s nouvelles, & ne se repose jamais. Ainsi on sera toûjours sûr de
plaire
à l’ame, lorsqu’on lui fera voir beaucoup de chos
nt de celui qu’elle vient d’avoir. C’est ainsi que les histoires nous
plaisent
par la variété des récits, les romans par la vari
’elle a à les appercevoir ; & la raison qui fait que la symmétrie
plaît
à l’ame, c’est qu’elle lui épargne de la peine, q
e d’un bâtiment, un parterre, un temple, on y met de la symmétrie qui
plaît
à l’ame par la facilité qu’elle lui donne d’embra
e goûte tous les plaisirs qui viennent de la surprise ; sentiment qui
plaît
à l’ame par le spectacle & par la promptitude
d’événemens non attendus ; c’est par-là que les jeux de société nous
plaisent
; ils sont encore une suite d’évenemens imprévûs,
jointe au hasard. C’est encore par-là que les pieces de théatre nous
plaisent
; elles se développent par degrés, cachent les év
nous est insupportable ; quelquefois la difficulté de l’ouvrage nous
plaît
, quelquefois c’est la facilité ; & comme dans
maître, nous voyons quelquefois avec plaisir qu’on a eu l’art de nous
plaire
avec peu de dépense & de travail. Le jeu nous
’art de nous plaire avec peu de dépense & de travail. Le jeu nous
plaît
parce qu’il satisfait notre avarice, c’est-à-dire
n il nous donne les différens plaisirs de la surprise. La danse nous
plaît
par la legereté, par une certaine grace, par la b
i danse étant comme un instrument qui accompagne ; mais sur-tout elle
plaît
par une disposition de notre cerveau, qui est tel
aines attitudes. De la sensibilité. Presque toûjours les choses nous
plaisent
& déplaisent à différens égards : par exemple
ons, ni de celui que nous estimons ; d’un autre côté ils peuvent nous
plaire
, parce qu’ils conservent très long-tems un air de
liaisons qu’elle met aux choses ; ainsi une chose qui nous a plu nous
plaît
encore, par la seule raison qu’elle nous a plu, p
à la nouvelle : ainsi une actrice qui nous a plu sur le théatre, nous
plaît
encore dans la chambre ; sa voix, sa déclamation,
fondé sur la surprise. Nous sommes touchés de ce qu’une personne nous
plaît
plus qu’elle ne nous a paru d’abord devoir nous p
e personne nous plaît plus qu’elle ne nous a paru d’abord devoir nous
plaire
; & nous sommes agréablement surpris de ce qu
amp; le Correge promettent peu & payent beaucoup, & cela nous
plaît
davantage. Les graces se trouvent plus ordinairem
du naturel : or nous sommes charmés de le voir revenir. Rien ne nous
plaît
tant dans une parure, que lorsqu’elle est dans ce
d’Homere, c’est celle de cette ceinture qui donnoit à Vénus l’art de
plaire
. Rien n’est plus propre à faire sentir cette magi
lorsque cette opposition est commune & aisée à trouver, elles ne
plaisent
point & sont un défaut, parce qu’elles ne cau
urprise ; & si au contraire elles sont trop recherchées, elles ne
plaisent
pas non plus. Il faut que dans un ouvrage on les
rise ne tombe que sur la sottise de l’auteur. Une des choses qui nous
plaît
le plus, c’est le naïf, mais c’est aussi le style
verité, lorsqu’il s’agit de trouver les causes qui font qu’un ouvrage
plaît
ou qu’il ne plaît pas, mais cette voïe ne vaut pa
s’agit de trouver les causes qui font qu’un ouvrage plaît ou qu’il ne
plaît
pas, mais cette voïe ne vaut pas celle du sentime
le du sentiment lorsqu’il s’agit de décider cette question. L’ouvrage
plaît
-il ou ne plaît-il pas ? L’ouvrage est-il bon ou m
lorsqu’il s’agit de décider cette question. L’ouvrage plaît-il ou ne
plaît
-il pas ? L’ouvrage est-il bon ou mauvais en gener
décision du sentiment et pour expliquer quelles fautes l’empêchent de
plaire
, et quels sont les agrémens qui le rendent capabl
quelque maniere des ouvrages d’esprit et des tableaux faits pour nous
plaire
en nous touchant. Il est en nous un sens destiné
is le mérite le plus important des poëmes et des tableaux est de nous
plaire
. C’est le dernier but que les peintres et les poë
u’un ouvrage où les regles essentielles seroient violées, ne sçauroit
plaire
. Mais c’est ce qu’on reconnoît mieux en jugeant p
oint en raisonnant qu’on juge des ouvrages faits pour toucher et pour
plaire
. On en juge par un mouvement intérieur qu’on ne s
dus. Le dessein de la poësie et de la peinture étant de toucher et de
plaire
, il faut que tout homme qui n’est pas stupide pui
s la musique, sont incapables de décider si le menuet qu’il a composé
plaît
ou s’il ne plaît pas ? Quand un orateur fait bail
t incapables de décider si le menuet qu’il a composé plaît ou s’il ne
plaît
pas ? Quand un orateur fait bailler et dormir son
quoi ce pays offrait de l’une et de l’autre tant de parfaits modèles.
Plaire
ou déplaire était la véritable source des punitio
ur exciter d’aucune manière l’esprit de leurs sujets ; et le désir de
plaire
à ses maîtres, est une sorte de familiarité avec
oint alors la liberté dans les opinions, l’on sentait le besoin de se
plaire
les uns aux autres, et l’on multipliait les moyen
rande perfection du goût et de la gaieté devait naître de ce désir de
plaire
universel. La recherche dans les idées et les sen
table. Les Italiens et les Espagnols étaient inspirés par le désir de
plaire
aux femmes ; et cependant ils étaient loin d’égal
les succès des hommes entre eux dépendent de leur talent mutuel de se
plaire
, et que ce talent est le seul moyen d’obtenir les
ne autre nation. Obligés d’étudier sans cesse ce qui pouvait nuire ou
plaire
en société, cet intérêt les rendait très observat
e, quoique l’on fût bien résolu à n’y point renoncer. La cour voulait
plaire
à la nation, et la nation à la cour ; la cour pré
de choses, les femmes sont une puissance, et l’on cultive ce qui leur
plaît
. Le loisir que la monarchie laissait à la plupart
commun avec l’eloquence. On voit seulement que son unique fin est de
plaire
. Le nombre et la cadence chatouillent l’oreille ;
phes ; et ils s’en sont tenus à l’imitation, contens de l’avantage de
plaire
, tandis que les autres aspiroient à l’honneur d’i
devons à nos maîtres, que le but de tous ces ouvrages n’a été que de
plaire
par l’imitation. Soit que l’imitation, en multipl
nt en eux-mêmes, et l’ont remarqué dans les autres. Ainsi certains de
plaire
en s’y abandonnant, ils ont imité des événemens e
ns ouvrages, je pense qu’on n’a eu communément d’autre dessein que de
plaire
, et que s’il s’y trouve quelque instruction, elle
ment comme des ouvrages où l’auteur s’est proposé particuliérement de
plaire
; excellens dans leur genre, par rapport aux circ
des ouvrages de poësie qui nous sont restés. Les auteurs y ont voulu
plaire
, et ils ont atteint leur but. Ce n’est pas que da
toujours certain qu’entant que poëtes, ils ne se sont proposé que de
plaire
; les autres vûës qu’ils avoient, leur méritoient
tre jamais dans aucun détail, croit d’ordinaire que l’ouvrage qui lui
plaît
le plus dans un genre, est la perfection de ce ge
ui avoient été inventés pour suppléer au défaut du vrai, ont cessé de
plaire
, dès qu’il a reparu. Il a réuni tous les goûts, c
es sont encore essentielles au sublime ; car ce n’est pas assez qu’il
plaise
, il doit élever l’esprit, et c’est précisément ce
t des sentimens extraordinaires. La description d’un hameau peut bien
plaire
par la naïveté et la grace ; mais Neptune calmant
ert à sa maitresse : j’en fais une, où je souhaite d’être tout ce qui
plaît
à une maitresse que j’imagine exprès pour cela ;
et ses loüanges dégagées de cet air de flaterie qui rebute, pouvoient
plaire
même à ceux à qui elles ne s’adressoient pas. Exa
ui aussi connu ; et il me semble que dans une traduction où l’on veut
plaire
, le traducteur doit suppléer ainsi à la distance
rit ; mais aussi en la négligeant, on perd un des plus sûrs moyens de
plaire
. Une bonne chose ne le paroît presque pas après u
e ce discours que le poëme n’avoit essentiellement d’autre fin que de
plaire
; au lieu que dans l’ode je lui suppose le dessei
e de Russie. Le trait commun à tous les courtisans, c’est le désir de
plaire
, c’est au moins la crainte de déplaire ; mais ils
Louis XI, ni avec ceux de Louis XIII. Sully et Montausier n’ont voulu
plaire
ni au roi guerrier, ni au roi galant et dissolu.
vité de déplaire sans raison au roi honnête homme ; ils ont voulu lui
plaire
même quand il l’a fallu pour le servir utilement
our le servir utilement et honorablement. Nos quatre poètes ont voulu
plaire
au roi galant et magnifique ; ce fut leur tort. I
e au roi galant et magnifique ; ce fut leur tort. Ils n’ont pas voulu
plaire
au roi ambitieux et guerrier ; c’est leur mérite.
e de ses propres vertus. Tout cela est louable. D’ailleurs désirer de
plaire
à un roi galant, mais vaillant et glorieux, est l
u dans sa société, Ce fut le genre de conversation à laquelle elle se
plaisait
qui inspira au jeune poète ces contes auxquels on
ames du grand monde, donnaient à leurs jeunes amis, l’un l’exemple de
plaire
au roi, l’autre celui de plaire aux femmes qui pl
leurs jeunes amis, l’un l’exemple de plaire au roi, l’autre celui de
plaire
aux femmes qui plaisaient au roi : ce qui ramenai
un l’exemple de plaire au roi, l’autre celui de plaire aux femmes qui
plaisaient
au roi : ce qui ramenait toujours à plaire au roi
plaire aux femmes qui plaisaient au roi : ce qui ramenait toujours à
plaire
au roi. Molière et Boileau avaient besoin de la p
aperçoit que, parmi les œuvres de l’esprit, il en est précisément qui
plaisent
toujours, qui plaisent à tous, ou au moins aux es
œuvres de l’esprit, il en est précisément qui plaisent toujours, qui
plaisent
à tous, ou au moins aux esprits éclairés, capable
us, ou au moins aux esprits éclairés, capables de les comprendre, qui
plaisent
à l’esprit et au cœur, et non aux sens : ce sont
t le fait du critique. Et, quoique chaque œuvre en particulier puisse
plaire
par des raisons particulières, toutes cependant p
iculier puisse plaire par des raisons particulières, toutes cependant
plaisent
ensemble par des raisons qui leur sont communes.
