es états de conscience26.L’idée de durée On définit généralement le
nombre
une collection d’unités ou, pour parler avec plus
rler avec plus de précision, la synthèse de l’un et du multiple. Tout
nombre
est un, en effet, puisqu’on se le représente par
t ces notions d’unité et de multiplicité, demandons-nous si l’idée de
nombre
n’impliquerait pas la représentation de quelque a
tation de quelque autre chose encore. Il ne suffit pas de dire que le
nombre
est une collection d’unités ; il faut ajouter que
ataillon, et quand on en fait l’appel. Nous dirons donc que l’idée de
nombre
implique l’intuition simple d’une multiplicité de
troupeau, je n’aurai jamais affaire qu’à un seul mouton. Pour que le
nombre
en aille croissant à mesure que j’avance, il faut
ace. Mais cette intuition de l’espace accompagne-t-elle toute idée de
nombre
, même celle d’un nombre abstrait ? Pour répondre
n de l’espace accompagne-t-elle toute idée de nombre, même celle d’un
nombre
abstrait ? Pour répondre à cette question, il suf
suffira à chacun de passer en revue les diverses formes que l’idée de
nombre
a prises pour lui depuis son enfance. On verra qu
’est évanouie pour ne plus laisser derrière elle, disons-nous, que le
nombre
abstrait. Mais à ce moment aussi le nombre a cess
elle, disons-nous, que le nombre abstrait. Mais à ce moment aussi le
nombre
a cessé d’être imaginé et même d’être pensé ; nou
peut fort bien affirmer que 12 est la moitié de 24 sans penser ni le
nombre
12 ni le nombre 24 : même, pour la rapidité des o
affirmer que 12 est la moitié de 24 sans penser ni le nombre 12 ni le
nombre
24 : même, pour la rapidité des opérations, on a
t intérêt à n’en rien faire. Mais, dès qu’on désire se représenter le
nombre
, et non plus seulement des chiffres ou des mots,
ans le temps, semble-t-il, plutôt que dans l’espace. Pour imaginer le
nombre
cinquante, par exemple, on répétera tous les nomb
Pour imaginer le nombre cinquante, par exemple, on répétera tous les
nombres
à partir de l’unité ; et quand on sera arrivé au
and on sera arrivé au cinquantième, on croira bien avoir construit ce
nombre
dans la durée, et dans la durée seulement. Et il
cette image, et qu’après en avoir usé pour les deux ou trois premiers
nombres
, il nous suffit de savoir qu’elle servirait aussi
ation des autres, si nous en avions besoin. Mais toute idée claire du
nombre
implique une vision dans l’espace ; et l’étude di
va nous conduire, sur ce point, à la même conclusion que l’examen du
nombre
lui-même. Tout nombre est une collection d’unités
ce point, à la même conclusion que l’examen du nombre lui-même. Tout
nombre
est une collection d’unités, avons-nous dit, et d
bre est une collection d’unités, avons-nous dit, et d’autre part tout
nombre
est une unité lui-même, en tant que synthèse des
ris dans les deux cas avec le même sens ? Quand nous affirmons que le
nombre
est un, nous entendons par là que nous nous le re
nité d’un tout. Mais lorsque nous parlons des unités qui composent le
nombre
, ces dernières unités ne sont plus des sommes, pe
s pures et simples, irréductibles, et destinées à donner la série des
nombres
en se composant indéfiniment entre elles. Il semb
c qu’il y ait deux espèces d’unités, l’une définitive, qui formera un
nombre
en s’ajoutant à elle-même, l’autre provisoire, ce
un nombre en s’ajoutant à elle-même, l’autre provisoire, celle de ce
nombre
qui, multiple en lui-même, emprunte son unité à l
contestable que, lorsque nous nous figurons les unités composantes du
nombre
, nous croyons penser à des indivisibles : cette c
nce entre pour une forte part dans l’idée qu’on pourrait concevoir le
nombre
indépendamment de l’espace. Toutefois, en y regar
de remarquer que les unités avec lesquelles l’arithmétique forme des
nombres
sont des unités provisoires, susceptibles de se m
n’y aurez point mis, et si l’unité avec laquelle vous composez votre
nombre
est l’unité d’un acte, et non d’un objet, aucun e
e chose, que l’unité pure ou simple. Sans doute, quand vous égalez le
nombre
3 à la somme 1 + 1 + 1, rien ne vous empêche de t
t chacune de ces unités est grosse. Il est d’ailleurs probable que le
nombre
3 se présente d’abord sous cette forme simple à n
ir que, si toute multiplication implique la possibilité de traiter un
nombre
quelconque comme une unité provisoire qui s’ajout
ra à elle-même, inversement les unités à leur tour sont de véritables
nombres
, aussi grands qu’on voudra, mais que l’on considè
ne faudrait pas se faire illusion, en effet, sur la discontinuité du
nombre
. On ne saurait contester que la formation ou cons
nombre. On ne saurait contester que la formation ou construction d’un
nombre
implique la discontinuité. En d’autres termes, ai
le disions plus haut, chacune des unités avec lesquelles je forme le
nombre
trois paraît constituer un indivisible pendant qu
qui précède à celle qui suit. Que si maintenant je construis le même
nombre
avec des demis, des quarts, des unités quelconque
s unités constitueront encore, en tant qu’elles serviront à former ce
nombre
, des éléments provisoirement indivisibles, et c’e
us irons de l’une à l’autre. Et la raison en est que, pour obtenir un
nombre
, force est bien de fixer son attention, tour à to
ide exprime assez bien le processus par lequel nous formons l’idée de
nombre
, ces points mathématiques ont une tendance à se d
aient à se rejoindre les uns les autres. Et quand nous considérons le
nombre
à l’état d’achèvement, cette jonction est un fait
mble présente tous les caractères de la continuité. C’est pourquoi le
nombre
, composé selon une loi déterminée, est décomposab
’unité qu’on érige en chose après y avoir pensé, comme aussi entre le
nombre
en voie de formation et le nombre une fois formé.
y avoir pensé, comme aussi entre le nombre en voie de formation et le
nombre
une fois formé. L’unité est irréductible pendant
ne fois formé. L’unité est irréductible pendant qu’on la pense, et le
nombre
est discontinu pendant qu’on le construit : mais
iscontinu pendant qu’on le construit : mais dès que l’on considère le
nombre
à l’état d’achèvement, on l’objective : et c’est
s actuellement. Ainsi un sentiment complexe contiendra un assez grand
nombre
d’éléments plus simples ; mais, tant que ces élém
de faire la part exacte du subjectif et de l’objectif dans l’idée de
nombre
. Ce qui appartient en propre à l’esprit, c’est le
space, et l’espace est la matière avec laquelle l’esprit construit le
nombre
, le milieu où l’esprit le place. A vrai dire, c’e
thmétique qui nous apprend à morceler indéfiniment les unités dont le
nombre
est fait. Le sens commun est assez porté à constr
nt le nombre est fait. Le sens commun est assez porté à construire le
nombre
avec des indivisibles. Et cela se conçoit sans pe
tirer notre regard sur cette matière : si nous ne localisions déjà le
nombre
dans l’espace, elle ne réussirait certes pas à no
. Il faut donc bien que, dès l’origine nous nous soyons représenté le
nombre
par une juxtaposition dans l’espace. C’est la con
parties, perçues simultanément. Or, si l’on admet cette conception du
nombre
, on verra que toutes choses ne se comptent pas de
borne à recueillir l’impression pour ainsi dire qualitative que leur
nombre
fait sur moi. Ou bien je me propose explicitement
se de sensations et de sentiments que l’analyse seule distingue. Leur
nombre
se confond avec le nombre même des moments qu’ils
timents que l’analyse seule distingue. Leur nombre se confond avec le
nombre
même des moments qu’ils remplissent quand nous le
ux espèces de multiplicité : celle des objets matériels, qui forme un
nombre
immédiatement, et celle des faits de conscience,
t celle des faits de conscience, qui ne saurait prendre l’aspect d’un
nombre
sans l’intermédiaire de quelque représentation sy
diction. Mais cela ne revient-il pas à reconnaître que l’idée même du
nombre
deux, ou plus généralement d’un nombre quelconque
reconnaître que l’idée même du nombre deux, ou plus généralement d’un
nombre
quelconque, renferme celle d’une juxtaposition da
r une qualité de la matière, c’est parce que l’on considère l’idée du
nombre
comme indépendante de l’idée d’espace. On croit a
ils ne sauraient occuper le même lieu : comme si la représentation du
nombre
deux, même abstrait, n’était pas déjà, comme nous
tière, c’est donc simplement reconnaître la solidarité des notions de
nombre
et d’espace, c’est énoncer une propriété du nombr
ité des notions de nombre et d’espace, c’est énoncer une propriété du
nombre
, plutôt que de la matière. — Pourtant on compte d
uent. L’impénétrabilité fait donc son apparition en même temps que le
nombre
; et lorsqu’on attribue cette qualité à la matièr
t entre les choses étendues, qui se peuvent traduire immédiatement en
nombre
, et les faits de conscience, qui impliquent d’abo
nce a-t-elle la moindre analogie avec la multiplicité des unités d’un
nombre
? La vraie durée a-t-elle le moindre rapport avec
le moindre rapport avec l’espace ? Certes, notre analyse de l’idée de
nombre
devrait nous faire douter de celle analogie, pour
anière à pouvoir se compter, et si, d’autre part, notre conception du
nombre
aboutit à éparpiller dans l’espace tout ce qui se
érioriser les uns par rapport aux autres, sans aucune parenté avec le
nombre
: ce serait l’hétérogénéité pure. Mais nous n’ins
les moments successifs de la durée, et que, par ses rapports avec le
nombre
, le temps nous apparaît d’abord comme une grandeu
iplicité indistincte ou qualitative, sans aucune ressemblance avec le
nombre
: j’obtiendrai ainsi l’image de la durée pure, ma
moi, sans moments extérieurs les uns aux autres, sans rapport avec le
nombre
. Ainsi, dans notre moi, il y a succession sans ex
cun des pas d’Achille est un acte simple, indivisible, et qu’après un
nombre
donné de ces actes, Achille aura dépassé la tortu
idérer des simultanéités encore, des simultanéités nouvelles, dont le
nombre
indéfiniment croissant devrait l’avertir qu’on ne
au bout d’un temps t, c’est dire que la conscience notera d’ici là un
nombre
t de simultanéités d’un certain genre. Et il ne f
is plus vite, il n’y aurait rien à modifier ni à nos formules, ni aux
nombres
que nous y faisons entrer. La conscience aurait u
ngement, mais il n’y paraîtrait pas en dehors d’elle, puisque le même
nombre
de simultanéités se produirait encore dans l’espa
r définir la vitesse du mobile A au point M, il suffira d’imaginer un
nombre
indéfini de mobiles A₁, A₂, A₃, … tous animés de
non pas la durée et le mouvement eux-mêmes. En vain on augmentera le
nombre
des simultanéités et des positions que l’on consi
en vain même, pour marquer la possibilité d’accroître indéfiniment le
nombre
de ces intervalles de durée, on remplacera la not
llement hétérogène à elle-même, indistincte, et sans analogie avec le
nombre
. Il résulte de cette analyse que l’espace seul es
sente aucune ressemblance avec la multiplicité distincte qui forme un
nombre
. Il y aurait là, disions-nous, une multiplicité q
ultiplicité, cette distinction, cette hétérogénéité ne contiennent le
nombre
qu’en puissance, comme dirait Aristote ; c’est qu
riginel, et la représentation d’une multiplicité sans rapport avec le
nombre
ou l’espace, quoique claire pour une pensée qui r
représentation purement qualitative qu’une enclume sensible aurait du
nombre
croissant des coups de marteau ? En ce sens, on p
t des coups de marteau ? En ce sens, on pourrait presque dire que les
nombres
d’un usage journalier ont chacun leur équivalent
hands le savent bien, et au lieu d’indiquer le prix d’un objet par un
nombre
rond de francs, ils marqueront le chiffre immédia
t le chiffre immédiatement inférieur, quittes à intercaler ensuite un
nombre
suffisant de centimes. Bref, le processus par leq
aire une espèce de phrase musicale. Pour évaluer rétrospectivement le
nombre
des coups sonnés, j’ai essayé de reconstituer cet
un coup, puis deux, puis trois, et tant qu’elle n’est pas arrivée au
nombre
exact quatre, la sensibilité, consultée, a répond
intervenir l’image d’une juxtaposition de termes distincts. Bref, le
nombre
des coups frappés a été perçu comme qualité, et n
ne espèce d’immobilité, comme si elles lui étaient extérieures. De ce
nombre
sont les idées que nous recevons toutes faites, e
un intéressant article de M. G. Noël sur la solidarité des notions de
nombre
et d’espace. Toutefois, nous n’avons rien trouvé
M. Pillon, que le rapport de coexistence suffit à la construction du
nombre
. Mais qu’entend-on ici par coexistence ? Si les t
tence ? Si les termes qui coexistent s’organisent ensemble, jamais le
nombre
n’en sortira ; s’ils demeurent distincts, c’est q
confondus, croyons-nous, par tous ceux qui ont traité des rapports du
nombre
avec l’espace. 27. Évellin, Infini et quantité,
e universelle. — VI. Effets du climat. — VII. Protection provenant du
nombre
des individus. — VIII. Rapports complexes des ani
breux individus de toute espèce qui naissent périodiquement, un petit
nombre
seulement peut survivre. J’ai donné le nom de sél
arbres : on peut dire qu’il lutte contre eux ; car, si un trop grand
nombre
de ces parasites croissent sur l’un de ces arbres
d’après la loi de progression géométrique, l’espèce atteindrait à un
nombre
d’individus si énorme, que nulle contrée ne pourr
lle contrée ne pourrait suffire à les contenir. Or, puisqu’il naît un
nombre
d’individus supérieur à celui qui peut vivre, il
en que quelques espèces soient actuellement en voie de s’accroître en
nombre
, plus ou moins rapidement, il n’en saurait être d
l’espèce humaine, dont la reproduction est si lente, peut doubler en
nombre
dans l’espace de vingt-cinq ans ; et, d’après cet
ait également que, d’une manière ou d’une autre, il en pérît un grand
nombre
. La seule différence entre les organismes qui pro
ou des graines par milliers, et ceux qui n’en produisent qu’un petit
nombre
, c’est que les plus lents reproducteurs auraient
l’Hippobosque, un seul ; mais cette différence ne décide nullement du
nombre
d’individus des deux espèces qu’un même district
rès fécondes, parce que cette fécondité leur permet de s’accroître en
nombre
avec une rapidité égale à celle de leurs moyens d
moyens d’existence. Mais l’avantage réel qu’elles retirent d’un grand
nombre
d’œufs ou de graines, c’est de pouvoir contre-bal
de protéger ses œufs ou ses petits, il peut n’en produire qu’un petit
nombre
, et cependant le contingent moyen de l’espèce dem
, autrement l’espèce s’éteindrait. Pour maintenir constamment en même
nombre
les représentants d’une espèce d’arbres, vivant m
chaque espèce animale ou végétale ne dépend que très indirectement du
nombre
des œufs ou des graines que peut produire chacun
si peu que ce soit, et l’espèce s’accroîtra presque instantanément en
nombre
, sans limites nécessaires déterminables. V. Des
manque de nourriture que l’appétit d’autres animaux qui détermine le
nombre
moyen des individus d’une espèce. Ainsi, on ne pe
u climat. — Le climat joue un rôle important dans la détermination du
nombre
moyen d’individus de chaque espèce, et le retour
tacles à leur multiplication. J’ai calculé, principalement d’après le
nombre
très réduit des nids du printemps, que l’hiver de
nde favorisés par un léger changement de climat, ils s’accroîtront en
nombre
, et, comme chaque région est déjà peuplée d’un no
’accroîtront en nombre, et, comme chaque région est déjà peuplée d’un
nombre
suffisant d’habitants, les autres espèces devront
oître. Si, voyageant vers le sud, nous voyons une espèce décroître en
nombre
, nous pouvons demeurer certains que c’est autant
nous avançons vers le nord, mais en un degré un peu moindre : car le
nombre
total des espèces de toutes sortes, et par conséq
ntre les parasites et leur proie. VII. Protection provenant du grand
nombre
des individus. — D’un autre côté, il arrive fréqu
e des individus. — D’un autre côté, il arrive fréquemment qu’un grand
nombre
d’individus de la même espèce, relativement au no
ent qu’un grand nombre d’individus de la même espèce, relativement au
nombre
de ses ennemis, est absolument nécessaire à sa co
hamps, parce que la semence est en considérable excès, par rapport au
nombre
des oiseaux, qui s’en nourrissent ; et parce que
surabondance de nourriture en cette saison, ne peuvent s’accroître en
nombre
proportionnellement à cet excès de nourriture, le
croître en nombre proportionnellement à cet excès de nourriture, leur
nombre
étant périodiquement diminué chaque hiver. Mais c
sant d’un sol à un autre sol tout à fait différent ; non seulement le
nombre
proportionnel des pieds de Bruyère était compléte
los, des Pins s’y sont semés d’eux-mêmes et y croissent maintenant en
nombre
considérable, si pressés les uns contre les autre
avaient été ni semés ni plantés, je fus d’autant plus surpris de leur
nombre
, qu’en examinant des centaines d’acres de lande l
. Il s’ensuit que, si de certains oiseaux insectivores diminuaient de
nombre
au Paraguay, les insectes parasites ennemis des M
ctes parasites ennemis des Mouches s’accroîtraient ; de sorte que, le
nombre
de ces dernières venant à diminuer, elles n’empêc
Trèfle rouge (T. pratense) produisirent 2, 700 graines, mais le même
nombre
de têtes protégées n’en produisirent aucune. Les
le rouge y deviendraient très rares ou disparaîtraient totalement. Le
nombre
des Bourdons, en quelque district que ce soit, dé
bre des Bourdons, en quelque district que ce soit, dépend beaucoup du
nombre
des Mulots, qui détruisent leurs rayons et leurs
tre eux sont détruits de cette manière en Angleterre. » Maintenant le
nombre
des Mulots dépend, comme chacun sait, du nombre d
erre. » Maintenant le nombre des Mulots dépend, comme chacun sait, du
nombre
des Chats ; et M. Newmann dit que, près des villa
et des petites villes, il a trouvé des nids de Bourdons en plus grand
nombre
que partout, ce qu’il attribue au grand nombre de
Bourdons en plus grand nombre que partout, ce qu’il attribue au grand
nombre
de Chats qui détruisent les Mulots. Il est donc t
donc très probable que la présence d’un animal félin, en assez grand
nombre
dans un district, peut décider, au moyen de l’int
ues-unes sont plus puissantes, mais toutes concourent à déterminer le
nombre
moyen des individus ou l’existence même de chaque
les arbustes qui recouvrent un fourré, on est tenté d’attribuer leur
nombre
proportionnel et leurs espèces à ce que l’on appe
rès de celui des actions et réactions des plantes et des animaux sans
nombre
qui ont déterminé, pendant le cours des siècles,
maux sans nombre qui ont déterminé, pendant le cours des siècles, les
nombres
proportionnels et les espèces des arbres qui croi
e ; autrement les essences les plus faibles décroissent rapidement en
nombre
jusqu’à disparition complète. Il en est de même d
te l’étendue de sa région naturelle, jusqu’à doubler ou quadrupler le
nombre
de ses représentants ? Nous savons qu’elle peut p
i notre imagination suppose à une plante le pouvoir de s’accroître en
nombre
, elle devra lui supposer aussi quelque avantage s
mais nous avons toute raison pour croire que seulement un très petit
nombre
de plantes ou d’animaux s’étendent assez loin pou
ssentielle. Si nous souhaitons accroître, dans sa nouvelle patrie, le
nombre
moyen de ses représentants, ils devront être modi
Chapitre I. La quantité des unités sociales :
nombre
, densité, mobilité Si l’on veut méthodiquement
t toutes, par définition, ceci de commun qu’elles unissent un certain
nombre
d’individus : c’est un truisme que pour former un
n considération sera leur grandeur ou leur petitesse, c’est-à-dire le
nombre
plus ou moins grand des hommes qu’elles mettent e
ructure d’un tout ne serait nullement modifiée par l’accroissement du
nombre
de ses éléments si cet accroissement même ne deva
blable. Déjà en biologie, on remarque que le volume d’un organe et le
nombre
de ses cellules affectent, dans une certaine mesu
’un accroissement de la quantité de ces éléments, devant redoubler le
nombre
, la complexité et la variété de ces rapports, ser
’aux fondements de l’organisation sociale. De fait, si l’influence du
nombre
des individus associés sur les différentes formes
a aisément aperçu l’action de la quantité sociale. L’accroissement du
nombre
des familles, suivant un vieux texte irlandais53,
collective, le régime de la propriété individuelle. La limitation du
nombre
des unités coopérantes et partageantes paraît êtr
tivité communiste. Fourier le sentait sans doute qui décrétait que le
nombre
des membres de ses phalanstères ne devait pas dép
nos amitiés, de notre religion qui ne puissent être modifiées par le
nombre
des hommes avec lesquels nous vivons en rapports
aient-elles pas soumises à une action, plus ou moins directe, de leur
nombre
? * ** Entre l’expansion de l’égalitarisme et l’e
glomérer, en des groupements aussi larges que possible, le plus grand
nombre
possible d’individus. Une nécessité supérieure, d
ation » de l’antiquité ? Préoccupée, dès ses origines, d’accroître le
nombre
des Romains, elle fait efforts pour englober, ver
des idées qu’elle défendait diminue lentement, tandis qu’augmente le
nombre
des individus rassemblés par les grandes nations
s paraît tenir pour une nécessité vitale l’assimilation du plus grand
nombre
possible d’individus. L’appétit d’annexion est ca
cace que par le rapprochement de leurs unités. Il faut, pour que leur
nombre
puisse influer sur les idées sociales, que les me
l’exception en Inde70. » Or c’est dans les villes seules qu’un grand
nombre
d’individus vivent d’une vie sociale intense ; da
0 à 36 pour 100. Pour l’Europe entière, de 1870 à 1897, tandis que le
nombre
de ses habitants augmentait de 20 pour 100, c’est
ants augmentait de 20 pour 100, c’est de 52 pour 100 qu’augmentait le
nombre
des habitants des villes de plus de 100 000 âmes7
isme. Un autre phénomène multiplie d’ailleurs les effets dus au grand
nombre
des individus rassemblés dans ces mêmes, sociétés
éfinir la constitution d’un corps, tient compte non plus seulement du
nombre
des corpuscules élémentaires qu’elle y distingue,
t quelles lois générales, cela peut contribuer à produire ceci. Si le
nombre
des individus associés doit agir sur les idées so
re pratique qui résultent, pour un gouvernement, de l’augmentation du
nombre
des gouvernés. Comme la quantité sociale modifie
s clans. De même, l’extension des cités antiques, en augmentant et le
nombre
des citoyens et les distances qui les séparaient
ce pouvoir unique. Mais, d’abord, en admettant que l’accroissement du
nombre
des citoyens ou des sujets rende plus facile la p
ociétés égalitaires. Or s’il est vrai que la dissémination d’un grand
nombre
de sujets sur une aire très étendue facilite l’om
lui-même et met au-dessus de tout sa liberté propre. Ainsi, le grand
nombre
même des individus agglomérés dans les vastes gro
? Penser l’humanité, c’est se représenter plus ou moins vaguement un
nombre
d’hommes considérable, et susceptible de s’accroî
nstitution de notre société, nous avons à chaque instant affaire à un
nombre
très grand, pratiquement indéfini, de « semblable
nous sera-t-elle pas plus aisée que si nous n’avions affaire qu’à un
nombre
petit et limité de « concitoyens » ? L’accroissem
ts donne à notre pensée une sorte d’élan, qui la porte à concevoir un
nombre
d’hommes indéfiniment accru. En ce sens l’idée d’
érentes valeurs des individus que nous avons à comparer ? Or le grand
nombre
des individus que nous avons à comparer est juste
à la valeur des actions qu’il s’agit de comparer. En ce sens le grand
nombre
même des éléments sociaux nous pousse naturelleme
omme on dit quelquefois, que des « numéros ». L’accroissement de leur
nombre
uniformise les hommes. Ce qui ne veut pas dire qu
té sous l’aspect de la densité et non plus seulement sous l’aspect du
nombre
; et nous verrons qu’il doit s’en dégager, pour l
Le progrès des communications accroît en effet, en même temps que le
nombre
des individus avec lesquels nous entrons en relat
e le nombre des individus avec lesquels nous entrons en relations, le
nombre
des relations que nous soutenons avec chacun d’eu
de, que seule notre civilisation nous permet, de vivre au milieu d’un
nombre
considérable d’individus qui changent, et défilen
la sélection naturelle, telles que les croisements, l’isolement ou le
nombre
des individus. — VIII. Action lente. — IX. Extinc
uels n’en pourraient pas être les immenses effets ! On se souvient du
nombre
infini de variétés obtenues parmi nos produits do
ntends seulement l’action combinée et le résultat complexe d’un grand
nombre
de lois naturelles, et par lois, la série nécessa
es changements physiques, tel que serait un changement de climat. Les
nombres
proportionnels des représentants de chacune des e
pécimens de Pigeons culbutants à bec court, il en périt un plus grand
nombre
, dans l’œuf, qu’il n’en est qui réussissent à en
par suite de quelques changements dans la contrée, se soit accrue en
nombre
ou que ses autres proies aient au contraire dimin
ion de modifier la race. Sans même supposer aucun changement dans les
nombres
proportionnels des animaux dont notre Loup fait s
ur chaque fécondation. De récentes recherches ont beaucoup diminué le
nombre
des hermaphrodites supposés ; et même parmi les v
le loi, que nul être organisé ne peut se féconder lui-même pendant un
nombre
infini de générations ; mais qu’un croisement ave
ons, les anthères de chaque fleur laissent échapper leurs granules en
nombre
immense, avant que le stigmate de cette même fleu
roissent et montent en graine les unes près des autres, le plus grand
nombre
des jeunes plants qui naissent des graines, ainsi
riétés diverses, qui croissaient les unes près des autres, et, sur ce
nombre
, il ne s’en est trouvé que 78 de race pure, encor
un sujet, soigneusement défendu contre leurs atteintes, produisait un
nombre
complet de siliques. Si donc des variétés différe
tention sur ce sujet. Parmi les animaux terrestres on ne trouve qu’un
nombre
très limité d’hermaphrodites, tels que les mollus
cable. Parmi les animaux aquatiques, on connaît au contraire un grand
nombre
d’hermaphrodites qui peuvent se féconder eux-même
omme conséquence de ces diverses considérations, ainsi que d’un grand
nombre
d’autres faits que j’ai recueillis, mais que je n
dividuelles lui suffisent pour produire de grands résultats. Un grand
nombre
d’individus, en offrant plus de chances de variat
fussent toutes spéciales, elle ne pourrait contenir qu’un très petit
nombre
d’individus, ce qui retarderait considérablement
roite et isolée, telle, par exemple, qu’une île océanique, quoique le
nombre
total des espèces qui l’habitent soit très petit,
s notre chapitre sur la distribution géographique, cependant un grand
nombre
de ces espèces se trouvent être autochtones69, c’
isme à organisme y sont infiniment plus compliqués par suite du grand
nombre
d’espèces rivales qu’il renferme. Et si quelques-
t des espèces continentales qui partout se sont naturalisées en grand
nombre
sur des îles. C’est que sur un îlot le combat vit
rconstances les plus favorables à la production successive d’un grand
nombre
de formes vivantes, capables de se perpétuer pend
très lentement, souvent à de longs intervalles, et sur un très petit
nombre
des habitants d’une même région à la fois. Du res
plet ; et comme chaque région est toujours occupée par un assez grand
nombre
de formes diverses, il s’ensuit qu’à mesure qu’un
il s’ensuit qu’à mesure qu’une forme élue ou favorisée s’augmente en
nombre
, généralement les formes les moins favorisées déc
du reste, que toute forme qui n’est plus représentée que par un petit
nombre
d’individus, exposés à des fluctuations inévitabl
à des fluctuations inévitables dans la rigueur des saisons et dans le
nombre
de leurs ennemis, doit courir plus de chances qu’
ontinuellement en voie de se produire, à moins qu’on n’admette que le
nombre
des espèces peut s’accroître indéfiniment, il fau
faut bien qu’il y en ait de temps à autre qui s’éteignent. Or, que le
nombre
des formes spécifiques n’ait pas été perpétuellem
gie nous le démontre ; et nous allons essayer d’expliquer pourquoi ce
nombre
ne pouvait toujours s’accroître. Nous avons vu qu
e les espèces les plus communes sont celles qui offrent le plus grand
nombre
de variétés reconnues ou d’espèces naissantes. Il
formation a lieu graduellement, puisque nous voyons dans la nature un
nombre
considérable d’espèces bien tranchées, tandis que
la nature, et plus, par conséquent, ils sont à même de s’accroître en
nombre
. Il est aisé de constater l’existence de cette lo
spèce de quadrupède Carnivore, arrivée depuis longtemps au maximum du
nombre
d’individus que chacune des contrées qu’elle habi
ibrement sa puissance de multiplication ; elle ne peut s’accroître en
nombre
que si ses descendants se modifient de manière à
t devenir moins carnivores. En ce cas, l’espèce pourra s’accroître en
nombre
; et plus ses représentants se diversifieront dan
ée de plusieurs genres d’herbes très distincts, produit un plus grand
nombre
de plantes et un poids plus considérable de foin
entre eux, cependant sa formation aura pour résultat qu’un plus grand
nombre
d’individus de cette espèce, y compris tous ses d
aque variété végétale sèment annuellement sur le sol des graines sans
nombre
. On peut donc dire qu’elle s’efforce de se multip
que espèce auront toujours les plus grandes chances de s’accroître en
nombre
et de supplanter ainsi des variétés moins distinc
de somme de vie possible, c’est une loi dont la vérité éclate dans un
nombre
considérable de phénomènes naturels. Ainsi, dans
qui la peuplent, sont diversifiés par leurs habitudes, plus aussi le
nombre
d’individus qui peuvent y vivre est considérable.
es, parce que nous avons vu71 que, proportionnellement, un plus grand
nombre
d’espèces varient dans les grands genres que dans
que les espèces variables des grands genres présentent un plus grand
nombre
de variétés. Nous avons vu aussi que les espèces
scendants modifiés du commun parent A iront toujours s’accroissant en
nombre
et divergeant de caractères. La figure représente
e peuvent se diversifier, plus ils sont aptes à remplir un plus grand
nombre
de vides différents, et plus leur postérité modif
eurs succès dans la vie, ils continueront en général à s’accroître en
nombre
aussi bien qu’à diverger en caractère : c’est ce
dification ne soit limité à une seule ligne de descendance ; alors le
nombre
des descendants ne se sera pas accru, quoique la
stinguent les espèces. En continuant le même procédé pendant un grand
nombre
de générations, comme on le voit dans la partie s
ou leurs habitudes qui tendront généralement à produire le plus grand
nombre
de descendants modifiés, parce que ceux-ci auront
ement s’éteindre. Il en est probablement de même à l’égard d’un grand
nombre
de lignées collatérales qui doivent être vaincues
cendent des onze espèces originelles, seraient donc, d’après cela, au
nombre
de quinze. Mais, par suite de la divergence de ca
e des formes dominantes qui s’efforcent constamment de s’accroître en
nombre
. Un groupe déjà puissant pourra seul vaincre un a
oupe déjà puissant pourra seul vaincre un autre groupe, le réduire en
nombre
et diminuer ainsi ses chances de futures variatio
pèces vivantes à une époque donnée, il en est seulement un fort petit
nombre
qui enverront des descendants jusque dans un aven
qu’en partant de ces deux principes : premièrement, qu’un très petit
nombre
des plus anciennes espèces ont laissé des descend
il devient facile de comprendre pourquoi il n’existe qu’un très petit
nombre
de classes dans chaque division du règne végétal
ivision du règne végétal et du règne animal ; et quoiqu’un très petit
nombre
des plus anciennes espèces aient encore de nos jo
s anciennes époques géologiques, la terre peut avoir été peuplée d’un
nombre
d’espèces, de genres, de familles, d’ordres ou de
umis à une concurrence moins vive, et où ils n’ont existé qu’en petit
nombre
, ce qui a retardé pour eux les chances de variati
que des organismes d’ordres inférieurs existent actuellement en grand
nombre
dans le monde entier. Des variations favorables p
sélection naturelle, par conséquent, n’ait pu agir avant qu’un grand
nombre
de formes différentes fussent produites77. Des va
rs changeante d’une inextricable confusion. Mais il nous suffit qu’un
nombre
de formes seulement varient à la fois, et nul ne
urs caractères, mais le plus souvent en plusieurs ou même en un grand
nombre
, et il se demande comment la sélection naturelle
ssances, parce que cette théorie rattache les uns aux autres un grand
nombre
des phénomènes généraux de la nature, et qu’elle
si deux espèces ou deux genres étroitement alliés produisent un grand
nombre
d’espèces nouvelles et divergentes, il est possib
élection naturelle avec divergence de caractères tendrait à former un
nombre
indéfini des formes spécifiques. Pour ce qui conc
cerne les conditions de vie purement inorganiques, il me semble qu’un
nombre
assez borné d’espèces suffirait à s’adapter à tou
nisés ont une beaucoup plus grande importance ; et qu’à mesure que le
nombre
des espèces en chaque contrée va s’accroissant, l
s de structure, et, par conséquent, aucune borne à l’accroissement du
nombre
des espèces. Nous ignorons si même la contrée la
urrir. Ainsi, au cap de Bonne-Espérance et en Australie, où vivent un
nombre
si étonnant d’espèces, beaucoup de plantes europé
issent qu’au moins pendant la longue durée de la période tertiaire le
nombre
des espèces de Mollusques, et probablement de Mam
uel est donc l’obstacle qui s’oppose à la multiplication indéfinie du
nombre
des formes spécifiques ? C’est que la somme total
ie des conditions physiques locales ; et je ne veux pas parler ici du
nombre
des espèces, mais du nombre des individus en mass
locales ; et je ne veux pas parler ici du nombre des espèces, mais du
nombre
des individus en masse79. Si donc une contrée éta
vidus en masse79. Si donc une contrée était habitée par un très grand
nombre
d’espèces, chacune d’elles, ou au moins le grand
un très grand nombre d’espèces, chacune d’elles, ou au moins le grand
nombre
, ne pourraient être représentées que par un très
e grand nombre, ne pourraient être représentées que par un très petit
nombre
d’individus. Or, de telles espèces seraient très
ce que par suite des variations accidentelles qui surviennent dans le
nombre
de leurs ennemis ou dans la succession des saison
u sec, exterminerait des milliers d’espèces. Dans toute contrée où le
nombre
des espèces s’accroîtrait indéfiniment, chaque es
es en diverses régions, et d’arrêter ainsi l’accroissement anormal du
nombre
des formes spécifiques sur le globe. Le docteur H
vement établis, les espèces indigènes ont été de beaucoup réduites en
nombre
. Quel poids faut-il accorder à chacune de ces div
ds faut-il accorder à chacune de ces diverses causes de limitation du
nombre
des espèces ? Je ne prétends pas le décider, mais
ine, l’œuf ou les petits, aussi aisément que l’adulte. Parmi un grand
nombre
d’animaux, la sélection sexuelle vient en aide à
ucture, leur constitution et leurs habitudes, plus aussi est grand le
nombre
de ceux qui peuvent vivre dans la même région. No
ison de la lutte incessante de toutes les espèces pour s’accroître en
nombre
, chacune au détriment des autres, plus les descen
s qui vécurent à des époques géologiques très reculées, un bien petit
nombre
ont encore aujourd’hui des descendants modifiés.
