me semble assu- rée, puisque vous daignez permettre à cet Ouvrage de
paraître
sous vos auspi ces. Je voudrois qu’il pût vivre a
ecle dernier. Mais, enfin, la famille des Arts & des Sciences m’a
paru
mériter une généalogie plus complette. J’essaiera
regles & à un rithme particulier. En général, c’est la Poésie qui
paraît
toujours avoir précédé les autres arts. Deux caus
onnaissait pas encore & qu’elle a eu long-tems lieu d’oublier. Là
parurent
aussi les Hortensius, les Ciceron, les Jule César
la haine du tyran, mais ils échapperent à sa vengeance. Sous Trajan,
parurent
Pline le neveu, éloquent avec tant de graces ; Qu
es particuliers, & qui la placerent avec eux sur le trône. On vit
paraître
, dans le même tems, Galien à qui la Médecine doit
ès sa mort on retomba dans la premiere obscurité. La lumiere des Arts
parut
cependant se rallumer au sein de l’Asie. Les Arab
Prince, digne à tous égards des faveurs de la fortune qui, cependant,
parut
le croiser dans toutes ses entreprises. On sait,
imant, & revenait acquérir le reste du château”. Ces Troubadours
parurent
d’abord sous le regne de Louis le Débonnaire, &am
les premieres traces de cette naïveté qui plaira toujours, & qui
parut
être long-tems le seul caractere de notre Langue.
Gelais plus de douceur. On le surnomma l’Ovide Français. Un tel éloge
paraît
aujourd’hui bien outré. On se borne maintenant à
hassa, attendu l’indécence de leurs mœurs & de leurs jeux. Ils ne
parurent
plus sur les trétaux ; mais ils s’insinuerent jus
e Jodelle mit au jour ses Tragédies, les premieres qui eussent encore
paru
en France. On y remarque des vues plutôt que de l
galer un tel Disciple. Il y a des beautés dans Vinceslas ; mais il ne
parut
qu’après des chefs-d’œuvres faits pour l’éclipser
en avait pas dans notre Langue. Cette Langue, plus de cent ans après,
parut
même encore trop imparfaite au célebre de Thou po
rs avec décence. Nous devons à ce Roman ces volumineuses fictions qui
parurent
, coup sur coup, au commencement du siecle dernier
nsipides. Il faut placer avant cette époque l’Argénis de Barclai, qui
parut
peu de tems après l’Astrée. On croit que cet ouvr
découvrit la Boussole ; mais on ignore à qui on en est redevable. Il
paraît
, cependant, que les Français en firent usage des
pour les beaux Arts influa sur les progrès de l’Architecture. On vit
paraître
Jean Bullant, Louis de Foix & Philibert de Lo
ues vers la fin du regne de Henri IV, un intervalle où l’Architecture
parut
languir. Ce n’est pas au milieu des guerres civil
specte les monumens qui existent. Sous la régence de Marie de Médicis
parut
le fameux Jacques de Brosse. Il fut employé par c
méthode introduite par Callot a trouvé de célebres imitateurs, &
paraît
même avoir entiérement prévalu aujourd’hui. Il me
d’écrire la Musique. Il y joignit le contrepoint, que les anciens ne
paraissent
pas avoir connu. On nomme ainsi la réunion de plu
ançois I, Prince à qui nulle partie des Arts n’était indifférente. Il
paraît
qu’on dansait à sa Cour sur quelques airs de nos
progrès sensibles. Ce n’est que sous le regne de Louis XIV qu’elle a
paru
prendre une consistance nouvelle ; & mériter,
’étaient de simples lueurs ; mais elles présageaient un beau jour. Il
parut
, & peut-être, ne sommes-nous pas encore à son
hors d’œuvre. Passons au véritable objet de cette assemblée. Elle me
parut
des plus tumultueuses : la présence du Dieu, cell
le maintenir dans ses droits, Dans cette autorité suprême, Qui le fit
paraître
autrefois Tuteur de Corneille lui-même. Envain, d
ussant la main robuste à qui l’acier luisant, Malgré sa pesanteur, ne
paraît
point pesant. C’est envain que deux braves jumea
fois, l’esprit, le cœur, les yeux, Sous un attirail belliqueux Je vis
paraître
du Boccage. Elle qui, dédaignant de vulgaires tra
Emule ne se présenta ni pour la combattre, ni pour la seconder. Elle
parut
recevoir encore un nouveau lustre des lauriers do
ient de ce qu’il s’était souvenu d’eux ; les autres de ce qu’il avait
paru
les mettre en oubli. Du nombre des premiers étaie
nfin, les sublimes honneurs Et du Pinde & de l’Empirée. Lui-même
parut
, toutefois, douter de ce qu’il valait : il répéta
e sévere application : il était naturel que le Poëme de la Grace leur
parût
mauvais. Oui, disaient-ils, cet Auteur a frappé q
Auteur, étaient presque toutes le fruit de l’un & de l’autre. Là
parut
aussi, avec le plus grand éclat, un Cardinal qui
a point cette raison déplacée ; mais il n’eût pas la couronne. Je vis
paraître
alors un homme à qui je l’eusse décernée sans scr
sublime Rousseau. Il s’avançait suivi de quelques Disciples, & ne
paraissait
craindre aucun rival dans l’un ni dans l’autre si
quelques livres, & tant de fois couronné dans quelques Académies,
parut
aussi tenant à la main le recueil de ses Odes Phi
ceaux de ses Tragédies ; morceaux que le jeu de Baron avait sçu faire
paraître
excellens ; mais qui parurent tels qu’ils étaient
aux que le jeu de Baron avait sçu faire paraître excellens ; mais qui
parurent
tels qu’ils étaient dans la bouche de leur Auteur
Auteurs de Rhadamiste & d’Œdipe. Nul de ceux qui les suivaient ne
parut
leur disputer la prééminence ; mais chacun se l’a
punir, D’être par un ingrat quittée, Pour n’avoir pu le prévenir. Là
parurent
aussi divers Ecrivains qui ont parcouru plus ou m
une de l’autre, ayant leurs chefs en avant. Corneille & Racine me
parurent
envisager l’Auteur de Zaïre & celui de Radham
il doit encore davantage à l’ambition qu’eurent certains débutans de
paraître
sous un habit à la moderne & décorés d’un cor
ai, sans effort, leurs mâles sentimens : Je leur prêtai mon ame ; ils
parurent
trop grands. Mais il faut l’avouer ; Guerrier, ou
être mes Rivaux : Vous m’avez surpassé ; vous êtes mes égaux. Il me
parut
que tout le tribunal adoptait cette décision. Les
ce champ si fertile pour vous. Aucun de ceux à qui Racine parlait ne
parut
douter de ce que ce grand homme aurait pu faire ;
ces abus que par anticipation. Bientôt, disait-il, avec un ton qui me
parut
un peu trop caustique. Bientôt sur la tragique s
x pour que cet oracle n’eût pas si-tôt son effet. Heureusement, il me
parut
n’effrayer personne. Chacun, en son particulier,
re. Je vis alors s’avancer de part & d’autre, les Auteurs qui ont
paru
, avec plus ou moins d’éclat, sur la scene comique
s dans la route connue ; mais on lui savait gré sur-tout d’avoir fait
paraître
Thalie sous un aspect aussi nouveau, sans déguise
de l’autre un voile dont il se couvrait le visage. Cette modestie me
parut
outrée ; mais je ne craignis pas qu’elle devînt c
à son repentir. Le Peintre sévere & caustique des Philosophes me
parut
n’avoir ni repentir ni remords. On desirait qu’il
nglois à Bordeaux, des Mœurs du tems, de l’Impertinent, &c. Il me
parut
, enfin, que si quelques Ecrivains comiques du der
vent en produit de mauvais. Dans un leste équipage, orgueilleux de
paraître
, Le Médecin renonce à ses grands mots latins. Sa
on tonneau, Trouverait encor des émules. Comme il achevait ces mots,
parut
un jeune Poëte nouvellement couronné sur la scène
it-il, en affectant de bâiller, voici donc encore du Quinaut ! Je vis
paraître
, en effet, ce tendre Lyrique chargé de tous ses c
ique, excepté depuis quelques tems. Avouez, toutefois, que vos scenes
paraissent
longues, même dans la psalmodie de Lully. J’avoue
se, & plus d’agrément, & plus d’intérêt qu’il n’avait d’abord
paru
en être susceptible. Vadé prétendait avoir été en
rvint un homme qui l’avait parcourue presque en entier. Son aspect me
parut
déconcerter autant une partie de ses contemporain
& qui soutient à quelques égards cette flatteuse comparaison. Là
parut
aussi la Mothe qui dans ses fables voulut trop s’
t que redoutable. Je craignis, sur-tout, pour notre siecle, en voyant
paraître
Lafare, Chapelle & Chaulieu. Cependant, Cet
Au don plus heureux de sentir. Un des plus chers favoris du Génie me
parut
ne l’aborder qu’avec circonspection. Il était ram
. Aux yeux du vainqueur enflamé Qui la vengea d’un infidèle, Ariane
parut
moins belle Que dans le portrait animé Où ton heu
Mais les plaisirs sont faits pour nous. Je ne fus pas étonné de voir
paraître
encore ici l’Auteur de la Henriade ; mais il me s
On ne les connaissait gueres que par le vers de Despréaux. Fontenelle
parut
avec les siennes qu’on a tant blâmées & tant
tueux qui, moins riches que ceux à qui ils succedent, ont l’art de le
paraître
davantage, & chez qui le luxe extérieur couvr
e dans un tems où chacun s’arroge le titre de Philosophe. Ces raisons
parurent
assez plausibles. Cependant, on jugea qu’il eût m
où le Génie remplace la méthode, où l’on trouve plus que l’Auteur n’a
paru
y mettre ; ouvrage, enfin, qui force à penser ceu
es des exemples qu’il avait donnés comme Général. Le sage Puiségur ne
parut
point avoir dérogé à ce titre dans son Art de la
plus d’être éclairés, & eussent rougi de ne pouvoir, au moins, le
paraître
. Nos Philosophes étaient plus moralistes que leur
rincesse de Cleves, firent mettre à l’écart tous ceux qui venaient de
paraître
. On les regarda comme deux modeles de vraisemblan
érentes mains, & qui se trouvaient épars dans différens recueils,
parurent
au Génie dignes d’être rapprochés, comme on rappr
crire en Philosophe. Les Auteurs de la nouvelle Histoire de France(a)
parurent
la traiter d’une maniere nouvelle. Ils rectifioie
ouvrage d’un genre neuf & d’une exécution supérieure au genre. On
parut
un peu embarrassé de la volumineuse Histoire des
line ancien, dévoilait à nos yeux tous les secrets de la nature. Elle
paraissait
n’en avoir aucun de caché pour lui. Il fixait not
L’avantage resta à celui des modernes, & ni l’un, ni l’autre n’en
parurent
étonnés a-20. Un essain de traducteurs s’approcha
e encore ta patrie ; Par de nouveaux traités assure son repos. Il me
parut
, enfin, que de nos jours il y avait plus de lumie
s se faisaient honneur d’appuyer. Celle de la pluralité des mondes ne
parut
pas entiérement neuve : mais Fontenelle eut la gl
de n’avoir plus de systême universel à imaginer. Enfin, l’Astronomie
parut
être étudiée & cultivée avec plus d’ardeur qu
s ne détruirez pas. A l’instant même il en effectua quelques-unes qui
parurent
mériter l’attention des spectateurs, & même c
ils avaient perdus. Nollet imitait tous les effets de la nature &
paraissait
lui commander dans ses opérations. De Parcieux em
de se rendre utiles à une science qu’ils cultivaient avec éclat. Elle
parut
, grace à tant d’efforts, parvenue à un degré de p
peut-être jamais rien vu de Raphaël. Il devait tout à son génie &
paraissait
avoir été formé par les meilleurs maîtres de l’ar
ils mettre les siens au jour. Deux autres Artistes(a), plus modernes,
parurent
également lui en imposer, & ce n’était point
dis en paraissant ; les seconds plus sûrs encore d’être blâmés d’oser
paraître
. On avait jugé les premiers d’après eux-mêmes, &a
amp; une ame que cette exactitude ne peut remplacer a-29. A l’instant
parut
la troupe des Architectes. Elle était moins nombr
sion seule & non le génie, manquaient à leurs Auteurs. Cet art ne
parut
donc pas avoir dégénéré. Il parut même que ses no
quaient à leurs Auteurs. Cet art ne parut donc pas avoir dégénéré. Il
parut
même que ses nouveaux efforts avaient été suivis
mation de Lulli. On écouta Dumesni & Muraire avec intérêt. Chassé
parut
, & à l’instant on n’apperçut que lui seul. Il
& sachez vous connaître. Vous êtes toujours grands, mais osez le
paraître
. Après cette leçon morale qui, sans doute, ne co
lle avec éloge ; mais c’était avant qu’elle vît le jour. A peine elle
parut
qu’on n’en parla qu’avec mépris, &, sans les
e Poëte avec plus de douceur qu’on ne pourrait le présumer. L’ardeur
parut
en eux soudaine & mutuelle. Elle brûla pour l
ieux : jamais il ne devint l’agent de la faiblesse des hommes. Ce qui
paraîtra
encore plus étonnant, c’est que Saint Michel, en
t encore plus défectueux dans ce Poëme que les précédens. Ce Prince y
paraît
d’abord faible & absolument découragé, ou plu
faible rimeur accablé sous le poids de la sienne. L’Alaric de Scuderi
parut
quelque tems après la Pucelle, & l’Auteur se
ession. C’était la mode alors d’entreprendre un Poëme Epique. On vit
paraître
le Clovis de Desmarets en vingt-six chants. Un su
, la nouvelle maniere de penser, de sentir & de voir. La Henriade
parut
& enleva tous les suffrages. Cessons d’envier
lles ne soient supérieures aux difficultés. Nous avons, cependant, vû
paraître
le Poëme de l’Isle-Adam, ou de la Maltiade, sujet
sone qui ose combattre contre Achille, & qui, même en lui cédant,
paraît
digne de l’avoir combattu. Tels ont été dans le g
au Bain ; production légere où le sentiment est approfondi, où l’art
paraît
subordonné à la nature ; mais où la nature est si
itation, & le burlesque n’imite absolument rien. Toutefois, il ne
paraît
pas qu’aucun Poëte Grec & Latin ait jamais pr
ssi excellent ne pouvait manquer d’imitateurs bons ou mauvais. On vit
paraître
en vers l’Art de Prêcher, sujet qui semblait mieu
ite, être infiniment moins modestes. A peu près dans le même tems que
parut
l’Art de Prêcher on vit éclore un Poême sur le le
a le sublime tableau d’Athalie : en un mot, le fils du grand Racine y
paraît
digne de porter ce nom célebre. La texture de cet
, & qui, dans tous les tems méritera d’être lu & consulté. Il
paraissait
difficile d’y joindre un chant sur la danse ; les
re bien peu exercé nos Poëtes. M. Dorat a vaincu ces difficultés sans
paraître
même avoir eu à les combattre. Le dernier siecle
M. l’Abbé de Marsy de n’avoir pas écrit en Français aussi-bien qu’il
paraît
écrire en Latin. Son Poëme de la Peinture serait
e n’exige pas, comme lui, une gradation combinée avec art. Le Poëte y
paraît
inspiré dès son début, & cette chaleur ne doi
lui-même donné d’excellentes regles sur la Tragédie. Enfin, Rousseau
parut
, mais ce fut vers la fin du dernier siecle, ou, p
oir acquis toutes les formes qu’il pouvait prendre. Un nouvel athlète
parut
, & déploya de nouvelles ressources dans cette
Poëte en est redevable. Au milieu des triomphes de cet homme célebre
parut
la Didon de M. Lefranc, ouvrage qu’on serait tent
ue, outre l’art d’ajuster ingénieusement au théatre les sujets qui en
paraissent
le moins susceptibles. On y revoit souvent le Che
-être encore supérieurs. On voit que depuis Moliere il avait toujours
paru
des lueurs de génie & de talent ; mais l’obsc
u’il a produits, nous lui sommes en partie redevables de ceux qui ont
paru
depuis dans le même genre, & qui peuvent l’em
eu d’efforts pour le développer. La plûpart de ses autres Comédies ne
paraissent
être que les essais d’un homme de talent, des can
nt Quinaut fut toujours exempt. Voici une de ces occasions où Lamothe
parut
avec un éclat digne de la réputation qu’il eut de
dit que cette carriere allait être abandonnée. Deux Auteurs seulement
paraissaient
encore vouloir y figurer. Ce qu’ils avaient déja
les ne sont, le plus souvent, que des hors-d’œuvres. Un Opéra Comique
paraît
, au premier coup d’œil, un ouvrage très-facile. C
mp; donner continuellement des preuves d’esprit, sans que ces preuves
paraissent
lui coûter aucune recherche. Après le Sage, parur
ue ces preuves paraissent lui coûter aucune recherche. Après le Sage,
parurent
sur la scene Lyri-Comique deux Auteurs qui l’ont
anté aussi agréablement ses vers, jamais Phaon ne lui eût résisté. Il
paraît
, au surplus, que les Pieces mêlées d’ariettes ont
us loin dans quelques-uns que dans d’autres. L’Italie & la France
paraissaient
jouir exclusivement de cet avantage ; l’Allemagne
en France très-jeune. Il eut le tems de se plier au goût national. Il
paraît
, sur-tout, avoir singulierement étudié le génie &
pittoresque, plus saillant que tous ses prédécesseurs. Enfin, Rameau
parut
, & guidé par son génie il prit un essor jusqu
rcevoir que M. Dauvergne contraignait quelquefois son génie. Son goût
paraît
l’entraîner vers le genre Italien. Peut-être n’y
nt heureux. M. Philidor, à qui les succès brillans sont si familiers,
paraît
peu fait pour en avoir de médiocres. Il doit plei
nt, ni la naïveté. On a distingué ses Fables de toutes celles qui ont
paru
de nos jours, & c’est le plus grand succès qu
vrage dont le commencement fait desirer la suite. Le Conte en vers ne
paraît
pas avoir été connu des Grecs. Il ne l’a même été
surpassés par notre célebre la Fontaine. Il est inimitable lorsqu’il
paraît
les imiter le plus. Quelle piquante ingénuité ! Q
mples. Nous avons trop long tems ressemblé à ce pédant qui ne voulait
paraître
que revêtu de la robe d’Aristote. Poésies lég
sert que fécond, plus gracieux qu’animé. Ce fut dans ce même tems que
parurent
ces vers de Lingendes. Si c’est un crime de l’ai
t il met de l’enjouement ; & lorsqu’il a voulu être sérieux, il a
paru
triste. Sa prose est plus travaillée que ses vers
fession est avilie, dédaignée. Les Bergers, tels qu’on peut les faire
paraître
dans une Eglogue, sont pour nous des personnages
âmer, mais qu’on cessera encore plus tard de lire. Au reste, ce genre
paraît
, en quelque sorte abandonné. Ce qu’il faut attrib
moins du ressort de l’esprit que de celui du cœur. C’est lui-même qui
paraît
avoir dicté les regrets de la Lane sur la mort de
p; il serait difficile de s’en mieux acquitter. De son côté Lingendes
parut
avoir luté contre Ovide dans l’Elégie qu’il lui a
t de l’amour Je ne puis voir Tircis que je ne sois émue. Je rougis de
paraître
interdite à sa vue. En sa mine, en son air, en c
e. Nous sommes redevables à M. Colardeau du premier modèle qui en ait
paru
dans notre Langue. Sa Lettre d’Héloïse à Abailard
s dès-lors elles décelaient le germe du talent. D’autres Héroïdes ont
paru
en même tems & depuis, avec plus ou moins d’é
rent place à la lumiere la plus brillante. L’Eloquence de la Chaire y
parut
dans tout son éclat, & celle du Barreau secou
vait tous les suffrages de la Ville & de la Cour, lorsqu’on y vit
paraître
un homme qui ne s’était modèle sur aucun autre. C
obéit qu’à son imagination, l’autre commande à la sienne : Bossuet ne
paraît
jetter qu’un coup d’œil en grand sur les sujets q
ande réputation. Si l’on eût moins attendu de lui, sans doute, il eût
paru
donner davantage. On reconnaît le même pinceau da
re champ plus riche & plus vaste que le premier. Elle peut même y
paraître
avec plus d’éclat & de faste. On voit d’abord
ami d’Horace & de Virgile, & qu’enfin, Néron, lui-même, n’osa
paraître
barbare tant qu’il respecta Séneque ? J’oserai le
Mallebranche sur les idées innées, & sa victoire sur ce point ne
paraît
pas douteuse. On regarde son essai sur l’entendem
qui en soient jamais résultées. Il ne donne rien à l’imagination ; il
paraît
même n’avoir fait, à cet égard, aucune violence à
bre attribue à des causes physiques. Certains détails de ce livre ont
paru
dangereux. Son estimable Auteur n’a point réclamé
é. Jamais Philosophe ne connut mieux l’art de la persuasion, & ne
parut
moins le rechercher dans ses discours. L’aménité
ercher dans ses discours. L’aménité accompagne tous ses préceptes. Il
paraît
n’écrire que d’après son cœur, & c’est presqu
ipe est difficile à combattre. C’est dans le cœur humain que l’Auteur
paraît
l’avoir puisé. Il ne sort pas même de sa sphere p
sentimens y sont vrais & délicatement exprimés. Chaque événement
paraît
moins amené par l’Auteur que produit par le sujet
récieux. Il est superflu de rappeller ici quelques Romans oubliés qui
parurent
à peu près dans le même tems. Ceux de Mademoisell
précédés. Parmi les productions de Madame de Villedieu, celles qu’on
paraît
aujourd’hui préférer aux autres, sont les Annales
igue unique par-delà deux volumes. Les Mémoires d’un homme de qualité
parurent
& passerent de beaucoup ce nombre. M. l’Abbé
t l’avouer, jamais on ne posséda mieux que lui l’art d’être long sans
paraître
ennuyeux. Dans le même tems, parut un autre scrut
que lui l’art d’être long sans paraître ennuyeux. Dans le même tems,
parut
un autre scrutateur du cœur humain. Il en traçait
On pourrait même soupçonner qu’il prête souvent à la nature ce qu’il
paraît
emprunter d’elle ; mais il nous fait aimer cette
p; dignes de leur succès. Il faut laisser à l’Auteur sa maniere. Elle
paraît
lui être naturelle & pourrait ne sembler que
p; qui intéressent jusques dans les moindres détails. Ces deux émules
parurent
presque en même tems ; mais l’un ne s’est point m
; elle s’est bornée à consulter la nature. Mais que par la suite elle
paraisse
avoir tout oublié ; que Saint-Preux, lui-même, ne
c’est dans cette morale un peu trop périodique. Madame de Villedieu
paraît
à peu près la même dans ses Nouvelles que dans se
r, & la modestie de se tenir presque toujours caché. M. Marmontel
parut
, & fit prendre au Conte une consistance qu’il
orale est embellie par la gaieté & les graces légeres. L’Auteur a
paru
les négliger dans d’autres Contes pour donner pre
r ; entreprise non moins dangereuse que celle de lui succéder. Il m’a
paru
, cependant, que mes Contes avaient trouvé grace a
faveur du motif. J’ajouterai, sans intérêt, que le genre du Conte me
paraît
avoir acquis toute sa perfection. Il joint le piq
re. La balance ne peut pencher ni d’un côté ni de l’autre, sans faire
paraître
ces sortes d’ouvrages ou trop pesans, ou trop lég
ur succéda ne prouva pas mieux qu’il s’en fût occupé. Cependant, il a
paru
différentes Histoires de Louis XIV. Leurs Auteurs
ait époque, ou qui ont influé sur la forme constitutive des Etats. Il
paraît
que les Révolutions d’Angleterre par le P. d’Orlé
ai dans ses écrits, & ce reproche est grave pour un Historien. Il
paraît
, en effet, que M. l’Abbé de Vertot, sans altérer
’estimable Rollin se soit trop ressouvenu de sa place en écrivant. Il
paraît
n’avoir travaillé que pour ses éleves. Le devoir
ité. Le même Auteur a écrit l’Histoire Romaine sur le même ton, &
paraît
l’avoir transmis à son continuateur. A cela près,
ue dans un genre étranger au style de l’Histoire. La révolution qui a
paru
se faire dans les esprits, a nécessairement influ
fut à quoi s’occuperent beaucoup de Savans du dernier siecle. On vit
paraître
alors, entre une foule d’autres, les Vavasseur, l
geait de montrer aux curieux le trésor de Saint Denis. Dès ce tems-là
parurent
d’autres Savans qui joignaient le goût à l’érudit
ité. Peut-être en faut-il excepter les tems héroïques de la Grece. Il
paraît
y avoir quelque analogie entre Hercule, Thésée, P
onde pour chercher les périls & la gloire. De tels hommes doivent
paraît
bien singuliers à notre siecle philosophique. Ils
mœurs des anciens Peuples. Ce sont des tableaux dont le costume nous
paraît
souvent bisarre & nous est toujours étranger.
na une Grammaire complette. C’était la premiere qui, jusqu’alors, eût
paru
dans notre Langue, & l’Auteur est encore aujo
n tribunal propre à le faire respecter. Le Dictionnaire de l’Académie
parut
, & fit loi chez tous les vrais amateurs du la
u’à regret ses rayons. Elle y est accueillie & conservée. Elle ne
paraît
pas, non plus, devoir si-tôt s’éclipser à nos yeu
diaphragme se resserre à volonté. Il écrivit aussi sur la comete qui
parut
en 1665. Picart fit un utile usage du mécromettre
t à chaque case, c’est-à-dire soixante-quatre fois. Une telle demande
parut
au Roi fort au-dessous de sa magnificence. Il y c
ecles. Ce ne fut qu’au commencement du quinzieme de notre Ere qu’elle
parut
sortir du tombeau. On se retrouva au même point o
ent, en même tems, des hommes utiles à cette science. L’Allemagne vit
paraître
le fameux Kepler. Il introduisit l’usage de l’inf
’Algebre, & un des premiers renovateurs de la Géométrie. Elle vit
paraître
aussi dès le commencement du dix-septieme siecle,
s. On ne la chercha plus que dans Aristote où elle n’existait pas. Il
parut
en Hollande, dans le seizieme siecle, un Simon St
ssez vraisemblable. Cependant Hughens lui disputa cet avantage. Alors
parut
un troisieme concurrent. C’était Hook, célebre Ma
ue maniere que ce puisse être. En un mot, la théorie de la Méchanique
paraît
être entierement éclaircie. Ce qui reste à faire
de en pleine mer. La pendule de M. le Roi de l’Académie des Sciences,
paraît
avoir, à cet égard, un avantage marqué sur celle
amp; par sa naissance(a) nous a fait part de la même découverte qu’il
paraît
ne devoir qu’à son génie & à ses propres rech
es Médecins de nos jours, qui dans tous leurs traitemens ont toujours
paru
avoir tiré de la nature l’aveu tacite de ses beso
le P. Castel imaginer un clavecin oculaire. Il est vrai que lui seul
parut
en distinguer l’harmonie. La glace a fourni à M.
vait très bien réussi entre les mains de M. de Salo son inventeur. Il
parut
décheoir lorsqu’il fut dirigé par d’autres. Il ne
plus d’objets comme son titre l’annonce, & l’exécution a toujours
paru
répondre au titre. Il est une sorte de Journal tr
elui-ci languit parmi nous jusqu’au regne de Louis XIII. Alors on vit
paraître
le Vouet qui, sans atteindre au sublime de l’Art,
gures de ses tableaux les statues qui lui ont servi de modeles. Il ne
paraît
avoir copié la nature que dans ses paysages. Mais
ions, par une imagination féconde & un coloris frappant. Le Moine
parut
& fixa l’attention des amateurs comme de ses
amp; toute l’imagination de le Brun dans ses grandes compositions. Il
paraît
même l’avoir emporté sur ce Peintre dans ce qu’il
s difficile. Tous deux ont leurs secrets & leur magie ; mais l’un
paraît
être plus compliqué que l’autre. On a dû entrepre
t en France. Deux freres célebres, François & Michel Anguier, qui
parurent
un peu plus tard que Sarasin, partagerent avec lu
de l’Art se multipliaient avec le nombre des grands Artistes. On vit
paraître
alors Girardon & le Pujet, deux rivaux illust
mâle & décidé. Il anime le marbre & le rend flexible. Tel il
paraît
dans le Milon de Crotone & dans l’Andromede,
iple est bien digne d’un tel Maître. C’est peu d’animer le marbre, il
paraît
le faire sentir & penser. Il exprime, avec la
es donnant sur les jardins, & la superbe Eglise des Invalides. Il
paraît
cependant que le génie austère de François Mansar
es plans qu’elle couronne chaque année. Le soin que les jeunes Eleves
paraissent
prendre de se conformer à ces regles, est une pre
’Architecte qui a présidé à la construction du Portail de Saint-Roch,
paraît
lui avoir donné trop peu de consistance & d’é
gne de François I, elle y languit jusqu’au regne de Louis XIII. Alors
parurent
quelques Artistes Français dont le burin devint j
ur l’Invention ; le Clerc, pour les Monumens. Le fameux Gérard Audran
parut
être né pour étendre les limites de son Art. Il r
orte de milieu entre ces deux Artistes. M. Grendtz a un genre qui lui
paraît
propre & qu’il fera bien de conserver. D’autr
ier siecle qu’il en faut chercher les premiers modeles. Baptiste, qui
parut
au commencement de celui-ci, se distingua par un
s marquée. Cet Artiste célebre eût été encore mieux apprécié s’il eût
paru
quelques années plus tard. Il lui manquoit des au
re & précis, dévore toutes les difficultés, ou plutôt rien ne lui
paraît
difficile. Jamais on ne posséda mieux l’étendue &
a Français, fut Organiste de Saint-Honoré à Paris. Quelque tems après
parurent
les célebres Couperin & Marchand. On connaît
? N’est-il plus permis de les étendre ? Les succès de M. Balbâtre me
paraissent
une très-bonne solution de ce problème. Les succè
aron laissait le champ libre à ces Psalmodistes, Adrienne le Couvreur
parut
. Elle ramena le ton de Melpomene au niveau de la
les graces du jeu & le charme de l’organe. Cet organe enchanteur
parut
la séduire elle-même quelque tems. Elle fit d’abo
que toutes les ressources de l’Art. Son jeu fut noble & animé. Il
paraît
, cependant, n’avoir jamais atteint ni le degré d’
on de la Soubrette à celui de la Femme titrée ; en un mot, cet Art de
paraître
en effet tout ce qu’elle veut être par imitation.
it celui du Glorieux : avec quels applaudissemens son successeur(a) a
paru
dans ceux de l’Homme à bonnes fortunes, du Méchan
orces, & peut-être même a-t-il été porté plus loin qu’elle. Il ne
paraît
pas que du tems de Lully, aucune Actrice, aucun A
s sur la scene. C’est sous les successeurs de ce Musicien, qu’on a vu
paraître
les plus célebres Actrices, telles que les Rochoi
baguette une force, jusqu’alors peu connue sur la scene lyrique. Elle
paraît
avoir été encore surpassée par trois Actrices, qu
in qui devait lui sauver la vie. C’est aussi dans notre siecle qu’ont
paru
les plus grands Acteurs de la scene lyrique ; les
vérité de son expression. L’Acteur qui le remplaça immédiatement(***)
parut
l’avoir étudié avec fruit. Il anima tous les rôle
empêcherent pas ce nouveau genre de se naturaliser parmi nous. On vit
paraître
à l’Opéra Comique les Troqueurs ; premiere tentat
les plus susceptibles de détail. Il eût fait rire Héraclite, & ne
paraît
prendre aucun soin pour exciter le rire. On est s
onnue. Ce spectacle, au reste, a éprouvé bien des vicissitudes. Il ne
parut
pas même d’abord établi sur des fondemens bien so
& le Public s’en passerait aussi difficilement aujourd’hui, qu’il
parut
d’abord difficile à l’admettre. La Danse.
narque ne s’en offensa point, mais il se corrigea de lui-même ; il ne
parut
plus sur la scene, &, ce qui prouve encore da
urd’hui qu’il ne donna jamais. Sa Danse n’était point nue ; mais elle
paraîtrait
un peu trop simple. On veut plus d’essor, plus d’
out a ses bornes. Aller plus loin c’est passer le but, & la Danse
paraît
toucher aux dernieres limites que lui a tracé le
e l’Hôpital. (a). M. Duhamel du Monceau. (b). M. le Roi. Sa pendule
paraît
avoir bien rempli cet objet, & est reconnue f
n majorité ; il était chez soi. Le troisième et le quatrième acte ont
paru
parfois languir à la scène. C'est moins une bonne
demandait avec cris je ne sais quoi, je ne sais qui. Madame Dorval a
paru
et est venue saluer ; mais ce n’était pas elle qu
t toujours tout en applaudissant. Les acteurs à tout hasard ont alors
paru
en masse ; mais il s’est trouvé que ce qu’on dema
ieu des nombreux amis, ne manquaient pas : un chat gris en personne a
paru
on ne sait d’où sur la scène. Ce chat a un peu in
eux expulsés hors de la ville ? car c’est dès le premier acte qu’il a
paru
. Ce chat parmi la famine de Béthulie : jugez des
t à la loi des sucres, elle est complétement oubliée et fondue. Il va
paraître
, le Voyage de M. de*** ; cela promet d’être curie
Il a visité dernièrement le lac de Genève du côté de la Savoie, et il
paraît
vouloir s’y fixer… Assez triste cadeau pour le pa
formation du dogme catholique de la princesse Belgiojoso viennent de
paraître
: je ne les ai pas vus encore. — Le succès de Luc
au par la publicité, notamment pour le Voyage en autobus de Sauvage à
paraître
aux Éditions Action dont il est donné ici un extr
ître aux Éditions Action dont il est donné ici un extrait (le recueil
paraîtra
chez Liber, voir ci-dessous l’introduction du n°
urbanisme », mouvement dont nous n’avons pas trouvé trace et qui nous
paraît
marquer le goût de la blague dont témoigne Action
i proposais de le naturaliser Juif, il sursauta : cette hypothèse lui
paraissait
horrible. Avec piété il attesta les mânes de son
s’étonner de cette justice et ajoutait un peu douloureusement : « Il
paraît
que vous m’avez attaqué dans les Ecrits Nouveauxv
nt mort en 1915 est « Tardif envoi de fleurs » (et non de pleurs). Il
paraît
dans le Mercure de France, 27e année, t. CXVII, n
e poète pourrait être Paul Aeschimann. (NdE) l. Le Feu de Barbusse,
paru
en 1916, au plus fort de la bataille de Verdun, e
es lettres, 2e série (1919), op. cit., p. 34. (NdE) m. Kœnigsmark,
paru
en 1918 chez Émile-Paul grâce à la recommandation
, et les conditions matérielles discutées en août : en août, le roman
paraît
donc achevé, même s’il ne paraîtra à partir de dé
iscutées en août : en août, le roman paraît donc achevé, même s’il ne
paraîtra
à partir de décembre 1917. (NdE) n. Antinea est
ir de décembre 1917. (NdE) n. Antinea est l’héroïne de L’Atlantide,
paru
en 1919. (NdE) o. Il faut lire Tirésias. La pièc
ïque » est Cocteau bourgéticide ou Apollinaire sauvé, farce héroïque,
parue
dans Les Écrits nouveaux, t. I, n° 5, p. 57-68. L
lieu, Apollinaire se contentant d’une rétractation publique de Cravan
parue
dans Les Soirées de Paris et le Mercure de France
pas trouvé trace de cette anthologie. (NdE) v. Les Écrits nouveaux
paraissent
de novembre 1917 à décembre 1922. La revue devien
sa mort. À la demande d’Apollinaire, il écrit un article sur lui qui
paraît
quelques jours avant sa mort, le 15 octobre 1918,
ouvera le texte du manifeste de Pol Michels et d’Augustus Van Werveke
paru
en 1917 dans La Voix des jeunes : « Nous ! Manife
nt alors à la peinture traditionnelle, retour consacré par un article
paru
dans le numéro de novembre-décembre 1919 de Valor
am. « Le théâtre aérien futuriste », texte daté du 11 avril 1919, a
paru
en français dans Roma futurista, organe des futur
tait il y a vingt ans ; il est même beaucoup plus inquiétant qu’il ne
paraissait
alors devoir l’être. « Avec une santé généraleme
ns cinquante. Les peines cachées sont innombrables. Beaucoup d’hommes
paraissent
assez heureux ; mais ce qu’ils se disent à eux-mê
s. Mes enfants, du moins, sont bien constitués, et leurs dispositions
paraissent
bonnes. Mon fils est dans un état qui ne me plaît
à le remplirrégulièrement. Tous les dix jours, par exemple, il aurait
paru
en une feuille ou en dix, selon les circonstances
mérite apparent, sur ce petit mérite commun qu’il est très-facile de
paraître
avoir, sur cette élévation qu’on affecte en vérit
nos inadvertances, nos tiédeurs, toutes nos faiblesses. La joie nous
paraît
un peu ridicule, mais non le contentement. — La p
it connaître davantage ; mais faire beaucoup de pas pour le succès me
paraît
peu digne des arts mêmes, à plus forte raison de
nt conduits quarante siècles de travaux : ce qu’ils me répondirent me
parut
étrange ; ne sachant que penser de tout le mouvem
retraite ignorée le songe incompréhensible. « Le lieu de la retraite
paraîtrait
fort difficile à choisir ; n’ayant pu vivre avec
s, dès que le vent du sud a régné durant quelques heures. « La vallée
paraît
fermée de toutes parts, mais les collines s’abais
qu’il est tel que nous eussions pu désirer un voisin, et parce qu’il
paraît
avoir besoin de ces distractions auxquelles, nous
c’est par le doute qu’on s’éloigne moins de la vérité. « Mes écrits
paraîtront
sombres, et l’on ne manquera pas d’y voir un effe
avait vu l’Amérique, a écrit éloquemment dans ce genre ; Mmede Staël
paraît
avoir aussi senti l’étendue de nos pertes, mais l
talent peu fait pour être apprécié par le roi, de petites pièces qui
paraissaient
successivement, ne pouvaient avoir l’éclat d’un g
-tu marcher droit ? Cette idée, qui fait le fonds de la fable, ne me
paraît
pas heureuse. Ce ne doit point être un défaut, au
vicieuse que sa fille imite. Cet Apologue, pour être d’Ésope, ne m’en
paraît
pas meilleur. Il a réussi, parce que cette image
s qualités qui n’ont qu’en vous, etc…. Tous ces éloges directs ne me
paraissent
ni ingénieux ni dignes de La Fontaine : et ce qui
ait se faire estimer joint à ce qui sait se faire aimer, tout cela me
paraît
d’un ton trivial et bourgeois. V. 33. Il ne m’ap
in, car nous y voilà. Je ne ferai aucune note sur cette fable, qui me
paraît
au-dessous du médiocre, et où l’on ne retrouve La
que fait l’animal mangé des mouches ; et sous ce rapport, le renard a
paru
mieux convenir. Fable XIV. V. 7. Comment l
p négligées. Et puis le firmament est presque un mot de théologie qui
paraît
ici déplacé. V. 38. Ceci soit dit sans nul soupç
tendre infiniment Pour ses amis, et non point autrement. Le reste me
paraît
faible. Je trouve aussi l’idée de la fable un peu
’intérêt d’une société aimable et le charme d’une amitié parfaite. Il
paraît
que cette fable avait été laissée dans le porte-f
ce qui eût été ridicule à l’âge où il était, quand ce douzième livre
parut
. Au reste, peut-être n’y regardait-il pas de si p
sur les faits. V. 19. Même les chiens de leur séjour. Voilà qui me
paraît
étrange ; mais à toute force peut-être les chiens
; mais ni Boileau, ni Racine ne se le sont permis. Toute cette fin me
paraît
dénuée de grâces, et le mot de Charles II à madam
mais n’ayant jamais intention de les éteindre tout à fait ». Loin de
paraître
toujours trop catholique, il y a des instants où
mi-réforme, ne croit pas innover ; en religion comme en politique, il
paraît
croire qu’il suffit de revenir à une époque antér
ns de ses personnages au détriment des autres. Son Coligny ne nous en
paraît
pas moins ambitieux pour être une âme libre. C’es
stile à ceux de la religion réformée que la Cour, à ce quart d’heure,
paraît
leur être favorable. Vers ce temps du colloque de
un historien qui écrirait, de nos jours, ces mêmes pages de Mézeray,
paraîtrait
avoir voulu faire des allusions aux personnages e
la Révolution française : et c’est en cela que le récit de Mézeray me
paraît
préférable à tous autres et d’un intérêt inappréc
t le règne de Henri III et les premières années de celui de Henri IV,
parut
en 1651, c’est-à-dire entre deux Frondes : jamais
tout le blâme de cette journée sur le front de ses ennemis. Mézeray
paraît
donc croire que la réponse tant citée du premier
près le triomphe. C’est ainsi qu’après l’assassinat de Blois, Mézeray
paraît
douter que Henri III, du moment que Guise est par
dire après l’avoir un peu contemplé : Mon Dieu, qu’il est grand ! il
paraît
encore plus grand mort que vif, ont, à ce que je
voie de fonder le premier journal littéraire et scientifique qui eût
paru
en France. La pièce est rédigée sous forme de pri
sera bon être les nouvelles lumières, connaissances et inventions qui
paraîtront
dans la physique, les mathématiques, l’astronomie
bientôt maille à partir avec les puissances. Son Abrégé chronologique
parut
en trois volumes (1667) ; il s’était fait aider,
u collège de Clermont, ayant lu le livre, en parla à son père, et lui
parut
singulièrement instruit, d’après cette lecture, d
non traduite dans un style modernisé. L’Histoire du père Daniel, qui
parut
cinquante ans après, est bien autrement approfond
t, avec une lessive de plus, aurait pu devenir un bijou. Saint-Martin
paraît
avoir eu une veine, une nuance de gaieté en causa
ournées suivantes ; il fut témoin des canonnades et des massacres, et
paraît
surtout sensible à la protection singulière dont
uter en ce genre un grand poids à nos prétentions : cette victoire me
paraît
un des plus beaux pas qu’ait faits la Révolution.
d’émigrés traqués de toutes parts et sans asile ne laisse pas de lui
paraître
véritablement lamentable : Moi-même, dit-il, j’a
au-delà de ce qu’il voyait : Le bien-être terrestre, disait-il, m’a
paru
si bien un obstacle au progrès de l’homme, et la
ussant que Condillac, mais encore cent degrés au-dessus. Condillac me
paraît
auprès de lui en philosophie, ce qu’en fait de ph
nemi. Garat, depuis cette contradiction à laquelle il était peu fait,
parut
rarement dans sa chaire. Les Écoles normales fini
comme Saint-Martin, et rendons toute justice à Garat. Lorsqu’en 1801
parut
la nouvelle édition des Séances des Écoles normal
; il n’en faut point séparer l’Éclair sur l’association humaine, qui
parut
deux ans après (1797). On peut remarquer dans ces
ici-bas, quelles que soient les épreuves de la crise dernière, ne lui
paraissent
pas trop chèrement payés. — Lui, de tous les homm
ux à extraire : Bernardin de Saint-Pierre, de l’Institut, dit-il, me
paraît
un excellent homme. Nous avons dîné ensemble chez
es cordes sacrées. — La douleur, dans l’homme et hors de l’homme, lui
paraissait
le cri universel, et il eût dit volontiers avec l
de Pâques. Cette cérémonie me causa beaucoup d’attendrissement et me
parut
propre à opérer, même sur les gens âgés, de très
e. Il ajoute un post-scriptum daté de 1801 ou de 1802, dans lequel il
paraît
vouloir démontrer que partout où il s’est trouvé
c des Écoles normales, pour produire son effet de réfutation ? Ce qui
paraît
sûr, c’est que Saint-Martin, qui avait eu d’abord
-je joui de sa conversation que pendant le repas : car aussitôt après
parut
une visite qui le rendit muet pour le reste de la
t, il l’enrichit de circonstances tirées de son imagination, qui font
paroître
l’action un sujet neuf. Or c’est l’invention de c
Rubens qu’on voit au maître autel des recolets d’Anvers. Jesus-Christ
paroît
mort entre les deux larrons qui sont encore vivan
it si bien en imposer à l’oeil par la magie de son clair-obscur, fait
paroître
le corps du larron sortant du coin du tableau dan
isis d’une peur mêlée d’étonnement à l’aspect du desordre nouveau, où
paroît
le ciel, sur lequel leurs regards sont attachez.
