ans ce premier livre à examiner la méthode que doit suivre la Science
nouvelle
. Si, comme nous l’avons dit dans les axiomes, la
s du monde par la Providence, conserve la société humaine. La science
nouvelle
sera donc sous l’un de ses principaux aspects une
qu’ils auraient dû chercher les preuves de la Providence… La Science
nouvelle
sera, pour ainsi parler, une démonstration de fai
la contemplation de cette Providence éternelle et infinie la Science
nouvelle
trouve des preuves divines qui la confirment et l
) Pour arriver à trouver cette nature des choses humaines, la Science
nouvelle
procède par une analyse sévère des pensées humain
Ainsi considérée sous le second de ses principaux aspects, la Science
nouvelle
est une histoire des idées humaines, d’après laqu
ie et de la géographie métaphysiques qui lui sont propres, la science
nouvelle
applique une Critique pareillement métaphysique a
es nations a dû, doit et devra suivre le cours indiqué par la Science
nouvelle
, quand même des mondes infinis en nombre naîtraie
nité ; hypothèse indubitablement fausse. De cette manière, la Science
nouvelle
trace le cercle éternel d’une histoire idéale, su
décadence et leur fin. Nous dirons plus : celui qui étudie la Science
nouvelle
, se raconte à lui-même cette histoire idéale, en
ême personne est à la fois l’acteur et l’historien ? Ainsi la Science
nouvelle
procède précisément comme la géométrie, qui crée
ontemple en même temps le monde idéal des grandeurs ; mais la Science
nouvelle
a d’autant plus de réalité que les lois qui régis
toutes les nations (axiome 9). Ainsi sous un autre aspect, la science
nouvelle
devient une philosophie de l’autorité, source de
ce qui s’est dit en général pour établir les principes de la Science
nouvelle
. Ces principes sont la croyance en une Providence
e Vico ; essayons plutôt de l’expliquer, et de montrer que La Science
nouvelle
n’a été si négligée pendant le dernier siècle que
s et celle des langues, en les éclairant toutes deux par une critique
nouvelle
, et qui accorderait la philosophie et l’histoire,
travaillait, et où il conçut peut-être la première idée de La Science
nouvelle
. « Lorsque Vico revint à Naples (c’est lui-même
il marque les inconvénients de la première. Nulle part les abus de la
nouvelle
philosophie n’ont été attaqués avec plus de force
ut le chemin qu’il avait encore à parcourir pour arriver à La Science
nouvelle
: c’est qu’il rapporte la sagesse de la jurisprud
r ces deux ouvrages, dans lesquels il appliquait à Homère la critique
nouvelle
dont il y avait exposé les principes. Cependant c
uvrage qui parut, en 1725, sous le titre de : Principes d’une science
nouvelle
, relative à la nature commune des nations, au moy
cipes du droit naturel des gens. Cette première édition de La Science
nouvelle
, est aussi le dernier mot de l’auteur, si l’on co
le cercle idéal dans lequel tourne le monde réel, voilà l’objet de la
nouvelle
science. Elle est tout à la fois la philosophie e
ciété. Jusqu’ici on n’a parlé que de théologie naturelle ; la Science
nouvelle
est une théologie sociale, une démonstration hist
uant le caractère d’homme, et se séparant de l’humanité. La Science
nouvelle
puise à deux sources : la philosophie, la philolo
’abandonner à sa corruption. Ainsi nous fermons l’école de la Science
nouvelle
aux stoïciens qui veulent la mort des sens, aux é
dans la corruption même de l’état précédent les éléments de la forme
nouvelle
qui peut la sauver. Il faut bien qu’il y ait là u
uivons librement. Répétons donc ici le premier principe de la Science
nouvelle
: les hommes ont fait eux-mêmes le monde social,
re connaître quel fut le sort de l’auteur et de l’ouvrage. La Science
nouvelle
eut quelque succès en Italie, et la première édit
flatteuses. Des savants de Venise qui voulaient réimprimer La Science
nouvelle
dans cette ville, lui persuadèrent d’écrire lui-m
ncipio dans la Bibliothèque universelle, ne parla point de La Science
nouvelle
. Le Journal de Trévoux en fit une simple mention.
des leçons de langue latine. Au moment même où il achevait La Science
nouvelle
, il concourut pour une chaire de droit, et il éch
lace que je demandais, il m’a donné l’occasion de composer la Science
nouvelle
. Le dirai-je ? je me trompe peut-être, mais je vo
égiaque, le manuscrit des notes sur la première édition de la Science
nouvelle
, avec l’inscription suivante : AU TIBULLE CHRÉTIE
ce de ses détracteurs. C’est ainsi qu’il en vint à trouver la Science
nouvelle
… Depuis ce moment il crut n’avoir rien à envier à
principe du droit, qui lui-même a fourni les matériaux de La Science
nouvelle
. Le premier ouvrage considérable de Vico, est le
les ouvrages de Vico celui dont il a le moins profité dans la Science
nouvelle
. Rien de plus ingénieux que ses réflexions sur la
aduction de l’ouvrage dont nous venons de parler entrerait dans cette
nouvelle
publication. Vico s’occupa bientôt d’un travai
lecture opéra dans ses idées. On lui avait demandé des notes pour une
nouvelle
édition du Droit de la guerre et de la paix, et i
t suivit une méthode familière aux anciens jurisconsultes, mais toute
nouvelle
dans les concours. Les applaudissements unanimes
résultat de ce nouveau travail fut la première édition de la Science
nouvelle
, qui parut en 1725. La Science nouvelle fut atta
emière édition de la Science nouvelle, qui parut en 1725. La Science
nouvelle
fut attaquée par les protestants et par les catho
frontispice est une sorte de représentation allégorique de La Science
nouvelle
. Debout sur le globe terrestre, la Métaphysique e
s cette lettre curieuse, Vico explique le peu de succès de La Science
nouvelle
. On y trouve le passage suivant : « Je suis né da
chaire de droit, ce qui lui a donné le loisir de composer La Science
nouvelle
(Voy. l’avant-dernière page du discours.) — Lettr
nses. Dans le troisième volume des Opuscules, Vico offre une preuve
nouvelle
que le génie philosophique n’exclut point celui d
dans sa prose, c’est dans son grand poème philosophique de la Science
nouvelle
, que Vico rappelle la profondeur et la sublimité
in un épithalame dans lequel il met plusieurs des idées de La Science
nouvelle
, dans la bouche de Junon. Nous ne nous arrêterons
st une réponse au cardinal Filippo Pirelli, qui avait loué La Science
nouvelle
dans un sonnet. « Le destin s’est armé contre un
’en plusieurs endroits Vico déclare que le sujet propre de la Science
nouvelle
, c’est la nature commune aux nations, et que son
tome I, page 555). Ce dernier n’a extrait que la partie de La Science
nouvelle
relative à Homère. — Aucun Anglais, aucun Écossai
fi est le premier qui ait appelé l’attention du public sur la Science
nouvelle
, dans son Éloge de Filangieri, et dans plusieurs
prématurée, il méditait deux ouvrages ; le premier eût été intitulé :
Nouvelle
science des sciences ; le second : Histoire civil
sit un travail fort remarquable, dit-on, sur le système de la Science
nouvelle
. L’infortuné Mario Pagano (né en 1750, mort en 18
s, des mœurs, de la poésie, etc. Le caractère religieux de la Science
nouvelle
a disparu. Les explications physiologiques qu’il
s Essais politiques sont encore le meilleur commentaire de la Science
nouvelle
. Voici les points principaux dans lesquels il s’e
st le seul dont Vico n’ait point transporté les idées dans la Science
nouvelle
. Nous en donnerons prochainement une traduction.
é dans certaines matières... — Dans la première édition de la Science
nouvelle
, j’errais, sinon dans la matière, au moins dans l
ellement unis entre eux. Je parlais de la méthode propre à la Science
nouvelle
, en la séparant des principes des idées et des pr
et des principes des langues. » Additions à une préface de la Science
nouvelle
, publiées avec d’autres pièces inédites de Vico,
36, in-4º. — Quatorze lettres sur le troisième principe de la science
nouvelle
, relatif à l’origine du langage ; ouvrage dans le
u vent. M. Colangelo. Essai de quelques considérations sur la Science
nouvelle
, dédié à M. Louis de Médicis, ministre des financ
naire Dictionnaire bibliographique des principaux écrivains de la
nouvelle
littérature N. B. — Malgré notre insistance,
. Aurier, les Goncourt, E. Hello. IV. — André Beaunier : La Poésie
Nouvelle
. Société du Mercure de France, 1902, in-18 (onze
ue, 1902, in-12. Périodiques : Ernest Gaubert et Georges Casella. La
Nouvelle
Littérature. Revue Illustrée, 15 avril, 1er mai 1
Grande Encyclopédie, 741e livraison. — F. Vielé-Griffin : La poétique
nouvelle
, Mercure de France, avril 1895. — F. Vielé-Griffi
— L’Ère Petitpaon, roman. L. Michaud, 1906, in-18. Collaboration. —
Nouvelle
Revue (crit. dram. contes et nouvelles). — Revue
France, Femina, La Plume, etc. À consulter. — E. Ledrain. Chronique.
Nouvelle
Revue, 2 janvier 1897. Bauquier (Henri), né à
, 1906, in-18. Collaboration : Événement, Cri de Paris, Revue Bleue,
Nouvelle
Revue, Revue Hebdomadaire. Beaunier (André), n
Russie, in-18, 1900. — Bonshommes de Paris, in-18, 1901. — La Poésie
Nouvelle
, in-18, Soc. du Mercure de France, 1902. — Les tr
ècles, Sansot et Cie, 1903, in-18. — L’Honnête Dame et le Philosophe,
nouvelle
trad., trad. de Nicollo Granucci avec notice sur
P. P. Collaboration. — L’Effort, Revue des Revues, Miroir de modes,
Nouvelle
Revue, Annales politiques et littéraires, etc…
(ont paru dans l’Auto). — L’Acteur au Miroir, roman. — La Pendeloque,
nouvelle
suivie des Meurtres impunis, nouvelles. — La Psyc
, 1905. Collaboration. — La Fraude. — Revue Hebdomadaire. — Humanité
Nouvelle
— La Plume. Claudel (Paul). Œuvres. — L’Arbre
iècle, 1904, Giard et Bière, in-18. M. Dagan a fondé la Revue L’Œuvre
nouvelle
(1903-1906) et les Cahiers de l’Université popula
ahiers de l’Université populaire (1906). Collaboration. — L’Humanité
nouvelle
, La Revue de métaphysique et de morale, Revue Ble
le, La Revue de métaphysique et de morale, Revue Bleue, Grande Revue,
Nouvelle
Revue, Mercure de France, L’Européen, L’Aurore, e
fort, 1896. — Le Mazareilh, roman, Ollendorff, 1902, in-18. — Margot,
nouvelle
, Toulouse, Société Provinciale d’éditions,1903, i
-4º, 1906. Collaboration. — Gallia. — L’Œuvre d’Art international. —
Nouvelle
Revue d’Égypte. — Le Beffroi. — La Rénovation Est
Petite République, Le Gil Blas, Le Soir, Le Petit Bleu, La Presse, La
Nouvelle
Revue, La Revue blanche, La Revue Universelle, Le
Télégraphe, Magasin Pittoresque, Revue des Revues, Courrier Français,
Nouvelle
Revue, Revue Universelle, Revue Illustrée, Monde
r la Porte, poèmes. Mercure de France, 1905, in-8º. Collaboration. —
Nouvelle
Revue, Revue Littéraire de Paris et de Champagne.
Anglaise, Sansot et Cie, in-18, 1906. Collaboration. — Revue Bleue,
Nouvelle
Revue, La Plume, Action Française, Revue Latine,
Jaloux a publié au « Pays de France », Les Femmes et la Vie et à « la
Nouvelle
Revue » La Fête Nocturne ». Ces deux romans n’ont
Vogue (1897-1900). — Revue Bleue, Revue Universelle, Revue Illustrée,
Nouvelle
Revue, Monde Moderne, Mercure de France, la Plume
avant-propos, Sur la Poésie, Paris, Lemerre, 1902. Collaboration. —
Nouvelle
Revue, Revue Bleue, Les Poèmes, etc. À consulter.
Poèmes, etc. À consulter. — Les Poètes de l’École Française : La Foi
Nouvelle
, Paris, Fasquelle, 1902. — H. de Melin : Éternité
ille : Article, Gotha Français, 1er mars 1902. — Han Ryner, Éternité,
Nouvelle
Revue Moderne, mars 1902. — Léon Bocquet : Les Po
; Éternité, Revue Idéaliste, 15 mars 1902. — H. de Melin : Étude, La
Nouvelle
Revue, 15 mai 1902. — Manoël de Grandfort : Étern
stique et Littéraire, 1899, — Le Livre des Heures, poèmes. L’Humanité
Nouvelle
, 1903, in-18. Collaboration. — La Plume. — L’Hum
anité Nouvelle, 1903, in-18. Collaboration. — La Plume. — L’Humanité
Nouvelle
. — Revue Franco-Allemande. — Le Chat Noir. — Les
-18. — Tantoune, roman, Ollendorff, 1906, in-18. Collaboration. — La
Nouvelle
Revue, L’Action, Revue de Paris, Après l’École, R
— Cadet Oui-Oui, Flammarion, 1906, in-18. Collaboration. — Gil Blas,
Nouvelle
Revue, Illustration, Écho de Paris. Lichtenber
ecret, poèmes, Fasquelle, 1906, in-18. Collaboration. — L’Effort, La
Nouvelle
Revue, La Revue des Revues, Le Mercure de France,
ndus, éd. de l’idée Libre, 1904, in-4. Collaboration. — Revue Bleue,
Nouvelle
Revue, Mercure de France, Art moderne, etc… Mi
rcure de France. — Revue d’Art dramatique (direction de 1901 à 1903),
Nouvelle
Revue, etc. Mouquet (Jules-Georges-Édouard), n
Hydre, drame, Lib. Molière, 1906, in-18. Collaboration. — La Presse,
Nouvelle
Revue, Mercure de France, Chronique des Livres, L
8, 1901. — L’Ombre des Jours, poèmes, Calmann-Lévy, in-18, 1902. — La
Nouvelle
Espérance, roman, Calmann-Lévy, in-18, 1903. — Le
Collaboration. — La Volonté, L’Écho de Paris. Le Mercure de France,
Nouvelle
Revue, Revue Bleue, Ermitage, Courrier Français,
re de France, grand, in-16 carré. — Timidité de Shakespeare, Humanité
Nouvelle
, 1900. Collaboration. — Mercure de France, Human
umanité Nouvelle, 1900. Collaboration. — Mercure de France, Humanité
Nouvelle
. La Plume, Revue Indépendante, Revue Italienne. À
roman, Vanier, 1905, in-18. Collaboration. — Le Siècle, La Plume, La
Nouvelle
Revue, etc. À consulter. — A. Tudesq. Les Poèmes
1865. Œuvres. — Sommeil, poésies Jouaust, 1891. — Aubes et Mirages,
Nouvelle
Revue, 1892. — Misère Royale, roman, A. Lemerre,
Loisirs de Berthe Livoire, Mercure de France, 1906. Collaboration. —
Nouvelle
Revue, Figaro, Le Journal, Mercure de France, La
rture de Barrère, in-18, Sansot, 1905. Collaboration. — Revue Bleue,
Nouvelle
Revue, le Mercure de France, La Revue Illustrée,
stique et littéraire, 1897. — Edmond Picard, nouv. édition, Paris, La
Nouvelle
Revue Parisienne, 1898. — Itinéraire Fantaisiste,
le 3 juillet 1874. Œuvres. — Le Temple, poèmes, 1903, édition de la
Nouvelle
Revue Moderne, in-16. — La Poésie française chez
rne, in-16. — La Poésie française chez les Noirs d’Haïti, conférence.
Nouvelle
Revue Moderne, 1903, in-8º. — Impéria, 4 actes en
Poètes (salle du Nouveau Théâtre), le 17 mars 1903. Collaboration. —
Nouvelle
Revue, La Plume, Le Réveil de Gand, fondateur de
ation. — Nouvelle Revue, La Plume, Le Réveil de Gand, fondateur de la
Nouvelle
Revue Moderne et de La Vie 1904. À Consulter. —
Le Journal des Débats, 23 mars 1905. — Émile Magne : J. Valmy-Baysse.
Nouvelle
Revue Moderne, février 1903. Varenne (Marc), n
), né le 4 septembre 1877 à Nérac (Lot-et-Garonne). Collaboration. —
Nouvelle
Revue, l’Anthologie Revue, L’Aube Méridionale (fo
auteur prouve d’abord la nécessité de suivre dans cette recherche une
nouvelle
méthode, par l’insuffisance et la contradiction d
.) — Il indique enfin les trois grands principes d’où part la science
nouvelle
, et la méthode qui lui est propre (chap. III et I
ce chapitre, l’auteur jette en passant les fondements d’une critique
nouvelle
: 1º La civilisation de chaque peuple a été son p
l’âme. Chapitre IV. De la méthode. — Le point de départ de la science
nouvelle
est la première pensée humaine que les hommes dur
ilosophiques elles-mêmes sont ou théologiques ou logiques. La science
nouvelle
est une démonstration historique de la Providence
histoire réelle de toutes les nations. Elle s’appuie sur une critique
nouvelle
, dont le criterium est le sens commun du genre hu
édée, qui a fondé des villes et des empires, apporté une civilisation
nouvelle
, elle n’est plus !… Voici des races d’hommes sort
i fondent aussi des villes et des empires, apportent une civilisation
nouvelle
transformée par le christianisme. Voici encore, e
n’existera plus, alors les plus grands désordres auraient lieu si une
nouvelle
solution ne se présentait. Il faut donc travaille
entions d’une religion qui aujourd’hui se donne mission d’annoncer la
nouvelle
solution du problème moral de la destinée de l’ho
la religion ne viendrait-elle pas révéler à l’humanité sa destination
nouvelle
? Pourquoi la philosophie prendrait-elle aujourd’
ant le terme intermédiaire de cette évolution ; aussi, à ses yeux, la
nouvelle
époque de l’histoire où nous allons entrer ne ser
qui a porté M. Jouffroy à soutenir que les prétentions d’une religion
nouvelle
qui s’annonçait comme venant résoudre le problème
aient beaucoup mieux la société en se dévouant à répandre la solution
nouvelle
, au lieu de se consumer vainement en essais, en f
de l’éclectisme devrait s’arrêter quelque temps devant cette solution
nouvelle
, quelle qu’elle fût, et ne la déclarer insuffisan
à vrai dire, posséder : c’est l’esprit qui tend à faire triompher une
nouvelle
conception du monde dans l’humanité occidentale.
