ne sçavons pas assez distinctement les détails de la mécanique de la
peinture
antique, pour en faire un paralelle avec la mécan
peinture antique, pour en faire un paralelle avec la mécanique de la
peinture
moderne. Par les peintres prédécesseurs des nôtre
rce reglé que depuis deux siécles. Un grand nombre des morceaux de la
peinture
antique qui nous reste, est executé en mosaïque,
ure antique qui nous reste, est executé en mosaïque, c’est-à-dire, en
peinture
faite avec de petites pierres coloriées, et des a
au palais Borghese. Il ne reste dans Rome même qu’un petit nombre de
peintures
antiques faites au pinceau. Voici celles que je m
de curieux, qui du moins n’en ait vû des estampes. En second lieu les
peintures
qui sont au palais Barberin dans Rome, et qui fur
grottes soûterraines lorsqu’on jetta les fondemens de ce palais. Ces
peintures
sont le paysage ou le nymphée dont Lucas Holsteni
pour être du Correge. On voit encore au palais Farnese un morceau de
peinture
antique, trouvé dans la vigne de l’empereur Adrie
n a trouvé depuis la premiere édition de cet ouvrage plusieurs autres
peintures
antiques dans la vigne Farnese sur le mont Palati
ore graver. On voïoit aussi il y a quelque tems plusieurs morceaux de
peintures
antiques dans les bâtimens qui sont compris vulga
otte di Roma . Cet auteur a donné dans ce livre plusieurs desseins de
peintures
antiques qui n’avoient pas encore été rendus publ
Quant à ce qui reste dans les thermes de Titus il n’y a plus que des
peintures
à demi effacées, le pere De Montfaucon nous a don
et le mont Vesuve, sur le bord de la mer, trouva un bâtiment orné de
peintures
antiques ; mais je ne sçache point que personne a
s ; mais je ne sçache point que personne ait publié le dessein de ces
peintures
, non plus que le dessein de celles de la vieille
dessein de celles de la vieille Capouë. Je ne connois point d’autres
peintures
antiques faites au pinceau et qui subsistent enco
de l’Italie ; mais je ne sçai par quelle fatalité, la plûpart de ces
peintures
sont peries, et il ne nous en est demeuré que les
le cabinet du roi d’Espagne, et qui contenoit le dessein de plusieurs
peintures
antiques, qui furent trouvées à Rome lorsqu’on co
valier Del Pozzo, dont le nom est si celebre parmi les amateurs de la
peinture
, le même pour qui le Poussin peignit ses premiers
remens, avoit fait aussi un très-beau recueil de desseins d’après les
peintures
antiques que le pape Clement XI a acheté depuis q
bibliotheque particuliere qu’il s’est formée. Mais presque toutes les
peintures
d’après lesquelles ces desseins furent faits, son
e Pontemole en 1674 ne subsistent déja plus. Il ne nous est resté des
peintures
de ce mausolée, que les copies coloriées qui fure
me. à peine demeuroit-il il y a déja trente ans quelques vestiges des
peintures
originales, quoiqu’on eut eu l’attention de passe
mêmes. Les antiquaires prétendent que c’est la destinée de toutes les
peintures
anciennes, qui durant un grand nombre d’années on
les redeviennent exposées à son action, au lieu qu’il n’endommage les
peintures
enterrées en des lieux où il avoit conservé un li
que comme il endommage tous les tableaux peints à fresque. Ainsi les
peintures
qu’on déterra il y a vingt ans à la vigne Corsini
et qui aimoit les antiquitez, n’aïant pu empêcher la destruction des
peintures
de la vigne Corsini sous le pontificat d’un autre
les proprietaires des lieux où l’on aura trouvé quelques vestiges de
peinture
antique, de démolir la maçonnerie où elles seroie
çoit bien qu’on ne peut sans temerité entreprendre un paralelle de la
peinture
antique avec la peinture moderne, sur la foi des
ans temerité entreprendre un paralelle de la peinture antique avec la
peinture
moderne, sur la foi des fragmens de la peinture a
nture antique avec la peinture moderne, sur la foi des fragmens de la
peinture
antique, qui ne subsistent plus qu’endommagez du
u tems des césars. On ne sçauroit donc asseoir sur les fragmens de la
peinture
antique qui nous restent, aucun jugement certain
e sçauroit même décider par ces fragmens du dégré de perfection où la
peinture
pouvoit être lorsqu’ils furent faits. Avant que d
rages médiocres, si, par exemple, nous voulions juger de l’état où la
peinture
étoit à Rome sous Auguste, par les figures qui so
e que les sculpteurs anciens ont surpassé les sculpteurs modernes. La
peinture
et la sculpture, il est vrai, sont deux soeurs, m
’exacte verité. Nous ignorons quelle part la nouveauté de l’art de la
peinture
peut avoir euë dans l’impression qu’on veut que c
uelle comparaison on pouvoit faire autrefois entre les fragmens de la
peinture
antique qui nous restent, et les beaux tableaux d
e qui ne subsistent plus. Les écrivains modernes qui ont traité de la
peinture
antique, nous rendent plus sçavans sans nous rend
tentez de ramasser les passages des auteurs anciens qui parlent de la
peinture
, et de les commenter en philologues, sans les exp
ous les jours, et même sans appliquer ces passages aux morceaux de la
peinture
antique qui subsistent encore. Je pense donc que
core. Je pense donc que pour se former une idée aussi distincte de la
peinture
antique qu’il soit possible de l’avoir, il faut c
rien de mieux dans ce genre que les bas reliefs, les médailles et les
peintures
qui nous sont demeurées, ils n’ont pas égalé les
idée du progrès que les anciens avoient fait dans cette partie de la
peinture
qui comprend le grand art des expressions, nous r
u’en disent les écrivains de l’antiquité. De toutes les parties de la
peinture
, la composition poëtique est celle dont il est pl
es. C’est celle qui se décrit le mieux. Pline qui nous a parlé de la
peinture
encore plus méthodiquement que les autres écrivai
n’a pas vû un grand nombre de tableaux riches dans cette partie de la
peinture
. D’ailleurs il falloit bien que des statuës où il
it traité latin que nous avons de lui sur l’usage qu’on doit faire en
peinture
des statuës antiques, ne doute point que les exer
eurs et confondu les nuances dans les fragmens qui nous restent de la
peinture
antique faite au pinceau, nous ne sçaurions juger
es grands maîtres de l’école lombarde dans cette aimable partie de la
peinture
. Il y a plus. Nous ignorons si la nopce de la vig
ont venus jusques au temps d’un historien qui parlera de l’état où la
peinture
se trouve de ses jours, sera cité par cet histori
lieu à cette digression sur la capacité des anciens dans l’art de la
peinture
. Après avoir parlé de l’avantage que les poëtes l
Section 40, si le pouvoir de la
peinture
sur les hommes est plus grand que le pouvoir de l
lus grand que le pouvoir de la poësie Je crois que le pouvoir de la
peinture
est plus grand sur les hommes que celui de la poe
e, et j’appuie mon sentiment sur deux raisons. La premiere est que la
peinture
agit sur nous par le sens de la vûë. La seconde e
a peinture agit sur nous par le sens de la vûë. La seconde est que la
peinture
n’emploïe pas des signes artificiels ainsi que le
mais bien des signes naturels. C’est avec des signes naturels que la
peinture
fait ses imitations. La peinture se sert de l’oei
’est avec des signes naturels que la peinture fait ses imitations. La
peinture
se sert de l’oeil pour nous émouvoir. Or comme le
t plus près de l’ame que l’oreille. En second lieu, les signes que la
peinture
emploïe pour nous parler, ne sont pas des signes
aires et instituez, tels que sont les mots dont la poësie se sert. La
peinture
emploïe des signes naturels dont l’énergie ne dép
ocurer notre conservation. Je parle peut-être mal quand je dis que la
peinture
emploïe des signes. C’est la nature elle-même que
que la peinture emploïe des signes. C’est la nature elle-même que la
peinture
met sous nos yeux. Si notre esprit n’y est pas tr
gination, et qu’elles y forment ces tableaux qui nous touchent et ces
peintures
qui nous interessent. Toutes ces operations, il e
pierre arrosée de sang ; les mots dont le poëte se sert pour faire sa
peinture
réveillent en nous les idées, et ces idées formen
s nous font seulement imaginer, et cela même en plusieurs instans. La
peinture
contenuë dans ces vers Ferus et Cupido semper ar
uoi nous sommes plus émus par un tableau que par un poëme, quoique la
peinture
ait plus d’empire sur nous que la poësie. L’espec
de faire n’est pas aussi rempli d’érudition que la comparaison de la
peinture
et de la poësie qui se trouve dans le sçavant liv
la poësie qui se trouve dans le sçavant livre de Dujon le fils sur la
peinture
des anciens ; mais je m’imagine que mes refléxion
la musique mendelsohnnienne, compositeurs et public. Notes sur la
peinture
wagnériennex et le salon de 1886 Je croirai lo
s, des poêles, des peintres. Par un malheur, ce n’est pas au Salon de
Peinture
qu’ils peuvent chercher l’art wagnérien ni même u
ustice, et inintelligent de la destination que doit avoir le Salon de
Peinture
? Je n’ai jamais compris, les respectant fort, le
nt — mais par un calcul un peu bas, et pour les déprécier, — quelques
peintures
spécialement divertissantes, désireux d’enrichir,
ement ; et je dois évoquer, devant elles, la théorie artistique de la
peinture
wagnérienne : condamné, par leur présence, à omet
i les avoisinent, et l’intéressante boutique où elles sont. I La
peinture
étant une forme de l’Art, doit se rattacher à la
ue, par d’autres moyens que dans la vie réelle. A ce besoin répond la
Peinture
. Les moyens qu’elle emploie pour nous suggérer ar
d’une notion ou un son musical de l’émotion qu’il nous suggère. Et la
Peinture
, depuis que, au moyen-âge, glorieusement elle app
traordinaire dominateur de la vie. Mais, le Prince très vénérable des
peintures
. Et Vélasquez fut un réaliste scrupuleux, ayant s
es choses dans l’air qui les baignait. Dès lors, le vocabulaire de la
peinture
fut modifié : des signes nouveaux créèrent les se
ion d’une vie totale, les trois formes séparées de l’Art. II La
peinture
, la littérature, la musique, suggèrent seulement
l’émotion, ce besoin a, très tôt, pris les peintres. Et une nouvelle
peinture
fut essayée, rendue possible par de naturelles ci
ors certains peintres ont pu abandonner la destination première de la
peinture
, qui était à nous suggérer les sensations précise
e directement. Aujourd’hui ces couleurs et ces lignes, procédés de la
peinture
, peuvent servir à deux peintures très diverses, l
ouleurs et ces lignes, procédés de la peinture, peuvent servir à deux
peintures
très diverses, l’une sensationnelle et descriptiv
ressemblante à l’émotion suggérée par une œuvre de musique ? Aussi la
peinture
émotionnelle, à côté de la peinture descriptive,
r une œuvre de musique ? Aussi la peinture émotionnelle, à côté de la
peinture
descriptive, a-t-elle un droit légitime à exister
resses triomphales11. A lui nous avons dû l’absolu chef-d’œuvre de la
peinture
émotionnelle, cette biographie prétendue de Marie
eu vulgaires dans leur romantisme. Tous ces maîtres ont prouvé que la
peinture
pouvait, avec un égal bonheur, être descriptive d
s leur ignorant dédain des théories, s’acharnent à confondre les deux
peintures
. Us veulent être, ensemble, émouvants et descript
omission funeste : je pourrais résumer en ces deux termes le Salon de
Peinture
de 1886. Je n’y ai point trouvé une seule œuvre e
rement belle, capable d’être un exemple parfait à cette théorie de la
peinture
wagnérienne. Je noterai cependant plusieurs effor
ieux perçues, encore peu nettement, les destinations véritables de la
peinture
. Entre les peintures sensationnelles, ayant pour
peu nettement, les destinations véritables de la peinture. Entre les
peintures
sensationnelles, ayant pour objet la représentati
’ai vu l’effort d’une sincérité précieuse et originale, dans la sobre
peinture
de la robe et l’attitude simple et vraie du corps
nous fait voir ces aimables visions, en deux tableaux. A l’étude des
peintures
impressionnistes, assurément, M. Blanche a dû l’é
ouvert, au Palais de l’Industrie, d’autres modèles intéressants de la
peinture
sensationnelle. Les très belles épaules d’une dam
ut autant que les paysages des chromolitographes aimés. IV La
peinture
émotionnelle, symphonique, doit reconnaître aujou
gnes trop frustes l’impression totale. Quelle précieuse et prévoyante
peinture
, en revanche, cette vision antique, une fantaisie
d poursuit la même fin artistique, la création désintéressée, par les
peintures
, de l’émotion passionnelle. Nul n’est respectable
c’est une surprenante conscience théorique, — il comprit qu’une autre
peinture
lui était destinée. Alors il nous montra des étud
du peintre : nulle n’est plus belle, plus conforme à la théorie de la
peinture
émotionnelle. Mais l’effort était trop superbe, e
a bientôt, à côté de M. Puvis de Chavannes, le poète exemplaire de la
peinture
moderne. Je constatais, au Salon de 1886, l’absen
joie de l’Art. M. Whistler est, expressément, un symphoniste dans la
peinture
. Mais cette symphonie de couleurs sombres, qu’il
Et j’ai cherché vainement, dans les étouffantes salles, quelque autre
peinture
qui pût être citée. J’ai vu le Nabuchodonosor de
ition donnerait une opinion désolante de l’état actuel et futur de la
peinture
française. Nous savons heureusement, que les maît
rception d’une âme noblement sentimentale. Et le maître parfait de la
peinture
moderne, M. Degas, nous avons vu par lui saisis,
Hals, les artistiques secrets du mouvement et de la vie. Cependant la
peinture
émotionnelle complique et modifie ses précédés sy
t être considérée par les esprits qui goûtent le symbolisme, comme la
peinture
d’une de ces luttes intestines, qui déchirent les
re sculpture, et par quelles raisons elle fut modifiée. [NdA] 10. La
peinture
grecque, ignorée, fut certes postérieure à la scu
rieure à la sculpture. Les documents historiques et le témoignage des
peintures
pompéiennes nous la montrent éminemment réaliste.
e de la Revue. Wyzewa commence ici une série de trois articles sur la
peinture
, la musique et la littérature wagnériennes. C’est
solément, ne peuvent exprimer la totalité de la vie. Chacun des arts,
peinture
, musique et littérature ne saisissent qu’un mode
i de la musique. Ces présupposés l’amènent à distinguer deux types de
peinture
, l’une sensationnelle et descriptive et l’autre é
es émotionnels et non pas descriptifs. Wyzewa voit le maître de cette
peinture
émotionnelle en Puvis de Chavannes. C’est sur cet
en Puvis de Chavannes. C’est sur cette opposition entre deux types de
peintures
qu’il explore les œuvres de ce salon de 1886. [Nd
cet être inoffensif qui ne demanderait pas mieux que d’aimer la bonne
peinture
, si ces messieurs savaient la lui faire comprendr
hure toute discussion, et sur les jurys en général, et sur le jury de
peinture
en particulier, et sur la réforme du jury devenue
e simple tête. Elle est peinte presque par hachures comme beaucoup de
peintures
de M. Delacroix ; les tons, loin d’être éclatants
l’un des spécimens les plus complets de ce que peut le génie dans la
peinture
. Cette couleur est d’une science incomparable, il
isse compromettre le génie en l’expliquant. Horace Vernet Cette
peinture
africaine est plus froide qu’une belle journée d’
ssent le prix de la vie et qui en jouissent avec tranquillité. Cette
peinture
a, selon nous, une qualité très-importante, dans
Autre qualité énorme et qui fait les hommes, les vrais hommes, cette
peinture
a la foi — elle a la foi de sa beauté, — c’est de
, cette peinture a la foi — elle a la foi de sa beauté, — c’est de la
peinture
absolue, convaincue, qui crie : je veux, je veux
rions garantir la justice du public envers cet artiste. Du reste, sa
peinture
est assez osée pour bien porter les affronts, et
uelques objets trop bien faits, et le mélange minutieux et rusé de la
peinture
et du crayon — est, à cause même des intentions n
là surtout, répétons-le, le caractère principal et glorieux de cette
peinture
, qui, en somme, n’est ni du dessin, quoique M. Ro
composition habile, — c’est plutôt, il est vrai, un coloriage qu’une
peinture
, et par ces temps de critique picturale, d’art ca
e voir cette année un tableau allégorique représentant la Musique, la
Peinture
et la Poésie. Le jury, trop fatigué sans doute ce
danger, grâce aux qualités sérieuses et pour ainsi dire naïves de sa
peinture
. — Son Christ en croix est d’une pâte solide et d
et lui donne un faux air d’ex-voto de village ? Et pourtant c’est une
peinture
dont le faire a tout l’aplomb des grands maîtres.
e tableau de cette année, mais elle a les mêmes qualités sérieuses de
peinture
. Appert L’Assomption de la Vierge a des qu
Appert L’Assomption de la Vierge a des qualités analogues — bonne
peinture
— mais la couleur, quoique vraie couleur, est un
des sculpteurs et des mouleurs, contre tout ce qui ressemble à de la
peinture
; mais comment se fait-il que des artistes ne voi
simplicité même dans la couleur ? Il y a là je ne sais quel aspect de
peinture
espagnole et galante, qui nous a séduit tout d’ab
mour divin va la percer, est une des plus heureuses trouvailles de la
peinture
moderne. — Les mains sont charmantes. — L’attitud
au Jésus-Christ entouré des principaux fondateurs du christianisme
Peinture
sérieuse, mais pédante — ressemble à un Lehmann t
ôtres, — des apôtres, M. Gleyre ! — n’a pas pu triompher de sa propre
peinture
. Pilliard est évidemment un artiste érudit
— c’est de ne rappeler, en aucune manière, les motifs convenus de la
peinture
actuelle, et les poncifs qui traînent dans tous l
— M. Auguste Hesse connaît évidemment tous les grands morceaux de la
peinture
italienne, et a vu une quantité innombrable de de
este. Mais nous n’avons pu y réussir. C’est certainement là une belle
peinture
. — Outre que le modèle est très-beau et très-bien
ulu marcher sur les traces de son père, et qui s’est fourvoyé dans la
peinture
sérieuse. Mlle Eugénie Gautier Beau coloris
Dyck ; — elle peint comme un homme. — Tous ceux qui se connaissent en
peinture
se rappellent le modelé de deux bras nus dans un
modelé de deux bras nus dans un portrait exposé au dernier Salon. La
peinture
de mademoiselle Eugénie Gautier n’a aucun rapport
La peinture de mademoiselle Eugénie Gautier n’a aucun rapport avec la
peinture
de femme, qui, en général, nous fait songer aux p
rt difficile à trouver ; mais il est d’une grâce exquise. — C’est une
peinture
d’une grande innocence, — apparente, du moins, ma
é dans le portrait de M. Chaix-d’Est-Ange. Ce n’est qu’un semblant de
peinture
sérieuse ; ce n’est pas là le caractère si connu
M. Flandrin l’a parfaitement réussi. Le modelé en est beau, et cette
peinture
a le mérite, rare chez ces messieurs, de paraître
queplan et de C. Boulanger. — Réfléchir devant ce tableau combien une
peinture
excessivement savante et brillante de couleur peu
essin, — dessin de vignette et d’illustration. A quoi bon faire de la
peinture
dite sérieuse, quand on n’est pas coloriste et qu
p de talent à soutenir une mauvaise cause ; — la cause de l’esprit en
peinture
. — J’entends par là envoyer à l’imprimeur du livr
Peresse La saison des roses. — C’est un sujet analogue, — une
peinture
galante et d’un aspect agréable, qui malheureusem
ù se voyaient trop clairement les habitudes récentes de l’Académie de
peinture
, M. Papety avait néanmoins trouvé des poses heure
and fabrique toujours du Delaroche, vingtième qualité. Roehn
Peinture
aimable (argot de marchand de tableaux). Rémon
aussi de Saint-Jean qui est de l’école de Lyon, le bagne de la
peinture
, — l’endroit du monde connu où l’on travaille le
de M. Saint-Jean sont des tableaux de salle à manger, — mais non des
peintures
de cabinet et de galerie ; de vrais tableaux de s
chasse, — à la bonne heure ! Voilà qui est beau, voilà qui est de la
peinture
et de la vraie peinture ; c’est large, — c’est vr
ure ! Voilà qui est beau, voilà qui est de la peinture et de la vraie
peinture
; c’est large, — c’est vrai, — et la couleur en e
dans le genre si ingrat de la miniature, les intentions viriles de la
peinture
sérieuse. Henriquel Dupont nous a procuré l
le soit, nous craignons qu’elle ne rende pas tout le parti pris de la
peinture
. — Nous n’oserions pas affirmer, mais nous craign
XXXVIe entretien. La littérature des sens. La
peinture
. Léopold Robert (1re partie) I Vous vous
partie) I Vous vous étonnerez peut-être de voir comprendre la
peinture
dans la littérature, comme vous vous êtes étonnés
. Vous reviendrez de votre étonnement quand je vous aurai parlé de la
peinture
comme vous en êtes revenus quand je vous ai parlé
écrivent ces langues parfaitement intelligibles de la musique, de la
peinture
, de la sculpture, de l’architecture ? Est-ce que
ur éclaircir le sujet. Je lui demande donc aujourd’hui son mot sur la
peinture
. III Qu’est-ce que l’âme ? Je vais vous rép
quence, viennent les arts de l’oreille et des yeux : la musique et la
peinture
. L’un est l’art de multiplier les impressions de
d’assigner la prééminence entre ces deux arts de la musique ou de la
peinture
; cette prééminence me paraît même devoir être to
e paraît même devoir être toute personnelle dans celui qui préfère la
peinture
à la musique ou la musique à la peinture. Elle do
le dans celui qui préfère la peinture à la musique ou la musique à la
peinture
. Elle doit résulter, pour le musicien, d’un organ
it de moi personnellement, j’avouerais que je préfère la musique à la
peinture
, sans doute parce que la nature m’aura doué d’une
autres raisons de cette préférence personnelle pour la musique sur la
peinture
, j’en trouverais peut-être encore de plus motivée
vous exalte en croissant jusqu’au vertige, jusqu’au délire, et que la
peinture
est immobile et uniforme comme la matière inanimé
mobile et uniforme comme la matière inanimée. Je dirais encore que la
peinture
est une illusion du pinceau, une comédie sur la t
ique est une réalité. On me répondrait que la musique passe et que la
peinture
demeure, que la musique est un instant et que la
e et que la peinture demeure, que la musique est un instant et que la
peinture
est une éternité, et je ne saurais plus que dire.
r ; voilà la vraie préférence. VI Quels sont les procédés de la
peinture
sous la main des suprêmes artistes du pinceau ? E
Ne vous sentez-vous pas divinisés devant une poésie, une musique, une
peinture
, une statue, un temple dont la beauté vous élève
l’antiquité ; nous savons un peu plus, mais pas beaucoup plus, de la
peinture
: le vent emporte le son, la poussière ronge la t
casion de la littérature en marbre, la sculpture. IX Quant à la
peinture
, nous n’avons point d’objet de comparaison entre
dans les mêmes siècles, il est probable que de très grandes écoles de
peinture
étaient contemporaines de ces grandes écoles de s
monde périt avec les édifices sacrés publics ou privés ; l’art de la
peinture
périt tout entier dans cette métamorphose de la t
x premiers siècles, quand on visite l’Orient dans ce qu’on appelle la
peinture
byzantine. Ces peintures, dont on voit les plus v
d on visite l’Orient dans ce qu’on appelle la peinture byzantine. Ces
peintures
, dont on voit les plus vieux vestiges à Sainte-So
n Asie, ce n’était pas en Égypte, ce n’était pas même en Grèce que la
peinture
devait renaître ; elle resta quatorze siècles dan
produire ces monuments populaires de la poésie, de la musique, de la
peinture
, de la sculpture, de l’architecture surtout. En v
qui soit capable de rendre un art universel et populaire. X La
peinture
moderne, née avec le christianisme oriental, suiv
ciel comme des montagnes de marbre pour y faire descendre un Dieu. La
peinture
ne faisait qu’imprimer sur ces murailles des dess
nce morale et de conquête universelle, régna à Rome sur l’univers. La
peinture
est réellement fille aînée de la papauté. Mais el
igences sur la catholicité, et, chose remarquable, la naissance de la
peinture
moderne à Rome coïncida avec la renaissance des l
ecture moderne avec Bramante, de la sculpture avec Michel-Ange, de la
peinture
avec Raphaël et avec son école. L’art entra dans
ec l’école des Rubens, des paysagistes et des peintres de marines. La
peinture
, dans chacune de ces villes ou de ces nations, pr
qui règne à Venise pendant une vie de quatre-vingt-quinze ans sur la
peinture
comme sur son empire, roi de la couleur qu’il fon
anscendantes ; Vaste manufacture de chefs-d’œuvre d’où le génie de la
peinture
moderne, émancipée de l’imitation, inonde la Fran
rémunère par son immense et glorieux travail. Voilà l’histoire de la
peinture
en quelques lignes. Nous étudierons peut-être ave
our, dans trois ou quatre Entretiens littéraires, ces dynasties de la
peinture
. Aujourd’hui nous ne voulons vous entretenir que
tier ; parce que Léopold Robert est à lui seul, selon nous, toute une
peinture
: la peinture poétique, le point de jonction entr
ue Léopold Robert est à lui seul, selon nous, toute une peinture : la
peinture
poétique, le point de jonction entre la poésie éc
nchement sorti des routines de la mythologie, des lieux communs de la
peinture
historique, pour entrer hardiment, seul avec son
nture historique, pour entrer hardiment, seul avec son génie, dans la
peinture
de la pensée, du sentiment et de la nature. Il a
Le peintre David, qui régnait alors en France comme réformateur de la
peinture
, permit au jeune apprenti de venir dessiner d’apr
ie du tableau qui manquait entièrement à son maître. David était à la
peinture
ce que Calvin était à la religion, un rigide réfo
opold Robert en Romain. Il eut le vertige de l’Italie ; il conçut une
peinture
nouvelle, tout imprégnée de la pureté des lignes
nombre à Paris, il y a quelques années, chez un opulent Mécène de la
peinture
, M. Paturle, digne possesseur de ce reliquaire du
ouve des sujets et des modèles tout nouveaux pour ce nouveau genre de
peinture
. » « Cependant, ajoute-t-il dans la lettre suivan
ittoresque, comme en pleine vérité. Et puisque nous parlons ici de la
peinture
comme expression d’une littérature qui parle aux
isme En parcourant, l’an dernier, avec quelques amis, la section de
peinture
d’une exposition internationale, je fus frappé, c
our celui qui considère d’un œil attentif les origines mêmes de cette
peinture
intellectuelle et mystique, il n’est pas douteux
i tiennent le moins à la forme qui les revêt, et que la dignité d’une
peinture
, comme l’honneur dont elle est digne, s’élèvent e
et les Angelico, il a prouvé que l’énorme et capitale nouveauté de la
peinture
moderne, insoupçonnée du plus génial des Primitif
lleuses, n’a pas senti que son introduction dans la vieille et lourde
peinture
l’avait bouleversée de fond en comble. Il n’a pas
dre les choses et non les idées. Les idées n’ont rien à faire avec la
peinture
, étant du domaine exclusif de la métaphysique et
omaine religieux et philosophique. Les « intentions » et les idées en
peinture
ne dénotent que l’avortement d’une œuvre, car la
œuvre demeurera l’exemple de la plus extraordinaire aberration de la
peinture
, et j’imagine que l’avenir, s’il prend souci de c
ce que l’on ait pu, pendant de longues années, considérer comme de la
peinture
, ce qui n’en est le plus souvent que la parodie o
ation. III « Le préraphaélisme contenait en germe toute la
peinture
contemporaine », déclare l’auteur de la Peinture
it en germe toute la peinture contemporaine », déclare l’auteur de la
Peinture
anglaise contemporaine. Les quelques pages qui pr
et ceux qui les suivirent demeurent pour nous à l’écart de la réelle
peinture
contemporaine, de celle que l’on peut hardiment q
s entre eux par une perception confuse des nouvelles nécessités de la
peinture
, est un art de réalité criante et crue, sans autr
la toile par l’air et la lumière le caractérise avant toute chose. La
peinture
ancienne, presque toute entière, quelqu’admirable
ngendrant la fausseté et l’irréalité des formes qu’elle enveloppe. La
peinture
a vécu jusqu’à nos jours, à de rares exceptions p
l’art moderne a fait entrer la lumière et l’air dans le royaume de la
peinture
, qui craignait jusqu’ici de voir son aristocratiq
lin, que la France ignore totalement ; mais qui est l’âme de la jeune
peinture
en Allemagne et en Suisse, Böcklin, le peintre de
entiellement rétrograde, un art de réaction, un art sans avenir. Leur
peinture
de rêve, privée de muscles, de chaleur et de sang
l’homme et la réalité de la nature. 26. Robert de la Sizeranne. La
peinture
anglaise contemporaine. 1. vol. in-16, Hachette.