idens differens de la même passion, va jusques au sublime ; mais elle
paroît
si naturelle en même-tems, que chacun s’imagine q
pre de ces inventions sublimes que le genie seul fait trouver, que de
paroître
tellement liées avec le sujet, qu’il semble qu’el
cet ouvrage peut avec justice être placé au nombre des bons : il m’a
paru
bien supérieur à tout ce que je connaissais jusqu
ton si libre ; c’est peut-être celui du véritable amour ; mais ce ton
paraît
affaiblir l’amour même dans la bouche d’une femme
a semés dans son ouvrage, me plaisent beaucoup en eux-mêmes, mais me
paraissent
refroidir un peu l’intérêt, parce que l’unité est
aisir. Cependant l’intérêt, c’est-à-dire l’intérêt de la passion, m’a
paru
si vif dans le livre de J. J. Rousseau, que peut-
e, sont encore pires ; il n’y en a qu’une seule, la dernière, qui m’a
paru
bonne ; et je ne l’ai trouvée telle, que parce qu
i ne s’embarrasse guère de leur en faciliter les moyens. Ce livre m’a
paru
, en général, plein d’éclairs et de fumée, de chal
aites-vous autant ? mais je dirai que la chaleur de J. J. Rousseau me
paraît
tenir plus aux sens qu’à l’âme. Il y a dans Virgi
st quelque chose. L’intérêt vif que J. J. Rousseau prend aux femmes,
paraît
surtout dans son quatrième volume : comme il est
lez, madame, mon jugement en détail sur chaque volume, le premier m’a
paru
le plus faible et le plus traînant ; le second le
harles Perrault l’Auteur du Parallele des Anciens & des Modernes,
parurent
sur les rangs. Mais ce dernier adversaire paroiss
t terminer un procès sans pouvoir lire les pieces. D’autres Ecrivains
parurent
dans cette dispute ; mais ce fut pour se mocquer
e avec plus de feu, plus de poésie, plus de grace, que celles qui ont
paru
jusqu’à present. On sçait que la Motte ne se cont
é admis parmi nous à donner ses Farces à la Foire St. Laurent ; il me
paroît
beaucoup plus bas & beaucoup plus méprisable
nt la Philosophie.” Cette audace cynique fut réprimée, & l’on vit
paroître
la Comédie moyenne, & enfin la Comédie nouvel
le mérite des Poëtes Grecs étoit avili, ou ignoré. Il n’a encore rien
paru
de si raisonnable & de si profond sur ce suje
tant quelques taches dans ce Livre d’ailleurs excellent. Le P. Brumoi
paroît
faire trop de cas des plaisanteries fades & p
nce. La même année que M. Panckoucke fit ce présent au public, on vit
paroître
une nouvelle traduction de Lucréce à Paris en deu
ns, le Poëme de Lucréce ; mais j’ignore pourquoi sa version n’a point
paru
. On peut juger du soin avec lequel elle est faite
es, de la Cour d’Auguste, & des amis de Catulle. Cet ouvrage, qui
parut
en 1680., est plûtôt un Roman qu’une histoire, c’
n beau françois lui fit une harangue : Et comme à ce discours Segrais
parut
surpris, Si je sçais, lui dit-il, le fin de votre
ent d’ailleurs un homme accablé du poids de son entreprise, & qui
paroît
ne songer qu’à s’en délivrer promprement. Enfin S
egrais avoit aussi traduit les Georgiques, & cet ouvrage posthume
parut
en 1712. in-3°. ; mais notre Parnasse se glorifie
belle copie d’un beau tableau. Les Eglogues du Poëte latin ont aussi
paru
en vers françois avec moins de charmes ; mais plu
l n’en fait qu’une. Ici il enleve au Poëte plusieurs vers qui avoient
paru
sous son nom. Il change la distribution à laquell
faire sentir l’économie, la liaison & l’unité. Ce double objet a
paru
très-bien rempli. La traduction, dont j’ai confér
s, n’a presque rien perdu de son tour asiatique ; & le traducteur
paroît
trop souvent le paraphraste de son Auteur. L’Art
le ; & il faut bien s’en contenter toute foible qu’elle est. Elle
parut
à Lyon en neuf volumes in-12. 1697. Le premier vo
re où il trace les portraits des trois Satyriques latins. Juvenal y a
paru
d’ailleurs un peu trop maltraité & Perse trop
n oncle. “Concluons, que quand on a bien discuté Lucain, son mérite
paroît
se réduire à faire penser fortement quelques-uns
ensée, le traducteur demeure beaucoup au-dessous ; comme s’il vouloit
paroître
facile & naturel, où il lui seroit permis d’e
ux Ecrivains la Pharsale avoit été négligée, lorsqu’enfin en 1766. il
parut
deux traductions à la fois. La premiére celle de
, quant au détail, beaucoup d’interprétations dans lesquelles il nous
paroît
n’avoir pas saisi le sens de Lucain. Sénéque.
r est M. Mairault mort en 1746., deux ans après que sa traduction eut
paru
. Ausone a de beaux morceaux. Toutes ses œuvres o
i font des vers dans une langue morte, & la Latinité moderne leur
paroît
aussi au-dessous de l’ancienne, que le françois e
s-unes de nos Provinces. Ce préjugé peut être injuste ; mais comme il
paroît
avoir généralement gagné, nous nous étendrons for
us les critiques n’ont pas pensé comme lui. L’ouvrage de du Fresnoy a
paru
peu méthodique, & ses préceptes sont exprimés
succès. Il fut traduit en françois par Roger de Piles. Cette version
parut
en 1677. avec le texte & un grand nombre de r
n intitulé, la Callipédie, ou la maniere d’avoir de beaux enfans, qui
parut
en 1656. in-8°. Paris, avec une Epître dédicatoir
(*). Elle a été plusieurs fois imprimée en 2 vol. in-12. (*). Elle
parut
en 1728 en 1. vol. in-4°. sous le titre de Poésie
d’abord nié, et de ce qu’il a, autant qu’il l’a pu, détruit. Il devra
paraître
à quelques-uns, je le sens, assez présomptueux d’
rsonne de condition, de la descendance du chancelier L’Hôpital. Il ne
paraît
pas pourtant que l’enfance du poète ait été assié
trouvai dans un cabinet au fond du jardin, seul avec son chien qu’il
paraissait
aimer extrêmement. Il me répète plusieurs fois co
r extrêmement. Il me répète plusieurs fois combien mon entreprise lui
paraissait
audacieuse. Je lis avec une grande timidité une t
élèbres poëtes ses prédécesseurs, il fut du moins pour eux, dès qu’il
parut
, comme un filleul gâté et caressant. Ses strophes
ie qui était comprise dans cette chaire. La traduction des Géorgiques
parut
à la fin de l’année 1769 ; elle était annoncée à
à la nation. Le poëme des Saisons et la traduction des Géorgiques me
paraissent
les deux meilleurs poëmes qui aient honoré la Fra
quer à madame d’Houdetot. On fit des cartons à ces endroits, le livre
parut
, et tout le monde lut Clément. Il disait de bonne
s les éditions suivantes, des critiques de Clément en ce qu’elles lui
paraissaient
renfermer de juste, et il rendit sa traduction pl
e de ce genre, je pensais à Delille et me disais combien ce qui avait
paru
si neuf de son temps était vieux sous le soleil.
iment, de noblesse et de folie, qu’elle ne lui laisse pas le temps de
paraître
laide. Il s’en occupe, mais seulement comme de to
rs, le poëme des Jardins, premier fruit raffiné de ce goût champêtre,
parut
en 1782, et n’eut pas de peine à fixer toute l’at
, en étant du parti des malheureux32. La critique la plus célèbre qui
parut
contre les Jardins est celle de Rivarol, c’est-à-
la dès lors, et par fragments toujours, à la plupart des ouvrages qui
parurent
ensuite coup sur coup à dater de 1800. M. de Choi
moment où c’était plutôt le cas de rester ; et, une fois parti, il ne
parut
occupé que de rentrer le plus tard possible et à
aparte. En regard du trophée poétique que lui dressaient ses amis, il
parut
une brochure intitulée Observations classiques et
l’embarras de se rétracter. A cela près, l’inspiration de la Pitié ne
parut
pas moins suffisamment royaliste et bourbonienne.
son style. De Styx et d’Achéron peindre les noirs torrents, ne lui
paraissait
pas du tout la même chose que s’il avait mis : Du
e et pour lui, ressemble, j’oserai dire, à ces digues de Hollande qui
paraissent
au niveau de la mer et qui pourtant n’en sont pas
le prestige de la renommée et l’idée de génie rachetaient tout. S’il
paraissait
à l’Académie pour y réciter quelque morceau ; si,
tifs, et qui n’atteignait Delille qu’indirectement et sans le nommer,
parut
presque un attentat. Il mourut d’apoplexie dans l
ul intérêt, monsieur, dans cette protestation posthume ; mais vous me
paraissez
digne de la vérité, et je viens de la dire. — Au
voir des marques d’une nature franche, dévouée, sincère, et il nous a
paru
très-concevable en effet que ceux qui ont connu m
mis littéraires du poète. Quant à l’anecdote des dix louis qui aurait
paru
presque odieuse, nous la réduirons à sa valeur en
ande ni large ; que souvent même elle est froide et pénible. La grâce
paraît
être son caractère distinctif, mais c’est la grâc
ce de l’Homme des Champs, M. de M., est Sénac de Meilhan ; ce qui me
paraît
plus vraisemblable que M. de Mestre, qu’on lit da
t gestes de l’auteur et de son Antigone (Paris, 1803). L’anonyme, qui
paraît
avoir connu depuis longtemps Delille, s’attache,
. Les hommes ne sçauroient être gueres touché d’un évenement qui leur
paroît
sensiblement impossible. Il est permis aux poëtes
fait arriver. Ce qui est impossible en ces circonstances ne sçauroit
paroître
vrai-semblable. Je n’entens pas ici par impossibl
par impossible ce qui est au-dessus des forces humaines, mais ce qui
paroît
impossible, même en se prêtant à toutes les suppo
é, plus ou moins grande, de ceux pour qui le poëme est composé. Il me
paroît
trop difficile de placer ces bornes. D’un côté, l
r l’exageration qu’il renferme, qu’aucun trait de L’Arioste. Il ne me
paroît
donc pas possible d’enseigner l’art de concilier
r les faits, ce qui peut être contraire à leur déposition ne sçauroit
paroître
vrai-semblable. Or comme la verité est l’ame de l
es choses plus de peine et de soin qu’elles ne valent ; et que ce qui
paraîtrait
commun en prose, ne mérite pas l’appareil de la v
de la richesse et de l’harmonie des expressions. Les anciens surtout
paraissent
y avoir été fort sensibles. Horace parle de Pinda
disais-je à moi-même, si le français était une langue morte, ces odes
paraîtraient
excellentes ; il serait impossible d’y apercevoir
au hasard. Revenons à l’ode. Le public, soit lassitude, soit humeur,
paraît
aujourd’hui un peu dégoûté de ce genre ; il marqu
e, du poème, ou de l’épître. Elle a considéré cependant, que si l’ode
paraissait
chanceler sur son trône, ce n’était pas à l’Acadé
es qui lui restent. La faveur que l’ode semble avoir perdue, l’épître
paraît
l’avoir gagnée. Nos poètes d’ailleurs s’y trouven
ence, car il en a de toutes les espèces. Quoi qu’il en soit, l’épître
paraît
plus faite pour réussir aujourd’hui ; elle se pré
sur les anciens, quelque excès peut être permis, la liberté de penser
paraît
encore plus excusable que la superstition. Le tem
rt de contenant à contenu ? Cette conception de la grandeur intensive
paraît
être celle du sens commun, mais on ne saurait l’é
ort entre deux étendues. Mais c’est la nature de cette opération, qui
paraît
malaisée à déterminer. La solution qui se présent
le nous le rattachons comporte difficilement la mesure. Ainsi il nous
paraît
évident qu’on éprouve une douleur plus intense à
mouvement ou d’un objet extérieur. Mais certains états de l’âme nous
paraissent
, à tort ou à raison, se suffire à eux-mêmes : tel
leur ; et voici que votre point de vue sur l’ensemble des choses vous
paraît
maintenant avoir changé. N’est-il pas vrai que vo
la même impression ? Toutes vos sensations, toutes vos idées vous en
paraissent
rafraîchies ; c’est comme une nouvelle enfance. N
maîtres. Comme nous devinons presque l’attitude qu’il va prendre, il
paraît
nous obéir quand il la prend en effet ; la régula
t non pas causé. On comprend alors pourquoi l’émotion esthétique nous
paraît
admettre des degrés d’intensité, et aussi des deg
nt nous venons de définir l’intensité sont des états profonds, qui ne
paraissent
point solidaires de leur cause extérieure, et qui
eux termes. Même, dans certaines de ses manifestations, la conscience
paraît
s’épanouir au dehors, comme si l’intensité se dév
posée de la série des faits psychologiques. S’il est un phénomène qui
paraisse
se présenter immédiatement à la conscience sous f
. William James a été de vérifier l’hypothèse sur des exemples, qui y
paraissaient
absolument réfractaires. Ainsi, quand le muscle d
saie en vain de tourner l’œil du côté droit ; pourtant les objets lui
paraissent
fuir à droite, et puisque l’acte de volonté n’a p
point, à une conclusion que M. James n’a pas formulée, mais qui nous
paraît
tout à fait conforme à l’esprit de sa doctrine. N
ions qui n’occupent point d’espace. Si la sensation plus intense nous
paraît
contenir la sensation de moindre intensité, si el
lumière demandent alors à se renforcer de notre effort qu’elles nous
paraissent
faibles. Inversement, nous reconnaissons la sensa
persistance avec laquelle elle revient. Ainsi le tic-tac d’une montre
paraît
plus sonore pendant la nuit, parce qu’il absorbe
descend dans d’autres. Il est incontestable que les notes aiguës nous
paraissent
produire des effets de résonance dans la tête, et
ace avec cette sensation elle-même. Le résultat de cet examen ne nous
paraît
pas douteux : on s’apercevra bien vite que la gra
e la grandeur de sa cause. La distinction du lourd et du léger pourra
paraître
aussi arriérée, aussi naïve que celle du chaud et
t un certain temps sans que l’éclairage de notre surface blanche nous
paraisse
changer : il ne paraîtra changer, en effet, que l
ue l’éclairage de notre surface blanche nous paraisse changer : il ne
paraîtra
changer, en effet, que lorsque l’accroissement ou
’observateur de lui dire si, à un moment donné, la teinte grise B lui
paraît
également éloignée des deux autres. Un moment arr
s, la psychophysique serait fondée. Mais c’est cette égalité qui nous
paraît
contestable : il est facile d’expliquer, en effet
at fondamental de l’opération entière. Or, c’est ce postulat qui nous
paraît
contestable, et même assez peu intelligible. Supp
té de M. Delbœuf a été de choisir un cas particulier où la conscience
parût
donner raison à Fechner, et où le sens commun fût
sensations correspondent à une cause dont l’influence nous a toujours
paru
étroitement liée à sa distance ; et comme cette d
raste d’une première teinte grise avec une seconde, par exemple, nous
paraît
à peu près égal au contraste de la seconde avec u
minue, de combien elle grandit. Et parce qu’une mesure de ce genre ne
paraît
pas directement possible, il ne s’ensuit pas que
s et nerveuses viennent se concentrer dans le cerveau, que le cerveau
paraît
être l’organe propre et immédiat de l’aine, c’est
cerveau soit l’organe de la pensée et de l’intelligence, c’est ce qui
paraît
suffisamment attesté par le fait que nous sentons
tème nerveux se perfectionne (c’est toujours Gall qui parle), lorsque
paraît
un petit cerveau au-dessus de l’œsophage, paraiss
qui parle), lorsque paraît un petit cerveau au-dessus de l’œsophage,
paraissent
aussi quelques instincts, quelques aptitudes inné
très satisfaisants, car s’il est un grand nombre d’animaux où la loi
paraît
se vérifier, il est des exceptions capitales et i
-t-elle une petite mine assez spirituelle. » Quelque rationnelle que
paraisse
cette méthode, elle me paraît devoir soulever que
irituelle. » Quelque rationnelle que paraisse cette méthode, elle me
paraît
devoir soulever quelques objections. Je comprends
question des localisations, disons seulement que ces circonvolutions
paraissent
liées au développement de l’intelligence. Un natu
es uns ajoutent : et de la profondeur des anfractuosités. M. Flourens
paraît
donner raison à cette opinion. Les rongeurs, nous
roy Saint-Hilaire. Mais l’opinion de celui-ci n’était pas, à ce qu’il
paraît
, aussi affirmative ; et cette corrélation entre l
et cette corrélation entre l’intelligence et la petitesse de l’animal
paraît
mériter confirmation. L’autre condition, à laquel
smarais, Buffier, Girard, Restaut, de Vailli. La Grammaire du premier
parut
à Paris en 1706. in-4 . Le nom de l’auteur prévin
ur renvoyoit cette partie importante à un autre ouvrage qui n’a point
paru
. En un mot cette Grammaire, quoique semée de quan
n ouvrage renférme des préceptes solides & clairement exposés. Il
parut
pour la premiere fois en 1754. in-12. sous le tit
Le Dictionnaire de Furetiere, moins mauvais que celui de Richelet, ne
parut
pas pourtant un ouvrage parfait, lorsqu’il vit le
rentes propriétés, & les diverses significations des mots. Tout y
paroît
développé avec tant d’ordre & de clarté, que
oge doit recevoir beaucoup de restrictions. Il est vrai que lorsqu’il
parut
pour la premiere fois, c’étoit ce qu’on avoit vu
. Elle n’opposa à Furetiere que la modération & le silence. Il ne
parut
même contre le premier qu’une épigramme de la Fon
té ensuite jusqu’à sept volumes du même format. Quand ce Dictionnaire
parut
, disent les auteurs du Grand Vocabulaire, la nati
le Dictionnaire de l’Académie françoise, dont la quatriéme édition a
paru
en 1762. en deux vol. in-fol. Cette Compagnie s’e
de sa langue. On est étonné de voir dans quels embarras l’Académicien
paroît
quelquefois se jetter pour l’examen d’un mot ou d
firent beaucoup d’ennemis. Lorsque sa traduction du nouveau Testament
parut
, on ne l’épargna point. Il se plaignit à Boileau
va jusqu’à imprimer que les Princes sont quelquefois mal éduqués. Il
paroît
que ceux qui parlent ainsi, ont reçu eux-mêmes un
it été endommagée par des inondations. En un mot, Monsieur, la langue
paroît
s’altérer tous les jours ; mais le style se corro
r la différence du langage poétique, d’avec celui de la prose, qui me
paroît
un peu chimérique, pour ce qui concerne les regle
eut rien de parfait en ce genre jusqu’en 1694. Ce fut cette année que
parut
le Dictionnaire Etymologique, ou origines de la l
épuré et que la mise en scène du bon Dieu et du diable avait fini par
paraître
quelque chose d’assez inconvenant, on permit aux
e transition, sont : Fonteny, ancien confrère de la Passion, qui fit
paraître
, en 1587, le Beau Pasteur, la Chaste Bergère et G
ent chantés, il s’ensuivit une espèce de baccanale qui, de nos jours,
paraîtrait
fort innocente, et qui parut alors un attentat à
èce de baccanale qui, de nos jours, paraîtrait fort innocente, et qui
parut
alors un attentat à la religion. Ce fut à grand’p
du public était devenue telle aux représentations, qu’un seul théâtre
parut
insuffisant. La troupe de l’hôtel de Bourgogne se
é ; mais avant de parler de lui, disons un mot de Robert Garnier, qui
parut
après Jodelle et fut comme le trait d’union entre
ec lui, il lui défendit très-sérieusement, de son autorité privée, de
paraître
au théâtre. — Je t’interdis pour un mois, lui dit
is, lui dit-il. Deux jours plus tard, Cyrano étant à la comédie, voit
paraître
Montfleury en scène dans la pièce de Cloreste. Il
, comme on pense faire un sacrifice aux dieux, Qui verse plus de sang
paraît
le plus pieux. A côté de ces preuves de bon goût
rie, il vît ses brebis paître ; Soit que sa bonne grâce au bal le fit
paraître
, Je le suivais partout de l’esprit et des yeux. …
ntine, ou le Désespoir, dans laquelle se trouve la scène suivante qui
parut
aux spectateurs de cette époque, la chose du mond
le pauvre amoureux. L’ami se nommait Pierre Corneille. L’aventure lui
paraît
fort agréable, et si plaisante, qu’il en fait une
ndonné, et c’est par ce même rôle qu’il quitta la scène pour n’y plus
paraître
. Il était temps, car il ne put achever son rôle.
s-là, Danser et Phèdre et Cinna. Alors un acteur de la troupe du roi
paraissait
et, pour justifier le nouveau genre adopté par la
changer le costume de ville en costume de cour, c’est-à-dire qu’elle
parut
sur la scène en robe à queue traînante et à panie
étaient souvent applaudies et admirées. C’est donc ainsi attiffés que
parurent
sur la scène française les héros de Rotrou, de Co
es réformes à faire encore au costume. Ces réformes cependant ne nous
paraissent
pas urgentes. De même que les dandys de Louis XV,
ns dramatiques, non-seulement ne ressemblent pas à celles qui avaient
paru
jusqu’alors, mais nulle des siennes n’a d’analogi
du produit des représentations de Mélite : bonne farce. Mélite avait
paru
trop simple au public, Corneille s’en aperçut et
ues expressions un peu trop décolletées. Cette pièce, donnée en 1630,
parut
aux spectateurs préférable à Mélite ; mais Cornei
e quelques louanges l’invention de mon esprit, etc. » Bientôt après,
parut
la première tragédie de Corneille, Médée. C’était
représentées sur la scène à différentes époques. La muse tragique ne
parut
pas d’abord vouloir traiter aussi bien le poëte n
nna en 1639, Polyeucte en 1640. Lorsque la belle tragédie des Horaces
parut
au théâtre, le bruit se répandit que l’Académie f
s que je puisse haïr. Après les Horaces, et dans la même année 1639,
parut
la magnifique tragédie de Cinna. Deux chefs-d’œuv
re vivant la faim et la soif. Don Sanche d’Aragon, comédie héroïque,
parut
en 1651, après Andromède, ou si l’on veut, après
eautés, mais qui ne sont plus à la hauteur de ses belles conceptions,
parut
vouloir se relever par la tragédie de Nicomède, j
ue plusieurs scènes semblaient une allusion à cet événement. En 1653,
parut
Pescharite, roi des Lombards, tragédie qui n’eut
inachevée sur sa table, et Œdipe, avec les beaux vers qu’il renferme,
parut
radieux aux yeux du public qui retrouva avec joie
ous lui demanderez l’explication. Baron accepte, et dès que Corneille
paraît
, il lui saute au cou, l’embrasse et le prie de lu
orée dans la personne de ses descendants. Sur la fin de ses jours, il
parut
au théâtre où on ne l’avait pas vu depuis deux an
brillantes, elle produisit plus de 5, 000 francs. Longtemps après, il
parut
une ode de Lebrun à Voltaire, pour appeler l’atte
mps que lui, les plus belles productions dramatiques qui aient encore
paru
, étaient représentées sous le même nom que le sie
ce lui devînt profitable à lui-même. Ce fut en 1667 que cette comédie
parut
sur la scène, écrite par Corneille. Le succès qu’
cette pièce, l’auteur en expliquait le sujet à un grand seigneur qui
paraissait
peu le comprendre. « La scène, lui disait-il, est
il avait raison, car il échoua complétement. C’est ainsi qu’en 1678,
parut
Psyché, composée pour Louis XIV, et fort peu appr
d homme de guerre veut passer pour grand politique, le politique veut
paraître
poëte, l’historien a des prétentions à être habil
l’attribuât en grande partie au cardinal. Ainsi Roxane, tragédie qui
parut
en 1640, fut, dit-on, écrite par son Éminence. A
, approuvée, louée, acclamée comme la plus belle fille qui ait jamais
paru
au théâtre. Hélas ! le chef-d’œuvre, mis à la scè
strate (1663). Mademoiselle Beaupré, une des premières actrices qui
parut
sur la scène (car pendant longtemps les hommes ti
ageait ses loisirs entre le jeu, les femmes et la poésie, fit d’abord
paraître
en 1626 une tragédie de Marianne qui produisit à
ctoire ont fermé sa paupière. A peu près vers la même époque, il fit
paraître
la Chute de Phaéton, qui n’eut pas le succès de M
, des enfers, établissent les bornes ; C’est eux qui, des cocus, font
paraître
les cornes. On voit par ce dernier vers que le g
encore fort épuré, puisque cette tirade n’excita pas les murmures et
parut
toute naturelle. La Folie du Sage, tragi-comédie,
nt auprès d’un grand seigneur, Je me vis toujours pauvre et tâchai de
paraître
; Je vécus dans la peine attendant le bonheur, Et
ontrant la belle étoffe de son pourpoint : C’est du Silvandre. Il fit
paraître
en 1635, Mithridate, tragédie dont la première re
ge en 1642. Le comédien Montfleury la mit plus tard en vers et la fit
paraître
sous le titre de la Mort d’Esdrubal. En 1642, on
se fût occupé davantage de l’art dramatique. Mais au moment où il fit
paraître
sa première pièce : Iphigénie, Corneille était da
d : « Elle est mienne et non vôtre. » Mais aussitôt que l’ouvrage eut
paru
, Plus n’ont voulu l’avoir fait l’un ni l’autre.
ons étaient peu en rapport avec le langage. La Science Universelle ne
parut
jamais ; le monde fut déshérité de ce chef-d’œuvr
l ne manquât ni d’esprit, ni d’imagination, ni de facilité. Artaxerce
paru
en 1645, Josaphat et Séjames en 1646, Jeanne de N
vant de rien donner à la scène ; enfin, en 1646, il se décida à faire
paraître
une tragédie d’Hippolyte à laquelle plus tard Rac
grand poëte et communiqua son plan à Gilbert, qui s’empressa de faire
paraître
sa tragédie. Corneille, dont l’âme était pleine d
le plus grand des auteurs, Dans votre corps, Messieurs, à dessein de
paraître
; Puisqu’il a fait tant d’auditeurs, Pourquoi l’e
tirique Despréaux l’avait fait admettre, et les jugements du critique
parurent
longtemps sans appel. On ne les contrôlait même p
btenir que le neuvième de la recette sera alloué à Quinault. Ce moyen
parut
si ingénieux et si équitable, qu’à partir de ce m
un, continue à le prendre pour l’autre ? Deux ans plus tard, en 1663,
parut
Astrate, très-bien reçue du public et très-prônée
dramatique pût égaler le maître ; c’est cependant ce qui arriva quand
parut
Racine. Plus heureux que Corneille, Racine sut s’
reurs de la guerre, De sa vaste folie emplit toute la terre. En 1667
parut
Andromaque, un des chefs-d’œuvre de Racine. Cette
n sortant du théâtre : « Il n’y a plus de Desœillets. » Cependant, il
paraît
que si la débutante avait plus de feu dans les tr
âtre qui ne donne la parodie de la grande pièce en vogue. Ce qui peut
paraître
étonnant, c’est que Racine se montra très-affecté
en disant : Mit Rome dans mon lit et Claude à mes genoux. Bérénice
parut
deux ans après Britannicus, en 1671, à l’époque o
l contraste divers, quand sous le même nom, L’orgueilleuse Montrose a
paru
sur la scène ! Aucun cœur n’a senti la moindre ém
excita l’impatience du public jusqu’au quatrième acte ; enfin, on vit
paraître
le vieux Poisson en Achille, et le jeune et beau
n’y a pas dix ans que M. Racine a fait sa tragédie ! » Phèdre, qui
parut
en 1677, laissa trois années d’intervalle entre e
dans lequel seraient développées toutes les passions. Celui de Phèdre
parut
parfaitement convenable pour cela, et Racine le t
squ’on sut que Racine travaillait à cette tragédie et allait la faire
paraître
, la célèbre madame Deshoulières, qui n’aimait ni
uvre dramatique en enlevant du drame le sentiment le plus dramatique,
parut
d’abord à Racine un tour de force dont il ne se s
de Montespan ; Esther, madame de Maintenon ; Aman, M. de Louvois. Il
parut
, à propos de cette tragédie, une ode, dans laquel
sérieuse, et qui, aujourd’hui, ne semble que ridicule. Lorsque Racine
parut
, au contraire, la route était déblayée, tracée dé
de faire comme tout le monde et de siffler à son tour. Le conseil lui
paraît
bon ; il se met de la partie. Un mousquetaire tro
dit, Ilion déplorable, Pallas a toujours un cheval. En 1697, il fit
paraître
Scipion, et son nouveau héros n’eut pas plus de c
ables qu’ils étaient pleins de finesse. Germanicus n’eut pas plus tôt
paru
, en 1694, qu’on vit poindre l’inévitable épigramm
ère représentation de cette pièce. Dans les deux premiers actes il ne
paraît
pas de femmes ; aussi commençait-on à dire, dans
ès à l’époque où Racine finit la sienne. Sa première pièce, Virginie,
parut
en 1683. Elle fut assez bien accueillie du public
onne position. En 1685, Campistron eut un véritable triomphe, lorsque
parut
son Andronic. Les comédiens furent obligés de dou
ulée la Fausse veuve, ennuya le public sans le faire rire. Alcibiade
parut
également en 1685, et Phraate en 1686. Cette dern
lui, offre cette particularité, que c’est la première où une actrice
parut
sur la scène vêtue en homme. On était déjà loin d
membre de l’Académie française, composa quelques tragédies qu’il fit
paraître
sous divers noms, en sorte que plusieurs de ses p
que le roi s’en était privé, vint à cette première représentation, et
parut
prendre un plaisir extrême à tous les applaudisse
elques anecdotes concernant ses premières tragédies : Athénaïs ayant
paru
, une allusion fut faite à cette pièce dans une le
, Il ne serait plus crime et deviendrait vertu. Lagrange-Chancel fit
paraître
, de 1706 à 1740, Érigone, tragi-comédie en cinq a
nnent du roman. Sous le Régent, il eut la malheureuse pensée de faire
paraître
les Philippiques, moins par animosité personnelle
cesse. Malheureusement, il ne put approcher de ses modèles, et quand
parut
son Electre, on dit que c’était une statue de Pra
ui avait plu au roi. On l’engagea à essayer une gazette en vers. Elle
parut
tous les huit jours et lui fit obtenir une pensio
à Boursault une jolie petite comédie en un acte et en vers, laquelle
parut
en 1694, sous le même titre. C’est une critique d
rièrent l’auteur de juger une difficulté, à savoir si les prêtres qui
paraissent
dans la pièce devaient danser ou marcher. — « Je
succès, puisqu’on la donna pendant quinze mois sans interruption. Il
paraît
que Lully, fatigué de l’acharnement de Boileau et
ravailler pour le théâtre ; ce ne fut qu’en 1705 et en 1718 qu’on vit
paraître
deux talents approchant du sien, Crébillon d’abor
oit qu’il ait préféré la tranquillité à la gloire. Du reste, le poëte
parut
dans de favorables circonstances, Racine avait ce
mme et sans être connue, elle fit la cour à une femme d’une façon qui
parut
blessante. Trois des amis de la dame l’appelèrent
d d’Apollon, Attendez que Melpomène Soit veuve de Crébillon. En 1726
parut
Pyrrhus ; en 1748, Catilina. Crébillon mit plus d
à l’amour qu’à subjuguer l’amant. Qu’on vous laisse régner, tout vous
paraîtra
juste ; Et vous mépriseriez l’amant le plus augus
ltaire, les deux plus grands poëtes tragiques du dix-huitième siècle,
parut
Chateau-Brun, auteur des deux tragédies de Mahome
l garda quarante ans, sans la faire jouer, sa première tragédie. Elle
parut
en 1714. Sa seconde ne vit le jour qu’en 1754. Da
e siècle littéraire. Cet homme, le plus extraordinaire qui ait jamais
paru
dans la spécialité des lettres, vécut de longues
l’auteur fécond alors encore à l’aurore de sa vie littéraire : Zaïre
parut
et conquit tous les suffrages. Voltaire, très-vai
ne donna rien au théâtre après Zaïre, son chef-d’œuvre. Enfin, il fit
paraître
Adélaïde du Guesclin, en 1734, qu’il remit ensuit
éraire assez pillard. Voici la critique d’Alzire, faite à l’époque où
parut
cette tragédie, sur l’air du Menuet d’Exaudet :
ardinal Fleury, premier ministre, ordre avait été donné de la laisser
paraître
. Cependant la crainte du procureur-général arrêta
chez eux ; mais il tomba presque de suite. Un auteur ayant cru devoir
paraître
pour faire cesser le tumulte qui s’était élevé da
t habillée, Puis reviendra sur l’horizon, Pour nous en informer, sans
paraître
mouillée ; Et, par un dernier trait digne d’être
1744, Piron donna une troisième tragédie, Fernand Cortez. Cette pièce
parut
trop longue aux comédiens. Ils députèrent l’un d’
e grand Jasmin, n’est pas le premier perruquier de son espèce qui ait
paru
dans le monde littéraire. Un siècle avant lui, en
r quelques petits ouvrages, mais moins satiriques, mais qui n’ont pas
paru
… Comme je suis assez positif de mon naturel, il m
oi, qui furent enchantés, ravis, de cette lecture, tant la chose leur
parut
singulière et plaisante, mais qui furent unanimes
ait pousser les cheveux et la pâte qui fait tomber la barbe. La chose
parut
originale ; la première édition fut épuisée en pe
garda rancune à Morand de sa vivacité, et la tragédie de Mégare ayant
paru
, il se fit un malin plaisir de la siffler. Le Fr
Mademoiselle Clairon, jouant pour la première fois le rôle de Didon,
parut
sur la scène, au cinquième acte, les cheveux épar
ns cette pièce que le fameux Baron, âgé de près de quatre-vingts ans,
parut
en Misaël. Le parterre garda assez bien son sang-
ce salmigondis. On ne put lui fournir qu’Inès de Castro. Deux enfants
paraissent
dans cette tragédie. Cela fut trouvé fort ridicul
eilli, et ne cessa jamais de l’être sur les différents théâtres où il
parut
. De Lyon il se rendit à Strasbourg. Les mêmes suc
trouve dans son répertoire une comédie intitulée l’Obstinée. Elle n’a
paru
sur aucun théâtre ; cependant elle offre plusieur
. Phanazar était le titre d’une pièce de Morand. Régulus, tragédie
parue
en 1773, imprimée longtemps avant que d’être mise
rent. Le parterre le demanda avec acharnement ; mais il ne voulut pas
paraître
. Cette exhibition des auteurs était devenue une c
a plus de Suisses que d’argent. Voyez plutôt ? » Jusqu’au moment où
parut
M. de Belloy, les auteurs tragiques s’étaient cru
on disait alors). Il y avait montré une grâce merveilleuse. Il avait
paru
sur la scène masqué, selon la coutume, et magnifi
la salle. Lorsque la représentation fut terminée, cet arc de triomphe
parut
en feu avec un soleil au-dessus et la fameuse dev
médiens du Roi, comme on disait alors. Cette décoration, qui pourrait
paraître
bien mesquine aujourd’hui, consistait en une vast
pectateurs demandèrent à grands cris : Monsieur l’auteur ! De Belloy
parut
, et aussitôt sa présence fut accueillie par un im
tre ; on lui répond qu’on ne les a point vus. Elle les attend, ils ne
paraissent
pas ; alors elle s’en va chez elle. Tous les autr
s, et au milieu de ce bruit infernal, qui continue toujours, Préville
paraît
, et se jette, en robe de chambre, dans un fauteui
mière scène du Joueur. Ce comédien, l’idole du public, qui n’a jamais
paru
que pour en recevoir des applaudissements, en est
es ont une importance égale, mais M. de Régnier et même M. Griffin ne
paraissent
l’admettre qu’avec hésitation. À ce point de vue
point de mouvement propre. Il en est autrement des harmonies : elles
paraissent
, en effet, contenir une sorte de Rythme particuli
alaisée à saisir si le tissu sonore se complique, et pourtant elle me
paraît
demeurer parfaitement juste, car les suites d’acc
ou timbres, — on ne peut la réaliser que dans la durée, mais, cela me
paraît
acquis, elle en dépend moins exclusivement que le
igoureuses, il devient plus objectif16. L’harmonie proprement dite me
paraît
correspondre à ce que sont les rapports des « val
ne Mallarmé et, si je le compare à des poètes de sa génération, il me
paraît
certes dépassé par la richesse aux cent voix qui
plus nombreux chez M. de Régnier, et, je l’ai déjà dit, la musique ne
paraît
pas le préoccuper assez hautement. Souvent en ses
nfluence donc que le rythme, — et en vérité tous les éléments du vers
paraissent
se subordonner, en tant que musique, à la créatio
sit par réaction les coupes hardies des Romantiques. Si l’enjambement
parut
alors un si grave délit, c’est qu’il rompt cette
sément ces divisions de la durée ne sont utiles qu’en musique où l’on
paraît
en avoir gardé les signes pour faciliter la lectu
urs débuts, M. Fontainas entre autres et surtout M. Ferdinand Hérold,
paraissent
s’être définitivement ralliés. On peut regretter
met en scène — sans le vouloir, je le crois bien, — un narrateur qui
paraît
se confondre avec lui, et l’on aperçoit ses geste
simple, et non un réel conflit de sentiments humains. En ce livre qui
parut
peu de temps avant Joies, on discerne malaisément
le rythme réel de la plupart d’entre eux, les vers les plus spontanés
paraissent
eux aussi des mesures traditionnelles alternées e
ibre des proportions. M. Vielé-Griffin procède tout autrement ; il me
paraît
concevoir son vers comme une parole déclamée, ou
, s’amoindrir, se désagréger, au point qu’un grand nombre d’entre eux
paraissent
avoir oublié la force propulsive qu’il donne au v
e viens de parler l’entendent sans doute autrement ; car à ce mot ils
paraissent
attribuer la signification que lui donnent les fe
même mesure en contient souvent plusieurs à la fois. Le rythme ne me
paraît
se confondre avec la mesure que dans un cas parti
miques que par des comptes-rendus, mais un esprit actif et curieux me
paraît
s’y dessiner. 24. Détail qui amuse, il avait eu
étail qui amuse, il avait eu un prédécesseur à Verviers. En 1885 il y
parut
un livre de vers signé « Moi », dont l’auteur réc
é, que celui qui aurait conçu tout l’art de la tragédie telle qu’elle
parut
dans les beaux jours d’Athènes, et qui en aurait
nir une tâche plus longue et plus pénible. Melpomène, chez les grecs,
paraissait
sur la scène, entourée des attributs de Terpsicho
mieux peint ? Il semble être poursuivi par une fatalité terrible : il
paraît
pressentir les crimes auxquels il est réservé : s
sprit que de sensibilité dans l’ame. C’est cette dernière qualité qui
paraît
prédominante dans Racine, et qui caractérise son
n’échappe pas au spectateur, la rend plus attendrissante ! Corneille
paraît
avoir ignoré ces nuances. Il a peu connu les femm
et posa la limite. C’est un genre de gloire bien rare. Corneille ne
paraît
pas avoir eu une juste idée de tout le travail qu
in. Son expression est toujours si heureuse et si naturelle, qu’il ne
paraît
pas qu’on ait pu en trouver une autre, et chaque
r une autre, et chaque mot de la phrase est placé de manière qu’il ne
paraît
pas qu’on ait pu le placer autrement. Le tissu de
vérité et au génie. Andromaque est le premier chef-d’oeuvre qui ait
paru
sur la scène française. On avait vu de belles scè
es qui attendaient Racine après Andromaque ; et quand Britannicus
parut
, l’envie était sous les armes. L’envie, cette pas
un sujet qui n’offrait qu’une scène ; de faire une tragédie de ce qui
paraissait
devoir n’être qu’une élégie. Mais comment parler
vous deviez aimer Racine ! Combien vous deviez chérir l’écrivain qui
paraissait
avoir étudié son art dans votre coeur, qui sembla
lui laisse que ce qui doit vivre, et que, sortant de ses cendres, il
paraisse
devant la postérité, comme Hercule, s’élevant de
paraisse devant la postérité, comme Hercule, s’élevant de son bûcher,
parut
dans l’Olympe, ayant dépouillé tout ce qu’il avai
. Et ne suffit-il pas qu’on se souvienne que pendant un moment Pradon
parut
triompher de Racine ? Ce moment fut court ; mais
iècle le plus éclairé de tous les siècles. Le dirai-je ? Corneille me
paraît
ressembler à ces titans audacieux qui tombent sou
acieux qui tombent sous les montagnes qu’ils ont entassées. Racine me
paraît
le véritable Prométhée qui a ravi le feu des cieu
oin ; que c’est bien assez d’avoir un grand homme à admirer, et qu’il
paraît
un peu pénible d’en admirer encore un autre sur l
nées ; au lieu que la perfection continue, procurant un plaisir égal,
paraît
naturelle et simple, charme sans étonner, et a po
cine : opposez-leur ce grand axiome de son digne ami, ce principe qui
paraît
si simple et qui est si fécond, rien n’est beau q
e son auteur m’est chère, disait-il du livre de Voiture lorsqu’il eut
paru
, et je suis intéressé en sa réputation, parce que
recueillir ses lettres, et l’édition, qui demanda bien des soins, ne
parut
qu’en 1650, suivie presque aussitôt d’une seconde
énité d’intelligence. Dès que sa goutte était passée, son cerveau lui
paraissait
, dit-on, plus dégagé qu’auparavant, son imaginati
lus simple que le rôle de Costar : il n’avait qu’à relever ce qui lui
paraissait
peu juste dans la critique du savant ami de Balza
i. Il fit semblant de reculer devant la tâche qu’on lui proposait, il
parut
résister pendant plus d’un an et se laissa presse
tés, comptant bien sur l’indiscrétion de ce dernier, et que l’ouvrage
paraîtrait
imprimé comme à son insu, et avant que les observ
ard. La Défense des ouvrages de M. de Voiture, dédiée à M. de Balzac,
parut
avec une préface de Martin de Pinchêne, neveu de
l air de l’heureux génie de feu M. de Voiture. En un mot, la pièce me
parut
si belle que je ne consultai pas longtemps sur ce
poque, quelles que soient les réputations régnantes et les vogues qui
paraissent
tout envahir, il y a toujours dans la diversité d
n amplement à satisfaire sa principale passion, qui était le désir de
paraître
. Girac ne put se dispenser de répondre : il le fi
55 et 1657), et Girac par un seul qui fut arrêté à l’impression et ne
parut
qu’assez longtemps après35. Son adversaire avait
nt bien lui faire payer cher sa levée de boucliers contre Voiture. Il
paraît
en effet qu’un jour un capitaine bel esprit et du
ps déjà ils n’avaient plus de spectateurs36. Les Provinciales avaient
paru
dans l’intervalle, et l’on savait ce que c’était
à M. Costar ne put être imprimée à Paris qu’en 1664 ; elle avait déjà
paru
imprimée à Leyde en 1660. 36. [NdA] M. de Girac
on.) 1837 Lundi, 20 octobre 1851. Les Mémoires du cardinal de Retz
parurent
pour la première fois en 1717, sous la régence de
urtive de ces Mémoires était livrée à l’impression et sur le point de
paraître
, le Régent demanda au lieutenant de police d’Arge
geait d’Argenson. C’est comme si l’on avait dit, la veille du jour où
parurent
Les Confessions de Jean-Jacques Rousseau, qu’elle
i quant à la pensée et à la langue, que, lorsque les Mémoires de Retz
parurent
, une des raisons qu’alléguèrent ou que bégayèrent
en ce qui les regardait : « Nous avions concerté, dit-il, de ne faire
paraître
sur le théâtre ces personnages que l’un après l’a
en ces scènes charmantes et si bien menées sous sa plume, il ne nous
paraît
pas tant faire la guerre à Mazarin que faire conc
t que de s’efforcer à tout amoindrir et à tout éteindre après lui, me
paraît
faire preuve d’un esprit de taquinerie et de chic
aient soumises, où les armées étaient victorieuses, où les compagnies
paraissaient
de tout point impuissantes, qui l’eût dit eût pas
é voir de près ; évidemment il aime mieux la voir que la guérir : Il
paraît
un peu de sentiment, dit-il en parlant du corps a
ur nous aujourd’hui, parce que nous savons sa vie et ses confessions,
paraît
un ecclésiastique des plus scandaleux, ne semblai
t ce qu’il fit pour l’entamer. Savant docteur ou assez habile pour le
paraître
, administrateur soigneux, toujours prêt à défendr
pesait pas ensemble. Il passait de l’une à l’autre : ainsi ce qui lui
paraissait
un jour plus léger, lui paraissait le lendemain p
l’une à l’autre : ainsi ce qui lui paraissait un jour plus léger, lui
paraissait
le lendemain plus pesant. La manière élevée dont
onnés ni aussi livrés à leur sens tout personnel et pervers qu’ils le
parurent
depuis, quand les passions et les cupidités de ch
blement les Grecs, leurs fêtes et leurs usages : l’État pontifical me
paraît
avoir un aspect différent ; les Romains ont quelq
rtant dans des scènes qui ne touchent pas l’âme et qui, à la plupart,
paraissent
ridicules. Mais la noblesse peut être sentie même
miné l’autre : Ce à quoi je tiens beaucoup, disait-il, c’est à faire
paraître
mes deux tableaux en même temps, et je vous assur
si je les expose séparément ; car le caractère de celui qui m’occupe
paraîtrait
triste et monotone, si on ne pouvait faire de com
urnée d’automne. Ce moment me fournirait des épisodes, et l’idée m’en
paraît
philosophique ; car c’est dans l’automne de la vi
ence à faire les figures d’hommes et celles de femmes. La raison m’en
paraît
simple, et je veux chercher à vous l’expliquer ;
ple, et je veux chercher à vous l’expliquer ; je ne sais si elle vous
paraîtra
juste. Ce qui frappe et touche dans la peinture e
es dernières qualités que les premières : au moins pour moi, elles me
paraissent
bien plus faciles à voir, et c’est une observatio
maladie eût altéré sa faculté et sa puissance d’exécution (ce qui me
paraît
avoir dû être dans le courant de 1833), il avait
quer, pensait-il, comment on peut trouver dans ce monde des êtres qui
paraissent
n’éprouver aucun besoin de nourrir le cœur. » Il
e tout l’artiste, tout l’homme, et ne s’arrêtant qu’en deçà de ce qui
paraîtrait
redite et satiété. Accroissons le plus possible l
ntiment, quelque chose à y prendre. Ils cherchent, d’après ce qui m’a
paru
, une harmonie de tons : je trouve, d’après ce que
il ne vient à Paris que pour affaires, à son corps défendant : il ne
paraît
en aucun temps avoir pris plaisir à se plonger da
vec lesquels on le compare d’ordinaire, il en est peu avec qui Buffon
paraisse
avoir été en commerce habituel de lettres. Il n’e
revenir à ses jugements littéraires, après Voltaire poète, Buffon ne
paraît
guère estimer qu’un autre poète en son temps, Pin
hacun d’eux avait eue dans la rédaction de l’Histoire naturelle. Il a
paru
croire que Buffon ne leur avait pas fait toujours
elle que Buffon écrit, parlant de l’oncle et peut-être du mari : « Il
paraît
que MM. Daubenton seraient bien aises de vous voi
e la Correspondance, Buffon, qui n’a guère moins de soixante-six ans,
paraît
un peu amoureux de la jeune dame, si l’on ose bie
Mme Necker et tirées des archives de Coppet est sur un autre ton, et
paraîtra
des plus singulières, sinon des plus agréables. T
é un peu provincial, et jamais la distance de Montbard à Paris ne m’a
paru
plus grande. Il faudrait aller en Allemagne pour
e plus rempli de sollicitude. Ce fils, jeune officier aux Gardes, qui
paraît
avoir été assez aimable et gracieux, et d’un bon
rce de penser ». Puis, quand ce fils est marié à une jeune femme, qui
paraît
d’abord douée de simplicité et de candeur, mais q
à rougir de l’éclat de celle qui portait son nom, ni encore moins de
paraître
en profiter66. La Correspondance que nous annonç
8, tome i, page 269). Les mœurs privées, sur l’article des femmes, ne
paraissent
pas avoir été le beau côté de Buffon. Mais, quels
pèche ici contre la première des règles, l’unité de dessein. L’auteur
paraît
l’avoir senti, et cherche à prendre un parti mito
e, Et non l’homme, on pourrait aisément s’y tromper.) Ce second vers
paraît
froid après le premier ; mais La Fontaine l’ajout
établir que c’est très-mal fait de manger les moutons ? tout cela me
paraît
vague et dénué d’objet. Fable VII. V. 7. E
supérieures : mais l’homme, à qui ces mêmes lois ont donné la raison,
paraît
la combattre au moment où elle est préjudiciable
l’amour-propre a son tour. V. 4. Devant les autres chiens oserai-je
paraître
? Un homme n’aurait pas mieux dit. Les six vers
t de l’histoire du serpent, formant une autre fable dans la fable, me
paraît
déplacé. Outre qu’il rentre dans l’Apologue du se
a Fontaine, blâmer les voies de la douceur et de la persuasion ! cela
paraît
plus extraordinaire et plus contre la nature, que
lis, mais n’obtiennent pas grâce pour le fond de cet Apologue, qui me
paraît
défectueux. Quel rapport y a-t-il entre Hercule a
r d’une telle aventure ? J’avoue que ce raisonnement du chevalier me
paraît
très-bon. V. 37. Il le prend, il l’emporte…. L’
ute cette période, qui contient l’éloge de M. de la Rochefoucault, me
paraît
longue et pesante. Fable XVI. V. 1. Quatre
Variétés littéraires. Un manifeste Il
paraît
que le « dernier bateau » de la littérature, c’es
n-Jacques. Après les hallucinations et les névroses du symbolisme, il
paraît
que nous serions sur le point d’assister à une so
ine se communique de l’un à l’autre. Si des jeunes gens contemporains
paraissent
si avides de gloire et d’exploits, c’est que la v
re défigure l’esprit de la race. Toutes nos déroutes militaires ne me
paraissent
pas aussi effrayantes que cette conquête intellec
écrivains avec les délicieux dandys, de qui les esprits si confus ont
paru
naguère touchés, à la fois, par les grondantes te
réa Zola ! Les puissantes statues de Rodin, en qui la sève des terres
paraît
frémir encore, malgré leur force compacte et somb
a pensée de quelques jeunes poètes, les travaux quotidiens de l’homme
paraissent
mériter une consécration. De même que les exploit
ir dans ces sortes de cérémonies lorsqu’elle est parée… Ce que je dis
parut
raisonnable, et d’ailleurs la plupart s’imaginère
eu près égale à celle d’un sermon de cet abbé. Garat, recevant Parny,
parut
long dans un discours de trois quarts d’heure. Ma
sse sous le titre général d’improvisateurs. Cette dernière classe m’a
paru
fort élargie, je l’avoue, et dans des limites pro
mps ; nous en parlerons très-brièvement en le montrant tel qu’il nous
paraît
avoir réellement été. Il possédait, dit M. de Vig
ièces, elles ne sont pas autant à mépriser qu’on est tenu de le faire
paraître
dans un Éloge public. Il résulte clairement du dé
lampe merveilleuse. Littérairement, cette pièce de l’Intrigante nous
paraît
faible, très-faible ; et ici, après avoir relu ce
s’il se peut, à la jeunesse ; qu’ils tâchent quelque temps encore de
paraître
jeunes à l’oreille et au cœur de ces générations
’Académie mettait dans certains choix, et l’espèce de quarantaine que
paraissaient
subir au seuil certaines renommées. M. de Vigny a
dis. L’éloge donné en passant à l’Histoire du Consulat de M. Thiers a
paru
une délicate et noble justice. En un mot, le tact
ermé. M. de Vigny, tel que nous avons l’honneur de le connaître, nous
paraît
une nature très-capable d’admiration, comme toute
s natures véritablement poétiques. Seulement, de très-bonne heure, il
paraît
avoir fait entre les hommes la distinction qu’il
et si intimes, un esprit poli et sensé qui, dans sa tendre jeunesse,
parut
grave avant d’entrer aux affaires, et qui toujour
Deux conditions seulement, mais indispensables : ces notes critiques
paraîtraient
à jour fixe et immuablement à la même place. 3º N
copie, à moins d’être propriétaire du journal où il voudrait la voir
paraître
. 2º Les journaux devraient tous avoir un courrier
chaque rubrique, donnerait des analyses sérieuses des livres qui lui
paraissent
les plus importants, et remettrait à un critique
, je me range à l’avis ancien de Charles Maurras, dont la remarque me
paraît
plus que jamais actuelle : « Ce mot de liberté,
actère politique (chacun son domaine !) nos journaux et nos revues me
paraissent
avoir le souci d’exercer la critique exactement c
itique française, dans le sens large et plein du mot critique cela me
paraît
évident : les noms d’un Péguy, d’un Maurras, d’un
niversitaire » c’est que, pour des raisons aisées à comprendre, il me
paraît
bien difficile qu’il réunisse la moitié seulement
out de même passé certaines choses depuis cette époque symboliste qui
paraît
déjà vieille. On m’assure qu’une grande revue est
isfaction un ou plusieurs Sainte-Beuve. Le public d’aujourd’hui ne me
paraît
en rien inférieur à celui de 1850 ou 60. Quant à
actuelle, c’est précisément qu’elle ne s’occupe que du dernier livre
paru
. Par contre, nous avons eu à l’occasion du cinqua
ffort critique des écrivains contemporains, qui est sérieux et suivi,
paraît
intéresser les lecteurs des journaux et des revue
en même temps, indépendant et artiste. Naguère, M. Charles Maurras me
paraissait
assez bien répondre à cette préférence. Aujourd’h
e comparaison en règle : il estime, cependant, que journaux et revues
paraissent
, aujourd’hui, « exercer la critique exactement co
copie, à moins d’être propriétaire du journal où il voudrait la voir
paraître
. » Elle souhaiterait que les journaux eussent « u
ntre le critique « académique » ou « universitaire », c’est qu’il lui
paraît
« bien difficile qu’il réunisse la moitié seuleme
l. Cet enthousiasme qui n’est pas toujours d’aussi bonne foi qu’il le
paraît
, a sa source dans un amour-propre assez pardonnab
langue difficile, on ne veut pas avoir perdu son temps, on veut même
paraître
aux yeux des autres récompensé avec usure des pei
nie que les phrases de Cicéron nous font éprouver ; plaisir qui ne me
paraît
pas tout à fait chimérique, surtout quand on comp
e pour les différents peuples modernes ; que tel vers de Virgile doit
paraître
plus harmonieux à un Français, tel autre à un All
les, tirés de Cicéron même ; mais celui que nous venons de citer nous
paraît
plus que suffisant. Despréaux, quoique lié avec b
lu et relu Térence, et se l’était rendu si familier que sa traduction
paraît
être Térence même : à cela je n’ai qu’une questio
t ceux qui ne sont propres qu’au genre familier. Or voilà ce qu’il me
paraît
impossible de démêler quand la langue n’est pas v
ficile de montrer par des exemples, qu’un écrivain français, qui pour
paraître
bien posséder sa langue affecterait dans ses ouvr
est admirée d’un petit cercle de pédants, parce que le style leur en
paraît
cicéronien. Depuis qu’on a mis en français l’Élog
s modernes, il en est un assez peu connu, je ne sais pourquoi, qui me
paraît
avoir approché plus qu’aucun autre de la latinité
esseur a fait quelques épîtres dans le goût de celles d’Horace, où il
paraît
aussi, toujours autant qu’il nous est possible d’
en un mot de quelqu’un de nos bons auteurs. Je doute fort qu’il nous
parût
en avoir approché si heureusement. Ce qui est cer
. En voici un autre de cette dialectique, en faveur des moines, qu’il
paraît
chérir beaucoup. Il prétend (page 172) que des re
oquamur. Nous dirons aussi à cette occasion que le P. de La Rue nous
paraît
avoir assez bien imité, en apparence, la versific
ersification tient, ce me semble, à la fois de Virgile et d’Ovide, et
paraît
tenir plus du premier ; en tout l’imitation y sem
s dirigées contre la phrénologie, il en est quelques-unes qui ne nous
paraissent
pas suffisamment démonstratives, et que l’on pour
fatalisme, qui est la plus répandue contre la doctrine de Gall, ne me
paraît
pas non plus très-fondée. Que l’on accepte ou non
imprudentes exagérations des adeptes. Cependant, si la phrénologie ne
paraît
pas avoir été atteinte par les objections à prior
urvu d’anatomie et de physiologie comparée. L’ouvrage de M. Combes me
paraît
encore au-dessous de celui de Spurzheim pour la r
t dans une boîte fermée, qui est le crâne, se replie sur elle-même et
paraît
se diviser en se rassemblant44. Aussi les anatomi
e seraient pas le siège spécial des facultés de l’entendement. Ce qui
paraît
avoir conduit à cette théorie, c’est ce fait de s
ile à déterminer par l’expérience. C’est ainsi que la moelle allongée
paraît
être le principe des mouvements de la respiration
la coordination des mouvements, et cette doctrine, quoique contestée,
paraît
de plus en plus autorisée dans la science. Les tu
ouissent tous des mêmes propriétés et sont tous homogènes ? Gratiolet
paraissait
incliner à l’opinion opposée. « Les sens, disait-
alité des sens du toucher n’est plus un doute pour personne. » Ce qui
paraît
du reste certain, c’est qu’il est impossible d’ad
on ne sait pas ce que Barnewelt seroit devenu, si on eût permis qu’il
parût
sur la Scène. Telle est l’histoire tragique des T
histoire tragique des Tragédies de M. Lemiére. Si son Hypermenestre a
paru
survivre au désastre de sa triste famille, c’est
tre égorgée, & qui, par un quart de conversion, ne l’est pas, ont
paru
, à des yeux avides de spectacle, un jeu d’optique
sprit qui a eu besoin de recourir à de si minces ressorts. M. Lemiére
paroît
avoir renoncé au Cothurne. On applaudiroit à sa p
e & de l’intérêt aux tableaux qu’on vouloit présenter. M. Lemiére
paroît
n’avoir pas senti qu’il manquoit de ce talent. Il
érité, de la simplicité, une grande sagesse dans ses compositions. Il
paraît
s’être proposé Le Sueur pour modèle. Il a plusieu
deux figures liées par des guirlandes sur un fond bleu. Le Zephire me
paraît
avoir de la légèreté. La Flore est une figure mue
ance, ni la grâce, ni la délicatesse qu’exigeait le sujet. L’Amour me
paraît
grimacer. Psyche n’est point cette femme qui vien
sfaction ce morceau, n’est pas digne d’admirer Le Sueur. Rien ne m’en
paraît
sublime, mais tout m’en paraît beau. Je n’y trouv
digne d’admirer Le Sueur. Rien ne m’en paraît sublime, mais tout m’en
paraît
beau. Je n’y trouve rien qui me transporte, mais
us tard, cette illumination intérieure, son bonheur, son étoile, tout
paraît
l’avoir délaissé. — Que voulez-vous ! répliqua Go
ureux, et, dans leur ensemble, ses traitements ne valent rien. — Vous
paraissez
, dis-je, nommer fécondité ce que l’on nomme ordin
plus que jamais. — Tout ce qu’il y avait de plus noble dans sa nature
paraissait
en mouvement ; les flammes les plus pures de la j
uelques Allemands haut placés auxquels, dans un âge avancé, n’avaient
paru
en aucune façon manquer ni l’énergie ni la dextér
reposes sur mon cœur », et nous en demandâmes les paroles, Goethe ne
paraissait
pas aussi enthousiasmé que nous. « Il faut demand
désirent peut-être aller au théâtre de meilleure heure. » Cette hâte
paraît
singulière à Goethe, puisqu’il était à peine quat
nnée le premier. Goethe ne comprenait pas l’air pressé de son fils et
paraissait
fâché. « Ne prendrez-vous pas votre café ? dit-il
ntrer dans la chambre, je l’entendis soupirer et parler tout haut. Il
paraissait
sentir qu’un vide irréparable s’était creusé dans
ques visites, accompagné de sa belle-fille et de son petit-fils. — Il
paraissait
très heureux ; il disait qu’il était très bien po
ces détails parce qu’ils se rattachent à une parole de Goethe qui me
parut
très curieuse, et qui peint sa situation et sa na
eusement fixée à jamais dans ce récit. — Là, comme toujours, Schiller
paraît
en pleine possession de sa haute nature ; il est
n nous-même. Nous sommes les esclaves des choses extérieures, et nous
paraissons
grands ou petits, suivant qu’elles diminuent ou é
it çà et là mes écrits. Encore aujourd’hui Knebel et Seckendorf ne me
paraissent
pas mal dessinés du tout, ainsi que le jeune prin
on Lowe, que Goethe justifie par l’embarras de sa situation : Goethe
paraissait
très chagrin ; il resta assez longtemps silencieu
nheur de millions d’hommes, la destinée, en se redressant contre lui,
paraît
encore avoir été très indulgente ; c’est une Némé
plus trace de l’excitation un peu forcée de la veille. Aujourd’hui il
paraissait
profondément ému du vide que la mort avait fait e
onnages intéressants. Je désirais surtout voir Mérimée ; la tête nous
parut
aussi énergique et aussi hardie que son talent, e
; nous parlons du présent, et des circonstances au milieu desquelles
paraît
votre journal. Vous dites, il est vrai : Des évén
t poétique. Après ces fils vinrent trois filles, et enfin Jérôme, qui
paraît
avoir été le moins bien doué de tous. Le talent,
pas encore terminé son Don Carlos et venait d’arriver de Souabe ; il
paraissait
être très malade et beaucoup souffrir des nerfs.
