et dont nous n’avons par conséquent aucune image ; en face d’elle on
pose
une conscience vide d’images, dont nous ne pouvon
aux modifications de la substance grise. Le problème s’élargit, et se
pose
aussi en termes beaucoup plus clairs. Voici un sy
éalisme, peut-être même entre le matérialisme et le spiritualisme, se
pose
donc, selon nous, dans les termes suivants : D’où
s, c’est en fonction d’images, et d’images seulement, que nous devons
poser
le problème. Or, aucune doctrine philosophique ne
centrale, notre corps, dont elles suivent les variations. La question
posée
entre le réalisme et l’idéalisme devient alors tr
nt et de l’avenir. Ainsi, dans l’idéalisme comme dans le réalisme, on
pose
l’un des deux systèmes, et on cherche à en déduir
choisira, parmi toutes les images aux changements absolus qu’on aura
posées
d’abord, celle que nous appelons notre cerveau, e
t dans la perception qu’une science confuse et provisoire. Les autres
posent
la perception d’abord, l’érigent en absolu, et ti
omme du principe véritable. Cherchons, une fois cette indétermination
posée
, si l’on ne pourrait pas en déduire la possibilit
ologue, en effet, n’abordera l’étude de la perception extérieure sans
poser
la possibilité au moins d’un monde matériel, c’es
d’une chose absolument nouvelle, la représentation de ce qu’on avait
posé
d’abord. Cette représentation, on la pousse hors
u’image, vous n’avez pas à en retracer la genèse, puisque vous l’avez
posée
d’abord et que vous ne pouviez pas, d’ailleurs, n
’avez posée d’abord et que vous ne pouviez pas, d’ailleurs, ne pas la
poser
: en vous donnant le cerveau, en vous donnant la
Mais de quelque manière qu’on s’y prenne, on ne peut s’empêcher de la
poser
d’abord : l’unique question est donc de savoir po
il y a de points de l’espace capables de solliciter ma volonté et de
poser
, pour ainsi dire, une question élémentaire à mon
re, une question élémentaire à mon activité motrice : chaque question
posée
est justement ce qu’on appelle une perception. Au
ébranlement sensoriel proprement dit, et non d’une espèce de question
posée
à, notre activité motrice. Ils détachent cette ac
, tant de malentendus, tant de réponses boiteuses à des questions mal
posées
, que nous ne saurions prétendre à faire la lumièr
états affectifs. Notre entendement, cédant à son illusion habituelle,
pose
ce dilemme qu’une chose est étendue ou ne l’est p
are la perception de l’affection, mais une différence de nature. Ceci
posé
, nous avons considéré le Corps vivant comme une e
âlit, mais elle n’aurait jamais pu se faire si l’original n’avait été
posé
d’abord, et si la sensation affective n’avait pas
erminé dans l’espace. Et enfin la représentation elle-même devra être
posée
comme un absolu : on ne voit ni son origine, ni s
res, inextensives, qui vont se développer dans l’espace ? Il faut les
poser
comme autant d’absolus, dont on ne voit ni l’orig
et les choses, entre le corps et l’esprit. Disons d’abord que si l’on
pose
la mémoire, c’est-à-dire une survivance des image
r l’esprit. Suivant en effet jusqu’au bout le principe que nous avons
posé
, et d’après lequel la subjectivité de notre perce
se transformeront. Au contraire la matière, telle que le réalisme la
pose
d’ordinaire, évolue de façon qu’on puisse passer
rai, coïncider jamais entièrement avec eux. Point ne serait besoin de
poser
d’un côté l’espace avec des mouvements inaperçus,
au sujet et à l’objet, à leur distinction et à leur union, doivent se
poser
en fonction du temps plutôt que de l’espace. Mai
tre Fahrenheit, soit en thermomètre Réaumur. Et alors une question se
pose
: ce continuum amorphe, que notre analyse a laiss
e qualitative c’est donc l’Analysis Situs. Les mêmes questions qui se
posaient
à propos des vérités de la géométrie euclidienne,
qui se posaient à propos des vérités de la géométrie euclidienne, se
posent
de nouveau à propos des théorèmes de l’Analysis S
ence nous démontre que l’espace a trois dimensions. L’expérimentateur
pose
à la nature une interrogation : est-ce ceci ou ce
la nature une interrogation : est-ce ceci ou cela ? et il ne peut la
poser
sans imaginer les deux termes de l’alternative. S
ême troisième, peuvent néanmoins être discernés l’un de l’autre. Cela
posé
, si A et B sont deux éléments discernables d’un c
ns, tantôt peuvent être discernés, tantôt ne peuvent pas l’être. Cela
posé
, si pour diviser un continu, il suffit de considé
notion de point Il semble maintenant que la question que nous nous
posions
au début est résolue. Quand nous disons que l’esp
t-ce que cela veut dire ? Je suis assis dans ma chambre, un objet est
posé
sur ma table ; je ne bouge pas pendant une second
lté n’aura fait qu’augmenter. De toute façon, la question suivante se
pose
: pourquoi jugeons-nous que toutes ces représenta
ut être corrigé par S″ aussi bien que par S. Et alors une question se
pose
: si j’ai constaté que S corrige α et β et que S″
, la passion par le devoir. En regard de ces deux femmes ainsi faites
poser
deux hommes, le mari et l’amant, le souverain et
ouvertes. Enfin, au-dessus de ces trois hommes, entre ces deux femmes
poser
comme un lien, comme un symbole, comme un interce
te souffrance humaine au revers du crucifix. Puis, de tout ceci ainsi
posé
, faire un drame ; pas tout à fait royal, de peur
ndres détails, une idée utile, une idée sociale, une idée humaine, il
posera
le théâtre dessus comme un verre grossissant. Au
vent la négligée, n’a jamais joué au génie androgyne. Elle n’a jamais
posé
pour la Muse. Poser, elle ! Ce qui enchante plus
’a jamais joué au génie androgyne. Elle n’a jamais posé pour la Muse.
Poser
, elle ! Ce qui enchante plus que le talent de ses
alent de ses vers, quand elle en a, c’est la plus complète absence de
pose
. On n’avait donc pas à la poser après coup, elle
n a, c’est la plus complète absence de pose. On n’avait donc pas à la
poser
après coup, elle qui ne s’est jamais posée, et on
. On n’avait donc pas à la poser après coup, elle qui ne s’est jamais
posée
, et on n’avait pas à se poser, à côté d’elle, dan
er après coup, elle qui ne s’est jamais posée, et on n’avait pas à se
poser
, à côté d’elle, dans une de ces biographies d’êtr
spendus. Mais, que ces maximes soient fondées en raison ou simplement
posées
par la conscience, ce qui nous importe ici, c’est
uence l’intervention de l’État dans l’économie nationale. Ou bien, je
pose
en principe que tous les citoyens ont droit aux m
métaphysique qui choisit notre parti politique. Mais, une fois la fin
posée
, reste à savoir quels moyens sont propres à la ré
oduit bien les résultats demandés par l’idéal défini. La fin une fois
posée
a priori, il serait possible de découvrir a poste
ion partielle ? — Telle est la question précise que nous voulons nous
poser
. Si nous réussissions à y répondre, en même temps
fréquemment utilisé, pour la solution du problème que nous venons de
poser
, les idées et les faits rassemblés dans la Social
oin par des êtres de plus en plus intelligents. Mais, du moment qu’on
pose
la direction, on se donne l’intelligence. On se l
ence. Mais comment ne pas voir qu’on suppose l’intelligence dès qu’on
pose
les objets et les faits ? A priori, en dehors de
en le compliquant avec lui-même, reconstituer le vivant ; les autres
posent
d’abord la vie et s’acheminent vers la matière br
ouver laborieusement, en métaphysique, une unité qu’on a commencé par
poser
a priori, une unité qu’on a admise aveuglément, i
nes par rapport aux autres ; mais, en réalité, nous sommes obligés de
poser
les problèmes un à un, en termes qui sont par là
, est relative à l’ordre contingent dans lequel les problèmes ont été
posés
tour à tour. C’est en ce sens, et dans cette mesu
é, tandis que l’espace surgit automatiquement, comme surgit, une fois
posés
les deux termes, le reste d’une soustraction 79.
e les questions de situation et de grandeur sont les premières qui se
posent
à notre activité, celles que l’intelligence extér
mouvement de détente de l’esprit, on ne peut se donner l’espace sans
poser
ainsi la logique et la géométrie, qui sont sur le
sée comme il me plaît. Le réchaud allumé, la casserole et l’eau étant
posés
, ainsi qu’un certain intervalle de durée, l’ébull
lorsque le microcosme considéré ne contient que des grandeurs. Si je
pose
deux nombres, en effet, je ne suis plus libre de
auté dans le monde, au lieu que, cette puissance de création une fois
posée
(et elle existe, puisque nous en prenons conscien
lative aux variables qu’elle a choisies, relative à l’ordre où elle a
posé
successivement les problèmes, et que néanmoins el
l’ordre serait donc un mystère à éclaircir, en tous cas un problème à
poser
. Plus simplement, dès qu’on entreprend de fonder
ère » à laquelle s’ajouterait l’Idée, ni l’idéalisme moderne n’aurait
posé
une « diversité sensible » que l’entendement orga
résence des deux avec, en outre, le balancement d’un esprit qui ne se
pose
définitivement ni sur l’un ni sur l’autre. Pas pl
n. Mais notre intelligence passe outre. Par un simple sic jubeo, elle
pose
un désordre qui serait une « absence d’ordre ». E
ans la contingence même de l’ordre, qui est un fait incontestable. Je
poserai
donc, au sommet de la hiérarchie, l’ordre vital,
est simplement la présence de l’ordre contraire, si, par là même, je
pose
deux espèces d’ordre inverses l’une de l’autre, j
une véritable pétition de principe, car en imaginant l’incoordonné on
pose
réellement un ordre, ou plutôt on en pose deux. C
imaginant l’incoordonné on pose réellement un ordre, ou plutôt on en
pose
deux. Cette longue analyse était nécessaire pour
rs que toute matière soit éternelle. Qu’on parle de création ou qu’on
pose
une matière incréée, dans les deux cas c’est la t
où résulterait que tout est donné une fois pour toutes, et qu’il faut
poser
de toute éternité ou la multiplicité matérielle e
ée, et pour cette source extérieure de mutabilité la même question se
poserait
. On pourrait ajouter, il est vrai, que le nombre
résenter en gros, disions-nous, par un système nerveux sensori-moteur
posé
sur des systèmes digestif, respiratoire, circulat
mé à un corps unique, qui eût évolué indéfiniment ? Cette question se
pose
, sans doute, quand on compare la vie à un élan. E
art, tout état de conscience étant, par un certain côté, une question
posée
à l’activité motrice et même un commencement de r
nscience un corps immatériel où s’incarner et la dispense ainsi de se
poser
exclusivement sur les corps matériels dont le flu
est la liberté même : mais elle ne peut traverser la matière sans se
poser
sur elle, sans s’adapter à elle : cette adaptatio
ose dans ce principe que pour quelques instants ; le même problème se
pose
, cette fois dans toute son ampleur et sa générali
i dure ne lui paraît pas assez forte pour vaincre l’inexistence et se
poser
elle-même. C’est pour cette raison surtout qu’ell
istence purement logique qu’elle semble se suffire à elle-même, et se
poser
par le seul effet de la force immanente à la véri
tère de l’existence s’évanouit, car l’être qui est au fond de tout se
pose
alors dans l’éternel comme se pose la logique mêm
l’être qui est au fond de tout se pose alors dans l’éternel comme se
pose
la logique même. Il est vrai qu’il nous en coûter
n plus, un saut perpétuel de l’une à l’autre et la refus de jamais se
poser
définitivement sur l’une d’elles, Il est évident
rait de plume qui biffe. L’acte par lequel on déclare un objet irréel
pose
donc l’existence du réel en général. En d’autres
la réalité actuelle comme incompatible avec elle ? Les jugements qui
posent
la non-existence d’une chose sont donc des jugeme
monde matériel, à tout instant, qu’un état où provisoirement elle se
pose
. Telle est l’hypothèse qui se présente à l’esprit
rit, ne trouvant jamais à se satisfaire et ne voyant nulle part où se
poser
, se persuade sans doute à lui-même qu’il imite pa
nstituer ce qui se fait ? Comment, par exemple, de l’enfance une fois
posée
comme une chose, passera-t-on à l’adolescence, al
le sens littéral de l’expression. Nous trouverions que, lorsque nous
posons
le sujet « enfant », l’attribut « homme » ne lui
des Idées. Pourtant il y a du devenir, c’est un fait. Comment, ayant
posé
l’immutabilité toute seule, en fera-t-on sortir l
la durée et le devenir ne seraient que la dégradation. La forme ainsi
posée
, indépendante du temps, n’est plus alors celle qu
cidents provoqués par des accidents, à la conception de l’Idée qui se
pose
elle-même. Ainsi procède le philosophe en face de
s l’intelligence humaine. Le nous poiètikos est la Science intégrale,
posée
tout d’un coup, et que l’intelligence consciente,
Le principe est évident lorsqu’il s’agit du nombre : nous ne pouvons
poser
le nombre 10 sans poser, par là même, l’existence
lorsqu’il s’agit du nombre : nous ne pouvons poser le nombre 10 sans
poser
, par là même, l’existence des nombres, 9, 8, 7…,
une part, et d’autre part le néant que nous nous imaginons concevoir.