Certains d’entre les libérés eurent bientôt l’intuition d’une vérité
nouvelle
: que le monde ne pouvait être enfermé dans un mo
e vue était radicalement changé. De nouveaux yeux s’ouvraient sur une
nouvelle
terre. L’œuvre de la pensée du moyen âge fut en
ée dans l’ordre de la réalité s’effectuait. De ce que la conception
nouvelle
ait germé depuis près de cinq siècles dans l’espr
lenteur des évolutions, il existe et il nous conduit. La conception
nouvelle
est en voie de transformer la vie toute entière d
ie sociale de l’humanité sont entrées, depuis l’ère moderne, dans une
nouvelle
phase. La Renaissance a été le réveil de l’indiv
s-à-vis des attaques furieuses et réitérées : que mènent contre cette
nouvelle
conception de l’univers toutes les forces de réac
ont pour titre original : Cinq Livres sur les principes d’une Science
nouvelle
, relative à la nature commune des nations, par Je
tesse. Si l’on voulait la suivre, on pourrait accuser dans la Science
nouvelle
, non pas l’aridité, mais bien un luxe de végétati
jusqu’ici décrédité les vérités innombrables que contient la Science
nouvelle
. Mais on a indiqué dans l’appendice du discours p
, en élaguant toutes les idées qu’on devait retrouver dans la Science
nouvelle
, mais nous y avons ajouté de nouveaux détails, ti
de Sainte-Barbe. Si cette première traduction française de la Science
nouvelle
, résolvait d’une manière satisfaisante les nombre
indépendamment de toute conception sociale et de toute interprétation
nouvelle
de la nature, un avenir facile et paisible qui va
ent un amour immense ; qui doit concevoir en sa tête féconde la forme
nouvelle
, plus large et plus heureuse, de l’association hu
urd’hui, l’inspiration ne serait point détruite par cela. Dire qu’une
nouvelle
religion est impossible parce qu’elle ne saurait
s comme l’artiste le plus sentimental ; il y a, dans toute conception
nouvelle
du génie, une sorte d’influence électrique, irrés
c’était du mépris et un complet détachement, toutefois la conception
nouvelle
qui établit ce rapport tend toujours à se réalise
t sur la seule voie où l’on puisse trouver désormais. Si une religion
nouvelle
est possible (ce que ne croit pas M. Jouffroy), M
ts. Il a montré le gouvernement, comme la société, en quête de l’idée
nouvelle
et ne la possédant pas ; l’ordre moral nul, l’ord
jusqu’au bout le remède : le remède n’est pas venu. Cette conception
nouvelle
qui doit instituer sur des bases inconnues la pol
ut à fait subalterne et à la suite de la raison. Quant à une religion
nouvelle
, il ne la croit impossible toutefois que par deux
ultés du même genre à la naissance et à l’adoption possible d’une foi
nouvelle
. Les objections de M. Jouffroy sont vagues et sur
lignes de cet article : « Comme un pasteur solitaire, etc. » dans une
nouvelle
étude, qu’il écrivit sur Jouffroy en 1831 (Portra
ble, que l’âme infiniment sensible de Pétrarque parvient à une vision
nouvelle
de l’univers. Il est encore en partie tourné vers
ur des vérités éternelles ; il n’est pas une synthèse, il est une foi
nouvelle
; il est divinateur, essentiellement lyrique. — L
ans la découverte de textes oubliés que dans une interprétation toute
nouvelle
des textes et des faits déjà connus. Pour reconst
trarque, marchait à la Renaissance, et se préparait par là une gloire
nouvelle
et des raisons nouvelles de servitude. Cela deman
e être encore indécis, sans y voir toutefois de grosse difficulté. La
nouvelle
, je l’ai déjà dit, est une vision toute particuli
s contradictoires : le fonds individuel, la tradition populaire de la
nouvelle
, le lyrisme venu de Pétrarque, l’influence de Dan
les plus connus. — A cet épanouissement merveilleux d’une conception
nouvelle
de la vie (individuelle et sociale) devait succéd
ément cette période de transition et de contradictions intimes. L’ère
nouvelle
débute, une fois de plus, par une période de lyri
ne province, comme Porta, Belli et Brofferio, c’est toujours l’Italie
nouvelle
qui palpite en eux ; et ce cri de douleur et d’es
(février 1861) et surtout avec la prise de Rome, commence une période
nouvelle
, de travail positif quoique fort difficile et sou
isation aura formulé son principe nouveau, qu’elle commencera une ère
nouvelle
, l’Italie entrera à son tour et définitivement da
L’architecture
nouvelle
Je vois bien peu d’esprits prêts à admettre que
pleurs, nulles colères n’en pourront reculer la date. Une esthétique
nouvelle
rejaillira de ces flots purificateurs qui renferm
ommes contraints de reconnaître que l’œuvre n’est pas essentiellement
nouvelle
, qu’elle ne répond pas à notre conception de l’ar
es autres arts, qu’un sentiment nouveau a déjà orientés dans une voie
nouvelle
. Réduite à la copie des styles traditionnels, à l
la révolution décisive, d’avoir créé, sans conteste, une architecture
nouvelle
. Le bataillon de ses collègues peut perpétuer en
s banal, il y a un abîme ; il s’agit en effet d’une œuvre entièrement
nouvelle
. Vous reconnaissez en même temps de quel frappant
écédentes, possédant son originalité propre, sortie d’une inspiration
nouvelle
, révélant une forme de beauté qu’il nous était im
surannée, la création d’un style, le point de départ d’une conception
nouvelle
. Si je ne craignais d’employer ici un langage pu
ous suffise d’avoir noté notre impression personnelle et franche. La
nouvelle
Maison du Peuple de Bruxelles, qu’achève en ce mo
Œuvres complètes de Shakespeare, traduction de François Guizot,
nouvelle
édition entièrement revue, avec une étude sur Sha
Œuvres complètes de Shakespeare, traduction de François Guizot,
nouvelle
édition entièrement revue, avec une étude sur Sha
ants de la chapelle de Saint-Paul, qui reprirent alors avec une vogue
nouvelle
leurs représentations interrompues depuis 1591. A
et dans notre siècle, n’a-t-on pas continué à appeler « poëtes de la
nouvelle
école » ceux qui étaient déjà passés au rang de m
Œuvres complètes de Shakespeare, traduction de François Guizot,
nouvelle
édition entièrement revue, avec une étude sur Sha
pête ; il paraît cependant assez certain qu’il l’a emprunté à quelque
nouvelle
italienne que jusqu’à présent on n’a pu parvenir
Œuvres complètes de Shakespeare, traduction de François Guizot,
nouvelle
édition entièrement revue, avec une étude sur Sha
Œuvres complètes de Shakespeare, traduction de François Guizot,
nouvelle
édition entièrement revue, avec une étude sur Sha
Œuvres complètes de Shakespeare, traduction de François Guizot,
nouvelle
édition entièrement revue, avec une étude sur Sha
Œuvres complètes de Shakespeare, traduction de François Guizot,
nouvelle
édition entièrement revue, avec une étude sur Sha
Œuvres complètes de Shakespeare, traduction de François Guizot,
nouvelle
édition entièrement revue, avec une étude sur Sha
ntiquité. Mais il a su enrichir l’idée du poëte latin par l’apparence
nouvelle
qu’il lui donne et les incidents qu’il a multipli
Œuvres complètes de Shakespeare, traduction de François Guizot,
nouvelle
édition entièrement revue, avec une étude sur Sha
res tragiques que Belleforest a empruntées à Bandello qu’on trouve la
nouvelle
qui a évidemment fourni à Shakespeare l’idée de B
féré de Fénicia, et obtint l’agrément de Léonato pour l’épouser. « La
nouvelle
en vint aux oreilles d’un jeune gentilhomme appel
garder plus longtemps le secret » ; tel est l’extrait succinct de la
nouvelle
du prolixe Bandello. On verra quel intérêt dramat
Œuvres complètes de Shakespeare, traduction de François Guizot,
nouvelle
édition entièrement revue, avec une étude sur Sha
tif à ouïr ce qu’il voudroit dire, à cause que c’étoit une chose bien
nouvelle
et bien estrange que de le veoir en chaire. À la
Œuvres complètes de Shakespeare, traduction de François Guizot,
nouvelle
édition entièrement revue, avec une étude sur Sha
t à Erte toujours plus éprise, et apprit avec la plus vive douleur la
nouvelle
inclination de son amant. Ambrogio fut obligé de
r et accorde aussi Catella au fils d’Ambrogio. Shakspeare a mis cette
nouvelle
sur la scène avec sa négligence ordinaire, car le
que celui de la Nicuola de Bandello. En général, les événements de la
nouvelle
sont conduits avec beaucoup plus d’art que ceux d
Œuvres complètes de Shakespeare, traduction de François Guizot,
nouvelle
édition entièrement revue, avec une étude sur Sha
cette idée se fortifie quand on lit, dans la Diane de Montemayor, la
nouvelle
où le poëte a sans doute puisé sa comédie : soit
elle ne peut supporter la vie et meurt de douleur. Don Félix, à cette
nouvelle
, part sans dire à personne où il va, et la fidèle
Œuvres complètes de Shakespeare, traduction de François Guizot,
nouvelle
édition entièrement revue, avec une étude sur Sha
e, sans doute très-populaire à Vérone, avait déjà fait le sujet d’une
nouvelle
, composée par Luigi da Porto, et publiée à Venise
x ans après la mort de l’auteur, sous le titre de la Giulietta. Cette
nouvelle
, réimprimée, traduite, imitée dans plusieurs lang
ion est complète. Juliette, dans le poëme de Brooke ainsi que dans la
nouvelle
de Luigi da Porto, se tue avec le poignard de Rom
mme dans l’histoire, avant le réveil de Juliette, tandis que, dans la
nouvelle
de Luigi da Porto, il ne meurt qu’après l’avoir v
uation très pathétique, et on en a conclu qu’il ne connaissait pas la
nouvelle
italienne, bien que traduite en anglais. Cependan
lusieurs : d’abord, pour s’être écarté en un point si important de la
nouvelle
de Luigi da Porto, qu’il a suivie scrupuleusement
a refait cette scène du tombeau d’après la supposition adoptée par la
nouvelle
de Luigi da Porto ; la scène est touchante, mais,
Œuvres complètes de Shakespeare, traduction de François Guizot,
nouvelle
édition entièrement revue, avec une étude sur Sha
Œuvres complètes de Shakespeare, traduction de François Guizot,
nouvelle
édition entièrement revue, avec une étude sur Sha
nements que Shakspeare a transportés sur la scène en leur donnant une
nouvelle
vie, par ce charme de sensibilité et cette verve
Œuvres complètes de Shakespeare, traduction de François Guizot,
nouvelle
édition entièrement revue, avec une étude sur Sha
me pas fait l’honneur à Whestone de profiter de son travail ; car une
nouvelle
de Geraldi Cinthio contient à peu près tous les é
dée première pour construire sa fable et la mettre en action. Dans la
nouvelle
de Cinthio, et dans la pièce de Whestone, le juge
Œuvres complètes de Shakespeare, traduction de François Guizot,
nouvelle
édition entièrement revue, avec une étude sur Sha
dans la tragédie de Shakspeare, un détail qui ne se retrouve dans la
nouvelle
de Cinthio : le mouchoir de Desdémona, ce mouchoi
storique qu’il avait recueillie. Le dénouement seul diffère ; dans la
nouvelle
, le More et l’enseigne assomment ensemble Desdémo
c’est là ce que Shakspeare possédait seul ; et c’est avec quoi, d’une
nouvelle
oubliée, il a fait Othello. Tout subsiste en effe
ur lui, que le théâtre sur lequel il leur ordonne de monter. Comme la
nouvelle
de Giraldi Cinthio, entre les mains de Shakspeare
l’année 1611. Quelques critiques doutent que Shakspeare ait connu la
nouvelle
même de Giraldi Cinthio, et supposent qu’il n’a e
Œuvres complètes de Shakespeare, traduction de François Guizot,
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ble sincérité. La fable romanesque de cette pièce fut puisée dans une
nouvelle
pastorale de Lodge qui était sans doute bien conn
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le de beautés dont Shakspeare seul est capable. C’est encore dans une
nouvelle
romanesque, Dorastus et Faunia, attribuée à Rober
iver ; à moins que, comme quelques critiques, on ne préfère croire la
nouvelle
postérieure à la pièce, ce qui est moins probable
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a refait cette tragédie avec des changements. Il a donné au fond une
nouvelle
forme ; il a omis quelques personnages, et ajouté
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otes, Paris, Didier, 1862, tome V, p. 127-128. Source : Gallica. Une
nouvelle
du Décaméron de Boccace et une chronique d’Holins
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mprobable l’anecdote rapportée sur ce pape par Grégoire Léti. Dans la
nouvelle
de ser Giovanni, la dame de Belmont n’est point u
a découragé les plus vifs aspirants. Le seul Gianetto (c’est dans la
nouvelle
le nom du jeune Vénitien) s’est obstiné, et après
es, sous le titre du Juif de Venise. On l’a joué longtemps sous cette
nouvelle
forme. Notice sur Les Joyeuses Bourgeoises de
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, un an après celui de Vénus et Adonis; il eut encore plus de succès.
Nouvelle
preuve du goût du temps. Déjà plusieurs auteurs d
par sa nature et par sa vie, un être qui paraît surgir comme une tige
nouvelle
du sein d’une terre vierge. Découverte étrange et
us humble, la plus diverse, pour l’avoir comme imprégnée d’une saveur
nouvelle
, tout en poursuivant, par-delà les formes actuell
eur et de santé, marque d’une lueur éclatante l’aurore d’une vitalité
nouvelle
, le germe d’une pensée prenant conscience d’elle-
trois nous ont énergiquement montré la voie du nouveau monde et de la
nouvelle
vie. Voilà comment ils ont « compris » la nature
extes où nous allons trouver des traces plus précises encore de cette
nouvelle
conception. Mon premier texte n’appartient pas à
C’est un large pas. C’est un signe, n’est-il pas vrai ? d’une vigueur
nouvelle
, quand les extrémités deviennent actives, quand l
uilibre social, par un des esprits les plus perçants de la génération
nouvelle
. Nous touchons au problème de l’« autorité » qui
ifiques paroles qu’il prononça lors de l’inauguration de l’Université
Nouvelle
; je n’en connais pas de plus énergiques, de plus
t de là, on peut prévoir ce que sera l’art de demain à travers la foi
nouvelle
qui, refermant le ciel sur un absolu décevant, le
ond de nos êtres comme au fond de chaque vie terrestre, voilà bien la
nouvelle
conception religieuse. Il n’y a aucun orgueil dan
e ne sont-ils pas la conséquence directe, positive, inéluctable d’une
nouvelle
conception de la vie et d’une nouvelle conception
e, positive, inéluctable d’une nouvelle conception de la vie et d’une
nouvelle
conception de la nature ? Nous sentons clairement
ut ce que nous venons de voir successivement exposé, se résume en une
nouvelle
expression du sentiment du lien entre toutes les
rtiennent tous, quoique d’âge et de renom différents, à la génération
nouvelle
. M. G.-D. Roberts est aux États-Unis parmi les qu
Une
nouvelle
École 13 septembre 1891. Le besoin se faisant
uvelle École 13 septembre 1891. Le besoin se faisant sentir d’une
nouvelle
École, l’École Romanitas va se former, qui affirm
me et de tant de choses surprenantes, est le fondateur de cette École
nouvelle
. M. Jean Moréas a dit à un de nos amis que les sy
» Échos 14 septembre 1891. M. Jean Moréas, le fondateur de la
nouvelle
École dont nous annoncions hier l’apparition, adr
énéral du tragique. — II. Aristophane et la poésie. — III. La comédie
nouvelle
et la prose. — Plaute et Térence. — IV. Molière.
et son école ont élevé à la perfection. Si l’on entend par là que la
nouvelle
comédie est plus régulière que l’ancienne, plus c
e qui donne la mesure de l’art véritable et de la poésie ? La comédie
nouvelle
est moins comique et moins poétique que l’ancienn
e essentiellement l’ancienne comédie de la nouvelle20. Quoi donc ! la
nouvelle
comédie est-elle sans gaieté et sans invention ?
rigues du théâtre espagnol. Mais voici la différence. Dans la comédie
nouvelle
, au milieu même de la gaieté, la forme de la comp
l’auteur. L’imagination, de son côté, est toujours soumise, dans la
nouvelle
comédie, aux lois de la vraisemblance théâtrale.
poésie. De même la peinture des mœurs contemporaines dans la comédie
nouvelle
, n’est qu’un élément romain, français, anglais ou
rend jamais son but au sérieux à la manière des auteurs de la comédie
nouvelle
, parce que la gaieté, qui, à vrai dire, est son s
la comédie moyenne, Ménandre, dont les ouvrages sont perdus, créa la
nouvelle
comédie, et la porta d’abord à son plus haut poin
vieil idéal comique disparu ; il faut juger les poètes de la comédie
nouvelle
d’après un idéal nouveau. Mais il ne serait pas m
ier le droit de mettre Aristophane au-dessus des poêles de la comédie
nouvelle
, puisqu’il a réalisé avec autant de génie que le
ion profonde que subit la comédie en passant de l’ancienne forme à la
nouvelle
. L’esprit d’Aristophane inspirait Shakespeare, in
ivre dans les formes nouvelles qu’a faites une autre civilisation. La
nouvelle
comédie n’est pas, comme l’ancienne, purement com
ère de comédie37. » La vérité est que toutes les œuvres de la comédie
nouvelle
sont poétiques et prosaïques à la fois : poétique
ut pratique, indépendance relative sans doute (car quelle pièce de la
nouvelle
comédie a jamais pu renoncer absolument à corrige
sa fortune41. L’ancienne comédie faisait des caricatures, la comédie
nouvelle
fait des portraits. Mais les caricatures grotesqu
arre apostrophe d’un critique43 enthousiaste est l’aveu formel que la
nouvelle
comédie n’est point poétique. Revenons au Bourgeo
ns les yeux sur les œuvres les plus vantées, versifiées ou non, de la
nouvelle
comédie, quel prosaïsme partout ! Prosaïques par
t la bigarrure poétique et prosaïque, gaie et sérieuse, de la comédie
nouvelle
. Ainsi composée, elle se divise en autant de genr
mêlée de sérieux, de la comédie mi-tragique, en un mot de la comédie
nouvelle
. Celle-ci ne peut guère se passer ni d’intrigue,
dé jusqu’à aujourd’hui le premier rang parmi les poètes de la comédie
nouvelle
et même de toute la littérature comique. Ce favor
représenter un individu. Schlegel oppose aux portraits de la comédie
nouvelle
les caricatures de l’ancienne. — Septième leçon.
n vers l’utile. Ce dernier poète était en effet l’avant-coureur de la
nouvelle
comédie. — Septième leçon. 36. Les pièces fin
Patin. 38. Le principe poétique domine dans la forme de la comédie
nouvelle
; l’élément prosaïque est dans le fond, dans le s
pas neuve ; peu de temps avant Molière, Scarron avait emprunté d’une
nouvelle
espagnole le fond d’un petit conte sur le même su
vais raison autrefois et ce qui se passe maintenant en est une preuve
nouvelle
. Prenons par exemple l’expérience calorimétrique
s que les expérimentateurs futurs pourraient accumuler. Cette énergie
nouvelle
et inconnue pourra servir à tout. C’est bien ce q
ant qu’on met à notre disposition cette provision indéfinie d’énergie
nouvelle
, nous ne sommes plus limités par rien ; et, comme
arapace trop étroite et s’en fait une plus jeune ; sous son enveloppe
nouvelle
, on reconnaîtra aisément les traits essentiels de
tistique. Peut-être aussi devrons-nous construire toute une mécanique
nouvelle
que nous ne faisons qu’entrevoir, où, l’inertie c
ndes, de sorte qu’on retrouverait encore l’ancienne dynamique sous la
nouvelle
. Nous n’aurions pas à regretter d’avoir cru aux p
ir les forts d’aujourd’hui et déjà l’on peut redouter que cette force
nouvelle
, devenue tyrannique, ne détermine une forme nouve
que cette force nouvelle, devenue tyrannique, ne détermine une forme
nouvelle
de l’oppression et ne supprime la liberté individ
contraintes majeures, composèrent avec le protestantisme une religion
nouvelle
: celle-ci plus proche du christianisme des origi
ns. De fait il semble que, sous couleur d’anticléricalisme, une forme
nouvelle
de la moralité, cette religion humanitaire qui fu
us son déguisement religieux et philosophique, et coloré d’une nuance
nouvelle
, une attitude combative, d’attaque et de défense,
d’ailleurs que ces nouveau-venus n’aient été attirés, dans la patrie
nouvelle
qu’ils ont choisie, par des considérations d’inté
l’influence d’un besoin plus complexe, s’est enrichie d’une inflexion
nouvelle
et est devenue ici l’idée cosmopolite. Il apparaî
nce ancienne s’efface et disparaisse, on constate que la collectivité
nouvelle
, qui a dépouillé cette croyance, continue pourtan
u domestique et touchait le feu sacré. Le mariage était pour elle une
nouvelle
naissance, elle devenait la fille de son mari, fi
lesse apparente, cette croyance entre encore en lutte avec la réalité
nouvelle
et les besoins nouveaux qu’elle contrarie. Elle c
peu à peu, par de lentes et sournoises modifications, qu’une croyance
nouvelle
parvient à s’exprimer et à organiser à son profit
xercer son autorité dans l’idée abstraite et dans la loi. La croyance
nouvelle
tendait à fonder le droit successoral sur la pare
reconnaissait déjà l’importance jusque-là sacrifiée. Substituant une
nouvelle
évaluation à l’ancienne, elle allait bientôt décr
rent : elles furent précisément la lutte entre une attitude d’utilité
nouvelle
, exprimant des besoins immédiats, et la croyance
e cette première époque et commence la seconde. Le caractère de cette
nouvelle
période de l’histoire de l’Allemagne est d’être p
onvenait plus à l’esprit général, ne la remplacèrent par aucune forme
nouvelle
ferme et durable. De là l’anarchie qui dura long-
s conséquences rigoureuses des principes de Descartes. La philosophie
nouvelle
gagna aussi l’Allemagne, et elle fut enseignée et
losophie leibnitzienne. Ceux qui vinrent après lui continuèrent cette
nouvelle
scholastique, et c’est un fait incontestable qu’a
ns ; et l’ancienne théologie recula devant l’esprit de la philosophie
nouvelle
. Ainsi donc, nulle loi, nulle liberté, nulle poés
t le monde apprit par cœur. Or, quel fut le caractère de cette poésie
nouvelle
? Avec le sentiment patriotique reparut l’esprit
s mis à contribution et comme recomposés pour servir à une exposition
nouvelle
; je veux faire connaître cette philosophie plus
que quelques penseurs laborieux et indépendans, après avoir étudié la
nouvelle
doctrine, attirassent sur elle l’attention en l’e
hose, que l’ancienne métaphysique était morte et qu’il en fallait une
nouvelle
. Il fut un temps, dit Kant, où la métaphysique pa
prétendue expérience était elle-même remplie d’hypothèses, et que la
nouvelle
autorité n’était rien moins qu’un dogmatisme tout
e le prélude d’une transformation prochaine et l’aurore d’une lumière
nouvelle
. Cette indifférence, qui désespère au premier cou
losophie des écoles ; il ne le serait peut-être pas à une philosophie
nouvelle
qui s’établirait sur le fondement de la critique.
qui s’établirait sur le fondement de la critique. Pour établir cette
nouvelle
philosophie, pour arriver à cette nouvelle certit
itique. Pour établir cette nouvelle philosophie, pour arriver à cette
nouvelle
certitude, Kant passe en revue les sciences les p
de l’immortalité que donnait l’ancienne métaphysique, et ceux que la
nouvelle
mettra à leur place ; il soutient que la critique
endue, ni celle d’étendue sans celle de corps, vous n’énoncez pas une
nouvelle
connaissance, vous ne faites que développer celle
ême connaissance sous deux formes distinctes, mais nous exprimons une
nouvelle
connaissance, nous ajoutons à la notion du sujet
à acquise, mais qu’ils ajoutent à cette connaissance une connaissance
nouvelle
, Kant appelle les jugemens synthétiques jugemense
ns pas du même au même, et qu’il s’agit bien pour nous d’acquérir une
nouvelle
connaissance. Pourquoi donc a-t-on regardé les pr
plus ? Tels sont les doutes que nous éprouvions en relisant dans une
nouvelle
édition améliorée cette œuvre sérieuse et forte,
éelle ce qu’elle ôte de forces capricieuses et factices ». Dans cette
nouvelle
théorie, la raison se resserre peu à peu ; elle s
et ne se confond pas avec elle. Il y a plus : parmi les règles de la
nouvelle
discipline cartésienne, quelle est la première ?
me chose que la discipline : il peut très-bien y avoir une discipline
nouvelle
, sans relation avec le passé ; elle n’aurait pas
gitifs, rapides, concis et obscurs, que l’apôtre enflammé d’une secte
nouvelle
envoyait alors à ses frères dispersés ; en un mot
es des prodiges de folie. Et cependant n’y avait-il pas là une source
nouvelle
de sagesse, une source de vie, un flot d’idées, d
ependant cette raison individuelle est devenue la source d’une raison
nouvelle
, la raison chrétienne, et c’est la folie de saint
e, d’admettre un seul instant un silence séculaire ; au contraire, la
nouvelle
religion, le nouvel état politique et social deva
e religion, le nouvel état politique et social devaient provoquer une
nouvelle
poésie. De quelle forme et de quelle nature ? Que
gines épiques, qu’à supposer de véritables poèmes ; il y a à cela une
nouvelle
difficulté. On s’explique que la poésie lyrique s
ur les mœurs, l’état d’esprit de ces commencements de la civilisation
nouvelle
. Les faits que nous connaissons de l’histoire pol
ivité du bonheur ; surtout, nous méconnaissons la puissance de la foi
nouvelle
, qui n’est plus la nôtre, mais qui fut en son tem
, et s’ils meurent, c’est d’épuisement, de mort naturelle. Une France
nouvelle
a surgi, le lyrisme a remplacé le drame. Dans l’a
érente ; la Réforme se prépare ; et François Ier inaugure une royauté
nouvelle
. II. — Ère de la royauté absolue : de 1520 à
téraire, telle que je la rêve, dirait toutes les nuances de cette foi
nouvelle
, d’où la nature et l’amour, les hommes et les die
riptifs » (Lanson). Comme aux périodes précédentes, je mets à part la
nouvelle
(Heptaméron, etc.). Une étude psychologique et es
elle (Heptaméron, etc.). Une étude psychologique et esthétique sur la
nouvelle
est nécessaire, pour y faire la part du drame, de
de l’époque ? Nous préférons aujourd’hui la brièveté du drame, de la
nouvelle
; n’oublions pas la relativité des goûts, et que
science qui demande à toucher, comme Thomas, on y découvre une beauté
nouvelle
, et l’on revoit le poète, penché sur l’œuvre aimé
dualités, dont chacune offre un problème à reprendre avec une méthode
nouvelle
. En dehors d’elles, rien, absolument rien, si ce
par exemple : le moule rigide étouffant l’esprit (épopée) ; la forme
nouvelle
et vivante (roman) ; la forme vidée (lyrisme) ; l
st le véhicule d’une thèse ; ainsi les Contes de Voltaire, et même La
Nouvelle
Héloïse où pourtant le souffle lyrique est déjà s
man de la société humaine ; romans ? mieux vaudrait dire : poèmes. La
Nouvelle
Héloïse et Les Confessions sont aussi des poèmes.