Christ, élévation d’une nature aussi divine que tout ce qui a jamais
paru
de divin sur la terre. « Dieu ne s’est pas du tou
r ne pas troubler par une trop grande excitation une fin qui dès lors
paraissait
inévitable. Le portrait de la comtesse de Vaudreu
ais ces portraits sont si surprenants et si fortement dessinés qu’ils
paraissent
des créations et non des images. Il faut avoir ét
téméraires, d’où doit sortir un ordre nouveau. Son prince et son ami
paraît
favoriser ces instincts d’une liberté régénératri
nesse ; il admet l’identité des tendances, mais les atermoiements lui
paraissent
une condition et une partie des améliorations. La
milliers d’innocents après lui pour se venger de l’aristocratie, lui
paraissent
ce qu’ils sont, des lâchetés cruelles contre des
temps, à ce titre, ignoré ou méconnu. Lorsque son Testament politique
parut
en 1687, de bons juges y reconnurent le cachet du
source et la vraisemblance de tant et de si grands événements qui ont
paru
sous son administration : l’on y voit sans peine
e manuscrit s’était trouvé à sa mort parmi ses papiers. Mais comme il
paraissait
en plus d’un endroit du récit que le cardinal de
n le recueil de ses Lettres et papiers d’État, dont le premier volume
paraîtra
seulement dans quelques semaines, par les soins d
remières lettres de Richelieu, les entrailles d’un pasteur, mais il y
paraît
un esprit d’ordre et d’équité qui veut qu’autour
-dire étant un peu glorieux, je voudrais bien, étant plus à mon aise,
paraître
davantage, ce que je ferais plus commodément ayan
bonnes humeurs, et il me semble qu’ils ne m’en devraient point faire
paraître
d’autres. Si une mouche vous a piqué, vous la dev
la grandeur de la chose publique. Il y a un mot de Montesquieu qui me
paraît
un véritable contresens et que j’ai peine à compr
de salut : si les fautes commises envers les personnes publiques lui
paraissent
d’un tout autre ordre que celles commises contre
années de minorité, Richelieu souffrait donc et se demandait s’il ne
paraîtrait
pas un vengeur. La reine n’avait aucune vue suivi
ibérer en cette occasion, où la volonté d’une puissance supérieure me
paraissait
absolue, j’avoue qu’il y a peu de jeunes gens qui
e maréchal qui était vain et présomptueux avant tout, et qui tenait à
paraître
puissant plutôt qu’à l’être en effet, a bien marq
hangement de la fortune. » Il fut le seul de ce ministère que Luynes
parut
ménager d’abord et vouloir excepter de la disgrâc
t que je reproduis le compte rendu de la séance du Sénat, tel qu’il a
paru
au Moniteur. Je ne ferai aucune réflexion sur les
lus prompte, moins indécise et avec une largeur de concession qui eût
paru
de meilleure grâce. Il ne fallait pas qu’on pût d
s, jamais une pensée généreuse et spontanée, émanée du souverain, n’a
paru
servie plus à contre-cœur, — et chacun n’y allant
u’à son corps défendant ; — jamais liberté proclamée proprio motu n’a
paru
ensuite plus contrôlée, chicanée, retardée, ballo
de sénatus-consulte. Je dis que l’esprit de cette loi sur la presse a
paru
bien long et bien lent à se faire comprendre, jus
uiconque connaît le cœur humain (et le parquet, ce jour-là, n’a point
paru
le connaître), ces hommes ne sortent pas du tribu
-moi de le dire, je suis toujours étonné que les hommes de mon âge ne
paraissent
point se souvenir mieux de ce qui s’est passé sou
uel il ne faut jamais dire : Jamais. Que si la juridiction du jury me
paraît
nécessaire dans une bonne loi de presse, il me pa
tion du jury me paraît nécessaire dans une bonne loi de presse, il me
paraîtrait
surtout indispensable, dans certains cas où la lo
ul, dans ces sortes de cas, comme d’ailleurs en beaucoup d’autres, me
paraît
offrir toutes les garanties, y compris celle de l
te l’absence absolue de la seule juridiction de laquelle la presse me
paraît
devoir relever ; je déplore que, du moment qu’on
ous avaient léguées nos maîtres en politique : la loi, à ce titre, me
paraît
profondément défectueuse, et, s’il faut parler fr
mission, soutenu de MM. les ministres. Mais les arguments allégués ne
paraissent
point concluants à quelques-uns des hommes les pl
roduit comme in extremis dans la loi et qui, dans sa forme absolue, a
paru
porter particulièrement atteinte au libre exercic
culier qui l’a dicté, du moins dans les conséquences qu’il recèle) me
paraît
une garantie assurée sans doute contre l’indiscré
des actions. Aux yeux du moraliste, cet article inscrit dans une loi
paraîtra
un jour bien digne d’une époque où ceux qui respe
la France en ces années critiques et pour régénérer la monarchie. Il
paraissait
croire que, s’il avait été nommé contrôleur génér
ce qui se peut de plus sceptique sur la médecine et les médecins ; Il
paraît
être d’avis qu’ils se valent à peu près tous dans
d’une portée plus haute et d’embrasser tous les horizons. Le Hainaut
paraît
n’avoir eu qu’à se louer de lui. La ville de Vale
se supercherie : les Mémoires d’Anne de Gonzague, princesse palatine,
parurent
en 1786. C’est quelque chose en prose comme la su
ût du xviiie siècle ne s’y laissèrent point prendre : l’ouvrage leur
parut
trop bien écrit pour être de la princesse Palatin
stration, il y a des vues d’homme politique et de philosophe : ce qui
paraît
manquer, c’est le lien exact et la cohésion de to
e qu’il s’agissait de conjurer. M. de Meilhan, sans trop s’expliquer,
paraissait
avoir un secret sûr pour cela. Recette à part, M.
s le genre, ce sont ses Considérations sur l’esprit et les mœurs, qui
parurent
aussi en 1787 ; l’auteur était en verve dans cett
mmes n’ont jamais vécu dans les cercles de la bonne compagnie ; ils y
paraissent
, mais les entraves dont elle accable l’homme supé
happer au danger de mourir d’ennui sans une révolution. M. de Meilhan
paraît
compter, pour varier la monotonie, sur quelques p
rois ou quatre banqueroutes ; mais ces accidents qu’il prévoit ne lui
paraissent
pas de nature à régénérer suffisamment le fond so
et se dégrade, en un mot regardez Villars au soleil, le même homme va
paraître
tout différent. Le charmant portrait que Voltaire
rtune des parents du maréchal n’était donc que relative, et en aurait
paru
une meilleure et très suffisante à d’autres moins
reprit Villars, à ce que, dans le même temps que plusieurs escadrons
paraissent
se retirer, plusieurs autres s’avancent dans les
ais le plus désiré de voir, le grand Condé l’épée à la main ! » Condé
parut
content du mot. Belle parole et noble désir en ef
ur vertu, sans rien laisser au hasard ; tantôt ils sont plus fiers de
paraître
tout devoir au hasard qu’à leurs qualités propres
campagne. Il se complaît à ces prémices de sa fortune. La sienne lui
paraissait
cependant trop lente à son gré. Il aspirait au gr
a fort au succès. En lisant cette partie de ses Mémoires, telle qu’il
paraît
l’avoir rédigée ou dictée lui-même, on est très s
orges, de Choiseul, de Joyeuse, toute cette monnaie de M. de Turenne,
paraissent
au-dessous des commandements supérieurs, auxquels
la « Bibliothèque elzévirienne » de Jannet. (Cette édition n’a point
paru
.) 7. [NdA] Depuis que ceci est écrit, on m’a fai
i 1653, dans la chapelle du couvent de la Visitation de Moulins. Il a
paru
résulter de cet acte assez grossièrement dressé,
ériale un Traité de la guerre par Villars. b. [1re éd.] et en aurait
paru
une très suffisante à d’autres moins ambitieux.
premier tour de scrutin. Écrit sur de l’eau, le livre couronné, avait
paru
dans le Feu, une publication provençale2, et c’es
demment de son ministère. Sa flamme enfin, qu’on ne peut discuter, me
paraît
être une active reconnaissance du principe religi
oyen de s’enrichir de personnalités successives. Si cosmopolite qu’il
paraisse
aujourd’hui et qu’il soit d’origine (il est né d’
pour objet l’étude de cette contradiction. L’Homme dans le rang, qui
parut
en 1913, est un essai sur la matière psychologiqu
fort bien ! J’ai aussi fait un livre sur l’aviation26 ; hélas ! il a
paru
le 11 novembre 1918 et l’armistice a eu beaucoup
joint du Grammaire-Club !… » Quelle aventure pour Xavier ! Il fallait
paraître
content : « Ah ! messieurs, je suis confus de vos
ussi faut-il un milliardaire… » Le bulletin d’excommunication va donc
paraître
sans la collaboration de Toulet (c’est Xavier qui
ant Les gens les plus vivants, ce ne sont pas toujours ceux qui le
paraissent
. Eussiez-vous rencontré pour la première fois M.
de ce dernier me touchent davantage, car ils sont personnels, ils ne
paraissent
point si patiemment travaillés, M. Brillant aime
me il pouvait, sous son uniforme. Les deux volumes de ce journal vont
paraître
. Le premier tome va du 2 août 1914 à la bataille
édit sur leur état, dont les ambitions commerciales ne devaient point
paraître
. Mais les temps ont changé, et les écrivains d’ap
ballots souvent volumineux qui contenaient toujours son dernier livre
paru
; il pouvait ainsi en faire l’hommage à ses visit
tion, la Sibylle d’Auxerre, les Turquoises gravées, nouvelles qui ont
paru
depuis l’armistice et auxquelles sera joint un Cl
aillard, qui surchargeait la Colline inspirée et en avait été retiré,
paraît
-il, sur les instances des frères Tharaud, entraîn
u Sang, de la Volupté, de la Mort ; l’Écho de Paris, le Lamartine qui
paraîtra
dans les Maîtres, mais en cherchant avec quelque
re. Comme Apollinaire, à qui Salmon, alors rédacteur à l’Éveil, avait
paru
indifférent à ses premiers essais poétiques, on l
blancs : il va partir, il prend de l’assurance. Mais, quand son livre
paraît
, il voudrait être le seul à le savoir ; or, on fa
ations, il devient l’auteur et le maître. Que le Diable au corps nous
paraît
alors mince, où l’instinct seul avait sa place !
surréalistes 81, organe officiel du Surréalisme international, et qui
paraît
sous la direction de M. Paul Dermée. Une vue supe
en juillet 1917 sous le nom de Dada I ; en décembre de la même année
paraîtra
Dada II. Ces numéros ne présentent pas une forme
s, il en a toujours fait, mais il convient de dire que sa psychologie
paraissait
plus rudimentaire dans ses premières pièces. Il e
s filles et souvenirs de classes, aussi bien que des livres qu’il fit
paraître
depuis 1914, en quelque sorte recréés par Benjami
ût naturel du mystère, à les mettre en concurrence. Historien, il fit
paraître
la Crise des Alliances 112 avant d’éditer la Vict
tres nations, ensuite. La Ville éphémère date de 1922. La même année
paraissait
la Crise des Alliances, histoire des relations de
e et à la culture une collaboration constante. Attirance de la Mort a
paru
peu de temps avant la Victoire. Il dit d’un de se
début d’Attirance de la Mort, avec un prieur, dans un couvent qui me
paraît
étrangement ressembler à celui des Bénédictins de
omme il déteste la tricherie, il a préféré s’abstenir. S’amuse-t-il à
paraître
dupe ? le jeu ne dure pas longtemps. Avec lui seu
ois pris les manières quand il a chanté la guerre. Interrogation, qui
parut
en 1917123, pressait de questions, sur un ton rog
e. Les Grecs et les Romains l’intéressent uniquement parce qu’ils lui
paraissent
des sportsmen. Quant au major Parker, qui prend s
la guerre leur donnait l’occasion de la redouter ! Ils ne veulent que
paraître
froids et patients. Les discours du docteur O’Gra
l sera interne à Châteauroux, Charles-Louis Philippe y fera justement
paraître
ses premières plaquettes, et c’est à l’auteur de
premier manuscrit à un de ses camarades, il a la surprise de le voir
paraître
dans Marseille Étudiant. Mais le Premier rêve sig
ha point de travailler ; il n’eut pas tort : L’École des indifférents
parut
avant l’indicateur, avant la ligne, qui me semble
e de garde d’Adorable Clio, où sont mentionnés les ouvrages qu’il fit
paraître
jusqu’en 1920, il a illustré, pour moi, chacun de
ui est l’exquise relation d’une mission en Amérique. L’année suivante
paraît
Elpénor 147. Homère a prétendu que ce matelot ne
sur un seul livre de Giraudoux et celui-là même qui, de prime abord,
paraît
le plus difficile et disons le mot, le moins sédu
surnom, à la fin de mes vacances, à la rentrée, au professeur qui me
paraîtrait
le plus ridicule. Aujourd’hui, je profile de mon
r nous-mêmes ; et le travail pour l’établissement de la paix, ne nous
paraît
pas du seul domaine littéraire. Mais qu’il est lo
es fit un moment appeler le Pressoir vaudois ! Sa Raison d’être 161 y
parut
, son manifeste littéraire. « Sentir, voilà un mot
n de la Guérison des maladies, qu’il a retravaillée avant de la faire
paraître
à Paris, le Grand Printemps et de nombreux livres
is juridique, je vois partout M. Poincaré. Mais le canton de Vaud m’a
paru
envahi par la Suisse allemande et par des boutiqu
romancier », Roman 20-50, n° 47, juin 2009, p. 91-103. 2. Le Feu a
paru
, à Aix-en-Provence, entre 1905 et 1937. (NdE) 3.
la duchesse de Clermont-Tonnerre. (NdE) 11. Ouvrage d’Anatole France
paru
en 1885. (NdE) 12. Alfred Poizat (1863-1936), éc
E) 19. Benjamin Constant avait écrit Le Cahier rouge en 1807, qui ne
parut
qu’en 1907. (NdE) 20. Grasset, 1923. (NdE) 21.
. de Traz avait d’abord dirigé, en 1906, La Voile latine qui cessa de
paraître
en 1910, puis Les Feuillets de 1911 à 1913. C’est
, novembre 1921, Les Mémorables, p. 170-175. (NdE) 73. Douze numéros
parus
entre novembre 1917 et décembre 1922. Le comité d
rtir de 1923. (NdE) 74. Revue satirique illustrée, bi-mensuelle, qui
parut
de 1907 à la fin des années vingt. (NdE) 75. Ill
écrivain, survenue le 12 décembre 1923. (NdE) 80. Un numéro unique,
paru
en octobre 1924, réunissait les signatures ici me
René Morand, Francis Picabia, Georges Ribemont-Dessaignes. (NdE) 82.
Paru
, en juin 1919, à la librairie Au Sans Pareil que
. (NdE) 85. Le Manifeste du surréalisme, suivi de Poisson soluble, a
paru
aux éditions du Sagittaire, chez Simon Kra, en oc
Aux Éditions de la Nouvelle Revue française, février 1924. (NdE) 88.
Paru
pour la première fois chez Calmann-Lévy en 1888 ;
d’« art social », L’Enclos, dirigée par Louis Lumet (1872-1923), qui
parut
d’avril 1895 à février 1899). (NdE) 136. Grasset
ut » et signé Jean-Emmanuel Manière, premier pseudonyme de Giraudoux,
paru
le 16 décembre 1904 ; republié sous le titre « Pr
0. (NdE) 138. « De ma fenêtre », première nouvelle des Provinciales,
paru
dans la revue L’Ermitage le 15 décembre 1906. (Nd
rpétuel de l’Académie française en 1923. (NdE) 153. À cette date ont
paru
chez Ollendorff deux volumes, Annette et Sylvie (
deux volumes, Annette et Sylvie (1922) et L’Été (1924) ; Mère et fils
paraîtra
chez Albin Michel en 1927. (NdE) 154. Plusieurs
NdE) 154. Plusieurs pièces inédites de M. Lenéru (1875-1918) avaient
paru
chez Grasset au début des années vingt ainsi que
loin des commotions prolongées au Subconscient, et des sens nouveaux
parurent
germer et palpiter où s’inscrivaient nouvellement
ration et d’expansion (selon la loi à double action il laquelle il me
paraît
devoir ramener les phénomènes de tous ordres), de
uis à mes recherches de Verbe musical Son premier lire : Les Gammes,
paru
en 1887, devait en témoigner par son extraordinai
de persuasion, et peut-être moins encore pour Stéphane Mallarmé qu’il
parut
presque nous présenter à titre de curiosité. Verl
i avaient mal tourné. Et « l’Après-midi d’un Faune » n’avait-il point
paru
si indésirable qu’il ne trouva place en le Parnas
aux intentions d’un Mallarmé si inopinément révélé ? Deux mois après
parut
mon livre, qui me valut de passer son seuil avec
ce, en 1885. Or, aux premiers numéros, la « Nouvelle Rive Gauche » ne
paraît
point avertie, ni pressentir les voies. Le poème
suivent… Mais, en un mois, que s’est-il passé ? que du volume qui ne
paraîtra
que dans un an, Jadis et naguère, deux extraits a
ire, Rachilde… Il tient ses assises aux Brasseries du Quartier, et il
paraît
aux Soirées de « Lutèce » et du « Procope » (Verl
, du Salon des Humoristes… Puis Verlaine donne des Poètes maudits qui
paraîtront
en 1884, les Etudes sur Mallarmé, Corbière, Rimba
à recevoir « Lutèce » ! Au numéro de mars 1884, à noter un poème qui
paraît
nouvellement s’inspirer de Mallarmé, participer à
venir de Valvins — Lettres et paroles. En Janvier de l’année 1885,
parut
mon premier livre : Légende d’âmes et de sangs, a
git et multiplia depuis ce premier livre ! Et pourtant c’était assez,
paraît
-il, pour une luttante agitation autour de lui, de
. Bien à vous, Stéphane Mallarmé17 Lettre merveilleuse ! dont il me
parut
émaner une vertu de consécration, lettre pénétran
ut se résume dans un beau soir comme celui-ci. Nous regardions. Il me
parut
que le Maître déterminait ainsi son art propre —
énétré les milieux littéraires en suscitant grand émoi, une Revue qui
paraissait
depuis novembre 84, « la Basoche », me demanda l’
tuitive et spontanée), avait été de donner une importance qui pouvait
paraître
excessive, au lieu que très secondaire, aux corre
anier m’apprend qu’un livre de vous où m’est dédié un long morceau va
paraître
. Agréez mon chaud remerciement. Je me propose fer
estion était le Traité du verbe, reprise des Articles qui venaient de
paraître
à la « Basoche », qu’édita non Vanier, mais Girau
s gestes terribles soudain, de son poème : « Art Poétique », qu’il me
parut
comprendre lui-même, surtout comme un acte d’irré
lque chose de composé, de coordonné ! C’est une leçon pour nous tous,
paraît
-il ? Eh bien ! moi aussi ! Moi aussi, une œuvre,
premier livre et la poétique, n’est-ce pas, ouvrent une voie… Il me
parut
vraiment, tant il émanait de prestige de ces deux
tone, il me parla et de moi et de lui : de la Légende et des Articles
parus
à la « Basoche » que Mallarmé à ses Mardis avait
ère de qui ils étaient d’ailleurs quelque peu tributaires. Les autres
parurent
au « Scapin »,35 cette même année, pour le plus a
amènes ! On les retrouvait partout. Le mois précédent, en mars, avait
paru
par les soins de Rodolphe Darzens, Pierre Quillar
s dans la Revue la « Pléiade », puis, la composition en étant gardée,
paraître
immédiatement en volume, Giraud, éditeur. Alors,
llet et Août que la « Pléiade » donna le Traité du verbe. Fin Août il
parut
. Qui peut prévoir le sort d’un livre ! « Tantôt l
ns avaient inventé cet enfantillage. C’est dans un livre qui vient de
paraître
, le « Traité du Verbe, de. M. René Ghil, qu’on tr
et du Symbolisme, semble les avoir grisés. En ces deux semaines, il a
paru
deux journaux décadents nouveaux. L’un de ces jou
: le « Décadent », et le « Scapin ». Le « Scapin », revue mensuelle,
paraissait
depuis un an et demi selon un éclectisme très ave
é nécessairement sa place. Journal hebdomadaire, le « Décadent », qui
parut
en mars ou avril de 86, avait pour directeur et i
d’expliquer à ses élèves les Fleurs du mal, il nous arrivait, nommé,
paraît
-il, à Saint-Denis ! Il eut une vieille presse et
heure. Il publia vers et prose de presque tous ceux d’alors, et quand
parut
le Traité du verbe, il sortit capitales et caract
smes latents, où Rachilde droitement attaqua. Dans une lettre ouverte
parue
le 3 Oct. à « Lutèce », avec impétuosité et verve
ques explications supplémentaires. Cette nouvelle profession de foi a
paru
samedi dernier sous une signature qui m’était abs
ne, et, de tous les poètes qui font du bruit en cette époque, il nous
paraît
, sans conteste, le plus doué, le plus original, e
e Forme. Aussi, quand, pressé sans doute par ses lecteurs ainsi qu’il
paraît
, le « Figaro », en son supplément du 27 Novembre
e, couverture vert-tendre, fort bien imprimée chez Jouaust et Sigaux,
paraît
être le plus ancien des organes des néo-révolutio
endante végétait depuis quelques années. Transformée maintenant, elle
paraît
le 1er de chaque mois, en un petit volume à couve
poètes qui voudraient se grouper autour d’elles. Le premier numéro en
parut
le 7 janvier 1887… Je ne saurais mieux rappeler c
, cette théorie, en 87 : et il voulut, cette seconde édition, qu’elle
parût
aux dépens des « Ecrits pour l’Art » qu’il publia
avais exposé, dès lors, mon principe de Philosophie évolutive qui ne
parut
qu’en l’édition du TRAITS de 88, et les détails e
es un mode transitoire, pour quelque temps puisque Moréas et d’aucuns
paraissaient
innocemment découvrir tout à coup l’art du Symbol
ur donnera sa philosophie et sa religion. » Les « Ecrits pour l’Art »
paraissaient
mensuellement, à seize pages seulement : les Revu
gardait, et, à propos du premier livre de Stuart Merrill, Les Gammes,
paru
en février 87, un passage de mon étude était à re
cette verveine »… Le Maître grave et séduisant eut un sourire qui me
parut
un peu contraint et exprima sa gratitude quand il
commis à mes soins l’impression de son premier volume, Les Gammes qui
parut
en Février. Recueil de poèmes non relié par la pe
marquable étude pleine de documentation serrée, par Edouard Dujardin (
parue
en volume en 1922).43 Or, en 87, les deux Maîtres
ffin en tête de son volume marque sa volonté de délivrance du Vers et
paraît
partir de Banville, en qui il a vu le Briseur d’e
andrin pur. La strophe s’équilibre en résultante euphonique. Et il me
paraît
que le Vers-libre de Kahn à cette heure, soit une
ait-on quoi de plus ! En Mai, par les soins des « Écrits pour l’Art »
parut
la seconde édition du Traité du Verbe. Le texte p
ymbolisme. Pierrre Quillard parlant de Louis Le Cardonnel dira : « Il
paraît
bien aussi que, comme M. Emile Verhaeren, Stuart
de ces six numéros en la publication collective « l’Idée évolutive »,
parue
en 1893, Marcel Batilliat attribue cette disparit
avec un éclectisme très artiste par Albert Mockel et Pierre M. Olin,
paraissait
depuis près de deux ans, publiant et les Aînés et
ma méthode : le manuscrit remis à l’éditeur en Mars 88. Le volume ne
parut
pourtant qu’à l’hiver Raison d’ailleurs, et l’au
ison d’ailleurs, et l’autre, de tirage de luxe, pour lesquelles il me
parut
meilleur de demander à M. Deman de rompre alors n
troisième Traité du verbe, qui, disions-nous, de retard en retard, ne
parut
qu’en décembre. Ecartée la complaisante digressio
ière pensante, la Vie… Des extraits de cette partie Méthode avaient
paru
, et aussi du livre I de Œuvre, Le Meilleur Deveni
l le puisse au préalable communiquer à tous les adhérents, et en Juin
paraît
un unique numéro annonçant qu’à partir de Novembr
t aussi une réédition de l’Après-midi d’un faune. De Henri de Régnier
paraissent
les Sites en 87, etEpisodes en 88, où, tel qu’il
me » et aussi « en tenant compte, écrit Gustave Kahn, ainsi qu’il me
paraissait
nécessaire, d’efforts intéressants de romanciers
et déclare que « l’esthétique du Groupe philosophique-instrumentiste
paraît
être qu’on pense par les sons ! » Bonhomme, Franc
rits pour l’Art » et les Revues amies étaient à ma disposition, il me
paraissait
plus intéressant — et plus ironique, disons-le d
: il est presque impossible d’ouvrir une Revue dont les numéros aient
paru
entre 1890 et 1900, sans trouver une chronique ou
a presse, inquiet de certain hermétisme verbal et de l’allure qui lui
paraissait
étrange de quelques noms, le zélé gardien de la t
antinople ! Une Etude de mes théories et de mon œuvre alors en partie
parue
avait été présentée au préalable à la Censure, se
d’aise et d’approbation et séance tenante apposa le visa ! L’Article
parut
en la Revue « Dzaghik » (la Fleur) du 20 mars 190
du talent à l’auteur du noble et tendre poème Bonheur, qui venait de
paraître
. L’Article de « l’Indépendante », réduit en des p
e. »57 … Jetée en la mêlée sans desseins préconçus, cette année 89
parut
la Revue la « Plume », qui, vaille que vaille, d’
olémique entre George Bonnamour et le directeur de la « Plume » il me
parut
équitable de prendre parti pour le premier. Or, d
pté, manquaient les noms du « Symbolisme. ») Et deux nouvelles Revues
paraissaient
cette même année : les « Entretiens politiques et
che » marquait de pareilles tendances tandis que « l’Art social » qui
parut
également en 1891, se dénonçait socialiste, tenda
Intellectuels véritables vinrent répondre d’ignorés agissements qui,
paraît
-il, nous mettaient en péril ! Je ne retrouve plus
Il avait un Roman, d’étude plutôt naturaliste, (Monsieur Babylas, qui
parut
plus tard. sous le titre Le Vierge) : une Revue,
perduraient. Je lui adressais personnellement toutes Réponses qui me
paraissaient
nécessaires aux attaques trop erronées ou trop vi
nce » ! Fidèle m’était également le poète de grande sincérité, qui ne
paraîtra
instable en ses directions que pour avoir eu souc
qu’aussi il a recueilli en ses vers, dans les poèmes dont quatre ont
paru
au même « Mercure », quelques-unes de mes attitud
us donne encore raison cet exubérant Germinal que nous venons de voir
paraître
. Zola, un prosateur vulgaire et terre à terre, al
entractes du Théâtre d’Art de Paul Fort, notre Oncle sans le vouloir
paraître
était exaspéré. La preuve en est, que le lendemai
n interviewer me demanda si je ne m’opposerais point à ce que mon nom
parût
sur l’affiche, si je ne répondrais point au prolo
l’indulgente nature. Le lendemain, on m’apporte l’interview qui avait
paru
dans le journal où écrit M. Fernand Xau. Que voul
avait également escompté, rien ne pouvait m’être plus désagréable que
paraître
user d’impolitesse et agir indirectement contre u
de Beethoven. On voit que M. Schumann se donne une peine infinie pour
paraître
original et profond. Après beaucoup d’efforts, il
» dit M. Sarcey, en parlant des poètes de la Jeune-Ecole. Il ne nous
paraît
pas qu’il y ait aucun courage à accabler des cher
ncus », dit de son côté M. Ghil dans sa lettre à M. Sarcey. Ceci nous
paraît
plus noble et mieux pensé. Et il se trouvera que
, Gustave Kahn, Stuart Merrill, Edouard Dujardin, etc. Mais ce qui me
paraît
le plus symbolique — en ces agapes de triomphe Sy
l’antique Fatum, il allait le mettre en œuvre en la première partie (
parue
en 1896) d’une tétralogie qu’il complètera sans d
pleine originalité, dire avec le passé les attaches de cet écrivain a
paru
nécessaire, puisqu’il est considéré comme étrange
se affabulation d’idées, qui lui sont chères, et de théories qui leur
paraissent
démontrées. Mais, si Ion admet que les hautes poé
L’En méthode A L’Œuvre qui était le titre ne varietur sous lequel en
paraissait
une quatrième édition, cette année 1891 exposaie
nombreuse et re-créante paraphrase des trois livres de l’Œuvre alors
parus
… En Novembre 92, à propos du tome II du Vœu de vi
Moscou, 1904) propose une raison de cette prédilection qui, oui, me
paraît
émaner de quelque passé subconscient, Or, au Poit
la plupart de vos détracteurs ! nous vous avons goûté, parce que vous
paraissez
le plus personnel parmi les Jeunes, parce qu’enfi
uit d’hiver), que nous dirons également Shakespearien par le lyrisme
paru
aux éditions de la « Plume » en 1890, réédité par
révélèrent sa voie à M. Jean Royères. Par une plaquette, Eurythmies,
parue
en 1904, il se révéla lui-même poète original, pé
i a été sa dernière page. Quoi qu’il en soit de cette remarque, il me
paraît
intéressant de la noter. Elle semble indiquer qu’
hode ? Non sans doute : car ce Prélude, peut-être non achevé, n’a pas
paru
, nul ne semble l’avoir connu après moi. Et quant
e, donc ? Mais, de quelle valeur cette idée ? dirons-nous. Une phrase
paraît
nous répondre, donnant un exemple : « Réalité mat
ar cette adaptation à large enveloppement à Hugo lui-même. Mais il me
paraît
que l’on doive dire de Verhaeren : un Barbare mys
re et ses directions, et qui devait être en lui tant expansive. « Il
paraît
bien, écrit Pierre Quillard à propos de Louis le
ienne, et comme imprégnée de cet atavisme qu’il accusait De 87 à 91,
paraissent
les trois volumes en sorte de trilogie expressive
x mêmes raisons caractéristiques, plutôt de Verhaeren que de moi-même
paraîtraient
tenir les inspirations qui s’ouvrirent depuis à l
périssable, mais aucun effort n’est perdu. » Du Désir aux destinées
parut
en 1902 Si l’art d’appeler les images pourrait ê
étique « Scientifiques »… Pourtant un paragraphe du programme m’avait
paru
présenter des propositions, mi peu trop enveloppé
t prononçai les pages liminaires d’un long discours et qui d’ailleurs
parut
entièrement au « Bulletin du Congrès » discours,
ut président. Une minorité cependant tenait pour un nom que d’aucuns,
paraît
-il connaissaient Emile Boissier104. Je priai sim
en sourdine la grande pensée de demain : l’Ecole Française ! Et il me
parut
heureux de lever la séance… Elle se leva au chant
tre insolite, de l’Internationale ! Mais, paroles mises à part, il me
parut
pourtant que ce chant avait un sens en cette circ
s très sincèrement tourmentés de recherche en l’expression, et qui me
paraît
se réaliser surtout en son très haut livre récent
’en 1907, à l’Académie et à propos du Prix de Poésie, le Rapport (dû,
paraît
-il, à un « Maître », qu’il ne nommait pas) prônai
es des Russes. En 1904, dans la revue des nouveaux poètes « Viessy »,
parut
son Etude sur la Poésie Scientifique. Insistant s
us d’un quarantaine de livres et d’études en les Revues spéciales qui
paraissent
sur la question, durant une quinzaine d’années. O
e sur plusieurs de ses verdicts ? En tout cas, lorsque de 1904 à 1909
parut
l’édition revue de la première Partie de mon œuvr
cle qu’évolue en tous ses ordres le phénomène universel, mais, il m’a
paru
, selon un dessin elliptique — qui accuse régressi
dinaire. Sentir et comprendre simultanément, voilà ! »… La théorie me
paraît
peu heureusement mêler les vocables et leur sens.
