ns et quatre terrasses, grand-commun habité par deux mille personnes, maisons et hôtels dits des Louis où le roi assigne des lo

les choses de la matière comme dans les choses de l’esprit. II. La maison du roi. — Personnel et dépenses. — Sa maison mili

s de l’esprit. II. La maison du roi. — Personnel et dépenses. — Sa maison militaire, son écurie, sa vénerie, sa chapelle, s

s vu la pompe de Versailles, même après le licenciement de l’ancienne maison du roi ; Louis XIV était toujours là147. » C’est

était un opéra ? En ce temps-là, il faut à un grand un grand état de maison  ; son cortège et son décor font partie de sa pers

les et aussi beaux qu’il le peut ; il serait choqué d’un vide dans sa maison comme nous d’un trou dans notre habit. S’il se re

rgeois. Dès qu’un prince ou une princesse est d’âge, on lui forme une maison  ; dès qu’un prince se marie, on forme une maison

ge, on lui forme une maison ; dès qu’un prince se marie, on forme une maison à sa femme ; et par maison entendez une représent

 ; dès qu’un prince se marie, on forme une maison à sa femme ; et par maison entendez une représentation à quinze ou vingt ser

mtesse de Provence, 496 chez la reine. Lorsqu’il s’agit de former une maison à Madame Royale, âgée d’un mois, « la reine, écri

e naître des sentiments d’orgueil. Malgré le retranchement susdit, la maison de la jeune princesse se montera encore à près de

personnes destinées au service unique de sa personne royale149 ». La maison civile de Monsieur en comprend 420 et sa maison m

sonne royale149 ». La maison civile de Monsieur en comprend 420 et sa maison militaire 179 ; celle du comte d’Artois 237 et sa

nd 420 et sa maison militaire 179 ; celle du comte d’Artois 237 et sa maison civile 456  Les trois quarts sont pour la montre 

tez que tout cela est sous sa main, puisque ses parcs confinent à ses maisons  Tel est en effet le caractère d’une « maison mon

parcs confinent à ses maisons  Tel est en effet le caractère d’une «  maison montée », c’est-à-dire munie de ses dépendances e

er au centre, la bouche ; c’est à la table qu’on reconnaît une grande maison . Il y a trois divisions de la bouche158 : la prem

n tel voisinage, leur tenue ne doit pas faire disparate  Telle est la maison du roi, et je n’ai décrit qu’une de ses résidence

rendre la poste d’avance ». Au total, près de 4 000 personnes pour la maison civile du roi, 9 000 à 10 000 pour sa maison mili

4 000 personnes pour la maison civile du roi, 9 000 à 10 000 pour sa maison militaire, 2 000 au moins pour celles de ses proc

remplir le salon du roi. III. La société du roi. — Officiers de sa maison . — Invités de son salon. Deux causes y maintie

pagnie titrées, en outre tous les officiers jusqu’au plus petit de la maison militaire, sans compter 1 400 simples gardes qui,

aient pour peupler la cour. Approcher du roi, être domestique dans sa maison , huissier, porte-manteau, valet de chambre, est u

e l’esprit, l’effet, le triomphe de la culture monarchique ; dans une maison montée, le salon est la pièce principale ; et il

la chemise, tout le demeurant des gens connus et des officiers de la maison qui attendent dans la galerie apportera le dernie

urs princières chaque prince ou princesse du sang a, comme le roi, sa maison montée, payée en tout ou en partie sur le Trésor,

cinquante, cent, deux cents et jusqu’à cinq cents charges. Il y a une maison de ce genre pour la reine, une pour Madame Victoi

un oracle et très consulté. « Il a beaucoup augmenté la beauté de sa maison et de ses jardins à Saint-Ouen. » — « Au moment d

ait commencé à faire enfermer dans une terrasse revêtue… Il avait une maison considérable en gentilshommes, pages, domestiques

son lit. Il écrivait, dictait au milieu d’une compagnie nombreuse… Sa maison à Paris et son appartement à Versailles ne désemp

il était éveillé jusqu’à ce qu’il se couchât. » — Deux ou trois cents maisons à Paris, à Versailles et aux environs présentent

atre-vingts couverts197 ; bientôt, sur cet exemple, toutes les riches maisons se font gloire de tenir table ouverte à tous vena

econde femme de chambre ; mais elle a tenu bon ; pourtant, dans cette maison écourtée, « les officiers, les femmes et les vale

trop pour leur train. « Ils sont obligés de tenir un si grand état de maison , qu’ils ne peuvent guère s’enrichir dans leur pla

là une des raisons qui font réserver les régiments aux fils de bonne maison , et les compagnies aux gentilshommes riches  Du g

ffice d’un seigneur notable est de faire dignement les honneurs de sa maison  ; je parle ici des ecclésiastiques aussi bien que

une antichambre, des huissiers, des officiers, une table ouverte, une maison montée, des équipages, et le plus souvent des det

tour ils reçoivent à Genlis  Un coup d’œil jeté sur les dehors de ces maisons suffirait pour montrer que le premier devoir en c

n compagnie218. En effet leur luxe diffère du nôtre. Sauf en quelques maisons princières, il n’est pas grand en meubles de camp

ertes, en logements donnés à des gens qui ne sont point attachés à la maison , en loges aux spectacles qu’on prête à ses amis,

n. Partout les chefs rudes ayant autorité sont devenus des maîtres de maison ayant des grâces. Ils appartiennent à cette socié

vants, cf. Waroquier, t. I, passim. Archives nationales, O1, 710 bis. Maison du roi, dépenses de 1771  Marquis d’Argenson, 25

janvier 1779  Waroquier, en 1789, ne mentionne que 15 charges dans la maison de Madame Royale. Ceci, outre beaucoup d’autres i

Administration des finances. II, 119. 151. Cabinet des Estampes, La maison du roi en 1786 (estampes coloriées). 152. Archi

omte d’Hézecques, Souvenirs d’ un page de Louis XVI, 121.) 153. La maison du roi justifiée par un soldat citoyen (1786), d’

(1786), d’après les comptes publiés par le gouvernement. — La future maison du roi (1790). « Les deux écuries ont dépensé en

is XVI, publié par Nicolardot, passim. 157. Waroquier, t. I, passim. Maison de la reine, chapelle 22 personnes, faculté 6. Ma

, t. I, passim. Maison de la reine, chapelle 22 personnes, faculté 6. Maison de Monsieur, chapelle 22, faculté 21. Maison de M

22 personnes, faculté 6. Maison de Monsieur, chapelle 22, faculté 21. Maison de Madame, chapelle 20, faculté 9. Maison du comt

r, chapelle 22, faculté 21. Maison de Madame, chapelle 20, faculté 9. Maison du comte d’Artois, chapelle 20, faculté 28. Maiso

lle 20, faculté 9. Maison du comte d’Artois, chapelle 20, faculté 28. Maison de la comtesse d’Artois, chapelle 19, faculté 17.

faculté 28. Maison de la comtesse d’Artois, chapelle 19, faculté 17. Maison du duc d’Orléans, chapelle 6, faculté 19. 158.

ouzy (mars 1780). — Là-dessus une réforme suivit (17 août 1780). — La maison du roi justifiée (1789), 24. En 1788, la dépense

2  Archives nationales, O1, 738, p. 62 et 64 ; O1, 2805 ; O1, 736  La maison du roi justifiée (1789). Bâtiments en 1775, 3 924

it le roi dans ses voyages ressemble à la marche d’une armée. » 164. Maison civile du roi, de la reine, de Madame Élisabeth,

Royale, 25 700 000 l  Aux frères et belles-sœurs du roi, 8 040 000 l   Maison militaire du roi, 7 681 000 l. (Necker, Compte re

00 l. (Necker, Compte rendu, II, 119)  De 1774 à 1788, la dépense des maisons du roi et de sa famille flotte entre 32 et 36 mil

u roi et de sa famille flotte entre 32 et 36 millions, non compris la maison militaire (La maison du roi justifiée). En 1789,

e flotte entre 32 et 36 millions, non compris la maison militaire (La maison du roi justifiée). En 1789, la maison du roi, de

compris la maison militaire (La maison du roi justifiée). En 1789, la maison du roi, de la reine, du Dauphin, des enfants de F

ntent à 228 000 l. Total 33 240 000 livres  À quoi il faut ajouter la maison militaire du roi et les 2 millions en apanage des

6. Mot du comte d’Artois en présentant à sa femme les officiers de sa maison . 167. Le nombre des chevau-légers et des gendarm

s déjà dit, il y a quelques années, cet adieu au cher Milly, terre et maison de mon enfance. J’y avais baisé, en m’en séparant

ser sur la route où la colline aride surmonte avec son clocher et ses maisons le paysage, et où les sept sycomores font tremble

donc obligé d’attendre cette date pour avoir recours à eux. Enfin la maison de commerce de Paris, avec laquelle j’avais contr

us par hasard rencontré sur les chemins de la Bourgogne, soit dans la maison de son enfance, à Milly, soit dans la masure de S

auvre femme. Nous mangeâmes ce que nous avions apporté le matin de la maison , nous bûmes de l’eau ; nous fîmes notre prix pour

deux en étendant les matelas par terre. Nous priâmes Dieu comme à la maison , moi avec Mathilde, la petite Marie avec notre mè

n’entrâmes pas dans la ville, nous prîmes notre gîte dans une petite maison du faubourg à gauche, dont le maître et la maître

à pied, crurent que nous manquions de tout, et voulant signaler leur maison par une charité, nous donnèrent presque gratuitem

des sabots, et que leur donneras-tu à souper ? Nous n’avons rien à la maison . — Je le leur ai dit, fit-elle ; mais puisqu’elle

te rouge de honte de ne pouvoir nous offrir que ce qu’elle avait à la maison  ; nous fûmes obligées de la contenter en paraissa

e tous les honnêtes gens, il a bien de la peine à rester maître de sa maison à force de dettes, car tout le monde qui le peut

coup, toujours en face du même spectacle, à entrer dans les premières maisons de Bussières. Ce fut alors qu’Aglaé chercha son v

alla marcher devant nous. IX Elle tourna à droite aux premières maisons de paysans du village. Elle suivit la petite vall

é comme on l’appelle encore, jusqu’à une galerie bâtie à neuf, car la maison avait changé plusieurs fois de maître, et un vieu

en vous faire voir les chambres, mais je n’en ai plus les clés, et la maison , entièrement changée ainsi que les habitants, ne

r de bois, descendez l’escalier qui conduit à la porte d’entrée de la maison , je vais vous y conduire en trois pas, car il n’a

la porte à deux battants de bois vermoulu qui séparait la cour de la maison du cimetière. Nous nous précipitâmes vers l’endro

n. — C’est ce que vous cherchez, me répondit-il, c’est Milly. — Et la maison de la famille de M. Alphonse, où est-elle donc ?

une si remarquable famille. Mais cela ressemble tout simplement à la maison de Renève où notre père instruit les quinze enfan

rdâmes sans rien dire pour bien nous entrer dans les yeux la cour, la maison et le jardin dont nous apercevions un coin par un

un pressoir, s’étendait de la porte de la cour jusqu’à l’angle de la maison de maître. Il en était séparé seulement par un ét

rons-y, dit Marie, et ne faisons pas de bruit pour que personne de la maison ne vienne effaroucher nos souvenirs. Nous entrâme

de nous déranger dans notre pèlerinage. Elle nous pria d’entrer à la maison et d’accepter à déjeuner avec elle. Il pouvait êt

en restait, ayant offert lui-même à M. de Lamartine de lui rendre la maison de son père et quelques vignes alentour, au prix

ous dit Madame D…, n’avait été changé dans l’ameublement de la pauvre maison pour conserver religieusement les vestiges de mad

es de l’heureuse famille alors ; une rangée de sacs de farine pour la maison était debout d’un côté, une large cuisine s’ouvra

laisait davantage, c’était l’accueil si honnête de la maîtresse de la maison et les souvenirs touchants du temps passé qui nou

t tout à fait, et on nous conduisit toutes les quatre aux différentes maisons du village où l’on avait préparé nos lits. Ma mèr

s s’étaient résignées à coucher avec les chèvres dans les écuries des maisons . Nous nous couchâmes avec reconnaissance dans ces

ule avec des pommes de terre souvent gâtées et la peur des loups à la maison , il n’a point eu de repos, ainsi que ses charmant

isance ne mourût pas avec elle ; elle nous donna alors une très-jolie maison que vous verrez tout à l’heure sur la terrasse du

la route difficile jusqu’au château. Nous étions déjà bien loin de sa maison , que nous l’entendions encore à travers les feuil

on était si profond qu’il semblait qu’on allait se heurter contre les maisons  ; pas du tout, monsieur, c’était très-loin. Les m

ignes émerveillantes en feuilles. Elles montaient rapidement vers les maisons . La première, précédée d’une haute terrasse, et d

outes grandes au soleil levant, laissaient entrer l’air dans toute la maison  ; on entendait sortir un certain murmure qui est

dans la chapelle et dans le château, comprirent que nous étions de la maison , et s’attachèrent fortement à nous comme des pers

ffisaient pas, le pays tout entier était pour ainsi dire partie de la maison  ; nous voulûmes le visiter. Les religieuses nous

suivant la route montagneuse de Milly, et nous retrouvâmes le soir la maison et le lit du vigneron où nous avions été si bien

âme ; quand nous serons bientôt peut-être expulsés de notre dernière maison , souvenons-nous, pour nous consoler, que la derni

e sur un océan de roseaux, on voit luire au soleil un petit nombre de maisons à toits aigus et bleuâtres, couverts d’ardoises,

s sèchent leurs plumes et becquettent le grain volé dans la cour. Ces maisons , en général carrées et basses, n’ont rien qui les

, en général carrées et basses, n’ont rien qui les distingue trop des maisons de la petite bourgeoisie, qu’une ou deux tourelle

e de métairies et d’étables couvertes en chaume sert de portique à la maison . Au-dessus et au-dessous, un bois de châtaigniers

ec le domaine tout le patrimoine de la famille. Il faut y ajouter une maison noire de vétusté et d’abandon, meublée de meubles

rme et leur épée consacrée héréditairement au service militaire de la maison de Savoie. Ces familles ont, en général, cinq ou

nt les gémissements secrets de la nature ; les autres restent dans la maison , y vieillissent avec une inclination cachée dans

egarde, puis s’accoutument à leur sort, se font les providences de la maison , reprennent leur gaieté et deviennent tantes, cet

ces intérieurs ; ce sont les cariatides gracieuses et vivantes de la maison  : elles ne la supportent pas, mais elles la décor

, et adressée au colonel de Maistre, propriétaire de cet ermitage. La maison est située sur le flanc septentrional de la vallé

ur un de ces renflements des racines du Mont-du-Chat qu’est assise la maison de Bissy. Un petit bois de châtaigniers sauvages

gne qui apportait sur sa mule les fagots de bois du Mont-du-Chat à la maison de ses frères. Ses cheveux, d’un blanc de neige e

it et les pas s’égaraient délicieusement à sa suite, il rentrait à la maison  ; quelquefois il s’arrêtait encore un moment à l’

lui-même. Sa tête fermentait de restauration ; il voulait relever la maison de Savoie par les Russes, peut-être même par les

et pour me servir ce jour-là de père. Le contrat se signait dans une maison de plaisance nommée Caramagne, à quelque distance

ien régime est son dogme ; les Bourbons, solidaires, selon lui, de la maison de Savoie, sont ses dieux terrestres ; il a un cu

le où le temps transforme le crime en vertu !) Il continue : « Si la maison de Bourbon est décidément proscrite, il est bon q

ferme et même assez dure pour rétablir… Laissez faire Napoléon… Ou la maison de Bourbon est usée et condamnée par un de ces ju

. On va le voir. Il voulait imposer son nom à la reconnaissance de la maison de Savoie par un de ces services officieux, éclat

ce du conquérant distributeur d’empires. Que devenait l’honneur de la maison de Savoie ? Il fallait de plus accepter, après l’

sollicité, un de ces royaumes arrachés par le conquérant à une autre maison régnante pour en gratifier la maison de Savoie de

és par le conquérant à une autre maison régnante pour en gratifier la maison de Savoie devenue usurpatrice à son tour. Que dev

udace et d’éloquence, de le convaincre de la nécessité de rétablir la maison de Savoie dans quelque grand établissement monarc

premier mot, désavoué et rappelé son ministre. Comment, en effet, la maison proscrite de Savoie aurait-elle avec dignité mend

le avec dignité mendié un trône à son proscripteur ? et comment cette maison royale, représentant dans son île la fidélité mal

s trônes, aurait-elle pu se démentir en expulsant elle-même une autre maison royale de ses possessions, par la main de Napoléo

s ? Or, nous l’avons dit, on ne pouvait prendre cette indemnité de la maison dépouillée de Savoie que sur d’autres dépouilles.

eterre, de l’Espagne, de l’Autriche, de la Prusse, parent enfin de la maison de Bourbon, aurait-il justifié aux yeux de ces al

homme se prend de quelque intérêt pour moi. Il est présenté dans une maison où je suis fort lié, M. de Laval, Français résida

yens d’adoucir le lion et de le rendre plus traitable à l’égard de la maison de Savoie. Je laisse mûrir cette idée, et plus je

les trois déclarations suivantes : « 1º Je parlerai sans doute de la maison de Savoie, car je vais pour cela ; 2º je ne prono

onté de m’entendre, j’aurais sans doute l’honneur de lui parler de la maison de Savoie ; « 2º Je ne prononcerais pas le mot de

re souverain des vieilles races, ou un nouveau souverain de sa propre maison . Le rêve eut un triste réveil. Tout fut connu. La

crivain politique, comblé de dons et d’honneurs par les princes de la maison de Bourbon, remplir également le monde de ses pla

lez, allez voir ! Depuis plus d’une année je n’allais plus dans cette maison , et j’ai su qu’on m’en a loué comme d’un trait de

u là. Mais cette fois j’ai été invité en personne par le maître de la maison  ; je lui dis en riant : Mais, Monsieur, il faudra

êt évident est de nous maintenir grain. Pourquoi agrandirais-je cette maison  ? dira l’Autriche. Est-ce pour lui livrer une par

Alpes, en départements français. Quelle que fût sa partialité pour la maison de Savoie, le comte de Maistre avait trop de sens

ns aussi pour s’imaginer que la France permettrait impunément à cette maison de Savoie de constituer contre elle, sur les Alpe

s cette nécessité, pour la France, de ne pas agrandir démesurément la maison ambitieuse de Savoie, que ces traités de 1814 nou

Savoie tout entière et agrandirent sans prévoyance et sans justice la maison de Savoie, en lui octroyant, du droit de sa convo

s cette unité tourne contre la nation, ou, pour mieux dire, contre la maison régnante, en s’opposant à tout amalgame politique

iome : Aucune nation n’obéit volontairement à une autre. Présentez la maison de Savoie à tous les peuples d’Italie qui ont per

ibre et diverse comme l’a fait la nature. L’ambition turbulente de la maison de Savoie est un mauvais auxiliaire. La convoitis

cuse qui puisse justifier une guerre européenne, ce n’est pas avec la maison de Savoie qu’il faudra s’allier offensivement et

me période). — Accroissement du nombre des enfants naturels du roi. —  Maison , rue de Vaugirard, où madame Scarron s’établit. —

ugirard, un grand hôtel isolé dans la campagne. On quitta les petites maisons des nourrices : on se mit au large. Madame Scarro

t à fait du monde, se déroba à tous les regards, s’établit dans cette maison , s’y concentra dans les soins qu’exigeait l’éduca

qu’exigeait l’éducation de ses élèves. Madame de Sévigné décrit cette maison , longtemps impénétrable, dans une lettre du 4 déc

te, quasi auprès de Vaugirard, dans la campagne ; une belle et grande maison où l’on n’entre point ; il y a un grand jardin, d

ngulières. Elle suppose que la retraite de madame Scarron, dans cette maison solitaire, avait donné lieu à des conjectures et

à la tête. Je suis en très bonne santé, enfermée dans une assez belle maison , un jardin très spacieux, ne voyant que les gens

certainement du temps où les enfants et la gouvernante habitaient la maison isolée de la rue de Vaugirard, dans laquelle pers

qu’elle fréquentait, sans dire pourquoi, et se retira dans une grande maison isolée, avec des gens et un carrosse, il se trouv

us d’ardeur qu’avant, et que le roi avait donné à la belle abusée une maison pour y cacher son dépit, sa honte, le repentir de

bienfaitrice, et qu’elle cachait sa honte et son ingratitude dans une maison que le roi lui donnait en attendant qu’elle allât

madame de Saint-Géran. Il en résulte que quand on habitait la grande maison de Vaugirard, c’est-à-dire en 1672, au lieu de la

snoy était maîtresse de Louvois. 88. J’ai oublié de comprendre cette maison entre celles qui étaient ouvertes à la société d’

ciété. L’intérêt attaché à madame de Montausier, dernier reste de la maison de Rambouillet, nous a fait anticiper d’une année

de voir ses progrès. Nous avons vu depuis 1645 jusqu’en 1660, quelles maisons s’ouvriront à la haute société, quand la maison d

squ’en 1660, quelles maisons s’ouvriront à la haute société, quand la maison de Rambouillet commença à se désunir. Nous avons

mbouillet commença à se désunir. Nous avons vu à sa place s’élever la maison de mademoiselle de Montpensier, l’hôtel de Longue

tel de Richelieu, l’hôtel de la Rochefoucauld. Nous avons vu dans ces maisons , mademoiselle de Pons, madame de Martel, madame d

22 ans, fit connaissance avec madame Scarron. Elle fréquentait cette maison bien avant d’être en faveur près du roi ; et les

es que nous avons citées, d’autres encore, ouvrirent elles-mêmes leur maison . Telles furent madame de Cornuel et madame de Cou

uelques-unes ; et enfin que cette dame avait de la fortune, une bonne maison , une excellente table, citée alors pour son éléga

alors pour son élégante propreté ; qu’elle donnait des dîners dans la maison qu’elle occupait à Auteuil ; et que le duc de La 

s affaires du domaine, et dont il dépensa une partie à construire une maison dite la Folie de Rambouillet, sur le terrain de R

int-Antoine, et dont il ne subsiste plus que la porte d’entrée. Cette maison réunit bientôt la meilleure compagnie. Le duc de

oir le confondre, elle s’est éclipsée elle-même ; et, sans quitter sa maison , où elle retourne encore quelquefois, sans avoir

’était pas comme celui des malades qu’elle sert. Les supérieurs de la maison sont charmés de son esprit, elle les gouverne tou

n qui se décela, d’une manière peu honorable, le genus irritabile. La maison de madame de Coulanges était ouverte à moins de m

74-1945) [Bibliographie] Les Poèmes de mes soirs (1896). — La Maison d’exil (1898). OPINIONS. Albert Arnay

r la brume religieuse. C’est non loin d’un bois semblable que sont la maison de bois noir, la maison dans la forêt et la maiso

’est non loin d’un bois semblable que sont la maison de bois noir, la maison dans la forêt et la maison en fleurs, d’où M. Pil

blable que sont la maison de bois noir, la maison dans la forêt et la maison en fleurs, d’où M. Pilon a vu venir vers lui, gra

éjà dans de jeunes revues Edmond Pilon publie les premiers vers de sa Maison d’exil, plus libres, plus francs encore et plus a

Pilon est une caresse continuelle pour la petite fée qui embellit sa Maison d’exil. [La Trêve-Dieu (1898).] Maurice Perrès

ne haute conscience d’artiste. M. Edmond Pilon n’y a point failli. Sa Maison d’exil est celle où l’on voudrait vivre, où on ai

[L’Œuvre (1898).] Stéphane Mallarmé Merci pour la lecture de la Maison d’exil : j’y trouve des accords exquis d’âme et d

nos mères ou de nos Euryclées (servante vieillie de Télémaque dans la maison de Pénélope, à Ithaque). Aussi pouvons-nous lire

guaient des autres habitants des vallées et des montagnes que par une maison plus vaste, des troupeaux plus gras, des champs p

hasard de naître, le pays pastoral et agricole que nous habitions, la maison , les vergers, les champs, les aspects, les relati

entre ses six enfants, trois fils et trois filles. De cette nombreuse maison , mon père seul, quoique le dernier né, s’était ma

à toute autre habitation moins sévère dans le partage des biens de la maison . Cet oncle était destiné à l’Église avant la Révo

ous avait adoptés pour ses enfants. Nous quittions tous les ans notre maison moins pastorale du Mâconnais pour aller passer l’

litude par ce doux tumulte dont six enfants en bas âge remplissent la maison d’un homme sans famille. C’est là que nous avons

-ci aux pâturages. Presque tous étaient nés ou avaient grandi dans la maison . Une hiérarchie naturelle et ascendante faisait,

entre les jeunes serviteurs de la ferme et les jeunes servantes de la maison  ; les aveux, les fiançailles, les noces, les joie

tous les jours à tous ! L’Iliade, c’est le camp, l’Odyssée, c’est la maison  ! Ouvrez la maison, vous ouvrez le cœur de l’homm

ous ! L’Iliade, c’est le camp, l’Odyssée, c’est la maison ! Ouvrez la maison , vous ouvrez le cœur de l’homme ! Éclairez cette

n ! Ouvrez la maison, vous ouvrez le cœur de l’homme ! Éclairez cette maison et ce cœur de l’homme des rayons de la poésie div

e l’entrée de la tente dans le désert, ils entrouvrent la porte de la maison dans la cité antique ; ils y surprennent, dans la

les mêmes mœurs, les mêmes images et le même cœur humain que dans sa maison . C’est par ces tableaux naïfs, pathétiques, si pr

l’unique désir est de revoir au moins s’élever de loin la fumée de la maison où il est né et où il voudrait mourir ! » — « 

lyse des sens et du cœur de l’homme dans ce seul mot : la fumée de la maison de ses pères ! Supposez que vous soyez égarés dep

ant d’intérêt et de ce qu’on appelle poésie dans la domesticité d’une maison bien tenue que dans la solennité des actes de la

énélope abusent du veuvage de cette mère pour ruiner et déshonorer sa maison  ; comment Minerve, sous la figure de l’hôte, s’in

car c’est à moi qu’appartient par ma naissance l’autorité dans cette maison  ! » Pénélope, ravie en secret d’admiration, reto

on pieuse ; je m’en serais rapportée à lui pour venger la femme et la maison de son père. » Les plus jeunes sœurs avaient les

’enfance, il donna vingt taureaux pour l’obtenir. Il l’honora dans sa maison à l’égal d’une chaste épouse et ne partagea jamai

us n’a-t-il pas eu son Euryclée, cette seconde mère des enfants de la maison , par l’habitude de les avoir vus naître, par le l

ir, par l’orgueil qu’elle a en les voyant grands et respectés dans la maison  ? Euryclée, n’est-ce pas exactement ma Jacqueline

ns me visiter du fond de son village ? Elle s’y repose dans la petite maison que votre père lui a achetée par tendresse pour m

us les lieux et tous les temps se ressemblent par ces intimités de la maison et par ces mystères d’intérieur qui sont les même

assister au départ de votre père et de moi quand nous quittons notre maison des champs pour la ville. « Cependant Télémaque

e. « Cependant Télémaque descend dans le vaste et haut cellier de la maison de son père, où étaient déposés les habits dans d

tants, étroitement jointes l’une à l’autre. Une femme de charge de la maison veillait nuit et jour dans cet endroit et gardait

ous l’entendez !) tout ce qu’une servante attachée dès l’enfance à la maison dit au fils de ses maîtres pour le détourner d’un

oète universel la même précision et la même vie que les détails de la maison . Vous avez vu des barques sur la Saône ; figurez-

ue, comme si je n’étais qu’un indigent dénué de tout, qui n’a dans sa maison ni manteaux ni couvertures à son usage, et qui ne

u char les chevaux agiles. La femme qui veille aux provisions dans la maison dépose dans le char le pain et le vin, toutes les

n père. Mes biens sont dissipés, mes champs fertiles sont ravagés, ma maison est remplie d’ennemis qui dévorent mes nombreux t

mère à ce passage, parce que vous pensez comme le fils d’Ulysse : la maison ruinée de votre père et les collines de chèvres d

dies, pour que j’aille laver dans le fleuve les beaux vêtements de la maison qui sont couverts de poussière ? Il vous convient

anser le soir autour du chariot qui rapporte la lessive blanchie à la maison  ? Vous-mêmes trouvez-vous ici un seul détail de m

aison ? Vous-mêmes trouvez-vous ici un seul détail de ménage ou de la maison qui manque au tableau, depuis la demande timide d

la famille que l’aïeul Laërte ; ce père d’Ulysse vit retiré dans une maison des champs, loin de la ville, depuis le départ et

nne de la famille déposée pour les jours de fête dans le trésor de la maison . Souvenez-vous, mes enfants, de votre grand-père 

fruits comme l’âge avancé. » Elle lut alors : « C’est là qu’était la maison de Laërte ; tout autour régnait une galerie où ma

une douzaine d’années, dans une île voisine des côtes de France, une maison , d’aspect mélancolique en toute saison, devenait

