ons fondamentales sur la nature et la destination du véritable esprit
Philosophique
: appréciation sommaire de l’extrême importance s
monie avec nos vrais besoins. Même en un temps où le véritable esprit
philosophique
avait déjà prévalu envers les plus simples phénom
ndre, surtout de nos jours, l’efficacité historique d’un tel appareil
philosophique
, il importe de reconnaître que, par sa nature, il
uvent s’attribue encore le privilège presque exclusif des méditations
philosophiques
. Cette longue succession de préambules nécessaire
nces réelles, il importe de sentir, en outre, du point de vue le plus
philosophique
, que, si nos conceptions quelconques doivent être
lois naturelles ne commence réellement à acquérir quelque consistance
philosophique
que lorsque les premiers travaux vraiment scienti
intenant remplie chez les esprits les plus avancés, ce grand principe
philosophique
acquiert aussitôt une plénitude décisive, quoique
onstituent la première stimulation indispensable à nos divers efforts
philosophiques
, trop souvent attribués surtout aux impulsions pr
ie, se trouvent, en outre, spontanément solidaires. Ce grand résultat
philosophique
n’exige d’ailleurs d’autre condition nécessaire q
ience réelle de comporter, sous un autre aspect, une suffisante unité
philosophique
, équivalente à celles que constituèrent passagère
toute son importance, parce qu’elle indique en lui le vrai fondement
philosophique
de la sociabilité humaine, en tant du moins que c
ents, et une certaine convergence d’intérêts. La déplorable situation
philosophique
de l’élite de l’Humanité suffirait aujourd’hui po
e plus heureux résumé, tous les grands caractères du véritable esprit
philosophique
, aussi bien quant à la rationalité que quant à la
bien loin de tendre aucunement à restreindre les saines spéculations
philosophiques
, elle leur assignerait, au contraire, un office f
fondamentale qui rend la vie industrielle si favorable à l’ascendant
philosophique
de l’esprit positif lui imprime, sous un autre as
conduits à compléter enfin l’appréciation directe du véritable esprit
philosophique
par une dernière explication qui, quoique étant s
n partielle, ne pouvait convenablement formuler ses propres tendances
philosophiques
, à peine devenues directement sensibles pendant n
ilité des lois physiques d’acquérir enfin son indispensable plénitude
philosophique
. Car, la pensée continue d’une subite perturbatio
n une pareille appréciation doit s’étendre, avec une nouvelle énergie
philosophique
, à toutes les autres parties essentielles de la,
ractériser ici, sous tous les aspects principaux, le véritable esprit
philosophique
, qui, après une lente évolution préliminaire, att
mme tous les termes vulgaires ainsi élevés graduellement à la dignité
philosophique
, le mot positif offre, dans nos langues occidenta
chimérique : sous ce rapport, il convient pleinement au nouvel esprit
philosophique
, ainsi caractérisé d’après sa constante consécrat
au vague : ce sens rappelle la tendance constante du véritable esprit
philosophique
à obtenir partout le degré de précision compatibl
ation, en indiquant d’ailleurs une tendance continue du nouvel esprit
philosophique
, offre aujourd’hui une importance spéciale pour c
nsemble de sa situation. Le seul caractère essentiel du nouvel esprit
philosophique
qui ne soit pas encore indiqué directement par le
st surtout propre à déterminer cette, condensation du nouveau langage
philosophique
, dès lors pleinement constitué, d’après l’évident
de sentir que, sous tous les aspects essentiels, le véritable esprit
philosophique
consiste surtout dans l’extension systématique du
n question ce que celle-ci a vraiment décidé, les saines spéculations
philosophiques
doivent toujours emprunter à la raison commune le
scite souvent l’état continu d’abstraction indispensable à l’activité
philosophique
. Malgré leur affinité nécessaire, le bon sens pro
r préoccupé de réalité et d’utilité, tandis que l’esprit spécialement
philosophique
tend à apprécier davantage la généralité et la li
ves à la logique abstraite, où il s’agit d’apprécier la vraie méthode
philosophique
, isolément d’aucune application à un ordre quelco
physique, destiné, par sa généralité spontanée, à lui servir d’organe
philosophique
, pendant les siècles écoulés entre la préparation
esprit positif n’a-t-il pu manifester suffisamment sa propre tendance
philosophique
quand il s’est trouvé enfin conduit, par cette op
mentales, l’une, scientifique, émanée de Kepler et Galilée, l’autre,
philosophique
, due à Bacon et à Descartes. L’imparfaite unité m
onalité qui lui manquent encore, de manière à établir, entre le génie
philosophique
et le bon sens universel, une harmonie qui jusqu’
tout consister, de nos jours, la dernière épreuve du véritable esprit
philosophique
, dont l’extension successive à tous les autres ph
al, seul susceptible d’une active universalité. Tel est le double but
philosophique
de l’élaboration fondamentale, à la fois spéciale
ècle, la principale activité révolutionnaire dut passer, dans l’ordre
philosophique
, des docteurs proprement dits aux simples littéra
de dut ensuite déterminer une mémorable manifestation que nos lacunes
philosophiques
rendaient aussi indispensable qu’inévitable, afin
transformer une stérile agitation politique en une active progression
philosophique
, de manière à suivre enfin la marche prescrite pa
ésente aujourd’hui comme venant enfin d’acquérir l’entière généralité
philosophique
qui lui manquait jusqu’ici : dès lors, elle ose e
ité perturbatrice, en transformant l’agitation politique en mouvement
philosophique
. Sous le second aspect, il envisage toujours l’ét
positives qui a inspiré, il y a deux siècles, dans la célèbre formule
philosophique
de Pascal, la première notion rationnelle du prog
ste efficacité. Le dogme du progrès ne peut donc devenir suffisamment
philosophique
que d’après une exacte appréciation générale de c
lité remplit naturellement les conditions essentielles d’un vrai type
philosophique
, en caractérisant une limite déterminée, dont tou
plus d’inconséquence que de partialité, de rendre une exacte justice
philosophique
à toutes les coopérations quelconques. Quoique ce
restriction ne saurait changer la nature de cette grande construction
philosophique
, elle serait évidemment illusoire en un temps où
tion de notre intelligence, c’est surtout en vertu de l’ancien régime
philosophique
; car, à vrai dire, c’est à l’idée d’individu qu’
’heureuse corrélation qui s’établit naturellement entre un tel esprit
philosophique
et les dispositions, sages mais empiriques, que l
et à l’entière impossibilité d’apprécier réellement aucune conception
philosophique
. On sentira mieux, au reste, la gravité d’une tel
propres à y constituer la base indispensable de sa grande élaboration
philosophique
. Ces études préliminaires, naturellement dominées
spersive, de manière à lui faire acquérir peu à peu le vrai caractère
philosophique
, indispensable à sa principale mission. Cette voi
nécessaire d’un tel point d’appui général pour l’ensemble des travaux
philosophiques
devient, à mes yeux, le principal résultat social
nne. Il importe donc beaucoup que, dès son origine, la nouvelle école
philosophique
développe, autant que possible, ce grand caractèr
ialement instituer aujourd’hui avec les prolétaires la nouvelle école
philosophique
, sans toutefois que son enseignement doive jamais
les classes lettrées, je ne crains pas de tomber dans une exagération
philosophique
en affirmant qu’il en résulte, pour les esprits p
os explications antérieures, rattache directement le véritable esprit
philosophique
au bon sens universel, sa première source nécessa
enseignement universel, et une plus vive sympathie pour sa rénovation
philosophique
, quand elle pourra convenablement pénétrer dans c
condition indispensable à l’accomplissement graduel de la rénovation
philosophique
. C’est aussi chez eux que le caractère continu d’
surtout les intelligences populaires à seconder aujourd’hui l’action
philosophique
de l’école positive par leur ardeur continue pour
ns spéculatives, du mouvement politique actuel en un simple mouvement
philosophique
, dont le premier et le principal résultat social
caractère spontané de la doctrine sociale propre à la nouvelle école
philosophique
; nos explications antérieures doivent ici dispen
un libre zèle privé, inspiré et soutenu par de véritables convictions
philosophiques
. L’imparfaite conservation d’une grossière harmon
ositive, résultée d’un actif concours volontaire des esprits vraiment
philosophiques
, n’aura longtemps à demander à nos gouvernements
outera jamais de soutenir, même dès ce moment, une active concurrence
philosophique
envers les nombreux et puissants organes, même ré
ispensable point d’appui, à la fois mental et social, à l’élaboration
philosophique
qui doit déterminer graduellement la réorganisati
de tout le système théorique. Ce classement tire sa principale valeur
philosophique
, soit scientifique, soit logique, de l’identité c
trie, et la mécanique, on détermine enfin, avec la dernière précision
philosophique
, la véritable origine de tout le système scientif
e irréparable lacune, qui a quelquefois neutralisé d’éminents efforts
philosophiques
. Une telle marche doit donc devenir encore plus i
ction populaire, mais seulement d’imprimer convenablement l’impulsion
philosophique
qui doit y conduire. Dès lors, on reconnaît aisém
que de la positivité moderne, tendant ouvertement à un nouveau régime
philosophique
, est essentiellement résulté de la grande rénovat
e vraie positivité, devra marcher ensuite sous une nouvelle impulsion
philosophique
, directement émanée de la science finale, dès lor
es qui ne vous appartiennent pas n’est pas du tout la vraie fécondité
philosophique
, qui n’a, elle, que deux manières de produire : —
Cousin nous a toujours franchement produit l’effet d’un vrai Narsès…
philosophique
! Il a du talent cependant, nous le voulons bien,
phraseur, de flûteur, de musicien, de pousseur de son sur des sujets
philosophiques
, et, toute sa vie, c’est avec cela qu’il a fait i
t connu Hegel, ou du moins il avait picoré dans sa doctrine. Caméléon
philosophique
, il revenait avec cette nouveauté des reflets de
ais qu’elle ne peut jamais qu’agiter, quelle est réellement la valeur
philosophique
du livre de Cousin ? Faux comme il s’en est vanté
en, éclectique enfin, mais antiscientifique, n’ayant point de science
philosophique
mais une littérature philosophique, et c’est la r
ntifique, n’ayant point de science philosophique mais une littérature
philosophique
, et c’est la raison pour laquelle il a une peur b
l a une peur bleue de Hegel dès qu’il cesse de l’aimer, ce bel esprit
philosophique
à l’imagination infidèle ! Les notes qu’il a atta
avons laissé de côté le professeur de 1820, l’écrivain des fragments
philosophiques
, le dissertateur d’Abélard, l’annotateur et le tr
tré des facultés d’envahissement et de conservation qui n’ont rien de
philosophique
ou de littéraire, Cousin, le chef de la philosoph
ande aptitude, la nette, l’incontestable supériorité. C’est un lettré
philosophique
; ce n’est pas un philosophe ! C’est un exécutant
e, de sa grande et non sérieuse personnalité, n’est pas une influence
philosophique
. Descartes le solitaire en a eu une autre. Il a r
Ch. de Rémusat. Abélard, drame
philosophique
[Le Constitutionnel, 26 février 1877.] [I]