larations récentes d’écrivains porte-parole d’un autre groupement, me
paraît
exister une vraie connexité: avec de plus amples
s reproches et les appels amoureux du Dieu chrétien ». La Raison qui,
paraît
-il, n’a pour mission que le mal « de réduire l’in
« Rythme et Synthèse ». Or, tout de suite cette particularité, qui ne
paraîtra
point sans doute de mauvaise augure : avec l’empr
s livres suivants publiés aux Revues et par le poème « Métabolisme »)
paru
à part hors de la Conquête du silence ; à quelle
première et valeureuse réalisation, le livre-poème du Vent de guerre,
paru
non encore à sa place (par nécessité de prise de
ster sur l’ampleur et l’unité de construction de cette œuvre dont ont
paru
d’ailleurs divers Fragments, nous remarquerons qu
’œuvre, nous renvoyons à l’édition savante de Jean-Pierre Bobillot, à
paraître
aux ELLUG en 2012. b. Qui ont, pour un temps au
il publia des contes humoristiques et gaulois. Le recueil ici évoqué
parut
en 1885 : Les Dessus du panier : Impressions et s
86) fondée par Léo Trézénik (pseudonyme de Léon Epinette), et d’abord
parue
sous le nom de La Nouvelle Rive Gauche (novembre
1895), La Mort de la Terre (1911)) 35. . Le Scapin, revue littéraire
parue
en 1885 et 1886, dirigée par Emile-Georges Raymon
itiques et littéraires, revue mensuelle fondée par Charles Vanor, qui
parut
de 1890 à 1893. 62. L’En dehors. Hebdomadaire d
chiste créé par Zo d’Axa (Alphonse Gallaud de la Pérouse), 91 numéros
paraissent
entre 1891 et 1893. Y contribuent en particulier
res », v. 21-24 et v. 35-36, Ibid., p. 11. 84. Article de Maupassant
paru
dans La Revue bleue, 19 et 26 janvier 1884. 87.
du théâtre, elle s’installa à Paris en 1912. Ses poèmes et chroniques
parurent
dans la presse française. A partir de 1934 elle v
miques inspirent toujours un grand effroi, même aux hommes habitués à
paraître
ailleurs en public ; la quantité de femmes et de
adémie et du monde : ad usum sœculi. M. Royer-Collard, nous dit-on, a
paru
content ; c’est l’oracle en ces matières. Au lieu
à côté de M. Victor Hugo. — L'Histoire du Consulat de M. Thiers doit
paraître
chaque matin ; les deux premiers volumes ont déjà
hiers doit paraître chaque matin ; les deux premiers volumes ont déjà
paru
en Amérique. On s’était arrangé avec un libraire
permettre de publier la traduction là-bas en même temps que l’ouvrage
paraîtrait
en France. Il a abusé de cette confiance et a pub
t où Taine s’est découragé de son roman est celui-là même où ce roman
paraît
à M. Bourget prendre son plus vif intérêt. « Rien
man deux matières très inégalement observables et fécondes. L’enfance
paraît
claire, limpide, spontanée, elle se livre, elle a
un et l’autre de conditions privilégiées : observation d’un sujet qui
paraît
si malléable et transparent, invention dont le re
e inventée, de la chose observée. Dans Le Moulin sur la Floss, qui me
paraît
l’œuvre la plus donnante et la plus saine, la plu
aire de l’amour, la pensée qui commence n’est pas dans son acte, elle
paraît
à celui qui l’a dépassée un état inchoatif, un ba
ume de Taine s’est découragée et cassée sur ce thème de roman qui lui
paraissait
si propice : « L’adolescent qui commence à penser
primer ses idées ou ses émotions par des personnages de roman lui eût
paru
un détour artificiel et peu loyal. Un certain sen
ti d’autre théâtre que ses quatre Drames. « La forme de Souvenirs m’a
paru
commode pour exprimer certaines nuances que mes a
alifier, peut-être serait-il d’une bonne méthode de distinguer. Il me
paraît
que l’on peut, de ce point de vue, classer les ro
pisode significatif. Il est cette œuvre de composition méthodique qui
paraît
à M. Bourget la forme supérieure du roman. Je ne
ortir d’une généralité inopérante, est peut-être moins clair qu’il ne
paraît
. « Une chose est parfaite et entière, dit Aristo
u hasard, est obligé d’en nommer deux qui sont du théâtre, et cela me
paraît
assez typique. Une texture de roman est toujours
errée, de temps, d’espace. La Princesse de Clèves et L’Échéance ne me
paraissent
pas moins des chefs-d’œuvre, mais des chefs-d’œuv
es et les gens existent comme des objets concrets » sans que l’auteur
paraisse
. C’était l’esthétique de Tourgueneff, de Flaubert
s abondamment comme ce genre mixte dont je parlais tout à l’heure. Il
paraît
ici intermédiaire entre les mémoires du romancier
it, mourut Flaubert. » Sur quoi la Revue critique répond : « Il nous
paraît
que M. Thibaudet trouve ici à louer dans Madame B
Testament. Mais l’essentiel est qu’une certaine forme d’art, qui nous
paraît
aujourd’hui inférieure, est donnée par ces ancien
en principe que la note d’art sera d’autant plus pure que le symbole
paraîtra
moins voulu par l’auteur, plus deviné, plus décou
détour qui n’était peut-être pas tout à fait nécessaire, mais qui m’a
paru
commode. Je voudrais en effet souligner ceci : qu
ois : La portée symbolique d’une œuvre est d’autant plus pure qu’elle
paraît
plus éloignée de la symétrie allégorique, qu’elle
que d’une œuvre est d’autant plus haute que la matière de cette œuvre
paraissait
, dans sa définition et son concept, comporter moi
it qu’enluminer un dessin social. Ce symbole distinct, plaqué et cru,
paraît
d’un art assez rudimentaire. Songez à un autre ro
fixé, vissé. II. — Des étiquettes comme le Romantisme des Classiques
paraissent
aujourd’hui fort puériles. Pourtant on pourrait a
serrer et vaincre, comme dans le fait de la rime, telle nécessité qui
paraissait
inéluctable. Considérez dans la littérature les g
t à une grande intuition symbolique, lorsque les paysans de Millet ne
paraissent
que la vibration humaine de la mystérieuse glèbe,
m, construire une colline inspirée, d’où ce qu’il écrivit et pensa ne
parût
élargir qu’un cercle, respirer que d’une haleine,
en révolte contre la lettre, l’ordre et la nécessité de l’Église, me
paraît
avoir versé de tout son poids de paysan dans un m
musical flotter l’hostie de l’élévation. Et à un Mâconnais Jocelyn ne
paraît
-il pas une colline inspirée dressée devant la mur
dense et qui faisait poids — ce poids de l’âme par lequel un couvent
paraît
affaisser le vallon qui l’enferme, — le lieu d’un
François est aussi parfait que la Léontine. La Léontine et Mouchefrin
paraissent
plus vrais et plus vivants que Sturel et Rœmerspa
plus vivants que Sturel et Rœmerspacher, comme François et Quirin le
paraissent
plus que Léopold et Thérèse. Vrais, vivants, et q
a tragédie. Cette présence active, à un technicien matériel du roman,
paraît
d’abord un défaut, jugeons-la seulement par ses f
embellie, ajustée par elle. Moins que jamais La Colline inspirée nous
paraît
alors l’aventure personnelle des Baillard. J’évoq
ssimement enthousiastes, lui-même futuriste. Et le journal de l’école
paraissait
avec cette grande manchette : Luigi Capuana futur
nom de Scribe, et que la seule comparaison entre Milton et Scribe lui
paraîtrait
un parallèle entre un sceptre et une paire de pan
r à ses premières croyances. Mais, à mesure qu’il avançait en âge, il
paraissait
aimer beaucoup les femmes, et il parlait d’elles
se d’Hélène, nous y laisse cette fois reconnaître sa figure à lui. Il
paraît
d’abord au lecteur que l’auteur a tout simplement
vous ferez votre Abbesse de Jouarre, à côté de laquelle la mienne ne
paraîtra
plus qu’une très petite sœur converse. » En tout
e, le Chateaubriand, si j’en tire une page dans ma tasse d’argent, me
paraissent
tout de suite d’une année inférieure (outre que,
s propres ramassés on ne sait où, et fort déplacé ? Ce que M. Bourget
paraît
avoir récemment acquis, de beaucoup plus solide e
l’église de L’Annonce faite à Marie et le symbolisme de M. Bourget me
paraît
ici, par sa source traditionnelle comme par le se
sphorescence de son symbole. Comme M. Bourget, M. Édouard Estaunié me
paraît
avoir écrit, dans les trois nouvelles, reliées pa
n des collèges de Jésuites et sur les déboires de l’ingénieur pauvre,
paraissaient
l’orienter vers une transposition littéraire de s
dans la campagne, de M. Edmond Jaloux, n’a rien d’un coup de sonde et
paraît
venir au monde dans un paysage harmonieux, attend
nt n’est pas celui qui raconte, Raymond. Et pourtant… Plutôt, il nous
paraît
le personnage le moins construit, parce qu’il a p
e M. Jaloux témoignent d’une belle et pleine valeur humaine, mais ils
paraissent
garder aussi toute la valeur de documents exacts
ssent ensuite que cette histoire neuve était très vieille, et d’avoir
paru
neuve n’en prenait que plus de valeur. Il est cer
cule. Sur un tel métal toute faiblesse, toute avance délicate d’amour
paraît
rouille, énerve l’œuvre d’art dans la même mesure
identée, implique du romanesque. Si le roman d’aventures anglais nous
paraît
appartenir à une nature vraiment différente du ro
me ingéniosité que dans les livres de M. Benoit, mais son orientation
paraît
très différente. M. Benoit est un charmant imagin
en apparence tout extérieure entre L’Atlantide et Le Maître du navire
paraît
assez typique. Tous deux sont les romans d’une îl
u. Une île mystérieuse où les choses ne se passent pas comme ailleurs
paraît
le lieu naturel du roman d’aventures, et la décou
jusqu’ici, tant chez les classiques que chez les romantiques, avaient
paru
une condition élémentaire de l’œuvre, s’est créé
is les nécessités du journalisme, et il m’est toujours loisible, s’il
paraît
un Cadet de Coutras, de relire Courpière ou Les G
s de Simon, si délicates, si tempérées, si musicales. Et si riche que
paraisse
un jour la diversité épanouie des romans que j’ap
e-même se plaît à en voir dans Tom et Maggie Tulliver. Autant Spencer
paraît
un mécaniste pur, mécaniste de la pensée et de la
t-être en France ses analogues les plus ressemblants), — autant Eliot
paraît
douée uniquement et exclusivement du génie de sen
rt. Comparez George Eliot à George Sand : les romans de celle-ci nous
paraissent
aujourd’hui d’un intérêt secondaire, bien qu’ils
es écrivains. Mais là s’arrête à peu près l’analogie. Autant Rousseau
paraît
un fiévreux et un malade, autant George Eliot, da
re de détails matériels, goûters à préparer ou bas à raccommoder, qui
paraissent
à une mère aussi essentiels que l’étaient autrefo
rice et la Sanseverina n’y sont jamais posés du dehors, mais l’auteur
paraît
les laisser construire par la durée qui les porte
avec une sorte de tour de main héréditaire. C’est qu’ici la durée ne
paraît
plus un flot qui nous porte ; mais au contraire u
a George Eliot l’a fait mieux encore que Thackeray, à un point qui ne
paraît
pas pouvoir être dépassé. Quand M. Bergson a voul
e Bob bataillonnaire, le roman de M. Pierre Mac Orlan, où Gus Bofa me
paraît
avoir dessiné sous un képi de joyeux cette goutte
qu’ils se relient, comme une de ses chaînes principales, à ce qui me
paraît
être depuis vingt ans le Massif Central de la cri
pas en effet d’explication plus juste que celle qui au premier abord
paraît
simplement une métaphore arbitraire. Si la vie in
blement ennuyeuses sont à ce point de vue typiques.) Mais cela nous a
paru
tellement naturel, cela comportait tellement d’an
le premier qui va jusqu’en 1800, et les souvenirs de cette lecture me
paraissent
apporter quelque réponse à cette question. Au pre
classification et de jugement dangereuses. Et cette histoire qui nous
paraissait
naguère si facile nous présente maintenant une di
l’absence de Vinet étonne un peu. Jusqu’à présent trois ouvrages ont
paru
, La Bibliothèque de mon oncle, de Töppfer, Mon vi
nées, avec un être qui naguère nous était presque étranger. » Adolphe
paraît
illustrer cette idée que l’amour est pour notre ê
s deux premiers étaient L’Immoraliste et La Porte étroite. Tous trois
paraissent
construits sur un certain modèle commun. C’est l’
par la porte étroite, elle a sacrifié sa vie à la vie éternelle et il
paraît
bien que le rétrécissement continu de la voie qu’
’une cécité plus générale, d’une ombre dans laquelle il baigne et qui
paraît
son élément comme l’est pour Gertrude la nuit mat
e, intelligente, éloquente, et les points de repère les mieux choisis
paraissent
ici artificiels parce que notre expérience ne nou
es devenus aveugles par accident sont parmi les mutilés ceux qui nous
paraissent
davantage à plaindre. C’est qu’un aveugle-né vit
té, cette facilité que Lamartine appelait la grâce du génie et qui en
paraît
la tentation et le danger : danger de l’art, dang
c’est que la contrainte qu’il a dû imposer à son cœur, à présent lui
paraît
bonne en elle-même ; il la souhaiterait voir impo
vient catholique comme celui qu’elle aime. Sans doute le catholicisme
paraît
-il à Jacques le vrai parce qu’il est plus diffici
cœur tout ce qui n’appartient pas à l’amour. » La Symphonie pastorale
paraît
conclure à l’erreur de la porte large (avec les c
de la Massière). Le Canard sauvage, Un ennemi du peuple, Rosmersholm
paraissent
de même impliquer des conclusions contradictoires
ène était pour lui un lieu de vie et non une chaire à thèses, il leur
parut
moins intéressant. Or les romans de Gide sont com
ste pas une image d’hommes, mais une réalité d’œuvres. Aucun d’eux ne
paraît
avoir eu d’existence en dehors de sa création, et
t de Lemaître sur cette « épopée pessimiste de la nature humaine » me
paraît
aujourd’hui encore très juste. Non seulement cett
Le Disciple, qui fut en son temps une tentative originale. Et le cas
paraît
typique. M. Bourget reçut alors de Taine une lett
tion artistique, le représenter comme une généralité vivante qui nous
paraîtra
absorber tous les hommes de génie comme Grandet a
ment, comme l’art consiste après tout à surmonter des difficultés qui
paraissaient
d’abord insurmontables, on tâchera d’user d’un bi
mour l’équation personnelle de l’intelligence et du génie. Or cela me
paraît
encore plus difficile que de les peindre. Aime-t-
ur cette vie à la fois spirituelle et romanesque, qui nous a toujours
paru
la plus belle de toutes ». À la bonne heure ! Mai
ymbolistes, nous en voyons à présent les parties artificielles. Quand
parut
Couronne de clarté, M. Maeterlinck écrivit dans l
ck écrivit dans le Mercure, très sincèrement sans doute, que cela lui
paraissait
un des plus beaux livres qui eussent jamais été é
u point de vue de l’art, Couronne de clarté et Le Voyage d’Urien nous
paraissent
aujourd’hui des mondes morts comme la lune. Le pr
er le dos. Bien qu’ils fussent alors très jeunes l’un et l’autre, ils
paraissent
avoir écrit ces voyages pour liquider un passé pl
me d’être connues, autant les formules de Rimbaud et de Mallarmé nous
paraissent
en plein courant de la littérature actuelle et en
du Nénuphar blanc n’a pas bougé, et comme le livre de M. Giraudoux me
paraît
se relier à cette veine, participer à cette natur
nne vient à sa place et en son temps dans l’œuvre de M. Giraudoux qui
paraît
maintenant dessiner une perspective aussi vivante
une ombre, Amica America, Adorable Clio ont cette originalité de nous
paraître
habillées de bleu et vivantes dans le bleu. Une o
égorique. Elle est, comme la nature, une vraie nature. Quand le livre
parut
débité en tranches minces dans la Revue de Paris,
est pas, ou plutôt un monde où chacun n’a pas son île. Ce livre qui a
paru
si bizarre à tant de lecteurs de la Revue de Pari
des héros œkistes d’un genre. Ce n’est pas un hasard si Walter Scott
paraît
en même temps qu’Arkwright et que Peel, et si la
mme. La poésie féminine est restée jusqu’ici très exceptionnelle, n’a
paru
que chez quelques poètes mineurs. L’art de la com
ir à son image. Le naufrage de tant d’œuvres grecques et latines nous
paraît
annoncer un destin pareil à nos littératures mode
vie avec l’énigme de la douleur. Il y a évidemment des êtres qui nous
paraissent
heureux, qui le sont peut-être, mais cela, pour M
série de phrases discontinues, pressées, et cependant uniformes, qui
paraissent
frapper comme des coups de doigt à la porte d’un
e un type de style de découverte, et enfin le style de M. Estaunié me
paraîtrait
, pour des raisons que l’on comprendra en relisant
n mystère et qui frappe à la porte sous laquelle des raies de lumière
paraissent
. À cette porte on peut d’ailleurs frapper tumultu
n pur amour menait vers la lumière un être terne qui avant d’aimer ne
paraissait
que le plus ordinaire des vaincus de la vie. Ce l
e réponse. Mais il fallait que l’auteur construisît, se bornât et pût
paraître
conclure. La conclusion est formulée par un prêtr
ccoutumés, mais qui n’est pas habituelle à un Occidental, et qui nous
paraît
chez M. Estaunié particulière et originale. Une v
a famille Manchon. La maladie a été inoculée ici par un homme, qui ne
paraît
qu’en une page, le père qui, convaincu par une ca
des. Il y a des hommes qui souffrent de la solitude et des hommes qui
paraissent
en jouir : les Pensées de Pascal nous donnent la
nnes et ses nouvelles Pages. Les deux volumes des premières Pages ont
paru
il y a dix ans, et j’ai déjà eu occasion de relev
qui fait oraison, le troisième qui paie. Je sais bien que nos oremus
paraissent
aux deux autres ordres de la fumée subtile et vai
. Tout sujet peut et doit se traiter en trois points, et s’il ne vous
paraît
en comporter que deux, c’est que vous ne savez pa
, ayant eu son temps de gloire en même temps que le grand Anglais, il
paraissait
faire avec le maître de l’impérialisme et de l’ac
e Flaubert ou de Mallarmé, aux temps du naturalisme et du symbolisme,
parut
quelque temps problème majeur. Mais au moment où
conservés dans l’ombre des chapelles, et qui, au moment de la guerre,
parurent
ensemble, d’un même mouvement, dans la grande nef
ale qui s’explicite et qui progresse. Le Baiser au lépreux, Génitrix,
paraissent
des coupes à la française sur ce grand sujet, des
chapitre magistral, pendant du Tableau de la France de Michelet, qui
parut
presque en même temps : Paris à vol d’oiseau. Et
t été exploitée par d’autres, et que Les Mystères de Paris avaient pu
paraître
une sorte de brouillon des Misérables. Dans Les M
sans viser à l’induction vraie. * * * Deux types de roman urbain ont
paru
particulièrement tentants depuis un demi-siècle :
à écrire ses mémoires, œuvre copieuse, lente et un peu confuse. Il a
paru
intéressant à M. Henri Lavedan chez Richelieu, à
ralement pas à rendre cette femme très vivante. Pour qu’un personnage
paraisse
vraiment symbolique, la première condition est qu
dans le livre uniquement les caractères et les aventures, son intérêt
paraîtra
probablement médiocre, et, comme M. Souday, on le
écrit (à la Stendhal) comme l’élégance doit avoir l’air non habillée,
paraître
une nudité civilisée. Le mot est bien celui-ci :
nts Il négligeait le reste ». La scène du chapeau, à la fin du livre,
paraît
le chef-d’œuvre de ce romanesque psychologique. U
dain de son roman à la manière de Proust. Et ce Proust qui l’inquiète
paraît
bien l’auteur qui a le plus agi sur lui. Mais not
n chez eux. * * * L’existence, l’avenir du roman catholique en France
paraissent
liés à une situation assez paradoxale de notre li
rée une nouvelle. Et à ce propos, qui diable a choisi pour celle où a
paru
le roman de M. Bernanos le titre hugolard et le-c
rs ce roman éloquent, élevé, à thèse conservatrice, dont l’initiateur
paraît
avoir été Octave Feuillet, avec l’Histoire de Sib
néo-kantien, jeux froids, semblait-il de philosophes professionnels,
parût
bien propre à en sauver les débris. M. Bourget me
mort d’une jeune fille, peut-être de celle de son jeune disciple, et
paraissait
fort embarrassé de la situation où M. Bourget l’a
mit une jeunesse dans son sillage. Les cigognes de Melchior de Vogüé
parurent
au ciel. Une bataille, qui ne manquait pas de com
morale. Cette atmosphère existe heureusement chez Amiel, mais il m’a
paru
que le déterminisme tainien en était dépourvu. Le
oman d’un « disciple » et d’un Maître. C’est pourtant un sujet qui me
paraît
dans l’air. Il y a deux romans de disciple qu’on
lité historique du miroir, la figure de ses prêtres, les premiers qui
paraissent
dans le roman, correspond authentiquement à des n
tique de la religion. Le meilleur et l’essentiel du christianisme lui
paraît
l’organisation catholique. Il adhère au catholici
moment où elle était condamnée à Rome était précisément celui où elle
paraissait
en France fatiguée et démodée, ayant déjà donné t
isie. Le populisme, lui, par un mouvement de compensation inévitable,
paraît
tendre à former une aile prolétarienne du roman s
jusqu’à la Troisième République, on n’a admis qu’un costume de prêtre
parût
sur le théâtre. Ce roman appartient au malheur de
ure de cénacle. Le roman-feuilleton-cinéma, c’est-à-dire le roman qui
paraît
par tranches dans un journal et qui est projeté a
t un enfant avec la préoccupation qu’il devînt romancier, le résultat
paraîtrait
peut-être plus propre à nous faire rire qu’à leur
être reprises. (Note de l’auteur.) 2. Ce Roman de la Vieillesse ne
paraîtra
peut-être pas ici tout à fait à sa place. D’abord
que pour jouer moi-même une partie de vieillesse, et me souvenir. Il
parut
dans la Nouvelle Revue française du 1er juillet 1
ne pas parler dans cet article, et dont Le Chant de l’équipage avait
paru
. Mais je n’avais pas lu Le Chant de l’équipage. O
des et des procédés d’avant-guerre. Les années qui ont suivi nous ont
paru
commencer à donner ce roman de l’action, qui en 1
il manque ce qui serait essentiel : une définition du romanesque. Il
paraît
délicat, mais non impossible, d’en trouver une sa
es premières à sentir et à nous indiquer. Mme de Maintenon affecte de
paraître
moins qu’elle n’est, et aime à laisser deviner pl
cadre de surintendante de l’intérieur royal, et elle ne craint pas de
paraître
en sortir, de laisser voir quelque chose de l’aut
l’autorité politique dont elle tient les ressorts. Elle veut être et
paraître
à la fois. Leur idéal d’avenir à toutes deux est
rideaux. Le plus grand acte de reine qu’elle tient à faire, c’est de
paraître
avoir abdiqué. Mme des Ursins, toujours en train
mbitions, l’une fait la modeste et est en réalité plus sage ; l’autre
paraît
plus sincère : après tout, ce ne sont que deux ma
e Sa Majesté vînt dire elle-même à la porte cette grande nouvelle, me
paraît
si naturel, que je crois vous avoir vue jeter vot
France et que l’ambition continua du côté opposé, était ce qui avait
paru
jusqu’alors, et depuis bien des siècles, de plus
l bien possible, madame, que tous les hommes que vous connaissez vous
paraissent
à bout, et qu’il n’y en ait point qui imaginent d
r a bien changé depuis que je suis sortie de France, car le roi ne me
paraissait
point de ce sentiment lorsque j’avais l’honneur d
que ses lettres fussent brûlées, et Mme de Maintenon, pour lui obéir,
paraît
en avoir détruit une partie. Ces lettres perdues,
me de Maintenon à son tour. Mais c’est bien à Mme des Ursins qu’il me
paraît
ressembler en effet dans les bons moments, au moi
ieu-là, Mme de Motteville ? 68. [NdA] Je ne voudrais pourtant point
paraître
rien dire qui infirmât le mérite du maréchal de B
foible, & suppléassent au défaut de raison. Les Libelles ont donc
paru
. Ce n’est pas ici le lieu d’en faire remarquer l’
etes, la seconde à M. le Duc de R**. Après la Lettre d’un Pere, en a
paru
une autre adressée à l’un des Quarante. Nous igno
it bien la plus mauvaise de toutes les Compagnies. Enfin, il vient de
paroître
un Extrait d’un Ouvrage nouveau *, avec ce titre,
urs à d’autres armes. Pour s’épargner les hasards d’une Réponse, il a
paru
plus sûr de travailler à faire arrêter le débit d
ient plus d’étendue, nous les avons augmentés : quelques-uns nous ont
paru
trop foibles, nous les avons changés ou refondus
sans conséquence, nous nous sommes bornés à l’indiquer ; lorsqu’il a
paru
nuisible, nous avons tâché de le mettre en éviden
rages des Auteurs Jésuites, comme dans ceux des autres, ce qui nous a
paru
louable ; nous avons condamné de même ce qui nous
e qui nous a paru louable ; nous avons condamné de même ce qui nous a
paru
défectueux. On n’est pas mieux fondé à nous accus
on complette des Œuvres de M. de Voltaire, en 41 vol. in-8.° *. Il a
paru
, depuis cet Avertissement, une foule d’autres Ecr
de vue du sens commun. Nous dirons que la psychologie actuelle nous a
paru
surtout préoccupée d’établir que nous apercevons
lequel nous rendrait ainsi ce que nous lui avons prêté. A priori, il
paraît
assez vraisemblable que les choses se passent ain
considérés comme autant d’unités distinctes, les états psychologiques
paraissent
plus ou moins intenses. Envisagés ensuite dans le
nt qu’une certaine unité se conserve à travers leur multiplicité, ils
paraissent
se déterminer les uns les autres. — Intensité, du
ccéder, se distinguent, en ce sens que l’une n’est plus quand l’autre
paraît
. En dehors de nous, extériorité réciproque sans s
reur de Kant a été de prendre le temps pour un milieu homogène. Il ne
paraît
pas avoir remarqué que la durée réelle se compose
l’immobilité. C’est de quoi les Kantiens et même leurs adversaires ne
paraissent
pas s’être aperçus : dans ce prétendu monde phéno
ogène, de la durée vivante. Nous verrions que, si notre action nous a
paru
libre, c’est parce que le rapport de cette action
flexes, et il a restreint la liberté aux moments de crise. Mais il ne
paraît
pas avoir remarqué que le processus de notre acti
imées, et nous avons ajouté un grand nombre d’articles que l’on avait
paru
regretter, surtout de ceux qui ont pour objet les
: autrefois les places de professeur étaient données au concours ; il
paraissait
utile d’examiner publiquement le savoir de ceux q
vint à s’éclaircir ; fatigués de leurs excès divers, tous les partis
parurent
reconnaître le besoin de la paix et la nécessité
brillantes espérances. Lafon et mesdemoiselles Duchesnois et Georges
parurent
au premier rang ; on dut remarquer au second mesd
suivent un autre système ; ils augmentent l’engouement que le public
paraît
avoir pour deux ou trois sujets, et ne manquent j
ent ne plus exciter la même curiosité, et où la question sur Voltaire
paraissait
épuisée, on imagina pour la réveiller de faire at
uvrages composés depuis Racine Mérope, Zaïre, Mahomet, Alzire, qui me
paraissent
les quatre chefs-d’œuvre de Voltaire. Il y a dans
habile de nos critiques, n’a rien perdu de sa gloire, si chaque jour
paraît
l’augmenter encore, s’il est constamment l’écriva
du clavecin. Enfin, dans un spectacle qui dure deux heures, ils n’en
paraissent
occupés qu’au moment où l’on exécute les morceaux
ses conclusions. Le théâtre du Vaudeville et les parodies surtout ne
paraissaient
pas indignes de son attention ; plusieurs de ses
s de son attention ; plusieurs de ses articles sur ce dernier théâtre
paraissent
rédigés avec autant d’attention que ceux qu’il pu
n ne devraient jamais être des auteurs eux-mêmes ; cette opinion nous
paraît
une grande erreur : il faudrait donc dénier les s
rsuit avec tant de courage, dans son amant, le meurtrier de son père,
parut
aux esprits délicats de ce temps-là une fille pre
notre scène et de nos mœurs ne supporterait pas aujourd’hui ce qui a
paru
intéressant du temps de Corneille, c’est une déli
est le résultat de la passion, l’autre l’effet du devoir ; ce devoir
paraît
triste, importun, rigoureux, dès qu’il s’oppose a
confondaient l’orgueil de l’Autriche et faisaient trembler l’Europe,
paraissait
bien petit quand il combinait péniblement l’intri
is bientôt il arbora ouvertement l’étendard de la révolte, en faisant
paraître
le Cid. La cour et la ville se soulevèrent en fav
oppositions de mots qui sent un peu le rhéteur ; le moule des phrases
paraît
plus latin que français ; le tour en est nombreux
illet 1807 Une des plus singulières critiques du Cid, est celle qui
parut
en 1637, sous ce titre : Le Jugement du Cid, comp
comte de Gormas, c’est à la vérité un fanfaron dont les rodomontades
paraissent
plus qu’espagnoles, parce que le spectateur n’a a
quement, d’une mort infâme, sur un échafaud. Avec sa douceur, elle me
paraît
encore plus enragée qu’Émilie ; elle a des idées
rs. Si la morale condamne Corneille, la littérature l’absout : ce qui
paraît
extravagant d’après les lois de l’honnêteté et de
; surtout il était prévenu en faveur de ces combats du cœur, qui lui
paraissaient
le chef-d’œuvre du pathétique. Ces combats ne son
rop rigoureuse, et sa rigueur va jusqu’à l’injustice. Le sujet du Cid
paraît
défectueux à l’aréopage académique, parce qu’il e
blance. Les juges pensent si bien de la nature humaine, qu’il ne leur
paraît
pas vraisemblable qu’une jeune fille très amoureu
premiers siècles de Rome ; le combat des Horaces et des Curiaces leur
paraît
une fable. Cependant il y avait à Rome d’anciens
ù nous allons chercher un asile contre les chaleurs de l’été, nousont
paru
jadis des conquêtes dignes de notre valeur, etc.
vengea en faisant hommage au persécuteur de celui de ses ouvrages qui
parut
après le Cid. Le cardinal, ennemi du premier chef
as moins extraordinaire, c’est que des louanges outrées au point d’en
paraître
comiques, soient cependant au fond à peu près les
eux, on ne sentait pas le mérite de Cinna ; la délibération d’Auguste
paraissait
une froide déclamation politique : la révolution
xercer leurs écoliers. Le rhéteur Sénèque, cet écrivain si énervé, ne
paraît
pas digne d’avoir été choisi pour modèle par le p
quel charme le même homme, représenté au premier acte comme un tyran,
paraît
-il, dès qu’il se montre, un personnage respectabl
ur comme le sublime de la modération et du patriotisme : Auguste nous
paraît
digne de ce trône, qu’il est prêt à sacrifier au
torités, et je ne tiens pas Corneille pour battu. Ces critiques ne me
paraissent
pas envisager la tragédie de Cinna sous son vrai
de transporter à Maxime cette prétendue bassesse de Cinna, elle ne me
paraît
pas juste : par la raison même que Cinna joue le
bontés d’Auguste se font connaître, qu’il est absurde que Cinna n’en
paraisse
touché que dans l’acte suivant. Plus rigoureux en
e des sentiments plus humains et plus honnêtes ; cette conversion lui
paraît
extravagante, parce qu’il n’en voit pas le motif.
’une imagination ardente lui peignait des couleurs de l’héroïsme, lui
paraît
alors ce qu’il est en effet, la plus lâche des tr
’Auvergne : chacun doit faire son métier. Le Télémaque de Fénélon lui
paraissait
un tissu de rêveries harmonieuses ; il regardait
ses : il avait ouvert son épargne à plusieurs muses faméliques. Il ne
paraît
pas, dans l’épître, que Corneille eût déjà lui-mê
les vices y empruntent le langage du sentiment ; mais quand la vertu
paraît
, leur masque tombe, les prestiges de l’imaginatio
it à lui succéder dans la charge de souverain pontife : il aima mieux
paraître
recevoir un honneur que ravir une dépouille. Cett
sur le cœur humain. Ce tyran, peint comme un monstre au premier acte,
paraît
au second comme un sage, assez supérieur aux pass
de l’auteur, et quelquefois trop sur des fautes qui peuvent n’en pas
paraître
à tout le monde. » Ces paroles renferment la subs
es de la juger. Voici un autre principe du même philosophe, qui ne me
paraît
pas plus juste : « Un vivant, dit d’Alembert, qui
ait tuer lui-même ; tous ces gens-là font pitié au philosophe, et lui
paraissent
dignes des Petites-Maisons ; aussi les poètes tra
troisième siècle, c’est un chevalier du siècle de François Ier. S’il
paraît
romanesque, c’est qu’une vertu extraordinaire l’e
Le mari de Pauline n’est point un héros aux yeux de Voltaire ; il lui
paraît
même ridicule et bourgeois lorsqu’il résigne sa f
s’est imaginé que réellement Pauline n’aimait point son mari ; il en
paraît
si persuadé, que cette fausse supposition est la
son affection Tout ce que l’autre avait par inclination. « Rien ne
paraît
plus neuf, dit Voltaire, plus singulier, et d’une
ux ; il tourne en ridicule quelques expressions de l’épître, qui lui
paraissent
trop pompeuses ; il eût voulu sans doute que Corn
qu’elle était bien plus heureuse quand elle était amoureuse . Cela me
paraît
assez grossier ; beaucoup de reines, sans être dé
ortune et la vie. Le grand Corneille, dans la simplicité de son cœur,
paraît
craindre qu’on ne lui reproche d’avoir péché cont
presque familier, qui sont précieux pour les connaisseurs, quoiqu’ils
paraissent
au-dessous de la dignité tragique : la simplicité
des scènes supérieures à quelques tragédies fort vantées. Pompée n’y
paraît
pas, mais il remplit la pièce : c’est la mort de
Mort de Pompée avec les yeux de l’auteur de Zaïre et d’Alzire ; il ne
paraît
pas avoir senti la distance de ces grandes infort
es ; il fait pleurer d’admiration plutôt que de pitié. Cet intérêt me
paraît
bien supérieur au pathétique ordinaire : il est s
ue le critique va lui donner la préférence sur Démosthène, lequel lui
paraît
dur, austère, dépourvu d’élégance et d’ornements,
répètent les petits échos. Qu’est-ce qu’une tragédie dont le héros ne
paraît
pas, attendu qu’il est mort dès le commencement d
t espagnol et français. Voltaire approuve lui-même ces vers du Cid :
Paraissez
, Navarrois, Maures et Castillans ! « Cet enthousi
grands tragiques sont entrés dans la carrière. Au moment où Corneille
parut
, les héroïnes de la cour d’Anne d’Autriche souten
femmes donnaient le ton au théâtre comme dans le monde : ce qui nous
paraît
aujourd’hui si plat et si niais, charmait alors t
a plus grande calamité et le plus terrible des fléaux. Thésée ne leur
paraissait
pas impertinent, lorsqu’il disait dans Œdipe : Q
haut la gloire de vos fers, S’il était quelque trône où vous pussiez
paraître
Plus hautement assise en captivant son maître, J’
utrefois pour le sublime de la galanterie ; aujourd’hui notre théâtre
paraît
s’affranchir de cette servitude ; les femmes se s
éateur. Avoir pu fonder l’intérêt d’une tragédie sur un héros qui n’y
paraît
pas, avoir rempli toute la pièce du seul nom d’un
de la femme du vaincu ne dégénérât pas en extravagance. Ces deux âmes
paraissent
faites l’une pour l’autre : Corneille a puisé dan
it plus dans ce caractère ni éclat, ni sublime, ni beau idéal. Ce qui
paraît
extravagant, d’après les règles ordinaires de la
nages, l’un appartient à l’histoire : César était réellement ce qu’il
paraît
dans la tragédie ; l’autre appartient à Corneille
e des Femmes. Quelle tragédie, dites-vous, que celle dont le héros ne
paraît
pas ! Vous ne voyez donc pas Pompée ? et moi je l
eille ne trouvait chez les anciens et chez les modernes rien qui lui
parût
comparable à cette comédie espagnole ; et lorsqu
mme il se prise. II 11 fructidor an 10 (29 août 1802) Peut-être
paraîtra-t
-il étrange que cette comédie soit espagnole d’ori
y a plus de force et de profondeur ; et quant à la doctrine, elle me
paraît
fort au-dessus d’un valet , qui n’est pas fait p
ue « rien à son gré, ni chez les anciens ni chez les modernes, ne lui
paraît
comparable à cette comédie de Lopez, et qu’il fau
térêt que Voltaire affecte de prendre à l’honneur d’un plagiaire ? Il
paraît
fort étrange à l’auteur du Commentaire de Corneil
e de tort que de n’en pas avoir assez dit. Les pièces de Corneille me
paraissent
de belles églises gothiques. Vale, et ama tuum Be
isemblance y est violée, presque à chaque scène, que ces tragédies me
paraissent
si inférieures à celles de Corneille et de Racine
avec les qualités qu’il n’avait pas ; mais enfin il faut croire qu’il
paraissait
quelquefois à la cour, puisqu’il dit que c’était
il en parle avec la chaleur d’un amant. Il se répand en éloges qui ne
paraissent
pas s’accorder avec sa modestie ordinaire, mais q
son auteur : il reconnaît la beauté du sujet ; mais les fictions lui
paraissent
plus absurdes que nouvelles, les vers plutôt ampo
raclius, si ce n’est pour avoir une occasion de dire qu’Héraclius lui
paraît
un mauvais ouvrage. Je ne conçois pas comment Vol
t est occupé , dit M. de La Harpe, moins le cœur est ému. Cela ne me
paraît
pas bien juste. M. de La Harpe n’établit ce dogme
e 10 octobre 1761) ? je vous avouerai d’abord que la pièce (Cinna) me
paraît
, d’un bout à l’autre, froide et sans intérêt ; qu
plutôt, que dirons-nous de Voltaire lui-même ? Ce chef des incrédules
paraît
doué de la plus pieuse crédulité quand on veut lu
r acquis le privilège exclusif de toucher les cœurs. Cette folie nous
paraît
aujourd’hui puérile, et le temps est passé où Boi
irement que des extravagances dont on est aujourd’hui rebattu, et qui
paraissent
aux gens raisonnables plus ridicules que pathétiq
ts sont passés de mode ; nous ne sommes plus aussi dupes. Ce qui nous
paraît
le plus indigne de la tragédie, ce sont les amour
de petites filles, mais peu touchante pour des hommes sensés. Rien ne
paraît
à présent plus froid et plus mesquin qu’une parei
est trop haut pour que l’outrage puisse l’atteindre ; personne ne lui
paraît
digne de sa colère, et les plus mortelles offense
érieure aux faiblesses communes : le seul inconvénient est que Pompée
paraît
petit devant sa femme ; mais Pompée a de la grand
ie, semble bien peu convenable à Sertorius et à Viriate ; les vers en
paraissent
aussi contraints que les sentiments. L’objet de
tte reine ; voici un exemple de ces sentiments et de ces vers qui
paraissent
à Voltaire si contraints : Je ne veux point d’
ndant cet arrêt n’épouvanta point Racine, lequel n’avait point encore
paru
sur la scène, et ne donna que deux ans après la T
, et on a joué à peu près le Venceslas de Rotrou. Le public n’a point
paru
rebuté des vices de langage, des longueurs, des g
it bien précieuse, si elle pouvait convertir le plomb en or ; mais il
paraît
que ce talisman n’a de vertu que pour les ancienn
vil. Comment donc se fait-il que ce roi, quoique moins criminel, ait
paru
, depuis cette action, insupportable au parterre,
cœur ; mais je ne m’intéresse point pour eux, quelque contrits qu’ils
paraissent
; à plus forte raison suis-je fort indigné quand
Mérope et Mahomet au milieu du dix-huitième siècle : ces auteurs, qui
paraissent
aujourd’hui ridicules, ont reçu autant d’applaudi
saient alors rien de mieux : c’est ainsi que les opéras de Lulli, qui
paraissent
à présent si insipides, faisaient les délices d’u
érésie, et qu’il faut éviter si l’on veut conserver la foi. Ce qui me
paraît
fort singulier, c’est que les règles d’Aristote f
ués qui trompent des amantes trop faciles ; mais cette déloyauté nous
paraît
indigne des héros tragiques. Les Grecs n’avaient
; on y voit même une pantomime où le patron des magiciens, le diable,
paraît
en personne ; et cette pantomime a joui du plus g
s touchent, de combiner tellement sa passion avec son crime, que l’un
paraisse
l’effet presque nécessaire de l’autre, et par con
ne voyons pas qu’aucun magistrat leur ait alors imposé silence ; ils
paraissaient
même avoir le suffrage des honnêtes gens. Racine,
uvoir de la divinité. « Une magicienne, dit encore Voltaire, ne nous
paraît
pas un sujet propre à la tragédie régulière, ni c
la tragédie on parle d’ombres et de fantômes, mais même qu’une ombre
paraisse
quelquefois sur le théâtre. Il n’y a certainement
agiciens et approuve les revenants, par la raison que Dieu peut faire
paraître
une ombre pour convertir les pécheurs, et que les
n pas d’un logicien qui raisonne ; car l’Être suprême, qui peut faire
paraître
une ombre, peut aussi donner à un homme le pouvoi
ité. — Médée : Il suffit ; rentrez, et veillez sur mes enfants. » Il
paraît
cependant que les enfants ne quittent point la sc
hèdre ; il eût répandu sur ces deux traîtres un vernis qui les ferait
paraître
un peu moins odieux : le bon Thomas les a laissés
des et plus nobles que celle de la tragédie de Bérénice. Auguste nous
paraît
sublime lorsqu’il triomphe de la colère ; pourquo
r sa rivale, et dit qu’il … Faut du sang pour venger son injure, me
paraît
affaiblir la pitié qu’on pourrait avoir pour Aria
ensité des siècles ; son corps n’est pour lui qu’une prison. Caton ne
parut
pas fort étonné du matérialisme de César ; il en
’est le modèle de tous les roués qu’on a mis depuis sur la scène : il
paraît
même avoir fourni à Richardson l’idée de son Love
e Pierre Marcassus, ami de l’auteur. » Cette dernière circonstance a
paru
singulière à M. Cailhava. « Il est bon d’observer
le Festin de pierre est digne de son auteur, partout où la statue ne
paraît
pas. Il n’y a, dans toute la pièce, que trois scè
les égards de la justice et de l’humanité envers les vaincus. Molière
paraît
trop naturel dans un siècle aussi raffiné que le
nos poètes trois tragédies ; il était naturel que ce seigneur anglais
parût
d’abord sur le théâtre de son pays ; mais nos tra
t pas pour avoir pillé La Calprenède qu’il a échoué, c’est pour avoir
paru
quelques jours après Thomas Corneille, qui s’étai
érité. La bonne reine nous donne une plaisante idée de sa bonté : il
paraît
qu’elle avait mis le comte sur un pied à ne pas s
st avilissant pour Élisabeth, et jette, dès la première scène où elle
paraît
, un ridicule ineffaçable sur son rôle. La confide
aire an 11 (18 novembre 1802) Plusieurs petites pièces de Molière ne
paraissent
jamais sur la scène : le Mariage forcé, l’Amour M
e quoi les comédiens se sont avisés de remettre précisément celle qui
paraît
le moins digne de son illustre auteur ; c’est la
ef-d’œuvre. La morale était fort relâchée dans le temps où la pièce a
paru
: il n’y a qu’à lire le livre de Fénelon sur l’éd
qui, selon lui, devrait faire le personnage le plus intéressant, ne
paraît
sur le théâtre que pour accoucher . C’est précisé
n’accouche pas sur le théâtre ; il est même très probable qu’elle ne
paraît
pas sur la scène ; on entend seulement les cris q
iter les passions, sont par là même aussi nuisibles au bonheur qu’ils
paraissent
favorables aux plaisirs. La liberté des femmes es
ette excommunication lancée contre le théâtre par un philosophe, doit
paraître
aujourd’hui fort étrange, et même fort extravagan
s qui sentent les beautés de cette pièce de Molière. Mais lorsqu’elle
parut
pour la première fois, il y a cent quarante-quatr
les alarmes des époux, sur les infidélités des femmes, tout cela nous
paraît
ressembler à des contes de nourrice. S’il revenai
Aujourd’hui les airs et les symphonies de l’incomparable Lulli nous
paraîtraient
insupportables ; tant il faut peu compter sur les
finesse, le bon ton, qui distinguaient alors la cour et la ville ? Il
paraît
que la fleur des agréables de Versailles, et la b
, la profondeur de la morale et l’excellence du style : la pièce doit
paraître
un peu froide à des spectateurs sans études et sa
ge pas qu’on pousse la politesse jusqu’à cet excès, et le Misanthrope
paraît
avoir raison d’être en colère contre son ami. Or,
clairs pour tout autre que pour un poète aveuglé par l’amour-propre,
paraissent
à Rousseau autant de mensonges. Si Philinte, à s
on croit pieusement : c’est ce que font aujourd’hui même les gens qui
paraissent
éclairés. Le préjugé une fois formé en faveur de
lus que sur les ressorts d’une intrigue, le principal personnage doit
paraître
le premier et s’annoncer lui-même. L’exposition d
cours : ces subtilités, ces distinctions entre l’amant et le mari, ne
paraissaient
pas dignes d’un roué tel que Jupiter, supérieur à
cela n’est bon que dans les parades. Le jeu de nuit du valet Colin me
paraît
aussi uniquement propre à réjouir la populace. Mo
ignité à des choses qu’elles n’entendent pas, et qui par là même leur
paraissent
au-dessus du commun ; elles sont pour la délicate
e trouver la plaisanterie excellente. Elle l’est en effet ; mais elle
paraît
scandaleuse à ce rigide moraliste : comme si Moli
st jamais riche assez, ni trop tôt ; on n’est heureux qu’autant qu’on
paraît
riche : petit code de doctrine qui renferme la qu
ette. M. de Voltaire fait un grand crime à Plaute de n’avoir pas fait
paraître
la fille ; mais, en conscience, l’auteur pouvait-
enté cette situation que pour la manquer. La preuve qu’il en donne me
paraît
très faible : « Qu’on en juge, dit-il, par ce seu
: « Qu’on en juge, dit-il, par ce seul trait : l’amant de la fille ne
paraît
que dans cette scène ; il vient sans être annoncé
ne ; il vient sans être annoncé ni préparé, et la fille elle-même n’y
paraît
point du tout. » J’ai déjà fait voir que Plaute n
J’ai déjà fait voir que Plaute n’avait point eu tort de ne pas faire
paraître
sur la scène une fille en mal d’enfant ; les autr
itué à parler très légèrement des anciens. Il est faux que l’amant ne
paraisse
que dans la scène avec l’avare ; car il paraît av
faux que l’amant ne paraisse que dans la scène avec l’avare ; car il
paraît
avec sa mère dans la scène septième du quatrième
action dans les trois scènes du cinquième acte ; ainsi ce personnage
paraît
de bon compte dans six scènes, et Voltaire préten
ge paraît de bon compte dans six scènes, et Voltaire prétend qu’il ne
paraît
que dans une seule : c’est ainsi que nos brillant
est si douce et si aimable, il a tant de sentiment, que sa lecture me
paraît
infiniment plus agréable que celle de Plaute : ce
e Phormion du poète grec Apollodore, traduit ou imité par Térence, me
paraît
supérieur aux Fourberies de Scapin ; on y remarqu
lles m’appartiennent. » Le raisonnement n’est pas aussi faux qu’il le
paraît
d’abord : deux bonnes scènes sont perdues dans un
des copies ridicules que l’on exposait au théâtre. Ces copies ne nous
paraissent
plus aujourd’hui que des caricatures qui sentent
laisser les moyens de vivre aux auteurs vivants. Ces deux ouvrages me
paraissent
les deux copies de Pourceaugnac qui approchent le
un artiste très important qui ne pouvait qu’honorer la compagnie. Il
paraît
que, du temps de Molière, les arts, tels que la d
voyelles et des diphtongues ; mais nos grammairiens-métaphysiciens me
paraissent
encore beaucoup plus ridicules. Nous en avons un
’apologie : c’est une idée ingénieuse et riante, qui aujourd’hui même
paraît
encore fraîche et neuve. Les mémoires et anecdote
leur convient si peu d’être savantes, que le bon ton leur prescrit de
paraître
ignorer même ce qu’elles savent ; la bienséance v
ui elles accordent de l’esprit. Mais la comédie des Femmes savantes a
paru
surtout grossière et scandaleuse à l’époque où un
homme d’avoir fait les Femmes savantes, parce que cette comédie leur
paraît
attaquer la philosophie moderne dans son plus for
n homme simple et débonnaire tel que Chrysale : ce bon bourgeois nous
paraît
aujourd’hui bien épais et bien grossier. On ne pa
les, des sentiments plus distingués, des expressions plus nobles : il
paraît
que, du temps de Molière, il y avait encore dans
été, les colonnes de l’État, les oracles de la raison éternelle, peut
paraître
aujourd’hui scandaleuse ; elle n’en est pas moins
que le reproche s’appliquerait avec plus de justice à M. Thomas, qui
paraît
, dans toute cette discussion, avoir mis le préjug
er de la dauphine, et un baiser de cette nature à un tel homme ! cela
paraissait
inconcevable. La princesse se justifia noblement,
ittérateur, pouvoir se tenir au courant des nouveautés théâtrales qui
paraissaient
par la voie de l’impression. Son jugement est que
trop d’esprit. La veuve d’un des plus grands génies qui jamais aient
paru
dans le monde, se hâta de se consoler avec un com
t du défaut d’esprit et de goût : ce qui est simple, naturel et vrai,
paraît
au vulgaire facile, commun, ignoble ; et cependan
es moins instruits, les moins nobles dans leur manière de penser, qui
paraissent
le plus scandalisés de ce genre de plaisanterie.
