actement que possible, dans la leçon précédente, les considérations à
présenter
dans Ce Cours sur toutes les branches principales
déterminée par les affinités réelles et l’enchaînement naturel qu’ils
présentent
, de telle sorte que cette classification soit ell
r l’importance, à mesure que le développement naturel de ce cours les
présentera
. Mais il est clair que des conceptions jusqu’à pr
au moindre développement possible. La distinction précédente ne peut
présenter
aucune obscurité aux esprits qui ont quelque conn
iale de la terre, considérée sous tous les points de vue qu’elle peut
présenter
effectivement, exige la connaissance préalable de
nous borner à la physique abstraite, quelque intérêt que puisse nous
présenter
la physique concrète. III. Le sujet propre
uelque chose, sinon d’arbitraire, du moins d’artificiel, de manière à
présenter
une imperfection véritable. En effet, le but prin
on de nos connaissances, un principe général dont j’aurai plus tard à
présenter
de fréquentes applications. (2) Toute science peu
en adoptant, autant que possible, les mêmes voies. Par le second, on
présente
le système des idées tel qu’il pourrait être conç
nce, de toute nécessité, l’étude de chaque science naissante ; car il
présente
cette propriété, de n’exiger, pour l’exposition d
ravaux particuliers ont été refondus en un système général, pour être
présentés
suivant un ordre logique plus naturel, n’est appl
emps que nécessaire, parce que de nouvelles conceptions permettent de
présenter
les découvertes antérieures sous un point de vue
es sciences les plus avancées, dont le mode ordinaire d’exposition ne
présente
plus presque aucune trace de la filiation effecti
l’étude ne comporte qu’un ordre essentiellement historique, lequel ne
présente
pas d’ailleurs, dans ce cas, les inconvénients pr
que science les considérations historiques incidentes qui pourront se
présenter
auront un caractère nettement distinct, de manièr
ique des sciences. Quoi qu’on fasse, on ne peut éviter entièrement de
présenter
comme antérieure telle science qui aura cependant
ont, en effet, plus anciennes et constamment plus avancées que celles
présentées
comme postérieures. C’est ce qui doit avoir lieu
re les phénomènes généraux de l’univers, ou, en particulier, ceux que
présentent
les corps terrestres. D’où la physique céleste, o
mouvement d’un corps pesant, même quand il ne s’agit que d’un solide,
présente
réellement, lorsqu’on veut tenir compte de toutes
’influence de la pesanteur, de la chaleur, de l’électricité, etc., et
présente
, en outre, quelque chose de propre qui modifie l’
videmment la chimie comme ne pouvant marcher qu’après la physique, la
présente
en même temps comme une science distincte. Car, q
dans la science générale des corps organisés. Tous les êtres vivants
présentent
deux ordres de phénomènes essentiellement distinc
avons constamment suivi, puisque les phénomènes de la vie animale se
présentent
, en général du moins, comme plus compliqués et pl
aque science s’établir naturellement d’après le même principe, ce qui
présentera
tout le système des connaissances humaines décomp
ort négligée par les constructeurs d’échelles encyclopédiques, que de
présenter
comme distinctes les sciences que la marche effec
exécuter. Elles ont seulement rendu possible une telle opération, qui
présente
la différence fondamentale d’une conception ratio
lassification précédente. (3) En troisième lieu, cette classification
présente
la propriété très remarquable de marquer exacteme
’explication précédente, les diverses sciences doivent nécessairement
présenter
une précision très inégale, il n’en est nullement
sse employer dans la recherche des lois des phénomènes naturels. Pour
présenter
à cet égard une conception parfaitement nette et
us suivons et adoptons le mouvement par lequel il s’épanouit en image
présente
, émergeant des ténèbres au grand jour. C’est en v
étiseur qui donne la suggestion. Le raisonnement que nous critiquons,
présenté
sous cette forme, est donc déjà sans valeur proba
sant. Appesantissons-nous sur ce point. En l’opposant à la perception
présente
, nous comprendrons déjà mieux la nature de ce que
définir la marque concrète, acceptée par la conscience, de la réalité
présente
. Qu’est-ce, pour moi, que le moment présent ? Le
l, concret, vécu, celui dont je parle quand je parle de ma perception
présente
, celui-là occupe nécessairement une durée. Où est
oment précis il cessera d’être souvenir pour passer à l’état de chose
présente
, actuellement vécue ; et je ne lui restituerai so
etrouvera une influence qu’en empruntant la vitalité de la perception
présente
. Au contraire, l’avenir immédiat consiste dans un
nt les chambres que je vais traverser. Au contraire, mes souvenirs se
présentent
dans un ordre apparemment capricieux. L’ordre des
né de ces objets leur prête l’aspect d’une chaîne, dont ma perception
présente
ne serait plus qu’un anneau : cet anneau communiq
anciennes perceptions que celles qui s’organisent avec la perception
présente
pour concourir à la décision finale. S’il faut, p
la conscience, 2º la connexion logique ou causale de ce qui est ainsi
présenté
avec ce qui précède et ce qui suit. La réalité po
pellations possibles. Elle fait que nous nous adaptons à la situation
présente
, et que les actions subies par nous se prolongent
nvariablement renaissante de notre représentation, la partie toujours
présente
, ou plutôt celle qui vient à tout moment de passe
se prêtent un mutuel appui. D’un côté, en effet, la mémoire du passé
présente
aux mécanismes sensori-moteurs tous les souvenirs
le souvenir répond, et c’est aux éléments sensori-moteurs de l’action
présente
que le souvenir emprunte la chaleur qui donne la
assez docile pour suivre avec précision les contours de la situation
présente
, mais assez énergique pour résister à tout autre
ut entier caché parce qu’il est inhibé par les nécessités de l’action
présente
, il retrouvera la force de franchir le seuil de l
te ainsi aux objets qu’il désigne, encore faut-il que ces objets nous
présentent
des ressemblances qui, en les rapprochant les uns
rer en S à mesure que nous nous attachons plus fermement à la réalité
présente
, répondant par des réactions motrices à des excit
assez de l’idée pour qu’elles puissent concourir utilement à l’action
présente
. De cette conception de la vie mentale inférie
té de souvenirs qui tous ressemblent par quelque côté à la perception
présente
, et pourquoi un seul d’entre eux, — celui-ci plut
ence inerte et amorphe, il n’y a aucune raison pour que la perception
présente
attire de préférence l’un d’eux : je ne pourrai d
ci le vice radical de l’associationnisme. Étant donnée une perception
présente
qui forme tour à tour, avec des souvenirs divers,
totalité de nos souvenirs, entrait, indivisée, dans notre perception
présente
. Alors, si cette perception évoque tour à tour de
ce mécanisme, une association par ressemblance, puisque la perception
présente
agit en vertu de sa similitude avec les perceptio
sens, un souvenir quelconque pourrait être rapproché de la situation
présente
: il suffirait de négliger, dans cette perception
e notre passé, exerce une poussée en avant pour insérer dans l’action
présente
la plus grande partie possible d’elle-même. De ce
tat sensori-moteur, ce qui, par conséquent, ressemble à la perception
présente
au point de vue de l’action à accomplir. En d’aut
-même, par lequel elle s’oriente vers la situation du moment pour lui
présenter
la face la plus utile. A ces divers degrés de con
dans un effort croissant d’expansion, par lequel la mémoire, toujours
présente
tout entière à elle-même, étend ses souvenirs sur
e l’autre : mais l’idée, pour être viable, devra toucher à la réalité
présente
par quelque côté, c’est-à-dire pouvoir, de degré
orde infiniment elle-même les sensations et les mouvements de l’heure
présente
; mais ces sensations et ces mouvements condition
e sensori-moteur du corps, c’est-à-dire son adaptation à la situation
présente
. Relâchez cette tension ou rompez cet équilibre :
lyses sont exactes, le sentiment concret que nous avons de la réalité
présente
consisterait en effet dans la conscience que nous
nctions sensori-motrices par lesquelles elle s’insère dans la réalité
présente
, l’équilibre intellectuel sera diversement troubl
On va voir que la demande ici fait la réponse. Elle la contient et la
présente
; en posant la difficulté, elle la résout ; en so
ppropriée à sa nature, et en vertu de cette observation que notre fin
présente
n’est pas appropriée à notre nature, il est néces
t parfait. III Voilà le bien défini, le devoir institué, la vie
présente
réglée, la vie future prouvée. L’enchaînement sem
re de l’homme est composée d’aspirations infinies que notre condition
présente
ne peut satisfaire : donc notre destinée présente
que notre condition présente ne peut satisfaire : donc notre destinée
présente
n’est pas de les satisfaire, mais d’atteindre la
re de l’homme est composée d’aspirations infinies que notre condition
présente
ne peut satisfaire : donc il y a pour nous une de
u bœuf est de vivre quinze ans et de se reproduire. Mais sa condition
présente
l’en empêche ; l’homme le coupe à six mois et le
n raisonnement au bœuf aussi bien qu’à l’homme. Or, dans la condition
présente
on coupe le bœuf à six mois et on le mange à troi
oupe le bœuf à six mois et on le mange à trois ans : donc sa destinée
présente
n’est pas de satisfaire l’inclination qu’il a pou
tion qu’il a pour vivre quinze ans et pour se reproduire, sa destinée
présente
est d’accomplir la seule chose qui soit absolumen
privé de liberté comme lui, cette chose n’est pas : donc dans la vie
présente
il n’a point de destinée du tout. Le raisonnement
xtérieures qui peuvent manquer. Ne dites pas non plus que la destinée
présente
est appropriée à la nature actuelle, et que, puis
s naturelles ne peuvent présentement être satisfaites, notre destinée
présente
n’est pas de les contenter. Que l’herbe soit mauv
irations infinies seront contentées, et ne peuvent l’être dans la vie
présente
, elles le seront dans la vie future ; il y a donc
et ne dépende que de nous-mêmes ; c’est la vertu. Donc notre destinée
présente
n’est autre que l’exercice de la vertu. Grâce à c
la famille. Addison, Pope, Swift, le visitaient ; plus tard, Hume lui
présenta
son Traité de la nature humaine. Pour rétablir sa
s servir, par où nous contrarier. Encore les notions ainsi formées ne
présentent
-elles cette justesse pratique que d’une manière a
e même nature. Si donc nous la tenons d’emblée, l’étude de la réalité
présente
n’a plus d’intérêt pratique et, comme c’est cet i
tre regardée comme représentative de l’humanité. Mais les faits ne se
présentent
pas avec cette extrême simplicité. Un peuple qui
e énonce comme une chose ce qui n’est qu’une vue de l’esprit. Elle se
présente
, en effet, comme l’expression d’un fait immédiate
. Mais cette nécessité toute logique ne ressemble en rien à celle que
présentent
les vraies lois de la nature. Celles-ci expriment
e sagesse pratique et, si l’on a pu, plus ou moins spécieusement, les
présenter
comme l’expression même de la réalité, c’est que,
aire de philosopher sur leur nature, de discuter les analogies qu’ils
présentent
avec les phénomènes des règnes inférieurs. Il suf
constituent le point de départ de la science. Les phénomènes sociaux
présentent
incontestablement ce caractère. Ce qui nous est d
s comme des choses extérieures ; car c’est en cette qualité qu’ils se
présentent
à nous. Si cette extériorité n’est qu’apparente,
t la satisfaction de voir les faits en apparence les plus arbitraires
présenter
ensuite à une observation plus attentive des cara
ra comprendre, sans exception ni distinction, tous les phénomènes qui
présentent
également ces mêmes caractères ; car nous n’avons
exemple, nous constatons l’existence d’un certain nombre d’actes qui
présentent
tous ce caractère extérieur que, une fois accompl
uel et équivoque. Il en résulte que l’évolution du mariage lui paraît
présenter
une incompréhensible anomalie, puisqu’il croit ob
ur décider si un précepte est moral ou non, nous devons examiner s’il
présente
ou non le signe extérieur de la moralité ; ce sig
u précepte. Toutes les fois que nous sommes en présence d’un fait qui
présente
ce caractère, nous n’avons pas le droit de lui dé
ces derniers et qu’ils en sont solidaires. Si un groupe donné d’actes
présente
également cette particularité qu’une sanction pén
p personnelles à l’observateur, pour retenir exclusivement celles qui
présentent
un suffisant degré d’objectivité. C’est ainsi que
peut aborder l’étude de la réalité sociale. Mais nous savons qu’elle
présente
cette particularité que, sans cesser d’être elle-
s sociaux, il doit s’efforcer de les considérer par un côté où ils se
présentent
isolés de leurs manifestations individuelles. C’e
on reconnaîtra autant de types criminologiques que cette organisation
présente
de formes différentes. Pour atteindre les mœurs,
he si, parmi les choses que connote confusément ce mot, il en est qui
présentent
des caractères extérieurs communs. S’il y en a et
car nous ne connaissons pas les formes mères. Mais beaucoup d’animaux
présentent
une structure qui ne peut s’expliquer que par l’a
, ils devinrent capables de percevoir vaguement les objets qu’on leur
présentait
, et commencèrent à clignoter. Il est difficile d’
u’il en est tout autrement. À l’égard seulement des insectes qu’elles
présentent
, Schiœdte affirme « que ce phénomène ne saurait ê
ns une caverne82. Un autre genre d’insectes aveugles, l’Anophthalmus,
présente
une particularité remarquable. Il est exclusiveme
rd’hui. Bien loin d’être étonné de voir certains animaux des cavernes
présenter
d’étranges anomalies, ainsi que M. Agassiz le fai
es premières phases de la vie fœtale sont semblables, sont sujettes à
présenter
des variations analogues. Ainsi, le côté droit et
t souvent leurs mouchetures de couleur sombre ; lorsque pareil cas se
présente
, le nectaire correspondant est complétement avort
encore plus frappantes : chez tous les autres Cirripèdes, la carapace
présente
un énorme développement des trois segments antéri
genres ; mais, dans les diverses espèces du genre Pyrgoma, ces valves
présentent
une étonnante diversité : c’est au point que les
bles de forme ; chez les individus de plusieurs de ces espèces, elles
présentent
de telles différences qu’on peut dire sans exagér
omparaison des degrés relatifs de cette variabilité. Lorsqu’un organe
présente
chez une espèce un développement considérable ou
ête chez les volailles Dorking, ou même la race tout entière cesse de
présenter
une presque uniformité de caractères. Elle est al
sion à un état moins modifié, compliquée d’une autre tendance innée à
présenter
des variations de toutes sortes, qui agit d’une p
à trouver ce qu’on pourrait appeler la variabilité générative encore
présente
et actuellement capable d’agir avec une certaine
urs groupes considérables de Coléoptères ont pour caractère commun de
présenter
un même nombre d’articles aux tarses ; mais chez
raire un organe, quelque développé qu’il soit, est peu variable, s’il
présente
ce même développement extraordinaire chez tout un
grande variabilité dans chaque espèce ; mais que ces mêmes caractères
présentent
aussi de grandes différences entre les espèces pr
urmonté la tendance de l’espèce à revenir à d’anciens caractères ou à
présenter
des variations nouvelles, que la sélection sexuel
à l’appui de mes opinions. Je ne puis qu’affirmer que de tels cas se
présentent
certainement et avec de remarquables circonstance
n pas en ce qu’il affecte aucun organe important, mais en ce qu’il se
présente
chez plusieurs espèces du même genre, en partie à
paules comme l’Âne. Chez le Cheval nous trouvons une forte tendance à
présenter
les mêmes caractères, partout où apparaît la tein
restées pures pendant des siècles, les faits observés parmi elles ne
présenteront
-ils pas des analogies frappantes avec les faits o
rier, soit à l’état de nature, soit à l’état domestique, de manière à
présenter
souvent les rayures qu’on observe chez d’autres e
urellement, lorsqu’elles sont exposées à des influences semblables, à
présenter
des variations analogues, et quelques-unes d’entr
n naturelle ne peut accumuler que les variations accidentelles qui se
présentent
. Or, toute variation ne peut avoir que trois caus
ont prise dans la production des variations accidentelles qui se sont
présentées
et qui ont été élues et perpétuées. Or, le climat
ela même que les caractères de grande utilité, et ceux-là surtout qui
présentent
le caractère normal d’un développement successif
rtout que l’entrée de la caverne est accessible à l’homme, ce fait ne
présente
aucune difficulté, et il s’agirait de savoir s’il
élection n’a jamais qu’à accumuler les variations avantageuses qui se
présentent
, laissant toute modification indifférente à l’éta
e de plus fréquentes occasions d’agir. C’est pourquoi les espèces qui
présentent
de grandes différences sexuelles doivent aussi, e
ces sexuelles doivent aussi, en ce qui concerne ces mêmes caractères,
présenter
de nombreuses variétés dans chaque espèce, et de
ire de la mémoire, l’utilisation de l’expérience passée pour l’action
présente
, la reconnaissance enfin, doit s’accomplir de deu
ne image passée et le rapprochement de cette image avec la perception
présente
? Ne consiste-t-elle pas plutôt dans la conscienc
lui-même, de vagues images du passé débordent peut-être la perception
présente
; on concevrait même que son passé tout entier fû
le passé sous forme d’image, il faut pouvoir s’abstraire de l’action
présente
, il faut savoir attacher du prix à l’inutile, il
justement l’exacte adaptation de notre système nerveux à la situation
présente
, n’écartait toutes celles des images passées qui
. Tout au plus certains souvenirs confus, sans rapport à la situation
présente
, débordent-ils les images utilement associées, de
r d’elle que ce qui peut éclairer et compléter utilement la situation
présente
: ainsi se déduisent les lois de l’association de
ervices qu’elles peuvent rendre par leur association à une perception
présente
, les images emmagasinées par la mémoire spontanée
es mouvements ne serait-elle pas déjà dans notre esprit, invisible et
présente
? Dès la première récitation, nous reconnaissons
de ce qui a précédé ou suivi des situations analogues à la situation
présente
, afin d’éclairer son choix : en cela consiste l’a
ène mixte qui résulte de leur coalescence. Ce phénomène, étant mixte,
présente
par un côté l’aspect d’une habitude motrice, par
le sentiment du « déjà vu ». Pour les uns, reconnaître une perception
présente
consisterait à l’insérer par la pensée dans un en
ctuellement aperçu. Reconnaître serait donc associer à une perception
présente
les images données jadis en contiguïté avec elle
de, que nous allons examiner. On suppose cette fois que la perception
présente
va toujours chercher, au fond de la mémoire, le s
fort bien ; ils ne peuvent cependant le reconnaître quand on le leur
présente
. La conservation, même consciente, d’un souvenir
ppression des anciennes images tient à leur inhibition par l’attitude
présente
, celles dont la forme pourrait s’encadrer dans ce
les peut franchir l’obstacle, c’est l’image semblable à la perception
présente
qui le franchira. Si notre analyse est exacte, le
’évanouir. Ce qui nous intéresse pour le moment, c’est que des cas se
présentent
où la reconnaissance n’a plus lieu, sans que la m
ner les traits saillants : alors les images analogues à la perception
présente
, images dont ces mouvements auront déjà jeté la f
à-dire où les souvenirs-images rejoignent régulièrement la perception
présente
, est-ce la perception qui détermine mécaniquement
: tantôt elles couperaient à ce souvenir ses attaches avec la réalité
présente
, c’est-à-dire que, supprimant la dernière phase d
e de l’esprit qui renonce à poursuivre l’effet utile de la perception
présente
: il y aura d’abord une inhibition de mouvement,
ts ont déjà tracé l’esquisse. Elle crée ainsi à nouveau la perception
présente
, ou plutôt elle double cette perception en lui re
ui entre dans chacun de ces circuits, puisque la mémoire est toujours
présente
; mais cette mémoire, que son élasticité permet d
isit pour accomplir ses évolutions. C’est ordinairement la perception
présente
qui détermine l’orientation de notre esprit ; mai
n plus capables, dans leur banalité, de s’appliquer sur la perception
présente
et de la déterminer à la manière d’une espèce eng
ive où le souvenir ainsi réduit s’enchâsse si bien dans la perception
présente
qu’on ne saurait dire où la perception finit, où
e mémoire se contracte ou plutôt s’affile de plus en plus, jusqu’à ne
présenter
que le tranchant de sa lame à l’expérience où ell
des processus imaginatifs autant d’effets mécaniques de la perception
présente
; on veut que, par un progrès nécessaire et unifo
qui n’est que souvenir, peut modifier la matérialité d’une perception
présente
, et faire actuellement entendre aux uns ce que d’
9. Une émotion pourra produire le même effet 60. Toutefois des cas se
présentent
où il semble bien que ce soient des groupes de re
i l’attire. Impuissant, il emprunte sa vie et sa force à la sensation
présente
où il se matérialise. Cela ne revient-il pas à di
n observe dans les formes alliées vivant à l’état domestique. Il s’en
présenterait
, qu’elles ne pourraient se perpétuer que dans le
principe, aucun exemple de variation importante ne saurait jamais se
présenter
. Mais ces exemples sont assurément nombreux, au c
’on a nommés protéiques ou polymorphes. Les espèces qui les composent
présentent
des différences extraordinaires ; et à peine deux
elles qui, possédant jusqu’à un certain degré le caractère d’espèces,
présentent
cependant de profondes ressemblances avec quelque
première décrite, et range les autres comme ses variétés. Mais il se
présente
des cas que je ne veux pas énumérer ici, où il de
es ou l’Irlande. Quelques naturalistes soutiennent que les animaux ne
présentent
jamais de variétés ; en conséquence, ils considèr
ne aide précieuse sur cette question, m’eut bientôt convaincu qu’elle
présente
de nombreuses difficultés. Le docteur Hooker m’a
nt démontré que les plantes qui ont une grande extension géographique
présentent
en général de nombreuses variétés. On aurait pu l
ue les espèces des plus grands genres en chaque contrée doivent aussi
présenter
un plus grand nombre de variétés que les espèces
plus grands genres. De plus, parmi les espèces des grands genres qui
présentent
des variétés, le nombre moyen de ces variétés est
t où beaucoup d’espèces d’un genre se sont formées, les mêmes espèces
présentent
un nombre de variétés ou d’espèces naissantes au-
gés d’en déterminer le rang d’après la somme des différences qu’elles
présentent
, jugeant par analogie si elles sont, oui ou non,
n restreinte. Sous ces divers rapports, les espèces des grands genres
présentent
de fortes analogies avec les variétés. Et nous po
hénomènes qui se passent à l’intérieur de la société, pour peu qu’ils
présentent
, avec une certaine généralité, quelque intérêt so
cun d’eux. Voilà donc des manières d’agir, de penser et de sentir qui
présentent
cette remarquable propriété qu’elles existent en
urter à des oppositions de ce genre. Voilà donc un ordre de faits qui
présentent
des caractères très spéciaux : ils consistent en
où il y a organisation définie. Mais il est d’autres faits qui, sans
présenter
ces formes cristallisées, ont et la même objectiv
uement cette dualité de nature, c’est que ces deux ordres de faits se
présentent
souvent à l’état dissocié. En effet, certaines de
ns être actuellement appliquées. Sans doute, cette dissociation ne se
présente
pas toujours avec la même netteté. Mais il suffit
violence. Cependant, on peut le définir aussi par la diffusion qu’il
présente
à l’intérieur du groupe, pourvu que, suivant les
ou de sentir ou de penser. Mais, tout d’abord, ces divers phénomènes
présentent
la même caractéristique qui nous a servi à défini
ns doute, si les phénomènes d’ordre morphologique étaient les seuls à
présenter
cette fixité, on pourrait croire qu’ils constitue
a entre eux que des différences dans le degré de consolidation qu’ils
présentent
. Les uns et les autres ne sont que de la vie plus
renom et à une récompense de moralité dans le talent, qu’après avoir
présenté
des scènes plus ou moins vives et hasardées, empr
avec une sorte de sincérité et croire qu’il n’y a nul inconvénient à
présenter
hardiment les scènes d’un monde mélangé et corrom
r tout auteur qui se préoccupe du noble but qu’a en vue l’institution
présente
, c’est que la pensée morale préexiste dès l’origi
ssimulé : la grande difficulté littéraire que rencontre l’institution
présente
, c’est que le but moral qu’elle réclame avant tou
nément aux autres conditions indiquées. Le second Théâtre-Français se
présentait
en première ligne à l’examen de la Commission ; i
se présentait en première ligne à l’examen de la Commission ; il s’y
présentait
par un ouvrage déjà connu de tous et d’un but mor
donnée admise, donnée qui est antérieure au moment de l’action, nous
présente
une suite, un enchaînement de scènes vraies, touc
: elle eût trouvé, sans doute, parmi les productions qui lui étaient
présentées
, à distinguer d’autres pièces encore pour des qua
en trois volumes. Pour fondre ces trois volumes en deux tomes dans la
présente
réimpression, divers changements dans la disposit
trois volumes in-18 en deux in-8°. Une distinction toute naturelle se
présentait
d’abord, celle des poëmes qui se rattachent par u
rangers. Cette double division répond à chacun des deux volumes de la
présente
édition. Ainsi le premier volume contient toutes
compter l’Ode à la colonne de la place Vendôme, ont été ajoutées à la
présente
édition. Il faut tout dire, les modifications app
qui lui ont paru importantes ; mais il a fallu pour cela qu’elles se
présentassent
naturellement, invinciblement, comme d’elles-même
e philosophique de décembre 1908. L’illusion sur laquelle nous allons
présenter
quelques vues théoriques est bien connue. Brusque
ccusés. L’illusion, au lieu de se dessiner sous sa forme complète, se
présente
souvent à l’état d’ébauche. Mais, esquisse ou des
ception et souvenir, quand surtout il se produit chez des gens qui ne
présentent
aucune autre anomalie, ait la même structure inte
eux, croyons-nous — où il y a affirmation très nette d’une perception
présente
et d’une perception passée qui aurait été identiq
s trouvions que nous avions eu autrefois une perception analogue, qui
présentait
quelques traits communs avec l’expérience actuell
directions indiquées le mécanisme de la mémoire. Mais nous voudrions
présenter
d’abord une remarque générale au sujet des faits
e reconnaissance est du nombre. Comme nous le verrons plus loin, elle
présente
un aspect sui generis, qui n’est pas celui de la
ura pas lieu de chercher, pour le phénomène morbide ou anormal qui se
présente
avec des caractères spéciaux, une cause active qu
ère sui generis des faits morbides. Comme ces faits sont complexes et
présentent
pourtant un certain ordre dans leur complication,
venu de tenter une explication. Comme nous l’annoncions d’abord, nous
présentons
notre thèse à titre de simple indication méthodol
lopper en même temps qu’elle. Mais la thèse qui fait de la perception
présente
un état fort et du souvenir ravivé un état faible
r, qui la suggère du fond de l’inconscient d’où il émerge à peine, se
présente
avec cette puissance sui generis de suggestion qu
e la très petite partie de nous-mêmes qui est insérée dans la réalité
présente
, qui la perçoit et qui agit sur elle. Nos percept
tensive, car l’image comprend un nombre déterminé de parties, et elle
présente
un certain degré de force. Considérons la premièr
es, soit par un sentiment de familiarité qui accompagne la perception
présente
, soit par l’évocation d’une perception passée que
sente, soit par l’évocation d’une perception passée que la perception
présente
semble répéter. Or, la fausse reconnaissance n’es
ans l’intervalle. Si donc les deux images sont les mêmes, elles ne Bc
présentent
pas dans le même cadre, et le vague sentiment de
esprits, occupés à voir passer des idées et des images. La perception
présente
attirerait alors à elle un souvenir similaire san
laisse passer, légalement, que ceux qui peuvent concourir à l’action
présente
, quoique beaucoup d’autres se faufilent à la fave
blance qu’il a bien fallu poser. Mais quoi de plus inutile à l’action
présente
que le souvenir du présent ? Tous les autres souv
y appliquée à l’ensemble du phénomène ; on ajoute que le phénomène se
présente
plus tard, quand on se le remémore, comme the hal
osophie naturelle, indiquées par le programme sommaire que je vous ai
présenté
. (2) Sans doute, la nature de ce cours ne saurait
s démonstration une loi de cette importance, dont les applications se
présenteront
fréquemment dans toute l’étendue de ce cours, je
e par le développement spontané des conceptions théologiques, qui ont
présenté
un point de ralliement à ses efforts, et fourni u
urs distances ; tandis que, d’un autre côté, ce fait général nous est
présenté
comme une simple extension d’un phénomène qui nou
à aller plus loin. Il serait aisé de multiplier ces exemples, qui se
présenteront
en foule dans toute la durée de ce cours, puisque
de ce cours, son but spécial. (4) Les conceptions que je tenterai de
présenter
relativement à l’étude des phénomènes sociaux, et
age d’une manière approfondie. Celles, d’ailleurs, dont les résultats
présentent
, au premier abord, un moindre intérêt pratique, s
ve. Ces considérations auront d’ailleurs l’avantage plus important de
présenter
cet esprit sous un nouveau point de vue, propre à
t. Il est clair, en effet, que toutes les considérations qu’on pourra
présenter
rentreront nécessairement dans l’un ou l’autre mo
alentir la décadence de leur prétendue science qu’en se ravisant pour
présenter
leurs doctrines comme étant aussi fondées sur l’o
positif (M. Cuvier), en métaphores prises pour des raisonnements, et
présente
quelque notion véritable, au lieu de provenir de
a fréquemment dans toute la durée de ce cours, et à l’égard duquel je
présenterai
spécialement de nouvelles considérations dans la
donc indispensable que les différentes sciences dont elle se compose,
présentées
à toutes les intelligences comme les diverses bra
lus longtemps qu’il ne serait nécessaire. Un tel inconvénient doit se
présenter
surtout pour les doctrines les plus essentielles
neusement, à mesure que le développement naturel de ce cours nous les
présentera
. J’en pourrais citer, dans le passé, un exemple é
suffiront pour justifier ce qu’une telle qualification paraît d’abord
présenter
de trop ambitieux. Ce n’est pas aux lecteurs de c
mme naturelle entre l’astronomie et la chimie. Aussi Laplace n’a-t-il
présenté
cette idée que comme un simple jeu philosophique,
pour achever de convaincre que le but de ce cours n’est nullement de
présenter
tous les phénomènes naturels comme étant au fond
point d’attache avec l’actuel, un moyen de reconquérir sur la réalité
présente
une influence perdue : mais en aucun cas le cerve
e d’évoquer toutes les perceptions passées analogues à une perception
présente
, de nous rappeler ce qui a précédé et ce qui a su
es de notre corps ou qu’elles créent le duplicat conscient de l’image
présente
. Mais il en est tout autrement pour la mémoire, c
s ou moins de peine à amener ses souvenirs au contact de la situation
présente
. C’est donc le mécanisme de ce contact qu’il faud
t, par des images-souvenirs qui se portent au-devant de la perception
présente
; mais alors il faut que ces souvenirs, au moment
rs, pour les matérialiser progressivement au contact de la perception
présente
. Mais qu’est-ce que cette mémoire pure, et que so
rait si simple de les juxtaposer aux états forts comme une expérience
présente
plus confuse à une expérience présente plus clair
ats forts comme une expérience présente plus confuse à une expérience
présente
plus claire ? La vérité est que la mémoire ne con
quelque chose de ce genre (puisqu’il ne correspond pas à une réalité
présente
et pressante), souvenir et perception deviennent
us, mais pourrait agir, ce qui agira en s’insérant dans une sensation
présente
dont il empruntera la vitalité. Il est vrai qu’au
— comme un vêtement de confection, — sur la nouveauté de la situation
présente
. Les adversaires de l’associationnisme l’ont d’ai
énérales. L’intérêt d’un être vivant est de saisir dans une situation
présente
ce qui ressemble à une situation antérieure, puis
moire, qui, selon qu’elle incline davantage à s’insérer dans l’action
présente
ou à s’en détacher, se transpose tout entière dan
ce immédiate, un nombre croissant de moments extérieurs dans sa durée
présente
, elle devient plus capable de créer des actes don
é que sur un point. — L’image survivante apparaît comme sensation non
présente
. — Causes de son recul apparent. — Toute image oc
est immédiate ou prompte. — Elle est l’œuvre commune de la sensation
présente
, des souvenirs liés et des prévisions ordinaires.
