raient en effet la masse et le poids d’un organe complexe dont chaque
partie
aurait une signification déterminée ? S’il y a da
ie aurait une signification déterminée ? S’il y a dans le cerveau des
parties
nobles et des parties inférieures, comment ces di
ation déterminée ? S’il y a dans le cerveau des parties nobles et des
parties
inférieures, comment ces différences se traduirai
cerveau, moins pesant que tel autre, peut lui être supérieur, si les
parties
consacrées à l’exercice de la pensée l’emportent,
mportent, et si l’infériorité de poids ne tient qu’à la faiblesse des
parties
grossières, consacrées aux appétits des sens et a
chose à faire serait donc de démêler dans le cerveau ses différentes
parties
et les diverses facultés qui y correspondent. Gal
; or, l’unité de l’âme n’est pas compromise par cette multiplicité de
parties
: pourquoi le serait-elle par la multiplicité des
ira-t-on, si les instincts sont soumis à la prédominance de certaines
parties
du cerveau, si l’on naît avec la bosse du vol, de
aujourd’hui n’est pas encore entièrement jugée, est de savoir si les
parties
antérieures du cerveau, et que l’on appelle les l
t ce fait de sens intime qui nous fait localiser la pensée dans cette
partie
de la tête ; c’est là en effet, et ce n’est pas p
y sont pas, nous pouvons nous tromper en localisant la pensée dans la
partie
antérieure du cerveau45. D’ailleurs la localisati
ue l’on descend de l’homme aux animaux inférieurs, ce ne sont pas les
parties
antérieures du cerveau qui viennent à manquer, ce
inférieurs et l’intelligence rester au moins égale, puisque c’est la
partie
postérieure du cerveau qui disparaît, et non l’an
déposent contre la localisation des facultés intellectuelles dans les
parties
antérieures du cerveau : c’est d’abord le fait si
eau : c’est d’abord le fait signalé par M. Lélut, à savoir, que cette
partie
du cerveau est égale chez les idiots à ce qu’elle
ue les mêmes troubles intellectuels peuvent se produire, dans quelque
partie
du cerveau qu’ait eu lieu la lésion soit en avant
disant que lorsque la blessure ou le mal se produit par derrière, les
parties
antérieures sont sympathiquement malades ; mais o
reux cas de lucidité intellectuelle coïncidant avec les lésions de la
partie
antérieure du cerveau. Une dernière objection trè
avons vu que, suivant M. Flourens, on peut enlever dans un animal une
partie
considérable du cerveau sans qu’aucune faculté so
s et des frugivores. « Il existe, disait-il, chez les carnassiers des
parties
cérébrales dont les frugivores sont privés. » D’a
au moins, sinon le cerveau, est un organe complexe dont les diverses
parties
ont chacune son rôle, quoique rien ne soit plus d
osé qu’il est à la théorie des localisations, admet cependant que les
parties
antérieures du cerveau ont plus de dignité que le
nt que les parties antérieures du cerveau ont plus de dignité que les
parties
postérieures, ce qui indique évidemment quelque d
res, ce qui indique évidemment quelque différence dans le rôle de ces
parties
. De plus, il admet dans le cerveau des départemen
ensations, les nerfs olfactifs, gustatifs, optiques aboutissant à des
parties
différentes du cerveau. Or, de la prédominance de
e même nature, et que la seconde image est, par hypothèse, une infime
partie
du champ de la représentation alors que la premiè
mouvantes comme toutes les images, les centres nerveux présentent des
parties
mobiles qui recueillent certains mouvements extér
on, dessiner le tout de la représentation que s’il cessait d’être une
partie
de la représentation pour devenir le tout lui-mêm
lélisme se résumerait donc dans cette proposition contradictoire : la
partie
est le tout. Mais la vérité est qu’on passe inc
souvenirs. Il faut donc bien, semble-t-il, que mon corps, ou quelque
partie
de mon corps, ait la puissance d’évoquer les autr
présence de l’objet coïncide avec la représentation qu’on en a, toute
partie
de la représentation de l’objet sera, en quelque
te partie de la représentation de l’objet sera, en quelque sorte, une
partie
de sa présence. Le souvenir ne sera plus l’objet
même. En langage strictement réaliste elle se formulerait ainsi : Une
partie
, qui doit tout ce qu’elle est au reste du tout, p
rat à la représentation tout entière un phénomène qui n’en est qu’une
partie
, et une partie découpée artificiellement au milie
entation tout entière un phénomène qui n’en est qu’une partie, et une
partie
découpée artificiellement au milieu d’elle. Mais
toujours, de quelque nom qu’on appelle le système, à affirmer que la
partie
est le tout. En approfondissant les deux systèmes
it œuvre de savant : sinon, on ne songerait même pas à considérer des
parties
isolées de la réalité pour les conditionner l’une
t qu’il devra établir des relations de plus en plus intimes entre les
parties
du réel qui se juxtaposent à nos yeux dans l’espa
lée autrement que la représentation. En faisant correspondre à chaque
partie
de la représentation une partie de la réalité, il
ion. En faisant correspondre à chaque partie de la représentation une
partie
de la réalité, il articule le réel comme la repré
n du cerveau au reste de la représentation est évidemment celle de la
partie
au tout. Vous parliez d’abord du cerveau tel que
te de la représentation était dès lors, nous le répétons, celui de la
partie
au tout. De là vous avez passé brusquement à une
uit par elle) et lui attribuer alors des origines expérimentales : la
partie
effectivement mesurable du réel n’en reste pas mo
éduite à un dessin sans couleur et aux relations mathématiques de ses
parties
entre elles. Hypnotisés, pour ainsi dire, par le
définie d’achat. 4° L’idée que, si deux touts sont solidaires, chaque
partie
de l’un est solidaire d’une partie déterminée de
deux touts sont solidaires, chaque partie de l’un est solidaire d’une
partie
déterminée de l’autre. Alors, comme il n’y a pas
t qu’à une fraction quelconque de l’état de conscience correspond une
partie
déterminée de l’état cérébral, et que l’un des de
uable à l’autre. Comme si l’on avait le droit d’étendre au détail des
parties
, rapportées chacune à chacune, ce qui n’a été obs
’une machine fonctionne ou ne fonctionne pas : s’ensuit-il que chaque
partie
de l’écrou corresponde à une partie de la machine
onne pas : s’ensuit-il que chaque partie de l’écrou corresponde à une
partie
de la machine, et que la machine ait son équivale
pourrait bien être celle de l’écrou à la machine, c’est-à-dire de la
partie
au tout. Ces quatre idées elles-mêmes en implique
Ce fameux Discours de Bossuet, qui fut composé (du moins la première
partie
) pour l’éducation du Dauphin, mais qui ne fut pub
quer la suite de la Religion et les changements des Empires. Première
partie
depuis le Commencement du Monde jusqu’à l’Empire
Commencement du Monde jusqu’à l’Empire de Charlemagne. Cette première
partie
seule a paru ; et elle-même se compose de trois p
Cette première partie seule a paru ; et elle-même se compose de trois
parties
inégales et fort différentes, qu’il importe de bi
Empire romain et l’établissement d’un nouvel Empire. Dans la première
partie
de son livre, Bossuet s’est proposé de parcourir
ts, leur assemblage dans chaque époque, leur synchronisme. La seconde
partie
du livre est entièrement consacrée à reprendre et
e, une interprétation purement religieuse de l’histoire. La troisième
partie
enfin, qui revient sur la plupart des grands fait
que. Cette division annoncée, l’auteur entame incontinent sa première
partie
, la série et le déroulement des faits à dater de
la série et le déroulement des faits à dater de la Création. De cette
partie
-là, si j’avais à parler de mon propre chef et à d
se permet d’y broder aucun ornement, aucune fleur. Si cette première
partie
était tout l’ouvrage, il y aurait certes un regre
Bossuet les dédaigne et ne s’y amuse pas ; il attend les deux autres
parties
pour y mettre ses pensées tout entières. On essay
ntir ; mais il se réserve ; il attendra, pour se déployer, la seconde
partie
. Malgré tout et dussé-je trahir mon côté profane,
’admirer autant qu’on le fait cette sécheresse extrême de la première
partie
du Discours sur l’Histoire universelle ; elle ser
’Histoire universelle ; elle serait un vrai défaut, si cette première
partie
était capitale et le fonds même du Discours. Mais
tal du monument ou le soubassement, pour ainsi dire. C’est la seconde
partie
qui est la principale et qui fait le corps de l’o
, en effet, le genre de littérature auquel se rapporte cette première
partie
en la détachant et en l’isolant, en ne la considé
la sobriété n’effraye pas, est même allé jusqu’à louer cette première
partie
à l’égal des deux autres : en quoi il me paraît e
e l’exactitude possible ; mais c’est un chef-d’œuvre dont la première
partie
offre un tableau chronologique des événements mém
le seul ordre qui lui convienne. J’avoue que j’admire cette première
partie
au moins autant que les deux autres. » Cette pre
remière partie au moins autant que les deux autres. » Cette première
partie
ainsi expliquée, et les grands événements de l’hi
s pour les bien entendre, il est mieux de les détacher, de séparer la
partie
sacrée de la partie politique. Celle-ci étant rés
ndre, il est mieux de les détacher, de séparer la partie sacrée de la
partie
politique. Celle-ci étant réservée pour la fin, o
ainsi le centre et comme la clef de voûte du Discours. Cette seconde
partie
va être toute une explication historique, théoriq
uet revient avec ampleur sur ce qu’il avait déjà dit dans la première
partie
. Il s’arrête sur Abraham et sur cette alliance my
rist. Quand je parle d’art, je sais bien qu’il y a dans cette seconde
partie
des endroits où certaines idées mystiques, symbol
et la conscience vous avez remarqué que le tout est plus grand que la
partie
, qu’une qualité suppose une substance, et autres
stinctes, une connaissance et un rapport. Le rapport du tout et de la
partie
existe dans le tout et dans la partie ; la connai
rt. Le rapport du tout et de la partie existe dans le tout et dans la
partie
; la connaissance de ce rapport n’existe ni dans
e ; la connaissance de ce rapport n’existe ni dans le tout ni dans la
partie
, mais dans l’être intelligent qui connaît l’un et
. Réfléchissons un instant, et nous verrons que les qualités sont des
parties
, des points de vue, des éléments, bref des abstra
ce sont les qualités. La substance est le tout, les qualités sont les
parties
; ôtez toutes les qualités d’un objet, toutes ses
st, non la collection, car ce mot semble indiquer un tout fabriqué de
parties
primitivement séparées, mais l’ensemble primitif,
t séparées, mais l’ensemble primitif, et les qualités ne sont que des
parties
de cet ensemble ultérieurement séparées. Maintena
pose une substance. Cela signifie : tout abstrait, c’est-à-dire toute
partie
, tout fragment, toute donnée extraite d’une donné
ment et distinctement par un seul acte de l’esprit la totalité de ses
parties
, c’est simplement lui concevoir une limite quelco
t. Cette étendue étant abstraite n’est rien que de l’étendue ; et ses
parties
, comme elle, étant étendues et n’étant rien de pl
e. Ce qu’on exprime dans le langage ordinaire, en disant qu’entre les
parties
de l’espace pur il n’y a aucune différence. Donc
z toutes les autres. Or, arrivé à sa limite, vous apercevez une autre
partie
qui la continue. Mais la limite de cette autre pa
cevez une autre partie qui la continue. Mais la limite de cette autre
partie
est, d’après ce qu’on vient de dire, absolument s
able à celle de la première ; vous devez donc concevoir une troisième
partie
, c’est-à-dire un espace nouveau qui continue la s
bstraction pour découvrir en elle la similitude absolue de toutes les
parties
, et la propriété que possède une partie d’être co
litude absolue de toutes les parties, et la propriété que possède une
partie
d’être continuée par sa voisine. Vous avez formé
continuée par sa voisine. Vous avez formé ainsi l’idée générale d’une
partie
quelconque. Analysant cette idée, vous en avez ti
nt générale ou abstraite, peut se tirer par abstraction de la moindre
partie
de cet objet fini. Faute d’analyser, il déclare l
Chapitre V. Subordination et proportion des
parties
. — Choix et succession des idées Ces premiers p
régler le nombre, la subordination et les proportions réciproques des
parties
que l’œuvre doit comprendre, à choisir parmi tout
re dans lequel elles seront employées. L’unité du tout admet diverses
parties
; la continuité du mouvement comprend plusieurs é
gueur totale du chemin. Il ne suffit pas ici de voir par l’esprit les
parties
et le progrès de l’œuvre que l’on compose : il fa
rien : il faut bâtir la maison. La division qu’on fait du tout en ses
parties
, se complète par la subordination de ces parties
fait du tout en ses parties, se complète par la subordination de ces
parties
entre elles ; il faut en régler la distribution e
er et le saisir d’un regard. Vous aurez donc soin, en distinguant les
parties
du sujet, d’en réduire le nombre au strict nécess
e au strict nécessaire, et de marquer la dépendance réciproque de ces
parties
. Leur division et leur subordination étant nettem
ppement. Chacune d’elles a sa mesure, relative à celle du tout et des
parties
voisines, que la logique et le goût indiquent. Se
u’on manque sans cesse aux lois de la proportion, qu’on développe les
parties
au gré de sa fantaisie et de son plaisir, non pas
esprit qui tienne : le premier mérite, le mérite fondamental de toute
partie
, de la plus petite comme de la plus grande, c’est
tre point d’arrivée, puisque vous avez compté, mesuré, subordonné les
parties
principales : et pourtant c’est encore une chose
isamment réfléchi sur la répartition de la matière entre les diverses
parties
du sujet. On a cédé à une liaison naturelle des c
èbres : mais il le fait sans le dire, sans compter sur ses doigts les
parties
et les parties des parties, sans sécheresse en un
le fait sans le dire, sans compter sur ses doigts les parties et les
parties
des parties, sans sécheresse en un mot ni nomencl
s le dire, sans compter sur ses doigts les parties et les parties des
parties
, sans sécheresse en un mot ni nomenclature rebuta
bstance molle, grisâtre, blanchâtre, irrégulièrement aplatie dans une
partie
de son étendue, dont l’extrémité postérieure est
e l’extrémité antérieure. On divise généralement l’encéphale en trois
parties
: la moelle allongée, le cervelet et le cerveau.
lle allongée, le cervelet et le cerveau. La moelle allongée est cette
partie
de l’encéphale qui lie le cerveau et le cervelet
-dire au prolongement de la moelle épinière, et rattachent les autres
parties
au cerveau. Le cervelet est cette portion de l’en
au cerveau. Le cervelet est cette portion de l’encéphale située à la
partie
inférieure et postérieure du crâne, au-dessous du
e, il désigne cette portion de l’encéphale qui remplit la plus grande
partie
de la cavité crânienne, et qui est distincte du c
sphères sont fictivement divisés dans le sens de la longueur en trois
parties
que l’on appelle lobes antérieur, moyen et postér
e du cerveau est de deux couleurs, l’une grise et l’autre blanche. La
partie
grise en enveloppe la partie blanche, et forme co
eurs, l’une grise et l’autre blanche. La partie grise en enveloppe la
partie
blanche, et forme comme l’écorce du cerveau ; de
ses jolis contes. « Le cerveau d’un âne, dit-il, ne fait que la 250e
partie
de son corps, tandis que celui de la souris des c
ien, si l’on admet quelque localisation de fonctions, une plus grande
partie
de la masse étant employée au gouvernement de la
e sur tout le débat, car tant qu’on n’aura pas spécifié quelle est la
partie
du cerveau qui exerce les fonctions motrices et s
fonctions motrices et sensitives, on ne peut pas s’assurer que cette
partie
soit plus ou moins grande dans telle ou telle esp
udrait encore tenir compte dans chaque organe de la proportion de ses
parties
composantes. Je ne connais point de sujet plus co
le tube digestif, les leviers osseux ou musculaires des membres, les
parties
articulaires du coude ou du genou ». Mais quel ra
ement du cerveau d’avant en arrière. Plus le cerveau cache les autres
parties
de l’encéphale, plus l’animal est intelligent. —
Section 49, qu’il est inutile de disputer si la
partie
du dessein et de l’expression, est préferable à c
la question, si Le Brun est préferable au Titien, c’est-à-dire, si la
partie
de la composition poëtique et de l’expression est
de l’expression est préferable à celle du coloris, et laquelle de ces
parties
est superieure à l’autre, je tiens qu’il est inut
ment. Chacun opine donc en supposant, comme une chose décidée, que la
partie
de la peinture qui lui plaît davantage est la par
décidée, que la partie de la peinture qui lui plaît davantage est la
partie
de l’art qui doit avoir le pas sur les autres, et
que l’autre. La prédilection qui nous fait donner la préférence à une
partie
de la peinture sur une autre partie, ne dépend do
s fait donner la préférence à une partie de la peinture sur une autre
partie
, ne dépend donc point de notre raison, non plus q
. C’est sur quoi nous nous étendrons davantage à la fin de la seconde
partie
de cet ouvrage.
hoses connues et rapprochées), la géographie poétique, prise dans ses
parties
et dans son ensemble, naquit dans l’enceinte de l
es. C’est dans l’enceinte même de la Grèce que l’on plaça d’abord la
partie
orientale appelée Asie ou Inde, l’occidentale app
hrace ou Scythie, enfin la méridionale, dite Lybie ou Mauritanie. Les
parties
du monde furent ainsi appelées du nom des parties
ou Mauritanie. Les parties du monde furent ainsi appelées du nom des
parties
du petit monde de la Grèce, selon la situation de
e nom d’Asie Mineure, après que le nom d’Asie eut passé à cette vaste
partie
orientale du monde, que nous appelons ainsi dans
, que limite l’Océan occidental. — Ils appelèrent d’abord Hespérie la
partie
occidentale de la Grèce, sur laquelle se levait l
Hespérie. — Les Grecs d’Italie, au contraire, durent appeler Ionie la
partie
de la Grèce qui était orientale relativement à eu
ce Asiatique, fit appeler Ionie, par les habitants de la première, la
partie
de l’Asie Mineure qui se trouvait à leur orient.
à leur orient. [Il est probable que Pythagore vint en Italie de Samé,
partie
du royaume d’Ulysse, située dans la première Ioni
s oracles scythiques non moins faux que les vers d’Orphée. De la même
partie
de la Grèce sortirent les Hyperboréens, qui fondè
que tous les peuples de la Grèce, parce qu’ils étaient placés dans sa
partie
la plus septentrionale ; ensuite on a reculé l’ha
, et ce nom s’étendit à tout le golfe que présente l’Asie, dans cette
partie
de ses rivages où fut depuis le royaume de Mithri
onté de l’ouvrage de M. Expilly. §. II. Voyages dans toutes les
parties
du monde. RIen n’est plus agréable que de pa
s volumes de l’édition in-4°. sont une traduction de l’anglois. Cette
partie
est mal digérée, chargée d’inutilités & quelq
depuis cet ouvrage ; 2°. des voyages par terre, faits dans toutes les
parties
du monde : contenant ce qu’il y a de plus remarqu
ssant. Mais on desire que l’auteur remplisse son titre en traitant la
partie
de l’Amérique, à laquelle il renvoye plusieurs fo
Paris sa patrie, pour parcourir l’univers. Il ne vit néanmoins qu’une
partie
de l’Europe ; mais l’étude des langues, & le
Levant dans ses Observations sur le commerce & sur les arts d’une
partie
de l’Europe, de l’Asie, de l’Afrique & même d
, ne paroît avoir échappé. §. IV. Voyages en afrique. CEtte
partie
du monde n’est pas aussi connue qu’elle devroit l
bbé Demanet 1767. deux vol. in-12. L’auteur qui a été Curé dans cette
partie
de l’Afrique, a tout vu de ses yeux, & il par
nt que c’est une espêce différente de la nôtre. L’Egypte est une des
parties
de l’Afrique qui mérite le plus d’être connue. No
e vous citer quelques ouvrages sur l’Egypte & sur quelques autres
parties
d’Afrique qui vous plairont plus par les faits qu
des choses qui concernent la Géographie & la description de cette
partie
du monde. L’Egypte de Murtady, fils du Graphiphe,
V. Voyages en amérique. ON peut commencer l’histoire de cette
partie
du monde par celle que le P. Touron en a donnée s
évot, Ecrivain plus élégant que le Pere Touron, a très-bien traité la
partie
qui regarde l’Amérique dans son Histoire générale
s avons un grand nombre de voyages faits en Amérique ou dans quelques
parties
de l’Amérique. On en trouve le détail dans la nou
qué suffisent. §. VI. Voyages en europe. Nous plaçons cette
partie
à la fin de ce Chapitre, quoiqu’elle eût dû natur
losophiques, qui ne tardent jamais à entrer en circulation, elle a sa
partie
technique et spéciale, qui n’a de sens que pour l
ens que pour l’érudit. Plusieurs sciences n’ont même encore que cette
partie
, et plusieurs n’en auront jamais d’autre. Les spé
nt au jour de nouvelles sources originales. Jusqu’à ce que toutes les
parties
de la science soient élucidées par des monographi
nd ces vastes histoires une égale connaissance spéciale de toutes les
parties
de son sujet. Il faut qu’il se fie pour bien des
x déjà faits, il pourra peut-être traiter d’une manière définitive la
partie
ancienne. Mais la médecine arabe, la médecine du
, il se condamne à être superficiel. Son livre ne vaudra que pour les
parties
où il est spécial ; mais alors pourquoi ne pas se
arties où il est spécial ; mais alors pourquoi ne pas se borner à ces
parties
? Pourquoi consacrer à des travaux sans valeur et
es. Présentez ces histoires à chacun des hommes spéciaux dans une des
parties
dont elles se composent, je mets en fait que chac
dont elles se composent, je mets en fait que chacun d’eux trouvera sa
partie
détestablement traitée. Ceux qui ont étudié Arist
g l’Histoire de la philologie de Grœfenhan, pour qu’il en examinât la
partie
médicale. Il la trouva traitée sans aucune intell
l pas bien probable que tel autre savant spécial eût jugé de même les
parties
relatives à l’objet de ses recherches ? En sorte
ous en ont laissées les écrivains de l’antiquité classique. Plusieurs
parties
de l’histoire littéraire, qui ne sont pas encore
on se reconnaisse incapable de déterminer les relations mutuelles des
parties
, les proportions de l’ensemble. Mais, quand les s
out ne sera possible que par l’exploration patiente et analytique des
parties
. Tel philologue a consacré de longues dissertatio
ée que quand de patients philologues en auront monographié toutes les
parties
et tous les procédés. Il existe un assez gros vol
mis qui s’occupent du même sujet. Chaque savant, développant ainsi sa
partie
sans égard pour les autres branches de la science
ur tel point spécial d’une science qui n’est elle-même que la moindre
partie
d’une science plus étendue. Les mêmes recherches
rent. 114. La perfection du Parthénon consiste surtout en ce que les
parties
non destinées à être vues sont aussi soignées que
que les parties non destinées à être vues sont aussi soignées que les
parties
destinées à être vues. Ainsi dans la science. 11
it volumes sont déjà recueillis. Quoique la publication des dernières
parties
continue encore en feuilletons, on peut dire que
On en avait tant parlé à l’avance, on en avait tellement célébré les
parties
charmantes, tellement voilé les faiblesses ou les
uxquels il dut revenir encore plus volontiers avec l’âge. La première
partie
des Mémoires, celle qui offre la peinture des jou
à cette année 1811 dans laquelle il publia l’Itinéraire. Aussi, cette
partie
est-elle de beaucoup la plus légère de touche et
l’extrême recherche dans l’extrême décadence, on dirait que, dans les
parties
dernières de sa composition, il soit entré du Sid
op dit des uns, il a trop peu dit des autres. Ses Mémoires, dans leur
partie
politique, n’ont pas pris le temps de se calmer,
iquement parce qu’il s’est abrité derrière la tombe ? Mais c’est à la
partie
politique que s’adresse surtout ce reproche, et j
dresse surtout ce reproche, et j’ai plutôt en vue, pour le moment, la
partie
littéraire, celle qui s’étend jusqu’en 1814. Les
as mieux traités que les hommes politiques ne le sont dans la seconde
partie
, mais au moins ceux-là sont morts, et il ne reste
nsi leurs victimes à la postérité. Mais ces portraits sont faux et en
partie
calomnieux. Pour le prouver, il suffirait d’oppos
pitre purement littéraire, on les appliquerait également à toutes les
parties
du livre. Partout se révèle et perce un amour-pro
raverse en tous sens ces Mémoires, et vient gâter et compromettre les
parties
élevées et nobles du talent. Nous autres littérat
le de théâtre ? Il y a de l’un et il y a de l’autre. Le masque est en
partie
tombé ; mais l’auteur, à chaque moment, le repren
nt au moment qu’il raconte. Il l’a fait un peu, je le crois, pour les
parties
romanesques, il l’a fait évidemment pour les part
crois, pour les parties romanesques, il l’a fait évidemment pour les
parties
historiques. Ainsi, dans sa vue rétrospective de
r toute la vérité sur l’ensemble. C’est surtout en lisant la première
partie
, si pleine d’intérêt, ces scènes d’intérieur, d’e
ssi il le manque. Une plaisanterie singulière circule dans une grande
partie
de ces Mémoires et s’y accorde toute licence, une
en les abordant dans le détail et en les prenant dans leurs diverses
parties
. J’aurais aimé à parler de l’épisode de Charlotte
spositions prénatales ? Sans doute nous ne pensons qu’avec une petite
partie
de notre passé ; mais c’est avec notre passé tout
érieure, nous nous représentons ce changement comme un déplacement de
parties
qui, elles, ne changent pas. Si ces parties s’avi
t comme un déplacement de parties qui, elles, ne changent pas. Si ces
parties
s’avisaient de changer, nous les fragmenterions à
ant, nous disons que l’objet composé change par le déplacement de ses
parties
. Mais quand une partie a quitté sa position, rien
bjet composé change par le déplacement de ses parties. Mais quand une
partie
a quitté sa position, rien ne l’empêche de la rep
il n’y a rien de plus, dans la forme du tout, que la disposition des
parties
, les formes futures du système sont théoriquement
vivant a été isolé et clos par la nature elle-même. Il se compose de
parties
hétérogènes qui se complètent les unes les autres
on ne peut en dire autant, puisqu’un cristal n’a ni hétérogénéité de
parties
ni diversité de fonctions. Sans doute il est mala
roduire. Pour que l’individualité fût parfaite, il faudrait qu’aucune
partie
détachée de l’organisme ne pût vivre séparément.
suffit que cet organisme ait présenté une certaine systématisation de
parties
avant la fragmentation et que la même systématisa
que le changement se réduise à un arrangement ou à un dérangement de
parties
, que l’irréversibilité du temps soit une apparenc
e le vieillissement de l’être vivant jusqu’à cette crise consiste, en
partie
au moins, dans cette préparation graduelle. Bref,
usqu’en T′ qu’il n’est plus question. Que s’il divise l’intervalle en
parties
infiniment petites par la considération de la dif
ne espèce de mécanisme, je le veux bien. Mais est-ce le mécanisme des
parties
artificiellement isolables dans le tout de l’univ
nous y découpons n’en seraient point alors, à proprement parler, des
parties
; ce seraient des vues partielles prises sur le t
es d’une action proprement vitale ne déterminerait cette action qu’en
partie
: une part serait laissée à l’indétermination. Ma
sse dans l’être vivant, comme dans une cornue. Par là s’expliquent en
partie
les tendances mécanistiques de la physiologie. Au
admirable division du travail, une merveilleuse solidarité entre les
parties
, l’ordre parfait dans la complication infinie ? E
une finalité interne : chaque être est fait pour lui-même, toutes ses
parties
se concertent pour le plus grand bien de l’ensemb
simple de la finalité et l’hypothèse qui coordonne, non seulement les
parties
d’un organisme à l’organisme lui-même, mais encor
tellectuelle : que peut être cette frange inutile, en effet, sinon la
partie
du principe évoluant qui ne s’est pas rétrécie à
s en nous par la vie elle-même au cours de son évolution : comment la
partie
équivaudrait-elle au tout, le contenu au contenan
ligence qu’un ou deux des concepts où elle s’exprime : et c’est cette
partie
d’une partie que nous déclarons représentative du
ou deux des concepts où elle s’exprime : et c’est cette partie d’une
partie
que nous déclarons représentative du tout, de que
as moins par l’élan primitif du tout que se continue le mouvement des
parties
. Quelque chose du tout doit donc subsister dans l
ement des parties. Quelque chose du tout doit donc subsister dans les
parties
. Et cet élément commun pourra se rendre sensible
on naturelle ne peuvent nous être d’aucun secours pour résoudre cette
partie
du problème, car nous ne nous occupons pas ici de
sque tel que le Peigne. Ce sont, dans l’un et dans l’autre, les mêmes
parties
essentielles, composées d’éléments analogues. L’œ
i vont toujours s’additionnant. Il ne faut pas oublier que toutes les
parties
d’un organisme sont nécessairement coordonnées le
ntres visuels ne se développent pas en même temps, ainsi que diverses
parties
de l’organe visuel lui-même. Si les variations so
lles ne s’entendront pas entre elles pour se produire dans toutes les
parties
de l’organe à la fois, de telle manière qu’il con
un autre problème, non moins redoutable, se pose : comment toutes les
parties
de l’appareil visuel, en se modifiant soudain, re
l’œil continue à exercer sa fonction ? Car la variation isolée d’une
partie
va rendre la vision impossible, du moment que cet
e changements « corrélatifs » survenant tout à coup dans les diverses
parties
de l’œil, le mot est pris dans un sens tout nouve
maculata, on enlève le cristallin en respectant l’iris, c’est par la
partie
supérieure de l’iris que se fait encore la régéné
t encore la régénération du cristallin ; mais, si l’on supprime cette
partie
supérieure de l’iris elle-même, la régénération s
a couche intérieure ou rétinienne de la région restante 37. Ainsi des
parties
différemment situées, différemment constituées, a
tion du germen provoquée par une certaine modification d’une certaine
partie
du soma ne déterminera la même modification de la
ertaine partie du soma ne déterminera la même modification de la même
partie
du nouvel organisme en voie de formation que si t
tie du nouvel organisme en voie de formation que si toutes les autres
parties
naissantes de celui-ci jouissent, par rapport à C
elui-ci jouissent, par rapport à C, d’une espèce d’immunité : la même
partie
sera alors modifiée dans le nouvel organisme, par
rs modifiée dans le nouvel organisme, parce que la formation de cette
partie
se sera trouvée seule sensible à la nouvelle infl
pourra-t-elle être modifiée dans un tout autre sens que ne l’était la
partie
correspondante de l’organisme générateur. Nous pr
la structure et la simplicité du fonctionnement. L’œil se compose de
parties
distinctes, telles que la sclérotique, la cornée,
érotique, la cornée, la rétine, le cristallin, etc. De chacune de ces
parties
le détail irait à l’infini. Pour ne parler que de
tte thèse, à supposer qu’elle vaille quelque chose pour le détail des
parties
, elle ne jette aucune lumière sur leur corrélatio
rélation. Survient alors la doctrine de la finalité. Elle dit que les
parties
ont été assemblées sur un plan préconçu, en vue d
nature à celui de l’ouvrier qui procède, lui aussi, par assemblage de
parties
en vue de la réalisation d’une idée ou de l’imita
que la nature ait travaillé comme l’ouvrier humain, en assemblant des
parties
. Un simple coup d’œil jeté sur le développement d
remière opération est propre à l’homme. Elle consiste a assembler des
parties
de matière qu’on a taillées de telle façon qu’on
nsemble du résultat représente ici l’ensemble du travail, et à chaque
partie
du travail correspond une partie du résultat. Mai
i l’ensemble du travail, et à chaque partie du travail correspond une
partie
du résultat. Maintenant, je reconnais que la scie
sera l’assemblage. Et les travaux élémentaires, qui ont organisé les
parties
, seront censés être les éléments réels du travail
anisateur (encore que ce ne soit vrai qu’approximativement), mais les
parties
de la machine ne correspondent pas à des parties
ativement), mais les parties de la machine ne correspondent pas à des
parties
du travail, car la matérialité de cette machine n
en une forme déterminée, celle même de la main qui s’arrête et d’une
partie
du bras. Maintenant, supposons que la main et le
que le tout de l’effet s’explique par le tout de la cause, mais à des
parties
de la cause ne correspondront nullement des parti
cause, mais à des parties de la cause ne correspondront nullement des
parties
de l’effet. En d’autres termes, ni le mécanisme n
encore une fois, le processus réel qui lui donne naissance n’a pas de
parties
. C’est de quoi ni le mécanisme ni le finalisme ne
l’œil. Au fond de notre étonnement il y a toujours cette idée qu’une
partie
seulement de cet ordre aurait pu être réalisée, q
n über mikroskopische Schäume und das Protoplasma, Leipzig, 1892, 1re
partie
. 12. Rhumbler,Versuch einer mechanischen Erklä
ntéléchies » de Driesch, « dominantes » de Reinke, etc.). De ces deux
parties
, la première est incontestablement la plus intére
udes que prend l’esprit quand il se rappelle machinalement toutes les
parties
d’un souvenir complexe et quand, au contraire, il
raphie mentale du tout, qui permettait ensuite le rappel immédiat des
parties
. Mais, dès la première leçon, et dans l’interdict
ertains joueurs d’échecs sont capables de conduire de front plusieurs
parties
sans regarder les échiquiers. À chaque coup de l’
iquiers, ils arrivent à gagner, souvent contre d’habiles joueurs, les
parties
simultanées. Dans une page bien connue de son liv
particulière », etc. Voilà pour les pièces. Voici maintenant pour la
partie
. Ce qui est présent à l’esprit du joueur, c’est u
es alliées ou hostiles. Le joueur refait mentalement l’histoire de la
partie
depuis le début. Il reconstitue les événements su
éléments les uns dans les autres. Ce qui le prouve, c’est que chaque
partie
apparaît au joueur avec une physionomie qui lui e
ement cette différence de physionomie qui permet de retenir plusieurs
parties
sans les confondre entre elles. Donc, ici encore,
tient à l’état d’implication réciproque ce que l’image développera en
parties
extérieures les unes aux autres. Analysez votre e
r telle ou telle période, c’est que je vais du tout de la période aux
parties
qui la composent, le tout m’apparaissant d’abord
les éléments s’entrepénètrent, en une représentation imagée dont les
parties
se juxtaposent. Il faudrait maintenant étudier l’
parole ; elles établissent avec précision que nous n’entendons qu’une
partie
des mots prononcés. Mais, indépendamment de toute
enir lui-même, lequel s’insinue en elle et lui fournit la plus grande
partie
de sa matière. Mais, s’il en est ainsi, il faut b
appel, lancé surtout à la mémoire ? La perception brute de certaines
parties
suggère une représentation schématique de l’ensem
eprésentation schématique de l’ensemble et, par là, des relations des
parties
entre elles. Développant ce schéma en images-souv
représentation schématique que nous nous transportons. Et toujours la
partie
positive, utile, de ce travail consiste à marcher
Mais comment apercevoir ici la fin sans les moyens, le tout sans les
parties
? Ce ne peut être sous forme d’image, puisqu’une
nsi « de l’abstrait au concret », c’est-à-dire, en somme, du tout aux
parties
et du schéma à l’image 78. Il s’en faut d’ailleur
e que l’inventeur réalise les détails de sa machine, il renonce à une
partie
de ce qu’il en voulait obtenir, ou il en obtient
ent qui sert d’amorce et se complète peu à peu… Képler a consacré une
partie
de sa vie à essayer des hypothèses bizarres jusqu
’elle, l’envahissent et tendent même à la supplanter. A vrai dire, la
partie
utile de cette représentation n’est ni purement v
la fois, étant le dessin de relations, surtout temporelles, entre les
parties
successives du mouvement à exécuter. Une représen
le schéma, enfin ce mouvement sui generis de représentations fait-il
partie
intégrante du sentiment que nous avons de l’effor
enirs multiples qu’il essaie de faire coïncider avec telles ou telles
parties
de la perception elle-même. La perception s’enric
mple du fait ? Tout ce que nous demandons est qu’on ne néglige aucune
partie
de l’expérience. À côté de l’influence de l’image
réalisé, de l’intensif à l’extensif, d’une implication réciproque des
parties
à leur juxtaposition. L’effort intellectuel est q
bres, cette ligne de liaison qui serpente et enchaîne les différentes
parties
de la composition ; vous liriez ma description, e
chose générale et de la chose individuelle jusques dans les moindres
parties
, puisque vous n’oseriez pas m’assurer depuis le m
ontredire, où est donc le vrai modèle, s’il n’existe ni en tout ni en
partie
dans la nature ; et si l’on peut dire de la plus
st impossible qu’elle affecte la masse générale, sans affecter chaque
partie
prise séparément ? Ne convenez-vous pas que quand
tion propre à la masse, et l’altération conséquente de chacune de ses
parties
, vous avez fait le portrait ? Il y a donc une cho
e, et nous y viendrons peut-être. Ne convenez-vous pas encore que les
parties
molles intérieures de l’animal, les premières dév
ures de l’animal, les premières dévelopées, disposent de la forme des
parties
dures ? Ne convenez-vous pas que cette influence
a et qu’il ne peut y avoir ni un animal entier subsistant, ni aucune
partie
d’un animal subsistant que vous puissiez prendre
; j’en fais déshabiller un grand nombre ; toutes m’offrent de belles
parties
et des parties difformes ; je prends de chacune d
shabiller un grand nombre ; toutes m’offrent de belles parties et des
parties
difformes ; je prends de chacune d’elles ce qu’el
qu’il ne peut jamais y avoir ni un tout, ni par conséquent une seule
partie
d’un tout qui n’ait souffert ; scais-tu, mon ami,
’éteint et dont l’effet reste, la réforme s’est étendue à de moindres
parties
, de celles-cy à de moindres encore, et de ces der
re, empruntant d’elle, dans une infinité d’individus, les plus belles
parties
dont ils composèrent un tout. Comment est-ce qu’i
rent un tout. Comment est-ce qu’ils auroient reconnu la beauté de ces
parties
? De celles surtout qui rarement exposées à nos y
l, la ligne vraie dans leur imagination, ils n’auroient trouvé aucune
partie
qui les eût contentés à la rigueur. Je vous décla
ortraits isolés, qu’on s’élève au modèle original et premier ni de la
partie
, ni de l’ensemble et du tout ; qu’ils ont suivi u
portraitiste de la plus belle nature subsistante soit en tout soit en
partie
que sont renfermées toutes les manières possibles
été transportés, sinon par l’homme, du moins à sa suite, en diverses
parties
du monde, et ont acquis aujourd’hui une extension
ne vingtaine de générations successives, assez tôt pour qu’une grande
partie
des semences soient détruites par la gelée, recue
es corrélations. — L’organisation tout entière forme un tout dont les
parties
sont en relations mutuelles si étroites pendant l
ement toute l’organisation de l’adulte, de même, encore, les diverses
parties
du corps qui sont homologues, et qui pendant les
lections successives. Ainsi que l’ont remarqué plusieurs auteurs, les
parties
homologues ont une forte tendance à adhérer les u
es monstruosités végétales. Rien n’est plus commun que la soudure des
parties
homologues parmi les structures normales : telle
ins complète des pétales de la corolle en forme de tube. De plus, les
parties
dures semblent influencer la forme des parties mo
de tube. De plus, les parties dures semblent influencer la forme des
parties
molles dont elles sont voisines : ainsi plusieurs
isse donner de l’importance des lois de corrélation pour modifier les
parties
les plus essentielles de l’organisme, indépendamm
i diffèrent en forme et en structure ; et l’ovaire lui-même, avec ses
parties
accessoires, est différent, ainsi que l’a constat
oppement des rayons ou pétales extérieurs cause l’avortement d’autres
parties
de la même fleur, en détournant la nourriture qui
ne vois guère le moyen de distinguer si le développement de certaines
parties
et la résorption des parties opposées sont un eff
tinguer si le développement de certaines parties et la résorption des
parties
opposées sont un effet de la sélection naturelle
la sélection naturelle essaye continuellement d’économiser sur chaque
partie
de l’organisation. Ainsi, lorsque sous des condit
e, chez le Protéolepas, protégé par ses habitudes parasites, toute la
partie
antérieure de l’armure de la tête est réduite à d
ans la longue suite des temps à réduire et à épargner tout organe, ou
partie
d’organe, qui aura cessé d’être nécessaire ou uti
ui aura cessé d’être nécessaire ou utile, sans que pour cela d’autres
parties
ou organes se développent en un degré corresponda
onque sans nécessiter, en compensation, la réduction de quelque autre
partie
de l’organisme. VI. Les organes multiples, rudim
s avec certitude nous attendre à voir souvent continuer de varier les
parties
de leur organisation qui ont déjà varié à une épo
être en quelque mesure variables, ou du moins plus variables que les
parties
de l’organisation qui, pendant une longue période
autres dans leurs caractères sexuels secondaires que dans toute autre
partie
de l’organisation. On peut comparer, par exemple,
s caractères n’ont pas acquis la constance et l’uniformité des autres
parties
de l’organisation : c’est que les caractères sexu
mme de différences dans leurs caractères sexuels que dans toute autre
partie
de leur organisation88. C’est un fait remarquable
d’espèces, les différences sexuelles affectent généralement les mêmes
parties
de l’organisation que les différences spécifiques
mais en ce qu’il se présente chez plusieurs espèces du même genre, en
partie
à l’état domestique et en partie à l’état sauvage
plusieurs espèces du même genre, en partie à l’état domestique et en
partie
à l’état sauvage. Il y a toute apparence que c’es
ette à avoir des raies sur les jambes. D’après M. Gosse, en certaines
parties
des États-Unis, environ neuf Mules sur dix ont le
aiblissant, semblent avoir eu des effets beaucoup plus puissants. Les
parties
homologues tendent à varier de la même manière. D
ogues tendent à varier de la même manière. Des modifications dans des
parties
dures et externes affectent quelquefois des parti
ications dans des parties dures et externes affectent quelquefois des
parties
molles et internes. Quand un organe est bien déve
ture des organes voisins ; et la nature épargne sans cesse sur chaque
partie
de l’organisation tout entière, toutes les fois q
nous sommes encore absolument incapables de comprendre la nature. Les
parties
multiples sont variables en nombre et en structur
es en nombre et en structure, peut-être par suite de ce que de telles
parties
n’ont pas été exclusivement adaptées à des foncti
ue pourquoi il est encore souvent beaucoup plus variable que d’autres
parties
de l’organisme ; car le procédé de variation va s
ui ne peut se produire sans altérer les tensions de toutes les autres
parties
et sans amener par cela même une suite indéfinie
in l’idée de la foudre ? C’est qu’il y avait entre ces deux idées une
partie
commune : lumière subite avec choc capable de tue
à coexisté souvent avec l’idée de la foudre : c’est en vertu de cette
partie
commune que l’idée de l’étincelle électrique vien
importe de le remarquer, l’union ne peut avoir lieu qu’à travers des
parties
du cerveau contiguës. La contiguïté des phénomène
énergie et la continuité du mouvement, qui se transmet toujours à des
parties
contiguës. Tout mouvement produit tend à se dépen
le cerveau, avec la loi de propagation du mouvement. D’autre part les
parties
du cerveau contiguës sont en même temps des parti
D’autre part les parties du cerveau contiguës sont en même temps des
parties
similaires, qui vibrent d’une façon partiellement
mpressions ne peuvent se lier que si elles sont centralisées dans des
parties
du cerveau similaires en même temps que contiguës
uditif sommeillent toutes les images de l’ouïe. De plus, les diverses
parties
du cerveau sont reliées par des intermédiaires. T
res. Toute impression ébranle donc, par une contagion inévitable, les
parties
contiguës et similaires du cerveau, puis celles m
ssocier mécaniquement avec le semblable en vertu de la continuité des
parties
similaires : voilà le ressort moteur des idées et
pour la représentation des sons autrefois entendus. Au contraire, une
partie
du cerveau peut très bien être occupée d’une mani
s possible, surtout dans les états riches en relations, parce que des
parties
très diverses du cerveau peuvent vibrer à la fois
fois et sympathiquement sous une excitation, si bien que, la première
partie
ayant usé sa force, la seconde, déjà éveillée, es
même des organes, au retentissement de l’excitation centrale dans des
parties
du système nerveux unies par une loi de corrélati
s représentations adaptées. Enfin la contiguïté des courants dans les
parties
similaires du cerveau a pour corrélatif au sein d
l’autre en se cachant reciproquement la moitié de la tête ni d’autres
parties
du corps, lesquelles il convient au sujet que le
ns l’autre. Paul Veronese, par exemple, a très-bien réussi dans cette
partie
de l’ordonnance que nous appellons composition pi
merite chaque peintre dont il parle est parvenu en chacune des quatre
parties
dans lesquelles l’art de la peinture peut se divi
parties dans lesquelles l’art de la peinture peut se diviser ; et ces
parties
sont la composition, le dessein, l’expression et
oint de perfection, où il soit possible d’atteindre en chacune de ces
parties
: il nous dit à quel degré chaque peintre est dem
demeuré. Mais pour n’avoir pas distribué l’art de la peinture en cinq
parties
, ni divisé ce qu’on appelle en general l’ordonnan
encore placé dans notre balance à côté de M. Le Brun, quoique dans la
partie
de la comparaison poëtique, la seule dont il s’ag
éjà à la conscience le sentiment obscur d’une extériorité mutuelle de
parties
diverses et liées. À la conscience pure des kanti
que l’autre ? n’avez-vous pas le sentiment d’un plus grand nombre de
parties
intéressées à la fois, le sentiment d’une coexist
us ne savez pas encore ce que c’est que partout, direction, position,
parties
, etc. ; mais il y a déjà dans votre cœnesthésie u
nsivité vague ; un aveugle, lui aussi, distingue tout son corps d’une
partie
de son corps. Nous croyons donc que la constructi
ivité, c’est-à-dire l’élément de l’étendue, de cette juxtaposition de
parties
étalées qui caractérise l’existence dans l’espace
étendue, c’est-à-dire objectivement liée au tout de l’espace ou à une
partie
définie de l’espace ; ce n’est point une chose qu
e implique deux conditions principales : 1° idée d’une coexistence de
parties
continues, qui, comme telles, ne peuvent être dis
fférences qualitatives ; 2° idée d’une relation caractéristique entre
partie
et partie, qui n’est plus simplement une différen
qualitatives ; 2° idée d’une relation caractéristique entre partie et
partie
, qui n’est plus simplement une différence entre e
érence entre elles, mais une distance, c’est-à-dire une séparation de
parties
extérieures l’une à l’autre115. Il faut donc non
lle soit la coexistence de toutes les impressions venant des diverses
parties
de notre corps et ayant chacune un caractère prop
a cœnesthésie est un concert continu où chacun de nos organes fait sa
partie
et où se fondent un grand nombre de voix, ayant c
urs un même fond de sensations simultanées, fourni par l’ensemble des
parties
corporelles, assurant la permanence des signes lo
corps est déjà extensif, parce qu’il enveloppe le vague sentiment de
parties
coexistantes et constamment coexistantes. 2° Tout
fois, il manque encore un élément caractéristique : l’extériorité des
parties
par rapport à nous et entre elles. L’extériorité
terne qui se détache de la conscience du moi. Reste l’extériorité des
parties
entre elles, qui a pour marque non plus seulement
ur marque non plus seulement la distinction, ni même l’opposition des
parties
, mais leur position. Peut-on dire qu’une sensatio
va là ? et appellent le foyer visuel du côté de l’objet. Beaucoup de
parties
de la peau remplissent le même office, par exempl
nt pour avoir une notion nette de l’espace. Deux impressions sur deux
parties
différentes de notre corps ont une nuance locale
ticulier de sentir ? Ne saisissez-vous pas l’extériorité mutuelle des
parties
de la ligne, qui est une série de différences spa
t contre une chaleur ou un froid trop vif par des mouvements dans les
parties
affectées. A tout cela nous ne faisons jamais att
hes colorées ayant une forme visuelle ; ce ne serait pas la notion de
parties
les unes en dehors des autres, de situation, etc.