rte à des usages disparus, à des habitudes spéciales et locales, peut
plaire
à des érudits, ou a pu plaire dans un temps donné
es habitudes spéciales et locales, peut plaire à des érudits, ou a pu
plaire
dans un temps donné, mais n’est pas universelleme
tré beaucoup d’esprit : il n’y en a point à le répéter. Anacréon nous
plaît
avec justice, parce qu’il est ou qu’il passe pour
rs genres de poésie. Le genre pastoral, par exemple, peut encore nous
plaire
sur la scène, et principalement sur le théâtre ly
t, plutôt que le talent même ; et le bas peuple des critiques, qui se
plaît
à déchirer lourdement les ouvrages couronnés, et
l’impulsion de la nature aura forcé d’être poètes, sauront bien nous
plaire
malgré tous ces liens dont nous les avons chargés
ans passer ici en revue tous nos grands poètes, Racine et La Fontaine
plairont
toujours dans tous les temps et tous les âges. L’
jugement des maîtres qui m’écoutent. L’esprit exige que le poète lui
plaise
toujours, et il veut cependant des repos : c’est
e me semble, qu’un seul poète épique parmi les morts, dont la lecture
plaise
et intéresse d’un bout à l’autre ; j’en demande p
fait sans le secours de la narration et dans un langage préparé pour
plaire
, mais dont les divers agrémens émanent de sources
sentimens si propres à purger les passions. Par langage préparé pour
plaire
, j’entens des phrases reduites et coupées par mes
uvoir. Examinons d’où procedoient ces beautez du langage préparé pour
plaire
dont il est ici fait mention, et nous trouverons
par le metre et par le rithme que doit avoir le langage préparé pour
plaire
. On sçait bien que les anciens n’avoient point de
on de dire que l’harmonie une des beautez de son langage preparé pour
plaire
, ne couloit point des mêmes sources que la beauté
sources differentes que venoient les beautez du langage preparé pour
plaire
. Ainsi c’est avec raison qu’Aristote dit que ces
connoître le mérite et l’excellence d’un poëme, il faut examiner s’il
plaît
, et à quel point il plaît et il attache ceux qui
xcellence d’un poëme, il faut examiner s’il plaît, et à quel point il
plaît
et il attache ceux qui le lisent. Véritablement l
e juger par l’impression que fait sur lui un ouvrage composé pour lui
plaire
et pour l’intéresser, si l’auteur a réussi dans s
les raisonnemens des critiques ne sçauroient persuader qu’un ouvrage
plaise
lorsqu’on sent qu’il ne plaît pas, comme ils ne p
ne sçauroient persuader qu’un ouvrage plaise lorsqu’on sent qu’il ne
plaît
pas, comme ils ne peuvent jamais faire accroire q
œuvre littéraire ? On peut la définir ainsi : une œuvre qui cherche à
plaire
en exprimant et en suggérant, à l’aide de phrases
ues, des visions et des aspirations idéales. Une œuvre qui cherche à
plaire
. Ces mots sont essentiels. Un traité de géométrie
gné, la Physiologie du goût de Brillat-Savarin ? Il y a des œuvres où
plaire
est le but principal et presque unique de l’écriv
ventures, un vaudeville, un discours d’apparat. Il en est d’autres où
plaire
n’est qu’un but secondaire ou, mieux encore, un m
e. Ainsi il est évident, presque au premier coup d’œil, que Racine se
plaît
à suivre, dans les méandres du cœur humain et sur
sion consacrée, un cheveu en quatre ; que tel autre, au contraire, se
plaira
aux grandes généralisations hâtives, aux considér
ouvent qu’une œuvre littéraire n’a pas toujours pour but essentiel de
plaire
; qu’elle s’efforce en bien des cas de persuader,
ncipale raison d’être, de charmer : c’est par surcroît qu’ils veulent
plaire
. Ils visent avant tout à modifier les volontés, à
nce, Je me souviens qu’il me dit, entre autres choses, que ce qui lui
plaisait
le plus en moi, c’était que j’étais sa cousine, e
quantité de choses. » Elle sait qu’avant tout, à ses débuts, il faut
plaire
, — plaire à l’Impératrice d’abord, personne faibl
e choses. » Elle sait qu’avant tout, à ses débuts, il faut plaire, —
plaire
à l’Impératrice d’abord, personne faible, crédule
d, personne faible, crédule, pleine de préventions et de petitesses ;
plaire
à la nation aussi, et paraître soi-même en être é
e d’une coiffure nouvelle dite à la Moïse. Elle lui répond que « pour
plaire
à l’Impératrice, elle se coifferait de toutes faç
; elle dansait en perfection, et il était naturel dès lors quelle se
plût
à donner des bals masqués où tous les hommes étai
rt recherché, et cela passait alors sans critique : au contraire cela
plaisait
à l’Impératrice, je ne-sais pas trop pourquoi (on
dire la vérité, je ne me suis jamais crue extrêmement belle, mais je
plaisais
, et je pense que cela était mon fort. Je revins à
fois en diplomate habile et en courtisan déjà consommé. Il cherche à
plaire
avant tout, et fait servir ensuite sa faveur pers
ces causeries brillantes et superficielles dont le seul but était de
plaire
, où l’on parlait de tout sans prétendre rien prou
la plupart des grands hommes, avait son faible : c’était celui de se
plaire
à raconter les nombreuses anecdotes dont sa riche
x de Ségur et de Castries voulaient mettre fin à l’épisode. Le roi se
plaisait
à écouter ; il était tard lorsqu’on engageait la
a jeunesse, ayant reçu du ciel la fortune, la bonne mine, le désir de
plaire
et l’art de jouir, il vécut de bonne heure dans l
s aux Français leur histoire », et qui y a trouvé encore le secret de
plaire
. Plus tard on a voulu faire payer ces excès d’élo
it, disait-il dans la préface de son François II, les objets où il se
plaît
davantage ; et comme je m’occupe assez volontiers
ésident Hénault n’était pas de force à remplir de tels cadres ; il se
plaisait
pourtant à les concevoir, à les proposer aux autr
oir, à les proposer aux autres, et on doit lui en savoir gré : Il se
plaît
à démêler dans toutes sortes de genres, a dit Mme
es, dont on s’est souvenu, — si l’on a voulu. J’ai beaucoup désiré de
plaire
, et l’on m’en a encore fait le reproche : c’était
opéras resteront, et surtout ses ballets ; de ses fables, l’invention
plaira
toujours à l’esprit ; il a quelquefois attrapé le
fand, je renie Votre président et le mien. À tout le monde il voulait
plaire
; Mais ce charlatan n’aimait rien ; De plus, il d
undi. 35. [NdA] Et encore (page 251), à l’endroit où le président se
plaît
à décrire le château des Ormes, magnifique réside
ar des louanges ; car, au défaut des amants à qui tout cède, celui-là
plaît
le mieux qui leur donne le moyen de se plaire dav
qui tout cède, celui-là plaît le mieux qui leur donne le moyen de se
plaire
davantage. Les préceptes qu’il donne pour leur p
le moyen de se plaire davantage. Les préceptes qu’il donne pour leur
plaire
et les intéresser en causant, sont le résultat le
e sont des singularités que la nature, par dessein ou par caprice, se
plaît
quelquefois à nous donner… Ces femmes extraordina
est donc de fort belle taille et d’une grandeur agréable, capable de
plaire
à tout le monde par un certain air libre et natur
belle époque, tels que César, lesquels pouvaient penser comme il leur
plaisait
, mais qui, dans l’action, démentaient si hautemen
se donnent des louanges et des compliments d’une lettre à l’autre :
Plût
à Dieu que vous pussiez penser de moi ce que vous
ec les agréments de l’esprit. Ce n’est pas assez d’être sage, il faut
plaire
; et je vois bien que vous plairez toujours tant
’est pas assez d’être sage, il faut plaire ; et je vois bien que vous
plairez
toujours tant que vous penserez comme vous pensez
s vives et rapides apparitions que l’imagination des contemporains se
plaît
à embellir. Née en 1685, fille du duc de Savoie,
et que la nature toute seule donne aux femmes, l’envie et le soin de
plaire
. Elle arriva à Montargis le dimanche 4 novembre 1
alien. Elle a quelque chose d’une Italienne dans le visage, mais elle
plaît
, et je l’ai vu dans les yeux de tout le monde. Po
it, et serais fâché qu’elle fût plus belle. Je le dirai encore : tout
plaît
, hormis la révérence ; je vous en dirai davantage
la taille très belle, on peut dire parfaite, et une modestie qui vous
plaira
. Nous avons soupé ; elle n’a manqué à rien et est
u qu’on s’inquiète fortement du dehors. Que la princesse réussisse et
plaise
, qu’elle charme et amuse, qu’elle embellisse la C
jésuite et sûr, et que pour le reste elle soit et fasse comme il lui
plaira
, le roi son grand-père ne lui demande rien autre
ce (ce que d’autres avec Bossuet nommeront Providence), qui semble se
plaire
à briser les choses humaines, à faire manquer d’u
un mérite réel et un mérite de comparaison. Le mérite réel consiste à
plaire
et à toucher. Le mérite de comparaison consiste à
plus que certains auteurs dont le rang est déja connu. Il consiste à
plaire
et à interesser autant que ces grecs et ces romai
épris du mérite des productions nouvelles qui le touchent et qui lui
plaisent
, il décide en usurpant mal à propos les droits de
eautez dont ses ouvrages sont parsémez, étoient donc très-capables de
plaire
à des lecteurs qui ne connoissoient pas les origi
aite, Même au sein de Paris, peut goûter la retraite : La retraite me
plaît
, elle eut mes premiers vers. Déjà, de feux moins
t plus, vos passions se taisent, Et du cloître muet les ténèbres vous
plaisent
. Mais quel lugubre son, du haut de cette tour, D
ns la pierre a tracée. Ô tableaux éloquents ! oh ! combien à mon tour
Plaît
ce dôme noirci d’une divine horreur, Et le lierre
ouveaux sentiments ; Toi que l’homme sensible, abusé par lui-même, Se
plaît
à retrouver dans la femme qu’il aime, Héloïse ! à
Où l’instinct le plus cher est le plus criminel, Déjà, déjà ton deuil
plaît
moins à ma pensée. L’imagination, vers tes murs é
e nous attacher, comme il appartient à l’oreille de juger si les sons
plaisent
, et au palais si la saveur est agréable. Tous les
d nous ne les voïons point dans l’ordre où il les avoit arrangez pour
plaire
à l’oreille, et pour former des images capables d
citez. Enchaîner un captif de ses fers étonné contre un joug qui lui
plaît
vainement mutiné. Et qu’on dise en conservant la
ts choisis par l’auteur, ni l’arrangement où il les avoit placez pour
plaire
à l’oreille et pour émouvoir le coeur, on peut di
des nôces de Cana de Paul Veronese qu’il n’auroit pas vû, ne sçauroit
plaire
autant que le disent ceux qui l’ont vû, parce qu’
le disent ceux qui l’ont vû, parce qu’il est impossible qu’un tableau
plaise
lorsqu’il y a dans la composition poëtique de l’o
üé, ces deux guides autorisés de la jeunesse contemporaine. Car, pour
plaire
au premier, les vieux adolescents pessimistes et
istes et symbolistes y sont traités avec un généreux mépris, et, pour
plaire
au second, un vague esprit évangélique y circule,
sont pas la moindre partie de son œuvre. J’ai pu me convaincre qu’ils
plaisaient
aux femmes. Ils ont de quoi les séduire, car ils
armonique, très-soigneux de bien écrire musicalement parlant, sachant
plaire
toutefois, ne négligeant pas la grâce, cherchant
eprésentent très-bien le groupe des arts et de la poésie, comme il se
plut
toujours à le concevoir ; je les retrouve dans sa
nes soldats de l’Art !… » Et dans son Éloge de Paul Delaroche, il se
plaira
à montrer, au sommet des Apennins, dans le saint
vers la fin insultait à plaisir, qui ne s’appliquait point en effet à
plaire
, et qui ne craignait point du tout de choquer ou
grande époque, mais de mauvaise humeur, ait non-seulement négligé de
plaire
, mais qu’il ait même affecté souvent de mécontent
vy fut nommé et trouva son genre aussitôt. Nul embarras : un désir de
plaire
assez marqué, mais justifié à l’instant même et d
de ses confrères devant le public ; il avait dû faire des frais pour
plaire
; il avait réussi : désormais il avait acquis le
excellents maîtres du métier à je ne sais quoi de libre et d’aisé qui
plaît
toujours, mais qu’on ne peut guère acquérir sans
on voit d’ici le renchérissement qu’en doit prendre son style. Il se
plaît
à citer à ce propos son ami et son modèle, le mar
Pour bien faire une chose, il ne suffit pas de la savoir, il faut s’y
plaire
