend
que le sperme rendu chaud en engendre dans l’eau
ue la superstition régnante soit aussi ingrate pour l’art que Webb le
prétend
, c’est ignorer l’art et l’histoire de la religion
pourrait sembler considérable ; mais nous sommes trop accoutumés à ce
prétendu
tour de force de la production toujours prête, qu
tholique est presque honteuse, et semble donner raison à ceux qui ont
prétendu
un instant qu’il n’avait pas été baptisé. Gozlan
t acquisition tout à la fois. Ceux qui ont vécu longtemps avec Gozlan
prétendent
qu’il n’avait pas que l’ignorance des choses reli
lieu, Grotius procède indépendamment du principe d’une Providence, et
prétend
que son système donne un degré nouveau de précisi
es. — Ensuite vient Selden, dont le système suppose la Providence. Il
prétend
que le droit des enfants de Dieu s’étendit à tout
passage celui qui y correspond dans la première édition : « Grotius
prétend
que son système peut se passer de l’idée de la Pr
ouve le jugement détestable. Le M. — Quoi ? Chevalier, est-ce que tu
prétends
soutenir cette pièce ? D. — Oui, je prétends la s
Chevalier, est-ce que tu prétends soutenir cette pièce ? D. — Oui, je
prétends
la soutenir. Le M. — Parbleu ! Je la garantis dé
man populaire, le théâtre en gros, les manuels, les prospectus. Je ne
prétends
pas inclure dans les catégories précitées tout ce
les et en même temps dangereux. C’est ainsi que l’assemblage, dans le
prétendu
domaine commun de la littérature, d’objets artist
prévaricateur, mais le galant magnifique et téméraire, qui avait osé
prétendre
au cœur de la maîtresse du monarque et essayé de
l’Égypte, l’Arabie. Alors Cynéas reprend : Mais de retour enfin, que
prétendez
-vous faire ? — Alors, cher Cynéas, victorieux, co
soupçon qu’on eut de cette conjuration, on arrêta Lucain. Ses ennemis
prétendent
que, pour échapper au supplice, il chargea sa mèr
tre Lucain & Perse, Juvénal s’éleva dans la suite contre le tyran
prétendu
bel-esprit. On connoît la passion de Néron pour l
chants sur la musique, où l’on trouve beaucoup d’esprit et de talent,
prétend
que lorsque le genre humain commença, vers le sei
cle, et païoit alors le même tribut à l’art des ultramontains qu’elle
prétend
recevoir aujourd’hui de tous les peuples de l’Eur
ainsi par les facultés humaines ? A quelle universalité peuvent-elles
prétendre
? Hume intervient, et explique que nous possédons
tiques a priori. Sont-elles dérivées de l’expérience ? Les anciens ne
prétendaient
tirer de l’expérience que le général et le probab
elle n’aurait à peu près rien de commun avec l’induction ancienne, on
prétend
tirer du contingent l’universel, du particulier l
pas, comme Descartes, d’explications simplement possibles, mais qu’il
prétend
découvrir les causes réelles et effectives, des c
es, tous les éducateurs, tous ceux qui s’adressent à la conscience et
prétendent
régler la conduite, affirment l’existence du libr
istance. Purement expérimentales, les lois de déterminisme ne peuvent
prétendre
à l’exactitude et à la rigueur absolues. Elles ne
comme science de l’être, atteindra celle-là. Mais la théorie atomique
prétend
, avec quelques philosophes qui l’embrassent, atte
sans doute la meilleure que nous possédions, mais qu’elle ne saurait
prétendre
à déterminer métaphysiquement la nature même des
ité absolue. Mais la métaphysique vient à l’appui de cette théorie et
prétend
lui apporter le secours que la science ne peut ni
s la vérité des idées claires et dans leur rapport à la réalité. Nous
prétendons
que notre intelligence, dans son usage suprême, s
doctrine moderne de l’évolution poursuit des lois de causalité ; elle