e spécifique de l’étendue, toutes les sensations venant de toutes les
parties
de notre corps. Quant au sentiment de l’équilibre
stinguées, une absence de différences qualitatives entre les diverses
parties
de l’espace, des notions claires d’extériorité, d
tation provoque reste diffuse et ne se concentre pas nettement en une
partie
distincte et étroite. A un stade plus élevé, l’on
ade plus élevé, l’onde nerveuse se concentre de plus en plus dans des
parties
spéciales et différenciées, et il se produit ains
hysiologique, les sensations seraient projetées dans la direction des
parties
du corps excitées et des causes externes qui ont
Protase. Dans l’ancienne poésie dramatique, c’était la première
partie
d’une pièce de théâtre, qui servait à faire conna
omme occasion, les choses qui doivent ensuite arriver. C’est de cette
partie
que ce même poète a dit : Le sujet n’est jamais
êts et ceux du public. Épitase, exposition. L’exposition est la
partie
du poème dramatique dans laquelle l’auteur jette
Beaucoup d’expositions de nos tragédies ressemblent bien moins à une
partie
de l’action qu’à des prologues des anciens, où un
t qu’il ne peut savoir. Les questions d’Acomat laissent entrevoir une
partie
de ses projets. Il y a peu d’avant-scènes aussi c
lceste et de Philinte. Épisode. C’était chez les Grecs, une des
parties
de quantité de la tragédie. On appelait ainsi cet
nts, on peut le considérer comme un seul épisode composé de plusieurs
parties
; à moins qu’on n’aime mieux donner à chacune de
lusieurs parties ; à moins qu’on n’aime mieux donner à chacune de ses
parties
le nom d’épisode. En effet, c’était quelquefois u
e qui n’avait été qu’un ornement dans la tragédie, en étant devenu la
partie
principale, on regarde la totalité des épisodes c
otalité des épisodes comme ne devant former qu’un seul corps dont les
parties
soient dépendantes les unes des autres. Les meil
sujettes à cette irrégularité, en ce qu’ayant moins d’incidents et de
parties
que les autres plus composées, elles ont plus bes
et de les immoler à la fois. Les chœurs de leurs comédies étaient en
partie
destinés à cet usage ; ils y rassemblaient plusie
. Catastase. La catastase est, selon quelques-uns, la troisième
partie
du poème dramatique chez les anciens, dans laquel
ntrigue. Ce mot veut dire en grec constitution, parce que c’est cette
partie
qui forme comme le corps de l’action théâtrale, q
catastrophe démêler. Épilogue. Aristote définit l’épilogue, une
partie
qu’on récite dans la tragédie, lorsque le chœur a
s petites pièces ; l’exode étant (comme on l’a dit ci-devant) une des
parties
de la tragédie, c’est-à-dire, la quatrième et der
faire sur l’auditeur languit en même temps. Le pathétique manque une
partie
de son effet ; et l’on peut dire que, dès qu’il e
partie de son effet ; et l’on peut dire que, dès qu’il en manque une
partie
, il le perd tout entier. Cette seconde règle n’es
ges accordés aux poètes, qu’aucun personnage de tragédie. La première
partie
du récit de Théramène répond à ceux que les ancie
onologues : c’est une scène hors d’œuvre, qui, à la vérité, fait bien
partie
du poème ancien, mais non pas de l’action théâtra
sent, ou qui triomphent les uns des autres ; c’est surtout dans cette
partie
que Corneille est supérieur. Voyez la belle scène
par voïe de discussion. Enfin ils sont prévenus en faveur de quelque
partie
de l’art, et ils la comptent dans les jugemens ge
euvent-ils être bons juges du tout quand ils sont mauvais juges de la
partie
de l’ invention, qui fait le principal mérite des
apprétiation génerale d’un ouvrage à la capacité de l’artisan dans la
partie
de l’art pour laquelle ils sont prévenus. Le sort
sans sans génie est de s’attacher principalement à l’étude de quelque
partie
de l’art qu’ils professent, et de penser après y
ent, et de penser après y avoir fait du progrès, qu’elle est la seule
partie
de l’art bien importante. Le poëte dont le talent
rien même dans son jugement. Il fait sa décision sans aucun égard aux
parties
de l’art qu’il n’a point. Un poëte en peinture to
es, mais dont le coloris méritera d’être admiré. En supposant que les
parties
de l’art que l’on n’a pas, ne méritent presque po
aircissements. [Œuvres complètes, tome XII] Note A, page 38. [IIe
partie
, liv. I, chap. 5] « Les véritables philosophe
mie dans la nature. » (Tom. IV, pag. 463.) Note B, page 42. [IIe
partie
, liv. II, chap. 1] Comme la philosophie du jou
avoir un frein puissant dans leur religion. Note C, page 142. [IIe
partie
, liv. III, chap. 6] Voici quelques fragments q
misère, le troisième a péri sur l’échafaud. Note D, page 166. [IIe
partie
, liv. IV, chap. 1] Nous ne voulons qu’éclairci
s, telle qu’elle existait pour les anciens. Note E, page 176. [IIe
partie
, liv. IV, chap. 2] Poésies sanskrites. Sacon
nds, receive me from the night. (Ossian.) Note F, page 208. [IIe
partie
, liv. IV, chap. 9] IMITATION DE VOLTAIRE. « T
dans les enfers qu’obéir dans les cieux. » Note G, page 236. [IIe
partie
, liv. IV, chap. 15] Le Dante a répandu quelque
atto. Purgatorio di Danto, canto i et ii. Note H, page 251. [IIe
partie
, liv. V, chap. 2] Fragment du sermon de Bossu
re paraît dans le tout, et dans l’assemblage plus encore que dans les
parties
détachées, il avait encore enchéri et l’avait tro
ns de Bossuet, tom. III.) (Note de l’édit.) Note I, page 262. [IIe
partie
, liv. V, chap. 2] On sera bien aise de trouver
sus-Christ, sous la discipline de Paul… » Note K, page 310. [IIIe
partie
, liv. 1, chap. 4] Voici le catalogue de Pline
ts chrétiens que les sujets mythologiques. Note L, page 312. [IIIe
partie
, liv. I, chap. 4] Le catalogue que Pline nous
scène grecque, on peut encore douter que les anciens connussent cette
partie
de l’art, sans laquelle toutefois il ne peut y av
aïque du palais des princes Barberins à Palestrine représente dans sa
partie
supérieure un pays de montagnes, avec des chasseu
ure un pays de montagnes, avec des chasseurs et des animaux : dans la
partie
inférieure, le Nil qui serpente autour de plusieu
ut cela aux paysages de Claude le Lorrain. Note M, page 331. [IIIe
partie
, liv. II, chap. 1] L’abbé Barthélemy trouva le
u résultat final, qui est la pensée. Il est inutile de dire que cette
partie
de la science est non-seulement dans l’enfance, m
sont de petits tubes creux remplis d’une sorte de vapeur composée des
partie
les plus subtiles du sang et sécrétée par le cerv
é de tension ; mais si l’on suppose les fibres cérébrales divisées en
parties
infiniment petites, plongées dans un milieu élast
des vibrations propagées par l’éther se communiquent à chacune de ces
parties
infinitésimales de la fibre cérébrale. Il n’y a r
d’admettre que les séries d’idées soient fixées dans telles ou telles
parties
du cerveau, par exemple, dans les corpuscules gan
scend de celles-ci à celle-là, — comme l’effet d’une exaltation de la
partie
périphérique des corpuscules ganglionnaires relat
phérique des corpuscules ganglionnaires relativement à celle de leurs
parties
centrales ou de leur noyau relativement à leur pé
’elle sera longtemps condamnée au même silence. 69. Voyez t. II, 3e
partie
, chap. III, § 2. 70. Voyez sur cette question de
Chapitre XV. Des ouvrages sur les différentes
parties
de la Philosophie. MOnsieur Formei ayant asse
imple & du naturel. Pour suivre à présent l’ordre des principales
parties
de la Philosophie, on pourra le borner pour la Lo
urieux & instructifs. Le Pere Buffier a traité presque toutes les
parties
de la Philosophie, en divers vol. in-8°. Mais pou
oins bon, ni moins curieux. Les Observations curieuses sur toutes les
parties
de la Physique, en trois vol. in-8°., sont rédigé
au commencement de l’année 1766. Il y a de très bonnes choses dans la
partie
mathématique, & dans la partie physique de ce
y a de très bonnes choses dans la partie mathématique, & dans la
partie
physique de cet ouvrage, lorsque les points qu’on
igures & du style le plus analogue au sujet. L’Astronomie est une
partie
de la Physique trop intéressante pour être oublié
s avions à dire sur les meilleurs livres qui traitent des différentes
parties
de la Philosophie. Cette science devient immense
e nous une variété infinie d’ombres fortes, d’ombres moins fortes, de
parties
obscures, moins obscures, éclairées, plus éclairé
in aethera purgat apertum. Avec tout cela ce n’est pas là la grande
partie
, la partie difficile du clair-obscur. La voici. I
purgat apertum. Avec tout cela ce n’est pas là la grande partie, la
partie
difficile du clair-obscur. La voici. Imaginez com
une étude des règles de la perspective. La perspective rapproche les
parties
des corps ou les fait fuir, par la seule dégradat
eule dégradation de leurs grandeurs, par la seule projection de leurs
parties
vues à travers un plan interposé entre l’œil et l
immense quelque nuage épais porté par les vents qui régnaient dans la
partie
supérieure de l’atmosphère, tandis que la partie
ui régnaient dans la partie supérieure de l’atmosphère, tandis que la
partie
qui vous entourait était immobile et tranquille,
connaître l’intention. On a dit qu’en architecture il fallait que les
parties
principales se tournassent en ornement ; il faut
l’action par des discours qui y sont liés, sans pourtant en faire une
partie
essentielle. Le chœur, chez les Grecs, était une
faire une partie essentielle. Le chœur, chez les Grecs, était une des
parties
de quantité de la tragédie ; il se partageait en
ne des parties de quantité de la tragédie ; il se partageait en trois
parties
, qu’on appelait parodos, strasimon et commoï. La
e un accessoire pour laisser reposer le chœur, devinrent eux-mêmes la
partie
principale du poème dramatique, dont, à son tour,
ifférents. Il y eut dès-lors unité dans le spectacle. Le chœur devint
partie
intéressée dans l’action, quoique d’une manière p
s y suppléent. On a blâmé ce dernier usage, qui ôte à la tragédie une
partie
de son lustre. On trouve ridicule que l’action tr
en premier lieu, parce que le relâchement des muscles, dont a fui une
partie
de l’innervation nerveuse employée au cerveau, fa
u moins lointain qui pourrait se détacher du fait exprimé : c’est une
partie
intégrante de ce fait ou de son histoire, c’est u
’y a pas déjà une solidarité à la fois mécanique et mentale entre les
parties
associées d’un même organisme, — cerveau, cœur, m
avant que la passion ait rayonné d’un organisme à l’autre. Toutes les
parties
d’un violon ne doivent-elles pas d’abord vibrer e
, est toute physiologique. Dans l’organisme, il y a une hiérarchie de
parties
et de fonctions ; parmi les diverses parties, le
il y a une hiérarchie de parties et de fonctions ; parmi les diverses
parties
, le système nerveux est prépondérant : la circula
émotions très violentes, par la réaction qu’elles produisent sur les
parties
centrales de l’innervation, entraînent une paraly
ffecte les muscles en raison inverse de leur grosseur et du poids des
parties
auxquelles ils sont attachés. Chez le chien, chez
re au milieu de la vie collective : si on coupe l’animal en plusieurs
parties
, ces diverses parties continuent de se mouvoir et
collective : si on coupe l’animal en plusieurs parties, ces diverses
parties
continuent de se mouvoir et de réagir sous les ex
le rudiment de sensibilité qui doit subsister encore dans les autres
parties
. Le soleil empêche de discerner les rayons des ét
r ces raisons, nous admettons dans le corps vivant une solidarité des
parties
qui, mécanique par le dehors, est mentale et soci
sociale par le dedans. Dès lors, il ne peut y avoir irritation d’une
partie
sans que cette irritation se propage par contagio
ation étant toujours favorable ou défavorable à la vie du tout et des
parties
, elle doit être sentie comme peine ou plaisir rud
rudimentaire : c’est le germe de l’émotion diffuse. Enfin, toutes les
parties
ayant le pouvoir de réagir et une tendance à leur
s croyez faire une métaphore en disant : « Je souffre dans toutes les
parties
de mon être », et vous n’exprimez que l’exacte vé
ies de mon être », et vous n’exprimez que l’exacte vérité : quand une
partie
de l’organisme sent la souffrance, toutes les aut
s pénibles, depuis les mouvements du cœur ou de la poitrine jusqu’aux
parties
les plus superficielles de l’organisme. A l’assoc
, que c’est l’absence même d’accord et de consonance entre toutes les
parties
de l’organisme qui nous fait distinguer les émoti
ont conduites à l’autre instrument, qui les exprime. Il y a ainsi une
partie
qui reçoit l’impression, un conducteur qui la tra
n conducteur qui la transmet, semblable au système nerveux, enfin une
partie
où se produit l’expression. C’est l’image mécaniq
les mouvements expressifs et leur interprétation en montrant que les
parties
qui servent à l’expression servent d’abord à des
poussé des cris aigus, comme les petits de la plupart des animaux, en
partie
pour appeler ses parents à son aide, en partie pa
lupart des animaux, en partie pour appeler ses parents à son aide, en
partie
parce que ces cris constituent eux-mêmes un soula
e de la stimulation qui, dans la veille, se propage constamment de la
partie
active du « sensorium » aux centres vaso-moteurs.
’est précisément ce qui a lieu dans le sommeil provoqué, où certaines
parties
du cerveau, celles qui président à la direction d
ires. Dans l’hypnotisme, au contraire, les fonctions de la plus haute
partie
de l’écorce sont entravées ; et puisque ces fonct
rraient aussi bien exister sans aucun contenu mental ; il y a là deux
parties
d’un même tout également nécessaires, et on n’a p
ehmann, l’hypnose dépend de la distribution du sang dans les diverses
parties
du cerveau. « Quand un organe entre en activité,
es artères ; nous pouvons donc admettre que l’activité spéciale d’une
partie
quelconque du cerveau produit un plus grand afflu
quelconque du cerveau produit un plus grand afflux de sang dans cette
partie
. C’est le processus physiologique qui, selon Lehm
exe vaso-moteur qui suit immédiatement l’excitation de telle ou telle
partie
du sensorium par un stimulus extérieur. L’attenti
cas, la distribution du sang est modifiée. Si l’afflux à une certaine
partie
du cerveau atteint son maximum, il est diminué su
C’est que, pour atteindre un certain degré d’intensité distincte, la
partie
du sensorium affectée doit recevoir un « surplus
’autre. On peut donc admettre la loi proposée par Wundt : « Quand une
partie
considérable de l’organe central, par suite d’act
res, se trouve en état de latence fonctionnelle, l’excitabilité de la
partie
qui fonctionne est augmentée, et cette augmentati
vaisseaux sanguins, produisant un mouvement accéléré du sang dans la
partie
éveillée du cerveau ». Cette contraction tétaniqu
e, il n’existe plus aucune direction ni concentration provenant de la
partie
encore éveillée, tandis que, dans l’hypnose, il y
pouvez plus remuer votre bras » ; si le cerveau ne s’engourdit pas en
partie
par quelque procédé à la fois physiologique et ps
iminue, et l’intensité liminale est plus faible. Ce résultat tient en
partie
à ce que l’attention est immédiatement fixée sur
rtie à ce que l’attention est immédiatement fixée sur le stimulus, en
partie
à ce qu’il n’y a pas de sensations concurrentes d
, cette constante auto-suggestion qui se réalise elle-même, fait donc
partie
des conditions normales de la conduite : elle est
son propre sens. L’hypnotiseur, au lieu d’agir directement sur telle
partie
du corps qui lui est inaccessible, agit indirecte
orps qui lui est inaccessible, agit indirectement par l’idée de cette
partie
, introduite dans le cerveau et réfléchie du cerve
tte partie, introduite dans le cerveau et réfléchie du cerveau sur la
partie
elle-même. Il pétrit et reforme l’organe, non plu
séparées de la masse ou confondues dans la masse ; ils exécutent leur
partie
dans le concert vital de la conscience. Notre cœu
tiseur, l’hypnotisme doit surexiler le sens du corps et de toutes les
parties
du corps qui dépendent du système nerveux. Une pe
nt l’idée du mal, entretient le mal même et occasionne, en tout ou en
partie
, les accidents consécutifs. La douleur qui prend
ongions plus. On explique aussi par là, dans une certaine mesure, une
partie
de l’action des remèdes ordinaires. En calmant le
a que 47 pour 100 des cas où ait existé un lien de parenté entre les
parties
; la consanguinité comme telle aurait donc peu d’
a vision. Dans neuf cas, il y eut une convention antérieure entre les
parties
, par laquelle celui qui mourrait le premier s’eff
on des objets environnants : il fait abstraire systématiquement telle
partie
, tel objet au profit des autres ; l’intelligence
ayons ultraviolets : peut-être ce monde subspectral vous serait-il en
partie
révélé. Même dans l’état actuel de notre vision,
nt et éveillé ; mais en même temps, suivant le signal convenu avec la
partie
subconsciente de la personne, avec celle qui avai
des images ou sensations renaissantes. Ces images occupent les mêmes
parties
centrales du cerveau que les sensations elles-mêm
nt de la conscience ou un déplacement de la conscience, passant d’une
partie
de l’organisme à l’autre, ou enfin un dédoublemen
u’il puisse encore être senti par quelque autre que nous, par quelque
partie
de notre organisme différente de ce cerveau qui e
’une délicatesse inconcevable. Cette exaltation des sens provient, en
partie
, de ce que l’activité nerveuse et mentale est con
ersonnes qui prétendent faire de la physiologie une dépendance ou une
partie
de la zoologie et de la phytologie, sous prétexte
; on a un mot pour tout : c’est le résultat de la vie. On enlève des
parties
, on les lie, on les supprime, et on décide, d’apr
les modifications phénoménales qui surviennent, du rôle dévolu à ces
parties
. Depuis Galien jusqu’à nos jours cette méthode a
est ni un être, ni un principe, ni une force, qui résiderait dans une
partie
du corps, mais simplement le consensus général de
curie, une volière, de nombreux aquariums, et nous aurons énuméré les
parties
essentielles de ce magnifique établissement élevé
mais ce milieu, quoique profondément situé, est encore extérieur à la
partie
élémentaire organisée, qui est la seule partie ré
encore extérieur à la partie élémentaire organisée, qui est la seule
partie
réellement vivante. Lordat admet un principe vita
es phénomènes vitaux et les phénomènes physico-chimiques. La dernière
partie
est une erreur. Quant à la première, elle avait é
et de la régénération ou de la guérison. Nul cristal ne reproduit les
parties
qu’il a perdues, nul ne répare les solutions surv
a vu « que lorsqu’un cristal a été brisé sur l’une quelconque de ses
parties
et qu’on le replace dans son eau mère, on voit, e
t de particules cristallines, un travail très actif avoir lieu sur la
partie
brisée ou déformée ; et en quelques heures il a s
fait, non seulement à la régularité du travail général sur toutes les
parties
du cristal, mais au rétablissement de la régulari
s parties du cristal, mais au rétablissement de la régularité dans la
partie
mutilée. » De sorte que la force physique qui ran
ège d’un perpétuel mouvement nutritif qui ne laisse de repos à aucune
partie
; chacune, sans cesse ni trêve, s’alimente dans l
un tel phénomène chez la plante et chez l’animal et dans toutes leurs
parties
, sa constance, qui ne souffre pas d’arrêt, en fon
on entretien, on a le sentiment qu’une cause dirige le concert de ses
parties
et guide dans leur voie les phénomènes isolés don
e imbue de ces erreurs de doctrine. Je me souviens d’avoir été pris à
partie
à la Société philomathique, au début de ma carriè
es proposé en développant les considérations contenues dans les trois
parties
de celle leçon a été d’éliminer de la physiologie
trangères, et par là d’en fixer l’étendue et le but. Dans la première
partie
, nous avons montré qu’en physiologie il faut reno
se saisir l’essence de quelque phénomène que ce soit. Dans la seconde
partie
, nous avons montré que les hypothèses matérialist
hypothèse spiritualiste du champ de la physiologie. Dans la troisième
partie
, nous avons admis le déterminisme comme un princi
n’est pas l’ovule, le germe de la plante ; elle en est l’embryon. La
partie
essentielle de la graine est en effet la miniatur
Dans l’état le plus ordinaire, leur corps est fusiforme, aminci à la
partie
antérieure et terminé par une sorte de ventouse c
époque, formé d’un parenchyme jeune et mou, dans lequel les diverses
parties
, paléoles, étamines, ovaires, ne sont point disti
t la nutrition de ces animaux, comme leur respiration, s’accomplit en
partie
par la peau. Je pense que la nutrition doit surto
ie indéfiniment, parce que, à chaque reviviscence, ils consomment une
partie
de leurs matériaux nutritifs sans pouvoir réparer
les apparaissent, les bourgeons s’entr’ouvrent et se développent, des
parties
nouvelles, racines, branches, s’étendent dans le
es éléments anatomiques des tissus ; c’est la lymphe ou le plasma, la
partie
liquide du sang qui, chez les animaux supérieurs,
vie exigent pour se produire l’intervention de l’air, ou mieux de sa
partie
active, l’oxygène, sous une forme soluble et dans
e maintient dans sa composition. Cette usure et cette renaissance des
parties
constituantes de l’organisme font que l’existence
nverser cette opinion. On admet aujourd’hui que le protoplasma, seule
partie
active et travaillante du végétal, a la même cons
a et n’interviennent plus dans la constitution végétale que comme des
parties
de soutien. À un moindre degré, cela se rencontre
aux ; le squelette des crustacés et la carapace des insectes sont des
parties
qui sont peu riches en azote ou qui en sont même
Ingen-Housz, de Sénébier, de Th. de Saussure ont prouvé que dans les
parties
vertes des plantes, sous l’influence des rayons s
e les deux règnes, sont intimement unies dans tout être et dans toute
partie
vivante. Mais la dualité vitale ne s’est pas affi
n qui est identique dans les deux règnes. Le protoplasma végétal, les
parties
incolores, racines, graines, etc., ont les mêmes
sous l’influence des combustions opérées dans les animaux ou dans les
parties
des plantes qui ne contiennent pas de matière ver
la nutrition des cellules végétales et animales, qui sont les seules
parties
vivantes essentielles, ne sauraient avoir un mode
t glycosique ou diastase proprement dite se rencontre dans toutes les
parties
de l’organisme où l’amidon animal ou végétal doit
gétation ; j’ai démontré que les animaux procèdent de même pour tirer
partie
du sucre de saccharose contenu dans leurs aliment
provoquerait le fonctionnement vital. En entrant en contact avec les
parties
, il les rend excitables ; elles ne peuvent vivre
imaux. Seulement, ainsi que nous venons de le dire, la proportion des
parties
vivantes est, dans les individus végétaux, très f
ivantes est, dans les individus végétaux, très faible par rapport aux
parties
de soutien ou squelettiques inertes. Celles-ci ne
lleurs pas la même activité dans tous les points du corps. Il y a des
parties
dans les animaux et dans les végétaux qui sont pl
us, en analysant graduellement l’organisme vivant, à le réduire à ses
parties
élémentaires ; nous verrons ensuite comment les p
a été étudiée dès le début des sciences de la vie. On y a trouvé des
parties
élémentaires des organes, puis des tissus. Galien
sus. Galien, dans l’antiquité, avait essayé d’analyser l’organisme en
parties
similaires. Morgagni, beaucoup plus tard, avait t
coup plus tard, avait tenté un groupement analogue, non plus pour les
parties
saines, mais pour les parties altérées. Fallope (
groupement analogue, non plus pour les parties saines, mais pour les
parties
altérées. Fallope (1523-1562) avait réuni les par
, mais pour les parties altérées. Fallope (1523-1562) avait réuni les
parties
similaires en dix ou onze groupes : les os, les c
d’après des considérations pathologiques encore très incomplètes) les
parties
anatomiques qu’il considérait comme analogues, pa
à, et qui faisait connaître l’organisme, en décrivant ses différentes
parties
, dans l’ordre topographique, de capite ad calcem
de tissus, qui se retrouvent avec leurs caractères dans les diverses
parties
d’un même animal ou dans les mêmes parties de div
ractères dans les diverses parties d’un même animal ou dans les mêmes
parties
de divers animaux. De là, le nom d’Anatomie génér
toute organisation, ne laissant apercevoir aucune différenciation de
parties
. Cette masse est finement grenue : les granulatio
e son volume normal. » La segmentation se fait quelquefois en quatre
parties
(Vampyrella) ou en un plus grand nombre ; mais le
R. Brown considéra les noyaux (nucléus, sphéride de Mirbel) comme une
partie
essentielle de la cellule ; Schleiden (1838) sign
ule ; Schleiden (1838) signala l’existence des nucléoles : toutes les
parties
de la cellule étaient connues désormais. Enfin, e
plasma est le corps vivant de la cellule ; il forme toutes les autres
parties
et toutes les substances que contient le végétal.
e forme une plaque cellulaire ou disque qui bientôt se divise en deux
parties
qui vont rejoindre les masses polaires. Voilà un
ions, semblent localiser l’un et l’autre ordre de phénomènes dans une
partie
différente, dans le protoplasma d’une part, dans
idéré à tort comme simple. N. Auerbach distingue dans le noyau quatre
parties
: L’enveloppe ; Le suc nucléaire ; Les nucléoles
recouvre quelques portions de feuille verte avec un écran opaque, les
parties
ainsi soustraites à l’action de la lumière se déc
est dépourvu de chlorophylle ; dans une plante déterminée toutes les
parties
soustraites à l’action de la lumière sont dans le
a chlorophylle existe chez le plus grand nombre des plantes, dans les
parties
exposées à la lumière. Elle se présente disséminé
un infusoire, le Paramecium bursaria : ces grains sont logés dans la
partie
interne, plus fluide, de la couche corticale (par
olaires, sont utilisés comme matériaux de construction par toutes les
parties
incolores de la plante. Il faudrait distinguer, d
lorophylle : La chlorophylle verte, La chlorophylle blanche. Dans les
parties
étiolées qui reverdiront à la lumière, la substan
onés en repassant de l’état incolore à l’état vert. Voilà la première
partie
de l’hypothèse. Elle est encore loin d’être vérif
cre sous l’influence de la vie des cellules incolores. Ainsi dans les
parties
incolores s’accompliraient les phénomènes inverse
les phénomènes inverses exactement de ceux qui se produisent dans les
parties
vertes. C’est en effet une tendance générale des
eraient ainsi pour les cellules incolores. Si une plante n’a point de
parties
vertes, elle ne pourra vivre qu’à la condition de
jours plus abondamment pourvu de sucre que celui de toutes les autres
parties
du corps. Après cette découverte on chercha à s’e
ôle qu’elle ait à remplir dans l’organisme, se montre à nous dans les
parties
en développement comme le résultat d’une véritabl
cristaux octaédriques d’oxalate de chaux (fig. 18) accumulés dans ces
parties
, rendent témoignage de la combustion qui s’y est
cette sensibilité générale, dont le fond est le même pour toutes les
parties
, Bordeu imagine encore une sensibilité propre pou
arties, Bordeu imagine encore une sensibilité propre pour chacune des
parties
: « Chaque glande, chaque nerf a son goût particu
parties : « Chaque glande, chaque nerf a son goût particulier. Chaque
partie
organisée du corps vivant a sa manière d’être, de
, qui caractérise physiologiquement le tissu. Maintenant, dans quelle
partie
constituante des tissus devons-nous localiser ces
ule matière vivante du corps qui anime toutes les autres. C’est d’une
partie
dû protoplasma de l’ancêtre que se développe le n
rouvette aspire directement l’air extérieur par le tube a′ placé à sa
partie
inférieure ; dans l’autre cas, l’air qui entre pa
é et poussé sur l’éponge e. t, éprouvette contenant de l’éther S à sa
partie
inférieure. S, éther. V, tube de caoutchouc porta
rester parfaitement limpide. Le courant d’air en a′ se divise en deux
parties
: l’une qui traverse la cloche du chou b, et ress
très manifestement par la formation du carbonate de baryte ; l’autre
partie
du courant d’air se rend dans la cloche du rat c,
. Voici comment je dispose l’expérience. Sous une cloche tubulée à sa
partie
supérieure et remplie d’eau, contenant de l’acide
que les agents anesthésiques suspendent l’irritabilité de toutes les
parties
vivantes en agissant d’une manière physique sur l
e, l’irritabilité. Broussais, nous l’avons déjà dit, avait exprimé en
partie
cette opinion en n’acceptant qu’une seule proprié
ive dans les plantes, et Bichat accordait aux végétaux et à certaines
parties
des animaux, une sensibilité insensible, c’est-à-
e ne s’arrête pas là : l’ébranlement, qui fait entrer en activité les
parties
reliées les unes aux autres, se continue, se réfl
rganisme total, de l’appareil nerveux tout entier ; soit d’une de ses
parties
, soit d’une simple cellule. L’aptitude à réagir d
pareil tout entier. La sensibilité inconsciente est la réaction d’une
partie
de cet appareil, une sensibilité secondaire. Dans
e des êtres, le système nerveux peut manquer par quelques-unes de ses
parties
, ou tout entier, et alors la vie ne réside plus q
hez les uns et les autres cette influence morphologique qui donne aux
parties
une forme déterminée. Nous savons que l’analogie
des cellules blastodermiques des insectes aux dépens du vitellus. Une
partie
seulement de ce vitellus fournit des cellules nou
35). D’abord, le protoplasma de ce sac donne naissance par une de ses
parties
à quatre cellules provenant de formation libre. C
disque équatorial ou disque nucléaire. C’est ce que l’on voit dans la
partie
gauche de la figure 32. Puis les renflements se d
correspondant. Cette séparation et ce mouvement s’aperçoivent dans la
partie
droite de la figure 32. Dans la deuxième phase, i
déployer et à s’amplifier. L’animal se forme non par l’ampliation de
parties
existantes déjà, mais par formation, création suc
e parties existantes déjà, mais par formation, création successive de
parties
nouvelles ou épigenèse, ainsi que nous le dirons
bstantielle, quelque élément des générations successives, c’est cette
partie
de la doctrine que les idées de M. Balbiani vienn
vésicule germinative de Purkinje, jusque-là homogène dans toutes ses
parties
, permet d’apercevoir des granulations nucléolaire
ue Baër compléta et introduisit plus tard dans la science. Ainsi, les
parties
du corps sont faites successivement les unes aprè
nativa, aire germinative, rudiment primitif du corps du mammifère. La
partie
de cet amas cellulaire qui en forme la limite ver
t interne ou ectoderme, ou encore épiblaste et hypoblaste. Quant à la
partie
comprise entre les deux feuillets au niveau de l’
lymphe, c’est-à-dire le système vasculaire, plus le mésentère et les
parties
musculaires et fibreuses de l’intestin. Le feuill
r. Chez les vertébrés, dès ce moment, le disque germinatif offre deux
parties
, une zone marginale opaque, area opaca, entourant
re deux parties, une zone marginale opaque, area opaca, entourant une
partie
centrale claire, area pellucida. Les cellules les
mésoderme, s’épaissit et se comporte d’une manière différente dans sa
partie
centrale, dans sa partie périphérique et dans la
se comporte d’une manière différente dans sa partie centrale, dans sa
partie
périphérique et dans la région intermédiaire ; sa
ale, dans sa partie périphérique et dans la région intermédiaire ; sa
partie
centrale, sous-jacente à la gouttière, se différe
rganiser pour former le cylindre cellulaire appelé corde dorsale ; la
partie
périphérique de ce mésoblaste se fissure pour con
de ce feuillet moyen, comprise entre la corde dorsale au centre et la
partie
divisée à la périphérie, elle constitue de chaque
’est pas le lieu de suivre pas à pas le développement de ces diverses
parties
. Il nous suffit d’en saisir le dessin général. Ch
et les observations embryologiques modernes en contredisent bien des
parties
. Des quatre types primitifs admis par Baër, il y
Le développement de l’embryon se fait par une double répétition de
parties
, répétition latérale et répétition de haut en bas
ertes et se transforment en membres. Le développement produit ici des
parties
identiques émanant des deux côtés d’un axe et se
ar le système nerveux va d’un côté à l’autre du système digestif. Les
parties
appendiculaires ou surbordonnées se projettent la
nom d’evolutio contorta. Il exprime que le développement produit des
parties
identiques courbées autour d’un espace, conique o
partibus). Le développement se fait autour d’un centre et produit des
parties
identiques dans un ordre rayonnant, sur un plan t
es actuel est le résultat d’un équilibre auquel concourent toutes les
parties
, et qui troublerait toutes les parties si lui-mêm
e auquel concourent toutes les parties, et qui troublerait toutes les
parties
si lui-même était changé en un point. Cette compa
correspondent aux phénomènes fonctionnels de l’être vivant. Quand une
partie
fonctionne, muscles, glandes, nerfs, cerveau, la
ion sont les précurseurs et les instigateurs de ceux par lesquels les
parties
se rétablissent et renaissent, c’est-à-dire de ce
que j’ai appelé le milieu intérieur, que s’établit la solidarité des
parties
élémentaires et que chacune reçoit le contre-coup
éaliser à chaque instant un milieu identique à celui que l’action des
parties
voisines crée continuellement à un organisme élém
e et constante dans un point donné que s’établit la subordination des
parties
à l’ensemble. Quelques exemples feront comprendre
eau, des fragments d’os dont le périoste avait été emprunté à quelque
partie
du squelette. La propriété de sécréter la matière
grande, plus faible est le lien de subordination entre le tout et ses
parties
. Dans les plantes, la subordination des parties à
entre le tout et ses parties. Dans les plantes, la subordination des
parties
à l’ensemble, qui exprime en quelque sorte les dr
rte les droits de l’organisme, est à son minimum. On peut enlever une
partie
d’un végétal et la transporter à distance de mani
it également par des influences analogues. C’est la subordination des
parties
à l’ensemble qui fait de l’être complexe un systè
marquée chez les plantes. Chez les animaux inférieurs également, les
parties
isolées peuvent vivre lorsqu’on les sépare du res
te bien évidemment l’influence de l’ensemble sur le développement des
parties
. Mais ce n’est même pas l’organisme tout entier q
à la production du membre. Il ressort de tous ces exemples que chaque
partie
évolue de manière à réaliser le plan de l’animal
lit. Ces phénomènes ne semblent pouvoir se manifester que lorsque les
parties
sont dans leur place naturelle, lorsqu’elles n’on
i chacun d’eux résultait d’une conspiration universelle de toutes les
parties
. Quand nous opérons, grâce à la respiration et à
respiration et à la circulation artificielle, sur des organes ou des
parties
séparées de l’organisme, nous n’obtenons que des
qu’à des organes et à des appareils, c’est-à-dire à des ensembles de
parties
anatomiques. La fonction est une série d’actes ou
çon VIII), c’est-à-dire par addition et différenciation successive de
parties
. Lorsqu’il s’agit de comparer entre eux des êtres
machines diverses qu’elle anime. L’étude de ces machines comprend une
partie
générale et une partie spéciale. Il faut connaîtr
le anime. L’étude de ces machines comprend une partie générale et une
partie
spéciale. Il faut connaître les propriétés de la
. c, c, grains en voie de division. d, d, division en trois ou quatre
parties
. FIG. 2. — A. Cellule végétale renfermant de la
seulement à l’être total, à l’individu, mais encore à chacune de ses
parties
. C’est une loi élémentaire. Elle gouverne l’éléme
l n’y a rien d’essentiel dans l’être tout entier qui ne soit dans ses
parties
composantes. L’individu zoologique, l’animal, n’e
née, mais bien à un changement de la disposition moléculaire dans ses
parties
constituantes. 27. Voy. Leçons sur la chaleur a
on commune appartient à l’espèce humaine tout entière dans toutes les
parties
du globe. Cependant, si l’humanité est une, il n’
De même, quand Luther eut détruit l’influence de Rome dans une grande
partie
de l’Allemagne, les esprits une fois sortis de la
achevées, c’est cette grande philosophie, considérée surtout dans sa
partie
morale, que je me propose de faire connaître avec
être question que de l’ordre logique, de l’enchaînement de toutes les
parties
de l’ouvrage, rien de plus lumineux, rien de plus
reculé, mais elle n’a pas même avancé. On a pu y ajouter différentes
parties
, une digression sur les facultés de l’âme, une au
itude des mathématiques. Tant que les mathématiques s’arrêtèrent à la
partie
variable des objets mesurables, il est probable q
et de tâtonnement. Mais dès que Thalès, ou tout autre, négligeant la
partie
variable et ne s’occupant que de la partie consta
tout autre, négligeant la partie variable et ne s’occupant que de la
partie
constante des triangles équilatéraux, eut démontr
, et celle-ci en métaux par la suppression et l’addition de certaines
parties
, depuis ce moment un flambeau a été donné aux nat
le expression, on trouve qu’elles avancent à condition de négliger la
partie
extérieure et variable des choses sur lesquelles
sur lesquelles elles travaillent, et d’en considérer exclusivement la
partie
invariable et constante, c’est-à-dire la partie q
érer exclusivement la partie invariable et constante, c’est-à-dire la
partie
que l’esprit humain met dans toutes ses connaissa
ition : il faut une cause à l’univers ; — il faut une cause, voilà la
partie
subjective, la forme de la connaissance ; — l’uni
artie subjective, la forme de la connaissance ; — l’univers, voilà la
partie
objective, la matière de la connaissance. La con
ici avoir fourni la matière de la connaissance. Mais en même temps la
partie
formelle et subjective qui s’exprime ainsi : tout
ime ainsi : tout changement suppose une cause de ce changement, cette
partie
formelle, tout en présupposant l’expérience de te
e fois cette science est la critique de la raison pure. Kant, dans la
partie
de l’introduction qu’il nous reste à faire connaî
développer celle que vous aviez déjà. Dans ces jugemens vous tirez la
partie
du tout, vous affirmez le même du même, en vertu
ser la notion de corps, la notion de pesanteur n’en sortira pas comme
partie
intégrante. Donc ce rapport n’est pas un rapport
n. L’histoire naturelle des animaux, des plantes et des minéraux, une
partie
de la physique, etc., se rangent dans cette divis
de petites quantités, l’habitude que nous avons d’aller des diverses
parties
à la somme, la rapidité avec laquelle nous saisis
égale a ; le tout est égal à lui-même ; le tout est plus grand que la
partie
; — ces axiomes, qui ne sont peut-être que divers
on n’admet que le même est le même, que le tout est plus grand que la
partie
? Mais, d’un autre côté, qu’on nous montre quelqu
se, née en même temps que la révolution philosophique de l’Allemagne,
partie
à peu près du même point, de la déclaration des d
perd pas une occasion de remettre sur le tapis sa poétique. Dans les
parties
sérieuses, lorsqu’il fait parler le chanoine, par
mais, qu’elle a sa prise et sa portée en toute direction. La première
partie
du roman, qui parut en 1605, semble d’abord avoir
en mis vingt ans à finir le dernier volume de Gil Blas. Cette seconde
partie
de Don Quichotte, que l’auteur publia en 1615, à
l redoubla aussitôt de courage, il se piqua d’honneur, et la dernière
partie
de son ouvrage sent l’aiguillon. Cette seconde pa
et la dernière partie de son ouvrage sent l’aiguillon. Cette seconde
partie
de Don Quichotte, qui déroule les faits et gestes
ontre les moulins à vent. J’ai cru remarquer pourtant que de ces deux
parties
de Don Quichotte, toutes deux si agréables dans l
Don Quichotte, de celui qui avait essayé, dans l’intervalle des deux
parties
, de supplanter Cervantes et de se substituer en s
ni si mauvaise qu’on l’a dit et répété, ni si indigne de la première
partie
du Don Quichotte à laquelle elle prétendait s’adj
e et succéder. M. G. de Lavigne a fait plus, il a critiqué la seconde
partie
du Don Quichotte de Cervantes et s’est mis par là
et des grandes intelligences ? est-ce que le rôle de défenseur de la
partie
adverse excuse ces licences ? M. G. de Lavigne, q
savantes ! On a exagéré en divers sens les mérites de Cervantes. Une
partie
du bonheur des auteurs heureux, c’est qu’on leur
très-ingénieuse idée, assurément, que celle qui préside à la seconde
partie
du livre et que cette détermination que prend le
M. Alfred de Musset. Depuis trois ans qu’il nous a donné la première
partie
de son Spectacle dans un Fauteuil, de nombreux et
ut du livre, qui disparaît et s’évanouit presque dans une trop grande
partie
du récit : ce sont, le discours nocturne de Desge
velte d’allure, brillant de couleur et animé de passion. La troisième
partie
de la Confession, qui contient les amours naissan
istinct qui, si on l’imprimait séparément, si on l’isolait des autres
parties
bien profondes parfois, mais souvent gâtées, aura
Mme Pierson, il faudrait, après avoir lu la veille les deux premières
parties
de la Confession, s’arrêter là exactement, et le
xactement, et le lendemain matin, au réveil, commencer à la troisième
partie
, et s’y arrêter juste sans entamer la quatrième :
s ces deux chefs-d’œuvre. L’avant-dernier chapitre de cette troisième
partie
, Si j’étais joaillier, etc., est d’une exquise et
r qui ne fait pas loi, et ce qu’il a de plus général dans la dernière
partie
ne se rattache pas à ce qu’Octave a été libertin,
ssé sa manière plus évidemment que dans le chapitre ii de la première
partie
, où l’histoire et la métaphysique se déguisent so
de Mme Pierson (je m’obstine à isoler et à appeler ainsi la troisième
partie
) est guéri enfin. Quand il parlera donc de son ma
ux sanguins. Puis les fibres commencent à se montrer d’abord dans les
parties
postérieures et moyennes, ensuite dans les partie
r d’abord dans les parties postérieures et moyennes, ensuite dans les
parties
antérieures. Au bout de quelques mois au contrair
s les parties antérieures. Au bout de quelques mois au contraire, les
parties
antérieures et supérieures se développent avec pl
ures et supérieures se développent avec plus d’énergie que les autres
parties
, et alors commencent pour l’enfant l’attention, l
t, fait très favorable à l’hypothèse qui place l’intelligence dans la
partie
frontale du cerveau ; mais ceci touche à la quest
ucoup de sagacité et d’adresse, et il essaye de leur faire perdre une
partie
de leur valeur. Il fait remarquer que sur les hui
utres hommes. A ceux qui prétendent que l’intelligence réside dans la
partie
antérieure du cerveau, M. Lélut répond que la par
e réside dans la partie antérieure du cerveau, M. Lélut répond que la
partie
la plus développée chez les idiots et les imbécil
a plus développée chez les idiots et les imbéciles est précisément la
partie
frontale ; la partie occipitale est au contraire
z les idiots et les imbéciles est précisément la partie frontale ; la
partie
occipitale est au contraire la plus rétrécie. Enf
e malheureuse monstruosité est un arrêt de développement qui tient en
partie
à l’absence de certains éléments (iode on autres)
t une signification arbitraire. Ordre dans lequel furent trouvées les
parties
du discours dans la langue articulée ou vulgaire.