tinentes. Elles se permettent tout. Qu’est-ce que c’est qu’un « drame
philosophique
?… » Hélas ! dans un certain sens, tout a sa phil
ens, tout a sa philosophie dans le monde, même Athalie, dont un benêt
philosophique
disait pourtant : « Qu’est-ce que cela prouve ?…
ique disait pourtant : « Qu’est-ce que cela prouve ?… » Mais un drame
philosophique
! La logomachie moderne pouvait seule inventer ce
Rémusat a voulu, par égard pour lui-même sans doute, que le mot de «
philosophique
» se retrouvât dans le titre d’un drame qu’il ava
paru de la préoccupation publique, et, certes ! ce n’est pas le drame
philosophique
que voici qui l’y fera rentrer. II D’abord,
osophique que voici qui l’y fera rentrer. II D’abord, ce drame (
philosophique
ou non, d’ailleurs,) n’est pas un drame. Vous rap
bliée de Charles de Rémusat, tête, en somme, de peu de poésie, lettré
philosophique
à sang blanc et froid, et dont la froideur et la
espeare faisait des drames de génie, tandis que Rémusat fait un drame
philosophique
, juste-milieu, centre gauche, Faubourg Saint-Germ
omplaisance, et le français ne suffisant pas à la verve du dramaturge
philosophique
, il l’agrémente de latin, et quel latin ! Plus d
actère, de couleur franche, de traits hardis. Il manque même de haine
philosophique
, quoique de Rémusat doive avoir, tapies quelque p
rchandise de philosophie, n’ont plus rien de la flamme des fanatismes
philosophiques
d’autrefois. Ils ont la lâcheté de leur rationali
stème n’a eu la force de se produire, et où ce qui reste de mouvement
philosophique
ne s’exprime plus que par de chétives monographie
dans le cœur de l’humanité ! II C’est cet état de débilitation
philosophique
que le Dr Athanase Renard nous a mis à même de vé
sant. Il est chrétien comme l’était Récamier, mais avec des aptitudes
philosophiques
d’une spécialité supérieure. Dans le livre qui to
classifications de ce temps, et comme s’il avait vécu dans le milieu
philosophique
où ces questions s’agitent le plus… Par ce côté,
la pensée par le Matérialisme, qui est à la fin de tout dans l’ordre
philosophique
: Finis Poloniæ ! Le Dr Athanase Renard n’est poi
ujours, au fond, ce sont de pauvres hommes intellectuels dans l’ordre
philosophique
que Bacon, — grand de loin, petit quand on s’appr
phalange d’esprits — peu macédonienne — je ne vois pas une seule tête
philosophique
de valeur transcendante et qu’on puisse objecter
ga, qui sont la même lettre en philosophie. Je ne sache rien de moins
philosophique
dans le sens que les philosophes donnent à ce mot
ophes donnent à ce mot, et c’est bien quelque chose, mais cela est-il
philosophique
dans le sens de vérité que nous donnons à ce mot,
taient tous, plus ou moins. Pour qui croit comme lui aux nationalités
philosophiques
, le spiritualisme cartésien est la vraie philosop
Chapitre I La lutte
philosophique
1. Les défenseurs de la tradition et du passé.
Rollin. Daguesseau. Faiblesse de la résistance. Diffusion de l’esprit
philosophique
. Le marquis de Mirabeau. Vauvenargues. — 2. La gr
embert, Marmontel, d’Holbach, Condillac, Turgot, Condorcet. La lutte
philosophique
prend, dans la seconde moitié du xviiie siècle,
é ; ils savent souffrir pour le bien. Ils forceront l’estime du parti
philosophique
: d’autant qu’ils sont trop justes, trop modérés,
d’influences, mais seulement des affinités de nature. 2. La lutte
philosophique
Deux journaux firent une guerre acharnée à la
nt attaqués dans leurs œuvres. Ce fut une grande clameur dans le camp
philosophique
: mais Palissot avait eu l’adresse de cajoler Vol
âtrales, marque le moment où la lutte est le plus envenimée. Le parti
philosophique
s’est organisé, discipliné ; il a ses chefs, ses
ie anglaise de Chambers : mais ce fut Diderot qui conçut l’efficacité
philosophique
de l’entreprise. Il marqua dans son prospectus, q
. Diderot veilla à tout : il maintint l’unité générale de l’intention
philosophique
à travers la diversité des sujets particuliers, l
on œuvre, comme celle de Descartes au xviie siècle, est l’expression
philosophique
du même esprit qui a produit la littérature du te
, industrie, commerce, éducation, il avait tout étudié avec un esprit
philosophique
, sans rechercher la nouveauté ni respecter la tra
tibilités d’humeur : ce qui lie le parti, et caractérise le mouvement
philosophique
, c’est la foi dans la raison. En ce sens, l’œuvre
l’homme, 1772, 2 vol. in-8. 533. L’abbé Raynal (1713-1796): Histoire
philosophique
et politique des établissements et du commerce de
a qu’un temps dans chaque pays ; elle précède ordinairement les idées
philosophiques
; mais lorsqu’elle les trouve déjà connues et dév
nt à travers toutes les prospérités, rétablissent une sorte d’égalité
philosophique
, à côté même de la flatterie. Ce n’est pas avec u
tre à jamais les éléments de l’art. Mais ce qu’il y a de tendre et de
philosophique
dans les poètes latins, eux seuls en ont la gloir
re de l’amour, est précisément ce qui leur manque en idées morales et
philosophiques
. Lorsque je parlerai de la littérature des modern
de la pensée. Il existe des histoires appelées avec raison histoires
philosophiques
; il en existe d’autres dont le mérite consiste d
e la vertu ; mais on ne trouve dans l’histoire ancienne, ni l’analyse
philosophique
des impressions morales, ni l’observation approfo
non la connaissance intime des secrets du cœur humain, ou des causes
philosophiques
des événements30. Comment les anciens auraient-il
île de Caprée, Caligula du fond de la Bretagne, etc. Que de questions
philosophiques
l’on pourrait faire aux meilleurs historiens de l
ntaire à la pensée de l’auteur sur le rôle et la valeur de la science
philosophique
. Je prendrais un grand plaisir, monsieur et cher
ophes comme pour le public, son vrai sens. J’ai reproché aux systèmes
philosophiques
, non leur éternelle opposition, mais leur éternel
dmettre la parité que vous établissez entre l’opposition des systèmes
philosophiques
et celle des religions. Les systèmes philosophiqu
tion des systèmes philosophiques et celle des religions. Les systèmes
philosophiques
sont essentiellement divers et opposés. Toutes le
mêlant soit aux rêveries et aux passions humaines, soit aux systèmes
philosophiques
, l’ont prodigieusement altéré et corrompu ; deux
ente et développe heureusement quelques-uns des points de la doctrine
philosophique
de M. Guizot. Elle ne détruit pas, à notre avis d
elle est acceptée, a un caractère de confiance absolue qu’une opinion
philosophique
, quelle qu’elle soit, ne comporte pas. D’un côté
t exactement le même caractère de certitude relative que les opinions
philosophiques
. Ces raisons après tout ne sont que des raisons h
supériorité ne peut être prouvée que par des arguments historiques et
philosophiques
, du même ordre que ceux que l’on a déclarés impui
ont aucun caractère surnaturel, et sont de même ordre que les preuves
philosophiques
en général. En un mot, il n’y a que deux états d’
ne se fonde donc que sur l’opinion tout aussi bien que l’apologétique
philosophique
. Entre M. Guizot et les philosophes il n’y a qu’u
Il a ses opinions comme les philosophes ont les leurs. Les doctrines
philosophiques
ne le satisfont pas ; mais les philosophes ne son
ter l’illustre penseur. Quand il s’agit d’opinions humaines, d’écoles
philosophiques
, de partis politiques, je comprends très-bien que
n, ni même exclusivement religieux ; c’est en même temps une doctrine
philosophique
. On pourrait tout aussi bien compter l’existence
on s’étonne de voir au nombre des dogmes chrétiens une doctrine toute
philosophique
, on s’étonne aussi de certaines omissions singuli
on, je n’en disconviens pas ; mais c’est là précisément l’explication
philosophique
que l’on a déclarée insuffisante, et cette explic
ingénieux et réfléchi, qui a soutenu récemment à un point de vue tout
philosophique
la doctrine de la chute, M. Ernest Naville a très
ruine par la base les principes de toute croyance, soit morale, soit
philosophique
, car qui m’assurera qu’il n’y a pas aussi une vér
et sur l’abus de la philosophie dans les matières de goût L’esprit
philosophique
, si célébré chez une partie de notre nation, et s
es productions du talent pourront être soumises. Ainsi le même esprit
philosophique
, qui nous oblige, faute de lumières suffisantes,
du raisonnement, son imagination se bornait à enfanter des hypothèses
philosophiques
, et le degré de sentiment dont il était pourvu, à
art, vient ou peut venir de plusieurs sources différentes ; l’analyse
philosophique
consiste donc à savoir les distinguer et les sépa
ne parler que des dieux et de l’amour. Et comment le véritable esprit
philosophique
serait-il opposé au bon goût ? il en est au contr
à ne point confondre les limites de chaque genre. Abuser de l’esprit
philosophique
, c’est en manquer. Ajoutons qu’il n’est point à c
it nombre de réflexions paraît devoir suffire pour justifier l’esprit
philosophique
des reproches que l’ignorance ou l’envie ont cout
seuls qu’il appartiendrait de fixer l’usage et les bornes de l’esprit
philosophique
, comme il n’appartient qu’aux écrivains qui ont m
ment arrivé ; ceux qui possèdent et qui connaissent le moins l’esprit
philosophique
, en sont parmi nous les plus ardents détracteurs,
-être y chercherez-vous en vain une page directement et abstraitement
philosophique
. C’est une intime pénétration de l’esprit philoso
abstraitement philosophique. C’est une intime pénétration de l’esprit
philosophique
, qui se manifeste non par une tirade isolée, mais
ence une aussi grande influence que le dictionnaire très médiocrement
philosophique
par lequel Wilson a rendu possibles en Europe les
elles s’astreindraient difficilement des hommes travaillés de besoins
philosophiques
trop exigeants. Des esprits vifs et élevés auraie
xquels la science moderne doit ses progrès, eussent eu l’intelligence
philosophique
de ce qu’ils faisaient, s’ils eussent vu dans l’é
u lustre à un pays, etc. » Niaiserie que tout cela ! Quelle est l’âme
philosophique
et belle, jalouse d’être parfaite, ayant le senti
udits des temps modernes, qui n’étaient soutenus ni par une haute vue
philosophique
, ni par un motif immédiatement religieux, n’eusse
ils ont adopté, et consentent à la modification de quelques principes
philosophiques
. Ils respectent leur propre bonheur ; ils ménagen
nts de l’homme passionné, les souffrances de l’âme, et les ressources
philosophiques
qui peuvent aider à les supporter. Le caractère g
Les Allemands ont quelquefois le défaut de vouloir mêler aux ouvrages
philosophiques
une sorte d’agrément qui ne convient en aucune ma
dans les relations avec elles. Enfin, pour faire admettre des vérités
philosophiques
dans un pays où elles ne sont point encore publiq
ire, l’on se tromperait en croyant donner plus de piquant aux vérités
philosophiques
par le mélange des personnages et des aventures q
de Voltaire ont inspiré le désir de faire, à son exemple, des contes
philosophiques
; mais il n’y a point d’imitation possible pour c
ante et la grâce toujours variée. Il se trouve sans doute un résultat
philosophique
à la fin de ses contes ; mais l’agrément et la to
ureux. Il n’est point de nation plus singulièrement propre aux études
philosophiques
. Leurs historiens, à la tête desquels il faut met
une patrie politique ; mais ils se sont fait une patrie littéraire et
philosophique
, pour la gloire de laquelle ils sont remplis du p
conséquences que le maître tire de ses principes. Une secte, quelque
philosophique
qu’elle soit dans son but, ne l’est jamais dans s
t éminemment propres à la liberté, puisque déjà, dans leur révolution
philosophique
, ils ont su mettre à la place des barrières usées
r consacrer toutes les forces de sa pensée à la recherche des vérités
philosophiques
, il faut que l’émulation soit encouragée par l’es
qu’en examinant ce qui est particulièrement nécessaire à l’émulation
philosophique
, on verra pourquoi l’esprit révolutionnaire, pend
ils répandent sourdement que les facultés de l’esprit, que les idées
philosophiques
ne peuvent appartenir qu’aux âmes efféminées, et
qui voulait souvent réunir les faveurs de la cour avec l’indépendance
philosophique
, fait sentir le contraste et la difficulté d’un t
l avait fait ; l’autre enfin, par le charme de son style, l’élévation
philosophique
dont ses lettres portent le caractère, se fit aim
est ne jamais faire entrer dans ses décisions aucun motif généreux ou
philosophique
. La république, discutant en commun un grand nomb
ns avoir une idée de plus que celles de leur métier. Rien n’est moins
philosophique
, c’est-à-dire, rien ne conduirait moins au bonheu
et des caractères. On voudrait appeler cette confusion une république
philosophique
; et ce ne serait, en effet, que des combats sans
lumières. La raison n’a rien à craindre de la raison, et les esprits
philosophiques
fondent leur force sur leurs pareils. Après avoir
de décrire pourrait bien se manifester dans le sein du spiritualisme
philosophique
, si certaines tendances contraires, enveloppées j
onforme à la nature de l’esprit humain, surtout dans l’ordre purement
philosophique
; avec le besoin de croire, ils éprouvent en même
héologie orthodoxe. Plus préoccupés des conclusions que de la liberté
philosophique
, ils attachent peu d’importance à la différence d
mes plus ou moins symboliques, les vérités dont se compose leur credo
philosophique
, ils sont disposés à une alliance avec les religi
leur liberté intellectuelle. Ils n’oublient pas que le spiritualisme
philosophique
a été considéré, lui aussi, par la théologie comm
ds des écoles nouvelles, il faut reconnaître que tout grand mouvement
philosophique
a sa raison d’être et sa légitimité. C’est un pri
monde en Dieu. Il n’est pas dans la nature des choses qu’une doctrine
philosophique
reste immobile et stagnante comme un dogme théolo
es points de vue semble être un des caractères essentiels de l’esprit
philosophique
; il faut enfin qu’elle prépare des matériaux à l
ond penseur qui vient de nous donner l’intéressant tableau des études
philosophiques
en France au xixe siècle36. M. Félix Ravaisson,
Madame Ackermann Poésies
philosophiques
. [Le Constitutionnel, 28 avril 1873.] I Ce
quetteries extérieures des livres, s’appelait fastueusement : Poésies
philosophiques
, comme si elles étaient d’Aristote ; — mais elles
pas ! Lucrèce lui-même, qu’en quelques endroits l’auteur des Poésies
philosophiques
rappelle ; Lucrèce, ce poète des choses, mais qui
i : c’est qu’elle fut l’amie de Proudhon, est l’auteur de ces Poésies
philosophiques
. Sa vie et sa jeunesse, qui n’est plus, je les ig
lle n’est pas, pour cela, très heureuse d’être athée. Cette nécessité
philosophique
du néant exaspère son âme, qui a soif d’infini pu
refois sur le cœur. Mais ici, dans ces Poésies si étrangement nommées
philosophiques
, il n’y a rien… que rien, et contre ce rien seul
tique de ce matérialisme qui fait mal au cœur et qui résume la pensée
philosophique
de cette fin du xixe siècle. Elle est en un mot,
ajesté dans le mouvement de l’ascension lyrique. Le poète des Poésies
philosophiques
est une aigle, qui déplace beaucoup d’air autour
iration bien plus que par celle de ses facultés, l’auteur des Poésies
philosophiques
ne devait-il pas être forcément plus ou moins sté
s poètes anglais, pourra-t-on dire, sont remarquables par leur esprit
philosophique
; il se peint dans tous leurs ouvrages ; mais Oss
n’a réuni à ces sentiments ni des maximes de morale ni des réflexions
philosophiques
, c’est qu’à cette époque l’esprit humain n’était
, source de toutes les passions généreuses, comme de toutes les idées
philosophiques
, qu’inspire particulièrement la poésie du Nord. J
nt un rapport aussi immédiat avec les sentiments de l’âme ; les idées
philosophiques
s’unissent comme d’elles-mêmes aux images sombres
t l’effroi de l’homme s’en est accru. La religion chrétienne, la plus
philosophique
de toutes, est celle qui livre le plus l’homme à
’amour, dans tous les pays, peut être considérée sous un point de vue
philosophique
. Il semble que la peinture de ce sentiment devrai
n ce qui donne en général aux peuples modernes du Nord un esprit plus
philosophique
qu’aux habitants du Midi, c’est la religion prote
igion protestante est professée, elle n’arrête en rien les recherches
philosophiques
, et maintient efficacement la pureté des mœurs. C
de 1828 et 1829, et de la préface à Tennemann. La nouvelle génération
philosophique
comprendra la nécessité de se transporter dans le
peut-être n’est-ce même pas celle qui fournit les résultats les plus
philosophiques
. La logique entendue comme l’analyse de la raison
oire de l’esprit humain ne donnent pas au penseur des résultats aussi
philosophiques
que l’analyse de la mémoire, de l’imagination de
seule est la méthode légitime, à la synthèse, qui seule a une valeur
philosophique
, pourrait le faire espérer. L’apparition d’un ouv
faire servir les sciences particulières à la solution d’une question
philosophique
. Je choisis le problème qui, depuis les premières
it nécessaire la connaissance de la géographie dans sa partie la plus
philosophique
, et surtout la science la plus approfondie des an
ychologie spontanée, haute habitude de la psychologie et des sciences
philosophiques
, étude expérimentale de l’enfant et du premier ex
à ce mot en France. (Voir son mémoire sur L’Organisation des sciences
philosophiques
.) 87. Cicéron, Tusculanae disputationes V, 3. C
t de la littérature, un grand nombre de lois, la plupart des opinions
philosophiques
, ont été transportés successivement de Grèce en I
fixe davantage l’intérêt sur tous les genres d’avenir : les lumières
philosophiques
sont nécessaires à la considération dans un corps
s. Il résultait de cette séparation presque absolue, entre les études
philosophiques
et les occupations de l’homme d’état, que les écr
s était déjà formé par plusieurs siècles, dans lesquels les principes
philosophiques
avaient été mis en pratique. L’art d’écrire ne s’
érieurs par la sagacité et l’étendue dans les observations morales et
philosophiques
. Les Romains avaient sur les Grecs une avance de
davantage tous les genres de réflexion. Leurs progrès dans les idées
philosophiques
sont extrêmement sensibles, depuis Cicéron jusqu’
urs perfectionnée progressivement. Les principales bases des opinions
philosophiques
des Romains sont empruntées des Grecs ; mais comm
gnité de l’homme, était la vertu des Romains. Ce sont les jouissances
philosophiques
, et non les idées douces d’une religion élevée, q
drissement. Ce ne sont ni les préjugés de la société, ni les opinions
philosophiques
qui disposent de notre cœur ; c’est la vertu, tel
essions personnelles, de porter toujours l’intérêt vers les principes
philosophiques
, donne de l’énergie, mais souvent aussi de la séc
ns après Numa, Pythagore avait été reçu bourgeois de Rome. Les sectes
philosophiques
de la grande Grèce avaient eu des rapports contin
thagoricienne ; et ce qui nous reste de ses poëmes contient des idées
philosophiques
beaucoup plus que des fables merveilleuses. La lé
La crise
philosophique
et les idées spiritualistes Les idées spiritua
possession d’une nouvelle méthode, elle essaye d’organiser la science
philosophique
, elle propose une théorie nouvelle de la raison,
ncte de la physiologie, et qu’elle est la base de toutes les sciences
philosophiques
. Bientôt cependant, il faut le reconnaître, l’esp
sprit de recherche et de libre investigation, le goût des découvertes
philosophiques
, cédèrent la place à un autre goût, à une autre a
frein à la témérité de l’esprit métaphysique ; qu’enfin les systèmes
philosophiques
ne sont pas de pures fantaisies, qu’ils ont leurs
ne leur semblait donner qu’une satisfaction incomplète à la curiosité
philosophique
. En outre de nouvelles générations survenaient, m
de Dieu et ses nouveaux critiques, ouvrage qui a obtenu dans le monde
philosophique
un succès brillant et mérité1. On doit le louer d
; c’est celle-là surtout qui occupe la première place dans les débats
philosophiques
de notre temps. Les uns la nient, les autres l’al
égageant de tout malentendu, les idées fondamentales du spiritualisme
philosophique
. Dans ce livre que je goûte fort et que je trouve
sse et dextérité dans un livre qui nous donne en raccourci l’histoire
philosophique
de ces dix dernières années. C’est pour nous une
ent d’opinion qui appelle à tant de titres l’attention de la critique
philosophique
. Cependant, pour fixer les idées, et sans attache
uelles, jointes à ses cinq objections, composent jusqu’ici son budget
philosophique
. L’objection générale dirigée contre toute l’écol
cette transformation n’a pas eu lieu, parce qu’à côté de la recherche
philosophique
se trouvait chez eux la foi chrétienne. Cependant
pour guides que l’instinct, la routine ou la foi. A la vérité, la foi
philosophique
pas plus que la foi religieuse, ne doit devenir u
t ces idées ; je les constate, afin de bien démêler le genre d’esprit
philosophique
qui paraît vouloir reprendre faveur parmi nous. O
riser l’esprit général des doctrines de M. Renan. Quant à son système
philosophique
(si l’on peut appeler système une esquisse où l’i
, il tranche tellement sur le reste, qu’il faut un étrange parti-pris
philosophique
pour avancer avec le dogmatisme de nos critiques
cette philosophie unitaire que l’on nous oppose. Or est-il un esprit
philosophique
qui, par précaution scientifique, s’imposera de r
la quantité première (abstraite, concrète ou supprimée)6, quel esprit
philosophique
pourra se trouver satisfait par une pareille logo
’est que ce flot d’opinion, mobile et changeant, pour qui les combats
philosophiques
sont encore des combats politiques, ce flot, dis-
mes à la nature des choses, mais elles sont contraires à la tradition
philosophique
et même à la tradition du spiritualisme. Ni Plato
nous venons d’indiquer, il y a encore des raisons précises, et toutes
philosophiques
, qui recommandent de reprendre les problèmes méta
t leurs idées sur les corps, soit au sens commun, soit à la tradition
philosophique
; quelquefois, tant la nécessité est urgente, ils
nos jours aient trop abandonné les questions de physique générale et
philosophique
auxquelles se plaisaient les contemporains de Des
ologiques. Elle chercherait à tirer des sciences extérieures une idée
philosophique
et raisonnée des corps et une idée de la nature.
e secours des sciences positives, essaierait de s’élever à une notion
philosophique
de la matière, elle n’abandonnerait pas pour cela
ilosophie indépendante. Mais s’il est facile de proposer un programme
philosophique
, rien de plus difficile que de le réaliser. Ainsi
e tout le monde) ; après avoir, dis-je, tracé le plan de cette utopie
philosophique
, il faut se hâter de prévoir toutes les difficult
z n’ont cultivé profondément que les mathématiques. Dans les sciences
philosophiques
, ils se sont occupés presque exclusivement de mét
parlent avec exactitude et précision, ce sont alors les connaissances
philosophiques
qui leur font défaut. Ils croient introduire une
maine propre, deviennent confus, obscurs, inexacts dans les questions
philosophiques
proprement dites, et pour introduire dans la phil
tivisme doit se dégager, s’il veut compter parmi les sérieuses écoles
philosophiques
de notre temps. Le second point sur lequel cette
ps. Le second point sur lequel cette école me paraît manquer d’esprit
philosophique
est sa négation absolue et exclusive de toute mét
sitive se décompose en deux éléments hétérogènes : des considérations
philosophiques
qui ne sont point positives, et des notions posit
i ne sont point positives, et des notions positives qui ne sont point
philosophiques
. La philosophie positive obéit, comme toute philo
exactes et positives, et qui cependant éprouvent une sorte d’instinct
philosophique
. Ils ne peuvent satisfaire cet instinct qu’avec l
ves, d’où elles sont issues, et les autres iront retrouver la science
philosophique
, à laquelle elles appartiennent. Les positivistes
et sérieuse, moins elle est accessible à la foule ; mais si le mérite
philosophique
consiste dans la recherche sévère, abstraite, ent
ndu avec les athées, qu’il conserve la théodicée au rang des sciences
philosophiques
, et la place même en première ligne. Il la distin
nd cette doctrine, reconnaissons le service qu’elle rend à la science
philosophique
en provoquant l’attention des métaphysiciens sur
ous ont paru souvent plus prudentes que profondes, plus pratiques que
philosophiques
, plus dignes d’un théologien que d’un métaphysici
n’auraient aucune liaison avec celui-là. En outre admettre un mystère
philosophique
, si l’on y est contraint par le raisonnement, n’e
naturelles, historiques, qui touchent par tant de côtés à la science
philosophique
. » Rien de plus sensé que ces critiques et ces c
progrès métaphysiques, des découvertes dans les sciences et des idées
philosophiques
ne se rompe pas encore entre leurs mains. La libe
une situation fondée sur l’erreur, et se parer eux-mêmes d’un esprit
philosophique
; ils voulaient dédaigner quelques-uns de leurs a
tion qu’il a préparée. Une république fondée sur un système d’égalité
philosophique
n’étant point dans ses opinions, ne pouvait être
ois pas. La littérature du dix-huitième siècle s’enrichit de l’esprit
philosophique
qui la caractérise. La pureté du style, l’éléganc
prit, a porté la réflexion sur une foule d’objets nouveaux. Les idées
philosophiques
ont pénétré dans les tragédies, dans les contes,
r ce qu’il éprouve, de se l’avouer, de l’exprimer ; et l’indépendance
philosophique
sert, au contraire, à mieux connaître, et la natu
on profonde ; et c’est encore sous ce point de vue que les réflexions
philosophiques
introduites par Voltaire dans ses tragédies, lors
es. L’enchaînement des idées et la progression croissante des vérités
philosophiques
fixent l’attention de l’esprit bien plus que les
fiez les institutions, plus vous effacez les contrastes dont l’esprit
philosophique
sait faire ressortir des oppositions frappantes.
