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1 (1865) Cours familier de littérature. XIX « CXVe entretien. La Science ou Le Cosmos, par M. de Humboldt (4e partie) » pp. 429-500
poil long et rude, qui vit sur les arbres. Ailleurs on dit qu’il a le pied fourchu, avec une face rouge et luisante. Il a fe
dans l’abîme ; le tangage colossal de ces débris mesuré par six cents pieds de quille, tantôt semble gravir jusqu’aux nuages
lève lentement sous le poids des vagues qui se creusent un berceau au pied des mâts et roulent furieuses sur le pont disparu
-roi et bourreau de l’univers alors connu, s’élève à des centaines de pieds au-dessus des édifices publics et des palais des
-Ange, déjà vieux, pendant qu’il méditait d’élever jusqu’à cinq cents pieds dans les airs la coupole du temple du christianis
rdre d’architecture différent le composent. Mille fois cent cinquante pieds décrivent la circonférence de l’ellipse. La scène
pieds décrivent la circonférence de l’ellipse. La scène a trois cents pieds d’étendue. Maintenant l’herbe et les ronces y pou
et vivante de la nouvelle religion des hommes, s’élève à trois cents pieds plus haut que l’œuvre de Vespasien. Entrez avec m
, à droite et à gauche, une double colonnade de sept cent trente-huit pieds de long, sur six cents pieds de large, enferme la
ouble colonnade de sept cent trente-huit pieds de long, sur six cents pieds de large, enferme la place qui précède le temple.
s pieds de large, enferme la place qui précède le temple. Douze cents pieds d’espace ouvrent à l’œil la vue nécessaire pour e
rminées par les deux parties de la colonnade, a sept cent trente-huit pieds de long sur cinq cent quatre-vingt-huit de large.
artir de la rue par laquelle on y arrive, de mille cent quarante-huit pieds . Les deux portiques circulaires du Bernin se comp
dre dorique, et l’entablement d’ordre ionique ; elles ont trente-neuf pieds deux tiers de haut. Les deux portiques semi-circu
tiers de haut. Les deux portiques semi-circulaires ont cinquante-six pieds de large et cinquante-cinq de hauteur. La balustr
’abord. L’obélisque du Vatican a soixante-seize pieds de haut et huit pieds dans sa plus grande largeur. La croix qui le surm
sa plus grande largeur. La croix qui le surmonte est à cent vingt-six pieds du pavé. Cet obélisque n’a point d’hiéroglyphes ;
ssins formés chacun d’un seul morceau de granit oriental de cinquante pieds de circonférence. Le jet le plus élevé monte à so
pieds de circonférence. Le jet le plus élevé monte à soixante-quatre pieds . Bramante, Raphaël, Michel-Ange, les plus grands
Elle est formée d’un portique dont les colonnes ont quatre-vingt-sept pieds de tronc, sans les chapiteaux et les corniches. Q
i que la longueur de cette basilique est de cinq cent soixante-quinze pieds  ; elle a cinq cent dix-sept pieds de large à la c
ue est de cinq cent soixante-quinze pieds ; elle a cinq cent dix-sept pieds de large à la croisée. La nef du milieu a quatre-
ept pieds de large à la croisée. La nef du milieu a quatre-vingt-deux pieds de largeur et cent quarante-deux de hauteur. Elle
eux de hauteur. Elle est ornée de grosses statues de saints de treize pieds de proportion. On peut dire qu’ils donnent l’idée
es quatre énormes piliers de la coupole, qui ont chacun deux cent six pieds de circonférence. L’église de San-Carlo alle Quat
e trouva ; c’est là-dessus qu’il éleva sa coupole. Elle a cent trente pieds de diamètre, c’est-à-dire trois pieds de moins qu
sa coupole. Elle a cent trente pieds de diamètre, c’est-à-dire trois pieds de moins que celle du Panthéon. Elle commence à c
s de moins que celle du Panthéon. Elle commence à cent soixante-trois pieds du pavé, et sa hauteur, prise depuis sa base jusq
a base jusqu’à l’ouverture de la lanterne, est de cent cinquante-cinq pieds . On ne croirait jamais que la petite lanterne qui
extérieure du dôme : le piédestal de la boule de bronze a vingt-neuf pieds et demi de hauteur ; la boule elle-même sept pied
ronze a vingt-neuf pieds et demi de hauteur ; la boule elle-même sept pieds et demi. La croix qui couronne l’église est haute
ept pieds et demi. La croix qui couronne l’église est haute de treize pieds . « La hauteur totale de Saint-Pierre, depuis le p
usqu’au dernier ornement de la croix, est de quatre cent vingt-quatre pieds . Les Romains comptent onze pieds de plus, je croi
oix, est de quatre cent vingt-quatre pieds. Les Romains comptent onze pieds de plus, je crois, parce qu’ils mesurent l’élévat
» XVI Depuis la base des piliers jusqu’à la cime de cinq cents pieds de la coupole, abîme de vide, les murailles élève
s voués à la conservation de l’édifice habitent à deux ou trois cents pieds au-dessus du niveau de la place avec leurs famill
trades et l’ombre de cette montagne de pierre qui prend racine à leur pied , sans pour cela leur cacher le soleil. On se repo
r, ses montagnes, ses lacs, ses forêts, ses déserts, tremble sous vos pieds  ; le moindre souffle du vent de mer, en se résuma
enlever comme une feuille morte le dôme colossal qui tremble sous vos pieds . Une seule pierre, déplacée dans ces carrières de
t la volonté triomphe de la terreur, il vous reste à gravir encore 75  pieds en dehors des murailles pour ramper autour du der
a grande coupole, et pour embrasser les bras de la croix de fer de 25  pieds qui couronne le tout. Je renonce à décrire le bru
se troublent, et vous ne voyez plus que le vide ondoyant à cinq cents pieds au-dessous de vous ! Est-ce Dieu, sont-ce des ho
ui le prononce sait tout ! Il a trouvé le fond de la science, il a le pied sur le solide. Il n’a pas besoin d’en savoir dava
2 (1767) Salon de 1767 « Peintures — Du Rameau » pp. 288-298
blier les semaines. le triomphe de la justice. du même. Tableau de 10 pieds 8 pouces de haut, sur 14 pieds de large. Il est d
de la justice. du même. Tableau de 10 pieds 8 pouces de haut, sur 14 pieds de large. Il est destiné pour la chambre criminel
r le serpent et le loup ; l’envie est renversée la tête en bas et les pieds en l’air et son serpent l’enveloppe dans ses circ
loppe dans ses circonvolutions, elle est sur le devant, à gauche, aux pieds des licornes. Tout à fait du même côté, ses yeux
Cette envie envelopée de ses serpens et tombant la tête en bas et les pieds en l’air, est belle, hardie et bien dessinée. La
près. le martyre de St Cyr et de Ste Julitte . du même. Tableau de 10 pieds 5 pouces de haut, sur 5 pieds de large. Au centre
de Ste Julitte . du même. Tableau de 10 pieds 5 pouces de haut, sur 5 pieds de large. Au centre de la toile, au-dessus d’une
nte, lui bat les épaules d’un faisceau de cordes ; un troisième à ses pieds , se penche vers les degrés pour ramasser d’autres
umens de supplice. à gauche sur les degrés, le cadavre de st Cyr, les pieds vers le fond, la tête sur le devant. à gauche, un
ant, au moment où il reçoit l’extrême-onction. du même. Tableau de 10 pieds 5 pouces de haut, sur 5 pieds de large. Pour l’ég
extrême-onction. du même. Tableau de 10 pieds 5 pouces de haut, sur 5 pieds de large. Pour l’église de st-Cyr, ainsi que le p
voit de face, le chevet au fond de la toile, présentant la plante des pieds au spectateur, et par conséquent tout en raccourc
me-onction ; celui qui est sur le devant touche de l’huile sainte les pieds du saint moribond qui sont découverts. Il est de
barque la plus à gauche il y ait, par exemple, une femme assise, les pieds pendans vers la mer, vue par le dos, la tête tour
iesse de placer la tête de son saint au fond de sa composition et ses pieds au bord de sa toile, il serait tombé dans le même
t-il ses yeux ce jour-là ? une sainte famille. du même. Tableau d’1 pied 11 pouces de haut, sur 2 pieds 2 pouces de large.
ne sainte famille. du même. Tableau d’1 pied 11 pouces de haut, sur 2 pieds 2 pouces de large. Composition libre, facile, vig
a lumière dont les rayons sont divergents. Il faut savoir qu’à quatre pieds , ceux-ci seize fois plus rares, ou répandus sur u
ni de loin. C’est une masse informe grisâtre, où l’on ne discerne ni pieds , ni tête, ni queue, ni oreilles. Si le genre faci
superbement sur le devant, s’élancent à toutes jambes, et foulent aux pieds de leurs chevaux parallèles et les morts et les m
3 (1767) Salon de 1767 « Peintures — Doyen » pp. 178-191
c. Lucret. le miracle des ardens. tableau de 22 pieds de haut sur 12 pieds de large, pour la chapelle des ardens, à st Roch.
rs du tableau la face latérale d’une coupe verticale qui passe par le pied droit de la porte de cet édifice, laisse la porte
ses deux longs bras livides, sa tête et sa chevelure pendent vers le pied du massif. Au-dessous, au lieu le plus bas de la
se, à l’angle droit du massif, s’ouvre un égout d’où sortent les deux pieds d’un mort et les deux bouts d’un brancard. Sur le
uel l’enfant est tourmenté, et une troisième suivante agenouillée aux pieds de sa maîtresse et de son maître. Derrière ce gro
aître. Derrière ce groupe, un peu plus vers la gauche, sur le fond au pied du massif, à l’endroit où l’escalier descend et p
e d’habitans. Tout à fait à la gauche du tableau, sur la terrasse, au pied de l’escalier et du massif, un homme vigoureux qu
l implore de la main gauche et du regard. Sur la terrasse encore, au pied du même massif, un peu plus sur le fond que le gr
un peu plus sur le fond que le groupe précédent, une femme morte, les pieds étendus du côté de l’homme convulsé, la face tour
e guirlande de têtes de chérubins qu’elle a derrière elle et sous ses pieds forme un papillotage de ronds lumineux qui me ble
s’ils ne sont d’une telle proportion que si vous les acheviez, leurs pieds descendraient au-dessous du massif sur lequel vou
s sa draperie verte et forte ne contribue pas peu à coller sa tête au pied du mur. On dit qu’elle est empruntée de la peste
entends pas. C’est une belle idée, bien poétique, que ces deux grands pieds nus qui sortent de la caverne ou de l’égout ; d’a
de cadavres, il aurait fallu l’annoncer. Il n’en est pas de ces deux pieds comme des deux bras que le Rimbrand a élevés du f
ontrant que deux bras ; vous l’auriez été en me montrant plus de deux pieds . Je ne saurais imaginer plein un lieu que je vois
qui s’élance de l’hôpital, sur ce malade qui se déchire les flancs au pied de votre massif ; et moi j’aurais brûlé le reste
e qui se déchire les flancs ; la convulsion y serpente de la tête aux pieds , on la voit et dans les muscles du visage, et dan
dans les bras, le ventre, le bas-ventre, les cuisses, les jambes, les pieds  ; c’est une très-belle, très-parfaite imitation.
-belle, très-parfaite imitation. Ils accusent la jambe étendue et son pied d’être un peu trop forts. Je n’en sais pas assez,
ts. Je n’en sais pas assez, pour être ou n’être pas de leur avis ; le pied m’en paraît seulement informe. Mais ce que j’esti
estiges même dans les morts. Cette belle femme qui vient d’expirer au pied du massif a expiré en invoquant. Le cadavre effra
plan parallèle au premier, vous formerez une boîte qui n’aura pas six pieds de profondeur, dans laquelle toutes les scènes de
4 (1867) Cours familier de littérature. XXIV « CXLIIIe entretien. Littérature cosmopolite. Les voyageurs »
que les gens qui vont à cheval font marcher devant eux des valets de pied pour fendre la presse et se faire faire passage,
fant, outrés du traitement qu’il lui avait fait, s’allèrent jeter aux pieds du roi, comme il était à la promenade, en lui dem
maître le prévint et abattit la tête de cet infortuné, qui tomba aux pieds de Janikan, et d’un autre coup lui coupa le corps
s ou parapet, comme on voudra l’appeler, haut de terre d’environ cinq pieds , et profonds de dix-huit à vingt pieds, larges de
, haut de terre d’environ cinq pieds, et profonds de dix-huit à vingt pieds , larges de quinze à seize et élevées de deux doig
, si ce n’est que les uns ont un grand relais carré, de quatre à cinq pieds de hauteur au milieu de la cour, au lieu de bassi
ogements, qui sont séparés l’un de l’autre par un mur de deux à trois pieds d’épaisseur, consistent en une antichambre de que
rois pieds d’épaisseur, consistent en une antichambre de quelque huit pieds de profondeur, toute ouverte par devant, avec une
elques-uns il y a un côté des écuries accommodé en arcades, de quatre pieds de hauteur, avec des cheminées d’espace en espace
qui donnait vers sa boutique. Elle ne bougeait du lieu où il mettait pied à terre, et si quelqu’un pensait d’en approcher,
les changeurs, lesquels sont sur de petits établis de trois à quatre pieds en carré, ayant de petits coffres de fer à côté d
s, comme je l’ai dit. Les étages supérieurs, qui sont à quelque vingt pieds du bas, ont des galeries qui ressemblent à des ba
ntérieure, qui forme le portail, est en demi-lune, enfoncée de treize pieds environ, fort élevée et toute revêtue de jaspe du
viron, fort élevée et toute revêtue de jaspe du rez-de-chaussée à dix pieds en haut, avec des perrons du même ouvrage. L’orne
des côtés. Les linteaux sont de jaspe. La porte est de quelque douze pieds de large, fermée de deux valves ou battants revêt
e pas, on trouve au milieu un beau bassin de jaspe, à godrons, de six pieds de diamètre, soutenu sur un piédestal de même mat
lque grâce du roi vont la baiser en pompe et en cérémonie, en mettant pied à terre, et se tenant debout contre, ils prient D
urie a cent quatre pas de face, vingt-six de profondeur et vingt-cinq pieds de hauteur: il est couvert d’un plafond de mosaïq
l est séparé en trois salles, dont celle du milieu est élevée de neuf pieds du rez-de-chaussée et celles des côtés de trois p
élevée de neuf pieds du rez-de-chaussée et celles des côtés de trois pieds seulement ; les séparations sont faites de châssi
des plus fines indiennes, qu’on étend du côté du soleil, jusqu’à huit pieds de terre seulement, sans que cela empêche la vue.
seulement ces rideaux, et un double rang de coffres, hauts de quatre pieds , le long des murs, qui sont aussi pleins de livre
C’est une manière de salon, haut de six à sept toises, élevé de deux pieds sur le rez-de-chaussée, construit au milieu d’un
x grecque, au moyen de deux portiques, ou arcades, profondes de seize pieds , qui sont aux côtés. Le milieu de la salle est or
les autres, est un pavillon qui consiste en une salle élevée de cinq pieds sur le jardin, large de cinquante-deux pas de fac
ux pas de face et de huit de profondeur, à trois étages hauts de deux pieds l’un sur l’autre, dont le plafond, fait d’ouvrage
’autre, qui vont en apetissant, le premier étant fait en carré de dix pieds de diamètre et les autres étant de figure octogon
r à fleurs, qu’on tire du côté du soleil en les étendant jusqu’à huit pieds de terre, comme une tente, ce qui rend le salon t
nt faits de terre, la plupart de la hauteur accoutumée de dix à douze pieds , couverts de haut en bas de petites lampes incrus
et haute tour ; de manière qu’on ne le saurait voir qu’en mettant le pied dessus. Il est large et haut, fait en voûte, revê
ant le pied dessus. Il est large et haut, fait en voûte, revêtu à dix pieds de terre de tables de marbre peint et doré, avec
ha, la mer royale, parce qu’il est bâti au devant d’un étang de vingt pieds de diamètre. Les Persans appellent mer royale les
de rivière, et au milieu duquel est un parterre vert d’environ trente pieds de diamètre, à six pouces seulement au-dessus de
en deux chambres et un cabinet, avec un perron sur le devant, de dix pieds de profondeur et de quatre pieds de hauteur. Ces
avec un perron sur le devant, de dix pieds de profondeur et de quatre pieds de hauteur. Ces logis sont doubles, ouverts derri
naît pas les gens qui passent et ils ne paraissent pas grands de deux pieds . Ce beau pavillon est soutenu sur trois rangs de
n office particulier, et celui qu’on appelle le magasin des Valets de pied , parce qu’on y distribue la ration aux petits off
cents pas de longueur, plus basses l’une que l’autre d’environ trois pieds , en la partie de l’allée qui est en deçà de la ri
lle cajavé (kadjâbah, ou Kadjâvah), qui est une machine large de deux pieds et profonde de trois, avec une haute impériale en
de ce pavillon de jalousies, il y a un bassin d’eau carré, de quinze pieds de face, et au coin est la porte Impériale, qui e
tres sont plus petits. Le premier de ces bassins est carré, de quinze pieds de face. Le second, qui est carré aussi, est de c
t vingt pas de tour, ayant au milieu un échafaud octogone, élevé d’un pied sur l’eau, avec un beau balustre autour où dix pe
e pierre de taille de la hauteur des murs. Ces murs sont épais de six pieds , et hauts de quatorze à quinze, percés d’un bout
ur, et munis au-dessus d’un rebord ou garde-fou à jour, haut de trois pieds , fait de briques disposées comme les mottes des t
diques dont ils sont remplis. Abas II fut si honteux d’y avoir mis le pied , qu’il en fit condamner l’entrée. Ce que je viens
de même pierre, lequel est plus large que le pont, et l’excède de dix pieds d’un et d’autre côté, avec des soupiraux aux bout
e murs de pierres: on y compte douze terrasses, élevées de six à sept pieds l’une sur l’autre, et qui vont de l’une à l’autre
ornée d’un canal de pierre, profond de huit pouces et large de trois pieds , avec des tuyaux de dix en dix pieds, qui jettent
de huit pouces et large de trois pieds, avec des tuyaux de dix en dix pieds , qui jettent l’eau fort haut. Au bas de chaque te
aquelle est en talus et fait une nappe d’eau, il y a un bassin de dix pieds de diamètre, et au haut, il y en a un autre sans
e plus jeune frère, que vous ne pourrez y avoir mis qu’en foulant aux pieds les plus saints devoirs que la religion nous insp
l’assemblée tellement surpris, que si une montagne fût tombée à leurs pieds , comme on parle en Perse, ils n’eussent pas témoi
5 (1767) Salon de 1767 « Peintures — Le Prince » pp. 206-220
berger, pour prix de ses chansons. tableau de 11 pieds de haut sur 7 pieds 4 pouces de large. Je vous dirai donc : marchez j
rmi des moutons et des chèvres, et vous arriverez à un grand arbre au pied duquel on a déposé un panier de fleurs. Donnez un
é, très-mal peint. Autre grande composition de 11 pieds de haut sur 7 pieds 4 pouces de large. Entrez, et vous verrez à droit
ce qu’il faut savoir faire. la bonne aventure. du même. Tableau de 11 pieds de large, sur autant de haut. L’artiste dit qu’il
berceau, ou le réveil des petits enfans. du même. Tableau ovale de 2 pieds 3 pouces de haut, sur 1 pied 9 pouces de large. à
its enfans. du même. Tableau ovale de 2 pieds 3 pouces de haut, sur 1 pied 9 pouces de large. à droite, une chaumière assez
ons et deux poutres debout. Sur ce balcon des domestiques occupés. Au pied de la chaumière, une mère assise, sa quenouille d
lus souvent ? Tout à fait sur le devant, à plat ventre, la plante des pieds tournée vers la mère, la tête vers l’enfant nu, u
t doux. l’oiseau retrouvé. du même. Tableau de 2 pieds de haut, sur 1 pied 2 pouces de large. à droite, paysage, bout de roc
ui le regarde et semble lui dire : " c’est l’oiseau de ma fille. " au pied du bassin, vers la gauche, cette fille est étendu
r d’oiseau et le bras droit appuyé sur sa cage ouverte. On voit à ses pieds un mouton et un panier de fleurs. Tout cela est i
e. le musicien champêtre. du même. Tableau de 2 pieds de haut, sur un pied 2 pouces de large. Je m’établis sur la bordure, e
ouverture se plisse. Son vieux père et sa vieille mère sont debout au pied du lit tout à fait dans l’ombre ; le père plus su
r voir le fond et découvrir le père et la mère, qui sont toutefois au pied du lit et sur le devant, que de pénétration pour
eux peint et plus fini. autre bonne aventure. du même. Tableau de 2 pieds 2 pouces de haut, sur 1 pied 10 pouces de large.
