Le capitaine d’Arpentigny La Chiromancie, science de la
main
, ou art de reconnaître les tendances de l’inintel
de reconnaître les tendances de l’inintelligence par les formes de la
main
. [Le Pays, 4 août 1856.] I Il y a plus de d
l’affaiblir. II Le capitaine d’Arpentigny est le Lavater de la
main
humaine. Lavater était presque un génie ; il est
s de la face, ou les protubérances du crâne, ou la conformation de la
main
dont il soit question pour expliquer l’homme, son
nt les observations des autres s’il en répète les procédés, a pris la
main
comme l’expression résumante de l’homme tout enti
de doute qu’il ne nous eût dit, à propos du pied comme à propos de la
main
, une foule de choses vraies et charmantes. Tout c
iser, malgré les catégories qu’il dresse des différentes formes de la
main
correspondant aux différentes spécialités de l’in
us, mais ceux qui ont trait à l’intelligence, — dans les formes de la
main
… » Posé et annoncé dans de tels termes, le livre
e de l’art avec lequel l’auteur de la Chiromancie ou la science de la
main
9 a fait un livre d’analogies étincelant de rappr
ira toujours ; mais il faut commencer. Son essai sur la Science de la
main
n’a forcé celle de personne. On a laissé passer,
recueillies dans la théorie qu’il s’est creusée. Il voit tout dans la
main
humaine, comme Malebranche voyait tout en Dieu. I
reluire et saillir les caractères comme des bagues. Il la dénombre en
mains
dures, molles, élémentaires, en spatule, en mains
. Il la dénombre en mains dures, molles, élémentaires, en spatule, en
mains
utiles, en mains philosophiques, en mains psychiq
en mains dures, molles, élémentaires, en spatule, en mains utiles, en
mains
philosophiques, en mains psychiques, en mains mix
lémentaires, en spatule, en mains utiles, en mains philosophiques, en
mains
psychiques, en mains mixtes, en mains artistico-é
le, en mains utiles, en mains philosophiques, en mains psychiques, en
mains
mixtes, en mains artistico-élémentaires. L’histoi
es, en mains philosophiques, en mains psychiques, en mains mixtes, en
mains
artistico-élémentaires. L’histoire, pour lui, la
ériorité de l’homme sur les autres espèces dans la conformation de sa
main
. Rien dans tout cela, pour nous, cependant, n’élè
lit un contraste choquant entre l’esprit qui a pensé la Science de la
main
et le talent qui l’a écrite. Pour qui sait lire e
equel il est si dur et si injuste. Dans son livre de la Science de la
main
, où il risque des philosophies de l’histoire fond
ne si héroïque couleur, est, avant de se donner pour un Lavater de la
main
, un peintre militaire indestructible qui va se tr
de peindre ! « Telles ne furent pas, — dit-il, après avoir parlé des
mains
pointues, — telles ne purent être les mains du pe
il, après avoir parlé des mains pointues, — telles ne purent être les
mains
du peuple roi. Voués à la guerre et au mouvement
e et au mouvement par l’organisation que leur transmirent les gens de
main
et les héros d’audace accourus à la voix du nourr
e, la science du droit et les plaisirs sensuels. « Quand leurs fortes
mains
, qu’ils avaient tenues si longtemps appuyées sur
nous retrouvons cette touche particulière qu’il n’aurait point si sa
main
n’avait pas fait longtemps siffler une cravache o
rder, — voilà ce qu’est très sérieusement l’auteur de ce livre sur la
main
, qui, pour des gens plus graves que nous, ne sera
tireur d’épine (chevelure et épaules toutes semblables), mais dont la
main
droite était étendue vers le lit du patient ou de
et à portée des investigations les plus minutieuses du regard. Cette
main
était blanche, fuselée, potelée, d’un galbé ravis
r, craignant qu’un déplacement de la couverture ne fît disparaître la
main
. Il pensait que la disposition des plis du tissu
plis de la couverture entraîneraient l’évanouissement de cette belle
main
. Cependant, au bout de quelques minutes, la voyan
allongea avec précaution dans la direction opposée, afin de sortir sa
main
aussi loin que possible de celle qu’il contemplai
ait quelquefois pour atteindre un papillon ; il s’attendait à voir la
main
s’envoler avant de l’avoir touchée ; mais pas du
nt cette grande opération ne modifièrent en rien l’apparence de cette
main
charmante : voilà que la sienne en est tout près
nt. Son bras en suspens se rapproche ; du bout du doigt, il touche la
main
. Ô surprise ! il la sent bien telle qu’il la voit
t ; il étend tous ses doigts et les passe légèrement sur le dos de la
main
magique, dont les contours, la résistance flexibl
ne et tiède répondent fidèlement à l’illusion de la vue. Alors, de sa
main
dépliée, il embrasse pleinement cette main plus p
on de la vue. Alors, de sa main dépliée, il embrasse pleinement cette
main
plus petite, il la sent dans la sienne, il palpe
t cherche le pouls ; mais alors la figure à laquelle appartient cette
main
chimérique lui dit d’une voix fraîche, enfantine
s conditions, faire avec le bras un mouvement de défense et porter la
main
à l’endroit menacé, — mouvement accompagné sans d
rre Janet, sur les hystériques ayant des membres insensibles. Dans la
main
insensible d’une hystérique, placez une paire de
er par le contact d’un objet connu, tel qu’un couteau, la paume de la
main
insensible : l’hystérique ne sent pas le contact
er : elle n’a pourtant pas senti, dit-elle, le mouvement imprimé à sa
main
pour la faire écrire, mais elle a la représentati
qui a fini par prendre la forme visuelle. L’excitation imprimée à la
main
, n’ayant pu se dépenser tout entière sur les cent
ême explication pour les calculs « inconscients » des hystériques. La
main
insensible d’une hystérique est cachée derrière u
cachée derrière un écran : sans qu’elle s’en aperçoive, touchez cette
main
un certain nombre de fois ; priez ensuite la pers
choix. En général, la réponse sera le nombre même des contacts de la
main
. Faut-il en conclure, comme on le fait d’habitude
personnalité subconsciente ? » — Cela n’est point ici nécessaire. La
main
, quoique en apparence insensible, a envoyé au cer
tincte, c’est que, lorsqu’une hystérique tient entre les doigts de sa
main
insensible une plume dans la position nécessaire
à un objet, à un chiffre, ou si on le prie de penser à tout cela, sa
main
anesthésique, qui tient une plume, « écrit aussit
n attention est portée ailleurs, ne s’aperçoit pas du mouvement de sa
main
, qui révèle à l’expérimentateur le fond intime de
rappeler ou pour raisonner ou pour deviner quelque chose, on voit sa
main
prendre l’attitude nécessaire pour écrire ; dès q
saire pour écrire ; dès que le problème est résolu ou abandonné, « la
main
laisse tomber la plume et s’affaisse dans une att
, la plume qu’on a eu soin de glisser entre l’index et le pouce de sa
main
anesthésique fait la même réponse écrite. Le suje
entale ; elle l’est aussi et en même temps par l’attitude donnée à la
main
. Nous avons, pour ainsi dire, les deux extrémités
rovoquant la tendance à écrire ; en même temps que le sujet pense, sa
main
est invitée par des sensations sourdes à exprimer
l est louche, dans un autre les lames du ciseau sont émoussées, ou la
main
n’est pas sûre ; et puis jugez d’après cela de la
e s’agit que de donner des noms. On la voit de face. Elle tient de sa
main
gauche une balance suspendue dont les plats de ni
roite, debout et sur le devant, proche d’elle, lui ôte son glaive des
mains
. à gauche, derrière la justice, la prudence étend
udence étendue à terre, le corps appuié sur le coude, son miroir à la
main
, considère les deux autres figures avec satisfact
est à la beauté de la touche, aux draperies, aux têtes, aux piés, aux
mains
et à la froideur, à l’obscurité, à l’ineptie de l
ur un livre ouvert et plus grand qu’elle, l’autre bras pendant, et la
main
sur le genoux, l’index de cette main, je crois, d
lle, l’autre bras pendant, et la main sur le genoux, l’index de cette
main
, je crois, dirigé vers le livre. Devant elle, une
he, blafarde, sans tétons, le corps homasse, le bras et l’index de la
main
droite dirigés vers le ciel et ce bras dont le ra
chant. Imaginez un attelier de sculpteur en bois. Il a le ciseau à la
main
, il est devant son attelier. Il a ébauché un ibis
le les bougies, et au même instant tous les spectateurs mettent leurs
mains
sur leurs poches. Mr De La Grenée, sachez qu’une
teur qui la présente à l’agriculture. Mercure tient son caducée de la
main
gauche ; il a aux deux côtés de sa tête deux aile
le cuisse, belle gorge, belles chairs, beaux bras, beaux piés, belles
mains
, de la jeunesse, de la fraîcheur, de la noblesse
tement. L’effort a déshabillé ce côté de la poitrine, et le dos de la
main
de la femme touche à son sein. Cela est bien cela
te que le commissaire succombant à la tentation, glisse doucement une
main
et l’applique sur cette croupe. La comtesse, gran
La comtesse, grande logicienne, se retourne sans s’émouvoir, porte la
main
sur le commissaire, à l’endroit où elle espéroit
toujours le plus beau faire, et toujours mal employé. C’est une belle
main
qui trace des choses insignifiantes, dans les plu
la meule et l’arrosant avec de l’eau qu’il puise avec le creux de sa
main
, dans une terrine placée devant lui. Ensuite sur
ssous de lui, sur le devant, un troisième amour tourneur de roue, les
mains
appliquées à la manivelle. Cela est infiniment mo
uronne chancelle sur cette tête. Junon, sur le devant, à droite, a la
main
droite posée sur celle de Jupiter assoupi, le bra
ment, ô les belles chairs, les beaux piés, les beaux bras, les belles
mains
. La belle peau ; la vie et l’incarnat du sang tra
chairs de l’art luttent contre les chairs de nature. Approchez votre
main
de la toile, et vous verrez que l’imitation est a
e lasse point de parcourir le cou, les bras, la gorge, les pieds, les
mains
, la tête d’Hersé. J’y porte mes lèvres et je couv
de peindre des têtes en petit nombre, beaucoup de bras, de piés et de
mains
, pour servir d’études aux élèves. Retour d’Ulysse
sus d’une estrade à laquelle on monte par quelques degrés. Il tend la
main
à Pénélope, et il reçoit la sienne. Sur le fond T
fait ? Un rustre ignoble, sot et niais. Mettez-lui une coquille à la
main
, et jettez-lui une peau de mouton sur les épaules
sonnage est-il nud ? Je ne scais ce que Pénélope lui tracasse dans la
main
. Ce Télémaque n’a pas quatre ans de moins que sa
oute leur énergie ? Est-ce que cet enfant ne devoit pas tenir une des
mains
de sa mère, la dévorer et l’arroser de larmes ? C
a voit que de profil. Renaud est à ses genoux. On le voit de face. Sa
main
gauche va chercher celle d’Armide. Sa main droite
ux. On le voit de face. Sa main gauche va chercher celle d’Armide. Sa
main
droite, s’approchant de sa poitrine, est dans la
e toute une armée. Homme de glace, artiste de marbre, c’est entre tes
mains
que la magicienne a bien perdu sa baguette. Comme
en méditation, le coude posé sur un bureau, et la tête appuyée sur sa
main
. Puisqu’il n’y a qu’un jugement sur ces deux morc
courage de me laisser finir ; elle me ferma la bouche avec une de ses
mains
. Cependant je l’aimais bien. Mes deux petits tabl
t encore prétieusement finis. Mais le bras droit de la poésie dont la
main
gauche est très belle… eh bien, ce bras droit ?…
à gauche, sur le devant, un esclave bazané et presque nu, tient d’une
main
la tête par les cheveux et le linge qui l’envelop
lus sur le fond, et vers la pointe de la barque, la tête panchée, une
main
raprochée de la poitrine, et l’autre disposée à r
nation. Une larme vraie ou fausse lui tombe de l’œil. Il interpose sa
main
droite entre ses regards et la tête de Pompée. La
le duc de La Vauguyon. Ah, mon ami, combien de beaux piés, de belles
mains
, de belles chairs, de belles draperies, de talent
lle et indique la misère ; qu’elle ait la tête appuyée sur une de ses
mains
; que de ses yeux baissés deux larmes coulent le
udeur et de la modestie ; que sa mère soit à côté d’elle ; que de ses
mains
et d’une des mains de sa fille, elle se couvre le
stie ; que sa mère soit à côté d’elle ; que de ses mains et d’une des
mains
de sa fille, elle se couvre le visage ; ou qu’ell
ille, elle se couvre le visage ; ou qu’elle se cache le visage de ses
mains
, et que celle de sa fille soit posée sur son épau
vient apparemment de ce que mon imagination s’est assujetie de longue
main
aux véritables règles de l’art, à force d’en rega
et la poitrine nues, comme c’est mon usage, l’on me voye portant mes
mains
vers une vieille lire suspendue à la muraille. Et
chacun des tableaux qu’il apercevoit. Ce Renaud, disoit-il, sort des
mains
de son perruquier et de son tailleur… regardez le
hanique ? L’appellerons-nous la routine de bien faire des piés et des
mains
, une bouche, un nez, un visage, une figure entièr
zel. « Nous chevaucherons avec plaisir vers le pays des Hiunen, où la
main
des vaillants guerriers servira leurs rois, ainsi
la cour du roi Etzel. » Il s’appelait Rûmolt et c’était un héros à la
main
prompte. Il ajouta: « À qui comptez-vous laisser
ans ce fleuve si large. Avant cela, plus d’un homme succombera par ma
main
au pays d’Etzel: j’en ai du moins la bonne volont
la terre de Gelpfrât. Le fier nautonier saisit lui-même la rame en sa
main
. Il était d’une humeur très-difficile, ce batelie
issez pas ainsi, dit Hagene, mon cœur en est attristé. Acceptez de ma
main
, par amitié, cet or très-pur et passez à l’autre
Il ramait à coups si précipités, que la forte rame se rompit dans sa
main
. Il voulait arriver jusqu’aux guerriers qui se tr
r un mensonge: « J’ai trouvé la barque près d’un saule sauvage, et ma
main
l’a détachée. Je n’ai vu d’aujourd’hui aucun bate
davantage. Il passa aussi les neuf mille varlets. De tout le jour, la
main
de l’audacieux héros de Troneje ne se reposa poin
hapelain du Roi. Il alla trouver le prêtre près des objets sacrés. La
main
de celui-ci était appuyée sur les reliques, mais
rive ; mais son angoisse était grande. Quand il ne put plus nager, la
main
de Dieu le soutint et enfin il aborda vivant sur
foi, il me peine fort que vous vous soyez aujourd’hui échappé de mes
mains
. Je le dis sans moquerie. » Le pauvre chapelain r
heure, je tuai le batelier, sachez ce fait. Donc mettons hardiment la
main
à l’œuvre, et si Gelpfrât avec Else ose attaquer
Nibelungen avec une âme fausse. Elle baisa Gîselher et le prit par la
main
. Voyant cela, Hagene de Troneje attacha plus fort
e ma cotte de mailles, de mon heaume si brillant et de mon épée en ma
main
; voilà pourquoi je ne vous apporte rien. « Je ne
s des regards furieux. En ce moment, deux guerriers se prirent par la
main
. L’un était le seigneur Dietrîch et l’autre Hagen
je ne vis avec femme de roi marcher tant d’hommes portant l’épée à la
main
et armés en guerre. « Savez-vous, ami Hagene, s’i
ulcérée: « Je sais bien que c’est pour m’attaquer qu’ils ont pris en
main
leurs armes brillantes ; mais je puis encore leur
vis encore quelque temps, je lui donnerai douze royaumes, et alors la
main
du jeune Ortlieb pourra bien vous servir. « C’est
hansons entendant le retentissement des épées, jetèrent hors de leurs
mains
le vin et les mets qu’ils apportent aux convives.
culer. Tout son vêtement était couvert de sang ; il portait nue en sa
main
une épée très-acérée. Au moment même où Dancwart
hommes. Mais aussi il l’a payé cher, je veux bien vous le dire: de ma
main
je lui ai abattu la tête. « — C’est un léger malh
it Hagene, quand on vous apprend qu’un guerrier a perdu la vie par la
main
d’un héros. Les belles femmes auront d’autant moi
lieb si terriblement, que le sang jaillit le long de son épée sur ses
mains
, et que la tête sauta jusque sur les genoux de sa
el un ménestrel, il s’élance vers lui, dans sa fureur, et lui abat la
main
droite sur sa viole: « — Voilà pour ton message d
— Voilà pour ton message dans le pays des Burgondes. « — Hélas ! mes
mains
, s’écria Werbel. Seigneur Hagene de Troneje, que
toute loyauté au pays de vos maîtres. Et maintenant que j’ai perdu ma
main
, comment ferai-je résonner les accords ? » Et qua
, se leva de table d’un bond, et son archet résonnait fortement en sa
main
. Le ménestrel de Gunther joua des airs effrayants
nifique à travers les heaumes des fidèles d’Etzel, du Hiunen-lant. La
main
du valeureux Gîselher accomplit maints prodiges.
le palais, jouant de l’archet. Une épée de fin acier résonnait en sa
main
à coups pressés. Les guerriers du Rhin le remerci
nque se présentait pour y monter. On entendait ses armes retentir aux
mains
du héros. Ainsi faisait à l’intérieur, Volkêr du
es de la foule: « La salle est bien fermée, ami sire Hagene. Oui, les
mains
de deux héros ont mis le verrou à la porte d’Etze
tué quelqu’un des siens. « Je le vois sur la table faire signe de la
main
. Amis et parents du pays burgonde, cessez le comb
avaient pu prévoir tous les malheurs qui devaient leur arriver par la
main
de ces deux hommes, ceux-ci ne seraient point si
héros hardis et adroits déposèrent les épées qu’ils tenaient en leurs
mains
. XXVI La ruine et le sac de Troie dans l’I
ne eut reçu ce coup, il fit tournoyer effroyablement son épée dans sa
main
. L’homme-lige d’Hâwart dut céder devant lui. Hage
elui d’Etzel. » Puis, il dit à ceux de Duringen et du Tenelant: « Vos
mains
ne recevront jamais les présents de la Reine, son
e hardi, courut vers le ménestrel ; mais il reçut grand dommage de sa
main
. Le noble joueur de viole atteignit le landgrave
e s’étaient rencontrés. Celui qui les vit assista à des prodiges. Aux
mains
de ces héros, les épées retombaient rapides, mais
Ils s’assirent dans le sang, sur les corps meurtris de ceux que leurs
mains
avaient tués. Les nobles étrangers étaient survei
accordant une compensation à mes maux. « Je vous donne ma foi, et ma
main
répond de ma sincérité, que je chevaucherai avec
ter la lutte avec des coups terribles, à moins que ne se brise en mes
mains
la bonne épée des Nibelungen. Je suis indigné de
mir. Dietrîch lia Hagene, le conduisit à Kriemhilt et remit entre ses
mains
le plus vaillant guerrier qui jamais porta l’épée
fait. Il ne faut point qu’il pâtisse de ce que je vous l’ai livré les
mains
liées. Elle fit mener Hagene, pour son malheur, d
llustre Gunther s’était glorieusement défendu. Ce chef fut lié par la
main
de Dietrîch d’un nœud si fort, que jamais roi n’e
us ceux qu’ils auraient rencontrés. Dietrîch de Vérone le prit par la
main
et le mena garrotté devant Kriemhilt. Elle s’écri
— elle voulait enlever la vie au guerrier, — et la soulevant des deux
mains
, lui abattit la tête. Le roi Etzel le vit et en f
ément affligé. « Malheur ! s’écria le roi, comment a été tué, par les
mains
d’une femme, le plus vaillant héros qui jamais s’
hâte le pinceau et compte les heures ; l’amour de la gloire arrête la
main
et fait oublier les semaines. le triomphe de la j
de, la force, la charité, la vigilance. Elle tient ses balances d’une
main
, une couronne de l’autre, et s’avance assise sur
econnaît à son masque et à qui l’étendart de la révolte est tombé des
mains
, s’est saisie d’une des rênes du char. L’envie et
tournés sur la justice, son loup au-dessous d’elle, un poignard à la
main
, la cruauté est étendue sur des nuages qui la dér
; idée ridicule fortifiée par ce cercle verdâtre qu’elle tient de la
main
gauche et dont l’artiste a voulu faire une couron
it la calomnie, les yeux hagards, s’avançant, une torche ardente à la
main
, et traînant par les cheveux l’innocence sous la
us la figure d’un jeune enfant éploré, qui portait ses regards et ses
mains
vers le ciel. Si j’avais eu à composer un tableau
et d’écarter nos yeux d’une multitude d’autres qui sont sorties de la
main
des plus grands maîtres. Mais je prétends que cel
egrés, vers le côté gauche de la toile, ste Julitte debout, entre les
mains
des bourreaux, dont un, plus sur le fond et la ga
des bourreaux, dont un, plus sur le fond et la gauche, lui tient les
mains
serrées de liens ; un second placé derrière la sa
juge assis, le coude appuyé sur la balustrade et la tête posée sur sa
main
. Derrière le préteur, des soldats de sa garde. C’
omie douce, tranquille, bien résignée, beau caractère de tête, belles
mains
tremblantes, figure qui a du pathétique et de la
e celui-ci, plus sur le fond, et qui récite la prière, le rituel à la
main
, tandis que son confrère administre. Il y a derri
la scène du moment. Le saint a la tête relevée sur son chevet, et les
mains
jointes sur sa poitrine ; cette tête est de toute
té, qu’elle embrasse de son bras gauche, et à qui elle présente de la
main
droite de la soupe avec une cuiller. Il y a devan
On le voit de face. Sa jambe droite est croisée sur la gauche, et sa
main
droite posée sur sa jambe, il est appuyé du coude
n droite posée sur sa jambe, il est appuyé du coude sur le sopha ; sa
main
embrasse son menton et soutient sa tête. Cela est
rsque nous voyons les esquisses d’un grand maître, nous regrettons la
main
qui a défailli au milieu d’un si beau projet.
nnet, mais à la mienne, et le plat visage parti, je me frotterais les
mains
d’aise, et je me dirais à moi-même : dieu soit lo
ers la gauche, assis à terre, un autre soldat la tête penchée sur ses
mains
. Tout à fait à gauche, sur le devant, un troisièm
celui du Poussin. Je ne vous dirai pas que les têtes penchées sur les
mains
sont bien usées, tant qu’elles seront en nature o
Elle regarde en coulisse, elle sourit malignement ; elle se lave les
mains
dans un bassin placé devant elle sur un trépied.
inge qui dérobe sa cuisse et sa jambe à miracle ; jolis pieds, jolies
mains
, jolie tête. Permettez que j’efface ce mot, l’ in
ontre un pilastre, une figure de ronde-bosse tenant une balle dans la
main
, foulant du pied une couronne, son autre bras ram
lastre correspondant, une autre figure de ronde-bosse, un calice à la
main
, ce calice surmonté d’une hostie, l’autre main mo
-bosse, un calice à la main, ce calice surmonté d’une hostie, l’autre
main
montrant le vase sacré. Figure hiéroglyphique, pa
caractère de tête ordinaire. Il fait son compliment, et montre d’une
main
l’esprit-saint de ronde-bosse, à l’angle supérieu
est une vessie soufflée, que, si l’on appliquait un peu fortement les
mains
sur ces joues, elles feraient la plus belle explo
e a de l’idée. Mouchy. le repos d’un berger. il est assis ; il a les
mains
appuyées sur un bâton qui soutient ses bras ; le
y demanda à Pigalle sa nièce en mariage, il lui mit un ébauchoir à la
main
, et lui présentant de la terre glaise, il lui dit
plus ou moins précisément l’endroit où nous l’éprouvons : c’est à la
main
, à la joue, au milieu du bras, dans le nez, sur l
ère très distincte leurs orteils, leurs doigts, la plante du pied, la
main
… Un homme amputé de la cuisse éprouva encore au b
les doigts n’ont jamais cessé chez lui ; il croit toujours sentir sa
main
dans une situation courbée ; des picotements appa
on des amputés est plus forte ; ils sont parfois obligés de porter la
main
à l’endroit où devrait être leur membre pour se c
le trajet ultérieur de ce nerf, notamment au dos et à la paume de la
main
, dans le quatrième et le cinquième doigt. — La mê
rovoquer41. Si, de naissance, le bâton avait été soudé à l’une de nos
mains
, comme les longs poils sensitifs et explorateurs
la sensation de contact commence dans les extrémités nerveuses de la
main
ou du pied ; ils ont beau nous montrer que l’éthe
nerf optique, comme un diapason vibrant choque la superficie de notre
main
; « nous n’avons pas42 la moindre conscience de c
les centres sensitifs sont dans la boîte du crâne en un point que nos
mains
n’atteignent pas. — En second lieu, on voit que l
ps est ici où là. Après avoir constaté, par les tâtonnements de notre
main
ou la fermeture de nos paupières, leur commune co
n prolongeant plus ou moins notre marche, pour aller couvrir de notre
main
la surface éclairée de l’objet qui nous envoie ce
diverses sensations visuelles à l’idée du mouvement par lequel notre
main
atteint notre œil, s’efface comme inutile ; l’édu
picotement est voisin ; il n’est pas associé, comme dans le pied, la
main
, le bras, le visage, à tel point précis d’une for
tue par la sensation musculaire spéciale, plus ou moins longue, de la
main
et du bras, qui vont le chercher et le rencontren
sation des représentations plus exactes. Un anatomiste qui fléchit sa
main
imagine la contraction de chacun des muscles qui
né sa position par la série de sensations musculaires qu’il faut à ma
main
pour l’atteindre, et j’ai caractérisé son siège p
de sensations tactiles que le cou pressé, palpé, parcouru donne à ma
main
. Une association stable s’est donc faite entre le
u’après l’opération le malade pouvait sur-le-champ aller « prendre la
main
du chirurgien, décider à la simple vue si cette m
ler « prendre la main du chirurgien, décider à la simple vue si cette
main
se rapprochait ou s’éloignait de lui ». Mais ce c
vant de l’avoir touchée. » Au dix-huitième jour, on lui mit entre les
mains
un porte-crayon d’argent et une grosse clef. « El
jet était tenu tout près de son œil, elle le cherchait en étendant sa
main
bien au-delà, pendant qu’en d’autres occasions el
rce de tâtonnements, nous associons celle-ci à tel mouvement de notre
main
, celle-là à la demi-extension de notre avant-bras
e et voulue de l’œil, ce composé évoque l’idée de tel mouvement de la
main
, de l’avant-bras ou du bras, de tel nombre d’enja
t associée à l’idée d’un mouvement déterminé du bras qui porterait la
main
à huit pouces et demi52 ». De cette façon, les se
es, à savoir les images des sensations musculaires et tactiles que la
main
éprouverait en suivant le contour et en palpant l
moi l’image des sensations tactiles et musculaires qu’éprouverait ma
main
en cheminant d’angle en angle le long du contour.
laires de mes trois pas, les sensations musculaires et tactiles de ma
main
promenée sur le bord de la table. Je n’arrive là
’abord que la première des enjambées, la sensation que donnerait à ma
main
le premier angle ; ces deux images servent de typ
ou une surface, de se représenter les sensations successives de leur
main
promenée dans telle ou telle direction. « Cela se
erait trop long, et nous n’avons pas du tout besoin de penser à notre
main
; elle n’est qu’un instrument de perception auque
plus rien des sensations tactiles et musculaires des membres et de la
main
. Telle est en effet la conception que nous avons
us, ce n’est pas l’image des sensations successives originelles de la
main
et des membres, mais leur signe optique. L’atlas
e de vingt enjambées, la longue sensation tactile et musculaire de la
main
promenée sur tout le contour de la surface. — Grâ
me, au mouvement de tous les objets situés hors de la portée de notre
main
, comme les nuages, le ciel et les astres ; primit
ment en imaginant la sensation plus ou moins longue qui conduirait ma
main
jusqu’à l’endroit de la contraction et du contact
sentation qui nous sert le plus, parce que la langue fait l’office de
main
; par exemple, nous ne discernons et imaginons qu
mathématicien aveugle, dit Abercrombie60, pouvait distinguer avec la
main
, dans une série de médailles romaines, celles qui
issl, y profita beaucoup, devint célèbre. On compte 400 Christs de sa
main
et un buste de l’empereur François-Joseph63 — Il
n de contact et de pression que nous éprouvons en posant à plat notre
main
sur une table, pour la sensation de couleur que n
e la peau, et particulièrement aux lèvres, au bout de la langue, à la
main
, aux doigts, au bout des doigts65 ; là, le discer
l notre pied s’appuie, la portion de table sur laquelle s’étale notre
main
, l’objet éloigné que désigne notre sensation de c
omme un au-delà ; sur ce premier trait, les autres s’appliquent. — Ma
main
promenée dans l’obscurité rencontre sur une table
; à propos de cette sensation, je conçois et j’affirme au-delà de ma
main
un au-delà qui provoque en moi une sensation cont
ujours si l’on ajoute la condition complémentaire, le transport de la
main
jusqu’à l’endroit requis, le second devient néces
sur laquelle il fait l’expérience de toucher la clef électrique de la
main
gauche lorsqu’elle recevra le choc électrique du
gauche lorsqu’elle recevra le choc électrique du côté droit, et de la
main
droite quand elle recevra le choc électrique du c
bjets touchaient ses yeux, et il marchait avec précaution, tenant les
mains
élevées devant ses yeux, pour empêcher ces objets
bjets, surtout dans le sens de la hauteur : il tendait fréquemment la
main
vers un clou du plafond ou vers la lune. C’est do
ché sur le reste. — Vers trois mois, elle a commencé à tâter avec ses
mains
, à mouvoir les bras pour atteindre les objets, pa
tance de 50 et même de 90 pieds et s’en écartent ; un mouvement de la
main
ou d’un éventail qui produit un courant dans l’ai
ugle de Chio, est-ce là un miracle ? Eh bien ! ce miracle est dans ma
main
; que dis-je ? il est déjà dans ma mémoire, il se
ir le volume, que les blonds cheveux d’un enfant sont froissés par la
main
d’une mère, qui ne se lasse pas de passer et de r
qu’avec un chef-d’œuvre de nouveauté, d’invention et de goût dans la
main
; mais le Dumas poétique, le Dumas prophétique, l
ette dans le Rhône, et qu’il a reconnu, en buvant dans le creux de sa
main
l’eau de nos grands fleuves, quelques-unes des go
re entre mes doigts. » Merci, dit-il ; et il me serra la main dans sa
main
nerveuse, qui tremble, qui étreint et qui brise l
leurs maris et de leurs fils. Je vois encore d’ici ses belles longues
mains
blanches, sortant d’une manche de toile fine retr
s oliviers, et vint ensuite en courant l’avancer vers eux de sa belle
main
. » Le portrait de Mireille, tracé en courant par
es branches basses ; j’atteindrai les cimes, moi, allez ! » Et, de sa
main
légère, celle-ci, trayant la ramée : « Cela garde
lera plus vite, Mademoiselle. Nous allons le voir. » Et vite, de deux
mains
passionnées, ardentes à l’ouvrage, ils tordent le
lle ardente s’échapper ; mais, comme celle-ci avec effroi retirait sa
main
de la feuille, lui par le trouble encore tout ému
tout entier le passage qui suit cette rencontre involontaire des deux
mains
dans les feuilles. Le voilà : XI « Leur p
comme pluie ; et puis, venu l’instant où ils la mettaient au sac, la
main
blanche et la main brune, soit à dessein ou par b
uis, venu l’instant où ils la mettaient au sac, la main blanche et la
main
brune, soit à dessein ou par bonheur, toujours ve
branche tortue, vient de nouer ses jambes vigoureuses, suspendu d’une
main
, dans le tronc caverneux fouille de l’autre main.
uses, suspendu d’une main, dans le tronc caverneux fouille de l’autre
main
. Un peu plus élevée, Mireille alors, la flamme au
” — “Tiens ! oui, donne ! c’est vrai !…” Le garçon aussitôt plonge sa
main
dans la cavité de l’arbre ; et sa main, qui retou
” Le garçon aussitôt plonge sa main dans la cavité de l’arbre ; et sa
main
, qui retourne pleine, en tire quatre du creux. “B
eine, en tire quatre du creux. “Bon Dieu ! dit Mireille en tendant la
main
, oh ! Combien ?… — « La gentille nichée ! Tiens
ent les coule sous son corsage qui enfle. — “Tiens ! tiens ! tends la
main
derechef”, cria Vincent. — « “Oh ! les jolis peti
— “Oui ! sainte Vierge ! Vois ! tout à l’heure je dirai que tu as la
main
fée ! ” — “Eh ! bonne fille que vous êtes ! les m
œufs et même quatorze, maintes fois !… Mais tiens ! tiens ! tends la
main
, les derniers éclos ! Et vous, beau creux, adieu
in la pauvrette. Et, pudique, sur la poitrine elle se presse les deux
mains
. Aie ! aie ! aie ! je vais mourir !” « “Ho ! pleu
jà Mireille, sous l’étoffe que la nichée rendait bouffante, envoie la
main
, et dans la coiffe déjà, une à une, rapporte les
us absolve ? Ah ! que l’eau pleuve de mes yeux ! et sur moi que votre
main
s’étende, car c’est vous qui êtes un grand saint,
drai. » « Là les femmes tressaillirent, les cocons roux tombèrent des
mains
, et elles criaient à Nore : Oh ! dis ensuite ce q
rpris, avec le sourire sur les lèvres, de trouver une larme sur votre
main
. Chantons-nous ainsi dans nos villes ? XVIII
Chantons-nous ainsi dans nos villes ? XVIII Les demandes de la
main
de Mireille à son père par ses prétendants rempli
Il lui fait présent d’une coupe taillée dans le buis, ciselée de ses
mains
pendant les longs loisirs solitaires du pâturage.