prétend
atteindre à l’origine et non pas seulement aux ra
it, le darwinisme reste un système principalement scientifique. Il ne
prétend
pas tout expliquer et être exempt de lacunes. L’é
eut trouver d’indivisible corporel ? Et si l’on soumet à l’analyse ce
prétendu
donné, l’idée des idéologues, n’y trouve-t-on pas
Que vaut la doctrine, si ses principes supposent cela même dont elle
prétend
se passer ? Ainsi raisonne la seconde catégorie d
ogie ? Les fondateurs, Helmholtz et Wundt, sans parler de Fechner, ne
prétendent
pas à l’élimination de tout élément à priori. Hel
re au sujet des négations impliquées par une psychologie physique qui
prétendrait
être radicale. Examinons maintenant le côté posit
Nulle connaissance empirique ne pouvait, comme telle, pour Aristote,
prétendre
à l’universalité et à la nécessité. L’expérience
on invoquera le témoignage de la conscience, mais qui ne peut encore
prétendre
à une rigueur scientifique. Il semble naturel que
par là de leur précision ni de leur rigueur géométrique, comme on l’a
prétendu
dans ces derniers temps ; il demeurerait seulemen
eptions de la durée qui, selon nous, diffèrent profondément. Bref, le
prétendu
déterminisme physique se réduit, au fond, à un dé
de l’acte futur ; tantôt, supposant par avance l’action accomplie, il
prétend
qu’elle ne pouvait se produire autrement. Les adv
issance d’opter pour le parti contraire. Inversement, le déterminisme
prétend
que, certains antécédents étant posés, une seule
l ne saurait la prendre. Et le même symbolisme grossier sur lequel on
prétendait
fonder la contingence de l’action accomplie about
es. Si le principe de causalité ne nous disait rien de plus, comme le
prétendent
les empiristes, on accorderait sans peine à ces p
rrière ces phénomènes hétérogènes, un mécanisme mathématique. Nous ne
prétendons
pas que le sens commun ait l’intuition (les théor
ment le progrès en chose, et la durée en étendue. Par cela seul qu’on
prétend
décomposer le temps concret, on en déroule les mo
èles, comme ils me sont acquis, je ne m’en inquiète guère. Le diable,
prétendait
plaisamment l’auteur, croyant n’être entendu de p
ours en Poitou, chez un de ses amis, abbé à Saint-Maixent. Ce fut là,
prétend
Rabelais, que pour s’égayer dans sa retraite, et
écieux, J’ai fait la guerre aux rois, je l’eusse faite aux dieux. On
prétend
que le prince de Condé, interrogé par un de ses a
puis bientôt après des pièces dramatiques, pour aider sa famille. On
prétend
que son libraire lui donnait un petit écu par feu
la nomenclature de leurs défauts par le chapitre de la malpropreté et
prétend
qu’il a trouvé les siennes se peignant au-dessus
réation de Corneille, cependant ce dernier lui préférait Rodogune. On
prétend
que Louis XIV dit un jour, en sortant du théâtre
agédie de Pompée : Ah ! ciel, que de vertus vous me faites haïr. On
prétend
que le futur maréchal avait alors pour rival préf
oison d’or en 1662. Sertorius a des scènes d’une grande beauté, et on
prétend
que Turenne, après avoir entendu cette tragédie,
sont encore de nos jours. C’est à tort que l’auteur de l’Art poétique
prétend
que Thomas Corneille ne fit jamais rien de raison
Mon ami, lui dit-il, pensez à Dieu et récitez votre Benedicite. » On
prétend
que l’une des disgrâces qu’il éprouva fut due à u
dres, laissa échapper quelques larmes, aussitôt l’abbé Bois-Robert de
prétendre
qu’il s’acquitterait encore mieux du rôle que Mon
ormandie en 1602. Fils d’un procureur de Gisors, il eut le travers de
prétendre
à la noblesse. Destiné d’abord à l’autel, il jeta
avait pour la poésie les plus heureuses dispositions. Ses tragédies,
