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né
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né
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né
à Paris le 22 janvier 1885. Œuvres. — La Féerie
Bocquet. Un Poète nouveau, Le Beffroi, mars 1903. Aubry (Jean-G.),
né
à Paris le 13 août 1882. Œuvres. — Les Mains d’o
ie Revue, Art Décoratif, Les Arts de la Vie, etc. Austruy (Henri),
né
à Âgen le 5 juillet 1871. Œuvres. — L’Eupantopho
ram. contes et nouvelles). — Revue Hebdomadaire. Barbusse (Henri),
né
le 17 mai 1874 à Asnières (Seine). Les œuvres. —
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né
à Nîmes, le 4 avril 1872. Œuvres. — La Belle au
rmont, Paris, Soc. du Mercure de France, 1898. Batilliat (Marcel),
né
le 19 novembre 1871, à Lyon. Œuvres. — Chair mys
rain. Chronique. Nouvelle Revue, 2 janvier 1897. Bauquier (Henri),
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à Nîmes, en 1873. Œuvres. — Croquis et Réflexion
ault, essai de critique. J. Fabre, Béziers, 1900. Bertaut (Jules),
né
à Bourges (Cher), en 1877. Œuvres. — Marcel Prév
Revue Bleue, Nouvelle Revue, Revue Hebdomadaire. Beaunier (André),
né
à Évreux (Eure), le 22 septembre 1869. Œuvres. —
Figaro, Revue de Paris, Journal des Débats » Bever (Adolphe van),
né
à Paris le 25 décembre 1871. Œuvres. — Méditatio
s : Revue Illustrée, 1er août 1904 — 1er mai 1905. Bocquet (Léon),
né
à Marquillées (Nord) le 11 août 1876. Œuvres. —
Léon Bocquet, fusain, appartient au poète. Binet-Valmer (Gustave),
né
à Genève le 5 juin 1875. Œuvres. — Le Sphinx de
rcure de France, Renaissance. Latine (fondat.) Boissière (Albert),
né
à Phiberville le 26 janvier 1866. Œuvres. — L’Il
Henri Degron : Albert Boissière, La Vogue, 1900. Boissy (Gabriel),
né
le 26 février 1879 à Le Lonzac (Corrèze). En pré
Vie, — Revue Théâtrale, L’Europe Artiste, etc… Boschot (Adolphe),
né
le 4 mai 1871 à Fontenay-sous-Bois (Seine). Œuvr
La Vie Littéraire, Revue Bleue, 18 mai 1901. Bouchaud (Pierre de),
né
à Chasselay (Rhône), le 24 octobre 1866. Œuvres.
Revue Bleue, Mercure de France, etc… Bouhélier (Saint-Georges de),
né
en 1879. Œuvres. — L’Hiver en Méditation ou Les
iaux : S.-G. de B., Art Moderne, 17 mai 1901. Boulenger (Jacques),
né
à Paris en septembre 1879. Œuvres. — Les Protest
itique. — La Presse, Revue Sportive (escrime). Boulenger (Marcel),
né
à Paris en 1878. Œuvres. — La Femme Baroque, rom
Paris, Chronique des livres, Revue de Paris, etc… Boylesve (René),
né
à la Haye-Descartes (Indre-et-Loire) 14 avril 186
ittéraires, Sansot et Cie, in-18, 1905 (3 série). Briquel (Paul),
né
à Lunéville le 9 décembre 1877. Œuvres. — Soirs
ue Lorraine, Mercure de France. Canora (Louis Prunières, dit Jean),
né
à Paris, le 21 août 1877. Œuvres. — Molière, mor
Revue, Annales politiques et littéraires, etc… Canudo (Ricciotto)
né
à Gioja-del-Colle (Apulie) en 1879. Œuvres. — L’
Revue Blanche, Revue Bleue, Mercure de France. Casella (Georges),
né
à Paris, le 20 avril 1881. Œuvres. — Le Comte Es
Sparklett, l’Écho de Paris, 13 août 1905. Cladel (Judith-Jeanne),
née
à Paris en… Œuvres. — Le Volant, 3 actes (L’Œuvr
es Masques. Mercure de France. Comminges (Marie-Aimery, comte de),
né
à Toulouse le 25 avril 1862. Œuvres. — En outre
rticle. Journal des Débats, 13 mars 1905. Coussanges (Jacques de),
né
à (?). Œuvres. — Traduction du suédois de : Le D
evue Bleue. — Grande Revue, etc. Curnonsky (Maurice Railland dit),
né
à Angers, le 12 octobre 1873. Œuvres. En collabo
re. — Gil Blas (1894). — L’Avenir du Tonkin (1904). Dagan (Henri),
né
le 15 février 1870 à Apt (Vaucluse). Œuvres. — E
, Mercure de France, L’Européen, L’Aurore, etc. Danville (Gaston),
né
à Toul le 18 novembre 1870. Œuvres. — D’une théo
ique. — Mercure de France. — Revue Philosophique. Dauguet (Marie),
née
à La Chaudeau (Haute-Saône). Œuvres. — À Travers
15 mars 1901. Delbousquet (Emmanuel, Bernard, Philippe, Frédéric),
né
à Sos en Albret le 27 avril 1874. Œuvres. — En l
rigourdine, mars 1905, etc. Delisle (Henri-Louis-Charles Routier),
né
à Amiens le 8 juillet 1878. Œuvres. — Chansons D
e des poètes lyriques français, Verviers, 1904. Demolder (Eugène),
né
à Bruxelles le 16 déc. 1862. Œuvres. — Impressio
me. — Les Arts de la Vie. — Et Insel (Munich). Derennes (Charles),
né
le 4 août 1882 à Villeneuve-sur-Lot. Œuvres. — L
lume. — Le Journal. — L’Auto. — La Revue de Paris. Despax (Émile),
né
à Dax. (Landes), le 14 sept. 1881. Œuvres. — Au
— Ermitage. — La Plume. — Renaissance Latine. Deubel (Léon-Louis),
né
le 22 mars 1879, à Belfort. Œuvres. — La Chanson
i 1904. — Louis Thomas. L. D. Psyché, mars 1906. Ducoté (Édouard),
né
à Douai le 29 octobre 1870. Œuvres. — La premièr
, Les Poètes du Nord, Ollendorff, 1902, in-18. Dujardin (Édouard),
né
le 10 novembre 1861, à Saint-Gervais (Loir-et-Che
des Idées, 1904. Erlande (Albert-Jacques Brandenburg, dit Albert),
né
à Marseille le 1er septembre 1878. Œuvres. — Ode
in-18, Ollendorff, 1905 (Prix Goncourt en 1905). Faure (Gabriel),
né
à Tournon (Ardèche), le 15 mai 1877. Œuvres. — B
e, in-18, 1905. Ferval (Baronne Aimery de Pierrebourg dite Claude)
née
à Âgen le 15 juin 1856. Œuvres. — L’Autre Amour,
in-18. — Vie de Château, Fasquelle, 1904, in-18. Fleury (Albert),
né
en 1875 en Lyon. Œuvres. — Paroles vers elle, po
Mercure de France, Revue Blanche, Gallia, La Plume. Fons (Pierre),
né
le 16 juillet 1880, à Toulouse. Œuvres. — Songes
ens. Anthologie-Revue, juillet 1904. Gachons (Jacques Peyrot des),
né
le 31 janvier 1868, à Torcé (Sarthe). Œuvres. —
etc. À consulter. — Ermitage, décembre 1898. Garnier (Paul-Louis),
né
à Paris le 3 juin 1879. Œuvres. — Poèmes, 1896,
). — De Paul Boncour (Figaro, 1904), etc., etc. Gasquet (Joachim),
né
le 31 mars 1873 à Aix-en-Provence. Œuvres. — L’E
L’Effort. Gaubert (Ernest-Augustin Gaubert de Valette de Favier),
né
à Saint-André de Sangonis (Hérault), le 28 janvie
re, Marseille ; M. Manuel, Paris. Gossez (A.-M., Marius-Alphonse),
né
à Lille le 27 mars 1878. Œuvres. — Poètes du Nord
Provinciale, Le Midi Mondain, 7-13 mars 1903. Gourmont (Jean de),
né
à Mesnil-Villemau, le 23 janvier 1877. Œuvres. —
ekly critical Review. — Emporium. Grappe (Georges Pierre-François)
né
à Paris le 1er juillet 1872. Œuvres. — S. H. New
, Le Gaulois, Journal des Débats, La Presse, etc. Gregh (Fernand),
né
à Paris le 14 oct. 1873. Œuvres. — La Maison de
. — Revue Encyclopédique 1897. — Photo-Gerschel. Guérin (Charles),
né
à Lunéville le 29 décembre 1873. Les œuvres. — F
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né
le 22 mars 1879. Œuvres. — M. et Mme Taste, comé
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née
à Jérusalem en 1875. (A obtenu en 1905 le prix de
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née
en avril 1884 à Paris. Œuvres. — Des Rêves et des
Hennique), Revue illustrée, 15 avril 1905. Hirsch (Charles-Henry),
né
à Paris le 18 avril 1870. Œuvres. — Légendes Naï
re, Charles-Henry Hirsch, Gil Blas, 9 juin 1901. Hortala (Pierre),
né
en décembre 1881 à St-Gervais-sur-Mare (Hérault).
oinette de Heredia (Mme Henri de Régnier), en littérature Gérard d’),
née
à Paris le 20 décembre 1875. Œuvres. — L’Inconst
, Les Samedis Littéraires, t. II, 1904, Perrin, éd. Hubert (Paul),
né
en 1872 à Juvignac (Hérault). Œuvres. — Verbes M
e, Béziers, 1903, in-18. Humières (Robert-Aymeric-Eugène, Vte d’),
né
le 2 mars 1868 au château de Couros, près Aurilla
de France. — Revue des Revues, etc. Jaloux (Edmond-Adrien-Marie),
né
à Marseille le 19 juin 1878. Œuvres. — Une Âme d
r. de Miomandre : Edmond Jaloux. Ermitage, 1904. Jammes (Francis),
né
à Tournay (Hautes-Pyrénées), le 2 décembre 1868.
derniers volumes à la Soc. du Mercure de France). Jarry (Alfred),
né
à Laval (.Mayenne), le 8 septembre 1873. Œuvres.
t Libre, La Plume, Renaissance latine. Klingsor (Tristan Leclère),
né
en 1874. Œuvres. — Triptyque de Châtelaine, poés
n-18. Mercure de France, 1900. Kolney (Fernand), Pochon de Colnet,
né
à Paris le 27 mai 1868. Œuvres. — Contes Bibliqu
lume, L’Action, Le Mercure de France. La Boissière (Félix Sonier),
né
le 12 janvier 1865 à Tournon-sur-Rhône. Œuvres.
e (ancienne Revue des Revues) 1er janvier 1906. Lacuzon (Adolphe),
né
à Valenciennes en 1870. Œuvres. — Éternité, préc
re La Forge : Masque, 1901. Lafage (Léon, pseudonyme A. Le Hêtre),
né
à St-Vincent, rive d’Olt (Lot), le 5 décembre 187
igeant, Ermitage, La Presse, Petit Parisien, etc. Lafargue (Marc),
né
le 20 mai 1876. Œuvres. — Le Jardin d’où l’on vo
uet, L’Âge d’or, La Plume, 1903. Lafayette (Olivier, Calemard de),
né
en 1878 près du Puy-en-Velay. Œuvres. — Le Rêve
Gaubert, Bibliographie, Anthologie-Revue 1904. Lantoine (Albert),
né
à Arras le 31 janvier 1869. Œuvres. — Pierres d’
s bio-bibliographiques, Ollendorff, 1903, in-18. Lapaire (Hugues),
né
le 26 août 1869 à Saucoins (Cher). Œuvres. — L’A
— Revue Bleue. — L’Énergie Française. Larguier (Cæsar-Albin-Léo),
né
à la Grand’ Combe (Gard), le 6 décembre 1878. Œu
nce Latine. Petit Méridional, 1904. La Rochefoucauld (Gabriel de),
né
à Paris le 13 septembre 1875. Œuvres. — L’Amant
Figaro, le Gaulois, Gil Blas, la Revue. Lavergne (Antonin-Pierre),
né
à Aniane (Hérault) le 5 juin 1863. Œuvres. — Par
e de Paris, Après l’École, Revue des Revues, etc. Léautaud (Paul),
né
à Paris le 18 janvier 1872. Œuvres. — Poètes d’a
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né
à la Neuville-Vault (Oise), le 26 novembre 1869.
rmont, Chronique, Revue des Idées, 15 février 1905. Lebey (André),
né
le 10 août 1877 à Dieppe (Seine-Inférieure). Œuv
France, Ancien Ermitage, Renaissance Latine, etc… Leblond, Marius,
né
en 1877 et Ary en 1880 à l’Île de la Réunion. Œu
lonisation française, La Presse, juillet 1904. Le Blond (Maurice),
né
à Niort le 26 février 1877. Œuvres. — Essai sur
resse, L’Aurore, Gil Blas, Revue des Revues, etc… Le Brun (Roger),
né
à Paris le 29 juin 1877. Œuvres. — Ermette Zacco
t dramatique. — Revue illustrée, etc. Leconte (Sébastien Charles),
né
à Calais le 22 octobre 1865. Œuvres. — Œuvres dé
chure in-18, 1904, impr. Cariage, Besançon. Lemaître (Mme Claude),
née
à Saintes en 1873. Œuvres. — Ma Sœur Zabette, ro
ouvelle Revue, Illustration, Écho de Paris. Lichtenberger (André),
né
à Strasbourg le 29 nov. 1870. Œuvres. — Le Socia
ris, Revue des Deux Mondes, Le Temps, Les Débats. Lœwengard (Pol),
né
à Lyon. Œuvres. — Les Pourpres Mystiques, poèmes
est Charles. Les Poètes, Revue Bleue, juillet 1905. Lumet (Louis),
né
à Issoudun, 8 janvier 1872. Œuvres. — Contre ce
es, Les Samedis Littéraires, 1902, Perrin, in-18. Magre (Maurice),
né
à Toulouse le 2 mars 1877. Œuvres. — Éveils, poé
5 sept. 1903., Revue illustrée, 15 avril 1905. Maindron (Maurice),
né
à Paris le 7 février 1857. Œuvres. — Le Tournoi
rousse, La Revue illustrée, Revue Blanche, etc. Marinetti (F.-T.),
né
à Alexandrie d’Égypte le 22 décembre 1878. Œuvre
oesia (fond.). Marival (Marie-Louis-Raymond-Vaissié, dit Raymond),
né
le 10 décembre 1866 à la Capelle-Marival (Lot).
ec Jean Viollis) publié à la Grande France, 1903. Mercier (Louis),
né
à Coutances (Loire) en 1870. Œuvres. — L’Enchant
boration. — Revue de Paris, Ermitage, etc… Miomandre (Francis de),
né
à Tours en 1880. Œuvres. — Les Reflets et les So
le Revue, Mercure de France, Art moderne, etc… Mithouard (Adrien),
né
à Paris en 1864. Œuvres. — Rigalume, 1888 (C. H.