. Si la constitution de France est libre, et si ses institutions sont
philosophiques
, les plaisanteries sur le gouvernement n’ayant pl
les esprits doivent plutôt se tourner vers la haute comédie, le plus
philosophique
de tous les ouvrages d’imagination, et celui qui
des exemples analogues dans son propre pays ; mais néanmoins l’esprit
philosophique
qui doit résulter à la longue des institutions li
ne peut se les permettre, que s’ils servent directement à la peinture
philosophique
d’un grand caractère ou d’un sentiment profond. T
eur. Je ne sais si la gloire même, seule pompe de la vie que l’esprit
philosophique
puisse honorer, je ne sais si le tableau de la gl
à tout notre être par leur analogie avec la nature humaine. L’esprit
philosophique
qui généralise les idées, et le système de l’égal
fera plus de progrès en France : l’on mettra dans les vers des idées
philosophiques
, ou des sentiments passionnés ; mais l’esprit hum
la poésie doit suivre, comme tout ce qui tient à la pensée, la marche
philosophique
du siècle. Il faut étudier les modèles de l’antiq
les s’accordent mieux, comme j’ai tâché de le prouver, avec les idées
philosophiques
. L’imagination, dans notre siècle, ne peut s’aide
esser, ne peuvent atteindre à cet objet même qu’en remplissant un but
philosophique
. Les romans qui n’offriraient que des événements
d’animer, par des sentiments et des tableaux, les vérités morales et
philosophiques
, que peut-on puiser dans ces vérités qui convienn
nt bien, mais ils importent si peu. C’est presque là de l’archéologie
philosophique
, de la curiosité historique et déjà satisfaite, c
eux, en sophistes, quand il produisait Locke et cette grande canaille
philosophique
de Bacon ! Je sais bien que Locke et Bacon ne son
une vérité ? Il peut y avoir des parcelles de vérité dans un système
philosophique
, mais les erreurs foisonnent dans tous, et le gén
entano… Peut-être qu’au fond de sa pensée il conclut que tout système
philosophique
a droit au respect ou à l’admiration des hommes,
suprême ! le livre de M. Funck Brentano n’est ni un livre de principe
philosophique
nettement articulé, ni un livre de composition éq
cette discussion ; mais ce n’est pas là ce qui étonne. La compétence
philosophique
, la force logique, l’argumentation qui va à fond,
philosophe ! et en voici un qui aie sourire inaccoutumé à la gravité
philosophique
, et qui le fait luire au milieu des abstractions
parce qu’il ne reconnaissait pas les dieux de la Cité ». Dans l’ordre
philosophique
, M. Funck Brentano est le juge qui pourrait, s’il
; il les empâte un petit. Il fait plus gras et plus pesant le beignet
philosophique
. Ce n’est pas lui qui aurait dit cette netteté, p
de gloire qui s’appelle en France, au dix-neuvième siècle, la gloire
philosophique
! M. Jules Simon, ce blond jeune homme qui n’a pa
, dont il est plus particulièrement question ici, d’ancien anecdotier
philosophique
, s’est fait moraliste pour son propre compte et p
s telle n’est pas l’opinion de M. Jules Simon. Si, selon lui, le Dieu
philosophique
n’est pas compréhensible même aux plus grands gén
eu philosophique n’est pas compréhensible même aux plus grands génies
philosophiques
, et si le Dieu de la révélation n’est pas digne d
nne, que seul le christianisme a trouvée, et qu’une doctrine humaine,
philosophique
ou naturelle, ne peut remplacer ! Mais qu’importe
a Révellière-Lépeaux, sans les fleurs. Il est, dans l’ordre laïque et
philosophique
, dans un ordre étendu et profond, ce que fut l’ab
efforts et le génie individuels à l’avancement indéfini des lumières
philosophiques
. Ajoutez à ces réflexions générales, que les long
t souvent les sciences et les arts, et ne haïssent que l’indépendance
philosophique
. Dans les pays où les prêtres dominent, tous les
té publique met des bornes superstitieuses à la recherche des vérités
philosophiques
, lorsque l’émulation s’est épuisée sur les beaux-
ux, et leur religion fataliste, les portaient à détester les lumières
philosophiques
. Cette haine leur fit brûler la bibliothèque d’Al
la superstition ? L’Espagne, aussi étrangère que l’Italie aux travaux
philosophiques
, fut détournée de toute émulation littéraire par
et par leurs prêtres dans tout ce qui pouvait avoir rapport aux idées
philosophiques
, n’ont pu que repasser sur les mêmes traces, et p
ite sagacité, est un travail qui pourrait conduire à toutes les idées
philosophiques
. Les Italiens n’ont pensé qu’à faire rire en comp
lleurs entièrement asservis. Mais ce n’est point sous un point de vue
philosophique
qu’ils attaquent les abus de la religion ; ils n’
’autres encore, font exception à ce que je viens de dire. L’émulation
philosophique
peut se communiquer des pays étrangers en Italie,
Ce n’est pas ce vague terrible qui porte à l’âme une impression plus
philosophique
et plus sombre. La mélancolie des Orientaux est c
: Principe de la métaphysique spiritualiste De toutes les doctrines
philosophiques
qui se partagent les esprits au temps où nous som
effaçable, Ampère, a consacré plus de temps peut-être aux méditations
philosophiques
qu’à ses études de mathématiques et de physique,
ience du génie allemand, eût peut-être donné naissance à un mouvement
philosophique
aussi considérable dans l’histoire que l’a été le
de Maine de Biran, nous apprenions qu’Ampère était son collaborateur
philosophique
et qu’ils avaient une doctrine commune ; c’est d’
ue nous avons été mis en possession d’une partie de sa correspondance
philosophique
avec Maine de Biran ; encore ne possédons-nous ce
faisait jour que dans un cercle assez étroit, dans une petite société
philosophique
dont il était le président, et dont les habitués
Maine de Biran, il semble que le moment était déjà passé où le germe
philosophique
déposé dans ces œuvres eût pu fructifier. On sava
fession psychologique des plus attachantes, et trois volumes d’écrits
philosophiques
, parmi lesquels l’œuvre la plus complète et la pl
es replis où il est difficile de le suivre. Ajoutez que les problèmes
philosophiques
, toujours identiques dans le fond des choses, se
t a également, dans l’article Conscience du Dictionnaire des sciences
philosophiques
, développé avec beaucoup de force le point de vue
ception la plus étendue ; c’est-à-dire, renfermant en elle les écrits
philosophiques
et les ouvrages d’imagination, tout ce qui concer
je rappeler tous les esprits éclairés à la jouissance des méditations
philosophiques
! Les contemporains d’une révolution perdent souv
haient à obtenir de nouveau des succès dans la carrière littéraire et
philosophique
, ce serait un premier pas vers la morale ; le pla
raient obtenir une réputation immortelle, si les idées littéraires et
philosophiques
ne rendaient pas les hommes capables de sentir et
c’est que l’égalité politique, principe inhérent à toute constitution
philosophique
, ne peut subsister, que si vous classez les diffé
mi les divers développements de l’esprit humain, c’est la littérature
philosophique
, c’est l’éloquence et le raisonnement que je cons
i l’analyse, ni l’examen qui sert à découvrir et à propager les idées
philosophiques
. Celui qui voudrait énoncer une vérité nouvelle e
prévenir un tel péril que par les progrès des lumières et de l’esprit
philosophique
. Ce qui permet aux guerriers de jeter quelque déd
s. La première partie de cet ouvrage contiendra une analyse morale et
philosophique
de la littérature grecque et latine ; quelques ré
aque jour ajoute à la masse des lumières, que chaque jour des vérités
philosophiques
acquièrent un développement nouveau ! Persécution
de l’espèce humaine ? J’adopte de toutes mes facultés cette croyance
philosophique
: un de ses principaux avantages, c’est d’inspire
it en opposant la philosophie aux idées religieuses, soit en appelant
philosophiques
des systèmes purement sophistiques. J’entends par
le produit de l’imagination, du cœur, ou de l’esprit. 12. Les idées
philosophiques
donnent lieu souvent à tant d’interprétations abs
e Louis XIV. L’Essai sur les mœurs. Recherches et exactitude. Dessein
philosophique
: élimination de la Providence ; guerre à la reli
n, l’instruisit à moraliser la tragédie, à y poser nettement la thèse
philosophique
. Mais il fut frappé plus encore du développement
V, écrit sa lettre à un Premier Commis, publie en anglais ses Lettres
philosophiques
, où étaient résumées les impressions de ses trois
date, Voltaire est formé. Le siècle l’avertit de se donner au combat
philosophique
, s’il veut rester maître de l’opinion. Mais, dès
ont la forte logique l’impose avec le dogme. Aussi le premier dessein
philosophique
de Voltaire sera-t-il de prendre Pascal corps à c
aire. Il est, au contraire, authentique et complet dans ses « Lettres
philosophiques
, politiques, critiques, poétiques, hérétiques et
et orthodoxes de traits meurtriers. Parmi les hardiesses des lettres
philosophiques
, on ne croirait guère aujourd’hui qu’une des plus
samment tranchante ; et il s’empressait de s’en escrimer. Ces Lettres
philosophiques
, qui étaient une attaque directe contre le despot
e Charles XII, que Voltaire publie en 1731, ne procède d’aucune pensé
philosophique
. Bien au contraire, l’intérêt de l’auteur s’est é
isive, rend compte du plan du Siècle de Louis XIV : c’est l’intention
philosophique
de l’auteur. La première édition du livre a paru
ait pas de conception de l’histoire qui fût plus juste, plus large et
philosophique
. Cette conception se précisa dans l’esprit de Vol
évreusement. L’ouvrage s’organisait de façon à manifester l’intention
philosophique
de l’auteur : vingt chapitres esquissaient l’hist
correspondent à une grave et déjà ancienne modification de la pensée
philosophique
de Voltaire. Mme du Châtelet n’aimait pas l’histo
il avait bâti sa vie morale. On se rappelle cet Examen de conscience
philosophique
où l’illustre vieillard revise les principes qui
s s’aventurer sans compétence dans les généralités ; il fut un esprit
philosophique
. Cependant les circonstances le contraignaient à
ure cette attitude constante chez M. Renan d’être un croyant (au sens
philosophique
) et un critique, un homme de foi et un analyste,
toires ? Ce grand écrivain prétendait conserver Dieu dans le langage
philosophique
, parce que sa suppression déconcerterait l’humani
cond Empire, — de 1848 à 1875, car c’est là, ce me semble, la période
philosophique
où il faut le situer. (Le Figaro, 3 octobre 1892
é sous le nom de « Poésie scientifique », représente de son principe
philosophique
à sa technique prosodique et rythmique, — une Doc
de qui, dédaignant sans doute d’avoir été un précurseur dans la voie
philosophique
comme nous l’avons dit souvent 5 , le poète de Ju
vertement ou occultement patronné par des hommes d’étroite conception
philosophique
et artistique (qui donc, soutiennent encore dogma
logique. Mme de Saint-Point, elle, se hausse somptueusement au penser
philosophique
, près d’une « Métaphysique émue » : cette express
isent à l’exaltation trop simpliste de ta vie, sans précision de sens
philosophique
, spiritualisme vague et sentimental. M. Francis J
de sensation rendue en musicalité et spontanéité de Rythme, Tendance
philosophique
. M. John-L. Charpentier, toute particulière perso
le et sobre drame en vers : la mort de Zoroastre), atteste une pensée
philosophique
, très haute, très sûre, en un tempérament poétiqu
, de qui la Physiologie morale du poète doit être lue. Ses déductions
philosophiques
parties de la nécessité reconnue de la connaissan
ocateur en un sens évolutionniste. D’autres, Symbolistes, à tendances
philosophiques
: MM. Jean Royère, Paul Drouot, André Ibels. … J’
telligence humaine à l’évolution universelle, tentant ainsi une unité
philosophique
qui dégageât son émotion Métaphysique émue tout
our la technique. Elle représente toute une doctrine, à développement
philosophique
, sociologique, et d’éthique, et supporte une méta
dont il était ainsi parlé en Poésie, pour la première fois. La partie
philosophique
, concurremment avec le plan complet de l’Œuvre »
compte alors, que, dénué d’idée directrice le concrétant en concepts
philosophiques
et sociaux, le « Symbolisme », de par son essence
tage la théorie qu’il assouplit comme musculairement. De concept plus
philosophique
en même temps qu’instinctivement ému, et de verbe
. Or, nous ne savons, en dehors de l’habitude spéculative des esprits
philosophiques
, (mais encore quelle superstition ne se veut sépa
nt ici, on l’a vu, une simple poétique : mais ma doctrine poétique et
philosophique
ordonnée et complexe est une. Basées scientifiqu
ntendait ici non seulement la technique, mais plus encore, ma volonté
philosophique
. Bien qu’en ironisa un des protecteurs particuliè
et imagées de son aîné, opposé ; maintenant la nécessité de la pensée
philosophique
en Poésie, dans une expression méthodique de musi
ure habituelle de leur émotion inspiratrice en s’élevant à du concept
philosophique
Nous avons dit Lucrèce, du Bartas, Hugo de la Lé
ant et de bien formidable, rien qui force le plus modeste des esprits
philosophiques
à se croire petit et à baisser les yeux. Seulemen
e de Terre et Ciel de M. Jean Reynaud est un coup porté, par une main
philosophique
de plus, au christianisme et à l’Église. Comment
tinée, pour revenir en plein dix-neuvième siècle, — après les travaux
philosophiques
de Hegel et de Schelling, — à ce risible système
de déduction irrésistibles ; fallait-il que la grandeur des facultés
philosophiques
sauvât la misère du point de vue que l’on ne crai
uelque puissante unité. Théologien de prétention malgré son caractère
philosophique
, théologien quiquengrogne en philosophie, il peut
ments ». Au lieu de ces longueurs indécises, de ces toiles d’araignée
philosophiques
, de cette mosaïque de filandreuses dissertations
iquées, diminueront un peu, dans l’opinion, l’importance que le parti
philosophique
anti-chrétien veut créer au livre de M. Jean Reyn
établissement, mais encore à celui du grand nombre des enseignements
philosophiques
dans les collèges, et même d’une utilité applicab
uteur ou les auteurs n’affectent pas de se placer dans cette position
philosophique
indifférente, qui n’est pas pour cela une véritab
dernes. Le style de l’ouvrage est d’une belle clarté et d’une rigueur
philosophique
qui rappelle en certaines pages d’exposition l’au
qui présente l’ensemble complet de ses observations et de sa doctrine
philosophique
morale, développe ce qu’il n’avait fait qu’indiqu
marquables articles, Arianisme, Aristote, où l’on reconnaît la pensée
philosophique
profonde et la plume énergique de M. Pierre Lerou
e s’est toujours réglée sur le principe suivant : il n’y a pas d’idée
philosophique
, si profonde ou si subtile soit-elle, qui ne puis
l’âme que lorsqu’elle portait sur les choses physiques, géométriques,
philosophiques
. Condillac fut un psychologue autant qu’un logici
de tout le monde, elle n’a pas été le privilège d’une espèce de caste
philosophique
; elle est restée soumise au contrôle de tous ; e
parce que ces manifestations tendaient elles-mêmes à prendre la forme
philosophique
? Bien rares, en France, sont les savants, les éc
t généreux. En ce sens, l’esprit français ne fait qu’un avec l’esprit
philosophique
. H. BERGSON
pérer, où l’abbé Noirot aura groupé autour de lui une véritable école
philosophique
, et alors il sera obligé de donner aux hommes que
pas, ce compte rendu inspire une grande confiance dans les aptitudes
philosophiques
du professeur. Nous qui le signalons aujourd’hui,
craignons pas de l’avancer, si un tel phénomène a lieu, si la science
philosophique
reprend l’ascendant d’un enseignement qu’elle a p
les, sinon qu’il est temps enfin de changer tous les points de départ
philosophiques
, tournés si obstinément du côté de l’homme, et de
naïve (ce n’est pas là pourtant son habitude, mais c’était la France
philosophique
, il est vrai) pour accepter comme une merveille e
la doit être certainement la théocratie à son usage, cette théocratie
philosophique
qui n’est pas rétrograde, celle-là, et qu’il a rê
u moins de la souplesse dans le talent de M. Saisset ? Si la question
philosophique
du temps présent est, comme l’a dit M. Saisset et
al solide, et s’achoppe assez tristement contre ces infiniment petits
philosophiques
: — le déisme de la psychologie et ses conséquenc
ur… De plus, quand on vit eu intimité d’étude avec les grands esprits
philosophiques
, avec ces grands cerveaux, tous fausseurs ou corr
’expression vaut mieux que tout cela, et, je finirai par ce blasphème
philosophique
, fait plus véritablement que tous ces abstracteur
res qu’on ne lit plus. Quoi qu’il en soit, le progrès scientifique et
philosophique
est assujetti à des conditions toutes dif-férente
traire, avance par des procédés tout opposés. À côté de ses résultats
philosophiques
, qui ne tardent jamais à entrer en circulation, e
able habitude que l’on a parmi nous de regarder ce qui est général et
philosophique
comme superficiel et ce qui est érudit comme lour
’ai vanté la polymathie et la variété des connaissances comme méthode
philosophique
; mais je crois qu’en fait de travaux spéciaux on
apables des vues les plus élevées, ont pu se défendre de toute pensée
philosophique
anticipée et se résigner à n’être que d’humbles m
est là un léger sacrifice ; ils ont peu de mérite à se priver de vues
philosophiques
, auxquelles ils ne sont pas portés par leur natur
le but suprême de la science, tout en ressentant d’énergiques besoins
philosophiques
et religieux, se dévouent pour le bien de l’aveni
eussent le sentiment intime et vrai de leur œuvre et que les esprits
philosophiques
ne dédaignassent pas de s’adresser à l’érudition
les naturalistes tireraient de grandes lumières, pour le problème si
philosophique
de la classification et de la réalité des espèces
Bien loin donc que les travaux spéciaux soient le fait d’esprits peu
philosophiques
, ce sont les plus importants pour la vraie scienc
s que les sciences de la nature ne fournissent des données tout aussi
philosophiques
. Je ne crains pas d’exagérer en disant que les id
rigine du langage. Pourquoi débite-t-on sur cette importante question
philosophique
tant d’absurdes raisonnements ? Parce que l’on ap
lui-même, est notre grande découverte et a introduit dans la science
philosophique
des données profondément nouvelles. La vieille éc
ui seul en fait la valeur, l’esprit de la nation ? Les races les plus
philosophiques
sont aussi les plus mythologiques. L’Inde présent
science de l’humanité, aucune n’a autant d’importance que la théorie
philosophique
et comparée des langues. Quant on songe que cette
l’histoire primitive, pour les origines de l’humanité ! Quel résultat
philosophique
que la reconnaissance des lois qui ont présidé au
qu’une nourriture sèche, et cela est si vrai que toute grande pensée
philosophique
se combine d’un peu de mysticisme, c’est-à-dire d
te pour le progrès des sciences de l’humanité serait donc une théorie
philosophique
des religions. Or comment une telle théorie serai
st le rationalisme. L’Orient n’a jamais compris la véritable grandeur
philosophique
, qui n’a pas besoin de miracles. Il fait peu de c
s religions aient été chez les peuples en raison inverse des facultés
philosophiques
. La recherche réfléchie, indépendante, sévère, co
osophiques. La recherche réfléchie, indépendante, sévère, courageuse,
philosophique
en un mot, de la vérité semble avoir été le parta
elonnés aux divers degrés de son histoire ces systèmes, ces créations
philosophiques
, toujours et partout soumis aux lois constantes e
usiasme par un culte, une doctrine mystique, un livre révélé. L’école
philosophique
a sa patrie sous le ciel de la Grèce et de l’Inde
la raison. J’ai voulu montrer par quelques exemples à quels résultats
philosophiques
peuvent mener des sciences de pure érudition et c
est injuste le mépris que certains esprits, doués d’ailleurs du sens
philosophique
, déversent sur ces études. Que serait-ce si, abor
eçoit dans l’enfance, et qui demeurent trop souvent la seule doctrine
philosophique
de la vie, sont la négation même de la critique ?
ale qui résulte de ces deux livres ! 136. Voir dans le Dictionnaire
philosophique
de Voltaire le charmant article Gargantua, où il
Les Arabes, à s’en tenir aux mots reçus, ont offert un développement
philosophique
et scientifique ; mais leur science est tout enti
une Production aussi extravagante qu’odieuse ? Que penser de l’audace
Philosophique
, qui a osé lui attribuer l’assemblage de tous ses
ui subsiste entre les lumieres de cette Religion & les phosphores
philosophiques
! La fausse clarté de ceux-ci n’est que le produi
nt dégradé & corrompu les mœurs. Depuis qu’on est inondé d’Ecrits
philosophiques
, les vices semblent se multiplier & prendre u
individu. Et si un véritable amour de l’humanité dirigeoit les plumes
philosophiques
, les bienfaits continuels de cette Religion ne de
et, Fénélon, & de Huet, en attribuant à ces Prélats des sentimens
philosophiques
, dont ils auroient été les plus terribles fléaux.