te l’ascendant aux images en le rendant aux sensations. — Mais ici se
présente
un phénomène nouveau : non seulement le fantôme p
es lobes cérébraux, la théorie physiologique de cette métamorphose se
présente
d’elle-même. De quelque façon que naisse la sensa
stitue la mémoire. À ce moment, et en vertu de la correction, l’image
présente
me paraît sensation passée ; c’est là proprement
tant après, à la réflexion, je saurai qu’il n’y a en moi qu’une image
présente
, que cette vive demi-vision interne de vagues ble
effet, ce qui constitue le souvenir ou acte de mémoire, c’est l’image
présente
qu’a laissée en nous une sensation passée, image
re, une chose autre que nous, et, dans le souvenir, une sensation non
présente
. Il faut avoir reconnu qu’il est hallucinatoire p
fet ; l’image, n’étant pas niée comme sensation, mais comme sensation
présente
, apparaît comme sensation non présente, et la nég
ensation, mais comme sensation présente, apparaît comme sensation non
présente
, et la négation qu’elle subit n’a d’autre conséqu
journée d’aujourd’hui, je me rappelle la journée d’hier. La sensation
présente
et l’image de la sensation précédente ont chacune
es mentalement a été un coup de bascule. Confrontée avec la sensation
présente
et avec la population latente d’images indistinct
ine, elle a glissé une seconde fois en arrière, au-delà de la journée
présente
, de la journée d’hier, de la journée d’avant-hier
mécanisme de la répression et aisé à constater. Deux cas extrêmes se
présentent
et résument tous les autres. — Dans le premier, l
rappeler toutes les formes sous lesquelles cette même combinaison se
présente
? Il y en a une dont on use assez souvent : c’est
efforts inutiles qui ne font pas rire. Mais si nos derniers exemples
présentent
une grande cause aboutissant à un petit effet, no
e la première. La disproportion entre la cause et l’effet, qu’elle se
présente
dans un sens ou dans l’autre, n’est pas la source
le et complète, des procédés de comédie réels et possibles. La vie se
présente
à nous comme une certaine évolution dans le temps
, tranchant ainsi sur le cours changeant de la vie. L’expérience nous
présente
déjà ce genre de comique, mais à l’état rudimenta
ore, mais plus extraordinaire. Telles sont les répétitions qu’on nous
présente
au théâtre. Elles sont d’autant plus comiques que
nt se classer sous la rubrique du « monde renversé ». Souvent on nous
présentera
un personnage qui prépare les filets où il viendr
à cause de l’extraordinaire variété des formes sous lesquelles il se
présente
au théâtre. Voici peut-être comme il faudrait le
tôt au quiproquo. Et le quiproquo est bien en effet une situation qui
présente
en même temps deux sens différents, l’un simpleme
l. Appliquons-la au langage. On pourrait dire que la plupart des mots
présentent
un sens physique et un sens moral, selon qu’on le
ur symbolique qu’à l’emblème. Dans un très joyeux vaudeville, on nous
présente
un fonctionnaire de Monaco dont l’uniforme est co
le calembour. Dans le calembour, c’est bien la même phrase qui paraît
présenter
deux sens indépendants, mais ce n’est qu’une appa
e langage qui sera comique. Point ne sera besoin, d’ailleurs, de nous
présenter
effectivement les deux expressions de la même idé
que portera l’effort d’invention comique. Dès que la seconde nous est
présentée
, nous suppléons, de nous-mêmes, la première. D’où
Les moyens de transposition sont si nombreux et si variés, le langage
présente
une si riche continuité de tons, le comique peut
ue en général par la dégradation. Le risible naîtrait « quand on nous
présente
une chose, auparavant respectée, comme médiocre e
re les autres, pas de langue enfin assez souple, assez vivante, assez
présente
tout entière à chacune de ses parties pour élimin
ltanément présents ou absents et de chercher si les variations qu’ils
présentent
dans ces différentes combinaisons de circonstance
rapport alors même que, dans certains cas, l’un de ces phénomènes se
présenterait
sans l’autre. Car il peut se faire, ou bien que l
et par l’action de quelque cause contraire, ou bien qu’elle se trouve
présente
, mais sous une forme différente de celle que l’on
èrement faite. Il est vrai que les lois établies par ce procédé ne se
présentent
pas toujours d’emblée sous la forme de rapports d
pendant une période de temps suffisamment longue, des variations que
présente
le même phénomène suivant les provinces, les clas
insi une nouvelle série de variations qu’on rapprochera de celles que
présente
, au même moment et dans chacun de ces pays, la co
à une espèce déterminée, on comparera les formes différentes qu’elle
présente
, non seulement chez les peuples de cette espèce,
espèce suivante, et suivant que, de l’une de ces étapes à l’autre, il
présentera
plus, moins ou autant d’intensité, on dira qu’il
— Tantôt les deux caractères liés sont simultanés. Alors deux cas se
présentent
. — Ou bien le premier caractère entraîne par sa p
e du second, et le second l’effet du premier. Alors aussi deux cas se
présentent
. — Ou bien le premier caractère provoque par sa p
miner. — Or telles sont les différences de deux cas qui tous les deux
présentent
le caractère, car les particularités par lesquell
r Mill méthode des concordances. Nous rassemblons beaucoup de cas qui
présentent
le caractère connu, et nous les choisissons aussi
t présent dans l’un et absent dans l’autre, sa condition inconnue est
présente
dans le premier et absente dans le second ; parta
ions précisément égales introduites dans la somme des résistances que
présentent
les obstacles environnants. Cela établi, il est p
tant de vapeur suspendue en l’air que peut en contenir sa température
présente
, tout abaissement de cette température portera un
Le premier peut s’exprimer ainsi : si dans un objet telle donnée est
présente
, elle y est présente. — Le second peut recevoir c
primer ainsi : si dans un objet telle donnée est présente, elle y est
présente
. — Le second peut recevoir cette formule : si dan
econd peut recevoir cette formule : si dans un objet telle donnée est
présente
, elle n’en est point absente ; si dans un objet t
sente ; si dans un objet telle donnée est absente, elle n’y est point
présente
. — Comme les mots présent et non absent, absent e
; on peut l’énoncer en ces termes : dans tout objet, telle donnée est
présente
ou absente. — En effet, supposons le contraire, c
traire, c’est-à-dire que dans l’objet la donnée ne soit ni absente ni
présente
. Non absente, cela signifie qu’elle est présente
e soit ni absente ni présente. Non absente, cela signifie qu’elle est
présente
; non présente, cela signifie qu’elle est absente
te ni présente. Non absente, cela signifie qu’elle est présente ; non
présente
, cela signifie qu’elle est absente ; les deux ens
eux ensemble signifient donc que dans l’objet la donnée est à la fois
présente
et absente, ce qui est contraire aux deux branche
l’une par laquelle il est dit que, si dans un objet telle donnée est
présente
, elle n’en est pas absente, et l’autre par laquel
dit que, si dans un objet telle donnée est absente, elle n’y est pas
présente
. — Maintenant, reprenons l’axiome d’alternative,
ainsi de suite, jusqu’à ce qu’une des deux soit épuisée. Deux cas se
présentent
. — Ou bien les deux collections sont épuisées ens
t soin dans ce transport de ne rien changer à la seconde. Deux cas se
présentent
, comme tout à l’heure. — Ou bien la seconde coïnc
alytique. Par elle, nous relions l’attribut au sujet ; nous la voyons
présente
dans les deux ; mais, avant de l’y voir, nous l’y
nt des théorèmes capables de preuve. Selon d’Alembert, les parallèles
présentent
une difficulté analogue. Sans doute, il est témér
mouvement, créait la première dimension. Telle est notre construction
présente
; elle engendre la plus simple des surfaces et, a
ition de la théorie ordinaire, je veux dire le postulat d’Euclide, ne
présente
plus de difficulté. Car nous avons prouvé non seu
courir est vide aussi ; que, la courte durée d’abord employée n’ayant
présenté
aucun événement modificateur, la durée infinie qu
un événement modificateur, la durée infinie qui reste à employer n’en
présentera
non plus aucun. Bref, nous concluons d’un lieu à
savoir quelle ligne il a tracée dans ce parcours. Deux cas peuvent se
présenter
, celui du mouvement uniforme et celui du mouvemen
optique, en acoustique, elle constate que certaines choses existantes
présentent
les caractères requis, ou du moins tendent à les
xistantes présentent les caractères requis, ou du moins tendent à les
présenter
, et les présenteraient si l’on pouvait pratiquer
nt les caractères requis, ou du moins tendent à les présenter, et les
présenteraient
si l’on pouvait pratiquer sur elles les éliminati
a théorie de descendance modifiée. — Une foule d’objections se seront
présentées
à l’esprit de mes lecteurs bien avant qu’ils soie
ériode de lent affaissement. Un tel concours de circonstances doit se
présenter
rarement, et seulement à de longs intervalles. Au
. Watson, le Dr Asa Gray et M. Wollaston, qu’en général, lorsqu’il se
présente
des variétés intermédiaires entre deux autres for
vidus aura toujours plus de chances, dans une même période donnée, de
présenter
des variations favorables dont la sélection natur
e même principe que les espèces les plus communes dans chaque contrée
présentent
, en moyenne, un plus grand nombre de variétés bie
sez vite à se définir et à se distinguer les unes des autres, pour ne
présenter
à aucune époque l’inextricable chaos de liens int
on naturelle ne peut rien jusqu’à ce que des variations favorables se
présentent
et qu’il se produise dans l’économie naturelle de
elles-ci, existant en beaucoup plus grand nombre, ont dû généralement
présenter
de plus fréquentes variations, progresser de plus
ontrer que, dans le même groupe, il existe des animaux carnivores qui
présentent
tous les degrés intermédiaires entre des habitude
forme qui soit adaptée seulement pour se soutenir dans l’air, et qui
présente
des caractères intermédiaires rattachant le Galéo
a meilleure possible dans toutes les conditions de vie qui peuvent se
présenter
pour eux. Il ne faut pas inférer de ces observati
parmi les individus de la même espèce. Lorsque l’un et l’autre cas se
présentent
à la fois, on conçoit qu’il puisse être aisé à la
vec ses nouvelles habitudes de vie ; tandis que le Pic de la Plata ne
présente
que des modifications très légères, relativement
e des lentilles convergentes. En somme, la structure de l’œil composé
présente
tant de diversité, que Müller en a fait trois cla
certaines Violacées, etc., portent deux espèces de fleurs ; les unes
présentent
la structure normale de la famille, et l’on obser
t des perfectionnements graduels ; cependant, sans aucun doute, il se
présente
des cas d’une difficulté toute particulière que j
un des plus graves est celui des insectes neutres, qui, très souvent,
présentent
, soit avec les mâles, soit avec les autres femell
en que l’apparence générale et les fonctions en soient identiques, il
présente
toujours dans l’une et l’autre espèce des différe
s par quelque variation que ce soit, et de la destruction de ceux qui
présentent
la moindre déviation défavorable dans leur organi
peuvent produire ces variations légères et de peu d’importance qui se
présentent
fréquemment chez les diverses formes de l’organis
tantes ne peut que bien rarement se former, et que toute forme qui se
présente
en de semblables circonstances peut presque à cou
urvu de ses nageoires et de ses ailes membraneuses, ce qui ne peut se
présenter
que très rarement, nous venons de le voir. Enfin,
scles de Mammifères et d’oiseaux cessent au bout de peu d’instants de
présenter
des signes sensibles de courant ; tandis que cell
scente aux pieds, et il est curieux d’avoir à noter l’analogie qui se
présente
entre l’odeur de la substance phosphorescente du
ces unités est grosse. Il est d’ailleurs probable que le nombre 3 se
présente
d’abord sous cette forme simple à notre esprit, p
s sont devenus des lignes, les divisions se sont effacées, l’ensemble
présente
tous les caractères de la continuité. C’est pourq
arément d’abord, simultanément ensuite, dans le milieu même où ils se
présentent
à notre observation. Il n’en est plus de même si
néantirez aussitôt les qualités, c’est-à-dire l’aspect sous lequel se
présente
à notre conscience la synthèse des parties élémen
naturel, et que ces deux déterminations de notre propre étendue, nous
présentent
bien alors une différence de qualité ; c’est même
e de sensations, qui ne se distinguent que par leurs qualités, et qui
présentent
un certain ordre dans le temps. D’autre part, l’e
une durée. Que si enfin je conserve, joint à l’image de l’oscillation
présente
, le souvenir de l’oscillation qui la précédait, i
quantité en tant que quantité, mais par la qualité que leur quantité
présentait
, c’est-à-dire par l’organisation rythmique de leu
roque sans succession : extériorité réciproque, puisque l’oscillation
présente
est radicalement distincte de l’oscillation antér
nt ou de mobilité. Un geste rapide qu’on accomplit les yeux fermés se
présentera
à la conscience sous forme de sensation purement
cité des états de conscience, envisagée dans sa pureté originelle, ne
présente
aucune ressemblance avec la multiplicité distinct
uel nous comptons des unités et en formons une multiplicité distincte
présente
un double aspect : d’un côté nous les supposons i
rappés a été perçu comme qualité, et non comme quantité ; la durée se
présente
ainsi à la conscience immédiate, et elle conserve
En d’autres termes, nos perceptions, sensations, émotions et idées se
présentent
sous un double aspect : l’un net, précis, mais im
temps homogène et en exprime les éléments par des mots, il ne nous en
présente
qu’une ombre à son tour : seulement, il a disposé
es. Les rêves les plus bizarres, où deux images se recouvrent et nous
présentent
tout à la fois deux personnes différentes, qui n’
ternes, le principe que nous énoncions d’abord : la vie consciente se
présente
sous un double aspect, selon qu’on l’aperçoit dir
mplissant comme elle a raisonné sur les faits accomplis, si elle nous
présente
le moi concret et vivant comme une association de
l’invention et par un stile plein de poësie, qui de moment en moment
présente
des images qui nous rendent attentifs et nous éme
ns à tout ce qu’on fait parler comme à exprimer par des figures, et à
présenter
sous des images capables de nous émouvoir, ce qui
r. Ce vers : tremblez, méchans, tremblez : voici venir la foudre. Me
présente
Cesar armé du tonnerre, et les meurtriers de Pomp
pénates, c’est la destinée des plus heureux. L’abbé De Chaulieu nous
présente
cependant cette pensée sous des images qui la ren
nce et de la continuité des images et des peintures que ses vers nous
présentent
. Le caractere de la poësie du stile a toujours de
trés dans la route de la démonstration géométrique ; et cette méthode
présente
seule des progrès réguliers et sans bornes. En pa
probabilités, quand il s’applique à un très grand nombre de chances,
présente
un résultat moralement infaillible ; il sert de g
mposent les sciences politiques. La table des morts et des naissances
présente
des résultats certains et invariables, aussi long
pelons des idées générales, ne sont que des faits particuliers, et ne
présentent
qu’un côté d’une question, sans en laisser voir l
ation ils sont susceptibles dans d’autres pays. On peut encore moins
présenter
comme une preuve des progrès de l’esprit humain e
objets, pour qu’il ne reste plus aux hommes véhéments l’espoir de les
présenter
sous des aspects différents, de former deux parti
e et le sentiment ; et le raisonnement, sous quelques formes qu’on le
présente
, ne peut jamais ni changer, ni modifier la nature
changer, ni modifier la nature des choses : il analyse ce qui est. On
présente
comme une vérité mathématique, le sacrifice que l
fait nouveau, tout à fait inattendu a été prévu par ceux qui lui ont
présenté
des maximes générales sur la conduite qu’il devai
ives, tandis que Schiller, dans sa Jeanne d’Arc, sujet français qu’il
présentait
à un public allemand, était sûr de rencontrer dan
se ; et cependant ces petites circonstances répandent dans le tableau
présenté
de la sorte beaucoup de vie et de vérité. Dans le
e l’accable, la soif la dévore ; un paysan, touché de compassion, lui
présente
un peu de lait : au moment où elle le porte à ses
allait chercher au fond de mon cœur mes propres pensées, pour me les
présenter
avec plus de précision, d’élégance et de force ;
, et une mélancolie enthousiaste et rêveuse, Werner, dans son Attila,
présente
à nos regards la cour nombreuse de Valentinien, s
e de mérite. La manière dont Schiller développe les motifs qu’on leur
présente
, et gradue l’effet que produisent sur eux ces mot
be récit de Théramène dans Phèdre. Racine ne pouvant, comme Euripide,
présenter
aux spectateurs Hippolyte déchiré, couvert de san
urs additions qui m’ont semblé nécessaires, font que l’ouvrage que je
présente
au public n’est nullement une traduction. Il n’y
rsonnages rien de ce qui constituait leur individualité. Ils nous les
présentent
avec leurs faiblesses, leurs inconséquences, et c
e sa passion malheureuse. L’isolement dans lequel le système français
présente
le fait qui forme le sujet, et la passion qui est
historique, mais un héros factice, une créature d’invention qu’on lui
présente
. En ne peignant qu’une passion, au lieu d’embrass
nts peuvent les dompter. Le sacrifice de leurs sentiments n’est point
présenté
comme impossible. Bérénice se résigne à vivre san
urce d’investigations nouvelles, ce qui a rarement lieu, quand on lui
présente
des résultats complets de travaux parfaitement ac
dans ce qu’elle a d’acquis et d’établi, mais dans les lacunes qu’elle
présente
, pour tâcher de les combler par des recherches no
’inconnu, vers l’avenir. Loin d’être achevée, la science de la vie se
présentera
donc à nous avec ses imperfections ; nous nous pr
pas d’attirer votre attention sur eux chaque fois que l’occasion s’en
présentera
. Tout ceci prouve, Messieurs, qu’il faut redouble
it une grande quantité d’urines, et qui en même temps maigrissait, et
présentait
le plus souvent un appétit extraordinaire et une
is qui, le premier, vers 1674, reconnut que les urines de diabétiques
présentaient
une saveur douce, sucrée, mais ce ne fut qu’en 17
plus tard. Maintenant, Messieurs, quel est le degré de certitude que
présentent
les réactifs potassique et cupro-potassique, et q
mpide, entraînant la matière sucrée, qui, comme vous pouvez en juger,
présente
avec le liquide cupro-potassique la réaction cara
gné de sucre, et il est le seul organe du corps qui, à l’état normal,
présente
ce caractère. Pour s’en convaincre, il suffit de
avons trouvé le foie très sucré. Vous voyez qu’aucun de ces tissus ne
présente
les réactions caractéristiques que nous avons obt
sons actuellement sur l’éprouvette le nombre de centimètres cubes que
présente
son contenu : ce nombre est de 169 centimètres cu
qui se produit dans l’individu vivant. Le moyen le plus simple qui se
présente
à l’esprit, c’est de supprimer les féculents et l
s le foie ne contient pas de sucre, tandis que le sang qui en sort en
présente
des quantités considérables. Chez un animal carni
Vous pouvez constater que des petits poulets pris dans leur coquille
présentent
du sucre dans leur foie. Nous avons fait la même
Je viens de vous montrer un fœtus de quatre à cinq mois, dont le foie
présentait
du sucre ; en voici un autre qui a environ deux m
u au même réactif cupro-potassique, qui reste parfaitement bleu et ne
présente
aucune trace de précipité. La fermentation avec l
us ne devons pas craindre de les accumuler, parce que chacune d’elles
présente
la question physiologique sous un jour nouveau. J
patique en dehors du système circulatoire. Quant à la bile, elle n’en
présente
jamais les moindres traces. Voici donc une glande
, la bile et le sucre. Comme toutes les sécrétions, celle du sucre ne
présente
pas une marche uniforme ; elle oscille constammen
re aussi concordantes que les expériences les mieux établies que nous
présentent
la physique et la chimie, mais sous la condition
ive au foie ne contient aucune trace de sucre, le sang qui en sort en
présente
des quantités considérables. Inversement, le sang
ang qui arrive au poumon contient du sucre, et celui qui en sort n’en
présente
plus de traces. Le sucre, dans cet état physiolog
qui sort du foie est telle, que le sang des veines sus-hépatiques en
présente
environ en nombre rond une proportion de 1 pour 1
’état physiologique signalé plus haut. Cette espèce d’oscillation que
présente
la fonction glycogénique est très importante à co
oujours à une plus grande distance de la ligne XY ; alors deux cas se
présentent
. Si la courbe représentant un état diabétique par
n et de destruction du sucre, sous quelque forme que cette matière se
présente
. On voit ainsi que dans ces deux règnes les phéno
’élément glandulaire du foie. Secondement, les modifications que peut
présenter
la circulation de l’organe, soit au point de vue
de sucre dans le tissu du foie. Le foie d’un canard ordinaire ne m’a
présenté
que 1,27 pour 100 de matière sucrée. On observe a
s le foie. C’est ainsi que des crapauds, des couleuvres et des carpes
présentaient
encore, cinq à six semaines après leur dernier re
perte complète d’appétit. L’animal refuse tous les aliments qu’on lui
présente
. La marmotte mâle qu’observa M. Valentin pesait 2
rapprochée du foie, tandis que la gauche, en étant plus éloignée, ne
présentait
pas de traces de sucre. Nous venons de voir le rô
ci une remarque à faire au sujet de la particularité d’absorption que
présente
la matière grasse. C’est à travers le foie, placé
aible quantité, de la matière grasse, mais que le sang qui en sort en
présente
beaucoup moins. Le sang de la veine porte renferm
ir musculaire la présence d’une matière qu’il appelle inosite, et qui
présente
la formule chimique du sucre, G12H12O12. M. Bouch
n animal nourri avec des matières exclusivement féculentes et sucrées
présente
toujours une apparence émulsive et laiteuse. Ains
azotées, en aussi grande quantité que chez les herbivores. Mais il se
présente
alors une question : que devient le sucre qui est
elles de l’animal chez lequel l’injection a été faite sous la peau en
présenteront
des quantités notables ; cependant les urines des
e structure tout à fait différente. On voit quelquefois la veine cave
présenter
des battements en ce point. Ce système musculaire
ystème nerveux, mais nous avons encore quelques considérations à vous
présenter
sur des actions extérieures du milieu ambiant. Ce
nd la mort arrive à la suite de ces affections, le tissu hépatique ne
présente
plus trace de matière sucrée. La mort emporte sou
ssement, les animaux commencent à s’engourdir ; on les retire, ils ne
présentent
plus que 19 degrés ; ils sont couchés sur le flan
mis à l’expérience, puisque celui que nous avons sacrifié à ce moment
présente
, ainsi que vous le voyez, du sucre dans son foie,
, et l’animal meurt au bout d’une heure à une heure et demie, sans en
présenter
la moindre trace dans le tissu hépatique. Il faut
t moins de matières solides. Au point de vue des matières solides que
présentent
le sérum et le caillot de chacun de ces deux sang
s, voici les résultats-que Lehmann a obtenus : Ici les chiffres ne
présentent
pas de grandes différences, mais on aperçoit touj
des veines hépatiques, aussi bien dans le sérum que dans le caillot,
présente
une plus grande proportion d’éléments solides que
s préparons ces dissolutions du sucre du foie. Son extraction directe
présente
les plus grandes difficultés à cause du grand nom
urine de celui qui a été saigné contient seule du sucre, l’autre n’en
présente
pas la moindre trace. Deux jours après on expérim
pin saigné contient beaucoup de sucre, celle du lapin non saigné n’en
présente
que quelques traces. On a encore fait l’expérienc
de son degré de concentration et de l’état de combinaisons qu’il peut
présenter
avec les matières qu’il rencontre. Toutes ces nua
dans les tableaux qui précèdent. On comprend alors quelle difficulté
présente
l’application des calculs à des phénomènes physio
ie ne contient encore aucune trace de sucre. D’un autre côté, le foie
présente
dans son tissu des quantités de sucre de plus en
ercent l’une sur l’autre ; mais, au bout d’un certain temps, l’animal
présente
les phénomènes d’une maladie grave ; il en résult
es de l’organisme. Messieurs, Nous saisissons, à mesure qu’elles se
présentent
, toutes les occasions de vous rendre témoins des
nières de voir sur les phénomènes physiologiques, à mesure qu’il s’en
présente
de nouveaux, vous comprendrez mieux l’espèce de r
oduction de cellules organiques isolées, dont certaines d’entre elles
présentaient
quelques-uns des caractères des éléments animaux.
t pas de traces de sucre, tandis que le sang des veines hépatiques en
présente
des quantités considérables. Nous tuons l’animal
eumo-gastriques, de ces deux animaux tués au même moment, celui-ci ne
présentera
pas la moindre trace de sucre dans son foie, tand
e ces mêmes animaux carnassiers, soit à jeun, soit en digestion, n’en
présente
pas de traces quand on fait l’expérience convenab
sucre, tandis que celui des veines hépatiques et le foie lui-même en
présentent
des quantités considérables. La conclusion toute
au bout, et en examiner une autre face par laquelle la critique s’est
présentée
, quoique d’une manière beaucoup moins franche. Un
’ancienne théorie de la provenance extérieure du sucre de l’organisme
présente
sa défense. C’est une argumentation en deux point
a eu les pneumo-gastriques coupés ; ils sont parfaitement sains et ne
présentent
pas de traces de pneumonie : cela tient à ce que
t en train. En attendant qu’elle s’achève, et puisque l’occasion s’en
présente
à propos des discussions qui s’élèvent autour de
onne pas lieu non plus à la fermentation. La première question qui se
présente
, c’est de savoir par quel mécanisme s’opère cette
ici simplement comme éliminateur. Mais il y a ici une question qui se
présente
, et qui se rattache trop directement à l’histoire
té dans ces organes au moins trois semaines après que les urines n’en
présentaient
plus la moindre trace. Les évacuations alvines pe
Quant aux urines que nous avons extraites avant l’opération, elles ne
présentent
ni l’une ni l’autre de ces réactions caractéristi
uver quelquefois, il y a d’autres liquides normaux ou anormaux qui en
présentent
des quantités plus ou moins considérables : ce so
observer un diabétique qui était mort d’apoplexie en une nuit, et qui
présentait
un hydropéricarde dont la sérosité était sucrée.
até que cette lymphe ne contenait pas de sucre, tandis que le sang en
présentait
une certaine proportion, comme cela a lieu pendan
diane du plancher du quatrième ventricule ; vous voyez que cet animal
présente
des désordres de mouvements que n’offrait pas cel
ir ne peut pas pénétrer dans le thorax. Fig. 19 L’opération ne
présente
aucun danger ; quand même il serait entré quelque
ons ouvert le ventre au moment où la surexcitation portée sur le foie
présentait
son summum d’intensité, nous avons vu qu’alors il
ette opération, tout le côté de la face correspondant à la section va
présenter
une activité de circulation beaucoup plus grande
s’il est très ordinaire que les diabétiques soient polyuriques, il se
présente
cependant des cas où l’on trouve du sucre dans le
re était simplement augmentée, et sous le nom de diabétiques ceux qui
présentaient
cette exagération dans la quantité des urines uni
tous les viscères qui ne sont pas soumis à l’influence de la volonté,
présenter
une activité plus grande que dans l’état normal.
enant beaucoup de sucre. Le sang de la jugulaire et de la carotide en
présentait
également des quantités notables. Il n’y a pas là
dans l’hypochondre droit, et qui, à la suite de cette blessure, avait
présenté
du sucre dans ses urines ; mais ce symptôme avait
opos, je dois encore vous signaler une cause d’erreur qui pourrait se
présenter
, si l’on employait le liquide cupro-potassique se
ion du nerf sympathique au cou, tout le côté correspondant de la tête
présenter
une circulation plus active et une température pl
on fit son autopsie : le foie contenait peu de sucre et l’urine n’en
présenta
plus du tout. Ainsi, chez ces deux lapins, outre
paralysé de tout le train postérieur au-dessous de la section, et il
présentait
des mouvements réflexes excessivement énergiques
duisaient pas sensiblement le réactif cupro-potassique ; la décoction
présentait
une teinte opaline et était neutre ou légèrement
le où s’insère le ligament cervical postérieur. La colonne vertébrale
présente
ici une inflexion vers la partie antérieure, en m
ente, et que nous avons tué le lendemain. Au moment de la mort, il ne
présentait
pas d’indice de sucre dans son foie. Voici, en ef
hèses nous auront fait découvrir. C’est précisément ici le cas qui se
présente
. Dès lors, donc, deux hypothèses sont possibles.