Posons
donc le Dieu d’Aristote, pensée de la pensée, c’e
instantané, ou mieux éternel. Comme, d’autre part, le néant paraît se
poser
lui-même et que, ces deux extrémités étant donnée
lu », se réaliseront, pour ainsi dire, automatiquement dès qu’on aura
posé
Dieu. Parcourons alors cet intervalle de haut en
te plus, pour caractériser l’instabilité sur laquelle les formes sont
posées
, qu’un attribut négatif ce sera l’indétermination
lée que Newton et ses successeurs se relient à Kepler. Or, comment se
posait
pour Kepler le problème astronomique ? Il s’agiss
er leurs positions à n’importe quel autre moment. La même question se
posa
, désormais, pour tout système matériel. Chaque po
aissait les positions à un moment donné. Sans doute le problème ne se
pose
en ces termes précis que dans des cas très simple
nt du temps. Cette conviction est au fond des questions que nous nous
posons
au sujet de la nature, et des méthodes que nous e
ntre est devant sa toile, les couleurs sont sur la palette, le modèle
pose
; nous voyons tout cela, et nous connaissons auss
uction, la traduction n’étant faite que pour nous. En posant Dieu, on
pose
nécessairement aussi toutes les vues possibles su
e certaine métaphysique, celle même dont un Spinoza et un Leibniz ont
posé
les principes, tiré les conséquences. Certes, un
imposait sa forme à la matière. De sorte que non seulement il fallait
poser
la forme intellectuelle de la connaissance comme
tile : en se donnant le moindre fragment de l’actuellement évolué, il
pose
le tout de l’évolué actuel, et c’est en vain qu’i
e que la nature ne contient que des faits, et que, les faits une fois
posés
, les relations sont simplement les lignes qui cou
ient que l’intégration des rapports entre les faits. Mais, dès que je
pose
les faits avec la configuration qu’ils ont aujour
e l’autre. Elles ont dû progresser l’une avec l’autre. Et, soit qu’on
pose
la structure actuelle de l’esprit soit qu’on se d
, nous l’avons vue à l’œuvre ; nous avons vu ses plus illustres têtes
poser
les problèmes et s’efforcer de les résoudre. Elle
s qui s’est produit depuis quelque temps, cette grande question a été
posée
, au milieu des économistes ébahis. L’un d’eux, qu
ation tout entière. » Quand l’Économie politique, telle qu’elle s’est
posée
depuis sa naissance, a soulevé de pareilles répli
est sienne, s’il l’a acceptée après examen, ne l’a-t-il pas hardiment
posée
au front de son livre, pour qu’elle pût donner à
ons lue tant de fois. Modifier ingénieusement le cadre dans lequel on
pose
aujourd’hui la question de la misère, la traiter
mpirisme. L’Empirisme n’est insolent et insupportable que quand il se
pose
comme une Loi. 5. Lévy.
sion, mesures de toutes valeurs et valeurs elles-mêmes absolues, nous
posons
les personnes humaines comme seules véritables ca
ue nous ayons retrouvé leurs ressemblances, grâce auxquelles nous les
posons
comme faisant également partie de la société huma
sujets qui, ayant la pleine conscience d’eux-mêmes, sont capables de
poser
les unes en face des autres leurs individualités
Il faudrait déterminer et spécifier les principes que nous venons de
poser
. Mais il suffit qu’on les ait aperçus dans leur g
s choses est fatalement porté à en chercher le secret. Le problème se
pose
de lui-même et en vertu de cette faculté qu’a l’h
à l’infini, suivant les horizons de chaque âge ; mais toujours il se
pose
; toujours, en face de l’inconnu, l’homme ressent
est chose impossible pour l’homme. Dès qu’il pense, il cherche, il se
pose
des problèmes et les résout ; il lui faut un syst
t de crainte respectueuse en brisant les barrières qui lui semblaient
posées
par une force supérieure, que, n’osant placer le
ble de ses principales améliorations. Cela est très vrai ; mais c’est
poser
la thèse d’une façon dangereuse. C’est comme si,
e ? Un petit procédé pour se former le bon sens, une façon de se bien
poser
dans la vie et d’acquérir d’utiles et curieuses c
par les instincts spontanés, le caprice et la volonté des autres, se
pose
en personne libre, morale et responsable de ses a
umain, et les constitutions modernes sont conséquentes quand elles se
posent
des termes périodiques auxquels elles peuvent êtr
u’on ne puisse rétorquer contre les constituants. Il est téméraire de
poser
des bornes au pouvoir réformateur de la raison et
les idées, nous formulerons la thèse ainsi : « Un état cérébral étant
posé
, un état psychologique déterminé s’ensuit. » Ou e
y trouvent préformées ; il en dessinerait les articulations motrices.
Posez
un fait psychologique, vous déterminez sans doute
’a rien de voulu : il est suggéré par les termes mêmes de la question
posée
; et il est si naturel à notre esprit que nous le
s’exprime par cette image, ou qu’elle surgit dès que cette image est
posée
, ou qu’on se la donne en se donnant cette image,
vous passez subrepticement au système de notation idéaliste, où l’on
pose
comme isolable en droit ce qui est isolé dans la
rité est que le réalisme ne se maintient jamais à l’état pur. On peut
poser
l’existence du réel en général derrière la représ
s qui sont pour l’idéaliste la réalité même. Réaliste au moment où il
pose
le réel, il devient idéaliste dès qu’il en affirm
qu’une réponse : c’est la mise à l’écart d’une question impertinente
posée
contre l’Église, que tous ceux qui croient en ell
t d’aucune manière une question que la question du divorce, et qui la
pose
n’est plus qu’un outlaw du catholicisme, de l’his
ique pour repousser cette question du divorce, qui, de ce qu’elle est
posée
comme elle l’est, devait incontestablement triomp
, par hypothèse improbable, elle n’avait pas triomphé telle que l’ont
posée
la proposition Naquet et le livre de M. Dumas, el
ue les peuples sont gouvernés par la logique des principes qu’ils ont
posés
, — et s’ils lui échappent une fois, deux fois, il
té de l’enseignement. Cela m’a tout l’air d’une question qui vient se
poser
et se fonder pour longtemps et sur laquelle on n’
de la séparation de l’Église et de l’État. Mais si la question qui se
pose
en France a son importance extrême, elle est bien
n’est devenue importante et considérable que depuis que le clergé se
pose
en auxiliaire plutôt qu’en adversaire de la dynas
s’est réconcilié avec Dumas, il garde une dent à la Presse qui s’est
posée
en organe d’inimitié contre lui. La belle Delphin
coupure, nous dirons que la coupure ne divise pas C. Ces définitions
posées
, si le continu C peut être divisé par des coupure
ement et de même que α′ et β′ correspondent au même déplacement. Cela
posé
, nous pouvons imaginer un continu physique que no
’est-ce que cela veut dire ? Tel est le problème que nous nous sommes
posé
au chapitre précédent, § 4. Comme je l’ai expliqu
, c’est-à-dire que les deux séries se compensaient mutuellement. Cela
posé
, dois-je m’attendre à ce qu’à l’instant β′, quand
également en M cet objet B touchera mon premier doigt. À la question
posée
, on doit donc répondre oui. Pour nous, qui ne sav
la sorte ; nous ne pouvons que constater. Mais alors une question se
pose
; comment, avant de savoir la géométrie, avons-no
abrégé, nos opérations sont associatives, mais non commutatives. Cela
posé
, pour que Σ et Σ′ correspondent à un même point M
ait autant que l’espace représentatif. La question empirique peut se
poser
sous une autre forme. Est-il impossible de concev
nsations, étant limités, ne peuvent être homogènes. Ainsi la question
posée
ne peut s’entendre que d’une manière ; est-il pos
vit à son réveil une image gracieuse assise près de son lit, dans la
pose
du tireur d’épine (chevelure et épaules toutes se
ndue vers le lit du patient ou de l’observateur (comme on voudra), et
posée
sur la couverture à 30 centimètres de ses yeux, c
n. Cependant, au bout de quelques minutes, la voyant toujours si bien
posée
et modelée, il se dit : “Si je pouvais la toucher
ou de moments, c’est-à-dire, en somme, des arrêts virtuels du temps.
Poser
qu’un événement se produira au bout d’un temps t,
ous disions que les problèmes métaphysiques avaient peut-être été mal
posés
, mais que, précisément pour cette raison, il n’y
l’avoir été toujours. Il avait beau n’être pas encore formulé : il se
posait
lui-même en droit, avant d’être posé en fait. À t
tre pas encore formulé : il se posait lui-même en droit, avant d’être
posé
en fait. À toute affirmation vraie nous attribuon
grade qu’exécuterait automatiquement dans le temps la vérité une fois
posée
. Par le seul fait de s’accomplir, la réalité proj
ples individuels, le devoir de la philosophie nous paraissait être de
poser
ici les conditions générales de l’observation dir
araîtra au terme de la recherche comme un résultat ; impossible de la
poser
au départ comme un principe. Ce sera d’ailleurs u
t avec des immobilités juxtaposées. L’intuition part du mouvement, le
pose
ou plutôt l’aperçoit comme la réalité même, et ne
lutôt se dissoudre, soit pour disparaître définitivement soit pour se
poser
autrement. De ce qu’elle aura fait pour ces probl
de l’espace où il se détend, de la matérialité qu’il se donne pour se
poser
sur la matière : nous le rendrons à lui-même et n
ra équivaloir finalement à la certitude. Prenons un problème que nous
poserons
dans les termes de la métaphysique traditionnelle
upart des philosophies, systèmes complets de problèmes définitivement
posés
, intégralement résolus. Mais cette raison n’est p
Qu’Aristote en soit venu à fondre tous les concepts en un seul, et à
poser
comme principe d’explication universel une « Pens
elle nous affranchit de certaines servitudes spéculatives quand elle
pose
le problème de l’esprit en termes d’esprit et non
l’accepte pourtant d’ordinaire. Elle subit le problème tel qu’il est
posé
par le langage. Elle se condamne donc par avance
phie et même ailleurs, de trouver le problème et par conséquent de le
poser
, plus encore que de le résoudre. Car un problème
le résoudre. Car un problème spéculatif est résolu dès qu’il est bien
posé
. J’entends, par là que la solution en existe alor
pour ainsi dire, couverte : il ne reste plus qu’à la découvrir. Mais
poser
le problème n’est pas simplement découvrir, c’est
souvent à susciter le problème, à créer les termes en lesquels il se
posera
. Position et solution du problème sont bien près
nt bien près ici de s’équivaloir : les vrais grands problèmes ne sont
posés
que lorsqu’ils sont résolus. Mais beaucoup de pet
e. Un des premiers chapitres traite du plaisir et de la douleur. On y
pose
à l’élève une question telle que celle-ci : « Le
une suite de plaisirs ? » Alors, c’est une question de lexique qui se
pose
; on ne la résoudra qu’on cherchant comment les m
ont ou s’ils ne le sont pas, puisqu’on n’a pas encore étudié l’objet)
posent
un problème qui concerne la nature même des chose
e que la question de l’origine et de la valeur des idées générales se
pose
à l’occasion de tout problème philosophique, et q
aisse qu’une demi-certitude. Maintenant, le problème que cet homme se
pose
, le résolvons-nous ? Évidemment non, mais nous ne
et homme se pose, le résolvons-nous ? Évidemment non, mais nous ne le
posons
pas : là est notre supériorité. À première vue, j
’ordre, de l’origine de l’être ? Ils s’évanouissent, puisqu’ils ne se
posent
que si l’on se représente l’être et l’ordre comme
problèmes philosophiques qui sont et qui resteront insolubles, étant
posés
à l’envers. C’est précisément parce qu’on les voy
les voyait insolubles, et parce qu’ils n’apparaissaient pas comme mal
posés
, que l’on concluait à la relativité de toute conn
notre conception de la relation psycho-physiologique. Quand nous nous
posâmes
le problème de l’action réciproque du corps et de
; et d’autre part l’affirmation du déterminisme universel, qui était
posée
par les savants comme une règle de méthode, était
us inéluctablement. Fidèle à notre méthode, nous lui demandâmes de se
poser
en termes moins généraux et même, si c’était poss
nt nous aurions, sans elles, négligé l’étude, et que l’étude nous fit
poser
autrement. Les résultats ainsi obtenus ne furent
’on tombait quand on découpait d’une certaine manière la réalité pour
poser
en certains termes les problèmes. On était obligé
poussée qui était celle même de la science naissante. Le réalisme se
posa
de la même manière ; il se formula par opposition
isser de côté les termes où Kantiens et anti-Kantiens s’accordaient à
poser
le problème. On revient à l’immédiatement donné,
raison devrait-on l’interdire en philosophie, alors que les questions
posées
ne relèvent plus de la seule intelligence. Mais n
, il devrait être au début et partout, comme un soutien. Sur lui nous
poserions
tout le reste, si nous ne cédions ici encore à l’
J’estime que les grands problèmes métaphysiques sont généralement mal
posés
, qu’ils se résolvent souvent d’eux-mêmes quand on
la nouveauté radicale est à l’origine des problèmes métaphysiques mal
posés
, l’habitude d’aller du vide au plein est la sourc
te, on croit constater que la difficulté subsiste, que le problème se
pose
encore et ne sera jamais résolu. Il ne le sera ja
s résolu. Il ne le sera jamais, en effet, mais il ne devrait pas être
posé
. Il ne se pose que si l’on se figure un néant qui