Marivaux. L’abbé Prévost et Manon Lescaut. — 3. Le roman satirique et
philosophique
; le roman érudit. Le roman à thèse : la Nouvelle
guère une occasion d’égratigner Voltaire. Il n’a pas du tout l’humeur
philosophique
. Il n’en veut ni à la religion ni à la société ;
humanité. Il me semble qu’il faut prendre garde de trop louer l’idée
philosophique
qui a déterminé le caractère de Gil Blas. Ce n’es
escaut est plus innocente que celle du Paysan parvenu. 3. Le roman
philosophique
L’esprit philosophique ne manqua pas de s’empa
que celle du Paysan parvenu. 3. Le roman philosophique L’esprit
philosophique
ne manqua pas de s’emparer du roman et de le fair
es gens du monde, aucun genre ne convenait mieux. La recette du roman
philosophique
est assez simple : deux ingrédients, l’esquisse s
iption polissonne de la volupté sensuelle, servent à masquer la thèse
philosophique
. On peut dire que Montesquieu dans ses Lettres pe
es interprétations. La Nouvelle Héloïse 503 est, avant tout, un roman
philosophique
: une foule de thèses sociales et morales sont po
, il dépasse ici le psychologue Marivaux. Enfin, parmi tant de romans
philosophiques
, la Nouvelle Héloïse a un caractère particulier :
ition littéraire n’ont pas passé à leurs successeurs. C’est l’intérêt
philosophique
des idées qui a donné accès à quelques écrits sci
uvres d’érudition se mesure à deux caractères : la quantité de pensée
philosophique
impliquée ou suggérée ; l’intensité de vie concrè
controverses brûlantes comme de discuter abstraitement les questions
philosophiques
, M. Boissier s’est enfermé dans son rôle d’histor
synthétique qui se compare à ces deux ouvrages. Mais, ici, l’intérêt
philosophique
dépasse l’intérêt d’érudition ou d’histoire. Une
sie, études d’histoire, de critique ou de morale, dialogues ou drames
philosophiques
, et toutes ces allocutions, confidences, propos,
et libre qui représente une belle dépense d’énergie. Pour des raisons
philosophiques
, il a cessé de croire à la tradition catholique,
sont bonnes — quand on ne les applique qu’à leur office. L’idéalisme
philosophique
n’est pas à l’usage de-toutes les intelligences :
ux grands ouvrages : Questions contemporaines, 1868, in-8 ; Dialogues
philosophiques
, 1876, in-8 ; Nouvelles Études d’histoire religie
, 1884, in-8 ; Mélanges d’histoire et de voyages, in-8, 1878 ; Drames
philosophiques
(Caliban, l’Eau de Jouvence, le Prêtre de Némi, l
antes : les fables qui ne sont pas des fables, qui sont des causeries
philosophiques
ou des discours philosophiques ou, puisque La Fon
pas des fables, qui sont des causeries philosophiques ou des discours
philosophiques
ou, puisque La Fontaine parle le plus souvent en
isque La Fontaine parle le plus souvent en dialogues, des « dialogues
philosophiques
», comme on en faisait dans l’antiquité et comme
iquité et comme Renan en a fait en France. Ces discours, ou dialogues
philosophiques
, ont toujours pour prétexte une petite anecdote,
le chercher. Mais cela ne fait rien à l’exposition de cette doctrine
philosophique
qui est quelque chose comme un milieu, un intermé
entre mille ; Ce sont des effets du hasard. Le caractère de discours
philosophique
est encore plus marqué dans l’Astrologue qui se l
. L’Astrologue qui se laisse tomber dans un puits est un pur discours
philosophique
. C’est… mais vraiment c’est un sermon sur la prov
plus de foi que ces gens. Vous savez que ce ne sont pas là banalités
philosophiques
ou oratoires. Vous savez qu’au dix-septième siècl
ter ces très dangereuses superstitions. A citer encore comme discours
philosophique
les Lapins, où il n’y a pas de fable du tout et q
enfin, dans le même ordre d’idées et dans la même catégorie de fables
philosophiques
, comme je les intitulerais si toutes les fables d
tulerais si toutes les fables de La Fontaine n’étaient pas des fables
philosophiques
, vous avez enfin le fameux Discours à Mme de La S
it œuvre de dialecticien dans ses fables, ou plutôt dans ses discours
philosophiques
. Le La Fontaine dialecticien est très intéressant
à discuter on le sait par ailleurs qu’il aime à exposer des thèses
philosophiques
ou scientifiques, et que peut-être il y avait un
mérite chez lui, la poésie dramatique, la poésie élégiaque, la poésie
philosophique
, il a touché à tout cela avec infiniment de talen
eare, trouvent de plus profondes sources d’émotions dans la nécessité
philosophique
. Elle se compose du souvenir de tant de malheurs
minel ; mais il ne se dispense pas, par ce fatalisme, de la gradation
philosophique
des sentiments de l’âme. Cette pièce serait encor
les passions sont fortement agitées. Il y a toujours quelque chose de
philosophique
dans le surnaturel employé par Shakespeare. Lorsq
poètes anglais, Waller, Cowley, etc. Les guerres civiles et l’esprit
philosophique
ont corrigé de ce faux goût ; car le malheur, don
rté étant fondée sur l’orgueil national plus encore que sur les idées
philosophiques
, ils repoussent tout ce qui leur vient des étrang
son costume doit lui donner, détourne l’attention de ce qu’il y a de
philosophique
dans la conception de ce rôle. Une des beautés de
a mes malheurs, et j’aimai sa pitié. 47. Parmi la foule de traits
philosophiques
que l’on remarque dans les pièces de Shakespeare,
crivains et de celui des magistrats Avant que la carrière des idées
philosophiques
excitât en France l’émulation de tous les hommes
ue des formes abstraites ; mais dès que vous traitez tout autre sujet
philosophique
, il faut rester dans cette région, où vous pouvez
rs avec des images qui doivent leur appartenir ; Bossuet, les pensées
philosophiques
avec les tableaux imposants qui leur conviennent
l’expression figurée nécessaire au développement complet de l’aperçu
philosophique
; et l’on éprouve, en lisant les belles pages de
nsée ? Il ne faut rien exclure ; mais on doit convenir que les livres
philosophiques
qui n’en appellent jamais ni au sentiment, ni à l
et que les ouvrages de littérature qui ne sont point remplis d’idées
philosophiques
, ou de cette mélancolie sensible qui retrace les
rincipes du goût, sur la peinture, sur la musique, peut être un livre
philosophique
, s’il parle à l’homme tout entier, s’il réveille
e naturel, mais diffus & très-négligé. Son ton est plus hardi que
philosophique
; ses plaisanteries plus indécentes qu’agréables
Juives, les Lettres Cabalistiques, les Lettres Chinoises, les Songes
philosophiques
. Aujourd’hui on est assez généralement dégoûté de
d’observations communes & de déclamations ennuyeuses ; ses Songes
philosophiques
, un amas de chimeres & de visions ; ses Roman
s ont conservé la force d’esprit nécessaire pour se livrer aux études
philosophiques
et littéraires. Le règne d’Auguste avait avili le
vaient pas encore atteint à la connaissance parfaite, à l’observation
philosophique
des caractères, telle qu’on la voit dans Montaign
permis ni possible de remuer le peuple par l’éloquence ; les ouvrages
philosophiques
et littéraires n’avaient point d’influence sur le
e entièrement leur attention de la destinée de leur pays. Les pensées
philosophiques
se rallient à tous les sentiments de l’âme ; les
ui pouvaient servir à l’instruction générale, la diversité des sectes
philosophiques
qui jetait dans les esprits de l’incertitude sur
uisse amener de long temps ni une institution féconde, ni un résultat
philosophique
. Quoi qu’il en soit, cette seconde Partie contena
es causes modifierait les effets. Les nouveaux progrès littéraires et
philosophiques
que je me propose d’indiquer, continueront le dév
u par des calculs entièrement étrangers à l’immuable nature des idées
philosophiques
. C’est pour obtenir du crédit ou du pouvoir qu’on
ons-le donc cet avenir, dans les productions littéraires et les idées
philosophiques
. Un jour peut-être ces idées seront appliquées au
ropre histoire dans des chants nationaux. Chapitre Ier. De la sagesse
philosophique
que l’on attribue à Homère. La force et l’origina
tions sur la comédie et la tragédie. Chapitres V et VI. Observations
philosophiques
et philologiques, qui doivent servir à la découve
rvir à la découverte du véritable Homère. La plupart des observations
philosophiques
rentrent dans ce qui a été dit au second livre, s
disparu ; M. Sainte-Beuve n’eût été occupé désormais que de la pensée
philosophique
. Son ancien article, qu’il faut relire, n’aurait
loyé, à propos de Lucrèce, toute sa profession de foi scientifique et
philosophique
; il eût pleinement justifié la définition qu’une
d’anarchie et de discordes civiles, troublé de doutes et de terreurs
philosophiques
à la manière de Pascal et de Boulanger, voyant l’
ée, les corrections arrêtées, il fallait prendre un parti sur le sens
philosophique
de ce poème tout philosophique. M. de Pongerville
l fallait prendre un parti sur le sens philosophique de ce poème tout
philosophique
. M. de Pongerville, qui ne voulait blesser person
stimable traducteur de Lucrèce appartient à une coterie littéraire et
philosophique
; il a un rôle, on l’a averti dans l’oreille de p
ques-unes des idées que M. Renan a exprimées déjà (dans les Dialogues
philosophiques
, dans Caliban, dans la Fontaine de Jouvence, dans
it de ressusciter cette vieille forme du conte, du dialogue, du drame
philosophique
, si fort en honneur au siècle dernier, et comme c
nous avons d’important à dire. Je me figure que le conte ou le drame
philosophique
serait le genre le plus usité dans cette cité idé
que des intelligences enfantines. Au contraire, le conte ou le drame
philosophique
est le plus libre des genres, et ne vaut, d’autre
toire des origines du christianisme elle-même tient beaucoup du conte
philosophique
. Revenons au Prêtre de Némi. C’est un étrange com
té, avec toutes les différences que vous devinez sans peine, un conte
philosophique
de vingt pages intitulé : Antistius, ou Toute vér
s allons parler a été annoncé quand il parut comme une bonne nouvelle
philosophique
. Le temps qui s’est écoulé depuis cette époque n’
étendue de l’instrument logique dont il dispose, force-t-il la pensée
philosophique
à s’établir dans le terre-plein de l’humanité et
reprise en sous-œuvre d’un procédé qu’une intelligence véritablement
philosophique
a su presque métamorphoser, en le grandissant… L’
rapide, les points culminants d’un travail qui rétablit la tradition
philosophique
interrompue et jette la première arche du pont qu
temps de nous résumer. Le livre par lequel il débute dans l’invention
philosophique
est certainement un des plus substantiels que la
a nulle part cette froideur de caverne qu’ont parfois les méditations
philosophiques
, et l’on ne s’en étonnera pas. Dans le système de
outerraines, pour le plaisir d’en faire. Sa place dans l’organisation
philosophique
n’est pas encore suffisamment déterminée, les mon
nne, par exemple, l’école d’Alexandrie ; à part quelques spéculations
philosophiques
et théurgiques, tous les travaux de cette école,
ue esthétique qui se sont élevées au niveau des plus belles créations
philosophiques
69. Le champ du philologue ne peut donc être plus
que la curiosité naturelle de l’esprit humain ait suppléé à l’esprit
philosophique
et soutenu la patience des chercheurs. Bien des g
t, qu’il n’est aucun de ces ouvrages où je n’aie puisé plus de choses
philosophiques
que dans toute la collection de Descartes et de s
au lieu que les recherches particulières, même destituées de l’esprit
philosophique
, peuvent être du plus grand prix, quand elles son
es ne plongent en ce terrain sacré, et je prétends qu’aucune création
philosophique
n’a fourni autant de parties vivantes à la scienc
s superposées, notre manière de concevoir la philologie est bien plus
philosophique
et plus féconde que celle de l’antiquité. La phil
sédait le corps complet du péripatétisme, c’est-à-dire l’encyclopédie
philosophique
de l’antiquité ; il y joignait de nombreux docume
ences de l’humanité ce que la physique et la chimie sont à la science
philosophique
des corps. C’est ce que n’a pas suffisamment comp
déclament contre le style et la beauté de la forme dans les sciences
philosophiques
et morales méconnaissent la vraie nature des résu
Chapitre septième L’introduction des idées
philosophiques
et sociales dans la poésie. I. Poésie, science
érature à notre époque, c’est d’être peu à peu envahies par les idées
philosophiques
. La théorie de l’art pour l’art, bien interprétée
d’admirer78. Aussi est-il impossible de méconnaître le rôle social et
philosophique
de la poésie et de l’art. « Le poète a charge d’â
le l’Eternel à celui qu’on méprise. » On peut dire de la haute pensée
philosophique
et morale ce que Victor Hugo a dit de la nature m
lle pièce inspirée par une idée ou par un sentiment vraiment élevé et
philosophique
: à mérite égal du poète, les vers purement descr
’est moins pas esthétique que la conception fausse des anciens.L’idée
philosophique
de l’évolution universelle est voisine de cette a
heureusement, a été dans notre siècle de plus en plus animée d’idées
philosophiques
, morales, sociales. Il importe de montrer cette s
en ont fourni l’ensemble et les détails ; mais vouloir que toute idée
philosophique
mise en vers par le poète lui appartienne toujour
ur Lamartine : quoique le sentiment soit vrai, trop souvent la pensée
philosophique
et religieuse, au lieu de projeter spontanément s
nsée et le mot. La vraie poésie est surtout dans les grands symboles
philosophiques
et même dans les mythes ; l’imagination poétique
qu’assez légèrement affecté encore par toutes ces questions morales,
philosophiques
et religieuses qui préoccuperont nos poètes conte
Μ. Ε. Renan Dialogues
philosophiques
[Le Constitutionnel, 10 juillet 1876.] I
Constitutionnel, 10 juillet 1876.] I En abordant ces Dialogues
philosophiques
de M. Renan, on a pu se demander s’il en avait as
les autres, je le retrouve bien, dans ces Dialogues et ces Fragments
philosophiques
, tel qu’il fut d’abord en histoire quand il écriv
originalités spirituelles. Autrement, que seraient-ils ?… La science
philosophique
, ou ce qu’on appelle de ce nom, n’aboutissant, pa
eau d’écrire à la tête de son présent volume : Dialogues et fragments
philosophiques
, car le fond même de cette intelligence sans musc
faire, pour les tirer de leur engourdissement… L’auteur des Dialogues
philosophiques
d’ordinaire, le courage de la sottise et la bravo
Nous tenons l’important : les certitudes. Pour l’auteur des Dialogues
philosophiques
, c’est là le vrai. Les probabilités et les rêves
des déistes, et, à sa place, il met la science. Et non pas la science
philosophique
, — parce que la science philosophique raisonne et
science. Et non pas la science philosophique, — parce que la science
philosophique
raisonne et que la vraie science ne raisonne pas,
Renan et le trouvent un grand esprit ! Madame Sand, cette forte jupe
philosophique
, comme on sait, avait fait à ce livre sa dernière
les ne sera plus ; — c’est sur ces déclarations du solennel Trissotin
philosophique
que fut Marc-Aurèle, que M. Renan a pris la mesur
nt au dernier chapitre de son livre sur L’Usage et l’Abus de l’esprit
philosophique
. Il eût à prononcer au Conseil des Anciens un rap
ce. On était alors en Allemagne dans une grande occupation du système
philosophique
de Kant ; Portalis s’en faisait rendre compte ain
ié depuis sa mort sous le titre : De l’usage et de l’abus de l’esprit
philosophique
durant le xviiie siècle. Ce traité a un défaut d
st également éloigné de tout extrême. En dénonçant l’abus de l’esprit
philosophique
, l’auteur ne fait ni comme Bonald, ni comme de Ma
orale et l’État. Le bon sens et la bonne foi sont les deux caractères
philosophiques
de Portalis. Et, pour commencer, il s’en remet à
ce qui nous environne et qui nous touche n’est peut-être pas la plus
philosophique
ni la plus profonde, mais c’est la plus raisonnab
qui ont fondé les sociétés et institué les peuples : « Le faux esprit
philosophique
est une lime sourde qui use tout. » Il distingue
s peuvent remédier, d’avec cette corruption subtile qu’un faux esprit
philosophique
a naturalisée dans la morale publique et dans la
ebutant ? Ce n’est pas l’obscurité qu’on peut reprocher à ses Pensées
Philosophiques
; elles sont très-claires. On pourroit dire encor
