Chapitre I : De la
méthode
en général15 La civilisation, comme tout ce qu
breux et plus compliqués. Or, ce qui caractérise la science, c’est la
méthode
: c’est par la précision et la rigueur des méthod
science, c’est la méthode : c’est par la précision et la rigueur des
méthodes
que la science se distingue de la poésie, de la l
, de l’inspiration enfin et du sentiment ; c’est par la diversité des
méthodes
autant que des objets que les sciences se disting
ets que les sciences se distinguent les unes des autres. C’est par la
méthode
que la science réalise ce qui paraît impossible à
ce qui paraît échapper à toute prise, le hasard et l’infini. Ainsi la
méthode
est l’arme de la science, comme la science est l’
de voir un des maîtres de la science nous exposer les principes de sa
méthode
, les éclairer par de nombreux exemples empruntés
Sans une connaissance exacte et précise des sciences, la théorie des
méthodes
se perdra toujours en vagues et arides généralité
lle ou telle science, quels sont en mathématiques les principes de la
méthode
analytique, en physique ceux de la méthode expéri
tiques les principes de la méthode analytique, en physique ceux de la
méthode
expérimentale, la philosophie ne peut plus alors
on a vu un savant s’interroger avec curiosité sur les principes de la
méthode
, et on pourrait faire une curieuse histoire de la
et ingénieux physicien, le premier ouvrage français de ce genre où la
méthode
expérimentale ait pris la place qui lui appartien
i appartient (encore n’y est-elle pas très-nettement distinguée de la
méthode
géométrique) ; le Traité de l’expérience, du doct
. Mill dans sa Logique, beaucoup d’autres moins connus ont traité des
méthodes
avec une abondance de vues et de faits qui ne lai
ues parties de leurs œuvres, soit dans des traités spéciaux. Pour les
méthodes
mathématiques par exemple, on lira avec un grand
consultera surtout un profond et éminent travail de M. Duhamel sur la
Méthode
dans les sciences de raisonnement, œuvre d’un esp
re, dans laquelle ce grand savant défend contre son illustre rival sa
méthode
de comparaison analogique. En chimie, sans remont
. M. Chevreul, par exemple, a consacré un ouvrage à la question de la
méthode
; M. Dumas, dans sa Philosophie chimique, a jeté
ant particulièrement sur les progrès qu’il a fait faire lui-même à la
méthode
synthétique. Ainsi l’on voit tous les grands sava
n vrai trait de génie de la part de celui-ci d’avoir deviné que cette
méthode
toute neuve et à peine éprouvée était le renouvel
n faite par ces grands expérimentateurs. Il a continué à voir dans la
méthode
expérimentale une méthode subalterne et d’une imp
érimentateurs. Il a continué à voir dans la méthode expérimentale une
méthode
subalterne et d’une importance secondaire. Il n’é
a laissé quelques fragments de logique : de quoi traitent-ils ? De la
méthode
géométrique ; pas un mot sur la méthode expérimen
de quoi traitent-ils ? De la méthode géométrique ; pas un mot sur la
méthode
expérimentale. Dans Leibnitz, qui est si ouvert à
ouvert à toutes choses et presque d’un siècle postérieur à Bacon, la
méthode
expérimentale est à peine indiquée et comme noyée
en fût autrement. Comment ! depuis trois siècles que l’on pratique la
méthode
baconienne, on ne l’aurait point perfectionnée, s
premiers inventeurs. Pour ma part, en comparant le Novum Organum aux
méthodes
modernes, je suis beaucoup moins frappé de ce qu’
i le savant le plus positif, le plus circonspect, le plus fidèle à la
méthode
expérimentale, qui nous déclare que non-seulement
emarquable vertu de l’invention scientifique, supérieure à toutes les
méthodes
et à toutes les règles. « Il n’y a pas de règles
paraît avec la rapidité de l’éclair comme une révélation subite. — La
méthode
expérimentale ne donnera donc pas des idées vraie
t entièrement en cette doctrine de son maître Reid, aussi opposé à la
méthode
hypothétique que qui que ce soit au xviiie siècl
cite une seule découverte dans la nature qui ait été faite par cette
méthode
. » Dugald Stewart n’a pas de peine à répondre à c
S’Gravesande, Lesage, Boscowitch, qui tous s’accordent à défendre la
méthode
hypothétique dans le sens et dans les limites que
e dire. On n’apprendra pas sans quelque intérêt que cette question de
méthode
a été agitée dans une école toute récente à laque
permis et ce qui est défendu. Effacera-t-on toute différence entre la
méthode
de Descartes et celle de Galilée et de Newton ? O
imite a été ici indiquée par Bacon lui-même. Ce qu’il blâmait dans la
méthode
hypothétique, c’était de s’élever subitement de q
lus d’utilité que ne le croient les savants. Un autre correctif de la
méthode
hypothétique indiqué par M. Claude Bernard, c’est
ne expérimentale de M. Claude Bernard. 16. Descartes, Discours de la
Méthode
. — Règles pour la direction de l’esprit. 17. Pas
ls peuvent être artificiellement produits au gré de l’observateur, la
méthode
est l’expérimentation proprement dite. Quand, au
vons que les rapprocher tels qu’ils se sont spontanément produits, la
méthode
que l’on emploie est celle de l’expérimentation i
méthode que l’on emploie est celle de l’expérimentation indirecte ou
méthode
comparative. Nous avons vu que l’explication soci
phénomènes sociaux échappent évidemment à l’action de l’opérateur, la
méthode
comparative est la seule qui convienne à la socio
isante ; il a trouvé nécessaire de la compléter par ce qu’il nomme la
méthode
historique ; mais la cause en est dans sa concept
ctuelle, morale et politique82 ». Telle est la raison d’être de cette
méthode
que Comte appelle historique et qui, par suite, e
Pour le savant, elle ne fait pas question ; elle est supposée par la
méthode
de la science. Comment expliquer autrement et le
a alors même qu’ils n’en font pas une objection contre l’emploi de la
méthode
comparative. Ainsi, on dit couramment que le crim
groupe confus et indéfini d’antécédents. Si donc on veut employer la
méthode
comparative d’une manière scientifique, c’est-à-d
eur effet commun 84. II Toutefois, si les divers procédés de la
méthode
comparative ne sont pas inapplicables à la sociol
ociologie, ils n’y ont pas tous une force également démonstrative. La
méthode
dite des résidus, si tant est d’ailleurs qu’elle
causes moins une. La même raison rend difficilement utilisables et la
méthode
de concordance et celle de différence. Elles supp
rieures à celles de n’en négliger aucun. Par conséquent, une pareille
méthode
de démonstration ne peut donner naissance qu’à de
s de tout caractère scientifique. Mais il en est tout autrement de la
méthode
des variations concomitantes. En effet, pour qu’e
ment variés, est la preuve qu’il existe entre eux une relation. Cette
méthode
doit ce privilège à ce qu’elle atteint le rapport
’elle est mise en échec par quelques applications particulières de la
méthode
de concordance ou de différence ; ce serait attri
u premier et la cause du second. Les résultats auxquels conduit cette
méthode
ont donc besoin d’être interprétés. Mais quelle e
cette méthode ont donc besoin d’être interprétés. Mais quelle est la
méthode
expérimentale qui permet d’obtenir mécaniquement
t le penchant au suicide. Mais il est une autre raison qui fait de la
méthode
des variations concomitantes l’instrument par exc
même quand les circonstances leur sont le plus favorables, les autres
méthodes
ne peuvent être employées utilement que si le nom
ts des sociologues, c’est que, comme ils ont employé de préférence la
méthode
de concordance ou celle de différence et surtout
lesquels elles sont établies n’inspirent pas toujours confiance. La
méthode
des variations concomitantes ne nous oblige ni à
efficacité tous les procédés de la recherche expérimentale, l’unique
méthode
, dont il doit presque se servir à l’exclusion des
e expérience, elles se classent encore de la même manière. Mais cette
méthode
elle-même ne peut guère se suffire. Elle ne s’app
e pas à pas la manière dont il s’est progressivement compliqué. Cette
méthode
, que l’on pourrait appeler génétique, donnerait d
cesser dès qu’une évolution nouvelle recommence. Mais, avec une telle
méthode
, on est exposé à prendre pour la marche régulière
478. 84. Division du travail social, p. 87. 85. Dans le cas de la
méthode
de différence, l’absence de la cause exclut la pr
a été faite par quatre ou cinq lignes qui sont dans le Discours de la
Méthode
. Et c’est tout. Et ces quatre ou cinq lignes, ces
quelques principes antérieurs d’hygiène intellectuelle, des règles de
méthode
enfin, c’est lui qui le dit, non des principes ou
. Et dans Descartes je vois de bien grands désordres. Discours de la
Méthode
et qu’il vaut mieux écrire discours de la méthode
es. Discours de la Méthode et qu’il vaut mieux écrire discours de la
méthode
pour bien conduire sa raison et pour chercher ou
pair et hors classe, un homme hors cadre, un homme à qui une soudaine
méthode
, brusquement apparue dans l’histoire du monde, au
d’infaillible et de totale certitude. Il en est de ce discours de la
méthode
comme des fameuses règles baconiennes. Les tables
physicien de génie qui ne procédait pas directement du discours de la
méthode
, qui n’était pas en liaison directe, en fonction
on continue et pour ainsi dire en création continue du discours de la
méthode
. Quoi qu’il en eût et qu’il en pensât lui-même. C
hysicien, un géomètre, un mécanicien, un physicien à qui un secret de
méthode
, soudainement surgi dans l’histoire du monde, eût
ts de la réalité physique. Ce n’est pas en fonction du discours de la
méthode
que l’on réadoptera l’hypothèse des tourbillons c
pour assurer la pensée ni pour assurer le discours ni pour assurer la
méthode
. On la reprendra parce que la réalité sera plus c
rbillons cartésiens parce quelle sera en règle avec le Discours de la
Méthode
mais parce qu’elle sera en règle, ou que l’on pen
hysique, sa physique, sa physiologie, tout son système à partir de sa
méthode
. Il ne l’a pas même déduit tout entier à partir d
. C’est montrer qu’on n’est pas de ce pays-là. Si le discours de la
Méthode
a un sens, c’est bien qu’il faut aller pas à pas
ntre le point de suspense et le point d’arrivée. Si le discours de la
Méthode
a un sens, c’est bien qu’il faut que la démarche
Descartes est un homme qui dans la deuxième partie du Discours de la
Méthode
veut que l’on n’avance que pied à pied et qui dan
avançais au commencement de cette note, que ce n’est pas parce que la
méthode
de Descartes est bonne qu’elle a eu une aussi hau
onne qu’elle a eu une aussi haute fortune, mais parce qu’elle est une
méthode
. C’est pour cela qu’elle s’est inscrite dans l’hi
(c’est une maxime de sa morale, mais ce que je prétends, c’est que sa
méthode
aussi est une morale, une morale de pensée ou une
ur la conduite de la conduite (ordinaire, personnelle et sociale). Sa
méthode
est une morale instauratoire pour la conduite de
solu en mes actions que je pourrais, … Au fond sa grande maxime de
méthode
est aussi d’être le plus ferme et le plus résolu
e gîte ce soir. L’espoir d’arriver tard dans un sauvage lieu. Si la
méthode
de Descartes avait été bonne, au sens où lui-même
int celle qui prononce, mais celle qui requiert. Descartes promet une
méthode
de certitude et aussitôt après et presque en même
iétude, qui ouvre un ébranlement. Le monde n’a peut-être pas suivi la
méthode
cartésienne et Descartes certainement ne l’a pas
Ce qu’il faut savoir, c’est si les premiers mots de ce Discours de la
Méthode
ont été le point d’origine d’un immense ébranleme
siquement du système cartésien, quand Descartes avait fait éclater sa
méthode
, cum irrupisset, quand il avait fait entrer par i
méthode, cum irrupisset, quand il avait fait entrer par irruption sa
méthode
, il avait conquis sa part dans l’histoire éternel
taphysiquement du système bergsonien, quand Bergson a fait jaillir sa
méthode
, il a conquis sa part dans l’histoire éternelle.
rt dans l’histoire éternelle. On se rejetterait en vain sur ce que la
méthode
de Descartes serait une méthode positive et que l
se rejetterait en vain sur ce que la méthode de Descartes serait une
méthode
positive et que la méthode de Bergson serait une
ce que la méthode de Descartes serait une méthode positive et que la
méthode
de Bergson serait une méthode purement négative.
s serait une méthode positive et que la méthode de Bergson serait une
méthode
purement négative. La méthode de Descartes n’est
et que la méthode de Bergson serait une méthode purement négative. La
méthode
de Descartes n’est positive qu’en apparence. Et j
re remonter à l’esprit. Je dirai à la faire remonter à l’homme. Et la
méthode
bergsonienne revient essentiellement à remonter v
ait. Toute grande philosophie a un premier temps, qui est un temps de
méthode
, et un deuxième temps, qui est un temps de métaph
e philosophie du réel, on les prend tous les trois dans leur temps de
méthode
. Quand on dit que le platonisme est une philosoph
pte que trois ou quatre de ces grands ébranlements. Discours de la
méthode
pour bien conduire sa raison et chercher la vérit
et chercher la vérité dans les sciences. Le bergsonisme aussi est une
méthode
pour bien conduire sa raison. Le bergsonisme auss
qu’on s’était proposé de ne pas oublier de respirer. Discours de la
méthode
pour bien conduire, c’est vraiment, c’est littéra
a méthode pour bien conduire, c’est vraiment, c’est littéralement une
méthode
pour éviter l’inconduite, la mauvaise conduite. E
t, parce que c’est le cartésianisme. Et encore dans ce discours de la
méthode
il n’y a qu’une partie, sur six, la deuxième, qui
n’y a qu’une partie, sur six, la deuxième, qui soit des règles de la
méthode
. En tout sept pages et demie. Et dans cette deuxi
il n’y a que le cœur, en tout vingt lignes, qui soit les règles de la
méthode
. Ce sont ces vingt lignes qui ont révolutionné le
logique raide soit plus une logique qu’une logique souple. Et qu’une
méthode
scientifique raide soit plus une méthode, et plus
ne logique souple. Et qu’une méthode scientifique raide soit plus une
méthode
, et plus scientifique, qu’une méthode scientifiqu
cientifique raide soit plus une méthode, et plus scientifique, qu’une
méthode
scientifique souple. Et surtout qu’une morale rai
thématiques de la courbe. Il est évident au contraire que ce sont les
méthodes
souples, les logiques souples, les morales souple
. Une logique raide peut laisser échapper des replis de l’erreur. Une
méthode
raide peut laisser échapper des replis de l’ignor
ursuivra les sinuosités d’échappements. C’est une logique souple, une
méthode
souple, une morale souple qui poursuit, qui attei
Nous nous sommes lavés d’une telle amertume. De même que ce sont les
méthodes
souples, les logiques souples qui requièrent un e
s. Les seules qui ne pardonnent pas. Ce sont les morales souples, les
méthodes
souples, les logiques souples qui excercent les a
II L’esprit scientifique et la
méthode
de l’histoire littéraire Conférence faite à l’U
» J’ai peur, Mesdames et Messieurs, qu’en venant discourir ici sur la
méthode
scientifique moi dont la culture et l’étude sont
up de discrétion et de réserves que j’ose transporter cette notion de
méthode
scientifique à l’histoire littéraire, et il faut
tue par génération, est purement verbale, et qu’enfin tout ce qui est
méthode
dans les sciences de la nature, si on le transpor
re l’an passé, Frédéric Rauh, commençait ses originales études sur la
Méthode
dans la psychologie des sentiments. « Il nous par
sprit… « Il nous paraît, en effet, qu’il n’y a pas de science, pas de
méthode
universelle, mais seulement une attitude scientif
ans des recherches diverses des esprits également scientifiques à des
méthodes
précisément contraires. On a confondu longtemps a
ntraires. On a confondu longtemps avec l’esprit scientifique même, la
méthode
de telle science, en raison des résultats précis
pproximative, que l’on ne puisse apporter, dans l’application de deux
méthodes
différentes, à deux ordres de sciences le même es
nous ferons de la meilleure histoire littéraire. Si nous songeons aux
méthodes
des sciences, de la nature, que ce soit aux plus
notre connaissance que pour éclairer notre conscience. Regardons les
méthodes
d’accord et de différence, les méthodes des résid
tre conscience. Regardons les méthodes d’accord et de différence, les
méthodes
des résidus et des variations, mais que ce soit p
les cadres ou les façades qu’elles fournissent. De la méditation des
méthodes
scientifiques, tirons avant tout des scrupules, l
et pour elles autant que par elles. Voilà ce qui fait que toutes les
méthodes
des sciences, transportées chez nous, ne peuvent
personnel une seule fois réalisée. Notre étude est historique. Notre
méthode
sera donc la méthode de l’histoire ; nos résultat
fois réalisée. Notre étude est historique. Notre méthode sera donc la
méthode
de l’histoire ; nos résultats n’auront que la cer
mploi de l’impression subjective, et si le premier commandement de la
méthode
scientifique est la soumission de l’esprit à l’ob
et agir sans règle dans nos travaux ? L’impressionnisme est la seule
méthode
qui nous donne le contact de la beauté. Employons
nergiquement. Ce n’est point l’heure, Messieurs, de faire un cours de
méthode
. Un mot suffira. Distinguer « savoir » de « senti
roire qu’on sait quand on sent : je crois bien qu’à cela se réduit la
méthode
scientifique de l’histoire littéraire. Ce n’est q
notre pleine liberté que dans la discipline, la saine discipline des
méthodes
exactes. Nous avons trop cru qu’il suffisait d’av
’est contre soi-même d’abord qu’il faut savoir être libre. Toutes nos
méthodes
sont instituées pour neutraliser les puissances t
se rencontrent. L’acceptation de l’arbitrage souverain des règles de
méthodes
ôte l’aigreur aux disputes et fournit le moyen de
hèse semblable à propos de l’histoire, et faire voir comment, par une
méthode
analogue à celle des sciences naturelles, certain
à l’histoire son haut caractère d’enseignement moral avec la nouvelle
méthode
qui en a fait une œuvre éminemment scientifique d
s, la véritable science de l’homme est restée à faire. D’une pareille
méthode
, on a pu tirer une belle ou forte doctrine morale
ors seulement elle a pu découvrir les lois de son développement. Même
méthode
pour l’histoire. On peut étudier une époque, une
t l’histoire élevée à la dignité d’une science. Or, de même que cette
méthode
tend à réduire la psychologie à une sorte de phys
orien dans le sens antique du mot, mais un historien qui a exagéré la
méthode
de l’antiquité au point de faire de l’histoire un
té de morale. Les historiens latins n’ont point à cet égard une autre
méthode
que les Grecs. Sans parler des récits fabuleux su
comprennent les anciens, se traite dans le même esprit et par la même
méthode
que l’histoire politique. Inspiration d’un génie
fatigué. Il faut lire Quintilien sur Homère pour juger d’une pareille
méthode
critique. Nul ne se doute, parmi les anciens, des
ciétés. Voilà aussi, entre autres raisons, ce qui explique comment la
méthode
des historiens des républiques italiennes se rapp
des lois qui régissent la succession ou la combinaison des faits. La
méthode
est donc la même pour les deux ordres de sciences
pour les deux ordres de sciences, naturelles et historiques, et cette
méthode
n’est autre que l’induction, dont Bacon a été l’i
iques vraiment dignes du nom de science les procédés principaux de la
méthode
des sciences physiques. Comme dans ces dernières,
ès des sciences naturelles, dus principalement à l’excellence de leur
méthode
, ont été pour eux un puissant encouragement à app
ins dans la mesure où cette application est possible. Fidèles à cette
méthode
, Montesquieu et Vico ont cherché les lois et les
ogrès. En cela, ils sont les pères de la science historique. Toute la
méthode
de cette science est dans une définition de l’Esp
s qui dérivent de la nature même de ces faits, telle est la véritable
méthode
scientifique de l’histoire, qui ne devait être co
d ouvrage de Vico31 ; car nul n’a mieux compris le but, l’objet et la
méthode
de l’histoire, ainsi que l’ont traitée les histor
nales du monde, telle est l’idée fixe de Vico. C’est en appliquant la
méthode
si féconde de l’observation comparée aux diverses
seul appartiennent les œuvres de véritable science historique. Ici la
méthode
scientifique est pratiquée avec suite, avec ensem
éléments se sont trouvés sous la main des historiens au service de la
méthode
nouvelle. L’histoire n’avait guère été précédemme
les montre aux spectateurs. Pour bien juger de la différence des deux
méthodes
historiques, ancienne et moderne, il faut compare
le plus curieux peut-être qui ait paru récemment comme spécimen de la
méthode
moderne, c’est un livre ingénieux et souvent prof
quelques grands sujets tirés de l’histoire de France, où la nouvelle
méthode
a été pratiquée avec le plus de succès. L’histoir
politique. Jusqu’à notre siècle, les historiens, fidèles en cela à la
méthode
de l’antiquité, n’avaient vu dans l’avènement de
animale par la constitution et la fonction des divers organes. Cette
méthode
d’analyse et de synthèse tout ensemble, dans laqu
ile : sunt lacrymæ rerum ! Si l’on veut un exemple saisissant de la
méthode
historique des modernes, on peut prendre le grand
re en peu d’heures parle désintéressement et le sacrifice34. » Où la
méthode
moderne tranche le plus visiblement avec la métho
ifice34. » Où la méthode moderne tranche le plus visiblement avec la
méthode
antique, c’est dans l’histoire de la littérature
n plus, par les études de la critique esthétique, la formule de cette
méthode
: « La littérature est l’expression de la société
la critique des littératures modernes : sous l’empire d’une pareille
méthode
, l’histoire littéraire est devenue une science, d
la vie des peuples que dans celle des individus. Il n’y a donc qu’une
méthode
vraiment féconde pour les études historiques et e
esthétiques, aussi bien que pour les études psychologiques : c’est la
méthode
qui voit les choses d’ensemble et en embrasse les
l’avaient fait les historiens moralistes de l’antiquité. Telle est la
méthode
dont M. Taine nous donne la formule avec cette ne
urement reproché ; il le soumet à des lois analogues et y applique la
méthode
des sciences de la nature. Toute œuvre esthétique
core ; elle croît pouvoir les qualifier en les expliquant par la même
méthode
. C’est le génie de l’Allemagne, il faut lui rendr
pire dans l’histoire comme dans la politique. On garda de la nouvelle
méthode
historique ce qu’elle a de bon et de fécond ; on
leur loi de l’évolution progressive d’une part, de l’autre avec leur
méthode
tout expérimentale de procéder, il leur était dif
étuelle, toujours éloquente, parfois admirable, contre les abus de la
méthode
qui tend à étouffer dans l’étreinte des formules
solu, optimisme sans réserve, tels sont les deux excès de la nouvelle
méthode
historique. La première doctrine n’est pas moins
t son intérêt moral, il est manifeste que l’histoire, traitée par les
méthodes
nouvelles, ne laisse plus à la personnalité humai
us révoltant encore pour la conscience humaine. C’est le mérite de la
méthode
moderne d’avoir soumis la succession des faits hi
ations. 32. La Cité antique. 33. M. Amédée Thierry a suivi la même
méthode
dans ses études sur le Bas-Empire. 34. Histoire
Adam Smith, des Bentham, n’est pas perdu, qu’il revit avec les mêmes
méthodes
et le même langage dans leurs écrits. Si donc Stu
osophes anglais. Nous nous bornerons, dans ce chapitre, à définir les
méthodes
, à signaler les tendances générales, à indiquer l
xception. Telle est la définition psychologique à laquelle aboutit la
méthode
d’observation qui procède par la statistique. En
onnent pour ancêtres. Mais il est une objection capitale à faire à la
méthode
des naturalistes. Quand elle aurait ainsi rassemb
mme sur l’intelligence de la bête. Voilà ce que ne fait point voir la
méthode
d’observation employée par les naturalistes. Cett
nt voir la méthode d’observation employée par les naturalistes. Cette
méthode
n’entre pas davantage dans la nature intime de l’
e est ou n’est pas essentiel à l’humanité. Ensuite, alors même que la
méthode
psychologique des naturalistes réussit à découvri
e définition tentés par les naturalistes psychologues, c’est que leur
méthode
est impuissante à donner une véritable idée de no
ent pour explorer les contrées et les peuplades sauvages, usent d’une
méthode
analogue, seulement avec moins de rigueur et d’ét
dans les régions de l’idéologie, tient néanmoins à rester fidèle à la
méthode
expérimentale proprement dite. Elle ne s’enferme
ssent cette histoire, elle n’emploie pas, pour les connaître, d’autre
méthode
que l’induction, absolument comme on fait dans le
causes véritables des phénomènes restent cachées à l’observateur. La
méthode
de Bacon est également bonne pour les deux espèce
l’école positiviste qui veulent bien s’occuper de psychologie. Cette
méthode
les a menés à des conclusions curieuses, en parti
ncipe qui domine toutes leurs explications et apprenons à juger cette
méthode
par ses résultats. Si l’on recherche les antécéde
père de la nouvelle école psychologique, c’est Hume. Si elle tient sa
méthode
de Bacon, c’est à Hume qu’elle emprunte le princi
rit humain par l’association, il n’y a rien à cela que de naturel. La
méthode
inductive les conduisait nécessairement à ce résu
eindre les causes internes des phénomènes. Cette interprétation de la
méthode
des philosophes anglais ne laisse aucun doute apr
elles des causes déterminantes qui furent communes à tous20. Voilà la
méthode
, la théorie, les conclusions de l’école psycholog
tout dans les noms de Stuart Mill, d’Alexandre Bain, de E. Littré. La
méthode
consiste à étudier l’homme dans la succession des
s’occuper en aucune façon. La théorie, produit nécessaire d’une telle
méthode
, est l’explication de tous les phénomènes moraux
érience proprement dite. Mais ce serait mal apprécier la valeur d’une
méthode
féconde en résultats positifs ; ce serait méconna
qu’il y a plusieurs manières d’étudier l’homme, et que chacune de ces
méthodes
est bonne, à condition de ne point poursuivre des
re des problèmes qui ne sont pas de sa compétence. On a vu comment la
méthode
des naturalistes qui procèdent par la statistique
ment la méthode des naturalistes qui procèdent par la statistique, la
méthode
des historiens qui procèdent par l’érudition, la
tistique, la méthode des historiens qui procèdent par l’érudition, la
méthode
des ethnographes qui procèdent par les exploratio
la seule matière d’une véritable définition. Il en est de même de la
méthode
des psychologues de l’école de Stuart Mill et de
conserve sa part de vérité, abstraction faite de ses prétentions à la
méthode
psychologique par excellence. Il ne faut point ou
de Reid, bien que plus circonspecte et se rapprochant davantage de la
méthode
de Bacon, avait étendu outre mesure la liste des
nt dans les questions qu’elle a eu le plus à cœur de résoudre par les
méthodes
qui lui sont propres. Son principe de l’associati
ènes physiques, ne pouvant saisir que des apparences, n’a pas d’autre
méthode
que l’induction pour arriver à en dégager la réal
quoi Maine de Biran répétait si souvent et avec tant d’énergie que la
méthode
de Bacon égare et fausse la véritable science de
. Aux écoles française, anglaise, écossaise, qui toutes pratiquent la
méthode
expérimentale avec un esprit différent, il oppose
eut et ne peut connaître. Ces sciences, qui ne pratiquent pas d’autre
méthode
que celle de Bacon, ne cherchent que des lois ; e
ur est propre et qu’ignoreront toujours les partisans exclusifs de la
méthode
inductive, qu’ils s’appellent physiciens, physiol
ie le libre arbitre, c’est une conclusion qui dépasse la portée de sa
méthode
. Si l’école de la conscience soutient la liberté
r but ? de démontrer. De démontrer quoi ? l’excellence d’une certaine
méthode
. Oui, qu’il étudie la littérature anglaise, la c
ution, son souci constant est d’appliquer et de vérifier une certaine
méthode
. Mais quoi ? dira-t-on, quelle méthode et à qu
et de vérifier une certaine méthode. Mais quoi ? dira-t-on, quelle
méthode
et à quoi sert-elle ? On ne comprendrait pas, en
admirable, pour nous avoir présenté, sous vingt-cinq formes, une même
méthode
de raisonner et de comprendre. Il fut notre pr
siècle, chez MM. Cousin, Royer-Collard, Jouffroy, Maine de Biran, la
méthode
est nulle, et qu’en même temps, il nous invitait
anecdote. Toute la hardiesse, l’indépendance de M. Taine est dans sa
méthode
. Là-dessus, il est intraitable ; nulle considérat
voir clair et saisir les faits sous les mots. Mais précisément cette
méthode
lui a affirmé qu’un peuple, une civilisation, un
t sévère et jugea qu’il devait crouler ; mais il a protesté contre la
méthode
employée par les hommes de la Révolution pour la
ésumé, nous expliquons M. Taine tout entier comme étant l’homme de la
méthode
dite l’analyse. Nous l’admirons comme un type, pa
ique. Et nous le remercions, parce qu’il nous a appris, grâce à cette
méthode
et grâce à son enthousiasme contagieux, à aimer t
ets de sa recherche, Dieu, la liberté, la causalité, etc., que sur sa
méthode
, qui, soustraite à la vérification, est par là en
terne, c’est ce que nous cherchons : et nous employons pour cela deux
méthodes
: « La méthode objective qui moule ses conceptio
ue nous cherchons : et nous employons pour cela deux méthodes : « La
méthode
objective qui moule ses conceptions sur les réali
a pensée puissent synchroniser avec les mouvements des choses. » « La
méthode
subjective qui moule les réalités sur ces concept
herche contient une observation, une conjecture, une vérification. La
méthode
subjective s’arrête au second terme : sa fonction
bjective s’arrête au second terme : sa fonction c’est l’hypothèse. La
méthode
objective parcourt les trois termes : sa fonction
c’est la vérification. Elle absorbe donc ce qu’il y a de bon dans la
méthode
subjective, en y ajoutant un contrôle. La méthode
y a de bon dans la méthode subjective, en y ajoutant un contrôle. La
méthode
subjective cherche la vérité dans les rapports de
méthode subjective cherche la vérité dans les rapports des idées, la
méthode
objective la cherche dans les rapports des objets
érences vérifiées et les inférences non vérifiées. La faiblesse de la
méthode
subjective consiste dans l’impossibilité d’une vé
thode subjective consiste dans l’impossibilité d’une vérification. La
méthode
objective coordonne simplement les matériaux four
atériaux fournis par l’expérience, sans en introduire de nouveaux. La
méthode
subjective commet la faute de tirer du sujet la m
n fondamentale entre la métaphysique et la science est donc dans leur
méthode
et non dans la nature de leur objet. Ajoutez à un
et il se perdra en explications ingénieuses de cette sorte. Voilà la
méthode
subjective qui déduit au lieu de vérifier. Le sav
différents ; mais j’en reconnais les caractères essentiels. Voilà la
méthode
objective qui vérifie au lieu de conjecturer. Le
et à priori. Le grand défaut de Condillac, dit M. Lewes200, c’est sa
méthode
qui est une analyse verbale au lieu d’être une an
ont des évolutions, non des préformations. » Kant ne l’a point vu. Sa
méthode
a été incomplète. Il a employé seulement la métho
l’a point vu. Sa méthode a été incomplète. Il a employé seulement la
méthode
métaphysique d’analyse subjective, là où il falla
métaphysique d’analyse subjective, là où il fallait employer aussi la
méthode
biologique d’analyse objective. Transportant dans
r d’un brillant avenir. Mais tout en insistant sur l’importance de la
méthode
expérimentale, il s’est totalement trompé sur les
ondorcet, en soutenant qu’il a fait plus que Galilée ou Bacon pour la
méthode
expérimentale, exagère un peu, mais non sans fond
t le seul fondement de la certitude ; les mathématiques sont la seule
méthode
de certitude. Bacon n’avait rien dit de la méthod
ques sont la seule méthode de certitude. Bacon n’avait rien dit de la
méthode
déductive : Descartes remplit cette lacune. Mais
dit de la méthode déductive : Descartes remplit cette lacune. Mais la
méthode
déductive, excellente en elle-même, doit procéder
on peut résoudre les problèmes théoriques et métaphysiques. Fonder la
méthode
déductive sur la base de la conscience : tel fut
nfants, de récits de voyageurs, et il ne voit pas que Locke essaie la
méthode
comparative. Quand John Hunter cherchait dans l’a
e. Elle est morte et devait mourir, car elle n’avait ni but, ni vraie
méthode
. Elle a ajouté analyse verbale à analyse verbale,
quent à toutes les lois biologiques, il fallait l’étudier d’après les
méthodes
biologiques. Observations zoologiques, anatomique
es influences scientifiques. On oublia le progrès des siècles, et les
méthodes
des scolastiques furent de nouveau mises en vogue
comprennent les questions suivantes : Qu’est-ce que la philosophie ?