proprement à cette école ; comme le dit M. Robert de la Sizeranne (La
peinture
anglaise contemporaine) « s’il n’a pas fait parti
ilsand, L’Esthétique anglaise. (NdA) 34. Robert de la Sizeranne, La
Peinture
anglaise contemporaine. (NdA) 35. Ibid (NdA)
ntemporaine. (NdA) 35. Ibid (NdA) 36. Robert de la Sizeranne, La
peinture
anglaise contemporaine. (NdA) 37. M. Edouard Co
a laissé aux hommes de lettres la tradition d’écrire des choses de la
peinture
. Cette tradition flatte une de nos plus chères pr
cteurs de la Revue Bleue. Il n’y a que les peintres pour savoir de la
peinture
, et les écrivains de l’écriture. Nos appréciation
ter que les purs catalogues. Ils peuvent servir, pour se remémorer la
peinture
d’une année, aux historiens de l’art dont le trav
s rédacteurs modernes sont un commentaire agréable des expositions de
peintures
. Les enthousiasmes de M. Mirbeau, la finesse de M
énérales nous appellent. * * * L’institution même du ou des salons de
peinture
serait le premier point discutable, précisément p
d’aquarellistes ou de peintres-graveurs ; car il ne s’agit pas là de
peinture
à proprement parler, et de plus l’exposition n’es
élicats sont excusables d’être rebutés par les deux mille morceaux de
peinture
tombant à date fixe sur chaque salon, où les œuvr
peintres n’ont pas encore trouvé le moyen de vivre sans vendre de la
peinture
. Dans une démocratie bourgeoise le seul grand ach
pour Camille Doucet. On est toujours le communard pour quelqu’un. En
peinture
Manet est demi-classique, demi-révolutionnaire. O
utrec, les Anquetin, antérieurs aussi à nous, et jugés. Je ne sens de
peinture
contemporaine à notre jeunesse que chez les artis
stiques forcenés de la palette. Il y en a assez à côté qui font de la
peinture
littéraire. M. Édouard Vuillard n’a pas de sujets
amand. Ceux qui virent la seule exposition un peu considérable de ses
peintures
s’en souviennent : c’était Le Chocolat, La Coutur
un salon de damas rouge n’est pas le résultat définitif de siècles de
peinture
. Trois ou quatre modes me semblent plus intéressa
fait-divers ; 3º La fixation sur la toile d’impressions visuelles de
peinture
, sans apposition ménagère, conservée dans des châ
confier à des artistes auxquels je recommanderais personnellement la
peinture
sur maroquin qui nous a fait en d’autres siècles
es morales ne contribuent aux progrès surprenans, que la poësie et la
peinture
font en certains siecles. Mais les causes physiqu
professions qui avoient fleuri en même-temps que la poësie et que la
peinture
, sont encore déchuës avec elles. première réflexi
es sauvages, des versificateurs grossiers et de froids coloristes. La
peinture
et la poësie ne se sont point approchées du pole
teur de la Hollande. On n’a gueres vû même dans cette province qu’une
peinture
morfonduë. Les poëtes hollandois ont montré plus
riotes. Il semble que la poësie ne craigne pas le froid autant que la
peinture
. On s’est apperçû dans tous les temps que la glo
t les grecs eurent bien-tôt transplanté d’égypte en Grece l’art de la
peinture
, sans que ses souverains et ses republiques, enco
re à porter des arbres. Depuis deux siecles que les anglois aiment la
peinture
autant qu’aucune autre nation, si l’on en excepte
ondance les quinze premieres années de son regne, porta l’amour de la
peinture
jusqu’à une passion qui avoit tous les caracteres
eu plusieurs souverains magnifiques, et aussi épris des charmes de la
peinture
qu’aucun pape l’air jamais été ; cependant cette
nt de vûë. Quoique les égyptiens soient des premiers inventeurs de la
peinture
et de la sculpture, ils n’ont point la même part
ernes. Pline ne nous vante pas dans son livre aucun chef-d’oeuvre de
peinture
ou de sculpture fait par un ouvrier égyptien, lui
xique et celui du Perou. Depuis long-temps on y cultivoit l’art de la
peinture
. Les peuples d’une patience et d’une subtilité d
coupoles peintes par des artisans indiens. Les chinois si curieux des
peintures
de leurs païs, ont peu de goût pour les tableaux
sur ce qui s’est passé en France, par rapport à la poësie comme à la
peinture
. Les causes morales ont-elles attendu pour favori
. Les causes morales ont-elles attendu pour favoriser la poësie et la
peinture
, que Le Sueur, Le Brun, Corneille, La Fontaine et
sans laisser race. Ce roi genereux n’aima pas moins la poësie que la
peinture
, et lui-même il faisoit des vers. Sa soeur Margue
nt du dessein. Afin de donner aux jeunes gens nez avec le génie de la
peinture
, toutes les facilitez imaginables pour perfection
on peut dire que la sculpture ne demande point autant de génie que la
peinture
. Le souverain qui ne sçauroit trouver une certain
ein sont plus parfaits en France que par tout ailleurs. Mais comme la
peinture
ne dépend pas autant des causes morales que les a
pace, sautent de leur levant à leur midi. Dès le treiziéme siecle, la
peinture
renaquit en Italie sous le pinceau de Cimabué. Il
rance : on ne les recherche plus. En mil quatre cent quatre-vingt, la
peinture
étoit encore un art grossier en Italie, où depuis
t et les bourreaux laissoient vuide. à la fin du quinziéme siecle, la
peinture
qui s’acheminoit vers la perfection à pas si tard
on étoit comme imperceptible, y marcha tout-à-coup à pas de géant. La
peinture
encore gothique a commencé les ornemens de plusie
entrant et qui furent faites les premieres, sont ornées d’ouvrages de
peinture
et de sculpture d’un goût médiocre et qui tient e
e de Virgile. La destinée de la sculpture fut la même que celle de la
peinture
. Il sembloit que les yeux des artisans, jusques-l
uveaux prix. Les influences heureuses qui se répandoient alors sur la
peinture
, furent chercher Le Correge dans son village pour
de ces tableaux mettent bien en évidence le progrès surprenant que la
peinture
faisoit par tout où il y avoit des sujets capable
nfans. Il a tous les défauts que nous avons reprochez aux ouvrages de
peinture
faits avant Raphaël. Le second tableau, que son i
uis XIII le même évenement qui étoit arrivé en Italie en faveur de la
peinture
sous le regne de Jules II. On vit réluire subitem
re. Virgile avoit quarante ans lorsque cet évenement arriva. Voici la
peinture
qu’il fait lui-même des temps durant lesquels il
nce dégenererent et s’anéantirent en soixante ans. Il est vrai que la
peinture
se maintint à Rome en splendeur durant un plus gr
Rome, ne forma point d’éleve qui se soit acquis un grand nom dans la
peinture
, quoique ce grand homme fût aussi capable d’ensei
e. Cependant comme la sculpture dépend plus des causes morales que la
peinture
et la poësie, elle doit décheoir plus lentement q
que l’éloquence. Aussi voïons-nous par ce que Petrone nous dit de la
peinture
, que cet art baissoit déja dès le temps de l’empe
e Macedoine qui fut défait et pris prisonnier par Paul émile. Mais la
peinture
ne s’étoit pas soûtenuë jusqu’à lui. Elle avoit d
les et des roïaumes, qui seul amenât la perfection des beaux arts, la
peinture
devoit être en sa splendeur dans Anvers soixante
se perfectionna entre leurs mains au sortir du berceau, autant que la
peinture
se perfectionna dans les tableaux de Raphaël. Tou
rault et tant d’autres ont vû naître les chef-d’oeuvres de poësie, de
peinture
et de sculpture qui rendront notre siecle célebre
ose comme le récit d’une rapide promenade philosophique à travers les
peintures
. » Eh bien, vous serez servi à souhait ; non pas
des patines, des glacis, des frottis, des jus, des ragoûts (je parle
peinture
), l’enfant gâté prend de fières attitudes, et se
’une journée ! » Vive ce paysan ! Sans s’en douter, il comprenait la
peinture
. L’amour de sa profession avait élevé son imagina
je ? » Cette race, en effet, artistes et public, a si peu foi dans la
peinture
, qu’elle cherche sans cesse à la déguiser et à l’
oût du Beau. Où il faudrait ne voir que le Beau (je suppose une belle
peinture
, et l’on peut aisément deviner celle que je me fi
d’elle et approprié à sa nature, cela est bien entendu. En matière de
peinture
et de statuaire, le Credo actuel des gens du mond
bon marché, de répandre dans le peuple le goût de l’histoire et de la
peinture
, commettant ainsi un double sacrilège et insultan
commettant ainsi un double sacrilège et insultant à la fois la divine
peinture
et l’art sublime du comédien. Peu de temps après,
trine, ennemie de l’art, prétendait être appliquée non seulement à la
peinture
, mais à tous les arts, même au roman, même à la p
côté de la nouvelle école littéraire, florissait la nouvelle école de
peinture
: Delacroix, les Devéria, Boulanger, Poterlet, Bo
ie d’un homme qui s’instruit, ses préceptes si simples sur toutes les
peintures
qui tombaient sous mon regard, nous pourrons les
toutefois l’homme d’imagination a dû généralement se produire dans la
peinture
religieuse et dans la fantaisie, tandis que la pe
duire dans la peinture religieuse et dans la fantaisie, tandis que la
peinture
dite de genre et le paysage devaient offrir en ap
sie A chaque nouvelle exposition, les critiques remarquent que les
peintures
religieuses font de plus en plus défaut. Je ne sa
nous prouvaient pas suffisamment le contraire, et si l’histoire de la
peinture
ne nous offrait pas des artistes impies et athées
urvu que son imagination soit apte à s’élever jusque-là. Bien que les
peintures
plus importantes d’Eugène Delacroix nous attirent
e je n’ai pas la prétention d’être un connaisseur, les mystères de la
peinture
me sont lettre close, mais cependant », etc. (en
ésarmé l’opinion. À voir cet épanchement majestueux, intarissable, de
peinture
, il serait facile de deviner l’homme à qui j’ente
ra pas, et qu’il faut laisser dire aux âges futurs ? Pour revenir aux
peintures
religieuses, dites-moi si vous vîtes jamais mieux
les ! » Le Saint Sébastien est une merveille non pas seulement comme
peinture
, c’est aussi un délice de tristesse. La Montée au
e qu’il y a dans Ovide de délicatesse et de fertilité a passé dans la
peinture
de Delacroix ; et, comme l’exil a donné au brilla
ables, permettront au peintre d’esquiver toutes les difficultés d’une
peinture
riche et solide. Ainsi d’un côté le bric-à-brac (
suppléeront désormais à toutes les conditions requises pour la bonne
peinture
. Nous verrons donc des moutards antiques jouer à
ofessions et toutes les industries modernes, voilà, je pense, pour la
peinture
, un infaillible et infini moyen d’étonnement. L’h
rançaise de M. Gérome à chercher le succès ailleurs que dans la seule
peinture
, — il n’a été jusqu’à présent, et ne sera, ou du
i substitue l’amusement d’une page érudite aux jouissances de la pure
peinture
. La facture de M. Gérome, il faut bien le dire, n
sin : « Faisons Brutus César ! » Reste à expliquer, relativement à la
peinture
elle-même, quelque chose d’inexplicable. César ne
ps. Les victoires françaises engendrent sans cesse un grand nombre de
peintures
militaires. J’ignore ce que vous pensez, mon cher
intures militaires. J’ignore ce que vous pensez, mon cher M***, de la
peinture
militaire considérée comme métier et spécialité.
atriotisme commande le goût du faux ou de l’insignifiant. Ce genre de
peinture
, si l’on y veut bien réfléchir, exige la fausseté
titre de ce chapitre adopté le mot fantaisie non sans quelque raison.
Peinture
de genre implique un certain prosaïsme, et peintu
s quelque raison. Peinture de genre implique un certain prosaïsme, et
peinture
romanesque, qui remplissait un peu mieux mon idée
et de vulgarité, et, quand je m’approchai de cette riche et lumineuse
peinture
, je sentis mes entrailles crier : Enfin, nous voi
d’attitudes, est un des meilleurs rêves de bonheur parmi ceux que la
peinture
a jusqu’à présent essayé d’exprimer. Par ses dime
trêmes limites, sinon même au-delà de son art. M. Baudry, bien que sa
peinture
ne soit pas toujours suffisamment solide, est plu
st une des plus poétiques et des plus précieuses que je connaisse. Sa
peinture
proprement dite, sage, puissante, bien gouvernée,
sont travaillés comme les armes et les meubles des temps anciens. Sa
peinture
a le poli du métal et le tranchant du rasoir. Pou
es Capulets pour chercher sa fiancée Juliette, et la trouve inanimée.
Peinture
riche et minutieuse, avec des tons violents et un
ous avez le temps de retourner au Salon, n’oubliez pas d’examiner les
peintures
sur émail de M. Marc Baud. Cet artiste, dans un g
t dire que l’enseignement a été despotique, et qu’il a laissé dans la
peinture
française une trace douloureuse. Un homme plein d
ar MM. Flandrin et Amaury-Duval, qui, sous l’apparence fallacieuse de
peinture
, offraient d’admirables échantillons de modelé. J
blant de couleur. Ils croient ou feignent de croire qu’ils font de la
peinture
. Voici un autre reproche, un éloge peut-être aux
ranc et véritable artiste, est M. Ricard. On a vu quelquefois dans sa
peinture
un manque de solidité ; on lui a reproché, avec e
igny qu’aux dépens du fini et de la perfection dans le détail. Mainte
peinture
de lui, spirituelle d’ailleurs et charmante, manq
tion philosophique, mélancolique et raphaélesque. Ce malheur, dans la
peinture
de M. Millet gâte toutes les belles qualités qui
’injustice dans ce reproche, il faut remarquer que nos expositions de
peinture
ne sont pas propices à l’effet des bons tableaux,
araîtraient souvent gris et pâles s’ils étaient entourés de certaines
peintures
modernes plus criardes que des foulards de villag
diose) ; M. Paul Huet reste fidèle aux goûts de sa jeunesse. Les huit
peintures
, maritimes ou rustiques, qui doivent servir à la
des tableaux. Plus tard, sans aucun doute, il nous étalera, dans des
peintures
achevées, les prodigieuses magies de l’air et de
à un égal enthousiasme pour la solitude. Ce n’est pas seulement les
peintures
de marine qui font défaut, un genre pourtant si p
l’esprit civilisé ! Art, où ce qui doit être compté comme qualité en
peinture
peut devenir vice ou défaut, où la perfection est
vage, l’homme primitif, n’éprouvent aucune indécision ; tandis qu’une
peinture
, par ses prétentions immenses, par sa nature para
a moitié de son visage. Le singe, quelquefois surpris par une magique
peinture
de nature, tourne derrière l’image pour en trouve
vient calme, la tendresse sévère, le rêve ondoyant et brillanté de la
peinture
se transforme en méditation solide et obstinée. M
une patiente et vigoureuse sculpture. Elle fait à la fois penser à la
peinture
de Ribeira et à l’âpre statuaire espagnole. Mais
énormité ? Quel cerveau bien portant peut concevoir sans horreur une
peinture
en relief, une sculpture agitée par la mécanique,
cette arabesque générale de la composition, immobile et fixe dans la
peinture
, mobile et variable dans la sculpture comme dans
uant aux omissions ou erreurs involontaires que j’ai pu commettre, la
Peinture
me les pardonnera, comme à un homme qui, à défaut
e à un homme qui, à défaut de connaissances étendues, a l’amour de la
Peinture
jusque dans les nerfs. D’ailleurs, ceux qui peuve
éâtre. On n’a point encore fait, et l’on ne fera jamais un morceau de
peinture
supportable d’après une scène théâtrale ; et c’es
s en lacs d’amour, nos souliers pointus. Je défie le génie même de la
peinture
et de la sculpture de tirer parti de ce système d
i je dirai comme Fontenelle à la Sonate : figure, que me veux-tu ? La
peinture
a cela de commun avec la poésie, et il semble qu’
e les animer[,] de les agrandir ; l’ordonnance, en poésie ainsi qu’en
peinture
, suppose un certain tempérament de jugement et de
t des unes par les autres. Il me semble qu’il y a autant de genres de
peinture
que de genres de poésie : mais c’est une division
nture que de genres de poésie : mais c’est une division superflue. La
peinture
en portrait et l’art du buste doivent être honoré
ier principe qui lui donna naissance, la médecine par l’empirisme, la
peinture
par le portrait, la sculpture par le buste, le mé
e mérite au dernier degré. Le peintre de genre de son côté regarde la
peinture
historique comme un genre romanesque, où il n’y a
bourgeoise et de la comédie gaie. Il me semble que la division de la
peinture
en peinture de genre et peinture d’histoire est s
et de la comédie gaie. Il me semble que la division de la peinture en
peinture
de genre et peinture d’histoire est sensée, mais
. Il me semble que la division de la peinture en peinture de genre et
peinture
d’histoire est sensée, mais je voudrais qu’on eût
inie. Mais en laissant aux mots les acceptions reçues, je vois que la
peinture
de genre a presque toutes les difficultés de la p
vois que la peinture de genre a presque toutes les difficultés de la
peinture
historique ; qu’elle exige autant d’esprit, d’ima
ement qui sont ces gens-là. Qu’est-ce que cela signifie, sinon que la
peinture
d’histoire demande plus d’élévation, d’imaginatio
lévation, d’imagination peut-être, une autre poésie plus étrange ; la
peinture
de genre, plus de vérité ; et que cette dernière
trange ; la peinture de genre, plus de vérité ; et que cette dernière
peinture
, même réduite au vase et à la corbeille de fleurs
a raison à des hauteurs nouvelles. Stendhal a dit quelque part : « La
peinture
n’est que de la morale construite ! » — Que vous
nal avait, comme il est présumable, des prétentions à se connaître en
peinture
, le jeune Thiers dut lui paraître un peu fou. Pou
ore timide, que celui-ci en était presque confus. Ce fut devant cette
peinture
, ou quelque temps après, devant les Pestiférés de
MM. Thiers et Gérard. Depuis le tableau de Dante et Virgile jusqu’aux
peintures
de la chambre des pairs et des députés, l’espace
ujours respectueux de son idéal, est souvent, à son insu, un poëte en
peinture
. Quant au second préjugé, le préjugé du hasard, i
de plus important. Cette intervention du hasard dans les affaires de
peinture
de Delacroix est d’autant plus invraisemblable qu
des outils et la préparation des éléments de l’œuvre. — En effet, la
peinture
étant un art d’un raisonnement profond et qui dem
accouchement n’est point l’enfantement, et ces grands seigneurs de la
peinture
, doués d’une paresse apparente, déploient une agi
roule et consulte les feuilles avec un œil sûr et profond ; et cette
peinture
, qui procède surtout du souvenir, parle surtout a
beaucoup plus académique qu’il ne le croit lui-même, — appelait cette
peinture
: peinture de cannibale ! A coup sûr, ce n’est po
us académique qu’il ne le croit lui-même, — appelait cette peinture :
peinture
de cannibale ! A coup sûr, ce n’est point dans le
au-dessus de ces choses-là. Je m’attache surtout à l’esprit de cette
peinture
. Il est impossible d’exprimer avec la prose tout
produits par des tons qui ne sont pas de niveau, pour ainsi dire ; la
peinture
de Delacroix est comme la nature, elle a horreur
u’il sait le mieux exprimer, mais surtout, — prodigieux mystère de sa
peinture
, — la douleur morale ! Cette haute et sérieuse mé
de mourir à ses pieds. La composition ne manque pas de majesté, et la
peinture
est accomplie avec une bonhomie assez audacieuse
les journalistes à l’endroit de M. Catlin, c’est qu’il ne fait pas de
peinture
crâne, à laquelle tous nos jeunes gens les ont si
s nos jeunes gens les ont si bien accoutumés, que c’est maintenant la
peinture
classique. L’an passé, j’ai déjà protesté contre
cellents nourris des anciens maîtres ; sa Madeleine au désert est une
peinture
d’une bonne et saine couleur, — sauf les tons des
aisant leur partie ; mais au moins c’est de la belle et bien portante
peinture
, et qui indique dans l’auteur un homme parfaiteme
lais d’un gourmand, que les tableaux de M. Decamps pour un amateur de
peinture
. L’étrangeté de leur aspect vous arrêtait, vous e
ers et minutieux dont use souvent l’artiste, qui élucubre, dit-on, sa
peinture
avec la volonté infatigable d’un alchimiste. L’im
rochets. Le soleil et la lumière jouaient alors un grand rôle dans la
peinture
de M. Decamps. Nul n’étudiait avec autant de soin
une grande habileté dans l’ordonnance et la couleur générale de cette
peinture
décorative. C’est d’un ton moins fin peut-être, m
ne laissent pas de souvenir. Chacun a son rôle, dites-vous. La grande
peinture
n’est point faite pour tout le monde. Un beau dîn
de marmots des deux sexes, et initiant la jeunesse aux mystères de la
peinture
Couture. Grands mystères, ma foi ! — Une lumière
là que gît toute la difficulté. — Ce qu’il y a de terrible dans cette
peinture
, c’est qu’elle se fait voir ; on l’aperçoit de tr
hoix exquis du modèle, et peut certainement rajeunir et revivifier la
peinture
moderne, trop encline, comme tous nos arts, à se
n contour important. Voyez à côté les dessins de tous ces ouvriers en
peintures
, — souvent ses élèves ; — ils rendent d’abord les
cru et luisant, que M. Janmot est de Lyon. En effet, c’est bien là la
peinture
qui convient à cette ville de comptoirs, ville bi
c de l’esprit et des crayons minutieusement apointés qu’on fait de la
peinture
; car quelques-uns vous rangent, je ne sais trop
is sa couleur manque de consistance. C’est le malheureux défaut de la
peinture
anglaise, transparente à l’excès et toujours doué
eur aspect séduisant, que ses miniatures ont toute l’importance de la
peinture
. X. Du chic et du poncif Le chic, mot affre
es lui a fait faire. M. Horace Vernet est un militaire qui fait de la
peinture
. — Je hais cet art improvisé au roulement du tamb
visé au roulement du tambour, ces toiles badigeonnées au galop, cette
peinture
fabriquée à coups de pistolet, comme je hais l’ar
ression. Je hais cet homme parce que ses tableaux ne sont point de la
peinture
, mais une masturbation agile et fréquente, une ir
ant. M. Alfred Dedreux a cela pour lui qu’il sait peindre, et que ses
peintures
ont l’aspect vif et frais des décorations de théâ
me et du doute Nous sommes, comme on le voit, dans l’hôpital de la
peinture
. Nous touchons aux plaies et aux maladies ; et ce
utre, l’importation de la poésie, de l’esprit et du sentiment dans la
peinture
, toutes ces misères modernes sont des vices parti
’est pas le but immédiat du peintre ; quand elle se trouve mêlée à la
peinture
, l’œuvre n’en vaut que mieux, mais elle ne peut p
er. Elle doit venir à l’insu de l’artiste. Elle est le résultat de la
peinture
elle-même ; car elle gît dans l’âme du spectateur
ît dans l’âme du spectateur, et le génie consiste à l’y réveiller. La
peinture
n’est intéressante que par la couleur et par la f
la poésie qu’autant que celle-ci éveille dans le lecteur des idées de
peinture
. En second lieu, et ceci est une conséquence de c
iginalité médiocre, ont montré depuis longtemps au public de la vraie
peinture
, exécutée avec une main sûre et d’après les règle
es les plus simples de l’art : aussi s’est-il dégoûté peu à peu de la
peinture
invisible, et il est aujourd’hui, à l’endroit de
ngrat, comme tous les publics. Ma foi ! il fait bien. Du reste, cette
peinture
est si malheureuse, si triste, si indécise et si
u reste, quelques rapports. M. Rousseau est un paysagiste du Nord. Sa
peinture
respire une grande mélancolie : Il aime les natur
aysages de Rubens et de Rembrandt, qu’on y mêle quelques souvenirs de
peinture
anglaise, et qu’on suppose, dominant et réglant t
e plus en plus sa réputation. À mesure que le public voit de la bonne
peinture
, il se détache des artistes les plus populaires,
manger, qu’on se figure pleines de chasseurs affamés et glorieux. La
peinture
de M. Kiorboë est joyeuse et puissante, sa couleu
. Arondel, dont le mérite principal est une bonhomie réelle. Aussi sa
peinture
contient-elle quelques défauts évidents ; mais le
compte en peignant de tous les accidents nécessaires du Salon, de la
peinture
environnante, de l’éloignement du spectateur, et
es tailler fort adroitement des fétiches longtemps avant d’aborder la
peinture
, qui est un art de raisonnement profond et dont l
industrieusement tourné, restent stupides à l’aspect de la plus belle
peinture
. Il y a là un mystère singulier qui ne se touche
t ; il n’y a pas moyen de le regarder autrement que dans son jour. La
peinture
n’a qu’un point de vue ; elle est exclusive et de
rieusement des figures portatives, mais de s’associer humblement à la
peinture
et à l’architecture, et de servir leurs intention
rasse des temps, mais de l’unité, de l’unité profonde. Car une grande
peinture
vénitienne jure moins à côté d’un Jules Romain qu
le. Les singes sont les républicains de l’art, et l’état actuel de la
peinture
est le résultat d’une liberté anarchique qui glor
ument, on peut dire que pour le présent c’est le peintre qui a tué la
peinture
. XVIII. De l’héroïsme de la vie moderne Bea
de la vie moderne Beaucoup de gens attribueront la décadence de la
peinture
à la décadence des mœurs26. Ce préjugé d’atelier,
: — au lit, au bain, à l’amphithéâtre. Les moyens et les motifs de la
peinture
sont également abondants et variés ; mais il y a
car la contradiction est une invention humaine. 18. Histoire de la
Peinture
en Italie, ch. ci. Cela s’imprimait en 1817 ! 19
r la substance de l’ouvrage et le progrès du raisonnement. Quant à la
peinture
, je crois qu’il faut diviser l’ordonnance ou le p
qu’elles ne fassent toutes qu’un seul et même sujet. Les regles de la
peinture
sont autant ennemies de la duplicité d’action que
es de la duplicité d’action que celles de la poësie dramatique. Si la
peinture
peut avoir des épisodes comme la poësie, il faut
lequel il choisit ses acteurs. Monsieur De Piles grand amateur de la
peinture
, et qui lui-même manioit le pinceau, nous a laiss
est parvenu en chacune des quatre parties dans lesquelles l’art de la
peinture
peut se diviser ; et ces parties sont la composit
aque peintre est demeuré. Mais pour n’avoir pas distribué l’art de la
peinture
en cinq parties, ni divisé ce qu’on appelle en ge
ord que Paul Veronése n’est nullement comparable dans la poësie de la
peinture
au Poussin qu’on a nommé dès son vivant le peintr
es romains naissent presque tous avec beaucoup de sensibilité pour la
peinture
, et leur goût naturel a encore des occasions fréq
trées-là que dans des païs froids et humides, rendent le goût pour la
peinture
si general à Rome, qu’il est ordinaire d’y voir d
si le public de Rome est presque composé en entier de connoisseurs en
peinture
. Ils sont, si l’on veut, la plûpart des connoisse
ge, dit ce peintre, par une de ces saillies qui font avec un trait la
peinture
du fond du coeur, qu’un ultramontain nous ait pré
, et les françois de leur hospitalité. Le public ne se connoît pas en
peinture
à Paris autant qu’à Rome. Les françois en general
beaucoup que nous ne cultivions autant qu’eux la sensibilité pour la
peinture
, commune à tous les hommes. Generalement parlant,
t par le tableau absent, il faut avoir été nourris dans le sein de la
peinture
. Il faut, principalement durant la jeunesse, avoi
vée dans l’école d’Anvers, où le public n’est pas plus connoisseur en
peinture
qu’à Paris. Avant que Vandyck eut travaillé en An
sie a eu plus d’occasions de s’y cultiver que le goût naturel pour la
peinture
. Si les beaux tableaux sont presque tous renferme
s les nommer, — ne peuvent rien comprendre à ces sévères leçons de la
peinture
révolutionnaire, cette peinture qui se prive volo
comprendre à ces sévères leçons de la peinture révolutionnaire, cette
peinture
qui se prive volontairement du charme et du ragoû
lamentable horreur, et par un tour de force étrange qui fait de cette
peinture
le chef-d’œuvre de David et une des grandes curio
ux de 1845, de nous attendrir devant le chef-d’œuvre de David ? Cette
peinture
était un don à la patrie éplorée, et nos larmes n
t tableau qui a l’air, comme Hélène et Pâris, de vouloir jalouser les
peintures
délicates et rêveuses de Guérin. Des deux personn
ille a plus de mémoire que les yeux. Il est entendu et reconnu que la
peinture
de M. Ingres est grise. — Ouvrez l’œil, nation ni
. — Ouvrez l’œil, nation nigaude, et dites si vous vîtes jamais de la
peinture
plus éclatante et plus voyante, et même une plus
d dessinateur maladroit qui ignore la perspective aérienne, et que sa
peinture
est plate comme une mosaïque chinoise ; à quoi no
la Thamar, où M. H. Vernet a résolu un problème incroyable : faire la
peinture
à la fois la plus criarde et la plus obscure, la
nature. Tous les possibles ne doivent point avoir aucun lieu en bonne
peinture
non plus qu’en bonne littérature ; car il y a tel
campagnes et qui les constituent. Pourquoi peut-on les mettre dans la
peinture
dont il s’agit et sur le champ du tableau ? Parce
la présence de la colonne soit donnée par l’histoire. Deux sortes de
peintures
: l’une qui plaçant l’œil tout aussi près du tabl
les variétés les plus légères et les plus minutieuses. Voilà la belle
peinture
, voilà la véritable imitation de la nature. Je su
a vois moins à mesure que mon œil s’en éloigne. Mais il est une autre
peinture
qui n’est pas moins dans la nature, mais qui ne l
, on ne sait ce que c’est. Il ne faut pourtant pas blâmer ce genre de
peinture
, c’est celui du fameux Rembrand ; ce nom seul en
restriction. Elle est d’observation absolue dans le premier genre de
peinture
dont j’ai parlé dans l’article précédent ; elle n
dorateur ; mais de vous convaincre que sans architecture, il n’y a ni
peinture
ni sculpture, et que c’est à l’art qui n’a point
royez-vous que dans toutes ces chaumières il y eût un seul morceau de
peinture
bonne ou mauvaise ? Certainement vous ne le croye
des hôtels, des maisons, deviendra meilleure ; et la sculpture et la
peinture
suivront ses progrès. J’en appelle à présent de c
re sculptée. Mais si c’est l’architecture qui a donné naissance à la
peinture
et à la sculpture, c’est en revanche à ces deux a
architecture grecque ou romaine proposée dans toute sa force. Mais la
peinture
n’offre-t-elle pas la même question à résoudre ?