s nous a privés d’autres chefs-d’œuvre ; et c’est ici, sous une forme
nouvelle
, un exemple à ajouter à ceux de Molière et de Rac
maîtres, va continuer dans la période suivante, avec une orientation
nouvelle
. Aux épopées de Victor Hugo, déjà mentionnées, s’
ils ne compromettent plus l’harmonie de l’ensemble ; dans une période
nouvelle
nous assistons à l’évolution décisive et triompha
rd parfait avec l’esprit épique de l’époque. Toutefois, dès 1880, une
nouvelle
évolution se dessine, toujours en accord avec les
ranchis par le symbolisme et libérés de lui, une première lueur de la
nouvelle
aurore26. Chez ceux-là (et je citerais en particu
ome avait civilisé le monde ; le christianisme avait apporté la bonne
nouvelle
de la solidarité humaine devant un seul et même D
eu ; les Germains avaient donné la force de leur jeunesse ; une forme
nouvelle
de l’humanité devait en résulter à travers mille
que, surmontant la crise actuelle, elle entrera bientôt dans une ère
nouvelle
. J’ai déjà dit en passant, et nous redirons bient
t de la discipline. De cette angoisse même naîtra quelque part la foi
nouvelle
, dont elle refera un monde. Ainsi s’expliquent ce
que l’effort continue ! A supposer un seul instant qu’au cours d’une
nouvelle
invasion de barbares un autre peuple vienne un jo
e Bertin devait, un jour ou l’autre, aborder celle-ci. Artiste, cette
nouvelle
forme en crédit autour d’elle avait de quoi la te
les uns, le rêve et l’étude calme pour les autres. Vers 1828, l’école
nouvelle
perçait avec vivacité, avec ensemble ; la politiq
ique vint à la traverse. Le ministère Polignac ajourna la littérature
nouvelle
, et, renvoyant les rêveurs à leur rêve, ramena le
chicanes153, de faire dans ces vers double part, celle de la manière
nouvelle
et celle de l’ancienne la nouvelle ainsi porte le
s double part, celle de la manière nouvelle et celle de l’ancienne la
nouvelle
ainsi porte le mauvais lot. Tous les vers de ce v
is lot. Tous les vers de ce volume me semblent tenir de cette manière
nouvelle
; seulement, les uns ont mieux réussi. Avec les a
le d’en repasser d’un coup d’œil toute la carrière. Dès 1819, l’école
nouvelle
en poésie éclôt et s’essaye ; de grands noms se d
, à son tour, de ces grands contemporains, Goëthe, Byron. Une branche
nouvelle
et toute fleurie s’est ajoutée à notre vieil arbr
ls, au moins avec plus d’ensemble, ce qu’il eut à dire sur la formule
nouvelle
de la poésie française ; et l’auteur admet que ce
e colore d’une lumière propre si belle à nous-mêmes qu’elle en paraît
nouvelle
, s’habitue à un certain nombre de cadences et que
nt que ces poètes restent techniquement stationnaires, une génération
nouvelle
se lève, parmi laquelle plusieurs poètes sentent
enne métrique devait n’être plus qu’un cas particulier d’une métrique
nouvelle
, l’englobant et la dépassant, et se privant des f
ur (minorité que nous aimions nous figurer une élite), la littérature
nouvelle
commençait à Goncourt, égrégé du naturalisme, pas
ellectuel. — Ceci dit pour établir la légitimité d’un effort vers une
nouvelle
forme de poésie. Comment cet effort fut-il conçu
re aux divisions empiriques du vers. L’importance de cette technique
nouvelle
, en dehors de la mise en valeur d’harmonies forcé
e possède sa valeur et la conserve en tant que cas particulier, de la
nouvelle
comme celle-ci est destinée à n’être plus tard qu
ncienne poésie différait de la prose par une certaine ordonnance ; la
nouvelle
voudrait s’en différencier par la musique, il se
l’appui de ses principes, étant empruntées à l’antiquité, la Science
nouvelle
ne mériterait pas le nom d’histoire éternelle de
tique, ancien et moderne, considéré relativement au but de la Science
nouvelle
. (Âge humain.) — Rome, n’étant arrêtée par aucun
démocratie à la monarchie. — Conformément aux principes de la Science
nouvelle
, on trouve aujourd’hui dans le monde beaucoup de
re qu’il n’était, mais il ne réussissait pas à réaliser la conception
nouvelle
qu’il s’était formée de lui-même. Il faut l’avoue
il se forme de lui-même. Mais par-delà la restriction apportée par la
nouvelle
formule, l’esprit continua de percevoir comme élé
ction de la loi du devenir et qu’il échappe à tout Bovarysme. L’œuvre
nouvelle
qu’il met au monde procède du mode des germinatio
autre en dehors de tout dessein prémédité. Mais pour que cette forme
nouvelle
ne demeure pas le privilège d’une seule intellige
grand nombre d’esprits aimantés vers le sommet où s’ouvre cette fleur
nouvelle
se haussent au-dessus d’eux-mêmes et se modifient
e àse concevoir autre qu’il n’est, dans la mesure où cette conception
nouvelle
est assez proche de l’ancienne pour pouvoir s’y a
e voici : il doit comporter un pouvoir de réalisation ; la conception
nouvelle
qu’il réalise se doit pouvoir ajouter à l’ancienn
e exubérante, qu’aucune discipline n’a jusque-là fait plier, la règle
nouvelle
fléchit sur quelques points où s’inscrivent les r
la déclamation théatrale, et sur la difference qu’il y avoit entre la
nouvelle
maniere de réciter, et l’ancienne. Autrefois, dit
Ainsi leur déclamation précipitée a paru une maniere de réciter toute
nouvelle
. Enfin il est devenu necessaire que le joüeur d’i
ctateurs qui n’auroient jamais vû joüer que des comédiens anglois. La
nouvelle
maniere de réciter aura donc paru fort extraordin
z de la prononciation des étrangers. Voilà ce que Ciceron appelle une
nouvelle
mode venuë d’ailleurs. Jugeons, fait dire cet aut
de plaider environ trente ans après la mort de Ciceron, appelloit la
nouvelle
mode de déclamer la perte de l’éloquence. artific
s, parce qu’on en abuse. Ainsi le public s’est si bien accoutumé à la
nouvelle
danse de théatre, qu’il trouveroit fade aujourd’h
âme en une longue harmonie de regrets. Que l’on observe combien cette
nouvelle
intrigue a été pressentie des jeunes romanciers.
ut subjuguer l’autre en un aveu, d’autres œuvres encore affirment une
nouvelle
manière d’envisager les relations passionnelles q
les ; il a évolué, de tapageur et théâtral qu’il était au début de la
nouvelle
période, à une phase plus calme et plus fière qui
-homme commentant certaines pages de Darwin, sont la préface de cette
nouvelle
tendance. Il nous paraît intéressant de la signal
opositions que nous avons présentées comme les éléments de la Science
nouvelle
, peuvent donner forme aux matériaux préparés dans
e de toutes, nous ôte l’espoir de trouver les principes de la Science
nouvelle
dans les écrits des philologues ; la vanité des s
elles et universelles pour les trois premiers principes de la science
nouvelle
. I Qu’on n’oppose point au premier de nos pr
ta, pour les peuples de la Virginie par Thomas Aviot, pour ceux de la
nouvelle
Angleterre par Richard Waitborn ; pour ceux de la
ues au reste, ces interprétations diverses d’un passé que la doctrine
nouvelle
embrasse et domine, ne sont, sous la plume du jeu
er lui-même, avec ce qu’il doit continuer de sentir au sein de la vie
nouvelle
où il est déjà entré. « Eugène, est-il dit dans
eligieux dans les sentiments de famille avec la dévotion à l’humanité
nouvelle
révélée par Saint-Simon. Dieu, qui voulut si jeun
le naissante vint faire briller sur sa tombe l’éclat de la révélation
nouvelle
. Tel fut Eugène ; il mérita d’être compté au nom
ore la société des nations qui doit sortir seulement de la révélation
nouvelle
; il fut la société des individus. L’institution
ie active, qui, sans pouvoir montrer en lui aucune propriété vraiment
nouvelle
, manifeste, d’une manière beaucoup plus complète
en restait pas moins finalement inévitable, même avant le temps où la
nouvelle
philosophie serait devenue assez générale pour pr
pressentir combien une pareille appréciation doit s’étendre, avec une
nouvelle
énergie philosophique, à toutes les autres partie
ici que toutes ces diverses significations conviennent également à la
nouvelle
philosophie générale, dont elles indiquent altern
éclectisme. C’est, au contraire, en vertu de son génie relatif que la
nouvelle
philosophie peut toujours apprécier la valeur pro
t, à vrai dire, bien plus précieuses comme matériaux ultérieurs d’une
nouvelle
, philosophie générale que par leur valeur directe
idarité continue des idées d’ordre avec les idées de progrès. Pour la
nouvelle
philosophie, l’ordre constitue sans cesse la cond
nos divers efforts théoriques. Sous l’aspect le plus systématique, la
nouvelle
philosophie assigne directement, pour destination
ci pour signaler sommairement la haute efficacité sociale propre à la
nouvelle
philosophie générale. Sa valeur, à cet égard, dép
source nécessaire de l’actif ascendant social réservé finalement à la
nouvelle
philosophie. Car, on peut assurer aujourd’hui que
s la compression mentale en condition permanente de l’ordre moral. La
nouvelle
philosophie peut seule » établir aujourd’hui, au
rtient un tel caractère, du moins chez notre espèce. L’ensemble de la
nouvelle
philosophie tendra toujours à faire ressortir, au
tification pourra devenir d’autant plus intime et mieux sentie que la
nouvelle
philosophie assigne nécessairement aux deux sorte
’ensemble des indications précédentes, la supériorité spontanée de la
nouvelle
philosophie sur chacune de celles qui se disputen
re fondamental, par les seules voies qui puissent le surmonter, cette
nouvelle
école a besoin, avant tout, du maintien continu d
, et les populations à tout grave bouleversement des institutions, la
nouvelle
philosophie n’a plus à demander, de part et d’aut
ns incontestables semblent d’abord ne devoir aujourd’hui laisser à la
nouvelle
philosophie d’autres obstacles essentiels que ceu
, par une fatalité aisément explicable, c’est de ceux-là mêmes que la
nouvelle
école doit peut-être attendre le moins d’assistan
, comme je l’ai soigneusement démontré dans l’ouvrage cité. Ainsi, la
nouvelle
philosophie, qui exige directement l’esprit d’ens
vulgarisation des connaissances réelles : le public rendra ainsi à la
nouvelle
école un plein équivalent des services que cette
ruction chrétienne. Il importe donc beaucoup que, dès son origine, la
nouvelle
école philosophique développe, autant que possibl
doit ainsi spécialement instituer aujourd’hui avec les prolétaires la
nouvelle
école philosophique, sans toutefois que son ensei
ultent de sa situation caractéristique, à accueillir favorablement la
nouvelle
philosophie, qui finalement doit trouver là son p
n’a pu exister jusqu’ici une politique spécialement populaire, et la
nouvelle
philosophie peut seule la constituer. Depuis le c
évidemment, le caractère spontané de la doctrine sociale propre à la
nouvelle
école philosophique ; nos explications antérieure
lle voit aujourd’hui le principal obstacle à l’avènement social de la
nouvelle
philosophie. Sous cet aspect, ainsi qu’à tout aut
ù il résulte et la loi fondamentale d’évolution qui sert de base à la
nouvelle
philosophie générale. Un tel ordre doit, par sa n
inaison spontanée constitue nécessairement la base systématique de la
nouvelle
philosophie générale. La terminaison de ce long D
enue chez tous à une vraie positivité, devra marcher ensuite sous une
nouvelle
impulsion philosophique, directement émanée de la
Mill, ainsi pleinement associé désormais à la fondation directe de la
nouvelle
philosophie. Les sept derniers chapitres du tome
er Noire, soit les formidables invasions en Turquie et en Pologne. La
nouvelle
dont il s’agit débute d’une manière très-original
figure dans les rangs des seigneurs polonais, sa stupéfaction à cette
nouvelle
, ses questions réitérées, toujours les mêmes, tou
éveiller tout à coup par le hourra du Cosaque, pour rallumer avec une
nouvelle
puissance le courage dans leur âme. C’est une qua
e. On dirait que l’auteur a eu sous les yeux, dans cette partie de sa
nouvelle
, des chants populaires dont il a voulu faire usag
es funèbres d’Ostap ! » On comprend mieux, après la lecture de cette
nouvelle
, les inimitiés profondes de religion et de nation
de nos jours par des scènes dignes du siècle de Tarass. Cette simple
nouvelle
de M. Gogol, en ne faisant que peindre un coin du
d’agir qui ne s’est pas encore produite. Elle est une systématisation
nouvelle
d’un certain nombre d’éléments psychiques. Par el
e manger chez n’importe quel homme. Souvent, il est vrai, la tendance
nouvelle
est créée et simultanément mise en lumière sous l
nouvel élément offert par l’occasion. Il s’agit en somme, ici, d’une
nouvelle
satisfaction particulière d’un besoin général, no
’expérience réussit, un système coordonné qui n’est que l’incarnation
nouvelle
, pour ainsi dire, d’une vieille tendance générale
un système d’idées ou d’une œuvre d’art qui forme en lui une tendance
nouvelle
, expression particulière d’un désir préexistant d
des types distincts, les uns de création proprement dite, de synthèse
nouvelle
et spontanée, les autres caractérisés par la préd
réside en l’éclosion d’une idée synthétique formée par la combinaison
nouvelle
d’éléments existant déjà, au moins en partie, dan
ble de cette combinaison, ou la partie la plus visible de la synthèse
nouvelle
. La création est donc préparée, et ne saurait naî
ans l’idée) d’où l’esprit saura l’abstraire, et détermine la synthèse
nouvelle
, la création intellectuelle. Ces deux éléments, n
ine. Mais l’invention est encore faible et incomplète ; d’une part la
nouvelle
idée a pu être facilitée par les hypothèses antér
réexistants, auxquels l’invention va faire prendre une forme spéciale
nouvelle
sont des tendances générales moins conscientes, d
e l’invention n’en demeure pas moins identique. Toujours une synthèse
nouvelle
se produit, qui élimine certaines parties des élé
pris le parti d’oublier quelque temps pour me livrer tout entier à la
nouvelle
venue. En quelques heures de marche et de réflexi
’affaiblit au point de disparaître peut-être entièrement. La synthèse
nouvelle
apparaît ici, en quelque sorte, comme la résonanc
e couleur, à un son ou à une impression de contact, chaque perception
nouvelle
est en somme une invention de notre esprit faite
bitudes prises, qu’elle fasse pressentir la nécessité de se faire une
nouvelle
opinion. De même une passion qui ne suscite pas u
système incomplet, vienne à se présenter et réalise enfin la synthèse
nouvelle
et systématique qui est la création intellectuell
es communications entre deux esprits rend l’apparition de la synthèse
nouvelle
imitative singulièrement aisée. Elle exige des qu
sans peine et sans trouble. Mais lorsqu’une résolution importante et
nouvelle
vient se proposer à nous, lorsqu’il faut rompre l
rconstances. Les tendances déjà organisées doivent, pour effectuer la
nouvelle
adaptation devenue nécessaire, et satisfaire le d
core inspirés. Souvent ainsi l’on voit naître et grandir une tendance
nouvelle
qui n’arrive pas à déterminer l’acte par lequel e
isi, et il s’est plutôt même, on peut le dire, constitué. La synthèse
nouvelle
des motifs s’est opérée avec les mêmes caractères
ent est parfois évident, il est le fait essentiel, constitutif, de la
nouvelle
idée qui s’organise. Celle-ci se forme peu à peu,
a été en grand. Elles aussi déterminent une orientation plus ou moins
nouvelle
, mais dans une sphère subordonnée et plus restrei
l’espace, en distinguer les diverses phases, etc. Et chaque décision
nouvelle
vient fortifier et développer la première inventi
e développement, c’est que chaque terme de la série, chaque invention
nouvelle
est bien systématisée non seulement avec celle qu
on régulière progressive. En cela encore d’ailleurs) chaque invention
nouvelle
ressemble à la première, qui, elle aussi, est en
es s’ouvrent ou peuvent s’ouvrir devant l’auteur, et chaque fois, une
nouvelle
invention semblable aux précédentes, tout en fixa
e. Malgré tout ce qui reste d’instinctif chez l’homme qui conçoit une
nouvelle
idée, malgré ce qu’il peut y avoir d’un peu nouve
ture. Si le premier présente des combinaisons, une allure quelque peu
nouvelle
, et si le second reproduit à certains égards des
n d’une invention en tant qu’invention, est essentiellement une chose
nouvelle
, non fixée, non organisée d’avance, préparée quel
e, ce qui précède doit nous le faire admettre, une conséquence et une
nouvelle
preuve de l’indépendance relative de l’œuvre par
e, couper cette scène ! la plus saisissante des trois actes ! La plus
nouvelle
! La plus riche en effets pour vous ! — Il ne s’a
econdaire ; tantôt l’œuvre restant à peu près telle quelle, une œuvre
nouvelle
se forme autour d’un de ses éléments, finit par c
moment où l’équilibre se rétablit par la continuation de l’évolution
nouvelle
et l’élimination des premiers éléments qui ne peu
s éléments qui ne peuvent y trouver leur place. C’est cette évolution
nouvelle
qui alors dirige le mouvement général et devient
’orientation du système soit changée mais à ce qu’il prenne une unité
nouvelle
, continuent à leur rester juxtaposés, englobés av
s esprits les plus originaux, qui sont dues à la lutte de l’invention
nouvelle
et des anciennes habitudes que l’éducation, le mi
de trouver dans l’invention : la tendance dominante et sa combinaison
nouvelle
avec un élément qu’elle rencontre. Ici la rencont
nvention comme une déviation de la routine qui produira plus tard une
nouvelle
routine supérieure à la première. L’invention bri
é par elles. Le développement de l’invention nous en donne une preuve
nouvelle
, toutes les inventions qu’il comprend et, pour un
parer, si l’on veut, à une traduction où l’auteur adapte à une langue
nouvelle
, les idées créées par un autre. Encore l’inventio
ations et des aberrations, en même temps qu’elle est une organisation
nouvelle
d’une partie au moins de leurs éléments. Elle peu
nitial par lequel l’esprit prépare, bien ou mal, l’introduction d’une
nouvelle
forme d’harmonie en lui-même et dans le monde, ou
emplacer par la finalité. Elle marque le commencement d’une évolution
nouvelle
ou, dans une évolution commencée, d’un arrêt, d’u
its et de ses dangers, en la considérant un peu de ce point de vue72.
Nouvelle
adaptation à des conditions d’existence déjà anci
école, voulut entrer en lice. Il inventa & tâcha d’accréditer une
nouvelle
orthographe. Il enchérit sur tout ce qu’on avoit
’orthographe, & firent presque sentir la nécessité d’en avoir une
nouvelle
. Il discutèrent la propriété de chaque lettre. Le
x principalement qui la firent valoir, & qui ont mis à la mode la
nouvelle
orthographe. Parmi ceux dont le nom en a le plus
oit jetter au feu les meilleurs livres, comme devenus inutiles par la
nouvelle
orthographe, ils répondirent que, pour remédier à
un coup d’éclat un jeune bachelier, plus ardent encore qu’eux pour la
nouvelle
prononciation. Cet abbé, au mépris des ordres réi
usivement la nôtre, nous cherchons, d’une autre part, une littérature
nouvelle
, qui soit classique aussi, mais classique dans l’
e de choses qui va naître. Remarquons toutefois que cette littérature
nouvelle
doit avoir pour caractère particulier d’être euro
éter ; c’est la pensée elle-même qu’il faut atteindre. Cette critique
nouvelle
, tout en nous dévoilant des merveilles inconnues,
entier de sphère d’idées et de sentiments ; mais il faut que dans la
nouvelle
sphère où il est introduit il y arrive avec les m
te race éclatante des Homérides a cessé de régner sur nous, et qu’une
nouvelle
dynastie va se placer sur le trône de l’imaginati
plus longtemps, les études littéraires doivent prendre une direction
nouvelle
, être assises sur d’autres fondements. Lorsque Ch
ansmettre sont acclimatés dans notre langue ; elle n’a plus de pensée
nouvelle
à nous révéler. Horace et Virgile sont pour nous
tre que la vérité apprise, et ce fut pour lui un enivrement. La force
nouvelle
qui le travaillait, ne le laissa plus en repos qu
claire, inéluctable, impérieuse, toute puissante. C’est ainsi qu’une
nouvelle
conception prit racine dans l’instinct même de l’
quête pour parvenir à la connaissance méthodique et progressive de la
nouvelle
vérité. Il y eut substitution de la Science au Do
eu révélée par son cerveau, telle est la principale conséquence de la
nouvelle
conception. Elle est par sa nature, essentielleme
, et il croit déjà ce qu’elle voudrait croire, comme si une Pentecôte
nouvelle
était attendue et qu’on vit déjà la langue de feu
re, car votre déception serait formidable. Et pour qu’à l’avenir, une
nouvelle
tentation d’en sortir ne vienne interrompre votre
raissez faible à tous ceux que fut assez puissante pour entraîner, la
nouvelle
chanson, celle que vous n’entendez pas ! 101.
nage contemporain. Edmond et Jules de Goncourt. 31 janvier 1855.
Nouvelle
préface de l’Histoire de la société française pen
la première fois dans ces études qui ont aujourd’hui l’honneur d’une
nouvelle
édition : l’Histoire de la société française pend
t l’humanité de 1789 à 1800, — telle a été notre ambition. Pour cette
nouvelle
histoire, il nous a fallu découvrir les nouvelles
orte une trace, un jour, un lambeau, une relique. Là est la curiosité
nouvelle
de l’histoire, et le devoir nouveau de l’historie
lesquels sa vie se passe, de n’appartenir en rien à l’humanité de sa
nouvelle
patrie : c’est exiger de la Nature qu’elle ait fa
s à la justification, à l’intelligence et à l’autorité d’une histoire
nouvelle
. * * * Aux premiers jours où, dans les agrégation
ciale, voilà la dernière expression de cette histoire. Cette histoire
nouvelle
, l’histoire sociale, embrassera toute une société
factums. Mais l’imprimé ne lui suffira pas : il frappera à une source
nouvelle
, il ira aux confessions inédites de l’époque, aux
ors de sa première apparition, que j’ai tâché d’introduire dans cette
nouvelle
édition, m’appliquant à apporter dans la résurrec
par l’art nègre, par le biais des « Opinions sur l’art nègre », de la
nouvelle
africaine de Jean Marville et des photographies d
pas accordé quatre lignes à un individu dada ouvrit ses colonnes à la
nouvelle
association. Les salons mondano-diplomatiques où
arvient à rien sortir d’elle-même se trouve justifiée par la tendance
nouvelle
. Enfin, comme aujourd’hui le problème d’ordre soc
isons de fous. Comme autrefois pour juger toute conception ou théorie
nouvelle
on se demandait tout d’abord si elle était faite
ion : « ici, sois fier, là, sois humble ». Ce fut la découverte d’une
nouvelle
Mesure. Le paganisme ressemblait à une statue de
belles œuvres, dignes de durer. Attente, — Henriette Charassonar , (
Nouvelle
Librairie nationale). — Ce sont là des poèmes en
ntes découvertes de la psychanalyse (Michel Sanouillet, Dada à Paris,
nouvelle
édition revue et corrigée, établie par Anne Sanou
ré Breton, « Les Chants de Maldoror par le comte de Lautréamont », La
Nouvelle
Revue française, juin 1920 et Céline Arnauld, « L
e « en respectant jusqu’aux moindres ornements orthographiques ». La
Nouvelle
Revue française relève en effet les nombreuses fa
ochasson résume ainsi le roman, dont il fait un emblème de la culture
nouvelle
émergeant à partir de 1916 : « Le Sacrifice d’Abr
bc. Gotton Connixloo est l’héroïne de L’Histoire de Gotton Connixlo,
nouvelle
de Camille Mayran, dédiée à Paul Bourget, parue c
Vlaminck, ne comporte pas d’informations sur l’auteur qui publie une
nouvelle
, « Les hommes de la mort », dans ce même numéro d
de la mort », dans ce même numéro d’Action : « Les hommes de la mort.