prétendait
-il, lui coûtaient moins de temps et de peine à éc
ain à cette encyclopédie digne de son génie immense. Un beau jour, il
prétendit
que la poésie dramatique était au-dessous de ses
ir tenir : Je suis libre, Timante, et ne veux point de maître. Je ne
prétends
jamais dépendre que de moi. Eh ! t’avais-je promi
tc. Montauban, ami de Boileau, de Chapelle et de Racine, et que l’on
prétend
même avoir travaillé aux Plaideurs de ce dernier,
tre que son Manlius Torquatus, joué cependant avec succès en 1662. On
prétendit
, dans le temps, que l’abbé d’Aubignac n’était pas
productions de son esprit étaient, oui ou non, aussi médiocres que le
prétendait
son détracteur. Ce qu’il y a de plus original dan
res par la tragédie de la Thébaïde ou les Frères Ennemis, en 1664. On
prétend
que le sujet lui en fut donné par Molière et que
ui répandaient partout que cette tragédie était plus que médiocre. On
prétend
même qu’à cette époque il était de bon ton de la
es admirateurs outrés et des détracteurs de mauvaise foi. Les uns ont
prétendu
qu’il avait seul pu faire oublier la retraite de
uccès, il composa Oreste et Pilade, en 1697, tragédie à laquelle on a
prétendu
que Racine avait travaillé à la prière de la prin
t des compliments. Un ami d’Autreau lui dit : « Voilà Monsieur qui se
prétend
l’auteur de tels couplets. — Eh bien ! répondit A
que ses tragédies n’étaient pas de lui, se répandit de toute part. On
prétendit
qu’elles devaient le jour à un Chartreux, son pro
t en disant : « Tiens, la voilà, parterre ! tu la mérites bien ! » On
prétend
que ce trait énergique imposa silence. Cela prouv
donna lieu à un conflit entre Voltaire et Le Franc de Pompignan, qui
prétendit
avoir remis cette tragédie entièrement faite entr
tel Racine de ceux qui, pendant le règne de Crébillon, le poëte noir,
prétendaient
que l’auteur d’Athalie n’eût pas eu de succès au
es Qui du sort des humains rendent les rois arbitres, Chacun pourrait
prétendre
à ce sublime honneur : Et le premier des rois fut
able pour être imputée à Racine. L’auteur ayant gardé l’incognito, on
prétendit
pendant quelques jours que les Machabées étaient
eprésentée en 1723, fut fabriquée, dit-on, d’une façon singulière. On
prétend
que l’auteur commença par faire une composition d
ans cette tragédie. Cela fut trouvé fort ridicule par le parterre. On
prétend
que mademoiselle Duclos, qui jouait Inès, s’arrèt
emier coup au Théâtre-Français et jamais ne se releva. Le même auteur
prétendit
avoir part à la spirituelle comédie des Adieux du
procès avec son médecin, qui réclamait des honoraires que ce comédien
prétendait
avoir payés. Dubois demandait en justice qu’il fû
e médecin avait répondu en faisant imprimer un Mémoire dans lequel il
prétendait
qu’un comédien ne pouvait être admis à faire serm
t la farce de l’Avocat Pathelin à Villon, il est quelques auteurs qui
prétendent
qu’elle fut faite par Pierre Blanchet, né à Poiti
’Auteur avoit censuré, & ne trouva lui-même aucuns censeurs. On a
prétendu
que nous tenions de l’Espagne l’invention des Rom
é d’en faire. Il seroit donc possible qu’elle nous dût le genre qu’on
prétend
que nous lui devons. Au moins ne doit-on pas rega
aires. Toutes ne semblent pas faites pour lui ; mais il peut au moins
prétendre
à quelques-unes. Celle du Roman est, sur-tout, de
onse de M. l’Abbé, & cette réponse devient aussi la mienne. Je ne
prétends
pas, toutefois, justifier quelques-unes de nos pr
ve Doris, Smyrna Reine des Amazones, la Princesse Arfinoé. On a aussi
prétendu
que notre vieux Roman d’U-l’Espiegle étoit tradui
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