ires relatifs aux contrats qui se font par le simple consentement des
parties
. Les premiers hommes ne pouvaient connaître les e
la physiologie poétique. Les premiers hommes rapportèrent à diverses
parties
du corps toutes nos facultés intellectuelles et m
nologie. Chapitre XI. De la géographie poétique. — § I. Les diverses
parties
du monde ancien ne furent d’abord que les parties
— § I. Les diverses parties du monde ancien ne furent d’abord que les
parties
du petit monde de la Grèce. L’Hespérie en était l
rd que les parties du petit monde de la Grèce. L’Hespérie en était la
partie
occidentale, etc. Il en dut être de même de la gé
polypes, la méduse, l’étoile de mer, cette individualité des diverses
parties
est manifeste, puisque la partie séparée du tout
r, cette individualité des diverses parties est manifeste, puisque la
partie
séparée du tout peut encore vivre, reformer un an
lus hébétés par une discipline inexorable. Pourtant la vie propre des
parties
se manifeste encore, même chez les animaux supéri
ouve deux choses importantes pour la psychologie. 1° Un organe ou une
partie
d’organe peut souvent suppléer un autre organe ou
ne partie d’organe peut souvent suppléer un autre organe ou une autre
partie
d’organe, en s’exerçant à la fonction nouvelle qu
lessé : le malade est alors coupé en deux. En faut-il conclure que la
partie
inférieure ne sente pas ? — Elle peut sentir à sa
a conscience paralysée. Concluons que, dans l’animal, il n’est aucune
partie
qui n’ait quelque vie psychique en même temps que
nt trop faible et trop indistincte ; dans le second cas, c’est qu’une
partie
du cerveau ou de la moelle épinière prend pour el
dra par la suite une importance croissante. Il y a entre les diverses
parties
du cerveau un commerce, un échange de tensions qu
faits nomades parce que « la nouveauté l’emporte », et que la majeure
partie
du public qui venait chez eux s’est tournée vers
fallu que la nouveauté l’emportât sur elle et lui enlevât la majeure
partie
du public. — Mais en 1589, dira-t-on, les représe
travers la différence des idiomes. Il faut probablement attribuer en
partie
ce fait à la singularité de la situation et à la
ngham a aussi retravaillé cette même tragédie qu’il a séparée en deux
parties
, la première sous le titre de Julius Cæsar, avec
ent pendant le flux, tandis que le reflux en laisse paraître quelques
parties
au-dessus de l’eau ». Ce désastre causa une telle
n. Les incidents qu’a mis en scène Shakespeare sont tirés d’une autre
partie
de cette même chronique concernant le meurtre du
e, sans généralité dans les vues, n’apercevant à la fois qu’une seule
partie
d’une seule idée, et s’y livrant tout entière san
à ces sortes de pièces, à cause du masque qui fait indispensablement
partie
de leur costume, et de ce costume lui-même, qui p
ramatiques les plus estimés de l’Angleterre. Il a conservé la majeure
partie
de l’original, et marqué spécialement ses additio
aris, Didier, 1862, tome III, p. 93-95. Source : Gallica. Quoique la
partie
comique de cette pièce appartienne tout entière à
ptivité, et ayant soustrait, en les cachant dans la terre, une grande
partie
de ses richesses à la cupidité des ennemis, il se
l va, et la fidèle Félismena court le monde à sa recherche. Voilà une
partie
des circonstances que Shakspeare a évidemment emp
n, donna, dans le carnaval, une grande fête, à laquelle il invita une
partie
de la noblesse de Vérone. Roméo Montecchio, âgé d
chère à la femme du More, et elles passaient ensemble la plus grande
partie
du jour. De la même expédition était un officier
er, nous ne citerons que l’essai de Garrick, qui n’en conserva que la
partie
tragique, et la réduisit en trois actes. Selon Ma
ces d’une exécution aussi difficile que Périclès, dont la plus grande
partie
du dernier acte se passe en pleine mer et sur des
l’opinion de Johnson, que cette pièce devait se placer entre les deux
parties
de Henri IV ; mais il y a, ce semble, en faveur d
du moins d’impression et d’effet, serait entièrement rompue. Les deux
parties
de Henri IV ont été faites d’un seul jet, ou du m
ter d’un même cours d’idées ; non seulement le Falstaff de la seconde
partie
est bien le même homme que le Falstaff de la prem
ère, mais il est présenté sous le même aspect ; si dans cette seconde
partie
, Falstaff n’est pas tout à fait aussi amusant par
; et l’affront public qui lui sert de punition à la fin de la seconde
partie
de Henri IV n’est que la suite et le complément d
mot, l’action commencée entre Falstaff et le prince dans la première
partie
, est suivie sans interruption jusqu’à la fin de l
e sa vie et de son caractère ; et si on l’introduisait entre les deux
parties
de l’action qui se continue dans les deux Henri I
s Bourgeoises de Windsor entre Henri IV et Henri V, qu’entre les deux
parties
de Henri IV. Mais, dans cette dernière suppositio
ère supposition, l’entrevue entre Shallow et Falstaff dans la seconde
partie
de Henri IV, le plaisir qu’éprouve Shallow à revo
Nym, qu’on retrouve dans Henri V, n’est point compté dans la seconde
partie
de Henri IV, au nombre des gens de Falstaff. Il s
es Bourgeoises offre un genre de comique moins relevé que la première
partie
de Henri IV, elle n’en est pas moins une des prod
la chronologie théâtrale de ses six drames historiques : 1º Première
partie
du roi Henri VI (roi de 1422 à 1461), composée en
e du roi Henri VI (roi de 1422 à 1461), composée en 1589. 2º Deuxième
partie
de Henri VI, 1591. 3º Troisième partie de Henri V
composée en 1589. 2º Deuxième partie de Henri VI, 1591. 3º Troisième
partie
de Henri VI, 1591. 4º Le Roi Jean (de 1199 à 1216
399), 1597. 6º Le Roi Richard III (de 1483 à 1485), 1599. 7º Première
partie
du roi Henri IV (de 1399 à 1413), 1597. 8º Deuxiè
º Première partie du roi Henri IV (de 1399 à 1413), 1597. 8º Deuxième
partie
de Henri IV, 1598. 9º Le Roi Henri V (de 1413 à 1
ui tient au défaut d’une idée unique qui ramène sans cesse toutes les
parties
à un même centre. La seule idée de ce genre qu’on
que s’imposait Shakspeare sur le caractère du roi : aussi une grande
partie
de la pièce se passe-t-elle en discussions de peu
actère de Bolingbroke l’intérêt qu’il a répandu sur lui dans les deux
parties
de Henri IV. Le choix entre différentes versions
un trait de l’art de Shakspeare pour nous faire assister à toutes les
parties
de l’événement ; il nous transporte toujours là o
il fût ou pût être autre chose qu’un roi ; sa royauté fait à ses yeux
partie
de sa nature ; c’est un des éléments constitutifs
e pour la première fois dans celle de 1608. Notice sur la première
partie
de Henri IV Œuvres complètes de Shakespeare
troduits pour le service de l’action tragique : ici non seulement une
partie
de l’action roule absolument sur des personnages
nture des égarements de la jeunesse du prince n’en forme pas moins la
partie
la plus importante de l’ouvrage, dont le caractèr
aturelle que dans aucun autre ouvrage du théâtre anglais. La première
partie
de Henri IV parut, selon Malone, en 1597. Chalmer
même année parmi les œuvres de Shakspeare. Notice sur la deuxième
partie
de Henri IV Œuvres complètes de Shakespeare
3-6. Source : Gallica. Henri V est le véritable héros de la seconde
partie
; son avènement au trône et le grand changement q
berland ne sont que le complément des faits contenus dans la première
partie
. Hotspur n’est plus là pour donner à ces faits un
s généreuses n’inspiraient de confiance. On attribuait d’ailleurs une
partie
de ces dérèglements à la méfiance jalouse de son
ours étudié que lui prête Shakspeare ; cependant il en a conservé une
partie
dans la dernière réplique du prince de Galles, et
voulu racheter par des beautés de détail la froideur nécessaire de la
partie
tragique ; elle en offre beaucoup, et le style en
zarrerie que celui de la plupart de ses autres pièces historiques. La
partie
comique, très importante et très considérable dan
rtie comique, très importante et très considérable dans cette seconde
partie
de Henri IV, n’est cependant pas égale en mérite
nt pas égale en mérite à ce qu’offre, dans le même genre, la première
partie
. Falstaff est parvenu, il a une pension, des grad
rouvera tout entier quand on le verra reparaître ailleurs. La seconde
partie
de Henri IV a paru, à ce qu’on croit, en 1598 ; a
quel nous sommes réduits pour resserrer la pièce dans son cadre. » La
partie
populaire et comique du drame, bien que la verve
ire et la sympathie. Notice sur les première, seconde et troisième
parties
de Henri VI Œuvres complètes de Shakespeare
ris, Didier, 1862, tome VII, p. 235-243. Source : Gallica. Les trois
parties
de Henri VI ont été, parmi les éditeurs et commen
’augmenter progressivement l’intérêt, en ramenant toutes les diverses
parties
de la composition à une impression unique qui s’a
ses grandes compositions, et ce qui manque essentiellement aux trois
parties
de Henri VI, surtout à la première. Mais ce qui y
ussent été exempts. Il faut cependant distinguer ici, entre les trois
parties
de Henri VI, ce qui concerne la première à laquel
es pièces seulement avaient été imprimées de son vivant, et les trois
parties
de Henri VI n’étaient pas du nombre ; elles parur
es, l’une a servi de moule, si on peut s’exprimer ainsi, à la seconde
partie
de Henri VI, l’autre à la troisième. La marche et
les que nous a données Shakspeare sous le nom de Seconde et troisième
partie
de Henri VI. La plupart des vers ont été simpleme
sous œuvre les deux pièces dont il a fait la seconde et la troisième
partie
de Henri VI, n’aurait pas fait le même travail su
me travail sur la première, il suffirait de penser que cette première
partie
était alors en possession du théâtre avec un succ
, il ne se trouve presque aucune rime. La scène qui, dans la première
partie
de Henri VI, en contient le plus est celle où l’o
e nom. On ignore l’époque précise de la représentation de la première
partie
de Henri VI, qui, selon Malone, a d’abord porté l
s l’ont représentée : en ce sens, la pièce est historique. La seconde
partie
de Henri VI, beaucoup plus intéressante que la pr
es de distance de l’événement qu’on vient de voir finir. Les diverses
parties
de la pièce ne tiennent pas non plus essentiellem
lk à mort ne se rattachent en rien au reste de l’intrigue. Quant à la
partie
des caractères, il s’en faut de beaucoup qu’elle
auteur de la pièce intitulée : The first contention, etc., la seconde
partie
de Henri VI est entièrement calquée sur cet ouvra
e. Shakspeare n’en a cependant pris textuellement qu’une assez petite
partie
, et particulièrement les scènes coupées en dialog
; il a fait peu de changements dans ces morceaux, ainsi que dans une
partie
de la révolte de Cade. Cependant cette scène d’un
nri en faveur de Glocester, ceux de Marguerite à son mari, une grande
partie
de la défense de Glocester, des monologues d’York
s supérieurs peuvent seuls tirer des sujets d’invention. La troisième
partie
de Henri VI comprend depuis le printemps de l’ann
ents doux et pieux qui ont jeté sur lui de l’intérêt dans la première
partie
. Ces portions de son rôle appartiennent entièreme
rôle appartiennent entièrement à Shakspeare, ainsi que la plus grande
partie
des méditations de Henri pendant la bataille de T
, et leur imperfection pourrait servir encore à prouver que les trois
parties
de Henri VI, telles que nous les avons aujourd’hu
excepté le discours de Marguerite avant la bataille de Tewksbury, une
partie
de la scène d’Édouard avec lady Gray, et quelques
tés comme appartenant entièrement à l’ouvrage corrigé. La plus grande
partie
de la pièce originale y est textuellement reprodu
ve de même le décousu qui a pu frapper dans la première et la seconde
partie
. Les horreurs accumulées dans celle-ci ne laissen
ntières sont évidemment de lui. 13. Voyez l’épilogue de la deuxième
partie
d’Henri IV. 14. Chroniques de Hollinshed, t. II
i IV. 14. Chroniques de Hollinshed, t. II, p. 543. 15. La première
partie
de la querelle des deux fameuses maisons d’York e
ui a toujours existé jusqu’à ces derniers temps entre les différentes
parties
du système intellectuel, les unes étant successiv
position vraiment rationnelle et durable d’un système dont toutes les
parties
sont enfin devenues homogènes. D’un autre côté, l
ions jusqu’à présent aussi incomplètes ne doivent point entrer, comme
partie
essentielle, dans un cours de philosophie positiv
, avant de procéder à la classification méthodique de ses différentes
parties
, il me reste à exposer, relativement aux sciences
composé, tel que le granit ou le quartz, sur lequel porte la majeure
partie
des considérations minéralogiques, n’offrira, sou
rai naturellement plusieurs occasions de reproduire dans les diverses
parties
de ce cours. L’explication précédente est assez d
tit nombre de traités originaux produits jusqu’alors sur les diverses
parties
de la géométrie, ce qui se réduisait essentiellem
quises, il n’est point applicable, à chaque époque de la science, aux
parties
récemment formées dont l’étude ne comporte qu’un
oire effective de cette science. En effet, non seulement les diverses
parties
de chaque science, qu’on est conduit à séparer da
le sujet de nos méditations ; mais ce sera seulement dans la dernière
partie
de ce cours, celle relative à l’étude des phénomè
ment général de l’humanité, dont l’histoire des sciences constitue la
partie
la plus importante, quoique jusqu’ici la plus nég
squ’à présent, la discussion n’a porté encore que sur une bien faible
partie
des dispositions possibles ; et néanmoins, je cro
s de corps. Ce n’est pas ici le lieu de développer, dans ses diverses
parties
essentielles, la comparaison générale entre les c
ue nous ferons soigneusement en commençant l’étude spéciale de chaque
partie
de ce cours. La construction de cette échelle enc
yeux, d’une si grande importance, que je ne crains pas d’attribuer en
partie
à ce vice de nos éducations actuelles l’état d’im
vient, je crois, de regarder la science mathématique, moins comme une
partie
constituante de la philosophie naturelle propreme
géométrie générale, d’une autre part de la mécanique rationnelle. La
partie
concrète est nécessairement fondée sur la partie
ique rationnelle. La partie concrète est nécessairement fondée sur la
partie
abstraite, et devient à son tour la base directe
es phénomènes de l’univers comme géométriques ou comme mécaniques. La
partie
abstraite est la seule qui soit purement instrume
en. Aristote. Traduction complète par M. Barthélemy Saint-Hilaire (3e
partie
) Physique, Météorologie I La Météo
léments qu’il a déjà constatés. Il y aura dans le premier moteur deux
parties
: l’une, qui meut sans être mue elle-même ; l’aut
et le transmet. Le moteur tout entier reste immobile ; mais les deux
parties
dans lesquelles il se décompose ne le sont pas to
nférence que les mouvements sont les plus rapides, et que ce sont les
parties
les plus rapprochées du moteur qui sont mues avec
-même, dans son unité, dans son infinitude et dans son immobilité, ni
parties
ni aucune espèce de grandeur possible. Voilà les
t dans des orbes fort excentriques, et qu’elles parcourent toutes les
parties
du ciel. Newton en conclut que cet admirable arra
t il a été doué lui-même par son créateur. La personne humaine n’a ni
parties
successives ni parties coexistantes dans son prin
e par son créateur. La personne humaine n’a ni parties successives ni
parties
coexistantes dans son principe pensant ; à plus f
sant ; à plus forte raison n’y a-t-il ni succession ni coexistence de
parties
diverses dans la substance pensante de Dieu. Mais
atter de faire à son tour la science complète ; il en achève quelques
parties
, il en ébauche quelques autres, il en néglige plu
aire connaître la nature des animaux, se propose d’abord l’examen des
parties
de leur corps, comme le premier objet qui frappe
rappe la vue : et, après avoir donné des définitions générales de ces
parties
, après avoir distingué différentes espèces parmi
rieures, il expose dans les quatre premiers livres tout le détail des
parties
de leur corps. Le cinquième, le sixième et le sep
t également par la bouche le miel qui leur doit servir de nourriture,
partie
l’été, partie l’automne. Le miel d’automne est le
r la bouche le miel qui leur doit servir de nourriture, partie l’été,
partie
l’automne. Le miel d’automne est le meilleur. Les
’étant plus en état de défense. On prétend qu’on n’a jamais trouvé la
partie
gauche du bois d’un cerf, et qu’il la cache comme
es marques : ou ils n’ont plus de dents, ou elles sont petites, et la
partie
de leur bois qu’on appelle les défenses ne renaît
n’ait pas suffisamment insisté dans sa description des animaux sur la
partie
intellectuelle de leurs mœurs. Cette partie jusqu
iption des animaux sur la partie intellectuelle de leurs mœurs. Cette
partie
jusqu’ici négligée manque à Aristote comme à Buff
de Dieu dans sa nature animée ; ils ont ainsi privé le Créateur d’une
partie
de sa gloire. XI Si nous avions le talent,
. Depuis l’ami de l’homme, le chien, avec lequel nous avons passé une
partie
essentielle de l’espace de temps qui nous a été a
des règles essentielles de la vie morale, et par conséquent, une des
parties
considérables de la science. L’union de l’âme et
t la cause. Cependant cet ennemi, sans être nous précisément, est une
partie
indispensable de nous. C’est un compagnon nécessa
e les passions de l’âme ; et, par un régime bien entendu, on tire, en
partie
du moins, la santé de l’âme de la santé du corps
ène. Ces drames sont des organismes qui se tiennent dans toutes leurs
parties
, depuis l’idée générale, presque abstraite, jusqu
a raison pure : « c’est un véritable corps vivant, dans lequel chaque
partie
est un organe. On peut considérer le corps entier
considérer le corps entier comme n’existant que dans l’intérêt d’une
partie
; et cependant chaque partie ne peut être interpr
omme n’existant que dans l’intérêt d’une partie ; et cependant chaque
partie
ne peut être interprétée que comme fonction du to
tamment se porter toute l’attention du traducteur. Les motifs an. La
partie
musicale du drame wagnérien est construite sur un
. Ce sont les mots essentiels de la phrase qui sont accentués par les
parties
fortes du rythme, souvent par des notes longues ;
st pleine et soulignée par des accords soutenus, elle ne mette que la
partie
essentielle du discours. Telles étant les princip
s deux signifient Amour ; c’est chaque fois une noire et demie sur la
partie
la plus forte du rhythme. Voilà donc les trois mo
aire parler la nature ait jamais été atteint de cette façon. Ces deux
parties
exigent aussi du lecteur une analyse spéciale que
ction rythmique destinée à mettre en valeur la finale. Hauteur. — La
partie
mélodique dont l’intensité augmentait se trouve a
uisent une sonorité diffuse et assez peu définie, tandis que dans les
parties
accentuées, à la 3e et à la 4e mesure, il y a une
nir à la médiante. Cette succession de ioniques coupe la mélodie en 5
parties
. Supposons-la, comme sur notre tableau, écrite en
comme sur notre tableau, écrite en ut majeur, nous aurons : A : — une
partie
ascendante, diatonique, irrégulièrement syncopée,
— un sommet, si do si, que nous trouverons souvent subdivisé en deux
parties
, une ascendante, si do, une descendante, do si ;
descendante, do si ; dont nous verrons les significations ; C : — une
partie
coudée, si mi sol ; D : — qui répète C en aplanis
nt ses lignes et qui rappelle, plus faiblement, l’ascension de la 1re
partie
; E : — une terminaison, formée par une chaîne de
la répétition à la 4e mesure de la forme mouvementée et inégale de la
partie
ascendante de la troisième. — Puis les sonorités
e l’analyse de l’orchestration ; ce qui eût été pousser l’étude de la
partie
musicale plus loin que nous n’aurions pu le faire
nté seul, il est symbolique et non dramatique. Décomposé, sa première
partie
a caractérise l’expiation de Kundry, la plainte d
8. 189. 205. 207. 208. 216. 226. 227). On voit que ce motif offre une
partie
ascendante et une partie descendante, qui ne se p
6. 226. 227). On voit que ce motif offre une partie ascendante et une
partie
descendante, qui ne se présentent pas toujours en
201. 205. 206. 207. 220. 225. 246. 247. 242. 250. 249. 251). Les deux
parties
de ce motif sont souvent isolées et parfois très
ccessives. Kundry est comme terrassée ; le motif de Klingsor, dans sa
partie
finale, se relève pour toujours retomber plus bas
des faces du drame.[NdA] 43. Ainsi que je l’ai montré pour certaines
parties
de la Goetterdaemmerung (Rev. Wagn., II, 134).[Nd
angement de température qui, par la dilatation ou le resserrement des
parties
, vient agir sur le nerf. Visiblement, ce n’est là
s ses segments et sur tout son trajet. — D’autre part, sur toutes les
parties
de son trajet, cette action aboutit au même effet
formication ou même de douleur ayant en apparence son siège dans les
parties
extérieures qui n’existent plus. Ces sensations n
en rapport les unes avec les muscles, les autres avec telle ou telle
partie
des centres nerveux ; de même des fils semblables
constater ni conjecturer aucune irritation du bout terminal ou d’une
partie
quelconque du trajet du nerf. — J’ai décrit ces v
nuit. » — À la rigueur on pourrait objecter que dans ces exemples la
partie
centrale et encore intacte du nerf est le point d
it indirectement, comme les nerfs rachidiens, par l’intermédiaire des
parties
conductrices de la moelle116. — Il reste à cherch
nductrices de la moelle116. — Il reste à chercher, parmi les diverses
parties
de l’encéphale, celles dont l’action est la condi
ns les figures de quelque grand atlas anatomique, il trouvera qu’à sa
partie
supérieure la moelle épinière se renfle en un bul
rvons de l’encéphale non seulement le bulbe rachidien, mais encore la
partie
suivante, la protubérance annulaire dans laquelle
protubérance en place ! Dans le premier cas, chaque excitation d’une
partie
restée sensible provoquait un cri bref, unique po
croît en même temps que l’intelligence ; on verra d’ailleurs que leur
partie
la plus importante est leur écorce, composée de s
t manquer sans qu’aucune des facultés de l’esprit fasse défaut135. La
partie
désorganisée ou détruite peut appartenir aux lobu
u’on arrive au sommet de la série animale, la dépendance mutuelle des
parties
cérébrales devient beaucoup plus grande. Mais la
ont montré cet abouchement. Pour l’articulation, il est situé dans la
partie
postérieure de la troisième circonvolution fronta
e là part l’impulsion qui fait jouer les organes vocaux ; quand cette
partie
de l’écorce est désorganisée, la parole mentale p
z ce triton, on a, par une section transversale, enlevé la tête et la
partie
antérieure du corps avec les deux membres corresp
e du corps avec les deux membres correspondants. Je pince la peau des
parties
latérales du corps ; il y a, comme vous le voyez,
il est facile de voir que ce mouvement a pour résultat d’éloigner la
partie
irritée du corps irritant. Or c’est là le mouveme
sur des animaux inférieurs, en qui la vie est plus tenace et dont les
parties
sont moins étroitement liées les unes aux autres.
mouvements systématiquement compliqués et utiles que des excitations,
parties
de la pituitaire, des voies respiratoires ou de l
s, et, quand la circulation subsiste, « l’excitabilité réflexe, d’une
partie
séparée de la moelle peut persister presque indéf
e par elle, en sorte que nous sommes obligés de considérer toutes les
parties
centrales du système nerveux, encéphale, bulbe, m
uisque d’ailleurs, même dans la protubérance et les lobes, la majeure
partie
de ces événements n’apparaît pas à la conscience,
uté la tête d’un lapin avec des ciseaux mal affilés qui hachèrent les
parties
molles de façon à prévenir l’hémorragie, vit l’an
couches optiques et les corps striés, forment un centre distinct, en
partie
sensitif, notamment dans les couches optiques, en
distinct, en partie sensitif, notamment dans les couches optiques, en
partie
moteur, notamment dans les corps striés. Considér
ctiles. 108. Helmholtz, Handbuch der physiologischen Optik, deuxième
partie
, § 22, 23, 24, 25. 109. Mueller, ibid., II, 472,
ns le filament central du nerf, appelé cylindre d’axe. C’est la seule
partie
essentielle du nerf. Vulpian, Leçons sur la physi
de est celle de l’éthérisation des lobes cérébraux et même des autres
parties
encéphaliques, excepté la protubérance et le bulb
mènes tout à fait distincts, si distincts qu’ils ont pour sièges deux
parties
différentes du système nerveux. L’un est la sensa
est la sensation proprement dite qui a l’isthme de l’encéphale et en
partie
la protubérance annulaire pour siège. L’autre est
ication dans les phénomènes auxquels elle participe. — Chacune de ces
parties
, anatomiquement constituée comme l’organe entier,
nerfs, la contractilité et la nutrition des muscles, dans toutes les
parties
paralysées de la sensibilité et du mouvement… Cha
la seule inspection directe, ou armée du microscope, des différentes
parties
qui composent sa texture anatomique ou cadavériqu
olument impossible à celui qui ne connaîtra pas exactement toutes les
parties
qui composent l’organisme, leurs rapports, leur c
sorte comme une conséquence de la connaissance anatomique exacte des
parties
sur le cadavre. Je crois, au contraire, que la lo
ur nom, mais ont-ils connu pour cela les propriétés ou les usages des
parties
qu’ils décrivaient ? Aucunement. Ces grands anato
r l’expérimentation seulement qu’on a pu aborder les fonctions de ces
parties
; tandis que pour l’estomac, la vessie, les vaiss
les choses ont été bien différentes quand on s’est trouvé en face de
parties
comme la rate, le cerveau, les fibres nerveuses,
vus fonctionner. Alors, seulement quand on a vu en œuvre ces diverses
parties
d’un mécanisme, on peut en comprendre le jeu ; le
inte terminale et deux petites ailes latérales tranchantes vers leurs
parties
inférieures, et qui se confondent supérieurement
es se contracter sur le vivant, etc. Ce n’est jamais l’inspection des
parties
sur le cadavre qui nous a appris cela. Mais, disi
cun, à quoi sert-il ? Mais, s’il est possible de disséquer toutes les
parties
d’un cadavre, de les isoler pour les étudier dans
eurs rapports, il n’en est plus de même pendant la vie, où toutes les
parties
à la fois concourent simultanément à un but commu
nvironnent, le physiologiste ne peut pas séparer aussi facilement une
partie
d’un être vivant sans que cette partie elle-même
s séparer aussi facilement une partie d’un être vivant sans que cette
partie
elle-même ait perdu dès ce moment la principale d
e avec l’ensemble. L’anatomiste, qui ne cherche que les fonctions des
parties
qu’il dissèque, tombe dans un autre inconvénient,
ue anatomique, ont-elles donné la plus grande part aux propriétés des
parties
solides de l’organisme, et la pathologie de Brous
i doivent en effet être considérées comme des organes distincts de la
partie
sécrétante proprement dite. Sous ce rapport, la p
ts ; et l’on a pu voir qu’après la destruction et la résorption de la
partie
glandulaire, les conduits restaient intacts et is
ité des liquides du corps. Si l’on vient à diviser l’œsophage vers la
partie
inférieure du cou, chez un cheval dont les deux c
diatement par la canule ouverte. Malgré cette humectation de toute la
partie
supérieure du canal intestinal, la soif n’était p
qu’un conduit parotidien divisé, parce que l’autre glande supplée en
partie
à celle qui manque à raison de leur analogie de f
ehors. La cicatrisation s’opère autour du tube, le maintient dans ses
parties
molles, et la salive s’écoule d’une manière conti
est dû sans doute à ce que les bicarbonates de la salive perdent une
partie
de leur acide carbonique au contact de l’air, ce
donne naissance à un carbonate insoluble qui se précipite au moins en
partie
. Ce précipité de la salive parotidienne, qui est
,4 de substances organiques et 3,3 de matières inorganiques, sur 1000
parties
. La commission d’hygiène trouva 33,33 de matières
a commission d’hygiène trouva 33,33 de matières inorganiques pour 100
parties
du résidu sec de la salive parotidienne du cheval
t dans la salive mixte, paraît s’altérer rapidement et disparaître en
partie
. La matière organique appelée diastase salivaire,
tre nature et peut-être la corde du tympan ; ses filets se rendent en
partie
dans le ganglion sous-maxillaire. Quand on agit d
une sécrétion de la glande sous-maxillaire. Quand on pique certaines
parties
du pont de Varole, on produit aussi une sécrétion
de ces deux glandes, très voisins l’un de l’autre dans la plus grande
partie
de leur trajet, se séparent un peu avant d’arrive
duit de la glande, et qu’il s’attache comme de la glu aux différentes
parties
avec lesquelles il se met en contact. Du reste, i
ate). Il restait à savoir si l’iodure de fer n’avait pas, au moins en
partie
, été décomposé avant d’arriver dans la salive. L’
eux, tomenteux, surnageant le liquide, insoluble dans une plus grande
partie
du même réactif. Par l’acide sulfurique, précipit
léments, une grande quantité de cellules glandulaires dissociées. Une
partie
de ce liquide remplissait le conduit parotidien e
it par l’ouverture qui avait succédé à la chute du fil à ligature. La
partie
supérieure de la glande avait échappé à cette des
mée par un liquide écumeux et filant, plus ou moins abondant ; 2° une
partie
moyenne et claire, limpide et moins visqueuse ; 3
; 2° une partie moyenne et claire, limpide et moins visqueuse ; 3° la
partie
inférieure se présente sous la forme d’un dépôt d
ltération de parcelles d’aliments restées entre les dents. Toutes ces
parties
, bien qu’on les rencontre le plus ordinairement d
ifs d’aucune salive spéciale. Lorsqu’on filtre la salive buccale, les
parties
supérieure et inférieure restent sur le filtre, e
complètement la canule, de telle sorte que l’air puisse entrer et une
partie
du liquide s’écouler au dehors, on voit l’animal
vent en pratique, consiste à opérer la division de l’œsophage vers la
partie
inférieure du cou, puis à faire manger l’animal d
dont ils se sont imprégnés en traversant la bouche, le pharynx et une
partie
de l’œsophage. Il faut observer toutefois que, pa
ce différente, ainsi que le montrent les chiffres suivants : Sur 1000
parties
de salive, on a trouvé : 992,90 d’eau chez l’ho
sont dans la proportion de 1,64 sur 4,84 de résidu sec donné par 1000
parties
de salive de l’homme (Jacubowitsch). Ces cellules
tifs, etc., sur laquelle les auteurs soient tous d’accord. Soluble en
partie
dans l’eau, pour Budge et Blondlot, le mucus sali
l. L’acide phosphorique serait surtout combiné avec la soude. Sur 100
parties
des cendres de la salive mixte de l’homme, on a t
ce mouvement était spasmodique ou déterminé par la déglutition d’une
partie
de la salive qui humecte la bouche, M. Riquet a d
humecte la bouche, M. Riquet a dégagé l’œsophage d’un cheval vers la
partie
inférieure de l’encolure du côté gauche, incisé l
salive parotidienne et la salive maxillaire n’entraient pas pour une
partie
dans la formation des gorgées du fluide rendu, M.
M. Riquet répéta l’expérience sur trois chevaux morveux privés d’une
partie
ou de la totalité de la salive des quatre princip
oit besoin d’aucun commentaire. Expérience. — J’ai pratiqué, vers la
partie
inférieure du cou, sur un cheval assez vigoureux,
é nulle part. Chez l’animal, l’œsophage avait d’abord été ouvert à la
partie
inférieure du cou par une incision longitudinale.
Mais, alors, on coupa en travers l’œsophage, qui se rétracta vers la
partie
supérieure de la plaie du cou. Alors l’animal con
heval) étant à jeun, on lui fait une ligature sur l’œsophage, vers la
partie
inférieure de l’encolure. Pour cela, après avoir
te, pendant la saison chaude de l’été. Au bout de quelques jours, une
partie
de la fibrine et du gluten s’était dissoute dans
res grasses dont nous suivions les modifications dans les différentes
parties
du tube intestinal. Or nous avions remarqué que,
éverser dans le duodénum hg, qui a été ouvert, et dont la plus grande
partie
a été conservée. Le conduit pancréatique ee suit
n met un tube dans un de ces conduits, on ne détourne qu’une certaine
partie
de la sécrétion. Vous voyez, Messieurs, par l’his
ortant d’avoir des notions précises sur la disposition anatomique des
parties
sur lesquelles on expérimente, sans quoi l’on peu
à 8 centimètres qui me permet d’attirer au dehors le duodénum et une
partie
du pancréas. Le tissu de cet organe est, comme vo
tes, une incision qui me permit d’amener au dehors le duodénum et une
partie
du pancréas. Le tissu du pancréas était d’une col
vaisseaux chylifères nombreux pleins de chyle blanc et homogène. Les
parties
étant rentrées dans l’abdomen et environ deux min
n portant, à jeun depuis vingt-quatre heures, j’attirai au dehors une
partie
du pancréas par une petite plaie faite dans l’hyp
’animal faisait en se débattant. Il s’ensuivit que le pancréas et une
partie
des intestins restèrent pendant longtemps exposés
sme se produisait ce phénomène. Les muscles abdominaux avaient été en
partie
paralysés du côté droit par la section du nerf lo
elles du lait, de la salive, sécrétions dans lesquelles les dernières
parties
sont plus aqueuses que les premières parties sécr
lesquelles les dernières parties sont plus aqueuses que les premières
parties
sécrétées. J’ai même vu des chiens desquels la sé
e que le fait même de l’opération, qui consiste à tirer au dehors une
partie
du pancréas, produit dans l’organe un état morbid
s sécrétions obtenues dans les conditions normales, que les dernières
parties
obtenues sont moins riches en parties solides que
ons normales, que les dernières parties obtenues sont moins riches en
parties
solides que les premières. En résumé, Messieurs,
osition de ce liquide organique. Le suc pancréatique contient : 1° En
parties
solides, dans le chien, 8,72 ; dans la brebis, 4
olides, dans le chien, 8,72 ; dans la brebis, 4 à 5 pour 100 ; 2° Les
parties
solides sont : a. De l’osmazome ; b. Une matière
imique du suc pancréatique dans les limites où il est normal : Les
parties
solides contiennent : La composition du suc
à l’état de pureté parfaite, mais elle est séparée de la plus grande
partie
des sels contenus dans le suc pancréatique ; tout
ine. Ce qui prouverait encore que cette matière organique est bien la
partie
active du suc pancréatique, c’est qu’elle existe
tandis que la bile formait une couche parfaitement distincte dans la
partie
inférieure du tube. L’huile n’avait aucunement ét
ions. Il y a eu mélange avec le liquide ; mais bientôt la plus grande
partie
de la graisse s’est séparée, et il n’y a pas eu é
décanté et filtré le liquide éthéré. (A) L’éther a dissous ainsi une
partie
des corps gras qu’il abandonne par l’évaporation.
ez forte de matière grasse qui se retrouve surtout dans les premières
parties
du traitement ; il a dû, de plus, dissoudre les s
précédemment isolé en contînt ; enfin, il a dû enlever la plus grande
partie
de l’oléate de strontiane, composé qui a paru se
pancréas, parce que la matière grasse n’a pas pénétré dans toutes les
parties
de la glande. Quand on a des animaux sur lesquels
cicatrisée. Mais ses excréments, toujours très blancs, offraient des
parties
comme graisseuses non digérées, et l’on trouva mê
i n’avaient subi qu’un commencement de digestion très imparfaite. Une
partie
de ces excréments blancs de l’animal, ayant été d
d’une matière grasse. Autour de ses excréments, le chien rendait une
partie
liquide huileuse transparente ; bientôt, par le r
ain d’huile. On reconnaissait également dans les matières fécales des
parties
alimentaires incomplétement digérées. Le treizièm
tenu et à son aspect intérieur : L’estomac était rempli d’aliments en
partie
ramollis et offrant une réaction acide ; les paro
es matières alimentaires dans lesquelles se trouvait de la graisse en
partie
émulsionnée. L’intestin grêle renfermait des mati
t plus sèche que dans l’état ordinaire, et l’on y remarquait, vers la
partie
inférieure de l’ileum, des sortes d’érosions ou d
autopsie, et l’on constata que son pancréas n’avait été détruit qu’en
partie
à ses deux extrémités ; la portion moyenne avait
’air avec une seringue. Mais je me suis aperçu aussitôt qu’une grande
partie
de l’air passait dans le duodénum, et ce passage
es de long, était rétracté, très dur ; le canal pancréatique de cette
partie
de la glande s’ouvrait dans la cavité du kyste21.