re parus en 1903 (novembre) dans l’Art moderne. Montfort (Eugène),
né
à Paris le 7 février 1877, un des promoteurs du m
auze : Carnet du Liseur, Gaulois, 18 juillet 1904. Morel (Eugène),
né
à Paris en 1869. Œuvres. — L’Ignorance acquise,
901 à 1903), Nouvelle Revue, etc. Mouquet (Jules-Georges-Édouard),
né
à Lille le 28 nov. 1878. Œuvres. — Nocturnes Sol
émicycle, la Revue Septentrionale. Muchart (Henry-Joseph-Mathieu),
né
le 4 mars 1873 à Arles-sur-Tech (Pyrénées-Orienta
ion. — L’Ermitage, L’Effort, La Revue Provinciale. Méré (Charles),
né
à Marseille le 29 janvier 1883. Œuvres. — Races
Écrits pour l’Art, Revue Blanche, La Plume, etc. Nervat (Jacques),
né
à Périgueux le 3 juillet 1875. Œuvres. — Cantiqu
ation avec Mme Marie Nervat. Nervat (Marie Caussé, — Mme Jacques),
née
à Bordeaux le 26 juillet 1875. Œuvres. — En outr
eth de Bassaraba de Brancovan, (Maison Bibesco) comtesse Mathieu de),
née
à Paris, le 15 novembre 1876. Œuvres. — Le Cœur
e 1904. Photographies, — Otto, Henri Manuel. Périlhou (François),
né
à Lavelanet (Ariège). Œuvres. — Andrée, comédie
fort, La Petite République, etc… Payen (Albert-Liénart dit Louis),
né
à Alais (Gard), le 13 décembre 1875. Œuvres. — V
, Les Poètes, La Plume, 15 février 1901. Philippe (Charles-Louis),
né
en 1876. Œuvres. — Quatre histoires de Pauvre Am
e, Le Canard sauvage, La Renaissance Latine. Pilon (Edmond-Louis),
né
à Paris le 19 novembre 1874. Œuvres. — Les Poème
ctionnaire qui termine ce rapport). Pioch (Georges-Jules-Charles),
né
à Paris le 10 octobre 1874. Œuvres. — La Légende
Mendès : Rapport sur le mouvement poétique, etc… Polti (Georges),
né
à Providence (Rhode Island, U. S. A). Œuvres. —
ittérature dramatique. Mercure de France, juin 1897. Puaux (René),
né
le 18 août 1878 à Montivilliers (Seine-Inférieure
8. Querlon (Pierre-Marie-Armand Peyrot des Gachons dit Pierre de),
né
à Valençay (Indre) le 10 avril 1880. Œuvres. — L
d Pilon, Pierre de Querlon, Anthologie-Revue, 1904. Reboux (Paul),
né
à Paris le 21 mai 1877. Œuvres. — Les Matinales,
pe Coloniale, Le Journal, Les Lettres, etc. Régismanset (Charles),
né
à Paris le 22 juillet 1877. Œuvres. — Sensations
rticle, La Balance, Moscou, 1er novembre 1904. Des Rieux (Lionel),
né
à Neufchâteau (Vosges), le 20 novembre 1870. Œuv
— Enquête sur la Monarchie, Figaro, septembre 1900. Rigal (Henri),
né
à St-Chinian (Hérault), le 15 février 1883. Œuvr
ult, 1 vol., Béziers, J. Fabre, 1903, in-18. Rivoire (André-Paul),
né
à Vienne (Isère), le 5 mai 1873. Œuvres. — Les V
etie. Chronique, Le Bon Sens, mai 1906. Scheffer (Robert-Édouard),
né
à Colmar (Alsace), le 6 février 1865. Œuvres. —
Mercure de France, La Plume. — Le Damier (fond). Séché (Alphonse),
né
à Nantes en 1876. Œuvres. — L’Art Dramatique, et
ance, La Revue Illustrée, L’Art du Theâtre, etc. Segard (Achille),
né
à Roubaix le 4 avril 1872. Œuvres. — Symbolistes
ceaux choisis et bibliographies, Ollendorff, 1902. Souchon (Paul),
né
le 15 janvier 1874 à Laudun (Gard). Œuvres. — Él
me, L’Effort, Le Mercure de France. Toulet (Paul-Jean, dit P.-J.),
né
à Pau le 5 juin 1867. Œuvres. — M. du Paur, homm
Soleil, La Renaissance latine, La Revue Illustrée. Tudesq (André),
né
à Alais le 28 janvier 1883. Œuvres. — La Vie, po
e Paris et Champagne, Mercure de France, etc. Valmy-Baysse (Jean),
né
à St-Médard-en-Jalle (Gironde), le 3 juillet 1874
almy-Baysse. Nouvelle Revue Moderne, février 1903. Varenne (Marc),
né
le 4 septembre 1877 à Nérac (Lot-et-Garonne). Co
d-Ouest, Le Petit Méridional, La Revue Illustrée. Vernon (Yvonne),
née
le 25 octobre 1883 à Paris. Œuvres. — Terres de
ages, La Plume, 1er août 1905. Vernon (Louis-Chouart, dit Pierre),
né
à Vernon (Saône-et-Loire), le 17 décembre 1866.
ir, L’Indiscret, Lectures Modernes, Vie Populaire. Vignaud (Jean),
né
à Saintes le 26 septembre 1875. Œuvres. — L’Accu
, conférence, Bibl. de l’effort, Paris, 1901. Visan (Tancrède de),
né
à Lyon le 16 décembre 1868. Œuvres. — Paysages I
ivres, La Plume, Vers et Prose, Écrits pour l’Art. Vivien (Renée),
née
en 1877. Œuvres. — Études et Préludes, poèmes, A
905. Willy (Colette-Claudine-Colette, Mme Henry Gauthier Villars),
née
à St-Sauveur-en-Puisaye (Yonne). Œuvres. — Dialo
bliothèque indépendante, 1895, in-18 (illustrations). Yaki (Paul),
né
à Toulouse le 4 mars 1883. Œuvres. — La Belle Pa
’Égypte, etc. Zuylen de Nyevelt (Hélène de Rotschild, baronne de),
née
à Paris en 1868. Œuvres. — Effeuillements, poème
llaboration. — Je sais tout, août 1905. APPENDICE Gide (Paul-André),
né
à Paris en novembre 1869. Œuvres. — Cf. Bibliogr
— La Plume, Mercure de France, L’Ermitage, etc… Hauser (Fernand),
né
à Toulon (Var), le 18 décembre 1869. Œuvres. — L
on avec Jean Laurenty (Théâtre Libre, 1896). Hervier (Paul-Louis),
né
à Limoges, le 21 juin 1882. Œuvres. — Le Mort qu
n’ont donné à la France de poètes de premier ordre, car Verlaine est
né
à Metz par hasard. C’est une consolation pour Mar
e M. Jacques Chaumié ? Jules Bertaut L’absence de grands poètes
nés
dans le midi de la France se peut expliquer par l
e Castres et de Lombez, comme parlait Laurent Tailhade, lequel, étant
né
à Tarbes, était fort qualifié pour railler l’acce
, Malherbe, Baudelaire et Ronsard et quelques autres ne fussent point
nés
au-dessous de la Loire, M. Decalandre entreprit d
s au génie français que les gens de Languedoc ? Cela dit, pourquoi ne
naîtrait
-il pas de génie français dans le Midi, malgré les
ésie anglaise : d’inestimables trésors. Signoret était méridional. Il
naquit
à Lançon. Son buste, sculpté par de Groux, honore
nçal, la Normandie se refuse à son tour à l’abandon de Clément Marot,
né
à Cahors, il est vrai, mais d’un père normand. La
Corneille, son Hugo et son Musset. Or, rien ne prouve qu’ils ne leur
naîtront
pas un jour ; et, puisque les Normands ont attend
ionaux que j’admire. Je ne la laisserai pas tomber. Il n’y aurait eu,
né
en Occitanie, aucun poète valable entre Chénier,
le que vous imposez ; je m’arrête, non à ceux qui en 1880 ne sont pas
nés
, mais à ceux qui, en 1880, n’ont pas produit enco
ue se serait-elle, alors, retrouvée ? Et je ne veux citer ni Laforgue
né
à Montevideo, de père tarbais, ni Mikhaël, toulou
faudrait voir dans l’énorme supériorité du nombre de grands écrivains
nés
dans la France du Nord un effet de l’histoire mêm
vain ne signifie pas grand’chose. Ainsi mon frère et moi, nous sommes
nés
à Valence-sur-Rhône : mais notre père était origi
ormands appartenant à la même région, donc normand ; notre mère était
née
à Valence, d’un père lorrain et d’une mère dauphi
aumié. Ainsi, il cite comme faisant exception à sa loi, Clément Marot
né
à Cahors ; mais le père de Clément Marot, lui-mêm
, c’est que dès le xve siècle on trouve de charmants poètes français
nés
en pays d’oc, et qui ne donnent déjà point l’impr
s une autre langue que la leur ; il y a par exemple Martial de Paris,
né
en Auvergne. Au xvie siècle, sans parler de Clém
, sans parler de Clément Marot dont le père était normand, et qui est
né
à Cahors, nous trouvons non seulement Agrippa d’A
t qui est né à Cahors, nous trouvons non seulement Agrippa d’Aubigné,
né
à Pons, mais des poètes comme Olivier de Magny, n
Agrippa d’Aubigné, né à Pons, mais des poètes comme Olivier de Magny,
né
à Cahors, Gilles Durant, à Clermont ; au xviie T
e d’en administrer une seconde preuve en publiant la liste des poètes
nés
dans certaines provinces du Nord. On verrait que
. M. Jacques Chaumié n’affirmera pas, sans doute, que tous les poètes
nés
à Paris appartenaient à des familles originaires
difficile de nier que M. Chaumié n’ait à peu près raison. Villon est
né
à Paris, Ronsard en Vendômois, du Bellay en Anjou
ènes. M. Jacques Chaumié fait remarquer qu’Agrippa d’Aubigné est bien
né
dans une province de latitude assez méridionale,
ieu de naissance. M. Jacques Chaumié avoue lui-même qu’André Chénier,
né
à Constantinople, était fils d’un père marseillai
père marseillais et d’une mère grecque : il aurait tout aussi bien pu
naître
à Marseille. La Réunion, où est né Leconte de Lis
: il aurait tout aussi bien pu naître à Marseille. La Réunion, où est
né
Leconte de Lisle, n’est pas une île fort septentr
réfugiés de la révocation de l’édit de Nantes. Pour d’autres poètes,
nés
de ce côté de la Loire, nous ignorons peut-être c
point. Même s’il est vrai que tous les grands poètes français soient
nés
dans le nord de la France, il paraît impossible d
Mistral. Cette théorie se heurte encore à la même objection. Quand il
naît
un poète de génie, il sait user de l’instrument q
, avant la tentative de restauration mistralienne. Un poète de génie,
né
en Provence ou en Gascogne, aurait fait avant lui
méricain, M. Francis Vielé-Griffin, et une Roumaine, Mme de Noailles,
née
Brancovan. Toulet Je ne sais trop que répon
ie de croire qu’il eût réussi comme il réussit ? Eh donc ! les poètes
nés
dans le Midi qui ont cru pouvoir rendre en frança
strument de l’éloquence, c’est la langue ; et la nôtre était barbare.
Née
au dixième siècle, composée en partie de la langu
souples et harmonieuses. Mais des peuples ou chasseurs ou guerriers,
nés
sous un ciel âpre et rigoureux, ne pouvaient avoi
t du Tibre fut obligé de converser et de traiter avec celui qui était
né
sur les bords de la Loire ou du Danube. Il est im
oup plus de réputation que de mérite. L’harmonie n’était point encore
née
; l’harmonie, qui est la musique du langage, qui,
re est plus difficile, et il n’est pas donné à tout le monde de faire
naître
l’admiration et le plaisir, en ne présentant que
par un signe la phrase qui était écoulée, appelaient celle qui devait
naître
, remplissaient les intervalles, animaient, vivifi
rfectionnée, ne suffit point. L’éloquence n’est pas de ces fruits qui
naissent
dans tous les sols et sous tous les climats ; ell
ieu et le temps où un homme éloquent puisse sauver sa patrie ? Faites
naître
, si vous le pouvez, à Constantinople, un homme av
ur des Satrapes, forcé de plier à la servitude un caractère qui était
né
pour la liberté, employait tous les jours le pouv
distinctions d’état étant plus marqués, imposent plus de gêne ; de là
naissent
les ménagements et les égards. L’orateur républic
réflexions, de grands intérêts et de sentiments que ces intérêts font
naître
, se forme peu à peu chez un peuple un assemblage
arvenir ; alors elle a l’énergie des grandes passions, qui ne peuvent
naître
que dans l’état violent des sociétés, et elle n’e
epousse ; tout prend le poids que lui donne sa force. L’homme qui est
né
avec de la vigueur n’étant plus arrêté par des co
atisme qui, chez un peuple éclairé, étouffe les lumières, les faisait
naître
chez un peuple ignorant. Enfin, lorsque l’autorit
iècle d’eux-mêmes, elle développa et créa les talents des arts. Alors
naquit
le poète, le peintre, le statuaire, l’orateur. Ch
s ou profondes. Il n’est donc pas étonnant que partout la poésie soit
née
avant l’éloquence : mais on peut dire qu’en la pr
ant l’éloquence : mais on peut dire qu’en la précédant, elle l’a fait
naître
. Elle apprend à l’imagination l’art d’appliquer l
fection de la société et du goût, jointe à celle de la langue, devait
naître
peu à peu celle de l’éloquence. Il y avait une éc
à qui il fut enfin permis d’être roi, développa son caractère, et fit
naître
de grands événements. On vit la France quarante a
puissance, voulut s’y placer par la gloire. L’enthousiasme publia fit
naître
ou perfectionna les talents ; ils se vouèrent tou
x premiers talents de la chaire, tout cela ensemble contribua à faire
naître
et à perfectionner parmi nous les orateurs.
s’écrouler, seroit peut être devenu un Raphaël ou bien un Virgile, si
né
dans une famille honnête, il avoit reçû une éduca
ses talens naturels. Je suis déja tombé d’accord que les hommes, qui
naissent
avec le génie du commandement des armées, ou bien
rtune ne les déterre pas. Mais il n’en est pas de même des hommes qui
naissent
peintres ou poëtes, et c’est d’eux qu’il est ici
s puissans trouvent enfin le moïen d’aborder au rivage. Les hommes ne
naissent
pas ce qu’ils sont à l’âge de trente ans. Avant q
e personne du plaisir sensible que font les vers à tout homme qui est
né
poëte… bien-tôt il fera lui-même des vers. N’avon
querir les connoissances propres à perfectionner son talent. L’enfant
né
avec le génie qui fait les peintres, craïonne ave
talent nouveau dans son art. Si la chose arrive rarement, c’est qu’il
naît
rarement des génies aussi puissans que celui du C
veli, à moins que par une bizarrerie particuliere le hazard ne le fit
naître
parmi les tartares calmucs, ou qu’on ne l’eut tra
ommencer aux cailloux de Deucalion, aux pierres d’Amphion, aux hommes
nés
des sillons de Cadmus, ou des chênes dont parle V
ces hommes perdus, et en fit des passions humaines. De cette idée dut
naître
le noble effort propre à la volonté de l’homme, d
stinctes et lumineuses ? Réfléchissons avec quelle facilité l’on voit
naître
les choses, par suite d’occasions lointaines, et
sance. Observons encore dans l’ordre des choses humaines, comme elles
naissent
au temps, au lieu où elles doivent naître, comme
ses humaines, comme elles naissent au temps, au lieu où elles doivent
naître
, comme elles sont différées quand il convient qu’
ipes. Alors s’expliquera la manière particulière dont les choses sont
nées
, autrement dit, leur nature (axiome 14) ; or l’ex
t ; lesquelles propriétés ne peuvent résulter que de ce qu’elles sont
nées
dans tel temps, dans tel lieu et de telle manière
léchir sur les idées humaines. Pour déterminer l’époque et le lieu où
naquirent
ces idées, pour donner à leur histoire la certitu
iqué par la Science nouvelle, quand même des mondes infinis en nombre
naîtraient
pendant l’éternité ; hypothèse indubitablement fa
formée de l’époque précédente ; j’y range les poëtes et les écrivains
nés
de 1620 à 1626, ou même avant 1620, La Rochefouca
er encore Fléchier, Bourdaloue, etc., etc., tous écrivains ou poëtes,
nés
à dater de 1632, et qui débutèrent dans le monde
tellement limpide et lumineux, que du prochain beau livre qui saurait
naître
, pas un mot immanquablement ne serait perdu, pas
e serait perdu, pas une pensée ne resterait dans l’ombre, et que tout
naîtrait
dans son vrai jour. Conjoncture unique ! éclairci
qui le tenait ouvert à la main s’est dérobé. Jean de La Bruyère était
né
dans un village proche Dourdan, en 1639, disent l
laisir ; toujours disposé à une joie modeste, et ingénieux à la faire
naître
; poli dans ses « manières et sage dans ses disco
auche141. Toutes ses remarques sur les héros et les enfants des Dieux
naissent
de là : il y a toujours dissimulé l’amertume : «
ue rien du temps et des années. Le mérite chez eus devance l’âge. Ils
naissent
instruits, et ils sont plus tôt des hommes parfai
es suivantes. L’excitation et l’irritation de la publicité les firent
naître
sous la plume de l’auteur, qui avait principaleme
t heureux, dans cette première et plus courte forme143. En le faisant
naître
en 1644, La Bruyère avait quarante-trois ans en 8
es Hollandais ne surent jamais bien distinguer de lui144, ces auteurs
nés
copistes qui s’attachent à tout succès comme les
nts lui causer de l’impatience : on a cru que son conseil à un auteur
né
copiste (chap. des Ouvrages de l’Esprit), qui ne
ié, de ce goût qu’elle a et auquel ne peuvent atteindre ceux qui sont
nés
médiocres, on croirait qu’il a renoncé pour elle
plutôt de soupçonner La Bruyère de liberté d’esprit que du contraire.