ntre, je le demande ; mais qu’on commence d’abord par bien définir la
peinture
. Autre question. Si l’on a appauvri l’architectur
la variété infinie des convenances, n’aurait-on pas aussi appauvri la
peinture
, la sculpture et tous les arts enfants du dessin,
, notre ignorance et nos mauvais yeux ! Et puis, pour en revenir à la
peinture
d’où nous sommes partis, souvenons-nous sans cess
Art français La
Peinture
à l’Exposition de 1855. Préface50 La peintur
rt français La Peinture à l’Exposition de 1855. Préface50 La
peinture
est-elle un livre ? La peinture est-elle une idée
Exposition de 1855. Préface50 La peinture est-elle un livre ? La
peinture
est-elle une idée ? Est-elle une voix visible, un
, le sens naturel dont elle vient, le sens naturel qui la perçoit. La
peinture
est-elle en un mot un art spiritualiste ? N’est-i
ne pas aspirer beaucoup au-delà de la récréation du nerf optique ? La
peinture
n’est-elle pas plutôt un art matérialiste, vivifi
outremer et du vermillon. Croit-on, au reste, que ce soit abaisser la
peinture
que de la réduire à son domaine propre, ce domain
actions allegoriques et des personnages allegoriques par rapport à la
peinture
Notre matiere nous conduit naturellement à trai
compositions et des personnages allegoriques, soit en poësie, soit en
peinture
. Parlons d’abord des allegories pittoresques. La
tres qui passent aujourd’hui pour avoir été les plus grands poëtes en
peinture
, ne sont pas ceux qui ont mis au monde le plus gr
D’ailleurs la vrai-semblance ne peut être observée trop exactement en
peinture
non plus qu’en poësie. C’est à proportion de l’ex
ment, on la laisse comme un vain galimatias. Il est des galimatias en
peinture
aussi-bien qu’en poësie. Je ne me souviens que d’
on sujet qui paroît plûtôt du ressort de la poësie que de celui de la
peinture
. Le roi paroît sur un char guidé par la victoire
s’égarer souvent, même en des professions bien plus serieuses que la
peinture
. Rien ne fait dire, rien ne fait faire autant de
ir de montrer de l’esprit. Pour nous renfermer dans les limites de la
peinture
, j’ose avancer que rien n’a plus souvent écarté l
t déja, les tableaux ne doivent pas être des enigmes, et le but de la
peinture
n’est pas d’exercer notre imagination en lui donn
tendre. On voit dans la galerie de Versailles beaucoup de morceaux de
peinture
dont le sens enveloppé trop misterieusement, écha
rimera quelque verité, qui ne sçauroit être renduë autrement, soit en
peinture
, soit en sculpture. Je consens donc que la foi et
faire attention que l’invention et la poësie sont de l’essence de la
peinture
? Vous voulez éteindre dans l’imagination des pei
ro 1 [1], 10 juillet 1856 1856 Notes sur l’art. Il faut qu’en
peinture
l’instinct ne soit rien, puisque le goût général
t que deux écoles de jugement ; c’est premièrement la comparaison des
peintures
entre elles, et secondement, la comparaison des p
araison des peintures entre elles, et secondement, la comparaison des
peintures
avec la nature. Par la première voie, on arrive à
ité de l’œuvre, on n’a rien appris. Au contraire, au milieu des mille
peintures
contradictoires d’un musée, l’œil se lasse et fai
oins par la nature que l’éducation des peintres. Quant à comparer les
peintures
avec la nature, il faut un amour du vrai que peu
le secret de ses aspects, et lorsqu’on y a été initié, de voir si les
peintures
en approchent ; mais voir les peintures avant d’a
a été initié, de voir si les peintures en approchent ; mais voir les
peintures
avant d’avoir compris la nature, c’est se fausser
êtres inconnus ; elle n’a que le goût des voyages et non celui de la
peinture
, et se demande en quelles terres habitent les per
ude, la réalité est fausse, le conventionnel est vrai ; en effet, les
peintures
renfermées dans les musées, et qu’on lui montre t
s dans les musées, et qu’on lui montre toujours comme types, sont des
peintures
rousses, noires, vertes, grises, des peintures id
comme types, sont des peintures rousses, noires, vertes, grises, des
peintures
idéalisées, arrangées, plus propres à détraquer u
ne peut pas peindre ce qu’on ne voit pas ; il n’y a pas de procédé en
peinture
, quoi qu’on en dise ; ce qu’on comprend, on le re
t que pour les autres esprits il y a un bonheur inouï à contempler en
peinture
des êtres qui n’existent pas, tels que les soldat
», Ribera « cachait ses moines éventrés sous des flots d’ombre ». La
peinture
n’existe pas encore, Courbet datera la nouvelle é
isante. La sculpture se consume lentement. Plus absurde encore que la
peinture
, la sculpture se réfugie dans le nu et dans la dr
indrir ce qui est gros, sous prétexte de grandiose et d’ingénieux. La
peinture
a du moins quelque pudeur de sincérité ; la poési
ntagnes, le ciel et l’eau, là-bas, tout cela n’a-t-il pas l’air d’une
peinture
? » Et le banquier voyant l’ironie sur les lèvres
its, qui centuple la puissance de sa vision. Le roman, le théâtre, la
peinture
, sont les trois grands moyens d’action des observ
moyens d’effet, leurs ressources spéciales, le roman, le théâtre, la
peinture
. Rattacher à ces questions-artères, des études su
théâtre. Des gens qui ne savent pas au juste avec quoi on fait de la
peinture
ni ce que c’est que la poésie, cherchent de la po
plaisirs. Le public lettré joue en littérature le rôle des experts en
peinture
, aussi la poésie lui paraît-elle le triomphe de l
t du public, voici un exemple que j’en ai eu dernièrement à propos de
peinture
. Deux tableaux, à peu près aussi mal faits l’un q
leau, probablement un orage, des barques de pêcheurs en danger. Cette
peinture
était incomplète, vague et mal conçue, on le voit
dats, M. Biard des farces bourgeoises, et il met de la gaieté dans la
peinture
, M. Paul de Kock a fait un monde qui approche de
igant de lire un volume pour s’amuser quelquefois ? Je préférerais la
peinture
, la sculpture, la musique, la cuisine qui est un
ncier, il n’y aurait pas de romanciers ; si tout le monde faisait des
peintures
, il n’y aurait pas de peintres ; le roman et la p
faisait des peintures, il n’y aurait pas de peintres ; le roman et la
peinture
seraient rangés parmi les fonctions générales et
’à ces petites toiles, selon les messieurs doctes qui écrivent sur la
peinture
. Donc un peintre qui marcherait dans cette voie,
is les choses vivantes, mais je ne parle ici qu’au point de vue de la
peinture
, je n’oserais dire un mot sur la littérature, mes
pour un peintre, il est trop tard pour que je change. On a fait de la
peinture
une chose presque ridicule ; quand j’entends parl
maussades et sans intérêt. Je sais bien que, pour moi, dans toute la
peinture
, il n’y a peut-être pas cent tableaux que je cons
ommunion avec lui, il comprendrait, jugerait, et se passionnerait. La
peinture
deviendrait sociale et utile, elle servirait à la
bres dans leurs inventions. J’en conclus nettement, hardiment, que la
peinture
de la société du dix-neuvième siècle sera plus ha
manière d’être réaliste, puisqu’il y a deux manières de peindre ; la
peinture
de l’être extérieur, et la peinture de l’être int
y a deux manières de peindre ; la peinture de l’être extérieur, et la
peinture
de l’être intérieur, qui forment deux voies sépar
viendraient mieux ; je hais ces mots d’enflure. « L’éloquence est une
peinture
de la pensée, et ainsi ceux qui après avoir peint
Delaroche a beaucoup travaillé ; c’est un mauvais peintre ; toute sa
peinture
peut s’expliquer par l’étrange manière dont il co
e Saint-Eustache, où il a représenté l’Intercession de la Vierge ; la
peinture
catholique inspire toujours des idées tristes… su
que inspire toujours des idées tristes… sur le compte du peintre. Les
peintures
de M. Couture font bien, si elles ne sont pas bie
s nettement établi : Que le Réalisme proscrivait l’historique dans la
peinture
, dans le roman et dans le théâtre, afin qu’il ne
charme les stylistes et il ajoute : « Le plus souvent rejeté dans la
peinture
des mœurs populaires et rustiques par la nécessit
comme prenant leur source dans le goût exclusif du noble, des nobles
peintures
et des nobles personnages, goût qui ne veut pas d
les malins. Par suite de quoi, un homme très exactement imité par la
peinture
n’est en résumé que le cadavre d’un homme. Donc,
t hardis et nets, par exemple : Un homme très exactement imité par la
peinture
n’est que le cadavre d’un homme. (Avant tout que
la dénomination d’arts, la musique, l’architecture, la sculpture, la
peinture
et la littérature. La musique et la littérature s
station, mais encore comme résultat. L’architecture, la sculpture, la
peinture
, tiennent des deux. Tout ce qui affecte les sens
lodie est à la musique ce que le contour et la teinte plate sont à la
peinture
; la science a amené l’harmonie des couleurs comm
roisième établit l’accord, fait harmonie : n’en est-il pas de même en
peinture
? deux couleurs discordantes sont harmoniées par
re ? deux couleurs discordantes sont harmoniées par une troisième. La
peinture
, comme on le voit, se rattache à la musique par l
is n’en peuvent rendre que les costumes ; il sont donc incomplets. La
peinture
doit compléter l’œuvre des écrivains et des philo
ittérature diffère donc entièrement de la musique et se rattache à la
peinture
par un côté. En écoutant la musique on est passif
ique est l’art de l’imagination, l’art des sensations harmoniques. La
peinture
n’excite pas l’imagination comme la musique et ne
au milieu de ferrailles, de coquilles, de porcelaines, de bijoux, de
peintures
sans grande valeur absolue, mais qui résument apr
ts, capables de raisonner et de réfléchir ; beaucoup ont écrit sur la
peinture
de la manière la plus remarquable, comme Hogarth,
servateurs, hommes d’esprit, aimant la nature et le vrai, ils ont une
peinture
expressive qui fait penser, et où justement la pe
èbre et professait officiellement. » « Je sais que l’exécution de mes
peintures
est singulière, mais j’aime cette règle de Sterne
alheur est que le public n’est pas toujours capable de distinguer les
peintures
maniérées des peintures sincères. » (Ce public n
n’est pas toujours capable de distinguer les peintures maniérées des
peintures
sincères. » (Ce public nous paraît être notre pr
e préparation sincère, s’enthousiasment souvent pour le faux éclat de
peintures
que ce triomphe immérité ne sauvera pas d’un rapi
la nature, mon premier soin est d’oublier que j’aie jamais vu aucune
peinture
. » « Jamais je n’ai rien vu de laid dans la natur
rendre agréable. » « Il me semble que certains critiques exaltent la
peinture
d’une manière ridicule. On arrive à la placer si
nettes, claires, et en font-elles toucher au doigt les qualités. Ces
peintures
ou ces tentatives de peinture de l’époque émeuven
les toucher au doigt les qualités. Ces peintures ou ces tentatives de
peinture
de l’époque émeuvent si profondément qu’on entend
ait été fâcheux de conserver l’époque du 25 mars pour l’exposition de
peinture
. Dans cette saison où les jours sont courts et so
igent, M. Paturot, qui a de fort bonnes idées et qui se préoccupe des
peintures
vraies. Le système d’exposition permanente et de
faut dire aussi qu’il était peu propre à pratiquer et à enseigner la
peinture
. Avec sa tête légère et la paresse de son esprit,
ternatifs des jeunes gens et des terroristes. Quant au dessin et à la
peinture
, il n’en disait plus même un mot. Après la journé
e circonstances qui ne peuvent être rapportées ici, le jeune élève en
peinture
reprit le goût des études classiques et revit la
étudié plus particulièrement, on lui décerna le second grand prix de
peinture
en 1792, la même année que Landon eut le premier.
lieu de l’atelier. Aujourd’hui que les procédés et les mystères de la
peinture
à l’huile sont connus de tout le inonde, on aura
tous les procédés qui se rapportent plutôt au métier qu’à l’art de la
peinture
. Tout en recevant ces avis que les artistes trans
interrompait soigneusement lorsque quelque difficulté d’exécution en
peinture
le forçait à retenir son souffle pour être plus s
avid, il résolut de faire des stances adressées au restaurateur de la
peinture
, projet qu’il exécuta en effet tant bien que mal.
e de la haute société, qui prenait le parti d’étudier sérieusement la
peinture
dans un atelier situé dans le Louvre, dont on a e
s, ne pouvait être que bien faiblement accompli par un jeune élève en
peinture
, que son imagination vive et même un peu romanesq
it péri sur l’échafaud révolutionnaire et qui, dans son amour pour la
peinture
, ne voyait qu’un grand artiste en David ; enfin,
s mœurs des artistes et sur les différents modes d’enseignement de la
peinture
. Pour ne pas laisser ici la même lacune, nous sui
ajouta-t-il, en parlant à tous, à l’Académie on fait un métier de la
peinture
, et on l’apprend comme un métier à ceux qui la fr
onniers, si vous voulez, je ne m’y oppose pas, mais ici on fait de la
peinture
. » À la suite de cette allocution, écoutée avec
xcessivement fort de corps, et qui travaillait comme un galérien à la
peinture
pour se faire une profession et réparer les perte
l s’arrêtait sur la note, travaillant pendant une minute ou deux à sa
peinture
, puis, au moment où l’on s’y attendait le moins,
e queue. « Ah ! toi, c’est différent, disait-il en s’approchant de la
peinture
de Broc le Gascon, tu te crois du génie ; mais pr
vait servi aux armées, mais qu’un attrait invincible pour l’art de la
peinture
l’avait engagé à quitter sa première profession.