à la brièveté des jours et aggravait la tristesse crépusculaire de la maison . La maison, qui avait une terrasse pour toit, éta

té des jours et aggravait la tristesse crépusculaire de la maison. La maison , qui avait une terrasse pour toit, était rectilig

ysannes de France, en bois, joyeuses et noires, avec des vignes. À la maison était attenant un jardin d’un quart d’arpent, en

rbe courte où prospéraient quelques orties et une grosse ciguë. De la maison on apercevait, à droite, à l’horizon, sur une col

ent appartenu ces tibias de trois toises de haut. La façade sud de la maison donnait sur le jardin, la façade nord sur une rou

êtres. Tel était ce logis. Le bruit de la mer toujours entendu. Cette maison , lourd cube blanc à angles droits, choisie par ce

lleurs qu’à l’auberge. Sans doute aussi parce que c’était la première maison à louer qu’ils avaient rencontrée, et parce que l

rencontrée, et parce que les exilés n’ont pas la main heureuse. Cette maison , — qu’il est temps de réhabiliter un peu et de co

triste de ce que nous venons d’en dire ? un logis a une âme ; — cette maison s’appelait Marine-Terrace. L’arrivée y fut lugubr

s que d’affectueux et chers souvenirs. Et ce que nous disons de cette maison , Marine-Terrace, nous le disons aussi de cette îl

des naufragés qui pensent. Dehors il pleuvait, le vent soufflait, la maison était comme assourdie par ce grondement extérieur

§ I William Shakespeare naquit à Stratford-sur-Avon, dans une maison sous les tuiles de laquelle était cachée une prof

ar ces mots : Moi John Shakespeare. John était le père de William. La maison , située dans la ruelle Henley-Street, était humbl

e de Noyon, parce que cet évêque était Clermont-Tonnerre, qui est une maison qui a deux brevets de comte et pair de France, un

était mort, où son fils était enterré. Il y acheta ou y fit bâtir une maison qu’il baptisa New-Place. Nous disons acheta ou fi

e maison qu’il baptisa New-Place. Nous disons acheta ou fit bâtir une maison , car il l’acheta selon Whiterill, et la fit bâtir

eut-être était-il gêné. Il venait d’être contraint d’emprunter sur sa maison . Le contrat hypothécaire qui constate cet emprunt

, avec ses lettres en latin. À partir de 1613, Shakespeare resta à sa maison de New-Place, occupé de son jardin, oubliant ses

qu’on ne croit, oublia Shakespeare. Un acheteur quelconque abattit sa maison , New-Place. Un docteur Cartrell, révérend, coupa

s hôtes ; s’enfuit vers Paris avec l’enfant, et va se cacher dans une maison réprouvée, dans les terrains vagues d’un faubourg

in de cet asile quand Cosette a fini son éducation, et il déterre une maison isolée de la rue de Babylone, au fond d’un jardin

uelques jours, parce que le jaloux tuteur Valjean l’a enfouie dans la maison de la rue Plumet, et qui conspire aussi sans savo

e (charmante et délicate inconséquence du cœur), elle lui découvre la maison cachée de la rue Plumet qu’habite Cosette. Arrivé

e, d’ouvrir les yeux autour de lui, au milieu de nous, de décrire une maison déserte et un jardinet inculte dans un de nos fau

seulement la description du jardin au clair de la lune. XI La maison à secret. « Vers le milieu du siècle dernier, un

maîtresses et les bourgeois les cachaient, fit construire “une petite maison ” faubourg Saint-Germain, dans la rue déserte de B

loin de l’endroit qu’on appelait alors le Combat des Animaux. « Cette maison se composait d’un pavillon à un seul étage ; deux

comme il sied à un caprice de l’amour et de la magistrature. « Cette maison et ce couloir, qui ont disparu aujourd’hui, exist

il y a une quinzaine d’années. En 93, un chaudronnier avait acheté la maison pour la démolir ; mais n’ayant pu en payer le pri

n payer le prix, la nation le mit en faillite. De sorte que ce fut la maison qui démolit le chaudronnier. Depuis, la maison re

De sorte que ce fut la maison qui démolit le chaudronnier. Depuis, la maison resta inhabitée, et tomba lentement en ruine, com

isparu, et que, même, les volets du premier étage étaient ouverts. La maison en effet était occupée. Les fenêtres avaient de p

bre 1829, un homme d’un certain âge s’était présenté et avait loué la maison telle qu’elle était, y compris, bien entendu, l’a

it rétablir les ouvertures à secret des deux portes de ce passage. La maison , nous venons de le dire, était encore à peu près

vaient déterminé Jean Valjean à la prendre avec lui. Il avait loué la maison sous le nom de M. Fauchelevent, rentier. Dans tou

ien passé. » …………………………………………………………………………………………………… « Il découvrit la maison de la rue Plumet et s’y blottit. Il était désorma

Au rez-de-chaussée, des rideaux de tapisserie. Tout l’hiver la petite maison de Cosette était chauffée du haut en bas. Lui, il

u’elle était entrée : — C’est mademoiselle qui est la maîtresse de la maison . — Et vous, mo-onsieur ? avait répliqué Toussaint

isiter les indigents et les malades. Aucun étranger n’entrait dans la maison de la rue Plumet. Toussaint apportait les provisi

it noire, mouillée, hérissée, grelottante, et laissait un peu voir la maison . « On apercevait, au lieu de fleurs dans les rame

rd balbutie, Cosette ne comprit pas d’abord. Elle rentra pensive à la maison de la rue de l’Ouest où Jean Valjean, selon son h

qui ne peut extirper les passions ? XXIV Cosette revient à la maison de la rue Plumet. Cosette découvre dans un pavill

. Vous demeuriez rue de l’Ouest, au troisième sur le devant, dans une maison neuve ; vous voyez que je sais ! Je vous suivais,

Année 1868 1er janvier Allons, une nouvelle année… encore une maison de poste, selon l’expression de Byron, où les Des

on du vouloir qu’apporte, à l’appui de la thèse de la maîtresse de la maison , Taine, — qui débute aujourd’hui — et qui nécessa

supportables, ironiques et bêtes. Notre appartement est le seul de la maison où il y ait des objets d’art ; et c’est aussi le

donner. Et personne de ceux qui viennent ici, ne s’aperçoit que cette maison est la plus inconfortable de Paris. Impossible, à

ogramme, c’est un aria pire que dans la plus petite et la plus pauvre maison . Et Gautier dans ce logis inhospitalier de tous l

eur de migraine. Nous n’en avons pas, mais l’agacement du bruit de la maison , et les ennuis de notre vie, depuis tant de jours

, conçoit-on un ciron incestueux, criminel ? * * * — En sortant d’une maison , où nous avions dîné gaiement ensemble, le fin et

e à tous les âges de la vie. 23 avril Nous avions dîné dans une maison où nous ne dînons jamais. Mon frère était à côté

ce sont les deux coffres-forts au chevet du lit de la maîtresse de la maison , et entre lesquels elle dort : sa fortune, son ar

a souffrance de l’autre, et dans l’agacement infernal, produit par la maison que nous habitons. Depuis quelque temps, depuis l

notre vie, cette dépêche ! Nous voilà, je crois, propriétaires d’une maison que nous avons vue par hasard, ces jours-ci, au P

que nous avons vue par hasard, ces jours-ci, au Parc des Princes, une maison bizarre, presque cocasse, ressemblant à une petit

rinces, une maison bizarre, presque cocasse, ressemblant à une petite maison d’un sultan de Crébillon fils, mais qui nous a ch

ale étrangeté ! Elle nous plaît sans doute parce qu’elle n’est pas la maison bourgeoise de tout le monde. Avec cela un beau ja

une fièvre de rêves d’embellissements, suspendus sur cette pensée de maison , sur ce grand changement de notre existence, et o

matin, nous apprend que, pendant que la propriétaire nous vendait sa maison , elle était vendue par Girardin et Baroche à une

tre personne. Et voilà une semaine, que nous possédions en idée cette maison , que nous l’habitions en imagination, que nous l’

ns le plan d’un atelier que nous voulions bâtir dans le jardin. Cette maison vraiment nous tenait au cœur, nous en étions deve

, le sublimé corrosif de l’esprit français : la blague. * * * — Cette maison , — notre maison pendant une semaine — nous a donn

rosif de l’esprit français : la blague. * * * — Cette maison, — notre maison pendant une semaine — nous a donné le goût, presq

z ? Mais j’ai trois louis là-haut et il y a cent quarante francs à la maison , pour qu’ils vivent… Si j’avais le malheur d’être

tre malade quinze jours, eh bien ! ça irait encore, en déménageant la maison … Mais si la maladie durait six semaines, il faudr

comme un voleur. 4 août Nous sommes là, sur le perron de cette maison désirée d’Auteuil. Il fait encore du soleil, et l

e l’étranger. * * * — Nous avons passé le contrat de l’achat de notre maison , et cette grosse affaire pour le vendeur et l’ach

me moulus des fièvres d’une folle nuit de jeu. Après l’achat de cette maison de près de cent mille francs, cette maison, si dé

eu. Après l’achat de cette maison de près de cent mille francs, cette maison , si déraisonnable au point de vue de la raison bo

oiseaux qui y passent. 17 septembre Oui, c’est bien à nous la maison et le jardin, mais dans cette maison, — nous qui

re Oui, c’est bien à nous la maison et le jardin, mais dans cette maison , — nous qui fuyions le bruit de Paris, — il y a l

aris, — il y a le bruit d’un cheval, en une écurie invisible, dans la maison de droite, et le bruit d’enfants criards et pleur

maison de droite, et le bruit d’enfants criards et pleurards dans la maison de gauche, et le bruit du chemin de fer qui passe

ement poursuivi par le bruit, allant des appartements qu’il loue, des maisons qu’il achète, des campagnes qu’on lui prête, des

nt de dormir. 21 septembre La première plume taillée dans notre maison , l’a été, pour signer le reçu de la vasque au mon

n. 30 septembre Quinze jours passés dans l’arrangement de cette maison , qui est la maison du restant de notre vie, dans

Quinze jours passés dans l’arrangement de cette maison, qui est la maison du restant de notre vie, dans le rêve de trouvail

u. —  III « Il se trouve dans certaines villes de province des maisons dont la vue inspire une mélancolie égale à celle

ou les ruines les plus tristes. Peut-être y a-t-il à la fois dans ces maisons et le silence du cloître, et l’aridité des landes

pre et sec, par l’étroitesse de sa voie tortueuse, par la paix de ses maisons , qui appartiennent à la vieille ville et que domi

es antiquaires et des artistes. Il est difficile de passer devant ces maisons sans admirer les énormes madriers dont les bouts

ié. L’histoire de France est là tout entière. À côté de la tremblante maison à pans hourdés où l’artisan a déifié son rabot, s

oupes inoccupés. Là donc les consciences sont à jour, de même que ces maisons impénétrables, noires et silencieuses, n’ont poin

en haut de cette rue jadis habitée par les gentilshommes du pays. La maison pleine de mélancolie où se sont accomplis les évé

renfoncement assez sombre, au centre duquel est cachée la porte de la maison à M. Grandet. Il est impossible de comprendre la

t de la ville, d’excellents chemins qui menaient à ses propriétés. Sa maison et ses biens, très avantageusement cadastrés, pay

ent et grossissaient trois mille peupliers plantés en 1793. Enfin, la maison dans laquelle il demeurait était la sienne. Ainsi

vec un certain contentement : “Monsieur, nous avons ici deux ou trois maisons millionnaires ; mais, quant à M. Grandet, il ne c

fût plus jeune, boulangeait elle-même tous les samedis le pain de la maison . M. Grandet s’était arrangé avec les maraîchers,

vait rien de plus sur ce personnage. » IV Voici maintenant la maison , le lieu du supplice, « La maison à M. Grandet,

. » IV Voici maintenant la maison, le lieu du supplice, « La maison à M. Grandet, cette maison pâle, froide, silencie

nant la maison, le lieu du supplice, « La maison à M. Grandet, cette maison pâle, froide, silencieuse, située en haut de la v

piliers et la voûte formant la baie de la porte avaient été, comme la maison , construits en tuffeau, pierre blanche particuliè

aient ceux du rempart, sur lequel s’élevaient les jardins de quelques maisons voisines. Au rez-de-chaussée de la maison, la piè

nt les jardins de quelques maisons voisines. Au rez-de-chaussée de la maison , la pièce la plus considérable était une salle do

avec les habitudes de Grandet, avait été comprise dans l’achat de la maison , ainsi que le trumeau, le cartel, le meuble en ta

l et d’octobre. La mère et la fille entretenaient tout le linge de la maison , et employaient si consciencieusement leurs journ

gaiement aux profits hygiéniques que procurait le régime sévère de la maison , où jamais personne n’était malade. Puis la Nanon

moindre bruit par le silence profond qui régnait nuit et jour dans la maison . Elle devait, comme un dogue chargé de la police,

s les moyens de déguiser la parcimonie de son père et la nudité de la maison . Ce sont là de ces jeux de comédie domestique tro

tortueux sarment gagnait le mur, s’y attachait, courait le long de la maison , et finissait sur un bûcher où le bois était rang

onnait sur l’escalier, et tendit le cou pour écouter les bruits de la maison . “Il ne se lève pas”, pensa-t-elle en entendant l

tent aux yeux d’autrui. En s’apercevant enfin du froid dénûment de la maison paternelle, la pauvre fille concevait une sorte d

illeurs que mieux en harmonie avec la simplicité provinciale de cette maison en ruine. En échangeant quelques mots avec sa cou

riens ou recueillis dans le calme qui régnait entre le rempart et la maison , comme on l’est sous les arcades d’une église, Ch

et d’une voix qui alla crescendo et qui fit graduellement retentir la maison . Comment ! ici, dans ma propre maison, chez moi,

i fit graduellement retentir la maison. Comment ! ici, dans ma propre maison , chez moi, quelqu’un aura pris ton or ! le seul o

xpira de ce dernier coup. Eugénie et son père restèrent seuls dans la maison . Le père ne songea qu’à se prémunir contre la fil

des Cruchotins en parlant à Eugénie du marquis de Froidfond, dont la maison ruinée pouvait se relever si l’héritière voulait

nastie de l’Italie centrale ; elle s’allie, par des mariages, avec la maison royale de France et d’Europe ; elle donne pour do

dernier des Médicis allait s’éteindre sans enfants, fut dévolue à la maison d’Autriche dans la personne de François duc de Lo

caractère et dans ses vertus. Les traités de Vienne le rendirent à la maison de Lorraine, qui y était justement adorée. Les Lo

grâces et par leur amour des lettres ces princesses italiennes de la maison d’Este à Ferrare, parmi lesquelles le Tasse et l’

n. Il lui demanda de plus de déclarer la guerre italienne à sa propre maison , et de se liguer avec ses sujets contre sa famill

ans une neutralité commandée par cette double qualité de prince de la maison d’Autriche et de souverain d’une partie de l’Ital

r un protectorat actif dans les guerres de cette république contre la maison d’Aragon à Naples, elle combat pour la maison d’A

te république contre la maison d’Aragon à Naples, elle combat pour la maison d’Anjou, qui prétend à cette couronne. L’archevêq

e ces traités de 1815, traités qui rendent le trône aux princes de la maison de Savoie, et qui, au nom de la légitimité des ro

la légitimité des rois et des peuples, confisquent au profit de cette maison de Savoie une république illustre qu’ils n’ont pa

ique des Médicis, des Adorno, des Frégose et des Doria. XXVI La maison de Savoie est une des plus anciennes et des plus

ecouer qu’à imposer ce joug à leurs voisins, quand l’inquiétude de la maison de Savoie les mettait à la solde des grands allié

lem était le seul titre imposant qu’ils eussent encore attaché à leur maison . Le traité d’Utrecht, en déshéritant l’Espagne de

es, agrandit les possessions de l’empire d’Allemagne en Lombardie. La maison de Savoie s’allia, comme de coutume, au plus fort

dans la familiarité du roi. Louis XIV, en retour, donna Pignerol à la maison de Savoie. Quelques années plus tard, le duc vend

de roi. Les intrigues et les versatilités constantes d’alliance de la maison de Savoie lui profitent par une nouvelle défectio

ans passés, et la reconnaissance passée plus vite que les années, la maison de Savoie fait une nouvelle défection à la France

emier rang de ses ennemis armés. Vaincue d’un revers de nos armes, la maison de Savoie perd pièce à pièce ses États, comme ell

s celles qu’ils adoptent, pourvu que ces patries les grandissent ; la maison de Savoie leur a inoculé ces mœurs politiques. Gr

ndir est la loi des petites puissances. XXIX Napoléon tombé, la maison de Savoie sort de son île et se précipite aux pie

ance d’une illustre république italienne (Gênes). On donne Gênes à la maison de Savoie, qu’on lui épargne la peine de conquéri

nte de la république de Gênes par la main de l’Europe au profit de la maison de Savoie, au moment où l’Europe en armes restitu

sur les deux mers d’Italie. L’Angleterre ourdissait d’avance avec la maison de Savoie des alliances antifrançaises. La France

qui coûta tant de sang, tant d’or et tant de liberté à la France, la maison de Savoie envoya promptement des députés à Paris

dats, à se replier devant eux. XXXI C’était l’occasion pour la maison de Savoie de demander sa part des dépouilles, pui

atteste, dans un écrit récent et très informé, les insistances de la maison de Savoie auprès des puissances coalisées, pour o

noncer à ce projet ; mais il (p. 389) consentit à la restitution à la maison de Savoie de ce qui avait été alloué l’année préc

s Charles-Albert. Ce jeune prince, issu d’une branche indirecte de la maison de Savoie, avait été appelé à l’hérédité du trône

tionnelle et le droit monarchique dont il se croyait responsable à sa maison , à son honneur et à l’Europe. Il écrivit de Modèn

se de lui par toute l’Europe. Ces jeunes officiers des plus illustres maisons de Turin traînèrent, lui régnant, de Paris à Lond

ndu par sa mort, mort trouvée à la poursuite de ce rêve obstiné de la maison de Savoie ; coupable ou non, il est beau de mouri

hissements prétendus italiens du Piémont. L’Angleterre espère dans la maison de Savoie un allié que nous avons fait redoutable

s la guerre de coalition successive de l’Espagne contre la France, la maison de Savoie trahit Louis XIV en 1703 et lui fait pe

t l’incessant et continu sifflement des obus, passant au-dessus de ma maison . Je vais un moment étudier la physionomie d’Auteu

n blouse, qui porte son sac de nuit à la main. On stationne devant la maison du pâtissier Mongelard, dont un obus a enlevé hie

anches, garnies de sacs de terre, qui va jusqu’au premier étage de la maison . On dépave la place du Panthéon. Un obus a enlevé

vraiment aux yeux, c’est sur le boulevard Saint-Michel, où toutes les maisons faisant angle avec les rues parallèles aux Therme

anche, toujours la même, une branche d’un sycomore, tout proche de la maison , et du haut de laquelle il la regardait, immobile

de et d’ami, qui veillait sur la conservation de ma personne et de ma maison . C’est bête, c’est bête, c’est absurde, c’est fou

st. « Cela rigole durement ! » dit un homme du peuple, en courant. La maison , secouée sur ses fondations, déverse toute la vie

mes yeux cherchent, du plus loin qu’il leur est donné de voir, si ma maison est debout. Puis, quand j’ai cette certitude, c’e

lat me frôle presque, et fait rejaillir la boue contre la porte de ma maison . Je passais, à trois heures, à la barrière de l’É

oint-du-Jour. Près la porte Michel-Ange, je monte sur le viaduc. Cent maisons brûlent à Saint-Cloud : le feu de joie que se pay

d’où sort un tuyau de poêle. Je reprends la route de Versailles. Des maisons à jour. Au nº 222, un obus traversant la boutique

l a coupé la tête d’un homme, comme avec un couteau. En face, sur une maison croulée à terre, un toit s’est abaissé, tout semb

de ronde, qui porte le nom de boulevard Murat. Là ce ne sont plus des maisons . Ce sont des pans de mur, des morceaux de façade,

ments informes de brique, de moellons, d’ardoises : de la bouillie de maisons , fouettée au milieu d’une grande tache de sang, a

travers la grille, j’aperçois deux casques dorés s’arrêter devant ma maison , et en la regardant, un moment hacher de la paill

idi. À Passy, on m’annonce que de nouveaux corps arrivent, et que les maisons d’Auteuil vont être occupées. Je retourne, et tou

tants, prennent l’air par les fenêtres ouvertes. Saint-Cloud avec ses maisons écroulées, ses fenêtres noires de flammes de l’in

un placard, dont le vent bat la porte, un bidet égueulé. Partout des maisons , aux fenêtres léchées de flammes, par le trou vid

de rue de Saint-Cloud, un sentier de décombres, entre deux rangées de maisons aux façades dégringolantes, et dont se détache, à

e pense qu’ils vont passer un mauvais quart d’heure, à l’assaut de la maison . À la gare Saint-Lazare, une garde nationale effa

s des Prussiens. Un tir incessant, dont la fumée se rabattant sur les maisons de la plaine, et les montrant toutes grises, fait

uerre ; derrière des remparts, comme à Issy, de cette guerre dans des maisons , comme à Neuilly. Les aberrations et les inventio

yant, dans une vapeur azurée et mordorée, les arbres de l’avenue, les maisons des deux côtés, la barricade : un brouillard dans

ces, au milieu desquels s’élève le gémissement d’un petit chien de la maison voisine, épouvanté de ce long tonnerre. Mercre

es, qui font dire aux plus intelligents des bêtises grosses comme des maisons . Mon ami, aux opinions sang de bœuf, soutenait, c

rle avec terreur, à Auteuil, de la chasse, qui va être faite dans les maisons , aux réfractaires. Au fond, il n’y a pas à se le

les quelques secondes du trajet, dans la crainte de le sentir sur sa maison , sur soi. Tout à coup une explosion terrible. Pél

goter, dans l’autre cave, un genou en terre, dans l’ébranlement de la maison tombe par terre. Nous attendons peureusement une

siège. Dans une interruption de la canonnade, je fais le tour de la maison . Vraiment on dirait que ma maison a été l’objecti

la canonnade, je fais le tour de la maison. Vraiment on dirait que ma maison a été l’objectif du Mont-Valérien. Les trois mais

on dirait que ma maison a été l’objectif du Mont-Valérien. Les trois maisons qui sont derrière moi, dans l’avenue des Sycomore

enue des Sycomores, le 12, le 16, le 18, ont reçu chacune un obus. La maison Courasse, attenant à la mienne, et déjà touchée d

un morceau de rail de 500 livres, dont il a souffleté la façade de la maison , qui a tout un grand panneau de rocaille, écroulé

seront des coups de canon prussiens, en train de démolir peut-être ta maison  ! » Je ne vois, autour de moi, que des biches, qu

d’un grand cabinet, où, couché sur un divan, dans l’ébranlement de la maison par la presse qui tire, j’ai le sentiment et le v

en que des lampadaires cassés, et des écorniflures dans la pierre des maisons . Au-delà, c’est autre chose. La barrière de l’Éto

re, de brique, d’ardoise, recouvrant le trottoir. Entre-t-on dans les maisons , on passe devant la loge du concierge, casematée

te cochère est garni de tous les bouquets de mariées sous verre de la maison , prêts à partir pour Paris. Les survivants au bom

ouge, que colorent, d’un feu renaissant, trois incendies dévorant des maisons . Sous l’impression lugubre, dans les groupes noir

d’Auteuil et du boulevard Montmorency. Les obus pleuvent autour de ma maison . La grille de la porte de la villa vient d’être d

arricader le jardin, sur toute la face de la place de la Concorde. La maison de Thiers n’est pas encore démolie, mais déjà le

e journal, en lui disant que mon exclamation vient de ce que j’ai une maison à Auteuil, placée juste en face de la batterie. «

eur du gaz, de magnifiques photographies, représentant les ruines des maisons de Saint-Cloud, me demandant si la mienne ne figu

euil, venant m’apprendre qu’un obus a démoli, hier, une fenêtre de ma maison . Le bombardement redouble. Aujourd’hui, dans Pari

eu d’artifice, qui jaillit dans l’air. Je me retourne : au-dessus des maisons , un nuage blanc solide, dont les concrétions semb

solide, entrez, mais si vous ne l’avez pas, allez-vous-en… Il y a des maisons qui ont dégringolé… vous allez voir des morceaux

écoutant le récit du déménagement héroïque, qu’a fait une bonne de la maison voisine de la mienne, et aussi en songeant à ma p

ie, s’exposant à être tuée, à toute minute, pour chercher à sauver ma maison du pillage et de l’incendie. Nous sommes perdus,

lui demande machinalement, où il a été blessé : « À Auteuil, dans sa maison , où sa mère l’a retenu ! » Cette réponse me jette

veux, dès le lendemain, aller chercher la pauvre fille restée dans ma maison , tout décidé à abandonner les choses à la grâce d

milieu des huées. Nous montons dans le belvédère de verre dominant la maison . Un grand nuage de fumée blanche prend tout le ci

. Bientôt, ça éclate de tous côtés ; bientôt, ça éclate tout près. La maison de la rue Vivienne, située de l’autre côté de la

e de nous ; un dernier, enfin, pendant le dîner, éclate au pied de la maison , et nous secoue sur nos chaises, comme par un for

À la fin, un journal inespéré, enlevé du kiosque qui est au bas de la maison , nous apprend que les Versaillais occupent une pa

pensions tous deux aux gardes nationaux, qui allaient monter dans la maison et tirailler aux fenêtres, au milieu de nos colle

vard, les chassepots tonnent comme des canons. Les balles éraflent la maison , et ce ne sont aux fenêtres que sifflements, ress

sans une lueur de gaz dans les rues, sans une lueur de lampe dans les maisons , et dont l’ombre épaisse et redoutable garde les

ffert, c’est au boulevard Montmorency que commencent les ruines : les maisons dont il ne reste que les quatre murs noircis ; le

ines : les maisons dont il ne reste que les quatre murs noircis ; les maisons effondrées et couchées à terre. Elle est encore d

, arraché par le pic d’un fédéré, qui s’essayait à la forcer. Dans la maison , on marche sur les plâtras et les fragments de gl

e balle de chassepot, — je crois le cas extraordinaire, — a enfilé la maison , traversant une persienne, un matelas, une cloiso

taient déjà maîtres du Point-du-Jour, a brisé la poutre d’angle de la maison , passé par le pied du lit de Pélagie, traversé la

ait enterrer un éléphant. Et pendant que nous faisons la visite de la maison , et qu’elle me sert à dîner, Pélagie me conte l’i

mbée dans le jardin, la crainte que le monde de la cave a eue, que la maison ne s’écroulât, tant il s’était fait une écrasante

te que, dans les derniers temps, les balles traversaient tellement la maison , que lorsque l’on voulait boire, on montait à qua

elle a couché habillée, ayant pour le moment où le feu prendrait à la maison , un paquet de ses hardes les plus précieuses, l’a

ison, un paquet de ses hardes les plus précieuses, l’argenterie de la maison , disposée pour la mettre dans ses poches, et un m

milieu de cette dévastation, la surprise de rencontrer, attaché à une maison demi-écroulée, un grand rosier grimpant, qui bouc

eurs, les fissures béantes et les débris pendants. Le numéro 75, une maison de cinq étages, toute neuve, n’a plus de façade,

nde rue d’Auteuil peut rivaliser avec Saint-Cloud. Les deux lignes de maisons ne sont que des décombres fumants ou des pans de

de zinc, épars çà et là, vous indiquent seuls la place de la gare. La maison du garde, un tas de brique, de ferraille, de bois

maîtresses. Là, tous les jours, des voitures à bras déménageaient les maisons voisines, apportaient linge, meubles, effets d’ha

eait entre ses femmes. » Pendant que je regarde, le feu reprend à une maison d’Auteuil, sans que personne se soucie de l’étein

ernement n’était plus maître de rien, qu’on devait se rendre dans les maisons , les déménager, et fusiller les propriétaires. Je

mai De temps en temps des bruits redoutables : des écroulements de maisons et des fusillades. Jeudi 1er juin Immense c

e bataille, sauf aux alentours de la Bastille. Le boulevard, quelques maisons brûlées, çà et là. La dévastation circonscrite au