Né
chrétien et Français, il se trouva plus d’une foi
la pensée de dire autrement, de varier et de rajeunir la forme, a pu
naître
dans un grand esprit ; elle deviendra bientôt che
main pieuse, un œil ami, les allât discerner et détacher. La Bruyère,
né
pour la perfection dans un siècle qui la favorisa
vec toute espèce de voix, d’avoir de la verve à toute heure, que sont
nés
la plupart des défauts littéraires de notre temps
bien des tâtonnements, et d’une manière positive, que La Bruyère est
né
à Paris et y a été baptisé le 17 août 1645. Le re
ît bien qu’il était très-gai par moments. 139. Une pensée inévitable
naît
, de ce rapprochement : Quand La Bruyère et le duc
térature scientifique, dérision et parodie de la science : il ne peut
naître
qu’une littérature artistique. Dès aujourd’hui, c
te ans du romantisme, il y a soixante-dix ans du classicisme : ce qui
naîtra
devra être un naturalisme élargi par la réintégra
. M. E. Lavisse : cf. p. 1068. 949. Le vicomte B. Melchior de Vogué (
né
en 1850) : le Roman russe, 1886, in-8. Souvenirs
tr. 1886 ; les Possédés, 2 vol. in-18, tr. 1886. 954. Léon Tolstoï (
né
en 1828) a renoncé à la littérature d’art, et s’e
ant de volupté, le Triomphe de la mort (1893-95). 956. Henrik Ibsen (
né
en 1828) : les Revenants ; Maison de Poupée ; le
les Voies de Dieu, roman ; Une Faillite, drame. 958. F. Brunetière (
né
en 1849), maître de conférences à l’École normale
lution de la poésie lyrique, Hachette, 8 vol. in-18. 959. E. Faguet (
né
en 1847) : Seizième siècle ; Dix-septième siècle
gédie du xvie siècle, 1 vol. in-8, Hachette, 1883 960. J. Lemaître (
né
en 1853) : les Contemporains, 5 séries, 1886 et s
Trophées, in-8 et in-16. Lemerre, 1893. M. José-Maria de Hérédia est
né
en 1842 à Cuba. Beaucoup de ses sonnets étaient c
964. Vers et Prose, in-18, Perrin et Cie, 1893. 965. Paul Verlaine (
né
en 1844) : Poèmes saturniens, 1866 et 1890. Jadis
ol. ; 1893, 2 vol. in-18. Jean Lahor est le pseudonyme du Dr Cazalis (
né
en 1840). 968. De 1889 à 1894 : Tobie, Noël, la
. Du sang, de la volupté et de la mort, 1894, in-18. 970. M. E. Rod,
né
en 1857, a travaillé dans le même sens que MM. De
des premières places dans le roman contemporain. 973. Henri Becque (
né
en 1837) : les Corbeaux, 1882 ; la Parisienne, 18
un crime. II Le livre commence par cet axiome : « L’homme est
né
libre, et partout il est dans les fers ! » De qu
me libre de J.-J. Rousseau dans l’état de nature. Dire qu’un tel être
naît
libre, n’est-ce pas abuser de la dérision du lang
omme en société que J.-J. Rousseau veut parler ? Mais l’homme isolé y
naît
aussi nécessairement esclave de la société préexi
de la société préexistante, que l’homme isolé dans l’état de nature y
naît
esclave des éléments et des autres hommes ! Escla
éléments et des autres hommes ! Esclave de la Providence, qui le fait
naître
ici ou là, sans qu’il ait choisi ou accepté ni le
ui s’élargit ou qui se ferme pour lui ; esclave de frères ou de sœurs
nés
avant lui, qui en font leur serviteur et leur bêt
aire à celui de ce législateur du paradoxe. Au lieu de lire : l’homme
naît
libre, et partout il est dans les fers, lisez : l
l’homme naît libre, et partout il est dans les fers, lisez : l’homme
naît
esclave, et il ne devient relativement libre qu’à
elle Hospice des enfants abandonnés, pour les punir sans doute d’être
nés
d’un père aussi dénaturé que ce sophiste législat
divin du mot fatal (fatum, destinée), est un acte par lequel l’homme,
né
forcément sociable, se constitue en société avec
la souveraineté. Contemplez la nature. L’homme en a besoin même pour
naître
et avant d’être né. Si Dieu avait voulu que l’hom
mplez la nature. L’homme en a besoin même pour naître et avant d’être
né
. Si Dieu avait voulu que l’homme naquît et vécût
même pour naître et avant d’être né. Si Dieu avait voulu que l’homme
naquît
et vécût isolé, il l’aurait fait enfant de la ter
s irrésistible sociabilité des éléments et des âmes. Il l’aurait fait
naître
dans toute sa force, dans le développement accomp
e la nation debout ; de la république au second empire, second empire
né
des souvenirs de trop de gloire, mais second empi
nt encore que celle des pères, car ces possesseurs ne sont pas encore
nés
pour la défendre eux-mêmes. Il faut leur réserver
opriété héréditaire de leur propre famille. On se demande si les fils
nés
après l’aîné du lit paternel, doivent être déshér
nt, le droit de privilégier dans une certaine proportion les premiers
nés
ou les privilégiés de leur cœur parmi leurs enfan
ntration de la plus grande partie des biens dans la main des premiers
nés
, ainsi que la permanence d’une partie des biens d
le niveau uniforme du champ social ? Doit-elle à chaque individu qui
naît
à chaque seconde du temps, sur la terre, pour y d
lamée par les utopistes de J.-J. Rousseau. Cette politique ne pouvait
naître
que sous la plume d’un prolétaire affamé, trouvan
ent entassés à Delphes pendant six cents ans, et cependant il n’était
né
aucun artiste romain. Semblables aux Tartares qui
ils n’avaient point cette foule de sentiments et d’idées qu’elle fait
naître
, ni ces nuances fines qui les expriment. Enfin, p
mouvements ; cette analogie qui dans la création des signes les fait
naître
les uns des autres, et les enchaîne comme les idé
ient tant à la perfection des langues, et qui chez les Grecs même est
née
après tous les autres arts, naquit si tard dans R
ngues, et qui chez les Grecs même est née après tous les autres arts,
naquit
si tard dans Rome. Malgré les orages de la libert
mme, nous dit Cicéron, « remercia les dieux de ce qu’ils avaient fait
naître
Scipion dans Rome, plutôt que partout ailleurs, p
même ; je ne répéterai point tout ce qui a été dit de ce grand homme.
Né
dans un rang obscur, on sait qu’il devint par son
de César rendit à l’âme de Cicéron toute sa vigueur ; il n’était pas
né
pour avoir un maître et encore moins pour obéir à
la nature ; vous avez su la rendre utile à la patrie. Oui, vous êtes
nés
pour elle. Légion de Mars, vous avez justifié ce
uteur et le ravissent hors de soi… etc. . Ce bonheur est celui d’être
né
avec du génie. Le génie est ce feu qui éleve les
du Parnasse. L’experience prouve suffisamment que tous les hommes ne
naissent
pas avec un génie propre à les rendre peintres ou
nt qu’on les lui ait confiez. Supposant même que le hazard l’ait fait
naître
à une telle distance de ces emplois, qu’il lui so
i des provinces à conduire. On n’a pas voulu donner à celui qui étoit
né
avec le génie de l’architecture, la conduite d’un
n bonne nourriture les préceptes les plus mal digerez. Ce qu’un homme
né
avec du génie fait de mieux, est ce que personne
t pas même besoin d’un maître qui leur montre à les étudier. Un homme
né
avec du génie, peut s’instruire lui-même en deux
ister un moment sans ordre, c’est-à-dire sans dieu, la Providence fit
naître
l’ordre civil avec la formation des cités. Les pè
onitaire des champs dont ils se réservaient le domaine éminent. Ainsi
naquit
la cité, fondée sur un corps souverain de nobles.
ordre naturel se mêlant ainsi de plus en plus à l’ordre civil, on vit
naître
les républiques populaires. Mais comme tout devai
veulent jouir du plaisir brutal, au risque de perdre les enfants qui
naîtront
, et il en résulte la sainteté des mariages, premi
qui commande aux passions, c’est dans les républiques populaires que
naquit
la philosophie ; la nature même de ces république
ueux, ils surent du moins rougir du vice.À la suite de la philosophie
naquit
l’éloquence, mais telle qu’il convient dans des é
, et se met, par un écart de la science, à calomnier la vérité. De là
naît
une fausse éloquence, prête à soutenir le pour et
a monstrueuse nature de leur dernier descendant. Gabriel-Honoré était
né
avec une intelligence prompte et souple, capable
8. N. Lemercier, Du second théâtre français. 629. Maury (1746-1717),
né
à Valréas (Vaucluse), lauréat académique, académi
uis XVI et sa famille après son arrestation à Varennes. 631. Guadet,
né
en 1755 à Saint-Emilion, avocat à Bordeaux, déput
êté à Bordeaux le 29 prairial an II, condamné et exécuté. — Gensonné,
né
à Bordeaux en 1758, avocat, puis juge à la cour d
et à la Convention, fut arrêté et exécuté à Paris en 1793. — Isnard,
né
à Draguignan entre 1750 et 1760, député du Var à
ts, et applaudit en 1804 à l’Empire : il mourut en 1830. — Barbaroux,
né
en 1767, député de Marseille à la Convention, déc
767, député de Marseille à la Convention, décapité en 1794. — Louvet,
né
à Paris en 1700, publia son Faublas de 1787 à 179
9 Thermidor ; il fut élu aux Cinq-Cents, et mourut en 1797. — Buzot,
né
en 1760, député à la Constituante, président au t
andie, passa dans la Gironde, et s’empoisonna. 632. P.-V. Vergoiaud,
né
à Limoges en 1753, avocat à Bordeaux, député à la
on, arrêté le 2 juin 1793, guillotiné en octobre. 633. G.-J. Danton,
né
en 1759 à Arcis-sur-Aube, avocat, ministre de la
, député à la Convention, guillotiné en avril 1794. — M. Robespierre,
né
en 1759 à Arras, député aux États Généraux et à l
s & Littéraires de Montpellier, de Nancy, de Caen & de Rouen,
né
dans le Diocese de Montpellier en 1706. Ses Œuvre
art des Grands, sans en excepter les Princes, semblables à ces arbres
nés
dans le silence, & accrus à l’ombre des forêt
-on sur la terre, sous l’onde, Ou dans les airs, de nouveaux habitans
Nés
du concours des atomes flottans ? Non, cher Damon
it dans la plaine, S’unisse !…. Alors, nos regards curieux En verront
naître
une espece imparfaite, Qui du cheval n’aura point
cessairement sur les mœurs, puisque c’est de ces deux perfections que
naissent
l’ordre & l’appréciation des idées. Lorsqu’on
n semblable, pour se forger un art de tromper !… Songez que vous êtes
nés
pour conserver une intégrité d’ame qui s’avilit b
nt la base des sociétés auxquelles ils appartiennent. — 2. L’histoire
naquit
d’abord, ensuite la poésie. En effet, l’histoire
rieux, et (μῦθος, fable, a été définie par vera narratio). Les fables
naquirent
, pour la plupart, bizarres, et devinrent successi
ompues. — 6. Les caractères poétiques, qui sont l’essence des fables,
naquirent
d’une impuissance naturelle des premiers hommes,
maginaient écrire des histoires véritables, et le Boiardo, l’Arioste,
nés
dans un siècle éclairé par la philosophie, tirère
scène des hommes célèbres encore vivants. Enfin la nouvelle comédie,
née
à l’époque où les Grecs étaient le plus capables
, on le chanta avec ses joies sans retour évanouies. Mais ces chants,
nés
trop tard, n’étaient que des souvenirs d’autrefoi
les épanchements de l’amitié, les inspirations du talent, tout ce qui
naît
spontanément en nous, en naissait revêtu. Jean Se
les inspirations du talent, tout ce qui naît spontanément en nous, en
naissait
revêtu. Jean Second était né poète ; il fit des v
qui naît spontanément en nous, en naissait revêtu. Jean Second était
né
poète ; il fit des vers dès l’enfance, et les fit
rouvait aucun d’assez expressif et qui lui allât à son gré. Qu’il fût
né
aussi bien sous le ciel d’Italie, sans doute il n
nscrits, il est quelques monuments où l’on voit poindre cet esprit et
naître
, pour ainsi dire, cette langue. Ce sont certains
gles, il n’existe aucun monument de ce caractère. Mais ce siècle voit
naître
un certain nombre d’écrits que rien ne distingue
abord beaucoup de mots soit indigènes soit tirés du latin, ou plutôt,
nés
d’une sorte de consentement de l’esprit français
s. La langue des spéculations de l’esprit y est encore tout entière à
naître
. Des siècles s’écouleront avant que nous sachions
hardouin. Le premier dans l’ordre chronologique est Villehardouin.
Né
en Champagne vers le milieu du xiie siècle il pr
; quar tant comme on pooit voir aus iels, ne paroient fors voiles de
nés
et de vaissiaus, si que li cuers de chascun s’en
erçaient sur tous les tons et ébauchaient tous les genres. Joinville,
né
vers 1223, et élevé à la cour de Provins et de Tr
happé à cette ambition. Quelques jours avant son départ, il lui était
né
un fils. Du lundi de Pâques au vendredi des fêtes
en le plus naïf et l’apologiste le plus convaincu de la féodalité. Il
naquit
sur les marches de Flandre, à Valenciennes, sur u
ert de Namur. Il est fort heureux que l’idée de la patrie ne soit pas
née
en ce temps-là ; elle n’eût profité, comme la pai
me la paix, qu’à la féodalité. Mais la féodalité ne pouvait pas faire
naître
cette idée, parce que la suzeraineté impliquait l
prince Noir. Il rappelle qu’étant à Bordeaux, le jour où ce roi était
né
, messire Richard de Ponchardon, maréchal d’Aquita
rgée d’épithètes et de synonymes. Le plaisir de translater et de voir
naître
sous sa plume de beaux mots, qui fussent les égau
ends, peut-être, à quelques-uns de ceux qui lisent cette histoire. Il
naquit
à Alost, en Flandre, en 1404. La plupart des chro
lles de Flandre et des ducs de Bourgogne, leurs suzerains les lettres
naissent
partout où une civilisation quelconque les abrite
oit ce don de Dieu en son aspect, que oncques nul qui ennemy lui fust
né
le regarda, qu’il ne s’en contentast. Ne parloit
isan et George Chastelain ne firent en effet qu’ajuster la rhétorique
née
des derniers raffinements de la littérature latin
et l’eau, et chaque jour le vent nous éloigna du pays où nous étions
né
. Est par là vous fais-je voir que celui-là est bi
autres tout profanes, que chaque circonstance et chaque année faisait
naître
. On n’en trouve guère avant la mort de Mazarin :
rniers hommages sur sa tombe. Par une loi éternelle, tout prince doit
naître
, vivre, mourir, et être enterré au bruit des élog
ant un temps, cette administration pénible et forcée pendant l’autre,
naquit
des mêmes principes ; tout fut enchaîné. Louis XI
armées, étaient fiers de le servir, devaient, par leur exemple, faire
naître
d’autres grands hommes pour le combattre ; que to
t d’un grand homme ; Louvois, dont l’esprit étendu et prompt semblait
né
pour la guerre, et servit son maître en désolant
té de ses enfants ; que chaque portion qu’il cède à l’État, lui fasse
naître
l’idée de l’utilité publique ; que chaque portion
able de grandes choses, sut profiter des circonstances sans les faire
naître
, qui, avec des défauts, déploya néanmoins toute l
t de sa familiarité Virgile, Horace et Tite-Live, honorait des hommes
nés
tous citoyens comme lui : les proscriptions seule
scriptions seules avaient décidé s’ils auraient un maître. Louis XIV,
né
à la tête d’une monarchie, où par la constitution
es années depuis Pascal, qui se reconnaît dans les pensées d’un homme
né
trois mille ans avant lui, sous un autre ciel, da
ue ? C’est, si je puis ainsi parler, un expédient de l’esprit humain,
né
tout à la fois de l’ignorance qui lui est insuppo
rencontre avec la philosophie dans la scolastique ; et de ce mélange
naît
un nombre infini de propositions scolastico-théol
des misères de l’homme, l’humanité sera mieux comprise, et l’on verra
naître
la science de la morale chrétienne, qui en est, p
plis du cœur ; d’un mot, elle règle toute une suite de mouvements qui
naissent
les uns des autres ; une même prescription s’éten
n a. Les grands hommes dans l’ordre des choses de l’esprit ne peuvent
naître
que dans une société qui a des idées générales, à
les, faute d’avoir passé par les épreuves qui en sont le prix, s’il y
naît
un homme supérieur ou bien il se jette dans de fo
belle à tout ce que l’esprit français ne doit pas s’assimiler, semble
naître
ou plutôt mûrir tout à coup, pour exprimer tout c
latin, s’obscurcissent encore dans la traduction mais une langue vive
naît
tout aussitôt pour exprimer tout de qui sort de s
onc vainement dans les grands clercs du moyen âge des idées générales
nées
de la connaissance profonde du passé et de la com
ns en les séparant de ses circonstances personnelles ; elles ont fait
naître
la pensée, mais la pensée est plus forte qu’elles
er à l’ambition et à la vanité,) mais ces attachements purs et vrais,
nés
du simple choix du cœur dont l’unique cause est l
fections abandonnées, ils sont heureux ; mais que de douleurs peuvent
naître
de la poursuite de tels biens ! Deux hommes, dist
s se classer : je ne parle pas des rivalités perfides, qui pourraient
naître
d’une concurrence quelconque, je me suis attachée
t semblables. Quelles tristes pensées, ces analyses ne font-elles pas
naître
sur la destinée de l’homme ! Quoi, plus le caract
usqu’à l’égoïsme du sentiment. Contentez-vous d’aimer, vous, qui êtes
nés
sensibles ; c’est là l’espoir qui ne trompe jamai
cissaient à la fois les esprits et les âmes, on vit paraître un homme
né
avec une imagination brillante et forte, et à qui
eut-être, pour avoir les plus grands talents, il ne manqua que d’être
né
dans un autre siècle : c’était Claudien. Je le no
ici, parce qu’il a été l’auteur de plusieurs panégyriques en vers. Il
naquit
à Alexandrie, beaucoup plus renommée alors par so
dessous des unes ; peut-être même ne pouvait-il atteindre aux autres.