tre écrasée sous les ruines des collèges, et que l’Académie-Française
paraîtrait
alors tout aussi gothique que l’université. Thoma
les ridicules qu’il voyait ; et de son temps, nos agréables auraient
paru
aussi ridicules que ses Diafoirus. Il est bon d’a
s Français sous le rapport de la galanterie. « Au moment où Corneille
parut
, les héroïnes de la cour d’Anne d’Autriche souten
a plus grande calamité et le plus terrible des fléaux. Thésée ne leur
paraissait
pas impertinent lorsqu’il disait dans Œdipe : Que
e la musique, dans un salon où l’on danse, pour que les danseurs nous
paraissent
aussitôt ridicules. Combien d’actions humaines ré
nd un certain effet comique dérive d’une certaine cause, l’effet nous
paraît
d’autant plus comique que nous jugeons plus natur
le compliquons pas : c’est lui, au contraire, qui nous simplifie. Là
paraît
précisément résider, — comme nous essaierons de l
rire « châtie les mœurs ». Il fait que nous tâchons tout de suite de
paraître
ce que nous devrions être, ce que nous finirons s
estion n’a guère pu être résolue qu’arbitrairement. Si simple qu’elle
paraisse
, elle est déjà trop subtile pour se laisser abord
la personnalité serait absorbée à tout jamais. Il y a des visages qui
paraissent
occupés à pleurer sans cesse, d’autres à rire ou
ature, fait véritablement grimacer ce nez : désormais l’original nous
paraîtra
, lui aussi, avoir voulu s’allonger et faire la gr
onomie, imprimer enfin à toute la personne une attitude telle qu’elle
paraisse
enfoncée et absorbée dans la matérialité de quelq
des gestes et des mouvements. Énonçons tout de suite la loi qui nous
paraît
gouverner les faits de ce genre. Elle se déduit s
i qu’un certain mouvement du bras ou de la tête, toujours le même, me
paraît
revenir périodiquement. Si je le remarque, s’il s
tre certainement pour quelque chose). C’est plutôt que le geste saisi
paraît
plus franchement machinal quand on peut le rattac
us pensons distinctement à des marionnettes. Des fils invisibles nous
paraissent
relier les bras aux bras, les jambes aux jambes,
mode actuelle, nous y sommes tellement habitués que le vêtement nous
paraît
faire corps avec ceux qui le portent. Notre imagi
t nous, l’un après l’autre, tous les médecins de Molière. Si loin que
paraisse
d’ailleurs aller ici la fantaisie comique, la réa
choir et s’entrechoqueraient. Puis la vision se précisait. Les formes
paraissaient
s’arrondir, les corps se rouler et comme se ramas
plus grossière encore, ne fut pas moins instructive. Deux personnages
parurent
, à la tête énorme, au crâne entièrement dénudé. I
ci encore une gradation était observée. À chaque coup reçu, les corps
paraissaient
s’alourdir, se figer, envahis par une rigidité cr
coup de suggestions comiques, surtout dans le comique grossier, là où
paraît
s’accomplir sous nos yeux la transformation d’une
de le rendre acceptable. Et nous ne l’acceptons que parce qu’il nous
paraît
ou sortir d’un état d’âme ou s’encadrer dans les
e plaisir quand je les ai trouvées bonnes, de pitié quand elles m’ont
paru
mauvaises. Mais bien loin d’en être offensée, je
s entendent dire de tous côtés, les vers m’ennuient ; et dès qu’il en
paraît
de bons, ils voient que tout le monde les lit avi
rois indispensablement nécessaire à notre poésie, qui sans cela ne me
paraîtrait
plus distinguée de la prose. LA POÉSIE. Il est vr
éfectueux, que les traductions même, toutes latines qu’elles sont, ne
paraissent
pas au-dessous de l’original. LA POÉSIE. Je vois
e vois qu’on m’avait donné une très injuste opinion de vous ; vous me
paraissez
dans les bons principes, et je suis prête à signe
aitement, je voudrais bien vous faire entendre quelques fables qui me
paraissent
devoir être tout à fait de votre goût, et où la p
st si ridicule que de vouloir attacher du ridicule aux talents, et de
paraître
dédaigner ce qu’on n’est pas en état de faire.
temps où le conte de Voltaire, sur l’éducation d’un prince, venait de
paraître
. 2. Le duc de Nivernais devait terminer par la l
gienne comme une héroïne de vertu ; cet excès de grandeur leur aurait
paru
trop supérieur aux sentiments d’une femme élevée
ux. II 15 thermidor an 10 (3 août 1802) Chaque chef-d’œuvre qui
paraissait
dans le siècle de Louis XIV, ou bien était méconn
Le style de ce courtisan est aussi curieux que ses pensées : « Il me
paraît
qu’Andromaque a bien l’air des belles choses ; il
es personnages n’en sont pas polis, mais ils sont vrais : la nature y
paraît
grossière, mais c’est la nature : souvent même, l
ue en secret n’en sera pas jalouse ? Pyrrhus, violent et emporté, me
paraît
dans la nature beaucoup plus que Pyrrhus doucereu
autour de lui ; cette force avec tous les attributs de la faiblesse,
paraissait
, à des hommes simples, avoir quelque chose de div
content de Théodore, quoiqu’il fût capable de produire Rodogune, qui
parut
l’année suivante. Voltaire eut une grande affecti
au lecteur que de grossiers mensonges et de pitoyables anecdotes qui
paraissent
écrites par des laquais. Mais tout ce qui est de
rivale est Hermione : celle-ci est la femme légitime ; Andromaque ne
paraît
être que la concubine. Quel affront pour cette su
la famille d’Achille, comme peu favorisée des dons de la fortune. Il
paraît
aussi que Pyrrhus est fatigué des hauteurs d’Herm
e n’avait pas destiné cette pièce pour le Théâtre-Français ; elle lui
paraissait
appartenir de droit aux Italiens et à Scaramouche
de donner sa comédie au Théâtre-Français : elle ne devait pas lui en
paraître
plus digne depuis le départ de Scaramouche. Les a
ur le Théâtre-Français, et se le fit conseiller par ses amis, afin de
paraître
avoir été entraîné et même forcé par leurs instan
nts de l’amour. Quel était leur étonnement, de voir celui qui ne leur
paraissait
qu’un Albane ou qu’un Corrège, s’élever tout à co
plus de génie que de goût : il est très probable que Britannicus lui
parut
très inférieur à Othon ; mais la postérité a rete
Il rend une faible justice aux deux premiers actes ; le troisième lui
paraît
fort médiocre, et cependant la scène d’Agrippine
mps tenaient le même langage sur la fin de la monarchie : Racine leur
paraissait
froid, monotone, faible, surtout peu philosophe,
ce secoue plus fortement la foule. Ce genre de tragédie historique me
paraît
cependant celui qui mérite le plus d’être cultivé
la Grèce, imbue des mœurs grecques, idolâtre des arts scéniques, lui
paraissait
plus faite que Rome pour sentir tout son mérite.
pour prôner son talent : ils étaient divisés par compagnies. Quand il
paraissait
sur la scène, le théâtre retentissait de plusieur
la porte de son appartement, se joignant au peuple, demandèrent qu’il
parût
sur le grand théâtre. Cédant, malgré lui, à ce vœ
devaient exécuter des concertos de cithare, et disputer le prix ; il
parut
à son rang parmi les concurrents : les préfets du
e grande délicatesse, cette générosité, cet héroïsme de sentiments ne
paraissent
pas avoir un objet assez important : on ne croit
plan si bien dessiné, chef-d’œuvre de combinaison théâtrale, tout lui
paraît
petit et faux , et l’absurde roman de Zaïre est
mphe de l’amour et de la bonne foi, sur les plus grands intérêts, lui
paraît
une inconvenance ; et, parce que Bajazet s’est dé
en plus déplacée, bien plus inconvenante dans une tragédie. Ce qui me
paraît
surtout admirable dans Bajazet », c’est le troubl
: cet entêtement est héroïque, et n’en est pas moins turc, quoiqu’il
paraisse
étrange au théâtre. Les caprices, les contradicti
ire lui-même convient, dans une autre lettre, qu’un vers détaché peut
paraître
faible, tandis qu’il produit un très bon effet da
au a dit, il est vrai : Et que l’amour, souvent de remords combattu,
Paraisse
une faiblesse et non une vertu. Il semble par là
oureux tragiques que les amoureux complètement fous ; la passion nous
paraît
faible lorsqu’on en triomphe, lorsqu’on la renfer
ontre sa patrie ; Émilie a soif du sang d’Auguste ; l’altière Pauline
paraît
avoir encore plus d’orgueil que de vertu ; la veu
ite ; c’est Mithridate lui-même qui pense, agit et parle. Le poète ne
paraît
jamais, on ne voit que le personnage. Des critiqu
eau vers lequel se tournait alors presque toute la France. Mithridate
parut
quelque temps après Pulchérie : Corneille put à p
vorable à Racine que l’histoire. L’entrée de Monime, au premier acte,
paraît
avoir peu de noblesse ; elle vient elle-même trou
és exactement comme les moines mendiants de l’ancien régime, qui nous
paraissaient
alors fort ridicules ? Puisque nos militaires, no
réparer les esprits à cette autre Iphigénie, qui, dans la fable même,
paraît
si fabuleuse : sans doute il appréhendait que le
ns doute il appréhendait que le mystère de la naissance d’Ériphyle ne
parût
incroyable au spectateur si on la lui jetait brus
nestre française cède à l’autorité, quoiqu’en murmurant ; l’ordre lui
paraît
injuste et cruel, mais elle reconnaît la compéten
4) La querelle d’Achille et d’Agamemnon, dans la tragédie de Racine,
paraît
au premier coup d’œil moins raisonnable et moins
tation ! semblables à ces actrices que la perspective du théâtre fait
paraître
belles de loin, mais qui, lorsqu’on s’en approche
inaison, une vigueur de sens dont les cerveaux de nos poètes modernes
paraissent
incapables. Ce n’est pas qu’il n’y ait encore en
chevalerie. Je vais parcourir seulement la première scène où Achille
paraît
; et l’on verra que ce personnage n’est théâtral
cause ; tandis que lui va songer à ses amours, le seul objet qui lui
paraisse
important dans le monde, suivant les principes de
ous lisez de trop loin dans les secrets des dieux, le reproche ne me
paraît
pas juste. Agamemnon et Ulysse ne lisent pas de
re cet enthousiasme d’une âme héroïque, ces transports de courage qui
paraissent
divins à des Français, mais que les Grecs auraien
avec la raison et la vérité qui président à la poésie dramatique ; il
paraît
surtout déplacé dans la bouche d’un guerrier que
peu l’esprit de la nation ; mais dans le temps où leurs chefs-d’œuvre
paraissaient
, le public n’avait encore pour les juger qu’une r
dans la pièce ; si c’est une faute, il y a plus d’un siècle qu’il n’a
paru
un homme capable d’en commettre une semblable, et
paru un homme capable d’en commettre une semblable, et peut-être n’en
paraîtra-t
-il pas encore de longtemps. Lamotte, qui n’avait
a tourné la tête au bon d’Olivet, et ce grave partisan des anciens me
paraît
ici bien jeune dans son style. II 22 thermid
lus galants que les jansénistes. L’amour d’Hippolyte et d’Aricie leur
paraît
indigne de la scène tragique, précisément parce q
ils peuvent le trouver en défaut. « Cette réflexion, dit Voltaire, me
parut
très judicieuse, ainsi qu’à M. de La Faye et à to
chose qui pouvait éclairer le père et justifier le fils. Cet oubli me
paraît
inexcusable : ni M. de Lassay, ni M. de Lamotte n
r écossais ; au contraire, les convenances et la vérité des mœurs lui
paraissent
mieux observées dans Phèdre. Cette décision ne fa
on des bienséances et des mœurs publiques : un tel spectacle leur eût
paru
choquant et monstrueux. Sénèque s’est avisé le pr
u qu’on évite l’adultère, l’inceste est légitime ; et ce raisonnement
paraît
à Phèdre fort sensé. Aricie témoigne aussi une gr
, parce qu’on n’entre point dans ses ressentiments et que le motif en
paraît
insensé. M. de La Harpe se condamne lui-même, lor
l’honneur du maître, que la Bible, éternel objet de ses sarcasmes, ne
parût
pas avoir fourni à Racine le sujet d’une tragédie
ls prétend que la pièce ainsi déclamée, sans apprêt et sans ornement,
parut
froide et ne produisit aucun effet. Madame de Cay
s poètes médiocres. Louis XIV se souvint d’Athalie, lorsque le public
parut
la traiter plus favorablement. En 1702, environ t
leur pâture, « Et sa bonté s’étend sur toute la nature. « Le plagiat
paraît
sensible, et cependant ce n’en est point un ; rie
tique ; parce que le mari revenant, souvent annoncé dans la pièce, ne
paraît
point sur la scène ; mais Quinault a considéré qu
nd avantage d’avoir précédé les chefs-d’œuvre de Molière. Lorsqu’elle
parut
, le théâtre de Thalie ne pouvait encore s’honorer
r les Amants brouillés de Quinault, à l’hôtel de Bourgogne, qu’on vit
paraître
au Palais-Royal les Amants brouillés du sieur Dev
mettre sa fille au couvent, et même de la faire religieuse, ce qui me
paraît
fort naturel ; tandis que la Mère coquette de Qui
tte mauvaise caricature sont les mêmes dans les deux auteurs. Rien ne
paraît
appartenir à Quinault, dans sa comédie de la Mère
nt à sa majesté, et qu’elle en fut importunée. Quoi qu’il en soit, il
paraît
démontré que l’un des auteurs avait volé l’autre
ent à présent que ce comédien s’appelait Raisin. L’Ésope à la cour ne
parut
au théâtre qu’en 1701 ; Boursault était déjà mort
imaginé le premier de mettre sur la scène Ésope et ses fables : cela
paraît
directement contraire à la nature du poème dramat
te ; elle a du moins peu de goût, ou beaucoup d’ambition, puisqu’elle
paraît
aimer ce petit monstre et l’épouse à la fin de la
être aimé. La scène du vieux avare, qui veut être fermier-général, a
paru
très comique à La Harpe : peut-être les plaisante
artufe n’étaient-ils pas fâchés d’opposer à ce chef-d’œuvre, qui leur
paraissait
dangereux, un autre ouvrage dont le comique ne po
es d’une pareille licence. Il y a dans le Tartufe même des termes qui
paraissent
aujourd’hui d’une horrible grossièreté ; ils sont
hui de plaisanter sur un objet aussi important, ou bien la chose nous
paraît
-elle si simple, si naturelle et si commune, que n
eux, qui savaient très bien que les comédiens étaient excommuniés, ne
paraissaient
point à la comédie ; les gens graves, qui craigna
u des présents des grands seigneurs et joué la comédie à la cour ; il
paraît
qu’alors c’était la mode de faire de riches cadea
des prédicateurs affaiblirait beaucoup la doctrine. Quand le crime y
paraît
, il paraît effroyable. L’art dramatique consiste
teurs affaiblirait beaucoup la doctrine. Quand le crime y paraît, il
paraît
effroyable. L’art dramatique consiste, au contra
le singulier avantage d’être l’auteur de la meilleure comédie qui ait
paru
dans l’enfance de l’art, avant les premières prod
uteroche. C’est donc comme doyen des poètes comiques que Douville m’a
paru
mériter une attention particulière. Les premières
s surveillants, qui lui interdisent tous les plaisirs. Cela doit nous
paraître
aujourd’hui fort étrange ; c’est un attentat cont
ouvoir jouir, Que la plus chaste oreille aujourd’hui peut l’ouïr. Il
paraît
que le goût de la comédie s’augmentait alors beau
e gras, encor rompu par la moitié. Mais le dénouement de Douville me
paraît
plus animé, plus chaud, plus intéressant que celu
de nos mœurs est si raffinée, que ces tableaux naturels et vrais nous
paraissent
insipides, et même ne signifient plus rien pour n
r de la nouveauté. L’année suivante, un autre homme à bonnes fortunes
parut
sous le titre du Chevalier à la mode. Cette pièce
: les dames du siècle de Louis XIV riaient de ces équivoques qui nous
paraissent
si grossières, de ces plaisanteries ignobles qui
icaire, me disait encore ce matin, en me donnant un remède, que je ne
paraissais
pas quarante-cinq ans ; et sa fille Colombine lui
n escroc, qui ne fait la cour aux femmes que pour les dépouiller ; il
paraît
sur le théâtre avec une robe d’aveugle des Quinze
etc., etc. » À la fin de la conversation, des archers et des sergents
paraissent
pour arrêter Arlequin ; Colombine, sensible à son
s-là valent-elles bien deux cents pistoles ?… Voilà un diamant qui me
paraît
bien jaune. Écoutez, je vais porter tout cela che
ipide. » III 14 avril 1810 Un an après que cette comédie eut
paru
, Dancourt fit jouer le Chevalier à la mode : c’es
ue la forme des étoffes, des coiffures et des bijoux. Si le chevalier
paraissait
aujourd’hui sur la scène, équipé comme il l’était
emmes qu’il a séduites. Il en est de même du Chevalier à la mode, qui
parut
un an après l’Homme à bonnes fortunes : il est pe
de quelque grosse taxe. C’est un trait de mœurs très remarquable : il
paraît
que dans ce temps-là les financiers étaient, comm
seulement les endroits qui frappent ; on ne siffle que les traits qui
paraissent
choquants : quand on rit, on cède à l’envie de ri
, sont précisément ce qui fait rire. Ce comique doit aujourd’hui nous
paraître
ignoble ; les maisons de campagne sont des maison
je m’établis son compatriote et son contemporain, et jamais il ne me
paraît
plus piquant que lorsqu’il choque nos coutumes et
ouver entre elles si peu de différence. Si les actrices eussent voulu
paraître
sous le costume que portaient il y a un siècle le
ortant de l’entretien de M. Griffard : Quel animal ! il ne m’a jamais
paru
plus ridicule ! Et cependant elle vient de tirer
nous présente deux jeunes demoiselles, Angélique et Cidalise, qui me
paraissent
avoir des principes de coquetterie au-dessus de l
voudrez. L’amant ne tient pas contre ce témoignage d’amour ; mais il
paraît
encore s’en défier. Un des caractères du véritabl
u un accueil très favorable ; on a beaucoup ri. Mais les comédiens ne
paraissaient
pas avoir une haute idée de la pièce, si l’on en
t beaucoup parler de ce singulier personnage avant de le voir ; il ne
paraissait
qu’à la fin du second acte, annoncé et préparé av
. Le parterre, accoutumé aux Lisettes, aux Finettes, aux Toinettes, a
paru
surpris de ce nom de Catau, qu’il n’a pas trouvé
n avocat, nommé Fourcroi, qui, dans la péroraison d’un plaidoyer, fit
paraître
avec succès des enfants devant les juges, donna l
avec quelque justice, le personnage postiche de l’ambassadeur, qui ne
paraît
que pour faire une harangue. L’auteur du Cours de
ontre le conseil que tient le roi de Portugal. Cette délibération lui
paraît
un froid remplissage. Plût au ciel qu’il n’en eut
par un autre plus grand. Le fanatique qui obéit à de tels dieux nous
paraît
plus odieux, plus méprisable qu’intéressant. Les
emme qui a égorgé son mari et livré son fils au berceau. Électre nous
paraît
féroce et dénaturée : les Grecs l’admiraient comm
liale et fraternelle. Oreste, perçant le flanc qui l’a porté, ne leur
paraissait
que l’inflexible ministre de la justice des dieux
onquête d’Oreste. Cet Oreste est d’abord une espèce d’aventurier, qui
paraît
sous le nom de Tydée, fils de Palamède : il a d’a
n’est plus facile à ridiculiser qu’une vieille mode. Lorsque Électre
parut
en 1708, le goût romanesque dominait sur la scène
’éclatant ; l’Électre du même auteur, étant en possession du théâtre,
paraissait
plus digne d’enflammer l’ambition de Voltaire. Po
ais à peine aux autels je me fus prosterné, Qu’à mon abord fatal tout
parut
consterné. Le temple retentit d’un funèbre murmur
finiment moins d’esprit, moins d’adresse, moins d’éloquence ; mais il
paraît
avoir plus de sens et de vrai talent : voilà le p
ltaire, et Crébillon est toujours exclu du théâtre : son Rhadamiste y
paraît
à peu près une fois l’an ; Atrée, Électre, Pyrrhu
iste y paraît à peu près une fois l’an ; Atrée, Électre, Pyrrhus, n’y
paraissent
jamais. On a essayé l’Oreste de Voltaire sans auc
i que les vers mêmes de Racine. Voltaire, tout incrédule qu’il était,
paraît
avoir beaucoup de foi dans cette anecdote ; il la
t peindre la haine de ce monarque barbare contre les Romains ; Arsame
paraît
calqué sur Xipharès ; Zénobie, aimée du père et d
ce, disait qu’un homme capable de produire ces merveilleux effets lui
paraissait
aussi habile qu’un danseur de corde. L’Académie-F
dispenser d’aimer Rodrigue, elle peut du moins se dispenser de faire
paraître
cet amour si contraire à la bienséance. L’Académi
sur la scène ; mais on entend les cris du vieillard assassiné, et il
paraît
presque aussitôt qu’il a reçu le coup. Du Belloi,
ées après les premières représentations d’Atrée, l’abbé Pellegrin fit
paraître
, sous le nom de mademoiselle Barbier, une critiqu
athèmes philosophiques, Atrée n’est pas encore anéanti : le voilà qui
paraît
, je crois, pour la quatrième fois sur le Théâtre-
s fréquemment ; elle avait eu beaucoup de succès en 1721, lorsqu’elle
parut
pour la première fois ; mais nous nous sommes for
i n’avaient plus de ressources sur la terre. La plaisanterie du valet
paraît
aujourd’hui cruelle dans un pareil moment : on la
ire, les Ménechmes, le Distrait, les Folies amoureuses, ne cessent de
paraître
, et ne paraissent que pour recevoir de nouveaux a
es, le Distrait, les Folies amoureuses, ne cessent de paraître, et ne
paraissent
que pour recevoir de nouveaux affronts. Quand les
maître de Marivaux dans cette partie. Il a une comédie dont le titre
paraîtrait
aujourd’hui plaisant : la Fille inquiète, ou le B
e d’eux et de leur philosophie. Cependant ils acceptent son dîner, et
paraissent
bien disposés à juger de sa tête s’ils trouvent s
mme un docteur dont la sagacité merveilleuse devine la nature ; il ne
paraît
qu’un médecin ordinaire, qui prend pour de la fol
acteurs de même taille, avec l’habit et le masque d’arlequin, peuvent
paraître
au théâtre assez semblables pour qu’on s’y mépren
tel débauché eût été pour nous très choquant ; une courtisane ne peut
paraître
sur notre scène. Nous avons, il est vrai, beaucou
s fourberies d’ailleurs très condamnables. Le philosophe de Genève me
paraît
un peu pédant, quand il se fâche sérieusement con
ouvent des gens qu’on méprise ; on veut voir le succès d’une ruse qui
paraît
bien ourdie, sans pour cela se mettre à la place
izarrerie et de l’incertitude des jugements du public. Si le Distrait
paraissait
aujourd’hui pour la première fois, on ne peut pas
, c’est mal à propos qu’on l’imprime sous le nom de Regnard ; elle ne
paraît
plus au théâtre, et mériterait d’y paraître. Dufr
le nom de Regnard ; elle ne paraît plus au théâtre, et mériterait d’y
paraître
. Dufresny ne la réclama point comme le Joueur : i
Isabelle et de madame Argante. Il y a dans cette pièce, sans que cela
paraisse
, autant de morale que dans le Vieux Célibataire.
ut ; elle dénonce même à Léandre la trahison de son ami. Léandre n’en
paraît
pas extrêmement ému, et Julie est très scandalisé
n, dont on se servait pour se donner une contenance élégante. Crispin
paraît
ainsi devant Nérine, et lui dit :
rit, n’est qu’une mauvaise copie de Desmazures. L’Homme singulier me
paraît
être une caricature du Misanthrope ; et de même q
dicule ; et ce personnage, qui est le fondement de toute la pièce, me
paraît
mal imaginé ; c’est là qu’on reconnaît que la piè
fants se moquent d’eux, ils n’ont garde de les menacer du bâton. Cela
paraît
horrible aujourd’hui ; autrefois c’était la mode
e sont que très médiocrement affectés des désordres de leurs fils. Il
paraît
qu’en 1717 l’amour n’était pas en plus grand créd
s et de turlupinades, moins triviales dans ce temps-là qu’elles ne le
paraissent
aujourd’hui. Le Dissipateur I 25 brumai
du troisième ordre ; on la regarderait comme un chef-d’œuvre si elle
paraissait
de nos jours. Le caractère principal n’est pas co
ruiner. Mais, quelque bonne que soit son intention, son caractère me
paraît
étrange, et contraire à la bienséance de son sexe
lle des comédiens, et la sévérité des comédiens du dernier siècle, me
paraissent
également fondées. Le public était autrefois bien
aignirent que cette honnêteté, sous les livrées de la friponnerie, ne
parût
plus bizarre qu’intéressante ; peut-être l’héroïs
roïsme du valet Pasquin, et le désespoir tragique de son maître, leur
parurent
-ils peu convenables au bon genre de la comédie. S
n, récriés sur ce titre honnête friponne. Le rôle de Julie leur avait
paru
bizarre ; ils avaient insisté sur les invraisembl
s, qui lui ont reproché de priver le théâtre d’un ouvrage fait pour y
paraître
avec distinction ; ce sont toujours les amis qui
nnêtes fripons, ne se tua point cependant pour cela, quoique la chose
parût
en valoir la peine ; il aima mieux vivre pauvre,
es aperçus trop délicats sur la nature et sur la société. Ce qui nous
paraîtrait
surtout ridicule, ce sont des ballets allégorique
tait un des plus beaux acteurs, un des plus nobles qui jamais eussent
paru
sur la scène ; mais en même temps il était d’une
esprit philosophique : il voulait relever son métier ; Molière ne lui
paraissait
pas sans doute assez noble. On peut le regarder c
re dont je puisse me flatter, dit-il, c’est d’avoir pris un ton qui a
paru
nouveau, quoique après l’incomparable Molière, il
ttes à ne pas se brouiller avec leurs femmes de chambre. M. Raffle ne
paraît
que dans une scène, et cette scène est un chef-d’
ois est l’ouvrage de théâtre le plus hardi et le plus profond qui ait
paru
. Molière avait attaqué les dévots, Le Sage les fi
it à rien lors même qu’il l’exposa aux regards du public, et qui doit
paraître
aujourd’hui encore plus bizarre. Des situations p
de tout le monde, et jouet d’une petite fille. Les grâces du baron ne
paraissent
point, on les suppose ; ses sottises crèvent les
ues parures ; de là on le mène à une pièce nouvelle. Ce dernier trait
paraît
plus vrai, plus conforme au caractère du baron ;
is point les satires de Boissy, elles n’ont eu aucune réputation : il
paraît
qu’elles étaient sans sel et sans verve. Dans la
glaciale, vide d’action et pleine d’amplifications de rhétorique, lui
paraissait
un chef-d’œuvre digne de Corneille. Ce n’est pas
urais osé le faire moi-même. Assurément cette tragédie en totalité me
paraît
infiniment préférable aux harangues classiques de
et même j’avouerai que loin ce qui est avant la lettre dans Zaïre me
paraît
agréable et intéressant : il est vrai que tout ce
it-ce aussi parce que Rome et ses consuls, dans le premier siècle, ne
paraîtraient
pas aussi intéressants que Venise et son doge ? T
admis au nombre des conjurés, ce Rutile joue un rôle important : il y
paraît
comme un homme responsable au peuple du succès de
se de Servilius, qui découvre à sa femme le secret de la conjuration,
paraît
au censeur fort peu tragique . Ailleurs il préte
re ancien comique ; des pièces faites et jugées depuis longtemps leur
paraissent
meilleures à prendre que des bagatelles à la mode
ous ont mis dans la tête de nous constituer à l’anglaise. Le mal peut
paraître
moins grand quand la manie des nouveautés ne s’at
i savait régner, la comédie ne se serait point moquée du tabouret. Il
paraît
que dans ce temps-là on appelait espèces les dupe
ingués : Antoine Crassus, Cotta, César, Brutus ; mais lorsque Ciceron
parut
, on sentit qu’on n’avoit encore rien entendu de p
des cinquante-neuf harangues de Ciceron sans la traduire. Sa version
parut
en 1731. à Paris, chez Gandouin en huit vol. in-1
assez coulant ; il rampe même quelquefois ; dans d’autres endroits il
paroît
embarrassé. Je mets beaucoup au-dessus le style d
ant, qu’il n’approfondit pas toujours son sujet, & que le Rhéteur
paroît
trop à découvert dans ses discours. On l’avoit ob
élégance ; & un des hommes du monde qui possédoit le mieux l’art,
paroît
devoir tout à la nature. C’est par ce mérite qu’i
toire, qui ait fait briller ses talens à la Cour. Le Pere Massillon y
parut
presque en même tems que lui & y cueillit des
ateurs de ce nom, André & Gaspard ; les Sermons de celui-ci m’ont
paru
plus éloquens. La justesse, l’élégance, la pureté
’embrasoit. Tout dans ses Sermons annonce ce sentiment. La Religion y
paroît
avec ces charmes, que lui prête un cœur éloquent,
ssi entre le P. de Neuville & M. de Voltaire, & le premier me
paroît
, à plusieurs égards dans l’éloquence, ce que le s
commun, & on le met à la tête des Prédicateurs anglois ; mais il
paroît
qu’il ne seroit pas le premier des Orateurs franç
bé Trublet, si ingénieux lorsqu’il traite la morale philosophique, le
paroît
beaucoup moins dans ses Panégyriques des Saints,
s mérite à certains égards ; mais dans ce qu’on a vu de lui son style
paroît
trop manieré. Ce qui fera dégénérer l’éloquence p
ment. Nous lui devons plusieurs recueils de Sermons, dans lesquels il
paroît
plus Théologien qu’Orateur. Mais il est principal
quence vive & bouillante l’avoit rendu redoutable. Ses plaidoyers
parurent
à Paris en 1698. in-4°. Quelques éloges qu’on leu
amp; connoissant à fond le Droit Romain & les Loix du Royaume, il
parut
au commencement de sa carriere armé d’une éloquen
ude des juges en débutant par le moyen le plus décisif. Il le faisoit
paroître
sous différens jours dans toute la suite de son p
j’avois à nommer, dit l’Abbé Trublet, celui de tous les hommes qui me
paroît
avoir été le plus parfait dans sa profession, dan
-il, de douter de sa profonde capacité ou plûtôt de son ineptie. Elle
paroît
toute entiere dans ses Causes célébres, dont un a
si vous le retouchiez encore. Dans le tems que cet éloquent Magistrat
parut
, les seuls modèles étoient dans la capitale &
e de l’Académie des Sciences, ne l’imita pas servilement ; mais il ne
parut
pas loin de son modèle dans l’art délicat de dire
n but, lorsque les deux premiers volumes de La Démocratie en Amérique
parurent
. M. de Corcelles avait été frappé de cette sorte
vaises. C’est de la force, et la force, partout où elle se rencontre,
paraît
à son avantage au milieu de la faiblesse universe
hommes pourra vous rapprocher de ces malheureux ministres qu’il vous
paraîtrait
si fâcheux aujourd’hui de paraître appuyer. Dans
malheureux ministres qu’il vous paraîtrait si fâcheux aujourd’hui de
paraître
appuyer. Dans quelques rangs que vous vous placie
, et pour lequel, dans son zèle d’investigateur, il a fait le voyage,
paraît
se dérober. Il est évident qu’il arrivait là avec
is j’aime une philosophie moins fastueuse et moins guindée, et qui me
paraît
plus d’accord avec la faiblesse et la diversité h
esse et domine, son talent, dans ses lettres des dernières années, me
paraît
s’être sensiblement assoupli. Il n’avait pas eu j
visations dans lesquelles son génie, moins contraint qu’ailleurs, m’a
paru
heurté et presque sauvage, mais plus vigoureux en
ée de moralité dominait sa pensée, le nom de Poussin y prêtait. Il me
parut
que, dans cette théorie grave et un peu oppressiv
cqueville ne s’y opposait pas. Mais M. de Vidaillan avait, à ce qu’il
paraît
, dans une certaine page, parlé trop peu respectue
anche, par exemple, on trouve deux vers, en caractères minuscules. Il
paraît
qu’il y a là une intention profonde. À son tour,
uart Merrill, et qui lui dédie les Gammes. Ces poètes hiéroglyphiques
paraissent
remplis de bons procédés les uns pour les autres.
Rod, alors, écrivit : « M. René Ghil ne sera jamais banal ». En 1886,
parut
pour la première fois le Traité du verbe, petite
aston Dubedat, en 1887, fonda les Écrits pour l’Art, petite revue qui
parut
jusqu’en décembre 1892 et où combattirent pour le
, en 1889, avec le Meilleur Devenir et le Geste ingénu, dont il était
paru
une édition d’essai en 1888, M. René Ghil commenç
nom d’éditeur. Les Cygnes, nouveaux poèmes, (1890-1891) ; ce volume
paru
en 1892 chez Vanier contient le précédent, et de
ndiqués plus haut. La Chevauchée d’Yeldis et autres poèmes, (1892),
paru
en 1893 chez Vanier. Direction des Entretiens pol
oration à Lutèce, aux Écrits pour l’Art (1re série), à l’Ermitage (où
parut
« Swanhilde »), au Mercure de France, à la Wallon
e M. Vielé-Griffin et Contes à soi-même, prose, de M. de Régnier, ont
paru
lorsqu’on imprimait cette brochure.
; car le Globe s’y lança sans hésiter dès que les besoins du pays lui
parurent
réclamer une pratique plus active ; mais ses tent
préoccupation naturelle des rédacteurs comme du public, notre journal
parut
se réduira au travail du principe de liberté joua
ublicaine : c’est assez désigner M. Dubois. L’unité pratique du Globe
parut
résider en lui ; nul en effet ne porta plus const
; nos pressentiments s’accumulèrent et s’éclaircirent. L’avenir nous
parut
avoir avancé d’un demi-siècle ; au lieu d’en gémi
vaient appris à ne plus désespérer du progrès, quelque lointain qu’il
parût
, et à croire au règne, tôt ou tard nécessaire, de
tous les désirs de notre cœur. Les moyens pour atteindre au but nous
parurent
loyaux autant qu’efficaces, pacifiques, persuasif
au lendemain. Voilà ce que dans notre position personnelle il nous a
paru
convenable d’expliquer au public, et ce que le pu
urs anciens ont quelque chose de naïf, il avait pensé que l’emploi en
paraîtrait
toujours naturel, et il écrivait artificiellement
êtres d’Héliopolis, qui lui racontent les traditions de l’Égypte ; il
paraît
prendre lui-même quelque chose de la gravité myst
n avait foi depuis longtemps, et quelques catastrophes de théâtre qui
paraissaient
des contes puérils aux hommes de notre siècle. Qu
clair, usuel, simple, court, accommodé aux choses, et où l’on ne voit
paraître
aucun arrangement artificiel. Une certaine fleur
par un philtre amoureux, qu’il avait reçu d’une maîtresse jalouse. Il
paraît
certain qu’il se donna lui-même la mort à l’âge d
pose si longuement les principes. Ce système, dans les vers du poète,
paraît
, il faut l’avouer, très logiquement absurde, en m
e poésie nouvelle par le mépris de toutes les croyances poétiques, il
paraît
grand de tous les appuis qu’il refuse, et semble
, qu’ayant à décrire les ravages de la peste sur les hommes, il avait
paru
, dans un sujet si voisin de nous, moins pathétiqu
autres écrits, parle souvent de Lucrèce avec une vive admiration. Il
paraît
même que, dans sa métaphysique peu sérieuse, il a
éron, alors âgé de vingt-six ans, fort de ses études et de son génie,
parut
au barreau, qui venait de s’ouvrir après une long
, il revint à Rome, véritable théâtre de ses talents. Il continua d’y
paraître
comme orateur, défendant les causes des particuli
voir qui effrayait les républicains éclairés, Cicéron, alors préteur,
parut
à la tribune pour appuyer la loi nouvelle de tout
u Capitole. Ce fut là que Catilina, qui dissimulait encore, ayant osé
paraître
comme sénateur, le consul l’accabla de sa foudroy
u corps entier des chevaliers et d’une foule de jeunes patriciens, il
parut
dans les rués de Rome, implorant le secours du pe
qu’après dix mois d’exil il revint en Italie avec une gloire qui lui
parut
à lui-même un dédommagement de son malheur. Le sé
ne modérait pas assez son penchant à l’ironie ; et, sur ce point, il
paraît
avoir souvent manqué de prudence et de dignité. A
dans l’Italie, gouvernée par Antoine, lieutenant de César. Ce retour
parut
peu honorable, et fut mêlé d’amertumes et de crai
l’éloge de son père, qui venait de mourir. Quelque singulier que nous
paraisse
ce fait, d’autres exemples le rendent vraisemblab
es Césars. Dans le triomphe célébré pour la victoire d’Actium, Tibère
parut
à cheval, à côté du char d’Auguste. Il présida au
qui avaient été affligées par un tremblement de terre ; enfin, ce qui
paraît
un augure plus remarquable, il remplit le rôle d’
avait vu la lumière de sa lampe baisser et s’éteindre d’elle-même. Il
paraît
qu’une fois son armée se trouva surprise dans un
omesses de Drusus. Tibère eut un pouvoir aussi vaste que paisible. Il
parut
d’abord en user avec modération, refusa les honne
de punir les libelles, et écarté les accusations de lèse-majesté ; il
parut
bientôt disposé à les accueillir. Ce fut surtout
vengeance. Le sénat leur fut ouvert. Tibère, dans un discours ambigu,
parut
laisser quelque espérance à Pison, pleura Germani
sonnement, fut accablé par la véhémence de ses adversaires, le prince
parut
si froid, si impénétrable, que Pison sortit du sé
ême temps Drusus dans le gouvernement, l’associait au consulat, et ne
paraissait
pas jaloux de son pouvoir. Cette même année, il q
otant des arcs de triomphe et des actions de grâces aux dieux. Tibère
parut
quelques moments tempérer la rigueur du pouvoir.
ns les premiers jours qui suivirent sa mort, Tibère ne cessa point de
paraître
au sénat. Il réprima les larmes réelles ou feinte
n n’en fut point affaibli. Tibère vieillissait ; et sans doute il lui
paraissait
pénible de changer sa confiance et l’ordre qu’il
latins ; mais dans son oisive retraite ce pédantisme augmenta. Tibère
parut
négliger même les affaires. Il laissa pendant plu
asile, même pour assister aux derniers moments de sa mère. Cette mort
parut
enlever une dernière protection aux Romains. Peu
se plaignit des sénateurs ; mais la perte de la famille de Germanicus
parut
quelque temps ajournée. C’est vers cette époque,
ctes dissidentes, les sociétés secrètes et nouvelles que cet empereur
paraît
avoir persécutées. Fidèle d’ailleurs à l’ancienne
t, dénoncé devant le sénat et renfermé dans la prison du Capitole. Il
paraît
qu’alors Séjan, à son tour, fut l’objet des soupç
montrent assez que la lecture des poètes avait rempli sa mémoire. Il
paraît
que, fort jeune encore, il fut employé par ses co
cun de ces voyages n’eut lieu depuis le règne de cet empereur. Ce qui
paraît
assuré, c’est que Plutarque revint, jeune encore,
anciens nous a transmis l’admirable histoire d’Éponine et de Sabinus,
paraît
avoir connu, dans toute sa pureté, le bonheur de
seulement dédié un ouvrage à ce prince. Mais un emploi que Plutarque
paraît
avoir rempli pendant longues années, c’est la prê
ce qu’il raconte. Ce n’est pas que tous les écrits de Plutarque nous
paraissent
avoir la même valeur, et, pour ainsi dire, renfer
le, qui cachait encore avec soin ses dogmes et ses livres sacrés ; il
paraît
même n’avoir eu que des notions fort superficiell
t copié ses plus beaux passages dans d’autres historiens. Le reproche
paraît
peu vraisemblable. Dans les occasions où Plutarqu
épendance des autres. Le zèle de ses partisans et de ses flatteurs en
parut
plus sincère. On chercha seulement à décréditer l
: crains-tu qu’il ne soit déshonorant pour toi, dans la postérité, de
paraître
avoir été notre ami25 ? » On a cent fois cité le
bliothèques Tite Live comme un infidèle et mauvais historien, cela ne
paraît
qu’un absurde caprice. Mais Caligula montrait plu
oignant au talent naturel le travail et la probité ; mais, à ce qu’il
paraît
, cette probité n’est pas celle d’une âme libre. Q
influence de la conquête macédonienne. La comédie, telle que Ménandre
paraît
l’avoir conçue, touche de trop près au roman mora
composé sous l’empire d’Auguste par un Grec, Parthénius de Nicée, qui
paraît
avoir puisé dans les récits de conteurs plus anci
quelques historiettes d’une origine vraiment milésienne, ce qui doit
paraître
d’un grand prix aux curieux amateurs de l’antiqui
e, et l’Arcadien Dinias. Cette histoire ressemblait assez, à ce qu’il
paraît
, au Recueil des voyages imaginaires et au roman d
x, que favorisait encore l’ignorance générale de la géographie. Aussi
paraît
-il certain que les récits de voyages fabuleux et
le sévère Lancelot dut presque lui pardonner. Quoi qu’il en soit, il
paraît
certain que cette première passion tant traversée
lleux avec lequel sa fable est conduite. » Ce dernier éloge doit nous
paraître
sans doute fort exagéré. La fable d’Héliodore est
levée si haut. Héliodore n’est point un Walter Scott ; son livre doit
paraître
toutefois un monument précieux, je dirai même res
ant Huet, qui a jugé son ouvrage avec une grande mais juste sévérité,
paraît
douter de cette circonstance ; et l’on doit croir
nne. Au reste, le roman d’Achille Tatius, épuré comme il doit l’être,
paraîtra
l’un des plus agréables ouvrages de la collection
n est frivole sans doute ; mais nulle part les différences n’auraient
paru
plus marquées et plus à l’honneur de la civilisat
t nationaux du poète anglais. Shakspeare La gloire de Shakspeare
parut
d’abord en France un paradoxe et un scandale. Plu
ameux poète et comme le premier romancier anglais de notre siècle. Il
paraît
que Shakspeare se trouva le fils aîné d’une famil
is le génie du poète était encore loin à l’époque de son mariage, qui
paraît
lui avoir laissé toutes les allures d’une vie ass
e de sir Thomas, condamné à la réprimande publique, peine qui pouvait
paraître
assez légère dans la rigueur des vieilles lois an
ines précieuses sillonner le même fonds. Le phénomène de son génie en
paraîtra
moins surprenant, mais il sera mieux compris. À c
aissait aussi. Une traduction des Jumeaux supposés de l’Arioste avait
paru
à la cour et à la ville ; et, dès 1578, la pièce
e ses contemporains, et l’esprit poétique déjà familier parmi eux, il
paraît
que Shakspeare ne se livra pas d’abord, ou du moi
se. » Ce retour humiliant sur lui-même n’est pas un jeu de poète, et
paraît
avoir tourmenté son âme : c’est pour remercier l’
ais il ne parle d’aucune de ses pièces de théâtre. Ce n’est pas qu’il
paraisse
toujours ignorant ou insouciant de sa gloire, com
mée ne s’était jamais étendue sur Black-Friars. Burbage et Shakspeare
parurent
à cet effet devant lord Ellesmere, l’ancien garde
oi qu’on a remarquée dans quelques-unes de ses pièces, lord Ellesmere
paraît
avoir donné raison aux comédiens contre la ville.
sociétaire, la somme considérable alors de 1,400 livres sterling. Il
paraît
qu’indépendamment de son influence sur le théâtre
nes de son protecteur, le comte de Lémos. Shakspeare, quoique la mort
paraisse
l’avoir surpris, laissait un testament écrit de s
e imitation des mœurs du temps, et de même qu’à la cour le fou du roi
paraissait
dans les plus graves cérémonies. Cette manière de
n revanche, quelle admirable vérité dans le rôle de Brutus ! Comme il
paraît
, tel que le montre Plutarque, le plus doux des ho
ries dans la tragédie d’Antoine et Cléopâtre. Le caractère romain n’y
paraît
guère ; mais le cynisme d’une gloire avilie, ce d
ffet. Dans ce mélange de prose et de vers, quelque bizarre qu’il nous
paraisse
, presque toujours une intention de l’auteur a dét
de nos critiques a le plus accablée de sa superbe raison. La Tempête
paraît
aux Anglais l’une des plus merveilleuses fictions
nuelle, un dialogue étincelant de verve et d’esprit, mais où l’auteur
paraît
plus que le personnage, voilà souvent ses effets
ensée, c’est que l’on retrouve cette pensée dans les écrits qu’il fit
paraître
à son retour, sur des sujets peu faits pour y pré
ats et des rois, où respirent toutes les violences du puritanisme. Il
paraît
qu’un grand projet d’étude l’occupait encore, et
royait patriotique. Aigri par les haines qu’il avait méritées, il fit
paraître
, en 1654, une nouvelle Défense du peuple anglais.
e ; ce fourbe, d’une conduite si haute et si ferme, cet imposteur qui
paraissait
si convaincu, ce Mahomet du Nord et de la scolast
esse. Alors seulement, et vers la fin de la dictature de Cromwell, il
paraît
qu’il commença son poème ; et, par un mélange ass
trouble les monarques de la crainte des révolutions . Enfin l’ouvrage
parut
; et ce poème, devenu l’orgueil de l’Angleterre,
ourut le 10 novembre 1674, à l’âge de soixante-cinq ans. Cette année,
parut
une seconde édition du Paradis perdu, avec quelqu
t devenu, sous sa main, sublime et nouveau. Ainsi considéré, ce sujet
paraîtra
le plus grand que l’imagination ait eu jamais à c
orance. Il invente hors des règles et des faits qu’il ne sait pas. Il
paraît
d’autant plus neuf qu’il est plus inculte. C’est
’il ne le fasse souvent dogmatiser en théologien. Enfin, et ce défaut
paraîtra
plus grave, son poème, qui n’offre que deux perso
avers le chaos, l’une des inventions où l’emploi de la langue humaine
paraît
le plus étonnant. L’inspiration s’élève et monte
ngères, il tient aux racines de la langue anglaise, qui nulle part ne
paraît
plus pompeuse et plus forte. Cette influence des
vers, du style d’un poète. Dupré de Saint-Maur, longtemps après, fit
paraître
une traduction on prose du Paradis perdu. Le sage
ccompagnée de notes instructives. D’autres traductions estimables ont
paru
de nos jours ; mais le monument qui a naturalisé
à Windsor. Il les entretenait de ses lectures et de ses vers ; car il
paraît
n’avoir eu guère d’autre pensée. Il étudiait sans
on par la lecture, et surtout en s’exerçant à composer des vers, Pope
paraissait
manquer de quelques-unes des connaissances que de
e homme, devint le détracteur et voulut être le rival de Pope. Il fit
paraître
, sous le nom d’un poète subalterne, une traductio
ui versifièrent à sa place. Il est superflu de dire que cette version
parut
fort inférieure à la précédente. On ne retrouve p
trop accessible à la colère et à la haine, connut aussi l’amitié. Il
paraît
avoir aimé, de l’affection la plus constante, le
d’années. Elle vint enfin, à la prière des amis du poète. Lorsqu’elle
parut
sur la petite terrasse du jardin au fond duquel P
broke, dont l’esprit supérieur et l’âme ardente, mobile, capricieuse,
paraissent
avoir éprouvé pour Pope une affection à peu près
où ces deux grands poètes ont traité des sujets analogues, l’avantage
paraît
du côté de l’auteur français. Sans comparer l’Art
timidité, de médiocrité ; et la nouvelle école littéraire, surtout, a
paru
le rejeter assez dédaigneusement. Il est à croire
r le continent, où il mourut à Valenciennes, en 1791. Lady Byron, qui
paraît
avoir eu dans le caractère beaucoup de passion et
ussi de vives amitiés de collège, que son âme chagrine et dédaigneuse
paraît
avoir assez longtemps conservées. Sa mère, empres
gination de Byron n’était nullement attristée par ce souvenir ; et il
paraît
avoir passé quelques jours heureux dans la famill
e, qu’il faisait secrètement imprimer dans le voisinage, à Newark. Il
paraît
que, dans ce premier essai, l’imitation mal chois
ortit, fier et humilié tout ensemble. Quelques jours après, sa satire
parut
, et le noble tuteur du jeune lord y recevait quel
sme, les Martyrs : elle attendait son poète. C’est à cette gloire que
parut
dès lors réservé Byron. Les juges les plus habile
oré, sa pensée s’était empreinte de réflexion et de force. Le progrès
paraît
immense des premiers vers de Byron à ceux qu’il r
plus remarquable de ses compagnons d’études, le jeune Mathews, qu’il
paraît
avoir tendrement aimé. Byron sortit de cet accabl
de Londres, dans laquelle il commençait à être admis et recherché. Il
parut
à la chambre des lords, et fit un discours éloque
é d’un libelliste. Cette irritabilité extrême, universelle, maladive,
paraît
avoir fait, en grande partie, le talent de Byron.