, et ne s’en pas ennuyer. » « Ce qui languit ne ré
qui lui veulent du mal, le vrai honnête homme ne saurait négliger de
plaire
, même à ses ennemis, quand il les rencontre : « c
qu’il n’en fait aux autres. » — « Il y en a d’autres qui veulent bien
plaire
et se faire aimer ; mais ni l’honneur, ni la véri
ien fait d’inutile ? L’honnête homme est plus généreux ; il cherche à
plaire
partout et à tous, même aux moindres que lui, et
ntages ; car, sitôt que la vérité se montre, un esprit raisonnable se
plaît
à la reconnoître, et sans balancer. » Mais ici il
s ; cela est encore plus vrai du galant homme. Cette dernière qualité
plaît
surtout dans la jeunesse ; prenez garde qu’elle n
bien que les Grammont, les Hamilton, ces voluptueux rompus à l’art de
plaire
. Lui qui nous parle si souvent de Pétrone et de C
ut longtemps jouir de ce plaisir-là pour aimer toujours, car on ne se
plaît
guère à recevoir ce qu’on n’a pas beaucoup désiré
het qui a caractérisé de tout temps les écrivains maîtres en l’art de
plaire
. Quelques narrations, parmi lesquelles se détache
leau peint de couleurs du temps, qui, à demi passées, font sourire et
plaisent
encore. Le chevalier écrit à la duchesse de Lesdi
de ballet et plusieurs caprioles qui le réjouirent ; mais ce qui lui
plut
encore, je ne fus pas difficile pour mes appointe
s’en présente dépend de bien lire ; il faut donc que je tâche de lui
plaire
en tirant la quintessence de tous les agréments q
s la vîmes poindre avec cet air fin et brillant que vous savez et qui
plaît
toujours. La duchesse de Montbazon, qui s’avança
e de Maintenon et surtout Mlle d’Aubigné, « belle et d’une beauté qui
plaît
toujours, douce, secrète, fidèle, modeste, intell
coup ; mais il n’a pas un de ces noms qui forcent l’oubli ou qu’on se
plaît
à rajeunir : il est à la limite. On le rencontre,
va hors de mesure et qui chancelle. Ce genre de critique de détail me
plaît
peu ; mais comment admettre, je vous en prie, que
sonne en particulier, il avait de la finesse, et sentait le besoin de
plaire
. Il mit donc, comme il dit, de l’eau dans son vin
tion d’âme : il voyait les grands, les gens riches, les amusait, leur
plaisait
, mais ne se donnait pas ; il restait lui ; il se
personnes avec lesquelles vous causez, vous serez sûr de réussir. On
plaît
immanquablement davantage aux hommes, et encore p
Ne suffît-il pas d’y être honnête, attentif, complaisant ? Le sérieux
plaît
et est en droit de plaire comme la gaîté, quoique
honnête, attentif, complaisant ? Le sérieux plaît et est en droit de
plaire
comme la gaîté, quoique par un chemin opposé. Boi
par un chemin opposé. Boileau n’a-t-il pas dit qu'un homme né chagrin
plaît
par son chagrin même ? Ne forçons la nature en ri
eral Le sublime de la poësie et de la peinture est de toucher et de
plaire
, comme celui de l’éloquence est de persuader. Il
’être à des objets capables par eux-mêmes de nous émouvoir et de nous
plaire
. Si les heros du poëte tragique ne m’interessent
ussi differens que le blanc et le noir. C’est ce qui fait qu’un poëte
plaît
sans observer les regles, quand un autre déplaît
. Le caractere que les hommes apportent en naissant, fait que les uns
plaisent
par leurs défauts mêmes, quand les autres déplais
geois — puisque bourgeois il y a — est fort respectable ; car il faut
plaire
à ceux aux frais de qui l’on veut vivre. Et enfin
tistes ; — la conscience de notre métier nous y oblige. — Tout ce qui
plaît
a une raison de plaire, et mépriser les attroupem
ce de notre métier nous y oblige. — Tout ce qui plaît a une raison de
plaire
, et mépriser les attroupements de ceux qui s’égar
ours sanguinaire et terrible. — Cette pondération du vert et du rouge
plaît
à notre âme. M. Delacroix a même introduit dans c
trouveront sans doute un peu Séraphin, cette fontaine fabuleuse nous
plaît
; elle se partage en deux nappes, et se découpe,
comme je l’entends, et je sais que je ne manquerai pas de gens à qui
plaire
. Le dessin, on le devine, est aussi d’une grande
— et néanmoins l’aspect en est agréable, et la composition, nous nous
plaisons
à le répéter, excellente. Déjà, dans les illustr
ur — c’est d’une couleur dure, malheureuse et amère — mais ce tableau
plaît
, à mesure qu’on s’y attache, par des qualités d’u
amoureux. — Ces dessins nous ont attiré parce qu’ils sont beaux, nous
plaisent
parce qu’ils sont beaux ; — mais au total, devant
et de son dessin. De ces trois tableaux c’est le plus grand qui nous
plaît
le plus, à cause de la beauté intelligente des li
légendes pour le public du dimanche. Muller M. Muller croit-il
plaire
au public du samedi en choisissant ses sujets dan
certaine fécondité de pensée qui se fait jour assez vite et qui nous
plaît
; mais des morceaux assez considérables déparent
le, les enfants jolis — c’est surtout la composition de ceci qui nous
plaît
; car il est malheureux que M. Debay n’ait pu met
llement aux systèmes, et la vérité restera toujours inconnue. Que ne
plaît
-il un jour à la nature, s’écrie Montaigne, de nou
st une chose digne d’attention. Le Père Castel, à son tour, semble se
plaire
à rabaisser le sujet sur lequel il a lui-même écr
ie utile et la géométrie curieuse… Carrez des courbes tant qu’il vous
plaira
, vous montrerez une extrême sagacité. Vous ressem
xvii, 11. 144. Essais, liv. ii, chap. 12. 145. Xénoph. Hist. Græc.
Plut
. Mor. Plat. in Phæd. in Repub. 146. Les Grecs p
s philosophes jusqu’au crime, puisqu’ils firent mourir Socrate. 147.
Plut
., De la face qui apparoist dedans le rond de la l
ur rare, dans un vase précieux, étiolée ! Maintenant, ce qu’à Dieu ne
plaise
! les grandes Chasses et le Turf, les deux choses
duit les œuvres d’ordre composite en littérature. Il a le détaché qui
plaisait
à lord Byron, l’air cavalier et la cape nonchalan
t à lord Byron, l’air cavalier et la cape nonchalante sur le bras qui
plaisait
à Montaigne. Il brillerait au premier rang si nou
abondance, et fort peu de femmes de bien : celles-là ne songent qu’à
plaire
à leurs galants, et celles-ci à leurs maris ; les
te, brune avec des yeux bleus qui disaient sans cesse tout ce qui lui
plaisait
, avec une taille parfaite, une belle gorge, et un
utes les sortes ; flatteuse, caressante, insinuante, mesurée, voulant
plaire
pour plaire, et avec des charmes dont il n’était
tes ; flatteuse, caressante, insinuante, mesurée, voulant plaire pour
plaire
, et avec des charmes dont il n’était pas possible
et du plus agréable, je ne me suis jamais tant plu avec eux que je me
plaisais
avec Sa Majesté. Vous m’avouerez que cet aveu est
i n’était là qu’une âme de passage, était de celles en qui la joie de
plaire
et le sentiment du succès redoublent les grâces.
rouver moyen de les payer : après quoi on peut se moquer du reste : «
Plût
à Dieu, s’écrie-t-elle, qu’il nous fût aussi faci
étant égal d’ailleurs entre deux compositions, la plus lumineuse vous
plaira
sûrement davantage. C’est la différence du jour e
nt qui se promène sur une surface, qui s’arrête et se place où il lui
plaît
, mais qui a toujours le même cortège. Il ressembl
t pas ainsi qu’en usent Vernet et Chardin ; leur intrépide pinceau se
plaît
à entremêler avec la plus grande hardiesse, la pl
nimés pour la nature même ? C’est qu’il fait de la chair quand il lui
plaît
. Mais ce qui achève de rendre fou le grand colori
este a diverses faces qu’un homme d’esprit sçait exposer comme il lui
plaît
; et il peut toujours montrer les choses d’un côt
t capable d’attacher l’esprit et d’enlever l’admiration ; et que pour
plaire
plus surement aux grecs, il a orné ce fond de tou
lutôt que de la raison ? Ce qui a plû, exclud-il les autres moyens de
plaire
? Et ne sçauroit-on s’ouvrir de nouveaux chemins
’ailleurs toutes choses égales dans ces ouvrages, on aura droit de se
plaire
à l’un plus qu’à l’autre, pourvû qu’on ne s’aband
veut donner : mais quelque choix que l’on fasse, il est essentiel de
plaire
toujours par quelqu’endroit ; soit en attachant l
du sujet. Un poëme qui réuniroit ces avantages, et qui outre cela, ne
plairoit
que pour instruire, mériteroit sans doute la préf
de la rendre agréable : l’autre ornée et poétique, où l’écrivain doit
plaire
en instruisant, et qui demande par conséquent un
’admiration, la compassion, la joye, ou tel autre sentiment qu’il lui
plaira
; mais ces faits une fois choisis, il faut que le
ne peindre que ce qui convient, ce qui peut intéresser et ce qui peut
plaire
. Il s’en faut bien qu’Homere soit toujours heureu
our ainsi dire, en pure perte. Il n’y a jamais eu d’ouvrage fait pour
plaire
, qui se soit soutenu long-temps sans une beauté d
lle ne sert à la pensée, elle lui nuit, et par conséquent, si elle ne
plaît
, elle choque ou du moins elle ennuye. Il n’y a po
s un poëme ; car quoique l’auteur ne s’y propose ordinairement que de
plaire
, il n’y sçauroit réussir qu’autant qu’il paroît p
ent notre goût et notre aversion ; et ne fût-ce que pour l’intérêt de
plaire
, il doit être presque aussi fidéle à la bonne mor
Découvrons-en s’il se peut les raisons, et voyons comment ils ont pû
plaire
et intéresser pour se soûtenir jusqu’à nous dans
faits qu’ils devoient l’être, nous nous étonnerions qu’ils eussent pû
plaire
; et cependant, j’ose le dire, l’impression de la
ent ces licences, il n’y a pas d’autre parti à prendre, quand on veut
plaire
en traduisant un auteur. Il y a deux sortes de tr
uction est plus ambitieuse ; c’est peu qu’elle soit utile ; elle doit
plaire
; ce n’est pas assez d’y exprimer le sens d’un ou
ens, du moins pour ceux qui n’en sçavent point d’autres ; ils ne nous
plaisent
ou ne nous choquent, que par le sens que nous y a
duction fût agréable ; et dès-là, il a fallu substituer des idées qui
plaisent
aujourd’hui à d’autres idées qui plaisoient du te
ons si sûres ni si vives ; et c’est assurément une grande avance pour
plaire
et pour émouvoir que la célébrité des personnes q
bien senti dans mon ouvrage ; et quoique je ne me flatte pas trop de
plaire
, avec les changemens que j’ai faits, je suis sûr
utes ces attentions ; ils me meneroient trop loin ; d’ailleurs, si je
plais
, il m’importe peu qu’on sache en détail le mérite
peu qu’on sache en détail le mérite que j’y puis avoir ; et si je ne
plais
pas, pourquoi rendrois-je compte d’un art qui ne
pas raison, et ce sera à moi d’étudier pourquoi j’aurai manqué de lui
plaire
. Mais que diront certains sçavans ? Je m’attends,
ces livres aimables et légers, les Souvenirs de madame Lebrun, je me
plaisais
à y retrouver tout ce monde facile, brillant, pol
our les nègres, dévouée au premier regard pour ce qui souffre ; on se
plaît
à admirer une enfance si franche et si comblée de
uvenirs, à mesure qu’ils se déroulaient devant nous, et que nous nous
plaisions
à composer son image, nous paraissait ainsi une p
i naît de la moralité des sentiments. Les belles formes en tout genre
plaisaient
à leurs yeux ; mais leur âme n’était point averti
ment tous les hommes. La tragédie se ressentait moins de ce désir de
plaire
à la multitude ; elle faisait partie, comme je l’
our intéresser seulement en les peignant ; mais il était très aisé de
plaire
au peuple en tournant ses chefs en dérision. La
vécu de ses bienfaits ; qu’en reconnoissance vous avez fait, pour lui
plaire
, un Livre d’athéisme, qu’il n’a pu lire, & en
nze mille. C’est sans doute pour mieux honorer notre Nation, qu’il se
plaît
à grossir ainsi le nombre des victimes de cette a
nombre des victimes de cette affreuse journée. Pour prouver qu’il se
plaît
à rendre hommage aux hommes de génie, il dit beau
rades feront : enfin, j’y fais tout de mon mieux. Tout ira bien, s’il
plaît
à Dieu ; mais si quelqu’un vous dit que tout ceci
couvre même avec une naïveté qui, ce me semble, ne saurait manquer de
plaire
. Chamillart lui avait écrit un peu à la légère au
ngereuse pour les maîtres de la terre, qu’il vaut mieux songer à leur
plaire
qu’à les servir. Plaire et servir, cela peut-il ê
s de la terre, qu’il vaut mieux songer à leur plaire qu’à les servir.