Méthode
objective et subjective. Critérium de la vérité.
ine réalité humaine, et ensuite parce qu’elle reprend la tradition de
méthode
qui a été la vraie force de la philosophie, depui
sous les plus éclatantes questions d’une théodicée, les arêtes d’une
méthode
profonde ; il y est entré en observateur qui ne s
oir, le traité de la Connaissance de Dieu est historique aussi par sa
méthode
. Comme Descartes, ivre de la sienne, il ne se van
ortions de son mérite, parce qu’il n’a pas besoin de les exagérer. Sa
méthode
, nous dit-il, est au fond de toutes les grandes p
che, Fénelon, Pétau, Thomassin, Bossuet et Leibnitz. Seulement, cette
méthode
, qui brille plus ou moins dans toutes les grandes
er exclusivement et de prime saut au point important et central, à la
méthode
, — la méthode qui, du reste, est l’axe de tout, p
nt et de prime saut au point important et central, à la méthode, — la
méthode
qui, du reste, est l’axe de tout, pour qui sait v
iritualiste en tiendra compte et mettra son honneur à se servir de la
méthode
qu’il nous révèle. Cette méthode tient toute, il
mettra son honneur à se servir de la méthode qu’il nous révèle. Cette
méthode
tient toute, il est vrai, dans le vieux procédé d
ychologie par les anatomistes de la pensée, c’est, sous sa plume, une
méthode
souveraine et d’un emploi sûr, dont on n’a pas ju
sa théodicée, l’abbé Gratry décrit avec une netteté minutieuse cette
méthode
inductive, qui est une méthode aristocratique int
crit avec une netteté minutieuse cette méthode inductive, qui est une
méthode
aristocratique intellectuelle ; car, ainsi qu’on
sée fait, à tout bout de champ, nappe de lumière. C’est appuyé sur sa
méthode
qu’il gravit les questions presque inaccessibles
simplicité, d’évidence, auxquels il arrive sous l’influence de cette
méthode
, qu’il aurait moins découverte que précisée, si,
us paraît, du reste, encore plus considérable et plus nouvelle que la
méthode
inductive elle-même, que ce passage du fini à l’i
atry a tiré un si bon parti et qu’il a élevé jusqu’à la rigueur d’une
méthode
, est le procédé de l’humanité tout entière pour a
x notions abstraites qui leur servent de base et à trouver leur vraie
méthode
. Dès le iiie siècle avant Jésus-Christ, il y ava
écouverte du sanscrit permit à la linguistique de trouver sa voie, sa
méthode
, de s’affirmer comme science indépendante. Depuis
s commenceront par examiner les axiomes, discuter la légitimité de la
méthode
, rechercher ce que c’est que la quantité, la mesu
t découvrir par l’accumulation des faits, le calcul et la rigueur des
méthodes
. Supposez en chimie quelque découverte analogue.
ncore un service, puisqu’il ne fait que suivre les règles d’une bonne
méthode
» en séparant le connaissable de l’inconnaissable
ment la psychologie entend son objet, voyons comment elle comprend sa
méthode
. Elle consiste tout entière dans la réflexion ou
e au dedans. » Il est certain aussi que les objections faites à cette
méthode
d’observation ont été fort bien discutées. Mais e
bien discutées. Mais est-il vrai que l’observation intérieure est la
méthode
unique de la psychologie ? qu’elle révèle tout, s
induit, raisonne, et alors elle est susceptible de progrès ; mais sa
méthode
est en grande partie objective. L’observation int
e suffit donc pas à la plus timide psychologie. Un autre défaut de la
méthode
ordinaire c’est qu’elle a conduit, comme elle le
nues de phénomènes connus. Mais le danger presque inévitable de cette
méthode
, c’est de personnifier les causes, de les ériger
elquefois piquante de la phraséologie inexacte qui est inhérente à la
méthode
des facultés, qui les érige en entités distinctes
n que n’importe quelle recherche de physique ou de mathémathiques, la
méthode
des facultés lui ressemble à peu près, comme le c
nc une étude plus occupée d’abstractions que de faits, fondée sur une
méthode
subjective et remplie de discussions métaphysique
a métaphysique. C’est pour les discuter que la philosophie existe. La
méthode
à employer est à la fois subjective et objective.
arts, c’est ne comprendre la question qu’à demi : chacune de ces deux
méthodes
a besoin de l’autre Dans l’étude qui va suivre su
chap. II) nous verrons comment elles se complètent réciproquement, la
méthode
subjective procédant par analyse et la méthode ob
ent réciproquement, la méthode subjective procédant par analyse et la
méthode
objective par synthèse ; la méthode intérieure ét
ctive procédant par analyse et la méthode objective par synthèse ; la
méthode
intérieure étant la plus nécessaire, puisque sans
écessaire, puisque sans elle on ne sait pas même de quoi on parle, la
méthode
extérieure étant la plus féconde, puisque le cham
e son investigation est presque illimité. Mais en quoi consiste cette
méthode
objective ? A étudier les états psychologiques au
analogie, de reconstruire un mode d’existence psychologique. Enfin la
méthode
objective, au lieu d’être personnelle comme la si
nfin la méthode objective, au lieu d’être personnelle comme la simple
méthode
de réflexion, emprunte aux faits un caractère imp
q. III. prolég.10. D’où ce résultat, sinon de l’emploi exclusif de la
méthode
subjective qui dans les faits psychologiques ne p
ns les faits psychologiques ne peut saisir le développement ? La même
méthode
rendait impossible toute tentative de psychologie
phénomènes psychiques des diverses races animales. Il est vrai que la
méthode
d’observation intérieure étant strictement person
tenté, accepté du moins, dans la psychologie ordinaire : l’idée d’une
méthode
comparative commence à peine à poindre. Si elle g
argés de détails des naturalistes. D’où cette différence, sinon de la
méthode
employée ? l’une colligeant les faits avec une pa
hn Stuart Mill, dans les pages substantielles qu’il a consacrées à la
méthode
en psychologie12, après avoir montré que cette sc
et auquel peut s’appliquer l’un des procédés les plus rigoureux de la
méthode
: la Méthode de différence. Les études sur la fol
t s’appliquer l’un des procédés les plus rigoureux de la méthode : la
Méthode
de différence. Les études sur la folie, bien inco
n’est pas une science, mais sans cela il n’y a pas de science. Cette
méthode
n’aurait pas seulement l’avantage de substituer a
at naturel de la même tendance objective qui a rendu prépondérante la
méthode
inductive. » (Lewes, History of Philosophy, t. II
vorce est chose grave assurément, en ce qu’il a suscité l’école et la
méthode
dites positivistes, qui relèguent les questions d
le, et un grand professeur de psychologie, Théodore Jouffroy, dont la
méthode
d’analyse a été bien vite abandonnée pour la méth
ouffroy, dont la méthode d’analyse a été bien vite abandonnée pour la
méthode
d’exposition historique. Ce n’est pas seulement d
rit contemporain à appliquer à l’étude des phénomènes moraux, soit la
méthode
historique, soit la méthode physiologique, soit c
à l’étude des phénomènes moraux, soit la méthode historique, soit la
méthode
physiologique, soit cette méthode d’observation i
soit la méthode historique, soit la méthode physiologique, soit cette
méthode
d’observation indirecte et d’induction que pratiq
ion métaphysique proprement dite. Pour le moment, voyons à l’œuvre la
méthode
physiologique. I On a dit bien souvent que l
’objet d’observations, d’expériences, d’analyses, de descriptions, de
méthodes
spéciales de la part des médecins, des savants, d
-même et elle seule, en un mot, une âme à part du monde extérieur. Sa
méthode
d’observation immédiate et directe, mal comprise
ouverte par l’école de Buffon, de Bonnet et de Cabanis, mais avec des
méthodes
d’observation plus conformes aux progrès des scie
vaux, exécutés par les facultés les plus rares de l’esprit aidées des
méthodes
les plus ingénieuses et des instruments les plus
que et du moral, la physiologie reprit le même problème par une autre
méthode
aussi sûre qu’ingénieuse. On savait depuis longte
es lobes cérébraux ? Voilà ce qu’il fallait découvrir, voilà où nulle
méthode
connue n’avait pu conduire les observateurs les p
ervateurs les plus sagaces et les plus profonds. Ce fut l’œuvre de la
méthode
expérimentale, sinon inventée, du moins pratiquée
s l’organisme général du système nerveux ? Tel est le problème que la
méthode
de Flourens est parvenue à résoudre. De nombreuse
encore établi. Voilà de bien curieuses révélations dues aux récentes
méthodes
de recherche, et qui éclairent d’une lumière tout
La phrénologie de Gall et de Spurzheim n’avait porté atteinte ni à la
méthode
psychologique ni à la doctrine spiritualiste. Gal
e tranchant. Broussais ne peut contenir son impatience à propos de la
méthode
psychologique. « Je n’ai qu’un regret, c’est que
flexes5. » Cette analyse de la volonté n’est qu’une application de la
méthode
générale de l’auteur, qui, dit-il, pourrait montr
ychologie toute physiologique dont M. Vulpian n’a fait qu’indiquer la
méthode
, un autre physiologiste de la même école, M. Lhuy
entend l’explication des grands phénomènes de la vie psychique. Cette
méthode
, plus hypothétique qu’expérimentale, n’est propre
s, ni à M. Vulpian, ni aux physiologistes de la même école ; c’est la
méthode
de presque tous les physiologistes, tant est gran
en faveur des idées matérialistes, appliquent ce que nous appelons la
méthode
physiologique aux diverses questions de psycholog
uses pathologiques sur le corps humain8 ». Et pourquoi ? Parce que la
méthode
statistique établit que la moralité et l’immorali
jours possible dans sa doctrine, mais en changeant de caractère et de
méthode
. Si l’on ne peut plus agir directement sur la vol
uence des actions utiles. C’est encore là, nous le reconnaissons, une
méthode
excellente d’éducation, bien que fort incomplète.
out un système de thérapeutique physique et morale. Beaucoup ont pour
méthode
de caractériser tel ou tel état psychologique, co
on en vient là, ne serait-ce pas une raison de se défier un peu de la
méthode
physiologique appliquée à l’étude des faits morau
omènes psychiques et des phénomènes cérébraux ; 2° substitution de la
méthode
de statistique psychologique à la méthode d’intui
aux ; 2° substitution de la méthode de statistique psychologique à la
méthode
d’intuition immédiate et directe dans la définiti
ue peuvent affecter les mêmes apparences extérieures. Il n’y a que la
méthode
physiologique qui puisse aboutir à une pareille c
t de la science moderne ; la spéculation métaphysique peut changer de
méthode
; le matérialisme et le spiritualisme des temps p
seigne que toute âme crée son corps. Mais il fallait l’autorité de la
méthode
expérimentale pour en faire le principe d’une sci
n. Le Traité des Passions : Descartes et Corneille. Le Discours de la
méthode
. Esprit rationaliste et méthode scientifique : op
artes et Corneille. Le Discours de la méthode. Esprit rationaliste et
méthode
scientifique : opposition intime et accord passag
tiques dont la principale erreur était de prendre les règles pour une
méthode
infaillible, pour les conditions nécessaires et s
artes marquent surtout dans l’histoire littéraire : le Discours de la
Méthode
(1637) et le Traité des Passion (16491. Ils se co
nt un moyen facile. Plus large encore est la portée du Discours de la
méthode
; ici, Descartes ne représente plus sa génération
iècle, à certains égards même les temps modernes. Le « Discours de la
méthode
pour bien conduire sa raison et chercher la vérit
ntellectuelle de Descartes : au lieu d’une exposition théorique de sa
méthode
, il nous en décrit la formation dans son esprit,
-dire « quelques raisons certaines et évidentes », il extrait de leur
méthode
quelques règles absolues et générales, qui lui se
; les premiers résultats garantissent l’universelle efficacité de la
méthode
. La raison cartésienne se met à la place de Dieu,
les ignorants, qui jugent par la lumière naturelle. Le Discours de la
Méthode
fut lu de tout le monde en effet, des femmes même
ogique de ses idées la liaison nécessaire des vérités : elle fixe une
méthode
rationnelle pour parvenir à la certitude, écartan
au progrès, la passion de la recherche scientifique, la rigueur de la
méthode
analytique. Il ne pouvait sortir du cartésianisme
nes de la raison et de la foi. Mais, surtout, il était conduit par sa
méthode
à certaines vérités que la religion aussi revendi
me traditionnel et révélé. Voilà comment les premiers résultats de la
méthode
cartésienne en cachèrent la dangereuse essence, q
ions dogmatiques de Descartes fussent ruinées pour que l’esprit de sa
méthode
manifestât son énergie destructive. Il se passa e
it aussi facilement l’exclusion du lyrisme et de l’histoire. Enfin la
méthode
cartésienne, qui tend à constituer des démonstrat
r en quelque façon à ce grand ouvrage, qu’il donna son Discours de la
Méthode
. Édition : Œuvres complètes, éd. Cousin, Paris, 1
é de son esprit. — § III. Du cartésianisme comme philosophie et comme
méthode
littéraire. — § IV. Du Discours de la méthode. —
me philosophie et comme méthode littéraire. — § IV. Du Discours de la
méthode
. — § V. Comparaison entre l’esprit du cartésianis
on et des sens. § III. Du cartésianisme comme philosophie et comme
méthode
littéraire. Je juge moins Descartes comme aute
r système que les grands philosophes sont immortels, ou bien par leur
méthode
, leur logique, par la beauté de leurs discours, p
es ou plus familières. Il n’en est pas de même du cartésianisme comme
méthode
générale pour rechercher et exprimer la vérité. C
exprimer la vérité. Ce cartésianisme-là est demeuré intact : c’est la
méthode
même de l’esprit français. Les vérités d’évidence
t qui ajoutait à leur influence littéraire. Mais c’est surtout par sa
méthode
que le père de la philosophie moderne tient une s
i grande place dans l’histoire de notre littérature. J’entends par sa
méthode
, tout à la fois ce dessein de rechercher la vérit
, sinon dans l’expression parfaite et définitive de cette vérité ? La
méthode
de Descartes est la théorie même de la littératur
, lequel écrivait le Cid l’année même où paraissait le Discours de la
méthode
. § IV. Du Discours de la méthode. Tant de n
e où paraissait le Discours de la méthode. § IV. Du Discours de la
méthode
. Tant de nouveautés si étonnantes et si fécond
fécondes parurent pour la première fois dans ce fameux Discours de la
méthode
, le premier de nos ouvrages en prose où l’esprit
à la méditer comme le commencement d’une autre vie. Le Discours de la
méthode
est le récit des réflexions qu’il avait faites, e
ième siècle. Une comparaison entre l’esprit du cartésianisme comme
méthode
générale, et l’esprit du seizième siècle, rendra
ne pas se rendre aux résultats, c’est assez qu’il soit pénétré de la
méthode
; il est dans la voie de la vérité. Telle est en
l est dans la voie de la vérité. Telle est en effet la force de cette
méthode
, telle en est la conformité avec l’esprit françai
ai de longévité. Lui-même n’avait-il pas été dupe de la rigueur de sa
méthode
? Tout lui étant cause et effet, là où il n’aperc
des littératures grecque et latine. Descartes, par le Discours de la
méthode
, a mis du premier coup l’esprit français de pair
rrachée de sa mémoire, comme corps de doctrines, y était restée comme
méthode
générale ; et c’est par l’effet d’une illusion qu
cartes. Aussi n’eut-il pas d’imitateurs. Ceux qui purent pratiquer sa
méthode
y trouvèrent le secret d’être à leur tour inimita
ir du seizième siècle, ne put, après lui, contenter des hommes que sa
méthode
avait rendus avides de vérités plus certaines que
les choses de la raison, à quoi en furent-ils redevables, sinon à sa
méthode
, qu’ils eurent la force d’appliquer à la conduite
trines, qu’ils adoptent entièrement ou en partie ; ils le sont par sa
méthode
, qu’ils appliquent à tous les ordres d’idées comm
ait capable de l’inventer. La ferme et droite raison d’Arnauld, cette
méthode
exacte, cette vigueur de déduction, sont des trad
i regarde la conduite de la vie, ne sont que des développements de la
Méthode
. Du reste, les auteurs ne manquent pas de s’en re
la raison », à toutes les pages de l’Art poétique, ce Discours de la
méthode
de la poésie française. Qui ne sait par cœur l’en
rités d’expérience, qui sont le fond de la comédie ; Descartes par sa
méthode
, qui donnait, pour tous les genres d’ouvrages, le
e gloire durera tant que ce génie se souviendra de ce qu’il a été. La
méthode
cartésienne ne cessera pas d’être l’une de nos fa
véritables traits, nous le devons à Descartes. 19. Discours de la
méthode
, deuxième partie, § I. 20. Baillet, Vie de Desca
tude, le traitaient de Tennebrio et de Lucifuga. 22. Discours de la
méthode
. 23. lbid. 24. Il s’étonnait que la reine Chri
aloguée analytique sommaire. C’est là une idée moderne ; c’est là une
méthode
toute contemporaine, toute récente ; elle ne peut
mence au monde moderne, que l’intelligence de l’humanité commence aux
méthodes
modernes ; heureux quand nous ne croyons pas, ave
cent quatre-vingt-neuf, à six heures du matin. Or l’idée moderne, la
méthode
moderne revient essentiellement à ceci : étant do
plus éloigné du texte, alors nous obtenons le couronnement même de la
méthode
scientifique, nous fabriquons un chef-d’œuvre de
ons évaluer les qualités, les capacités, les amplitudes que de telles
méthodes
nous demandent pour nous conduire à l’acquisition
l fallait justement arriver au monde moderne, à l’esprit moderne, aux
méthodes
modernes, pour que l’historien cessât réellement
, positiviste et athée, démocratique, politique et parlementaire, les
méthodes
modernes, la science moderne, l’homme moderne, cr
hommes et sur les événements passés ; par situation, par métier, par
méthode
, nous n’avons ni vanité ni orgueil, ni présomptio
gueil, ni présomption, ni cupidité de la domination ; l’invention des
méthodes
historiques modernes a été proprement l’introduct
eraient pas Dieu ; ma proposition est exactement la suivante, que les
méthodes
scientifiques modernes, importées, transportées t
mande justement si tout l’ancien orgueil ne s’est pas réfugié dans la
méthode
, agrandi, porté à la limite, à l’infini ; je dema
orté à la limite, à l’infini ; je demande s’il n’est pas vrai que les
méthodes
scientifiques modernes, transportées en vrac dans
fiques modernes, transportées en vrac dans l’histoire et devenues les
méthodes
historiques, exigent de l’historien des facultés
d »,… Circuit, le mot n’est pas de moi, le mot est de Taine ; cette
méthode
est proprement la méthode de la grande ceinture ;
est pas de moi, le mot est de Taine ; cette méthode est proprement la
méthode
de la grande ceinture ; si vous voulez connaître
ar tourner ; circulez de Chartres sur Montargis, et retour ; c’est la
méthode
des vibrations concentriques, en commençant par l
je m’en tiens pour aujourd’hui à la forme même du connaissement ; la
méthode
ne se révèle pas dans toutes les œuvres modernes
plus ou moins implicite ; mais c’est essentiellement, éminemment, la
méthode
historique moderne, obtenue par le transport, par
erne, obtenue par le transport, par le transfert direct, en bloc, des
méthodes
scientifiques modernes dans le domaine de l’histo
nations voisines. » J’arrête ici pour aujourd’hui la citation ; la
méthode
est bien ce que nous avons dit ; elle est doublem
i on brise. Telle est non point la caricature et la contrefaçon des
méthodes
historiques modernes, mais leur mode même, leur s
ambition, et qu’on le veuille ou non c’est l’infinie faiblesse d’une
méthode
que je suis bien forcé de nommer de son nom scola
d’une méthode que je suis bien forcé de nommer de son nom scolaire la
méthode
discursive ; n’ayant point d’ailleurs à me présen
sophie la pureté première des doctrines révolues, je puis traiter des
méthodes
intuitives et discursives, et les confronter, san
taires ; de la certitude discursive et de la certitude intuitive ; la
méthode
intuitive passe en général pour surhumaine, orgue
maine, orgueilleuse, mystérieuse, agnosticiste ; et l’on croit que la
méthode
discursive est humaine, modeste, claire et distin
ntraire, un jour que nous essaierons d’éprouver plus profondément nos
méthodes
, qu’en histoire c’est la méthode discursive qui e
ns d’éprouver plus profondément nos méthodes, qu’en histoire c’est la
méthode