sous nos yeux, et qui aboutissent à la formation d’acide lactique, ne
présenteraient
pas comme intermédiaire la production d’une matiè
ent pas de trace de matière sucrée. Le lendemain, l’eau de macération
présentait
déjà une certaine proportion de sucre ; elle en é
s lactates de zinc, de cuivre et de chaux. Du reste, la liqueur acide
présente
toutes les propriétés physiques de l’acide lactiq
tandis qu’un muscle de la même partie du corps d’un fœtus très jeune
présente
du sucre en très grande quantité ; ce dernier liq
rté du sujet, de faire connaître ces tâtonnements inutiles. Mais cela
présente
alors, à l’esprit de celui qui ne fait que lire,
détermination des rapports entre les symptômes et les lésions qui se
présentent
dans un cas morbide. Quand on ne peut faire de te
ours. Il résulte donc de tout cela que le diabète sucré, tel qu’il se
présente
chez l’homme, avec sa gravité, est une maladie do
s les veines des animaux, les reins finissent par devenir malades. Je
présentai
, il y a trois ans, à la Société de biologie, les
ar conséquent avait dû éliminer l’excès de sucre injecté. Ces organes
présentaient
évidemment des traces d’inflammation, et dans le
es substances autres que le sucre, et peut-être même ces résultats se
présenteraient
-ils après des injections d’eau pure répétées long
sucre ? D’une part, par l’augmentation du volume de l’organe, qui se
présente
très gorgé de sang, et d’autre part, par la quant
sang, et d’autre part, par la quantité plus considérable de sucre que
présente
son tissu. Nous sommes porté à penser que chez le
tions, à faire son autopsie, le foie ne contient plus de sucre, et ne
présente
pas non plus de traces d’hypertrophie. J’ai fait
rts dans cet état, et le foie, comme dans la plupart des cadavres, ne
présentait
pas de sucre, et il n’y avait pas de différence s
cette autopsie et celle d’un phtisique ordinaire. C’est là ce qui se
présente
quand la phtisie est lente ; mais j’ai vu un cas
rouvé le pancréas excessivement petit et très atrophié, sans pourtant
présenter
d’autres altérations que cette diminution de volu
les mêmes conditions, on verra que celui qui a perdu tout son sang ne
présente
plus dans ces organes la moindre trace de sucre,
céphalorachidien, constamment sucré, même à l’état normal, paraissent
présenter
une plus grande proportion de sucre que le reste
la chorée, etc. On remarque, en effet, que la plupart des diabétiques
présentent
généralement quelques désordres émanant du centre
sucre dans les urines. Or, dans ces actions sympathiques, il peut se
présenter
deux cas qui deviendront deux causes de diabète :
qu’on leur donne des matières féculentes ou saccharoïdes, les urines
présentent
aussitôt de grandes quantités de sucre qui ne son
ns la vessie. Dans un cas, en examinant l’urine d’une femme qui avait
présenté
pendant l’accouchement des phénomènes d’éclampsie
bles de sucre, qui me parut être du sucre de lait, parce que ce sucre
présentait
tous les caractères du glucose, sauf la fermentat
ns lequel, non seulement le sucre est beaucoup plus abondant, mais se
présente
accompagné d’autres phénomènes. Il y a ici à fair
alades goutteux, dont les urines contiennent beaucoup d’acide urique,
présenter
tout à coup le symptôme des diabétiques, et les u
données physiologiques. En même temps que les urines des diabétiques
présentent
du sucre, elles offrent encore d’autres caractère
é ; il peut arriver alors que, pendant un certain temps, le malade ne
présentera
plus le symptôme de la glycosurie. Ainsi, je conn
e sucre par le noir animal, le liquide parfaitement limpide qui passe
présente
avec le réactif une réduction parfaitement éviden
étaient assurés de leur point de départ, ils auraient reculé avant de
présenter
des argumentations qui pèchent par la base d’une
nimaux nourris avec des substances végétales (pommes de terre cuites)
présentent
évidemment du sucre dans le sang de leur veine po
de chimie à la Faculté de médecine. Voici ce travail, tel qu’il a été
présenté
à l’Académie. Recherches sur la fonction glycog
ments de souvenirs brisés que la mémoire ramasse çà et là, et qu’elle
présente
à la conscience du dormeur sous une forme incohér
rrière les souvenirs qui viennent se poser ainsi sur notre occupation
présente
et se révéler au moyen d’elle, il y en a d’autres
Mais supposez qu’à un moment donné je me désintéresse de la situation
présente
, de l’action pressante, enfin de ce qui concentra
ceux qui pouvaient invoquer des rapports de parenté avec la situation
présente
, avec mes perceptions actuelles. Maintenant, ce s
accumulée, et que tu l’amènes, par un resserrement soudain, à ne plus
présenter
au son entendu qu’un seul de ses points, le souve
enfermer dans le très petit cercle que tu traces autour de ton action
présente
. Cela c’est veiller, c’est vivre de la vie psycho
autre effet de la même cause. En quelques secondes, le rêve peut nous
présenter
une série d’événements qui occuperait des journée
marque de l’effort. Telles sont les observations que je voulais vous
présenter
au sujet des rêves. Elles sont bien incomplètes.
st le souhait que je lui adresse en terminant. 9. L’idée que nous
présentons
Ici a fait du chemin depuis que nous la proposion
ud a consacré un si grand nombre d’études. À l’époque où fut faite la
présente
conférence, l’ouvrage de Freud sur les rêves avai
e volonté sur lui-même, de contrôle sur ses facultés. Je ne puis donc
présenter
ici du talent de M. Barrière que ce que j’en ai p
’art lui manquent absolument. Il ne sait ni combiner, ni composer, ni
présenter
ses sujets. Ses drames nous ramènent à l’enfance
ation n’a pas été amenée, et qu’il est terminé aussitôt qu’elle s’est
présentée
, fût-ce même dès la première scène. Dans Cendrill
ge de M. Plumet, il se trouve que la situation conçue par l’auteur se
présente
dès la première scène, de sorte que cette premièr
rêt, et qu’il n’y a qu’à copier toutes les formes que la réalité nous
présente
. Ainsi fait-il. Il descend bravement, le crayon e
époques antérieures, et si l’on comptait bien, on trouverait qu’elle
présente
— en menue monnaie, il est vrai, — une somme de t
outes nos observations et de toutes nos expériences. Quelques-unes se
présentent
sous une forme philosophique et didactique, ce so
it désintéressées et où notre âme n’est que spectatrice ; d’autres se
présentent
sous une forme romanesque, ce sont celles où notr
aviez dépensés, mais sur l’étiquette et l’étoffe du sac où vous aviez
présenté
vos trésors. Vous vous appeliez Prévost, et vous
aucun ordre de pensées et de sentiments dans leur ensemble, mais qui
présentent
des observations de détail avec une vérité souven
té cependant la précision, l’exactitude avec lesquelles ce détail est
présenté
sont pour faire souvent hésiter. Notre nouvelle l
premières. Chaque circonstance nous est expliquée à mesure qu’elle se
présente
, chaque secret de l’âme élucidé ; l’auteur nous f
nts du xixe siècle ? Mais le châtiment ne se fait pas attendre et se
présente
sous la forme de l’hallucination. L’erreur de l’é
s et plus sûrs de s’insinuer dans de telles âmes ; le châtiment ne se
présente
pas à heure fixe sous la forme grossière et banal
ers une vingtaine de volumes, tout ce que nous avons cru digne d’être
présenté
au lecteur et recommandé à son attention, car ces
jusqu’aux limites du chimérique, car il est préoccupé tout autant de
présenter
un spectacle séduisant qu’un spectacle vrai. Amou
on originale, mais parce que la fantaisie errante de son esprit lui a
présenté
un sujet que son imagination peut exploiter. Ce d
Carnioli n’est pas un personnage moins vrai que Léonora, quoiqu’il se
présente
avec des allures un peu trop excentriques. Il rep
écit, combien cette coutume, aujourd’hui universellement répandue, de
présenter
la même idée sous deux formes aussi différentes q
remment à toutes les formes ; il est impossible qu’une idée qui s’est
présentée
à la pensée d’un auteur sous la forme d’un roman
uillet comme le premier des poètes et des romanciers de la génération
présente
. Décembre 1858. II. Sibylle M. Octave Feui
ge fatal ; M. Feuillet les détache adroitement de l’arbre et les leur
présente
d’assez près pour en faire admirer l’éclat et les
ne de ses thèses favorites est de montrer que ces caractères que l’on
présente
comme reposant sur un fondement faux ou comme per
u le difficile sujet qu’il avait choisi, l’image même de son héros se
présente
à la pensée, et l’on se dit que certes M. de Camo
tragédie, émouvante autant qu’elle est ancienne, que l’histoire nous
présente
sous mille formes différentes, que les poètes et
n des poètes et des romanciers, c’est à cause du caractère même qu’il
présente
, et qui le leur aura fait négliger comme incapabl
ous essayerons d’en sortir en quelques mots. Les poètes aiment à nous
présenter
de préférence les catastrophes amenées par le des
force contre laquelle il est vain de lutter ; la pitié, puisqu’elles
présentent
une victime innocente qui ne mérite en rien les m
dits auxquels s’adresse cette observation le phénomène instructif que
présentèrent
les longs siècles de Rome impériale. Plus la soci
mors au château du général de Campvallon jusqu’à la scène de l’orage,
présente
une suite de tableaux d’un coloris lin et gai, d’
élargissant encore le cadre de ce genre où il est passé maître, nous
présente
donc une troisième forme de son talent, qu’il ait
ation quotidienne ne nous montre jamais, et dont la vie mondaine nous
présente
tout au plus des ombres, celle que nous n’atteign
tique doit savoir reconnaître la beauté sous quelque forme qu’elle se
présente
à lui, que la valeur d’une œuvre est indépendante
our, notre tâche se trouve fort simplifiée. Nous nous contenterons de
présenter
ces idées au lecteur, et si de temps à autre nous
beauté de ce cheval. Et d’abord il se heurte contre l’obstacle qui se
présente
à la première inspection d’une grande œuvre d’art
nd qui caractérise les personnages de Léonard de Vinci s’est toujours
présenté
à mon esprit toutes les fois qu’il m’est arrivé d
voir peut seul répondre à des difficultés si nombreuses ; mais ici se
présente
une objection qu’on a déjà faite très souvent, et
sur une fausse image de leur emploi et de leur destination ? Ceux qui
présentent
cette objection, prenant certaines expressions mé
e qui n’offre aucun des caractères de l’effort personnel, mais qui se
présente
comme le résultat lent et naturel de l’éducation
ure qui ne nous laisse démêler une de ses obscurités que pour nous en
présenter
immédiatement une nouvelle : un Œdipe roi, un Ham
ne façon très particulière, et qui suffit à caractériser la situation
présente
. Ces nouveaux venus sont arrivés un à un, success
ieuse, et de ce nombre sont les trois noms que nous nous proposons de
présenter
particulièrement à nos lecteurs. Avant de se révé
ui doit reconnaissance, car elle ne pouvait rencontrer un peintre qui
présentât
d’elle une image plus aimable, plus épurée de tou
que son rival plus heureux a perdu par sa conduite coupable. Pour se
présenter
sans prétention, le personnage, vous le voyez, n’
ant aux deux genres de célébrité qu’elles procurent. Il en est qui se
présentent
tellement complètes, qui épuisent si absolument l
de grande composition à laquelle il pût prétendre, le Petit Chose en
présentait
donc le modèle parfait, aurait-on pu assurer sans
putation d’Alphonse Daudet. Certainement M. Daudet a eu Madame Bovary
présente
au souvenir pendant qu’il écrivait Fromont jeune,
ns qu’il ne faille nous contenter longtemps de romanciers qui ne nous
présentent
de notre état social actuel que des tableaux part
se accomplir sur lui-même. Pensez un peu : voici un personnage qui se
présente
devant vous, et sans qu’il s’annonce ni s’expliqu
s compreniez quels sont sa nature, son caractère, sa situation morale
présente
, ses ressources pour lutter avec les difficultés
upart de nos auteurs en vogue, y compris celui qui fait l’objet de la
présente
étude, l’ont jugée trop ardue, et qu’à l’imitatio
qu’aucune de ses actions ne démente le caractère sous lequel il s’est
présenté
devant le spectateur. Enfin, dernière et suprême
combien ses ressources sont plus variées ! Lui n’a pas qu’un moyen de
présenter
et de créer ses personnages, il en a trois : le d
ulance, où l’auteur réussit à produire l’illusion du scandale sans en
présenter
la réalité, et à faire crier au loup là où, vérif
inspiration, au risque de rester incompris et d’échouer lorsqu’il se
présenterait
devant le public. Le spectateur vient au théâtre
rs ou de cruelles lubies ? C’est avec ces qualités seules qu’il s’est
présenté
à l’origine devant le public ; point n’est besoin
er la moralité élémentaire des livres à l’usage de la jeunesse, et de
présenter
la bonne foi punie et le vice amnistié. J’indique
oidis par les affaires italiennes, lorsque la comtesse Séraphine vint
présenter
au Gymnase le spectacle de ses tardives dévotions
ez rajeuni en moi les sensations romantiques6 » ; je me permettrai de
présenter
le même compliment à M. Sardou. Ah ! que voilà do
t que ceux qui ont accordé leur admiration au tableau où M. Laurens a
présenté
d’une manière si saisissante les effets de l’exco
e. Nul mieux que lui n’excelle à s’emparer d’une idée dramatique déjà
présentée
sous une autre forme, à la repenser de nouveau, à
lan, une logique de déduction que ses œuvres précédentes n’ont jamais
présentées
à ce degré. L’intrigue a marché cette fois sans d
entrer dans l’analyse de cette œuvre, que tout Paris a vue à l’heure
présente
. Suivre le développement de l’action scène par sc
amatique en une seule fois et d’un jet heureux. Nous nous bornerons à
présenter
à l’auteur deux observations. Il nous semble qu’i
l en pouvait faire. Il tenait, s’il l’eût voulu, un caractère, il n’a
présenté
qu’un instrument d’action. Zicka pouvait et même
de tous nos auteurs dramatiques contemporains celui dont la nature se
présente
avec le plus parfait équilibre de facultés. D’aut
it littéraire, une fois créé tire profit de tous les incidents qui se
présentent
sans souci aucun des nuances, on aurait peine à c
elles étaient suffisamment solides pour résister ; mais le romantisme
présentait
des parties plus vulnérables que ses doctrines, p
s fleurs dont il a essayé de l’égayer, l’intérieur bourgeois que nous
présente
le poète est si morne, que cette peinture donne p
jeunesse comme sur les autres âges de la vie. Cela est vrai à l’heure
présente
, cela l’était bien davantage encore à l’époque où
les de sa proie, il était singulièrement aisé de forcer la note et de
présenter
ce plus immoral de tous les spectacles, un amour
it abandonné, se précipite avec désespoir dans le mariage qui lui est
présenté
, pendant que sa maîtresse, exaspérée en voyant to
e de M. Poirier. Ce n’est pas un phénomène transitoire dont elle nous
présente
le tableau, elle s’attaque à ce qu’il y a de plus
en hostilité difficilement conciliable ce que le Gendre de M. Poirier
présente
comme un malentendu effaçable par l’amour et la m
endant n’y a-t-il pas quelques discordances dans cette pièce qui nous
présente
le monde des aigrefins titrés de Maître Guérin et
n certain genre d’esprit que le reste du théâtre de M. Augier ne nous
présente
pas avec autant d’accent, il est assez naturel d’
plus futile circonstance, le naturel reprend le dessus. Un intrus lui
présente
des diamants, et, oublieuse de sa fortune nouvell
itent l’expression de bonshommes dont nous nous sommes servi pour les
présenter
au lecteur. Dans Maître Guérin au contraire, M. A
sans avoir pour cela un cachet d’individualité très exceptionnel, ils
présentent
un certain air de famille qui les fait au bout de
té de lui en donner un nouveau. Les personnages dont son théâtre nous
présente
la liste sont bien nombreux : il n’en est cependa
ui visent avant tout à la vérité. Voyons donc quelles images ils nous
présentent
de nous-mêmes, et quelles leçons nous pouvons tir
l’attester. Eh bien ! je doute que si quelque ingénieux ami leur eût
présenté
ce personnage de Montjoye comme un sujet bon à ex
personnage n’était qu’un objet de scandale, passe, nous pourrions le
présenter
au public ; mais il est encore, il est surtout et
s ne pouvons nous empêcher de poser un point d’interrogation avant de
présenter
au lecteur le personnage qui donne son nom au dra
on personnage principal et devant l’habileté avec laquelle il a su le
présenter
et le faire accepter du public. C’était une tâche
iques et dans le courant de notre époque. Les personnages qu’ils nous
présentent
sont placés à une telle distance du milieu de la
its. Cette espèce de vulgarisation du sacrifice que M. Vacquerie nous
présente
dans la personne de Jean Baudry serait mortelle à
actères vicieux et d’âmes perverses dont le théâtre contemporain nous
présente
la peinture, non plus que de ces situations vigou
disions-nous donc tout à l’heure que le théâtre contemporain ne nous
présentait
rien qu’il ne nous eût déjà montré depuis des ann
en qu’il ne nous eût déjà montré depuis des années ? Mais si, il nous
présente
quelque chose de très nouveau, le mari coupable e
eût une âme, nos dramaturges se sont obstinés pendant des années à la
présenter
comme la source et la cause de tous les désordres
s il y a une très grande différence dans les manières dont elles sont
présentées
, et dans cette différence le tempérament dramatiq
e vraiment noble, et ce n’est qu’une péronnelle sentimentale que nous
présente
M. Dumas. La morale véritable, celle qui ne s’ens
côté de parties vigoureuses et excellentes, ces drames n’ont-ils pas
présenté
des parties languissantes ou bizarres ? Il y a do
e l’ensemble du drame, qui dans sa confusion et par sa confusion même
présente
, sous ses formes bourgeoises et sa réalité trivia
maginaires, à raconter, si l’on fait une narration, une difficulté se
présente
. Avant même qu’on y ait mis la main, la nature de
e indiquer le temps, le lieu, toutes les circonstances particulières,
présenter
les personnages, marquer les caractères, annoncer
e fond de leur âme sans en avoir l’air. De là vient la difficulté que
présente
à manier la forme du dialogue. S’il suit la réali
’est pas aisé d’y réussir : on voit des hommes de talent, au théâtre,
présenter
des personnages qui sont à tour de de rôle de pla
d’abord la solution ou les solutions de la question que d’autres ont
présentées
ou peuvent présenter, et que vous ne croyez pas d
u les solutions de la question que d’autres ont présentées ou peuvent
présenter
, et que vous ne croyez pas devoir accepter : en l
e du sein même de notre premier père une nouvelle créature, et la lui
présente
à son réveil : « La grâce est dans sa démarche, l
a est beaucoup moins surprenant. Quelles calamités cette tranquillité
présente
de la nature ne fait-elle point entrevoir dans l’
te raison, c’est la patience de Dieu. Lorsque la mère du genre humain
présente
le fruit de science à son époux, notre premier pè
’une pénible insomnie ( as from unrest ). C’est alors que le péché se
présente
à eux. « Qu’avons-nous fait ? s’écrie Adam ; pour
cents montent au séjour céleste, et le Fils se charge lui-même de les
présenter
à son Père. On admire avec raison dans l’Iliade l
ivée à Londres, elle poussa la curiosité jusqu’à désirer de plus être
présentée
à la Cour. On a, sur ce point, les détails les pl
ar suite de ce sens dessus dessous universel qui caractérise l’époque
présente
. Depuis ces deux derniers mois, le pape a été brû
a dîné avec le lord maire de Londres, et voilà la veuve du Prétendant
présentée
à la reine de la Grand-Bretagne. » Horace Walpol
quelques jours après à dîner par le prince de Galles ; elle avait été
présentée
à mistress Fitzherbert, maîtresse du prince. Hora
s. Elle baissa d’un cran. Un jeune peintre, élève de David, avait été
présenté
à elle et à Alfieri dans les dernières années : F
et volontiers paradoxal. Simond, l’auteur du Voyage en Italie, nous a
présenté
également Fabre sous cet aspect, — un connaisseur
en Italie d’illustre et de distingué allait à Florence et se faisait
présenter
chez Mme d’Albany. La quantité de lettres à elle
teaubriand, à son premier voyage d’Italie, vit la comtesse et lui fut
présenté
en 1803, dans le temps même de la mort d’Alfieri
ait avec dignité et politesse. » Heureusement un autre poète, qui fut
présenté
à la comtesse en 1810 ou environ, et qui l’a revu
ganisme. Si, par exemple, un millier de rhumatisants, pris au hasard,
présente
une mortalité sensiblement supérieure à la moyenn
fet cette conséquence, il peut se faire que les inconvénients qu’elle
présente
soient compensés, et au-delà, par des avantages q
ées par des termes différents. Nous appellerons normaux les faits qui
présentent
les formes les plus générales et nous donnerons a
toujours possible de trouver quelle est la forme la plus générale que
présente
un phénomène dans une espèce déterminée. On voit
tte dénomination, il ne suffit pas d’observer sous quelle forme il se
présente
dans la généralité des sociétés qui appartiennent
es, c’est évidemment que, dans la moyenne des cas, les sujets qui les
présentent
ont plus de difficulté à survivre. La plus grande
, alors, que les apparences de la normalité ; car la généralité qu’il
présente
n’est plus qu’une étiquette menteuse, puisque, ne
augmentation est de près de 300 %. Il n’est donc pas de phénomène qui
présente
de la manière la plus irrécusée tous les symptôme
, il est inévitable aussi que, parmi ces divergences, il y en ait qui
présentent
un caractère criminel. Car ce qui leur confère ce
ins. De ce point de vue, les faits fondamentaux de la criminologie se
présentent
à nous sous un aspect entièrement nouveau. Contra
lacée. Ce serait donc dénaturer singulièrement notre pensée que de la
présenter
comme une apologie du crime. Nous ne songerions m
cheik afghan, remarquablement intelligent, de passage à Paris, ayant
présenté
dans le numéro du 18 mai 1883 du Journal des Déba
ur moi quand je comparais cette frappante apparition au spectacle que
présentent
les pays musulmans en-deçà de la Perse, pays où l
que l’Afghanistan est de toute l’Asie, le Japon excepté, le pays qui
présente
le plus d’éléments constitutifs de ce que nous ap
grande partie de leurs inconvénients. Tout cela est utopie à l’heure
présente
; tout cela sera réalité dans l’avenir. Comment c
elquefois énergique, & sur-tout une manière de concevoir & de
présenter
les choses, qui en fait un Auteur original. C’est
Christianisme. Il est vrai que la manière de procéder de Charron peut
présenter
d’abord l’idée de Scepticisme aux esprits superfi
mbien il étoit éloigné de ces ruses si rebattues aujourd’hui, où l’on
présente
les difficultés avec plus de complaisance que les
ipales des Saints que l’Eglise révere dans ses Fastes, mais encore de
présenter
dans l’ensemble de l’Ouvrage un tableau assez sui
mp; a le mérite d’être toujours proportionné aux divers objets qui se
présentent
à traiter. Cette Traduction nous a paru mériter u
Les faits qu’il raconte sont appuyés sur des preuves incontestables,
présentés
sans enthousiasme, & dirigés d’une maniere tr
ctuel ne comprend que ces événements, et, à l’analyse, ces événements
présentent
tous ce caractère commun qu’ils sont déclarés int
xprime aussitôt l’horreur et l’effroi. Les souvenirs ordinaires ne se
présentent
plus ou sont trop faibles pour exercer la répress
il se souvient à faux de meurtres qu’il n’a point faits. D’autres cas
présentent
l’illusion inverse. Cette fois, nous ne nous trom
alors en deux, parce que les deux séries partielles qui la composent
présentent
des caractères distincts ou même opposés. Parfois
n jeu. En premier lieu, ce qui constitue le souvenir, c’est une image
présente
qui paraît sensation passée et qui, par la contra
tatant les lois qui régissent la renaissance des images, ma sensation
présente
tend à évoquer l’image de la précédente qui lui e
; cette file s’oppose aux autres groupes, parce que tous ses éléments
présentent
un caractère constant qui, étant toujours répété,
Maintenant, par une suggestion forcée, lorsqu’un corps extérieur nous
présente
les conditions et les effets du nôtre, le groupe
pe d’images ; couples encore plus vastes dans lesquels une sensation,
présente
, avec son cortège d’images, refoule dans le passé
ental, quand son premier terme est répété exactement par la sensation
présente
, a pour second terme une prévision. Quel est le m
essuscitant de sensation visuelle, en d’autres termes, dans une image
présente
. Celle-ci apparaît comme sensation future et s’em
oin que nous remontions dans notre passé, la première ne s’est jamais
présentée
sans être suivie de la seconde, ni la seconde san
stérieur au premier. — Or, en ce moment, le premier est une sensation
présente
; donc le second doit nous apparaître comme posté
; donc le second doit nous apparaître comme postérieur à la sensation
présente
, c’est-à-dire comme futur. De cette façon, notre
a vie, n’améliore sa condition que par l’accord exact de sa prévision
présente
et de l’avenir prochain ou même lointain. — Si pa
hui, avec leur libertinage raffiné et froid, où le thème scabreux est
présenté
toujours dans l’abstrait, hors de toute peinture
quises : il n’y en a nulle part d’aucune sorte que les Fables ne nous
présentent
dans une intensité ou une perfection supérieures.
is, selon la tradition du genre, les hommes ne sont pas à l’ordinaire
présentés
dans leurs formes et leurs actes d’hommes : toute
toutes les impossibilités deviennent vraisemblables ; les symboles se
présentent
déjà tout chargés de sens, et taillés à la mesure
mer le tableau merveilleux, d’une couleur si sobre et si intense, que
présente
le début de la fable. C’est en lui, non dans son
publie une traduction de l’Eunuque de Térence. Son parent Janmart le
présente
à Fouquet, qui le pensionne. Après la disgrâce de
l a raconté son voyage dans des lettres à sa femme. Plus tard, il est
présenté
à la duchesse de Bouillon, exilée dans sa terre d
ous nous proposons d’étudier l’idée de loi naturelle telle qu’elle se
présente
à nous aujourd’hui, de l’interpréter philosophiqu
s résultats. Nous prendrons les lois telles que les sciences nous les
présentent
, réparties en groupes distincts. Nous étudierons
considérées comme venant exclusivement de l’expérience : celle-ci ne
présente
pas de groupements analogues aux concepts, et le
coup sûr, le type le plus parfait de la nécessité absolue, mais elle
présente
un minimum d’objectivité. Elle régit la surface d
mathématiques ? Si elles étaient connues entièrement a priori, elles
présenteraient
une parfaite intelligibilité. Or, elles impliquen
athématiques, en dépit des difficultés que la réalisation de l’infini
présente
à l’intelligence : c’est de dire que la loi du ré
ées précisément pour lever autant que possible les contradictions que
présentent
les phénomènes. Selon d’autres, la substance des
notre vie intellectuelle. En fait, l’histoire de la philosophie nous
présente
aussi bien des esprits tournés vers le multiple e
oute de la pensée individuelle, mais de la pensée humaine universelle
présente
en chaque conscience individuelle ; et l’esprit i
ue la raison construit et unifie a priori. Mais on peut, semble-t-il,
présenter
une objection voisine de celle-là. Ou les lois qu
pas étrange si l’on se rappelle que ces concepts, soumis à l’analyse,
présentent
des éléments réfractaires à la pensée. Une troisi
orce, c’est-à-dire une essence métaphysique, laquelle, en définitive,
présente
une certaine analogie avec nos âmes. Mais ce syst
de suspendre l’efficacité du libre arbitre à des spéculations qui ne
présentent
pas une évidence parfaite. Mais une distinction i
r comme absolue. En effet, soit un ensemble de forces. Ou ce système,
présente
des solutions de continuité, ou il est clos de to
umière, à cause des difficultés graves et même des contradictions que
présente
la conception de l’éther lumineux. De même, dit-i
ir. D’une manière générale, ou soutient que l’atome est l’élément qui
présente
au plus haut degré possible la réunion de la réal
s analyser et de les répartir en catégories. Cette période analytique
présente
une grande analogie avec la période psychologique
ou chimique, et celles qui ne sont pas intelligibles ». Le mécanisme
présente
donc des lacunes ; certains aspects de l’être viv
mais, par un autre côté, qui est proprement le côté physiologique, il
présente
des caractères irréductibles. Chaque ordre de sci
e et ordonne cette matière instable et capricieuse. Comme les espèces
présentent
une stabilité et une harmonie frappantes, elles d
s cette vue, prendre en considération tous les caractères que peuvent
présenter
les animaux : caractères extérieurs, structure an
ité de l’ordre logique et de l’ordre historique. En France, Condillac
présente
son système de transformation comme historique au
e, non plus les éléments simples des choses, mais les phases qu’elles
présentent
dans le temps. Ces idées se firent jour en zoolog
ut vite un succès immense ; mais on ne tarda pas à s’apercevoir qu’il
présentait
des lacunes. Il ne remonte pas jusqu’aux causes d
ncipes, et se proposent surtout, dans leurs systèmes de la nature, de
présenter
le tableau des relations logiques qui relient les
saurait surtout attribuer une grande valeur à l’explication que l’on
présente
, tant qu’on s’en tient à la considération de l’ét
ransformisme, n’en font pas partie. Au contraire, le transformisme se
présente
à nous comme une philosophie grosse de conséquenc
du passé sur le présent, conformément à la loi d’inertie. L’hérédité
présente
une succession d’êtres relativement semblables en
s. Mais l’objection principale que soulève le darwinisme, c’est qu’il
présente
une lacune. Il identifie la sélection naturelle a
pliquer et être exempt de lacunes. L’évolutionnisme, au contraire, se
présente
comme un système complet, à la fois scientifique
es touts semblables pour l’essentiel aux objets que l’expérience nous
présente
. Or, soit que l’on suive la direction de Bacon, s
juxtaposant et se dissociant comme les pierres d’un édifice ? Ce qui
présente
des propriétés de ce genre, ce sont les mots et l
cité du vouloir comme tel. Cette négation est-elle légitime ? Elle se
présente
à nous tout d’abord comme une fin de non-recevoir
nt. Reste ensuite à appliquer ces principes aux différents cas qui se
présentent
dans le monde, comme le mécanicien applique les p
ce concrète qui doit être la base de toutes les autres, la mécanique,
présente
des éléments irréductibles aux pures déterminatio
ner à Versailles, centre de toute abondance et de tout éclat. On en «
présente
» chaque année une centaine, hommes et femmes143,
e race. Un homme, pour suivre le roi à la chasse, une femme pour être
présentée
à la reine, doit établir au préalable, devant le
ier 1775 la reine « a compté au-delà de deux cents femmes qui se sont
présentées
pour lui faire leur cour ». En 1780, à Choisy, il
esprit-de-vin sur les mains dans une assiette de vermeil, puis on lui
présente
le bénitier ; il fait le signe de croix et dit un
chausse ses mules. Le grand chambellan et le premier gentilhomme lui
présentent
sa robe de chambre ; il l’endosse et vient s’asse
er flot. Il y a tout un règlement pour cette chemise. L’honneur de la
présenter
est réservé aux fils et aux petits-fils de France
, comme les princesses à celui de la reine178. Enfin voilà la chemise
présentée
; un valet de garde-robe emporte l’ancienne ; le
offre la soucoupe au roi, qui choisit. Enfin le maître de garde-robe
présente
au roi son chapeau, ses gants et sa canne. Le roi
combien d’autres, il a pour invités à demeure tous les gentilshommes
présentés
. Et ne croyez pas que cette suite soit mince183 :
as que cette suite soit mince183 : le jour où M. de Chateaubriand est
présenté
, il y en a quatre nouveaux, et « très exactement
isposé et qu’on lui apporte un bouillon, s’il est malade et qu’on lui
présente
une médecine, « un garçon de chambre appelle tout
ts la moitié de ces résidences. Au Palais-Royal, toutes les personnes
présentées
peuvent venir souper les jours d’opéra. À Château
» — Deux ou trois cents maisons à Paris, à Versailles et aux environs
présentent
un spectacle semblable. Jamais de solitude ; c’es
it bleu-de-roi et sa croix de Saint-Louis pour pouvoir, à l’occasion,
présenter
ses devoirs au grand seigneur son voisin ou au pr
irie). 143. Waroquier, État de la France (1789). Liste des personnes
présentées
de 1779 à 1789, 453 hommes et 414 femmes, t. II,
e Chantilly, le 29 août 1687 ». 147. Mémoires, I, 221. Il avait été
présenté
le 19 février 1787. 148. Pour tous les détails s
l que pour le roi au sujet de la chemise. Un jour d’hiver, Mme Campan
présentait
la chemise à la reine ; la dame d’honneur entre,
lières ne peuvent différer entre elles qu’en degrés, suivant qu’elles
présentent
plus ou moins complètement les traits constitutif
les diverses manières dont ils se combinent dans les cas particuliers
présentent
des ressemblances assez franches et des différenc
ment est actuellement réduite à un segment unique, mais encore qui ne
présente
aucune trace d’une segmentation antérieure. La ho
era par classer les sociétés d’après le degré de composition qu’elles
présentent
, en prenant pour base la société parfaitement sim
que, au-delà des caractères les plus généraux et les plus simples, ne
présente
pas de contours aussi définis qu’en biologie57.