Nouvelle
africaine », p. 18-22. Elle est illustrée par un
Nous avons essayé de déterminer quelle sera après le Naturalisme la
nouvelle
formule littéraire : un Humanisme intellectuel au
ner tant soit peu le courant des Idées qui portera les hommes vers la
nouvelle
école littéraire dont l’heure, croyons-nous, a bi
veuille se reposer après l’effort. Et pourtant, c’est une génération
nouvelle
qui occupe le jour. Des jeunes hommes peuvent-ils
ours elles ont été suivies de périodes de régénération et de richesse
nouvelle
. Telle est l’histoire même de l’art jusqu’à nos j
me, sans avoir changé de nature, peut très bien occuper une situation
nouvelle
qui ne lui permette plus de s’adonner à la Littér
écadence du paganisme ancien nécessita qu’il fût remplacé par une foi
nouvelle
: le christianisme. Mais celui-ci ne devait pas a
s, à ses énergies de bête. Ce n’est qu’une transition. Une loi morale
nouvelle
va le soumettre aux vérités et loin de composer u
à-haut — et l’église jouissait du matériel. Avec cette foi religieuse
nouvelle
— accordée par force, mais accordée tout de même
osé un système organique pour la défense ou le profit. À nouvel être,
nouvelle
transformation. Le milieu a changé ou bien l’indi
dire sa plus grande vie, son bonheur. Voici en effet devant nous, une
nouvelle
manière d’être que ne comporte nulle part la natu
aires se fondèrent là, à la faveur des troubles de toutes sortes. Une
nouvelle
noblesse commençait de remplacer l’autre. L’argen
meurent et ils succombent dans l’indifférence, évanouis du monde. La
nouvelle
vérité triomphatrice voit accourir à elle tous le
dont la forme, ici, est la rationnelle association des hommes. Cette
nouvelle
association ne peut être obtenue politiquement co
érité, voilà le remède à notre vie mauvaise, voilà le programme de la
nouvelle
littérature. Il n’est plus question de rechercher
as prévoir le nombre. Mais aussi, c’est grâce à leur multitude que la
nouvelle
littérature bientôt inaugurée prendra des figures
quelle anarchie au sein de l’humanité ! Qu’on offre aux citoyens une
nouvelle
organisation conçue selon les vérités récemment d
es on commença de parler d’art social. Elle n’est donc pas absolument
nouvelle
pour la littérature. Mais une impérieuse obligati
certaine anarchie de cabinet se voyait cultivée par les adeptes de la
nouvelle
doctrine. Du moins, s’ils ne vantaient pas l’anar
’avaient pas adhéré au principe de l’art social. La conséquence de la
nouvelle
doctrine était logiquement celle-ci. S’adressant
n souhaitait — et nous montrons également l’utilité plus grande de la
nouvelle
littérature humaniste. Cette instruction, si loin
efusé à l’élite qui y consacre cependant sa supériorité — cette élite
nouvelle
qu’on aperçoit composée non d’une aristocratie de
en avant dans la même direction, pourquoi une esthétique propre à la
nouvelle
littérature ne se créerait-elle pas ? Pourquoi se
nt cette tâche, celle-ci les veut. C’est de cet accord que résulte la
nouvelle
formule littéraire. À chacun des trois genres rev
ur épisme miraculeux. Elle sera l’intégration de la connaissance. Une
nouvelle
carrière épique encore inexplorée va, par la supr
r l’homme. Par les sujets du livre seront présentés des essais de vie
nouvelle
, montrés facilement réalisables en faits. L’homme
vengeance. J’ai donc été obligé, en quelque façon, de créer une pièce
nouvelle
. J’ai tâché seulement de faire un rôle intéressan
me représentation. Je désire que vous ne soyez pas mécontent de cette
nouvelle
tragédie, dont je vous prie de vouloir bien accep
le principal motif. Je porte envie à M. Suit Je viens de terminer une
nouvelle
tragédie : c’est Admète et Alceste, sujet tiré de
eux du Nord et à Shakespeare, il a choisi Macbeth pour sujet de pièce
nouvelle
: « Tout le monde me gronde ici, mon cher ami, é
core tout rouges et sortant de la forge ; enfin j’irai jouir de votre
nouvelle
existence. » Ce M. Le Roy, lieutenant des chasse
omme on me l’assure, qu’il ait pleuré la mort de Voltaire, et qu’à la
nouvelle
du refus de sépulture, il ait eu un saignement de
parfois se plaît à faire. C’est en effet, bien réellement, une forme
nouvelle
de tragédie qui succède à l’autre, et bien qu’éph
par Arnault, tome I, page 122. 71. On vient d’en donner une édition
nouvelle
: Lettres sur les animaux par Georges Le Roy, pré
les. Dans le premier, il montre que Proust a inauguré une forme d’art
nouvelle
où la force de désintégration de son esprit s’acc
tivement, et si Gérard d’Houville a suivi de plus en plus cette pente
nouvelle
, c’est qu’elle a dû sentir qu’elle possédait en e
istes nous dispense une richesse qui semble croître avec chaque œuvre
nouvelle
: aussi la dernière venue nous est-elle souvent l
des Goncourt appartiennent dorénavant à l’histoire ; de la direction
nouvelle
qu’ils imprimèrent au roman on peut discuter le p
ffronte pour la première fois la scène française, et dans une version
nouvelle
due à Guy de Pourtalès. Lorsque parut l’an dernie
on et de Claire Clairmont (Shelley n’avait pas encore osé annoncer la
nouvelle
à cette dernière) ; le désir de couper court le p
à la fin : retirant, introduisant tour à tour, procédant à une frappe
nouvelle
, modifiant tel dispositif. Que de pièces « vingt
pas que je n’ai rien dit de nouveau : la disposition des matières est
nouvelle
…cg » Et lorsqu’il s’agit de l’auteur de certain o
emble alors déprise ; — semble, mais son détachement est l’expérience
nouvelle
qu’elle institue ; elle opère à distance, avec le
es 72 ou la plus belle aventure réelle était comme tressée en quelque
nouvelle
guirlande de Méléagre, on ne peut que remercier M
plus de sévérité. Ceux qui avaient déjà lu M. Sludge, médium, dans La
Nouvelle
Revue Française ont pu se rendre compte du soin e
e qu’il rejette, dans Le Désert de l’amour Mauriac instaure comme une
nouvelle
catégorie de la profondeur, la profondeur en plei
ense : parce qu’il a su vaquer si bien — avec cette patience chez lui
nouvelle
— aux relations réciproques de ce père et de ce f
eût-il ici95 communiquées ; en y songeant il semble que d’une nuance
nouvelle
de tristesse se charge le vers mallarméen : Sur
ittérature (en manière d’introduction) — la postface à une traduction
nouvelle
de Hamlet, des remarques sur Benjamin Constant et
ernière, qui parut d’abord à La Revue Hebdomadaire où l’hommage de La
Nouvelle
Revue française à Marcel Proust lui servit de pré
à signaler qu’il est en même temps le plus récent : la postface à une
nouvelle
traduction de Hamlet. Il me semble y voir la just
celle où il devine que si l’on portait brutalement la main, une ombre
nouvelle
et plus épaisse aurait tôt fait de se former. Il
r. Jean Schlumberger, qui appartient depuis l’origine au groupe de la
Nouvelle
Revue Française et du Vieux Colombier à la fondat
détour, après avoir tourné l’obstacle et inauguré une relation toute
nouvelle
. Le poignant intérêt du récit de Schlumberger vie
ant assimilé les formes d’art antérieures, il en inaugurait une toute
nouvelle
, la seule peut-être qui fût de tous points adapté
dit dans son Introduction que dès la mort de Proust, apprenant que La
Nouvelle
Revue française préparait un numéro spécial, il s
e little Proust, c’est-à-dire — de même que Gide dans le numéro de La
Nouvelle
Revue française fp— l’auteur des Plaisirs et des
st (il s’agit de l’article de M. Robert de Billy dans le numéro de La
Nouvelle
Revue française fq) nous apprend qu’étudiant il s
es Rivière, l’auteur d’Études et de L’Allemand, et le directeur de La
Nouvelle
Revue française. De la part d’un jury aussi parfa
rne, et c’est dans la mémoire du lecteur que s’ouvre pour eux une vie
nouvelle
qui s’y poursuit et pousse des prolongements. Bor
’aborder Rivière par l’« Essai sur la sincérité envers soi-même » (La
Nouvelle
Revue française, janvier 1912). Problème auquel,
anence de l’être pensant. Lorsque parurent, à partir de 1910, dans La
Nouvelle
Revue française, les essais qui furent réunis en
l’instant d’après. C’est que Jacques Rivière inaugurait, non pas une
nouvelle
méthode, mais un nouvel art de la critique. Qu’il
sur des plans qui ne se coupent pas — commence d’apparaître la figure
nouvelle
de ce monde qui, laborieusement, s’essaie sous no
ement, s’essaie sous nos yeux ; et lorsqu’il prend la direction de La
Nouvelle
Revue française, l’appel qu’il adresse aux França
sont contenues dans l’article sur « la Décadence de la liberté » (La
Nouvelle
Revue française, septembre 1919) où il aborde le
me une suite, et Jacques Rivière nous la doit. Que la direction de La
Nouvelle
Revue française, à laquelle il apporte tant de so
oignant ses instances aux miennes — à faire la note qui parut dans La
Nouvelle
Revue française, de février 1912 — une des pages
r de lui écrire mon avis sur son articleib pour la réapparition de La
Nouvelle
Revue française, après avoir formulé mes quelques
au contraire à tous ; mais je ne suis ici que le porteur d’une bonne
nouvelle
. Pour que l’humilité puisse être à ce point fécon
profondément leurs ; il est certain qu’il a consenti en faveur de La
Nouvelle
Revue française un sacrifice incalculable, que ce
lacé au poste de la compréhension, chargé d’intégrer toute expérience
nouvelle
et se tenant vis-à-vis d’elle pour responsable, n
Le Gaulois, 29 avril 1922, p. 4. NdE]. NdA 44. Cette note parut à La
Nouvelle
Revue française, [n° 109, oct. 1922, p. 472-476.
ason, dont la traduction, due à E. Sainte-Marie Perrin, parut dans La
Nouvelle
Revue Française en juin 1920, où fut également pu
eaux Lundis. NdA 83. Bernard Grasset, [« Les Cahiers verts », 1925 ;
nouvelle
édition dans Œuvres romanesques et théâtrales com
? Que peut Dieu ? », [Ibid., p. 860.. NdE] 95. Cette note parut à La
Nouvelle
Revue Française. NdA 96. Crès, collection « Essa
NdE]. NdA 100. Ces pages étaient écrites avant que ne parût dans La
Nouvelle
Revue Française (mai 1921) l’article d’Albert Thi
x départs lyriques, mais assez peu nombreux. NdA 106. Éditions de la
Nouvelle
Revue française, [1920. NdE]. NdA 107. Jacques V
e, La lueur sur la cime, [1905. NdE]. NdA 108. Cette note parut à La
Nouvelle
Revue française, [n° 111, déc. 1922, p. 737-742.
742. L’article est rédigé en octobre 1922.. NdE] 109. Éditions de la
Nouvelle
Revue française, [Le Camarade infidèle (I), in La
ions de la Nouvelle Revue française, [Le Camarade infidèle (I), in La
Nouvelle
Revue française, n° 103, avril 1922, p. 416-459 ;
n° 103, avril 1922, p. 416-459 ; Le Camarade infidèle (suite), in La
Nouvelle
Revue française, n° 104, mai 1922, p. 557-583 ; L
ise, n° 104, mai 1922, p. 557-583 ; Le Camarade infidèle (fin), in La
Nouvelle
Revue française, n° 105, juin 1922, p. 683-723. L
furent écrites au lendemain de la mort de Proust pour l’hommage de La
Nouvelle
Revue française, [Hommage à Marcel Proust — La No
hommage de La Nouvelle Revue française, [Hommage à Marcel Proust — La
Nouvelle
Revue française, n° 112, janv. 1923, p. 166-171.
p facilement on aurait gain de cause. NdA 115. Cette note parut à La
Nouvelle
Revue française, [n° 126, mars 1924, p. 374-376.
Bernard Grasset, [(1924), 1949.. NdE] 127. Cette note parut dans La
Nouvelle
Revue française. NdA 128. Édition de la Nouvelle
note parut dans La Nouvelle Revue française. NdA 128. Édition de la
Nouvelle
Revue française : [1922. Nouvelle édition à laque
française. NdA 128. Édition de la Nouvelle Revue française : [1922.
Nouvelle
édition à laquelle nous nous référons : Paris, Ga
oll. « L’Imaginaire », 1993. NdE]. NdA 129. Cette note parut dans La
Nouvelle
Revue française. NdA 130. Du point de vue formel
Nouvelle Revue française, [Hommage à Jacques Rivière (1886-1925) — La
Nouvelle
Revue française, n° 139, avril 1923, p. 580-588.
Rivière, À la trace de Dieu, Préface de Paul Claudel, Éditions de la
Nouvelle
Revue française, [1925. NdE]. NdA 138. « Ne pas
p. 160. an. Cet article, rédigé en mai 1922, paraît d’abord dans La
Nouvelle
Revue française, n° 107, août 1922, p. 151-156.
1808. cz. Cet article, rédigé en avril 1925, paraît d’abord dans La
Nouvelle
Revue française, n° 140, mai 1925, p. 936-944. d
eg. Cet article, rédigé en décembre 1922, est d’abord publié dans La
Nouvelle
Revue française, n° 113, fév. 1923, p. 448-455.
. 4. fs. Cet article, rédigé en juillet 1923, paraît d’abord dans La
Nouvelle
Revue française, n° 119, août 1923, p. 214-219.
347. fx. Cet article, rédigé en janvier 1925, paraît d’abord dans La
Nouvelle
Revue française, n° 137, fév. 1925, p. 223-228.
Ibid., p. 9. gl. Jacques Rivière, De la foi, « De la foi », dans La
Nouvelle
Revue française, n° 48, décembre 1912. Pour l’édi
1910), p. 137. gq. op. cit. gr. « Le Roman d’aventure », dans La
Nouvelle
Revue française, n° 53, 54, 55 (mai, juin, juille
(1918), Paris, Gallimard, 1944, p. 16. gu. Ibid., p. 16. gv. « la
Nouvelle
Revue française », dans La Nouvelle Revue françai
16. gu. Ibid., p. 16. gv. « la Nouvelle Revue française », dans La
Nouvelle
Revue française, n° 69, juin 1919, repris dans No
292. gw. Cet article, rédigé en janvier 1923, paraît d’abord dans La
Nouvelle
Revue française, n° 114, mars 1923, p. 560-566.
hz. Ibid., p. 71. ia. Ibid., p. 98-100. ib. Jacques Rivière, « la
Nouvelle
Revue française », dans La Nouvelle Revue françai
8-100. ib. Jacques Rivière, « la Nouvelle Revue française », dans La
Nouvelle
Revue française, n° 69, juin 1919, repris dans No
15. iq. Cet article, rédigé en octobre 1925, paraît d’abord dans, La
Nouvelle
Revue française, n° 148, janv 1926, p. 49-63. ir
22. iu. Voir Edmond Jaloux, « Jacques Rivière et Marcel Proust », La
Nouvelle
Revue française — Hommage à Jacques Rivière, n° 1
icace, d’actuel encore dans son œuvre. Le problème de l’inégalité. La
Nouvelle
Héloïse. L’Emile. — . Influence de Jean-Jacques R
, Rousseau passe quelques calmes années : il travaille ; il achève sa
Nouvelle
Héloise, il fait sa Lettre sur les spectacles, so
t, son âme tout entière s’élève à tel point que, si les abus de cette
nouvelle
condition ne le dégradaient souvent au-dessous de
la vie même, peut refaire en lui l’homme naturel. C’est le sens de la
Nouvelle
Héloïse. Rien de plus innocent selon la nature qu
er la société de la nature : le premier nous est fourni encore par la
Nouvelle
Héloise. Julie ne refait pas seulement son indivi
re savoyard ; de sa passion profonde pour Mme d’Houdeto est sortie la
Nouvelle
Héloïse : les amours de Julie et de Saint Preux,
s mis hors de son Église ; il fait un parti avancé, il peut faire une
nouvelle
Église, en restant membre de la grande et multipl
mble un éloquent défenseur de la morale, on peut trouver que, dans la
Nouvelle
Héloïse, et dans les Confessions, il décerne parf
, pouvant ensuite l’orienter vers lui par l’entrée en jeu d’une force
nouvelle
antérieurement inactive. Il a hardiment fait sort
pousser l’individualisme en deux sens aussi différents que le sont la
Nouvelle
Héloïse et le Contrat. Car, en premier lieu, le d
Mais il nous faut passer rapidement. J’effleurerai donc seulement la
Nouvelle
Héloïse, et, négligeant tant de thèses suggestive
que enfermée chez nous dans la méditation religieuse. Son roman de la
Nouvelle
Héloïse est tout à fait lyrique de conception et
’un art réaliste puisse se réclamer aussi de Jean-Jacques, même de sa
Nouvelle
Héloïse, et surtout de ses Confessions ? Il est c
Lettre à M. d’Alembert sur l’art. Genève, Amsterdam. 1758, in-8 ; la
Nouvelle
Héloïse ou Lettres de deux amants, Paris, 1761, 4
citation de Mme de Staël (note 2). 567. 4e partie, lettre 17. 568.
Nouvelle
Héloïse, 4e partie, l. 11 ; 5e p. l. 2 et 7.
ns-nous à celui-ci d’abord. On a de la peine à imaginer une dimension
nouvelle
si l’on part d’un Espace à trois dimensions, puis
tement compte de ce qu’il aurait ajouté en introduisant une dimension
nouvelle
. Et comme ce serait quelque chose du même genre q
carrés ayant tous pour coefficient l’unité, et pour que la dimension
nouvelle
fût provisoirement assimilable aux autres. Demand
entaire. Nous tiendrons compte ensuite du rôle spécial que joue cette
nouvelle
dimension dans la théorie de la Relativité. On ne
sur lui notre hélice : celle-ci sera aussi bien représentative de la
nouvelle
courbe plane, parcourue avec de nouvelles vitesse
dans une autre direction la totalité du réel 48. Vous aurez fait une
nouvelle
répartition de l’espace et du temps, aussi légiti
al ; nous n’avons pas encore envisagé l’aspect tout spécial que cette
nouvelle
dimension présente dans la théorie de la Relativi
des Temps multiples ; il ne peut d’ailleurs qu’en être une expression
nouvelle
. Contre le sens commun et la tradition philosophi
t humain n’y renoncera pas, lors même que l’expérience imposerait une
nouvelle
forme à la théorie de la Relativité. Pour montrer
é, car l’expression qu’on lui apporte est celle d’une vérité physique
nouvelle
: elle indique comment la « transmission » de la
is tenté de déplacer en fait la direction du Temps, et d’imaginer une
nouvelle
répartition du continu à quatre dimensions en tem
— Le Roi vierge, roman contemporain (1881). — Le Crime du vieux Blas,
nouvelle
(1882). — Monstres parisiens, 1re série (1882). —
tte, contes (1885). — Monstres parisiens, 2e série (1885). — Poésies,
nouvelle
édition en sept volumes, augmentée de soixante-do
deux actes et trois tableaux, musique d’Emmanuel Chabrier. — Lesbia,
nouvelle
(1886). — Un-miracle de Notre-Dame, conte de Noël
fées en dix tableaux, musique de Messager (1889). — Le Cruel Berceau,
nouvelle
(1889). — La Vie sérieuse, contes (1889). — Le Co
contes (1895). — Rue des Filles-Dieu, 56, ou l’Heautonparatéroumène,
nouvelle
(1895). — L’Art au théâtre (1896). — Gog, roman c
. — Chand d’habits, pantomime (1896). — Arc-en-ciel et Sourcil rouge,
nouvelle
(1897). — Contes choisis (1897). — L’Art au théât
t devenu le plus rare de tous ; aussi l’hymne tendrement éploré de la
nouvelle
Philoméla a-t-il singulièrement stupéfié les prem
atulle Mendès. M. Catulle Mendès est un des plus jeunes adeptes de la
nouvelle
école poétique. Il a un nom, et je crois que les
grouillement, il est systématique et construit de main d’ouvrier. [La
Nouvelle
Revue (juillet 1894).] Ferdinand Brunetière
donne à la tragédie comme un coup de barre et à la fois une direction
nouvelle
et une impulsion et qui ranime l’intérêt au momen
e accident supprime ; elles vont reprendre leur cours selon une pente
nouvelle
et se creuser un autre lit à travers la société p
ie delillienne ; mais ce n’est guère qu’en 1819 qu’on voit une poésie
nouvelle
éclore sur les hauteurs de la société, dans les e
ls s’enfermèrent de préférence dans l’art désintéressé : pour eux une
nouvelle
période commença, qui vient de finir en 1830. Dan
mes tendres de notre âge, finit par se réconcilier avec cette société
nouvelle
mieux comprise, et par reconnaître, à la voix du
a croulé, et que peuple et poètes vont marcher ensemble, une période
nouvelle
s’ouvre pour la poésie ; l’art est désormais sur
Paris pendant trois jours, qu’il n’y a plus qu’à accorder le moins de
nouvelle
liberté possible ; car chaque part de liberté nou
er le moins de nouvelle liberté possible ; car chaque part de liberté
nouvelle
devant augmenter l’appétit démocratique, nous ser
perstitieux de l’ancienne forme en haine du sang qui avait souillé la
nouvelle
, un sublime égarement de guerre et de conquête :
s’appliquer les principes de 89 reconnus explicitement dans la charte
nouvelle
. En ce sens et dans la sphère politique, il est v
rrifiés qu’ils sont par la réputation du grand Racine. Par hasard, la
nouvelle
tragédie française ressemblerait beaucoup à celle
avec lui, nommera le jury qui le condamnera. Nous aurions bientôt la
nouvelle
tragédie française que j’ai l’audace de prédire,
supérieurs par l’esprit, aux Anglais de cette époque, notre tragédie
nouvelle
aura plus de simplicité. À chaque instant Shakspe
grossier et qui avait plus de courage que de finesse. Notre tragédie
nouvelle
ressemblera beaucoup à Pinto, le chef-d’œuvre de
ceinturon, il prenait congé de nous, et allait porter la triomphante
nouvelle
du quartier Notre-Dame-de-Lorette au faubourg Sai
l’avouons, — parmi tout ce papier fraîchement placardé, annonçant la
nouvelle
troupe, son répertoire, ses exercices, les chefs
elle troupe, son répertoire, ses exercices, les chefs d’emploi, et la
nouvelle
adresse du directeur passé de l’Élysée aux Tuiler
Débats ! C’est Edmond qui, de son lit, me crie la bonne et inattendue
nouvelle
. Oui, tout un feuilleton du lundi parlant de nous
lle du présent. Primitivement, pour trouver l’expression d’une pensée
nouvelle
, il faut la chercher, et le signe succède à l’idé
a part de la mémoire et de l’imagination verbales ? Lorsqu’une pensée
nouvelle
surgit dans notre esprit, elle ne peut avoir, pui
ouvelle surgit dans notre esprit, elle ne peut avoir, puisqu’elle est
nouvelle
, d’expression toute faite dans notre mémoire ; il
faut organiser un certain nombre de termes usuels en une combinaison
nouvelle
; les qualités et les défauts de la formule dépen
nt, l’expression provisoire est acceptée à titre définitif, la pensée
nouvelle
a rencontré du premier coup sa vraie formule ; c’
la réunion de ces concepts, pour être imprévue, n’est pas absolument
nouvelle
; un jugement nouveau imite toujours des jugement
si je les reçois passivement, je risque d’accroître par une confusion
nouvelle
les défauts déjà invétérés de mon esprit. Le lang
mples solidement enracinés dans l’esprit, celle qui rattachera l’idée
nouvelle
aux habitudes les plus anciennes de l’intelligenc
nous redevenons enfants, toutes les fois que nous inventons une idée
nouvelle
ou que nous cherchons à mieux dire, ou à dire pou
s blanches, par l’automobile, l’avion, le cinéma, les sports ; que la
nouvelle
rapidité avec laquelle nous avons appris à accomp
dans L’Étui de nacre. Et enfin que Thaïs n’était primitivement qu’une
nouvelle
de quarante pages à peine. Ceci est une parenthès
bunaux pour assurer, maintenir, régler les rites et les lois de cette
nouvelle
sorte d’amour — que l’amour était incompatible av
d’être le maître de la femme, ce qui ne pouvait s’accorder avec cette
nouvelle
façon d’envisager cette passion. Conception tout
n’existaient pas non plus. Il est encore fort probable que cette idée
nouvelle
de la vénération due à la femme, dame et maîtress
être dit au sujet de l’influence qu’eurent les cours d’Amour et de la
nouvelle
conception de l’amour, au moyen âge, n’a la préte
rez nulle trace dans L’Astrée d’Honoré d’Urfé, continuateur, avec une
nouvelle
manière, des romans de chevalerie. Nulle trace no
pour élever en France le roman à la hauteur d’un « grand genre », La
Nouvelle
Héloïse. « La Nouvelle Héloïse » Devant né
roman à la hauteur d’un « grand genre », La Nouvelle Héloïse. « La
Nouvelle
Héloïse » Devant nécessairement signaler ce q
qui déjà existaient. Que l’une des « sources » de l’inspiration de La
Nouvelle
Héloïse de Rousseau puisse se trouver dans Claris
roman réformateur et encore, par-dessus tout, passionnel, date de La
Nouvelle
Héloïse. « Un grand livre, a dit M. Victor Girau
Certes il y a eu, jusqu’à nos jours, des admirateurs passionnés de La
Nouvelle
Héloïse. On connaît le mot d’Eugène-Melchior de V
il a révélé aux Français le roman russe : « Les années où je relis La
Nouvelle
Héloïse, je ne puis plus supporter de longtemps l
entends pas avec M. de Vogüé, je ne saurais qu’approuver Taine : « La
Nouvelle
Héloïse est un mauvais roman ; mais son pire défa
et leurs femmes, leurs filles, comme Julie. Ils sont imprégnés de La
Nouvelle
Héloïse, ils la rendent par tous les pores. Et mê
sme du xviiie siècle avait fait disparaître, mais qu’il révélait une
nouvelle
conception de l’amour, des droits irrésistibles,
ériodes, les « cadences » prétentieuses, contre nature du style de La
Nouvelle
Héloïse ? Qu’elles soient décourageantes, qu’elle
èse, roman piétiste ou apologétique, ont leur origine commune dans La
Nouvelle
Héloïse. » … Sans les divagations horticoles, so
se. » … Sans les divagations horticoles, sociales, économiques de La
Nouvelle
Héloïse, Balzac se serait-il permis ses longues,
Je pourrais citer beaucoup d’autres exemples. Et que de thèmes de La
Nouvelle
Héloïse ont été repris par les successeurs de Rou
à une involontaire suggestion produite par une ancienne lecture de La
Nouvelle
Héloïse que nous devons cette « présentation » de
de Byron. Mais, de surcroît, la Révolution avait fait apparaître une
nouvelle
société, cependant que l’autre subsistait. Rien n
ient ou voulaient dire quelles étaient leurs aspirations neuves, leur
nouvelle
conception des hommes, des femmes, des choses de
e dans les romans de chevalerie, dans La Princesse de Clèves, dans La
Nouvelle
Héloïse. Vous ne trouverez pas le même trait chez
our à Shanghaï un livre anglais à bon marché, qu’il croyait une œuvre
nouvelle
. Le titre lui en était inconnu, le nom de l’auteu
rendra le pas sur les autres dans l’avenir, pour amener une évolution
nouvelle
? Musique, peinture, littérature ?… Quoi qu’il en
creuset où sont déjà venus se mêler, se métisser pour créer une race
nouvelle
, huit cent mille Européens de race latine, França
uvrages de longue haleine que je préférerais, si j’osais choisir) une
nouvelle
, parue d’abord en quelques feuilletons dans le Jo
bats, et reprise, développée de longues années plus tard ; Thaïs, une
nouvelle
d’une quarantaine de pages… C’est son amie, Mme d
c’est Mme de Caillavet, encore une fois, qui l’engage à pousser cette
nouvelle
— dont nous n’avons pas cette fois la première ve
te à sa conscience, de l’équipe, du team de son pays. C’est la morale
nouvelle
issue des sports qui nous a enseigné ceci. Mais R
e cet ouvrage est aujourd’hui presque aussi fatigante que celle de La
Nouvelle
Héloïse dont il procède. Du point de vue de l’his
istoire littéraire et de celle des mœurs, il garde pourtant, comme La
Nouvelle
Héloïse, une valeur qu’on ne saurait méconnaître.