ombat cette pensée comme un ridicule orgueil. « Les cinq doigts de la
main
, dit-il, mon enfant, ne sont pas tous égaux. Le m
son lit, couchée, qui pleure toute la nuitée avec son front dans ses
mains
jointes. Notre Dame d’amour, dites-moi ce que je
eut-être… « Si un pauvre garçon me plaisait, si Vincent demandait (ma
main
), vite, vite on me marierait !… Ô mon beau Vincen
t les boucles éparses, « Vite les rassemble et les retrousse à pleine
main
, les enveloppe d’une dentelle fine et transparent
ur, de s’en couvrir la tête… « Cela fini, l’ardente fille prend à la
main
sa chaussure ; par l’escalier de bois, sans faire
bis, les pâtres de son père allaient traire déjà, et les uns, avec la
main
, tenant les brebis par le museau, immobiles devan
sortit tout à coup de ses nœuds gonflés de vie comme un glaive qu’une
main
robuste tire du fourreau pour le faire reluire au
u ! tout beau ! » lui disait M. de Saint-Pol, lui faisant signe de la
main
et l’avertissant que ce n’était pas l’usage. Le r
asion que c’est une faiblesse au duc de Guise de vouloir écrire de sa
main
tous ses ordres pour les tenir plus secrets ; et
t faisons ! car il me semble que cela serait mieux accommodé de notre
main
(j’entends du fait de la guerre) que non pas des
t de soldats plus résolus que ceux-là ; ils ne désirent que mener les
mains
. Il poursuit son dénombrement par les Suisses, d
and ils verront ceux-ci, Gascons et Suisses, mener vigoureusement les
mains
. C’est son mot favori ; et il n’oublie pas de nou
: pensez donc, quand nous aurons les deux bras libres et le fer en la
main
, s’il sera aisé et facile de nous battre ! Sa co
nous dit celui-ci, pour l’avoir été en ce jour de bataille, et de la
main
d’un tel prince. » Un mécompte amer suivit de prè
t ce qui est utile et commandé par les besoins de l’armée, travail de
main
de quelque genre que ce soit, ne peut faire tache
a fort volontiers, mais je n’en trouvai pas un qui y voulût mettre la
main
. Voyant leur refus, pour les convier par mon exem
les leurs… Comme je m’en vins à la courtine, je commençai à mettre la
main
le premier à remuer la terre, et tous les capitai
ndemain matin, deux autres compagnies demandèrent à y venir mettre la
main
, puis le surlendemain toutes les autres ; si bien
faire des choses sanglantes ; il en dit son mea culpa : « J’avais la
main
aussi prompte que la parole. J’eusse voulu, si j’
ans la pose des pièces d’artillerie, à quoi il excellait, il avait la
main
à la besogne pour qu’elle fût mieux et plus sûrem
nsac ; mais celui-ci ne sut point s’y prendre et se laissa tomber aux
mains
des ennemis en essayant d’arriver à Sienne : « S’
, le prieur de Capoue, tué en Toscane, dans une reconnaissance, de la
main
d’un paysan qui lui tira une arquebusade de derri
e un buisson : « Voyez quel malheur qu’un grand capitaine meure de la
main
d’un vilain avec son bâton à feu ! » Parlant des
vec son bâton à feu ! » Parlant des piques, hallebardes, épées à deux
mains
, toutes armes blanches, par opposition aux arqueb
dans l’art de la peinture tout le progrès dont il est capable, si sa
main
ne se perfectionne pas en même-temps que son imag
trouver les expressions les plus pathétiques, il faut encore que leur
main
ait été renduë docile à se fléchir avec précision
rien de bien, dit Du Fresnoi, dans son poëme de la peinture, si notre
main
n’est pas capable de mettre sur la toile les beau
. Le génie a, pour ainsi dire, les bras liez dans un artisan, dont la
main
n’est pas dénoüée. Il en est de l’oeil comme de l
isan, dont la main n’est pas dénoüée. Il en est de l’oeil comme de la
main
. Il faut que l’oeil d’un peintre soit accoûtumé d
e tableau sera colorié. Si l’imagination n’a pas à sa disposition une
main
et un oeil capables de la seconder à son gré, il
dédaigne l’artisan même qui l’a peint, tant il trouve l’oeuvre de sa
main
au-dessous de l’oeuvre de son esprit. L’étude néc
vre de son esprit. L’étude nécessaire pour perfectionner l’oeil et la
main
, ne se fait point en donnant quelques heures dist
ui soit bien propre à faire acquerir leur perfection à l’oeil et à la
main
, est le temps où nos organes tant interieurs qu’e
ller. Quoique notre langue soit une organe bien plus souple que notre
main
; cependant nous prononçons toûjours mal une lang
rieuse de son art, parce que l’yvresse de la jeunesse sera passée, sa
main
et ses yeux ne seront plus capables d’en bien pro
nce du ciel sur sa criminelle épouse. Bothwell, à cheval, l’épée à la
main
, parcourut au galop les rues en criant : « Mort a
ssassin de son mari. Bothwell, indépendamment du sang qui tachait ses
mains
, avait trois autres femmes vivantes. Il en fit di
lité poétique, calomnier une reine qui se calomnie ainsi de sa propre
main
? Elle ne refusait à Bothwell qu’une chose : la t
un roi ? — Oui ! dit la reine, et, en signe de ma promesse, voici ma
main
! » Bothwell porta la main à ses lèvres et la bai
ine, et, en signe de ma promesse, voici ma main ! » Bothwell porta la
main
à ses lèvres et la baisa, puis il s’enfuit, suivi
n ; le corps nu et découvert presque jusqu’à la ceinture. « Par cette
main
royale », dit-elle à lord Ruthven et à Lindsay, q
ady Douglas, qui l’habitait, avait été la rivale de Marie Stuart à la
main
du roi d’Écosse. Le château situé au pied du Ben
en même temps découvrir son visage. Pour l’en empêcher, elle leva les
mains
. Il remarqua leur beauté et leur blancheur, qui f
peuple. Son intervention en Écosse dont elle tenait la reine dans ses
mains
, et dont le régent Murray avait tout à espérer ou
ès les premiers jours de son séjour en Angleterre, en caressant d’une
main
Élisabeth, elle nouait de l’autre, avec l’étrange
partienst en fust l’instrument, et encore plus qu’il fust pendu de la
main
d’un bourreau, comme il a mérité ; vous sçavez co
Morton prit la régence à sa place ; il régna en bourreau, le fer à la
main
; il anéantit le parti de la reine par la terreur
ine et d’une femme. On s’étonne de tant d’audace et d’insulte sous la
main
d’une reine captive, à qui un mot d’Élisabeth pou
t suitte, entreprendrons la délivrance de vostre personne royalle des
mains
de vos ennemys. » Marie Stuart répondait, après
me chrétienne qui s’humilie ; ma place est là, dit-elle en tendant la
main
vers le dais, je suis reine dès le berceau, et le
en ceste infortunée isle ; et, bien que jamais bourreau n’ait mis la
main
en nostre sang, n’en ayez honte, mon amy, car le
da l’argent et les bijoux qui lui restaient. Elle les distribua de la
main
et du cœur. Elle adressa ses adieux à chacun avec
ère robe, pour ce dernier cérémonial de la royauté. « Pendant que ces
mains
amies l’habillaient, Marie fut silencieuse. « Qua
L’officier de justice entra en habit de deuil, le bâton blanc dans la
main
droite, et s’inclinant devant la reine, il dit à
oux versait des torrents de larmes. Marie l’ayant relevé, lui prit la
main
et se penchant vers lui, elle l’embrassa. « Adieu
nesse. L’assemblée fut éblouie. Elle tenait un de ses chapelets d’une
main
et le crucifix de l’autre. Le comte de Kent lui d
son cœur. — Et comment, reprit vivement la reine, l’aurais-je dans la
main
si je ne l’avais pas dans le cœur ? » Pawlet l’ai
e descendre l’échafaud, où toutes deux s’attachaient à sa robe, à ses
mains
qu’elles baignaient de larmes, elle leur adressa
x, disant à chaque étreinte : « Seigneur, je remets mon âme entre vos
mains
. » Elle s’agenouilla de nouveau, et s’inclina sur
frappant de la hache au troisième verset. La hache tremblant dans sa
main
ne fit qu’effleurer la nuque. Elle gémit. Le bour
t le prix avéré du crime ; enfin, qu’elle l’ait absous en unissant sa
main
à la main du meurtrier, aucun doute sur tout cela
avéré du crime ; enfin, qu’elle l’ait absous en unissant sa main à la
main
du meurtrier, aucun doute sur tout cela n’est pos
que cette interrogation inattendue avait suspendue un moment entre la
main
et les lèvres ; il regarda amoureusement le front
Était de ces beautés qu’on ne peut égaler ; Sourcils noirs, blanches
mains
, et pour la petitesse De ses pieds, elle était An
rnières, S’accroupir vers le soir de vieilles filandières, Qui, d’une
main
calleuse agitant leur coton, Faibles, sur leur ge
eva le bras. Cette seule ébauche du paysage trahissait dans la jeune
main
un vrai poète. Cela n’égale pas en grâce, mais ce
ant et poète. Lisez le portrait de Juana, vous le diriez tracé par la
main
de Byron ou d’Hugo, non du Byron de Don Juan, mai
dans les ténèbres. Quand le jeune étranger s’arrêta sur le seuil. Sa
main
n’écarta pas son long manteau de deuil Pour puise
sous les sombres arcades, Les pieds dans la rosée, et son masque à la
main
, Une nuit de printemps joue avec le matin. Nul br
A-t-elle pu tomber et se faner si vite, Pour avoir une nuit touché ma
main
maudite ? Après cette exclamation où le remords
lques chansonnettes vêtues de mantilles espagnoles et la guitare à la
main
. Elles appartiennent à une littérature trop débra
des prophètes du cœur. VII La note du cœur ? il l’avait sous la
main
, il la laissait dormir. Quels accents de ce siècl
la nuit). — Ses petits bras lassés Avaient dans son panier roulé les
mains
ouvertes. D’herbes et d’églantine elles étaient c
er sur la fleur d’un buisson. Nous étions seuls. — J’ai pris ses deux
mains
dans les miennes. Je me suis incliné, — sans l’év
pars la couvrent tout entière. La croix de son collier repose dans sa
main
, Comme pour témoigner qu’elle a fait sa prière, E
e Le ciel sur la beauté répandit la pudeur. Elle dort toute nue et la
main
sur son cœur. Les pas silencieux du prêtre dans
Quinze ans ! — l’âge où la femme, au jour de sa naissance, Sortit des
mains
de Dieu si blanche d’innocence, Si riche de beaut
uisseaux de sang se déchiraient les nues ; Tel, quand Jésus cria, des
mains
du ciel venues Fendirent en lambeaux le voile aux
ont aussi leur poussière ; Sur leurs restes sacrés ne portons pas les
mains
. Pourquoi, dans ce récit d’une vive souffrance, N
ses fils sur sa poitrine ; Il ne lui reste plus, s’il ne tend pas la
main
, Que la faim pour ce soir, et la mort pour demain
emples secrets, la Vénus impudique Sortait échevelée, une torche à la
main
. Dieu juste ! pleurer seul par une nuit pareille
ante clarté ? Non, tu n’en savais rien, je n’ai pas vu ton ombre ; Ta
main
n’est pas venue entr’ouvrir ton rideau. Tu n’as p
tte rue obscure, Assis sur une borne au fond d’un carrefour, Les deux
mains
sur mon cœur, et serrant ma blessure, Et sentant
ce n’est plus le temps de se retourner et de lui dire : donne-moi la
main
, nous sommes de la même famille ! Il ne donne la
amais touché comme Musset à ce fer chaud de la politique qui brûle la
main
des orateurs et des hommes d’État ! Omnia vanita
caisson qui gronde, Ces ponts qu’un peuple à l’autre étend comme une
main
; Les bombes et l’obus, arc-en-ciel des bataille
dans les bois, pour m’apporter le courrier de Paris, me remit dans la
main
un numéro de Revue littéraire. Ce numéro contenai
t ; Maintenant que mes jours et mes heures limpides Résonnent sous la
main
comme des urnes vides, Et que je puis en paix les
rire moqueur, D’où vient ce cri plaintif arraché de ton cœur ? Quelle
main
, de ton luth en parcourant la gamme, A changé tou
it le son du cœur humain ? Est-ce qu’un pli de rose aurait froissé ta
main
? Est-ce que ce poignard d’Alep ou de Grenade, Po
Musset et moi, car un nouvel incident m’arracha encore la plume de la
main
, et dans mon impatience d’être ainsi interrompu,
i je t’avais lu, je t’aurais adressé la parole, je t’aurais touché la
main
, je t’aurais demandé ton amitié, je me serais att
tissant et d’indulgent à l’amitié, et qu’elles semblent inviter notre
main
à soutenir ce qui chancelle et à relever ce qui t
ses rides. Que t’a-t-il manqué ? un ami, pour t’arracher aussi d’une
main
impitoyable quelques pages qui sont du talent, ma
inféoder le royaume ; les oscillations de son gouvernement, jeté, des
mains
prudentes de M. de Villèle, aux mains conciliante
de son gouvernement, jeté, des mains prudentes de M. de Villèle, aux
mains
conciliantes de M. de Martignac, pour passer aux
e Villèle, aux mains conciliantes de M. de Martignac, pour passer aux
mains
égarées de M. de Polignac ; l’abolition de la gar
sir à ma philosophie Révèle assez des cieux intelligents. Le verre en
main
, gaîment je me confie Au Dieu des bonnes
e sacrifie ! Moi, qui ne crois qu’à des dieux indulgents, Le verre en
main
, gaîment je me confie Au Dieu des bonnes
is qu’on déifie ! Moi, pour braver des maîtres exigeants, Le verre en
main
, gaîment je me confie Au Dieu des bonnes
s défie ; Mais les destins et les flots sont changeants : Le verre en
main
, gaîment je me confie Au Dieu des bonnes
n, « Peuples, formez une sainte alliance, « Et donnez-vous la
main
. « Pauvres mortels, tant de haine vous lasse ; «
n. « Peuples, formez une sainte alliance, « Et donnez-vous la
main
. « Chez vos voisins vous portez l’incendie ; « L
n. « Peuples, formez une sainte alliance, « Et donnez-vous la
main
. « Des potentats, dans vos cités en flammes, « O
n. « Peuples, formez une sainte alliance, « Et donnez-vous la
main
. « Que Mars en vain n’arrête point sa course : «
n. « Peuples, formez une sainte alliance, « Et donnez-vous la
main
. Les vers sont de cette correction classique et
a même date, sont un cri consolateur de patriotisme qui relève par la
main
de la poésie la patrie de sa prostration d’un jou
te Nous nous faisions d’un souverain ! Quoi ! pour le sceptre une
main
défaillante ! Pour la couronne un front chagr
s dans le secret des dieux. Pauvre soldat, je reverrai la France : La
main
d’un fils me fermera les yeux. Il fatiguait la V
uronne un front victorieux. Pauvre soldat, je reverrai la France : La
main
d’un fils me fermera les yeux. Dès qu’on signale
patrie adresse ses adieux. Pauvre soldat, je reverrai la France : La
main
d’un fils me fermera les yeux. Grand de génie e
e et d’un monde trop vieux. Pauvre soldat, je reverrai la France ! La
main
d’un fils me fermera les yeux. Bons Espagnols, q
u jour abandonne les cieux. Pauvre soldat, je reverrai la France : La
main
d’un fils me fermera les yeux. Indépendamment de
er même sa situation. Il fallait s’abstenir, s’éloigner, se laver les
mains
des fautes ; mais, aux jours des revers, il falla
ousiasme grave et profond qui faisait encore vibrer le papier sous la
main
du patriote. Elle était longue ; elle contenait d
le croira-t-on ? jusqu’aux larmes de situation, en pressant mes deux
mains
dans les siennes. J’étais resté respectueux, ému,
cience est au-dessus même des opinions ! Continuez, et lavez-vous les
mains
de leurs coalitions ! Ces hommes ne sont pas des
stie napoléonienne, vous ne le pouviez pas : vous n’aviez pas sous la
main
le rejeton, et l’Europe à ce moment aurait vu dan
en 1848, qu’il fallait rétablir une royauté, et si j’avais eu dans la
main
un enfant-roi, héritier légal d’un trône séculair
La vieille Europe a perdu ses remparts. Viens de trésors combler mes
mains
avides ; Viens reposer dans l’asile des arts. Ret
magister fille adorée, Par son bon cœur elle plaisait. J’ai pressé sa
main
blanche et douce En dansant sous le marronnier. D
le et je ne suis point bourgeoisie ; je suis vieux et je n’ai plus la
main
assez ferme pour résister à une multitude qui ten
he de m’y conformer le plus que je peux par ma charité d’esprit et de
main
(quand, hélas ! ma main n’est pas vide) envers le
lus que je peux par ma charité d’esprit et de main (quand, hélas ! ma
main
n’est pas vide) envers les hommes, et surtout env
que même eût été à l’instant dépopularisée par un pareil acte dans la
main
des républicains. Je ne suis pas de ceux qui vous
s’arrêtant tout à coup comme saisi au pan de sa redingote par quelque
main
invisible, et prenant à deux mains son gros bâton
au pan de sa redingote par quelque main invisible, et prenant à deux
mains
son gros bâton de bois blanc à pommeau d’ivoire,
récompense. » Mais les larmes de la belle enfant mouillaient déjà ses
mains
. Puis deux vieux concierges infirmes, l’un souten
aconte qu’elle le surprit quelquefois agenouillé dans sa chambre, les
mains
jointes sur le bord du lit, comme l’enfant qui se
feu. « Ah ! que vous me faites de bien ! » reprit-il en me serrant la
main
dans ses deux mains. « Je m’en irai plus content
s me faites de bien ! » reprit-il en me serrant la main dans ses deux
mains
. « Je m’en irai plus content si je vous laisse, v
doux sourire. — « C’est un adieu », me dit-il en me tendant sa grosse
main
et en serrant fortement la mienne. — « Oui », lui
tes-moi souvent donner de vos nouvelles par M. Antier, qui sera votre
main
et votre cœur. » « — Eh bien ! adieu ! me répéta-
r d’imprimerie de M. Laisney, prenant dans le casier et maniant d’une
main
novice ces lettres qui contiennent toute l’âme de
portant à ces misères, qu’il a connues lui-même, l’assistance dans la
main
, la charité dans le cœur, le sourire de l’espéran
charges d’Auvergnat. Et nous revenons avec Monselet, tenant dans une
main
un paquet de rillettes de Tours, enveloppé dans d
ric-à-brac historique. Et c’est le marteau de Louis XVI forgé par ses
mains
royales, et c’est le sablier de Henri I II, et ce
une jupe sombre : toutes jeunes, quelques-unes presque jolies, et les
mains
soignées, et coquettement coiffées et attifées, d
monde qui se traîne ou demeure, la tête baissée sur la poitrine, les
mains
prenant appui sur les nœuds des genoux. Et c’est
t toute droite, osseuse et solide, les maigres et dures phalanges des
mains
nouées autour d’une jambe croisée par-dessus l’au
se hâte de rapporter les lettres. Mais pas plus d’édition que sur la
main
. Feuillet de Conches fait le siège de H… pour ce
anchant coquettement, elle tient au-dessus de sa tête, entre ses deux
mains
, toute une rangée de livres. — Au diable, à tous
guillochées, les bibelots qu’il touche et retouche avec la fièvre des
mains
tâtillonnantes d’un enfant, qui aurait hérité d’u
voyant des milliers de têtes dont le nez est ainsi tourmenté par des
mains
au bout de bras n’appartenant à personne. » Oc
tats, ses essais, et même une partie de ses dessins. Il semble qu’une
main
du passé ait tenu la pointe du graveur, et que mi
montra une terre cuite de Clodion, un bas-relief, haut comme les deux
mains
, représentant une femme sortant du bain, des part
ut, de face, près d’un brûle-parfums, en train de tordre, de ses deux
mains
ramenées en arrière, ses cheveux mouillés, en deu
roduit dans une salle à manger, où sont encadrées, sur fond noir, des
mains
découpées sur du papier blanc et ponctuées de lig
de lignes, et margées d’annotations tracées à la plume. Il y a là, la
main
de Robespierre, la main de l’Empereur, la main de
annotations tracées à la plume. Il y a là, la main de Robespierre, la
main
de l’Empereur, la main de l’Impératrice, la main
a plume. Il y a là, la main de Robespierre, la main de l’Empereur, la
main
de l’Impératrice, la main de Mgr Affre, tué sur l
n de Robespierre, la main de l’Empereur, la main de l’Impératrice, la
main
de Mgr Affre, tué sur les barricades, enfin la ma
l’Impératrice, la main de Mgr Affre, tué sur les barricades, enfin la
main
de Mme de Pompadour, qui semble jointe aux autres
ades, enfin la main de Mme de Pompadour, qui semble jointe aux autres
mains
, pour les filles qui font antichambre dans cette
d’un épisode de l’existence : toutes ces allégories dessinées par une
main
ignare du dessin, mais burlesquement fantastiques
ifs et anthropophages. Alors, avec un geste impérieux — l’index de la
main
droite plongeant dans le rayon lumineux, et comme
ide. Tombées à genoux aux pieds de l’homme noir, elles levaient leurs
mains
vers ses mains, le conjurant de nous laisser vivr
genoux aux pieds de l’homme noir, elles levaient leurs mains vers ses
mains
, le conjurant de nous laisser vivre, et lui expli
s sur nos genoux vers le châtaignier en lui faisant un rempart de nos
mains
étendues, en l’embrassant de nos bras, de nos poi
sa cousine. Il jeta son fagot pour courir plus vite, et, tenant à la
main
le hacheron qui lui servait à couper les genêts e
oi, que ce jeune insensé s’est opposé avec violence, et une arme à la
main
, à l’abattement de l’arbre, et qu’il fait opposit
de sa tempe. Hyeronimo alla puiser de l’eau dans le creux de ses deux
mains
pour laver et démêler ses beaux cheveux blonds, h
ssant de colère contenue, que quand il s’était jeté, sa hachette à la
main
, seul contre dix hommes armés. Fior d’Aliza ne le
e sein de sa mère. Quant à moi, je mis ma tête aveugle entre mes deux
mains
, sur mes genoux tout tremblants, et je pressentis
ui pense l’emmener dans sa maison, est un charbon ardent qui brûle la
main
et qui ne laisse pas dormir celui qui ne craint p
de l’autre côté du champ, et trois sbires, leurs fusils fumants à la
main
, qui sortent avec de grands cris de la sapinière
te bête est bien guérie, monsieur, dit l’aveugle en m’indiquant de la
main
le petit chien, aussi alerte que s’il avait eu se
. Un boiteux, monsieur, ajouta-t-il en souriant et en caressant de la
main
la soie de Zampogna, n’est-ce pas assez pour un a
le précipitèrent à leurs pieds dans la poussière, et lui lièrent les
mains
derrière le dos avec les courroies de leurs fusil
aible lueur de jour naissant qui me reste dans les yeux, j’étendis la
main
du côté où je l’entendais remuer, pour démêler, c
et qui se déroulaient jusque sur ses deux épaules, je sentis sous ma
main
une tête toute ronde et tout frais tondue, qui ch
mme quelqu’un qui a honte et qui baisse le visage ; je crus rêver. Ma
main
glissa du front sur le cou ; ce fut bien une autr
sieur : au lieu de cette douce peau blanche d’enfant qui caressait la
main
comme une feuille lisse et fraîche de muguet, qua
sans répondre ni à moi ni à sa tante ; elle tenait sa tête entre ses
mains
et se cachait les yeux avec les belles tresses co
nait comme la feuille du tremble quand, par hasard, il fallait que sa
main
touchât la mienne en jetant les panouilles de maï
nue, et je me dis : « Ils en tueront deux ou je l’arracherai de leurs
mains
; allons !… » Son ange gardien était entré en moi
ntôt un peu trop court, tantôt un peu trop large pour ma taille ; mes
mains
, adroites et promptes comme la fièvre qui me batt
avail des hommes ; mais en mendiant pour vous, je ne serai qu’une des
mains
de Dieu qui reçoit du cœur pour rendre à la bouch
s nos cœurs. Il dit enfin que, caché en silence derrière la porte, la
main
sur le loquet, il avait tout entendu de ma résolu
a en attendant, et où trouveras-tu, sans un baïoque seulement dans la
main
, un asile pour reposer ta tête ? CXXXIX Tou
semblent défier la création par son image, et si vous demandez quelle
main
de Prométhée moderne a jeté derrière lui ces gout
de sa nourrice et à ces outils de sculpteur avec lesquels ses petites
mains
jouaient dès le berceau. Les plus grandes vocatio
aillou qui leur ferme la route ou d’une rigole qui la favorise par la
main
d’un enfant sur la pente où ils doivent couler.
nourrice le prédestinaient. On le surprenait toujours le crayon à la
main
, dessinant des figures sur ses livres. Son père e
manié depuis la maison de sa nourrice, égala en peu de jours dans ses
mains
les prodiges de son pinceau chez Ghirlandaïo. Lau
que la statuaire romaine. L’art toscan était né de la pensée et de la
main
de cet enfant. Le génie de la sculpture étrusque,
Dante, de Pétrarque et la prose de Boccace. Cet exil, qui reposait sa
main
et cultivait son esprit, cessa par un retour de f
isselantes sur leurs membres, on voyait parmi eux, dit Vasari, par la
main
divine de Michel-Ange, la figure d’un vétéran qui
s figures surnaturelles confessèrent unanimement que jamais, ni de la
main
d’aucun artiste, ni de la main de Michel-Ange lui
èrent unanimement que jamais, ni de la main d’aucun artiste, ni de la
main
de Michel-Ange lui-même, rien n’avait jamais été
salle d’en haut, d’où il arriva que livré avec trop de confiance aux
mains
des artistes, on négligea de le surveiller pendan
sel à cette époque en Italie, qu’un tombeau de marbre, sculpté par la
main
d’un Phidias moderne, paraissait un monument suff
uverte comme une carrière. Les Romains étonnés se demandaient quelles
mains
pouvaient mouvoir et quelle pensée ordonner ces d
chel-Ange s’était construit un atelier pour tailler les statues de sa
main
sur ce champ de bataille. Le pape se plaisait à v
ge, les trésors de la catholicité à sa disposition, le ciseau dans sa
main
, le pape devant lui applaudissant à sa propre apo
héose. La mort de Jules II devança le sépulcre. Le ciseau tomba de la
main
de Michel-Ange. Des nombreuses statues qui devaie
eu qu’on sent derrière l’homme. Il est assis comme l’éternité : d’une
main
, il tient les lois, symbole de la société ; de l’
e. Être enseveli dans un temple et dans des sarcophages décorés de la
main
de Michel-Ange paraissait aux Médicis une fortune
r la perfection du travail du marbre devenu chair et muscles sous ses
mains
, suffiraient pour reporter l’art à son apogée, si
temples dans une si gracieuse attitude, Dormir, a été sculptée par la
main
d’un demi-dieu, Dans ce bloc ; et puisqu’elle dor
t-Pierre de Rome, ne suffisaient pas à l’activité de son âme et de sa
main
. Il sculptait, il peignait, il chantait au bruit
les dessins, les modèles, les ébauches, les reliques sans prix de la
main
de ce grand artiste fussent conservés à sa famill
s cendres atteste à quel degré le culte des arts de l’esprit et de la
main
fanatisait les princes et le peuple à cette époqu
, depuis le front qui conçoit jusqu’au bras qui soulève et jusqu’à la
main
qui taille le marbre. C’est sans doute dans les d
ommence à s’émouvoir ; mais il ne tardera pas à lui palpiter. Quelles
mains
! Quelle mollesse de chair ! Non, ce n’est pas du
pieds ! Qu’ils sont doux et délicats ! Un petit Amour a saisi une des
mains
de la statue, qu’il ne baise pas, qu’il dévore. Q
bonheur, ne te plus rencontrer. Un genou en terre, l’autre levé, les
mains
serrées fortement l’une dans l’autre, Pigmalion e
uisse atteindre à la place du cœur. Il y pose légèrement le dos de sa
main
gauche ; il cherche si le cœur bat ; cependant se
x de sa statue attendent qu’ils s’entrouvrent. Ce n’est plus alors la
main
droite de la statue, mais la gauche que le petit
raient faire manquer le miracle. Pigmalion tiendrait son ciseau de la
main
droite, et le serrerait fortement. L’admiration e
19
Albalat, Antoine.