é des rapports mutuels des êtres organisés, c’est-à-dire en raison du
nombre
des degrés que comprend, dans un lieu donné, la s
de divergence des caractères permet bien une certaine augmentation du
nombre
des espèces qui vivent dans un même lieu, de même
espèces qui vivent dans un même lieu, de même qu’une augmentation du
nombre
total de leurs représentants : en somme, elle a d
s périodes très longues, énormément longues même, si on les mesure au
nombre
des années, il ne faut pas accorder trop d’import
chose amoindrie. Comme, d’après la théorie de sélection naturelle, un
nombre
infini de formes intermédiaires doivent avoir exi
aisser de postérité modifiée. Parmi les espèces qui varient, un petit
nombre
seulement dans la même contrée changent en même t
tre côté ; et ces dernières, par ce fait qu’elles existaient en grand
nombre
, se sont généralement modifiées et perfectionnées
été exterminées. Mais, d’après cette doctrine de l’extermination d’un
nombre
infini de chaînons généalogiques entre les habita
ion des témoignages géologiques. Deux ou trois, ou même un plus grand
nombre
de formes transitoires seraient-elles découvertes
des variétés ; mais qui nous assure que dans l’avenir un assez grand
nombre
de fossiles seront découverts pour que les natura
certaines classes peuvent se conserver à l’état fossile, au moins en
nombre
de quelque importance. Les espèces très répandues
éorie qui voit dans les formes vivantes actuelles la descendance d’un
nombre
restreint de formes primitives subséquemment modi
e. La variabilité des formes spécifiques est gouvernée par un certain
nombre
de lois très complexes : c’est d’abord la corréla
ivra et lequel mourra, quelle variété ou quelle espèce s’accroîtra en
nombre
, et laquelle diminuera ou sera finalement éteinte
us, les espèces des plus grands genres, qui contiennent le plus grand
nombre
de variétés ou espèces naissantes, gardent elles-
reproduction qui lui est propre, tend à s’accroître désordonnément en
nombre
, et que les descendants modifiés de chaque espèce
es. Mais comme tous les groupes ne peuvent ainsi réussir à croître en
nombre
, puisque le monde ne pourrait les contenir, les p
e tendance dans les groupes les plus nombreux à s’accroître encore en
nombre
et à diverger de caractères, jointe à l’inévitabl
autres cas. Mais si chaque espèce s’efforce constamment de croître en
nombre
, si la sélection naturelle est lentement prête à
propre mort ; de ce que de faux Bourdons soient produits en si grand
nombre
pour accomplir un seul acte générateur et pour qu
blent imparfaits ou qui soient susceptibles d’erreurs, et qu’un grand
nombre
soient une cause de souffrance pour d’autres anim
concevoir, d’après la théorie de descendance modifiée, le plus grand
nombre
des principaux faits que l’observation a constaté
les unes des autres, et sous les plus différentes latitudes, un petit
nombre
de plantes identiques et beaucoup d’autres étroit
s, dans la nageoire du Marsouin, et dans la jambe du Cheval ; le même
nombre
de vertèbres forme le cou de la Girafe et celui d
es forme le cou de la Girafe et celui de l’Éléphant : ces faits et un
nombre
infini d’autres semblables s’expliquent d’eux-mêm
e chez l’animal adulte les dents se sont résorbées pendant un certain
nombre
de générations successives, par suite du défaut d
uter les unes aux autres, pour en concevoir tous les effets, un grand
nombre
de variations légères accumulées pendant un grand
ts, un grand nombre de variations légères accumulées pendant un grand
nombre
presque infini de générations. Quoique je sois pl
poids à des difficultés inexpliquées qu’à l’explication d’un certain
nombre
de faits, rejettera certainement ma théorie. Un p
certain nombre de faits, rejettera certainement ma théorie. Un petit
nombre
de naturalistes, doués d’une intelligence ouverte
s de création supposés ait produit un seul individu ou plusieurs ? Le
nombre
infini des espèces animales ou végétales ont-elle
, dans l’état présent de la science, croient à la création d’un petit
nombre
de formes primitives ou même d’une forme vivante
uis, sollicite l’entendement à admettre plus volontiers le plus petit
nombre
possible d’actes créateurs ; et certainement nous
quatre ou cinq types primitifs tout au plus et le règne végétal d’un
nombre
égal ou moindre. L’analogie me conduirait même un
iées par des degrés intermédiaires, sont regardées, par le plus grand
nombre
des naturalistes, comme suffisantes pour les élev
erons chaque organe et chaque instinct comme la résultante d’un grand
nombre
de combinaisons partielles dont chacune a été uti
important qu’une espèce nouvellement découverte et ajoutée encore au
nombre
infini des espèces déjà connues. Nos classificati
uste mesure du laps de temps écoulé entre elles. Cependant un certain
nombre
d’espèces, se maintenant en corps, pourraient se
rapide ; et lors de la première aube de la vie, lorsqu’un très petit
nombre
de formes de la structure la plus simple existaie
ransmettra sa ressemblance inaltérée aux âges futurs ; et qu’un petit
nombre
d’entre elles enverront seules une postérité quel
stème de groupement des êtres organisés nous montre que le plus grand
nombre
des espèces de chaque genre n’ont laissé aucun de
fixes de la gravitation, d’un si petit commencement, des formes sans
nombre
, de plus en plus belles, de plus en plus merveill
pe aqueuse fut le premier laboratoire de toute organisation et que le
nombre
des germes produits fut immense, mais que sans au
ndigne des largesses créatrices de la nature, qui mesure et limite le
nombre
des adultes à la quantité de vie qu’elle peut leu
toutes les possibilités de développement ont dû se présenter parmi un
nombre
si considérable d’êtres qui tous n’avaient qu’à c
’êtres qui tous n’avaient qu’à chercher les moyens de vivre. Le grand
nombre
des ébauches organiques, fournissant ainsi des pr
ébauches organiques, fournissant ainsi des probabilités de progrès en
nombre
infini, le perfectionnement successif de l’organi
i, le perfectionnement successif de l’organisation suivant un certain
nombre
de séries typiques parallèles ou plus ou moins di
races. À mesure que les races se sont fixées et perfectionnées, leur
nombre
a diminué, en même temps que chacune d’elles voya
représentants : c’est-à-dire que la postérité croissante d’un certain
nombre
de souches primitives devait successivement prend
gtemps. Notre monde organique actuel ne serait donc que le reste d’un
nombre
infini de germes primitifs qui, tous, si les circ
des caractères qui en a été la suite, ont dû causer l’extinction d’un
nombre
considérable de classes naissantes, ébauches moin
de sélection agit probablement avec la même sévérité pendant un grand
nombre
de siècles, perfectionnant ainsi le plan général
et de nos embranchements doit à l’origine avoir été représenté par un
nombre
considérable de races, issues chacune d’un germe
nt simultanément et parallèlement de manière à pouvoir parer par leur
nombre
à toutes les chances de destruction que le type e
mpêchement Si, au contraire, les germes primitifs ont été produits en
nombre
immense à la surface du globe, ces êtres très sim
ans les populations successives de cette période, et à montrer que le
nombre
proportionnel des espèces qui s’éteignent est gra
des « colonies » décrites par M. Barrande, c’est-à-dire d’un certain
nombre
d’espèces qui font tout à coup invasion dans le m
hangement lent des conditions physiques de la contrée, et surtout des
nombres
proportionnels et de la nature des autres habitan
ons déjà fait observer dans un chapitre précédent141. Lorsqu’un grand
nombre
des habitants de la même contrée se sont modifiés
e, est rigoureusement continue. Je sais cependant qu’on cite un petit
nombre
de faits qui semblent déroger à cette règle ; mai
règle générale est au contraire que, par un accroissement graduel du
nombre
de ses représentants, le groupe atteigne à son ma
il commence de même graduellement à décroître. Si l’on représente le
nombre
des espèces d’un genre ou des genres d’une famill
que le procédé de modification d’où résulte la production d’un grand
nombre
de formes alliées est lent et graduel. On a vu qu
assez rare, aucun naturaliste n’aurait été surpris de sa rareté ; car
nombre
d’espèces sont rares dans toutes les classes et d
on des anciennes. Il se peut qu’en certains groupes très prospères le
nombre
des nouvelles formes spécifiques qui se produisen
mes spécifiques qui se produisent en un temps donné soit supérieur au
nombre
de celles qui se sont éteintes ; mais cette diffé
est compensée par les pertes d’autres genres ; car nous savons que le
nombre
total des espèces n’a pas indéfiniment continué d
ettre que la production de formes nouvelles a causé l’extinction d’un
nombre
à peu près égal de formes anciennes. Ainsi que no
ue toujours causer l’extinction de leur souche mère ; et, si un grand
nombre
de formes nouvelles sortent successivement d’une
lus exposées à être exterminées. C’est ainsi, je crois, qu’un certain
nombre
d’espèces nouvelles, descendues d’une seule espèc
à un groupe distinct, et causé ainsi son extinction ; et si un grand
nombre
de formes alliées sont sorties de cette même form
re de formes alliées sont sorties de cette même forme conquérante, un
nombre
égal de formes aura souffert dans le groupe vainc
, a survécu jusqu’aujourd’hui dans les mers d’Australie ; et un petit
nombre
de la grande famille des poissons Ganoïdes, maint
consécutives, intervalles durant lesquels il peut y avoir eu un grand
nombre
d’extinctions lentes. De plus, lorsque, par suite
on soudaine ou d’un développement extraordinairement rapide, un grand
nombre
d’espèces d’un nouveau groupe ont pris possession
cène, déjà si énormément reculée, si l’on compte son antiquité par le
nombre
des années, puisqu’elle comprend toute l’époque g
perpétuer. Nous avons une preuve évidente de cette loi dans le grand
nombre
de variétés fournies par les plantes dominantes,
tes ; mais nous pouvons cependant préjuger avec fondement qu’un grand
nombre
d’individus, en leur donnant plus de chances de v
t une sérieuse concurrence déjà soutenue heureusement contre un grand
nombre
d’autres formes, doivent leur être au moins d’aus
ants de France, bien qu’il trouve entre eux un curieux accord dans le
nombre
des espèces de chaque même genre, cependant les e
istiques, les anciens membres des mêmes groupes se distinguent par un
nombre
un peu moindre de caractères. De sorte que les de
ourd’hui. Au seul examen de la figure, on peut voir que si un certain
nombre
de formes éteintes, qu’on suppose enfouies dans l
indiquée par la ligne n° VI ces genres différaient par un moins grand
nombre
de leurs caractères ; car à ce degré généalogique
evons seulement trouver à intervalles très longs, si on les mesure au
nombre
des années, mais relativement assez courts au poi
n’empêche pas qu’elle peut laisser, et laisse en réalité subsister un
nombre
considérable d’êtres d’une structure simple et pe
es Téléostéens ; ces derniers sont aujourd’hui prépondérants quant au
nombre
; mais les Sélaciens et les Ganoïdes ont existé s
, c’est-à-dire les Brachiopodes et les Céphalopodes, fourmillaient en
nombre
; aujourd’hui ces deux ordres ont beaucoup diminu
ce que les mollusques inférieurs sont aujourd’hui beaucoup réduits en
nombre
, et d’autant plus que les Céphalopodes vivants, q
élevée que leurs anciens représentants. Il faut aussi considérer les
nombres
proportionnels des classes inférieures et supérie
a existé que dix mille, il faut tenir compte de cet accroissement de
nombre
des classes supérieures, qui implique au moins un
ent complétement, et dans le cours des temps extermineraient un grand
nombre
des formes natives. D’autre côté, et bien contrai
libres de se multiplier en Angleterre, il est au moins douteux qu’un
nombre
considérable d’entre elles puissent jamais s’empa
en a démontré que la plupart des mammifères fossiles enfouis en grand
nombre
dans ces contrées ont des rapports frappants avec
ue je prétends, c’est que dans les cavernes du Brésil il y a un grand
nombre
d’espèces étroitement alliées par la taille et pa
vante six autres genres alliés ou représentatifs ayant chacun le même
nombre
d’espèces que les premiers, nous en pouvons concl
de décadence, dont les genres et les espèces décroissent peu à peu en
nombre
, comme il semble que ce soit le cas pour les Éden
e ce soit le cas pour les Édentés de l’Amérique du Sud, un plus petit
nombre
encore de genres et d’espèces doivent avoir laiss
lasses d’êtres organisés ont été conservées à l’état fossile ; que le
nombre
des espèces et de leurs spécimens individuels, co
s, conservés dans nos musées, n’est absolument rien en comparaison du
nombre
incalculable de générations qui doivent s’être éc
vertes plus récentes. On peut aussi demander où sont les restes de ce
nombre
infini d’organismes qui doivent avoir existé long
ractères identiques. Les groupes d’espèces s’accroissent lentement en
nombre
, et se perpétuent pendant des périodes inégales ;
inantes des groupes les plus considérables tendent à laisser un grand
nombre
de descendants modifiés ; d’où il résulte que de
beaucoup plus lente que sa première formation, grâce à ce qu’un petit
nombre
de ses représentants peuvent souvent survivre et
aux Palmiers et aux Baobabs des tropiques, il semble que chez nous le
nombre
des individus croisse en raison inverse de leur t
me espèce. Les naturalistes les plus expérimentés seraient étonnés du
nombre
de variations, affectant les parties les plus imp
nt ils pourraient recueillir le témoignage dans le cours d’un certain
nombre
d’années, et d’après des sources faisant autorité
, d’une valeur pourtant si grande, et qui les comparent chez un grand
nombre
de spécimens de la même espèce. Qui aurait jamais
convenus avec bonne foi, ils commencent par ranger empiriquement, au
nombre
des caractères importants de chaque espèce, tous
de variétés bien marquées et bien connues qui n’aient été rangées au
nombre
des espèces au moins par quelques juges compétent
ou des États-Unis, dressées par différents botanistes, on voit qu’un
nombre
surprenant de formes ont été rangées par les uns
e race bien marquée de l’espèce norvégienne, tandis que le plus grand
nombre
en fait une espèce bien distincte et particulière
ans les contrées les mieux connues qu’elles se trouvent en plus grand
nombre
. J’ai été frappé de ce fait que, si quelque anima
s difficultés plus nombreuses, car il aura à considérer un plus grand
nombre
de formes étroitement alliées. S’il multiplie bea
iles de Madère. Si une variété vient à s’accroître jusqu’à excéder en
nombre
l’espèce mère, celle-ci prendra alors le rang de
hain ouvrage la solution de ces difficultés, ainsi que les tables des
nombres
proportionnels d’espèces variables. Je suis, du r
ande extension géographique ni jusqu’à un certain point avec le grand
nombre
de leurs individus, sont celles qui donnent le pl
tre les espèces d’un même groupe qu’il faut établir la comparaison du
nombre
d’individus de chacune d’elles. Une plante peut ê
ands genres et dans l’autre tous les genres de moindre importance, un
nombre
supérieur d’espèces dominantes très communes et t
. On aurait encore pu le présumer d’avance : ce seul fait qu’un grand
nombre
d’espèces du même genre habitent une même contrée
s grands genres, c’est-à-dire parmi ceux qui renferment le plus grand
nombre
d’espèces, un nombre proportionnellement plus gra
t-à-dire parmi ceux qui renferment le plus grand nombre d’espèces, un
nombre
proportionnellement plus grand d’espèces dominant
grands genres en chaque contrée doivent aussi présenter un plus grand
nombre
de variétés que les espèces des plus petits genre
tés que les espèces des plus petits genres ; car, partout où un grand
nombre
d’espèces étroitement alliées, c’est-à-dire du mê
l n’y a aucune apparence de raison pour qu’il se trouve un plus grand
nombre
de variétés en un groupe renfermant beaucoup d’es
, parmi les espèces des grands genres qui présentent des variétés, le
nombre
moyen de ces variétés est invariablement supérieu
d’espèces d’un genre se sont formées, les mêmes espèces présentent un
nombre
de variétés ou d’espèces naissantes au-dessus de
enre soit actuellement très variable et en train d’accroître ainsi le
nombre
de ses espèces, ou qu’aucun petit genre ne soit e
ant un autre sens, et dire que dans les genres les plus riches, où un
nombre
de variétés ou d’espèces naissantes, supérieur à
’espèces est complétement indéfinie. Dans les genres qui possèdent un
nombre
d’espèces au-dessus de la moyenne, en quelque con
quelque contrée que ce soit, les espèces de ces genres renferment un
nombre
de variétés aussi supérieur à la moyenne. Dans le
spécifiquement distinctes ; pourtant elles sont reliées par un grand
nombre
de formes intermédiaires dont on ne saurait affir
é indirect par lequel nous parvenons à les penser. — Exemple dans les
nombres
. Leur représentant mental est un nom de nombre. —
r. — Exemple dans les nombres. Leur représentant mental est un nom de
nombre
. — Formation des noms de nombre. — Série de subst
eur représentant mental est un nom de nombre. — Formation des noms de
nombre
. — Série de substitutions superposées. — Notre id
ms de nombre. — Série de substitutions superposées. — Notre idée d’un
nombre
est un nom substitut d’un autre nom joint à l’uni
n simple, mais par une série de substitutions. Considérons le premier
nombre
venu, par exemple 36. Quand je lis ce signe, j’en
cessives, une tendance consécutive distincte et correspondante à leur
nombre
, c’est-à-dire à la propriété qu’elles ont d’être
fficile pour les mots cinq, six ; la difficulté va croissant pour les
nombres
supérieurs, et il y a toujours un chiffre plus ou
evoir ou nous représenter distinctement ensemble au-delà d’un certain
nombre
de faits ou d’objets ; d’ordinaire, c’est cinq ou
e, la propriété générale et abstraite d’être trente-six ou tout autre
nombre
considérable ne le peut pas. — Devant cet obstacl
s composés peu complexes, ceux de deux, trois, quatre et des premiers
nombres
, ceux de plus et de moins, de plus grand et de mo
es propositions des sciences mathématiques sont des substitutions. Un
nombre
quelconque est le substitut du précédent joint à
tut du précédent joint à l’unité. Calculer, c’est remplacer plusieurs
nombres
par un seul à la suite de plusieurs remplacements
n quantité. — Quel que soit le raisonnement que nous fassions sur des
nombres
et des grandeurs, il consiste toujours à aller d’
série d’équivalents intermédiaires, à remplacer des grandeurs par les
nombres
qui les expriment, une forme par l’équation qui l
ateur l’unité suivie d’autant, de zéros qu’il y aura d’unités dans le
nombre
des divisions accomplies. Voilà un infini, non pa
s’approchent nécessairement sans jamais le toucher. Le polygone d’un
nombre
infini de côtés inscrit au cercle équivaut au cer
d’un nombre infini de côtés inscrit au cercle équivaut au cercle. Le
nombre
fractionnaire 1 + ½ + ½ + ⅛, etc., équivaut au no
t au cercle. Le nombre fractionnaire 1 + ½ + ½ + ⅛, etc., équivaut au
nombre
2. Ici encore, comme tout à l’heure, les mathémat
l’autre on ne peut démêler. IV Récapitulons. Ce ne sont pas les
nombres
, sauf les trois ou quatre premiers, que nous pens
remiers, que nous pensons, mais leurs équivalents, à savoir le nom du
nombre
précédent joint à l’unité ; ce ne sont pas les ob
Dans une impression ou groupe d’impressions qui se présente un grand
nombre
de fois, notre attention finit par se porter tout
on et soustraction au moyen des doigts et des cailloux. — Les noms de
nombre
, substituts des doigts et des cailloux. — Commodi
de nombre, substituts des doigts et des cailloux. — Commodité, petit
nombre
et combinaisons simples de ces nouveaux substitut
trouve adaptée à une collection d’unités mentales. — Exemples. — Nos
nombres
sont des cadres préalables. Il Toutes les idées g
rence. — Le plan. — Les trois corps ronds. — Les sections coniques. —
Nombre
indéfini de ces constructions. — Aux plus général
lignes, les chiffres et les noms sont leurs symboles. — Diversité et
nombre
indéfini des composés construits avec ces élément
t, de sa nature, fragmentaire, perpétuellement répétée, composée d’un
nombre
indéfini de portions successives, semblable à la
e la portion essentielle de l’individu. À présent, comparons un grand
nombre
d’individus entre eux. Chose remarquable, malgré
remarquable, malgré les séparations du temps et de l’espace, dans un
nombre
indéfini d’individus, certains caractères se retr
urent bien davantage dans le temps, puisqu’ils se rencontrent dans un
nombre
indéfini d’individus contemporains et se répètent
nombre indéfini d’individus contemporains et se répètent à travers un
nombre
indéfini de générations successives. Mais, en rev
qu’à l’œil nu il a constatées. — S’il arme son œil du microscope, ce
nombre
se multiplie au centuple ; Lyonnet n’a pas eu tro
de toutes sont celles de l’arithmétique, et elles ont pour objets les
nombres
. Or, chacun sait que tout nombre est formé par l’
tique, et elles ont pour objets les nombres. Or, chacun sait que tout
nombre
est formé par l’unité ajoutée à elle-même ; c’est
ts plus maniables encore, les divers sons qui constituent nos noms de
nombre
. Pour un doigt levé, nous disons un ; pour deux d
e d’unités abstraites. Pareillement enfin, quand on passe d’un nom de
nombre
au nom suivant, un doigt se lève pour s’ajouter a
aite s’ajoute au groupe précédent des unités abstraites, et le nom de
nombre
énoncé remplace, avec une unité de plus, le group
unités qui remplaçait le précédent. En d’autres termes, chaque nom de
nombre
équivaut au groupe désigné par le précédent, plus
euf. — Au-delà de dix-neuf, les langues bien faites, observant que le
nombre
suivant équivaut à deux fois dix, reprennent le m
t d’une façon convenable89, et modifient de la même façon les noms de
nombre
qui expriment les dizaines suivantes, afin de leu
tères plus simples, qui, au lieu de remplacer directement les noms de
nombre
et indirectement les nombres, remplacent directem
lieu de remplacer directement les noms de nombre et indirectement les
nombres
, remplacent directement les nombres. Ces caractèr
ms de nombre et indirectement les nombres, remplacent directement les
nombres
. Ces caractères sont appelés chiffres ; on convie
liste de neuf chiffres distincts pour représenter les neuf premiers à
nombres
; on ajoute à cette liste un zéro pour représente
ajoute à cette liste un zéro pour représenter l’absence d’unité ou de
nombre
, et désormais, au lieu de cinquante-cinq caractèr
es, nous fabriquons une quantité prodigieuse de composés qui sont les
nombres
. Il nous suffit pour cela d’aligner des chiffres
a des collections d’unités dans l’esprit. En effet, il y a un certain
nombre
de planètes autour du soleil. Il y a en ce moment
n nombre de planètes autour du soleil. Il y a en ce moment un certain
nombre
d’hommes, d’animaux, de plantes qui vivent sur la
quels nous les construisons ; tout le monde sait qu’ils sont en petit
nombre
, et on voit aisément de quelles expériences nous
tre chose a changé en lui ou dans ses alentours, et, après un certain
nombre
d’expériences, nous constatons ou nous croyons co
métrique, partant divisible en deux moitiés composées chacune du même
nombre
de particules toutes exactement semblables. Maint
x et, s’il se peut, universels ; car, plus ils sont généraux, plus le
nombre
d’individus ou cas où ils se retrouveront est con
ue des calculs de Condillac. 86. Sur le sens primitif de nos noms de
nombre
, voyez Bopp, Grammaire comparée, traduction Bréal
aduction Bréal, II, 221. Tri (trois) signifie « dépassant » (les deux
nombres
inférieurs). — Quatre signifie probablement « tro
ent « dix fois dix ». — Mille signifie probablement « beaucoup, grand
nombre
». 87. En latin, undecim, duodecim. 88. En lati
t quelque lumière sur cette question, et, sans nul doute, il en reste
nombre
d’autres à découvrir. Deux fois j’ai vu un Canard
aient en train d’éclore, et je la trouvai bientôt couverte d’un grand
nombre
de petits coquillages tout fraîchement éclos qui
nt, qui occupent un étang, cependant, comme ces espèces sont en petit
nombre
en comparaison de celles qui vivent sur la terre,
pte que parmi les productions d’eau douce plusieurs, et même un grand
nombre
, sont peu élevées dans la série des organismes ;
espèces de tout ordre qui habitent les îles océaniques sont en petit
nombre
, comparativement à celles qui peuplent des région
08 milles en latitude, et si l’on compare ses plantes phanérogames au
nombre
de 750 seulement, avec celles qui vivent sur une
plantes introduites par l’homme sont comprises, il est vrai, dans ces
nombres
, et la comparaison à d’autres égards n’est pas pa
-douzaine de plantes phanérogames aborigènes ; mais, depuis, un grand
nombre
s’y sont naturalisées, comme elles l’ont fait aus
ut alors admettre que sur chaque île océanique il n’a pas été créé un
nombre
suffisant des plantes et des animaux les mieux ad
en que les îles océaniques soient en général peuplées d’un très petit
nombre
d’espèces, la proportion des espèces autochtones,
le autre part, est souvent considérable. Si l’on compare d’un côté le
nombre
des coquilles terrestres propres à l’île de Madèr
où les oiseaux tout particuliers de l’archipel des Galapagos, avec le
nombre
d’espèces appartenant à ces mêmes classes qui son
escription que M. J.-M. Jones nous a donnée des Bermudes, qu’un grand
nombre
d’oiseaux américains, à l’époque de leurs migrati
aient aussitôt arrêtée. Mais Madère est, d’autre côté, habitée par un
nombre
surprenant d’espèces particulières de mollusques
Le docteur Hooker a montré que, parmi les plantes des Galapagos, les
nombres
proportionnels des divers arbres sont tout différ
importance que la nature des conditions locales. On pourrait citer un
nombre
considérable de faits de détail très remarquables
bsence totale de Grenouilles, Crapauds ou Salamandres sur un si grand
nombre
d’îles ne saurait être une suite des conditions p
es à l’égard des habitants des îles océaniques, c’est-à-dire le petit
nombre
des espèces, et la richesse proportionnelle des f
int de même et se remit à ramper. Mais il serait bon qu’un plus grand
nombre
d’expériences fussent tentées à ce sujet. Le fait
principe d’hérédité, leur nationalité originaire se trahit toujours.
Nombre
d’autres faits analogues pourraient être cités ;
s autres qu’elles ne le semblent sur la carte. Néanmoins un assez bon
nombre
d’espaces, communes à d’autres parties du monde o
es terres continues ; cependant elles sont habitées par un très grand
nombre
de plantes, d’oiseaux et de mammifères distincts.
permirent à certaines formes de s’y introduire en plus ou moins grand
nombre
, à l’exclusion de toutes les autres ; selon que c
t subi que des modifications légères, quelques-uns représentés par un
nombre
considérable d’individus, et d’autres n’existant
n nombre considérable d’individus, et d’autres n’existant qu’en petit
nombre
. À l’aide des mêmes principes, nous pouvons compr
u d’espèces, mais comment il se fait que, parmi ces espèces, un grand
nombre
soient particulières et autochtones ; et pourquoi
rd’hui leur distribution dans les diverses régions du globe. Un grand
nombre
de faits établissent cette analogie. Ainsi, la du
déterminée, bien que peut-être ils aient été formés d’un aussi grand
nombre
d’éléments chimiques qu’aujourd’hui, et qu’ils ai
d’une très grande variabilité pour arriver à se fixer et à former le
nombre
déjà considérable de types bien déterminés dont o
fréquemment. La raison élevée de leur multiplication fait qu’un grand
nombre
d’individus peuvent être détruits sans que l’espè
tre détruits sans que l’espèce périsse, parce qu’il suffit d’un petit
nombre
d’individus pour la reproduire et la multiplier d
ne âge ; que l’étendue plus bornée de leurs stations suppose, avec un
nombre
d’individus, des variations moins fréquentes, et
tique. Elles doivent aider le philosophe à approfondir les notions de
nombre
, d’espace, de temps. Et surtout leurs adeptes y t
nent la peinture et la musique. Ils admirent la délicate harmonie des
nombres
et des formes ; ils s’émerveillent quand une déco
u même nom par exemple la multiplication des quaternions et celle des
nombres
entiers. Si les quaternions, dont je viens de par
éatrice serait bientôt tarie. Les combinaisons que peuvent former les
nombres
et les symboles sont une multitude infinie. Dans
nt de tous. Le seul objet naturel de la pensée mathématique, c’est le
nombre
entier. C’est le monde extérieur qui nous a impos
donnance est simple et symétrique ; au contraire, dans la théorie des
nombres
, où règne l’imprévu, la vue est pour ainsi dire a
si dire arrêtée à chaque pas. Sans doute on vous dira qu’en dehors du
nombre
entier, il n’y a pas de rigueur, et par conséquen
si puristes et soyons reconnaissants au continu qui, si tout sort du
nombre
entier, était seul capable d’en faire tant sortir
prenant de l’introduction des variables continues dans la théorie des
nombres
? Ainsi le domaine propre du nombre entier est en
es continues dans la théorie des nombres ? Ainsi le domaine propre du
nombre
entier est envahi lui-même, et cette invasion a é
rigoureux ! Par exemple, la physique mathématique introduit un grand
nombre
de développements en séries. Ces développements c
ieux ce paradoxe apparent, en se rappelant dans quelles conditions le
nombre
s’applique aux phénomènes naturels. D’où provienn
ou que telle fonction est continue, ou qu’elle a une dérivée. Or les
nombres
que le physicien mesure par l’expérience ne lui s
mme il décline ses noms. la desinance marque le tems, la personne, le
nombre
et le mode. Si quelques desinances sont semblable
oses. Voilà pourquoi un mot n’a de signification que parmi un certain
nombre
d’hommes. Un mot françois n’a de signification qu
nt les cabanes se trouvoient voisines, doivent contenir un plus grand
nombre
de ces mots imitatifs que les langues dérivées. Q
plus sonores et plus variées en latin qu’en françois. Un trop grand
nombre
de mots françois est terminé par cet e que nous a
particuliere à chaque espece de vers. Cette figure est composée d’un
nombre
de pieds déterminé. La valeur de chaque pied est
d’autres regles que l’oreille. Leurs réflexions sur les vers dont le
nombre
et l’harmonie plaisoient, et sur ceux dont la cad
l est vrai que les regles de la poësie latine sont en bien plus grand
nombre
que les regles de la poësie françoise, à cause qu
sujettie à quatre regles. Nos vers doivent être composez d’un certain
nombre
de syllabes suivant l’espece du vers. Secondement
voir. Nos poetes sont encore chargez du soin d’observer la césure, le
nombre
des syllabes, et d’éviter en composant la rencont
t être le son de chaque syllabe. Elles se contentent de déterminer le
nombre
arithmetique des syllabes qui doivent entrer dans
a prononciation. Les regles de la poësie françoise ne décident que du
nombre
arithmetique des syllabes qui doivent entrer dans
yllabes bréves variées suivant une certaine proportion. Un trop grand
nombre
de sillabes longues emploïées de suite, retarde t
arde trop la progression du vers dans la prononciation. Un trop grand
nombre
de syllabes bréves emploïées de suite la precipit
t à ceux qui composent des vers latins, les regles le préviennent. Le
nombre
arithmétique des syllabes qui doivent entrer dans
en gardant la proportion convenable à chaque espece de vers entre le
nombre
arithmétique et la quantité des syllabes, déciden
étermine à y mettre des syllabes longues, d’y mettre alors un moindre
nombre
de syllabes. Si le poëte se détermine en faveur d
es bréves, les regles lui prescrivent alors d’en mettre un plus grand
nombre
. Or comme dans la prononciation une syllabe longu
eur dans la prononciation, bien que les uns contiennent un plus grand
nombre
de syllabes que les autres. La quantité des sylla
les autres. La quantité des syllabes est toûjours compensée par leur
nombre
arithmétique. Voilà pourquoi les vers hexametres
nt par dégrez jusques à sacrifier le sens et l’énergie du discours au
nombre
et à la cadence des phrases. Ciceron dit que de
plus grave qu’on ne se l’imagine généralement. Quand on avance qu’un
nombre
est plus grand qu’un autre nombre ou un corps qu’
généralement. Quand on avance qu’un nombre est plus grand qu’un autre
nombre
ou un corps qu’un autre corps, on sait fort bien,
commettre un véritable cercle vicieux. Car il est incontestable qu’un
nombre
en surpasse un autre quand il figure après lui da
rpasse un autre quand il figure après lui dans la série naturelle des
nombres
: mais si l’on a pu disposer les nombres en ordre
dans la série naturelle des nombres : mais si l’on a pu disposer les
nombres
en ordre croissant, c’est justement parce qu’il e
nir l’intensité d’une sensation ou d’un état quelconque du moi par le
nombre
et la grandeur des causes objectives, et par cons
celle qui a été obtenue ou qui s’obtiendrait au moyen d’un plus grand
nombre
de sources lumineuses, supposées à la même distan
ité de l’effet qui nous amène souvent à hasarder une hypothèse sur le
nombre
et la nature des causes, et à réformer ainsi le j
prouvait l’effet. Nous procédons sans doute ainsi dans un assez grand
nombre
de cas ; mais on n’explique point alors les diffé
ux intensités se fait le plus souvent sans la moindre appréciation du
nombre
des causes, de leur mode d’action ni de leur éten
le d’états psychiques, ou, si l’on aime mieux, au plus ou moins grand
nombre
d’états simples qui pénètrent l’émotion fondament
e de votre vie interne. Mais petit à petit il a pénétré un plus grand
nombre
d’éléments psychiques, les teignant pour ainsi di
cations qualitatives de la masse de nos états psychologiques. Mais le
nombre
des états que chacune de ces modifications attein
survenus en nous, et les degrés de profondeur au plus ou moins grand
nombre
de faits psychiques élémentaires que nous démêlon
e plus un effort donné nous fait l’effet de croître, plus augmente le
nombre
des muscles qui se contractent sympathiquement, e
d’effort musculaire se réduit à la double perception d’un plus grand
nombre
de sensations périphériques et d’un changement qu
s entre les efforts superficiels et les sentiments profonds. Un grand
nombre
d’états psychologiques sont accompagnés, en effet
e l’organisme, ébranlement que la conscience mesure sans peine par le
nombre
et l’étendue des surfaces intéressées. En vain on
a honte, fût-elle rétrospective. L’acuité de ces émotions s’évalue au
nombre
et à la nature des sensations périphériques qui l
ts de conscience en général qui s’orienteront, en plus ou moins grand
nombre
, dans une direction déterminée. Il n’y a donc pas
eviendrait de plus en plus sonore, mais plutôt à une symphonie, où un
nombre
croissant d’instruments se feraient entendre. Au
proposition, et définir précisément l’intensité de la douleur par le
nombre
et l’étendue des parties du corps qui sympathisen
ue pouvons-nous entendre ici par intensité croissante, si ce n’est le
nombre
toujours croissant de sensations qui viennent s’a
e note de la gamme, et le jour où le physicien a pu la définir par le
nombre
de vibrations auxquelles elle correspond dans un
ration et en éprouvaient un brusque désappointement. C’est surtout au
nombre
et à la nature de ces efforts sympathiques, accom
éprouvons dans certains cas. Selon qu’on augmente ou qu’on diminue le
nombre
des sources de lumière, les arêtes des corps ne s
les compter par la pensée, du moins grossièrement, et vérifier si ce
nombre
est à peu près égal à celui des nuances qui sépar
e ne sera toujours là qu’une interprétation commode : car bien que le
nombre
des nuances intermédiaires soit égal des deux côt
ation, aidée de notre mémoire, interposera de part et d’autre le même
nombre
de points de repère. Cette appréciation devra d’a
B, car un effort de plus en plus pénible sera requis pour évaluer le
nombre
des teintes intercalaires. C’est précisément ce q
ats S et S′ par lesquels on passe. Sans doute, si S et S′ étaient des
nombres
, je pourrais affirmer la réalité de la différence
ce S′ — S, lors même que S′ et S seraient seuls donnés : c’est que le
nombre
S′ — S, qui est une certaine somme d’unités, repr
dira, par exemple, qu’une sensation de 50 degrés est exprimée par le
nombre
de sensations différentielles qui se succéderaien
sont en présence l’un de l’autre comme dans une soustraction de deux
nombres
. Supposez maintenant que ces sensations soient de
valuerons sans doute la distance entre deux sensations données par le
nombre
, grossièrement reconstitué, de ces sauts brusques
de la qualité en quantité, une évaluation plus ou moins grossière du
nombre
des sensations qui se pourraient intercaler entre
sociation d’idées, de toute considération plus ou moins consciente de
nombre
et d’espace, il est naturel de chercher de combie
quoi cette dernière image consiste, si elle se confond avec celle du
nombre
, ou si elle en diffère radicalement. Dans le chap
uze ou de vingt-quatre syllabes, une phrase mélodique, limitée par le
nombre
même de ses syllabes, et, par cette limite, acqué
s assimilables à sa propre nature . Dès l’origine il fut fondé sur le
nombre
et sur la césure ; le vers de huit syllabes lui-m
mère : on a connu que les e muets n’étaient plus (hormis en un petit
nombre
de circonstances) que la vibration d’une consonne
l’oreille ; maintenant il coupe le vers, non plus au commandement du
nombre
Douze, mais quand le sens s’y prête, d’accord ave
urore est dans ta chair. | (La Clarté de Vie.) Ainsi Douze, le vieux
nombre
traditionnel et donc sacré s’impose à ceux même q
modèle de son idée émotive, et non plus déterminé par la loi fixe du
nombre
. Il est certain qu’on essaierait en vain de dépe
elon l’usage | antique | et solennel « Leur unité vraie n’est pas le
nombre
conventionnel du vers, mais un arrêt simultané du
ettes rayées, fort curieusement combiné, ce vers, avec ses groupes en
nombres
décroissants, six, cinq, quatre, trois, et bien c
usicale qu’il appelle les éléments du vers. Nous avons déjà le vers à
nombre
décroissant. En voici un à trois éléments égaux :
rs libre de M. Kahn apparaît surtout tel que libéré de la tyrannie du
nombre
symétrique . Il serait puéril alors de vouloir co
défaille et manque d’une ou de deux syllabes, si tel autre dépasse le
nombre
qui donne au poème son allure, la marche du rythm
llis. Il faut estimer que tous les vers de cette laisse sont de même
nombre
; il ne faut plus, ici moins que jamais, compter
pose pas absolument de vers, puisque ses vers ou versets n’ont pas un
nombre
fixe d’accents ; elle n’est point de la prose pur
e et alors vivre d’une vie propre, une, absolue. En un tel système le
nombre
des syllabes accentuées n’est déterminé que par l
rminé que par le pouvoir auditif d’une oreille : au-delà d’un certain
nombre
de syllabes, il n’y a plus de vers, parce que l’o
libres. Ce vers latin, ce vers des séquences, presque sans rime, a un
nombre
variable de syllabes, d’accents ; comme il diffèr
e se compose d’une préface d’un vers, d’une finale d’un vers, et d’un
nombre
illimité de vers simples ou redoublés, vers appel
e sur la première : cela donne une strophe très élémentaire. Quant au
nombre
des syllabes, d’une clausule à l’autre, il varie
minantes, tendent à continuer encore à s’accroître en puissance et en
nombre
. J’ai, de plus, établi que les descendants variab
nstante chez les formes qui sont en voie de s’accroître rapidement en
nombre
et de diverger en caractères, à supplanter et à e
nce dans la classification des Graminées. On pourrait encore énumérer
nombre
de particularités caractéristiques d’une valeur p
es. À l’égard de ces dernières, disait A. de Jussieu, « le plus grand
nombre
des caractères propres à l’espèce, au genre, à la
, que des fleurs dégénérées, s’éloignant ainsi étonnamment d’un grand
nombre
des caractères les plus importants du propre type
. S’ils observent un caractère à peu près uniforme, commun à un grand
nombre
d’espèces, et qui n’existe pas chez d’autres, ils
vent comme ayant une grande valeur ; s’il est commun à un moins grand
nombre
de formes, ils ne l’emploient que comme ayant une
fondées sur des caractères dérivés de l’embryon, c’est-à-dire sur le
nombre
et la position des cotylédons ou feuilles séminal
aîne des affinités. Rien n’est plus aisé que de déterminer un certain
nombre
de caractères communs à tous les oiseaux ; mais,
des dissemblances actuelles peut différer considérablement, selon le
nombre
et l’importance des modifications qu’ils ont subi
ne se fût peu altérée, et qu’elle n’eût donné naissance qu’à un petit
nombre
de langues modernes ; tandis que d’autres, par su
, se sont altérées considérablement et ont donné naissance à un grand
nombre
de langues ou de dialectes modernes. Les divers d
e cette particularité soit caractéristique et constante chez un grand
nombre
d’espèces distinctes, et surtout parmi celles qui
on est toujours possible, et le cas s’en présente souvent, tant qu’un
nombre
suffisant de caractères, si peu importants qu’ils
nants de chaque classe tendent ainsi à s’accroître de plus en plus en
nombre
, et, conséquemment, à supplanter beaucoup de grou
tous les organismes, vivants ou éteints, sont renfermés dans un petit
nombre
de grands ordres, dans un nombre encore moindre d