Né
à Lyon en 430, évêque de Clermont en 472, il mour
cités, depuis le règne de Dioclétien, était originaire des Gaules. Il
naquit
en 473 et se nommait Ennodius. Il se maria, entra
vent pas penser, ni par conséquent produire les idées. Les idées sont
nées
avec notre âme, et ne font que s’appliquer, penda
« — Elle le pourrait. « — N’est-ce point parce que l’injustice ferait
naître
entre eux des séditions, des haines et des combat
nt philosophes que quand ils ont cessé d’être hommes : « Les hommes,
nés
et élevés comme nous avons dit, n’ont rien de mie
est à peine déguisé sous les mots : « Les enfants, à mesure qu’ils
naîtront
, seront remis entre les mains des hommes et des f
le reste sera commun ? « D’où viendraient toutes les dissensions qui
naissent
parmi les hommes à l’occasion de leurs biens, de
me, selon moi, à ceux du genre humain, et jamais notre État ne pourra
naître
et voir la lumière du jour. « Voilà ce que j’hési
s suffisamment bien accouplé les pères et les mères des générations à
naître
. XIX Il traite ensuite épisodiquement des f
oyen d’une loi révoltante, au même nombre par l’immolation des hommes
nés
en dépit de la loi ; Les arts, proscrits de cette
us les siècles. Que nous disent ces instincts, depuis que l’homme est
né
de la femme, pour enfanter à son tour dans son un
aux de nos jours, destructeurs en idée de la propriété, dont ils sont
nés
et dont ils vivent, Platon défend aux membres de
disons plus juste, le droit de son appropriation. Mais, quand il a vu
naître
des fils de ses fils, et que sa famille, en s’éte
famille subsistera sur la terre, c’est-à-dire à perpétuité. De là est
née
, non d’une usurpation ou d’un caprice, mais de là
. De là est née, non d’une usurpation ou d’un caprice, mais de là est
née
d’une nécessité et d’un droit, l’hérédité de la p
de maximum de population au-dessus duquel il serait défendu de faire
naître
ou d’élever les enfants ! Si c’est là de la divin
rt pour leur infirmité et pour leur faiblesse ; comme les enfants mal
nés
, condamnés à être égarés dans les lieux sombres !
fugier contre ses anarchies dans la servitude. L’empire romain devait
naître
et mourir en peu de temps. XXXV La nécessit
aiguës ses perceptions et ses mélancolies. Sa vocation littéraire est
née
de l’idée que le livre seul pouvait fixer dans un
l’absolue spontanéité. 905. Biographie : G. Flaubert (1821-1880),
né
à Rouen, fils d’un chirurgien, passa la plus gran
e Salammbô. Cf. ibid., la lettre à Sainte-Beuve. 907. M. Émile Zola (
né
en 1840). Principales œuvres : Contes à Ninon (18
dualité, et au contraire, puissante vérité typique. 910. MM. Edmond (
né
en 1822), Jules (1830-1870) de Goncourt : Idées e
sulter : P. Bourget, Essais de psychologie. 911. M. Alphonse Daudet (
né
à Nimes en 1840) débute par un volume de vers, le
, 14 vol. in-18 ; Théâtre, 5 vol. in— 18. 914. M. Victor Cherbuliez (
né
en 1829). Un Cheval de Phidias (1860), le Prince
personnage humoristique d’Eusèbe Furette). 916. M. Ferdinand Fabre (
né
en 1830 à Bédarieux) : l’abbé Tigrane (1873), Den
oncle Célestin (1881) ; Ma vocation (1889). 917. M. Émile Pouvillon (
né
en 1840 à Montauban) : l’Innocent (1884), Jean-de
1884), Jean-de-Jeanne (1886), les Antibel (1892). 918. M. A. France (
né
en 1844) ; le Crime de Sylvestre Bonnard (1881) ;
a reine Pédauque (1893) ; Le Lys rouge (1894). 919. M. Paul Bourget (
né
en 1852). Principaux romans : Cruelle Énigme (188
nsulter : R. Doumiec, Écrivains d’aujourd’hui. 920. M. Julien Viaud (
né
à Lorient en 1850) ; le Mariage de Loti (1880), d
mait tendrement ce fils, en qui il ne voyait qu’un facile successeur.
Né
en septembre 1736, aux galeries du Louvre, vers l
légèreté qui sont inséparables de notre nation, et la philosophie qui
naissait
pour suppléer à tout ce que nous perdions. Tout
me qui les sépare. Bailly ne fait pas la comparaison, mais il la fait
naître
chez ceux qui, sachant leur Pascal, rencontrent u
La dernière moitié du xviiie siècle, dit M. Martin68, a vu, non pas
naître
, mais se développer avec une faveur toute nouvell
hant qui ne produit pas, j’en conclurai que c’est un animal étranger,
né
sous un ciel plus chaud. Quand je trouverai chez
s hommes, en se multipliant ainsi, se sont rapprochés ; la guerre est
née
de leur rencontre, et la destruction a suppléé bi
ls les deux partis chantent le Te Deum. Il faut l’avouer, nous sommes
nés
pour les préjugés, bien plus que pour la vérité ;
é que le pays des belles nuits était le seul où l’astronomie avait pu
naître
; l’idée que notre pauvre globe avait été autrefo
t tranquilles. Le vertueux Mairan, qui a aperçu le feu central, était
né
pour les champs Élysées, où sa philosophie douce
une lutte généreuse. Mais nous, qui avons commence à penser en 1830,
nés
sous les influences de Mercure, le monde nous est
iodes primitives et sous le règne du chaos. Les monstres ne sauraient
naître
sous le paisible régime d’équilibre qui a succédé
ant invariablement les mêmes vicissitudes ; s’il ne s’agissait que de
naître
, de vivre et de mourir d’une manière plus ou moin
’arbitraire 187. « Cette liberté formaliste, a dit M. Villemain, fait
naître
plus de tracasseries que de grandes luttes, plus
ini ; il y a des vues qui vont comme un trait au-delà du but. Il peut
naître
chez les races fortes et aux époques de crise des
et ouvertes à d’autres combinaisons. Mais assurément ces monstres ne
naîtront
pas dans notre petit train ordinaire. Une concept
aires les plus exaltés. Il faut donc s’y résigner : les belles choses
naissent
dans les larmes ; ce n’est pas acheter trop cher
la beauté que de l’acheter au prix de la douleur. La foi nouvelle ne
naîtra
que sous d’effroyables orages et quand l’esprit h
rt de parler sur-le-champ avec la plus grande facilité. Cet art était
né
dans les plus beaux siècles de la Grèce, et conve
angue féconde et facile semblait courir au-devant des idées. Gorgias,
né
en Sicile, avait le premier donné cet exemple dan
rvir leur imagination ; l’exercice habituel de la parole, d’où devait
naître
l’habitude de lier rapidement des idées ; des méd
et active, leur donnait cette espèce d’inquiétude et de mouvement qui
naît
de la faiblesse jointe au souvenir de la force. Q
au souvenir de la force. Qu’on pense au genre d’éloquence qui devait
naître
d’une telle situation, et du caractère d’un peupl
s villes grecques à une certaine mollesse. La corruption du goût, qui
naît
des vices et des passions fortes, est différente
ui naît des vices et des passions fortes, est différente de celle qui
naît
du défaut d’énergie, et de l’oisiveté qui s’amuse
on : Calmann Lévv, 10 vol. in-8, 1878-79 897. Offenbach (1819-1881),
né
à Cologne 898. M. Ludovic Halévy (né en 1834), a
79 897. Offenbach (1819-1881), né à Cologne 898. M. Ludovic Halévy (
né
en 1834), a écrit Orphée aux enfers (1861), puis,
né en 1834), a écrit Orphée aux enfers (1861), puis, avec M. Meilhac (
né
en 1832), la Belle Hélène (1863), la Grande-Duche
verses comédies d’une fantaisie originale. 899. M. Victorien Sardou (
né
en 1831) a donné sa première pièce en 1834. Princ
x premiers actes de diverses pièces. 901. Emile Augier (1820-1989 ;,
né
à Valence (Drôme), fit jouer en 1844 la Ciguë. Le
utez Mme Caverlet (1875) : la question du divorce. 903. M. A. Dumas (
né
en 1824), fils du fameux dramaturge et romancier,
que façon Teniers au nombre des peintres dont je parle, quoiqu’il fût
né
en Brabant, parce que son génie l’a déterminé à t
re pour la composition et pour l’expression. M. de La Fontaine étoit
né
certainement avec beaucoup de génie pour la poësi
talens naturels, mais c’est quand on étudie un art pour lequel on est
né
. … etc., dit Quintilien. Tel peintre demeure conf
habile dans des genres de la peinture, pour lesquels il n’étoit point
né
, et qui lui a fait négliger les genres de la pein
d’un artisan, que des ouvrages d’un genre, dans lequel il n’est point
né
pour réussir. L’émulation et l’étude ne sçauroien
DUPLEIX, [Scipion] Historiographe de France,
né
à Condon en 1569, mort dans la même ville en 1661
ierre-Samuel] des Sociétés d’Agriculture de Soissons & d’Orléans,
né
à Paris en 1739 ; Auteur de plusieurs Ouvrages su
MAUR, [Nicolas-François] Maître des Comptes, de l’Académie Françoise,
né
à Paris, mort en 1774. L’estime générale a déjà c
Général Honoraire de Police de Nancy, de l’Académie de la même ville,
né
à Commercy en 1713. Après avoir donné plusieurs O
MALHERBE, [François de]
né
à Caen en 1556, mort à Paris en 1628. C’est ainsi
ix que toutes choses Succedent * selon nos désirs. Comme au printemps
naissent
les roses, En la Paix naissent les plaisirs. n’e
* selon nos désirs. Comme au printemps naissent les roses, En la Paix
naissent
les plaisirs. n’est-ce pas être né vraiment Poët
ssent les roses, En la Paix naissent les plaisirs. n’est-ce pas être
né
vraiment Poëte ? N’est-ce pas joindre la force de
’on croit, selon la nature de l’esprit et des combinaisons qu’il fait
naître
. Après avoir bien établi que la foi est une facul
ie. La rapide succession des événements, les émotions qu’elle faisait
naître
, causaient une sorte d’ivresse produite par le mo
é la mort par le dégoût de l’existence, mais nous avons vu des femmes
nées
timides, des jeunes gens à peine sortis de l’enfa
ns pour valoir à lui seul la jouissance de les dispenser de nouveau ;
né
dans cette éclatante situation, son âme s’était f
de certaines religions, est souvent, en secret, pénible à celui qui,
né
avec une raison éclairée, s’est fait un devoir de
oprement dite, ce genre d’exaltation a divers caractères. Alors qu’il
naît
du malheur, alors que l’excès des peines a jeté l
X, [Nicolas] de l’Académie Françoise & de celle des Inscriptions,
né
à Crône près de Paris en 1636, mort en 1711. C’es
agée ; & du mélange de sa vivacité unie à la sensibilité du cœur,
naissent
ces traits vigoureux qui impriment tantôt le ridi
que la médiocrité orgueilleuse, & respecta les qualités morales.
Né
avec un goût aussi sûr que délicat, doué d’un jug
cat, doué d’un jugement aussi solide qu’éclairé, l’esprit de critique
naquit
en lui de la connoissance des regles & du zel
s leçons. En voilà plus qu’il n’en faut pour prouver combien il étoit
né
Poëte. Que penser, après cela, de ceux qui préten
fectation. DESTOUCHES, [Philippe Néricault] de l’Académie Françoise,
né
à Tours en 1680, mort à Paris en 1754. Quand il n
ui le distrait malgré lui-même des occupations pour lesquelles il est
né
. La nature des eaux de l’Hipocrene, ne les rend
égoûter de temps en temps d’un travail laborieux, dont il ne voit pas
naître
un fruit qui le satisfasse. L’impatience naturell
s plus ineptes, sont même ceux qui composent le plus couramment. Delà
naissent
tant d’ouvrages ennuïeux, qui font prendre en mau
de sa capacité, dépendra beaucoup du temps où son étoile l’aura fait
naître
. S’il vient en des temps malheureux, sans Auguste
tions ne seront ni fréquentes, ni de si longue haleine que s’il étoit
né
dans un siecle plus fortuné pour les arts et pour
à lui-même quand il encense les prétenduës divinitez qui viennent de
naître
sous sa plume. C’est des mauvais poëtes principal
s’il étoit dit simplement en stile prosaïque. Ces premieres idées qui
naissent
dans l’ame lorsqu’elle reçoit une affection vive
i nous diroit simplement : je mourrai dans le même château où je suis
né
, ne toucheroit pas beaucoup. Mourir est la destin
la nouvelle qu’il leur annonce, et le sentiment qu’il leur prête fait
naître
dans mon coeur un sentiment approchant du leur. L
haque periode. Un homme sans genie tombe bientôt dans la froideur qui
naît
des figures qui manquent de justesse, et qui ne p
t qui ne peignent point nettement leur objet, ou dans le ridicule qui
naît
des figures lesquelles ne sont point convenables
vers puissent remuer les coeurs, et qu’ils soient capables d’y faire
naître
les sentimens qu’ils prétendent exciter. Horace
nit, et dont son art ne lui enseigne que l’oeconomie. Or il faut être
né
avec du génie pour inventer, et l’on ne parvient
spectateurs ni vos auditeurs. Voilà de grandes maximes, mais l’homme
né
sans génie, n’entend rien au précepte qu’elles re
facilité que nous en avons à parler notre langue naturelle. Un homme
né
avec le génie du commandement à la guerre, et cap
ir d’être bien, ou l’envie d’être mieux. De la difference des génies,
naît
la diversité des inclinations des hommes, que la
Bossuet, [Jacques-Benigne] Evêque de Meaux, de l’Académie Françoise,
né
à Dijon en 1627, mort à Paris en 1704, le premier
ltée, ou une vaine fermentation philosophique. Quoique M. Bossuet fût
né
avec les plus heureuses dispositions pour l’Eloqu
son style, & lui fournit ces preuves abondantes & solides qui
naissent
du concours des autorités. Il n’est pas étonnant
Jean Pierre] Premier Président de la Chambre des Comptes du Dauphiné,
né
à Grenoble en 1651, mort en 1730, seroit inconnu
1. DORAT, [Jean] Professeur Royal en Langue Grecque à Paris,
né
dans le Limousin en 1507, mort à Paris en 1588. S
adémie, où l’on agitoit des questions de Littérature, propres à faire
naître
l’émulation de tous les gens d’esprit qui y assis
cette chaleur vivifiante, à ce moëlleux séduisant & flatteur, qui
naissent
de la force du sentiment, & que l’esprit ne s
ès des esprits qui sauront les apprécier en eux-mêmes. Ce Poëte étoit
né
, sans contredit, avec les dispositions les plus h
ment. La métaphysique dont je parle, c’était leur poésie, faculté qui
naissait
avec eux. L’ignorance est mère de l’admiration ;
re imagination (ce qui répond à l’axiome : les fausses religions sont
nées
de la crédulité et non de l’imposture). Cette ori
étant démontrée, celle de la divination l’est aussi ; ces deux sœurs
naquirent
en même temps. Les sacrifices en furent une consé
ur bien entendre) les auspices. Ce qui nous prouve que la poésie a dû
naître
ainsi, c’est ce caractère éternel et singulier qu
es savants. 4. Le quatrième aspect est une critique philosophique qui
naît
de l’histoire des idées mentionnée ci-dessus. Cet
— Pour nous, persuadés que l’idée du droit et l’idée d’une Providence
naquirent
en même temps, nous commençons à parler du droit
l’idée d’un Jupiter, auquel ils attribuèrent bientôt une Providence,
naquit
le droit, jus, appelé ious par les Latins, et par
du temps l’ont qualifiée de marquise ; c’est sans raison. Elle était
née
dans la finance, et se nommait mademoiselle Hesse
ecevait une société plus choisie parce qu’elle était moins nombreuse.