le sera jamais, en effet, mais il ne devrait pas être posé. Il ne se
pose
que si l’on se figure un néant qui précéderait l’
uoi le monde ou Dieu existe et pourquoi pas le néant, quand nous nous
posons
enfin le plus angoissant des problèmes métaphysiq
onquée d’une substitution, alors parler d’une suppression de tout est
poser
une substitution qui n’en serait pas une c’est se
le, et désigne par « absence du premier » la présence du second. On a
posé
le tout, puis on a fait disparaître, une à une, c
t la construction a été faite. Dans les problèmes que le philosophe a
posés
nous reconnaissons les questions qui s’agitaient
s problèmes dont le philosophe s’est occupé sont les problèmes qui se
posaient
de son temps ; la science qu’il a utilisée ou cri
st bien de l’exprimer en fonction de l’ancien ; et les problèmes déjà
posés
, les solutions qu’on en avait fournies, la philos
eu affaire à une autre philosophie et à une autre science ; il se fût
posé
d’autres problèmes ; il se serait exprimé par d’a
lontarisme. La dernière enfin, que nous pourrions appeler du théisme,
pose
l’existence de Dieu en se fondant principalement
phe la traite en camarade. La règle de la science est celle qui a été
posée
par Bacon : obéir pour commander. Le philosophe n
es lutteront indéfiniment entre elles. Voici alors la question qui se
pose
, et que je tiens pour essentielle. Puisque tout e
le mouvement n’est pas tout, il n’est rien ; et si nous avons d’abord
posé
que l’immobilité peut être une réalité, le mouvem
i de la substance, du changement, et de leur rapport, cesseront de se
poser
. Toutes les difficultés soulevées autour de ces p
ues pourront se résoudre ou même peut-être qu’elles ne doivent pas se
poser
, étant nées d’une vision figée du réel et n’étant
ini. Mais l’intuition, si elle est possible, est un acte simple. Ceci
posé
, on verrait sans peine que la science positive a
s à la périphérie par les perceptions qui leur ressemblent ; ils sont
posés
sur moi sans être absolument moi-même. Et enfin j
oute la question est là, et c’est pour l’avoir éludée qu’on a souvent
pose
en termes insolubles le problème de la personnali
là une question qui n’importe pas à la pratique et qu’on n’a pas à se
poser
. Il est donc naturel, il est donc légitime que no
commun avec un arrêt, qui est immobilité. Un mouvement ne saurait se
poser
sur une immobilité, car il coïnciderait alors ave
tiplicité abstraite et cette unité abstraite la combinaison, une fois
posée
comme possible, est chose singulière à laquelle n
e la durée. Certes, nous ne trouverons alors aucune raison logique de
poser
des durées multiples et diverses. À la rigueur il
eurs chaque sensation) étant une question pratique que notre activité
pose
à la réalité et à laquelle la réalité répondra, c
elle se sera délivrée des termes artificiels qu’on a choisis pour les
poser
. Philosopher consiste à invertir la direction hab
autres étaient autre chose que des réponses décousues à des questions
posées
au hasard ! Comme si le travail de généralisation
lèmes variés, d’en faire des applications concrètes aux questions que
posent
la science et la vie, l’eût amené à descendre par
nt d’effaroucher par trop de bruit les pensées ailées qui venaient se
poser
autour de lui, il estimait sans doute que, pour s
in des considérations sur les problèmes moraux ou pédagogiques qui se
posent
à l’heure actuelle. On pouvait ne pas apercevoir
tain rapport entre cette durée et l’espace employé à la mesurer. Pour
poser
un problème, le physicien, relativiste ou non, pr
t choisi sera identique, si nous nous conformons aux règles qu’elle a
posées
, à celle que nous aurions trouvée en nous plaçant
vide. Autre chose est la condition quasi animale d’un être qui ne se
pose
aucune question, autre chose l’état semi-divin d’
ifficultés ; mais on doit reconnaître qu’il a eu le mérite de la bien
poser
. Ce problème, au sens où on l’entend d’ordinaire,
lation de l’esprit avec les autres forces de la nature. » On peut se
poser
encore un autre problème, dit M. Bain. Nous venon
poésie, l’éloquence, l’influence sociale. » Voilà bien des questions
posées
et qu’aujourd’hui nul assurément ne peut tenter d
lexes, mais sont bien plus compliqués. » C’est là une grosse question
posée
en passant : à notre avis elle contient la questi
est maintenant la Terre qui se meut. Bref, chacun des deux physiciens
posera
encore le problème pour le système qui n’est pas
ont des termes qui ont un sens précis quand il s’agit d’un modèle qui
pose
: c’est ce que nous percevons de la hauteur et de
te, par se mettre en règle avec elle. Il affirmera la réciprocité. Il
posera
qu’on a le choix entre le point de vue de Pierre
es électro-magnétiques, — les mêmes relations que Pierre en repos. Il
pose
bien ainsi, implicitement, que Paul référé pourra
elle du système privilégié en état de repos absolu, aboutirait bien à
poser
des Temps multiples et réels. Pierre, réellement
ans l’hypothèse d’un système privilégié, même quand on a commencé par
poser
la réciprocité ; et le physicien, se sentant quit
ystèmes demeurent constamment ce qu’ils étaient au moment où on les a
posés
, des duplicata l’un de l’autre, alors qu’en dehor
à celui qui les déclare illusoires de prouver son dire. Or l’idée de
poser
une pluralité de Temps mathématiques n’était jama
ive, et c’est la raison pour laquelle il l’appelle simultanéité. Ceci
posé
, considérons deux systèmes S et S′ en mouvement p
e dépend que de la vitesse du système, nullement de son contenu. Ceci
posé
, il est clair que si des événements A, B, C, D du
ent que nous venons de faire ne comptera pas. Le problème physique se
pose
en effet ainsi : S étant en repos et S′ en mouvem
érieur à S′ qui les décrète disloqués en se réglant sur la définition
posée
par lui de la simultanéité. On oubliera que simul
st la même par rapport au train que par rapport à la voie. Mais il se
pose
alors la question suivante : deux événements (par
′, deux points A′ et B′ qui viennent, pendant le trajet du système se
poser
sur deux points A et B du système immobile S, don
tout expliqué, dira notre physicien. Il n’y a de difficulté, il ne se
pose
de problème que parce qu’on parle d’une Terre en
n qui en eût fait un principe absolu, je n’en connais pas. Faliés l’a
posée
nettement au début de son livre, cette question d
u’il raconte, mais il est bientôt inconséquent à ce principe, qu’il a
posé
: de l’influence du sang et de la race. Les sotte
reur et une impossibilité aujourd’hui. Et voilà comme, de l’homme qui
posait
un principe d’histoire, il ne reste plus qu’un ér
n’en ont pas plus que l’esprit de l’auteur, de ce triste cerveau, qui
pose
un principe d’histoire et le plante là quand il f
e aux Inscriptions… Qu’il se moque donc bien de ma critique, et qu’il
pose
sa candidature ! 47. Louis Faliès. Études phil
uement, d’en déterminer la signification métaphysique et morale. Pour
poser
le problème avec précision, nous nous appuierons
d’existence sont insuffisantes : pour rendre raison du réel, il faut
poser
des lois de développement, déterminer un processu
ation est impossible, c’est-à-dire que A et non-A ne peuvent pas être
posés
ensemble. Quant au principe du tiers exclu, il si
de nouveau dans ce qu’il énonce, c’est que, si non-A est exclu, A est
posé
. Le nerf de ce dernier principe, c’est que deux n
e même que le second principe empêche que deux contradictoires soient
posées
ensemble, ainsi le troisième empêche qu’elles soi
des lois logiques, il peut paraître, au premier abord, inutile de la
poser
, car rien ne semble plus certain ni plus incontes
ues, au contraire, font une œuvre essentiellement synthétique ; elles
posent
les rapports que la logique suppose ; elles créen
l’homme comme le résultat d’une action de l’âme sur le corps. Donc on
posera
, au-dessus de la matière, une force distincte, pl
is que l’expérience ne nous fournit que des à-peu-près. Ensuite, nous
posons
comme fondamentales des relations définies entre
estion. Tant qu’avec Descartes et même avec Leibnitz on s’est borné à
poser
des lois de constance de la quantité en général,
action des corps les uns sur les autres compromet notre liberté, nous
posons
mal la question. Les corps n’agissent pas les uns
eure partie de l’essence des phénomènes physiques ; et les lois qu’il
pose
ne concernent que les relations quantitatives que
ons mêmes de la pensée, une conscience indéfinie de l’être absolu est
posée
comme nécessaire. (Prem. Princ., § 60 et sqq.) —
exprime l’ensemble des conditions qui font que le phénomène doit être
posé
tel qu’il est, avec toutes ses manières d’être. L
et sa relation avec le mécanisme vient de ce que la question est mal
posée
. On considère la vie et le mécanisme comme étant
lation d’un fait, non seulement avec un autre fait, mais avec un fait
posé
comme fin du premier. Le déterminisme, en se ress
Il cherche dans l’anatomie la base de la classification naturelle, et
pose
le principe des caractères dominateurs. D’après c
discontinuité par des causes mécaniques. Contrairement à Lamarck, il
pose
en principe que toute espèce est, par elle-même,
nt-elles l’une de l’autre par voie de génération ? La question, ainsi
posée
, est exclusivement scientifique. Qu’on ne dise pa
ère, et voir si ces conditions se rencontrent, soit dans les lois que
posent
les partisans de la conservation, soit dans celle
ois que posent les partisans de la conservation, soit dans celles que
posent
les partisans du transformisme. A quel signe peut
roduction, c’est-à-dire qu’elle doit enseigner quel phénomène il faut
poser
pour qu’apparaisse celui qu’on a en vue. Rien ici
ytique, il convient de placer Condillac. En effet, la sensation qu’il
pose
comme primitive et fondamentale n’est pas une sim
ce phénomène, la raison humaine conçoit le bien général. Dès lors se
pose
à elle le problème de réaliser le bien général en
science sociale ; mais les publicistes dont nous venons de parler ont
posé
d’avance, selon leurs désirs, les lois qu’ils veu
s aboutit la sociologie ? La tentative là moins hardie paraît être de
poser
des lois dites historiques. Ces lois ont pour car
técédents en éliminant toute initiative humaine ; mais la question se
pose
de nouveau à propos de ces antécédents mêmes, et
lique de la sorte un fait social, la division du travail. Mais la loi
posée
par Darwin s’applique-t-elle intégralement quand
e moins de lacunes possible. Comment affirmer que des principes ainsi
posés
pour les besoins de la cause sont tous nécessaire
es lois et par là une faculté indéfinie de les utiliser pour des fins
posées
par lui. Enfin, en sociologie, l’action du milieu
qui surgit apporte avec elle, dans l’indivisibilité de l’acte qui la
pose
, tout le détail de ce qui la rend viable. L’arrêt
ments virtuels l’acte indivisible par lequel la religion dynamique se
pose
, et à montrer du même coup, par la direction évid
l’action divine. Telle est notre définition. Nous sommes libres de la
poser
, pourvu que nous nous demandions si elle trouve j
et comment surtout exprimer l’inexprimable ? Mais ces questions ne se
posent
même pas au grand mystique. Il a senti la vérité
que le mysticisme y a laissé. Les philosophes eux-mêmes auraient-ils
posé
avec une telle assurance le principe, si peu conf
siasme ardent, l’illumination, la foi qui soulève les montagnes. Mais
posez
cette incandescence, la matière en ébullition se
fera pas qu’il n’y ait pas eu d’auteur. Nous n’avons donc pas à nous
poser
ici de tels problèmes. Disons simplement que, si
ous paraît soulever une double question : 1º pourquoi Aristote a-t-il
posé
comme premier principe un Moteur immobile, Pensée
et qui n’agit que par l’attrait de sa perfection ; 2º pourquoi, ayant
posé
ce principe, l’a-t-il appelé Dieu ? Mais à l’une
la nature de Dieu en s’embarrassant de problèmes insolubles qui ne se
posent
que si l’on envisage Dieu du point de vue aristot
nous appelions les « faux problèmes ». On dira peut-être qu’ils ne se
posent
aucun problème, vrai ou faux, et l’on aura raison
isse métaphysique. Ces questions, un mystique estimera qu’elles ne se
posent
même pas : illusions d’optique interne dues à la
n d’être qu’elle-même. Cette double question, l’intuition mystique la
pose
en y répondant. Des êtres ont été appelés à l’exi
e s’applique à tous les problèmes de l’au-delà. On peut, avec Platon,
poser
a priori une définition de l’âme qui la fait indé
estinée réelle, pourraient-ils être résolus selon la réalité, ou même
posés
en termes de réalité, alors qu’on a simplement sp
t un problème de l’âme, c’est en termes d’expérience qu’il devra être
posé
, en termes d’expérience qu’il sera progressivemen
per sur elle, bornons-nous à dire que l’observation des « primitifs »
pose
inévitablement la question des origines psycholog
quand elle a reculé devant certaines subdivisions. Par exemple, elle
pose
des facultés générales de percevoir, d’interpréte
ière ne serait-elle pas immanente à la seconde ? Le problème que nous
posions
, et qui est de savoir comment des superstitions a
’on a beau parler de représentations collectives, la question ne s’en
pose
pas moins à la psychologie de l’homme individuel.