teints, sont renfermés dans un petit nombre de grands ordres, dans un
nombre
encore moindre de classes, et enfin dans un seul
ses, et enfin dans un seul grand système général. Une preuve du petit
nombre
des groupes supérieurs, c’est que la découverte d
’à certain point intermédiaires entre des groupes existants. Un petit
nombre
d’anciennes souches mères, intermédiaires en cara
es aberrants ou osculateurs. Et plus une forme est aberrante, plus le
nombre
des formes perdues qui, d’après ma théorie, doive
inctions ; car elles sont généralement représentées par un très petit
nombre
d’espèces ; et ces espèces sont le plus souvent t
n décadence, vaincus par des concurrents plus heureux, et qu’un petit
nombre
de membres, protégés par un concours de circonsta
ort à tous les autres vertébrés. Car il suffit d’admettre qu’un grand
nombre
de formes anciennes qui rattachaient les premiers
ment les poissons aux Batraciens paraissent avoir subi un moins grand
nombre
d’extinctions. D’autres classes, telles que celle
ivers et destinés à de si différents usages sont formés au moyen d’un
nombre
infini de modifications d’une lèvre supérieure, d
s du crâne sont homologues avec les parties élémentaires d’un certain
nombre
de vertèbres, c’est-à-dire qu’ils présentent le m
n certain nombre de vertèbres, c’est-à-dire qu’ils présentent le même
nombre
de ces parties dans la même position relative. Le
rquoi le cerveau est-il enfermé dans une boîte composée d’un si grand
nombre
de pièces osseuses d’une forme si extraordinaire
t-il constamment, et comme une conséquence nécessaire, un moins grand
nombre
de pattes, ou réciproquement ? Pourquoi ceux qui
supposer que le progéniteur inconnu des vertébrés possédait un grand
nombre
de vertèbres, le progéniteur inconnu des articulé
nd nombre de vertèbres, le progéniteur inconnu des articulés un grand
nombre
de segments, et le progéniteur inconnu des plante
egments, et le progéniteur inconnu des plantes phanérogames, un grand
nombre
de tours de spirales supportant chacun un certain
es, un grand nombre de tours de spirales supportant chacun un certain
nombre
de feuilles. Nous avons déjà vu que des parties t
u que des parties très multiples sont éminemment sujettes à varier en
nombre
et en structure ; conséquemment, il est probable
longtemps continué de ces modifications, se sera emparée d’un certain
nombre
des éléments similaires primitifs, plusieurs fois
res espèces distinctes ; par contre, on ne peut constater qu’un petit
nombre
d’homologies sériales : c’est-à-dire que rarement
âchoires des crabes proviennent, d’après eux, de la métamorphose d’un
nombre
égal de pattes, et les étamines et les pistils de
les étamines et les pistils des fleurs, de la métamorphose d’un même
nombre
de feuilles. Mais, ainsi que l’a remarqué le prof
des modifications successives que l’espèce a subies pendant un grand
nombre
de générations, les jeunes individus, même pendan
certains oiseaux comme un doigt à l’état rudimentaire ; chez un grand
nombre
de serpents un des lobes des poumons est rudiment
de cause à effet, et d’antécédent à conséquent, qui interviennent. Le
nombre
de ces rapports augmente avec la complexité des ê
lé. Cependant, autant que j’en puis juger, je crois que le plus grand
nombre
ne sont qu’apparentes ; et même celles qui sont r
s doivent avoir existé, pourquoi ne les trouvons-nous pas enfouies en
nombre
infini dans l’écorce terrestre ? Nous discuterons
ue espèce, même au centre de sa station, s’accroîtrait immensément en
nombre
sans la concurrence d’autres espèces ; que presqu
aque espèce sur les confins de son habitat, où elle existe en moindre
nombre
, doit, en vertu des fluctuations du nombre de ses
où elle existe en moindre nombre, doit, en vertu des fluctuations du
nombre
de ses ennemis, de la quantité de ses moyens de s
habitera une aire moins étendue, sera représentée par un moins grand
nombre
d’individus : or, dans l’observation des faits, a
édiaires entre deux formes quelconques ont toujours existé en moindre
nombre
que les formes qu’elles relient les unes aux autr
ervi de passage. En effet, toute forme représentée par un moins grand
nombre
d’individus doit, ainsi que je l’ai déjà fait rem
n deux espèces distinctes, les deux formes qui existent en plus grand
nombre
, par suite de la plus grande étendue des régions
uisse se saisir, que des formes plus rares qui existent en plus petit
nombre
. Les formes les plus communes doivent donc toujou
us communes dans chaque contrée présentent, en moyenne, un plus grand
nombre
de variétés bien tranchées que les espèces plus r
des collines, et les deux races qui existaient d’abord en plus grand
nombre
arriveront à être en contact immédiat l’une avec
ute région et en tout temps, nous ne pouvons trouver qu’un très petit
nombre
d’espèces en voie de subir des modifications légè
d’hui continues, ont dû former à une époque encore récente un certain
nombre
de stations isolées, où beaucoup de formes organi
ntermédiaires doivent avoir existé dans les zones moyennes en moindre
nombre
que les variétés auxquelles elles servent de pass
unes aux autres. En effet, celles-ci, existant en beaucoup plus grand
nombre
, ont dû généralement présenter de plus fréquentes
t, j’ai contre moi le désavantage de ne pouvoir citer, parmi le grand
nombre
de faits analogues que j’ai pu recueillir, qu’un
e qu’au moins quelques-unes de ces espèces d’Écureuils décroîtront en
nombre
ou seront exterminées, à moins qu’elles ne se mod
quels moyens divers de transition sont possibles98. De ce qu’un petit
nombre
d’animaux appartenant à des ordres, en général, à
bitudes très différentes ne se sont que rarement développées en grand
nombre
et sous de nombreuses formes subordonnées. Ainsi,
ansitoires de l’organisation que ces formes ont existé en moins grand
nombre
, relativement au nombre des représentants des esp
tion que ces formes ont existé en moins grand nombre, relativement au
nombre
des représentants des espèces dont la structure e
des yeux de nos crustacés vivants ; et si l’on se rappelle combien le
nombre
des espèces vivantes est peu de chose par rapport
ombien le nombre des espèces vivantes est peu de chose par rapport au
nombre
des espèces éteintes, je ne puis trouver de diffi
artie des poissons aient eu des organes électriques que le plus grand
nombre
de leurs descendants auraient perdus102. La prése
le bien de son possesseur. Ils ont soutenu, au contraire, qu’un grand
nombre
de particularités ont été créées dans le seul but
ions ultérieures, et par ce fait même qu’elles existent en plus grand
nombre
, auront un grand avantage sur la variété interméd
te. Car dans une contrée très étendue, où il a pu vivre un plus grand
nombre
d’individus et des formes plus diversifiées, la c
série de quelques générations d’individus variables. Or, si un petit
nombre
d’individus variables ne pouvait l’emporter sur d
e serait vaine. L’avantage qu’une forme organique peut tirer du grand
nombre
de ses représentants ne vient donc qu’en seconde
e peut devoir à une grande variabilité ; et on peut dire que le grand
nombre
d’individus ou la grande étendue de l’habitat n’e
rt, comme une forme très variable peut s’accroître très rapidement en
nombre
, on comprend que deux variétés extrêmes, se forma
une même région continue, doivent tendre constamment à restreindre le
nombre
et l’habitat de leur commune souche mère dans la
côté l’infériorité de la fixité, et de plus en plus l’infériorité du
nombre
, elle ne tarderait pas à disparaître complétement
volants pour les exterminer, ou du moins pour diminuer de beaucoup le
nombre
de leurs représentants et de leurs espèces. Ce no
hes supérieures des eaux, préludaient par degrés successifs et par un
nombre
considérable de groupes transitoires de plus en p
es plus tranchées du règne animal n’ont jamais dû exister qu’en petit
nombre
et durant une période extrêmement courte, relativ
x périodes géologiques considérées par nous comme successives ; et le
nombre
total des représentants de ces formes transitoire
ectricité, et que désormais ce genre entier doit être compris dans le
nombre
des poissons électriques. (Trad.) 102. Il sembl
ait, il se pourrait donc qu’il eût toujours existé à peu près le même
nombre
d’espèces de poissons électriques. De plus, toute
états électriques contraires dans les mêmes points ; mais si un grand
nombre
de points de la fibre musculaire, sont mis en com
’y aurait ainsi aucune difficulté à concevoir qu’il ait pu exister un
nombre
suffisant de prototypes électriques pour explique
horescence du bois, dont je parlais tout à l’heure, ainsi qu’un grand
nombre
d’autres faits d’émission de lumière qui accompag
des mollusques, paraît aujourd’hui dépendre de la présence d’un grand
nombre
d’animalcules microscopiques phosphorescents. Mai
quelque danger, et cette opinion semble très probable. Un assez grand
nombre
de lois gouvernent la variabilité ; quelques-unes
re, même le Dahlia, etc. On est réellement surpris d’y voir sous quel
nombre
infini de rapports les variétés et sous-variétés
. Ce que nous pourrions affirmer en toute sécurité, c’est qu’un grand
nombre
de nos races domestiques les plus distinctes ne s
nt soumises aux mêmes influences, pendant qu’elles sont maintenues en
nombre
considérable et que les croisements peuvent arrêt
s, nos volailles de toute espèce et nos légumes succulents pendant un
nombre
infini de générations, ce serait contraire à tout
nt un grand poids pour nous faire douter de l’immutabilité d’un grand
nombre
d’espèces sauvages étroitement alliées, comme ser
? Je ne puis douter que, si d’autres animaux ou d’autres plantes, en
nombre
égal à celui de nos espèces domestiques et appart
’état de nature pour se reproduire en domestication pendant un pareil
nombre
de générations, ils ne varient autant, en moyenne
s, puisque les diverses contrées qu’elle renferme ne possèdent pas un
nombre
égal d’espèces sauvages particulières qu’on puiss
rement de la Perse et de l’Inde. Je me suis en outre procuré un grand
nombre
de traités publiés en différentes langues sur les
nte et même quarante plumes à la queue, au lieu de douze ou quatorze,
nombre
normal dans tous les membres de la grande famille
de la mâchoire inférieure varient d’une manière très remarquable. Le
nombre
des vertèbres caudales et lombaires varie, ainsi
le. Le nombre des vertèbres caudales et lombaires varie, ainsi que le
nombre
des côtes et des apophyses. La largeur et la form
sophage ; le développement ou l’avortement de la glande oléifère ; le
nombre
des plumes primaires et caudales ; la longueur re
rapport au corps ; la longueur relative des jambes et des pieds ; le
nombre
des écailles des doigts ; le développement de la
actuellement existantes par les croisements réciproques d’un moindre
nombre
. Comment, par exemple, pourrait-on arriver à fair
arents une tendance à revenir à un caractère perdu pendant un certain
nombre
de générations, cette tendance, d’après tout ce q
e l’on a pu voir, peut se transmettre sans affaiblissement pendant un
nombre
indéfini de générations. Ces deux cas très distin
et la longueur du bec du Messager, le bec si court du Culbutant et le
nombre
des plumes caudales du Pigeon-Paon, sont extrêmem
ns ont été l’objet des soins les plus vigilants de la part d’un grand
nombre
d’amateurs ; ils sont domestiqués depuis des mill
ur esprit la somme de différences légères accumulées pendant un grand
nombre
de générations successives. Les naturalistes, qui
par l’accumulation dans une direction déterminée, et pendant un grand
nombre
de générations successives, de différences absolu
ois solidement établie par suite de plusieurs reproductions. Un grand
nombre
de modifications peu profondes peuvent se montrer
propre type. L’Oie commune, au contraire, n’a fourni qu’un très petit
nombre
de variétés ; il s’en est suivi que la race de To
e rarement, les chances de leur apparition s’accroissent en raison du
nombre
des individus observés, qui devient ainsi un élém
’améliorations. D’autre part, les pépiniéristes, qui élèvent un grand
nombre
d’individus de la même plante, réussissent beauco
former des variétés nouvelles et précieuses. Pour rassembler un grand
nombre
d’individus d’une espèce en une contrée, il est n
bles pour s’y reproduire librement. Quand les individus sont en petit
nombre
, tous, quelles que soient leurs qualités, réussis
son gré ; chez les Ânes, parce qu’ils sont toujours possédés en petit
nombre
par de pauvres gens qui font peu d’attention à le
sont, les grands orateurs, et ces autres poètes en prose qui, par le
nombre
de leur phrase, sont des musiciens. Ils doivent ê
ut haut ; ensuite à haute voix, pour que l’oreille se rende compte du
nombre
et de l’harmonie, sans que, cette fois, l’esprit
u’il est essentiel. La ponctuation n’est pas moins importante pour le
nombre
que pour le sens et c’est pourquoi une faute de p
t laissé sans complément et restant en l’air. Mais au point de vue du
nombre
, la faute, qu’on lui faisait commettre était enco
ion scrupuleuse à la ponctuation. Ensuite, il faut faire attention au
nombre
et à l’harmonie, qui ne sont pas absolument la mê
et à l’harmonie, qui ne sont pas absolument la même chose. J’appelle
nombre
une phrase d’une certaine longueur qui est bien f
ous avons donné, il y avait déjà quelque trace, non plus seulement de
nombre
, mais d’harmonie. On peut le prendre au point de
rmonie expressive ne fait que se mêler un peu et de temps en temps au
nombre
. Voici où elle règne en maîtresse et fait la péri
ssive. Et je n’ai pas besoin d’ajouter qu’ici, comme il doit être, le
nombre
et l’harmonie concourent, l’harmonie ne contrarie
e, le nombre et l’harmonie concourent, l’harmonie ne contrarie pas le
nombre
et au contraire s’associe avec lui intimement et
contraire s’associe avec lui intimement et la voix s’arrête, selon le
nombre
, sur le mot inévitables, comme, selon l’harmonie,
ans Racine, mélodieux plutôt qu’harmonieux, flattant l’oreille par le
nombre
savamment observé et ingénieusement inventé, plut
seurs. On y trouve, à l’état d’ébauche et de solutions entrevues, bon
nombre
d’explications que les contemporains ont données
, n’a-t-on pas assez remarqué que l’abstraction a ses degrés comme le
nombre
a ses puissances : Rouge est un abstrait, couleur
ction, comme l’arithmétique détermine les puissances croissantes d’un
nombre
; si elle parvenait, autant que le comporte la na
m d’idée, mais un nom pour un manque d’idées), il ne s’applique qu’au
nombre
, à l’étendue et à la durée. » Nous augmentons le
lique qu’au nombre, à l’étendue et à la durée. » Nous augmentons les
nombres
en ajoutant un à un, un à deux, etc., et en donna
e agrégat. C’est l’association des idées qui constitue ce procédé. Le
nombre
est limité, par conséquent pas infini. Le nombre
titue ce procédé. Le nombre est limité, par conséquent pas infini. Le
nombre
est la négation de l’infini, comme le noir est la
ience, dans lequel l’idée d’un de plus est intimement associée à tout
nombre
qui se présente. Infini, derme abstrait, c’est l’
s. — II. De la nature des variétés intermédiaires éteintes et de leur
nombre
. — III. De la longue durée des temps géologiques
établir que les variétés intermédiaires, existant toujours en moindre
nombre
que les formes auxquelles elles servent de liens
océdé d’extermination a dû agir sur une grande échelle, plus aussi le
nombre
des variétés intermédiaires qui ont existé autref
re. II. De la nature des variétés intermédiaires éteintes et de leur
nombre
. — En premier lieu, il faut bien se représenter q
gente vers le commun ancêtre de chaque grande classe. De sorte que le
nombre
des chaînons intermédiaires et transitoires entre
oir été immense. Mais ma théorie n’est vraie qu’à la condition que ce
nombre
incalculable de variétés ait successivement vécu
dénudent. — Outre que nous ne trouvons pas les restes fossiles de ce
nombre
presque infini de formes transitoires, on peut en
été constamment peuplées d’innombrables hordes d’êtres vivants. Quel
nombre
de générations, impossible à saisir pour l’esprit
nommées, d’après un seul spécimen, souvent brisé, ou d’après un petit
nombre
, recueillis dans un même lieu. Une très petite pa
Forbes, de pareilles stations ne sont habitées que par un très petit
nombre
d’espèces, bien que les sondages opérés récemment
ins, je ferai observer que tous les géologues, à l’exception du petit
nombre
de ceux qui croient voir dans les schistes métamo
ffaissement, l’étendue des régions habitables allant en diminuant, le
nombre
de leurs habitants doit décroître, si l’on en exc
peut les négliger. Quoique chaque formation ait assurément requis un
nombre
considérable d’années pour s’accumuler, il y a ce
istes expérimentés font aujourd’hui descendre au rang de variétés bon
nombre
des espèces établies par d’Orbigny et tant d’autr
variétés ou des espèces. Leurs conclusions dépendraient uniquement du
nombre
de formes intermédiaires qu’ils pourraient découv
ou sur des récifs sous-marins dénudés, je soupçonne qu’un très petit
nombre
seulement sont recouverts de sédiment ; et ceux q
raient se conserver toutes dans une seule et même formation. Un grand
nombre
des espèces marines de l’archipel s’étendent aujo
e, nous ne pouvons espérer trouver dans nos formations géologiques un
nombre
infini de ces formes transitoires qui, d’après ma
mais, quand cette adaptation a été une fois effectuée, et qu’un petit
nombre
d’espèces ont ainsi acquis de grands avantages su
ut plus qu’un temps comparativement très court pour produire un grand
nombre
de formes divergentes qui peuvent se répandre rap
ent leur place dans la bataille de la vie ; car ils existent en grand
nombre
et sous beaucoup de formes spécifiques diverses.
écouvrir un seul fragment d’os dans ces mêmes terrains. Et quoique le
nombre
des articulations et des doigts qu’indiquent les
e mes propres yeux. Il s’agit des Cirripèdes sessiles fossiles. Vu le
nombre
extraordinaire d’individus qui représentent beauc
e fussent sans nul doute conservés, et on en eût découvert un certain
nombre
. Mais comme jusque-là on n’en avait pas trouvé un
eurs formations européennes dont nous ne connaissons qu’un très petit
nombre
d’espèces. Quelques familles de poissons ont actu
vers le monde entier, qu’il le serait à un naturaliste de discuter du
nombre
et de la distribution des productions naturelles
étendus que les terres, et, en outre, qu’ils sont parsemés d’un grand
nombre
d’îles. Mais aucune île océanique, sauf la Nouvel
que, quoique nous trouvions dans nos formations géologiques un grand
nombre
de chaînons intermédiaires entre les espèces qui
lement les formes organiques doivent changer de nature et diminuer de
nombre
, mais la vitesse d’accumulation elle-même doit au
pôts sous-marins sont donc si nombreuses, qu’il faut attribuer à leur
nombre
même la difficulté et presque l’impossibilité où
— Deux de ces collections sont égales quand elles contiennent le même
nombre
d’unités. — Cas des grandeurs naturelles ou colle
-delà, et se trouve comprise dans une série infinie. — Exemples. — Un
nombre
. — Une ligne droite. — Démonstration de l’axiome.
s ces données sont des caractères généraux, c’est-à-dire communs à un
nombre
indéfini d’individus ou de cas ; que toutes ces d
gone et de doubler leur somme diminuée de deux, pour dire d’avance le
nombre
d’angles droits compris dans ce polygone. Il me s
ns que la présence du second entraîne la sienne. Ainsi, quand dans un
nombre
la somme des chiffres est divisible par 9, le nom
i, quand dans un nombre la somme des chiffres est divisible par 9, le
nombre
lui-même est divisible par 3, mais la réciproque
ur tous les autres noms de classe ; chacun d’eux finit par évoquer un
nombre
considérable de jugements généraux, et chacun d’e
onsidérable de jugements généraux, et chacun d’eux peut en évoquer un
nombre
indéfini. Par son escorte plus ou moins ample, ch
nerons cela plus tard. — En attendant, nous pouvons, d’après le grand
nombre
des lois constatées en nous et autour de nous, l’
ifférences. Après cette élimination énorme, il ne restera qu’un petit
nombre
de caractères communs, la circulation double, la
es si exactement semblables qu’ils ne diffèrent que par un très petit
nombre
de caractères et, s’il se peut, par un seul. À ce
nt total, étant plus complexe et plus multiple, limitera davantage le
nombre
des hypothèses capables d’en rendre compte ; et e
ent. — Ou bien les deux collections sont épuisées ensemble ; alors le
nombre
des moutons est le même dans le premier et dans l
es moutons est le même dans le premier et dans le second troupeau, le
nombre
des unités est le même dans le premier et dans le
es deux grandeurs sont égales. Égalité signifie donc présence du même
nombre
. — Ou bien l’une des deux collections est épuisée
bien l’une des deux collections est épuisée avant l’autre ; alors le
nombre
des moutons est différent dans le premier et dans
moutons est différent dans le premier et dans le second troupeau, le
nombre
des unités est différent dans le premier et dans
eux grandeurs sont inégales. Inégalité signifie donc présence de deux
nombres
différents. Maintenant, pour ces sortes de grande
cédente, cela signifie que la première collection contient un certain
nombre
d’individus ou d’unités, qu’on lui en ajoute un c
ertain nombre d’individus ou d’unités, qu’on lui en ajoute un certain
nombre
, que la seconde collection contient le même nombr
ajoute un certain nombre, que la seconde collection contient le même
nombre
d’individus ou d’unités que la première, qu’on lu
d’individus ou d’unités que la première, qu’on lui en ajoute le même
nombre
qu’à la première, que, dans les deux cas, le même
oute le même nombre qu’à la première, que, dans les deux cas, le même
nombre
est ajouté au même nombre, et que, partant, les d
a première, que, dans les deux cas, le même nombre est ajouté au même
nombre
, et que, partant, les deux collections finales co
re, et que, partant, les deux collections finales contiennent le même
nombre
ajouté au même nombre, c’est-à-dire le même nombr
es deux collections finales contiennent le même nombre ajouté au même
nombre
, c’est-à-dire le même nombre total d’individus ou
ontiennent le même nombre ajouté au même nombre, c’est-à-dire le même
nombre
total d’individus ou d’unités, d’où il suit, d’ap
analyse, cela signifie que la première collection contient un certain
nombre
d’individus ou d’unités, qu’on lui en ôte un cert
n certain nombre d’individus ou d’unités, qu’on lui en ôte un certain
nombre
, que la seconde collection contient le même nombr
en ôte un certain nombre, que la seconde collection contient le même
nombre
d’individus ou d’unités que la première, qu’on lu
bre d’individus ou d’unités que la première, qu’on lui en ôte le même
nombre
qu’à la première, en sorte que dans les deux cas
même nombre qu’à la première, en sorte que dans les deux cas le même
nombre
est diminué du même nombre, et que, partant, les
re, en sorte que dans les deux cas le même nombre est diminué du même
nombre
, et que, partant, les deux collections finales co
re, et que, partant, les deux collections finales contiennent le même
nombre
diminué du même nombre, c’est-à-dire le même nomb
s deux collections finales contiennent le même nombre diminué du même
nombre
, c’est-à-dire le même nombre restant d’individus
ntiennent le même nombre diminué du même nombre, c’est-à-dire le même
nombre
restant d’individus ou d’unités ; d’où il suit to
r la ligne droite rapportée aux autres lignes, brisées ou courbes, en
nombre
indéfini, auxquelles il faudrait la comparer pour
pareillement ajouter 1 à 3, puis à 4, à 5, à 6, et en général à tout
nombre
, quel qu’il soit. Ainsi toute adjonction effectué
ilité d’une autre adjonction pareille ; d’où il suit que la série des
nombres
est absolument infinie. Il n’y a pas de nombre, s
suit que la série des nombres est absolument infinie. Il n’y a pas de
nombre
, si énorme qu’il soit, qui ne soit compris dans c
oit, qui ne soit compris dans cette série ; elle est, par rapport aux
nombres
imaginables, ce que la durée est par rapport aux
t aux corps réels ou imaginables, un réceptacle sans limites, où tout
nombre
déterminé ou déterminable vient forcément se loge
ntôt plus bas, mais toujours en un endroit précis, sans que jamais ce
nombre
, enflé aussi monstrueusement qu’on voudra, cesse
inies. Tel est le procédé par lequel je sais que la série infinie des
nombres
pairs est égale à la série infinie des nombres im
e la série infinie des nombres pairs est égale à la série infinie des
nombres
impairs et que chacune d’elles est la moitié de l
impairs et que chacune d’elles est la moitié de la série infinie des
nombres
. Tel est le procédé par lequel je sais que la sur
t et n’en dériveraient que çà et là. Il en serait des êtres comme des
nombres
, comme des fractions périodiques par exemple, qui
mmes demandé quelle orientation devaient donner aux idées sociales le
nombre
et le rapprochement, les ressemblances et les dif
e leurs formes correspondent des effets propres. Et d’abord, c’est du
nombre
même et des rapports de ces groupements partiels
u lieu d’appartenir à un seul groupe, peuvent faire partie d’un grand
nombre
de groupes en même temps. Quelle influence la com
sans arriver à se couper. Plus, dans une même société, augmente leur
nombre
et leur variété, plus un même individu a de chanc
us, nous apercevons d’abord les efforts de l’État pour restreindre le
nombre
des associations partielles. À l’exception d’Alex
te qu’on pourrait en attendre. Dans la plupart des États modernes, le
nombre
des sociétés existant juridiquement est relativem
, Syndicats, ce sont là des groupements professionnels : c’est par le
nombre
et l’importance des associations fondées sur les
s d’adhérer à une autre. Leur variété augmente en même temps que leur
nombre
: ce ne sont pas seulement des intérêts économiqu
fectures, on pourra relever, dans nos départements, la progression du
nombre
des associations constituées. Mais de pareils rel
points d’intersection. Il faut se rendre compte en effet qu’un grand
nombre
des sociétés, et non des moins influentes, auxque
lus variés comprendra, toutes choses égales d’ailleurs, un plus grand
nombre
d’individus qu’un clan qui ne tolère aucune union
170 de même que l’individualité d’une chose augmente à proportion du
nombre
des idées auxquelles elle participe, ainsi l’augm
u nombre des idées auxquelles elle participe, ainsi l’augmentation du
nombre
des groupes dont elles font partie accroît l’orig
es plus nombreuses et les plus variées, est porté à se représenter ce
nombre
et cette variété comme susceptibles de s’accroîtr
nt nombreuses, plus il y a de chances pour qu’il s’en trouve, dans le
nombre
, qui fassent profession de ne pas tenir compte de
t c’est ce qui devient de plus en plus probable à mesure qu’avec leur
nombre
augmente la variété des sociétés enchevêtrées ; l
estime des hommes. En résumé la complication sociale, multipliant le
nombre
des associations dont peut faire partie, à des ti
ifiques (Ministère de l’Instruction, publique) sur l’accroissement du
nombre
des Sociétés savantes, apporte à notre thèse cett
nsité. — Cas des sons musicaux quelconques. — Expérience de Savart. —
Nombre
énorme des sensations élémentaires qui se succède
nt en une seconde pour former la sensation totale d’un son aigu. — Ce
nombre
croît à mesure que le son devient plus aigu. — En
me et toute seule, est une sensation proprement dite. Il y a un grand
nombre
de faits semblables, quoique différents par l’esp
par rapport aux autres, comme la grandeur, la forme, la position, le
nombre
; les qualités mathématiques et géométriques, qui
elles nous formons les notions de grandeur, de position, de forme, de
nombre
; mais, de quoi elles-mêmes elles se forment, nou
culaire, pareille à la loi qui fait croître l’acuité des sons avec le
nombre
des vibrations transmises au nerf auditif. La cho
ncement de la psychologie nous sommes obligés, ce semble, de poser un
nombre
très grand de données mutuellement irréductibles,
ssemblances sont constituées par des éléments homogènes et précis, le
nombre
, la force et la forme, tandis que, dans les sensa
ossières et à la constatation sèche de différences indéfinissables en
nombre
indéfini. III Cependant les sensations ont
n brute, n’ont rien de commun et qui pourtant ne diffèrent que par le
nombre
des molécules d’oxygène comprises dans chacune de
diffèrent cependant que par la durée, la proximité, la grandeur et le
nombre
de leurs éléments. Or il est un groupe de sensati
e minimum ; ce qui arrive : à mesure que le son devient plus aigu, le
nombre
et la pluralité qui apparaissaient encore, quoiqu
plus courtes de la sensation occupent moins de temps, quoique en même
nombre
. Par suite, pour la conscience, nos sensations de
emblables entre eux, ils ne diffèrent, de timbre à timbre, que par le
nombre
et l’acuité. Cela établi, on est en mesure d’expl
sont semblables, et dans le second dissemblables ; ce qui explique le
nombre
infini des sensations de bruit, et l’impossibilit
en celle-là. Qui doutera qu’un angle peut toujours être partagé en un
nombre
quelconque de parties égales ? M. Méray n’en juge
d’abord que les logiciens ont dû porter leurs efforts. Ainsi pour le
nombre
incommensurable. L’idée vague de continuité, que
n, s’est résolue en un système compliqué d’inégalités portant sur des
nombres
entiers. Par là, les difficultés provenant des pa
itivement éclaircies. Il ne reste plus aujourd’hui en Analyse que des
nombres
entiers ou des systèmes finis ou infinis de nombr
n Analyse que des nombres entiers ou des systèmes finis ou infinis de
nombres
entiers, reliés entre eux par un réseau de relati
une troisième sont égales entre elles ; 2° Si un théorème est vrai du
nombre
1 et si l’on démontre qu’il est vrai de n + 1, po
st vrai de n + 1, pourvu qu’il le soit de n, il sera vrai de tous les
nombres
entiers ; 3° Si sur une droite le point C est ent
rocédés des sciences expérimentales ; nous avons enfin l’intuition du
nombre
pur, celle d’où est sorti le second des axiomes q
il n’y a plus que des syllogismes ou des appels à cette intuition du
nombre
pur, la seule qui ne puisse nous tromper. On peut
icien décompose pour ainsi dire chaque démonstration en un très grand
nombre
d’opérations élémentaires ; quand on aura examiné
il y a plusieurs espèces d’intuition. J’ai dit combien l’intuition du
nombre
pur, celle d’où peut sortir l’induction mathémati
raqués sur deux mondes étrangers l’un à l’autre. C’est l’intuition du
nombre
pur, celle des formes logiques pures qui éclaire
que plus ou moins éloignée. Il doit dépendre aussi de la nature et du
nombre
des premiers émigrants, ainsi que de leurs action
pèces n’est point une quantité constante. Si, par exemple, un certain
nombre
d’espèces, qui ont vécu pendant longtemps en conc
l’autre côté. Quelques familles, beaucoup de sous-familles, un grand
nombre
de genres et un plus grand nombre encore de secti
beaucoup de sous-familles, un grand nombre de genres et un plus grand
nombre
encore de sections de genres sont confinés dans u
n continent, en recevra probablement dans le cours des temps un petit
nombre
de colons ; et leurs descendants, bien que modifi
hermaphrodite, ou, comme quelques auteurs le supposent, d’un certain
nombre
d’individus simultanément créés. À l’égard des êt
ormes par suite de leurs croisements constants ; de sorte qu’un grand
nombre
d’individus seront allés toujours se modifiant si
parents, mais à l’accumulation héréditaire des variations d’un grand
nombre
. Pour donner un exemple de ce que je veux dire, j
s au soin continuel que l’on a pris de choisir et de dresser un grand
nombre
d’individus pendant de nombreuses générations. V
ur autant qu’il nous est permis d’inférer quelque chose d’un si petit
nombre
de faits, nous pouvons néanmoins en conclure que
nt donc ainsi être transportées à de grandes distances ; car un grand
nombre
de faits prouvent que le sol est presque partout
ssémination a pu s’étendre dans nos régions aujourd’hui tempérées. Le
nombre
considérable de plantes européennes qu’on trouve
nt les différentes chaînes de montagnes de l’Europe, bien qu’un grand
nombre
d’espèces soient identiques, cependant quelques-u
e plus ancienne et plus chaude, telle que l’ancien pliocène, un grand
nombre
de plantes et d’animaux semblables habitaient les
ien, l’on trouve très peu d’espèces identiques, bien qu’un plus grand
nombre
cependant qu’on ne l’avait cru d’abord, ainsi que
nt duré un temps considérable sur chaque point, si on l’évalue par le
nombre
des années. Le froid peut avoir commencé ou cessé
nie croissent plusieurs formes de caractère tout européen et un petit
nombre
d’espèces représentatives de la flore du cap de B
ant toute la durée de la période glaciaire. Cette période, mesurée au
nombre
des années, doit avoir été extrêmement longue, et
s tropiques peuvent supporter un froid déjà assez intense, un certain
nombre
peuvent avoir échappé à une destruction entière,
nse contre les envahisseurs, il me semble donc possible qu’un certain
nombre
des formes tempérées les plus vigoureuses et les
nt communiqué ce fait étrange que toutes les plantes phanérogames, au
nombre
d’environ quarante-six, qui sont communes à l’Eur
éanmoins là encore nous trouvons sur les montagnes du Brésil un petit
nombre
de formes tempérées qui doivent avoir traversé le
uxta-tropicales antérieures, je ne me fais pas fort de le dire158. Un
nombre
considérable de plantes, un petit nombre d’animau
s pas fort de le dire158. Un nombre considérable de plantes, un petit
nombre
d’animaux terrestres et quelques productions mari
leurs nouvelles stations en les transformant plus ou moins. Aussi bon
nombre
de ces émigrants, bien qu’en étroite parenté héré
entales du nord, ayant vécu dans leur patrie originaire en plus grand
nombre
, se sont, en conséquence, trouvées, grâce à une c
une ou l’autre de ces contrées ; tandis qu’au contraire un très petit
nombre
de formes méridionales se sont naturalisées en Eu
les productions natives sont à peu près égalées ou même surpassées en
nombre
par les productions naturalisées ; et si les form
alement exterminées, elles sont du moins considérablement réduites en
nombre
, ce qui est toujours le premier pas vers l’extinc
intertropicales. Il est très difficile de comprendre comment un grand
nombre
de formes spéciales, confinées entre les tropique
dant la période du maximum de froid de la période glaciaire. Le grand
nombre
des formes australiennes, qui ont des affinités a
èce soit, non pas un seul couple ou un seul individu, mais un certain
nombre
d’individus ou de couples, appartenant soit à une
ez rapide, car si elle ne s’effectuait pas dans le cours d’un certain
nombre
de générations, elle serait vaincue dans la concu
és semblables. Votre vie a commencé ; donc vous n’avez remarqué qu’un
nombre
limité de cas ; donc le total de votre addition n
e limité de cas ; donc le total de votre addition ne comprendra qu’un
nombre
limité de cas. Mais l’axiome : toute qualité supp
servées. Votre vie a commencé ; donc vous n’avez pu en observer qu’un
nombre
fini ; donc en les joignant bout à bout, vous n’a
gue : Première pétition de principe. Vous dites qu’en additionnant un
nombre
limité d’expériences, on ne forme pas un jugement
pas. Deuxième pétition de principe. Vous dites qu’en additionnant un
nombre
limité d’objets finis, on ne forme pas un objet i
12 ouvriers en feront-ils ? Par une règle de trois, on trouve que le
nombre
demandé est 24. Ce problème contient des nombres
ois, on trouve que le nombre demandé est 24. Ce problème contient des
nombres
déterminés dont aucun n’est nécessaire, et qui po
y avoir une seule exception. Faites varier tant qu’il vous plaira le
nombre
des ouvriers et des mètres. Universellement et né
vriers et des mètres. Universellement et nécessairement, le quatrième
nombre
inconnu égale le produit du deuxième par le trois
n compte de cuisinière et dans une numération d’écolier. La série des
nombres
est absolument infinie. Cela signifie que non-seu
Pour former l’idée de cet infini, je forme les idées de deux ou trois
nombres
. Soit 2, c’est 1 + 1. J’observe dans ce cas parti
otient de la seconde est 3, et ainsi de suite. D’où je conclus que le
nombre
des chiffres du quotient est absolument infini, e
n tomberait dans une grave erreur si l’on supposait que le plus grand
nombre
des instincts ont été acquis par habitude, et tra
xes et les plus merveilleux qui existent, en dépit cependant du petit
nombre
d’observations qui ont encore été faites à ce suj
ifications des facultés mentales de ces animaux. On pourrait citer un
nombre
infini d’exemples curieux et parfaitement authent
stinct doit provenir de ce que l’Autruche femelle pond un assez grand
nombre
d’œufs, mais, comme la femelle du Coucou, à inter
te pas encore eu le temps de se fixer et de se perfectionner ; car un
nombre
considérable d’œufs de ces oiseaux demeurent semé
èce, la Fourmi sanguine, avait aussi des esclaves, bien qu’en moindre
nombre
. Cette espèce est très répandue dans le sud de l’
se conduisaient peut-être autrement quand il y en avait un plus grand
nombre
; mais M. Smith m’a dit que dans le comté de Surr
0, cependant, je fis la découverte d’une communauté qui renfermait un
nombre
inusité d’esclaves, et j’en observai quelques-une
probablement de ce que les Fourmis de Suisse capturent un plus grand
nombre
d’esclaves que celles d’Angleterre. J’eus un jour
e déterrai dans une autre fourmilière de Fourmis noir-cendré un petit
nombre
de nymphes et les semai sur un terrain nu auprès
, car elles portaient des cadavres de Fourmis noir-cendré et un grand
nombre
de nymphes avec lesquelles elles rentrèrent dans
et au commencement de chaque été elles n’en ont même qu’un très petit
nombre
. Ce sont les maîtres qui décident où et quand un
ournir, je puis garantir l’exactitude du théorème suivant. Un certain
nombre
de sphères étant disposées de manière que tous le
rayon est donc une sorte de résultante générale du travail d’un grand
nombre
d’individus, qui se mettent tous instinctivement
cire nécessaire à la construction de leurs rayons. De plus, un grand
nombre
d’Abeilles sont obligées de rester oisives pendan
t sécrétée. Enfin, la provision nécessaire à la nourriture d’un grand
nombre
d’Abeilles pendant l’hiver est considérable, et l
avenir de la ruche et sa prospérité dépendent principalement du grand
nombre
d’Abeilles qui parviennent à hiverner. Il suit de
rellement les succès d’une espèce d’Abeille peuvent dépendre aussi du
nombre
de ses parasites et de ses autres ennemis ou de t
circonstance seulement détermine, comme cela doit arriver souvent, le
nombre
de Bourdons qui peuvent vivre en une contrée quel
l’état social, et il eût été avantageux à la communauté qu’un certain
nombre
d’individus naquissent capables de travailler, ma
quent l’individu est détruit ; mais l’horticulteur sème un plus grand
nombre
de graines de la même race dans l’espérance d’obt
chez les individus de différentes tailles, de même que la forme et le
nombre
des dents. Mais le point le plus important à obse
e étant d’un genre éteint. Les Fourmis se trouvent également en grand
nombre
dans l’ambre de la Baltique. Leurs instincts étai
alement en raison inverse de la faculté procréatrice, c’est-à-dire du
nombre
des petits qui naissent à chaque portée, ou plus
s rigoureuse. Au contraire, les peuples plus avancés entretiennent le
nombre
de leurs générations au complet avec un très-peti
tiennent le nombre de leurs générations au complet avec un très-petit
nombre
de naissances, et une vie moyenne très longue. Pa
probable, que les Fourmis existaient déjà à l’état social et en grand
nombre
pendant la période géologique qui a précédé celle
nque. Le calcul des probabilités, quand il s’applique à un très grand
nombre
de chances, présente un résultat moralement infai
emps que subsiste l’ordre régulier des circonstances habituelles ; le
nombre
des divorces qui auront lieu chaque année, le nom
habituelles ; le nombre des divorces qui auront lieu chaque année, le
nombre
des vols et des meurtres qui se commettront dans
e telle population, et de telle situation religieuse et politique, ce
nombre
peut se calculer d’une manière précise ; et ces é
hasard, vous saurez, par une approximation juste, quelle est dans ce
nombre
la proportion des hommes éclairés, des hommes fai
qui leur sont connus, pour en tirer des résultats certains d’après le
nombre
et la nature des chances. Les algébristes ne vous
ce serait un mal ? Il n’est point de problème composé d’un plus grand
nombre
de termes, il n’en est point où l’erreur soit d’u
s d’individus, à ce qu’ils regardaient comme le bonheur du plus grand
nombre
. Ces hommes atroces, en retranchant de leur calcu
me une vérité mathématique, le sacrifice que l’on doit faire du petit
nombre
au plus grand : rien n’est plus erroné, même sous
es probabilités, et ce calcul ne peut se fonder que sur un très grand
nombre
de faits, desquels vous pouvez extraire un résult
ît des causes premières, des forces préexistantes. La vertu est de ce
nombre
; elle est fille de la création, et non de l’anal
éanmoins certain qu’il est des vérités morales reconnues, et que leur
nombre
doit toujours augmenter avec le temps.