boliste, ou romantique, ou classique, sous une apparence qui paraîtra
nouvelle
. Il n’en est pas de meilleure preuve que l’œuvre
société. Tout ce qu’on peut regretter, c’est que, entré dans une vie
nouvelle
, devenu mondain, un peu snob, l’auteur du Médecin
’il ne les juge ; mais avec je ne sais quoi qui ressemble à une forme
nouvelle
de charité, venue de l’intelligence. Avant tout,
a fallu, pour Morte la Bête, que Sacha Guitry transportât cette brève
nouvelle
au théâtre pour qu’un public nombreux s’aperçût d
lise Thérèse Desqueyroux. Qu’on lise Un homme de lettres, cette belle
nouvelle
d’une cruauté si poignante. Mais, quand son catho
n d’écrivains est arrivée avec des conceptions nouvelles, une manière
nouvelle
d’écrire, de composer — ou de ne plus « composer
l’hypocrisie, encore pratiquée dans certains pays anglo-saxons, d’une
nouvelle
consécration civile ou religieuse, laquelle n’emp
ibilité périmée que contre un écrivain »… Mais on aboutit, avec cette
nouvelle
espèce d’esprit, ou plutôt d’humour, ajoute-t-il,
nconsciemment jalouse, fera croire au frère, amoureux lui aussi de la
nouvelle
venue, que c’est un camarade et non lui qu’aime c
and roman, une œuvre définitive, absolue, tombe aux proportions d’une
nouvelle
écourtée. Ou plutôt le début est d’un grand roman
ère partie du roman, non dans la première… Telle est la rigueur de la
nouvelle
technique littéraire qu’un critique, et non des m
ulien Benda et M. Emmanuel Berl qui ont raison. J’allais oublier : la
nouvelle
génération littéraire nous dit : « Tout est chang
science à la vie humaine et ce qu’on pourrait appeler la métaphysique
nouvelle
tirée des dernières déductions de la science. » C
et banales énumérations. Une remarque encore, pourtant. Serait-ce la
nouvelle
méthode littéraire d’introspection qui fait qu’au
tique et de la religion Mais cela ne suffit pas pour que la doctrine
nouvelle
se propage, ni surtout pour que, de la spéculatio
ombre des plus hautes qu’ait produites l’espèce humaine C’est que la
nouvelle
semence est tombée sur le terrain qui lui convien
ouvez, non pas piquants, mais âcres et d’une saveur brûlante, dans la
Nouvelle
Héloïse, en vingt endroits de l’Émile, et d’un bo
les pour engraisser les courtisans parasites466. Toute la philosophie
nouvelle
éclôt sous sa main avec un air d’innocence, dans
Ce ton, qui règne alors en vertu de l’esprit classique et de la mode
nouvelle
, est celui de la rhétorique sentimentale. Diderot
fications de collège ; il nous faut un effort de volonté pour lire la
Nouvelle
Héloïse. L’auteur nous rebute par la continuité d
ment de partir pour le bal de l’Opéra, elle trouve sur la toilette la
Nouvelle
Héloïse 486, je ne m’étonne point si elle fait at
jaillit de terre, c’est pour propager, porter plus avant la doctrine
nouvelle
; on trouverait à peine deux ou trois petits ruis
vers malins, les épigrammes et les chansons qui chaque matin sont la
nouvelle
du jour, par les parades de la foire489 et les ha
scrite (involontairement, je suppose) du dialogue sur Otaïti. 481.
Nouvelle
Héloïse , passim, et notamment la lettre extraord
du soleil levant dans Émile, de l’Élysée (un jardin naturel) dans la
Nouvelle
Héloïse. — Voyez surtout dans Émile , fin du liv
lueur se fait jour en lui : la nécessité pour le monde d’une religion
nouvelle
, qui satisfasse aux nouveaux besoins de l’âme hum
ouveaux besoins de l’âme humaine, jaillit à ses yeux : « Une religion
nouvelle
, une espérance nouvelle, un paradis nouveau, oui
humaine, jaillit à ses yeux : « Une religion nouvelle, une espérance
nouvelle
, un paradis nouveau, oui ! le monde en avait soif
gue de son cœur, à la poursuite de son nouveau rêve. Il écrit la Rome
nouvelle
, où il prêche l’alliance du pape et de la démocra
e primitif, à la religion des humbles, élargie et devenue la religion
nouvelle
. L’Index va frapper son livre d’interdiction, et
ueroute de la charité, empêcheuse de justice. Comment faire surgir la
nouvelle
croyance dont les peuples sont assoiffés ? « Par
e vitale dont il se croyait à tout jamais dépossédé. Au sein de cette
nouvelle
famille, dont l’humanité puissante, après l’avoir
udeau, L’Abbé Paul Allain. (NdA) 98. M. Pierre Lasserre, L’Humanité
nouvelle
, janvier 1893. (NdA) 99. Voir page 61 : L’Art e
ntes acuens sagittas, cote cruenta. paroît en quelque façon une image
nouvelle
à ceux qui la voïent à Chantilly dans un tableau.
uerre, du campement d’une armée, d’un champ de bataille, d’une plante
nouvelle
, d’un animal extraordinaire, d’une machine, enfin
ent aussi d’accord qu’ils auroient peine à concevoir le rapport d’une
nouvelle
découverte, si l’on ne joignoit pas une figure à
e les tableaux. Elle a trouvé trois manieres de leur prêter une force
nouvelle
pour nous plaire et pour nous toucher. Ces trois
e trois époques remarquables, qui la divisent en ancienne, moyenne et
nouvelle
. La comédie parut d’abord une satyre publique, in
r la peinture des mœurs générales : c’est ce qu’on appelle la comédie
nouvelle
, que Plaute et Térence offrirent aux Romains. La
a comédie dite ancienne, et on n’en trouve point dans la comédie dite
nouvelle
.
s nuées perdirent le vertueux Socrate. Cet abus ouvrit la route de la
nouvelle
comédie que Ménandre suivit plus tard. Pour résou
e vint Sophocle et après lui Euripide qui nous laissèrent la tragédie
nouvelle
, dans le même temps où la vieille comédie finissa
omédie finissait avec Aristophane. Ménandre fut le père de la comédie
nouvelle
, dont les personnages sont de simples particulier
pleines d’énergie, vous avez prêché avec tout l’avantage du talent la
nouvelle
doctrine. Mais comme si ce n’était pas assez d’in
spirituelle, toujours prête à s’émouvoir pour le triomphe d’une idée
nouvelle
. Votre influence, celle de vos amis a dû finir pa
leurs brevets d’immortalité. Devenus prédicants passionnés de la loi
nouvelle
, ils ont voulu la faire exécuter dans ces dernier
t vus abandonnés. Au milieu de ce fanatisme universel en faveur de la
nouvelle
loi, les images durables dont une postérité recon
ages des aveugles que vous n’aviez point encore convertis à votre foi
nouvelle
. Il faut qu’elle soit bien fanatisée, bien imbue
che n’est pas juste, car il est impossible de faire autrement ; et la
nouvelle
école n’a pas fait un grand progrès en y substitu
oyen, et que cette façon d’émouvoir le public peut être beaucoup plus
nouvelle
, mais à coup sûr est beaucoup plus immorale. Je c
vons jamais dû nous y rencontrer. Le moment où vous recommencerez une
nouvelle
route (car il faudra bien qu’un jour vous en pren
lement que son exécution est facile. D’ailleurs, cette idée n’est pas
nouvelle
. Personne n’ignore que Louis XIV, lors de la créa
int-simoniens ? À leur place j’enverrais des missionnaires prêcher la
nouvelle
loi. 8. Quel est l’Anglais qui oserait ternir la
sque en même temps que son premier succès. Il y avait alors une école
nouvelle
, non encore régnante, mais déjà des plus en vogue
attendre le fruit du temps et le cours des saisons. L’école poétique
nouvelle
avait été volontiers jusque-là religieuse, élevée
ureux un amoureux, etc. » Quant au don Juan de Namouna, à cette forme
nouvelle
du roué qui pouvait sembler l’enfant chéri de l’a
Musset toute sa fraîcheur, en même temps qu’il s’y mêlait une finesse
nouvelle
de pensée, une ironie, une légèreté moqueuse, la
e. À la seconde époque de sa jeunesse, disant qu’il lit Werther et La
Nouvelle
Héloïse et qu’il dévore toutes les folies sublime
bien, et entendez-le comme vous voudrez. » 4. Enfin, on demandait une
nouvelle
ou pathétique, ou délicate, ou piquante, dont le
t de ceux qui aiment à croire à un grand avenir, à une ère décidément
nouvelle
, et qui mettent l’âge d’or en avant : s’il y a qu
qui a paru le plus s’approcher de l’idée qu’on se pouvait faire d’une
nouvelle
excellente, a pour titre Cécilie. De la curiosité
orriger à la fin (les avares ne se corrigent pas), recommandent cette
nouvelle
dont l’auteur est M. Louis Fortoul de la Société
éjà connu par des écrits qui intéressent l’éducation de l’enfance. La
nouvelle
qui a obtenu le second prix, et qui a pour titre
L’auteur est M. Oscar Honoré, de la Société des gens de lettres. — La
nouvelle
qui a obtenu le second accessit a pour scène les
, depuis ce temps, M. Monmerqué n’avait cessé de préparer une édition
nouvelle
, et qu’averti par l’esprit d’exactitude et d’exam
aux hommes instruits qui sont entrés dans la pensée de cette édition
nouvelle
, qu’elle était importante, qu’elle était indispen
de ces endroits saillants se trouve-t-il atteint et renversé dans la
nouvelle
édition ? Pas le moins du monde ; ces grands morc
é est-il sensiblement modifié par l’impression générale que laisse la
nouvelle
lecture ? Non encore. Elle reste bien la même, la
dérangé qu’à peine par celle-ci, dont vous ne vouliez pas, à la fois
nouvelle
et plus ancienne ; vous ne le serez que juste aut
ons qu’une occasion d’en retrouver la sensation plus vive et toujours
nouvelle
; ne nous figeons pas dans le classique, baignons
uisqu’il est question de Racine, je ne puis manquer de recommander la
nouvelle
édition de ses Œuvres qui se publie dans la colle
s qui flétrirent la fin d’un grand règne, et l’on conçoit une horreur
nouvelle
pour les hypocrites ou les fanatiques qui les con
e. C’est dans une lettre datée du 5 novembre 1698 qu’on a la première
nouvelle
d’une maladie sérieuse dont Racine relevait à pei
e de son illustre ami : « Mais voici, dit-il (31 décembre 1698), une
nouvelle
particulière qui va vous faire un vrai plaisir :
ancien annotateur, la religieuse de Melun ; ce ne pouvait être que la
nouvelle
mariée, Mme de Riberpré. Mais déjà vers cette dat
t, 24 mars, M. Vuillart reprend la plume, et après avoir rapporté une
nouvelle
intéressante (l’arrivée de la Bulle condamnant le
nt, toute une lie monte à la surface, et s’y étale, et y demeure. Une
nouvelle
aristocratie se forme, douteuse ou impure en sa s
on. Aussi bien était-ce, comme naguère Fontenelle, toute une province
nouvelle
, une grande province qu’il annexait effectivement
isons apparaître, et en même temps son livre s’éclairer d’une lumière
nouvelle
. Montesquieu a ici sa revanche. Ce qui était obsc
qui vont devenir désormais les « maîtres à penser » de la génération
nouvelle
, et puisqu’ils ne le sont pas devenus plus tôt, c
aiment dignes de ce nom que celles qui conduisent à quelque invention
nouvelle
et utile, et qui nous apprennent à faire quelque
anciens amis les philosophes. Il a ouvert, à lui tout seul, une route
nouvelle
. Et, parce qu’ils le verront bien, ou plutôt, et
e fausse délicatesse ? » [Cf. Lettre sur les spectacles et rapprochez
Nouvelle
Héloïse, partie II, lettres 14, 17, 21], Ou, en d
la félicité de l’homme les passions qui font ailleurs son tourment » [
Nouvelle
Héloïse, partie I, lettre 23] ; et c’est la natur
cinquante ans le secret ne se fût perdu. Ils ont senti frémir dans la
Nouvelle
Héloïse cette ardeur de passion qu’ils ne connais
ses Mémoires [Cf. Marmontel, Mémoires, livre VI]. Mais une génération
nouvelle
s’était déjà montrée plus juste. Les Époques de l
tendant bientôt les Cuvier et les Geoffroy Saint-Hilaire. Une science
nouvelle
était née de lui : la science de la vie. Autant q
artient cet honneur ; c’est avec lui que commence une époque vraiment
nouvelle
; et pour une fois dans l’histoire, par le plus g
âteauroux ; — et surtout avec Mme de Pompadour. — Il se flatte que la
nouvelle
maîtresse fera passer le roi du côté des philosop
cultés de sa situation ; — comme également suspect à la cour, et à la
nouvelle
génération des « gens de lettres ». — Sa rivalité
miers de ces ouvrages ont inauguré dans la littérature européenne une
nouvelle
manière d’écrire l’histoire. Entre les mains de V
vois. — Il suggère à d’Alembert l’article Genève de l’Encyclopédie. —
Nouvelle
intervention de Rousseau dans la querelle [Cf. ci
des écrits de Rousseau avec son caractère ; — et que son Émile ou sa
Nouvelle
Héloïse elle-même sont véritablement des mémoires
son établissement à Montmorency, 1758. C. Les grandes œuvres. — 1º La
Nouvelle
Héloïse, 1760 [Cf. Lettres inédites, de Rousseau
— les amours de Rousseau et de Mme d’Houdetot [Cf. Lucien Brunet, La
Nouvelle
Héloïse et Mme d’Houdetot, Paris, 1888]. — L’imit
x polissonneries du jeune Crébillon. — La nouveauté du milieu dans la
Nouvelle
Héloïse ; : — et que son premier mérite en son t
rter la pensée ; — et, à ce propos, de l’abus des digressions dans La
Nouvelle
Héloïse. — Enfin la nature y tient moins de place
umé d’occuper dans l’art ; — et, si la langue n’en est pas absolument
nouvelle
, elle diffère cependant beaucoup de la langue du
nt oratoire ; — mais lyrique. — Opinion mélangée des critiques sur La
Nouvelle
Héloïse [Cf. Voltaire, Lettres sur la Nouvelle Hé
e des critiques sur La Nouvelle Héloïse [Cf. Voltaire, Lettres sur la
Nouvelle
Héloïse, dans ses Mélanges, édition Beuchot, t. X
lleurs le chef-d’œuvre littéraire de Rousseau ; — moins guindé que La
Nouvelle
Héloïse ; — plus souple, plus varié que le Contra
ire] ; — sur Goethe ; — et à ce propos comparaison de Werther avec la
Nouvelle
Héloïse [Cf. Erich Schmidt, Rousseau, Richardson
ments de l’inégalité, 1755 ; — Lettre sur les spectacles, 1758 ; — La
Nouvelle
Héloïse, 1760 ; — Le Contrat social, 1762 ; — l’É
ns cité les principaux ; — son Philosophe ; — sa Gageure [tirée de la
nouvelle
de Scarron d’où Molière avait tiré son École des
ôt pour publier ses Anecdotes sur Fréron, 1761 ; — ses Lettres sur la
Nouvelle
Héloïse, 1761 ; — son Éloge de Crébillon, 1762 ;
e siècle, Paris, 1890 ; — De Lanessan, « Introduction » en tête d’une
nouvelle
édition des Œuvres de Buffon, 1884 ; — Edm. Perri
ou de la méditation ; — et par là de susciter ; — avec une curiosité
nouvelle
, qu’on pourrait appeler la curiosité biologique ;
velle, qu’on pourrait appeler la curiosité biologique ; — une manière
nouvelle
de penser ; — dont les effets ne sont pas encore
t comment elles élargissent l’horizon entrouvert par Rousseau dans sa
Nouvelle
Héloïse. — Les descriptions du Voyage à l’Île de
, et d’être à son tour l’objet d’une étude sérieuse, la matière d’une
nouvelle
critique. Le temps est loin où l’on pouvait dire
ure est l’expression de la société. Aussitôt le passé s’éclaira d’une
nouvelle
lumière, la poussière des siècles sembla se ranim
tale d’un chef-d’œuvre ; l’une c’est de la transporter, par une œuvre
nouvelle
, dans un milieu intelligible à nos contemporains,
e et plus humble : elle appartient au critique. Au lieu de tracer une
nouvelle
peinture et de rapprocher ainsi l’idéal du specta
alents, transfuges prudents de l’imagination. Ils apportent dans leur
nouvelle
patrie les aptitudes qui auraient pu briller dans
fforcerait de les coordonner. De ces tentatives sont nées une science
nouvelle
et une nouvelle école : la science a reçu le nom
s coordonner. De ces tentatives sont nées une science nouvelle et une
nouvelle
école : la science a reçu le nom assez mal choisi
es colères de la vieille école, l’enivrement superbe de celle qui fut
nouvelle
, fourniront à l’histoire littéraire un de ses plu
elle répète des jugements. Mais quand il s’agit d’apprécier une œuvre
nouvelle
, surtout celle d’un auteur inconnu, c’est là que
que la mine d’or, il s’est rencontré tout à coup en face d’une classe
nouvelle
, inculte encore et déjà corrompue, avide d’émotio
se promenait à l’aise, tenant en main sa règle des trois unités : la
nouvelle
a un rôle moins commode : à défaut d’un code écri
as une thèse rigoureuse, à proprement parler, non plus qu’une théorie
nouvelle
. Je n’ai nullement le sentiment d’avoir opéré une
donnant toute son étendue. Elle constituait ainsi la base d’une étude
nouvelle
— celle que nous avons entreprise ici — qui s’ada
ttérature, un art étrangers inondent de leurs productions cette terre
nouvelle
. Les rudes divinités celtiques elles-mêmes s’écli
la Gaule biffe d’un trait son existence ancienne et inaugure une vie
nouvelle
. Et si nous n’avions par ailleurs des preuves con
à cette propension native. Dès que Rome et la Grèce eurent initié la
nouvelle
province aux arcanes de l’art de bien dire, elle
ouriante indolence du nouveau sujet de Rome au sein de cette félicité
nouvelle
. L’Empire romain en décomposition a contaminé de
t Révolutions, avec les solutions qu’elles comportent. Car l’Eglise —
nouvelle
puissance mondiale, nouvel Empire — était entrée
à fond, complètement dépersonnalisée, reçoit avec enthousiasme la foi
nouvelle
, comme si elle y était préparée. Elle accepte aus
e légistes et un proconsul, Varus, pour prendre le commandement de la
nouvelle
province. Et c’est alors le désastre légendaire d
être le Gaulois s’était naguère romanisé. Or, en pays germain, la foi
nouvelle
ne pénétra que fort tard — première différence. C
n’a reçu qu’une empreinte et non subi un écrasement. Sous l’apparence
nouvelle
, ses qualités originelles ont pu s’atténuer, se d
ue, au xvie siècle, en un divorce radical et violent. En cette lutte
nouvelle
, le barbare réapparaît sous le nom de protestant.