discursive qui est surhumaine, orgueilleuse, myst
surhumaine, orgueilleuse, mystérieuse, agnosticiste ; et que c’est la
méthode
intuitive qui est humaine, modeste, claire et dis
connaissance de tout le réel, telle est la surhumaine ambition de la
méthode
discursive ; partir du plus loin possible, chemin
ls ne s’apercevaient point que dans le même temps cette même nouvelle
méthode
, cette méthode scientifique, cette méthode histor
aient point que dans le même temps cette même nouvelle méthode, cette
méthode
scientifique, cette méthode historique moderne ex
temps cette même nouvelle méthode, cette méthode scientifique, cette
méthode
historique moderne exigeait qu’ils devinssent des
t-à-dire, littéralement, l’historien ayant conçu sa science selon une
méthode
qui requiert de lui exactement les qualités d’un
tous ceux qui ont fondé la science historique moderne, introduit les
méthodes
historiques modernes, c’est-à-dire de tous ceux q
ous ceux qui ont transporté en bloc dans le domaine de l’histoire les
méthodes
scientifiques empruntées aux sciences qui ne sont
grands ancêtres de la révolution mentale moderne, les innovateurs des
méthodes
historiques, les créateurs du monde intellectuel
n mit l’histoire en chantier, armé, ou, pour dire le mot, outillé des
méthodes
modernes, les innovateurs en firent le devis ; ma
, par l’immense amassement de ses connaissances, par la sûreté de ses
méthodes
; jamais on ne vit aussi bien que la science ne f
ies de la fin, qui elles-mêmes caractérisent si éminemment Taine, ses
méthodes
, les méthodes modernes, procèdent exactement du m
qui elles-mêmes caractérisent si éminemment Taine, ses méthodes, les
méthodes
modernes, procèdent exactement du même esprit ; n
comme un magnifique exemple, comme un magnifique symbole de toute la
méthode
historique moderne, un symbole au seul sens que n
savoir, ou de chercher, quel est, au fond, le sens et la portée de sa
méthode
, le sens et la portée des résultats qu’il prétend
eurs, de ses critiques éventuels ; toute sa forme de pensée, toute sa
méthode
, tous ses goûts, tout son passé, toute sa vie de
e l’infinité de la création même ; toute sa forme de pensée, toute sa
méthode
, toute sa foi et tout son zèle, — vraiment religi
gueil était en lui un défi à l’infortune, à la paresse, aux mauvaises
méthodes
et au malheur, non une insulte à l’humilité, parc
i le sentiment de la conscience même, du devoir le plus sévère, de la
méthode
la plus stricte ; et c’est pour cela que nous lui
’une page, une table des matières, c’est qu’il est infidèle aux pures
méthodes
modernes, c’est qu’il choisit, c’est qu’il élimin
’est-à-dire, exactement, ceux qui ont voulu transporter, en bloc, les
méthodes
scientifiques modernes dans le domaine de l’histo
iens modernes tous ceux de nous qui ne transportons point en bloc les
méthodes
scientifiques modernes au domaine de l’histoire e
l’histoire et de l’humanité, qui ne transmutons point servilement les
méthodes
scientifiques modernes en méthodes historiques ;
transmutons point servilement les méthodes scientifiques modernes en
méthodes
historiques ; tous ceux de nous qui croyons qu’il
royons qu’il y a, pour le domaine de l’histoire et de l’humanité, des
méthodes
historiques et humaines propres ; des méthodes hu
et de l’humanité, des méthodes historiques et humaines propres ; des
méthodes
humainement historiques ; nous nous arrêterons, p
duisant les idées du physiologiste, se les assimile intégralement. La
méthode
expérimentale et la conception qu’elle comporte,
ils sont en société… En somme, tout se résume dans ce grand fait : la
méthode
expérimentale, aussi bien dans les lettres que da
rnaturelles8. » En résumé, de même que, suivant Claude Bernard, la «
méthode
appliquée dans l’étude des corps bruts, dans la c
s vivants, en physiologie et en médecine », de même, suivant Zola, la
méthode
expérimentale qui conduit à la connaissance de la
une fois reconnue, en découvrir tout-à-l’heure la pensée profonde. La
méthode
de cette littérature est calquée sur la méthode d
a pensée profonde. La méthode de cette littérature est calquée sur la
méthode
de cette science. Non seulement la littérature na
es axiomes, d’ailleurs si populaires. Bornons-nous à constater que la
méthode
expérimentale de Claude Bernard est basée sur une
acquart, l’analogie de principe est aussi frappante que l’analogie de
méthode
. Zola en adoptant la doctrine expérimentale de Cl
ute énergie. Nous voici donc en possession de la vérité première. La
méthode
littéraire de Zola, aussi bien que la méthode sci
la vérité première. La méthode littéraire de Zola, aussi bien que la
méthode
scientifique de Claude Bernard, se déduit d’une c
e énergiquement et avec logique, puisqu’elle serait la négation de sa
méthode
expérimentable appliquée à la littérature. Il s’e
entable appliquée à la littérature. Il s’en tient strictement à cette
méthode
expérimentale, à la conception de la matière et d
lisme, une autre jeunesse, se libérant à son tour des tutelles et des
méthodes
, est venue manifester son goût profond du rêve et
faible. Invoquant une opinion de Claude Bernard, d’après laquelle la
méthode
expérimentale exige trois facteurs, le sentiment,
: « Voilà donc la part faite au génie, dans le roman expérimental… La
méthode
n’est qu’un outil ; c’est l’ouvrier, c’est l’idée
ument incompatible avec la théorie générale de la vie incluse dans la
méthode
expérimentale. Si nous supposons, en effet, un ex
ce dernier pourra t-il analyser le génie de son sujet à l’aide de la
méthode
expérimentale ? Pourra-t-il faire entrer ce « qui
parce qu’il sentait, de par sa propre intuition, l’insuffisance de sa
méthode
appliquée à l’art, et qu’il lui fallait trouver u
fécondé par la science, mais je crois qu’il faut distinguer plusieurs
méthodes
de fécondation. La science s’est reproduite trop
ter même des odeurs du monde extérieur, s’est à la fin façonné en une
méthode
de routine. Prendre un coin de vie et en catalogu
ple forme, est la recette pour faire un « roman expérimental ». Cette
méthode
, et je désire insister là-dessus, a pris racine d
es qui ont été vécues personnellement dans l’éloignement du passé. La
méthode
de Zola a été entièrement différente. Quand il se
emble pas qu’il ait jamais fait un travail manuel d’un seul jour. Les
méthodes
littéraires de Zola sont celles d’un « parvenu »,
sant que Zola, mais plus largement vital, qui ne s’enchaîne pas à une
méthode
, qui ne compromette pas sa propre liberté, qui ét
a nature, emploie successivement dans chacune de ses recherches trois
méthodes
de philosopher dont le caractère est essentiellem
st essentiellement différent et même radicalement opposé — d’abord la
méthode
théologique, ensuite la méthode métaphysique et e
même radicalement opposé — d’abord la méthode théologique, ensuite la
méthode
métaphysique et enfin la méthode positive. De là,
d la méthode théologique, ensuite la méthode métaphysique et enfin la
méthode
positive. De là, trois sortes de philosophies, ou
employer d’abord, et pendant une longue suite de siècles, soit comme
méthode
, soit comme doctrines provisoires, la philosophie
humain a dû naturellement adopter, comme philosophie transitoire, les
méthodes
et les doctrines métaphysiques. Cette dernière co
oignement désormais irrévocable pour ces vaines doctrines et pour ces
méthodes
provisoires qui ne pouvaient convenir qu’à son pr
ntradictoire de supposer que l’esprit humain, si disposé à l’unité de
méthode
, conservât indéfiniment, pour une seule classe de
st point encore entré dans le domaine de la philosophie positive. Les
méthodes
théologiques et métaphysiques qui, relativement à
sprit qui la caractérise, c’est-à-dire sous le double rapport, de ses
méthodes
essentielles et de ses résultats principaux. Le p
i l’esprit n’est d’abord préparé par la considération approfondie des
méthodes
positives déjà jugées pour les phénomènes moins c
recommandent éminemment, soit par la plus grande perfection de leurs
méthodes
, soit comme étant le fondement indispensable de t
communs, en se conformant sans cesse aux maximes fondamentales de la
méthode
positive. Qu’en même temps, les autres savants, a
ues, comment l’observation pourrait-elle avoir lieu ? Cette prétendue
méthode
psychologique est donc radicalement nulle dans so
r une seule découverte réelle, grande ou petite, qui soit due à cette
méthode
si vantée. Ce n’est pas à dire pour cela que tous
sente quelque notion véritable, au lieu de provenir de leur prétendue
méthode
, a été obtenu par des observations effectives sur
qui ne sont dues qu’à l’infidélité des psychologues à leur prétendue
méthode
, se trouvent-elles le plus souvent ou tort exagér
effet, lorsqu’il s’agit, non seulement de savoir ce que c’est que la
méthode
positive, mais d’en avoir une connaissance assez
examen philosophique des sciences qu’il est possible d’y parvenir. La
méthode
n’est pas susceptible d’être étudiée séparément d
autres aphorismes semblables, on connaît beaucoup moins nettement la
méthode
que celui qui a étudié, d’une manière un peu appr
ts à prendre leurs rêveries pour de la science, croyant comprendre la
méthode
positive pour avoir lu les préceptes de Bacon ou
s tard, il deviendra possible de faire a priori un véritable cours de
méthode
tout à fait indépendant de l’étude philosophique
tellectuelles ; ce qui est pourtant le but essentiel de l’étude de la
méthode
. Je n’ai pas besoin d’insister davantage en ce mo
réduites d’abord à ce qui constitue leur esprit, c’est-à-dire à leurs
méthodes
principales et à leurs résultats les plus importa
t éclore journellement de la part d’esprits entièrement étrangers aux
méthodes
et aux connaissances scientifiques. Il ne s’agit
e à produire. Il n’y a d’unité indispensable pour cela que l’unité de
méthode
, laquelle peut et doit évidemment exister, et se
soit homogène. C’est donc sous le double point de vue de l’unité des
méthodes
et de l’homogénéité des doctrines que nous consid
évidence », « clarté », « distinction », on trouve une théorie de la
méthode
. Descartes, en inventant une géométrie nouvelle,
Descartes et Pascal sont les grands représentants des deux formes ou
méthodes
de pensée entre lesquelles se partage l’esprit mo
ne se sont pas ralliés à ses idées ont dû adopter quelque chose de sa
méthode
. Par l’appel qu’il a lancé au sentiment, à l’intu
re les Français furent des initiateurs. On leur doit la théorie de la
méthode
, et une partie importante des résultats. Nous fai
pour les sciences concrètes de laboratoire, ce que le Discours de la
méthode
de Descartes avait été pour les sciences plus abs
tes. C’est l’œuvre d’un physiologiste de génie qui s’interroge sur la
méthode
qu’il a suivie, et qui tire de sa propre expérien
iverses formes, dans la littérature, dans l’art, dans l’histoire, les
méthodes
du naturaliste et du physicien. D’autre part, il
à certaines régions de l’esprit, notamment au « subconscient ». À la
méthode
habituelle d’observation intérieure le XIXe siècl
ration dont on fait usage dans les laboratoires, et, d’autre part, la
méthode
qu’on pourrait appeler clinique, celle qui consis
des phénomènes morbides (intoxication, hypnotisme, etc.). De ces deux
méthodes
, la première a été pratiquée surtout en Allemagne
la fois sur la forme et sur la matière de notre connaissance, sur les
méthodes
et sur les résultats. Sur une foule de points — n
avail, à ceux qui furent, en philosophie, les créateurs d’idées et de
méthodes
nouvelles. 20. 1813-1878. 21. 1798-1857. 22. L
présente étude, les travaux relatifs à l’analyse et à la critique des
méthodes
scientifiques. La part de la France, ici encore,
Chapitre II. Pourquoi il faut préférer la
méthode
inductive Nous voici donc ramenés au plan de ce
De quelle façon grouper et enchaîner les faits ? Faut-il employer la
méthode
déductive, celle qui va du général au particulier
usitée surtout dans les sciences mathématiques ? Faut-il préférer la
méthode
inductive, celle qui va du particulier au général
our dérouler la série des phénomènes qui nous occupent, recourir à la
méthode
déductive. Nous pourrions, posant au début deux o
fort complexe qu’on désigne sous le nom de climat. Il s’ensuit que la
méthode
déductive, employée prématurément, conduit à des
e Taine. Il me semble plus modeste et plus sage de nous en tenir à la
méthode
inductive, de partir pour le moment de faits bien
it. Et l’on sentait qu’il ne s’effaçait pas par impuissance, mais par
méthode
. Ce qu’il avait d’esprit, de goût, de talent, per
mots tout l’esprit scientifique. Larroumet ne se satisfait pas de la
méthode
agréable qui consiste à lire une œuvre et à dével
e une œuvre et à développer les impressions de sa lecture. Il prit la
méthode
, plus dure et plus lente, qui recueille tous les
cusait dans sa préface, et plaidait presque humblement la cause de sa
méthode
. Il eut à la défendre aussi dans la séance où neu
l’arrêt de la Faculté. Mais cette adresse était comme indiquée par sa
méthode
même. Et puis s’il citait avec politesse, il disc
— refusent l’érudition grave et les lourds volumes ! J’aime mieux la
méthode
de Larroumet, c’est tout simplement la méthode hi
umes ! J’aime mieux la méthode de Larroumet, c’est tout simplement la
méthode
historique. La minutie de l’étude, le poids du li
ppel de Sainte-Beuve, il retint de la forte discipline de Benoist une
méthode
impersonnelle et rigoureuse, le respect des texte
anges, Tournier, Boissier, Lavisse, qui nous avaient donné l’idée des
méthodes
exactes, à essayer d’adapter à l’histoire littéra
franchi de tout point de vue doctrinal : il n’a voulu apporter qu’une
méthode
, et son jugement. Mais ici il écrivait pour le gr
es écrivains dont ils s’occupent. La mesure de Larroumet dérive d’une
méthode
exacte, attentive à doser la quantité de certitud
déjà par lui, éprouvée par sa pratique et revêtue de son autorité, la
méthode
que je crois, sinon la plus glorieuse pour le maî
p chattemite pour cela. Mais qu’il y pense ou qu’il n’y pense pas, sa
méthode
historique le trahit, et cette méthode même, il n
nse ou qu’il n’y pense pas, sa méthode historique le trahit, et cette
méthode
même, il n’en a pas le triste mérite. Ce n’est pa
Régime a bien moins d’initiative que de mémoire et d’érudition. Cette
méthode
à l’aide de laquelle il étudie et construit l’His
méthode à l’aide de laquelle il étudie et construit l’Histoire est la
méthode
positiviste, la dernière méthode connue, — les mé
tudie et construit l’Histoire est la méthode positiviste, la dernière
méthode
connue, — les méthodes étant comme les jours, qui
istoire est la méthode positiviste, la dernière méthode connue, — les
méthodes
étant comme les jours, qui se suivent et qui ne s
t inventée qu’il n’y aurait pas de quoi en être bien fier ; car cette
méthode
est bornée comme le matérialisme, dont elle est l
ui fait, du même coup, la beauté de son talent et de son histoire. La
méthode
historique de M. Taine, si elle était vraie, abol
qu’on ne peut distraire de l’Histoire, repousserait sous la mutilante
méthode
et la défierait de l’anéantir. Ce n’est pas tout
. Voilà l’image de l’historien ! Et M. Taine lui-même, en dépit de sa
méthode
, a des manières de faire jouer le jour dans les f
gnerait, s’il n’y avait pas en lui des choses indestructibles à toute
méthode
inventée par les hommes : — il ne serait qu’un sa
dessus du savant, y perdrait, de s’être mis dans les brassières d’une
méthode
, au lieu de suivre l’inspiration, qui domine tout
d’une méthode, au lieu de suivre l’inspiration, qui domine toutes les
méthodes
quand on se sent la vocation d’écrire l’Histoire.
ent la vocation d’écrire l’Histoire. Il n’y a pas, selon moi, d’autre
méthode
historique que la divination dont on est capable
t dans lequel il se trouve pris. Il n’y aurait pas ajouté le poids de
méthodes
fausses ou déplacées. Mais, au lieu d’être une fl
rien. Aujourd’hui, ce que j’ai voulu, avant tout, c’est d’examiner la
méthode
historique qui, je l’ai dit déjà, n’appartient pa
’appartient pas à M. Taine, et signaler l’influence néfaste que cette
méthode
a sur son talent. Dans ses préoccupations d’étude
ique, l’auteur de L’Ancien Régime s’est planté dans les ceps de cette
méthode
pointilleuse, au lieu de se livrer, en âme ouvert
s empêtrements, s’il y en a, ne sont plus, du moins pour l’historien.
Méthode
commode pour lui, mais absurde et fallacieuse tou
t un livre d’histoire se croit le droit momentané d’enseigner. Or, la
méthode
positive de M. Taine n’enseigne pas, mais renseig
de la légitimité du suffrage universel, le reconnaît d’avance par sa
méthode
, et pose, dans l’ordre de l’esprit, comme le suff
re de l’égalité. V Constatons seulement une infidélité à cette
méthode
. Si elle avait été appliquée rigoureusement à tou
ans ce livre, où la société monarchique est jugée, contrairement à la
méthode
de l’auteur, les philosophes qu’on pourrait nomme
s en plus la forme analytique, et rentrer ainsi graduellement dans la
méthode
d’investigation commune aux sciences expérimental
aux faits que l’observation et l’expérimentation nous fournissent. La
méthode
expérimentale, considérée en elle-même, n’est rie
s, est la base pratique et en quelque sorte la partie exécutive de la
méthode
expérimentale appliquée à la médecine. Si l’on ve
développements relatifs à la partie théorique ou philosophique de la
méthode
dont le livre, au fond, ne sera que la partie pra
s que nous allons exposer ici n’ont certainement rien de nouveau ; la
méthode
expérimentale et l’expérimentation sont depuis lo
. À diverses époques, des hommes éminents ont traité les questions de
méthode
dans les sciences ; et de nos jours, M. Chevreul
rs été de contribuer à faire pénétrer les principes bien connus de la
méthode
expérimentale dans les sciences médicales. C’est
en œuvre et en fait à la fois le point d’appui et le criterium de la
méthode
expérimentale. Dans la langue française, le mot e
he obscure et spontanée de l’esprit a été érigée par le savant en une
méthode
claire et raisonnée, qui procède alors plus rapid
ement et d’une manière consciente vers un but déterminé. Telle est la
méthode
expérimentale dans les sciences, d’après laquelle
hases : observation faite, comparaison établie et jugement motivé. La
méthode
expérimentale ne fait pas autre chose que porter
que par l’expérience. Il y aura donc deux choses à considérer dans la
méthode
expérimentale : 1º l’art d’obtenir des faits exac
venir de la médecine expérimentale est subordonné à la création d’une
méthode
de recherche applicable avec fruit à l’étude des
ions auxquelles ce moyen peut être appliqué. Par contre, une mauvaise
méthode
et des procédés de recherche défectueux peuvent e
faits mis en lumière par l’investigateur, et nous avons ajouté que la
méthode
d’investigation ne distingue pas celui qui observ
et contrôlées par d’autres observations, ce naturaliste emploiera la
méthode
expérimentale, quoiqu’il ne fasse pas de l’expéri
est toujours le même ; Réaumur et Spallanzani appliquent également la
méthode
expérimentale quand ils font leurs observations d
ui concerne leur science. Donc, s’il n’y a pas, au point de vue de la
méthode
philosophique, de différence essentielle entre le
au fond qu’une observation provoquée dans un but quelconque. Dans la
méthode
expérimentale, la recherche des faits, c’est-à-di
périmentateur doit être en même temps bon observateur, et que dans la
méthode
expérimentale, l’expérience et l’observation marc
vateur Le savant qui veut embrasser l’ensemble des principes de la
méthode
expérimentale doit remplir deux ordres de conditi
verrons ultérieurement que c’est là un des plus grands écueils de la
méthode
expérimentale. L’expérimentateur qui continue à g
ont condamné l’emploi des hypothèses et des idées préconçues dans la
méthode
expérimentale ont eu tort de confondre l’inventio
science expérimentale ne saurait avancer par un seul des côtés de la
méthode
pris séparément ; elle ne marche que par la réuni
ément ; elle ne marche que par la réunion de toutes les parties de la
méthode
concourant vers un but commun. Ceux qui recueille
oncé plus avant dans la terre. On voit donc que tous les termes de la
méthode
expérimentale sont solidaires les uns des autres.