. Nous poussons jusqu’au pont d’Austerlitz, où je m’arrête à voir les maisons incendiées, le restaurant bouleversé, le bouquet

evaux battant la terre française de leurs ruades, et partout dans les maisons , dans les jardins résonne le ia vainqueur. Enfin,

empli la tête. Jeudi 28 septembre Il arrive aujourd’hui dans la maison une sœur de Troyes, qui vient soigner ma vieille

peu son histoire : c’est vingt-quatre années de garde-malade dans la maison Saint-Augustin de Troyes. La maison avait abandon

re années de garde-malade dans la maison Saint-Augustin de Troyes. La maison avait abandonné l’hôpital, à cause du frère de Mo

lesquelles elles achetaient un terrain, où elles faisaient bâtir une maison de 90 000 francs. Elles s’y logeaient, et recevai

l’impossibilité où je suis de travailler, je dérange et j’arrange ma maison pour occuper l’activité qui est en moi. Je fais t

le suppose, il surgira un inconvénient terrible qui me chassera de la maison . 29 novembre Aujourd’hui tombe chez moi un

les Prussiens ont mis contre le mur, et fusillé en entrant ici. À la maison où l’on garde les chiens, nous avons trouvé la fe

é son fagot de myrte ou de buis pour cuire le pain de ses enfants. La maison de mon père était cachée à l’œil par le clocher e

La maison de mon père était cachée à l’œil par le clocher et par les maisons des villageois dans un de ces hameaux ; elle n’av

vaste, et un ou deux arpents de jardin potager s’étendant derrière la maison , entre la montagne et le village. La vie y était

ientôt les premières études de langues commencées sans maître dans la maison paternelle, puis les leçons plus sérieuses et plu

l’âpre contrée que je viens de décrire ; je n’avais vu, autour de la maison rustique et nue de mon père, ni les orangers à po

ts. « Les femmes qui tirent l’eau du puits, ou qui la rapportent à la maison dans un seau de bois sur leurs têtes, s’arrêtent

refois. « Le jeune homme et la jeune femme sortent les derniers de la maison en glissant la clef par la chatière sous la porte

goût des choses intellectuelles. Il y avait, à quelque distance de la maison rustique de mon père, une montagne isolée des aut

famille de notre pays, appelée la famille des Bruys. On apercevait la maison de cette famille patriarcale, entourée de terrass

e ces sœurs vit encore, âgée de quatre-vingt-quinze ans, dans la même maison que je vois blanchir d’ici, à l’époque où j’écris

rangée comme son plus cher trésor dans une des chambres hautes de la maison de ses sœurs ; il s’y consolait avec ces consolat

gauche, par un mur à ciment très-élevé, qui servait d’enceinte à une maison bourgeoise de chétive apparence, et à un jardin s

sant sur mes étriers, je parvenais à jeter un regard furtif sur cette maison , dans ce jardin et dans ce verger, toujours hermé

ours hermétiquement interdits aux pas ou aux regards des passants. La maison aux volets toujours fermés, aussi du côté du sent

par le balai de la servante : il n’y avait pas de serviteurs dans la maison  ; les deux vieilles sœurs et le solitaire qui viv

c elles, étaient du pays ; elles possédaient pour toute fortune cette maison , ce jardin, ce verger, et quelques petits champs

is cette curiosité ne fut jamais satisfaite. Nul n’entrait dans cette maison , nul n’en sortait ; il n’y avait pas un voisin ou

était un amateur exquis de sciences et de littérature ; il ouvrait sa maison à tous les hommes distingués de la province. X

soit, un jour que je passais dans le sentier qui bordait le mur de la maison fermée, la porte du jardin se trouva par hasard e

rte ; mon chien s’y précipita et effraya les chèvres ; le chien de la maison accourut de la galerie pour les défendre ; une gr

le mystère. Elles fermèrent à grand bruit l’une des deux portes de la maison qui ouvrait sur le péristyle ; les chèvres effaro

sur la galerie, M. de Valmont, au lieu d’ouvrir une des portes de la maison , monta devant moi une échelle de bois appliquée c

ier, comme le sanctuaire le plus reculé et le plus inaccessible de la maison , avait été choisi par M. de Valmont pour en faire

l’homme est un être instinctivement sociable, j’ai trouvé dans cette maison , dans l’amitié de ces deux sœurs aussi sauvages q

urire ni au passé, ni à l’avenir ; je vieillis sans postérité dans ma maison vide et tout entourée des tombeaux de ceux que j’

trine comme une horloge qu’on a oublié de démonter en abandonnant une maison , et qui sonne encore dans le vide des heures que

d’obséder la voie publique de sa présence pour rapporter le soir à la maison le salaire qui nourrit la femme, le vieillard, l’

ère obstruait les sentiers de l’île en récitant ses vers au seuil des maisons . Et où voulaient-ils donc qu’il les récitât, si c

ue Kondrate me mena chez lui, je le trouvai dans la petite cour de la maison , accroupi devant l’énorme animal. Il le dépeçait

bien des goulots de bouteilles. Ma femme est une joyeuse commère, ma maison ouverte à tout venant. Saute, ami Ephrem, saute,

-là ? Attachez-la plus fort pendant que je dormirai, et je serai à la maison avant mon escorte. » Et en effet, à peine parti,

donnerait rien à manger, et ne le laisserait pas même rentrer dans la maison . Le fils est resté au bois tout un jour avec sa n

c’est un homme bien singulier que cet Ephrem ; tant qu’il est dans sa maison , c’est le meilleur vivant du monde, il donne à to

e planer au-dessus de la terre. Devant la fenêtre ouverte d’une jolie maison située dans une des rues extérieures du chef-lieu

u d’agrément et privé d’habitation. En même temps Kalitine acheta une maison à O…, où il se fixa définitivement avec sa femme.

e maison à O…, où il se fixa définitivement avec sa femme. Près de la maison s’étendait un grand jardin, contigu par un côté a

fils et deux filles, Maria Dmitriévna s’était tellement habituée à sa maison et à la vie de la ville qu’elle ne songea même pl

orsqu’on remplissait ses désirs et qu’on ne la contredisait point. Sa maison était une des plus agréables de la ville. Elle av

, et un petit vieillard, maître de musique de Lise, fille aînée de la maison . Le jeune employé ressemble à tous les jeunes gen

e (car il ne s’était jamais marié), il végétait à O…, dans une petite maison voisine de celle de madame Kalitine. Il se promen

connaissance encore, Sem, entre en scène. Il est ami et parent de la maison  ; c’est Lavretzky. Il revient de Pétersbourg pour

ui tombait sous la main, buvait jusqu’à l’ivresse, et emportait de la maison tout ce qui se laissait prendre, sans cesser de c

de Théodore, et une fille, nommée Glafyra. Ivan ne fut pas élevé à la maison paternelle, mais auprès d’une tante riche et viei

rsque ce revers inattendu le frappa. Il ne voulut plus rester dans la maison de sa tante, où, d’héritier présomptif, il devena

aient à chaque pas ; l’ennui le dévorait ; avec cela personne dans la maison , hors sa mère, n’avait pour lui que des sentiment

à en avoir ? La présence d’Ivan Pétrovitch gênait les visiteurs de la maison paternelle ; il les dédaignait, eux le craignaien

jeunes filles russes seules savent aimer, et se donna à lui. Dans une maison de seigneur de village, aucun mystère ne peut res

he pétersbourgeois. Une tempête de cris et de menaces s’éleva dans la maison  ; Malanïa fut mise au séquestre, et Ivan Pétrovit

il ne fit ni une ni deux ; il prit ses jambes à son cou, traversa la maison et la cour, se jeta dans le verger, puis dans le

il était le compère, lui baisa la main et se remit en marche pour la maison . Ivan Pétrovitch partit pour Pétersbourg le cœur

pendant la messe rendre visite à une vieille tante qui habite la même maison . Voici le portrait de cette tante appelée Marpha

olline, s’étendait un petit village ; à droite, on voyait une vieille maison seigneuriale dont les volets étaient fermés et do

utres, et que le jour pénétrait dans les chambres désertes. La petite maison que Lavretzky allait habiter, et où, deux ans aup

les fenêtres, closes depuis la mort de Glafyra Pétrowna. Tout dans la maison était resté dans le même état ; les petits divans

ne. Dans le salon, on voyait le fauteuil favori de la maîtresse de la maison , avec son dossier droit et haut contre lequel ell

ïa ; quarante ans auparavant, Glafyra Pétrowna l’avait renvoyée de la maison et lui avait ordonné de garder la basse-cour ; du

en longues chemises, — petits-fils d’Antoine, — vivait encore dans la maison un paysan manchot et impotent, qui gloussait comm

force de se mouvoir et de traîner ce fardeau. Après avoir examiné la maison , Lavretzky descendit au jardin et en fut satisfai

rts ne pouvait s’habituer à un nouveau venu, que les murs mêmes de la maison s’étonnaient de sa présence. Il poussa un soupir,

Wassiliewskoé, lorsqu’il avait à deux pas un si beau domaine avec une maison si confortable ; ils ne se doutaient pas que c’ét

si confortable ; ils ne se doutaient pas que c’était justement cette maison qui était odieuse à Lavretzky, parce qu’elle lui

s cris, mais ne songea même pas à profiter de sa liberté. Rentré à la maison , Théodore s’abandonna à une espèce d’engourdissem

blanchissait quand la calèche s’arrêta devant le perron de la petite maison de Wassiliewskoé. Lavretzky conduisit son hôte ju

t était silencieux autour de lui ; aucun son n’arrivait du côté de la maison . Il avança avec précaution. Au détour d’une allée

la fenêtre de Lise. Minuit sonnait à l’horloge de la ville ; dans la maison , la petite pendule frappa aigrement douze coups ;

eur. Il se retourna : les sons venaient de deux fenêtres d’une petite maison . « Lemm ! s’écria Lavretzky en se précipitant ver

e petite maison. « Lemm ! s’écria Lavretzky en se précipitant vers la maison . Lemm ! Lemm ! » répéta-t-il à grands cris. Les s

e dignité exaltée la clef de sa porte. Lavretzky se précipita dans la maison et voulut, en entrant, se jeter dans les bras de

Il refuse de la voir, mais il s’engage à la reconduire lui-même à sa maison des champs et à doubler sa pension. On juge du dé

n sinistre, Lavretzky renonce à elle et va expirer de douleur dans la maison de Wassilianoskoi. VIII Panchine, après la

sparaît du monde. La mort frappe successivement les personnages de la maison Kalitine O***. Une génération nombreuse prit la p

restes furent aussi déposés dans la terre froide et humide : mais la maison de Maria Dmitriévna ne passa point dans des mains

t la jeunesse dont la gaieté bruyante faisait résonner les murs de la maison Kalitine. Tout y était changé, tout y avait été m

on des voisins. Dans la soirée dont nous parlons, les habitants de la maison Kalitine (le plus âgé d’entre eux, le fiancé de L

surprise. Il se tint immobile pendant quelques instants, embrassa la maison d’un regard attentif, entra dans la cour et monta

au milieu, et le jeu commença. Quant à Lavretzky, il retourna vers la maison , entra dans la salle à manger, s’approcha du pian

ce banc de lui si connu, — et à cette place chérie, en face de cette maison vers laquelle il avait en vain tendu les mains po

euls. Il monta dans son tarantass, et dit au cocher de retourner à la maison , sans presser les chevaux. « Et la fin ? demander

augmente chaque jour. Dans ces éditions des Classiques que de grandes maisons de librairie entreprennent, on commence le plus v

lie en ce moment le premier volume66 ; — les Œuvres de Molière, de la maison Furne, magnifiquement exécutées, et où se trouve

hereau, constataient que tous deux y étaient morts, et habitaient une maison rue Calée (lisez de Calais). Il n’y a que deux no

c une joie indicible, quelques faits précis et certains sur l’état de maison , la famille, les obligations de théâtre, les dett

. Il était l’aîné des enfants de Jean Poquelin et de Marie Cressé. La maison qu’habitait son père au moment de sa naissance se

oré et des Vieilles-Étuves, et non où on l’a voulu voir depuis. Cette maison , entièrement reconstruite, porte le n° 96 sur la

e restitution ingénieuse, qu’on admirerait si elle s’appliquait à une maison romaine du temps d’Auguste ou de Trajan ou à un i

saura gré de le donner ici : « Les époux Poquelin occupaient dans la maison de la rue Saint-Honoré une boutique avec salle à

s champs : « L’inventaire des objets restés dans la chambre de cette maison , occupée par les époux Poquelin, prouve qu’on tro

stinée à les corriger. » Ce confort, cette opulence domestique de la maison Poquelin, tenaient en partie à la présence de la

maison Poquelin, tenaient en partie à la présence de la femme dans la maison  : il est permis de le penser ; du moins, dans le

3), et peu après il quittait son premier logis pour aller habiter une maison qu’il acquérait, située sous les piliers des Hall

la tradition vulgaire qui fait naître Molière sous ces piliers. Cette maison des Halles fut démolie lors du percement de la ru

e celle qu’on a, jusqu’à ces derniers temps, qualifiée obstinément de maison de Molière et qu’on a décorée, à cette fin, d’un

i de fragments sur sa vie privée… Dentu, Palais-Royal. 70. La fausse maison natale va être, dit-on, démolie. A la bonne heure

fait tant de belles et grandes choses, n’achèterait-elle pas la vraie maison , celle qui occupe le véritable emplacement du log

romaines l’enfant, qui promettait de bonne heure tant de gloire à sa maison . La littérature grecque était alors pour les jeun

lvia, et ils lui faisaient d’eux-mêmes cortège jusqu’à la porte de sa maison , comme au patron de leur enfance. Quand la supéri

tia, femme d’illustre extraction et de fortune modique. Il acheta une maison plus rapprochée du centre des affaires que sa mai

e. Il acheta une maison plus rapprochée du centre des affaires que sa maison paternelle, située dans un quartier d’oisifs. Il

maison paternelle, située dans un quartier d’oisifs. Il ouvrit cette maison à toute heure à la foule des clients ou des plaid

s, entre les affaires publiques de Rome et ses loisirs d’été dans ses maisons de campagne à Arpinum, dans les montagnes de ses

la patrie. Enfin c’était un petit nombre de jeunes gens des premières maisons de Rome, tels que Clodius, César, Catilina, Crass

complot, court dans la nuit avertir Cicéron de fermer le lendemain sa maison aux sicaires. Ils se présentent en effet en armes

e tu as fait la nuit dernière et celle qui l’a précédée ? dans quelle maison tu t’es rendu ? quels complices tu as réunis ? qu

-dernière nuit tu te rendis (je te parlerai sans déguisement) dans la maison du sénateur Léca. Là se réunirent en grand nombre

suis entouré d’une garde plus nombreuse et plus forte. J’ai fermé ma maison à ceux qui, sous prétexte de me rendre leurs devo

tous les citoyens te redoutent, je me croirais forcé d’abandonner ma maison  ; et tu ne crois pas devoir abandonner la ville !

tueusement à la campagne. Cicéron, poursuivi et menacé jusque dans sa maison par les sicaires de Clodius, invoquait en vain le

port d’Athènes, Clodius, suivi d’une bande de populace, incendiait sa maison à Rome, ravageait ses maisons de campagne et fais

i d’une bande de populace, incendiait sa maison à Rome, ravageait ses maisons de campagne et faisait vendre à l’encan jusqu’à s

ongtemps à l’ignorer. J’ai donc résolu d’aller me réfugier dans votre maison d’Épire, non pas à cause de l’agrément du séjour,

mêmes du gouvernement. À la lueur de l’incendie, il alla attaquer la maison du tribun Milon et du préteur Cécilius. Milon rep

orta le décret de rappel de Cicéron. Le même décret ordonnait que ses maisons seraient rebâties aux frais du trésor public. Pom

parti. Ses pas errèrent, comme ses pensées, du rivage de la mer à ses maisons de campagne, et de ses maisons de campagne au bor

ses pensées, du rivage de la mer à ses maisons de campagne, et de ses maisons de campagne au bord de la mer. Enfin il voulut re

avec son neveu, qui le chérissait comme un père. Il se retira dans sa maison plus reculée d’Astura, séjour de deuil où il avai

ur des bois semblaient l’abriter de la scélératesse des hommes. Cette maison était sur le bord de la mer de Naples. Il y passa

aire à leur fuite, et qu’il rejoindrait en toute hâte Cicéron dans sa maison de la côte de Gaëte, où il allait l’attendre pour

etourna vers Astura pour regagner, par les sentiers des montagnes, sa maison d’Antium avec son fils. Cicéron poursuivit sa rou

ture ; des jardins en terrasses descendaient d’étages en étages de la maison aérée à la plage humide ; des cavernes naturelles

er à l’écarter, n’en monta pas moins les rampes qui conduisaient à sa maison . Il y entra, et, s’étant jeté tout habillé sur un

corbeaux, qui l’avaient repoussé de la plage, l’avaient suivi vers sa maison . Soit que ces oiseaux familiers eussent de la joi

tête, il lui découvrit le visage et sembla le presser de sortir d’une maison qui le repoussait. À ce signe de l’instinct des o

t les portes fermées, les firent enfoncer et se précipitèrent vers la maison . L’un de ces chefs, Popilius, avait été défendu e

bienfaiteur, il somma les serviteurs et les affranchis restés dans la maison de lui dénoncer la retraite de leur maître. Tous

ppes rouges aux pressoirs, je me couchai sur l’herbe, à l’ombre de la maison de mon père, en regardant les fenêtres fermées, e

où je les reprends pour les donner ici aux lecteurs. La Vigne et la Maison . Psalmodies de l’âme. Dialogue entre mon âme et m

s pareils à la toison que file La vieille femme assise au seuil de sa maison  ! Dans un lointain qui fuit ma jeunesse recule,

a vigne qui nous fit éclore Ramper sur le roc attiédi. Contemple la maison de pierre, Dont nos pas usèrent le seuil : Vois-l

couchée et morte, Est la seule chose qui sorte Tout le jour de cette maison  ! II Efface ce séjour, ô Dieu ! de ma paupière, O

ma paupière, Ou rends-le-moi semblable à celui d’autrefois, Quand la maison vibrait comme un grand cœur de pierre De tous ces

ose, à chaque fenêtre, Sous les beaux traits d’enfants nichés dans la maison . Leurs blonds cheveux, épars au vent de la monta

uis dans la demeure         Un vieillard morne resta seul ! Puis la maison glissa sur la pente rapide         Où le temps en

et surtout, pour de pénibles déracinements domestiques de terres, de maisons paternelles, de séjours, d’affections, d’habitude

s, où se brise toujours le vent, même en temps calme ; il me cacha la maison , et je m’enfonçai dans d’autres gorges où le son

rtait du ciel, de la terre, des bois, des plantes, des fenêtres de la maison visible là-bas, du foyer d’enfance, des lèvres de

les chiens des chasseurs pour leur rompre le pain de seigle devant la maison . Hélas ! que Madeleine aurait donc de plaisir à l

nfants, c’est comme la braise du foyer éteint pendant le jour dans la maison  : cela tient la cendre chaude, et, quand la nuit

dit-il ; « jamais le temps ne me dure. Quand il fait beau, hors de la maison , je m’assois à une bonne place au soleil, contre

âtaignier ; et je vois en idée la vallée, le château, le clocher, les maisons qui fument, les bœufs qui pâturent, les voyageurs

 il y a le feu dans le foyer, le bruit des sabots des enfants dans la maison , les châtaignes qu’on écorce, les pois qu’on écos

rai que vous allez vendre ces prés, ces vignes, ces bois, cette bonne maison que le soleil faisait reluire comme les murs d’un

s de cela, père Dutemps ! Dieu est Dieu ; les prés, les terres et les maisons sont à lui, et il les change de maître quand il v

ameaux enfouis sous les noyers, de mes jardins, de mes vergers, de ma maison  ; mon œil s’éblouissait et s’humectait de reconna

ême. Je me rappelais père, mère, sœurs, enfance, jeunesse, amis de la maison , contemporains de mes jours de joie et de fête, a

édilection, le jardin est une prolongation de l’habitation, c’est une maison sans toit ; le jardin a les mêmes intimités, les

les mêmes intimités, les mêmes empreintes, les mêmes souvenirs que la maison  ! Les arbres, les pelouses, les allées désertes s

s’envelopperont de sa dépouille. L’heure du soir allonge l’ombre des maisons sur la rue ; la foule rentre escortant la colonne

fabriquée à Landau, le riche marchand, avec ses filles, qui habite la maison nouvellement restaurée à neuf en face de l’hôtell

Je me levai à la hâte, je voulais revoir la place où avait été notre maison , et regarder si les poules que j’aimais tant avai

mple et naïf d’un enfant. « Quand j’eus monté sur les décombres de la maison et de la cour qui fumaient encore, pendant que je

ris dans tes bras et tu m’emportas à travers la cour. Le porche de la maison était encore debout avec sa voûte, comme nous le

as ; moi je me défendais, et tu me dis avec douceur : “Regarde, notre maison est renversée ; reste avec nous, aide-moi à la re

ille pauvre. — « Heureux, dit-il, celui à qui ses parents donnent une maison en bon état et qui réussit à la meubler plus rich

du riche marchand, roulant en calèche et recrépissant à neuf sa haute maison de l’autre côté de la place, en face de l’auberge

qu’elle aura préféré. Oui, je sais comme une femme se délecte dans la maison de son mari en retrouvant les meubles qu’elle y a

irement et mentionne à son fils une des filles du riche marchand à la maison verte en face de la sienne. Herman répond avec em

lles, mais que, sa timidité naturelle l’ayant fait railler dans cette maison sur son silence et sur la coupe trop rustique de

nfusion, son chapeau de sa main, et il est sorti pour jamais de cette maison moqueuse ». Le père s’irrite à ces paroles contre

autre aux murs ruinés de la ville. Il était assis, le dos tourné à la maison , le visage dans ses mains, sous un débris de trei

e pasteur nous secondera. » Elle dit, et ils rentrent en silence à la maison . XIV Le pasteur faisait en ce moment un ad

aperçoit tout près devant lui le clocher du village et les premières maisons entourées de jardins. « Descendez maintenant, dit

it simplement Herman. Ma mère désirait depuis longtemps avoir dans sa maison une jeune fille qui lui devînt utile, non seuleme

semble hésiter à lui dire ; elle accepte le titre de servante dans la maison de la mère d’Herman. Herman cache son secret et s

Laissez-moi, dit-elle ; celui qui désormais doit me commander dans la maison de sa mère ne doit pas paraître me servir. Ne me

larté presque aussi vive que celle du jour. Je vois distinctement les maisons , les tours de la ville, et j’aperçois une fenêtre

toit ; il me semble que je pourrais en compter les vitres. « — Cette maison que tu aperçois, dit le jeune homme, est notre de

endra la tienne peut-être, car nous ferons des changements dans notre maison . Ces blés qui sont mûrs pour la moisson de demain

les gens bien avisés, quand notre pied craque non loin du seuil de la maison où l’on se dispose à entrer, c’est un signe de ma

s assez de pitié envers celle qui franchit le seuil de la porte d’une maison étrangère pour y servir. Le pasteur s’interpose,

s de fierté des yeux de Dorothée ; elle veut partir à l’instant d’une maison où l’on ne la respecte pas assez. Elle avoue son

tion de la duchesse Amélie. Le prince lui avait préparé une charmante maison , retraite silencieuse et poétique propre à l’entr

nternes. La plupart des élèves étrangers à la ville vivaient dans les maisons des particuliers ; leurs parents de la campagne l

e jour du marché, leurs petites provisions. Je me rappelle une de ces maisons , voisine de celle de ma famille, où j’avais plusi

uva la situation. Les jeunes étudiants résolurent de la seconder ; la maison continua de marcher, nonobstant le vieil ivrogne.

da la compagnie des prêtres Saint-Nicolas du Chardonnet, et fit de la maison ainsi constituée une pépinière de jeunes ecclésia

ant leurs études littéraires. Saint-Nicolas fut sous sa direction une maison tout ecclésiastique, peu nombreuse, n’ayant en vu

M. de Quélen eut une visée de génie en confiant la direction de cette maison à M. Dupanloup. L’aristocratique prélat n’appréci

 de Quélen remit entre les mains de M. Dupanloup l’austère et obscure maison de l’abbé Frère et d’Adrien de Bourdoise. Le peti

es sujets d’espérance qui lui étaient signalés. Puis il voulut que sa maison fût une maison d’éducation modèle telle qu’il la

érance qui lui étaient signalés. Puis il voulut que sa maison fût une maison d’éducation modèle telle qu’il la concevait, et n

ait à peu près exclue ; il n’en avait pas la moindre idée. La vieille maison de la rue Saint-Victor fut ainsi, pendant quelque

maison de la rue Saint-Victor fut ainsi, pendant quelques années, la maison de France où il y eut le plus de noms historiques

s prodiges. Composée de deux éléments en apparence inconciliables, la maison avait une parfaite unité. L’idée que le talent pr

d peu de moi. L’homme le plus à la mode du clergé parisien, ayant une maison de deux cents élèves à diriger ou plutôt à fonder

ent tendre et tout humides de regrets. Nos lettres, selon l’usage des maisons religieuses, étaient lues par un des directeurs.

ne seule source, un seul principe, M. Dupanloup lui-même. Il était sa maison tout entière. Le règlement, l’usage, l’administra

dministration, le gouvernement spirituel et temporel, c’était lui. La maison était pleine de parties défectueuses ; il suppléa

s la Palaea d’Antioche. Toute circonstance de la vie intérieure de la maison , tout événement personnel au supérieur ou à l’un

notes étaient la vie ou la mort. Il n’y avait aucune punition dans la maison  ; la lecture des notes et les réflexions du supér

Quand un ancien élève de Saint-Nicolas se hasardait à rappeler cette maison , quelque vieux directeur se trouvait là pour dire

de M. Bourdoise… », montrant clairement qu’il n’admettait pour cette maison d’autre illustration que son passé du xviie  sièc

’excitait vivement. Les discussions du romantisme pénétraient dans la maison de toutes parts ; on ne parlait que de Lamartine,

ile fermé aux bruits du dehors, Saint-Nicolas était à cette époque la maison la plus brillante et la plus mondaine. Paris y en

t noble dominait et entraînait tout. J’ai dit qu’il n’y avait dans la maison aucune punition ; il. serait plus exact de dire q

ait, d’après nos idées, la perfection même ; aussi, selon l’usage des maisons ecclésiastiques, où les élèves avancés partagent

chapitres suivants. Je peindrai aussi exactement que je pourrai cette maison extraordinaire de Saint-Sulpice qui est plus sépa

Histoire de la maison royale de Saint-Cyr, par M. Théophile Lavallée.

me de Maintenon : mais aujourd’hui M. Théophile Lavallée publie de la maison de Saint-Cyr une Histoire complète et suivie, et

ent amené à rechercher les origines et les fortunes diverses de cette maison  ; il a trouvé à Versailles, soit dans la biblioth

ue Mme de Maintenon lui en eut suggéré l’idée, par la fondation de la maison royale de Saint-Cyr, destinée à l’éducation de 25

tte abeille infatigable. Telle elle avait été, toute sa vie, dans les maisons où elle avait vécu sur le pied d’amitié, y mettan