e bien savoir de quoi l’on parle ; 2° ouvrir le corps d’un très grand
nombre
d’hommes de génie, disséquer leur cerveau, et mon
perçoit une plus grande part de vérité, qui peut relier un plus grand
nombre
de faits particuliers sous une idée générale, qui
destitué complètement d’intelligence. 2° On nous cite bien un certain
nombre
de cas où la maladie aurait amené un développemen
aphorisme : Mens sana in corpore sano. 3° Il est prouvé qu’un grand
nombre
d’hommes supérieurs ont été hallucinés. Beaucoup
ère de s’éclairer. En outre, il ne suffit pas d’établir qu’un certain
nombre
d’hommes supérieurs ont eu des bizarreries. Il fa
une maladie. 3° La folie et la raison ont coïncidé chez un très-grand
nombre
d’hommes de génie. Il y aurait ici, si l’on voula
clusion que l’on puisse tirer des faits que l’on cite, en assez petit
nombre
d’ailleurs, c’est que l’hallucination a pu coexis
t à la folie proprement dite, outre qu’on n’en cite qu’un assez petit
nombre
d’exemples, on peut admettre que le génie soit un
rmi ces états si nombreux il s’en trouve vraisemblablement un certain
nombre
dans les parents d’un homme de génie. Ajoutez que
able biographique qui termine son livre, il y a 179 cas cités. Sur ce
nombre
, combien croit-on qu’il cite de faits héréditaire
la force de ses conceptions, plus on paraîtrait vouloir le ranger au
nombre
de ces malades que l’histoire admire. Je ne dis p
’est pas un esprit du commun : il a le droit de se ranger lui-même au
nombre
des esprits distingués qu’ont eu des pensées biza
t fort simple, et n’a jamais reçu de changement : les membres sont au
nombre
de quarante, tous égaux ; les grands seigneurs et
passe de là en logique : celle qu’on enseigne, du moins dans un grand
nombre
de collèges, est à peu près celle que le maître d
me, après avoir passé dans un collège dix années qu’on doit mettre au
nombre
des plus précieuses de sa vie, en sort, lorsqu’il
se de la routine ordinaire, au risque d’être blâmés par le plus grand
nombre
. S’ils osaient encore davantage, et si leur exemp
la nôtre ; je vois qu’ils n’ont eu, ainsi que nous, qu’un très petit
nombre
d’excellents poètes, et qu’il en est de même de t
se taire. Les langues étrangères dans lesquelles nous avons un grand
nombre
de bons auteurs, comme l’anglais et l’italien, et
e le maître se trouve obligé de proportionner sa marche au plus grand
nombre
de ses disciples, c’est-à-dire, aux génies médioc
par le moyen de plusieurs idées accessoires, il faut au moins que le
nombre
de ces idées soit le plus petit qu’il est possibl
es mots de la langue qui ne peuvent ni ne doivent être définis ? Leur
nombre
est peut-être plus grand que l’on ne s’imagine ;
ple, les mots âme, espace, courbe, etc. Mais il est au moins un grand
nombre
de mots qui, de l’aveu de tout le monde, se refus
tres, comme existence, étendue, pensée, sensation, temps, et un grand
nombre
d’autres. Ainsi, le premier objet que doit se pro
e grammaire dans laquelle des racines grammaticales seraient mises au
nombre
des vérités : trop longue, elle pourrait faire pr
el, sans multiplier les mots, on est parvenu à exprimer un très grand
nombre
d’idées. On peut remarquer, surtout dans les ouvr
assidûment les livres dont je parle, on apprendra le sens d’un grand
nombre
d’autres mots : car le sens de chaque phrase étan
prenant notre langue maternelle, nous avons deviné le sens d’un grand
nombre
de mots, sans le secours d’un dictionnaire qui no
qui composent un article de synonymes, fournisse dans cet article un
nombre
égal d’exemples : ce serait une puérilité, que de
ictionnaire ; parce qu’une bonne syntaxe est le résultat d’un certain
nombre
de principes philosophiques, dont la force dépend
onjugaisons de certains verbes : on pourrait même, dans un très petit
nombre
d’articles généraux étendus, y donner une grammai
er avec soin leurs divférents emplois, qui souvent sont en très grand
nombre
, et les divers sens qu’elles désignent dans chacu
avaient une quantité fixe et invariable ; il n’y en avait qu’un petit
nombre
dont la quantité était à volonté longue ou brève,
fût entière, pour trois raisons. La première, c’est que dans un grand
nombre
de mots il y a des lettres qui tantôt se prononce
e dernière façon d’écrire soit plus conforme à l’étymologie, un grand
nombre
de lecteurs chercheraient le mot écrit de la prem
autre langue, mais qui sont eux-mêmes dans la leur racines d’un grand
nombre
de dérives et de composés. Ces deux espèces de mo
ication des termes, je pense que c’est un abus d’en entasser un grand
nombre
pour un même mot, à moins qu’on ne distingue exac
emédiera pas à la manière ridicule dont nous prononçons un très grand
nombre
de mots latins, en faisant long ce qui est bref,
i qu’une oreille délicate serait choquée, s’ils étaient en trop grand
nombre
; mais il serait peut-être encore plus ridicule d
lités générales et grammaticales du discours, et ces qualités sont au
nombre
de deux, la correction et la clarté. Elles sont i
’un sentiment élevé et profond. Je ne sais par quelle raison un grand
nombre
d’écrivains modernes nous parlent de l’éloquence
la lumière se fasse, et elle se fit… et tant d’autres morceaux sans
nombre
seront toujours sublimes dans toutes les langues
Marc-Antoine, suivant le premier passage, ne connaissait qu’un petit
nombre
d’hommes diserts, à plus forte raison n’en connai
mes diserts, à plus forte raison n’en connaissait-il qu’un très petit
nombre
de la seconde espèce. Pourquoi donc cette dispara
passages ? sans doute multos dans le second ne signifie pas un grand
nombre
absolument, mais seulement un grand nombre par op
d ne signifie pas un grand nombre absolument, mais seulement un grand
nombre
par opposition à neminem, c’est-à-dire quelques-u
la sienne : les anciens l’avaient bien vu ; ils appelaient ῥυθμος le
nombre
pour la prose, et μέτρον celui du vers. Quoique n
pièces. Deux choses charment l’oreille dans le discours, le son et le
nombre
: le son consiste dans la qualité des mots ; et l
e son et le nombre : le son consiste dans la qualité des mots ; et le
nombre
, dans leur arrangement. Ainsi l’harmonie du disco
le qu’il faisait de sa langue pour la propriété des termes et pour le
nombre
oratoire, tout ce mérite est ou entièrement ou pr
du style simple en ce que l’orateur s’y affranchit de la servitude du
nombre
, sa marche étant libre et sans contrainte, quoiqu
écrivains qui a pour titre Orator, et dans lequel il traite à fond du
nombre
et de l’harmonie du discours. Quoique ce qu’il en
des sciences et des belles-lettres, et, à leur exemple, dans un grand
nombre
d’autres ; c’est le secrétaire qui en est chargé.
s plus chaudement vêtus ont été favorisés et protégés durant un grand
nombre
de générations, et quelle part provient directeme
ie qu’un oiseau qui ne peut voler ; et cependant il en est un certain
nombre
qui sont dans ce cas. Une espèce de Canard de l’A
l’atrophie plus ou moins complète de l’organe du vol chez un si grand
nombre
des Coléoptères de cette station doit résulter de
agrandir ou à diminuer ses ailes dut dépendre de ce qu’un plus grand
nombre
d’individus furent sauvés en luttant avec succès
es considérées comme distinctes. Pourtant, lorsqu’un animal, après un
nombre
considérable de générations, atteignit enfin les
importée pourra, oui ou non, s’accoutumer à notre climat, et du grand
nombre
de plantes et d’animaux, apportés de contrées plu
ent féconds, nous autorise à croire, comme très probable, qu’un grand
nombre
d’autres animaux, qui vivent à l’état sauvage, po
ès grande flexibilité naturelle de constitution commune au plus grand
nombre
des animaux. À ce point de vue, la faculté que po
oient détruites par la gelée, recueillir ensuite les graines du petit
nombre
des survivants avec assez de soin pour prévenir l
Saint-Hilaire, lorsque chez un même individu un même organe existe en
nombre
multiple, comme, par exemple, les vertèbres chez
soit une règle, soit chez les variétés, soit chez les espèces, que ce
nombre
varie très fréquemment. Ce nombre est au contrair
étés, soit chez les espèces, que ce nombre varie très fréquemment. Ce
nombre
est au contraire d’autant plus constant qu’il s’a
il puisse être, s’est transmis à peu près sans changements à un grand
nombre
de descendants modifiés, comme c’est le cas pour
érables de Coléoptères ont pour caractère commun de présenter un même
nombre
d’articles aux tarses ; mais chez les Engidés, ai
x tarses ; mais chez les Engidés, ainsi que l’a remarqué Westwood, ce
nombre
varie considérablement et diffère aussi chez les
te, il est très surprenant que des caractères perdus pendant un grand
nombre
et peut-être des centaines de générations réappar
perdu peut, ainsi que nous l’avons déjà vu, se transmettre pendant un
nombre
de générations presque indéfini. Lorsqu’un caract
ctère réapparaît dans une race après avoir été perdu pendant un grand
nombre
de générations, on ne peut supposer comme probabl
re d’une tendance à reproduire les caractères d’un ancêtre pendant un
nombre
infini de générations, que dans la présence d’org
ons pu inférer que la couleur bleue était un cas de réversion, par le
nombre
des marques si caractérisées qui semblent en corr
bles de comprendre la nature. Les parties multiples sont variables en
nombre
et en structure, peut-être par suite de ce que de
s’attendre à trouver, dans ce même district et parmi ces espèces, un
nombre
moyen de variétés proportionnellement très élevé.
surtout à l’état sauvage, ou ne se reproduisent que pendant un petit
nombre
de générations. D’ailleurs ils se reproduiraient
ême. Mais les caractères purement extérieurs, tels que la couleur, le
nombre
et la nature des poils, cornes, plumes, écailles
acés, les Cerfs, les Moutons confirment cette règle. Lorsque ce grand
nombre
d’espèces n’existe pas, on peut être à peu près c
Il importe d’autant plus d’exorciser ce principe de la sociologie que
nombre
de sociologues en subissent encore l’influence, e
dans cet esprit le raisonnement expérimental, on aura beau réunir un
nombre
considérable de faits, on ne pourra jamais obteni
r qu’aux sciences assez avancées, puisqu’elle suppose déjà connues un
nombre
important de lois, les phénomènes sociaux sont be
s sciences biologiques s’en rapprochent assez pour que, dans un grand
nombre
de cas, la démonstration puisse être regardée com
lles passent les deux phénomènes, pourvu qu’il ait été établi dans un
nombre
suffisant de cas suffisamment variés, est la preu
es, les autres méthodes ne peuvent être employées utilement que si le
nombre
des faits comparés est très considérable. Si l’on
une valeur scientifique, il faut qu’elle ait été faite un très grand
nombre
de fois ; il faudrait presque être assuré que tou
ts, quelques faits suffisent. Dès qu’on a prouvé que, dans un certain
nombre
de cas, deux phénomènes varient l’un comme l’autr
position celles qui se rapportent à une époque récente, mais un grand
nombre
de celles par lesquelles ont passé les peuples di
les notes innombrables ainsi accumulées, à les répartir en un certain
nombre
de chapitres et à relier le tout au moyen des idé
e feuilleton dramatique du Temps, je le lis assidûment depuis le même
nombre
d’années. Or, s’il m’eût été impossible de désign
clore cette préface. Ayant senti la nécessité d’appuyer d’un certain
nombre
d’exemples l’exposition de mes idées, j’ai cru ce
les éléments de leur esprit se combinent de mille manières selon leur
nombre
et leur nature. Il est à croire que ces combinais
vres sur notre théâtre, car c’est par la traduction seule qu’un grand
nombre
de lecteurs français connaissent Shakspeare et ap
its d’une éducation poursuivie pendant des siècles à travers un grand
nombre
de générations. Modifiés par l’hérédité, par une
on mérite que nous nous y arrêtions. Tout le monde sait qu’un certain
nombre
des théâtres de Paris ne vivent que par la mise e
it pas. Chaque fois qu’on met un train de chemin de fer en marche, le
nombre
des wagons que la machine doit tirer est calculé
he, le nombre des wagons que la machine doit tirer est calculé sur le
nombre
présumé des voyageurs ; et le poids du train déte
combustible pour mettre en marche un train toujours composé d’un même
nombre
de wagons, quel que soit le nombre des voyageurs
n train toujours composé d’un même nombre de wagons, quel que soit le
nombre
des voyageurs ? Que dirait-on d’un mécanicien qui
ite la dépense de combustible ? On pourrait ainsi rassembler un grand
nombre
d’exemples ayant tous un rapport plus ou moins pr
éderont. Chapitre VIII La mise en scène est conditionnée par le
nombre
probable de spectateurs. — Grossissement par les
boulevard du Temple. Cette question du milieu est connexe à celle du
nombre
. Étant donnée une œuvre dramatique d’une certaine
représentatif sera insuffisant pour deux cent mille. La prévision du
nombre
possible de spectateurs entre donc dans les calcu
sements du public, qui devient moins délicat, à mesure qu’augmente le
nombre
des représentations. Mais tous les rôles ne possé
n résulte ce fait remarquable que la pièce, à mesure que s’accroît le
nombre
des représentations, perd sa physionomie première
s dramatiques a presque centuplé. Il faut non seulement un plus grand
nombre
de théâtres pour satisfaire à tous ses goûts ; ma
nt aujourd’hui la centième, la deux centième même et souvent après un
nombre
pareil de représentations n’a épuisé que momentan
pénible ; car l’idéal s’abaisse sensiblement à mesure qu’augmente en
nombre
le public dont on sollicite les applaudissements.
on sollicite les applaudissements. Il n’y a relativement qu’un petit
nombre
d’esprits délicats et cultivés qui soient capable
t par la compensation que nous trouvons dans la culture du plus grand
nombre
, c’est à la condition que nous ne perdions pas de
lupart des directeurs de sacrifier à la moindre culture du plus grand
nombre
, il est du devoir de quelques directeurs privilég
théâtre subventionné est rarement bien compris de la foule. Un grand
nombre
de spectateurs s’imaginent qu’une subvention impo
n se sera rendu compte que l’esprit est occupé à la coordination d’un
nombre
considérable d’impressions auditives, visuelles e
es qui ne résultent ni de l’action ni des péripéties du drame sont au
nombre
des causes les plus puissantes qui détournent fat
tout le matériel figuratif. Naturellement, il y a toujours un certain
nombre
d’objets réels qui peuvent figurer dans la décora
alon, par exemple, où une femme reçoit à certain jour des visites, le
nombre
de sièges formant cercle autour de la cheminée es
ercle autour de la cheminée est invariable et en général supérieur au
nombre
de personnes présentes. Un peintre, choisissant u
il ne viendra à l’esprit d’aucun spectateur du tableau de comparer le
nombre
des visiteurs à celui des sièges. C’est qu’en eff
lui arriver, sur le théâtre comme dans la vie réelle, d’approcher un
nombre
de sièges supérieur à celui des personnages. Supp
deux objets les plus disparates d’apparence. À mesure que décroît le
nombre
des parties justement associées dans les images m
imite à l’éblouissement des yeux et à l’effet produit sur nous par le
nombre
et par un mouvement même vertigineux. Ce n’est do
ni dans l’intensité croissante de la lumière ni dans l’exagération du
nombre
et du mouvement qu’on trouvera des effets nouveau
rien à nos idées actuelles. Tandis qu’il n’y avait jadis qu’un petit
nombre
de divisions générales, il y en a aujourd’hui une
ut-être ce qui les fera vieillir assez vite, et, au bout d’un certain
nombre
d’années, rendra leur reprise très difficile. Mai
scène est la partie essentiellement destructible. Au bout d’un petit
nombre
d’années, les décorations d’une pièce et son maté
’Ami Fritz. Le repas que l’on sert au premier acte nécessite un grand
nombre
d’accessoires, qui ont chacun une certaine import
atériel figuratif ne se trouve en réalité composé que d’un très petit
nombre
d’objets. L’exécution des décorations est donc pr
lance auquel nous devons nous efforcer d’atteindre. Depuis un certain
nombre
d’années, les œuvres traduites des romanciers rus
he trop précise d’archéologie, c’est-à-dire portant sur un trop grand
nombre
de détails, est non seulement inutile, mais contr
que s’il s’agissait d’un peuple étranger, même contemporain. Un grand
nombre
de spectateurs sont aptes à distinguer entre eux,
ne époque est d’autant plus générale qu’elle repose sur un plus grand
nombre
d’exemplaires pris, soit dans un même temps, soit
par la réunion des caractères communs qui nous frappent dans ce grand
nombre
d’exemplaires. Il suit de là que l’idée que nous
créer de toutes pièces. La difficulté était précisément dans le grand
nombre
de traits précis et particuliers dont, relativeme
n mot, d’œuvres d’art. Leur examen collectif devait offrir un certain
nombre
de caractères communs et fournir les traits génér
ins vraie qu’une idée particulière ; l’une s’applique à un plus grand
nombre
d’objets, l’autre à un plus petit nombre, voilà t
e s’applique à un plus grand nombre d’objets, l’autre à un plus petit
nombre
, voilà tout. Un décor représentant un paysage ne
a pas en contradiction avec la vérité parce qu’il laissera de côté un
nombre
plus ou moins grand de détails particuliers facil
elles procurent. Depuis plusieurs années j’ai assisté à un très grand
nombre
de ces représentations, et c’est un point que je
sent, les autres par l’intuition qu’ils ont de ce plaisir, un certain
nombre
enfin par respect, par convenance ou même seuleme
nir impérissable ; on constate en soi ce goût des grandes œuvres dont
nombre
de personnes parlent sans le connaître, et on se
cette toile de fond doit légèrement brouiller les idées d’un certain
nombre
de personnes. L’ornementation du décor consiste p
costume s’est superposé au corps, nous en voile les formes, un grand
nombre
de mouvements, et se substitue à lui dans les ima
ux courbes parallèles des galeries et des loges, il y aurait un grand
nombre
d’entre eux qui n’apercevraient même pas la scène
zones qui sont plus ou moins invisibles, celle de gauche à un certain
nombre
de spectateurs placés du côté gauche, celle de dr
re de spectateurs placés du côté gauche, celle de droite à un certain
nombre
de spectateurs placés du côté droit. Ce qui dimin
la rampe, à mesure qu’il s’avancera il se soustraira aux regards d’un
nombre
toujours croissant de spectateurs, selon qu’il se
sent bien d’ailleurs qu’il ne s’agit point ici d’équilibre entre des
nombres
, non plus que d’une sorte d’équilibre visuel, mai
. Au lieu de cela, on voit simplement entrer par les côtés un certain
nombre
de lévites tenant un glaive à la main. Cette figu
de convention. Dans ce cas, il faudrait mieux indiquer simplement le
nombre
des tableaux, comme dans Nana Sahib, qui était dé
physionomie de ces œuvres par la préoccupation qu’on a de diminuer le
nombre
des tableaux et d’éviter ainsi des frais et des d
nc sans rapports avec le temps supposé écoulé par le poète et avec le
nombre
d’événements qu’il imagine s’être passés entre de
entation d’un fait, il existe une différence qui consiste en ce qu’un
nombre
variable de détails d’importance diverse, plus ou
oduire dans des conditions extrêmement variables. Si l’on ajoute à ce
nombre
plus ou moins grand d’expériences personnelles la
même dans ses traits généraux et ne peut différer que par un certain
nombre
de traits particuliers d’importance secondaire. O
nt par excès de l’idée qui a pu se former dans l’esprit du plus grand
nombre
d’entre eux. Voici entre autres un exemple. Dans
la représentation de l’idée générale. On pourrait citer un plus grand
nombre
d’exemples. Ainsi, dans la comédie, quand une jeu
ce qui touche à la déclamation. Il n’y a, dans les arts, qu’un petit
nombre
de principes ; nous ne devons donc pas ici recher
t transmis de mémoire. Il y a, à la Comédie-Française, un assez grand
nombre
de jeux de scène qui n’ont pas d’autre raison d’ê
ongtemps à la maison de Molière. On pourrait y joindre un assez grand
nombre
de faits extraits de mémoires ou conservés dans l
ainsi, qu’une image centrale, autour de laquelle oscillent un certain
nombre
d’images similaires, correspondant aux différents
montre décidément absente. On ne serait pas embarrassé de citer grand
nombre
d’acteurs qui ont parcouru une carrière honorable
tral. — Déformation du talent de l’acteur. Si ou examine un certain
nombre
de rôles avec quelque attention, on s’apercevra q
de même dans le théâtre qui reflète le monde les rôles augmentent en
nombre
à mesure qu’ils se différencient les uns des autr
acteur devient de moins en moins apte à remplir avec succès un grand
nombre
de rôles : son image s’associe avec des groupes d
restreints. D’où résulterait la nécessité d’accroître indéfiniment le
nombre
d’acteurs composant une troupe de théâtre. Cette
qui s’affirme surtout dans les théâtres de genre. En outre, comme le
nombre
de représentations des pièces à succès a décuplé,
t français. Concluons donc que dans notre société démocratique, où le
nombre
tuera l’idéal, s’il n’est conquis par lui, le mai
ues-unes des terres encore peu foulées de l’humanité et de la vie. Le
nombre
des personnages de théâtre s’accroîtra considérab
tendue. La mesure des intervalles dont se compose une harmonie est un
nombre
se rapportant à une relation de longueur, de diam
s éveille l’idée d’une forme constante et de ce qu’il est soumis à un
nombre
invariable et dessine une ligne aux proportions f
r les Romantiques, comme on l’a vu, juxtapose parfois des mesures aux
nombres
divers. Tout semble enfin s’unir pour favoriser l
primesautier, et chaque ligne nouvelle (ou presque !) peut offrir un
nombre
de syllabes nouveau. Le vers est né à sa propre v
me s’y appliqua La Fontaine, ou comme c’est l’usage depuis un certain
nombre
d’années pour les musiciens. Mais dans ce cas pré
hme, elles n’ont plus d’existence réelle puisqu’elles ne sont plus un
nombre
périodique, et leur nom, vainement conservé, ne p
car elle se fait sentir dès qu’une série de vers s’animent d’un même
nombre
d’accents rythmiques23. Bien plus, les mesures an
est vrai, de s’en préoccuper beaucoup ; d’autres le cherchent dans un
nombre
plus ou moins constant de syllabes toniques et pe
p souvent dégénérer, s’amoindrir, se désagréger, au point qu’un grand
nombre
d’entre eux paraissent avoir oublié la force prop
d’avance controuvée : si la hauteur dans l’échelle des sons dépend du
nombre
des vibrations en un temps donné, (c’est-à-dire d
la confusion du rythme et de la mesure. Et cependant la mesure est un
nombre
qui forme une division (relativement) constante d
le-ci ou de ses multiples. Bien qu’il ait en général comme racine les
nombres
2 et 3, le rythme n’est pas fatalement identique
toujours strictement semblable tant qu’elle subsiste : obéissant à un
nombre
invariable, existant en elle-même, indépendamment
ective par rapport au rythme libre et spontané. En soi, n’étant qu’un
Nombre
elle ne dépend même pas absolument de la durée où
, en théorie au moins. Un vers fondé sur le retour constant d’un même
nombre
de syllabes supposées égales est une mesure arbit
arbitraire et artificielle mais point un rythme. Un vers fondé sur un
nombre
constant de toniques est une mesure naturelle et
ée par les barbares. On voit par un passage d’Ammien Marcellin que le
nombre
des personnes qui de son temps vivoient à Rome de
seurs en arts musicaux. Qu’on juge par-là combien étoit prodigieux le
nombre
des gens de théatres qui pouvoient être à Rome au
ps de Diocletien et du grand Constantin. Quand il y avoit un si grand
nombre
de personnes qui faisoient leur profession des ar
sique subsista bien après la cloture des théatres, mais le plus grand
nombre
des arts musicaux périt donc pour toujours. Je ne
ice et le chant gregorien qui sont encore en usage dans un très-grand
nombre
d’églises catholiques, étoit déja né. Ces saints
es est universelle et forcée. — Réfutation de Stuart Mill. — Tous les
nombres
, formes, mouvements, forces de la nature physique
sont soumis à des lois connues ; nous savons que tous les hommes, au
nombre
desquels est Pierre, sont mortels, que toutes les
sont mortels, que toutes les droites perpendiculaires à une autre, au
nombre
desquelles sont nos deux droites, sont parallèles
éparables dont notre première donnée est le total. Tel est le cas des
nombres
et des composés géométriques. Tout nombre écrit s
total. Tel est le cas des nombres et des composés géométriques. Tout
nombre
écrit selon notre système de numération ordinaire
la première donnée est un total de données séparables ; en effet, le
nombre
écrit n’est que le total de ses unités de divers
ivent être cherchés dans les unités de divers ordres qui composent le
nombre
et dans les parties qui composent le polygone. —
et dans les parties qui composent le polygone. — Observons d’abord le
nombre
; les unités de divers ordres, qui sont ses éléme
fres qui les représentent. Or, il est aisé de remarquer que dans tout
nombre
la somme des unités du deuxième, troisième, quatr
l à la somme des chiffres qui la représentent ; que par conséquent le
nombre
lui-même tout entier est divisible par 9 avec un
des chiffres est elle-même divisible par 9, le reste disparaît, et le
nombre
tout entier, divisé par 9, ne laisse aucun reste.
médiaire explicatif est un caractère inclus dans tous les éléments du
nombre
, sauf le premier, et commun à toutes les unités r
placé à la gauche du premier ; ce caractère ainsi répété oblige tout
nombre
à se laisser diviser par 9 avec un reste égal à l
nous remplaçons ainsi le polygone par un groupe de triangles dont le
nombre
est égal au nombre de ses côtés. Or, dans chacun
nsi le polygone par un groupe de triangles dont le nombre est égal au
nombre
de ses côtés. Or, dans chacun de ces triangles, l
tenir une somme d’angles qui, évaluée en angles droits et accrue d’un
nombre
constant d’angles droits, est le double du nombre
oits et accrue d’un nombre constant d’angles droits, est le double du
nombre
de ses côtés. Mais ce n’est pas seulement dans le
quels l’intermédiaire est répété sont semblables, comme les unités du
nombre
ou les triangles du polygone, ou bien ils sont di
te proposition affirme que telle donnée construite par l’esprit, tout
nombre
de telle espèce, tout multiplicande, tout carré,
Une fois formée, elle est complète, et, quel que soit l’objet idéal,
nombre
, carré, ligne droite, figure, solide géométrique,
es lois qu’on a découvertes dans les sciences de construction sont en
nombre
énorme, et ce nombre s’accroît tous les jours. Or
vertes dans les sciences de construction sont en nombre énorme, et ce
nombre
s’accroît tous les jours. Or les intermédiaires d
aux sciences expérimentales. Quand nous fabriquons par la pensée tel
nombre
, tel polygone ou tel cylindre, nous n’avons pas à
s que l’imagination peut atteindre, par-delà tous les confins que les
nombres
ou les quantités, vainement enflées et entassées
matériaux du premier se retrouvent dans le second. Car on a vu que le
nombre
, la ligne, la surface, le solide, le mouvement, l
cadres mathématiques, et ils y entrent forcément, sitôt qu’ils ont un
nombre
, une situation, une forme, sitôt qu’ils possèdent
Daubrée et M. de Sénarmont ont reproduit dans le laboratoire un grand
nombre
de composés naturels. 119. De l’origine des esp
ns mal habiles. Gravina lui reproche des expressions basses & des
nombres
trop foibles. Cependant il a la gloire d’avoir fo
imitateurs. On lui reproche cependant un peu de sécheresse, & ce
nombre
infini de récits consécutifs, qui ne donnant rien
omte Bonarelli est la troisiéme Pastorale que les Italiens mettent au
nombre
de leurs chefs-d’œuvre en ce genre. Si elle céde
quinze cens piéces. Frere Gabriel Thelles en a produit un très-grand
nombre
, quoiqu’il n’y en ait d’imprimées que cinq vol. c
eaucoup plus de goût que celui de le Sage ; il y a un bien plus grand
nombre
de piéces, & on sçait quelle élégance, quelle
çois. Il n’y avoit pas lieu de croire que ces suppressions fussent du
nombre
de ces morceaux que les gens de goût pouvoient re
Resnel. Quoiqu’il y ait dans la traduction de celui-ci un très-grand
nombre
de très-beaux vers, rien néanmoins n’y attache l’
Ecrivain, est bien supérieur à son essai sur la critique par le grand
nombre
d’idées neuves, élevées, hardies, exprimées d’une
œuvres de Pope que nous avons indiquée. On y trouvera aussi un grand
nombre
d’autres ouvrages dont il est inutile de faire le
ame de Milton elle-même respire dans ces morceaux & dans un petit
nombre
d’autres. Thompson. Les Saisons de Thompso
très-facile, & il abusoit de cette facilité. On a de lui un grand
nombre
de Tragédies & de Comédies. Le premier Angloi
s notes placées au bas de la traduction, sont peut-être en trop grand
nombre
; mais en général la critique qu’elles renferment
ceux-là, moindre qu’elle ne l’est. Cela se peut ; mais, pour le grand
nombre
, l’exacte vérité, qui est presque toujours sans f
des connaissances dont on ne saurait être privé sans conséquence. Le
nombre
des chaumières et des autres édifices particulier
des esprits ne peuvent être des lois particulières ; utiles au grand
nombre
, il faut nécessairement que quelques individus en
es-lettres, deux langues mortes qui ne sont utiles qu’à un très-petit
nombre
de citoyens ; c’est là qu’on les étudie pendant s
; quelques-uns un peu plus loin ; mais à mesure qu’ils avanceront, le
nombre
diminuera. Quelle sera donc la première leçon que
conde ? Celle qui, d’une utilité un peu moins générale, conviendra au
nombre
de ceux qui me resteront. Et la troisième, celle
sième, celle qui, moins utile encore que la précédente, conviendra au
nombre
moins grand de ceux qui m’auront suivi jusqu’ici.