. Il était alcalin, incolore, clair et rendu seulement opalin par des
parties
muqueuses ; il n’offrait pas de viscosité, ne se
qui s’échappait de la fistule goutte à goutte, en ruisselant sur les
parties
voisines comme les larmes sur les joues, était in
mment ces fistules, qui indubitablement ne sauraient atteindre qu’une
partie
très limitée de l’organe pancréatique, ne fournis
vons dit, sans altérer la santé des malades, parce que la plus grande
partie
de l’organe, restant saine, peut encore déverser
x de la veine porte et système de Jacobson chez le pigeon, vus par la
partie
antérieure. j, branche de la veine porte communiq
Fig. 34. — Système veineux de Jacobson chez le coq russe, vu par la
partie
postérieure ; les veines ont été disséquées dans
de Jacobson se trouvait plus chargé de graisse que le sang des autres
parties
du corps. Nous avons trouvé, en effet, plus de gr
globules dégraissé, mais peut-être moins que dans le sang des autres
parties
de la veine porte, et que dans celui du système v
que. Depuis Aselli, on avait considéré le chyle comme représentant la
partie
nutritive des substances alimentaires, et renferm
r, on constate qu’il est rendu opaque et blanchâtre comme du lait, en
partie
par la substance grasse émulsionnée qu’il tient e
nt le même rôle. Mais leur faible action n’empêche pas la plus grande
partie
de la matière grasse d’être rejetée au dehors. Il
ur la fécule, qui n’est pas digérée dans ce cas, mais dont une petite
partie
cependant peut être transformée en sucre par les
en et arrachant avec des pinces, morceau par morceau, les différentes
parties
du pancréas. Bientôt l’hémorragie s’est arrêtée e
ore déterminé, s’accumule tout naturellement, et peut refluer vers la
partie
supérieure et aller à la rencontre de la matière
ester. Voici comment je prépare le réactif : On mélange ensemble deux
parties
d’acide sulfurique et une partie d’acide nitrique
réactif : On mélange ensemble deux parties d’acide sulfurique et une
partie
d’acide nitrique. C’est ce mélange que l’on ajout
iode de décomposition, la matière albuminoïde cesse en totalité ou en
partie
d’être coagulable par les agents précédents ; mai
es dans le canal intestinal depuis leur entrée jusqu’au moment où les
parties
digérées ont pu être absorbées, et les parties ex
jusqu’au moment où les parties digérées ont pu être absorbées, et les
parties
excrémentitielles rejetées. Nous verrons que, dan
ond de laquelle se voit la valvule ; — B, insertion de l’estomac à la
partie
supérieure de l’orifice ; — C, mamelon ; — D, fac
d’argent recuit d’une longueur convenable pour en former une anse. La
partie
de l’estomac qui retient le fil, d’une étendue de
uelques points de suture, après avoir fait rentrer dans l’abdomen les
parties
de l’intestin qui s’étaient échappées. Seulement,
résorber complètement. Fig.55. A B, coupe de la canule d’argent en
partie
divisée et allongée par suite ; e, rebords de la
lies qui entrent dans la clef destinée à visser et à diviser les deux
parties
de la canule ; — D, tête de la clef vue de face ;
uva ni carbonate ni phosphate alcalins. L’alcali était en très grande
partie
de la soude. La cendre contenait encore un peu de
ssi du sulfate de chaux et du chlorure de calcium. Dans le cheval, la
partie
soluble de la cendre consistait en une grande qua
ette digestion à une température douce, la membrane muqueuse étant en
partie
dissoute, il suffit de filtrer le mélange, et le
de canne ou de betterave peut, dans certaines circonstances, être en
partie
ramené à l’état de sucre de fécule ; probablement
chargés de matière métallique provenant d’un tatouage, dissoudre les
parties
organiques, et séparer la matière colorante, reco
s os, qu’il digère : c’est-à-dire que le liquide gastrique dissout la
partie
azotée du tissu osseux, et en dissocie les partie
astrique dissout la partie azotée du tissu osseux, et en dissocie les
parties
calcaires ou terreuses qui sont ensuite expulsées
ties calcaires ou terreuses qui sont ensuite expulsées en plus grande
partie
comme matières excrémentitielles. On voit que dan
vivant. La dissolution du tissu cellulaire a lieu, et, en incisant la
partie
dans laquelle le suc gastrique a été injecté, on
détruire l’estomac, la moitié du foie, la rate, quelquefois même une
partie
des intestins, pourvu qu’on ait eu la précaution
cle à l’action du suc gastrique, qui se produit énergiquement sur des
parties
où la circulation a encore lieu. Les anguilles se
cela avait lieu. On lia l’œsophage à des chiens, on réséqua même une
partie
de ce conduit sur des chiens munis de fistules à
sortaient plus vite de l’estomac que les aliments animaux, et que les
parties
végétales, telles que les feuilles de salade, les
os ; de sorte qu’il désagrége ainsi les tissus après avoir dissous la
partie
animale intermédiaire qui est formée par un tissu
vent en gelée par le refroidissement. On retrouve d’un autre côté les
parties
terreuses ou les fibres musculaires qui ont simpl
ant en gelée par le refroidissement. Fig. 59. — Chyme pris dans la
partie
pylorique de l’estomac d’un chien en digestion d’
s ont disparu ; — b, fibre musculaire dans laquelle les stries ont en
partie
disparu ; — d, d, d, globules de graisse ; — e, e
s. Nous aurions eu ainsi son suc gastrique parfaitement débarrassé de
parties
alimentaires. Seulement cette opération fatigue b
lbuminoïdes dissociées par le suc gastrique et dissoutes seulement en
partie
arrivent dans le duodénum, elles s’y comportent t
ment précipitées de leur dissolution acide par le fluide biliaire. La
partie
celluleuse de l’aliment azoté qui a été dissoute
s de tissus animaux seulement dissociés, mais non dissous ; 2° sur la
partie
de l’aliment azoté qui, ayant été rendue soluble
essous des bords des côtes du côté droit, et l’on attira au dehors la
partie
supérieure du duodénum et le pylore. On chercha l
uite une ligature sur le pylore ; puis une ouverture étant faite à la
partie
inférieure du duodénum, on y poussa de l’eau tièd
ssez la graisse, et transformait l’amidon en glycose. Dans les autres
parties
de l’intestin, ce liquide n’offre pas les mêmes p
ntestin un tube par lequel nous recueillerons le liquide venant de la
partie
supérieure du duodénum. Pour obtenir ce liquide p
conduits souvent au nombre de deux ou trois, qui se trouvent dans la
partie
de la glande qui entoure le conduit cholédoque et
ats s’obtiennent, et lorsqu’on galvanise les pneumogastriques vers la
partie
inférieure de l’œsophage, à l’endroit où ils form
déjà dit, arrêté tous les phénomènes digestifs, elle a précipité les
parties
alimentaires solubles, et ces différentes matière
sans avoir été liquéfiées, telles que des morceaux de caséine ou des
parties
de muscles non encore dissoutes, et que nous y aj
recueillir sur un animal en digestion le contenu du duodénum et de la
partie
supérieure de l’intestin grêle, de jeter le tout
it les fibres de la viande a été dissous, ce suc intestinal digère la
partie
musculaire proprement dite, et si l’on y place un
ce un morceau de viande crue, la fibre musculaire se dissout, mais la
partie
cellulaire reste intacte, ainsi que le montre cet
emble altérée, et les villosités paraissent atrophiées dans certaines
parties
, comme si la présence de ce liquide était nécessa
ct du suc gastrique, agit à la façon de la cuisson, en dissolvant les
parties
susceptibles de former de la gélatine, et en diss
e de celle qu’aurait produite leur décomposition spontanée, et où les
parties
qui sont réfractaires aux liquides digestifs se s
celle de l’intestin grêle. À propos de ces réactions des différentes
parties
de l’intestin, voici ce que l’on peut dire. La bo
qui, adhérant au verre du bocal, lui donne l’air dépoli dans toute la
partie
en contact avec l’urine. À midi, je mangeai des c
a deux petits conduits biliaires h, ch, qui viennent s’ouvrir dans la
partie
ascendante du duodénum, entre le deuxième et le t
bles et une soie a pu être passée dans le conduit h b. F, foie ; — S,
partie
inférieure du jabot ; — G, gésier ; — P, P′, P″,
de cette émulsion fut portée à l’ébullition au bain-marie ; alors une
partie
de l’huile se sépara, et il s’exhalait du mélange
tre heures. Elle devint acide, et, en ajoutant de la potasse dans une
partie
de ce mélange, il se dégagea de l’ammoniaque en g
grande quantité, et l’on reconnut, en traitant convenablement l’autre
partie
du mélange, la présence d’un acide gras. 5° Le su
action alcaline très marquée. Après avoir constaté ces caractères, la
partie
restante du suc pancréatique fut mélangée avec qu
ndante de flocons blanc bleuâtre ; on laissa déposer ces flocons à la
partie
inférieure du tube. On décanta ensuite l’alcool a
r l’alcool, car si l’on reprenait le liquide filtré et débarrassé des
parties
muqueuses insolubles, on y retrouvait les caractè
e je n’ai pas vu mentionner par les anatomistes. Ce muscle part de la
partie
antérieure de sa colonne vertébrale, et il se dir
le à appliquer pour les explications dont il est ici question, car la
partie
sécrétante réelle est la cellule glandulaire, sou
e toujours les mêmes caractères. FIG. 78. — Pancréas de turbot. T,
partie
pylorique de l’estomac ; — P, conduit pénétrant d
ue le pancréas est directement en rapport avec le développement de la
partie
chimique de la digestion ; et si l’on veut avoir
t, plus tard, quand le végétal est formé, il rassemble dans certaines
parties
de son organisme des principes immédiats dont il
ce cours, que je les avais présentées antérieurement dans la première
partie
d’un ouvrage intitulé : Système de politique posi
ril 1824, à un nombre d’exemplaires plus considérable. Cette première
partie
n’a point encore été formellement publiée, mais s
s. Elle ne sera mise définitivement en circulation qu’avec la seconde
partie
, que j’espère pouvoir faire paraître à la fin de
ail, parce que quelques idées, offrant une certaine analogie avec une
partie
des miennes, se trouvent exposées, sans aucune me
comme soumises à une méthode unique, et comme formant les différentes
parties
d’un plan général de recherches. Le terme que j’a
CXIIIe entretien. La Science ou Le Cosmos, par M. de Humboldt (2e
partie
). Littérature de l’Allemagne. I Humboldt
rt était un homme auquel le genre humain était redevable d’une grande
partie
du progrès de son intelligence. « Dès l’heure la
ts et ses journaux furent trouvés classés et attachés, et la deuxième
partie
du 4e volume du Cosmos, dont, jusqu’à sa mort, il
intime que, sans le désir d’acquérir une instruction solide dans les
parties
spéciales des sciences naturelles, toute contempl
ssance des deux idiomes, par mon vieil ami M. Eyriès, traite quelques
parties
de la géographie physique, telles que la physiono
ans le nord de l’Asie. « Le premier volume de cet ouvrage renferme la
partie
la plus importante à mes yeux de toute mon entrep
ts. Il y a plus encore : dans l’état actuel de nos connaissances, des
parties
très importantes de la physique du monde sont ass
r encore quelque intérêt, s’il parvenait à retracer avec vivacité une
partie
au moins de ce que l’esprit de l’homme aperçoit d
hysique, et des plus distingués, offrent dans leurs introductions une
partie
exclusivement astronomique, tendant à faire envis
Pour bien saisir la grandeur du Cosmos, il ne faut pas subordonner la
partie
sidérale, que Kant a appelée l’histoire naturelle
artie sidérale, que Kant a appelée l’histoire naturelle du ciel, à la
partie
terrestre. Dans le Cosmos, selon l’antique expres
sible à l’observation et ce qui s’y refuse. Cette subordination de la
partie
céleste à la partie terrestre se rencontre déjà d
n et ce qui s’y refuse. Cette subordination de la partie céleste à la
partie
terrestre se rencontre déjà dans le grand ouvrage
emier, la géographie en générale et spéciale, subdivisant celle-là en
partie
absolue, c’est-à-dire proprement terrestre, et en
celle-là en partie absolue, c’est-à-dire proprement terrestre, et en
partie
relative ou planétaire, selon qu’on envisage la s
s sur les limites prescrites à la fécondité des métis. La plus grande
partie
des contrastes dont on était si frappé jadis s’es
sionomie nègre sont loin d’être toujours associés. Tant qu’une faible
partie
de la terre fut ouverte aux peuples de l’Occident
ans l’histoire ce double et singulier phénomène. « Le langage est une
partie
intégrante de l’histoire naturelle de l’esprit ;
l’antiquité est restée muette. L’exilé ne vit pas, il est vrai, cette
partie
des steppes qui, recouvertes dans l’été de plante
révoir toutes les révolutions qui se préparent. C’est surtout dans la
partie
aride et montagneuse de la Palestine que le clima
r sur la création qui a valu à Bernardin de Saint-Pierre la meilleure
partie
de sa gloire. Le livre de Paul et Virginie, dont
celles-là dérivent toutes les autres. Une œuvre a de l’unité, si les
parties
qui la composent sont en nombre assez restreint p
our que l’esprit les embrasse toutes ensemble d’une seule vue, si ces
parties
ont entre elles assez d’affinité pour qu’il en sa
être supposé indépendant et isolé du reste, présentant un rapport des
parties
facilement intelligible à l’esprit, et fournissan
image l’être organisé, qui dans l’unité de son individu assemble des
parties
dissemblables, accomplissant des fonctions dissem
simplicité rigoureuse jusqu’à la plus souple complexité. Le lien des
parties
sera plus serré ou plus lâche, l’homogénéité plus
ce. En général, un long ouvrage admettra une plus grande diversité de
parties
et d’impressions secondaires qu’un ouvrage de cou
t trop nuancer, vous aboutiriez à la confusion et à l’indécision. Ces
parties
qui s’accordent dans l’unité du tout ne sont poin
’écrivain, tandis que l’ouvrage entier s’avancera vers sa fin, chaque
partie
accomplira son évolution particulière et aura son
it sa proie, l’atteint, la dévore et s’endort. Dans les villes où une
partie
des hommes sont sacrifiés à pourvoir aux besoins
ieuses ; il touche d’un bout à l’autre de la composition et occupe la
partie
la plus élevée de la scène. Brisez la rampe de ce
lisque entier ; puis la porte d’un temple. Au-delà de cette porte une
partie
symmétrique à la première. Au-devant de la ruine
re, une femme avec sa cruche ; à l’auge, une autre femme qui lave. La
partie
supérieure de la fabrique de la gauche est aussi
ation donne aux objets est toujours proportionnée à l’énumération des
parties
. Il y a un moyen sûr de faire prendre à celui qui
ite, une pyramide, puis l’escalier. Au côté droit de l’escalier, à sa
partie
supérieure, un obélisque ; au bas, sur le devant,
s le tableau. Les degrés de l’escalier aboutissent à cette façade. La
partie
inférieure de cette fabrique est en niches, ces n
on a peine à discerner sont répandus dans les entre-colonnemens de la
partie
supérieure. On y entrevoit un homme envelopé dans
nger la symmétrie. Les premières arcades sont éclairées et forment la
partie
supérieure et le fond du tableau ; les autres son
fond du tableau ; les autres sont dans la demi-teinte, et forment la
partie
inférieure et le devant. Celles-ci soutiennent un
très-vaporeux ; si j’osais hazarder une observation, je dirais que la
partie
inférieure des voûtes à gauche sur le devant m’a
lle. Le terre-plein est fermé par des bornes enchaînées. Au bas de la
partie
circulaire de l’esplanade, au niveau du terre-ple
transmettre l’impression. à gauche, c’est une voûte éclairée dans sa
partie
supérieure par une lumière qui vient d’arcades so
cette voûte est coupée en deux, l’une éclairée et l’autre obscure. La
partie
éclairée et supérieure est un grenier à foin sur
rde et son crochet à monter la paille et le foin. C’est donc toute la
partie
concave de l’édifice qui forme le grenier à foin
ire-voie ; c’est une espèce de fermeture commune à l’ écurie et à une
partie
du grenier à foin. Cette fermeture est entrouvert
couchant venant à l’éclairer subitement par derrière, je vis toute la
partie
supérieure du grenier à foin teinte de feu, effet
le dos de la cuisinière, l’enfant qui est debout proche d’elle, et la
partie
voisine de la cheminée ; mais le soleil étant enc
t pas à des sauvages que je m’adresse, c’est à des hommes éclairés.
partie
d’un temple. à droite, un des côtés de cette fabr
penses, de leurs grandes vues que des débris qui servent d’asyle à la
partie
la plus indigente, la plus malheureuse de l’espèc
dé les beaux arts à un si haut degré de perfection. Si vous brisez la
partie
supérieure d’une statue, que les jambes et les pi
re architecture soit riche et que les ornemens en soient purs. Que la
partie
subsistante ne donne pas une idée commune du tout
t est parfaitement sec. » Dans la relation d’une Expédition dans les
parties
centrales de l’Amérique du Sud, faite de 1843 à 1
la cause et dévoilé le mécanisme. Si en effet, abordant maintenant la
partie
essentielle de notre sujet, nous entrons, au moye
iques. C’est donc dans les éléments organiques, c’est-à-dire dans les
parties
les plus déliées de l’organisme, que siègent les
l’élément. Telle est en quelques mots l’idée qu’on doit se faire des
parties
microscopiques de notre corps, auxquelles il conv
à raccourcir le tube musculaire et à entraîner dans son mouvement les
parties
auxquelles il est fixé. Nous trouvons dans le sys
nerveuse, destinée à protéger un filament central. Ce filament est la
partie
physiologiquement essentielle du nerf, et qu’on a
t essentiellement la viande ou la chair qui représente la plus grande
partie
du poids du corps de l’homme et des animaux. Quel
insi poussé par le cœur dans les artères va se purifier en tout ou en
partie
de divers produits d’élimination et par des mécan
individu ; en arrêtant le poison dans les artères, on ne sauve que la
partie
du corps à laquelle l’artère oblitérée portait le
tant électrique produisait des contractions violentes dans toutes les
parties
du corps ; mais en agissant sur les nerfs eux-mêm
ore qu’en liant ou en obstruant une artère d’un membre ou d’une autre
partie
du corps, on peut ainsi préserver cette partie de
membre ou d’une autre partie du corps, on peut ainsi préserver cette
partie
de l’empoisonnement qui envahira tout le reste de
ra tout le reste de l’organisme. Or à l’aide de ce membre ou de cette
partie
réservée, ne fût-ce même que d’une fibre musculai
vant, il n’y avait aucun mouvement ni aucune réaction vitale dans ces
parties
empoisonnées ; mais la grenouille agitait aussitô
e résultat était constant même après les plus légères piqûres dans la
partie
du corps empoisonnée. Quand on mettait la grenoui
nnée. Quand on mettait la grenouille dans l’eau et qu’on excitait une
partie
quelconque de son corps, elle nageait parfaitemen
ulement un moteur vital qui pousse le liquide sanguin dans toutes les
parties
de notre corps qu’il anime ; le cœur serait aussi
me, on voit quatre compartiments ou cavités : deux cavités forment la
partie
supérieure ou base du cœur, appelées oreillettes
base du cœur, appelées oreillettes et recevant le sang de toutes les
parties
du corps au moyen de gros tuyaux nommés veines ;
corps au moyen de gros tuyaux nommés veines ; deux cavités forment la
partie
inférieure ou la pointe du cœur, appelées ventric
ventricules et destinées à chasser le liquide sanguin dans toutes les
parties
du corps au moyen de gros tuyaux nommés artères.
aire passer ensuite dans son ventricule, qui le lance dans toutes les
parties
du corps, où il devient impur et noir. Le cœur dr
eillette par les veines caves le sang impur qui revient de toutes les
parties
du corps et à le faire passer ensuite dans son ve
sidérer le cœur que comme un organe qui distribue la vie à toutes les
parties
de notre corps, parce qu’il leur envoie le liquid
ire ; mais cette vésicule s’allonge bientôt et bat avec rapidité ; la
partie
inférieure reçoit le liquide sanguin et représent
reçoit le liquide sanguin et représente une oreillette, tandis que la
partie
supérieure constitue un véritable ventricule qui
t un mouvement combiné de torsion et de bascule qui ramène en haut sa
partie
auriculaire et en bas sa partie ventriculaire ; a
n et de bascule qui ramène en haut sa partie auriculaire et en bas sa
partie
ventriculaire ; avant que le mouvement de bascule
une harmonie réciproque telle qu’il paraît impossible de séparer une
partie
de leur organisme sans amener immédiatement un tr
bservation et de déduction anatomique, s’exprime ainsi : « Toutes les
parties
d’un corps vivant sont liées ; elles ne peuvent a
t nous recourons à la science moderne, nous verrons que dans l’œuf la
partie
essentielle se réduit à une petite vésicule ou ce
à pénétrer dans l’intérieur pour analyser le mécanisme de chacune des
parties
. Il s’ensuit que le physicien et le chimiste peuv
xpérimentale, on décompose l’organisme vivant en isolant ses diverses
parties
, ce n’est point pour les concevoir séparément. Qu
a systématisation est un véritable enkystement scientifique, et toute
partie
enkystée dans un organisme cesse de participer à
des nerfs dans toute la machine animée, afin de porter à chacune des
parties
l’impulsion nécessaire à son activité spéciale. C
mènes qui s’accomplissent dans tous les organes du corps, excepté une
partie
de ceux qui se passent dans le cerveau ? De sembl
culation générale, le sang ne fait en quelque sorte que traverser les
parties
pour passer des artères dans les veines ; dans le
ralentit. Ils supposaient que cette pression s’exerçait surtout à la
partie
postérieure de la tête, au point où les sinus vei
comment se fait l’expérience. Sur un animal, on enlève avec soin une
partie
de la paroi osseuse du crâne, et on met à nu le c
nomie animale comme une résultante du travail organique de toutes les
parties
du corps ; mais en même temps elle devient aussi
temps elle devient aussi le principe de l’activité de chacune de ces
parties
. Cette corrélation est surtout indispensable pour
e tout le système nerveux. Ainsi, quand on a coupé un nerf et que les
parties
auxquelles il se distribue perdent leur sensibili
n a employé la même méthode pour connaître les fonctions des diverses
parties
de l’organe encéphalique, et, bien qu’on ait renc
ici de nouvelles difficultés d’exécution à cause de la complexité des
parties
, cette méthode a fourni des résultats généraux in
éside la conscience ou l’intelligence proprement dite, tandis que les
parties
inférieures de l’encéphale recèlent des centres n
de la fonction vitale, puisque la destruction successive des diverses
parties
du cerveau a supprimé successivement ses diverses
ations fonctionnelles, et que la reproduction successive de ces mêmes
parties
a fait reparaître ces mêmes manifestations. Il es
est inutile d’ajouter que la même chose arrive pour toutes les autres
parties
du corps susceptibles de rédintégration. Les mala
successeurs de Stahl ; néanmoins ils ne conservèrent que la première
partie
de la doctrine du maître, le vitalisme, et en rép
orables expériences sur l’irritabilité et la sensibilité des diverses
parties
du corps. Toutefois c’est seulement au commenceme
rches que « lorsqu’un cristal a été brisé sur l’une quelconque de ses
parties
et qu’on le replace dans son eau-mère, on voit, e
t de particules cristallines, un travail très actif avoir lieu sur la
partie
brisée ou déformée, et en quelques heures il a sa
fait, non-seulement à la régularité du travail générai sur toutes les
parties
du cristal, mais au rétablissement de la régulari
s parties du cristal, mais au rétablissement de la régularité dans la
partie
mutilée ». Ces faits remarquables de rédintégrati
plaie plus ou moins profonde. Dans le cristal comme dans l’animal, la
partie
endommagée se cicatrise, reprend peu à peu sa for
ouvement nutritif, mouvement intestin qui ne laisse de repos à aucune
partie
; chacune, sans cesse ni trêve, s’alimente dans l
matière inorganique est fixée ou incorporée aux tissus vivants comme
partie
intégrante, l’autre par laquelle elle s’en sépare
de vie et de mort, c’est-à-dire de destruction et de renaissance des
parties
constituantes de l’organisme. Les vitalistes n’on
itale. Quand chez l’homme et chez l’animal un mouvement survient, une
partie
de la substance active du muscle se détruit et se
ui en sont des émanations et qui se trouvent répandus dans toutes les
parties
élémentaires du corps vivant. Les conditions de l
l étudie les propriétés des tissus vivants séparés du corps. Dans ces
parties
disloquées, le muscle se contracte, la glande séc
e nous dit pas quand Rosius vivoit. Cet usage s’est même conservé en
partie
sur les théatres modernes. Plusieurs personnages
fil. Les comédiens romains avoient une attention particuliere à cette
partie
de leur jeu. Pollux dans l’ouvrage que nous cito
rreur qui fait prendre un personnage pour un autre personnage par une
partie
des acteurs. Le spectateur qui se trompoit lui-mê
par ce qui arrive dans nos yeux que par ce qui arrive dans les autres
parties
de notre visage. Nos yeux seuls sont capables d’e
masquez. C’est sur le visage que l’ame se peint, et les yeux sont la
partie
du visage, qui, pour ainsi dire, nous parle le pl
désagréable. C’est ce qui ne devoit pas arriver, si la bouche et les
parties
interieures du masque les plus voisines de cette
ne pierre qui avoit cette proprieté, si ce n’étoit d’en incruster une
partie
de la bouche de leurs masques, après qu’elle avoi
oit à préferer à celui de l’airain dans le revêtement intérieur d’une
partie
des masques. C’est qu’en repercutant la voix, ell
ont les livres sont perdus, dans le quatriéme chapitre de la premiere
partie
de l’ouvrage que le P. Boulanger jesuite a compos
OGIE : Unité de type entre les membres de la même classe et entre les
parties
du même individu. — X. EMBRYOLOGIE : ses lois s’e
e cause connue de ces ressemblances, est le lien que nous révèlent en
partie
nos classifications méthodiques, lien caché pour
soient au bien-être de l’individu ou de l’espèce. Peut-être est-ce en
partie
pour cela que presque tous les naturalistes regar
le couleur chez quelques Algues, de la seule pubescence sur certaines
parties
de la fleur chez les plantes herbacées, et de la
nes, quelle qu’en soit l’importance, ont toujours échoué : car aucune
partie
de l’organisation n’est d’une importance universe
logie. Unité de type entre les membres de la même classe et entre les
parties
du même individu. — Nous avons vu que les représe
quelques manières à la forme modifiée, et affectant souvent d’autres
parties
de l’organisation par corrélation de croissance.
bien faible à modifier le plan originel et aucune à en transposer les
parties
. Les os d’un membre peuvent se raccourcir et s’él
nte même des os et les rapports mutuels de position de leurs diverses
parties
. Si nous supposons que l’animal progéniteur de to
en plus marquée et finalement par la résorption complète de certaines
parties
, ou par la soudure, la réduplication ou la multip
s, non moins intéressante, c’est l’examen comparé, non plus des mêmes
parties
chez les différents représentants de la même clas
les différents représentants de la même classe, mais des différentes
parties
ou organes chez le même individu. La majeure part
des différentes parties ou organes chez le même individu. La majeure
partie
des physiologistes pensent que les os du crâne so
s physiologistes pensent que les os du crâne sont homologues avec les
parties
élémentaires d’un certain nombre de vertèbres, c’
re de vertèbres, c’est-à-dire qu’ils présentent le même nombre de ces
parties
dans la même position relative. Les membres antér
r des tours de spires successifs. Une répétition indéfinie de la même
partie
ou du même organe est, d’après les observations d
tant chacun un certain nombre de feuilles. Nous avons déjà vu que des
parties
très multiples sont éminemment sujettes à varier
gies sériales : c’est-à-dire que rarement nous pouvons assurer qu’une
partie
quelconque de l’animal est homologue avec une aut
, soit dans leur ensemble, soit par le mode de développement de leurs
parties
. C’est au point que souvent il est impossible de
oissance. Il n’est pourtant aucune raison valable pour que toutes les
parties
de l’aile des Chauves-souris ou de la nageoire de
ructure de l’embryon et celle de l’adulte ? Comment expliquer que des
parties
qui, dans le même individu, doivent devenir plus
tat embryonnaire de chaque espèce et groupe d’espèces nous révèle, en
partie
du moins, la structure d’anciens progéniteurs moi
r, il nous est naturellement impossible de dire de quelle manière une
partie
quelconque de l’organisme se développera, et si e
étamine, mais on le rencontre quelquefois. Dans la détermination des
parties
homologues chez les différents membres d’une même
principaux faits de l’embryologie : c’est-à-dire la ressemblance des
parties
homologues dans l’embryon, lors même qu’à l’état
es homologues dans l’embryon, lors même qu’à l’état adulte, ces mêmes
parties
doivent différer considérablement dans leur struc
leurs fonctions ; de même que la ressemblance de l’embryon et de ses
parties
homologues, chez les différentes espèces d’une cl
s pour toutes, c’est que la prétention de Bossuet, dans cette seconde
partie
de son Discours où il déroule et interprète l’his
qu’il fera plus tard éclater. Pour parler sans figure, cette seconde
partie
a perdu considérablement et elle perdra de plus e
sus-Christ prêchant son Évangile est présenté par lui sous un jour en
partie
incontestable. Un nouveau modèle de la perfection
s par la simplicité et la beauté morale de l’expression sont en bonne
partie
vraies, de quelque côté qu’on les envisage. Il fa
dèle un trésor de réflexions chrétiennes édifiantes que cette seconde
partie
du Discours, mais ce n’est plus de l’histoire. Et
e est manqué. Que quelqu’un ose soutenir le contraire : cette seconde
partie
porte en soi une superfétation de développements,
ancé son anathème. Une allocution à Monseigneur termine cette seconde
partie
, allocution essentiellement politique et qui s’ad
ndemain ! Non, Bossuet n’était que le prophète du passé. La troisième
partie
du Discours sur l’Histoire universelle vient un p
tre de la vie humaine « y règne partout. » La fin de cette troisième
partie
peut paraître brusquée. Après avoir exposé à si g
en revenant à son dessein principal et en rattachant cette troisième
partie
à la seconde par un rappel énergique des conseils
ange des sens et de l’âme, cette espèce d’amour, dont l’amitié est la
partie
morale. C’est encore au christianisme que l’on do
urs accents. 31. Richardson. 32. Massillon, l’Enfant prodigue, Ire
partie
, tom. II. 33. Première partie. 34. Id. Ibid. s
32. Massillon, l’Enfant prodigue, Ire partie, tom. II. 33. Première
partie
. 34. Id. Ibid. seconde partie. 35. Massillon,
e, Ire partie, tom. II. 33. Première partie. 34. Id. Ibid. seconde
partie
. 35. Massillon, l’Enfant prodigue, 2e partie, to
34. Id. Ibid. seconde partie. 35. Massillon, l’Enfant prodigue, 2e
partie
, tome ii. 36. Æneid. lib. iv, v. 305. 37. Æneid
tude, mais encore pour leur en indiquer en quelque sorte le plan, les
parties
, les sources même, les moyens, & la fin. Il f
s qu’il a traités, & dont les vûes répandues abondamment dans les
parties
qu’il a achevées, feront le principal mérite de c
tion ; c’est un gallicisme, où l’usage consent que l’on soustraye les
parties
de la phrase à l’ordre qu’il a lui-même fixé, pou
oyable ; mais il faut convenir qu’au moyen de cet arrangement, aucune
partie
de la phrase n’est plus saillante que les autres
l’effet à la cause, Ciceronis opera. Ailleurs c’est le rapport de la
partie
au tout, pes montis ; de l’espece à l’individu, o
ment ; de mort, mortel, mortellement, mortalité, mortuaire ; de part,
partie
, partiel ; de sort, sorte, sortable, &c. III.
re donner une attention particuliere à toutes les correspondances des
parties
du discours, & en observer avec soin tous les
ès qu’ils furent en société politique, regarderent la terre & ses
parties
comme autant de meres qui nourrissoient les homme
nature & en fixer la définition. Or un simple coup-d’oeil sur les
parties
du discours assujetties à l’influence des genres,
pas que les noms & les adjectifs sont deux especes de mots, deux
parties
d’oraison réellement différentes ? M. l’abbé From
bbé Fromant, dans son supplément aux ch. ij. iij. & jv. de la II.
partie
de la Grammaire générale, décide nettement contre
re M. l’abbé Girard, que faire du substantif & de l’adjectif deux
parties
d’oraison différentes, ce n’est pas là poser de v
utres ; mais que cette distinction ne prouve point que ce soient deux
parties
d’oraison différentes. « Car, dit M. Fromant, co
c le substantif ; que par conséquent ils ne doivent faire qu’une même
partie
d’oraison ; que le nom est un mot générique qui a
le verbe & le substantif ne doivent donc faire aussi qu’une même
partie
d’oraison. Conséquence absurde qui dévoile ou la
e des genres, si une remarque de M. Duclos, sur le chap. v. de la ij.
partie
de la Grammaire générale, n’exigeoit encore de no
t cet objet. Chacun de ces points capitaux peut être soudivisé en des
parties
subordonnées, qui serviront à mettre de l’ordre d
Mais les membres de ces divisions doivent effectivement présenter des
parties
différentes de l’objet total, ou les différens po
ions grammaticales ; & toute la Grammaire se divise ainsi en deux
parties
générales, dont la premiere qui traite de la paro
ensée totale. C’est donc des mots qu’il est question dans la premiere
partie
de la Grammaire, & on peut les y considerer o
ocution ; ce qui partage naturellement le traité de la parole en deux
parties
, qui sont la Lexicologie & la Syntaxe. Le ter
lémens & leur prosodie. Les sons & les articulations sont les
parties
élémentaires des mots, & les syllabes qui rés
ts, & les syllabes qui résultent de leur combinaison, en sont les
parties
intégrantes & immédiates. Voyez Son & Syl
signée primitivement ; souvent il se fait des changemens, ou dans les
parties
élémentaires, ou dans les parties intégrantes qui
se fait des changemens, ou dans les parties élémentaires, ou dans les
parties
intégrantes qui les composent, sans que ces licen
& la forme. 1°. La matiere de la proposition est la totalité des
parties
qui entrent dans sa composition ; & ces parti
t la totalité des parties qui entrent dans sa composition ; & ces
parties
sont de deux especes, logiques, & grammatical
ces parties sont de deux especes, logiques, & grammaticales. Les
parties
logiques sont les expressions totales de chacune
pensée, savoir le sujet, l’attribut, & la copule. Le sujet est la
partie
de la proposition qui exprime l’objet dans lequel
l’existence ou la nonexistence dans le sujet ; & la copule est la
partie
qui exprime l’existence ou la non-existence de l’
rime l’existence ou la non-existence de l’attribut dans le sujet. Les
parties
grammaticales de la proposition sont les mots que
langue que l’on parle y font entrer, pour constituer la totalité des
parties
logiques. Voyez Sujet & Copule . Les différen
ogiques. Voyez Sujet & Copule . Les différentes manieres dont les
parties
grammaticales constituent les parties logiques, f
s différentes manieres dont les parties grammaticales constituent les
parties
logiques, font naître les différentes especes de
ons particulieres, & dans l’arrangement respectif des différentes
parties
dont elle est composée. Par rapport à cet objet,
ez Régime & Détermination . La Construction est l’arrangement des
parties
logiques & grammaticales de la proposition. O
é de la parole. Celui de l’écriture peut se diviser également en deux
parties
correspondantes que nous nommerons Lexicographie
quelque sorte les différens degrés de leur mutuelle dépendance. Cette
partie
s’appelle Ponctuation. L’usage n’y décide guere q
mp; le plus lumineux. Il ne faut pas croire cependant que chacune des
parties
que nous avons assignées à la Grammaire puisse êt
res notions présenteront partout les secours qui sont dûs à l’une des
parties
par les autres. Nous allons les rapprocher ici da
t encyclopédique des observations grammaticales. SYSTÈME FIGURÉ DES
PARTIES
DE LA GRAMMAIRE. [table] Il faudroit peut-être,
chaque langue ; & cette distinction se fonde sur sa diversité des
parties
organiques qui paroissent le plus contribuer à la
ns produite par le mouvement subit & instantané de quelqu’une des
parties
mobiles de l’organe de la parole ; & les cons
des mouvemens qui embarrassent en effet l’émission de la voix. Si les
parties
mobiles de l’organe restoient dans l’état où ce m
à distinguer dans l’articulation ; le mouvement instantané de quelque
partie
mobile de l’organe, & l’interception momentan
and on en supprime les consonnes ? La vérité est que le mouvement des
parties
mobiles de l’organe est la cause physique de ce q
n est l’effet immédiat de cette cause physique à l’égard de certaines
parties
mobiles : mais cet effet n’est encore qu’un moyen
nt les sons par le mouvement subit & instantané de quelqu’une des
parties
mobiles de l’organe. Cela posé, il est raisonnabl
les consonnes qui les représentent en autant de classes qu’il y a de
parties
mobiles qui peuvent procurer l’explosion aux sons
tion, qui ne veut dire autre chose que distinction des membres ou des
parties
de la voix. La lettre h, qui est le signe de l’ex
on le témoignage de S. Isidore, on divisa perpendiculairement en deux
parties
égales la lettre H, & l’on prit la premiere m
nsis de praecipuis graecae dictionis idiotismis libellus. L’ordre des
parties
d’oraison est celui que l’auteur a suivi ; &
s oeufs, &c. Voyez le Maître italien de Veneroni, traité des neuf
parties
d’oraison, ch. ij. des noms en o, & la Méthod
-fait la premiere des deux voyelles, ils en supprimoient du-moins une
partie
en la faisant breve. C’est-là la véritable cause
es à décomposer une diphthongue pour en prononcer séparément les deux
parties
élémentaires (Voyez Diérese), ils ont toûjours fa
rivons. Tout est nom dans cette phrase, le tout est plus grand que sa
partie
; il est adjectif dans celle-ci, tout homme est m
Marsais a donné spécialement le nom d’énallage d’après la plus grande
partie
des Grammairiens. Voyez Enallage . Mais ce terme
ge dans ce vers : Et cùm frigida mors animâ seduxerit artus. C’est la
partie
la moins considérable qui est séparée de la princ
omplément, conformément à ce qui est indiqué par le nom même de cette
partie
d’oraison. Ainsi la différence de l’inversion &am
ence que l’usage approuve dans quelques occasions, l’on coupe en deux
parties
un mot composé de deux racines élémentaires, réun
e qu’une figure puisqu’elle consiste dans une véritable confusion des
parties
, & qu’elle n’est propre qu’à jetter de l’obsc
ynchyse ; ou enfin par l’insertion d’un petit sens détaché, entre les
parties
d’un sens principal, & c’est la parenthèse. (
bjonctif ; & ce que les rudimens vulgaires ajoutent à ceci, comme
partie
du mode impératif, y est ajouté faussement &
remiers, dit-il, servent pour les noms des choses qui se prennent par
parties
dans un sens indéfini : le premier est pour les s
éja dit ailleurs. Voyez Impropre , On verra au mot Pronom , que cette
partie
d’oraison détermine les objets dont on parle, par
l’expression d’un jugement accessoire, que l’on n’envisage que comme
partie
de la pensée que l’on veut manifester ; & l’é
ciation détournée qui entre dans le discours par accident & comme
partie
dépendante. Je fais de mon mieux ; dans cette pro
sidération, très solide en soi, l’avoit conduit à définir ainsi cette
partie
d’oraison : verbum est nota rei sub tempore, ibid
sûré que l’infinitif a en soi la nature du verbe, & qu’il est une
partie
essentielle de sa conjugaison, on n’a plus qu’à l
gnification. Ces deux mots expriment également ce qui est ajoûté à la
partie
radicale d’un mot ; mais la terminaison n’est que
écédente. L’inflexion est ce qui peut se trouver dans un mot entre la
partie
radicale & la terminaison. Par exemple am est
entre la partie radicale & la terminaison. Par exemple am est la
partie
radicale de tous les mots qui constituent la conj
ue l’étymologiste peut souvent remarquer avec fruit dans les mots, la
partie
radicale, l’inflexion & la terminaison. La pa
ns les mots, la partie radicale, l’inflexion & la terminaison. La
partie
radicale est le type de l’idée individuelle de la
grand ou petit, soit qu’il commence un sens, soit qu’il ne fasse que
partie
d’un sens commencé. Renonçons au stérile appui D
qui ne sont, pour ainsi dire, ni apperçus, ni connus. Entre les huit
parties
d’oraison, les noms ne sont donc pas la premiere,
& de conformité entre certains sentimens de l’ame & certaines
parties
de l’instrument vocal. La voix de la douleur frap
machine, & qu’elle résulte de la conformation, du moins chez une
partie
considérable du genre humain. … Le langage d’un e
nte est une preuve incontestable que l’interjection est véritablement
partie
de l’oraison, puisqu’elle est l’expression des si
s sont naturelles. Mais si elles sont naturelles, elles ne sont point
parties
de l’oraison, parce que les parties de l’oraison,
t naturelles, elles ne sont point parties de l’oraison, parce que les
parties
de l’oraison, selon Aristote, ne doivent point êt
la raison seule à prononcer définitivement. Il y a donc en effet des
parties
d’oraison de deux especes ; les premieres sont le
ce teint n’est pas votre teint, &c. Ou si vous voulez, toutes ces
parties
sont ressemblantes, mais elles ne sont pas à leur
erre : ce peintre se conformeroit autant à la plus grande liaison des
parties
de l’arbre, que vous à celle des idées. Mais vous
l en rompt l’enchaînement en violant la liaison la plus immédiate des
parties
, incisè ; les mots y sont rapprochés sans affinit
r sa nature, & tout mot qui sert à lier, doit être entre les deux
parties
dont il indique la liaison : c’est une loi dont o
a enseigné auparavant ; c’est ce qu’on appelle encore aujourd’hui les
parties
& la construction de chaque premier vers des
nt, parce que les operations de l’esprit sont indivisibles & sans
parties
, & que toute peinture suppose proportion, &am
amp; sans parties, & que toute peinture suppose proportion, &
parties
par conséquent. C’est donc l’analyse abstraite de
ag. 301.) de l’ordre & de l’arrangement des choses & de leurs
parties
, que dépend l’ordre & l’arrangement des pensé
ont modeles. Et s’il y a plusieurs choses qui se suivent ou plusieurs
parties
d’une même chose, & qu’elles soient autrement
bien connoître l’ordre & l’arrangement des choses & de leurs
parties
, pour bien déterminer celui des pensées, & en
; de sorte qu’il reste toujours, au moins dans certains cas, quelques
parties
de la difficulté ». Vous ajoutez que le nombre &
finitions, aux inflexions, & aux petites regles élémentaires, les
parties
qui composent chaque phrase latine. Fort bien : m
bres en apparence. Que la premiere espece de sentiment ait suggéré la
partie
radicale des mots qui font le corps d’une langue,
d’oeil, la disparité des phrases réunies : c’est la suppression d’une
partie
de la seconde ; suppléez l’ellipse, & tout se
tion de r, elle s’éleve dans ses trémoussemens brusqués, vers la même
partie
du palais. Voilà le fondement des permutations de
xoient le choix entre deux sommes, dont l’une n’étoit que la millieme
partie
de l’autre. (B. E. R. M.) LANGUE Langu
tre ». Malgré la longue explication qu’il donne ensuite des diverses
parties
qui entrent dans cette définition, plutôt que de
sur l’origine & les fondemens de l’inégalité parmi les hommes, I.