é et sera toujours le premier élan d’un esprit investigateur. Mais la
méthode
expérimentale a pour objet de transformer cette c
ude expérimentale des phénomènes. C’est pourquoi on a aussi appelé la
méthode
expérimentale, la méthode a posteriori. L’homme
omènes. C’est pourquoi on a aussi appelé la méthode expérimentale, la
méthode
a posteriori. L’homme est naturellement métaphys
à ses sentiments représentaient aussi la réalité. D’où il suit que la
méthode
expérimentale n’est point primitive et naturelle
noménale. C’est ainsi qu’apparut par le progrès naturel des choses la
méthode
expérimentale qui résume tout et qui, comme nous
on et l’expérience. Dans la recherche de la vérité, au moyen de cette
méthode
, le sentiment a toujours l’initiative, il engendr
I. Les vérités expérimentales sont objectives ou extérieures La
méthode
expérimentale ne se rapporte qu’à la recherche de
dans telle ou telle circonstance, et, en un mot, nous recourons à la
méthode
expérimentale. De même quand le savant considère
ment engendre l’idée expérimentale Nous avons dit plus haut que la
méthode
expérimentale s’appuie successivement sur le sent
ue l’expérience ne pût pas vérifier, on sortirait par cela même de la
méthode
expérimentale pour tomber dans les défauts des sc
i est même relatif à l’état actuel dans lequel se trouve l’esprit. La
méthode
expérimentale ne donnera donc pas des idées neuve
etirer les meilleurs résultats possible. L’idée, c’est la graine ; la
méthode
, c’est le sol qui lui fournit les conditions de s
dans le sol que ce qu’on y sème, de même il ne se développera par la
méthode
expérimentale que les idées qu’on lui soumet. La
ppera par la méthode expérimentale que les idées qu’on lui soumet. La
méthode
par elle-même n’enfante rien, et c’est une erreur
erreur de certains philosophes d’avoir accordé trop de puissance à la
méthode
sous ce rapport. L’idée expérimentale résulte d’u
uvé par hasard ou autrement. Par conséquent, il ne saurait y avoir de
méthode
pour faire des découvertes, parce que les théorie
nne vue à ceux qui en sont naturellement privés. Seulement les bonnes
méthodes
peuvent nous apprendre à développer et à mieux ut
les facultés que la nature nous a dévolues, tandis que les mauvaises
méthodes
peuvent nous empêcher d’en tirer un heureux profi
dans les sciences, peut être diminué ou même étouffé par une mauvaise
méthode
, tandis qu’une bonne méthode peut l’accroître et
diminué ou même étouffé par une mauvaise méthode, tandis qu’une bonne
méthode
peut l’accroître et le développer. En un mot, une
bonne méthode peut l’accroître et le développer. En un mot, une bonne
méthode
favorise le développement scientifique et prémuni
erche de la vérité ; c’est là le seul objet que puisse se proposer la
méthode
expérimentale. Dans les sciences biologiques, ce
a méthode expérimentale. Dans les sciences biologiques, ce rôle de la
méthode
est encore plus important que dans les autres, pa
biologique, nous ne saurions avoir la prétention de traiter ici de la
méthode
expérimentale d’une manière complète ; nous devon
é, il y a deux choses à considérer dans la science expérimentale : la
méthode
et l’idée. La méthode a pour objet de diriger l’i
à considérer dans la science expérimentale : la méthode et l’idée. La
méthode
a pour objet de diriger l’idée qui s’élance en av
contradiction des théories. Si l’on est bien imbu des principes de la
méthode
expérimentale, on n’a rien à craindre ; car, tant
dée doit être soumise à un critérium. En science, ce critérium est la
méthode
expérimentale ou l’expérience, ce critérium est i
s idées comme à celles des autres. IV. Caractère indépendant de la
méthode
expérimentale De tout ce qui a été dit précéde
ide, une lumière, mais non une autorité absolue. La révolution que la
méthode
expérimentale a opérée dans les sciences consiste
n critérium scientifique à l’autorité personnelle. Le caractère de la
méthode
expérimentale est de ne relever que d’elle-même,
gisse autrement envers eux. Cette non-soumission à l’autorité, que la
méthode
expérimentale consacre comme un précepte fondamen
énomènes restés obscurs et portent la science en avant. En résumé, la
méthode
expérimentale puise en elle-même une autorité imp
eurs de la science peuvent seuls faire reconnaître. Les progrès de la
méthode
expérimentale consistent en ce que la somme des v
science par ces mots : l’art, c’est moi ; la science, c’est nous. La
méthode
expérimentale est la méthode scientifique qui pro
c’est moi ; la science, c’est nous. La méthode expérimentale est la
méthode
scientifique qui proclame la liberté de l’esprit
présentent cette indépendance et cette impersonnalité que réclame la
méthode
expérimentale. Mais la médecine est enclore dans
tact médical. Cet état de choses est la preuve la plus claire que la
méthode
expérimentale n’est point encore arrivée dans la
méthode expérimentale n’est point encore arrivée dans la médecine. La
méthode
expérimentale, méthode du libre penseur, ne cherc
’est point encore arrivée dans la médecine. La méthode expérimentale,
méthode
du libre penseur, ne cherche que la vérité scient
en manifestant l’idée qui donne le motif de l’action, de même dans la
méthode
expérimentale, c’est le sentiment qui a l’initiat
’influence de l’idée expérimentale, examinons actuellement comment la
méthode
doit, en imposant toujours au raisonnement la for
ement inductif et de raisonnement déductif. Ils ont encore admis deux
méthodes
scientifiques, la méthode inductive ou l’inductio
nement déductif. Ils ont encore admis deux méthodes scientifiques, la
méthode
inductive ou l’induction, propre aux sciences phy
e ou l’induction, propre aux sciences physiques expérimentales, et la
méthode
déductive ou la déduction, appartenant plus spéci
innombrables d’erreur qu’on peut rencontrer dans l’application de la
méthode
expérimentale. Ce précepte général, qui est une d
thode expérimentale. Ce précepte général, qui est une des bases de la
méthode
expérimentale, c’est le doute ; et il s’exprime e
endraient nuisibles pour le savant proprement dit. D’ailleurs, aucune
méthode
ne peut remplacer cette étude de la nature qui fa
n n’était point un savant, et il n’a point compris le mécanisme de la
méthode
expérimentale. Il suffirait de citer, pour le pro
héories14 ; nous avons vu cependant que ce sont les auxiliaires de la
méthode
, indispensables comme les échafaudages sont néces
raît pas permis de dire, même en parlant de Bacon, qu’il a inventé la
méthode
expérimentale ; méthode que Galilée et Torricelli
même en parlant de Bacon, qu’il a inventé la méthode expérimentale ;
méthode
que Galilée et Torricelli ont si admirablement pr
oi qui, elles aussi, imposent silence à la raison. En un mot, dans la
méthode
expérimentale comme partout, le seul critérium ré
le verrons plus loin, un des écueils les plus graves que rencontre la
méthode
expérimentale dans les sciences complexes comme l
esser le second. Je n’insiste pas davantage ici sur ce principe de la
méthode
expérimentale, parce que plus tard j’aurai l’occa
et, ainsi que nous l’avons dit précédemment, le but que se propose la
méthode
expérimentale est le même partout ; il consiste à
tique successive des phénomènes de la vie en faisant usage de la même
méthode
expérimentale qui sert au physicien et au chimist
tion de l’expérimentation ; car au fond le but et les principes de la
méthode
restent toujours exactement les mêmes. IV. Le
e et matérielle de son existence ou de sa manifestation. Le but de la
méthode
expérimentale ou le terme de toute recherche scie
rminer les conditions matérielles de leur manifestation. C’est par la
méthode
analytique ou expérimentale seule que nous pouvon
sciences des corps vivants que dans les sciences des corps bruts. La
méthode
expérimentale détourne nécessairement de la reche
ons et par leurs lois spéciales, elles ne s’en distinguent pas par la
méthode
scientifique. La biologie doit prendre aux scienc
entifique. La biologie doit prendre aux sciences physico-chimiques la
méthode
expérimentale, mais garder ses phénomènes spéciau
lles les plus simples possible, et rendront ainsi l’application de la
méthode
expérimentale plus facile et plus sûre. Toutes le
s erronées. Nous avons vu dans le chapitre précédent que le but de la
méthode
expérimentale est d’atteindre au déterminisme des
vons dit, que la vie n’introduit absolument aucune différence dans la
méthode
scientifique expérimentale qui doit être appliqué
anismes au moyen de l’expérience, c’est arrêter la science et nier la
méthode
expérimentale ; mais que, d’un autre côté, pratiq
vant. II. De la pratique expérimentale sur les êtres vivants La
méthode
expérimentale et les principes de l’expérimentati
herche à découvrir les lois. Les sciences possèdent chacune sinon une
méthode
propre, au moins des procédés spéciaux, et, de pl
rminé ; elle n’emprunte aux autres sciences que leur secours et leurs
méthodes
, mais non leurs théories. Ce secours des autres s
si de leur usage ou de leur utilité. La vivisection, considérée comme
méthode
analytique d’investigation sur le vivant, compren
pas croire que la vivisection puisse constituer à elle seule toute la
méthode
expérimentale appliquée à l’étude des phénomènes
à classer les animaux, et exactement d’après les mêmes principes des
méthodes
artificielles ou naturelles. Pinel a appliqué en
cience n’avancerait jamais si l’on se croyait autorisé à renoncer aux
méthodes
scientifiques parce qu’elles sont imparfaites ; l
e n’est pourtant pas précisément ce que les philosophes ont appelé la
méthode
par différence. Quand un expérimentateur est en f
ce qui appartient à chacun d’eux dans le phénomène total. Mais cette
méthode
d’exploration suppose deux choses : elle suppose
leur action dans une résultante harmonique finale. En physiologie la
méthode
des différences est rarement applicable, parce qu
rs la réduction des phénomènes physiologiques au kilo d’animal. Cette
méthode
est fort employée par les physiologistes depuis u
aliment ou d’oxygène par kilo d’animal. On peut aussi appliquer cette
méthode
pour doser l’action des substances toxiques ou mé
dans toutes les explications qu’on pourrait donner sur la valeur des
méthodes
de statistique fondées sur le calcul des probabil
onner la vérité scientifique et ne peut constituer par conséquent une
méthode
scientifique définitive. Un exemple expliquera ma
a pensée est simplement d’appliquer à la médecine les principes de la
méthode
expérimentale, afin qu’au lieu de rester science
re diminuer et à refouler l’indéterminisme à mesure qu’à l’aide de la
méthode
expérimentale il gagne du terrain sur le détermin
nçaise qu’elle a eu la gloire d’inaugurer d’une manière définitive la
méthode
expérimentale dans la science des phénomènes de l
l’étude des phénomènes physiologiques. Toutefois l’application de la
méthode
expérimentale aux animaux s’est trouvée entravée
tifique partie de la France s’est répandue en Europe, et peu à peu la
méthode
analytique expérimentale est entrée comme méthode
pe, et peu à peu la méthode analytique expérimentale est entrée comme
méthode
générale d’investigation dans le domaine des scie
d’investigation dans le domaine des sciences biologiques. Mais cette
méthode
s’est perfectionnée davantage et a donné plus de
une chaire didactique les résultats acquis d’une science ainsi que sa
méthode
, forme l’esprit de ses auditeurs, les rend aptes
raison de ses complications. Troisième partieApplications de la
méthode
expérimentale à l’étude des phénomènes de la vie
s succincte, est complet, et il montre d’un bout à l’autre comment la
méthode
expérimentale procède et réussit pour arriver à c
e. Dans ces recherches je me suis conduit d’après les principes de la
méthode
expérimentale que nous avons établis, c’est-à-dir
les biologues. Il faut fonder la critique expérimentale en créant des
méthodes
rigoureuses d’investigation et d’expérimentation
des corps vivants. C’est à l’expérimentation que ce rôle incombe, sa
méthode
est fixée, mais les phénomènes qu’elle doit analy
ne pouvait changer d’opinion ou de théorie ; mais les principes et la
méthode
scientifiques sont supérieurs à la théorie, ils s
pour la pathologie et pour la thérapeutique. Ce qui veut dire que les
méthodes
d’investigation dans les phénomènes de la vie doi
résumé, nous ne saurions établir aucune distinction fondée entre les
méthodes
d’investigation que l’on doit appliquer en physio
hysiologie, en pathologie et en thérapeutique. C’est toujours la même
méthode
d’observation et d’expérimentation immuable dans
a médecine expérimentale des obstacles qui résident dans des vices de
méthodes
, dans des mauvaises habitudes de l’esprit ou dans
expliquer à ce sujet ; car il s’agit ici d’une importante question de
méthode
, et ce sera une nouvelle occasion de fixer d’une
ramener à une signification définie. C’est donc un principe absolu en
méthode
expérimentale de prendre toujours pour point de d
isonnée, acquise par l’observation journalière des faits d’où naît la
méthode
expérimentale elle-même (voy. p. 41). Mais, ainsi
Il faut surtout introduire dans la médecine l’esprit analytique de la
méthode
expérimentale des sciences modernes ; mais cela n
isonnée de l’empirisme et de l’expérimentation qui constitue la vraie
méthode
expérimentale. En effet, nous avons vu qu’avant d
me, sous ce rapport, n’est pas autre chose que le premier degré de la
méthode
expérimentale ; car, ainsi que nous l’avons dit,
e tact médical, est transformée ensuite en notion scientifique par la
méthode
expérimentale qui est consciente et raisonnée. Le
traverser l’empirisme pour en sortir et arriver au second degré de la
méthode
expérimentale, c’est-à-dire à l’expérience précis
serait dans une exagération qui lui ferait fausser le vrai sens de la
méthode
expérimentale. Avant de comprendre les faits, l’e
e peut donner aux tendances de la nature ne saurait constituer qu’une
méthode
incomplète de traitement. Il faut souvent aussi a
de que l’empirique aurait tué. De sorte que l’empirisme est aussi une
méthode
insuffisante de traitement en ce qu’elle est ince
tendre en cherchant dès aujourd’hui à introduire dans la médecine la
méthode
qui doit nous y conduire. La médecine deviendra n
a spontanéité des êtres vivants ne s’oppose pas à l’application de la
méthode
expérimentale, et que la connaissance du détermin
sme, et elle en sortira de même que toutes les autres sciences par la
méthode
expérimentale. Cette conviction profonde soutient
arlatine et qui croient tirer de là un argument contre l’emploi de la
méthode
expérimentale en médecine. Ces objections découra
sont élucidées que successivement dans leurs diverses branches par la
méthode
expérimentale, et aujourd’hui elles ont encore de
s ont encore des parties obscures que l’on étudie à l’aide de la même
méthode
. Malgré tous les obstacles qu’elle rencontre, la
rche ; elle la suivra fatalement. En préconisant l’introduction de la
méthode
expérimentale dans la médecine, je ne fais donc q
médecine scientifique n’est point encore constituée ; mais grâce à la
méthode
expérimentale qui y pénètre de plus en plus, elle
n le fait souvent, les théories progressives et perfectibles avec les
méthodes
ou avec les principes de la science qui sont fixe
rminisme des phénomènes est posée comme le principe fondamental de la
méthode
expérimentale, il n’y a plus ni matérialisme, ni
inutile de rappeler en quelques mots les caractères essentiels de la
méthode
expérimentale et de montrer comment l’idée qui lu
soumise se distingue des idées systématiques et doctrinales. Dans la
méthode
expérimentale on ne fait jamais des expériences q
our voir ou pour prouver, c’est-à-dire pour contrôler et vérifier. La
méthode
expérimentale, en tant que méthode scientifique,
ire pour contrôler et vérifier. La méthode expérimentale, en tant que
méthode
scientifique, repose tout entière sur la vérifica
vation), tantôt à l’aide d’une expérience (science expérimentale). En
méthode
expérimentale, l’hypothèse est une idée scientifi
énie même du savant qui l’a créée. Quand l’hypothèse est soumise à la
méthode
expérimentale, elle devient une théorie ; tandis
t essentiellement à la scolastique et elle diffère radicalement de la
méthode
expérimentale. Il y a en effet contradiction entr
rine procèdent par affirmation et par déduction purement logique ; la
méthode
expérimentale procède toujours par le doute et pa
duels ; ils veulent être immuables et conserver leur personnalité. La
méthode
expérimentale au contraire est impersonnelle ; el
vant se mette en face de la nature et qu’il l’interroge en suivant la
méthode
expérimentale et à l’aide de moyens d’investigati
cience et la régenter dogmatiquement dans ses productions et dans ses
méthodes
de manifestation, alors l’accord ne pourrait plus
s observations, des expériences ou des découvertes scientifiques, les
méthodes
et procédés philosophiques sont trop vagues et re
sont trop vagues et restent impuissants ; il n’y a pour cela que des
méthodes
et des procédés scientifiques souvent très spécia
lui-même, n’y ont guère réussi. C’est qu’en effet ces procédés et ces
méthodes
scientifiques ne s’apprennent que dans les labora
on secours s’il voit qu’il s’égare. Je crois, en un mot, que la vraie
méthode
est celle qui contient l’esprit sans l’étouffer,
son temps et sa philosophie, 1857. 17. Descartes, Discours sur la
méthode
. 18. Lettre à J. C. Mertrud, p. 5. An VIII. 1
cherches qui formeraient une science véritable, ayant « un objet, une
méthode
des résultats, des problèmes » (p. 218). « L’est
’art en tant que signe. » Ce dernier mot annonce déjà quelle sera la
méthode
. Exposons-la tout de suite : notre critique en se
s pas en doute qu’on puisse atteindre à d’excellents résultats par la
méthode
interrogative de M. H. Le raisonnement par lequel
efois, m’abstenir de remarquer qu’on ne saisit directement, par cette
méthode
, que l’homme intellectuel2 ; car elle consiste à
. » En ces quelques lignes se trouvent exprimées une doctrine et une
méthode
, qui ne marchent pas nécessairement ensemble. Je
ble. Je dirai plus loin quelle est la doctrine. Parlons d’abord de la
méthode
. Si elle est juste en partie, elle ne va pas sans
t le faire en quelques lignes), cette idée maîtresse de l’ouvrage. La
méthode
d’enquête proposée par M. H. n’est pas du reste,
ectivement liée à la doctrine qui la soutenait dans son esprit. Cette
méthode
peut être bonne, si la doctrine est mauvaise, et
théorie. Indiquer un ordre de travail, et avoir donné l’exemple d’une
méthode
, c’est la marque d’un vigoureux et solide esprit
ttendons la publication prochaine, auront fait voir les défauts de sa
méthode
et en auront à la fois démontré les avantages. L
Chapitre I : De la
méthode
en psychologie I En toute science, la méth
apitre I : De la méthode en psychologie I En toute science, la
méthode
est capitale ; elle l’est d’autant plus que la sc
que l’insuffisance de ses progrès a été le résultat inévitable de la
méthode
généralement employée. Puisque nous avons donc la
rien oublier. M. Stuart Mill, qui fait remarquer justement combien la
méthode
des sciences morales et sociales est peu avancée,
stances plus simples77. III Après avoir déterminé l’objet et la
méthode
de la psychologie, il nous reste à chercher s’il
quelques esprits78. Nous allons voir M. Mill en fixer la nature et la
méthode
. Disons tout de suite qu’il lui donne le nom d’ét
e du caractère, et qu’il lui assigne comme procédé d’investigation la
méthode
déductive avec vérification79. La psychologie a p
uer les cas individuels. M. Stuart Mill montre fort clairement que la
méthode
déductive avec vérification est la seule applicab
e. Les lois de la formation du caractère sont-elles abordables par la
méthode
expérimentale ? Évidemment non. En effet, cette m
dables par la méthode expérimentale ? Évidemment non. En effet, cette
méthode
a deux procédés principaux : l’expérimentation, l
aboutir à des généralisations purement approximatives. Reste donc la
méthode
déductive, celle qui part des lois. « Il existe d
Conclusion En résumé, les caractères de cette
méthode
sont les suivants. D’abord, elle est indépendante
phie, l’idée d’association ? Vis-à-vis des doctrines pratiques, notre
méthode
permet et commande la même indépendance. La socio
orce de résistance et leur infinie variabilité. En second lieu, notre
méthode
est objective. Elle est dominée tout entière par
es choses sociales. C’est le troisième trait caractéristique de notre
méthode
d’être exclusivement sociologique. Il a souvent p
s de nature différente. Tels nous paraissent être les principes de la
méthode
sociologique. Cet ensemble de règles paraîtra peu
ue ; et il est, en effet, certain que la mise en pratique d’une telle
méthode
ne saurait avoir pour effet de vulgariser la curi
maintenant, travailler. 86. On est donc mal venu à qualifier notre
méthode
de matérialiste.
té des lois de la nature. — En quoi consiste une loi. — Par quelles
méthodes
on découvre les lois. — La méthode des concordan
consiste une loi. — Par quelles méthodes on découvre les lois. — La
méthode
des concordances, la méthode des différences, la
les méthodes on découvre les lois. — La méthode des concordances, la
méthode
des différences, la méthode des résidus, la métho
lois. — La méthode des concordances, la méthode des différences, la
méthode
des résidus, la méthode des variations concomitan
concordances, la méthode des différences, la méthode des résidus, la
méthode
des variations concomitantes. VII. Exemple et app
antes. VII. Exemple et applications. — Théorie de la rosée. VIII. La
méthode
de déduction. — Son domaine. — Ses procédés. IX
de déduction. — Son domaine. — Ses procédés. IX. Comparaison de la
méthode
d’induction et de la méthode de déduction. — Emp
. — Ses procédés. IX. Comparaison de la méthode d’induction et de la
méthode
de déduction. — Emploi ancien de la première. —
réfuter, à distinguer, à argumenter. Il a la finesse, la patience, la
méthode
et la sagacité d’un légiste. — Très-bien, voilà
, sa matière réelle, son domaine distinct, son importance visible, sa
méthode
propre et son avenir certain. II Ceci posé,
n. Or, pour établir ces liaisons expérimentales, Mill découvre quatre
méthodes
, et quatre méthodes seulement : celle des concord
ces liaisons expérimentales, Mill découvre quatre méthodes, et quatre
méthodes
seulement : celle des concordances1493, celle des
des formules, un fait sera plus clair. En voici un : on y va voir les
méthodes
en exercice ; il y a un exemple qui les rassemble
est plus froid que l’air1499. « Voilà une application complète de la
méthode
de concordance : elle établit une liaison invaria
outes les deux les effets de quelque chose d’autre ? Sur ce point, la
méthode
de concordance ne nous fournit aucune lumière. No
dance ne nous fournit aucune lumière. Nous devons avoir recours à une
méthode
plus puissante : nous devons varier les circonsta
a rosée manque ; car une des conditions nécessaires pour appliquer la
méthode
de différence, c’est de comparer des cas où le ph
ns donc à démêler cette circonstance, et pour cela employons la seule
méthode
possible, celle des variations concomitantes. Dan
plus possible l’état de sa surface (ce qui est un nouvel emploi de la
méthode
des variations concomitantes), et une nouvelle éc
tion de la théorie se tire de l’expérience directe pratiquée selon la
méthode
de différence. Nous pouvons, en refroidissant la
suit et doit suivre : expérience naturelle conforme aux règles de la
méthode
de différence1507. » IX Ce ne sont pas là t
t par un concours de causes, ne peut être divisé en ses éléments. Les
méthodes
d’isolement sont alors impraticables. Nous ne pou
dire supprimer le mouvement donné et le remplacer par d’autres. Ni la
méthode
de concordance ou de différence, ni la méthode de
er par d’autres. Ni la méthode de concordance ou de différence, ni la
méthode
des résidus ou des variations concomitantes, qui
’obstacle, et c’est ici qu’apparaît la dernière clef de la nature, la
méthode
de déduction. Nous quittons le phénomène, nous no
effectivement les causes des mouvements planétaires. « C’est à cette
méthode
, dit Mill, que l’esprit humain doit ses plus gran
e son imperfection. X Que si nous comparons maintenant les deux
méthodes
, leur opportunité, leur office, leur domaine, nou
corps célestes et les révolutions de l’enveloppe terrestre. Quand la
méthode
convenable n’est pas employée, la science s’arrêt
méthode convenable n’est pas employée, la science s’arrête ; quand la
méthode
convenable est pratiquée, la science marche. Là e
e l’induction ; qui a établi le but, les bornes, les provinces et les
méthodes
de la science ; qui, dans la nature et dans la sc
l’antécédent invariable de la cristallisation. Voilà un exemple de la
méthode
de concordance : sa règle fondamentale est que «
des antécédents invariables de la suffocation. Voilà un exemple de la
méthode
de différence ; sa règle fondamentale est que « s
t dans le calcul le rendit parfaitement exact. Voilà un exemple de la
méthode
des résidus. Sa règle est que « si l’on retranche
ue le second fait est l’antécédent du premier. Voilà un exemple de la
méthode
des variations concomitantes : sa règle fondament
est une cause ou un effet direct ou indirect du second. » 1497. « La
méthode
de différence, dit Mill, a pour fondement, que to
t ce qui ne saurait être éliminé est lié au phénomène par une loi. La
méthode
de concordance a pour fondement, que tout ce qui
qui peut être éliminé n’est point lié au phénomène par une loi. » La
méthode
des résidus est un cas de la méthode de différenc
é au phénomène par une loi. » La méthode des résidus est un cas de la
méthode
de différence ; la méthode des variations concomi
» La méthode des résidus est un cas de la méthode de différence ; la
méthode
des variations concomitantes en est un autre cas,
respiration, de l’empoisonnement, etc. Il y a un livre entier sur la
méthode
des sciences morales ; je ne connais pas de meill
mouvement sous toutes ses formes. L’observation et l’expérience pour
méthode
, pour base les lois des phénomènes observés ou ex
t pour les formules simples et précises ? Ne semble-t-il point que la
méthode
chimique du premier et la méthode philosophique d
cises ? Ne semble-t-il point que la méthode chimique du premier et la
méthode
philosophique du second y préparent naturellement
e-même sa donnée première. Mais, avec un esprit tout différent et une
méthode
absolument inverse, cette philosophie obéit au mê
en de sa personnalité. Or, quelle peut être l’autorité d’une pareille
méthode
quand il s’agit de modifier, sinon de supprimer,
nce ; il soumet la question de la liberté à la décisive épreuve de la
méthode
antinomique, ainsi qu’il le fait pour toutes les
a raison contre l’école de Bacon. Kant avait admis, sur la foi d’une
méthode
en vogue, que la conscience n’atteint directement
e maîtresse qui doit présider à leur synthèse. Le savant n’a que deux
méthodes
à son service, l’observation spécifique ou généra
es. Confondre la condition avec la cause des phénomènes, telle est la
méthode
spéculative du savant qui se hasarde à philosophe
ssant les atomes comme les mondes. Telle est la nécessité logique des
méthodes
et des idées que la science moderne, avec ses inc
le de l’antiquité. Comment en serait-il différemment dans un ordre de
méthodes
et d’idées qui ne dépasse pas l’expérience sensib
xpérience intime et même de toute expérience ; c’est par l’abus d’une
méthode
toute géométrique qui a faussé et stérilisé le pr
tre humanité. Il faut donc que la pente soit irrésistible, puisque la
méthode
psychologique elle-même n’a pu arrêter le philoso
ligent ses révélations, elles restent aveugles en dépit de toutes les
méthodes
qu’elles peuvent emprunter aux sciences physiques
temps qu’une réaction s’opère en faveur des vérités de conscience. La
méthode
expérimentale appliquée aux études morales est bo
appliquée aux études morales est bonne, dans une certaine mesure. La
méthode
historique dont notre siècle est fier a fait merv
nt oublier que les sciences de l’esprit ont leurs conditions et leurs
méthodes
propres, de même que les sciences de la nature. Q
e sciences. Nous ne croyons pas qu’il soit bon de l’étendre jusqu’aux
méthodes
et aux formules propres à chacun d’eux. Ainsi, no
chacun d’eux. Ainsi, nous nous défions de l’emploi, non-seulement des
méthodes
mathématiques, évidemment impropres aux sciences
demment impropres aux sciences purement descriptives, mais encore des
méthodes
dites naturelles, qui se réduisent à l’observatio
s trouvons que la psychologie, par exemple, exactement traitée par la
méthode
des sciences naturelles, court risque d’en rester
des âmes qui protestent énergiquement contre une telle conclusion des
méthodes
contemporaines. Un penseur bien connu, et qui me
Chapitre II : De la
méthode
expérimentale en physiologie Quelque justes et
Il y établit avec un surcroît de preuves tout à fait décisives que la
méthode
expérimentale, qui a produit de si beaux résultat
manière démonstrative un point des plus importants de la théorie des
méthodes
. Les ennemis de la théorie en toutes choses diron
comment elle l’est. J’ajoute enfin que, pour pratiquer avec succès la
méthode
expérimentale dans les sciences physiologiques, i
étaire, et qui en contemple immobile les révolutions. A la vérité, la
méthode
expérimentale ne date pas d’hier en physiologie.
tions. Chez les modernes, Césalpin et Harvey ont aussi pratiqué cette
méthode
. Au xviiie siècle, Spallanzani s’illustra par se
ologique. L’être vivant est une harmonie, un tout, un cercle ; or, la
méthode
d’expérience consiste à isoler les phénomènes pou
s naturelles avec le tout. Une autre difficulté qui s’élève contre la
méthode
expérimentale en physiologie, c’est le préjugé ré
expérience. Enfin une dernière illusion, également funeste à la vraie
méthode
, est celle de ce vitalisme superstitieux qui cons
e part et d’autre. Seulement, les phénomènes étant plus complexes, la
méthode
y est plus difficile à appliquer, plus lente à fa
romper par de fausses apparences ; mais au fond il n’y a qu’une seule
méthode
pour les sciences naturelles comme pour les scien
différences radicales qui les séparent les uns des autres : c’est la
méthode
qui est identique, ce ne sont pas les phénomènes.
et par leurs lois spéciales, elles ne s’en distinguent pas par leurs
méthodes
scientifiques. La biologie doit prendre aux scien
ntifiques. La biologie doit prendre aux sciences physico-chimiques la
méthode
expérimentale, mais garder ses phénomènes spéciau
thèse qu’il n’est pas même nécessaire d’admettre pour affirmer que la
méthode
expérimentale est applicable à la vie. Par exempl
difficulté est d’isoler les caractères généraux. — Deux artifices de
méthode
pour tourner la difficulté. — Deux sortes de lois
èse. — Elle est le principe de l’induction scientifique. II. Diverses
méthodes
de l’induction scientifique. — Étant donné un car
ssi donné. — Recherche de la condition inconnue d’après cet indice. —
Méthode
des concordances. — Méthode des différences. — Mé
condition inconnue d’après cet indice. — Méthode des concordances. —
Méthode
des différences. — Méthode des variations concomi
cet indice. — Méthode des concordances. — Méthode des différences. —
Méthode
des variations concomitantes. — Divers exemples.