es êtres intelligents. Il est vrai qu’alors de nouvelles questions se
poseront
. Il faudra d’abord se demander plus précisément à
certains individus ? Mais ce n’est pas tout. Une seconde question se
pose
, à laquelle il faudra même répondre auparavant :
? Tel est en effet le problème plus vaste que notre seconde question
pose
. Il était d’ailleurs implicitement contenu dans l
ne devait pas avoir de terme : ainsi seulement on ira de l’avant. Il
pose
donc une règle de méthode ; il n’énonce pas un fa
rd quand nous parlions d’un élan vital. — Maintenant, la vie une fois
posée
, comment s’en représenter l’évolution ? On peut s
fet, — la solution originale, trouvée par la vie, du problème que lui
posent
les conditions extérieures. Et cette faculté de r
est faite pour eux ou s’ils sont faits pour elle. Des deux conditions
posées
par Comte, « ordre » et « progrès », l’insecte n’
t inorganique, qu’il a fallu inventer, fabriquer, apprendre à manier.
Posez
l’utilisation, à plus forte raison la fabrication
une forme définie en dehors de cette combinaison ? Si la question se
pose
, c’est parce que notre idée d’une âme survivant a
sans doute, qui nous invite à le croire. Mais si nous commençons par
poser
en principe que quelque chose doit subsister, ce
plus longtemps que l’objet qui la recèle. Mais si l’on a commencé par
poser
en principe que l’ombre du corps demeure, rien n’
endances élémentaires. Notre méthode restera d’ailleurs la même. Nous
posons
une certaine activité instinctive ; faisant surgi
ssant à notre réussite, la logique de l’intelligence exigera que nous
posions
des causes antagonistes, des puissances défavorab
t le semblable ». On ne voit pas pourquoi l’humanité commencerait par
poser
une loi aussi abstraite et arbitraire. Mais on co
e entité vaguement spirituelle l’accompagnerait. Les esprits une fois
posés
, l’humanité aurait passé de la croyance à l’adora
nel n’a évolué vers le personnel, ni de pures personnalités n’ont été
posées
d’abord ; mais de quelque chose d’intermédiaire,
est une donnée immédiate des sens. Notre philosophie et notre langage
posent
la substance d’abord, l’entourent d’attributs, et
’est arrêté, à un moment donné, le mouvement en avant ; l’homme a été
posé
alors globalement, avec l’intelligence par conséq
u des fonctions multiples, apparentées entre elles, elle aimait mieux
poser
des dieux distincts, quitte à leur donner le même
suel, enfin dans les mécanismes élémentaires de l’opération. De même,
posez
l’espèce humaine, c’est-à-dire le saut brusque pa
. Si l’espèce humaine existe, c’est que le même acte par lequel était
posé
l’homme avec l’intelligence fabricatrice, avec l’
e nous souhaitons : il se réalise par nous dans un ensemble qui s’est
posé
lui-même, sans nous. On pourrait dire, de même, q
alors traiter un récit mythologique comme un récit historique, et se
poser
dans un cas comme dans l’autre la question d’auth
est une réussite, comme d’ailleurs l’instinct, elle ne peut pas être
posée
sans que l’accompagne une tendance à écarter ce q
incipe, mais elle admet cri fait des variations sur le thème une fois
posé
. 5. Voir L’Évolution créatrice, principalement
de lumière ! » À l’état où en sont venues les choses, le problème est
posé
dans des termes excessivement difficiles. Car, d’
ire que jamais, depuis l’origine des choses, l’esprit humain ne s’est
posé
un si terrible problème. Celui de l’esclavage dan
ns la nécessité de l’esprit humain, que, lorsqu’un problème est ainsi
posé
pour la première fois, certains âmes naïves, géné
it ou un charlatan. La vie de l’humanité, comme la vie de l’individu,
pose
sur des contradictions nécessaires. La vie n’est
apporter le remède est le bienvenu. Le lendemain d’une révolution se
pose
le germe d’une autre révolution. De là la faveur
et dangereux seront incontestés ; car la condition de ces droits sera
posée
, et elle ne l’est pas encore 174. Cela se conçoit
e certaine solidité, que toute pensée aspire à se stéréotyper et à se
poser
comme éternelle 175. Cela devient par la suite un
e que voici. Il vient un jour où le parti rétrograde est obligé de se
poser
en persécuté et de réclamer pour lui les principe
distinctives certaines facultés, et, au-dessous de nos événements, on
pose
deux sortes d’êtres explicatifs, d’abord les puis
nt suivi par un autre, particularité détachée de lui par abstraction,
posée
à part par fiction, maintenue à l’état d’être dis
fait, c’est par un autre fait. Au plus haut de leurs théories167, ils
posent
des couples d’événements très généraux, l’un anté
s lois. Par-delà la région accessible des faits et de leurs lois, ils
posent
une région inaccessible, celle des substances, ch
se de plus, c’est par une illusion métaphysique semblable à celle qui
pose
à part le moi et ses facultés. Les savants eux-mê
ndition d’un autre et en ayant un autre pour condition. IV Cela
posé
, on comprend sans difficulté la liaison de la per
a solution qu’il a retrouvée plus qu’il ne l’a découverte du problème
posé
, à cette heure, avec un si vaste retentissement,
e question des temps modernes, est une question éternelle. Elle a été
posée
et résolue à toutes les phases des sociétés, et s
érité, il a cherché dans le passé la clef du difficile problème qu’on
pose
en ce moment, comme un sphinx qui le garderait au
t de tous à la communion sociale, en vertu de l’égalité humaine. Cela
posé
comme incontestable, F. Lacombe explique en détai
littérature, mais de morale. En voici le sens : Boileau n’a garde de
poser
la moralité comme un des éléments constitutifs de
es formules favorites, qui ont révolté tant de lecteurs superficiels,
pose
seulement en principe le respect du modèle nature
empérament. Sous l’influence de certains préjugés contemporains, il a
posé
certaines bornes étroites au domaine, et certaine
’une exposition des procédés essentiels de la technique classique. Il
pose
les lois de la versification, qui sera correcte d
n, qui sera correcte d’abord, mais aussi harmonieuse, expressive ; il
pose
les lois du style, qui sera correct et clair, mai
celui qui fait le plus une loi d’adapter la nature à l’esprit, et qui
pose
nettement le plaisir comme sa fin suprême, comme
sitiviste se combine avec la recherche d’une forme esthétique, et qui
pose
ces trois termes comme identiques ou inséparables
utres personnages du Carrache, et des vôtres. La tête de son fils est
posée
sur ses genoux dans le Carrache, et dans notre am
paraison de celle du Carrache ; voyez l’action de cette main immobile
posée
sur la poitrine de son fils ; ce visage tiré ; ce
goutte de sang. La jeune fille qui tient le plat sur lequel elle sera
posée
, détourne la tête, en tendant le plat ; cela est
tu désireras obtenir quelque chose, tu te l’ôteras du doigt et tu la
poseras
à terre. Ensuite, étendant ta main au-dessus d’el
ure rentre dans son village. Pendant la nuit il a ôté sa bague et l’a
posée
à terre, selon les indications de la guinnârou. I
. A ce moment le kélé veut saisir la femme dans la même intention. Il
pose
sa main sur la poitrine d’Ahmed et s’aperçoit qu’
ier que M. Guizot ne pose la question chrétienne comme elle doit être
posée
de nos jours. Il demande au christianisme d’accep
ue chrétienne : 1° Il y a des problèmes naturels et universels qui se
posent
nécessairement dans toute âme humaine ; 2° la sci
nité, aussi répandus quelle sur la surface du globe, problèmes que se
pose
inévitablement chacun de nous aussitôt qu’il comm
. L’école positiviste, par exemple, croit qu’il n’y a pas lieu de les
poser
, parce que nous n’avons aucun moyen de les résoud
ophes mutilent la nature humaine, pas un seul ne résout les problèmes
posés
par le genre humain. Aux obscurités, aux contradi
x rouages pour la même fin Je n’ai pas besoin, remarquez bien, de me
poser
ici en controversiste, de prouver qu’il y a contr
le jour où je me suis proclamé sans autre maître que la raison, j’ai
posé
la condition de la science et de la philosophie.
le saint idéal de la morale ne sont possibles qu’à la condition de se
poser
dès le premier abord dans le divin, de déclarer t
ècle qui sera désigné par l’histoire comme celui où commencèrent à se
poser
les causes de cet immense événement. La jeunesse
oi. Ses vérités acquises ne sont pas de lourds théorèmes qui viennent
poser
à plein devant les esprits les plus grossiers. Ce
ni par Oui, ni par Non, qu’il résout les problèmes délicats qu’il se
pose
. Un esprit s’exprime tout entier à la fois ; il e
’est de ne pas penser. Si l’orthodoxie est immuable, c’est qu’elle se
pose
en dehors de la nature humaine et de la raison. E
et quelques pédants, qui veulent se donner une façon d’intérêt et de
poser
en esprits impartiaux et supérieurs, en ont fait
urs devant elle elle se trouverait avoir reculé. La loi qu’on devrait
poser
à la nature humaine ne serait plus alors de porte
iques, c’est-à-dire précisément au moment où, les préliminaires étant
posés
, Rome commence sa mission et dépouille les mœurs
surface ; elles ont presque l’air de paradoxes, elles ne viennent pas
poser
à plein devant le bon esprit comme des théorèmes
ible : une interdiction. Pourquoi obéissions-nous ? La question ne se
posait
guère ; nous avions pris l’habitude d’écouter nos
r rendre compte de l’obligation, de son essence et de son origine, on
pose
que l’obéissance au devoir est avant tout un effo
e figurer que les choses se sont passées de la première manière. Mais
poser
qu’il en est effectivement ainsi serait fausser l
lusieurs d’entre elles. Dans le second cas, des problèmes nouveaux se
posent
, plus ou moins fréquents ; et, là même où le devo
; ses analyses en seront nécessairement faussées. En fait, quand nous
posons
que le devoir de respecter la vie et la propriété
s insolubles s’est toujours heurtée la morale utilitaire quand elle a
posé
en principe que l’individu ne pouvait rechercher
ent pas la haine. Celui-ci n’est qu’amour. Ceux-là vont tout droit se
poser
sur un objet qui les attire. Celui-ci ne cède pas
plutôt un mouvement, se suffit à elle-même. Toutefois un problème se
pose
à l’égard d’elle, qui est tout résolu pour l’autr
particuliers. Mais alors on n’appuie pas assez sur la diversité ; on
pose
une faculté générale de s’intéresser, laquelle, t
de la volonté, et en représentation explicative dans l’intelligence.