partie
, a pris pour base de ses recherches, cette suppos
angues déja formées, & qu’ignorant la division du discours en ses
parties
, ils donnerent d’abord à chaque mot le sens d’une
mparaison de l’invention des seuls substantifs physiques, qui font la
partie
de la langue la plus facile à trouver pour juger
l’ensemble de l’élocution une forme aussi expressive que chacune des
parties
de l’oraison peut l’être en particulier, & po
s égyptiennes. Ce point d’histoire est important : considérons-le par
parties
, & regardons toujours à côté de Moise, si la
que leur fécondité servît à couvrir & à cultiver les différentes
parties
de la terre qu’il avoit soumises au domaine de l’
n & les ordres du Créateur qui les destinoit à peupler toutes les
parties
de la terre ; & que pour les y contraindre Di
urs (Voyez Grammaire & Inversion), vient à bout de distinguer des
parties
dans sa pensée, toute indivisible qu’elle est, en
on particuliere, communiquable à plusieurs natures, dont elle est une
partie
, soit essentielle, soit accidentelle ; & les
rminé ; & les conjonctions, pour désigner la liaison des diverses
parties
du discours. Voyez Mot & toutes les especes.
en convient ; mais toute image sensible suppose dans son original des
parties
, un ordre & une proportion entre ces parties
ans son original des parties, un ordre & une proportion entre ces
parties
: ainsi il n’y a que l’analyse de la pensée qui p
t connu que les Gaulois eux-mêmes ont conquis & habité une grande
partie
de l’Italie, qui en a reçu le nom de Gaule cis-al
ues, qui fonde la différence de ce que les Grammairiens appellent les
parties
d’oraison, le nom, le pronom, l’adjectif, le verb
fique est susceptible, qui sert de fondement à la sous-division d’une
partie
d’oraison en ses especes subalternes ; par exempl
ence de ces idées singulieres que tient celle des individus de chaque
partie
d’oraison, on de chaque espece subalterne de chac
haque partie d’oraison, on de chaque espece subalterne de chacune des
parties
d’oraison : & c’est de la différence des idée
lie par la nature entre certaines affections de l’ame & certaines
parties
organiques de la voix. Voyez Interjection . Ce so
s enfantins déterminés par la mobilité plus ou moins grande de chaque
partie
organique de l’instrument vocal, combinée avec le
evres n’y ont qu’un mouvement foible & lent, qui est cause qu’une
partie
de la matiere du son réflue par le nez. Mama est
incipe que l’on pose ici, il est naturel de conclure que les diverses
parties
de l’organe de la parole ne concourront à la nomi
cture de l’organisation. Ces causes donnent plus de force à certaines
parties
du corps, ou en affoiblissent d’autres. Ces varié
e diphtongues & de lettres mouillées, approche davantage en cette
partie
de la prononciation du grec que du latin. La réun
e gloire pour une autre. J’avoue bien qu’elles en ont tiré une grande
partie
de leurs richesses ; mais je nie qu’elles lui soi
eut suivre ses traces, & qu’on trouve dans son origine une grande
partie
de ses mots actuels, & les principaux points
positives trouvent dans leur génie plus de ressources pour toutes les
parties
de l’art oratoire ; & que celui des langues a
res font la gloire & l’édification de l’Eglise ; mais dans quelle
partie
la littérature cette belle langue n’est-elle pas
ent l’usage. Que ne dit-on plutôt que les lettres sont les images des
parties
les plus petites de la voix, & que c’est pour
; dans ce cas on peut dire que le son est oral ; il peut aussi sortir
partie
par la bouche & partie par le nez, & alor
que le son est oral ; il peut aussi sortir partie par la bouche &
partie
par le nez, & alors on peut dire que le son e
rang : au surplus cet ordre caracterise à merveille la succession des
parties
organiques ; les levres sont extérieures, la lang
e, sont constantes ou variables, selon que le degré de force, dans la
partie
organique qui les produit, est ou n’est pas susce
joint à la prononciation de la lettre changée l’inflexion d’une autre
partie
organique, & c’est la partie organique de la
ttre changée l’inflexion d’une autre partie organique, & c’est la
partie
organique de la lettre substituée. Comment avons-
d’hui en usage, on peut consulter le ch. xx. du liv. I. de la seconde
partie
de la Géographie sacrée de Bochart ; le livre du
PHIE LEXICOGRAPHIE, s. f. (Gramm.) la Grammaire se divise en deux
parties
générales, dont la premiere traite de la parole,
peut nommer Lexicographie & Logographie. La Lexicographie est la
partie
de l’Orthographe qui prescrit les regles convenab
l’étymologie de ce mot, l’objet & la division détaillée de cette
partie
, & sa liaison avec les autres branches du sys
LEXICOLOGIE LEXICOLOGIE, s. f. (Gramm.) l’Orthologie, premiere
partie
de la Grammaire, selon le système adopté dans l’E
étymologie. Voyez à l’article Grammaire , tout ce qui concerne cette
partie
de la science grammaticale. (B. E. R. M.) LIN
s sont les plus nombreuses, parce que la langue est la principale des
parties
organiques, nécessaires à la production de la par
on. L’articulation n le retient en effet, puisqu’elle en repousse une
partie
par le nez, selon la remarque de M. de Dangeau, q
Voici ce qu’un savant missionnaire dit des Iroquois, qui habitent la
partie
septenttionale du continent. Les Iroquois, comme
ection répare la premiere faute. Ecorce, dans le sens propre, est la
partie
extétérieure des arbres & des fruits, c’est l
atin n’avoit avec le grec aucune affinité ? A-t-on donc oublié qu’une
partie
considérable de l’Italie avoit reçû le nom de gra
angue de Rome trouvoit dans celle d’Athènes les radicaux d’une grande
partie
de ses mots, la marche de l’une & de l’autre
n’aura pas le mérite de l’ordre, qui répand la lumiere sur toutes les
parties
, en en fixant la correspondance, qui les fait ret
igion & pour la patrie, puisqu’elles tendront à perfectionner une
partie
nécessaire de l’éducation. Quelques lecteurs déli
déja les notions dont on y fait usage ; qu’il connoît les différentes
parties
de l’oraison, & celles de la proposition ; qu
esse, avec précision, avec choix, & en bon ordre, les notions des
parties
nécessaires de la parole ; ce qui se réduit aux é
x, prononcée ou écrite, les principes fondamentaux qui concernent les
parties
élémentaires & intégrantes des mots, considér
nds par les élémens de l’oraison, ce qu’on en appelle communément les
parties
, ou les différentes especes de mots distinguées p
ici que de faire connoître par des définitions justes chacune de ces
parties
d’oraison, & leurs especes subalternes. Mais
des mots réunis pour l’expression d’une pensée : ce qui comprend les
parties
, les especes & la forme de la proposition. Le
mprend les parties, les especes & la forme de la proposition. Les
parties
, soit logiques, soit grammaticales, sont les suje
ns de la proposition, on les occupe quelque-tems à en reconnoître les
parties
, les especes, & la forme dans quelque livre f
; malgré les expériences réitérées du danger qu’il y a à négliger une
partie
si essentielle ; 2°. celui de préparer les jeunes
construction. Ce livre élémentaire se partage naturellement en trois
parties
analogues & correspondantes à celles du premi
ent, ce qui me paroît très-possible en suivant à-peu près l’ordre des
parties
de l’oraison avec attention aux lois générales de
On y trouve de bonnes observations sur les verbes & sur d’autres
parties
d’oraison ; mais l’auteur, prévenu qu’Horace sans
directement trait à ce méchanisme. La méthode de M. du Marsais a deux
parties
, qu’il appelle la routine & la raison. Par la
ore fait connoître que par instinct. C’est alors qu’a lieu la seconde
partie
de la méthode qu’il nomme la raison, & qui re
ne proposition incidente subordonnée à un antécédent qui n’est qu’une
partie
de la proposition principale. Ainsi, quand on dit
conjugaison joignoient le participe à l’infinitif, comme en étant une
partie
, disoient ailleurs que c’étoit une partie d’orais
finitif, comme en étant une partie, disoient ailleurs que c’étoit une
partie
d’oraison differente de l’adjectif, du verbe, &am
ons simples ou articulés qui constituent les syllabes qui en sont les
parties
intégrantes, & c’est ce qui fait la matiere d
est pas conforme, je l’avoue, aux principes de la Grammaire générale,
partie
II. chap. j. ni à ceux de M. du Marsais, de M. Du
pus & agnus sont au nominatif, parce que chacun d’eux exprime une
partie
grammaticale du sujet logique du verbe venerant,
e ou générique de leur essence. Mais par rapport aux genres, ces deux
parties
d’oraison se séparent & suivent des lois diff
ous le nom de participe réunissent en effet la double nature des deux
parties
d’oraison, n’ont reçu nulle part les inflexions p
la nature totale de cet objet unique exprimé par le concours des deux
parties
d’oraison. Quand je dis, par exemple, loi, je pré
l auroit été aussi bien de faire de ces deux especes d’adjectifs deux
parties
d’oraison différentes, qu’il a été bien de distin
s susceptibles ; mais il est constant aussi qu’il n’y a pas une seule
partie
de la conjugaison du verbe qui n’exprime d’une ma
be, d’entrer nécessairement dans toutes les propositions qui sont les
parties
intégrantes de nos discours. Les propositions son
n, toutes les autres propriétés qui servent de fondement à toutes les
parties
de la conjugaison du verbe, lesquelles, selon une
incipe n’est pas moins évident à l’égard des autres, quand toutes les
parties
des deux propositions liées sont différentes entr
r ce que l’une, qui est incidente, détermine le sens vague de quelque
partie
de l’autre, qui est principale. On voit par ce dé
rard, (tom. II. pag. 257.) « que les conjonctions font proprement la
partie
systématique du discours ; puisque c’est par leur
se sont pas formées ainsi. La premiere a été inspirée, en tout ou en
partie
, aux premiers auteurs du genre humain : & c’e
janella de janua : nos fenêtres étoient autrefois partagées en quatre
parties
avec des croix de pierre ; on les appelloit pour
liere de la langue, pendant ce mouvement, fait refluer par le nez une
partie
de l’air sonore que l’articulation modifie, comme
mode de la signification objective du verbe, devient aussi par-là une
partie
de cette signification. Mais dans les cas où l’us
sont celles qui représenteroient des sons dont l’unisson se feroit en
partie
par l’ouverture de la bouche, & en partie par
l’unisson se feroit en partie par l’ouverture de la bouche, & en
partie
par le canal du nez. Nous n’avons point de caract
e sens, les voyelles nasales sont des sons dont l’émission se fait en
partie
par le canal du nez. M. l’abbé de Dangeau les nom
t les articulations qu’elles représentent, fait passer par le nez une
partie
de l’air sonore qu’elles modifient. Voyez Lettre,
se reconnoître : que par l’usage le plus général de la plus nombreuse
partie
des gens de lettres. Il y aura, si vous voulez, p
contradiction, puisqu’il est évident que ni l’une ni l’autre des deux
parties
de la supposition ne renferme rien de contradicto
rouvé trois membres de division dans un principe qui n’admet que deux
parties
contradictoires ? La vérité est donc qu’on a conf
Dangeau (opusc. pag. 187.), il y en a quelques-uns qui forment leurs
parties
composées… par le moyen du verbe auxiliaire avoir
u, nous avons dormi. Il y a d’autres verbes neutres qui forment leurs
parties
composées par le moyen du verbe auxiliaire être ;
appellatif, une ou plusieurs autres idées, qui devenant avec celle-là
parties
élémentaires d’une nouvelle idée plus complexe, p
ar l’indication de quelque point de vûe qui ne peut convenir qu’à une
partie
des individus. Cette indication peut se faire, 1°
faire, 1°. par un adjectif métaphysique partitif qui désigneroit une
partie
indéterminée des individus, quelques hommes, cert
onviennent, ou à une totalité plus grande dont ceux-ci ne sont qu’une
partie
distinguée par l’addition déterminative. Voyez Ap
rs sur l’origine & les fondemens de l’inégalité parmi les hommes (
partie
prem.) adopte un système tout opposé. « Chaque o
e de tout langage ; les noms & les verbes en sont les principales
parties
. Cependant il me semble que les tentatives de la
que le méchanisme de notre raisonnement, & un artifice pour tirer
partie
de notre mémoire. Mais autre est notre maniere de
ue langue à faire connoître les terminaisons numériques de toutes les
parties
d’oraison déclinables, & non à l’Encyclopédie
les ordinaux y de venoient partitifs selon l’occurrence : la douzieme
partie
(pars duodecima) ἡ μερὶς δυοκαιδεκάτη. 2. Nous n’
n françois, quoiqu’il y en eût plusieurs en latin ; bifariam (en deux
parties
), trifariam (en trois parties), quadrifariam (en
plusieurs en latin ; bifariam (en deux parties), trifariam (en trois
parties
), quadrifariam (en quatre parties), multifariam o
deux parties), trifariam (en trois parties), quadrifariam (en quatre
parties
), multifariam ou plurifariam (en plusieurs partie
ifariam (en quatre parties), multifariam ou plurifariam (en plusieurs
parties
). Les Latins avoient aussi un système d’adverbes
vent varier sans fin. M. l’abbé Girard a jugé à propos d’imaginer une
partie
d’oraison distincte qu’il appelle des nombres : i
qui ne doivent point être semblables au nominatif, ne changent qu’une
partie
de la terminaison génitive : de lum-en vient le g
e proposition incidente subordonnée à un antécédent, qui n’est qu’une
partie
de la proposition principale. Voyez Mode & I
t moins se permettre cette licence, qu’il regardoit cet ouvrage comme
partie
d’un traité complet de Grammaire, où il auroit tr
-être satisfaisante ; savoir que les dents étant la plus immobile des
parties
organiques de la voix, la plus ferme des lettres
e proposition incidente, subordonnée à un antécédent qui n’est qu’une
partie
de la proposition principale. Par-là même, c’est
arie de l’une à l’autre. Le discours est donc plus intellectuel ; ses
parties
sont les mêmes que celles de la pensée, le sujet,
il est du ressort de la Logique. L’oraison est plus matérielle ; ses
parties
sont les différentes especes de mots, l’interject
réposition, l’adverbe, & la conjonction, que l’on nomme aussi les
parties
d’oraison. Voyez Mot . Elle suit les lois de la G
articulation est orale, quand elle ne fait refluer par le nez aucune
partie
de l’air dont elle modifie le son. Tout son qui n
devenir universel, que l’on doit regarder les articulations comme la
partie
essentielle des langues, & les consonnes comm
comme la partie essentielle des langues, & les consonnes comme la
partie
essentielle de leur orthographe. Une articulation
5, 209. Le traité dogmatique de l’orthographe peut se diviser en deux
parties
: la lexicographie, dont l’office est de fixer le
it la chose plus commode, on pourroit diviser ce même traité en trois
parties
: la premiere exposeroit l’usage des caracteres é
age des caracteres élémentaires ou des lettres, tant par rapport à la
partie
principale du matériel des mots, que par rapport
trouvera à l’article Ponctuation tout ce qui peut convenir à cette
partie
. (B. E. R. M.) ORTHOLOGIE ORTHOLOGIE, s.
ectateurs oisifs d’envisager ainsi, doit être exécuté dans toutes ses
parties
par les maîtres ; & les meilleurs sont toujou
; & c’est précisément parce que sa nature tient de celle des deux
parties
d’oraison, qu’on lui a donné le nom de participe.
’est donc encore dans Priscien un nouveau principe de logique, que la
partie
n’est pas de la nature de tout, parce qu’elle ne
e la nature de tout, parce qu’elle ne se subdivise pas dans les mêmes
parties
que le tout. 4°. On doit regarder comme appartena
e qu’aucune autre raison n’a dû faire regarder le participe comme une
partie
d’oraison différente du verbe : outre qu’il en a
& rapport de postériorité, qui caractérise les futurs : ainsi une
partie
quelconque d’un verbe est un présent quand il exp
’on conserve tout entier, mais dont on disseque plus sensiblement les
parties
sous les apparences de la latinité. Il peut donc
ne differe en rien du participe passif neutre, de sorte que ces deux
parties
du verbe ne different en effet que parce que le s
e (Grammaire) PARTICULE, s. f. (Gram.) ce mot est un diminutif de
partie
; & il signifie une petite partie d’un tout.
am.) ce mot est un diminutif de partie ; & il signifie une petite
partie
d’un tout. Les Grammairiens l’ont adopté dans ce
l’ont adopté dans ce sens, pour désigner par un nom unique toutes les
parties
d’oraison indéclinables, les prépositions, les ad
e particule à divers petits mots, quand on ne sait sous quel genre ou
partie
d’oraison on les doit ranger, ou qu’à divers égar
oit ranger, ou qu’à divers égards ils se peuvent ranger sous diverses
parties
d’oraison… 2°. On donne aussi le même nom de part
principalement à de petits mots qui tiennent quelque chose d’une des
parties
d’oraison, & quelque chose d’une autre, comme
re que ce ne seroit pas mal fait de faire de la particule une dixieme
partie
d’oraison ». Il paroît évidemment par cet extra
particule à certains petits mots, quand on ne sait sous quel genre ou
partie
d’oraison on les doit ranger ; c’est constater pa
es de petits mots qui à divers égards peuvent se ranger sous diverses
parties
d’oraison, ou qui sont, dit-on, quelquefois prépo
le sens diminutif que présente ce mot, équivalent au contraire à deux
parties
d’oraison, puisque du veut dire de le, des veut d
les, que ce seroit très-mal fait de faire des particules une nouvelle
partie
d’oraison. On vient de voir que la plûpart de cel
oit avec le gros des grammairiens, ont déja leur place fixée dans les
parties
d’oraison généralement reconnues, & par consé
de désigner par cette dénomination, ne constituent pas pour cela une
partie
d’oraison, c’est-à-dire, une espece particuliere
qu’autant qu’elles sont jointes à d’autres mots dont elles deviennent
parties
, de sorte qu’on ne peut pas même dire d’aucune qu
ion indiquée par l’étymologie même du nom, & dire que ce sont des
parties
élémentaires qui entrent dans la composition de c
uer ; discerner, voir les différences ; disposer, placer les diverses
parties
, &c. Dans diffamer, difficile, difforme, c’es
, qui s’est soustrait au frein ; élargir, c’est séparer davantage les
parties
élémentaires ou les borne, émission, l’action de
usité en Grammaire pour caractériser les adjectifs, qui désignent une
partie
des individus compris dans l’étendue de la signif
auteurs, il ne s’agit pas ici de tous nos anciens auteurs, mais d’une
partie
indéterminée qui est désignée par l’adjectif plus
mes amis ; il s’agit ici, non de la totalité de mes amis, mais d’une
partie
précise déterminée numériquement par l’adjectif c
pas par pudeur, par modération, ou par quelqu’autre motif, soit d’une
partie
d’un texte que l’on cite, ou d’un discours que l’
Ce ne fut que longtems après leur derniere dispersion dans toutes les
parties
de la terre, & lorsque la langue sainte deven
yens de communication que nous avons en main, nous négligeassions une
partie
si importante de la Grammaire. « Il est très-vra
qu’aux besoins de la respiration, le discours devroit se partager en
parties
à-peu-près égales ; & souvent on suspendroit
ctifs, selon qu’il jugeroit convenable d’anatomiser plus ou moins les
parties
du discours : l’un le couperoit par masses énorme
ion proportionnée dans le choix des signes. Sans cette attention, les
parties
subalternes du troisieme ordre, par exemple, sero
rées entre elles par des intervalles égaux à ceux qui distinguent les
parties
du second ordre & du premier ; & cette ég
a prononciation une sorte d’équivoque, puisqu’elle présenteroit comme
parties
également dépendantes d’un même tout, des sens ré
t-il donc penser d’un système de ponctuation qui exigeroit, entre les
parties
subalternes d’un membre de période, des intervall
ipaux de période : il leur arrive quelquefois de se trouver entre les
parties
subalternes d’un membre principal qui n’est disti
qu’importe à l’ensemble de la période l’indépendance intrinseque des
parties
que l’on y réunit ? S’il y faut faire attention p
plus propre à la langue françoise qu’à toute autre langue. C’est une
partie
de l’objet de la Grammaire générale ; & cette
e. C’est une partie de l’objet de la Grammaire générale ; & cette
partie
essentielle de l’Orthographe ne tient de l’usage
pensée. Appliquons cette regle générale aux cas particuliers. 1°. Les
parties
similaires d’une même proposition composée doiven
virgules, pourvû qu’il y en ait plus de deux, & qu’aucune de ces
parties
ne soit soudivisée en d’autres parties subalterne
ut avoir à sa compagnie. Dire pour justifier cette disparate, que les
parties
similaires du premier exemple sont en rapport d’u
exemple sont en rapport d’union, & celles du second en rapport de
partie
intégrante, c’est fonder une différence trop réel
réelle sur une distinction purement nominale, parce que le rapport de
partie
intégrante est un vrai rapport d’union, puisque l
rapport de partie intégrante est un vrai rapport d’union, puisque les
parties
intégrantes ont entr’elles une union nécessaire p
supprimer en vertu de la regle suivante. 2°. Lorsqu’il n’y a que deux
parties
similaires, si elles ne sont que rapprochées sans
approchées sans conjonction, le besoin d’indiquer la diversité de ces
parties
, exige entre deux une virgule dans l’ortographe &
ales. Montesquieu, grandeur & décad. des Rom. ch. iv. Si les deux
parties
similaires sont liées par une conjonction, &
e la respiration, la conjonction suffit pour marquer la diversité des
parties
, & la virgule romproit mal-à-propos l’unité d
t point ou de ce qu’il sait mal. La Bruyere. ch. xj. Mais si les deux
parties
similaires réunies par la conjonction, ont une ce
totale, & conséquemment n’amene jamais le besoin d’en séparer les
parties
par des pauses : ce n’est que quand les parties s
soin d’en séparer les parties par des pauses : ce n’est que quand les
parties
s’alongent assez pour fatiguer l’organe de la pro
fausse, pour être trop générale. 3°. Ce qui vient d’être dit de deux
parties
similaires d’une proposition composée, doit encor
de qui n’en a que deux, lorsque ni l’un ni l’autre n’est subdivisé en
parties
subalternes, dont la distinction exige la virgule
ndent, j’agis sur cela ; je ne crois pas être blâmable. « Toutes les
parties
de cette période, dit le P. Buffier (Gramm. fr. n
a cependant avec les autres une affinité logique, qui les rend toutes
parties
similaires d’un sens unique & principal ; si
si l’on avoit lié scrupuleusement par des conjonctions expresses les
parties
de ces deux ensembles. Ce seroit donc aller direc
ême fonds de pensée sous deux formes différentes ; que la liaison des
parties
n’est que présumée, pour ainsi dire, ou sentie so
ponctuation moins forte dans le second cas, parce que l’affinité des
parties
y est exprimée positivement. J’ose prétendre au c
qu’il est possible, & dont par conséquent on ne doit séparer les
parties
, que par les moindres intervalles possibles dans
placées de maniere qu’elles servent à y distinguer quelques-unes des
parties
constitutives, comme le sujet logique, la totalit
turel d’une proposition simple est troublé par quelque hyperbate ; la
partie
transposée doit être terminée par une virgule, si
lle doit être entre deux virgules, si elle est enclavée dans d’autres
parties
de la proposition. Exemple de la premiere espece
plus développée. Mais une proposition incidente déterminative est une
partie
essentielle du tout logique qu’elle constitue ave
virgule, parce qu’il ne peuvent se lier grammaticalement avec aucune
partie
de la proposition suivante, & qu’ils doivent
ve entre chaque énumératif sans exception ». J’ajouterai que, si les
parties
de l’énumération doivent être séparées par une po
forte doit rester la même avant la conjonction qui amene la derniere
partie
. II. Du point avec une virgule. Lorsque les parti
amene la derniere partie. II. Du point avec une virgule. Lorsque les
parties
principales dans lesquelles une proposition est d
lesquelles une proposition est d’abord partagée, sont soudivisées en
parties
subalternes, les parties subalternes doivent être
on est d’abord partagée, sont soudivisées en parties subalternes, les
parties
subalternes doivent être séparées entre elles par
s doivent être séparées entre elles par une simple virgule, & les
parties
principales par un point & une virgule. On ne
ens total : le point avec une virgule doit distinguer entre elles les
parties
principales ou de la premiere division, & la
de la premiere division, & la simple virgule doit distinguer les
parties
subalternes ou de la soudivision, parce que les p
istinguer les parties subalternes ou de la soudivision, parce que les
parties
subalternes ont une affinité plus intime entre el
parties subalternes ont une affinité plus intime entre elles que les
parties
principales, & qu’elles doivent en conséquenc
dans l’art de ponctuer. Passons aux cas particuliers. 1°. Lorsque les
parties
similaires d’une proposition composée ou les memb
d’une proposition composée ou les membres d’une période, ont d’autres
parties
subalternes distinguées par la virgule, pour quel
par la virgule, pour quelqu’une des raisons énoncées ci-devant ; ces
parties
similaires ou ces membres doivent être séparés le
it teint de notre sang ? II. Catil. trad. par M. l’abbé d’Olivet. Les
parties
similaires distinguées ici par un point & une
econd par un point & une virgule, parce qu’il est divisé en trois
parties
similaires subordonnées à la seule conjonction qu
virgule, parce que le second est séparé par des virgules en diverses
parties
pour différentes raisons ; par un retour de piété
forment le sens total, est divisée, par quelque cause que ce soit, en
parties
subalternes distinguées par des virgules ; il fau
on qui renferment une comparaison ; & par une simple virgule, les
parties
subalternes de ces membres comparatifs. Exemples
visés pour quelque raison que ce puisse être ; il faut distinguer les
parties
subalternes par la virgule, & les articles pr
apodose d’une période, renferme plusieurs propositions soudivisées en
parties
subalternes ; il faudra distinguer ces parties su
sitions soudivisées en parties subalternes ; il faudra distinguer ces
parties
subalternes entr’elles par une virgule, les propo
rotase ou de l’apodose par un point & une virgule, & les deux
parties
principales par les deux points. Exemples : Si v
ponctuation plus forte d’un degré que celle qui auroit distingué les
parties
de l’une ou de l’autre. Si les deux propositions
t pas que ces auteurs ne voyent pas parfaitement toute la liaison des
parties
de leur ouvrage ; mais ou ils ignorent l’usage pr
que l’on appelle communément le substantif & l’adjectif sont des
parties
d’oraison essentiellement différentes. J’ajoute q
ue si la réduction que je propose étoit exécutée, la syntaxe de cette
partie
d’oraison, qui a dans tous les idiomes de grandes
ée dans sa totalité avec une autre proposition qu’elle renferme comme
partie
complétive de son sujet ou de son attribut, &
ectifier. Sanctius, Minerv. I. 2. prétend que le pronom n’est pas une
partie
d’oraison différente du nom ; mais les raisons qu
s que c’est la terre : j’ai donc le droit d’en conclure que c’est une
partie
intégrante d’une autre proposition, ou d’un compl
l’on ne veut indiquer que l’espece, comme on naît pour mourir, ou une
partie
vague des individus de l’espece sans aucune désig
oître ici, pour fixer à chacun sa véritable place dans le système des
parties
de l’oraison. 1. Noms réputés pronoms. Puisque le
; si on veut les regarder comme adjectifs, ils expriment au moins une
partie
invariable du complément, & la partie variabl
ils expriment au moins une partie invariable du complément, & la
partie
variable est sous-entendue. Voyez Relatif . 2°. L
ans des discussions pareilles, pour décider à quelle classe, à quelle
partie
d’oraison, il faut rapporter des mots, dont après
damner, ce sont les Arnauds & les du Marsais qu’il faut prendre à
partie
, ce sont leurs chef-d’oeuvres immortels qu’il fau
la Recherche de la vérité, & le troisieme chapitre de la seconde
partie
de l’art de penser, on n’y trouvera pas autre cho
. I. La matiere grammaticale de la proposition, c’est la totalité des
parties
intégrantes dont elle peut être composée, & q
lyse réduit à deux, savoir le sujet & l’attribut. Le sujet est la
partie
de la proposition qui exprime l’être, dont l’espr
relation à quelque modification ou maniere d’être. L’attribut est la
partie
de la proposition, qui exprime l’existence intell
eurs. Ainsi quand on dit, Dieu est éternel ; Dieu gouverne toutes les
parties
de l’univers ; un homme avare recherche avec avid
’une seule maniere d’être du sujet : est éternel, gouverne toutes les
parties
de l’univers, sont deux attributs qui expriment c
tion composée est celle dont le sujet ou l’attribut, ou même ces deux
parties
sont composées, c’est-à-dire déterminées par diff
que de celles que les Logiciens appellent copulatives, parce que les
parties
composantes y sont liées par une conjonction copu
je n’ai pas prétendu donner l’exclusion aux autres especes, dont les
parties
composantes sont liées par toute autre conjonctio
ion complexe, est celle dont le sujet ou l’attribut, ou même ces deux
parties
, sont complexes. Exemples : la puissance législat
s propositions sont complexes par le sujet : Dieu gouverne toutes les
parties
de l’univers ; César fut le tyran d’une républiqu
t complexes par le sujet & par l’attribut. L’ordre analytique des
parties
essentielles d’une proposition complexe n’est pas
ositions partielles sont incidentes, & celles dont elles sont des
parties
immédiates sont principales, voyez Incidente . Ma
Rheteurs exigent pour une période, l’analyse la réduit enfin aux deux
parties
fondamentales, qui sont le sujet & l’attribut
nons pour exemple cette belle période qui est à la tête de la seconde
partie
du discours de M. l’abbé Colin, couronné par l’ac
doit plus être mise en question, elle a été prouvée dans la premiere
partie
dont elle est la conclusion & le précis : si
onc enfin l’ordre analytique de la période proposée, réduite aux deux
parties
essentielles : ce d’être persuadé de la vérité de
relation des propositions incidentes, & fixer la construction des
parties
logiques & grammaticales qui ne peuvent sans
ons particulieres, & dans l’arrangement respectif des différentes
parties
dont elle est composée. Voyez sur cela l’aticle
orme sous trois principaux aspects. 1°. par rapport à la totalité des
parties
principales & subalternes qui doivent entrer
ar rapport à l’ordre successif que l’analyse assigne à chacune de ces
parties
; 3°. par rapport au sens particulier qui peut dé
ndre de telle ou telle disposition. 1°. Par rapport à la totalité des
parties
principales & subalternes qui doivent entrer
. Par rapport à l’ordre successif que l’analyse assigne à chacune des
parties
de la proposition, la phrase est directe, ou inve
r rapport au sens particulier qui peut dépendre de la disposition des
parties
de la proposition, elle peut être ou simplement e
ne pas confondre l’idée du métaplasme qu’il désigne avec celle de la
partie
d’oraison à laquelle on a donné le nom latin de p
point dans un rapport déterminé de la durée du son, à quelqu’une des
parties
du tems que nous assignons par nos montres, à une
nt, quand on envisage le pronom dont il s’agit en lui-même, comme une
partie
d’oraison particuliere & détachée de toute ph
ue la phrase a d’autant plus de netteté, que le rapport mutuel de ses
parties
est plus marqué ; ainsi il importe à la netteté d
aire à l’augmenter, en fortifiant les traits des rapports mutuels des
parties
de la phrase : il consiste à placer avant le mot
plémens différens d’un même mot ; mais elle doit s’entendre aussi des
parties
intégrantes d’un même complément, réunies par que
tégrantes d’un même complément, réunies par quelque conjonction : les
parties
les plus courtes doivent être les premieres, &
e & par des voies ineffables, en mettant à la tête la plus courte
partie
du complément modificatif : mais si cette même pa
la plus courte partie du complément modificatif : mais si cette même
partie
devenoit plus longue par quelque addition, elle s
véritable estime, & qu’il merite le nom de poete . Cette derniere
partie
intégrante de la totalité du complément objectif
omplémens. Si les divers complémens d’un même mot, ou les différentes
parties
d’un même complément, ont à-peu-près la même éten
ut jamais rompre l’unité d’un complément total, pour jetter entre ses
parties
un autre complément du même mot. La raison de cet
tte simplicité, il est du-moins nécessaire de rendre inséparables les
parties
d’une image dont l’objet original est indivisible
période même dont M. Girard se sert pour faire reconnoître toutes les
parties
de la phrase : Monsieur, quoique le mérite ait or
qu’il prétend être en régime libre ; c’est monsieur dans la premiere
partie
de la période, & chose étrange dans le second
période, & chose étrange dans le second. Toute proposition a deux
parties
, le sujet & l’attribut (voyez Proposition) &a
t jugé indépendant ce dont il ne retrouvoit pas le corelatif dans les
parties
exprimées de la phrase. D’autre part, ces mots mê
c les pronoms rien de commun avec ce qui constitue la nature de cette
partie
d’oraison. Je crois avoir bien établi (article P
pas le sujet de la proposition dans laquelle il entre, mais seulement
partie
de l’attribut, comme lorsque l’on dit, pulvis que
’il fait est que cette même proposition où il est joint, ne fait plus
partie
que de la proposition entiere, Non tibi objicio q
ut est est tale spoliasti hominem, & constitue par conséquent une
partie
de l’incidente. Voyez Incidente . Le même auteur
u récit du fait par une conjonction adversative, de même que les deux
parties
de la remarque pareillement opposées entr’elles :
position incidente est modificative du même antécédent envisagé comme
partie
de la proposition principale : donc il doit être
otalité des individus en qui se trouve cette nature, ou seulement une
partie
indéfinie de ces individus ; ou enfin un ou plusi
st pris dans une acception particuliere, parce qu’on n’indique qu’une
partie
indéfinie de la totalité des individus de l’espec
vidus de l’espece dans l’acception universelle ; à l’indication d’une
partie
indéfinie des individus de l’espece dans l’accept
nt. De-là le signe pour la chose signifiée, la cause pour l’effet, la
partie
pour le tout, l’antécédent pour le conséquent &am
Goths, en 410. Les jambes de la statue étoient de fer, & les piés
partie
de fer & partie de terre ; c’est le siecle de
ambes de la statue étoient de fer, & les piés partie de fer &
partie
de terre ; c’est le siecle de fer de la langue la
tion à quelque modification ou maniere d’être. En Grammaire, c’est la
partie
de la proposition qui exprime ce sujet logique. L
e la répétition du nom qualifié, lequel ne peut être répété que comme
partie
d’une proposition incidente, sans quoi il y auroi
on incidente qui est indépendante dans sa construction, de toutes les
parties
de la principale. « Comme il est ici question du
de la comparaison est simplement indiquée par le génitif qui est une
partie
du second terme de la comparaison ; mais il n’en
ammatical ; c’est assurément dans le même sens qu’il a été donné à la
partie
des verbes qui l’a retenue jusqu’à présent, &
t le signe de l’antériorité, & qui ne se trouve que dans ces deux
parties
du verbe loben (louer) ; ce qui confirme grandeme
ême de la chose. 1°. Le supin est veritablement verbe, & fait une
partie
essentielle de la conjugaison, puisqu’il conserve
arole ne peut en faire la peinture, qu’au moyen de la distinction des
parties
que l’analyse y envisage dans un ordre successif.
SYLLABE, s. f. M. Duclos, dans ses remarques sur le ch. iij. de la I.
partie
de la grammaire générale, distingue la syllabe ph
it le son, par le mouvement subit & instantanée de quelqu’une des
parties
mobiles de l’organe. Voyez H. Il est donc de l’es
t séparée : c’est ainsi que le mot âcre se divise communément en deux
parties
, que l’on appelle aussi syllabes, savoir a-cre, &
ion plus étendue que celle qu’il a dans le sens propre ; je prends la
partie
pour le tout. La synecdoque est donc une espece d
le plus pour le moins, ou au contraire le moins pour le plus. IV. La
partie
pour le tout, & le tout pour la partie. Ainsi
moins pour le plus. IV. La partie pour le tout, & le tout pour la
partie
. Ainsi la tête se prend quelquefois pour tout l’h
ire cent voiles pour cent vaisseaux, on se rendroit ridicule : chaque
partie
ne se prend pas pour le tout, & chaque nom gé
e, suppose que ces objets forment un ensemble, comme le tout & la
partie
; leur union n’est point un simple rapport, elle
n-12. Paris, chez Mouchet 1750.) Tout l’ouvrage est partagé en quatre
parties
; & la troisieme est entierement destinée à f
ment au poëte & à l’orateur, en donnant une grande abondance à la
partie
matérielle de leur style. C’est le superflu qui f
ne pensée : & M. du Marsais (voyez Construction) dit que c’est la
partie
de la grammaire qui donne la connoissance des sig
que doit comprendre en détail un traité de syntaxe ; il faut voir la
partie
que je viens de citer de l’article Grammaire , q
st véritablement du point de l’époque qu’il faut envisager les autres
parties
de la durée successive pour apprécier l’existence
que les dénominations que j’y emploie, en caractérisent très-bien les
parties
, puisqu’elles désignent toutes les idées partiell
pour lui (l’homme) la fin de tout ; le genre humain se divise en deux
parties
, dont l’une se livre impunément au crime, l’autre
se de les rendre intéressans ; c’est en lier plus essentiellement les
parties
en un seul tout, par l’idée de co-existance rendu
ettement dans l’explication qu’il donne ensuite de ses tables. « Les
parties
surcomposées des verbes se trouvent, dit-il, (Opu
sorti avec vous ; Quand nons aurons été sortis, ils auront renoué la
partie
, &c. Ce seroit une faute d’en user autrement,
langues, sauront bien y appliquer mon système, & reconnoître les
parties
qui en auront été adoptées ou rejettées par les d
posant simplement ce qui étoit reçu, & qui faisoit d’ailleurs une
partie
essentielle de son système de Grammaire ; que n’a
omme un signe qui avertit le lecteur de regarder comme unies les deux
parties
du mot séparées par le fait. C’est pourquoi je pr
e sens propre, ne signifie point vaisseaux, les voiles ne sont qu’une
partie
du vaisseau : cependant voiles se dit quelquefois
avoir en quelque sorte condamné les recherches sur l’assortiment des
parties
du système des tropes, ne se sont pourtant pas co
souhaitable, pour l’homme, s’est généralisé [par une synecdoque de la
partie
pour le tout], pour tous les sentimens de regret
u verbe ; c’est en quelque sorte le genre suprème : toutes les autres
parties
d’oraison sont aussi des mots. Ce genre est restr
numériques : ainsi l’idée générique est restrainte par-là aux seules
parties
d’oraison déclinables, qui sont les noms, les pro
mp; d’indéterminatif, voyez Mot ; on pourroit énoncer cette premiere
partie
de la définition, en disant que le verbe est un
ication : voilà le caractere distinctif & incommunicable de cette
partie
d’oraison. De ce que le verbe est un mot qui prés
il entre nécessairement dans chacune des propositions qui en sont les
parties
intégrantes. Voici l’origine de cette prérogative
exprimé que par le verbe. De-là vient le nom emphatique donné à cette
partie
d’oraison. Les Grecs l’appelloient ῥῆμα ; mot qui
r ainsi dire, la pensée dont elle est l’image. Nous donnons à la même
partie
d’oraison le nom de verbe, du latin verbum, qui s
ere de la bouche, que par les mouvemens subits & instantanées des
parties
mobiles de cet organe. C’est Priscien (lib. VIII.
cidens est omnibus partibus orationis. Priscien a raison ; toutes les
parties
d’oraison étant produites par le même méchanisme,
été dans tous les tems réputés appartenir au verbe, & en être des
parties
nécessaires ; que tous les grammairiens les ont d
es nos réflexions ; & qu’une définition qui ne peut concilier des
parties
que la nature elle-même semble avoir liées, doit
ar sa nature ; l’autre, un être indéterminé désigné seulement par une
partie
accidentelle de sa nature ; mais ni l’un ni l’aut
nt le verbe seul paroît susceptible, supposent apparemment dans cette
partie
d’oraison, une idée qui puisse servir de fondemen
e l’existence. Jules-César Scaliger les croyoit si essentiels à cette
partie
d’oraison, qu’illes a pris pour le caractere spéc
ste valeur, avoit donc porté ce savant critique à définir ainsi cette
partie
d’oraison : Verbum est nota rei sub tempore. (ibi
e du verbe, se prête encore avec succès aux divisions reçues de cette
partie
d’oraison ; elle en est le fondement le plus rais
t les sons, par le mouvement subit & instantané de quelqu’une des
parties
mobiles de l’organe. Voyez h . L’écriture qui pei
son variable est nasal, lorsque l’air qui en est la matiere, sort en
partie
par l’ouverture propre de la bouche, & en par
matiere, sort en partie par l’ouverture propre de la bouche, & en
partie
par le nez. Par exemple, a est oral dans pâte &am
n usage, qui est, dit-il (n. 3.), la façon de parler de la plus saine
partie
de la cour, conformément à la façon d’écrire de l
partie de la cour, conformément à la façon d’écrire de la plus saine
partie
des auteurs du tems. « Quelque judicieuse, repr
s qui peuvent s’élever au sujet du langage, quelle sera la plus saine
partie
de la cour & des écrivains du tems ? Certaine
hacun des deux partis ne manquera pas de se donner pour la plus saine
partie
. . . Peut-être feroit-on mieux, ajoûte-t-il (n°.