Méthode des variations concomitantes. — Divers exemples. — Toutes ces
méthodes
sont des procédés d’élimination. — Elles sont d’a
ion, le reliquat contient la condition inconnue que l’on cherchait. —
Méthode
complémentaire de déduction. — Exemple. — Théorie
. — Théorie de Herschell et de Stuart Mill. — Exemple de ces diverses
méthodes
dans la recherche de l’antécédent de la rosée. §
es des sciences dites de construction. Exemple. — Différence des deux
méthodes
de preuve. — Les axiomes sont des théorèmes non p
nairement, sinon le supprimer, du moins le tourner. Deux artifices de
méthode
nous conduisent au but. Nous avons distingué deux
e portion commune que se trouvent nos inconnues. — De là une première
méthode
nommée par Mill méthode des concordances. Nous ra
trouvent nos inconnues. — De là une première méthode nommée par Mill
méthode
des concordances. Nous rassemblons beaucoup de ca
ration transmise est donc l’antécédent cherché. Telle est la première
méthode
; par elle, on exclut les différences des cas con
n’avons qu’à la retourner pour en posséder une autre, nommée par Mill
méthode
des différences. Soit un caractère connu, et pren
; d’où il suit qu’elle est l’antécédent cherché. Telle est la seconde
méthode
; par elle, on exclut les ressemblances des cas c
iquat, qui, en tout ou en partie, est la condition cherchée. Ces deux
méthodes
en suggèrent une troisième, nommée par Mill métho
erchée. Ces deux méthodes en suggèrent une troisième, nommée par Mill
méthode
des variations concomitantes. Aux deux moyens par
s, et notamment dans ceux où nous ne pouvons suivre rigoureusement la
méthode
des différences, ce troisième moyen est très util
é égal ôté ou ajouté au ralentissement. Ce que l’on fait par les deux
méthodes
déjà décrites, en cherchant, non plus l’antécéden
e cette résistance est l’antécédent cherché. — Telle est la troisième
méthode
, qui, composée de la première et de la seconde, e
alité, mais encore la quantité de la condition inconnue95. Toutes ces
méthodes
ont recours au même artifice, qui est l’éliminati
concours d’antécédents, ne peut pas être divisé en ses éléments. Les
méthodes
d’isolement sont alors impraticables ; et, comme
eut isoler l’une ou l’autre des deux parties de son antécédent. Ni la
méthode
ordinaire des concordances ou des différences, ni
t. Ni la méthode ordinaire des concordances ou des différences, ni la
méthode
accessoire des résidus ou des variations concomit
’obstacle, et c’est ici qu’apparaît la dernière clef de la nature, la
méthode
de déduction. D’abord, nous empruntons aux scienc
effectivement les causes des mouvements planétaires. « C’est à cette
méthode
, dit Mill, que l’esprit humain doit ses plus gran
; un exemple sera plus clair ; en voici un où l’on va voir toutes les
méthodes
en exercice ; il s’agit de la théorie de la rosée
, il est plus froid que l’air. « Voilà une application complète de la
méthode
de concordance : elle établit une liaison invaria
outes les deux les effets de quelque chose d’autre ? Sur ce point, la
méthode
de concordance ne nous fournit aucune lumière. No
dance ne nous fournit aucune lumière. Nous devons avoir recours à une
méthode
plus puissante : nous devons varier les circonsta
la rosée manque, car une des conditions nécessaires pour appliquer la
méthode
de différence, c’est de comparer des cas où le ph
ns donc à démêler cette circonstance, et pour cela employons la seule
méthode
possible, celle des variations concomitantes. Dan
plus possible l’état de sa surface (ce qui est un nouvel emploi de la
méthode
des variations concomitantes), et une nouvelle éc
tion de la théorie se tire de l’expérience directe pratiquée selon la
méthode
de différence. Nous pouvons, en refroidissant la
suit et doit suivre : expérience naturelle conforme aux règles de la
méthode
de différence. » § II. — Lois qui concernent
Après beaucoup d’expériences semblables, nous pouvons induire, par la
méthode
des concordances, que des grandeurs égales ajouté
outre, pour fortifier notre conclusion, nous avons en main une autre
méthode
inductive, celle des différences. Sitôt que nous
ntané de l’organe auditif. 95. Stuart Mill, après avoir décrit cette
méthode
, en indique une quatrième, qu’il nomme méthode de
rès avoir décrit cette méthode, en indique une quatrième, qu’il nomme
méthode
des résidus. Elle n’est qu’un autre cas de la mét
me, qu’il nomme méthode des résidus. Elle n’est qu’un autre cas de la
méthode
de différence et n’a que peu d’emplois. Les trois
hewell, History of the Inductive Sciences, 3 vol. 98. Duhamel, De la
méthode
dans les sciences de raisonnement, tome I, p. 3.
mine, on pose des principes, mais par jeu, pour passer le temps, sans
méthode
suivie, sans intention de propagande. Ceux-ci non
le de la vérité fut l’apport de l’aimable, du discret Fontenelle : la
méthode
critique fut l’apport du savant et solide Bayle.
formelle de Descartes, manifestait de plus en plus la puissance de sa
méthode
. Le mouvement cartésien aboutit, avec le pieux Ma
Il s’attacha surtout à faire ressortir les règles fondamentales de la
méthode
scientifique, à y accoutumer les esprits : ne rie
avait vu Bossuet, dans son Histoire des Variations, démontrer par la
méthode
historique le développement continu et divergent
ique, de pieux érudits appliquaient à la religion les principes de la
méthode
scientifique. Les Bénédictins, à force de candide
n, mais à ses fondements, qu’ils ébranlaient par le seul emploi d’une
méthode
qui écartait la tradition de l’Église comme une i
ologie. Bayle n’a point de système, évite de dresser des théories. Sa
méthode
est d’alléguer toutes les raisons pour et contre
n’est exact qu’autant qu’il exprime une communauté de principes et de
méthode
: — constituer la psychologie comme science natur
idée d’évolution. L’introduction de cet ouvrage qui a pour sujet « la
Méthode
en psychologie », est très sévère pour la métaphy
t très sévère pour la métaphysique et pour l’emploi exclusif de cette
méthode
que les Anglais appellent introspective : (l’obse
ffroy et de l’école spiritualiste). On y trouvera un bon exposé de la
méthode
physiologique ou objective ; et, plus loin, des c
curieuses et neuves ; bref, sont très propres à initier à la nouvelle
méthode
philosophique les esprits imbus des idées courant
pas moins une grande valeur psychologique par tes résultats et par la
méthode
. En dehors des naturalistes, les tendances expéri
ell, Sully, Murphy. Dans son Introduction à la psychologie d’après la
méthode
inductive284 M. Morell « se propose de traiter la
e n’est ni spiritualiste ni matérialiste : elle est expérimentale. Sa
méthode
est double : elle étudie les phénomènes psycholog
veloppement. Elle contient une embryologie. Elle a aussi recours à la
méthode
comparative. Elle ne dédaigne point les manifesta
icien de génie. Claude Bernard, qui nous a donné la philosophie de la
méthode
expérimentale, fut un des créateurs de la science
straits : la tendance est déjà visible chez le grand initiateur de la
méthode
d’introspection profonde, Maine de Biran. En un m
ique qu’un Moreau de Tours, un Charcot ou un Ribot. Remarquons que la
méthode
de ces psychologues, — celle qui a valu à la psyc
mme, ses plus importantes découvertes, — n’est qu’une extension de la
méthode
d’observation intérieure. C’est toujours à la con
te aussi bien le dogmatisme à outrance que le criticisme radical ; sa
méthode
est aussi éloignée de celle d’un Hegel que de cel
ours en opposer une autre, avec laquelle on construira, selon la même
méthode
, un système différent ; les deux systèmes seront
upart des personnes qui n’ont jamais réfléchi sur les principes de la
méthode
des sciences historiques, emploient, pour effectu
érales au sujet de l’histoire universelle, mais comme un essai sur la
méthode
des sciences historiques. Voici pourquoi nous avo
tes. En fait, il y a des gens qui pratiquent manifestement les bonnes
méthodes
et qui sont reconnus par tout le monde comme des
oriens de premier ordre, sans avoir jamais étudié les principes de la
méthode
; réciproquement, on ne voit pas que ceux qui ont
ne voit pas que ceux qui ont écrit en logiciens sur la théorie de la
méthode
historique aient acquis, de ce chef, comme érudit
proprement dites, des recherches originales, on étudie la théorie des
méthodes
qui servent dans ces sciences ? La critique histo
n la pratiquant6. Pressez, d’ailleurs, les écrits qui existent sur la
méthode
historique, et même les plus récents, ceux de J.
de voir, tout n’est pas faux. — L’immense majorité des écrits sur la
méthode
d’investigation en histoire et sur l’art d’écrire
ts et presque tous les historiens actuels sont, au point de vue de la
méthode
, des autodidactes, formés par la seule pratique o
antérieurs. Mais de ce que beaucoup d’écrits sur les principes de la
méthode
justifient la méfiance généralement professée env
pu se dispenser sans inconvénients apparents d’avoir réfléchi sur la
méthode
historique, il est excessif, à notre avis, de con
lus nécessaire que les travailleurs aient une conscience claire de la
méthode
dont ils se servent. La raison, c’est qu’en histo
ionnels pour se défendre de la tentation d’appliquer à l’histoire les
méthodes
des sciences déjà constituées. On s’explique ains
, un grand nombre d’hommes intelligents et sincères ont médité sur la
méthode
des sciences historiques ; on compte naturellemen
-t-on dit14, de réduire à des formules très précises les règles de la
méthode
… ; il n’y avait rien de plus urgent à ses yeux qu
té de Greifswald, a dépouillé presque tous les écrits modernes sur la
méthode
historique ; il en a profité ; il a groupé dans d
uvres d’érudition ou d’histoire, faites conformément aux règles de la
méthode
la plus exacte, ont été viciées, ou même totaleme
il est nécessaire, de faire des sacrifices d’argent : les meilleures
méthodes
à employer pour la description des documents n’on
euvent être conduits aujourd’hui, pourvu que, dès l’origine, une sage
méthode
ait été adoptée, et pourvu que l’on dispose, en m
es études historiques des instruments de recherche indispensables. La
méthode
pour les faire est, en effet, fixée, et un person
dont il est traité dans le chapitre précédent, aient été faites avec
méthode
et avec succès : on a réuni, sur un sujet donné,
ons techniques, auxquelles ni les dispositions naturelles, ni même la
méthode
, ne sauraient suppléer. — En quoi donc doit consi
’étude, si généralement négligée jusqu’à présent, des principes de la
méthode
historique. Ce n’est pas, du reste, l’historien-l
naissance historique est, par essence, une connaissance indirecte. La
méthode
de la science historique doit donc différer radic
lieu ou à la fin du travail, peut vicier toutes les conclusions. La «
méthode
historique », ou indirecte, est par là visiblemen
de historique », ou indirecte, est par là visiblement inférieure à la
méthode
d’observation directe ; mais les historiens n’ont
devient une observation ; il ne reste plus qu’à le traiter suivant la
méthode
des sciences objectives. Tout document a une vale
l est aussi très salutaire de s’être rendu compte des principes de la
méthode
historique et d’en avoir théoriquement décomposé,
même, sujet à caution. Mais un progrès considérable a été réalisé. La
méthode
convenable pour la purification et la restitution
s accumulées par plusieurs générations d’érudits. Aucune partie de la
méthode
historique n’est aujourd’hui fondée plus solideme
ec plus ou moins de pureté, la même tradition, on recourt encore à la
méthode
de la comparaison des fautes. Elle permet ordinai
borieuse, ou même impraticable. D’ailleurs, dans ces cas extrêmes, la
méthode
ne change point : la comparaison des passages cor
e n’ont pas été préalablement fixées. D’autre part, l’application des
méthodes
rationnelles entraîne, en certains cas, une dépen
’expérience et la réflexion ont montré la nécessité de réduire par la
méthode
ces mouvements instinctifs de confiance. Les auto
provenance apparente des documents, lorsqu’elle est suspecte, par la
méthode
même qui sert à déterminer, autant que possible,
complication infime que quelques personnes s’obstinent à préférer la
méthode
si défectueuse des cahiers. — De plus, à cause de
sent indifférents. Ils critiquent pour critiquer, et l’élégance de la
méthode
d’investigation importe bien davantage, à leurs y
ité scientifique qu’ils ont l’habitude de dénoncer les atteintes à la
méthode
. Et ils parviennent de la sorte à défendre l’accè
vre historique suppose, pour être faite conformément aux règles de la
méthode
, des précautions et des labeurs infinis. Mais est
. A cet effet, ils administrèrent aux érudits sans conscience ou sans
méthode
des corrections publiques, propres à les dégoûter
plupart des intéressés l’habitude de la sincérité et le respect de la
méthode
. Depuis vingt-cinq ans, l’impulsion qu’elle a don
fugient volontiers dans l’exposition historique. Là, les règles de la
méthode
sont moins évidentes, ou, pour mieux dire, moins
rongés, et comme percés à jour par la critique ? Les défauts de leurs
méthodes
sont déjà vus, définis, condamnés. Ce qui doit pe
on peut accepter en bloc leurs résultats parce qu’on sait par quelle
méthode
, par quels instruments, par quel système de notat
échelon, depuis le mouvement de la main jusqu’à l’observation. Cette
méthode
serait si longue et si fastidieuse que personne n
uire au strict minimum. L’historien le plus exigeant s’en tient à une
méthode
abrégée qui concentre toutes les opérations en de
lite. La tendance naturelle, même des historiens qui travaillent avec
méthode
, est de lire le texte avec la préoccupation d’y t
du texte réel de l’auteur135. II. Ici, comme toujours en histoire, la
méthode
consiste à résister au premier mouvement. Il faut
peut tirer pour l’histoire. Ainsi on arrive à cette règle générale de
méthode
: l’étude de tout document doit commencer par une
’interprétation historique fondée sur l’examen du cas particulier. La
méthode
consiste à établir le sens spécial des mots dans
141. Ces règles, si on les appliquait avec rigueur, constituerait une
méthode
exacte d’interprétation, qui ne laisserait presqu
égorique de la Bête dans l’Apocalypse . Mais comme il n’existe pas de
méthode
sûre de solution, on n’a pas le droit d’affirmer
gens du métier de constituer la critique interne des affirmations en
méthode
régulière comme ils ont fait pour la critique ext
ce. Les historiens, dans leurs travaux, et même les théoriciens de la
méthode
historique146, en sont restés à des notions vulga
le. Mais elle n’est qu’à mi-chemin entre la crédulité vulgaire et une
méthode
scientifique. Ici, comme en toute science, le poi
ec un système de notation précis ; il doit indiquer avec précision sa
méthode
. Ces conditions, exigées dans les sciences d’obse
otté pour faire du marquis de Carabas un personnage historique. — Une
méthode
plus raffinée, mais non moins dangereuse, consist
firmations sont deux espèces de résultats qu’il faut traiter par deux
méthodes
différentes. I. Toute conception exprimée soit da
é plus faciles à observer et sont plus faciles à prouver. Pourtant la
méthode
historique n’est pas par elle-même impuissante à
seulement, qui portent sur des lieux ou des moments différents. Cette
méthode
est d’une application difficile. L’accord est une
ur l’observation directe, ou avec une loi scientifique établie par la
méthode
régulière d’une science constituée. Dans les deux
nt jamais celles des savants contemporains (on a montré pourquoi). La
méthode
historique indirecte ne vaut jamais les méthodes
montré pourquoi). La méthode historique indirecte ne vaut jamais les
méthodes
directes des sciences d’observation. Si ses résul
itude. Pour les classer, la pratique des historiens ne fournit pas de
méthode
; l’histoire, étant issue d’un genre littéraire,
cience si différente des autres ? C’est le problème fondamental de la
méthode
. On ne peut le résoudre qu’en commençant par déte
pensable, mais il ne faut pas en exagérer la portée. Ce n’est pas une
méthode
objective qui fasse découvrir des objets réels ;
hode objective qui fasse découvrir des objets réels ; ce n’est qu’une
méthode
subjective pour apercevoir les éléments abstraits
s réels. L’histoire doit donc se défendre de la tentation d’imiter la
méthode
des sciences biologiques. Les faits historiques s
ifférents de ceux des autres sciences qu’il faut pour les étudier une
méthode
différente de toutes les autres. III. Les documen
son en est que chaque notion désignée par un nom a été formée par une
méthode
d’observation et d’abstraction qui a précisé et d
vec les détails réels fournis par les documents. V. Le problème de la
méthode
historique est enfin précisé ainsi. Avec les trai
ectement, — la construction historique se trouve forcée d’employer la
méthode
du questionnaire. Les actes humains qui font la m
ric dans son étude sur l’administration d’Alphonse de Poitiers. Cette
méthode
du questionnaire qui fait reposer toute la constr
d’observation ; et peut-être la trouvera-t-on dérisoire comparée aux
méthodes
a posteriori des sciences naturelles. Mais sa jus
nces naturelles. Mais sa justification est simple : elle est la seule
méthode
qu’on puisse pratiquer et, en fait, la seule qui
a critique externe, procède suivant son inspiration personnelle, sans
méthode
commune, sans souci de l’ensemble où son travail
ent faire pourtant, puisque la plupart des travaux sont faits par une
méthode
suspecte, sinon incorrecte ? La confiance univers
musique, danse, littérature. — 3° Sciences (conditions de production,
méthodes
, résultats). — 4° Philosophie et morale (concepti
ce de public pour lequel on travaille. A ce titre il dépendrait de la
méthode
d’exposition ; mais il faudrait un trop long déve
tableau donné plus haut. L’opération ne présente aucune difficulté de
méthode
pour toutes les espèces de faits qui se présenten
uteux qu’il puisse devenir un procédé scientifique. Il n’y a guère de
méthode
sûre pour résumer le caractère d’un homme, même v
ions, de groupes humains, d’événements). On en détermine — suivant la
méthode
indiquée plus haut — les caractères propres, l’ét
s successifs pour voir ceux qui se retrouvent toujours ensemble. La «
méthode
comparative » a été essayée sous plusieurs formes
a proposé (en Angleterre) de préciser la comparaison en appliquant la
méthode
« statistique » ; il s’agirait de comparer systém
es conditions où se sont produits les faits. On pourrait imaginer une
méthode
plus concrète qui, au lieu de fragments, comparer
que en histoire. Il faut donc renoncer à atteindre les causes par une
méthode
directe, comme dans les autres sciences. En fait
capables, quand ils écrivent pour le public, d’atteintes graves à la
méthode
scientifique. Les Allemands sont coutumiers du fa
e raisonnements par analogie. Cette nécessité impose à l’histoire une
méthode
exceptionnelle. Pour construire ses raisonnements
à des synthèses plus vastes, s’accordent à travailler d’après la même
méthode
, de sorte que les résultats de chacun puissent êt
le ; et elle l’est par plusieurs moyens. — D’abord, la pratique de la
méthode
historique d’investigation, dont les principes so
peser sur leur enseignement, et en ont profité pour expérimenter des
méthodes
nouvelles. Une pédagogie historique est née. Elle
moins zélés et moins intelligents ; la routine des parents oppose aux
méthodes
nouvelles une force d’inertie inconnue dans les F
— Cf. le Moyen Age, X (1897), p. 91 : « Ces livres-là [les traités de
méthode
historique] ne sont guère lus de ceux auxquels il
truments de travail et la manière de s’en servir, sans compter que la
méthode
historique est la même que celle des autres scien
elle consiste… » 6. C’est sans doute en vertu de ce principe que la
méthode
historique s’enseigne seulement par l’exemple, qu
t voilà tout ». Conclusion : Freeman « enseignait mieux sans doute la
méthode
historique par la pratique qu’il n’a réussi à le
nal pour aborder les vrais problèmes sont ceux de Lenglet du Fresnoy (
Méthode
pour étudier l’histoire, Paris, 1713) et de J. M.
énieuses, les plus topiques ; et de la portée la plus générale sur la
méthode
des sciences historiques, ont été formulées jusqu
e critique, fondée, à Paris, en 1867, « pour imposer le respect de la
méthode
, pour exécuter les mauvais livres, pour réprimer
1859. 18. Ce qui a été publié de mieux, jusqu’ici en français sur la
méthode
historique est une brochure de MM. Ch. et V. Mort
ents écrits. 61. Pour le détail et la justification logique de cette
méthode
voir Ch. Seignobos, Les conditions psychologiques
ue rigoureusement précise. Au contraire, le « témoin » a observé sans
méthode
et rédigé dans une langue sans rigueur : on ignor
storique est de se présenter comme le résultat d’un travail fait sans
méthode
et sans garantie. 63. Voir B. Lasch, Das Erwach
siper des obscurités dans les documents les plus modernes par la même
méthode
qui sert à restituer les textes anciens. 67. Sur
135. Fustel de Coulanges explique très clairement le danger de cette
méthode
. « Quelques érudits commencent par se faire une
prit… Mettre ses idées personnelles dans l’étude des textes, c’est la
méthode
subjective. On croit regarder un objet, et c’est
rticulière suivant l’opinion antérieure qu’on s’en était faite. Cette
méthode
subjective est ce qui a jeté le plus de trouble d
Voir dans la Revue des questions historiques, 1887, t. I, la leçon de
méthode
, De l’analyse des textes historiques, donnée à pr
orique) ; on y verra que Fustel lui-même n’a pas toujours pratiqué la
méthode
qu’il recommande. 136. Cf. ci-dessus, p. 80. 1
utique, à laquelle E. Bernheim s’est contenté de se référer. 145. La
méthode
pour extraire des conceptions les renseignements
oduite que par la concordance entre des observations obtenues par des
méthodes
différentes ; elle se trouve au point de croiseme
e deux observations. 179. Nous n’indiquons ici que le principe de la
méthode
de confirmation ; les applications exigeraient un
. c., I, p. IV. 203. Il a été parlé plus haut, p. 114, de ce vice de
méthode
. 204. La discussion de cet argument, fort employ
tion de la vie d’un personnage. 208. Sur la statistique, qui est une
méthode
aujourd’hui constituée, on trouvera un bon résumé
Valéry, Paul (1871-1945) [Bibliographie] Introduction à la
méthode
de Léonard de Vinci (1895). — Poèmes (dans les Je
le Mercure de France, on voit son nom au bas d’études dont le titre «
Méthodes
» est significatif des abstractions et spéculatio
éfinir, car elles semblent se fonder sur une confusion préméditée des
méthodes
des sciences exactes et des instincts artistiques
l’objet d’aucune publication de la part de leur auteur, et seules les
méthodes
données au Mercure de France par M. Paul Valéry d
A. Notions préliminaires Leçon 1 Objet et
méthode
de la philosophie Qu’est ce que la philosophie
sophique. Tantôt il procède par analyse ; il se rapproche alors de la
méthode
mathématique. Ce genre d’esprit consiste à prendr
occuper si elle juge cette hypothèse nécessaire. Leçon 2 Objet et
méthode
de la philosophie (suite) Le but de la philoso
hilosophie procédera-t-elle à cette étude ? En un mot, quelle sera sa
méthode
? Cela reste encore à déterminer. Les différents
t formée une école, l’école éclectique, qui soutient que la meilleure
méthode
serait de concilier les différents systèmes. Cett
c Victor Cousin. Ce célèbre philosophe en a donné les principes et la
méthode
, qui d’ailleurs n’a jamais encore été employée d’
tif, qui marque bien les rapports des deux critériums proposés. Cette
méthode
soumet donc entièrement la philosophie au sens co
donc encore tout un travail que de les réunir, travail pour lequel la
méthode
n’est même pas encore fixée. L’éclectisme ne saur
une philosophie complète. Puisque l’éclectisme ne donne pas la vraie
méthode
de la philosophie, où la trouverons-nous donc ? U
trouverons-nous donc ? Une autre école, l’école idéaliste, propose la
méthode
déductive ou a priori. Il faut chercher, dit-elle
sont contenues. — Spinoza a donné l’exemple le plus frappant de cette
méthode
. Son ouvrage est écrit avec tout l’appareil mathé
’appareil mathématique : définitions, théorèmes, corollaires, etc. La
méthode
a été reprise depuis par Fichte, Schelling, Hegel
hilosophes n’ont plus employé la forme mathématique de Spinoza. Cette
méthode
a un grave défaut. C’est de mettre l’expérience a
grave défaut. C’est de mettre l’expérience absolument en dehors de la
méthode
philosophique. Dans les sciences, il faut expliqu
unes des autres sans s’inquiéter si elles cadrent avec la réalité. La
méthode
déductive peut convenir au mathématicien, qui tra
Les faits ne s’inventent pas. Il faut les observer et les étudier. La
méthode
idéaliste qui prétend supprimer les faits et rais
ier, doit donc être écartée comme trop exclusive. La critique de la
méthode
déductive nous montre que l’étude des faits eux-m
nécessaire à la philosophie. Mais fait-elle toute la philosophie ? La
méthode
qui prétendrait que toute connaissance provient d
rouver ce qu’on appelle une hypothèse. Ceci nous amène à la véritable
méthode
philosophique : cette loi que l’observation ne po
rifier : c’est là que se produit l’opération caractéristique de cette
méthode
: l’expérimentation. Expérimenter, c’est observer
thèse de la gravitation, des fluides électriques, etc.). La véritable
méthode
philosophique est donc la méthode expérimentale q
es électriques, etc.). La véritable méthode philosophique est donc la
méthode
expérimentale qui comprend trois parties : 1. obs
. vérification par l’expérimentation des hypothèses inventées Cette
méthode
tient le milieu entre les méthodes déductive et e
on des hypothèses inventées Cette méthode tient le milieu entre les
méthodes
déductive et empirique. D’après les idéalistes, l
l’esprit est tout. D’après les empiriques, l’observation est tout. La
méthode
expérimentale, contrairement aux idéalistes, comm
nent donc le premier et le dernier mot, mais l’esprit est l’âme de la
méthode
. C’est l’esprit qui crée, qui invente, mais à con
poser l’esprit pour pouvoir aborder l’étude de cet objet composent la
méthode
. La troisième condition à remplir pour une scienc
troisième condition à remplir pour une science c’est donc d’avoir une
méthode
pour étudier l’objet. Au moyen de ces principes,
de condition est donc également remplie. — Enfin, la philosophie a sa
méthode
, la méthode expérimentale : elle remplit donc les
est donc également remplie. — Enfin, la philosophie a sa méthode, la
méthode
expérimentale : elle remplit donc les trois condi
différentes sciences. Elle cherche en un mot quelle est la meilleure
méthode
pour chaque science particulière. C’est même là l
la morale 4. la métaphysique B. Psychologie Leçon 5 Objet et
méthode
de la psychologie Nous avons déjà défini l’obj
donc pas lien de les confondre. Comme de toutes les explications, la
méthode
mathématique est celle qui convient le mieux à l’
sensations s’additionnent, et ne se combinent pas ? Le principe de la
méthode
est la mesurabilité des sensations : on ne saurai
établie en fonction d’elle. On a fait encore une autre objection à la
méthode
psycho-physique : elle méconnaît les conditions p
et différemment, suivant les circonstances et les individus. En bonne
méthode
, il aurait donc fallu en tenir compte, et établir
ysiologique, puis entre les phénomènes physiologique et psychique. La
méthode
psychophysique, pour toutes ces raisons ne peut ê
dier les états de conscience en eux-mêmes et pour eux-mêmes. La seule
méthode
qui convienne à cette science est l’observation p
cette science est l’observation par le moyen de la conscience. Cette
méthode
a pourtant été critiquée : On a dit que ce genre
, ce qui est impossible. Troisième objection : fut-elle facile, cette
méthode
ne peut donner de résultat scientifique. Par elle
nque donc de généralité, n’a de vérité que dans le particulier. Cette
méthode
réduirait la psychologie à n’être qu’une collecti
ui nous touchent de plus près. L’histoire ne peut donc donner à notre
méthode
d’observation qu’un complément. Leçon 6 Théori
Nous connaissons l’objet de la psychologie, nous en connaissons la
méthode
: il ne nous reste plus qu’à l’appliquer à l’obje
ce que l’on appelle une inclination. De cette définition résulte une
méthode
pour classer les inclinations : autant il y aura
t quelque chose en dehors du moi. Nous nous servirons pour cela d’une
méthode
inductive. Nous avons une sensation : il faut en
émontré qu’il y a quelque chose d’extérieur à nous. Voici une autre
méthode
que l’on peut également employer pour cette démon
n’est donc la cause de D. La cause de D est donc extérieure. Les deux
méthodes
employées nous amènent à un même but résultant :
allons donc employer pour étudier l’origine de l’idée de moi la même
méthode
qui nous a déjà servi. Toute idée est construite
peuvent servir à cela, nous ne voyons que les états de conscience. La
méthode
consisterait donc à dégager des états de conscien
dée qui ressorte de tout ce cours, c’est précisément que la meilleure
méthode
à suivre est de rechercher les différences, et de
’ailleurs en logique la théorie du raisonnement. Leçon 30 Objet et
méthode
de l’esthétique Nous allons intercaler à cet e
se manifeste surtout dans la partie de cette science qui traite de la
méthode
: la logique est là plus que jamais une science a
mortel, Paul, par les cercles H, I, P, la figure suivante, d’après la
méthode
d’Euler : Ce qui montre immédiatement que P est e
ut, mais de marquer un rapport de contenant à contenu. De plus, cette
méthode
montre nettement que le syllogisme est purement f
s qui, en eux-mêmes, sont parfaitement exacts, et qui, figurés par la
méthode
d’Euler, donneraient trois cercles concentriques
té. Comment le déterminer ? Pour cela, Mill dans sa Logique indique 4
méthodes
: de concordance, de différence, des variations c
rdance, de différence, des variations concomitantes, des résidus. 1.