Plaire
et servir, cela peut-il être séparé ? Peut-on pla
qu’à les servir. Plaire et servir, cela peut-il être séparé ? Peut-on
plaire
sans servir ? Vraiment oui, et recevoir les grâce
oui, et recevoir les grâces les plus importantes. Peut-on servir sans
plaire
? Hélas ! oui. Tel est au vrai Villars nous donn
en rappeler textuellement les dernières paroles : Peut-on servir sans
plaire
? Peut-on plaire sans servir ? etc. La lettre, d’
ellement les dernières paroles : Peut-on servir sans plaire ? Peut-on
plaire
sans servir ? etc. La lettre, d’ailleurs, se term
épéter sur ces commencements, m’ont dit que, dès son enfance, elle se
plaisait
à réciter des vers, et qu’ils l’attiraient souven
r dans ma dernière maladie. Il est aisé de croire que son commerce me
plairait
infiniment sans cette malheureuse passion, qui m’
vos bontés lui servent de dédommagement. Je lui écrirai ce qu’il vous
plaira
; je ne le verrai de ma vie, si vous le voulez ;
vous pas qu’elle nous dédaigne, et qu’il faut savoir du grec pour lui
plaire
? — Elle va chez Mme de Lambert, dit une autre ;
ar les duchesses et par les personnes de bel air, Mlle Le Couvreur se
plaisait
à recevoir ses amis : Ma vanité, disait-elle, ne
à travers. Ce n’est pas que je manque de reconnaissance ni d’envie de
plaire
; mais je trouve que l’approbation d’un sot n’est
; j’ai cent fois plus de raisons pour souhaiter qu’il soit fou. Eh !
plût
à Dieu qu’il n’y eut qu’à solliciter sa grâce ! M
lière ; bien que ce fût à son intention, et en grande partie pour lui
plaire
, pour servir et accroître sa renommée, qu’elle s’
se encore. Son esprit fin, ironique, dédaigneux, plein de nuances, se
plaisait
à observer un monde dont il voyait à merveille le
t trop de métaphysique dans tout ce qu’il écrit. Je ne sais s’il vous
plairait
, je crois qu’oui à beaucoup d’égards ; dans la so
l parle peu, est souvent distrait… Il y a des jours où M. Necker lui
plaît
tant dans la conversation, quand il s’y abandonne
en Angleterre, et, à leur retour, Mme Du Deffand écrit : Ils ne vous
plaisent
pas beaucoup, je le vois bien ; tous les deux ont
à les poursuivre en silence et à les consolider pour l’avenir. Il se
plaisait
à se présenter, dès les premières lignes de ce Co
ument différents : « l’état d’infériorité qui vous donne le besoin de
plaire
aux autres, le besoin de les étudier ; l’état d’é
ensible que les grecs ses compatriotes. Les poëtes, dit Platon, ne se
plaisent
point à nous décrire la tranquillité de l’interie
e, en introduisant dans ses phrases un nombre et une harmonie qui lui
plaisent
plus que la cadence de la prose. Selon lui les lo
ieux et celles des heros mises en vers en deviennent plus capables de
plaire
et de se faire retenir. Le but de Platon est touj
parmi les événements et les sentiments ceux qui peuvent intéresser ou
plaire
; il était capable de tenir sa place dans la bonn
il y passe dix ans parmi des amusements graves et des études qui lui
plaisent
. Dès vingt-deux ans, Dryden, le prince de la litt
Français travaillent à rendre le sexe plus frivole ou (comme il leur
plaît
de l’appeler) plus éveillé que ne le permettent l
promenade la sombre abbaye de Westminster, pleine de tombes. « Il se
plaît
à regarder les fosses qu’on creuse et les fragmen
r signe d’ennui tourne, s’égaye, même à ses dépens, finement, et veut
plaire
. C’est partout l’accent d’Addison. Que d’art il f
veut plaire. C’est partout l’accent d’Addison. Que d’art il faut pour
plaire
! D’abord l’art de se faire entendre, du premier
nent le langage effacé et uniforme. Il ne faut point toujours vouloir
plaire
, surtout plaire à l’oreille. M. de Chateaubriand
effacé et uniforme. Il ne faut point toujours vouloir plaire, surtout
plaire
à l’oreille. M. de Chateaubriand se glorifiait de
nversés ; ils souffrent qu’on les frappe, mais ils exigent qu’on leur
plaise
. Plaire raisonnablement, voilà l’objet de leur li
; ils souffrent qu’on les frappe, mais ils exigent qu’on leur plaise.
Plaire
raisonnablement, voilà l’objet de leur littératur
usement. Consentez à comprendre ce genre d’esprit, il finira par vous
plaire
. Quand le flegme est joint à la douceur, comme da
ou solides. Les plus nombreuses sont des allégories. On sent qu’il se
plaît
dans ce monde magnifique et fantastique ; c’est u
ur de deviner ce que représentaient ces deux premières figures. Elles
plairont
plus à un anglican qu’à un catholique ; mais je c
e pour eux et un quartier de lard pour leur mère. Quand un verset lui
plaît
, il le chante une demi-minute encore après que la
entions morales, on sent que son imagination est heureuse, qu’elle se
plaît
à contempler les balancements des forêts qui peup
près du même stile ? Et n’est-ce pas aussi pourquoi bien des gens se
plaisent
plus à lire des mémoires personels qu’une histoir
s renvoïe, c’est le théatre même ; c’est-là qu’il faut étudier ce qui
plaît
et ce qui doit plaire ; et comme l’art, pour parl
héatre même ; c’est-là qu’il faut étudier ce qui plaît et ce qui doit
plaire
; et comme l’art, pour parler poëtiquement, est l
ble ; qu’on peut avoir de quoi se justifier, sans avoir assez de quoi
plaire
; et qu’en un mot il y a pour l’effet total d’un
n offre d’elle-même. Un poëte veut réüssir ; et pour réüssir, il faut
plaire
. Les femmes forment une grande partie de ses spec
, Titus dise de Berenice qu’il ne doit ses vertus qu’à l’envie de lui
plaire
; que Cesar dise de Cleopatre, qu’il n’a conquis
s, s’est laissé conduire au vrai et aux convenances, aux risques d’en
plaire
moins. On ne peut donc me reprocher l’amour de Mi
on, ni pour les personages, il est prêt de prendre pour vrai ce qu’il
plaira
au poëte de lui exposer. Qu’on nous donne un tabl
plus forte ; et cela prouve bien que nous prenons les plis qu’il nous
plaît
, et que nous nous faisons des principes de fantai
par elles-mêmes une grande partie de notre plaisir. Les ouvrages nous
plaisent
comme raisonnables : mais ils nous plaisent du mo
laisir. Les ouvrages nous plaisent comme raisonnables : mais ils nous
plaisent
du moins autant comme difficiles ; et de là sont
ce nouvel usage une partie de son plaisir : car quand une chose nous
plaît
beaucoup, nous ne nous embarassons pas d’en disce
u’à l’estime des hommes, il ne leur importe pas d’étudier ce qui doit
plaire
, il leur suffit de savoir ce qui plaît ; et quand
rte pas d’étudier ce qui doit plaire, il leur suffit de savoir ce qui
plaît
; et quand ils auroient une raison supérieure, ca
ce de simplicité. Enfin dans l’un et dans l’autre cas l’on ne sauroit
plaire
qu’en satisfaisant à la fois à differens besoins
é seul qui les a imaginés : mais laissons-les démontrer ce qu’il leur
plaira
; allons à nôtre but, et profitons des préjugés d
gine avoir part ; tant il est vrai que l’imitation ne suffit pas pour
plaire
; et qu’il importe autant de bien choisir les obj
atre juges ; et de l’autre n’y ayant pas assez d’acteurs accoutumés à
plaire
dans le tragique, il auroit été dangereux de les
e les critiques de perdre tant de raisons à prouver qu’un ouvrage qui
plaît
universellement, n’auroit pas dû plaire. Il me se
ns à prouver qu’un ouvrage qui plaît universellement, n’auroit pas dû
plaire
. Il me semble voir des mécaniciens qui, à la vûë
plus raisonnable et plus utile de bien démêler pourquoi une tragedie
plaît
, que de chercher subtilement les défauts qui devo
t, que de chercher subtilement les défauts qui devoient l’empêcher de
plaire
; car plus même ces défauts seroient réels, plus
re, qu’Oedipe tombât dans quelque faute : mais comme il falloit, pour
plaire
, qu’il fût interessant, il falloit aussi que sa f
l’impression désesperante que laisseroit l’idée d’une divinité qui se
plairoit
à accabler de malheurs, et de l’horreur même du c
oir besoin d’une matiere heureuse et bien disposée, capable encore de
plaire
par elle-même, quand on ne la rempliroit que medi
renvoïe à une école plus sûre, au théatre même, pour y étudier ce qui
plaît
et ce qui doit plaire. Mais vous, monsieur, au li
lus sûre, au théatre même, pour y étudier ce qui plaît et ce qui doit
plaire
. Mais vous, monsieur, au lieu de rendre justice à
cessaires à son dessein par un grand nombre de suppositions qu’il lui
plaît
d’appeller vraisemblables, ne pouvant les appelle
que Coriolan, tel que je l’arrange et affranchi des unités, pourroit
plaire
à un peuple sensé, mais moins ami des regles. Vou
et endroit qu’à prouver que l’unité seule d’un grand intérêt pourroit
plaire
par elle-même, au lieu que les trois unités, sech
s tragédies en prose que de conjecturer seulement qu’elles pourroient
plaire
, et de n’en oser donner une toute faite ? Je ne d
s’imagina que des tragédies en vers, simplement recitées, pourroient
plaire
; et il osa avancer en public cet étrange paradox
je veux dire : or par une saillie de philosophe qu’il faut, s’il vous
plaît
, me passer, je fais quelque honte à des hommes ra
r soupçonner ; il y doit regarder de plus près. Puisque les vers nous
plaisent
, malgré ce qu’il en coûte souvent à la justesse e
cussions, désormais inutiles et ennuyeuses, il me suffit que les vers
plaisent
pour ne pas souhaiter qu’on s’en prive. Je vous i
ens, de naïveté, de finesse, de génie, que le désordre de ses pensées
plaît
plus que l’arrangement symétrique d’un écrivain m
mportantes qu’on y trouve, sont mêlées de quelques traits neufs &
plaisent
d’ailleurs par la maniere ingénieuse dont elles s
puisé les principes de son Essai sur la nécessité & les moyens de
plaire
: écrit excellent où l’auteur n’enseigne que ce q
trice Danoise, par M. de la Baumelle, qui a des meilleurs titres pour
plaire
aux gens de goût ; le Nouveau Spectateur, par M.