ession. Moriès avait ce qu’on appelle une passion malheureuse pour la
peinture
, car il n’y était nullement appelé par ses dispos
partagé, puis retournait tranquillement à sa place pour reprendre sa
peinture
. Il va sans dire qu’une âme de cette trempe avait
isposition et vous ne ferez aucun progrès ; ainsi quittez l’art de la
peinture
. » Après cette allocution, qui n’était pas la pr
allemande, tu préfères l’harmonie à la mélodie et tu fais de même en
peinture
: tu fais passer le dessin après la couleur. Eh b
t le travail de Robin, qu’il n’y a rien de si traître que l’art de la
peinture
. Dans l’ouvrage se peint l’homme qui l’a fait. On
des fabricants de drap d’Elbeuf, faisait toujours effectivement de la
peinture
au métier, mais il calmait ses camarades par son
jet, il ne pouvait résulter des efforts de quelques pauvres élèves en
peinture
rassemblés dans l’entresol, en admettant même tou
e qui eût été à son gré le MICHEL-ANGE de la poésie ou l’OSSIAN de la
peinture
, tomba inconnue sur la terre, et les larmes de qu
es dispositions réelles et brillantes qu’il montrait pour l’art de la
peinture
. C’était Granet, qui a produit tant de bons ouvra
e et assiduité, M. le comte d’Houdetot, que l’étude approfondie de la
peinture
a fait devenir un protecteur si éclairé des arts
uban, sa ville natale, où, dès l’enfance, il avait étudié l’art de la
peinture
sous la direction de son père. Relativement à sa
; tel est celui de rapin. On désigne par ce nom, dans les ateliers de
peinture
, les élèves qui ne font encore que copier d’après
s éclairs de succès, n’est arrivé, à se faire un nom dans l’art de la
peinture
. Et cependant, plus d’un a déployé une énergie ra
ans Ossian, mais surtout dans la Bible ; c’est dans les scènes et les
peintures
des peuples primitifs au milieu desquels ces livr
de la générosité de son caractère, l’éclat de ses premiers essais en
peinture
, et, il faut le dire, le don qu’il avait de persu
rié et entouré d’enfants à l’île Bourbon, il professe avec honneur la
peinture
et vit à l’aise, entouré de la considération géné
t-cinq ans et s’est toujours ressenti de ce retard dans l’étude de la
peinture
, où l’on ne profite que quand on commence très-je
pour son jeune camarade Mendouze, qui, bien qu’assez habile élève en
peinture
, changea tout à coup le but de ses travaux et se
e autres tentatives, essaya de retrouver l’usage de l’encaustique, ou
peinture
à la cire. Enfermé dans son atelier, il travailla
, qui, dans ses idées théoriques, était plus favorable à l’art que la
peinture
à l’huile. Grâce à ses longues et savantes expéri
a peinture à l’huile. Grâce à ses longues et savantes expériences, la
peinture
à la cire est employée aujourd’hui pour peindre s
osition d’un ouvrage en neuf volumes, intitulé : Traité complet de la
peinture
. Ce livre, auquel on peut reprocher son trop d’ét
la langue grecque. Ces études, combinées avec celles que l’art de la
peinture
les conduisit à faire sur la statuaire antique, d
ous a dit que nous étions un véritable tribunal révolutionnaire de la
peinture
; que tous les genres étaient bons. » Ces citati
it enfant, ce que l’on répète de tous ceux qui ont exercé l’art de la
peinture
avec éclat. Il couvrait, dit-on, ses livres de cl
igna de la répugnance pour cet art et plus d’amour que jamais pour la
peinture
. Cependant on lui faisait toujours continuer ses
sion à son peu de goût pour les lettres et à ses dispositions pour la
peinture
, ainsi qu’à un certain défaut de prononciation qu
èrent à l’idée de lui faire achever ses classes. Son penchant vers la
peinture
devint plus fort et si irrésistible même bientôt
r les élèves réunis dans son école, et sur ceux même de l’Académie de
peinture
, dont Vien était devenu membre en 1750. Le jeune
lleul dans le Louvre. C’est là que David tenta ses premiers essais en
peinture
. Après avoir étudié pendant plusieurs années sous
ébranlèrent et détruisirent même ses préjugés à cet égard, furent les
peintures
dont Corrége a orné la coupole de la cathédrale d
de Parme. David tomba dans une espèce d’enivrement à l’aspect de ces
peintures
, à ce point même que Vien fut obligé de calmer so
tôt devant un tableau de Raphaël ou de Michel-Ange, aille choisir une
peinture
de quatrième ordre, d’un peintre français tel que
ux que fait encore aujourd’hui (1805) Berthélemy, en y comprenant les
peintures
des Natoire, des Vanloo, et d’autres, c’est peut-
et des ombres. C’était la qualité absolument opposée au défaut de la
peinture
française, et ce rapport nouveau des clairs aux o
que, loin de pouvoir les exercer avec fruit en les dirigeant sur des
peintures
délicates comme celles d’Andrea del Sarto, du Tit
s recouvraient depuis dix-huit cents ans, et l’on possédait enfin des
peintures
antiques. Mengs fit des tableaux où il chercha à
étrusques, publiait la forme dessinée et mesurée de ces vases, et les
peintures
qui les ornent ; et, par ce genre d’étude, concou
té tentée par des praticiens habiles, tels que Mengs16 et Gessner, en
peinture
, et par Canova17 en sculpture. À force de vouloir
David en présentant cet homme comme le seul réformateur de l’école de
peinture
en Europe, vers la fin du xviiie siècle, ses adm
iâtreté de ses études, à établir un nouveau mode d’enseignement de la
peinture
, appuyé sur les doctrines des anciens ; et enfin
lait jamais qu’avec modestie même de ce qu’il comprenait le mieux, la
peinture
, loin de chercher à faire parade des idées théori
et Gessner, et enfin adoptées de nouveau et appliquées à l’art de la
peinture
en France par David. Quant à l’influence de ces i
principes que David chercha à établir pour pratiquer et enseigner la
peinture
, et de déterminer le but que lui et son école se
mme homme politique lui ont laissé si peu d’instants à consacrer à la
peinture
, est cependant l’une des plus intéressantes lorsq
implicité dans ses ouvrages, une foule de productions monstrueuses en
peinture
et surtout en sculpture, dont il reste fort peu d
artement de la Drôme, déjà distingués par leur talent naturel pour la
peinture
, ont été confiés, par un décret du 15 janvier (17
on n’avait pas cessé de récriminer contre les académies, et celles de
peinture
et de sculpture étaient particulièrement en butte
qui se rattachait aux institutions monarchiques, l’académie royale de
peinture
et de sculpture existait toujours, et la Conventi
jour, David eut la dictature des arts en France. L’académie royale de
peinture
, menacée dans son existence par le mouvement révo
et. Cependant, la destruction de tout ce qui touchait à l’académie de
peinture
se poursuivait avec ardeur. Le 26 novembre, le dé
oulut que j’exprimasse mes sentiments et ma pensée par l’organe de la
peinture
, et non par les sublimes accents de cette éloquen
traction de ses quatre tableaux révolutionnaires, et ses souvenirs de
peinture
le ramenaient aux Horaces. « Peut-être, disait-il
ailles, qui d’ailleurs, recherchant la direction d’un homme habile en
peinture
, étudiait et commençait même à peindre dans l’ate
chappés des armées, à qui des dispositions réelles ou feintes pour la
peinture
donnaient accès près du maître de l’art. Selon to
arts s’était accru pendant qu’elle perfectionnait son talent pour la
peinture
, invita Étienne à venir chez elle peindre une étu
ges que le chanteur recevait avec assez d’impertinence. Les études de
peinture
furent, comme on le pense bien, troublées cette f
andit dans la ville, mais en passant d’abord par tous les ateliers de
peinture
du Louvre, ce qui lui fit prendre un coloris un p
des écoles rivales de celle de David, avait remporté le grand prix de
peinture
, et le mérite de l’ouvrage couronné avait fait co
la révolution, blâmaient de bonne foi ce nouveau mode de l’art de la
peinture
. Ils n’étaient pas fâchés de se venger d’un homme
opyles. 1800-1802. L’emploi systématique du nu en sculpture et en
peinture
est un accident trop grave dans l’histoire de l’a
ur maître de ne pas oser porter une réforme complète dans l’art de la
peinture
. David ne resta pas tout à fait indifférent à ce
l’ironie, si commune de son temps, et plus d’une fois, en parlant des
peintures
sacrées des maîtres antérieurs à Raphaël, il lui
né par les idées nouvelles que lui avait suggérées la vue de quelques
peintures
d’Herculanum et de Pompéi, par les descriptions d
s expressions de théâtre, auxquels les modernes ont donné le titre de
peinture
d’expression. À l’imitation des artistes de l’ant
nt pas les passions violentes, quand on ne pousse pas l’expression en
peinture
jusqu’à la grimace, on risque de n’être ni compri
ouvements que par les traits de leur visage. Les élèves des écoles de
peinture
se distinguaient entre tous, et dans l’atelier de
Vous plaisantez ; comment ? — Oui, je n’avais pas encore envisagé la
peinture
sous ce rapport. Vous avez raison, citoyen premie
fluence sur la réaction qui se déclara alors contre le mode sévère de
peinture
que David avait adopté ; et en effet, c’est parti
l’attention du public, dirigée presque exclusivement jusque-là sur la
peinture
de haut style. Toutefois David, qui possédait à u
en mieux, disait-il, faire de bons tableaux de genre que de médiocres
peintures
d’histoire. » Mais lui-même il n’échappa pas ent
udes et la grandeur du dessin. Cette précocité dans la pratique de la
peinture
est sans doute un fait remarquable, et qui expliq
les douleurs de l’enfantement, sans accoucher jamais… J’aime bien la
peinture
, assurément ; mais si on ne pouvait la faire qu’à
i, mon bon ami, il faut que je l’avoue ; je ne me connais pas à cette
peinture
-là ; non, mon cher Girodet, je ne m’y connais pas
t fou, Girodet !… il est fou, ou je n’entends plus rien à l’art de la
peinture
. Ce sont des personnages de cristal qu’il nous a
’ai dit ce que je pense : je ne connais absolument rien à ce genre de
peinture
; c’est lettres closes pour moi. » Malgré les él
Véronèse, on est content de soi ; ces gens-là vous font croire que la
peinture
est un art facile ; mais quand on voit ceux de Gi
empêché Girodet de goûter le moindre repos pendant toute sa vie : la
peinture
, le goût des vers et la gestion de sa fortune. No
France, on l’envoya jeune encore à Paris, pour y étudier l’art de la
peinture
, vers lequel son penchant le porta naturellement
, simple et nouveau, sous lequel Gérard envisageait alors l’art de la
peinture
; ce sont ceux de Mlle Brongniart, de la famille
), issu d’une famille sans fortune, s’adonna tout jeune à l’art de la
peinture
. Ses progrès furent aussi brillants que rapides à
pure et tant soit peu austère de l’art antique. Dans les ateliers de
peinture
, et parmi les jeunes élèves, cette peinture de Gr
que. Dans les ateliers de peinture, et parmi les jeunes élèves, cette
peinture
de Gros fut prise comme une innovation qui fit qu
artiste très-heureusement doué pour exercer, et même perfectionner la
peinture
, mais qu’une manie insensée de devenir législateu
la surveillance de son directeur des beaux-arts Denon, et qu’enfin la
peinture
de genre proprement dite fut remise en honneur et
n talent dans l’esprit railleur et méprisant de tous les apprentis en
peinture
. L’époque brillante du talent et de la vie de Gro
ècle, rien n’était si rare qu’un local propre à devenir un atelier de
peinture
. Ceux qui avaient été pratiqués anciennement dans
e titre à leur auteur pour entrer à l’Académie et ouvrir une école de
peinture
, mais ils n’exercèrent aucune influence sur la ma
t au-dessus de l’eau d’une fontaine est peut-être son chef-d’œuvre en
peinture
. En abusant des effets du clair-obscur, ce peintr
aient cependant pas cette femme courageuse de se livrer à l’art de la
peinture
, qu’elle exerçait non sans talent. Entièrement dé
genre, il revint à son goût naturel, aux études de toute sa vie, à la
peinture
qui a le nu et le beau pour objets, et se remit,
ue ce souverain prêtait réellement aux arts, et particulièrement à la
peinture
. Denon veilla à l’exécution des ordres de son maî
loppement de l’art considéré sérieusement. C’est surtout à ce mode de
peinture
, où l’imitation des accessoires finit par devenir
evenir l’objet principal, que l’on doit le développement excessif des
peintures
anecdotiques et comiques dont on a été inondé bie
0 au concours du prix décennal, avec le nom des auteurs ; la voici :
PEINTURE
. TABLEAUX D’HISTOIRE. Les Sabines par Davi
posée était devenue de jour en jour plus délicate ; aussi, quant à la
peinture
au moins, la commission fit un rapport évasif, da
numentale qui donne encore tant de prix, après plusieurs siècles, aux
peintures
religieuses ou historiques faites en Italie et da
tistes par M. de Marigny ont porté un coup fatal à ce que l’art de la
peinture
peut avoir d’action dans l’instruction morale et
ns au Louvre, créées dans l’intérêt de ceux qui font profession de la
peinture
, ont encore bien plus puissamment contribué à dim
eu près du même temps, ont anéanti l’effet moral que pouvait avoir la
peinture
sur les masses. Dans ces lieux, où l’on arrive ma
ions plus que douteuses lui firent prendre la résolution d’étudier la
peinture
chez David. Lorsqu’il entra dans cette école, il
spèce de travers qui se reproduit tous les dix ans chez les élèves en
peinture
, et se mit à prêcher de la morale et à commenter
éfaveur sur les doctrines professées par leur maître. Ces artisans de
peinture
étaient parvenus à réduire l’art à la perfection
e des sujets élevés qu’ils se proposaient de traiter. Ces faiseurs de
peinture
riaient des Hercule, des Apollon et des Junon don
orts, vœux inutiles ! le pauvre Moriez, que son amour stérile pour la
peinture
avait éloigné de la carrière des armes, où il se
yrique, s’il est permis d’appliquer cette qualification à l’art de la
peinture
. Mais, outre cette première incohérence, il s’en
es et des honneurs dus à ce titre ; allez à Berlin créer une école de
peinture
, soyez-en le directeur ; la reconnaissance du roi
ésolution, s’établit à Bruxelles et reprit le cours de ses travaux de
peinture
. L’ardeur nouvelle que mit David à produire penda
ui en ce moment s’apprêtaient à faire une révolution dans l’art de la
peinture
. Les admirateurs exclusifs des anciens ouvrages d
atisfaction intérieure d’artiste, peut-être n’a-t-il jamais exercé la
peinture
avec plus d’indépendance et d’agrément qu’à Bruxe
derniers mois de la vie de David prouvent combien sa vocation pour la
peinture
était irrésistible. Quand il s’aperçut que sa san
l’accompagnait était composé : 1° Des élèves de l’académie royale de
peinture
et de sculpture, portant des couronnes de laurier
Merlin de Douai, Ramel, Hennery, le directeur de l’académie royale de
peinture
, et Michel, ecclésiastique attaché à l’église de
nes restaurateurs de l’art qu’un matérialisme païen introduit dans la
peinture
, ou une imitation machinale des objets dont les p
nt de M. Hocace Vernet donna tant de popularité, parce que ce mode de
peinture
, considéré comme il doit l’être ici, ne fut réell
ppelés en France par Charles VIII et François Ier y introduisirent la
peinture
; ce fut en Italie et d’après les maîtres de ce p
s, en s’insinuant dans les autres arts, à renouveler les formes de la
peinture
. C’est de cette époque à peu près que date la nou
au mémoire. Ce mode littéraire, qui, ainsi que celui de Géricault en
peinture
, était au fond une marche rétrograde, fit cependa
ologues. Enhardie par la tentative de Géricault, la nouvelle école de
peinture
, travaillée bientôt par la triple influence du my
enfin leur intention a été de substituer absolument, dans l’art de la
peinture
, le beau moral au beau visible. S’il ne se fût pr
treprit. Dès ce moment, la réaction contre la direction romantique en
peinture
était commencée. La simplicité dans les lignes et
arras que causent incessamment la recherche et le choix des sujets de
peinture
. En lisant dans Vasari que l’intelligence de Péru
r l’idée de l’immortalité de l’âme, et que, d’autre part, on voit les
peintures
religieuses et vraiment angéliques du maître de R
ette dernière faveur, est enfin relégué dans un de ces hôpitaux de la
peinture
auxquels on donne le nom fastueux de musées. Tell
nom fastueux de musées. Telle était la direction donnée à l’art de la
peinture
, lorsque David exposa ses tableaux des Horaces et
ands hommes ont eu ce mérite suprême, qu’étant nés à une époque où la
peinture
italienne, en pleine décadence, servait cependant
diose, de primitif enfin, car c’était là le grand mot, comme dans les
peintures
des vases grecs, et séance tenante, David fut déc
l est bon que l’on sache que ces sobriquets, nés dans les ateliers de
peinture
, ont plus de vingt-cinq uns de date. Cependant D
cipes singuliers d’après lesquels ils entendaient exercer l’art de la
peinture
, il fut convenu entre eux que, pour se garantir p
, où mon jugement s’est formé par la comparaison d’un grand nombre de
peintures
, j’ai eu l’occasion de revoir les productions de
d’artiste. De même que dans l’art antique grec, il n’estimait que les
peintures
de vases, les statues et les bas-reliefs du plus
arres, originales même, qu’en est-il resté ? Rien ; pas un ouvrage de
peinture
, pas même une notice historique, une lettre du te
don Juan. Depuis 1824, tout ce qui a été fait en prose, en vers et en
peinture
, sur le théâtre ou dans les romans, l’aspect donn
omplétement barbu. Or, c’est en étudiant avec un amour désordonné les
peintures
des vases étrusques et la statuaire antique, que
la chevalerie, tous ceux-là donc, apprenant par les manuscrits et les
peintures
qui les ornent que les hommes qui vivaient dans l
temples de Sicile et de Pæstum, que les vases grecs comme modèles de
peinture
; les naïfs de nos jours étudient religieusement
fs de nos jours étudient religieusement la cathédrale de Cologne, les
peintures
de la première école allemande et les vignettes d
IER. 1. Poser le modèle, expression consacrée dans les écoles de
peinture
. Dans celle de David, on posait le modèle deux fo
re cet argot) n’étaient usitées et comprises que dans les ateliers de
peinture
. 4. Augustin D…, tourmenté tout à la fois par de
Vanloo, il fut membre de l’Académie et professeur, puis professeur de
peinture
à Saint-Pétersbourg sous le règne de l’impératric
ravure du temps avec ce titre « Coup d’œil exact de l’arrangement des
peintures
au Salon du Louvre, en 1785. » On y voit figurer
Mengs est né en 1728 et mort en 1779. Tous ses ouvrages capitaux, en
peinture
et en critique, étaient faits et écrits avant l’a
l’antique, qui se trouve dans le premier volume du Traité complet de
peinture
de Paillot de Montabert. 19. David a fait à la m
ès ce décret, le Conservatoire du Musée national fut composé, pour la
peinture
, de quatre membres : Fragonard, Bonvoisin, Lesueu
ésenter tous les autres objets dont elle parle sous des images et des
peintures
. Nous avons exposé en parlant de la musique, qu’e
t très-propres à être mis en musique, et que ceux qui contiennent des
peintures
n’y sont pas bien propres. La nature fournit elle
si variez que la nature même est variée. Les vers qui contiennent des
peintures
et des images, et ce qu’on appelle souvent par ex
voudroit mettre en chant des vers tels que ceux où Corneille fait une
peinture
si magnifique du triumvirat. Le méchant par le pr
s premiers opera, que ses vers étoient dénuez de ces images et de ces
peintures
qui font le sublime de la poësie, se trouve un re
3. Deux excellens Poëmes Latins, l’un sur la Tragédie, l’autre sur la
Peinture
, lui ont mérité un nom distingué dans les Lettres
ons par lesquelles M. Clément s’efforce de prouver que le Poëme de la
Peinture
n’est qu’une amplification de quelques passages d
et égard, la supériorité à l’Abbé de Marsy. Du Fresnoy est en fait de
Peinture
, ce que Despautere est en fait de Grammaire ; il
M. Racine le fils, pour ceux qui veulent étudier les principes de la
Peinture
.*. D’après cette remarque, du Fresnoy auroit donc
On reconnoîtra facilement cette maniere dans l’Auteur du Poëme de la
Peinture
. Par-tout il a la même chaleur, la même fécondité
i est-ce par cette raison qu’un autre M. Clément * met le Poëme de la
Peinture
au dessus de celui de Lucrece. Le Critique de l’A
418. *. « Les deux Poëmes Latins de M. l’Abbé de Marsy, l’un sur la
Peinture
, l’autre sur la Tragédie, sont presque dignes de
en plusieurs fautes. Une des moindres est de faire souvent de fausses
peintures
de l’amour. L’amour n’est pas une passion gaie :
rniere scene du second acte d’Andromaque, où Monsieur Racine fait une
peinture
naïve des transports et de l’aveuglement de l’amo
sont déterminez par leur humeur à ne se contenter que d’images et de
peintures
faites veritablement d’après la nature, lisent ce
e, lisent ces endroits sans en être émus. Il n’en est pas de même des
peintures
de l’amour qui sont dans les écrits des anciens :
le vrai fait son effet dans tous les tems et dans tous les païs. Ces
peintures
trouvent par tout des coeurs qui ressentent les m
raduction de Longin, quels sont les symptômes de l’amour-passion. Les
peintures
de cette passion qui sont dans les poësies des ro
ême des sujets specialement propres à certains genres de poësie et de
peinture
. Du sujet propre à la tragedie Non seulement ce
ement certains sujets sont plus avantageux pour la poësie que pour la
peinture
, ou pour la peinture que pour la poësie ; mais il
sont plus avantageux pour la poësie que pour la peinture, ou pour la
peinture
que pour la poësie ; mais il est encore des sujet
des sujets plus propres à chaque genre de poësie et à chaque genre de
peinture
, qu’aux autres genres de poësie et de peinture. L
e et à chaque genre de peinture, qu’aux autres genres de poësie et de
peinture
. Le sacrifice d’Iphigenie, par exemple, ne convie
es odeurs ne sont pas seules à posséder ce privilège : la musique, la
peinture
, — les Phares — aussi. Non la nature, qui, au sen
plus fréquemment et plus élogieusement. Cette estime allait même à sa
peinture
, qui nous laisse aujourd’hui assez froids. L’indi
e professionnelles, mais d’esprit borné et entier. Il avait étudié la
peinture
en même temps que la médecine, avait été à Paris
pour lui. Sur la fin de sa vie il en était sans doute de même pour sa
peinture
. La jeune femme se plaisait à ses entretiens, le
de 1842 il parle de Mémoires qu’il projette. Surtout il s’initie à la
peinture
, particulièrement au paysage, qui l’attire. De lo
e son père la permission de faire, en même temps que son droit, de la
peinture
un peu sérieusement. Seulement c’est le docteur F
choisit son maître, et comme il ne saurait imaginer pour son fils une
peinture
plus digne d’être cultivée que celle qui florissa
ses deux séjours antérieurs. Il ne retournera plus dans ce pays de sa
peinture
, vivra sur le capital amassé durant cette année s
vers la littérature, à y occuper une place dont puisse bénéficier sa
peinture
, et il se met à rédiger ses notes et ses souvenir
Fromentin avait compté sur cette activité littéraire pour produire sa
peinture
à la pleine lumière, son calcul avait été juste.
lombées. Il sentait que son originalité vraie était assez peu dans sa
peinture
, plus dans ses livres, et beaucoup plus dans cett
rts qu’il possédait. C’est précisément l’année de son grand succès de
peinture
qu’il commence Dominique. Il n’y avait eu qu’un r
l’Académie des Beaux-Arts. Mais il lui manquait d’avoir exécuté de la
peinture
religieuse et historique. Spécialiste d’Afrique,
dre son problème historique le plus d’intelligence et de lumières. En
peinture
Fromentin a pris avec élégance et correction, san
et, a des idées, — il a réfléchi non seulement sur l’Orient et sur sa
peinture
de l’Orient, mais sur l’orientalisme lui-même, su
conclusion est que l’incorporation de la nature orientale à la grande
peinture
reste à trouver. Rappelant une conversation avec
s ont eu tendance à donner (même Delacroix dans sa Noce juive) à leur
peinture
le vivant de l’anecdote originale. On voyait, il
ières ou badines entre curés, évêques, cardinaux. Cela donnait, comme
peinture
, ce que cela pouvait, mais le piquant de l’anecdo
ute de transformer en ce sens la réalité telle qu’il l’a vue. Mais la
peinture
, et ici la peinture orientaliste, lui paraît comp
n ce sens la réalité telle qu’il l’a vue. Mais la peinture, et ici la
peinture
orientaliste, lui paraît comporter le traitement
ature, risquera de devenir une fabrique, de se racornir en poncif. La
peinture
de Fromentin ne donne pas cependant une impressio
peintre, comme Théophile Gautier, qu’écrivain il ne voudrait faire de
peinture
littéraire, comme Paul Delaroche. Expert dans les
téraire, sur les rapports et les limites de l’art littéraire et de la
peinture
. Et l’expérimentation réussit : « J’en conclus av
spirituel et du lourd à l’impondérable. Il y a eu de grands poètes en
peinture
, et la perfection de la peinture n’est chez Léona
rable. Il y a eu de grands poètes en peinture, et la perfection de la
peinture
n’est chez Léonard que le seuil d’où partent, com
au et se prolonge en nous par une atmosphère sensible et pensante. La
peinture
orientale ne comporte pas cette musique lointaine
ges, de provoquer l’esprit à les produire de lui-même, au lieu que la
peinture
, tout au moins sa peinture à lui et celle des ori
à les produire de lui-même, au lieu que la peinture, tout au moins sa
peinture
à lui et celle des orientalistes, impose les sien
ons gardées, le livre, pour Fromentin, est le mouvement qui relaye la
peinture
, comme la musique du violon relayait pour Ingres
n à la Loti, qui songe si peu à faire un tableau ; mais notons que la
peinture
se déplace avec la littérature, et un peu dans le
tranchées de façon singulière dans un ordre irréversible. Le terme de
peinture
littéraire s’emploie toujours en mauvaise part, c
nne conscience et un estomac robuste à incorporer le plus possible de
peinture
et d’art plastique en général. Le goût fin et cla
ans le Sahara sont bien écrits sous le signe et dans la hantise de la
peinture
, mais aussi dans une liberté qui sait se dégager,
et de la réflexion, nous la trouvons jusqu’à un certain point dans sa
peinture
ingénieuse, mais plus encore dans son style écrit
à la Gautier, et, comme chez Gautier, la transposition possible de la
peinture
à l’écrit. Possible, parce que, plus que Gautier,
rts et des différences, un exercice de comparaison constant, entre la
peinture
et l’écriture ; — une idée analogue de rapports e
ieux ». À ce moment le sens passe de l’extérieur à l’intérieur, de la
peinture
à la poésie : les mots les plus ordinaires suffis
ais des Français qui pensent en français. Les vrais traducteurs de la
peinture
en écriture ne seront pas des peintres, mais des
alie ne montrent qu’une connaissance superficielle des procédés de la
peinture
. Un historien de l’art, M. Venturi, a relevé de f
sque ce livre nous fait regretter fort ceux que remplaça une œuvre de
peinture
tout ordinaire, dont la nécessité ne s’imposait p
itement intelligent, d’un excellent écrivain, à qui la pratique de la
peinture
, l’habileté technique qu’il y a acquise, donnent
is que le métier d’écrivain figure une forme. La comparaison entre la
peinture
de Fromentin et le roman ou la poésie de Sainte-B
bleaux selon votre désir. Ce seront encore des œuvres remarquables de
peinture
. Auront-ils conservé leur poésie ? En face de ces
n ces contemporains de nos maîtres classiques leurs correspondants en
peinture
. Non qu’il abuse, ni même qu’il use avec quelque
nt mettre un peintre dans le courant et le point de vue général de la
peinture
, mais placer la peinture elle-même dans l’ordre e
le courant et le point de vue général de la peinture, mais placer la
peinture
elle-même dans l’ordre et la sympathie des arts,
ours sur le mystère de Rembrandt, mais leur recherche serait comme la
peinture
même de ces peintres une œuvre de patience hollan
jusqu’au bout de l’ In pictura orator , et cherché, en un temps où la
peinture
était encore religieuse, l’essence commune de l’é
e sait plus, une vérité dont la méconnaissance amène l’ankylose de la
peinture
: il ne s’agit pas seulement d’avoir l’idée nette
le jet qui s’en échappe, ces étincelles qui semblent en jaillir ». La
peinture
de Rubens est, comme le discours de Bossuet, un m
e sujet n’y dissipe pas toute l’ombre, et que cette ombre, comme à sa
peinture
, est incorporée au peintre lui-même : « Cet homme
tte ombre puissante qui demeure, chez un Rembrandt, aux limites de la
peinture
. Mais retenons que Fromentin, loué pour avoir por
t contentés de peindre, et les modernes qui ont incorporé à tort à la
peinture
une certaine quantité de pensée discursive. Cette
; il y a cent ans que cela dure. Depuis le jour où Greuze imagina la
peinture
sentimentale. » Or, c’est exactement le contraire
exactement le contraire dans l’art hollandais, aussi bien que dans la
peinture
d’aujourd’hui, qui a donné, à ce point de vue, sa
nt avec une grande hardiesse. D’une part, il paraît regretter dans la
peinture
hollandaise le manque d’intérêt humain et de trag
de distance, le même problème qui se posait pour Fromentin devant la
peinture
orientaliste se pose encore pour lui devant la pe
tin devant la peinture orientaliste se pose encore pour lui devant la
peinture
hollandaise, et toujours avec une solution aussi
ntelligence et l’art, ou, plus exactement, entre la littérature et la
peinture
. Fromentin était un scrupuleux qui a tout fait av
contentement qu’il se témoignait. » Il a porté cette sévérité dans sa
peinture
, sur laquelle il ne se faisait aucune illusion ;
ion sur ce qui a manqué, pour la répandre dans tout le registre de la
peinture
, à la nature plus délicate que vigoureuse de From
analyse, à exposer sa vie intérieure. Cela était beaucoup plus que la
peinture
sa vocation vraie, et cela était aussi la vocatio
s. Probablement l’équivalent en littérature de ce qu’est Fromentin en
peinture
. Celui-ci, en sa clairvoyante sincérité, n’a pas
une très haute idée de lui-même comme peintre ; mais il sait gré à la
peinture
d’avoir organisé sa vie, de l’avoir installé dans
n clarté, ils ressemblent ainsi chez Fromentin aux formes mêmes de sa
peinture
. Dominique offre néanmoins ce caractère de la vi
res des œuvres classiques, et je songe surtout à des classiques de la
peinture
, à un Lorrain et à un Poussin. L’artiste intérieu
cis et timide. J’imaginerais seulement de lui un second volume sur la
peinture
espagnole, qui eût été admirable. De sorte que la
aines passions qui aïent un rapport particulier avec nous, et dont la
peinture
ait des droits privilegiez sur notre attention. L
de Cinna, et qui ne touchera que foiblement le partisan d’Achile. Les
peintures
d’une passion que nous n’avons pas ressentie, ou
s pas trouvez, ne sçauroient donc nous émouvoir aussi vivement que la
peinture
des passions et des situations qui sont actuellem
ont été autrefois. En premier lieu l’esprit n’est gueres piqué par la
peinture
d’une passion dont il ne connoît pas les symptôme
point agité par l’objet même, pourroit-il être vivement touché par sa
peinture
? Comment un homme dont l’esprit est insensible à
e et savamment réfléchie : ce sont de grandes idylles de Théocrite en
peinture
, reconstruites avec l’effort heureux et le sentim
es pas pour le système que préconisaient la plupart des classiques en
peinture
comme en littérature, lesquels recommandaient tou
r de l’Académie de Venise : « Nous avons naturellement beaucoup causé
peinture
, mais nous ne nous entendions pas parfaitement, e
et de l’absence de toute originalité. Il qualifie quelque part cette
peinture
des Italiens modernes d’un seul mot : « On dirait
ette peinture des Italiens modernes d’un seul mot : « On dirait de la
peinture
d’ennuyés. » Ici il en cherche la cause : J’y ai
Il me prend des envies terribles de voir du neuf. Il me semble que la
peinture
vieillit. Peut-être est-ce le défaut des peintres
ne sais si elle vous paraîtra juste. Ce qui frappe et touche dans la
peinture
est un caractère d’énergie, de force dans les hom
mi les classiques d’un ordre à part, et parmi les André Chénier de la
peinture
. Vers la fin, il semble avoir tenté quelque chose
ue chose. Je m’y livre entièrement et sans raison quelquefois, car la
peinture
doit être faite plus simplement. » On aurait pu l
mais ce n’est pas celui qui est connu à Paris. Tout en trouvant cette
peinture
ridicule, absurde et prétentieuse, il y a, à mon
gouverné les peuples dans tous les tems, ont toujours fait usage des
peintures
et des statuës pour leur mieux inspirer les senti
; le gouvernement ne laisse pas de mettre en oeuvre le pouvoir que la
peinture
a naturellement sur les hommes pour contribuer à
de la parole ; cependant Quintilien met en paralelle le pouvoir de la
peinture
avec le pouvoir de l’art oratoire. Le même auteur
icacement l’indignation des juges contre le coupable. On appelloit la
peinture
au secours de l’art oratoire en un tems où cet ar
émus. Enfin il est facile de concevoir comment les imitations que la
peinture
et la poësie nous présentent, sont capables de no
ns sur les autres ; le strapassé, le groupe, la masse, le tumulte, en
peinture
, en sculpture, au théâtre. ô Guyart ! Ton monumen
ise, au défaut d’esprit, d’expression, et de toutes les parties de la
peinture
, c’est vous. Le bon Chardin que vous connaissez m
ge de peintre. Le bon Chardin ne sait pas que si j’avais seulement en
peinture
les connaissances de Descamp, tout pauvre artiste
es draperies qu’il faut voir. une femme de distinction qui secourt la
peinture
découragée.un grand seigneur qui ne dédaigne pas
Il y a de la couleur et de l’expression. La tête et la poitrine de la
peinture
sont comme d’un ancien maître. un saint Louis . e
ut aussi plat que le premier. Il y a des physionomies malheureuses en
peinture
, le Christ et st Louis ont tous les deux été port
bb, écrivain élégant et homme de goût, dit dans ses réflexions sur la
peinture
, que les sujets tirés des livres saints ou du mar
emanderait pourquoi Hercule étouffant le lion de Némée serait beau en
peinture
, et Samson fesant la même action déplairait ? Pou
te des peines réelles et des afflictions veritables ? La poësie et la
peinture
en viennent à bout. Je ne prétends pas soutenir q
es. Quoi qu’il en soit, ces phantômes de passions que la poësie et la
peinture
sçavent exciter en nous émouvant par les imitatio
réel agit sur nous. Voilà d’où procede le plaisir que la poësie et la
peinture
font à tous les hommes. Voilà pourquoi nous rega
tous les hommes. Voilà pourquoi nous regardons avec contentement les
peintures
dont le merite consiste à mettre sous nos yeux de
xcès. On cite aussi un bel esprit du dernier siecle qui, trop ému des
peintures
de l’Astrée, se crut le successeur de ces bergers
vit le conseil et l’appliqua immédiatement en jugeant l’Exposition de
peinture
et de sculpture, comme il fit bientôt pour les œu
core que de malice, reconnaissons-le sans honte et sans confusion, sa
peinture
n’est que médiocre et ne possède guère que des qu
. » Puis, évoquant, selon son habitude, les plus grandes œuvres de la
peinture
, les toiles les plus diverses consacrées par l’ad
sa haute satisfaction et sa joie. F. de ceux qui ne cherchent dans la
peinture
que leur plaisir ! ce sont des sensuels qui ne l’
re mon apprentissage après eux. L’art est une convention, l’art de la
peinture
particulièrement. Horace Vernet aimait que ce fût
a appelé un trompe-l’œil, comme si ce n’était pas une rare qualité en
peinture
, la première dans un art d’imitation, que d’imite
n usage, et qui marquaient assez finement ce qu’il sentait. Devant la
peinture
trop travaillée, trop tripotée comme on dit, cell
t vu. Mais cela jurait ; c’était une tache blanche au milieu de cette
peinture
trop poussée de ton et d’effet. « Enfin, mon cher
e-toi une délicieuse décoration d’opéra, tout de marbre blanc, et des
peintures
de couleurs les plus vives d’un goût charmant, de
de Flandrin ; chaque mot marque bien la différence qu’il y a entre la
peinture
que j’appelle immédiate et la peinture réfléchie
différence qu’il y a entre la peinture que j’appelle immédiate et la
peinture
réfléchie : « Ce qu’il faut louer encore, dit l’h
Chapitre III. Partie historique de la
Peinture
chez les Modernes. La Grèce raconte qu’une jeu
res de l’Église ne tarissent point sur les éloges qu’ils donnent à la
peinture
. Saint Grégoire s’exprime d’une manière remarquab
evons montrer, c’est en quoi le christianisme est plus favorable à la
peinture
qu’une autre religion. Or, il est aisé de prouver
chrétienne, étant d’une nature spirituelle et mystique, fournit à la
peinture
un beau idéal, plus parfait et plus divin que cel
Shighénobou. Le style appelé Hokousaï-riou est le style de la vraie
peinture
Oukiyoyé, la peinture naturiste, et Hokousaï est
e appelé Hokousaï-riou est le style de la vraie peinture Oukiyoyé, la
peinture
naturiste, et Hokousaï est le vrai et le seul fon
einture naturiste, et Hokousaï est le vrai et le seul fondateur d’une
peinture
qui, prenant ses assises dans la peinture chinois
et le seul fondateur d’une peinture qui, prenant ses assises dans la
peinture
chinoise, est la peinture de l’école japonaise mo
e peinture qui, prenant ses assises dans la peinture chinoise, est la
peinture
de l’école japonaise moderne. Et son œuvre, lors
ier des maisons publiques, et qui peignait dans son établissement des
peintures
de 16 ken (32 mètres) chaque fois que Hokousaï fa
I-itsou. N’ayant pas eu assez de temps pour donner les modèles de la
peinture
à ses élèves, il en fit graver des volumes qui, p
ard, obtinrent beaucoup de succès. Il fut encore très habile dans la
peinture
dite Kiokou yé, peinture de fantaisie, faite avec
e succès. Il fut encore très habile dans la peinture dite Kiokou yé,
peinture
de fantaisie, faite avec des objets ou des servic
admirablement bien avec sa main gauche, ou bien de bas en haut. Et sa
peinture
faite au moyen des ongles de ses doigts était tou
re témoin soi-même du travail de l’artiste, sans quoi on eût pris ses
peintures
à l’ongle pour des peintures faites avec des pinc
de l’artiste, sans quoi on eût pris ses peintures à l’ongle pour des
peintures
faites avec des pinceaux. « Après avoir étudié
près avoir étudié, dit-il quelque part, pendant de longues années, la
peinture
des diverses écoles, j’ai pénétré leurs secrets e
cueilli tout ce qu’il y a de meilleur. Rien n’est inconnu pour moi en
peinture
. J’ai essayé mon pinceau sur tout, et je suis par
t, et publié d’après le manuscrit des Séances de l’Académie Royale de
Peinture
, provenant de la bibliothèque d’un portier, ramas
dépendant du passé ! Voici le peintre qui a victorieusement enlevé la
peinture
de son pays aux influences persanes et chinoises
re de son pays, dans une réalité échappant aux exigences nobles de la
peinture
de là-bas ; voici enfin le passionné, l’affolé de
s paysages d’arbres à fleurs, tenant sa pensée dans les beautés de la
peinture
, la route du pauvre dans des paysages désolés, au
upe de deux Japonais arrêtés devant un kakémono, dont l’un regarde la
peinture
et l’autre regarde les femmes. Un Japonais dans u
nos sur la vie japonaise, je crois bien que c’est la seule fois où sa
peinture
a été richement payée, car ses dessins pour l’ill
insi la préface : « Ceux qui ont rendu la beauté de ces paysages en
peinture
ou en poésie sont le dessinateur Hokousaï et le p
la plus rigoureuse, et qui fait tomber absolument l’allégation que la
peinture
japonaise n’a pas le sentiment de la perspective.