Méthode
de concordance. Si dans tous les cas observés, le
e substance à l’état liquide est donc cause de la cristallisation. 2.
Méthode
de différence. Elle consiste à supprimer la cause
forte présomption. On voit souvent, si l’on n’emploie que cette seule
méthode
, un rapport de causalité là où il n’y a qu’un rap
C’est le sophisme connu sous le nom : post hoc, ergo propter hoc. 3.
Méthode
des variations concomitantes. Elle consiste à fai
a affirmer d’une manière certaine que la chaleur dilate les corps. 4.
Méthode
des résidus. À ces trois méthodes, déjà indiquées
que la chaleur dilate les corps. 4. Méthode des résidus. À ces trois
méthodes
, déjà indiquées par Bacon, Stuart Mill a cru devo
supérieure à 32 pieds, et où l’eau ne monte plus. Leçon 48 De la
méthode
en général La méthode est l’ensemble de procéd
t où l’eau ne monte plus. Leçon 48 De la méthode en général La
méthode
est l’ensemble de procédés que suit l’esprit huma
ment suivant les différents objets à étudier ; en d’autres termes, la
méthode
varie avec chaque espèce de science. Avant d’abor
ents procédés que suit l’esprit pour arriver à la vérité. Il y a deux
méthodes
générales, l’analyse et la synthèse. Il faut défi
ts, car on s’entend difficilement. Condillac entendait par analyse la
méthode
que suit l’esprit quand il décompose un tout donn
n tout donné en ses parties. La synthèse est au contraire pour lui la
méthode
de recomposition. Si je démonte une montre, j’en
mots dans un sens tout différent. Pour cette école, l’analyse est une
méthode
régressive, remontant d’une proposition à démontr
e que l’on arrive à quelque chose de reconnu vrai. La synthèse est la
méthode
inverse ; elle part de la proposition à laquelle
es ; la synthèse, à prouver aux autres ce que l’on sait être vrai. La
méthode
analytique est celle que suit l’esprit inventeur
celle que suit l’esprit inventeur dans la recherche de la vérité ; la
méthode
de synthèse est une méthode « de doctrine » suiva
nteur dans la recherche de la vérité ; la méthode de synthèse est une
méthode
« de doctrine » suivant une expression de Port-Ro
s une signification qu’on ne peut plus leur enlever. L’analyse est la
méthode
que suit l’esprit qui, partant de un ou plusieurs
es posés, développe tout ce qui y est contenu sans rien y ajouter. La
méthode
analytique ne fait donc que nous révéler ce que n
eux droits. La conclusion ne contient pas plus que les prémisses ; la
méthode
est donc analytique. La méthode au contraire est
tient pas plus que les prémisses ; la méthode est donc analytique. La
méthode
au contraire est synthétique quand elle ajoute au
ces deux procédés se suivent et se complètent mutuellement. Ces deux
méthodes
ne peuvent être séparées : elles se supposent réc
si l’analyse ne le développait pas. Voyons maintenant à quoi sert la
méthode
. Sur ce sujet ont été émises les opinions les plu
ience. Il y a exagération à croire que les découvertes sont dues à la
méthode
. Les inventions sont dues à ce qui ne se donne pa
la méthode. Les inventions sont dues à ce qui ne se donne pas par une
méthode
, la force du génie. Celle-ci peut régler cette fo
l’empêcher d’aller au hasard, mais ne la crée pas. Quand bien même la
méthode
serait nécessaire à l’invention, ce qui est vrai,
car il faut avant tout qu’elle soit découverte elle-même et cela sans
méthode
. Mais si la méthode n’est pas suffisante, elle es
ut qu’elle soit découverte elle-même et cela sans méthode. Mais si la
méthode
n’est pas suffisante, elle est indispensable à la
, ce qui est pour l’homme le meilleur moyen d’agir. Leçon 49 De la
méthode
dans les sciences mathématiques Dans la mathém
mathématiques doivent d’abord être inventées, puis démontrées. Toute
méthode
scientifique devra donc se composer de deux parti
syllogisme, qui en est la forme la plus importante. Leçon 50 De la
méthode
dans les sciences physiques La méthode des sci
portante. Leçon 50 De la méthode dans les sciences physiques La
méthode
des sciences physiques comprend deux parties : 1.
e ou l’a traitée avec mépris. Quelques logiciens ont cru que la vraie
méthode
scientifique consistait seulement à observer les
ans rien ajouter à ce que nous donnait l’observation. Pour eux, cette
méthode
est la seule sûre : tout autre risque de nous ind
u nombre de ces détracteurs de l’hypothèse. Il est possible que cette
méthode
soit dangereuse, mais elle est nécessaire. Sans d
jà étudiée. Expérimentation et induction, voilà de quoi se compose la
méthode
de démonstration dans toutes les sciences physiqu
omplète ne peut se séparer de celui d’explication. Leçon 51 De la
méthode
dans les sciences naturelles Le nom de science
ées. Son principe est donc le principe de finalité. Leçon 52 De la
méthode
dans les sciences morales Les sciences morales
i s’occupent spécialement de l’esprit humain. Examinons quelle est la
méthode
de ces sciences. On distingue quatre espèces de s
riques. Nous avons déjà traité au début de ce cours la question de la
méthode
en philosophie. Nous allons voir maintenant la mé
question de la méthode en philosophie. Nous allons voir maintenant la
méthode
des sciences sociales. On compte trois sorts de s
eure forme que puissent prendre les sociétés humaines. Quelle sera la
méthode
en politique ? On l’a souvent traitée more geomet
nsi, par exemple, a fait Platon dans sa République. Aujourd’hui cette
méthode
est abandonnée ; l’observation et l’expérimentati
une manière abstraite les rapports entre les intérêts humains : cette
méthode
est maintenant abandonnée. On cherche ces rapport
elles pratiquent particulièrement, comme les sciences naturelles, la
méthode
qui recherche les analogies sous les différences.
méthode qui recherche les analogies sous les différences. C’est cette
méthode
qui a produit la science qu’on appelle Philologie
s’établit sur la démonstration, non sur l’autorité. Leçon 53 De la
méthode
dans les sciences historiques L’histoire a pou
l’intérêt, parvenait donc à recommander une vie assez élevée. Mais sa
méthode
conservait bien de l’arbitraire. Il n’est pas fac
réalise le second progrès. Il montre, par la simple application de sa
méthode
, que les plaisirs les plus avantageux sont ceux q
est comme il le dit lui-même, moins une différence de doctrine que de
méthode
. Il reproche à son prédécesseur de procéder d’une
). Au lieu de procéder empiriquement, Spencer cherche à procéder avec
méthode
, comme dans les sciences physiques : il cherche q
nt mauvais. Cela dépend de l’hérédité, des circonstances. De plus, la
méthode
d’abstention ne donnant à l’enfant ni éducation,
ous ne pouvons que l’admirer. Leçon 68 Résumé de la morale Deux
méthodes
exclusives ont été successivement employées en mo
d’une activité idéale hypothétique, non de l’homme tel qu’il est. La
méthode
que nous avons suivie est à la fois déductive et
traiter les questions touchant à l’âme et à Dieu. Pour cela voici la
méthode
que nous suivrons, méthode que nous est indiquée
hant à l’âme et à Dieu. Pour cela voici la méthode que nous suivrons,
méthode
que nous est indiquée par la façon même dont nous
et ne rien admettre qui ne soit nécessaire à leur explication. Notre
méthode
ne sera donc pas purement a priori, puisqu’elle p
aractères contradictoires. Ces trois arguments procèdent d’une même
méthode
, comme on voit ; elle est ainsi analogue à celle
démonstration repose donc sur ce postulat qui est le fondement de la
méthode
cartésienne : Deux concepts qui peuvent être conç
ments peuvent être ramenés à trois principaux : 1. Il est d’une bonne
méthode
scientifique de ne pas multiplier inutilement les
nsée, et l’on a fait voir, en étudiant le cerveau et la pensée par la
méthode
des variations concomitantes, que l’un était caus
l’existence, c’est-à-dire ses qualités ou attributs. Pour cela, deux
méthodes
s’offrent : la première procède par analogie et a
idée que nous avons déjà réfutée. Nous ne pouvons donc admettre cette
méthode
. La seconde consiste à partir de la définition de
onditions des attributs que lui prête cette définition, cette seconde
méthode
est une simple déduction, c’est elle que nous sui
ni avenir. Attributs moraux C’est ici qu’on emploie surtout la
méthode
d’analogie, par une sorte d’anthropomorphisme qui
ne sensibilité, une intelligence, une volonté. Tout en rejetant cette
méthode
, la déduction ne peut pas nous servir ; la notion
réfuter, à distinguer, à argumenter. Il a la finesse, la patience, la
méthode
et la sagacité d’un légiste. — Très-bien, voilà q
, sa matière réelle, son domaine distinct, son importance visible, sa
méthode
propre et son avenir certain. II Ceci posé,
n. Or, pour établir ces liaisons expérimentales, Mill découvre quatre
méthodes
, et quatre méthodes seulement : celle des concord
ces liaisons expérimentales, Mill découvre quatre méthodes, et quatre
méthodes
seulement : celle des concordances22, celle des d
formules, un fait sera plus clair. En voici un : vous allez voir les
méthodes
en exercice ; il y a un exemple qui les rassemble
il est plus froid que l’air.28 Voilà une application complète de la
méthode
de concordance : elle établit une liaison invaria
outes les deux les effets de quelque chose d’autre ? Sur ce point, la
méthode
de concordance ne nous fournit aucune lumière. No
dance ne nous fournit aucune lumière. Nous devons avoir recours à une
méthode
plus puissante : nous devons varier les circonsta
a rosée manque ; car une des conditions nécessaires pour appliquer la
méthode
de différence, c’est de comparer des cas où le ph
ns donc à démêler cette circonstance, et pour cela employons la seule
méthode
possible, celle des variations concomitantes. Dan
plus possible l’état de sa surface (ce qui est un nouvel emploi de la
méthode
des variations concomitantes), et une nouvelle éc
tion de la théorie se tire de l’expérience directe pratiquée selon la
méthode
de différence. Nous pouvons, en refroidissant la
suit et doit suivre : expérience naturelle conforme aux règles de la
méthode
de différence. »36 IX Ce ne sont pas là t
t par un concours de causes, ne peut être divisé en ses éléments. Les
méthodes
d’isolement sont alors impraticables. Nous ne pou
dire supprimer le mouvement donné et le remplacer par d’autres. Ni la
méthode
de concordance ou de différence, ni la méthode de
er par d’autres. Ni la méthode de concordance ou de différence, ni la
méthode
des résidus ou des variations concomitantes, qui
’obstacle, et c’est ici qu’apparaît la dernière clef de la nature, la
méthode
de déduction. Nous quittons le phénomène, nous no
effectivement les causes des mouvements planétaires. « C’est à cette
méthode
, dit Mill, que l’esprit humain doit ses plus gran
e son imperfection. X Que si nous comparons maintenant les deux
méthodes
, leur opportunité, leur office, leur domaine, nou
corps célestes et les révolutions de l’enveloppe terrestre. Quand la
méthode
convenable n’est pas employée, la science s’arrêt
méthode convenable n’est pas employée, la science s’arrête ; quand la
méthode
convenable est pratiquée, la science marche. Là e
l’induction ; qui a établi le but, les bornes, les provinces, et les
méthodes
de la science ; qui dans la nature et dans la sci
l’antécédent invariable de la cristallisation. Voilà un exemple de la
méthode
de concordance : sa règle fondamentale est que «
des antécédents invariables de la suffocation. Voilà un exemple de la
méthode
de différence ; sa règle fondamentale est que « s
t dans le calcul le rendit parfaitement exact. Voilà un exemple de la
méthode
des résidus. Sa règle est que « si l’on retranche
ue le second fait est l’antécédent du premier. Voilà un exemple de la
méthode
des variations concomitantes : sa règle fondament
est une cause ou un effet direct ou indirect du second. » 26. « La
méthode
de différence, dit Mill, a pour fondement, que to
t ce qui ne saurait être éliminé est lié au phénomène par une loi. La
méthode
de concordance a pour fondement, que tout ce qui
qui peut être éliminé n’est point lié au phénomène par une loi. » La
méthode
des résidus est un cas de la méthode de différenc
é au phénomène par une loi. » La méthode des résidus est un cas de la
méthode
de différence ; la méthode des variations concomi
» La méthode des résidus est un cas de la méthode de différence ; la
méthode
des variations concomitantes en est un autre cas,
respiration, de l’empoisonnement, etc. Il y a un livre entier sur la
méthode
des sciences morales ; je ne connais pas de meill
excellents volumes qui divulguent, aux yeux de tous, les fruits de sa
méthode
et de ses recherches ; une entreprise ainsi produ
actérisé, un maître très à part en critique, et, pour ainsi dire, une
méthode
en action. Au milieu de tant d’influences à fraca
une méthode en action. Au milieu de tant d’influences à fracas et de
méthodes
plutôt subversives, il nous paraît bon d’insister
les plus directes qui ont de bonne heure pénétré dans le talent et la
méthode
critique de M. Ampère, il est juste pourtant de d
emps gallo-romains, il vise au cœur des époques toutes françaises. La
méthode
de M. Ampère, qui reprend les choses dès l’origin
d de coup-d’œil ou de réminiscence, et comme à la volée. Pour lui, sa
méthode
est sûre ; elle est lente, mais inévitable ; il d
illonnement, si cela était conciliable avec la précise exactitude. La
méthode
d’exécution reste subordonnée chez M. Ampère à ce
j’indique seulement, sans prétendre y insister, est celle-ci : Toute
méthode
, même la plus naturelle et la plus vraie, n’est q
Toute méthode, même la plus naturelle et la plus vraie, n’est qu’une
méthode
, et elle a ses bornes. On rencontre dans l’histoi
xiie siècle. Son ouvrage est tout original, puisé aux sources, d’une
méthode
et de résultats qui ne sont qu’à lui. Il suffit,
des auteurs qui étaient peut-être morts de leur vivant. Mais c’est la
méthode
de tous les bibliothécaires171. Il suffit même qu
i, Prévost avait raison ; échappé lui-même des Bénédictins et de leur
méthode
, il en parlait pertinemment. Ces religieux estima
opinions de la critique, avant d’en dire davantage. Supposons que ma
méthode
soit juste, dans ses grandes lignes ; jusqu’ici j
as, dans ces conclusions, le « pourquoi » psychologique de la loi, ma
méthode
ne serait qu’une classification nouvelle, plus ou
e mission. Ces conclusions ont pour objet de préciser la portée de ma
méthode
et aussi de légitimer cette méthode, non plus par
objet de préciser la portée de ma méthode et aussi de légitimer cette
méthode
, non plus par un groupement de faits, mais par la
montré, dans l’ensemble et dans quelques cas particuliers, ce que ma
méthode
apporte à l’histoire littéraire. C’est un critère
ne seront que des rappels rapides. — Quant aux conséquences de cette
méthode
pour l’esthétique littéraire, j’ai déjà dit que j
œuvre littéraire. — Il me reste donc à exposer les conséquences de ma
méthode
pour la vie totale. Je sens vivement les difficul
érence n’importe guère pour le moment. L’essentiel, c’est d’avoir une
méthode
pour constater ce rythme ; c’est de savoir que no
cette vénération, si l’homme conscient est supérieur à la bête, cette
méthode
est juste. Tous ceux-là le reconnaîtront, qui est
’attribut de l’homme, c’est la pensée. D’ailleurs, quelle que soit la
méthode
, on aboutit toujours en dernière ligne à quelque
omme des différences dont on aimerait savoir les causes profondes. La
méthode
positiviste a cru trouver ces causes, et toute bi
science plus grande ; mais s’il est d’un ordre différent, c’est notre
méthode
d’investigation qu’il faut compléter. Dans la réa
onnaîtra mieux aussi l’ascension de la vie et la mission du poète. La
méthode
que j’ai exposée ici ne fait point fi des influen
n déterminisme inexorable et niveleur. Le voilà rassuré, j’espère. Ma
méthode
n’admet qu’un déterminisme limité, ou, plus exact
est antérieure à la science qui ne fait que s’en servir avec plus de
méthode
. L’homme ne peut pas vivre au milieu des choses s
es idées aux choses, non des choses aux idées. Il est clair que cette
méthode
ne saurait donner de résultats objectifs. Ces not
l’astrologie de l’astronomie. C’est par elle que Bacon caractérise la
méthode
que suivaient les savants de son temps et qu’il c
montrer que, dans chacun des problèmes particuliers qu’il aborde, sa
méthode
reste la même. Aussi, quoiqu’il affecte de procéd
erté politique, la démocratie, le socialisme, le communisme, etc., la
méthode
voudrait donc que l’on s’interdît tout usage de c
ous ne nous apercevons pas que nous continuons à appliquer cette même
méthode
à l’ordre de phénomènes qui le comporte moins que
eulement dans les problèmes les plus généraux de la science que cette
méthode
est suivie ; elle reste la même dans les question
, celle de la valeur, est manifestement construite d’après cette même
méthode
. Si la valeur y était étudiée comme une réalité d
des phénomènes psychologiques tout en continuant à leur appliquer une
méthode
purement idéologique. En effet, les empiristes, n
plie en ce genre d’études. Tous les procédés particuliers, toutes les
méthodes
nouvelles dont on a enrichi cette science ne sont
conséquent, il est permis de croire que, du jour où ce principe de la
méthode
sociologique sera unanimement reconnu et pratiqué
e nous avons dit précédemment. Elle est, d’ailleurs, la base de toute
méthode
scientifique. Le doute méthodique de Descartes n’
oncepts scientifiquement élaborés, c’est-à-dire construits d’après la
méthode
qu’il institue ; tous ceux qu’il tient d’une autr
famille patriarcale, on commencera par les définir et d’après la même
méthode
. L’objet de chaque problème, qu’il soit général o
tout le droit pénal des sociétés antérieures. C’est la même faute de
méthode
qui fait que certains observateurs refusent aux s
premières marques vers le temps où Descartes, dans son Discours de la
méthode
, faisait voir les plus beaux fruits du sien. Mais
e de vingt-quatre ans, Pascal ne dût être occupé des travaux et de la
méthode
de Descartes, et qu’il n’en eût senti l’influence
scartes. Ces objections, qui d’ailleurs ne touchent pas le fond de la
méthode
, font dire à Descartes « qu’il se réjouit de ce q
tration cartésienne de l’existence de Dieu et de l’âme, et quant à la
méthode
générale pour la recherche de la vérité et la com
tait rangé38. Ce fut la plus illustre marque de l’excellence de cette
méthode
, qu’un homme de génie, Pascal, n’y trouva rien à
uer à la recherche de vérités d’un autre ordre, les procédés de cette
méthode
: la nécessité du doute provisoire pour arriver à
gue du faux ; la raison comme seul juge de l’évidence. Enfin, avec la
méthode
de Descartes, Pascal continua les habitudes d’esp
cipes de l’Art de persuader, dans Pascal, sont ceux du Discours de la
méthode
dans Descartes, et plus particulièrement des Règl
onnêtes gens remplaçant l’art des gens habiles : l’emploi d’une telle
méthode
est le commencement de la vertu. A cet égard, Des
erche et la démonstration de tous les ordres de vérités, a fait de la
méthode
de Descartes une loi de l’esprit français. On ne
bé la sévérité sons les grâces et la légèreté de l’exécution. La même
méthode
sert à convaincre et à plaire ; et quand on remon
les siècles, mais comme une vérité évidente. On vit, chose inouïe, la
méthode
de Descartes appliquée à la démonstration de la f
sur lui, et qui regardent s’il ne va pas être contredit par sa propre
méthode
. Mais pour lui, dût-il s’avouer à lui-même que sa
t aux Provinciales, et qu’y trouvons-nous qui nous soit conforme ? La
méthode
, qui est comme une première vérité générale et ét
nt avec éclat ces trois grandes qualités des écrits durables. Pour la
méthode
, qui consiste à proportionner chaque lettre au su
aucun ouvrage ne surpasse les Provinciales. Si, de plus, on entend la
méthode
dans le sens cartésien, où trouver une plus belle
estables ; c’est cette rigueur géométrique que veut Descartes dans sa
Méthode
, Pascal dans son Art de persuader. La méthode des
veut Descartes dans sa Méthode, Pascal dans son Art de persuader. La
méthode
des Provinciales y rend tout vraisemblable ; on s
expérimental Dans mes études littéraires, j’ai souvent parlé de la
méthode
expérimentale appliquée au roman et au drame. Le
périmental. Je n’aurai à faire ici qu’un travail d’adaptation, car la
méthode
expérimentale a été établie avec une force et une
ant peu à peu de l’empirisme pour se fixer dans la vérité, grâce à la
méthode
expérimentale. Claude Bernard démontre que cette
, grâce à la méthode expérimentale. Claude Bernard démontre que cette
méthode
appliquée dans l’étude des corps bruts, dans la c
logie et en médecine. Je vais tâcher de prouver à mon tour que, si la
méthode
expérimentale conduit à la connaissance de la vie
la voie scientifique en s’appuyant sur la physiologie, et grâce à la
méthode
expérimentale, établit d’abord les différences qu
le de l’existence ou de la manifestation des phénomènes. Le but de la
méthode
expérimentale, le terme de toute recherche scient
ience n’est au fond qu’une observation provoquée. Je cite : « Dans la
méthode
expérimentale, la recherche des faits, c’est-à-di
ter les résultats acquis, je désire simplement exposer clairement une
méthode
. Si le romancier expérimental marche encore à tât
nt il agit dans telle circonstance, et en un mot, nous recourons à la
méthode
expérimentale. » Tout ce que j’ai avancé plus hau
e première clarté jaillit, lorsqu’on se place à ce point de vue de la
méthode
expérimentale appliquée dans le roman, avec toute
tituer une œuvre d’art quelconque. Eh bien ! avec l’application de la
méthode
expérimentale au roman, toute querelle cesse. L’i
, sans sortir de la nature, lorsque nous employons dans nos romans la
méthode
expérimentale. Si l’on se reporte à cette définit
la nature. » C’est sur cette idée et sur le doute qu’il base toute la
méthode
. « L’apparition de l’idée expérimentale, dit-il p
insi donc, au lieu d’enfermer le romancier dans des liens étroits, la
méthode
expérimentale le laisse à toute son intelligence
yser les faits et s’en rendre les maîtres. II Telle est donc la
méthode
expérimentale. Mais on a nié longtemps que cette
est donc la méthode expérimentale. Mais on a nié longtemps que cette
méthode
pût être appliquée aux corps vivants. C’est ici l
Claude Bernard. Le raisonnement sera ensuite des plus simples : si la
méthode
expérimentale a pu être portée de la chimie et de
ux des sciences physico-chimiques. En effet, le but que se propose la
méthode
expérimentale est le même partout ; il consiste à
s de la science. Au siècle dernier, une application plus exacte de la
méthode
expérimentale, crée la chimie et la physique, qui
rter dans nos études de la nature et de l’homme l’outil décisif de la
méthode
expérimentale. En un mot, nous devons opérer sur
mènes humains. Dès lors, l’investigation est un devoir. Nous avons la
méthode
, nous devons aller en avant, si même une vie enti
us pousser à des études exactes, du moment que nous avons l’outil, la
méthode
expérimentale, et que notre but est très net, con
donne aussi une importance considérable au milieu. Il faudrait sur la
méthode
aborder les théories de Darwin ; mais ceci n’est
rs, Claude Bernard confesse combien est difficile l’application de la
méthode
expérimentale aux êtres vivants. « Le corps vivan
s même que des phénomènes spéciaux se produisent, l’application de la
méthode
expérimentale reste rigoureuse. « Si les phénomèn
ons et par leurs lois spéciales, elles ne s’en distinguent pas par la
méthode
scientifique. » Il me faut dire encore un mot de
la grande question d’application et de morale. III Le but de la
méthode
expérimentale, en physiologie et en médecine, est
u romancier qui applique à l’étude naturelle et sociale de l’homme la
méthode
expérimentale. Notre but est le leur ; nous voulo
e diminuer et à refouler l’indéterminisme, à mesure qu’à l’aide de la
méthode
expérimentale il gagne du terrain sur le détermin
rminisme des phénomènes est posée comme le principe fondamental de la
méthode
expérimentale, il n’y a plus ni matérialisme, ni
use prochaine. » Ceci est décisif. Nous ne faisons qu’appliquer cette
méthode
dans nos romans, et nous sommes donc des détermin
littérature elle-même ne deviendrait-elle pas une science, grâce à la
méthode
expérimentale ? Il faut remarquer que tout se tie
ménale. C’est ainsi qu’apparut, par le progrès naturel des choses, la
méthode
expérimentale qui résume tout et qui s’appuie suc
aison, l’expérience. Dans la recherche de la vérité au moyen de cette
méthode
, le sentiment a toujours l’initiative, il engendr
hors du style. Du moment où le sentiment est le point de départ de la
méthode
expérimentale, où la raison intervient ensuite po
’expérimentateur domine tout ; et c’est d’ailleurs ce qui fait que la
méthode
expérimentale, inerte en d’autres mains, est deve
ssant entre les mains de Claude Bernard. Je viens de dire le mot : la
méthode
n’est qu’un outil ; c’est l’ouvrier, c’est l’idée
. Comme le dit encore Claude Bernard : « L’idée, c’est la graine ; la
méthode
, c’est le sol qui lui fournit les conditions de s
fruits suivant la nature. » Tout se réduit ensuite à une question de
méthode
. Si vous restez dans l’idée a priori, et dans le
à ses sentiments représentaient aussi la réalité. D’où il suit que la
méthode
expérimentale n’est point primitive et naturelle
it nous inspirer que le désir de le percer, de l’expliquer, grâce aux
méthodes
scientifiques. Et il ne s’agit pas seulement des
ès bien, quand il écrit : « Les sciences possèdent chacune, sinon une
méthode
propre, au moins des procédés spéciaux, et de plu
e. Voilà comment nous avons été amenés à appliquer à notre besogne la
méthode
expérimentale, du jour où cette méthode est deven
appliquer à notre besogne la méthode expérimentale, du jour où cette
méthode
est devenue l’outil le plus puissant de l’investi
Si l’on arrive un jour à le connaître, ce sera sans doute grâce à la
méthode
, et le mieux est donc de commencer par le commenc
en avant, rien de plus ; et notre seule force véritable est, dans la
méthode
. Claude Bernard, après avoir confessé que la méde
tendre en cherchant dès aujourd’hui à introduire dans la médecine la
méthode
qui doit nous y conduire. » Tout cela, je ne me
sme, et elle en sortira de même que toutes les autres sciences par la
méthode
expérimentale. Cette conviction profonde soutient
scarlatine, qui croient tirer de là un argument contre l’emploi de la
méthode
expérimentale en médecine. Ces objections découra
êmes paroles, donné les mêmes conseils, et je les répéterai ici. « La
méthode
expérimentale peut seule faire sortir le roman de
u’il faut bien préciser surtout, c’est le caractère impersonnel de la
méthode
. On reprochait à Claude Bernard d’affecter des al
chais simplement, dans mes romans et dans ma critique, d’appliquer la
méthode
scientifique, depuis longtemps en usage. Mais nat
plus d’autorité, et peut-être le croira-t-on. « La révolution que la
méthode
expérimentale, écrit-il, a opérée dans les scienc
n critérium scientifique à l’autorité personnelle. Le caractère de la
méthode
expérimentale est de ne relever que d’elle-même,
e pour l’adapter à la théorie. » De là une largeur incomparable. « La
méthode
expérimentale est la méthode scientifique qui pro
. » De là une largeur incomparable. « La méthode expérimentale est la
méthode
scientifique qui proclame la liberté de la pensée
e le romantisme, qu’il consistait simplement dans l’application de la
méthode
expérimentale à l’étude de la nature et de l’homm
il est aussi dans la forme, dans le style. Seulement, la question de
méthode
et la question de rhétorique sont distinctes. Et
tes. Et le naturalisme, je le dis encore, consiste uniquement dans la
méthode
expérimentale, dans l’observation et l’expérience
e. La rhétorique, pour le moment, n’a donc rien à voir ici. Fixons la
méthode
, qui doit être commune, puis acceptons dans les l
ceci dépasserait les limites de cette étude. Au fond, j’estime que la
méthode
atteint la forme elle-même, qu’un langage n’est q
et préparer l’état scientifique, qui s’établit en dernier lieu par la
méthode
expérimentale. L’homme a commencé par risquer cer
lé que du roman expérimental, mais je suis fermement convaincu que la
méthode
, après avoir triomphé dans l’histoire et dans la
’être philosophique. En somme, tout se résume dans ce grand fait : la
méthode
expérimentale, aussi bien dans les lettres que da
faut que nous soyons des hommes nouveaux, marchant à l’avenir par la
méthode
, par la logique, par l’étude et la possession du
. Elle peut apporter la vérité ou l’erreur, elle est le produit d’une
méthode
et devient fatalement une force qui pousse le siè
y chercher autre chose, des documents humains, des idées nettes, une
méthode
analytique, un système philosophique précis. C’es
ctère essentiel du lyrisme un chant, la pensée humaine échappant à la
méthode
et s’envolant en mots sonores. Aussi peut-on cons
les mots ; les idées du siècle, celles qui le conduisent, ce sont la
méthode
scientifique, l’analyse expérimentale, le natural
l’œuvre de Claude Bernard, le savant qui a mis toute sa force dans la
méthode
expérimentale. Le spectacle est assez curieux pou
ent sur cette question, et en termes excellents. Je cite : « La vraie
méthode
d’investigation, supposant un jugement ferme et s
’homme, on classe les documents, on avance pas à pas, en employant la
méthode
expérimentale et analytique mais on se garde bien
our établir une société meilleure, qui vivra par la logique et par la
méthode
. Du moment où nous sommes la vérité, nous sommes
e. Donc, une fois encore, le naturalisme est purement une formule, la
méthode
analytique et expérimentale. Vous êtes naturalist
tique et expérimentale. Vous êtes naturaliste, si vous employez cette
méthode
, quelle que soit d’ailleurs votre rhétorique. Ste
t de documents humains, de découvrir votre coin de vérité, grâce à la
méthode
. Ici, l’écrivain n’est encore qu’un homme de scie
la victoire. En 1870, au contraire, nous nous sommes brisés contre la
méthode
d’un peuple plus lourd et moins brave que nous, n
r un acte de brusque initiative. Ce qui nous manque ensuite, c’est la
méthode
patiente, l’application logique de la loi formulé
. Les savants se contentent d’avancer pas à pas, en s’appuyant sur la
méthode
expérimentale. Il est certain que je n’ai pas une
e. C’est une éclosion superbe. Un fait domine tout, la création d’une
méthode
. Jusque-là, les savants procédaient comme les poè
t. C’était une révolution, la science se dégageait de l’empirisme, la
méthode
consistait à marcher du connu à l’inconnu. On par
sé, jusqu’à ce qu’on en connût le mécanisme. L’outil était trouvé, la
méthode
allait consolider et élargir toutes les sciences.