ut à la Cour, On crut voir la mère d’Amour, Chacun s’empressait à lui
plaire
, Et chacun l’avait à son tour. Quand Mme de Bouf
esse ; mais c’est une délicatesse exquise qui ne frappe jamais et qui
plaît
toujours. Ses flatteries sont d’autant plus enivr
à en prendre l’air pour la recevoir ; je ferai de mon mieux pour lui
plaire
; mais j’ai bien peur de ne pas réussir. Que tout
u’elle s’efforçât d’être aimable et que nous nous efforçassions à lui
plaire
. Elle avait le portrait de M. de Choiseul en cart
ait. Elle excellait à déjouer d’un mot qui elle n’aimait pas. Elle se
plaisait
à tâter les esprits, à les piquer, à vous interpe
e qui, à côté de l’autorité, supprimait le charme, et qui, au lieu de
plaire
en avertissant, ne savait que régenter. C’est qu
et qui le rapprend sans enseigne et sans affiche à quiconque lui veut
plaire
; devant qui la passion, la verve, la poésie, le
la vue d’un danger, les caprices d’un cheval fougueux que son mari se
plaisait
à monter ; lui causaient de si vives terreurs qu’
encore, ou qui n’en a que des lueurs ; qui n’a renoncé ni au désir de
plaire
; ni aux élégances, ni à la grâce, dernière magie
mœurs. C’est mille fois plus que je ne mérite ; mais la Providence se
plaît
à accabler ses enfants, même des bienfaits qu’ils
e de station intermédiaire est précisément l’état dans lequel elle se
plaisait
à se dessiner alors, et dans lequel nous nous pla
lequel elle se plaisait à se dessiner alors, et dans lequel nous nous
plaisions
nous-même à la considérer, en nous prêtant à sa c
it tomber insensiblement dans la langueur. Ce n’est donc point ce qui
plaisait
qu’on quitte en changeant de vie, c’est ce qu’on
t de courtoisie que de christianisme, ne prouvent rien au fond. Je me
plais
du moins à noter ce procédé-ci à titre de bon goû
e vous savez, mesdames, est-il dit dans le récit, est un cavalier qui
plaît
d’abord : c’est assez de le voir une fois pour le
ustice de répondre : « Il n’est pas médiocrement gai. » « Qui ne se
plaît
pas à Regnard n’est pas digne d’admirer Molière »
, monsieur, qu’elle passe aux siècles futurs ; il nous suffit qu’elle
plaise
présentement à quantité de gens d’esprit, et que
x : « Pour moi, je n’y entends pas tant de façon ; quand une chose me
plaît
, je ne vais point m’alambiquer l’esprit pour savo
, je ne vais point m’alambiquer l’esprit pour savoir pourquoi elle me
plaît
. » Regnard aurait pu se dispenser de cette petite
ourville). Ces philosophes au naturel et de la famille de Gil Blas me
plaisent
, et font diversion à ces autres philosophes métap
jours à n’être connus que par le recit des historiens ; la plûpart se
plaisent
à rapporter ces traits naïfs et ces petits faits
la tradition l’a instruit de ces petitesses. D’ailleurs Melpoméne se
plaît
à parer ses victimes de couronnes et de sceptres
l’importance des défauts, et il ne se trouve que trop de gens qui se
plaisent
à repeter leur critique. Je n’ajouterai plus qu’u
ndre possession, ce qui donna lieu à cette mauvaise épitaphe qu’on se
plaît
trop souvent à répéter : Ci-gît Monsieur de Marc
our le Prélat de son Eglise ; Mais la Mort qui le remarqua, Et qui se
plaît
à la surprise, Tout aussi-tôt le démarqua.
u’elle fût ; ou bien, 2°, rester exposée à toute heure à ce qu’il lui
plairait
de disposer pour ou contre elle ; ou enfin, 3°, p
très-grande sensibilité, d’une figure au moins fort intéressante, qui
plaisait
dès le premier abord sans art ni recherche. Mon e
mon esprit, de mon cœur et de mon caractère. Je viens de dire que je
plaisais
, par conséquent la moitié du chemin de la tentati
l n’y a rien de si difficile, selon moi, que d’échapper à ce qui vous
plaît
foncièrement. Tout ce qu’on vous dira à la place
ascendant aimable, de sa séduction irrésistible et de sa certitude de
plaire
, pour se faire, à la Cour et dans tous les rangs,
tique, croyez-vous, qui lui vaudra le paradis ? Je comprends et il me
plaît
que la critique d’un écrivain catholique soit int
nt charnel, des jeunes gens l’ont appelée « satanique » Comme il leur
plaira
! Ce satanisme est, en somme, un divertissement a
antes et inutiles il fait un art qui porte sa marque personnelle, qui
plaît
et qui séduit à la façon d’un ouvrage de l’esprit
te à sa manière. C’est toute sa vie qui est son œuvre d’art à lui. Il
plaît
et règne par les apparences qu’il donne à sa pers
donne à sa personne physique, comme l’écrivain par ses livres. Et il
plaît
tout seul, sans le secours d’autrui. Ce n’est pas
lle à sa fille, que puisque le régime que je lui avais ordonné ne lui
plaît
pas, je lâche la bride à toutes ses bontés et lui
voient ; que je n’ai rien dans le visage ni dans les manières qui ne
plaise
ni qui ne touche ; que, jusqu’au son de ma voix,
dresse qu’elle inspire ; et j’ai enfin des armes de toute espèce pour
plaire
, et jusques ici je ne m’en suis jamais servie san
lée, en repoussant Maulévrier, avec la famille des Colbert ; elle sut
plaire
au grand rival de Colbert, à Louvois. Ce ministre
choses nuisaient à Louvois dans son esprit, sans compter qu’il ne lui
plaisait
pas : la première, c’est que toute sa famille et
oint de serpent ni de monstre odieux, Qui, par l’art imité, ne puisse
plaire
aux yeux. D’un pinceau délicat l’artifice agréabl
udier la nature dans leur propre cœur, ils jugeaient de ce qui devait
plaire
par ce qui plaisait en effet, et se conformaient
ns leur propre cœur, ils jugeaient de ce qui devait plaire par ce qui
plaisait
en effet, et se conformaient au goût des peuples
’antique qui a plu, pour approcher de plus près du vrai beau qui doit
plaire
. Je vais encore plus loin, et je suppose qu’Eschy
ces passions mises en œuvre. S’il n’a voulu instruire, il a prétendu
plaire
: et pouvait-il imaginer deux moyens plus efficac
n goûter toutes les beautés, il suffit d’avoir l’esprit sain pour s’y
plaire
. On lit des fables à tous les âges de la vie, et
sent, de la souris dont ils ont peur ; toute la basse-cour, où ils se
plaisent
mieux qu’à l’école. Ils y retrouvent ce que leur
nous en rappelle le commencement et nous en cache la fin. Tout nous y
plaît
: la morale qui se confond avec notre propre expé
pense d’abord au récit ; la morale y est ce qu’elle peut. Aussi ne se
plaît
-on aux fables d’Esope et de Phèdre que pour le mé
ient comme d’une règle. C’est par la forme dramatique que La Fontaine
plaît
si universellement. Comme il n’est pas de plaisir
ais comment supporter La Fontaine tueur de lapins ? Si sa morale nous
plaît
si fort, c’est qu’elle ne se croit pas toujours e
sait, d’une grande dame de la cour, fort voluptueuse, laquelle ne se
plaisait
qu’aux écrits qui lui présentaient des images de
ulait, et que plus il était conforme aux préceptes d’Horace, moins il
plaisait
à M. le prévôt de Paris91, il entendit le reproch
certaine de la stérilité de l'esprit ; que le naturel seul a droit de
plaire
, de saisir, de toucher. Ils savent encore que la
in en ornemens du Discours. Personne n'ignore qu'il est nécessaire de
plaire
, afin de persuader ; mais cet Ecrivain ne semble
mais cet Ecrivain ne semble vouloir persuader que pour avoir lieu de
plaire
. Par-là il tombe dans l'écueil que Quintilien rec
rps, de la chaîne des temps, de la chaîne des êtres…. Où l'Orateur se
plaît
sur-tout à nous promener, c'est dans le monde phy
s assurée que vous ne le ferez pas imprimer, quand même le reste vous
plairait
. Je vous assure aussi que je vous serai plus obli
et à côté de grands éloges elle avait mis quelques réserves. Cela ne
plut
guère à La Rochefoucauld, qui pria Mme de Sablé d
ait été sensible, mais l’engageant à user de son article comme il lui
plairait
, à le brûler ou à le corriger à son gré. Ce bille
, nommé d’Is, dont il étoit héritier : Ici gît le bon monsieur d’Is,
Plût
or à dieu qu’ils fussent dix ! Mes trois sœurs, m
employoit souvent, pour demander si l’on étoit encore en état de leur
plaire
. Le duc lui répondit qu’oui. Malherbe lui repliqu
e mener à un sermon qu’il devoit prêcher : Dispensez-m’en, s’il vous
plaît
, lui dit Malherbe, je dormirai bien sans cela.