. de Vaugelas, le terme de plus grand nombre à celui de la plus saine
partie
. Car enfin, là où le plus grand nombre de personn
pourra aisément discerner quel est le [bon] usage. La plus nombreuse
partie
est quelque chose de palpable & de fixe, au l
st quelque chose de palpable & de fixe, au lieu qui la plus saine
partie
peut souvent devenir insensible & arbitraire
il ne corrige qu’à demi la définition de Vaugelas. La plus nombreuse
partie
des écrivains rentre communément dans la classe d
e dirois que le bon usage est la façon de parler de la plus nombreuse
partie
de la cour, conformément à la façon d’écrire de l
tie de la cour, conformément à la façon d’écrire de la plus nombreuse
partie
des auteurs les plus estimés du tems. Ce n’est p
n usage, ni une basse flatterie qui s’en rapporte à la plus nombreuse
partie
de la cour ; c’est la nature même du langage. La
coeur, pour y rendre une nouvelle vigueur, & vivifier encore les
parties
par où il repasse continuellement aux extrémités
gistrats, & de tous les officiers préposés à cet effet, jusqu’aux
parties
les plus éloignées du corps politique, qui de leu
une autorité prépondérante. à la charge également raisonnable que la
partie
la plus nombreuse de la cour l’emporte sur la par
isonnable que la partie la plus nombreuse de la cour l’emporte sur la
partie
la moins nombreuse, en cas de contestation sur la
e, comme je l’ai remarqué plus haut, le commerce de la cour & des
parties
du corps politique soumis à son gouvernement est
’il a décidés par le fait. On dit, par exemple, je vous prends tous a
partie
, & non à parties ; donc par analogie il faut
fait. On dit, par exemple, je vous prends tous a partie , & non à
parties
; donc par analogie il faut dire, je vous prends
parce que témoin dans ce second exemple est un nom abstractif, comme
partie
dans le premier, & la preuve qu’il est abstra
s ou d’un goût contraire, n’est-ce pas dire, je suis de la plus saine
partie
de la cour, ou de la plus saine partie des écriva
dire, je suis de la plus saine partie de la cour, ou de la plus saine
partie
des écrivains ? ce qui est une présomption puéril
çant par une voyelle, ou par une h muette, ou bien dix n’étant qu’une
partie
élémentaire d’un mot numéral composé & se tro
mentaire d’un mot numéral composé & se trouvant suivi d’une autre
partie
de même nature, on prononce X comme un sifflement
répartir sur d’autres endroits de la province. ** Ce n’est la qu’une
partie
des idées qui étoient renfermées dans un article
de l’ordre et de l’originalité On affecte souvent de mépriser cette
partie
du travail qui consiste à disposer ses idées et à
e pas dans la dernière précision, avec tout le détail et les moindres
parties
, aussi nettement que s’il était sur le papier et
iger, il se répétera, ou il se démentira. N’ayant pas rapporté chaque
partie
au tout et aux autres parties, il ne taillera poi
e démentira. N’ayant pas rapporté chaque partie au tout et aux autres
parties
, il ne taillera point chacune de ses pensées à la
méthodiques sans y perdre. L’un est Montaigne : son désordre est une
partie
de son génie : le décousu rend sa fantaisie plus
« Il n’y a un véritable ordre que quand on ne peut en déplacer aucune
partie
sans affaiblir, sans obscurcir, sans déranger le
ombres, dans la composition des plans ; il change les proportions des
parties
, modifie leur valeur : enfin, par un agencement n
elle que M. Spencer a donnée et dont la preuve, comprise cependant en
partie
dans les Principes de Psychologie et les Essais,
ême du sens commun, l’opinion que nous adoptons semble comprendre une
partie
de la vérité. Un roman, pour prendre un cas préci
paraisons et de souvenirs, de discerner dans l’œuvre qu’il étudie les
parties
marquantes, originales, caractéristiques. Il l’a
rès des spectacles analogues réels, mais dépouillés de la plus grande
partie
de leur amertume, et produisant surtout une excit
qu’il fallait expliquer en détail semblent devoir rendre illusoire la
partie
de l’analyse critique que nous étudions maintenan
ux, l’intrigue, les passions, le sujet, etc. L’examen de ces diverses
parties
, en remontant de celles qui sont élémentaires à c
re dépend évidemment dans une certaine mesure, de la manière dont ses
parties
se suivent, de l’imprévu de certaines scènes, de
ment le fond, que par l’unité de caractère qui doit relier toutes les
parties
d’un livre. Les phrases, leur suite et leurs comb
s personnages, ces actes et ces décors. De l’examen de chacune de ces
parties
de l’œuvre, comparées à celles d’autres romans, o
nre didactique, il conviendra de considérer le plus attentivement les
parties
ou l’auteur, quittant la constatation pure et sim
dans leurs caractères, seront d’un grand secours pour constituer une
partie
à peine esquissée de la psychologie : la connaiss
subjectivité dans l’appréciation des œuvres d’art affecte, en majeure
partie
, le degré mais non la nature du sentiment qu’elle
fonce dans le tableau et fait face au côté gauche ; c’est un hôpital,
partie
importante du local dont il est difficile de se f
ur le massif, à quelque hauteur au-dessus de la terrasse qui forme la
partie
antérieure et la plus basse du tableau, un groupe
s du côté de l’homme convulsé, la face tournée vers le ciel, toute la
partie
supérieure de son corps nue, son bras gauche éten
pour mériter un examen détaillé et sévère. J’oubliais de dire que la
partie
la plus enfoncée montre l’intérieur d’une ville e
’étend sur le haut de vos bâtimens est très-vaporeux ; et toute cette
partie
supérieure de votre composition est affaiblie, ét
l’effet d’un local bizarre. J’en suis fâché, Monsieur Doyen, mais la
partie
la plus intéressante de votre composition, cette
e mot sans fin. Pourvu que les chairs ne se dissolvent point, que les
parties
putréfiées ne se séparent point, qu’il ne fourmil
c’est un grand papillotage insupportable. Il n’en est pas ainsi de la
partie
inférieure ou de la terrasse, ni de la partie vap
’en est pas ainsi de la partie inférieure ou de la terrasse, ni de la
partie
vaporeuse et supérieure. Autre défaut, c’est que
ment, c’est un grand point. Laissez-le aller, vous dis-je. Quoique la
partie
supérieure de son tableau n’aille pas de pair ave
t le premier de tous les peintres n’est que le second dans toutes les
parties
de la peinture. Allez voir le tableau de Doyen, l
-y jusqu’à la nuit close, et vous verrez la dégradation de toutes les
parties
suivre exactement la dégradation de la lumière na
oute on peut se demander si ce sentiment d’insatiabilité n’est pas en
partie
d’origine sociale et on peut contester qu’il plai
choses qui nous sont partiellement connues et que notre milieu met en
partie
à notre disposition. Il n’y a pas un abîme entre
ne satisfaction relative à ses prétentions, après les avoir créées en
partie
. En partie seulement. Car la sociabilité n’est pa
tion relative à ses prétentions, après les avoir créées en partie. En
partie
seulement. Car la sociabilité n’est pas tout. Ce
d’insatiabilité se retourne contre la sociabilité dont il procède en
partie
. Car il agit dans l’individu comme un principe d’
ncohérence sentimentale qui caractérise la sensibilité humaine est en
partie
créée ou tout au moins favorisée par l’état de di
fier ni de les unir par les liens du cœur30. La sensibilité reste, en
partie
du moins, réfractaire à la socialisation et il y
, par exemple, ne sont pas de purs égoïstes stirnériens. Ils sont, en
partie
, en communauté de sentiments avec leur groupe et
st de même des succez malheureux. Le joueur de trictrac, qui de vingt
parties
qu’il joüe avec la même personne en gagne dix-neu
eu mieux qu’elle, quoique le caprice des dez puisse faire gagner deux
parties
de suite au joüeur malhabile contre le joueur hab
dépendre presque entierement du hazard, parce qu’ils en dépendent en
partie
, ne vouloit confier les armées et les affaires qu
ir porté son jugement sur tout un objet dont il ne connoissoit qu’une
partie
. Lorsqu’il a eu tort, c’est pour avoir blâmé ou l
s’il prouve bien son systême. Le sentiment ne sçauroit juger de cette
partie
du mérite d’un poëme ou d’un tableau, qu’on peut
de son stile. Mais pour retourner à Lucrece, le public est juge de la
partie
du mérite de son poëme qui est du ressort de la p
écessaire. Buffon a très bien indiqué comment devait se faire cette
partie
si importante du travail de l’écrivain. « Avant,
ujet avait fournies, lorsque sont déterminés ainsi la place de chaque
partie
dans le tout, et son rapport au tout et aux autre
e de chaque partie dans le tout, et son rapport au tout et aux autres
parties
. On se tromperait gravement si l’on pensait qu’il
lables par l’ordre et le tour particulier des pensées. Le rapport des
parties
est changé : ce qui était au premier plan passe a
ret, qu’il glisse au milieu de l’apologie de sa politique, entre deux
parties
très étendues, dont la seconde est mêlée de toute
ôté de toutes les sciences. Il faut distinguer dans chaque science la
partie
technique et spéciale, qui n’a de valeur qu’en ta
hiques. La logique entendue comme l’analyse de la raison n’est qu’une
partie
de la psychologie ; envisagée comme un recueil de
ielle du tout doit faire place à l’examen approfondi et successif des
parties
; mais il faut se garder de croire que là se ferm
primitif, parce qu’elle sera fondée sur la connaissance distincte des
parties
. Quand la dissection aura été poussée jusqu’à ses
ercheur possédât l’ensemble de toute l’ethnographie moderne, dans ses
parties
certaines et hypothétiques, et les connaissances
part Ici serait nécessaire la connaissance de la géographie dans sa
partie
la plus philosophique, et surtout la science la p
8. M. Villemain écrivait à Geoffroy Saint-Hilaire, après avoir lu la
partie
générale de son Cours sur les Mammifères : « L’hi
nt que mieux. Son livre renferme le tableau du commerce de toutes les
parties
du monde ; la définition de toutes les production
cette matiere. Il y a du bon & du médiocre, comme dans les autres
parties
de ce grand Dictionnaire. La Bibliothèque des jeu
, par la Porte, in-8°. oblong 1770. justement estimé. Les Traités des
Parties
doubles, par Barreme, grand in-8°. L’Art de tenir
oubles, par Barreme, grand in-8°. L’Art de tenir les Livres à doubles
parties
, in-fol. par Samuel Ricard : bon ouvrage & pe
à leurs compatriotes. Voilà les motifs qui font proscrire à Platon la
partie
de l’art poëtique qui consiste à peindre et à imi
à peindre et à imiter ; car il consent à garder dans sa république la
partie
de cet art qui enseigne la construction du vers e
enseigne la construction du vers et la composition du métre, c’est la
partie
de l’art qu’on nomme souvent versification, et qu
s reflexions la mecanique de la poësie. Platon vante même assez cette
partie
de l’art poëtique, laquelle sçait rendre un disco
retenir. Le but de Platon est toujours de conserver dans son état les
parties
d’un art qui sont presqu’incapables de nuire, lor
sous le tégument, peut être considéré comme n’étant simplement qu’une
partie
de la surface, plus irritable à la lumière que le
des preuves : chez les rayonnés de l’ordre le plus élevé, chacune des
parties
semblables qui forment le corps, est liée à un ce
à un centre ganglionnaire qui ne paraît servir qu’aux fonctions de la
partie
qui lui est propre ; par suite, les changements p
oduisent chez l’animal se localisent simultanément, dans les diverses
parties
de son corps Chez les mollusques, les actions des
par la seule action des pieds, et la même chose se produira dans les
parties
séparées si le corps est partagé en plusieurs por
du changement nerveux dans quelque grande masse de cellules, dans une
partie
de cette masse, dans une partie de cette partie,
ue grande masse de cellules, dans une partie de cette masse, dans une
partie
de cette partie, etc.. ; de même l’association d’
de cellules, dans une partie de cette masse, dans une partie de cette
partie
, etc.. ; de même l’association d’un rapport avec
ement complète et détaillée. Si maintenant il dirige ses yeux vers la
partie
la plus éloignée de la chambre, et qu’il considèr
a l’illusion dont il parle. Évidemment, nous ne nous rappelons qu’une
partie
des innombrables expériences des positions enviro
possède quelque faculté de sentir ; parce que, en général, toutes les
parties
du corps de chaque animal peuvent le connaître ;
dans le cours de son développement ; qu’apprécient presque toutes les
parties
du corps dans la grande majorité des êtres animés
partiellement indépendant de l’agrégat vif ; 8° Et qui a ses lois en
partie
dérivées de l’autre et en partie particulières à
grégat vif ; 8° Et qui a ses lois en partie dérivées de l’autre et en
partie
particulières à lui-même ; 9° Leurs antécédents p
i est essentiellement psychologique. On pourrait donner ce titre à la
partie
synthétique tout entière : Genèse de la vie psych
’enchaînement et la nouveauté de sa méthode, elle nous paraît une des
parties
les plus originales du livre152. C’est le premier
ien se rappeler maintenant que nous n’avons exposé qu’une très faible
partie
de l’œuvre de notre philosophe, et si l’on a été
psychologie, etc.). Il n’y a pas entre elles d’ordre de filiation. La
partie
de la biologie qui traite de ces questions est la
es caractères absolument propres, lire ce chapitre tout entier. 138.
Partie
II, ch. i. 139. Partie II. ch. 2 à 5. 140. Les
propres, lire ce chapitre tout entier. 138. Partie II, ch. i. 139.
Partie
II. ch. 2 à 5. 140. Les Principes de Psychologie
ble d’en donner une idée complète. Nous ne dirons rien non plus de la
partie
intitulée Synthèse physique, où l’auteur a essayé
e long et intéressant, mais qui n’est guère susceptible d’analyse. 4e
partie
, ch. v. 146. Speciale synthesis, ch. vii, § 208
priori. Car si, d’une part, les objets extérieurs pour la plus grande
partie
sont statiques, persistants, ne manifestent aucun
de philosophique est donc la méthode expérimentale qui comprend trois
parties
: 1. observation, classement et généralisation de
a connaissance universelle. Les sciences ne seraient dès lors que des
parties
, des chapitres de la philosophie. La définition d
chaque science particulière. C’est même là le sujet d’une importante
partie
de la logique qu’on appelle Méthodologie. Tels so
e Socrate le fit. La philosophie est synthétique. Il n’expose pas une
partie
bien distincte de son système dans chaque dialogu
stoïcisme. Voici cette division ; elle comprend comme l’autre, trois
parties
. La physique, science de la nature extérieure ; l
on s’est établie qui a prévalu et qui divise la philosophie en quatre
parties
: Psychologie. Logique. Morale. Métaphysique. Cet
l’adopterons. En effet, la définition de la philosophie comprend deux
parties
: les états de conscience et leurs conditions. Il
lles elle doit se soumettre pour ne pas se tromper forment la seconde
partie
de la philosophie, qu’on appelle la logique. La l
science. Ces conditions font l’objet de la métaphysique. Ces diverses
parties
de la philosophie devront être traitées dans l’or
Des phénomènes qui ont lieu dans l’espace, qui occupent une certaine
partie
de l’étendue, qui peuvent tous se réduire à des m
ous n’avons pas conscience des mouvements qui se produisent entre une
partie
de notre corps blessée et l’âme, nous n’en connai
voulions. Dans les phénomènes de ce genre nous sommes donc en majeure
partie
passifs. À ce deuxième groupe, constitué ainsi bi
c dans le texte], ou intelligence raisonnable, ce qu’il croit être la
partie
immortelle de l’âme de l’homme, dans la tête ; le
l’homme, dans la tête ; le [en grec dans le texte], qui représente en
partie
l’activité les appétits nobles de l’homme, dans l
l fait alors effort pour le rendre semblable à lui-même, en faire une
partie
de son être, se l’assimiler, se l’identifier, se
s inclinations désintéressées. Est-il juste de réunir dans une même
partie
de la psychologie qu’on désigne sous le nom génér
seul et non le moi tout entier éprouve un certain plaisir. Une grande
partie
de notre être est alors disponible, inoccupée. L’
tout entier, à tout absorber. La volonté peut l’arrêter, au moins en
partie
; mais de sa nature, L’émotion est envahissante.
sées. En outre, tandis que les inclinations n’absorbent qu’une faible
partie
du moi, la passion est exclusive et dirige vers s
erchons. La question de l’objectivité de l’idée d’espace n’est qu’une
partie
d’une autre question plus complexe que nous étudi
n. Pour cela, nous nous baserons sur ce principe : Un tout composé de
parties
peut toujours être nombré, ou du moins est conçu
’étendue est continue, et tout ce qui est continu peut être divisé en
parties
semblables entre elles. Il faudra donc pouvoir no
lons faire voir que l’étendue ne peut être divisée ni en un nombre de
parties
fini, ni en un nombre infini. L’étendue ne peut ê
nombre infini. L’étendue ne peut être divisible en un nombre fini de
parties
. En effet, quelque nombre qu’on ait trouvé de ces
bre fini de parties. En effet, quelque nombre qu’on ait trouvé de ces
parties
, chacune d’elles sera étendue et pourra être ains
ndéfiniment divisée. Elle ne peut être divisée en un nombre infini de
parties
. En effet la notion de nombre infini implique con
ant pas réellement, l’étendue ne saurait être divisée en un nombre de
parties
infini. Mais il est une division possible de l’ét
ion possible de l’étendue. C’est la division en un nombre indéfini de
parties
. Mais par suite de la définition de la division e
ndéfini de parties. Mais par suite de la définition de la division en
parties
indéfinies, on ne pourra à aucun moment compter l
ties indéfinies, on ne pourra à aucun moment compter le nombre de ces
parties
. Or, comme nous avons établi que tout ce qui est
rrait être nombré, et d’autre part que l’étendue était un ensemble de
parties
d’étendues, nous avons : D’une part : Il est impo
utre part, ils sont divisibles. C’est qu’alors ils sont divisibles en
parties
inétendues. De plus, le nombre de ces parties ne
ils sont divisibles en parties inétendues. De plus, le nombre de ces
parties
ne sera pas infini : nous avons fait voir que nom
ature des corps, reconnaissent qu’ils sont formés d’un nombre fini de
parties
inétendues, que ces sciences nomment les atomes.
de réalisme. On peut se représenter le monde extérieur comme formé de
parties
d’étendue en mouvement : c’est là le mécanisme ou
nscience, et comment y rentrerait-il une fois sorti ? Supposer qu’une
partie
de l’âme est soustraite au regard de la conscienc
réalité consciente. Par opposition au moi actif, il nomme cette autre
partie
de nous substance. Victor Cousin croyait égalemen
moi est un. Cela veut dire qu’il est indivisible, ne comporte pas de
parties
. C’est ce que nous atteste l’observation immédiat
umise l’expérience. Chacun d’eux devra donc contenir deux termes : la
partie
d’expérience dont on parle, et d’autre part, ses
n la nécessité des principes rationnels. Voyons maintenant la seconde
partie
du raisonnement ; et d’abord nous reconnaîtrons q
héorie de la formation de la raison par voie héréditaire n’est qu’une
partie
de la théorie de l’hérédité, théorie qui n’est el
ue. Ces deux hypothèses sont gratuites. Il est vrai que Kant, dans la
partie
de sa Critique de la raison pure qu’il intitule d
e une de ses antinomies que : Toute substance composée l’est aussi de
parties
simples, et en antithèse : Aucune chose composée
es simples, et en antithèse : Aucune chose composée n’est composée de
parties
simples. Or, nous avons admis, en étudiant la nat
données, mais cet ordre même suppose qu’il y a distinction réelle des
parties
. C’est un ordre esthétique et non mathématique. —
ni — en grandeur — ne l’est pas moins. Un tout composé d’un nombre de
parties
réelles et finies, n’est réel que si le nombre de
mbre de parties réelles et finies, n’est réel que si le nombre de ces
parties
est fini. Le temps et l’espace, la série des caus
nos idées de s’enchaîner. Rien n’est isolé dans le monde, toutes ses
parties
s’attirent ; il en est de même de nos idées. L’af
mène de la mémoire. Pour l’expliquer, nous allons expliquer ces trois
parties
. Prenons d’abord le phénomène de la reproduction.
manifeste sous deux formes différentes ; tantôt elle est locale ; une
partie
seulement de l’esprit est affectée, et c’est la m
s genres. Mais elles conviennent à tous les individus. Elles sont, en
partie
au moins, des genres substantialisés. Platon est
t universel affirme l’attribut de tout, le jugement particulier d’une
partie
du sujet. On a aussi classé les jugements par pos
Kant détournant ce mot de son sens ordinaire lui fait désigner cette
partie
de la philosophie où se trouve étudiée l’expérien
e, cela revient au même : l’ordre n’est qu’un rapport exact entre les
parties
du tout. Ce que nous venons de dire du beau défin
s qu’à nous examiner nous-mêmes pour savoir ce qu’il est, au moins en
partie
. Or, notre nature se compose essentiellement de t
bserver ce qui existe pour l’idéaliser ensuite. Mais c’est la seconde
partie
de cette tâche qui est son œuvre propre et origin
ient de se terminer, conserve nos efforts antérieurs tout au moins en
partie
. C’est grâce à elle que le passé n’est pas perdu
férentes facultés de notre esprit. Sensibilité. Examinons d’abord la
partie
passive de la sensibilité qui est la faculté d’ép
onnaît trop ce plaisir pour le goûter encore. Mais ce n’est là qu’une
partie
de la Sensibilité. Elle a une autre partie, qui e
e. Mais ce n’est là qu’une partie de la Sensibilité. Elle a une autre
partie
, qui est active, et qui se compose des inclinatio
de l’habitude : l’habitude, faculté de conservation, forme une grande
partie
de la première ; aussi l’exercice habituel de la
ons-en une qui s’accorde avec notre analyse. Elle se divisera en deux
parties
: 1) Conservation ; 2) Reproduction de l’acte acc
seraient déterminées. On accorderait ainsi aux adversaires la majeure
partie
de leur thèse. Ce serait admettre que nos actions
ère question. Ce caractère de la logique se manifeste surtout dans la
partie
de cette science qui traite de la méthode : la lo
ique les lois ainsi déterminées. La logique se divise en deux grandes
parties
: Dans la première elle étudie les règles que sui
rriver à la vérité. C’est la logique générale ou formelle. La seconde
partie
cherche comment doivent être combinés les différe
mployés aux différents objets proposés au raisonnement. Cette seconde
partie
est la logique appliquée, particulière, ou Méthod
e suit pas de là que le scepticisme ait gain de cause dans la majeure
partie
des cas ; nous avons établi que le plus souvent,
u’une vérité tronquée ; nous nous tromperions quand, ne voyant qu’une
partie
de la vérité, nous prendrions cette partie pour l
ns quand, ne voyant qu’une partie de la vérité, nous prendrions cette
partie
pour le tout. Voici l’exemple qu’affectionne Spin
même, qui est libre. Or, c’est faux. C’est que nous n’avons vu qu’une
partie
de la vérité. Nous avons oublié que l’homme faisa
u de nous sembler un empire dans un empire, l’homme nous semblera une
partie
du tout. Est-il vrai que l’erreur ne soit qu’une
la vérité, que nous pensions voir le tout quand nous ne voyons que la
partie
. Spinoza ne l’explique pas ; et pourtant c’est là
t ce qu’on dira du terme ; mais comme le terme peut n’exprimer qu’une
partie
de l’idée, on ne pourra pas toujours affirmer du
ion. La proposition particulière est celle où le sujet est pris d’une
partie
seulement de son extension : « Quelques hommes so
ans les prémisses ; elle est vraie, parce qu’elle est identique à une
partie
des prémisses admises comme vraies. Les modes du
c, il faut l’aimer. Dans ce syllogisme, la majeure se divise en deux
parties
: la première est l’antécédent, la deuxième le co
t par rapport au tout ce qu’on avait déjà conclu par rapport à chaque
partie
de la disjonctive. Tel est le raisonnement que fa
la méthode que suit l’esprit quand il décompose un tout donné en ses
parties
. La synthèse est au contraire pour lui la méthode
mathématique comme dans toutes les sciences, il faut distinguer deux
parties
. Les vérités qui constituent les sciences mathéma
démontrées. Toute méthode scientifique devra donc se composer de deux
parties
: l’une relative à l’invention, l’autre à la démo
e à une vérification rigoureuse. Démonstration. L’invention forme la
partie
synthétique des sciences mathématiques. Mais les
sciences physiques La méthode des sciences physiques comprend deux
parties
: 1. Invention de la loi ; 2. Démonstration de la
, ni ne doit être, le dernier mot de la science, mais elle en est une
partie
indispensable. C’est là un fait qu’on n’a pas tou
lassification, satisfaire l’esprit en lui reconstituant en tout ou en
partie
le plan de la nature. Comment se font les classif
actions publiques et privées. Ces inscriptions nous sont parvenues en
partie
et nous font réellement vivre dans le temps dont
e la méditation, du progrès. Cette distinction est fondée au moins en
partie
. Il est certain qu’il y a des signes institués de
Approchez d’un enfant un objet de grandes dimensions, dont certaines
parties
soient mobiles, il pleurera. On voit le fils d’He
utorise de citations des Écritures. Nous ne le suivons pas dans cette
partie
de son argumentation, mais voyons quelle valeur r
ense pas de penser la chose qu’il exprime, mais il nous exempte d’une
partie
des opérations qui seraient nécessaires pour la p
a vie, elle est dite particulière, appliquée ou pratique. La première
partie
est une pure science, la deuxième à la fois une s
le dévouement au nom même de l’intérêt. Comme on le voit, toute cette
partie
de sa morale est animée d’un grand optimisme. Il
de beaucoup d’hommes ; la loi morale d’Adam Smith est donc fondée en
partie
sur des observations exactes. Est-ce à dire que l
e nature, les hommes s’entendent pour s’abandonner réciproquement une
partie
de leurs droits primitifs, pour respecter la vie
ion, et s’attacher à se perfectionner. Or l’homme est composé de deux
parties
, une âme et un corps : la vie de l’âme est si étr
ultés — la parole, la mémoire, l’écriture — sont bien attachées à des
parties
spéciales du cerveau. Mais tous ces faits s’expli
anes en jeu. » Si nous localisons les sensations dans les différentes
parties
de notre corps, c’est que l’âme n’est pas si inse
llier. Mais l’âme et le moi ne sont pas choses identiques. Il y a une
partie
inconsciente du moi, et c’est elle qui préside à
l qu’à cause de la faiblesse de notre intelligence qui ne voit qu’une
partie
des choses. Peut-être si nous pouvions contempler
hysiques 1. La mort consiste dans une dispersion, une division des
parties
; c’est une dissolution de l’être. Cela seul peut
c’est une dissolution de l’être. Cela seul peut donc mourir qui a des
parties
. Mais l’âme est une et simple. Elle ne peut donc
’existence de Dieu tout un système de critique. C’est dans la seconde
partie
de la Logique transcendentale (Dialectique transc
cause que dans l’effet. Ce principe suppose que l’effet n’est qu’une
partie
adéquate de la cause qui s’en est pour ainsi dire
chose doit exister en dehors de phénomènes. Tout ce qui est formé de
parties
est formé d’un nombre fini de parties. Il doit do
mènes. Tout ce qui est formé de parties est formé d’un nombre fini de
parties
. Il doit donc y avoir un nombre fini d’effets et
l’homme soit la fin du monde, que tous les phénomènes, que toutes les
parties
de l’univers, aient uniquement pour raison d’être
L’unité de cette cause se conclut de l’unité des rapports mutuels des
parties
du monde, envisagées comme les différentes pièces
que le hasard seul ait présidé à l’harmonie si complète des diverses
parties
du corps, et quelle probabilité y a-t-il pour qu’
’être organisé qui forme un tout à la fin duquel concourt chacune des
parties
. Ces deux faits que les finalistes croient ne pou
e est nécessairement dans un équilibre instable « car les différentes
parties
supportent des forces différentes ; de ce qu’il y
systématisation, leur subordination à une unité dominante. Toutes les
parties
coopèrent à l’ensemble, et cette subordination se
té, il serait relatif à ce qui le limiterait. 2. Unité. Un composé de
parties
est relatif à ses parties ; il ne peut se concevo
qui le limiterait. 2. Unité. Un composé de parties est relatif à ses
parties
; il ne peut se concevoir en lui-même et par lui-
est plus encore. En effet, tout ce qui est dans l’espace est dans une
partie
de l’espace, et par là même est relatif. 6. Étern
de son auteur, il ne faut donc pas en juger en détail telle ou telle
partie
, mais l’ensemble des choses qui existent. Leibniz
pessimisme ainsi entendu est devenu presque populaire dans une grande
partie
de l’Europe. Les deux grands noms attachés à cett
l’âme du monde. C’est encore une expression juste que animus pour la
partie
douée du sentiment : les Latins disent animo sent
iennent de Dieu. Ils ramenaient toutes les fonctions de l’âme à trois
parties
du corps, la tête, la poitrine, le cœur. À la têt
s, les deux germes, les deux levains des passions : dans l’estomac la
partie
irascible, et la partie concupiscible surtout dan
deux levains des passions : dans l’estomac la partie irascible, et la
partie
concupiscible surtout dans le foie, qui est défin
défini le laboratoire du sang (officina). Les poètes appellent cette
partie
præcordia ; ils attachent au foie de Titan chacun
ouchant les corps nous en enlevons, nous en dérobons toujours quelque
partie
. Pour odorer, ils disaient olfacere, comme si, en
avec la même indépendance d’esprit, que j’ai tâché, dans la première
partie
de cet ouvrage, de peindre les effets des passion
ou telle autre passion qui a décidé de votre existence. Dans les deux
parties
de cet ouvrage, j’ai également cherché à ne me se
e de proportions : l’univers tout entier se peint dans chacune de ses
parties
, et plus il paraît l’œuvre d’une seule idée, plus
sionnés, faisant partie du peuple qui doit être gouverné. La première
partie
est uniquement consacrée aux réflexions sur la de
ée aux réflexions sur la destinée particulière de l’homme. La seconde
partie
doit traiter du sort constitutionnel des nations.