5 août 1684 ; deux années se passèrent, durant lesquelles on bâtit la maison , on régla les dotations et les revenus et on prép

entiers et ses plus sûrs fondements. Mme de Maintenon avait rêvé une maison qui ne ressemblât à nulle autre, où l’on fût régu

avec un sens pratique et dans l’intérêt de l’État, approuvait que la maison de Saint-Cyr n’eût rien d’un monastère, et il l’e

de le blâmer. Esther est restée, aux yeux de tous, la couronne de la maison . Les détails de la composition de cette adorable

e chose de nouveau à toutes les petites filles qu’on élève dans cette maison , dont on peut dire que c’est un établissement dig

lle se mêlait aux classes, aux exercices, aux moindres services de la maison , n’en estimant aucun au-dessous d’elle : Je l’ai

és. Cette réforme définitive, cette transformation de Saint-Cyr d’une maison séculière en un monastère régulier, s’accomplit d

e la récréation : C’est là, disait-elle, ce qui met l’union dans une maison et en ôte les partialités ; c’est là ce qui lie l

nt firent une longue et placide résistance qui les maintint dans leur maison jusqu’en 1793 : elles accomplirent et vérifièrent

nt et vérifièrent à la lettre la parole de Mme de Maintenon : « Votre maison ne peut manquer tant qu’il y aura un roi en Franc

législative semblaient annoncer ou plutôt confirmer la ruine de cette maison , se rendit à Saint-Cyr dans la matinée du 1er sep

refaire sa santé, ce fut Marie-Joseph même qui lui loua cette petite maison où il a écrit ses dernières odes si élevées et si

rdre dont les ci-dessus étoit porteurs, nous nous sommes transportés, maison quaucupe la citoyene Piscatory ou nous avons trou

oit Bon citoyent et que cetoit la première foy quil renoit dans cette maison , quil étoit a compagnier d’une citoyene de Versai

positivement nous avons décidé quil seroit en arestation dans laditte maison jusqua que ledit ordre qui nous a été communiquié

écessaire de dire lenom A lui demandé s’il vien mangé souvent dans la maison ou nous lavons aretté A repondu quil ne croyoit n

vons aretté A repondu quil ne croyoit n’avoir jamais mangé dans cette maison ou il est aresté, mais il dit avoir mangé quelque

ensé quand des particulier qui ne mettre pas tant dexactitude que des maison de commerce lorsque la reception des fait demandé

l rue elle demeuroit alors A repondu sur la place de la Revolution la maison à Cottée A lui demandé comment il connoit la mais

la Revolution la maison à Cottée A lui demandé comment il connoit la maison à Cottée16 et les-citoyent quil demeuroit alors A

te dans sa reponse attendue que place de la Revolution il ny a pas de maison qui se nome la maison à Cottée donc il vien de no

endue que place de la Revolution il ny a pas de maison qui se nome la maison à Cottée donc il vien de nous déclarés A repondu

à Cottée donc il vien de nous déclarés A repondue quil entandoit la maison voisine du citoyent Letems A lui représentes quil

s quil nous fait des frase attandue quil nous a repettes deux fois la maison à Cottée A repondue quil a dit la vérité A lui de

ue sa famille le certifira que cettoit de tout temps le medecin de la maison A lui demandé sy il montoit sa garde le dix aoust

re etoit vice-consulte en Espagne les auttres ne demeurant point a la maison il y gnoroit ou ils étoits A lui demandée ou etoi

r se fâche, croyant qu’on a voulu le railler avec cette expression de maison de commerce. 15. Ce qui veut probablement dire :

r ici un singulier quiproquo, le commissaire interrogateur prenant la maison à côté pour la maison d’un certain propriétaire a

proquo, le commissaire interrogateur prenant la maison à côté pour la maison d’un certain propriétaire appelé Côté, et raisonn

ntrer à l’Académie. Était-il déjà académicien quand il a publié cette Maison de Penarvan qui lui a valu, il y a quelques jours

nous avons vainement cherchée dans le nouveau roman qu’il publie. La Maison de Penarvan n’est pas seulement un livre manqué s

trer en les lui racontant. III Et qu’importe, du reste, que La Maison de Penarvan soit un roman ou une histoire ; qu’el

pouvons plus oublier. Il en est de même des autres personnages de La Maison de Penarvan. L’abbé Pyrmil n’est qu’un décalque d

ons le sujet du livre. Renée de Penarvan est la dernière de l’antique maison des Penarvan, écroulée sur les champs de bataille

émacié, en soutane. Elle va sonner la honte à son cousin, chef de la maison désormais, lequel tombe naturellement amoureux de

es lieux communs de tous les descriptifs de l’heure actuelle. Dans la maison de Penarvan on n’est pas plus en Bretagne qu’aill

un charme de plus pour le conteur ?… Je n’ose me répondre, avec cette Maison de Penarvan sous les yeux. Le style a, dans ce ro

Maison de Penarvan sous les yeux. Le style a, dans ce roman, comme la maison dont il y est question, des abaissements et des d

ra jamais que la femme littéraire de monsieur George Sand. 10. La Maison de Penarvan.

es troubles, que ce gentleman était son amant. Elle l’a chassée de sa maison , et c’est alors qu’Henriette, sans ressources et

le dont la conduite lui échappe, aussi bien que le gouvernement de sa maison et de sa fortune. Blanche est aimée de M. Victor

, joueur comme les cartes, coureur d’actrices et de petites dames. La maison paternelle n’était pour lui jusqu’à présent, qu’u

laquelle il l’a proposée, il lui a fait accepter l’hospitalité de la maison Fourchambault, avec qui il est en bonnes relation

presque austère, qui tient de la cabine de vaisseau et du parloir des maisons du Nord. Une femme y siège en habits de deuil, tr

est la mère de M. Bernard. La mère et le fils vivent seuls dans cette maison presque fermée du côté du monde ; il y a un secre

nfant naturel ; sa mère, toute jeune, a été séduite par le fils d’une maison où elle donnait des leçons de piano. Son séducteu

nouvelle : le sinistre d’une grande banque du Havre est tombé sur la maison Fourchambault, déjà chancelante ; sa chute est im

mbault tient l’anse ? L’ouverture par laquelle fuit l’argent de cette maison livrée au coulage se rouvrirait quelques mois apr

ssistance permanente. Bernard deviendra l’associé commanditaire de la maison Fourchambault, il va mettre la main à son gouvern

dévoue à lui sans l’aimer. Nous rentrons, au troisième acte, dans la maison Fourchambault, pleine de récriminations et de que

ransports de reconnaissance sèchement accueillis. Commanditaire de la maison , il a le droit de la réformer, et il n’y va pas d

elle du sinistre des Fourchambault, les Rastiboulois avaient lâché la maison , comme les rats abandonnent un grenier qui va s’é

des empressements de Léopold auprès de la jeune créole admise dans la maison de son père : de cette rumeur, la préfecture fait

olère, sous les yeux de sa fille, les amours interlopes du fils de la maison avec une intrigante étrangère. Le scandale court

fâcheux : on ne manque jamais de les assortir aux jeunes-premiers des maisons où elles sont reçues. C’est une conséquence de le

et c’est l’enfant naturel qui remet l’ordre matériel et moral dans la maison légitime, qui la relève et la corrige, qui la réh

Apparaît la tête effarée de Blanche, qui me crie : « Le feu est à la maison  ! » En effet, à la suite d’un feu de cheminée dan

au-dessus, et Pélagie et sa fille et sa mère, courent affolées par la maison , jetant dans le chéneau des paquets de choses enf

et devant la vapeur de gaz carbonique, qui remplit tout le haut de la maison , ils préviennent les femmes de dormir avec précau

nt me fêter demain, elle me conte, qu’un certain jour, elle a fui une maison , dans laquelle avaient sombré toutes ses espéranc

toutes ses espérances de jeune fille, toutes ses confiances de femme, maison dont elle n’avait emporté que nos chers livres, q

banquet ! » Là-dessus, Toudouze me peint le hourvari produit dans la maison de Frantz Jourdain, par la remise du banquet, ven

ces turbulentes jeunesses. Puis j’espère un restant de chocolat à la maison , où j’ai dit à mes femmes de s’en faire pour elle

nt connaissance du billet de Mme Mirbeau, qui me l’avait envoyé. À la maison quand j’y mets les doigts et les yeux, je m’aperç

uvernante anglaise, appartenant à la religion catholique, a quitté la maison Daudet, lorsqu’elle a appris que l’auteur de Lour

rné, et demande à Jules Lacroix de le faire dîner avec l’auteur, à la Maison d’Or, où il l’invite. Le jour convenu, Lacroix ar

di 25 avril Une mère me parlait, ce soir, du côté inamusable à la maison , des jeunes filles de maintenant, chez lesquelles

nent par la connaissance qu’elles ont de : Manette Salomon et de : La Maison d’un artiste. La femme de lettres me dit avoir do

: La Maison d’un artiste. La femme de lettres me dit avoir donné : La Maison d’un artiste au petit-fils de Schiller, qui est p

é du drap : « Tu te trompes, maman… un jour je ferai la fortune de la maison  ! » Mardi 28 mai Aujourd’hui, Mme Segond-We

lle était obligée de coudre contre son nez. Puis elle me décrivait sa maison , au bas de la côte de Grasse, choisie par le géné

Constantinople, dans un endroit qui lui rappelait la Corne d’Or, une maison à la chambre du général, tendue avec de la toile,

et aussitôt en route pour Carrières-sous-Poissy. Nous voici en cette maison de Mirbeau, recouverte d’un treillage vert tendre

te maison de Mirbeau, recouverte d’un treillage vert tendre, en cette maison aux larges terrasses, et trouée de nombreuses fen

ison aux larges terrasses, et trouée de nombreuses fenêtres, en cette maison inondée de jour et de soleil. Maintenant dans le

eut-être pas mal de gens. À onze heures, dans la petite voiture de la maison , Mme Mirbeau, comme cocher, me ramène au chemin d

ini en grands morceaux polyédriques, et là-dessous une perspective de maisons noires, se détachant d’une chaussée pâle. Un effe

r, a l’aspect d’un vieillard. Mardi 23 juillet Dîner donné à la Maison d’Or, par L’Écho de Paris, pour les décorations d

n faire aux hôpitaux de Paris, nous dit qu’il est décidé à fonder une maison de photographie à Marseille. Lorsqu’il nous remet

ardin de l’abbé… nous ne le voyons pas, mais nous voyons très bien sa maison … Un moment l’idée de descendre et de le reprendre

tureux. C’est ainsi que les mines d’or, offertes il y a dix ans à des maisons française, ont été refusées par toutes ces maison

y a dix ans à des maisons française, ont été refusées par toutes ces maisons . Et l’un des grands banquiers de Paris, auquel mo

comme cela ! » Le curieux, c’est que le premier rapport présenté à la maison Mirabaud, et dont M. Wendel, qui en a eu connaiss

seul. « Agréez… » Mardi 15 octobre Une conversation, dans une maison anticatholique, où l’on prétend que le lavage est

ue le lavage est incomplet chez les dévotes, et où la maîtresse de la maison , connaissant à fond Saint-Denis, Écouen, Picpus,

i reçu, cet automne, une lettre d’Angleterre, d’un enthousiaste de La Maison d’un artiste, contenant, dans une enveloppe, une

dans une jarre. Jeudi 7 novembre On parle chez Daudet, de cette maison Callias, de cette maison des Batignolles, où tout

7 novembre On parle chez Daudet, de cette maison Callias, de cette maison des Batignolles, où toute la littérature a passé,

tte maison des Batignolles, où toute la littérature a passé, de cette maison , dont il y aurait à faire une originale monograph

e originale monographie. Georges Lefèvre, qui a beaucoup fréquenté la maison , conte qu’il y avait dans la cuisine, à toute heu

oli, comme la princesse lui faisait compliment de l’arrangement de sa maison , du confort qu’y avait apporté sa femme, il murmu

neuf aujourd’hui, — ils ne font que me faire ressouvenir. Dans cette maison , où nous avons été toujours deux, par moments, je

iels de tous les gouvernements. 14 juillet J’ai mis en vente la maison où il est mort, et dans laquelle je ne veux pas r

, ces propositions me jettent dans une profonde tristesse. Oui, cette maison , où j’ai tant souffert, j’y suis attaché par un l

t m’entraîner avec lui à la frontière ; j’ai hésité… J’ai pu louer ma maison , je ne me suis pas décidé… La force qui fait pren

pieds de largeur. Dans cette ruelle se rencontre une mauvaise petite maison . Cette maison a une fenêtre sans rideaux, où, à t

eur. Dans cette ruelle se rencontre une mauvaise petite maison. Cette maison a une fenêtre sans rideaux, où, à travers la vitr

yageurs Madame Bondieu. 30 juillet Dans cette ville, dans cette maison , où depuis vingt-deux ans, nous venions tous les

levée. 5 août Auteuil. Des journées à aller, à venir dans cette maison , comme une âme en peine. C’est bien le mot. Sa

e la patrie, je ne puis tenir chez moi, j’ai besoin de dîner dans une maison amie, et je vais un peu à l’aventure, demander à

à l’aventure, demander à dîner chez Charles Edmond. Je trouve dans la maison de Bellevue, prêts à se mettre à table, Berthelot

sept jours et sept nuits à remplir de malédictions les entours de la maison du meurtrier. Il est bien rare, ajoute-t-il, que

22 août Je vais voir Théophile Gautier, qui pleure avec moi, la maison qu’il a arrangée, l’ angulus ridens et artistiqu

innommés, à ces anonymes de la mort ! 25 août Je regarde cette maison bourrée de livres, de gravures, de dessins, d’obj

31 août Ce matin, au point du jour, commence la démolition des maisons de la zone militaire, au milieu du défilé des dém

ui ressemble à la migration d’un ancien peuple. Des coins étranges de maisons à moitié démolies, avec des restants de mobiliers

empart. C’est comme l’écroulement de l’horizon, de ses arbres, de ses maisons , tombant à terre, dans un grand bruit étouffé, ta

res citadines et rustiques, au milieu desquelles s’élèvent, comme des maisons , les grandes voitures de foin, traînées par des b

s arbres avec le frôlement sourd des branchages, tombent toujours les maisons avec le bruit de casse strident des vitres, se br

de vigne, en regardant de travers le fort qui l’empêchera de bâtir la maison , où le vieillard qui a passé tant d’heures dans l

eds dans le ruisseau, une seconde ligne adossée ou couchée contre les maisons . Entre une double haie de citoyens armés, remonte

berceau. Je pousse jusqu’à La Chapelle. Sur les sales coloriages des maisons du faubourg Saint-Denis, ce ne sont que des fusil

de l’appel fait par toutes les mairies aux hommes libres. Devant une maison en construction, les maçons rentrent les plâtras,

te étrange. La route jusqu’à Saint-Cloud continue entre la rangée des maisons aux persiennes fermées, aux boutiques closes, int

neuf, me raconte toute une histoire. Saint-Cloud, avec ses étages de maisons dans la verdure, sous le rayonnement du plus beau

e la Halle par la rue Montmartre : les planches de marbre blanc de la maison Lambert, à cette époque si chargées de quartiers

s d’Afrique, ce gris qu’a si bien peint Fromentin, et dans lequel les maisons mettent des carrés blanchâtres, et les arbres que

de l’avenue, et à droite et à gauche s’étend un immense vide, où les maisons démolies ont laissé, dans l’herbe vilainement ver

ment verte, une tache blanche que surmonte quelques gravats. Puis les maisons recommencent, des maisons fermées. Une seule est

che que surmonte quelques gravats. Puis les maisons recommencent, des maisons fermées. Une seule est ouverte, la maison d’un fo

maisons recommencent, des maisons fermées. Une seule est ouverte, la maison d’un forgeron, dont le bruit du marteau est l’uni

s coupons jusqu’au 14 novembre. Mardi 11 octobre Aux portes des maisons neuves, où sont installées les mairies de la banl

plus françaises, ces bois, n’avoir plus de promeneurs de Gavarni, ces maisons , si joliment ensoleillées, ne plus abriter vos am

charcutier Rabat-joie est ouverte. À la sortie de Boulogne, entre les maisons emballées, où rien ne bruit, ne remue, j’avance a

pareils à des scintillements de lustres de cristal. Plus proche, les maisons du Parc des Princes, de Billancourt, toute la bât

s terrains, et faisant comme une assise de brouillard à la pierre des maisons . Sur le boulevard Montmorency, des gens regardant

es années, j’avais assez bien arrangé mon affaire, j’avais une petite maison , j’avais une petite voiture, j’avais même deux pe

des abatis de grands arbres, des amoncellements de pierres, entre des maisons sans portes ni fenêtres, où s’accroche encore le

ris, de la Sainte-Chapelle, et incontestablement on a élevé de belles maisons neuves… » Et sur ce que je lui dis, que le Parisi

orceaux de tuyaux de poêle, des abat-jour, des peintures à l’huile de maisons de campagne par des propriétaires amateurs, des t

ns la brume du matin, avec leurs silhouettes de douaniers. Toutes les maisons abandonnées, gardent des écriteaux de location, ô

s abandonnées, gardent des écriteaux de location, ô ironie ! Dans ces maisons fermées et vides, une fenêtre devenue un atelier

eindre, à la fin d’une journée d’hiver. Toujours un ciel rose, et les maisons serrées de l’autre rive de la Seine, pareilles à

e paille noire à la main. C’est la toilette distinguée de la fille de maison , à l’usage des militaires, en l’an de grâce 1870.

la paix, je désire bien égoïstement qu’il ne tombe pas d’obus dans ma maison et mes bibelots, et cependant je marchais triste,

bout du bois de Boulogne, voir comme aujourd’hui la flamme sortir des maisons de Saint-Cloud, vivre dans ce continuel émoi d’un

nant dans la ruine du bois de Boulogne, j’ai la curiosité de voir les maisons du Parc des Princes. Toutes ont été abandonnées p

ains vagues qui commencent la campagne de la banlieue. Ce ne sont que maisons , à la grille laissée grande ouverte par la visite

à la grille laissée grande ouverte par la visite d’un franc-tireur ; maisons aux carreaux cassés, d’où volettent, au dehors, d

rafales de vent font claquer les persiennes de fenêtres ouvertes des maisons désertes. J’ai un âpre, presque un cruel plaisir,

Saxe. Cela m’intriguait de trouver une si grande pièce dans sa petite maison , et encore de découvrir au critique un goût que j

mue toutes les portes, comme si un coup de vent s’engouffrait dans la maison , parce que, la nuit, elle me secoue dans mon lit,

petites amies, en montrant Saint-Cloud : « Elle y est toujours, notre maison … la dernière près de ces arbres… la voyez-vous ? 

la couleur rose des bruyères, et les coteaux d’un âpre violet, et les maisons de Saint-Cloud, au blanc bleuâtre indescriptible,

casse-cou politiques, brisant tout dans un gouvernement comme dans la maison où ils entrent, costumés en gardes nationaux. Non

vend si cher ! — Oh ! gardez-vous du beurre de coco ; ça infecte une maison , au moins pendant trois jours. — J’ai vu des côte

. Il lui racontait, le plus naïvement du monde, ses pillages dans les maisons et les châteaux, lui faisant part de la connivenc

contre des Prussiens. Nos soldats ont des sondes pour mieux voler les maisons qu’ils sont chargés de défendre et de protéger !

ébant, des populations dévastatrices de la banlieue, campées dans les maisons . Du Mesnil raconte qu’un de ces réfugiés a fait d

ans les maisons. Du Mesnil raconte qu’un de ces réfugiés a fait de la maison qu’il habite, une resserre à chiffons. Un second

n qu’il habite, une resserre à chiffons. Un second a fait d’une autre maison une maison de prostitution, non clandestine, mais

ite, une resserre à chiffons. Un second a fait d’une autre maison une maison de prostitution, non clandestine, mais ignoblemen

cela au moment où les canons Krupp menacent de faire une ruine de ma maison et de mon jardin ! C’est trop imbécile ! Le chagr

rdure, pareil au bouquet des maçons posé en haut de la cheminée d’une maison neuve, se voient des débris de faïence, des fragm

chant des coqs, et l’on ne voit plus de lumières qu’aux fenêtres des maisons , qui ont inscrit au-dessus de leurs portes : Ambu

n’y aura pas d’eau pour éteindre les incendies. Toute l’eau, dans les maisons , est presque de la glace, jusqu’au coin de la che

Madame de Maintenon Théophile Lavallée, Histoire de la Maison royale de Saint-Cyr : 1686-1793. [Le Pays, 11 ma

 siècle, il convient de parler du livre de Théophile Lavallée sur la Maison royale de Saint-Cyr 6. Ce n’est, il est vrai, que

i doit embrasser, sous un titre plus vaste, toute l’histoire de cette maison de Saint-Cyr, d’abord maison royale, ensuite mais

re plus vaste, toute l’histoire de cette maison de Saint-Cyr, d’abord maison royale, ensuite maison militaire ; mais ce fragme

histoire de cette maison de Saint-Cyr, d’abord maison royale, ensuite maison militaire ; mais ce fragment lui-même est un tout

aint-Cyr un livre intéressant et riche de détails. Professeur dans la maison même dont il nous fait l’histoire, il a eu sous l

e grandiose touchait à la simplicité. Là plus qu’ailleurs, dans cette maison de deux cents jeunes filles à peine, se concentra

nt, aux yeux de qui sait discerner et sait conclure, l’histoire de la maison de Saint-Cyr, du temps de Louis XIV et de madame

n ubiquité, tant elle est partout et s’y multiplie. L’historien de la maison qu’elle a fondée est trop près d’elle, il a trop

qu’il attachât à sa personne le jeune Torquato, gloire future de leur maison , et déjà souci secret de leur cœur. Alphonse céda

e l’Italie à jouir des magnificences et à concourir à la gloire de la maison d’Este. Le Tasse, recommandé à son oncle par Léon

’intention de passer au service des Médicis et de déshériter ainsi sa maison de la gloire d’avoir protégé les deux grands poèt

changea ; la défiance et la froideur succédèrent à la familiarité. La maison d’Este et la maison de Médicis, bien que liées pa

e et la froideur succédèrent à la familiarité. La maison d’Este et la maison de Médicis, bien que liées par des mariages et de

n de ses amis les plus intimes avait abusé de sa familiarité, dans sa maison , pour ouvrir avec de fausses clefs ses cassettes,

e ou sa bonté. » Que peuvent répondre les accusateurs gratuits de la maison d’Este, dans cette circonstance, à une preuve aus

authentique de leur innocence, écrite sur place aux ennemis de cette maison par l’ambassadeur de ces ennemis ? IX Le Ta

n pauvre gentilhomme de Sorrente, et qui habitait avec ses enfants la maison et le jardin où il avait lui-même reçu le jour. C

Voilà ce que j’ai éprouvé moi-même quand j’ai été obligé de vendre la maison de mon père, à Milly, pour payer mes créanciers.

inuait à vivre seule et dans une médiocrité presque indigente dans sa maison à Sorrente, sans autre fortune que les orangers e

’autre était devenu un chevalier et un poète de renom à la cour de la maison d’Este, à Ferrare. Elle espérait que ce frère, si

reconnaissance par sa sœur. « Étant entré dans le village et dans la maison de sa sœur, il la trouva seule, dit-il, avec ses

nt veuve, et ses deux fils en bas âge n’étaient pas en ce moment à la maison . Ayant été introduit auprès d’elle, il s’annonça

et de son déguisement, elle résolut de le retenir secrètement dans sa maison , sans révéler le mystère qu’à ses deux enfants et

ériode de sa vie, le marquis Manso, « passa le reste de l’été dans la maison de sa sœur. On peut se figurer son bonheur en se

ée qui s’amortissait dans la solitude à Sorrente ; la monotonie de la maison rustique de sa sœur ; la société douce, mais stér

même le malade aux soins de Léonora, son amie, dans la solitude de la maison de plaisance qu’elle habitait pendant l’été ? Com

me temps le plus beau et le plus héroïque des jeunes courtisans de la maison d’Este ; une reconnaissance chevaleresque et poét

engage donc à accepter l’hospitalité pour cette nuit dans une petite maison que j’ai de ce côté-ci de la rivière ; vous y ser

fiter de son offre le plus tôt possible ; à ces mots, il me montra sa maison . Elle était peu éloignée du bord de la rivière :

ses questions, et dit : Quel qu’il soit, il est le bienvenu dans une maison où l’on aime à honorer et à secourir les étranger

ée, il trouva sa propriété fort négligée, sa métairie en désordre, sa maison dégradée. Il commença par prendre un autre staros

e son ami, et très souvent il n’y retournait pas. Il couchait dans la maison de Boris. « Bonjour ! disaient-ils tous deux en m

nduisait son ami jusque dans son village et le faisait entrer dans sa maison . Cette maison, vieille et petite, ressemblait plu

mi jusque dans son village et le faisait entrer dans sa maison. Cette maison , vieille et petite, ressemblait plus à la cabane

ait de côté et menaçait de s’écrouler. Triste à voir au dehors, cette maison ne présentait pas un aspect plus agréable au deda

point de le faire transpirer. L’habitation de Sophie était une petite maison blanche assez jolie, avec une cour et un jardin,

maison blanche assez jolie, avec une cour et un jardin, semblable aux maisons de campagne qui décorent les environs de Moscou,

oie se fit entendre dans une chambre voisine, puis la maîtresse de la maison entra d’un pas léger. Pierre s’avança à sa rencon

dans la voiture, et, lorsqu’il fut à quelques centaines de pas de la maison de Sophie : « Non, non, murmura-t-il, cela ne va

J’en suis charmé. Mais elle ne vous convient pas. » En arrivant à la maison de Boris, Pierre lui dit : « Nous n’en avons pas

pour plusieurs mois. — Je veux vous présenter dans une très honorable maison , à Tikodouïef. Le maître de cette maison est un e

nter dans une très honorable maison, à Tikodouïef. Le maître de cette maison est un excellent homme qui s’est retiré du servic

tellement, que Pierre, finit par lui promettre de le conduire dans la maison de la jeune fille. Le surlendemain, ils étaient e

épétait avec la même indifférence : « Braou ! braou ! » Cependant, sa maison n’était point en désordre ; il ne faisait point d

e tendre affection. C’était elle qui régissait et gouvernait toute la maison . Elle s’acquittait de cette tâche avec plaisir, e

t, un vaste cabinet qui occupait presque la moitié de l’étendue de sa maison , et qui lui servait à la fois de salon et de sall

dans ses mouvements ! — Oui, répondit froidement Pierre ; mais cette maison est comme une auberge ; dès qu’une personne est s

d’une simplicité extrême. Elle s’entend, il est vrai, à conduire une maison , mais ce n’est pas là ce qu’il vous faut. — Pourq

. Que de rêves ne fit-il pas jusqu’à ce qu’il arriva à la porte de sa maison  ? mais à tous ces rêves s’associait l’image de Vi

gèrent cette visite bien plus que la première. Ils couchèrent dans la maison de Barçoukof, et ne la quittèrent que le lendemai

ontrait fort empressé près de Viéra. Boris, en le rencontrant dans la maison d’Étienne, avait d’abord pris plaisir à le voir.

sérieuse. Que Dieu lui soit en aide ! » Le soir, il se retira dans sa maison , et il venait de se mettre au lit, quand tout à c

Une jeune fille, reprit-il, ne peut cependant rester toujours dans la maison paternelle. — Quelle idée… Mais je suis bien tran

nouvelle demeure. Étienne refusa, disant qu’il ne pouvait quitter la maison où il avait ses vieilles habitudes. Viéra lui pro

nouvelle existence, Boris se trouva très heureux. Viéra dirigeait sa maison dans la perfection. Il aimait sa calme et constan

à. S’il arrivait quelque accident ou quelque affaire imprévue dans ma maison , je compte sur toi comme sur un appui invariable.