les lettres suivre à leur tour les sciences et adopter elles aussi la
méthode
expérimentale. Le grand mouvement philosophique d
iècles dans lesquels l’humanité entre, avec la nature pour base et la
méthode
pour outil. Eh bien ! c’est cette évolution que j
oire. Il semble avoir près le roman pour démontrer la puissance de la
méthode
, l’éclat du vrai, la nouveauté inépuisable des do
des romanciers naturalistes. Si nous avons pris notre solidité, notre
méthode
exacte dans M. Gustave Flaubert, il faut ajouter
rinces littéraires du temps ; ils tiennent la langue, ils tiennent la
méthode
, ils marchent en avant, côte à côte avec la scien
s humains, si vous nous prouvez que nous ne pouvons y porter ni notre
méthode
ni notre outil ? Vraiment ! le théâtre ne vit que
ormule classique me paraît bonne, à la condition qu’on y emploiera la
méthode
scientifique pour étudier la société actuelle, co
la cause première de cette transformation vient de l’application des
méthodes
scientifiques aux lettres, des outils que l’écriv
à son tour et fit de la critique une science. Il réduisit en lois la
méthode
que Sainte-Beuve employait un peu en virtuose. Ce
oduit. Lisez l’étude de M. Taine. Vous verrez le fonctionnement de sa
méthode
. L’œuvre est dans l’homme ; Balzac poursuivi par
là. Eh bien ! nos romanciers naturalistes n’ont eux-mêmes pas d’autre
méthode
. Lorsque M. Taine étudie Balzac, il fait exacteme
rre. Dès lors, peu importe le travail qui va suivre, du moment que la
méthode
de construction employée par le romancier est ide
ant pourtant une large part à l’intuition. Mais, je le dis encore, la
méthode
est la même. Bien plus, c’est là un double effet
le document humain pris sur nature, et ils emploient ensuite la même
méthode
pour arriver à la connaissance et à l’explication
nces possibles des faits qu’on tâche d’établir logiquement d’après la
méthode
. C’est ce roman-là qui est une véritable page de
quement de ce que tous les deux, comme je l’ai déjà dit, emploient la
méthode
naturaliste du siècle. Si nous passions à l’histo
qu’elles froissent notre rhétorique séculaire. Vouloir introduire la
méthode
scientifique dans la littérature paraît d’un igno
’un barbare. Eh ! bon Dieu ! ce n’est pas nous qui introduisons cette
méthode
; elle s’y est bien introduite toute seule, et le
ruit l’ensemble. Que le lecteur, à son tour, sente et réfléchisse. La
méthode
naturaliste est là tout entière. Une œuvre n’est
ai, à des sentiments humains et à une langue logique. Je parle ici de
méthode
, de voie bonne et mauvaise, en sous-entendant tou
rique, lorsque je me suis toujours efforcé d’en faire une question de
méthode
. J’ai appelé naturalisme le large mouvement analy
n débutant. Je les aime parce qu’elles partent toutes deux de la même
méthode
littéraire : l’une dans le rêve, l’autre dans la
rique, qu’il ne consistait pas dans une certaine langue, mais dans la
méthode
scientifique appliquée aux milieux et aux personn
blic s’apercevra, par des exemples, qu’il s’agit d’une formule, d’une
méthode
générale, s’appliquant aussi bien aux duchesses q
nte des sujets choisis. Elle n’est, je le dis une fois encore, que la
méthode
scientifique appliquée dans les lettres. Je repre
de leurs devanciers, mais dans l’application à tous les sujets de la
méthode
scientifique du siècle. J’ajoute qu’il n’y a pas
maîtres, nous ne voulons plus d’école. Ce qui nous groupe, c’est une
méthode
commune d’observation et d’expérience. Je vais pl
des vérités qui ne sont point démontrées. D’ailleurs, la question de
méthode
domine tout. Lorsque M. de Goncourt, lorsque d’au
ers naturalistes surajoutent leur fantaisie au vrai, ils gardent leur
méthode
d’analyse, ils prolongent leur observation au-del
our à la nature, le mouvement scientifique du siècle ; j’ai montré la
méthode
expérimentale portée et appliquée dans toutes les
contente de chercher quelle sera, selon moi, l’influence décisive des
méthodes
scientifiques sur nos analyses littéraires de la
les classes. Je ne vois nulle part qu’ils conseillent d’appliquer la
méthode
naturaliste à tous les personnages, princes ou be
rtaines de ses pages où il a formulé avec une hardiesse tranquille la
méthode
expérimentale que nous mettons en pratique. Puis,
inuateurs, qui, pour moi, conquerront prochainement le théâtre par la
méthode
. À la fin du volume, Sainte-Beuve se lamente enco
ne dédicace, et il ne pénètre pas la véritable force de Balzac, cette
méthode
naturaliste qui va s’imposer. Il porte un jugemen
dément troublés et ne comprenant plus. Lui, appliquait en critique la
méthode
scientifique ; seulement, toute sa nature d’homme
, toute sa nature d’homme ancien se révoltait, lorsqu’il voyait cette
méthode
portée dans le roman, avec une violence révolutio
ique ne vivra pas, selon qu’elle acceptera ou qu’elle rejettera notre
méthode
. La République sera naturaliste ou elle ne sera p
oquent du bon sens, des sciences modernes, de l’analyse exacte, de la
méthode
expérimentale, de ces outils puissants qui sont e
éalisme des poètes, basée sur l’analyse et l’expérience, employant la
méthode
comme outil, se donnant pour but le développement
tiques sont les ouvriers de l’idéal. Il n’y a là qu’une différence de
méthode
et de philosophie littéraires ; seulement, elle e
s naturalistes. Ceux qui veulent la République par la science, par la
méthode
expérimentale, sentent bien que nous marchons ave
te expression, selon moi, sera forcément le naturalisme, j’entends la
méthode
analytique, et expérimentale, l’enquête moderne b
ù éclatent à tout instant une parole et un souffle plus larges que la
méthode
même qui y est proclamée, on croit entendre encor
ement dès 1817. Il a donc raison de revendiquer l’initiative de cette
méthode
de philosophie qu’il combina avec celle de son il
besoin de l’emprunter à personne, l’idée de compléter et d’animer la
méthode
psychologique, celle de l’analyse intérieure, par
i. Dans cette prévention légère on ne tient nul compte de cette autre
méthode
et de cette doctrine d’analyse et de description
il s’appuie. Quand on ne le considérerait, après tout, que comme une
méthode
historique pour aborder l’examen des systèmes de
voyait s’égarant presque aussitôt et ressaisissant seulement la vraie
méthode
au commencement du dernier siècle, mais avec des
e nouvelles et plus solides constructions. » Après avoir essayé cette
méthode
, un peu timidement encore, sur les principaux suc
42
Albalat, Antoine.
(1905)
Les ennemis de l’art d’écrire. Réponse aux objections de MM. F. Brunetière, Emile Faguet, Adolphe Brisson, Rémy de Gourmont, Ernest Charles, G. Lanson, G. Pélissier, Octave Uzanne, Léon Blum, A. Mazel, C. Vergniol, etc…
« II »
téraire, — Les éloges de M. de Gourmont. — M. Pierre Brun et les deux
méthodes
. M. de Gourmont a été, sinon le plus sérieux, du
re, ni art d’écrire, ni travail, ni formation du style, ni vérité, ni
méthode
, ni enseignement. Ne leur parlez de rien, ils n’e
eils artificiels, une rhétorique mécanique, un empirisme suspect, une
méthode
, en un mot, insuffisante à expliquer la sensibili
comme il me l’écrivit en m’envoyant son livre, « un simple conflit de
méthode
». Voici, d’ailleurs, dans quels termes spiritue
eils artificiels, une rhétorique mécanique, un empirisme suspect, une
méthode
, en un mot, insuffisante à expliquer la sensibili
comme il me l’écrivit en m’envoyant son livre, « un simple conflit de
méthode
». Voici, d’ailleurs, dans quels termes spiritue
é. Il est certain que toute science humaine, même quand elle suit une
méthode
sûre, a ses limites et ses impuissances. Il est c
eurs commises par ceux qui ont essayé d’introduire dans l’histoire la
méthode
scientifique. Taine, malgré son incontestable tal
éralisations prématurées ! Seulement, loin d’infirmer la valeur de la
méthode
scientifique, elles en proclament, elles en démon
ême l’existence, puisqu’on ne peut les redresser qu’à l’aide de cette
méthode
. Corriger une erreur, c’est toujours en appeler d
t elle on a complètement ignoré l’existence de l’esprit humain. Cette
méthode
barbare, qui a jusqu’ici régné dans l’établisseme
es Écossais d’une manière que toute école peut admettre ; ainsi de la
méthode
inductive dans Bacon, de la théorie du langage da
re vrai ; mais il ne faut pas confondre l’un des abus possibles d’une
méthode
avec cette méthode elle-même. La méthode est inco
e faut pas confondre l’un des abus possibles d’une méthode avec cette
méthode
elle-même. La méthode est incontestable. Après to
’un des abus possibles d’une méthode avec cette méthode elle-même. La
méthode
est incontestable. Après tout, le premier devoir
les critiques dont l’éclectisme a été l’objet, cette partie de cette
méthode
a définitivement triomphé. Rien de plus ordinaire
t l’expression de Leibniz, dans le fumier de la scolastique. Ainsi la
méthode
éclectique est entrée aujourd’hui dans la philoso
ntestables dus à l’étude de l’histoire de la philosophie ; mais si la
méthode
éclectique est hors de toute contestation sérieus
a trop sacrifié l’expérience, qu’il a trop exagéré la puissance de la
méthode
a priori. On essaye maintenant de le réconcilier
antique : car la vérité ne se mesure pas à la rigueur apparente de la
méthode
, mais au don naturel qui nous la fait sentir et g
e ceux-là, et c’est dans ceux-là que le critique a le mieux exposé sa
méthode
en l’appliquant. Eh bien ! soyons de bonne foi, c
posé sa méthode en l’appliquant. Eh bien ! soyons de bonne foi, cette
méthode
et les résultats obtenus par elle dans ces quatre
qui doivent nous faire trembler, et ne pouvons-nous pas dire de cette
méthode
ce que nous avons dit de l’idée des Études religi
Bauer, cette critique essentiellement ennemie du surnaturel et cette
méthode
qui, de nuance en nuance et d’effacement en effac
es nuances, qu’elle n’est pas ailleurs ; mais avec les procédés de sa
méthode
, les nuances finissent par devenir si fines, qu’e
ue le premier vent de bon sens, s’il vient à souffler, emportera ? La
méthode
que M. Renan n’a point inventée, et qu’il a comme
et qu’il a commencé par appliquer à la théorie du langage, est cette
méthode
connue des Études religieuses dont nous parlons p
on dise des esprits de second ou de troisième degré qui vivent sur sa
méthode
comme le puceron dans sa feuille ? Il y a cependa
s. M. Proudhon avait déjà commencé cette terrible vulgarisation de la
méthode
hégélienne qui doit la ruiner, mais M. Proudhon e
an n’est point l’impuissance d’être clair, c’est la conséquence d’une
méthode
insensée, mais c’est aussi et c’est surtout, ne n
et de venir ainsi à ce qui est votre objet, je dirai un mot de votre
méthode
— méthode dont je comprends qu’elle déroute un ce
ir ainsi à ce qui est votre objet, je dirai un mot de votre méthode —
méthode
dont je comprends qu’elle déroute un certain nomb
ent abstenu. Il craint la contagion. Très légitimement, il tient à sa
méthode
comme l’ouvrier à ses outils. Il l’aime pour elle
enre que ceux qui font l’objet de la science naturelle, tandis que la
méthode
que vous suivez, et que vous êtes obligés de suiv
point ainsi que vous vous y prenez — force vous est de recourir à une
méthode
toute différente, qui tient le milieu entre celle
rement à des lois, et qui devraient alors, semble-t-il, se prêter aux
méthodes
d’observation et d’expérimentation usitées dans l
’entendre sur le caractère de la science moderne. Qu’elle ait créé la
méthode
expérimentale, c’est certain ; mais cela ne veut
dans n’importe quelle direction. En quoi consista la création de la «
méthode
expérimentale » ? À prendre des procédés d’observ
et désorientée. Elle aurait essayé d’appliquer à ce nouvel objet ses
méthodes
habituelles, et elle n’aurait eu sur lui aucune p
bateaux à vapeur. Toutefois, ne disposant pour le moment que de cette
méthode
historique ou critique, elle n’eût pu vaincre le
1695 ; plus savant Théologien qu'habile Littérateur. On a de lui une
Méthode
d'étudier & d'enseigner chrétiennement les Po
nir aux seules matieres de Théologie. On rencontre néanmoins dans ses
Méthodes
quelques bonnes observations ; mais il faut les a
oit pas sa Langue, auroit-il pu ajouter. *. Dans la Préface de sa
Méthode
pour étudier l'Histoire.
urs délicat de hiérarchiser en matière de procédés scientifiques. Une
méthode
vaut surtout en raison de celui qui l’exploite. S
ante partie de notre société. L’usage dominant de l’une ou de l’autre
méthode
chez tel écrivain peut d’ailleurs s’évaluer en ch
e immense et touffue que nous prendrons comme type de cette troisième
méthode
d’investigation médicale. Mais nous devons aupara
réponse brève, une nuance légère de dédain pour l’artificiel de cette
méthode
. « La chevelure électrique de la fille Élisa, c’e
à étaler ses outils, mais surtout emploi restreint chez lui de ladite
méthode
. Ce cas nous semble encore celui de Huysmans, obs
: « Me voilà donc forcé de répéter, une fois de plus, quelle est ma
méthode
de travail. Et j’élargis la question. Il ne s’agi
est tenu d’avoir des connaissances universelles. Pour mon compte, ma
méthode
n’a jamais varié depuis le premier roman que j’ai
en cherchant dans ses œuvres un exemple analysable de cette troisième
méthode
. Nous nous sommes arrêté au cas d’éthylisme chron
gie morale ». Ainsi M. Zola conçut la formule naturaliste comme une «
méthode
scientifique appliquée aux lettres ». « On a plu
eser les uns, ou prend la mesure des autres21. Seulement c’est là une
méthode
bien inférieure à la précédente pour l’exactitude
plus loin encore du résultat qu’on veut obtenir. Gratiolet juge cette
méthode
avec une extrême sévérité. « D’autres, disait-il,
la similitude des langues, des caractères, des industries ! » Cette
méthode
si défectueuse paraît cependant avoir fourni quel
anière de voir, on doit préjuger que Gratiolet était très opposé à la
méthode
qui tendrait à mesurer l’intelligence des hommes,
le poids de leur cerveau. « Quel dommage, dit-il ironiquement, que la
méthode
des pesées soit si incertaine ! Nous aurions des
gmenteraient ainsi la moyenne de la première période. 21. On a trois
méthodes
pour mesurer la capacité des crânes : la première
s le crâne soigneusement bouché, et à peser également l’eau. Ces deux
méthodes
sont très inexactes. La troisième, qui est la mét
’eau. Ces deux méthodes sont très inexactes. La troisième, qui est la
méthode
Morton, d’après le nom du naturaliste américain q
est une conséquence nécessaire de la seule application directe de la
méthode
positive à la question même des classifications,
convenablement appréciée qu’en la considérant aussi par rapport à la
méthode
, au lieu de l’envisager seulement, comme nous ven
résultat nécessaire de nous procurer une connaissance parfaite de la
méthode
positive, qui ne pourrait être obtenue d’aucune a
effectivement hétérogènes, il doit nécessairement en résulter que la
Méthode
positive générale sera constamment modifiée d’une
général, dans la dernière leçon, qu’il est impossible de connaître la
méthode
positive, quand on veut l’étudier séparément de s
me en la choisissant le plus judicieusement possible. Car, quoique la
méthode
soit essentiellement identique dans toutes, chaqu
tion. De même, tel précepte général, qui fait partie intégrante de la
méthode
, a été fourni primitivement par une certaine scie
e choisir la plus parfaite pour avoir un sentiment plus profond de la
méthode
positive. Or, la plus parfaite étant en même temp
s simple, on n’aurait ainsi qu’une connaissance bien incomplète de la
méthode
, puisqu’on n’apprendrait pas quelles modification
ce moment. (5) Je dois néanmoins ici, toujours sous le rapport de la
méthode
, insister spécialement sur le besoin, pour la bie
que et de la chimie, connaissance presque nulle sous le rapport de la
méthode
, puisqu’elle n’a pas été obtenue communément d’un
ncus aujourd’hui qu’il faut étudier les phénomènes sociaux d’après la
méthode
positive. Seulement, ceux qui s’occupent de cette
achant pas et ne pouvant pas savoir exactement en quoi consiste cette
méthode
, faute de l’avoir examinée dans ses applications
humain, elles sont déjà et seront toujours davantage employées comme
méthode
beaucoup plus que comme doctrine directe. (2) Il
inement à la partie vraiment explicative de la science. Quelle est la
méthode
propre de cette dernière ? I La plupart des
nt les intérêts des parents, des enfants et de la société. Mais cette
méthode
confond deux questions très différentes. Faire vo
ause d’un phénomène avant d’essayer d’en déterminer les effets. Cette
méthode
est d’autant plus logique que la première questio
. II Ces deux questions distinguées, il nous faut déterminer la
méthode
d’après laquelle elles doivent être résolues. En
elles doivent être résolues. En même temps qu’elle est finaliste, la
méthode
d’explication généralement suivie par les sociolo
ès textuellement ceux dont se sert Auguste Comte pour caractériser sa
méthode
. « Puisque, dit-il, le phénomène social, conçu en
est vrai que, de l’aveu de Comte, il est impossible d’appliquer cette
méthode
déductive aux périodes plus avancées de l’évoluti
ale, dit Comte, indiquée, même avec toute l’autorité possible, par la
méthode
historique, ne devra être finalement admise qu’ap
ujours la psychologie qui aura le dernier mot. Telle est également la
méthode
suivie par M. Spencer. Suivant lui, en effet, les
onnalités éminentes éveillent chez l’homme, etc., etc. Mais une telle
méthode
n’est applicable aux phénomènes sociologiques qu’
t apporter à de tels problèmes, ne sauraient en aucun cas affecter la
méthode
d’après laquelle doivent être traités les faits d
qui a masqué aux yeux de tant de sociologues l’insuffisance de cette
méthode
, c’est que, prenant l’effet pour la cause, il leu
as ailleurs. Or, ce qui fait la généralité et la persistance de cette
méthode
, c’est qu’on a vu le plus souvent dans le milieu
r ces mots de conditions extérieures et de milieu, pour accuser notre
méthode
de chercher les sources de la vie en dehors du vi
ie, ce serait de pouvoir expliquer tous les sentiments par une double
méthode
d’analyse et de synthèse ; d’être en état de rame
er. M. Herbert Spencer, qui a été préoccupé surtout de la question de
méthode
, se place au point de vue de la psychologie compa
émotions complexes résultent des émotions simples par association. La
méthode
reste donc la même, et c’est la doctrine de l’ass
coup d’égards, vaut surtout par les questions qu’elle entrevoit et la
méthode
qu’elle inaugure. A notre avis, quand on compare
scriptive, on ne peut s’empêcher de concevoir une bonne opinion de la
méthode
expérimentale en psychologie, — d’une méthode qui
une bonne opinion de la méthode expérimentale en psychologie, — d’une
méthode
qui, prenant la tache où les devanciers l’ont lai
cée eût évitée ; mais ce qui est fondamental, c’est d’avoir aperçu la
méthode
. L’auteur, sans être absolument muet sur la quest
ces fins secondaires et subordonnées que l’on appelle des moyens. La
méthode
idéologique permet, il est vrai, d’échapper à ce
le désir d’y échapper qui a fait, en partie, la persistance de cette
méthode
. Ceux qui l’ont pratiquée, en effet, étaient trop
era en état d’éclairer la pratique tout en restant fidèle à sa propre
méthode
. Sans doute, comme elle ne parvient pas présentem
que fournit même un moyen de contrôler les résultats de la précédente
méthode
. Puisque la généralité, qui caractérise extérieur
tte vérification est rigoureusement nécessaire, parce que la première
méthode
, si elle était employée seule, pourrait induire e
état morbide, quelque universelle qu’elle soit. C’est d’après la même
méthode
que devront être résolues toutes les questions co
irs de l’État sont des phénomènes normaux ou non.40 Toutefois, cette
méthode
ne saurait, en aucun cas, être substituée à la pr
anormales qu’elle a cette utilité. On ne peut donc se servir de cette
méthode
que si le type normal a été antérieurement consti
espondante de leur évolution. 2° On peut vérifier les résultats de la
méthode
précédente en faisant voir que la généralité du p
lité des phénomènes soit prise comme critère de leur normalité. Notre
méthode
a, d’ailleurs, l’avantage de régler l’action en m
veloppé (Division du travail social, p. 73-182). Mais, au fond, cette
méthode
n’est qu’un cas particulier de la précédente. Car
que les phénomènes qui en dépendent soient eux-mêmes amplifiés. Cette
méthode
diffère seulement de la précédente en ce que les
Malheureusement, la plupart de nos contemporains n’ont retenu que les
méthodes
analytiques comme propres à la critique. Réduire
s idées, en un mot, y faire un apprentissage utile et s’y dresser aux
méthodes
. Nous manquons de critiques, a-t-on dit, alors qu
ité qu’il soumet à une discipline intransigeante, aux bienfaits d’une
méthode
rigoureuse, M. Charles Maurras demeure un guide s
d’erreur dans sa critique, parce que M. Ernest-Charles y apporte les
méthodes
de la polémique politique par où il débuta, mais
isante. En analystes consciencieux, Marius-Ary Leblond ont observé la
méthode
méticuleuse de la science expérimentale, sans fai
surtout curieuse, sa critique minutieuse. Il a contribué à créer une
méthode
bibliographique dont l’usage s’est généralisé. Le
science d’érudit et qu’en plus de la patience, de la subtilité, de la
méthode
, il possède aussi les qualités du créateur. Il le
es. Il n’entrait point dans le cadre de notre ouvrage d’apprécier les
méthodes
ou les travaux. Nous nous sommes bornés à les men
ec discernement et tient compte de leur pensée, sans pour cela que sa
méthode
ou son érudition puissent être mises en défaut. C
elle une majorité sur le programme suivant : Retour à la raison, à la
méthode
, à la clarté, à la simplicité, Respect des tradit
st la critique littéraire qui est née, et qui, dès ce moment, a eu sa
méthode
, son objet, et quelques-uns de ses principes esse
aussi belles, appuyée d’arguments aussi invincibles, conquise par une
méthode
plus irréprochable. Les siècles ont adopté la sol
l’âme ? N’est-ce pas s’exposer à des confusions fatales ? Et une sage
méthode
ne s’en tiendrait-elle pas ici, bien plus encore
ujet ; il en a fixé les détails et les limites ; il en a déterminé la
méthode
, par la nature même de la science à laquelle il l
u trouver dans l’âme et dans la réflexion le principe de la véritable
méthode
? Mais, en cherchant une réponse à ces questions,
une assurance admirables. En sera-t-il de même sur la question de la
méthode
? Oui, sans doute ; et en ceci la solution de Pla
ui est. On a souvent représenté la dialectique platonicienne comme la
méthode
qui, des idées particulières, s’élève de degré en
ue est bien cela sans doute ; mais elle est plus encore : elle est la
méthode
unique, applicable à tous les cas, aux plus humbl
cas, aux plus humbles comme aux plus relevés : en un mot, elle est la
méthode
, au sens même où Descartes l’a plus tard entendu.