es caractères plus constants. L’état économique, technologique, etc.,
présente
des phénomènes trop instables et trop complexes p
intelligence sont bornés : ils ne vont pas au-delà de la satisfaction
présente
des besoins les plus grossiers. « Pour tous ces ê
de l’humanité est ainsi divisée. Dans un temps donné une solution est
présentée
en rapport avec sa raison, à cette époque ; elle
es plus grands désordres auraient lieu si une nouvelle solution ne se
présentait
. Il faut donc travailler à la chercher. « Il ne p
ciété un certain nombre d’hommes ayant foi à la solution qu’elle leur
présentait
, et se dirigeant d’après cette croyance. Pourquoi
te action d’ensemble, toute coordination a cessé, et où la société ne
présente
plus qu’une agglomération d’individus isolés et l
’auteur de ces Odes. Ce n’est pas sans une défiance extrême qu’il les
présente
à l’examen des gens de goût ; car, s’il croit à d
temps, parmi les clameurs des deux armées. Des conciliateurs se sont
présentés
avec de sages paroles entre les deux fronts d’att
s qu’il faudrait s’étonner, et d’un étonnement sans bornes ? — Ici se
présente
une objection spécieuse et déjà développée avec u
s de Jérusalem, et qui ne se tairont ni jour, ni nuit. La littérature
présente
, telle que l’ont créée les Chateaubriand, les Sta
il est inutile de les multiplier. Si de pareilles fautes de vérité se
présentent
fréquemment dans nos meilleurs auteurs, il faut s
és. — Je ne vendais pas, et je ne vends pas, parce qu’il ne s’est pas
présenté
en dix ans et qu’il ne se présente pas même aujou
ends pas, parce qu’il ne s’est pas présenté en dix ans et qu’il ne se
présente
pas même aujourd’hui un seul acquéreur. Comment v
e sont, au contraire, des capitalistes hostiles et avides, ceux-là se
présenteront
encore moins pour acheter mes domaines à l’amiabl
que, quand on nomme ce peuple, sur-le-champ le personnage national se
présente
à la pensée et dit : « C’est moi. » Aussi rendez-
e son génie et par l’étendue de ses connaissances. Elle voit qu’on ne
présente
à l’empereur que des Mémoires écrits dans le styl
essus dans l’histoire ; et le lendemain ou surlendemain ce savant lui
présente
un Mémoire raisonné, où elle voit ce qui a réussi
eur ensemble, dont il lui est si aisé de se faire le commentaire, lui
présentent
un miroir où il se voit tel qu’il est et tel que
mmandé, pour ainsi dire, par les lois, parce que, quand quelqu’un est
présenté
à l’empereur pour être promu à un emploi, il doit
re grand-électeur de l’empire. Un lettré d’un ordre inférieur osa lui
présenter
sur le chemin une requête conçue en termes irresp
l’importante affaire de la succession à l’empire ; je l’ai sans cesse
présente
à l’esprit. L’année trente-huitième de Kien-long
ire, et qu’ils ne voulaient que jouir des prétendus avantages qu’elle
présente
, quand on a en vue une vaine prééminence sur les
viens de l’entretenir ; j’attendais, pour le faire, que l’occasion se
présentât
; elle s’est enfin présentée, et j’en ai profité.
endais, pour le faire, que l’occasion se présentât ; elle s’est enfin
présentée
, et j’en ai profité. « Lorsque je serai parvenu à
. J’ai fait cet écrit à l’occasion de l’insolente requête qui m’a été
présentée
par le lettré de Mouk-den. Outre les absurdités r
e connaissons pas en Europe, et que l’Amérique seule pourra peut-être
présenter
un jour à nos descendants, si le principe de la l
dividus d’origine identique, malgré les différences considérables que
présentent
souvent, soit les mâles et les femelles, soit les
peu de conséquence qu’elles soient au point de vue physiologique, se
présentent
constamment ensemble dans des groupes entiers et
té. Une pareille classification est toujours possible, et le cas s’en
présente
souvent, tant qu’un nombre suffisant de caractère
tions successives, il se fait que les plus anciennes formes de la vie
présentent
souvent des caractères jusqu’à certain point inte
Waterhouse a remarqué que, lorsqu’un animal, appartenant à un groupe,
présente
quelque affinité avec un groupe très distinct, ce
de quelque espèce très ancienne de l’ordre des Marsupiaux, qui aurait
présenté
des caractères jusqu’à certain point intermédiair
tous les caractères analogiques ou de pure adaptation qui peuvent se
présenter
, bien que ces mêmes caractères nous soient utiles
ainsi chaque animal et chaque plante. Au contraire, l’explication se
présente
d’elle-même dans la théorie de la sélection natur
es élémentaires d’un certain nombre de vertèbres, c’est-à-dire qu’ils
présentent
le même nombre de ces parties dans la même positi
que autre appendice plus simple, le fait étonnant que l’organe actuel
présente
de nombreuses ressemblances de structure avec l’o
re de trois jours, j’ai reconnu que ces derniers étaient bien loin de
présenter
les mêmes différences proportionnelles. Comme il
gers et des Culbutants. Quelques-uns de ces oiseaux, à l’état adulte,
présentent
des différences si considérables dans la longueur
et ont sécrété du lait. De même, chez le genre Bos la mamelle unique
présente
quatre mamelons développés et deux rudimentaires
e-alliées qui possèdent toutes un même rudiment d’organe, ce rudiment
présente
quelquefois des degrés très divers de développeme
gie, nous devons nous attendre à y trouver, et lors même qu’ils ne se
présentent
que de temps à autre chez des individus monstrueu
dimentaires, imparfaits et inutiles, ou complétement avortés, loin de
présenter
des difficultés insolubles, comme ils le font cer
huppées ou à pieds pattus. En effet, si le développement de l’embryon
présente
en raccourci un tableau fidèle, ou du moins à peu
sentiellement aquatiques que les Cétacés, offrent la particularité de
présenter
un changement de dents fœtal. Les Baleines et aut
ration active, le tact de l’esprit subtil, une adresse merveilleuse à
présenter
ses idées, & par-dessus tout une dextérité de
our la faire mourir une seconde fois. Ailleurs ce sont des obscénités
présentées
sans ménagement, ou plutôt avec une complaisance
lles ? Ce ne sont pas des hommes de cette trempe que la Religion nous
présente
dans ses Maîtres & dans ses défenseurs. Les C
s deux vérités, c’est que les hommes avaient peur de lui lorsqu’il se
présentait
devant eux sous sa vraie figure et qu’il déclinai
? Une seule peut-être, celle de l’industrie et des spectacles qu’elle
présente
à chaque pas dans nos villes modernes. Cette dern
et qui s’est révélé avec toute la fraîcheur de l’aube, ne s’est plus
présenté
comme le résultat d’un effort volontaire, comme u
hé. Le grand poète Shakespeare a peint sans y songer le spectacle que
présentent
les âmes de notre époque en proie à leur frénésie
e, elle ne demande qu’à être sentie et à être aimée. Vous pouvez vous
présenter
pour écouter ses accents avec une âme toute neuve
. Les sentiments qu’elle exprime ont toujours la fraîcheur de l’heure
présente
et semblent s’écouler comme d’une région où les d
re plus éloignée que celle que peint la littérature espagnole et nous
présentent
un homme particulier encore plus différent de nou
ue nationale et exclusive qu’elle soit. Cet homme du moyen âge que me
présente
Shakespeare ne m’est ni étranger ni hostile. Il s
vre avec lequel tout artiste doit aimer à se mesurer, un livre qui se
présente
tout naturellement à la pensée comme un thème féc
sollicite de préférence à tout autre la fantaisie de l’artiste et se
présente
à lui avec mille promesses d’inspirations pittore
g hidalgo qui a dépassé le méridien de la vie, celui-là même que nous
présente
Cervantes ; tantôt c’est un homme qui a dépassé à
, fort intéressante sans doute, mais qui ne répond plus à la personne
présente
de l’invincible chevalier de la Manche. Il y en a
me, les bons témoignages de la calomnie et l’hospitalité des prisons,
présente
une ressemblance frappante, et qui dispense d’ins
amarades de Gil Blasd. Ou bien encore figurez-vous les contrastes que
présente
le faubourg d’une vieille ville d’Espagne, loin d
t bien ce don Quichotte que, dans le prologue de son livre, Cervantes
présente
si plaisamment au lecteur. « Ce fils maigre, rabo
es des enfants témoignent du tempérament malsain de leurs parents. Il
présente
, comme son père, le spectacle touchant et risible
, et, ainsi tiré en double sens, son maigre corps s’allonge encore et
présente
le tableau le plus comique qui se puisse concevoi
la grande époque auquel on puisse donner ce titre. Le phénomène qu’il
présente
est comparable à celui de la coque verte de la ro
uichotte, subi dans le cours du roman une transformation complète, et
présente
sous une autre forme le même admirable spectacle.
, nous surprenons maintes fois le profond pourquoi de tel fait qui se
présente
à nous comme une énigme indéchiffrable et absurde
en donnent pas une image fidèle. Mais si par hasard un vrai poète se
présente
, il prête l’oreille et surprend les murmures de t
sauvages : voilà son mode d’existence. Si dès la première scène il se
présente
à nous comme un personnage poétique, ce n’est pas
sions diverses qu’elle a revêtues successivement ; mais un exemple se
présente
à notre mémoire, qui éclairera encore mieux notre
grande, qu’on pourrait les prendre pour des allégories, et qu’ils se
présentent
aussitôt à l’esprit avec leurs étiquettes, — ambi
élange confus qu’on appelle non pas l’homme, mais des hommes, n’a été
présenté
avec une telle hardiesse. Ces personnages ne ress
t. Il ne fallait qu’une occasion pour terminer ce martyre, et elle se
présenta
heureusement. Nous disons heureusement, et en eff
ssi riche, mais il ne peut en jouir. Toutes les choses de la terre se
présentent
à lui décolorées. Il n’aime plus rien que Charlot
traité de morale, un sermon, un discours politique peuvent et doivent
présenter
cet enchaînement artificiel de pensées ; mais la
tative poétique est vaine lorsqu’elle n’a pas ses racines dans la vie
présente
de l’artiste ou qu’elle ne se rapporte pas à quel
de l’art, au lieu de nous en rapprocher ; le second, c’est qu’elle ne
présente
à l’artiste que les produits de l’art, au lieu de
lle ne présente à l’artiste que les produits de l’art, au lieu de lui
présenter
les éléments de la nature ; ou, si vous aimez mie
ésenter les éléments de la nature ; ou, si vous aimez mieux, elle lui
présente
non pas la nature vraie, mais une nature de secon
, elle pressent, elle regrette, elle désire, ou s’abandonne à l’heure
présente
avec une joie folle. Taciturne et silencieuse dan
e sa tâche. Partout le triomphe de la réalité, de l’action, de la vie
présente
. Beaucoup ont défini la poésie une aspiration, un
trouvé son vrai centre de gravité, s’il est bien lui-même en un mot,
présentera
un spectacle harmonieux, sur lequel l’imagination
plus que romanesque. Est-il spectacle plus pénible que celui qu’elle
présente
avec ses passions désordonnées, ses violences, se
son qu’un célèbre critique anglais a pu dire que cette seconde partie
présentait
plus de rapports avec la Reine des fées de Spense
toujours changeantes, la réalité, si vous savez bien l’observer, vous
présentera
telle association de personnes et de circonstance
ouvre en elle ni imperfections ni lacunes d’aucun genre. La nature se
présente
devant lui comme un tout harmonieux et parfait, d
r, le conseille cependant longtemps par la voix du sage Werner et lui
présente
la route du métier, de la profession, de la spéci
beaucoup plus nouvelle et beaucoup plus hardie qu’on ne pense que de
présenter
l’expérience comme le principe de la sagesse, car
un certain nombre de pièces ? Cependant une très forte objection se
présente
: qui garantira la santé morale de l’individu con
nom qui n’est pas le sien, gloire, volupté, richesse, et Goethe nous
présente
dans le miroir des erreurs de son Wilhelm la séri
dépendance. Quoi de plus viril que le choix de ce sujet, où nous sont
présentées
les deux plus mâles figures du monde poétique mod
ndu à ce nom et concentré dans ce souvenir. Comme l’âme de Dante nous
présente
un autre spectacle ! Certes l’amour de Pétrarque
eurs ? Oserai-je dire qu’il n’y a pas de grand homme dont la jeunesse
présente
plus d’exemples d’étourderie que celle de ce Goet
ant le premier compagnon venu, pourvu que ce compagnon l’amuse ou lui
présente
un sujet d’intérêt, et donnant son amour à la pre
sinon l’histoire d’un homme doué, comme le Goethe que nous venons de
présenter
à notre lecteur, à la fois d’un cœur riche et cha
housiasme à la poursuite de l’idéal et de l’art et le Goethe que nous
présente
le livre de Poésie et vérité, le parallélisme s’é
t un véritable Wilhelm Meister, donnant dans toutes les doctrines qui
présentaient
quelque amorce à son enthousiasme, s’associant à
tte rencontre et ce rapprochement d’une scène évanouie et d’une scène
présente
me parurent comme le symbole de la vie qui venait
émontrer par les exemples de l’histoire, et par le spectacle même que
présente
le siècle le plus dédaigneux de la tradition qui
cieuses émotions de la vie, un poète plein de l’enivrement de l’heure
présente
, tout entier aux joies actuelles qu’il éprouve, e
on attention sur le caractère le plus saillant et le plus général que
présentât
la personne physique du chef arabe : je veux dire
rait ne manquait à ce visage, pas une nuance à cette physionomie pour
présenter
le parfait modèle du portrait si précieux qu’un a
anime. Nous disons cela et nous nous trompons grossièrement. Qu’il se
présente
parmi des hommes d’une même origine un de ces gro
ose était tout simplement un honnête Wallon nuancé de Flamand, qui ne
présentait
rien de bien particulièrement caractéristique : j
e monde, visible pour lui seulement, et la pensée du néant, qui ne se
présente
à l’esprit des autres hommes que pour en être cha
ngues journées solitaires et de vos veilles silencieuses, l’ennui, se
présente
à vous avec son véritable visage, imposant, solen
plation. Il agissait comme il pensait, selon ses doctrines de l’heure
présente
et ses préoccupations morales du moment. Contrair
ar j’imagine que tu n’es pas assez sot pour ignorer que ton concierge
présente
une surface sociale que tu ne présenteras jamais,
pour ignorer que ton concierge présente une surface sociale que tu ne
présenteras
jamais, et qu’il offre à nos semblables des garan
scrits, afin que, si le public me jugeait coupable pour avoir osé lui
présenter
de telles bizarreries, ma faute me fût plus aisém
e chez lui avec l’homme encore plus qu’avec l’auteur. Une occasion se
présente
. Le biographe de la comtesse d’Albany, M. Saint-R
sur les Champs ou les plaines ; après avoir montré les avantages que
présente
le val de Nievole pour tout ce qui est des terres
nes rappelle les idées les plus romanesques. Une nuit du mois de juin
présente
un coup d’œil différent et plus brillant peut-êtr
t pétillé de toutes parts. » « L’hiver, auquel la neige est inconnue,
présente
aussi ses beautés : le gazon conserve sa verdure
’occupent sans cesse à les cueillir ou à les relever, et leur travail
présente
une tout autre image que celle de l’hiver. » J’a
tous les pays. Déjà introduit dans le monde de Mme de Staël à Coppet,
présenté
par elle à tout ce qui y passait de distingué, l’
oble ami avait vécu, lui écrit-il, c’est à lui que j’aurais voulu les
présenter
, c’est son suffrage que j’aurais ambitionné d’obt
de Staël reviennent sans cesse dans ces lettres de Sismondi et y sont
présentés
avec beaucoup de naturel et de vérité. Il est par
des et bien établies, telles que l’enseignement systématique peut les
présenter
, elles sont le plus souvent très chancelantes et
enseignement pour ainsi dire opposé au précédent, et qui, au lieu de
présenter
la science comme toute faite, dans un cadre régul
e, celui de montrer aux jeunes gens les difficultés particulières que
présente
l’expérimentation physiologique, lorsqu’on veut l
que des particularités sans raison d’être et sans but. Un exemple se
présente
par hasard sous ma main. Voici un petit instrumen
tructure les rapports et la forme des organes, les particularités que
présente
la fonction ; elle intervient dans l’explication
ordres de notions se combinent nécessairement. Mais l’expérimentation
présente
en physiologie plus de difficulté que dans toute
s. En 1521, JACOB BERENGER, qui le premier fit de l’anatomie humaine,
présenta
quelques données sur les conduits salivaires de W
fabrica, une bonne description de la parotide. 1609. JULIEN CASSERIUS
présente
quelques considérations sur le conduit de Wharton
r dans la catégorie des glandes dites en grappe. En effet, au lieu de
présenter
, comme chez les mammifères, un conduit excréteur
plus les animaux qui peuvent vivre à la fois dans l’air et dans l’eau
présenteraient
les deux espèces de cellules. J’ai examiné ces di
s ai fait, Messieurs, cette petite digression parce que l’occasion se
présentait
de vous montrer que la soif n’est pas une sensati
nces médicamenteuses ou toxiques. Les organes sécréteurs de la salive
présentent
la singulière propriété de laisser passer facilem
lactate de fer et à l’iodure de potassium. Mais, quelque intérêt que
présente
cette question, nous devons aujourd’hui nous cont
it en réalité à la salive sous-maxillaire. Voici les caractères qu’il
présentait
: liquide limpide, légèrement rosé, visqueux, fil
re et l’on examina le liquide. Ce liquide coulait comme de l’eau sans
présenter
aucune viscosité. Il était neutre au papier de to
a partie supérieure de la glande avait échappé à cette destruction et
présentait
encore son aspect normal. La figure 16 représente
ne et claire, limpide et moins visqueuse ; 3° la partie inférieure se
présente
sous la forme d’un dépôt d’une substance gris bla
ves ; dans ces cas, j’ai vu souvent la membrane muqueuse de la bouche
présenter
une inflammation plus ou moins grande : la salive
ue, quand l’animal avait complètement recouvré la santé, la salive ne
présentait
que très peu de cellules épithéliales et de globu
recueille à la plaie œsophagienne chacun des bols alimentaires qui se
présentent
successivement, et on les exprime dans un linge b
récipité très abondant, insoluble dans l’eau et dans l’alcool, qui se
présente
sous la forme de flocons très petits, non transpa
tre principales glandes. La sécrétion recueillie par l’œsophage s’est
présentée
dans les mêmes proportions. En donnant aux chevau
cevoir les bols plus facilement. Chaque aliment est pesé avant d’être
présenté
au cheval ; à mesure que les bols sont lancés par
ux graver dans votre esprit les différentes conditions qui peuvent se
présenter
relativement à la sécrétion et à l’extraction du
a se coucher dans un coin du laboratoire, où il resta tranquille sans
présenter
aucun phénomène fâcheux. La petite vessie fut app
était gorgé de sang, ses vaisseaux étaient turgescents, et son tissu
présentait
une coloration rouge intense. Le duodénum contena
uide pancréatique qui fut recueilli ensuite était devenu incolore, et
présentait
à peu près ses caractères normaux ; toutefois sa
l’énumération des diverses circonstances accidentelles qui peuvent se
présenter
dans l’exécution des fistules pancréatiques. Nous
s’altère, et alors on ne peut plus compter sur les réactions qu’elle
présente
pour les expériences physiologiques. Cette altéra
état physiologique, est intermittente, devient à peu près continue et
présente
une augmentation considérable dans la quantité du
dénaturant. Toutefois nous devons insister sur une particularité que
présente
la sécrétion pancréatique même chez les chiens qu
enons de parler des différentes modifications que le suc pancréatique
présente
chez le même animal. Une autre question se présen
suc pancréatique présente chez le même animal. Une autre question se
présente
ici : celle de savoir si le suc pancréatique est
s : il a les mêmes caractères chez le chien et chez le cheval ; il se
présente
de même chez le lapin, ainsi que nous l’avons con
mal était tout à fait guéri. Il digérait très bien, ses excréments ne
présentaient
rien d’anormal en apparence ; les urines contenai
ous arrêterons quelque temps encore sur les particularités que nous a
présentées
la sécrétion pancréatique chez le chien (fig. 27)
mais souvent opalescent et quelquefois coloré en rougeâtre. Le fluide
présente
une saveur salée et nauséeuse en même temps ; sa
ent le précipité lorsqu’il a été formé. La sécrétion du pancréas peut
présenter
les caractères que nous venons d’indiquer pendant
ysico-chimiques en ce qu’il est très aqueux, a perdu toute viscosité,
présente
une odeur fade, nauséabonde, offre une saveur trè
atique recueilli que dans les premières. Enfin le suc pancréatique ne
présente
jamais le sulfocyanure de potassium que nous avon
e expérience que nous faisons devant vous ; ce précipité par l’alcool
présente
un caractère qui est particulier à la matière pan
alcalis qui les accompagnent, et l’eau dans laquelle on la redissout
présente
toujours une très légère réaction alcaline. Ce qu
is nous pouvons déjà constater que le suc pancréatique est le sel qui
présente
ce caractère parmi tous les liquides intestinaux
, ils prennent la propriété de rougir par le chlore. Ce caractère que
présente
le suc pancréatique de rougir par le chlore à l’e
ar la plaie le duodénum, dont les vaisseaux étaient gorgés de sang et
présentaient
un grand nombre de vaisseaux chylifères pleins de
lore au moment de l’écoulement du liquide, et qui alors n’avaient pas
présenté
de coloration rouge, étant restées pendant deux j
té de matière pancréatique ; on l’a laissé s’altérer jusqu’à ce qu’il
présentât
une odeur très putride. On y a ajouté alors du so
u résidu qu’il a laissé, on a ajouté un peu d’eau, et comme ce résidu
présentait
une réaction acide, on l’a saturé exactement par
se dans les excréments. Nous nous sommes demandé si la matière grasse
présentait
quelque chose de spécial par rapport au pancréas,
es cas précédents. Le lendemain le chien était mort, et le bas-ventre
présentait
les signes d’une péritonite très violente. 6° Sur
pancréatique d’abord un peu de beurre, puis du suif : l’opération ne
présenta
aucune particularité ; mais, deux jours après, l’
Une partie de ces excréments blancs de l’animal, ayant été desséchés,
présentèrent
à leur surface des matières graisseuses qui tacha
le papier joseph. Les excréments du même chien, avant l’opération, ne
présentaient
pas ce phénomène, bien qu’il fût soumis au même r
élangées avec de la graisse de porc. Les excréments rendus ce jour-là
présentaient
les mêmes caractères que la veille. Le quatorzièm
figeait autour d’eux par le refroidissement ; seulement cette graisse
présentait
une coloration légèrement jaunâtre due à la bile.