re, avec qui il s’était de nouveau réconcilié. Dès son entrée dans la maison de Vasilitch, il s’écria : « Quel malheur ! Figur

r de Maistre. Moumou   À l’une des extrémités de Moscou, dans une maison grise décorée d’une colonnade et d’un balcon incl

e ce terrible gardien. Les voisins le respectaient, et les gens de la maison prenaient à tâche de vivre avec lui, sinon amical

ite. Il y avait environ un an que Guérassime était à Moscou, quand la maison qu’il habitait fut agitée par les événements que

e lui donner sa maîtresse. Tatiana était une des blanchisseuses de la maison , la plus habile, celle à laquelle on ne confiait

quoiqu’elle la connût à peine de vue. Lorsque Guérassime arriva à la maison , l’aspect de ce rude colosse lui fit peur. Elle l

ser. La pauvre fille ne savait que faire. Bientôt tous les gens de la maison remarquèrent ce qui se passait. Elle devint l’obj

, sans qu’il s’en aperçût. Un jour, à dîner, la femme de charge de la maison s’étant mise à plaisanter Tatiana sur sa conquête

gtemps son intendant. Gabriel entra chez lui et appela les gens de la maison à délibérer sur ce grave événement. Tatiana ne fa

ent à sa passion pour les spiritueux, qu’il fut condamné à quitter la maison et envoyé avec sa femme dans des propriétés loint

ne comprit qu’elle devait répondre à ce nom de Moumou. Les gens de la maison l’appelèrent Moumoune. Elle se montrait docile et

alet de dernier ordre, Moumou ne pénétrait jamais à l’intérieur de la maison seigneuriale. Quand Guérassime allait porter du b

Mais je voudrais savoir pourquoi il se trouve tant de chiens dans la maison . N’avons-nous pas déjà un chien de basse-cour ? —

là ce que j’appelle du désordre. Il me faudrait un majordome dans la maison  ! Et pourquoi le muet a-t-il un chien ? qui le lu

remonta dans son drochky, mais il le quitta à quelque distance de la maison , fit le tour, ne voulant pas traverser la cour, d

averser la cour, de peur d’y rencontrer Guérassime, et rentra dans la maison par un passage dérobé. Il n’avait pas besoin de p

la Étienne, qui courut éveiller le majordome, lequel éveilla toute la maison . Le muet, en se retournant, vit des lumières bril

laquelle il dérobait le thé, le sucre, les fruits et les épices de la maison  ; il la pria d’aller dire à sa maîtresse que le m

ption de quelques enfants et de quelques curieux. Gabriel rentra à la maison et, par l’entremise de Lioubov, fit dire à la bar

l’eau. Erochka, qui avait perdu de vue Guérassime, était rentré à la maison pour y raconter ce dont il avait été témoin. « Eh

la fois du désespoir et du contentement. Il avait quitté à jamais la maison de sa maîtresse, et la poitrine dilatée, le regar

réfléchit et déclara qu’elle n’avait pas besoin de reprendre dans sa maison un tel ingrat. Peu de temps après elle mourut, et

echerches incessantes et récentes ont enfin restitué Laure à la noble maison de Noves, d’où elle était indubitablement issue.

a noble maison de Noves, d’où elle était indubitablement issue. Cette maison habitait le bourg de Noves, sur les rives de la D

aît pas son autre nom. Audibert de Noves habitait pendant l’hiver une maison de sa famille à Avignon, Laure y était née. Le so

dérable pour le quatorzième siècle, est l’indice de la richesse de la maison de Noves. Ermessende de Noves, veuve d’Audibert,

une couronne d’or et un lit honnête. Ses portraits, conservés dans la maison de Sades et ailleurs, la représentent dans ce cos

ne de ses lettres. « Je vous vois avec douleur, lui écrit-il, dans la maison de votre ami l’évêque de Lombez, Jacques Colonna,

raita en fils le jeune poète ; il le destinait à illustrer un jour sa maison dans la diplomatie et dans les lettres. Ces Mécèn

nal Colonna était la cour du génie italien. Le chef de cette illustre maison , Étienne Colonna, vint, à son tour, visiter ses f

luse en sortant de la caverne. Pétrarque se fit construire une petite maison à la mesure d’un ermitage. Voici comment il la dé

rendriez à présent pour un laboureur ou un berger des montagnes. « Ma maison ressemble à celle de Fabricius ou de Caton ; tout

omestique consiste en un chien et en un serviteur ; ce serviteur a sa maison attenante à la mienne ; quand j’ai besoin de lui

« Je me levais tremblant avant l’aurore, et, sortant bien vite d’une maison où tout m’était suspect, je grimpais sur la cime

ils ne demandent qu’une chambre bien fermée dans un coin de ma petite maison , où ils soient à l’abri de leurs ennemis. Enfin,

rer de son laurier aux regards de Laure, il repartit pour Avignon. La maison des Corrége, amis des Colonne et par conséquent l

orrége venaient de s’emparer de la souveraineté de cette ville sur la maison de la Scala : Pétrarque, paru à Parme au moment d

je passai dans le voisinage de Silva piana. » Il se construisit une maison entre la ville et cette forêt. « J’ai ainsi, écr

Ô fortune ! laisse en paix un homme qui se cache ! Sors de sa petite maison , et vas agiter les palais des rois ! » « Ici », a

e la ville, je vais souvent errer dans les bois ; je bâtis une petite maison telle qu’il convient à la médiocrité de mon état 

mains mortelles ne peuvent construire rien de durable ; enfin, que ma maison durera encore plus que moi et mes neveux. Je roug

ndements de ce corps qui menace ruine ; ce corps s’écroulera avant ta maison , tu seras bientôt forcé de quitter l’une et l’aut

-il, et de la turbulence de ses sauvages habitants. Les princes de la maison de Corrége lui firent donner la place lucrative d

et de ses soupirs, Rienzi commençait à agiter Rome. Les revers de la maison de Corrége, un instant chassée de Parme, puis y r

ommencé. Rienzi cita les nobles à son tribunal ; un jeune homme de la maison des Ursins, qui venait d’épouser quelques jours a

e épouse. Les cachots se remplirent des seigneurs des plus puissantes maisons , même de la famille des Colonne. Cette terreur r

nait contre le prétendu libérateur ; cependant les cinq princes de la maison des Colonne périrent le même jour dans le premier

e. » Il versa un torrent de larmes sur la mort des jeunes gens de la maison des Colonne ; son cœur se retrouva avec sa raison

surveiller les maîtres et d’ordonner de toute l’administration de la maison . Sous le principal, un préfet ou un surveillant d

t lorsque le mauvais temps renferme les élèves dans l’intérieur de la maison et que les récréations ne se font pas en plein ai

commande à Périclès, qui commande à toute la Grèce. Il y a dans toute maison commune un subalterne qui commande à une Aspasie

ui se présente soit instruit de ce qu’on doit avoir appris ou dans la maison paternelle ou dans les petites écoles. On examine

is des parents. Les externes n’y sont qu’instruits. Ils sortent de la maison de leurs parents pour venir aux écoles, et au sor

verait à des travaux utiles. Il est à propos que les commensaux de la maison , pensionnaires ou boursiers, soient distingués de

II. 34 Le célibataire logera ou ne logera pas dans l’intérieur de la maison , à sa volonté. L’homme marié aura son logement au

dis ici des maîtres doit s’étendre à tous les autres commensaux de la maison . Je ne demande à un maître que de bonnes mœurs qu

e une multitude d’enfants de la profession de leurs pères, de grandes maisons de commerce s’éteignent, d’importantes manufactur

aris, on les soumet à un honnête homme qui les renferme dans une même maison et qui veille à la conservation de leurs mœurs et

t prouvé par la fréquentation de quelques écrivains ridicules dans sa maison qui était ouverte à tout le monde. De 1650 à 1660

ort dissipé, il n’était nulle part plus rarement que chez elle. Cette maison n’était plus que la réunion très bornée de la fam

circonstances pour que le lecteur ait une idée juste de l’état de la maison de Rambouillet depuis plusieurs années, Lorsque M

uze, âgée de 38 à 48, madame de la Fayette, âgée de 18 à 28. Les deux maisons principales qui s’ouvrirent à la bonne compagnie,

ers 1655. Le duc de Saint-Simon parle de l’hôtel d’Albret comme d’une maison somptueuse, où affluait la meilleure compagnie, e

tés du maréchal, à sa passion pour le bel esprit, au grand état de sa maison , y attirait la meilleure compagnie. Madame de Cay

nnes de son affection particulière, avec celles qui fréquentaient les maisons d’Albret et de Richelieu, et qui se partageaient

laient chez elle et formèrent toute sa société. En 1655, une nouvelle maison s’ouvrit ; ce fut celle de madame de La Fayette,

mérite très distingués. Sa fortune ne lui permettait pas de tenir une maison , mais elle était accueillie dans les meilleures,

et le faubourg Saint-Marceau. Cette pension, connue sous le nom de la Maison Vauquer, admet également des hommes et des femmes

t en reconnaître les éléments chez soi, dans son cœur peut-être. « La maison où s’exploite la pension bourgeoise appartient à

tous les passants, le bruit d’une voiture y devient un événement, les maisons y sont mornes, les murailles y sentent la prison.

es ? « La façade de la pension donne sur un jardinet, en sorte que la maison tombe à angle droit sur la rue Neuve-Sainte-Genev

coupée dans sa profondeur. Le long (p. 438) de cette façade, entre la maison et le jardinet, règne un cailloutis en cuvette, l

par une porte bâtarde, surmontée d’un écriteau sur lequel est écrit : Maison Vauquer, et dessous : Pension bourgeoise des deux

, se trouve encaissé par le mur de la rue et par le mur mitoyen de la maison voisine, le long de laquelle pend un manteau de l

tte couleur jaune qui donne un caractère ignoble à presque toutes les maisons de Paris. Les cinq croisées percées à chaque étag

te que toutes leurs lignes jurent entre elles. La profondeur de cette maison comporte deux croisées, qui, au rez-de-chaussée,

viève une porte étroite par où la cuisinière chasse les ordures de la maison en nettoyant cette sentine à grand renfort d’eau,

uit envers elle, ne lui avait laissé que les yeux pour pleurer, cette maison pour vivre, et le droit de ne compatir à aucune i

ept. Le premier étage contenait les deux meilleurs appartements de la maison . Mme Vauquer habitait le moins considérable, et l

t quelques frais de toilette, excusés par la nécessité de donner à sa maison un certain décorum en harmonie avec les personnes

accordée. Elle distribua des prospectus en tête desquels se lisait : MAISON VAUQUER. “C’était, disait-elle, une des plus anci

au Marais leur terme dans une pension plus coûteuse que ne l’était la maison Vauquer. Ces dames seraient d’ailleurs fort à leu

sie avait des penchants aristocratiques qui la portèrent à quitter la maison paternelle pour s’élancer dans les hautes sphères

j’aille voir mes filles, le soir, au moment où elles sortent de leurs maisons pour se rendre au bal ? Quel chagrin pour moi si

mpagne, oublié par ma famille pendant trois ans, quand je revins à la maison paternelle, je comptais pour si peu de chose que

ima les fausses appréhensions de ma mère en prétendant que j’avais la maison en horreur ; que si elle n’eût pas attentivement

ère, l’amour de ma mère, l’espoir de ma famille, partant le roi de la maison . Bien fait et robuste, il avait un précepteur. Mo

au milieu de la journée, entre le déjeuner du matin et le dîner de la maison , dont l’heure coïncidait avec notre rentrée. Cett

trouvant là les répulsions que j’inspirais en famille. Là, comme à la maison , je me repliai sur moi-même. Une seconde tombée d

ponts Saint-Sauveur, j’arrivai dans Poncher en levant le nez à chaque maison , et gagnai la route de Chinon. Pour la première f

elui du propriétaire. « — Ceci est Clochegourde, me dit-il, une jolie maison appartenant au comte de Mortsauf, le représentant

igration. Ce bien est à sa femme, une demoiselle de Lenoncourt, de la maison de Lenoncourt-Givry qui va s’éteindre : madame de

inconvénients du voisinage des eaux sans en ôter l’agrément. Sous la maison se trouvent des remises, des écuries, des resserr

e produite par les mousses plates et rougeâtres qui croissent sur les maisons exposées au midi. La porte-fenêtre du perron est

labourables plantées de noyers, descendent rapidement, enveloppent la maison de leurs massifs, et atteignent les bords de l’In

d’enfant, je me précipitai dans la longue antichambre qui traverse la maison . « — Entrez donc, Messieurs, dit alors une voix

mère et les souvenirs de sa sœur. On sentait en lui l’homme de bonne maison , incapable de s’avilir, si ce n’est par plaisante

les grandes et bien fournies, sont au cœur de la ville, séparées des maisons où l’on demeure. Il ne faut pas faire la preuve d

ar nos manières de proportions européennes, en comptant le nombre des maisons par l’étendue du terrain, ni celui du peuple par

aisons par l’étendue du terrain, ni celui du peuple par le nombre des maisons : on s’y méprendrait fort ; car les bazars, qui so

j’ai passé la plupart du temps à Ispahan, et qu’il n’y avait guère de maison considérable où je n’eusse quelque habitude, soit

III Dès qu’un Persan peut se loger convenablement, il bâtit une maison neuve. Une maison qui n’a pas été construite pour

n Persan peut se loger convenablement, il bâtit une maison neuve. Une maison qui n’a pas été construite pour l’usage de son ma

ir (nâzir): on appelle ainsi le surintendant général, ou maître de la maison du roi et de tout son domaine, et enfin à celle d

es proscrits, qui étaient les uns dans le bain, les autres dans leurs maisons . Le nombre des grands seigneurs qu’on mit en pièc

voyant défaite de ses principaux ennemis, étendit sa vengeance sur la maison de Daoud-Kan, comme l’auteur de toute cette longu

ive ensuite en face du palais royal. Le roi entretient là trente-deux maisons ou ateliers de tous les ouvrages qu’on fait pour

e. J’oubliais de dire que le tour de la place, entre le canal et les maisons , est garni de platanes: c’est un arbre qui jette

c’est un arbre qui jette ses branches fort haut ; ce qui fait que les maisons en sont couvertes comme d’un parasol, sans en êtr

choses, tout ce qu’il faut de charpenterie et de menuiserie pour une maison , des portes, des fenêtres, des gouttières, des se

t en faction la nuit y dorment dans leurs lits comme dans leur propre maison , sans fermer non plus le grand portail, par où ch

nt tous les vendredis, qu’on appelle taous cané 24, comme qui dirait, maison de culte, ou d’obéissance. Vis-à-vis de ces jardi

s apparemment au sac d’Ormus, et les autres ramassés du pillage de la maison de l’ambassadeur de Holstein, il y a soixante et

du café, le magasin des pipes, celui des flambeaux, qu’on appelle la maison du suif, parce que la plus commune lumière dont l

ce que la plus commune lumière dont les Persans se servent dans leurs maisons est faite avec des lampes nourries de suif raffin

ci sur une femme publique d’Ispahan, de laquelle il habitait alors la maison . On y verra comment une femme pénitente mourut, p

s d’un carrefour, d’où, tournant à l’orient, on rencontre d’abord une maison fameuse, qu’on appelle la maison de la Douze-Toma

à l’orient, on rencontre d’abord une maison fameuse, qu’on appelle la maison de la Douze-Tomans, comme qui dirait la Cinquante

à cause que je voyais trop de monde, je fus contraint de prendre une maison . J’en demandai permission à la cour, l’an 1675 ;

es. C’était la première fois qu’un Européen particulier avait logé en maison à lui dans Ispahan: celle-ci était, comme je l’ai

x tirèrent les leurs, et la tuèrent sur la place. Tout joignant cette maison , il y en a une autre presque semblable qui avait

canaux d’eau, plantés de hauts platanes à double rang, l’un près des maisons , l’autre sur le bord du canal. L’allée finit à un

n près des maisons, l’autre sur le bord du canal. L’allée finit à une maison de plaisance du roi, qui en occupe la largeur, et

rable allée un pavillon32 carré, haut et grand, qui fait face à cette maison de mille arpents, que j’ai dit qui est à l’autre

inent là l’allée, sont la volière du roi, dont le fil est doré, et la maison des lions, à l’autre coin ; et là il y a des chau

est presque semblable à celle-ci. Je ne m’arrêterai pas à nommer les maisons et les jardins des côtés, qui sont au nombre de q

dernière nuit, il n’avait même rien ordonné touchant sa personne, sa maison ni son successeur: seulement, dans la force de so

ourtchy. Voyez, t. V, p. 309. (L-s.) 24. Thâoùs khâunéh signifie la maison , la volière des paons. Peut-être Chardin a-t-il v

énétrer. Sérail est la corruption du mot turc et persan Séraï, grande maison , hôtel, palais. Le hharam ou hharem est dans le s

n’y pensais plus deux jours après, et je n’en parlais déjà plus à la maison , quand le jeune capitaine des sbires redescendit

iche. Chacun à son heure, il faut faire une fin. Une belle fille à la maison , c’est une fin de l’homme ; la voilà mûre bientôt

la taille de sa tante, commença à craindre de s’éloigner seule de la maison pour aller sarcler le maïs ou cueillir les feuill

s sbires cherchait, de temps en temps, à l’aborder sur le seuil de la maison , et il lui adressait des compliments qui la faisa

de rôder dans la montagne ; mais un jour que ma sœur était seule à la maison , parce que j’avais suivi Hyeronimo et Fior d’Aliz

ui réclament, en vertu d’un jugement en bonne forme, le partage de la maison , domaine, eaux, bois et champs du domaine des Zam

t vos ascendants depuis l’année 1694. LXXXIII Si les murs de la maison et le châtaignier qui la couvre s’étaient tout à

de lui quand il sort en tâtant le terrain avec son bâton autour de la maison , je suis content ! dit Hyeronimo. J’irai m’engage

unir ; l’autre, ses ceps de vigne en fleur qui embaumaient jusqu’à la maison  ; l’autre en comptant ses brebis et ses chèvres ;

strument de son supplice. Ma belle-sœur rentra triste et pensive à la maison  ; elle me raconta l’air et les propos de l’avocat

ue nous restait-il, excepté la roche et les broussailles autour de la maison et la vigne rampante sur la pente de grès qui des

enclos de pierres grises, qui avaient grimpé de roc en roc jusqu’à la maison , et qui formaient une treille devant la fenêtre e

ndent comme des bras sur la pelouse, sur la cour et sur le toit de la maison , étaient à nous. Il y en avait encore bien assez,

terait pour vivre sur les cinq branches réservées aux habitants de la maison . Je pensais aussi à cette pauvre vieille vigne qu

us en déposséder, parce que leurs racines étaient sous les murs de la maison  ; c’était une bonne récolte qui n’était pas à déd

de la treille devant la porte et celles des pampres qui enlaçaient la maison et le toit, comme le filet du pêcheur enlace l’ea

d’intelligence entre ce treillage plus vieux que nous tous devant la maison . — Oh ! les méchants ! s’écria tout le monde en s

lée d’hiver, se réunissaient en tourbillon dans l’air au-dessus de la maison nue, et allaient et venaient comme des fous en je

rosses branches qui s’étendent de notre côté sur la pelouse et sur la maison qui nous restent ; vous savez bien que ces branch

spère, le pousse de parti pris à la folie. On l’enferme, non dans une maison de fous, mais dans une maison de santé. La sœur s

à la folie. On l’enferme, non dans une maison de fous, mais dans une maison de santé. La sœur se marie. Là-dessus arrive à l’

héritages. Là-dessus, les trois fils se lèvent de table, quittent la maison sur cette phrase méprisante, jetée au chef de fam

82. Mardi 14 février Une grippe effroyable me force à garder la maison , et rien du dehors qui me parle de mon livre. N’e

je venais de dresser le catalogue pour la publication illustrée de La Maison d’un artiste, que doit faire Gauchez. Et me retou

ois, bien prophétiquement, que la papauté seule fait encore régner la maison de Savoie, mais que le jour où le pape quittera R

a maternité, sur laquelle vivent tant de gens à l’heure actuelle… ces maisons de pensionnaires… ces trous sombres où grouillent

l’esprit, un coup de fouet de la causerie. On voit des maîtresses de maison disparaître, une minute, avant leur dîner, et rep

cochers de voitures, un rien catholiques, stationnant aux portes des maisons , — les confessant monté sur le siège, à côté d’eu

Car le monsieur est le type de l’homme jouant, pour les maîtresses de maison où il va, une passion, qu’il semble avoir toutes

ile demandait à Lortic : « Pourquoi les relieurs demeuraient dans des maisons si sales ? » Il lui répondit : « C’est que nous d

aisons si sales ? » Il lui répondit : « C’est que nous détruisons les maisons en pierre, et les propriétaires de ces maisons ne

ue nous détruisons les maisons en pierre, et les propriétaires de ces maisons ne veulent plus de nous. Il n’y a que les maisons

ropriétaires de ces maisons ne veulent plus de nous. Il n’y a que les maisons en bois qui résistent à nos presses, et c’est là

s, je m’arrêtais à Nancy, pour voir la plaque, récemment mise dans la maison , où je suis né. Là, à Nancy, d’où je devais repar

e et de ses héroïques exploits. Samedi 9 septembre Visite de la maison de l’illustre couturier Worth, à Puteaux. Partout

e toute neuve. Quand il est parti, il y a eu des plumes taillées à la maison , pour jusqu’à mon mariage… On m’avait découvert u

ante fille était cousue dans un sac. C’était l’habitude d’alors de la maison , qui était, je crois, l’Hôtel Chateaubriand : tou

Cette année-ci, il lui a demandé, si elle avait un calorifère dans sa maison . Sur sa réponse affirmative il lui a dit : « Eh b

nous peint, au moment de l’arrivée d’une petite manicure bossue, une maison de la rue d’Edimbourg, une de ces maisons, peuplé

petite manicure bossue, une maison de la rue d’Edimbourg, une de ces maisons , peuplées de bas en haut, de cocottes, depuis la

ômait et qu’il ne restait dans les villages qu’une seule personne par maison pour la garde des enfants et des bestiaux ? Était

ion en lettres d’or, a été posée au-dessus de la porte d’entrée de la maison où il est né, et qui appartient encore à la famil

insi nommée de l’empereur Charles-Quint), dans laquelle est située la maison natale, était toute pavoisée et ornée de guirland

urs et de verdure en long et en travers, de sorte que les façades des maisons en étaient très élégamment décorées, et que l’on

t très joli. J’écris ici sous la dictée d’un témoin fidèle. Devant la maison natale était suspendu une sorte de dôme, égalemen

nation officielle eut lieu ; et en même temps toutes les fenêtres des maisons de la rue se couvrirent d’une ligne de feux que l

ressaient d’allumer. La musique municipale vint devant la porte de la maison exécuter des fanfares et des symphonies pendant t

ce, un système de vie paisible et solitaire : J’y faisais entrer une maison écartée, avec un petit bois et un ruisseau d’eau

David de Genty, avocat en Parlement ; lequel, ayant expiré dans notre maison presbytérale, a été le lendemain vingt-six dudit

ne apoplexie… Que s’est-il passé durant les premiers moments dans la maison presbytérale ? Y a-t-il eu, en effet, un coup de

roit, ses restes mortels ; il fut donc transporté et inhumé dans leur maison comme s’il n’avait pas cessé d’être des leurs. Le

t. Demain il sera transporté à Port-Royal des Champs, où il a prié la maison de lui accorder la sépulture aux pieds de M. Hamo

qu’il avait fait de l’excellente éducation qu’il avait reçue dans la maison de Port-Royal. Le roi a eu la bonté de donner son

l a fait de l’excellente éducation qu’il a reçue autrefois dans cette maison , et des grands exemples de piété et de pénitence

qualité de gentilhomme ordinaire, car le défunt ne l’était pas de la maison , charge d’environ quinze mille livres, mais de la

vive reconnaissance de l’éducation qu’elle lui avait procurée dans la maison , d’abord sous M. Nicole, pour les belles-lettres,

corps et qui le présenta, et à la réponse que fît le confesseur de la maison , nommé M. Eustace. Le discours ne fut guère qu’un

vec quelque justice aussi qu’il avait souhaité d’être enterré dans la maison où il avait reçu les premières semences de la Rel

Il y ajouta quelques mots sur la tempête qui s’était élevée contre la maison et qui avait obligé des personnes qui s’y étaient

loir sa piété, sa patience dans sa longue maladie, son amitié pour la maison , la reconnaissance de la maison pour lui. Il lui

sa longue maladie, son amitié pour la maison, la reconnaissance de la maison pour lui. Il lui avait, en effet, rendu des servi

l est en bonne convalescence et compte de s’aller rétablir à sa jolie maison d’Auteuil durant l’été Saint-Denis111 et les autr

s au nom des secours que la France lui a prêtés. Sans la France cette maison de Savoie allait succomber une troisième fois sou

isquée vous-mêmes en 1815 pour la jeter dans les mains ouvertes de la maison de Savoie, son éternelle rivale. Cette maison de

es mains ouvertes de la maison de Savoie, son éternelle rivale. Cette maison de Savoie, qui n’avait pas la force de conquérir

es, enfin les États mixtes, moitié subalpins, moitié cisalpins, de la maison de Savoie. La preuve que chacun de ces États a eu

la Lombardie ; l’histoire de la Lombardie n’est pas l’histoire de la maison de Savoie. Vouloir démêler et recomposer une hist

lie, justement jalouse de constituer son indépendance fédérale, si la maison de Savoie, par exemple, jusqu’ici restreinte au r

euple suffirait-elle réellement à la sécurité de la France contre une maison de Savoie possédant demain trente millions d’homm

voie possédant demain trente millions d’hommes en Italie ? contre une maison de Savoie, puissance très virile et très héroïque

ngleterre, par la protection habile et personnelle qu’elle prête à la maison de Savoie pour la flatter d’une monarchie piémont

e, la position qu’elle avait prise en Espagne contre les Français. La maison de Savoie, cette protégée séculaire de l’Autriche

de nouveaux déchirements à son sol par ses imprudentes annexions. La maison de Savoie, devenue conquérante de toute l’Italie

holique, qu’une monarchie piémontaise désaffectionnera à jamais d’une maison de Savoie, maîtresse des États romains. Une mona

e la France. Le salut de l’Italie n’est ni dans les convoitises de la maison de Savoie, ni dans l’abdication humiliante de tou

st qu’un drapeau de guerre avec l’Angleterre, élevé par la main de la maison de Savoie tantôt pour, tantôt contre ces trois gr

n seul glaive, c’est la mutiler. Elle éclatera entre les doigts de la maison de Savoie. L’Italie a besoin de protecteurs étran

temps héroïques, l’épée de la France est plus longue que celle de la maison de Savoie. Proclamez donc la constitution fédérat

ant de braves aurait été aussi la révélation de la paix ; pourquoi la maison de Savoie et l’Angleterre ont-elles réussi à faus

funèbre, entrecoupé de chuchotements et de sanglots, emplit la jolie maison de Croissy, théâtre de tant de joies, de tant de

éâtre de tant de joies, de tant de paisible et glorieux bonheur. La maison mortuaire La maison mortuaire est située à Cro

de tant de paisible et glorieux bonheur. La maison mortuaire La maison mortuaire est située à Croissy, au numéro 34 de l

té du terrain qui s’abaisse en pente douce depuis la route jusqu’à la maison , les deux bras de la Seine. Ceux-ci englobent l’î

un jardin anglais aux allées sinueuses et qui se prolonge derrière la maison jusqu’aux plaines situées entre le Vésinet et Cro

roissy, est rempli d’arbres et de parterres de fleurs. À droite de la maison se dressent les écuries, seules dépendances de la

propriété. Le perron et le vestibule d’entrée sont situés derrière la maison , du côté opposé à la Seine. Le vestibule donne ac

eur de la Ciguë est elle-même très pieuse. D’ailleurs, en quittant la maison mortuaire, nous nous sommes présenté à l’humble p

ve Boulanger représentant une « répétition du Joueur de flûte dans la maison pompéienne de l’avenue Montaigne ». La maison exi

Joueur de flûte dans la maison pompéienne de l’avenue Montaigne ». La maison existe encore, attirant le regard mélancolique de

pathie, la dépêche que M. Claretie avait envoyée à Mme Augier : « La Maison de Molière, qui était et qui est encore la maison