de la carrière, l’utilité de l’enseignement diminuant à mesure que le
nombre
de mes auditeurs diminue. Je classerai les scienc
u’il s’est avancé fort loin dans la carrière des écoles publiques. Le
nombre
des élèves s’éclaircissant à mesure que cette car
me profond en quelque genre que ce soit, mais de l’initier à un grand
nombre
de connaissances dont l’ignorance lui serait nuis
es la plus utile et la plus aisée. Je suppose que ce n’est pas sur le
nombre
des années, mais sur les progrès de l’entendement
me est accompagnée d’une impuissance absolue à se réaliser, il est un
nombre
beaucoup plus grand d’autres cas où il est fort d
refléter dans toutes les intelligences et à être transmise à un grand
nombre
d’esprits. Ainsi propagée elle va exercer sur tou
emeure pas le privilège d’une seule intelligence, il faut qu’un grand
nombre
d’esprits aimantés vers le sommet où s’ouvre cett
toi-même », cela signifie avec plus de détail : Sache parmi le grand
nombre
de notions qui sont proposées à l’admiration de t
alors que des réalités très anciennes, et qui ont subi déjà un grand
nombre
de changements demeurent capables encore d’admett
, on voit diminuer, à mesure que l’on approche de cette extrémité, le
nombre
des variations possibles. C’est ainsi qu’à sa sou
a période d’évolution semble avoir été très brève : l’amibe est de ce
nombre
. Ces formes manifestent pourtant une invincible o
vrai dire, évoluer encore, mais elle n’a pas le choix entre un grand
nombre
de directions. Si l’instinct de conservation cont
es, — plus que le fait de s’être écartée de ses origines par un grand
nombre
de transformations, — la rend impropre à des méta
es hautes études ne sont pas utiles à tous, mais seulement à un petit
nombre
; et il ajoute cette réflexion, confirmée par l’e
vant auteur de sa vie, qui lui parût moins solide que de s’occuper de
nombres
tout simples et de figures imaginaires, comme si
dement le plus vaste. Vous remplissez cette jeune tête d’un fracas de
nombres
et de figures qui ne lui représentent rien du tou
té. Vous ressemblez à un arithméticien qui examine les propriétés des
nombres
, au lieu de calculer sa fortune… Lorsque Archimèd
service au genre humain : mais de quoi vous servira de trouver trois
nombres
tels que la différence des carrés de deux, ajouté
r trois nombres tels que la différence des carrés de deux, ajoutée au
nombre
trois, fasse toujours un carré, et que la somme d
ôt plus pour eux que les propriétés des corps ; et la chaîne même des
nombres
leur dérobe la grande Unité. 142. Ecclésiaste i
peintres flegmatiques ont donc eu la perseverance de chercher par un
nombre
infini de tentatives, souvent réïterées sans frui
à toutes les têtes illustres leur caractere connu. Nos hollandois, au
nombre
desquels on voit bien que je ne comprens pas ici
re dix fois la même chose. On peut mettre en quelque façon Teniers au
nombre
des peintres dont je parle, quoiqu’il fût né en B
iocre. On reconnoît d’abord les pastiches qu’il a faits en très-grand
nombre
, à la bassesse comme à la stupidité des airs de t
communément par coeur, si son livre n’en contenoit pas un plus grand
nombre
que le livre de Catulle, on ne trouveroit plus un
a vertu, cette éloquence de style qui le distinguoient parmi le petit
nombre
des bons écrivains de son tems. Quelques philosop
ont toujours beaucoup de succès ; c’est ce qui a si fort multiplié le
nombre
des mauvais ; c’est ce qui a fait tant d’imitateu
s difficiles qui n’aiment un ouvrage, que lorsqu’il renferme un grand
nombre
de choses neuves & importantes. Le Traité du
aissé d’avoir du succès, surtout en province, parce que dans le grand
nombre
de pensées qu’il a compilées, il y en a quelques-
age est parsemé de réfléxions fort bonnes, qui dédommagent d’un grand
nombre
de moralités triviales, de pensées bassement expr
de style, & qui manque de nerf dans l’esprit. Nous avons un grand
nombre
de Dialogues des morts, la plûpart paroissent n’a
se laisser entraîner par leur autorité, ne dissimule pas qu’un grand
nombre
d’écrivains s’étaient contentés de remarquer que
chies des discours qu’il prononçait dans son école. De là, leur grand
nombre
et leur diversité durant les dix-sept ans que dur
e style, c’est l’homme des réalités. Comme Solon, il a écrit un petit
nombre
de poésies, dont l’une fut la cause de sa mort. M
lation s’étend évidemment au reste des êtres ; et, dans le plus grand
nombre
, la nature a établi le commandement et l’obéissan
cès entre eux que les possesseurs de biens personnels ? et encore, le
nombre
de ceux qui peuvent avoir de ces querelles dans l
us, sont privés de bonheur. C’est que le bonheur ne ressemble pas aux
nombres
pairs, dans lesquels la somme peut avoir telle pr
tité des fortunes, il faut aussi fixer la quantité des enfants. Si le
nombre
des enfants n’est plus en rapport avec la proprié
on ensemble, est plus puissante, plus riche et meilleure que le petit
nombre
. « Supposons donc la réunion, dans un seul État,
s unes comme dans les autres, la décision prononcée par le plus grand
nombre
des membres du corps politique a toujours force d
oins répandue, et a moins de part au pouvoir politique, parce que, le
nombre
des pauvres venant à s’accroître, sans que celui
le plus de gens qu’ils peuvent ; ils n’hésitent point à comprendre au
nombre
des citoyens non-seulement ceux qui sont dignes d
ssent usage que jusqu’à ce que les classes inférieures l’emportent en
nombre
sur les hautes classes et les classes moyennes ;
liquèrent aussi les démocrates de Cyrène. Il faut créer en plus grand
nombre
de nouvelles phratries ; il faut substituer aux s
aire suite à tout ce qui précède, nous allons étudier, d’une part, le
nombre
et la nature des causes qui amènent les révolutio
ge. « Cette égalité si recherchée est double. Elle peut s’entendre du
nombre
et du mérite. Par le nombre, je comprends l’égali
rchée est double. Elle peut s’entendre du nombre et du mérite. Par le
nombre
, je comprends l’égalité, l’identité en multitude,
ude, en étendue ; par le mérite, l’égalité proportionnelle. Ainsi, en
nombre
, trois surpasse deux comme deux surpasse un ; mai
ues ou démocratiques. La noblesse, la vertu, sont le partage du petit
nombre
; et les qualités contraires, celui de la majorit
cieux. Le plus sage est de combiner ensemble, et l’égalité suivant le
nombre
, et l’égalité suivant le mérite. « Quoi qu’il en
un tiers plus cinq donne deux harmonies, ne commencent que lorsque le
nombre
a été géométriquement élevé au cube, attendu que
r de ses peuples, et que des distinctions trop marquées pour un petit
nombre
d’hommes rares n’eussent peut-être servi qu’à élo
olés ; mais décorés par le suffrage principal, non seulement ils font
nombre
, ils acquièrent même une sorte de prix. L’amour-p
cherchent à les mettre sur la même ligne, pour diminuer sans doute le
nombre
des classes d’hommes qui sont au-dessus de la leu
rait de les engager à donner par écrit leurs avis. Au bout d’un petit
nombre
d’années, quand la fureur de la cabale et l’espri
croient avoir déjà décidé, et ses oracles mis en dépôt chez un petit
nombre
d’hommes éclairés, prescrivent enfin à la multitu
s lent, parce qu’elle se trouve d’ordinaire traversée d’un trop grand
nombre
de décisions injustes et bruyantes. Car il en est
ublic que vous l’êtes, vous serez d’abord ridicule pour le plus grand
nombre
, vous en imposerez pourtant à quelques sots qui s
ément, mais supérieure soit par le mérite, soit au moins par le grand
nombre
d’excellents philosophes qu’elle a produits, elle
nt dans ce sanctuaire, et quelques feuillets détachés d’un plus grand
nombre
: mais on lit au dehors du temple le simple titre
sans des motifs au moins plausibles, un préjugé onéreux au plus grand
nombre
. Voici, ce me semble, quel en est le principe. Le
pagnies à la pluralité des voix, quoique souvent l’avis du plus grand
nombre
ne soit pas le meilleur. Voilà pourquoi la consid
seuls lui restèrent fidèles, La Fontaine et Pélisson ; sans doute le
nombre
aurait pu en être plus grand, et je suis fâché de
vaient dans une société moins brillante. Il n’est donné qu’à un petit
nombre
d’hommes rares de se préserver de cette contagion
’autres exemples, l’objet de la haine et de la persécution d’un grand
nombre
de Mécènes, sans avoir d’autre crime auprès d’eux
supérieur à leurs protégés ? Il est vrai qu’à l’exception d’un petit
nombre
de grands seigneurs, assez heureux pour sentir to
rivains de la nation, pour la décorer aux yeux des sages ; d’un petit
nombre
de grands seigneurs, pour la décorer aux yeux du
st elle qui a donné à l’Italie tant d’artistes célèbres dont un petit
nombre
a vécu dans l’opulence. En fait de talents et de
par principes dans une carrière peu brillante, mais tranquille, où le
nombre
des juges, des ennemis et des prôneurs est fort p
blimes connaissances, et dont je distingue le suffrage parmi le petit
nombre
de ceux qui peuvent véritablement me flatter. »
Les savants et les écrivains célèbres qui vous approchent en si grand
nombre
, applaudiront à l’hommage que je vous rends. Le r
uelles conditions un peuple a-t-il des idées générales en assez grand
nombre
et assez clairement pour en faire le fond de sa l
de raisonnement d’une application toujours efficace, soit un certain
nombre
d’axiomes philosophiques qui subsistent ; mais va
sophie ancienne, à ce qui restait de Platon et d’Aristote. Un certain
nombre
de généralités et d’abstractions, tirées de quelq
édient pour quelques intelligences d’élite, devint pour le plus grand
nombre
un empêchement et un obstacle. La scolastique, en
re avec la philosophie dans la scolastique ; et de ce mélange naît un
nombre
infini de propositions scolastico-théologiques. U
moyen âge, que beaucoup d’applications mauvaises parmi un très-petit
nombre
de bonnes. La distance qui paraît si grande entre
noméie en renommée. Je pourrais citer d’autres exemples, non en grand
nombre
toutefois ; car saint Bernard ne touche que rarem
dirait écrits avec la pointe d’une épée. Il en échappe un plus grand
nombre
, qui ont l’air de naïvetés, à la vieillesse expér
ence humaine. Il est vif, naturel ; il saisit finement un assez grand
nombre
de rapports et de vérités subalternes ; mais il m
efois. Dans tous les genres de littérature, la raison a fait un petit
nombre
de règles, le caprice les a étendues, et le pédan
e nous ne considérons pas assez, et le métier de traducteur est de ce
nombre
. Ce n’est pas seulement cette injustice qui rend
pas seulement cette injustice qui rend leur travail si ingrat, et le
nombre
de bons traducteurs si petit. Quoiqu’ils trouvent
ns le cours des études, à mettre entre les mains des enfants un petit
nombre
d’auteurs, et même à ne leur en montrer pour l’or
nsé de mieux ; ils connaîtraient le génie et le style d’un plus grand
nombre
d’écrivains ; ils auraient enfin l’avantage d’orn
; c’est pour le satisfaire que j’en ajoute ici un beaucoup plus grand
nombre
; c’est le fruit de quelques moments de loisir qu
te ne m’aveugle pas jusqu’au point de me fermer les yeux sur un petit
nombre
d’endroits où il me paraît au-dessous de lui-même
verais fort heureux, si celle-ci pouvait obtenir le suffrage du petit
nombre
de gens de lettres, qui, par une connaissance app
enser qu’on devroit aujourd’hui avoir autant d’attention à limiter le
nombre
de ceux qui pourroient professer les arts liberau
r les arts liberaux, qu’on en apportoit autrefois à l’augmenter. Leur
nombre
, disent-ils, s’est trop multiplié par rapport au
gmenter. Leur nombre, disent-ils, s’est trop multiplié par rapport au
nombre
du peuple qui exerce les arts mécaniques. La prop
ujours après s’être renouvellées deux ou trois fois durant un certain
nombre
d’années. Telles ont été en France le mal des ard
phénomène La peinture, par exemple, n’admettait avant ce siècle qu’un
nombre
restreint de sujets, interprétés d’une certaine m
aines à défricher, le jour où l’expression musicale s’appliquera à un
nombre
illimité d’êtres, en dehors des héros et des dieu
cette vérité que le domaine du beau s’élargit insensiblement, que le
nombre
des choses et des êtres admis par l’esthétique s’
e cette erreur est sorti le jugement qui reconnaissait comme beaux un
nombre
très restreint d’objets, et comme laids tous les
ommes tellement accoutumés à ne décerner cette épithète qu’à un petit
nombre
d’objets, autorisés et catalogués, que nous détou
e tels soucis et l’architecte coutumier, qui se contente d’édifier le
nombre
de pièces indiquées pour le prix convenu, il y a
tendre de lui ; car si son œuvre n’est pas encore considérable par le
nombre
, combien grande est sa signification pour ceux qu
agne, à journées, les habitants se trouvent si faibles et en si petit
nombre
, qu’ils ne peuvent travailler de leurs bras. » Ce
, « dès que les ateliers de charité sont ouverts, il s’y précipite un
nombre
prodigieux de pauvres, quelque soin qu’on ait pri
que les plus nécessiteux ». L’intendant de Bourges marque qu’un grand
nombre
de métayers ont vendu leurs meubles, que « des fa
s le Toulousain, la sécheresse ayant fait périr les animaux de trait,
nombre
de cultivateurs sont obligés de laisser leurs cha
et s’anéantit tous les jours, le Tiers-état s’empare des fortunes. »
Nombre
de domaines passent ainsi, par vente forcée ou vo
ublics, sont destinées en France à l’achat des terres. » — « Aussi le
nombre
des petites propriétés rurales va toujours croiss
ve encore, à peu de chose près, le chiffre actuel, si l’on cherche le
nombre
des propriétaires comparé au nombre des habitants
hiffre actuel, si l’on cherche le nombre des propriétaires comparé au
nombre
des habitants. Mais, en acquérant le sol, le pe
ente des biens nationaux ne paraît pas avoir augmenté sensiblement le
nombre
des petites propriétés ni diminué sensiblement le
siblement le nombre des petites propriétés ni diminué sensiblement le
nombre
des grandes ; ce que la Révolution a développé, c
1 neuvième). — D’après les relevés partiels de M. de Tocqueville, le
nombre
des propriétaires fonciers s’est accru en moyenne
d’un seul tenant. Choisissons maintenant sur le continu C un certain
nombre
d’éléments d’une manière tout à fait arbitraire.
oute et cet exemple est particulièrement approprié à la discussion du
nombre
des dimensions ; cette discussion nous a permis d
inu des déplacements n’est donc pas équivalent à l’espace, puisque le
nombre
des dimensions n’est pas le même, il est seulemen
ce, mais il n’est pas équivalent à l’espace puisqu’il n’a pas le même
nombre
de dimensions ; et quand nous aurons montré comme
s séries Σ imaginables forment évidemment un continu physique dont le
nombre
de dimensions est très grand. Convenons, comme je
mble des séries Σ distinctes formera encore un continu physique et le
nombre
des dimensions sera moindre mais encore très gran
+ S′, S et S′ étant inverses) il est clair que C3 contiendra un grand
nombre
de séries de sensations distinctes ; car sans que
l est commode de lui en attribuer trois, parce que c’est ainsi que le
nombre
des coups de pouce est réduit au minimum. Ajouter
ions. Ce point unique serait assujetti à rester sur une surface (d’un
nombre
quelconque de dimensions < 3 n) en vertu des l
ries qui peuvent se répéter, et c’est de leur répétition que vient le
nombre
; c’est parce qu’elles peuvent se répéter indéfin
sans cesse : Souviens-toi que l’espace a trois dimensions, puisque le
nombre
de ces trois dimensions n’est pas sujet au change
tre en acoustique ; mais la différence est grande ; non seulement les
nombres
de vibrations ne sont pas les multiples successif
nombres de vibrations ne sont pas les multiples successifs d’un même
nombre
; mais nous ne retrouvons même rien d’analogue au
iter qu’une de ces différences, pour les harmoniques d’ordre élevé le
nombre
des vibrations tend vers une limite finie ; au li
d’un gros électron positif entouré d’un anneau formé d’un très grand
nombre
d’électrons négatifs très petits. Telle la planèt
nt comme simples ne seraient plus que les résultantes d’un très grand
nombre
de faits élémentaires que les lois seules du hasa
a passion dominante m’excitera sans cesse à faire jouir un plus grand
nombre
d’hommes des résultats heureux de mes efforts ; l
plaisir par le sentiment habituel, que toutes les pensées d’un grand
nombre
d’hommes sont dirigées sur vous ; que vous existe
; mais d’abord la chance des talents se resserre, et à proportion du
nombre
, et plus encore, par l’espèce de négligence qu’in
est qui sont personnels à cette situation ; des rivaux en plus petit
nombre
, des rivaux qui se croient vos égaux à plusieurs
nt découverts, ou par le flambeau de l’histoire, ou par un très petit
nombre
de philosophes contemporains que le mouvement gén
secours possible que dans l’exercice du courage. En étudiant le petit
nombre
d’exceptions à l’inconstance de la faveur publiqu
es, ne pouvant être jugés que par leurs pairs, obtiennent, d’un petit
nombre
de savants, des titres incontestables à l’admirat
l’émeuvent plus fortement que la silencieuse reconnaissance du grand
nombre
; enfin, mobile, parce qu’elle est passionnée ; p
u de condamnation. Et l’accusé étoit absous ou condamné, selon que le
nombre
de l’une de ces lettres l’emportoit sur le nombre
damné, selon que le nombre de l’une de ces lettres l’emportoit sur le
nombre
de l’autre. On a fait quelques usages de cette le
e sauroit se garantir. Peut-on ne pas céder à ces charmes qui sont du
nombre
des charmes si puissans, &c. Peut-on ne pas c
autres dont les noms sont connus. On a laissé périr de même un grand
nombre
des ouvrages des Peres Grecs depuis Origene ou S.
orps que l’étendue, ou qu’on ne fait attention qu’à la quantité ou au
nombre
. Ce verbe n’est pas usité en tous les tems, ni mê
lu qu’il y eût dans la prose même des intervalles, des séparations du
nombre
& de la mesure comme dans les vers ; & pa
ure comme dans les vers ; & par ces intervalles, cette mesure, ce
nombre
, ils ne veulent pas parler ici de ce qui est déjà
s nos mots, nos vers ne sont formés que par l’harmonie qui résulte du
nombre
des syllabes, au lieu que les vers grecs & le
lieu que les vers grecs & les vers latins tirent leur harmonie du
nombre
des piés assortis par certaines combinaisons de l
ore pour accidens le genre. Voyez Genre ; le cas, la déclinaison, le
nombre
, qui est ou singulier ou pluriel, sans parler du
elques autres expressions que nos Grammairiens François ne mettent au
nombre
des prépositions, que parce qu’elles répondent à
roposition. Il y a en François & dans toutes les langues un grand
nombre
d’exemples pareils ; on en doit faire la construc
s même de l’autorité royale. Je pourrois rapporter un bien plus grand
nombre
d’exemples pareils d’accusatifs qui forment avec
ques il y a encore les adjectifs métaphysiques qui sont en très-grand
nombre
, & dont on pourroit faire autant de classes d
ort à l’autre homme. Ainsi premier, dernier, & les autres noms de
nombre
ordinal, ne sont que des adjectifs métaphysiques.
sont des adjectifs de relation & de rapport numéral. Les noms de
nombre
cardinal, tels que deux, trois, &c. sont auss
étendue ultérieure. D’un autre côté, si je me mets à compter quelque
nombre
que ce puisse être, fût-ce le nombre des grains d
si je me mets à compter quelque nombre que ce puisse être, fût-ce le
nombre
des grains de sable de la mer & des feuilles
tant qu’enfin, las de ces additions toûjours possibles, je dis que ce
nombre
est infini, c’est-à-dire, qu’il est tel, que je n
nce & à la raison. Toutes ces idées abstraites supposent un grand
nombre
d’idées particulieres que ces mêmes Philosophes c
nt toûjours avant les substantifs qu’ils qualifient. Les adjectifs de
nombre
précèdent aussi les substantifs appellatifs, &
, quatre personnes, Henri quatre, pour quatrieme : mais en parlant du
nombre
de nos Rois, nous disons dans un sens appellatif,
liv. I. ch. ix. regle XIX. avertissement. Les Latins en ont un grand
nombre
, prudens, felix, ferax, tenax, &c. En Françoi
ue Françoise par Jean Masset.) Le même Auteur observe que les noms de
nombre
qui marquent pluralité, tels que quatre, cinq, si
ivre. Les adjectifs terminés au singulier par une s, servent aux deux
nombres
: il est gros & gras ; ils sont gros & gr
: excellent, excellente ; excellents, excellentes. Outre le genre, le
nombre
, & le cas, dont nous venons de parler, les ad
nt que, &c. c’est la valeur ou signification du mot, & non le
nombre
des syllabes, qui doit faire mettre un mot en tel
u’on appelle la langue de cette société. C’est le concours d’un grand
nombre
de circonstances différentes qui a formé ces dive
cette réforme n’est pas l’ouvrage d’un particulier. 2°. Que le grand
nombre
de ces réformateurs fait voir que notre orthograp
lus ; que des milliers d’ennemis entrent par les portes en plus grand
nombre
qu’on n’en vit autrefois venir de Mycenes : Port
tes les choses qui sont nécessaires à la vie ? Par conséquent dans un
nombre
infini d’occasions, nous avons besoin de nous ins
p; les Grammairiens philosophes, qui à la vérité ne font pas le grand
nombre
, & même la méthode de P. R. regardent cette p
nds. On dit la onzieme, ce qui est peut-être venu de ce que ce nom de
nombre
s’écrit souvent en chiffre, le XI. roi, la XI. le
isquis fuit ille Deorùm. Ovide, Metam. Lib. I. v. 32. Il y a un grand
nombre
d’exemples de cet usage, que les Latins faisoient
iriens ont faites de ces contractions. Les Italiens ont un plus grand
nombre
de prépositions qui se contractent avec leurs art
p; les autres prépositions devroient en faire aussi ; il n’y a que le
nombre
déterminé des six cas Latins qui s’y oppose : ce
terra e’l cielo, la terre & le ciel. Faut-il pour cela l’ôter du
nombre
des conjonctions ? Puisqu’on ne dit pas que toute
privilége ? C’est qu’il suffisoit d’égaler dans la langue vulgaire le
nombre
des six cas de la grammaire latine, à quoi on éto
e sont di, a, da : mais il ne me plaît pas à présent de les mettre au
nombre
des signes de cas ; il me paroît plus utile de le
ation que l’usage leur a donnée, sauf aux Latins à marquer un certain
nombre
de ces rapports par des terminaisons particuliere
x auteurs de la basse latinité, nous trouverions encore un plus grand
nombre
d’exemples : de coelis Deus, Dieu des cieux ; pan
e éviter l’obscurité & l’amphibologie, ni inventer un assez grand
nombre
de mots, pour énoncer non seulement les diverses
és des pronoms personnels ; tels sont mon, ma, mes, & les noms de
nombre
cardinal, un, deux, trois, &c. Ainsi je mets
’égard des chiens, je l’observai aussi peu à peu à l’égard d’un grand
nombre
d’autres êtres. Je vis un moineau, ensuite d’autr
amp; que ces propositions ne doivent être entendues que du plus grand
nombre
, on dit qu’elles sont indéfinies. III°. Quelque,
antipodes, c’est-à-dire, quelques-uns des Philosophes, ou un certain
nombre
d’anciens Philosophes, ou en vieux style, aucuns
que le mien & le tien sont peres de la discorde. 6°. Les noms de
nombre
cardinal un, deux, &c. font aussi l’office de
idere ce tout sous quelque vûe de l’esprit, autre encore que celle de
nombre
, alors le nom de nombre est précédé de l’article
ue vûe de l’esprit, autre encore que celle de nombre, alors le nom de
nombre
est précédé de l’article ou prénom qui indiquent
rde, &c. le Dieu des chrétiens, &c. II. Il y a un très-grand
nombre
de noms propres, qui dans leur origine n’étoient
il y a quelques observations à faire. I. Si l’adjectif est un nom de
nombre
ordinal, tel que premier, second, &c. & q
ouis le juste, &c. où vous voyez que le tire Henri & Louis du
nombre
des autres Henris & des autres Louis, & e
de le pain, de ce tout spécifique individuel qu’on appelle pain ; le
nombre
des pains que vous avez apportés n’est pas suffis
uns, aucuns, ou des savans philosophes, en sous-entendant un certain
nombre
, ou quelqu’autre mot. 4°. Dans les propositions s
construction entiere est, vous aimez certaines personnes qui sont du
nombre
des ingrats, ou quelques uns des ingrats, de les
ont parlé tous les bons auteurs de son tems, excepté en un très-petit
nombre
d’occasions ou une syllabe de plus s’opposoit à l
ues modernes à la méthode Latine, ils les ont embarrassées d’un grand
nombre
de préceptes inutiles, de cas, de déclinaisons &a
e, & l’a en est la dix-septieme. Les Ethiopiens ont un plus grand
nombre
de lettres que nous, & n’observent pas le mêm
nonçoient Bilippe au lieu de Philippe. On pourroit rapporter un grand
nombre
d’exemples pareils de ces permutations de lettres
s & chez les Romains, étoit une lettre numérale qui signifioit le
nombre
deux quand elle étoit figurée simplement ; &
tos architectos, Democrates illustre architecte. Il y a un très-grand
nombre
d’exemples du sigma ainsi écrit, sur-tout en lett
infinie en apparence des sons que forme la voix, il y en a un certain
nombre
de simples auxquels tous les autres peuvent se ré
us courte certains objets particuliers. L’Arithmétique ou science des
nombres
a dû être une de ces premieres sciences ; parce q
peuvent suffire à l’expression distincte d’une incroyable quantité de
nombres
, & par conséquent à celle d’un nombre de term
une incroyable quantité de nombres, & par conséquent à celle d’un
nombre
de termes beaucoup plus grand que nous n’en avons
. Les caracteres numéraux sont ceux dont on se sert pour exprimer les
nombres
; ce sont des lettres ou des figures, que l’on ap
lettres des autres alphabets, dont on s’est servi, pour exprimer les
nombres
. Le caractere commun est celui que l’on appelle o
n général le nom de chiffre à tout caractere, qui sert à exprimer les
nombres
. Voyez Chiffre . On se sert du caractere Arabe pr
c. Les lettres numérales, qui composent le caractere Romain, sont au
nombre
de sept, savoit, I, V, X, L, C, D, M. Le caracter
atre s’exprime ainsi IV. I, mis devant V ou X, retranche une unité du
nombre
exprimé par chacune de ces lettres. Pour exprimer
evant L ou C ; ce X indique alors qu’il faut retrancher dix unités du
nombre
suivant ; ainsi XL signifie quarante, & XC, q
Outre la lettre D, qui exprime cinq cents, on peut encore exprimer ce
nombre
par un I devant un C renversé, de cette maniere I
produit], 100000, &c. Ceci est la maniere commune de marquer les
nombres
, anciennement usitée par les Romains, qui exprimo
bres, anciennement usitée par les Romains, qui exprimoient aussi tout
nombre
de mille par une ligne, tirée sur un nombre quelc
ui exprimoient aussi tout nombre de mille par une ligne, tirée sur un
nombre
quelconque moindre que mille. Par exemple V signi
reste comment les Romains faisoient leurs calculs par le moyen de ces
nombres
. Ils avoient sans doute une Arithmétique comme no
pte. Chiffres Grecs. Les Grecs avoient trois manieres d’exprimer les
nombres
. 1°. La plus simple étoit pour chaque lettre en p
en particulier, suivant sa place dans l’alphabet, afin d’exprimer un
nombre
depuis α 1, jusqu’à ω 24 : c’est de cette maniere
produit]précédé des autres lettres numérales, servoit à déterminer le
nombre
de mille ; par exemple, [non reproduit], 3000, &a
amp; Aquila, affranchis de Mecene, y en ajoûterent un bien plus grand
nombre
. Enfin Seneque en fit une collection qu’il mit en
eque en fit une collection qu’il mit en ordre, & il augmenta leur
nombre
jusqu’à cinq mille. On peut lire les notes de Ty
-multiples des quantités x, y, z, selon que m, n, r, représentent des
nombres
entiers ou rompus. + Est le signe de ce qui exist
t les deux quantités ensemble : ainsi b d exprime le produit des deux
nombres
marqués par b & d, lesquels étant supposés va
les des grandeurs variables x & y : deux, trois, ou un plus grand
nombre
de points désignent les secondes, les troisiemes
tures ne peut-on pas former sur cette conformité de nom, de signe, de
nombre
sur-tout ? Aussi l’on n’y a pas manqué : mais la
yale. Caracteres, en Commerce. D°. dicto, le même. N°. numero, ou
nombre
. F°. folio ou page. R°. recto. folio V°. verso.
t quelle personne ? Ce substantif se joint à tout genre & à tout
nombre
. Ce sont des Philosophes, &c. ce sont les pas
repos que l’on prend dans la prononciation d’un vers après un certain
nombre
de syllabes. Ce repos soulage la respiration, &am
a ; tels sont le genre, le cas (dans les langues qui ont des cas), le
nombre
& la personne, c’est-à-dire que si un substan
s total de cette proposition, ils doivent être au même genre, au même
nombre
, & au même cas. C’est ce que j’appelle unifor
our des choses. Il est vrai que l’adjectif doit convenir en genre, en
nombre
& en cas avec son substantif ; mais pourquoi
de chaux vive, d’huile, &c. En termes d’arithmétique, on appelle
nombre
concrets ceux qui sont appliqués à quelque objet
à quelque objet particulier ; ainsi, quand on dit un homme, un est un
nombre
concret, parce qu’il forme un tout avec homme. il
ême quand on dit, deux hommes, trois écus, &c. alors les noms des
nombres
sont des noms adjectifs ; mais quand on dit, deux
noms adjectifs ; mais quand on dit, deux & deux font quatre, ces
nombres
n’étant adoptés à aucun objet déterminé, sont pri
mairiens ont balancé autrefois, s’ils placeroient les conjonctions au
nombre
des parties du discours, & cela par la raison
les terminaisons d’un verbe, selon les voix, les modes, les tems, les
nombres
, & les personnes ; termes de Grammaire qu’il
plus d’étendue ; car il se dit de chaque mot, en quelque mode, tems,
nombre
, ou personne que ce puisse être. Les Grecs ont en
quand vous étes venu, &c. Voyez Tems , terme de Grammaire. Les
nombres
. Ce mot, en termes de Grammaire, se dit de la pro
r d’autorité ou d’emphase ; nous voulons, nous ordonnons. A ce, deux
nombres
les Grecs en ajoûtent encore un troisieme, qu’ils
t d’aimer ; je marque donc en même tems la voix, le mode, le tems, le
nombre
, la personne. Je fais ici en passant cette observ
ervé qu’il y avoit des verbes qui énonçoient les modes, les tems, les
nombres
, & les personnes, par certaines terminaisons,
différentes, pour marquer les mêmes modes, les mêmes tems, les mêmes
nombres
, & les mêmes personnes : alors les Grammairie
férences, ont cependant une égale destination par rapport au tems, au
nombre
, & à la personne. Par exemple, amo, amavi, am
nitum ; parce qu’en effet, il y adans cette conjugaison un plus grand
nombre
de verbes qui ont leur supin terminé en itum, qu’
lque personne, comme oportet, paenitet, pluit, &c. Un très-grand
nombre
de verbes s’écartent de leur paradigme, ou à leur
e les verbes hébreux ont voix active & voix passive. Ils ont deux
nombres
, le singulier & le pluriel ; ils ont trois pe
pas en latin. 3. Les verbes grecs ont le duel, au lieu qu’en latin ce
nombre
est confondu avec le pluriel. Les grecs ont un pl
n ce nombre est confondu avec le pluriel. Les grecs ont un plus grand
nombre
de tems ; ils ont deux aoristes, deux futurs, &am
ne change jamais, ni pour la différence des genres, ni pour celle des
nombres
; il garde toujours la même terminaison. A l’égar
erminaisons de chaque conjugaison réguliere, rangées par modes, tems,
nombres
& personnes, en sorte qu’en mettant les lettr
it pour toutes sortes de personnes, & qu’il y en a un assez grand
nombre
qui seront bien-aises de trouver ici sur ce point
s sont à l’orgue. Selon ce que nous venons d’observer, il fuit que le
nombre
des voyelles est bien plus grand qu’on ne le dit
peu plus ou un peu moins pour faire entendre ou l’une ou l’autre. Le
nombre
des lettres n’est pas le même partout. Les Hébreu
e l’étymologie ; Histoire de l’Acad. des Belles-Lettres. A l’égard du
nombre
de nos consonnes, si l’on ne compte que les sons
urd’hui pratiquée, même dans les petites écoles. Voyons maintenant le
nombre
de nos consonnes ; je les joindrai, autant qu’il
urtout des différentes terminaisons des verbes destinées à marquer le
nombre
, les personnes, & les tems, nous devenions pl
tre ce qu’on pense, le concours des idées accessoires, l’harmonie, le
nombre
, le rythme, &c. font souvent que l’on supprim
n dit, la foiblesse des hommes est grande ; le verbe est s’accorde en
nombre
& en personne avec son sujet la foiblesse, &a
astoris. Sanctius & les autres analogistes ont recueilli un grand
nombre
d’exemples où cette figure est en usage : mais co
e, eu égard à la signification ; mais il est différent par rapport au
nombre
ou au genre. Aquilae volarunt, hoec ob oriente, i
ous voyez que volavit qui est sousentendu, differe de volarunt par le
nombre
: & de même dans Virgile (AE n. l. I.) hic il
ont, &c. ce, c’est-à-dire les personnes qui ont, &c. sont du
nombre
des hommes qui, &c. Quand on dit la foiblesse
n’en change point la valeur : mais à cause du cas, ou du genre, ou du
nombre
, ou enfin de la terminaison d’un autre mot dont l
quoe. Benevolentia est fons, qui est fons amicitiae. Il y a un grand
nombre
d’exemples pareils dans Sanctius, & dans la m
que la convenance des différens styles le permet, ce qu’on appelle le
nombre
, le rythme, l’harmonie, &c. Je ne m’arrêterai
équivalens à un nom. Il n’y a point de langue qui ait un assez grand
nombre
de mots, pour suffire à exprimer par un nom parti
io. Cupio hoc nempe, me esse clementem. Il y a en latin un trés-grand
nombre
d’exemples de ce sens total, formé par un nom ave
nt de ressources & tant de forces, qu’il peut résister à ce grand
nombre
d’ennemis ligués contre lui & les vaincre : d
lité : ainsi l’adjectif ne doit pas marquer, par rapport au genre, au
nombre
, & au cas, des vûes qui soient différentes de
yant, ou faisant quelque chose : ainsi le verbe doit indiquer le même
nombre
& la même personne que le sujet indique ; &am
arce que moutons est au pluriel & au masculin. L’adjectif suit le
nombre
& le genre de son substantif, parce que l’adj
aleur à un sujet. Etes : la terminaison de ce verbe marque encore le
nombre
, la personne, & le tems présent. Heureux est
vous ne formez jamais certains desirs, quelques desirs qui soient du
nombre
des desirs inutiles. D’inutiles desirs : quand le
re que les desirs particuliers ou singuliers que vous formez, sont du
nombre
de les desirs inutiles. Mais dans le sens négatif
rtitif ; c’est-à-dire que les soins auxquels ils nous livrent sont du
nombre
des soins criminels ; ils en font partie : ces pr
t Crochet ou Crochets, termes d’Imprimerie. Les crochets sont au
nombre
des signes dont on se sert dans l’écriture, autre
mains ont pris d’abord cette lettre pour signifier par abréviation le
nombre
de mille. Or ils avoient une espece de M qu’ils f
f au lieu de l’ablatif, avec la préposition à ; on en trouve un grand
nombre
d’exemples dans les meilleurs auteurs. Paenè mih
f, datif ; accusatif, & vocatif. Les Grecs n’ont rien changé à ce
nombre
; ils n’ont que cinq cas : ainsi le génitif est t
que les noms latins. Au contraire les verbes grecs ont un plus grand
nombre
de terminaisons que n’en ont les verbes latins. L
l’usage de donner aux noms grecs & aux noms-latins un plus grand
nombre
de terminaisons différentes, on diroit avec raiso
différentes, on diroit avec raison que ces langues ont un plus grand
nombre
de cas : la langue arménienne en a jusqu’à dix, s
s en Hollande). Ces terminaisons pourroient être encore en plus grand
nombre
; car elles n’ont été inventées que pour aider à
is : amamur, nous sommes aimés ; elle marque le mode, la personne, le
nombre
, le tems, & cette terminaison pourroit être t
des mots de sa langue, & savoir autant qu’il lui est possible le
nombre
& l’usage de ces inflexions, aussi bien que d
à l’égard du grec ? pourquoi imaginer dans cette langue un plus grand
nombre
de cas qu’elle n’a de terminaisons différentes da
la même terminaison. Nous avons observé plus haut qu’il y a un grand
nombre
d’exemples en latin, où le datif est mis pour l’a
me fuis trop étendu sur un point qui au fond n’intéresse qu’un petit
nombre
de personnes ? C’est l’autorité que la méthode de
déclinables, nequam, tot, totidem, quot, aliquot, &c. Les noms de
nombre
depuis quatuor jusqu’à centum, sont aussi indécli
. Les noms françois gardant toûjours la même terminaison dans le même
nombre
, ils ne sont ni à l’accusatif ni au génitif ; en
mple de marbre, l’âge de fer. En ces exemples, & en un très-grand
nombre
d’exemples semblables, on ne doit pas dire que le
duro est ultima ferro. Ovid. Mét. l. I. v. 127. Il y a un très-grand
nombre
d’exemples pareils dans les meilleurs auteurs, &a
& sa Grammaire ; & que nos noms conservant toûjours en chaque
nombre
la même terminaison, il ne doit y avoir dans notr
adj. terme de Gramm. qui se dit ou d’un nom qui manque, ou de quelque
nombre
, ou de quelque cas. On le dit aussi des verbes qu
scien, au liv. VIII. de significationibus verborum, rapporte un grand
nombre
d’exemples de verbes déponens, pris dans un sens
torisé dans la langue commune, & étoit d’un grand service pour le
nombre
, selon Quintilien. Il n’y a rien de semblable par
it à souhaiter que nos Grammairiens fussent d’accord entre eux sur le
nombre
de nos diphthongues ; mais nous n’en sommes pas e
auprès, dès, & c. que de se regler sur palais, & sur un petit
nombre
de mots pareils qu’on écrit par ai, par la raison
haleines Ont FONDU l’ÉCORCE des eaux. l. III. ode 6. Il y a un grand
nombre
d’exemples de disconvenances de mots dans nos mei
quand il en a deux ; trissyllabe quand il en a trois : mais après ce
nombre
les mots sont dits être polissyllabes, c’est-à-di
l’oreille est satisfaite par rapport au complément du rithme & du
nombre
des syllabes ; & comme la derniere tombe foib
tempérance en tout genre : le vice contraire fait périr un plus grand
nombre
de personnes que le glaive, plus occidit gula qua
nombrement imparfait. Ceux qui raisonnent ainsi, n’ont aucun égard au
nombre
infini d’enfans qui succombent à ces fatigues, &a
séduits & trompés ! La lecture de l’histoire fourniroit un grand
nombre
d’exemples, qui donneroient lieu à des leçons trè
usage des maîtres. On pourroit faire entrer dans cet ouvrage un grand
nombre
d’exemples, qui disposeroient insensiblement aux
que de commencer à vivre. Ils n’ont pas encore acquis un assez grand
nombre
de ces connoissances préliminaires que celles qui
. & 33. que les en fans ont acquis par l’usage de la vie un grand
nombre
de connoissances sur des objets sensibles, avant
avec lumiere & avec liberté. Il seroit aisé de rapporter un grand
nombre
d’exemples, pour faire voir la nécessité d’un mot
es sont les Langues, la Géométrie, les Fortifications, la science des
Nombres
, &c. ce sont des maîtres habiles en chacune d
gne. En province. En figure. En chair & en os. Et autres en grand
nombre
pris dans un sens de sorte, qui n’est pas le sens
actement, n’y ayant rien de plus embarrassant que de voir un si grand
nombre
de regles accompagnées d’un nombre encore plus gr
barrassant que de voir un si grand nombre de regles accompagnées d’un
nombre
encore plus grand d’exceptions ». Et à l’avertis
;, les deux correlatifs ne doivent pas être séparés par un trop grand
nombre
de mots intermédiaires, qui empêchent d’appercevo
ement ajoûter la négative ne : j’empêcherai bien que vous ne soyez du
nombre
, &c. Remarq. & décis. de l’acad. pag. 30.