(1905)
Les ennemis de l’art d’écrire. Réponse aux objections de MM. F. Brunetière, Emile Faguet, Adolphe Brisson, Rémy de Gourmont, Ernest Charles, G. Lanson, G. Pélissier, Octave Uzanne, Léon Blum, A. Mazel, C. Vergniol, etc…
« Appendice »
, Quoique ayant annoncé De bonnes choses, Puisque tu es venu dans nos
mains
. Car si à la vérité nous délivrions Ou renvoyions
t espionner, Ou devant combattre ouvertement ; Mais si dompté par mes
mains
Tu venais à perdre la vie, Toi tu ne serais plus
Il dit, et celui-ci allait Supplier lui Ayant saisi son menton De sa
main
épaisse ; Mais lui le frappa Au cou au milieu, S’
e Lisle Dolon, ne pense pas m’échapper, puisque tu es tombé entre nos
mains
, bien que tes paroles soient bonnes. Si nous acce
our espionner ou combattre ; mais, si tu perds la vie, dompté par mes
mains
, tu ne nuiras jamais plus aux Argiens ? Il parla
la ainsi, et comme Dolon le suppliait, en lui touchant la barbe de la
main
, il le frappa brusquement de son épée au milieu d
Sigelint méritent d’obtenir grande gloire pour leur générosité ; leur
main
fit de grandes largesses, d’où il advint qu’on vi
et le fracas des lances brisées montait jusqu’au ciel. On voyait des
mains
de plus d’un héros les tronçons voler jusqu’au pa
ir sur son enfant bien aimé, qui devait périr, craignait-elle, par la
main
des hommes de Gunther. La noble reine se prit à p
pans, dont le tranchant coupait épouvantablement. « Ils tenaient à la
main
les rênes dorées ; les housses étaient de soie. A
eçurent les hôtes dans le pays de leur seigneur. Ils leur prirent des
mains
leur bouclier et les rênes de leurs destriers. «
’avance si majestueusement. « Il apporte des nouvelles en ce pays. La
main
de ce guerrier a vaincu les hardis Nibelungen, Sc
la servir cent guerriers de leur parenté ; ils portaient l’épée à la
main
: telle était la suite de la cour dans le pays de
une fille. Cela se faisait à la dérobée. « Si en ce moment sa blanche
main
fut pressée par tendre affection de cœur, je l’ig
en son âme tant de joie et si vive que celle que lui fit éprouver la
main
de celle qu’il désirait comme amie. « Maint guerr
ur ces hautes salutations, plus d’un a reçu de graves blessures de la
main
de Sîfrit : et moi-même j’ai éprouvé sa force. Qu
i forte que, dans un combat, je ne puisse la dompter avec cette seule
main
. » « — Ne parlez pas ainsi, dit Sîfrit, sa force
roi. Je ne veux point d’autre prix de mes efforts. « — Sîfrit, en tes
mains
j’en fais le serment, dit Gunther, que la belle B
us voulons, sœur chérie, porter de bons vêtements ; que votre blanche
main
nous aide à les choisir. Que vos femmes les achèv
igne au pays de Brunhilt. » Le très-hardi en fit le serment entre les
mains
de Kriemhilt. « Le puissant guerrier parla : « Si
se croient si braves, qu’on leur apporte leurs armures. Remettez aux
mains
de ces héros leurs armes aiguisées. « Qu’ils soie
omme que je connaisse. Je compte bien lutter dans le combat contre la
main
de qui que ce soit. » « Quand ils reçurent leurs
« Elle entoura de brassards ses bras blancs, saisit le bouclier d’une
main
et leva le javelot. La lutte commençait. Les malh
rraché la vie. Sîfrit s’approcha de lui sans être vu et lui toucha la
main
. Gunther s’aperçut avec inquiétude de son artific
ton ami dévoué. Ne crains rien de la reine. » « Il ajouta : « Que tes
mains
abandonnent ton bouclier ; laisse-le moi porter e
e javelot qu’elle lui avait lancé à travers son bouclier, et sa forte
main
le brandit à son tour. « Mais il se dit : « Je ne
ente pays, dit-il, je recevrais encore avec plaisir des dons de votre
main
. « — Eh bien ! qu’il en soit fait ainsi », dit la
t s’avança pour recevoir dame Brunhilt et sa suite. De leurs blanches
mains
on les vit écarter les tresses de leurs cheveux q
utes descendues sur le sable, maints jeunes guerriers menèrent par la
main
maintes vierges richement vêtues. Ces nobles jeun
es fêtes et des festins, accorde à Sîfrit le prix de ses services, la
main
de la jeune Kriemhilt. Le héros et la belle fianc
conquête, Brunhilt s’indigne, résiste, et lui liant les pieds et les
mains
avec sa forte ceinture, elle le suspend à un clou
dignes d’admiration. La belle Kriemhilt parla : « J’ai un époux, à la
main
duquel toutes les terres de ce royaume devraient
s les Burgondes se former en cercle. « Sîfrit, le très-hardi, leva la
main
pour le serment. L’opulent roi reprit la parole :
nos jours. « Tout ce que le chien faisait partir était abattu par la
main
de Sîfrit, le hardi, le héros du Niderlant. Son c
cices il était excessivement adroit. La première bête qu’il tua de sa
main
fut un sanglier. Bientôt après il trouva un monst
que son carquois était plein de flèches, dont le fer, large comme la
main
, était attaché au bois par des plaques d’or. Tout
suivre, si ce n’est l’époux de Kriemhilt, qui l’atteignit l’épée à la
main
et le frappa à mort. On rapporta le monstre auprè
tention perfide. « On chargea sur des chariots les bêtes tuées par la
main
de Sîfrit, et on les transporta à travers le pays
la longue pique lui sortait du cœur. Le chef croyait trouver sous sa
main
son arc et son épée : Hagene eût été récompensé s
ts. Ah ! qu’il eût voulu se venger, le noble hôte ! « Soudain, par sa
main
, Hagene est abattu. La clairière retentit bruyamm
it son maître. Il porta dans la chambre le flambeau qu’il tenait à la
main
; à sa lueur, dame Kriemhilt allait reconnaître l
e l’a exécuté. » « Elle se fit conduire là où gisait le héros. De ses
mains
blanches elle souleva sa tête si belle. Quoique r
à bas de sa couche, ainsi que cent de ses hommes, qui armèrent leurs
mains
de leurs armes longues et acérées. Ils accoururen
sse, elle craignit tellement de voir succomber les Nibelungen sous la
main
des fidèles de son frère, qu’elle les arrêta. Ell
suite sur les bords du Rhin. Le roi Gunther prit l’ambassadeur par la
main
, il le conduisit lui-même à son trône, et fit ven
Etzel en fut réjoui. « J’ignore ce qu’Etzel dit en ce moment. Dans sa
main
droite il tenait la blanche main de la reine. Ils
e qu’Etzel dit en ce moment. Dans sa main droite il tenait la blanche
main
de la reine. Ils étaient assis côte à côte, tendr
îch. Il distribua tout ce que le fils de Botelung lui avait donné. La
main
du bon Ruedigêr fit aussi des merveilles. « Le pr
furent brisés par les lances que les héros portaient en leurs fortes
mains
. Le roi Etzel se mit en marche vers le Hiunen-lan
« Chacun lui offrit son loyal service ; la reine distribua à pleines
mains
de l’or et des vêtements, de l’argent et des pier
uissait dans le Nibelungen-lant, où elle était si puissante, quand la
main
d’Hagene l’en dépouilla en tuant Sîfrit, et elle
e souvent Gîselhêr, son frère, marchait à ses côtés, la tenant par la
main
. Elle l’embrassait fréquemment dans son doux somm
vons fait : nous devons toujours nous défier de Kriemhilt ; car de ma
main
, j’ai donné la mort à son époux. Comment oserions
entre tendu en devant, la tête ébouriffée et renversée en arrière, la
main
gauche fièrement appuyée sur le pommeau de son ép
ui chantent dans les rues, montés sur des escabeaux, la baguette à la
main
, à côté d’une longue pancarte attachée à un grand
de sa femme ; la voilà qui dort. Comment son bon ange lui retient la
main
lorsqu’il allait tuer sa femme. Voilà le bon ange
le voilà qui a le couteau levé. Voilà le bon ange qui lui retient la
main
, etc., etc. Je lui garantis l’entreprise de toute
et sortant du fond, un soldat relève Saül, le secourt en appuyant une
main
entre ses épaules et l’autre sur sa poitrine. Sur
du en l’air est vraiment hors de la toile ; l’autre bras ainsi que la
main
sont bleuâtres, ce qui suppose, contre la vérité,
ène, et puis cela est peint gris et symmétrisé. Ce prêtre parle de la
main
et se tait de la bouche. Sa raide soutane a été e
n. Ceux qui touchent au plan général et commun sont à la portée de la
main
, ils sont persécutés ; ceux qui s’en élèvent à un
sensation volumineuse : qu’on vous jette un peu d’eau froide sur les
mains
, puis qu’on vous plonge tout entier dans l’eau fr
’espace, vous n’arriveriez jamais à distinguer les cas où c’est votre
main
seulement qui est affectée et ceux où c’est votre
en aurions-nous besoin pour la quantité extensive ? Mettez une seule
main
dans l’eau froide, vous éprouverez une certaine s
eau froide, vous éprouverez une certaine sensation. Mettez-y les deux
mains
, vous éprouverez une nouvelle sensation. Est-ce s
lus intense, mais autre chose. Maintenant, au lieu de mettre vos deux
mains
dans de l’eau froide, mettez-les dans de l’eau ch
à ses deux extrémités par quelque obstacle, comme le mouvement de la
main
par les deux côtés d’une boite, il en résulte une
e boite, il en résulte une première détermination. Si nous passons la
main
sur la surface, et si nous jugeons que deux point
ces où vous ne pouvez pas compter et distinguer les cinq doigts d’une
main
, et où cependant le plus léger mouvement d’un des
endamment même de tout mouvement, comme quand on vous touche les deux
mains
à la fois ; mais cette différence n’apparaîtrait
ent spatiale, comme une différence de position, si le mouvement de la
main
gauche venant toucher la main droite ne se joigna
ence de position, si le mouvement de la main gauche venant toucher la
main
droite ne se joignait pas aux signes locaux. D’au
joignait pas aux signes locaux. D’autre part, le mouvement seul de la
main
ne nous donnerait pas l’idée d’espace si les dive
le de notre corps et à son extension vaguement sentie. Mais, quand ma
main
droite se meut le long de ma main gauche, j’ai un
on vaguement sentie. Mais, quand ma main droite se meut le long de ma
main
gauche, j’ai une série à ordre fixe de sensations
r vous donne, comme la vue, la juxtaposition sans pénétration : votre
main
étendue sur la table, ou enveloppant une boule, s
se confondent pas, qui s’étalent en surface. Malgré cela, tant que la
main
est immobile, le tout est encore très vague ; mai
ants après avoir ôté ce bandeau, l’interne avait montré à Marie V… sa
main
. « L’enfant, naturellement, n’avait pas pu la rec
u la reconnaître, mais, l’ayant touchée, elle avait dit : « C’est une
main
» ; et depuis, toutes les fois qu’on lui montrait
C’est une main » ; et depuis, toutes les fois qu’on lui montrait une
main
, elle la reconnaissait tout de suite sans le seco
ué en face de nous devenir plus grand, puis être à la portée de notre
main
, qui, tout à l’heure, ne pouvait le toucher et ma
sions en les engloutissant toutes à la fois. La bouche, l’estomac, la
main
, sont les vrais cadres natifs ou moules de nos se
nts, il retrouve le sein maternel derrière la robe et le palpe de ses
mains
. Quand il s’agit d’objets assez petits pour être
il s’agit d’objets assez petits pour être tout entiers enserrés d’une
main
, les impressions cutanées de résistance se dispos
sont jamais si nettes que quand nous les réalisons. En poussant de la
main
un objet dont nous sentons la surface résistante,
sations différentes ayant le même signe local, par exemple froid à la
main
ou bien chaleur à la main, ou les mêmes sensation
le même signe local, par exemple froid à la main ou bien chaleur à la
main
, ou les mêmes sensations avec un signe local diff
sensations avec un signe local différent, (froid au pied, froid à la
main
), nous finissons par avoir dans notre conscience
jusqu’ici avec la riante et naïve imagination, va torturer de la même
main
les fibres les plus sanglantes du cœur ! Théocrit
el à la terre avec la souplesse et la prestance d’un demi-dieu. D’une
main
il portait le monde antique, de l’autre le monde
re. Méphistophélès. Penses-y bien ! Pense qu’un meurtre commis par ta
main
sur ce brave soldat, son frère, est encore là tou
e-toi de la clef de la prison pendant sa léthargie. Entraîne-la de ta
main
seule dehors ! Je veille, les chevaux sont prêts,
i comme à moi ? Oui, à toi. C’est toi ! je le crois à peine. Donne ta
main
! Ce n’est pas un songe ! Ta main chérie ! Ah ! m
toi ! je le crois à peine. Donne ta main ! Ce n’est pas un songe ! Ta
main
chérie ! Ah ! mais elle est humide ; essuie-la. I
ression de la grâce, il n’y avait eu que Goethe pour créer de la même
main
, du même ciseau et du même bloc, Faust et Marguer
ssière, comme ils ont le visage enflammé ; chacun a son mouchoir à la
main
, pour essuyer la sueur de son front. Je ne voudra
voiture marchait d’un pas ferme et souple une jeune fille tenant à la
main
une longue baguette armée de l’aiguillon et condu
s qui sont là dans les coffres ; je veux remettre tout cela entre tes
mains
; je suis plus sûr que, de cette manière, ses int
le mur qui séparait notre cour de la vôtre était tombé. Tu me pris la
main
et tu me dis : “Lise ! comment fais-tu pour venir
de ses habits, il a laissé échapper, par confusion, son chapeau de sa
main
, et il est sorti pour jamais de cette maison moqu
ville. Il était assis, le dos tourné à la maison, le visage dans ses
mains
, sous un débris de treille dont les grappes et le
ique et laborieux d’Herman. La mère, qui entre tenant son fils par la
main
, parle pour lui à son mari avec une adresse inspi
e, et allez vous informer si la jeune exilée est vraiment digne de la
main
que je lui présente. Si je n’avais que moi à cons
s nouvelles ; mais Herman, maintenant, commence à trembler de voir sa
main
refusée par la jeune fille, dont le cœur est peut
ailleurs. « Je crains, leur dit-il, qu’elle n’ait déjà frappé dans la
main
d’un heureux jeune homme de son pays, et je me vo
revoir avec joie. « En disant ces mots, il remit les rênes entre les
mains
du pasteur, qui, maîtrisant les chevaux, monta da
ps ne semblent pas trop en sûreté si les rênes sont remises entre les
mains
d’un ecclésiastique. « — Asseyez-vous, répond le
iant, et confiez-moi sans crainte votre corps ainsi que votre âme. Ma
main
est depuis longtemps exercée à tenir des rênes, e
eposer un instant, et il allait lui ouvrir son cœur en lui prenant la
main
; mais, en sentant au doigt de la jeune fille l’a
lle qui les obscurcit ; elle s’avance à pas tremblants en appuyant sa
main
sur l’épaule d’Herman. La lune projetait à traver
paquet avec lequel elle était venue ; mais la mère la saisit des deux
mains
et lui dit avec étonnement : « “Que signifient ce
vaient de pareils poèmes à feuilleter les jours de loisir entre leurs
mains
au lieu des saletés cyniques de leurs corrupteurs
en eux ? Madame Royale (ainsi nommait-on la duchesse mère qui prit en
main
la Régence) tint toute la première, à l’égard de
t Louvois voulaient plus : ils entendaient avoir le Piémont dans leur
main
, à leur dévotion, pour leurs projets sur la Pénin
ciation aux ennemis. La Régente informée avertit Louvois et donna les
mains
à l’arrestation qu’on fit de Mattioli conduit adr
t de répulsion et presque d’aversion. Admis, le soir, à lui baiser la
main
, selon l’étiquette, et rarement le visage, il lui
renier, qu’il allât servir le roi de France, etc. » On arracha de ses
mains
le jeune homme tout meurtri et qui n’osait se déf
oyale peinte en miniature, très ressemblante, environ grande comme la
main
, accompagnée des Vertus, avec ce qui la fait reco
te troupe est fort agréable. Madame Royale montre à son fils, avec la
main
droite, la mer et la ville de Lisbonne. La Gloire
ûretés en se donnant toute à la France ; il essayait de lui forcer la
main
pour qu’elle livrât au roi places et citadelles d
ture, se retournait un matin de son côté, lui faisait conseiller sous
main
de se tirer de la tutelle où il était, et lui off
ans d’autres intérêts que les siens ; qu’il ne se marierait que de sa
main
, et que, se tenant dans ces termes et que faisant
trop les suites. Les réactions, ainsi motivées et préparées de longue
main
, seront terribles. La révocation de l’Édit de Nan
sé par le butin. M. le duc de Savoie a autour de 8,000 âmes entre ses
mains
. J’espère que nous ne quitterons point ce pays-ci
ris étant les plus faibles. Ceux que l’on peut prendre les armes à la
main
, et qui ne sont pas tués, passent par les mains d
prendre les armes à la main, et qui ne sont pas tués, passent par les
mains
du bourreau. » Exécration ! voilà ce que le guer
tte considération qui, pour un prince, s’acquiert surtout l’épée à la
main
. Il a hâte de se mesurer avec ce capitaine estimé
s de l’air et aux insectes, qui font justice du papier noirci par une
main
novice, dans un coffre de mon grenier de Milly. J
it donnée ; c’était rue de Rivoli, 16 ou 26. Je remis ma lettre d’une
main
toute tremblante dans la loge du portier de Talma
appa à ma porte et me remit un billet de Talma. Il me répondait de sa
main
, avec une bonté aussi parfaite qu’elle était prom
cordialité et la promptitude d’une réponse si gracieuse, faite de la
main
du grand homme de la scène à un jeune homme incon
dire votre nom ? » ajouta-t-elle en tenant toujours sa belle et large
main
sur la serrure. Je lui dis mon nom. « Entrez, Mon
environ trois quarts d’heure, sans que sa vaste tête, appuyée sur sa
main
, donnât aucun signe ni de lassitude ni d’approbat
s venez d’en entendre une. Seriez-vous assez bon pour me tendre cette
main
et pour m’aider à parvenir sur la scène ? » IX
: « Prends un siège, Cinna ! » Puis il essuya ses yeux d’un revers de
main
. « Vous m’attendrissez », me dit-il, « avec ces i
être. « — C’est prodigieusement beau », me dit-il en passant sa large
main
sur son front, « mais c’est prodigieusement diffi
iré d’une théocratie souveraine, qui régnait, comme en Égypte, par la
main
des rois auxquels il intimait les ordres de Dieu.
ous, devant l’autel avec ordre introduits, De leurs champs dans leurs
mains
portant les nouveaux fruits, Au Dieu de l’univers
sprit. De princes égorgés la chambre était remplie ; Un poignard à la
main
, l’implacable Athalie Au carnage animait ses barb
enne un jour qu’au rang de ses ancêtres Dieu l’a fait remonter par la
main
de ses prêtres, L’a tiré par leur main de l’oubl
Dieu l’a fait remonter par la main de ses prêtres, L’a tiré par leur
main
de l’oubli du tombeau, Et de David éteint rallumé
ais qu’au juste héritier le sceptre soit remis ! Livre en mes faibles
mains
ses puissants ennemis ! Confonds dans ses conseil
eu des Juifs l’emporte aussi sur toi. Je te plains de tomber dans ses
mains
redoutables, Ma fille. » En achevant ces mots épo
Son ombre vers mon lit a paru se baisser ; Et moi, je lui tendais les
mains
pour l’embrasser… Mais je n’ai plus trouvé qu’un
, et qu’on n’a point revue. Athalie. Mais de vos premiers ans quelles
mains
ont pris soin ? Joas. Dieu laissa-t-il jamais, s
e sa loi ; Dans son livre divin on m’apprend à la lire, Et déjà de ma
main
je commence à l’écrire. Athalie. Que vous dit cet
des misérables. Enfin au dieu nouveau qu’elle avait introduit Par les
mains
d’Athalie un temple fut construit. Jérusalem pleu
èdres ! jetez des flammes. Jérusalem, objet de ma douleur, Quelle
main
en un jour t’a ravi tous tes charmes ? Qui change
Dieu de toutes parts a su t’envelopper, Ce Dieu que tu bravais en nos
mains
t’a livrée : Rends-lui compte du sang dont tu t’e
tre ! C’en est fait à ce mot ; l’épée d’Athalie s’est brisée dans sa
main
. Dieu des Juifs, tu l’emportes ! Elle exhale sa
lui donner par écrit, bien assuré que l’écrit ne sortirait pas de ses
mains
. Il accepta malheureusement la proposition, non p
rer à la perfection ? Shakespeare, selon nous, prend l’homme dans ses
mains
puissantes et lui fait plonger ses regards dans l
antôt vertigineux du cœur humain. Racine, lui, prend l’homme dans ses
mains
sanctifiées par sa piété et lui fait tourner ses
eu. Derrière celle-ci, autre suivante accroupie qui, l’éteignoir à la
main
, se dispose à éteindre les bougies des bras attac
êteté, le scrupule, le petit scrupule superstitieux, font tôt ou tard
main
basse sur les productions déshonnêtes. En effet,
du talent le plus rare mis en pièces ; et qui de nous osera blâmer la
main
honnête et barbare qui aura commis cette espèce d
e les bustes de ceux qui ont bien mérité de la patrie, les armes à la
main
, dans les tribunaux de la justice, aux conseils d
ssise sur une chaise, toute rajustée, dans la douleur, retenant d’une
main
son enfant, qu’on lui enlève, et serrant de l’aut
ant d’une main son enfant, qu’on lui enlève, et serrant de l’autre la
main
du père. Placée un peu plus à gauche, sur un tabo
ant une petite table, un jeune talon rouge, vu par le dos, serrant la
main
qu’on lui a tendue, la tête penchée sur son autre
os, serrant la main qu’on lui a tendue, la tête penchée sur son autre
main
ou renversée en arrière, je ne sais lequel des de
en sabots, en guêtres, mouillé, crotté, vêtu de toile, un bâton à la
main
, la tête couverte d’un méchant feutre, est bien ;
ortaient les armes et ils tenaient le manche de la charrue de la même
main
. Ils rendaient une certaine justice sommaire dans
e le fagot dans l’âtre pour chauffer, au retour des bois humides, les
mains
de son mari et de ses petits enfants. Ce groupe d
te tribu rentrait en chantant dans les cours ; on allait se laver les
mains
et le visage aux fontaines ; on rentrait dans la
elle était chargée, paraissait, suivie de ses filles et un livre à la
main
, à la porte de la cuisine. Aussitôt le bruit des
de ce hêtre, un puits naturel, dont on pouvait toucher l’eau avec la
main
, paraissait dormir sous un nuage de feuilles mort
ifice. Mais il ne dormait pas, car, par un canal souterrain creusé de
main
d’homme, il traversait une large étoile de sentie
ou notait les rêves. Un jour notre mère y parut un livre inconnu à la
main
. À la forme du volume et à la couleur de la couve
la nôtre. Ils fermèrent les petits volumes qu’ils tenaient dans leurs
mains
, comme si tout devait céder à l’intérêt de ce gro
nous y sommes tous. — Lisons donc ! nous écriâmes-nous en battant des
mains
. — Eh bien ! je vais lire, dit-elle. « Mais d’abo
s de la Grèce, était obsédée dans son palais par des prétendants à sa
main
. Ils dédaignaient son fils, Télémaque ; ils dévor
dencée, le premier chant. Je ne vous le relirai pas ici, vous avez en
main
le livre. Quand elle en fut à ces vers où Minerve
n tabouret pour reposer ses pieds… Alors une servante, portant à deux
mains
une aiguière d’or, verse l’eau qu’elle contient d
ans un bassin d’argent, pour que Télémaque et son hôte y lavent leurs
mains
. Elle dresse ensuite devant eux une table polie.
se balancent sur vos têtes blondes, moi enfin, mon livre antique à la
main
, qui vous raconte des choses antiques et toujours
able entre Télémaque et son hôte divin ; comment les prétendants à la
main
de Pénélope abusent du veuvage de cette mère pour
sied sur le bord du lit et quitte sa souple tunique ; il la remet aux
mains
de cette femme soigneuse ; Euryclée plie délicate
la maison ? Euryclée, n’est-ce pas exactement ma Jacqueline, sur les
mains
de qui vous m’avez vue pleurer quand elle revient
; le fils de Nestor se place à côté de lui, prend les rênes dans ses
mains
, et du fouet il frappe les coursiers. Durant tout
des yeux de Télémaque en entendant parler de son père, et de ses deux
mains
, prenant son manteau de pourpre, il se couvre le
tait pas de souliers, et les pieds avaient leur physionomie comme les
mains
) ; « ce sont ses mains, l’éclat de ses yeux, sa t
t les pieds avaient leur physionomie comme les mains) ; « ce sont ses
mains
, l’éclat de ses yeux, sa tête, et même la chevelu
x troupeaux de bœufs et de brebis, et qui prétendent insolemment à la
main
de ma mère ! « — Ah ! grands dieux ! s’écrie Méné
té, près du fleuve rapide, brouter les gras pâturages ; puis de leurs
mains
elles tirent du chariot le linge et le plongent d
es, le soir, à la lune, ici, sous les peupliers ? » Nous battions des
mains
de plaisir à ces ressemblances, et nous nous dema
ts de l’illustre Démodocus ; en l’écoutant, Ulysse, relevant des deux
mains
son manteau de pourpre, en couvrit sa tête et dér
tte sur les épaules la peau râpée d’un cerf agile ; elle met dans ses
mains
une besace toute rapiécée : cette besace est susp
ysse, employant l’adresse, s’assied à terre, et le bâton glisse de sa
main
. Là, dans sa propre demeure, il allait souffrir u
un pied rapide, franchit le vestibule, et le cuir de bœuf tombe de sa
main
. Il écarte, en leur lançant des pierres, les chie
ent et le flattent. Eumée tout en larmes baise la tête, les yeux, les
mains
de son jeune maître. « D’où nous vient cet étrang
cousues, pour prévenir les piqûres des reptiles ou des insectes ; ses
mains
portaient des gants à cause des broussailles épin
de senteur, son gros bouquet de fleurs de limons qu’elle tenait à la
main
comme une fiancée de la campagne ; elle était tel
r : un petit bouvier de quinze ans, avec son aiguillon de roseau à la
main
, se tenait debout, arrêté devant les gros bœufs ;
n près de l’autre, sous le dais de toile, causaient à voix basse, les
mains
dans les mains, le petit bouvier assis tout près
re, sous le dais de toile, causaient à voix basse, les mains dans les
mains
, le petit bouvier assis tout près de moi, sur la
hommes, jeunes et vieux, et ces femmes qui tiennent des fiasques à la
main
ou qui jouent au jeu de la morra sur le matelas,
ieillesse, à ce qu’on dit ; les jeunes n’en sont que les pieds et les
mains
. CLI — Mais, après la noce, ton frère et ta
étrier et sur le char ; nous en étions tout couverts ; on battait des
mains
et on criait : Bravo ! pifferaro. À chaque air no
er dans la boue des ruisseaux et se fondre dans un égout, faute d’une
main
propre pour la ramasser encore pure. — Bien dit,
s contre les murs, faillirent éteindre la lampe que je tenais dans ma
main
gauche pour m’éclairer jusqu’au lit. C’était bien
eurer, toute la nuit, au pied du lit, le front sur la zampogne et les
mains
jointes sur mon front brûlant. C’est ce que je fi
la pierre froide, au pied de la lucarne ; le froid des dalles sur mes
mains
et sur mon visage, me ranima, je me relevai pour
ces transes de mon cœur dans ma pensée, à genoux devant mon lit, les
mains
jointes sur la zampogne muette, et le visage, bai
e mon oncle, la porte de la chambre s’ouvrit sans bruit, comme si une
main
d’ange l’avait poussée, et la femme du bargello e
essus la mienne. — Eh bien ! c’est dit, s’écria-t-elle en battant ses
mains
l’une contre l’autre, comme quelqu’un qui est con
ntenant. Mais ton visage, ajouta-t-elle en riant, et en me passant la
main
sur la joue pour en écarter les boucles blondes,
vallo (jambon et fromage à l’usage du peuple), et portant, de l’autre
main
, une cruche d’eau plus grande que lui, sortit de
un treillis de petits carrés à travers lesquels on pouvait passer les
mains
, mais non la tête. Chacun de ces cachots sous les
qu’aucun marteau de forgeron n’aurait pu briser du dedans, et qu’une
main
d’enfant pouvait faire manœuvrer du dehors. CL
sa veste une hache à fendre le bois qu’il y avait cachée, il posa sa
main
gauche sur la table du recruteur et, d’un coup de
ecruteur et, d’un coup de sa hache, il se fit sauter le poignet de la
main
gauche, aux cris d’horreur du podestat ! CLXXX
ber sa lanterne : elle s’éteint. À ce bruit. Don Juan met l’épée à la
main
; Arlequin se couche à terre sur le dos, tient sa
chez le commandeur, père de Dona Anna. Don Juan se sauve l’épée à la
main
; le vieux commandeur le poursuit, flamberge au v
réflexions à ce sujet. Don Juan, qui se défie de lui, met l’épée à la
main
, et menace de le tuer, s’il s’avise de parler. Ar
he sur le bord de la mer. Don Juan arrive à la nage ; Rosalba tend la
main
au naufragé pour l’aider à sortir de l’eau. Debou
meçon, et s’en empare. Un des valets s’en aperçoit et l’enlève de ses
mains
. Arlequin donne un soufflet à un autre serviteur
Arlequin aux valets, que l’on m’apporte un couvert !” Il se lave les
mains
et les essuie à la nappe. Craignant de ne pas tro
t’aime ? — Fort. — Quel âge a-t-elle ?” Arlequin montre deux fois ses
mains
pour montrer quelle a vingt ans. « — Et la signer
d’épouvante et culbute Arlequin. Celui-ci prend un poulet rôti d’une
main
, un chandelier de l’autre, et va voir qui c’est.
a grandesse ; mais accepte ce que je te présente de bon cœur et d’une
main
libérale.” « Arlequin est forcé de sortir de sa r
Arlequin, épouvanté, fait la culbute en arrière, le verre plein à la
main
. « Le dernier acte se passe en partie dans le tom
nnaissance d’un corps extérieur, lorsque, par exemple, éprouvant à la
main
des sensations tactiles et musculaires de froid,
ble, de contact uniforme et doux, je juge qu’il y a du marbre sous ma
main
; lorsque, promenant mes yeux d’une certaine faço
r fondante d’une orange absente, ou sur ses épaules la pression d’une
main
froide qui n’est pas là, voir, dans la rue vide,
ous voyons un arbre à dix pas, lorsque nous prenons une boule dans la
main
, notre perception consiste dans la naissance d’un
indépendante, durable, et située, l’une à dix pas, l’autre dans notre
main
. II En quoi consiste ce fantôme interne ?
dix pas de moi il y a un être doué de telles propriétés, que dans ma
main
il y en a un autre, et l’halluciné qui a la sensa
ulaires constatée par la conscience équivaut à tel mouvement de notre
main
constaté par les yeux ou par le toucher ; nous su
voisins l’un de l’autre pour être touchés simultanément, l’un avec la
main
droite, l’autre avec la main gauche. Voilà deux s
être touchés simultanément, l’un avec la main droite, l’autre avec la
main
gauche. Voilà deux sensations tactiles qui sont s
puisse être la notion de l’étendue, nous l’acquérons en passant notre
main
, ou quelque autre organe tactile, dans une direct
qui disjoint leurs effets ne s’applique pas à leur être. Je passe ma
main
, en appuyant, le long de ce bord de table, à plus
nsation de résistance ; cela signifie que, si elle est pressée par la
main
, une forte sensation de résistance s’éveillera. U
conception affirmative, par laquelle, après avoir passé et appuyé ma
main
sur cette table, je conçois et j’affirme un corps
être semblable à moi qui passerait et appuierait de la même façon la
main
ou tout autre organe. Tout ce que je conçois et a
ensible indiqué, s’ajoutait une condition finale, tel mouvement de sa
main
exploratrice, telle direction de ses yeux ouverts
ensible, on ajoute une condition de plus, tel mouvement qui mettra sa
main
en contact avec la table, il y aura pour lui, non
à savoir la série des sensations musculaires à la suite desquelles sa
main
arrive à toucher la pierre ? — On l’a déjà vu, ce
tte balle des mouvements semblables aux nôtres. Transportée par notre
main
, elle change de place à nos yeux, comme notre mai
nsportée par notre main, elle change de place à nos yeux, comme notre
main
elle-même. Promenée le long de notre bras, elle n
e. Poussée par un autre corps, elle change de place, comme fait notre
main
en pareille circonstance. Lancée contre un autre
ncée contre un autre corps, elle le pousse en avant, comme fait notre
main
dans un cas semblable. Bref, en des milliers d’ex
us cette série spéciale de sensations visuelles et tactiles que notre
main
, nos pieds, nos membres en mouvement, éveillent d
ssifs qui constituent le mouvement d’une pierre transportée par notre
main
n’est plus qu’un extrait très mince, le plus minc
s successives qui constituent d’abord pour nous le mouvement de notre
main
. Mais nous pouvons à bon droit attribuer une tell
enant le rôle qu’elle joue dans une perception extérieure. Je pose la
main
dans l’obscurité sur cette table de marbre, et j’
contact, de résistance et de froid que j’éprouverais si je portais la
main
au-delà de l’endroit touché, celle des sensations
que nous attribuons, par induction et analogie, à la pierre que notre
main
emporte avec elle. — Or, les éléments de cette sé
fs, des bouteilles 1 . Il peignait encore admirablement bien avec sa
main
gauche, ou bien de bas en haut. Et sa peinture fa
ire connaître l’Homme et son Œuvre ? Non ! Il fallait tenir entre ses
mains
cette œuvre presque complète, — et, soit au Japon
Et Hokousaï la représente lâchant sa chevelure qu’elle tient dans sa
main
, prête à le tuer, et se contentant de lui faire p
paravent, un pantin que l’autre accroupi à terre contemple, les deux
mains
sous le menton ; un marchand de thé devant le tem
ne femme dont le visage est reflété dans le miroir qu’elle tient à la
main
. Une série un peu caricaturale de sourimonos, dan
renard et où, dans une des planches, la femme fait le renard avec ses
mains
rapprochées de sa figure et recourbées devant ell
racieux que cette petite femme, la tête renversée en arrière et d’une
main
retenant sur sa gorge un fichu-fanchon de crêpe n
hon de crêpe noir, un bôshi, tout envolé autour d’elle et, de l’autre
main
, tenant contre son côté un parasol fermé. Une sér
zodiaque, qui y figurent en général sous la forme de jouets entre des
mains
d’élégantes petites femmes. Parmi les grandes pla
ion : un petit Japonais qui apprend à écrire et dont la mère guide la
main
armée du pinceau. Une autre série de cinq planche
où l’on prononce des noms d’animaux et où l’on pince le dessus de la
main
de celle qui se trompe, — et des branches d’arbus
ère tandis qu’au bout du pont une femme cause avec une amie, les deux
mains
appuyées contre la rampe dans une attitude charma
lle un enfant indique que le soleil se couche, et qui se retourne une
main
devant les yeux. La même année paraît : Yanaghi-n
une habitation de la campagne dont sort une paysanne, un enfant à la
main
, un autre enfant lié sur son dos par sa ceinture,
s éclate le rouge de la robe de l’enfant que la paysanne tient par la
main
. VIII En 1798, paraît Dan tóka, Chansons de
aîtrise future de l’artiste. Un dessin, où Kintoki est représenté une
main
autour du cou d’un ours, un aigle sur l’épaule, e
charmantes : une femme se coiffant accroupie à terre et tenant d’une
main
derrière elle sa natte qu’elle peigne de l’autre,
r, réunis en un album qui porte sur la couverture le titre écrit à la
main
: Tòto Meisho shû, Collection des endroits célèbr
on de l’auteur présentant son livre à l’éditeur, agenouillé, les deux
mains
posées à terre dans une attitude de supplication,
ournassent de côté. C’est dire que l’argent et l’or étaient entre ses
mains
, comme l’eau de la rivière. Or, il se trouvait da
avec leurs couronnes en métal doré aux boules de cristal, et ayant en
main
des grelots, des branches de pin, de petits bâton
te femme. De là sans doute la raison qui faisait mettre le sabre à la
main
à Takoumi no Kami contre Kôzouké, dans le palais
s disposent la coiffure sur le côté ; une autre, étendue à terre, une
main
sous le menton, lit un roman d’amour pendant qu’u
ssus de sa tête, et tient une espèce de pelle où les mouvements de sa
main
font danser un pantin aux articulations attachées
t l’assassinat où la femme, jetée à l’eau, et se cramponnant des deux
mains
à la barque, se voit assommée par son mari à coup
t un prêtre, qui revient dans toutes les pages, une barre de fer à la
main
comme bâton, apparaît comme le grand justicier de
dessin, d’un caractère indicible, montre un assassin, vu de dos, une
main
tenant son sabre prêt à frapper derrière lui, son
dos, une main tenant son sabre prêt à frapper derrière lui, son autre
main
serrant à la gorge sa victime, un dessin où il n’
samouraï assassiné, d’une fille sauvée par le fils de l’assassin des
mains
de la méchante femme, de tueries nombreuses, de l
t représenté dans l’une élevant en l’air un rouleau magique, avec des
mains
qui ressemblent, ainsi que ses pieds, à des patte
papier, du juge jugeant dans son tribunal des criminels attachés les
mains
derrière le dos par une corde que tient un garde,
end qu’il a changé de nom, leur donne son nouveau nom indiquant de la
main
une maison où il y a un grand arbre. Ce sont la p
u’on lui a tendu un piège, qu’il va être ridiculisé s’il n’obtient la
main
de la jeune fille. À quelques mois de là la nouve
e formé de tambourins, et du dieu du Vent, tenant fermées de ses deux
mains
, sous son menton, les deux ouvertures de l’outre
, plongeant, détachant des plantes marines, prenant des poissons à la
main
. La dernière planche représente un homme et une f
rtraits en costume officiel, et la planchette de leur nomination à la
main
, de Tatihoo-no-mikoto et de Amano-hikosati-no-mik
ite au ciel par un homme tout au haut du pic d’une montagne, les deux
mains
réunies dans un geste de prière autour d’un bâton
de ce simulacre de la guerre. Une planche, tout entière de bras et de
mains
, indique la manière de s’empoigner dans une lutte
bras et de mains, indique la manière de s’empoigner dans une lutte à
main
plate. Enfin, des planches reproduisent le maniem
, c’est le sensuel Kiyomori, en présence de la femme de Minamoto, une
main
sous la joue, tristement réfléchissante dans une
ves, entr’ouvertes dans un hiatus allant jusqu’aux oreilles, ses deux
mains
de squelette rapprochées de sa tête dans le tress
ès d’un bol de saké vide, les deux coudes sur un escabeau et les deux
mains
croisées sous le menton, suit des yeux le vol de
. Un peintre de tori-i. Un homme, la tête en bas, une brosse dans une
main
, une écuelle pleine de noir dans l’autre, enduit
demi-teintes, comme lavées. Cette femme, la tête renversée, les deux
mains
s’étreignant au bout de ses bras tendus dans un g
ssés et semblable à celle d’un diable, appuyée réfléchissante sur une
main
, est toute pleine d’une pensée fixe, soucieuse. O
leur forme, le rondissement des mollets, où dans les pieds, dans les
mains
, transperce l’ossature du squelette : du nu qui a
ie de la linéature qui fait du dessin d’une verge un dessin égal à la
main
du Musée du Louvre, attribuée à Michel-Ange. » Ce
urpre, le bas d’un ventre de femme, où s’est introduit un doigt de sa
main
, d’une main au poignet nerveusement cassé, aux lo
s d’un ventre de femme, où s’est introduit un doigt de sa main, d’une
main
au poignet nerveusement cassé, aux longs doigts c
longs doigts contournés, à l’attouchement doucement titillant, d’une
main
qui, dans sa courbe, a l’élégance volante d’une m
titillant, d’une main qui, dans sa courbe, a l’élégance volante d’une
main
du Primatice. Je laisse là la description des aut
; c’est le modeleur de théières en métal ; c’est le chandelier, à la
main
enduisant de cire une tige de bambou, qu’on retir
c le plus gracieux mouvement du cou, et l’abandon derrière elle d’une
main
tenant un écran ; et celle-là, formée tout simple
mmes accroupies par terre devant un plateau : l’une, une cuiller à la
main
, l’autre, une planchette, toutes deux en train de
la figuration de la planchette, de la cuiller, et la manière dont la
main
doit les tenir et laisser tomber le sable. XXX
s bleuâtres saillant des deux côtés d’une bouche tachée de sang, à la
main
de squelette avec laquelle elle tient, derrière s
tié à l’état anatomique dénudé de la peau, et dont les osselets de la
main
sont verts dans l’ombre et couleur de chair dans
leurs coudes ; des rêveries en face de paysages, d’hommes debout, les
mains
dans les manches de leurs bras, derrière le dos.
ama : dessinée sa noire chevelure épandue dans le dos et tenant d’une
main
un miroir, de l’autre une branche d’arbuste, dans
dessins, et dans ce cas-là je compte sur… Ici, le peintre dessine une
main
tenant une pièce d’argent. Une autre lettre sans
soldat Sadayo, tout percé de flèches et mourant en enfonçant des deux
mains
son sabre dans le corps d’un ennemi étendu sous l
la grotte du Fouzi-yama et que l’on voit la parcourir la torche à la
main
; du cavalier Ogouri Hangwan, faisant assembler l
r la dernière page se voit un peintre qui élève en l’air, d’une seule
main
, une masse ficelée de rouleaux de sapèques au bou
ue son imagination aille à ces arts, que son pinceau y touche, que sa
main
en donne des modèles. C’est ainsi qu’en 1836, le
faite par l’éditeur Yeijudô, lettre que Hayashi aurait eue entre les
mains
, au Japon. Cette série renfermant une suite de pa
ansant la nuit, en grand costume, les cheveux épars, un éventail à la
main
. Le poète dans la poésie, en tête de la planche,
un dessin comique d’Hotei, le dieu des enfants, s’ouvrant de ses deux
mains
la bouche jusqu’aux oreilles, avec devant lui un
pêcheur où, dans l’épine dorsale et la gesticulation gouailleuse des
mains
de ce pêcheur, est donné comme l’accent de la phr
picturale, peignant un pinceau dans la bouche, un pinceau dans chaque
main
, un pinceau dans chaque pied. Le traité qui est
urs employées par le maître, et à la page suivante, au-dessus de deux
mains
qui tiennent un pinceau penché, délayant de la co
le second volume, Hokousaï se représente peignant avec la bouche, les
mains
, les pieds, dessin que nous trouvons répété en 18
sera un bijoux précieux pour la postérité, et les personnes entre les
mains
desquelles il se trouvera, doivent l’étudier avec
ami Tosaki, avec, dans la marge de l’ordonnance, des croquetons de la
main
du peintre représentant le citron, le couteau à c
. Les deux premières pages vous montrent : l’une, le poète écrivant à
main
levée, au pinceau, tandis qu’un enfant lui prépar
rofil, tourné à droite, la tête levée en l’air, tenant un bâton d’une
main
rejetée derrière le dos, Shishin est habillé d’un
hache. De face, debout, les traits farouches, le menton appuyé sur sa
main
gauche, sa main droite tenant sa hache homicide.