commandais une légion romaine… Quel bonheur pour moi d’avoir pu vous
plaire
, à vous qui savez si bien discerner l’honnête hom
s. Je m’en suis enorgueilli, et avec juste raison, puisque j’avais su
plaire
à celui qui sait apprécier l’homme par l’intégrit
dent désintéressé d’Auguste ; Horace, un épicurien modéré, heureux de
plaire
aux maîtres de l’empire, mais fier de mépriser le
vin de quatre ans ! Abandonne aux dieux tout le reste. Quand il leur
plaira
d’enchaîner les vents qui se combattent sur la me
omme la vie est un don ; ce don de l’immortalité, il le dut au don de
plaire
; ce don de plaire, il le dut au naturel, cette g
don ; ce don de l’immortalité, il le dut au don de plaire ; ce don de
plaire
, il le dut au naturel, cette grâce involontaire d
une harmonie de son chant suprême aux lieux où il s’est abattu. On se
plaît
à retrouver son âme dans leurs sites favoris ; l’
l est aimable ; et la postérité, qui le récompense à bon droit de lui
plaire
, l’admettra à jamais au premier rang des hommes d
s Normands et des Goths ; Elle flatte l’oreille, et souvent la césure
Plaît
je ne sais comment en rompant la mesure ; Des bea
tte qualité indéfinissable qui est le génie de l’agrément ; le don de
plaire
, ce don de plaire qu’on n’a jamais pu définir par
nissable qui est le génie de l’agrément ; le don de plaire, ce don de
plaire
qu’on n’a jamais pu définir parce qu’il est divin
l est partout Ecrivain instructif & amusant, parce que les leçons
plaisent
toujours quand elles n’ont point l’air de leçons,
s de son portrait : Son sort est de fixer la figure du monde, De lui
plaire
, & de l’éclairer. Le Roi de Prusse le défend
ières années ; c’est le premier pli qu’il a cru devoir se donner pour
plaire
. Jeune, il a pourtant une autre religion encore q
r plaire. Jeune, il a pourtant une autre religion encore que celle de
plaire
, et qui le domine avant tout, celle de la gloire
fut de bonne heure de ces gens-là. Jusqu’à la fin il aura le désir de
plaire
: « il n’y a que les bourrus qui ne l’aient pas »
e : « La méthode se verrait, tout serait gâté. Le plus grand art pour
plaire
est de n’en pas avoir. » Tel il dut être, sinon d
es manières en bien des cas ; il faut, tout en conservant le désir de
plaire
, qu’il y joigne bien des qualités qu’il n’avait p
occupation des autres, un grand détachement de soi-même, une envie de
plaire
, d’obliger, de prendre part aux succès d’autrui,
i. Cela, sans doute, ne comble pas mes vœux ; tout ce qui pourrait me
plaire
est à mille lieues de moi ; mais je ne veux point
t pour les biens communs, opiniâtre, singulier, et tout ce qu’il vous
plaira
. Vous voyez donc que M. de Saint-Georges ne peut
egrés ; le talent, par conséquent, qu’on doit le plus cultiver, pour,
plaire
et pour réussir. » Ainsi la poésie, il ne l’avoue
u’autant qu’elle le ramène encore à une de ces grandes arènes qui lui
plaisent
, à l’antique Agora ou au Forum, ou à un congrès d
hoses, avec une liberté sans bornes dans l’esprit et dans le cœur, me
plaît
par-dessus tout ; j’y joins, par réflexion, un es
ette ouverture, cet art de la persuasion dont il se pique, « l’art de
plaire
et de dominer dans un entretien sérieux » ; on cr
in que son Dieu. Une idée qui vint d’abord à d’Antin, c’est que, pour
plaire
au roi, il fallait être magnifique et faire de la
honteux avec ces qualités-là », a dit de lui l’abbé de Choisy. Il sut
plaire
même au misanthrope Montausier, qui lui donna en
« Je ne manquais à rien, à l’égard du roi, de tout ce que l’envie de
plaire
peut suggérer à un courtisan éveillé. » Pour mieu
qu’il faut pour la mériter. Mais que l’on ne puisse jamais espérer de
plaire
et de mériter la moindre part dans l’amitié de qu
d’Antin est négligée, mais elle est pleine de ces locutions qui nous
plaisent
comme sentant la façon de dire de son siècle. Tou
tes sortes de dépenses, plus encore pour satisfaire mon goût que pour
plaire
au roi, quoiqu’il en soit le prétexte. Voilà l’
re de s’élever toutes les fois qu’elle rencontre de grands sujets, se
plaît
pourtant, par sa nature, à ces sujets moyens qui
t connaître et agréer de ces hommes plus ou moins distingués, et leur
plut
davantage à proportion qu’ils avaient plus d’espr
les médailles, qu’il réussit à augmenter peu à peu son trésor. Il se
plaît
à raconter les stratagèmes, les ruses de diplomat
anté, la vivacité qui animait ses paroles et ses actions, le désir de
plaire
qu’il lui était facile de satisfaire, et dont ell
-t-il, de cet esprit fin et délicat qui semble ne s’exprimer que pour
plaire
, et qui laisse entrevoir plus qu’il n’exprime. Ma
et qui laisse entrevoir plus qu’il n’exprime. Mais observez qu’il ne
plaît
en effet qu’en prenant la teinture du sentiment,
it françois. Leur goût est un goût dépravé, mais séduisant, fait pour
plaire
aux femmes, aux jeunes gens, à tous les lecteurs
r l’un ou pour l’autre sonnet, selon l’intérêt qu’on pouvoit avoir de
plaire
au prince ou à la princesse. Sarrasin & Balza
es rondeaux un livre tout nouveau A bien des gens n’a pas eu l’art de
plaire
: Mais, quant à moi, j’en trouve tout fort beau,
de la probité, des connaissances, du génie, même du goût, et l’on ne
plaît
pas. Cependant il faut plaire. L’art de plaire ti
nces, du génie, même du goût, et l’on ne plaît pas. Cependant il faut
plaire
. L’art de plaire tient à des qualités qui ne s’ac
ême du goût, et l’on ne plaît pas. Cependant il faut plaire. L’art de
plaire
tient à des qualités qui ne s’acquièrent point. P
à se laisser séduire par son plaisir comme l’oreille. Plus un ouvrage
plaît
, moins on est en état de reconnoître et de compte
nnoître et de compter ses défauts. Or l’ouvrage qu’on entend réciter,
plaît
plus que l’ouvrage qu’on lit dans son cabinet. Au
mer. Elles se touchent plus facilement qu’eux des passions qu’il leur
plaît
d’avoir. En un mot les hommes ne se prêtent pas d
plaît-elle autant à ceux qui ont de la justesse dans le goût, qu’elle
plaît
à ceux qui ne sont point d’accord avec la raison.
le plus grand mérite de la musique dramatique. Si notre musique nous
plaît
, c’est parce que nous ne connoissons pas rien de
à ces peintures de la Chine, qui n’imitent point la nature, et qui ne
plaisent
que par la vivacité et par la varieté de leurs co
ouchante destinée ! Eugénie de Guérin, qui fit le miracle posthume de
plaire
à Villemain, ce sec qui s’humecta pour elle, fut
é le sien. Les livres qu’elle n’aurait jamais dû écrire et qu’elle se
plaît
à multiplier, font un grand contraste avec le pre
sentimentalité de la fadeur… Cette fleur-ange ou cet ange-fleur a dû
plaire
aux académiciens comme les petites filles plaisen
cet ange-fleur a dû plaire aux académiciens comme les petites filles
plaisent
aux vieillards. Ce livre est d’une ingénuité jocr
e, les masques ne masquent plus rien. Ils sont percés à jour. S’il me
plaisait
de vous dire le nom de l’auteur de Robert Emmet,
le nom de l’auteur de Robert Emmet, je vous le dirais : mais il ne me
plaît
pas. Je ne le dirai point, et c’est le meilleur t
uve, non pas seulement, sur Byron, mais sur tout, le Sainte-Beuve qui
plaît
aux femmes, parce qu’il est fin et faux comme ell
e peut continuer de s’appeler l’auteur de Robert Emmet tant qu’il lui
plaira
! On ne soulèvera pas ce domino couleur de murail
ous l’empire despotique de Bonaparte étaient infiniment propres à lui
plaire
. Aussi les Pères de la foi flattaient-ils l’emper
s ans. III Il n’avait jamais lutté avec la nature ; s’amuser et
plaire
avait été sa seule loi. Le prodigieux succès de s
taille fine, son air attirant, n’avaient pas besoin d’embonpoint pour
plaire
. J’y allais le matin, et elle était encore ordina
plus assidu ; car je n’ai jamais pu prendre sur moi de l’être. Je me
plaisais
à mes leçons quand j’y étais, mais je n’aimais pa
allaient à un point incroyable. Il était également impossible de lui
plaire
et de la fâcher ; en lui faisant apprendre à chan
ci, au midi. Je cultive un petit parterre de fleurs qui pourront vous
plaire
; vous en trouverez d’assez rares. Je me suis pro
n symptôme de folie, et je vous avoue que cela m’inquiétait beaucoup.
Plût
à Dieu que ce fût en effet la fièvre ! LE MILITAI
it le seul lien par lequel je tenais encore au reste des humains ! Il
plut
à Dieu de le rompre et de me laisser isolé et seu
et sans trop nous approcher. LE MILITAIRE. On dirait que le ciel se
plaisait
à empoisonner les tristes jouissances qu’il vous
le courage de supporter la vie avec résignation, jusqu’à ce qu’il lui
plaise
de nous réunir dans un autre monde : alors je pou
repentir. Personne n’avoit moins besoin des ressources du vice, pour
plaire
& se faire un nom. M. Piron étoit né avec tou
que par le mérite des Pieces dont il a enrichi notre Théatre. Gustave
plaira
toujours, à cause de la vivacité & de l’intér
t, pour me servir de l’expression de l’auteur de l’art poëtique, nous
plaisent
infiniment toutes les fois que nous les relisons.
te consiste en jeux de mots, ou dans une allusion ingenieuse, ne nous
plaisent
que lorsqu’elles sont nouvelles pour nous. C’est
élevés, les hautes vertus que la poésie, l’éloquence et l’histoire se
plaisent
à mettre sous nos yeux, ne peuvent pas être pour
voir s’abaisser jusqu’à nous par les misères de l’humanité. À Dieu ne
plaise
qu’un pareil sentiment nous anime dans nos études
. Qu’est-ce que le goût ? On a dit que le goût était la faculté de se
plaire
aux beautés de la nature et de l’art. Cette défin
impression générale qui fait qu’au premier coup d’œil le tableau nous
plaît
ou nous déplaît. Mais donnons-nous le temps, aprè
ls nous font éprouver. Nous ne saurons pas seulement qu’un poème nous
plaît
, nous saurons encore pourquoi il nous plaît. Nous
eulement qu’un poème nous plaît, nous saurons encore pourquoi il nous
plaît
. Nous aurons mis d’accord notre sentiment et notr
t à la campagne un salon de Paris. Qui le croirait ? Aux champs tout
plaît
, hors la nature… Tout est amusement, tout, même u
r habile est peu fait à ces lois. « Il doit, s’il est jaloux qu’on se
plaise
à l’entendre, « Se montrer tour à tour Trissotin
n’était point jolie ; mais, par l’esprit, par la grâce, par le don de
plaire
, la nature l’avait largement récompensée. Du prem
evé ce mot et le lui a reproché comme venant d’un trop grand désir de
plaire
, et de plaire à tous. Même dans ce désir et dans
le lui a reproché comme venant d’un trop grand désir de plaire, et de
plaire
à tous. Même dans ce désir et dans les moyens qu’
; et voyez après cela si je ressemble à toutes ces femmes, qui savent
plaire
et s’amuser. » Elle a beau s’écrier par instants
c’est ce mouvement qui m’a approchée de vous : vous ne deviez que me
plaire
, et vous m’avez touchée ; en me consolant, vous m
rfection. Savez-vous pourquoi je vous écris ? C’est parce que cela me
plaît
: vous ne vous en seriez jamais douté, si je ne v
de disparu, et qui nous le représentent dans une entière vérité, nous
plaisent
et nous attachent : à une distance médiocre, ils
ile noir, la fît paraître belle et de bonne mine, et en cet état elle
plut
à toute la compagnie. Plusieurs la regardèrent av
ouer qu’elle avait infiniment de l’esprit, de cet esprit brillant qui
plaît
aux spectateurs. Elle était agréable dans la soci
comédie italienne s’introduisit sous les auspices de Mazarin, elle se
plaisait
peu à ces pièces en musique : « Ceux qui s’y conn
chanté au seul nom des moindres acteurs ; « et tous ensemble, afin de
plaire
au ministre, faisaient de si fortes exagérations
le désordre quelque plus grand ordre ; et ce mot de réformation leur
plaisait
autant par un bon principe, qu’il était agréable
si peu avenant ? Pour des raisons de hâte, et par le désir d’être le
plut
tôt possible ailleurs qu’à l’auberge. Sans doute
ui, plus tard, les fait regretter. Ils ont une hospitalité sévère qui
plaît
à la conscience. Il y avait eu, avant eux, d’autr
quatre veines à son fils, assassin d’une femme, il fit Comme il vous
plaira
, Henri IV, Henri V et Beaucoup de bruit pour rien
amnait d’avance et de confiance le prince de Condé « à la peine qu’il
plairait
à sa majesté d’ordonner », il fit Troïlus et Cres
encore aujourd’hui en marge du titre des trois pièces, Comme il vous
plaira
, Henri V, Beaucoup de bruit pour rien, cette ment
la qualifia Vierge étoile, astre de l’Occident, et, nom de déesse qui
plaisait
à la reine, Diane ; mais vainement. La reine n’y
ombre d’exemples que l’auteur rapporte, il se contente de dire qu’ils
plaisent
, sans montrer pourquoi ils plaisent. Son autorité
te, il se contente de dire qu’ils plaisent, sans montrer pourquoi ils
plaisent
. Son autorité n’étant point infaillible, il devoi
s le mystère qu’une pensée présente à l’esprit, & que l’esprit se
plaît
à développer. Cette définition peut être appliqué
oquence que pour porter les hommes à la vertu. Il dit que le desir de
plaire
, de s’élever, de se faire de la réputation, n’est
, (ainsi qu’on l’observe) n’ayant tous deux que le même but, celui de
plaire
, de toucher, d’instruire, ils ne différent que da
&c. &c. &c. : & si l’on examine les endroits qui lui
plaisent
dans les auteurs, tous ces ornemens s’y rencontre
es, — si l’on se permettait d’être observateur en les écoutant, on se
plairait
à retrouver en eux, pour le trait général et le c
et de la panique générale, garda son calme et son sang-froid : ce qui
plut
à l’empereur. — Il présida et tint constamment la
e entente amicale. En voyant l’avénement de l’Empire en France, je me
plaisais
à espérer que le retour de ce régime pourrait ne
ité avec la Russie, et d’un conflit à main armée entre les deux pays.