a suite du bruit qu’avait fait l’improvisation en public d’une grande
peinture
d’un Darma par Hokousaï, deux ans auparavant, il
tent à la fleur ; un style parent du style que nos vieilles écoles de
peinture
de l’Europe mettaient à la représentation de l’hu
animaux, il y a une dizaine d’années, de l’imposition d’un dollar. La
peinture
les représente d’habitude, sous un rayon de lune,
e, dessins d’un format relativement très petit, les adversaires de la
peinture
vulgaire déclaraient que les petites choses que p
t ses amis lui vinrent en aide pour exécuter en public une formidable
peinture
, — un Darma d’une bien autre proportion que celui
n 1804. Ce fut le cinquième jour du dixième mois de l’année que cette
peinture
eut lieu devant le temple de Nishighakéjo, et la
de largeur sur 180 de hauteur, ce qui faisait à l’artiste un champ de
peinture
de 194 mètres. Et, pour que le papier pût rester
’on put surélever l’échafaudage et accrocher complètement en l’air la
peinture
. Cette séance fit éclater le nom d’Hokousaï comme
on parfumée qui chasse le sommeil. Ce ne fut pas la seule grandissime
peinture
que peignit Hokousaï. Plus tard il peignit, à Hon
homme de Yédo, appelé Hokousaï, adonné depuis de longues années à la
peinture
, et qui remplit ces trois conditions. » Et la pré
dans mon étude sur Outamaro, a une œuvre érotique, a ses shungwa, ses
peintures
de printemps. Et je parlais alors de la peinture
a ses shungwa, ses peintures de printemps. Et je parlais alors de la
peinture
érotique de l’Extrême-Orient, « de ces copulation
insi que vous regarderiez des panneaux recouverts de la plus sérieuse
peinture
à l’huile. Non, rien ne peut donner une idée de l
temps passe rapide comme la flèche, et vous m’avez demandé que cette
peinture
vous soit livrée dans le second mois. Si le texte
ier volume, un moment, il nous entretient du procédé hollandais de la
peinture
à l’huile de l’Europe, disant : Dans la peinture
édé hollandais de la peinture à l’huile de l’Europe, disant : Dans la
peinture
japonaise, on rend la forme et la couleur, sans c
ôtéi, Hokkei, et où le préfacier fait ainsi l’éloge d’Hokousaï : « La
peinture
est un monde à part et celui qui veut y réussir d
énétré le mystère de l’art ; enfin c’est l’unique grand peintre de la
peinture
ancienne et de la peinture moderne. Depuis des an
; enfin c’est l’unique grand peintre de la peinture ancienne et de la
peinture
moderne. Depuis des années il a donné des albums
i comprend tout ce qui touche à l’encre de Chine ou à l’aquarelle, la
peinture
japonaise de son pinceau, je vais essayer de sign
L. 52. Trois grandes lanternes posées l’une à côté de l’autre. De la
peinture
décorative enlevée rapidement. Non signé. H. 118.
Narihira, Ohtomo no Kouronoushi, Boun-ya no Yasouhidé, Sôjô Hénjô.
Peintures
décoratives enlevées d’un pinceau rapide. Signé K
l injecté de sang, attachées par une cordelette à une tige de bambou.
Peinture
qu’on sent faite d’après nature, sur un morceau d
un morceau de soie entièrement recouverte de gouache, et qui joue la
peinture
à l’huile. Signé : Manji, vieillard de 88 ans (18
ation d’une queue de paon et sur laquelle neige un prunier en fleurs.
Peinture
à la gouache, jouant la peinture à l’huile, sur u
laquelle neige un prunier en fleurs. Peinture à la gouache, jouant la
peinture
à l’huile, sur une planchette destinée à être att
’encre rouge, sauf les yeux, et le trait serpentant de la bouche. Ces
peintures
sont, je crois, considérées au Japon comme des pr
saï. Collection Bing. Diables s’abritant sous le chapeau de Shôki.
Peinture
aux anatomies fragmentées, et aux colorations bru
ons brutales non fondues, et ressemblant à des morceaux de mosaïque :
peinture
typique du faire des dernières années d’Hokousaï.
ion Gonse. Hotei couché à terre, enfonçant les mains dans son sac.
Peinture
d’un grand relief, aux délicats détails du costum
son carquois et le manche d’un de ses deux sabres. Spécimen d’une des
peintures
les plus parfaites et les plus travaillées d’Hoko
qui dessine la molle et ressautante ligne de son dos. Très originale
peinture
où, dans la pénombre verdâtre de la moustiquaire,
due et projetée en bas comme s’il s’apprêtait à fondre sur une proie.
Peinture
au cruel dessin de la tête, au solide noir et au
nds efforts son arc. M. Anderson dit dans son catalogue que c’est une
peinture
d’une grande vigueur et très expressive dans les
e peinture d’une grande vigueur et très expressive dans les figures :
peinture
exécutée dans l’année où Hokousaï illustrait la s
kémono porte une inscription du petit-fils de Bakin, disant que cette
peinture
, conservée dans sa famille, avait été exécutée au
Okamé et la hideur du diable épouvanté, est une des plus remarquables
peintures
du maître en Angleterre. Il est signé Manji, et p
de douze, et formant les panneaux d’un paravent, ont pour titre : Les
Peintures
des six tamagawa (des six rivières du même nom, d
cédés d’aquarelle pareils aux dessous que nous faisons en Europe à la
peinture
à l’huile, dessous sur lesquels nous revenons ave
n qu’en a fait L’Art japonais. LVI. Éventails, écrans, paravents,
peintures
de pardessus Un album de douze dessins d’évent
enlevé d’un pardessus appelé haori au Japon, où l’on aime à avoir la
peinture
d’un homme célèbre dans le dos, et qui se voit se
là de la couleur qui met un peu du rêve dans une reproduction, par la
peinture
, d’un être. À Londres, chez M. S. M. Samuel, il y
ment bien avec sa main gauche, et de bas en haut. Il ajoute : « Et sa
peinture
, au moyen de ses ongles, était tout à fait étonna
tre témoin soi-même du travail de l’artiste, sans quoi on eût pris sa
peinture
à l’ongle pour de la peinture avec un pinceau. »
de l’artiste, sans quoi on eût pris sa peinture à l’ongle pour de la
peinture
avec un pinceau. » J’avoue que j’avais une certai
e Gonkin de Chicago. En outre, le musée de Chicago, indépendamment de
peintures
originales, renferme une nombreuse réunion de liv
ose), comme s’il voulait exprimer le regret de n’avoir fait que de la
peinture
depuis sa jeunesse ; il signe encore : Guetti rôj
à que l’exécution d’un beau dessin ne tient pas aux instruments de la
peinture
, à d’excellents pinceaux, mais est tout entière d
gne, Hokousaï l’a adopté un temps pour sa signature. 31. Rouleau de
peinture
qui, contrairement au kakémono, se déroule dans s
ion tragique. Nous avons déja dit que les églogues empruntoient leurs
peintures
et leurs images des objets qui parent la campagne
ouvoir, et qu’il faut pour nous émouvoir mettre sous nos yeux par des
peintures
les objets dont il nous parle. Un des plus grands
borne aux raisons concluantes. Ce discours est rempli d’images et de
peintures
, et c’est à notre imagination qu’il parle contre
un poëme vient de la convenance et de la continuité des images et des
peintures
que ses vers nous présentent. Le caractere de la
le tudesque ne dessine rien que d’imparfait et d’estropié. Toutes ses
peintures
sont des tableaux gothiques. De là vient le seul
a eu peu de peintres de l’art pour l’art, pour la vérité seule de la
peinture
. Un écrivain de plus d’expérience de la vie, du m
stre individuel avec le sentiment qu’ils auraient dû mettre dans leur
peinture
pour qu’une telle horreur fût sauvée par la beaut
eur peinture pour qu’une telle horreur fût sauvée par la beauté de la
peinture
et par l’impression, tragiquement morale, qu’elle
des sujets les plus dangereux par la passion et par l’accent de leur
peinture
. Or, c’est là ce qui manque à MΜ. Fervaques et Ba
n roman. Mais j’exige pourtant que l’on sente à quelque chose dans la
peinture
qu’une conscience morale s’agite dans le peintre
différents à tout ce qui n’est pas la couleur et la plastique de leur
peinture
, et avec une impassibilité plus légère, mais auss
aussi positive que celle de Flaubert, le plus fieffé matérialiste de
peinture
qu’il y ait dans ce temps de matérialisme en tout
e qui passe, — qui demain sera passé, — voilà où gît l’intérêt de ces
peintures
, qui fixeront les modes, les manies, les engoueme
après en avoir été le parti jacobite, voulut nous en faire une forte
peinture
dans des romans qui portèrent hardiment ce nom. M
De la
peinture
A propos d’une lettre de M. J.-F. Raffaëlli
es soulèvent la question du but, c’est-à-dire de l’essence même de la
peinture
. Elles seront envisagées et discutées à ce point
on arrive à cette page d’un grand souffle sur la nécessité où est la
peinture
de travailler à représenter l’homme et toutes sor
lli et comment elle détermine une conception toute particulière de la
peinture
. M. Raffaëlli, dominé d’une sympathie humaine qui
me : Balzac. Caractère de l’homme. Lacunes de l’œuvre : sa puissance.
Peinture
de caractères généraux dans les conditions bourge
l’action littéraire, qui consiste à décrire son mal. Cette singulière
peinture
d’une volonté impuissante pour des raisons métaph
r : de récit apocryphe le roman historique devient ou prétend devenir
peinture
exacte, évocation : c’est l’éveil du sens histori
déal policier, Jean Valjean, l’idéal racheté, dégradent la pathétique
peinture
de la barricade. 2. Roman lyrique. George Sand
Héloïse ; il y a plus d’objectivité, de calme impersonnel dans cette
peinture
de l’amour matant, polissant, affinant une brute
sans scrupule toute cette existence : dans le Marquis de Villemer, la
peinture
d’un amour réciproque qui naît insensiblement, se
uent, dont le caractère se défait et se refait. Voyez dans Mauprat la
peinture
de ce brigand qui se civilise comme un cheval qu’
mancier : dans son domaine, rien ne l’égale ; et ce domaine, c’est la
peinture
des caractères généraux dans les classes bourgeoi
es. Il a pour principe que tous les hommes tendent au bonheur ; et la
peinture
de la vie, c’est pour lui la peinture des moyens
mmes tendent au bonheur ; et la peinture de la vie, c’est pour lui la
peinture
des moyens qu’ils choisissent pour s’y diriger. L
n ses éléments par une opération délicate et précise. Tout ce qui est
peinture
extérieure, description physique, paysage, ne tie
s laissent incrédules et étourdis. Cependant il y a dans ce roman une
peinture
fine et serrée de l’Italie après 1815, de ces pet
. Il publie, en 1817, Rome, Naples et Florence, et une Histoire de la
peinture
en Italie ; en 1822, son Essai sur l’Amour, et sa
en que nous en dirions. Je suis aussi bien fâché que ces morceaux de
peinture
qui ont la fraîcheur et l’éclat des fleurs soient
ar l’acide de l’air. Cet acide est si puissant qu’il ternit jusqu’aux
peintures
de la porcelaine. L’art de donner à la peinture d
’il ternit jusqu’aux peintures de la porcelaine. L’art de donner à la
peinture
des couleurs durables est presque encore à trouve
umain, et que nous regrettons. Quelle a été la première origine de la
peinture
et de la sculpture ? ce fut une jeune fille qui s
e goût aux Entretiens de Fontenelle sur la pluralité des mondes, à la
peinture
de Watteau et de Lancret. Elle représente, dans l
istiques des mœurs du xviiie siècle ne se reconnaissent pas dans ses
peintures
. Il efface la brutalité et la polissonnerie, qui
ur le sujet de sa comédie. Il l’avait employé à former le cadre de la
peinture
des mœurs ou des caractères ; ou bien il en avait
ce marchandage même, cette défense du moi, qui fait la réalité de la
peinture
. L’amour des comédies de Marivaux n’est en son fo
écution n’annulent point l’importance de l’idée première. Laissant la
peinture
du monde et des ridicules mondains, La Chaussée p
alité, la niaise psychologie, l’optimisme attendri. On conçoit que la
peinture
des mœurs mondaines lui échappe : il se complaît
revendiquant sa part de paternité : il écrivit sa Métromanie (1738),
peinture
trop chargée d’un travers trop spécial, et dont v
de la comédie de caractère. La comédie plaisante se renferme dans la
peinture
des ridicules mondains : cette peinture est à l’o
plaisante se renferme dans la peinture des ridicules mondains : cette
peinture
est à l’ordinaire sans largeur et sans couleur, s
est passionnément dévouée. Il l’aime un temps, puis est repris par la
peinture
, se détache de sa compagne, la fait horriblement
outrance bête, qui nous sont aujourd’hui insupportables. Ils parlent
peinture
ou littérature avec les mêmes cris, les mêmes tap
rrêtait par un bouton de son paletot en lui répétant que cette sacrée
peinture
était un métier du tonnerre de Dieu. » — « Ça y e
le père Ingres, tu sais s’il me tourne sur le cœur, celui-là, avec sa
peinture
glaireuse ? Eh bien, c’est tout de même un sacré
pas seulement un artiste amoureux de son art : c’est un possédé de la
peinture
, un fou, un démoniaque en qui la passion unique a
us sommes enchantés de voir se pendre enfin cet Arpin-Prométhée de la
peinture
impressionniste De même, pour que Christine soit
quoi M. Zola a fait de son héros un peintre ? C’est sans doute que la
peinture
l’a toujours intéressé et que les théories, les v
, l’emporte comme une proie… Elle le force à blasphémer. « Dis que la
peinture
est imbécile La peinture est imbécile. » Mais bi
e… Elle le force à blasphémer. « Dis que la peinture est imbécile La
peinture
est imbécile. » Mais bientôt, quand Christine est
le. Carle est mort. Il y a de Michel deux ovales représentant l’un la
peinture
, l’autre la sculpture. Ils ont chacun 3 piés 8 po
s approuvez cette sculpture impératrice, vous blâmerez du moins cette
peinture
bourgeoise, qui lui fait pendant ? " cette premiè
perie lâche et moins arrangée et son regard attaché sur le buste ? La
peinture
de Michel est assise devant son chevalet ; on la
es sont grandes comme nature et louables par toutes les parties de la
peinture
. Celui-cy est l’inverse de La Grenée. Son talent
perdu un bon ami. cela vaut bien un bon tableau. Mais laissons-là la
peinture
, mon ami, et faisons un peu de morale. Pourquoi l
tistes qui voient jusqu’où cet homme a surmonté les difficultés de la
peinture
et pour qui c’est tout que ce mérite qui n’est gu
. Les autres n’en font nul cas. Au reste ce peintre est à peu près en
peinture
ce que l’Arioste est en poésie. Celui qui est enc
a un faire qui lui appartient tellement, que dans quelque morceau de
peinture
qu’on lui donnât une figure à exécuter, on la lui
et qui le servit toujours, lui conseillèrent de ne pas abandonner la
peinture
, même en continuant de graver. Les événements de
elle il touchait presque avec certitude. Il se retourna alors vers la
peinture
, luttant contre les circonstances pénibles avec l
s sa bouche ; et puis, enfin, on voit le caractère des gens dans leur
peinture
; je trouve qu’elle n’a pas l’ombre de sentiment,
mme entièrement différent, par le ton, de ses camarades les élèves en
peinture
. Les premières de ses lettres, écrites de Rome à
pour rechercher dans ce qui a été fait le caractère et le type de la
peinture
historique ! tout est connu par lui, tout a été c
et comme un ami. Il y a dans Léopold Robert et dans sa théorie de la
peinture
, à mesure qu’il avance, quelque chose de Vauvenar
ux de la pensée et de ce qui donne à réfléchir ; il n’est pas pour la
peinture
qui parle moins au cœur qu’aux yeux. Il croit que
tyle. On a remarqué qu’à cet égard, il est de l’école de Despréaux en
peinture
; il efface, il corrige sans cesse, et n’est cont
es tableaux. Quoi, me dira-t-on, plus on est ignorant en poësie et en
peinture
, plus on est en état de juger sainement des poëme
n sentiment a été émoussé par l’obligation de s’occuper de vers et de
peinture
, d’autant plus qu’il aura été souvent obligé à éc
on sans aucun égard aux parties de l’art qu’il n’a point. Un poëte en
peinture
tombera dans la même erreur en plaçant au-dessous
inairement d’être le premier de ses contemporains. En poësie comme en
peinture
, on a peine à souffrir l’ombre de l’égalité. Cesa
qu’il a étendu la sphère des images poétiques, sans nous priver de la
peinture
des mœurs et des passions, telle qu’elle existait
Bataille d’Alexandre contre Darius. Trois Silènes. Genre grotesque et
peinture
à fresque. Ici Pline parle de Pyréicus, qui peign
urs des palais et des temples, des paysages et des marines. Parmi les
peintures
à fresque de ce genre, la plus célèbre était conn
t il soit fait mention dans l’antiquité, et encore n’était ce que des
peintures
à fresque. Nous reviendrons dans une autre note s
intures à fresque. Nous reviendrons dans une autre note sur ce sujet.