debout, les traits farouches, le menton appuyé sur sa main gauche, sa
main
droite tenant sa hache homicide. Une anatomie roc
mme habillée d’une robe grise semée de fleurettes blanches, tenant en
main
un yutô, une cafetière en laque semée de pétales
rée de feuilles de nénuphar (un symbole bouddhique), une femme, d’une
main
appuyée sur un bâton, la tête enveloppée d’une ch
shi. Shôki en marche, un chapeau-parasol sur son sombre visage, les
mains
croisées sous ses larges manches. Un dessin à l’e
36. — L. 56. Collection Gonse. Hotei couché à terre, enfonçant les
mains
dans son sac. Peinture d’un grand relief, aux dél
t travaillé, sous son casque à cornes, se voit superbement piété, une
main
appuyée sur le manche de son sabre, dans l’envelo
llection Gonse. Femme sous une moustiquaire, agenouillée, et d’une
main
tendue en l’air en train de brûler, avec une peti
e Chine, rehaussé de blanc, avec un ton de chair sur la figure et les
mains
; et où les petits yeux écarquillés, le nez en po
dant, sur un pont, une grue volante dans le haut du ciel. L’homme, la
main
appuyée sur un bâton, est penché à droite, la têt
ékizoro. Trois danseurs du Jour de l’An, tenant dans chacune de leurs
mains
un bâton. Un dessin à l’habile groupement, et où
le chevelure noire dépassant par derrière la traîne de sa robe, d’une
main
tenant un grand éventail qui lui masque la gorge
i abritée par un paravent, une femme en train de se coiffer, les deux
mains
élevées au-dessus de sa tête, et soulevant par de
se de la linéature, pour ainsi dire graphique, faisant le contour des
mains
, du visage, du sein, de la cuisse, du pied, et le
tout à fait lâché. Non signé. H. 65. — L. 48. Un guerrier tenant à la
main
une tête coupée. Non signé. H. 53. — L. 26. Un pi
re Hokouga, à la gauche d’Hokousaï, Shinshaï, la tête tombée dans ses
mains
; et, contre le pot de saké, Hiromaro. Chaque pei
e femme surplombant un Téngou auquel elle indique quelque chose de la
main
, dessin où la tête de la femme a une grâce volupt
tapageuse encre de Chine, avec coloration en rouge de la tête et des
mains
. H. 40. — L. 28. Deux canards mandarins, dans l
entre les jambes d’un homme, le haut du corps retombé de côté, d’une
main
repoussant la main qui veut s’introduire dans sa
’un homme, le haut du corps retombé de côté, d’une main repoussant la
main
qui veut s’introduire dans sa gorge, de l’autre m
in repoussant la main qui veut s’introduire dans sa gorge, de l’autre
main
égratignant la figure de l’homme. Ce grand et c
an, de la facture la plus artistique. Il est aussi passé, entre les
mains
de MM. Hayashi et Bing, un certain nombre de dess
. Comme Watteau, comme Gavarni, Hokousaï fait de nombreuses études de
mains
, de mains en toute l’énergie de leurs mouvements.
tteau, comme Gavarni, Hokousaï fait de nombreuses études de mains, de
mains
en toute l’énergie de leurs mouvements. Il a auss
esquels est un danseur, à la tête baissée que masque son chapeau, aux
mains
tressautantes au bout de ses bras tendus dans l’e
r Kiôdén, en célébrant le talent d’Hokousaï, parle de l’adresse de sa
main
, s’étend sur le virtuosisme de l’artiste, qualité
é. Et Kiôdén affirme que Hokousaï peignait admirablement bien avec sa
main
gauche, et de bas en haut. Il ajoute : « Et sa pe
do, en 1809. Hokouba avait la réputation de dessiner aussi bien de la
main
gauche que de la main droite. Shinshaï. Son nom
vait la réputation de dessiner aussi bien de la main gauche que de la
main
droite. Shinshaï. Son nom vulgaire est Hanjiro,
rève le sien. Nous allons le montrer une fois de plus. J’ai entre les
mains
(Feuilles de Momidzi, page 287) une vieille étude
e où Hyeronimo attendait, sans vouloir m’appeler, la tête en ses deux
mains
, appuyé sur la grille du cachot, me regardant à t
our un linceul du condamné, il nous glissa à chacun un anneau dans la
main
et nous bénit en cachant ses larmes. — Aimez-vous
sta plongé dans la nuit. Nous nous assîmes sur le bord de son lit, la
main
dans la main, puis il m’embrassa pour la première
ns la nuit. Nous nous assîmes sur le bord de son lit, la main dans la
main
, puis il m’embrassa pour la première fois, sans q
sus ses habits, ressemblait à un linceul qui cachait les pieds et les
mains
en traînant jusqu’à terre ; en abattant son capuc
s qu’il avait été déplacé ; puis je me mis à genoux la tête entre mes
mains
devant l’autel, comme un mourant qui a passé la n
ute froide, mais ferme encore sur mes jambes ; je me remis dans leurs
mains
comme un agneau qu’on mène à la boucherie ; ils m
omme pour les remercier de leur service et de leur douleur. Les rudes
mains
des sbires me séparèrent violemment et me poussèr
r un angle du mur, se jeta tout à coup sur moi, et, m’arrachant d’une
main
rapide et violente le capuchon et la robe de péni
ts étonnés ; ils restaient suspendus comme devant un miracle, car mes
mains
liées derrière le dos m’empêchaient de recouvrir
ester tout seul maintenant dans son cachot, les fers aux pieds et aux
mains
, pendant environ six semaines, jusqu’à ce que les
-là que je portais dans mon sein, s’écria-t-elle en étendant sa belle
main
gauche sur le berceau, allait donc avoir un père
— Fior d’Aliza, est-ce toi ? s’écria-t-il. La zampogne m’échappa des
mains
, et sa bouche fut sur ma joue. CCLXX Ce que
rebord extérieur de la loge ; quelquefois même il passait ses petites
mains
à travers la grille et jouait avec les chaînes d’
ns, quand un monsieur venait voir son père, elle courait se laver les
mains
. Il fallait l’embrasser à certaines places : on e
quatre pas qui lui restaient jusqu’à la canne, en se traînant sur les
mains
et les jambes. Sur la neige, derrière lui, il lai
scilla une seconde, puis tomba à plat, le visage contre terre, et ses
mains
, au bout de ses bras étendus, un moment fouillère
lle se retourna sur la chauffeuse où elle était assise, posa les deux
mains
sur le rebord du dossier, appuya la joue sur sa m
, posa les deux mains sur le rebord du dossier, appuya la joue sur sa
main
, ramassa ses jambes, croisa ses pieds, et comme a
t ; alors il se précipita vers la fenêtre ; Émile le prévint et d’une
main
brutale le repoussa brutalement. Le vieillard cha
let ; mais quand par malheur pour l’espèce humaine elle tombe sous sa
main
, il l’abaisse, l’avilit tant et si bien que le dé
i les nénuphars. Nulle part la mort ne l’appelait, ne lui tendait ses
mains
fraîches. Cependant, elle ne se trompait point. C
euses. ……………………………………………………………………………………………………… Ne bougeant point, les
mains
jointes sur son cœur, elle continuait à sourire,
ment, très lentement. D’abord, c’était un prélude gai, enfantin ; ses
mains
, qui avaient tordu les verdures odorantes, exhala
s. Les fanfares des roses annonçaient l’instant redoutable. Elle, les
mains
de plus en plus serrées contre son cœur, pâmée, m
ment voilà l’enfant rentré chez sa mère. Je passe une scène écrite de
main
de maître où les domestiques avinés de Mme de Bar
sa défroque de laine rouge courir la maison, un balai ou un seau à la
main
, qu’il avait vu servir à table, rincer les verres
ettent tout autour dans un dernier et splendide effort. Il gardait la
main
de Cécile serrée contre sa joue, s’y reposait ave
vals, debout, aussi pâle que celui dont elle soutenait la tête sur sa
main
appuyée. — Jack ! mon enfant !… M. Rivals se reto
ha, défaillante et craintive. C’était son Jack, ce visage inerte, ces
mains
étendues, ce corps immobile où son regard éperdu
lennel et de mauvais augure. D’un air provocateur, le front haut, une
main
dans sa poche et de l’autre tenant sa guitare, Cy
andidat qui attend son triomphe, — cette fébrile angoisse agitait les
mains
, allumait les regards, se traduisait par des trép
frôlant la muraille, l’œil sur les pavés, et tenant au bout de chaque
main
un enfant maigre qui marchait avec peine. L’homme
côtes, à l’endroit où battait le cœur, et, après avoir cherché d’une
main
la « bonne place », il enfonça la lame des deux m
ir cherché d’une main la « bonne place », il enfonça la lame des deux
mains
, en pesant sur le manche. Un cri étouffé, le dern
Paris, l’éblouissait. La jeune femme était assise sur une chaise, les
mains
abandonnées, ne pleurant plus, lorsque Lantier en
les ne se prenaient pas corps à corps, s’attaquaient à la figure, les
mains
ouvertes et crochues, pinçant, griffant ce qu’ell
ntrèrent à la file, d’un pas pressé, avec leurs faces rouges et leurs
mains
gourdes de déménageurs, dans le noir pisseux de l
ndit rue de la Santé, elle acheta deux oranges pour ne pas entrer les
mains
vides. Encore un monument avec des cours grises,
demanda-t-elle. — Emballée ! répondit-il. Ils m’ont retiré ça avec la
main
. Je tousse encore un peu, mais c’est la fin du ra
uand l’interne vint à la visite de six heures, il lui fit étendre les
mains
; elles ne tremblaient presque plus, à peine un f
ntent ! Les v’là ! les v’là, nous allons rire. (Il s’agite et bat des
mains
.) Oh ! hé ! oh ! hé ! là-bas ! Tiens, j’les vois
ait ses bras ; attachez-lui donc ses bras ; vous allez lui couper les
mains
… C’est pas un parricide… V’là qu’on lui attache l
leur regard voilé, les titis de la galerie avec l’immobilité de leurs
mains
gesticulantes paralysées sur le rebord du bois. D
tres qui s’allument, on aperçoit des gestes irréfléchis, errants, des
mains
boutonnant sans y prendre garde un habit sur les
un dandinement perpétuel sur le grand banc, le visage dissimulé, les
mains
croisées derrière le dos, comme si déjà elle les
fait la narine humide. Elle est toujours remuante, avec toujours les
mains
derrière le clos, et sans avoir l’air de bien com
me… et, sans dire un mot, retombe sur le banc, prenant son cou à deux
mains
, qui le serrent machinalement, ainsi que des main
ant son cou à deux mains, qui le serrent machinalement, ainsi que des
mains
qui retiendraient sur des épaules une tête vacill
érive, ces fleurs avec de gentils ronds de bras et des attirements de
mains
remuant l’air et faisant de petits tourbillons, e
on de la misérable femme qu’on la voyait avec les doigts gourds d’une
main
presque paralysée décrire des cercles maladroits
bûche sous les cendres et s’endormait devant l’âtre, son rosaire à la
main
. Personne, dans les marchandages, ne montrait plu
galopait maintenant ! Félicité se retourna, et elle arrachait à deux
mains
des plaques de terre qu’elle lui jetait dans les
aupières, qui devinrent roses tout à coup. Puis, le front baissé, les
mains
pendantes, l’œil fixe, elle répétait par interval
le seuil de la chambre, elle aperçut Virginie étalée sur le dos, les
mains
jointes, la bouche ouverte et la tête en arrière
e. Zakhare rentra dans son cabinet ; mais à peine avait-il appuyé ses
mains
pour sauter sur le poêle, qu’il entendit crier vi
lhomme, débarqué à Paris sous l’Empire avec une immense fortune ; ses
mains
ouvertes (que de gens d’affaires les ont déjà oub
ttendant la décision de ses juges, vie, mort, sursis ou grâce ! De sa
main
blanche et longue, Mora continua à caresser sa mo
rtout la mort subite, Saint-Simon seul aurait pu vous le dire… De ses
mains
délicates et soignées, le marquis de Monpavon pom
ges dans la Cour, l’arrêt de quelque petit coupé en dehors duquel une
main
étroitement gantée, avec le frôlement de sa manch
sa prière, rendit la clé à Mme X… et, en la lui rendant, lui baisa la
main
. De Thérèse, la nouvelle qui a donné son nom au
élan de sa maternité. Quant à la paysanne, en laissant son fils à des
mains
étrangères, elle consentit à un sacrifice qui ass
e, il aura la mienne, l’une vaut l’autre. Je puis la lui donner de la
main
à la main. En parcourant ces quelques pages si s
la mienne, l’une vaut l’autre. Je puis la lui donner de la main à la
main
. En parcourant ces quelques pages si simples, si
es renseignements, une liasse de papiers de famille tombent entre les
mains
du chercheur et lui révèlent un drame sanglant do
l et ayant au bras son sac en soie violette, nous attendait. Ses deux
mains
maigres, perdues dans les plis de ses gants, repo
e du jour de l’an, il fallait lui réciter ma fable, puis embrasser sa
main
, qu’elle dégantait tout exprès. Il est vrai qu’ap
cette époque. Quant à Loïlle, agenouillée derrière sa maîtresse, les
mains
jointes, la tête baissée, enveloppée dans un châl
’un paquet oublié sur la dalle. Suit un portrait de Greuze, peint de
main
de maître, c’est le cas de le dire : Je n’étais
t uniques. Ce qu’il fallait de recueillement, de soin, de légèreté de
main
, de talent naturel et d’étude sérieuse pour exécu
ier jet élégant et hardi, prélude des plus étonnantes variations ; sa
main
passe et repasse, s’allonge et se replie. Bientôt
on a le vertige. Sans doute elle erre à l’aventure, cette audacieuse
main
, et bientôt elle va s’arrêter confuse au milieu d
son charme. Les remords de la coupable, le suicide, tout est peint de
main
de maître, et bien à plaindre sont les cœurs qui
eraient faciles à faire de ce beau livre, aujourd’hui dans toutes les
mains
; je coupe au hasard ces pages charmantes d’un ré
llait et venait solitairement à quelque distance en froissant dans sa
main
l’ordre que je lui avais apporté. — Tout à coup,
portait le drapeau sortit du rang. — Le colonel saisit la hampe d’une
main
, et levant l’autre vers le groupe des tambours :
’entendis une sorte de sanglot. Je ne pus m’empêcher de lui tendre ma
main
. — Il parut étonné ; il la prit et la pressa avec
e qu’on souffre dans ces moments-là ? — Oui. Et, comme je retirais ma
main
, il la retint doucement. — Si quelque chose au mo
rait un moment comme celui-ci. Je ne répondis pas, et il me rendit ma
main
. Après quelques pas faits en silence : — Si nous
e qu’il heurta contre le premier degré et tomba tout de son long, les
mains
en avant, le nez contre terre. Les dictionnaires
aité par eux ? car enfin ma place, mon avenir, ma vie est entre leurs
mains
; ils me feront destituer ; ils me réduiront à la
la victoire, mon oncle infortuné eut la disgrâce de tomber blessé aux
mains
des vaincus. Prisonnier de Kurchid-Pacha et bient
der, ce qui fait que, un beau jour, il se trouva tout à point sous la
main
du sultan, qui le nomma pacha en lui donnant un c
lles plus belles les unes que les autres, et cet héritage tombait aux
mains
d’un sceptique qui niait l’amour passion, ne reco
un beau soir par le baron de Thunder-ten-tronckh, quand il baisait la
main
de Cunégonde. Ce coup-de pied le lance loin, car
ures que ses paroles. Lorsqu’un misérable, prenant son courage à deux
mains
, se hasardait à faire appel à sa générosité : — Q
un éclat qui aveuglait les yeux. De temps en temps Vitalis passait la
main
sous la couverture pour tâter Joli-Cœur ; mais ce
une pivoine qui va ouvrir, le médecin vint à moi, et m’ayant posé la
main
sur le front : — Congestion : Et il secoua la têt
étaient inutiles, il s’asseyait sur son séant, et courbé en deux, une
main
posée sur son ventre, il toussait de toutes ses f
araissait dormir. Je me penchai sur lui pour lui prendre doucement la
main
sans le réveiller. Cette main était froide. À ce
i sur lui pour lui prendre doucement la main sans le réveiller. Cette
main
était froide. À ce moment, Vitalis entrait dans l
e du serpent qui suborna mon âme ! » Gémit-elle. Et pressant les deux
mains
de la femme À l’Eden préférée : « Abel, lui dis-j
llé avec la corde au cou, cette corde qu’Ilioucha avait tenue dans sa
main
pendant un quart d’heure, et qu’il avait laissé é
ères en Sibérie, tous étaient là, chacun une hache ou un couteau à la
main
, et plus près de lui, tout contre le lit, le père
qu’ils ne vous aient pas tué ! » — Grâce ! cria-t-il en étendant les
mains
pour implorer. — Grâce ? répéta Iérémeï en le reg
— Oui, c’est moi. — Pardonnez-moi… dit-il en essayant de joindre ses
mains
déjà glacées. — Je vous pardonne, dit Catherine.
Français névrosés. Amoureux d’une jeune femme, il veut lui baiser la
main
et la mord jusqu’au sang ; la belle pardonne ; ma
es convives et d’une salle à manger féerique : Après avoir baisé la
main
aux dames et salué les hommes comme des pairs d’A
ette bienheureuse seringue, je vise les bouillons, et j’y exécute, la
main
levée, une mosaïque d’yeux à faire pâlir la natur
raffinée. Les gants étroits et longs donnaient la mesure d’une belle
main
patricienne. Les bottines, enfin par lesquelles l
es de toilette qui étaient épars sur le tapis ; puis elle s’assit les
mains
croisées sur ses genoux, et dit d’une voix sourde
malheur qu’elle soupçonne. L’entrevue des deux femmes est traitée de
main
de maître. — Vous ne l’épouserez pas, dit la mar
pparition, elle eut une minute de complet égarement ; elle avança les
mains
comme pour repousser Philippe et lui masquer le c
pas un mot et l’écarta violemment ; puis il se mit à genoux, prit la
main
de Jeanne, toucha l’artère et respira avec force,
qui, debout, immobile, muette, effrayante de pâleur, rajustait d’une
main
machinale le désordre de ses cheveux. — Eh bien,
, de la peur que je vous ai faite… Soyez bonne… voyons… donnez-moi la
main
pour m’aider. Ces paroles généreuses, ces paroles
se relevait péniblement. Quand elle la vit debout, elle lui prit les
mains
et la regarda dans les yeux ; puis elle l’attira
r qui étaient semés dans les broussailles, enveloppa sa tête dans ses
mains
et on l’entendit sangloter. ………………………………………………………
ec elle. Elle s’assit près du lit et garda longtemps, sans parler, la
main
de Jeanne dans la sienne. Puis, se levant d’un mo
s vif), descendons ! » Il portait une épée et tenait un revolver à la
main
. Au second étage, il rencontra le caporal qui mon
té, installée au Luxembourg : le caporal avait gardé le revolver à la
main
. Rue Gay-Lussac, auprès de la rue Royer-Collard,
t ! et aussitôt chacun de s’armer des premières armes tombées sous sa
main
, de s’emparer de tous les moyens quelconques de t
n trop vive pour respecter les lois de l’étiquette, je saisis une des
mains
du roi, et la pressant dans les miennes : « Vous
pour la barbe » ; et je lui remis une petite pièce de monnaie dans la
main
. Le lendemain, mon client était tout autre ; il r
créée pour la douce existence des lévites. Voici un tableau peint de
main
de maître. Ceux qui ont fait la dernière campagne
e sifflet se firent entendre. Le capitaine, qui tenait sa montre à la
main
, l’enfonça sous les revers de sa large capote et
aient couverts de neige, de sang et de boue. Presque tous avaient les
mains
déchirées et les vêtements en lambeaux. L’un d’eu
porter à ces hommes les consolations de la religion. Ils avaient les
mains
attachées derrière le dos. Une même corde leur li
i avait attaché une corde à la jambe du curé, tirait cette corde. Ses
mains
et son visage étaient ensanglantés, ses membres m
sait chez lui). Le plus jeune, le comte de Horn, mit sans trembler la
main
dans le vase, en tira un billet, l’ouvrit et lut
avait à la ceinture le poignard, et un des pistolets chargés ; — à la
main
droite, et sous les plis de la large manche de so
jours et le quatrième d’avoir la tête tranchée sur le billot, par la
main
du bourreau. Au milieu de nombreux détachements d
antique habitude d’obéir à sa race, ne serait qu’une griffe entre les
mains
de quelques généraux entreprenants. Napoléon ne v
dictées à Mme de Balzac, le malade avait signé, puis il ajouta de sa
main
: Je ne puis ni lire ni écrire ! Et il ne lut p
une basse de contrebande. À chaque instant, tout en conduisant de la
main
droite, j’arrêtais soit l’archet de la contrebass
arades5. Lorsque cet appel fut fini, un caporal lia aux condamnés les
mains
derrière le dos. Pour ajouter à l’horreur de ce s
e du juge d’instruction, armé de pleins pouvoirs et prêt à arrêter la
main
du bourreau, M. Vassal s’approcha de Pépin, le ti
n épouvantable histrion. Comme on le voit, ce récit est écrit de la
main
d’un fidèle historien, soucieux du détail, et je
partis qui se heurtent et se menacent, heureusement sans en venir aux
mains
. On se compte, et ceux qui se sentent les moins n
e se recueillait, comme la lueur d’une lampe quand on la couvre de la
main
contre le vent, pour l’empêcher de vaciller çà et
s vers le ciel, la pâleur et la rougeur alternative de ses joues, ses
mains
qui se joignaient quelquefois en déposant pour un
à demi qu’il existait par ces livres, sans cesse feuilletés sous ses
mains
pieuses le matin et le soir, je ne sais quelle li
lée autour de la poulie criarde élève du fond du rocher jusqu’à leurs
mains
. « Le vent attiédi de mai souffle, semblable à l’
ans les jardins. Le caillou que le rayon a touché est déjà tiède à ma
main
; le vent lui-même semble avoir traversé l’halein
oche ; elles courbent leurs fronts en soutenant le vase de leurs deux
mains
levées, de peur que leur mouvement ne fasse perdr
n glissant la clef par la chatière sous la porte ; l’homme tient à la
main
ses lourds outils de travail, le pic, la pioche ;
dort son nourrisson en équilibre sur sa tête ; elle le soutient d’une
main
, et elle conduit de l’autre main un enfant qui co
sur sa tête ; elle le soutient d’une main, et elle conduit de l’autre
main
un enfant qui commence à marcher et qui trébuche
le épaisse et forte comme le cuir ; ils prennent la pioche dans leurs
mains
hâlées, et on entend résonner partout sur les col
creusées en niches, ou plutôt en chaires de cathédrales, comme si la
main
des hommes s’était complu à préparer dans ce lieu
ndait à la famille. Dès qu’il y était assis, son livre ouvert dans la
main
, je m’occupais agréablement au pied des créneaux
la montagne paraissait presque aussitôt après, un livre aussi dans la
main
; il essuyait son front taché de sueur et de poud
e en boucles crêpées et poudrées sur les deux tempes. Il tenait d’une
main
son chapeau entouré d’une ganse noire à boucle d’
ar des agrafes d’argent ; il portait un jonc à longue pomme d’or à la
main
. XVI À peine était-il assis dans la chaire
uisait au soleil sur ses épaules, un fouet de chasse badinait dans sa
main
, un chapeau rond découvrait à demi son front haut
là en rampant à terre ses sarments touffus, qui semblaient pleurer la
main
de l’homme. L’ombre noire du clocher s’étendait d
iété. Montez avec moi, mon enfant, continua-t-il en me prenant par la
main
, et venez voir par vous-même combien il faut peu
des pieds par un bourrelet de livres qui encadraient cette couche. Sa
main
, à son réveil, en s’étendant au hasard, à droite
au hasard qu’au choix ; je remue cette litière de livres, j’étends la
main
, et, sur quelque volume que je tombe, mon esprit
e chantait ou ne gémissait qu’un hymne, je ne vivais qu’un livre à la
main
. XXXII L’âge en avançant changea la note, m
des années. Ces années, comme les fantômes de Macbeth, passant leurs
mains
par-dessus mon épaule, me montrent du doigt non d
ncan, ainsi que le lit de ma mère, et jusqu’au chien qui me lèche les
mains
de pitié quand il voit mon sourcil se plisser d’a
le monde, après l’avoir menacé. C’est alors que Karamsin écrit, d’une
main
encore novice, l’histoire nationale de la Russie
même goût, la sensibilité est la même, le récit est aussi parfait, la
main
aussi délicate. Deux frères ne se ressembleraient
iait à peine quelques mots de français, ne prenait un livre entre ses
mains
que lorsqu’il y était en quelque sorte forcé, et
Anglais. Il avait des habitudes de propreté extrême, surtout pour ses
mains
, s’habillait avec soin, et avait conservé dans so
ne. En même temps, il s’avançait vers l’antichambre. Sophie offrit sa
main
aux deux amis, pour leur donner le shakehand, à l
e jour, enveloppé dans sa touloupe, les pieds dans des babouches, les
mains
dans ses poches, il se promenait de long en large
s content… toujours… lui dit le laconique solitaire en lui tendant la
main
… Très froid… Un verre d’eau-de-vie ? » et, du doi
gitime, et maintenant il se trouvait sous le poids d’un jugement. Une
main
posée sur sa poitrine et l’autre au nœud de sa cr
jeune fille. Pourvu seulement que ce café soit bon ! — Servi par vos
mains
… Mais la jeune fille, sans faire attention à ce c
t ne la quittèrent que le lendemain soir. En partant, Boris tendit la
main
à Viéra. Elle rougit. Aucun homme jusque-là ne lu
semble que je ne suis pas votre égale. » Il essaya de lui prendre la
main
, mais elle la retira et disparut. « C’est singuli
res du vieillard se dilatèrent. « Je viens… je viens vous demander la
main
de votre fille. » Par un mouvement impétueux, Éti
qui parlât pendant le dîner. Vers le soir, Étienne prit Boris par la
main
et le conduisit dans une autre chambre. « Vous êt
le lendemain. En franchissant le seuil de l’antichambre, il baisa la
main
de Viéra. Elle le regarda. « À demain, dit-il. —
sa guitare sur le divan, sortit précipitamment, mit sa tête entre ses
mains
et éclata en sanglots. La veille de son mariage,
ois que de son pied léger elle passait près de lui, il lui baisait la
main
, ce qui ne manquait jamais de faire éclore sur le
. « Décidément, se disait-il un jour en s’asseyant sur le canapé les
mains
croisées, la bonne Viéra n’a guère de ressources
ur mieux dire, à revoir bientôt. Je t’embrasse et je baise les jolies
mains
de ma Viéra. Adressez-moi vos lettres à Stettin.
da simplement si elle voulait l’épouser. Elle sourit et lui tendit la
main
. Après leur mariage, leur vie se continua tranqui
sa besogne. Quand il labourait un champ, en regardant ses deux larges
mains
appuyées sur sa charrue, on eût dit qu’il creusai
n pour l’été, une touloupe pour l’hiver. On lui avait remis entre les
mains
un balai, une pelle, et il avait été investi de l
le voulait refuser ce présent ; mais il le lui mit de force entre les
mains
, puis se retira en secouant la tête, et en lui ad
e se leva, s’avança vers la femme de charge, et lui mettant sa lourde
main
sur la tête, la regarda de telle sorte, qu’elle s
avait fait appeler. Le pimpant cordonnier entra d’un air dégagé, les
mains
derrière le dos, et s’appuya contre la muraille,
imof le regarda en clignant les jeux et en souriant, puis il passa la
main
dans ses cheveux ébouriffés. « Eh bien ! avait-il
era, c’est sûr ; il m’écrasera comme une mouche. Quels bras ! quelles
mains
! Il a les mains de la statue de Minine et Pojars
il m’écrasera comme une mouche. Quels bras ! quelles mains ! Il a les
mains
de la statue de Minine et Pojarski. Vit-on jamais
qu’elle en chancela encore davantage. Tout à coup, il la prit par la
main
, lui fit rapidement traverser la cour, entra avec
rassime l’observa un instant en silence, fit un signe d’adieu avec sa
main
, puis se retira précipitamment dans sa cellule. L
porte. Il l’avait vu chanter. Il l’avait vu, assis sur son lit et les
mains
sur son visage, secouer la tête et se balancer en
ne telle violence, que le chétif animal, si rudement secoue par cette
main
de fer, pouvait à peine se tenir sur ses jambes.
t il chemina à côté de sa telega, mais soudain il s’arrêta, fit de la
main
un signe d’adieu à celle qu’il avait aimée et se
lgré tous ses efforts ne pouvait sortir de l’eau. Guérassime étend la
main
, le saisit, le place sur sa poitrine et retourne
nne, vite, vite…. » Étienne se précipita dans le jardin, et avança la
main
pour saisir Moumou ; mais la chienne agile lui éc
inquiet. Cependant il ne pouvait y résister. Il prit Moumou entre ses
mains
et la remit à Étienne qui se hâta d’aller la dépo
lsivement la tête et montra les dents. La veuve se hâta de retirer sa
main
. Il y eut un moment de silence. Moumou poussa un
rent tout effarées. « Ah ! je me meurs ! dit-elle en se tordant les
mains
. Encore ce chien ! ce maudit chien ! Qu’on appell
la retraite de Guérassime. À leur tête s’avançait Gabriel, tenant la
main
à sa casquette, quoiqu’il n’y eût aucun souffle d
, ces hommes chétifs et mesquinement vêtus. Avec sa haute taille, ses
mains
robustes appuyées sur ses flancs, et sa chemise r
. Guérassime le regarda, puis du doigt montra Moumou, puis promena sa
main
autour de son cou comme s’il y mettait une corde
l’autre dans le plat devant elle. Guérassime cacha sa figure dans ses
mains
. Moumou ayant achevé son repas, s’éloigna de l’as
pencha la tête sur Moumou assise près de lui, et resta immobile, les
mains
croisées derrière le dos, tandis que le courant r
t doucement la queue. Il détourna la tête, ferma les yeux, ouvrit les
mains
…. Il n’entendit rien… ni le subit aboiement de la
oplate comme pour me dire : Laisse-moi la paix. Ah ! il n’y va pas de
main
morte, ajouta Étienne en se frottant le dos ! J’e
tant le dos ! J’en ai encore les reins meurtris. Il faut l’avouer, sa
main
est une main vraiment bénie. » À ces mots, les do
J’en ai encore les reins meurtris. Il faut l’avouer, sa main est une
main
vraiment bénie. » À ces mots, les domestiques se
d’une taille élevée portant un sac sur l’épaule et un long bâton à la
main
. C’était Guérassime. Il allait résolument vers sa
mystère s’explique avant d’y mêler nos indiscrètes curiosités et nos
mains
moins adroites que celles de l’amour innocent ! C
re tout seul et sans aide ; quand nous voulons y mêler d’avance notre
main
il frappe sur les doigts, comme on fait aux enfan
u’un homme si riche et si puissant dans Lucques vous avait demandé la
main
d’une fille de rien du tout, nourrie dans une cab
ipitant trop vite vers moi ; mais, quand j’eus ouvert sa grille d’une
main
toute tremblante, il bondit comme un bélier du fo
pussions proférer une seule parole ; lui baisait mes cheveux, moi ses
mains
, tels que nous nous serrions, vous et moi, ma tan
savais tout d’avance, tu refuserais peut-être encore ton salut de mes
mains
, ou bien tu pourrais le laisser échapper dans l’o
résigner peu à peu à ton supplice. Il vaut mieux te mettre la clef en
main
sans savoir comment on la forge ; c’est à toi de
puisque je les remplace seule ici. — Oh ! me dit-il en me serrant les
mains
et en les élevant dans les siennes vers la voûte
ne comprenais que par le tremblement de sa voix et par le froid de sa
main
sur mon épaule, mais des choses si douces à enten
ment du secret de notre amour, que nous aurions marché au supplice la
main
dans la main, allègrement et sans sentir seulemen
t de notre amour, que nous aurions marché au supplice la main dans la
main
, allègrement et sans sentir seulement la terre so
ne compte plus, dans l’éternité. — Adieu ! lui dis-je en retirant ma
main
de la sienne ; voici ce qu’il faut faire, vois-tu
qu’à ce qu’il l’eût remis pardonné, sanctifié et sans tache entre les
mains
de Dieu. Hyeronimo, en me racontant cela sans ple
ans le temps ! En disant cela, il se cachait le visage entre ses deux
mains
, et on voyait de grosses larmes glisser entre ses
iles de l’oiseau, je lui donnai à becqueter tant qu’il voulut dans ma
main
et sur ma bouche remplie de graines fines, puis j
ser seulement quand je la reverrais ! Tous nos biens passés dans les
mains
des hommes de loi, ruinés, mendiants, et, qui plu
eurais sans rien lui dire que son nom dans mes sanglots, en tenant sa
main
toute mouillée dans la mienne. Le petit chien, qu
n devant l’autel. CCXLVI — Oh ! pressez-le, nous disait-il les
mains
jointes, pressez-le de faire ce qu’il a promis po
! oui, raconte-nous cela toi-même, dit l’aveugle en joignant ses deux
mains
sur la table ; je me le ferais bien raconter tous
fus sa femme ! CCL Après ce miracle, je m’endormis comme si une
main
divine avait touché ma paupière et calmé mon pauv
bercail changé en antre pendant son absence. — « Je me traîne sur les
mains
, n’ayant plus de jambes. Une vieille femme qui a
ont ceint d’un rameau d’olivier sauvage, tenant un glaive nu dans ses
mains
sanglantes. Devant cet homme, une troupe de femme
it, le temple s’ouvre, Apollon paraît. Il paraît tenant Oreste par la
main
, avec la majesté bienveillante d’un roi reconduis
écarlate serrait leurs tuniques noires à leurs flancs étroits. D’une
main
, elles brandissaient un bâton, insigne menaçant d
ance l’absolution suprême de Pallas. — « Le sang s’est endormi sur ma
main
, la souillure du meurtre s’en est effacée… En vie
s. Et nous nous glorifions d’être justes. Celui qui nous présente des
mains
pures, jamais notre colère ne se jette sur lui, i
e. Mais quiconque a fait le mal comme cet homme, il a beau cacher ses
mains
sanglantes, nous lui apparaissons avec force et p
Athéné ». — Son égide, qui la soutient dans les airs, palpite sous sa
main
, comme une voile enflée par le vent. Des bords du
e farouche Arès l’attaque de sa lance. — « Mais celle-ci saisit de sa
main
puissante un rocher noir, âpre, immense, qui gisa
elle pourrait porter le Parthénon, sa cathédrale, sur la paume de sa
main
tendue. On la voit, dans un bas-relief, debout de
es ruches féminines. Cette guerrière a des doigts de fée ; de la même
main
dont elle brandit la lance invincible, elle manie
sa gloire guerrière et sa vocation maritime. Mais Pallas dompta d’une
main
le cheval sauvage, et, de l’autre, elle tira du s
sa cause, tous les hommes vont imiter son forfait, sachant que leurs
mains
seront impunies. Les pères sont menacés, la main
, sachant que leurs mains seront impunies. Les pères sont menacés, la
main
des enfants est levée sur eux ! — Plus de colère
avez foulé aux pieds les lois antiques, en arrachant cet homme de mes
mains
! » — Ce jugement coûtera cher au peuple qui l’a
nte comme un ange, adroite comme une fée. On croit la voir passer une
main
de charmeuse sur la meute hérissée de ces méchant
place des armes sanglantes qu’elles lui rendent, elle met entre leurs
mains
un sceptre de gloire. La déesse canonise, en quel
ète convertit à la justice le Dieu foudroyant d’Israël. À sa voix, la
main
de Jéhovah sort une seconde fois de la nue, et ra
n vêtement celui qui est nu ; — Il ne prête pas à usure, il retire sa
main
de l’injustice, et prononce, suivant le droit, en
de chanter, comme ceux d’Homère, en tenant une branche de myrte à la
main
. L’orateur Lycurgue lui fit élever une statue d’a
arde ; si je vous déplais, c’est vous que j’aurai peints : portez les
mains
sur vos oreilles et voyez si elles ne s’alongent
plan que Midas ou à peu près, Apollon de profil, droit, sa lyre à la
main
et la pinçant. Entre Apollon et la figure précéde
’un instant postérieur, du moment où Apollon ayant cessé de jouer, la
main
étendue, l’air indigné, il ordonne à ces oreilles
presque sans action, sans passion, sans mouvement, les regards et les
mains
levés vers le ciel, touchée, en actions de grâces
nture, c’est vous. Le bon Chardin que vous connaissez me prend par la
main
, me mène devant ces tableaux et me dit avec le ne
ampagne, assise, le coude appuyé sur la table, la tête penchée sur sa
main
, rêvant tristement. Cela n’est pas mal de positio
ation ! Point de grâce, point de chair, point de couleur ; cou, bras,
mains
noires, le bras qui soutient la tête, paralitique
t demandé une statue de Jésus-Christ, l’Hercule Farnèse la croix à la
main
; que dans d’autres morceaux, notre bon sauveur e
ployé le reste de sa vie à courir les grands chemins, une massue à la
main
, écrasant des monstres et dépucelant des filles ?