Plût
au ciel que l’orage prêt à éclater puisse se diss
ffet, et le plus souvent très nobles) de ses dernières années. Ce qui
plaît
toujours quand on rouvre Voltaire et ce qui fait
n cherche diversement la réponse. Dans la seconde lettre, Rousseau se
plaît
à étaler nos incertitudes et nos faiblesses, même
écepte qu’il nous a donné pour le bien lire : « Mes écrits ne peuvent
plaire
qu’à ceux qui les lisent avec le même cœur qui le
elle, morte de très bonne heure, laissa quelques vers que ses amis se
plurent
à recueillir après elle et à faire imprimer en un
, avant sa mort, le meilleur de sa tâche. La justice de l’Empereur se
plut
à reconnaître ses services en cette occasion, qui
éritable ami, qui entretenait avec lui un commerce de lettres, qui se
plaisait
à être son hôte dans ses voyages à Paris, saurait
on. Je m’empresse de reconnaître que j’en ai très-souvent profité, et
plût
au Ciel que je pusse en profiter encore ! Il pous
tenir la permission de le citer. C’est là un hommage mérité que je me
plais
à rendre à la mémoire de Dübner, bien persuadé qu
ie aura de plus raffiné, d’abord pour nuire à sa rivale, ensuite pour
plaire
toujours plus qu’elle-même : elle disputera sa po
faire ; et après qu’il vous l’aura inspiré, conduisez-moi ou il vous
plaira
… Mes compliments à M. Le Ragois. Je vous crois tr
Mais on serait également injuste envers madame de Maintenon, si on se
plaisait
à attribuer le chagrin de voir madame de Montespa
ns qu’elle y trouve sans me haïr. Elle me redonne au roi comme il lui
plaît
, et m’en fait perdre l’estime. Je suis avec lui s
ns que La Fontaine s’en sert dans cette petite historiette, qu’il lui
plaît
d’appeler une fable. Fable VI. V. 11. Peup
ge. Belle expression qui rajeunit une idée commune. V. 12. Bref, il
plut
dans son escarcelle. La Fontaine, en disant qu’i
12. Bref, il plut dans son escarcelle. La Fontaine, en disant qu’il
plut
dans la bourse de ce marchand, a voulu exprimer a
Londres vers ce temps-là, et donna lieu à cette pièce de vers, qu’il
plaît
à La Fontaine d’appeler une fable. V. 14. J’en d
ns si on nous la disputait davantage. La chanson est une fleur qui se
plaît
sous le ciel de la France : elle y réussit sans a
a faveur par de serviles adulations, mais l’homme de lettres qui sait
plaire
par le noble exercice de son talent. M. Laujon n’
sme doit être un des articles de la législation, et les hommes qui se
plaisent
à voir outrager Euripide, parce qu’il est trop gr
bon goût, la langue et les mœurs furent également outragés. À Dieu ne
plaise
que je parle, dans le sanctuaire des lettres, du
es obstacles, a trouvé le moyen de s’introduire près d’elle et de lui
plaire
, le tuteur se plaint d’avoir perdu tous les soins
e tuteur se plaint d’avoir perdu tous les soins qu’il a pris pour lui
plaire
lui-même ; Agnès lui répond : Vraiment, il en s
gnès, quel qu’autre chose ? — Il m’a… — Quoi ? — Pris… — Eh ! — Le… —
Plaît
-il ? — Je n’ose. Et vous vous fâcherez tout de bo
corder qu’un jour. En revanche, disposez de mon travail comme il vous
plaira
; vous êtes le maître d’approuver, de contredire,
rque signalée de votre estime, c’est de m’avoir proposé une tâche qui
plaisait
infiniment à mon cœur : : plût à Dieu qu’elle eût
t de m’avoir proposé une tâche qui plaisait infiniment à mon cœur : :
plût
à Dieu qu’elle eût été moins disproportionnée à m
tte autorité n’est que le libre assentiment de la raison. Tout ce qui
plaît
à notre imagination dans la sublimité des fables
dans l’apostrophe aux guerriers morts à Marathon. A quoi doit-elle de
plaire
à Perrault ? « Au fond terne » sur lequel elle se
ans une ode : Si j’exécute ce que j’ose, Et que mon vol hardi puisse
plaire
à tes jeux, Ton suffrage pour moi vaut une apothé
d elles s’arrangent à son gré, comme si le Créateur avait pensé à lui
plaire
, les réflexions solides jetées avec la même légèr
, par la convenance de l’entreprise au but et de l’œuvre à l’ouvrier.
Plaire
au public éclairé sans faire sourire les savants,
personnages, Et ce fut de moi qu’il partit, C’est que l’un cherche à
plaire
aux sages, L’autre veut plaire aux gens d’esprit.
qu’il partit, C’est que l’un cherche à plaire aux sages, L’autre veut
plaire
aux gens d’esprit. Il leur plaisait jusqu’à leur
e à plaire aux sages, L’autre veut plaire aux gens d’esprit. Il leur
plaisait
jusqu’à leur faire lire sans défiance des explica
t qu’on soit indulgent même pour ce qui leur est personnel. A Dieu ne
plaise
que je manque à ce devoir ! Enfant du dix-huitièm
irs et d’anecdotes qui peuvent à l’occasion tenir lieu d’idées et qui
plaisent
toujours à notre époque friande de commérages. On
de la vie. Considérez celui qui se borne à déclarer qu’une chose lui
plaît
ou lui déplaît ; il a beau taire et peut-être ign
ents du goût littéraire, pour qu’il sût pressentir aujourd’hui ce qui
plaira
demain et qu’il osât dire aux indécis : « Telle é
d’hui engage son opinion de demain. Que dis-je ! Il prétend, s’il lui
plaît
, changer d’avis d’une heure à l’autre. Ce n’est p
vous répondrai : Ni l’un ni l’autre, ou tous les deux, comme il vous
plaira
. » Mais je ne suis pas M. J. Lemaître, malheureus
de ses conquêtes mille et trois noms ; mais je sais du moins qu’il se
plaît
à papillonner sur les livres qui parlent d’amour.
i paraît plus amante que fille, plus passionnée que vertueuse. Il lui
plaît
que Molière ait été ce que vous savez, et qu’il a
et les premiers romans de George Sand ont, à la vérité, le don de lui
plaire
, et je conjecture qu’un de leurs titres à cette f
ceux qui paraissent sous la même couverture que lui. Après cela, lui
plaisent
-ils parce qu’ils sont de la Revue des Deux Mondes
ils sont de la Revue des Deux Mondes, ou en sont-ils parce qu’ils lui
plaisent
? Je ne sais. Il semble en tout cas que M. Brunet
e était réfugié dans la docte Revue dont il est un des piliers. Je me
plais
à reconnaître que, depuis lors, il a élargi ce ce
e la phrase ample qui se déroule avec une lenteur majestueuse. Il lui
plaît
de rajeunir les formes vieillies de ce temps-là.
quelque autre classique. Il me rappelle un de nos professeurs qui se
plaisait
ainsi à nous jeter du haut de sa chaire quelque p
igoureuses, aux violences de l’esprit de parti. Il ne se pique pas de
plaire
à tout le monde, oh ! non. Il aime mieux être bou
, que sais-je encore ? Mais, bah ! qu’est-ce que tout cela, puisqu’il
plaît
à M. Brunetière de ne pas le voir ? Singulière co
serait pas trop surpris de rencontrer des phrases comme celle-ci : «
Plaise
au tribunal, « Attendu que le prévenu a calomnié
arguments pour arriver à cet invraisemblable résultat. Ou bien il lui
plaît
de prouver que les romanciers naturalistes ne son
rte dans la réfutation trahit le secret plaisir qu’il y trouve. Il se
plaît
, suivant les préceptes de l’antique rhétorique, à
portrait du critique sans me mettre dans un coin de la toile ; il me
plairait
de m’effacer autant qu’il lui est doux de se mont
ertée. Il n’y a pas de fous, ou tout le monde l’est, selon qu’il vous
plaira
. — Ainsi parle en maint endroit M. Anatole France
us ses jugements. Il aime ceux qui peignent le monde en rose ; il lui
plaît
qu’un roman finisse bien ; que les événements en
s défaillances de courage et des intermittences de verve ; lui qui se
plaisait
à lire peu et à relire, il est tenu de dévorer un
t que la vanité du savant est de tous les néants le plus néant. Il se
plaît
à esquisser plaisamment un bouquiniste qu’il met
aux auteurs pleine liberté de choisir le sujet et la forme qu’il leur
plaira
, il estime que pour le fond ils n’ont rien de mie
peut encore que les drames de M. Ohnet n’aient pas ce qu’il faut pour
plaire
aux raffinés, que le style et l’exécution soient
ésaccord avec lui : mais vous savez du moins où le prendre, s’il vous
plaît
de discuter. Ce n’est pas un adversaire qui fuit
es. Il ne permet pas qu’on la défigure en essayant de la rajeunir. Il
plaît
à M. Coquelin de transformer le sémillant barbier
’entend exprimer que des opinions individuelles et passagères, qui se
plaît
aux épigrammes et aux anecdotes, qui est avant to
dans l’art. Il est loin de dédaigner les recherches élégantes ; il se
plaît
dans les savantes inventions du confort et du lux
istocratique ; il a souci de leur toilette comme de la sienne ; il se
plaît
à garder dans sa tenue une correction raffinée. Q
au contraire en M. Bourget un précurseur et presque un prophète. Vous
plaît
-il maintenant de connaître les peintres favoris d
variété, de légèreté, voire même quelques-unes de ces négligences qui
plaisent
par un certain air de laisser-aller. Mais quoi !
œuvres qui gardaient de la littérature régnante assez de choses pour
plaire
aux amis des écrivains en vogue, et qui apportaie
protection indéfinie aux amis qu’il avait défendus contre la satire.