e bonne aventure. du même. Tableau de 2 pieds 2 pouces de haut, sur 1 pied 10 pouces de large. On voit la retraite d’un russ
laves froides et pauvres. Vers l’angle gauche, une cassolette sur son pied . Entre la femme et le mari, sur le fond, un boucl
s objets bien distribués ; la femme tartare, en fourrure rouge, a les pieds posés sur un coussin. le concert. du même. Tablea
, a les pieds posés sur un coussin. le concert. du même. Tableau de 2 pieds 2 pouces de haut, sur un pied 10 pouces de large.
sin. le concert. du même. Tableau de 2 pieds 2 pouces de haut, sur un pied 10 pouces de large. Composition charmante, certes
e et vraie de position ! C’est une élégance, une grâce de la tête aux pieds qui enchantent, on ne se lasse point de la voir.
sculpture s’en iraient bientôt en décadence. Imaginez en un tas à vos pieds toute la dépouille d’un européen, ces bas, ces so
6 (1733) Réflexions critiques sur la poésie et la peinture « Troisième partie — Section 2, de la musique rithmique » pp. 20-41
vers dont il étoit question, il se souvenoit bien néanmoins de quels pieds ou de quelles mesures ils étoient composez, et pa
aque mesure se trouvoit être déja reglé par la figure du vers. Chaque pied du vers faisoit une mesure. En effet on trouvera
ure. En effet on trouvera dans la suite le mot de pes qui signifie un pied , emploïé par Quintilien et par d’autres, pour dir
s du même chant devoient être inégales dans leur durée, parce que les pieds du même vers n’étoient pas égaux. Les uns n’avoie
e trois temps, tandis que les autres en avoient quatre. En effet, les pieds qui n’étoient composez que d’une sillabe longue e
ois sillabes breves, ne renfermoient que trois temps, au lieu que les pieds composez de sillabes longues ou d’une sillabe lon
ur la musique, traitent fort au long de la quantité des sillabes, des pieds et des figures du vers ; ainsi que de l’usage qu’
’autres auteurs, que les anciens avoient un rithme dans lequel chaque pied de vers ne faisoit pas toujours une mesure ; puis
ient qui naissoit de l’inégalité de durée qui se rencontroit dans les pieds du même vers. Mais comme cela regarde la musique
gestes ? Comment s’y prenoient-ils pour marquer chaque mouvement des pieds et des mains, chaque attitude et chaque démarche
ûrement, tantôt par un mouvement de doigt, tantôt par un mouvement de pied , laissant passer ainsi quatre ou cinq tems sans f
cteurs qui font les gestes doivent suivre les signes qui marquent les pieds , c’est-à-dire la mesure qui se bat, avec autant d
sentoit un homme chaussé avec des souliers de fer, et qui frappoit du pied sur le théatre. Toutes les convenances portent à
enances portent à croire que c’étoit cet homme-là qui battoit avec le pied une mesure dont le bruit devoit se faire entendre
7 (1767) Salon de 1767 « Peintures — Robert » pp. 222-249
il qui tenait le ressort tendu ; alors l’être part et va tant que ses pieds le peuvent porter : tout coin de la terre lui est
est la sépulture de l’être énergique, la vôtre est toujours sous vos pieds . Mais à quoi bon, me direz-vous, cet écart sur l
idicules ? Tout ce que j’ai recueilli de l’abbé Richard, c’est que le pied hors du temple, l’homme religieux disparaît et qu
Tableaux. un grand paysage dans le goût des campagnes d’Italie . huit pieds 9 pouces de large, sur 7 pieds 7 pouces de haut.
le goût des campagnes d’Italie . huit pieds 9 pouces de large, sur 7 pieds 7 pouces de haut. Je voudrais revoir ce morceau h
s grande que ma main les figures prennent-elles six, sept, huit, neuf pieds de hauteur, et dans telle ou telle composition, m
le croyez peint. Il est sur une très-petite toile, sur une toile d’un pied dix pouces de large, sur un pied cinq pouces de h
rès-petite toile, sur une toile d’un pied dix pouces de large, sur un pied cinq pouces de haut. Au pendant, c’est à droite u
ruine d’un arc de triomphe, et autres monumens. du même. Tableau de 4 pieds 2 pouces de haut, sur 4 pieds 3 pouces de large.
autres monumens. du même. Tableau de 4 pieds 2 pouces de haut, sur 4 pieds 3 pouces de large. L’effet de ces compositions, b
t est étendu à plat ventre sur des quartiers de pierre, la plante des pieds tournée vers la fabrique de la droite, la tête ve
nduit vers la rive d’un lac ; au-delà, un lointain, une campagne ; au pied de l’arcade, une figure ; plus sur le devant au b
un autre site. grande galerie éclairée du fond. du même. Tableau de 4 pieds 3 pouces de large, sur 3 pieds un pouce de haut.
clairée du fond. du même. Tableau de 4 pieds 3 pouces de large, sur 3 pieds un pouce de haut. ô les belles, les sublimes ruin
dans son manteau ; sur une assise inférieure de la même fabrique, au pied de cet homme une femme courbée qui se repose. Au
pense bien que le côté gauche est tout entier dans la demi-teinte. Au pied du grand pan de vieux mur, sur le devant, paysan
ns. Sur celle qui précède, il n’y a personne qui n’accordât plusieurs pieds en quarré à une petite ruine grande comme la main
duit à un ancien portique. du même. Tableau de 4 pieds de haut, sur 2 pieds 9 pouces de large. Sur le fond et dans le lointai
de la fraîcheur aux galeries qui l’environnent. du même. Tableau de 4 pieds 3 pouces de large sur 3 pieds un pouce de haut. O
ui l’environnent. du même. Tableau de 4 pieds 3 pouces de large sur 3 pieds un pouce de haut. On voit par l’ouverture des arc
ts monuments d’architecture antique et moderne. du même. Tableau de 4 pieds 7 pouces de large, sur 3 pieds 2 pouces de haut.
ique et moderne. du même. Tableau de 4 pieds 7 pouces de large, sur 3 pieds 2 pouces de haut. C’est le morceau de réception d
magasin à foin, peints d’après nature à Rome . du même. Tableau de 2 pieds 2 pouces de haut, sur un pied 3 pouces de large.
nature à Rome . du même. Tableau de 2 pieds 2 pouces de haut, sur un pied 3 pouces de large. Il est presque impossible de f
tant de la paille et du foin. Une autre échelle dressée porte par son pied sur le devant du grenier et par son extrémité sup
horizon, l’effet disparût. cuisine italienne. du même. Tableau de 2 pieds 1 pouce de large, sur quinze pouces de haut. C’es
r le coussin, le dos tourné au spectateur, le visage au foyer, et les pieds de l’un posés sur la dernière marche de l’entrée.
d de la cheminée au milieu de laquelle il y a un petit miroir ; et au pied de la cuisinière, sur le devant, entre elle et le
scur et formant une portion du fond attenant à une arcade ceintrée au pied de laquelle règne une balustrade, trois moines bl
à droite des charettes, un tas de fumier ; à gauche, des cavaliers à pied qui font ferrer leurs chevaux, un maréchal agenou
, un maréchal agenouillé qui ferre, un de ses compagnons qui tient le pied du cheval, un des valets des cavaliers qui le con
vous brisez la partie supérieure d’une statue, que les jambes et les pieds qui en resteront sur la base soient du plus beau
et de portes, des fragmens de chapiteaux, des bouts d’entablemens. Au pied du massif, à droite, deux chevaux ; proche de ces
sécurité et le lieu qu’ils occupent est prêt à s’écrouler sous leurs pieds . S’il n’y avait là que des enfans, de jeunes fous
ir la mère et lui montrer son fils prêt à tomber et à se briser à ses pieds , qu’il le fasse. Et pourquoi dans un autre morcea
8 (1761) Salon de 1761 « Peinture — Vien » pp. 131-133
e crois que Le Sueur a aussi le goût plus austère. Vien. Il est de 14 pieds de large, sur 9 pieds, 4 pouces de haut. Zephire
aussi le goût plus austère. Vien. Il est de 14 pieds de large, sur 9 pieds , 4 pouces de haut. Zephire et Flore, morceau de p
rogne. À tout moment les plus fins y sont pris. Du même. Il est de 5 pieds sur 4. Psyché qui vient avec sa lampe surprendre
syche n’est point cette femme qui vient en tremblant sur la pointe du pied  ; je n’aperçois point sur son visage ce mélange d
rs un lieu où l’on craint d’entrer et dont on est prêt à s’enfuir, un pied posé et l’autre effleurant la terre ; et cette la
ne espèce de transparence. Du même. Il est de 9 pouces de haut, sur 2 pieds de large. La Jeune Grecque qui orne un vase de br
bel effet. Autour de l’aumônier, des peuples qui s’élèvent sur leurs pieds et qui cherchent à voir la sainte. La sainte est
9 (1761) Salon de 1761 « Peinture —  Challe  » pp. 141-142
condamné. Un guerrier qui raconte ses aventures. Le Socrate est de 8 pieds de large, sur 6 pieds, 6 pouces de haut. Des troi
qui raconte ses aventures. Le Socrate est de 8 pieds de large, sur 6 pieds , 6 pouces de haut. Des trois tableaux de Challe,
us : Comment est-il arrivé à Challe de faire une belle chose [?] De 5 pieds 10 pouces de haut, sur 5 pieds de largeur. La Cle
alle de faire une belle chose [?] De 5 pieds 10 pouces de haut, sur 5 pieds de largeur. La Cleopatre se meurt, et le serpent
re de la reine d’Alexandrie. C’est un accident de la vie. Il est de 4 pieds , 6 pouces, sur 3 pieds, 6 pouces. Je ne sais ce q
drie. C’est un accident de la vie. Il est de 4 pieds, 6 pouces, sur 3 pieds , 6 pouces. Je ne sais ce que c’est que ce Guerrie
10 (1867) Cours familier de littérature. XXIV « CXLIIe entretien. Littérature cosmopolite. Les voyageurs »
e et par la mer Noire ; il débarqua ses marchandises et ses bijoux au pied du Caucase, et les achemina par la Géorgie, la Mo
egarde du Turc pour son château et pour toutes ses terres. Il fut sur pied toute la nuit, à amasser le présent qu’il devait
fait. Le frère laïque me voulut conduire à Anarghie. Nous marchâmes à pied , le préfet et moi, parce qu’on ne put trouver qu’
ce jour-là et les suivants ; je fus obligé d’aller en divers lieux à pied , en une saison de pluie, dans des bois pleins d’e
s et avec une vive douleur la dureté de leur sort. Il se jeta à leurs pieds , et leur dit que pour lui il ne craignait rien ta
izi. Chardin, au sortir de Tiflis, traverse L’Arménie en longeant le pied de l’Ararat et arrive en Perse. Com est la premiè
deux côtés ; elles sont de la longueur de la cour et hautes de trois pieds . Sur chacune, il y a vingt chambres voûtées de ne
es de trois pieds. Sur chacune, il y a vingt chambres voûtées de neuf pieds en carré, une cheminée et un portique. À l’entrée
des chapelles sur une ligne. Celle du milieu a une entrée de dix-huit pieds de profondeur, tout à fait magnifique. C’est un p
moresques, et, par-dedans, tout doré et azuré. La porte, qui a douze pieds de hauteur et six de largeur, est de marbre trans
le est octogone, couverte d’un haut dôme. Le bas, à la hauteur de six pieds , est revêtu de grandes tables de porphyre ondé, e
, Mousa-Cazem était le septième en ordre. Ce tombeau est long de huit pieds , large de cinq et haut de six, revêtu de carreaux
i tombe jusqu’en bas. Il est fermé d’une grille d’argent haute de dix pieds et massive, distante de demi-pied du tombeau, et
essus de soie et d’or, aux grandes fêtes. Au-dessus du tombeau, à dix pieds de hauteur, pendent plusieurs vases d’argent, qu’
commanda au grand maître de leur couper à tous deux les mains et les pieds . Le grand maître se jeta aux pieds du roi pour av
ouper à tous deux les mains et les pieds. Le grand maître se jeta aux pieds du roi pour avoir la grâce du favori. Le roi, ext
harge, se trouva là pour le bonheur de ces malheureux. Il se jeta aux pieds du roi, en les embrassant, et le supplia de leur
pommettes d’or parsemées de perles. Les chevaux étaient attachés aux pieds et à la tête avec de grosses tresses de soie et d
es chevaux et le balustre, on voyait quatre fontaines hautes de trois pieds et grosses à proportion, tout comme celles dont o
t chargés d’anneaux aux dents et de chaînes et d’anneaux d’argent aux pieds , et un rhinocéros. Ces animaux étaient l’un près
dant en bas dans la place, les hommes ne paraissent pas hauts de deux pieds , et regardant, au contraire, de la place dans le
couvert. Il n’avait que deux cavaliers à sa suite et quatre valets de pied qui marchaient autour de lui. Un aide des cérémon
appelle Ichic-Agasi-Bachi, le prit là, et le conduisit au baiser des pieds du roi. On appelle ainsi le salut que lui font se
ité qu’ils soient. Pabous est le terme persan qui signifie baiser les pieds . On l’appelle aussi zemin bous, c’est-à-dire bais
rand misérable, qu’il n’entretenait pas un cheval. L’introducteur mit pied à terre à cent cinquante pas du palais, et dit à
le fit avancer trois ou quatre pas, malgré l’opposition des valets de pied de l’introducteur, qui avaient mis la main à la b
comme il faisait encore résistance et voulait avancer, les valets de pied donnèrent de leurs bâtons sur le nez du cheval po
e faire reculer, et l’ambassadeur fut forcé de descendre. Il mit donc pied à terre avec deux de ses gens, qui le suivaient à
tendant. Les autres domestiques, au nombre de neuf ou dix, allaient à pied , en assez pauvre équipage pour une telle décorati
and-duc dans un sac de velours cacheté. On le conduisit au baiser des pieds du roi, comme on avait fait à l’ambassadeur des L
ier leurs chevaux, et en vitesse à la course. Ils ne mettaient jamais pied à terre pour ramasser des dards sur la lice, ni n
jusqu’à trois chopines ; elles sont larges et épatées, montées sur un pied haut de deux doigts seulement. On ne peut voir en
tit le premier, et trouva ses chevaux au même lieu où il avait mis le pied à terre. L’ambassadeur de Moscovie le suivait de
faisait. Il menaça, il tempêta durant un quart d’heure, frappant des pieds et retroussant son bonnet avec un étrange emporte
étrange emportement ; mais, après tout, il fut contraint d’avancer à pied et d’aller prendre ses chevaux au lieu où il les
me parut le plus royal, ce fut une douzaine de cuillères longues d’un pied , grandes à proportion, faites pour boire du bouil
lle écus. Il ne faut pas s’étonner qu’elles aient le manche long d’un pied , parce que, comme dans tout l’Orient, on mange à
ttre était enfermée dans un sac de brocart d’or fort épais, long d’un pied et demi, large comme la main, avec le sceau appos
ntent. Le 18, le roi partit pour continuer son voyage, et alla mettre pied à terre à deux lieues, à un gros bourg nommé Deul
e et tout ce qui en sort ; mais il ne lui est pas permis de mettre le pied dans les diverses salles où il est réservé. J’y a
11 (1763) Salon de 1763 « Peintures — Carle Vanloo » pp. 183-186
ntum mutatus ab illo ! Le premier est une grande composition de sept pieds six pouces de haut sur six pieds, trois pouces de
r est une grande composition de sept pieds six pouces de haut sur six pieds , trois pouces de large. Les trois Grâces l’occupe
ieu, de face, la troisième de profil. Un Amour élevé sur la pointe du pied , placé entre ces deux dernières et tournant le do
pudique une Venus lascive, à moins que ce linge ne descende jusqu’aux pieds de la figure. Que vous dirai-je de la couleur gén
fait faire l’exercice à ses cadets.   C’est un petit tableau de trois pieds , huit pouces de large, sur deux pieds, sept pouce
C’est un petit tableau de trois pieds, huit pouces de large, sur deux pieds , sept pouces de haut. Qui ne croirait sur le suje
ue l’idée en est maussade. On a versé crûment sur un espace de quatre pieds toutes les vessies d’un marchand de couleurs. Poi
12 (1763) Salon de 1763 « Peintures — Restout » pp. 187-190
sur la tête des Euménides ; attirant Cerbere qui vient lui lécher les pieds  ; répandant un rayon de sérénité sur le front sév
lets de lumière sont bien entendus. La tête d’Euridice est sotte, ses pieds et ses mains sont mal dessinés ; mais la couleur
t mal dessinés ; mais la couleur de toute la figure fait plaisir. Les pieds et les mains des autres figures sont aussi mal de
aison de Pierre et de beaucoup d’autres. Cette composition a dix-sept pieds , huit pouces de large, sur onze pieds de haut. Ce
us aux Grands de son royaumes.   C’est une autre composition de seize pieds , seize pouces de large sur neuf pieds de haut. Ce
état de peindre. Esther évanouie devant Assuerus.   Tableau de sept pieds , sept pouces de haut, sur neuf pieds de large. Il
vant Assuerus.   Tableau de sept pieds, sept pouces de haut, sur neuf pieds de large. Il faut être bien hardi pour tenter ce
13 (1834) Des destinées de la poésie pp. 4-75
courant sur les bruyères comme porté par un esprit qui empêchait mes pieds de toucher le sol, tantôt assis sur une roche gri
ns l’air limpide, vif et transparent de ces journées d’automne. À mes pieds , la vallée de Josaphat s’étendait comme un vaste
e, attiré par l’éclat azuré et plombé de la mer Morte, qui luisait au pied des degrés de ces montagnes, et derrière, la chaî
il de chèvre à mes chevaux attachés çà et là autour de ma tente ; les pieds enchaînés à des anneaux de fer, ces beaux et doux
ur les mouvoir. Un seul de ces moellons de Balbek avait soixante-deux pieds de long sur vingt-quatre pieds de largeur, et sei
moellons de Balbek avait soixante-deux pieds de long sur vingt-quatre pieds de largeur, et seize pieds d’épaisseur. Un de nos
ixante-deux pieds de long sur vingt-quatre pieds de largeur, et seize pieds d’épaisseur. Un de nos Arabes, descendant de chev
en montrent de plus colossales encore, élevées à vingt-cinq ou trente pieds du sol, pour porter des colonnades proportionnées
la colline de Balbek, plate-forme de mille pas de long, de sept cents pieds de large, toute bâtie de mains d’hommes, en pierr
es, en pierres de taille, dont quelques-unes ont cinquante à soixante pieds de longueur sur vingt à vingt-deux d’élévation, m
ommensurables, où trois morceaux de granit forment cent quatre-vingts pieds de développement, et près de quatre mille pieds d
nt cent quatre-vingts pieds de développement, et près de quatre mille pieds de surface, avec les larges embouchures de ses vo
c un peu de ciment. Une petite ogive de pierre s’élevait d’un ou deux pieds au-dessus de la plate-forme qui servait de toit à
sur le bord à pic d’une immense muraille de rochers de quelques mille pieds de profondeur, qui cernent la Vallée des Saints.