ants de luxure, une gorge charmante, le cou, les bras, les pieds, les
mains
, les épaules et les cuisses de Vénus ; la vierge
à présent une espèce d’aquarium de Paris, — personne n’ignora que la
main
, — beaucoup trop et vainement gantée, — qui avait
ement gantée, — qui avait écrit ce livre sur Byron, était, puisque la
main
de Byron est glacée, celle de toutes les mains qu
yron, était, puisque la main de Byron est glacée, celle de toutes les
mains
qui avait le plus le droit de récrire, pour être
d’un iota, d’un atome, d’un atome d’atome, l’opinion faite de longue
main
sur Byron, Historiquement, biographiquement, litt
’indolente houri qui a peut-être posé pour la Dudu du Don Juan, de sa
main
languissante, lança un livre, qui n’était ni un é
qui donne profondément le génie d’un homme, je ne la vois dans aucune
main
. Byron, qui fut non seulement le plus grand poëte
-en-ciel à fixer qui est sur le gouffre ; l’arc-en-ciel qui attire la
main
après l’œil ; qui s’en joue et qui la désespère !
s l’œil ; qui s’en joue et qui la désespère ! quand ce serait même la
main
de l’amour. Et celle-ci n’a pas été plus heureuse
un enfant est beau. Né depuis moins de temps et sorti fraîchement des
mains
de Dieu, il semble radieusement imprégné des bais
Elle devait éclairer jusqu’aux racines ce cœur qu’elle a eu dans les
mains
. Et qui la forçait en effet à sortir d’un silence
e plan des joues, dans ce portrait, est abbatial, et on y regrette la
main
, cette main que j’ai vue plus tard maigrie par la
oues, dans ce portrait, est abbatial, et on y regrette la main, cette
main
que j’ai vue plus tard maigrie par la souffrance,
urs, même pour traverser son salon, et qui, pour la beauté, était une
main
d’Évêque grand seigneur. Évidemment, de destinée
vait pas renversé sens dessus dessous toutes les existences, comme la
main
d’un enfant secoue et mêle, dans leur sac, tous l
ortent pour épigraphe la devise turque : C’était écrit ! tracée de la
main
qui nous a donné Éloa. Il est vrai que, crispée p
donné Éloa. Il est vrai que, crispée par un scepticisme tardif, cette
main
n’a pu s’essuyer entièrement de ce Christianisme
e-là on n’avait pas vu : le Stoïcisme en poésie nous écrivant, par la
main
la plus douce qui ait jamais existé, des vers de
ressemblent aux rubis de Wanda, dans la belle pièce de ce nom : Vos
mains
, par ces rubis, semblent ensanglantées ?… et on
des souvenirs de sa jeunesse, et dans lequel il s’était, de si longue
main
et de si bonne grâce, préparé à ce qu’il admirait
t finalement d’une foule entière. Tous portaient de longs bâtons à la
main
et des havre-sacs sur le dos. À leur démarche fat
mise à leurs trousses. Les filles du village, de longues gaules à la
main
, couraient avec de grands cris à la rencontre de
t où il est défendu à l’homme de regarder. Je fermai les yeux avec la
main
, et tout à coup, comme obéissant à un ordre intér
raient amèrement mes lèvres. Oh ! ma vie, comment as-tu glissé de mes
mains
sans laisser de traces ? Est-ce toi qui m’as trom
eur sans fin, et que tout à coup, d’une seule secousse, une puissante
main
d’ami m’eût ramené à la lumière du bon Dieu. Ce f
e et transparente. « Allons, dis-je en me levant et en lui serrant la
main
avec une sorte d’enthousiasme, conduis-moi, je te
bleus couraient perpétuellement çà et là. Il se tenait crânement, les
mains
sur la hanche, et son bonnet enfoncé jusqu’aux so
ce péché. Le bort est chose sacrée chez nous. Une ruche est faite de
main
d’homme, et gardée par des hommes. Si tu réussis
is, se taille un bâton de trois doigts d’épaisseur, et, ce bâton à la
main
, il bondit tout à coup sur la route, la face hide
e l’aperçus, je voulus décamper ; mais il me fit un petit signe de la
main
, et me dit : « Approche, Kondrate, ne crains rien
l est, ne vous en déplaise, un homme charmant. — Oui, il te lèche les
mains
! Qu’il ne parle pas le français… le malheur n’es
sept ans chez lui en qualité de maître de chapelle, et le quitta les
mains
vides. Ce grand seigneur s’était ruiné ; il lui a
ts, des ongles bleuâtres au bout de ses doigts durs et roides, et des
mains
rouges, les veines toujours gonflées. Son visage
la vermine. Cette engeance se gorgeait de ce qui lui tombait sous la
main
, buvait jusqu’à l’ivresse, et emportait de la mai
quand son mari s’approchait de la table de jeu, de dissimuler avec sa
main
ses misérables petites pertes, elle qui avait lai
criards, étendue sur une couchette du temps de Louis XV, tenant à la
main
une tabatière en émail de Petitot. Elle mourut ab
nce. Anna Pavlowna poussa un grand cri et se couvrit le visage de ses
mains
; pour son fils, il ne fit ni une ni deux ; il pr
saluer sa nouvelle maîtresse, dont il était le compère, lui baisa la
main
et se remit en marche pour la maison. Ivan Pétrov
ère le plus gai et le plus accommodant ; une tête ronde et grise, des
mains
blanches et douces, une figure avenante, malgré s
l et regarda un moment le tarantass ; puis laissant retomber ses deux
mains
sur ses cuisses, il piétina quelques instants sur
t saccadé, et, tout en aidant son maître à descendre, il lui baisa la
main
. « Bonjour, bonjour, mon ami, dit Lavretzky. Tu t
gardait la pose pittoresque qu’il avait prise en sautant à terre, une
main
appuyée sur le siège. Le vieillard apporta les cl
Glafyra Pétrowna, dit Antoine, qui a daigné la tresser de ses propres
mains
. » Dans la chambre à coucher s’élevait un lit étr
passion respectueuse. Elle s’approcha de Lavretzky pour lui baiser la
main
, et s’arrêta à la porte, comme pour attendre ses
sannes le regardaient du seuil de leurs izbas, la joue appuyée sur la
main
; les paysans saluaient de loin, les enfants s’en
était servi, et se plaça lui-même derrière la chaise du seigneur, la
main
droite enveloppée d’une serviette. Le vieux bonho
qu’à la rue, y consentit sur-le-champ et lui serra chaleureusement la
main
. Resté seul, à l’air humide et pénétrant qu’amène
e la poche de son frac, dans laquelle il glissait à chaque instant la
main
, un petit rouleau de papier de musique, et, les l
rtait une robe blanche avec une large ceinture de ruban blanc ; d’une
main
, elle tenait son chapeau de paille suspendu ; de
ux glaces étaient baissées, et Lavretzky trottait du côté de Lise, la
main
appuyée sur la portière : il laissait flotter la
et les joues. Elle éprouvait un indicible sentiment de bien-être. Sa
main
s’était posée sur la portière, à côté de celle de
et, ne voulant pas réveiller Maria Dmitriévna, il serra légèrement la
main
de Lise et lui dit : « Nous sommes amis à présent
rinçant légèrement, comme si elle n’eût attendu que la pression de sa
main
. — Lavretzky se trouva dans un jardin, fit quelqu
, puis devant la troisième… Quelqu’un s’avançait tenant la lumière en
main
. — Est-ce Lise ? Impossible !… Lavretzky se soule
…, moi…, écoutez-moi », dit Lavretzky à voix basse. Et, saisissant sa
main
, il la conduisit jusqu’au banc. Elle le suivit sa
de se lever, mais ce fut en vain, et elle se couvrit le visage de ses
mains
. « Lise, murmura Lavretzky, Lise », répéta-t-il.
ût été frappée au cœur, et leva les yeux au ciel. « Tout est dans les
mains
de Dieu, dit-elle. — Mais vous m’aimez, Lise ? No
t humide : mais la maison de Maria Dmitriévna ne passa point dans des
mains
étrangères, elle ne sortit point de la famille, l
de trait, chevaux de carrosse ardents, aux crins tressés, chevaux de
main
du Don. Les heures du déjeuner, du dîner, du soup
rie, en face de cette maison vers laquelle il avait en vain tendu les
mains
pour la dernière fois, dans l’espoir de vider cet
t ; mais son visage amaigri s’est incliné davantage encore ; mais ses
mains
jointes et enlacées de chapelets se sont serrées
e piété. L’homme s’humilie et se réduit à l’état d’instrument sous la
main
divine. Cet exorde religieux est toujours le plus
suspend à ses épaules un glaive étincelant d’argent, il prend dans sa
main
le sceptre de ses pères et s’avance vers les navi
e large bouclier au cou des guerriers soient humides de sueur, que la
main
se lasse à lancer le trait, que le coursier attel
rds attachés à la terre, il tenait son sceptre sans mouvement dans sa
main
sans le balancer à droite et à gauche, comme un a
éjà, du temps d’Homère, ces fils d’Esculape, au cœur de femme et à la
main
divine, qui soulagent les douleurs des hommes. To
-même, en voulant dérober son favori Énée à la mort, est blessée à la
main
par Diomède ; elle remonte au ciel et se plaint à
parler, tandis qu’Andromaque s’approche, du héros, et lui prenant la
main
dans les siennes, lui parle ainsi : « Infortuné
re plus brave que son père ! ” « Il dit, et repose son fils entre les
mains
de sa chère épouse, qui reçoit l’enfant dans son
de la Grèce sort des ténèbres le chef-d’œuvre des chefs-d’œuvre à la
main
; et on ne peut s’empêcher de se récrier sur le b
’oubli ! On dit que, sur ces bords où règne ta mémoire, Une lyre à la
main
tu mendiais ta gloire !… Ta gloire ! Ah ! qu’ai-j
murier ou un corroyeur, et cette toilette ne cesse pas d’être sous sa
main
aussi poétique qu’un son de la lyre. C’est là le
ector et n’en est pas moins immolé avant qu’il ait pu toucher avec la
main
le menton de Diomède, geste qui rendait le prison
e les coursiers du fouet retentissant ; les coursiers, obéissant à la
main
qui les flagelle, entraînent sans effort le char
nceinte ; mille dards acérés sont lancés à la fois contre lui par des
mains
courageuses ; des torches sont allumées, et l’ani
ent à lui tout seul ; ainsi le berger porte légèrement et d’une seule
main
la toison d’un bélier !… » La porte est enfoncée
s outils de son métier. Puis avec une éponge il essuie son front, ses
mains
, son cou robuste et sa poitrine velue… Il marche
et sa poitrine velue… Il marche avec un disgracieux effort, prend la
main
de Thétis et lui dit ces mots, etc. » Thétis lui
ut la description du bouclier d’Achille, sont à elles seules, sous la
main
d’Homère, un poème de paysage accompli. Combien j
rasés contre la pierre, et les épouses de mes fils entraînées par les
mains
féroces des Grecs ! Moi-même, le dernier de toute
enfin jusqu’à elle. Ses membres défaillent ; la navette glisse de ses
mains
; elle appelle ses femmes, elle court au-devant d
encore dans ton palais, ô Hector, tes riches vêtements ourdis par la
main
des femmes ! Eh bien ! je les jetterai sur la fla
sse que le nôtre. « Ô mon fils, dit Thétis après avoir caressé de sa
main
divine la tête de son fils, jusqu’à quand, triste
le couvre tout entier. Un nuage de poussière, ramassé de ses propres
mains
pendant qu’il se roulait à terre, couvre sa tête
tente d’Achille, embrasse les genoux du meurtrier d’Hector, baise ces
mains
homicides qui lui ont ravi tant de fils. Écoutons
it ce que n’a jamais fait aucun mortel : j’ai collé mes lèvres sur la
main
du meurtrier de mon fils ! ” » À ces éloquentes
es paroles, Achille s’attendrit au souvenir de son père ; il prend la
main
du vieillard et l’écarte doucement ; tous deux s’
assoupi ses regrets dans son cœur, il se lève de son siége et tend sa
main
au vieillard ; car il est touché de tendre compas
pour venger la mort d’un frère, d’un père ou d’un fils immolé par la
main
d’Hector ; car un grand nombre de Grecs, sous le
s amères douleurs. Hélas ! de ton lit funèbre tu ne m’as pas tendu ta
main
, tu ne m’as point dit les dernières paroles, dont
exposé, non raconté, non décrit, non analysé seulement par la froide
main
de la science, mais l’univers senti, peint et cha
r chacun (comme si elle n’avait été élevée qu’à cela), recevant de sa
main
blanche les gros sous des paysans qui affranchiss
ait jusqu’à elle ce jour-là et jouait dans la chambre, rangeait d’une
main
distraite les lettres reçues, la plupart à distri
adresse, à celle du comte Hervé de T…, et toutes les trois de la même
main
, d’une main qui semblait élégante, et de femme, e
elle du comte Hervé de T…, et toutes les trois de la même main, d’une
main
qui semblait élégante, et de femme, et comme myst
jamais su ? Ce qui est certain, c’est qu’un jour en agitant dans ses
mains
quelqu’une de ces lettres mignonnes, odorantes, e
Ces lettres perpétuelles faisaient comme un feu qui circulait par ses
mains
et qui rejaillissait dans son cœur. Le courrier d
pour Hervé, mise tout d’abord de côté, et la tenait longtemps dans sa
main
, et non pas sans trembler, comme si elle se fût p
’indispensable question, il avait pourtant trahi son angoisse par une
main
trop vivement avancée, par quelque mouvement de l
pauvre jeune fille paysanne venait apporter, en la tournant dans ses
mains
, une lettre de sa façon pour un soldat du pays, e
royaliste, le mousquetaire de 1814, mais en vain ; le ressort sous sa
main
ne répondait pas ; l’amour, qui aime à brouiller
te enfermée, sous cette grille, près du poison lent qui passe par ses
mains
et qui la tue, elle-même devenue jusqu’au bout l’
l ne demanda plus de lettres, et il n’en vint plus (du moins de cette
main
-là). Un singulier et touchant concert tacite s’ét
bout sans l’interrompre. Il avait fini lorsqu’il vit dans l’ombre une
main
qui s’avançait comme pour chercher la sienne ; il
insatiable, en Piémont ; prompte à tout recevoir, quelle que soit la
main
qui donne ; prête à tout prendre, quelle que soit
que soit la main qui donne ; prête à tout prendre, quelle que soit la
main
qui laisse envahir ; Alpestre, rude, pastorale, p
ts heureux ou malheureux ; puis les armes tombent, par lassitude, des
mains
de l’Europe. La diplomatie arrive, envisage ces d
ntions, ses traités, sa géographie, et porte atteinte, les armes à la
main
, au droit public, propriété commune de l’Europe,
talie qui maintient la paix. Trente millions d’Italiens dans la seule
main
d’une maison de Savoie, quatre-vingts millions d’
e offense mortelle à l’Angleterre : cette faute était d’avoir pris en
main
la cause de l’insurrection civile des colonies an
de l’Amérique du Nord contre la mère patrie ; c’était d’avoir pris en
main
cette cause en pleine paix, c’est-à-dire déloyale
éclare de bouche la paix à la nation britannique, et qui attise d’une
main
cachée la plus malfaisante des guerres, la guerre
ides incendiaires, les armes et les volontaires français, prêtés sous
main
aux insurgés américains par Louis XVI, sont une p
évolution philosophique pour que la réparation n’allât pas dans leurs
mains
jusqu’au royalisme. M. de Talleyrand, reflet de M
us éclatantes avaient toutes été faites par l’aristocratie tendant la
main
au peuple ; partout les Solon, les Gracques, les
le à la France n’était pas possible si la Grande-Bretagne retirait sa
main
aux coalisés. Il ne rêvait point cette conquête u
té, les vaincus comme les vainqueurs. Les notes et les dépêches de la
main
de M. de Talleyrand, retouchées seulement par le
ar l’esprit de la civilisation pacifique, recueillit sans violence de
mains
ou de paroles tous les résultats légitimes des ex
e, a donc tout à en attendre et rien à en redouter. Il dénoue avec la
main
d’un arbitre équitable le nœud si embrouillé de l
el temps que celui où la force des révolutions était dirigée, sous la
main
de M. de Talleyrand, par l’esprit conservateur de
nt voulu rejeter ce sang sur le prince de Talleyrand pour en laver la
main
de leur idole : atroce et lâche calomnie que la p
écuteurs ; et ce sont précisément ces exécuteurs qui en ont accusé sa
main
pour masquer leur main : mais ce sang, qu’on s’ef
récisément ces exécuteurs qui en ont accusé sa main pour masquer leur
main
: mais ce sang, qu’on s’efforce vainement de lave
ns et à l’humanité. La Prusse, déjà presque liée avec nous, retira sa
main
avec horreur de la nôtre. Lisez, dans les Mémoire
traité de Fontainebleau, dans lequel en effet M. de Talleyrand mit sa
main
, non officielle, mais officieuse, de grand diplom
re. XXXIV Nous ne louons pas le grand diplomate d’avoir mis la
main
, même par contrainte, dans le traité de Fontaineb
opéen dont la France et l’Autriche auraient tenu les poids dans leurs
mains
réunies, si Napoléon avait pu être jamais lui-mêm
de la sienne. Le ressort même du patriotisme s’était affaissé sous sa
main
; pourquoi ? C’est que derrière tant de sacrifice
us le souverain légal de la France ; qu’il avait violé, en rentrant à
main
armée en France, sa propre abdication ; que son s
La paix ou la guerre ne tenait, en ce moment, qu’à un fil. Entre des
mains
moins délicates et moins expérimentées, ce fil po
e réhabilitation et d’une profession de foi qu’il avait rédigée de sa
main
prudente jusque dans le protocole de la mort ; ma
e mon fils. C’était pour lui une bonne fortune d’être tombé entre mes
mains
: aussi allait-il souvent en rendre grâces à son
essus à coups de pied et à coups de poing, et il ne put sortir de mes
mains
que sans son bonnet et sans son manteau ; je fus
je courus aussitôt, je sautai sur la pierre, et, m’y attachant d’une
main
, de l’autre je le saisis par son manteau, au mome
il alla chercher du monde avec lequel il vint sur moi, une lance à la
main
; mais, comme j’avais un bon cheval, je préparai
eux heures d’attente, j’eus l’honneur de le voir et de lui baiser les
mains
. Il voulut me faire mettre à table avec lui, mais
mparer avec ceux des autres cardinaux, qui étaient presque tous de la
main
de ce grand maître. Il voulut en même temps que j
aisseau qui renfermait le sel. « L’une était Neptune, le trident à la
main
, traîné par quatre chevaux marins ; l’autre, la T
to. Oh ! quand viendra cet heureux moment ! m’écriai-je en levant les
mains
au ciel. « Le cardinal ne me donna que dix jours
çais, auxquelles je répondis en italien ; et, voyant qu’il mettait la
main
à sa dague, qui était fort courte, je mis la main
nt qu’il mettait la main à sa dague, qui était fort courte, je mis la
main
à la mienne, qui était plus longue, et qui ne me
rester à sa place. Il me trouva ayant une grande plaque d’argent à la
main
, pour le corps de mon Jupiter ; un autre faisait
t là précisément que je me vis attaqué par quatre hommes, l’épée à la
main
. J’enveloppai aussitôt de mon manteau le bras auq
de mon manteau le bras auquel ma bourse était attachée, et je mis la
main
à mon épée. “Avec un soldat, leur dis-je, lorsqu’
us de bien que vous n’en voudrez. Forcé au silence, je me tordais les
mains
; Mme d’Étampes en était d’autant plus furieuse.
pour type de son héros mythologique l’instant où Persée élève dans sa
main
la tête de Méduse qu’il vient de couper, et où il
enfin le duc, que cette belle tête de Méduse, qui est là-haut dans la
main
de Persée, puisse bien venir ? — Vous voyez bien,
tous ceux qui s’approchaient de moi, je les frappais des pieds et des
mains
, et je me désolais en disant : J’éprouve quelque
ne laissait pas que d’enfler un peu ma vanité. Ensuite, ayant mis la
main
à ma bourse, je les payai bien, et je les renvoya
le duc me fit promettre de revenir bien vite pour mettre la dernière
main
à mon Persée, et me donna en même temps des lettr
lle ferait un plus bel effet. Ayant ensuite appris que c’était de mes
mains
qu’elle était sortie, il m’écrivit cette lettre :
allais le saluer : Oh ! vous voilà retourné, me dit-il en battant des
mains
, et il me tourna le dos. Je ne pus comprendre ce
de fortifier cette porte ; et, en même temps, nous mîmes l’épée à la
main
: mais une foule de nos honnêtes Florentins accou
’ôtai ma statue des yeux du public, pour y mettre ensuite la dernière
main
. « Quoique le duc eût été témoin de l’approbation
la place ; et ils m’approchèrent avec précipitation, le chapeau à la
main
; ils me haranguèrent comme si j’eusse été un pap
Et ce bon vieillard me mit sous les yeux un plan du pays, fait de sa
main
, où il me fit voir la vérité de ce qu’il me disai
Ils peignent avec exactitude l’enthousiasme pour tous les arts de la
main
qui renaissaient sous Léon X, le culte du génie,
ère et d’attentats atroces que l’absolution du pontife effaçait de la
main
même de l’assassin. La fausse modestie n’existait
de ; il vous faut déifier le fer, et un fer qui ne sera plus dans vos
mains
, Français ! mais dans la main de l’Italie romaine
r, et un fer qui ne sera plus dans vos mains, Français ! mais dans la
main
de l’Italie romaine ! L’Italie romaine ! la plus
qui le veuille une seconde fois ? où sont les peuples qui tendent la
main
à l’oppression universelle de l’Italie romaine ?
de cette confusion du droit spirituel et du droit temporel dans leurs
mains
, oubliez-vous ce que la papauté souveraine à Rome
ermerait les flots. Où est la force humaine qui fera cela ? Où est la
main
italienne, et même piémontaise, et même française
avez odieusement confisquée vous-mêmes en 1815 pour la jeter dans les
mains
ouvertes de la maison de Savoie, son éternelle ri
, française ou piémontaise, n’a le droit de s’ingérer, les armes à la
main
, dans les volontés libres du peuple romain, soit
ue s’ensuit-il enfin ? Qu’en 1859 le Piémont a eu tort d’intervenir à
main
armée dans les États italiens, et de s’annexer ar
t elle est déjà trop resserrée ? Comment créerait-elle de ses propres
mains
une cinquième grande puissance militaire qui, en
par la France, mais monarchie précaire quand la France aura retiré sa
main
, cette monarchie contestée par les partis et par
inouï, mais contresens accompli à la nature des choses ; c’est par la
main
du Piémont que l’Angleterre violentera les prince
euples, les rois, les républiques, les papes en Italie ; c’est par la
main
de l’Angleterre que le Piémont pèsera sur la Fran
zia, à Livourne, à Civita-Vecchia, à Naples, à Palerme ; c’est par la
main
de l’Angleterre que le Piémont pèsera sur l’Allem
du côté des Alpes, finira par se lasser d’être toujours en sursaut la
main
sur ses armes, et par détruire ce qu’elle aura fa
erselle n’est qu’un drapeau de guerre avec l’Angleterre, élevé par la
main
de la maison de Savoie tantôt pour, tantôt contre
eau que chacune de ces puissances viendra abattre à son tour dans une
main
monarchique très militaire, mais trop récente, tr
e, cette pensée a sombré dans les négociations. Le Piémont a forcé la
main
à la nature ; Turin et Londres retournent aujourd
on temporelle et les convenances de son pontificat spirituel ; aucune
main
armée, profane et étrangère, interposée entre les
uisselait jusque sur ses épaules, et d’où sortait, au mouvement de sa
main
, un front limpide, mais déjà plein de je ne sais
à ceux dont le menton manque ou fuit en arrière ! la base manque à la
main
qui veut appuyer le visage. Ceux-là ont la légère
xion, où est le caractère, dans une tête qui ne peut s’appuyer sur la
main
? II L’attitude de cet adolescent était con
activité est volontaire. Le génie et la fantaisie se tiennent par la
main
pour rêver et chanter ensemble à leur heure, ou b
sur les étalages de libraires, mais qu’on les glisse seulement de la
main
à la main entre quelques amis discrets, comme une
talages de libraires, mais qu’on les glisse seulement de la main à la
main
entre quelques amis discrets, comme une confidenc
atique, carrière que je préférais mille fois à quelques battements de
mains
ou à quelques battements de cœur des poètes ou de
nstre de décomposition humaine, ce Polyphème qui n’a qu’un œil et des
mains
, l’homme spécial. Je ne m’étonne pas que les tyra
erses, tombèrent de l’enveloppe sur mon lit. Le premier billet, d’une
main
évidemment féminine, était de la princesse polona
ux que vous aimez. » J’ouvris le second billet ; il était écrit d’une
main
évidemment précipitée et lasse d’insomnie, sur un
e sur la joue, qui ne porte ni masque tragique ni masque comique à la
main
, mais qui a le visage véridique de ses sentiments
popée à ce jeune espoir des poètes. Il a le cœur, l’imagination et la
main
capables d’une telle œuvre ; je n’en voudrais pou
De leur chaude auréole enflamment sa pâleur ; D’un geste familier sa
main
gauche caresse Ses deux blancs lévriers, amis et
nts d’automne Qui l’effeuillent aussi, pour mieux la refleurir ! Les
mains
lourdes de dons, le poète avec grâce Descend vers
C’était le tour aussi des bergers du plateau : Ils avaient deviné la
main
dans le cadeau ; Leur mère, en leur mettant leur
mandant à m’entretenir ; j’ordonnai de la faire entrer. Je passai une
main
dans mes cheveux, soulevés par l’inspiration, pou
gère (le français), ils n’avaient ni l’embarras de construction d’une
main
novice à nos rythmes, ni la mollesse, ni la chair
ue des essais poétiques de l’enfance ou de l’imitation sous une jeune
main
; ils étaient tout nerfs, tout émotion, tout conc
ans les sables mouvants duquel il vient de planter son pavillon d’une
main
si ferme et si victorieuse. L’héroïne de la coméd
d’apparaître et de parvenir, comme les diamants illustres qui, de la
main
du mendiant indien ou du nègre qui les déterre, p
es manières adorables : c’est la Diplomatie désarmant la Guerre de sa
main
gantée, et lui arrachant un sourire. Le second ac
et n’ont pas même de bobèches pour essuyer leurs larmes de cire ; la
main
sordide des huissiers a laissé son stigmate sur l
: elle ne sait que balbutier de puériles excuses et retenir, dans sa
main
serrée, cette lettre fatale qui va la trahir. Alo
ui fuit à son approche, il le tient, il ne le lâchera plus, et, d’une
main
violente, il arrache le papier de ses doigts cris
rt gît Suzanne, jetée à la renverse sur un fauteuil, la tête dans ses
mains
. Mais tout espoir n’est pas perdu, puisqu’elle pl
né, pour son bienfaiteur ; et c’est à grand’peine qu’il échappe à ses
mains
suppliantes. Cependant la baronne d’Ange vient at
ns suppliantes. Cependant la baronne d’Ange vient attendre, montre en
main
, dans la maison de l’ennemi, l’issue du duel qu’e
il a tué pour Hermione. Il l’aime. Il lui offre son nom, son cœur, sa
main
qu’il vient d’ensanglanter pour elle. Il lui prop
va s’emparer d’elle : je plains ceux qui tomberont entre les froides
mains
de cette morte qui sent déjà le vampire. Et maint
a moralité de son châtiment, si juste d’ailleurs, je me demande si la
main
d’où il part avait le droit de l’appliquer. Il y
critique ; ceci dit, je n’ai plus qu’à louer, qu’à applaudir des deux
mains
, et qu’à me joindre à cette explosion d’enthousia
llamment pratiquée. Est-elle rouée ! est-elle perverse ! et de quelle
main
sûre le poète fait jouer les ressorts de cette âm
e fille pauvre et de bonne maison daignât l’introduire, de sa blanche
main
, dans le monde des honnêtes gens et de la bonne c
de jappe à ses talons et va le mettre aux abois. Mais Élisa refuse la
main
de M. Giraud, si bien que son père s’imagine que
bien, au premier mot, Élisa se redresse et déclare qu’elle accepte la
main
de M. Giraud. C’est là sa réponse. La scène capit
ines allongées, lorsque la porte s’ouvre et Jean Giraud reparaît, les
mains
pleines de billets de banque. Il revient du Havre
le-ci que la douleur et la résignation immobile d’un malade entre les
mains
d’un oculiste qui lui fait une opération chirurgi
menace de la fouler elle et ses enfans, et cette femme lui oppose ses
mains
au poitrail si mollement que, si l’on ne voyait q
ers. Tout cela ne vaut pas ce soldat de Le Brun, je crois, qui, d’une
main
, arrache un enfant à sa mère, en poignarde un aut
e main, arrache un enfant à sa mère, en poignarde un autre de l’autre
main
, et en tient des dents un troisième suspendu par
tre de laquelle sur un piédestal une figure qui semble ordonner de la
main
. Et le faire comme d’une estampe précieusement en
t son initiation. Une fresque du Giotto nous montre Dante tenant à la
main
une fleur de grenade, symbole des affiliés de la
ns — « et son cortège armé d’instruments d’orage ! L’un, le bombyx en
main
, l’enflamme sous ses doigts, en fait jaillir la n
uges, et que le soldat qu’il était resté put se croire dégradé par la
main
de ses anciens chefs. Ce n’était point seulement
ières fresques de Raphaël. Eschyle releva pourtant le défi. Entre les
mains
de son jeune rival, la tragédie s’était détachée
modelant une montagne en colosse, lui faisant porter une ville sur la
main
droite, et verser de l’autre un fleuve dans la pl
usté à la sienne deux fibres nouvelles, un des Éphores, le couteau en
main
, lui demanda de quel côté il préférait qu’on la m
qui amplifiaient les membres, aux gants énormes qui grossissaient les
mains
, ce masque monumental faisait de l’acteur un spec
le défi pare la menace, la résolution transperce la supplication. La
main
du guerrier perce dans ces duels de paroles, elle
ques qu’adoraient leurs pères sous des appellations transparentes. La
main
de l’artiste, la parole du poète n’avaient pas dé
une tête de cheval entrelacée de serpents, portant un dauphin sur la
main
droite, et une colombe sur la gauche. Aphrodite,
reparaître dans sa beauté svelte, le croissant au front et l’arc à la
main
. Héra était figurée par une colonne à Argos, et à
es. Até, Adrastée, les Érynnies, les Imprécations, le glaive dans une
main
, la torche dans l’autre, font des rondes de nuit
nce de son carquois, une à une. On dirait l’arc de David tendu par la
main
d’Apollon. Il a des mots chimériques taillés d’un
Argiens leur ont voté l’hospitalité, dit que l’air s’est hérissé des
mains
droites levées de tout le peuple ». Tydée accuse
t nous annonce un travail d’ensemble sous le titre : Les Reines de la
main
gauche, titre plus piquant qu’il n’est exact. Les
a main gauche, titre plus piquant qu’il n’est exact. Les reines de la
main
gauche, en effet, s’il en est quelque part, rappe
sses. Parlons correctement d’ailleurs. En Allemagne, les femmes de la
main
gauche, et non pas les reines, sont des maîtresse
t, ressemble à l’anatomiste. Il est bien souvent obligé de plonger sa
main
dans le sang et dans la pourriture, mais, comme l
s la solidité de sa trempe première ?… De ces prétendues reines de la
main
gauche, de ce musée de vice-épouses, comme dirait
politique chétive, que les races et les générations se passent de la
main
à la main depuis des siècles, qu’on appelle fusio
chétive, que les races et les générations se passent de la main à la
main
depuis des siècles, qu’on appelle fusion, concili
s larrons. On se perd dans le labyrinthe tortueux de cette intrigue à
main
armée. Le Cid tenait, en quelque sorte, Valence à
e créer des idoles dans le passé, et il se prend à ce qu’il a sous la
main
: il lui suffit d’un prétexte. Les peuples, à déf
ement : « Lorsque Chimène Gomez l’entendit, elle alla lui baiser les
mains
. « Merci, dit-elle, seigneur, ne le tenez pas à m
e comte don Ossorio, gouverneur du roi, prend vite don Fernand par la
main
et le tire à part en lui disant : « Seigneur, que
a tué le comte orgueilleux ! » Don Diègue s’agenouille pour baiser la
main
du roi : Rodrigue s’y refuse : il faut une exhort
eur, et d’être, moi, votre vassal. Parce que mon père vous a baisé la
main
, je suis très-mécontent. » Tout se passe au reste
t il était effrayé. La demoiselle parut, et le comte la menait par la
main
. Elle leva les yeux, et commença de regarder Rodr
é ; mais je déclare devant le Christ que je ne vous baiserai point la
main
et que je ne me verrai point avec ma femme en dés
e Campéador. Elle pleurait de ses yeux, et elle voulut lui baiser les
mains
. « Merci, Campéador, en bonne heure vous êtes né.
vous. Venez-nous en aide pour l’amour de sainte Marie. » Il posa les
mains
sur sa belle barbe ; puis il prit ses filles dans
z laissée. Plaise à Dieu et à sainte Marie que je puisse encore de ma
main
marier ces miennes filles, et qu’il m’accorde du
vous apporte le trousseau. » Le trousseau, c’est le butin, c’est la
main
basse qu’il va faire sur le camp marocain tout pl
ant de sa rude poigne (tout cassé qu’il est) leurs faibles et tendres
mains
, jusqu’à les faire crier ; « Assez, seigneur, s’é
s entre nous une satisfaction en paroles. Loin de là, avec cette même
main
je vous déchirerais les entrailles, en faisant pé
, je vois celui qui tua mon père, chevalier à cheval, et tenant en sa
main
un épervier, ou parfois un faucon qu’il emporte p
le », promis « le royaume de Dieu », prêché la résignation tendre aux
mains
du père céleste, inspiré la patience, la douceur,
ires, conseillers, théologiens, ils participent aux édits, ils ont la
main
dans le gouvernement, ils travaillent par son ent
il lit pendant deux heures ; sept heures durant, il travaille de ses
mains
, et il ne mange, il ne boit que le strict nécessa
là patrons et véritables fondateurs de dynasties. Il a tenu dans ses
mains
le tiers des terres, la moitié du revenu, les cha
le marquis jeté en enfant perdu sur la frontière brûlée, sommeille la
main
sur son arme, comme le lieutenant américain dans
er un pays. On vit donc, ou plutôt on recommence à vivre sous la rude
main
gantée de fer qui vous rudoie, mais qui vous prot
suffit maintenant que toutes les seigneuries se réunissent entre les
mains
d’un seul seigneur, et que le roi, chef des noble
t immémorial, sentent que la France est un vaisseau construit par ses
mains
et par les mains de ses ancêtres, qu’à ce titre l
tent que la France est un vaisseau construit par ses mains et par les
mains
de ses ancêtres, qu’à ce titre le bâtiment est à
, sont nécessairement unis avec les miens et ne reposent qu’entre mes
mains
».