Plaire
au roi, servir ses propres amis, assurer un libre
ses propres amis, assurer un libre essor à leurs talents et au sien,
plaire
à Montausier même, furent trois succès que Molièr
; soutenus, d'amener des situations comiques qui sortent du sujet, de
plaire
enfin au Spectateur, sans l'égarer dans des route
eroit en vain dans presque tous nos Auteurs actuels. Ils aiment mieux
plaire
quelques instans, se faire applaudir aux dépens d
ci ou cela se fasse comme vous l’ordonnerez. Donnez-moi ce qu’il vous
plaît
, et selon la mesure qu’il vous plaît, et dans le
nnerez. Donnez-moi ce qu’il vous plaît, et selon la mesure qu’il vous
plaît
, et dans le temps qu’il vous plaît. Agissez avec
aît, et selon la mesure qu’il vous plaît, et dans le temps qu’il vous
plaît
. Agissez avec moi selon vos vues, selon votre bon
e bon plaisir et pour votre plus grande gloire. Placez-moi où il vous
plaira
, et disposez de moi librement en toutes choses. J
pas faire et que vous abandonniez ce que vous voudriez faire. Ce qui
plaît
aux autres réussira, et ce qui vous plaît n’aura
vous voudriez faire. Ce qui plaît aux autres réussira, et ce qui vous
plaît
n’aura point de succès ; on écoutera les discours
u, et elle a horreur de ce qui est vil et grossier ; mais la grâce se
plaît
aux choses simples et abjectes, ne dédaigne point
sur les mouvements du cœur, pour le préserver du péché. La nature se
plaît
à l’estime et aux louanges des hommes, qu’elle cr
intenant on n’en parle plus. Oh ! que la gloire du monde passe vite !
Plût
à Dieu que leur vie eût répondu à leur science !
ie ne corrige pas toujours ; souvent plutôt elle augmente nos fautes.
Plût
à Dieu que nous eussions bien vécu dans ce monde
ur tendresse, quand elles ont obtenu toute la vôtre : l’envie de vous
plaire
leur fournit des grâces infinies, leur fait faire
e manège, ce tatillonnage bien mené et semé d’accidents gracieux, qui
plaît
à des esprits délicats. Vous y viendrez ! Vous n’
qu’Araminte, à la vérité, lui semble plus belle, bien que la marquise
plaise
davantage ; il ne réussit lui-même qu’à déplaire.
a vie il faut un peu de flatterie, même pour s’aimer avec amour et se
plaire
avec quelque passion. « Ah ! ah ! ah ! s’écrie à
l’imaginer, de ce monde en miniature. Elle était des premières à s’y
plaire
ouvertement et à y applaudir. La vie de Marivaux
r, que je me contente de travailler sous vos ordres ; l’envie de vous
plaire
me tiendra lieu d’une imagination que les ans ont
e, des conférences de philosophie avec le jeune prince, et Fénelon se
plut
à laisser faire cet auxiliaire brillant dont la m
hent sans doute la délivrance et la sortie du labyrinthe, mais qui se
plaisent
aussi dans le dédale. Sans aller si avant, chacun
de fer) ; mais rien n’y fit. Il en était fort triste, ayant besoin de
plaire
. Rien peut-être ne contribua plus à le contenir e
upule d’une âme si timorée, répond en s’écriant : « Oh ! que cet état
plaît
à Dieu ! » « Le plus souvent pourtant, c’est Féne
puis ce temps, nous dit l’historien, se cacha au reste de la terre. »
Plût
à Dieu pour lui, pour l’honneur de sa mémoire, qu
tout ceci, ait été jaloux d’Alfieri, lequel au contraire avait su lui
plaire
; mais on rapporte « qu’il obsédait sans cesse sa
r, s’il se pouvait, sa triste et dégradée vieillesse. Le biographe se
plaît
singulièrement à relever la conduite de cette fil
est difficile, en revanche, de se faire bien venir de nous et de nous
plaire
. J’aurais désiré pourtant qu’il fût un peu mieux
façon, dès qu’elle eut remarqué le poète et compris son amour. Il lui
plaisait
, il lui apparut grand ; elle devina, elle présage
appelle la muse du feuilleton ! Maintenant nous aborderons, s’il vous
plaît
, un terrain plus solide que le terrain de la fant
aît, un terrain plus solide que le terrain de la fantaisie. À Dieu ne
plaise
, cependant, que nous lui donnions un congé défini
sauf à voir, lui aussi, son arrêt cassé par les maîtres. — À Dieu ne
plaise
, que Votre Majesté se connaisse en vers mieux que
e la représentation de Tartuffe. — L’Anathème de Bossuet S’il vous
plaît
, entrons maintenant, d’un pas résolu, dans ce vas
urs, il a outré souvent les caractères ; il a voulu par cette liberté
plaire
au parterre, frapper les spectateurs les a moins
de combattant qui fût digne de répondre à ce rude docteur. À Dieu ne
plaise
que Bossuet ait reculé devant le génie et le cour
heure ; absolument il faut amuser ces esprits qui s’ennuient, il faut
plaire
à ces intelligences parfois très lentes ; plus d’
le enivrement de la victoire et de l’amour, nul ne pensait, à Dieu ne
plaise
! que toute cette grandeur devait finir. Dites-mo
e histoire courante de chaque jour, pour qu’elle puisse beaucoup nous
plaire
. D’où il suit que si vous avez beaucoup ri à cett
ne vous attendez pas que je le suive en cette lente agonie. À Dieu ne
plaise
que je sois, plus longtemps, le témoin de cet hor
t les petites maîtresses de la lecture de chaque matin, mais songez à
plaire
aux lecteurs sérieux ; alors vous parlerez comme
vif et bien senti, cette gaieté surabondante d’un jeune poète, sûr de
plaire
, et qui pourtant avait tout à créer : la langue,
, nous ne voulons pas faire une comédie ; nous voulons seulement vous
plaire
et vous amuser, Messeigneurs. Cette fois, pour co
ans réplique. — Il est résolu de se marier. — C’est une fille qui lui
plaît
et qu’il aime de tout son cœur. — Il l’a demandée
e même pas le souci de s’en informer. En pareille occasion, l’avare (
Plût
à Dieu que je les eusse ces dix mille écus !) se
gé de vous remettre une lettre ? — Rosine : Et de qui donc, s’il vous
plaît
? — Bartholo : Oh ! oh ! de qui ? de quelqu’un qu
er, pour étudier son beau visage. « Oui, levez-vous un peu, s’il vous
plaît
; un peu plus de ce côté-là ; le corps tourne ain
, le duc de Montausier, s’écrie avec orgueil en parlant d’Alceste : —
Plût
à Dieu que ce fût moi que Molière eût désigné ! N
nes petites gens tragiques ou comiques à leur propre génie. À Dieu ne
plaise
que je chagrine ces gloires naissantes, que je pr
uvez lire dans les Mémoires de Mademoiselle de Montpensier. S’il vous
plaît
aussi, vous remarquerez la belle tirade d’Éliante
e s’excuser, et relevant fièrement la tête en répondant : — Il ne me
plaît
pas, moi ! s’il y en a un seul, non pas au théâtr
’aimer un peu, tout seul ; elle répondit comme Célimène : — Il ne me
plaît
pas, moi ! Et alors, Molière, le cœur brisé, se s
e et charmante. Elle tient l’esprit en éveil, elle l’occupe, elle lui
plaît
, elle parle une langue à la fois claire et savant
homme dont la voix compte, et dont le jugement est un arrêt, il faut
plaire
avant de plaire à tout autre ; il faut qu’il vous
oix compte, et dont le jugement est un arrêt, il faut plaire avant de
plaire
à tout autre ; il faut qu’il vous estime et qu’il
andon et la naïveté de cette belle fille. Elle n’avait aucun souci de
plaire
, elle était belle sans y prendre garde ; assise o
orieuse qu’ils lui avoient acquise dans la Chaire. Plus ambitieuse de
plaire
à l’esprit que de toucher le cœur, son éloquence
ntimens qu’il a intérêt de leur communiquer. Pour y parvenir, il doit
plaire
, il doit prouver, il doit toucher ; car il ne peu
but que se propose la poesie du stile, est de faire des images et de
plaire
à l’imagination. Le but que la mécanique de la p
nique de la poesie se propose, est de faire des vers harmonieux et de
plaire
à l’oreille. Leurs interêts seront souvent oppose
e signifieroient rien, il est hors de doute qu’à cet égard les uns ne
plaisent
davantage que les autres, et par consequent que c
mots qui sont composez de sons, qui par eux-mêmes et par leur mêlange
plaisent
davantage à l’oreille, doivent lui être plus agré
ent de leur signification. Osera-t-on nier que le mot de compagnon ne
plaise
plus à l’oreille que celui de collegue, bien que
ons, de placer tous les mots d’une phrase auprès d’autres mots qui se
plaisent
dans leur voisinage : en un mot de parvenir à ce
Après un silence, elle reprit : — Ta tête me déplaît pour ça. Elle me
plaît
pour causer. Écoute. J’ai perdu l’habitude de tra
s qui vivent de toi et qui t’intéressent. Poète, fais les vers qui te
plaisent
, non ceux qui risqueraient de plaire au public pa
t. Poète, fais les vers qui te plaisent, non ceux qui risqueraient de
plaire
au public payant. Professeur, enseigne selon ta c
r le mérite d’un poëme. C’est lorsqu’il s’agit de sçavoir si un poëme
plaît
ou s’il ne plaît pas, si, generalement parlant, u
poëme. C’est lorsqu’il s’agit de sçavoir si un poëme plaît ou s’il ne
plaît
pas, si, generalement parlant, un poëme est un ou
poëte a composé. En un mot, comme le premier but de la poësie est de
plaire
, on voit bien que ses principes deviennent plus s
aime ses tréteaux rustiques ; ses enfants ; sa femme qui sourit et se
plaît
à l’achever. Il y a là-dedans de la poésie, de la
anière dont son mari allaite ses enfants pendant son absence, ne vous
plaît
pas [?] Et puis voyez comme cela est peint. Est-c
cette orthographe et cette diction qu’il ne laissait pas cependant de
plaire
à quelques-unes de ces dames qui se piquaient de
à celui qui gouvernait, pour les éviter, et toutes les choses qui lui
plaisaient
et celles qui lui plaisaient le plus, pour les re
les éviter, et toutes les choses qui lui plaisaient et celles qui lui
plaisaient
le plus, pour les rechercher avec soin dans l’éte
pas souhaiter un valet plus assidu, plus attentif à le louer et à lui
plaire
, etc. Mais assez ! n’allons pas trop citer de l’
ce que nous dit celui qui veut nous persuader qu’un ouvrage qui nous
plaît
infiniment, choque toutes les regles établies pou
, choque toutes les regles établies pour rendre un ouvrage capable de
plaire
. Si nous ne sommes point assez instruits pour rép
tous les siecles et à tous les peuples passez est réellement digne de
plaire
, nonobstant les défauts qu’on y peut remarquer, e
obstant les défauts qu’on y peut remarquer, et par consequent il doit
plaire
toujours à ceux qui l’entendront dans sa langue.
rit est un reflet de l’intelligence divine ; en quelque endroit qu’il
plaise
à Dieu de le faire tomber, nous lui devons au moi
t moi que j’en croirai de préférence. De même, tonnez tant qu’il vous
plaira
contre un spectacle qui m’attire ; je priserai pe
de l’ornière. Les chevaux y ont fait leur lit, ils y mangent, ils s’y
plaisent
. Si le Dieu nous manque, nous aurons beau fouette
la plus aisée à mal faire. L’amour-propre y trouve son compte ; on se
plaît
à se reconnaître un fonds d’idées que la lecture
ux, Les plus charmans qu’ils puissent faire : L’un étoit le talent de
plaire
; L’autre, le secret d’être heureux. Le plus con
rs : Et la regle, qui semble austere, N’est qu’un art plus certain de
plaire
, Inséparable des beaux Vers. FAYETTE, [Marie-Ma
de puiser. On ne peut nier que son Livre ne réunisse tout ce qui peut
plaire
& instruire, excepté dans les occasions où il
rficiels, parce qu’ils se laissent facilement entraîner à ce qui leur
plaît
, & qu’ils sont incapables de rien approfondir
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