Mme Augier : « La Maison de Molière, qui était et qui est encore la maison d’Émile Augier, envoie l’expression de son respec

obité, l’esprit lui-même et la langue se transmettaient dans une même maison par un héritage ininterrompu. C’est comme un tome

e fils probe et déjà poli, qui hérite et qui répand de l’éclat sur sa maison , était suivi d’un fils grave et digne encore, ou

il achèverait paisiblement ses jours, tantôt à Paris, tantôt dans ses maisons des champs, qu’il embellirait. Mais il avait comp

le et s’aller promener à Ormesson, il loua un petit jardin, proche sa maison , où il s’allait promener souvent. Malgré toutes

encore pour d’autres sommes plus considérables, au risque de voir sa maison , si nette auparavant, s’embrouiller pour une si m

l mourut en mai 1600, d’une chute de mulet, en revenant à Paris de sa maison d’Ormesson. Dans le récit domestique où il racont

tre parvenu aux grandes charges sans ambition, d’avoir bâti une bonne maison avec peu de matière, d’avoir eu beaucoup de prosp

ir fait grande quantité d’amis et point d’ennemis, d’avoir habité les maisons qu’il avait bâties, s’être promené à l’ombre des

t rapporteurs au Conseil d’État, juges souverains des officiers de la Maison du roi ou, comme on disait alors, des requêtes de

il a plié bagage Ce cardinal, dont c’est moult grand dommage Pour sa maison … Or parlerons sans crainte d’être en cage, Il es

qu’il ne voulait plus voir le roi que le plus fort, et avait dans sa maison trois caves capables de tenir près de trois mille

Le marquis d’Este, oncle de Léonora, avait épousé une princesse de la maison de Savoie ; il s’était établi à Turin, où il comm

lerie de l’armée. Il reçut chez lui le Tasse comme un serviteur de la maison d’Este. Le duc de Savoie, Charles-Emmanuel, honor

re que le cardinal Albano était un ami des Médicis peu favorable à la maison d’Este ? Qu’opposer aussi à cette protection empr

e avaient faites à la réputation de leur frère et à la gloire de leur maison , étaient refroidies, au moins en apparence, pour

s’emporta publiquement jusqu’aux plus violentes invectives contre la maison d’Este. Alphonse, à qui ces outrages furent rappo

e, soit comme criminel d’État, dans l’hôpital Sainte-Anne de Ferrare, maison qui servait à la fois d’hospice aux infirmes, de

, le plus formel à ces suppositions. Quelle gloire pouvait retirer la maison d’Este d’une dédicace d’un poème qui lui était dé

es Médicis à Florence, les Gonzague à Mantoue, les Sforza à Milan, la maison de Savoie à Turin, la république de Venise, où le

is, n’allaient-ils pas protester unanimement contre l’ignominie de la maison d’Este ? Cette supposition impliquerait d’ailleur

u carnaval ; on le laissait passer des jours et des semaines dans les maisons de ses amis. Il raconte lui-même les fêtes de Fer

nte lui-même les fêtes de Ferrare auxquelles il avait assisté dans la maison de Gianlucco, un de ses admirateurs ; ce dialogue

de ses forces, au moins de son intelligence. Le duc de Mantoue, de la maison de Gonzague, qui n’avait pas cessé de s’intéresse

Tasse, après avoir résidé quelques semaines libre à Ferrare, dans la maison de l’ambassadeur des Médicis Serassi, pour s’occu

avec lui ; il fut reçu à la cour de Mantoue comme une conquête que la maison de Gonzague faisait sur celle d’Este. La jeune pr

t, soit pour aller s’attendrir, pleurer et chanter sur le seuil de la maison de sa sœur à Sorrente, soit pour aller habiter la

n’est qu’une aggravation pour moi, car le cardinal, cette fois, et sa maison , témoignent si peu de considération pour ma perso

et qu’il avait habité lui-même pendant son enfance. Les avocats de la maison d’Avellino osèrent lui opposer sa démence, qui le

ndant que le Tasse négociait ainsi en vain son raccommodement avec la maison d’Este, son ami le jeune cardinal Cinthio négocia

t Janicule). Le cardinal lui prêta sa voiture, deux domestiques de sa maison pour le conduire dans cette retraite, et envoya u

t la vie ou la mort devait également porter un éternel honneur à leur maison . Ils le logèrent dans une cellule d’où le regard

ils tombaient de sa plume ; disputé comme un joyau de gloire entre la maison d’Este, la maison de Médicis, la maison de Gonzag

a plume ; disputé comme un joyau de gloire entre la maison d’Este, la maison de Médicis, la maison de Gonzague, la maison de l

e un joyau de gloire entre la maison d’Este, la maison de Médicis, la maison de Gonzague, la maison de la Rovère, ces grands p

tre la maison d’Este, la maison de Médicis, la maison de Gonzague, la maison de la Rovère, ces grands patrons des lettres en I

er jamais de lui-même, conseilla au roi de chercher le prestige de sa maison dans des alliances matrimoniales en Espagne. L’om

de Juillet. Je me souviens du jour et de l’heure où le ministre de la maison d’Orléans tira le rideau qui voilait cette négoci

air de triomphe. « Écrivez, leur répondis-je, que d’ici à six mois la maison d’Orléans aura cessé de régner en France. » Ils s

ions ? Demandez-le seulement à ceux qui le proclament ; demandez à la maison de Savoie si elle reconnaîtrait le droit des Piém

s Lombards donnés, des Génois usurpés d’hier, de s’insurger contre la maison de Savoie au nom de ce principe des nationalités,

de Savoie au nom de ce principe des nationalités, en vertu duquel la maison de Savoie insurge en ce moment des Siciliens, des

on quand elle est libre de disposer d’elle-même. Que vous répondra la maison de Savoie ? Si elle répondait par le principe des

aise ne fut que la résistance traditionnelle à la prépondérance de la maison d’Autriche, héritière, en Allemagne, en Espagne e

et dans les cabinets. Pendant qu’on se prémunissait à Paris contre la maison d’Autriche, on ne s’apercevait pas que l’Angleter

n soutien. On ne supposait pas que l’Espagne échappait elle-même à la maison d’Autriche, par déshérence et par adoption de la

lle-même à la maison d’Autriche, par déshérence et par adoption de la maison de Bourbon. On ne s’apercevait pas que le protest

ait, par routine, à combattre des fantômes évanouis, en combattant la maison d’Autriche, dont la monarchie universelle était e

n Amérique ; en Europe, elle était notre alliée à tout prix contre la maison d’Autriche dépossédée du midi ; les Pays-Bas autr

ossédait donc en propre que la grande Lombardie, ferme opulente de la maison impériale plutôt que royaume. Une telle situation

u’il était de l’intérêt bien entendu de la France de s’allier avec la maison d’Autriche pour empêcher la Russie de déborder tr

ous désirons concilier à Naples le gouvernement représentatif avec la maison de Bourbon, illibérale et tracassière en Toscane

nt qu’on se marie, qu’on festine, qu’on chante et qu’on danse dans la maison d’un bargello, si près d’une prison où l’on gémit

argello, si près d’une prison où l’on gémit et où l’on pleure, car la maison du bargello, ça n’est ni plus ni moins qu’une dép

de cachots et de prisonniers ; car l’idée me vint tout à coup que la maison où allait se réjouir cette noce de village était

de la campagne ? — Oh ! non, dit-il, nous étions assez de monde à la maison sans lui pour soigner les animaux et pour servir

était entré depuis deux ans, comme porte-clefs de la prison, dans la maison du bargello ; notre aïeule l’avait ainsi voulu, p

, voyez-vous, et les grand-mères, qui n’ont plus rien à faire dans la maison , ça voit de loin et ça voit mieux que les autres.

la maison, ça voit de loin et ça voit mieux que les autres. L’œil des maisons , c’est la vieillesse, à ce qu’on dit ; les jeunes

e de la sposa ? — Oh ! non, répondit l’enfant ; ils vont revenir à la maison , et notre père, qui commence à se fatiguer de la

rs amis se pressait à la porte de la ville ; on sortait de toutes les maisons et de toutes les boutiques pour leur faire fête ;

mps sa fille ; elle souriait de la bouche et pleurait des yeux sur sa maison bientôt vide. Le petit bouvier rattela ses bœufs

e n’en suis guère en peine ; il y a bien des arcades vides devant les maisons et des porches couverts devant les églises de Luc

as dit que nous aurons laissé coucher dehors, un jour de fête pour la maison , un pauvre musicien qui a réjoui toute la journée

ur du bargello avait fait partie autrefois, dit-on, d’un palais d’une maison éteinte des seigneurs de Lucques ; on l’avait con

rd encore, en prison pour les meurtriers ordinaires. Elle séparait la maison du bargello de la petite cour profonde et étroite

autre, le pain de mon père et de ma tante, qui ne peut pas quitter la maison où elle soigne son frère. CLXXIII Tout cel

vers la porte ferrée de la cour des prisonniers. On y arrivait de la maison du bargello par un large couloir souterrain, où l

Madame la Providence, Hélas ! Je n’ai pas de chance. Si j’avais une maison , Si j’avais une chaumière Sur les bords du lac d

alet, couvert de lierre, Je m’en contenterais bien. Cette idée d’une maison qu’il n’a pas, ce poète de si grande maison, revi

s bien. Cette idée d’une maison qu’il n’a pas, ce poète de si grande maison , revient sans cesse dans les vers de M. de Châtil

e veux décrire une merveille Intéressant beaucoup de nous ; C’est une maison sans pareille, Comme il doit s’en bâtir pour tous

besoins de notre temps… …………………………………… Suit la description de cette maison merveilleuse, description d’un lyrisme éclatant e

faire une raison… En me plaçant sur leur passage Je verrai ceux de la maison  ! Voir des heureux, c’est quelque chose ! Se croi

reux, c’est quelque chose ! Se croire heureux est plus encor. Adieu ! maison à porte close Ouverte sur mon rêve d’or. Et vous

’une certaine position de fortune, au-dessus du quatrième étage d’une maison . * * * — Le pas d’un mendiant, auquel on n’a pas

et la propriété du moi s’effacent chez elle, à ce point que dans les maisons aux gros numéros, les filles prennent indistincte

n écoute. * * * — C… se trouvait à souper en tête à tête avec R… à la Maison d’Or. Une fantaisie leur prend de ne pas continue

s Tertullien. Oui, cet homme lisait Tertullien, dans l’escalier de la Maison d’Or, entre deux courses chez la Farcy. Jamais l’

vier de son pinceau artistiquement sale. Nous poussons la porte d’une maison de plâtre, et nous sommes chez le sultan de l’épi

mpossible de faire autrement… Voulez-vous savoir ce qu’il y a dans la maison  ? » Et il nous mène dans la salle à manger où ses

avons eue si longtemps en face de nous, et qui du quatrième de notre maison , s’est élancée à cette fortune, à ce luxe, à ce s

, que Londres était infiniment supérieur, qu’à Londres il y avait une maison très bien, la maison de mistress Jenkins, où étai

nfiniment supérieur, qu’à Londres il y avait une maison très bien, la maison de mistress Jenkins, où étaient des jeunes filles

solennel, d’horrible et de sacré, que la Mort amène avec elle en une maison . Dans l’air, dans la nuit, dans l’haleine de l’om

erin), nous est apparu ce soir. C’était en nous promenant derrière la maison , dans la ruelle étranglée entre de hauts murs de

a fallu se décider à la laisser partir. Elle n’a pas voulu aller à la maison Dubois, où nous nous proposions de la mettre : el

us ; elle y a été voir la nourrice d’Edmond qui y est morte, et cette maison de santé lui représente la maison où l’on meurt.

d’Edmond qui y est morte, et cette maison de santé lui représente la maison où l’on meurt. J’attends Simon, qui doit lui appo

dos. De ses yeux ouverts et vides, elle regarde vaguement défiler les maisons … elle ne parle plus. Arrivée à la porte de l’hôpi

e toile, une rampe, et tous les fauteuils et toutes les chaises de la maison . La tablette de la cheminée sur laquelle on s’ass

e, parmi les récits d’après dîner. C’était le médecin ordinaire de la maison de notre grand-père, à Sommérecourt. Une espèce d

ui buvait dur, et auquel on était obligé de rationner le vin dans les maisons où il mangeait ; — du reste parfaitement lucide,

père lui ayant demandé son compte pour les soins donnés à lui et à sa maison pendant sept ans, il présenta un compte de 72 fra

tiques, entresol, est en bas ; et ce qui digère est au premier : — la maison est un individu. Trois intérieurs, à trois crans

e la Muette, sur les terrains de l’ancien Ranelagh, — j’ai reconnu la maison sans la connaître, — ça ressemble aux tâtonnement

ue de vaudeville, et partout des objets d’art à ravir une fille : une maison triomphante avec jardin, écurie et remise, que vo

uvernante, une femme de quarante ans, à tenue d’institutrice de bonne maison . On nous introduit dans un salon à papier grenat,

Salon bourgeois solennellement froid, rappelant assez le salon de la maison du Rempart pour MM. de la magistrature. Le jour y

ire, sauf la gravité et l’impassibilité des laquais, vrais laquais de maisons princières, on ne se croirait guère chez une alte

int-Vincent-de-Paul, des hôpitaux. Anastasi qui a été soigné dans une maison , où était organisé un service d’infirmières, affi

qui ne sont pas tout à fait crevards, les femmes convalescentes de la maison . Mercredi 8 janvier Labiche contait, ce soi

mélancolies, en pensant que tout ce que je fais, pour faire de cette maison d’Auteuil, un domicile de poète et de peintre, to

« Vous n’avez qu’à adresser une demande, pour être transféré dans une maison de santé. » Et la première parole de l’autre dire

l’on voudrait, ainsi que dans un gros temps, fermer les sabords de sa maison , et se dérober aux gens qui frappent à votre port

et destiné à devenir un écuyer. Mais il s’est trouvé habiter la même maison qu’un élève d’Ingres, M. Guichard, avec les enfan

Or, il ne savait rien du métier. Il demeurait alors à Passy dans une maison , qu’habitait un descendant de Louis XV, possesseu

cabaret du frère de Bonvin, qui demeurait cuisinier, et attaché à la maison paternelle, tout en étant peintre et musicien. Pa

r rouge, et le lendemain, le Français était introduit dans une petite maison , meublée de jolies choses, et toute remplie de fl

quefois l’aspirant n’a pas de fortune. Dans ce cas, il va trouver une maison de banque, et dit au banquier qu’il a besoin de 1

u banquier qu’il a besoin de 10 000 taëls pour passer ses examens. La maison de banque prend des renseignements sur la capacit

aits. Un voleur a été sabré hier. Il avait ch.. dans une carafe de la maison , où il avait volé. À ce sujet un membre du jury m

ls avec effraction, le voleur laisse presque toujours du caca dans la maison . Le vol a une action sur les entrailles du voleur

tard de deux heures du train impérial. L’homme va les passer dans une maison de prostitution et fait un enfant à une fille. Ce

in, en son habit de soirée, à la crémerie, avec les domestiques de la maison où il avait été invité au bal, connaissait les se

le plus généralement des romans d’Anne Radcliffe, était situé dans la maison , d’où devait partir, à bien des années de là, la

anda qui c’était, on lui répondit : « Mme Récamier. » * * * — Dans la maison en face la mienne, il me semble m’apercevoir qu’u

de vingt sous de la bourse commune, du prunier de Reine-Claude de la maison de l’allée des Veuves, de la première polka d’Edm

une Californie improvisée. Toutes sortes d’industries logées dans des maisons en construction, et là, nombre de petits restaura

erres aux larges arêtes semées avec les caprices de leurs angles, les maisons blanches du premier plan s’enlevant sur la canton

er en bateaux plats. Tout est souvenir historique en cet endroit : la maison de Lireux et les dîners du dimanche, la maison de

ue en cet endroit : la maison de Lireux et les dîners du dimanche, la maison de Odilon Barrot et le kiosque aux rêveries const

on de Odilon Barrot et le kiosque aux rêveries constitutionnelles, la maison blanche bâtie par Charpentier où est mort Pradier

lles, la maison blanche bâtie par Charpentier où est mort Pradier, la maison de Pelletan, et un tas de maisons qui vous racont

Charpentier où est mort Pradier, la maison de Pelletan, et un tas de maisons qui vous racontent de grandes passions et des his

dant que nous nous promenons devant les sphinx en plâtre de sa petite maison . Au loin, au-dessous d’un bâtiment neuf, dans une

comme un herbier qui refleurirait, et chaque coin du jardin ou de la maison est pour moi comme un rappel, une retrouvaille, e

parc, pour n’être pas pris. Aussi, quel paradis d’enfants était cette maison  ! quel paradis ce jardin ! Il semblait vraiment o

s religions et des empires, le bruit et la joie attristent dans cette maison de douleur. III Je passais mes journées sol

rès la tempête. On n’entendait sortir des fenêtres démantelées de ces maisons que les voix criardes des Transtévérines qui s’ap

du pied pour les endormir ; on n’apercevait çà et là sur le seuil des maisons ou sur les balcons que quelques figures pâles et

ou encore habité par quelques vieillards laissés par charité dans la maison pour y sonner, par souvenir, l’heure des anciens

ait le philosophe à caractère sobre ; l’Arioste se retrouvait dans sa maison . Parva sed apta mihi, etc. Rentré le soir à l

eureux pour les princesses étaient un exemple de père en fils dans la maison des Tassi. X Attristé de l’ingratitude de G

ne il épousa à Naples Porcia de Rossi, jeune héritière d’une illustre maison de Pistoia en Toscane, mais dont la famille habit

is d’orangers, enserraient, du côté des montagnes de Castellamare, sa maison ouverte au soleil du midi et à la brise embaumée

gne, par le vice-roi de Naples, et dépouillé, par confiscation, de sa maison à Salerne et de tous les trésors qu’elle contenai

digente, y continua l’éducation de ses enfants. Logée dans une petite maison peu éloignée du collège des jésuites, elle condui

nnée ainsi que mes petits enfants et le gouvernement domestique de ma maison , entre les mains non de ses frères, mais plutôt d

r du père, le jeune Torquato continuait ses études à Bergame, dans la maison d’une grande dame de la famille des Tassi, qui tr

’Este, frère du prince régnant à Ferrare. XIV Les princes de la maison souveraine d’Este, une des plus puissantes d’Ital

ur des papes, les cardinalats, les papautés même, fréquents dans leur maison , leurs richesses enfin, faisaient de la cour de c

veur du monde, et qui promettait un rayon de plus à la gloire de leur maison . L’extrême jeunesse et la beauté pensive de Torqu

æ sunt mansiones in domo patris mei , il y a plusieurs places dans la maison de mon père ; vous occupez une de ces places. Con

nt qu’à nous, moyennant ces lettres de Mme de Maintenon, d’être de la maison de Saint-Cyr, et de suivre année par année le pro

e me croyant point obligée à rien de plus, et ne trouvant que trop de maisons religieuses ; moins j’ai eu de part à ce dessein

aces de religieuses de chœur dans tout le royaume aux filles de cette maison -là qui voudront se mettre dans des couvents. Pen

de deux cent cinquante demoiselles qu’il voulait faire élever dans la maison , et pour qu’on les pût garder jusqu’à vingt ans,

ormer de pauvres nobles jeunes filles destinées à édifier ensuite des maisons religieuses, mais surtout des familles, et à reno

’en punit pas plus sévèrement. Mon orgueil s’est répandu par toute la maison , et le fond en est si grand qu’il l’emporte même

On continua d’y jouer quelquefois les belles tragédies faites pour la maison , mais on les joua entre soi, sans témoin du dehor

un cœur libre, pur, aimant ? » Ainsi, pendant que j’approchais de la maison , ainsi bruissaient les arbres du chemin dont le f

e ma mère. Ce n’est qu’obscurci et troublé que je te reviens enfin, ô maison et foyer de mes joies d’enfant. Mais de mon enfan

emme a tout à coup aperçu son doucheur, qui est celui du maître de la maison , invité par hasard à la soirée, alors elle s’est

son invention. Au fond, ce Rollinat est un curieux produit de cette maison Callias, de cet atelier de détraquage cérébral, q

rle de la séduction à la Circé, de la séduction fascinatrice de cette maison , qui lui faisait passer toute la journée à la mai

mouvements de générosité. Huysmans me contait, qu’un Hollandais d’une maison de commerce de Hambourg, épris de naturalisme, et

dent la fin du rhamadan, et pendant ces jours, il disparaissait de la maison , et se flanquait une cuite de quarante-huit, de s

sonnette ne cesse pas… on commence à s’arrêter dans la rue, devant la maison , en voyant tous ces gens qui entrent… des gens qu

ales juifs, vous êtes des assassins… c’est vous qui avez choisi cette maison ayant appartenu à Hirsch, et qui devait me porter

levue, un jour que mon frère et moi, nous allions voir Banville, à la maison de santé du docteur Fleury. Elle est veuve, a une

re passer dans un journal, une petite nouvelle. Et nous parlons de la maison de la rue Franklin, et de la maison au grand jard

e nouvelle. Et nous parlons de la maison de la rue Franklin, et de la maison au grand jardin, de l’allée des Veuves, et nous c

bardement tuait du monde à droite, à gauche, de tous côtés, et où les maisons s’emplissaient de mourants et de pillards. Enfin

tigue et mourant de faim, un habitant le suppliait de coucher dans sa maison , pour la préserver contre le pillage, et là, dans

Impossible de retrouver ses vêtements. Il faut cependant rentrer à la maison , où sa mère le reçoit à coups de balai. Porel est

d’après-midi, une après-midi employée à chercher, avec Mme Daudet, la maison de Mme de Beaumont, à Savigny. Et elle marchant e

. En dépit du manque de renseignements, nous nous arrêtons devant une maison , prête à s’effondrer, que nous devinons la maison

arrêtons devant une maison, prête à s’effondrer, que nous devinons la maison habitée par les deux amants, près d’un vieux chem

avec le ménage, vivait un monsieur, qui avait l’air de mener toute la maison . Enfin un soir, Louis Blanc devant partir le lend

z remarqué ici ? » Phrases banales de Louis Blanc sur le charme de la maison . L’autre l’interrompt, s’écriant : « Allons, vous

inconnues avec lesquelles je coucherais, séduit par le mystère de la maison qu’elles habitent. C’est une pensée qui me vient

père. Pendant ces qu’être années d’absence et de guerre intestine, la maison de la marquise était fort délaissée. Dirai-je que

5 donc, le temps était venu où cette femme respectable devait voir sa maison se fermer à la jouissance d’une société choisie,

lorieuse, mais par cela même d’un éclat incommode pour son âge. Cette maison , naguère si brillante, ne devait plus que s’entro

Scudéry fut une des premières à signaler son indépendance ; elle dut maison . Elle s’arrangea de grandes et de petites réunion

éments dispersés de sa composition, jetons encore un regard sur cette maison qui a rempli un demi-siècle de son nom. « Les gr

icité du duc de Saint-Simon ne l’a pas empêché de rendre justice à la maison de Rambouillet. « L’hôtel de Rambouillet », dit-i

visiter le continent. Elle se fixa avec sa mère, à Chambéry, dans la maison de ses amies, comme une cinquième fille de cette

ionnément la poésie, et mes vers encore inédits, mais récités dans la maison de la marquise de La Pierre par des amis de mon â

aux bains d’Aix, en Savoie. J’y étais moi-même et je logeais dans une maison peu éloignée de celle que ces dames habitaient. J

passait sa vie en solitude et en prières dans une chambre haute de sa maison . Il y vivait entièrement étranger aux tracas d’un

haute de sa maison. Il y vivait entièrement étranger aux tracas d’une maison publique, comme un ermite dans sa cellule, au mil

la grandeur et les desseins de la Providence. Les chuchotements de la maison lui avaient fait connaître la secrète intelligenc

mariage ne la sauvait pas. Il me proposa d’être ma sentinelle dans la maison de ses sœurs, et de m’avertir, en jouant de la fl

rand, y était alors ambassadeur. Il nous accueillit à Rivsalta, belle maison de plaisance qu’il habitait pendant l’été. Rien n

ns une circonstance éminemment intéressante pour la France et pour la maison de Bourbon, je partis seul pour Naples, au risque

régime absolu dans les États d’Italie dépendant de l’influence de la maison de Bourbon. Au premier regard, il paraissait évid

Phlégréens et du promontoire merveilleusement désert de Misène. Cette maison , entourée de treilles, est dominée par l’Epoméo,

lle-mère possédait, dans un des plus riches quartiers de Londres, une maison élégante et magnifiquement meublée, dans le voisi

fomenter en Italie l’agrandissement, diminutif pour la France, de la maison de Savoie, mais de favoriser une confédération it

’étais logé moi-même, et je lui avais proposé un appartement dans une maison isolée et poétique, à l’extrémité de la rue di Bo

y, belle autrefois, et toujours aimable, était une fille de la grande maison flamande des Stolberg, sœur de ces frères Stolber

te ans, et s’ensevelit dans une gloire morose, au fond d’une élégante maison , sur le quai de l’Arno, qu’habitait avec lui la c

ent liée avec la comtesse d’Albany, m’avaient accrédité chez elle. Sa maison , modeste, élégante, lettrée, était le sanctuaire

s nullement la destruction du nom de la Toscane et l’usurpation de la maison de Savoie sous les Piémontais, considérés alors c

italienne ; mais, avant de nous récrier, étudions. Aujourd’hui que la maison d’Autriche a renoncé, il y a longtemps, à la mona

donc pas écrite par la communauté des intérêts de la France et de la maison d’Autriche ? Favoriser de ses vœux ou de sa diplo

stration directe, uniforme et sédentaire de l’Europe ? La tente et la maison établissent des modes d’administration et de gouv

et nous avons le droit de les vouloir, ne permettons pas à une seule maison royale d’affecter la monarchie universelle de l’I

re quiconque voudra, du nord ou du midi, résister à ce monopole de la maison de Savoie ? Devons-nous au Piémont le sacrifice d

répide soldat, mais nullement conquis dans une guerre légitime par la maison de Savoie ? Devions-nous au roi de Piémont le dro

a tête des rois, des femmes, des enfants, des jeunes princesses d’une maison royale avec laquelle on n’est pas en guerre, est-

, sous le nom de liberté et le canon sur la gorge, la monarchie de la maison de Savoie. Garibaldi, lui, avait le droit, à ses

pirée par l’évidence des dangers futurs que l’unité monarchique de la maison de Savoie, et la nouvelle situation que cette uni

i longtemps dans l’asservissement de l’Autriche ou de l’Église par la maison de Savoie jusqu’en 1848, reçoive ou se donne des

chie unitaire italienne suscitée par l’Angleterre et réalisée dans la maison de Savoie. XXVI Quelle doit donc être, dans

jours contrepoids. XXVII L’alliance autrichienne, depuis que la maison d’Autriche a abdiqué les pensées gigantesques de

u besoin, sachez la venger ! L’unité monarchique de l’Italie, sous la maison de Savoie, est une menace perpétuelle à l’Autrich

l’indépendance ? Doit-elle un trône de trente millions d’hommes à la maison de Savoie ? Lui doit-elle à tout prix des conquêt

is italiens. Cela ne vaut-il pas le trône improvisé et précaire de la maison de Savoie ? Les États-Unis italiens seront défend

éfendus par tout le monde, même par l’Autriche. Le trône unique de la maison de Savoie sera continuellement contesté par l’Ita

mère avait le génie grave, ambitieux et sectaire de ces princes de la maison de Guise, véritables Machabées des papes et du ca

iaires. Or, toutes ces puissances, l’Italie, l’Espagne, la France, la maison d’Autriche, la maison de Lorraine avaient adopté

puissances, l’Italie, l’Espagne, la France, la maison d’Autriche, la maison de Lorraine avaient adopté avec fanatisme la caus

la reine italienne, elle l’appelait, dans son mépris enfantin pour la maison roturière des Médicis, cette marchande florentine

ulut y être perpétuellement représenté par un jeune gentilhomme de sa maison , du Chatelard, afin d’être entretenu sans cesse p

lie, Rizzio avait été attaché à Turin, comme musicien serviteur de la maison de l’ambassadeur de France en Piémont. À son reto

l’avait retenue ; elle reporta sa faveur sur un jeune Écossais de la maison presque royale des Lenox, dont le père lui était

e et de foi commune au catholicisme ; il plairait aux Anglais, car sa maison avait des biens immenses en Angleterre et habitai

othwell. XIX Le comte de Bothwell était un noble écossais d’une maison puissante et illustre dans les montagnes du Shetl