pprendre que des Ouvrages d’agrément ait été le prélude de ses Œuvres
philosophiques
? Et quels Ouvrages d’agrément ! Les Bijoux indis
ant les sentimens reçus, en se parant d’une morgue plus burlesque que
philosophique
; sera-t-il croyable que M. Diderot ait pu parven
siecles de la Littérure & de la saine raison, que quand l’esprit
philosophique
a commencé à égarer & à abrutir les autres ge
Bayle mort la plume à la main en les réfutant, a rempli un grand rôle
philosophique
dont le xviiie siècle interpréta le sens en le f
opriation à chaque chose : ce génie, selon nous, domine même son rôle
philosophique
et cette mission morale qu’il a remplie ; il peut
st une véritable incapacité de mûrir. Il y a des natures poétiques ou
philosophiques
qui restent jusqu’au bout, et à travers leurs div
utre écrivain), est au revers du génie créateur et poétique, du génie
philosophique
avec système ; il prend tout en considération, fa
fut plus marquée que par des écrits, des controverses littéraires ou
philosophiques
; après ses disputes de plume avec Jurieu, Le Cle
rement le centre de ses mesures. Voltaire avait de plus son fanatisme
philosophique
, sa passion, qui faussait sa critique. Le bon Bay
droits voisins des précédents, nous le savons, l’expression est toute
philosophique
; mais avec Bayle, pour rester dans le vrai, il n
e en diverses classes d’artisans, cette belle page de son Commentaire
philosophique
, il la réalise dans sa république des livres, et,
ique, contre les persécutions de Louis XIV, préparait son Commentaire
philosophique
, et en même temps, dans une note qu’il rédigeait
se dédoubler, en quelque sorte, dans ce rôle à la fois littéraire et
philosophique
; il dut interrompre ses Nouvelles de la Républiq
pal objet est d’exposer et de faire connaître les différents systèmes
philosophiques
, de les interpréter avec toute l’exactitude désir
évolution dans son développement, était reléguée parmi les hypothèses
philosophiques
. Il n’y avait aucune transition entre les science
du développement intellectuel de l’humanité. Sans doute les systèmes
philosophiques
ont en grande partie leurs causes dans l’état gén
ut pas exagérer le point de vue des origines extérieures des systèmes
philosophiques
. Ils ont surtout une filiation interne et toute s
entière, en revanche nous avons sur presque toutes les grandes écoles
philosophiques
des travaux étendus et approfondis où la force de
t de recherches, et c’est la partie la moins contestable de sa gloire
philosophique
. Par sa traduction et surtout par ses Arguments d
sur Kant, sur l’école écossaise, qui sont des travaux de controverse
philosophique
plutôt que de critique historique, mais qui n’en
er le côté exclusivement littéraire de notre sujet. Quant à la pensée
philosophique
qui a présidé à cet ouvrage, la voici. L’histoire
puissance. C’est toujours le rationalisme d’abord religieux, ensuite
philosophique
, enfin politique. Arrivé à cette étape, il devien
dix-huitième siècle, à la négation de toutes les vérités religieuses,
philosophiques
et sociales, et à la subversion de toutes les loi
subi comme une longue éclipse pendant la marche ascendante de l’école
philosophique
et révolutionnaire du dix-huitième siècle, sortit
ns car, plus tard, ils prirent part aux luttes des idées religieuses,
philosophiques
, littéraires et politiques de cette époque : ce s
is de décembre 1794, à faire retentir au Lycée2, contre les doctrines
philosophiques
et politiques de la révolution, ses véhémentes in
entiments dont on avait ensemencé les esprits et les cœurs dans l’âge
philosophique
, devaient porter et avaient, en effet, porté leur
gentilhomme et novateur littéraire, un moment entraîné vers les idées
philosophiques
et politiques du dix-huitième siècle par le coura
éloges enthousiastes du parti religieux, les vives attaques du parti
philosophique
, enfin l’intérêt général. Il y avait dans cet ouv
dû son succès à l’esprit de parti. L’abbé Sicard, égaré dans ce monde
philosophique
, rappelait avec autant d’esprit que d’à-propos à
ient, les deux esprits qui se trouvaient en présence. Le rationalisme
philosophique
du dix-huitième siècle, et l’esprit chrétien rena
nt produire. Le livre de Chateaubriand, œuvre à la fois littéraire et
philosophique
, dramatique et didactique, qui réunissait tous le
lle qui offre aujourd’hui le moins d’intérêt. La partie historique et
philosophique
a conservé un tout autre attrait. Dans cette part
urope. La nation initiatrice était devenue une maîtresse d’égarements
philosophiques
; la reine des intelligences avait corrompu les i
re constatait dès 1796, en lisant dans le triomphe matériel des idées
philosophiques
du dix-huitième siècle leur défaite morale, et en
vers les idées de religion, de morale, de pouvoir, et tout l’édifice
philosophique
du dix-huitième siècle commença à craquer. On éta
e comte de Maistre porte la main sur tous les principes politiques et
philosophiques
qui, quelques années auparavant, avaient pris ran
on de la révélation primitive du langage, qui est son plus beau titre
philosophique
devant la postérité. « La solution du problème d
rité de la révélation primitive du langage est grosse de conséquences
philosophiques
et morales du plus haut intérêt ; elle détruit de
incible nature ait repris son empire. » C’est reconnaître, en langage
philosophique
, que la prétendue souveraineté de l’homme est ass
, et voici les résultats de ses recherches. Il a trouvé pour le monde
philosophique
cette synthèse qui résume tout, la cause, le moye
orte ; cette observation de fait n’ôte rien à la justesse de l’axiome
philosophique
appuyé par M. de Bonald, non seulement sur l’hist
le pouvoir est héréditaire et le ministère électif. De cette formule
philosophique
, éclairée par l’expérience de l’histoire, sort la
sa raison et le spiritualisme de toutes ses conceptions religieuses,
philosophiques
et sociales. L’objet constant des études de M. de
ivorce de la philosophie et de la religion, de prouver par les études
philosophiques
la nécessité des solutions religieuses, et de ram
us que dans tous les autres temps, un cours de principes littéraires,
philosophiques
, moraux et religieux, appliqué à une foule d’écri
e et un attrait universel. On crut voir d’ailleurs dans les principes
philosophiques
et politiques de quelques-uns de ceux qui obtinre
, put, pendant un certain temps, continuer le mouvement littéraire et
philosophique
que Chateaubriand, Bonald et de Maistre avaient c
ait un vice de situation. Il existe un document à la fois historique,
philosophique
et littéraire de cette époque, où l’on peut suivr
ne remarquable exactitude, les phases decette espèce de duel du parti
philosophique
et révolutionnaire contre le parti religieux et s
ance qui lève tous les voiles, les efforts prodigieux que fit l’école
philosophique
et révolutionnaire pour enlever à l’école religie
On voit en même temps la vive résistance opposée aux efforts du parti
philosophique
, et le désir de l’empereur de maintenir en équili
ant, M. Fiévée, lui représente cependant les tendances littéraires et
philosophiques
comme essentiellement propres à favoriser l’affer
les dénonciations recommencèrent, les agressions revinrent. Le parti
philosophique
et révolutionnaire, Fouché, qui était alors minis
ise, qui devient l’occasion d’une nouvelle escarmouche entre le parti
philosophique
et révolutionnaire et le parti religieux et socia
romettre par cette marque d’intérêt ou de curiosité22. Enfin le parti
philosophique
, si souvent battu, songea à prendre sa revanche à
ormer. » Au fond, les appréhensions qu’éprouvaient Fouché et le parti
philosophique
, dès le premier pas que l’on faisait sur le terra
et, quelque absolue que parût sa puissance, il y avait entre le parti
philosophique
et révolutionnaire et lui des liens qui ne pouvai
rit à la fin. M. Étienne, qui appartenait par ses tendances à l’école
philosophique
, et par son dévouement à l’empereur, fut, vers le
n influence littéraire et universitaire. — Enseignement littéraire et
philosophique
. Les détails qu’on vient de lire aideront à fa
es cadencées l’incident qui l’avait frappé dans la journée, la pensée
philosophique
qui avait saisi son esprit. D’autres fois, l’élég
gouvernement cherchait à équilibrer avec la force révolutionnaire et
philosophique
, de manière à se servir de toutes deux et à se dé
siècle29 : c’est qu’il y a une correspondance étroite entre les idées
philosophiques
dominantes dans une époque, et l’histoire politiq
forme est Dieu. Pendant les convulsions révolutionnaires, les études
philosophiques
, comme les autres études, s’étaient arrêtées. Les
iaire entre l’Institut et le public, qui recevait ainsi les solutions
philosophiques
de la bouche des adeptes qui faisaient rayonner a
faisaient rayonner au loin les idées du salon d’Auteuil. Ce mouvement
philosophique
se développa avec la double faveur du public lett
op pour méditer. Pendant cette espèce de suspension de l’enseignement
philosophique
, il se fit chez plusieurs des esprits les plus él
orce physique encore, on remontait peu à peu, dans les hautes sphères
philosophiques
, la pente d’un sensualisme qui s’épurait. Mais ce
n’est pas complétement atteint ou manqué. IV. Mouvement des idées
philosophiques
sur la fin de l’empire. — Royer-Collard. — Centre
n, Jouffroy. Vers la fin de l’empire il y eut, dans l’enseignement
philosophique
le plus élevé de l’université, un effort remarqua
ui donna le signal de cette réaction, mais à cause aussi du mouvement
philosophique
de la restauration, dont l’initiative prise par l
départ. L’empereur, en instituant trois cours consacrés aux sciences
philosophiques
dans la faculté des lettres de Paris, avait nommé
tion, sans entrer dans quelques détails et sur l’homme et sur l’école
philosophique
qu’il inaugura et qui devait, en se développant,
d n’avait point fait, jusque-là, de travaux spéciaux sur les sciences
philosophiques
; mais son esprit pénétrant et porté aux méditati
igine, son but, sa manière et sa raison d’être ; l’âme de sa doctrine
philosophique
comme de sa doctrine politique, était un spiritua
i suffit pour exercer une action puissante sur le mouvement des idées
philosophiques
. L’objet même de son enseignement, l’histoire de
ondérante en Angleterre. Le professeur s’affermissait dans ses études
philosophiques
par cet enseignement préliminaire, dans lequel il
r cette question, à partir de Descartes jusqu’à Condillac. La méthode
philosophique
qui devait prévaloir dans les temps qui suivirent
i elle ne les représente pas exactement. Comment juger si une théorie
philosophique
de la perception est vraie ou fausse, en quoi ell
perception, et il en sera de même de toute critique, de toute théorie
philosophique
, puisque toute théorie philosophique se rapporte
toute critique, de toute théorie philosophique, puisque toute théorie
philosophique
se rapporte à un fait de la nature morale et inte
nt nécessaire la psychologie. Mais de combien de manières une théorie
philosophique
de la perception peut-elle être fausse ? D’autant
eux de ces mystères que Dieu a posés comme des bornes dans la science
philosophique
et dans les sciences physiques, devant notre inte
mbien la compréhension humaine est bornée. Malheureusement les études
philosophiques
, ceci n’est pas une raison pour les proscrire, ma
s à la religion, cette loi des lois, même au prix d’une inconséquence
philosophique
. Ce fut, on le sait, la destinée de Descartes, au
remonte, avec tant de raison, comme au premier anneau de cette chaîne
philosophique
qui vient aboutir à Condillac. Descartes, cette g
ritable conséquence, en déclarant que la matière était un raffinement
philosophique
, et nia son existence, non seulement comme dénuée
dons par image » ; que tantôt il est égoïste, c’est-à-dire, en langue
philosophique
, qu’il ne croit pouvoir affirmer que sa propre ex
que l’orgueil est peu fait pour l’homme ! Que l’histoire des opinions
philosophiques
est fatigante, et que ce tableau de l’esprit huma
En effet, comme le fait observer M. Royer-Collard, il y a des erreurs
philosophiques
dangereuses, comme il y en a d’innocentes. Ainsi
les évidences naturelles. Les nombreux esprits que la grande réaction
philosophique
et religieuse conduite par Chateaubriand, Joseph
pressenti le talent destiné à jouer un si grand rôle dans les luttes
philosophiques
de la restauration : c’étaient MM. Cousin et Jouf
’exemples de la fragilité des choses humaines, et la vanité des idées
philosophiques
du dix-huitième siècle se révélait à leur esprit
sent à les prendre pour juges42 ». La jeunesse appartenant aux écoles
philosophiques
les plus opposées accourut avec ses préventions,
nseignement religieux de M. Frayssinous et la marche de renseignement
philosophique
de M. Royer-Collard, qui devient un symptôme rema
e dans la chaire de vérité. On voit ici à la fois la passion du parti
philosophique
et révolutionnaire qui s’effrayait du succès des
prendre la physionomie plus caractérisée de trois écoles littéraires,
philosophiques
et politiques. Le premier de ces courants d’idées
euse, qui a donné à la France les Martyrs, cette épopée historique et
philosophique
, chantée entre le monde romain qui s’écroule et l
de Maistre suit avec une anxiété visible, du haut de son observatoire
philosophique
, tous les symptômes précurseurs de ces événements
ictionnaire des synonymes avec une introduction consacrée à une étude
philosophique
de la langue française ; un peu plus tard, les Vi
l’Allemagne, et de frayer avec ses grands écrivains59. Un des esprits
philosophiques
les plus distingués de la restauration fait remar
littérature, l’on ne parviendra jamais à juger, sous un point de vue
philosophique
, le goût antique et le goût moderne. » Si l’on te
vois d’idées devaient arriver, et les premiers auditeurs de ces cours
philosophiques
de M. Cousin, qui allaient jeter tant d’éclat et
années de la restauration, on pourra étudier le mouvement des écoles
philosophiques
et littéraires sorties des trois courants d’idées
omposèrent les Méditations, M. de Lamartine publia un poëme à la fois
philosophique
, dramatique et élégiaque : la Mort de Socrate. Il
aites dans ce temps par un jeune professeur qui renouait sa tradition
philosophique
à l’école spiritualiste de Platon. C’est un des c
is sans pouvoir les retrouver. Les Harmonies ont surtout un caractère
philosophique
et religieux : elles reflètent ces luttes intelle
ein d’une époque sur laquelle la nuit du doute redescend. C’est l’âge
philosophique
du génie poétique de M. de Lamartine. Sa pensée a
avait un autre point de contact avec la révolution : par ses opinions
philosophiques
, il se rapprochait de l’école du dix-huitième siè
fois la religion par le déisme et par l’athéisme, par l’enthousiasme
philosophique
et par le scepticisme. Il tourna ses croyances en
é dans le fourreau les épées irritées d’être oisives. Avec la chanson
philosophique
, il a attaqué le côté religieux de la restauratio
rique. Le premier de ces types, c’est ce qu’on pourrait appeler l’ode
philosophique
. Le poëte met en vers énergiquement frappés et ci
e toutes les perfections de la Divinité, il n’en est qu’une que l’ode
philosophique
de Béranger lui laisse complétement : c’est la pa
resse qu’elles inspirent a un caractère sombre et fatal. Ses banquets
philosophiques
ressemblent au banquet d’Homère où les murs suaie
nd bien même on consentirait à ne pas prendre au sérieux les boutades
philosophiques
que quelques auteurs se sont permises, toujours e
cole intermédiaire, mais avec une tendance marquée vers les principes
philosophiques
et les doctrines politiques du dix-huitième siècl
égislation primitive, qui fut son point de départ, à la Démonstration
philosophique
, qu’il publia en 1830 et qu’il dédia aux rois, co
d la grande division entre l’école monarchique sortie du rationalisme
philosophique
et l’école monarchique sortie du catholicisme. Pu
nnée qui côtoyaient l’invective ; M. Royer-Collard, qui fut à l’école
philosophique
et monarchique ce que M. de Bonald était à l’écol
tour retentir toutes les questions sociales, politiques, religieuses,
philosophiques
, internationales, qui préoccupaient les esprits.