F, se plaint de ce que quelques grammairiens ont mis cette lettre au
nombre
des demi-voyelles ; elle n’a rien de la demi-voye
& l’on dit qu’ils sont pris dans un sens figuré : il y a un grand
nombre
d’exemples de cette acception, sous lesquels les
lorsqu’au lieu de construire les mots selon les regles ordinaires du
nombre
, des genres, des cas, on en fait la construction
quelles les Rhéteurs ont donné des noms particuliers. Il y a un grand
nombre
de ces noms dont il est inutile de charger la mém
ble, comme facere fortiter, & vivere turpiter. On trouve un grand
nombre
d’exemples de ces deux figures : ubi amatur, non
p; κῶλον, membre ; lorsque les différens membres d’une période ont un
nombre
de syllabes à-peu-près égal. Enfin observons ce q
une exagération, soit en augmentant ou en diminuant. On met aussi au
nombre
des figures l’admiration & les sentences, &am
lieu que divisible est le grand terme, parce qu’il se dit d’un grand
nombre
d’objets, il a une plus grande étendue. Si la per
re, les modes finis appliquent l’action par rapport à la personne, au
nombre
& au tems. Pierre lit, a lû, lira, &c. On
le plus fréquemment dans un sens figuré, & qui ont un plus grand
nombre
de ces sortes de sens : tels sont corps, ame, têt
ils le sont encore en orient ; on en trouvoit partout jusque dans les
nombres
. Métrodore de Lampsaque, au rapport de Tatien, av
& l’adverbe conjonctif donc ; parce que n’ayant par eux-mêmes ni
nombre
ni genre déterminé, la relation en devient nécess
y a dans le même discours plusieurs noms du même genre & du même
nombre
, si l’on n’a soin de rendre cette relation bien s
accompagne les simples idées de sensation. Mais il y a un très-grand
nombre
de sentimens agréables, dans ces idées complexes
t guere davantage. 2°. Les sens ne nous rendent aucun témoignage d’un
nombre
infini de dispositions même antérieures qui se tr
s une chose nous est salutaire, plus aussi est grand ordinairement le
nombre
des sensations différentes qui nous aident à la d
al : autrement ce seroit la nature qui meneroit au faux le plus grand
nombre
des hommes ; ce qu’on ne peut juger raisonnableme
oses qui lui sont nécessaires à la vie ; que, par conséquent. dans un
nombre
infini d’occasions, ils avoient besoin de s’instr
tablir une regle de vérité sur ce qui est jugé vrai par le plus grand
nombre
. Donc le sens commun n’est point une regle infail
nature, suivant leur différente disposition ; ensorte que, selon leur
nombre
, leur finesse, leur arrangement, leur qualité, il
la différence qui se trouve dans nos sensations ne vient donc que du
nombre
plus ou moins grand, & de la position plus ou
r jouir du monde où nous sommes placés. Ils ont enfanté des arts sans
nombre
pour satisfaire leurs délices, & se garantir
ils ne sont pas. Le créateur n’a pas voulu nous donner un plus grand
nombre
de sens ou des sens plus parfaits, pour nous fair
t-ils, changent-ils si fort les idées ? Il falloit à l’homme un grand
nombre
de termes pour exprimer la foule de ses idées ; c
ont devenus aveugles, sont fort propres à combiner à la fois un grand
nombre
d’idées. Pourquoi est-on si foible lorsqu’on a tr
ique à la simple signification d’un mot qui ne marque qu’une espece.
Nombre
est un mot qui se dit de tout assemblage d’unités
pour les vers ; parce qu’en effet les vers sont composés d’un certain
nombre
de piés ou de syllabes : scribimus numeros. Pers.
3. nous faisons des vers. 3°. En françois nous nous servons aussi de
nombre
ou de nombreux, pour marquer une certaine harmoni
’oreille un air, un vers, une période, un discours. Il y a un certain
nombre
qui rend les périodes harmonieuses. On dit d’une
période qu’elle est fort nombreuse, numerosa oratio ; c. à d. que le
nombre
des syllabes qui la composent est si bien distrib
il se trouve dans le discours le même assemblage de piés, ou le même
nombre
de syllabes qui forment un vers : il veut cependa
harmonie qui lui soit particuliere, quoiqu’elle dépende également du
nombre
des syllables & de l’arrangement des mots. Il
nt le singulier pour le pluriel ; ce sera substituer la synecdoque du
nombre
à celle de l’espece, & dans le même sens, du
ecim animas, (ibid. 18.) il eut seize enfans. III. Synecdoque dans le
nombre
; c’est lorsqu’on met un singulier pour un plurie
n des prophetes ; quod dictum est per prophetas. Matt. ij. 23. 3°. Un
nombre
certain pour un nombre incertain. Il me l’a dit d
dictum est per prophetas. Matt. ij. 23. 3°. Un nombre certain pour un
nombre
incertain. Il me l’a dit dix fois, vingt fois, ce
peut obtenir son maximum d’intensité dans des strophes comprenant un
nombre
variable de vers, ceux-ci étant formés d’un nombr
phes comprenant un nombre variable de vers, ceux-ci étant formés d’un
nombre
variable de syllabes — au gré de l’individu-poète
arce que les exigences de la Rime riche d’une part, la nécessité d’un
nombre
uniforme de syllabes d’autre part, nuisaient à la
e, relevant des tribunaux de la Tradition, condamnés à la sportule du
nombre
réglementaire de syllabes, les poètes trouvaient
la dira librement, se moquant de la Rime riche et de la Rime rare, du
nombre
et de la quantité des syllabes et des choses « bi
dans l’éloge qu’il va faire de M. Le Duc De Montausier. Hors un petit
nombre
de figures semblables, reservées pour le stile él
our satisfaire à nos lâches envies, etc. Je pourois raporter un grand
nombre
d’exemples pareils, énoncés sans figure, et dont
n a apelé avéna un chalumeau, une flute de berger. On trouve un grand
nombre
de ces sortes de figures dans le nouveau testamen
ensés, que de se laisser entrainer au sentiment aveugle du plus grand
nombre
. voix signifie aussi dans un sens étendu, gémisse
à l’embèlir et à l’orner. Je ne crois pas qu’il y ait un assez grand
nombre
de mots qui supléent à ceux qui manquent, pour po
aut de convenance. Moliére dans ses précieuses, nous fournit un grand
nombre
d’exemples de ces expressions recherchées et dépl
ris le plus fréquemment dans un sens figuré, et qui ont un plus grand
nombre
de ces sortes de sens : tels sont corps, ame, têt
être complaisant, lui obéïr. Il en est de même de (…), et d’un grand
nombre
d’autres façons de parler que j’ai remarquées ail
…) etc. Je ne finirois point si je voulois raporter ici un plus grand
nombre
d’exemples du peu d’exactitude de nos meilleurs d
ou imitation. les langues les plus riches n’ont point un assez grand
nombre
de mots pour exprimer chaque idée particulière, p
, ces raports ou circonstances générales sont presque infinies, et le
nombre
des prépositions est extrèmement borné ; mais pou
e pareilles observations sur les autres prépositions, et sur un grand
nombre
d’autres mots. " la préposition après, dit m. L’a
le nom de Cérès, et au vin le nom de Bacchus ; on en trouve un grand
nombre
d’exemples dans les poètes : Virgile a dit, un vi
it par le Rembrant. On dit d’un curieux en estampes, qu’il a un grand
nombre
de Callots, c’est-à-dire, un grand nombre d’estam
estampes, qu’il a un grand nombre de Callots, c’est-à-dire, un grand
nombre
d’estampes gravées par Callot. On trouve souvent
rique à la simple signification d’un mot qui ne marque qu’une espèce.
nombre
est un mot qui se dit de tout assemblage d’unités
pour les vers ; parce qu’en éfet les vers sont composés d’un certain
nombre
de piés ou de sylabes : (…), nous fesons des vers
s : (…), nous fesons des vers. En françois nous nous servons aussi de
nombre
et de nombreux, pour marquer une certaine harmoni
’oreille un air, un vers, une période, un discours. Il y a un certain
nombre
qui rend les périodes harmonieuses. On dit d’une
d’une période qu’elle est fort nombreuse, (…) ; c’est-à-dire, que le
nombre
des sylabes qui la composent est si bien distribu
il se trouve dans le discours le même assemblage de piés, ou le même
nombre
de sylabes qui forment un vers. Il veut cependant
harmonie qui lui soit particulière, quoiqu’elle dépende également du
nombre
des sylabes et de l’arangement des mots. Il y a
une vile, c’est-à-dire, cent mile habitans. (…). Synecdoque dans le
nombre
. C’est lorsqu’on met un singulier pour un plurier
ètes, c’est-à-dire, dans un des livres de quelqu’un des prophètes. Un
nombre
certain pour un nombre incertain. il me l’a dit,
s un des livres de quelqu’un des prophètes. Un nombre certain pour un
nombre
incertain. il me l’a dit, dix fois, vint fois, ce
ent Annibal le carthaginois ; le carthaginois, dit-il, avoit un grand
nombre
d’homes : (…). Didon dit à sa soeur * vous mettre
dans la genèse il est dit, je multiplierai tes enfans en aussi grand
nombre
, que les grains de poussière de la terre. S. Jea
ssé etc. Vous voyez qu’il n’oublie rien. Cet ouvrage est rempli d’un
nombre
infini d’allusions aussi recherchées, pour ne pas
propos de l’allusion : c’est que nous avons en notre langue un grand
nombre
de chansons, dont le sens litéral, sous une apare
mitation : les ombres cependant etc. On poura remarquer un plus grand
nombre
d’exemples pareils dans les auteurs. Je me conten
tent pas au sujet de la proposition : je pourois en raporter un grand
nombre
d’exemples de nos meilleurs auteurs, je me conten
eux dernières figures sont proprement la même ; on en trouve un grand
nombre
d’exemples dans S. Augustin. On doit éviter les j
ls le sont encore en Orient ; on en trouvoit partout jusques dans les
nombres
. Métrodore De Lampsaque, au raport de Tatien, avo
e particulier qui soit la physique : mais les homes ont fait un grand
nombre
de réflexions sur les diférentes opérations de la
ntir à quelque jugement. Les termes abstraits, qui sont en très grand
nombre
, ne marquent donc que des afections de l’entendem
ont au dessus des enfans des autres homes ; ils voient un plus grand
nombre
d’objets, et il y a plus de choix dans ce qu’on l
, quand on dit trois louis, dix homes, en un mot, quand on aplique le
nombre
à quelque sujet particulier, ce nombre est apelé
en un mot, quand on aplique le nombre à quelque sujet particulier, ce
nombre
est apelé concret, au lieu que si l’on dit deux e
ret, au lieu que si l’on dit deux et deux font quatre, ce sont là des
nombres
abstraits, qui ne sont unis à aucun sujet particu
unis à aucun sujet particulier. On considère alors par abstraction le
nombre
en lui même, ou plutot l’idée de nombre que nous
dère alors par abstraction le nombre en lui même, ou plutot l’idée de
nombre
que nous avons aquise par l’usage de la vie. Tous
nt des êtres physiques. C’est peut-être ce qui a doné lieu à un grand
nombre
d’erreurs où les homes sont tombés, faute d’avoir
me nées avec nous. Ainsi il me paroit qu’après qu’on a aquis un grand
nombre
de conoissances particulières dans quelque art ou
r un autre recueil qui a pour titre (…). De plus, nous avons un grand
nombre
d’observations répandues dans Varron (…), dans le
remarqué ailleurs. lucus veut dire etc. Je pourois raporter un grand
nombre
d’exemples pareils : je me contenterai d’observer
raport entre elles. On doit juger de la richesse d’une langue par le
nombre
des pensées qu’elle peut exprimer, et non par le
langue par le nombre des pensées qu’elle peut exprimer, et non par le
nombre
des articulations de la voix. Une langue sera vér
votre méthode — méthode dont je comprends qu’elle déroute un certain
nombre
de savants. Rien n’est plus désagréable au savant
l’hallucination eût été reconnue véridique, quand je tiens compte du
nombre
énorme des faits et surtout de leur ressemblance
ou judiciaire. Mais voilà justement ce qui déconcerte un assez grand
nombre
d’esprits. Sans bien se rendre compte de cette ra
pour être sûr qu’il n’y a pas là un effet du hasard, avoir comparé le
nombre
des « cas vrais » à celui des « cas faux ». Il ne
ns l’abstrait, il faudra en effet que nous comparions in abstracto le
nombre
des cas vrais au nombre des cas faux ; et nous tr
en effet que nous comparions in abstracto le nombre des cas vrais au
nombre
des cas faux ; et nous trouverons peut-être qu’il
ndépendants pour nous les uns des autres : de sorte qu’il faudrait un
nombre
de coïncidences infini pour que le hasard fît de
e conscience qui l’apercevait. Je n’ai que faire de la comparaison du
nombre
des « cas vrais » à celui des « cas faux » ; la s
atique, par l’intermédiaire de la mécanique, embrassait un plus grand
nombre
de phénomènes de la matière. L’habitude d’apporte
un écran : sans qu’elle s’en aperçoive, touchez cette main un certain
nombre
de fois ; priez ensuite la personne de penser et
mbre de fois ; priez ensuite la personne de penser et de prononcer un
nombre
quelconque, à son choix. En général, la réponse s
cer un nombre quelconque, à son choix. En général, la réponse sera le
nombre
même des contacts de la main. Faut-il en conclure
autant sans s’en apercevoir. Au moment où on lui demande de penser un
nombre
, elle en a déjà pensé un très vaguement. Tout au
lus prêt que tout autre à fonctionner quand la question arrive, et le
nombre
choisi en apparence au hasard est, en réalité, dé
n autre intelligent. Beaucoup de physiologistes attribuent un certain
nombre
de folies et d’immoralités au cerveau droit, tand
s réduisions toutes les différences des sociétés à des différences de
nombres
, et toutes les causes de leurs évolutions à des a
chose de contraire à l’égalité. Or n’a-t-on pas démontré que plus le
nombre
des individus qui composent une société grandit,
eur reconnaissant des droits sont différents, et plus se restreint le
nombre
des caractères que nous exigeons d’un individu po
ypes collectifs pour mettre en relief les types individuels, alors le
nombre
même des variétés qu’elle engendre nous empêche d
ement société, ajoute-t-il, que là où les hommes considèrent un grand
nombre
d’objets sous le même aspect. » « La première con
le plus près de l’égalitarisme étaient aussi celles où le plus grand
nombre
de races se rencontrait. Si Athènes, plus que Spa
er, aux règles spéciales, des règles aussi générales que possible. Le
nombre
même des types différents auxquels le Romain deva
producteurs est une cause de variations individuelles. Or combien le
nombre
des variations probables n’augmente-t-il pas si l
ntérieur à l’extérieur, du mental au physique, ou au contraire, comme
nombre
d’observations tendraient à le prouver de l’extér
us le règne de la coutume, c’est-à-dire lorsque nous imitons un petit
nombre
d’individus en tout, nous faisons corps avec la c
elle reparaît sous le règne de la mode, lorsque nous imitons un grand
nombre
d’individus en quelque chose : il n’y a plus dès
s et leur donne. La philosophie emprunte aux autres sciences un grand
nombre
de faits sur lesquels elle réfléchit et qui serve
hologie : décrire les états de conscience et les réduire à un certain
nombre
de types généraux. Mais les phénomènes qu’étudie
, en faire un inventaire exact, les décrire, les réduire à un certain
nombre
de types généraux ; et c’est là l’objet propre de
re méthodique, il faut repartir les états de conscience en un certain
nombre
de classes que nous reprendrons de plus près. San
e. On s’est demandé quelquefois si l’on ne pourrait pas simplifier le
nombre
des facultés, et réduire à une seule les différen
le bien-être, intellectuel aussi bien que physique. De là un certain
nombre
d’inclinations que l’on caractériserait bien par
et des volontés communes : le stoïcisme, le christianisme, ont été au
nombre
des doctrines qui ont surtout répandu l’amour de
s de conception. En dehors de ces facultés simples, il y a un certain
nombre
d’opérations complexes formées par la combinaison
physiologiques soient remplies. Ces conditions physiologiques sont au
nombre
de trois : relation d’un organe sensible avec l’o
i. Examinons donc si l’idée d’extériorité est construite ? Un certain
nombre
de philosophes appartenant à des écoles très diff
si bien attribuée à l’esprit ; on en déduira aussi bien qu’un certain
nombre
d’états subjectifs sont soumis à un déterminisme
n. Nous allons faire voir que l’étendue ne peut être divisée ni en un
nombre
de parties fini, ni en un nombre infini. L’étendu
tendue ne peut être divisée ni en un nombre de parties fini, ni en un
nombre
infini. L’étendue ne peut être divisible en un no
fini, ni en un nombre infini. L’étendue ne peut être divisible en un
nombre
fini de parties. En effet, quelque nombre qu’on a
e peut être divisible en un nombre fini de parties. En effet, quelque
nombre
qu’on ait trouvé de ces parties, chacune d’elles
urra être ainsi indéfiniment divisée. Elle ne peut être divisée en un
nombre
infini de parties. En effet la notion de nombre i
ut être divisée en un nombre infini de parties. En effet la notion de
nombre
infini implique contradiction ; par définition mê
ion de nombre infini implique contradiction ; par définition même, un
nombre
est susceptible d’être augmenté ou diminué indéfi
aractère opposé ; il est fixe. On ne peut l’augmenter ni le diminuer.
Nombre
infini ne signifie donc rien. On parle pourtant d
e n’est là qu’un symbole. On dit qu’un polygone régulier inscrit d’un
nombre
de côtés infini est égal à la circonférence. Cela
égal à la circonférence. Cela signifie seulement qu’en augmentant le
nombre
des côtés d’un polygone, la différence de son pér
s sa différence avec l’unité est faible. Il faut donc admettre que le
nombre
infini n’existant pas réellement, l’étendue ne sa
ni n’existant pas réellement, l’étendue ne saurait être divisée en un
nombre
de parties infini. Mais il est une division possi
is il est une division possible de l’étendue. C’est la division en un
nombre
indéfini de parties. Mais par suite de la définit
ivision en parties indéfinies, on ne pourra à aucun moment compter le
nombre
de ces parties. Or, comme nous avons établi que t
C’est qu’alors ils sont divisibles en parties inétendues. De plus, le
nombre
de ces parties ne sera pas infini : nous avons fa
e nombre de ces parties ne sera pas infini : nous avons fait voir que
nombre
infini impliquait contradiction. Le nombre ne ser
: nous avons fait voir que nombre infini impliquait contradiction. Le
nombre
ne sera pas indéfini : La loi du nombre ne le per
impliquait contradiction. Le nombre ne sera pas indéfini : La loi du
nombre
ne le permet pas. Ce nombre ne pourra donc être q
e nombre ne sera pas indéfini : La loi du nombre ne le permet pas. Ce
nombre
ne pourra donc être que fini. Les corps sont donc
re ne pourra donc être que fini. Les corps sont donc divisibles en un
nombre
fini d’éléments inétendus et distincts. On peut r
éculer sur la nature des corps, reconnaissent qu’ils sont formés d’un
nombre
fini de parties inétendues, que ces sciences nomm
connaissons donc maintenant la nature des corps. Ils sont formés d’un
nombre
fini de forces élémentaires. L’étendue et le mouv
onc simplement cette subsumption et quand il l’a constatée un certain
nombre
de fois, il en tire un jugement de cette forme :
états de conscience se sont accompagnés dans le même ordre un certain
nombre
de fois, l’esprit tend à les reproduire dans cet
cessité. Voyons maintenant le second moment. On observe qu’un certain
nombre
de phénomènes sont précédés d’antécédents invaria
au type suivant : Une succession régulière a été constatée un certain
nombre
de fois. Or, ce qui est constaté un certain nombr
nstatée un certain nombre de fois. Or, ce qui est constaté un certain
nombre
de fois est vrai de tous les cas analogues. La su
re. L’infini — en grandeur — ne l’est pas moins. Un tout composé d’un
nombre
de parties réelles et finies, n’est réel que si l
omposé d’un nombre de parties réelles et finies, n’est réel que si le
nombre
de ces parties est fini. Le temps et l’espace, la
e. — C’est que dans le premier cas, nous comparons au point de vue du
nombre
, les individus désignés par le sujet et par l’att
, sans que l’esprit eût examiné les deux idées qu’il rapproche. De ce
nombre
était, selon lui, le jugement : Je suis. En effet
nt soumis. 4. Spécialité. L’instinct n’est pas capable de produire un
nombre
indéterminé d’actions différentes. Chaque instinc
onde est une place assiégée. La quantité de provisions est finie ; le
nombre
des bouches croît. Les plus solides survivent seu
ntenant à examiner quelles sont les lois de cette faculté. Un certain
nombre
d’études fort importantes ont été publiées sur ce
verses études ressort ce fait : les lois que [sic] l’habitude sont au
nombre
de deux, et s’énoncent ainsi : 1. L’habitude tend
resque continuellement le contraire qui arrive : combien est petit le
nombre
des choses désirées que nous voyons se réaliser,
e, virtuelle, stérile. La théorie d’ailleurs est soumise à un certain
nombre
d’autres critiques fort importantes. Mais celle-l
ire la certitude chez tous les esprits ; et pourtant, il y a un grand
nombre
de propositions qui sont controversées. Les quest
instructifs et peu féconds. Par conséquent il n’y a qu’un très petit
nombre
de jugements qui puissent être l’objet d’une cert
c’est que nous l’y avons mise à tort. Nous nous trompons parce qu’au
nombre
des propriétés qui constituent A, nous nous repré
réhension. » En effet, si les caractères sont nombreux, petit sera le
nombre
des sujets qui les présentent. Réciproquement, s’
t quand une idée a une compréhension infinie, c’est-à-dire exprime un
nombre
infini de caractères, elle ne peut s’appliquer qu
ndividu : il ne peut y en avoir deux qui aient, sans se confondre, un
nombre
infini de caractères communs. Un jugement est un
point de vue de la compréhension on a t > T. Il est évident que le
nombre
des caractères qui définissent Paul est plus gran
e le nombre des caractères qui définissent Paul est plus grand que le
nombre
de caractères qui définissent mortel. Dans ses Le
y aurait alors 64 modes de syllogisme. Mais en appliquant un certain
nombre
de règles générales auxquelles doit se conformer
s venons de parler, étaient selon l’Ecole qui les énonçait en vers au
nombre
de 7. Hamilton en a réduit le nombre à 3 : 1. Tou
cole qui les énonçait en vers au nombre de 7. Hamilton en a réduit le
nombre
à 3 : 1. Tout syllogisme doit avoir trois termes,
s la conclusion, le grand terme ne peut être attribué à un plus grand
nombre
d’individus que n’en contient le moyen terme. Don
du suivant. 4. Le Sorite est un polysyllogisme, argument composé d’un
nombre
indéterminé de propositions liées entre elles, de
e barométrique. 1er Moment. On constate que la cause dans un certain
nombre
de cas est la pesanteur de l’air. Il trouve ainsi
donnés. Le rapport de causalité cherché est déterminé pour un certain
nombre
d’expériences particulières. 2e Moment. Ce rappo
rticulières. 2e Moment. Ce rapport observé seulement dans un certain
nombre
d’expériences, on l’étend à toutes les expérience
vérités de simples conceptions de l’esprit ; on peut compter Bain au
nombre
de ces détracteurs de l’hypothèse. Il est possibl
e : pour construire une courbe, on détermine empiriquement un certain
nombre
de points, le plus possible, et on les joint par
iel. La classification sert à 2 fins : 1. Elle soulage la mémoire. Le
nombre
des phénomènes naturels est infini, et la mémoire
e il y a plusieurs témoins, la valeur du témoignage croîtra avec leur
nombre
. S’il est suffisant, nous pourrons être sûrs que
le droit d’enregistrer les faits avec sécurité, et d’être comptée au
nombre
des sciences. Leçon 54 Du langage Chaque ho
e de signes naturels. Quels que soient ces signes, quel qu’en soit le
nombre
, nous ne pouvons admettre cette hypothèse. Que l’
es Les idées générales sont des idées qui conviennent à un certain
nombre
d’individus, comme les idées du genre et de l’esp
dée d’humanité ? Qu’est-ce que cette idée ? C’est l’idée d’un certain
nombre
de caractères qui sont chez tous les hommes. Pouv
aisirs et les peines, ils ne peuvent agir sur nous que par un certain
nombre
de caractères déterminés. Considérons un plaisir
s. Il croit pouvoir démontrer que le plaisir est en raison directe du
nombre
de gens qu’il oblige de sorte qu’il arrive à reco
la loi morale. Nous sommes maintenant en mesure de définir un certain
nombre
d’idées qui ont un étroit rapport avec les théori
es de la famille entre eux. La famille, c’est la réunion d’un certain
nombre
de personnes ayant une commune origine. Certaines
t évidemment que le soin des intérêts communs soit remis à un certain
nombre
de personnes chargées spécialement de cette fonct
’est là le principe de la division des pouvoirs. Ces pouvoirs sont au
nombre
de trois : législatif, exécutif, judiciaire. Le p
e science, un ensemble d’occupations qui doivent revenir à un certain
nombre
de gens qui en soient spécialement chargés. Le go
ntenant quels sont les devoirs du citoyen envers l’État ? Ils sont au
nombre
de quatre : 1. Obéissance à la loi 2. Impôt 3. Se
une nation marche contre une autre, il suffit que dans une société un
nombre
d’hommes plus ou moins grand se mette en dehors d
iste pourrait seul le dire, mais il est un fait certain, c’est que le
nombre
des crimes n’a pas augmenté par l’abolition des t
isse chacun chercher la vérité comme il l’entend. Refouler un certain
nombre
d’idées, c’est empêcher que la lumière se fasse,
gles locales, provisoires, bonnes pour un certain temps et un certain
nombre
d’individus seulement. Inversement, Kant avait be
té. 1. Preuves par le principe de perfection Ces preuves sont au
nombre
de deux. La première, proposée pour la première f
nous l’idée innée de perfection. Or, nous ne l’avons point admise au
nombre
des idées rationnelles, car elle ne rentre point
les autres. En complétant le principe de causalité par le principe du
nombre
, on peut pressentir que quelque chose doit existe
dehors de phénomènes. Tout ce qui est formé de parties est formé d’un
nombre
fini de parties. Il doit donc y avoir un nombre f
arties est formé d’un nombre fini de parties. Il doit donc y avoir un
nombre
fini d’effets et de causes, la série doit avoir u
ans valeur ; avec les preuves par la causalité, jointe au principe du
nombre
et la finalité, nous avons vu que l’absolu devait
te. Combien de temps faudrait-il attendre ? Si on voulait calculer le
nombre
d’années probable, on trouverait que ce nombre es
on voulait calculer le nombre d’années probable, on trouverait que ce
nombre
est tellement grand que pour écrire seulement le
verait que ce nombre est tellement grand que pour écrire seulement le
nombre
de ses chiffres, il faudrait encore une dizaine d
bout d’une fraction de seconde, elle redevient vraie et cela pour un
nombre
incalculable de siècles. Et puisque J’ai prononcé
différents » ? Si quelqu’une des circonstances peut s’exprimer par un
nombre
, et que ce nombre ait dans les deux cas des valeu
quelqu’une des circonstances peut s’exprimer par un nombre, et que ce
nombre
ait dans les deux cas des valeurs très voisines,
nts qu’on croyait bien établis ont été abandonnés, mais le plus grand
nombre
subsiste et paraît devoir subsister. Et pour ceux
plètent une harmonie inachevée, ou parce qu’ils font prévoir un grand
nombre
d’autres faits. S’ils ont tort, si cette hiérarch
Lorsque M. de Tocqueville aborda la science politique, un très-grand
nombre
d’écoles ou plutôt de partis contraires et hostil
Lois. Cependant il faut avouer que, dans le livre de Montesquieu, le
nombre
des faits et la masse des matériaux nuisent un pe
nérale et constante de ce gouvernement est le bien-être du plus grand
nombre
. Les lois sont faites par ceux-là mêmes qui doive
s, les dépenses inutiles, une résultante favorable au bien public. Au
nombre
de ces biens chaque jour répandus sur un plus gra
public. Au nombre de ces biens chaque jour répandus sur un plus grand
nombre
d’individus, il faut mettre au premier rang le dé
nts et aux vices de ces institutions, Tocqueville en signale un grand
nombre
, tels que l’instabilité des lois, l’infériorité d
nt plus que des individus égaux, la seule force décisive est celle du
nombre
. La majorité y est donc toute-puissante et par co
qu’ils épousent ses passions : « garantis par l’opinion du plus grand
nombre
et forts de son concours, ils osent alors des cho
me exempt de passions, mais une collection d’hommes est composée d’un
nombre
certain de caractères de tous les genres qui donn
e proportion fixe, quand les observations sont le résultat d’un grand
nombre
de chances. C’est ce qui doit conduire à penser q
onstitution se fonde toujours sur des données fixes, puisque le grand
nombre
en tout genre amène des résultats toujours sembla
us les moyens qui tendent à rendre l’empire à la raison, diminuent le
nombre
nécessaire des sacrifices de liberté. — J’ai à pe
port au caractère d’un homme, tandis que dans la réunion d’un certain
nombre
, les résultats sont toujours pareils. L’organisat
se développe cependant que par la combinaison des sociétés ; le même
nombre
d’hommes divisé, séparé, sans mobile et sans but,
ce qui peut conduire à la démocratie ? Supposez d’abord un très petit
nombre
d’hommes extraits d’une nation immense, une élect
s ont choisis ; ouvre la carrière à tous, mais n’y amène que le petit
nombre
. L’avantage de l’aristocratie de naissance, c’est
s ? comment ne finirait-elle pas par être reconnue ? Les preuves sans
nombre
, qui s’échappent d’elle de toutes parts, doivent
qu’on a su, tout ce qu’on vous a dit de la mauvaise nature d’un grand
nombre
d’hommes, s’est classé dans votre tête comme l’hi
essaire aux enfants qu’à l’âge mûr ; dès maintenant il y a un certain
nombre
d’hommes positifs pour lesquels l’art est un véri
tout de la poésie, l’art qui semble le plus abaissé depuis un certain
nombre
d’années. Ces trois problèmes dont nous venons de
ore pardonné aux Français d’avoir enlevé, dans les musées, un certain
nombre
d’œuvres d’art. Si de nos jours, sous l’influence
i est humain. S’il n’y avait pour embellir l’univers que le poids, le
nombre
et la mesure, il nous laisserait presque indiffér
a la même origine que l’esprit de vengeance, renferme aussi un grand
nombre
d’éléments où se retrouve comme une moralité dévi
t avec raison M. Spencer, « qu’elle exerce efficacement le plus grand
nombre
des éléments nerveux intéressés à la perception,
nerveux intéressés à la perception, et ne surcharge que le plus petit
nombre
possible de ces éléments12 ». Les mêmes considéra
s bien plus étendue et exerce ainsi successivement un bien plus grand
nombre
d’appareils auditifs. Suivant M. Grant Allen, les
acquièrent une nouvelle profondeur par les associations d’idées sans
nombre
dont elles sont devenues le centre. Autour d’elle
portance alors qu’à des boutades, paraîtraient aujourd’hui à un grand
nombre
de savants et de penseurs l’expression exacte d’u
poésie et les arts disparaîtront par degrés s’appuient sur un certain
nombre
de faits : les uns sont empruntés à la physiologi
e, comme la physiologie, a fourni contre l’avenir de l’art un certain
nombre
d’arguments spécieux. Le développement de tel ou
er sans cesse ; d’autre part, l’harmonie a encore des ressources sans
nombre
. Le critique anglais lord Mount Edgaunbe reprocha
ques et physiologiques du génie chez l’artiste ? peut-elle réduire le
nombre
de ses circonvolutions cérébrales ou diminuer le
la beauté du mouvement, une sorte de beauté plastique. Mais un grand
nombre
des machines de l’industrie possèdent déjà au plu
titude d’idées qui la pressent et la soutiennent de leurs replis sans
nombre
, comme ces lianes inextricables qui courent dans
sentiments humains, a subi avec les siècles des transformations sans
nombre
. Il est surtout sensuel dans l’antiquité, même da
dans le cerveau de l’autre, elle pourra susciter des vibrations sans
nombre
, elle s’achèvera en des sentiments, en des pensée
rs. Cette science a été l’objet, depuis quelques années, d’un certain
nombre
de travaux. Outre quelques pages très suggestives
aujourd’hui, la prose est la langue triomphante auprès du plus grand
nombre
; ne sera-t-elle pas, ou à peu près, le seul lang
s’échauffant, introduit par degrés dans son discours la mesure et le
nombre
qui manquaient au début : plus sa pensée devient
gne toujours d’un plaisir plus mathématique et intellectuel, celui du
nombre
: rythmer, c’est compter instinctivement. Leibniz
ctivement. Leibniz disait que l’oreille fait le calcul inconscient du
nombre
des vibrations musicales ; musica exercitium a
s ; musica exercitium arithmeticæ ; tout au moins sentons-nous le
nombre
de temps qui constitue le rythme, et les rythmes
mps qui constitue le rythme, et les rythmes qui se résolvent dans des
nombres
pairs ont quelque chose de plus pondéré, de plus
e, de plus pleinement harmonieux pour l’oreille que ceux qui vont par
nombre
impair. Aussi le vers magistral et typique des gr
ral et typique des grands peuples poétique doit être rythmé selon des
nombres
pairs ; tels ont été le vers sanscrit et l’hexamè
ndrin français. Après avoir posé ces lois générales du rythme et du
nombre
, qui s’appliquent à presque tous les systèmes mét
re : « Nicole, apportez-moi mon bonnet de nuit. » Il y avait, dans le
nombre
et la cadence constante des langues antiques, un
énérales que la nôtre ; bien plus, l’hexamètre était régi par le même
nombre
que notre alexandrin (la somme de ses syllabes va
e double et la lyre à sept ou dix-huit cordes. Maintenant pourquoi le
nombre
douze, qui régit l’alexandrin, est-il celui qui s
ntes : 1º Toute succession de syllabes, surtout lorsqu’elle excède le
nombre
huit, ne peut être dénombrée facilement par l’ore
res égaux, ce qui est l’idéal, soit en deux parties inégales dont les
nombres
offrent des rapports simples et soient divisibles
rose ils se succèdent irrégulièrement, dans le vers ils reviennent en
nombre
égal et à temps égaux : le vers, même considéré i
ue de tout le monde ; mais on sait combien, dans le langage usuel, le
nombre
des rimes riches est limité. V. Hugo, Th. Gautier
suffirait-il pas d’ouvrir un livre de prose pour y trouver un certain
nombre
de bouts de phrases analogues, offrant par hasard
, les accords résultent, comme on sait, de rapports simples entre les
nombres
des vibrations. Il en est ainsi dans le vers, qui
supérieur au vers de Boileau, parce qu’il renferme deux harmonies de
nombres
au lieu d’une seule, et concentre, pour ainsi dir
dant la plus grande complexité rythmique sans avoir perdu rien de son
nombre
ni de sa mesure. On a dit que l’avenir de la musi
par la césure en deux parties inégales si, dans ces deux parties, les
nombres
des syllabes offrent des rapports simples et sont
est pas choquée, parce qu’elle saisit sans effort le rapport des deux
nombres
pairs. Au contraire, au lieu des nombres 4 et 6,
s effort le rapport des deux nombres pairs. Au contraire, au lieu des
nombres
4 et 6, mettez 3 et 7, ou, en supprimant une syll
remontent vers leur lit de roses. (André Lefèvre.) Quoique ces deux
nombres
offrent entre eux une proportion satisfaisante, i
Le vers de quatorze pieds est un alexandrin alourdi, et cependant le
nombre
impair des pieds dans chaque hémistiche lui donne
Comme les poètes contemporains ont tenté de briser le rythme et le
nombre
du vers français, ils ont voulu réformer les lois
Nous avons vu que le vers est constitue avant tout par le rythme, le
nombre
et la mesure : il est la pensée à la fois pleine
oujours à faire un vers quand on resserre trop sa pensée ? La loi des
nombres
gouverne donc les sentiments et les images, et ce
ges, et ce qui paraît être l’extérieur est le dedans. » Si la loi des
nombres
est le dedans de la prose même, à plus forte rais
et blanche. On pourrait trouver dans Victor Hugo et dans La Fontaine
nombre
d’exemples de ce genre avec des rimes masculines
u du poète, à l’épuiser, à le vider par un procédé tout mécanique. Le
nombre
des idées, en effet, se trouve diminué par cela s
es idées, en effet, se trouve diminué par cela seul qu’est diminué le
nombre
des mots ; il y a relativement peu de mots aux ri
que Racine même a de trop grandes libertés, qu’il faut restreindre le
nombre
de mots rimant ensemble et par là restreindre la
é du poète, la même rime ne peut en général s’adapter qu’à un certain
nombre
de pensées similaires. Aussi les poètes modernes,
d on considère les masses ou ce que la statistique appelle les grands
nombres
. 23. Les types mêmes de la beauté varient d’un s
gesse Qui, du sobre Épicure, fit un demi-dieu. Toute musique et tout
nombre
ont disparu. La rime, au lieu de charmer l’oreill
ong, mais fort souvent plus long que le vers classique ; dans le même
nombre
de pieds, il fait tenir plus d’idées et plus de m
me classique de l’alexandrin (6 et 6), qui présente à l’oreille deux
nombres
égaux, la forme 8 et 4 (ou 4 et 8) est la meilleu
la forme 8 et 4 (ou 4 et 8) est la meilleure, parce qu’elle offre un
nombre
double de l’autre. La forme dix et deux peut enco
me dix et deux peut encore se soutenir ; mais, comme les rapports des
nombres
sont plus complexes, elle est plus lourde et se r
diane Dans les sommeils — du genre humain (V. Hugo). Le rapport des
nombres
est alors d’une simplicité parfaite : 4 et 4. D’a
gence le saisit facilement parce qu’il s’agit ici de deux très petits
nombres
, et une simple variété est introduite au sein d’u
auxquelles l’esprit tient à bon droit : la différence fondamentale du
nombre
et du genre doit donc être respectée dans la rime
que, d’hommes célèbres par leurs connaissances et leur sagesse. De ce
nombre
fut Solon d’Athènes. Après avoir donné des lois a
leusis, après avoir déployé une rare valeur, et mis en fuite un grand
nombre
d’ennemis, il périt glorieusement. Athènes lui fi
. Celui qui, dans le cours de la vie, se maintient avec le plus grand
nombre
de ces avantages, et arrive au terme sans les avo
accompagnés d’une troupe choisie de jeunes gens, et suivis d’un grand
nombre
de chiens. Ils arrivent au mont Olympe, et l’on s
ien fait que je n’eusse le droit de faire. Les enfants du village, du
nombre
desquels est celui-ci, m’ont, dans leurs jeux, ch
es apprête pour sa table. Quand, à l’heure du souper, les invités, au
nombre
desquels était Harpagus, furent placés, le roi se
ent : ce sont les Pasargades, les Marophiens et les Maspiens. Dans ce
nombre
, les Pasargades sont les plus nobles, et c’est pa
me refusez, les peines que vous avez endurées hier, et d’autres sans
nombre
, seront votre partage : laissez-vous donc persuad
it de lui, se détermina à tenter de la satisfaire. Il prit un certain
nombre
d’ânes, sur chacun desquels il plaça une outre re
i ont pris le surnom d’immortels. Les Trauses ont, dans le plus grand
nombre
de leurs institutions, beaucoup de rapport avec c
r dans leur appartement. Il fit en même temps habiller comme elles un
nombre
égal de jeunes gens encore imberbes, après leur a
fit partir un homme à cheval pour les reconnaître et observer en quel
nombre
ils étaient et ce qu’ils faisaient. Il avait déjà
e. Ce spectacle le frappa d’étonnement, et après avoir compté en quel
nombre
ils étaient et tout examiné avec soin, il revint
, mais ne voulaient perdre la vie qu’après l’avoir ôtée au plus grand
nombre
possible d’ennemis, et ne vit que de l’absurdité
sort. En combattant dans un défilé très-étroit, où la supériorité du
nombre
ne pouvait leur servir, ils avaient encore le dés
, faisaient tête, et, renouvelant le combat, jetaient sur la place un
nombre
infini de Perses. Les Spartiates n’éprouvèrent qu
s tant d’attaques, les barbares, persuadés que les Grecs, en si petit
nombre
, devaient nécessairement être tous blessés et hor
vinrent aux mains avec les barbares au-delà du rétrécissement, et un
nombre
infini d’ennemis trouvèrent la mort dans ce comba
s, tombèrent dans la mer et s’y noyèrent ; d’autres, et en plus grand
nombre
encore, furent, sans qu’on y fît aucune attention
ès-grands hommes depuis la renaissance des lettres ; mais si le grand
nombre
, si le corps de la nation est devenu plus éclairé
ion est devenu plus éclairé et plus sensé : car le privilège du petit
nombre
de grandes têtes consiste à ne pas ressembler à l
si la musique, et qu’elle est particulièrement enseignée à un certain
nombre
de pauvres écoliers qui, par une fondation partic
l’autre. Dans les universités, chaque étudiant choisit l’objet et le
nombre
des cours qu’il veut suivre, et que les professeu
ue science plus frappants et plus sensibles. On conçoit qu’un certain
nombre
de livres élémentaires, faits avec clarté et avec
’une éducation libérale. A mesure que les peuples se civiliseront, le
nombre
des langues essentielles augmentera ; car ce qu’i
e la ressource de la confusion des langues. C’est-à-dire que le grand
nombre
des nations savantes et policées obligea les homm
ons plus difficiles à aborder, telles que celles qui se rapportent au
nombre
des dimensions. Toutes les géométries que j’envis
ée, mais ce serait toujours une prison. Ce continu possède un certain
nombre
de propriétés, exemptes de toute idée de mesure.