qu’il n’attendait pas en effet. Ayant ensuite joint ses deux vieilles
mains
, et levant les yeux vers le ciel : Seigneur, dit-
n honnête garçon. Il me mit aussitôt de l’or et de l’argent entre les
mains
, et, quand la journée fut finie, il me conduisit
nde, m’empêche de me rendre auprès de toi.” Sa lettre tomba entre les
mains
de mon maître, qui la lut secrètement, et qui me
remières études. « Mais retournons à Torrigiani, qui, mon dessin à la
main
, parla de la sorte : Nous allions, Michel-Ange et
figure, que je sentis l’os et les tendons de son nez fléchir sous ma
main
, comme un cornet, et qu’il en restera marqué tout
temps-là, j’achevai un ouvrage d’argent en bas-relief, grand comme la
main
d’un enfant. Il servait à fermer la ceinture d’un
truire et décorer par Raphaël. J’y copiais, dit-il, pour me former la
main
et le goût, les chefs-d’œuvre de l’histoire de Ga
r, les yeux baissés, sans dire mot, je le soulevai en l’air avec deux
mains
; et le faisant bruire comme la trémie d’un mouli
rai travailler pour moi de son autre métier. À ces mots, il tendit la
main
, et lui donna une bourse de cent écus d’or, en lu
que vous avez promis de faire de votre côté. Lucagnolo le prit par la
main
, le regarda beaucoup, et lui répondit : Mon bel e
ais point pressé. Ces mots le mirent tellement en fureur qu’il mit la
main
à son épée ; je pris une arme de mon côté, en dis
n courroux. Alors, m’ayant fait apporter du papier : Écrivez de votre
main
, me dit-il, que vous avez reçu le prix du vase, e
aces, mais enfin il me satisfit ; je lui donnai un billet signé de ma
main
, et je le quittai. Le pape Clément, qui avait vu
soulevé le voile de Diego, Michel-Ange, qui était facétieux, mit ses
mains
, l’une sur celui-ci, et l’autre sur celui-là, leu
is-moi ! Quand il eut achevé ses folies, cette belle créature leva la
main
, et lui donna une bénédiction papale. Alors Miche
ues hommes moins alarmés que ceux-là : prenant ensuite une mèche à la
main
, je tournai la bouche de quelques pièces où il le
que j’avais à lui parler de choses importantes, il fit un signe de la
main
pour qu’on se retirât ; et je lui parlai ainsi :
eaux avec mon arquebuse ; un petit fer qui s’y trouvait me déchira la
main
droite ; et, sans ressentir beaucoup de mal, ma m
it me déchira la main droite ; et, sans ressentir beaucoup de mal, ma
main
versait beaucoup de sang. « Étant entré dans l’hô
elle le déchira par le milieu, et voulut elle-même m’en envelopper la
main
. Nous dinâmes ensuite fort tranquillement. Après
du cardinal Santa-Fiore, et il voulut lui faire mettre les armes à la
main
. Celui-ci s’en plaignit au cardinal, qui lui répo
it son honneur intéressé à me perdre : c’est pourquoi je te supplie à
mains
jointes de me tirer d’ici ; je te devrai la vie,
e lui ce que je devais faire. Alors je me remis tout entier entre les
mains
de Dieu, et je le priai de venir à mon secours. J
qui l’aurait écrasée ; mais, comme je voulus le faire tomber avec la
main
, je fus arrêté, et jeté à quatre pas de là d’une
que l’hôte ne se dérangerait pas pour le pape, et me demanda la bonne
main
; je lui ordonnai d’aller causer avec celui qui t
r massif entourée de diamants d’un prix énorme. « Je mis aussitôt la
main
à l’ouvrage, et peu de temps après je le portai a
pierres, répondit Fergus8 s’élèvent sur la tombe de Caïrbar ; et ces
mains
ont placé dans la terre le vaillant Ducomar. Fils
hullin, dis comment sont tombés les chefs d’Erin ? Ont-ils péri de la
main
des enfants de Loclin en combattant dans le champ
cher Ardan. Ils sont tombés, comme deux chevreuils du désert, sous la
main
du puissant Swaran. Swaran rugissait, au milieu d
couronnent le sommet du Gormal, il jouit de la mort du matelot. « Ta
main
n’est pas oisive, ô chef de l’île des Brouillards
rs. Chaque héros est une colonne de ténèbres, et son épée est dans sa
main
un rayon de feu. La plaine gémit comme le fer, ro
il me dit : « Cuchullin, oppose ton bouclier ; défends-toi contre la
main
de ton ami. Mon âme est accablée de douleur ; il
la terre, Ferda, le premier des amis de Cuchullin. Malheureuse est la
main
de Cuchullin, depuis qu’elle a donné la mort à ce
épanouies sur le visage du jeune héros ; mais la mort était dans ses
mains
: il était fort et terrible comme les eaux du Lor
accompagné de ses guerriers. Les ministres de la mort périrent de sa
main
, et la forêt du Gormal retentit du bruit de leur
à son aimable roi de Morven. Ses paroles n’ont pas été vaines, et la
main
de Fingal s’est rougie du sang de mon peuple. » «
rs tombent déracinés sur son passage. Le sang des ennemis inondait la
main
de mon père lorsqu’il agitait son épée dans un ce
as blanchis par les ans, et la vieillesse ne faisait pas trembler mes
mains
: mes yeux n’étaient pas couverts de ténèbres, et
était tremblante à mes côtés : il décoche un trait, elle tombe. « Ta
main
est sûre, Borbar ; mais cette belle était un faib
t à ses yeux. « J’allai vers les ondes noires de Lego pour obtenir sa
main
: douze guerriers de ma nation, enfants valeureux
boulevard des guerriers dans leur retraite. L’épée flamboyait dans la
main
de Cormac, ses yeux étaient pleins de douceur. Os
nées de larmes : plusieurs fois, de sa robe de nuages, elle avance sa
main
livide ; elle l’étend sur Fingal en silence et en
l’occident : tel s’éloigne le roi de Morven. Deux lances sont dans sa
main
, et son armure jette un éclat terrible… Il abando
t ; ses yeux versent des larmes de plaisir : son épée paraît dans ses
mains
un rayon de lumière. Il s’avance, et avec un sour
nnerre roule de colline en colline ses effrayants éclats : tels de la
main
d’Oscar et de la mienne tombaient et se suivaient
nalèrent nos armes dans cette affreuse mêlée ? Ô fille de Toscar, nos
mains
étaient toutes sanglantes ; les rangs superbes de
is, et levait vers le roi ses yeux mourants : « Ah ! c’est donc de ma
main
que tu péris, s’écrie Fingal qui le reconnaît, ô
ire Starno. Tu fus l’ennemi des ennemis de mon amante, et c’est de ma
main
que tu péris ! Élève, ô Ullin, élève la tombe du
rivage. « À cette vue, Cuchullin s’enflamme et fronce le sourcil : sa
main
se porte sur l’épée de ses pères ; ses yeux roule
s. « — Non, répondit le roi de Morven, jamais tu ne seras percé de ma
main
: je veux que ton épouse te revoie encore sur les
ux que ton épouse te revoie encore sur les bords du Loda, échappe des
mains
de la guerre ; je veux que ton vieux père, que, p
du moins ta voix dans sa demeure… Il se lèvera plein de joie, et ses
mains
errantes chercheront son fils. « — Il ne le trouv
Alighieri, et du fantôme dans Shakespeare. La tête de mort passe des
mains
de Dante dans les mains de Shakespeare ; Ugolin l
e dans Shakespeare. La tête de mort passe des mains de Dante dans les
mains
de Shakespeare ; Ugolin la ronge, Hamlet la quest
e ce qu’elle a droit de réclamer comme sien. DUNCAN. Donnez-moi votre
main
, conduisez-moi vers notre hôte ; nous l’aimons gr
nt, une fois apprises, à la ruine de leur inventeur. La Justice, à la
main
toujours égale, fait accepter à nos propres lèvre
-ce un poignard que je vois là devant moi, la poignée tournée vers ma
main
? Viens, que je te saisisse. — Je ne te tiens pas
s la seconde chambre ? LADY MACBETH. Donalbain. MACBETH regardant ses
mains
. C’est là une triste vue ! LADY MACBETH. Quelle f
nous assiste ! et l’autre : amen, comme s’ils m’avaient vu, avec ces
mains
de bourreau, écoutant ce qu’ils disaient ; et je
rêveries d’un cerveau malade ? Allez, prenez de l’eau, et lavez votre
main
de cette tache qui témoigne contre vous. — Pourqu
Que suis-je donc devenu, que le moindre bruit m’épouvante ? — Quelles
mains
j’ai là ! Elles me font sortir les yeux de la têt
que tout l’océan du grand Neptune puisse laver ce sang et nettoyer ma
main
! Non, en vérité, ma main ensanglanterait plutôt
Neptune puisse laver ce sang et nettoyer ma main ! Non, en vérité, ma
main
ensanglanterait plutôt l’immensité des mers, et f
dâtre un seule teinte rouge. (Rentre lady Macbeth.) LADY MACBETH. Mes
mains
sont de la couleur des vôtres ; mais j’ai honte d
et ne m’ont donné à saisir qu’un sceptre stérile que m’arrachera une
main
étrangère, sans qu’aucun fils sorti de moi me suc
le que vous puissiez prier pour cet homme et ses enfants, lui dont la
main
vous a courbés vers la tombe et réduits pour touj
nt ton bandeau : couvre l’œil sensible du jour compatissant, et de ta
main
invisible et sanguinaire arrache et mets en pièce
en avant. J’ai dans la tête d’étranges choses qui passeront dans mes
mains
, des choses qu’il faut exécuter avant d’avoir le
voit s’élever le fantôme d’un enfant couronné, ayant un arbre dans sa
main
.) Quel est celui qui s’élève semblable au fils d’
rchant à la file l’un de l’autre, le dernier tenant un miroir dans sa
main
. Banquo les suit.) MACBETH. Tu ressembles trop à
ers mouvements de mon cœur seront aussi les premiers mouvements de ma
main
; dès à présent, pour couronner mes pensées par l
ine et perverse l’échauffe, l’embrase et y participe du cœur et de la
main
, en le facilitant et en l’accomplissant à demi el
re de ce remords rendu visible par la tache indélébile de sang sur la
main
de l’assassin, que toutes les vagues de l’Océan n
près des mois, bien des mois passés, je reprends la plume, tombée des
mains
de mon frère. Dans le premier moment, j’avais vou
aise, où, du matin à la nuit, sans relâche et repoussant le repos, la
main
à la plume, il peinait sur le dernier livre qu’il
voir saler son poisson à la salière, prendre sa fourchette à pleines
mains
, manger comme un pauvre enfant, c’est trop… Ce n’
st, et après avoir longtemps fatigué le volume de la promenade de ses
mains
dessus, il me jette d’une voix timide : « Où en s
son envieux intime. 5 juin Quelque chose de destructif dans les
mains
; il est toujours à froisser, à tracasser les obj
comme une fille, marche le coude appuyé sur l’épaule du vieillard, la
main
passée derrière la tête, et jouant avec les cheve
iant : « Ce n’est pas de ma faute, ce n’est pas de ma faute ! » et sa
main
tremblotante et contractée cherchait ma main sur
as de ma faute ! » et sa main tremblotante et contractée cherchait ma
main
sur la nappe. « Ce n’est pas de ma faute ! repren
t’afflige, mais je veux souvent et je ne peux pas (textuel). » Et sa
main
serrait la mienne, avec un « pardonne-moi » lamen
t une écume sanguinolente. Assis sur son traversin, derrière lui, mes
mains
tenant ses mains, je pressai, contre mon cœur et
inolente. Assis sur son traversin, derrière lui, mes mains tenant ses
mains
, je pressai, contre mon cœur et le creux de mon e
éternelle, sans la reconnaissance d’une seconde, sans un serrement de
main
, sans un adieu du mourant au vivant. * * * Je n’
figure étrangère. Ma mère, sur votre lit de mort, vous m’avez mis la
main
de votre enfant chéri et préféré dans la mienne,
iffus, et comme s’enfonçant lentement dans le lointain… Je touche ses
mains
: c’est du marbre mouillé. 9 heures 40 minutes
la vie, si l’on ne rencontrait le violet de ses ongles au bout de ses
mains
pâles. * * * Le dîner Magny a été fondé par Gavar
son siège, et lui mettant les rênes de ses chevaux, entre ses petites
mains
. * * * En dépit de tout ce que mes yeux voient, d
cumant de crème blanchir sur les longues tranches de pain bis dans la
main
du laboureur. Le vin, modérément, mais libéraleme
es, et je bondissais de joie naïve et précoce, en tenant par mes deux
mains
les mains complaisantes des plus jeunes et des pl
bondissais de joie naïve et précoce, en tenant par mes deux mains les
mains
complaisantes des plus jeunes et des plus jolies
celui d’une enfant des villes ; une taille ferme, des bras ronds, des
mains
effilées, des pieds cambrés et délicats, qui bril
ougeur de son visage ordinairement pâle et le tremblement de sa forte
main
en lui présentant, comme aux autres faneuses, l’é
e, le petit Didier n’osait pas même se mêler aux rondes ou prendre la
main
de la Jumelle. Au contraire, toutes les fois que
oint à la cuisine pour recevoir, comme à l’ordinaire, son écuelle des
mains
du vieux Joseph. Il se glissa inaperçu dans le cr
noire église du village, et il entra tout en sueur, en poussant de la
main
la claire-voie, dans la maison de la Jumelle. Ell
loux bruissaient en roulant sous ses souliers ferrés ; il tenait à la
main
, par suite de sa vieille habitude, la longue gaul
! Place à moi ! place à moi ! place à moi ! « Le père m’a pris par la
main
! « La mère a étendu la nappe ! « La fille a rou
tte exclamation, s’arrêta suspendu sur le flanc de la roche, les deux
mains
crispées sur des touffes de bruyère qui portaient
cœur lui manquer dans la poitrine. Ses doigts, ouverts comme par une
main
de force, se détachèrent des deux touffes de bruy
endu ventre à terre sur le carreau, je soutenais ma tête sur mes deux
mains
accoudées du côté de la fenêtre. Je pouvais voir
nos victimes à l’échafaud. Le même fer défend le cœur du pays dans la
main
du soldat et égorge les victimes dans la main du
le cœur du pays dans la main du soldat et égorge les victimes dans la
main
du bourreau. XXVII La Marseillaise conserv
t chez Dietrich. Il le trouva dans son jardin, bêchant de ses propres
mains
des laitues d’hiver. La femme du maire patriote n
re lui. Il échappa avec peine à la mort. L’arme se retourne contre la
main
qui l’a forgée. La Révolution en démence ne recon
eveux, épars au vent de la montagne, Les filles se passant leurs deux
mains
sur les yeux, Jetaient des cris de joie à l’écho
funèbre et douce Me consolait d’y pleurer seul, Il me semblait qu’une
main
d’ange De mon berceau prenait un lange Pour m’en
sans les atteindre, elle bondit sous moi, en essayant de me forcer la
main
pour s’élancer vers ses chères images. Je descend
nt à l’embouchure d’une fontaine d’eau pure ; je lui tendais mes deux
mains
ouvertes, mes doigts élargis, comme un mendiant q
te demeure submergeait mon front. Je cachais mon visage dans mes deux
mains
; je regardais furtivement entre mes doigts les t
épouvantés d’un vieillard qui levait et agitait comme à tâtons, d’une
main
tremblante, un grand bâton dont il semblait se co
nom de la jument ; elle se calma à ma voix, et revint écumer sur mes
mains
et me remettre les rênes. Je criai au vieillard d
ogénaire, il paraissait tout à fait aveugle, car il tenait une de ses
mains
en entonnoir sur ses yeux fixés vers le soleil, c
comme pour y concentrer quelque sentiment de ses rayons ; de l’autre
main
il palpait une à une les pierres amoncelées du pe
. — « Oui, c’est moi, père Dutemps », lui dis-je : « Donnez-moi votre
main
, que je la serre encore en reconnaissance des bon
s rien que ce que vous voyez, ajouta-t-il en laissant tomber ses deux
mains
sur ses genoux comme un homme oisif. Je garde l’â
ux dans les oreilles », continua-t-il en souriant ; « j’en ai sur les
mains
, j’en ai sous les pieds. Je passe des heures enti
jours sept ou huit grains en mémoire d’eux. » Je serrai de nouveau la
main
du coquetier, et je continuai mon chemin. J’étais
ma rencontre, et poussa quelques tendres gémissements en léchant les
mains
de son maître. Une petite fille de douze ans, qui
y eut que quelques oiseaux familiers, ces beaux paons nourris par nos
mains
, qui parurent se réjouir en voyant se rouvrir les
te nécessité ne fît pas du moins passer ce domaine des morts dans les
mains
d’une famille étrangère ou d’un propriétaire indi
l’espérance ; et mes larmes aussi coulaient ; et quand je retirai mes
mains
de mes yeux et que je les posai contre le seuil p
n lui donnait. Vers le troisième mois, elle commence à tâter avec ses
mains
, à avancer ses bras ; mais elle ne sait pas encor
s mains, à avancer ses bras ; mais elle ne sait pas encore diriger sa
main
, elle palpe et remue vaguement ; elle essaye les
a essayé spontanément tous les mouvements des bras, la flexion de la
main
sur le poignet, le rapprochement des mains, etc.,
des bras, la flexion de la main sur le poignet, le rapprochement des
mains
, etc., puis, après enseignement et tâtonnements,
, après enseignement et tâtonnements, elle est parvenue à frapper les
mains
l’une contre l’autre, comme on le lui a montré en
comme on le lui a montré en disant bravo, à tourner régulièrement les
mains
ouvertes comme on le lui a montré en chantant au
palpe, retourne, fait tomber, goûte, expérimente ce qui tombe sous sa
main
; quel que soit l’objet, balle, poupée, hochet, j
emple : « Apporte la balle. Va faire doudou à la dame (caresser de la
main
et tendre la joue). Viens dans les jambes de papa
distincte aboutit sans difficulté à un air de tête, a un geste de la
main
, à une expression, par suite à un nom. Bébé. — O
nglouti ; un homme ne ferait pas autrement si parmi des sauvages, les
mains
liées, et n’ayant pour s’exprimer que ses organes
é d’où vient la voix (cinquième et sixième mois). 4º Se servir de ses
mains
, commencer à palper, remarquer des sensations tac
tions tactiles différentes, notamment la sensation nouvelle d’une des
mains
promenée par hasard sur l’autre main. C’est au qu
la sensation nouvelle d’une des mains promenée par hasard sur l’autre
main
. C’est au quatrième mois qu’il a fait cette remar
qu’il a fait cette remarque : pendant un quart d’heure, il tâtait ses
mains
l’une par l’autre, lorsqu’on les avait mises au c
ois, il commence à dépasser ce procédé primitif, à diriger un peu ses
mains
d’après son regard, à les relever graduellement v
apparences optiques qu’ils présentent à mesure qu’ils remuent dans sa
main
vacillante. Mêmes progrès graduels et spontanés p
depuis longtemps, mais non touchées ; aussitôt qu’il a pu diriger ses
mains
, on le soulevait à portée de l’arbuste, et il tou
deux mots : 1º « Coucou » (se cacher). On se cache la figure dans les
mains
en lui disant ce mot, et il rit ; souvent alors,
ient si sains que, si l’on avait effacé de ce code l’impression de la
main
sanglante qui les avait signés, on aurait pu les
avage. « Ou bien il faudrait que la société distribuât de ses propres
mains
, tous les jours, à chacun selon ses œuvres, la pa
pure d’excès ? C’est que les hommes qui en prirent la direction d’une
main
ferme et téméraire n’avaient donné à la démagogie
u’un peuple ne se transforme et ne se régénère presque jamais sous la
main
et sous le nom du pouvoir auquel il échappe. La r
n, riche d’orateurs, mais sans chefs politiques, flottait entre leurs
mains
en admirant leurs discours, mais en se jouant de
la contre-révolution, dévorée par l’anarchie, déchirée de ses propres
mains
, aurait cessé d’exister et comme république et co
exister et comme république et comme nation. Tout périssait entre les
mains
de ces hommes de paroles. Il fallait ou se résign
e, voyant clairement qu’il allait périr, porta illégalement sa propre
main
au gouvernail, et l’arracha aux mains impuissante
ir, porta illégalement sa propre main au gouvernail, et l’arracha aux
mains
impuissantes qui le laissaient dévier. Le peuple
ille du concierge, se coupa elle-même les cheveux, se laissa lier les
mains
sans murmure, et sortit d’un pas ferme de la Conc
t son sabre nu, et en fendant la foule du poitrail de son cheval. Les
mains
liées de la reine la privaient d’appui contre les
onnaître. Elle ferma les yeux, baissa le front, se recueillit sous la
main
invisible qui la bénissait, et, ne pouvant pas se
main invisible qui la bénissait, et, ne pouvant pas se servir de ses
mains
liées, elle fit le signe de la croix sur sa poitr
au, plus tremblant qu’elle, fut saisi d’un frisson qui fit hésiter sa
main
en détachant la hache. La tête de la reine tomba.
rit par les cheveux et fit le tour de l’échafaud en l’élevant dans sa
main
droite et en la montrant au peuple. Un long cri d
ation. La mémoire des morts n’est pas une monnaie de trafic entre les
mains
des vivants. « Comme républicain, ce prince a é
tions populaires de Paris, on n’aperçoit clairement ni son nom, ni sa
main
, ni son or dans aucune des journées décisives. Il
ût été seul. Il parlait tout haut et frappait du pied les dalles, des
mains
les murs de son cachot. » Lamartine.
de l’auteur. C’est la tentative suprême de l’école de la Forme par la
main
d’un de ses meilleurs ; suprême, en effet, car on
lait travailler, et c’est ainsi que l’esprit devient matière sous ses
mains
! » L’auteur des Odelettes sort de Gœthe en l’ex
s de notre ordre, les derniers des délicats », et il en est un… de la
main
, comme Siméon Pécontal16 l’est de l’âme. Eh bien,
infinies, pour parler comme eux, ne s’enterrent pas de leurs propres
mains
dans ce titre solennel et un peu funéraire de Poé
le dernier des imitateurs qui, sans personnalité supérieure, a de la
main
, du métier, de la volonté (cette chose qu’on a fa
, les paysages, n’arrivent à la perception de Banville que de seconde
main
, par l’intermédiaire de quelque peintre dont il a
oclame Le beau Lyœus, le Dieu paré comme une femme, Qui, le thyrse en
main
, passe rêveur et triomphant, A demi couché sur le
re sans sourire et tes yeux sans regard, Laissas couler un jour de ta
main
gigantesque Toute l’Antiquité, comme une grande f
les Hérodiades de Léonard de Vinci, le saisira-t-elle enfin de cette
main
qu’elle plonge aux entrailles ? Ou bien, comme da
vieux statuaire incorruptible et fort, comme le marbre que taille sa
main
laborieuse. Caractère rigide, âme aimante ; la bo
’est résigné au veuvage ; il a fait voeu de célibat entre les petites
mains
fiévreuses de son fils. Ce vétéran de l’art en es
n annonce M. de Beaubourg, revenu de ses caravanes. Aux innocents les
mains
pleines. La Fatalité plaisante quelquefois, et ch
d’elle, d’aller, de sa part, lui offrir solennellement son nom et sa
main
. C’était une redoute à emporter que ce récit péri
belle et cruelle scène où Léa, visitée par Camille, l’interroge, les
mains
sur ses mains, les yeux dans ses yeux, comme elle
lle scène où Léa, visitée par Camille, l’interroge, les mains sur ses
mains
, les yeux dans ses yeux, comme elle lui donnerait
trer la fenêtre, lorsque ce bon jeune homme lui demande humblement sa
main
. Tant d’ingénuité la désarme. La voilà surprise e
’à passer gaiement ses vacances. Valtravers ne prétend nullement à la
main
de sa belle cousine. Ce mariage d’argent, machiné
ttu des peuplades, tué des tigres, étranglé des nègres de ses propres
mains
. A peine sorti de la gueule du sphinx africain, i
t avoir fait tomber sa victime, et de l’offre qu’il lui faisait de sa
main
pour l’en retirer. L’actrice l’en retirait plus s
soit fou à lier pour imaginer qu’une femme qui le hait lui donnera sa
main
lorsqu’il se représentera devant elle couvert du
vaste proie. Ce qu’il on sort ? — Ridiculus mus ! Deux nouvelles à la
main
insérées dans le Moustique !… l’une portant que C
ursuit une proie illusoire, qui, s’il l’atteignait, fondrait sous ses
mains
. Son élève est un viveur de bon appétit, bien plu
sous la pensée de l’empire, il les sentit en soi, et il tint dans ses
mains
un prix qu’il y avait folie d’espérer. Il éprouva
ien de fois il a entrepris de se raconter lui-même à l’avenir ! et sa
main
fatiguée est retombée sur les pages éternelles. «
lui s’abattait l’esprit hors d’haleine ; et il désespérait. Mais une
main
puissante s’est étendue des cieux, et, secourable
ou mélancolique, sceptique ou religieux, ce fond de poésie, sous des
mains
diverses, occupa vivement la France. On sait, et
te inscription méritée : Il voulut recevoir son sanglant diadème Des
mains
d’où le pardon descend. À travers ces revanches
abondance, tour à tour enthousiaste et moqueuse, prodiguant à pleines
mains
la poésie et concentrant avec précision la pensée
se ranimèrent, comme une arme de plus pour l’esprit du peuple qu’une
main
de fer voulait plier à son gré. Des talents qui s
ublime, tu pourrais m’élever jusqu’aux dons célestes que me déroba la
main
cruelle de la douleur ! « Dissipe, par moments, l
des solitudes. Aujourd’hui elle s’est ouverte devant toi ; je sens ta
main
dans cette immensité, et ta voix retentit jusqu’à
emandes le poëte répond comme un inspiré : « Le Seigneur a étendu sa
main
toute-puissante ; il a revêtu de nuées ta lumière
l’épouvanta d’autant plus. On lit des vers de lui où il invoquait la
main
d’un Sylla et bénissait cette sanglante tutelle.
la révolution au titre de chef politique de Madrid, elle lui donna sa
main
; mais ce choix ne devait être que la consolation
and nom uni au tien ! Qu’il te suffise de ce monument où sa puissante
main
a le gravé sur le bronze une trace immortelle ! L
r sans doute, mais il n’y a pas à s’émerveiller de voir sortir de ses
mains
un pareil livre. C’est ce qui fait que j’ai dit e
eux roman : Cela est vrai comme 1813 ! II Mais voici de la même
main
un nouveau fragment d’un roman de mœurs ; roman a
acharias Kobus, le juge de paix, en habit noir carré ; il tenait à la
main
sa tabatière et portait la perruque à queue de ra
nappe damassée, et l’étendit sur la table soigneusement, passant une
main
dessus pour en effacer les plis, et faisant aux c
serrait les lèvres, écarquillait les yeux, et criait, en ouvrant les
mains
, comme s’il avait encore été dans la même positio
ue chose ; mais il se recouchait lentement au dos de son fauteuil, sa
main
grasse, chargée de bagues, sur la table, à côté d
ontera jamais à la tête. — C’est bon, c’est bon, j’accepte ; voici ma
main
, Fritz. — Et voici la mienne, rebbe. » Kobus alor
traînante, venait se frotter à la jambe de Fritz, qui lui passait la
main
sur la tête. C’est ainsi qu’au milieu des éclats
laissez-moi passer ! » leur criait Sûzel en les poussant de sa petite
main
potelée. Elles ne la quittaient pas de l’œil, tan
lendemain, à huit heures, il avait déjeuné, et debout, le bâton à la
main
devant la ferme, avec le vieil anabaptiste et la
on tablier, et la tête penchée en arrière sur l’épaule, lui tendit la
main
; et quand Fritz l’eut serrée, elle rentra dans l
répondit Kobus, posché-isroel ! » Il haussa les épaules, joignit les
mains
d’un air de pitié et s’en alla. « David, criait S
est beau ! que c’est beau ! » il la vit ainsi soupirant tout bas, les
mains
sur ses genoux, les yeux baissés. Katel entra ; i
re Christel ; tiens, tiens, c’est vous ! » fit-il en serrant les deux
mains
du vieil anabaptiste, debout devant son lit, avec
t à Schmoûle, qui doit le prêter aujourd’hui, à dix heures, entre les
mains
du vieux rebbe David Sichel, car les juifs ont le
egarder. Il monta quatre marches, écarta la guirlande, et lui prit la
main
en disant tout bas : « Sûzel, veux-tu danser avec
éponse, Fritz prit Sûzel à la taille du bras gauche, et lui tenant la
main
en l’air, à l’ancienne mode galante du dix-huitiè
ons du chantre de la nuit, le coude dans la mousse, l’oreille dans la
main
, et les yeux fermés, perdu dans les ravissements
ail ; Fritz, qui tient la petite Sûzel dans ses bras, qui lui lève la
main
avec grâce, qui la regarde enivré, tourbillonnant
ue ses petits pieds effleurent à peine le sol. Le gros Hâan, les deux
mains
sur les épaules de sa grande danseuse, tout en ga
la sueur leur coulait le long des joues ; ils se promenaient, l’un la
main
sur l’épaule de sa danseuse, l’autre portant en q
je vous la confierais avec plaisir, s’écria le fermier en levant les
mains
; elle serait avec vous comme avec son propre pèr
’arrêtera devant l’auberge. — Bon, allez ! » Fritz serra doucement la
main
de Sûzel, qui paraissait bien triste, et, les reg
ses genoux trembler. Le vieux rebbe, au bout d’un instant, fourra la
main
dans la poche de sa longue capote jusqu’au coude,
puis dans la grande salle, suivi du vieux David, qui se frottait les
mains
et riait dans sa barbiche. On venait de dîner : l
alors Fritz avec une sorte d’éloquence, si vous ne m’accordez pas la
main
de Sûzel, ou si Sûzel ne m’aime pas, je ne puis p
Madeleine. — Père Christel, reprit Fritz, vous tenez ma vie entre vos
mains
…. — Mais, monsieur Kobus, s’écria le vieux fermie
joues. Tous les assistants pleuraient avec eux. Mayel, son balai à la
main
, regardait, le cou tendu, dans l’embrasure de la
nce, lorsque tout à coup Fritz, poussant un cri de triomphe, passa la
main
autour de la taille de Sûzel et se mit à walser a
us les membres sans que la tête le sente ; avant qu’elle ait porté la
main
à la blessure elle est conquise ; mais aussi elle
de Goethe avec Gretchen est biblique par sa naïveté ; lisez-la de sa
main
: « Quand le vin commença à manquer sur la table
homme qui vous adore mette cette déclaration de tendresse sous votre
main
en vous conjurant de la signer de votre nom ; que
pas la force de me retirer ; elle prit, pour m’y décider, une de mes
mains
entre les siennes. Mes larmes étaient près de cou
rus voir ses yeux se mouiller. J’appuyai mon front un instant sur ses
mains
et je m’enfuis précipitamment. Jamais encore je n
table, y appuya ses deux bras enlacés sur lesquels elle posa ses deux
mains
, attitude qui lui seyait admirablement, et qu’ell
l y a du Faust dans Pascal quand il prend l’homme dans le creux de la
main
, comme le fossoyeur d’Hamlet quand il pèse sa pou
ée ; tu brillais jadis aux fêtes des aïeux, et, lorsque tu passais de
main
en main, les fronts soucieux se déridaient ; c’ét
brillais jadis aux fêtes des aïeux, et, lorsque tu passais de main en
main
, les fronts soucieux se déridaient ; c’était le d
ue triomphale : Christ est ressuscité ! Paix sur la terre ! etc. La
main
de Faust s’abaisse ; la coupe lui échappe. Les cl
le dans sa chambre, tresse ses nattes de cheveux et les relève de ses
mains
enfantines autour de sa tête. Elle rêve à haute v
eux sur tes bras ouverts ! combien de fois des groupes d’enfants, les
mains
tendues, ont dû se suspendre autour de ce trône p
, enfant aux joues fraîches et saines, est venue pieusement baiser la
main
amaigrie de l’aïeul. Je sens, jeune fille, ton es
ur la table cirée, comment on saupoudre le parquet de sable ! Ô douce
main
, semblable à la main d’une créature céleste, tu f
mment on saupoudre le parquet de sable ! Ô douce main, semblable à la
main
d’une créature céleste, tu fais de cet asile un p
’évadent sans être vus. XXXIII Marguerite entre, sa lampe à la
main
. Elle est toute troublée ; elle chante pour se ra
ire pour serrer ses habits de fête ; la cassette se rencontre sous sa
main
. Elle s’étonne, elle se demande comment cette cas
rends-tu ce que ce mot veut dire : il t’aime ! (Il lui prend les deux
mains
dans les siennes.) Marguerite. Je me sens toute t
! Oh ! non, non ! point de fin ! point de fin ! Marguerite serre sa
main
, se dégage et s’échappe. Méphistophélès et la veu
l’horizon ! etc. Et son air noble ! Et sa parole pénétrante ! Et sa
main
qui presse la mienne ! Ô ciel ! Et son baiser ! e
hée de sa faute. Voici la scène. Marguerite est allée, sa cruche à la
main
, chercher l’eau du ménage à la fontaine ; elle y
, sa cruche posée sur la margelle du puits, la tête basse et les deux
mains
croisées avec langueur sur sa robe, cause avec Li
une mère au jeune poète ; amour que le quaker repousse toujours d’une
main
tremblante et gronde d’une voix attendrie. Ces ri
s regards ne cessent de demander grâce au ciel pour l’infortune ; ses
mains
sont toujours prêtes à se croiser pour la prière
elle n’avait qu’à se grouper sous son drapeau et défier, l’arme à la
main
, nos envoyés et nos escadres ; c’était la longue
du pays, partait trois mois après d’Alger, et venait accepter de nos
mains
le commandement de l’armée que nous avions un mom
a pendule, quand mon déporté entra dans ma chambre ; il tenait par la
main
une belle petite de dix-sept ans environ. Lui me
ses bras, et je vis aussi des larmes dans ses yeux ; il me tendit la
main
et devint plus pâle qu’à l’ordinaire. Elle lui pa
à voir. « Son mari était assis sur une petite malle, la tête sur ses
mains
, et la regardait prier. Elle leva la tête en haut
? il est bien tard, sais-tu ? « Il restait toujours le front sur ses
mains
sans répondre. Cela l’inquiéta un peu, la bonne p
elle ; je voudrais n’arriver jamais. « Il la regarda en joignant les
mains
avec un transport que vous ne pouvez pas vous fig
e homme se mit à soupirer en frappant du pied et en baisant une jolie
main
et un bras nu qu’elle lui tendait. « — Oh ! Laure
lle dit cela. « — Écrire ! — criait-il, — écrire ! « Et il se prit la
main
droite avec la gauche en la serrant au poignet. «
rai vivement l’ordre cacheté. — Eh bien ! mon cher, je le tenais à la
main
depuis un quart d’heure que je ne pouvais pas enc
frottai un peu les joues avec du rhum, je m’en mis dans le creux des
mains
, je me faisais pitié à moi-même d’être si bête qu
endra pas de ce coup-là ; pauvre petite femme ! « Il me prit les deux
mains
, les serra et me dit : « — Mon brave capitaine, v
u comme je vous vois et vous entends. Au moment du feu, elle porta la
main
à sa tête comme si une balle l’avait frappée au f
mit à jouer. Il me parut qu’elle s’appliquait à comprendre comment sa
main
droite battrait sa main gauche. « — Voyez-vous, i
qu’elle s’appliquait à comprendre comment sa main droite battrait sa
main
gauche. « — Voyez-vous, il y a un mois qu’elle jo
rs, va. « J’approchai mon cheval de la charrette, et je lui tendis la
main
; elle me donna la sienne machinalement, et en so
iète pas de nous ; fais ta volonté, va, Laurette ! « Elle lui prit la
main
qu’il appuyait sur son épaule, une grosse main no
e ! « Elle lui prit la main qu’il appuyait sur son épaule, une grosse
main
noire et ridée ; elle la porta timidement à ses l
ersel des croyances, quels débris où se puissent rattacher encore les
mains
généreuses ? Hors l’amour du bien-être et du luxe
ai fait le tour, j’ai vu sous lui et au-dessus de lui, j’y ai posé la
main
, je l’ai trouvé assez fort pour servir d’appui da
principe de vie, c’était de mourir avant elle, et de la léguer à des
mains
étrangères. C’était comme une lutte de cœur à qui
que nous avons fait ! Vous n’avez fait que du bien ! Je vous tends la
main
d’ici-bas, tendez-moi la vôtre de là-haut. Il n’y
s âmes est évoquée par le conflit de mille nervures jointes comme des
mains
pour la prière. La cathédrale parfaite s’élève ai
intes qualités bien latines. Sur les fenêtres de mon cœur Deux pâles
mains
se sont collées Mains de douleur et de malheur, M
tines. Sur les fenêtres de mon cœur Deux pâles mains se sont collées
Mains
de douleur et de malheur, Mains de la Mort, mains
cœur Deux pâles mains se sont collées Mains de douleur et de malheur,
Mains
de la Mort, mains effilées. C’était sinistre de
ins se sont collées Mains de douleur et de malheur, Mains de la Mort,
mains
effilées. C’était sinistre de les voir Si noctur
nocturnement illunées, Levant vers moi leur désespoir Telles que des
mains
de damnées. Et Celle de ces mains de deuil, Qui
moi leur désespoir Telles que des mains de damnées. Et Celle de ces
mains
de deuil, Qui donc pouvait-elle bien être, Pour q
e la mort fût sur mon seuil, Depuis ce soir de la fenêtre. Non, ces
mains
ne pouvaient bénir ; Maudites, certes, étaient-el
, Endolorit le pain des jours, Depuis leur signe aux fatals charmes.