Posez
, par exemple, l’émotion que le christianisme a ap
que le « tout de l’obligation », comme nous disions, vienne ainsi se
poser
sur elle : voilà déjà la justice sous sa forme pr
philosophes, qui a vicié bon nombre de doctrines métaphysiques et qui
pose
à la théorie de la connaissance des problèmes ins
justice absolue. Tout au plus devrions-nous dire qu’une fois celle-ci
posée
, celles-là peuvent être considérées comme autant
e principe telle ou telle conséquence. Consultons-nous sur ce point ;
posons
-nous la fameuse question : « que ferions-nous si
moins dû adopter la configuration générale du sol sur lequel elle se
posait
. Bref, l’obligation que nous trouvons au fond de
facilité. L’obligation vraie est déjà là, et ce que la raison viendra
poser
sur elle prendra naturellement un caractère oblig
outes les fins sociales se compénètrent et de ce que chacune d’elles,
posée
en quelque sorte sur cet équilibre et sur ce mouv
ne autre origine. A vrai dire, aucun philosophe ne peut s’empêcher de
poser
cette nécessité d’abord ; mais le plus souvent il
mpêcher de poser cette nécessité d’abord ; mais le plus souvent il la
pose
implicitement, sans le dire. Nous l’avons posée e
le plus souvent il la pose implicitement, sans le dire. Nous l’avons
posée
en le disant. Nous la rattachons d’ailleurs à un
correspondent symétriquement à l’instinct, vous ne pouvez pas ne pas
poser
ce soulèvement de l’âme qu’est l’émotion : dans u
ent innocents ! Et c’est pour cela que sur cette question de Voltaire
posée
hier, posée aujourd’hui, et que, n’en doutez pas
s ! Et c’est pour cela que sur cette question de Voltaire posée hier,
posée
aujourd’hui, et que, n’en doutez pas ! on posera
Voltaire posée hier, posée aujourd’hui, et que, n’en doutez pas ! on
posera
encore d’ici longtemps, les gens d’esprit, qui vo
voyant les derniers faits qui se sont produits et qui semblent avoir
posé
eux-mêmes les questions à la science désorientée
, et pour le public, que les questions fussent nettement et carrément
posées
. D’aujourd’hui seulement elles le sont. L’auteur
licitement résolues ; mais n’était-ce pas la meilleure manière de les
poser
?… Nul avant lui et nul comme lui n’avait jeté le
ns pour le catholicisme cet honneur et cet avantage que c’est lui qui
pose
les questions. Pendant que la philosophie s’embro
ontanéité de sa jeunesse, travaillée déjà, car elle a toujours un peu
posé
, la Muse de la patrie, mais pas autant que quand
, et que je ne lui reproche pas, comme je lui reproche d’y avoir trop
posé
, dans ce salon, en Mme de Staël. Du reste, c’étai
osé, dans ce salon, en Mme de Staël. Du reste, c’était le temps de la
pose
. M. Victor Hugo, qui se croyait le Napoléon de la
écrire ce mot d’inférieure qui fait cabrer les amours-propres, — mais
posée
, dans la hiérarchie sociale et dans la famille, à
individu, il aperçoit à travers les formes multiples de la nature, il
pose
et poursuit partout les problèmes de l’être et de
ucun des deux poètes, à cette heure, pas même Vigny, ne songeait à se
poser
en théoricien novateur ou révolté. Victor Hugo do
e celui de classique : il encense Boileau et vénère les règles. Il se
pose
entre les deux partis, se contentant d’affirmer,
que l’imitation, et, demandant à l’art d’être avant tout inspiration,
pose
la formule de la liberté dans l’art 724. En même
es âges, et se grisant de la couleur ou du son des noms propres, Hugo
posait
l’antithèse du beau et du laid, du sublime et du
jectif. Par ce mot attitude, et faute d’un autre, je veux désigner la
pose
stable et harmonieuse ; composée, certes, de trai
de soin la Figure, et pour y parvenir ils l’arrêtèrent glacée en une
pose
sculpturale, complétant ainsi la Poésie selon le
ublié la puissance inattendue que peut donner à telle page une grande
pose
immobile. Il suffit de citer les dernières œuvres
très réel en serait le défaut. M. Henri de Régnier établit souvent la
pose
statique en dominatrice jalouse. Par les contours
melle de la grâce, est plus voisine du mouvement ; la noblesse, de la
pose
stable. L’élégance a quelque chose de plus indivi
e ces catégories, dont on pourrait étendre la liste, vous pouvez vous
poser
un certain nombre de questions. Elles auront pour
conformera sa marche à l’ordre accoutumé. La première question qui se
pose
sur quelque objet que ce soit, est : Qu’est-ce qu
ans un genre, et la recherche du trait particulier, qui l’isole et le
pose
seul, dans son individualité distincte, en face d
par la rue des Gazettes et la Kislowka, il rentra à l’hôtel, s’assit,
posa
sa montre devant lui, et attendit que l’aiguille
causes d’appauvrissement ? Question difficile à résoudre, mais qui se
pose
de soi dans tout esprit, en le lisant. Ainsi, dis
u moins épars dans d’anciens et vénérables statuts. Il se contente de
poser
, sans le prouver, le fait étrange de cette monarc
l comme un bouclier salien, et, pour qu’elle se fût si souverainement
posée
, il fallait qu’elle répondît à des sentiments pub
, ni l’une ni l’autre, ne pouvaient céder… Lorsque les questions sont
posées
à cette profondeur d’âme, on n’attend pas longtem
hemin qu’a déjà parcouru la papauté, il glorifie Grégoire VII d’avoir
posé
avec un si grand caractère et une si longue prévo
réoccuper d’une question toujours petite, comme l’amour-propre qui la
pose
et qui la discute… Je lui aurais voulu plus de la
le Colysée. J’admets pourtant une exception à cette règle, que j’ose
poser
comme absolue : c’est quand la réponse aux critiq
IV L’abbé Christophe l’a bien jugé, ce xve siècle. Quoiqu’il se
pose
, comme je l’ai dit plus haut, plus en narrateur q
enseigne l’Église) à la conscience du genre humain. Certes ! quand on
pose
de ces thèses contre cet enseignement séculaire q
le croyions un homme d’esprit. À la page 216 de son second volume, il
pose
, toujours avec cet air gonflé d’un homme qui vien
t Proudhon au poulailler ! Si tout dépend du premier concept, il faut
poser
mieux la question, étudier les faits en intrinsèq
en soit un, c’est sa fortune ! Malgré deux ou trois tirades de talent
posées
dans ce fouillis comme des bustes dans des encoig
que l’ilote dégoûtait les Spartiates ? Telle est la question qu’on se
pose
quand on vient de lire Proudhon. Lorsqu’après plu
a science, qu’il croyait dans le progrès infini, comme Condorcet, qui
posait
que la science pouvait même supprimer la mort. En
seule question de la Famille. Bonald, l’historique Bonald, sait où en
poser
le fondement, et Proudhon l’ignore. C’est là même
ations et la brume de ses scepticismes philosophiques, ne sait pas où
poser
la base de la Famille, base elle-même de tout, da
s les grands moralistes qui l’ont précédé ou suivi, je n’hésite pas à
poser
que Proudhon est le plus chrétien La Bruyère exce
énérale se fait sentir dans cette suite de chapitres coupés, où il se
pose
plus de questions encore qu’il n’en résout. La co
t qu’en écrivant. Combien de fois M. de Tocqueville ne s’est-il point
posé
cette question au sujet de son ami : Pourquoi n’é
ouvrage de L’Ancien Régime et la Révolution, que de difficultés il se
pose
pour ses lectures dans un sujet si ouvert et si e
t ses premières couches et son fond de tableau déjà préparé, il ne se
poserait
pas toutes ces questions· préliminaires, il ne dr
-ci la souche d’où sont sorties toutes les espèces sociales. Une fois
posée
cette notion de la horde ou société à segment uni
s, nous n’avons pas à entrer dans ces détails, il nous suffit d’avoir
posé
le principe de la classification qui peut être én
répondent implicitement à une question que le lecteur s’est peut-être
posée
en nous voyant parler d’espèces sociales comme s’
s arrêterons pas à les discuter, car ils ne répondent pas au problème
posé
dans ce chapitre. On y trouve classées, non des e
d a été l’occasion d’un véritable phénomène. Ce livre d’un prêtre qui
pose
la nécessité d’une théocratie a été salué par tou
esprit plus méthodique et plus creusant que M. l’abbé Mitraud aurait
posée
à la première page de son livre, et qui, résolue,
Nous l’avons dit déjà, mais il faut le crier ! le livre de M. Mitraud
pose
la nécessité d’une théocratie, et les ennemis jur
souveraineté philosophique de la Raison, et tous ceux qui veulent et
posent
dans leurs théories que les gouvernements personn
ente du moi. L’idée de liberté étant ainsi définie, deux problèmes se
posent
pour le psychologue : 1° quelle est la genèse de
dance proportionnelle par rapport à ses objets, et lui permette de se
poser
en face d’eux comme capable de réagir sur eux. Au
ons fixes de l’objet ? Voilà le problème. » — Remarquons que M. James
pose
mal la question, car il est clair qu’à l’objet pe
° de possible métaphysiquement ? Voilà, selon nous, comment doit être
posé
le problème. Il consiste à rechercher, dans l’idé
définition, nous, que nous partons, et nous avons bien le droit de la
poser
telle, car l’histoire entière de la morale et mêm
e la connaissance et de l’existence ? Voilà comment nous concevons et
posons
le problème, avec la persuasion que toute autre m
posons le problème, avec la persuasion que toute autre manière de le
poser
est « simpliste », inexacte et illusoire. Les con
nation par soi, conséquemment la liberté. La question de causalité se
pose
nécessairement ici : il faut que le moi soit caus
i le sujet pensant ne s’absorbe pas entièrement dans l’objet, mais se
pose
au contraire en face de lui et agit sous l’idée d
est uniquement d’un côté, et que de l’autre sont toutes les excuses ;
poser
en ces termes la question et s’imaginer de bonne
out propos. » Il ne ressemblait point à ceux qui, en vieillissant, se
posent
avec vous en Socrates (je sais un savant encore5,
oir-cerise de sa joue est plus foncée et plus dense ; il jouit. Il se
pose
, il commence sa phrase, il s’arrête. Nul ne l’int
d dix fois par quarts d’heure, avec lenteur, aisance, dégustation. Il
pose
alors ses principes, il établit ses divisions ; i
de pédagogie dans tout cela. Si nous étions à l’hôtel Rambouillet, je
poserais
cette question : « Le livre de M. Cousin est-il d
u céleste, à l’ineffable regard des femmes, ton regard, ô Dieu, s’est
posé
sur moi pour jamais. Maintenant mon vol peut veil
sonnets mystiques, et tu feras sauvagement l’amour…” » Le poème étant
posé
avec cette puissance se développe merveilleusemen
elles qui sont d’un grand intérêt à l’heure présente et permettent de
poser
le problème de la poétique comme il me semble pos
de poser le problème de la poétique comme il me semble possible de le
poser
. M. Sully Prudhomme dit en effet : « Le fondateur
lectuelles m’éloignent des problèmes qui ne me semblent pas nettement
posés
. Comment discuter sur le vers avant d’avoir avec
e ne pourrai pas répondre directement aux questions précises qu’il me
pose
, et peut-être pourra-t-il croire que je me dérobe
Cependant M. Sully Prudhomme m’a fait l’honneur de m’écrire et de me
poser
quelques questions ; au risque de paraître incomp
les de M. Sully Prudhomme, qui a fait des mathématiques, l’obligent à
poser
les problèmes avec précision. Je n’y contredis pa
e quoi, pense-t-il, on ne s’entendra jamais. Rien qu’à cette façon de
poser
le problème, conformément, je le reconnais volont
notions qui demanderaient à être discutées à fond. Mais comment alors
poser
le problème de la littérature et de l’art des ver
pas nécessaire pour résoudre le problème de la poétique tel qu’il se
pose
à nous, mais même qu’elle ne peut être que nuisib
cette réalité ? Telle est la question décisive et fondamentale qui se
pose
. Pour ma part, je crois que cette « activité de l
modifier ? Dans quel sens et comment ? Tels sont les problèmes qui se
posent
, et auxquels il serait bon de faire entrevoir des
élasticité telle que toute forme de projection littéraire s’y puisse
poser
? — Aujourd’hui ? Mais Rousseau ne procédait-il p
t pas le plus grand nombre des lectrices. Et il y a une incontestable
pose
dans le goût des femmes qui prétendent n’aimer pl
d’art et de style ? Allez retrouver vos « décadents » ! Est-ce que je
pose
pour le Goncourt de mon époque ? Non. Seulement i
reste de la machine. Oui vraiment c’est un art et un grand art que de
poser
le modèle ; il faut voir comme M. le professeur e
Ne craignez pas qu’il s’avise de dire au pauvre diable gagé, Mon ami,
pose
-toi toi-même, fais ce que tu voudras ; il aime bi
s quinze jours ; et le professeur abandonnera au modèle le soin de se
poser
lui-même. Après la séance de dessin un habile ana
cisément la question française que nous voulons une dernière fois lui
poser
! III Pour nous, en effet, encore plus que
l’Individu et l’État, lui avions-nous indiqué cet ensemble de faits,
posés
comme un intermédiaire entre l’État, qu’il ne pré
e l’État, qui est toute la question de son livre, vient de nouveau se
poser
à propos du progrès, et si cette question, qui dé
es différentes, d’un même original, dans un cas comme dans l’autre on
pose
en principe que, si nous pouvions pénétrer à l’in
nce indépendante, nous estimons que chacune de ces deux sciences doit
poser
des problèmes à l’autre et peut, dans une certain
s, si l’on s’en tient à la lettre des termes où ces deux sciences les
posent
, apparaissent comme très voisins et capables de s
nt faire un marché. Certes, l’antagonisme de ces deux hommes est bien
posé
dès la première scène, et l’on sent, tout d’abord
gey qui retarde ; il aime sa femme, il n’aimera plus qu’elle ; il lui