du sort, et surtout de la volonté des autres hommes. Dans la seconde
partie
, je compte examiner les gouvernements anciens et
qui existe dans toute société. Dans la première section de la seconde
partie
, je traiterai des raisons qui se sont opposées à
a nature des constitutions représentatives, qui peuvent concilier une
partie
des avantages regrettés dans les divers gouvernem
essaire des sacrifices de liberté. — J’ai à peine commencé la seconde
partie
politique, dont je ne puis donner une idée par ce
tracé l’esquisse imparfaite de l’ouvrage que je projette. La première
partie
, que j’imprime à présent est fondée sur l’étude d
tions, de disjoindre, de séparer, d’opposer l’un à l’autre toutes les
parties
diverses du corps politique. L’on n’a point, au-d
nt qu’on pourra faire contre le système développé dans cette première
partie
. Rien n’est plus contraire, il est vrai, aux prem
de ce terrible événement : d’ailleurs, j’ai voulu que cette première
partie
fut utile à la seconde, que l’examen des hommes u
; le théâtre s’était mis en grands frais, les décorations avaient en
partie
été commandées à Paris, les principaux rôles étai
. Wagner, I, 219). Oui, il y a progrès dans Lohengrin, mais c’est, en
partie
, le progrès de la vague descendante. La musique e
écédents ; elle est aussi moins originalement puissante que certaines
parties
de ceux-ci, elle n’a pas ces soudaines échappées
onstruction symphonique, Wagner l’a démontré. Le second acte fait, en
partie
, exception ; les thèmes énoncés dans l’ouverture
èbres motets du Maître, écrits le plus souvent pour cinq voix, quatre
parties
servent d’accompagnement à la cinquième, qui est…
violons et aux flûtes, on prend donc la peine de la transcrire ; les
parties
intermédiaires continuent à être négligées, et la
écidément à l’aigu et l’accompagnement au grave. Il suffit de lire la
partie
de violoncelle dans les trios de Haydn pour se re
nique, elle le soutient. Consultez tel ou tel morceau symphonique, la
partie
de contrebasse vous précisera nettement les tonal
une monstrueuse guitare ». L’intérêt ne réside plus seulement dans la
partie
la plus élevée ou dans la plus basse ; à chacune
agner, plus hardi, a essayé de s’y soustraire. Non seulement dans les
parties
instrumentales, mais encore dans les parties voca
. Non seulement dans les parties instrumentales, mais encore dans les
parties
vocales où la sévérité, comme il convient, est pl
. Depuis, le mouvement ne s’est pas ralenti. Par l’enchevêtrement des
parties
, par la complication des dessins, par la variété
cembre, Siegfried n’ayant jamais été joué à Berlin qu’avec les autres
parties
de la Tétralogie, par des troupes de passage. Le
ais nous avons pensé qu’il fallait insister d’abord sur cette seconde
partie
de notre tâche : avant d’entreprendre une propaga
I Dans la première
partie
de cette étude, les conceptions où l’homme témoig
ré par la connaissance et la possession de la vérité. Dans la seconde
partie
de cette étude, poussant plus loin les premières
les choses ne comportent pas une réalité fixe, et, dans la troisième
partie
de cette étude on reprit avec complaisance l’exam
s le moyen de quelque chose. On va montrer au cours de cette dernière
partie
qu’elle est, avec l’ensemble de ces conceptions,
undi 24 juillet 1854. Il est difficile aux historiens qui ont été en
partie
témoins de ce qu’ils racontent, d’observer avec r
tion. » Cela me fit le suivre quelque temps pour apprendre de lui une
partie
de ce que j’en écris. Ici, on voit d’Aubigné se
et le vieux brave qui sait que le jeu des armes égale tout. Dans ces
parties
accessoires de son ouvrage, et où il se permet to
rs désiré de tous ; en vieillesse, aimé de peu ; qui avait de grandes
parties
de roi, souhaité pour l’être avant qu’il le fût,
oses faites quand elles étaient commandées, et n’avait pas cette rare
partie
, principale au roi de Navarre, d’être présent à t
lus incontestables endroits de l’Histoire de d’Aubigné en sa dernière
partie
est la scène de Saint-Cloud et ce qui s’y passe a
fermes, et non sur ces roseaux tremblants à tous vents ; gardez cette
partie
saine à vous, et dedans le reste perdez ce qui ne
et tout à fait à la française ! Quand on voit ces belles et sérieuses
parties
dans l’historien, on se demande pourquoi il n’a p
endue, une matière qui tend sans doute à la spatialité, mais dont les
parties
sont cependant encore à l’état d’implication et d
nant, interrompons l’effort qui pousse dans le présent la plus grande
partie
possible du passé. Si la détente était complète,
e de notre progrès dans la pure durée, plus nous sentons les diverses
parties
de notre être entrer les unes dans les autres et
e la spatialité parfaite consisterait en une parfaite extériorité des
parties
les unes par rapport aux autres, c’est-à-dire en
ère se prête à cette subdivision, et qu’en la supposant morcelable en
parties
extérieures les unes des autres, nous construison
ble de s’y insérer exactement, n’est-elle pas, par là même, connue en
partie
? Et, en approfondissant cette insertion, n’allon
pour la même raison qu’il a cru la matière entièrement développée en
parties
absolument extérieures les unes aux autres : de l
e, nous trouvons que, plus notre attention se fixe sur elle, plus les
parties
que nous disions juxtaposées entrent les unes dan
puisqu’il n’en est qu’un aspect : plus on aperçoit symboliquement de
parties
dans un tout indivisible, plus augmente, nécessai
isible, plus augmente, nécessairement, le nombre des rapports que les
parties
ont entre elles, puisque la même indivision du to
Mais, dans un cas comme dans l’autre, la complication à l’infini des
parties
et leur parfaite coordination entre elles sont cr
les autres concepts dont l’expérience me suggère l’idée ne sont qu’en
partie
reconstituables a priori, la définition en sera d
as de système durable qui ne soit, dans quelques-unes au moins de ses
parties
, vivifié par l’intuition. La dialectique est néce
nouveau contact devient nécessaire ; il faudra défaire la plus grande
partie
de ce qu’on avait fait. En résumé, la dialectique
même ; nous sommes ce courant déjà chargé de matière, c’est-à-dire de
parties
congelées de sa substance qu’il charrie le long d
é comme infiniment lâche en comparaison de la solidarité qui unit les
parties
d’un même monde entre elles. De sorte que ce n’es
. Le premier est une loi quantitative, et par conséquent relative, en
partie
, à nos procédés de mesure. Il dit que, dans un sy
ace abstrait, et par conséquent une extériorité absolue de toutes les
parties
de la matière les unes par rapport aux autres. No
de la concilier avec l’idée d’une influence réciproque de toutes les
parties
de la matière les unes sur les autres, influence
it une tendance à accumuler dans un réservoir, comme font surtout les
parties
vertes des végétaux, en vue d’une dépense instant
perte de quelque chose, une interruption, un déficit. Mais une faible
partie
du jet de vapeur subsiste, non condensée, pendant
ganisation prend pour nos sens et pour notre intelligence la forme de
parties
entièrement extérieures à des parties dans le tem
notre intelligence la forme de parties entièrement extérieures à des
parties
dans le temps et dans l’espace. Non seulement nou
, indéfiniment décomposable. N’apercevant, dans un organisme, que des
parties
extérieures à des parties, l’entendement n’a le c
e. N’apercevant, dans un organisme, que des parties extérieures à des
parties
, l’entendement n’a le choix qu’entre deux système
nt sur l’image supposée fixe de l’action en marche, nous montrait des
parties
infiniment multiples et un ordre infiniment savan
nécessité de compliquer le système nerveux. Chaque complication d’une
partie
quelconque de l’organisme en entraîne d’ailleurs
ntraîne d’ailleurs beaucoup d’autres, parce qu’il faut bien que cette
partie
elle-même vive, tout changement en un point du co
variables ; sa masse entière fait donc ce que la différenciation des
parties
localisera dans un système sensori-moteur chez l’
it que virtuellement multiple, et, en ce sens, l’individuation est en
partie
l’œuvre de la matière, en partie l’effet de ce qu
, en ce sens, l’individuation est en partie l’œuvre de la matière, en
partie
l’effet de ce que la vie porte en elle. C’est ain
, faisait d’autant plus d’effort pour se rétracter sur elle-même. Une
partie
n’est pas plutôt détachée qu’elle tend à se réuni
e le Stentor, et qu’on le coupe en deux moitiés contenant chacune une
partie
du noyau, chacune des deux moitiés régénère un St
hé à se réaliser, et n’y était parvenu qu’en abandonnant en route une
partie
de lui-même. Ces déchets sont représentés par le
e contrarie le mouvement descendant de la matière. Sur la plus grande
partie
de sa surface, à des hauteurs diverses, le couran
ntemporain des règnes de Jean le Bon et de Charles V, et d’une grande
partie
de celui de Charles VI, époque agitée, souvent ma
econd qu’il fit en Angleterre peu de temps après, il portait déjà une
partie
de sa Chronique compilée23 pour l’offrir à sa com
tés qui pouvaient lui servir à dresser son histoire. Dans la première
partie
, il avait eu pour guide, comme il le dit lui-même
nt aux seigneuries. Cette Chronique de Jean le Bel a été, du moins en
partie
, recouvrée et publiée récemment par M. Polain, ar
ndance aisée et naturelle, et il est à croire que, pour les dernières
parties
où la comparaison manque, par exemple pour le cél
ailes. La bataille de Poitiers (1356), par laquelle il débute dans la
partie
originale de son récit, est de tout point, comme
(historia dans le sens d’Hérodote) ; il n’en est pas, pour les bonnes
parties
, de plus facilement et lumineusement exposée et o
aux frais des hauts seigneurs de mon temps, je visitai la plus grande
partie
de la chrétienté… ; et partout où je venois, je f
int une autre version précédente. Il était avide d’écouter toutes les
parties
. Voyez-le courir à Bruges, puis en Zélande, dès q
avait tant à se louer et de laquelle lui venaient pour cette première
partie
la plupart de ses renseignements : et ce faible p
vue générale et confuse du tout ; 2° vue distincte et analytique des
parties
; 3° recomposition synthétique du tout avec la co
recomposition synthétique du tout avec la connaissance que l’on a des
parties
; de même l’esprit humain, dans sa marche, traver
aux objets, reconnaît leur complexité et la nécessité de les étudier
partie
par partie. La pensée primitive n’avait vu qu’un
, reconnaît leur complexité et la nécessité de les étudier partie par
partie
. La pensée primitive n’avait vu qu’un seul monde
tion de s’appuyer préalablement sur l’analyse et la vue distincte des
parties
. Les conditions de la science sont pour l’humanit
ilité, en embrassant le tout, d’avoir simultanément la conscience des
parties
. Rien ne se ressemble plus que le syncrétisme et
résulte de la parfaite synthèse. Ce n’est qu’au second degré que les
parties
commencent à se dessiner avec netteté, et cela, i
division qui domine jusqu’à ce que la synthèse, venant ressaisir ces
parties
isolées, lesquelles ayant vécu à part ont désorma
la vie n’existe qu’à la condition de l’analyse et de l’opposition des
parties
. L’être était comme s’il n’était pas ; car rien n
ivers sera le corps de Dieu, et la vie sera complète ; car toutes les
parties
de ce qui est auront vécu à part et seront mûres
étation. Lorsque les phénomènes, ainsi que cela a lieu dans certaines
parties
des sciences physico-chimiques, surpassent, dans
a science sur les effets de la section des nerfs dans les différentes
parties
du corps, et sur l’influence que cette section ex
sur l’influence que cette section exerce sur la chaleur de ces mêmes
parties
, je trouvai des faits en apparence contradictoire
ner si cette opération amènerait un abaissement de la température des
parties
. J’ai choisi le lapin, chez lequel cette expérien
éralité des lois qui régissent les sciences astronomiques et quelques
parties
des sciences physico-chimiques, voient, dans l’ap
ucre s’oxyde en s’emparant de l’oxygène de l’air, et se transforme en
partie
en un acide brun étudié par M. Peligot, qui lui a
résence des sucres qui sont altérables par les alcalis. Je mélange, à
parties
à peu près égales, ce réactif avec une dissolutio
ans lequel on ajoute de la levure de bière. On le bouche ensuite à sa
partie
supérieure par un bouchon C percé d’un trou dans
leur. De cette façon, si une fermentation s’établit, le gaz emplit la
partie
supérieure du premier tube, chasse le liquide par
. À l’aide du charbon animal, on peut même extraire le sucre dans des
parties
animales semi-solides ou réduites à l’état de bou
lus tard, si nous le trouvons nécessaire. Je me hâte de poursuivre la
partie
vraiment physiologique de notre sujet. La présenc
faction commençante ; cependant il contenait encore du sucre dans les
parties
les moins altérées ; il pesait 1,575 kilo. La qua
e l’excès de plomb par l’hydrogène sulfuré. C’est dans cette dernière
partie
de l’opération que l’hydrogène sulfuré, en forman
rotations. Nous devons donc nécessairement conclure de cette dernière
partie
de l’expérience que la déviation de +0,5°, qui av
l’animal. Je pénètre ainsi d’emblée dans le crâne, en traversant les
parties
molles de la nuque, et en passant entre l’occipit
te et ses ramifications, en même temps qu’il ne peut plus refluer des
parties
supérieures ; ainsi que cela aurait lieu sans cet
vant et du côté de l’appendice xiphoïde, je saisis avec les doigts la
partie
de la veine cave inférieure située dans le thorax
ous faisons bouillir et nous jetons sur un filtre pour en extraire la
partie
liquide décolorée, puis nous essayons ce qui filt
onte vers le cœur où il se mélange avec le sang veineux de toutes les
parties
du corps. Cette expérience suffirait à elle seule
mme vous voyez, passe parfaitement limpide. Nous mettons dans un tube
parties
égales de liquide filtré avec notre réactif cupro
e aussi haut que possible du côté du foie, et nous réséquons toute la
partie
du conduit comprise entre ces deux fils. Cette de
sujet, pour les juger en définitive par des expériences directes. Les
parties
anatomiques constitutives du foie sont, chez l’ho
sang est le plus sucré. Là, il se mélange avec le sang qui arrive des
parties
inférieures du corps, et est conduit dans l’oreil
qui arrive alors dans cet organe déplace probablement la plus grande
partie
du sucre qui s’y était déjà formé, pour le lancer
Cependant, il ne faudrait pas en conclure que le sucre est une de ses
parties
constituantes. En effet, si l’on soumet l’animal
celui qui est à jeun, et nous allons puiser du sang dans différentes
parties
du corps pour vous montrer qu’il n’y a de sucre q
, à cause de la prédominance de la face. Nous isolons cette veine des
parties
voisines au moyen d’une sonde cannelée, et nous p
éduction avec le sang artériel, ni avec le sang veineux provenant des
parties
périphériques du corps. Le sucre qui se trouvait
ine. Nous recueillons les liquides très incolores qui se séparent des
parties
solides contractées et coagulées, nous y ajoutons
tées et coagulées, nous y ajoutons dans les tubes où nous les versons
parties
égales du réactif cupro-potassique, nous faisons
stion, une plus grande proportion de sucre formé dans le foie, qu’une
partie
de ce sucre a été détruite sans doute, mais qu’il
tance fonctionnante du foie ; car à côté de ces lésions on trouve des
parties
saines présentant du sucre dans les proportions o
, qui avait la moitié du foie envahi par un cancer encéphaloïde : les
parties
restées saines fonctionnaient comme d’habitude et
ndant trois jours avec du lard non salé, cru et complétement privé de
parties
musculaires. Chaque jour l’animal mangea bien, et
u’on avait fait bouillir avec de l’eau pour en séparer la plus grande
partie
de la graisse, qui venait surnager à la surface d
on ; par conséquent absence de matière sucrée dans l’estomac. Dans la
partie
inférieure du duodénum, nous trouvons une matière
e très grandes quantités de sucre de canne. J’ai retrouvé ce sucre en
partie
à cet état dans le sang de la veine porte. J’ai é
e, par exemple, entre dans la circulation générale, et est éliminé en
partie
au moins par les urines. Pour cette expérience no
n filtrée est très trouble et comme laiteuse. M. Leconte a traité une
partie
de ce liquide en y ajoutant de l’alcool mêlé de 1
et organe opère pour accomplir sa fonction. Il n’y en a jamais qu’une
partie
d’employée ; le reste passe sans avoir éprouvé d’
des glandes salivaires, du pancréas, de la rate, etc. C’est de cette
partie
mécanique de la circulation du foie que nous allo
ines hépatiques. C’est donc là une voie collatérale, par laquelle une
partie
du sang de la veine porte s’écoule sans avoir tra
atiques distribuant leurs rameaux et leurs ramuscules dans toutes les
parties
du foie, on conçoit que, quand elles viennent à s
dernières au bout de dix heures. Eau et matières solides. — Sur 100
parties
de sang, l’analyse a donné, dans les mêmes observ
n a trouvé, sur trois observations, les résultats suivants : pour 100
parties
du résidu sec du sang, il y avait : Vous voyez
e général ; mais que devient alors cette graisse, dont la plus grande
partie
disparaît dans le foie ? Entrerait-elle dans la c
n n’en trouve plus trace dans le sang des veines hépatiques. Sur 1000
parties
du liquide entier de sang (moins les globules), i
eines sus-hépatiques, mais dans des proportions différentes. Sur 1000
parties
de sang (moins les globules), il y avait en album
s le cœur droit, où il se mélange avec le sang moins chaud venant des
parties
supérieures ; de là il se rend au poumon, qu’il t
; car vous savez que, mis dans l’intestin, ces mêmes sucres sont, en
partie
au moins, transformés en sucres de deuxième espèc
pris cette précaution, il faudrait se garder d’injecter les dernières
parties
du liquide qui pourraient contenir de l’air et ca
dans la deuxième leçon, et en faisant passer les dissolutions sur des
parties
nouvelles, jusqu’à ce qu’elles soient arrivées au
pour être détruite tout entière dans le poumon, il en passe alors une
partie
dans le sang artériel et même dans le système vei
n retirant une grande quantité de sang dans une artère. Les dernières
parties
du sang sorti du vaisseau contiendront beaucoup d
sucré, qui avait été retiré des veines hépatiques, fut divisé en deux
parties
, l’une soumise à un courant d’oxygène, l’autre à
l’acide carbonique, par suite de l’acidité qui pouvait résulter d’une
partie
de ce gaz dissous dans le liquide. Nous dûmes rép
e du foie, puisque les faits que nous vous annoncions se passaient en
partie
avant que cet organe opérât ses fonctions. Nous a
rant cette production du sucre dans le foie avec la disparition d’une
partie
des éléments albuminoïdes du sang qui traverse le
sque dans l’oreillette droite ; le sang qui s’en écoule vient donc en
partie
des veines hépatiques. Et si l’on observe, en out
compliquer l’expérience. Il faut donc éviter de couper cette dernière
partie
de la moelle allongée. C’est pour cela que l’inst
e pointe très fine, qui ne peut pas causer de lésions graves dans les
parties
qu’elle traverse. Quant à la couche moyenne, elle
ar le faisceau innominé du bulbe-et les corps olivaires ; c’est cette
partie
dont la lésion produit plus spécialement l’appari
t exécuter de légers mouvements de latéralité pour faire enfoncer les
parties
tranchantes ; je pénètre dans la cavité du crâne,
et, les couches postérieure et moyenne de la moelle allongée. Mais la
partie
large et tranchante n’aura pas lésé d’une manière
le chyle dans le canal thoracique qui reçoit la lymphe de toutes les
parties
du corps, et au moment où il débouche dans la sou
du sucre dans le canal thoracique, à l’exception de toutes les autres
parties
du système lymphatique auquel il appartient. Nous
nt de départ, et dans laquelle je supposais que l’action excitatrice,
partie
des centres nerveux, descendait par le pneumo-gas
é l’instrument en place ; mais alors ce corps étranger enflammait les
parties
avec lesquelles il se trouvait en contact, il sur
nous faisons une incision longitudinale de 2 à 3 centimètres dans la
partie
moyenne du cou ; on divise ensuite le raphé de sé
que l’on peut exagérer d’une manière durable la circulation dans une
partie
limitée du corps. Cette suractivité, en effet, co
un bistouri y déterminait des contractions très rapides dans toute la
partie
située au-dessous du point touché. Ainsi, la piqû
es contractions violentes. Nous avons voulu vous rendre témoins d’une
partie
de ces phénomènes. Voici un chien sous la peau du
auquel M. Flourens a donné le nom de nœud vital11. La lésion de cette
partie
des centres nerveux réagit en effet sur les phéno
Nous ne pouvons pas admettre cette explication, d’abord parce que la
partie
lésée dans notre opération n’est pas précisément
oie du corps de l’animal qu’on vient de sacrifier, si l’on traite une
partie
de cet organe par les moyens ordinaires pour y re
le liquide du sucre de la première espèce ; mais si on laisse l’autre
partie
du foie sur une assiette, abandonnée à l’air exté
ion du bulbe rachidien ; on l’ouvrit, et l’on constata que toutes les
parties
intérieures du corps avaient une contractilité ex
s un morceau du foie, on le broya avec de l’eau, on le sépara en deux
parties
, l’une que l’on fit cuire, l’autre qu’on abandonn
abandonna à elle-même dans une éprouvette, de façon qu’il y avait une
partie
du liquide rougeâtre qui surnageait et que le tis
la fait, on abandonna ces deux dissolutions précédentes, ainsi que la
partie
du foie qui n’avait pas été employée à une tempér
postérieur. La colonne vertébrale présente ici une inflexion vers la
partie
antérieure, en même temps que les apophyses épine
qu’il est presque impossible de sentir en cet endroit, à travers les
parties
molles, les apophyses épineuses, qui sont très pr
céphalique du grand sympathique. Si, par exemple, on galvanise cette
partie
de la moelle, on voit que la pupille se dilate ab
d’indice de sucre dans son foie. Voici, en effet, la décoction d’une
partie
de cet organe faite au moment même de l’autopsie
ain-marie. On traite alors par l’alcool, qui sépare le résidu en deux
parties
: l’une soluble et l’autre insoluble. On ajoute,
deux parties : l’une soluble et l’autre insoluble. On ajoute, dans la
partie
alcoolique soluble, de l’acide sulfurique jusqu’à
à précipiter toute la chaux, et en se débarrassant de la plus grande
partie
de l’alcool par une distillation au bain-marie, a
on alcoolique doit contenir le lactate de plomb. On sépare la majeure
partie
de l’alcool par la distillation ; on ajoute de l’
ir ajouté de l’eau à la liqueur brunâtre acide, on la divise en trois
parties
: l’une, saturée par le zinc, donne lieu à un dég
i n’a développé aucune matière sucrée, tandis qu’un muscle de la même
partie
du corps d’un fœtus très jeune présente du sucre
ces de Lehmann, dans lesquelles cet habile chimiste a constaté qu’une
partie
des matières albuminoïdes qui se trouvent dans le
le, ce qui est le but final de notre cours. Mais avant de clore cette
partie
purement physiologique, nous avons quelques expér
que l’activité de la circulation ne fût pas augmentée, car toutes les
parties
du système sympathique ne produisent pas cette ex
avons montrée pour la portion cervicale de ce nerf. La section de la
partie
thoracique du grand sympathique ne produit aucune
tique et chez l’individu sain ; c’est au point de vue de la masse des
parties
sécrétantes qu’il y a des différences qui sont ic
ation qui survient après la mort imprègne de cette matière toutes les
parties
du corps. C’est un phénomène purement cadavérique
s’infiltre dans tout l’organisme. Le cervelet, et en particulier les
parties
qui sont voisines du confluent postérieur, du liq
savoir qu’on peut en trouver le point de départ dans une infinité de
parties
de l’organisme, et l’on voit aussi combien un pro
ens des matières albuminoïdes. Chez l’homme sain, il est clair qu’une
partie
seulement des matières albuminoïdes est consommée
il pense que ces deux principes, répandus dans le sang de toutes les
parties
du corps n’ont pas une source précise qui puisse
ésence de cette matière. Il n’y a pas lieu de nous arrêter aux autres
parties
de ce travail, qui reposent toutes sur la même er
riel, tantôt qu’il y en a. Seulement il est évident que les premières
parties
de sang ont été retirées dans des conditions phys
quelques heures complétement la viande, de manière à en dissoudre une
partie
. C’est sur une semblable dissolution que l’expéri
e matière sucrée. J’ai trouvé dans un cas 0,055 gr. de sucre pour 100
parties
du sang. Dans un autre cas, sur un cheval, le sér
vec de la viande, j’ai trouvé les chiffres suivants, calculés sur 100
parties
de sang sec : 0,813 gr. pour 100, 0,799 gr. pour
des encore chez les chiens que chez les chevaux. Il en résulte qu’une
partie
de l’hématine du sang disparaît dans le foie, et
c comment cette matière peut se rencontrer dans le sang de toutes les
parties
du corps. En 181615, M. Magendie a lu à cette Aca
et qui ne renferme pas de sucre chez les carnivores. Ce sang vient en
partie
du sang des artères mésentériques qui passe par l
on du sucre. Le froid la fait disparaître, soit complètement, soit en
partie
, suivant son intensité. La chaleur la rétablit.
évaporée à siccité. Le poids de ce dernier résidu était de 1,07. Une
partie
de cette liqueur, traitée par le réactif de Fromm
trouvé ainsi que le sang sur lequel j’avais opéré contenait, sur 100
parties
, 0,248 de glucose. Ajoutons que le sang des veine
au milieu d’une masse demi-liquide et pultacée qui n’occupait qu’une
partie
du viscère. En procédant à l’analyse comparée de
morragie en ouvrant la veine porte, par exemple le sang de toutes les
parties
du corps se trouvant évacué, le foie comprimé par
s. Ces ligatures sont destinées l’une à arrêter le sang qui vient des
parties
inférieures, l’autre à lier un tube ouvert par le
ssous de la veine, on fait la ligature, et de cette façon le sang des
parties
inférieures ne peut plus remonter dans le cœur. P
férieure, qui est souvent assez laborieuse, on peut faire la première
partie
de l’opération comme nous l’avons décrite, après
nt par l’analyse les résultats suivants : 0,025 gr. de sucre dans 100
parties
de sang de la veine porte ; 0,049 gr. dans le san
seconde fois par l’alcool, 0,60 ; ce qui donne, pour sang frais, 1000
parties
: extrait sec de la deuxième solution alcoolique,
nde fois par l’alcool, 0,70 gr. ; ce qui donne, pour sang frais, 1000
parties
: extrait sec de la seconde solution alcoolique,
de sucre ; ce qui donne, pour sang frais des veines hépatiques, 1000
parties
: sucre, 1,771, et pour extrait alcoolique des ve
sucre, 1,771, et pour extrait alcoolique des veines hépatiques, 1000
parties
: sucre, 123 parties. Le tube ternaire ne donna p
r extrait alcoolique des veines hépatiques, 1000 parties : sucre, 123
parties
. Le tube ternaire ne donna pas de gaz. Quatrième
qui donnèrent : extrait alcoolique, 2,059, soit pour sang frais, 1000
parties
: extrait alcoolique sec, 13,74. Cet extrait ne d
, on obtint 35, 055 ; ce qui donne, pour sang de la veine porte, 1000
parties
: eau, 766,26 ; substances sèches, 233,74. Le san
il laissa, extrait alcoolique sec, 1,096, soit, pour sang frais, 1000
parties
: extrait alcoolique sec, 21,82. Cet extrait, ain
de sucre ; ce qui donne, pour sang frais des veines hépatiques, 1000
parties
: sucre, 1,334, et pour extrait alcoolique des ve
sucre, 1,334, et pour extrait alcoolique des veines hépatiques, 1000
parties
: sucre, 66,2. Les substances restées sur la toil
obtient 14,306 ; ce qui donne, pour sang des veines hépatiques, 1000
parties
: eau, 737,20 ; substances sèches, 272,62. Donc,
s sèches, 272,62. Donc, substances sèches des veines hépatiques, 1000
parties
, contiennent : sucre, 5,11. Cinquième expérience
onne la composition suivante : sang frais des veines hépatiques, 1000
parties
, sucre, 4,452. Tableau résumant les quantités de
, 4,452. Tableau résumant les quantités de sucre contenues dans 1000
parties
de sang frais : En résumé, il résulte des expé
dire pendant un temps qui n’est que la quatrième ou même la cinquième
partie
de ce que j’ai pu atteindre chez mes animaux. Apr
ages agissent et réagissent les unes sur les autres dans toutes leurs
parties
élémentaires selon des lois constantes, que j’app
duisent des ébranlements à la périphérie, et mettent en mouvement les
parties
du corps ou le corps tout entier. J’interroge le
s du système nerveux peuvent provoquer le déplacement du corps ou des
parties
du corps, les mouvements centripètes, ou du moins
sez du même coup le cerveau et l’ébranlement cérébral qui en sont des
parties
. Supposez au contraire que ces deux images, le ce
nt se contredire soi-même, puisque le cerveau, par hypothèse, est une
partie
de cette image. Ni les nerfs ni les centres nerve
néral, mon système nerveux en particulier, engendreraient-ils tout ou
partie
de ma représentation de l’univers ? Dites que mon
t fort peu de chose ; mais ils ont une importance capitale pour cette
partie
de la représentation que j’appelle mon corps, car
contraire en obscurcir certains côtés, le diminuer de la plus grande
partie
de lui-même, de manière que le résidu, au lieu de
leur seule présence puisse équivaloir à la suppression de toutes les
parties
des objets auxquelles leurs fonctions ne sont pas
t à dire qu’elles agissent et réagissent entre elles par toutes leurs
parties
élémentaires, et qu’aucune d’elles, par conséquen
onde matériel, tandis que notre conscience n’en atteint que certaines
parties
par certains côtés. La conscience — dans le cas d
i elle se distingue justement de l’image pure et simple en ce que ses
parties
s’ordonnent par rapport à un centre variable, sa
approchée du réel, c’est que le processus intracérébral, cette minime
partie
de la perception, lui paraît être l’équivalent de
fois qu’un des fils dits sensitifs est coupé, parce qu’alors quelque
partie
de l’objet extérieur devient impuissante à sollic
on optique a eu pour effet essentiel, profond, de supprimer toute une
partie
des sollicitations de mon activité : or cette sol
tion de l’intérieur et de l’extérieur se ramènera ainsi à celle de la
partie
et du tout. Il y a d’abord l’ensemble des images
un des prolongements de l’amibe, ce prolongement se rétracte ; chaque
partie
de la masse protoplasmique est donc également cap
impuissance, parce que l’organisme, en raison de la solidarité de ses
parties
, n’est plus apte qu’aux effets d’ensemble. C’est
ception pure. Nous avons raisonné comme si notre perception était une
partie
des images détachée telle quelle de leur substanc
eux-mêmes. Notre perception, à l’état pur, ferait donc véritablement
partie
des choses. Et la sensation proprement dite, bien
sont des objets, ou, si l’on aime mieux, des images, dont toutes les
parties
agissent et réagissent par des mouvements les une
moins la conclusion qui se dégagera, nous l’espérons, de la dernière
partie
de ce travail : les questions relatives au sujet
e nature, la perception pure étant à la matière dans le rapport de la
partie
au tout. C’est dire que la matière ne saurait exe
positivement que le processus cérébral ne répond qu’à une très faible
partie
de la mémoire, qu’il en est l’effet plus encore q
dépendante s’imposerait. Mais par là même s’éclaircirait peut-être en
partie
la nature de ce qu’on appelle l’esprit, et la pos
en. Aristote. Traduction complète par M. Barthélemy Saint-Hilaire (2e
partie
) La Logique I Le mérite d’Aristote,
s. « Le verbe est un mot qui embrasse l’idée de temps, et dont aucune
partie
isolée n’a de sens par soi-même. » Toute la gram
la fois mutilée et très incomplète. Le temps peut-être lui a fait une
partie
de ces outrages ; mais il semble assez probable a
pensées. Regrettons, si nous le voulons, de n’en avoir qu’une faible
partie
; mais ne réduisons pas encore notre richesse, en
s qui, selon leur espèce, se distribuent séparément dans les diverses
parties
, sous forme de drame et non de récit, et arrivant
uand j’ajoute : séparément selon leur espèce, j’entends que certaines
parties
n’ont que des vers, tandis que les autres se comp
’action que la tragédie imite, une première conséquence, c’est qu’une
partie
de la tragédie est nécessairement la pompe du spe
y a plus dès lors d’unité. « L’Iliade même et l’Odyssée ont certaines
parties
qui, à elles seules, ont un grand développement ;
tragédie, sur la nature de toutes deux, sur leurs formes et sur leurs
parties
, dont nous avons fixé le nombre et les différence
car l’épopée, c’est la nature entière, et la tragédie n’en est qu’une
partie
: prenez les quatre-vingt-dix-sept tragédies d’Es
e connaît l’âme, qui est, selon lui, le principe des êtres animés, la
partie
principale des êtres vivants. Il se propose donc
rivilège de l’entendement, de cet entendement dont Aristote a fait la
partie
supérieure de l’âme ? N’est-ce pas s’exposer à de
air que ne l’est Aristote. Suivant lui, l’étude de l’âme n’est qu’une
partie
de l’histoire naturelle ; elle n’appartient en ri
suis le Socrate qui s’entretient avec vous, et qui ordonne toutes les
parties
de son discours. Il s’imagine toujours que je sui
’examiner soi-même ; c’est de conserver pure de toute souillure cette
partie
de son être qui comprend le juste et l’injuste ;
raient peine à reconnaître sa première forme, parce que les anciennes
parties
de son corps ont été, les unes brisées, les autre
nt simple et parfaitement suivi. Après une vue générale et rapide des
parties
principales de son sujet, Aristote s’enquiert de
ut admirable qu’en est la composition, présente quelques taches : les
parties
diverses de cette construction colossale ne se ti
e lui assurer le caractère qui lui est propre, de l’ordonner dans ses
parties
principales, de décrire exactement quelques-uns d
’un Dieu ! Lamartine. 1. Boileau répare cet oubli, du moins en
partie
, dans sa lettre de réconciliation à Charles Perra
aduction de M. Cousin, p. 315. 8. Barthélemy Saint-Hilaire. 9. 4e
partie
, § 201, éd. de M. Cousin 10. République, liv. X
ce qu’il occupe à tout instant dans l’univers, notre corps marque les
parties
et les aspects de la matière sur lesquels nous au
ser et même de percevoir est déjà malaisé : encore n’est-ce là que la
partie
négative du travail à faire ; et quand on l’a fai
ivisible de durée ? La ligne totale représentant la durée totale, les
parties
de cette ligne doivent correspondre, semble-t-il,
, les parties de cette ligne doivent correspondre, semble-t-il, à des
parties
de la durée, et les points de la ligne à des mome
sant, la durée s’écoulant ; et de ce que cette ligne est divisible en
parties
, et de ce qu’elle se termine par des points, on n
nts, on ne doit conclure ni que la durée correspondante se compose de
parties
séparées ni qu’elle soit limitée par des instants
ent une incontestable réalité. Admettons qu’on ne puisse dire quelles
parties
de l’ensemble se meuvent ; il n’y en a pas moins
e sorte que l’espace deviendrait, dans cette hypothèse, ou composé de
parties
hétérogènes ou fini. Mais à un espace fini nous d
space fini nous donnerions un autre espace pour barrière, et sous des
parties
hétérogènes d’espace nous imaginerions un espace
et, il ne s’agirait plus de savoir comment se produisent, dans telles
parties
déterminées de la matière, des changements de pos
pourquoi l’opération grossière qui consiste à décomposer le corps en
parties
de même nature que lui nous conduit à une impasse
toute contestation, c’est celle d’une action réciproque de toutes les
parties
de la matière les unes sur les autres. Entre les
C’est que l’espace nous est extérieur, par définition ; c’est qu’une
partie
d’espace nous paraît subsister lors même que nous
ivisibilité indéfinie. Mais il en est tout autrement de la durée. Les
parties
de notre durée coïncident avec les moments succes
cte qui la divise ; autant nous y fixons d’instants, autant elle a de
parties
; et si notre conscience ne peut démêler dans un
notre imagination s’efforce de passer outre, de diviser les dernières
parties
à leur tour, et d’activer en quelque sorte la cir
les symboles. On les a d’ailleurs vidées, dans cette opération, d’une
partie
de leur contenu ; après avoir fait converger tous
degré de l’esprit, — l’esprit sans la mémoire, — ferait véritablement
partie
de la matière telle que nous l’entendons. Allons
rois autres. 94. DESCARTES, Principes, II, 29. 95. Principes, IIe
partie
, § 37 et suiv. 96. LEIBNIZ, Specimen dynamicum
réligion, théorique et pratique. Le courant disparaît dans la seconde
partie
du siècle, sous l’éclat de la littérature catholi
par des façons de penser téméraires ; et la religion est pour lui une
partie
du savoir-vivre. Il suffisait des progrès du goût
oit plus engagé dans ses livres de toute sa personne et de toutes les
parties
de son humanité. Blaise Pascal339 est né à Clermo
an d’Étienne Périer, qui ne détache pas nettement la 1re et la 3e des
parties
distinguées par Pascal, mais les indique pourtant
in de Pascal. 1° La religion n’est pas contraire à la raison. — Cette
partie
est une préparation, pour disposer le lecteur à n
es difficultés, des contradictions qui n’y sont pas. Dans la première
partie
, Pascal établit seulement l’impuissance transcend
’une certitude imparfaite dans un domaine restreint ; dans la seconde
partie
, Pascal parle des causes multiples qui, dans son
cal, après cela, a donc bien le droit de s’adresser dans la quatrième
partie
à la raison, et de lui proposer des preuves, qui
à celle que l’homme obtient par ses méthodes humaines dans toutes les
parties
de ses sciences. Les trois premières parties four
humaines dans toutes les parties de ses sciences. Les trois premières
parties
fourniront des probabilités, des présomptions, de
ème, des preuves directes, intrinsèques, rigoureuses. Cette quatrième
partie
est singulièrement faible aujourd’hui : mais il y
ontact immédiat et sans liaison directe avec elle. Pour les 1re et 2e
parties
, l’originalité des raisonnements de Pascal est da
les Pensées, surtout dans celles qui se rapportent aux deux premières
parties
du plan précédemment expliqué. Dans la seconde, l
ur les caractères de la beauté. Je ne puis que renvoyer à toute cette
partie
des Pensées : il n’y a pas un mot qui ne soit à m
ux morceau des Deux Infinis 347, qui me paraît répondre à la première
partie
de son plan. Tout à l’heure, dans la seconde part
dre à la première partie de son plan. Tout à l’heure, dans la seconde
partie
, Pascal, par un scepticisme provisoire, ou mieux
ircissements. [Œuvres complètes, tome XIII] Note A, page 9. [IIIe
partie
, liv. II, chap. 6] On se refuse presque à croi
ruit tout le fruit qu’on s’en était promis. Note B, page 14. [IIIe
partie
, liv. II, chap. 6] Outre les projets de réform
l laissât quelque chose à faire à l’avenir. Note C, page 37. [IIIe
partie
, liv. III, chap. 4] Je répondrai par un seul f
uelquefois était son seul titre à célébrité. Note D page 50. [IIIe
partie
, liv. III, chap. 8] L’auteur du Génie de l’hom
dre du genre humain ! (Note de l’Éditeur.) Note E, page 67. [IIIe
partie
, liv. IV, chap. 2] On jugera de l’éloquence de
le ne songeait qu’à gagner et à attendrir. Note F, page 76. [IIIe
partie
, liv. IV, chap. 3] « C’est au grand talent, d
Dieu seul est grand. (Note de l’Éditeur.) Note G, page 89. [IIIe
partie
, liv. IV, chap. 5] LICHTENSTEIN. Les Encyclopé
i des philosophes. (Œuvres de Frédéric II.) Note H, page 92. [IIIe
partie
, liv. IV, chap. 5] PORTRAITS DE J.-J. ROUSSEA
mit au premier rang le titre d’incrédule. Note I, page 93. [IIIe
partie
, liv. IV, chap. 5] Voici ce que Montesquieu éc
Œuvres de Montesquieu, tom. vii, pag. 233.) Note K, page 96. [IIIe
partie
, liv. IV, chap. 5] Voltaire, que j’aime à cite
té. » (Corresp. gén., tom. III, pag. 53.) Note L, page 101. [IIIe
partie
, liv. V, chap. 2] M. l’abbé Fleury, dans ses M
e, comme il était aux maisons antiques. » Note M, page 115. [IIIe
partie
, liv. V, chap. 4] On trouve dans un poème de M
lheur l’espérance. » (Note de l’Éditeur.) Note N, page 119. [IIIe
partie
, liv. V, chap. 4] Voici encore un fragment poé
26. Oraison funèbre du grand Condé. 227. Disc. sur l’Hist. univ., 3e
partie
, intitulée les Empires.
de notre corps : l’univers nous paraît former un seul tout ; et si la
partie
qui est autour de nous dure à notre manière, il d
en être ainsi des deux expériences. Mais les deux expériences ont une
partie
commune. Par ce trait d’union, alors, elles se re
rolonger sans fin du passé à l’avenir : il est tout d’une pièce ; les
parties
que nous y distinguons sont simplement celles d’u
gnées l’une de l’autre. De celle-là nous avons parlé dans la première
partie
de notre travail ; nous nous occuperons spécialem
it de même dans un univers rapetissé à volonté si les relations entre
parties
étaient conservées. Mais comment alors empêcher q
us mesurerons tout intervalle de temps. Comme nous l’aurons divisé en
parties
correspondant à des espaces égaux et qui sont éga
ligne ; à chacune des divisions de cette ligne correspondrait la même
partie
de l’univers déroulé qui y correspondait tout à l
ectoire du mouvement, qui est pur espace ; divisant la trajectoire en
parties
égales, elle a passé des points de division de ce
ous en connaissons. Or, impossible d’en spatialiser par la pensée une
partie
seulement : l’acte, une fois commencé, par lequel
e une certaine hésitation ou indétermination inhérente à une certaine
partie
des choses qui tient suspendue à elle tout le res
te, enfin s’il y a évolution créatrice, je comprends très bien que la
partie
déjà déroulée du temps apparaisse comme juxtaposi
ace et non plus comme succession pure ; je conçois aussi que toute la
partie
de l’univers qui est mathématiquement liée au pré
ratique : c’est aux mœurs, aux sentiments, aux aspirations des hautes
parties
de la société féodale que répondent les œuvres ma
s laissé d’exercer une réelle influence sur la formation de certaines
parties
du roman. Car nombre de ces apologues, émanant de
à la tradition orale du peuple, et c’est de là que vient la meilleure
partie
des poèmes de Renart. C’étaient des contes, sans
grouper dans un certain ordre. Pendant la fin du xiie siècle, et une
partie
du xiiie , l’épopée de Renart fut remaniée, ampli
aiment un chef-d’œuvre, à quelques grossièretés près, et telle de ses
parties
, comme l’arrivée de dame Pinte demandant justice
s au passage : voici la cour du roi, la guerre féodale naissant d’une
partie
d’échecs, où quelque preux se querelle avec le fi
t que la joie de voir et de faire triompher l’esprit anime toutes les
parties
de l’ouvrage. L’esprit sous toutes ses formes, da
décents, comme le Vilain Mire, qui est purement comique, ou la Housse
partie
, qui donne à la faiblesse des parents une sage in
el en est le prix et la saveur ? Nous apprenons comment se jouait une
partie
de dés au xiiie siècle, de quels cris de joie ou
avec l’absence ou la vulgarité de l’idéal moral, constitue en majeure
partie
le réalisme des Fabliaux. Ajoutez encore ce trait
le conteur ; son récit, un peu prolixe et languissant dans la seconde
partie
, est dans tout le début d’une vivacité singulière
e soient les principes exposés par M. Claude Bernard dans la première
partie
de son livre, ce n’est pas là cependant qu’est le
cet ouvrage : cet intérêt gît surtout dans la seconde et la troisième
partie
. C’est là qu’il est neuf, fort et particulièremen
corps vivants comme sur les corps bruts, c’est-à-dire en séparer les
parties
, en modifier les rapports, en troubler l’économie
a vie. Il s’exprimait ainsi dans une lettre à Mertroud : « Toutes les
parties
d’un corps vivant sont liées, elles ne peuvent ag
ié à tout dans l’organisme, il n’est pas possible de bien étudier les
parties
en dehors du tout et de leurs relations naturelle
de Cuvier, l’harmonie et la solidarité qui existent entre toutes les
parties
du corps vivant. Cette harmonie incontestable ser
l’expérience. En définitive, même dans une machine brûle, toutes les
parties
ont un rôle à remplir dans l’ensemble, et se corr
on arrive au même résultat en divisant les nerfs qui se rendent à une
partie
tout en conservant les vaisseaux sanguins. A l’ai
raient d’être appelées libres. Le mot de liberté n’exprimerait que la
partie
inconnue des causes de nos actions : à mesure que
ement l’homme est en rapport avec la nature, mais il est lui-même une
partie
de la nature ; la moitié de son être, sa partie c
s il est lui-même une partie de la nature ; la moitié de son être, sa
partie
corporelle, appartient à la nature. Bien plus, la
angue ; et la nôtre était barbare. Née au dixième siècle, composée en
partie
de la langue romaine, qui était le reste du langa
on peut-être que notre langue, qui, dans son origine, a été formée en
partie
des débris de la langue romaine, a cependant, pou
çaise se formait, s’enrichissait, s’épurait par degrés. Bientôt cette
partie
des hommes qui pense, tandis que l’autre se déchi
la réserve et de la noblesse. Dans la suite, elle devait réparer une
partie
de ces pertes, par les ouvrages des grands écriva
tablit une espèce de balancement et d’équilibre entre les différentes
parties
du discours, qui les lie ou les enchaîne, les sus
ait corrompu notre goût : le désir d’imiter ces mêmes peuples dans la
partie
technique, et pour ainsi dire le mécanisme de leu
ntaient à travers la marche du discours pour en rapprocher toutes les
parties
et en faire la liaison et le ciment, rappelaient
siècles, les obstacles que la langue française eut à vaincre, et une
partie
des progrès qu’elle eut à faire. Mais pour créer
et trouver un asile ; mais vous, citoyens romains, vous maîtres d’une
partie
du monde, vous n’avez pas un toit où vous puissie
; souvent il s’agissait de juger des hommes qui avaient gouverné une
partie
du monde : des députés de l’Afrique et de l’Asie
s sa faiblesse même, jointe à une force étrangère, s’élève et devient
partie
de la force générale. Tel fut l’état de la nation
tous leurs grands poèmes, sans en excepter l’Arioste et le Tasse, la
partie
des descriptions et des tableaux est en général t
des descriptions et des tableaux est en général très supérieure à la
partie
des sentiments. Enfin, dans leur conversation mêm
et n’en produit pas de nouveaux. Il en est de même de la plus grande
partie
de l’Italie, qui, soumise à des dominations étran
n et la gloire de Michel-Ange vers les siècles à venir. Telle fut une
partie
de cette décoration exécutée par les plus habiles
ne magnificence digne de cet appareil. On était accouru de toutes les
parties
de l’Italie : c’était la fête des talents et des
archi : il avait la plus grande réputation, et l’on regarda comme une
partie
considérable de la gloire de Michel-Ange d’avoir
suspect, et ceux qui l’exercent, perdent, par leur pouvoir même, une
partie
des hommages qu’auraient mérités, ou des talents,
r souffert, pour la cause des rois, la prison, l’exil, la perte d’une
partie
de ses biens, et sauvé à peine sa tête de l’échaf
ialisme avait commencé. Évolution nécessaire ! Ne fallait-il pas que,
partie
du même point, en lui tournant le dos, la philoso
il soit en lui troublé et confus. Il y a enfin, dans son travail, des
parties
d’études sensées et réussies. Et cependant, malgr
ise, et, tout ensemble, cet esclavage du système, ont communiqué à la
partie
qui traite du sort de l’enfant et de la femme une
z a tué avec les conclusions insuffisantes de sa science la meilleure
partie
de son esprit et de son livre. L’économiste sembl
a vertu de l’homme, aussi bien que la pauvreté à son désir ! La seule
partie
de l’ouvrage de Jobez que nous devons arracher à
le livre peut être frappé par une critique sévère, c’est la dernière
partie
, relative à l’agriculture. Ici, l’esprit pratique
t expédient ne relève que de l’expérience. Mais nous disons que cette
partie
de son travail mérite de fixer l’attention des ho
ir que d’une flèche spiritualiste. Il en est une qui l’a transpercé4,
partie
de l’arc d’un Hercule. Seulement, il y a des homm
e, de M. Funck Brentano, avec lequel il faut compter. Son livre a une
partie
qui sent son professeur, et ce n’est pas cette od
et ce n’est pas cette odeur-là que je mettrais en flacon : — c’est la
partie
des sophistes grecs. Mais il en a une autre (héla
e j’aime mieux respirer, car elle sent son homme, d’esprit : c’est la
partie
des sophistes contemporains, qui, malheureusement
t qu’un. On voit tout de suite le manque de proportion entre ces deux
parties
. Le livre boite… et de la jambe qu’on voudrait la
III Ce qui l’est le moins, je l’ai déjà donne à entendre, c’est la
partie
du livre consacrée aux sophistes grecs, et cela d
xviiie siècle et une de ses variétés… M. Funck Brentano les prend à
partie
dans une discussion irrésistible, et atteint à tr
M. de Latena, conseiller-maître à la Cour des comptes ; en voici une
partie
, jusqu’à l’endroit où je ne me suis pas fait comp
à y établir un ordre général qui maintient la liaison des principales
parties
; il a fait et voulu faire un ouvraget ; il a eu
aget ; il a eu tout le respect du sujet qu’il traitait. Les premières
parties
de son livre sont entièrement philosophiques et m
n immense danger, et le lendemain d’une excessive curiosité punie. La
partie
de l’ouvrage dans laquelle M. de Latena se montre
er un moment jusqu’à Marivaux, ou même à passer jusqu’à Chamfort. Les
parties
trop subtiles qui se trouvent dans les Pensées de
sentielles de leurs organisations. Une union de cette sorte offre une
partie
des charmes de l’amour, sans en avoir les agitati
ne cesse guère d’être attentive et empressée ; le sexe y conserve une
partie
de son influence… » La douceur de l’âge moins ar
vengeance, il arrive même à une certaine énergie et concision. Cette
partie
de son ouvrage m’a rappelé d’anciens livres oubli
la suite et la fin de cet article que M. Sainte-Beuve n’a donné qu’en
partie
dans l’appendice du tome IX des Causeries du Lund
u-dessous des autres hommes. Voy. Manuscrit, Erudition, Texte Cette
partie
de la critique comprendroit encore la vérificatio
; dont l’impiété se joüe : tel seroit l’emploi du critique dans cette
partie
. Plusieurs l’ont entrepris avec autant de succès
equel un sçavant discute l’histoire. Combien un seul trait dans cette
partie
ne demande-t-il pas souvent, pour être éclaici, d
t, si l’auteur la laissoit où il l’auroit prise. Tels sont dans cette
partie
l’objet & le fruit de la critique. Combien ce
istance qu’à mesure qu’il est pressé. L’emploi du critique dans cette
partie
seroit donc de ramener les idées aux choses, la M
ici seulement comme littérateur) n’avoit besoin pour exceller dans sa
partie
, que de plus d’indépendance, de tranquillité, &am
ce qui manque à l’autre, & se former un ensemble des différentes
parties
où ils se surpassent mutuellement. Or, sans parle
ose-t-elle pas d’épreuves & d’observations ? que d’études pour la
partie
du dessein ! Qu’on demande à nos prétendus connoi
re, aux lumieres profondes que nous avons exigées du critique pour la
partie
de l’érudition, se joint pour la partie purement
s exigées du critique pour la partie de l’érudition, se joint pour la
partie
purement littéraire, l’étude moins étendue, mais
: que seroit-ce si le même homme prétendoit embrasser en même tems la
partie
de l’Eloquence & celle de la Morale ? Ces deu
e l’humanité : tel seroit l’emploi d’un critique supérieur dans cette
partie
; emploi difficile & important, sur-tout dans
eu leurs apologistes & leurs censeurs. Par-là l’Histoire, dans sa
partie
morale, est une espece de labyrinthe où l’opinion
que république comme citoyenne de la terre, & attachée aux autres
parties
de ce grand corps politique, par les mêmes devoir
cause. Montagne moins irrésolu, eût été un excellent critique dans la
partie
morale de l’Histoire : mais peu ferme dans ses pr
rit des lois est le critique dont l’Histoire auroit besoin dans cette
partie
: nous le citons quoique vivant ; car il est trop
étude pour être en état de le juger ! Ici les regles de l’art sont la
partie
la moins importante : c’est à la vérité de l’expr
le intellectuel, digne production du génie. C’est sur-tout dans cette
partie
que se ressemblent l’orateur, le poëte, le musici
uel un critique supérieur rapporte la tragédie, doit s’appliquer à la
partie
dramatique de l’épopée : dès que le poëte épique
iques supérieurs, & moins encore qui ayent excellé en différentes
parties
. On n’entreprend point d’en marquer les classes.