n.   La vallée s’abaissait d’abord par des pentes larges et douces du pied des neiges et des cèdres qui formaient une tache
s Alpes, et une multitude de filets d’eau écumante sortis çà et là du pied des neiges fondantes sillonnaient ces pentes gazo
nnées et venaient se réunir en une seule masse de flots et d’écume au pied du premier gradin de rochers. Là, la vallée s’enf
rochers. Là, la vallée s’enfonçait tout à coup à quatre ou cinq cents pieds de profondeur, et le torrent se précipitait avec
s de nous, mais la transparence de l’air nous le montrait comme à nos pieds et nous distinguions même deux navires à la voile
irmes venaient respirer l’air et voir un peu de soleil, partout où le pied de l’homme pouvait atteindre. Sur certains rebord
plus tard mon fiancé venait de me quitter, Après des soirs d’amour au pied du sycomore, Quand son dernier baiser retentissa
14 (1767) Salon de 1767 « Peintures — Loutherbourg » pp. 258-274
x lui tient le bras entre ses dents et lui arrache des cris. Sous ses pieds , des chevaux ; autour de ces combattans, des mort
us duquel, tout à fait de ce côté, une espèce de fabrique voûtée ; au pied de cette fabrique, des masses de roches. Plus ver
ntre d’une arcade d’où l’on descend à la mer par un long escalier. Au pied du phare, sur le même plan, vers la gauche, un va
malheureux qui se noie. Voilà qui est bien imaginé. Sur une avance au pied du rocher, un autre homme qui tourne le dos à la
e une femme noyée qu’un autre, sur la pente en dessous, porte par les pieds . Sur l’extrémité d’une de ces roches ceintrées du
met d’un nouveau rocher couvert d’arbustes et de plantes sauvages. Au pied de ce rocher, un voyageur conduit un cheval charg
x. on voit à droite un bout de roche. Sur cette roche des arbres ; au pied le pâtre assis. Il tend, en souriant, un morceau
upi une autre vache rousse ; celle-ci est sur le devant et couvre les pieds de la vache blanche. Autour de ces deux vaches, c
e la partie supérieure de la voûte ou arcade, et éclaire la scène. Au pied de la voûte sur le devant, une chèvre ; en s’avan
artent plusieurs chevrons, à l’un desquels la lampe est suspendue. Au pied de ce poteau, paniers et ustensiles. Proche la la
de ce côté, attenant à la porte sur le devant, fabrique de bois ; au pied de cette fabrique, des sacs debout, un crible et
brique de bois. Sur une planche attachée à un poteau lampe alumée. Au pied de ce poteau, pâtre endormi, son chien à ses pied
au lampe alumée. Au pied de ce poteau, pâtre endormi, son chien à ses pieds . Puis un amas de foin, une grande vache debout ;
s morts, ses mourans, ses blessés bien jettés, bien entassés sous les pieds de ses chevaux ; ses animaux vrais et animés ; ce
15 (1862) Cours familier de littérature. XIII « LXXVIIe entretien. Phidias, par Louis de Ronchaud (2e partie) » pp. 241-331
es les rêveries de la distraction : c’était le génie à l’ouvrage ; le pied alerte, le jarret tendu, le bras levé pour attein
en marbre. J’ai passé autant d’heures de contemplation délicieuses au pied du mausolée de Clément XIV, à Saint-Pierre, entre
ie de la Mort et les lions de la force au repos, que j’en ai passé au pied du mausolée de Julien de Médicis, par Michel-Ange
oujours de l’idéal : l’idéal est divin ! Tu n’aurais qu’à heurter tes pieds une seconde fois contre les pierres de notre rout
blanchir les têtes des sapins de Saint-Cergues, d’où l’on voit à ses pieds le lac Léman ? « Est-ce que le rayon déjà pâli du
niers battus du vent chaud, dont les fruits tombent d’eux-mêmes à tes pieds , l’écorce fendue, comme pour te montrer la belle
une muse de la religion et de la patrie, se levait à son approche du pied des statues, et l’accompagnait à travers la ville
, quand il vous a répondu, on doute encore. XLIII Plus loin, au pied de l’Acropolis, vous passez sous une porte obscur
eublées, une cour rafraîchie par une source et par un peu d’ombre, au pied de l’escalier une belle lionne en marbre blanc, d
onceaux de pierres entassées, barrant les chemins et roulant sous les pieds  ; tout cela couleur de ruines récentes, de ce gri
blocs de pierre noire, dont quelques-unes ont jusqu’à douze ou treize pieds cubes, reposent les uns sur les autres, et portai
lani pour recevoir les aires de ces temples, n’a guère que cinq cents pieds de longueur sur deux ou trois cents pieds de larg
s, n’a guère que cinq cents pieds de longueur sur deux ou trois cents pieds de large. Il domine toutes les collines qui forma
es, vivante et vêtue de ses mille temples inférieurs, bruissait à ses pieds comme une ruche trop pleine ; quand la grande mur
istyle de quarante-six colonnes d’ordre dorique. Chaque colonne a six pieds de diamètre à sa base, et trente-quatre pieds d’é
e. Chaque colonne a six pieds de diamètre à sa base, et trente-quatre pieds d’élévation. Les colonnes reposent sur le pavé mê
onnes. La dimension totale de l’édifice était de deux cent vingt-huit pieds de long sur cent deux pieds de large ; sa hauteur
e l’édifice était de deux cent vingt-huit pieds de long sur cent deux pieds de large ; sa hauteur était de soixante-six pieds
long sur cent deux pieds de large ; sa hauteur était de soixante-six pieds . Il ne présentait à l’œil que la majestueuse simp
guerre, les religions barbares, les peuples stupides, le foulent aux pieds depuis plus de deux mille ans. Il ne manque que q
qui doit les élever à leur place dans le monument qui les attend. Les pieds heurtent sans cesse contre les chefs-d’œuvre du c
16 (1767) Salon de 1767 « Peintures — Renou » pp. 301-307
versant avec les docteurs de la loi. tableau de 9 pieds de haut sur 6 pieds 6 pouces de large. Pour l’église du collège de Lo
et la colonne du temple qui termine le tableau de ce côté. Il y a au pied de cette colonne deux autres pharisiens à terre,
peint. L’enfant Jésus est blafard, a la tête plate. Les mains et les pieds n’y sont nullement dessinés. Effet médiocre ; lum
que, je crois, depuis le sommet de sa tête jusqu’à l’extrémité de son pied , que malgré la grâce, la facilité, la molle éléga
çoit moins encore cette énorme Amphitrite que cette Discorde dont les pieds étaient sur la terre et dont la tête allait se ca
qui marquent les extrémités d’un grand intervalle. Si la grandeur du pied ou la grosseur de la tête m’avait été donnée, aus
s parce qu’ils seraient toujours petits, quand ils auraient cinquante pieds de long. Et là-dessus je vous souhaite le bonsoir
et la Lorraine qui présentent le médaillon du roi à l’immortalité. Au pied d’un trône, un temps les ailes arrachées, la faux
17 (1865) Cours familier de littérature. XX « CXVIIIe entretien. Littérature américaine. Une page unique d’histoire naturelle, par Audubon (2e partie) » pp. 161-239
œurs, se rapproche beaucoup de l’élan. Quant au renne ou karibou, son pied est très large et très plat ; il peut l’étendre s
oir assez de ce fatigant exercice, lorsqu’enfin je le vis se poser au pied d’un gros arbre, presque sur les racines, et l’en
ent éternuement dont le bruit fit partit un troglodyte de dessous mes pieds . Le nid, que je n’eus pas de peine à découvrir, é
ue l’objet sur lequel il se tient ; puis, étendant tout d’un coup son pied nerveux que seconde l’action de ses ailes concave
n pareil cas, il n’est pas aisé de ne jamais le perdre de vue, car au pied d’un monticule, le long d’une muraille ou dans un
Une semaine ne s’était pas écoulée, qu’eux et moi nous étions sur un pied d’intimité complète. On était alors au 10 d’avril
était pas ordinaire, lorsque tout à coup la femelle se haussa sur ses pieds , regarda de côté sous elle, puis s’envola suivie
singuliers qu’on appelle sink holes, et qui s’enfoncent jusqu’à vingt pieds au-dessous de la surface du sol. J’ai remarqué qu
nfin atteindre le bord. À peine commençais-je à m’y raffermir sur mes pieds que mon chien accourut vers moi, avec toutes les
’avais fait souvent moi-même, tantôt debout, tantôt marchant à quatre pieds  ; mais il allait toujours devant moi, écartant de
saisit les petits bâtons dans son bec, au lieu de les tenir avec ses pieds . C’est au moyen de sa salive que l’hirondelle fix
e est généralement du côté de l’est, et à une distance de cinq à huit pieds de l’entrée. Mais dans le creux d’un arbre, où to
viennent à y remonter à l’aide de leurs griffes aiguës, en élevant un pied , puis l’autre, et en s’appuyant sur leur queue. D
pouvait en avoir encore près de cinq, même à une hauteur de cinquante pieds , où le tronçon d’une branche brisée et creuse, d’
e pieds, où le tronçon d’une branche brisée et creuse, d’environ deux pieds de diamètre, se séparait de la tige principale. C
aucune près du sycomore. Je rentrai chez moi, pour revenir bientôt à pied . Le soleil descendait derrière les montagnes d’Ar
r du tout dans l’intérieur de l’arbre, et ma gaule, d’au moins quinze pieds de long, avait beau s’y promener de droite et de
e frayai ou plutôt me perçai tout au travers un passage d’environ six pieds . Cette opération ne prit pas mal de temps, et com
inir à l’entrée supérieure de la cavité ne présentait pas moins de 25  pieds en hauteur sur 15 de large, en supposant à l’arbr
oins de 25 pieds en hauteur sur 15 de large, en supposant à l’arbre 5  pieds de diamètre, ce qui donnerait 375 pieds carrés de
rge, en supposant à l’arbre 5 pieds de diamètre, ce qui donnerait 375  pieds carrés de surface. Maintenant, accordons à chaque
a manière dont ils étaient entassés : il y aura 32 oiseaux par chaque pied carré, et, par conséquent, le nombre total que co
18 (1866) Cours familier de littérature. XXI « CXXVe entretien. Fior d’Aliza (suite) » pp. 321-384
abane ; ce bon chien était le père de celui que vous voyez couché aux pieds de son maître ; il l’a si bien instruit, qu’il no
d’aise, et le soleil en luisait et en chauffait mieux sur l’herbe au pied du châtaignier. Hyeronimo me rappelait tant mon m
e avec mon frère, trois ans avant de la demander à votre mère. Et ses pieds  ? — Ah ! il faut les voir quand elle les essuie t
ès avoir lavé les agneaux dans le bassin de la ravine : on dirait les pieds de cire de l’enfant Jésus, avec ses petits doigts
oncs fleuris, au fond du pré, sous les lauriers ; elle s’essuyait les pieds , debout, avec une brassée de feuilles de noisetie
evé pour ainsi dire de terre, comme par un ressort élastique sous les pieds . LXXV Les enfants le ressentirent et se mir
et se mirent à danser, l’un devant l’autre, comme deux chevreaux, au pied du châtaignier, moitié dans l’ombre, moitié sous
sein ne remplissait pas encore ; son jupon court, de laine brune, ses pieds nus, ses sandales à la main, comme deux tambours
à marcher gaiement devant eux en laissant la pauvre Fior d’Aliza, un pied levé, tout étonnée et toute triste de ne plus pou
Aliza sortant tout échevelée de la grotte aux chèvres, s’essuyant les pieds à l’herbe, et les bras à la laine des petits agne
r, moi le tireur, ne rapporterons-nous pas au logis cette colombe aux pieds roses ? Bartholomeo riait bêtement des joyeusetés
n à l’ombre de la grotte, où je me vois dans l’eau en me baignant les pieds et en filant ma quenouille, comme une sainte Cath
licieuse moue avec les lèvres. Elle se rassit et se remit à remuer du pied le berceau du petit, toute rêveuse et toute rouge
nt pour la dernière fois comme un chien qui meurt en vous léchant les pieds  ; morts non pas pour tout le monde, monsieur, mai
our la première et la dernière fois en ce monde, et ils étaient allés pieds nus, chacun de son côté, elle à Lorette, lui à Sa
e vigne sur notre propre mur, comme on aurait tué notre chien sur les pieds de l’aveugle pour le faire trébucher dans le préc
ur abattre et débiter le bois dans les forêts, parut avec l’aurore au pied du gros châtaignier ; ils s’assirent en cercle au
19 (1866) Cours familier de littérature. XXI « CXXVIe entretien. Fior d’Aliza (suite) » pp. 385-448
ons, mais des supplications contre cet homicide. Tombées à genoux aux pieds de l’homme noir, elles levaient leurs mains vers
dules ; les éclats d’écorce de bois volèrent sous l’acier jusqu’à nos pieds . Nous perdîmes la raison à ce bruit ; il nous sem
es levées, de peur de nous blesser en les laissant retomber contre le pied de l’arbre. — Écartez ces misérables insensés, s’
et les éclats de l’écorce et du bois saignant jonchaient l’herbe aux pieds des ouvriers. Presque évanouis tous les trois de
vous voyez ; tous les jours Hyeronimo et Fior d’Aliza apportaient au pied de l’arbre des mottes de terre humide, enlevées a
dait tout son sang et était venu se réfugier, par instinct, entre les pieds nus de Fior d’Aliza ; le petit chien, une jambe d
chanvre ; moi, assis contre la porte avec le chevreau mort entre mes pieds , pensant à la chèvre et à la nourriture de la mai
 Il faut te sauver aux Camaldules, lui dit sa mère ; tu appelleras du pied du mur, le frère Hilario, et tu le supplieras de
s sur les dalles, se jetèrent sur Hyeronimo, le précipitèrent à leurs pieds dans la poussière, et lui lièrent les mains derri
turer plus loin que sa chaîne ; puis, le relevant de terre à coups de pieds et à coups de crosses : — Marche, brigand, lui cr
nches de drap tombant vides le long de mon corps, ma jupe courte, mes pieds nus dans mes sandales pailletées qui me couvraien
de mon corps les habits de femme, j’ôte mes bras de mes manches, mes pieds de mes sandales, je prends au clou de la cheminée
u, la zampogne de son pauvre jeune mari défunt, me frappe les yeux au pied du lit de Magdalena ; je l’ouvre, j’en tire convu
i bien sur mes épaules, à ma ceinture, à mes jambes, à ma tête, à mes pieds , qu’on aurait dit que je n’en avais jamais revêtu
r trait pour trait à un jeune pifferaro des Abruzzes, qu’on écoute au pied des croix et des niches des villages, et à qui on
beaux longs cheveux coupés comme une toison d’agneau, jetés sous ses pieds au bord du lit, elle jeta de tels cris qu’ils rév
découvrir et que tu te coucherais, comme une chienne sans maître, au pied de sa tour pour le voir un jour mener au supplice
20 (1761) Salon de 1761 « Peinture —  Dumont le Romain  » pp. 115-116
Dumont le Romain 14 pieds de large, sur 10 de haut. Vous savez que je n’ai
e un génie armé d’un glaive qui menace la Discorde terrassée sous les pieds du monarque ; les rivières de Seine et de Marne é
ur le corps même de la Discorde dont les cuisses sont foulées par les pieds de cette figure. Mais après avoir appuyé un des p
foulées par les pieds de cette figure. Mais après avoir appuyé un des pieds sur les cuisses, pourquoi l’autre n’a-t-il pas pr
21 (1870) De l’intelligence. Deuxième partie : Les diverses sortes de connaissances « Livre deuxième. La connaissance des corps — Chapitre II. La perception extérieure et l’éducation des sens » pp. 123-196
pparaît comme un au-delà et un dehors. II Je viens de poser mon pied à terre ; j’éprouve une sensation de pression, et
uve une sensation de pression, et je juge qu’elle est située dans mon pied gauche, qu’elle est assez forte au milieu, légère
jugement ; pris en soi, il est faux ; la sensation n’est pas dans mon pied . Ici, depuis longtemps, les observations des phys
orie. La vérité est qu’un ébranlement s’est produit dans les nerfs du pied , plus fort à la plante, moindre aux doigts et au
otre appareil nerveux, elle est au centre ; ce qui se produit dans le pied , ce n’est pas elle, mais le commencement de l’ébr
le fourmillement dans tel ou tel orteil, à la plante ou sur le dos du pied , à la peau, etc. Je me suis convaincu, par des re
’une manière très distincte leurs orteils, leurs doigts, la plante du pied , la main… Un homme amputé de la cuisse éprouva en
es le même sentiment que s’il eût possédé les orteils et la plante du pied . J’appliquai un tourniquet sur le moignon, de man
 ; nous croyons que la couleur verte, qui nous semble étendue à trois pieds de nous sur ce fauteuil, est une de ses propriété
on de contact commence dans les extrémités nerveuses de la main ou du pied  ; ils ont beau nous montrer que l’éther vibrant c
signé, lorsqu’un fauteuil rouge ou un arbre vert est réellement à six pieds de moi, le mécanisme interne fonctionne comme dan
n de rouge ou de vert, détachée de moi et reportée en apparence à six pieds en avant de mes yeux. Ainsi, toutes nos sensation
En effet, sur la rétine, les images des objets sont renversées ; les pieds d’une figure sont en haut et la tête est en bas,
la tête est en bas, et néanmoins nous situons la tête en haut et les pieds en bas. L’emplacement apparent de nos deux sensat
il se compose, reprenons notre premier exemple. Je viens de poser mon pied à terre, j’éprouve une sensation de pression, et
nstate en même temps l’endroit de cette sensation ; elle est dans mon pied gauche, assez forte au milieu, légère au talon, p
même que, pour les faire, on imagine avec plus ou moins de netteté le pied dont il s’agit, et qu’on l’imagine visuellement,
gardions au même instant avec nos yeux ouverts. Nous nous figurons ce pied à telle distance de nos yeux, la courbure de la p
, dont ce picotement est voisin ; il n’est pas associé, comme dans le pied , la main, le bras, le visage, à tel point précis
le gazon, elle ne savait pas où il était, et peut-être tâtait avec le pied pour vérifier s’il n’était pas tout à côté d’elle
s. — On sait à quoi une carte géographique nous sert dans un voyage à pied  ; en lui appliquant le compas, nous prévoyons la
maintenant l’œil fixe et immobile sur une feuille verte placée à six pieds de nous. Dans tous ces cas, la sensation semble é
anées, nous percevons comme étendu et continu le sol sur lequel notre pied s’appuie, la portion de table sur laquelle s’étal
imple ; au fond, rien de plus compliqué. — Il y a devant moi, à trois pieds de distance, un livre relié en cuir brun, et j’ou
de nous sembler nôtre et nous paraît une tache étendue située à trois pieds de notre œil. — Grâce à l’image associée des sens
ent d’un poteau, par le son particulier que le sol rendait sous leurs pieds dans le voisinage du poteau. Ils pouvaient dire l
t qui ne pouvait pas entendre le tic-tac d’une montre à plus de trois pieds de distance, quand il était éveillé, l’entendait
pieds de distance, quand il était éveillé, l’entendait à trente-cinq pieds de distance, étant hypnotisé, et allait droit à l
la bouche ou le vent d’un soufflet à la distance de 50 et même de 90 pieds et s’en écartent ; un mouvement de la main ou d’u
entendue à un étage inférieur. Le bruit d’une montre est entendu à 25  pieds de distance. » — De même pour l’odorat, le goût,
22 (1867) Cours familier de littérature. XXIV « CXLe entretien. L’homme de lettres »
et le fracas des vagues qui brisent au loin sur les récifs ; mais au pied même des cabanes, on n’entend plus aucun bruit, e
’arc-en-ciel sur leurs flancs verts et bruns, et entretiennent à leur pied les sources dont se forme la petite rivière des L
vue immense et d’une solitude profonde. Un jour que j’étais assis au pied de ces cabanes et que j’en considérais les ruines
ment dans les bonnes terres, du riz dans les fonds marécageux ; et au pied des roches, des giraumons, des courges et des con
iers sur les hauteurs, des cannes à sucre dans les terres fortes, des pieds de café sur les collines, où le grain est petit,
À leur silence, à la naïveté de leurs attitudes, à la beauté de leurs pieds nus, on eût cru voir un groupe antique de marbre
ement qu’un lambeau de serpillière autour des reins. Elle se jeta aux pieds de Virginie, qui préparait le déjeuner de la fami
tige ne fût pas plus grosse que la jambe, elle avait plus de soixante pieds de hauteur. À la vérité, le bois de cet arbre n’e
Paul n’avait pas même un couteau. L’idée lui vint de mettre le feu au pied de ce palmiste. Autre embarras: il n’avait point
it trou sur une branche d’arbre bien sèche, qu’il assujettit sous ses pieds  ; puis, avec le tranchant de cette pierre, il fit
au de bois pointu dans le petit trou de la branche qui était sous ses pieds , et le faisant rouler rapidement entre ses mains
ssa des herbes sèches et d’autres branches d’arbres, et mit le feu au pied du palmiste, qui, bientôt après, tomba avec un gr
ches. Le bruit de ses eaux effraya Virginie ; elle n’osa y mettre les pieds , pour la passer à gué. Paul alors prit Virginie s
tronc: elle en fit des espèces de brodequins, dont elle s’entoura les pieds , que les pierres des chemins avaient mis en sang 
ase. Oui, je reconnais sa voix: serions-nous si près d’arriver, et au pied de notre montagne ? » En effet, un moment après,
de notre montagne ? » En effet, un moment après, Fidèle était à leurs pieds , aboyant, hurlant, gémissant et les accablant de
e. Mais quelle grâce ! Il me l’a montrée attachée, avec une chaîne au pied , à un billot de bois, et avec un collier de fer à
’un feu qui fumait encore ; enfin, il m’a conduit ici. Nous sommes au pied de la montagne des Trois-Mamelles, et il y a enco
e mettre en route: Paul et Virginie ne pouvaient plus marcher ; leurs pieds étaient enflés et tout rouges. Domingue ne savait
enfait sans récompense. » Ils arrivèrent vers le milieu de la nuit au pied de leur montagne, dont les croupes étaient éclair
mplicité: Paul avait planté un terrain parmi le Repos de Virginie. Au pied du rocher est un enfoncement d’où sort une fontai
rix accouraient sous l’herbe: tous s’avançaient pêle-mêle jusqu’à ses pieds , comme des poules. Paul et elle s’amusaient avec