pose
sur le front, avec un baiser, ce nom et cette cou
’abord, mais il la montre de loin, dans la perspective, gracieusement
posée
sur le million qui lui sert de piédestal. Ô surpr
discutait tout à l’heure. Alors, ma foi ! le bourgeois se risque ; il
pose
sa fille sur la table, la fait sonner, comme un s
z-vous qu’il se reproche lorsque le code n’a rien à lui dire ? Aussi,
posé
comme il l’est en face de ce Mercadet amoindri, M
ure, comme les étoiles du ciel de la nuit, et viennent d’eux-mêmes se
poser
sur la couronne des rois, sur le front des femmes
et nier, de haut en bas, le nom qu’il lui donne ; mais un petit signe
posé
sur l’épaule la trahit. Cet astre rose a eu, héla
riomphe. Il est charmant, ce premier acte, habilement fait, largement
posé
, plein d’engagements et de promesses ; il n’a qu’
able de ses principales améliorations. Cela est très vrai, mais c’est
poser
la thèse d’une façon dangereuse.La science a sa v
e ? Un petit procédé pour se former le bon sens, une façon de se bien
poser
dans la vie, et d’acquérir d’utiles et curieuses
iles, c’est ce qui nous suffit pour être en droit d’affirmer, ou de «
poser
», ainsi qu’on dit, « l’objectivité du monde exté
renversée, on ne continuera pas moins de se heurter toujours. Elle a
posé
aussi la borne qui sépare le domaine de la scienc
e Comte, en sa qualité de contemporain de ces grands Allemands, s’est
posé
la même question, et il l’a résolue contre eux. I
primordial et irrémédiable à ses yeux, qui est, comme l’on dit, de «
poser
l’absolu » pour en déduire le relatif, ce qui s’a
onnu à l’inconnu et de l’inconnu à l’inconnaissable. Le positivisme a
posé
les conditions ou les fondemens d’une telle métap
a Relativité est bien conduite par les considérations qui précèdent à
poser
un Espace-Temps à quatre dimensions. Nous disions
ite à le faire : si elle a eu recours ici à un artifice, et si elle a
posé
un temps imaginaire, c’était précisément pour que
courbe à trois dimensions existe effectivement comme image. Une fois
posée
d’ailleurs la courbe à trois dimensions, espace e
se donnerait pas plus, on se donnerait moins qu’on n’avait, quand on
pose
une succession, c’est-à-dire une nécessité de feu
uelque chose, et même l’essentiel, en remplaçant par un bloc une fois
posés
les états de l’univers qui passent tour à tour 47
— c’est le Temps — qui fait que le plan parcourt la totalité du bloc
posé
une fois pour toutes. Mais, si le bloc est réelle
vité est celui de tout le monde, car tous nous esquissons le geste de
poser
un Espace-Temps à quatre dimensions dès que nous
ent se produit la répétition consciente de l’univers matériel qu’on a
posé
d’abord. — Passerai-je à l’idéalisme ? Je ne me d
’eux. Où est-elle ? Je ne saurais hésiter : en posant mon corps, j’ai
posé
une certaine image, mais, par là aussi, la totali
étendues et la perception que nous en avons. Tandis, en effet, qu’on
posait
d’un côté une réalité extérieure multiple et divi
quer ni d’où viennent les éléments de conscience ou sensations, qu’on
pose
comme autant d’absolus, ni comment, inextensives,
tion présente ; mais alors il faut que ces souvenirs, au moment de se
poser
sur la perception, trouvent moyen d’actionner dan
des besoins de l’action, qu’on ne peut que prendre ou laisser, et de
poser
ainsi à la pensée réfléchie des dilemmes dont auc
s ? Tocqueville l’eût peut-être accordé. On sait la question qu’il se
pose
, dans son livre sur l’Ancien régime et la Révolut
’histoire de la plupart des nations occidentales nous avait invités à
poser
se montrent discutables et explicables ; il reste
t de puissances absorbantes de l’individu ? et par suite l’aider à se
poser
comme centre du droit ? « Tant qu’un État véritab
qui ont demandé l’unification des sociétés. C’est un Zollverein qui a
posé
la première pierre de l’unité allemande. — Mais c
u’elles englobent, à faire d’eux leurs choses et à les empêcher de se
poser
comme des personnes ; en ce sens on a raison de d
eillé, se révolta : il n’y put tenir ; tant d’objections imprudemment
posées
, et qu’une logique robuste ou subtile se flattait
on obligée d’une sorte de catéchisme philosophique dont les articles,
posés
à l’avance, sont réputés irréfutables, ne saurait
, où chacun insère son action comme un atome. Cette action, une fois,
posée
est un fait éternel… ». Ce sont quelques-unes de
re vaudrait-il bien mieux se passer de certaines questions que de les
poser
.
estion ne peut être mis avec succès en expérience ; trente-six pions,
posés
ensemble sur une table, ne nous donneraient qu’un
a d’être débordé par un au-delà absolument semblable à lui-même. Nous
posons
, comme tout à l’heure, cette loi générale que la
l’on conçoit très bien un myriagone et qu’on l’imagine très mal. Nous
posons
d’un côté le myriagone intelligible et l’idée pré
ssement des mots, nous l’avons vidée de ce qui la constitue ; nous la
posons
à part, pure et simple, ou, comme nous disons, sp
e des objets idéaux, développe les conséquences des principes qu’il a
posés
, et procède par déduction. Ces deux méthodes cont
trois exemples, sur un seul parfois, et qu’on n’étudie pas à fond, on
pose
une règle générale qui se trouve fausse. Tel ce v
de pareilles tentations, et avant de faire aucune induction, avant de
poser
une loi ou une règle, avant de rien généraliser,
en qui ne pût descendre aux derniers principes de la métaphysique, et
poser
l’insondable problème de l’être. Tout tient à tou
à l’action, à nos jeunes sociétés modernes ? Telle était la question
posée
. Consultée méthodiquement, tant par la déduction
araîtront susceptibles d’être retournés, et l’on se croira autorisé à
poser
l’égalitarisme comme l’antécédent, non comme la c
qui restent entières ; notre conclusion n’outrepasse pas les limites
posées
par notre introduction. Nous avons prouvé que l’i
mprimée, qu’il faut donc mentionner ici) dont les oisifs regardent la
pose
toute fraîche et toute humide, admirant comment l
, synthétisée par quelques couleurs, quelques traits appropriés. Cela
posé
, je crois, indubitablement, il faut bien convenir
Chapitre III. Les questions que l’historien doit se
poser
. Cela dit, abordons l’histoire d’une littératur
changeants dans lesquels ces faits se produisent. Le problème qui se
pose
à lui se ramène ainsi à trois questions : 1° Quel
culté particulière, et toutes les autres au degré moyen. Si l’on nous
posait
ainsi la question : « Quelles sont les aptitudes
ller la vision ou la rendre distincte. Le regard même est d’ordinaire
posé
, insistant, réfléchi, presque jamais clignotant n
ître ces figures étranges sur lesquelles le regard ne sait comment se
poser
, qui parfois prennent un relief hallucinant et l’
ésentée, certainement il ne l’a pas vue : ces attitudes, avant d’être
posées
, ont été trouvées. Faut-il continuer cette sorte
ns ces incrustations délicates, sur lesquelles on se fera scrupule de
poser
quelque objet pesant. Cet écran n’a que faire, po
treindront alors à ces effets plus stables, qui tiennent longtemps la
pose
, auxquels on peut travailler pendant des heures s
id de l’atelier, devant un modèle engourdi par les longues séances de
pose
. Il osera sortir de chez lui, s’en aller au grand
veut faire quand il se mettra à l’œuvre ; sa main sera plus sûre, et
posera
du premier coup la touche voulue. Ayant toujours
ulement je regarde toujours. » Émile Friant, peignant un portrait, ne
pose
pas une touche sans se reculer pour en vérifier à
contenté d’à peu près, voyant dans son tableau non pas les tons qu’il
posait
réellement sur la toile mais ceux qu’il voulait y
s tons qu’il posait réellement sur la toile mais ceux qu’il voulait y
poser
. De très bonne foi il dira qu’il a peint ce qu’il
our, et cette dernière lueur qui par-dessus la plaine assombrie va se
poser
sur les sommets lointains et s’y attarde, comme u
jet qui doit paraître frais au toucher, ou par des touches légèrement
posées
sur la toile la légèreté d’une vapeur flottant da
erre secouant sa torche, l’Espérance levant sa palme, une Hélène à la
pose
hiératique se profilant sur un ciel de sang, des
t à fait dépourvu d’imagination inventive sera étrangement timoré. Il
posera
sur une table un objet quelconque, un vieux bouqu
que lorsqu’il a devant lui un modèle, animé ou inanimé, qui tienne la
pose
et qu’il puisse copier à loisir. Il a conscience
ux vaut encore le réalisme. Mais telle n’est pas l’alternative qui se
pose
. Dans les œuvres d’imagination, l’imitation a aus
. Je peindrai la prairie en teintes plates ; quelques taches colorées
posées
à propos donneront l’impression de ces ombelles d
tionnelle. Chaque paysagiste a son procédé. Celui-ci se contentera de
poser
les masses. Celui-là donnera quelques détails, et
rès un tableau de Claude Monet, vous vous assurerez qu’aucun des tons
posés
sur la toile ne correspond à celui qu’a réellemen
t s’en contenter. Dans toute phrase qu’il doit écrire, un problème se
pose
: c’est une idée nouvelle à rendre, une nouvelle
tracer sur une autre feuille une ligne identique. Étant donné un ton
posé
sur une toile, pour peu que l’on sache son métier
indéfiniment variées de la nature par quelques tons francs, fermement
posés
, ou dégradés suivant une loi régulière. On peut t
ation plastique joue nécessairement un rôle. L’animal ne tient pas la
pose
. L’œuvre d’art qui nous le représente dans la vér
supposer qu’il ait vraiment surpris sur un lion, à la Ménagerie, une
pose
analogue, il n’a pu la noter que très sommairemen
e, qui montrent les tâtonnements de l’artiste dans la recherche de la
pose
. Enfin les grands cartons, où l’image a pris sa f
du corps sur une seule jambe ; et voici l’attitude de son Doryphore,
posé
sur la jambe droite, la gauche portée en arrière
À supposer que le modèle puisse prendre un instant sur indication la
pose
voulue, il ne la gardera pas longtemps dans sa ju
r un mouvement ne l’accomplit pas en réalité, et par conséquent ne le
pose
pas à fond ; il en prend seulement l’attitude ; i
ine, l’expression prend une importance exceptionnelle. Ce problème se
pose
souvent à l’artiste, de trouver une figure ayant
ariés, ici absorbé dans sa méditation, là renfrogné, là superbe en sa
pose
guerrière, là terrifié, avec des yeux hagards. Da
avantage. Nous insistons. Il n’en reste plus rien. Le problème qui se
pose
à l’artiste est donc beaucoup plus compliqué que
nter une Diane, on nous fournissait un modèle du genre de celui qui a
posé
pour la Diane au bain de Rembrandt, nous aurions
’anecdote de ce sculpteur grec qui, ne trouvant aucun modèle digne de
poser
d’ensemble pour la déesse de beauté, fit, dit-on,
de son modèle, et avait dans son atelier des hommes et des femmes qui
posaient
pour les mains. C’est une véritable tricherie. Si
ercheurs l’emploient. Ils multiplient les études partielles. Ils font
poser
tel modèle pour les mains, tel autre pour le tors
mes maintenant en état de répondre à la question que nous nous étions
posée
. Conçue en dehors de l’art, la religion s’est apr
culière. Comme nous le verrons tout à l’heure, les exigences du décor
posent
souvent à l’artiste de véritables problèmes d’inv
ligne la plus simple, tel est le problème que le décorateur semble se
poser
. C’est ainsi qu’il se fait un style personnel, si
l’ont été avec justesse et mesure. Mais les lignes principales ainsi
posées
, l’artiste s’est joué librement des autres. Était
tère de leur divinité : c’était comme un masque symbolique qu’ils lui
posaient
sur la face. Nous retrouvons dans l’art chrétien
s et le désespoir d’une telle situation d’âme ayant été admirablement
posés
, l’auteur n’a pas mené à bon port ses personnages
éau, ouvert à tous les vents, d’une barrière invisible et sacrée ; je
posai
des limites à mes pas, et je mesurai l’espace où
reviendra au roman de la vie réelle, comme Indiana et Valentinel’ont
posé
; mais il y reviendra avec toute la force acquise
n se faisant tuer, on gagne un jour de plus. Les Mémoires de Vaublanc
posent
une centième fois le problème qui agacera longtem
la question n’en est pas une pour moi, mais elle vaut la peine d’être
posée
et débattue encore. Les Mémoires de Vaublanc la p
la peine d’être posée et débattue encore. Les Mémoires de Vaublanc la
posent
bien. La solution vers laquelle ils inclinent man
randes hardiesses et les fougueuses initiatives, eut la bonne idée de
poser
devant l’opinion une question dégrisante, une que
grande ou des connaissances bien étendues pour savoir que la question
posée
par l’Académie était, par cela même qu’elle était
e la question posée par l’Académie était, par cela même qu’elle était
posée
, résolue dans la conscience de l’Académie. Nul co
. La véritable utilité de la conscience, dans l’inspiration, c’est de
poser
, par le désir, le but et l’effet final à atteindr
s matériaux101. » De Hartmann dit semblablement que, la volonté ayant
posé
le but, « l’inconscient » intervient pour le réal
que lui prêtent MM. Ribot et Maudsley ; non seulement c’est elle qui
pose
la fin et l’idée principale, mais c’est elle enco
herché est un souvenir dont on a trouvé le commencement ; le problème
posé
est un problème dont la solution se prépare. De l
a conscience dans un monde étendu, c’est une question que l’enfant ne
pose
pas, puisqu’il lui manque les idées nécessaires p
nfant ne pose pas, puisqu’il lui manque les idées nécessaires pour la
poser
. Quand il la posera plus tard, il ne fera, pourra