’intestin grêle : on recueillit dans le canal thoracique du chyle qui
présentait
ses caractères ordinaires. On ouvrit alors le can
e. Le conduit pancréatique principal était au contraire dilaté, et il
présentait
, de distance en distance, un certain nombre de gr
conservé pendant environ un mois et demi, et pendant tout ce temps il
présenta
toutes les apparences de la santé la plus parfait
ammation et l’obstruction des conduits du pancréas que l’animal avait
présenté
les symptômes signalés plus haut. On voit que les
pancréas, et saisir mieux les traits frappants de ressemblance qu’ils
présentent
. Un homme de quarante ans avait vu ses forces dim
t à se décolorer, et dans les cinq derniers mois de la vie, le malade
présenta
une coloration ictérique très prononcée. Vers la
pas de viscosité, ne se coagulait pas sensiblement par la chaleur et
présentait
une odeur nauséabonde. Abandonné à lui-même, ce l
s joues, était incolore, dépourvu de viscosité, assez transparent, et
présentait
toutefois un grand nombre de flocons muqueux. Sa
également sans effet. D’après ce que nous avons dit, ces fistules ne
présentent
donc pas les caractères des fistules pancréatique
es avaient amené à cette conclusion : que les vaisseaux chylifères ne
présentaient
pas d’orifices à leurs extrémités, et qu’ils étai
iculières sur ces doubles conduits pancréatiques chez le chat, et ils
présentent
diverses variétés. Tantôt les deux conduits sont
utant de la salive que nous avons voulu le dire, et que ce liquide ne
présente
pas une matière coagulable constante dans tous le
lorsqu’il est abandonné dans l’eau à la décomposition spontanée, peut
présenter
trois périodes : Dans la première période de déco
a première période de décomposition, l’infusion du tissu pancréatique
présente
une matière coagulable par les acides énergiques,
ir et filtrer pour obtenir un liquide limpide. On essaya si cette eau
présentait
la propriété de rougir avec le chlore. Dans toute
le foie de beaucoup d’animaux ; et le foie des poissons est celui qui
présente
ces caractères de la manière la plus énergique. E
que certains autres organes, tels que le foie, la rate, etc., peuvent
présenter
ce caractère à divers degrés. Toutefois, il y a c
y a certains organes qui à aucun des degrés de leur décomposition ne
présentent
ce caractère. Les glandes salivaires sont dans ce
d’établir une distinction entre les organes du corps dont les tissus
présentent
pendant leur décomposition l’apparition de cette
décomposition l’apparition de cette matière rouge, et ceux qui ne la
présentent
pas ; seulement je veux faire remarquer ici, que,
s chimiques de la digestion commencent réellement. La question qui se
présente
à nous est de savoir si un aliment arrivant dans
membrane muqueuse est recouverte par une couche de mucus grisâtre qui
présente
généralement une réaction alcaline. Au moment où
les premiers produits recueillis et essayés au papier de tournesol ne
présentaient
pas de réaction acide. Comme contre-épreuve, nous
r l’oxyde de zinc ; les liqueurs filtrées étaient neutres et nous ont
présenté
tous les caractères de la chaux et du zinc. Cette
lation et ne précipite pas les sels d’argent. L’acide lactique nous a
présenté
des caractères semblables ; nous avons soumis à l
encore plus complète, c’est-à-dire que nous avons vu la distillation
présenter
trois périodes distinctes, absolument comme pour
riences, nous voyons que l’acide lactique et l’acide du suc gastrique
présentent
pour caractères communs d’être fixes au feu, d’êt
ressemblent ; tandis que le suc gastrique du lapin et celui du cheval
présentaient
des caractères comparables à ceux du suc gastriqu
gastrique est semblable chez tous les animaux, en ce que chez tous il
présente
une réaction acide, on doit cependant admettre qu
u canal pancréatique, qui réagissent à la manière du pancréas, et qui
présentent
les caractères chimiques du tissu de cette glande
bile ; ce qui n’aurait pas lieu, si le liquide sorti de l’estomac ne
présentait
pas cette réaction acide. En effet, si l’on ouvre
rique lui-même. En effet, nous avons vu ailleurs que le suc gastrique
présente
des variétés dans son action chez les herbivores
es herbivores et chez les carnivores, tandis que le suc intestinal ne
présente
aucune différence appréciable ; le liquide ainsi
que vers le milieu de la vie intra-utérine. Les glandes salivaires ne
présentent
leur caractère de viscosité que beaucoup plus tar
le cœcum, y subissent alors une véritable décomposition spontanée qui
présente
cette fois une réaction inverse de celle de l’int
acide, quand ce sont les matières azotées. Le cœcum, avons-nous dit,
présente
une réaction inverse. Fig. 68. — Chyme de lapi
ie du mélange, la présence d’un acide gras. 5° Le suc pancréatique se
présente
aussi chez les oiseaux avec les mêmes caractères
es animaux en digestion, le duodénum et le pancréas étaient rouges et
présentaient
une vive injection. Je cherchai les deux conduits
n 1 gramme 1/2 de suc pancréatique dans la vessie A de caoutchouc. Il
présentait
les mêmes caractères que ceux déjà indiqués plus
té s’était écoulé au dehors. Le suc pancréatique recueilli le 6 avril
présentait
les mêmes caractères que, la veille : il était to
nué, et il s’en séparait, par le repos, quelques grumeaux muqueux qui
présentaient
au microscope un aspect filamenteux, en même temp
s agit de la même manière que celui des mammifères et des oiseaux, il
présente
exactement le même caractère de pouvoir acidifier
de la raie, par exemple. Chez cet animal, le pancréas est volumineux,
présente
une structure glandulaire et vient s’ouvrir dans
ue chez les mammifères, les reptiles ou les poissons, où la digestion
présente
une lenteur de plus en plus considérable. Le panc
ist ordonne à ses disciples de laisser approcher les enfans qu’on lui
présente
. tableau ceintré de 7 pieds 9 pouces de haut, sur
gauche, sont plusieurs petits enfans, filles et garçons, qui lui sont
présentés
par leurs mères, leurs frères, leurs grand’mères.
sur des phénomènes et des expériences dont la mémoire ne nous est pas
présente
. Si les phénomènes nous étaient présens, nous pou
ience. La mémoire des expériences et des phénomènes ne nous étant pas
présente
, nous n’en jugeons pas moins sûrement, nous en ju
lité commune à tous les groupes de trente-six individus, qualité qui,
présente
devant nous, n’excite point en nous de tendance p
million, et un milliard, après mille milliards de divisions, il s’en
présentera
toujours de nouvelles, avec le même reste et le m
que si le champ de notre imagination, infiniment étendu, pouvait nous
présenter
à la fois toute la ligne infinie qu’on nomme le t
en rien à cette image, sauf par son emploi ; comme l’image, elle rend
présente
une chose absente, voilà tout ; mais elle n’a pas
’une loi générale. Dans une impression ou groupe d’impressions qui se
présente
un grand nombre de fois, notre attention finit pa
ous ne la remarquons plus ; nous n’en avons plus conscience ; quoique
présente
, elle semble absente. Telles sont les petites sen
plaît par un air de vérité : il l’accueille. Si bientôt une autre se
présente
, qui ne s’accorde pas avec la première, il ne la
es sont si jolies, elles feront tant d’honneur à l’écrivain, elles se
présentent
dans une forme déjà achevée et qui les fait si bi
cilité naturelle : ils reçoivent dans leurs ouvrages tout ce que leur
présente
leur fantaisie agitée, mais ils ne remarquent pas
t d’où l’idée rayonnera en quelque sorte sur l’œuvre entière, et sera
présente
, toutes les fois qu’il faudra, sans qu’on la répè
blable que par telle petite circonstance, qu’il faudra tenir toujours
présente
sous les yeux du lecteur : la dire une fois, ce s
e honorable. Vous avez tous vu qu’aux Lupercales je lui ai trois fois
présenté
une couronne royale, qu’il a refusée trois fois :
ges du songe, au contraire, nous font complètement illusion. Elles se
présentent
à nous toutes faites, comme le feraient des objet
ur le mettre dans notre définition, c’est ce caractère pathétique que
présentent
les images suggérées par la poésie. Disons donc,
a pas incompatibilité entre les deux caractères. Mais quand un objet
présente
à la fois ces deux caractères, on les distingue e
a nature nous permet de nous prononcer avec certitude sur la question
présente
. Toute poésie étant subjective, et consistant dan
l essaie de modeler ses traits et compose ses attitudes, pour nous en
présenter
l’effigie vivante. Tout ce qui se passe sur la sc
sommes en présence d’une simple représentation. Dans les œuvres ainsi
présentées
nous ne songeons même pas à distinguer quelle est
souvenir de ces heures exquises, c’est déjà beaucoup. Un cas peut se
présenter
d’ailleurs, où l’art nous révélera la poésie des
; il nous fera contempler la nature à travers ses rêves ; il nous en
présentera
une image transfigurée, toute pénétrée de poésie,
médiatement et complètement tout ce qu’elle peut nous dire. Elle nous
présente
, avec une sèche précision, quelque objet peu inté
notre imagination ; et son œuvre sera poétique dans la mesure où elle
présentera
ce caractère imaginatif. Une des attitudes que l’
cène il prenne quelque chose de l’idéalité de son personnage, nous en
présente
néanmoins une image trop précise encore, trop lim
Des tableaux rêvés par le dramaturge à ceux qui nous sont réellement
présentés
, il y a un déchet effrayant14. La moitié du Faust
s vraiment : l’image sonore que l’on veut nous suggérer est tellement
présente
à notre esprit, qu’à peine nous apercevons-nous d
es légères qui passent à sa surface ; mais la mélodie qui s’est alors
présentée
spontanément à son esprit était celle que l’on pe
étant de n’être pas musicaux ; elle les transposera ; elle ne nous en
présentera
qu’un équivalent. Et de même, ce sera par une tra
eut dans l’harmonie ; elle n’emploie que des combinaisons sonores qui
présentent
par elles-mêmes un caractère de beauté. La matièr
t pourtant agréable ; c’est une allure particulière des images qui se
présentent
par tableaux tout faits, comme des images colorié
re activité se réduit à la contemplation des images qui nous seraient
présentées
toutes formées dans l’œuvre même. C’est en effet
arle en son nom personnel, se met lui-même en scène ; parfois il nous
présente
quelque personnage imaginaire, dont il nous décri
imagination travaillent en synergie24. Il est très rare que l’idée se
présente
à l’état pur ; dans l’expression de la pensée la
paraissent vues du dehors : un miroir y suffirait. Il faut qu’il nous
présente
une œuvre vivante et passionnée, qui frappe l’ima
our laquelle a travaillé le poète ; ne voir, dans les vers qu’il nous
présente
, qu’un moyen d’exprimer cette émotion, ce serait
dées, et quand elles seront venues on fera un tri entre celles qui se
présenteront
, pour conserver celles qui sont le plus utilisabl
intellectuel, n’apporte aucune fatigue. Accueillir les images qui se
présentent
d’elles-mêmes, ce n’est pas un travail, c’est une
sombres, et il a commencé à écrire ; les premières images qui se sont
présentées
à lui en ont appelé d’autres à leur suite, plus l
ment elle ne serait artistique et vivante. Qu’une œuvre à composer se
présente
d’abord comme un problème à résoudre, soit. La ré
e par tâtonnement intellectuel, en choisissant parmi les idées qui se
présenteront
au hasard, dans cette méditation inconsciente qui
t par une suite de hasards, c’est-à-dire parce que ces images se sont
présentées
spontanément à lui au cours de sa méditation, et
, c’est une véritable angoisse, jusqu’à ce qu’enfin l’idée féconde se
présente
d’elle-même. (Ainsi Zola travaillant à grand-pein
aut mettre en ordre, disposer en série linéaire des idées qui se sont
présentées
à peu près au hasard, enchevêtrées l’une dans l’a
mets aussi une image ; et cette image, au moment où je l’exprime, est
présente
à mon esprit ; elle fait partie de ma pensée. La
ur une image. Il peut arriver que le poète renverse cet ordre et nous
présente
l’image la première ; mais ce ne sera que par exc
étant progressive, est esthétiquement supérieure. Si l’image nous est
présentée
la première, nous avons le regret de la voir se d
n prose, la source qui tarit et se perd dans les sables. Si l’on nous
présente
au contraire en dernier lieu le terme qui doit le
a supposa qu’elle est vraiment donnée, et l’on croit en effet l’avoir
présente
à l’esprit, puisqu’on cherche à l’exprimer ; mais
que. Nous avons remarqué que presque toujours les idées abstraites se
présentent
à nous avec leur enveloppe verbale. Le plus souve
moment. Ce changement se fait d’instinct. On accueille l’idée qui se
présente
, si elle est de tout point satisfaisante ; si ell
! Tous ces effets de rythme disparaissent si l’on n’a pas constamment
présente
à l’esprit la cadence du vers, surtout aux moment
nt en scène dans leurs livres, mais, dans les personnages qu’ils nous
présentent
et dans la façon dont ils nous les présentent, si
personnages qu’ils nous présentent et dans la façon dont ils nous les
présentent
, si minutieusement observés qu’ils soient d’aille
emble l’être moins ? C’est que chez le prosateur l’image ne sert qu’à
présenter
l’idée et s’efface devant elle. La poésie se sert
oujours d’un prodige. Le calcul des probabilités morales peut souvent
présenter
un résultat inflexible, tandis que, lorsqu’on cro
haque arbre, chaque fontaine. On ne pouvait refuser la pitié à qui se
présentait
avec une branche d’olivier ornée de bandelettes,
amatique s’en est accru ; le malheur a aussi sa fécondité. Eschyle ne
présente
aucun résultat moral : il n’unit presque jamais p
les écrivains modernes nous ont donnée de la douleur ; aucun d’eux ne
présente
une philosophie sensible, aussi profondément anal
les à imagination exigent de la rapidité dans les tableaux qu’on leur
présente
, ils se plaisent dans les détails, et se fatiguer
lontaires, sont dans leur droit en combattant l’ennemi nouveau qui se
présente
et en cherchant à le pulvériser. Il y avait, au X
s et de vices. Je n’en ai jamais vu d’une autre étoffe. M. Renan nous
présente
un homme comme il n’y en a jamais eu, et au-dessu
-delà. II. Il faut bien savoir que, chez nous, en France, avant cette
présente
discussion que vient d’ouvrir et d’instituer l’ou
eunesse dorée ou dans le monde bohème, par ton et par genre ; le tout
présentait
un ensemble imposant et une ligne rangée qui défi
e. La question religieuse, la question chrétienne ne lui a jamais été
présentée
sous une forme qui fût d’accord avec cette dispos
par les historiens mêmes que l’on vient critiquer. Aussi, M. Renan ne
présente-t
-il son récit que comme probable et plausible, com
ur viendra où eux ou leurs fils regretteront cette Vie de Jésus ainsi
présentée
. Alors des esprits chagrins et sombres se seront
ou de grande importance physiologique, sont extrêmement fréquentes et
présentent
une diversité presque infinie. Le traité du docte
autres espèces du même genre, dans leur organisation générale, elles
présentent
souvent des différences extrêmes dans un seul de
l’on prend soin de choisir soigneusement les descendants croisés qui
présentent
le caractère désiré ; mais qu’on puisse obtenir u
ces correspondantes dans leur crâne. Le Messager, et surtout le mâle,
présente
un remarquable, développement de la caroncule aut
i variables. Le vol, et, en quelques races, la voix et les instincts,
présentent
des diversités remarquables. Enfin, en certaines
ulement deux ou trois autres espèces de Pigeons de roche, et elles ne
présentent
aucun des caractères des races domestiques. Il fa
urées inconnues. Or, un tel concours de circonstances extraordinaires
présente
le plus haut degré d’improbabilité. Quelques fait
s et marqués comme le Biset, bien que nulle autre espèce existante ne
présente
les mêmes caractères, de manière qu’en chaque rac
nce à la stérilité. D’après ce qu’on sait des Chiens, cette hypothèse
présente
un haut degré de probabilité, si on ne l’applique
seur, en couleur, en forme, en villosité ! et cependant les fleurs ne
présentent
que des différences insignifiantes ! Ce n’est pas
jabot d’une remarquable grosseur. Or, plus une déviation accidentelle
présente
un caractère anormal ou inusité, plus elle a de c
e bien définie. Quelqu’un conserve et fait reproduire un individu qui
présente
quelque modification peu sensible, ou prend plus
à produire des sujets huppés et pattus, caractères que la C. livia ne
présente
jamais, et que M. Darwin cite comme un exemple de
Introduction Même réduit aux proportions qu’il
présente
ici, un ouvrage sur la nouvelle littérature, fait
hésité à mettre de côté toute camaraderie, toute confraternité, pour
présenter
un tableau sincère et précis de cette « jeune lit
est fortifié. Sans pouvoir peut-être donner la côte de chacune, nous
présentons
ici les forces de la littérature de ce soir. Nous
x on peut causer. Et comme la tentation de la philosophie est la plus
présente
pour qui en a une fois pris le goût, ils parleron
arle. Il aime ce que l’on connaît si bien (la thèse adverse, toujours
présente
). Et il connaît si bien ce que l’on aime, la chèr
e incoercible, une incapacité de cicatrisation, la contusion toujours
présente
d’une impérissable meurtrissure leur ont appris q
vers sa race. Cette muraille même, cette muraille de quatre, elle se
présente
, cette muraille d’illettrés, ce rang de quatre, i
lle se présente, cette muraille d’illettrés, ce rang de quatre, il se
présente
lui-même comme un mur de silence. Et il remonte,
trée en ce contact ne s’établissant pas, toute deuxième goutte qui se
présente
est comme une première goutte. Elle est comme la
uttes d’eau, successivement ou ensemble. Toute deuxième goutte qui se
présente
trouve une situation nette. Toute deuxième goutte
se présente trouve une situation nette. Toute deuxième goutte qui se
présente
trouve une situation entière. Toute deuxième gout
e présente trouve une situation entière. Toute deuxième goutte qui se
présente
trouve une situation inentamée. Toute deuxième go
présente trouve une situation inentamée. Toute deuxième goutte qui se
présente
est (comme) une première, se présente (comme) une
e. Toute deuxième goutte qui se présente est (comme) une première, se
présente
(comme) une première. Toute deuxième goutte qui s
mière, se présente (comme) une première. Toute deuxième goutte qui se
présente
trouve qu’il faudrait commencer. Et qu’elle ne pe
encer. Et qu’elle ne peut pas commencer. Toute deuxième goutte qui se
présente
trouve qu’il faudrait créer. Un phénomène compara
le rien indispensable, n’a pas lieu, n’opère pas, ne joue pas, ne se
présente
pas. Car toutes les théories de la causalité, et
stamment intacte leur fait un cuir et une cuirasse sans faute. Ils ne
présentent
point cette ouverture que fait une affreuse bless
erpétuellement masqué, une cicatrice éternellement mal fermée. Ils ne
présentent
point cette entrée à la grâce qu’est essentiellem
thèses qui sont en présence dans l’homme et dans le monde ne soit pas
présentée
à fond et avec toutes les ressources de l’être. I
re Dieu. La force et le génie ne veulent pas même gagner. Ils veulent
présenter
à Dieu dans leur force et dans leur plénitude, il
présenter à Dieu dans leur force et dans leur plénitude, ils veulent
présenter
dans leur beauté, (dans une beauté loyale et pour
extrinsèques. De là cette extrême attention d’un Corneille à toujours
présenter
les thèses dans le plein de leur exactitude et da
tisme des Curiaces. Une humanité les sépare. Mais chacun des deux est
présenté
dans le plein de son exactitude et dans le plein
convénients du gouvernement populaire d’avec le monarchique ne soient
présentés
dans une double procession symétriquement loyale
elle des valeurs. Dans le duel d’armes chacun des deux adversaires se
présente
dans son exactitude et dans son plein. Dans le du
e duel de pensée, qui est aussi un duel d’armes chacune des thèses se
présente
dans son exactitude et dans son plein. L’honneur
ct. Où veut-il que la fidélité s’attache. Et aujourd’hui si l’on nous
présentait
un roi qui fût de la catégorie de saint Louis tou
de la catégorie de saint Louis tout le monde en serait. Si l’on nous
présentait
un roi qui fût un bon roi de baronnage, tout le m
ui fût un bon roi de baronnage, tout le monde en serait. Si l’on nous
présentait
un roi qui fût un roi de chevalerie, tous les hom
roi de chevalerie, tous les hommes de cœur en seraient. Si l’on nous
présentait
un roi qui fût un roi de politique, tous les homm
n roi de politique, tous les hommes de tête en seraient. Mais on nous
présente
un roi qui serait le jouet des parlementaires. Et
-même un assez mauvais contemporain), que toute tragédie de Corneille
présente
un conflit entre la passion et le devoir, conflit
de la bonne cause n’aient pas peur. Il faudrait analyser, il faudrait
présenter
encore plus cette éclatante et unique beauté de P
nué. C’est un des plus beaux Romains que nous ayons. Lui aussi il est
présenté
dans son exactitude et dans son plein. Sérieux, h
insi dire ce qui pouvait tenir le coup au chrétien. Ce qui pouvait se
présenter
à la confrontation. Il a fort bien vu que de tout
t le monde antique le stoïcisme était seul digne. Que seul il pouvait
présenter
ses produits en comparaison. Que seul il avait pu
un défendra sa cause dans son exactitude et dans son plein. Chacun se
présentera
dans son exactitude et dans son plein. Et la pens
e et dans son plein. Et la pensée de Polyeucte c’est que celui qui se
présente
pour Dieu au moins ne se présente pas plus mal qu
de Polyeucte c’est que celui qui se présente pour Dieu au moins ne se
présente
pas plus mal que celui qui ne se présente pas pou
te pour Dieu au moins ne se présente pas plus mal que celui qui ne se
présente
pas pour Dieu. Polyeucte voit Sévère devant lui c
eurs comment donner un spectacle faussé, un spectacle truqué, comment
présenter
un spectacle frauduleux. À de tels assesseurs, de
e-du-camp juste comment ne pas donner un combat juste, comment ne pas
présenter
une comparaison juste. Il faut, pour Polyeucte, i
intégralement à égalité. Il ferait beau voir que le tenant de Dieu
présentât
l’ombre d’une pensée frauduleuse en face du tenan
nonce au troisième siècle et dans Corneille il rassemble et résume et
présente
magnifiquement le système de pensée, la règle ind
soit pas frauduleusement éludée, pour que le problème demeure et soit
présenté
dans son exactitude et dans son plein il faut que
éclaration de l’honneur de la guerre. Il ne lui suffit pas qu’elle se
présente
munie d’un mandat de Dieu, investie d’un mandat i
t de Dieu, investie d’un mandat impératif. Il faut que ce mandat soit
présenté
dans les règles et ces règles ce sont les règles
ement d’un honorable combat. S’il ne tenait qu’à elle toute guerre se
présenterait
comme un immense combat de Dieu, et la décision d
qui est une lamelle du passé à la limite du passé. (À sa limite comme
présente
, à sa limite du côté du futur). On aboutit à une
révolution bergsonienne est partout, et qu’elle-même elle est partout
présente
. Installée au cœur du présent elle ne commande pa
e, tout le mécanisme, tout l’intellectualisme. C’est dire qu’elle est
présente
partout. Elle seule a rompu les sceaux et elle a
est lui. Quand on ne nomme pas, c’est lui que l’on nomme. Quand on ne
présente
pas, c’est lui que l’on présente. Quand on ne pen
’est lui que l’on nomme. Quand on ne présente pas, c’est lui que l’on
présente
. Quand on ne pense pas, c’est à lui que l’on pens
uite le battre en détail dans toutes les directions où il pourrait se
présenter
. Occuper instantanément un certain centre du comb
mble un brevet de raidissement et d’argent. Et on a bien raison de le
présenter
avec tant de cérémonie et comme un symbole et com
ut le raidissement du monde moderne est pour ainsi dire autorisé à se
présenter
comme une loi. Et il ne s’en fait pas faute. Lui
pour essayer de se substituer à la loi. Elle n’y manque pas. Elle se
présente
avec tout l’appareil. Ceux qui sont loin de l’ord
ordre. (C’est en ce sens qu’il a toujours été dit que l’antéchrist se
présenterait
comme un faux christ). Le livret décaissé d’éparg
ous a libérés de cette métaphysique du monde moderne qui entendait se
présenter
comme une physique. Tout ce qui sera perdu par Be
oderne, par cette fausse et frauduleuse et faussement physique qui se
présente
avec les innocences et les limitations et censéme
histoire du petit poucet n’est pas encore bien établi. Les manuscrits
présentent
beaucoup de variantes. — Grands dieux. — Des leço
t de tout le reste. Par suite, le groupe, considéré comme un tout, se
présente
à l’esprit comme permanent, caractère principal q
ent actuel, mais entre des groupes dont une partie seulement nous est
présente
actuellement. Par suite, nos idées de cause, de p
yance en Dieu n’a donc rien ni à gagner ni à perdre, si l’on admet la
présente
théorie. Il en est de même pour l’immortalité : i
u’elle est moins accommodée au langage courant, et que par suite elle
présente
quelquefois des contradictions dans les termes. «
re que le lien, « l’union organique », qui existe entre la conscience
présente
et la conscience passée, en constituant la mémoir
ition à petit nombre de l’Orphée, qui forme le quatrième volume de la
présente
publication. La préface de cette édition provisoi
comme addition au chapitre X. La question traitée dans ce chapitre se
présentera
encore par la suite ; toutes celles qui viennent
a encore par la suite ; toutes celles qui viennent d’être exposées se
présenteront
aussi de nouveau, sous différentes formes ; mais
anchir. Tout ce que l’on peut faire, c’est de poser le problème, d’en
présenter
toutes les conditions ; et je crois l’avoir fait.
mé de ma théorie de la révélation du langage. Il est de mon devoir de
présenter
, dans toute sa sévérité, l’objection de mon antag
rieur ; car les préoccupations qui ont pour objet ce qui est externe,
présentent
un caractère anesthétique. Les attributs primitif
naître ensemble, à adhérer de telle façon que quand plus tard l’un se
présente
à l’esprit, les autres sont aussi représentés. »
oue un grand rôle dans nos mouvements. Tous ceux qui sont volontaires
présentent
, durant la première enfance, de grandes difficult
-même serait une contradiction. Nous ne pouvons parler que d’un monde
présenté
à notre esprit. Par une illusion de langage, nous
mer des combinaisons ou agrégats, différents de tout ce qui lui a été
présenté
dans le cours de l’expérience. » L’étude sur l’as
ion constructive dans les beaux-arts, ou imagination proprement dite,
présente
une particularité : c’est la présence d’un élémen
plusieurs orateurs formés sur de tels modèles. L’écriture, selon lui,
présente
, tout à la fois, aux prédicateurs les vérités qu’
apôtres & des pères. Il s’en faut bien que leur éloquence ne nous
présente
jamais qu’une majestueuse simplicité, qu’ils aien
à la hâte, sans préparation & sans méthode. Il nia que l’évangile
présentât
, tout à la fois, aux prédicateurs & les véri
; de ses dogmes, l’éternité de gloire & de supplices qu’elle nous
présente
, l’héroisme de ses généreux athlètes ; toutes ce
La comparaison des organes évangéliques avec nos acteurs profanes se
présente
naturellement ; mais je la laisse faire à d’autre
ites ; nous vous écouterons toujours avec plaisir, tant que vous nous
présenterez
la raison. Mais point d’esprit. Tel de nous en me
r une explication, intégrale ; par conséquent, nous n’avons pas, pour
présenter
une explication sociologique du mouvement égalita
urir avec elle. Mais encore faut-il que ces autres explications ne se
présentent
pas, de leur côté, comme suffisantes, « totales »
s-aller. * ** L’explication idéologique semblera plus solide. Elle se
présente
à l’esprit comme la plus naturelle et la plus sim
même facilite sans doute notre action. Nous nous réjouissons donc de
présenter
le succès social de l’égalitarisme comme une preu
milation même. Le succès de l’égalitarisme ne doit plus dès lors être
présenté
comme la résultante pure et simple de mouvements
énomènes qui sont de son ressort. Seulement, par cela même qu’elle se
présente
comme une science abstraite de l’histoire, ce ser
religieuses et civiles, gardons-nous donc de penser que cette réalité
présente
, et qui entrait en guerre avec l’ancienne, fût pa
art qui existe entre le Grec et le Romain d’alors et l’image que leur
présentaient
d’eux-mêmes leurs rites et leurs lois. C’est que
la liberté individuelle, attachement aux biens immédiats et à la vie
présente
, — formes de l’égoïsme élémentaire, représentants
à cette haine du réel qui lui fait imaginer en face de toute réalité
présente
une réalité nouvelle et différente, symbolise ce
saisir les beautés & les endroits foibles d’un ouvrage ; pour les
présenter
au public dans leur vrai point de vue, pour les l
our les présenter au public dans leur vrai point de vue, pour les lui
présenter
d’une manière élégante & enjouée ; un observa
qu’il se fut acquis un nom dans la république des lettres, il se fit
présenter
à M. de Voltaire par un ami commun. L’illustre po
contenoit un grand éloge de Piron. Celui-ci, pour se venger du mais,
présenté
d’une manière équivoque, fit contre Desfontaines
gorge ? Oui, bien pour vos yeux et les miens. Mais appelez la nature,
présentez
-lui ce col, ces épaules, cette gorge ; et la natu
es crayons ou son pinceau, ces maussades fantômes se réveilleront, se
présenteront
à lui ; il ne pourra s’en distraire et ce sera un
, vous réussirez à montrer dans la partie de l’objet que votre dessin
présente
, toute la correspondance convenable avec celle qu
ons de la société, toutes sortes de natures, en un mot. Les sujets se
présenteront
en foule à la porte de mon académie, si je les pa
’est que je n’ai rien dit de moi-même, dans la production que je vous
présente
. Il s’agissoit de juger les Ouvrages & les Au
êler les sujets qui offrent quelques détails piquans avec ceux qui ne
présentent
que des notices séches, & qui ne peuvent guér
qui ne présentent que des notices séches, & qui ne peuvent guéres
présenter
autre chose. C’est en unissant ainsi ce qui peut
ême dans le mot qui la traduit, on trouvera l’image d’une contraction
présente
et par conséquent d’une dilatation future, l’imag
cette opération, qui paraît malaisée à déterminer. La solution qui se
présente
immédiatement à l’esprit, une fois engagé dans ce
écis, quoique confusément aperçu, quand nous affirmons d’un son qu’il
présente
une intensité supérieure ? Sans même aller aussi
ur. Et cette sympathie se produit en particulier quand la nature nous
présente
des êtres aux proportions normales, tels que notr
i ne s’accompagne de symptômes physiques ; et, là où ces symptômes se
présentent
, ils nous servent vraisemblablement à quelque cho
série des faits psychologiques. S’il est un phénomène qui paraisse se
présenter
immédiatement à la conscience sous forme de quant
t que ces derniers diffèrent surtout des précédents en ce qu’ils nous
présentent
, entre l’action extérieure qui en est l’occasion
nsation caractéristique, qui n’est pas encore de la douleur, mais qui
présente
des analogies avec l’éblouissement. A mesure que
tative doit s’entendre de la même manière. Les sensations de son nous
présentent
des degrés bien accusés d’intensité. Nous avons d
votre voix pour produire un son analogue, et l’idée de cet effort se
présente
instantanément à votre esprit quand vous érigez l
intensités lumineuses, on reconnaîtra que les diverses teintes grises
présentées
par M. Delbœuf à notre observation sont tout à fa
t synonyme d’identité. Mais c’est que tout phénomène, tout objet, s’y
présente
sous un double aspect, l’un qualitatif, l’autre e
que lorsque des surfaces de même couleur, plus ou moins éclairées, se
présentent
à nous simultanément. Non seulement il y a ici co
Pour résumer ce qui précède, nous dirons que la notion d’intensité se
présente
sous un double aspect, selon qu’on étudie les éta
ent leur existence. Le sentiment que nous avons de l’utilité qu’elles
présentent
peut bien nous inciter à mettre ces causes en œuv
e fins clairement ou obscurément senties, les faits sociaux devraient
présenter
la plus infinie diversité et toute comparaison pr
pour les premiers ; l’institution du mariage, par les avantages qu’il
présente
pour les époux et leur descendance ; la peine, pa
quelque chose d’autre et dont les propriétés diffèrent de celles que
présentent
les parties dont il est composé. L’association n’
. Tant donc qu’on ne sort pas de l’histoire, le fait de l’association
présente
le même caractère que les autres et, par conséque
t dans certaines circonstances sociales, ou, d’une société à l’autre,
présentent
de telles variations que le résidu que l’on obtie
le d’une société d’après le degré de concentration matérielle qu’elle
présente
. Les routes, les lignes ferrées, etc., peuvent se
e la vie collective dépend avant tout de conditions concomitantes qui
présentent
une certaine diversité. Si, au contraire, les pri
rme d’existence81. Si donc nous reconnaissons avec les uns qu’elle se
présente
à l’individu sous l’aspect de la contrainte, nous
78. Nous avons eu le tort, dans notre Division du travail, de trop
présenter
la densité matérielle comme l’expression exacte d
est une perception qui aurait pu, dans des circonstances favorables,
présenter
le même contenu — ou à peu près — si l’attention
mmence l’une et où finit l’autre. Toutefois, des cas exceptionnels se
présentent
où nous nous proposons d’apprendre une leçon comp
r, l’image de chacun des échiquiers avec ses pièces, telle qu’elle se
présente
au dernier coup joué. Or, de l’enquête faite par
écise, et en voyant avec quelle obstination le nom d’« Arbogaste » se
présente
aujourd’hui à mon esprit quand je pense à « Prend
auditives, ou même comme des images motrices toutes faites. Elles se
présentaient
surtout comme indiquant une certaine direction d’
ndre un discours, toujours ce sont des perceptions ou images qui sont
présentées
à l’intelligence pour être traduites par elle en
oppement du schéma en image est immédiat, parce qu’une seule image se
présente
pour remplir cet office. Et il en est d’autres où
il en est d’autres où des images multiples, analogues entre elles, se
présentent
concurremment. En général, quand plusieurs images
ires, correspondant par exemple à certaines lettres de l’alphabet, se
présentent
à mon esprit. Ces lettres cherchent soit à se com
trice. Il est, à l’état ouvert, ce que l’image est à l’état fermé. Il
présente
en termes de devenir, dynamiquement, ce que les i
arné dans un rapport préparatoire, que je regrette de ne pouvoir vous
présenter
, car il vous dispenserait du mien, — l’Académie a
: ceci est plus délicat. Il y a des actions qui nous arrivent si bien
présentées
, que l’on peut craindre que l’art et l’habileté d
tiré à Cazères (Haute-Garonne). Ses chefs, tant qu’il servit, nous le
présentent
comme « le type du vrai et excellent sous-officie
sieurs, et avoir qualité pour vous signaler avec précision en quoi la
présente
loi corrige et améliore la législation précédente
la veuve intéressante, la compagne unie et fidèle que nous vous avons
présentée
. Elle ne l’est pas davantage si elle se remarie,
dans l’état actuel de la législation, avant la promulgation de la loi
présente
, l’auteur, maître absolu de son œuvre sa vie dura
, assurément, une belle marge, répondrons-nous avec les auteurs de la
présente
loi. C’est un vrai bienfait. Et notez bien — hist
vœux personnels ou nos théories, heureux et reconnaissants de la loi
présente
. En ceci, comme en beaucoup de choses, gardons-no
’égard de celles exprimées par cantare, cantitare, canturire : canere
présente
l’action de chanter, dépouillée de toute autre id
gmentation ; cantitare, avec une idée de répétition ; & canturire
présente
cette action comme l’objet d’un desir vis. Les au
établies par l’usage pour exprimer les idées accessoires qui peuvent
présenter
l’idée principale, sous différens points de vûe r
; criailler est le mot françois qui y correspond : de même dormire ne
présente
à l’esprit que l’idée de dormir ; & dormitare
rise les verbes fréquentatifs. Il faut cependant avoüer que le détail
présente
quelques difficultés qui ont induit en erreur d’h
foible & l’autre forte, quoique l’orthographe semble quelquefois
présenter
le contraire. C’est par ce méchanisme que sorbeo
ison de placer dormitare dans la classe des desidératifs, parce qu’il
présente
quelquefois ce sens, & spécialement dans l’ex
culiere. Nous remarquerons donc que les huit futurs relatifs que l’on
présente
ici, ne se trouvent pas dans les tables ordinaire
ou coenavero cùm intrabis : caenabam marque l’action de souper comme
présente
, & coenaveram l’énonce comme passée relativem
e dans les deux autres tems ; coenabo marque l’action de souper comme
présente
, & caenavero l’énonce comme passée à l’egard
s de son souper au tems de l’entrée de celui à qui il parle, c’est de
présenter
son action de souper comme passée à l’égard de l’
r ; mais s’il avoit fait attention à la maniere dont ces idées y sont
présentées
, il l’auroit nommé au contraire prétérit-futur. V
ndétermination, & n’exprime qu’un avenir vague, & que l’autre
présente
une idée de proximité, & détermine un avenir
ble rapprocher l’avenir pour faire envisager l’action de battre comme
présente
; & le prétérit donne encore un plus grand de
e les autres : au lieu que dans la premiere, le mot incroyable qui se
présente
à la tête, contre l’usage ordinaire, paroît ne s’
s. (E. R. M.) GÉNÉRIQUE GÉNÉRIQUE, adj. Les noms établis pour
présenter
à l’esprit des idées générales, pour exprimer des
re des inviduels ; c’est la même division générale que nous venons de
présenter
sous d’autres expressions. Ensuite il soûdivise l
main. Quoi qu’il en soit, il résulte des principes que nous venons de
présenter
sur la composition & la décomposition des idé
ond cas dans les langues qui en ont reçu : son usage universel est de
présenter
le nom comme terme d’un rapport quelconque, qui d
’autre accessoire, indiquée par la terminaison is : cette terminaison
présente
ici le soleil comme le terme auquel on rapporte l
s, fluctûs paroît n’en être qu’une contraction. Le génitif de dies se
présente
dans les auteurs sous quatre terminaisons différe
mi, supp. filia. Il. D’autres fois il suit quelqu’un de ces adjectifs
présentés
sous la terminaison neutre, & réputés pronoms
usage, & en même tems le vrai motif de leur institution. Les noms
présentent
à l’esprit les idées des objets considérés comme
e vûe, elles ont aussi leurs noms comme les substances. Les adjectifs
présentent
à l’esprit la combinaison des modifications avec
els ils sont assujettis. Les verbes servent aussi, à leur façon, pour
présenter
à l’esprit la combinaison des modifications avec
distribution. Mais les membres de ces divisions doivent effectivement
présenter
des parties différentes de l’objet total, ou les
l’objet que nous prétendons leur faire désigner : à mesure qu’ils se
présenteront
, nous les expliquerons par leurs racines. Ainsi l
ce que nous pouvons avancer, c’est que nous n’avons rien négligé pour
présenter
les choses sous le point de vûe le plus favorable
l’approfondir de suite sans obstacle, parce que les premieres notions
présenteront
partout les secours qui sont dûs à l’une des part
e nous-mêmes ; & notre respect pour le public nous empêche de lui
présenter
des jugemens hasardés ou copiés. Nous dirons simp
ctitude dans la prononciation & dans l’orthographe, afin qu’on ne
présente
pas par mal-adresse un sens louche ou même ridicu
rimitif suppose nécessairement plusieurs caracteres, qui servent à en
présenter
l’idée individuelle sous tous les aspects exigés
s mots que sur les idées mêmes qu’ils expriment ; & il consiste à
présenter
sous un aspect renversé la corrélation des idées
ecourir à l’hypallage pour sauver le contre-sens que le françois seul
présente
. Mais le renversement de construction ne doit jam
e, si ce n’est dans toute son étendue, c’est au moins dans ce qu’elle
présente
d’abord à l’esprit de ceux qui savent la langue.