, disait Virginie à la famille, les ombres des bananiers sont à leurs pieds  » ; ou bien: « La nuit s’approche, les tamarins f
t jusqu’au fond des anses, et y jetait des galets à plus de cinquante pieds dans les terres ; puis, venant à se retirer, elle
ofondes. Ces écumes s’amassaient dans le fond des anses à plus de six pieds de hauteur, et le vent qui en balayait la surface
s blancs et innombrables qui étaient chassés horizontalement jusqu’au pied des montagnes, on eût dit d’une neige qui sortait
aissait le vaisseau à sec, de manière qu’on en eût pu faire le tour à pied  ; mais bientôt après, revenant sur ses pas avec u
s honneurs à la vertu de Virginie. Mais quand son corps fut arrivé au pied de cette montagne, à la vue de ces mêmes cabanes
terra près de l’église des Pamplemousses, sur son côté occidental, au pied d’une touffe de bambous, où, en venant à la messe
son amie. Il allait seul se retirer dans le jardin, et s’asseyait au pied du cocotier de Virginie, les yeux fixés sur sa fo
retiré de la mer, je lui demandai pourquoi il avait été prier Dieu au pied de ces bambous ; il me répondit: « Nous y avons é
me silencieuse y tombe éternellement. On ramasse un grain de sable au pied de ces arbres et on le rapporte en Europe, non co
23 (1761) Salon de 1761 « Peinture —  Amédée Van Loo  » pp. 139-140
Amédée Van Loo Baptême de J. C. Il est de 11 pieds , 5 pouces de haut, sur 7 pieds, 4 pouces de large
Loo Baptême de J. C. Il est de 11 pieds, 5 pouces de haut, sur 7 pieds , 4 pouces de large. Le Baptême de J. C. La Guéris
lui dit je ne sais quoi. Les Familles de satyres. Elles ont chacune 4 pieds , 6 pouces de haut, sur 3 pieds, 6 pouces de large
milles de satyres. Elles ont chacune 4 pieds, 6 pouces de haut, sur 3 pieds , 6 pouces de large. En revanche, les deux Famille
24 (1860) Cours familier de littérature. X « LVIIe entretien. Trois heureuses journées littéraires » pp. 161-221
erres, les sureaux, les figuiers, les lilas, croissent en fouillis au pied de cette galerie, en cachent aux yeux les arcades
us des vents sur une mer houleuse. Ce bois comptait alors trois cents pieds de chênes de cent ou de deux cents ans. J’espérai
ait une tuile sur ta tête, une ombre sur ton front, un seuil sous tes pieds  ? Nous n’avons besoin ni de civisme, ni de harang
itrine des petits envolés. Les chiens dormaient, leurs têtes sous nos pieds , leurs yeux dans nos yeux. C’étaient les plus dou
t la France, qui s’arrêterait tout entière pour arracher une épine du pied nu d’un passant, mais qui ne se détournerait pas
us reposions, paisiblement adossés aux arbres, la tête à l’ombre, les pieds au soleil, les cheveux au vent, dans les poses de
rtial. Saisi d’une fièvre chaude, il a frappé avec colère la terre du pied  ; il s’est précipité dans l’éternité par dégoût d
V Un chien aboya tout à coup, et deux autres chiens, couchés à nos pieds , se levèrent en sursaut, et traversèrent à grands
ines, Et son front se levait pour te faire un abri. Elle entoura tes pieds d’un long tapis de mousse, Où toujours en avril e
nie, Des chênes et des pins elle emprunte la voix. Ainsi jusqu’à ses pieds l’homme t’a fait descendre ; Son fer a dépecé les
soit, cependant, ma voix bénit ton être Pour le divin repos qu’à tes pieds j’ai goûté. Dans un jeune univers, si tu dois y r
ces vers, pleins des mêmes parfums dont Madeleine brisait le vase aux pieds de son Sauveur : Dans l’urne aux blancs contours
 ! Oh ! que tout soit pour lui : donnez, ô Madeleine, Versez, sur ses pieds nus, votre âme toute pleine ; Versez le fond du v
tre beauté. Tout en vous est parfum, et tout sera compté ! Brisez aux pieds du Christ ce cœur doux et fragile. Ce que la loi
rêveurs qui sont toujours enfants. Tous ceux sur qui le fort met ses pieds triomphants ; Les faibles sont les siens, sa forc
25 (1866) Cours familier de littérature. XXII « CXXVIIe entretien. Fior d’Aliza (suite) » pp. 5-64
s et fouler, en chantant, les grappes dans les granges avec ses beaux pieds , tout rougis de l’écume du vin. — Ah ! nous allon
s, c’est la vieillesse, à ce qu’on dit ; les jeunes n’en sont que les pieds et les mains. CLI — Mais, après la noce, to
doigts, cela m’excitait, monsieur, et je crois bien qu’après l’air au pied de la Madone, je n’ai jamais joué si juste et si
se fermait avec un bruit creux qui résonnait du haut en bas jusqu’au pied de l’escalier de la tour. On dit qu’elle avait se
yeronimo lâchant sur eux son coup de feu ; le bandit de sbire mort au pied de l’arbre ; Hyeronimo, surpris et enchaîné, cond
plutôt à rouvrir les yeux et à prier et à pleurer, toute la nuit, au pied du lit, le front sur la zampogne et les mains joi
qui me servait de fenêtre, et que ce bruit me fît me dresser sur mes pieds , comme en sursaut, quand on se réveille d’un mauv
feu ! J’en glissai inanimée tout de mon long sur la pierre froide, au pied de la lucarne ; le froid des dalles sur mes mains
la tour, je ne sais comment cela se fit, mais je posai par hasard le pied sur ma zampogne, qui avait glissé du lit sur le p
ncore tout à fait désenflée du vent de la noce ; elle rendit sous mon pied un reste d’air ni joyeux ni triste, mais clair et
, comme si je lui avais fait un mal volontaire en la foulant sous mon pied  ; je l’embrassai, je la serrai sous mon bras comm
aient de plaisir dans les bruyères ; ils s’arrêtaient de brouter, les pieds de devant contre les rochers et la tête tournée v
s-je, quand l’air fut joué, qu’entendîtes-vous, pauvre abandonnée, au pied de la tour ? — Hélas ! rien, monsieur, rien du to
sai tomber à terre la zampogne et je glissai moi-même, découragée, au pied de la lucarne, les bras accrochés aux barreaux de
de la loge était en pente et communiquait, par une grille sous leurs pieds , avec le grand égout de la ville où on leur faisa
26 (1856) Cours familier de littérature. I « Ier entretien » pp. 5-78
qui suit la rive du fleuve. De petits villages s’élèvent çà et là aux pieds ou sur les flancs rapides de ces collines ; leurs
s ou quatre villages à peu près semblables, qui tachaient de blanc le pied d’autres collines pareilles, ou qui fumaient le s
erts de cet arbrisseau, qui ressemblent à de petites marmites à trois pieds , amusement et étonnement de leur enfance. Bientôt
s paroles sur les promesses que le printemps fait à la vendange. « Au pied d’un cep qui l’a distillée l’automne précédent, u
ôtés sont semés de pierres roulantes ; ces cailloux glissent sous les pieds , quand on la gravit, avec un bruit de vagues qui
iers étroits, à peine perceptibles, et tous les jours effacés par les pieds des chèvres, conduisent par des contours un peu p
hute accidentelle des petits coquillages pétrifiés qu’un mouvement du pied fait rouler jusqu’au bas de la montagne ou les im
t assis, son livre ouvert dans la main, je m’occupais agréablement au pied des créneaux à choisir, parmi les pierres roulées
cette famille patriarcale, entourée de terrasses et de parterres, au pied de la montagne de Monsard, au bord d’une route po
e donne carrière à sa malignité, satisfait qu’elle me foule ainsi aux pieds pour voir si à la fin elle n’en aura pas quelque
eux curé du village de Bussières, hameau que nous voyions blanchir au pied de la montagne, parmi les vignes et les chènevièr
s le fond du paysage. J’y descendais presque tous les soirs, tantôt à pied , tantôt à cheval, pour passer une ou deux heures
un instant stupéfait de surprise sur le seuil, ne sachant où poser le pied pour y entrer à la suite de mon guide. XXVIII
teur des genoux. Un étroit sentier tortueux, tracé évidemment par les pieds du solitaire à travers ces volumes, conduisait au
sa tête comme un oreiller ; d’autres volumes marquaient la place des pieds par un bourrelet de livres qui encadraient cette
ve dans ces livres, rapportés de mes voyages et jetés pêle-mêle à mes pieds , une société pour mon esprit. « Cette société me
aimés ; je ne fais plus un pas hors de ma demeure sans me heurter le pied à une de ces pierres d’achoppement de nos tendres
r, comme dit le Dante. Les chenets sur lesquels mon père appuyait ses pieds , et sur lesquels j’appuie aujourd’hui les miens,
27 (1767) Salon de 1767 « Sculpture — Allegrain » p. 322
Allegrain une baigneuse. figure en marbre de 5 pieds 10 pouces de proportion. Belle, belle, sublime fi
égères sans être ni maigres ni grêles ! La critique était arrivée aux pieds , sans avoir rien remarqué qui la consolât. Ah ! P
ée aux pieds, sans avoir rien remarqué qui la consolât. Ah ! Pour ces pieds , dit-elle, ces pieds sont un peu négligés. Les am
oir rien remarqué qui la consolât. Ah ! Pour ces pieds, dit-elle, ces pieds sont un peu négligés. Les amateurs, dont il ne fa
28 (1864) Nouveaux lundis. Tome II « Campagnes de la Révolution Française. Dans les Pyrénées-Orientales (1793-1795) »
de réoccuper une de ses anciennes provinces, il résolut d’y procéder pied à pied, avec lenteur. Il avait trop de lumières p
ccuper une de ses anciennes provinces, il résolut d’y procéder pied à pied , avec lenteur. Il avait trop de lumières pour don
s, que nous possédons, et cette fois non de profil et à demi, mais en pied et tout entier, grâce au travail de M. Fervel. J’
appointement du moins, qui ramenaient l’armée espagnole en arrière au pied des Pyrénées. » Dagobert signala son retour en C
échauffourée sur Roses, il s’en acquitta selon ses instructions et au pied de la lettre, mais cette fois sans entrain ni ver
it à Monteilla dans une position fortifiée, gravissant des premiers à pied en tête de la colonne, à travers les neiges ; pui
il fut enterré « dans une tombe pareille à celle du pauvre », mais au pied de l’arbre de la liberté. — Ses restes furent ens
’on les conduisît au canon, un bataillon entier était, littéralement, pieds nus ; on hésitait à l’employer. Mais craignant d’
soldats à l’instant découpent leurs havre-sacs, s’en enveloppent les pieds , et courent supplier leur chef de leur permettre
29 (1763) Salon de 1763 « Sculptures et gravures — Falconet » pp. 250-251
s parler, il est assez inutile de vous dire que c’est le Pigmalion au pied de sa statue qui s’anime. Il n’y a que celui-là a
un peu inclinée vers la terre, ou plutôt vers Pigmalion qui est à ses pieds . La vie se décèle en elle par un souris léger qui
é, cédera à votre impression. Combien de vérité sur ces côtes ! Quels pieds  ! Qu’ils sont doux et délicats ! Un petit Amour a
en être tiré, avec le nom de Phidias en grec, brisé, mutilé, dans les pieds , dans les bras, je le regarderais en admiration e
30 (1765) Essais sur la peinture pour faire suite au salon de 1765 « Mes pensées bizarres sur le dessin » pp. 11-18
de contrainte et de peine. Couvrez cette figure, n’en montrez que les pieds à la nature ; et la nature dira, sans hésiter, Ce
trez que les pieds à la nature ; et la nature dira, sans hésiter, Ces pieds sont ceux d’un bossu. Si les causes et les effet
une imitation rigoureuse de la nature, ne fût souvent justifié de ses pieds trop gros, de ses jambes courtes, de ses genoux g
Venus de Medicis, et de ne laisser apercevoir que l’extrémité de son pied . Si sur l’extrémité de ce pied la nature évoquée
sser apercevoir que l’extrémité de son pied. Si sur l’extrémité de ce pied la nature évoquée derechef se chargeait d’achever
tion qui se sent, qui se voit, qui s’étend et serpente de la tête aux pieds . Qu’une femme laisse tomber sa tête [en devant],
31 (1863) Histoire des origines du christianisme. Livre premier. Vie de Jésus « Chapitre XXV. Mort de Jésus. »
tres liées en forme de T 1168. Elle était peu élevée, si bien que les pieds du condamné touchaient presque à terre. On commen
attachait le patient, en lui enfonçant des clous dans les mains ; les pieds étaient souvent cloués, quelquefois seulement lié
D’autres fois, une tablette horizontale était fixée à la hauteur des pieds et les soutenait 1172. Jésus savoura ces horreurs
ia) des suppliciés 1176, tirèrent au sort ses vêtements, et, assis au pied de la croix, le gardaient 1177. Selon une traditi
anmoins déclare avoir été présent et être resté constamment debout au pied de la croix 1180. On peut affirmer avec plus de c
l fallait en croire Jean 1183, Marie, mère de Jésus, eût été aussi au pied de la croix, et Jésus, voyant réunis sa mère et s
u monde ; il perdit de vue le spectacle hideux qui se déroulait à ses pieds , et, profondément uni à son Père, il commença sur
32 (1870) De l’origine des espèces par sélection naturelle, ou Des lois de transformation des êtres organisés « De l’origine des espèces par sélection naturelle, ou Des lois de transformation des êtres organisés — Chapitre IX : Insuffisance des documents géologiques »
templer des assises de conglomérat d’une puissance de plusieurs mille pieds , qui, bien que formées plus vite peut-être que be
tière s’est accumulée. Dans les Cordillières, j’ai estimé à dix mille pieds l’épaisseur d’une de ces assises de conglomérat.
ultat : Terrains paléozoïques non compris les roches ignées 57, 154 pieds Terrains secondaires 13, 190 pieds Terrains t
ompris les roches ignées 57, 154 pieds Terrains secondaires 13, 190 pieds Terrains tertiaires 2, 240 pieds Ensemble 72,
eds Terrains secondaires 13, 190 pieds Terrains tertiaires 2, 240 pieds Ensemble 72, 584 pieds   C’est-à-dire environ
s 13, 190 pieds Terrains tertiaires 2, 240 pieds Ensemble 72, 584 pieds   C’est-à-dire environ treize milles anglais et
Angleterre que par de minces couches de strates, ont plusieurs mille pieds de puissance sur le continent. De plus, si l’on e
t déposé par le Mississipi à son embouchure ne s’élèverait que de 600 pieds en cent mille années. Cette approximation n’a pas
ture d’escarpements perpendiculaires d’une hauteur de 1, 000 à 2, 000 pieds  : l’inclinaison en pente douce des torrents de la
s de l’autre à la hauteur ou à la profondeur de plusieurs milliers de pieds . Que, du reste, ces cataclysmes aient été soudain
aquelle le déplacement vertical des strates varie entre 600 et 3, 000 pieds . Le professeur Ramsay a décrit un autre affaissem
pieds. Le professeur Ramsay a décrit un autre affaissement de 2, 300 pieds dans l’île d’Anglesea, et je tiens de lui qu’il é
ieds dans l’île d’Anglesea, et je tiens de lui qu’il évalue à 12, 000 pieds celui qu’on observe dans le comté de Merioneth. C
s côtes de l’Amérique du Sud qui ont été soulevées de plusieurs cents pieds pendant la période actuelle. Tout le long de la c
a exigé. On pourrait citer beaucoup d’exemples de couches de quelques pieds d’épaisseur qui représentent, dans une contrée, d
ont les puissantes assises atteignent autre part une hauteur de mille pieds , et qui doivent conséquemment avoir exigé un temp
lle-Écosse des couches carbonifères d’une épaisseur de quatorze cents pieds , renfermant d’anciennes racines qui portaient la
ue aussi ancienne que celle des terrains miocènes. Sans les traces de pieds d’oiseaux qui se sont conservées par un heureux h
des doigts qu’indiquent les empreintes corresponde avec la forme des pieds des oiseaux vivants, quelques savants doutent cep
33 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre II. Mademoiselle Mars a été toute la comédie de son temps » pp. 93-102
du parterre ; elle se rappelle tous les triomphes entassés là, à ses pieds  : ce théâtre glorifié, cette scène agrandie, et l
ir ; il se trouble, il hésite, il est prêt à vous dire en frappant du pied , comme cet amateur homme d’esprit qui, jouant le
se à grand orchestre. — “Madame (ou Monsieur) vous qui avez vu, à vos pieds , un parterre de rois !” Donc ce jour-là le parter
artistes, pour les aimer, pour les applaudir, pour se prosterner aux pieds des chefs-d’œuvre ! Ô la jeunesse ! sans haine, s
qui se jettent à la fin d’un opéra, d’un ballet ou d’une comédie, aux pieds , souvent assez laids et assez plats, de la divini
e. La fatale couronne était donc, moitié noire et moitié blanche, aux pieds de mademoiselle Mars, et, par un grand malheur, c
seulement, un jour que ce jeune homme de quatre-vingts ans était aux pieds de sa maîtresse, et comme ses deux laquais tardai
34 (1767) Salon de 1767 « Sculpture — Pajou » pp. 325-330
ais pas le sens commun. Caffieri. l’innocence. figure en marbre de 2 pieds 4 pouces de proportion. L’ innocence ? Cela l’ in
drapée ; le linge qui dérobe sa cuisse et sa jambe à miracle ; jolis pieds , jolies mains, jolie tête. Permettez que j’efface
, une figure de ronde-bosse tenant une balle dans la main, foulant du pied une couronne, son autre bras ramené sur son ventr
oles. Qu’est-ce que cette balle ? Et l’orgueil foule encore mieux aux pieds les couronnes que l’humilité. à gauche, adossée a
sentiment général, que cette douleur n’est que celle d’une vierge au pied de la croix ; qu’elle est unie, monotone, sans in
tendu à ce que vous fesiez ? Falconnet a-t-il eu besoin de graver au pied de son amitié, l’amitié ? Eh ! Laissez à notre im
35 (1880) Les deux masques. Première série. I, Les antiques. Eschyle : tragédie-comédie. « Chapitre II, grandeur et décadence de Bacchus. »
poser ses doigts sur les roseaux du syrinx et à frapper la terre d’un pied cadencé. Il enfourche gaiement le cabri foIâtre,
dit l’Hymne homérique, — « et il les conduisait, et le bruit de leurs pieds enveloppait la vaste forêt. » Maintenant que le v
’argile, escortent péniblement les buveurs : ils trébuchent sur leurs pieds encore pris dans le moule du socle, comme des cru
tachetée, emblème du ciel étoilé, glisse sur sa nudité juvénile ; ses pieds sont chaussés de splendides cothurnes. Il tient l
mple, accompagné des Grâces ; viens dans ton temple maritime, avec un pied de bœuf ! Ô bon taureau ! glorieux taureau ! » —
ble, des races innombrables, des rois portés sur des monstres dont le pied écraserait l’Hydre, dont la trompe broierait la C
ngs, criant : Evohé ! Leurs éléphants, du premier choc, fouleront aux pieds cette troupe d’ivrognes, comme ils foulent eux-mê
Bacchus les combat à coups d’enchantements. Ses légions traversent à pied sec le courant des fleuves ; il jette pêle-mêle d
flot jailli du sol. Pour dernier exploit, il se change en vigne : ses pieds s’enracinent, sa chevelure se disperse en pampres
isait sur un lit couvert de feuillages, presque nu, son lévrier à ses pieds , les yeux fardés d’antimoine, chaussé de ses svel
. « Ô maîtresse ! Aphrodite d’or ! Après douze mois, les Heures, aux pieds délicats, te ramèneront Adonis, tel que le voici,
ir pas à rendre leurs comptes de tutelle. Qu’il se garde de mettre le pied dans l’initiation qu’on lui offre, la mort est au
changement à vue transforme ses bacchanales en sabbat. Les Satyres à pieds de chèvre et à queue de singe jettent bas leurs m
es breuvages de vertige faits de plantes herborisées sous la lune, au pied des gibets. En place des taureaux et des faons qu
proie. — Quelquefois aussi, il prend l’aspect d’un tronc d’arbre sans pied , surmonté d’un masque livide ; réminiscence diffo
36 (1767) Salon de 1767 « Peintures — Beaufort » pp. 308-316
Beaufort Une flagellation. tableau de 9 pieds de haut, sur 6 pieds de large. Le Christ est debout, vu par le dos et
par le dos et de trois quarts de face. Un bourreau courbé lui lie les pieds à la colonne, celui-ci est sur le devant. Un autr
dieu des bois avec son instrument champêtre, ses cuisses velues, son pied fourchu et sa mine de bouquin ; il a l’air conten
itrine à l’aspect d’un sacrifice païen, ni la Magdeleine essuyant les pieds du sauveur de ses beaux cheveux ; ni la même sain
ux languissants de luxure, une gorge charmante, le cou, les bras, les pieds , les mains, les épaules et les cuisses de Vénus ;
erté avec laquelle certains chrétiens fanatiques se sont présentés au pied des tribunaux des préteurs, de la majesté prétori
M. Webb et à l’abbé Galiani. On voit, dans une chapelle à gauche, au pied d’un autel, un benêt de st Louis… mais j’ai juré
37 (1860) Cours familier de littérature. X « LVIIIe entretien » pp. 223-287
comme ceux qui ne tiennent au sol que par l’extrémité inférieure, les pieds , et qui semblent prêts à s’élever dans l’atmosphè
mme les pas de nos tragédiennes sur le théâtre, pour le faire marcher pieds nus sur la terre nue comme vous et moi, au pas na
is , selon la définition si juste d’Horace. Cette poésie qui marche à pied , qui ne se drape pas à l’antique, qui ne se met n
philosophe de l’espérance. L’hymne évaporé, il descend plus bas, d’un pied plus rapide, et il aperçoit de loin les tours dém
x blancs lévriers, amis et fils d’amis, Dans l’épaisse fourrure à ses pieds endormis. L’hôte est bon : je l’ai vu veiller ave
s. Par un beau soir d’octobre, toute cette société, les jeunes gens à pied , les femmes à cheval, les enfants sur des ânes, p
ls n’ont pas le temps de reprendre leurs sabots, et qu’ils se sauvent pieds nus en abandonnant leur chaussure de bois sur le
 : la petitesse des sabots disait l’âge des enfants par la mesure des pieds qu’ils avaient chaussés. Les visiteurs et les enf
moi-même au rendez-vous par le sentier opposé de la montagne. Je mis pied à terre, et j’attachai mon cheval à un noisetier,
ux gris ou sous nos fronts chauves. ………………………… Le poète, En mettant pied à terre au sommet du plateau Aperçut des sabots p
tatue. On eût dit que ce corps si léger n’aurait pas eu besoin de ses pieds pour le porter ; ce n’était qu’une âme habillée.