puisqu’il lui manque les idées nécessaires pour la poser. Quand il la
posera
plus tard, il ne fera, pourrait-on dire, que mett
moins de ses conditions organiques ; suffisant, puisque dès qu’il est
posé
, la brûlure suit, invariable puisque les mêmes ra
les principes absolument premiers des choses. Nous sommes obligés de
poser
par induction des faits de plus en plus généraux,
leur est un nom commun parce que je puis, moi, dis-je, et non lui, le
poser
à mon gré sur le bleu, le blanc, le rouge ;-il de
inférieurs. Avec une ironie bien plus haute encore, Jéhovah aurait pu
poser
à ce Job de la nature les questions qu’il adresse
l un pacte avec toi ? — S’engagera-t-il pour toujours à te servir ? —
Pose
seulement la main sur lui, — Et tu ne songeras pa
le sommet culminant du monde, le plateau de la haute Asie où vint se
poser
l’arche de nos origines, d’où découlèrent toutes
et les mœurs furieuses, les flatteries et les perfidies ». Les Grâces
posèrent
sur ses tempes une couronne d’or, diadème royal e
oir de l’animer lui est refusé. C’est Pallas, la Sagesse céleste, qui
pose
le papillon de l’âme sur la tête de ses créatures
ublié de citer l’homme qui, dans un livre intelligible et français, a
posé
l’idée générale qui domine la critique de détail
pour nous parler de l’idéal ailleurs que dans un roman), la religion
pose
par sa base sur le sol mouvant des choses humaine
us bel aveu d’impuissance que la Science inconséquente, — car elle se
pose
en le faisant — ait jamais fait ! III Mais
avait troublées, furent reprises au commencement du dix-neuvième, et
posées
comme bases d’un système auquel le génie de M. de
ul coup, et est comme sorti instantanément du génie de chaque race »,
pose
donc la diversité de la race à la première ligne
e de treize à quatorze ans, accroupie à terre, voilée, le bras gauche
posé
sur un livre ouvert et plus grand qu’elle, l’autr
aut sur 3 piés de large. à droite, c’est un Morphée très agréablement
posé
sur des nuées ; il déploye deux grandes ailes de
elle sur cette tête. Junon, sur le devant, à droite, a la main droite
posée
sur celle de Jupiter assoupi, le bras gauche éten
haut. Hersé, à gauche, est assise. Elle a sa jambe droite étendue et
posée
sur le genou gauche de Mercure. On la voit de pro
l’extrémité de laquelle il y a un si beau pié, cette jambe étendue et
posée
sur ce si beau, si prétieux genou de Mercure, est
autre représente une femme sérieuse, pensive, en méditation, le coude
posé
sur un bureau, et la tête appuyée sur sa main. Pu
verra quelques brins de paille sortir de dessous la femelle ; le mâle
posé
sur la visière fera sentinelle ; et mon tableau s
u’elle se cache le visage de ses mains, et que celle de sa fille soit
posée
sur son épaule ; que le vêtement de cette mère an
yez mon épouse ; qu’elle verse des larmes de joye ; qu’un de ses bras
posé
sur l’épaule de son enfant, elle lui montre de l’
oblème n’est rien moins que celui de l’union de l’âme au corps. Il se
pose
à nous sous une forme aiguë, parce que nous disti
d il arrive à la pleine conscience de son principe, s’abstient de les
poser
. — Le dogmatisme découvre et dégage les difficult
tions que la réflexion signale, sans les problèmes que la philosophie
pose
? Et la connaissance immédiate ne trouverait-elle
, qu’une hypothèse recouvre généralement. Voici, par exemple, ma main
posée
au point A. Je la porte au point B, parcourant d’
pour personne. L’unique question est de savoir si, le mouvement étant
posé
comme un fait, il y a une absurdité en quelque so
rçu, peut-on dire qu’il se meut, de quel autre qu’il reste immobile ?
Poser
une pareille question, c’est admettre que la disc
e ce que, la parenté des sensations entre elles ayant été extraite et
posée
à part sous forme d’espace indéfini et vide, nous
tons en elle. Il n’est pas le support sur lequel le mouvement réel se
pose
; c’est le mouvement réel, au contraire, qui le d
une manière avec l’unité de l’âme, on comprend que l’esprit puisse se
poser
sur la matière dans l’acte de la perception pure,
e titre de Pensar, Dudar, et de Sagesse. Une des questions qu’elle se
pose
le plus habituellement est celle-ci : Si la mort
! Et toi, morne Tranquillité, Sans douleur, mais aussi sans charme,
Pose
sur ce cœur agité Ta main qui sèche toute larme !
ant un caillou qui le ride, S’avancer, reculer, revenir en tremblant,
Poser
un de ses pieds sur ce pont chancelant, Et s’effr
anteaux ; Si dans Milet déjà l’on tissait les plus beaux ; Où Briséis
posait
l’agrafe de son voile, Et si de Pénéloppe il avai
genre de sentiment ou de passion elles y apportaient, il faut s'être
posé
sur la jeunesse de ces deux femmes plusieurs ques
deux femmes plusieurs questions, ou plus simplement il faut s’en être
posé
une, la première et presque la seule toujours qu’
n parlant d’une femme : A-t-elle aimé ? et comment a-t-elle aimé ? Je
poserai
donc la question, ou plutôt elle se pose d’elle-m
omment a-t-elle aimé ? Je poserai donc la question, ou plutôt elle se
pose
d’elle-même malgré moi pour Mme Récamier ; et pou
uence de l’idée du moi. Dès que cette idée est conçue, elle tend à se
poser
en face du milieu extérieur, et à se poser intell
est conçue, elle tend à se poser en face du milieu extérieur, et à se
poser
intellectuellement par l’assertion ou affirmation
réaliser et dont la réalisation lui paraît le bonheur. Ainsi on peut
poser
cette loi importante : le moi, le sujet, dès qu’i
ois, finisse par se détacher de la masse et, grâce à la réflexion, se
pose
à part, ce sera un commencement de pensée, et ce
en passant remués, Sont pris aux frais bandeaux décemment renoués ; Y
poser
une fleur est la gloire suprême : Qui la pose une
décemment renoués ; Y poser une fleur est la gloire suprême : Qui la
pose
une fois la détache lui-même. Même aux jeunes gar
e tout à la fois, de l’illuminisme, que la science n’a pas encore osé
poser
, mais qui attire et qui tourmente l’imagination m
é l’imagination et la science ?… Et notez qu’en parlant ainsi nous ne
posons
ni ne pressentons même aucune conclusion à l’avan
ien dans le sens de ses facultés ?… C’est une question qu’on pourrait
poser
. Il était peut-être né léger, dans l’acception fr
, prend son importance. M. Taine, qui, après avoir été philosophe, se
pose
en historien, a été, un jour de sa vie, un artist
imité du suffrage universel, le reconnaît d’avance par sa méthode, et
pose
, dans l’ordre de l’esprit, comme le suffrage univ
uvernement et de toute société, et, bien plus encore ! c’est qu’ayant
posé
lui-même le principe d’anarchie dont il doit mour
il doit mourir, il soit logiquement lâche devant ce principe qu’il a
posé
. Dans le livre de son volume intitulé, avec une s
s horribles pendaisons sommaires si multipliées dans son histoire, il
pose
résolument le principe : « qu’il vaut mieux faire
e ne pas la voir ! Si l’auteur ne l’a pas tirée des prémisses qu’il a
posées
avec tant de sûreté et d’étendue, c’est qu’il a v
d’hui à nous prouver l’existence de ce dialogue. La question qu’avait
posée
Mallarmé n’était pas une question vaine, puisque
porte ce que je sais fort bien ! » La réalité devient une occasion de
poser
des problèmes techniques, problèmes d’une action
rait passer dans leur réalisation. Les problèmes de réalisation qu’il
pose
sont tout abstraits, et il en écarte cette donnée
is l’esprit ingénieux, j’allais dire ingénieur, de Valéry, ne saurait
poser
le problème de la technique sans l’équilibrer sub
e beaucoup, le problème de la réussite, et qu’il l’a, comme personne,
posé
théoriquement. * * * Par ses deux dialogues socra
e d’imposer au lecteur. Pas un mot où l’idée au vol pur Ne puisse se
poser
, tout humide d’azur. Cette langue du poète elle
Cette langue du poète elle peut, comme les rapports métaphysiques, se
poser
sur toutes choses, précisément parce que sa natur
ur l’échelon tremblant De mon échelle dorée Ma prudence évaporée Déjà
pose
son pied blanc. Mallarmé a écrit dans la Prose p
Valéry, comme tout le monde aujourd’hui, rend le caillou au courant,
pose
l’accent d’existence sur ce courant. L’image de m
te facile intelligibilité qui nous empêche de comprendre le corps, de
poser
frais et nu le problème du corps. — Psychologique
st en effet qu’un songe de soi, — mais songer à soi, se songer, c’est
poser
le pied sur une terre trouble et inconsistante. P
nner Valéry, beaucoup plus pour les questions d’art qu’elle permet de
poser
que pour elle-même. Et pourtant le Satyre et la J
que de la relativité, mais incomparablement plus difficile. » L’ayant
posé
, on ne saurait le résoudre, mais on peut si on es
ais cette dualité suffît pour que Narcisse, comme la Jeune Parque, se
pose
un problème d’existence : lequel existe, son corp
Ainsi qu’il le dit quelque part, dans le problème de rendement qui se
pose
au poète, à l’heureux possesseur d’une technique,
nul blanc n’est pour nous plus commode à les rêver que celui où sont
posées
les stances du Cimetière Marin. Les dernières de
hose en eux et en moi ; je ne dis pas ce qu’est ce quelque chose ; je
pose
sa durée, non sa qualité ; la question est réserv
règle pour Pierre, Paul et leurs corps. Mais cette règle ne fait que
poser
un rapport constant entre certains changements de
roi absolu qui peut faire couper des têtes, ce mot ne fait jamais que
poser
comme présentes les conditions d’un événement ou
e interne, et la contradiction qui la nie comme fragment du dehors la
pose
du même coup comme fragment du dedans. Maintenant
et, si nous nous laissons glisser dans l’erreur métaphysique, nous le
posons
à part comme une chose complète, indépendante, to
ogement plus commode et une existence plus parfaite. Laissez-moi ; il
pose
très bien maintenant, et, si vous dites un mot, i
de l’expérience, des vérifications et des prévisions humaines. — Cela
posé
, il nous suffit de l’expliquer, et nous n’avons q
ciproque, sont transportés hors de leur emplacement primitif, pour se
poser
, le premier sur le présent, et le second sur un p
e ?… Question dangereuse, qui était enterrée et qu’on déterre pour la
poser
à nouveau. Cette publication est une maladresse d
duelliste qui le débarrassa de mille affaires. Il en affecta même la
pose
. Relisez ses écrits, et voyez s’il n’a pas toujou
s comptés pour ce qu’ils valent, tandis que la médiocrité correcte et
posée
de Carrel était de celles qui font les meilleures
brouillée, la même oreille qui tinte, la même main incertaine qui se
pose
aux objets et les dérange. Il faut bien le dire,
s qu’un mince dessinateur et un musicien… Il est vrai que Champfleury
pose
Hoffmann, qui a beaucoup écrit en musique, comme
ions plus… gaies que justes. On y trouve, par exemple, la supériorité
posée
du romancier sur l’historien, qui procèdent l’un
it qu’en blaguer la philosophie. Est-ce assez ? Il constate : Renan a
posé
son bonheur dans la science, comme dans la scienc
, familière d’abord, et qui s’enflamme aux objections qu’elle-même se
pose
. Une page de M. Séailles, c’est un duel d’un espr
rection où d’autres, mieux doués, s’engageront à notre suite. I
Posons
d’abord quelques principes. C’est faute de princi
stés en nous. C’est le second aspect. L’absolu de la théorie une fois
posé
, la pratique, à son tour, pose ses conditions et
spect. L’absolu de la théorie une fois posé, la pratique, à son tour,
pose
ses conditions et elles sont inévitablement relat
t sur lesquels nous reviendrons. L’important est que la question soit
posée
sur un terrain solide. De l’essentiel je ne rabat
sujette à discussion selon moi. La théorie n’est la plupart du temps
posée
que pour justifier après coup la pratique ou le c
epliement sur soi et sur l’élite, dans les conditions spéciales où se
posait
le problème de l’art tragique environ 1650, pour
n imagée. En face des excès possibles du drame purement intérieur, il
pose
les droits acquis, les droits antiques, les droit
art en falaise », le souverain accent des premiers mots, abrupts, qui
posent
l’action et nous y font entrer dans la seconde :
ignent d’un don merveilleux, absolument unique dans son siècle. Elles
posent
un jalon sur la piste nouvelle que suivra peut-êt
de l’esprit et du jeu des mots. Du Shakespeare français où Watteau a
posé
son aile. C’est la première fois chez nous que l’
armi ses pairs du boulevard, réclame pour lui une place de choix ; il
pose
au poète, à l’artiste. Il faut avoir lu ses préfa
llard, Bonnard, Sérusier, Maurice Denis. Mais le problème n’était pas
posé
sur un terrain précis, solide ; car, il ne suffit
egrés, loggia. Ce faisant, il ne manquait pas au principe qu’il avait
posé
dès le premier jour : la mise en place, en mouvem
’élabore l’art dramatique de demain. Mais, de nouveau, la question se
pose
: Si l’auteur refuse de recourir et aux moyens so
lus raffiné, le plus simple. Problème délicat sans doute ; mais il se
posait
tel devant Sophocle comme devant Gréban. Il n’est
luxe, tous les agréments de la société. Dans ce cadre charmant, elle
posait
l’idéal de l’homme complet : le corps souple, rob
l’exemple de Luther, dégage la Réforme de la Renaissance : Calvin se
pose
en face de Rabelais. La morale reparaît comme l’o
réduit et plus solide de l’honnête homme. Sur les fondements qu’il a
posés
s’élève la littérature du règne de Henri IV : mai
lus constante et la plus heureuse. En premier lieu, le physicien nous
pose
des problèmes dont il attend de nous la solution.