Née
vers 1641, nièce de la femme du chancelier Le Tel
3. Souvenirs de Caylus. 64. Une note de l’éditeur porte qu’elle est
née
vers 1608 et morte en 1678. Segrais la fait naîtr
eur porte qu’elle est née vers 1608 et morte en 1678. Segrais la fait
naître
en 1602. D’après une lettre de Voiture, dont la d
qui peut par cette raison être présumée de la même date, elle serait
née
en 1585 au plus tard. Elle avait récemment eu la
ant ; si elle avait été belle 40 ans avant 1638, il faut qu’elle soit
née
au moins 15 ans avant 1638, c’est-à-dire en 1583.
peuvent nous donner, ni cette sensibilité tendre et pure qui la fait
naître
, ni cet instrument facile et souple qui la peut r
et probablement Xénophon et Platon les reçurent de lui ; mais Platon,
né
avec une imagination vaste, leur donna un caractè
le panégyrique d’un roi : ce roi était Agésilas. On sait qu’il était
né
dans cette ville où la plus étonnante des institu
ire. Ces beaux siècles de la Grèce qui produisirent les héros, firent
naître
aussi une foule d’écrivains pour relever leurs ac
ite idée à côté d’une grande. De ce rapprochement ou de ce contraste,
naît
le ridicule que les peuples simples ignorent, que
er de venir à la cour de son maître, sont de ce genre d’éloquence qui
naît
bien plus du caractère que de l’esprit. Ils roule
MOINE, [Pierre le] Jésuité,
né
à Chaumont, Capitale du Bassigni, dans la Champag
offre des richesses, qui, quoique barbares, ne laissent pas de faire
naître
la surprise & l’admiration. Quel dommage, que
e & l’admiration. Quel dommage, que ce Génie poétique ne soit pas
né
un Siecle plus tard ? La lecture des Vers de Raci
ce arbitraire des nations n’était pas si arbitraire. Les langues sont
nées
de la race, et de tout ce qui affectait les sens
mune alors, Homère aurait peut-être atteint à la perfection, s’il fût
né
dans le siècle d’Auguste ou dans le nôtre ; mais
fection, s’il fût né dans le siècle d’Auguste ou dans le nôtre ; mais
né
dans des temps où l’art ne s’était point encore m
homme illustre, digne d’être envié à sa nation. Ce sont des esprits
nés
avancés et qui ont toujours eu l’âge de raison, q
a donc voulu plaire, en excitant dans les âmes ces émotions vives qui
naissent
de l’admiration, de la compassion, de la terreur.
t important, il se trouve petit et méprisable. De ces deux sentiments
naissent
la langueur et le découragement de son esprit ; c
cipant sur l’invention de la statue de Condillac) que les hommes sont
nés
sourds, créés sans l’organe de l’ouïe : « Comment
s ». Il continue de raisonner ainsi, dans l’hypothèse que nous sommes
nés
sourds, que nous ne notons la pensée que pour les
er Ce langage sonore aux douceurs souveraines, Le plus beau qui soit
né
sur les lèvres humaines. Lorsque Homère nous mon
ponse à ceux qui raisonnaient des langues comme si les hommes étaient
nés
sourds. Qu’on relise seulement à haute voix ce pa
Henri - François] Chancelier de France, Commandeur des Ordres du Roi,
né
à Limoges en 1668, mort en 1751 ; un de ces homme
l’élocution. Quelles que soient les matieres qu’il embrasse, il fait
naître
la persuasion & entraîne les suffrages. Les i
p; entraîne les suffrages. Les instructions, les idées, les sentimens
naissent
en foule avec la variété des tours & le choix
toutes choses, rendu maître du sien. Quelque heureusement qu’on soit
né
, l’étude de soi-même, celle des hommes, l’attenti
Boismont, [N. de] Abbé, de l’Académie Françoise,
né
en 17.. Un Panégyrique de Saint Louis, & troi
Metel sieur de] Abbé de Châtillon-sur-Seine, de l’Académie Françoise,
né
à Caen, mort en 1662. On ne lit plus ses Tragédie
z, pour blesser, que vous sachiez guérir. Boissard, [Jean-Jacques]
né
à Besançon en 1528, mort à Metz en 1602 Compilate
la Bible. Comment voulez-vous, en effet, qu’il y ait pour les peuples
nés
dans la théogonie hébraïque ou chrétienne, des po
mence par l’héroïsme et qui finit par la poésie. Ce sont des pays qui
naissent
ou qui renaissent. La nature, sollicitée par le p
pliquée aux lettres. Quand il y a une grande œuvre à faire, elle fait
naître
les instruments. VIII Mais, en France, est-
hant pour ce patriotisme universel ou cosmopolite qui s’honore d’être
né
homme par le don de Dieu beaucoup plus que d’être
s’honore d’être né homme par le don de Dieu beaucoup plus que d’être
né
Français par l’effet du hasard. Homo sum ! voilà
ussi font les pensées. Là où il n’y a pas de mot, la pensée meurt, ou
naît
embarrassée et confuse dans ses langes. Ceux qui
oir là quelque naïveté, mais il n’y avait point de génie. Le génie ne
naît
point avant les langues. On dit qu’il les fait, c
poète. XIV Le malheur de la littérature française, si tardive à
naître
et qui date à peine d’hier (deux siècles, c’est h
Il y eut un moment où l’on pouvait espérer une littérature française
née
d’elle-même. L’infâme cynique Rabelais, cet Arist
plorent, comme les romantiques, que la littérature française, prête à
naître
originale à cette époque, se soit tout à coup dén
ie du beau. L’humanité n’est pas une bouffonnerie ; l’homme n’est pas
né
pour le rire. Corneille imite surtout les Espagn
écrivain de cœur, un génie du foyer, un esprit domestique. Elle était
née
pour rendre au français, trop majestueux et trop
ination ne saurait se représenter Bossuet sous l’habit laïque. Il est
né
pontife. La nature et la profession sont si indis
et. Pour l’entendre, il faut d’abord monter à son niveau, le ciel. Il
naquit
, il vécut, il mourut dans le temple. Son existenc
’instrument survit à l’artiste souverain qui l’a touché, et, quand il
naît
un autre artiste, il trouve l’instrument tout mon
sacerdotale. XXXI C’est de la chaire sacrée principalement que
naquit
, sous Louis XIV, ce goût élevé pour la haute litt
u mariage vient celle des sépultures ; après Jupiter, Junon et Diane,
naissent
les dieux Manes. φύλαξ, cippus, signifient tombea
le dieu de la lumière, de la lumière sociale, qui environne les héros
nés
des mariages solennels, des unions consacrées par
deux classes d’hommes qui composent ainsi la société naissante, fait
naître
l’idée de Vénus, déesse de la beauté civile, de l
. Honestas signifie à la fois noblesse, beauté et vertu. Les enfants,
nés
hors les mariages solennels, étaient légalement p
Saint-Réal, [César Vichard, Abbé de] de l’Académie de Turin,
né
à Chambery, mort dans la même ville en 1692. Nous
ut cependant convenir qu’il a surpassé son Maître, c’est-à-dire, que,
né
avec plus d’esprit, ayant moins écrit, ses Ouvrag
e ne pouvoir joindre le suffrage de conviction à l’intérêt qu’il fait
naître
dans l’ame du Lecteur. La Conjuration de Venise a
1912, p. 33-34. L’histoire s’extasie volontiers sur Michel Ney, qui,
né
tonnelier, devint maréchal de France, et sur Mura
Ney, qui, né tonnelier, devint maréchal de France, et sur Murat, qui,
né
garçon d’écurie, devint roi. L’obscurité de leur
éritoire et la plus difficile à gravir, certes, c’est celle-ci : être
né
aristocrate et royaliste, et devenir démocrate. M
poésie vont volontiers de compagnie. La comédie, qui, chez les Grecs,
naquit
des vendanges, fleurit encore dans les époques de
nt profond dans l’esprit qui anime les auteurs. Un esprit nouveau est
né
, esprit de doute, de libre examen, de critique, d
s. « Un auteur de ce temps-là59 écrivait mélancoliquement : « J’ai vu
naître
et passer devant moi : les Saisons, de Saint-Lamb
dit un poète compatissant : Ainsi toujours les cœurs sensibles Sont
nés
pour être malheureux. Placez le tout dans une co
ai qu’une société ne peut se passionner pour l’agriculture sans faire
naître
aussitôt, comme autant de fleurs champêtres, une
iel de feu et la végétation luxuriante des tropiques ? Par des hommes
nés
à l’île de la Réunion, à l’île de France, ou cond
à Leconte de Lisle ? N’est-ce pas par l’intermédiaire de ce Français,
né
entre la France et l’Inde, qu’a pénétré en nous l
nne le Métier. Il faut vivre de ta plume. Puisque tu as eu le tort de
naître
sans rentes, mets ton talent en coupe réglée, déb
érature humanitaire (humanitaire est, pour le dire en passant, un mot
né
alors) excite des railleries et des colères ; ell
unissants ; ô hommes libres, quand alors vous remercierez Dieu d’être
nés
pour cette récolte, pensez à nous qui n’y serons
et des rémunérations insolites. Un de ses biographes nous conte qu’il
naquit
l’année où le vainqueur de Marignan fut vaincu et
timents, le langage varieront étrangement, selon que les auteurs sont
nés
dans l’opulence ou la pauvreté, dans l’aristocrat
mbert, enfant naturel recueilli par la femme d’un vitrier ; Chamfort,
né
aussi de père inconnu ; la Harpe, élevé par chari
La Bruyère, avec un soupir de regret, déclarait interdits à un homme
né
chrétien et français. Ils touchent aux questions
e la vanité, et l’on ne peut comprendre comment des malheurs si réels
naissent
de mouvements si peu nécessaires. Avez-vous jamai
c les autres des rapports plus étendus ou plus éclatants que ceux qui
naissent
des sentiments doux qu’elles peuvent inspirer à c
ne voulaient penser qu’à les aimer. Le seul vrai ridicule, celui qui
naît
du contraste avec l’essence des choses, s’attache
ur but de leurs efforts. Quand la part qu’elles ont dans les affaires
naît
de leur attachement pour celui qui les dirige, qu
me célèbre, qui les obtient ; mais l’enthousiasme que ces succès font
naître
a peut-être moins de durée, que l’attrait fondé s
ité de l’attention qu’on y attache ; tant la sensation qu’on éprouve,
naît
du caractère qui la reçoit bien plus que de l’obj
n ; elle aime à renverser ce qu’elle ne peut obtenir ; la vanité fait
naître
une sorte de prétentions disséminées dans toutes
endres ceps autour d’un fragile appui ; symbole de la sujétion où est
née
notre mère ; sujétion à un sceptre bien léger ; o
postérité ; Ève, la plus belle de toutes les femmes entre celles qui
naquirent
ses filles. Nos premiers pères se retirent sous
s, ses paroles ont un caractère agreste et naïf. Adam, quoiqu’à peine
né
et sans expérience, est déjà le parfait modèle de
us bouleversons les sens, en ménageant les yeux et les oreilles. D’où
naît
cette magie des anciens, et pourquoi une Vénus de
l offre des joies sans mélange de chagrins évanouis, ou de chagrins à
naître
. Un bonheur absolu nous ennuie ; un malheur absol
ur, que s’ils étoient exposez dans Londres ou dans Paris. Les romains
naissent
presque tous avec beaucoup de sensibilité pour la
les idées capables de faire beaucoup d’honneur à l’inventeur, d’être
nées
dans d’autres cerveaux que dans les cerveaux de s
paraisons. Ce n’est pas sans peine qu’il consent d’estimer un artisan
né
dans le même païs que lui, autant qu’un artisan n
estimer un artisan né dans le même païs que lui, autant qu’un artisan
né
à cinq cens lieuës de la France. Au contraire, la
Pour être bon spectateur il faut avoir cette tranquilité d’ame qui ne
naît
pas de l’épuisement, mais bien de la sérenité de
MALLEVILLE, [Claude de]
né
à Paris en 1597, mort en 1647, un des premiers re
rire, Ni qu’il dise le mot pour rire ; Mais seulement c’est qu’il est
né
Coiffé. Ce mot né coiffé expliqueroit assez bien
le mot pour rire ; Mais seulement c’est qu’il est né Coiffé. Ce mot
né
coiffé expliqueroit assez bien la petite fortune
Villon, [François Cordeuil, surnommé]
né
à Paris en 1431. Héros de la Poésie Françoise de
, comme lui, époque* dans notre Littérature ; l’un & l’autre sont
nés
avec beaucoup d’esprit & de talent ; l’un &am
, mais parce qu’un caractere aussi étrange nous a paru propre à faite
naître
des réflexions, à effrayer par l’exemple, & à
rage de ce genre. Cela ne se fait pas à volonté. Un roman, selon lui,
naît
, d’une façon en quelque sorte nécessaire, avec to
façon en quelque sorte nécessaire, avec tous ses chapitres ; un drame
naît
avec toutes ses scènes. Ne croyez pas qu’il y ait
u et proclamé, une fois que l’enfant a poussé son premier cri, il est
né
, le voilà, il est ainsi fait, père ni mère n’y pe
? Vous ne lui rendrez pas le souffle qui lui manque. Votre drame est
né
boiteux ? Croyez-moi, ne lui mettez pas de jambe
oie serait grande si, tandis que la musique déroule les émotions d’où
naissent
les paroles, nous avions devant les yeux, en une
r de Goethe fit son chemin jusque dans la poche du Petit Caporal ; là
naquit
la compréhension de Shakespeare qui pour Voltaire
e campagne hivernale, il préparait le printemps là où chaque année il
naît
avec le soleil à l’est. En Allemagne, de 1830 à 1
devons avouer que l’homme absolu n’existe pas dans la nature. L’homme
naît
seulement dans une famille, une maison, une natio
pèce humaine naturelle, de la famille Aryenne, de la quelle seul peut
naître
l’homme idéal de l’avenir, parce que cet homme id
a conscience morale la nature la plus noble de l’humanité. De ce sang
naquirent
tous les génies de l’Europe. Aux lieux où, toujou
ému par la musique, par la représentation du drame d’un Wagner, même
né
en Allemagne, tout cela n’est autre chose que la
dans un drame seulement peuvent vivre les idéals ; et ce drame devait
naître
de la musique, car la musique seule peut exprimer
t par sympathie lié en créateur à ce qu’il a vu. » De cette sympathie
naît
l’harmonie de l’œuvre d’art, et la plus parfaite
pendant les années de 1845-1882, dans les trente-sept années où sont
nés
Tristan et Parsifal nous fera comprendre les impr
’est seulement de l’abîme de la misère tragique, Tristan, que pouvait
naître
la grande image du vainqueur du monde, Parsifal.