prières inconnues et inexaucées pour moi ; que, renversé et foulé aux pieds , elle m’avait voué des larmes.… les larmes, seule
ombaient avec leur ombre de leurs cimes ; les sentiers battus par les pieds d’amis s’effacent, le château est désert ; le che
38 (1857) Cours familier de littérature. III « XVe entretien. Épisode » pp. 161-239
s’y repose, On entend dans l’éther glisser le moindre vol ; C’est le pied de l’oiseau sur le rameau qui penche, Ou la chute
entiers rocheux des granges Rougis par le sang du raisin. Regarde au pied du toit qui croule : Voilà, près du figuier séché
de ses pères, pour la démeubler avant de secouer la poussière de ses pieds sur le seuil chéri, et de lui dire un pieux adieu
ère lesquelles se creuse la vallée de Saint-Point. Quand j’arrivai au pied de ces montagnes, je mis la jument au petit pas.
Syrie, qui viennent de minute en minute heurter et laver d’écume les pieds du Liban. Je savais que ce vent venait en effet d
la porte de ma cour sans y entrer ; je suivis, sans lever la tête, le pied du mur noir et bossué de pierres sèches qui borde
p de vent du chaos ; sur leurs flancs, de nombreux villages ; à leurs pieds , une immense plaine de prairies semées d’innombra
pour écouter si les vagues de la mer d’Argos ne bruissent pas à leurs pieds . À mesure que je descendais, la petite vallée do
ses naseaux à droite et à gauche en flairant le vent, elle rongea du pied le rocher de granit sur lequel je l’avais arrêtée
verte de ses graines de pourpre, pour qu’elle pût brouter à l’aise au pied du buisson, et je m’assis un moment sur la racine
tier, sur une pente de bruyère granitique, avait fait rouler sous ses pieds . Elle avait rompu d’une saccade de tête les tiges
souvent sous le vieux sorbier de votre cour, quand nous ramassions au pied de l’arbre les sorbes que la Madeleine votre femm
continua-t-il en souriant ; « j’en ai sur les mains, j’en ai sous les pieds . Je passe des heures entières à écouter près des
39 (1767) Salon de 1767 « Peintures — Taraval » pp. 282-283
Taraval Repas de Tantale . tableau de 4 pieds de large sur 3 pieds 9 pouces de haut. Je veux mo
Taraval Repas de Tantale . tableau de 4 pieds de large sur 3 pieds 9 pouces de haut. Je veux mourir si ni vous, ni m
est Jupiter, je le reconnais à l’oiseau porte-foudre qu’il a sous ses pieds . Sur le fond une table couverte d’une nappe. Au-d
tigre. Sur un grand coussin d’étoffe argentée Vénus est étendue à ses pieds . On ne la voit que par le dos. Ce dos est beau et
40 (1867) Cours familier de littérature. XXIII « cxxxviie entretien. Un intérieur ou les pèlerines de Renève »
monsieur, en travaillant jour et nuit, en escomptant mes récoltes sur pied , en hypothéquant les racines de mes vignes, en re
on de mon enfance. J’y avais baisé, en m’en séparant, les marques des pieds de mon père, de ma mère, de mes sœurs sur le sabl
regards plus tard me faisaient rougir quand je les voyais laver leurs pieds roses dans les eaux de la rivière. Hélas ! que so
t qu’à deux pas d’ici et où personne ne s’arrête à moins de voyager à pied  ? — C’est que nous ne sommes pas riches, et que p
été touché partout de notre simplicité, et du motif de notre voyage à pied , et le peuple hospitalier nous a traitées en amie
vaient pas encore d’habitués ni de meubles, étonnés de notre voyage à pied , crurent que nous manquions de tout, et voulant s
abotier, marchand de fromages, dont l’enseigne disait qu’il logeait à pied et à cheval. Nous y fûmes très bien à dix sous pa
. On croit contempler une belle vallée de la Lombardie italienne ; au pied de la fenêtre de la chambre, le pays que l’on voi
rs à gauche, monter la colline et redescendre : vous serez bientôt au pied du clocher de Bussières que vous cherchez, et tou
lusieurs fois de maître, et un vieux serviteur qui fendait du bois au pied de la galerie, dans l’écurie, nous raconta toutes
et d’écuries. Quelques vaches maigres broutaient l’herbe poudreuse au pied des murailles, deux femmes tricotaient assises su
est bien cela, dit Mathilde. Voilà la mare creusée dans le roc vif au pied du toit pour recueillir l’eau des pluies et arros
Elles furent toutes vivement touchées en apprenant que nous venions à pied de plus loin que Dijon pour faire une espèce de p
famille. Quand ils surent que nous étions de pauvres pèlerins venus à pied de si loin pour voir Saint-Point, ils nous introd
41 (1858) Cours familier de littérature. VI « XXXIIIe entretien. Poésie lyrique. David (2e partie) » pp. 157-220
uvrages même de tes mains ! Tu as mis l’univers sous la plante de ses pieds  ! « La brebis, le bœuf, tout, et aussi les animau
Jéhovah ? « Quel autre rocher que lui ? « Il égale la vitesse de mes pieds aux pieds des biches ! « Il me transporte sur les
« Quel autre rocher que lui ? « Il égale la vitesse de mes pieds aux pieds des biches ! « Il me transporte sur les hauteurs
ma main bande l’arc d’airain ! « Il élargit sous moi la plante de mes pieds , « Et mes talons ne glissent pas ! « Mes ennemis
le poème national d’un peuple exclusivement théocratique, chanté aux pieds de ses autels par un pontife-roi. L’épopée finit
la terre, et se mirent à creuser en silence son dernier lit, sous les pieds de nos chevaux. La terre autour de la ville était
ores, rafraîchies par l’haleine et par le murmure des eaux ; c’est au pied de quelques-uns de ces térébinthes, aïeux du téré
lent à perte de vue comme des Alpes sans neige derrière ses flots, au pied des monticules coniques ou pyramidaux, mais toujo
a poussière du héros et du barde d’Israël reposait peut-être sous mes pieds , dispersée par les siècles de l’une de ces grande
sensible et respirable comme un parfum évaporé du vase brisé par les pieds du cheval à l’entrée d’un héros dans une grande v
e jetai un cri et je me levai de mon bloc de pierre sur la pointe des pieds , pour mieux saisir dans la brise les sons aériens
avoir, dans ces collines, Laissé son sang sur les épines, Déchiré ses pieds au buisson ? Collé dans la nuit solitaire Son ore
ue, Muette sous un vent de feu, Et le guide des caravanes Attacher le pied de ses ânes Aux piliers du temple de Dieu ! Le ch
42 (1862) Cours familier de littérature. XIII « LXXVIe entretien. La passion désintéressée du beau dans la littérature et dans l’art. Phidias, par Louis de Ronchaud (1re partie) » pp. 177-240
dans vos expositions de tableaux et de sculptures, soit en Italie aux pieds du Colisée ou de Saint-Pierre de Rome, soit à Lon
ance, soldat, chevalier, pasteur à la fois. Il suffit de l’avoir vu à pied dans les steppes, la bride de son cheval passée a
abités par la famille, m’a ramené une fois (il y a longtemps) seul, à pied , un sac de voyage sur le dos, sur ces plateaux et
de la France : et in Arcadia ego  ! XVIII Quand on chemine à pied de Mâcon à Saint-Claude, on trouve d’abord la Bre
te est serpentante comme la couleuvre d’eau bleue qui se glisse à vos pieds à travers les prairies étroites et les petits cap
poète qui habite les bords de l’Océan sur le rivage, habite aussi les pieds des montagnes sans issues ; c’est l’impression du
ffets de perspective dans les profondeurs que dans le Liban, quand au pied des cèdres on plonge de l’œil sur la petite ville
mats méridionaux qu’elle habite l’image d’une Velléda des Gaules, les pieds nus dans les neiges, la tête dans l’auréole de l’
, où le lit sans rideau trouve à peine assez de place pour ses quatre pieds de bois blanc, que j’ai visité, jadis, l’enthousi
groupe prisonnier de soldats turcs qui faisaient leur feu de myrte au pied d’une colonne, foyer auquel deux jambes de déesse
seul et devait seul ressusciter cette Athènes toute cadavéreuse à nos pieds  ; car, il ne faut pas s’y tromper, c’est Phidias
u dans le ciel du pont d’un vaisseau et contemplé ensuite à loisir du pied de ses colonnades, que j’écrivais, il n’y a pas l
43 (1887) Journal des Goncourt. Tome I (1851-1861) « Année 1854 » pp. 59-74
reusées par la houle, découvrent quelque ange en plâtre agenouillé au pied d’un tombeau. Ce riant pré de la Mort est tout en
sauvages et enveloppent de tous côtés la tombe et, se traînant à son pied , la cachent sous des roses si pressées, qu’elles
ès le treillage, qui menait presque jusqu’à sa fenêtre. A… lâcha vite pied  ; la montée n’était pas bien sûre. Mais moi, une
ha vite pied ; la montée n’était pas bien sûre. Mais moi, une fois le pied à l’escalade, je montais sérieusement. J’avais ét
ai sur le balcon. J’avais été amoureux pendant une longueur de quinze pieds . Je crois bien que je n’aurai de l’amour dans tou
mais toutefois au dos une vieille robe de chambre du monsieur, et aux pieds de vieilles pantoufles de la dame. Le propriétair
44 (1880) Les deux masques. Première série. I, Les antiques. Eschyle : tragédie-comédie. « Chapitre VII, seconde guerre médique. »
sible : aucun homme n’avait le droit d’y monter ; le cocher suivait à pied , tenant les rênes dans sa main. Xerxès venait ens
rd réduisit en cendre les millions d’hommes qui se mouvaient sous ses pieds , cet horizon fourmillant lui apparut vide comme u
e Bouddha indien, s’il avait vu défiler l’armée d’Alexandre, assis au pied du figuier sauvage sous lequel il méditait le Néa
e eu cercle : — car ni la tête ne demeure solide, ni le corps, ni les pieds , ni les mains, — ni rien du milieu ne subsistent 
es épis sans courber leurs tiges, et sur les eaux sans mouiller leurs pieds  ». Borée exauça ces invocations : il souffla sur
Xerxès fit donner sa garde ; les Immortels s’avancèrent et lâchèrent pied comme les autres. La tactique grecque jouait avec
onnes divines d’Ictinos. Les statues de l’antique école de Dédale aux pieds joints, aux jambes parallèles, aux yeux indiqués
Avant six mois, il promettait au Roi d’abattre la Grèce esclave à ses pieds . Mardonios hiverna en Thessalie : le printemps ve
uvèrent aux prises avec les hoplites couverts d’airain de la tête aux pieds . Leur défense fut désespérée : ils se cramponnaie
rvaient, le soir, à leur maître. Ils dressèrent aussitôt des lits aux pieds d’argent et des tables drapées de pourpre, couver
ut aussi son messager idéal, l’Hermès humain, fendant l’espace de ses pieds ailés, et payant de son dernier souffle la véloci
e foule, comme un éclair d’évidence. Aucun messager, aurait-il eu les pieds d’Achille ou de Phédippide, n’aurait pu porter, e
nnemi, les Athéniens sautaient sur le rivage et l’abordaient de plain pied . Comme à Platée, les Perses les attendaient, un g
e la journée de Mycale fut Hébé, la déesse de la Jeunesse « aux beaux pieds  », comme la surnomment les poètes, la servante cé
dans les affaires de la Grèce, mais ses armées ne remettront plus les pieds sur la terre sainte, ses flottes n’affronteront p
au corps, à décoller leurs bras d’un torse immobile, à détacher leurs pieds soudés sur une base, à remplacer par les expressi
45 (1761) Salon de 1761 « Peinture — M. Pierre » pp. 122-126
’est autre chose qu’un homme qui s’est endormi la tête au-dessous des pieds d’un ange. Si vous y voyez davantage, à la bonne
es modèles. La fuite en Egypte est traitée d’une manière Tableau de 5 pieds piquante et neuve ; mais le peintre n’a pas su de
oyage. Le beau tableau, si le peintre avait su faire des montagnes au pied desquelles la Vierge eût passé ; s’il eût su fair
du juge ; tout, excepté le chien de Paris, que je ferais dormir à ses pieds . Que Paris me paraisse un pâtre important. Qu’il
46 (1761) Salon de 1761 « Peinture —  Bachelier  » pp. 147-148
sements de l’enfance de Bachelier, c’est cet énorme tableau qui a dix pieds de hauteur, sur vingt pieds de long. Il y a des e
elier, c’est cet énorme tableau qui a dix pieds de hauteur, sur vingt pieds de long. Il y a des enfants qui grimpent à des ar
sage a de la grandeur et de la noblesse ; mais l’eau qui s’échappe du pied du rocher ressemble à de la crème fouettée, à for
47 (1863) Cours familier de littérature. XVI « XCIVe entretien. Alfred de Vigny (1re partie) » pp. 225-319
* Or, des champs de Moab couvrant la vaste enceinte, Pressés au large pied de la montagne sainte, Les enfants d’Israël s’agi
tre élu ? J’ai conduit votre peuple où vous avez voulu. Voilà que son pied touche à la terre promise. De vous à lui qu’un au
a mort trouve à ma voix une voix prophétique, Je suis très grand, mes pieds sont sur les nations, Ma main fait et défait les
ables mouvants ; Je renverse les monts sous les ailes des vents ; Mon pied infatigable est plus fort que l’espace ; Le fleuv
et fleuris, trône des deux saisons, Dont le front est de glace et le pied de gazons ! C’est là qu’il faut s’asseoir, c’est
cime. « — Merci, cria Roland ; tu m’as fait un chemin. » Et jusqu’au pied des monts le roulant d’une main, Sur le roc affer
. Arrière, chevaliers, repassons la montagne ! Tremble encor sous nos pieds , sol trompeur de l’Espagne ! IV. « Sur le plus ha
des monts s’arrêtent les chevaux ; L’écume les blanchit ; sous leurs pieds , Roncevaux Des feux mourants du jour à peine se c
s’élance, Pour passer le torrent aux arbres se balance, Tombe avec un pied sûr, et s’ouvre des chemins Jusqu’à la neige enco
imitait la pâleur. Des diamants nombreux rayonnent avec grâce Sur ses pieds délicats qu’un cercle d’or embrasse ; Mollement e
, une petite fumée vous avertit tout à coup qu’une cheminée est à vos pieds  ; c’est que le rocher même est habité, et que des
ui environnaient le chapeau du roi Henri ; un joli village s’étend au pied du mont, sur le bord de la rivière, et l’on dirai
é, pour mon malheur, près de l’échafaud, et je vis s’avancer jusqu’au pied nos malheureux amis, qui soutenaient le pauvre ab
ilence universel, je reconnus la voix de M. de Thou, qui attendait au pied de l’échafaud ; le peuple répéta le chant sacré.