être consumé. On ne peut dire, en lisant ses lettres, que sa douleur
paraisse
bien vive, et qu’il n’ait pas été plus frappé du
vers au Libéral, que M. Hunt était venu rédiger en Italie et faisait
paraître
à Londres. Mais il eut le chagrin de voir cette p
s, si une assemblée nationale était convoquée, et s’il consentait à y
paraître
comme arbitre. D’autres chefs moraïtes, en propos
et la barbarie savante, la subtilité laborieuse de son temps, qui lui
paraît
tout claudien, dit-il. En rejetant sur l’humeur e
elle ne nous semble pas aussi ingénieuse qu’offensante. Le poète nous
paraît
tomber quelquefois dans le mauvais goût et les re
occasion d’une gloire immortelle a été manquée pour l’Europe, il n’en
paraît
pas moins assuré que la juste cause des Grecs tri
de sa province pour servir le roi, mais que les dons de Dieu, dont il
paraissait
comblé, ne tarderaient pas, malgré sa modestie, à
rs de moi, qu’il avait entendu réciter par hasard ; il en était ou en
paraissait
enthousiaste. Il me témoigna une bienveillance et
t pu avoir une autre idée que celle d’un montagnard de Savoie lui eût
paru
un blasphème impardonnable de notre risible orgue
agé de théologie, plutôt que d’un saint nourri de piété tolérante. Il
paraissait
plus haineux que sensible. Son costume de prêtre
contre une erreur qui ne venait que d’une complaisance, et ayant fait
paraître
moi-même alors les premières pages de mes poésies
le les deux volumes des Harmonies religieuses et poétiques. L’ouvrage
parut
au tocsin de la révolution de Juillet. Je n’étais
i voulu vous la soumettre. Soyez bien persuadé que pas une ligne n’en
paraîtra
avant d’avoir subi les retouches que ma conscienc
révolution durable, la révolution de la vertu ! » L’abbé de Lamennais
parut
convaincu, me promit de suivre ces conseils et me
embre, j’entendis beaucoup parler d’un nouvel écrit de lui qui devait
paraître
incessamment et dont on craignait l’effet incendi
s étant venu me voir le lendemain: « Eh bien, lui dis-je, votre livre
paraît
donc ? — Oui, me répondit-il avec un air d’embarr
barras et en détournant les yeux. — Mais vous m’aviez promis qu’il ne
paraîtrait
qu’après que vous me l’auriez fait relire à moi-m
onie puissante. Je ne comprenais pas pourquoi. L’abbé de Lamennais me
paraissait
un homme versatile et ambitieux de bruit, tout pr
réunir chez elle les deux membres du gouvernement provisoire qui lui
paraissaient
les plus capables de fonder un système mixte de r
conduire ; il se réfugia en Angleterre par une fausse porte, mais il
parut
de ce jour-là se retirer de la politique, et il v
nçais, que nos troupes s’étaient emparées de deux femmes errantes qui
paraissaient
être du parti de la duchesse de Berri, mais dont
s des Mémoires familiers, intimes, véridiques, il n’en a point encore
paru
; ils dorment en portefeuille, ils attendent. Ceu
, avec de l’esprit, de l’amabilité et de belles qualités sociales, me
paraît
être resté toujours dans des intervalles et des e
épendant », il va dans le monde ; il y a des succès et y est aimé. Il
paraît
bien (remarquez que je parle d’autant plus hardim
hardiment de lui que je n’ai nullement l’honneur de le connaître), il
paraît
bien, dis-je, qu’il était fort joli garçon, digne
comme bons mots nous arrive bien frelaté, bien éventé. Les traits qui
parurent
le mieux lancés ne portent plus. Décidément, il n
pur, du plus réputé classique et du plus lauréat des poètes d’alors,
paraîtrait
bientôt pâle, effacée et insuffisante de couleur
isse faire, Ne sortez jamais de mon cœur ! Aimer follement lui avait
paru
de tout temps la seule manière raisonnable d’aime
istingué, avait de plus, en ces années, une amie du nom de Jenny, qui
paraît
avoir éprouvé pour M. Coulmann des sentiments ass
un jour : « Adieu, Jacques ; je ne sais pourquoi ce nom de Jacques me
paraît
maintenant si harmonieux. Pourquoi ? C’est que vo
elle qu’il publie. M. Coulmann, en abordant Mme Sophie Gay, avait, il
paraît
, quelques préventions, quelques craintes : il la
qu’il est resté fort au-dessous de ce qu’il pouvait être, mais il me
paraît
en même temps s’être élevé fort au-dessus de tous
oins un romantique décidé ; il est ballotté entre les deux. Byron lui
paraît
un grand poète, mais M. de Jouy reste pour lui no
ragédie des anciens et la nôtre. Shakespeare, malgré ses défauts, lui
paraît
souvent plus près des anciens que nous. Il le rec
lasse qu’il émeut et qu’il intéresse : « L’un (le théâtre anglais) ne
paraît
occupé qu’à renforcer le caractère et les mœurs d
ue à ses funérailles. Tous les grands ouvrages de Montesquieu avaient
paru
avant que Grimm commençât sa Correspondance. S’il
utes tôt ou tard inévitables. Ses idées sur l’origine des sociétés ne
paraissent
guère différer de celles de Hobbes, de Lucrèce, d
Buffon m’a toujours étonné, dit Grimm, par l’intime conviction qu’il
paraît
avoir de la certitude de sa théorie de la terre.
ions, il ne pourrait en parler avec plus de confiance. » Rousseau lui
paraissait
dans le même cas pour son système sur l’état sauv
. Il y a des pages (telles que celles sur la mort de Voltaire) qui me
paraissent
trop emphatiques pour être de Grimm, et qui, dans
partir de Tancrède, tout ce que Voltaire produit pour le théâtre lui
paraît
marqué du signe de la vieillesse ; mais, à sa mor
principaux du caractère, et il a discuté de près les écrits. Lorsque
parut
, vers juillet 1780, le singulier écrit intitulé :
arole sévère. Les mauvais ouvrages d’Helvétius ou de d’Holbach ne lui
paraissent
avoir aucun danger pour la morale : « Je ne leur
nfaits que Catherine accorda en sa considération, il en est un qui me
paraît
touchant. Mme d’Épinay, dans les derniers temps d
t des caractères37. 37. [NdA] La Correspondance littéraire de Grimm
parut
pour la première fois en 1812, et acheva de se pu
ervation, & un discernement exquis, dont M. le Moine d’Orgival ne
paroît
pas assez abondamment pourvu. Ce seroit rendre un
édé celui que nous finissons. Une bonne Histoire des Ouvrages qui ont
paru
au commencement, au milieu, & vers la fin de
sont marquées au même coin, ont les mêmes travers que celles qui ont
paru
sur le déclin des Siecles de Périclès, d’Auguste,
e de remplir le but qu’on s’est proposé. C’est ce dont M. le Moine ne
paroît
pas s’être douté. Ajoutons que la négligence &
pidité qui de tout temps a caractérisé sa nation ce feu de valeur qui
paraît
appartenir à la nôtre ; il avait une belle taille
intrigues galantes tramées vers 1753. Le roman de Clarisse venait de
paraître
, et comme il arrive pour tous les romans qui ont
eu à la gaieté. Besenval manque du sens qui l’avertirait que cela ne
paraîtra
pas du tout plaisant à d’autres que lui, et que l
. Besenval, qui ne regrettait pas les atrocités des temps féodaux, ne
paraît
pas se douter qu’il nous retrace là des atrocités
, je vous prie de ne pas rire. » Besenval, qui raconte le trait, n’en
paraît
sentir qu’à demi la portée. Avec le Régent, on en
M. de Maurepas, et la France livrée à un tel homme ; mais la chose me
parut
si ridicule, que je ne pus m’empêcher de rire aus
ntes et sublimes auxquelles l’infortune éleva ce noble cœur qui avait
paru
longtemps léger. M. de Lévis lui a supposé une in
i a supposé une influence sur la reine et un ascendant funeste qui me
paraît
exagéré : « La reine, avec un très bon cœur, avai
e destruction inévitable ». Il voulait les réformes par le roi, et ne
paraît
point s’être fait beaucoup d’illusions sur l’aven
retourner en Suisse. C’est à la première halte de ce voyage qu’ayant
paru
suspect, il fut arrêté dans un village près de Pr
de Mme Campan, qui, par le ton de morale exemplaire qu’elle y met, ne
paraîtra
peut-être pas exempt de quelque arrangement : En
sent des contusions dans tous ses membres. Cette dernière expérience
paraît
avoir été pour lui décisive, et après quelques sa
aire sur Corneille, il fut fort sincère ; là même où sa critique nous
paraît
excessive et trop peu intelligente de l’ancienne
guet veut expliquer à ses contemporains comment Voltaire a pu être et
paraître
si universel, et par quel enchaînement de circons
abondance et une facilité qui étonnerait moins aujourd’hui, mais qui
parut
phénoménale dans son siècle. Cette santé même don
ntre les majorités et les méprise ; en fait de raison, les masses lui
paraissent
naturellement bêtes ; il ne croit au bon sens que
pour lui si l’on parvient à grossir peu à peu le petit troupeau : Il
paraît
par la dernière émeute, écrivait-il à M. Bordes (
: Je crois que rien ne pourra empêcher le factum de La Chalotais de
paraître
; le public s’amusera, disputera, s’échauffera ;
it été obligée de l'enfermer sous clef et de le cacher, pour qu’il ne
parût
pas un enfant. Ce que Voltaire aimait mieux que d
ière, que Voltaire, philosophe et berger, manufacturier et laboureur,
parut
reprendre une vie toute nouvelle. Le nouveau recu
avocat bénévole et zélé de plus d’une belle cause. Ce qui avait pu ne
paraître
qu’inquiétude fébrile devint à la fin une sollici
eil, il est allé tout droit dans sa modestie vers l’écrivain qui peut
paraître
, au meilleur titre, concilier en lui ces deux fil
qu’il eût donné gain de cause aux ennemis de la foi catholique et eût
paru
céder au découragement moral, quand il ne se rend
’abord que par ses capitaines, il fit merveille dès qu’il y entra, et
parut
un chevalier intrépide, armé pour la défense de l
as exact de dire que celui-ci se montra ingrat ; mais, si Philippe II
paraît
toujours fils respectueux, il n’est jamais tendre
ce qu’on a à l’étranger pour ses désirs ; et le roi de Portugal ayant
paru
céder, dans une négociation de famille où il s’ét
ltative dans les négociations du dehors ; surtout il ne voulut jamais
paraître
se mêler en rien des affaires de l’intérieur du r
en voulaient aux Flamands, et Van Male, le favori de l’empereur, leur
paraissait
trop récompensé, ainsi que le médecin Mathys. Jal
ernelle histoire. Charles-Quint qui, vu du côté de la politique, nous
paraît
jusqu’à la fin si prudent, si ferme de conseil, s
s de sa race et de sa maison, ce même homme, vu du, côté, des moines,
paraissait
à ceux-ci tout pénitent, tout mortifié, tout appl
père Fray Juan Regia, son confesseur, et lui dit : “Fray Juan, il m’a
paru
à propos de faire faire les obsèques et funéraill
comprendre qu’on agite avec le désir d’y répondre négativement. Il me
paraît
clair que, s’il avait ces disciplines, ce n’était
faire semblant de le connaître. Cet enfant qui promettait un héros ne
paraît
pas avoir égayé un instant cette triste demeure.
ubans ou soutaches de la robe : c’est la note dominante. La reine n’y
paraît
point écrasée, et malgré cette gloire d’apparat e
dirai-je ? si la reine avait été plus souvent dans la vie ce qu’elle
paraît
sur cette toile de Tocqué, elle aurait eu plus d’
Après des œuvres d’art si distinguées, les portraits écrits vont nous
paraître
bien pâles et ternes. Voyons pourtant : commençon
eur père et de ses maîtresses. Un seul trait, dans ce rude crayon, me
paraît
tout à fait juste et caractéristique : la reine n
-souper en tiers entre elle et Mme de Mailly. La reine croit, et cela
paraît
certain, que Mme de Mailly l’examine sans cesse p
i lui répondit assez froidement : « Ce n’est pas la peine » ; et sans
paraître
vouloir entendre un plus long discours, il alla f
ment il lui avait demandé pardon, comme je l’ai marqué, mais il avait
paru
lui faire amitié. Depuis le séjour de Metz, les c
il avait paru lui faire amitié. Depuis le séjour de Metz, les choses
paraissent
bien changées, et le froid est aussi grand que ja
hâte de prendre sa revanche. Les amis de la favorite, voyant la reine
paraître
et espérer dans sa candeur reconquérir d’une seul
lui qu’on lui préparait dans l’intérieur du palais de la reine. Il en
parut
si mécontent que ces messieurs crurent ne pas lui
Thémire, on quitterait tout pour elle ; l’espérance de lui plaire ne
paraît
point une chimère. « Le respect qu’elle inspire t
t on semble pris au dépourvu, et la place est enlevée avant qu’on ait
paru
en mesure de la défendre. Cette lenteur et cette
ble. Mais, je le dis à regret, on est dans une mauvaise voie, et l’on
paraît
vouloir s’y obstiner. Aujourd’hui, M. d’Arneth, d
ais rôle, et l’on évite de fournir des armes contre soi. Cependant il
paraît
bien ressortir de la correspondance de l’abbé de
plus lentement. Comme rien de ce qui peut être utile à S. A. R. ne me
paraît
étranger à mes devoirs, j’assiste souvent à ses é
tuelle à la suite de la Cour ; il allègue ses ennuis, ses dégoûts, et
paraît
résolu à se retirer (14 août 1773) : « Je suis d
lupart du temps on serait fort embarrassé à deviner les raisons. Elle
paraît
s’occuper assez soigneusement de sa parure et est
. Son maintien avec le roi est souvent un peu trop aisé et négligé et
paraît
annoncer qu’elle ne le regarde que comme un bonho
lui, et il serait difficile qu’elle en eût : mais, malgré cela, elle
paraît
sensible à sa complaisance et déférence pour elle
ets à sa portée, où il y a peu de personnes qui soient ou qui fassent
paraître
qu’elles sont plus instruites qu’elle, où on est
est pas pure négligence, c’est assez finement dit. L’observateur, qui
paraît
être un politique, se préoccupe de l’avenir et es
par qui que ce soit : c’est le point sur lequel toutes ses réflexions
paraissent
jusqu’à présent s’être concentrées. Hors de là, e
’elles ne contiennent et qu’elles ne signifient. La Bruyère a été, il
paraît
bien, un élève de l’Oratoire ; il a dû même entre
ruyère en Normandie dut être de bien courte durée, et pourtant il lui
parut
assez long pour exciter sa mauvaise humeur, au po
ut extraire de ce commentaire très-subtil de M. Éd. Fournier ; ils me
paraissent
se rapporter tous à un coin du caractère et du gé
s avoir, avec tout son esprit, des défauts qui sautaient aux yeux. Il
paraissait
un peu brusque, inégal, forcé de ton ; il était c
sur lui. » Une telle interprétation est souverainement injuste et me
paraît
insoutenable. On se méprend du tout au tout sur B
voit en lui un pédant. L’homme de goût est tout le contraire, et s’il
paraît
décisif, c’est que le goût aussi, dans ses décisi
ollibus… « C’était, un bonhomme dans le fond, mais que la crainte de
paraître
pédant avait jeté dans un autre ridicule opposé,
uyère, en causant, sans jamais pouvoir être ennuyeux, pouvait parfois
paraître
un peu fatigant ; il avait la figure et tout le c
er. Vous avez, il est vrai, une interprétation bien à vous, et qui me
paraît
des plus cherchées et des plus tirées : il y a lo
ire critique de Biographie et d’Histoire de M. Jal n’avait pas encore
paru
et ne fut publié que l’année suivante (1807). Il
vains de la France, chez Hachette ; le premier volume du La Bruyère a
paru
.
leurs paroles, même quand plus rien de matériel ne les sanctionne, te
paraissent
dignes d’autre chose qu’un haussement d’épaules.
araissent dignes d’autre chose qu’un haussement d’épaules. Socrate te
paraît
-il moins honorable que Calas le réhabilité — et v
vanités éblouies de l’enfance. Les événements auxquels tu es mêlé te
paraissent
extraordinaires et le geste de ta main te cache l
geois qui, lui aussi, se sent diminué par « le déshonneur légal », te
paraissent
« admirables ». Tu t’écries : « Je ne connais pas
on du Christ ». Même la religion de l’innocent, innocent toi-même, te
paraît
singulièrement supérieure, car celle de Jésus fut
t l’important. Plus que les autres réformateurs, les antisémites vous
paraissent
approcher la vérité. Il vous arrive, ange vraimen
la fois, se pare de trop de strass différents, s’applique trop à nous
paraître
« quelque chose d’estomirande qui, tout d’abord,
opulace de Gothons en extase devant le caporal ignominieux. » Il y a,
paraît
-il, un parti politique « où les professeurs d’élé
che surtout « sa face d’égoutier » et une barbe « hospitalière » qui,
paraît
-il « consternera d’envie, parmi les bienheureux,
s elles appellent les applaudissements. De telles mœurs vaniteuses me
paraissent
de bonnes mœurs oratoires. Combien de bons yeux n
urent publiées dans la revue Les Partisans en mars 1901, au moment où
paraissait
La vérité en marche. Je les reproduis sans modifi
apable d’être le précepteur de monsieur votre fils. » Tel d’Aguesseau
parut
de bonne heure et presque dès la jeunesse. En mêm
par un certain effet moral auquel on n’était pas accoutumé. On y voit
paraître
et reluire, après quelques pages de lecture conti
onnête et sûr, et salubre. Que vous dirai-je ? là où la rhétorique ne
paraît
pas trop, il y a de l’onction en lui, et l’impres
e homme ne se permet pas un sourire, c’est tout simple ; mais elle ne
paraît
pas non plus soupçonner le sourire qui pourrait b
le de choses déjà imminentes ou existantes, desquelles d’Aguesseau ne
paraît
pas se douter dans son honorable candeur. Et, par
de de ce caractère. L’estimable biographe de d’Aguesseau, M. Boullée,
paraît
croire que Saint-Simon, en jugeant l’illustre cha
eau ; on sent qu’il a dû passer bien du temps à limer, à polir ce qui
paraît
encore un peu traînant à la lecture, et qu’aussi
ait souvent d’Aguesseau à en prendre la défense. Là où d’Aguesseau me
paraît
supérieur et presque original par la combinaison
st guère une vertu de poète ; plus j’étudie son caractère, plus il me
paraît
singulier ; à le voir, à l’entendre parler, on ne
utre chose, sinon que Racine fils, qui faisait d’assez beaux vers, ne
paraissait
nullement un homme d’esprit. Ce goût cicéronien d
ier lieu le privilège de l’Encyclopédie, dont les premiers volumes ne
parurent
, il est vrai, qu’après sa mort. Il aida, sans s’e
Angleterre, non-seulement dans le public, mais sur le théâtre, car il
paraît
certain que six ou sept ans avant Shakespeare, en
Hamlet. Il ne reste sur la scène que les étrangers norvégiens, qui y
paraissent
pour la première fois et qui n’ont pris aucune pa
eare n’avait pas appris beaucoup de latin dans sa jeunesse ; comme il
paraît
au contraire avoir été singulièrement versé dans
N’est-ce pas un prestige de la magie que cette demi-intelligence qui
paraît
luire dans le grossier Caliban ? et ne semble-t-i
e lord Falkland, esprit éminemment élégant et remarquable, à ce qu’il
paraît
, par une finesse de tact qui, du moins dans la cr
ôle de Caliban. Du moins peut-on remarquer que le style de la Tempête
paraît
, plus qu’aucun autre ouvrage de Shakespeare, s’él
doit être fait ce Caliban qu’on prend si souvent pour un poisson ; il
paraît
qu’on le représente avec les bras et les jambes c
annoncé, dit Prospero, au moment où j’ai soulevé la tempête. » Ce mot
paraîtrait
même indiquer une intention que le poëte a voulu
sentir. On ignore où Shakespeare a puisé le sujet de la Tempête ; il
paraît
cependant assez certain qu’il l’a emprunté à quel
ient jusqu’alors retardé la consommation. Cette dernière circonstance
paraît
même assez clairement indiquée dans la scène où l
vie où nous le rencontrons, et où nous ne pouvons douter qu’il n’ait
paru
sous les traits que lui donne le poëte. Peut-être
rutus est demeuré plus grand que lui. Le caractère de César peut nous
paraître
un peu trop entaché de cette jactance commune à t
ros ; il a forcé les couleurs. Cependant son César, je l’avoue, ne me
paraît
pas plus faux que le nôtre ; Shakespeare me sembl
Jules César composée par lord Sterline, connue du public, à ce qu’il
paraît
, quelques années avant que Shakespeare composât l
ce troisième pilier de l’univers. On regrette que le jeune Pompée ne
paraisse
qu’un instant sur la scène ; peut-être oublie-t-i
couvrant entièrement pendant le flux, tandis que le reflux en laisse
paraître
quelques parties au-dessus de l’eau ». Ce désastr
rendre quelque métier pour vivre. Bien qu’ils ne tinssent, à ce qu’il
paraît
, à la haute noblesse d’Écosse que par des degrés
es qu’il rapporte et qui eurent lieu à la mort de Duffe. Le soleil ne
parut
point durant six mois, jusqu’à ce qu’enfin les me
oubli de la splendeur passagère de la vie. La vie de Timon d’Athènes
parut
d’abord dans l’édition in-folio de 1623. On ne sa
une idée originale qui n’appartient qu’à lui. Chaque fois que Launce
paraît
avec son chien, on est d’abord forcé de rire, qui
eare a composé sa tragédie ; elle fut d’abord représentée, à ce qu’il
paraît
, en 1595, chez lord Hundsdon, lord chambellan de
oucement de ce sommeil que les insensés appellent la mort, et la mort
paraissait
belle sur son beau visage. » Juliette aussi est
autant un lion serait hardi au milieu des agneaux, autant Mercutio le
paraissait
au milieu des jeunes filles timides. » Tel était
uvent entrevoir que le ton lui en était à charge. Le rôle de Mercutio
paraît
avoir coûté à son goût et à la justesse de son es
rice de Juliette offre également peu de ces subtilités que Shakspeare
paraît
, dans cet ouvrage, avoir réservées aux gens de la
’il le regardait plutôt comme un métaphysicien que comme un poëte. Il
paraît
que, dans cette pièce, Shakspeare avait pour but
More, pourquoi, après l’honneur que vous avez reçu de la Seigneurie,
paraissez
-vous si triste ? — Ce qui trouble ma joie, répond
a cherché tous ses moyens de saisir et d’émouvoir. La situation lui a
paru
posséder les conditions d’une grande scène dramat
moins considérables, Desdémona, Cassio, Émilia, Bianca : on les verra
paraître
, non sous des apparences vagues, et avec les seul
n caractère individuel, complet, indépendant des circonstances où ils
paraissent
. Ils ne vivent que par la passion et pour elle. H
de les trouver parfois ridicules, et cependant naturels. Hector, qui
paraît
d’abord digne de concentrer sur lui tout l’intérê
ide férocité avec laquelle il égorge Hector. Le vieux roi de Pylos ne
paraît
que pour nous montrer sa barbe blanche et recevoi
’une même chair, et pour qui elle doit quitter père, mère, etc. Il ne
paraît
pas qu’Ina ait désapprouvé le « sage dire » de sa
e de déterminer avec précision le moment où elle fut écrite ; mais il
paraît
probable que ce fut vers 1610 ou 1611. On a en ef
ant lui ne soient pas parvenus jusqu’à nous. Chaque fois qu’une scène
paraît
digne de remarque, on est tenté de se demander ce
imparfaite dans son ensemble et souvent faible dans ses détails, nous
paraît
un miroir où se réfléchit le véritable langage de
r parole, et exigea un nouvel acte de la vie du gros chevalier. Aussi
paraît
-il que les Joyeuses Bourgeoises ont été composées
de détruire entièrement l’effet de la seconde. Bien que cette raison
paraisse
suffisante, on en pourrait trouver plusieurs autr
euses Bourgeoises de Windsor la suite des Henri IV. Pressé à ce qu’il
paraît
par les ordres d’Élisabeth, il n’avait d’abord do
mari finit toujours par être dupe, et l’amant heureux. Cette comédie
paraît
avoir été composée en 1604. Notice sur Le Roi
pièce de Rowley, intitulée : The troublesome Reign of King John, qui
parut
en 1591, c’est-à-dire cinq ans avant celle de Sha
rt du roi Jean n’était qu’une refonte du premier ouvrage ; mais il ne
paraît
pas qu’il y ait eu aucune part. Selon sa coutume,
n de Faulconbridge ; et quant à la confusion des deux personnages, il
paraît
que Shakspeare ne s’en est pas fait plus de scrup
a déposition de Richard et l’avènement au trône de Henri de Lancastre
paraît
singulièrement d’accord avec ce que dit Hume au s
stence d’une autre tragédie sur le même sujet, antérieure, à ce qu’il
paraît
, à celle de Shakspeare, et traitée dans un esprit
se du comte d’Essex eut lieu en 1601, et la pièce de Shakspeare avait
paru
, à ce qu’on croit, dès l’an 1597. Malgré cette an
ntreprise factieuse contre Élisabeth. D’ailleurs la pièce en question
paraît
avoir été connue sous le titre de Henri IV, non s
e. Cette pièce est toute en vers, et en grande partie rimée. L’auteur
paraît
y avoir fait des changements depuis la première é
ucun autre ouvrage du théâtre anglais. La première partie de Henri IV
parut
, selon Malone, en 1597. Chalmers et Drake croient
que la prudence exigeait quelques délais, et ne punit point. Mais il
paraît
que l’opinion générale vengeait suffisamment le j
ui répondit :--Sire, à mon jugement et à celui de tout le monde, vous
paraissiez
mort. Donc, comme votre plus proche héritier conn
elles qui suivent entre Gascoygne et les princes. En tout, Shakspeare
paraît
avoir voulu racheter par des beautés de détail la
qu’il inspire ; et les personnages sur qui tombe le ridicule ne nous
paraissent
pas toujours valoir la peine qu’on en rie. Cepend
uand on le verra reparaître ailleurs. La seconde partie de Henri IV a
paru
, à ce qu’on croit, en 1598 ; avant cette époque,
es faits. En 1623, c’est-à-dire sept ans après la mort de Shakspeare,
parut
la première édition complète de ses œuvres. Quato
ant, et les trois parties de Henri VI n’étaient pas du nombre ; elles
parurent
en 1623, dans l’état où on les donne aujourd’hui,
ui, et toutes trois attribuées à Shakspeare, quoique déjà, à ce qu’il
paraît
, une espèce de tradition lui disputât la première
otre poëte qu’on croie pouvoir placer avant cette époque, la question
paraîtrait
à peu près résolue ; en même temps que la citatio
e, tandis que, dans le reste de la pièce, et dans les deux pièces qui
paraissent
destinées à lui faire suite, il ne se trouve pres
re, auront pu fournir, aux éditeurs de 1623, une raison qui leur aura
paru
suffisante pour ranger, au nombre des ouvrages d’
able, c’est que cette édition est sans date, bien qu’on sache qu’elle
parut
en 1619, ce qui pouvait être une petite habileté
tre une petite habileté du libraire pour laisser croire qu’elle avait
paru
du vivant de l’auteur dont il empruntait le nom.
mages, moins exempte peut-être de cet abus d’esprit que Shakspeare ne
paraît
pas avoir emprunté aux poëtes dramatiques de l’ép
ins retouché cette pièce-ci que la précédente, qui probablement lui a
paru
plus digne de ses efforts ; excepté le discours d
ame comprend un espace de quatorze ans, depuis 1471 jusqu’en 1485. Il
paraît
avoir été représenté en 1597 : on avait, avant ce
u moment de sa chute, se retrouve la touche du grand maître : mais il
paraît
que, pour les Anglais, le mérite de l’ouvrage est
croit, en 1601, à la fin du règne d’Élisabeth, et repris, à ce qu’il
paraît
, après sa mort, en 1613. Il y a lieu de croire qu
nd nom ! Certes, dépouillés de l’harmonie du rhythme, ces poëmes vont
paraître
plus fades encore qu’ils ne le sont réellement, e
; il est ridicule de montrer ainsi l’auteur quand le héros seul doit
paraître
au naturel mais ce défaut puéril était bien plus
ien qu’il exagère, lorsqu’il dit : « J’étais surtout désolé, quand je
paraissais
déguenillé au milieu des enfants, fiers de leurs
it qu’il serait prêtre, mais bientôt il ne voulut plus. « Abbé, je me
parus
ridicule. » — « Je dis donc à ma mère que je n’ét
me les mains qu’il avait levées contre la société. Le bonnet rouge ne
parut
plus à son orgueil qu’une autre espèce de couronn
res (Santa-Cruz), aux îles de Saint-Pierre et de Miquelon. Il manque,
paraît
-il, de se noyer ou d’être mangé par un requin en
les mains dans ses poches. Comme il le dit avec une drôlerie qu’il ne
paraît
pas soupçonner : « Quels moyens avais-je d’exécut
cursion que tout Européen robuste pouvait accomplir. M. Joseph Bédier
paraît
avoir démontré dans ses Etudes critiques, en se s
ce départ soudain fut le résultat d’un débat de conscience, qu’il lui
parut
que c’était pour lui un devoir de revenir au seco
de la place, somment en vain Wimpfen, et disparaissent. Tout cela ne
paraît
pas très sérieux. On commence le siège, on fait q
r ; la nouvelle France, glorieuse de ses nouvelles libertés » (car il
paraît
y croire encore en 1816), « fière même de ses cri
ourri de Rousseau, qu’il considère comme un dieu, et dont l’Émile lui
paraît
un « livre sublime ». Et, d’autre part encore, s’
: « Le lyrique a eu le grand talent d’y mettre de l’enthousiasme sans
paraître
ampoulé » ; il rapproche enfin une chanson en l’h
appe ; un je ne sais quoi, caché je ne sais où, et ce je ne sais quoi
paraît
être la raison efficiente de toutes les révolutio
raitant le monde selon sa portée, lorsque la nécessité le forçait d’y
paraître
, il s’y présentait avec des idées communes et un
oup, sans qu’on s’y attende, sans que le dessein général de son livre
paraisse
l’y obliger, il se met à nous faire l’histoire du
e de l’admettre. D’ailleurs pourquoi désirerais-je l’immortalité ? Il
paraît
qu’il y a des peines mentales totalement séparées
que c’est la négation de l’utilité de toute l’œuvre humaine. L’Essai
parut
en 1797 ; les notes marginales sont probablement
l reprend (nous sommes en 1799) le manuscrit de 2.383 pages in-folio (
paraît
-il) qu’il avait rapporté d’Amérique. Avec cela, i
ance et de la plus monstrueuse vanité. Malgré tant de difficultés, il
paraît
qu’on retrouva la rue, la maison, les enfants de
es « corrigea », on ne peut pas savoir dans quelle mesure, et les fit
paraître
dans l’édition de ses œuvres complètes (1836).
er de René dès aujourd’hui : mais, si je le faisais, les Natchez vous
paraîtraient
ensuite d’un intérêt un peu languissant ; et, d’a
lettres du jeune Saint-Preux dans la Nouvelle Héloïse, et à Werther,
paru
en 1774. C’est d’ailleurs, quant aux événements,
t que d’Homère, avec des morts d’une pittoresque horreur, où le poète
paraît
se divertir effroyablement. Exemples : La hache
amours, nouant autour d’elle les crêpes de son écharpe, ne laissaient
paraître
qu’une de ses mamelles, semblable au globe de la
évèle la mystérieuse douleur qui empoisonna son existence ». (Et ici,
paraît
-il, se plaçait, dans le premier manuscrit des Nat
me vois obligé de la publier à part, avant mon grand ouvrage. Atala
parut
en avril 1801, et Chateaubriand entra soudainemen
ent été neuves à leur moment. Mais il est vrai qu’elles y sont. René
parut
pour la première fois en 1802, dans le Génie du c
z les Hébreux. » Ainsi, pour punir le crime intellectuel de René, il
paraît
qu’il n’y a pas de châtiment plus convenable, plu
pages, vraiment belles, vers le milieu du récit, le style de René me
paraît
plus ancien, plus rapproché du style habituel de
tion. Si nous ne savions pas que cela est de Chateaubriand, cela nous
paraîtrait
assez ordinaire. Et voilà pourquoi je pense que c
ans les Mémoires (1re partie, 3e livre). Ce troisième livre fait même
paraître
René assez pauvre. Il ne veut pas que ceux qui li
st considéré comme marqué à jamais pour une destinée unique. Il lui a
paru
que l’amour d’Amélie exigeait qu’il fût somptueus
i, même en n’aimant pas ? Ces solitudes que je rendais brûlantes vous
paraîtraient
glacées auprès d’un autre époux. Que chercheriez-
nui qui fait le fond de la vie humaine… » Et Fénelon : « Le monde me
paraît
une mauvaise comédie… Je me méprise encore plus q
u dire partout qu’il « bâille sa vie », ce n’est qu’une phrase. Il me
paraît
impossible qu’un homme d’un si fort tempérament,
n choix de mots et avec un éclat dont il se savait si bon gré ; il me
paraît
impossible que cet homme-là se soit ennuyé beauco
amais heureux (mais est-il possible et est-il nécessaire de l’être ?)
paraît
moins malheureux. Dire qu’on a besoin de l’infini
tes erreurs ont fait répandre à notre respectable mère, combien elles
paraissent
déplorables à tout ce qui pense et fait professio
pticisme de l’Essai à la certitude du Génie du christianisme. » Cela
paraît
assez vrai. Dans les plus grandes hardiesses de l
t de l’impiété des plus grands criminels de la Révolution. Il ne leur
paraissait
pas ragoûtant de continuer à penser comme ces gen
hristianisme ! » (Cité par V. Giraud.) Un certain Paul Didier faisait
paraître
en 1802 un livre intitulé Du retour à la religion
ndulgence vous avez déjà annoncé mon ouvrage. Mais cet ouvrage, quand
paraîtra-t
-il ? Il y a deux ans qu’on l’imprime, et il y a d
ales autorités. » (Thiers.) Et le même jour le Génie du christianisme
parut
, et M. de Fontanes en rendait compte dans le Moni
Le livre qui eut une telle fortune était-il un chef-d’œuvre ? Il le
parut
et il devait le paraître. Il avait des parties à
telle fortune était-il un chef-d’œuvre ? Il le parut et il devait le
paraître
. Il avait des parties à la fois attendues et neuv
ec tout cela, la foi de Chateaubriand ne me satisfaisait pas. Elle me
paraissait
petite et fragile. Alors j’ai consulté un théolog
stes, à leurs disciples et à leurs lecteurs et qu’il ne veut pas leur
paraître
trop crédule, ni trop naïf (et cela est d’ailleur
», comme il disait lui-même tout à l’heure, et ne voulait point leur
paraître
un petit esprit. Et il avait raison, et cela même
e autour du vice ». Cela reste d’ailleurs assez superficiel, et il ne
paraît
pas que Chateaubriand ait quelque part défini un
des rêveries du cœur. (Pan, Silène, Galatée sont plus vivants.) Il me
paraît
avoir un faible étrange pour le Paradis perdu de
rait aujourd’hui l’état de la société si le christianisme n’eût point
paru
sur la terre ? » Et le second chapitre me paraît
istianisme n’eût point paru sur la terre ? » Et le second chapitre me
paraît
aussi fragile que le premier. Messieurs, je ne
ce qu’est devenue la France, jusqu’au moment où la Providence a fait
paraître
un de ces hommes qu’elle envoie en signe de récon
is que ce qu’il a inventé est d’une horreur indifférente et fade ! Il
paraît
que Satan est furieux de l’amour de la petite Cym
d’Hercule ? Et si vous saviez combien la chrétienne réponse d’Eudore
paraît
faible ! Cymodocée, en y mettant beaucoup de bonn
j’avais mal à propos employé. Effrayé de mes innovations, il m’avait
paru
impossible de me passer d’un enfer et d’un ciel (
it mort (sans avoir une seule fois écrit ou fait écrire à son maître,
paraît
-il) ; et Chateaubriand s’était abstenu de recherc
de cette folle. En tout cas, il a bien fait de la pleurer. Car il me
paraît
de plus en plus que c’est Lucile, la jolie Breton
uvaient échapper à la police impériale. » (À la vérité, ces allusions
paraissent
aujourd’hui lointaines.) Au Journal des Débats, H
« Jamais je n’ai fait un travail plus pénible et plus ingrat. » Il y
paraît
. Dans les Remarques sur le livre VIII (l’Enfer) :
pporté par Chateaubriand à madame de Custine ? » (A. Cassagne). « Il
parut
plus irrité qu’affligé », dit madame de Rémusat.