e théories en France. Cette idée d’un sang plus pur, duquel peut seul
naître
l’homme de l’avenir et qui donne naissance aux gr
pondant de l'Académie des Inscriptions & Belles-Lettres de Paris,
né
en Limousin en 1734. Si, comme cet Auteur le dit
teur le dit lui-même dans un Vers des plus prosaïques, Qui n'est pas
né
Poëte, à rimer perd son temps. on pourroit assur
egrés du médiocre au pire. Une autre preuve que cet Auteur n'est pas
né
Poëte, c'est que le langage sublime & figuré
hragme, de nature, parce qu’on est dandy comme on est gentilhomme. On
naît
dandy. On ne le devient pas. Tout au plus on le p
selon Brillat-Savarin — rôtisseur ! Je sais bien qu’ils n’étaient pas
nés
encore, alors, les dandys, au temps de Walpole, m
nés encore, alors, les dandys, au temps de Walpole, mais ils allaient
naître
. On n’en était encore en Angleterre qu’aux macaro
, Walpole se pique d’être misanthrope ; mais c’est de la misanthropie
née
dans les salons du xviiie siècle, c’est de la mi
qui disait du mal de sa figure avec coquetterie… « Squelette je suis
né
, — disait-il, — squelette je suis, et la mort ne
it été toujours ! IV Et, en effet, je le crois bien qu’il était
né
craie, de substance ! Il avait peu d’âme. C’était
a morte, on ne trouve qu’un lit de fleurs dont les gerbes fraîchement
nées
semblent répandre dans le cercueil merveilleux de
s nouveaux usés par la civilisation avec la nature sauvage que devait
naître
la nouvelle Bible de l’humanité. Chateaubriand ét
les, il y déposa son génie, et Atala, René, le Génie du Christianisme
naquirent
. Un nouveau prophète revint en Europe, apportant
des temps qu’il a créés. Ce jeune homme, cependant, ne faisait que de
naître
, personne ne lui avait rien appris, il n’était d’
nie vrai est la mélancolie, fille et sœur de la résignation. Il était
né
triste, parce qu’il était né profond, comme les a
ille et sœur de la résignation. Il était né triste, parce qu’il était
né
profond, comme les autres naissent gais, parce qu
n. Il était né triste, parce qu’il était né profond, comme les autres
naissent
gais, parce qu’ils sont légers. La raison des cho
monde des larmes. La définition de l’univers, c’est la douleur d’être
né
, qui contient la douleur de mourir. Ajoutez-y la
n père, et par sa mère, morte innocente en prison, en punition d’être
née
noble, lui avaient donné un dégoût haineux contre
n’était que descendre. Mais l’aristocratie était son sang ; il était
né
grand. Volontairement ou involontairement, on sen
u style confessait en lui l’aristocratie de la nature. Il n’était pas
né
pour être un tribun de la multitude, mais pour êt
le met au niveau de tous ceux qu’il intéresse. Voilà ce qui dut faire
naître
d’assez bonne heure l’idée de rapprocher, dans un
ries dans l’intérieur de leur ville, occupées de soins peu laborieux,
nées
sans doute avec cette souplesse d’esprit qui semb
de républicains. La galanterie étoit si rare parmi eux, qu’Alcibiade,
né
galant, y parut comme un phénomene. L’histoire a
ire a daigné perpétuer le souvenir de ses bonnes fortunes. Alcibiade,
né
dans Paris, n’eût fait qu’accroître le nombre de
pre que lui à remplir le vœu national. Ce fut chez les Orientaux, que
naquit
le Roman, comme ils avoient vu naître la fable. E
Ce fut chez les Orientaux, que naquit le Roman, comme ils avoient vu
naître
la fable. Esope, Lockman, Pilpai, ces trois inven
cultivé un genre de fables obscenes. Ce genre étoit bien digne d’être
né
parmi eux, mais étoit-il bien digne qu’un Consul
urs du Roman pour leur propre compte. Ils le regardent comme un fruit
né
dans leur climat ; fruit d’abord un peu sauvage,
s, vraisemblablement, y cédoient ou n’épargnoient rien pour les faire
naître
. De ces Déesses communicatives nous vinrent peut-
de Seigneur*”. D’un autre côté, dit Mezerai, quelques Gentils-hommes,
nés
généreux, s’engagerent par un pacte à courir les
amour fait la base de ces sortes d’ouvrages, & celles qui le font
naître
semblent devoir être propres à le décrire. C’est
n livre est de 1865. La science expérimentale, 1878. 928. Renouvier (
né
en 1815) : Essais de critique générale, 4 vol. in
de vue sociologique ; l’Irréligion de l’avenir, etc. 929. C. Martha (
né
en 1820) : les Moralistes sous l’empire romain (1
es à l’Institut, dans ses Mémoires des autres (1889). M. Jules Simon (
né
en 1814) a fait en outre le Devoir (1854), l’Ouvr
ndes dames (1890) ; Bourgeois et gens de peu (1894). 932. O. Gréard (
né
en 1828), vice-recteur de l’académie de Paris. Mé
. En cours de publication : 3 vol. in-8, Hachette. 936. G. Boissier (
né
à Nîmes en 1823), professeur au Collège de France
Divers recueils de Notices et Éloges historiques. 938. M. A. Sorel,
né
en 1842 à Honfleur : Histoire diplomatique de la
et la Révolution française, 4 vol. in-8, 1885-1892. 939. E. Lavisse (
né
en 1842) : Origines de la monarchie prussienne, i
es, 1888 et suiv.), etc. 941. Biographie : Ernest Renan (1823-1892),
né
à Tréguier, étudie au collège de sa ville natale,
laume] Avocat au Conseil & au Parlement, de l’Académie Françoise,
né
à Paris en 1598, mort dans la même ville en 1659
erdu son Apollon, c’est-à-dire qu’après la mort de Colletet, Claudine
né
publia que les Vers suivans, pour se dispenser d’
lus écrire, par la même raison. Colletet laissa un fils, [François,
né
en 1628] qu’il ne faut confondre avec son pere qu
1. Turpin, [F. H.ABCD] ancien Professeur de l’Université de Caen,
né
en 17.. Aucun de nos Biographes n’a porté plus lo
tion & de clarté. Les réflexions n’y sont point parasites ; elles
naissent
du sujet, & n’occupent le Lecteur qu’autant q
de mon temps, je suis souvent réduit à le consacrer à ces hommes qui,
nés
avec plus de fortune que de talent, aspirent à la
tte [Charles Marquis, de] Maréchal général des Logis de la Cavalerie,
né
à Paris en 1736. Les relations qu’il a eues avec
lieu au distique suivant : Admirez d’Aroüet la bizarre planete : Il
naquit
chez Ninon, & mourut chez Villette. Villier
; mourut chez Villette. Villiers. [Pierre de] Prieur de St. Taurin,
né
à Cognac, dans l’Angoumois sur la Charente, en 16
ous le démontrerons mieux encore) que les gouvernements ne sont point
nés
de la fraude, ni de la violence d’un seul, peut-o
ion le droit de cité lui-même ? § II. Les sociétés politiques sont
nées
toutes de certains principes éternels des fiefs
ecours, puissance, entraînant une idée de stabilité). Ici nous voyons
naître
une double division : 1. La première, des sages e
, et qui a fondé le droit naturel des gens En voyant les sociétés
naître
ainsi dans l’âge divin, avec le gouvernement théo
ées d’un ordre de nobles qui commandaient, et d’un ordre de plébéiens
nés
pour obéir, les cités eurent d’abord un gouvernem
s plus simples et plus naturelles. Au moment où les sociétés devaient
naître
, les matériaux, pour ainsi parler, n’attendaient
ose doit augmenter encore notre admiration. La Providence, en faisant
naître
les familles, qui, sans connaître le Dieu véritab
suivirent ensuite dans leurs rapports avec leurs clients. En faisant
naître
les républiques sous une forme aristocratique, el
s des héros, qu’ils terminent au retour d’Ulysse. C’est alors que dut
naître
Neptune, le dernier des douze grands dieux. La ma
naire ; les Grecs et les Romains pouvaient tuer leurs enfants nouveau
nés
; les Lacédémoniens battaient de verges leurs enf
confuses peut-être, mais actives et pressantes, qu’un tel sujet fait
naître
maintenant dans tous les esprits. Une représentat
fets de la sympathie, de cette force mystérieuse qui fait que le rire
naît
du rire, que les larmes coulent à la vue des larm
dramatique fait éclater le pouvoir. La poésie dramatique n’a donc pu
naître
qu’au milieu du peuple. Elle fut, en naissant, de
tes les jouissances qu’il sait se procurer. Cependant ces hommes sont
nés
pour sentir des joies plus nobles et plus vives ;
donner elles-mêmes, mais qu’elles recevront avec transport ; et alors
naîtront
, sans le concours de la multitude, mais en sa pré
ons qu’elle est capable de ressentir, mais qu’Eschyle seul sait faire
naître
. Telle est la nature de la poésie dramatique ; c’
ouvait s’adresser, celui-là était le plus noble et le plus universel.
Né
ainsi au milieu du peuple et pour le peuple, mais
’action qui prévient les frottements et bannit les amertumes que font
naître
de part et d’autre de continuelles résistances. U
n’appelait encore l’Angleterre qu’aux fêtes, et la poésie dramatique
naquit
toute grande avec Shakespeare. Qui ne voudrait re
ille, quelques traditions attachées à son nom dans le pays qui le vit
naître
, et les œuvres mêmes de son génie, c’est là tout
re ; en 1770, un couvreur, raccommodant le toit de la maison où était
né
Shakespeare, trouva, entre la charpente et les tu
evenu plus scrupuleux sur ceux de sa foi. Ce fut le 23 avril 1564 que
naquit
William Shakespeare, le troisième ou le quatrième
a exprimé en vers ce qu’il ne sent pas encore ; et quand le sentiment
naîtra
vraiment en lui, sa première pensée sera de le me
ette bienveillante ouverture de caractère qui trouvaient ou faisaient
naître
partout des plaisirs et des amis. Cependant, au m
it, moins de deux ans après Suzanna, ce premier fruit de son mariage,
naquirent
à Shakespeare deux jumeaux, un fils et une fille,
las. Ainsi les mœurs publiques appelaient la poésie ; ainsi la poésie
naissait
des mœurs publiques et s’unissait à tous les inté
Chez les Grecs, et dans les temps modernes, en France, la comédie est
née
de l’observation libre, mais attentive, du monde
ujours là ce qui provoque et alimente leur verve poétique. La comédie
naît
ainsi du monde qui entoure le poëte, et se lie, b
ilà le spectacle qui a paru sur le théâtre du monde. Comment seraient
nées
, dans un tel état des faits et des esprits, la di
ndaient les autorités classiques, souveraines de notre théâtre. Alors
naquit
chez nous la vraie, la grande comédie, telle que
st jaloux, sanguinaire, impitoyable comme Othello ; mais sa jalousie,
née
tout à coup et d’un simple caprice à l’instant où
ureurs et ses soupçons dès que l’action aura atteint le point où doit
naître
une situation nouvelle. Dans Cymbeline que, malgr
s Timon d’Athènes. C’est un essai dans ce genre savant où le ridicule
naît
du sérieux et qui constitue la grande comédie. Le
lock ? Cet enfant d’une race humiliée a les vices et les passions qui
naissent
d’une condition pareille ; son origine l’a fait c
on pas : — « Qu’as-tu fait ? — Mais : — Comment es-tu fait ? D’où est
née
la part que tu as prise dans les événements où je
œur de celle qu’il aime ; que, dans le cours des incidents qu’il fait
naître
pour y parvenir, une méprise le rende le meurtrie
lentement, les yeux constamment fixés sur son but ; soit qu’il fasse
naître
une occasion, soit qu’il la saisisse, chaque pas
le voir commander en vainqueur aux chances de sa vie ; les événements
naîtront
de ses mains, portant l’empreinte de ses volontés
s a peints comme lui ? Où l’ingénuité d’un amour permis a-t-elle fait
naître
une fleur plus pure que Desdemona ? La vieillesse
u’elle imposait ensuite aux personnages et aux spectateurs. De là est
né
le vrai, le grand défaut de Shakespeare, le seul
bord à Thomas Nash et ensuite à sir Bernard Abingdon. Aucun enfant ne
naquit
de ces deux mariages, et ainsi s’éteignit à la se
ières, des boîtes à cure-dents et autres petits meubles. La maison où
naquit
Shakespeare subsiste encore à Stratford, toujours
ns leur cours les sucs vivifiants qui ne viennent colorer qu’un fruit
né
du sol. Cependant la voie où l’Allemagne est entr
sse. Le poëte comique les invente librement, car son art est de faire
naître
, de l’homme même et de ses travers, les événement
’âme s’y accoutume et accepte l’empire des impressions qui en doivent
naître
, comme, dans un malheur ou dans un bonheur inatte
de son système, avec quel art il sait vaincre les difficultés qui en
naissent
, et renouer, dans l’âme du spectateur, la chaîne
teront, quand il en sera instruit, toutes les impressions qu’ont fait
naître
dans son âme la vue de ces ossements hideux et mé
entation inanimée d’un monde qui n’est plus. Le système classique est
né
de la vie et des mœurs de son temps ; ce temps es
Walter Scott. 10. Ibid. 11. Thomas Tusser, poëte du xvie siècle,
né
vers 1515, et mort en 1583, auteur de Géorgiques
II. Enfance et jeunesse de Jésus. Ses premières impressions. Jésus
naquit
à Nazareth 98, petite ville de Galilée, qui n’eut
étour assez embarrassé 101 qu’on réussit, dans sa légende, à le faire
naître
à Bethléhem. Nous verrons plus tard 102 le motif
an 1 de l’ère que tous les peuples civilisés font dater du jour où il
naquit
104. Le nom de Jésus, qui lui fut donné, est une
d’au moins dix ans à l’année où, selon Luc et Matthieu, Jésus serait
né
. Les deux évangélistes, en effet, font naître Jés
c et Matthieu, Jésus serait né. Les deux évangélistes, en effet, font
naître
Jésus sous le règne d’Hérode (Matth., II, I, 49,
de l’homme vivant à l’homme vivant, et de l’homme mort à l’homme qui
naît
sur la terre, l’homme serait resté un être éterne
e révélation probable de la parole parlée, ou de la langue innée, est
née
aussi la première littérature du genre humain, au
nt ; elles en laissent fuir la plus grande partie dans l’oubli ; puis
naissent
, de la décomposition de ces langues mortes, d’aut
Bible, cette sagesse, cette expérience, cette éloquence, ne sont pas
nées
sans ancêtres du sable du désert, sous la tente d
distance nous empêche d’apprécier l’étendue et la profondeur. Rien ne
naît
de rien dans ce monde, pas même le génie : quand
nd orateur, dit-il, sans le concours de l’art du génie. Mais un homme
né
avec du génie, est bien-tôt capable d’étudier tou
ctere de fierté divine qu’il a sçû lui donner. Peut être que Raphaël,
né
avec un génie, moins hardi que Le Florentin, ne s
cid pour la premiere fois. Au contraire, rien ne décele mieux l’homme
né
sans génie, que de le voir examiner avec froideur
Il n’en parle que comme un pere parle des défauts de son fils. Cesar,
né
avec le génie de la guerre, fut touché jusques au
rare qu’il les faille chercher avec peine. La pensée et l’expression
naissent
presque toûjours en même-temps. Le jeune peintre
série d’écrivains français, d’en introduire plus d’un qui n’était pas
né
en France, et d’étonner ainsi le lecteur par notr
ssel, l’historien de Louis XII et l’infatigable traducteur : il était
né
à Aix en Savoie. Procédant d’Amyot en style bien
style bien plus que Seyssel, le délicieux écrivain François de Sales,
né
au château de son nom, résidait à Annecy ; avec s
tant plus à son livre qu’il n’a jamais songé à être un auteur. Il est
né
à Chambéry, en octobre 1763, d’une très-noble fam
lancolie n’est pas en dehors, elle ne fait par moments que se trahir.