-Mars, tenant son cheval comme à un convoi funèbre, s’était arrêté au pied de l’échafaud, et, semblable à un homme paralysé,
par les esprits d’élite ; et, en attendant, elle écrase sous tous ses pieds les talents naissants, dont elle n’entend même pa
ambre, à gauche du spectateur. À droite est assise Kitty Bell ; à ses pieds un enfant assis sur un tabouret ; une jeune fille
eurs compagnons. Les pauvres gens ont fait bien vainement une lieue à pied  ! — Retirez-vous tous les trois… vous êtes inutil
rable et en désordre. SCENE PREMIERE. Chatterton. Il est assis sur le pied de son lit et écrit sur ses genoux. Il est certa
s enfants ! Vite, qu’ils ne la voient pas. Il arrache les enfants des pieds de Kitty, les passe à John Bell, et prend leur mè
48 (1866) Cours familier de littérature. XXII « CXXXe entretien. Fior d’Aliza (suite) » pp. 193-236
ue. Je remontai doucement dans ma tourelle, et je tombai à genoux, au pied de mon lit, pour remercier Dieu de la plus grande
tombèrent involontairement sur le berceau du charmant enfant que son pied balançait avec distraction sur le plancher et qui
ttait par-dessus ses habits, ressemblait à un linceul qui cachait les pieds et les mains en traînant jusqu’à terre ; en abatt
es soldats. Arrêtez ! arrêtez ! c’est moi ! et il tomba inanimé à mes pieds  ; le ciel s’obscurcit, la tête me tourna et je me
pas, il dut rester tout seul maintenant dans son cachot, les fers aux pieds et aux mains, pendant environ six semaines, jusqu
elle avait laissée, et continua en regardant sa tante : — Je partis à pied avec cette lettre, et en promettant à mon père et
ues de Livourne. Ah ! que de larmes nous versâmes en nous séparant au pied de la montagne ! N’est-ce pas, ma tante et mon pè
as plus méchante qu’eux ; ils flairèrent, sans gronder seulement, mes pieds nus, et en léchèrent la poussière, tellement que
49 (1864) Portraits littéraires. Tome III (nouv. éd.) « Virgile et Constantin le Grand par M. J.-P. Rossignol. »
exemples tirés de la métrique des anciens ; le déplacement d’un seul pied suffisait pour changer tout à fait le caractère e
eler l’âme de la poésie bucolique , et que, sans parler du cinquième pied où il est de rigueur, les deux autres places qu’i
tres places qu’il affectionne dans le vers pastoral sont le troisième pied et le quatrième, avec cette circonstance que le d
et le quatrième, avec cette circonstance que le dactyle du quatrième pied termine ordinairement un mot, comme pour être plu
ol y a ajouté quelque chose, et l’observation du dactyle au troisième pied est de lui. Sur neuf cent quatre-vingt-dix-sept v
50 (1767) Salon de 1767 « Peintures — Baudouin » pp. 198-202
abillé de nuit. Elle pleure. Son époux, en robe de chambre, est à ses pieds , et la conjure, on ne le voit que par le dos. Il
a douleur dans sa tête, et les bras en sont bien dessinés. — Mais ses pieds ne sont-ils pas trop petits et décolorés par la v
jour qu’il était monté à l’orgue de son église, il mit par hazard le pied sur une pédale, l’instrument résonna, et le curé
pas si difficile que je croyais. Monsieur Baudouin, vous avez mis le pied sur la pédale, et puis c’est tout. huit petits mo
onnages. Les bottes de paille, ce rustique théâtre du plaisir, est au pied des murs de quelques étables dont la couverture d
51 (1859) Cours familier de littérature. VII « XLe entretien. Littérature villageoise. Apparition d’un poème épique en Provence » pp. 233-312
cyclopédique dont chaque pas fait retentir la terre de bruit sous son pied  ; non pas le jeune Dumas son fils, silencieux et
e les Alpines ; la grande route romaine qui menait à Arles courait au pied des Alpines et traversait Maillane. Cette vallée
es sonnent mélodieusement à l’oreille, comme les grelots d’argent aux pieds des danseuses de l’Orient. Les vers varient leurs
y a de jours dans l’année, et chacune de ces avenues compte autant de pieds d’arbres qu’il y a d’avenues. — « Par ma foi ! di
iait là haut en jetant de folâtres cris de joie, Vincent, frappant du pied le trèfle, grimpa sur l’arbre comme un loir. « Mi
lui dit-il de sa bouche amie. Eh ! comme moi, dans les orties, si, nu pieds , maintes fois il vous fallait vaguer ! « Comment
penche pour boire autant qu’il peut au flot abondant qui monte à ses pieds pour le désaltérer. Cela lui suffit toute une ann
plaines, et les grandes barques pavoisées cinglant à pleine voile au pied du château d’If. « Et le mont Ventoux que laboure
une fille des Micocoules a causé en secret avec Vincent, l’enfant aux pieds nus ; on raille Mireille. Une matrone prend sa dé
était belle, trempant dans l’argent de l’écoulement de la source ses pieds au gué ! » Le dialogue entre le fier toucheur de
dans sa chemise enflée sur sa poitrine ; il marchait dans les galets pieds nus, léger et gai comme un lézard. » Il venait a
Ô sort cruel, qui m’accables d’ennuis ! Ô père dur, qui me foules aux pieds , si tu voyais de mon cœur le déchirement et le tr
font beau signe. De l’Aigle de saint Jean, qui vient de se jucher aux pieds de son évangéliste, sur les trois astres où il ré
s des panicauts, des camphrées, ce perdreau de fille vole, vole ! Ses pieds ne touchent pas le sol ! » XXVI Tout le co
luisantes à la charrue comme tu faisais hier ; bêche avec ta houe le pied de tes oliviers ; rapporte pour tes vers à soie,
52 (1867) Cours familier de littérature. XXIII « cxxxve entretien. Histoire d’un conscrit de 1813. Par Erckmann Chatrian »
Tout était prêt ; mes bas et mes souliers bien cirés se trouvaient au pied du lit ; je n’avais qu’à m’habiller, et, malgré c
dans l’air, et qu’on se recoquillait malgré soi jusqu’à la plante des pieds . Sous la porte d’Allemagne, j’aperçus le soldat d
saient dans quelque trou ; on n’entendait que la glace crier sous vos pieds . En courant à côté du cimetière, dont les croix e
resque toujours du cuir de cheval, qui vous échauffe terriblement les pieds . Tu n’es pas déjà trop solide sur tes jambes, mon
itaine Vidal ajouta : « Nous avons encore vingt minutes pour lever le pied . » Et, me lançant un coup d’œil : « Ne manquons p
rits ! » Le soir, à la halte, nous étions bien heureux de reposer nos pieds fatigués, moi surtout. Je ne puis pas dire que ma
oi surtout. Je ne puis pas dire que ma jambe me faisait mal, mais les pieds … Ah ! je n’avais jamais senti cette grande fatigu
e me fit asseoir près du fourneau et me demanda : « Vous avez mal aux pieds  ? — Oui, depuis trois jours. — Eh bien ! ôtez vos
de bois, et le posant à terre près de ma chaise : « Prenez un bain de pieds , me dit-elle, cela vous fera du bien. » En voyant
n de repos. » Il poussa la table devant moi, de sorte que j’avais les pieds dans la baignoire, ce qui me faisait du bien, et
r la femme me dit : « Avant de manger, mon enfant, il faut sortir vos pieds de l’eau. » Elle se baissa et m’essuya les pieds
, il faut sortir vos pieds de l’eau. » Elle se baissa et m’essuya les pieds avec son tablier, avant que j’eusse compris ce qu
tait : on entendait passer des chevaux, des voitures et des gens. Mes pieds me faisaient encore un peu mal, mais ce n’était r
malgré le bruit des canons il s’arrêta, se retourna, et m’aperçut au pied d’un arbre. Il ouvrait de grands yeux. « Christia
ssi qu’il étendait un gros manteau de cavalerie sur mes jambes et mes pieds en disant : « Allons… en route… ça chauffe là-bas
53 (1867) Causeries du lundi. Tome VIII (3e éd.) « Le Roman de Renart. Histoire littéraire de la France, t. XXII. (Fin.) » pp. 308-324
heure Renart lui fera à lui-même. Il vient se percher sur le hêtre au pied duquel est Renart : l’un dessus, l’autre dessous,
ui était son compère d’ancienne date, tenant le bon fromage entre ses pieds  : Par les saints de Dieu, que vois-je là ? s’écr
mais il ne sut si bien faire, quelque peine qu’il se donnât, que son pied droit ne s’en desserrât et que le fromage ne tomb
desserrât et que le fromage ne tombât à terre, tout juste devant les pieds de Renart. — Vous croyez la fable finie ; pas le
l les voit fuir ; il s’avance fièrement à leur rencontre, la plume au pied , le col redressé ; il les interroge d’un ton de m
egarde souvent de côté et d’autre ; un œil ouvert et l’autre clos, un pied replié et l’autre droit, il s’appuie à un mur, et
mbre d’Argiens, — sans tourner la tête, — là où nous avions marqué le pied , là même nous avons laissé la vie. Mais ce trophé
54 (1767) Salon de 1767 « Peintures — Ollivier » pp. 299-300
quent, les choses y suppléeront. Une femme a ses enfans égorgés à ses pieds , et elle est assise, tranquille dans la position
i fait une opération chirurgicale. Un meurtrier tient suspendu par un pied l’enfant d’une mère, et cette femme tend son tabl
e mère renversée à terre, sur le sein de laquelle un soldat écrase du pied son enfant, le regarde faire sans s’émouvoir, san
55 (1870) De l’origine des espèces par sélection naturelle, ou Des lois de transformation des êtres organisés « De l’origine des espèces par sélection naturelle, ou Des lois de transformation des êtres organisés — Chapitre VI : Difficultés de la théorie »
a nature. Ainsi, le Vison (Mustela vison) de l’Amérique du Nord a les pieds palmés et ressemble à la Loutre par son pelage, s
ne stupide), qui les emploient en guise de nageoires dans l’eau et de pieds antérieurs sur terre, comme le Manchot (Aptenodyt
rles ne se nourrit qu’en plongeant, s’accrochant aux pierres avec ses pieds , et se servant de ses ailes sous l’eau. Ceux qui
les habitudes sont en mutuel désaccord ? Quoi de plus simple que les pieds palmés des Oies et des Canards aient été formés p
Et pourtant il y a des Oies terrestres qui ont, comme les autres, les pieds palmés, et qui, cependant, ne vont que rarement o
s d’une membrane. Ne semble-t-il pas aussi tout naturel que les longs pieds des Échassiers leur aient été donnés pour habiter
rganisation des modifications correspondantes. On peut considérer les pieds palmés de l’Oie terrestre de Magellan (Bern. Mage
qu’il y ait des Oies qui vivent sur la terre ferme, ou des Frégates à pieds palmés qui ne s’abattent que très rarement sur l’
’abattent que très rarement sur l’eau ; qu’il y ait des Râles à longs pieds qui fréquentent les prairies au lieu d’habiter le
espèces qui en sont pourvues. Ainsi nous ne saurions admettre que les pieds palmés de l’Oie terrestre de Magellan ou de la Fr
n toute sûreté attribuer ces ressemblances. Mais, sans nul doute, des pieds palmés ont été utiles à l’ancien progéniteur de l
ible que le progéniteur du Veau marin n’eût pas de nageoires, mais un pied avec des doigts convenables pour la marche ou la
nsi comment il se peut faire qu’il y ait des Oies terrestres avec des pieds palmés, des Pics qui vivent en plaine, des Merles
imaire où l’on a cru retrouver, avec leurs restes, les empreintes des pieds de leurs ennemis qui les poursuivirent encore dan
out certain que nos premiers poissons ou reptiles volants eussent des pieds , qui se développèrent peut-être seulement chez ce
ar un effet de corrélation décroissance. Sans nul doute, ces premiers pieds furent adaptés d’abord chez les uns et les autres
de certains malades ; on a parlé de transpiration phosphorescente aux pieds , et il est curieux d’avoir à noter l’analogie qui
nce phosphorescente du ver luisant et celle de la sueur ordinaire des pieds . Tous ces faits de phosphorescence restent jusqu’
rtébré qui quitta la mer pour les côtes n’eut pas du premier coup des pieds parfaits, mais des nageoires modifiées qui lui pe
56 (1867) Nouveaux lundis. Tome VII « Dominique par M. Eugène Fromentin »
e arabe, à choisir, pour bien voir, le point de vue le plus élevé, le pied d’une tour, ce qu’on appellerait en Grèce l’acrop
aiblement que vers une heure : « Assis, on n’en a pas encore sur les pieds  ; debout, le soleil vous effleure encore la tête 
e, le point culminant, c’est la station du peintre sur la hauteur, au pied de la tour de l’Est : l’aspect grandiose du pays,
mière et de splendeur : « C’est sur les hauteurs, le plus souvent au pied de la tour de l’Est, en face de cet énorme horizo
y trouve une sentinelle indigène encore endormie et couchée contre le pied de la tour. Peu après, on vient la relever, car c
ndes, par petits bataillons, des gangas, jolies perdrix au bec et aux pieds rouges, au plumage bariolé, qui, venus du désert,
n’ai plus que l’abri étroit de mon parasol, et je m’y rassemble ; mes pieds posent dans le sable ou sur des grès étincelants 
lus frappante que jamais. On se demande, en la voyant commencer à ses pieds , puis s’étendre, s’enfoncer vers le Sud, vers l’E
57 (1761) Salon de 1761 « Récapitulation » pp. 165-170
es. Derrière ce groupe, un jeune enfant qui s’élève sur la pointe des pieds pour voir ce qui se passe. Au-dessous de la mère
ant, à terre, dans l’espace vide que laissent les figures, proche des pieds de la mère, une poule qui conduit ses poussins au
oule et à sa petite famille, et dont l’autre s’élève sur la pointe du pied , et tend le col pour voir, sont charmants ; mais
au milieu de la scène, et qui a cinq ou six petits comme la mère aux pieds de laquelle elle cherche sa vie, a six à sept enf
58 (1827) Génie du christianisme. Seconde et troisième parties « Seconde partie. Poétique du Christianisme. — Livre quatrième. Du Merveilleux, ou de la Poésie dans ses rapports avec les êtres surnaturels. — Chapitre XII. Suite des machines poétiques. — Voyages des dieux homériques. Satan allant à la découverte de la création. »
les dangers du voyage. Bientôt, déployant ses ailes, et repoussant du pied le seuil fatal, il s’élève dans des tourbillons d
… il marche, il vole, il nage, il rampe. À l’aide de ses bras, de ses pieds , de ses ailes, il franchit les syrtes, les détroi
nifiques s’élèvent jusqu’aux remparts du ciel… Perpendiculairement au pied des degrés mystiques, s’ouvre un passage vers la
59 (1902) Les œuvres et les hommes. Le roman contemporain. XVIII « Jean Richepin »
dre aussi bien que de s’allumer. Il s’y éteint, en effet. Il a mis le pied sur sa propre flamme. Je sais bien que ce n’est p
cile à éteindre, ce feu grégeois, ce feu Richepin, qui repart sous le pied mais dont le pied finit pourtant par être le maît
e feu grégeois, ce feu Richepin, qui repart sous le pied mais dont le pied finit pourtant par être le maître. Tout est relat
lors il n’eût pas inventée ? Le Nargaud de son livre serait-il lui de pied en cap ?… Mais jusque dans cette hypothèse l’anal
éante toute-puissante, les femmes, flattées jusque sous la plante des pieds de leur orgueil, auraient-elles deviné qu’elles p
60 (1865) Nouveaux lundis. Tome III « Mémoire de Foucault. Intendant sous Louis XIV »
rès avoir entendu patiemment et paisiblement M. de Lescar, se leva en pied , et, après l’avoir remercié des égards qu’il avai
re petite troupe n’arriva qu’à dix-heures du soir, ayant trouvé trois pieds  de neige à deux lieues de Roncevaux. J’y arrivai
s par la montagne sur la gauche, le chemin n’ayant pas plus de quatre pieds de large. Je jugeai donc à propos de descendre de
geai donc à propos de descendre de cheval, et je n’eus pas plutôt mis pied à terre que le cheval, sans hésiter, se jeta dans
e et descendit jusques au fond, en sorte que je fus obligé de faire à pied une lieue de chemin dans la neige. Il y avait vin
se contenta d’occuper l’abbaye de Roncevaux et d’y souper. Foucault à pied y entra en tête de l’avant-garde. «  J’arrivai l
u’une seule religion dans ses États ; et l’hérésie parut tomber à ses pieds . Les abjurations ne se faisaient plus une à une ;
61 (1889) Le théâtre contemporain. Émile Augier, Alexandre Dumas fils « Alexandre Dumas fils — CHAPITRE IX »
s sa grâce flétrie et voluptueuse encore, à une fleur foulée sous les pieds d’un bal ; et n’était-ce pas en effet, le bal cru
celles-ci sont jeunes, brillantes, adulées, celles-là rampent à leurs pieds superbes, avec la câlinerie perfide d’un serpent
insi ! et quelles chaînes de torture et de servitude traînent à leurs pieds dansants ces saturnales du plaisir ! Après le sou
r de lui, que parfums, fraîcheurs, limpidités, délices ; mais que son pied touche le fond, et il en fera jaillir la vase imp
itante d’effroi, les yeux éteints, le sang aux lèvres. Il jette à ses pieds la poignée de billets de banque qu’il vient d’arr
lus des douces fatigues de la veillée. Terre sacrée, fais pousser, au pied de la stèle de la jolie bacchante, non des épines
fortune. Devant lui pose mademoiselle Aurore, une Fornarine au petit pied . Tout est calme, insouciance, étude et amour faci
vrons de l’armée de l’art, il ne lui reste plus qu’à fumer sa pipe au pied de la colonne Trajane, en ruminant ses vieux rêve
bre, et, bientôt, on entend le murmure d’une robe, le craquement d’un pied furtif ; la porte de l’atelier désert s’entrouvre
chose comme la Courtisane amoureuse offrant sa poitrine à fouler aux pieds de son bien-aîmé. Cependant on entend une voiture
ans la carrière, Debout depuis vingt ans sur leur pensée altière, Des pieds de leurs coursiers ne doutèrent jamais. 1. A
62 (1865) Causeries du lundi. Tome VII (3e éd.) « Voltaire et le président de Brosses, ou Une intrigue académique au XVIIIe siècle. » pp. 105-126
res n’était pas encore debout ni enrégimentée : c’est à la mettre sur pied que travaille ardemment Voltaire. Voltaire jeune
est à l’extrême frontière de la Franche-Comté, et qui lui donnait un pied en France. Il lui fait la proposition comme voisi
t venait de le féliciter d’avoir joint Ferney aux Délices, et d’avoir pied en deux endroits : Vous vous trompez, lui répond
répond joyeusement Voltaire, j’ai quatre pattes au lieu de deux : un pied à Lausanne, dans une très belle maison, pour l’hi
x : un pied à Lausanne, dans une très belle maison, pour l’hiver ; un pied aux Délices, près de Genève, où la bonne compagni
près de Genève, où la bonne compagnie vient me voir : voilà pour les pieds de devant. Ceux de derrière sont à Ferney et dans
e ferait un bon père de famille, ménageant les arbres qui étaient sur pied , et se modérant lui-même dans ses devis, dans ses
ersonne. Un honneur qui ne produit rien est un bien pauvre honneur au pied du mont Jura… Voilà une belle ambition d’être sei
63 (1767) Salon de 1767 « Peintures — Vernet » pp. 130-167
e montagne nous était dérobé par la masse interposée d’un rocher ; le pied de ce rocher s’étendait en s’abaissant et en se r
, s’entretenait avec lui. Sur l’espèce de chaussée rocailleuse que le pied du rocher formait en se prolongeant, dans un lieu
ent les voyageurs, dans la demi-teinte, comme disent les artistes. Au pied de ces montagnes, un passant que nous ne voyions
ches que j’avais en face il n’y a qu’un moment, je les avais sous mes pieds  ; sous ces arches descendait à grand bruit un lar
asses, et former une merveilleuse cascade ; je les vois arriver à mes pieds , s’étendre et remplir un vaste bassin. Un bruit é
la mousse la plus verte et la plus douce. Plus près de moi, presqu’au pied des montagnes de la gauche, s’ouvre une large cav
unique qui moulerait ses membres, en descendant mollement jusqu’à ses pieds , auraient infiniment plus de grâce. Le bon, l’ind
iniers qui nous prendront dans leur nacelle et qui nous déposeront au pied du château. — Ce qui fut dit fut fait, nous voilà
le, ou de la lâcher quand il en sera temps ; nous la suivons jusqu’au pied de l’échaffaud, mais pas plus loin, et personne n
publique, l’effrénée liberté d’examiner, d’observer ou de fouler aux pieds les mauvaises lois, conduira bientôt à l’examen,
se perdre dans la nue, et la mer en mugissant venait se briser à ses pieds . Au loin, des pêcheurs et des gens de mer étaient
ions ? Couperai-je ici les testicules à mon fils, là, foulerai-je aux pieds ma fille pour la faire avorter ? Ailleurs immoler
lques bâtiments dispersés. à droite, les eaux de la mer baignaient le pied du phare et d’une autre longue fabrique adjacente
cet aigle endormi sous le sceptre de Jupiter, qui se balance sur ses pieds et dont les plumes frissonnent aux accens de l’ha
mie. Il n’est plus cet animal fougueux qui hennit, gratte la terre du pied , se cabre et déploie ses grandes ailes, c’est une
era de ces marmots qui d’ailleurs sont trop las pour s’en retourner à pied . Nous reviendrons, nous, au clair de la lune, et
r obscure, illimitée. Tout à fait à gauche, des rochers escarpés ; au pied de ces rochers, un massif de pierre, une espèce d
s et de l’obscurité. Allons, tirons-nous vite cette dernière épine du pied et qu’il n’en soit plus question. Tout ce qui éto
64 (1869) Philosophie de l’art en Grèce par H. Taine, leçons professées à l’école des beaux-arts
lieues d’Athènes, et un Européen qui débarque croit pouvoir y aller à pied avant son déjeuner. La vapeur vague qui flotte to
elle n’a pas besoin, comme la cathédrale gothique, d’entretenir à ses pieds une colonie de maçons qui réparent incessamment s
pour l’homme, pour la femme une longue tunique qui descend jusqu’aux pieds et, se doublant à la hauteur des épaules, retombe
es ; Socrate n’en portait qu’aux jours de festin ; très-souvent on va pieds nus et tête nue. Tous ces vêtements peuvent être
a copié la nature stable et subsistante ; partout chez lui on pose le pied sur le sol solide de la vérité. Son livre est un
tour de l’échiné, aux bras qui lanceront le disque, aux jambes et aux pieds dont la détente énergique lancera tout l’homme en
pos, détendu, sans fatigue ; tantôt debout, un peu plus appuyé sur un pied que sur l’autre ; tantôt se tournant à demi, tant
ffres, l’écriture, ignorés d’Homère ; la tactique change, on combat à pied et en ligne au lieu de combattre en char et sans
xamètre ; on invente le trochée, l’ïambe, l’anapeste ; on combine les pieds nouveaux et les pieds anciens en distiques, en st
e trochée, l’ïambe, l’anapeste ; on combine les pieds nouveaux et les pieds anciens en distiques, en strophes, en mesures de
llaient chez le maître de cithare, marchaient ensemble dans les rues, pieds nus et en bon ordre, quand même la neige serait t
Que chaque homme après l’élan reste ferme, — fixé au sol par ses deux pieds , mordant sa lèvre avec ses dents — les cuisses, l
e, tout le corps, — couvert par son large bouclier ; — qu’il combatte pied contre pied, bouclier contre bouclier, — casque c
orps, — couvert par son large bouclier ; — qu’il combatte pied contre pied , bouclier contre bouclier, — casque contre casque
re déjà dans Homère ; les héros luttent, lancent le disque, courent à pied et en char ; celui qui n’est pas habile aux exerc
ancien, un officier46, et peut les châtier sans que le père réclame. Pieds nus, vêtus d’un seul manteau, et du même manteau