du continu mathématique. Celui-ci est une échelle dont les échelons (
nombres
commensurables ou incommensurables) sont en nombr
ont les échelons (nombres commensurables ou incommensurables) sont en
nombre
infini, mais sont extérieurs les uns aux autres,
es. Jusqu’à présent toutefois nous n’avons pas introduit la notion du
nombre
des dimensions. Que voulons-nous dire quand nous
diviser un continu, il suffit de considérer comme coupures un certain
nombre
d’éléments tous discernables les uns des autres,
s, nous apprend à faire des distinctions parmi les continus d’un même
nombre
de dimensions et que la classification de ces con
ue à une dimension comportait une échelle unique dont les échelons en
nombre
infini correspondaient aux diverses valeurs comme
gle que j’ai exposée plus haut et par laquelle on peut reconnaître le
nombre
de ses dimensions, nous devons nous appuyer sur c
e fait se produit, il tient à la rencontre accidentelle d’un si grand
nombre
de conditions favorables qu’il ne se répétera sûr
science positive elle-même, qui l’a acceptée du sens commun malgré le
nombre
restreint et le caractère discutable des faits in
n’aient pas à en tenir compte. Certes, il n’a été donné qu’à un petit
nombre
de creuser d’abord sous l’acquis, puis sous la na
e. Étudiez l’histoire des grandes nations modernes : vous y trouverez
nombre
de grands savants, de grands artistes, de grands
Au lieu de lui fournir des instruments, comme elle l’a fait pour bon
nombre
d’espèces animales, elle a préféré qu’il les cons
toire. Quand on considère la futilité des motifs qui provoquèrent bon
nombre
d’entre elles, on pense aux duellistes de Marion
les, pour lesquelles l’instinct guerrier semble avoir été fait. De ce
nombre
sont les guerres d’aujourd’hui. On cherche de moi
oit qu’il ne vaudrait plus la peine de vivre. Plus de délégation à un
nombre
restreint de soldats chargés de représenter la na
ne société et dont le développement se répartit nécessairement sur un
nombre
plus ou moins considérable de générations. Une in
y avait eu frénésie. On dira que cet ascétisme fut le fait d’un petit
nombre
, et l’on aura raison. Mais de même que le mystici
ïque et cynique : l’une voulait qu’on demandât à la vie le plus grand
nombre
possible de satisfactions, l’autre qu’on apprît à
la seule réforme de notre alimentation aurait des répercussions sans
nombre
sur notre industrie, notre commerce, notre agricu
is pauvre, prise comme note fondamentale, l’humanité a fait surgir un
nombre
sans cesse croissant d’harmoniques ; elle en a ti
ns nouveaux ; il ne s’est pas assez préoccupé d’assurer au plus grand
nombre
, à tous si c’était possible, la satisfaction des
sens artistique. Mais si la machine procure à l’ouvrier un plus grand
nombre
d’heures de repos, et si l’ouvrier emploie ce sup
est pas douteux. L’un et l’autre seront toujours l’apanage d’un petit
nombre
. Mais que le mysticisme vrai, complet, agissant,
t de laquelle étaient le bien-être exagéré et le luxe pour un certain
nombre
, plutôt que la libération pour tous. Nous sommes
Deux solutions contraires ont été données à ce problème. I Pour
nombre
de penseurs, qui se recrutent, d’ailleurs, dans d
insi des valeurs esthétiques qui sont lettre morte pour le plus grand
nombre
. Pour ce qui concerne les valeurs économiques, la
des réactions individuelles. Parce qu’un état se trouve dans un grand
nombre
de sujets, il n’est pas, pour cela, objectif. De
. Entre ces deux propositions : J’aime ceci et Nous sommes un certain
nombre
à aimer ceci, il n’y a pas de différence essentie
t exprime leur nature. Or ce postulat est contraire aux faits. Il y a
nombre
de cas où il n’existe, pour ainsi dire, aucun rap
iétés contemporaines. Or, suivant qu’il est plus ou moins intense, le
nombre
des attentats Contre la personne est plus ou moin
des attentats Contre la personne est plus ou moins élevé. De même, le
nombre
des adultères, des divorces, des séparations de c
nts de valeur sont possibles, il ne suffit pas de postuler un certain
nombre
d’idéaux ; il faut en rendre compte, il faut fair
x, comme disait Bacon50, qui, par eux-mêmes et indépendamment de leur
nombre
, ont une valeur et un intérêt scientifiques. Il e
entifique en substituant à la multiplicité indéfinie des individus un
nombre
restreint de types. Mais elle perd cet avantage s
ire complet de tous les caractères individuels, mais d’après un petit
nombre
d’entre eux, soigneusement choisis. Dans ces cond
la nature de toute résultante dépend nécessairement de la nature, du
nombre
des éléments composants et de leur mode de combin
égulateur, en vue de certaines fins d’intérêt public53. » Mais il y a
nombre
de peuples qui satisfont à cette condition. Il en
sultent ne peuvent, à leur tour, se composer entre eux que suivant un
nombre
de modes limité, surtout quand les éléments compo
obtenaient les disciples de la philosophie, en augmentaient encore le
nombre
. Ce qui contribue à nous donner une idée prodigie
’est pas néanmoins d’après cette règle qu’il faut les juger. Le petit
nombre
d’hommes éclairés qu’offrait la Grèce à l’admirat
quité ont combattu quelques erreurs ; mais ils en ont adopté un grand
nombre
. Lorsque les croyances les plus absurdes sont éta
dans l’intérêt personnel. Les philosophes grecs étaient en très petit
nombre
, et des travaux antérieurs à leur siècle ne leur
al dans les orateurs grecs, c’est qu’ils ne se servent que d’un petit
nombre
d’idées principales, soit qu’on ne puisse frapper
idemantel, Plank, Wiegand. Le 17, soirée à Wahnfried ; un assez grand
nombre
de nos compatriotes y figuraient ; M. Scheidemant
sible. Il ne faut pas oublier que cette année Tristan a été monté. Le
nombre
des places vendues est de 16, 000 ; l’Association
Les représentations de Munich Quittant Bayreuth le plus grand
nombre
des Français a été directement à Munich, où les r
lus facile ; et puis c’est à Munich que nous retrouvons le plus grand
nombre
des artistes bayreuthiens, le capellmeister Levi
des instruments est celle de Parsifal ; il ne faut pas oublier que le
nombre
des instruments à vent était plus considérable po
, Beethoven seul les a créés. Il méritait d’être compris par un petit
nombre
, un petit nombre, à lui dédiant leurs âmes, très
les a créés. Il méritait d’être compris par un petit nombre, un petit
nombre
, à lui dédiant leurs âmes, très humblement. Aujou
rofondeur d’analyse jusque là insoupçonnée : avec cela, un très petit
nombre
d’émotions, les mêmes sans cesse traduites, et pa
otionnelle qu’il eut seul. Les instruments furent perfectionnés, leur
nombre
multiplié. Mais les romantiques ne surent point m
Richard Wagner. Je pourrais ajouter, conclut M. Dowdeswell, un grand
nombre
de faits pour Montrer que le titre de « Prophète
ne symphonie, inédits je crois, de Georges Bizet, exécutée il y a bon
nombre
d’années chez Pasdeloup, où le compositeur a intr
ts Sommaire. I. Les sensations totales de la vue. — Le spectre. —
Nombre
infini des sensations totales de couleur. — Il y
ts dans les unes comme dans les autres. — Expérience de Wheatstone. —
Nombre
énorme des éléments successifs qui composent une
onde est composée au moins d’un million de sensations successives. Le
nombre
n’a pu en être fixé ; il est probablement beaucou
, et toutes leurs espèces. — Considérons d’abord l’odorat87. Un grand
nombre
de sensations dites d’odeur en renferment d’autre
celles de la violette et de l’assa fœtida par exemple ; il y en a un
nombre
infini desquelles on ne peut rien dire, sinon qu’
s différentes sensations de saveur proprement dite90. « Un très grand
nombre
de corps, et particulièrement les sels, présenten
l’autre, il s’agit de mouvements dont la petitesse, la vitesse et le
nombre
sont tout à fait disproportionnés aux grandeurs o
brales semblables et deux sensations élémentaires semblables. Mais le
nombre
de ces sensations, de ces actions et de ces systè
e contact. — Au contraire, lorsque les éléments nerveux sont en grand
nombre
, c’est-à-dire lorsqu’un large morceau de peau sub
fit pour cela que les petites sensations composantes diffèrent par le
nombre
, la grandeur, l’ordre ou la durée ; leurs totaux
, isolées, peuvent encore être aperçues par la conscience, et dont le
nombre
est égal à celui des ébranlements aériens divisé
même nature et qui diffèrent seulement par la grandeur, l’ordre et le
nombre
de leurs éléments, apparaissent à la conscience c
s des mêmes éléments, ne diffèrent que par la grandeur, l’ordre et le
nombre
de leurs éléments. Nous concluons de même à l’end
otaux composés des mêmes éléments, sans autre différence que celle du
nombre
, de l’ordre et de la grandeur de ces éléments, et
tes sur l’Ancien-Régime Note 1livre premier, chapitre II, ISur le
nombre
des ecclésiastiques et des nobles. On a obtenu
ue nominatif des gentilshommes en 1789, par Laroque et Barthélemy, le
nombre
des nobles qui ont voté, directement ou par procu
Lyonnais, Forez, Beaujolais, Touraine, Normandie, Ile-de-France ; ce
nombre
est de 9 167 D’après le recensement de 1790 donn
nsement de 1790 donné par Arthur Young dans ses Voyages en France, le
nombre
des habitants de ces provinces est de 7 757 000,
s donc pas qu’on se trompe beaucoup en évaluant à 26 000 ou 28 000 le
nombre
des familles nobles, ce qui, à raison de 5 person
12 sous de nourriture pour la corvée de voiture à 4 bœufs. « Dans le
nombre
des corvéables, il s’en trouve la plus grande par
a 12e. » Le seigneur de Blet ne perçoit le terrage que sur un certain
nombre
de terres de sa seigneurie ; « par rapport aux Br
erent entre eux que par les idées accessoires des personnes & des
nombres
; voyez Personne & Nombre . Dans tous, l’idée
es accessoires des personnes & des nombres ; voyez Personne &
Nombre
. Dans tous, l’idée principale est celle de l’act
e different entre eux que par les idées accessoires des cas & des
nombres
. Voyez Cas & Nombre . De cette différence d’i
par les idées accessoires des cas & des nombres. Voyez Cas &
Nombre
. De cette différence d’idées accessoires naissen
difiée par différens rapports à l’ordre de l’énonciation, rapports de
nombres
, rapports de tems, rapports de personnes : cantat
elles : l’étude de cette langue se réduiroit alors à celle d’un petit
nombre
de radicaux, des lois de la formation, & des
est d’autant plus probable, que juvenis est effectivement relatif au
nombre
des années ; & que tout homme parvenu à cet â
cipat. Il faut observer, 5°. que les primitifs n’ont pas tous le même
nombre
de dérivés, parce que toutes les idées primitives
outes les idées primitives ne sont pas également susceptibles du même
nombre
d’idées modificatives ; on que l’usage n’a pas ét
nombre d’idées modificatives ; on que l’usage n’a pas établi le même
nombre
d’inflexions pour les exprimer. D’ailleurs un mêm
a connoissance d’une seule racine donne sur le champ celle d’un grand
nombre
de mots. Posons d’abord quelques principes usuels
celle en acitas marque ce penchant même. On pourroit ajoûter un grand
nombre
d’autres principes semblables ; mais ceux-ci sont
non, pour exprimer ces combinaisons. C’est par-là que l’on fixera le
nombre
des futurs en grec, en hébreu, en allemand, &
nce de genre avec le sujet elles, n’a aucun égard à la concordance de
nombre
, pour éviter un contre-sens qui en seroit la suit
jet de dire ; c’est ici une raison de briéveté. Il est incroyable le
nombre
de vaisseaux qui partirent pour cette expédition
la construction ordinaire ne pourroit y mettre. On auroit pu dire, le
nombre
de vaisseaux qui partirent pour cette expédition
e s’y trouver que pour fixer davantage l’attention de l’esprit sur le
nombre
des vaisseaux, & pour en exagérer en quelque
er tous les gallicismes ne seroit pas sans de grandes difficultés. Le
nombre
en est prodigieux, & plusieurs habiles gens o
par-là plus générales, plus vagues & applicables à un plus grand
nombre
d’individus ; les noms plus ou moins génériques q
par la raison du sexe, d’autres à cause de leur terminaison, un grand
nombre
par pur caprice ; & ce dernier principe de dé
la corrélation des uns & des autres. Ainsi les adjectifs ont des
nombres
& des cas comme les noms, & sont comm’eux
expriment des animaux ou des êtres inanimés, il y en a un très-grand
nombre
qui sont d’un genre déterminé : entre les noms de
mp; des adjectifs ; & quand il seroit vrai que la concordance des
nombres
& celle des cas, dans les langues qui en adme
meilleure ; elle n’a l’embarras d’aucune terminaison : ni genres, ni
nombres
, ni cas, ne viennent arrêter par des difficultés
nstitution. « En féminisant nos adjectifs, nous augmentons encore le
nombre
de nos e muets ». C’est une pure maladresse. Ne
arbitraires des langues de les fixer : de-là les genres, les cas, les
nombres
, les personnes, les tems, les modes (voyez Accide
ité des accidens communs à plusieurs mots, comme sont les genres, les
nombres
, les cas, &c. Les regles que la syntaxe presc
iqu’elles puissent plus difficilement être mises à la portée du grand
nombre
. Voyez Ponctuation . Tel est l’ordre que nous met
i traitent des élémens de la langue latine, l’hellénisme y est mis au
nombre
des figures de construction propres à cette langu
cette contradiction a paru assez peu offensante aux Grecs, puisque le
nombre
des voyelles non élidées dans leurs vers est peut
ται ὅν κεν ἵκωμαι. Cette premiere observation diminue de beaucoup le
nombre
apparent des voyelles non élidées. Une seconde qu
qui condamne l’hiatus & qui en laisse pourtant subsister un grand
nombre
dans toutes les langues, j’ai cru néanmoins pouvo
’une analyse exacte & approfondie ramene sans embarras à un petit
nombre
de principes également solides, lumineux & fé
8. On peut demander ici comment il est possible de concilier ce petit
nombre
de mots avec la quantité prodigieuse des caracter
sparoître des livres des anciens, ou s’y cantonner dans un très-petit
nombre
de passages, où il sera peut-être difficile de ne
inséparable des longueurs superflues. S’il est facile de ramener à un
nombre
fixe de chefs principaux les écarts qui détermine
sceptible. Les noms qui en grec, en latin, en allemand, reçoivent des
nombres
& des cas, ne reçoivent que des nombres en fr
n allemand, reçoivent des nombres & des cas, ne reçoivent que des
nombres
en françois, en italien, en espagnol & en ang
r caprice. Que les noms ayent en grec, en latin & en allemand des
nombres
& des cas, & que dans nos langues analogu
& que dans nos langues analogues de l’Europe ils n’ayent que des
nombres
, c’est génie ; mais qu’en latin, par exemple, où
indéfinis partitifs : le troisieme article indéfini sert à marquer le
nombre
des choses, & c’est pour cela que je le nomme
e, certain, ce, mon, ton, son, un, deux, trois, & tous les autres
nombres
cardinaux ; car tous ces mots servent à faire pre
es cas par une infinité d’exemples : Sanctius en a recueilli un grand
nombre
que l’on peut consulter (Minerv. III. vj.) Je me
croire, & à s’en écarter, on risque au moins de choquer le grand
nombre
. (B. E. R. M.) INTERJECTION INTERJECTION
duire dans la langue françoise, en faveur de la poësie, un plus grand
nombre
d’inversions qu’il n’y en a. « Notre langue, dit
rtains cas, quelques parties de la difficulté ». Vous ajoutez que le
nombre
& l’harmonie dérangent souvent la constructio
que je pourrois y faire, par la manie que vous avez d’en conserver le
nombre
& l’harmonie. Laissez ce soin à mon maître de
sur ce qu’il a fallu de tems & de connoissances pour trouver les
nombres
qui supposent les méditations philosophiques les
s analogies sont purement matérielles, & consistent dans un grand
nombre
de racines communes aux deux langues. Mais d’autr
’empire romain à Bysance attira dans cette nouvelle capitale un grand
nombre
de familles ambitieuses, & insensiblement les
ivement & y établirent leur domination, diminuerent sans cesse le
nombre
des naturels ; & le despotisme de la plûpart
la Condamine dans sa relation de la riviere des Amazones, à un grand
nombre
de nations d’Amérique, dont le langage est d’aill
mp; la françoise à l’égard du latin. Si nous tenons du latin un grand
nombre
de mots, nous n’en tenons pas notre syntaxe, notr
er, comme il conviendroit en effet, n’augmenteroient pas davantage le
nombre
de nos voyelles : tout le monde connoît les notes
eté ou la longueur. Voyez Breve . Si nous voulons maintenant fixer le
nombre
& l’ordre des articulations usitées dans notr
& d’uro. Notre verbe françois trembler, dérivé de tremere, &
nombre
, dérivé de numerus, présentent le même méchanisme
ançois aile, &c. Il seroit superflu d’accumuler ici un plus grand
nombre
d’exemples : on n’a qu’à ouvrir les Dictionnaires
eu, ou à la fin des mots ; mais il se fait aussi soustraction dans le
nombre
des syllabes, sans diminution au nombre des lettr
it aussi soustraction dans le nombre des syllabes, sans diminution au
nombre
des lettres, lorsque deux voyelles qui se prononç
ue, qui se réduisent à-peu-près à la distinction des genres & des
nombres
pour les noms, les pronoms, & les adjectifs,
s : prodis est à la seconde personne du singulier, pour s’accorder en
nombre
& en personne avec son sujet naturel, mi Spur
me . Mi est au vocatif singulier masculin, pour s’accorder en cas, en
nombre
& en genre avec le nom propre Spuri, auquel i
a seconde personne du singulier, pour s’accorder en personne & en
nombre
avec son sujet naturel mi Spuri. Quotiescumque f
uction analytique : tibi est au singulier masculin pour s’accorder en
nombre
& en genre avec son co-relatif Spurius. Voyez
a, um, adj. de la premiere déclinaison, pour s’accorder en genre, en
nombre
& en cas avec le nom virtutum, auquel il a un
: veniat est à la troisieme personne du singulier, pour s’accorder en
nombre
& en personne avec son sujet grammatical sous
Hunc est à l’accusatif singulier masculin pour s’accorder en cas, en
nombre
& en genre avec le nom finem, auquel il a un
la seconde personne du singulier pour s’accorder en personne & en
nombre
avec son sujet grammatical Spuri : dic est à l’im
especes subalternes. Mais il faut en écarter les idées de genres, de
nombres
, de cas, de déclinaisons, des personnes, de modes
ême des tems du verbe, considérés avec abstraction des personnes, des
nombres
& des modes ; ce sont des variations qui sort
le lieu de traiter des accidens des mots déclinables, les genres, les
nombres
, les cas pour certaines langues, & tout ce qu
i se revêtent de ces formes, ainsi que de celles des genres & des
nombres
, par la loi de concordance ; 2°. par rapport aux
’application sur du latin ; l’accoutumer à y reconnoître les cas, les
nombres
, les genres, à remonter d’un cas oblique qui se p
quoiqu’il faille encore s’attacher à y réduire la matiere au moindre
nombre
de cas, & aux cas les plus généraux qu’il ser
rent quelques cas extraordinaires ; & je réponds hardiment que le
nombre
de ceux que l’analyse ne peut expliquer est très
prouverois pas que l’on cherchât à mettre dans la tête des enfans bon
nombre
de mots latins, & par conséquent les idées qu
x verbes & aux autres especes de mots déclinables ; tels sont les
nombres
, les cas, les genres & les personnes, qui var
nom qui exprime le sujet déterminé auquel on applique le verbe. Voyez
Nombre
, Cas, Genre, Personne, Concordance, Identité Il
emand, le participe reçoit des terminaisons relatives aux genres, aux
nombres
& aux cas, au moyen desquelles il se met en c
st si peu connue des Grammairiens, qu’ils ne s’accordent point sur le
nombre
de ceux qu’il faut reconnoître dans une langue, c
mes tems. Il. Pour ce qui concerne les débats des Grammairiens sur le
nombre
des modes ; j’avoue que je ne conçois pas par que
je désignerois par le titre d’énonciatifs. Ceux-ci sont en plus grand
nombre
, ne sont que peu ou point naturels, & doivent
de la déclinabilité des mots, sont ce qu’on appelle en Grammaire, les
nombres
, les cas, les genres, les personnes, les tems, &a
es cas, les genres, les personnes, les tems, & les modes. 1°. Les
nombres
sont des variations qui désignent les différentes
res sont des variations qui désignent les différentes quotités. Voyez
Nombre
. C’est celle qui est la plus universellement ado
rme par la différence même des lois qui reglent par-tout l’emploi des
nombres
relativement à la diversité des especes. A l’égar
qui existe dans l’esprit de celui qui parle, qui reglent le choix des
nombres
. C’est tout autre chose des adjectifs & des v
i compulsi ; les quatre noms rivum, lupus, agnus, & siti, sont au
nombre
singulier, parce que l’auteur ne vouloit & ne
me besoin de boire. Mais c’est par imitation & pour s’accorder en
nombre
avec le nom rivum, que l’adjectif eumdem est au s
rbe venerant & l’adjectif-verbe ou le participe compulsi, sont au
nombre
pluriel ; chacun de ces mots s’accorde ainsi en n
pulsi, sont au nombre pluriel ; chacun de ces mots s’accorde ainsi en
nombre
avec la collection des deux noms singuliers, lupu
rit de celui qui parle : mais quand on se décide par soi-même pour le
nombre
singulier ou pour le nombre pluriel, on ne peut a
s quand on se décide par soi-même pour le nombre singulier ou pour le
nombre
pluriel, on ne peut avoir dans l’esprit que des ê
es. 2°. La même doctrine que nous venons d’établir sur la théorie des
nombres
, se déduit de même de celle des cas. Les cas en g
est que deux sortes de principes en reglent le choix, comme celui des
nombres
: ce sont les besoins de l’énonciation, d’après c
fournit encore les mêmes consequences déja établies à l’occasion des
nombres
. La diversité des motifs qui décident les cas, di
té distingués par la diversité des principes qui reglent le choix des
nombres
. Les noms & les pronoms sont du premier ordre
accidentelle pour pouvoir prendre tel ou tel cas. 3°. Le système des
nombres
& celui des cas sont les mêmes pour les noms
ctifs & des verbes, par rapport aux genres, comme par rapport aux
nombres
& aux cas : ce sont des terminaisons différen
ésultat analytique : non-seulement elle expliquera les variations des
nombres
, des genres & des cas, & la nécessité d’a
e 8 à 16, que le rapport de 25 à 50 ; mais ce rapport n’est aucun des
nombres
dont il s’agit ici ; & on le considere avec a
s dernieres ; c’est le langage des Mathématiciens, qui disent que les
nombres
3 & 6, 5 & 10 sont proportionnels ; car a
s, telles que sont, par exemple, dans amaverat, les idées du mode, du
nombre
, de la personne, du tems ; & dans celle du te
s ; que ce sujet déterminé doit être de la premiere personne & au
nombre
singulier pour amabam, de la troisieme personne &
p; au nombre singulier pour amabam, de la troisieme personne & du
nombre
pluriel pour amavissent ; que l’existence du suje
les savans se sont plû à introduire des lettres muettes dans un grand
nombre
de mots, afin qu’on sentît mieux la relation de c
espece, qui probablement ne disparoîtront jamais de l’écriture. De ce
nombre
est l’u servile qu’on met toûjours après la conso
isse convenir. Par exemple, l’idée de figure convient a un plus grand
nombre
d’individus que celle de triangle, de quadrilater
vocat. Ps. cxivj. 4. D’ailleurs la voix humaine ne peut fournir qu’un
nombre
assez borné de sons & d’articulations simples
s élémentaires que l’on peut appeller simples par rapport à nous ; le
nombre
n’en est pas à beaucoup près si prodigieux que ce
oms, de quelque espece qu’ils soient, sont susceptibles de genres, de
nombres
, de cas, & conséquemment soumis à la déclinai
es qui traitent chacun de ces points grammaticaux. (B. E. R. M.)
NOMBRE
Nombre (Grammaire) Nombre, (Gramm.) l
t chacun de ces points grammaticaux. (B. E. R. M.) NOMBRE
Nombre
(Grammaire) Nombre, (Gramm.) les nombres son
rammaticaux. (B. E. R. M.) NOMBRE Nombre (Grammaire)
Nombre
, (Gramm.) les nombres sont des terminaisons qui a
. M.) NOMBRE Nombre (Grammaire) Nombre, (Gramm.) les
nombres
sont des terminaisons qui ajoutent à l’idée princ
ipale du mot, l’idée accessoire de la quotité. On ne connoît que deux
nombres
dans la plûpart des idiomes ; le singulier qui dé
es langues, comme l’hébreu, le grec, le polonois, qui ont admis trois
nombres
; le singulier qui désigne l’unité, le duel qui m
: & la clarté qui se trouve effectivement, sans le secours de ce
nombre
, dans les langues qui ne l’ont point admis, prouv
ans la langue, & y est fort peu usité ; de sorte qu’au lieu de ce
nombre
on se sert souvent du pluriel. M. l’abbé l’Advoca
qu’il en soit des systèmes particuliers des langues, par rapport aux
nombres
, c’est une chose attestée par la déposition unani
r que des êtres. La différence des principes qui reglent le choix des
nombres
à l’égard de ces quatre especes de mots, m’a cond
s, puisque c’est à la Logique & non à la Grammaire à en fixer les
nombres
; j’ai appellé les autres indéterminatifs, parce
de terminaisons, ces mots indéterminatifs ne pourroient s’accorder en
nombre
avec les noms ou les pronoms leurs corrélatifs. L
rs corrélatifs. Les noms appellatifs doivent également avoir tous les
nombres
, parce que leur signification générale a une éten
ils prennent ou ne prennent pas la terminaison caractéristique de ce
nombre
, selon l’occasion. S’ils désignent seulement plus
e que tout a sa cause lors même qu’on ne la connoît point. Le mot de
nombre
est encore usité en grammaire dans un autre sens
ique. Je pense qu’il n’étoit pas plus raisonnable de donner le nom de
nombres
à des mots qui expriment une idée individuelle de
r le nom de nombres à des mots qui expriment une idée individuelle de
nombre
, qu’il ne l’autorise d’appeller êtres, les noms p
rbes numéraux ; & dans la plûpart des langues, on donne le nom de
nombres
cardinaux aux adjectifs numéraux, qui servent à d
rrespondans dans les autres classes, & que l’idée individuelle du
nombre
qui est envisagée seule & d’une maniere abstr
à propos d’imaginer une partie d’oraison distincte qu’il appelle des
nombres
: il en admet de deux especes, les uns qu’il appe
se fait, à la fin de son disc. X. une objection sur la nature de ses
nombres
collectifs, qui sont des véritables noms, ou pour
te métamorphose que nous avons tombeau de tumulus, combles de culmen,
nombre
de numerus ; que les Latins ont dit Hecoba pour H
autres que l’on pourroit faire & justifier par des exemples sans
nombre
, nous montrent bien que la nature agit primitivem
ant à dernier, est remplacé par en dernier lieu, enfin, &c. Voyez
Nombre
. (B. E. R. M.) ORTHOGRAPHE ORTHOGRAPHE,
ntes manieres d’écrire qui résultent de la différence des genres, des
nombres
, des personnes, & autres accidens grammaticau
l’on a les mêmes liaisons, afin de ne pas être surchargé par le grand
nombre
, ou embarrassé par la distinction qu’il faudroit
ains bien que vous ne couriez les risques d’être censuré par le grand
nombre
. Vous imitez celui qui viendroit vous parler une
qui peut se trouver de relatif à l’orthographe sous les mots Genre,
Nombre
, Personne , &c. Sur les caracteres prosodique
l y avoit une barbarie insoutenable dans les anciens rudimens, où les
nombres
& les cas étoient désignés en latin, singular
minatif pluriel, en indiquant la différence d’orthographe qu’exige ce
nombre
, & marquant soigneusement le genre du françoi
amp; marquant soigneusement le genre du françois dans chacun des deux
nombres
. Comme il y a autant d’avantage réel à mettre en
trop de largeur, on pourroit mettre la traduction françoise de chaque
nombre
à la tête des six cas, sous la forme déja indiqué
mple ; on marque les trois lettres, m, f, n, au premier cas de chaque
nombre
qui n’a qu’une terminaison pour les trois genres
adigme de chacune. On ajoutera à la fin, comme en exception, le petit
nombre
de noms en a qui ont le datif & l’ablatif plu
es des déclinaisons : les dénominations des modes, des tems & des
nombres
, y étoient en latin ; indicativo modo, tempore pr
a réformé toutes ces fautes ; il nomme les tems, les modes & les
nombres
, en françois ; il supprime les pronoms personnels
Il me semble qu’il ne faut mettre en colonnes paralleles que les deux
nombres
de chaque tems, comme on doit y mettre les deux n
que les deux nombres de chaque tems, comme on doit y mettre les deux
nombres
de chaque nom, de chaque pronom, & de chaque
p;c. le participe reçoit des déterminaisons relatives aux genres, aux
nombres
& aux cas, au moyen desquelles il se met en c
cet égard comme les adjectifs : comme eux, il s’accorde en genre, en
nombre
, & en cas avec le nom auquel il est appliqué
ifs ; c’est comme si l’on en séparoit l’infinitif, parce qu’il n’a ni
nombres
, ni personnes, comme le verbe en a dans les autre
e verbe d’exister, que ne font les variations des personnes & des
nombres
. Or le participe conserve en effet la propriété d
, parce que ce mode est déclinable dans tous ses tems par genres, par
nombres
& par cas, & qu’en vertu du principe d’id
les, c’est-à-dire, s’ils prennent les inflexions des genres & des
nombres
. Ils en étoient autrefois susceptible ; mais aujo
aissent pas d’etre des verbes, quoique l’usage ne leur ait accordé ni
nombres
, ni personnes, ni modes, ni tems. Si la plûpart d
; que par-tout c’est un adjectif mis en concordance de genre & de
nombre
avec lettres ; & que c’est ce qui doit caract
linable, & que le participe passif est déclinable par genres, par
nombres
& par cas ; ce dont nous avons retenu tout ce
alors le sens individuel du verbe, il se décline par genres & par
nombres
, & se met sous ce double aspect, en concordan
mp; du participe des verbes mêmes, lequel s’accorde en genre & en
nombre
avec le sujet. Cette regle ne souffre aucune exce
absolus qui reçoivent l’auxiliaire avoir sont en beaucoup plus grand
nombre
, & M. l’abbé d’Olivet (ibid.) pretend qu’il y
ire au singulier, comme au pluriel, de quelque genre & de quelque
nombre
que puisse être le sujet. Mais il faut dire, par
e verbe a reçues ; & le participe s’accorde ici en genre & en
nombre
avec ce complement objectif ou principal que, ind
ce complement objectif ou principal que, indépendamment du genre, du
nombre
, & même de la position du sujet mon pere. Ti
rques nouvelles du pere Bouhours, tom. I. pag. 257, 298 & 556. Le
nombre
de nos particules postpositives n’est pas grand :
itre particulierement propre à la Grammaire, pour caractériser un des
nombres
destinés à marquer la quotité. Voyez Nombre . On
pour caractériser un des nombres destinés à marquer la quotité. Voyez
Nombre
. On dit aujourd’hui, le nombre pluriel, une term
destinés à marquer la quotité. Voyez Nombre . On dit aujourd’hui, le
nombre
pluriel, une terminaison pluriele. « Il est cert
Il seroit à desirer que la lettre s fût la seule qui caractérisât ce
nombre
dans les noms, les pronoms & les adjectifs ;
qualités, sensés, composés. Puisque l’usage contraire prévaut par le
nombre
des Ecrivains qui l’autorisent, c’est aujourd’hui
ujet M. l’abbé Girard (tom. I. disc. v. pag. 271.), que le plus grand
nombre
des écrivains polis & modernes s’étant déclar
sion & une étendue ; & cette étendue peut se restraindre à un
nombre
plus ou moins grand d’individus. Le propre de l’a
ères non reproduits], bó. Outre qu’il est très-aisé dans un si grand
nombre
de lignes si peu sensibles, de confondre ceux qui
portion des pauses que l’on doit faire en parlant. Il existe un grand
nombre
de manuscrits anciens, où ni les mots, ni les sen
tie essentielle de l’Orthographe ne tient de l’usage nationnal que le
nombre
, la figure, & la valeur des signes qu’elle em
e distinction, elle ne pourroit jamais être mise à la portée du grand
nombre
, même du grand nombre des gens de lettres ; &
pourroit jamais être mise à la portée du grand nombre, même du grand
nombre
des gens de lettres ; & ce seroit un abus que
ge de la plûpart des écrivains, & la regle prescrite par le grand
nombre
des grammairiens, de séparer ces propositions cou
tanciel : Chaque connoissance ne se développe, qu’après qu’un certain
nombre
de connoissances précédentes se sont développées.
tendresse, de pitié, &c. Exemples : Que les sages sont en petit
nombre
! Qu’il est rare d’en trouver ! M. l’abbé Girard,
ut remarquer que chacun d’eux a des terminaisons relatives à tous les
nombres
, quoique la dépendance qu’ils expriment soit rela
la dépendance qu’ils expriment soit relative à une personne d’un seul
nombre
. Ainsi mon livre veut dire le livre (au singulier
même maniere de signifier, de se décliner, de s’accorder en genre, en
nombre
& en cas avec un sujet déterminé ; & que
auroit fallu pour cela, que donner aux mots déclinables un plus grand
nombre
de cas ; ce qui étoit possible, nonobstant l’avis
l’usage, ce prétendu tyran des langues, j’ai reconnu dans un si grand
nombre
de ses décisions, taxées trop légerement d’irrégu
u ch. xj. de la II. part. de la Gram. gén. mais encore après un grand
nombre
d’autres. On dit, se livrer à des faux amis ; apr
dée déterminative caractérise l’espece des pronoms : au contraire les
nombres
& les cas dans les langues qui les admettent
scours l’est nécessairement sous l’une des qualités désignées par les
nombres
, & sous l’un des rapports marqués par le cas
ués par le cas de quelque espece que soit l’idée déterminative. Voyez
Nombre
, Cas & Personne . A l’occasion de la grammair
ls. Il y a quelque différence entre le françois & le latin sur le
nombre
de pronoms personnels, ou pour conformer mon lang
ns d’établir, il y a quelque différence entre les deux langues sur le
nombre
des pronoms. I. Sur cet objet-là même notre langu
m réfléchi est se & soi, pour les deux genres & pour les deux
nombres
. Je dis que ces différentes manieres d’exprimer l
quer le service. Personnes. I. II. III. Direct. Réfléchi.