t le clergé comme un usurpateur dangereux qui disputait aux écrivains
philosophiques
leur influence légitime. Il était entré enfin dan
monde des idées. C’était un rendez-vous commun où chaque grande école
philosophique
, littéraire et politique tenait ses assises. Il s
Sismondi, de Rémusat, les yeux attachés sur un horizon littéraire et
philosophique
qui s’agrandissait sous leur regard. Madame de Mo
écrivait à M. de Bonald, en 1818, après la publication des Recherches
philosophiques
: « Est-il possible que la nature se soit amusée
la moitié de ses forces. Aussi l’empire fut-il une époque de sommeil
philosophique
. Presque en tout on se contenta des idées du dix-
ession, si ce n’est ceux qui se livrent à la haute étude des sciences
philosophiques
ou aux profondes recherches historiques : deux im
laissés nos poètes classiques : Voltaire se présente avec ses épîtres
philosophiques
, un poème héroï-comique qui est un péché mortel e
ls ont mille fois raison quand ils disent que les contes, les épitres
philosophiques
, les poésies légères, les poèmes didactiques ou h
dera. On convient généralement de la supériorité de notre jeune école
philosophique
et historique ; notre siècle est déjà si bon juge
ser, comme sur un écueil, contre le stoïcisme des têtes exclusivement
philosophiques
ou politiques. Elle était trop forte là-bas ; ici
ns un siècle comme le nôtre, où les sciences politiques et les études
philosophiques
sont portées à un si haut degré de perfection, le
âges moins éclairés ; les hautes renommées de Goethe au milieu de la
philosophique
Allemagne, et de Byron dans le pays natal de la p
riosité d’une jeunesse avide d’instruction et d’émotions. Les besoins
philosophiques
et historiques du siècle sont admirablement bien
monde, parce qu’il est le plus chevaleresque et en même temps le plus
philosophique
; à ce peuple changeant il est vrai, parce qu’il
se livrer tout entier aux combinaisons théâtrales et aux déclamations
philosophiques
qui étaient alors dans le goût du public ; il est
çus ; c’est le Paria de M. Casimir de la Vigne, œuvre essentiellement
philosophique
, qui peut-être n’a pas cet intérêt vulgaire que c
e de M. Lemercier est un poème non-seulement très intéressant et très
philosophique
, mais encore plein de beautés de style ; nous dir
ance qui unissent si tendrement, pour le quart d’heure, les écrivains
philosophiques
de ce temps et M. l’abbé Mitraud, il faut donc qu
dire à un second volume qu’il nous faut attendre pour juger la valeur
philosophique
de M. Mitraud. Certes, pour notre compte, nous at
esprits une triste sonnette dans ce premier écrit, où sa personnalité
philosophique
, c’est-à-dire sa théorie, ne paraît pas encore, m
ée. Il est évident, en effet, qu’au-dessous de toute cette battologie
philosophique
, l’auteur de la Nature des sociétés humaines ne s
vrage est un vague immense sur toutes choses. Sorte de harpe éolienne
philosophique
, qui donne des notes et ne joue pas d’airs ! C’es
contre la souveraineté politique de l’homme et contre la souveraineté
philosophique
de la Raison, et tous ceux qui veulent et posent
ions qu’il affecte, le siècle du scepticisme absolu, du touche-à-tout
philosophique
, — et de l’écroulement de tout sous ses mains tou
au judaïsme qu’au protestantisme, d’un pays où les châteaux de cartes
philosophiques
se succèdent avec la plus volubile rapidité et où
ingulières de Henri Heine, qui en a plusieurs, c’est la compréhension
philosophique
. Poète, c’est-à-dire tout le contraire d’un philo
’est plus puissante que quand il enlève, à bout de bras, ces haltères
philosophiques
comme des plumes, et qu’il les casse, en les lais
jamais plus. Qualité plus étonnante que les autres, que cette faculté
philosophique
, se retournant contre la philosophie, en cette ir
d’œuvre de l’imagination ; mais ce n’était point encore une puissance
philosophique
, puisqu’un roi absolu l’encourageait, et qu’elle
n ; mais quel est l’auteur du siècle de Louis XIV dont l’indépendance
philosophique
peut se comparer à celle des écrits de Voltaire,
is XIV, pour que les pensées utiles se propagent, et que les ouvrages
philosophiques
soient en même temps des ouvrages classiques en l
spèce humaine entière, consolaient des hasards du sort ; et la raison
philosophique
opposerait moins de digues à la tyrannie, que l’i
evêque, & de M. Bossuet, qu’ils avoient une façon de penser toute
philosophique
, & que s’ils étoient nés à Londres, ils auroi
es, que personne n’a bien connus, s’il n’avoit voulu grossir la Liste
philosophique
de deux noms, qui en seront toujours le fléau ? A
vons traités d’une maniere plus conforme à la vérité, dans le Tableau
philosophique
de l’Esprit de M. de Voltaire. Nous nous contento
Chapitre neuvième Les idées
philosophiques
et sociales dans la poésie (suite). Les success
iste. — III. Coppée. IV. Mme Ackermann. — V. Une parodie de la poésie
philosophique
: les Blasphèmes. I On connaît le passage du
lui-même des exemples de la plus belle et aussi de la médiocre poésie
philosophique
, de celle qui est spontanée et de celle qui est u
comme des idées devenues des âmes. Par malheur, au lieu de ce lyrisme
philosophique
, nous trouvons bientôt un résumé abstrait de tout
un vain chaos ? Ces débats ont de longs et sonores échos ! La poésie
philosophique
et scientifique, pour avoir l’influence morale et
dépassé l’extase… Voici maintenant la vraie inspiration poétique et
philosophique
tout ensemble : Car de sa vie à tous léguer l’œu
s les prunelles. Dans les Danaides, rien de plus poétique et de plus
philosophique
tout ensemble que le tableau de la jeune Espéranc
te nouvelle Légende des siècles une conception d’un véritable intérêt
philosophique
et même social, puisqu’il s’agissait de faire rev
, certainement, s’y oublie. Mais à la description succède l’allégorie
philosophique
, un peu artificiellement amenée, peut-être, avec
s Blasphèmes si on n’avait point représenté ce livre comme un « poème
philosophique
», et si, à l’étranger, on n’avait pas pris au sé
velle. Au reste, nous n’exigeons pas du poète l’originalité des idées
philosophiques
, mais nous lui demandons l’originalité du sentime
es philosophiques, mais nous lui demandons l’originalité du sentiment
philosophique
. Par malheur, chez M. Richepin, il n’y a de perso
sa voie, et, d’instinct, elle la cherche dans la direction des idées
philosophiques
, scientifiques, sociales. Elle trouvera sans dout
les matières à vers latins ? M. Richepin a beau viser à la profondeur
philosophique
, nous craignons que ses vrais titres ne soient du
lui-même. A ce premier malheur, il s'en est joint un autre. La manie
philosophique
est venue renforcer la bonne opinion qu'il avoit
couronner, on a vu applaudir un pareil galimatias ; on a vu le Corps
Philosophique
s'empresser d'en adopter l'Auteur ; on a vu les C
crues n'ont point été heureuses. Les Femmes ont compris que le vernis
philosophique
étoit celui de tous qui leur convenoit le moins,
rs l'ennemi de ses talens, c'est-à-dire, à se défaire de cette morgue
philosophique
dont il ne paroît pas encore sentir assez les tra
René Descartes. *. Eloge de Maurice, Comte de Saxe. *. Réflexions
philosophiques
& littéraires sur le Poëme de la Religion nat
inable s’est discipliné. Il s’est engagé pour de bon dans le régiment
philosophique
. Il a appris à marcher au pas. Il n’a plus été l’
e, cet esprit puissant et bizarre, et aussi parce que les préférences
philosophiques
qui me gâtent M. Taine y sont moins exprimées que
ill, le positiviste, représentant tant aux yeux de M. Taine la vérité
philosophique
, devrait saisir et animer beaucoup plus sa pensée
qui aurait dû, dans ce vieux puritain halluciné, répugner à la raison
philosophique
de M. Taine, a prodigieusement inspiré l’imaginat
rien de plus qu’un soldat de la compagnie du centre dans le régiment
philosophique
pour l’heure en marche, et quelque jour nous nous
nous croirions avoir fait assez. Les prétentions du temps actuel sont
philosophiques
. C’est dans ces prétentions qu’il faut le saisir
dans ces prétentions qu’il faut le saisir pour le redresser. L’Esprit
philosophique
a mis partout sa main insolente ; il faut partout
tromperait assurément. M. Tessier est, au contraire, une intelligence
philosophique
. C’est un métaphysicien d’un ordre élevé. Le livr
ances, en homme qui sait que, sans l’histoire, les plus grands génies
philosophiques
n’auraient jamais eu sur les premiers principes q
te de Bonald, qui, par parenthèse, traita Cabanis dans ses Recherches
philosophiques
comme plus tard M. de Maistre traita Bacon, le Ma
antique : « Que nul n’entre ici s’il ne sait la géométrie. » L’école
philosophique
des modernes porterait pour devise : « Que nul n’
as le sien. Pour rendre intelligibles au vulgaire les hautes théories
philosophiques
, on est obligé de les dépouiller de leur forme vé
de moins analogue à la pensée populaire. Quant aux écrits sociaux et
philosophiques
, où la forme est moins exigeante qu’en littératur
sse, est de tous les pays civilisés le plus nul pour le développement
philosophique
de l’intelligence. Les nobles d’autrefois, croyai
sa Religion progressive, ce doit être encore, celui-là, un postillon
philosophique
de ce temps, qui ne court pas seulement la poste
tout aussi bien qu’un autre, la coquetterie de sa plaque de postillon
philosophique
qu’ils lui ont délivrée, à quelque École normale
cune manière. Il plonge, comme eux, dans le torrent des lieux communs
philosophiques
qui nous déborde et nous submerge. Il est, comme
rit naturellement et exclusivement propre à l’analysent des doctrines
philosophiques
sans nouveauté et auxquelles on a deux cents fois
ards qu’un commencement. » C’est cette même pensée qui fait la beauté
philosophique
et l’éloquence singulière du dernier chapitre de
s générations nouvelles ! D’une part, ce sont les anciennes doctrines
philosophiques
ou religieuses, les vieilles institutrices de l’h
ntemporaines, de leurs applications, de leurs conséquences morales et
philosophiques
. Le public lettré est tout préparé. D’autre part
e, il rêvait, il pensait et cherchait plus haut ; il avait l’ambition
philosophique
; les grands espaces découverts par la science le
lité de la substance ? Sachons ne pas savoir, c’est la vraie démarche
philosophique
et la conclusion de cette ingénieuse dissertation
», je note le mot, il est caractéristique ; il trahit une disposition
philosophique
qui a sa raison d’être, puisqu’elle est celle de
e : « Sachons ignorer. » J’admire cette résignation et cette prudence
philosophiques
; c’est peut-être le dernier résultat de l’analys
mportance du sujet et l’étendue des développements donnés à la pensée
philosophique
méritent que la critique s’y arrête pour le signa
oitement unie à l’amour. » C’est donc bien d’un poème scientifique et
philosophique
qu’il s’agit. Il est divisé en deux parties d’iné
Nous ne pourrons donner qu’une idée bien incomplète de ce poème ; si
philosophique
qu’il soit, un poème ne s’analyse pas comme un tr
vol et de libre allure, seul capable de suivre dans son essor l’idée
philosophique
, comme s’il était amoureux de l’obstacle, il a ad
. 3. Voir, dans la Revue du 15 mai 1874, notre étude sur les Poésies
philosophiques
, de L. Ackermann.
mer une opinion sur la morale, la religion, les questions sociales et
philosophiques
, ont la bonhomie de réfléchir sur les raisons obj
re l’apologie du christianisme en riant de tout ce qui est sérieux et
philosophique
. Il m’est impossible d’exprimer l’effet physiolog
, où Descartes est présenté comme un imbécile qui, pour tout problème
philosophique
, s’est demandé « si la raison n’est pas une chose
renoncent à ce moyen si peu scientifique. Il y a, je le sais, un rire
philosophique
, qui ne saurait être banni sans porter atteinte à
lle s’interdit les nuances délicates. Le premier pas dans la carrière
philosophique
est de se cuirasser contre le ridicule. Si l’on s
ontrôle l’héritage du passé. Nous aspirons à cette haute impartialité
philosophique
qui ne s’attache exclusivement à aucun parti, non
nation. C’est une erreur ; cela prouve un affaiblissement de l’esprit
philosophique
, de la spéculation, de la littérature ; cela prou
ances ; elles n’arrivent à une grande puissance que quand des esprits
philosophiques
leur ont donné la forme. Qui sait si le phalanstè
re d’un ordre plus élevé, n’est pourtant pas encore la grande manière
philosophique
et scientifique. 196. Actes des Apôtres, v. 38,
ophie : du temps d’Alexandre, une étude plus approfondie des sciences
philosophiques
devient l’occupation principale des hommes supéri
s impressions ; les difficultés que présenterait une disposition plus
philosophique
dans les auditeurs, ne feraient pas que l’art des
est de même de la poésie d’images et de celle qui contient des idées
philosophiques
. La réflexion qu’exigent ces idées distrait, à qu
pour faire de beaux vers, il fallût de nos jours renoncer aux pensées
philosophiques
que nous avons acquises. L’esprit qui les conçoit
t des impressions nouvelles. Les progrès des Grecs, sous les rapports
philosophiques
, sont extrêmement faciles à suivre. Eschyle, Soph
; elle indique seulement combien les hommes avaient alors peu d’idées
philosophiques
; tout les détournait de la méditation, rien ne l
Chapitre VI « Le Mariage de Figaro » 1. Diffusion de l’esprit
philosophique
: salons, gens du monde et femmes. Mélanges de do
image de l’état d’esprit de la société française après la prédication
philosophique
. Importance littéraire de la forme de Beaumarchai
e littéraire de la forme de Beaumarchais. 1. Diffusion de l’esprit
philosophique
La diffusion des doctrines philosophiques à tr
1. Diffusion de l’esprit philosophique La diffusion des doctrines
philosophiques
à travers la société française se fait avec une p
vote de Voltaire. Mais le plus célèbre et le plus influent des salons
philosophiques
fut celui de Mlle de Lespinasse573, l’ancienne le
dans les conditions, et il y a trouve le moyen de caresser les goûts
philosophiques
du public. Le sujet manqué par Voltaire dans Nani
le succès des Mémoires contre Goëzman. Il fait jouer en 1787 l’opéra
philosophique
de Tarare, en 1792 la Mère coupable. La Révolutio
eurs mains l’éclectisme ou spiritualisme est devenu de moins en moins
philosophique
et de plus en plus correct. Il est parfait à prés
e sanction de la morale. Ainsi accaparé, il a supprimé la philosophie
philosophique
, laissant entières les objections anciennes, répé
contente le besoin d’élévation et de grandeur. Composé d’expressions
philosophiques
, il semble introduire partout la philosophie. On
xactement comme on commande un habit ; de l’autre, l’amour des nuages
philosophiques
, la coutume de planer au haut du ciel, le goût de
scartes, et le public apprit avec joie que toutes les grandes vérités
philosophiques
avaient été prouvées pour la première fois par un
résister au charme ? Qui n’eût été ravi de respirer tant de bouquets
philosophiques
, si bien choisis, si bien formés, si éclatants, s
future, ou des hommes pleins d’imagination qui fabriquent des épopées
philosophiques
en prose. L’Ecosse flotte entre le scepticisme ér
aine, tellement il a éliminé toute idée personnelle, toute conception
philosophique
, morale ou religieuse, qui eussent donné directio
de Flaubert : pourtant il est sûr que l’œuvre n’est ni symbolique ni
philosophique
, mais strictement historique. Flaubert n’a rien v
tion ni expansion de sympathie : c’est la dernière étape d’une pensée
philosophique
, qui n’a point voulu s’arrêter dans le scepticism
légorie, où plus ou moins confusément se déchiffre quelque conception
philosophique
, scientifique ou sociale, de mince valeur à l’ord
si de plus. Dans le développement de ses caractères, point d’outrance
philosophique
, point d’exclusion a priori de la psychologie. Ce
tes et paraissent exactes. Mais surtout il a eu le don de la causerie
philosophique
: il excelle à faire dialoguer sur les questions
et le plus impitoyable pourtant des historiens. Amateur de curiosités
philosophiques
, érudit, bibliophile, il se promène de l’alexandr
ociété contemporaine (Mensonges), ce que peut produire telle doctrine
philosophique
dans une âme résolue à conformer sa pratique à so
; ou encore l’année 1734, qui est celle de la publication des Lettres
philosophiques
de Voltaire. Nous savons d’autre part que Voltair
nces ne pourrait-on pas, ne devrait-on pas signaler, de morales ou de
philosophiques
, et même de politiques, s’il ne fallait craindre
naire de l’Encyclopédie. « On abuse des meilleures choses. Cet esprit
philosophique
, si à la mode aujourd’hui, qui veut tout voir et
timent. » Et, en effet, de la manière qu’il définit lui-même l’esprit
philosophique
, c’est à savoir par le goût de « l’analyse » et d
ralement que toute cette littérature encyclopédique, — à force d’être
philosophique
, — ne manque de rien tant que de réalité, de subs
dèles » ; au fond, ils ne doutent pas que les « progrès » de l’esprit
philosophique
ne se soient étendus insensiblement de la manière
le. Le parlement de Paris répond en condamnant au feu le Dictionnaire
philosophique
, 1765. Mais, une fois encore, l’odieuse procédure
s Écrivains, 1756 ; son article Esprit des Lois dans son Dictionnaire
philosophique
, 1771 ; et Commentaire sur l’Esprit des lois, 177
735-1740 ; — l’Histoire d’une Grecque moderne, 1740 ; — les Campagnes
philosophiques
ou les Mémoires de M. de Montcal, 1741 ; — et les
l’eût un peu exagéré. L’Histoire de Charles XII, 1731, et les Lettres
philosophiques
. — D’où est venue à Voltaire l’idée d’écrire l’hi
t une partie de la valeur du livre. — Les commencements de l’histoire
philosophique
dans le Charles XII [Cf. l’Essai sur les guerres
e éprouve pour son héros. — Zaïre, 1732. — La publication des Lettres
philosophiques
, 1734. — Portée du livre et combien elle dépasse
é future ; — et sur la force de l’opinion. — Condamnation des Lettres
philosophiques
[juin 1734]. Le séjour de Cirey. — Liaison de Vol
amatique ; — en se faisant de la tragédie un instrument de propagande
philosophique
; — en conformant le choix de ses sujets aux exig
lle], Mémoires sur Diderot, 1787 ; — Naigeon, Mémoires historiques et
philosophiques
sur M. Diderot, Paris, 1821 ; — Rosenkranz, Dider
r le mérite et la vertu. — Son premier ouvrage original : les Pensées
philosophiques
, 1746 ; — et s’il est vrai qu’il l’ait écrit pour
fin, d’indifférente à son propre contenu, Voltaire a rendu l’histoire
philosophique
, ce qui implique : — la subordination des faits a
re ; — et que Voltaire n’y a pas lui-même échappé. En ce qu’elle a de
philosophique
, d’abord, — elle substitue dans le jugement des h
si rabaissé l’histoire à n’être plus que l’instrument de ses passions
philosophiques
. — L’histoire, comme la tragédie, veut être trait
Meslier, 1762, — achèvent de faire de lui le chef incontesté du parti
philosophique
. — L’Éloge de Crébillon, 1762 ; — le Commentaire
hior Grimm [Ratisbonne, 1723 ; † 1807, Gotha] Culture classique et
philosophique
de Grimm ; — ses débuts littéraires et sa tragédi
. 3º Philosophie. — Essai sur le mérite et la vertu, 1745 ; — Pensées
philosophiques
, 1746 ; — Lettre sur les aveugles, 1749 ; — Lettr
réplique de Marmontel. — Rupture définitive de Rousseau avec le parti
philosophique
. — Ses liaisons nouvelles, avec la maréchale de L
e, Origines, etc., t. I et III]. — Influence de Rousseau dans l’ordre
philosophique
, sur Kant [Cf. Diettrich, Kant et Rousseau, 1878
Rousseau, 1878 ; et D. Nolen, « Les Maîtres de Kant », dans la Revue
philosophique
] ; — et sur Fichte. — Son influence sur Jacobi et
764 ; — écrit sa Philosophie de l’histoire, 1765 ; — son Dictionnaire
philosophique
, 1765 [Cf., pour le discernement des parties succ
le 5 février 1778 ; — et arrive à Paris le 10 du même mois. L’Œuvre
philosophique
de Voltaire ; — et que sans vouloir en exagérer l
nts. — Trois idées maîtresses ressortent en effet de son Dictionnaire
philosophique
comme de ses tragédies ; — et de son Candide ou d
s Épigrammes, des Madrigaux, des Contes ; — des poèmes didactiques ou
philosophiques
: tels que les Discours sur l’homme, le Poème sur
— et Les Oreilles du comte de Chesterfield, 1775. 5º Son Dictionnaire
philosophique
, 1764 ; — et ses Questions sur l’Encyclopédie, 17
es Si. On pourrait les diviser en Mélanges scientifiques ; — Mélanges
philosophiques
; — Mélanges historiques ; — Mélanges littéraires
— et ses suites [Cf. le Discours de réception de Ducis]. La tragédie
philosophique
; — et son évolution vers le mélodrame ; — la Mél
’a paru pour la première fois qu’en 1796. — Définition de la tragédie
philosophique
; — et qu’en tant qu’elle se borne « entièrement
’à l’exception de la première de ces directions, celle de la tragédie
philosophique
[Cf. pourtant les « Préfaces » de V. Hugo dans so
i n’ont pas, ne nous paraît avoir aucun inconvénient dans une analyse
philosophique
, et peut même être commode pour manier, pour déga
édique conserve cette ligne avancée, ce poste honorable d’avant-garde
philosophique
, qu’il est toujours bon d’avoir essayé de tenir,
nte leurs conjectures à ce sujet, celui de M. Leroux, sur l’influence
philosophique
des études orientales ; ce sont des pages, sinon
it des idées générales dont ils sont les promoteurs. Avec la capacité
philosophique
éminente qui distingue les écrivains de cette éco
lus que personne à introduire et à vulgariser en France une tradition
philosophique
qui, avant lui, ne comptait parmi nous que bien p
elle s’est répandue et est ainsi devenue un des facteurs de notre vie
philosophique
. Enfin et surtout il a eu le très grand mérite d’
nclusion d’un syllogisme dont telle ou telle théorie psychologique ou
philosophique
aurait fourni les prémisses. La morale est une ré
ris son maître. 1. Comte pourrait être rattaché à la même lignée
philosophique
. Mais je ne saurais dire dans quelle mesure Taine
convenance l’admiration que m’inspire cette incomparable imagination
philosophique
, et surtout de retracer avec l’ordonnance nécessa
volontaire qui voua un culte si fiévreux à la logique. L’imagination
philosophique
, le don de rendre émouvantes les idées, de dramat
e de notre connaissance, ce don singulier qu’on appelle l’imagination
philosophique
. Et nous le remercions, parce qu’il nous a appris
ite qu’elle soit, a jeté en France les fondements de l’étude vraiment
philosophique
de l’histoire de la philosophie ? Tous les systèm
non seulement de la philosophie allemande, mais de toute spéculation
philosophique
, et qui n’était qu’un renouvellement passager d’u
ans la pensée et de plus gracieux dans l’imagination. Mais un système
philosophique
, quel qu’il soit, peut-il être compris isolément
us à découvert mon but, mes desseins, et pour ainsi dire cette étoile
philosophique
qui doit nous servir de lumière et de guide dans