sont divisés en troupes de cent, chacune sous un jeune chef, et, des pieds , des poings, ils se battent ; c’est un apprentiss
hoplite, fantassin, et qu’il se battait corps à corps, en ligne et de pied ferme, l’éducation parfaite était celle qui forma
iale disait qu’il franchissait en sautant un espace de cinquante-cinq pieds et qu’il lançait à quatre-vingt-quinze pieds le d
espace de cinquante-cinq pieds et qu’il lançait à quatre-vingt-quinze pieds le disque de huit livres. Parmi les athlètes de P
on-seulement de leur intelligence, pour frapper, parer, à l’assaut, à pied , à cheval, au plus fort de la mêlée ; Épaminondas
un côté, une chevelure éparse en mèches rudes comme une crinière, des pieds et des mains de paysan, une peau épaisse, des mus
abord avachi et veule55, maintenant circonscrit dans un ovale net, le pied d’abord trop étalé et trahissant son origine simi
, le pancrace, le pentathle pour hommes et pour enfants ; la course à pied , simple et double, pour les hommes nus et les hom
imple et double, pour les hommes nus et les hommes armés, la course à pied avec des flambeaux, la course à cheval, la course
c des vases et des ustensiles d’or et d’argent ciselé, les athlètes à pied , ou sur leurs chevaux, ou sur leurs chars, une lo
esse, et le cortège montait l’immense escalier de marbre long de cent pieds , large de soixante-dix, qui conduisait aux Propyl
sur la tête, en grande robe d’or de diverses teintes, son visage, ses pieds , ses mains, ses bras se détachant sur la splendeu
65 (1865) Cours familier de littérature. XIX « CXIVe entretien. La Science ou Le Cosmos, par M. de Humboldt (3e partie) » pp. 365-427
chin dans les Indes orientales, l’aspect du ciel du Midi, au-delà des pieds du Centaure et de la brillante constellation du N
himboraço, soit sur un rocher culminant des Alpes, je tomberais à ses pieds  ; je laisserais sa grandeur, sa puissance, sa bon
gloire dans tes ouvrages, comme un insecte qui, ayant vu la trace du pied d’un géant imprimée sur le sable, s’arrête épouva
orêt primitive la cause qui doit empêcher la civilisation d’y prendre pied  : dans une pareille région on ne parvient que par
veilleusement mince, avec un diamètre maximum d’un demi-pouce sur six pieds de long. C’était une variété du dryophis. Le hide
eaucoup plus modeste. Le fût a pour l’ordinaire de vingt à vingt-cinq pieds de circonférence. Von Martius assure en avoir mes
mesuré, dans le district de Para, qui avaient de cinquante à soixante pieds au bas du fût. Ces énormes colonnes végétales n’o
au bas du fût. Ces énormes colonnes végétales n’ont pas moins de cent pieds de hauteur du sol à la branche la plus basse. On
la hauteur totale, stipe et cime, à cent quatre-vingts ou deux cents pieds , et chacun de ces géants élève sa tiare de feuill
diverses sortes de palmiers, dont les uns s’élèvent à vingt ou trente pieds , dont les autres, grêles et délicats, ont une tig
66 (1870) Causeries du lundi. Tome XIV (3e éd.) « Vie militaire du général comte Friant, par le comte Friant, son fils » pp. 56-68
sk, reçut le général Friant comme colonel commandant des grenadiers à pied de la Garde, et l’allocution qu’il lui adressa, j
te date et depuis, sont écrites encore du style républicain et sur le pied d’égalité. Ce général qui devait devenir roi fut
es avertissements militaires. Après la capitulation, et en mettant le pied en France, Friant écrivit au général Bonaparte, p
d’être chargé, comme colonel général, du commandement des régiments à pied de la vieille Garde. Davout et les divisions Mora
s d’arrêt assez long. Le poste de colonel commandant des grenadiers à pied de la Garde était vacant par la mort du général D
67 (1886) Les contemporains. Études et portraits littéraires. Deuxième série « Armand Silvestre »
e bien en chair un Indou, un Grec, un Alexandrin ? Le poète, pâmé aux pieds de sa maîtresse — non toujours à ses pieds pour d
ndrin ? Le poète, pâmé aux pieds de sa maîtresse — non toujours à ses pieds pour dire vrai  chante son chant extatique et lam
hantés. ……….. Je veux ceindre humblement, de mes bras prosternés, Tes pieds , tes beaux pieds nus, frileux comme la neige Et p
veux ceindre humblement, de mes bras prosternés, Tes pieds, tes beaux pieds nus, frileux comme la neige Et pareils à deux lis
mes les plus extasiés, sous la plus magnifique floraison d’images, le pied du faune s’entrevoit çà et là, et, comme chez Hug
68 (1869) Causeries du lundi. Tome IX (3e éd.) « Geoffroy de Villehardouin. — II. (Fin.) » pp. 398-412
gne, il sera toujours sur cette terre de conquête qu’il faut défendre pied à pied et payer de son sang chaque jour ; où l’on
sera toujours sur cette terre de conquête qu’il faut défendre pied à pied et payer de son sang chaque jour ; où l’on perd e
ontre tout à point deux vaisseaux chargés de chevaliers et de gens de pied , qui étaient de ceux qui avaient précédemment fau
’il était d’ailleurs trop aisé de prévoir, que la guerre sur un autre pied recommença et qu’il fut décidé qu’on pouvait en t
au premier qui la veut prendre, et qui secouent la poussière de leurs pieds lorsqu’on les chasse de leur patrie… Un tel ave
sans pitié, la mosaïque et le parvis de Sainte-Sophie brisés sous les pieds des chevaux, les manuscrits sans doute (et quels
69 (1870) Causeries du lundi. Tome XI (3e éd.) « Journal de Dangeau. tomes III, IV et V » pp. 316-332
Puis… se la voit les mains de vin frais, s’écuroit les dents avec un pied de porc, et devisoit joyeusement avec ses gens. P
et Turenne, l’endroit où celui-ci a été frappé à mort, et l’arbre au pied duquel on le transporta pour y mourir. Mais au mi
ès, persiste à monter à cheval et à aller à la tranchée : Il n’a mis pied à terre que vis-à-vis de la batterie, raconte Dan
défilé : « Le gouverneur salua Monseigneur de l’épée, et sans mettre pied à terre ; il lui dit qu’il était bien fâché de n’
ps, celle de Luxembourg et celle de Lorges ; il les vit à cheval et à pied , et homme par homme, et se fit montrer les gardes
s, il ne cesse d’y mériter l’estime. Il avait cinq grandes armées sur pied  : celle de Flandre, sous M. de Luxembourg ; celle
70 (1761) Salon de 1761 « Peinture —  Doyen  » pp. 153-155
Doyen Il est de 15 pieds , 9 pouces de largeur, sur 14 de hauteur. Mais voi
e, le tableau qu’Homere m’eût inspiré. On aurait vu Enée renversé aux pieds de Diomede. Venus serait accourue pour le secouri
ais élevé Diomede sur un amas de cadavres. Le sang eût coulé sous ses pieds . Terrible dans son aspect et son attitude, il eût
71 (1767) Salon de 1767 « Peintures — Casanove » pp. 192-197
nd, un autre combattant, puis un énorme cheval roux abattu. Sous les pieds des premiers chevaux, soldats renversés, foulés,
. On voit au premier de ces paysages à gauche un grand rocher dont le pied est baigné par des eaux traversées par des voyage
che, et semblent diviser le paysage en deux ; des eaux en baignent le pied . à droite, sur la rive de ces eaux, on voit deux
un cheval brun, tenant par la bride un cheval blanc qu’on ferre ; le pied de ce cheval est passé dans la boucle d’une corde
72 (1904) Les œuvres et les hommes. Romanciers d’hier et d’avant-hier. XIX « Paul Meurice » pp. 231-241
rétention — dit-il agréablement — de fonder notre petite religion les pieds sur nos chenets. » Malheureusement, ce n’est pas
ux l’abime et le soleil. » Car ils ont beau se mettre un instant les pieds en l’air, comme Hérodiade dansant devant Hérode,
polonais (nécessairement), un grand seigneur polonais, qui foule aux pieds sa naissance comme le marquis de la Fayette. C’es
s de ce temps ; et de talent il était bien capable de nous dresser en pied un Césara grandiose qui aurait été un double héro
73 (1862) Cours familier de littérature. XIV « LXXXe entretien. Œuvres diverses de M. de Marcellus (3e partie) et Adolphe Dumas » pp. 65-144
ses où l’eau se renouvelait, et où on venait fouler le linge sous les pieds . — Oui, sans doute, répondit Christopoulos, et un
adroit et plein de douceur. IV « “Ô reine ! je me jette à tes pieds , que tu sois déesse ou mortelle : si tu es l’une
au char les vêtements qu’elle a reployés, elle y attelle les mules au pied vigoureux, y monte, et adresse à Ulysse, en l’int
entôt les bords du fleuve ; elles courent, et battent le sol de leurs pieds alternatifs. Nausicaé les conduit en usant adroit
ement du fouet, de telle sorte qu’Ulysse et ses compagnes, qui sont à pied , les puissent suivre. Le soleil baissait quand il
de 1823. Elle entend toujours, dans ces mêmes parages, murmurer à ses pieds la fontaine du pacha, et elle ne domine encore qu
t malheureusement le mur de la léproserie et qu’il revient mourir aux pieds de son maître, font honte à l’homme ! comme le lé
lade et les paupières closes Posa sur mes deux doigts ses deux petits pieds roses.         Eh ! d’où viens-tu, pour m’enchant
ur. Et douze fois par jour, sur son trône de reine, Elle écoute à ses pieds ma pendule d’ébène,         Sonner douze heures d
ste d’admirable, il était disgracié de la nature par les jambes ; son pied droit, estropié par un accident de naissance, éta
subir, à tous risques, cette torture, afin d’être beau de la tête aux pieds aux yeux de celle qu’il aimait. Il ne dit rien à
monde ; quand il y reparut, son supplice l’avait amaigri et pâli. Son pied était en effet retourné, mais il boitait toujours
nse et sans bruit, non loin de cette ville de Dieppe qu’il aimait, au pied d’une grande falaise, au bruit de l’Océan solitai
74 (1857) Cours familier de littérature. IV « XXIIIe entretien. I. — Une page de mémoires. Comment je suis devenu poète » pp. 365-444
les rochers, les bergers et les bergères accroupis sur les gazons au pied des blocs de grès, à l’entrée des cavernes, autou
par Salvator Rosa. Du sommet d’une dernière colline on aperçoit à ses pieds la ville de Belley ; elle répand confusément ses
le adoration, je ne sentais plus la terre sous mes genoux ou sous mes pieds , et je m’abîmais en Dieu, comme l’atome flottant
aime, Par la porte secrète en son temple introduit, Je répands à ses pieds mon âme dans la nuit. Ossian, Ossian ! Lorsque,
Et d’un rayon mouillé, qui lutte et qui s’efface, Éclairait sous mes pieds l’abîme de l’espace, Tous mes sens, exaltés par l
ses hymnes, les ténèbres de la forêt, le bruit des feuilles sous mes pieds , la fuite de l’eau gazouillant entre ses rives, l
voluptés et les passions méprisables du monde, qu’il faut fouler aux pieds , sans les voir ou sans les compter, en marchant a
ngeais par tous mes sens, ciel sur ma tête, herbes et fleurs sous mes pieds , Alpes lointaines, Rhône rapide, cascades écumant
mes deux amis, Louis de V. et Aymon de V., se groupèrent avec moi au pied de la chaire. Nous étions tout regard et toute or
 ; Tu portais sur ton front ta cruche toute pleine ; Son poids de tes pieds nus rapetissait les pas, Et la pente escarpée ess
euse la mer dont l’écume légère Trempe ce sable tiède où plongent tes pieds nus ? Que n’ai-je eu pour jouet et pour seul héri
neau son cou, lisser ta chevelure, Dans tes petites mains prendre ton pied vermeil, En laver d’un bain froid la blessure amo
erge ou nymphe, on ne sait ; de sa conque de mousse Un triton sur ses pieds verse une nappe d’eau ; Dans l’une de ses mains u
75 (1866) Cours familier de littérature. XXII « CXXIXe entretien. Fior d’Aliza (suite) » pp. 129-192
lomb qui rivait le clou des menottes aux poignets et les entraves aux pieds  ; il laissa le prisonnier libre de tous ses membr
ibuer à chacun sa portion, à ouvrir et à refermer leurs grilles ; les pieds me brûlaient de courir au cachot de votre enfant.
dans la main, allègrement et sans sentir seulement la terre sous nos pieds  ! Ce que c’est que l’amour cependant, une fois qu
êque, d’unir secrètement deux enfants qui s’aiment dans un cachot, au pied d’un échafaud, et de mêler l’amour à la mort, dan
omprendre qu’il y avait un mystère dans tout cela, et, couché sur les pieds de son maître ou sur le tablier de ma tante, il l
usin, moi allant recevoir mon fils pour lui faire le dernier adieu au pied d’un échafaud ou tout au plus à la porte d’un bag
tre personnes qui ne font qu’une, et qui sentent le cachot sous leurs pieds et la mort sur leur tête par le supplice prochain
épondit sans se retourner, comme quelqu’un qui regarde le bout de ses pieds en parlant. — Lui, ou mourir avec lui ! Cela fut
e premier, t’attendre ensuite au rendez-vous sous l’arche du pont, au pied de la montagne où tu as rencontré la noce de la f
de la prison, et qu’à l’aide de l’égout qui ouvre dans ce verger, au pied de la lucarne, et qui traverse les fortifications
76 (1870) Portraits de femmes (6e éd.) « DU ROMAN INTIME ou MADEMOISELLE DE LIRON » pp. 22-41
oiseaux, puis Diderot chez d’Holbach au Granval, ou Jean-Jacques aux pieds de Mme d’Houdetot dans le bosquet ; pour quiconqu
lle l’engage à profiter de cette protection importante pour mettre un pied dans le monde, et elle lui annonce avec gravité e
fût trompé en nous le rappelant vers la fin, et lors d’une saignée au pied qu’on lui pratique avec difficulté dans sa derniè
en reconnue du narrateur, qu’ayant su par un témoin que la saignée au pied avait été difficile, il aura attribué cette diffi
ué cette difficulté à un reste d’embonpoint, tandis que la saignée au pied est quelquefois lente et pénible, même sans cette
e me donne, une gorge qui serait belle si elle était plus blanche, le pied et la main passables ; voilà Cécile… « Eh bien !
ne le fait pas. As-tu jamais essayé dans ton enfance de replacer ton pied précisément dans l’empreinte qu’il venait de lais
77 (1767) Salon de 1767 « Peintures — Madame Therbouche » pp. 250-254
in, éclairé d’une bougie. tableau de nuit, morceau de réception, de 3 pieds 6 pouces de haut, sur 3 pieds de large. C’est un
eau de nuit, morceau de réception, de 3 pieds 6 pouces de haut, sur 3 pieds de large. C’est un gros réjoui, assis devant une
it évident à son cou, à ses doigts courts, à ses jambes grêles, à ses pieds , dont les orteils étaient difformes, à son caract
ux porte-faix à mine plate dont elle avait allongé la barbe, fendu le pied et hérissé la cuisse. Il avait de la passion, mai
78 (1856) Cours familier de littérature. I « Ve entretien. [Le poème et drame de Sacountala] » pp. 321-398
jettent en furieux sur leurs imprudents ennemis, et, les foulant aux pieds ou les étreignant dans leurs énormes trompes, en
rbeille lourde de fruits qu’il vient de cueillir ; elle verse sur ses pieds fatigués une eau rafraîchissante, et, d’une voix
nt, ils ne frappent pas ta vue ! N’aperçois-tu pas çà et là, épars au pied des arbres, ces grains de riz consacré, échappés
scendre. L’Écuyer. Prince, je retiens les rênes ; vous pouvez mettre pied à terre. Douchmanta, étant descendu, et jetant u
it la peine que tu prends à remplir d’eau les bassins creusés à leurs pieds , toi dont la délicatesse égale celle de la fleur
à notre hôte : cette eau, en attendant, peut servir à rafraîchir ses pieds fatigués. Douchmanta. Il n’en est pas besoin ; l
ion : « Déjà », dit-il, « un tourbillon de poussière soulevé par les pieds des chevaux retombe sur vos vêtements d’écorce, t
gnes. « Voyez », leur disait-elle en faisant un doux mensonge, « mon pied vient d’être cruellement blessé par cette pointe
rt le petit sentier qui y aboutit, la trace récente de ses pas, de ce pied charmant qui s’y est moulé dans toute sa perfecti
illait une laque admirable, destinée à teindre du plus beau rouge ses pieds délicats ; tandis que, de tous côtés, de petites
et qu’il endorme ses fatigues à son souffle caressant ; puissent ses pieds délicats ne fouler dans sa marche paisible que la
79 (1858) Cours familier de littérature. V « XXVIIe entretien. Poésie lyrique » pp. 161-223
omplète qu’après que le Te Deum , qui pousse l’armée et le peuple au pied des autels du Dieu de la patrie, a porté ses note
rçon, aux cheveux touffus, au duvet naissant sur ses joues roses, aux pieds massifs, aux épaules arquées, au poing solide com
es villes ; une taille ferme, des bras ronds, des mains effilées, des pieds cambrés et délicats, qui brillaient comme deux pi
ns effilées, des pieds cambrés et délicats, qui brillaient comme deux pieds de marbre d’une statue quand elle les plongeait n
nd ! au lever du soleil, et les alouettes partiront joyeuses sous vos pieds  ! « Partez ! alouettes ; partez en chantant ! Mo
d’un homme qui gravit une pente. Bientôt le petit Didier, parvenu au pied de la roche qui lui barrait le sentier, ôta ses s
ncé ; elle entendit sa chute et les cris d’effroi ; elle accourut les pieds nus et tout saignants, sa coiffe restée aux branc
érait le séjour de paix à tous les lieux de la terre. J’avais suivi à pied le cercueil porté à bras, par quatre paysans de n
nt porter leur tribut au patriotisme et s’encourager mutuellement. Le pied marche, le geste anime la voix, la voix enivre l’
80 (1867) Cours familier de littérature. XXIII « cxxxvie entretien. L’ami Fritz »
e plus heureux du monde. Tâche d’avoir toujours la tête froide et les pieds chauds : c’est le précepte de la sagesse. Et, sur
décrivant avec l’entrain insoucieux du joyeux égoïste qui se sent les pieds chauds. Il rêvait voluptueusement entre le réveil
me fait plaisir. Vous avez eu beaucoup de neige cette année ? — Deux pieds autour de la ferme pendant trois mois, et il n’a
ue tu seras en train de soupirer dans ton fauteuil, avec la goutte au pied . — Bah ! interrompit Fritz, si la chose arrive… a
es en face, où restaient encore quelques plaques de neige jaunâtre au pied des arbres. Mais ce qui lui faisait le plus de pl
ur appeler son père. Il atteignait à peine le chemin des voitures, au pied de la côte, que le vieux fermier anabaptiste, ave
loin, sous le toit du hangar, qui s’avançait en auvent jusqu’à douze pieds du sol, étaient entassés pêle-mêle les herses, le
la ferme, une grande salle blanchie à la chaux, haute de huit à neuf pieds , et le plafond rayé de poutres brunes. Trois fenê
elles l’aimaient ; et quand, assise sur son tabouret de bois à trois pieds , elle se mettait à traire, la grande Blanche ou l
tre le buffet et la porte. C’était un petit meuble en bois de rose, à pieds grêles terminés en poire, et qui n’avait que cinq
s sautaient d’un bout du clavecin à l’autre, il marquait la mesure du pied , et, de temps en temps, regardait la petite dans
u de paille couvert de banderoles, faisaient le tour de la baraque au pied de la rampe, agitant d’un air joyeux leurs martin
ux. Enfin Hâan tira du troisième banc à gauche une femme haute de six pieds , noire de cheveux, avec un nez en bec d’aigle et
représentez-vous les cercles amoureux de la valse qui s’enlacent, les pieds qui voltigent, les robes qui flottent et s’arrond
tête rejetée en arrière, elle le regarde en extase, et que ses petits pieds effleurent à peine le sol. Le gros Hâan, les deux
ntemplant la grande fille du bourgmestre, se dressa sur la pointe des pieds et la fit pirouetter deux fois en criant d’une vo
81 (1835) Critique littéraire pp. 3-118
ne retraite, lorsqu’il est là, par une sombre nuit, sur le rivage, au pied de la falaise solitaire, attendant le reflux qui
rmi les plus comblés, qui de vous n’a subi l’ennui ? Qui de vous, aux pieds de son idole, sur les terrasses embaumées, n’a so
ige à tourner le dos aux autels. « J’étais tenté de m’aller jeter aux pieds d’un prêtre. Mais je me disais : Attendons que ma
éveiller l’hiver, — j’employais les heures d’après-midi à parcourir à pied de grands espaces ; et, m’enhardissant ainsi en l
on départ de Brest. Victor Jacquemont, habillé de noir de la tête aux pieds , et dans la plus grande tenue, saute sur le rivag
nfiniment d’attention à la burlesque figure qui résultait de mes cinq pieds huit pouces, sans beaucoup d’épaisseur, de mes gr
les cimes neigeuses de Kidar-Kanta, dans une forêt élevée à dix mille pieds au-dessus du niveau de la mer, il est saisi de do
r échapper à ce supplice, il est obligé de se déguiser de la tête aux pieds . « Je ressemble à un ours blanc, écrit-il, envelo
puis il fallait gravir des montagnes plus hautes que la mer de 18 000  pieds , et jusqu’alors inaccessibles. Le seul M. Moorcro
aut avec Sa Majesté chinoise, et fut aussi plus heureux. Ayant mis le pied sur le sol thibétain, et trouvant sur son passage
ais comme il approchait beaucoup trop près de Jacquemont, sans mettre pied à terre, l’impertinent ! notre digne compatriote
de-Bretagne, que la révolution de juillet l’avait grandi de plusieurs pieds , et que toute l’importance politique de ce prodig
ait pas trouvé d’obstacle ; bien au contraire, des soldats apostés au pied de la forteresse lui avaient servi de guides. À p
t-ce l’office de son trésorier. Du jour où Victor Jacquemont a mis le pied sur le sol du Punjaub, il tombe une pluie d’or da
issante ; l’Asie est formaliste, notre esprit, libre penseur, saute à pieds joints par-dessus les formes ; l’Asie est superst
si décisives de ces deux savants célèbres ; il espérait découvrir au pied des Ghates, et sur leurs croupes, des couches ter
route de Paris à Lyon, voyageant à l’aventure, le sac sur le dos, les pieds poudreux, seul, sans illusions, sans argent, le p
un petit page pour le servir, une fille d’honneur pour l’habiller des pieds à la tête. Et puis, comment croyez-vous que début
épreuve, qu’il était fou d’amour, le pauvre enfant ! fou d’amour aux pieds de l’enchanteresse qui, tantôt revêtue d’un riche
ur d’une lampe d’albâtre, pendant que l’inévitable santal brûle à ses pieds . Elle dort… Saint-Julien s’approche, mais son tri
[tous] les dons de l’esprit, de la grâce et de la fortune ; et à ses pieds nous voyons un troupeau d’hommes à face burlesque
82 (1862) Les œuvres et les hommes. Les poètes (première série). III « M. Pécontal. Volberg, poème. — Légendes et Ballades. »
eux d’esprit comme il l’était de corps, en avait tant élevé sur leurs pieds d’argile, — sur des pieds qui ressemblaient au si
ait de corps, en avait tant élevé sur leurs pieds d’argile, — sur des pieds qui ressemblaient au sien ! Ce poème, qui mériter
l’immortelle ! au temps De sa royauté naissante, Tourbillonnait d’un pied sûr À mille pieds en l’air, sur Une corde frémiss
u temps De sa royauté naissante, Tourbillonnait d’un pied sûr À mille pieds en l’air, sur Une corde frémissante ! Évidemment
83 (1889) Les œuvres et les hommes. Les poètes (deuxième série). XI « Corneille »
et de goût prescrit par tous ces mulets d’Académie qui se croient le pied sûr et qui ne veulent pas qu’on l’ait emporté. M.