on antique tombe en poudre ; les esprits s’éveillent pour fournir une
nouvelle
carrière… Rome, cette Rome toujours exécrée des S
siècle, cette aspiration profonde de l’Allemagne vers une existence
nouvelle
, purifiée de toute suprématie romaine, une de ces
et spirituellement l’Allemagne, de fonder véritablement une Allemagne
nouvelle
. Et, dans ce but, il voulait l’arracher à l’étrei
faut les chercher. Là où le terrain était riche et l’air sain, l’idée
nouvelle
a germé et s’est épanouie largement, tandis que l
sur le monde, et en nous-mêmes elle barre la route qui mène vers une
nouvelle
vie. Sur notre terre des fleurs d’un parfum et d’
, représentant une conception anachronique, et pour inaugurer une ère
nouvelle
, basée sur une conception nouvelle — une concepti
ronique, et pour inaugurer une ère nouvelle, basée sur une conception
nouvelle
— une conception occidentale — du monde et de la
itoyable opération, travailler à leur refaire un nouveau corps et une
nouvelle
conscience. Tirer du vieil être, remis au creuset
onc pas croire que nous préconisions une seconde Terreur, une édition
nouvelle
du Comité de Salut public, avec son corollaire d’
sme préconise la formation d’une humanité, d’une race ou d’une nation
nouvelle
au moyen de procédés rigoureusement scientifiques
base de santé et de force qui permettrait à la nation de fournir une
nouvelle
période d’existence. Ce serait là une simple opér
faut choisir entre le mot et la chose. Si on désire l’avènement d’une
nouvelle
mentalité, il n’y a qu’un moyen : renoncer au cul
é, en stérilisant par avance tous les germes d’une vie intellectuelle
nouvelle
. Notre programme devrait donc constituer l’enseig
ssetés qui l’opprime, peu à peu se délatinisant, engagé dans une voie
nouvelle
, se trouverait brusquement un jour devant de nouv
décisive, complète, de nature à clairement marquer le début d’une ère
nouvelle
, effet auquel n’atteindrait pas une atténuation l
smes, véritable foyer d’épidémies. Il sera toujours temps d’élever la
nouvelle
demeure où s’abritera la pensée religieuse de gén
e les souvenirs dont il est rempli, ne fussent plus forts que l’œuvre
nouvelle
et ne la fissent avorter, les âmes se trouvant re
nsciences, ramenées par la « maison commune » à l’humanité. Alors une
nouvelle
« église » serait née, et sur cette base de vérit
rogation du culte catholique et l’éveil favorise d’une vie religieuse
nouvelle
. Les opinions peuvent varier quant à l’opportunit
té en travail d’accomplir sa tâche et d’enfanter sans trouble une vie
nouvelle
. Après que les simples, les positifs, les non-int
éfice de la collectivité. Une fois celle-ci hors de danger et l’œuvre
nouvelle
enracinée, la liberté totale, qui alors sera auss
l’espoir d’une régénérescence, je cherche en vain le jet de vraie vie
nouvelle
parmi les ruines. J’aperçois, au contraire, de to
isans de la non-autorité, il en est qui préconisent l’éveil d’une vie
nouvelle
au sein de la masse par l’éducation, l’instructio
yonnement, par l’inaptitude à se plier aux conditions d’une existence
nouvelle
. Alors, la nation, comme refroidie et resserrée,
Tournons nos regards vers la vie, là où elle a resurgi avec une force
nouvelle
. Je ne puis m’empêcher de rappeler ici un conte,
retire, faisant place à un immense marécage encombré d’une végétation
nouvelle
et monstrueuse ? Mais le graduel effondrement de
lein orgueil, le marécage des antipodes s’est asséché ; la végétation
nouvelle
et monstrueuse y a grandi ; la terre usée, la ter
e meilleur et de plus vital. Pour que s’incarne dans le fait une idée
nouvelle
, il faut des terres nouvelles. Sur les vieux terr
accompagnent d’un enthousiasme juvénile pour les rythmes d’une époque
nouvelle
. René Ghil, nouvel Hésiode ? Les Dates et les Œ
étiques, n’en aura pas moins ouvert décisivement la voie à une poésie
nouvelle
, qui ose conjuguer l’Être et la lettre. Avan
1883-1884) D’une rive à l’autre — La Pleiade de « Fontanes » — La «
Nouvelle
Rive Gauche » et « Lutece » — « Lutece » retrouve
ils l’emportent captive. Ainsi s’exprimaient-ils innocemment en la «
Nouvelle
Rive Gauche ». Journal hebdomadaire, et seule rep
, Paul Meurice, Louis-Xavier de Ricard, luttant contre l’Empire… « La
Nouvelle
Rive » datait de Novembre 1882, littéraire à la r
que tout à coup en puissance, en 1885. Or, aux premiers numéros, la «
Nouvelle
Rive Gauche » ne paraît point avertie, ni pressen
rès quoi, viennent des vers d’Eugène Godin, Bibliques selon Hugo. Une
Nouvelle
de Coppée, une lettre de Cladel, suivent… Mais, e
Morice, Emile Michelet, mélodieux et mélancolique. Et, en avril, la «
Nouvelle
Rive » prend le titre de « Lutèce », sous lequel
ininterrompue de ses trains. Le soir était doux, un peu humide de la
nouvelle
mollesse d’atomes au printemps venant. Le ciel, m
elaire tributaires et quelques poèmes en prose, avait été révélé à la
nouvelle
génération, disions-nous, par la publications des
allarmé aux Concerts Lamoureux, et avec lui quasi toute la génération
nouvelle
! De ce dire nous trouvons témoignage en la Revue
al au xixe siècle, que : Les poèmes de M. René Ghil ont convaincu la
nouvelle
Ecole de la nécessité d’enrichir de science l’ins
et du bon sens ; après les éclectiques, les décadents. Comme « chaque
nouvelle
phase évolutive de l’art correspond exactement à
voici de Francisque Sarcey37, — de qui, aux premiers mois de 83, la «
Nouvelle
Rive Gauche », probablement alors à propos de Zol
caractères d’occasion, et mit le « Décadent » au service de la Poésie
nouvelle
. Mallarmé et moi en même temps avions été sollici
di et l’anacoluthe en suspens », demander sans rire pour l’expression
nouvelle
« une langue instaurée et modernisée, la langue d
soin de donner au public quelques explications supplémentaires. Cette
nouvelle
profession de foi a paru samedi dernier sous une
e avis. De nouveau la Revue « le Scapin » protesta, et data ainsi une
nouvelle
et plus précise entrée en lutte : — M. Jean Moré
guère taillé pour être un chef d’Ecole. L’enseigne de la littérature
nouvelle
serait bien plutôt M. René Ghil, l’auteur si atta
d’ailleurs de ce que nous disions, en insistant : dans la génération
nouvelle
, une préoccupation, primant tout et pour longtemp
éralise-t-il sous le terme « Décadents », et dit-il uniment : l’Ecole
nouvelle
. Il est tant parlé de Décadents et de Déliquesce
es publications où se formulent et sont pratiquées les théories de la
nouvelle
et remuante Ecole dont les prophètes sont : MM. S
rimées de l’Homme comme mesure du Monde : d’une rédaction entièrement
nouvelle
, ce Traitése reliait directement aux propositions
hologie Toutes les lyres (1909), nous relevons encore ceci : « Si la
nouvelle
génération tout entière subissait l’influence des
acité sur l’une des principales : avant tout, une grande partie de la
nouvelle
génération était rebutée par mes affirmations net
vilissement et la mort des personnalités, mais pour une vie hardie et
nouvelle
. » Au sommaire, les noms principaux de Stuart Me
le point essentiel de la pensée » « L’importance de cette technique
nouvelle
sera de permettre à tout vrai poète, disait-il, d
ne l’ont donc pas lu, et qu’est-ce alors ce riche débordement de sève
nouvelle
dans les veines de ses déshérités ? » Viennent en
mondain se pâme à la parole des Mages. Quant à la Presse, ce lui est
nouvelle
occasion de· patauger dans l’incohérence Par exe
e de lui procédant : il aperçoit les philosophes, les poètes de l’ère
nouvelle
, et dit… ». Suit un extrait d’Article sur le devo
ce moment, c’est par la presse, des lettres ensuite, que m’arriva la
nouvelle
. Je ne goûtai pas mieux la plaisanterie saugrenue
et indigné contre les ratés, quels qu’ils soient, qui ont lancé cette
nouvelle
. Je ne les connais pas car je ne vois pas cette p
ietur », ce que d’aucuns publièrent ensuite n’étant guère que mouture
nouvelle
des premières œuvres caractérisées, quand ce n’es
ns égotiste et spiritualiste d’hier et l’amour d’une langue poétique
nouvelle
retravaillée dans la préoccupation musicale, de p
, la valeur rénovatrice d’une « Idée » instaurant une Poésie vraiment
nouvelle
, c’est-à-dire adéquate aux connaissances, aux asp
où brillait la Pléiade. M. Jean Moréas est une des sept étoiles de la
nouvelle
pléiade. Je le tiens pour le Ronsard du Symbolism
ce concept, Abel Pelletier apportait à son drame une technique toute
nouvelle
qui traitait les personnages, c’est-à-dire l’idée
ce n’est qu’en la dernière édition D’En méthode en tête de l’édition
nouvelle
et revue de la Première Partie de Œuvre (Dire du
ture Gaston Moreilhon (en la « Vie », en « les Ecrits pour l’Art » de
nouvelle
série 1905, direction Jean Royère et en la « Rev
ttre de M. le Principal qui m’apprit, en me priant d’agréer d’eux une
nouvelle
lettre, mais d’excuses, que les deux vengeurs de
ui aussi, au nom du même idéal : notamment aux « Ecrits pour l’Art »,
nouvelle
série (année 1905), où il exposait les principes
ublia des poèmes d’une forme pleine, fluide, d’une plastique vraiment
nouvelle
, et des articles d’esthétique où il tentait de re
saturniens avait d’un Article enthousiaste salué au nom de la pléiade
nouvelle
le poète en qui ils reconnaissaient leur Maître.
e pierres précieuses. Mais, quelle souplesse mélodieuse du vers toute
nouvelle
, quelle science nouvelle aussi de la coupe de tel
s, quelle souplesse mélodieuse du vers toute nouvelle, quelle science
nouvelle
aussi de la coupe de tel vers, de manière à le re
Mallarmé si rare soit-elle, une renaissance d’enseignement pour toute
nouvelle
génération poétique, réside une action qui a été
e procédé analogique, sans que nous puissions saisir une venue d’idée
nouvelle
, grande et émotive universellement… Mais ne rem
rant davantage, il développa l’image d’un grand Drame poétique, d’une
nouvelle
Trétralogie. Telle qu’il en parla, il avait vu so
tte complexe et simultanée Figuration, doivent produire une communion
nouvelle
? Le poète ne l’a pas dit. Ils ne devaient être d
, le « Symbolisme » cependant a doué le « Moi » poétique d’une valeur
nouvelle
, qui tend à lui donner une unité philosophique. F
avons-nous dit, un mode de penser comme méthodisé, mais non une Idée
nouvelle
entraînant les thèmes nouveaux à la développer n
ceptible, tant le prestige est merveilleux de la technique prosodique
nouvelle
persuasive, tant s’impose surtout, suprêmement il
nérienne », lui vint le désir d’idées précises sur le christianisme :
nouvelle
étude qui le mena à la Bible et aux religions pri
estin et son génie avaient donné de faire pousser une essence d’arbre
nouvelle
dans la forêt abâtardie du vieux Romantisme. Je v
e troublent et s’inquiètent et s’appauvrissent de race… Cette matière
nouvelle
venant exalter son vœu d’action et son tempéramen
pellation quelque peu pompeuse de Congrès ! La presse avait publié la
nouvelle
, le programme dont les tendances apparaissaient c
ssentielle ? » — on nous lut l’exposé d’une technique évidemment très
nouvelle
: le « Vers-libéré ». Non ! pas le « Vers-libéré
épuisement de sa Beauté. Beauté inadaptable à l’esprit et à l’émotion
nouvelle
, à l’inspiration nouvelle où nous induit le moder
eauté inadaptable à l’esprit et à l’émotion nouvelle, à l’inspiration
nouvelle
où nous induit le moderne évertuement à la connai
municable » : est-il nécessaire de laisser la parole à un poète de la
nouvelle
génération, de qui soient appréciées parmi elle œ
de la nature et de la vie universelle » Et si l’on se reportait à la
nouvelle
enquête littéraire de Georges Le Cardonnel107, La
mmence à se révéler un sens, ou, si l’on veut, une faculté à peu près
nouvelle
dans notre littérature et particulièrement dans n
ne grande tradition, peuvent être immédiatement déterminants pour une
nouvelle
Inspiration poétique les retravaillant selon ses
tifie ou non, mon opinion est que l’année 1885 ouvre une ère poétique
nouvelle
: et c’est de l’ère Ghilienne — s’il doit enfin s
uvaise augure : avec l’empreinte d’évolution, une prise de possession
nouvelle
des temps et des œuvres, des interprétations de t
els Devanciers, et les aspirations et les puissances d’une génération
nouvelle
. Et c’est ainsi que Marcello-Fabri est arrivé à d
ne Orliac, Antoine Orliac, poète intense, pathétique, parmi la poésie
nouvelle
. Il a en 22, donné le premier livre d’une trilogi
d’un dénouement particulier d’où les résultantes ont la nécessité de
nouvelle
action, une action génératrice dont les leçons su
res pages mais en même temps les premières de l’histoire d’une époque
nouvelle
qui, pour une part dont leur œuvre donnera le poi
rd’hui (Compte-rendu par René Ghil dans la revue russe Viessy pour la
nouvelle
édition corrigée en 1909) 16. Edouard Rod (1857-
nik (pseudonyme de Léon Epinette), et d’abord parue sous le nom de La
Nouvelle
Rive Gauche (novembre 82-mars 83) : « Le berceau
puis rédacteur en chef (janvier 92-mars 93) de La Revue indépendante,
nouvelle
série. 71. Edmond Haraucourt (1856-1941) : poète
ms ? Être plus pessimiste que les romantiques et les naturalistes, la
nouvelle
littérature ne pourrait : elle l’est, seulement,
ts les plus rebelles ? Tout porte à croire que, dans ce sens, une ère
nouvelle
se prépare. Parsifal, « le miracle », comme l’ap
pouvoir faire comprendre ses œuvres, le déterminât à en composer une
nouvelle
, il fallait en vérité qu’il fût dans une disposit
divinité. Mais c’était à contre cœur qu’il adoptait cette conclusion
nouvelle
. À la fin jetant sa plume, il s’écria : « Eh bien
et objet sans antécédent, ne soit pas digne d’inaugurer une catégorie
nouvelle
. Un fait absolument nouveau ne peut donc être jug
loigné. « En vérité, dit-il, Lohengrin est une apparition entièrement
nouvelle
; elle ne pouvait surgir en aucun autre temps que
st pas en un jour, ni même en un siècle, que s’établit une conception
nouvelle
de la vie. Nous sommes donc dans une période de t
e génie artistique de l’Humanité est que cet effort appelle, ici, une
nouvelle
forme d’activité artistique, donnant à ce génie u
ouvelle forme d’activité artistique, donnant à ce génie une puissance
nouvelle
, l’aptitude à réaliser l’œuvre d’art dernière. Et
i générale humanité, et cependant si original ; ce serait cette forme
nouvelle
de l’art qu’avait, jadis, le monde ancien, et qui
Jardin d’Acclimatation : Andante et marche Nuptiale de Lohengrin.
Nouvelle
publication Les Lettres de Richard Wagner, bi
Victor Wilder ; quelques personnes, bien informées, déclarent même la
nouvelle
certaine… Il serait bizarre alors que les Maîtres
éception à laquelle devaient, du reste, s’attendre les lecteurs de la
nouvelle
de M. Jules Sandeau. Au point de vue de la scène,
vieillard. Ces deux jeunes gens semblent les chevaliers de la France
nouvelle
revenant de la croisade du devoir. L’émotion étai
e dans le salon, à la recherche d’une commandite : Jean lui confie sa
nouvelle
fortune et se fait, d’emblée, l’associé de cet ai
es a-t-il donc subies ? Quelles souffrances a-t-il endurées ? Dans la
nouvelle
de M. Jules Sandeau, Jean de Thommeray avait, du
Merson vont se séparer, le jeune Reynold accourt, radieux de la bonne
nouvelle
qu’il apporte. Il a trouvé le moyen, découvert l’
alléché par la brebis étrangère qui vient d’y être introduite. Cette
nouvelle
venue est mademoiselle Marie Letellier, une jolie
ttendri. Cependant mademoiselle Letellier vient apporter une fâcheuse
nouvelle
: le sinistre d’une grande banque du Havre est to
que les faux attraits de la vanité lui avaient fait méconnaître. A la
nouvelle
du sinistre des Fourchambault, les Rastiboulois a
tonner, de quoi passionner l’Europe savante, et la manière dont cette
nouvelle
fut accueillie, le prouve bien. Le même jour, pre
le génie et l’âme qui se sent immaculée. V. Tel tu as été dans la Vie
Nouvelle
, et les étoiles bienfaisantes ont fait de toi un
e l’art, comme dans le ciel libre, tu as déployé tes ailes : une muse
nouvelle
te montrait les ourses, et ton antenne, qu’aucune
sonne ne l’a vue encore assez souvent pour n’y pas trouver une beauté
nouvelle
. Celui-là seul goûte bien le fruit de la plante n
r une beauté nouvelle. Celui-là seul goûte bien le fruit de la plante
nouvelle
qui la connaît tout entière ; en elle se mire cel
ant l’heure de la vengeance ; c’est dans la satire une tactique toute
nouvelle
, et qui ne peut être pratiquée que par un esprit
érie retrouve celui qu’elle a béni et qu’elle espérait oublier. Cette
nouvelle
épreuve est au-dessus de ses forces, et Valérie n
courtoisie la plus indulgente ne nous permet pas d’applaudir l’œuvre
nouvelle
de M. Bulwer. Les personnages de la Duchesse de L
u franciscain de quitter la cour sans délai. Entre le roi ; c’est une
nouvelle
et magnifique occasion de haranguer ; le marquis
ssein, n’a rien trouvé de mieux que de nous présenter, sous une forme
nouvelle
, les idées exprimées sur le même sujet par Wilhel
trôlé avec soin, et la confiance qu’il nous inspire ajoute une valeur
nouvelle
à toutes ses pensées. Ce que j’ai dit d’Othello,
effet, qui ont lu le récit de Luigi da Porta savent très bien que la
nouvelle
italienne, malgré le charme ingénu de plusieurs d
années de la restauration et dans les premières années de la royauté
nouvelle
. Si Richard III est la seule histoire de Shakespe
temps, quand les prédications de Luther sont venues offrir une chance
nouvelle
au triomphe de la démocratie. Sans l’assistance d
arles Ier la ruine des abus, qui ne songeait pas à fonder une société
nouvelle
sur l’anéantissement du passé, avait derrière lui
ement avec le sujet nouveau qu’il a choisi. Ses études sur la Science
nouvelle
de Vico, recommandables à plus d’un titre, puisqu
sibles à toutes les intelligences les principes féconds de la Science
nouvelle
, qui, sans lui peut-être, fussent demeurés le par
réunis ? Eh bien ! le croirait-on ? ce procédé emprunté à la Science
nouvelle
, à qui nous devons la ruine, la dispersion de tou
n, qu’une foule de grands esprits ont cherché, ont trouvé dans la loi
nouvelle
, annoncée au monde, il y a dix-huit siècles, le g
droit ! vous êtes mon père ; ô justice ! vous êtes ma mère ? Et cette
nouvelle
trinité, qui doit détrôner la trinité chrétienne,
oir dans ces apostrophes au droit et à la justice, dans cette trinité
nouvelle
, dont les trois personnes n’ont encore entendu au
ose, c’est que M. Michelet, en invoquant les trois personnes de cette
nouvelle
trinité, les appelle tantôt ses pères, tantôt ses
appelle une expression rapide et fidèle, cherche vainement une forme
nouvelle
, ou ne la rencontre qu’à grand-peine, lorsqu’elle
e droit de croire qu’il veuille renverser une école, élever une école
nouvelle
. Il se complaît dans la peinture de la vie rustiq
Claudie, mais je suis loin de voir, dans ce drame, l’avènement d’une
nouvelle
doctrine poétique. S’il fallait, en effet, cherch
ne veulent lutter avec avantage contre l’école qui continue à se dire
nouvelle
, bien que la plupart de ses œuvres aient déjà sin
re et de Calderon pour l’analyse et la peinture des passions. L’œuvre
nouvelle
de George Sand, bien que défectueuse en plusieurs
ise grâce à insister sur ce point ; car M. Augier a mis dans la lutte
nouvelle
engagée entre Cléon et Paris tant de verve et de
r a cherché dans le développement du caractère d’Hippolyte une source
nouvelle
d’intérêt ; il a voulu que cette jeune esclave ne
ête à la fin du troisième acte ; avec le quatrième commence une pièce
nouvelle
, où l’auteur n’a pas montré moins d’habileté que
ésite pas à se dépouiller de ses richesses pour posséder librement sa
nouvelle
conquête. Elle n’estime pas Chalcidias au-dessous
je peux même dire, sans flatter l’auteur, que plusieurs parties de sa
nouvelle
comédie se recommandent par un style plus ferme,
lère aux reproches qu’ils ont mérités, ajoutant une page à la Science
nouvelle
de Vico, aux Idées de Herder sur la philosophie d
Charlotte Corday paraît l’avoir oublié. Ainsi, ma pensée sur l’œuvre
nouvelle
de M. Ponsard se réduit à des termes très simples
ux questions, nettement résolues, peuvent nous servir à juger l’œuvre
nouvelle
de M. Ponsard. Lydie était une courtisane ; mais
e trois ans à l’ode que M. Ponsard a choisie comme thème de son œuvre
nouvelle
. L’analyse des quatre odes qui nous occupent répo
nciliation avec Lydie. Voyons ce qu’il a fait. L’auteur de la comédie
nouvelle
a bien compris que la neuvième ode du troisième l
Toutefois ce n’est pas le reproche le plus sévère que mérite l’œuvre
nouvelle
de M. Ponsard. L’auteur, en effet, au lieu de lim
cation complète de toute personnalité. Il n’y a pas, dans la tragédie
nouvelle
, une scène qui relève de l’invention. Une paire d
n lui promettre une récompense, s’il réussit à découvrir le nom de la
nouvelle
maîtresse du comte de Saxe. Malgré la vivacité de
d’abord s’étaient portés sur madame d’Aumont, prennent une direction
nouvelle
dès qu’Adrienne a parlé. À l’embarras de Maurice
pression du désespoir des accents d’une puissance, d’une vérité toute
nouvelle
, si les paroles placées dans sa bouche eussent ét
son retour en France, après le traité de Madrid, quand il choisit une
nouvelle
maîtresse parmi les filles d’honneur de Louise de
es alliés qui s’étaient compromis pour lui. Les auteurs de la comédie
nouvelle
ne s’arrêtent pas devant ces misérables objection
cultés qui caractérisent l’homme d’état, et les auteurs de la comédie
nouvelle
ne paraissent pas y avoir songé. À Dieu ne plaise
r je crois pouvoir démontrer facilement que les auteurs de la comédie
nouvelle
ont fait une part beaucoup trop large à la fantai
e traité de Madrid, ils l’ont dénaturé, Les personnages de la comédie
nouvelle
n’ont absolument rien à démêler avec l’histoire.