remier ; & l’on peut, sans aucun renversement extraordinaire, les
présenter
indifféremment sous l’un ou l’autre de ces deux a
à ces terminaisons, & ils plaçoient les mots selon qu’ils étoient
présentés
à l’imagination, ou selon que cet arrangement leu
VIII. cap. ij. Or ces trois especes d’hyperbate, telles que je les ai
présentées
d’après les notions ordinaires, combinées avec le
une maniere vague & sans application au sujet : la phrase commune
présente
le sujet tel qu’il paroît à l’esprit après le jug
à désigner les divers points de vûe sous lesquels l’ordre analytique
présente
l’idée principale de leur signification ; ainsi l
iles ; car enfin, puisque de leur aveu même l’infinitif est verbe, il
présente
apparemment la signification du verbe sous un asp
sujet déterminé avec lequel s’accorde le verbe, & le sujet vague
présenté
par le verbe sous l’idée de l’existence (voyez Id
elle sous un attribut, est la seule idée déterminative du sujet vague
présenté
par l’infinitif ; & cette idée abstraite deve
méthaphysiquement. … ce n’est pas de quoi il s’agit dans la question
présente
. Nous ne cherchons pas l’ordre dans lequel les id
elle de la nôtre. C’est une autre méthode de ranger les mots & de
présenter
les choses : dérangez-vous cet ordre, vous vous p
ier à cet egard ; mais il a une autre irrégularité plus fâcheuse ; il
présente
, au moyen du si répété, les deux évenemens réunis
ntier d’explication. Elle peche enfin contre la vérité, en ce qu’elle
présente
l’idée d’un vocabulaire plutôt que d’une langue.
é sentie par tous ceux qui ont parlé de l’usage ; mais une vérité mal
présentée
, quand on a dit que l’usage étoit le tyran des la
e Sicile & de Vitruve ». Cette maniere de penser sur la question
présente
, est moins hardie & plus circonspecte que la
une même source, & qui ne different que par la maniere de nous le
présenter
: le canal de la révélation nous met plus près de
st contraint à la fin de les avouer insolubles. « La premiere qui se
présente
, dit-il, est d’imaginer comment les langues puren
-même qui fut le nomenclateur primitif des animaux, & qui nous le
présente
comme occupé de ce soin fondamental, par l’avis e
constances. Les mots du second genre sont indéclinables, parce qu’ils
présentent
toujours la même idée sous le même aspect. Les mo
n définie, ou une signification indéfinie. Ceux de la premiere classe
présentent
à l’esprit des êtres déterminés, & il y en a
nent par l’idée d’une relation personnelle. Ceux de la seconde classe
présentent
à l’esprit des êtres indéterminés, & il y en
vent dans quelques occasions régler leur marche arbitrairement. Il se
présente
ici une question assez naturelle. L’ordre analyti
μματα, peintures, quoique l’auteur de la méthode grecque de P. R. les
présente
comme synonymes ; mais il est bien plus naturel d
rançois trembler, dérivé de tremere, & nombre, dérivé de numerus,
présentent
le même méchanisme. La permutation est une opérat
es faits les plus éclatans ne vaudra pas le souvenir d’un verre d’eau
présenté
par humanité à celui qui avoit soif. (Epit. dédic
e perd sa signification propre, & en prend une nouvelle qui ne se
présente
à l’esprit que par la comparaison que l’on fait e
uand on manque de terme propre, ou par une raison de préférence, pour
présenter
une idée avec plus d’énergie ou avec plus de déce
tre ; de le presser, de comparer soudainement les deux idées qu’elles
présentent
, & de lui causer par les vives & promptes
res ou diffuses, ou fausses ; les principes seront mal digérés ou mal
présentés
; on aura omis des choses essentielles, ou l’on e
squ’ici, & qui seroient insensibles au motif que je viens de leur
présenter
, je les plains de cette insensibilité ; qu’ils me
&c. & les articles de chacune des lettres. La matiere que je
présente
paroit bien vaste ; mais il faut choisir & ré
les cas, les nombres, les genres, à remonter d’un cas oblique qui se
présente
au nominatif, & de-là à la déclinaison, d’un
s & disposées de maniere que les difficultés grammaticales ne s’y
présentent
que successivement. Ainsi on n’y trouveroit d’abo
périodes ménagées avec la même gradation de complexité. Il faudroit y
présenter
les tours elliptiques avec la même discrétion, &a
xclusive au style purement dogmatique : les bonnes maximes se peuvent
présenter
sous toutes les formes ; une fable, un trait hist
: qu’elles interrompent souvent les propos commencés, parce qu’elles
présentent
rapidement à l’esprit des torrens, pour ainsi dir
ere son texte, & suivons sans résistance le cours des idées qu’il
présente
naturellement. J’en ferois ainsi la construction
cemens fait aux éleves l’analyse de la phrase de la maniere dont j’ai
présenté
ci-devant un modele sur un petit passage de Cicér
pour marcher plus surement, d’un dictionnaire latin-françois qui leur
présentât
uniquement le sens propre de chaque mot, ou qui n
réparée selon les vûes & par les moyens que j’ai détaillés. Je ne
présente
aux enfans aucun principe qui tienne à des idées
qu’il est indéclinable par tems, il est effectivement nom, puisqu’il
présente
à l’esprit l’idée de l’existence sous un attribut
en fasse partie ? Ce sont assurement deux modes différens, puisqu’ils
présentent
la signification du verbe sous différens aspects.
la signification formelle, c’est la maniere particuliere dont le mot
présente
à l’esprit l’objet dont il est le signe, laquelle
chaque espece de mot & même chaque mot ayant sa maniere propre de
présenter
l’objet dont il est le signe, la signification fo
lui faire signifier : & il est pris dans un sens figuré lorsqu’il
présente
à l’esprit une autre idée totale à laquelle il n’
ne l’excitent pas dans l’ame de celui qui les entend, elles ne lui en
présentent
que l’idée. Vous conversez avec votre ami que la
rien de trop : je continue. Si les quatre especes de mots déclinables
présentent
également à l’esprit des idées des êtres ; la dif
r dans l’esprit que des êtres déterminés : les noms & les pronoms
présentent
donc à l’esprit des êtres déterminés ; c’est là l
rapport d’identité qui suppose que les adjectifs & les verbes ne
présentent
à l’esprit que des êtres quelconques & indéte
fication fondamentale commune : nous avons déja vû qu’elle consiste à
présenter
à l’esprit les idées des êtres réels ou abstraits
rts fixes. Il suit donc encore de ceci que les noms & les pronoms
présentent
à l’esprit des étres déterminés. Au contraire les
pouvons donc en conclure encore que les adjectifs & les verbes ne
présentent
à l’esprit que des êtres indéterminés, puisqu’ils
ronoms ; & l’on en conclut également que les uns & les autres
présentent
à l’esprit des êtres déterminés, ce qui constitue
d’identité fondé sur le genre ; mais l’identité suppose un même être
présente
dans l’une des deux especes de mots d’une maniere
& indéfinie. Ce qui précede prouve que les noms & les pronoms
présentent
également à l’esprit des êtres déterminés : il fa
tres especes : les noms sont donc une espece de mots déclinables, qui
présentent
à l’esprit des êtres déterminés par l’idée de leu
s corrélatifs. Il en résulte donc encore que ces deux especes de mots
présentent
à l’esprit des êtres indéterminés. 4°. La distrib
es natures. Les adjectifs & les verbes sont toujours des mots qui
présentent
à l’esprit des êtres indéterminés, puisqu à tous
itable notion des noms & des pronoms. Les noms sont des mots qui
présentent
à l’esprit des êtres déterminés par l’idée précis
utre division des noms en substantifs & abstractifs, selon qu’ils
présentent
à l’esprit des êtres réels ou purement abstraits.
els ou purement abstraits. Voyez Nom . Les pronoms sont des mots qui
présentent
à l’esprit des êtres déterminés par l’idée précis
erbes, qu’un caractere générique, savoir que les uns & les autres
présentent
à l’esprit des êtres indéterminés ; & il nous
x especes ? Revenons sur nos pas. Quoique les uns & les autres ne
présentent
à l’esprit que des êtres indéterminés, les uns &a
it être rapportée à la nature des êtres ? L’indétermination de l’être
présenté
à l’esprit par l’adjectif seul, nous indique une
ncours des deux parties d’oraison. Quand je dis, par exemple, loi, je
présente
à l’esprit un objet unique déterminé : j’en prése
exemple, loi, je présente à l’esprit un objet unique déterminé : j’en
présente
un autre également unique & déterminé, quand
resulte donc de ces observations que les adjectifs sont des mots qui
présentent
à l’esprit des êtres indéterminés, désignés seule
ours la même signification spécifique ; ce sont toujours des mots qui
présentent
à l’esprit des êtres déterminés par l’idée de leu
on que l’analyse nous donne des verbes : les verbes sont des mots qui
présentent
à l’esprit des êtres indéterminés, désignés seule
p; incomplet ; ainsi les prépositions françoises avec, dans, pour, ne
présentent
un sens complet & clair, qu’au moyen des comp
, prudemment, ou cum prudentiâ, avec prudence. Cette remarque, qui se
présente
d’elle-même dans bien des cas, a excité l’attenti
s êtres, on peut l’appliquer sans changement à tous les sujets qui se
présenteront
dans l’occasion. Cette abstraction du terme antéc
de relation qui en fait envisager le sens tout autrement qu’il ne se
présente
dans le mot seul : aimer tendrement ou avec tendr
aités politiques & civils ; c’est l’obstacle le plus grand qui se
présente
dans la recherche de la vérité, & l’instrumen
s sens qu’ils y attachent eux-même ; inde mali labes. Les Philosophes
présentent
contre ce mal une foule d’observations solides, s
la signification formelle, c’est la maniere particuliére dont le mot
présente
à l’esprit l’objet dont il est le signe, laquelle
ême idée fondamentale : mais chaque espece ayant sa maniere propre de
présenter
l’objet dont il est le signe, la signification fo
erses nuances, pour ainsi dire, qu’il peut y avoir dans la maniere de
présenter
l’idée objective. Voyez Mode . 2°. Il faut encore
oires. Par exemple, amour & amitié sont des noms abstractifs, qui
présentent
également à l’esprit l’idée de ce sentiment de l’
amp; sans choix ; c’est surtout lorsqu’on ne veut & qu’en ne doit
présenter
dans le discours que l’idée principale, & qu’
nt entre les synonymes, parce qu’il n’est pas toujours indifférent de
présenter
l’idée principale sous un aspect ou sous un autre
vû appartenir à d’autres mots pris dans notre langue ; en outre, ils
présentent
également à l’esprit des êtres indéterminés, dési
prendre assez naturellement pour signifier les premieres idées qui se
présentent
; & l’on peut dire que l’idée de la parole es
comme un mode propre à sa pensée actuelle ; en un mot la négation ne
présente
point à l’esprit l’idée de cette absence comme po
arce que ni les uns ni les autres n’exigent jamais de complément pour
présenter
un sens fini : ainsi comme on dit sans complément
approchante de celle de la chose : car les noms sont des des mots qui
présentent
à l’esprit des êtres déterminés par l’idée précis
s en appellatifs & en propres. Les noms appellatifs sont ceux qui
présentent
à l’esprit des êtres déterminés par l’idée d’une
cun des individus de ces deux especes. Les noms propres sont ceux qui
présentent
à l’esprit des êtres déterminés par l’idée d’une
emment la compréhension la plus complexe & la plus grande. Ici se
présente
bien naturellement une objection, dont la solutio
ue des êtres individuels & singuliers, & que les noms doivent
présenter
à l’esprit des êtres déterminés par l’idée de leu
avec celle-là parties élémentaires d’une nouvelle idée plus complexe,
présenteront
à l’esprit un concept d’une compréhension plus gr
n’en soit plus si grande. Ainsi excellens ouvrages, cette expression
présente
une idée moins générale qu’ouvrages, puisque les
de distinguer les sortes ou les especes dans la variété que l’univers
présente
, & que ce n’a été qu’au second pas qu’on a ch
sous deux terminaisons différentes : c’est comme le même mot, afin de
présenter
à l’esprit la même idée principale, l’idée de la
’où j’ai inféré (voyez Mot , art. I.), que ces quatre especes doivent
présenter
à l’esprit les idées des êtres soit réels soit ab
p; les verbes : j’ai appellé les premiers déterminatifs, parce qu’ils
présentent
à l’esprit des êtres déterminés, puisque c’est à
r les nombres ; j’ai appellé les autres indéterminatifs, parce qu’ils
présentent
à l’esprit des êtres indéterminés, puisqu’ils ne
ce qu’ils présentent à l’esprit des êtres indéterminés, puisqu’ils ne
présentent
à l’est-elle ou telle terminaison numérique que p
c’est le premier de tous, & avec raison, puisque c’est celui qui
présente
l’idée objective de la signification du nom sous
s noms : car les noms sont sur-tout nécessaires dans le langage, pour
présenter
à l’esprit d’une maniere distincte les différens
; & comme la principale cause de l’institution des noms a été de
présenter
à l’esprit les différens sujets dont nous apperce
nom qu’on lui a donné de cas direct, rectus. Les autres cas servent à
présenter
les êtres déterminés par les noms ou les pronoms
uelle on énonce l’existence d’un sujet sous un attribut, de maniere à
présenter
cette énonciation comme subordonnée à une autre d
per, toujours, perpétuellement ; l’allemand ie en est synonyme, &
présente
une image semblable. L’interjection latine eia, s
Saumur, avoit raison, sans doute, de desirer que ces modeles fussent
présentés
aux jeunes gens sous une forme agréable & pro
dition superflue dans les paradigmes latins : & si l’on ne veut y
présenter
aucun nom, sans en faire connoître le genre aux e
tout. Les pronoms personnels ego, tu, sui, peuvent & doivent être
présentés
sous le même aspect : & les adjectifs mêmes n
ins dans l’une, & les neutres dans l’autre : mais on fera bien de
présenter
aux enfans des paradigmes de différentes terminai
clinent comme les adjectifs de la premiere déclinaison. Il est bon de
présenter
ici les paradigmes de alius, a, ud, de uter, tra,
uterai ici une raison particuliere : c’est que les paradigmes doivent
présenter
les variations du mot sous les points de vûe les
jonctif, Suppositif . C’est la même méprise par rapport à amavi ; il
présente
toujours le passé sous le même aspect, & cons
j’adopte sur cette matiere, article Tems . Je me contenterai donc de
présenter
quelques tems du verbe amo, sous la forme que je
e) PARTICIPE, s. m. (Gram.) le participe est un mode du verbe qui
présente
à l’esprit un être indéterminé, désigné seulement
t sous le point de vûe qui caractérise la nature des adjectifs, qu’il
présente
la signification fondamentale qui le fait verbe ;
e craindrai) ; & ces expressions marquent toutes ma crainte comme
présente
à l’egard des diverses époques désignées par le v
ettement indiqué par scio, & justement reconnu par Lancelot. J’ai
présenté
ailleurs (Impersonnel) l’idée d’une conjugaison,
adaptés à cette idée commune. Ainsi, pour ne pas sortir de la matiere
présente
, le verbe allemand loben (louer), fait au supin g
e que la dénomination générique confond les especes, quoiqu’elles les
présente
sous un même aspect ; & M. Girard lui-même n’
dont il s’agit, loin d’être des particules dans le sens diminutif que
présente
ce mot, équivalent au contraire à deux parties d’
ts à laquelle convient exclusivement le nom de préposition : 2°. elle
présente
comme fondamentale l’idée de la position de ces p
e prépositive ou préfixe n’abuse du nom d’aucune espece de mot, &
présente
les idées dans leur ordre naturel. On ne sauroit
erbes, & aux verbes mêmes. On appelle pronoms personnels ceux qui
présentent
à l’esprit des êtres déterminés par l’idée prise
e II. p. 426. c’est quitter une expression courte & simple qui se
présente
d’elle-même, pour en prendre une plus étendue &am
s plus assez de secours pour entendre parfaitement la locution qui se
présente
; & c’est d’ailleurs un hommage que nous devo
tte maniere de parler n’a lieu qu’à l’égard des noms appellatifs, qui
présentent
à l’esprit des êtres déterminés par l’idée d’une
une signification incertaine & équivoque, & qui pourroit même
présenter
des sens contradictoires, selon la maniere dont o
dissentio, au lieu de le ponctuer conformément au sens naturel qui se
présente
d’abord, & que sûrement il vouloit faire ente
st possible, la vérité & l’unité de la pensée dont la parole doit
présenter
une image fidelle. C’est donc le cas d’employer l
er cas, la virgule indique la diversité des aspects sous lesquels est
présentée
la même idée, & le peu de liaison de l’incide
t. Théor. des sent. ch. iij. C’est ici l’idée générale de discordance
présentée
sous trois aspects différens ; & le tout form
t relatif à la soudistinction des sens subalternes, telle que je l’ai
présentée
ci-devant, qu’à la position du caractere distinct
rapport dont la préposition est le signe, ne peut être qu’un mot qui
présente
à l’esprit l’idée d’un être déterminé ; & tel
reçu des cas, c’est-à-dire des terminaisons différentes qui servent à
présenter
les mots comme termes de certains rapports : en l
es de certains rapports : en latin, par exemple, le cas nommé génitif
présente
le nom qui en est revêtu comme terme conséquent d
r le langage didactique : dès que l’on remarque qu’un terme technique
présente
une idée fausse ou obscure, on peut & on doit
nom appellatif, d’un adjectif, d’un verbe ou d’un adverbe. C’est donc
présenter
à l’esprit des idées fausses, que de dire, comme
à l’énergique briéveté de la phrase usuelle ; la plénitude analytique
présente
un tour insolite qui sent le barbarisme, & qu
son traité des pronoms. Le P. Buffier qui adopte le même système, le
présente
sous un jour beaucoup plus spécieux. « Tous les
jet dont on veut affirmer quelque chose, ou, en d’autres termes, pour
présenter
à l’esprit un être déterminé, soit réel, soit abs
ours le même effet que le nom, parce que les pronoms, comme les noms,
présentent
à l’esprit des sujets déterminés. Les noms sont d
nel & Vocatif . S’il n’y a de véritables pronoms que les mots qui
présentent
à l’esprit des êtres déterminés par l’idée précis
nsible à l’égard des autres, en prouvant, par des exemples, qu’ils ne
présentent
à l’esprit que des êtres indéterminés désignés se
la nature de l’adjectif : si l’on se sert de celui avant que d’avoir
présenté
aucun nom, comme, celui qui ment offense Dieu, o
mposés, 2° incomplexes ou complexes. 1°. Le sujet est simple quand il
présente
à l’esprit un être déterminé par une idée unique.
à la vérité de la religion chrétienne : enfin ces mots craindre Dieu
présentent
encore à l’esprit un sujet déterminé par l’idée u
om, ou un infinitif, qui sont les seules especes de mots qui puissent
présenter
à l’esprit un sujet déterminé. Tels sont les suje
. Lis, dans le premier exemple, est suivi de ces mots, avec soin, qui
présentent
l’action de lire comme modifiée par un caractere
e s’appuie contre les dents insérieures, & la racine s’éleve pour
présenter
à l’air l’obstacle qui doit en procurer l’explosi
à la signification : si l’auteur a voulu dire autre chose que ce que
présente
la lettre, il s’est très-mal expliqué. Il devoit
oposé : il n’y a point d’équivoque, j’en conviens, parce qu’il ne s’y
présente
pas deux sens dont le choix soit incertain ; mais
ttachent. Ainsi, le nom qui exprime l’idée de l’Etre suprème, s’il se
présente
comme sujet de la proposition, c’est Deus ; comme
-à-dire qu’ils les assujettissent à certaines lois : il y en a qui se
présentent
d’un air soumis ; ils sont régis ou tenus de se c
ns y joindre l’expression d’un terme conséquent déterminé, c’est pour
présenter
à l’esprit l’idée générale de la relation, indépe
vec application à un terme conséquent déterminé, alors ce mot seul ne
présente
qu’un sens suspendu & incomplet, lequel ne sa
es adverbes, & des prépositions. 1°. Il y a des noms relatifs qui
présentent
à l’esprit des êtres déterminés par la nature de
voir bien établi (article Pronom), que les pronoms sont des mots qui
présentent
à l’esprit des êtres déterminés par l’idée précis
mmairiens, il se met pour toutes les personnes : d’ailleurs ce mot ne
présente
à l’esprit aucun être déterminé par la nature, pu
t de commun avec tous les autres mots de cette classe : comme eux, il
présente
à l’esprit un être indéterminé, désigné seulement
tif οὗ τῷ μώλωπι ἰάθητε, cujus livore sanati estis : le texte grec ne
présente
le pléonasme, que parce que le traducteur n’avoit
ch. x.) l’a discutée avec beaucoup de soin ; M. du Marsais, qui en a
présenté
la cause sous un autre aspect que je ne fais ici,
la vérité. C’est ainsi qu’il faut ramener par l’analyse un même mot à
présenter
toujours la même signification, autant qu’il est
la signification formelle, c’est la maniere particuliere dont le mot
présente
à l’esprit l’objet dont il est le signe, laquelle
prit-de-vin : le mot esprit y a quatre acceptions distinctives qui se
présentent
sans équivoque à quiconque sait la langue françoi
dépendent de la maniere dont ils sont employés, & qui fait qu’ils
présentent
à l’esprit ou l’idée abstraite de la nature commu
dans l’esprit de ceux qui entendent une langue ; c’est le sens qui se
présente
naturellement à l’esprit. Entendre une expression
éral, c’est celui que les expressions figurées dont nous avons parlé,
présentent
naturellement à l’esprit de ceux qui entendent bi
ne laisse pas d’avoir un sens littéral, qui est un sens figuré qui se
présente
naturellement à l’esprit. La lettre ne doit pas t
la tête, n’est pas propre pour le ciel ; le vrai sens que ces paroles
présentent
naturellement à l’esprit, c’est que ceux qui ont
es autres passages de l’évangile, où Jesus-Christ dit, Mat. v. 39, de
présenter
la joue gauche à celui qui nous a frappé sur la d
te phrase met nécessairement de niveau l’amour & l’honneur, &
présente
l’un & l’autre comme également méprisables :
ingulier, ou au nombre pluriel. Par exemple, donner la main, c’est la
présenter
à quelqu’un par politesse, pour l’aider à marcher
persuade, le mot vrai est alors un véritable nom, parce qu’il sert à
présenter
à l’esprit un être déterminé par l’idée de sa nat
nt admis cette forme ; mais elle y est remplacée par un idiotisme qui
présente
uniquement à l’esprit cette addition ampliative &
f, l’ampliatif & le diminutif. Le sens positif est celui même qui
présente
la signification primitive & fondamentale du
it. I. period. iv. Or il est remarquable que le sens comparatif ne se
présente
pas sous la forme unique à laquelle on a coutume
ter les sens graduels aux mots qui en sont susceptibles, celle qui se
présente
la premiere aux yeux de la Philosophie, c’est la
st donc nécessaire que tout verbe, dont la signification individuelle
présente
à l’esprit l’idée d’une qualité susceptible de pl
ons peut-être pas de mériter la moindre attention de notre part, nous
présente
néanmoins l’exemple d’une dérivation bien plus ri
le texte puisse être le complement déterminatif ; & comme le sens
présente
toujours dans ce cas l’idée d’une supériorité uni
& que ce qui a donné la préférence à l’ablatif en u, c’est qu’il
présente
toujours l’idée fondamentale du supin ; l’idée si
herbes, fleurs, ruisseaux, troupeaux, habitans, &c. La copie doit
présenter
cette généralité de l’original. Il me semble auss
usage, ou du-moins que le sens littéral qu’on veut faire entendre, se
présente
naturellement à l’esprit sans révolter la droite
es recueilleront les preuves de fait que leurs lectures pourront leur
présenter
dans nos meilleurs écrivains, de la différence ré
ent une existence, qui, dans le tems même de l’époque, est réellement
présente
, puisqu’elle est simultanée avec l’époque. Les pr
les usages des langues. On conviendra peut-être que le systeme que je
présente
ici, est raisonné, que les dénominations que j’y
, que l’on est aujourd’hui bien fondé à se défier de tous ceux qui se
présentent
avec les mêmes apparences de régularité ; une bel
rque pas la chose simplement & proprement comme faite, mais comme
présente
à l’égard d’une chose qui est déja néanmoins pass
ien passée au regard du tems auquel je parle, mais je la marque comme
présente
au regard de la chose dont je parle, qui est l’en
cet auteur, ce tems qu’il nomme prétérit, marque donc la chose comme
présente
à l’égard d’une autre qui est déja passée. Or quo
je pourrai dire, j’ai fini : dans le second exemple, vous avez relu,
présente
l’action de relire comme antérieure à l’époque po
venu, sera passé lorsque son entrée, qui n’est pas encore venue, sera
présente
». La prévention pour les noms reçus fait toujou
celle de Varron par le développement du principe qu’il vient de nous
présenter
. Remarquons d’abord que dans la plûpart des langu
minations, & que l’on en juge par les idées que ces dénominations
présentent
naturellement, il faut en convenir, les censeurs
oir ; l’existance de mon chant & celle de mon départ sont égament
présentées
comme antérieures au moment où je parle ; voilà l
onséquent il est indéfini. C’est d’après cette correction que je vais
présenter
ici le système des tems de ce mode, un peu autrem
e, je ne pouvois réussir sans votre crédit. Il y a ici deux événemens
présentés
comme antérieurs au moment de la parole, la préca
même grammairien & de ses sectateurs. Ainsi je me contenterai de
présenter
ici le système entier des tems du participe, par
les principales idées du système que je viens d’exposer, & que je
présentai
sous le titre d’Essai d’analyse sur le verbe. M.