que relatif à la propagation de la chaleur. Si ce problème ne s’était
posé
naturellement, on n’aurait jamais osé rendre au d
ens que l’analyste attache à ce mot. Et, à ce propos, une question se
pose
: comment une démonstration, qui n’est pas assez
un pédagogue, et l’homme un marmot. Je croyais avoir assez nettement
posé
les conditions d’un problème aussi sérieux pour c
vement à l’ordre des signes visuels et tactiles. Or le problème ainsi
posé
n’avait pas été résolu par moi, pas plus que par
sychologie ne saurait franchir. Tout ce que l’on peut faire, c’est de
poser
le problème, d’en présenter toutes les conditions
les yeux quelque sujet de thèse, et le « Thomas, quid dicis ? » était
posé
, non par le grand Diafoirus au petit, — car il y
as arrivée au simple, que les sots prennent pour le naturel ?), Gœthe
posait
devant Eckermann, qu’il prenait pour la postérité
eux ou trois explications qu’il donne à Eckermann sur le loisir de sa
pose
quand l’Allemagne, levée contre la France qui l’e
se dit chrétien. C’est au nom d’un christianisme meilleur qu’il vient
poser
la nécessité de corriger ce chétif symbole de Nic
d est entièrement étranger à la conception de l’éternité ; ou s’il la
pose
parfois, il l’oublie. C’est qu’au fond il n’a rie
ngulière conséquence ! Si on met l’infini à la place de l’étendue, où
pose-t
-on l’axe du monde et que devient pour M. Jean Rey
r cela même qu’il se détournait de la théologie vers la métaphysique,
posait
au xie siècle, dans l’innocence et la sécurité d
oudre ; et que les posant nécessairement comme les métaphysiciens les
posent
, il était justiciable des métaphysiciens et qu’il
ien de ce qui ne serait pas Dieu ne s’entendrait. Quand saint Anselme
posait
l’argument purement métaphysique, le théologien,
estions, nous chercherons tout à l’heure une réponse. — En attendant,
posons
seulement que, lorsque nous percevons un objet pa
possibilité, mais encore nécessité de ces sensations. Ces nécessités,
posées
à part et considérées isolément, sont ce que nous
ue son histoire ne soit pour nous définissable que par la nôtre, nous
posons
son histoire en face de la nôtre comme une série
utes ces propriétés n’existent que par rapport à des événements ; les
poser
, c’est prédire tel événement de nous, du corps, d
e nécessaire sous ces mêmes conditions, plus une complémentaire, bref
poser
une loi générale ; et tous ces événements, les nô
que non pas seulement aux corps sentants, mais à tous les corps. Cela
posé
, il découvre peu à peu que, dans ses définitions
corps, pour-être certains que, de l’un, elle passe à l’autre, et pour
poser
les règles de cette communication ; car l’analogi
it maintenant le rôle qu’elle joue dans une perception extérieure. Je
pose
la main dans l’obscurité sur cette table de marbr
, tous les fondements sur lesquels nous construisons aujourd’hui sont
posés
. Que l’on compare le Discours de Bossuet sur l’Hi
s déposent lentement dans l’esprit humain. Reste un second principe à
poser
pour achever la fondation de l’histoire. Découver
c’est-à-dire à former, combiner et manier des notions générales Cela
posé
, nous pouvons vérifier toutes nos idées ; car nou
urs, ils n’étaient pas uniquement conduits par leurs fantaisies. J’ai
posé
les principes et j’ai vu les cas particuliers s’y
e de l’auteur : il est plus grave (n’entendez pas plus réservé), plus
posé
, que les deux premiers, les contes y tiennent moi
représente jamais qu’il a été conseiller au Parlement, robin : il se
pose
en homme d’épée, en soldat. Il dit mon page, mes
n religion les opinions qui préviennent le mieux la guerre civile. Il
posera
en principe qu’il faut aimer la forme de gouverne
trouve que ces idées-là sont les idées communes de l’humanité, il les
pose
dès lors avec plus d’assurance. Il a beau identif
l se règle sur le prince. En philosophie, en littérature, partout, il
pose
la souveraineté de la raison, égale en tous les h
s’il y a quelque chose de sérieux, c’est le penseur critique, qui se
pose
dans l’objectivité des choses : car les choses so
dogmatique par la science ; on recommencera à croire au certain et à
poser
à deux pieds sur les choses, quand on saura qu’on
n juin ; car j’avoue que, depuis Février, la question ne s’est jamais
posée
assez nettement à mes yeux pour que j’eusse voulu
sation du beau auront eu leur prix et que la science, comme la vertu,
pose
dans le monde des faits d’une indiscutable valeur
mages l’apercevront encore les premiers, c’est que le germe est déjà
posé
et que, si nous savions voir le présent avec les
it parallèle à cette réalité. S’il en était ainsi, l’objet qu’on veut
poser
en face de la conscience comme seul réel lui rest
comme seul réel lui resterait totalement étranger, et, en voulant le
poser
, on le supprimerait. Du même coup, notre sensatio
heure, est très différent, sous plus d’un rapport, du problème que se
posent
les sciences physiques. Les phénomènes qu’étudien
ce à dire que la distinction du sujet et de l’objet ait besoin d’être
posée
comme consciente d’elle-même dès le début, dans l
ensée et en action. IV Après avoir établi que le psychologue se
pose
cette question fondamentale : — Qu’est-ce que le
dans son rapport à un objet ; donc l’intelligence arrive elle-même à
poser
la dualité sujet-objet, et, ceci fait, elle n’a p
à la physiologie, la psychologie des idées-forces peut, d’autre part,
poser
les bases de la spéculation philosophique, trop d
xviiie siècle. Il n’en faut pas moins reconnaître que, outre qu’il a
posé
la loi d’association, Hartley a devancé sur un po
d’une hypothèse d’ailleurs, la vibration nerveuse de la sensation, il
pose
les premières bases d’une explication nouvelle du
r vie tranquille. Nous sommes presque étonnés de les revoir le matin,
posés
comme le soir, et nous les trouvons heureux de le
et l’ombre enveloppaient leurs grandes formes, et que la brume venait
poser
son voile diaphane sur leurs manteaux. Il nous se
rqué de quelle façon les oiseaux boivent ; leurs petits pieds fins se
posent
sur la grève, ils effleurent de leur bec le coura
osé, maître de soi. Il n’avance la patte qu’avec réflexion ; il ne la
pose
qu’en essayant le chemin ; il ne hasarde jamais «
gnifiques, et étouffe parfaitement son ennemi entre ses bras. Mais il
pose
si lourdement ses larges pieds sur le sol, il se
rce, la clarté, l’élégance, tout, excepté la vie. Ses animaux si bien
posés
restent empaillés sous leurs vernis. Qu’est-ce do
es s’élancent enfin dans un commun embrasement. Ici Edgar Poe, ayant
posé
en principe que la matière n’existe qu’en fonctio
Poe s’est épuisé ; il prend pour base une solide assise scientifique,
pose
des axiomes, entrelace des causes, fait jaillir d
ces déconcertantes, imprévues et rapides comme un coup de théâtre, se
pose
d’ascension en ascension à un sommet mystique où
phe du Corbeau. Et le corbeau, jamais n’agitant son aile, encore est
posé
, encore est posé. Sur le pâle buste de Pallas, ju
Et le corbeau, jamais n’agitant son aile, encore est posé, encore est
posé
. Sur le pâle buste de Pallas, juste au-dessus de
eux incises diagonales, un homme à la tète massive et presque cubique
posée
sur des épaules rondes, fortes, tombantes, ayant
une profondeur égale à sa légèreté. Il a résolu le problème d’art qui
posait
qu’il faut de certaines proportions pour produire
s la petite ombre blanche s’arrêta au bord d’un fauteuil et resta là,
posée
, prête à repartir, souriante et haletante, jusqu’
t, se mît à la bercer, à la balancer doucement sans déranger sa jolie
pose
, comme une libellule sur une branche de saule, tr
jusque sous les Caractères du brave La Bruyère ? Celui qui, dit-on, a
posé
pour le duc de Mora dans Le Nabab, n’a-t-on pas p
e Nabab, n’a-t-on pas prétendu, à une autre époque, qu’il avait aussi
posé
pour le de Marsay de Balzac ?… De plus, la peintu
n exil. Une question grandiose et terrible, que les siècles ont enfin
posée
! Car, ne vous y trompez pas ! cette grande et fo
e, toute cette page qui nous rend un joli tableau de la vie anglaise,
posée
, réglée, studieuse. Un autre endroit est celui qu
Lausanne dans son jardin les dernières lignes de sa grande Histoire,
pose
la plume, fait quelques tours dans son berceau d’
riques (car Gibbon, dans cet Essai, touche à tout), il sait très bien
poser
les limites du respect dû à la vérité et des libe
pouces ; le tronc immense de son corps à gros ventre de Silène était
posé
sur cette espèce de jambes grêles qu’on appelle f
sa race. C’est une remarque qui se vérifie sans cesse et qui peut se
poser
comme une règle générale : dans l’art aussi, chaq
sanne habillée comme dans le nord de la France, est debout, les mains
posées
l’une sur l’autre : elle est en face, près de son
aisément ; c’est d’être tourné vers le spectateur. Ces personnages ne
posent
pas, mais ils vous regardent. Il semble que vous
uper : — la bonne grand’mère est assise sur le devant, les deux mains
posées
l’une sur l’autre, regardant le spectateur et lui
us en avons la preuve. Chez nous, dès le xvie siècle, Scaliger avait
posé
nettement le problème, lorsqu’il ne traitait des
entiment et même d’accent des deux amants. Ce n’est pas tout : le Cid
pose
cette loi, que le héros tragique fait sa destinée
une âme agitée, ou dans plusieurs âmes opposées, voilà ce que le Cid
pose
comme l’essence de la tragédie. Il pose encore ce
opposées, voilà ce que le Cid pose comme l’essence de la tragédie. Il
pose
encore cette loi que le héros n’est pas un Espagn
▲