Peinture
encaustique. Pausanias de Sicyone. L’Hémérésios,
iquité n’offre pas un seul tableau de paysage, si l’on en excepte les
peintures
à fresque. Il se peut faire que quelques-uns des
m, on n’a rien trouvé qui pût porter à croire que l’ancienne École de
peinture
eût des paysagistes. On voit seulement, dans le T
raie nature. Les voûtes des thermes de Titus, dont Raphaël étudia les
peintures
, ne représentaient que des personnages. Quelques
es divinités, n’ont point su rendre la nature. Quelques-unes de leurs
peintures
que l’on voit encore sur les murailles de leurs t
montrer en chaque toile par une reproduction des plus fidèles. Chaque
peinture
, chaque fresque, on croit la voir à la manière do
x grecs ; il faut les deviner. Au lieu d’appliquer le Quintilien à la
peinture
, que n’y a-t-on appliqué à temps le Théophile Gau
r d’argent. Et plaignez-vous ! II. Théophile Gautier s’est fait de la
peinture
une idée particulière qui n’est pas celle de tous
justice aux sentiments et aux intentions épurées de ce « poète de la
peinture
» comme il l’appelle, il ne l’a loué en toute sin
our desquels sa plume s’est le plus jouée. En général, littérature ou
peinture
, Théophile Gautier est un Français légèrement rév
er que le chef-d’œuvre national. Cette manière de sentir se répète en
peinture
. Il y a une sorte de gris (c’est son mot) dans l’
f de l’art anglais, à le prendre depuis Reynolds jusqu’à Landseer. La
peinture
anglaise, à l’état d’école libre et individuelle,
e qu’on peut dire, tout ce que peut-être j’ai dit moi-même, sur cette
peinture
écrite. Il y a du trop ; il y a des jours où la c
ilieu de la course. Un jeune homme ne sçauroit faire dans l’art de la
peinture
tout le progrès dont il est capable, si sa main n
ne sçaurions faire rien de bien, dit Du Fresnoi, dans son poëme de la
peinture
, si notre main n’est pas capable de mettre sur la
joûter une refléxion ; c’est que le génie de la poësie et celui de la
peinture
n’habitent point dans un homme d’un temperament f
s plus vives. L’histoire des grands artisans, soit en poësie, soit en
peinture
, qui n’ont pas fait naufrage sur les écueils dont
avoir été cause que l’évêque d’Alba se soit surpassé lui-même dans la
peinture
qu’il nous donne des inquiétudes et des transport
t le sujet de toutes les recherches théoriques sur la statuaire et la
peinture
comme sur la poésie, recherches qui constituent c
ilosophie de l’art. C’est-à-dire que l’architecture, la statuaire, la
peinture
et la musique doivent fournir leur contingent d’o
ource dans le sentiment exagéré de la supériorité de la poésie sur la
peinture
. Les arts de la parole régnaient alors si souvera
littérateurs et les artistes ne pouvait naître qu’à une époque où la
peinture
tiendrait plus de place dans les préoccupations d
derot, par ses articles si brillants sur les premières expositions de
peinture
, dirigea vers les tableaux et les statues l’atten
arts. L’origine sensualiste de cette faveur qui entoura chez nous la
peinture
et la musique depuis Rousseau et Diderot vicia dè
céder beaucoup de celle du public. Peut-être même l’importance de la
peinture
et de la musique dans la hiérarchie intellectuell
es autres, tendit dès lors à se produire et dans la poésie et dans la
peinture
et dans la musique. Notre époque l’a vu éclater j
doute la poésie avait beaucoup à gagner à vivre plus rapprochée de la
peinture
, et celle-ci à fréquenter la poésie et la philoso
onies. Sous prétexte qu’une pensée mystique était le support de toute
peinture
au moyen âge, et s’exagérant la part que la scien
nt tellement répudié, en faveur du symbolisme, le charme propre de la
peinture
, que leurs tableaux ont réalisé, pour nos yeux, l
temps que l’on se préoccupait si fort de l’idée et du symbole dans la
peinture
et dans la musique, on s’inquiétait beaucoup de l
n effet sur la vue et sur le toucher. La poésie luttait ainsi avec la
peinture
dans le monde de la sensation, comme la peinture
uttait ainsi avec la peinture dans le monde de la sensation, comme la
peinture
voulait lutter avec la poésie dans le monde de la
le résultat final de ces empiétements téméraires de la poésie sur la
peinture
. De leur côté, tout en affectant un genre de sign
ion d’émettre leurs idées dans les mêmes conditions que la parole, la
peinture
et la musique, sorties aussi de leur voie légitim
e est brusquement intervenue. L’histoire comparée de la poésie, de la
peinture
, de l’architecture, de la musique, en montrant co
nt de la réalité physique, un de ceux qu’on a nommés plastiques, à la
peinture
, et dans la peinture, au genre qui semble avoir p
ique, un de ceux qu’on a nommés plastiques, à la peinture, et dans la
peinture
, au genre qui semble avoir pour condition plus pa
rester, pour ainsi dire, les plus adhérents, sont la sculpture et la
peinture
. Ce n’est, en effet, qu’à des époques relativemen
générale de l’édification du temple, il ne se divisait pas encore en
peinture
et en statuaire. Les représentations des objets p
mps qu’on ne l’avait cru jusqu’aux récents travaux archéologiques. La
peinture
, art qui suppose un plus grand raffinement de l’a
et du culte primitif, bien avant que l’architecture, la statuaire, la
peinture
, se fussent séparées en trois rameaux distincts.
s l’un de l’autre, celui de l’art plastique, architecture, sculpture,
peinture
, symbole de la nature inorganique et de la nature
res arts enveloppés dans la synthèse génératrice ; la sculpture et la
peinture
ne s’exercent que sur ses constructions massives.
confiés aux mémoires profanes et qui s’effacent aujourd’hui avec les
peintures
et les bas-reliefs des cavernes mystiques, à part
uit de ses hymnes n’en a jamais franchi l’enceinte. Ainsi, en Égypte,
peinture
, sculpture, poésie, musique, philosophie même, l’
vancées et déjà pleinement historiques, nous trouvons dans ce pays la
peinture
et la statuaire encore dépendantes de l’architect
s peints indépendamment d’une destination monumentale. Jusqu’alors la
peinture
murale existait seule. La première mention de la
rs la peinture murale existait seule. La première mention de la vraie
peinture
, d’une peinture qui ne fût pas le bas-relief colo
urale existait seule. La première mention de la vraie peinture, d’une
peinture
qui ne fût pas le bas-relief colorié comme dans l
ylées. Quoique la Grèce ait, pour ainsi dire, créé la statuaire et la
peinture
comme arts distincts entre eux et séparés de l’ar
es arts telle qu’elle nous a été transmise : architecture, statuaire,
peinture
, musique, poésie. Au sein de la poésie même se di
l’épopée, est encore, au drame moderne, ce que la statuaire est à la
peinture
. Madame de Staël, la première, a, dans son roman
an de Corinne, développé cette idée : qu’entre les arts plastiques la
peinture
est l’art chrétien et moderne, tandis que la stat
t méritait d’être poursuivie plus profondément dans ses analogies. La
peinture
est, en effet, la forme appropriée au génie de l’
t aussi spiritualiste que Raphaël. Ce qu’il y a de vrai, c’est que la
peinture
est plus analytique, elle descend plus avant dans
à la réunion de diverses figures dans une scène un peu compliquée. La
peinture
groupe les sentiments et les figures ; c’est un a
n art à la fois plus analytique et plus collectif. C’est parce que la
peinture
analyse davantage les sentiments, c’est parce qu’
r s’imprimer dans la solidité du bronze et du marbre. Aussi, quand la
peinture
veut affecter le grand style, l’allure héroïque,
ent la statuaire. Le genre dramatique est dans la poésie ce qu’est la
peinture
entre les arts plastiques, le plus approprié à l’
dernière transformation en se faisant démocratique et vulgaire par la
peinture
et par le drame. Nous pourrions maintenant prendr
par la peinture et par le drame. Nous pourrions maintenant prendre la
peinture
et le drame à leur naissance, comme arts distinct
on ne voit pas la poésie cherchant à s’emparer de la plastique, et la
peinture
voulant être une philosophie, comme nous l’avons
lus clairs, plus révélateurs, plus propres à l’enseignement, comme la
peinture
et la poésie. Si, de son ancien rôle subordonné,
le ; mais, si les caractères qui lui sont propres s’insinuent dans la
peinture
et dans la poésie, elle fait perdre à ces arts le
sans idéal, de l’aspect matériel des choses. Prenons exemple dans la
peinture
. À l’époque où, sur les murs des temples de l’Égy
les lignes principales sont indiquées au ciseau, on peut dire que la
peinture
n’existe pas encore. À une autre extrémité des te
trémité des temps et des méthodes, lorsqu’au-delà du paysage et de la
peinture
de genre l’art de manier le pinceau s’applique à
e triomphe de l’esprit humain, n’est-ce pas en réalité l’agonie de la
peinture
? Parmi les artistes qui triomphent ainsi de la n
le commencement du seizième siècle comme l’époque de perfection de la
peinture
. L’état de l’art à cette époque sera donc pour no
la décrépitude. À ce moment classique qui porte le nom de Raphaël, la
peinture
de genre est inconnue, le paysage lui-même n’exis
bleau coexistent et se modifient par les qualités l’un de l’autre. La
peinture
murale a pris plus de mouvement et de variété, le
e de progrès. Que faisons-nous en France depuis soixante ans, dans la
peinture
, dans la poésie, et je puis ajouter heureusement
éal : à cette condition seulement, le but de l’art est atteint. Toute
peinture
qui n’a d’autre mérite que la ressemblance trivia
ne femme a toujours passé pour ce qu’il y a de plus difficile dans la
peinture
. Il est plus aisé d’imiter exactement des rides,
s plastiques ; elle se manifestait au milieu de la sculpture et de la
peinture
dans le temple dont elle était la voix. Les arts,
et la musique, le rythme, le nombre, la mesure, l’harmonie ; comme la
peinture
et la sculpture, elle employait les figures, les
le type de l’Être sous une forme plus générale que la statuaire et la
peinture
. Or, cette loi des rythmes qui préside à l’archit
du spectacle frappe l’homme et le rend sérieux. Le vrai poète dans la
peinture
des misères morales s’applique à tout ce qui peut
moins se maintient presqu’à la noblesse de l’épopée ; c’est encore la
peinture
des grandes et sérieuses passions et par conséque
, à mesure que le drame entre plus avant dans les faits vulgaires, la
peinture
du vice et des laideurs devient prédominante et l
ple, empiètent les uns sur les autres. On ne sait plus où commence la
peinture
et où finit la poésie. La musique a la prétention
me de l’écrivain. Le style est une condition commune à tous les arts,
peinture
, statuaire, architecture, musique ; mais c’est da
ler de sa libre fantaisie à l’observation des grandes lois. Ainsi, la
peinture
de Rembrandt est empreinte d’une personnalité ext
té extrêmement forte ; elle est certainement plus individuelle que la
peinture
de Raphaël ; on ne dira jamais, cependant, que Ra
outes ces qualités enfin qu’on retrouve dans les écrits comme dans la
peinture
et la statuaire des époques dont le style est pro
rien dans la création ne trouvera grâce devant son rire. II La
peinture
des difformités et du mal n’est admissible dans l
rt des génies ironiques, presque tous ceux qui se complaisent dans la
peinture
des travers et des ridicules, tombent vite dans c
ne pouvait écrire qu’à Athènes, Molière qu’à Paris. La comédie est la
peinture
des travers de toute espèce qui enlaidissent la n
uelle influence exerce l’ironie sur notre âme. Est-il bien sûr que la
peinture
des difformités d’autrui que la raillerie déverse
ce pas, au contraire, sous le charme sympathique d’une noble et digne
peinture
issue de l’amour et du respect ? La moquerie et l
ment de notre perfection ? Quel profit avons-nous donc à attendre des
peintures
moqueuses ? Un seul ; nous gagnons à les contempl
ourtant certaine crainte, certain désir que nous éprouvons devant les
peintures
comiques. Ce n’est pas la crainte du vice et le d
t moral serait encore bien faible à côté de celui que peut exercer la
peinture
du beau sérieusement et sympathiquement faite. La
ère, c’est précisément le contraire de la crainte, c’est l’amour. Les
peintures
ironiques, quand leur résultat serait de faire na
ion et de sceptique ironie. V Les arts et la poésie, dans leurs
peintures
les plus sublimes et les plus monstrueuses, ont t
Appartient à l’ordre ironique toute œuvre dans laquelle intervient la
peinture
du mal, quelle que soit la manière dont le poète
souvenir, de toute apparence du mal, que l’hilarité provoquée par des
peintures
fines et moqueuses ? Quoi de plus séduisant pour
humaine ; mais elle en parle avec tristesse. Dans cet art moderne, la
peinture
des difformités occupe sans doute une large place
christianisme qui a permis à l’art de faire un plus grand usage de la
peinture
du mal et des difformités, en lui révélant la man
nne de l’ironie, qui se confond presque avec l’enthousiasme, et où la
peinture
du mal ne sert qu’à donner un relief plus vigoure
ailleurs, en traitant cette question du comique chez les anciens, les
peintures
physiques des peintures morales, les arts plastiq
tte question du comique chez les anciens, les peintures physiques des
peintures
morales, les arts plastiques de la poésie. Dans l
l’art antique, les Grecs ont les premiers introduit dans la poésie la
peinture
de la difformité morale, en l’isolant de ce mélan
yen âge, tous les temps chrétiens, l’ont si bien compris, que dans la
peinture
et dans la poésie le rire est devenu le trait car
a scène tout seul ; qu’il est toujours avoisiné, souvent enveloppé de
peintures
sublimes. Ainsi, dans la pensée de l’auteur de Cr
la cathédrale, image du monde, les représentations difformes avec les
peintures
sublimes, les figures des diables et des damnés,
sceptique de la difformité ; il n’osait jamais aborder franchement la
peinture
du mal dans toute sa laideur, de peur d’être obli
araît comme irrévocablement condamné. Les Grecs ne poussent jamais la
peinture
du difforme jusqu’à l’horrible, jusqu’au terrifia
t réduisent la poésie à n’être plus qu’une impuissante écolière de la
peinture
. La combinaison de ces deux vieilleries ne saurai
erniers poètes latins, et, loin de remarquer chez eux l’absence de la
peinture
du travail, vous trouverez au contraire que c’est
fonctions industrielles seulement la place qu’elles méritent dans une
peinture
de la véritable destinée de l’homme, de sa destin
vient, au contraire, de jour en jour plus impropre à figurer dans les
peintures
soumises aux conditions de l’art, plus impropre à
’ils se refusent chaque jour davantage aux exigences éternelles de la
peinture
et de la statuaire et s’éloignent de plus en plus
cité et d’élégance dans les lignes, ne peut pas être reproduit par la
peinture
et la statuaire dans les conditions de l’art. 3º
de la forme et de la pensée ? C’est que l’art tout entier, statuaire,
peinture
, architecture, poésie, nous pourrions ajouter pol
L’idée de l’infini est du domaine de la poésie et de la musique ; la
peinture
, la statuaire, l’architecture elle-même, ont pour
comme tout mouvement mécanique, ne peuvent pas être reproduits par la
peinture
et la statuaire. Cela est si vrai, que l’expressi
doce industriel ? En résumé, l’industrie moderne est subversive de la
peinture
, de la statuaire et de l’architecture, dès qu’ell
ur sont communs, et ce sont ces principes, également applicables à la
peinture
de la beauté extérieure et à l’expression du beau
faire oublier au poète tous ces motifs usés de l’ancienne poésie, la
peinture
de l’homme moral, la contemplation de Dieu et de
e domaine du cœur une revanche toute pareille lui était réservée. Les
peintures
froidement licencieuses avaient disparu de notre
pur encens, dont les murailles sont couvertes de nobles et délicates
peintures
. Ce théâtre magnifique, il est destiné sans doute
Section 30, de la vrai-semblance en
peinture
, et des égards que les peintres doivent aux tradi
ivent aux traditions reçuës Il est deux sortes de vrai-semblance en
peinture
, la vrai-semblance poëtique et la vrai-semblance
es regles très-detaillées dans les livres qui traitent de l’art de la
peinture
. La vrai-semblance poëtique consiste à donner à s
un son air de tête, sa figure et son geste qui lui étoient propres en
peinture
. Raphael s’est bien servi de cette érudition dan
l’exprimèrent, Hugo, en littérature, — Berlioz, en musique, — et, en
peinture
, Eugène Delacroix. C’est la démocratie envahissan
e journée dans la vie de notre Mage, nous en trouverions la meilleure
peinture
en l’une de ces merveilleuses œuvres musicales du
elatif aux Maîtres Chanteurs, et signé par le nom de C. Bellaigue.
Peinture
wagnériennebh Le Salon de 1885 L’œuvre de Ric
te étude, encore, le Maître leur fournit un sûr critère, donnant à la
Peinture
Wagnérienne comme à la Poésie et à la Musique, ce
dans le champ étendu de la vie, la part spéciale que doit produire la
Peinture
? Doit-elle nous donner, seulement, les sensation
émotions que nulle poésie, nulle musique, ne sauraient exprimer. Deux
peintures
sont ; l’une, immédiate, la peinture dite réalist
ue, ne sauraient exprimer. Deux peintures sont ; l’une, immédiate, la
peinture
dite réaliste, donnant l’image exacte des choses,
vision spéciale du peintre ; l’autre, médiate, comme une Poésie de la
peinture
, insoucieuse des formes réelles, combinant les co
t les sentiments, — un monde d’émotion vivante et bienheureuse : deux
peintures
sont, toutes deux également légitimes et sacrées,
is non pas, hélas, ce Marché annuel des Tableaux, qui est un Salon de
Peinture
comme les boutiques des perruquiers ou des bottie
, l’extraordinaire musique entendue. À dessein, pour achever l’exacte
peinture
, M. Fantin a tourné vers lui ces visages ; compre
ec : Notes sur la littérature wagnérienne (8 juin 1886), Notes sur la
peinture
wagnérienne et le salon de 1886, (8 mai 1886), No
es de l’art, et surtout pas à la seule musique. Wyzewa différencie la
peinture
réaliste et l’autre, « médiate », poésie de la pe
ifférencie la peinture réaliste et l’autre, « médiate », poésie de la
peinture
, « monde d’émotion vivante et bienheureuse ». Il
le tableau font sur lui. Puisque le premier but de la poësie et de la
peinture
est de nous toucher, les poëmes et les tableaux n
es vers et des tableaux sans sçavoir les regles de la poësie et de la
peinture
, car, comme le dit Ciceron. Tous les hommes, à l’
utres qu’il a parfaitement entendus. Le dessein de la poësie et de la
peinture
étant de toucher et de plaire, il faut que tout h
t bien sensible qu’aux peintres ou aux connoisseurs qui ont étudié la
peinture
autant que les artisans mêmes. Mais nous discuton
rétiées à leur juste valeur que par ceux qui sçavent les regles de la
peinture
.
a passion mêlée à la rêverie naît la poésie proprement dite. Quand la
peinture
du passé descend jusqu’aux détails de la science,
a peinture du passé descend jusqu’aux détails de la science, quand la
peinture
de la vie descend jusqu’aux finesses de l’analyse
nseignement des crimes royaux comme dans la tragédie antique, l’utile
peinture
des vices populaires comme dans la vieille comédi
l’espérance, la poésie, l’amour ; enfin il y mettrait cette profonde
peinture
du moi qui est peut-être l’œuvre la plus large, l
palettes et pinceaux entre les mains d’un enfant doüé du génie de la
peinture
. Il se fait connoître aux autres pour ce qu’il es
il est, quand lui-même il ne le sçait pas encore. Les analistes de la
peinture
rapportent une infinité de faits qui confirment c
de soïe. Lanfranc étoit un enfant trouvé, à qui son génie enseigna la
peinture
, à peu près comme le génie de M. Paschal lui ense
ni peintre ni sculpteur. Du Fresnoy, dont nous avons un poëme sur la
peinture
, qui a mérité d’être traduit et commenté par M. d
r la somme d’idées ou de rêveries qu’il apportera dans mon esprit. La
peinture
est une évocation, une opération magique (si nous
n quelquefois salutaire. La providence qui préside aux affaires de la
peinture
leur donne pour complices tous ceux que l’idée ad
en ce monde ? Quel appendice nouveau apporte-t-il à l’évangile de la
peinture
? Je croirais volontiers que son idéal est une es
femme (un portrait par M. Delacroix est une rareté). Ces différentes
peintures
servent à constater la prodigieuse certitude à la
e une impression riche, heureuse ou mélancolique. On dirait que cette
peinture
, comme les sorciers et les magnétiseurs, projette
ystématique, dont actuellement les ravages sont déjà immenses dans la
peinture
et dans la sculpture ? Une autre qualité, très-gr
poëtes, c’est qu’il est essentiellement littéraire. Non seulement sa
peinture
a parcouru, toujours avec succès, le champ des ha
d’un ordre plus élevé, plus fines, plus profondes que la plupart des
peintures
modernes. Et remarquez bien que ce n’est jamais p
rs parlent, où les parfums racontent des mondes d’idées ? Eh bien, la
peinture
de Delacroix me paraît la traduction de ces beaux
té, comme le prouve, entre autres exemples, le bouclier d’Achille. La
peinture
n’était pas encore trouvée, ce qui s’explique nat
t du graveur ou ciseleur en fait autant dans un sens opposé ; mais la
peinture
abstrait les superficies d’une manière absolue ;
rt de l’invention. Aussi, ni Homère ni Moïse ne font mention d’aucune
peinture
; preuve de leur antiquité ! — 3. Les délicieux j
tout où l’on trouve une fine satire des sottises humaines, de chaudes
peintures
des mœurs du temps, soyez sûr que les sources de
rcé de se tenir aux vérités moyennes de la vie de l’âme. Pour que ses
peintures
soient comprises, il faut qu’il soutienne la part
ait objectif. Mais la satire de Lesage est pittoresque ; elle est une
peinture
des hommes et de la vie ; et c’est par là que Les
ns de la vie réelle, et par conséquent à celles du roman réaliste. La
peinture
de mœurs, chez Marivaux, est d’une précision très
nt l’effet est exquis. Plus violente est, dans la Vie de Marianne, la
peinture
de la boutique de Mme Dutour. Mme Dutour, bruyant
ivaux nous est apparu dans son théâtre, il est aisé de deviner que la
peinture
des mœurs et des milieux ne l’occupera pas seule
forme d’art, la Nouvelle Héloïse est considérable. On a fait déjà des
peintures
de la vie intime et domestique : jamais on n’a re
cabarets du Paris du xixe siècle, il n’y a guères d’intérêt dans la
peinture
de Vallès que sa peinture. Or, cette peinture tro
siècle, il n’y a guères d’intérêt dans la peinture de Vallès que sa
peinture
. Or, cette peinture trouve son cadre trop tôt. Qu
uères d’intérêt dans la peinture de Vallès que sa peinture. Or, cette
peinture
trouve son cadre trop tôt. Quand le grand Callot,
sa faute… mais c’est là peu de chose. Comme Callot, il a mis dans sa
peinture
ses souvenirs personnels, et il a raison. Je ne l
rd : les unes qu’il appelle simples ou philosophiques, par exemple la
peinture
des mœurs, des sentiments et des passions ; les a
les œuvres littéraires : elle y est essentielle, comme la couleur en
peinture
. Seulement, elle y entre dans des proportions div
sous une forme particulière et par cela même plus vivante ; c’est la
peinture
des lassitudes de la science et des ardeurs du dé
deurs du désir chez l’homme rassasié de doute, c’est Faust ; c’est la
peinture
de la tentation ironique et de l’égoïsme infernal
goïsme infernal du cœur humain, c’est Méphistophélès ; c’est enfin la
peinture
de l’innocence sacrifiée et vaincue, et de la dou
specialement pour la poësie, et d’autres specialement propres pour la
peinture
. Moïens de les reconnoître Non seulement le suj
eressant par lui-même, mais il faut encore le choisir convenable à la
peinture
, si l’on veut en faire un tableau, et convenable
e d’Iphigenie sa fille ; ce trait est toujours un chef-d’oeuvre de la
peinture
. Je dis toujours le Poussin conformement à l’usag
on. Il est facile de conclure après ce que je viens d’exposer, que la
peinture
se plaît à traiter des sujets où elle puisse intr
de ses morts. En continuant de comparer la poësie dramatique avec la
peinture
, nous trouverons encore que la peinture a l’avant
la poësie dramatique avec la peinture, nous trouverons encore que la
peinture
a l’avantage de pouvoir mettre sous nos yeux ceux
eaient du moins à en modifier le développement. S’occupant d’abord de
peinture
, vivant avec plusieurs amis, poêles, peintres, sc
la forme gothique et romantique ; et elle s’apparente directement aux
peintures
d’Orcagna ou d’Holbein, aux moralités des xiv et
duit tout à fait la mythologie et le fantastique des moralités et des
peintures
du moyen âge, elle n’en est pas un simple pastich
; le portrait de l’oculiste Demours , figure hideuse, beau morceau de
peinture
; et la figure crapuleuse et basse de ce vilain a
’est ni leur principal, ni leur seul mérite, toutes les parties de la
peinture
y sont encore. Le savant, l’ignorant, les admire
y voit tous les jours ; ce n’est pas de la poésie, ce n’est que de la
peinture
. J’ai vu peindre La Tour, il est tranquille et fr
a flamme. Laissons les procès-verbaux pour ce qu’ils sont, prenons la
peinture
pour ce qu’elle est. Elle a sa manière de compose
teur de détail. Peste ! quel détail ! Nommez-nous-en des ensembles en
peinture
, des fresques immenses et grandioses, si ceci n’e
travaillé, pétri, cuit et recuit à la lampe, doré d’un ton sombre ses
peintures
chaudes et amères : ne vous repentez pas, Françai
oi vivant qui se nourrissait volontiers des prologues d’opéras et des
peintures
de sa galerie de Versailles. Avec tant de faveur
imon est outré ou incomplet, je l’accorde, mais non pas faux dans ses
peintures
. Il outrepasse le plus souvent, il force, mais ra
ui-ci a parlé. Saint-Simon a cette vertu de faire mieux ressortir des
peintures
vraies, mais qu’on remarquait moins avant qu’il f
on ose maintenant. Le simple crayon approché du foyer est devenu une
peinture
. Saint-Simon nous a initiés, nous a transportés d
de pétillement et de saillies, sont entrés dans la littérature par la
peinture
, par les arts : ne l’oublions pas, et eux-mêmes,
us minces, les plus légers, les plus piquants, les plus analogues aux
peintures
de genre. Mme d’Épinay et Galiani les ont plus at
nent et sont d’accord ; ils sont conséquents avec eux-mêmes. Comme la
peinture
est proprement leur sphère et leur centre, ils s’
phère et leur centre, ils s’attaquent au plus grand des classiques en
peinture
; ils louent Raphaël (si c’est là le louer) dans
formidable d’un art sur l’autre, sur cette invasion à outrance de la
peinture
pure dans la prose. On hésite, quand on lit ceux
ce que pour écarter et décourager les imitateurs et les disciples. La
peinture
est tellement l’art par excellence pour MM. de Go
e ne dit pas assez. On préférera toujours un sentiment mêlé à la pure
peinture
, quelque chose comme ce qu’ont fait Virgile et Lu
» Cet hymen met le dernier trait au tableau de Milton, et achève la
peinture
des amours de nos premiers pères15. Nous ne craig
tre celles de deux époux. C’est ici le lieu de remarquer que, dans la
peinture
des voluptés, la plupart des poètes antiques ont
fatal secret, il se réjouit de leur malheur à venir ; et toute cette
peinture
de la félicité de nos pères n’est réellement que
ous descendez au contraire de la prospérité aux larmes, comme dans la
peinture
de Milton, vous serez plus triste, plus poignant,
XXXVIIe entretien. La littérature des sens. La
peinture
. Léopold Robert (2e partie) I Nous avons
de ce mystère ; cela nous aidera à comprendre le prodigieux effet des
peintures
de ce jeune homme, dès qu’elles parurent aux rega
ne connaissons pas, dans toute la sculpture antique, ni dans toute la
peinture
moderne, de groupe pastoral plus simple et plus c
la fois dans le monde. Avions-nous tort, en commençant, de ranger la
peinture
dans la catégorie des littératures ? Quelle impri
ourir, un novateur, un initiateur, un inventeur d’un nouveau genre de
peinture
: la peinture d’expression, la peinture spiritual
teur, un initiateur, un inventeur d’un nouveau genre de peinture : la
peinture
d’expression, la peinture spiritualiste, la peint
venteur d’un nouveau genre de peinture : la peinture d’expression, la
peinture
spiritualiste, la peinture qui vient de l’âme, qu
de peinture : la peinture d’expression, la peinture spiritualiste, la
peinture
qui vient de l’âme, qui s’adresse à l’âme, qui ém
sans passer par les sens. C’est un défaut, disent les savants ; cette
peinture
n’est qu’une sorte de gravure, cette peinture fai
ent les savants ; cette peinture n’est qu’une sorte de gravure, cette
peinture
fait penser et sentir, mais elle ne fait pas asse
omestique l’intérêt, la réalité, le pittoresque et le classique de la
peinture
héroïque ; il y en a qui, comme mademoiselle Rosa
mmunicatives de sentiment, comment distinguerez-vous, disons-nous, la
peinture
de la littérature, le dessinateur du poète, le pe
z-vous que j’aie fait entrer, pour la première fois, la musique et la
peinture
, et bientôt la statuaire, dans un cours de littér
mmage que l’hypocrisie rend à la vertu. Nous sommes les sujets de ces
peintures
, les originaux de ces portraits. Soit donc qu’il
portraits. Soit donc qu’il s’agisse de règles pour la conduite, ou de
peintures
de l’homme, nous sommes, au premier degré, juges
tres disciples ; il en est le plus attaché et le plus tendre. Quelles
peintures
de sa douceur et de sa bonté ! Comme le divin per
des vers de Racine leur cache sa vigueur et sa force. C’est dans ses
peintures
du Christ que le cœur du grand prédicateur se lai
s. Notre conscience croit se décharger en confessant la vérité de ces
peintures
. S’agît-il d’autrui, nous y prenons un double pla
s idées en avant, qui les rangeait comme des pièces, qui achevait les
peintures
ébauchées par la parole. Combien ne s’est-il pas
me notre vie. Nous pourrions en être touchés comme de la vérité d’une
peinture
historique ; mais il y aurait fallu un pinceau pl
faut en effet que sa parole soit aussi hardie que son sentiment. Ses
peintures
n’ont été vraies que pour ceux qui pouvaient les
vait, de même il avait plus d’imagination qu’il n’en laisse voir. Ses
peintures
sont plutôt des sentiments que des images. Il se
mble qu’avant de les peindre, il les éteigne. Sa langue est comme ses
peintures
, exacte en perfection, mais timide. Il ne rejetai
faut pas d’ailleurs chercher dans les sermons de Bourdaloue ces vives
peintures
des personnes divines dont Bossuet anime l’explic
aintes poignantes qu’exhale Pascal sur la misère de l’homme, dans les
peintures
que La Bruyère a tracées de nos ridicules, dans l
e descriptive de sa morale, que le temps a manqué à Vauvenargues. Les
peintures
de caractères ne se font pas de fougue : s’il y a
palette et au ciseau ce qu’il faut laisser à la plume. Il veut de la
peinture
qui raconte et de la statuaire qui se pique de pe
et de polémique dans les Études de la nature a péri ; tout ce qui est
peinture
a survécu. Les devanciers de Bernardin de Saint-P
n », indique par le mot de merveilles, le caractère indistinct de ses
peintures
. Il ne songe pas à décrire. Il néglige les détail
au et de Buffon des beautés de bon aloi ; il a marqué la limite où la
peinture
des choses visibles cesse d’être un art pour deve
e leurs discours. Mais rien n’égale, pour la grâce et la pureté de la
peinture
, cet amour qui naît comme à l’abri de l’amitié fr
ombattues de Didon, ni les langueurs d’Épicharis n’ôtent du prix à la
peinture
de Virginie perdant la sérénité et le sourire, ga
s premiers troubles des deux amants ; mais elle est moins belle comme
peinture
de phénomènes inconnus à l’ancien monde, que par
rché l’effet de la fresque, l’artiste a manqué les tons solides de la
peinture
à l’huile. Mais combien qui sont restées belles,
erses époques et dans les différentes races ; il a aussi traité de la
peinture
du paysage dans ses rapports avec l’étude de la n
rit particulières aux Grecs et aux Romains ne permettaient pas que la
peinture
de paysage fût pour l’art un objet distinct, non
r le pinceau est une jouissance toute moderne. À la renaissance de la
peinture
au xve siècle, les paysages, comme fond, étaient
tantôt un torrent éternel ouvrait à mes côtés un abîme, etc. » Cette
peinture
est bien, mais elle n’est qu’une première vue un
des fois avant de ravir les richesses dans leurs replis75. Quant à la
peinture
proprement dite et par le pinceau, ce ne fut que
ssera ce que d’autres peindront, et, à chaque pas de plus que fera la
peinture
sincère à la conquête de ces rudes Alpes, il appl
Augier. Portée morale de l’œuvre. Relief des caractères ; vérité des
peintures
de mœurs. — 3. M. Dumas fils. Prédication morale
toutes ses formes, vaudevilles drolatiques, copieuses bouffonneries,
peintures
réalistes des mœurs. 1. Vaudeville et opérette.
ais une comédie dramatique, enveloppant quelque thèse morale dans une
peinture
exacte des mœurs contemporaines, une comédie émou
ts qui forcent l’applaudissement, le génie des trucs et des ficelles.