ue je nomme prétérit indéfini positif) exprime plus souvent une chose
présente
qu’une chose passée ». Trop flatté du desir que
st que, hors les cas indiqués, il est presque toujours indifférent de
présenter
la chose dont il s’agit, ou comme antérieure au m
e forcé de convenir que notre prétérit exprime plus souvent une chose
présente
qu’une chose passée. (B. E. R. M.) THÊME
traduction est plus occupée du fond des pensées, plus attentive à les
présenter
sous la forme qui peut leur convenir dans la lang
par une sorte d’instinct toujours libre, & par sa matiere qui lui
présente
des idées qu’il peut accepter ou rejetter à son g
nous exprimons rarement avec simplicité ; l’objet qui nous occupe se
présente
à nous avec les idées accessoires qui l’accompagn
onsiderare & desiderare n’ayant rien de commun dans l’idée qu’ils
présentent
, ni dans l’affection de l’ame, & se trouvant
sibles & qui soient sous les yeux, dont l’image par conséquent se
présente
d’elle-même sans qu’on la cherche. La sagesse div
ns sacrés ne pouvoient donc pas choisir des choses dont les images se
présentassent
plus facilement à l’esprit des Israélites. 2°. L’
aturelle de ce que l’on n’exprime que sous le voile des tropes, ne se
présente
à l’esprit qu’après quelques réflexions ; on s’en
sont eux-mêmes. On ne doit donc se servir de tropes que lorsqu’ils se
présentent
naturellement à l’esprit ; qu’ils sont tirés du s
discours, voyez Mot , art. I. j’ai cru devoir le définir, un mot qui
présente
à l’esprit un être indéterminé, désigné seulement
. Ce genre est restraint à un autre moins commun, par la propriété de
présenter
à l’esprit un être : cette propriété ne convient
us en plus l’idée générique, que de dire que le verbe est un mot qui
présente
à l’esprit un être indéterminé ; car les noms &am
sente à l’esprit un être indéterminé ; car les noms & les pronoms
présentent
à l’esprit des êtres déterminés. Voyez Nom &
unicable de cette partie d’oraison. De ce que le verbe est un mot qui
présente
à l’esprit un être indéterminé, ou si l’on veut,
entelles que les usages ont attachées aux noms & aux pronoms, qui
présentent
à l’esprit des sujets déterminés : & alors la
un sujet à la seconde personne. Dominus est au nominatif, parce qu’il
présente
le seigneur comme le sujet dont on parle, quand o
arum suarum (Ezech. xiv. 4.). Mais Domine est au Vocatif, parce qu’il
présente
le Seigneur, comme le sujet à qui l’on parle de l
se trouve nécessairement comprise dans la signification du cas qui le
présente
, comme sujet de la proposition, lequel est par co
i lie les hommes par la bienveillance : mais à la voix active, il est
présenté
comme un sentiment dont le sujet est le principe
a même langue, ou que deux constructions différentes des mêmes mots y
présentent
des sens qui quelquefois n’ont entr’eux aucune an
emporel, temporiser, où la lettre p est nécessaire ; c’est une raison
présente
pour la conserver dans le mot temps, plutôt que d
gie dans ces occurrences. Si un mot nouveau ou une phrase insolite se
présentent
sans l’attache de l’analogie, sans avoir, pour ai
re une élégance ; & quelle que soit l’autorité des auteurs qui me
présenteront
de pareils exemples, je ne les regarderai jamais
rage, où parmi un fort grand nombre d’images très agréables, il vient
présenter
mal à propos aux yeux les choses du monde les plu
de bave… Ce qui paraît d’autant plus choquant que cette cave, ainsi
présentée
de si laide façon, devint chez lui tout aussitôt
hacun apportait son mets et son fruit : Thalie, de la part d’Apollon,
présenta
à son tour le melon, qui obtint le prix au jugeme
leaux de l’histoire des Hébreux ou de la vie de Moïse ne s’y trouvent
présentés
qu’en récit ou en songe. L’écueil du poème est d’
de Seine, où il s’était venu loger, et dans un état que la tradition
présente
comme voisin de la pénurie29. On peut dire qu’il
sais de nos jours, j’en ai rencontré plus d’un, même avant l’édition
présente
, qui est destinée à les rallier, à en accroître l
as ce qui est, mais ce qu’elle suppose, c’est une sorte de fièvre qui
présente
toujours un but imaginaire qu’il faut atteindre a
cherai de contribuer à vous l’assurer ; mais le plus grand argument à
présenter
contre les passions, c’est que leur prospérité es
analyser les ressources que la raison et la sensibilité peuvent leur
présenter
; est un moyen plus sûr, parce qu’il est bien plu
ù je poursuis les passions comme destructives du bonheur, où j’ai cru
présenter
des ressources pour vivre sans le secours de leur
mélancolie ; les institutions politiques, les relations civiles vous
présentent
des moyens presque certains de bonheur ou de malh
rnement comme la disproportion entre les délits et les peines ; il se
présente
alors comme un ennemi, tandis qu’il doit paraître
s exposée dans un travail antérieur. La démonstration que nous allons
présenter
en est d’ailleurs indépendante. Nous ne nous prop
s termes conventionnels par lesquels nous désignerons, au cours de la
présente
étude, deux notations du réel, dont l’une impliqu
e nous l’accordera. Or, nous n’avons pas besoin d’autre chose pour la
présente
démonstration. Nous nous proposons d’établir les
s choses mêmes que ce qui est étalé ou étalable dans l’image qu’elles
présentent
. Il n’y a donc rien de plus dans un chassé-croisé
images, images mouvantes comme toutes les images, les centres nerveux
présentent
des parties mobiles qui recueillent certains mouv
isme donne le son fondamental. Nous avons simplement cherché, dans la
présente
étude, à dégager la contradiction inhérente à la
l’envie, et le fanatisme prenant d’elle la coupe empoisonnée pour la
présenter
à son maître. Depuis, il avait été témoin des hon
i pas de ceux que j’ai toujours suivis ; non, quand tout un peuple me
présenterait
comme des spectres menaçants la pauvreté, les cha
d’objet plus grand dans la nature : et tel est le spectacle que nous
présente
Platon, en décrivant la mort de Socrate ; il y jo
panégyristes comme Platon ? Enfin, dans tous les temps, il est bon de
présenter
aux hommes des exemples de courage. Quand Thraséa
e dans la conscience que ce qui est de nature à éclairer la situation
présente
, à aider l’action qui se prépare, à donner enfin
autant de l’existence en général ? Un objet matériel, pris au hasard,
présente
les caractères inverses de ceux que nous venons d
futures du système sont théoriquement visibles dans sa configuration
présente
. Toute notre croyance aux objets, toutes nos opér
question dans un travail antérieur. Nous y reviendrons au cours de la
présente
étude. Pour le moment, bornons-nous à faire remar
nts sur les systèmes isolés ont beau impliquer que l’histoire passée,
présente
et future de chacun d’eux serait dépliable tout d
i elle n’est contrariée par aucune autre tendance : comment ce cas se
présenterait
-il dans le domaine de la vie, où il y a toujours,
idualité, on peut dire que, si la tendance à s’individuer est partout
présente
dans le monde organisé, elle est partout combattu
isse se scinder en fragments viables. Il suffit que cet organisme ait
présenté
une certaine systématisation de parties avant la
sont légères, et qu’on, peut se demander si une même matière vivante
présente
assez de plasticité pour revêtir successivement d
me à sa limite : tel est le genre de probabilité que le transformisme
présente
. Admettons pourtant que le transformisme soit con
les formes pures seraient précisément ceux que le transformisme nous
présente
comme des rapports de filiation réelle entre des
t de pures apparences, où se reflètent autant d’ignorances. Ce qui se
présente
aux sens comme une histoire continue se décompose
e met les êtres vivants aux prises les uns avec les autres. Elle nous
présente
partout le désordre à côté de l’ordre, la régress
une seule indivisible étreinte. Cette vie commune à tous les vivants
présente
, sans aucun doute, bien des incohérences et bien
plie. Et, tout en réalisant une intention, elle diffère, elle réalité
présente
et neuve, de l’intention, qui ne pouvait être qu’
e la vérité. Là même où elle avoue ne pas connaître l’objet qu’on lui
présente
, elle croit que son ignorance porte seulement sur
urs d’autant plus grande que les chemins parcourus de part et d’autre
présenteront
des détours plus compliqués. Et elle deviendra im
parties essentielles, composées d’éléments analogues. L’œil du Peigne
présente
une rétine, une cornée, un cristallin à structure
tions extérieures. Pour ce qui est de la première, on sait qu’elle se
présente
aujourd’hui sous deux formes assez différentes. D
t décomposé lui-même à nos yeux en mille et mille petits carreaux qui
présentent
, en tant que recomposés, un admirable arrangement
nné d’un Oiseau, mais tous ces organes, de complication très inégale,
présenteront
nécessairement une égale coordination. C’est pour
ormes que la vie, en évoluant, sème sur son chemin. Mais cette action
présente
toujours, à un degré plus ou moins élevé, le cara
eant les résultats divergents de l’évolution, non plus dans ce qu’ils
présentent
d’analogue, mais dans ce qu’ils ont de mutuelleme
eurs habitants sont néanmoins essentiellement américains, bien qu’ils
présentent
parfois des espèces particulières. Nous pouvons r
sont produites à des époques comparativement récentes, cette question
présente
de grandes difficultés. Il est de même évident qu
mêlées à la terre de leurs pieds, ce qui est un cas assez rare. Il se
présenterait
, ne serait-ce pas un grand hasard, si les graines
’un grand nombre d’espèces soient identiques, cependant quelques-unes
présentent
des variétés, et beaucoup sont des espèces distin
terres des régions tempérées des deux hémisphères du nord et du sud,
présentent
quelquefois une parfaite identité, mais sont beau
roductions tropicales étaient en état de souffrance, et incapables de
présenter
un ferme front de défense contre les envahisseurs
aux effets du refroidissement de la période glaciaire, et avaient pu
présenter
un sûr refuge aux productions tropicales menacées
loin de supposer que ces hypothèses lèvent toutes les difficultés que
présentent
l’extension et les affinités des espèces alliées
t certain que les phénomènes de convergence des caractères doivent se
présenter
plus rarement que les phénomènes contraires de di
ais encore qu’elle explique les exceptions particulières que ces lois
présentent
. Il est donc évident d’après cela qu’une même esp
s de vie semblables ou équivalentes sous la même latitude, peut avoir
présenté
des variations identiques et également avantageus
me, et l’on en est réduit à rechercher parmi les hypothèses celle qui
présente
le plus de vraisemblance. M. Poisson a émis l’idé
aussi des lois de la mécanique que, si cet état de choses avait pu se
présenter
une fois, il n’y aurait pas de raison connue pour
ment temporaire de la température sur toute la surface de la terre ne
présente
aucune vraisemblance au point de vue astronomique
e moment donné ils ont toujours dû avoir à peu près le même climat et
présenter
des conditions de vie analogues. (Trad.) 156. S
intitulé Henriette Maréchal ; et vers la fin de janvier 1864, nous le
présentions
à M. de Beaufort, alors directeur du Vaudeville.
mais un début très remarquable, et pour ma part je serais heureux de
présenter
au public cette première passe d’armes de deux vr
’on refusait la claque ! Mardi dernier, quand les jeunes gens se sont
présentés
, le parterre était envahi. — Par qui ? — Et ses p
, quelques anecdotes, et quelques idées sur l’art théâtral de l’heure
présente
. Dans cette préface j’ai dit : Henriette Maréchal
’un indigeste travail sur les « Châteaux de la France au moyen âge »,
présenté
par moi à la Société d’histoire de France pour av
s l’attente anxieuse de gens qui ont une pièce, et une première pièce
présentée
à un théâtre. Au bout des deux semaines, nous rec
années, où nous nous occupions historiquement du Directoire, un acte
présenté
au Théâtre-Français, que je regrette de voir perd
ssait à mes auditeurs. Enfin la pièce, réduite en quatre actes, était
présentée
au Vaudeville et sa réception d’avance annoncée p
éraire parlée que je trouve, hélas ! manquer aux meilleurs de l’heure
présente
: des comédies enfin où une myope Thalie ne serai
Saint-Sylvestre, et celle des Incroyables et Merveilleuses, peut-être
présentée
en dernier lieu, sous le titre du Retour à Ithaqu
ma tentative était absurde, et que seules les mœurs de la bourgeoisie
présentaient
de l’intérêt, ne se doutaient guère, que plus de
nt opérés graduellement et très lentement. Les formations secondaires
présentent
une chaîne moins continue ; cependant, ainsi que
formations consécutives considérées deux à deux, les formes vivantes
présentent
rarement des changements d’égale importance. Cepe
ts étroits de succession, on constate que toutes les espèces qu’elles
présentent
ont-subi quelques altérations. Quand une fois une
e et parvenir ainsi à la supplanter, comme le cas s’en est sans doute
présenté
très souvent ; cependant la nouvelle forme ne pou
divers pays, si éloignés, les restes organiques de certaines couches
présentent
une ressemblance frappante avec ceux de nos forma
t quelque autre aux espèces dominantes de la mer. Si deux régions ont
présenté
pendant longtemps des circonstances également fav
été très différente de ce qu’elle est aujourd’hui. L’Amérique du Nord
présentait
autrefois beaucoup des caractères actuels de l’au
silurienne. Mais, longtemps avant cette époque, le monde a peut-être
présenté
un aspect tout différent ; les continents primiti
upe, depuis devenu successivement très divergent. Les formes éteintes
présentent
rarement des caractères exactement intermédiaires
e qu’une variété descendue d’une espèce mère, et modifiée au point de
présenter
avec elle des différences de valeur spécifique, e
le-même. On conçoit qu’un pareil concours de circonstances ne peut se
présenter
que rarement ; mais il suffit que ce concours soi
e digère » n’est qu’un abus de langage. Les phénomènes psychologiques
présentent
les caractères exactement opposés : 1. Ils ne son
. Ce n’est point là une action : tout au contraire, ce nouveau groupe
présente
des caractères opposés à ceux de l’activité. En e
et de la douleur, et en chercher les causes. Ces états de conscience
présentent
trois caractères essentiels : 1. Le plaisir et la
s égoïstes, nous l’avons dit, ont pour objet le moi. Elles peuvent se
présenter
sous deux formes : tantôt elles ont pour objet de
du mouvement. Mais pour cela, il faudrait que toutes les inclinations
présentassent
les deux mouvements que nous venons d’indiquer. O
venons d’indiquer. Or, il est évident que certaines d’entre elles ne
présentent
que le premier : 1. Les inclinations supérieures
puissant de la faire connaître ? 2. Certaines inclinations altruistes
présentent
le même caractère ; il arrive souvent que nous ai
ns toutes les passions. En quoi consiste exactement la passion ? Elle
présente
les deux caractères suivants : 1. Comme l’inclina
rieur existe-t-il réellement ? Telle est l’importante question qui se
présente
d’elle-même à l’esprit. Cette question se subdivi
une autre de résistance, une autre de goût par exemple. Au lieu de se
présenter
isolées, les perceptions possibles se présentent
xemple. Au lieu de se présenter isolées, les perceptions possibles se
présentent
par groupes, on a appelé objet une chose imaginée
ion intérieure. On a dit que certains de nos phénomènes intérieurs ne
présentaient
pas toutes les conditions requises et ne pouvaien
t cette impossibilité ? De ce que les deux termes ne nous sont jamais
présentés
l’un sans l’autre dans l’expérience ? Ce n’est pa
ains rapports de position. Les uns sont avant, les autres après. Tous
présentent
ce caractère. Nous le généralisons. Nous nous rep
omènes, il arrive à la même conclusion. Ainsi, tous les phénomènes se
présenteront
à nous comme formant des couples inséparables, ch
n’en peut conclure que A précédera toujours B. Lorsque l’idée de A se
présente
à l’esprit, celui-ci a une tendance à penser égal
st par conséquent plus déplaisant. Mais rien ne prouve que les objets
présentent
cette absolue unité. Tout semble faire présumer a
inité qu’ont les idées, la vie de l’esprit ne s’arrête jamais. L’idée
présente
en appelle une seconde, et ainsi de suite indéfin
d a-t-il dit que nous ne souvenons que de nous-mêmes. La mémoire peut
présenter
différentes qualités. Tantôt elle est caractérisé
ces considérations théoriques, il est de fait que chaque instant nous
présente
des objets utiles et n’ayant rien de beau. En sec
s chercher à remonter à la cause, à déduire des qualités diverses que
présente
le plaisir esthétique les qualités que doit avoir
ant, le sublime est spécial, ne ressemble en rien au beau. Le beau se
présente
toujours à nous avec un aspect défini ; le sublim
vité est la faculté par laquelle nous produisons nos actions. Elle se
présente
à nous sous trois formes différentes : Elle est v
ans la descendance avec une plus grande intensité. Les animaux qui ne
présentent
pas la variété demandée sont éliminés. Ceux-là se
pas la variété demandée sont éliminés. Ceux-là seuls restent donc qui
présentent
la qualité recherchée. La nature fait mécaniqueme
t mécaniquement, fatalement ce que font les éleveurs. Les animaux qui
présentent
quelque qualité les rendant supérieurs, survivent
es neutres ne naissent pas de neutres, mais de la reine, et cependant
présentent
tous les instincts des neutres. La théorie transf
in, la difficulté devant laquelle échouait la théorie de Condillac se
présente
de nouveau dans la théorie transformiste. Il y a
elle se produit après un seul phénomène. Ainsi considérée, l’habitude
présente
un double caractère ; d’abord, elle est une facul
i tend à reproduire ces mêmes actes. On peut remarquer que l’habitude
présente
, à un degré moindre, presque tous les caractères
ntenir dans le passé ; elle est par essence ennemie du changement, et
présente
ainsi au progrès un obstacle, qui n’a rien d’insu
signe objectif auquel on ne puisse se méprendre : les jugements seuls
présentent
ce caractère qui sont universellement acceptés. O
r pourquoi : nous croyons par certitude morale à tout jugement qui ne
présente
pas l’évidence mathématique ou physique. Or la pr
tés discursives, analyse et synthèse. Voyons donc ce qu’elles peuvent
présenter
de suspect. L’analyse consiste à déduire d’une id
s suivons ne sont ni absolument vraies, ni absolument fausses ; elles
présentent
seulement une probabilité plus grande que les aut
oute autre. L’extension au contraire est l’ensemble des individus qui
présentent
ce ou ces caractères. L’extension et la compréhen
les caractères sont nombreux, petit sera le nombre des sujets qui les
présentent
. Réciproquement, s’il y a plus de sujets, c’est q
présentent. Réciproquement, s’il y a plus de sujets, c’est que l’idée
présente
moins de caractères distinctifs, et vice versa. L
contenu dans M (Paul est mortel). Si le syllogisme au contraire était
présenté
sous la forme : Nul homme n’est immortel ; Or, P
t être affirmative ; en effet elle énonce l’application à la question
présente
de la règle générale fournie par la majeure. Elle
tons la portée à l’aide d’instruments. Quant à l’observateur, il doit
présenter
quatre qualités : attention, intelligence, exacti
s concluons d’un fait à un autre qui, sans être identique au premier,
présente
avec lui quelque ressemblance. Si les deux faits
des règles qui la dirigent. Pour qu’elle soit bonne, il faut qu’elle
présente
les caractères suivants : 1. Simplicité. Ceci rep
lus facilement des faits, on les reconnaît plus aisément quand ils se
présentent
dans la nature. 2. Elle nous permet de reconstitu
pouvons croire un fait absurde. Il faut donc que les faits rapportés
présentent
un caractère de possibilité et ne choquent ni les
temps dont nous racontons l’histoire. Pour être cru, un monument doit
présenter
deux caractères : — Authenticité. Il doit avoir é
ces que nous pouvons contrôler. Nous pouvons les rejeter quand ils ne
présentent
pas un degré de certitude suffisant ; mais quand
der la parole par suite même de notre nature. Ici, deux hypothèses se
présentent
: 1. Le langage nous a été donné spontanément à l
r pouvoir déterminer quelle est cette loi, quels caractères elle doit
présenter
. Les philosophes sont généralement d’accord pour
ou telle fin, mais être posée comme un absolu. 2. Universelle. Ici se
présente
une difficulté. La loi morale, dit-on, n’est pas
sulter, puis distinguer dans quelle mesure ces plaisirs ou ces peines
présentent
les caractères dont nous venons de parler. Cet ex
dans l’idée de la finalité le fondement de la loi morale. Cette idée
présente
ce double avantage : 1. qu’elle implique immédiat
véracité. Le mensonge est ainsi proscrit sous quelque forme qu’il se
présente
, qu’on trompe les autres ou soi-même. Mais ce n’e
la nature que les parents aiment leurs enfants à l’âge même où ils ne
présentent
encore pour ainsi dire rien d’humain, et où ils n
iendra une affection plus raisonnée. Mais sous quelque forme qu’il se
présente
, il sera toujours le lien le plus fort entre les
loi a été faite par les citoyens qui doivent l’observer. Mais ici se
présente
une difficulté ; la loi n’a jamais été votée à l’
tent par là la sécurité publique. Cependant, malgré les avantages que
présenterait
la suppression de la peine de mort, nous ne pouvo
st identique, la démonstration en a été faite. Or, la matière ne nous
présente
aucune trace d’identité. Elle change perpétuellem
côté, spontanéité de l’autre, on ne peut identifier des principes qui
présentent
ces caractères contradictoires. Ces trois argum
but où va le monde, comme la fin absolue des choses. 2. La nature se
présente
à nous comme un ordre, un système de choses ; l’o
5 Critique des preuves métaphysiques de l’existence de Dieu Kant a
présenté
contre les preuves métaphysiques de l’existence d
es qui est loin de la réalité. L’effet est hétérogène à la cause ; il
présente
une réalité et des qualités nouvelles. On ne peut
e réalité et des qualités nouvelles. On ne peut pas dire que l’eau ne
présente
pas une réalité toute [illisible] de sa cause, l’
articulier, a été soumise à toutes sortes d’objections. Que l’univers
présente
une certaine harmonie, c’est ce qui n’est contest
ie avec ce milieu nouveau. En second lieu, il y a la coordination que
présente
chaque être, et surtout l’être organisé qui forme
le]. En outre, la ségrégation peut-elle expliquer la coordination que
présente
chaque être ? La coordination physique, oui ; la
moral, le mal physique. Le mal métaphysique, c’est l’imperfection que
présentent
tous les êtres : nous sommes finis, limités, et t
s les êtres : nous sommes finis, limités, et tout ce qui est au monde
présente
le même caractère. Nous savons bien peu de chose,
t pas impossible, et il ne faut pas se désespérer si le bonheur ne se
présente
pas de lui-même : le bonheur est un art, et l’on
lement et en silence, partout et toujours, dès que l’opportunité s’en
présente
, au perfectionnement de chaque être organisé par
orne chez les Coqs de certaines races, etc. Des exemples analogues se
présentent
à l’état sauvage : ainsi la touffe de poils pecto
de nature ; car dans une région bien close, dont l’économie générale
présenterait
quelques lacunes, la sélection naturelle tiendrai
laces vacantes. Si cette région était vaste, ses différents districts
présenteraient
certainement diverses conditions de vie ; et la s
périodes à l’état de terres discontinues, plus ou moins éparses, a dû
présenter
les circonstances les plus favorables à la produc
mets pleinement. Son action dépend des places vacantes qui peuvent se
présenter
dans l’économie de la nature ou qui seraient mieu
eurs faits de grande importance. Nous avons vu que certaines variétés
présentent
à un si haut degré les caractères d’espèces, qu’o
les variétés, prototypes supposés des espèces distinctes futures, ne
présentent
généralement que des différences mal définies. Le
s que dans les petits, et que les espèces variables des grands genres
présentent
un plus grand nombre de variétés. Nous avons vu a
etites différences qui distinguent les variétés s’accroissent jusqu’à
présenter
les différences plus profondes qui distinguent le
ue dans chaque contrée ce sont les espèces des plus grands genres qui
présentent
le plus souvent des variétés ou espèces naissante
ent et de progrès. Elle se saisit seulement de toute variation qui se
présente
, lorsqu’elle est avantageuse à l’espèce ou à ses
nuellement élevé et s’élève encore dans le monde, cependant l’échelle
présentera
toujours tous les degrés possibles de perfection
s le monde entier. Des variations favorables peuvent ne s’être jamais
présentées
, de sorte que la sélection naturelle n’a pu agir
nous avons posés, les espèces rares doivent, dans une période donnée,
présenter
très peu de variations favorables ; de sorte que
sparaître devant des organisations plus flexibles ; ou bien elles ont
présenté
des variations moins avantageuses qui n’ont pas é
raient identiques ; or, c’est là un cas extraordinaire qui ne peut se
présenter
que très rarement, bien qu’il n’ait rien d’imposs
vrai jour ; sa mesure y est très bien prise, et son rôle parfaitement
présenté
. Ce rôle ne saurait se séparer du souvenir et de
s la bourgeoisie ; il faut que je vous en tire. » Par lui Voiture fut
présenté
chez la marquise de Rambouillet, l’oracle du méri
rien de plus particulier, de plus approprié à l’heure et à la minute
présente
que la conversation et le genre de plaisanterie q
rrivaient un jour en carrosse à la porte de l’hôtel de Rambouillet et
présentaient
à Mlle de Rambouillet, comme de la part du conqué
re le brochet. Sarazin, dans sa jolie pièce de la pompe funèbre, a pu
présenter
les exploits d’esprit de Voiture en une suite d’é
rites et dans les papiers de Conrart ; je regrette que dans l’édition
présente
on n’en ait pas inséré une ou deux au moins, en e
ux, et qui se montrait propre à tout : dans les autres membres ils se
présentaient
sous forme plus spécieuse et plus décente, et les
pérer que cela pourrait avoir de la suite. Quelque temps après, il se
présenta
une occasion au Parlement, où M. Fouquet jugea bi
oies de la rectitude, Fouquet ne songea qu’à redoubler d’adresse ; il
présentait
au roi de faux états de situation, que Colbert co
econnaissants, et aujourd’hui le nom de cet illustre malheureux ne se
présente
à la postérité qu’environné et comme protégé de c
dissimulation qui était une qualité loyale et qui, dans l’application
présente
, avait été poussée si loin. Si un tel plaidoyer,
yses et des extraits qu’il en a faits pour lui-même. Si l’occasion se
présente
, j’y pourrai revenir un jour. 53. [NdA] Pellisso
mes plus nous-mêmes et nous vivons dans les personnages qui nous sont
présentés
et dans les lieux qui nous sont peints par le mag
sonnelles, juger par comparaison des personnages que les auteurs nous
présentent
. Ce qui, dans la réalité, est à portée de nos reg
que par conséquent nous puissions contrôler encore en ce sens qu’ils
présentent
comme réalisé ce qui est en nous belle inspiratio
x rêves et belles ambitions morales. Ce sont des livres oit nous sont
présentés
des êtres dont l’intérêt même est d’être en dehor
cet acte, comme il a la forme qui s’y prête, et une école ne doit pas
présenter
les mêmes combinaisons de lignes qu’une église ;
et parce que, laissés de côté par les professeurs d’à présent, ils se
présenteront
aux écoliers dans toute leur beauté propre, avec
uites, groupa de suite un certain nombre d’adhérents. Lorsqu’il parut
présenter
assez de surface, il fut soumis à l’archevêque de
u cours d’une lettre en date du cinq mars 1873, l’archevêque de Paris
présenta
la demande au ministre des cultes, M. Jules Simon
suivants de la loi du 3 mai 1841 aussitôt après la promulgation de la
présente
loi. » Après cette consécration définitive de « l
à la loi médiévale. Dans la demande de déclaration d’utilité publique
présentée
par l’archevêque au ministre des cultes, qu’allon
hésion nationale à leur projet, il fallait au moins que ce projet fût
présenté
dans son intégrité et dans sa vérité. Mais c’est
1873. Un projet de loi fut même rédigé en ce sens par M. Delattre et
présenté
à l’Assemblée, qui le laissa tomber. Cette fois,
t devenues des procédés superficiels. Plusieurs des grands auteurs se
présenteront
alors dans une lumière nouvelle ; et l’étude des
objet : l’homme ou le groupe d’hommes, s’affirmant dans leur réalité
présente
et dans leur lutte avec d’autres hommes et d’autr
; c’est la route qui bifurque, le conflit des devoirs, de la réalité
présente
avec l’idéal nouveau, une prise de conscience ; s
lées par un homme disparu, l’immortelle expression d’une âme toujours
présente
. Un cataclysme venant à détruire l’œuvre entière
ntation. Elles suffisent à montrer que ma méthode, si elle est juste,
présente
un gros danger, qui est aussi une garantie : elle
et peut-être aussi plus d’une explication favorable à mon idée. Je ne
présente
ici qu’une esquisse, à retoucher, mais pourtant l
» Le lendemain, au point du jour, le dansama et les sept bouchers se
présentèrent
chez la vieille et se dirigèrent vers le piquet a