es, c’est que Boileau, à qui la versification & la langue sont en
partie
redevables de leur pureté, Boileau, l’un des homm
mment Boileau qui a si peu imaginé, auroit-il été un bon juge dans la
partie
de l’imagination ? Comment auroit-il été un vrai
de l’imagination ? Comment auroit-il été un vrai connoisseur dans la
partie
du pathétique, lui à qui il n’est jamais échappé
angues, tout est changé au point que l’exemple des anciens dans cette
partie
n’est plus d’aucune autorité pour nous. A l’égard
ns de l’antiquité. Celui qui se distingue le plus aujourd’hui dans la
partie
de l’action théatrale, & qui soûtient le mieu
aut avoüer aussi que la plûpart de nos acteurs ont trop négligé cette
partie
, l’une des plus essentielles de la déclamation. N
. Il ne nous reste plus qu’à dire un mot des repos de la déclamation,
partie
bien importante & bien négligée. Nous avons d
ont plus hardis, & par conséquent plus grands que nous dans cette
partie
. On voit sur le théatre de Londres Barnweld charg
eurs embrassemens, sont l’expression de leur douleur. Mais dans cette
partie
, comme dans toutes les autres, pour encourager &a
; à l’énergie de l’action ; mais nous nous proposons de toucher cette
partie
avec celle des décorations. Voyez Décoration. Cet
usement observées qu’à celui de l’opera, les a trop négligées dans la
partie
des décorations. Le poëte a beau vouloir transpor
n ; le peu de ressource qu’a le poëte du côté du spectacle, en est en
partie
la cause. La parole est souvent une expression fo
le, Racine & leurs rivaux n’attirent pas assez le vulgaire, cette
partie
si nombreuse du public, pour fournir à leurs acte
les publics comme une branche de la police & du commerce. Mais la
partie
des décorations qui dépend des acteurs eux-mêmes,
s de définitions oratoires. La premiere se fait par l’énumération des
parties
d’une chose ; comme lorsqu’on dit, que l’éloquenc
teur prend ses dimensions dans un bloc pour en former les différentes
parties
d’une figure ou d’un groupe, sans altérer les pro
Nec cytiso saturantur apes, nec fronde capelloe. Le dialogue est une
partie
essentielle de l’églogue : mais comme il a les mê
ir l’ame & remuer le sentiment : or c’est le sentiment qui est la
partie
foible de ces élégies, tandis qu’il est la partie
entiment qui est la partie foible de ces élégies, tandis qu’il est la
partie
dominante des héroïdes. Pourquoi ? parce que la c
is au-dessous de lui par ses épîtres. Dans l’épitre philosophique, la
partie
dominante doit être la justesse & la profonde
s point ici de l’origine & des progrès de ce genre de poésie : la
partie
historique en a été développée par l’auteur de la
os, & tant d’autres incidens pleins de noblesse & d’intérêts,
parties
essentielles de son action, l’auroient suffisamme
ne conclusion qui ne laisse rien à desirer ; mais le poëte dans cette
partie
a deux excès à éviter ; savoir, de trop étendre,
élégance, l’harmonie & le coloris. Du plan. L’exposition a trois
parties
, le début, l’invocation, & l’avant-scene. Le
us développé, il doit être noble & simple. L’invocation n’est une
partie
essentielle de l’épopée, qu’en supposant que le p
emens, & la fable se nomme simple ; ou il laisse derriere lui une
partie
de l’action pour se replier sur le passé, & l
ement suivi, un poëme épique admirable. L’intrigue a été jusqu’ici la
partie
la plus négligée du poëme épique, tandis que dans
ours comme ils avoient fait quelquefois, & c’est sur-tout dans la
partie
de l’intrigue que Corneille & Racine se sont
à juger s’il est pratiquable. La tragédie dès son origine a eu trois
parties
, la scene, le récit, & le choeur ; & de-l
recte ; & le moyen de rapprocher l’épopée de la tragédie, dans la
partie
qui les distingue le plus. Mais, dira-t-on, si le
’est la nature elle-même ; & le seul moyen de l’imiter dans cette
partie
, c’est de se pénétrer comme lui. La scene est la
outes ses forces lorsqu’il en a formé le plan ; s’il y eût déployé la
partie
dominante de son talent & de son génie, le pa
te, mais sur-tout par le manque d’ordonnance & d’ensemble dans la
partie
dramatique. L’entretien de Caton avec Brutus, le
oint sur les caracteres, dans le dessein de traiter en son lieu cette
partie
du poëme dramatique (voyez Tragédie ) ; mais nous
s un même point de vûe. Le style de la tragédie est commun à toute la
partie
dramatique de l’épopée. Voyez Tragédie. Mais la
un à toute la partie dramatique de l’épopée. Voyez Tragédie. Mais la
partie
épique permet, exige même des peintures plus fréq
un goût délicat & sûr pour choisir & les tableaux, & les
parties
de chaque tableau qui sont dignes du poëme héroïq
qui sont dignes du poëme héroïque. La chaleur des descriptions est la
partie
brillante & peut-être inimitable d’Homere ; c
peu connu, ou bien négligé jusqu’à nous. Il nous reste à examiner la
partie
des images ; mais comme elles sont communes à tou
est le plus généralement connu & le plus legerement critiqué. La
partie
du sentiment est du ressort de toute personne bie
e mieux à faire que de rendre compte de l’impression générale pour la
partie
du sentiment. Il n’en est pas ainsi de la partie
ion générale pour la partie du sentiment. Il n’en est pas ainsi de la
partie
de l’art ; peu la connoissent, & tous en déci
ès des Lettres, du goût & de la raison. Nous l’avons déjà dit, la
partie
du sentiment a beaucoup de connoisseurs, la parti
avons déjà dit, la partie du sentiment a beaucoup de connoisseurs, la
partie
de l’art en a peu, la partie de l’esprit en a tro
sentiment a beaucoup de connoisseurs, la partie de l’art en a peu, la
partie
de l’esprit en a trop. Nous entendons ici par esp
l’a dit & l’a pratiqué, il ne le cede même à personne dans cette
partie
: comme elle dépend de la justesse & de la sa
mp; les hommes de gout les plus délicats ; mais pour développer cette
partie
avec quelqu’étendue, nous renvoyons à l’article
n spectacle pendant deux saisons entieres. Il est donc certain que la
partie
du public, dont le goût est invariablement décidé
ait, ou la fiction en beau, est l’assemblage régulier des plus belles
parties
dont un composé naturel est susceptible, & da
génie dans la fiction qui s’éleve au parfait ; c’est sur-tout dans la
partie
morale que nos idées se sont étendues. Nous ne pa
Alzire, Idamé, sont du siecle de l’Esprit des lois ; & dans cette
partie
même, le génie n’est donc pas sans ressource, &am
On voit que le génie le plus foible va renchérir aisément dans cette
partie
sur Homere & sur Virgile. Dès qu’on a secoüé
ne sont point arbitraires, & que si dans le centaure du Guide, la
partie
de l’homme ou celle du cheval étoit plus forte ou
emble ne consiste pas dans les grandeurs naturelles de chacune de ses
parties
. On seroit choqué de voir dans le sphinx la tête
e mettre à la place de la nature ; c’est sur-tout dans la liaison des
parties
, dans leur correspondance mutuelle & dans leu
oi qui par les liens de la confiance & de l’amour unit toutes les
parties
de son etat, en fait un corps dont il est l’ame,
t monarchique comme du républicain, que l’état ne soit qu’un, que les
parties
dont il est composé forment un tout solide &
rable, que non-seulement le souverain, mais chacun des grands dans la
partie
qui lui est confiée, tient la place de la loi. Il
la fermeté, la droiture, l’élévation des sentimens, est la plus belle
partie
de la grandeur personnelle. Ajoûtez-y un esprit v
ou l’admiration a donné le nom de grands. Ils l’ont éte dans quelques
parties
, dans la legislation, dans la politique, dans l’a
r de sa naissance & de sa place, c’est lui arracher la plus chere
partie
de son existence ; réduit à lui même, il n’est pl
n collaboration avec Richard Auvray (1897). — Liberté, drame en trois
parties
. — Le Lundi de la Pentecôte, comédie en un acte (
rêt. Le livre, court du reste, est amusant. Vous entendez bien que la
partie
la mieux venue, c’est la partie réaliste. Naturel
st amusant. Vous entendez bien que la partie la mieux venue, c’est la
partie
réaliste. Naturellement. L’Enfer du Dante sera to
ue, qui, enivré de Faust, a voulu faire un poème divino-burlesque. La
partie
burlesque est la meilleure, parce que nous sommes
ncée au nom de la ville, elle est prononcée par toi-même, en tant que
partie
de la ville. Et tu y as une part honorable comme
ffet le contentement du tout comprend et renferme le contentement des
parties
et puisque tu es une partie, infime à la vérité e
comprend et renferme le contentement des parties et puisque tu es une
partie
, infime à la vérité et misérable de la noble vill
tant bien que mal un conflit. Peu importe au fond que l’une des deux
parties
ou peut-être les deux se sentent et se croient, d
tible, par là même normale et en un sens utile. Elle est favorisée en
partie
par le droit lui-même qui fournil au justiciable,
galité fait évoluer le droit ; elle le renouvelle en le détruisant en
partie
. Elle appelle à l’existence juridique de nouvelle
rien et titube toujours ?… Le livre d’aujourd’hui est divisé en deux
parties
: la première est l’histoire discursive et critiq
où la philosophie n’est plus que l’histoire de la philosophie, cette
partie
du livre, dans laquelle il y a l’habitude des mat
mais d’importance de sujet, elle est bien inférieure à cette seconde
partie
où l’esprit s’attend à trouver contre toutes les
Mais, si le livre de M. Saisset est d’une si profonde nullité dans sa
partie
affirmative, nous serons assez juste pour revenir
serons assez juste pour revenir et pour insister sur la valeur de la
partie
négative ou critique de son ouvrage. Cette partie
sur la valeur de la partie négative ou critique de son ouvrage. Cette
partie
négative, d’ailleurs, est toujours la meilleure c
s qui, les yeux fermés, la tête tournée contre le mur, conduisent une
partie
d’échecs. On a numéroté les pions et les cases ;
xacte d’une pièce, je rejoue mentalement tout ce qui a été joué de la
partie
, en m’appuyant particulièrement sur les mouvement
ructure ; mais, s’il veut les voir, il le peut. Il a souvent fait des
parties
d’échecs mentales avec un de ses amis qui avait l
intense se répète ou dure involontairement. « Je n’ai jamais joué une
partie
d’échecs, dit-il, sans l’avoir rejouée seul quatr
ai des chagrins, je me mets à jouer ainsi aux échecs en inventant une
partie
de toutes pièces, et cela m’occupe ; je chasse ai
s loin ce tour de force. Labourdonnais ne jouait mentalement que deux
parties
ensemble ; ayant essayé une fois d’en jouer trois
idité d’imagination tout à fait prodigieuses. « Paul Morphy joue huit
parties
ensemble, et Paulsens en joue vingt ; cela, je l’
s un écho minutieusement exact, ces lamentations composées de tant de
parties
et promenées à travers une série d’accords si étr
l’image : l’un affirmatif, l’autre négatif, le second restreignant en
partie
ce qui a été posé dans le premier. Si l’image est
ammaires de langues asiatiques et que la fatigue de mes yeux était en
partie
l’effet de cette lecture prolongée. » Non seuleme
réveil. D’un côté, au léger contact de la main qui nous réveille, une
partie
de notre attention se reporte vers le dehors. D’a
plus vaporeux, parurent se confondre avec l’air, tandis que quelques
parties
restèrent encore visibles pendant un temps consid
ue le malade le garde sans interruption pendant toute une nuit et une
partie
du jour. À partir de ce moment, le malade ne vit
t de service pour une exécution capitale. Il est de garde pendant une
partie
de la nuit auprès du condamné, assiste à la toile
en, croit que c’est une plaisanterie de ses camarades, il cherche une
partie
de la nuit ; à quatre heures du matin, il se lève
ophie ou l’atrophie d’un élément, nous sommes fous, en totalité ou en
partie
. Lorsqu’il dure au-delà d’un certain temps, la fa
Des hallucinations, 468. 17. Maury, La Magie, l’astrologie, etc., 2e
partie
, chap. III, passim. 18. Baillarger, Des hallucin
lui-même provoquer les voix ; il disait ensuite que cela l’aidait en
partie
à reconnaître son erreur… M. Sandras parle d’hall
icie de mon corps ; le souvenir pur, au contraire, n’intéresse aucune
partie
de mon corps. Sans doute il engendrera des sensat
mpuissantes. Si le souvenir pur, qui par hypothèse n’intéresse aucune
partie
déterminée du corps, est une sensation naissante,
e passé quitte l’état de souvenir pur et se confond avec une certaine
partie
de mon présent. Le souvenir actualisé en image di
étruirait, au fur et à mesure, des états qui se succèdent en lui. Une
partie
de ce travail a été faite dans notre premier chap
e dans une action imminente, dans une énergie non encore dépensée. La
partie
non perçue de l’univers matériel, grosse de prome
ue le monde externe, dont nous ne percevons jamais qu’une très petite
partie
, alors qu’au contraire nous utilisons la totalité
nalogue ; et comme elle s’y transporte ainsi d’un seul bond, toute la
partie
intermédiaire du passé échappe à ses prises. Les
’avenir. La conscience éclaire donc de sa lueur, à tout moment, cette
partie
immédiate du passé qui, penchée sur l’avenir, tra
avec notre passé immédiat ; le reste demeure obscur. C’est dans cette
partie
éclairée de notre histoire que nous restons placé
au point de vue, en effet, notre corps n’est point autre chose que la
partie
invariablement renaissante de notre représentatio
que la partie invariablement renaissante de notre représentation, la
partie
toujours présente, ou plutôt celle qui vient à to
lances avant les individus qui se ressemblent, et, dans un agrégat de
parties
contiguës, le tout avant les parties. Nous allons
semblent, et, dans un agrégat de parties contiguës, le tout avant les
parties
. Nous allons de la ressemblance aux objets ressem
riété des différences individuelles. Et nous allons aussi du tout aux
parties
, par un travail de décomposition dont on verra pl
a totalité de son passé, n’aurait aucune raison pour se fixer sur une
partie
de ce passé plutôt que sur une autre. En un sens,
e poussée en avant pour insérer dans l’action présente la plus grande
partie
possible d’elle-même. De ce double effort résulte
ouvenir indivisé, étaient donc véritablement « en l’air » tant que la
partie
décisive de l’événement n’était pas encore produi
é. Les souvenirs conserveront leur aspect normal, mais renonceront en
partie
à leur solidarité, parce que leur base sensori-mo
as. L’instinct, l’habitude, la mémoire et l’imitation font encore une
partie
de celle-ci et quelque nouveauté distingue déjà l
mée par la combinaison nouvelle d’éléments existant déjà, au moins en
partie
, dans l’esprit. Souvent un élément nouveau est l’
rfois il est la cause la plus appréciable de cette combinaison, ou la
partie
la plus visible de la synthèse nouvelle. La créat
nc s’offrir au système ébauché, pour en associer plus étroitement les
parties
. Toutefois il s’y adapte assez difficilement. On
que. Toujours une synthèse nouvelle se produit, qui élimine certaines
parties
des éléments en présence pour unir les autres et
de la signature, de la raison sociale4. » La crise est déterminée en
partie
, dans ce cas, par une réaction. Le besoin de prod
Massenet, de M. Legouvé. Tandis que, tout à l’heure, c’était bien une
partie
de l’invention elle-même qui venait enrichir le s
qu’il trouve en lui-même, et ce qu’il y trouve lui vient toujours en
partie
de ses ancêtres, de ses éducateurs, de la civilis
le cas de quelques disciples indépendants qui, tout en acceptant des
parties
importantes d’une doctrine, en modifient d’autres
éléments plus ou moins épars, rejet d’éléments disparates, triage des
parties
de sentiments et d’idées favorables. Un fait nouv
ation, dans les plus hautes il met tout l’être en émoi, il le crée en
partie
, et va devenir le principe d’un automatisme nouve
l’invention, l’idée de la sélection naturelle. C’est là, en effet, la
partie
la plus originale de la conception générale de Da
nnexant sans cesse de nouvelles idées par lesquelles certaines de ses
parties
et quelquefois sa signification générale se modif
ière idée donnée, toutes les autres s’ensuivent fatalement, comme les
parties
successives d’un acte réflexe. Tout au moins, cel
s, non point tant comme une conclusion à ses prémisses, que comme une
partie
d’un réflexe composé à une autre partie du même r
ses prémisses, que comme une partie d’un réflexe composé à une autre
partie
du même réflexe. L’invention est devenue inconsci
incipe essentiel et une sorte de cause. Mais il est sûr qu’une grande
partie
de la création intellectuelle reste souvent mal c
u un joli garçon ; ce n’est pas successivement, dans le détail de ses
parties
, comme cela doit arriver plus tard, mais c’est to
par le hasard des circonstances et la merveilleuse organisation d’une
partie
de l’esprit. « On a souvent remarqué, écrit M. L
, elle est bien encore l’expression de la personnalité, mais de cette
partie
de la personnalité qui s’est organisée à part, qu
re, peu à peu, et souvent assez vite, tout s’ordonne, les différentes
parties
de l’étude se classent, et l’ensemble peut dépass
mené presque forcément, de ce que c’était que l’invention. Puis cette
partie
du travail se sépara de l’autre, forma un être di
e moins régulière, elle se continue logiquement, par l’acquisition de
parties
nouvelles, qui, bien que ne paraissant pas très s
de graves défauts dans la façon dont il a compris le sujet. Certaines
parties
de la légende précédant la mort de Siegfried étai
« après une expérience de vingt années au cours desquelles toutes les
parties
de l’œuvre familistérienne s’étaient précisées da
l’invention nous montre ses progrès sur un point spécial et pour une
partie
de l’esprit, pour une sorte d’organisme psychique
une des conditions de la naissance du germe, c’est elle qui avait en
partie
déterminé M. Legouvé à se décider pour le sujet d
combiné avec l’orchestre. Ici les choses tournèrent autrement, et la
partie
du dessein primitif qui concernait l’interprète f
nces défavorables auxquelles il ne pouvait s’adapter, mais la seconde
partie
de l’évolution de l’œuvre, sans se diriger dans l
s’est transformée, dans l’autre c’est surtout un motif antérieur, une
partie
du désir primitif qui inspirait l’œuvre sans en ê
e. II En somme, la transformation est une évolution composée de
parties
successives incohérentes, ou plutôt elle comprend
lques détails d’une œuvre, sinon toujours pour l’ensemble ou pour des
parties
importantes, une chose ordinaire et presque oblig
rmation n’est jamais complète. Elle laisse généralement subsister une
partie
de la forme et de la matière primitive, et, en to
a évolué, s’est développée, mais il s’est aussi développé en elle des
parties
parasites, discordantes, qui ont évolué et ont pu
crète, pour se traduire dans le monde extérieur, elle doit perdre une
partie
de sa pureté, et parfois ce qu’elle a de meilleur
vec tout son cortège de phénomènes psycho-organiques, comme étant une
partie
intégrante du développement de l’invention, nous
-être moyen d’utiliser, en menant pour ainsi dire de front toutes les
parties
d’un même ouvrage et même plusieurs ouvrages à la
er, dans la métaphore l’image éclipse l’idée, on prend de la fable sa
partie
littéraire et on néglige la moralité, etc., mais
scordantes, et un développement par déviation contient d’ailleurs des
parties
où c’est l’évolution qui domine. Mais il n’est pa
les meilleures et les plus rares conditions, à sacrifier au moins une
partie
de son originalité pour pouvoir tirer parti de l’
bon esprit peut en avoir. Un esprit déséquilibré, mais avec certaines
parties
puissantes, peut en profiter encore quelquefois.
quelquefois. Ce qu’il y a de vigoureux en lui peut tirer parti d’une
partie
de ce qu’il y a d’extravagant et d’insensé, et c’
Il ne faut pas oublier que l’originalité ainsi entendue n’est qu’une
partie
du génie. Elle se retrouve chez nombre d’imbécile
mécanisme, non sur les résultats de l’invention, et c’est surtout la
partie
instinctive de l’invention qui reste au dehors de
ts qui sont déjà autant d’illogismes partiels, elle est due, pour une
partie
, à des hasards, à des rencontres imprévues et non
tre s’impose qui devrait disparaître. Ceux qui restent conservent des
parties
parasites, des traces de leur ancien emploi qui l
onsidérable. Et le monde extérieur est assez chaotique, même dans ses
parties
les mieux systématisées, comme les sociétés humai
71. Et le monde extérieur paraît bien composé, comme notre esprit, de
parties
qui, considérées en elles-mêmes, sont des faits s
berrations, en même temps qu’elle est une organisation nouvelle d’une
partie
au moins de leurs éléments. Elle peut être un mal
. 96). 16. Id., ibid., p. 79. 17. J.-J. Rousseau, Confessions, Ire
partie
, liv. III. 18. G. Flaubert, Correspondance, t. I
Le Roman de Casimir Delavigne. 24. J.-J. Rousseau, Confessions, IIe
partie
, liv. X. 25. P. 24. 26. L’Ancien Régime, préfa
La Révolution, t. II, préface, p. i. 28. Rousseau, Confessions, Ire
partie
, liv. I. 29. Mémoires d’outre-tombe, I, p. 151-
du stile qui fait la destinée des poëmes Ainsi la beauté de chaque
partie
du poëme, je veux dire la maniere dont chaque sce
c’est-à-dire, que l’union et la dépendance de toutes les differentes
parties
qui composent un poëme. Une tragedie, dont toutes
beautez renaissantes à chaque periode, nous empêche d’appercevoir une
partie
des défauts réels de la piece, et il nous fait ex
se rien à faire que d’admirer sa penetration et son grand sens. Cette
partie
de la poësie la plus importante est en même tems
ies dont j’ai parlé. D’ailleurs leurs incidens qui font la plus belle
partie
de notre histoire doivent attacher davantage la n
producteur, système qui paraît beaucoup plus sensible que toute autre
partie
de l’organisation à l’influence des changements d
l adulte. Dans les monstruosités, les effets de corrélation entre des
parties
complétement distinctes sont des plus curieux. Is
résultera que, même sans en avoir l’intention, on modifiera d’autres
parties
de l’organisme, en vertu des lois mystérieuses de
exemple, les nombreuses races de Renards qui habitent en différentes
parties
du globe. Je ne crois pas, et l’on verra tout à l
ar l’hon. C. Murray, qui m’ont envoyé des peaux provenant de diverses
parties
du monde, et particulièrement de la Perse et de l
de plumes retroussées le long du sternum, et l’habitude de gonfler la
partie
supérieure de son œsophage. Le Jacobin ou Pigeon
élation avec, la longueur du bec ; le développement du jabot ou de la
partie
supérieure de l’œsophage ; le développement ou l’
; le développement de la membrane entre ces derniers, sont autant de
parties
variables dans leur structure générale. L’époque
s races domestiques déjà nommées ont été transportées dans toutes les
parties
du monde ; quelques-unes d’entre elles doivent do
plupart de leurs organes, sont néanmoins très anormales dans d’autres
parties
de leur structure. On chercherait vainement dans
nde, et qu’il y a une grande analogie entre ses habitudes et diverses
parties
de son organisation, et l’organisation et les hab
rs ; ils sont domestiqués depuis des milliers d’années en différentes
parties
du monde : la mention la plus ancienne qu’on en t
es, des gousses, des tubercules, ou, plus généralement, de toutes les
parties
de la plante ayant une valeur culinaire quelconqu
ent, deux sous-races pourraient se former. Ceci explique peut-être en
partie
ce qui a été observé par quelques auteurs : c’est
de ce Pigeon deviendraient par suite de cette sélection continuée, en
partie
inconsciemment, et en partie méthodiquement. Peut
r suite de cette sélection continuée, en partie inconsciemment, et en
partie
méthodiquement. Peut-être que l’oiseau, souche de
ne gonflait pas son jabot plus que le Turbit ne gonfle maintenant la
partie
supérieure de son œsophage, habitude regardée ave
phique. Dans ce livre que je goûte fort et que je trouve en certaines
parties
excellent, il y a cependant, à mon gré, quelque c
tre qu’elle n’a pas eu tort sur tous les points, et qu’elle répond en
partie
à quelques besoins du temps, qui demandent satisf
adversaires comme d’être toujours en leur présence et de lier souvent
partie
avec eux. Ainsi nous avons bien tous un vague sen
érale, qui est dirigée contre l’école tout entière, et voilà toute la
partie
critique de la philosophie de M. Taine. Mais il n
e autre étendue quelconque ; or, dans cette étendue quelconque toutes
parties
sont absolument semblables entre elles. Prenons d
rties sont absolument semblables entre elles. Prenons donc une de ses
parties
: arrivé à sa limite, vous apercevez une autre pa
onc une de ses parties : arrivé à sa limite, vous apercevez une autre
partie
qui la continue. Mais la limite de cette autre pa
cevez une autre partie qui la continue. Mais la limite de cette autre
partie
est d’après ce qu’on vient de dire, absolument se
able à celle de la première ; vous devez donc concevoir une troisième
partie
qui continue la seconde et la prolonge au-delà de
je trouve les vices de raisonnement suivants : de ce que, prenant une
partie
j’aperçois qu’elle est continuée par une autre, j
est continuée par une autre, je dois conclure, dites-vous, que toute
partie
(étant semblable à la première par hypothèse) peu
u nécessaire, du fait à la loi ? C’est un fait d’expérience que telle
partie
d’étendue est continuée par une autre : c’est une
continuée par une autre : c’est une loi rationnelle et logique qu’une
partie
quelconque d’étendue ne peut pas ne pas être cont
, tandis que l’autre est absolue ? Dire que je dois affirmer de toute
partie
d’étendue ce que j’ai affirmé de la première, c’e
irement. Une autre faute de raisonnement c’est de dire que toutes les
parties
d’un espace fini sont semblables entre elles. Car
Car cela n’est vrai que d’un espace infini. Dans un espace fini, les
parties
limitantes ne sont pas semblables aux parties int
ans un espace fini, les parties limitantes ne sont pas semblables aux
parties
internes. Celles-ci sont liées aux autres d’une m
ne manière continue ; les premières sont, par hypothèse, séparées des
parties
voisines, puisque vous les avez circonscrites dan
us les avez circonscrites dans le tout qui les entoure. En outre, ces
parties
limitantes ont une figure différente des parties
toure. En outre, ces parties limitantes ont une figure différente des
parties
internes ; dans un triangle, les parties d’espace
nt une figure différente des parties internes ; dans un triangle, les
parties
d’espace contenues entre les angles sont des angl
les parties d’espace contenues entre les angles sont des angles, les
parties
internes n’ont pas de figure. On ne peut donc con
nternes n’ont pas de figure. On ne peut donc conclure logiquement des
parties
internes aux parties limitantes. Les premières so
figure. On ne peut donc conclure logiquement des parties internes aux
parties
limitantes. Les premières sont nécessairement con
continu qui est la figure considérée. Mais il ne s’ensuit pas que les
parties
limitantes forment nécessairement un tout continu
néral n’est que la somme des faits particuliers, et l’abstrait qu’une
partie
ou un point de vue de ces mêmes faits. Maintenant
on, et par conséquent des brisures dans le tout primitif, chacune des
parties
restant néanmoins soumise à la loi de la condensa
ences politiques, économiques, philosophie des beaux-arts, toutes ces
parties
de la philosophie, créées ou étendues par le xvii
, c’est un ensemble de solides, de liquides, de tissus, de canaux, de
parties
dures, de parties molles, en un mot un ensemble i
e de solides, de liquides, de tissus, de canaux, de parties dures, de
parties
molles, en un mot un ensemble incalculable de cau
mathématiques, ou, dans l’ordre expérimental, l’astronomie, certaines
parties
de la physique et de la chimie, j’accorde que la
istorien, c’est-à-dire à un procédé moins rigoureux. Il est enfin une
partie
de l’histoire qui échappera toujours aux procédés
soit pour la polémique, soit pour les applications morales. Ces trois
parties
considérables de la science ne sont pas la scienc
uence aux autres moyens solides : « Je crois que c’est une très belle
partie
à un capitaine que de bien dire. » Il remonte don
nce par établir une bonne police dans la ville ; il la divise en huit
parties
, dont chacune est sous la surveillance et les ord
itôt après, c’est lorsqu’il dut demander et qu’il obtint, au moins en
partie
, l’expulsion des bouches inutiles. Il n’était sor
titres sous trop de meurtres et de sang. Politiquement toutefois, la
partie
de ses mémoires qui traite des guerres civiles es
eur dessein exprès de former un État dans l’État. Quand on a lu cette
partie
des mémoires de Montluc et qu’on a surmonté l’imp
parmi les catholiques, personne n’était mûr et préparéf. La dernière
partie
des Commentaires de Montluc est remplie de récrim
ours d’un prieuré assis dans les montagnes, que j’avais vu autrefois,
partie
en Espagne, partie en France, nommé Sarracoli : j
ssis dans les montagnes, que j’avais vu autrefois, partie en Espagne,
partie
en France, nommé Sarracoli : j’avais fantaisie de
èvres une ardeur, une sérénité qui, seules, forment déjà la meilleure
partie
de la poésie ; mais la satire lyrique, par la nat
anto est habile et heureuse. Quoiqu’il n’y ait pas entre les diverses
parties
de ce poème un enchaînement évident et rigoureux,
fisante. Sans doute il eût mieux valu relier entre elles ces diverses
parties
et trouver un pivot central qui réglât tous les m
il, sa conduite a été prudente. Le Campo Santo, qui forme la première
partie
du Pianto, rappelle en plusieurs endroits l’énerg
es analogies, il est facile de surprendre un air de famille entre les
parties
graves du dialogue et les tercets de la Divine Co
anca se rapproche de l’élégie plus décidément que les trois premières
parties
du Pianto. Cette différence s’explique sans peine
ral du poème. Les tons divers que nous avons signalés dans les quatre
parties
du Pianto se succèdent sans se contredire, et n’a
é du poème, je ne puis m’empêcher de préférer le Pianto à Lazare. Les
parties
recommandables de ce dernier recueil peuvent se c
vé certainement de la moitié du succès qu’il méritait. Les meilleures
parties
de Lazare n’ont pas été appréciées justement parc
re n’ont pas été appréciées justement parce que la disposition de ces
parties
est, sinon arbitraire, du moins dépourvue de néce
uis XIV, qui n’étaient conviées ni à sa table, ni à son jeu, ni à ses
parties
de chasse, étaient forcées de voir en lui autre c
étuel désappointement. L’exposition de Latréaumont se divise en trois
parties
. Je me sers du mot division, faute d’en trouver u
ent ma pensée ; car, en vérité, il serait permis de placer la seconde
partie
avant la première, la troisième avant la seconde,
position nuisît à la chute du récit. Or, il est évident que là où les
parties
d’un tout ne sont pas ordonnées d’une façon néces
e façon nécessaire, le tout m’existe pas, et que, par conséquent, les
parties
elles-mêmes sont réduites à l’état de purs élémen
duites à l’état de purs éléments et attendent, pour mériter le nom de
parties
, une organisation définitive. Que si cette distin
ons sans danger employer le langage ordinaire. Donc, dans la première
partie
, nous voyons Latréaumont chez Van den Enden. Le c
se à de nombreuses mésaventures et ne peut duper personne. La seconde
partie
de l’exposition se passe à Fontainebleau. Le chev
n le voyant agir, demeure dans la même ignorance. Aussi cette seconde
partie
n’est guère plus utile que la première. Nous voyo
oment où le grand veneur se décide à la trahison, toute cette seconde
partie
demeure obscure et inutile. La troisième partie,
, toute cette seconde partie demeure obscure et inutile. La troisième
partie
, qui se passe à Eudrevillc, en Normandie, a le mê
t précédée, il était tout simple qu’il n’apportât pas dans la seconde
partie
de son sujet plus de soin et de dévouement. Il a
pté la gracieuse figure de cette naïade américaine, toute la première
partie
des Natchez est une caricature déplorable, une af
n supérieurs aux Martyrs. Les Études historiques se divisent en trois
parties
bien distinctes : les discours sur la chute de l’
les faits, que nous entrevoyons tout au plus, envahit la plus grande
partie
de l’espace. À proprement parler, cette histoire
iscours du récipiendaire. M. Guizot, après avoir escamoté la première
partie
de son sujet, ne pouvait donc se dispenser d’esca
heure. Ce qu’il ne sait pas, d’autres le savent pour lui. Toutes les
parties
de la science humaine sont à sa disposition, et s
uizot. XIX. De l’état du théâtre en France. 1837. De toutes les
parties
de la poésie contemporaine, le théâtre est assuré
se en cette occasion n’a pas le mérite de la nouveauté, de toutes les
parties
de la critique littéraire, la critique dramatique
M. Scribe doit à l’intelligence parfaite de cette vérité la meilleure
partie
de ses succès, et nous devons avouer qu’il a usé
r tous les éléments élevés de notre nature, c’est-à-dire la meilleure
partie
de la poésie. Vainement objecterait-on que la com
r que l’auteur de Louis XI et des Enfants d’Édouard doit la meilleure
partie
de sa popularité aux œuvres qu’il n’a pas faites
us voisin de la nature. S’il eût éclairé par la méditation toutes les
parties
de ce problème dont aujourd’hui seulement il para
contre la poésie elle-même. Il a confondu dans une commune haine les
parties
fausses et les parties vraiment belles de la trag
même. Il a confondu dans une commune haine les parties fausses et les
parties
vraiment belles de la tragédie française. Il a fo
rendre intelligible tantôt en exagérant, tantôt en effaçant certaines
parties
, la parole, en se proposant une tâche analogue, n
ore bien loin de compte ; car il n’a reproduit dans ses œuvres que la
partie
la plus grossière de la nature. Il s’est proposé
d’indifférence. M. de Vigny a bien fait de chercher dans l’homme une
partie
que MM. Dumas et Hugo avaient négligée ; il a bie
s, à notre avis, ce serait un étrange aveuglement que de proclamer la
partie
gagnée parce que Chatterton a été applaudi. Il ne
préter l’histoire poétiquement, c’est agrandir, exagérer à propos les
parties
sur lesquelles on a résolu d’appeler l’attention,
intelligence plus parfaite, une manifestation plus complète de cette
partie
déterminée de la vérité. À proprement parler, la
s sentiments qui animent les personnages de la pièce, mais encore une
partie
de ceux qui s’éveillent dans l’âme des spectateur
même des dieux, pourrait, en étreignant d’une main violente toute les
parties
de l’action, la simplifier jusqu’à l’immobilité.
té de ces personnages obéisse au seul caprice. Loin de là, toutes les
parties
, contradictoires en apparence, du caractère que l
lité des novateurs, ils ne pourront jamais méconnaître impunément une
partie
du passé ; car ce n’est qu’en embrassant d’un reg
passion, sans acception de temps ni de lieu, il évitera résolument la
partie
sensuelle pour exprimer de préférence la partie i
évitera résolument la partie sensuelle pour exprimer de préférence la
partie
intelligible, la partie idéale du sujet qu’il aur
rtie sensuelle pour exprimer de préférence la partie intelligible, la
partie
idéale du sujet qu’il aura choisi ; car il saura
le, la partie idéale du sujet qu’il aura choisi ; car il saura que la
partie
sensuelle de la passion commence précisément où f
bles paysages ; car nous n’avons qu’une sympathie assez tiède pour la
partie
érudite de la peinture, pour celle qui s’apprend
s estampes ; nous réservons notre amour et notre enthousiasme pour la
partie
vraiment savante, pour la partie humaine, que les
amour et notre enthousiasme pour la partie vraiment savante, pour la
partie
humaine, que les livres et les estampes n’enseign
mais il ne porterait pas la lumière de la dialectique dans toutes les
parties
de la discussion, ou plutôt il ne poserait pas to
ltérer, la pensée du poète, c’est au poète que reviendra la meilleure
partie
des applaudissements. Mais le poète et le critiqu
laissait la faculté de revenir sur sa première volonté, d’émonder les
parties
inutiles, d’agrandir, de corriger la première for
le sont pas du tout. En pareil cas, nous pourrons rendre compte de la
partie
principale du phénomène, mais il y aura des varia
ce qui en dépend peut être expliqué et prédit avec certitude pour une
partie
quelconque, même inexplorée, de la surface de la
e n’hésiterai pas à affirmer qu’elle est beaucoup plus avancée que la
partie
correspondante de la physiologie ; et abandonner
lle est capable d’expliquer ; et comment elle les explique. Sur cette
partie
du sujet, il y a, comme on le pense, des différen
e, dit-on, le meilleur du pire et le noble du bas. D’ailleurs, si ces
parties
, les plus nobles de notre nature, ne sont pas ori
ur cela factices et non naturelles. Les produits sont tout autant une
partie
de la nature humaine que les éléments qui la comp
son charme, en perdant quelque chose de son mystère, en dévoilant une
partie
du procédé secret par lequel la nature l’a enfant
tre que si l’explication des faits est suffisamment avancée. Ces deux
parties
de la science sont solidaires et progressent l’un
es sociaux. Nous savons, en effet, que les sociétés sont composées de
parties
ajoutées les unes aux autres. Puisque la nature d
ont d’ordre morphologique, on pourrait appeler Morphologie sociale la
partie
de la sociologie qui a pour tâche de constituer e
ntage le principe de cette classification. On sait, en effet, que ces
parties
constitutives dont est formée toute société sont
é simple celle qui forme un tout non assujetti à un autre et dont les
parties
coopèrent, avec ou sans centre régulateur, en vue
mplicité n’a de sens défini que s’il signifie une absence complète de
parties
. Par société simple, il faut donc entendre toute
aractères est plus grande ; car plus une chose est complexe, plus les
parties
qui la composent peuvent former de combinaisons d
té spécifique de névrilité. Ces phénomènes prouvent que ce que choque
partie
fait dans l’organisme, chaque partie le fait hors
mènes prouvent que ce que choque partie fait dans l’organisme, chaque
partie
le fait hors de l’organisme. En d’autres termes,
mécanisme et n’en diffère que par la plus grande complication de ses
parties
et de ses effets. T Beaucoup de gens, cependant,
, il faut la présence constante de la sensation. La sensation est une
partie
nécessaire du mécanisme ; c’est le grand ressort
recteur ? une unité supérieure ? On dit : le corps est un, toutes ses
parties
sont subordonnées, rassemblées pour former une un
de l’organisme. Il est dû à la subordination des organes ; toutes les
parties
ont des rapports ; toutes agissent ensemble par l
r le moyen du système nerveux. Là où il n’y a pas cette connexion des
parties
, il ne peut y avoir connexion d’organes. Coupons
ncipe vital eu plusieurs principes. C’est qu’il y a une vie de chaque
partie
, et une vie de l’organisme entier ; chaque cellul
oique inappréciable, elle ne peut être sans action ; elle est une des
parties
intégrantes de la totalité248. » Nous pouvons cl
s de cette forme de la conscience, avec les forces intérieures et les
parties
du système nerveux qui lui servent d’organes. Qua
est là la situation de l’animal dont le cerveau a été enlevé ; chaque
partie
séparée de l’organisme a son général, son colonel
enue. Prochaska considérait le cordon spinal comme formant une grande
partie
du sensorium commune, et il en donnait pour preuv
lition, le malade est comme coupé en deux. En faut-il conclure que la
partie
inférieure ne sent pas ? Elle sent, mais à sa man
ui en faisait la nouveauté : l’accord et le tempérament de toutes les
parties
, la composition, la proportion, et cette harmonie
particulièrement notées, que l’on doit regarder comme les plus belles
parties
de l’écrivain : Le choix, la composition, le méri
les harangues antiques, sur quelque vérité générale, avec toutes les
parties
du discours. Ce que Descartes y admirait n’a pas
e de toutes les langues et de tous les tons dans un discours dont les
parties
ne tiraient pas leur valeur de l’ensemble ; le ca
’art de disposer et de développer avec ordre et proportion toutes les
parties
d’un sujet, de lui donner l’étendue qu’il comport
position ; c’est même par la grossièreté de la composition, où chaque
partie
formait un tout, chaque détail une partie, que l’
e la composition, où chaque partie formait un tout, chaque détail une
partie
, que l’élocution était si vicieuse. Les mots y av
ments que Descartes loue dans Balzac : cette suite, cette liaison des
parties
, ce plan conçu avec force et clarté, ce langage p
t honnête, et ajoutant, par l’effet de ce défaut, « qu’elle cacha les
parties
qu’il faut couvrir aux yeux des hommes. » C’est B
ora par des aumônes et des actes de piété, faisant des charités d’une
partie
de sa fortune, et demandant par testament à être
lzac, une plus grande douceur que « celle qui accompagnait toutes les
parties
de sa vie. » « Sa probité, ajoute-t-il, lui parai
plus habiles ; et s’il est vrai que son édifice se soit écroulé, une
partie
des matériaux, employée par des mains plus heureu
▲