Né
au cœur d’un pays austère, il n’en eut visiblemen
aime à retrouver l’écho le moins altéré des anciens jours : Il était
né
dans des jours sombres, Dans une vallée au coucha
Savoie et s’en pénètre agréablement : « L’accent du pays où l’on est
né
, a dit La Rochefoucauld, demeure dans l’esprit et
, chez qui la lèpre n’est du moins que dans cette couleur fatale d’où
naissent
ses malheurs. Parmi les ancêtres du Lépreux, en r
de la langue française, par M. Allou. 29. Parmi les auteurs français
nés
en Savoie, il faut compter aussi M. Michaud, l’au
ient les plus terribles divinités du monde infernal. Hésiode les fait
naître
du sang d’Ouranos, inutile par la faux de Chronos
ardent d’une vengeresse. Les plus effrayantes déesses seraient ainsi
nées
de la plus charmante. Comme le Lucifer des croyan
vait être franchi par l’intrusion d’aucun dieu. — « Quand nous sommes
nées
», — dit l’un de leurs chœurs, — « le Sort nous i
geait leurs fruits. De ses amours sauvages avec les Démons du désert,
naquit
la race des Lamies et des Empuses, divinités cann
ur bien comprendre et bien sentir Homère dans l’Odyssée, il faut être
né
et avoir vécu dans des conditions de vie rurale,
le trop d’élévation, soit par le trop de défaveur de sa destinée, est
né
dans les villes, et qui a été élevé à distance de
dans le palais d’une capitale moderne, le fils du mercenaire qui est
né
comme la pariétaire des murs d’une cité et qui n’
art d’entre vous, nous avons été plus favorisés du ciel ; nous sommes
nés
ou nous avons grandi loin de l’ombre morbide des
ffranchies. C’est dans cette classe homérique et biblique que j’étais
né
. Je ne m’en glorifie pas, puisque les berceaux so
’en humilie pas non plus, puisque le premier bonheur de la vie est de
naître
à une bonne place au soleil et à une bonne place
s le cœur de ses contemporains. « Heureux ceux, dit Homère, qui sont
nés
de race libre. » La race libre, avant le temps
III Cette condition sociale dans laquelle j’avais eu le hasard de
naître
, le pays pastoral et agricole que nous habitions,
filles. De cette nombreuse maison, mon père seul, quoique le dernier
né
, s’était marié. Chacun de ses fils ou de ses fill
joug, ceux-ci aux chars, ceux-ci aux pâturages. Presque tous étaient
nés
ou avaient grandi dans la maison. Une hiérarchie
t de revoir au moins s’élever de loin la fumée de la maison où il est
né
et où il voudrait mourir ! » — « Voyez, mes en
econde mère des enfants de la maison, par l’habitude de les avoir vus
naître
, par le lait ou les soins qu’elle leur a donnés t
ens, les Éthiopiens, les habitants de Sidon, la Libye, où les agneaux
naissent
avec des cornes ; les brebis y ont trois portées
de pourpre il s’est caché le visage ! » La reconnaissance a lieu. «
Né
d’un père prudent, dit Ménélas au jeune homme, vo
. » — « Remarquez, dit mon père, combien, dès ces temps reculés, être
né
d’une famille honnête passait pour une bonne fort
vous serez grands, songez à conserver cette bonne fortune à ceux qui
naîtront
après vous ! » C’est ainsi que chaque passage rem
de Dijon et que les plus belles demeures de villes où vous n’êtes pas
nés
! Eh bien ! la nature n’a pas changé en trois mil
GRANGE, [Joseph de Chancel de la ]
né
au Château d’Antoniat, près de Périgueux, en 1676
sprit qu’autant que la bile fermente dans leur estomac ! L’esprit qui
naît
des passions déréglées, ne peut que s’égarer. Il
ur, mort à Paris en 1776. GRAVILLE, [Barthelemi-Claude Graillard de]
né
à Paris en 1727, mort en 1764. De toutes les Broc
itique s’est occupée jusqu’ici exclusivement. 13. Des idées uniformes
nées
chez des peuples inconnus les uns aux autres, doi
dans cet ouvrage de tâcher de démontrer que le droit naturel des gens
naquit
chez chaque peuple en particulier, sans qu’aucun
out le genre humain. 14. La nature des choses consiste en ce qu’elles
naissent
en certaines circonstances, et de certaines maniè
manières. Que les circonstances se représentent les mêmes, les choses
naissent
les mêmes et non différentes. 15. Les propriétés
ter de la modification avec laquelle, de la manière dont la chose est
née
; ces propriétés vérifient à nos yeux que la natu
que la nature de la chose même (c’est-à-dire la manière dont elle est
née
) est telle, et non pas autre. 16-22. Fondement
quelques motifs publics de vérité, qui expliquent comment elles sont
nées
, et comment elles se sont conservées longtemps ch
crainte seule a fait les premiers dieux. Les fausses religions sont
nées
de la crédulité, et non de l’imposture. — Elle ré
s les autres, et si vous vous rappelez l’axiome : Des idées uniformes
nées
chez des peuples inconnus entre eux, doivent avoi
ule, furent dans leurs commencements toutes poétiques, et que d’abord
naquit
chez elles la poésie divine, ensuite l’héroïque.
es hommes se décident à abandonner pour toujours la terre où ils sont
nés
, et qui naturellement leur est chère, il faut les
veulent obéir, le droit naturel qui a été ordonné par la coutume, est
né
des mœurs humaines, résultant de la nature commun
ul rapprochement à établir. Jasmin se rattache, je l’ai dit, à Marot,
né
tout près de là, à Villon, l’enfant de Paris, à B
approchante qui va nous suffire. Jacques Jasmin (Jaquou Jansemin) est
né
en 97 ou 98 ; l’autre siècle, vieux et cassé, n’a
où l’on fait sauter les crêpes, d’un père bossu, d’une mère boiteuse,
naquit
un enfant, un petit drôle, et ce drôle, c’était l
auvre tailleur, pas même un coup de buquoire45 n’annonça sa venue. Il
naquit
pourtant au bruit d’un affreux charivari qu’on do
miliarités railleuses ; il peut ne s’épargner aucun des bons mots qui
naissent
du sujet ; il dira que le peigne et la plume vont
ir que mon chiffre augmente, Même en n’ayant rien de plus. Sa femme,
née
dans la même condition que lui, mais d’esprit nat
enfants de Du Bartas, et voilà que du pays de Du Bartas, tout à côté,
naît
à l’improviste un poëte vrai, franc, naturel et p
frêne, trop heureux de devenir cheveux blancs dans le pays qui m’a vu
naître
. Sitôt qu’on entend, dans l’été, le joli zigo, zi
omme et une femme se rencontrent, qui ont juré chacun de leur côté de
né
jamais aimer ; une fée s’éprend d’Arlequin balour
ce l’attention et la pitié d’Araminte : de l’attention et de la pitié
naissent
l’intérêt, qui fait poindre l’inclination. La van
s’éveillaient dans les âmes des besoins nouveaux. La « sensibilité »
naissait
. On appelle de ce nom au xviiie siècle la réflex
ate496. 478. Biographie : Pierre Carlet de Chamblain de Marivaux,
né
à Paris en 1688. Il se lie avec Fontenelle, fréqu
on le Misanthrope (1722). 480. Destouches (Philippe Néricault, dit),
né
à Tours en 1680, secrétaire de M. de Puysieux, am
orieux, et dans les Fils ingrats. 483. P.-C. Nivelle de la Chaussée,
né
à Paris en 4691 ou 1692, d’une famille de financi
om, aux xviie et xviiie s., in-8, 1894. 492. Charles Simon Favart,
né
à Paris (1710), fils d’un pâtissier, auteur, puis
2), Œuvres de Vadé, Troyes, an VI, 6 vol. in-12. 494. J.-B. Gresset,
né
à Amiens en 1709, auteur de Ver-vert (1733), de S
âme simple, naturelle, populaire, et des plus heureusement tempérées.
Né
d’un père excellent et qui, médiocrement instruit
la modération, le ménagement et le tempérament même en un tel siècle.
Né
le dernier jour de février 1533, nourri dès l’enf
tragique de toute l’histoire », Montaigne se garde bien de se croire
né
dans la pire des époques. Il ne ressemble pas aux
ment et commandement de cette confusion… Nous avions assez d’âmes mal
nées
, sans gâter les bonnes et généreuses. » Pour lui,
fortune. Et, loin de s’abattre et de maudire le sort de l’avoir fait
naître
en un âge si orageux, il s’en félicite tout à cou
t plus humaine le soutient dans ces maux, c’est cette consolation qui
naît
du malheur commun, du malheur partagé par tous, e
n des égards, en guerre ouverte avec celui de Voltaire. Il ne pouvait
naître
et fleurir que dans cette pleine liberté du xvie
nseil utile et d’une consolation directe à l’usage de l’honnête homme
né
pour la vie privée et engagé dans les temps de tr
’avaient point rendu heureux. Peiresc, conseiller au parlement d’Aix,
né
en 1580, et mort en 1637, obtint après sa mort de
le même genre, Papire Masson et Scévole de Sainte-Marthe. Le premier,
né
en 1544 et mort en 1611, fut tour à tour jésuite,
ulement avec tranquillité, mais avec éloge. Scévole de Sainte-Marthe,
né
en 1536, et mort en 1623, naquit et mourut dans c
is avec éloge. Scévole de Sainte-Marthe, né en 1536, et mort en 1623,
naquit
et mourut dans cette même ville de Loudun, où, on
’une réputation éclatante. 79. Achille de Harlay, premier président,
né
en 1536, mort en 1616. C’est lui qui fit cette fa
isse donner à Corneille est de n’avoir pas cabalé contre Racine. Pope
naquit
à Londres en 1688 : il étoit d’une ancienne famil
; ami peu sur. Avec quelque génie, ajoute-t-il, que cet écrivain soit
né
pour réussir dans tout ce qu’il embrasse, tout lu
oue ? Laissez-moi écraser cette punaise aux aîles dorées, cet insecte
né
de la boue pour piquer, pour infecter. Son bourdo
fois un ministre mon ami ! Voilà toute mon ambition. Je ne suis point
né
pour les cours ni pour les grandes affaires. Je p
e la peinture se peut dire aussi de la poësie. Non seulement un poëte
né
avec du genie, ne dira jamais qu’il ne sçauroit t
; mais les hommes sont tous des originaux particuliers pour le poëte
né
avec le genie de la comedie. Tous les portraits d
acteres dans la nature, c’est invention. Ainsi, l’homme qui n’est pas
né
avec le genie de la comedie ne les sçauroit demêl
genie de la comedie ne les sçauroit demêler comme celui qui n’est pas
né
avec le genie de la peinture n’est pas capable de
e françois, sous quelque domination qu’ils soient nez. Comme un homme
né
à Strasbourg est allemand, quoi qu’il soit né suj
ent nez. Comme un homme né à Strasbourg est allemand, quoi qu’il soit
né
sujet du roi de France, de même un homme né à Mon
allemand, quoi qu’il soit né sujet du roi de France, de même un homme
né
à Mons en Hainault est françois, quoiqu’il soit n
, de même un homme né à Mons en Hainault est françois, quoiqu’il soit
né
sujet d’un autre prince, parce que la langue fran
demoiselle Thérèse Malien, c k. Kammersœngcrin » à l’Opéra de Dresde.
Née
en Prusse Orientale, en 1855 ; études musicales a
Amalie Friedrich Materna, « k. k.Kammersaangerln » l’Opéra de Vienne,
Née
à Saînt-Georgen (Styrie), en 1847 ; premières étu
a Sucher Madame Rosa Sucher, « Openismngeriu » à l’Opéra de Hambourg.
Née
près de Ratisboime, où elle a fait ses études mus
udehus M. Heinrich Gudehus, « k. Kaminersamger » à l’Opéra de Dresde.
Né
à Celie (Hanovre) en 1845 ; d’abord professeur da
il joua Parsifal. Heinrich Vocl M. Heinrich Vogi … l’Opéra de Munich.
Né
à Munich, en 1845 ; d’abord maître d’école à Frei
nn M. Hermann Winkelmann « k. k. Kammerssenger » à l’Opéra de Vienne.
Né
à Brunswick, en 1849 ; étudie le chant à Hanovre
, Reichmann . M. Eugen Gera, « k. Kammersänger » à l’Opéra de Munich,
Né
la Bohême, en 1847 ; débute à Munich en 1865, En
iegand. M. Gustave Sichr. « k. Hofopcrassenger » à l’Opéra de Munich.
Né
en Westphalie, en 1837 ; d’abord médecin ; débute
gage de la Musique fut d’institution purement humaine. Non qu’il soit
né
, cependant, d’un simple artifice, de quelque conv
: c’est la Mélodie. Puis sous l’hétérogénéité montante des émotions,
naît
une forme plus complexe, l’emploi des accords : q
ininterrompu des émotions, furent trouves de nouveaux accords. Ainsi
naquit
le déchant, ou chant simultané de plusieurs mélod
à leur nombre étoit assez considérable au seizième siècle, pour faire
naître
l’idée de former, du nom seul des Auteurs & d
oit encore privée de tous ces avantages, sans l’étude que des hommes,
nés
pour saisir le beau & le vrai, ont faite de l
lles pas acquises ? Plus les connoissances augmentent, plus les idées
naissent
en nombre, se développent, s’étendent, s’agrandis
passions & en évitant les actions nuisibles à la société : de-là
naîtra
l’amour de la sagesse, fondé sur le sentiment lum
rgumens puisés dans les sources impures du mensonge, & qu’ennemis
nés
de la société ils se plaisent à jeter le trouble
déjà de l’immortalité qui l’attend. C’est au sein de l’ignorance, que
naquirent
les désordres qui désolèrent toutes les condition
la durée fut longue, n’a rien qui doive étonner. Quoique l’homme soit
né
pour connoître & pour aimer la vérité ; l’err
que, étoit toujours le sujet d’une Chanson ; & c’est de-là qu’est
né
le Vaudeville. Les Tournois (*), cette espèce
entir que la douceur & les beautés. Les tempsoù le goût devoit
naître
étoient arrivés. Tout annonçoit l’époque la plus
C’est ainsi que les hommes éloquens, que le siècle de Louis XIV a vu
naître
, ont acquis l’immortalité. Le bel-esprit étoit en
ue l’honnête Chapelain étoit un mauvais Poëte. Pour que les talens
naissent
, s’élèvent & se fortifient, il faut les proté
que les circonstances veulent qu’ils soient. Corneille, au contraire,
né
dans un temps où la guerre civile déchiroit l’Eta
asse jalousie, & la plus aveugle prévention du Bel-esprit, ennemi
né
du génie. Ce qu’il y a de plus étonnant ; c’est q
radons & des Cotins modernes ! Il semble que la nature l’ait fait
naître
exprès dans le siècle du goût, pour en enseigner
aux de sang ont coulé dans les campagnes ; les besoins alors ont fait
naître
l’industrie, les Arts ont dû leur découverte au h
nt & favorisent les dispositions naturelles des ames heureusement
nées
, elles écartent le soupçon honteux d’ignorance &a
s sont trop énervées, pour que l’éducation ne soit pas amollie. De-là
naissent
la plupart des vices du cœur & des travers de
es conditions confondues ensemble se corrompirent mutuellement. De-là
naquirent
l’intérêt sordide, les faux airs & les ridicu
plaisirs, dont le cercle est déja trop étroit : d’accord ; mais qu’il
naisse
donc des la Chaussées, & que ses tristes &
dicules arrêteront-ils le cours ? Quels sentimens nouveaux feront-ils
naître
dans notre ame ? Quelles vertus nous inspireront-
sions de Montagne(*), tant d’injures & tant d’indiscrétions. D’où
naît
cette extrême sensibilité, si ce n’est d’une vani
e que la réalité ? comment, dans l’unité qui est la vie, l’art est-il
né
, à côté de la réalité ? et à côté de la réalité q
cience, longtemps n’ayant rien que les confuses suites des sensations
nées
en eux du tourbillonnant spectacle des choses, et
es, les mots aux idées abstraites d’elles issues, l’harmonie des sons
née
de l’imitation des bruits de la nature atteignait
timbres expressifs périssait dans la négligence universelle, lorsque
naquît
le vénérable Jean-Sébastien Bach. Alors commença
Christophe Glück — jusqu’à ce que vinssent deux maîtres les derniers
nés
de la musique : Beethoven, qui inventa en ses der
a diminution des autresac. Un littérateur est un homme dont l’esprit,
né
dispos aux généralisations, a été développé par l
elle et malgré soi y retournant. Car ces deux faits sont : un artiste
né
peintre, fait littérateur par les circonstances,
les Symphonies, les Sonates, les Ouvertures, et qu’un univers nouveau
naît
à lui ; « maintenant se révèle une vie toute fait
si je leur avoue être l’un des derniers venus du wagnérisme. Je suis
né
dans un village auprès de Blois, et, comme ce fut
emps songée ; dès les temps obscurs de ses erreurs, l’apparence était
née
en lui de cette œuvre du Parsifal, et pendant qu’
acquis. Et voilà donc qu’ayant achevé la Babel de sa Gœtterdæmmerung,
né
à cette solide vieillesse qui n’est que la maturi
it. Extension des termes. — Ce schéma m’apparaît du Parsifal… Qui,
né
et institué littérateur, fera le roman correspond
es solitudes. Dans le vain monde où fourmillent les foules, l’esprit,
né
pour la vie savante, opprimé par le commerce des
Conclusion ; objection extra-artistique. — Le Parsifal est l’émotion
née
de la contemplation de l’éternel désir, et la syn
n prendrait dans l’espace et dans le temps la place des générations à
naître
; privilégiés de la vie qui condamneraient au néa
comme de l’homme lui-même, soumis à ces quatre phénomènes de la vie,
naître
, croître, vieillir et mourir ? Ce globe n’est par
t la vertu, c’est le sacrifice, c’est la beauté morale. L’égoïste est
né
pour lui seul, l’homme collectif est né pour ses
beauté morale. L’égoïste est né pour lui seul, l’homme collectif est
né
pour ses semblables : se dévouer au perfectionnem
e philosophie primitive de l’Inde. « L’homme est un insecte éphémère,
né
des ténèbres et de la douleur un matin, pour mour
création future reposait sur le vide. Glorifier Dieu fut le désir de
naître
pour le premier germe de la création… « Cependant
ette création par le désir occulte qui presse toute chose, non encore
née
, de naître pour s’unir à Celui de qui tout sort e
ation par le désir occulte qui presse toute chose, non encore née, de
naître
pour s’unir à Celui de qui tout sort et à qui tou
ance au Dieu unique créateur, et conservateur des êtres connus. « Il
naissait
à peine de lui-même et déjà il était le seul maît
fut produit le soleil ; les oreilles se sculptèrent, et des oreilles
naquit
le son qui donne le sentiment du loin et du près
u près (des distances) ; la peau s’étendit, et de cet épiderme étendu
naquit
la chevelure, de cette chevelure de l’homme naqui
et épiderme étendu naquit la chevelure, de cette chevelure de l’homme
naquit
la chevelure de la terre, les arbres et les plant
etc. » On voit qu’en sens inverse du matérialisme moderne, qui fait
naître
l’intelligence des sensations brutales de la mati
uée d’organes, le spiritualisme déjà raffiné des sages de l’Inde fait
naître
les phénomènes matériels de l’intelligence. Et ce
r, ressemble tout à fait à celle des individus. Les sociétés humaines
naissent
et meurent ; mais leur berceau et leur tombeau so
encore, car rien ne surgit soudainement dans le monde. Comme l’enfant
naît
, croît et s’élève en présence de ses parents, ain
parents, ainsi les idées nouvelles qui s’introduisent dans la société
naissent
, croissent et s’élèvent en présence des idées anc
finissent par être l’opinion de l’âge suivant, qui, à son tour, voit
naître
d’autres idées, destinées aussi à être d’abord ce
s sibylles annonçaient un siècle nouveau ; et cette grande prophétie,
née
du besoin des peuples, inspirait à Virgile de bea
s dire que chaque homme a la sienne à l’égard de la société où il est
né
, quelquefois même à l’égard du genre humain tout
déjà en lui ; on ne lui révélait point la vérité, mais on la faisait
naître
de l’ébranlement de ses propres facultés ; on ne
fils de l’Avocat qui plaida contre les Jésuites, Docteur de Sorbonne,
né
à Paris en 1612, mort à Bruxelles en 1694. Celui-
savoir les réprimer, lorsqu’elles nous emportent trop loin. Il étoit
né
avec toutes les qualités qui forment les grands E
rits polémiques qui tombent d’eux-mêmes avec les sujet qui les a fait
naître
. On peut en juger par l’Ouvrage immortel de la pe
li de ce qui fait vivre nos consciences, mais, au contraire, elle est
née
de ces croyances qui, par tout ce qu’elles ont de
nt besoin de saints », disait quelqu’un à la veille de la guerre… Ils
naissent
chaque jour des champs de bataille et voici leur
les cathédrales, qu’allons-nous construire demain ? Qu’est-ce qui va
naître
dans l’immense émotion de la victoire ? Ce qui n
’est-ce qui va naître dans l’immense émotion de la victoire ? Ce qui
naîtra
, je ne sais, mais l’âme nationale vient de se réa
de l’instituteur25. 27 novembre 1916/9 mars 1917. Ce livre est
né
de la confiance que me témoignent des inconnus, m
la mémoire ou aux écarts de l’imagination populaire. V Aristote
naquit
, en 350, à Stagire, petite ville de la Macédoine.