, la première partie exceptée, l’Itinéraire, si je ne me trompe, nous
paraît
, aujourd’hui, encore plus ennuyeux que les Martyr
ceau de la Beauce ou de la Brie. Tel petit port méditerranéen ne vous
paraîtra
rien de plus qu’un petit port avec de grosses bar
re… » Bref, il ne sent rien du tout. Un peu après, il croit décent de
paraître
ému, et voici ce qu’il trouve : « Nous parcourûme
n souvenir. Et, en ouvrant ce petit livre, je me méfiais… Or cela m’a
paru
charmant. Est-ce parce que je l’ai relu un jour d
iques. Au moment de l’article du Mercure (1807) l’empereur avait dit,
paraît
-il, de Chateaubriand : « Je le ferai sabrer sur l
vous des admirateurs et des amis. Il devra à cette religion, qui lui
parut
si méprisable dans les écrits de ceux qui la défe
de nombreux rapports, répondit « que le Génie du Christianisme avait
paru
défectueux quant au fond et au plan ; que néanmoi
la chute de l’empereur, que certains indices annonçaient, mais qui ne
paraissait
pas encore très proche. Alors, pour passer le tem
cle sur la terre ; la Corse est devenue française à l’instant où j’ai
paru
; je suis arrivé au monde vingt jours après Bonap
pas non plus si Napoléon est « le plus grand coupable qui ait jamais
paru
sur la terre » ; car c’est une chose très diffici
ressent, aujourd’hui encore, une diminution de force. Ceci encore ne
paraît
point négligeable. À propos du blocus continental
t ce qu’un très grand artiste en pouvait tirer. Ces simples lignes me
paraissent
prodigieuses : (Compiègne, avril 1814). Le roi p
facile à la Restauration, venant après le despotisme de l’Empire, de
paraître
donner assez de liberté.) Dans la Monarchie selon
fois par ses principes et par sa séparation du royaume de Louis XIV,
paraissait
être le vrai champ de bataille où nous pouvions,
ienfaisance des principes de la Révolution. La Terreur, le Directoire
paraissaient
de monstrueux ou vils accidents, mais des acciden
puissamment contribué. Dans les préparatifs de l’entreprise, son rôle
paraît
moindre que celui de Mathieu de Montmorency ou qu
it prévoir, il fallait pouvoir, il fallait réussir… Et ce Polignac ne
paraît
pas avoir été de force. Chateaubriand, devenu per
deux plus puissantes et dévorantes sensibilités (peut-être) qui aient
paru
dans les lettres françaises. Si Rousseau n’avait
enir et se sont exprimés directement, parce que rien au monde ne leur
paraissait
plus passionnant qu’eux-mêmes. Rousseau, pour êtr
ir de se montrer encore supérieur à sa destinée et, en même temps, de
paraître
détaché de lui-même par l’idée de la mort et d’ét
out méprisé ; qu’il a toujours été fort au-dessus des croyances qu’il
paraissait
avoir et qu’il défendait ; qu’il est vraiment uni
oir un homme d’un si grand génie si constamment préoccupé de ce qu’il
paraît
aux yeux des autres hommes, si entêté d’être touj
eaubriand fait d’ailleurs aussi quelquefois). Dans ses préfaces, Hugo
paraît
plutôt orgueilleux que vaniteux ; il ne dit pas :
ouvent très loin dans le temps, il nous donne, à la place, ce qui lui
paraît
le plus beau ou le plus avantageux. Il ne travest
re par le travail de son imagination, toujours subordonné au désir de
paraître
tel qu’il voudrait avoir été. C’est là, chez lui,
t comme une gageure, se soutient jusqu’au bout, ou même, en avançant,
paraît
plus surprenante. Peut-être y a-t-il, dans la par
u contre les atteintes de la vieillesse, ou pour que ces atteintes ne
paraissent
pas, une bien ingénieuse précaution. Il a écrit l
ui a mal tourné : … À peine a-t-il mis l’Italie sous ses pieds qu’il
paraît
en Égypte ; épisode romanesque dont il agrandit s
e les entasser, et d’en trouver encore, que cela lui devenait égal de
paraître
attribuer à son ennemi, tout en le maudissant, un
litude le prenait de temps en temps, et le plus grand de ses plaisirs
paraît
avoir été de voyager seul. Presque jusqu’à la fin
ent aimé Lucile et pour avoir voulu l’épouser ; 5° parce que ses vers
paraissaient
« d’argent » à Joubert et « lui donnaient la sens
sur Chateaubriand : « … Pauvre sans avilissement, riche sans qu’il y
parût
, tout puissant sans influence, chef de secte litt
touchante, dont nous avons déjà parlé. Il y a madame de Custine, qui
paraît
avoir été la plus passionnée. Elle succéda à Paul
même d’un terrible « bon ton », avec un fond d’idées libérales. Il ne
paraît
pas que Chateaubriand ait beaucoup déteint littér
il y a madame Récamier. La liaison de Juliette et de Chateaubriand me
paraît
un chef-d’œuvre de convenance : il était juste et
uvre de son mari, sinon à sa gloire. Elle l’aimait toutefois, cela ne
paraît
pas douteux ; elle lui était dévouée ; elle l’aid
uet, ne pouvant plus rien faire, faisait des vers, parce que cela lui
paraissait
plus facile qu’autre chose. Il en faisait chaque
et le même enfin qui, à soixante-quinze ans, écrivit la Vie de Rancé (
parue
en 1844). C’était son directeur, l’abbé Seguin, q
qu’on avance dans les Mémoires d’outre-tombe. Tout le romantisme, qui
paraît
né de lui, a ajouté, par répercussion, à sa virtu
de Villette, officier de mer distingué, et qui a laissé des Mémoires,
paraît
avoir tenu en quelque chose de son aïeul et pour
a l’esprit acéré, vif et mordant. C’est un Hamilton en femme. Elle ne
paraît
occupée d’abord que des plaisirs, des amusements
en habit du matin, soit en habit de cour, ou en habit d’hiver, elle y
paraît
fine, mince, grande, noble, élégante et jolie ; d
s est droite et prompte ; elle va au fond des caractères sans qu’il y
paraisse
. Faut-il peindre Mlle de Fontanges avec sa beauté
la finesse ; la vigueur et la fermeté qui y sont souvent au fond n’y
paraissent
que voilées. Mais il est des moments où le mot vr
Il restait cependant une difficulté : Mme de Montespan, ajoutait-on,
paraîtra-t
-elle devant le roi sans préparation ? Il faudrait
un seul homme capable d’être utile à la patrie. Cette remarque, qui
paraîtra
bien sévère si on l’étend à toute l’éducation, re
dans l’âme de ses convives, que tous les âges et tous les caractères
paraissaient
aimables et heureux. Tant est surprenante la forc
beauté de vos lettres, lui écrivait Mme de Maintenon(1716) ; je vous
paraîtrais
flatteuse, et, à mon âge, il ne faut pas changer
le prit du tabac : « Pour le tabac, je n’en parle point, quoiqu’il me
paraisse
une horreur : je ne le puis même souffrir au joli
Ce que je puis dire seulement, c’est que l’éloge de Mme de Caylus me
paraît
très délicat. 8. [NdA] C’est certainement une a
je m’accommode mieux de Mme de Caylus qu’autrefois, parce qu’elle me
paraît
revenue de l’entêtement qu’elle avait pour le jan
n sur la règle.” Je ne veux pas discourir sur cette opinion qui ne me
paraît
pas dénuée de bon sens ; je me borne à constater
à coup une intelligence indéfiniment compréhensive. Nulle idée ne lui
paraissait
plus vraie ou fausse mais vraie et fausse tour à
fallait tout comprendre, partant tout admettre. Un seul état d’esprit
paraissait
intolérable ; c’est ce qu’on appelait entre initi
ont des amantes peu fécondes… en art surtout. Oui, comme cet art nous
paraît
suranné alors que les plus jeunes hommes tendent
re la discipline8. Venant après les excès du symbolisme, le naturisme
parut
en progrès ; en vérité, considéré dans le sens de
a fusion des Essais de jeunes avec Les Pages d’art. Le premier numéro
parut
en mars 1896. Il indiquait comme collaborateurs :
entuelle divinité. « Non ! nous voulons simplement dire ce qu’il nous
paraît
beau et nécessaire de dire. Et s’il nous arrive d
905) M. Fernand Gregh précise : — Oui, le nom rajeuni d’humanisme me
paraît
convenir, précisément, parce que, les nouveaux po
ges. Un tel classique a pu être un moment révolutionnaire, il a pu le
paraître
du moins, mais il ne l’est pas… il n’a renversé c
iste, ce qui est le pire en poésie. Il y a plus : il n’est pas bon de
paraître
trop vite et d’emblée classique à ses contemporai
alors de ne pas rester tel pour la postérité. Fontanes, en son temps,
paraissait
un classique pur à ses amis ; voyez quelle pâle c
une bonne volonté qu’on a trop oubliée. Le manifeste naturiste avait
paru
dans la Revue Naturiste (mars 1897) et le Figaro
c’est certainement Hesnault ; c’est lui aussi qui, de tout ce groupe,
paraît
avoir le mieux compris la position fausse où l’es
iècle de Louis XIV en poésie est d’ailleurs comme non avenu, et où il
paraît
que Fontenelle a mis la main, Saint-Pavin tient u
suffi, sans tant y prendre garde, de les lui attribuer, pour la faire
paraître
insipide. Elle vaut, elle valait beaucoup mieux q
t pour maître Hesnault, et Bayle prétend qu’on s’en aperçoit bien. Il
paraît
qu’Hesnault fut un peu amoureux d’elle, comme Mén
poésies, une mode qui pouvaît, dès les années finissantes du siècle,
paraître
un peu vieillie. Au plus plein milieu du règne de
ssompierre : tout ce qui survenait de nouveau, même à Versailles, lui
paraissait
peu poli ; elle ne s’y mêlait que malgré elle, et
ore aux murs nus : Sous le consulat de Plancus. Dès qu’il commence à
paroître
, Il fait cesser les froideurs ; Mais ce qu’il a d
e qui est fini, il est une femme poëte, plutôt nommée que lue, qui me
paraît
à certains égards de l’école dont j’ai parlé, et
l Rambouillet ? Les premières élégies de Mme Dufrénoy commencèrent de
paraître
dans les recueils poétiques aux environs de 89. S
Mme Dufrénoy, mais non pas absents dans l’autre muse. Toutes les deux
paraissent
avoir senti l’infidélité avec une douleur qui n’é
tant au hasard quelques petits in-12 oubliés, un reflet de soleil m’a
paru
éclairer et comme dessiner exactement cette traîn
es arrangements de famille déterminèrent cette conclusion précoce. Il
paraît
qu’elle ne rejoignit son mari dans les Pays-Bas q
devança l’âge. 186. On a dit qu’elle plut au prince de Condé, et il
paraît
bien qu’il y eut en effet quelque chose entre eux
cette maîtresse. La santé du roi, le soin qu’il en avait, sa vigueur,
paraissaient
devoir éloigner cet événement, quand tout à coup
i ; il fit éveiller Mme Dubarry. Cependant cette inquiétude du roi ne
paraissait
encore point fondée, et Lemonnier, qui connaissai
Beauvau et M. le duc d’Ayen, s’en formalisèrent d’une manière qui me
parut
ridicule ; car ce changement, en procurant plus d
nnes, dont chacune a le droit d’approcher et de visiter un malade, me
paraissaient
un vrai supplice. Mais le roi n’en jugeait pas ai
ais aussi la plus grande retenue dans mes propos, et de ne rien faire
paraître
de l’envie que j’avais de tout ce qui pouvait ame
t, et, malgré l’opinion qu’on avait de sa faiblesse et de sa peur, il
paraissait
bien évidemment qu’il commençait une grande malad
les médecins avaient annoncé à Mesdames la petite vérole du roi leur
parut
, non pas un présage, mais une assurance de guéris
lui qui était l’homme du monde le plus douillet et le plus penaud, me
paraissaient
la preuve la plus décisive du danger de son état
uatre ans auparavant, fait défendre, à la réquisition de son père, de
paraître
à la Cour, après en avoir dit tout le mal que l’o
mis, et quoiqu’en général ces messieurs ne disent pas leur avis, ils
paraissaient
peu contents. M. le duc d’Orléans, M. le prince d
e Dauphin, qui s’était montré triste et inquiet la veille au soir, le
paraissait
encore davantage le matin. Il s’était, ainsi que
ans blesser l’honneur, cacher ce qu’on pense, on ne peut pas le faire
paraître
sans étourderie et sans courir le risque à peu pr
ne suite, après avoir un instant pleuré, elle dit qu’elle verrait, et
parut
peu inquiète de la santé du roi. Ce que je rappor
des réducteurs antagonistes. — La représentation faiblit et cesse de
paraître
objet réel. — Même lorsque la représentation deme
ême lorsque la représentation demeure nette et colorée, elle cesse de
paraître
objet réel. — Mécanisme général de cette dernière
— Premier stade de la rectification, le souvenir. — L’image actuelle
paraît
sensation passée. — Le souvenir, comme la percept
phénomène nouveau : non seulement le fantôme pâlit, mais il cesse de
paraître
objet réel. Il était déclaré extérieur, il est dé
moire. À ce moment, et en vertu de la correction, l’image présente me
paraît
sensation passée ; c’est là proprement le souveni
s la série des réductions par lesquelles l’image passe pour arriver à
paraître
telle qu’elle est effectivement. — Au premier sta
une image actuelle, mais pour une sensation passée, et qu’ainsi elle
paraît
autre qu’elle n’est. Il est une connaissance, en
il nous met en communication avec notre passé. — Mais si cet acte lui
paraît
spirituel et pur, c’est qu’il est vide ; il l’a v
sont alors présentes. Si, conformément à sa tendance naturelle, elle
paraissait
sensation, il y aurait contradiction entre elle e
on devra coïncider en apparence avec le bout postérieur de l’image et
paraître
le plus éloigné possible du bout antérieur de l’i
ernier état de l’image, celui dans lequel elle cesse non seulement de
paraître
sensation actuelle, mais encore de paraître sensa
le cesse non seulement de paraître sensation actuelle, mais encore de
paraître
sensation passée ou future. À ce moment, nous la
dédoublons parce qu’elle a deux moments, le premier, dans lequel elle
paraît
objet extérieur ou événement passé, rideau de peu
on visuelle antérieure, le second, dans lequel, étant rectifiée, elle
paraît
événement interne et présent, fantôme optique act
lein de profondes recherches sur cette nation. Aussitôt que l’ouvrage
parut
en 1707. M. l’Abbé Dupin l’accommoda à ses idées,
parut en 1707. M. l’Abbé Dupin l’accommoda à ses idées, & le fit
paroître
à Paris en sept vol comme si ce livre lui avoit a
ecclésiastique dont on a vingt volumes in-4°. & in-12. Le premier
parut
en 1690. & le dernier sur la fin de 1719. L’a
rmées entre deux crochets, soit pour concilier les choses qui peuvent
paroître
contraires, soit pour servir de liaison aux diffé
if, nous ne craignons pas d’assurer, dit Mr. Querlon, qu’il n’a point
paru
depuis long-tems un livre plus curieux, aussi ple
re des variations des Eglises Protestantes, par Bossuet ? Cet ouvrage
parut
pour la premiere fois en 1688. Quoique le titre n
été faites. Celles que nous devons à Lafitau, Evêque de Sisteron ont
paru
si insipides qu’on ne les lit plus. On a du même
cution sembloit suffire à la vie de plusieurs hommes. Le premier vol.
parut
en 1686., & fut réimprimé dans la suite avec
férence entre ces premiers siécles & les suivans. Ces derniers ne
parurent
pas travaillés avec autant de force, de soin &
ris, imprimée en 2. vol. in-4°. à Amsterdam 1736. Cette histoire, qui
paroît
être d’un Protestant déguisé, est encore plus dan
lieres de l’un & de l’autre sexe, en 8. volumes in-4°. Le premier
parut
en 1714., & les sept derniers furent donnés a
est le plus exact, le plus achevé & le plus utile qui ait encore
paru
en françois. Il est purgé de toutes les fables, d
Anglois, qui brillent par l’érudition & la critique. Il en a déja
paru
7. vol. in-8°. Je ne vous citerai point les vies
Le plus estimé est celui de M. Racine, dont les deux premiers volumes
parurent
en 1758. Sous le titre d’Abrégé de l’Histoire Ecc
tte classe de personnages la situation des personnages principaux m’a
paru
souvent ajouter à celle qu’en reçoivent les spect
t qui prenaient plus de vérité et plus de chaleur, parce qu’elles lui
paraissaient
suggérées par la conduite de ses chefs et par les
Il est pauvre, inconnu, laborieux, innocent comme eux. Comme eux, il
paraissait
n’avoir rien à craindre d’un pouvoir élevé si for
conséquence, tous leurs moyens extérieurs, quelque multipliés qu’ils
paraissent
, ne sont que des accessoires. Mais en France, où
ds l’assiègent ; il éprouve une crainte vague ; son bonheur lui avait
paru
longtemps attaché à la conservation de ce premier
mné, c’est celle de plusieurs scènes dans lesquelles Schiller faisait
paraître
de simples soldats, les uns au milieu de la révol
peu qu’Hermione lui donne quelque espérance. Ce meurtrier de sa mère
paraît
même avoir tout à fait oublié le forfait qu’il a
une mystérieuse signification ? Pourquoi cet ébranlement intime, qui
paraît
nous révéler ce que nous cache la vie commune, se
un à l’homme et à Dieu. Il en résulte que beaucoup de choses qui nous
paraissent
des inconvenances, parce que nous n’y apercevons
out à la fois quelque chose de plus calme et de plus fort : dès qu’il
paraît
, on sent qu’il domine tout ce qui l’entoure. Il p
base est la raison. Un sentiment sincère, complet, sans bornes, leur
paraît
non-seulement excuser ce qu’il inspire, mais l’en
rtons jamais en théorie. Le sentiment qui méconnaît un devoir ne nous
paraît
qu’une faute de plus ; nous pardonnerions plus fa
ur, sa sensibilité, son amour, sa mélancolie ; mais tout le reste m’a
paru
trop directement opposé à nos habitudes, trop emp
ns ses productions poétiques de l’originalité et de la profondeur, me
paraît
un mauvais calcul. La tragédie française est, sel
ns. La galanterie étoit si rare parmi eux, qu’Alcibiade, né galant, y
parut
comme un phénomene. L’histoire a daigné perpétuer
remieres traces de Romans qu’on apperçoive chez cette nation. Elle ne
paroît
même en avoir produit que depuis le regne d’Alexa
e aux François & de sa poésie & de l’invention des Romans. Il
paroît
de plus persuadé que l’Espagne leur doit les même
prunté à la France. Mais le plus ancien de nos Romans proprement dits
paroît
être celui qu’on attribue à Turpin, Archevêque de
son proche parent. Le goût des Romans de chevalerie se soutint &
parut
même s’accroître durant plusieurs siecles. Le onz
e ; elles prodiguent les crimes pour se venger de qui les offense. Il
paroît
même que les Fées ont toujours eu plus de crédit
, & même des traits de génie, que nul d’entre eux ne présente. Il
paroît
même faire la critique de tous ses aînés. C’est d
don & Silvandre. Par là, ils rendirent très ridicule ce qui avoit
paru
très agréable. Il faut pourtant avouer que l’imag
i se ruinent pour enrichir ce qu’ils aiment. Le dernier siecle ne vit
paroître
aucun autre Roman de la force des deux précédents
fois, les intéresser & les instruire. On vit quelque temps après
paroître
Séthos, autre Roman politique ; mais on vit parfa
on puisse le lire. Hamilton, dans les Memoires du Comte de Grammont,
paroît
n’avoir écrit qu’un Roman. Il est vrai que le car
aracteres qui circulent dans la société. Vint un autre scrutateur qui
parut
faire dans le cœur humain de nouvelles découverte
t heureusement un sujet qu’il n’eût peut-être point fallu traiter. Il
parut
dans le même temps, & même quelque temps aprè
l’agrément à l’instruction. Il doit promener ses Lecteurs plutôt que
paroître
les conduire, & eux-mêmes ne doivent point s’
st très discutée en France de 1921 à 1923, suite à un article de Gide
paru
dans la NRF en novembre 1921 : « Les rapports int
es comprennent, mais dans ce qu’elles devinent. Jeunes, celles qui le
paraissent
; qui, toujours neuves, semblent attendre l’événe
nant, la bouche plus empestée encore de rires grossiers et de jurons,
paraît
au Chevalier des Chevaliers la Béatrice de ce mon
, la cruauté et l’égoïsme étendent leur lèpre sur les âmes, des sages
paraissent
en qui tout est douceur et renoncement. Nulle bar
seul livre réellement grec, conçu et écrit comme par un grec qui soit
paru
en français. Il n’y a pas là traduction, mais tra
out en lisant Les Œuvres burlesques et mystiques de Frère Matorelac ,
parus
à peu près en même temps que les deux ouvrages pr
leuse, violente et sonore du poète que nul pleutre n’asservit jamais.
Paru
après la disparition de l’auteur, ce beau livre p
11), Nous Sommes (1913), Les Uns les autres (1915). Il vient de faire
paraître
, en 1920, un nouveau volume intitulé Le jour de l
destiné pour écrire roman révolutionnaire, Le Sujet, terminé en 1914,
paru
en 1918 seulement, où l’ère wilhelminiennebn de l
ain. Son roman d’anticipation Les Pacifiques, refusé pendant dix ans,
paraît
en 1914. Pendant la guerre, son pacifisme se conf
fre une tribune hebdomadaire dans le Journal du Peuple, quotidien qui
paraît
de 1920 à 1922 où il contribue à faire libérer E.
unan acquiert la notoriété avec son premier roman, La Triple Caresse,
paru
chez Albin Michel et présenté au prix Goncourt en
ndividu dans une société libertaire. Il se suicide en 1925. Sa thèse,
parue
en 1912, porte sur l’Antinomie entre l’individu e
unanimistes et les fantaisistes. Son premier recueil, Quelques vers,
paraît
en 1906. Il publie ensuite plusieurs recueils, de
l’édition Gallimard de 1936 réunissant en un volume les trois textes
parus
chez Kahnweiler, les deux paragraphes de prose so
», est un drame. Le texte est daté de 1907, mais l’édition originale,
parue
en 1918, ne porte ni date, ni nom d’éditeur, seul
eur en chef des Nouvelles littéraires jusqu’à sa mort. Ces entretiens
parus
dans les Nouvelles littéraires sont publiés en si
rtinet, André Germain, Yvan Goll, Henri Colas, etc. La nouvelle série
paraît
sous le titre Les Cahiers idéalistes de février 1
urice Paz, elle rejoint la SFIO avec la rupture avec Trotsky. Femme,
paru
en 1919, est son premier livre. Fernand Vandérem
a rédaction d’Europe au début de la revue. Il est l’auteur d’un roman
paru
en 1919, Le Cadran solaire. (NdE) bd. Voir Acti
a plupart, les traductions et articles favorables à l’expressionnisme
paraissent
, en plus de Clarté, dans des revues d’avant-garde
s expressionnistes. (NdE) bk. Albert Ehrenstein (1886-1950). Il fait
paraître
en 1911 Tubutsch récit d’un homme « fatigué de la
de la société wilheminienne. Le Sujet (Der Untertan), écrit en 1914,
paraît
en 1918. (NdE) bn. Cette ère correspond au règne
donne dans son ouvrage L’Art du xxe siècle dont la première édition
paraît
en 1926 une place importante au cubisme. Son ouvr
us important est cependant, sans aucun doute, La Sculpture nègre, qui
paraît
en 1915 : le livre constitue, comme le souligne L
is, Presses de l’université de Paris-Sorbonne, 2002, p. 104). En 1921
paraît
l’étude La Sculpture africaine, plus ethnologique
0. Action publie des extraits de Bébuquin dans les n° 5 et 7 et fait
paraître
ensuite de plusieurs textes de Carl Einstein, not
par leur syntaxe torturée et leurs images violentes. En 1919, il fait
paraître
L’Expressionnisme dans la littérature dans la sér
öblin (1878-1957). Il est l’un des fondateurs de Der Sturm. Wang-Loun
paraît
en 1915 : un chef rebelle, dans la Chine du xviii
des Loix, des Usages, sur les Mœurs & la Politique ; en cela, il
paroît
s’être véritablement proposé l’instruction du Lec
seroit odieuse, & nous nous garderons bien de la lui imputer. Il
paroît
trop éclairé, pour ne pas savoir que dans tous le
s, les mêmes expressions. Avec un grand appareil de pensées, rien n’y
paroît
senti. C’est un Géometre qui parle, & non un
arle, & non un Orateur qui persuade. Il est certain que M. Millot
paroît
plus fait pour les Ouvrages d’analyse, que pour c
e Le premier ouvrage de M. André Gide, les Cahiers d’André Walter,
parut
en 1891, sans nom d’auteur, à la librairie de l’A
e besoin personnel un moment de sa pensée, et qui par la suite ne lui
paraissent
pas plus importantes que les paperasses jaunies o
Oscar Wilde, dans la critique et dans les provinces voisines qu’il me
paraît
supérieur. Mettons qu’il excelle dans l’essai, co
ulement, Bethsabé et le Retour de l’Enfant prodigue, n’avaient jamais
paru
en librairie, mais ils avaient été insérés dans V
profondément religieuse. Dans les Souvenirs de la Cour d’Assises qui
parurent
peu après, M. André Gide note les observations qu
é, épris de liberté avant tout, mais impulsif et excentrique. Il nous
paraîtra
manquer de la maîtrise de soi-même, quoiqu’il s’é
peut-être, mais on ne peut corriger ce qu’on a fait. C’est ce qui lui
paraît
si beau de la vie ; il y faut « peindre dans le f
enlevé, délivré Pie VII gratis, mais tout a renchéri). Cette histoire
paraît
extrêmement vraisemblable à la comtesse de Saint
ffets, ainsi que la chaleur qui caressait ses joues, et puisqu’il lui
paraissait
tout naturel que l’air chaud se mît à chanter, de
t pas de vous, mon Dieu, mais des hommes. Pour coupable que mon amour
paraisse
aux hommes, oh, dites-moi qu’aux vôtres, il est s
a propriété n’a, chez moi, jamais été bien vif, dit André Gide. Il me
paraît
que la plupart de nos possessions sur cette terre
romenade et couvre de coups de crayon, l’Education sentimentale ne me
paraît
pas moins admirable que dans cette première éditi
Un article de M. Henri Massis sur « l’Influence de M. André Gide »,
paru
dans la Revue universelle, a fait quelque bruit.
les deux volumes de morceaux choisis de M. André Gide qui viennent de
paraître
, et dont l’un est spécialement à l’usage de cette
s préceptes sont extérieurs à nous-mêmes, comme ceux de la raison. Il
paraît
que tout ordre est nécessairement arbitraire et f
entions des claudéliens…, etc. » Le plaisant est que ces lignes aient
paru
dans le Mercure de France, dont les auteurs sont
« Je n’admets rien que je ne comprenne… » Conscience et lucidité lui
paraissent
les vertus cardinales de l’artiste. C’était aussi
ire du manichéen et apocalyptique William Blake, je conviens qu’il me
paraît
quelquefois un peu méphistophélique ; Je ne puis
ntion du public, que ses dons sont plus nombreux, plus divers… Tel ne
paraît
ici très riche que parce qu’il est très pauvre pa
ent ce qu’ils offrent de plus admirable. » C’est vrai, mais voici qui
paraît
plus douteux : « Les Qu’il mourût ! les II n’a pa
la politique est le champ des praticiens, des hommes d’action, et me
paraît
, de ce chef, un peu subalterne. Les servants de l
t pas tout. « Même la description des personnages, ajoute-t-il, ne me
paraît
point appartenir proprement au genre. Oui vraimen
e paraît point appartenir proprement au genre. Oui vraiment, il ne me
paraît
pas que le roman pur (et en art, comme partout, l
en mette si peu dans ses mœurs. Quant à celle du roman, elle ne nous
paraît
compromise ni par les dialogues, ni par les événe
aînéAmyntas Le Prométhée mal enchaîné et Amyntas n’avaient d’abord
paru
qu’à tirage restreint, l’un en 1889, l’autre en 1
histoires de famille et de collège n’ont pas grande portée en soi et
paraissent
un peu longues. Il ne fallait à Jean-Jacques que
xte de Fénelon : « Je ne puis expliquer mon fond. Il m’échappe, il me
paraît
changer à toute heure. Je ne saurais guère rien d
paraît changer à toute heure. Je ne saurais guère rien dire qui ne me
paraisse
faux un moment après. » C’est peut-être qu’il ava
querelleuse. (Je l’ai connu plus tard et beaucoup moins : il m’avait
paru
très doux, mais peut-être ne se déboutonnait-il q
sse de côté les traits de satire personnelle, il reste qu’après avoir
paru
adopter ou au moins côtoyer le symbolisme, et il
diable, dont M. Massis accuse M. Gide d’être un suppôt. M. Gide en a
paru
flatté. Lui aussi, il croit un peu au diable. Il
ait vingt-huit ans. C’est ici que le littérateur pour nous commence à
paraître
. Il s’était exercé jusque-là dans de petites comp
suis de leur avis pour la publication de l’ouvrage, et quand il aura
paru
, il aura mon suffrage et mes éloges auprès de ceu
de Chapelain se termine par deux ou trois remarques de détail dont il
paraît
que Fléchier a tenu compte78. La pièce en elle-mê
recueil se compose de quelques pièces de vers et de prose qui auront
paru
trop galantes et trop légères pour entrer dans le
mis je ne sais quoi du sien dans ce portrait qui, tel qu’il est, nous
paraît
si charmant et de toute perfection, mais qui sera
plus tôt83. Cette production, aussi curieuse qu’agréable, ne pouvait
paraître
dans toute sa sincérité et son intégrité, comme a
e, n’était plus qu’une bagatelle de société, ce qui a pu continuer de
paraître
tel en effet jusqu’à la fin du xviiie siècle, et
rs ; le Velay eut les siens, Limoges également. Mais ceux de Clermont
paraissent
avoir été les plus autorisés (pour parler avec Fl
. Il entre dans le détail de cette beauté qui, sans être achevée, lui
paraît
avoir de l’agrément : Ceux qui la connaissent pa
emporté plus de mille, s’est retirée de dépit qu’elle a eu qu’il n’y
parût
pas ». Par cette disposition de bel esprit qui s’
vallat, firent une grande impression dans les campagnes : à force d’y
paraître
appuyer les faibles, les Grands Jours rendirent t
le religieuse ; il n’y avait pas dix ans que Les Provinciales avaient
paru
: Fléchier, on le sent, les a beaucoup lues, et s
. Chez Fléchier, au contraire, nous avons, aux endroits où elle nous
paraît
moins convenable, la plaisanterie innocente et fr
ussi corrompus et aussi furieux que l’étaient ceux-ci ; cependant ils
paraissent
apaisés ; ils ne tuent plus, ils ne brûlent plus,
fit l’éditeur en 1763 ; mais de cette édition, le tome premier seul a
paru
. Ce tome second dont il n’y a eu que le commencem
Novion, devenu premier président du Parlement après M. de Lamoignon,
parut
un magistrat scandaleux : « Le premier président
ent un moment dans la vie où La Rochefoucauld plaît beaucoup et où il
paraît
plus vrai peut-être qu’il ne l’est. Les mécomptes
ord le jeune prince de Marsillac. Buckingham et ses royales aventures
paraissent
lui avoir fait un point de mire, comme Catilina a
e les emmener à Bruxelles. Quelque difficulté et quelque péril qui me
parussent
dans un tel projet, je puis dire qu’il me donna p
naient de la qualité de l’esprit. Elle tenait sur toute chose à faire
paraître
ce qu’elle en avait de plus fin, à se détacher du
commence, et le moraliste se déclare. M. de La Rochefoucauld va nous
paraître
tout sage, du moment qu’il est tout désintéressé.
centre, enfin trouvé, de sa vie138. Un léger signe très-singulier me
paraît
encore indiquer en M. de La Rochefoucauld cette d
ou du La Mennais139. Les Réflexions ou Sentences et Maximes morales
parurent
en 1665. Douze ans s’étaient écoulés depuis la vi
t glorieux. En 1665, il y avait neuf ans que les Provinciales avaient
paru
; les Pensées ne devaient être publiées que cinq
anséniste la rédemption, et vous avez La Rochefoucauld tout pur. S’il
paraît
oublier dans l’homme le roi exilé que Pascal relè
e les accepter qu’en les interprétant. Qu’importe si aujourd’hui j’ai
paru
y croire ? demain, ce soir, la seule vue d’une fa
é le paragraphe moins agréable. Le premier journal littéraire qui ait
paru
ne paraissait encore que depuis trois mois, et dé
agraphe moins agréable. Le premier journal littéraire qui ait paru ne
paraissait
encore que depuis trois mois, et déjà on y arrang
ssemblé dans les pages suivantes un certain nombre de pensées qui ont
paru
plus ou moins analogues de forme ou d’esprit aux
ts ; maintenant c’est en maximes. II. En entrant au bal masqué, tout
paraît
nouveau ; mais il vient un moment où l’on peut di
prit juste, à son jour et selon son humeur, puisse y prendre sa part,
paraître
se contredire et avoir raison. XXXIII. En appréci
r.154 15 janvier 1840. 126. M. de la Rochefoucauld ne nous a point
paru
pouvoir se séparer des deux femmes qui ont tenu u
, puis The Egoist, le périodique devenant alors surtout littéraire. Y
paraissent
des auteurs comme Ezra Pound (qui contribuera à A
sous les sommaires des numéros précédents de la revue, les ouvrages à
paraître
et publie un article de Duthuit sur Matisse qui s
rticle de Duthuit sur Matisse qui se révèle un extrait d’un ouvrage à
paraître
aux éditions Action. L’Affaire Dada Alber
ctuelle c’est la décomposition de son cadavre. Le mouvement dont elle
paraît
encore douée, c’est le grouillement des vers qui
colonne fut différente, mais toutes furent nécessaires. Tout support
paraît
accidentel et fantastique, tout pilier, plein de
lement. Ce sont là raisons pour moi d’apprécier ce recueil d’articles
parus
à la Revue de Paris. J’y notai d’excellentes chos
e de Gandhi en France : il est ainsi l’auteur d’une Vie de Gandhi qui
paraîtra
en 1924. Rolland, comme « A. B. », est réservé pa
mes influencés par l’unanimisme dont le recueil : Nous… de la guerre,
paru
en 1918 avec une préface de Gaston Vidal, chez Fa
dats, écrit avec Paul Vaillant-Couturier, et La Révolution et la mort
paraît
aux Éditions Clarté, qui publiera l’année suivant
bois de Frans Masereel, qui sont repris pour l’illustration du volume
paru
chez Ollendorf en 1920. Sur les éditions du Sabli
nventions langagières. Son premier recueil, Trèfles-à-quatre-feuilles
paraît
en 1915. Le poète est un ami de Renée Dunan. Il c
pacifiste. Il a été anarchiste, socialiste puis communiste. Il a fait
paraître
des recueils de poèmes et des romans, a été criti
labore également aux Cahiers idéalistes français. Son premier recueil
paraît
en 1914 : Je respire. Henriette Charasson dans le
vain de langue allemande, connu pour son recueil Les Hommes en guerre
paru
en français chez Flammarion en 1920 dans une trad
raduction de Magdeleine Marx. La même traduit Les Hommes accusent qui
paraît
l’année suivante chez Flammarion. Andreas Latzko
e Gotton Connixlo, nouvelle de Camille Mayran, dédiée à Paul Bourget,
parue
chez Plon en 1918 : Gotton s’enfuit avec un homme
n originale des Animaux et leurs hommes, les hommes et leurs animaux,
parue
au Sans pareil en 1920, comporte cinq dessins d’A
xcellents : « Les traces des principes à la mode, dit M. Dussault170,
parurent
s’approfondir en lui par le progrès des ans ; et,
rendre bien compte. Il serait vraiment fâcheux pour nous que ce qui a
paru
une nuance si délicate et en même temps si vive a
e début de cette liaison, telle qu’elle se traduit même en poésie, ne
paraît
différer en rien de la marche de tant d’autres sé
ouvée : ce fut toute la punition du poëte. L’année suivante, en 1778,
paraissaient
les Poésies érotiques, petit in-8° de 64 pages, n
imitifs nous avertit de remarquer que les Études de la Nature avaient
paru
dans l’intervalle et cinq ou six ans après la pub
y fit successivement et qui atteignirent sa paresse indépendante, ne
paraît
, à aucun moment, l’avoir maudite, ni, comme tant
uccès de la Guerre des Dieux fut tel, que trois éditions authentiques
parurent
la même année, sans parler de deux ou trois contr
d’une opinion, sous prétexte qu’elle est la leur182. L’année même où
parut
la Guerre des Dieux, et qui fut celle où s’exhala
, et qui fut celle où s’exhalait le dernier soupir du Directoire, vit
paraître
une série de publications de même nature qui mont
dans divers chants restés inédits et dans d’autres petits poëmes qui
parurent
sous le titre de Portefeuille volé, en 1805. Pour
de trouver place dans les Œuvres choisies, où, ainsi détaché, il peut
paraître
comme un malicieux fabliau. Le grand écueil des é
’autres exemples185. Parny, au reste (et ceci achève le tableau), ne
paraît
pas s’être douté, sous le Directoire, de l’excès
n a-t-il fait la censure ? Tel a été son entortillage, que ce point a
paru
problématique à quelques personnes ; mais ce dout
imer. On le retrouvait déjà dans le petit poëme d’Isnel et Asléga qui
parut
d’abord en un chant (1802) et que l’auteur dévelo
osés à sa vraie manière. C’était un signe pour Parny de s’arrêter. Il
parut
le comprendre et ne fit à peu près rien depuis ce
rtout vers la fin, il restait assez volontiers silencieux, et pouvait
paraître
mélancolique, ou même quelquefois sévère. La mala
s quatre années le conduiraient à 1777 comme date du retour ; mais il
paraît
qu’il était revenu auparavant, vers la fin de 177
donc, par hasard, retourné à Bourbon vers 1778-1779, dans le temps où
paraissaient
à Paris les premières éditions de ses poésies ? C
tiné depuis à être évêque d’une petite ville de Piémont, quand le roi
parut
à Turin après la restauration. Le troisième, offi
t produit sur les êtres sensibles quand le Lépreux de la cité d’Aoste
parut
, — l’évangile de la douleur. — Il lui manquait un
sous le poids de pensées trop lourdes ; sa taille mince et élevée en
paraissait
amoindrie. En tout, c’était la figure de Werther,
nnaissions le Voyage autour de ma chambre, aimable badinage qui avait
paru
entre 1795 et 1800 et dont les émigrés avaient fa
e lépreux dont nous allions lire les tristes aventures. Aucun site ne
paraissait
mieux choisi pour une pareille lecture. Louis de
t : La partie méridionale de la cité d’Aoste est presque déserte, et
paraît
n’avoir jamais été fort habitée. On y voit des ch
ème de l’ingratitude. LE LÉPREUX. Si quelques-unes de ces fleurs vous
paraissent
belles, vous pouvez les prendre sans crainte, et
e laisse. Enfin l’année s’écoule, et, lorsqu’elle est passée, elle me
paraît
encore avoir été bien courte. LE MILITAIRE. Ell
araît encore avoir été bien courte. LE MILITAIRE. Elle devrait vous
paraître
un siècle. LE LÉPREUX. Les maux et les chagrins
vous paraître un siècle. LE LÉPREUX. Les maux et les chagrins font
paraître
les heures longues ; mais les années s’envolent t
ne jouissance que le commun des hommes ne peut connaître, et qui vous
paraîtra
bien singulière, c’est celle d’exister et de resp
qui conduisait à son bosquet favori disparaît déjà sous l’herbe. Sans
paraître
s’occuper de moi, elle veillait sans cesse à ce q
s heures d’un sommeil tranquille. LE MILITAIRE. Combien ont dû vous
paraître
tristes les premiers jours qui suivirent la mort
lorsque là-bas, vers ces deux bouleaux qui terminent la haie, je vis
paraître
deux jeunes époux qui venaient de s’unir depuis p
i mes regards, et je me précipitai dans ma cellule. Dieu ! qu’elle me
parut
déserte, sombre, effroyable ! C’est donc ici, me
t de paix indéfinissable. Tout ce qui s’était passé dans la soirée me
paraissait
un rêve. Mon premier mouvement fut de lever les y
r préservé du plus grand des malheurs. Jamais le firmament ne m’avait
paru
si serein et si beau : une étoile brillait devant
Elle avait à peine vingt-cinq ans ; mais ses souffrances la faisaient
paraître
plus âgée. Malgré la maladie qui l’a enlevée, et
immortels) que de devenir assez ancien déjà pour être hors de mode et
paraître
suranné d’élégance, et de n’être pas assez vieux
ramener encore, lorsqu’il expira. Léonard avait dix-huit ans lorsque
parut
en France (1762) la traduction des Idylles de Ges
Le pays était beau, les fonctions médiocrement assujettissantes ; il
paraît
les avoir remplies avec, plus de conscience et d’
e capter en tout honneur : une boîte d’or avec portrait de Sa Majesté
paraît
produire un effet merveilleux. A travers cela, et
u prince que M. Léonard ne pouvait la recevoir sans votre aveu. Il me
parut
peiné du délai qu’entraînerait cette délicatesse
prince aimable et léger, qui ne cherchait qu’à, s’amuser, et qui n’a
paru
favoriser un instant les belles-lettres et les ar
M. Ferd. Hénaux, 1847.) Cependant la chaîne dorée, si légère qu’elle
parût
, allait peu à l’âme habituellement sensible et rê
sciter des tentatives d’anarchie. Léonard faillit être assassiné ; il
paraît
même qu’il n’échappa que blessé. Dégoûté encore u
prince aimable et léger, qui ne cherchait qu’à, s’amuser, et qui n’a
paru
favoriser un instant les belles-lettres et les ar
ée ancienne, permanente, humaine, une image élégante et neuve. L’idée
paraît
alors une âme qui cherchant son corps l’a rencont
ix a bien raison. Trop de philosophes, d’historiens de la philosophie
paraissent
encore demeurer à un stade de leur science analog
sait quel cercle noble étrangement choisi la suite des noms qui leur
paraissent
compter. Dès qu’on nous parle d’une histoire de l
et compliquée, mais bien intéressante. S’il faut entendre, comme cela
paraît
raisonnable, par histoire de la psychologie, l’hi
e époque que Stendhal s’accoutume (héritier ici de Montesquieu qui ne
paraît
point, je crois, dans ses lectures) à rattacher i
les idéologues, s’accepte parfaitement. Il me semble qu’au risque de
paraître
moins transparent et moins complet, on pourrait a
vel n’est nullement représentée comme une dévote stupide, et Stendhal
paraît
ignorer que la formation d’une conscience religie
e certaine façon, et qui s’y donnent entières. Aucun grand artiste ne
paraît
avoir réalisé un de ces amours absolus : on ne sa
ici à brûler, à exiler l’amour. Depuis le livre de Stendhal rien n’a
paru
sur ce sujet de considérable qu’après la physiolo
ssé quelque argent et quelques vers, il se montre au soleil. Quand il
paraît
des vers de M. Musset quelque part, on peut être
e M. Musset quelque part, on peut être certain que M. Musset va aussi
paraître
; si M. Musset se montre le premier, ce sont ses
Monsieur, que Paris s’occupe bien davantage de M. de Musset lorsqu’il
paraît
et disparaît ainsi, avec son escorte de beaux ver
retta vivement l’absence de quelques poètes célèbres dont les noms me
parurent
lui être fort connus. Mais je n’ai pu les retenir
es de la première phase du talent de M. de Balzac ont déjà, je crois,
paru
chez nous, je me souviens particulièrement de Jan
fait qui peint assez bien apparemment l’humeur de M. de Beauvoir. Il
paraît
que l’auteur de l’Écolier de Cluny (son premier e
le monde à venir le visiter, et surtout à déjeuner sans façons ; (il
paraît
du reste qu’il a une salle à manger parfaitement
a derrière M. de Balzac et s’enfuit dans la salle. Mme George Sand me
parut
une petite femme d’un aspect assez délicat, de 30
l’a montré en partie dérobé par sa femme. C’est un jeune homme qui ne
paraît
pas avoir trente ans, bien qu’il soit député depu
assez distingué. Mon ami et cicérone m’a assuré que M. de Girardin ne
paraissait
pas au foyer. En face de moi un beau jeune homme
ut-être ne la connaissez-vous pas, tout en sachant qu’elle existe. Il
paraît
que pour l’auteur aussi bien que pour l’éditeur,
avant la publication de la Ire livraison, quelques fragments avaient
paru
dans les revues parisiennes : on les avait jugés.