de l’homme. Il ne relevait point de l’espace, mais du temps. Les six pieds de terre qui suffisent à la mort suffirent à sa v
sent à la mort suffirent à sa vie, et il fut aussi grand dans ces six pieds de terre que s’il avait traîné son génie, pour le
lui-même, Corneille amoureux ! Je sais bien qu’il reprit son cœur aux pieds sous lesquels il l’avait mis, mais en le reprenan
84 (1865) Les œuvres et les hommes. Les romanciers. IV « M. Charles Didier » pp. 215-226
éron (le mot y est encore) raconté en un tour de soleil, à huit mille pieds au-dessus de la mer. » Or, que veulent dire ces h
ille pieds au-dessus de la mer. » Or, que veulent dire ces huit mille pieds au-dessus du niveau de la mer, sur lesquels, à pl
ue pour sa modestie ? Non pas ! Mais c’est qu’en effet ces huit mille pieds sont la hauteur du théâtre où se racontent ces hi
d’Italie, et qui n’a d’autre originalité de détail que ces huit mille pieds innocents au-dessus du niveau de la mer dont M. D
85 (1866) Histoire de la littérature anglaise (2e éd. revue et augmentée) « Livre V. Les contemporains. — Chapitre VI. La poésie. Tennyson. »
, —  car ils les ont jetés dans un étroit tombeau, —  seulement trois pieds au-dessous de la rue, —  et les pieds des chevaux
oit tombeau, —  seulement trois pieds au-dessous de la rue, —  et les pieds des chevaux frappent, frappent, —  les pieds des
ous de la rue, —  et les pieds des chevaux frappent, frappent, —  les pieds des chevaux frappent — frappent jusque dans mon c
mon crâne et dans ma cervelle, —  avec un flot qui ne cesse jamais de pieds qui passent. —  Ô mon Dieu, pourquoi ne m’ont-ils
otre aise tant que nous restons collés au sol, clopinant sur nos deux pieds qui nous traînent misérablement çà et là dans l’e
e, les fleurs montent le long des portiques, les vignes entourent les pieds des statues, les roses jonchent les allées de leu
chanson de cabaret, et se découvre. Ida, indignée, veut partir ; son pied glisse, elle tombe dans la rivière ; le prince la
te d’une noble honte. —  Toute la fausse enveloppe avait glissé à ses pieds comme une robe, —  et la laissait femme, plus aim
ère en toutes ses parties, —  est liée comme par des chaînes d’or aux pieds de Dieu. Mais à présent adieu ; je m’en vais pour
et pratique tous les exercices du corps. Il monte à cheval, il fait à pied de longues promenades, il chasse, il vogue en mer
e. Et que cette émotion est fine ! Il n’a point enfoncé lourdement un pied rude dans la vérité et dans la passion. Il a glis
r ; il y avait du poison au fond de la coupe ; il tombe et râle ; ses pieds convulsifs battent les tapis de soie, et tous les
86 (1759) Salon de 1759 « Salon de 1759 — Michel Van Loo » p. 90
parterre, ni un beau vêtement d’une robe à fleurs. Ce portrait a sept pieds et demi de hauteur, sur cinq pieds et demi de lar
robe à fleurs. Ce portrait a sept pieds et demi de hauteur, sur cinq pieds et demi de large ; imaginez l’espace que ce panie
87 (1761) Salon de 1761 « Peinture —  Louis Michel Vanloo  » p. 114
Louis Michel Vanloo 8 pieds de hauteur, sur 6 pieds de largeur. Le premier ta
Louis Michel Vanloo 8 pieds de hauteur, sur 6 pieds de largeur. Le premier tableau qui m’ait arrêté e
88 (1761) Salon de 1761 « Peinture —  Boizot  »
Boizot Telemaque qui raconte ses aventures à Calipso. Il est de 3 pieds de large, sur 2 pieds 6 pouces de haut. Ah, Monsi
ui raconte ses aventures à Calipso. Il est de 3 pieds de large, sur 2 pieds 6 pouces de haut. Ah, Monsieur Chardin, si Boizot
89 (1869) Cours familier de littérature. XXVII « CLVIIe Entretien. Marie Stuart, (Reine d’Écosse). (Suite et fin.) »
i survivent parlent et vengent ! » Puis il secoua la poussière de ses pieds , sortit d’Édimbourg et se retira au milieu des bo
rivale de Marie Stuart à la main du roi d’Écosse. Le château situé au pied du Ben Lomond, haute montagne d’Écosse, était con
abordant la rive, leur livra la reine fugitive. Ils se jetèrent à ses pieds , l’entraînèrent dans leurs montagnes, levèrent le
e n’est que de vieille charpenterie, écrit-elle, entr’ouverte de demy pied en demy pied, de sorte que le vent entre de tous
e vieille charpenterie, écrit-elle, entr’ouverte de demy pied en demy pied , de sorte que le vent entre de tous costez en ma
beth), l’asseurant qu’il y a cent païsans en ce meschant villaige, au pied de ce chasteau, mieuz logez que moy, n’ayant pour
e lendemain. » Elle demanda ensuite de l’eau ; elle se fit laver les pieds par ses filles d’honneur. Elle écrivit ensuite :
s’écria Melvil en se rapprochant de sa maîtresse et en tombant à ses pieds , j’ai trop vécu, puisque mes yeux étaient réservé
toute tapissée de drap noir ; l’échafaud, qu’on y avait dressé à deux pieds et demi de terre, était tendu de frise noire de L
la reine sur un pliant sans dossier, un carreau de velours noir à ses pieds . Les comtes de Kent et de Shrewsbury s’assirent c
90 (1914) Note sur M. Bergson et la philosophie bergsonienne pp. 13-101
rté, n’est-il pas aussi la plus grande profondeur. Le vieux Priam aux pieds d’Achille, qui est si l’on me permet de parler ai
des enjambées pouvaient être inégales. On mesurait, (et on comptait), pied à pied, c’est-à-dire le derrière du talon du pied
ambées pouvaient être inégales. On mesurait, (et on comptait), pied à pied , c’est-à-dire le derrière du talon du pied droit
, (et on comptait), pied à pied, c’est-à-dire le derrière du talon du pied droit juste et modérément appuyé à la pointe de l
du pied droit juste et modérément appuyé à la pointe de la semelle du pied gauche. Et ainsi de suite alternativement. C’étai
de la raison le gauche, droite. Et c’était paille qui était devenu le pied gauche, et foin qui était devenu le pied droit. M
t paille qui était devenu le pied gauche, et foin qui était devenu le pied droit. Mais autrefois on comptait et mesurait par
deuxième partie du Discours de la Méthode veut que l’on n’avance que pied à pied et qui dans la quatrième partie, se plaçan
me partie du Discours de la Méthode veut que l’on n’avance que pied à pied et qui dans la quatrième partie, se plaçant, alla
n’occupe plus le cimetière d’Eylau. Et il ne dresse plus sa tente au pied des Pyramides. Mais il y a eu la campagne d’Égypt
91 (1863) Histoire des origines du christianisme. Livre premier. Vie de Jésus « Chapitre XIII. Dernière semaine de Jésus. »
pendant le dîner, portant un vase de parfum qu’elle répandit sur les pieds de Jésus. Elle cassa ensuite le vase, selon un vi
e-là inconnus, elle se prosterna et essuya avec ses longs cheveux les pieds de son maître 1049. Toute la maison fut remplie d
arité de la Cène. Pour lui, le rite de la Cène, c’est le lavement des pieds . Il est probable que dans certaines familles chré
usage se pratiquer encore à Sour. 1049. Il faut se rappeler que les pieds des convives n’étaient point, comme chez nous, ca
assages que Bethphagé était une sorte de pomoerium, qui s’étendait au pied du soubassement oriental du temple, et qui avait
92 (1878) Les œuvres et les hommes. Les bas-bleus. V. « Chapitre XXVI. La sœur Emmerich »
nom. » Et elles auront raison, les virtuoses de lettres ! Les pauvres pieds de la sœur Emmerich n’ont jamais chaussé l’orguei
e use de brebis ou de vaches, dès qu’elle put se tenir debout sur ses pieds en sabots ou nus, qui devaient, un jour, éclater
lle. Eh bien ! cette petite va-nu-pieds, ce brin de genêt à mettre au pied d’un bénitier tout au plus, était, même dès lors,
ouronnes celle qui tient le plus au front des hommes, — et la mit aux pieds de l’Extatique, à ces pieds flamboyants et stigma
plus au front des hommes, — et la mit aux pieds de l’Extatique, à ces pieds flamboyants et stigmatisés. À dater de ce jour, q
93 (1761) Salon de 1761 « Sculpture —  Challe  » pp. 161-162
rbas qui détache de l’arbre Œdipe enfant qui y était suspendu par les pieds . L’enfant, ou je me trompe fort, est sublime. Il
t s’il suspend ou s’il détache. On s’élève également sur la pointe du pied pour suspendre et pour détacher. On étend égaleme
94 (1761) Salon de 1761 « Peinture —  Le Bel  » p. 146
Le Bel Il est de 4 pieds , 4 pouces de large ; sur 3 pieds, 6 pouces de hau
Le Bel Il est de 4 pieds, 4 pouces de large ; sur 3 pieds , 6 pouces de haut. Le Soleil couchant de Mr Lebel
95 (1856) Cours familier de littérature. I « IVe entretien. [Philosophie et littérature de l’Inde primitive (suite)]. I » pp. 241-320
t, par l’analogie de leur bruit, sur les vagues ridées de l’Océan, au pied du mât où frissonne ainsi la toile ? Et pourquoi
s métalliques, comme la bayadère de l’Inde attache deux grelots à ses pieds pour entrer et pour adorer dans le temple ? En vé
es histoires ; véritable Éden des littératures antiques retrouvées au pied de l’Himalaya, aux bords du Gange et de l’Indus.
-à-dire : Cours de sagesse dans lesquels les disciples sont assis aux pieds du maître et écoutent sa parole. » D’autres frag
lle d’Homère. Il est fils d’un roi d’une contrée des Indes, située au pied des monts Himalaya ; de jeunes guerriers, ses pag
ù il est de lui déclarer son amour. Une troupe de cygnes s’abat à ses pieds . Il envie leurs ailes, qui leur permettent de vol
tourée de forêts auprès des jardins de son père, voit s’abattre à ses pieds la volée de cygnes auxquels Nala a rendu la liber
déjà ses ailes frissonnantes, tantôt ralentit et tantôt précipite ses pieds sur l’herbe, jusqu’à ce qu’il ait entraîné, par u
yante, que, d’un seul regard, elle fait tomber le chasseur mort à ses pieds . Sa beauté est relevée par sa vertu. « Son corp
; vaincu par sa beauté et la sainteté de l’épouse, il se couche à ses pieds et il l’adore. XXXIV Elle parvient enfin au
ition ou comme un rêve. Damayanti reprend sa route ; elle s’arrête au pied d’un arbre dont l’ombre donne la mort : « Ah ! »
96 (1767) Salon de 1767 « Peintures — Jollain »
trop jeunes, passant des guirlandes de fleurs autour des bras et des pieds d’un innocent qui les laisse faire. Ni verve, ni
lle la tête penchée sur le bras de son père qui lui serre la main. Au pied de Bélisaire, une levrette qui dort. Tout à fait
97 (1857) Cours familier de littérature. IV « XXIIe entretien. Sur le caractère et les œuvres de Béranger » pp. 253-364
sa fortune altière, Se fit un jeu des sceptres et des lois, Et de ses pieds on peut voir la poussière Empreinte encor sur le
i avons souvent demandé compte dans nos conversations seul à seul aux pieds des chênes du bois de Boulogne. Ici nous le laiss
te, dont j’étais l’oracle et l’ami, était étendu sur un fauteuil, son pied foulé sur un tabouret, écoutant tout le monde, so
mes exploits. Hennis d’orgueil, ô mon coursier fidèle ! Et foule aux pieds les peuples et les rois. La Paix, qui fuit, m’ab
avé deux fois. Hennis d’orgueil, ô mon coursier fidèle ! Et foule aux pieds les peuples et les rois. Comme en un fort, princ
e et la croix. Hennis d’orgueil, ô mon coursier fidèle ! Et foule aux pieds les peuples et les rois. J’ai d’un géant vu le f
éis à sa voix. Hennis d’orgueil, ô mon coursier fidèle ! Et foule aux pieds les peuples et les rois. Tout cet éclat dont l’E
enirs et lois. Hennis d’orgueil, ô mon coursier fidèle ! Et foule aux pieds les peuples et les rois. Dans le vieux Sergent,
sa ;   Voilà bien longtemps de ça : Je venais d’entrer en ménage.   À pied grimpant le coteau   Où pour voir je m’étais mise
en porte un autre à son dos. L’aîné, qu’elle traîne après elle, Gèle pieds nus dans ses sabots. Hélas ! des gardes qu’il cou
les grandes ombres des montagnes dont parle Virgile tombent sur leurs pieds à mesure que le soleil baisse : Majoresque cadun
misères prenait sa canne et son chapeau pour sortir. Il s’en allait à pied , dans la poussière ou dans la boue, d’une extrémi
jambes. Il regretta vivement de ne plus avoir la force de traverser à pied la ville pour venir, comme l’année dernière, s’as
e l’étendaient avec des soins de mère et de père sur son canapé ; ses pieds sans force touchaient encore à terre ; son visage
ns le dernier et dans le plus obscur de ces médaillons, agenouillé au pied de cette tombe, et pleurant dans l’ombre, non des
98 (1869) Cours familier de littérature. XXVII « CLXIIe entretien. Chateaubriand, (suite.) »
fin pour eux arrive, Et toujours sa palme tardive Croît plus belle au pied d’un cercueil. « Torquato, d’asile en asile, L’e
’arrêt du temps doit te venger. « Le bruit confus de la cabale À tes pieds va bientôt mourir ; Bientôt à moi-même on t’égale
jouir ; ensuite le père Souël et Chactas s’assirent sur le gazon, au pied de l’arbre ; René prit sa place au milieu d’eux,
es flots des passions et les orages du monde, qui venaient expirer au pied du temple du Seigneur. Grand Dieu, qui vis en sec
dans ces retraites sacrées, tu sais combien de fois je me jetai à tes pieds , pour te supplier de me décharger du poids de l’e
ssante, et sa voix troublée. Un jour, je la surpris tout en larmes au pied d’un crucifix. Le monde, la solitude, mon absence
er les fenêtres fermées ou demi-brisées ; le chardon qui croissait au pied des murs, les feuilles qui jonchaient le seuil de
à la fenêtre grillée. Était-ce toi, ô mon Amélie, qui, prosternée au pied du crucifix, priais le Dieu des orages d’épargner
ts, le calme dans ta retraite ; des hommes brisés sur des écueils, au pied de l’asile que rien ne peut troubler ; l’infini d
99 (1880) Les deux masques. Première série. I, Les antiques. Eschyle : tragédie-comédie. « Chapitre VIII, les Perses d’Eschyle. »
sang. Il semble qu’on le voie assis sur une plinthe, un glaive à ses pieds , gravant son drame sur l’airain de sa cuirasse dé
. Ormuzd plane sur sa tête et la couvre d’un geste de bénédiction. Au pied du tombeau vénéré se range le Chœur des Fidèles,
Hérodote repasse dans ses strophes, à l’état lyrique : les troupes de pied et les cavaliers, les chars et les navires, les a
nte, et l’enfonce d’un coup de marteau, dans son front, — « Entre ses pieds , il tombe, s’agenouille, s’étend. — Entre ses pie
nt, — « Entre ses pieds, il tombe, s’agenouille, s’étend. — Entre ses pieds , il s’agenouille, tombe : — où il s’agenouille, l
et raconte sa délivrance au peuple resté dans la ville, en jetant au pied d’un autel des faisceaux de palmes. Le Choeur des
ais sur le faîte de ce mausolée, soulevant la sandale pourprée de ton pied , et dévoile la splendeur de ta tiare royale. Vien
ux qui souillent la chasteté des eaux vives. — « Ne traverse jamais à pied l’eau limpide des fleuves intarissables, avant d’
ageusement ployé sous le bat d’un pont, garrotté de cordes, foulé aux pieds d’une armée ; sa grande voix bruyante couverte pa
100 (1867) Nouveaux lundis. Tome VIII « Don Quichotte (suite et fin.) »
blanc que brun ; un peu haut des épaules sans en être plus léger des pieds  ; celui-là, je dis que c’est l’auteur de la Galat
ne bourrique, un étudiant tout gris, car il était habillé de gris des pieds à la tête. Il avait des guêtres, des souliers tou
omance, qui fut célèbre dans son temps, et qui commence par : Déjà le pied à l’étrier, me revient à la mémoire, hélas ! trop
; car je puis la commencer à peu près dans les mêmes termes : Déjà le pied à l’étrier, en agonie mortelle, Seigneur, je t’éc
t cela je vis, parce que je veux vivre assez de temps pour baiser les pieds de Votre Excellence, et peut-être que la joie de
Don Quichotte. Un célèbre poëte anglais du temps, Rowe, qui avait un pied dans la politique et qui eût désiré un poste impo
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