Mains
sinistres ! mains de poison ! Geste de ténébreuse
n des jours, Depuis leur signe aux fatals charmes. Mains sinistres !
mains
de poison ! Geste de ténébreuses vierges ! Vous a
par une image. Chez M. Le Roy, par exemple, c’est une fenêtre où deux
mains
apparaissent en un geste d’énigme ; mais au lieu
en avertir dès les premiers mots, et, en spécifiant qu’il s’agit des
mains
de la mort, il enlève beaucoup de son mystère à u
Mosaïque Les fautes d’impression. — Critiques à la
main
. — Un Pirate. — Au pays de Bohême. — Les dernière
ie aux lèvres, riant avec l’un, causant avec l’autre — il laissait sa
main
distraite courir au hasard dans la casse : c’est
ion ? Pour moi, après y avoir mûrement réfléchi, je vois là-dedans la
main
de Dieu s’appesantissant sur la race maudite qui
Nota. — Cette faute d’impression est très répandue. Critiques à la
main
J’ai trouvé — fiacre restant — ce fragment d’é
a Prière pour tous, signait Alidor au bas, et puis faisait passer, de
main
en main, ses vers par la salle d’études. Au pa
pour tous, signait Alidor au bas, et puis faisait passer, de main en
main
, ses vers par la salle d’études. Au pays de Bo
L… rencontre Balochard, étudiant de sixième année, — une lettre à la
main
, — profondément consterné. — D’où te vient aujour
oss compatissant. Hier donc, entre dans la salle, archet et violon en
main
, un vieillard d’au moins quatre - vingts ans. Il
fauteuil de la maison. Devant lui son gendre debout, et tenant de la
main
gauche le sac qui contient la dot. L’accordée deb
i se passe, il regarde les papiers griffonnés, et promène ses petites
mains
par-dessus. On voit dans la sœur aînée qui est ap
dé le pas sur elle à sa cadette. Elle a la tête portée sur une de ses
mains
, et lance sur les fiancés des regards curieux, ch
du mariage… Ce qu’il dit est sûrement touchant et honnête. Une de ses
mains
qu’on voit en dehors est hâlée et brune, l’autre
utur époux, et le bout de ses doigts tombe et appuie doucement sur sa
main
; c’est la seule marque de tendresse qu’elle lui
qui a de la santé. Elle est aussi vêtue large, et à merveille. D’une
main
elle tient le haut du bras de sa fille ; de l’aut
cées de la mer, pluie et grêle lancées du ciel : essayant, avec leurs
mains
crispées de froid qui saignaient, de crocher dans
u’on est moins habitué à les entendre ; cris d’horrible douleur : une
main
prise quelque part, des doigts accrochés, qui se
és, l’eau glacée leur ruisselant dans la poitrine et dans le dos, les
mains
sanglantes, les ongles décollés, les dents qui cl
rboul, à la mer. Le second, qui est-ce ? D’autres, raccrochés par les
mains
à des cordages, un instant balancés dans le vide,
agonie, avec un peu de calme. Mais il mourut là assez vite entre les
mains
d’infirmiers devenus stupides de peur, qui voulai
baissèrent pour un salut suprême ; un timonier récita une prière, des
mains
firent des signes de croix, — et puis, à mon comm
s vivantes. Cette sépulture des marins n’est plus violable par aucune
main
humaine. Celui qui est descendu dormir si bas est
nt de Jeanne : « Veux-tu rester seule maintenant ? » Elle lui prit la
main
dans un élan involontaire : « Oh ! oui, laissez-m
l, la navra comme une ironie. Elle revint auprès du lit, prit une des
mains
inertes et froides et se mit à considérer sa mère
abattit sur les genoux dans une crise horrible de désespoir ; et, les
mains
crispées sur la toile qu’elle tordait, la bouche
ement. Puis elle revint auprès du lit et s’assit en reprenant dans sa
main
la main de petite mère, comme si elle l’eût veill
uis elle revint auprès du lit et s’assit en reprenant dans sa main la
main
de petite mère, comme si elle l’eût veillée malad
a de plus risqué), la mort de la jeune fille, toutes pages écrites de
main
de maître. Ce que je regrette et je le dis hautem
ui pensait : « Enfin… » mais n’aurait pu le dire, très pâle, les deux
mains
sur sa poitrine qui éclatait. Toute leur histoire
faire… Non ? tant pis alors, et à la revoyure… » Ils se serrèrent les
mains
mollement ; le fiacre partit. Que devient la fam
de ce tableau délicieux, M. Daudet comme opposition, nous peint et de
main
de maître un repas chez les amis de Fanny ; il y
e… tout cela convenu d’avance… Elle paraissait contente, me tenait la
main
tout le temps et murmurait : « Je suis bien… » Co
t le sort de l’artilleur roux, qui venait d’arracher le refouloir des
mains
de son adversaire, allait se décider. Mais le pri
toujours au même endroit sur la hauteur de Pratzen, serrant dans ses
mains
un morceau de la hampe du drapeau, perdant du san
urcil et comme par un effort sur elle-même, elle le quitta, passa ses
mains
sur ses yeux, et, d’une voix encore mal assurée,
à celle de la chambre d’Hubert, en lui envoyant un petit salut de la
main
, coquettement. Ce même mélange de caressante in
la sorte de petite guérite roulante ouverte à moitié, se tenaient la
main
sous le plaid de voyage qui les enveloppait. Ils
ns ses yeux une douceur passionnée : « Ah ! dit-elle en fermant de sa
main
parfumée les paupières d’Hubert, je voudrais tant
souffrit horriblement de la faim. Elle portait à sa gorge ses pauvres
mains
crispées, elle avait de grands souffles creux, un
e dévorèrent tout entier, désespérés de l’avoir fini, s’écorchant les
mains
à vouloir entamer les autres, solides encore, et
voulaient. Ils se baissaient simplement, buvaient dans le creux de la
main
; et cela à vingt reprises, brûlés d’une telle so
ième jour, Catherine se penchait pour boire, lorsqu’elle heurta de la
main
un corps flottant devant elle. — Dis donc, regard
mais comme elle puisait une seconde gorgée, le corps revint battre sa
main
. Et elle poussa un cri terrible. — C’est lui, mon
mblait avoir encore maigri depuis, la veille. Le prêtre lui tenait la
main
. — Au revoir, mon enfant, je reviendrai demain ma
’il fut sorti, le moribond, qui haletait, essaya de soulever ses deux
mains
vers sa femme et il bégaya : — Sauve-moi… sauve-m
lissaient comme ceux des petits enfants qui ont du chagrin. Alors ses
mains
retombées sur le lit commencèrent un mouvement co
s et de hideux, dont ses yeux fixes reflétaient l’épouvante. Ses deux
mains
continuaient ensemble leur geste horrible et fati
apparurent aux coins de sa bouche, puis coulèrent sur sa chemise. Ses
mains
cessèrent leur hideuse promenade. Il avait fini d
gagnés par la contagion de la tendresse. Ils se prirent doucement la
main
, sans dire un mot, un peu oppressés par la pesant
tait au cerveau. Quelqu’un s’était arrêté au seuil de sa porte et une
main
cherchait le cordon de sonnette. Tout à coup, il
Il s’élança au moment où le tintement vibrait, ironique et clair. Sa
main
ouvrit brusquement la porte. Une femme était là :
u la colère lui donnait la force… Il s’est traîné vers moi, posant sa
main
sur mon épaule, là… une main maigre qui s’enfonça
rce… Il s’est traîné vers moi, posant sa main sur mon épaule, là… une
main
maigre qui s’enfonçait comme une griffe… J’avais
ançait déjà vers la porte pour sortir. Jean l’arrêta, lui prenant les
mains
. Puis, tout bas : — Voyons, Lucie, voyons, lorsqu
assit au coin de son feu dans un fauteuil, et le front appuyé sur ses
mains
, il assembla toutes ses idées, qui ne tardèrent p
vait encore là, avec elle ; elle le tenait encore de ses deux pauvres
mains
… et cependant il partirait ; ni toute sa volonté,
ifflait. Prise de la frayeur de manquer le train, elle lui enleva des
mains
son carton ; — puis laissa retomber la chose à te
ie, torturant les franges de son châle brun avec ses pauvres vieilles
mains
gercées de laveuse. Et comme elle se sentait loin
it tout cela, avec ses doigts qui restaient ouverts, le promena d’une
main
dans l’autre, ne trouvant plus ses poches pour la
t leurs juges parlaient de ces souvenirs avec une égale tristesse, la
main
dans la main ; l’ancien forçat a fait une carrièr
parlaient de ces souvenirs avec une égale tristesse, la main dans la
main
; l’ancien forçat a fait une carrière glorieuse,
des injures, des blasphèmes. Dourof avait les doigts des pieds et des
mains
gelées ; ses jambes étaient blessées par les fers
ents, on a reproché à M. Émile Zola, et justement parfois, d’avoir la
main
un peu lourde, les propos un peu crus. Je trouve
escot aux passements de jais et de soie écarlate, verse du thé de ses
mains
bien fardées. Je me garderai bien de faire des v
ive, la plus vraie, je trouve dans le Calvaire des tableaux peints de
main
de grand peintre, entre autres la mort, l’assassi
nous promenions dans le jardin, mon père et moi. Mon père avait à la
main
une longue canne, terminée par une brochette de f
je ne sais quoi de noble, d’audacieux et de triste qui me frappa. La
main
à plat sur la cuisse, il interrogeait la campagne
ent ainsi que de longues écharpes, doucement agitées par d’invisibles
mains
. Des arbres grêles, des chaumines émergeaient de
glou-glou, s’étalait en mare rouge, poissait déjà à sa barbe… De mes
mains
tremblantes, je le soulevai légèrement, et la têt
ve enlevée à la scène par une cocotte, comédienne et bonne fille, des
mains
de laquelle elle passe entre celles d’une femme a
ayeur, il avait été pris par le sommeil ; son petit bras potelé et sa
main
brune, passés au cou de la pauvre assassinée, bai
omestiques qui ne se sentent pas surveillés font tout à la diable. La
main
et l’œil de la maîtresse de la maison sont indisp
e les beaux-messieurs de Boisdoré. Ils lui parlaient le, chapeau à la
main
, et en s’inclinant comme des chambellans devant l
? — Oui, cela, je te le promets. Il sentit une légère pression de la
main
de son ami, et, après une courte pause : — Ah ! M
lui et, murmurant une vague exclamation gutturale, elle lui tendit sa
main
. Il la serra avec force et s’inclina de nouveau.
-même et, posant son coude sur un guéridon, la tête appuyée contre sa
main
. — Contez-moi tout, dit-elle. M. de Frémeuse comm
n coffret d’ébène qu’il y avait déposé en entrant, et le mit dans les
mains
de la veuve. Mme de la Pave hésita pendant quelqu
larmes filtrant comme une source à travers les doigts de ses blanches
mains
. M. de Frémeuse la contemplait d’un regard humide
ent congé. — Merci, Monsieur ! dit-elle brièvement, en lui serrant la
main
. — Revenez, n’est-ce pas ? Et il se retira. Il r
lle eut un éclat de douleur sans larmes, et appuya fortement ses deux
mains
sur son visage, puis après quelques secondes : —
ue je le veux !… je vous l’ordonne ! — Adieu ! Elle lui prit les deux
mains
, et lui tendit son front. Maurice lui baisa froid
cha un des bouquets de violettes de sa robe et l’offrit à la première
main
qui se tendit. C’est autour d’elle un cri d’entho
, mais abandonnée déjà et presque vaincue. Elle soupirait, nouant ses
mains
autour du cou de son ami, brûlée par cette ardeur
t. Solange renversa presque un de ces hommes, taillé en hercule : les
mains
délicates de la jeune femme avaient une puissance
ux agrandis par le désespoir, les bras tendus, comme si de ses frêles
mains
elle pouvait retenir le vaisseau qui fuyait à tir
da-t-il, — Non, je reviens, En effet, elle reparut bientôt ; les deux
mains
derrière le dos, comme si elle cachait quelque ch
e et tu n’avais pas cette figure préoccupée. Tiens. Ramenant ses deux
mains
en avant, dans l’une elle montra une pipe en écum
ment même elle le vit ; il était resté un pied en l’air, sa pipe à la
main
, la bouche ouverte en O, tandis que Nicole, les p
llot, Xavier n’eût pas fini la poire. Il la ramassa, non pas à pleine
main
, mais par la queue, entre l’index et le pouce, co
oin et tout près, qui dans l’ombre Met sur vous en silence une grande
main
sombre ; On chante, on rit, on sent que l’âme est
jusqu’à ces gazons qui languissent le soir, Prétextes à te mettre aux
mains
un arrosoir, Et quelque pâtre au loin dont on ent
, et puisqu’il est le père quem nuptiæ demonstrant, il lui demande la
main
de sa fille. Autre refus. M. de Loisail se venger
halte. Elle avait vu : son éternelle amie l’Espérance la prend par la
main
et l’entraîne en avant pour revoir. On revoit ; m
titulée l’Œuvre commençant ainsi : Oh ! prendre une montagne en ses
mains
magistrales ! La pétrir, la broyer, la tailler en
ui expliquer ses scrupules : À peine assis, il m’a, d’un geste de la
main
, invité à parler. — Monseigneur, ai-je dit, je vi
ne suis pas même un coupable, je ne suis qu’un égaré… On me refuse la
main
de Mlle votre nièce parce que je ne partage pas s
urteheuse, comme son père spirituel, comme évêque, soit de prêter les
mains
à un pareil désordre, de présider à l’union effra
…… Oh ! le bonheur muet des vierges s’assemblant ! Et comme si leurs
mains
étaient de candeur telle Qu’elles ne peuvent plus
los ; Aux offices du soir la cloche les exhorte, Et chacune s’y rend,
mains
jointes, les yeux clos, Avec des glissements de c
e en voyant le manuscrit original qui porte à la première page, de la
main
du maître, cette date : 12 avril 1854. La dernièr
prunelle éblouie et de cet éclat pleine, Battit de l’aile, ouvrit les
mains
, puis tressaillit Et cria : — Désespoir ! le voil
ueur troublée, Le regardaient de loin marcher le long des blés. Et sa
main
qui s’ouvrait et devenait immense Semblait jeter
rist couronné d’épine et vêtu d’écarlate ; Il avait un roseau dans la
main
; et Pilate, Le leur montrant, leur dit ; — Voilà
juifs sous l’œil froid des Romains. Ponce-Pilate songe et se lave les
mains
. C’était, hélas ! le premier essai du suffrage
ui, en mourant, a dit ces belles paroles, ne doit pas être laissé aux
mains
des politiciens libres penseurs et autres qui ess
e, on voit deux députés s’aborder dans les couloirs en se serrant les
mains
; on les entend se dire : « Tu as été abominable,
re, comme pour le remercier d’une faveur, et il prend aussitôt à deux
mains
, les bras tendus, la taille de sa captive. Aux co
tter ce monde. Calixte de Montmorin, debout, tête nue, tenait dans sa
main
un objet qu’il portait fréquemment à ses lèvres.
ur où le regretté fondateur du Figaro, M. de Villemessant, lui mit en
main
la plume du critique. Des amis bienveillants ont
eut baiser, et il donne les lèvres ; on le veut lier, il présente les
mains
; on le veut souffleter, il tend les joues ; frap
e, s’attendait à entendre le lieutenant-colonel russe lui demander la
main
d’une de ses petites-filles : « Oui, madame, repr
re nous, je n’en crois rien. D’abord, tel qu’il a été sculpté par les
mains
de la nature, le duc n’a rien d’un agitateur poli
arricades dont la place de Grève était couverte, et, en me donnant la
main
pour franchir un affût de canon, me dit en riant
ppela : « Je viens de voir le duc d’Anguien, votre fils, en venir aux
mains
avec les ennemis. Le combat a été rude ; la victo
e furieuse, les cheveux épars, les yeux pleins d’éclairs, l’épée à la
main
. Ce n’est plus le jeune homme à l’aspect un peu d
e au ralliement de la cavalerie de La Ferté ; celui-ci a été tiré des
mains
de l’ennemi, mais blessé grièvement et hors de co
ses, qui avaient beaucoup souffert aux premières attaques et qui font
main
basse sur ceux qu’ils rencontrent. Le duc d’Angui
ntrent. Le duc d’Anguien, que personne n’avait dépassé, désarme de sa
main
le mestre de camp Castelvi, reçoit sa parole, cel
ugemens des peintres qu’à ceux des poëtes. De l’art de reconnoître la
main
des peintres Le public écoute avec plus de prév
seigne que l’art de deviner l’auteur d’un tableau en reconnoissant la
main
du maître, soit le plus fautif de tous les arts a
que je vais dire concernant l’infaillibilité de l’art de discerner la
main
des grands maîtres, quelles bornes on doit donner
e médecin ordonne des remedes. Les experts dans l’art de connoître la
main
des grands maîtres, ne sont bien d’accord entr’eu
re partant d’un mouvement rapide et continu de tous les organes de la
main
, elle dépend entierement de leur conformation et
onfusion de tes ennemis. « Quand je vois le firmament, ouvrage de tes
mains
; quand je contemple cette lune et ces étoiles qu
et de royauté ! Tu l’as constitué dominateur des ouvrages même de tes
mains
! Tu as mis l’univers sous la plante de ses pieds
injustice ! « Il me rétribue selon ma foi, « Selon l’innocence de mes
mains
devant ses yeux ! « Tu es bon avec les bons ! « T
s des montagnes ! « Il solidifie mes muscles pour le combat, « Et ma
main
bande l’arc d’airain ! « Il élargit sous moi la p
racontent la gloire de Dieu ; le firmament prophétise l’œuvre de ses
mains
! « L’aurore parle à l’aurore, et la nuit enseign
r les larmes entrent dans sa demeure ; le matin, la joie ! « Dans tes
mains
je couche ma vie ! « Approchez, petits enfants, é
lesse approche. « Voilà que tu as mesuré mes jours par la paume de ta
main
», chante-t-il à Dieu, « et l’espace que j’ai par
s ! « Le sacrifice agréable à Dieu, c’est un esprit prosterné sous sa
main
! » Le spectacle du monde le trouble, lui fait r
selon ta promesse ! « Constamment, Seigneur, je porte ma vie dans ma
main
, et je te l’offre ! « Je lève mes yeux vers les m
ton secours ! « De même que les yeux de l’esclave sont fixés sur les
mains
de son maître, de même que les yeux de la servant
de son maître, de même que les yeux de la servante sont attachés aux
mains
de sa maîtresse, de même, ô Jéhovah ! mes yeux su
la terre étrangère ? « Si je pouvais t’oublier, ô Jérusalem ! que ma
main
droite m’oublie moi-même ! « Si je pouvais ne plu
les Arabes ne se détournent pas des fléaux de Dieu, convaincus que sa
main
peut les atteindre partout et qu’aucune route ne
XXVII Le jour suivant j’allai m’asseoir seul, les psaumes dans les
mains
, sur un bloc de maçonnerie éboulé autour du tombe
ble foule Des hommes, qui parle et qui coule, Il n’est plus une seule
main
Qui te remue et qui t’accorde, Et qui puisse un j
fibre de l’homme au cœur m’a palpité, Comme un clavier touché d’une
main
lourde et forte, Dont la corde d’airain se tord b
tait qu’une sueur aride Du sol brûlé sous le rayon, Et l’Arabe, en sa
main
grossière Ramassant un peu de poussière, S’écria
pables d’analyser en masse un ouvrage de dix volumes, accumulés d’une
main
de géant pour mêler le vrai et le faux, le raison
j’étais essoufflé, ou plutôt il m’a semblé que j’étais poussé par une
main
puissante à travers des espaces incommensurables,
de talent, des filles de vertu dans sa famille, voulût accorder leur
main
aux fils ou aux filles de son héros Jean Valjean,
énurie des vieillards, à quelque porte que Dieu vînt y frapper par la
main
de ces privilégiés de sa Providence. Qu’est-ce do
; ils font l’aumône autrement, à grandes proportions, souvent par des
mains
indirectes. On peut mourir de faim à la porte des
e indécision : il semblait près de briser ce crâne ou de baiser cette
main
; sa casquette dans la main gauche, sa massue dan
rès de briser ce crâne ou de baiser cette main ; sa casquette dans la
main
gauche, sa massue dans la main droite, ses cheveu
iser cette main ; sa casquette dans la main gauche, sa massue dans la
main
droite, ses cheveux hérissés sur sa tête farouche
ue le scélérat mille fois relaps, debout dans la nuit, sa massue à la
main
sur la tête de son bienfaiteur, indécis, comme di
nt le conventionnel : « — Louis XVII ?” « Le conventionnel étendit la
main
et saisit le bras de l’évêque : « — Louis XVII !
Oui, dit l’évêque, inexorable ; que pensez-vous de Marat battant des
mains
à la guillotine ? « — Que pensez-vous de Bossuet
l’émotion extrême, il regarda ces yeux fermés, il prit cette vieille
main
ridée et glacée, et se pencha vers le moribond. «
malgré les Girondins, malgré le drapeau rouge repoussé les armes à la
main
, malgré l’abolition de la guillotine, proposée et
pitié, on ne les plaint pas du même respect. Tomber du trône dans les
mains
meurtrières du savetier Simon jusqu’à ce que mort
e Chambéry fait du bourreau l’ ultima ratio du droit social dans les
mains
de la justice humaine, et il fait du supplice un
l il s’en va à Dieu, avec son bonnet rouge sur la tête et sa hache en
main
; son viatique, c’est l’idéal, ce moi de l’infini
e ensuite en travail, en salaire, en services publics entre les mille
mains
et les mille bouches des travailleurs qui en vive
besoin de ces procédés vulgaires : je suis moi, j’ai mon talisman en
main
, j’ai mes ailes au talon, je vais où je veux ; qu
la possédons, aussi parfaite et divine qu’on la pouvait désirer, des
mains
du plus grand des critiques, de celui dont le nom
celui d’Homère un immortel symbole de perfection et de louange, — des
mains
d’Aristarque. Notons bien la marche et l’enchaîne
crupules en général, quand ils naissent en de bons esprits, et que la
main
qui tient le crayon est sûre et capable, ne m’eff
isaient le plus : « Ce sont, disait-il, ceux auxquels Nicias a mis la
main
. » Tant, ajoute Pline, il mettait de prix à la pr
en est une que je préfère, c’est celle à laquelle Aristarque a mis la
main
. » A moins de redevenir grammairien, c’est bien à
eux sur les confins d’une pièce de terre, tenant chacun la toise à la
main
, et ne pouvant, dans un petit espace, tomber d’ac
ncevoir, c’est chose plus commode que de l’exécuter. Dès qu’on met la
main
à l’œuvre, il ne s’agit pas seulement de se croir
à frapper violemment ses deux florissantes cuisses de la paume de ses
mains
: le traducteur met simplement qu’il se frappe le
mains : le traducteur met simplement qu’il se frappe le corps de ses
mains
divines ; il oublie que cette forme expressive de
rtis qui se sont servis du journalisme comme d’une arme bonne à toute
main
, est, en effet, à cette heure, cruellement diffic
us politique qu’autre chose. C’était donc, avant tout, pour mettre la
main
fructueusement sur un pareil sujet, un esprit com
res des pontifes, à Rome, dans laquelle on reconnaît tout de suite la
main
d’un peuple politique, n’a pas fécondé sa réflexi
s soulèvements parmi les nouvellistes du temps (les nouvellistes à la
main
), et qui allait opérer une révolution. Toute cett
aise. Il paraît que Richelieu, qui voulait avoir sa fine et puissante
main
partout, avait attaché à la fondation de Renaudot
n française, — qui déchaîna le journalisme, jusque-là contenu sous la
main
des gouvernements, — et son histoire, à cette gra
e qui doit en avoir plusieurs, et que tout à l’heure il aura dans les
mains
à brasser toute la petite Presse de la Révolution
pinions d’une Compagnie, mais des convictions à lui, faites de longue
main
par la réflexion indépendante et solitaire. C’est
e et presque majestueux, avec ses fermes pondérations, sa balance, sa
main
de justice et ses diverses compétences, et comme
ati et contourné, jusqu’à ce qu’il ne fût plus reconnaissable, par la
main
acharnée de deux forgerons en haine, l’un battant
châtia Mahomet en en faisant un Tartufe, « un Tartufe les armes à la
main
». Gibbon, moins spirituel, lourd cockney qui se
anges de Dieu avaient ôté eux-mêmes de sa poitrine, ouverte par leurs
mains
célestes, la tache noire du péché originel. Natur
descend pas, à un jour donné, comme Moïse, les Tables de la Loi à la
main
. Mais chaque fois qu’il en descend, il semble, ju
siècle. Il n’y a plus ici de Tartufe, « les armes et l’encensoir à la
main
», comme disait le carnavalesque Voltaire, ni de
us n’avez pas, dans tous ces artistes de l’oreille, de l’œil ou de la
main
, des écrivains en langue non alphabétique, mais d
politique jusqu’à l’entretien familier, chacun de ces artistes de la
main
n’a pas son parallèle dans un des grands artistes
ù la lumière entrera à torrents quand les murailles tomberont sous la
main
divine de la mort. En attendant, plus nos sens bo
e préférence. VI Quels sont les procédés de la peinture sous la
main
des suprêmes artistes du pinceau ? Elle prend une
t magistral que Michel-Ange, en visitant Raphaël absent, laissa de sa
main
sur le carton des noces de Psyché, contre la port
l’artiste, et que vous sentez plus de Dieu dans la pensée et dans la
main
de l’homme qui a écrit, chanté, peint ou sculpté
ffacé tous les vestiges du génie des Phidias ou des Zeuxis et que des
mains
scythes ou gauloises ont arraché rudement le cise
scythes ou gauloises ont arraché rudement le ciseau et le pinceau aux
mains
des suprêmes ouvriers du beau. Ce n’était pas en
ait du dehors le grincement de l’outil qui façonnait l’acier dans les
mains
du père de famille ou des enfants du châlet. Ce s
mère pieuse, une sœur angélique, trois petits frères maniant de leurs
mains
enfantines le râteau du faneur le jour, l’outil d
ans la patrie de l’art. Le jeune artiste accepta sans hésitation, des
mains
de l’amitié, ces arrhes de sa gloire future, bien
ina à Raphaël pour garder à la postérité les moindres traces de cette
main
divine. Honneur à l’or quand il se dévoue à l’art
XXV Ce fut en 1817 que Léopold Robert se sentit assez maître de sa
main
et de sa couleur pour composer son premier grand
ensifs sur la poussière, le coude sur leurs genoux, la tête dans leur
main
; les jeunes filles se tressant mutuellement leur
ssonneurs, la jeune fille qui se relève de la glèbe, sa faucille à la
main
, qui tourne aux trois quarts son visage souriant
dell’ Arco ; celle qu’on ne voit que de profil et qui relève des deux
mains
son tablier pour que les plis ne gênent pas ses p
s ses yeux. L’impatience saisit à la fin le peintre ; il efface d’une
main
résolue toutes ces ébauches, il renonce au menson
ovisateur napolitain, l’Homère populaire et maritime, sa guitare à la
main
, assis sur un écueil de la plage au pied des mont
au de laine brune qui s’est détaché de ses épaules ; il cherche d’une
main
distraite des notes sur les cordes de sa guitare
dé nonchalamment sur la base du roc, et l’autre, son manteau dans une
main
et son bras passé autour du cou de son compagnon,
te penchée sur les genoux de sa mère. L’attention a fait tomber de sa
main
et rouler à terre le tambourin entouré de grelots
e contre les papes. L’Église dite gallicane les prend, ces armes, des
mains
de l’évêque de Meaux. S’il y a une Église gallica
n. Quand Bonaparte sentit l’empire échapper par grands lambeaux de sa
main
avec la victoire, il se hâta de rendre les États
du monde anténapoléonien, ils la recousurent. Pie VII gouverna par la
main
du cardinal Consalvi avec sagesse, libéralité et
e borner à offrir un asile sûr et respectueux au pontife, intervint à
main
armée pour la souveraineté temporelle du pape à R
t intérieur, tantôt par l’habileté, tantôt par la violence, entre les
mains
de la faction des Médicis. Lucques, Pise, Sienne,
ction des Médicis. Lucques, Pise, Sienne, Livourne, abdiquent dans la
main
des Médicis leur liberté républicaine. Cette fami
esse de Toscane, ce beau pays continua à être heureux dans toutes ces
mains
. Il portait son bonheur en lui-même, dans son car
, le vieillard Fossombroni, y tint jusqu’à quatre-vingt-six ans d’une
main
flexible les rênes de l’administration et de la d
rare, maître de Padoue, de Vicence, de Vérone, étant tombé dans leurs
mains
avec trois de ses fils, le conseil des Dix les fi
er au moins sa défaite. Bonaparte n’avait pas cette indemnité sous la
main
; il fallait la trouver ; il ne pouvait la trouve
oléon, eût dédaigné de la gouverner par lui-même. Elle retomba de ses
mains
avec le monde, en 1815, et rentra sous le joug de
éfendre. Les Génois abdiquèrent un moment leur souveraineté entre les
mains
de leur libérateur. Les plébéiens, encouragés par
néreusement les femmes et les filles des Cypriotes tombées dans leurs
mains
. Bravant Venise jusque sous ses murs dans des éta
des combats acharnés sous les murs, il rentre dans Gênes l’épée à la
main
; sa magnanimité se refuse à toute vengeance, il
née l’heure d’une restauration dans ses possessions italiennes par la
main
de la coalition dont elle est le satellite ; son
Marseille. Cette usurpation violente de la république de Gênes par la
main
de l’Europe au profit de la maison de Savoie, au
dans la péninsule. L’Autriche est toujours la première à intervenir à
main
armée pour le statu quo, car c’est sa nature, et
rrectionnelle dans la capitale abandonnée ; il accepta la régence des
mains
de l’armée. En changeant de rôle, il n’eut point
ince une expiation plus douce : ce fut d’aller servir, les armes à la
main
, contre ses propres amis en combattant en Espagne
. Le poids du monde ne doit pas être déplacé du bassin du Midi par la
main
des ducs de Savoie ; (p. 407) votre agrandissemen
brement sur un plan fédératif. Cela était sage. Le Piémont a forcé la
main
au traité, en s’emparant de douze millions d’Ital
is fois Caïrbar jette sa lance sur la bruyère, trois fois il porte la
main
à sa barbe. Ses pas sont courts et pressés, souve
it de nos armes frappa son oreille ; il se lève avec effort, étend sa
main
tremblante, me touche et bénit le fils de Fingal.