sence car jamais elles ne sortaient. Un jour un gambari (marchand) se
présenta
chez elle et demanda à boire. Ce fut Takisé qui a
iot d’aller, en compagnie du dioula, chercher la jeune fille. Elle se
présenta
, suivie de la vieille. « Ta fille est merveilleus
e. On ne reconnaît Calipso qu’[à] une sottise qu’elle fait ; c’est de
présenter
une pêche à Telemaque, qui a bien plus d’esprit q
ux que de lui faire faire les honneurs de la table [?] et cette pêche
présentée
et le bonnet carré de St Vincent de Paule ne sont
nants dans la littérature, et surtout dans la poésie, pourraient être
présentés
comme une objection contre la perfectibilité de l
pent tous les yeux, transportés pour la première fois dans la poésie,
présentent
à l’imagination les peintures les plus énergiques
ses merveilles, et flexibles à ses impressions ; les difficultés que
présenterait
une disposition plus philosophique dans les audit
des sensations nouvelles. Il n’est pas fatigant, parce qu’il ne vous
présente
jamais d’idées abstraites, et que vous voyagez av
uelquefois la dépouiller de ses brillants aspects. Tous les objets se
présentent
un à un aux regards d’Homère ; il ne choisit pas
me ; il est le présent, parce qu’il est ce par quoi la conscience est
présente
à soi. Dans ce présent empirique, il y a appréhen
tion qu’à chaque moment la conscience est fixée sur la représentation
présente
, nous répéterons à notre tour que cette complète
ion de la durée même. Les images du passé qui restent dans la mémoire
présente
n’apparaissent pas comme affectées de repos et d’
faim ne se la représentera jamais de la même façon que quand elle est
présente
et qu’il en a la sensation complète. Il s’efforce
le était elle-même à des phases variables d’intensité lorsqu’elle fut
présente
à la conscience avec ces autres présentations ; e
la faim, qu’aucun animal ne concevra longtemps sa proie absente comme
présente
. Il y a là, avec une lutte mécanique de tendances
la forme logique des axiomes d’identité et de contradiction. La proie
présente
à la pensée et absente de la bouche prendra donc,
appétit, de la tension, qui distingue la pure idéalité de l’actualité
présente
, de l’idéalité future et de l’idéalité passée. Un
— Nous répliquerons que le souvenir présent du passé et la prévision
présente
de l’avenir, en nous permettant de « nous donner
stinguer, sans discerner le plaisir de tout à l’heure d’avec la peine
présente
, c’est être dans la « durée pure » ; disons plutô
onscients, mais par ce résidu conscient et intelligent qui est l’idée
présente
du passé. L’évolution est donc modifiée par l’idé
s la mer pour la seconde fois et que je la reconnais. Toute sensation
présente
paraîtrait nouvelle si, en même temps, il n’y ava
ne succession qui ne peut tomber sous l’intuition que dans sa portion
présente
? Nous n’avons d’autre intuition du temps que not
et à peine reconnaissables pour nous. Leur imagination suffit à leur
présenter
l’image voulue, sans autre secours qu’une simple
ur la toile. Mais cette image, encore faut-il que je puisse la garder
présente
à l’esprit quand mes yeux se détourneront de l’ob
une excellente mémoire. C’est déjà beaucoup que de garder exactement
présente
à l’esprit, pendant deux ou trois secondes seulem
eront leurs personnages à se mouvoir dans le plan du tableau, et à se
présenter
toujours de telle sorte qu’ils se découpent sur l
probable aussi qu’il ne l’a pas rendue exactement telle qu’il l’avait
présente
à l’esprit, mais s’est contenté d’à peu près, voy
s lesquels nous avons mis tant de nous-mêmes, qu’il suffit de nous en
présenter
l’image pour évoquer dans notre esprit tout un co
son moral. Certains tableaux très réalistes en apparence, qui ne nous
présentent
que des personnages, aux traits vulgaires dans un
s à l’objet de ma contemplation, ces images qui d’elles-mêmes se sont
présentées
à mon esprit ? En m’abandonnant à ces suggestions
ns les équivalents qu’il nous en donne ? Comment l’image qui nous est
présentée
se transfigure-t-elle à nos yeux, devient-elle tr
ue sont pour l’œil ces objets, que notre imagination s’obstine à nous
présenter
avec un si riche accompagnement de sensations div
nous être réellement rendue, l’image des autres ne manquera pas de se
présenter
plus ou moins nettement à notre esprit. C’est ain
nt les artistes savent se reconnaître dans ces analogies, et nous les
présenter
de telle manière que nous-mêmes nous les saisissi
alourdissait toute la composition. Faut-il tant d’appareil pour nous
présenter
quelques fleurs des champs ? Un fond plus clair,
té des mots pris au sens figuré, il s’en trouve toujours quelques-uns
présentés
au sens direct, qui précisent l’idée. Dès lors l’
siblement de sa voix le vide immense de la nef. Mieux encore, on nous
présentera
un personnage qui semble prêter l’oreille à quelq
a lumière des beaux jours, les parures de fête, les fleurs ; elles se
présentent
donc à nous accompagnées de tout un cortège d’ima
t excitantes ou déprimantes, agréables ou désagréables : par là elles
présentent
une analogie avec les sentiments qui augmentent o
moins sensibles à cette harmonie, et nous en jouissons quand elle se
présente
. La vue d’objets ternes et sombres nous déplaira
es bleues ; nous nous serons préparés à suivre les analogies que nous
présentent
les poètes jusque dans leurs apparentes bizarreri
r, ce n’est pas pour le moment votre affaire. Mais si le tableau vous
présente
quelque personnage allégorique, la Guerre secouan
s courbé vers la terre, l’immortel Adam ». Ainsi l’image qui nous est
présentée
, si élémentaire qu’elle soit, se complète de tous
ument que Bartholomé a dédié aux morts. Les images réelles qu’il nous
présente
, par leur beauté sculpturale et leur expression,
et nos désespoirs devant la mort. Ainsi derrière l’image qui nous est
présentée
nous croyons entrevoir dans une perspective illim
ns tout à l’heure. Il s’agit de figurer la guerre. Au lieu de nous en
présenter
un épisode caractéristique, on nous montrera, com
e traditionnel ; il faut qu’il écarte ces images toutes faites qui se
présentent
les premières à l’esprit, et se mette un peu en f
rapports d’analogie. Le symbolisme par association consistera à nous
présenter
, en lieu et place de la chose à laquelle on veut
ements religieux ou liturgiques, comme pour y rendre la divinité plus
présente
: partout où se porteront les yeux, une image se
vinité plus présente : partout où se porteront les yeux, une image se
présentera
qui ramènera l’esprit du fidèle à l’objet du cult
pour les trouver, car d’ordinaire ce sont celles qui spontanément se
présenteront
à son esprit dans le travail de la composition. Q
ut distinctif de Pallas. Le symbolisme par analogie consistera à nous
présenter
, au lieu de l’objet auquel on veut nous faire pen
ent parler une métaphore : des deux termes de la comparaison que l’on
présente
à l’esprit, on exprime positivement l’un et l’on
trouvé à l’œuvre un sens plein et solide. — Dans l’image qu’il nous a
présentée
de la Création de l’homme, Michel-Ange, à n’en pa
tude plus d’harmonie et de majesté. Que l’image première qui nous est
présentée
soit donc belle par elle-même : sur ce point nous
s du symbole, notre imagination entrera en jeu ; et les images qui se
présenteront
spontanément à nous, les impressions que nous res
perdus du réalisme ne l’ont pas compris, et sont arrivés ainsi à nous
présenter
des images assez incohérentes, que l’on a fort ad
ui-même de l’exécution technique de l’objet à décorer, s’il veut nous
présenter
des œuvres homogènes qui soient conçues tout enti
artons, où l’image a pris sa forme définitive. L’ordre dans lequel se
présentent
ces études est significatif : ce dessin réaliste
n un autre sens. Trouver des attitudes naturelles et neuves, qui nous
présentent
sous un aspect inédit la forme humaine, qui en dé
ologie, et que ce corps soit en parfaite harmonie avec ces âmes. Nous
présente-t
-il une scène quelconque où plusieurs personnages
la plupart des artistes. Sur une première image assez vague qui s’est
présentée
d’abord à leur esprit ils lancent quelques traits
timent que le but de la peinture et de la sculpture n’est pas de nous
présenter
une image plus ou moins exacte des choses, telles
etant un livre illustré, tombera en extase devant les dessins qui lui
présentent
un homme, une femme de beauté exceptionnelle. Ava
mpossible d’en tirer un parti artistique ; ou bien votre mémoire vous
présente
brusquement l’image d’un homme, d’une femme, d’un
’a-t-il prise ? C’est justement ce qu’il s’agit de savoir. S’est-elle
présentée
à lui toute faite ? L’a-t-il brusquement conçue,
r. C’est ainsi que certains peintres et sculpteurs finissent par nous
présenter
, sous prétexte de style et d’idéal, des types d’h
ste sera de retrouver ce type idéal et, l’ayant découvert, de nous en
présenter
l’image. Pour le dégager des variations accidente
n’a pas le droit de s’y tenir. Sans doute il est intéressant de nous
présenter
des spécimens de l’homme moyen, de celui qui plaî
s’arrêter un instant comme à une position d’équilibre stable, et qui
présentent
une réelle valeur esthétique. Celui-ci vaudra par
du Christ, ils eussent voulu le faire infiniment beau. Quand ils nous
présentent
l’image de la Vierge, c’est dans une auréole de g
in, n’oseraient se donner cette licence : ils se feraient scrupule de
présenter
au public, peinte sur toile et encadrée d’or, une
ère d’une surface plane. Mais l’effet serait intolérable si l’on nous
présentait
ainsi, reproduit à une centaine d’exemplaires, un
vivre seul dès qu’on veut vivre pour soi-même ; cette nation ne doit
présenter
que des caracteres adoucis par les égards, &
mmes le joüet des évenemens ; de-là le comique de situation : ou elle
présente
les vertus communes avec des traits qui les font
ces, & les attaque dans leur principe ; le plus fort, en ce qu’il
présente
le miroir aux hommes, & les fait rougir de le
on ne sauroit faire un pas dans la carriere du haut comique, ce genre
présente
un obstacle qui lui est propre, & dont un aut
ide exagération, ou l’imitation grossiere d’une nature indigne d’être
présentée
aux yeux des honnêtes gens. Le choix des objets &
endant des témoignages ; prendre la tradition dans sa source, pour la
présenter
dans toute sa force ; exclure enfin du nombre des
tems & l’imitation & le modele. Cependant les difficultés que
présente
la critique dans les Arts dont nous venons de par
n dans son ivresse ? Le goût timide & tranquille viendra-t-il lui
présenter
le frein ? O vous qui voulez voir ce que peut la
contemporains, loin de nous retracter, nous nous applaudirons d’avoir
présenté
ce tableau à quiconque rougira ou ne rougira poin
en l’embrassant, il sembloit tenir Astyanax entre ses mains, & le
présenter
à sa mere. On sait que dans ce vers de Severe à F
chardon), les hommes me paroissent hauts de vingt piés. Les livres ne
présentent
point de modele aux yeux, mais ils en offrent à l
seul aspect du lieu ne donneroit-il pas au contraste de sa situation
présente
avec sa fortune passée ? On se plaint que nos tra
s conduit à une remarque qui peut être utile. Le poëte ne doit jamais
présenter
des situations que l’acteur ne sauroit rendre : t
sent bien qu’on ne lui donne pas les discours du personnage qu’on lui
présente
, pour des vérités de fait aussi exactes que la ma
de leur but. L’objet de la poésie pastorale a été jusqu’à présent de
présenter
aux hommes l’état le plus heureux dont ils leur s
amp; cruelle, n’est-ce pas perdre de vûe l’objet de l’églogue, que de
présenter
les bergers dans ces violentes situations ? La ma
est le tableau d’une condition digne d’envie, tous les traits qu’elle
présente
doivent concourir à former ce tableau. De-là vien
s de même de la condition des laboureurs : leur vie, quoique pénible,
présente
l’image de la gaieté, de l’abondance, & du pl
olte des grains, les repas, la retraite, les danses des moissonneurs,
présentent
des tableaux aussi rians que les troupeaux &
amp; l’esprit se repose agréablement sur le sens littéral qu’elle lui
présente
, sans y chercher un sens mystérieux. L’églogue en
a comparaison même ne convient à l’églogue, que lorsqu’elle semble se
présenter
sans qu’on la cherche, & dans des momens de r
ent doit être sans cesse animé par les tableaux que l’imagination lui
présente
. Il n’en est pas de même de l’élégie passionnée,
rs de son exil à ses amis & à sa femme. La premiere raison qui se
présente
de la foiblesse de ses derniers vers, est celle q
on dissipe & affoiblit dans le poëte le sentiment de sa situation
présente
, autant elle approfondit les traces de sa situati
dira-t-on, Properce & Tibulle ont si bien exprimé leur situation
présente
, même dans la douleur ? Oüi sans doute, & c’e
un fossé exposé à tout le feu des ennemis. Aucun des grenadiers ne se
présenta
; le général étonné, leur en fit des reproches :
ite, & un ministre d’état sur ses exploits militaires ; est-ce là
présenter
le miroir aux flateurs ? Il ajoûte que rien n’est
P. le Bossu veut que le sujet du poëme épique soit une vérité morale,
présentée
sous le voile de l’allégorie ; ensorte qu’on n’in
les personnages qu’après avoir inventé la fable : cette idée creuse,
présentée
comme une regle générale, ne mérite pas même d’êt
dans l’enfoncement du tableau ce qui n’a rien d’intéressant, & de
présenter
sur les premiers plans les objets capables d’émou
pée doit être mémorable & intéressante, c’est-à-dire digne d’être
présentée
aux hommes comme un objet d’admiration, de terreu
grandeur de son sujet. Celui de l’Enéide, tel que Virgile pouvoit le
présenter
, étoit beau pour tous les hommes ; mais dans le p
suit pas que la vertu infortunée soit un exemple dangereux : qu’on la
présente
telle qu’elle est dans le malheur, sa situation n
centre, elle fait refluer sur l’avant-scene l’intérêt de la situation
présente
des acteurs, par l’impatience où l’on est d’appre
hétiques, ne laissent pas de former le tissu d’un beau poëme, quoique
présentés
dans leur ordre naturel. Boileau traite de maigre
fets, comme elles le sont dans la nature, & comme la tragédie les
présente
. L’épopée n’exige donc pour personnages que des h
ême des peintures plus fréquentes & plus vives : ou ces peintures
présentent
l’objet sous ses propres traits, & on les app
s ses propres traits, & on les appelle descriptions ; ou elles le
présentent
révêtu de couleurs étrangeres, & on les appel
s idées accessoires d’une vie tranquille & pure, & l’autre ne
présente
que l’idée toute nue d’un repas de voyageurs. Les
ide, l. V.). Le grand art de ménager les descriptions est donc de les
présenter
dans le cours de l’action principale, comme les p
l’esprit de celui qui le fait. Exprimer la substance de l’ouvrage, en
présenter
les raisonnemens ou les faits capitaux dans leur
il a eu cent imitateurs. Les plus sages, effrayés des difficultés que
présente
ce genre de critique, ont pris modestement le par
pable de les indisposer, que des préceptes de morale & de sagesse
présentés
directement. Nous ne parlerons point de la satyre
a fable renferme une vérité cachée, comme dans l’Iliade ; tantôt elle
présente
directement des exemples personnels & des vér
r les moeurs ; &, suivant ce principe, on n’auroit jamais dû nous
présenter
le tableau qui entraîne OEdipe dans le crime, ni
e d’embellir ; & c’est par le plus ou le moins de beautés qu’elle
présente
ou dont elle est susceptible ; que se décide le c
al il observe les gradations des idées, si dans l’un & l’autre il
présente
les plus belles proportions de la nature idéale o
nés pour instruire & pour juger les autres hommes, devroient leur
présenter
sans cesse en opposition la valeur protectrice &a
p; tantôt le suit, de même la gloire tantôt devance la vertu & se
présente
la premiere, tantôt ne vient qu’à sa suite, lorsq
que de tels biens ne seront jamais trop payés. Dans la constitution
présente
des choses il nous semble donc que les grands son
é de se prévaloir de l’équivoque. Mais son pluriel (les grandeurs) ne
présente
plus rien de personnel ; c’est le terme abstrait
l'imagination d'Homere entraîne la sienne, toutes les fois qu'il lui
présente
de nouveaux tableaux, & ces tableaux varient
que l'esprit du genre comique lui est totalement inconnu ; qu'il n'a
présenté
sur la Scene qu'un monstre bizarre, mélangé de ri
l veut absolument subjuguer & égarer. De là, cette affectation de
présenter
la vertu malheureuse, & le vice toujours trio
ressent jusqu'à la fin ? Au lieu de cela, l’Historien de Louis XIV ne
présente
que des miniatures détachées, des croquis informe
débiter tant de faussetés manifestes, travestir tant d’événemens, les
présenter
d’un profil si contraire à la bienséance & à
gréable, plus varié, plus commode. On le lit sans se fatiguer ; il ne
présente
que la fleur des sujets ; il réveille par des ant
ses jugemens, si on les compare les uns les autres à mesure qu'ils se
présentent
, sont moins de lui, que du Génie qui l'inspiroit
I, & lui remettre un poignard, sans faire voir la main qui le lui
présente
, &c. ? *. Voyez l'Artide Fénélon. *. Dans s
ns, et là précisément où il fallait qu’elle fût. La tragédie d’Horace
présente
trois actions : l’une, nationale et sublime, la v
utes les victimes marquées par elle étant épuisées, leurs spectres se
présentent
au seul qui reste, à leur assassin, Richard III,
s’avance : ce sont les verres d’une lanterne magique, que l’opérateur
présente
successivement, et non pas si vite qu’il n’y ait
er le temps au lecteur de remarquer suffisamment les objets qu’on lui
présente
, soit qu’on s’attarde à lui montrer ce qu’il a bi
ts, n’en eût pas hasardé quelques autres, & eût eu l’attention de
présenter
les circonstances telles qu’elles étoient ; ce qu
oppement des ressorts de la politique, & qui, au lieu de cela, ne
présente
que des événemens étrangers aux Intrigues du Cabi
surcharge sont également proscrites de la galerie des tableaux qu’il
présente
aux yeux de son Lecteur. Nous ne parlons pas des
de M. de Fontenelle, ils sont dans le genre qui leur convient, &
présentent
très-sagement le caractere des Académiciens qui e
de le remarquer. Il n’est point de fait psychologique qui ne nous les
présente
intimement mêlés, mais en proportions variables e
récisera ; l’autre signale l’occasion venue, l’élément nouveau qui se
présente
engagé dans la perception (ou dans l’idée) d’où l
ées, d’images, de perceptions ou de faits affectifs avec lequel il se
présente
, c’est l’invention même. Le retard de l’invention
n, pendant les vacances de 1872, je fus frappé des similitudes que me
présentaient
entre elles les diverses catégories de similitude
borne pas à prendre de nouveaux éléments dans les perceptions qui se
présentent
; elle crée ces éléments en transformant ces perc
ho-organiques. Au reste les deux cas se mêlent, se combinent et ne se
présentent
guère absolument purs. L’émotion qui n’est qu’int
ce livre, du profond besoin social auquel il voudrait répondre, s’est
présentée
à moi dans toute sa gravité25. » On retrouve des
fiques, industrielles ou littéraires. En fait toutes les idées qui se
présentent
à l’esprit de chacun de nous, en tant qu’elles ne
ar aucun fait de conscience, garde sa réalité et, quand l’occasion se
présente
, va déterminer des systèmes de pensées et d’actes
ormule et qu’il pose, avant de commencer à écrire. C’est ce qui s’est
présenté
pour le drame de Patrie… M. Sardou s’est demandé
parfaire plus ou moins heureusement le système incomplet, vienne à se
présenter
et réalise enfin la synthèse nouvelle et systémat
ition de l’invention, l’imitation en est une autre. Elle est toujours
présente
dans la synthèse créatrice ; entre elle et l’inve
, la naissance de l’invention et son développement, se trouvent ainsi
présenter
des rapports assez variables, et peuvent nous aid
crète qu’en reconnaissant les formes variées sous lesquelles elles se
présentent
à nous et qui constituent des groupes de faits as
uer à un corbeau, en éliminant le perroquet, qui s’était tout d’abord
présenté
à son esprit. Poë passe ensuite au sujet. Il s’im
logues au point de vue de leur formation et de leur nature, et qui se
présentent
toutes dans les conditions que j’ai indiquées au
lles sont les circonstances que lui offrira la vie. Son développement
présente
aussi comme celui de l’œuvre d’art, une série de
c’est d’être nouveau et seul, jusqu’ici, de sa nature. Si le premier
présente
des combinaisons, une allure quelque peu nouvelle
des systèmes très différents peuvent, selon les circonstances qui se
présenteront
, venir englober et soutenir le nouveau germe et c
diversement évoquées, retiendra celle qui s’adapte à la circonstance
présente
. Il empêche de naître ou il supprime immédiatemen
le raisonnement tend à produire l’invention parce que les idées qu’il
présente
à l’esprit tendent naturellement, conformément à
exprimer en termes indiquant des états de conscience, ils doivent les
présenter
sous la forme d’une série de raisonnements, — l’e
inconscient », qui paraît en différer si fort. Et ici l’invention se
présente
bien comme le produit d’un véritable instinct. No
t en même temps que lui. De même pour son génie de poète. Sa sœur lui
présente
un jour une jeune fille qui désirait quelques lig
l’homme, qui apporteraient à son esprit des matériaux imprévus ou lui
présenteraient
d’insurmontables obstacles ; je parle aussi des c
t qu’il s’assimilera ne sont pas tout préparés dans l’esprit ou ne se
présentent
pas au bon moment. Il ne se produit pas préciséme
Edgar Poë ou de M. Sardou, la question faite à l’esprit est seulement
présentée
d’une façon un peu différente, et la réponse en a
s se dessine nettement ainsi que leurs rapports avec les faits qui se
présentent
successivement. C’est pour continuer à s’accorder
iation dépend de conditions assez complexes. De très grands génies en
présentent
de fort remarquables. Les déviations varient beau
rminent une sorte de déviation, et nuisent à la régularité de l’œuvre
présente
, tout en promettant pour l’avenir des œuvres supé
ée par M. de Curel, le fondement d’une véritable méthode. M. de Curel
présente
à un haut degré le type imaginatif. La tendance à
insi dire à l’intérieur de l’esprit les combinaisons fortuites qui se
présentent
au dehors et qui servent souvent à fournir des ma
ur certains points, ce genre d’activité, il est difficile qu’il ne le
présente
que juste au point voulu pour être constamment da
anvier 1855. Cette Instruction, datée du 15 novembre dernier, et qui
présente
tout un plan détaillé d’études, a pour objet de r
t à cette idée, qu’il l’exprimait toutes les fois que l’occasion s’en
présentait
, en variant légèrement son apologue48. Jamais, je
pour la jeunesse. Il n’est personne qui, après avoir lu l’Instruction
présente
, puisse refuser ces qualités à M. Fortoul. Parcou
donnant dans un esprit d’unité, avec intérêt et lumière, M. Fortoul a
présenté
aux maîtres en chaque branche une idée nette du g
in aussi, et il me semble que la pensée qui a présidé à l’Instruction
présente
et qui s’y diversifie en nombreuses applications
la proportion dans lesquels elles sont enseignées. Je dirai qu’à les
présenter
comme on le fait, ces études sont bien plutôt pro
z un peu l’envie qu’il a de vous embrasser. » La véritable métaphore
présente
à la fois deux objets à l’imagination, l’un qui e
sente le besoin de repasser par le mot propre qui le désigne, elle le
présente
accompagné et comme enrichi de tout ce que peuven
tre part, il arrive souvent que rien n’annonce la métaphore : elle se
présente
toute seule, et si elle est claire et juste, elle
mant des idées connexes, et la dislocation d’une image unique dont on
présente
successivement tous les membres. Pour le mélange
ous habitons, Ouvrait avec le soc son antique héritage ; Un soldat se
présente
avide de pillage, Et d’un bras forcené saisit les
tte parfaite transparence ajoute quelques avantages positifs, qu’elle
présente
des idées et des images intéressantes, convenable
nt recueil. Assurément on ne peut conclure de façon ferme que le noir
présente
les défauts ou possède les qualités qu’il attribu
lui de La marâtre punie. Le beau-père est, au contraire, généralement
présenté
sous le jour le plus favorable. Il montre autant
a balafre faciale, en quoi nous avons tendance à voir un ornement, ne
présente
pas d’attrait pour les noirs qui la considéreraie
s. Ici se termine une étude que j’aurais voulu condenser davantage et
présenter
sous une forme moins aride ; mais j’ai dû sacrifi
préoccupé avant tout d’effectuer un premier tri des matériaux que je
présente
au public afin de préparer son travail à celui qu
sion de cet essai, je n’ai pu, malgré l’intérêt de comparaison qu’ils
présentent
, faire état de ces recueils dans l’étude ci-dessu
des gens de son Art, par les idées neuves, les vûes profondes qu’ils
présentent
, & par la maniere énergique & claire dont
quel temps & par qui il fut accéléré ou retardé dans sa marche ;
présenter
les découvertes vraiment originales, les vûes pro
ronné qu’il jura de ne jamais imprimer ? « Si un Romantique était ici
présenté
, je ne fais aucun doute, messieurs, qu’il ne se p
vous donne en quatre petites pages les raisons que M. Auger aurait dû
présenter
dans son feuilleton de quarante. Imprimez cette l
tiques sont ennuyeux et lourds avec leurs prétendues réfutations. Je
présente
donc au public la lettre classique que je reçus d
Le Romantique au Classique Ce 28 avril. Monsieur, Si un homme se
présente
et dit : j’ai une excellente méthode pour faire d
faire de belles choses, on lui dit : faites. Mais si cet homme qui se
présente
est un chirurgien et s’appelle Forlenze, et qu’il
e romantique est écrite en prose, la succession des événements quelle
présente
aux yeux des spectateurs dure plusieurs mois, et
actes. Au premier acte, Lanfranc ou le Poète va rue de Richelieu, et
présente
sa comédie nouvelle avec toute la simplicité du g
dans un siècle où le Miroir critique librement le Voyage à Coblentz,
présente
à ce géant si redoutable et pourtant si Cassandre
leurs plaisirs, être insensible à l’amour. Un jour enfin le hasard le
présente
à une femme simple, naturelle, honnête, digne d’ê
s les poètes comiques à qui l’on dit faites, s’écrient : Dès que nous
présentons
dans nos drames des détails vrais, la censure nou
Je réponds : Cette raison n’est pas si bonne qu’elle le paraît ; vous
présentez
aux censeurs des Princesse des Ursins, des Intrig
t qui, au lieu du pauvre commis Bellemain de l’Intérieur d’un bureau,
présenterait
M. le comte un tel, p… d… F…, ne serait pas tolér
on, comme le pauvre homme du Tartuffe. Est-ce sérieusement que vous
présentez
cette objection au milieu d’un peuple qui en est
pour l’ignorance. Je craindrais d’abuser de votre patience si je vous
présentais
d’autres exemples du savoir de ces messieurs dans
trente ans. Je ne vois qu’une ressource, il faut le refaire, il faut
présenter
à l’avide vanité de nos jeunes gens seize volumes
1824 dit avec des injures ce que la lettre que je viens de transcrire
présente
avec beaucoup de politesse et d’esprit. « Qu’est
le carré du rayon qui mesure leur distance à ce corps, la supposition
présentée
deviendrait une vérité démontrée, on aurait un pa
est multiple, composé de plusieurs intermédiaires. Alors deux cas se
présentent
. — Ou bien les composants sont successifs ; tel e
vons les objets réels ; elle ne court pas chance, comme celles-ci, de
présenter
des lacunes, de laisser de côté quelque caractère
upent selon une surface parallèle à l’horizon, bref sont coulantes et
présentent
les caractères sensibles qui constituent l’état l
et, au lieu des caractères sensibles qui constituent l’état liquide,
présentent
les caractères sensibles qui constituent l’état s
s garder certaines proportions, qu’après le mélange l’édifice nouveau
présente
des caractères qui ne se montraient dans aucun de
x caractères et même les particularités singulières que notre système
présente
aujourd’hui. — Reprenant la supposition au point
soulèvements partiels, leurs érosions, leurs ruptures, la disposition
présente
de nos continents et de nos mers, par le jeu prol
auxiliaires, voient des roches et des amalgames semblables à ceux que
présentent
les terrains se former sous leurs mains ou sous l
e continue d’un éther environnant. — Nous admettons que, si l’oxygène
présente
tels ou tels caractères, c’est en vertu de caract
ises, et, si ces conditions ne sont pas remplies, elle aura beau être
présente
, nous ne pourrons pas la dégager. Pour démêler la
couverte, existerait partout. — Or tel est justement le contraste que
présentent
les sciences de construction comparées aux scienc
ans les premières, la raison de la loi demeure alors ignorée, quoique
présente
. Par conséquent, ici le procédé inductif est l’un
nce, et que, hors d’ici comme ici, la raison explicative est toujours
présente
, quoique toujours elle doive se dérober à lui. —
s particulier et singulier, où les éléments de la quantité imaginaire
présentent
certaines conditions qui manquent dans les autres
cas particulier et singulier, où les éléments de l’existence possible
présentent
certaines conditions qui manquent dans les autres
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