l de l’humanité ; 5º que dans l’ordre de leur développement l’élément
philosophique
vient nécessairement le dernier ; 6º que s’il est
religieux de l’Inde. Il est reconnu aujourd’hui que tous les systèmes
philosophiques
indiens se divisent en deux grandes classes, les
’un autre côté, quand on lit avec attention les ouvrages poétiques et
philosophiques
de l’Inde, qui commencent à se répandre en Europe
ue de la civilisation de posséder la vérité sous cette forme libre et
philosophique
qui était réservée à la seconde. Dans l’Orient, n
grossières et bien éloignées de ce que furent depuis les explications
philosophiques
, mais enfin c’étaient des tentatives d’explicatio
un bien, c’était un développement plus riche de la seule vraie unité
philosophique
, celle de la libre réflexion. Dix siècles ont été
laient faire, et que c’était leur réflexion même, c’est-à-dire l’idée
philosophique
, qui les conduisait là où ils consentaient à alle
lat de Décius, par l’ordre de Justinien, fut fermée la dernière école
philosophique
dans cette même Athènes qui avait servi de bercea
est née ? Vous allez ici prendre sur le fait la jeunesse de l’esprit
philosophique
qui règne aujourd’hui dans l’Europe. Le grand-pèr
omme celle de Socrate, est d’avoir mis dans le monde moderne l’esprit
philosophique
, qui a produit et produira mille et mille système
le dernier comme le premier mot de tous ses écrits. Une fois l’esprit
philosophique
introduit dans le monde moderne en 1637 (et nous
car nous ne datons guère de plus loin, il me semble que les systèmes
philosophiques
n’ont pas manqué à l’Europe. Non, certes, ils ne
épart des grands mouvements, ce n’en est pas la fin. Les tracasseries
philosophiques
(passez-moi cette expression) contre ce qu’il y a
époques de l’histoire du monde. Ma foi inébranlable est que l’esprit
philosophique
est appelé à s’étendre indéfiniment, et que comme
si beaucoup aujourd’hui des progrès sans cesse croissants de l’esprit
philosophique
qui dissout, dit-on, et met en poussière les croy
isible de la nature humaine, renferme à toutes ses époques un élément
philosophique
, qui a son rôle aussi sur la scène du monde, un r
ence des prémisses que nous avons posées. S’il est vrai que l’élément
philosophique
dans la pensée soit supérieur à tous les autres é
remière leçon : que toute clarté est dans les idées. Les abstractions
philosophiques
n’ont pas cette réputation, je le sais : c’est pu
cle extraordinaire ; mais lisez seulement quelques pages d’un ouvrage
philosophique
de l’Inde, et aussitôt une lumière vaste et sûre
e existence. » Tel est, sous une forme un peu occidentale, le résumé
philosophique
de ce sublime épisode. Maintenant, ce flambeau à
: cependant je ne suis pas bien sûr de ne pas emprunter à mes études
philosophiques
quelque chose de cette manière de la concevoir. E
ient aux assemblées politiques. Je ne prétends pas que sans l’élément
philosophique
le siècle de Périclès soit incompréhensible ; mai
a pas infidèle à elle-même, et qu’après être rentrée dans la carrière
philosophique
quelle a jadis ouverte aux autres nations, elle e
connaissances les plus diverses et une profonde érudition à des vues
philosophiques
supérieures ; un homme qui ne fût étranger à aucu
s dans l’histoire de la philosophie. Qu’est-ce en effet qu’une époque
philosophique
? C’est un certain nombre de systèmes et d’écoles
l’étude de l’humanité. L’étude de la conscience, dans le dictionnaire
philosophique
, s’appelle psychologie. Si l’homme résume le mond
st à ses propres yeux, et il l’est en effet dans un sens profondément
philosophique
. Remarquez aussi cet effet particulier de l’inspi
on histoire. L’étude de l’histoire est donc une étude essentiellement
philosophique
. » Nous ne savons pas ce que, dans ses principes,
a raison d’être, sa loi ; et toute loi est exprimable par une formule
philosophique
. Les formules philosophiques effrayent les sens,
toute loi est exprimable par une formule philosophique. Les formules
philosophiques
effrayent les sens, l’imagination, l’entendement
oire. Un homme qu’on n’accusera pas de s’être perdu dans des rêveries
philosophiques
, mais qui joignait à l’esprit le plus positif ces
s comme aux lois les plus grandes82. C’est là le triomphe de l’esprit
philosophique
. En effet, il n’y a pas de lacunes dans les chose
ient sur soi-même, dans sa généralité et sa profondeur, sous la forme
philosophique
. Or, quelles sont les formules philosophiques ? N
rofondeur, sous la forme philosophique. Or, quelles sont les formules
philosophiques
? Nous l’avons vu, c’est le contingent et le néce
ogues de l’industrie, des lois, des arts, des religions, des systèmes
philosophiques
. Lorsque la philosophie de l’histoire aura étudié
ié ainsi l’industrie, les lois, les arts, les religions, les systèmes
philosophiques
des différents peuples d’une époque, elle verra q
nie politique et militaire, et les autres comme les symboles du génie
philosophique
. N’écoutez pas plus les écoles que les partis ; é
t face à face avec nous-mêmes ; en même temps l’objet de la réflexion
philosophique
est ce qu’il y a de plus général dans la pensée,
aspect. Il en est de même en philosophie. La lutte des grands génies
philosophiques
, bien comprise, n’a rien d’affligeant, car elle t
grand défaut de Herder est d’avoir abordé l’histoire avec un système
philosophique
trop peu favorable à la puissance et à la liberté
mblable matière, il s’agit d’instruire et d’éclairer. Or les formules
philosophiques
, bien entendu quand elles ne sont pas arbitraires
es que le christianisme a rendus au genre humain. Il y a plus d’idées
philosophiques
dans ces deux discours que dans tous les ouvrages
et moderne. Enfin depuis un demi-siècle la connaissance des systèmes
philosophiques
a été comme renouvelée. Tel est l’état de la phil
prendre les livres des philosophes sans être versé dans les questions
philosophiques
. Ici surtout l’intelligence historique est en rai
e sera guère occupé de son histoire. Au contraire, un grand mouvement
philosophique
est la condition indispensable et en même temps l
ommes tous des enfants de Descartes, à ce double titre que l’autorité
philosophique
que nous acceptons tous est la raison, et que le
cceptons tous est la raison, et que le point de départ de toute étude
philosophique
est pour nous l’analyse de la conscience, de cett
s les conditions y étaient : immense intérêt répandu sur les matières
philosophiques
par une génération de grands hommes, méthode nouv
a fouillé ses parties les plus barbares pour y découvrir des vestiges
philosophiques
. On ne saurait avoir plus de respect pour la rais
e la Perse, de la Chaldée, de la Syrie, qu’il donne pour des systèmes
philosophiques
. On peut dire aussi que la critique de Brucker n’
caractère différent et décidé, il faut arriver à de nouvelles écoles
philosophiques
. L’esprit humain devait faire un nouveau pas ; la
ontente pas de donner des extraits plus ou moins étendus des systèmes
philosophiques
, il pénètre leur esprit, et c’est à faire connaît
opinion, que l’Orient, en général, est beaucoup plus mythologique que
philosophique
, et que c’est, mais il ne faut pas prétendre que
moins pas de ces systèmes qui embrassent l’universalité des questions
philosophiques
et en donnent une solution régulière et approfond
rieur et moins arbitraire, donne à l’ouvrage entier un caractère plus
philosophique
. En indiquant les idées qui ont dominé aux divers
t entière. Sans doute Tennemann a entrevu trop vaguement ce mouvement
philosophique
de l’histoire ; mais enfin il l’a entrevu, et c’e
générale de la philosophie. Que sa condition est un nouveau mouvement
philosophique
. — Détermination du caractère de ce nouveau mouve
uropéenne les seules lumières qu’elle possède encore sur les systèmes
philosophiques
des Indiens133. Le spirituel auteur du mémoire su
phie orientale, il a presque renouvelé la connaissance de l’antiquité
philosophique
, en y introduisant la critique. Parmi tant de nom
t Tennemann ; de même aujourd’hui c’est le souffle d’un nouvel esprit
philosophique
qui, en passant sur tous les résultats certains,
oire de la philosophie ; tout ce que peut produire un grand mouvement
philosophique
, le sensualisme l’a produit ; il ne reste qu’à l’
l’étude d’une seule partie si considérable qu’elle soit de la science
philosophique
, la psychologie, par exemple, serions-nous en éta
epuis presque un quart de siècle, n’a plus payé sa part de recherches
philosophiques
à la civilisation européenne : il n’est sorti de
nterprète célèbre dans M. Dugald Stewart144. Les deux grandes nations
philosophiques
de l’Europe sont aujourd’hui l’Allemagne et la Fr
la philosophie européenne. Or, s’il est vrai que le nouveau mouvement
philosophique
qui se fait sourdement en Europe soit un mouvemen
ique quand tout l’est autour d’elle, et si par conséquent la réforme,
philosophique
entreprise en 1816, et que je poursuivrai avec fe
n France ? L’éclectisme n’est si vivement attaqué par le double passé
philosophique
qui se débat encore au milieu de nous, que précis
vant-coureur de l’avenir. L’éclectisme est la modération dans l’ordre
philosophique
; et la modération qui ne peut rien dans les jour
jugement, dit-il, que le public américain puisse porter des doctrines
philosophiques
de M. Cousin, nous avons la confiance que tout le
philosophie est fondée en France. Il n’y a pas une époque, une école
philosophique
qui n’ait été sérieusement étudiée ; en particuli
rance par l’excellente traduction de M. Peisse, est intitulé : Essais
philosophiques
sur les vicissitudes de la philosophie. Mais, sel
enlevé à tant d’espérances. Il possédait au plus haut degré l’esprit
philosophique
et l’art d’exposer ses idées avec une lucidité, u
Fabre a eu ses dévots, et M. Sabbatier en est un. Les grandes causes
philosophiques
et politiques, les grands partis littéraires, une
ire croire ; mais surtout ils n’ont pas eu de postérité littéraire et
philosophique
digne d’eux, et ceux qui se sont portés comme hér
cations flétrissantes qu’il inflige à toutes doctrines littéraires et
philosophiques
qui ne sont pas les siennes. M. Sabbatier est de
vec Ginguené, il le visite tout d’abord et s’initie par lui au groupe
philosophique
et littéraire qui soutenait honorablement la caus
la catastrophe de 1814 et 1815 tout le libre mouvement de renaissance
philosophique
, historique et littéraire dont nous provenons, et
y saisit bien à son point de départ et à son origine la moderne école
philosophique
qui est devenue plus tard l’éclectisme, et qui n’
fortune avec les années, et son nom est devenu celui même de l’école
philosophique
moderne. J’ai paru regretter précédemment que ce
leçons où figurent successivement tant de noms célèbres dans l’ordre
philosophique
ou moral, Helvétius, Saint-Lambert, Hutcheson, Sm
ions trop spéciales, et qui sentaient l’école. Les premiers Fragments
philosophiques
n’étaient pas entièrement exempts de cette manièr
et comme à son torrent : s’il ne se préoccupe d’aucune démonstration
philosophique
trop spéciale, il trouvera d’emblée, il parlera o
oètes s’attachent à revêtir des couleurs de l’imagination les pensées
philosophiques
et les sentiments passionnés, ils entrent en quel
ce qu’ils éprouvent ; ils ont l’art d’unir intimement les réflexions
philosophiques
, aux sensations produites par les beautés de la c
es anglais ; ils ne fatiguent point en s’abandonnant à leur tristesse
philosophique
: elle est d’accord avec la nature même de notre
oint un signe de bonheur pour la nation. Pour que l’état politique et
philosophique
d’un pays réponde à l’intention de la nature, il
ut être considéré seulement comme un roman. La plus féconde des idées
philosophiques
, le contraste des qualités naturelles et de l’hyp
passé bien vite par-dessus le Saint Anselme, de M. de Rémusat, sujet
philosophique
et qui ne peut intéresser qu’un très petit nombre
s ces idées, elle les pressentait. En effet, M. de Rémusat a un passé
philosophique
comme il a un passé politique, et on les connaît
afin de le purifier de tout spinozisme et de lui donner cette valeur
philosophique
que nous avons indiquée et qui serait si grande s
ocratie, que M. de Rémusat condamne dans son livre par la raison très
philosophique
que l’opinion de l’Europe moderne, qui a la tête
st du gouvernement aussi, en traitant de la résurrection des systèmes
philosophiques
au onzième siècle. Systèmes qui mourront et ressu
xciter une imagination péniblement exaltée, ou une vaine fermentation
philosophique
. Quoique M. Bossuet fût né avec les plus heureuse
ntre autres, n’a pas craint d’avancer que Bossuet avoit des sentimens
philosophiques
bien différens de sa Théologie. Mais cet Ecrivain
u’il étoit aussi peu fondé à insinuer que Bossuet avoit des sentimens
philosophiques
différens de sa Théologie, que nous le serions en
4. Comédie de genre : satire des mœurs mondaines. Essais de polémique
philosophique
et de satire aristophanesque. La comédie du xvii
tion et réaction réciproque. Ses journaux, où s’unissait la réflexion
philosophique
à la description pittoresque des mœurs, étaient d
vaux donna ses délicates comédies d’analyse, et toute sorte de pièces
philosophiques
, allégoriques, mythologiques. Déjà les mêmes comé
ir d’un homme qui n’en soupçonne pas la portée. C’est dans ces pièces
philosophiques
et dans la sentimentale féerie d’Arlequin poli pa
rmédiaires, et deux formes extrêmes : la farce bouffonne, et le drame
philosophique
. Il n’y a pas d’objection sérieuse à faire à cett
ison de les reconnaître. Il a raison aussi d’insister sur la capacité
philosophique
du genre dramatique : plus la forme devient réali
de caractère, comédie de mœurs, bouffonnerie, satire morale, sociale,
philosophique
, aristophanesque, tout cela se réunit dans l’œuvr
iliée des langages qu’on a osé lui tenir. Les coureuses de bal masqué
philosophique
ou littéraire n’ont peut-être pas autant de pudeu
nelle du progrès chantée aux bornes sur toutes les orgues de Barbarie
philosophiques
. C’est le mot de l’Italien qui avait tué son père
Main ! n’aurait pas, j’imagine, beaucoup de respect pour les culottes
philosophiques
que sa petite-fille s’obstine à porter. Elles son
phiques que sa petite-fille s’obstine à porter. Elles sont, en effet,
philosophiques
, ses culottes. Daniel Stern, qui, pour tout au mo
i je m’en souviens bien, elle a publié une histoire, à considérations
philosophiques
, sur la République de 1848, car elle est républic
être artiste ; qui trouve qu’il y a mieux que l’art, c’est la pensée
philosophique
, et qui croit l’avoir au fond de son creux, comme
isme de la Libre-Pensée et l’expression de ces misérables généralités
philosophiques
qui sont les vulgarités intellectuelles de ce tem
rmé, il montre ensuite comment le projet, d’essence poétique, devient
philosophique
, métaphysique et bientôt éthique dans les décenni
ute l’Humanité. Il. est « scientifique » avec sa résultante de pensée
philosophique
(toutes réserves apportées selon les temps, sur l
apologie de la science et de ses merveilles, non plus que les raisons
philosophiques
d’un sentiment personnel — en général spiritualis
ées d’images. Mais, par son spiritualisme qui s’en va religieux, qui,
philosophique
, se précise surtout négativement d’un sentiment c
nes, selon la science, sur l’avenir des mondes et de la Vie » : donc,
philosophique
et sociologique. La seconde, s’ouvrant du poème «
des années plus tard aussi, Mallarmé eût précisé lui-même en un sens
philosophique
ses premières conceptions, tout esthétiques disio
spirituelle. Evidemment, lui, à suivre le développement de ma pensée
philosophique
, moi à mieux connaître la sienne, devions-nous pa
a à une manière d’art spiritualiste, peut-on dire, plus qu’au concept
philosophique
nettement déterminé. Jeux suprêmes, si l’on veut,
un matérialisme sans grandeur, incompréhensive d’un sens nouvellement
philosophique
et comme religieux au sens de vérités naturelles,
is exquisement nuancés : très artiste, possédant une sérieuse culture
philosophique
et musicale. Il venait à l’instant de créer une R
qui même en le Mallarmé de 1885-86 n’a pas les précisions à tendances
philosophiques
que sa pensée acquiert progressivement. La « Revu
is sous l’appellation « d’Instrumentation verbale ». Si les tendances
philosophiques
de la « Revue Wagnérienne » ne pouvaient avoir pr
ns-nous dit en la Légende d’âmes et de sangs : c’est-à-dire ma pensée
philosophique
. Je m’en sentais trop peu en possession pour en p
mandant du Poète une évocation de la Vie toute, représentait la leçon
philosophique
, la vérité essentielle à amener hors des mille él
r simplement de la Poésie en général, pour entrer au domaine purement
philosophique
. Ce qui était personnel cependant à Moréas, c’éta
l instant, depuis que pour le soutien et la propagande de mon vouloir
philosophique
et poétique il créa les « Ecrits pour l’Art », n’
n l’édition du TRAITS de 88, et les détails et la portée et poétique,
philosophique
et sociocratique de mon Œuvre. Je lui montrai en
tant et se précisant par les travaux de Helmholtz, mais les principes
philosophiques
tirés de la théorie d’Evolution qui devaient être
e concevait pas que cette Poésie devint, selon ma pensée, une émotion
philosophique
née de la Connaissance, de rapports universels sa
i s’écria, qu’il n’avait pu trouver l’expression adéquate à sa pensée
philosophique
: « Ah ! que n’ai-je d’un langage approprié à ce
livre des Notes dégageaient ou rendaient plus explicites mes volontés
philosophiques
prêtes à se pouvoir énoncer en principes qui péné
lles religions. » Je réservais ainsi l’énonciation complète de partie
philosophique
, ne la voulant précisément émettre que serrée et
tait plus possible l’association à ma technique poétique et ma pensée
philosophique
, de l’idée étrangère du Symbole alors que, de la
de vue de cet Absolu, a surgi en son Œuvre cette particulière cruauté
philosophique
qui est comme du dieu qui danse dans sa destructi
rigines propres, son départ sur des données science et ses directions
philosophiques
(« poète ne procédant d’aucun maître », selon le
tiles rêveries, nous disons vaines ou dangereuses toutes spéculations
philosophiques
prioristes et de raison pure, matérialistes ou id
e émanée de la nature et des musculatures en mouvement de la vie qui,
philosophique
plus tard, deviendra l’une des propriétés de son
demander d’en être désormais. De l’artiste romancier de qui la pensée
philosophique
du miracle de la Vie tremble d’émoi à de précieus
pense par les sons ! » Bonhomme, Francisque Sarcey parle de « l’Ecole
philosophique
instrumentif » en produisant également quelques v
iant, et mes dénégations à l’encontre du titre de « Maître de l’Ecole
philosophique
, ou évolutive-instrumentiste » prodigué pompeusem
ndances socialistes, humanitaires, Monsieur Une partie de la pensée
philosophique
de M. René Ghil va à la sociologie, il est vrai,
e, marquent de pareilles tendances. Mais tout demeure dans le domaine
philosophique
: nous ne nous occupons pas de politique Bien. M
à la question. Bien que partant de la Science occidentale, sa pensée
philosophique
s’apparente aux philosophies orientales, et tel d
hommage à Sully-Prudhomme : mais en tant que précurseur d’une poésie
philosophique
se souciant de la Science, tout en s’en écartant
l’œuvre elle-même m’échappe. Même intelligible aux lettrés la poésie
philosophique
de M. René Ghil ne saurait être qu’un long et las
nératrices d’œuvre, d’esthétique générale, de plan et de construction
philosophique
, il n’en est nulle part, et il était caractéristi
usement relié à de multiples et caractéristiques extraits, le concept
philosophique
, matérialiste au principe et réduisant l’antinomi
lui hausse son importance, de l’assonance et du sentiment, au rappel
philosophique
de l’unité, au ressouvenir des concepts-thèmes, a
on avec nécessité de construction harmonieuse et de plan, la tendance
philosophique
et le recours premiers à la connaissance, à la Sc
sant et énorme poème, Du Bartas, et Strada, n’est-ce point de dessein
philosophique
, et n’est-ce point « poésie Scientifique » ? Si v
de d’âmes et de sangs et des premiers Traites du verbe, par la partie
philosophique
de la Poésie Scientifique — que n’avait pas accep
évocations de l’Histoire de l’Humanité et Anticipations, construction
philosophique
où résumer leur « Vision de la Terre ». Théâtre e
ntée à la harde préhistorique, pour en laisser émaner une haute leçon
philosophique
et sociale ! Le plan audacieusement complexe n’a
imprègne continuellement l’inspiration une rare culture biologique et
philosophique
, n’a sans doute point perdu de vue des parties du
our une année, au poète de verbe si délicatement musical et de pensée
philosophique
, Jean Royère… Je relèverai au troisième livre de
des traits quelconques de Nature, à quoi son Moi se réservera, devenu
philosophique
, d’attribuer valeurs idéales à son gré. Dispositi
e s’est trouvé éclairé sur lui-même ? La prestigieuse intellectualité
philosophique
du poète d’Euréka n’est saisie en somme que par l
t d’analogie — ou Symbolisme, entendu tel que privé de ses intentions
philosophiques
plus tard mises au point, ou empruntées. Nous com
aces en les Divagations, et sans, disions-nous, toutes les intentions
philosophiques
que lui prêtent Camille Mauclair et Albert Mockel
ite, eût peut-être construite et écrite, eût reproduit en son essence
philosophique
un idéalisme à notion du Moi incarnant l’Idée cré
ortion qui existe entre ce vaste plan d’une œuvre voulue complexement
philosophique
, et la manière d’art stérilisée à ne plus conteni
même pas de personnalité légendaire. Donc, c’est qu’ils devaient être
philosophiques
: des états d’âme généraux et d’émotion universel
tamment muet sur les idées… Autant que nous en apercevions, sa pensée
philosophique
n’apportait rien de personnel, rien de nouveau… S
Moi » poétique d’une valeur nouvelle, qui tend à lui donner une unité
philosophique
. Fragment d’un Moi total, de l’Idée incréée et cr
e, sans en répudier ni adultérer les principes et surtout du Dualisme
philosophique
, s’est produite une évolution ? Pour répondre que
calité et de Rythme encore qu’il n’en soit rapporté alors aucun sens
philosophique
ou généralement humain ? Joie de la vie, exaltati
Régnier. Instinctivement ému pour se grandir peu à peu et du concept
philosophique
tout en gardant le souple et le pittoresque très
evait et admettait les données de science de ma poétique, le principe
philosophique
qui s’en trouvait déduit, qu’en ce qui regardait
e « son art demeurerait pourtant en dehors et à côté de sa conviction
philosophique
, retenu qu’il était, par une puissance obscure de
trie et l’action des démocraties, tel qu’il résulte de l’émancipation
philosophique
et religieuse du nouveau monde, c’est Verhaeren !