e ton père ? Laisse-moi toucher ton bras. » J’obéis à son désir ; ses
mains
tremblantes touchèrent mon bras : il soupire ; il
arriva à Berrathon avec Toscar, défit l’armée d’Uthal et le tua de sa
main
. Nina, dont l’amour n’était pas éteint par la per
de la colline. J’ai vu les filles de Lutha qui revenaient un arc à la
main
. Je leur ai demandé où était Malvina : elles ont
éros est assis sur un trône de vapeurs, sa lance aérienne est dans sa
main
. Son bouclier, à demi couvert de nuages, ressembl
urs du roi de Berrathon. Fingal s’en indigna : trois fois il porta la
main
à sa lance, résolu d’étendre son bras vengeur sur
partir. Nous étions transportés de joie en traversant les flots : nos
mains
impatientes se portaient sans cesse à nos épées à
ule au milieu des flots ? Mon âme a-t-elle médité ta mort ? Ma faible
main
a-t-elle levé le fer contre toi ? Mon cher Uthal,
elle voit le bouclier d’Uthal couvert de sang, elle le voit dans les
mains
d’Ossian ; elle vole éperdue sur la plaine ; elle
ènes sur les vents du désert, et tu tiens les noires tempêtes dans ta
main
. Dans ta colère, tu saisis le soleil et tu le cac
a jeunesse ? L’âge a mêlé des cheveux blancs à ma noire chevelure. Ma
main
oublie à bander l’arc, et je ne lève que des lanc
seul ; mais mon épée frémit à mon côté, impatiente de briller dans ma
main
. Ne parle plus de Comhal, enfant de Clutha ! Son
les ondoyantes. Ils se penchent sur sa harpe pendant que ses blanches
mains
touchent les cordes tremblantes. Elle s’arrête ;
efroidi ? Pourquoi ta langue harmonieuse est-elle devenue muette ? Ta
main
qui, il y a si peu de temps, brandissait la lance
ais il était trop tard. Crimoïna n’était plus… La harpe glissa de ses
mains
; elle exhala son âme dans ses chants : elle tomb
outé aux œuvres des bardes écossais quelques fragments de leur propre
main
dans le même style, cela est naturel, vraisemblab
t sous des sourcils épais et menaçants. Les épées étincellent dans la
main
des deux héros, et leurs armes se choquent avec u
s blonds cheveux flottaient négligemment ; un arc pesant chargeait sa
main
délicate ; elle avait suivi son amant, son cher C
nt pour toujours ; leurs cœurs sont glacés et ne battent plus sous ma
main
. Ombres chéries, répondez-moi du haut de vos roch
chasse : ses flèches retentissaient à son côté, son arc était dans sa
main
; cinq dogues noirs suivaient ses pas. Il voit le
employer à propos alternativement et successivement, tenant de longue
main
l’utile serviteur en réserve pour les destination
à cette désunion des parties en s’en allant en Béarn présenter de sa
main
à la comtesse de Guiche, qu’il aimait alors, les
. Il en gronde, et ne sait pas bon gré à ceux qui mettent la dernière
main
à la même affaire, à Du Plessis-Mornay, qui le su
n coup de pistolet à la hanche, et d’un coup d’épée à la tête et à la
main
, il ne laissa pas de se relever après quelque éto
r sans l’atteindre. Un homme du parti royaliste passa alors menant en
main
un cheval, un petit courtaud qu’il avait pris ; R
happèrent ; les quatre autres le suivirent, non sans lui avoir mis en
main
la cornette blanche semée des croix noires de Lor
Andelot veut s’emparer de force de la cornette blanche qu’il voit aux
mains
du page, et qui est une dépouille d’honneur et de
au maître. Premièrement donc, marchaient deux grands chevaux menés en
main
par deux palefreniers ; puis deux pages montés su
son maître, casaque de velours orangé à clinquant d’argent, et, en la
main
droite, des tronçons d’épées, de pistolets et arm
t réconciliés et convertis à la royauté. Henri IV destinait de longue
main
Rosny pour ses finances. La concussion alors, la
eveurs généraux des deux années dernières comme leur ayant été mis ès
mains
par les receveurs particuliers ; lesquels bordere
humain de son temps, hélas ! et de tous les temps, contracté dans la
main
puissante d’un homme, et rendant, sous la pressio
s la main puissante d’un homme, et rendant, sous la pression de cette
main
, son suc, son sens, sa gloire, ses vices, sa hont
e vieux Galba, proclamé empereur par les légions, s’avance et tend la
main
vers le sceptre. Écoutons Tacite, c’est ainsi qu’
plus anciens temples consumés ; le Capitole lui-même incendié par la
main
de ses concitoyens ; nos saintes cérémonies profa
tion était un retour à la liberté et aux mœurs. Galba le prend par la
main
en présence du sénat et du peuple : « Auguste ch
inées de la patrie et celles de notre maison ont été placées dans vos
mains
. Ne croyez pas, je vous le jure par le nom que je
it pas été ensanglantée et que le pouvoir avait passé sans choc d’une
main
dans une autre. « Par mon adoption, il semblait a
e : il y en a qui vont jusqu’à affirmer qu’Othon a été percé par leur
main
. L’impassible Galba sourit de pitié et demande à
ue nouveau groupe de soldats qui se présentaient, on leur prenait les
mains
, on les enlaçait d’un cercle d’épées nues, on les
dats à l’empereur. « Othon ne cessait pas, de son côté, d’étendre les
mains
vers eux, d’adresser des hommages à cette multitu
vociférant contre Galba, célébrant la justice des soldats, baisant la
main
d’Othon. Plus les démonstrations sont fausses, pl
mesure : Je respire à la fois l’inceste et l’imposture. Mes homicides
mains
, promptes à me venger, Dans le sang innocent brûl
père y tient l’urne fatale ; Le sort, dit-on, l’a mise en ses sévères
mains
: Minos juge aux Enfers tous les pâles humains. A
Que diras-tu, mon père, à ce spectacle horrible ? Je crois voir de ta
main
tomber l’urne terrible ; Je crois te voir chercha
la chrétienne réprouvée, c’est la pécheresse tombée vivante dans les
mains
de Dieu ; son mot est le mot du damné. 39. Cett
ane assise, un bras appuyé sur les bords du vaisseau, tenant de cette
main
un instrument de laiterie, l’autre bras pendant e
cette main un instrument de laiterie, l’autre bras pendant et dans la
main
un pot plein de lait qui se répand, tandis que la
conduisant par le bras. Deux bohémiennes l’accostent, lui prennent la
main
, lui prédisent des enfans et charmans, comme vous
, sa quenouille dressée contre son épaule gauche, et présentant de la
main
droite une pomme au plus petit de ses marmots don
Hésiode, à un Orphée qui descendrait des monts de Thrace la lyre à la
main
, à un Apollon réfugié chez Admète ; car je persis
fille m’aurait tiré de perplexité, en tenant sa lettre cachetée d’une
main
, et de l’autre fesant sa leçon à la vieille, mais
assis, tenant sur ses genoux la lettre déployée et donnant de l’autre
main
une pièce d’or à la vieille. Même richesse d’ajus
et sans âme ; vous pouvez, M. La Grenée et vous, vous prendre par la
main
. Est-ce ainsi qu’on trace les passions ? Est-ce q
rture, qui se plisse beaucoup à la séparation des deux cuisses, et la
main
posée où la couverture se plisse. Son vieux père
, l’endroit où ils se pressent… eh bien, ces plis, cet endroit, cette
main
? Après ? Est-ce qu’une fille de cet âge-là n’est
aite d’un russe, tartare ou autre ; à droite, le tartare debout, a la
main
appuyée sur une massue hérissée de pointes. Quel
fure, les draperies, les vêtemens sont à merveille. Celle-ci tient la
main
de la jeune femme, elle lui parle, mais elle n’a
ous deux, nous abrogions le Code pénal ! nous tenions Paris entre nos
mains
! (Il jette le journal et reste quelque temps rêv
tre vus, Bidault, Nichot, Cascaret et Poupardot tenant des notes à la
main
.) Cela veut dire que je vais hériter ! (Bidault,
pprochent peu à peu de Saturet.) Hériter ! Il me semble (il étend les
mains
) que je palpe déjà des billets de cent, des bille
ns) que je palpe déjà des billets de cent, des billets de mille… (Ses
mains
étendues rencontrent les notes élevées en l’air p
? Adjugé ! (Nichot, Bidault, Cascaret, Poupardot tendent vers lui une
main
avide.) À bas les pattes ! Messieurs, je proteste
denas… (Explosion des murmures.) Messieurs ! (Il prend Finette par la
main
.) la loi me défend de mener cette femme au marché
meurt, étouffé sous le large pouce de ces intérêts matériels dont la
main
brutalise à cette heure les plus pures et les plu
er, comme on fait aux hommes qu’on fusille, on ouvre l’Histoire d’une
main
impartiale, on ne trouve nulle part, depuis que l
outes les collines dans la vallée des jeunes filles, leur cruche à la
main
, vous dites, sans crainte de vous tromper, qu’il
ans l’expression, quand même cette expression n’a pas trouvé, sous la
main
du poète, toute sa perfection et toute sa rondeur
s de l’Empire ; mais, on doit en convenir, ce n’est, certes ! pas une
main
sans force qui a écrit : Une Scène de nuit à Schœ
de ce recueil. Seulement, si cette force était plus grande encore, la
main
du poète, qui attaque parfois l’expression avec u
rt, la femme qui est un piège, dont le cœur est un filet, et dont les
mains
sont des liens. » — Aux lueurs du bûcher de Sarda
e où je l’assieds », Sidhârta se redresse un matin, en frappant d’une
main
la terre que sa parole va conquérir. Il est « Bou
Enfers couronné de fleurs, et souriant à Perséphone, qui lui tend la
main
: — « Celui que les dieux aiment meurt jeune. Le
iècle, le trouvère Walter Vogelweide, laissant tomber sa tête dans sa
main
, s’écriait : « Cette vie, l’ai-je vécue ? l’ai-je
n à Byron, de Lucrèce à Chateaubriand, sa coupe léthargique passe, de
main
en main, inépuisable et fatale, comme le flambeau
n, de Lucrèce à Chateaubriand, sa coupe léthargique passe, de main en
main
, inépuisable et fatale, comme le flambeau même de
tent la vase de l’ancien bourbier. Émile Augier, lui-même, a peint de
main
de maître ce type de la courtisane relapse dans l
ique qui lui faisait sentir sa force dans son mépris. Elle baisait la
main
qui l’avait frappée, et elle sortait de la maison
déjà son front résigné. Son père, avant de mourir, a remis entre ses
mains
son jeune frère Paul. De ce lit de mort, la jeune
Diane la fait tomber d’un geste, et, prenant sa jeune protégée par la
main
, elle se remet, avec elle, sous la sauvegarde des
e visite. Madame de Rohan est du complot et le préside, l’éventail en
main
, comme elle ferait d’une cour d’amour. C’est une
pas passé pour voleur dans ses intendances ; je crois qu’il avait les
mains
nettes ; il était effectivement bon homme. » Cepe
sbire. Mais Laffemas n’est pas homme à retourner d’une expédition les
mains
vides. Il va faire démolir les murs à coup de pio
neries du premier âge, Eugénie l’oiselière se trouva un nid, dans les
mains
, plus grand, plus touchant et plus désolé que ceu
à écrire, soit à travailler, ce qu’elle aimait beaucoup (fée par les
mains
comme elle l’était par l’âme !) ; soit enfin à, s
ablement à cette heure que la fée de l’esprit, succédant à la fée des
mains
, elle traça cette foule de lettres et de pensées
ussent partout, même à la campagne. Ils maniaient, avec leurs grosses
mains
, cette divine opale aux nuances de vapeur, aussi
is elle avait son frère, — ce Maurice sur l’épaule duquel elle mit la
main
de si bonne heure. Les filles de Milton voyaient
Centaure à épeler ses premiers mots dans la Bible de la nature. Si la
main
, purement chrétienne et presque ascète de sa sœur
sœur Marie nous a cueilli quelques feuilles de ce beau lis double, la
main
poétique de Guérin a complété la corolle. Il nous
ait le dessein de l’accomplir, qui creusait, comme le potier, avec sa
main
puissante et douce, ce vase précieux où ses divin
Malvina égarée, aux yeux blancs, perdus dans la nue, elle a tendu une
main
hagarde à la bague d’alliance… Mlle Eugénie de Gu
vait pas même sourcillé et elle aurait pris en souriant la mort de sa
main
comme elle aurait pris autre chose. La mort n’est
ide méprisait le bouquet de roses de la dot, qui avait séché dans des
mains
résignées, — dans des mains vouées, pour toute oc
roses de la dot, qui avait séché dans des mains résignées, — dans des
mains
vouées, pour toute occupation désormais, à tourne
musante ou intéressante, comme dit le monde, quand il applaudit de sa
main
familière et maladroite sur des joues fières. On
ne manquent point d’agrément, et il a un soin tout particulier de ses
mains
et de ses ongles ; ses joues et ses lèvres vermei
dit-il bientôt avec un sourire gracieux et en appuyant amicalement la
main
sur mon genou ; puis, il porta de nouveau les yeu
ffraya tout de bon et envoya savoir s’il ne s’était point blessé à la
main
; mais la réponse qu’on lui apporta l’ayant compl
re la calèche au grand trot, mais en tenant toujours son chapeau à la
main
. En traversant le village, nous rencontrâmes plus
’avança vers nous avec force salutations et approcha ses lèvres de la
main
seigneuriale. Arcadi Pavlitch lui laissa le temps
me du starosta : elle salua le maître, mais n’osa point lui baiser la
main
. Dans la chambre froide 12 qui se trouvait à droi
de larmes, — vous avez donc daigné venir nous visiter ! Votre petite
main
, mon père, votre main chérie, — ajouta-t-il en te
z donc daigné venir nous visiter ! Votre petite main, mon père, votre
main
chérie, — ajouta-t-il en tendant les lèvres avec
rtée et retenue à la taille par une lisière, parut, une lanterne à la
main
, sur le seuil de la porte. — Éclaire au maître, l
terne, s’assit sur un escabeau, et se mit à balancer le berceau d’une
main
, tout en ravivant de l’autre la flamme de la lout
formés et qui se touchaient presque. Il s’arrêta devant moi, les deux
mains
posées sur les hanches. Je le remerciai et lui de
et baissa la tête. — Voi… voilà… — dit-il tout à coup en étendant la
main
. — Ils ont choisi une jolie nuit. J’écoutai en va
voleur qui se débattait sous lui, et dont il s’efforçait de lier les
mains
avec une ceinture. Je m’approchai des combattants
re. Birouk ne me répondit pas ; il saisit la crinière du cheval de la
main
gauche (il avait passé la main droite dans la cei
il saisit la crinière du cheval de la main gauche (il avait passé la
main
droite dans la ceinture du voleur). — Allons ! to
e paysan dans l’isba, relâcha le nœud du kouchak qui lui retenait les
mains
, et le fit asseoir dans un coin. Je me plaçai en
à Birouk, il était assis devant la table, la tête posée sur ses deux
mains
. Un grillon chantait dans le coin, … la pluie bat
forestier. Cette injonction ne m’intimida pas, et je portais déjà les
mains
en avant ; mais, à mon grand étonnement, Birouk d
, une teinte cadavérique. Il m’accueillit avec joie, et me tendant la
main
, il allait me parler lorsqu’une quinte de toux l’
nd soin : c’étaient les Œuvres de Koltsoff. Il frappa le cahier de la
main
et sourit. — Voilà un poëte ! — me dit-il d’une v
encore le temps. — Puis elle baisa dévotement le crucifix, fourra la
main
sous son oreiller, et rendit l’âme. — Lorsqu’on s
— Iakof, commence. — Je ne sais, frère, — dit celui-ci en portant la
main
à la gorge, — oui ! hem !… je ne sais ce que je s
instants, Iakof regarda autour de lui et se couvrit la figure avec la
main
. Tous les assistants arrêtèrent les yeux sur lui,
, laissa percer une agitation secrète. Il s’appuya contre le mur, les
mains
posées sur le banc, comme au commencement de la s
la dernière vibration d’une corde fortement tendue et touchée par une
main
hardie. Sa voix ne tarda pas à se développer, et
victoire lui appartenait… — Iachka, — dit Diki-Barine en appuyant la
main
sur son épaule, et il se tut. Aucun d’entre nous
is ses jambes commençaient à faiblir ; il levait de temps en temps la
main
d’un air résolu et avec un sourire hébété. Malgré
nos anciens amis), et qu’il préparait, avec ces matériaux de première
main
, une histoire complète de Sieyès, nous lui avons
it, l’une des plus hautes et des plus absolues qui soient sorties des
mains
de la nature. Emmanuel-Joseph Sieyès, que nous av
it né maître, si on peut ainsi parler ; et il refaisait la plume à la
main
chacun des ouvrages de métaphysique ou d’économie
eux quantité de réflexion de lui sur la musique, des airs notés de sa
main
, et ce qu’il appelait le « Catalogue de ma petite
de connaître la nature, et, puisqu’il n’a pas été appelé à mettre la
main
au plan de la machine du monde, qu’elle existe et
rend comme je l’ai pu faire, grâce à cette masse de témoignages de sa
main
, dans l’intimité de sa méditation et de son intel
encée, puis bientôt négociée auprès de l’abbé Sieyès, qui y donna les
mains
, n’aurait manqué, selon Bertrand de Moleville, qu
ngédiait, pour ainsi dire, en la remettant, au 18 Brumaire, entre les
mains
de Bonaparte ; car il eut cette singulière destin
disciples me l’assurent, j’en doute ; mais je sais bien qu’il a fait
main
basse sur les derniers empêchements que la scolas
it que s’accroître, et j’en ai saisi plus d’un témoignage tracé de sa
main
dans des notes intimes. On sait qu’à ceux qui lui
s vers, où l’on reconnaît l’ami de La Fontaine, je lis, écrites de la
main
de Sieyès également, des pensées latines extraite
pendant il (Sieyès) l’a aperçu longtemps avant vous, et il a fermé sa
main
. Vous qui l’accusez, vous avez deux torts plus qu
et n’avoir qu’à la distribuer aux hommes, il la retire et il ferme la
main
. Il dira encore, en continuant d’exhaler pour lui
u’on adopterait enfin cette Constitution modèle qu’il avait de longue
main
élaborée, qui devait rompre le flot de la démocra
t. Il y monte. Un bourreau l’embrasse par le corps et le traîne d’une
main
par sa draperie et de l’autre par les cuisses. Un
as souffrir les anges à cause de leurs ailes ; moi je suis choqué des
mains
jointes dans les sujets tirés de l’histoire ancie
es signes de vénération ; et il me semble que l’action de joindre les
mains
n’est ni des idolâtres anciens, ni des juifs, ni
fs, ni même des premiers chrétiens. J’ai dans la tête que la date des
mains
jointes est nouvelle. Le goût de Boucher gagne, s
premier coup d’œil, on croirait que ces deux morceaux sont de la même
main
. Cependant, avec un peu d’attention, on trouve pl
ui est vétu de long et qui paroît le maître, saisit son esclave d’une
main
, et il tient dans l’autre main une espece de sang
ît le maître, saisit son esclave d’une main, et il tient dans l’autre
main
une espece de sangle dont il veut le frapper. Deu
it quand on la touchoit à vuide, en la pinçant avec deux doigts de la
main
gauche, armez apparemment de dez d’ivoire, tandis
apparemment de dez d’ivoire, tandis qu’on la faisoit resonner avec la
main
droite. C’étoit dans cette main que les joüeurs d
dis qu’on la faisoit resonner avec la main droite. C’étoit dans cette
main
que les joüeurs de lyre portoient une espece d’ar
demande pour qui et pourquoi on va verser tant de sang romain par des
mains
romaines. Cependant les généraux d’Othon le conju
ps avec des éloges et des larmes, baisant à l’envi sa blessure et ses
mains
. Quelques-uns des soldats se tuèrent sur son bûch
l les animait tour à tour de ses acclamations et de ses battements de
mains
. « Si un des deux partis venait à plier, si les v
Placidus, le traîne hors du sale réduit où il est découvert, ses deux
mains
liées derrière le dos, ses habits déchirés : spec
……………………………………………… XXXVI Les Annales de Tacite sont de la même
main
, mais d’une main plus magistrale encore et plus f
… XXXVI Les Annales de Tacite sont de la même main, mais d’une
main
plus magistrale encore et plus ferme. On croit se
re ce genre de mort. Quant au meurtre et au glaive, comment cacher la
main
, ou comment trouver un exécuteur assez dévoué pou
grève, à la rencontre de sa mère qui venait d’Antium, la prend par la
main
, la serre dans ses bras, et la conduit à Baules ;
de crocs et de fers de rames et de tous les agrès qui tombent sous la
main
des meurtriers. Agrippine, muette, et par ce sile
oin que la hauteur des vagues le permettait, ceux-ci étendaient leurs
mains
comme pour recueillir les naufragés ; tout le riv
rs qui relevèrent ses esprits par leurs adulations, le prenant par la
main
et le félicitant d’avoir échappé à un péril si ém
ranchi et confident intime d’Agrippine, avait été surpris le fer à la
main
pour l’assassiner ; qu’Agrippine s’était fait jus
age, une femme eût envoyé un seul affranchi, avec un seul glaive à la
main
, pour combattre les armées et les flottes du maît
s, qui s’appelle, qui se répond en cris inintelligibles, qui tend les
mains
, qui s’avance jusque dans les flots pour recueill
nt aujourd’hui au profit de leur cause, soient plus vertueux dans les
mains
du jacobinisme que dans celles de l’inquisition !
stinct du peuple pousse à la république ; car il sent que toute autre
main
que la sienne est trop faible pour imprimer l’imp
s le sang de trois cent mille victimes. Elle n’aurait pas mis dans la
main
du tribunal révolutionnaire la hache du peuple, a
otions artificielles du peuple eussent si bien caché leur nom et leur
main
qu’on ne pût jamais les prendre en flagrant délit
ciel, comme des bouches de volcan, sans avoir été allumés par aucune
main
, ou qui sortent du ciel comme des météores, sans
anarchiques latentes ou publiques, contenues par nous jusque-là d’une
main
souple et ferme à la fois, s’efforceraient de dis
e son général, venu d’Algérie, la trouvât nombreuse et prête, sous sa
main
, au jour prévu. J’avais choisi dans ce général, q
rois jours. La république, seule de tous les gouvernements attaqués à
main
armée dans son centre, triompha héroïquement, mai
s ateliers nationaux, qu’on croyait être une armée de réserve dans la
main
du gouvernement, et qui n’était qu’une armée de l
e d’en proposer l’imitation aux départements ! Et moi, je combattis à
main
armée les assassins de la patrie aux journées de
d’entrevoir en perspective un trône relevé sur les débris et par les
mains
d’une république. Ce pressentiment, qui précède l
emise ouverte sur la poitrine, laissant à nu les muscles du cou ; les
mains
épaisses, le poing fermé, les cheveux gras sans c
es armes. Je n’ai pu serrer sans un respectueux attendrissement cette
main
de vieillard qui avait serré celle de son père, q
, l’insurrection morale du serment du Jeu de Paume lui avait forcé la
main
. Il avait voulu intimider l’Assemblée constituant
mi les hommes. Elle est un instinct qui avertit la force d’amollir sa
main
à la proportion de la faiblesse et de l’adversité
s négociations cessèrent ; et la Mort, tenant la hache régicide d’une
main
et le drapeau tricolore de l’autre, fut prise seu
’Histoire des Girondins. Aujourd’hui, c’est la vie de Cléry entre les
mains
, c’est en pouvant de nouveau s’appuyer sur des fa
e, soit pour curer les immondices de la mer dans la darse, prendre la
main
enchaînée du vieillard, la baiser, et lui apporte
jeter son morceau de pain de loin, à travers la double grille, par la
main
du piccinino, et, les autres jours, ne te risque
onne que je sais où il est, et que la clef de son cachot est dans les
mains
de celle qui lui rendrait le jour au prix de sa v
ant sur la cour du cloître, une corbeille de criblure de froment à la
main
pour les ramiers, et je me dirigeai vers le puits
m’avançai toute tremblante et toute pleurant d’avance, ma cruche à la
main
, vers la dernière loge du cloître, au fond de la
trier, mes jambes refusèrent tout à fait de faire un dernier pas, mes
mains
froides s’ouvrirent d’elles-mêmes, le trousseau d
euve dans l’auge des colombes, et je revins, ma cruche pleine dans la
main
, sous le cloître, comme si j’allais laver les dal
Le meurtrier, qui avait paru au premier moment à sa lucarne, les deux
mains
crispées à ses barreaux, ne s’y montrait plus ; j
lui dire, sans parler, de se taire, et, déposant ma cruche de l’autre
main
, j’ouvris, comme on me l’avait montré le matin, l
si son cœur était un foyer, en m’écoutant et en dévorant mes pauvres
mains
de ses lèvres ; mais quand j’ajoutai que ma pensé
plus hardie viendra becqueter entre les barreaux, puis jusque dans ta
main
; tu lui caresseras les plumes sans la retenir, e
era la vie, sois-en sûr ! Tu ne me refuseras pas de la recevoir de ma
main
pour nos parents ; ces quatre semaines de soulage
ettant, et ses doigts semblaient vouloir retenir ce que me tendait sa
main
. Je pris le peloton, je le déroulai, je pris la l
mme mes pensées elles-mêmes, selon leur couleur ; puis je battais mes
mains
l’une contre l’autre pour l’effrayer un peu, afin
’était pas encore guérie, lui faisait trop mal, et qu’il implorait ma
main
pour le retourner sur sa paille. Non, je ne pense
tombâmes, ma belle-sœur et moi, à la renverse contre la muraille, les
mains
sur nos yeux, en criant : « Est-il bien possible
qui s’introduit avec son livre dans le foyer de chacun, qui passe de
mains
en mains comme une chose vénale, qui sollicite, a
troduit avec son livre dans le foyer de chacun, qui passe de mains en
mains
comme une chose vénale, qui sollicite, au lieu du
re intérêt. L’un d’eux, qui avait une petite perruque ronde, prit ses
mains
dans les siennes, où il les retint longtemps, et
isme et de drame furent malheureux. L’outil était trop lourd pour une
main
d’enfant, trop lourd même pour une main de femme.
til était trop lourd pour une main d’enfant, trop lourd même pour une
main
de femme. À l’exception de la virile Sapho, dont
nt exclusivement viril qui veut, comme l’éloquence de la tribune, une
main
d’homme pour le faire vibrer complétement à l’ore
’explosion de la phrase éclatant comme le canon sous la charge qu’une
main
vigoureuse a introduite et bourrée dans le tube d
la délicatesse des organes de la pensée dans la femme ? Peut-être sa
main
débile, qui n’a pas été façonnée pour l’effort, n
accoutumé à une telle virilité romaine d’idées et d’accents sous une
main
de jeune femme. Un immense applaudissement accuei
ndant éloignaient ces prétendants français, anglais ou italiens de la
main
de cette fille unique, malgré la fortune, le créd
i de Gustave III et ambassadeur de Suède à Paris, brigua et obtint la
main
de mademoiselle Necker. Il ne manquait à cette fa
jamais forcer sa femme à le suivre en Suède. À ce prix, il obtint la
main
de mademoiselle Necker. C’était un homme déjà mûr
séquent l’aristocratie est personnelle, ne pouvait reconstituer d’une
main
les priviléges politiques qu’elle détruisait de l
dre son père et ses enfants. Une protestation jetée au peuple par une
main
cachée, du sein du nuage, soulageait au moins sa
ublique dont elle inspirerait les conseils et dont elle dirigerait la
main
. Ce fut l’époque véritablement civique de sa vie.
ophie du dix-huitième siècle ; c’était le démenti donné le sabre à la
main
à toutes les aspirations de l’Europe ; c’étaient
er nous-même ? Est-ce que nous avons montré une arme chargée dans nos
mains
ailleurs que sur le champ de bataille de Paris, p
servir contre nous de la force des révolutions quand vous l’aviez en
main
», nous disent aujourd’hui avec une amère ironie
ennemis parviennent (comme je ne le crains que trop) à briser dans ma
main
cette plume de l’homme de lettres, mille fois plu
Qu’est-ce qu’un homme qui sait un métier quelconque, un métier de la
main
ou un métier de l’esprit ? Cet homme est un capi
alice, Qui même en le grondant badine avec le vice, Et qui, levant la
main
sans frapper jusqu’aux pleurs, Ne fustige les sot
« Ami, vite un peu d’ombre ! Nous avons trop hâlé notre front et nos
mains
Aux soleils, au roulis des océans humains ; Échap
t pourtant illuminé d’histoire ; Tu me parlais de Rome un Tacite à la
main
, Des victoires d’hier, des dangers de demain, Des
r elle perça la langue, Et sur les Rostres sourds fit clouer les deux
mains
Qui répandaient le geste et le verbe aux Romains
truire est la besogne ; édifier est l’œuvre. Le progrès démolit de la
main
gauche, c’est de la main droite qu’il bâtit. La m
difier est l’œuvre. Le progrès démolit de la main gauche, c’est de la
main
droite qu’il bâtit. La main gauche du progrès se
ès démolit de la main gauche, c’est de la main droite qu’il bâtit. La
main
gauche du progrès se nomme la Force, la main droi
n droite qu’il bâtit. La main gauche du progrès se nomme la Force, la
main
droite se nomme l’Esprit. Il y a à cette heure be
iers, d’un sens profond : — « La voix me dit : remplis la paume de ta
main
de charbons de feu, et répands-les sur la ville.
eux, partout où allait l’esprit, ils allaient. » Et ailleurs : « Une
main
fut envoyée vers moi. Elle tenait un rouleau, qui
ez la première statistique venue. En voici une qui nous tombe sous la
main
: Bagne de Toulon. 1862. Trois mille dix condamné
espote de despotisme pour le faire éclater. Le tyran devient dans ses
mains
un hideux projectile qui se brisera. Machiavel co
pas dissocié de la musique. Je lis ces vers de Sagesse : Les chères
mains
qui furent miennes, Toutes petites, toutes belles
es mortelles Et toutes ces choses païennes, …………………………………………………………………
Mains
en songe, mains sur mon âme, Sais-je, moi, ce que
toutes ces choses païennes, ………………………………………………………………… Mains en songe,
mains
sur mon âme, Sais-je, moi, ce que vous daignâtes,
reliés aux centres moteurs des muscles du larynx et des muscles de la
main
« auxquels ils donnent des ordres ». L’écriture e
des ordres ». L’écriture est donc un langage direct, les gestes de la
main
, un langage également. « Le langage, dit encore l
ppuyée à la beauté du monde Et j’ai tenu l’odeur des saisons dans mes
mains
. Pourtant, elle comprend avec effroi l’éphéméréi
naïve allégresse : De croire que plus loin, d’autres cieux, d’autres
mains
Donneront de meilleurs et plus sûrs lendemains Et
nts, les jardins où nous sommes, Cesser d’être du sang, des yeux, des
mains
, des hommes Descendre dans la nuit avec un front
syché2 Elle passe sans bruit dans la maison déserte Tenant entre ses
mains
une lampe qui meurt ; Son voile safrané flotte da
udre éparse et cendre inerte et grise, Au lieu de l’anse, creuse à la
main
qui l’a prise, Tu renfles la rondeur de ce double
a pamoison. Si Mmede Noailles a « tenu l’odeur des saisons » dans ses
mains
amoureuses, Mme Delarue-Mardrus entre dans un pay
lune écoutés bouche à bouche ! De songer qu’ils vivront sans que leur
main
se touche Et que, pour eux, ces nuits passeront s
ité ; frénésie de la sensualité : Je prendrai le beau temps avec des
mains
hâlées, Je mangerai l’été comme un gâteau de miel
, Et que peut-être, errant et seul avec ces yeux, Nul ne prendrait sa
main
pour marcher sur la route. Ayant trop écouté le h
lait pur quelque part sous les cieux Et qui touche le cœur comme une
main
caresse, Comme un triste baiser se posant sur les
pâmée… … referme sur moi tes tendres bras ouverts ; Que je presse tes
mains
en mes brûlantes paumes ; Tes deux mains de fraîc
ouverts ; Que je presse tes mains en mes brûlantes paumes ; Tes deux
mains
de fraîcheur, au fond des soirs déserts… Pourtan
isirs. …………… Et les gardénias fragiles des hivers Se meurent dans tes
mains
aux caresses impures. …………… Sous les flots de sat
ne se manifeste pas par la frénésie des étreintes : Je baiserai tes
mains
et tes divins pieds nus Et nos cœurs pleureront d
tel… ……… On trouvera, dans le recueil qui s’intitule : À l’heure des
Mains
jointes, la description, ou plutôt l’insinuation
voyant mes souffrances, ont ri. Puis, des hommes ont pris dans leurs
mains
de la boue Qui vint éclabousser mes tempes et ma
ous avez su tourner vers vous tous mes désirs Et vous avez rempli mes
mains
de souvenirs. Je vous ai dit, à vous qui m’avez c
res ; je ne vis que pour lui, dit-elle, Je viens toujours à lui, les
mains
pleines de roses : À mes plus beaux présents, il
chée, Nulle compagne n’est plus douce et pitoyable, Je ne sais nulles
mains
, si fraîches à mon front. Je t’aime — te voici. É
filles ! Je sens que je péris de n’être pas aimée, D’avoir de tièdes
mains
et la bouche embaumée… Cette première partie de
d’amertume du désir impossible : Je voudrais, une fois, prendre vos
mains
, un soir. ……………………………………………………… Mais, elle souff
ux son parfum, presque comme le rite D’un malade qui tend la
main
. Et les roses de chair qu’on mord comme une bouch
on va tuer les lendemains, Jamais n’eurent ce cœur qui tombe dans mes
mains
Et ce consentement farouche. C’est elle
-moi, solitaire obstinée, N’être que cette enfant qui pleure dans ses
mains
. Mme Catulle Mendès, dans ce premier recueil, ne
ut-puissant et terrible. Oh ! laisse Se joindre sur ton cœur mes deux
mains
de faiblesse Contenant tout l’amour en leurs paum
attendent, penchées « au balcon de leur longue espérance » : Avec la
main
ouverte au-dessus de leurs yeux, elles ont inter
, faneuses de l’azur, Sequins dansants des peupliers, gestes obscurs,
Mains
qui vont promener la nuit sur les fontaines, Marr
ie, Il est un écolier, car le bonheur s’apprend. Mais, peu à peu, mes
mains
s’attachent à la soie, Mon corps apprivoisé la go
stérieux, et ne se livre pas au premier regard, au premier palper des
mains
et de l’intelligence), — l’émotion ressentie est
roncs d’arbres, les troncs d’hommes avec des feuilles ou des
mains
! On sentie prodige « d’une occulte loi humaine
uilles de citrouilles. Le plus noble arrondit un bras pompeux et sans
main
. Sur eux tombe par bavures un jour de ruines et d
t en rut y sont trop nombreux. « Ne vaut-il pas mieux tomber dans les
mains
d’un meurtrier que dans les rêves d’une femme ard
une touffe de cheveux sur le front : c’était Napoléon : il tenait la
main
levée comme pour prendre une prise de tabac, et d
nt M. Goulden de la bonne idée qu’il avait eue. J’enfonçais aussi mes
mains
dans les moufles jusqu’aux coudes, et je galopais
t pas assez belle. Mais au bout d’un instant, Catherine, joignant les
mains
, soupira tout bas : « Oh ! mon Dieu ! que c’est b
auer ; Joseph offre un bouquet de roses à son amoureuse, qui étend la
main
pour le prendre. » Quand la tante Grédel eut bien
ie de mon âme, et depuis ce moment jusqu’à midi, je ne lâchai plus la
main
de Catherine ; nous étions heureux en nous regard
oles me portaient un coup, et je sentais que Catherine me retenait la
main
. Mais la tante Grédel avait plus de raison que no
ne : n’oublie pas de venir dimanche. » Je me retournai pour agiter la
main
, puis je me mis à courir sans lever la tête, car
me dit-il aussitôt. — Dix-sept », répondit la tante en s’asseyant les
mains
sur les genoux. Un instant M. Goulden parut troub
partir : l’amour de la gloire éclate dans ses yeux. » Et me posant la
main
sur l’épaule : « C’est bien, Joseph, fit-il, je t
peu courte. — Bah ! fit l’autre, elle est solide. Puis, me posant la
main
sur la poitrine : « La conformation est bonne, di
histoire ? » Et comme je baissais la tête sans répondre, joignant les
mains
il ajouta : « Ah ! la jeunesse, la jeunesse, cela
Ne manquons pas au premier appel, jeune homme », fit-il en serrant la
main
de M. Goulden. Il sortit ; on entendait son cheva
ssit ; comme je me baissais vers elle, elle me prit la tête entre ses
mains
, et m’embrassant, elle criait : « Je t’ai toujour
’était la grand’mère de Zébédé ; son menton tremblait. Zébédé leva la
main
sans répondre ; il était aussi bien triste et bai
Il n’y a personne ? » Et presque aussitôt une vieille femme parut, la
main
devant sa chandelle, au bout d’un escalier en boi
s vus travailler en bas. Il avait mis une chemise, et tenait dans ses
mains
une cruche et deux verres. « Bonne nuit ! » dit-i
rribles ! » Il se parlait à lui-même en marchant d’un air rêveur, les
mains
croisées sur le dos. Moi, je sentais mes yeux se
solides chevaux, — les canonniers à droite et à gauche le sabre à la
main
. — Derrière venaient les caissons. Je n’avais pas
tant retourné, je vis une jeune femme pâle assise près de l’âtre, les
mains
croisées sur les genoux, et je reconnus Catherine
’écria : « Joseph… tu me reconnais ? — Oui, lui dis-je en étendant la
main
. » Elle s’approcha toute tremblante, et je l’embr
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