il se réjouissait non pas tant d’avoir un fils, mais que ce fils fût
né
à une époque où il pouvait lui donner pour précep
remarquer que la familiarité de Callisthène avec Hermolaüs avait fait
naître
des soupçons que la haine de ses ennemis érigea e
n que sa Politique, ne sera-t-on pas tenté de croire que le monde est
né
vieux et que les mêmes mots ont exprimé les mêmes
disparaît dans une vaste quantité d’eau, de même l’affection que font
naître
ces noms si chers se perdra dans un État où il se
béral, ni faire aucun acte de générosité, puisque cette vertu ne peut
naître
que de l’emploi de ce qu’on possède. « Le système
que la propriété n’est pas commune : par exemple, les procès que font
naître
les contrats, les condamnations pour faux témoign
ou même avec ces deux passions à la fois. « De plus, les révolutions
naissent
tout aussi bien de l’inégalité des honneurs que d
r il n’était pas roi ; Charondas et tant d’autres y étaient également
nés
. « Ceci doit également nous faire comprendre pour
itoyens, mais tous s’en écartent dans l’application. La démagogie est
née
presque toujours de ce qu’on a prétendu rendre ab
nt cru qu’ils devaient l’être d’une manière absolue. L’oligarchie est
née
de ce qu’on a prétendu rendre absolue et générale
oligarchie. Dans les gouvernements oligarchiques, l’insurrection peut
naître
de deux côtés, de la minorité qui s’insurge contr
commencé d’être ensemble changeront cependant à la fois ! et un être
né
le premier jour de la catastrophe y sera compris
tres qu’on pourrait citer également. C’est encore une erreur de faire
naître
l’oligarchie de l’avidité et des occupations merc
uite et aux dettes, comme si tous les hommes ou du moins presque tous
naissaient
dans l’opulence. « C’est une grave erreur. Ce qui
avage qu’il croit un crime de la nature, l’autre relative aux enfants
nés
difformes dont il admet l’infanticide par humanit
e pensée ; la différence jaillit quant à la cause d’où ces deux modes
naquirent
. Par le symbole le poète se recherche dans la vie
s à l’harmonie. — Une fée le toucha de sa baguette fleurie, lorsqu’il
naquit
, et de cette caresse enchantée ses yeux s’ouvrire
de bonne foi crédule, on la devine trop vite maîtresse de soi, raison
née
, volontaire, telle qu’on la voit dans les ballade
qué, telles que tant de contes du danois Andersen ne pourraient-elles
naître
chez nous ? Les pleines gerbées de fables, de tra
la langue, je voudrais la chanson enfin, car la chanson parfaite doit
naître
assurément en France ! Et elle dirait des mots pu
esti par l’Harmonie n’avait voulu ordonner en ses vers les chants qui
naissent
de la terre sous nos pas, les souvenirs qui, au t
ourtant, oui, on commence je crois à le sentir, quelle force inconnue
naîtrait
de ce magique baiser, quel courant réciproque de
unie avec les choses plus qu’il ne théorise ; et cette communion fait
naître
une mélodie pénétrante et persuasive qui, sur un
semble en avoir trop tôt réglé la bondissante énergie ; l’artiste est
né
précocement à côté du poète qu’il a voulu dominer
madame de Montespan, commencés, comme nous l’avons vu, en 1667, était
née
, en 1669, une fille, que le duc de Saint-Simon ap
le madame la Duchesse, et qui ne vécut que trois ans. Le 30 mars 1670
naquit
le duc du Maine. La naissance des deux enfants fu
it sa sœur. Ces personnes n’avaient proposé que l’éducation d’enfants
nés
de madame de Montespan. On faisait mystère du nom
espan, et parce que les lois s’opposant à la reconnaissance d’enfants
nés
d’un commerce doublement adultère, il fallait avo
Montespan à madame Scarron, et l’un de ces enfants n’était pas encore
né
. Ici je remarquerai encore une phrase, qui paraî
e de Montespan n’avait qu’un enfant du roi, et que le duc du Maine ne
naquit
que six jours après la lettre. 81. Auger, Vie de
les mausolées et les éloges. Dans le seizième siècle surtout, on vit
naître
une foule d’ouvrages destinés à conserver les nom
nnaissons point d’orateurs qui s’y soient distingués. Ce genre serait
né
en Allemagne, s’il n’avait point été inventé aill
français. Nous en connaissons plusieurs de Maupertuis. Ce philosophe,
né
avec plus d’imagination que de profondeur, et qui
ses mœurs. Quoique avilie et corrompue, c’est l’Angleterre qui t’a vu
naître
; elle se glorifie de ton nom ; elle t’offre pour
Pierre, qui a porté les semences de tous les arts en Russie, y a fait
naître
aussi l’éloquence. Nous avons un panégyrique de c
éveiller les imaginations, et que l’idée de la gloire nationale fasse
naître
pour les particuliers l’idée d’une gloire personn
é, de l’Académie des Inscriptions, de celle de Dijon & d’Auxerre,
né
en 17.. Quoique l’Histoire soit une des branches
noine de la Sainte-Chapelle, Abbé de Tiron, Lecteur du Roi Henri III,
né
à Chartres en 1546, mort en 1606. Despréaux dit,
ntisme de Ronsard, qu’il avoit pris d’abord pour modele. Quand on est
né
avec le sentiment du vrai, on y revient toujours,
Saint-Didier, [Ignace-François Limojon de]
né
à Avignon en 1668, mort dans la même ville en 173
il eût eu plus de goût & des amis prompts à le censurer. Il étoit
né
avec des talens : trop de facilité en fut l’écuei
de Voltaire n’en a pas de mieux frappés. Que ses hautes vertus font
naître
de Grands Hommes ! Les exemples des Rois nous fon
L’histoire militaire venait de finir et l’histoire littéraire allait
naître
. Mme de Staël, ce grand poète en prose, — comme o
la poésie en fut enivré. Elle-même s’enivra aux émotions qu’elle fit
naître
, mais tout le monde fut de si bonne foi que quand
re toute la gaieté. Il faut dire, il est vrai, que si le Français est
né
vaudevilliste, il est né aussi galantin, et que l
ut dire, il est vrai, que si le Français est né vaudevilliste, il est
né
aussi galantin, et que là où une prétention d’hom
J’ai dit que c’était là une loi. C’est cette loi qu’il faut dégager…
Née
pour faire des choses très-différentes de celles
e des discours éloquents, ou qui devaient l’être ; chaque jour voyait
naître
et mourir des éloges nouveaux, en prose, en vers,
qui sent. Alors s’élevèrent deux écrivains d’un ordre distingué, mais
nés
tous deux avec cette justesse qui analyse et qui
ette rage destructive qui change, dit-il, en bêtes féroces des hommes
nés
pour vivre en frères ; contre ces déprédations at
ompatissant, tandis que la barbarie étincelle de rage autour de lui ;
né
pour les douceurs de la société comme pour les da
À peine en ai-je goûté les charmes, non pas de cette amitié vaine qui
naît
dans les vains plaisirs, qui s’envole avec eux, e
que j’expose l’état des choses, et comment le français d’alors était
né
, — un français intermédiaire et qui n’est pas enc
n chemin le grand comédien honnête homme Roscius, sous prétexte qu’il
naquit
dans la Narbonnaise ; — quand on embrasse ce cadr
, dont quelques-uns célèbres : — Varron d’Atace, le poêle didactique,
né
dans la Narbonnaise, auteur d’un poème sur la Nav
ant il y plaidé bien la cause des modernes ; — le sophiste Favorinus,
né
à Arles, célèbre dès le règne de Trajan, en haut
tueux, l’élégant, le corrompu et pourtant énergique écrivain, qui est
né
à Marseille, s’il n’est pas né à Naples, mais qui
t pourtant énergique écrivain, qui est né à Marseille, s’il n’est pas
né
à Naples, mais qui, dans tous les cas, est sorti
in sorti d’Asie, disciple de saint Polycarpe, — et avec saint Irénée,
né
en Asie Mineure, disciple de saint Polycarpe égal
s au IVe siècle dans la personne d’Ausone et de saint Paulin. Ausone,
né
à Bordeaux, où il professa la rhétorique pendant
le rameau vert et vierge qui se détache du vieil arbre qui va mourir.
Né
à Bordeaux, d’une famille illustre et opulente, d
ns et le vengeur de l’orthodoxie un moment opprimée. — Saint Ambroise
naquit
à Trêves, mais vécut et s’illustra hors des Gaule
n, et racontée dans ses détails, exprimée dans ses mœurs par Cassien,
né
peut-être dans la petite Scythie, au bord de la m
e : c’est qu’il a existé, il y a plus de dix siècles, une langue qui,
née
du latin corrompu, a servi de type commun à ces l
donc qu’il y avait eu, au moment où la langue latine expirait, et où
naissaient
les idiomes modernes, une espèce de langue médiat
la transformation de l’ancien latin, dans ce renouvellement d’où sont
nés
les quatre idiomes vulgaires, provençal, français
mper s’il n’était pas instruit à en rectifier les erreurs. Il ne peut
naître
que dans la famille, et la famille ne peut existe
xister que dans la société. Son intelligence, comme lui-même, ne peut
naître
que dans la famille, et, comme lui-même encore, n
ral. Si la longue enfance de l’homme prouve la nécessité pour lui de
naître
dans la famille, et, par conséquent, dans la soci
otre vue plus loin que notre existence actuelle. L’homme n’est jamais
né
hors de la société ; car la société a été nécessa
is né hors de la société ; car la société a été nécessaire pour qu’il
naquît
, pour qu’il devînt un être intelligent et moral,
orte physiologique, comme la nécessité de ses autres organes. L’homme
naît
donc soumis aux lois de son organisation, non seu
a pas plus inventé le langage que la société, il en résulte qu’il est
né
avec la parole, ou que la parole lui a été enseig
-t-on assez réfléchi, enfin, à cette force des racines primitives qui
naît
en même temps, par une merveilleuse fécondité, et
angues des hommes réunis en corps de tribus ou de nations. Il faisait
naître
les unes des autres. Il aurait fini par rencontre
sont aussi devenus célèbres comme leurs maîtres ; et que cette école,
née
dans les jours les plus néfastes, a imprimé néanm
es de l’Asie comme à celles de l’Europe, les langues analytiques sont
nées
de la décomposition des langues synthétiques. Pou
r et s’accorder, j’en viens à mon sujet même. Étienne de La Boétie38,
né
à Sarlat en Périgord le 1er novembre 1530, était
aie connu au vif, je dis des parties naturelles de l’âme, et le mieux
né
, c’était Étienne de La Boétie. C’était vraiment u
e La Boétie ne laisse pas de soulever plus d’une question et de faire
naître
plus d’un doute. Dans quelle intention précise, e
des grands qui l’entendirent. » Du ressentiment de cet affront serait
né
le pamphlet vengeur. Ceci n’irait à rien moins qu
es dont allait s’embraser toute la dernière moitié du siècle, faisait
naître
dans les nobles âmes, et qu’Étienne de La Boétie
actère propre et singulier, d’être le type de l’amitié-passion ; elle
naquit
en eux avec la rapidité et l’imprévu de l’amour :
y a un goût dans la pure amitié où ne peuvent atteindre ceux qui sont
nés
médiocres », ne paraît pas admettre cette formati
e formation prompte et soudaine du même sentiment : L’amour, dit-il,
naît
brusquement, sans autre réflexion, par tempéramen
les mêmes aides ; ils avaient à pourvoir à des besoins tout spéciaux,
nés
d’une civilisation nouvelle et toute locale, tout
r patience fut couronnée du succès : l’originalité un jour leur était
née
. Comment naît l’originalité dans un art et chez u
t couronnée du succès : l’originalité un jour leur était née. Comment
naît
l’originalité dans un art et chez un peuple ? Com
s’était fait, — où, dis-je, il se trouva qu’une langue nouvelle était
née
au sein même de la confusion, que cette langue to
Ainsi de l’architecture romane et gothique : il y eut un jour où elle
naquit
, où elle sortit de terre de toutes parts, et couv
itions venues des Romains et des Byzantins, l’architecture romane est
née
et devait naître la première : et déjà impliquée
des Romains et des Byzantins, l’architecture romane est née et devait
naître
la première : et déjà impliquée en celle-ci, s’y
xcellent, notre architecture d’alors, bien nationale, bien originale,
née
chez nous dans l’Ile-de-France ou aux environs, a
bras. Mlle Delphine Gay, qui devait être de bonne heure célèbre, est
née
au plus beau matin du soleil de l’Empire, à Aix-l
rfois la manière. Je n’y trouve pas plus de ce naturel véritable qui,
né
de la pensée ou du sentiment, et jaillissant de l
mais ce rang est une vocation. Il y a de très grandes dames qui sont
nées
actrices, et qui cependant n’ont jamais joué la c
ontrastes que vous voyez d’ici. Il y a de très grandes dames qui sont
nées
portières, il y en a d’autres qui sont nées genda
ès grandes dames qui sont nées portières, il y en a d’autres qui sont
nées
gendarmes, colonels, que sais-je ? Elle continue
er, et pas si à faux, ce me semble. Et les hommes, il y en a qui sont
nés
troubadours, d’autres chevaliers, d’autres bouffo
tout est bien, on a l’harmonie. « Il y a, dit-elle encore, des hommes
nés
moines, qui sont chauves à vingt-cinq ans, qui pa
e ces vers de Bérénice : En quelque obscurité que le sort l’eût fait
naître
, Le monde, en le voyant, eût reconnu son maître.
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