, qu’il a publié il y a un ou deux ans, et dont on a fait tapage, m’a
paru
, je dois le dire, assez médiocre lorsque je l’ai
n cher Monsieur, que M. Méry est l’homme d’esprit par excellence ; il
paraît
que les salons regorgent de ses bons mots. Person
brun et vif ; un peu voûté, et dont la mise est assez négligée. lime
parut
avoir des gants de soie, ce qui est assez inusité
Janin qui attendait son maître. Sa livrée est marron et or ; M. Janin
parut
. Vous le connaissez, mon cher Monsieur ! un petit
, suivant l’ordre nouveau d’idées où va entrer cet écrivain, il ne me
paraît
pas devoir jamais composer des livres qui se ratt
ngagée à la Comédie-Française, me fut désignée. M. Alexandre Dumas me
parut
avoir 32 ou 34 ans, et cinq pieds sept à huit pou
entation de la pièce, le public enthousiaste redemanda l’actrice, qui
parut
et rentra bientôt dans la coulisse, si émue, que,
d’applaudissements enthousiastes les plus larges scènes de Paris. Il
paraît
que M. Dumas passe pour vouloir faire désormais c
squels deux : Jeanne Grey m et Carl Sand ont été réimprimés chez nous
parut
un instant dans la loge de M. de Vigny. C’est un
e avec succès de pièces de théâtre. J’avais lu Carl Sand, qui m’avait
paru
un livre remarquable, et je fus heureux d’en voir
l’aménité de ses manières et la respectable tenue de sa maison. Il ne
paraît
que fort rarement en public ; et le seul salon où
, où il s’est renfermé. Quand M. de Latouche vient en ville, et qu’il
paraît
au foyer de l’Opéra, il y fait sensation ; et on
elque récit terrible ; moi je vais vous accompagner au piano ! L’idée
parut
si étrange qu’on s’enthousiasma pour elle. Mme Ga
ay, en font souvent les honneurs. Son gendre, M. Émile de Girardin, y
paraît
fort peu. Mme Gay a un fils qui est-officier de c
s un jeune homme ; je l’ai rencontré dans un foyer du théâtre, il m’a
paru
fort maniéré, fort suffisant, tout ce que peut êt
dant, quelques classiques tragicides, pour ne pas dire tragédiens. Il
parut
cent romans de mérite et qui 1 montraient tout ne
. Jal n’ont pas été réimprimés chez nous. On m’a dit qu’il avait fait
paraître
depuis un nouvel ouvrage, dans lequel il avait mê
hadéus le ressuscité, M. Luchet annonce divers ouvrages qui tardent à
paraître
; il passe pour paresseux comme le sont, parmi le
uvrages nouveaux que Volupté , par Sainte-Beuve, sous presse, ou pour
paraître
prochainement. À force d’être imprimé, répété, fo
mé, répété, fourré partout, Volupté fut plus connu, sans avoir jamais
paru
, qu’une foule de livres dûment imprimés. Peu à pe
eau et Mme Dudevant se sont séparés, et Indiana, Valentine, etc., ont
paru
sous le pseudonyme devenu si retentissant. De son
harmant ; son éditeur annonce un autre roman qui ne doit pas tarder à
paraître
. Pour finir ma lettre, mon cher Monsieur, je vais
che, auquel M. Casimir Delavigne avait cédé le pas, qu’on le somme de
paraître
, que les huissiers s’en mêlent, M. Drouineau ne s
es d’un Renégat, Pierre, et le Château de Saint-Germain, qui vient de
paraître
à Bruxelles, est un pseudonyme sous lequel se cac
é sur elle une anecdote que je vous rapporterai. Le premier roman qui
parut
sous son nom était intitulé Thomas Morus. Le livr
de Craon a-t-elle essayé de voler de ses propres ailes. Pourtant il a
paru
sous son nom un troisième ouvrage, qu’on dit meil
, de El Abanico, de Savinie et autres romans dont la plupart ont déjà
paru
chez nous. Mme Jenny Bastide est une jeune et jol
os ait eu un sel qu’il peut perdre à être déplacé ; pourtant cela m’a
paru
drôle, et je vous le répète. Je ne vous ai rien d
ges farcis de lettres, de réclamations, d’attaques et de ripostes que
paraissent
avoir soulevées mes lettres à l’Indépendant sur l
arce qu’aussitôt qu’on lui avait passé deux ou trois propositions qui
paraissaient
simples et qu’il faisait résulter l’une de l’autr
ar ses beaux prétextes ; elle est d’autant plus dangereuse qu’elle le
paraît
moins. Telle est la vie secrète d’un esprit curie
’Amiens, Fénelon retrouve à dire une partie des mêmes choses ; car il
paraît
que le fils tenait de son père ce goût de travail
es exemples dissolus d’alentour, avait pour inconvénient d’être ou de
paraître
trop triste, trop appliquée, trop particulière, c
u-dehors ; il manquait de décision et de vues dans le conseil ; il ne
paraissait
pas d’une valeur incontestable dans les occasions
nt qu’il le pourra, et de retrancher les scrupules sur des choses qui
paraissent
des minuties ». Ce que Fénelon écrit en cette ann
é6 ? Fénelon lui-même a été, comme son élève, une espérance ; il a pu
paraître
en politique une de ces lumières un peu flottante
cessivement présenté au public et préconisé. Le Fénelon qui, en 1711,
paraît
désirer et appeler de ses vœux une Assemblée des
du duc de Bourgogne son aïeul. Fénelon connaissait les hommes, et ne
paraît
pas avoir trop compté sur leur bonté ni sur leur
lettres par M. Léopold Monty (1844) : les conclusions seulement m’en
paraissent
trop positives. 7. [NdA] Je ne dois pas, en écri
fines et d’excellentes, de bien vraies moralement : « Les êtres qui
paraissent
froids et qui ne sont que timides adorent dès qu’
ion des points de vue : « Jamais, dit-elle, disposition morale ne m’a
paru
plus étrangère au mouvement de la pensée ; aussi,
ion de la vie, et censé le mieux portant aux yeux du naturaliste, lui
paraît
, comme à saint Augustin, le grand malade qu’il s’
et de guérir. Tout ce qui est bon et facile aux yeux de la nature lui
paraît
, à elle, périlleux ou mauvais, vu des yeux de la
r bien des êtres, elle est plus brillante que le jour. » Voici qui me
paraît
un peu risqué et inexact : « La vieillesse est le
out cela, je l’avoue, mis en regard des pensées de Mme Swetchine, m’a
paru
plus vrai, plus naturel, plus vraisemblable, sans
teur. Ce traité de la Résignation, qui n’est qu’un Essai inachevé, me
paraît
représenter l’entière maturité et la perfection d
ésiré, pour que la promesse se réalisât plus sûrement, qu’on eût fait
paraître
en premier lieu la correspondance avec les person
la correspondance, désormais complète, avec Mlle Roxanne Stourdza me
paraît
devoir satisfaire à la plus exigeante curiosité p
ur Rancé, recueilli dans le volume intitulé Derniers Portraits, avait
paru
d’abord dans le Journal des Débats le 29 septembr
de Lavalette, peu avant le 20 mars, et l’Empereur, à qui j’en parlai,
parut
contrarié de son éloignement. J’ai même entendu d
era pas entièrement d’accord avec l’ensemble de la ligne suivie, peut
paraître
la chose la plus naturelle ; et, dans ce cas-ci,
e il faut qu’il y ait toujours quelque chose d’individuel dans ce qui
paraît
le plus indépendant, elle ajoutait : “Le retour d
e lettre du 23 avril pût être lue à Londres le 29. Le raisonnement me
paraît
peu probant. D’après les calculs même qu’on oppos
’anticipation de tendresse. Restent les sentiments. J’avoue qu’ils me
paraissent
très dignes de Mme de Staël : ils portent tous su
plus d’espérance même qu’elle n’en nourrissait au dedans.. Enfin, il
paraît
bien certain, d’après la lettre de M. Craufurd, e
des Cent-Jours, et il a singulièrement animé la conclusion qui lui a
paru
la plus probable. De ce qu’il a jeté comme un ray
ue si Mme de Staël avait pu, sans partager ses espérances de liberté,
paraître
approuver pourtant l’Acte additionnel, elle avait
elle, déjà mortellement atteinte et défaillante, une telle parole dut
paraître
admirable, et elle l’était ; mais c’est à la cond
n’a plus considéré que l’indépendance et l’honneur de la France. » Il
paraît
même qu’on en avait dit à Mme d’Albany plus qu’il
eur à la mode, et ce roman pastoral, dont la conclusion n’avait point
paru
encore, passionnait tous ceux qui, en France et e
atru, en publiant les siens (1670), les a limés au point de les faire
paraître
comme usés. D’Aguesseau ne peut s’empêcher, en le
le que son Éloge du premier président de Bellièvre, ferait sourire et
paraîtrait
ridicule d’emphase, si l’on ne se rendait bien co
première phrase ; il y revint encore dans la seconde édition, qui ne
parut
que trente-deux ans après la première ; et, dans
s voyages de la reine Christine de Suède. Cette reine savante, qui ne
parut
pas comprendre que le plus bel et le plus haut us
que je n’eusse la tête encore passablement garnie ; mais la garniture
paraissait
un peu trop antique, et je craignais qu’elle ne b
ses ne me feront que de ces maux-là, je ne m’en plaindrai jamais. Il
paraît
que Christine, malgré la beauté de la harangue de
extraordinaire, la précipitation empêcha d’y songer. Dès que la reine
parut
, une question d’étiquette s’éleva tout d’abord, c
émie dès 1640. Il avait fait, en y entrant, un Remerciement qui avait
paru
si beau et si flatteur, qu’on en voulut encore, e
un comprit ; le courage revint aux timides, et le cas fut jugé. Il ne
paraît
point, pourtant, que les avis de Patru aient prév
seau. De ces quatre grands écrivains, il en est deux que M. Nisard me
paraît
avoir jugés avec une parfaite justesse : c’est Vo
Telle est la morale que je recueille dans Montesquieu, et elle ne me
paraît
pas sans application. Est-elle efficace ? direz-v
attaquait au bien comme au mal. Enfin il nous dit que « Montesquieu a
paru
plus près de vouloir le maintien des abus que le
tte idée, personne ne l’avait au xviiie siècle. Montesquieu lui-même
paraît
avoir plutôt un sentiment juste des convenances q
t voir en Rousseau qu’un utopiste. En politique par exemple, il ne me
paraît
pas avoir été si utopiste que le dit M. Nisard. A
rogrès, le besoin de la stabilité et de la conservation. M. Nisard me
paraît
avoir très-bien exprimé ce compromis dans ce pass
erdu la plus grande part de leur faveur, et M. Nisard, en les louant,
paraîtra
plutôt au-dessus qu’au-dessous de l’admiration qu
éal. Tel est le fond de la théorie classique, et c’est là ce qui nous
paraît
incontestable dans la théorie de M. Nisard. Mais
vivacité française (que nous trouvons très-aimable) n’est pas loin de
paraître
de la folie aux flegmatiques habitants du Nord. E
vénalité détestable, la défendait cependant par cette raison. Il lui
paraissait
meilleur de recruter la magistrature par l’argent
n propre génie, à son cœur, tout en soignant le détail plus qu’il n’y
paraît
, et en songeant bien un peu au monde qui attachai
u’après Mme de La Fayette et après Boileau ? Les Lettres du chevalier
parurent
en 1682, quand le grand siècle n’attendait plus,
du C. de M. (du maréchal de Clérembaut et du chevalier de Méré) avait
paru
en 1669, l’année même des Pensées de Pascal. L’au
s loin, sur la division à l’infini : « Ce que vous m’en écrivez me
paroît
encore plus éloigné du bon sens que tout ce que v
eunes gens, par une impétuosité naturelle, vont d’abord à ce qui leur
paraît
le plus nécessaire, et le reste les touche fort p
tine et grecque ; il en parle très-volontiers, d’une manière qui nous
paraît
bien d’abord un peu étrange, car il l’accommode,
de l’idée subtile qu’il se faisait. En un sens, Pétrone et César lui
paraissaient
avec raison de vrais honnêtes gens, et ce Ménon l
me des êtres sans éducation 40 , ce Ménon si avancé en mœurs lui eût
paru
un faux honnête homme et un roué de ce temps-là
ici. La première est longue ; mais, je ne sais si je m’abuse, elle me
paraît
charmante, et elle a semblé telle à de bons juges
sdiguières48 s’y trouveroit, et, comme on ne s’y attendoit plus, elle
parut
, et nous la vîmes poindre avec cet air fin et bri
n air modeste et même timide en apparence, faisoit semblant de n’oser
paroître
auprès d’une si belle personne ; mais on sentoit
nt. La belle duchesse ne répondit qu’avec un doux sourire ; mais elle
parut
si aimable, qu’on s’attacha plus que devant à dir
d’observer si elle sied bien à toutes sortes d’égards ; et rien ne me
paroît
de si mauvaise grâce que d’être un sot ou une sot
e avec les idées de La Rochefoucauld. Et, en général, le chevalier ne
paraît
pas s’être bien rendu compte de la portée de cett
us introduire auprès des autres, de ceux qui valent mieux que lui. Il
paraît
s’être retiré à une certaine époque dans son mano
ts que j’avois remarqués, et cette dame, que toute la Cour admire, me
parut
encore admirable en cela qu’elle ne les eut pas p
iberté de penser, 15 février 1848) ; mais la conjecture qu’il émet me
paraît
très-sujette à contestation, et elle reste, à mes
sthumes.) 38. Ainsi, à travers les fatuités de cette lettre qui nous
paraît
si étrange de ton, il savait très-bien indiquer l
e, qui faisait qu’on lui restait attaché malgré tout : « Si cela vous
paroît
peu vraisemblable à cause que vous m’avez extrême
etraite, et encore dans la Conversation avec le duc de Caudale. Ninon
paraît
aussi avoir fait grand cas de l’esprit du marécha
de rupture, ne saurait se qualifier autrement que de brutale, et elle
paraîtrait
aujourd’hui indigne d’un honnête homme. Ces tache
quand le chevalier fit imprimer la lettre à la fin de 1681, et il ne
paraît
pas que cette profession, au fond si épicurienne,
tation d’esprit, qu’il a perdue par quelqu’une de ses lettres qui ont
paru
dans le public et qui étaient peu honnêtes et trè
phrases, de bassesse et de fausseté ; malgré cela, j’ai cru devoir en
paraître
la dupe et croire à tout ce qu’il disait. Je lui
Mettez un corset, crainte, comme on dit en allemand, d’élargir et de
paraître
déjà la taille d’une femme sans l’être. — Le mont
cheval gâte le teint, et votre taille à la longue s’en ressentira et
paraîtra
encore plus. — Les premières lettres sont remplie
4 ; ils sont bons, vertueux pour eux-mêmes, mais nullement faits pour
paraître
, donner le ton, ou pour s’amuser honnêtement, ce
et il y a des moments irrésistibles. Le choix des nouveaux ministres
paraît
à Marie-Thérèse, comme à tout le monde, très-conv
toutes ces folies, au contraire la simplicité de la parure fait mieux
paraître
et est plus adaptable au rang de reine ; celle-ci
tire parti de tout ; l’opinion est chose qui compte. Ce qu’une reine
paraît
être importe plus encore, humainement parlant, qu
chevaleresque. De ces deux nobles femmes je ne voudrais certes point
paraître
sacrifier l’une à l’autre ; il serait cruel et pr
de Marie-Thérèse. 62. Je faisais ici allusion à un article qui avait
paru
sous ce titre : l’Impuissance du roi. Louis XVI n
e m’amuse. » (Conversations du chancelier Pasquier.) 64. Ce reproche
paraît
s’adresser surtout à Mesdames, filles de Louis XV
c’est-à-dire cinquante années juste après la mort de Barnave, qu’ont
paru
ses Œuvres très authentiques recueillies par la p
qu’on ait fait assez d’attention à ces volumes dans le moment où ils
parurent
, et c’est une omission à réparer. Barnave avait v
compta dans toutes les délibérations importantes. Une fois ou deux il
parut
embarrasser Mirabeau, et il eut l’honneur de le t
et belle. Ses parents professaient la religion réformée ; mais il ne
paraît
y avoir rien puisé, en aucun temps, qu’une certai
e jeunesse, il voulut user d’abord de cette espèce d’influence qu’ils
paraissaient
lui accorder, pour tenter de les réunir : « Ainsi
’aide de camp de Mounier, il fit ce qu’il fallait pour se détacher et
paraître
lui-même. Selon lui, « Mounier et ses partisans s
e distinguer avec une grande précision, son maintien avec la reine me
paraissait
honnête, réservé, et la conversation ne me sembla
Jouarre. Barnave causa un instant avec la reine, mais, à ce qu’il me
parut
, d’une manière assez indifférente. Ce qui arriva
qu’il devint désormais l’homme de la monarchie constitutionnelle ; il
paraît
certain que Barnave, après le retour de Varennes,
haineux, rien de personnel. Je ne dirai pas que toutes les idées m’en
paraissent
également nettes, dégagées et venues à terme ; il
tes, qu’il ne l’avait jamais vue, etc. D’ailleurs, les communications
paraissent
avoir été rédigées d’une façon telle, et tellemen
n regard charmant de la jeune et nouvelle reine Marie-Antoinette : il
paraît
que ce furent là les plus vifs souvenirs de ce je
ment profond, à la fois historique et religieux ; mais ce chapitre me
paraît
gâté encore et interrompu dans ce qu’il a de simp
il est temps de nous donner des vertus. La Législation primitive qui
paraissait
tout à côté du Génie du christianisme, et dans le
pierres d’un édifice non construit, ou comme une table de matières, a
paru
et paraîtra toujours d’une lecture difficile et i
d’un édifice non construit, ou comme une table de matières, a paru et
paraîtra
toujours d’une lecture difficile et ingrate. D’au
ui sont faites pour troubler les faibles, c’est là sa foi. Car il lui
paraîtrait
absurde et sacrilège de penser que Dieu a laissé
importe le xviiie siècle et que Voltaire soit venu ? Voltaire ne lui
paraît
que le plus grand des beaux esprits . L’Esprit d
se lier à l’avenir. Philosophiquement (si j’ose avoir un avis), il me
paraît
bien supérieur à ce qu’il est comme politique. Da
tant se déclarèrent ; et la politique les fit éclater après 1815. Ils
paraissaient
plus unis que jamais pour la défense des mêmes pr
orta au brillant transfuge des coups acérés, directs, et qui auraient
paru
des blessures profondes si on y avait pris garde
n citait un jour quelques vers dans une lettre à Bonald ; celui-ci en
paraît
un peu étonné : « Vous m’avez fait dire les plus
perdument. C’est d’une illusion optimiste de ce genre que Feuillet me
paraît
avoir été la dupe dans Montjoye. Non seulement, c
int à se réfugier, tout pleurant, dans l’universelle morale. Il lui a
paru
qu’avouer le contraire au théâtre serait scandale
s personnages influents la jugeaient avec faveur ; et elle avait même
paru
si bonne à un ministre qu’elle avait valu la croi
e notre âge romantique, qui lui ressemble pourtant à quelques égards,
paraît
auprès d’elle un âge de sagesse, de modération et
, jouant à la familiarité, leur offrent du madère et des gâteaux, m’a
paru
indiciblement fausse, non par l’idée, mais assuré
rtie de notre vie au moment où nous les jugeons : elle peut même nous
paraître
le fait le plus notable de notre journée, et, en
, sous prétexte qu’il avait dix ou douze ans lors de la défaite. Cela
paraît
un peu niais, s’il est évident que la secousse de
e joli garçon paresseux et quelconque, à qui sa chair agonisante dut,
paraît
-il, d’inimitables secousses, continue seul d’exis
eux scènes ou trois. Ce qui est autour de ces deux ou trois scènes me
paraît
, à cette distance, de moindre prix. Je revois, tr
et puissant. Je ne m’arrêterai un peu que sur la générosité d’âme qui
paraît
dans les Perses. On a rapproché parfois les tragé
t de Rodrigue ?) est empreint d’un sentiment tout religieux : « Enfin
parut
la douce clarté, le jour au blanc attelage, pour
de la beauté. Or, trois ou quatre scènes seulement de Peer Gynt m’ont
paru
ou vivantes ou belles. (Je n’en juge, bien entend
lle du sang, Lucienne, fort bien élevée par son père et son oncle, me
paraît
beaucoup moins en péril que telle jeune fille iss
t, à coup sûr, plus modifiable que l’hérédité physique. Le suicidé ne
paraît
pas plus régulièrement héréditaire que le vice. A
orique latine, Alfred de Musset, entre dix-huit et vingt-cinq ans, me
paraît
avoir été le seul byronien sincère et le seul sha
les romans célèbres sont d’ordinaire « mis en pièces ». Oui, cela me
paraît
vrai, quoique tout le monde le dise ; et le succè
qu’il fallait nous bien enfoncer dans la tête. À première vue, ce qui
paraît
convenable, sinon absolument nécessaire, à la cul
ier et Pierre, les discours et les actes qu’elle leur inspire ne nous
paraissent
qu’étranges, indiscrets, et ne nous touchent pres
he son histoire ; il s’éblouit lui-même de ses rêves financiers, sans
paraître
d’ailleurs s’occuper des moyens par lesquels il l
aussitôt comment il entend la vivre. Il ouvre la porte, et Mme Wilton
paraît
. Celle dame dit tranquillement : « Nous nous en a
uand nous voyons quels piètres personnages elle absout. La pièce nous
paraît
obscure, parce que, bénévolement, nous la jugions
son improbité, mais pour sa chute, et que personne, dans la pièce, ne
paraît
s’aviser que Borkman a peut-être agi comme un mal
ma plume, mais non pas du tout à leur nationalité. — Prétendre, comme
paraît
le faire M. Brandes, que M. Ibsen, à force d’être
imatias, une petite poésie de M. Ibsen (mais ce jeune homme n’a fait,
paraît
-il, que traduire une traduction allemande), M. Br
trés et incomplets. M. Georges Brandes est un critique européen. Il y
paraît
. Et, à cause de cela, quand il nous refuse le pou
t article de Cosmopolis, Jean-Gabriel Borkman m’eût très probablement
paru
meilleur. J’aurais sans doute pu penser que M. Ib
t ce qu’il veut, lui, c’est Simone divorcée et riche. Le rasta laisse
paraître
, assez naïvement, l’ignominie de son âme, et Mme
étaient là. Ce que nous avons senti, par eux, de doux et de bon nous
paraît
inestimable, parce que nous ne le sentirons plus.
berné. — Oui, mais nous avons idée que ce brave homme nous eût alors
paru
quelque peu comique, et que cela nous eût désobli
ue tel grand-prêtre du spiritisme qu’il m’a été donné d’approcher m’a
paru
crédule et de peu de défense. M. Crookes lui-même
et de l’allemand en français, il n’est pas impossible quelles eussent
paru
à nos jeunes gens souverainement norvégiennes et
sions nous-mêmes au spiritisme : c’était assez que l’auteur y crût ou
parût
y croire, et que sa foi nous intéressât. Nous nou
ontre lui, de façon qu’il sentît sa jambe et son genou, et il n’a pas
paru
s’en plaindre. Ce soir-là donc, avec une audace a
gt-deux, qui se connaissent, je crois, depuis un mois et qui nous ont
paru
l’un et l’autre d’une extrême insignifiance. Tell
nier volume de vers, qui devait s’appeler le Paradis de l’Athée, a pu
paraître
sous ce titre plus hospitalier : Mes Paradis. Ce
i n’est point particulièrement un philosophe, et qui a bien raison, —
paraît
le mieux sentir et qu’il a le plus fortement expr
sensations vives ou des sentiments tendres, et surtout de les laisser
paraître
, cela est on ne plus « mal élevé. » Il est, lui,
! Allez-vous-en ! » Yvonne est sauvée ; et le mouvement de l’archiduc
paraît
vrai ; mais peut-être le geste « bien parisien »
à sa façon, le théâtre de Meilhac et d’Halévy ; que leur « poétique »
paraît
procéder principalement de celle de Froufrou et d
t-on, les gens qui veulent tout comprendre ou, chose bien différente,
paraître
tout comprendre ; ce n’est pas encore suffisant.
et du vrai, et du moins accessible ; c’est le romancier snob. Ce type
paraît
être, pour une assez grande part, un type d’aujou
ésir « d’en être », Jacques Dangy l’est encore d’une autre façon, qui
paraît
, celle-là, avoir été tout à fait inconnue des écr
cédentes, entre Hélène et le duc, entre la duchesse et Jacques, m’ont
paru
assez faibles et sans grand accent. Le duc est pâ
us arrivons au quatrième tableau. Jacques a cru sa femme ; elle a eu,
paraît
-il, « cet accent qui ne trompe pas. » Ils vivent
itement claire dans l’ironie et les sous-entendus. En résumé, Snob me
paraît
le « comble » de la comédie « vie parisienne », d
pieux enthousiasme plusieurs chambrées de chrétiens. On voit d’abord
paraître
au prologue, la nuit, près du puits où viendra la
ffisance un peu béate à une condescendance qui, dans l’Évangile vrai,
paraît
simplement divine, Jésus leur explique qu’il a vo
eur et de sainteté à quoi rien ne ressemble. C’est en elles que Jésus
paraît
divin, et c’est en elles seules qu’il le peut par
elles que Jésus paraît divin, et c’est en elles seules qu’il le peut
paraître
. Elles sont augustes, elles sont uniques : n’y to
ès curieux. Vous savez, n’est-ce pas ? que, si la Dame aux Camélias a
paru
, dans son temps, profondément originale et passe
use nous ont semblé par trop modestes. Peut-être, là encore, a-t-elle
paru
moins vraie pour avoir voulu l’être trop. Il est
Rossetti ou Burne Jones, une démente, enfin, dont l’état d’esprit ne
paraît
pas différer essentiellement de celui d’un poète
ments où son ignorance même de l’artifice théâtral risque de la faire
paraître
artificielle par trop de modestie, nous devons à
e n’est pas brillant, non, mais c’est infini), l’œuvre de M. Capus me
paraît
beaucoup plus largement significative que quantit
entait chez l’auteur aucune intention de défi, aucune démangeaison de
paraître
« audacieux » (ce qui est d’ailleurs si facile !)
n, sans thèses, sans ambition de satire sociale, et qui tout de suite
parut
neuf. Il ne ressemblait en aucune façon à celui d
mas fils, ni des scrupules convenables de chrétien homme du monde qui
paraissent
dans les comédies d’Octave Feuillet. S’il est mor
au nirvâna égayé par des gestes d’Apsaras parisiennes. Et son théâtre
paraît
philosophique, — et l’est sans doute, — parce que
bilité plus délicate et plus capricieuse, et d’une intelligence qui a
paru
, jusqu’ici, moins créatrice que la nôtre ? Cela l
ement mieux être accusé d’un péché. Et, pourtant, que nos ouvrages ne
paraissent
pas aux autres ce qu’ils nous ont paru à nous, ce
ant, que nos ouvrages ne paraissent pas aux autres ce qu’ils nous ont
paru
à nous, ce n’est pas une si grande affaire. Ces «
Brunehaut, c’est-à-dire, justement, les deux épisodes où « la femme »
paraît
le mieux sous le monstre, et qui pouvaient donc n
on. Le théâtre a pour objet, non de reproduire le vrai, mais de faire
paraître
vrai ce qu’il nous montre, et cela, dans le momen
moi : je ne tenais pas non plus à Chambard. Ce qu’il me proposait me
paraissait
manquer de piment. Ce piment, tu me l’apportes et
rêve plus encore qu’on ne le fait, — elle a ce grand mérite de faire
paraître
la vertu distinguée et désirable. l’on Sang,
d’hôtel, parmi ces malles défaites, devant cette porte numérotée, ne
paraissent
presque plus des bonnes, mais font songer à un ch
un rêve de forme dialectique et volontiers oratoire. — Le dessein qui
paraît
dominer ce que M. Romain Coolus a donné jusqu’ici
e inquiète, s’est déclaré de nouveau, sans que Jean, qui devine tout,
paraisse
s’en soucier autrement. Et la pauvre petite, croy
ouvelle déception… Je te la confie. Adieu, mon ami. » — Puis Germaine
paraît
et tombe dans les bras de Jean. Il lui dit : « Oh
sant. Puis, ils semblent constamment préoccupés de se définir : et il
paraît
trop que c’est l’auteur, bon philosophe, bon psyc
nier acte, puisque, là, il est amoureux. — Bref, l’abnégation de Jean
paraît
invraisemblable du moment qu’il n’aime pas Germai
ean paraît invraisemblable du moment qu’il n’aime pas Germaine, et le
paraîtrait
plus encore s’il l’aimait. Voilà mon objection. L
nges. [Henry Mürger — La Vie de Bohème] La Vie de Bohème m’a
paru
, je l’avoue, à cette dernière reprise, une plate
és de mode. » Et ailleurs : « L’utilité morale de l’art dramatique me
paraît
absolument nulle, pour ne rien dire de plus. » Ce
Je m’établis son compatriote et son contemporain, et jamais il ne me
paraît
plus piquant que lorsqu’il choque nos coutumes et
esse et de frivolité. — Surtout, l’entrevue de Hoche et de Charette a
paru
fort belle. Chacun y dit ce qu’il doit dire, et l
e et s’unir, se croient des devoirs diamétralement opposés, cela fait
paraître
avec un éclat presque scandaleux combien une même
is filles de M. Dupont, est une remarquable comédie de mœurs. Elle me
paraît
, et de beaucoup, la meilleure qu’il ait faite jus
s qu’Antonin, avec une sorte d’humilité, méritoire à mon avis, et qui
paraît
l’indice d’un secret changement moral, supplie sa
nt sans effort des mythes immortels. Que si, dans le même temps où il
paraissait
ressusciter, en ses images magnifiques et flottan
pitié que, le rideau baissé, cette formidable histoire d’amour m’ait
paru
rendre le même son que la romance de M. Faure :
hoses qu’on dit et qui ne tirent pas à conséquence… Tristan et Yseult
paraissent
ici, pour la « poésie » du sentiment, de la force
t tranquille minutie. L’œuvre nouvelle de M. Fabre, le Bien d’autrui,
paraît
moins pleine, moins riche d’observation, mais d’u
utre, c’est plus « raide », beaucoup plus raide. À première vue, État
paraît
une entité ; et le tort fait à l’État semble donc
êtes, et de nous diminuer la profonde beauté de son action à force de
paraître
n’en pas souffrir — et même n’y rien comprendre,
patron. Et, d’abord, il est un peu surprenant que cet homme, qui nous
paraissait
original, répète ici la leçon d’un autre, n’y mêl
u’il était, soit devenu pathologique. Il faut dire que, dans le drame
paru
en brochure, il y a un cinquième acte, tout plein
ue, et nous en convenons ; mais ce second dessein de M. de Curel nous
paraît
beaucoup moins rare que le premier. C’est pourquo
vons su de lui que Cyrano est « le plus beau poème dramatique qui ait
paru
depuis un demi-siècle » ; qu’un grand poète s’est
ves et si sincères qu’elles soient, languiront auprès de celles-là et
paraîtront
à l’auteur des façons d’insultes détournées. Mais
nné et où les cadets de Gascogne semblent autant de Sigognacs. Cyrano
paraît
; et, comme il a la plus belle âme du monde avec
nie du père Dumas. Et voici où le beau Christian prend sa revanche et
paraît
soudainement égal à son ami en sublimité de senti
s, une poésie ensoleillée de poète méridional, si méridional qu’il en
paraît
presque persan ou indou. Des gens difficiles ont
Porto-Riche, est une comédie que l’on devine supérieure à ce qu’elle
paraît
et qui, à cause de cela, n’est pas très facile à
, que chaque « réplique » y est précise et brève et que l’ensemble en
paraît
redondant et prolixe. — Dans la première de ces q
es coupant ainsi, en même temps qu’il en diminue l’effet, il les fait
paraître
longs, même quand ils ne le sont pas. Et avec tou
es poètes symbolistes, puisque l’assonance même en est absente ou n’y
paraît
que de loin en loin. C’est de la prose librement
à cause de cela l’histoire demeure étrangement lointaine : car ce qui
paraît
traduit paraît venir de plus loin. Cela se passe
l’histoire demeure étrangement lointaine : car ce qui paraît traduit
paraît
venir de plus loin. Cela se passe en un vague moy
ête Sur mes genoux, Et je lui avouerai la vérité. Et la vérité ne lui
paraîtra
pas terrible. La vérité, nous l’oublierons petit
toires comme la vie même, finissent, quand elles sont passées, par ne
paraître
presque plus réelles ; le désir de la mort, repos
tique. Je le reconnaissais avec empressement, et ainsi ce que j’avais
paru
refuser à l’auteur des Exilés et des Odes funambu
fait que les récentes banvilleries des « théâtres à côté » nous aient
paru
insupportables, et que les banvilleries de Banvil
t du mouvement, avec cette seule différence, peut-être, que mon corps
paraît
choisir, dans une certaine mesure, la manière de
r des mouvements. D’où vient alors que « ma perception de l’univers »
paraisse
dépendre des mouvements internes de la substance
ement reçu ne se prolonge pas tout de suite en mouvement accompli, il
paraît
simplement en attendre l’occasion, et la même imp
nalyse lui-même en se dispersant. En d’autres termes, le cerveau nous
paraît
être un instrument d’analyse par rapport au mouve
complies ou éparpillés en actions naissantes. Ces mouvements nous ont
paru
intéresser l’action, et l’action seulement ; ils
ans la structure du système nerveux, et en vue de laquelle ce système
paraît
avoir été construit bien plutôt qu’en vue de la r
e ; et la distance entre ces deux termes, présence et représentation,
paraît
justement mesurer l’intervalle entre la matière e
un objet matériel ; j’en ai la représentation. D’où vient qu’elle ne
paraît
pas être en soi ce qu’elle est pour moi ? C’est q
t toujours, n’eût jamais été révélée. Les images qui nous environnent
paraîtront
tourner vers notre corps, mais éclairée cette foi
nent et qui intéresseraient cette activité, au lieu de les traverser,
paraîtront
revenir dessiner les contours de l’objet qui les
choix, comme, d’un autre côté, la portion des images extérieures qui
paraît
revenir sur elle-même pour constituer la percepti
le processus intracérébral, cette minime partie de la perception, lui
paraît
être l’équivalent de la perception entière. Suppr
étachent cette activité motrice du processus perceptif, et comme elle
paraît
survivre à l’abolition de la perception, ils en c
à d’insurmontables difficultés. Mais ce sont les lois elles-mêmes qui
paraissent
de plus en plus problématiques. Déjà Lotze en ava
dre un son à l’oreille 4 ». La vérité est que tous les faits allégués
paraissent
se ramener à un seul type : l’excitant unique cap
électrisation. Pour aucun sens la doctrine de l’énergie spécifique ne
paraissait
plus solidement établie que pour l’oreille nulle
de sorte qu’on comprendrait ainsi pourquoi chacun des nerfs sensitifs
paraît
vibrer selon un mode déterminé de sensation. Mais
de l’état représentatif, qui occupe de l’espace à l’état affectif qui
paraît
inétendu. De là on conclut à l’inextension nature
ommun la localise, l’en extraire, la rapprocher du cerveau, dont elle
paraît
dépendre plus encore que du nerf ; et on aboutira
. Mais on s’aperçoit bien vite que si elle n’est pas au point où elle
paraît
se produire, elle ne pourra pas davantage être ai
dans les choses, faculté attestée par la conscience et vers laquelle
paraissent
converger toutes les puissances du corps organisé
e de cette indétermination, notre perception suivra tout le détail et
paraîtra
exprimer toutes les variations de ces éléments ne
alisme : ce serait d’établir que la matière est absolument comme elle
paraît
être. Par là on éliminerait de la matière toute v
matière, et c’est pourquoi le sens commun croit à l’esprit. Il nous a
paru
que la philosophie devait adopter ici l’attitude
r des actions, force nous sera bien de rechercher pourquoi la mémoire
paraît
solidaire de ce corps, comment des lésions corpor
u’il doit conduire à la vérification psychologique de deux thèses qui
paraissent
invérifiables, et dont la seconde, d’ordre plutôt
e en est due à M. de Sallo, Conseiller au Parlement de Paris, qui fit
paroître
le Journal des Savans, l’an 1665. sous le nom de
ute s’il voudroit légitimer tous ses enfans. Depuis 1665., on en a vu
paroître
& disparoître plus de deux cens, écrits en di
té d’autres ouvrages, & sur toutes sortes de matieres, fit encore
paroître
la Bibliothèque ancienne & moderne, qu’il con
par l’âge il fut obligé de quitter la plume. De tous les Journaux qui
parurent
ensuite en Hollande, aucun ne fut mieux écrit que
onna la premiere idée vers l’an 1732. Son premier ouvrage en ce genre
parut
sous le titre de Nouvelliste du Parnasse. Il fut
années, une foule de journaux s’élever à l’envi ; tous n’ont fait que
paroître
. La Semaine, le Glaneur, le Conservateur, le Jour
t les repères, nous avons gardé la pagination originelle de l’ouvrage
paru
aux Cahiers de la Quinzaine le 25 septembre 1928.
J’ajoute que sans croire à une harmonie universelle préétablie, il me
paraît
difficile d’imaginer que les intérêts véritables
aque jour de nouvelles propositions de lois, de nouvelles suggestions
paraissent
dans les journaux sur les diverses questions rela
s’enrichir, les scrupules moraux cèdent, le respect de la vie privée
paraît
insignifiant. La guerre a encore augmenté cet esp
e plus longue qu’aucune autre13 ? Il est certain que plus tard, quand
paraîtront
les œuvres complètes des écrivains contemporains,
s qui lui sont précieux ; et son retour dans les mains de leur auteur
paraît
toujours naturel à l’ami. Mais si l’on sépare la
de publier les lettres qu’il a reçues du vivant de son ami. Fera-t-il
paraître
le texte intégral ? Pas du tout. Il est de son de
s’opposer à ce que toutes sortes de livres d’étude et de biographies
paraissent
sur l’homme célèbre qui vient de disparaître. Cel
le France21. Et cependant ces divers « entretiens » avec lui, qui ont
paru
en volumes22, qui nous l’ont montré dans l’intimi
toujours des erreurs de détail, mais peu à peu, grâce aux livres qui
paraissent
successivement sur le même personnage, elles fini
actuelle. Cependant le délai de vingt ans est expiré et le Journal a
paru
. Qu’a fait Lord Alfred Douglas ? Se sachant vivem
n justice à propos des billets, cependant bien innocents, qui avaient
paru
sans autorisation27. Un autre éditeur a été conda
ne activité ordinaire. Il est bien fini ce temps où l’homme de pensée
paraissait
exceptionnel, vivait, somme toute, de la charité
le dénuement et soutiendrait la famille de Georges38 Ohnet24. S’il me
paraît
désirable que les revenus d’un livre soient attri
chose, mais l’instinct propriétaire de la propriété littéraire ne me
paraît
pas plus respectable, dans ses manifestations exc
re de grand écrivain, à moi adressée, quand une telle publication m’a
paru
nécessaire à mes analyses ; et alors sans demande
tées comme les précédentes par les Cahiers de la quinzaine. Elles ont
paru
à différentes dates dans des journaux ou dans des
ttres d’écrivains qui n’ont pas été ou ne sont pas des épistoliers me
paraît
exagérée ou dangereuse. Sauf dans des cas très pa
lles, dans l’Appendice de ce présent petit livre. [NdA] 4. Vient de
paraître
, juin 1927. [NdA] 5. Est-il utile de préciser qu
de M. Paul Souday, extrait d’un de ses feuilletons du Temps. Ce texte
paraissait
au moment même où j’écrivais ce petit livre : je
ra les lettres de M. Proust à R. Blum, B. Grasset et L. Brun (Comment
parut
du Côté de chez Swann, Paris, Kra, 1930), après a
Léon Pierre-Quint, sa bibliographie Comment travaillait Marcel Proust
paraît
, juste en 1928, aux éditions des Cahiers Libres.
dE] 24. Après la mort de Jules, neuf volumes du Journal des Goncourt
parurent
entre 1887 et 1889, par la volonté d’Edmond. Rest
écile il faudra attendre 1951. Une nouvelle édition du Journal intime
paraît
juste en 1928 (Paris, Albin Michel, achevé d’impr
publier un livre sur lui, Plon éditeur (voir la liste des ouvrages à
paraître
, ci-dessus). [NdE] 31. Dès la fin du xixe siècl
L. Pierre-Quint sont annoncées en 1928 (voir la liste des ouvrages à
paraître
, ci-dessus) qui ne verront pas le jour. Le tout p
s ouvrages à paraître, ci-dessus) qui ne verront pas le jour. Le tout
paraît
confluer dans « Lautréamont, le sadisme et l’amou
paraît confluer dans « Lautréamont, le sadisme et l’amour », article
paru
dans le n. 115bis, d’octobre 1929, des Cahiers du
Faux-monnayeurs ? D’autant plus que son compte rendu du roman de Gide
paraît
dans la Revue de France du 15 février 1926, pp. 7
nt lui accorde une belle place dans son André Gide, annoncé dès 1928,
paru
en 1932 chez Stock (André Gide, sa vie, son œuvre
c en vue d’un public lettré et curieux, mais non spécial. Roncevaux a
paru
le 15 septembre 1901 ; le Paradis de la Reine Sib
eur, toujours fidèle aux mêmes règles. L’article sur le Juif Errant a
paru
en 1880, au tome VII de l’Encyclopédie des scienc
entendre, et on dit qu’il sonna si fort que Charles l’entendit. Cela
paraît
une grande merveille à quelques-uns ; mais c’est
s six heures. Huit heures pour faire environ 25 kilomètres, cela peut
paraître
long ; mais on s’arrête pour déjeuner à Luzaïde ;
assâmes à Roncevaux ; nous ne vîmes pas la moindre de ces brumes qui,
paraît
-il, couvrent souvent pendant des semaines tout le
s et les derniers moments d’un héros ennemi. Mais ce souvenir même ne
paraît
pas avoir existé. Les Basques n’ont ni légendes h
l’érection de cette chapelle. Un autre monument élevé par Charlemagne
paraît
se rattacher, sinon au désastre du 15 août, au mo
s ont conservé : la façon dont ils se représentent la scène du combat
paraît
aussi remonter à une connaissance directe des lie
oncevaux. « J’ai beau regarder, dit-il, je ne vois pas de pins… Il me
paraît
bien que le trouvère qui a rédigé la Chanson de R
ais voici qu’à cette autorité s’en oppose une autre qui, en l’espèce,
paraît
encore plus décisive. M. Wentworth Webster a bien
ient pour les Francs une grande infériorité. » Cela, nous l’avons vu,
paraît
écrit en partie pour atténuer l’effet moral qui d
les musulmans employèrent les Basques pour la première attaque, et ne
parurent
, pour achever la déroute, que quand ceux-ci avaie
nconnu à toutes les sources historiques, et de l’idée assez juste qui
paraît
subsister, dans les poèmes, de la configuration e
ort, on ne pouvait rien savoir, puisqu’aucun des témoins du combat ne
paraît
avoir survécu. Mais peut-être avait-on trouvé son
à « environ deux milles, qui sont deux tiers de lieue » ; la distance
parut
longue au bon La Sale, car elle n’est guère que d
t sur les parois que quelques noms de visiteurs modernes, sauf un qui
paraît
remonter au xviie siècle. Mais si La Sale s’est
porte de métal, portant sur chacun de ses battants un démon peint qui
paraît
vivant, et qui tient une tablette avec cette insc
cie. Enea ne dit pas que cet endroit s’appelât le mont de Vénus et ne
paraît
même pas connaître la légende de la Sibylle. Ce n
age célèbre de fra Leandro Alberti, la Description de toute l’Italie,
paru
à Bologne en 1550. En parlant de la « Treizième r
aux sortilèges que Norcino était devenu synonyme de sorcier, — ce qui
paraît
injuste, car dans tous les récits ce sont des étr
rino, il prit celui d’Antoine de la Sale, bien préférable, à ce qu’il
paraît
. Il fit, de Montemonaco, deux visites à la Sibyll
ès avoir joui quelque temps — souvent pendant des siècles qui lui ont
paru
des jours — des voluptés du pays enchanté où il a
nde même du Tannhäuser. * * * Cette légende, en effet, ne lui a point
paru
suffisante pour lui fournir tout son drame. Il y
avec l’époque où vécut le Tannhäuser historique67. » Cet accord même
paraît
suspect : la légende ne connaît guère de telles p
Il n’est pas d’ailleurs aussi complet qu’il en a l’air. Le Tannhäuser
paraît
être né vers 1200, et nous n’avons aucune trace c
Allemagne antérieurement à la légende du Tannhäuser elle-même, et il
paraît
être simplement le produit d’une substitution du
bienveillant et fait absoudre par lui le héros de l’aventure. Cela ne
paraît
pas vraisemblable. Le récit de Guerino est bien p
r l’eterno amore, Mentre che la speranza ha fior del verde76. Ce qui
paraît
impossible aux hommes, Dieu peut le faire, voilà
aux idées chrétiennes d’un thème antérieur au christianisme. Ce thème
paraît
de formation celtique, et il a dû être apporté en
Judas, lu Juda-Marcu dans des chants populaires siciliens83. Il nous
paraît
probable que c’est cette même légende (où s’est i
et Jésus lui dit : « C’est toi qui m’attendras. » La seconde version
paraît
altérée ; pourquoi cette curiosité aurait-elle ét
e n’est sans doute là qu’une prétention du moine anglais, pour ne pas
paraître
avoir ignoré une chose si merveilleuse. Il est ce
qu’elle ait été publiée avant le commencement du xviie siècle. Elle
paraît
être anonyme dans les premières éditions du livre
mourut le 25 février 159886. Le récit qu’on met dans sa bouche n’a dû
paraître
qu’après sa mort, et c’est bien à tort sans doute
ontemporains et sans doute aussi de gagner quelque argent. Il ne nous
paraît
pas douteux qu’il ait emprunté le fond de son his
Eitzen et autres, et s’asseoir à la table de ceux qui l’invitent ; il
paraît
faire à Hambourg et à Dantzig un assez long séjou
« critiques » en firent expressément deux personnages : une brochure
parue
en 1645, sous le titre de Relatio oder Kurtzer Be
: il passa en hollandais, en danois et en suédois. En anglais, il ne
paraît
pas avoir été traduit, mais il a fourni le sujet
de naïveté et même à quelques endroits d’un certain charme pénétrant,
paraît
avoir été composée en Belgique. Elle met en scène
ussemaker dans les Chants populaires des Flamands de France 93 et qui
paraît
propre aux Pays-Bas. On a reconnu dans Laquedem l
ngeait, ne buvait ni ne dormait. Quant aux merveilleux cinq sous, ils
paraissent
provenir des deux escalins (dans d’autres version
e nom se retrouve ailleurs. Dans un livret populaire allemand dont il
parut
en 1640 une édition citée à cette date par un con
s : ce nom a donc dû jadis se trouver dans les livrets populaires. Il
paraît
aussi s’être conservé chez les Saxons de Transylv
bizarre qu’il ne soit donné à Ahasvérus qu’après son baptême (ce qui
paraît
d’ailleurs absolument exclure l’explication boute
parce qu’ils ne savaient ce qu’ils faisaient ». Le châtiment de Malc
paraît
, il est vrai, justifié par son ingratitude, mais
ute la tradition populaire appelle le Juif Errant Boudedeo, et ce nom
paraît
aussi se retrouver chez les Saxons de Transylvani
ie populaire, changé en Espagne, en celui de Voto-a-Dios. M. Morpurgo
paraît
lui prêter l’hypothèse inverse, et en tout cas il
s les écrits du Moyen Âge (et même de temps plus proches), et Antonio
paraît
avoir rédigé ses souvenirs assez longtemps après
’on nous raconte de la première visite de Giovanni à Florence, qui ne
paraît
avoir été que d’un jour ; il revint une autre ann
e éloquent et des larmes. Mais il faut dire aussi que ces détails, on
paraît
les lui avoir fort peu demandés : les bons Toscan
tribué la rédaction à saint Jean de Damas (670-760 environ) ; maïs il
paraît
plus ancien : il a dû être écrit à Jérusalem au v
rolixe, est visiblement altéré en plus d’un point, mais qui cependant
paraît
indépendant des sources des deux autres versions,
vient de lire, qui n’apparaît qu’à une époque fort récente185. Il me
paraît
bien plus probable que ce dernier provient d’un m
ettant d’établir une coïncidence ou une divergence ; cependant, il me
paraît
probable que si l’auteur du lai avait eu cette ve
fournissait une rime avec once. Pour la seconde version, la question
paraît
compliquée : d’une part, elle ne peut avoir été l
on du rôle si original et si merveilleux qu’il a donné à l’oiseau. Il
paraît
donc probable que l’auteur du lai a connu la seco
là sans doute aussi une influence toute littéraire, dont l’origine ne
paraît
pas se trouver dans l’antiquité et est plutôt ori
t inséré dans leurs sermons pour porter les âmes à la piété ? Cela me
paraît
d’autant plus admissible qu’Eudes Rigaut était un
ble qu’Eudes Rigaut était un grand conteur d’histoires et avait même,
paraît
-il, composé des « livres de facéties », qui malhe
crit original perdu : ABD descendent de l’un, C représente l’autre, E
paraît
être le produit d’une fusion des deux. Ce qui dis
icard et que le français, dialecte dont plusieurs poèmes du moyen âge
paraissent
offrir des traces, mais qu’on n’a retrouvé jusqu’
: Fuori di detta Tema ad Occidenli quattro passi in circa , — ce qui
paraît
altéré. 10. Laffî raconte ici les derniers momen
intitulé Antoine de la Sale et la légende de Tannhäuser, qui vient de
paraître
dans le tome II des Mémoires de la Société néo-ph
une fleur dont on employait la poudre comme le dit La Sale, et a même
paru
connaître le nom de poliastro ; mais je l’avais i
envoie une fois pour toutes à l’excellente étude de M. Erich Schmidt,
parue
dans le numéro de novembre 1892 de la revue allem
res du prétendu espion turc, écrites en italien par Jean-Paul Marana,
parurent
en français à Paris en 1684 (et souvent depuis),
de la liste dressée par M. Neubauer (p. 70-71). Quoique cette édition
paraisse
être la seule conservée qui fasse mention de « Gu
mper habe. Le texte de Schmidt ajoute : si potes, mais cette addition
paraît
étrangère à l’original. 163. Petri Alfonsi Disc
to (Ristelhuber, les Contes et Facéties d’Arlotto, n° XXXVIII. p. 63)
paraît
avoir puisé à diverses sources. Je ne sais d’où p
▲