d’où ressort elle-même, de rapports en rapports, une unité de concept
philosophique
: suggestion totale d’un état d’âme social, puis
it-elle en somme que de l’extérieur : alors que ma pensée critique et
philosophique
avait vu sous cette « splendeur » non un progrès
e sur trois plans concentriques s’entrepénétrant (individuel, social,
philosophique
), pour le total d’une Synthèse — où la science se
service, à quarante-six ans et ne revint pas !). Mais sa conception
philosophique
il l’exprima et nous la trouvons succinctement en
xprime en l’Anthologie, s’est entièrement accordée aux principes tant
philosophiques
qu’éthiques et sociaux de la « Poésie-scientifiqu
ié d’apparaître à Nordau moi un peu plus sain parce que constructeur
philosophique
à données de science. (Max Nordau revint-il par l
sent des théories des Correspondances, les rattachant à des ensembles
philosophiques
, et codifiant leurs emplois. Wagner en est un exe
« construction ». Les mêmes conclusions dans un sens de construction
philosophique
par matériaux de Vie, dans un sens de Synthèse —
ngle nouveau une revue d’exposition d’idées en les domaines poétique,
philosophique
et social, s’est maintenant imposée. Imposée auta
ct égotiste et social, en même temps en pleine réalité et sur le plan
philosophique
. Poète, Gabriel Brunet113 se double d’un critique
retrouverons en volume : un premier volume d’une série littéraire et
philosophique
qui, pouvons-nous dire, apportera révision des va
t parle de la Poésie, il dit : « Le poète est par excellence l’esprit
philosophique
et l’homme religieux. Peut-être l’esprit philosop
lence l’esprit philosophique et l’homme religieux. Peut-être l’esprit
philosophique
n’est-il en dernière analyse — que le sens du gén
harishi Kapila : sage védique considéré comme le fondateur du système
philosophique
Samkhya. 96. in Albert Mockel, Stéphane Mallarmé
re de destruction commençait alors à s’entamer au vif dans la théorie
philosophique
et politique ; la tâche, malgré les difficultés d
cle celui dont la personne résume le plus complétement l’insurrection
philosophique
avec ses caractères les plus larges et les plus c
issaient une des plus drôles imaginations qu’on pût avoir. La faculté
philosophique
du siècle avait donc besoin, pour s’individualise
evait être, au xviiie siècle, l’homme fait pour présider à l’atelier
philosophique
, le chef du camp indiscipliné des penseurs, celui
il traduisit l’Essai sur le Mérite et la Vertu, qu’il fit les Pensées
philosophiques
, l’Interprétation de la Nature, la Lettre sur les
t détournés de leur but supérieur et rabaissés à servir de porte-voix
philosophique
ou d’arme pour le combat ; au milieu de telles co
s’abîmant sous une ruine commune. Diderot, dès ses premières Pensées
philosophiques
, paraît surtout choqué de cet aspect tyrannique e
hez Diderot un peu d’oubli peut-être de ses propres excès cyniques et
philosophiques
, mais aussi un dégoût amer, un désaveu formel du
odigalité de vie et de conversation, la camaraderie encyclopédique et
philosophique
, tout cela soutira continuellement le plus métaph
bbé de Chaulieu, récemment mort, l’Épître à Uranie, son premier poëme
philosophique
. L’Épître à Uranie ressemble à un fragment de Luc
erinage à Ferney. La composition de tragédies, de comédies, de romans
philosophiques
, tels que Candide, Zadig, et d’épîtres, de satire
de Zaïre et de Mérope ; mais le Siècle de Louis XIV, le Dictionnaire
philosophique
, l’Essai sur l’histoire et sur les mœurs des nati
trouvés sous des ruines, l’Orphelin de la Chine, Tancrède, les romans
philosophiques
, les contes en prose et en vers, les articles imp
gué nourrit les pensées et recueille les forces. Sa vie véritablement
philosophique
commença entre soixante et soixante-dix ans. Quel
ystèmes et dans leurs vices d’esprit pour les captiver dans son parti
philosophique
; il avait le respect humain de sa haute raison a
st l’affirmation de Dieu. Dans la plus anti-chrétienne de ses poésies
philosophiques
: l’Épître à Uranie, il semble caractériser lui-m
doctrine C’est un bonheur encor d’être trompé par lui ! Les poésies
philosophiques
sont pleines de cette profession de foi du théist
suprême faute de pouvoir l’expliquer. Dans les pages du Dictionnaire
philosophique
, où il laisse courir sa pensée sur tous les objet
ésie légère ; tantôt enfin à rallier contre le christianisme un parti
philosophique
capable de contrebalancer la force alors régnante
réconciliés dans une philosophie chrétienne ou dans un christianisme
philosophique
. L’influence alternative de Voltaire sur l’esprit
Chapitre I. De la sagesse
philosophique
que l’on a attribuée à Homère Nous accorderons
’Iliade. La constance d’âme que donne et assure l’étude de la sagesse
philosophique
pouvait-elle lui permettre de supposer tant de lé
s gens les plus violents. Il faut donc refuser à Homère toute sagesse
philosophique
. Voilà l’origine des doutes qui nous forcent de r
s générales précédentes. En effet, dans ce travail, dont le caractère
philosophique
est si éminemment positif ; les lois les plus imp
e fois il est arrivé à adopter pour tout le reste une nouvelle marche
philosophique
d’un caractère absolument opposé. (3) Tout se réd
utres. Si cette condition est une fois réellement remplie, le système
philosophique
des modernes sera enfin fondé dans son ensemble ;
il est bien difficile de sentir et impossible de juger les réflexions
philosophiques
dont ces sciences seront les sujets. En un mot c’
lement ma pensée à cet égard, je dois d’abord rappeler une conception
philosophique
de la plus haute importance, exposée par de Blain
l convient d’étudier. En un mot, ce n’est évidemment que par l’examen
philosophique
des sciences qu’il est possible d’y parvenir. La
e un peu approfondie, une seule science positive, même sans intention
philosophique
. C’est pour avoir méconnu ce fait essentiel, que
iori un véritable cours de méthode tout à fait indépendant de l’étude
philosophique
des sciences ; mais je suis bien convaincu que ce
e. Aussi Laplace n’a-t-il présenté cette idée que comme un simple jeu
philosophique
, incapable d’exercer réellement aucune influence
cation positive des phénomènes naturels, ce qui est, en effet, le but
philosophique
de la science, nous regarderons comme téméraire d
e consacrent aux travaux de la pensée et dont les sciences morales et
philosophiques
sont le domaine, rien de plus difficile à rencont
onie à nombreuses nuances, il séparait, en se l’exagérant, la faction
philosophique
issue du xviiie siècle, la Révolution antagoniste
l lui faisait trop d’honneur sur un autre, en lui imputant une portée
philosophique
, une conception analogue à celle du dernier siècl
é, les théologiens gallicans et les personnes faites aux controverses
philosophiques
, qui le suivirent. Encore la masse scolastique du
acieux en religion, un hérétique sans le savoir ; et, au point de vue
philosophique
, comme ruinant toute certitude individuelle sous
on sur quelques points ; l’amour-propre se mit en jeu ; les arguments
philosophiques
qu’il avait lus lui revenaient en mémoire. Déjà,
enter des objections qu’il tirait de Rousseau ou même du Dictionnaire
philosophique
, et il voulait quelquefois qu’on lui répondît par
ville, dont on ne daigne même pas s’informer. » C’est au matérialisme
philosophique
qu’il rapporte particulièrement ces effets, et il
les, copiée presque mot à mot d'un petit Recueil de Pieces prétendues
philosophiques
, où l'on attaque avec déraison & sans pudeur,
te, il faut des remedes plus directs & plus efficaces. Les Ecrits
philosophiques
se sont si fort multipliés de nos jours, la Philo
plus sage des Hommes, que parce qu’il avoit su se dégager des erreurs
Philosophiques
& populaires de son temps, pour s’élever à la
ontenant, elle la fortifie ; en la guidant, elle l’éclaire. La raison
Philosophique
a beau murmurer & se plaindre, la raison Reli
s ? Tel est cependant le terme où vont aboutir toutes les méditations
philosophiques
. Raisonner beaucoup, chercher éternellement la vé
es Hommes qui leur sacrifient les leurs ? Est-ce parmi ces caracteres
philosophiques
, parmi ces ames enivrées d’elles-mêmes, concentré
atisme. Malgré cela, comparons les Siecles religieux avec les Siecles
philosophiques
; ou plutôt, sans remonter ici jusqu'aux principe
exemple ceux qui seroient tentés d'imiter ses forfaits ? Dans l'ordre
philosophique
, tout est permis, rien ne réclame, point de motif
tion que la partie fructueuse et solide, et ce qui s’y mêlait déjà de
philosophique
et de libre ne l’atteignit pas. Il sortit de là p
ensée plus ou moins restauratrice, refoulée par le triomphe de l’idée
philosophique
et révolutionnaire, réagissait à son tour et fais
t en politique, les Saint-Lambert en morale, les Condillac en analyse
philosophique
, n’ont rencontré un jouteur plus serré et plus dé
nald, le dernier ouvrage ressemble au premier), dans sa Démonstration
philosophique
du principe constitutif de la société, il déduira
du principe constitutif de la société, il déduira d’une construction
philosophique
et presque grammaticale la nécessité de l’Homme-D
n-8º, qui est le tome premier des Mélanges littéraires, politiques et
philosophiques
(Paris, 1819), p. 258. Les mots soulignés en sont
naient vite le dessus, et qui se sont brisés depuis. 60. La question
philosophique
pour Bonald porte tout entière sur les origines,
a superstition ; mais je considère chaque grande époque de l’histoire
philosophique
de la pensée, relativement à l’état de l’esprit h
quérants de l’ordre civil. Ils ont pour but et pour bannière une idée
philosophique
; mais leur éducation est à plusieurs siècles en
vions, comme à l’époque de l’invasion des peuples du Nord, un système
philosophique
, un enthousiasme vertueux, une législation forte
gération monacale pousse même cette vertu fort au-delà de l’austérité
philosophique
des anciens ; mais le principe de ce sacrifice da
s sur les ouvrages des anciens avaient pris la place des observations
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: il semblait qu’entre la nature et l’homme, il d
le perfectionnement des langues modernes, la régénération de l’esprit
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, et la création d’une méthode nouvelle pour la mé
e, a maintenant publié le livre qui semble le dépositaire de son rêve
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: Le Bonheur. Donc, nous avons vu que, malgré com
ondeur nécessaire d’idée, il n’a dit que peu de mots épars de l’œuvre
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(M. Stéphane Mallarmé ; en effet, a conçu une œuv
tel que le montre en ses essais M. Mallarmé lui-même ; l’autre étant
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, d’une philosophie à laquelle ceux-ci comme tous
nniste par sa fréquentation des peintres pointillistes, scientifique,
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, et même teinté du socialisme puéril qui court le
sormais ! dominera : et de même elle sera, synthétiquement savante et
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expérimentalement en une langue ailleurs inouïe,
ive. Ainsi travailla ma pensée ; Une proposition de tout le fatras
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ancien demeure vraie, et comme essence même du Tr
bles et sur les platitudes incroyables dont la populace littéraire et
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obstrue les œuvres des grands hommes, c’est là un
Il n’a point trouvé en lui-même ni développé dans les autres l’esprit
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; il a la gloire d’avoir montré en lui-même et dé
s agitées entre les deux métaphysiciens, et surtout de la littérature
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de cette époque. » On lui a fait tort, on lui a p
mmes ont publié autant de documents nouveaux et utiles. Ses Fragments
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en sont remplis. Le cardinal de Retz, dom Robert
tyle vague et du style élevé ; il se dépouilla d’une certaine rouille
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qu’il avait contractée en théologie, et comprit q
élégantes et si mondaines, il ne fallait pas y apporter les habitudes
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que la Sorbonne conservait dans ses argumentation
de sa pensée, l’auteur nie à Saint-Martin et au mysticisme la vérité
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et religieuse, — ces deux vérités qui pour nous n
té peut-être effrayait moins que la transparence ! Une vraie critique
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, si elle avait voulu mériter l’honneur de son épi
t très vif encore. Nous y avons trouvé ce qui vivifie tous les livres
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, la verve de la discussion, la propriété du langa
La biographie intellectuelle de Saint-Martin n’était qu’une curiosité
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, mais, rattachée à l’histoire du dix-huitième siè
sur cette discussion, dans laquelle Saint-Martin déploya une aptitude
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véritablement supérieure. Mais nous qui ne sommes
traire d’une philosophie : la Promenade d’un sceptique et les Pensées
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, de nom, mais, de fait, seulement hostiles au chr
teurs, doit être précédé d’une Notice sur Diderot et sur le mouvement
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au xviiie siècle, qui n’y est pas et qui sera de
les inepties que je trouve, par exemple, dans les Pensées soi-disant
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du premier volume de l’édition Garnier que j’ai l
t pour la vérité, a partagé en deux son gâteau empoisonné des Pensées
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, et celles qui sont de par derrière sa tête il le
e qui vaut le mieux, peut-être, c’est ce qui a le moins de prétention
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, c’est ce qui a le plus de fantaisie et de légère
ne sont pas plus vraies dans leurs affirmations que les autres livres
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de l’auteur ; mais elles ont au moins une valeur
discrets, porte, d’une manière éclatante, la peine de ce matérialisme
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qui, il a beau faire le fier, finit toujours par
e. Je l’ai dit plus haut. Il n’a point de système. Il a de la passion
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, mais il n’a point de philosophie. Il a des tenda
n’a point de philosophie. Il a des tendances, des élans, des fougues
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qui le précipitent dans le matérialisme général d
ainsi que Rousseau écrivit la Nouvelle Héloïse, — une suite de thèses
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soutenues avec la flexibilité de l’esprit le mieu
rge, et son front, qui paraissait vaste, était trop obstrué de fatras
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pour avoir la nette conception du roman. Il avait
x autres gravelures de ce livre, qui n’est au fond qu’une lapalissade
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relevée de grivoiseries, empêche de le rejeter av
s. Mais il a porté plus loin qu’aucun autre l’emphase et la jonglerie
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. Plus tard, on eût pu lui donner pour théâtre et
ut regardé comme son chef-d’œuvre, dans un instant où les caricatures
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étaient à la mode. Ce drame est tombé avec la phi
plus. L’Encyclopédie est, dans l’ordre de la pensée et de l’érudition
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, ce que furent, dans l’ordre de l’art, les cathéd
e désoccupait aussi à la campagne, chez le baron d’Holbach, le Crésus
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du temps, chez qui on faisait journellement tronç
qui avaient jusque-là parlé de Diderot, pour les différentes raisons
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ou littéraires chères à chacun d’eux, n’avait osé
jusqu’à cette honte de l’atomistique d’Épicure, jusqu’à cette vermine
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des atomes !… Mais les idées qui se bousculaient
l’affirmant. Opinion littéraire aussi dure à sa façon que son opinion
philosophique
. A quoi réduit-elle cet immense Diderot, qui semb
sur la Tentation de saint Antoine, sur Amiel, l’Examen de conscience
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et la Préface, ces quatre morceaux diversement co
ontre les supercheries cléricales éventuelles. L’Examen de conscience
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rassemble sur l’univers connaissable, sur les inf
préoccupation systématisatrice et dogmatrice qui domine les cerveaux
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. La pensée de M. Renan est celle d’un grand savan
nt ; et je crois impossible de ne pas le sentir, en lisant les écrits
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des Grecs, quel que soit le charme de leur langag
rcher en arrière, que de chercher dans l’antiquité toutes les vérités
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; c’est porter l’esprit de découverte sur le pass
nt, de nos jours, à se garantir de toute parure poétique. L’éloquence
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des Grecs fait encore effet sur nous, par la nobl
du caractère des Romains. Les mœurs, les habitudes, les connaissances
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, les succès militaires, tout semble, chez les Gre
où l’on trouve des morceaux intéressans. Le meilleur livre de morale
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qui ait paru de nos jours, est celui que M. Duclo
tion de son ame & la force de son génie. L’auteur du Dictionnaire
philosophique
ou introduction à la connoissance de l’esprit hum
chacun d’eux a dit de mieux. Il ne faut pas confondre ce Dictionnaire
philosophique
, avec un autre publié sous le même titre, & d
res où il examine des sujets intéressans, il fait paroître cet esprit
philosophique
qui sait tout apprécier & tout approfondir, e
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