Peinture
des mœurs, description des caractères, invention
dont il regle la constitution avec tant de plaisir. Il craint que les
peintures
et les imitations qui sont l’essence de la poësie
nclinations corrompuës : il ne s’agit que d’en faire un bon usage. La
peinture
des actions vertueuses échauffe notre ame ; elle
ngager à les rendre. Enfin un bon poëte sçait disposer de maniere les
peintures
qu’il fait des vices et des passions, que ses lec
e chaise a peine à tenir entre les murs de planches blanchies par une
peinture
à la colle, et j’ai devant les yeux un emmêlement
empruntés à Goya, avec Manet et les peintres à sa suite, est morte la
peinture
à l’huile, c’est-à-dire la peinture à la jolie tr
peintres à sa suite, est morte la peinture à l’huile, c’est-à-dire la
peinture
à la jolie transparence ambrée et cristallisée, d
me au chapeau de paille de Rubens est le type. C’est maintenant de la
peinture
opaque, de la peinture mate, de la peinture plâtr
de Rubens est le type. C’est maintenant de la peinture opaque, de la
peinture
mate, de la peinture plâtreuse, de la peinture ay
e. C’est maintenant de la peinture opaque, de la peinture mate, de la
peinture
plâtreuse, de la peinture ayant tous les caractèr
peinture opaque, de la peinture mate, de la peinture plâtreuse, de la
peinture
ayant tous les caractères de la peinture à la col
la peinture plâtreuse, de la peinture ayant tous les caractères de la
peinture
à la colle. Et aujourd’hui tous peignent ainsi, d
sitions de machines, et non pour des expositions de tableaux, mais la
peinture
depuis David jusqu’à Delacroix, me paraît la pein
bleaux, mais la peinture depuis David jusqu’à Delacroix, me paraît la
peinture
du même peintre, une peinture bilieuse, dont le s
s David jusqu’à Delacroix, me paraît la peinture du même peintre, une
peinture
bilieuse, dont le soleil est du triste jaune, qu’
ste jaune, qu’il y a dans les majoliques italiennes. Oui, vraiment la
peinture
contemporaine tient trop de place dans ce temps.
ontemporaine tient trop de place dans ce temps. Au fond il y a eu une
peinture
primitive italienne et allemande ; ensuite la vra
a eu une peinture primitive italienne et allemande ; ensuite la vraie
peinture
qui compte quatre noms : Rembrandt, Rubens, Velas
de mes mains, le trompe-l’œil le plus extraordinaire d’un morceau de
peinture
de Ribot, avec ses chairs aux ambres noirâtres, a
pte, découverts dans la nécropole d’El Fayoun. Promenade à travers la
peinture
étrangère. Allemagne. Hefner, un paysagiste de p
et du plus bel art. Autriche-Hongrie. Des Charlemont qui font de la
peinture
historique, jolie à la façon de la peinture histo
Charlemont qui font de la peinture historique, jolie à la façon de la
peinture
historique, qui se commande sur les vases de Sèvr
e qui sache être un féerique décorateur, dans de la vraie et sérieuse
peinture
. Italie. Carcano a exposé des vues panoramiques
s vu depuis des mois, m’apporte un catalogue qu’il vient de faire des
peintures
que Dumoulin a rapportées du Japon, et qui doiven
nous attachons à ce mot. Ils nous ont sans doute laissé d’admirables
peintures
des travaux, des mœurs et du bonheur de la vie ru
u-dessus d’une forêt de chênes. Virgile a mis la même vérité dans ses
peintures
. Il donne au pin l’épithète d’harmonieux, parce q
elque progrès dans cette carrière, et l’on trouve dans la Pharsale la
peinture
d’une forêt et d’un désert qui rappelle les coule
Auguste et les productions du même art dans le siecle de Gallien ! La
peinture
étoit-elle le même art, pour ainsi dire, dans les
es ont beaucoup favorisé les arts dans les siecles où la poësie et la
peinture
ont fleuri. Les annales du genre humain font ment
rendoit très-sensibles aux plaisirs de l’esprit, dont la poësie et la
peinture
font le charme le plus decevant. Ainsi la plûpart
nces. Les lettres et les arts firent donc des progrès merveilleux. La
peinture
se perfectionna dans peu d’années, cum expeteretu
r, le peintre multiple du portrait, du tableau, de tous les genres de
peinture
. Ses commentaires, ses explications, ses analyses
t poétiques dans l’œuvre de Saint-Victor en s’y embrasant d’un feu de
peinture
qui ne cesse jamais et dont l’intensité, sous sa
es et des lointains ! Cette puissance du retrouvé et du rendu dans la
peinture
historique, personne parmi les écrivains modernes
nts bavardages du temps présent auront passé. Ce chef-d’œuvre de pure
peinture
historique n’est gâté (s’en étonnera-t-on ?) par
Loutherbourg Il en est de la poésie ainsi que de la
peinture
. Combien on l’a dit de fois ! Mais ni celui qui l
ui me coûtent c’est le ton qui leur convient. En littérature comme en
peinture
ce n’est pas une petite affaire que de savoir con
la terre. Je passe sur beaucoup d’autres incidens. Voilà un genre de
peinture
où il n’y a proprement ni unité de temps, ni unit
e les sciences, les lettres et les arts. Il a un très beau cabinet de
peinture
, des statues, des vases, des porcelaines et des l
entes ; quel progrès n’en ferions-nous pas dans la connaissance de la
peinture
! En Italie plusieurs musiciens composent sur les
placés, bien ou mal peints. C’est qu’avant de se livrer à un genre de
peinture
, quel qu’il soit, il faudrait avoir lu, réfléchi,
t avoir lu, réfléchi, pensé ; c’est qu’il faudrait s’être exercé à la
peinture
historique qui conduit à tout. Tous les incidens
res figures avec satisfaction ; et j’y consens, si elle se connoit en
peinture
; car tout y est du plus beau faire ; mais peut d
s premières études. La troisième, c’est que le nu est si beau dans la
peinture
et dans la sculpture et que le nu n’est pas dans
ouces de haut. Si j’entreprens jamais le traité de l’art de ramper en
peinture
, le bel exemple d’insipidité et de contre-sens. à
qui estiment ton talent et qui t’en soufleroient. Je scais bien qu’en
peinture
, ainsi qu’en littérature on ne tire pas grand par
s. C’est Cochin qui l’a dit en gravure. C’est La Grenée qui le dit en
peinture
, d’après Mr De La Vauguyon qui lui avoit appris à
se doutent pas qu’il est encore plus vrai qu’(…). Ce qui fait bien en
peinture
fait toujours bien en poésie, mais cela n’est pas
ni monotonie, ni cacophonie, ni vuides, du moins à la manière dont la
peinture
l’entend. Il n’en est pas ainsi d’un art où le mo
infini la fécondité et la vie. Chaque art a ses avantages. Lorsque la
peinture
attaquera la poésie sur son pailler, il faudra qu
l’art d’imiter la nature. J’en appelle à vos réflexions mêmes sur la
peinture
. Je veux mourir s’il y a dans toutes ces têtes-là
nce qui n’est ni pour les poëtes ni pour les musiciens. En un mot, la
peinture
est-elle l’art de parler aux yeux seulement ? Ou
ate chose que la musique bien faite ! La plate chose qu’un morceau de
peinture
bien fait, bien peint. Concluez… concluez que La
les jouissances, ou les moyens infinis d’être heureux, la poésie, la
peinture
, la sculpture, la musique, les glaces, les tapiss
nc les éléments nécessaires et suffisants pour juger de la vérité des
peintures
. Vous n’avez jamais vu le père Grandet ; mais vou
, très honnête homme : « Où prenez-vous donc la matière de toutes les
peintures
de vice que vous faites ? » Il répondit : « en mo
savait peindre ; pour reconnaître, du moins, la vérité de toutes les
peintures
de toutes les vertus et de tous les vices. Chacun
ittérature est plein de danger. La littérature proprement dite est la
peinture
de notre âme à tous et de nos mœurs à nous tous,
littérature, si romanesque ou si poétique qu’elle puisse être, ni la
peinture
, ni la sculpture, c’est l’architecture et la musi
ressé. Il était homme, par conséquent, à se tourner du côté des arts,
peinture
, musique, mais sans doute il n’avait point ces go
qu’inspire la nature, et aux tableaux qu’on en peut faire. Comme les
peintures
qu’on a données de ce genre de beautés naturelles
e des roses du jardin et de l’écume des flots. De tableau général, de
peinture
et de vue d’ensemble, il n’en faut pas demander à
e morale et à une poésie de plaisir ; il n’en est sorti aucune grande
peinture
naturelle. Au xvie siècle, Marot, et après lui R
maint petit cadre riant à de fugitives pensées ; mais toujours pas de
peinture
. Ces jolis cadres ont même disparu, pour ainsi di
Boileau le petit nombre de vers qui peuvent passer pour des traits de
peinture
naturelle ; on ne trouverait guère que l’Épître à
de Port-Royal, et qui lui inspirait au déclin de sa vie cette aimable
peinture
des fleurs d’Esther. Mais les idées de goût qu’on
fils, plus tard, dans son Poème de la Religion, a fait de si tendres
peintures
des instincts et de la couyée des oiseaux, il se
oût, l’intervalle qui sépare Du Bartas de Delille. Mais, en véritable
peinture
, rien de direct ne s’était déclaré avant Rousseau
ersifiées : c’est la différence d’un léger pastel improvisé, et d’une
peinture
fine et attentive. Bien des pages de Paul et Virg
ies et de jours faux, et d’où il ne pouvait sortir autre chose que la
peinture
même qu’il en offrait, et l’impression enthousias
ne (IV, mai 1886), quelques fautes à corriger dans les « notes sur la
Peinture
Wagnérienne » : page 103 3e ligne lire : touffe
re bien plus poétiquement vrai que les laides, burlesques, écœurantes
peintures
qui en ont été faites avec un égal mauvais goût,
s modes divers d’une tâche commune. Par lui, l’Art n’est plus dans la
peinture
, ni dans la littérature, ni dans la musique, mais
par lequel nous pouvions concilier les deux tendances opposées de la
peinture
: que les peintres, sans cesser être artistes, et
comme celle des sens. Mais la littérature, art des notions, comme la
peinture
, art des sensations, ont, sous le développement e
on des idées, produit des arts nouveaux, spécialement émotionnels. La
peinture
a produit les œuvres symphoniques des Vinci et de
ormes. Alors, sur le fondement d’une littérature enfin constituée, la
peinture
et la musique pourront ajouter leurs modes vitaux
naguère voulu éclairer, ici, par quelques exemples, une théorie de la
peinture
appuyée aux principes de l’esthétique wagnérienne
scriptions chaudes et précises, évidemment inférieures, pourtant, aux
peintures
précédentes du même écrivain. La psychologie est
. C.) [NdA] 18. Depuis les notes, publiées dans cette Revue, sur la
Peinture
Wagnérienne, une exposition impressionniste fut o
els de M. Degas, là, sont bien, assurément les chefs d’œuvre de toute
peinture
. J’ai admiré, encore, quelques images très légère
ram sa visite infructueuse au Pape. [NdE] ai. Après l’article sur la
peinture
wagnérienne, voilà donc la suite : la littérature
gnérienne. Wyzewa rappelle que depuis Wagner, l’art n’est pas dans la
peinture
, la musique ou la littérature mais dans l’union d
Et cette date n’est-elle pas la même qui se révèle également dans les
peintures
érotiques de Fragonard et de Boucher ? En fait d’
ce, par Regnier, par Boileau et par Buffon. Tout le monde connaît ces
peintures
d’une éternelle vérité ; je prie seulement le lec
le jour. Pour moi, je l’eusse bien deviné à la couleur blafarde de sa
peinture
. La nuit, quand l’inspiration lui venait, il se l
même sur les musiciens et sur la musique, sur les peintres et sur la
peinture
, sur les statuaires et sur la sculpture, sur les
nature. La musique a ce double caractère : étant, d’un côté, comme la
peinture
, un art qui s’adresse d’abord à la sensation et q
iologiques, produisent des effets nouveaux. De même qu’il se fait, en
peinture
, une combinaison du caractère et du tempérament d
pourrons toucher ce point, en passant, lorsqu’il sera question de la
peinture
et des influences réciproques des religions sur l
palachicola, ou du Mattawamkeag… Ouf ! « Les expositions annuelles de
peinture
à New-York suivent une marche progressive, mais e
et ce n’est peut-être pas du temps de Raphaël qu’on a le mieux parlé
peinture
. Vous imaginez ce qu’est la critique musicale à N
sical, mais plus haut de toute la hauteur de la musique par-dessus la
peinture
. Pérugin est à Raphaël ce que Haydn est à Mozart.
blond jusqu’à vingt-trois ans, — ne sont pas des génies bruns ? — En
peinture
, Raphaël d’un côté, Michel-Ange de l’autre, nous
mise aussi bien en musique qu’en littérature. Elle l’est également en
peinture
, en statuaire et en architecture, — ce que je fer
tatuaire et en architecture, — ce que je ferai voir rapidement. La
peinture
Selon Voltaire, « il n’en est pas de la peintu
rapidement. La peinture Selon Voltaire, « il n’en est pas de la
peinture
comme de la musique et de la poésie : une nation
partout, pour produire des œuvres extrêmement diverses, aussi bien en
peinture
, — quoi qu’il en dise, — qu’en littérature et en
prit de Voltaire, et celui de Stendhal. C’est dans son Histoire de la
Peinture
en Italie que celui-ci a bien touché ce point : «
moelle jusqu’aux ongles, épris de musique et de poésie autant que de
peinture
, mais, par-dessus tout, ardent coloriste ? Le mêm
bon contre l’invasion du gris. Excepté le gris, tout est légitime en
peinture
comme ton dominant ; mais le gris, c’est l’absenc
t de l’amour et doué de tous les talents, excellait à la fois dans la
peinture
, la sculpture, l’architecture, la musique, la poé
n élève favori, ce qu’on appelait alors son creato. L’historien de la
Peinture
en Italie dit à ce sujet : « Vinci, si beau lui-m
n’ont d’ailleurs pas beaucoup de pensée : effet d’un sang méridional.
Peinture
séduisante, mais molle et lâchée, qui paraît fait
r charmer les sens, comme les parfums et les fleurs. Ordinairement la
peinture
comme la poésie reflètent les pays qui les voient
goureusement rendu, vous n’aurez pas un penny. » Le génie anglais, en
peinture
, fut donc d’abord utilitaire, et ensuite réaliste
les complexions des peuples comme des individus, se marquent dans la
peinture
aussi bien que dans les autres arts. Et, dans cha
es races diverses se reconnaissent aisément, et c’est ce qui forme en
peinture
ce qu’on appelle des écoles. On dit l’école romai
s, sous les hautes digues de Hollande, commence la sombre et sérieuse
peinture
: Rembrandt et Gérard Dow peignent où écrivent Ér
Ces influences diverses pourraient-elles ne pas se retrouver dans la
peinture
comme dans la musique et comme dans la littératur
rancher tout ce qui dépassait le nombre fixé par la loi54. Quant à la
peinture
et à la sculpture, le christianisme n’eut d’abord
ongea-t-elle d’abord qu’à le proscrire. Qu’était-ce d’ailleurs que la
peinture
et la sculpture ? C’était la glorification du cor
a religion chrétienne longtemps, par son esprit ascétique, éloigna la
peinture
des voies de la beauté. Il est intéressant de sui
nes, et continue l’œuvre de son maître Cimabue, la régénération de la
peinture
. Tout en restant dans le cercle des sujets sacrés
le nom de catholicisme, en un certain paganisme nouveau, pour que la
peinture
pût revenir à ce qui est son essence, à l’adorati
la Vierge. La religion catholique se fit gloire d’être la mère de la
peinture
moderne. La peinture, à son tour, fit mine de pro
on catholique se fit gloire d’être la mère de la peinture moderne. La
peinture
, à son tour, fit mine de propager la religion qui
des miracles. Stendhal dit à ce propos : « Il est plaisant de voir la
peinture
, un art frivole, faire la preuve d’un système rel
que Raphaël, Michel-Ange et les autres grands maîtres ont fait de la
peinture
religieuse, c’est parce qu’ils ont traité des suj
traité des sujets religieux ; mais, en réalité, leur oeuvre est de la
peinture
d’histoire. De toutes parts on revenait directeme
et n’a peint dans l’histoire sainte que l’histoire de l’humanité… La
peinture
, en accusant la vie dans toute sa plénitude, sort
vie dans toute sa plénitude, sort de la religion et n’est plus qu’une
peinture
historique se servant des sujets mythiques… Les m
s protestants, le nu est presque interdit par les mœurs, même dans la
peinture
et dans la sculpture. A la dernière exposition un
aractéristique ? C’est parce que l’art est naturellement païen que la
peinture
et le catholicisme, qui est le paganisme moderne,
ndant quelque temps, mais la compromit pour toujours. Au moment où la
peinture
mystique de l’école d’Ombrie, personnifiée d’abor
t qu’il ne s’aventura à suivre les libertés audacieuses du second. Sa
peinture
, toutefois, après avoir été d’abord uniquement re
Pendant qu’il travaillait à la Galathée, il abandonnait si souvent sa
peinture
pour aller chez la fornarina, qu’Agostino Chigi,
re humaine lui en offre d’inépuisables. Toujours est-il qu’il y a une
peinture
catholique et une peinture protestante : la premi
népuisables. Toujours est-il qu’il y a une peinture catholique et une
peinture
protestante : la première, plus préoccupée de la
l’idée et ne voulant regarder que le ciel. Au reste, c’est tantôt la
peinture
catholique qui l’emporte, et tantôt la peinture p
este, c’est tantôt la peinture catholique qui l’emporte, et tantôt la
peinture
protestante, selon le génie des artistes. Le Titi
la beauté. Nicolas de Pise ressuscite la sculpture, comme Cimabue la
peinture
. Michel-Ange, encore jeune, obtient du prieur de
rt ; mais il faut les connaître tous, pour exceller dans celui-là. La
peinture
et la sculpture, par exemple, se prêtent l’une à
tout au contraire, une sculpture essentiellement idéaliste, comme la
peinture
d’Ary Scheffer ? Un seul exemple suffira. La prin
critique physiologiste, que ne font la sculpture proprement dite, la
peinture
, la musique et la littérature. « Chaque oiseau a
plafond. Dans ce demi-jour que distinguait-on ? Des sculptures et des
peintures
étranges, des monstres de toute sorte, des lions
Nord, ce sont nos couchers de soleil qui donnèrent les modèles de la
peinture
sur verre. Chacun de nous, l’automne, au soleil c
uages les plus splendides effets de nos vitraux d’église. C’est notre
peinture
architecturale, comme la fresque est nationale po
us avons entrevu de l’esthétique américaine, en fait de musique et de
peinture
, doit nous faire assez pressentir que l’architect
nt morale : c’est une âme et quelquefois deux, — par exemple, dans la
peinture
, l’âme de l’artiste et celle du modèle, — lesquel
volent plus. L’Orcagna, comme le Giotto s’inspirent du Dante dans les
peintures
du Campo-Santo, qu’étudièrent tous les artistes d
rrige, l’épure, le recrée. Pour le plaisir de ses yeux, il invente la
peinture
, l’architecture, les arts plastiques, tout un mon
re encore Stendhal, lorsqu’il écrivait dans cette même Histoire de la
Peinture
en Italie : « Moi qui me nourris des mêmes anecdo
ux les asperges que les petits pois. » 50. Stendhal, Histoire de la
Peinture
en Italie. 51. Alfred Dumesnil, la Foi nouvelle
st homme d’esprit, et personne peut-être ne parle mieux que lui de la
peinture
. Il y a au salon de l’Académie, un tableau de réc
rdin a de l’originalité dans son genre. Cette originalité passe de sa
peinture
dans la gravure. Quand on a vu un de ses tableaux
Chapitre VII. Versailles. La
peinture
, l’architecture, la poésie et la grande éloquence
, si des tableaux de miracles et de martyres y remplacent de profanes
peintures
, pourquoi l’ombre de Louis XIV s’en offenserait-e
ouveaux caracteres dans la comedie Ce que nous venons de dire de la
peinture
se peut dire aussi de la poësie. Non seulement un
peints n’ennuieroient point, parce qu’ils sont dans la nature, et la
peinture
naïve de la nature plaît toujours. C’est donc par
les sçauroit demêler comme celui qui n’est pas né avec le genie de la
peinture
n’est pas capable de discerner dans la nature que
reur poëtique alloit jusques à la phrenesie. Le Tasse n’enfantoit ces
peintures
admirables, qu’il nous a faites d’Armide et de Cl
même des hommes d’esprit, qui avoient copié plusieurs fois ce que la
peinture
a produit de plus sublime, vieillir le pinceau et
leurs talens : c’est ce que nous allons discuter. La méchanique de la
peinture
est très-pénible, mais elle n’est pas rebutante p
es artisans, dont je parle, de connoître à quel genre de poësie et de
peinture
leurs talens les destinent, et de se borner au ge
qui lui a fait entreprendre de se rendre habile dans des genres de la
peinture
, pour lesquels il n’étoit point né, et qui lui a
uels il n’étoit point né, et qui lui a fait négliger les genres de la
peinture
ausquels il étoit propre. Les ouvrages qu’il a te
à un tel degré qu’on est arraché à toute réflexion par la force de sa
peinture
. Cet homme, je ne dirai pas si naturel, mais si n
aller à la conquête de l’avenir, c’en serait fait à tout jamais de sa
peinture
, de l’originalité de ses modèles ; c’en serait fa
e moraliste républicain. Pour sa libre pensée, parlez-moi de sa libre
peinture
! Je ne crois pas plus au libre penseur qu’au mor
actère est l’universalité, l’humanité éternelle intimement mêlée à la
peinture
des mœurs ou des passions d’une époque. Génies fa
nt en jeu dans la société. Molière est du siècle où il a vécu, par la
peinture
de certains travers particuliers et dans l’emploi
ystérieux aussi dans le talent dramatique et comique, c’est-à-dire la
peinture
des réalités amères moyennant des personnages ani
bonheur toujours, mais sans surpasser l’excellence de cette première
peinture
: celui qui savait le plus fustiger et railler se
découvert et il est vôtre ; vous n’avez désormais qu’à y choisir vos
peintures
. Si vous imitez encore, ce sera que vous le voudr
re de poésie, qui n’est pas plus celle de Virgile et de Térence qu’en
peinture
la manière de Rubens n’est celle de Raphaël. Boil
usement à sa propre manière ; il y préconise, en effet ; Cette belle
peinture
inconnue en ces lieux, La fresque, dont la grâce,
ne, Les faux pas que peut faire un pinceau qui tâtonne ; Et sur cette
peinture
on peut, pour faire mieux, Revenir, quand on veut
elle chaleur de Molière pour la fresque, pour la grande et dramatique
peinture
, pour celle-là même qui agit sur les masses prost
ëme, disoit-il à M. Brossette, peut tenir lieu d’un traité complet de
peinture
, et l’auteur y a fait entrer toutes les règles de
ser, le caractère de ses poésies, en marquant ici la différence de la
peinture
à l’huile et de la peinture à fresque. Dans ce po
sies, en marquant ici la différence de la peinture à l’huile et de la
peinture
à fresque. Dans ce poëme sur la peinture, il a tr
peinture à l’huile et de la peinture à fresque. Dans ce poëme sur la
peinture
, il a travaillé comme les peintres à l’huile, qui
e son art eût remporté le prix, Si, moins ami du peuple en ses doctes
peintures
, Il n’eût pas fait souvent grimacer ses figures,
nie, il n’échappa point au malheur dont il avait donné de si folâtres
peintures
. Don Garcie était moins jaloux que Molière ; Geor
passion ou des circonstances, et qu’ils ne mêlent en apparence à ces
peintures
et à ces représentations fidèles rien de leur pro
uvant être obtenue également par les contraires, il en résulte que la
peinture
du mal et même du laid a parfaitement le droit de
es politiques, la régénère : de quelle utilité peut-elle être pour la
peinture
et la statuaire ? Suffira-t-il de dire aux artist
. L’image du vice, comme de la vertu, est aussi bien du domaine de la
peinture
que de la poésie : suivant la leçon que l’artiste
Les danseuses nous ont dégoûtés de la statuaire et les modistes de la
peinture
. On fait maintenant, dans la patrie du goût, le l
sement abordée. Le romantisme a été un hymne, un chant, plutôt qu’une
peinture
et une analyse, et s’il a dépassé Rousseau, un aï
mal écrit ce qui charme les stylistes. Le plus souvent rejeté dans la
peinture
des mœurs populaires et rustiques par la nécessit
it durant l’exposition de 1853. Je n’ai jamais eu d’autres maîtres en
peinture
que la nature et la tradition, que le public et l
lume… Mais on a beau faire, la littérature ne peut ici lutter avec la
peinture
, et se ravale en étudiant les procédés de cet art
savoir ; il me suffit de voir aussi nettement leurs personnages qu’en
peinture
et d’être sûr qu’ils me resteront perpétuellement
yeux, mais pour le cerveau ; il en est de même de tous les arts : La
peinture
qui ne s’adresse qu’aux yeux, la musique qui ne s
À l’heure qu’il est, madame, on voit à deux pas de l’exposition de
peinture
, dans l’avenue Montaigne, un écriteau portant en
tons, puisqu’on a transporté la langue musicale dans le domaine de la
peinture
. L’impression de ses tableaux n’en sera que plus
vres en musique ne signifient pas plus que les tonalités bruyantes en
peinture
. On appelle maladroitement coloristes des maîtres
: « L’image du vice comme de la vertu est aussi bien du domaine de la
peinture
que de la poésie : suivant la leçon que l’artiste
s tant de scrupules. Le réalisme (selon M. Courbet) est un système de
peinture
qui consiste à exalter et à outrer un des côtés r
oduction matérielle des objets. Un homme très exactement imité par la
peinture
n’est, en résumé, que le cadavre d’un homme (oh !