ule page qui puisse servir à expliquer le Charles-Quint de la comédie
nouvelle
. L’empereur d’Allemagne, le monarque privilégié q
e donne doivent voter des actions de grâces aux auteurs de la comédie
nouvelle
pour le rajeunissement inattendu de ce type, déjà
fait pour provoquer les applaudissements. Marguerite, dans la comédie
nouvelle
, voudrait bien ressembler au Figaro de Beaumarcha
ir besoin d’être démontré ; mais au moins la Marguerite de la comédie
nouvelle
possède le mérite de la nouveauté. Tous ceux qui
autbois et de la clarinette. En présence d’une création si hardie, si
nouvelle
, si parfaitement inattendue, est-il permis de par
e tiendra pas pour battu, et reproduira cette entrevue sous une forme
nouvelle
. François Ier, prisonnier de Charles-Quint, battu
Quint, qui pourrait troubler la cérémonie, Marguerite lui raconte une
nouvelle
encore inachevée dont elle cherche le dénouement,
on sur le langage de Charles-Quint, quand je signale la syntaxe toute
nouvelle
qu’il veut mettre en honneur à la cour de Madrid,
téméraire qui a dérobé le feu de l’Olympe et tenté la création d’une
nouvelle
race humaine, il s’apitoie sur le sort de la vict
ances qu’il lui inflige éveille en son cœur un nouveau remords et une
nouvelle
honte. Pour la première fois il se sent humilié d
littéraire, une fois en possession d’une idée quelconque, vieille ou
nouvelle
, indigente ou opulente, ne l’abandonne qu’après l
an-Jacques Rousseau, comme madame de Staël ; ce serait recommencer la
Nouvelle
Héloïse et Delphine, ce serait nous ramener à l’e
t contrôlée : ceux qui dirigent les grandes usines de cette industrie
nouvelle
n’ont jamais conçu, jamais cherché de plan ; c’es
uplissement de l’alexandrin. Oui, je le reconnais volontiers, l’école
nouvelle
a rendu l’alexandrin plus docile et plus ductile
des prodiges de naïveté, comparés aux sentiments exprimés par l’école
nouvelle
. Il y a dans le dialogue des personnages une arde
rappeler l’attitude de l’auditoire à la reprise des œuvres de l’école
nouvelle
. Les scènes applaudies le premier jour comme neuv
ement se changeait en éclats de rire. C’est que la passion de l’école
nouvelle
pour l’exactitude littérale du costume et de l’am
idèlement ma pensée. Allons au fond des choses. Non seulement l’école
nouvelle
mettait le costume et l’ameublement au-dessus des
s mécomptes. Et pourtant n’est-ce pas là le procédé suivi par l’école
nouvelle
en mainte occasion ? Combien de fois n’a-t-elle p
a place de l’admiration : la chose est pourtant toute simple. L’école
nouvelle
promettait de mettre sur la scène la vérité histo
a philosophie dans le domaine poétique, et pour toute réponse l’école
nouvelle
lui a donné des bouts-rimés. Comment les accueill
, un présage, une ébauche du jugement que portera l’histoire. L’école
nouvelle
, qui promettait en 1827 de régénérer le théâtre,
tends par encouragement. Tout esprit qui essaie de se frayer une voie
nouvelle
, qui relève de lui-même, et de lui-même seulement
m’appuyant sur cette autorité que je vais essayer de caractériser la
nouvelle
génération littéraire qui grandit sous nos yeux.
e qui grandit sous nos yeux. Je ne veux pas appliquer à la génération
nouvelle
la même rigueur qu’à la génération déjà mûre, et
ances ne sauraient s’élever au-dessus de nos souvenirs. La génération
nouvelle
en est encore aux tâtonnements ; il n’est donc pa
ation, et même, à parler franchement, les tentatives de la génération
nouvelle
ne relèvent d’aucune doctrine. Il y a dans les in
tous les hommes éclairés ; c’est tout simplement le signal d’une ère
nouvelle
qui n’a pas encore trouvé sa voie. L’imitation n’
. Henri Murger occupe, dès à présent, dans les rangs de la génération
nouvelle
, une place honorable qu’il gardera sans doute. Je
à quoi s’en tenir sur cette question. Est-ce à dire que la génération
nouvelle
soit condamnée à la médiocrité ? Telle n’est pas
’est pas une raison suffisante pour lancer à la face de la génération
nouvelle
l’anathème familier aux vieillards ignorants ou i
thème familier aux vieillards ignorants ou impuissants. La génération
nouvelle
a fait ses preuves de bon vouloir et d’intelligen
rises entre l’avènement et la chute de la restauration, la génération
nouvelle
a de quoi s’inspirer. Le Théâtre de Clara Gazul e
ialogue du Pêcheur et de Salvator. Avec de tels modèles la génération
nouvelle
ne peut manquer de trouver sa voie. Un talent ing
un rang élevé que personne ne songe à lui disputer, et la génération
nouvelle
ne consultera pas en vain ses ouvrages. Si la lec
mps. Ses œuvres, si nombreuses et si variées, offrent à la génération
nouvelle
une double leçon. Tant qu’il s’est tenu dans le d
eignement significatif, un avertissement salutaire pour la génération
nouvelle
? Quel sera l’avenir prochain de notre littératur
ntier à ses inspirations, le génie français dit assez à la génération
nouvelle
le chemin où elle doit s’engager. L’étude exclusi
sujet d’imitation, que les intelligences boiteuses. Si la génération
nouvelle
se décide à s’interroger, si elle renonce à décri
ssons à chacune de nos facultés son rôle et sa mission. La génération
nouvelle
, moins puissante et moins glorieuse à cette heure
remercier M. Livet d’avoir songé à procurer (c’est l’ancien mot) une
nouvelle
édition de ces histoires de Pellisson et de d’Oli
parler surtout de l’ancienne Académie détruite en 1793 ; car, pour la
nouvelle
, les documents et les souvenirs surabondent. L’im
r d’attirer sur lui l’indignation de celui qui peut toutes choses. La
nouvelle
s’en est répandue partout où il est connu, et ami
uarante fauteuils de l’ancienne Académie ne se sont pas transmis à la
nouvelle
. Pour les curieux et ceux qui tiennent à savoir p
fois donné la série des académiciens par fauteuil : à chaque élection
nouvelle
d’un membre, on ne manque guère de dire qu’il occ
e impression heureuse que procure aux vrais amis des lettres la grâce
nouvelle
de l’esprit et le brillant prélude du talent. » —
t académique, dont il ne se rencontre plus guère d’exemple. Une bonne
nouvelle
cependant : le dictionnaire de l’Académie, non pa
qu’elle nous montre Jean-Jacques au naturel depuis le lendemain de La
Nouvelle
Héloïse jusqu’au moment où sa raison s’altéra irr
e. Comment décrire cette insurrection universelle qui éclata après La
Nouvelle
Héloïse, après l’Émile (1759-1762), qui devança l
Ville de Paris. Elle avait près de trente ans à l’époque où parut La
Nouvelle
Héloïse : c’est l’âge où les plus sages des femme
n aime, même dans ce qu’on admire. Il y avait deux années déjà que La
Nouvelle
Héloïse avait paru, et qu’elle enflammait de tout
ici le rôle de Claire, et qui dénonçait à Jean-Jacques l’admiratrice
nouvelle
, digne elle-même d’être admirée. Après d’assez lo
, on est toujours sensible à ces engageantes avances d’une admiration
nouvelle
et mystérieuse encore. Mais, dès cette première l
se croyait déjà une vieille amie, qu’elle n’est pour lui qu’une amie
nouvelle
, qui fait nombre avec tant d’autres, et qui n’a p
et assortir aux tons variés d’une lyre pins savante. Sous cette forme
nouvelle
, allait renaître ce que nous avons çà et là recue
lyrique ; et c’est ailleurs qu’il faut chercher ces germes de poésie
nouvelle
déjà semés dans l’Europe, couvés sous les feux du
ents subtils, les raffinements du langage précédèrent, dans la poésie
nouvelle
, l’accent de la passion et les élans de l’âme. À
é sans doute à Béatrix enfant : « Je suis jeune fille, belle et toute
nouvelle
; et je suis descendue, pour me montrer à vous, d
t le répète ; elle lui prend ses fictions et les éclaire d’une vérité
nouvelle
; elle lui prend ses vérités, et les rend plus pa
er ainsi dans les décombres du langage romain un relief dont l’Italie
nouvelle
allait revêtir son idiome populaire. Voici cette
sous les nuits lumineuses du désert, le poëte avait ainsi jeté la vie
nouvelle
de l’amour pur. Cette ardeur de l’aine pouvait-el
t dans tous les modes de son existence. Si l’homme défriche une terre
nouvelle
que le fer n’ait pas encore déchirée, il sort de
. Nous avons vu, au commencement de cet ouvrage, que la société était
nouvelle
, dans la plus rigoureuse acception du mot : alors
mot : alors les hommes qui se sont trouvés à la tête de cette société
nouvelle
ont voulu fonder une aristocratie prise dans le t
onner un nom nouveau pour se déclarer les gentilshommes de la société
nouvelle
. Ils n’ont pas fait attention, d’une part, que ce
au milieu de nous ont peine à se traîner du jour au lendemain. L’ère
nouvelle
n’est donc point, comme on l’a cru, celle de la l
inion consultée à chaque instant, et à part même de toute conjoncture
nouvelle
. XI Le problème de l’origine de la société
essentiellement française, essentiellement originale, essentiellement
nouvelle
. Française, elle l’est par la clarté, par la conc
nd reproche que lui ont sans cesse adressés ses amis et ses ennemis ;
nouvelle
, j’insiste là-dessus ; elle a été, elle est, elle
j’insiste là-dessus ; elle a été, elle est, elle restera étonnamment
nouvelle
et primesautière ; ceci est sa gloire, la meilleu
unetière À qui se fier, je vous le demande, ô compagnons de la vie
nouvelle
, et sur qui compterons-nous désormais, si M. Paul
au fond du cœur, Celles que tu créas rêvent d’une douleur Étrangement
nouvelle
et fervemment humaine, Et crient au loin ton nom
es capacités de l’auteur ? Je ne le crois pas. Si l’on ne fait aucune
nouvelle
conquête sur l’inconnu, on organise du moins son
le plus ou moins complexe la constitution mentale d’un individu Cette
nouvelle
synthèse, à laquelle une méthode rigoureuse donne
omplète, mais suffisante. § 2. — La biographie vient alors offrir une
nouvelle
source de renseignements. On ne se souciait guère
importantes. La biographie d’un auteur éclaire d’abord d’une lumière
nouvelle
sa structure psychologique. Ce ne sont plus maint
le. Le malheur est qu’au moment où nous sommes parvenus cette méthode
nouvelle
offre peu de ressources pour le passé. Les morts
du pouvoir absolu ; il veut que l’on fonde l’ancienne société avec la
nouvelle
; il accuse de folie toutes les revendications de
ts révolutionnaires : il comprend et admire la gloire militaire de la
nouvelle
France ; il combat avec une énergie qui ne fut pa
Les économistes sont les premiers, parmi les partisans de la société
nouvelle
, qui aient discuté cette idée de l’État et qui ai
sentiment intime et mystérieux d’un nouveau printemps et d’une nature
nouvelle
. » Les seules idées qui aient un peu de corps dan
ivant les uns, cette révolution doit se terminer par une organisation
nouvelle
de la société sous l’empire d’un gouvernement pop
l. § II. Corollaires relatifs aux principaux aspects de la science
nouvelle
1. On peut conclure de tout ce qui précède qu
ut ce qui précède que, conformément au premier principe de la Science
nouvelle
, développé dans le chapitre de la Méthode (l’homm
du genre humain. Aussi, sous un de ses principaux aspects, la Science
nouvelle
est d’abord une théologie civile, une explication
leur théologie naturelle. 2. Un autre aspect principal de la science
nouvelle
, c’est une philosophie de la propriété (ou autori
. 7. Considérée sous le dernier de ses principaux aspects, la Science
nouvelle
nous donnera les principes et les origines de l’h
iat. Ce vers devient nôtre en quelque façon, à cause que l’expression
nouvelle
que nous avons prêtée à la pensée d’autrui nous a
que autant d’invention, qu’en montre la production d’une pensée toute
nouvelle
. Voilà ce qui fit dire à La Bruyere que Despreaux
allerie de Versailles. Les lecteurs retrouvent avec plaisir, sous une
nouvelle
forme, la pensée qui leur plût autrefois en latin
dre une autre ; ils quittent celle de leur maître pour s’en faire une
nouvelle
. Par maître, j’entens ici les ouvrages aussi bien
ional, je regardais l’époque de la révolution de France comme une ère
nouvelle
pour le monde intellectuel. Peut-être n’est-ce qu
ds progrès pour les lumières et la civilisation. L’introduction d’une
nouvelle
classe dans le gouvernement de France devait prod
es, les progrès des lumières, et de leur donner ensuite une impulsion
nouvelle
. Il faut donc examiner d’abord les deux principau
lorable de Marcel Proust a déjà fait éclore de nombreux articles ; La
Nouvelle
Revue française du 1er janvier en contient à elle
de nouvelles méthodes pour explorer celle-ci, dans l’invention d’une
nouvelle
manière d’attaquer les sentiments et les sensatio
d’une activité menteresse, peut cependant fournir une vue absolument
nouvelle
de toute la vie consciente. Je vais tout de suite
er. Freud nous apporte deux choses ; un nouveau monde de faits, une «
nouvelle
famille de faits » (là-dessus je me sens d’un avi
les Romains qui lui conteste cette sorte de découverte), et sinon une
nouvelle
« loi » de ces faits, du moins une nouvelle métho
découverte), et sinon une nouvelle « loi » de ces faits, du moins une
nouvelle
méthode pour les explorer, ou plus vaguement, une
moins une nouvelle méthode pour les explorer, ou plus vaguement, une
nouvelle
attitude à prendre à leur égard. Le nouveau monde
ruses et les moyens de les déjouer. Plus généralement il esquisse une
nouvelle
attitude introspective qui peut être l’origine de
nouvelle attitude introspective qui peut être l’origine de toute une
nouvelle
orientation des recherches psychologiques. Cette
n général, bien entendu, mais de cette œuvre en tant que source d’une
nouvelle
orientation de la psychologie, je me sens de nouv
première cuillerée de thé. Je retrouve le même état, sans une clarté
nouvelle
. Je demande à mon esprit un effort de plus, de ra
e passage que nous avons publié, sous ce titre, l’an dernier, dans la
Nouvelle
Revue française. Permettez-moi, je vous prie, de
ro, ce fragment de la Prisonnière qu’a publié le numéro spécial de la
Nouvelle
Revue française, ce passage où par la lecture du
rêter au détail psychologique. Mais justement nous retrouvons ici une
nouvelle
fois cette antinomie que nous avions observée, so
qui porte des marques particulièrement frappantes de la mentalité si
nouvelle
qu’il apporte dans l’approfondissement des choses
remarque, il faut dire que la condition, chez Proust, de la façon si
nouvelle
, si prodigieusement féconde dont il a pu aborder
en idées claires 42. Je pense que vous êtes frappés comme moi de la
nouvelle
subite ressemblance que ces passages font éclater
s qui n’ont jamais été atteintes jusqu’à ce jour. Conclusions. Une
nouvelle
orientation de la Psychologie65 [31 janvier 19
st, et qui d’ailleurs comme principe général n’est pas une découverte
nouvelle
. Il y a autre chose en nous que ce remplacement d
ré vos efforts pour le montrer, qu’il les ait obtenus par une méthode
nouvelle
, ni même par une attitude nouvelle en face de la
il les ait obtenus par une méthode nouvelle, ni même par une attitude
nouvelle
en face de la conscience. Je vois bien l’approfon
même temps que le principal, le seul mérite), qu’elle ouvre une voie
nouvelle
, une direction nouvelle à la psychologie, j’enten
ipal, le seul mérite), qu’elle ouvre une voie nouvelle, une direction
nouvelle
à la psychologie, j’entends à la psychologie roma
ici de la psychologie expérimentale). Elle correspond à une attitude
nouvelle
; elle peut déterminer un changement d’orientatio
contenu si consistant, si explicite auquel elle donnait une force si
nouvelle
, si originale, que ceux qui l’avaient entendue la
n apparence. Vous trouverez d’ailleurs dans le numéro spécial, que la
Nouvelle
Revue française lui a consacré après sa mort, une
re. À moi, c’était le plus souvent une insertion de manuscrit dans la
Nouvelle
Revue française. (Je ne parle pas des innombrable
contenu si consistant, si explicite, auquel elle donnait une force si
nouvelle
, si originale, que ceux qui l’avaient entendue la
n contenu si consistant, si explicite, auquel elle donne une force si
nouvelle
, si originale, que ceux qui l’ont entendue la con
s’ébat d’obscur dans l’homme, jusqu’à lui communiquer « une force si
nouvelle
, si originale » que nous pouvons le « conserver d
temps perdu, tome I. Du côté de chez Swann, p. 45 de l’édition de la
Nouvelle
Revue française. 11. Du côté de chez Swann, p.
bid., p. 253. 27. La Prisonnière, Ier volume, p. 113 (édition de la
Nouvelle
Revue française). 28. Du côté de chez Swann, p.
re, Ier volume, p. 232. 38. Du côté de chez Swann, p. 327. 39. La
Nouvelle
Revue française, 1er janvier 1923 : Hommage à Mar
nnu, prononcer la bonne parole, investir les hommes d’une sensibilité
nouvelle
, voilà une mission sainte et admirable. On connaî
ant le pays où elle nous mène, vers quelle cité céleste, quelle terre
nouvelle
ou quelle contrée d’enfer elle pourra nous condui
s premiers frappés par la bonne parole, s’enthousiasment pour l’œuvre
nouvelle
. On peut se persuader que si les messies des anci
able, où achèveront de se déprimer ceux des hommes qui y vécurent. La
nouvelle
Jeunesse qui sourit maintenant à la vie, ravie et
véhément et hautain du Docteur Stockmann fut regardé ainsi qu’une foi
nouvelle
, comme la seule religion des hommes modernes, pou
, dans notre doute. Enfin, nous nous sommes ressaisis. On le sait, la
nouvelle
jeunesse a renoué d’augustes traditions. Née aprè
réputation d’immoralité, à lui qui fut le vulgarisateur de la morale
nouvelle
, de cette morale qu’on pourrait appeler « la mora
umanité. MAURICE LE BLOND. III Un jeune poète de la génération
nouvelle
, M. Joachim Gasquet, s’exprimant sur Émile Zola,
chaos vers l’ordre et vers l’harmonie. Mais c’eût été recommencer une
nouvelle
Légende des Siècles, donnant trop d’envergure à l
t de reconquérir leurs anciennes prérogatives ; de l’autre, une caste
nouvelle
, qui devait son élévation à la faveur des événeme
L’humanité a donc besoin de rudes héros pour donner à nos esprits une
nouvelle
impulsion. C’est pourquoi la venue de Zola était
loquence : « Toute la révolution littéraire de 1830 est là, dans une
nouvelle
société cherchant un mode nouveau d’exprimer ses
de renouveau. Nous y assistons au recommencement d’une humanité, à la
nouvelle
floraison d’une race. Car il faut bien l’avouer,
s. Il aura trouvé dans le matérialisme les principes d’une esthétique
nouvelle
. Il aura rétabli les êtres dans leur rapport natu
plus élevés, les âmes les plus ardentes, d’annoncer partout la bonne
nouvelle
sous la forme de l’instruction scientifique aux m
isse et les dernières pages sont à peine assez fortes d’élan vers une
nouvelle
lutte, un nouvel espoir de vie pour vous donner l
gédie. Saint-Réal a commencé et a écrit, dans ce genre spécieux de la
nouvelle
historique, un petit roman aussi faux dans son ge
i n’eût pas craint la comparaison avec celui de Mme de La Fayette. La
nouvelle
de Saint-Réal ne se présentait qu’appuyée et comm
harles-Quint, alors en Allemagne, joie sitôt attristée par la seconde
nouvelle
funèbre. Il paraît que dès le sein et en tétant,
h de France, sœur des Valois (janvier 1560). En arrivant à Tolède, la
nouvelle
reine fut reçue par don Carlos, et, à la vue de c
fit une chute et se blessa grièvement à la tête (19 avril 1562). A la
nouvelle
du fâcheux accident, Philippe II fut plein d’inqu
ha vers ce temps et lui prouva qu’il y avait à espérer de ce côté une
nouvelle
tige féconde. Don Carlos ayant été choisi pour êt
e voudrais pas que la fantaisie vous vînt maintenant de commettre une
nouvelle
témérité, en suppliant mon père de me laisser en
t-il à la prière de Marie-Antoinette ; le déserteur, dans une version
nouvelle
de la pièce, fut gracié au dernier moment. Plus t
e en séparant par sa mort ceux qu’il a séparés de son vivant. Dans la
Nouvelle
Héloïse, c’est la femme qui périt par accident, j
iques de la femme adultère. Il y aura au théâtre toute une esthétique
nouvelle
, et ce ne sera pas un des moins heureux effets de
, femme entre deux maris, mari entre deux femmes ont ouvert une veine
nouvelle
de situations aisément drolatiques. Autre changem
illés et partagés entre le père et la mère désunis. Si elle n’est pas
nouvelle
, si elle existe plus grave, plus triste encore da
trêmes ; la critique au jour le jour, le roman débité en tranches, la
nouvelle
, l’essai, en un mot l’exposé, le commentaire et l
is aux écrivains de prendre dans le monde la situation confortable et
nouvelle
pour eux de propriétaires ; qu’elles leur ont fou
dans les écrits politiques de Jean-Jacques Rousseau. — § IV. Dans la
Nouvelle
Héloïse. — § V. Dans l’Émile. — § VI. Dans les Co
t s’autoriser d’aucun nom plus que du sien. § IV. L’utopie dans la
Nouvelle
Héloïse. Tout est utopie dans la Nouvelle Hélo
§ IV. L’utopie dans la Nouvelle Héloïse. Tout est utopie dans la
Nouvelle
Héloïse ; mais du moins le chimérique ne messied
pies ne soient de beaucoup les meilleurs : Gil Blas vaut mieux que la
Nouvelle
Héloïse. Quand Rousseau conçut l’idée de son roma
ilà des caractères tout au moins singuliers. Cependant l’utopie de la
Nouvelle
Héloïse est bien plus dans les sentiments que dan
mants qui pensent plus qu’ils ne sentent. On sait si les amants de la
Nouvelle
Héloïse se font faute de penser. Ils se piquent n
ses amis, c’est qu’il était seul digne d’en avoir. Le but moral de la
Nouvelle
Héloïse n’est pas moins chimérique que les sentim
beau dire, dans sa correspondance, que « quiconque, après avoir lu la
Nouvelle
Héloïse, la peut regarder comme un livre de mauva
cette double menace, je me risque à dire, avec tout le monde, que la
Nouvelle
Héloïse n’est ni un livre utile ni un livre de bo
ur nos faiblesses. Rousseau, en traçant les tableaux voluptueux de la
Nouvelle
Héloïse, entendait bien qu’on les vît avec le pla
Émile. Émile et son gouverneur, comme les amants et les amis de la
Nouvelle
Héloïse, comme le souverain du Contrat social, so
ls ne servent qu’à le faire ressortir lui-même. Les Confessions et la
Nouvelle
Héloïse sont deux romans ; seulement le plus agré
res Bossange ; ç’a été l’occasion naturelle, le point de départ d’une
nouvelle
étude où l’on a repris et pesé scrupuleusement le
cautions, que de compliments et de flatteries avant de risquer l’idée
nouvelle
qui lui est venue un matin, et qu’elle voudrait,
nce, et ont, en naissant, de quoi faire leur chemin. Du moment que la
nouvelle
reine d’Espagne est une princesse de Savoie, il e
à son tour, paraisse désirer Mme des Ursins et pas une autre qu’elle.