On ne sait pour quel crime précoce, par quelle proscription de la maison paternelle, ou par quelle fuite volontaire avec l

épris et quelquefois par ses insolences, se retira à Glascow, dans la maison du comte de Lenox, son père. La reine et Bothwell

onvalescence, on lui prépare un appartement solitaire dans une petite maison de plaisance, isolée, dans la campagne voisine d’

, nommée Kirts-Oldfield. On ne lui laisse pour serviteurs, dans cette maison , que cinq ou six hommes subalternes vendus à Both

tête d’un chapeau à larges bords et se rend à une heure du matin à la maison solitaire du roi. Que se passa-t-il dans cette nu

e crépuscule du matin à Holyrood et à Édimbourg, avait fait sauter la maison dont les débris devaient recouvrir la victime ; m

oute que Bothwell, croyant les cadavres de Darnley et du page dans la maison , avait fait allumer inutilement la mine pour tout

e terrain et pour chaque millier d’habitants, une famille noble et sa maison à girouette, dans chaque village un curé et son é

mbre de 1 672, estiment à 24 millions le mobilier de leurs églises et maisons , et à 8 millions leur revenu net, « sans compter

e une portion de ce qu’il toucherait comme monarque38. Par exemple la maison d’Orléans perçoit les aides, c’est-à-dire les dro

u en grains, que, dans plusieurs coutumes, il perçoit sur chaque feu, maison ou famille ; le pulvérage, fort commun en Dauphin

en amener le produit dans ses granges ; chaque pièce de terre, chaque maison , chaque tête de bétail lui paye une redevance ; l

il acquiert ce droit sur quiconque a passé un an et un jour dans une maison de la seigneurie. — Quant à la propriété du sol,

ard au nom du comité ecclésiastique (Moniteur, 19 décembre 1789). Les maisons religieuses à vendre dans la seule ville de Paris

set.) D’ailleurs, dans son évaluation, Talleyrand laissait à part les maisons et enclos d’habitation, ainsi que le quart de rés

i à Milhau les prix sont triplés et même quadruplés. — À Paris, telle maison dans la rue Saint-Honoré, louée 6 000 francs en 1

89. 38. Necker, De l’administration des finances, II, 271, 272. « La maison d’Orléans, dit-il, est en possession des aides. »

se grandeur, autant il lui est permis peut-être de se glisser dans la maison de Toulouse qui s’intitulait la congrégation des

Supérieure, disait un des articles des Constitutions, est l’âme de la maison et le chef de tous les membres qui la composent ;

aux extrêmes. Mais il était, de concert avec elle, le directeur de la maison de l’Enfance ; il logeait dans l’enceinte de cett

cteur de la maison de l’Enfance ; il logeait dans l’enceinte de cette maison , dans l’enclos du jardin, n’ayant qu’un pas à fai

ans), une fille de l’Enfance, Mlle de Prohenques, qui s’échappa de la maison par escalade, et qui se plaignit de mauvais trait

is ce ne fut qu’en 1686 que la foudre, toujours conjurée, éclata : la maison fut détruite, et la congrégation dispersée, avec

es frais de la relation de Reboulet. En fait, on chargeait surtout la maison de Toulouse et la supérieure de deux accusations

rimerie. Notez qu’aucun étranger n’était admis dans l’intérieur de la maison , que tout ce petit monde était absolument dans la

crétait cette destruction, l’institut était en pleine prospérité : la maison de Toulouse avait des ramifications dans la provi

t les passantes par la fenêtre. * * * — Une femme entretenue de notre maison disait à sa bonne : « Vous pourriez bien dire : M

euil à lui demander des dessins. Et ce soir, un dîner a eu lieu, à la Maison d’Or, où il nous a proposé pour notre journal la

es qu’on ne dirait jamais s’ouvrir. Le mur est dépassé par un toit de maison et par des cimes de marronniers étêtés, au milieu

nous faisons notre première visite à Gavarni. Il nous promène dans sa maison dont il nous raconte l’histoire : un ancien ateli

cales : la porte d’Auteuil en 1802. Nous parcourons avec lui toute la maison et les interminables corridors du second étage, o

rayer un roman picaresque, et qui, sans attribution bien fixe dans la maison , est à la fois commis, restaurateur de tableaux,

he de paroles, que de temps en temps, solennellement, le maître de la maison réprime par un « Où te crois-tu ! » indigné. Dans

s dans le parc. L’intendant, ancien libraire installé autrefois à la Maison d’Or, causant d’Hugo au point de vue de la vente.

nos couverts sont presque mis de force chez lui, et nous voilà de la maison , menant une vie paresseuse et doucement coulante.

menant une vie paresseuse et doucement coulante. Turcas a une petite maison embuissonnée de roses grimpantes, un jardin de vi

et aux pieds de vieilles pantoufles de la dame. Le propriétaire de la maison et du parc à jeux de bague, et qui avait, dit Gav

intrigue épistolaire avec lui, et se laissait tromper à domicile. Une maison où se donnaient de petites fêtes peuplées d’intru

arres, de gens à industries indevinables. Il y avait aussi dans cette maison une jeune fille naine de seize ans, en paraissant

ettent les pitres dans les cirques… Et je sentis que j’étais dans une maison de fous et j’avais de grandes angoisses… Devant m

-Antoine, il demande à voir les principaux et les plus célèbres de la maison  ; mais les pères Bourdaloue, de La Rue, Gaillard,

? » — « Par votre libéralité » ; répondit le valet, afin que toute la maison , petits et grands, fût informée que notre casuist

uelques jours de là, 22 juin 1705 : En parlant de ces meubles (de la maison de Germigny) et de toute la sacristie, j’ai deman

e de l’arrivée du prélat, un peu après midi. Il laisse les gens de la maison aller à la descente du carrosse, et il se tient d

sa situation et la fermeté qu’elle devait avoir à persévérer dans la maison des ursulincs de Meaux sans songer à changer. Il

tre d’hôtel me parut homme de bonne mine, entendu et autorisé dans la maison . M. l’archevêque prit la peine de me servir, de s

uchant : « Ainsi pour le coup, voilà les Bossuet partis de Meaux : la maison rendue et vidée. — Mardi 2 novembre 1706, est arr

reux à sa manière, il s’arrange et s’acoquine à Meaux ; il achète une maison , grande affaire ; il se cache pour cela sous le n

u’on le sait, les anciennes jalousies contre lui se réveillent. Cette maison est « la plus neuve, la plus propre et la mieux t

he 15 janvier 1707, mon ameublement entièrement fait dans ma nouvelle maison , et tous mes ouvriers payés. Ma santé est aussi m

ée en faux luxe, qui ferait paraître belles la tente de l’Arabe et la maison du berger. Des rideaux fanés, des meubles vieilli

qu’elle va mettre pour recevoir ses hôtes ; car on reçoit dans cette maison besoigneuse. On y étale les décors et on y revêt

son éloquence dédaignée de la clientèle, s’épanche gratuitement à la maison en discours amers : Toutes les modesties Et tout

on esprit et ceux de sa personne ; La grâce disparaît d’elle et de sa maison , Et l’amour suit la grâce, et l’amour a raison.

mier acte, la situation s’indique sans se préciser. On sent que cette maison bourgeoise, si paisible en apparence, a un vice s

lerc pour calculer de l’œil l’écart qui existe entre la fortune de la maison et son mobilier. Mais M. Pommeau est un clerc de

es trous en secret ? M. Bordognon le devine ; ce Bordognon, ami de la maison , est un philosophe de trente ans, riche et de bel

e spectacle plus exemplaire dans son effronterie que ce pillage de la maison conjugale par la femme et la servante, pareilles

Chariot lui démontre comme quoi, d’après son mobilier, le train de sa maison et les toilettes de sa femme, il dépense, lui, Po

d, fou de honte et de désespoir, a fui, la tête dans ses mains, cette maison souillée. Il n’a plus qu’une idée : trouver le su

ences. Mes gens affirmatifs construisaient une constitution comme une maison , d’après le plan le plus beau, le plus neuf ou le

plus simple, et il y en avait plusieurs à l’étude, hôtel de marquis, maison de bourgeois, logement d’ouvriers, caserne de mil

ersonnels ne me semblaient pas des autorités. Il me paraissait qu’une maison ne doit pas être construite pour l’architecte, ni

l ne le saura qu’à l’usage : il lui faut du temps pour vérifier si sa maison politique est commode, solide, capable de résiste

ncien Régime, les Rapports et Mémoires sur les diverses parties de la maison du roi, les procès-verbaux et cahiers des États g

sa liberté et sa solitude. Jean Visconti lui donna dans la ville une maison élégante et retirée, décorée de deux tours, dans

grand poète Manzoni, de notre temps, a épousé une fille de cette même maison de Beccaria, célèbre à tant de titres parmi les p

onna. Cependant ce souvenir lui rendit pénible le séjour de sa petite maison de Milan, près de l’abbaye de Saint-Ambroise ; il

de solitude dans un couvent de bénédictins éloigné de la ville. « La maison est située de manière, écrit-il à son ami Socrate

er avec ce prince un traité d’alliance dont un mariage entre les deux maisons était le gage. Pétrarque harangua le roi à Paris

es regrets de la mort d’un fils peu digne d’un tel père. Il ouvrit sa maison aux deux époux, et la mort seule le sépara de sa

nt de son absence et le conjurait de venir fixer sa résidence dans sa maison . « Vous m’êtes devenu beaucoup plus cher, lui di

eul qui me reste. Rendez-vous à mes désirs, venez. Vous connaissez ma maison  : elle est en très bon air ; ma société : il n’y

vec quelques amis qui étaient avec nous ; alors elle m’a offert votre maison , vos livres et tout ce qui est à vous, qu’elle m’

Venise (il était fort tard), il m’a tiré à l’écart dans un coin de sa maison , et, voyant qu’il ne pouvait pas par ses discours

sir et au repos, je suis sûr que vous me renverriez bien vite dans ma maison . » XXIII Bien qu’il ne touchât pas encore

ler la vie de loin, sous ses pieds, et à attendre en paix la mort. Sa maison , que l’on voit encore, était entourée de vergers,

nd homme. « J’ai bâti, écrit-il à cette époque à un de ses amis, une maison petite et décente sur les collines euganéennes, o

ar-dessus tous les esprits célestes et qu’il allait retrouver dans la maison éternelle de son Dieu ! Ses domestiques, étonnés

quand les pèlerins d’Arquà cesseront d’aller visiter le tombeau et la maison du poète. Or la source tombe éternellement de sa

rt pèlerinage jusqu’à ce que nous vissions blanchir de loin la petite maison qui abrita jadis ce grand homme, pour la renommée

chai comme si j’étais venu m’agenouiller au sépulcre de mes pères. La maison devenue sacrée de ce grand parmi les fils de l’It

es ont des noms semblables à des sanglots puérils. Toutes les petites maisons y sont de vieilles petites maisons de village, où

nglots puérils. Toutes les petites maisons y sont de vieilles petites maisons de village, où de bonnes lampes brûlent la nuit ;

, lorsque, connaissant son mal et son sort, le lépreux attend dans la maison de son père le cortège funèbre qui va le conduire

dans la maison de son père le cortège funèbre qui va le conduire à la maison des morts, et l’impression finale est qu’on vient

et de plus une longue habitude de se regarder comme le dernier de la maison partout, lui donnaient une apparence d’infériorit

ses compagnes et respecter de tous ses compagnons de travail dans la maison et dans les champs, telle était la Jumelle. Je n’

le. Excepté le vieux cuisinier Joseph et la Jumelle, personne dans la maison ne se doutait de ce sentiment contenu du petit Di

t sa voix la plus douce en lui parlant ; elle recevait, à table, à la maison ou dans les champs, tous les petits services qu’i

sée, à travers les bois, le village d’Arcey et la fumée du toit de la maison de la Jumelle. Tantôt il regardait le soleil, tro

gardait le soleil, trop lent à baisser pour lui ce jour-là, tantôt la maison de pierres grises qui renfermait sa destinée.

l entra tout en sueur, en poussant de la main la claire-voie, dans la maison de la Jumelle. Elle l’avait bien vu venir de loin

t rien osé dire, et elle s’était en allée dans le verger, derrière la maison , pour le laisser seul avec son père. Ce qui se di

messes d’une innocente félicité. Au lever de la lune, il sortit de la maison pour revenir au château ; la Jumelle, avec la per

de ma vie ; je me croyais à peine la force de survivre. Absent de la maison paternelle à l’époque de l’accident qui abrégea s

ustique et le jardin du château de Saint-Point, je rentrai dans cette maison vide pendant l’hiver, et mille fois plus vide dep

ouble talent de musicien et de poète, il fréquentait familièrement la maison du baron de Dietrich, noble Alsacien du parti con

ie. C’était dans l’hiver de 1792. La disette régnait à Strasbourg. La maison de Dietrich, opulente au commencement de la Révol

jour qu’il était amené par son désir de voir les deux sœurs devant la maison , tout le monde était en émoi sur la porte. On lui

de Richelieu. Jeudi, 8 mars Il y a deux ou trois mois, dans la maison voisine, s’est installé un anglais, avec quatre v

ces quatre voitures, un chef, un maître d’hôtel, enfin avec toute une maison montée sur un grand pied. Le ménage n’est pas une

i. Et je vis dans cette anxiété jusqu’au dîner, où je trouve toute la maison Charpentier, dans la tranquillité la plus parfait

resque, qu’il n’ait point affirmé, dans son article, que je tenais la maison du gros numéro de l’avenue Suchet ou que j’y avai

s fonds, et que mon livre n’avait été écrit que pour faire marcher la maison . Mercredi 28 mars Ce soir, chez la princess

a mèche de cheveux, que se coupe la femme turque, en son travail à la maison , le jour tombant, pour à défaut d’autre marque, a

usqu’à demander, que l’auteur de La Fille Élisa soit enfermé dans une maison de fous, ainsi que l’auteur de Justine, le fut pa

prendre, pour une promenade dans la forêt, un ami qui demeure dans la maison de Delacroix. Une maison de notaire de village da

de dans la forêt, un ami qui demeure dans la maison de Delacroix. Une maison de notaire de village dans la débine, un jardin d

, toujours causant. On va à l’ermitage, dans lequel est encastrée une maison abrupte, au jardin fruitier devenu sauvage, qui a

ardin fruitier devenu sauvage, qui appartient à Nadar. De retour à la maison , on dîne avec des mets qui vous font venir des am

ondantes, et à plus bas prix qu’on ne le faisait jusqu’alors ; chaque maison qui s’abonnait recevait par des conduits et tuyau

ons irrégulières, et qu’il finit par faire enfermer à Paris, dans une maison de force, rue de Bellefonds, au moment où elle ét

le-Rue-du-Temple ; mais, dès ce temps, il avait son beau jardin et sa maison qu’il faisait bâtir sur le boulevard, à l’angle,

n sortir fugitif et menacé en 92. Ce fut miracle, en vérité, si cette maison échappa au flot dévastateur qui descendait journe

eux fois pour y être égorgé sans aucun jugement ; qui ai reçu dans ma maison la visite de quarante mille hommes du peuple souv

rie le soutenait. Il la revit en 1796 et rentra bientôt après dans sa maison , dans ce joli jardin qu’il avait peuplé de statue

 : Je viens de revenir, écrit-il à l’un d’eux (6 juin 1797), dans ma maison du boulevard, dont le séquestre n’était pas levé

atre années, ne me permet pas de payer un autre loyer, pendant que ma maison dépérit faute d’être habitée… Je cours après tous

te, comme d’avoir accaparé des armes, d’avoir des souterrains dans sa maison du boulevard, même d’avoir trompé autrefois les A

ois, je suis à me demander si je ne serais pas forcé de quitter cette maison qui, seule, m’aide un peu à vivre. Mardi 11 fé

vrai roi des races latines. Je ne sais, mais la proposition de cette maison de Savoie pour le trône de France me semble la pl

n habit — dans l’impossibilité de faire une visite, de dîner dans une maison . Guys nous le peint hostile à toute relation, et

pouvoir le sauver. Il me prend une envie insurmontable de fuir cette maison en gaieté et en joie, autour de ce mourant. Au mo

dîner, de la part de son beau-père. Dans l’humide jardin de la petite maison , François Hugo est couché dans un fauteuil, le te

ieil huguenot de drame, se tient le père. Arrive Bocher, un ami de la maison , arrive Meurice, aux pas qui ne font pas de bruit

comme vous ne l’avez jamais vue. J’ai fait construire, au haut de ma maison , une cage en cristal, une espèce de serre, qui m’

nage, à l’air vif et froid de ce premier mois de l’hiver. Rentré à la maison , à la chaleur de votre feu, une espèce d’ensommei

s de fête, que les autres jours. Je me promène aujourd’hui dans cette maison qui s’arrange, fait sa toilette, devient un nid d

e fut recueilli par Grimm, son compatriote et son protecteur, dans la maison de madame d’Épinay, cette amie célèbre de Grimm e

ame d’Épinay, cette amie célèbre de Grimm et de J. J. Rousseau. Cette maison était située dans la rue de la Chaussée-d’Antin,

ans la petite ville de Céneda, dans l’État vénitien, est chassé de la maison paternelle par le second mariage de son père avec

liaison avec une jeune et belle princesse napolitaine fugitive de la maison d’un odieux époux ; rencontré la nuit dans une go

ce et la charité de d’Aponte envers les pauvres. Il l’appelle dans sa maison , lui montre son trésor ; il lui propose de lui do

e, et surtout le baron de Vetzlar lui-même, son enthousiaste, dans la maison duquel naquit la première étincelle de cette divi

n’aurais voulu aimer que comme un père, habitait avec sa mère dans ma maison  ; elle entrait dans ma chambre de travail pour le

lace au Charbon. Quelques jours après, il accepta un logement dans la maison de son ami Dusseck, située à l’extrémité d’un fau

ourtoisie, et les engagent à prendre leur part au plaisir commun. “Ma maison est ouverte à tout le monde, ajoute le maître ave

ttérature intime supérieures à ce retour d’un fils aventurier dans la maison paternelle. Lisez. Mais supposez, de plus, qu’au

a chère patrie. « En moins d’une heure je me trouvai à la porte de la maison paternelle ; au moment où mes pieds touchèrent la

. « J’étais descendu de la voiture de poste à quelque distance de la maison paternelle, afin de ne pas éveiller l’attention e

ays catholiques. « Ce jour-là tous les parents et tous les amis de la maison se réunissent dans la soirée pour passer quelques

nzo ! Lorenzo ! avaient tout à coup retenti dans tous les coins de la maison . « Il faudrait n’avoir point de cœur dans la poit

reprirent jusqu’aux douze heures de nuit, j’entendis à la porte de la maison des hurlements de joie, des voix confuses qui app

roit se pressa autour de la porte pour attendre que je sortisse de la maison . Je pensais que c’était dans l’intention de me so

te musique confuse si près de moi ? Va-t-on donner un concert dans la maison  ? « — Votre Excellence (j’avais bu du vin de Cham

me était née dans le bourg de Cahuzac. Mademoiselle de Cahuzac, d’une maison assez riche pour le pays, avait apporté en dot à

tes terres, et, après la mort de ses grands-parents, une assez grande maison meublée dans la petite ville de Cahuzac. Cette al

’Andillac de vivre pour ainsi dire en commun avec les habitants de la maison . V Une cheminée à cintre très élevé, à larg

re la table de cuisine et la cheminée, se prêtaient aux maîtres de la maison , quand ils venaient s’asseoir en commun avec les

uère mise que les jours de cérémonie et quand on avait des hôtes à la maison  ; les autres jours, on prenait les repas avec les

rideaux du vaste lit à colonnes, les réparations que le maître de la maison avait fait faire à l’époque de son mariage pour y

abnégations volontaires, l’une pour remplacer l’épouse morte dans la maison et dans le cœur de son père, l’autre pour remplac

s assidus des pauvres, des vieillards, des enfants orphelins dans les maisons du voisinage. La lecture, l’écriture, un peu de l

ssiques français qui étaient le fond de la bibliothèque de la vieille maison , quelques-uns des modernes, tels que Chateaubrian

 ; c’est quasi triste à l’heure qu’il est dans ma solitude : toute la maison est endormie ; on s’est levé de bonne heure pour

Pour le moment tout est au calme, le dehors et le dedans, l’âme et la maison  : état heureux, mais qui laisse peu à dire, comme

sans rien prendre. » XXIV Puis voyez ce qu’est pour la vieille maison séculaire la position d’un de ces pauvres ustensi

et de passer de douces heures et une longue vie devant ce foyer de la maison (car il est à tous, maîtres et valets), mais qui

, lire ou prier. J’y mets aussi ce qui se passe dans l’âme et dans la maison , et de la sorte nous retrouverons jour par jour t

passai la journée d’hier à Cahuzac, et quelques heures seule dans la maison de notre grand’mère. « Je me mis d’abord à genoux

ort ! « Demain, je change et vais à Cahuzac pour des réparations à la maison qui me tiendront quelques jours. Ce seront des jo

XLVI Le 1er septembre elle y est, à Cahuzac, pour démeubler la maison vide de sa grand’mère. Écoutons-la respirer toute

raisons pour ne pas approuver mes trop fréquentes visites dans cette maison , quoiqu’elles ne sortissent pas des bornes de l’h

ses deux voyages à Paris, son installation avec la comtesse dans une maison solitaire, tout près de la campagne, à l’extrémit

ire, et peut-être en remords. Il la rappela près de lui pour tenir sa maison et consoler ses dernières heures. Il la reconnut,

rêtres propageaient depuis quelque temps certains propos sortis de la maison du beau-frère de mon amie, par où je savais que l

r. Je n’allai plus demeurer, comme on peut bien le croire, dans cette maison de deuil que je n’ai plus jamais revue. À mon ret

nnée précédente, j’avais de grand cœur accepté de mon ami, et dans sa maison , un petit appartement solitaire et fort gai, et n

encée me faisait une nécessité de me fixer à demeure, je cherchai une maison , et j’eus le bonheur d’en trouver une très tranqu

hevaux de selle, ayant vendu tous les autres à son ami pour monter sa maison à Paris ; En règle enfin avec le bonheur, puisqu’

, offrant publiquement ses hommages au représentant couronné de cette maison de Hanovre qui avait été, en 1746, si impitoyable

, tout était faux. X Rentrés en France, ils reprirent dans leur maison du Mont-Parnasse la vie équivoque, moitié majestu

perdu environ deux mois, dit-il, à chercher et à meubler une nouvelle maison , nous y entrâmes au commencement de 1792. Elle ét

s. On ne daigne pas lui répondre. Il loue enfin, à vie, une charmante maison , en plein soleil, sur le quai de l’Arno, près du

nce, s’occupait à élever, à l’exemple de Voltaire, un théâtre dans sa maison pour y jouer ses tragédies. Il y mettait le série

sur ces catastrophes de rois et de peuples, Alfieri, dans sa nouvelle maison du quai de l’Arno, faisait… quoi ? Il jouait Brut

ne fut pas cependant sans enlever tout ce qui nous appartenait de la maison que nous habitions à Florence, avant de l’abandon

reuse idée de m’en exempter en qualité d’étranger, et comme ayant une maison étroite et trop petite. Délivré de cette crainte,

lus à ce qui pouvait arriver. Je m’enfermai, pour ainsi dire, dans ma maison , et à l’exception de deux heures de promenade, qu

an des Vignes de Soissons 31, Théatins 25, abbaye de Saint-Victor 21, Maisons soumises à l’ordinaire 305. Total 20 745 religieu

ges, Lisieux, Rouen, Reims, Noyon. En tout 5 394 religieuses dans 198 maisons . La proportion donne environ 37 000 religieuses e

198 maisons. La proportion donne environ 37 000 religieuses en 1 500 maisons pour les 38 000 paroisses de la France  Ainsi le

u pays ». La terre de Blet, possédée pendant plusieurs siècles par la maison de Sully, passa par mariage de l’héritière, en 13

r la maison de Sully, passa par mariage de l’héritière, en 1363, à la maison de Saint-Quentin, où elle fut transmise en ligne

entre le seigneur et ses vassaux : il leur accorde d’avoir dans leur maison un petit four de trois carreaux, d’un demi-pied c

rapporter 150 livres annuellement ; mais, depuis quelques années, la maison du four est effondrée. 17° Droit de colombier ; i

24° Cens, surcens et rentes dus par des immeubles de diverses sortes, maisons , champs, prés, etc., situés sur le territoire de

le grand séminaire. Après avoir terminé mes études classiques dans la maison dirigée si brillamment par M. Dupanloup, je passa

le séminaire Saint-Sulpice, composé lui-même en quelque sorte de deux maisons , celle de Paris et la succursale d’Issy, où l’on

distinction des officiers généraux. La compagnie, par ses nombreuses maisons en province, eut une influence décisive sur l’édu

froids et fermes, comme la société en a, toujours possédé, rebâtit la maison exactement sur les mêmes bases. M. Émery, prêtre

discussions passionnées du temps franchissait parfois les murs de la maison  ; les discours de M. Mauguin (je ne sais pas bien

trésors pour la conservation du bien dans l’humanité. Telle était la maison où je passai quatre années au moment le plus déci

’Issy, située dans le village de ce nom, un peu au-delà des dernières maisons de Vaugirard. La construction s’étend en longueur

es parisiennes, qui l’habitèrent jusque vers 1655. Olier sanctifia la maison , que rien jusque-là n’avait préparée à une destin

a donna à la compagnie de Saint-Sulpice et en fit la succursale de la maison de Paris. Rien ne fut changé au petit pavillon de

’odeur pénétrante des feuilles tombées. Je ne vois jamais une vieille maison française de Seine-et-Oise ou de Seine-et Marne,

sérieuse avec un seul des directeurs. On suppose que le régime de la maison agit par lui-même. Les directeurs mènent exacteme

it, sur certains points, s’inspirer de cet esprit. Le supérieur de la maison d’Issy, quand j’y passai, était M. Gosselin. C’es

auxiliaire très puissant de ce parti était le concierge laïque de la maison , celui qu’on appelait le père Hanique. J’étonne t

des dons de Dieu. Tout cela constituait une division profonde dans la maison . Les mystiques vivaient dans un état de tension s

t sauter, par le moyen de la poudre, quelques édifices publics ou une maison particulière, les Espagnols, retranchés dans la m

publics ou une maison particulière, les Espagnols, retranchés dans la maison voisine, travaillaient aussitôt à percer les mura

le premier sur l’ennemi. Quand les Espagnols étaient forcés dans une maison , ils se retiraient dans la suivante par les ouver

les avais brûlés il y a six mois ; ils se rassemblaient autour de la maison et se regardaient quand je suis parti. l’aide de

vé à Valladolid, une personne est venue m’inviter à m’établir dans sa maison  ; il avait donné ordre qu’on m’y donnât à dîner,

rnis ne vient donc pas déjeuner ? » — « Non, répondit quelqu’un de la maison , il est dans ce moment occupé, il raccommode sa c

é, qui commandait à Valence. Se défendaient-ils par fanatisme pour la maison de Bourbon ? Par fanatisme religieux ? Par orguei

lan, sa marraine, catholique zélée, se crut obligée de la tirer de la maison de sa tante hérétique ; elle la trouva imbue des

soumission ; elle chargea sa filleule des services les plus bas de sa maison . « Je commandais la basse-cour, a dit depuis mada

ait venir chez elle de temps en temps, et la conduisait dans quelques maisons de sa société, entre autres chez Scarron, où elle

admirer par des personnes du premier rang, qui l’attirèrent dans leur maison , notamment le maréchal d’Albret ; il était devenu

rès. Le duc de Saint-Simon a lui-même remarqué madame Scarron dans la maison de cet ami, la meilleure et la plus grande maison

ame Scarron dans la maison de cet ami, la meilleure et la plus grande maison de Paris , dit-il, et où abondait la compagnie de

i IV, mais dénuée de toute fortune, son nom lui ouvrit les meilleures maisons  : devenue veuve, sans parents, ce n’était pas ass

posée sur les disgraces de sa Maîtresse. L’Elégie commençoit ainsi : Maison , qui renfermez l’objet de mon amour. Danchet l’

mez l’objet de mon amour. Danchet l’arrêta au début, & lui dit, Maison est un mot trop foible ; il faudroit mettre Palai

is, Beau lieu, &c. Le jeune Poëte répondit : Oui ; mais c’est une maison de force. En ce cas-là, répliqua Danchet, le mot

llements ; je n’en excepte ni la Cloche du Village, ni la Vigne et la Maison . Ah ! comme le Lac ou la chanson du Golfe de Baia

tapha. Un instant, mon compagnon arrêta les chevaux devant une petite maison d’architecture arabe qu’il possède au bord de la

on roc, avec le Rummel qui roule en bas ses eaux dans le gouffre. Les maisons d’un quartier arabe que j’ai visité sont toutes p