ela ! On passerait encore par-dessus ces prétentions ridicules, si la
peinture
de M. Courbet signifiait quelque chose. Mais on s
rreurs de son client ! Il est bien évident que, quand ces qualités de
peinture
sont unies a des sujets qui ne blessent ni le goû
ne sauriez rencontrer autre part, ajoute un entrain particulier à ces
peintures
d’un ton cru, qui, loin de craindre la pleine lum
ppui solide de la réalité. Les Quatuors de l’île Saint-Louis sont une
peinture
de mœurs d’une vérité minutieuse et absolue. Tous
nous dire qu’une si large place donnée à l’élément poétique, dans la
peinture
de la vie humaine, tend à amoindrir la réalité au
mplification des moyens et de la vulgarisation de l’art. Partout, aux
peintures
cauchemardantes et désespérées, succède l’affirma
t ; Il n’y en a donc pas de secondaires. M. B. 4. Voir les curieuses
peintures
de l’église Saint-Étienne-du-Mont. 5. Les uns ai
Malgré l’osé, le cru, et même le cynique, à quelques endroits, de sa
peinture
, ce n’est nullement un réaliste de nos jours. Il
s les sentiments de la vie, et il les mêle — et fougueusement — à ses
peintures
. Il sait s’incarner dans les gueux qu’il peint Ma
aut bien le dire, le seul sentiment qui l’aurait mis au-dessus de ses
peintures
, le sentiment qui lui aurait fait rencontrer cett
e Pierrot, dans cette gamme de la concurrence vitale qui s’appelle la
peinture
des portraits, en démontrant la supériorité du mi
le secours du chant, de l’harmonie, et du rithme. C’est ainsi que la
peinture
fait ses imitations par le secours du trait, du c
pes de la musique, sont donc les mêmes que ceux de la poësie et de la
peinture
. Ainsi que la poësie et la peinture, la musique e
es que ceux de la poësie et de la peinture. Ainsi que la poësie et la
peinture
, la musique est une imitation. La musique ne sçau
omme les beautez de l’execution doivent servir en poësie, ainsi qu’en
peinture
, à mettre en oeuvre les beautez d’invention et le
nalytique des plus perçants, qui a introduit l’analyse jusque dans la
peinture
, sans que la peinture soit morte du coup ! M. Cha
çants, qui a introduit l’analyse jusque dans la peinture, sans que la
peinture
soit morte du coup ! M. Charles Bataille, au cont
s tous les deux ! Ils appartiennent tous les deux à cette École de la
peinture
, fausse même en peinture, en littérature, exécrab
artiennent tous les deux à cette École de la peinture, fausse même en
peinture
, en littérature, exécrable, que l’on appelle le R
re de talent ne peut s’appliquer tout entier, on le comprend, qu’à la
peinture
des choses vues, de la vie moderne, surtout paris
la composition pourtant. Comme leur talent naturel allait plutôt à la
peinture
curieuse et trépidante des « milieux » qu’à l’inv
ar un singe dans un atelier n’était pas absolument indispensable à la
peinture
du monde des artistes. Mais, encore une fois, si
ir, aucune intention grossière, aucun esprit de banale irréligion. La
peinture
est délicieuse et d’une justesse exquise. Et pour
le reste de son attitude, qui rompt brusquement la délicatesse de la
peinture
? J’aimerais qu’elle continuât de souffrir silenc
n noble cœur. On inventait la flatterie des épithètes morales pour sa
peinture
; on disait qu’elle était « loyale et véridique »
crivent beaucoup pour l’oreille. MM. de Goncourt, au moins dans leurs
peintures
, écrivent uniquement pour les yeux. Stylistes, il
re où elle s’enfonce sans finir. » Ils écrivent tranquillement : « En
peinture
, il ne voyait qu’une peinture…48 » — Beaucoup de
r. » Ils écrivent tranquillement : « En peinture, il ne voyait qu’une
peinture
…48 » — Beaucoup de leurs périodes, si on les juge
et leurs nerfs pour n’être jamais démonté par les étrangetés de leur
peinture
écrite. De bons esprits, même d’assez fins lettré
La Bruyère ; l’homme. — 2. Les Caractères : composition du livre. La
peinture
de l’homme et la peinture de la société. L’origin
. Les Caractères : composition du livre. La peinture de l’homme et la
peinture
de la société. L’originalité de La Bruyère : réal
antes ; cela ne l’embarrasse pas, puisqu’il juxtapose sans fondre. Sa
peinture
de l’homme est juste, un peu banale ; c’est l’hom
idées comme dans son vêtement. Plus serrée et plus personnelle est la
peinture
de la société. La Bruyère la voit fondée sur la n
, des sentiments faux, de la fade galanterie, et un abus monotone des
peintures
de l’amour ; mais il est à noter qu’il admet Phèd
étude des institutions et de leurs transformations, dramatique par la
peinture
des mœurs, des caractères, par la vraie et vive c
er un regard vers les beaux-arts, essayer d’intéresser son élève à la
peinture
, juger Raphaël, ou Titien, ou Poussin. Fénelon se
dont il fallait peindre les décors, ce qui tournait mes idées vers la
peinture
. J’avais attrapé une huitaine d’années, et l’on m
cune idée de me faire littérateur, mon goût me portait plutôt vers la
peinture
, et avant d’avoir fini ma philosophie j’étais ent
s préféré la statue à la femme et le marbre à la chair. Mes études de
peinture
me firent apercevoir d’un défaut que j’ignorais,
avec l’école naturellement plus fréquentes. Peu à peu je négligeai la
peinture
et me tournai vers les idées littéraires. Hugo m’
critique d’art. Un de nos premiers articles fut une appréciation des
peintures
d’Eugène Delacroix à la Chambre des députés. Tout
t à un homme que de n’en pas être un autre. Si vous excellez dans les
peintures
riantes, dans les descriptions vives et chaudes,
he, le régent lui criait : « Vous ne faites rien, Lambert ! » A cette
peinture
si vive et si vraie des souffrances de la vie de
ey, les Quentin-Durward, etc. Jusqu’alors le roman s’était borné à la
peinture
d’une passion unique, l’amour, mais l’amour dans
se ou quelque vétille de ce genre ? Balzac excelle d’ailleurs dans la
peinture
de la jeunesse pauvre comme elle l’est presque to
encore pour de simples fictions romanesques et non pour de sérieuses
peintures
de la vie, étonnaient singulièrement les abonnés
e roman ne plurent pas tout d’abord les analyses philosophiques, les
peintures
détaillées de caractères, les descriptions d’une
ttait à l’œuvre, ampliant toujours, ajoutant un trait, un détail, une
peinture
, une observation de mœurs, un mot caractéristique
ites-la aussi petite que possible, elle existe toujours, ne fût-ce en
peinture
que la perspective, en littérature que la langue.
sorte de coupole, repoussée par le plafond cintré d’un boudoir et la
peinture
fraîche des volets fermés. Quand on pénétrait dan
brèche jaune, avec bas-reliefs de stuc ; un boudoir en dôme, dont les
peintures
anciennes avaient été restaurées par Edmond Hédou
e longue haleine, intéressant, rempli de piquantes observations et de
peintures
curieuses. Nous avouons pourtant que ce que nous
e des plus curieuses, illuminée par la fantasmagorie de l’opium et la
peinture
des hallucinations les plus brillantes, les plus
t d’une sagacité parfaite, et il apportait dans l’appréciation [de la
peinture
une subtilité métaphysique et une originalité de
nt d’une couleur étrange et splendide, attire Bouilhet, et c’est à la
peinture
de tels sujets qu’est surtout propre son hexamètr
ypte, la Chine y figurent dans tout l’éclat de leur bizarrerie. A ces
peintures
exotiques se mêlent des pièces modernes, d’un sen
intenant Paul de Kock est devenu un auteur historique. Il contient la
peinture
de mœurs disparues en une civilisation aussi diff
e pas moins aux points les plus ardus et les plus transcendants de la
peinture
. Il y a quelques mois, je reçus une lettre de M.
son ombre portée ; tous détails de végétation qui ne sont plus de la
peinture
, mais bien de la botanique Et le cheval du docte
des peintes, des dessins à la plume, des travaux sur l’histoire de la
peinture
et les maîtres italiens, un séjour à Pise et un a
lternatives de mal et de pire, il continua à étudier l’histoire de la
peinture
, la propriété et la préparation des couleurs, et
des poëtes. Quant aux rafraîchissements, ils seront remplacés par des
peintures
murales qu’on demandera aux artistes amis ; cette
J’aurais peur d’être taxé d’exagération en disant que la vue de cette
peinture
me rendit malade et m’inspira la nostalgie de l’O
ma véritable patrie, et, lorsque je détournais les yeux de l’ardente
peinture
, je me sentais exilé ; je le vois encore cet énor
s frivoles et peut-être puériles qu’on vient de lire. Aujourd’hui les
peintures
du salon de la rue du Doyenné ont disparu sous un
ait si vite, que son ombre ne pouvait la suivre sur les murailles. La
peinture
avait ses Orientales comme la poésie. Une des glo
esque. Au salon de 1844, qui, si cette expression peut s’étendre à la
peinture
, fut le chant du cygne de Marilhat, il envoya hui
est peut-être le chef-d’œuvre du peintre, nous dirions presque de la
peinture
. Jamais l’art du paysagiste n’est allé plus haut
remplacés par des fresques. En quelques jours le salon fut couvert de
peintures
, et réellement nous faisions, sans le savoir, act
des Gaules, toile héroïque, suprême effort de l’artiste. Les grandes
peintures
murales de Chassériau : la chapelle de Sainte-Mar
le saint Luc peignant le portrait de la Vierge, grande et magistrale
peinture
, un peu trop systématiquement large peut-être, ma
ecommandait par un aspect mat de fresque et de véritables qualités de
peinture
murale. Cet hémicycle assure contre l’oubli le no
lieu, que faites-vous ici Viennent ensuite les anges représentant la
peinture
, la sculpture, la gravure, la poésie : puis enfin
iciles. Sûr d’atteindre son but tôt ou tard, Ingres, quoiqu’il vît sa
peinture
peu goûtée ou méconnue tout à fait, s’obstinait à
rme abrupte, concise et bizarre, contiennent toute l’esthétique de la
peinture
. Son influence a été profonde et se continue. Hip
dans une salle à part, chapelle privilégiée de ce grand jubilé de la
peinture
, et les adorateurs du beau y vinrent de tous pays
e était la cause de cette aversion profonde ? Casimir Delavigne de la
peinture
, par de sages concessions, par de prudentes hardi
sans crainte de vous tromper : Cet homme, assurément, n’aime pas la
peinture
. Delaroche a beaucoup trop pensé à ces visiteurs
é ou le choix du fait. Là est le seul, le vrai, l’éternel sujet de la
peinture
. L’on a dans ces derniers temps confondu l’idée l
les fois qu’il lui laissa voir ses toiles. Il a mis le drame dans la
peinture
. Chacun de ses tableaux est un cinquième acte de
honneurs possibles, qu’il s’est trompé de vocation en choisissant la
peinture
qui lui a valu tant de renommée ; mais après troi
ent pas toujours l’art sérieux : il y a beaucoup d’adresse dans cette
peinture
: la paille destinée à boire le sang de la victim
ic français que cette scène si émouvante ne constitue pas de la bonne
peinture
, et que la moindre esquisse d’un Vénitien de la d
eur bistrée des grands maîtres de l’école romaine ; il y a dans cette
peinture
d’éminentes qualités ; mais, comme nous l’avons d
rait dans l’hémicycle où se fait la distribution des prix : une vaste
peinture
murale se déroule sous la coupole, éclairée par u
re à toutes les mémoires pour qu’il soit nécessaire de la décrire. La
peinture
murale a cet avantage d’agrandir la manière des a
ndir la manière des artistes. Il semble qu’au contact de la pierre la
peinture
devienne plus robuste Paul Delaroche, sans attei
nt, quelle sera la place de Paul Delaroche dans l’avenir ? il sera en
peinture
ce que Casimir Delavigne est en poésie. (L’Artist
précipitèrent du haut d’un rocher ; c’était là un beau sujet pour la
peinture
. Ary Scheffer le traita avec une fougue de colori
plus humanitaire que religieuse, pouvait fournir de beaux motifs à la
peinture
. Mais chez notre artiste, la main trahissait souv
ourtant sa place n’est pas à dédaigner. Il fut comme le Novalis de la
peinture
, et s’il n’eut pas le tempérament d’un artiste, i
ique, la recherche de l’idéal et du style, les dédains superbes de la
peinture
d’histoire pour la réalité, le goût de l’arrangem
llé de tout son éclat. Il y a dans ces toiles, d’une dimension que la
peinture
n’aborde pas ordinairement, quelque chose de l’il
te ne trouvent pas à s’y déployer aussi librement que dans ses autres
peintures
. Sa manière nette, rapide et facile ne suffit pas
é de cette fougue puissante, lui conseillait de ne pas exposer. Cette
peinture
, qui rompait si brusquement avec les traditions a
é. Quoi qu’en puissent dire ses détracteurs, il avait apporté dans la
peinture
française un élément nouveau, la couleur, à prend
apelle des Saints-Anges à Saint-Sulpice. Personne n’entendit mieux la
peinture
murale et décorative ; il y montra dans la compos
fonde. Chrétien d’une piété convaincue et pratique, il apportait à la
peinture
religieuse un élément bien rare aujourd’hui, la F
’il y déploya, qu’il n’avait pas encore trouvé sa véritable voie : la
peinture
murale et religieuse. La chapelle de Saint-Jean,
re, une sobriété magistrale et ce dédain des vains effets qu’exige la
peinture
associée à l’architecture et faisant corps avec e
s Prés a reçu des mains d’Hippolyte Flandrin un vêtement d’admirables
peintures
qui recouvrent son chœur et sa nef aux arcades ro
chin furent les Delacroix, les Decamps, les Marilhat, les Cabat de la
peinture
de théâtre. Ils y apportèrent l’invention, l’auda
se. Thierry était de cette époque où la décoration rivalisait avec la
peinture
et ne se faisait pas à grand renfort de clinquant
ères manifestations d’un talent qui a tenu ce qu’il promettait. Cette
peinture
s’écartait déjà du poncif académique et indiquait
e n’était pas là tout le talent d’Appert. Il entendait à merveille la
peinture
décorative, et il a peint dans la salle à manger
t et l’impression du moment. Il y en avait de tous les pays, mais les
peintures
faites en Espagne nous plaisaient surtout ; il no
anctuaires où son talent s’exerçait, s’était adonné de toute âme à la
peinture
religieuse. Élève et admirateur d’Orsel, il avait
, tant il semblait étranger aux subterfuges et au charlatanisme de la
peinture
moderne. Bien mieux et bien plus profondément qu’
sitions. Un Christ enfant au Salon de 1849, moment peu favorable à la
peinture
mystique, quelques portraits de l’Ange gardien co
de la vie, sont à peu près tout ce que le public a pu voir de lui. La
peinture
murale dans des églises ou des couvents éloignés
uses et séraphiques compositions, tendres et claires de ton comme les
peintures
à l’eau d’œuf ou les gouaches des missels sobreme
omme ils le sont de la poésie et comme ils l’étaient sans doute de la
peinture
. Déjà, dans l’atelier de Dupaty, le jeune Simart
tiennent à la partie technique de l’art, ce que nous avons dit de la
peinture
s’applique également à la sculpture. La statue de
’Anne de Bretagne. 137. Comme au tombeau du duc d’Harcourt. 138. La
peinture
souffre plus facilement la représentation du cada
re citation que je veuille faire de Cowper : ne perdons rien de cette
peinture
perlée et finie, et toutefois si vivante et si na
n. » Une de ses dernières pièces de vers, intitulée Le Rejeté, est la
peinture
d’un matelot tombé en pleine mer pendant le voyag
Unwin, il écrivait à son ami Joseph Hill ; « Vous vous souvenez de la
peinture
que fait Rousseau d’une matinée anglaise ; telles
eille et comparable à celle des Anglais, je pensais moins encore à la
peinture
directe de la nature considérée en elle-même, pei
ns encore à la peinture directe de la nature considérée en elle-même,
peinture
dont notre prose élevée présente de si belles et
mais ! » Bernardin de Saint-Pierre, chez nous, a fréquemment mêlé aux
peintures
naturelles de vives images de la vie et de la fél
é de paysan à laquelle il a consacré ses facultés d’observation et de
peinture
, — lui donc, l’auteur du Marquis des Saffras, sai
la manière, qui est essentiellement différente, la supériorité d’une
peinture
sans exagération et sans outrance, prise dans la
sure juste de son cadre et dans la réalité. Ce n’est pourtant pas une
peinture
sobre, c’est une peinture qui a, au contraire, so
dans la réalité. Ce n’est pourtant pas une peinture sobre, c’est une
peinture
qui a, au contraire, son opulence, mais fondue da
ois et venaient se combiner entre elles. On va d’ordinaire étudier la
peinture
et l’architecture en Italie, c’est bien : la pein
aire étudier la peinture et l’architecture en Italie, c’est bien : la
peinture
y vit tout entière dans ses chefs-d’œuvre les plu
En un mot, si Rome est justement le foyer tout trouvé d’une école de
peinture
, le centre le plus naturel pour l’architecture es
est des arts dont les productions tombent sous le sentiment, c’est la
peinture
, c’est la poësie. Ils n’operent que pour nous tou
leau, qu’on peut appeller le mérite étranger, mais c’est parce que la
peinture
et la poësie elles-mêmes sont incapables d’en déc
ux, c’est qu’ils ont d’autres connoissances que celles de l’art de la
peinture
et de l’art de la poësie. Quand il s’agit d’un de
ux : elle en est un pour celui qui met l’essence de la poësie dans la
peinture
: un troisieme donne le nom de poëme à la comédie
ut encore que tout ce qui se passe & se dit sur la scene soit une
peinture
si naïve de la société, qu’on oublie qu’on est au
les différentes modifications qu’on y observa successivement dans la
peinture
des mœurs. D’abord on osa mettre sur le théatre d
nissant du théatre toute imitation personnelle, borna la comédie à la
peinture
générale des mœurs. C’est alors que la comédie no
ours, comme les portraits de Vandeyk & de Latour, le mérite de la
peinture
, lors même qu’on ne sera plus en état de juger de
re sur lequel tous les traits du ridicule sont épuisés, & dont la
peinture
n’est plus qu’une école pour les jeunes gens qui
aux yeux des honnêtes gens. Le choix des objets & la vérité de la
peinture
caractérisent la bonne comédie. Le Malade imagina
, Mesure, Modulation, Mouvement , &c. Dans la Sculpture & la
Peinture
, c’est peu d’étudier la nature en elle-même, mode
la concevoir & celui qui la peint & celui qui en critique la
peinture
. La fausse éloquence est également facile à profe
nature une vie & une face nouvelle ; tantôt il l’embellit par ses
peintures
, tantôt il la trouble par ses prestiges & en
est absurde & barbare, qui tend à corrompre ou à mutiler dans la
Peinture
les beautés de l’original. Telle étoit la déclama
à la déclamation comique ; personne n’ignore qu’elle ne doive être la
peinture
fidele du ton & de l’extérieur des personnage
lle entente de ses vêtemens, aux chefs-d’oeuvre de Sculpture & de
Peinture
qu’il a sçavamment observés. La quatrieme enfin,
aesivit coelo lucem, ingemuitque reperta. L’actrice qui liroit cette
peinture
sublime, apprendroit à mourir sur le théatre. Dan
’objet, non dans la force de l’expression. Tout ce qui seroit beau en
peinture
, doit être beau sur le théatre. Et que ne peut-on
e parler lui-même, & cet artifice ne sert qu’à développer par une
peinture
plus animée le caractere & les desseins de ce
ent destinés. Le moine n’en est pas moins ridiculement placé dans ces
peintures
allégoriques. Rien de plus délicat, de plus ingén
me le reste des hommes ; cependant on écarte ces tristes images de la
peinture
de leur vie. Pourquoi ? parce qu’on se propose de
eau d’une condition digne d’envie, ne pourroit-elle pas être aussi la
peinture
d’un état digne de pitié ? en seroit-elle moins u
l & vrai, se fondent sur ce principe, que tout ce qui est beau en
peinture
, doit l’être en poésie ; & que les paysans de
’une sorte d’objets qui doivent être bannis de la Poésie, comme de la
Peinture
: ce sont les objets dégoûtans, & la rusticit
ibulle, le portrait d’Apollon qu’il voit en songe ; dans Properce, la
peinture
des champs élisées ; dans Ovide, le triomphe de l
a pas besoin de l’exactitude philosophique, c’est donc vouloir que la
Peinture
puisse se passer de la correction du dessein. Or
u & de tems : il a sur elle le même avantage que la Poésie sur la
Peinture
. La tragédie n’est qu’un tableau ; l’épopée est u
beauté de la Poésie ; c’est la chaleur de la narration, la force des
peintures
, l’intérêt de l’intrigue, le contraste des caract
de hardiesse & de chaleur. Les discours répondent à la beauté des
peintures
; & si dans l’un & l’autre genre Lucain p
it aux harangues véhémentes ; les vers de sept, de six & cinq aux
peintures
les plus vives & les plus fortes. On trouve d
épopée. Voyez Tragédie. Mais la partie épique permet, exige même des
peintures
plus fréquentes & plus vives : ou ces peintur
t, exige même des peintures plus fréquentes & plus vives : ou ces
peintures
présentent l’objet sous ses propres traits, &
nt assez de bien peindre, il faut bien choisir ce qu’on peint : toute
peinture
vraie a sa beauté ; mais chaque beauté a sa place
un lecteur judicieux, est déplacé dans l’épopée. Il faut, dit-on, des
peintures
simples & familieres pour préparer l’imaginat
ertes, où le génie peut s’enrichir : c’est de-là qu’il peut tirer des
peintures
dignes de remplir les intervalles d’une action hé
t aussi rares que précieux. Le mérite le plus général des ouvrages de
Peinture
, de Sculpture, de Poésie, est dans l’exécution ;
écision du dialogue, dans la variété, la force, & la rapidité des
peintures
, en un mot dans le génie poétique, don précieux &
ni dans le familier, ni dans l’héroïque. Si ses réflexions & ses
peintures
l’emportent vers l’un, ses sujets le ramenent à l
n l’image & le sentiment qui lui est propre ; on le voit dans ses
peintures
, dans son dialogue, dans ses harangues. Qu’on lis
eintures, dans son dialogue, dans ses harangues. Qu’on lise, pour ses
peintures
, la fable d’Apollon & de Borée, celle du Chên
l’une & de l’autre dans ses récits, dans ses réflexions, dans ses
peintures
; plus il semble persuadé, pénétré de ce qu’il ra
ns étendu, la fiction est essentielle à tous les arts d’imitation. En
Peinture
, les Vierges de Raphael & les Hercules du Gui
ature spectatrice pour l’intéresser & l’émouvoir. Horace, dans la
peinture
des moeurs, laisse le choix ou de suivre l’opinio
tous les pays & de tous les siecles. La fiction doit donc être la
peinture
de la vérité, mais de la vérité embellie, animée
Poésie, dans sa course rapide, semble avoir tout moissonné ; mais la
Peinture
, dont la carriere est à-peu-près la même, en est
les Peintres ensemble. Il faut que les difficultés méchaniques de la
Peinture
donnent à l’imagination des entraves bien gênante
and toutes ces absurdités auront été bannies de la poésie & de la
peinture
, le génie & l’art n’auront rien perdu. En un
dans le fantastique. On en voit mille exemples en sculpture & en
peinture
; c’est une palme terminée en tête de cheval, c’e
, le prestige de la Poésie, le charme de la Musique, l’illusion de la
Peinture
, &c. ont du paroître des prodiges, dans les t
que & la Poesie civilisoient les hommes, où la Sculpture & la
Peinture
imprimoient à la terre le respect & l’adorati
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