Nombres
. S. S. S. P. S.P. Genres. M.F. M.F.
ai annoncé quelque différence entre le françois & le latin sur le
nombre
des pronoms ; voici en quoi consiste cette différ
s sont pleins d’exemples où ces mots sont en concordance de genre, de
nombre
& de cas avec des noms qu’ils accompagnent, &
e précede pas un autre nom avec lequel il s’accorde en genre & en
nombre
, comme quand on dit, ce que vous pensez est faux
f désigne par l’idée de non-valeur, & il est susceptible des deux
nombres
. Exemples : un marché nul, des traités nuls, une
composé, & chaque comparaison donnant une proposition simple, le
nombre
des propositions simples qui sortiront de celle q
celle qui est composée par le sujet & par l’attribut, est égal au
nombre
des idées partielles du sujet composé, multiplié
gal au nombre des idées partielles du sujet composé, multiplié par le
nombre
des idées partielles de l’attribut composé. Les s
sujets des propositions suivantes : les livres utiles sont en petit
nombre
; les principes de la Morale méritent attention ;
bet. Comme elle est toujours suivie d’un u, si ce n’est dans un petit
nombre
de mots, comme coq, cinq, laqs, nous terminons pa
portion invariable entre les sons, qui peut être caractérisée par des
nombres
: en sorte qu’une syllabe n’est longue ou breve d
est ici ce qu’est le point dans la Géométrie, & l’unité dans les
nombres
». c’est-à-dire, que ce tems n’est un, que relat
ément indivisible ; & ils seront entr’eux dans la progression des
nombres
naturels 1, 2, 3, 4, 5. Notre illustre académicie
urelle, on peut remarquer des durées qui soient entre elles comme les
nombres
1, 2, 3, 4, 5, ou même dans une autre progression
i longueur, ni briéveté. Il y a dans toutes les langues un plus grand
nombre
de longues ou de breves usuelles qu’il n’y en a d
l, & peut être le principe unique, qui constitue véritablement le
nombre
& l’harmonie dans notre langue. Cependant, de
que les grands hommes sont pourtant des hommes. Ce n’est pas un petit
nombre
de fautes échapées à la fragilité humaine, qui pe
aine, qui peuvent faire tort a leur réputation ; au lieu que ce petit
nombre
de mauvais exemples pourroit induire en erreur la
me de regarder comme un effet du régime la détermination du genre, du
nombre
& du cas d’un adjectif rapporté à un nom : c’
e les noms & les pronoms ne varient leurs formes relativement aux
nombres
, mais les formes numériques ne sont point celles
faire rentrer dans la classe des verbes neutres ou absolus, un grand
nombre
de ceux dont Sanctius fait l’énumération. Il ne s
pagne ici le nom même facundia, avec lequel il s’accorde en genre, en
nombre
& en cas : il n’est donc pas mis au lieu de f
ette). Avarus représente homo, parce qu’il est au même genre, au même
nombre
, au même cas, & qu’il renferme dans sa signif
ment quas représente litteras, parce qu’il est au même genre, au même
nombre
, & au même cas, & que l’idée démonstrativ
es, aux articles, puisque toutes ces especes s’accordent en genre, en
nombre
, & en cas, avec le nom auquel ils se rapporte
plusieurs natures ; & comme eux aussi, il s’accorde en genre, en
nombre
, & en cas, avec le nom ou le pronom auquel on
au qui, quae, quod latin, & pouvant s’accorder en genre & en
nombre
avec son antécédent ; & dans ce cas, il sembl
hébreu est אשר, & qu’il sert pour tous les genres, pour tous les
nombres
, pour tous les cas, & pour toutes les personn
de mot. Premiere regle. L’adjectif conjonctif s’accorde en genre, en
nombre
, & en cas, avec un cas répété de l’antécédent
t communément que le relatif s’accorde avec l’antécédent en genre, en
nombre
, & en personne ; & l’on cite ces exemples
ensemble de la phrase, quoiqu’il se mette au même genre & au même
nombre
que le nom son correctif, dont il tient la place,
tendus ; & alors il s’accorde avec l’antécédent en genre & en
nombre
; & avec le suivant, même en cas, comme avec
e puis parler de la sorte, & que l’on en décide le genre & le
nombre
par ceux du nom qui précede, tandis qu’on en déte
5°. Quand l’adjectif conjonctif étant entre deux noms de genres ou de
nombres
différens, semble s’accorder avec le premier ; co
les langues transpositives : ainsi, la concordance du genre & du
nombre
sauve la clarté de l’énonciation dans cette phras
livre au quel vous donnez la préférence ; le genre masculin & le
nombre
singulier du mot auquel, prouvent assez qu’on le
le plus fréquemment dans un sens figuré, & qui ont un plus grand
nombre
de ces sortes de sens : tels sont corps, ame, têt
ils le sont encore en orient ; on en trouvoit partout jusque dans les
nombres
. Métrodore de Lampsaque, au rapport de Tatien, av
& l’adverbe conjonctif donc ; parce que n’ayant par eux-mêmes ni
nombre
ni genre déterminé, la relation en devient nécess
y a dans le même discours plusieurs noms du même genre & du même
nombre
, si l’on n’a soin de rendre cette relation bien s
rme est consacré dans le langage grammatical, pour désigner celui des
nombres
qui marque l’unité. V. Nombre . Un même nom, ave
grammatical, pour désigner celui des nombres qui marque l’unité. V.
Nombre
. Un même nom, avec la même signification, ne lai
uvent de recevoir des sens fort différens, selon qu’il est employé au
nombre
singulier, ou au nombre pluriel. Par exemple, don
ns fort différens, selon qu’il est employé au nombre singulier, ou au
nombre
pluriel. Par exemple, donner la main, c’est la pr
ite d’être remarquée : c’est celle où l’on emploie par synecdoque, le
nombre
pluriel, au lieu du nombre singulier, quand on ad
t celle où l’on emploie par synecdoque, le nombre pluriel, au lieu du
nombre
singulier, quand on adresse la parole à une seule
ere, tu es toujours serieux : il y a donc dans le germanisme, abus du
nombre
& de la personne. Les Italiens, outre notre m
dnus, l’autre dans l’île de Chypre. Ces deux villes, suivant un grand
nombre
d’auteurs, avoient été fondées par Solon. La vill
e de toutes parts pour la peupler ; & il y vint sur-tout un grand
nombre
d’Athéniens, qui s’étant mêlés avec les anciens h
s phrases usuelles. (Voyez Enallage) Chaque tems, chaque mode, chaque
nombre
, &c. est toujours employé conformément à sa d
Aussi vrai, dans le premier exemple, s’accorde-t-il en genre & en
nombre
avec le nom discours ; & vraie, dans le secon
Nous n’en avons aucune, si ce n’est pour le sens ampliatif d’un petit
nombre
de mots conservés au cérémonial, sérénissime, émi
plus bien, plus peu, plus mal : mais ces exceptions mêmes en si petit
nombre
confirment l’universalité de notre analogie. 1°.
i en sont susceptibles. Tout le monde conviendra sans doute que grand
nombre
d’adjectifs & d’adverbes sont dans ce cas : m
paroîtra peut-être surprenant à quelques-uns, si j’avance qu’un grand
nombre
de verbes sont également susceptibles des sens gr
augmentative de ce que signifie le simple ; & dans le plus grand
nombre
des verbes, elle y équipolle à l’un de ces adverb
°. Les terminaisons d’un même verbe hébraïque sont en bien plus grand
nombre
, puisqu’à s’en tenir à la doctrine de Masclef, la
l’oreille, au lieu que les syllabes d’usage ne se comptent que par le
nombre
des voyelles qui se font entendre, & qui s’éc
sons que de syllabes ; parce que les syllabes artificielles, dont le
nombre
est assez grand, renferment nécessairement plusie
ique à la simple signification d’un mot qui ne marque qu’une espece.
Nombre
est un mot qui se dit de tout assemblage d’unités
pour les vers ; parce qu’en effet les vers sont composés d’un certain
nombre
de piés ou de syllabes : scribimus numeros. Pers.
3. nous faisons des vers. 3°. En françois nous nous servons aussi de
nombre
ou de nombreux, pour marquer une certaine harmoni
’oreille un air, un vers, une période, un discours. Il y a un certain
nombre
qui rend les périodes harmonieuses. On dit d’une
période qu’elle est fort nombreuse, numerosa oratio ; c. à d. que le
nombre
des syllabes qui la composent est si bien distrib
il se trouve dans le discours le même assemblage de piés, ou le même
nombre
de syllabes qui forment un vers : il veut cependa
harmonie qui lui soit particuliere, quoiqu’elle dépende également du
nombre
des syllables & de l’arrangement des mots. Il
nt le singulier pour le pluriel ; ce sera substituer la synecdoque du
nombre
à celle de l’espece, & dans le même sens, du
ecim animas, (ibid. 18.) il eut seize enfans. III. Synecdoque dans le
nombre
; c’est lorsqu’on met un singulier pour un plurie
n des prophetes ; quod dictum est per prophetas. Matt. ij. 23. 3°. Un
nombre
certain pour un nombre incertain. Il me l’a dit d
dictum est per prophetas. Matt. ij. 23. 3°. Un nombre certain pour un
nombre
incertain. Il me l’a dit dix fois, vingt fois, ce
s, & peut-être la seule qu’en aient eu anciennement le plus grand
nombre
des gens de lettres. Une sorte de dictionnaire qu
re son livre sans desirer ardemment qu’il y eût examiné un plus grand
nombre
de synonymes, & que les gens de lettres qui s
cela que sur les plus philosophes ; ce qui caractérise le plus petit
nombre
: les autres, en se donnant même la peine d’y pen
i a pour titre, Autores linguae latinae. De plus, nous avons un grand
nombre
d’observations répandues dans Varron, de lingua l
émoire, qu’à enrichir & faciliter l’art de la parole. Protéger le
nombre
des mots sans égard au sens, c’est, ce me semble,
ître-d’hôtel qui feroit consister la magnificence d’un festin dans le
nombre
des plats plutôt que dans celui des mets. Qu’impo
la richesse d’une langue, dit M. du Marsais, (Trop. pag. 309.) par le
nombre
des pensées qu’elle peut exprimer, & non par
9.) par le nombre des pensées qu’elle peut exprimer, & non par le
nombre
des articulations de la voix : & il semble en
lorsqu’au-lieu de construire les mots selon les regles ordinaires du
nombre
, des genres, des cas, on en fait la construction
ammairiens ne reconnoissent la synthèse que dans le genre, ou dans le
nombre
, ou dans tous les deux : dans le genre, comme dar
tale monstrum, qu ae generosiùs perire quaerens, &c. Hor. dans le
nombre
, comme missi, magnis de rebus uterque, legati : i
gnis de rebus uterque, legati : id. enfin dans le genre & dans le
nombre
tout-à-la-fois, comme par in carcerem acti, pars
rouve si éloignée du langage ordinaire des Grammairiens, soit dans le
nombre
des tems qu’elle semble admettre, soit dans les n
, um est adjectif, &, comme on le sait, il s’accorde en genre, en
nombre
, & en cas avec le sujet du verbe ; c’est qu’i
ipe, commun aux trois tems, & assujetti à s’accorder en genre, en
nombre
, & en cas avec le sujet, exprime l’état par r
ue françoise. Si je bornois ici mes réflexions sur la nature & le
nombre
des tems, bien des lecteurs s’en contenteroient p
quand on n’en attache pas les caracteres distinctifs à un assez grand
nombre
de dénominations : & cette remarque me déterm
’embellir & à l’orner. Je ne crois pas qu’il y ait un assez grand
nombre
de mots qui suppléent à ceux qui manquent, pour p
& elle les a tous précédés. Il n’y a pas, dit-on, un assez grand
nombre
de mots qui suppléent à ceux qui manquent, pour p
e décrire ». Il seroit aisé de multiplier ces exemples en très grand
nombre
: [& j’en supprime effectivement une quantité
ut de convenance. Moliere, dans ses précieuses, nous fournit un grand
nombre
d’exemples de ces expressions recherchées & d
à tous égards, les autres langues se sont moins permis à l’egard des
nombres
& des personnes ; & le verbe prend presqu
dont l’essence même les exclut : l’infinitif, par exemple, exclut les
nombres
& les personnes, parce que le sujet y demeure
essentiellement indéterminé ; le participe admet les genres & les
nombres
, parce qu’il est adjectif, mais il rejette les pe
communes au verbe, avec les noms & les pronoms ; je veux dire les
nombres
sur-tout, & quelquefois les genres. 2°. Je di
amp; les consonnes sont des lettres. C’est comme si on disoit que les
nombres
sont des chiffres. Les voyelles & les consonn
es lettres représentent, comme les chiffres servent à représenter les
nombres
. En effet, on prononçoit des consonnes & des
s sont des sons, c’est comme si l’on disoit que les chiffres sout des
nombres
; sans compter que c’est encore un autre abus de
d’usages, un bon & un mauvais. Le mauvais se forme du plus grand
nombre
de personnes, qui presque en toutes choses, n’est
bstituer dans la définition de M. de Vaugelas, le terme de plus grand
nombre
à celui de la plus saine partie. Car enfin, là où
ombre à celui de la plus saine partie. Car enfin, là où le plus grand
nombre
de personnes de la cour s’accorderont à parler co
re de personnes de la cour s’accorderont à parler comme le plus grand
nombre
des écrivains de réputation, on pourra aisément d
es égards. « Quand une langue, dit Vaugelas (Praef. art. x. n. 2.) a
nombre
& cadence en ses périodes, comme la langue fr
in des mots. I. Elle ne se trouve au commencement que d’un très petit
nombre
de noms propres, empruntés des langues étrangeres
endre qui avant nec metuit & avant nec legem. Changement dans le
nombre
: sociis & rege recepto (Virg.), suppl. recep
on avait besoin de considérer en eux, je veux dire au point de vue du
nombre
. Cela fait, on oublie les objets représentés ; il
emblable, pour savoir l’ouvrage total, il me suffira de multiplier le
nombre
des ouvriers réunis par le chiffre de l’ouvrage d
chiffre de l’ouvrage des premiers, puis de diviser le produit par le
nombre
de ces premiers. Au lieu de ce cas si réduit, con
toutes ses qualités et caractères, mais seulement sa quantité et son
nombre
. L’une et l’autre remplacent seulement quelque ch
al, à la fois inventeur et deviner d’énigme, auteur des charades sans
nombre
dont il cherche et divulgue le sens. Dès lors tou
leur destin. C’est l’attitude esthétique où ne se hausse qu’un petit
nombre
d’individus. Mais ce petit nombre suffit pour que
hétique où ne se hausse qu’un petit nombre d’individus. Mais ce petit
nombre
suffit pour que soit réalisé, d’une façon concrèt
me acteurs. C’est qu’aussi, cette attitude, réalisée en un trop grand
nombre
d’êtres, aurait pour effet de diminuer l’intérêt
étoit le Misantrope qui étoit dans le bon goût. Mais après un certain
nombre
de représentations, le monde comprit que la manie
on. Quand le succès de ces deux tragédies sembloit égal, à compter le
nombre
des personnes qui prenoient des billets à l’hôtel
’y a-t-il point plusieurs tragédies de Corneille, je n’en ose dire le
nombre
, qui perdroient le prix contre le Venceslas de Ro
s’affermir réciproquement dans leur sentiment par l’autorité du grand
nombre
. La meilleure preuve qu’on puisse avoir de l’exce
us les hommes (comme l’équité naturelle), mais seulement à un petit
nombre
d’hommes qui ont appris par la pratique du gouver
le siècle le plus éclairé de l’empire, Ulpien se plaint qu’ un petit
nombre
d’hommes expérimentés possèdent la science du gou
es cabinets en suivant l’équité civile ou raison d’état ; et un grand
nombre
de jurisconsultes pour régler les intérêts privés
e. L’équité civile, ou raison d’état, devient le privilège d’un petit
nombre
de politiques et conserve dans le cabinet des roi
d corrige le premier ; le troisième corrige le second. Ainsi le petit
nombre
de personnes que ce genre d’études intéresse pour
s, et en quelque sorte avec le caractère de l’inspiration. Ainsi, bon
nombre
de vers se sont trouvés refaits, bon nombre de st
l’inspiration. Ainsi, bon nombre de vers se sont trouvés refaits, bon
nombre
de strophes remaniées, remplacées ou ajoutées. Au
que les croisements entre deux formes, considérées par le plus grand
nombre
des auteurs comme des espèces distinctes, étaient
aines provenant de ces croisements. En ce cas, il compare toujours le
nombre
maximum des graines produites par les deux espèce
par les deux espèces croisées et par leur postérité hybride, avec le
nombre
moyen produit par les deux espèces pures à l’état
rmi les éleveurs. Il est rare que des hybrides soient élevés en grand
nombre
par les expérimentateurs ; et, comme les deux esp
. Ainsi, M. C. Noble m’a assuré qu’il élevait pour la greffe un grand
nombre
de sujets d’un hybride entre les Rhod. Ponticum e
même genre déposé sur le stigmate de l’une de ces espèces produit un
nombre
de graines qui varie de manière à donner une séri
la stérilité, nous avons des hybrides féconds entre eux produisant un
nombre
de graines de plus en plus considérable jusqu’à u
ou à se laisser féconder par elles. On pourrait encore citer un grand
nombre
de faits analogues. Nul jusqu’ici n’a encore pu d
rquable. Il semble encore plus frappant, lorsqu’on songe qu’il y a un
nombre
considérable d’espèces dont les croisements sont
inaire ; mais il ne saurait être douteux, car il est le résultat d’un
nombre
considérable d’expériences continuées pendant de
entre les espèces et les variétés, n’a pu constater qu’un très petit
nombre
de signes caractéristiques, et qui, selon moi, n’
à l’état de nature ; et lorsque nous nous rappelons que le plus grand
nombre
de nos variétés domestiques ont été formées par l
hoisis pour illustrer un cas pathologique, il soit possible d’opposer
nombre
de ces normaux, où des réalités, individuelles ou
nt au contraire imposés. Le choix est nécessairement déterminé par le
nombre
et la qualité des éléments que l’on vient de dire
es et lâchées, de méchanceté et de bonté qui est le lot du plus grand
nombre
. Et tous ces états, les normaux comme les anormau
cassés qui font mouvoir les bons automates. Tant que ces fils sont en
nombre
normal et si surtout ils sont bien enchevêtrés, s
ssiègent. Ce qui lui avait été indifférent lui devient un malaise. Le
nombre
de ses besoins s’accroît dans la mesure du nombre
ient un malaise. Le nombre de ses besoins s’accroît dans la mesure du
nombre
de ses richesses. Vient-il d’ailleurs à perdre la
stère scientifique d’où sont sortis déjà, d’où sortiront par la suite
nombre
de travaux désintéressés dont le Génie de la Conn
re à l’inefficacité absolue de la médecine et il faut accorder, qu’en
nombre
de cas particuliers, des malades auraient succomb
e aura augmenté pour l’avenir, dans des proportions incalculables, le
nombre
de ses tributaires et fomenté peut-être des malad
els la Providence a dirigé la marche de l’humanité, rapprochons-en le
nombre
infini des phénomènes qui se rapportent aux quatr
s. Nous retrouvons cette coutume chez toutes les nations barbares, au
nombre
desquels on est forcé de compter les Romains, lor
répondent, chez les Latins, aux dix ans du siège de Véies ; c’est un
nombre
fini pour le nombre infini des années antérieures
Latins, aux dix ans du siège de Véies ; c’est un nombre fini pour le
nombre
infini des années antérieures, pendant lesquelles
nt doit être de nature à réserver tous les honneurs civils à un petit
nombre
de nobles, de pères de famille, qui fassent consi
le trône, ne put trouver de femmes chez les Albains. (Vico.) 77. Le
nombre
, chose la plus abstraite de toutes, fut la derniè
s, fut la dernière que comprirent les nations. Pour désigner un grand
nombre
, on se servit d’abord de celui de douze, de là le
. Les Latins ont conservé, d’une époque où l’on connaissait mieux les
nombres
, leur mot sexcenti, et les Italiens, cento, et en
centi, et les Italiens, cento, et ensuite cento e mille, pour dire un
nombre
innombrable. Les philosophes seuls peuvent arrive
aut accuser, lorsque des discours prononcés au milieu d’un très grand
nombre
d’hommes, ou des livres qui ont le public entier
ées d’une manière plus rapide, lorsque l’enchaînement d’un très grand
nombre
de vérités est généralement connu ; l’intervalle
la nature, agrandit les idées sans refroidir les âmes. Un très petit
nombre
d’hommes se vouait, chez les anciens, à cette mor
xée de la manière la plus positive, et mise à la portée du plus grand
nombre
. Il est encore, je le sais, beaucoup d’arguments
r donner l’impulsion nécessaire dans les grands périls. Un très petit
nombre
de caractères vraiment distingués pourrait se déc
es ; car dans l’état habituel, ces sentiments sont ceux du plus grand
nombre
, et c’est au talent de la parole que l’on a dû to
ne donne pas des résultats très satisfaisants, car s’il est un grand
nombre
d’animaux où la loi paraît se vérifier, il est de
e loi : que l’étendue et la force de l’intelligence sont en raison du
nombre
des circonvolutions ; quelques uns ajoutent : et
due, et il expliquait la supériorité intellectuelle de l’homme par le
nombre
de ses circonvolutions. Galien lui répondait : «
érieurs aux autres en intelligence. « Pour la forme générale, pour le
nombre
et l’étendue des sous-divisions, pour l’arrangeme
ttesté et par Leuret et par Gratiolet, c’est que pour l’étendue et le
nombre
des circonvolutions l’éléphant est au-dessus de l
haut, démontre la loi suivante : c’est que dans un groupe naturel le
nombre
des circonvolutions est en raison de la taille de
oit très-utile. La Géographie moderne a été traitée par un plus grand
nombre
d’écrivains que l’ancienne ; mais la plûpart n’ét
l faut nécessairement se borner à quelques bons livres. Je mets de ce
nombre
la Géographie moderne abrégée par l’Abbé Nicolle
mens antiques, enrichie des descriptions & des figures d’un grand
nombre
de plantes rares, de divers animaux : & plusi
, si l’on avoit supprimé beaucoup de phrases inutiles, & un grand
nombre
de détails ennuyeux. Le défaut de la diction n’es
dans ce livre beaucoup de choses intéressantes, il y a aussi un grand
nombre
d’idées fausses. Nous avons un grand nombre de vo
es, il y a aussi un grand nombre d’idées fausses. Nous avons un grand
nombre
de voyages faits en Amérique ou dans quelques par
qu’ont reçu certains romans russes, a fait entreprendre d’un coup un
nombre
considérable de traductions, dont il faut bien qu
lles qui en ont été inspirées, ont mieux satisfait les penchants d’un
nombre
notable de lecteurs français que les œuvres vérit
ner à sa personne ou aux manifestations sensibles qui l’expriment, un
nombre
, proportionnel à sa gloire, de partisans, de croy
1816, fut ouvert pour la première fois en avril 1826. Après un petit
nombre
de séances, une maladie grave m’empêcha, à cette
nt exemplaires en mai 1822, et réimprimée ensuite en avril 1824, à un
nombre
d’exemplaires plus considérable. Cette première p
e, mais seulement communiquée par la voie de l’impression, à un grand
nombre
de savants et de philosophes européens. Elle ne s
signes connus et convenus. De là vint qu’on ne regarda point à mettre
nombre
de mots en réforme ; et le développement de l’éne
erdits. Le résultat de ce travail fut un système de signes réduits au
nombre
minimum, mais merveilleusement précis, clairs, ap
rangues de réception fut inauguré en 1640 par Patru. Dès le début, le
nombre
des académiciens avait été porté de 34 à 40, où i
ivains, on n’aurait qu’à regarder comment ils furent toujours, par le
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, une minorité, et, par le goût, une opposition da
, la structure intérieure s’arrêtent, où les organes sont complets en
nombre
et en développement, où, jusqu’à la dissolution f
s le grand marais de pins, en Pennsylvanie. Mais ils nichent en grand
nombre
dans le Maine, et probablement dans le Massachuse
en trouver beaucoup, mais il n’y en avait que six ; et c’est le même
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encore que je comptai dans l’autre nid de troglod
tructure que le précédent ; mais il était plus petit, et les œufs, au
nombre
de six, renfermaient des fœtus déjà bien développ
us lisse, mieux soigné, et principalement formé de mousse. « Quant au
nombre
d’œufs qu’il contient, les auteurs ne sont pas d’
à leur identité ; mais des comparaisons faites avec soin sur un grand
nombre
d’individus m’ont appris qu’il existe entre eux c
jours, six œufs furent pondus ; mais j’observai qu’à mesure que leur
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augmentait, la femelle restait moins longtemps su
s qu’on y avait construits pour serrer le foin. Ayant pris un certain
nombre
de ces oiseaux sur le nid, je reconnus avec plais
la limite d’un immense champ de cannes, où j’avais tué auparavant bon
nombre
de daims. Nous y entrâmes, comme je l’avais fait
il m’enseigna la place, et qui était remarquable, entre tous, par le
nombre
immense de ces oiseaux qui s’y retiraient. — M’ét
oste, et j’étais convaincu qu’il en restait encore un bien plus grand
nombre
dehors. Je n’avais pas eu la prétention de les co
fis que rêver d’hirondelles, tant j’étais impatient de constater leur
nombre
, avant que l’époque de leur départ fût arrivée. L
: il y aura 32 oiseaux par chaque pied carré, et, par conséquent, le
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total que contenait l’intérieur de ce seul arbre
ençai mes visites au sycomore. C’était le 2 août. Je m’assurai que le
nombre
des oiseaux qui s’y retiraient n’avait pas augmen
es airs. Les hirondelles aussi revinrent à leur arbre, et j’en vis le
nombre
s’accroître chaque jour. Vers le commencement de
sme grec. Les préceptes des beaux-arts et de la littérature, un grand
nombre
de lois, la plupart des opinions philosophiques,
i l’individu-roi qu’il faut captiver ; c’est un corps, c’est un petit
nombre
, mettant en commun ses intérêts séparés. Dans un
plus d’esprit véritable ; c’est-à-dire, qu’ils voyaient un plus grand
nombre
de rapports entre les idées, et qu’ils approfondi
umain, qui peigne ni le secret des caractères, ni les diversités sans
nombre
de la nature morale. C’eût été peut-être encourag
a principale cause de l’admiration qui nous saisit en lisant le petit
nombre
d’écrits qu’il nous reste de la première époque d
s illis), rien n’est plus grossier que ces Annales ; et le plus grand
nombre
des commentateurs latins considèrent Ennius comme
énérale ; mais une observation de ce genre se fonde sur un très grand
nombre
d’exemples ; et il est certainement très probable
e pur est une figure à plusieurs côtés, sans que ces côtés fassent un
nombre
: ce qui exclut toute expérience et représentatio
eprésentation sensible ; dès que les côtés sont plusieurs ils font un
nombre
, trois, quatre, cinq, six, etc. ; qui dit plusieu
ont un nombre, trois, quatre, cinq, six, etc. ; qui dit plusieurs dit
nombre
déterminé, fixé. Ordonner à quelqu’un de voir ou
en même temps, de n’en voir ou imaginer ni trois, ni quatre, ni aucun
nombre
, c’est prescrire et interdire à la fois la même o
s nombreuses, nous remarquons et, partant, nous nommons un plus grand
nombre
de caractères généraux dans un même objet. Son no
à l’expérience d’une certaine structure intérieure, c’est-à-dire à un
nombre
énorme d’expériences de toutes sortes qui sont fa
nombre énorme d’expériences de toutes sortes qui sont faites et à un
nombre
indéfini d’expériences de toute sorte qui pourron
ntérêts (Fulton et les bateliers de l’Elbe) ; mais au bout d’un petit
nombre
d’années, les résistances cèdent. Au contraire, u
, en économie, moins aiguë qu’ailleurs, il y a malgré tout un certain
nombre
de points sur lesquels l’individu se trouve plus
commettre chaque année cent vingt mille crimes et délits à procès, ce
nombre
étant nécessaire pour alimenter les cours crimine
. » Tel est le mètre d’évaluation : évaluation de Bourse, question de
nombre
. Ce mètre est significatif du mépris de notre civ
en d’un mètre matériel tel que les graduations d’un dynamomètre ou le
nombre
de calories dépensées. À ce compte, un poète qui
es, cet idéal d’humanité ne s’est jamais réalisé qu’en un assez petit
nombre
d’individualités privilégiées. — Quoi qu’il en so
e possible de cet idéal. « L’homme d’aujourd’hui reconnaît un certain
nombre
de valeurs médiales, telles que la richesse, le c
irement au cours de l’évolution historique et en vertu de laquelle le
nombre
de ceux qui ont part aux bienfaits de la civilisa
une chaîne de conclusions. Dans les arts, les principes sont en grand
nombre
, et rien n’est plus facile que de se tromper dans
font sur l’issuë d’un procès. Les juges qui n’ont lû qu’un très-petit
nombre
de livres, mais à qui l’expérience journaliere a
raisonner consequemment touchant le mérite d’un poëme, sont en petit
nombre
. Il y a souvent lieu à quelque exception contre l
ins Quintilien dit qu’il ne s’est jamais assujetti qu’à un très-petit
nombre
de ces principes et de ces regles, qu’on appelle
ue l’acteur qui récitoit sur le théatre, ne devoit dire qu’un certain
nombre
de mots, tandis que l’autre acteur chargé de la g
it un certain geste. Le premier devoit dire apparemment un plus grand
nombre
de mots lorsque le second faisoit un autre geste.
représente donc pour se faire une juste idée de ces choeurs un grand
nombre
d’acteurs excellens répondans au personnage qui l
me cause que les athéniens réduisirent à quinze ou vingt personnes le
nombre
des acteurs de ces choeurs terribles qui avoient
sation semble répandue chez les peuples, soumis la plupart à un petit
nombre
de grands monarques. S’il est encore des nations
ns Suisses et des Provinces-Unies. Ces ligues perpétuelles d’un grand
nombre
de cités libres ont formé deux aristocraties. L’E
ocraties. L’Empire germanique est aussi un système composé d’un grand
nombre
de cités libres et de princes souverains. La tête
poque peuplée de noms et de chaque coin éclairée. Voyez en effet : le
nombre
, le rapprochement, ont-ils jamais nui aux brillan
nous saluons nos maîtres, leur a-t-il nui d’être plusieurs, d’être au
nombre
de trois, rivaux et divers dans ces chaires reten
nte, dans la poésie, combien n’a-t-il pas servi aux esprits d’être en
nombre
, en groupes opposés ! et comme cela aide plutôt à
évitable de ce qu’on peut appeler proprement génies créateurs, par le
nombre
des talents distingués, ingénieux, intelligents,
cessé de se tenir, en même temps qu’il reste pour nous du très-petit
nombre
des maîtres illustres, il est de ceux dont l’auto
Il a décomposé la phrase de Rousseau et de Buffon, il en a mesuré les
nombres
; il rémonte par eux à Bossuet ; il remonte à tra
sa voix sonore et chantante avec agrément, mélodieuse et sachant les
nombres
, a dès l’abord tout racheté. Il se penche, il s’a
ts merveilleux, des savoir-faire dédaliens, où n’atteint pas le grand
nombre
, mais à quoi il finit par croire, sur la foi de s
chant, mais en pratiquant. Dix justes sauvaient une ville : un pareil
nombre
de bons, et, s’il se peut, d’excellents écrivains
(1869), M. Edmond Biré, qui s’est amusé à recueillir, à collectionner
nombre
de petites inexactitudes des auteurs contemporain
gne, langue de terre, gorge d’une montagne, une poignée pour un petit
nombre
, bras d’un fleuve, cœur pour le milieu, veine d’u
être attribuées aux décemvirs, et ajoutées aux douze tables un grand
nombre
de lois que nous prouverons n’avoir été faites qu
is langues se sont parlées, correspondant, pour l’ordre comme pour le
nombre
, aux trois âges écoulés depuis le commencement du
véracité, leur fidélité. Au contraire, plus elles présentent un grand
nombre
de mots dont l’origine est cachée, moins elles so
latifs à l’origine de l’élocution poétique, des épisodes, du tour, du
nombre
, du chant et du vers Ainsi se forma la langue
moins de tours que les Latins, les Latins moins que les Allemands. Le
nombre
ne fut introduit que tard dans la prose. Les prem
r l’exercer60. Par l’effet : il y a dans la poésie italienne un grand
nombre
de retranchements ; dans les origines de la langu
nt Gorgias et Cicéron, les prosateurs grecs et latins employaient des
nombres
poétiques ; au moyen âge, les pères de l’Église l
employèrent pendant longtemps les lettres majuscules pour figurer les
nombres
, et que les Latins conservèrent toujours le même
sonnes avec la plus grande peine. Les Chinois, qui avec un très petit
nombre
de signes diversement modifiés, expriment en lang
s vers que je vous entendis chanter un soir : j’en ai bien retenu les
nombres
, mais j’en ai oublié les paroles. Il ne veut fair
e chaque sillabe, et ce qui étoit la même chose, de chaque note. Quel
nombre
de temps les grecs et les romains mettoient-ils d
. Quant aux chants composez sur des vers, la mesure de ces chants, le
nombre
des temps de chaque mesure se trouvoit être déja
ncipes de l’art rithmique, la liberté de marquer la cadence après tel
nombre
de temps qu’il jugeoit à propos de réunir, pour a
de notre musique ? Voila pourquoi les anciens mettoient la poësie au
nombre
des arts musicaux. Voila pourquoi la plûpart des
estiment trop pour oser prétendre à leur estime ? Mais, pour le grand
nombre
même, il n’est que trop vrai que des éloges multi
embrasse tout ce que l’esprit humain peut penser ; mais le plus grand
nombre
s’empare d’un objet auquel il s’attache, autour d
ctivité a redoublé par le retranchement des autres ; enfin un certain
nombre
d’hommes qui, jaloux d’être libres, n’ont voulu p
nt pardonner les vertus ; mais ce qui fait le caractère du plus grand
nombre
, ce sont toutes les qualités que donne l’habitude
miques qui, sous un très petit volume, renferment le fruit d’un grand
nombre
d’analyses. On se tromperait pourtant, si on croy
assez piquant sur les médecins qui étaient en vogue vers 1774 ; et au
nombre
des conditions requises alors pour réussir, indép
r aliment et à leur prodiguer les premiers soins, exposées à un grand
nombre
d’infirmités et de maladies dont cette noble fonc
e aux femmes. Douées d’une sensibilité exquise et exposées à un grand
nombre
de souffrances, elles sont surtout intéressées à
miasmes, échapper souvent à ses coups. Ces différents virus étant du
nombre
de ceux qui agissent sur les nerfs, n’est-il pas
de reproche aimable : Mon philosophe. Vicq d’Azyr, lié avec un grand
nombre
des promoteurs et des meneurs de la Révolution, n
vec Mme Gloxin…, M. Sanchez avait plusieurs raisons pour se croire au
nombre
des proscrits. Depuis ce moment, point de repos,
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