à des chants nasillards. Nous nous trouvions dans le voisinage d’une maison mal famée et nous ne tardions point à passer deva

son peu de force et la bise aiguë. On descendit le cercueil, de cette maison d’un vieux quartier, morne et chancelante, où le

sa place sur l’Acropole, pas plus qu’un minaret turc, pas plus que la maison d’où un disdar envoyait la fumée de son chibouk à

es vieux appartements pleins de moisissure, dans les cours noires des maisons , où s’entasse le bois pour l’hiver. Loin des futa

mme un très fin voile. Nous ne tardons pas à être en vue des blanches maisons du Pirée, port d’Athènes… Gérard de Nerval avait

dernières années de façon incroyable vraiment. Sans cesse, de belles maisons , des villas cachées dans des bosquets, des palais

nous fait deviner les quais, les rues, les places et les façades des maisons , et, par-dessus, les hauteurs de la ville s’engui

mobiles des navires amarrés, rajeunir les parois rongées des vieilles maisons , et, descendant sur les quais, rythmer les gestes

e-Dame de la Garde, un admirable dessin à l’estompe. Et les toits des maisons coupant la base de l’église, elle vous apparaîtra

-parties. Le jour cède peu à peu. Des lumières s’allument le long des maisons  ; elles s’allument, éclatent, traînent et tremble

me, ces platanes fourrés de lierre, au bord de la route, ces modestes maisons de plaisance d’où s’envole la fumée même de l’Ody

ansparente. … Je suis revenu habiter, — après neuf ans bientôt, — une maison où s’écoulèrent mes heures de poésie, non les plu

vieux cœur dans la poitrine… Vérone On mande de Vérone que la maison des Capulets menace ruine. Ces murs, témoins de l

ge d’automobiles avait été installé, en ces dernières années, dans la maison de Juliette, et l’on croit que la trépidation de

a une règle établie fort sagement. … La légende qui s’attache à cette maison de Vérone est-elle fondée ? Roméo et Juliette eux

ouette ! Laissons aussi le touriste indifférent, qui visite l’antique maison , son Bædeker à la main, se figurer un instant, qu

a jeunesse s’élevait encore à Paris, au détour d’une rue déserte, une maison qui passait pour avoir servi de retraite amoureus

tour de cet orme séculaire. À Bonn, sur le Rhin, je voulus visiter la maison de Beethoven. Je montai un escalier tortueux, je

s, des boulangers faisaient halle, dans leurs voiturettes, devant les maisons et les boutiques. Ô la belle viande, le bon quign

ant l’auberge ; — tout semble respirer avec joie sous l’humidité. Une maison de paysans laisse béer sa porte : et, sur ce trou

nt et verdoyant. Un véritable courtil abondant en fruits entourait la maison , et non loin du seuil, un puits, sous la garde de

e temps de traverser la route pour chercher abri sous le hangar d’une maison abandonnée. C’était une de ces bourrasques d’été

oussées aux fentes des ruines. En contre-bas du Parthénon, une pauvre maison s’élève. C’est le Musée. Il faut descendre quelqu

-Bruno. Mais vous n’aimez peut-être les cigares qu’après dîner. … Une maison basse, aux contrevents rouge brique. Sur l’huis e

le trouver seul : sa noble dialectique me ravit tout de suite. Cette maison de la rue de Rome me frappa dès la porte d’entrée

porte d’entrée, dès l’escalier. Elle n’est cependant qu’une vulgaire maison moderne, mais je pense, et ne riez pas, que la fr

e à peine de ce Dieu caché dont parle le philosophe de Locres.   … La maison que j’habite au bord du torrent qui vit naître So

tion, mon ami ! lorsque je rentrais, fort tard, un peu titubant, à ma maison sise au pied de la colline… En 1881, la veille de

loin nous nous arrêtâmes. C’est ici, fit mon hôte. Je vis une pauvre maison autour de laquelle il y avait une grande détresse

Je vis Berny, Antony, Orsay qui parle à mon cœur, Lozère aux blanches maisons où grimpent des sarments couverts d’une pâle verd

 — qu’il finit en impasse. Mais un peu plus loin, sur la façade d’une maison , un fort rosier étend ses bras innombrables tout

du bateau qui stoppe, un matin blanc et frais, en face d’un bourg aux maisons orientales ocre et vert lavé. Des voix qui hèlent

ûlée, coup de marteau de la maréchalerie : je rencontre les premières maisons du village de X… Je dîne devant la porte d’une au

s vous retirassiez du monde pour écrire des romans ?…   Ô fille de la maison , pâle demoiselle ! voici le prix de mon dîner. Ad

ies qui fredonnaient. Sous les arcades bordant le rez-de-chaussée des maisons , des femmes s’appuyaient au bras de leur cavalier

gnon, et j’ai la sensation du sublime… Marseille. La mer. Aubagne aux maisons peintes. Il pleut… Les Arcs ; Buffet. Je la

Stendhal traverse la ville d’Aix et remarque à la porte de plusieurs maisons , deux immenses éteignoirs . « Avant la Révoluti

hiller, Goethe écrit : « Il y a aujourd’hui trois télescopes dans ma maison … » Ces trois télescopes sont très importants ; à

tte et ses brisants, la Nartelle et ses sables jaunes. Une route, une maison aux teintes plates, un puits… Sainte-Maxime-Plan-

maternel, garde une attitude très réservée ; le plus jeune, gâté à la maison , fait le diable, mais gentiment. Comme invités, i

de Port-Cros, toutes dorées. En face, sur sa hauteur, Bormes dont les maisons étagées apparaissent, selon notre position, tantô

fet, l’auteur de Sigurd habite au Lavandou presque toute l’année, une maison fleurie, simple et riante. … Le mouvement se rale

, elle traverse de part en part le pittoresque fouillis de toutes ces maisons chargées de vétusté, juchées sur le haut d’une co

e du vieux Menton qui regarde la baie de Gara van, elle se compose de maisons surhaussées qui ont l’air d’avoir été bâties au f

le et résigné. Au sortir de Vintimille, la route a un air pauvre. Les maisons qui la bordent sont des bicoques sans grande appa

ds de quelques frocs de capucins. Elle est bien tenue ; on y voit des maisons qui paraissent confortables, et de jolis magasins

es arbres à fruits se dressent sans souci et promettent. Et devant la maison , basse avec des contrevents gris, usés aux persie

euple applaudit sur leur passage avec mesure et décence ; du haut des maisons , les plus fraîches fleurs s’effeuillent sur eux.

ecque, mère du grand Constantin. V. Tristesse dans un jardin La maison qu’habite M. X… aux environs d’Athènes est entour

e est encore loin. À Éleusis, à Salamine, près de Mégare aux blanches maisons , c’est le ciel attique, presque le ciel d’Athènes

out près du rivage, Profondément s’imprime la blanche Portraiture des maisons . Comme d’une main hardie D’un extraordinaire art

in hardie D’un extraordinaire artiste, Fantastique, spectrale, Chaque maison apparaît. Mais le soleil est monté haut ; Voici

urcil. Le soupçon revient à tire-d’aile. Le voici qui chemine vers la maison  ; il trouve les portes verrouillées ; il trouve s

, — dit le pauvre berger, — demain je serai mort. Viens alors dans ma maison , et prends mes clefs, et ouvre mon coffre ; tu y

n cœur ne m’avait pas trompé. Il broche son cheval, il arrive dans sa maison . — Sois le bienvenu, mon fils. — Mère, ou est mon

reux de ses filles, un frère jumeau Brizio, et des valets. Dans cette maison s’introduit un parasite, messer Ipocrito qui y fa

une fille des conseils pervers, et finit par lui persuader de fuir la maison paternelle. Gemma, la ruffiana, en est jalouse :

dangereuse. Une égale débilité d’esprit caractérise les deux chefs de maison , et les valets de Liseo n’ont pas l’œil moins cla

peu. Il finit, chose étrange, par avoir le beau rôle ; il pacifie la maison troublée. Il est vrai qu’on doit trembler pour la

sa puissance un emploi formidable. Il aspire à épouser la fille de la maison , il chasse le fils, il cherche à séduire la femme

, et dans l’origine comme frères et sœurs. Le dieu du foyer de chaque maison était appelé lar ; d’où focus laris. C’était là q

s laris. C’était là que le père de famille sacrifiait aux dieux de la maison , deivei parentum (loi des douze tables, de parr

ts nobles ; liberalis répond à l’italien gentile. Chez les Latins les maisons nobles s’appelaient gentes ; ces premières gentes

riches en fruits dont l’autre partie manquait. II. Les locations de maisons ne pouvaient avoir lieu lorsque les cités étaient

âge, d’autres contrats que des contrats de cens seigneurial pour des maisons ou pour des terres, soit perpétuel, soit à temps.

ans le ciel au-dessus de la vallée. Les murailles de pierre grise des maisons s’harmonisent merveilleusement par leur couleur a

nt le bassin aux montagnes et aux lacs, avec ses toits d’ardoise, ses maisons de roche grise, son château et sa tour dominant s

ère de cette piété tendre du père, de la mère et des enfants, dans la maison de Mozart, à Salzbourg. IX Le Ciel, qui réc

fant pût parler, à cultiver son oreille plus encore que sa parole. La maison du père de Mozart était un atelier des sons, depu

clavecin, des violes ou du violon de son père. Quand il sortait de la maison , la main dans la main de sa mère, c’était pour al

tout sans avoir rien appris. Un vieillard de Salzbourg, voisin de la maison du maître de chapelle, et qui se souvient d’avoir

ont l’enfant inventait les motifs. Un jour que l’enfant rentrait à la maison après un de ces concerts, le père, prenant son pr

X La renommée du jeune prodige musical de Salzbourg éclos dans la maison du pauvre maître de chapelle s’était répandue dan

ment, nous avons été de deux heures et demie à quatre heures dans une maison . De là le comte Hardegg nous a fait chercher dans

rd qu’il avait une espèce de scarlatine. Non-seulement les meilleures maisons de Vienne se sont montrées pleines de sollicitude

mtesse de Paar. Si nous n’étions pas restés près de quinze jours à la maison , la fête ne se serait pas passée sans cadeau. Mai

us fait chercher et ramener dans les gondoles par le secrétaire de la maison , mais encore que le maître de la maison lui-même

doles par le secrétaire de la maison, mais encore que le maître de la maison lui-même nous accompagne chez nous ; et ce sont l

tal protecteur, reste désolé et seul avec le canari et le chien de la maison . Munich trompe toutes les espérances de la famill

moins cette lettre du père, le lendemain du jour où il resta dans sa maison vide, et jugez ce que la séparation devait être p

cette famille de quatre cœurs. La sœur Nanerl était déjà revenue à la maison auprès de son père. La mère et le fils allaient p

actuelle diffèrent comme le ciel et la terre. Nous demeurions dans la maison d’un ambassadeur, et la seconde fois dans une mai

meurions dans la maison d’un ambassadeur, et la seconde fois dans une maison privée. J’étais un homme fait, vous étiez des enf

tre cent sept gouvernements particuliers, les treize gouvernements de maisons royales, et nombre d’autres, tous emplois vides e

t chaque année pour 20 000 francs de lapins. « Dans chaque voyage aux maisons de campagne du roi, les dames d’atour, sur les fr

en vertu de sa charge113  Grands officiers du palais, gouverneurs des maisons royales, capitaines des capitaineries, chambellan

chez Mesdames, chez Madame Royale, chez Madame Élisabeth, dans chaque maison princière et ailleurs, des centaines d’offices po

onnateurs… Sous Henri IV, les courtisans demeuraient chacun dans leur maison , ils n’étaient point engagés dans des dépenses ru

pour aller faire, pendant toute l’année, à deux ou trois milles de sa maison , le jour, la nuit, au soleil, à la pluie, dans le

ts municipaux. « Un village, dit Turgot127, n’est qu’un assemblage de maisons , de cabanes et d’habitants aussi passifs qu’elles

lui être accordé une somme assez considérable pour les charges de sa maison , ses dons et les grâces de ses serviteurs, ainsi

751, il a dans ses écuries 4 000 chevaux, et l’on assure que sa seule maison ou personne « a coûté cette année 68 millions »,

tard le Livre Rouge, on y trouvera 700 000 livres de pensions pour la maison de Polignac, la plupart réversibles d’un membre à

membre à l’autre, et près de deux millions de bienfaits annuels à la maison de Noailles  Le roi a oublié que toutes ses grâce

ionales, O1, 738 (Rapports faits au bureau général des dépenses de la maison du roi en mars 1780, par M. Mesnard de Chouzy)  A

du xviie  siècle, et quelques hôtels de chanoines étaient les seules maisons civilement habitables. Au bas de la ville, à l’en

ces portes appartenaient à de grands couvents, et, dans ces sortes de maisons , l’on ne change jamais rien. L’Hôpital général, a

qu’ils furent avant la Révolution ; elle passait en revue toutes les maisons , désignant chacune par le nom de son propriétaire

mmune de Trédarzec, dont on voyait le clocher de la tourelle de notre maison  ? À moins d’un quart de lieue du village, composé

us petite pour l’usage de tous les jours. Au fond de la cour était la maison , au toit aigu, au pignon tapissé de lierre. Un co

nombre énorme de quartiers de noblesse, et que lui seul les avait. Sa maison était entourée, à certains jours, de gens venus d

l partit avec les autres. Il revint de bonne heure, trouva sa vieille maison , que personne n’avait voulu occuper, dans l’état

re fille vivait ainsi dans une solitude absolue. Il n’y avait dans la maison qu’un jeune garçon de douze ou treize ans, neveu

, et de la sorte avoir tout en commun avec lui, tout, c’est-à-dire la maison , ce qui importe à l’humble femme qui n’a pas été

oyait, s’imaginait être avec lui, l’entourant de soins, gouvernant sa maison , baisant le bas de sa robe. Elle repoussait ces r

ge contrarié. Elle imaginait son paradis réalisé, se voyait tenant la maison de celui qu’elle aimait, et, comme déjà elle ne s

linge, à le marquer. Or, dans sa pensée, ce linge était destiné à la maison qu’elle imaginait, à ce nid en commun où elle eût

es soins les plus constants et les plus tendres. Il ne tenait plus de maison à proprement parler, et ne voyait qu’un petit nom

sa belle-fille, passer l’hiver à Arles où elle avait fait retenir une maison  : « Une certaine bienséance, l’embarras d’un mai

uteuil, Mme de Boufflers installée avec sa belle-fille dans une jolie maison de plaisance y vécut des années agréablement, rec

L’année dernière, elle passa trois mois à Auteuil dans une très-jolie maison qui lui appartient ; Mme de Luxembourg s’y était

vait dit obligeamment de vouloir bien disposer, le cas échéant, de sa maison d’Auteuil, crut pouvoir profiter de l’offre ; mai

livres. Les transes, les tourments de l’intervalle, dans cette jolie maison , autrefois le rendez-vous de la meilleure compagn

irer la victoire des patriotes. « Soumission d’elle et des gens de sa maison … » La comtesse Amélie a aussi son dossier favora

chue et appauvrie peu à peu, elle avait été réduite à vendre sa jolie maison d’Auteuil à M. de Rayneval, le sous-secrétaire d’

voyait d’une vue à demi obscurcie par les pleurs et par les années la maison et les jardins qui lui avaient appartenu ; c’étai

1789 n’avaient rien de naturel ni de nécessaire. La large zone que la maison capétienne avait ajoutée à l’étroite lisière du t

sière du traité de Verdun fut bien l’acquisition personnelle de cette maison . À l’époque où furent faites les annexions, on n’

dé si longtemps à être une nation que parce que, parmi ses nombreuses maisons régnantes, aucune, avant notre siècle, ne se fit

’héroïque résolution, a néanmoins contracté un mariage intime avec la maison d’Orange, et elle courrait de vrais dangers le jo

dehors de toute tendance ethnographique. Si la politique suivie de la maison capétienne est arrivée à grouper à peu près, sous

urai pas désormais à retenir bien longtemps votre attention. 1. La maison de Savoie ne doit son titre royal qu’à la possess

rron. Cette année commença par une révolution dans le service de la maison de la reine. Madame de Montespan croyant avoir mo

e préparait à la reine ! être obligée de recevoir comme princes de la maison royale les fruits des infidélités du roi ! Toutes

paraît résulter de ces lettres, que les enfants habitaient encore la maison de Paris ; que, cependant, l’aîné, âgé de quatre

te à Paris, Madame Scarron avait donc une raison de moins de tenir sa maison de Paris fermée ; ce qui faisait qu’on la voyait

tespan, d’accord avec madame de Richelieu, cherche à l’éloigner de la maison du roi en la mariant à un vieux duc, assez malhon

e ; mais en attendant madame Scarron s’était mise en possession de la maison et elle y faisait faire des réparations urgentes.

toujours des élèves de la tragédie, des gens qui ont grandi dans des maisons , où les portes se ferment par procuration. Ils ne

det ? » Et me voilà dans le réconfort et la chaleur affectueuse d’une maison amie, et nous dînons sur le bout de la table, où

on s’achemine chez Daudet, où l’on me donne la place du maître de la maison . Et l’on soupe au milieu d’une douce gaîté, et de

aisanteries des femmes sur mes mœurs de tortue, sur mes attaches à ma maison , à ma chambre, à mon lit. Vendredi 1er mai

t, il bondieuse Hugo et proclame l’hugolâtrie. Jeudi 28 mai Une maison avoisinant le parc Monceau, une maison en reconst

lâtrie. Jeudi 28 mai Une maison avoisinant le parc Monceau, une maison en reconstruction, aux pièces toutes vides, et où

pantalon — une grosse bosse. Oh ! quelle nuit !… J’ai été souper à la Maison d’Or, avec une fille… là, tout à fait une belle f

ichel, en voiture, pour les Eaux-Bonnes, et de chez eux, je vais à la Maison d’Or, où Zola nous donne un dîner, pour la repris

craindre, qu’après ma mort, elle ne puisse plus servir dans une autre maison . Conçoit-on chez les pauvres filles du peuple, qu

t Je pensais, un de ces premiers jours-ci, en me promenant dans ma maison , que je voudrais bien en être l’acheteur, l’achet

ous conte sa jeunesse. Il nous dit l’aspect sévère, janséniste, de la maison paternelle, dans laquelle il commence à s’ennuyer

Départ pour passer quinze jours à Champrosay, chez les Daudet. La maison de Daudet, ou plutôt de M. Allard, son beau-père,

a maison de Daudet, ou plutôt de M. Allard, son beau-père, une grande maison blanche sans caractère, à laquelle sont accolés u

u par deux ou trois marches d’escaliers montants ou descendants ; une maison combinée pour loger trois ou quatre ménages, avec

y jouer une espèce de farce italienne de son invention. En haut de la maison , le cabinet de Daudet, une toute petite pièce, av

filé sous les yeux, d’arbres trapus, comme écrasés par le vent, et de maisons aux pierres frustes, qui ont l’apparence de roche

s, et sur le grand panneau de laquelle est peinte par le maître de la maison , une vague Assomption dans des couleurs de Lesueu

ce qu’on appelle un monument historique : une église, un château, une maison . En ce temps de choléra, Daudet qui n’a pas l’est

, d’un bout à l’autre de la galerie, appuyé sur le bras du fils de la maison , avec, de temps en temps, des fléchissements dans

alle la lui cassait. Jeudi 8 octobre Au fond, ce Midi, avec ses maisons aux volets fermés, avec ses chambres et ses salle

comme le murmure d’une prière. Et toutes les semaines, tombe dans la maison un gendre marseillais, avec du poil jusque dans l

ée du rôle. Dimanche 1er novembre Ce dimanche, l’escalier de ma maison est tout fleuri de chrysanthèmes du Japon, que j’

oresquement, l’intérieur de Nicolardot, vivant dans la mansarde d’une maison de passe, d’une des rues du quartier Latin. Là de

es561. Sur ces échanges, on voit, à Nantes, à Bordeaux, se fonder des maisons colossales. « Je tiens Bordeaux, écrit Arthur You

. » On ne paye que si l’on peut et quand on peut, même les gens de la maison , les fournisseurs de la table, les serviteurs de

ssé les hommes uniquement occupés de jeu, de chasse, de leurs petites maisons , et qu’il les retrouve tous auteurs575 ». Ils col

les jeunes gens qui ont vingt ans aux environs de 1780, nés dans une maison laborieuse, accoutumés à l’effort, capables de tr

» ; chez le duc de Penthièvre les nobles mangent avec le maître de la maison , les roturiers dînent chez son premier gentilhomm

, et, à dix-sept ans, j’ignorais encore à quelle époque et comment la maison de Bourbon s’est établie sur le trône. » Pour tou

opage la philosophie du dix-huitième siècle. — Au premier étage de la maison , dans les beaux appartements dorés, les idées n’o

disent les gens d’en haut, ils n’auraient garde de mettre le feu à la maison , ils y habitent comme nous. Ce sont là des feux d

s, font tomber la vieille suie. » Prenez garde : dans les caves de la maison , sous les vastes et profondes voûtes qui la porte

les jours ; à voir le luxe des particuliers, ce nombre prodigieux de maisons agréables bâties dans Paris et dans les provinces

n sous-préfet bourgeois et placé à table à côté de la maîtresse de la maison , lui dit en acceptant du potage « Merci, mon cœur

re était le premier magistrat élu de la bourgeoisie de Francfort ; la maison gothique et sombre qu’il habitait dans une rue dé

nier échelon de quelque cage paternelle ? « Au second étage de notre maison , dit-il, il y avait une chambre dont les fenêtres

que je ne tardai pas à en être visiblement influencé. Au reste, notre maison , si pleine de recoins obscurs, était très propre

rd dans la mienne, par les fenêtres au couchant de ma chambre dans la maison de mon père, ouvrant sur des toits éclaboussés d’

icorde. Un vieil ami du père de Goethe apporta un jour ces pages à la maison et voulut les lire ; le père s’indigna au premier

’emporte contre sa famille et proscrit plus sévèrement le livre de sa maison . VIII Après les premières études faites sou

vraies muses de notre âme. Cette jeune fille servait à boire, dans la maison de sa tante, à ses cousins, jeunes débauchés amis

n léger signe de tête. » IX À une seconde réunion dans la même maison , les deux cousins de Gretchen prièrent Goethe d’é

érieuse admiration de toute la patrie allemande. Du fond de la sombre maison de son père, à Francfort, le nom de Goethe, porté

oiselle ni belle, et je n’ai besoin de personne pour me conduire à la maison . Faust. Par le ciel ! cette enfant est la beauté

onc clairement que l’objet n’apportait pas grande bénédiction dans sa maison . « Mon enfant, s’écria-t-elle, bien mal acquis pè

a enlevé à sa bien-aimée. XXXV Le lieu change ; on est dans la maison d’une voisine pauvre, à laquelle Marguerite vient

ener un témoin de sa mort, le soir, dans son petit jardin derrière la maison , pourvu que la charmante Marguerite s’y trouve au

de Barbe était déjà sur son propre front. Elle revient atterrée à la maison , rentre dans sa chambre et arrose machinalement u

pas été calomniée par la malignité des voisins. En s’approchant de la maison il chante en s’accompagnant d’une mandoline quelq

dat et le séducteur. Le soldat tombe frappé à mort sur le seuil de la maison par l’épée de Faust. Méphistophélès et Faust s’év

beaucoup de monde, j’ai perdu Gavarni. Alors je suis entré dans une maison , et je me suis senti transporté, comme par des ch

le monstre est partout. C’est le décor et presque le mobilier de la maison . Il est la jardinière et le brûle-parfum. Le poti

atin. * * * — Dernièrement, le fils d’une femme du peuple a quitté la maison de commerce où il était, en disant que c’était « 

pothicaires en belle humeur. J’avais beau me dire que j’étais dans la maison de Molière, je me croyais plutôt au théâtre de la

dans des tons froids et dépouillés, la tristesse et la platitude des maisons sales, des façades grises, où un petit triangle d

a conscience que j’en ai une… d’infirmité ! » * * * — Il y a, dans ma maison , un banquier très riche qui donne des soirées, le

au portier les fleurs que la Deslions lui a laissées, en quittant la maison . * * * — La misère des idées dans les intérieurs

té mené, les yeux bandés, et ne pas même chercher après, la femme, la maison , la porte, parce qu’il faut être discret avec un

oles d’une vaste cité. 29 juin Dîner à Neuilly chez Gautier. La maison encore sens dessus dessous du déménagement du mén

c’est à ne pas le croire — rue de la Brèche-aux-Loups, — et dans une maison en construction, sans lieux et sans porte cochère

4 ans de mon frère et de mes 36 ans, on nous appelle les enfants. Une maison où mon frère vient passer ses vacances depuis 183

saient, en se jouant, des cris de sortie d’école, dans les arbres. La maison du garde, une masure, une bâtisse de plâtre, rapi

3 décembre Nous partons de Bar-sur-Seine. Il y a à quitter une maison , où on a été paresseux et heureux, l’espèce d’eff

s allé chez Forgues, qui nous peint l’horreur de cet enterrement : la maison en carton suintant l’eau ; une porte qu’il ouvre

 Comment ! tu vis encore, petite canaille ! » Il est toujours dans sa maison en construction de la rue de la Brèche-aux-Loups,

mes de lettres. 30 décembre Passé aujourd’hui devant l’ancienne maison de Gavarni, avenue de l’Impératrice. Il y a pres

es portes-fenêtres du rez-de-chaussée. Nous regardons cette misérable maison ambitieuse de bourgeois de l’Empire, cette maison

ons cette misérable maison ambitieuse de bourgeois de l’Empire, cette maison de plâtre, plaquée de fenêtres d’occasion, avec s

attues d’une moitié de persienne, et nous pensons à tout ce que cette maison a eu des mauvaises chances de la vie du grand art

. Et malgré tout, nous sommes encore heureux de la voir debout, cette maison  ! elle nous le rappelle. Les maisons de ce temps

heureux de la voir debout, cette maison ! elle nous le rappelle. Les maisons de ce temps durent si peu, gardent si peu longtem

que l’événement décisif de sa vie fut son entrée, son initiation à la maison de Condé. Qu’aurait-il été sans ce jour inattendu

is qu’il y aurait perdu, et que nous y aurions perdu avec lui ! Cette maison de Condé était une singulière maison, et le desce

y aurions perdu avec lui ! Cette maison de Condé était une singulière maison , et le descendant d’un vieux ligueur (car un des

s, et en naturaliste, une branche si bizarre et si extravagante de la maison de Bourbon. Ce n’est pas ici le lieu de la peindr

affaires du grand Condé, et il y avait remis l’ordre. Dans une autre maison princière, Chaulieu, tout poète qu’il était, pren

ère la plus riche pour l’observation, et il venait d’acquérir dans la maison de Condé, en s’y abritant, ce que d’autres y aura

ant les travers et les crudités enhardies de la nature humaine, cette maison de Condé avait le goût de l’esprit, et, avec de l

ans ce célèbre morceau du pâtre enrichi qui achète pour l’embellir la maison de ses maîtres, La Bruyère a songé à Gourville em

tandis que peut-être, il aurait encore vécu des mois dans la sordide maison qu’il habitait… Le voilà mort, et voilà les perso

inte prise de commisération pour ce misérable ; le propriétaire de la maison de prostitution qu’il habitait ; et un quelconque