Nouvelle
provocation indirecte, nouvelle insinuation (29 m
des Ursins et pas une autre qu’elle. Nouvelle provocation indirecte,
nouvelle
insinuation (29 mars 1701) : Je ne dois, madame,
renoncer aux vues qu’on avait sur la princesse sa fille : « Si cette
nouvelle
est véritable, écrit Mme des Ursins, je vous supp
La Poésie
nouvelle
dont il est ici question n’est pas seulement une
, confiants en eux-mêmes, ils s’élancèrent à la conquête d’une Beauté
nouvelle
, de leur Beauté ! Il serait oiseux de leur cherch
l’une de ses plus belles époques de fécondité. Et puis, cette poésie
nouvelle
, à son tour vieillira ; elle deviendra un poncif
elle. Il n’y a pas de preuve meilleure de la vitalité de cette poésie
nouvelle
que le fait d’avoir survécu, malgré tout, à de te
sement avec la naissance et l’épanouissement merveilleux d’une poésie
nouvelle
. Celle-ci a, tout d’abord, pour elle son abondan
: ils cherchèrent un mode d’expression nouveau pour une vision toute
nouvelle
de la réalité. L’introduction du symbolisme dan
ils introduisent dans leurs vers, ils ne constituent pas une métrique
nouvelle
, mais plutôt un retour à la manière romantique. L
u près à la même époque qu’ils adoptèrent l’un et l’autre cette forme
nouvelle
, et premièrement sans doute dans des oeuvres d’es
e Gustave Kahn était, en vérité, celle que réclamait cette conception
nouvelle
de la poésie qui tendait alors à se faire jour.
elle l’obtenait par la rime et par le nombre des syllabes. La poésie
nouvelle
a détruit toute la draconienne réglementation qui
autant des autres syllabes que de cette syllabe spéciale… La poésie
nouvelle
a détruit la versification fondée sur le nombre r
rde à merveille avec l’extrême souplesse et la variété de la métrique
nouvelle
. Etant donnée cette double inégalité des syllabe
ins accentuées qui la composent. C’est à ce principe que la métrique
nouvelle
se rattache, et c’est à cette heureuse répartitio
c le pion de M. Jourdain, entre la prose et les vers. (Si la métrique
nouvelle
tend à faire disparaître cette absolue séparation
èlent pas sur le corps humain, mais le dissimulent. La forme poétique
nouvelle
qu’ont inventée les Symbolistes suit, au contrair
née d’exprimer autre chose, des sensations inconnues, dans une langue
nouvelle
. Sur son char d’or, bordé de noirs raisins, Ly
t, d’un mot, contre toute servitude et toute loi, la rébellion. A la
nouvelle
de la levée du Siège, dans les premiers mois de 1
rasser qu’ils ne laissent apercevoir l’invention décisive d’une forme
nouvelle
. En dépit des assonances, des césures faussées et
e liquider ce passé, de fuir et, coûte que coûte, d’entamer de la vie
nouvelle
. Il semble qu’il ait eu alors des querelles ave
, il ne s’agit plus pour lui que de trouver les moyens de partir. Une
nouvelle
période de sa pauvre vie commence, plus hasardeus
n vous dit mort, vous. Que le diable, Emporte avec qui la colporte La
nouvelle
irrémédiable Qui vient ainsi battre ma porte !
oit exprimer. La philosophie de l’Inconscient exigeait une esthétique
nouvelle
, et c’est précisément celle-là qu’a voulu énoncer
dessus posés théoriquement. C’est ainsi qu’il adapte à sa destination
nouvelle
l’instrument poétique dont il dispose, langue et
ement à moi de tes paupières… Et voici ce qu’ils deviennent dans la
nouvelle
rédaction des Derniers Vers : Oh ! Baptême !
un grand nombre de mètres divers. Qu’y a-t-il donc de nouveau dans sa
nouvelle
métrique ? Plus logique avec lui-même, il ne fait
ristesse infinie, à une détresse morne, que le poète esquive avec une
nouvelle
espièglerie : Allons, dernier des poètes, Tou
et hardie, qu’il faut le considérer comme l’un des héros de la poésie
nouvelle
. Ses idées, qui forment un tout si cohérent et ha
et capables de constituer, à la place des genres périmés, une poésie
nouvelle
. Les principes littéraires de Kahn, tels que,
ise « étude sur le vers libre », où les principes de la versification
nouvelle
sont pour la première fois énoncés d’une façon ju
eure à l’épanouissement complet de l’impressionnisme, — tandis que la
nouvelle
école, qui succédait au Parnasse, se recruta dans
erçue, de la musique allemande amena les artisans de la versification
nouvelle
à concevoir une forme poétique moins strictement
es jeux frivoles de mandarin, mais elles sont toutes au service d’une
nouvelle
inspiration poétique. Kahn est symboliste. Il imp
voix, souvent dominante, entre dans la symphonie totale de l’âme. Une
nouvelle
philosophie a conduit à ce principe qu’il n’y a r
à peu près régulière : mais ceux-là même ont déjà une sonorité toute
nouvelle
et presque tous sont d’un rythme complexe et vari
il fallait que le poète les perçût le premier pour qu’une génération
nouvelle
inconsciemment s’en imprégnât et finît par s’y re
e les Palais Nomades, et il faut les considérer comme une application
nouvelle
, — et, cette fois, à des motifs d’amour, — de la
agination privilégiée, toute à elle-même, habile à orner d’une beauté
nouvelle
les heures nouvelles… En 1895,96 et 97, Kahn p
sienne et, de bonne heure, on le considéra comme l’un des chefs de la
nouvelle
école, Lui-même eut, à son propre endroit, cette
as « manouvriers » littéraires. Et c’est ce que prétendit réaliser la
nouvelle
école dont Moréas se faisait le héraut. Aussi pr
e juste. C’est, en effet, par l’emploi du symbole que se spécifie la
nouvelle
esthétique, et non seulement la poésie, mais « la
scandés d’une façon variée et vite intelligible, apportent une toute
nouvelle
harmonie, qu’on n’avait pas encore entendue, d’un
Telle est la première manière de Moréas. Or, en 1892, en tête d’une
nouvelle
édition des Syrtes67 , il écrit : « L’auteur a pe
et ample réserve où il prendra tout ce qu’il trouvera de bon pour la
nouvelle
. Reste à savoir comment il a fait ce choix, et c’
formations de l’alexandrin »69, il convient aussi de constater que la
nouvelle
métrique s’apparente aux métriques étrangères bea
une conscience plus nette de son esthétique, Moréas donne une édition
nouvelle
du Pèlerin passionné, qui est caractéristique70.
peur de la peur, — et voici qu’une angoisse inattendue apportera une
nouvelle
souffrance à cette âme qui n’est altérée que de s
ce des imperfections de l’ancienne métrique et qu’il s’achemine à une
nouvelle
. Ses incertitudes se font surtout sentir, — pour
iété. Les revues belges auxquelles il collabora d’abord, — la Société
nouvelle
, par exemple, — ne bataillaient pas moins pour la
ntique signification. « Rites de fable perdue », épars dans la pensée
nouvelle
et qui lui communiquent leur caractère énigmatiqu
Henri de Régnier n’avait voulu inaugurer, avec d’autres, une poétique
nouvelle
, il aurait été l’un des plus forts parmi les Parn
e. Mais c’est à ces audaces qu’aboutit le premier effort de la poésie
nouvelle
lorsque, ayant décidé de rompre avec les règles p
sage, des défauts de sa métrique et qu’ensuite, adoptant une métrique
nouvelle
, il l’a basée sur la négation de ces défauts-là,
de la langue française…103. » Or si l’on y songe, de cette conception
nouvelle
de l’E muet résulte une transformation complète d
odie arithmétique104. » Voilà l’essentiel. Le principe de la prosodie
nouvelle
consiste à substituer, dans l’évaluation des syll
herche par le besoin qu’ils avaient d’un vers nouveau pour une pensée
nouvelle
. Ils n’ont pas envisagé la forme d’une manière ab
de gracieux et d’émouvant dans cette union de l’âme ancienne et de la
nouvelle
, semblables au fond et pareillement troublées de
mblable philosophie, élargie seulement et développée, et ils sont une
nouvelle
application de la même esthétique. Mais l’allégre
soldat le frappe. Et quand il meurt, Thalie arrive, — Thalie, la vie
nouvelle
, celle qu’il a choisie, élue, et vers laquelle en
uté. Cette pensée est en perpétuel pèlerinage vers quelque apparition
nouvelle
de son idéal. Il n’y a pour elle ni repos ni trêv
e. Surtout, il faut entendre l’appel joyeux de la vie, incessamment
nouvelle
. Il ne faut s’attarder ni au rêve choyé ni au poè
dur, ni la volupté délicieuse, ni l’art enivrant, mais qu’une ferveur
nouvelle
éveille toujours à d’autres rêves, à d’autres ard
le son même de ces vers, ne vient pas de l’application d’une métrique
nouvelle
, mais plutôt d’un art singulier d’éveiller sur de
d’hui, dit Maeterlinck, on dirait que l’idée du Destin se réveille. »
Nouvelle
réaction contre le positivisme, qui, dans cette p
en la compliquant d’épisodes nombreux, mais il lui a donné une toute
nouvelle
signification. Il ne s’agit pas ici de décider si
strophes minutieuses et subtiles de jadis ne conviendraient plus à sa
nouvelle
et large et généreuse inspiration. Le vers libre
es encore dont frémirent des ancêtres défunts. Ainsi survit, en l’âme
nouvelle
, la passion presque séculaire de « l’oncle pensif
e l’avant-garde du cortège. Les nymphes, à petits cris, colportent la
nouvelle
. Flore s’éveille et la grasse Pomone ; les dieux
le héros… Après avoir peuplé le monde de toute la pensée ancienne ou
nouvelle
, de toute la beauté diverse qui en compose la vie
— Les Cantilènes, Paris, Vanier, 1886. 67. Les Syrtes (1883-1884),
nouvelle
édition, Paris, Vanier, 1892. 68. Le Pèlerin p
0. Griffin a souvent insisté sur le caractère anarchique de la poésie
nouvelle
. Dans un article du Mercure de France (oct. 1895)
un article du Mercure de France (oct. 1895), intitulé : « La poétique
nouvelle
, à propos d’un article récent de la Revue des Deu
mitage (février 1899). 119. Première édition. Paris, Vanier, 1889 :
nouvelle
édition à Bruxelles, chez Lacomblez, 1890. 120.
un recueil d’un indiscutable talent, dans lequel se trouve Véra, une
nouvelle
que Des Esseintes considérait comme un petit chef
cs fantômes engendrés par l’inexorable cauchemar du noir opium. Cette
nouvelle
mettait aussi en jeu les opérations de la volonté
nt la vertu s’aigrit ou s’évente à tous les souffles qui passent. [La
Nouvelle
Revue (mai 1890).] Henry Bordeaux Les vers
seul soin à prendre : — entrer sans arrière-pensée de retour dans la
nouvelle
voie commandée et imposée. Mais comment cela a-t-
n soit, nous y sommes, et il s’agit, bon gré mal gré, d’inaugurer une
nouvelle
période, une nouvelle méthode de l’Empire : la mé
et il s’agit, bon gré mal gré, d’inaugurer une nouvelle période, une
nouvelle
méthode de l’Empire : la méthode et la période pa
qu’un principe dans notre gouvernement, et que ce qui va faire l’âme
nouvelle
de la Constitution pénétrât aussi dans l’administ
ater avec satisfaction, en touchant au terme de notre travail, que la
nouvelle
Table de la Revue des deux mondes, publiée cette
me à M. Trolliet. La première partie du volume est intitulée : L’Aube
nouvelle
. Il faudrait en citer presque toutes les pièces,
in. Et que de belles choses aussi dans le reste du volume ! [La Terre
nouvelle
(mars 1900).]
mpathiques, témoignent de sa vitalité. Le Dictionnaire Larousse », la
Nouvelle
Revue, la Revue des deux mondes, s’en enquèrent.
e M. Stéphane Mallarmé restera le plus haut représentant de la poésie
nouvelle
, vous pouvez dormir tranquille sur votre Littré,
rsements des milieux. Il serait superflu de faire observer que chaque
nouvelle
phase évolutive de l’art correspond exactement à
visée, contre les fadeurs de quelques romanciers alors à la mode. Une
nouvelle
manifestation d’art était donc attendue, nécessai
elures de décadence. Et que peut-on reprocher, que reproche-t-on à la
nouvelle
école ? L’abus de la pompe, l’étrangeté de la mét
ompliqué de divergences ; ainsi, pour suivre l’exacte filiation de la
nouvelle
école, il faudrait remonter jusques à certains po
elures de décadence. Et que peut-on reprocher, que reproche-t-on à la
nouvelle
école ? L’abus de la pompe, l’étrangeté de la mét
Vanier, qui semble ambitionner de devenir le Lemerre de cette poésie
nouvelle
, a publié quelques-uns des volumes de M. Verlaine
ns analogues à l’homme ; par conséquent enfin, il en fait une société
nouvelle
ajoutée par l’imagination à la société où nous vi
éel ; le monde intérieur n’est-il pas un prolongement de l’autre, une
nouvelle
nature dans la nature ? Ajoutez la nature humaine
entièrement ; la marque du génie est précisément de trouver une forme
nouvelle
que la connaissance de la matière donnée n’aurait
iment. C’est pour cette raison que nous accordons à toute œuvre d’art
nouvelle
notre attention, notre sympathie, sans nous donne
on qui serait une création de rien ; mais nous entendons une synthèse
nouvelle
de données préexistantes, semblable à une combina
, que le génie a le premier inventés ou auxquels il a donné une forme
nouvelle
. D’ailleurs, selon nous, l’instinct imitateur et
éculation sur le possible ; 3° la formation consécutive d’une société
nouvelle
, celle des admirateurs du génie, qui, plus ou moi
et les Napoléon, réalisent leurs desseins par le moyen de la société
nouvelle
qu’ils suscitent autour d’eux et qu’ils entraînen
essa d’accabler de son indifférence et de son mépris. Cette situation
nouvelle
, quelque éphémère et superficielle qu’elle puisse
ir. Ce fut la revanche violente du rêve sur la réalité. La génération
nouvelle
, anti-réaliste, prit position dans sa tour d’ivoi
gie, la pensée philosophique se trouve actuellement à la veille d’une
nouvelle
synthèse, déjà ébauchée dans quelques esprits, qu
nts tels que le naturaliste d’Iéna, Ernest Haeckel, cette philosophie
nouvelle
occupe déjà dans le monde des idées une place env
e celles qui nous permettent le plus d’espoir pour une interprétation
nouvelle
, à la fois plus large et plus réelle de la vie. P
tteur ayant absorbé votre énergie), vous avez enfermé la vie dans une
nouvelle
convention plus large que la précédente, mais une
10. E. Zola, La République et la Littérature. (NdA) 11. E. Zola,
Nouvelle
Campagne (1896). (NdA) 12. Ernest Haeckel, le M
896. (NdA) 17. E. Zola, Le Roman expérimental. (NdA) 18. E. Zola,
Nouvelle
Campagne (1896). (NdA) 19. Réponse à l’Enquête
tionnaire historique de ce célebre Compilateur, que c’étoit une Ville
nouvelle
, bâtie sur l’ancien plan. Cet Ouvrage a été telle
ne formoit alors qu’un volume in-folio. L’Auteur alloit en donner une
nouvelle
Edition, revue & augmentée, lorsqu’il mourut
jules de rességuier. — latour de saint-ibar. — virginie. La grande
nouvelle
littéraire, l’unique nouvelle est la publication
de saint-ibar. — virginie. La grande nouvelle littéraire, l’unique
nouvelle
est la publication des trois volumes de l’Histoir
y a eu le samedi 5 avril, au Théâtre-Français, un succès de tragédie
nouvelle
: Virginie, par M. Latour de Saint-Ibar. Il paraî
Théo). — La Revue anarchiste (Charles Chatel et André Ibels). — L’Ère
nouvelle
(Georges Diamandy). — L’Escarmouche (Georges Dari
d’art (Paul Fort). — La Revue rouge (Gustave Lenglet). — La Province
nouvelle
(Laurent Sauvigny), — La Coopération des idées (G
elia. Edmond Rostand : Cyrano de Bergerac. Ernest Raynaud : Le Signe (
nouvelle
édition). Henri de Régnier : Les Jeux rustiques e
(1893). — Le Satanisme et la Magie (1895). — Prières (1895). — L’Ève
nouvelle
(1896). — La Femme inquiète (1897). — Une Nouvell
es (1895). — L’Ève nouvelle (1896). — La Femme inquiète (1897). — Une
Nouvelle
Douleur (1899). OPINIONS. Lucien Muhlfeld
s qu’il anime, de même ces idées générales, répandues dans la science
nouvelle
, l’animeront de leur esprit dans toutes ses déduc
, ni l’abandonner à sa corruption. Ainsi sont exclus de l’école de la
nouvelle
science les Stoïciens qui veulent la mort des sen
mortalité de l’âme. Cet axiome nous donnera les trois principes de la
nouvelle
science23. 6. La philosophie considère l’homme
la société, et ils nous auraient prévenus dans la recherche de cette
nouvelle
science. 11. L’étude des actes de la liberté huma
n. Cet axiome (avec la définition suivante) nous ouvrira une critique
nouvelle
relative aux auteurs des peuples, qui ont dû préc
arrivées déguisées par l’erreur, ce sera un des grands travaux de la
nouvelle
science. 17. Les façons de parler vulgaires sont
iversité des manières de voir. — Cette langue appartient à la science
nouvelle
; guidés par elle, les philologues pourront se fa
sous les patriarches (état de famille, dans le langage de la science
nouvelle
). Cet état dont, selon l’opinion unanime des poli
é par la religion. C’est le premier des trois principes de la science
nouvelle
. 31. Lorsque les peuples sont effarouchés par la
en un plomb vil l’or pur s’est-il changé ?… Quelle Jérusalem
nouvelle
Sort du fond du désert brillante de clartés ! Ma
t impossible d’affectionner davantage cette manière que ne fait notre
nouvelle
école poétique, qui se dit fille d’André Chénier.
ttre. Ainsi il nous semble qu’on pourrait expliquer par là comment la
nouvelle
école, et M. Hugo en particulier, ont encouru le
donner à notre style, sous le rapport de la métaphore prolongée, une
nouvelle
souplesse. Jamais le monde littéraire n’a compté
ns ? Aussi, en Angleterre Wordsworth11, en France les critiques de la
nouvelle
école poétique, en sont-ils venus à professer que
extraites de tous ses ouvrages, 1 vol. in-18. 4. Roméo et Juliette,
nouvelle
de Luigi da Porto, suivi d’Observations. 5. [NdE
n lien primitivement établi sans elle et auquel elle ajoute une force
nouvelle
. Seulement, un esprit ordinaire se contentera de
es, ou encore celle de la couleur en général, puis, par une sélection
nouvelle
, celle de l’étendue, et ainsi de suite. De là cet
que la lutte des idées est une lutte d’espèces ; en voilà une preuve
nouvelle
: l’humanité porte dans sa tête les embranchement
ectrique et de foudre, introduisit dans le monde des idées une espèce
nouvelle
et viable. Le tort de Spencer est d’avoir immédia
oindre effort, produit par cela même du plaisir : le seul fait qu’une
nouvelle
expérience coïncide avec une expérience ancienne
des réactions mécaniques. Mais, dès que la conscience s’éveille, une
nouvelle
force d’organisation se manifeste : l’appétition
eul sous différents pseudonymes, il promulgue les lois de la Poétique
nouvelle
. Tantôt c’est l’abolition de la rime, la suppress
: « Les Décadents, ce sont des laborieux ; ils apportent la formule
nouvelle
. À la versification plate et monotone des Parnass
venir. La publication de ce livre le forcera-t-elle à rester dans la
nouvelle
école et à s’y fixer définitivement ? C’est fort
italité qui lui manquait et le voilà à son tour chef incontesté d’une
nouvelle
école. J’ai voulu connaître l’essence de cette li
aceront demain les puissances intellectuelles d’aujourd’hui. C’est la
nouvelle
génération qui monte et qui veut prendre sa place
ces œuvres qui font dévier l’humanité et lui impriment une direction
nouvelle
. Malgré le concert de réclames que Symbolistes et
Juliette, traduction (1829). — Poésies d’Émile et d’Antony Deschamps,
nouvelle
édition revue et augmentée (1841). — Macbeth, tra
Édouard Fournier Victor Hugo avait déployé l’étendard de l’école
nouvelle
; Émile Deschamps (dans la préface des Études fra
ngtemps, l’auteur nous affirme qu’il a inventé le vers libre, et pour
nouvelle
preuve il nous offre une nouvelle série de poèmes
il a inventé le vers libre, et pour nouvelle preuve il nous offre une
nouvelle
série de poèmes très en dehors des règles connues
leur marché, et, pour ainsi dire, le mécanisme de ces temps-là. A la
nouvelle
du 2 juin, toute la France fut émue. Les départem
ette vaste enceinte de périls. Telle s’ouvrait la scène de la période
nouvelle
. Toute troublée qu’elle était au sortir d’une lut
mettre la population debout, la pourvoir d’armes, et fournir, par une
nouvelle
mesure financière, à la dépense de ce grand dépla
té le christianisme comme devant céder la place à son tour soit à une
nouvelle
religion, soit à la philosophie elle-même. C’est
l faire cependant ? Allons-nous nous mettre à construire une religion
nouvelle
? Irons-nous, comme Robespierre, faire proclamer
on des utopistes qui voudraient créer a priori une société absolument
nouvelle
, ou à l’illusion des savants qui veulent inventer
’il y a de fécond et de vivant dans le christianisme progressif de la
nouvelle
église, c’est précisément d’avoir résolu le probl
at actuel de la société comme une crise qui doit enfanter une société
nouvelle
. Or il semble, au premier coup d’œil, que les obj
tribuez à l’art, ce besoin d’une régénération sociale, d’une religion
nouvelle
, que vous lui supposez ? La plupart de nos artist
les, est un monument de l’homme. Et alors s’établit dans le monde une
nouvelle
harmonie : l’homme ne peut plus voir les colonnad
les produits de l’art antérieur, de même que, lorsqu’on a inventé une
nouvelle
machine supérieure à une autre, on laisse périr c
ent de la nature sous un de ses aspects, à travers l’homme, une chose
nouvelle
et différente de l’art qui est dans la nature, de
aient comme eux du même mal, mais qui, n’ayant pu apercevoir l’étoile
nouvelle
, mais encore petite et obscure, de l’avenir, cher
u point où, reliant leurs rameaux épars, et vivifiées par une charité
nouvelle
, elles deviendront une religion, comme autrefois
e leur pensée religieuse puisse subir une métamorphose et revêtir une
nouvelle
forme, c’est ce que nous croyons ; et nous pourri
sée de mort et de renaissance, une pensée de ruine et de construction
nouvelle
, qui va se loger dans les vieux débris du passé,
proclamation du principe de l’Égalité, qui doit engendrer une société
nouvelle
. Et nous venons de voir comment, en face de cette
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