e seul à posséder la dialectique, tout comme Descartes n’a demandé la
méthode
qu’à la seule philosophie. De là vient encore que
dans l’histoire de la philosophie. Elle est l’antécédent direct de la
méthode
cartésienne, laquelle est le fondement de toute l
t, si l’on a bien compris pourquoi le système péripatéticien est sans
méthode
et sans base, on voit tout aussi clairement pourq
voit tout aussi clairement pourquoi le disciple n’a point accepté la
méthode
du maître : c’est qu’Aristote n’a point constaté
t pas là la dialectique de Platon. Certes, je ne veux pas dire que la
méthode
platonicienne soit à l’abri de toute critique, ni
mais ce sont là des aberrations et des conséquences immodérées de la
méthode
; ce n’en sont pas de légitimes applications. Il
n’en sont pas de légitimes applications. Il faut donc répéter que la
méthode
de Platon est la vraie méthode, et que qui ne l’a
lications. Il faut donc répéter que la méthode de Platon est la vraie
méthode
, et que qui ne l’adopte pas court le risque de ne
nie. Aristote aurait donc pu apprendre de Platon d’abord ce qu’est la
méthode
philosophique, et de quelle faculté de l’âme elle
e ; enfin, il aurait pu apprendre que ce dogme, cette morale et cette
méthode
reposent uniquement sur cette essentielle distinc
objet de l’éclectisme. L’éclectisme n’est point un système, c’est une
méthode
, une certaine manière de considérer les choses, t
i lui sont propres, la réflexion élevée au rang et à l’autorité d’une
méthode
. La philosophie n’est guère, en effet, qu’une mét
’autorité d’une méthode. La philosophie n’est guère, en effet, qu’une
méthode
; il n’y a peut-être aucune vérité qui lui appart
ent pas être contestés ; mais ont-ils toute l’évidence désirable ? La
méthode
psychologique a déjà et elle prendra chaque jour
ur davantage un rang élevé et dominant dans la science ; mais à cette
méthode
n’est-il pas possible d’en joindre une autre, non
Descartes, c’est encore la réflexion libre élevée à la hauteur de la
méthode
la plus sévère. Descartes commence par douter de
ce qui doute en lui, à la pensée. Entre la réflexion de Socrate et la
méthode
de Descartes il y a un intervalle de deux mille a
trement sincère, sérieuse et profonde que celle de l’Inde, de même la
méthode
de Descartes est supérieure aux procédés de l’esp
ilosophique, qui a produit et produira mille et mille systèmes. De la
méthode
, tel est le titre si simple aujourd’hui, mais pro
ces, et devoir clair en toutes choses. Il tenait infiniment plus à sa
méthode
qu’à ses plus illustres découvertes ; à telles en
s mathématiques sont l’enveloppe et non le fond de sa méthode30. « Ma
méthode
, dit-il, n’a pas été inventée pour résoudre des p
pour s’exercer à la pratique de cette méthode31. » Il commence par sa
méthode
, et il y revient sans cesse. C’est le dernier com
ilosophie. Récapitulation des deux dernières leçons. Un mot sur la
méthode
employée. — Sujet de cette leçon : Appliquer à l’
en sommes arrivés. Je me permets de recommander à votre attention la
méthode
qui nous y a conduits, car elle présidera à tout
e esprit ce qui est au-dessus de toutes les vérités particulières, la
méthode
; car la méthode, en garantissant l’exactitude de
st au-dessus de toutes les vérités particulières, la méthode ; car la
méthode
, en garantissant l’exactitude des vérités exposée
rouver vous-mêmes de nouvelles vérités. C’est ici surtout un cours de
méthode
; et la méthode, je le répète, qui présidera à ce
s de nouvelles vérités. C’est ici surtout un cours de méthode ; et la
méthode
, je le répète, qui présidera à cet enseignement,
ce sur la philosophie et sur son histoire ! Quatrième leçon. De la
méthode
psychologique dans l’histoire. Que l’histoire
ière d’un historien de la philosophie, l’amour de l’humanité. — De la
méthode
historique. Deux méthodes. Méthode empirique : qu
philosophie, l’amour de l’humanité. — De la méthode historique. Deux
méthodes
. Méthode empirique : qu’elle est à peu près impra
ie, l’amour de l’humanité. — De la méthode historique. Deux méthodes.
Méthode
empirique : qu’elle est à peu près impraticable,
peu près impraticable, et ne peut donner la raison des faits. — De la
méthode
spéculative. — Alliance des deux méthodes en une
la raison des faits. — De la méthode spéculative. — Alliance des deux
méthodes
en une seule, qui, partant de la raison humaine,
éveloppement de tout cela dans l’histoire. Le résultat d’une pareille
méthode
serait l’harmonie du développement intérieur de l
harmonie de la philosophie et de son histoire. — Application de cette
méthode
. Trois points que la méthode doit embrasser : 1º
de son histoire. — Application de cette méthode. Trois points que la
méthode
doit embrasser : 1º rémunération complète des élé
iment qui doit présider à nos études, tâchons de reconnaître aussi la
méthode
qui peut nous conduire le plus sûrement au but qu
ion se présente nécessairement à l’entrée de la carrière. Il y a deux
méthodes
historiques. Celle qui s’offre la première et tou
Celle qui s’offre la première et tout naturellement à l’esprit est la
méthode
expérimentale. Il semble que l’histoire étant une
’on appelle des systèmes, il n’y a qu’à appliquer à ces faits la même
méthode
qu’on applique à tous les autres. Il s’agirait d’
elle ne peut mener à aucun grand résultat. Si on prétend que la seule
méthode
historique légitime est la méthode expérimentale,
sultat. Si on prétend que la seule méthode historique légitime est la
méthode
expérimentale, il faut être fidèle à cette préten
il faut être fidèle à cette prétention, se servir exclusivement de la
méthode
expérimentale, ne la quitter jamais, n’admettre j
hode expérimentale, ne la quitter jamais, n’admettre jamais une autre
méthode
qui nous conduise à notre insu, alors même qu’on
périence. Or, voici quelles conditions impose l’emploi exclusif de la
méthode
expérimentale. Comme elle n’accepte aucun résulta
ut qu’il se jette et s’oriente comme il pourra. Non seulement pour la
méthode
expérimentale, à son début, il ne doit pas y avoi
c’est-à-dire un résultat que ne rencontre pas d’abord légitimement la
méthode
expérimentale. D’où il suit qu’il n’y a pas plus
l suit qu’il n’y a pas plus d’écoles qu’il n’y a d’époques pour cette
méthode
, à son point de départ. Et qu’elle ne dise pas qu
Il faut étudier tout cela en détail, sous peine d’être infidèle à la
méthode
expérimentale. Or, comme en suivant rigoureusemen
à la méthode expérimentale. Or, comme en suivant rigoureusement cette
méthode
, pour arriver à des résultats généraux de quelque
ompter sur une pareille destinée, il faut bien s’adresser à une autre
méthode
. Allons plus loin. Supposons qu’après avoir inter
différentes écoles, par là à celle d’époques fondamentales, et que la
méthode
expérimentale se trouve en possession de tous les
sommes ici dans un monde tout intellectuel, qui ne tombe pas sous la
méthode
expérimentale. Il reste donc que nous nous adress
ode expérimentale. Il reste donc que nous nous adressions à une autre
méthode
. Essayons. Pensez-y sérieusement. Qui est en jeu
intenant, quelle est la première difficulté sous laquelle succombe la
méthode
expérimentale ? C’est le nombre infini des élémen
ombre infini des éléments possibles de l’histoire dans lesquels cette
méthode
devait s’engager et se confondait nécessairement.
it des lois 47. Je sais quels sont les inconvénients de cette seconde
méthode
: je sais qu’il est possible de croire avoir sais
ème. Je le sais, et je me hâte de déclarer que s’il n’y a pas d’autre
méthode
possible et raisonnable que celle que je viens d’
périls en la soumettant à l’épreuve rude et laborieuse de la première
méthode
; et c’est à quoi j’en voulais venir. La méthode
ieuse de la première méthode ; et c’est à quoi j’en voulais venir. La
méthode
expérimentale toute seule est à peine praticable,
fut, sans qu’on sache pourquoi ce qui fut a été. D’un autre côté, la
méthode
rationnelle pourrait nous conduire à un système f
rait lui-même à une vue fausse de l’histoire. Mais réunissez les deux
méthodes
, faites comme le grand physicien qui, dans son la
, et se sert à la fois et de ses sens et de sa raison. Débutez par la
méthode
a priori, et donnez-lui comme contrepoids la méth
. Débutez par la méthode a priori, et donnez-lui comme contrepoids la
méthode
a posteriori. L’accord de ces deux méthodes est à
z-lui comme contrepoids la méthode a posteriori. L’accord de ces deux
méthodes
est à nos yeux le flambeau à l’aide duquel seulem
l résultat vaut bien la peine d’être recherché. Pour être fidèle à la
méthode
qui vient d’être exposée, il faut d’abord reconna
ques, et de là à un système hypothétique ; la première loi d’une sage
méthode
est donc une énumération complète. La seconde est
ndécomposables qui sont la borne de l’analyse. La troisième loi de la
méthode
est l’examen des différents rapports de ces éléme
Il y a environ cinquante ans, celui de tous les modernes qui, pour la
méthode
, la pénétration et l’étendue, rappelle le plus Ar
i conduit de Dieu à l’univers ? La création. Ici n’abandonnons pas la
méthode
que nous avons toujours suivie, cette méthode qui
ci n’abandonnons pas la méthode que nous avons toujours suivie, cette
méthode
qui emprunte à la conscience humaine ce que plus
ce qui peut seul nous les faire comprendre. Il faut donc, selon notre
méthode
ordinaire, nous adresser à la pensée. Pour savoir
iner l’ordre des deux autres époques, c’est-à-dire, pour suivre notre
méthode
, à rechercher lequel, du fini ou de l’infini, pré
Retour sur le système historique esquissé dans la dernière leçon.
Méthode
qui l’a donné. Beauté de l’histoire ainsi conçue
de l’histoire, à l’humanité. On pourrait même à la rigueur ramener la
méthode
suivie à la méthode d’observation et d’induction.
umanité. On pourrait même à la rigueur ramener la méthode suivie à la
méthode
d’observation et d’induction. En effet, vous l’av
ompris l’histoire et qui le premier a donné l’exemple de la véritable
méthode
historique. L’auteur de L’Esprit des lois, après
nciliés et réunis ; vous le savez, tel est notre but, telle est notre
méthode
en histoire, comme en philosophie, comme en toute
rcher trois choses : 1º l’esprit général de cette philosophie ; 2º sa
méthode
positive ; 3º ses résultats, ou le système auquel
3º ses résultats, ou le système auquel aboutit l’application de cette
méthode
. L’esprit de la philosophie de Descartes, c’est l
e. L’esprit de la philosophie de Descartes, c’est l’indépendance ; sa
méthode
, c’est la psychologie, le compte que l’on se rend
ne philosophie ne doit être qu’un développement et un commentaire. La
méthode
psychologique a été mise au monde par Descartes,
erne ne consente à s’abdiquer elle-même. Mais n’oubliez pas que toute
méthode
naissante est faible ; n’oubliez pas qu’une révol
, mais je ne fais pas difficulté d’avouer que sur plusieurs points la
méthode
de Descartes, cette méthode si ferme, chancelle e
ulté d’avouer que sur plusieurs points la méthode de Descartes, cette
méthode
si ferme, chancelle et quelquefois trébuche. En p
des explications fort arbitraires, en contradiction manifeste avec la
méthode
qu’il recommande. À son exemple, ses successeurs
ercle est accompli ; il est arrivé à son dernier terme ; sa forme, sa
méthode
, sa doctrine en mal comme en bien ont trouvé leur
sur les matières philosophiques par une génération de grands hommes,
méthode
nouvelle, système complet, psychologique, logique
qui constitue toute vraie philosophie, partant à peu près de la même
méthode
, mais bientôt divisées en deux mouvements contrai
aussi un enfant de Descartes ; il est pénétré de son esprit et de sa
méthode
; il rejette toute autre autorité que celle de la
coup trop durement, la philosophie de la théologie. Cette sévérité de
méthode
se retrouve dans Tiedemann. En second lieu, Tiede
ve de Descartes comme Locke ; il a le même caractère général, la même
méthode
que Locke, car ce caractère et cette méthode, qui
ractère général, la même méthode que Locke, car ce caractère et cette
méthode
, qui n’appartiennent ni à Locke ni à Kant, sont à
e méthode, qui n’appartiennent ni à Locke ni à Kant, sont à jamais la
méthode
et le caractère de la philosophie moderne. Il sép
avaient tous cependant leur place dans la conscience. Tout occupé de
méthode
et de psychologie, enfoncé dans les études les pl
es les vérités, même lorsqu’elles paraissent opposées. Ainsi, pour la
méthode
, nous retenons, comme la conquête du siècle, le g
et incompréhensible141. Comptez et concluez : de tous côtés diverses
méthodes
, divers systèmes en psychologie, en métaphysique,
la rigueur. La plus grande gloire de Descartes est assurément dans sa
méthode
, mais les applications de cette méthode sont auss
cartes est assurément dans sa méthode, mais les applications de cette
méthode
sont aussi très considérables et constituent une
29. Le titre du premier ouvrage de Descartes est : « Discours de la
méthode
, pour bien conduire sa raison et chercher la véri
ioptrique, les météores et la géométrie, qui sont des essais de cette
méthode
». Nous nous sommes complu à donner une édition c
n moins que les mathématiques ordinaires, mais que j’expose une autre
méthode
dont elles sont plutôt l’enveloppe que le fond. »
défendant son dogme fondamental au nom de la philosophie. 60. Sur la
méthode
psychologique appliquée à la théodicée, voyez Du
grande distance de ce véritable maître, et se laissant séduire à une
méthode
mal sûre empruntée à l’Allemagne, M. l’abbé Rosmi
que et l’art d’exposer ses idées avec une lucidité, une élégance, une
méthode
vraiment admirable. Ses écrits méritent do servir
que, et sur ses ruines élevait un système entièrement nouveau dans sa
méthode
et dans ses directions générales. Ce système, ou
l et de plus durable dans la Critique de la Raison pure, à savoir, la
méthode
de l’auteur. Or, dans tout inventeur, dans tout p
auteur. Or, dans tout inventeur, dans tout penseur original, c’est la
méthode
qu’il faut avant tout rechercher, car cette métho
riginal, c’est la méthode qu’il faut avant tout rechercher, car cette
méthode
est le germe de tout le reste ; souvent elle surv
Raison pure sont pour la philosophie de Kant ce que le Discours de la
Méthode
est pour la philosophie de Descartes. Je m’attach
tions qu’il leur adresse. La physique doit l’heureux changement de sa
méthode
à cette idée : que la raison cherche, je ne dis p
monde vaque à ses affaires avec sécurité. » Kant avoue qu’une telle
méthode
pourra bien renverser tous les dogmatismes, qui,
re entière adhésion à ces vues simples et fécondes qui dérivent de la
méthode
d’observation bien entendue. Nous nous flattons q
Ce qui y frappe, au premier coup d’œil, comme dans le Discours de la
Méthode
, c’est la hardiesse et l’énergie de la pensée. Ka
mme Descartes, auquel il faut sans cesse le comparer, préoccupé de sa
méthode
, ne voit qu’elle partout. Ce n’est pas de son pro
de son propre génie qu’il a une grande opinion, c’est de celui de sa
méthode
. C’est de là qu’il se relève, c’est de là qu’il t
périeur à très peu et inférieur à beaucoup, et qu’il devait tout à sa
méthode
. Socrate aussi, deux mille ans avant Kant et Desc
e aussi, deux mille ans avant Kant et Descartes, rapportait tout à sa
méthode
qui, au fond, était la même que celle du philosop
ême que celle du philosophe français et du philosophe allemand. Cette
méthode
est la vraie, c’est la méthode psychologique qui
nçais et du philosophe allemand. Cette méthode est la vraie, c’est la
méthode
psychologique qui consiste à débuter par l’homme,
e de son temps ; et cette entreprise, il l’a accomplie, grâce à cette
méthode
dont je viens de faire connaître le caractère d’a
cipes ». L’expérience avait pourtant prouvé tous les dangers de cette
méthode
qui, en permettant de construire arbitrairement l
ce plus étendue et plus approfondie de la réalité sociale. En fait de
méthode
, d’ailleurs, on ne peut jamais faire que du provi
hode, d’ailleurs, on ne peut jamais faire que du provisoire ; car les
méthodes
changent à mesure que la science avance. Il n’en
raités comme des choses — proposition qui est à la base même de notre
méthode
— est de celles qui ont provoqué le plus de contr
tions qu’on a pu s’en faire au cours de la vie, ayant été faites sans
méthode
et sans critique, sont dénuées de valeur scientif
on rôle dans l’avenir. Quoiqu’on fasse, c’est donc toujours à la même
méthode
qu’il en faut revenir. II Une autre proposi
à l’esprit qu’on pût nous la prêter, tant elle est contraire à toute
méthode
. Ce que nous nous proposions était, non d’anticip
ar elles ne touchent à rien d’essentiel. L’orientation générale de la
méthode
ne dépend pas des procédés que l’on préfère emplo
ensées. Plan de l’Apologie de la religion chrétienne. Application des
méthodes
scientifiques au problème théologique. Absence de
cartésianisme, ils en ont neutralisé l’esprit en s’en appropriant la
méthode
. Le principe même de leur hérésie dogmatique est
prit de leur enseignement, rien de meilleur, pour le temps, que leurs
méthodes
, dont leurs rivaux, et surtout l’Université, s’in
même, au progrès de laquelle il croit et travaille, n’a point ici de
méthode
qui vaille. Cependant il mène une vie assez monda
t bonheur. Pascal donne à Port-Royal un esprit tout laïque, formé aux
méthodes
et imbu des notions de la science et de la philos
uperficielle. Et de là même sa puissance sur le monde laïque : idées,
méthode
, style, tout en lui est du savant et de l’honnête
; mais elle n’a été qu’un accident ailleurs, elle a été chez eux une
méthode
de domination. Ce n’est pas à dire qu’il n’y ait
ctrine, entre tels et tels théologiens. D’autres appliqueront la même
méthode
à tout le dogme, et poseront la question entre la
aison, non seulement parce que l’objet en est une démonstration et la
méthode
une suite de raisonnements, mais surtout parce qu
lle, pareille, et non supérieure, à celle que l’homme obtient par ses
méthodes
humaines dans toutes les parties de ses sciences.
textes la vérité qui lui plaisait : il ne pouvait se douter que de la
méthode
qu’il indiquait, appliquée avec la rigueur impart
lique la négation de la Révélation dans l’ordre de la science, que la
méthode
par conséquent contient la conclusion, et que le
l’originalité des raisonnements de Pascal est dans l’application des
méthodes
scientifiques au problème théologique : le physic
où la science faisait ses premiers pas, lorsque le premier emploi des
méthodes
et des instruments remplissait d’orgueil et d’esp
éforme de nos lois ou de nos mœurs, en ce qu’il est le résultat d’une
méthode
et d’une observation particulières : et cette mét
résultat d’une méthode et d’une observation particulières : et cette
méthode
est si bien le fait de M. Le Play, elle constitue
aux procédés en usage dans son pays, il voyagea et le fit avec ordre,
méthode
, en tenant note et registre de chaque observation
passer avant d’oser se faire un avis et de conclure. Il a appliqué sa
méthode
de description à trente-six monographies d’ouvrie
hiffonnier de Paris. Jamais, dans son travail, il n’a fait fléchir la
méthode
: sa description est claire, nette, exacte, compl
L’Esprit des lois et des mœurs. Mais le génie, en tout, a devancé la
méthode
; il a eu des aperçus, des lueurs perçantes : le
le des populations ouvrières de l’Europe, précédées d'un exposé de la
méthode
d’observation , par VI. F. Le Play, ingénieur en
rminer la valeur d’un exercice, il faut en définir : 1° le but, 2° la
méthode
. Nous rechercherons ensuite l’origine et les inve
trop sévères. Ce n’est pas le lieu d’entrer ici dans le détail de la
méthode
. On la trouvera définie avec une admirable précis
reste, dans les limites que tracent certaines conditions générales de
méthode
, chaque maître se fera, selon sa culture et son g
fait aborder la suivante avec plus de puissance et de moyens. III.
Méthode
Qui a donc inventé cet exercice, cette prétend
i faisaient surgir les idées générales. L’autre, M. Aderer, avait une
méthode
plus précise et plus fine : il s’appliquait au dé
des, qui n’obligeaient pas à serrer les textes de près. Peu à peu une
méthode
plus sévère s’imposa partout, et une préparation
professeurs l’ont démontré par leur pratique et en font comprendre la
méthode
et le but. Il ne serait pas excessif de dire que
iberté, il suppose l’intelligence et fonde la moralité. Au lieu d’une
méthode
factice et abstraite qui prenant la volonté toute
, à son âge adulte, ne peut l’expliquer qu’à demi, nous avons ici une
méthode
naturelle et concrète qui complète l’étude statiq
comme partout, l’important était de bien poser la question ; mais la
méthode
des facultés n’a pas peu contribué à séparer ce q
té des Facultés de Garnier, fondé, comme son titre l’indique, sur une
méthode
qui subordonne les phénomènes aux causes, les fai
ique s’en trouve singulièrement réduite. Par le mode d’exposition, la
méthode
, l’impression générale qu’il produit sur le lecte
etc.), et qu’il semblait si bien en état d’étudier. Mais le manque de
méthode
comparative est une des lacunes de l’ouvrage. Ajo
lection de faits classés pour un tel système, et présentés avec cette
méthode
, cette connaissance approfondie, que donne la dis
ement un cerveau supérieur à celui de l’homme. Gall, très opposé à la
méthode
des pesées, considérait ces exceptions comme tout
rativement à la masse de son corps aura le plus d’intelligence. Cette
méthode
, employée je crois, pour la première fois par Hal
ite mine assez spirituelle. » Quelque rationnelle que paraisse cette
méthode
, elle me paraît devoir soulever quelques objectio
e qui reste pour l’exercice de l’intelligence. Quoi qu’il en soit, la
méthode
du poids relatif, comme celle du poids absolu, do
rait inférieur à la chauve-souris, et le cheval au lapin10. Une autre
méthode
consiste à comparer le poids du cerveau, non plus
êmes contradictions que pour les cas précédents. L’homme, selon cette
méthode
, serait à peine supérieur au canard, à la corneil
de chacun d’eux ». Ne voit-on pas dans quel abîme on s’engage, et la
méthode
des pesées n’est-elle pas convaincue par là même
avec accompagnement de métaphores et d’éloquence. Il me semble que la
méthode
de réfutation qu’emploie mon jeune ami n’est qu’u
t des meilleures et restera. Mais ce qui durera plus encore, c’est la
méthode
qu’il a reçue de Condillac, et que, dans son Disc
sonnement, il résume avec une lucidité admirable. À notre avis, cette
méthode
est un des chefs-d’œuvre de l’esprit humain. Nous
entre déplacé, tout le reste s’ébranle. Ainsi, dans notre siècle, les
méthodes
de construction et les hypothèses des métaphysici
rquons donc en deux mots la portée, les limites et les règles de leur
méthode
. Ils ne nous enseignent point à observer, à expér
s moyens remplissent-ils l’esprit d’idées claires ? En renversant les
méthodes
ordinaires. Au lieu d’axiomes, en tête des scienc
malice délicate de l’ancienne société française, il conserva la vraie
méthode
de l’esprit français. 1. Mettez un badaud anci
Introduction Une
méthode
est un ensemble de procédés raisonnés pour arrive
sonnés pour arriver à un but. Le but qu’on poursuit détermine donc la
méthode
qu’on doit suivre : il faut savoir où l’on veut a
hitectes, tient à plusieurs causes et en particulier à des défauts de
méthode
. Mais ces défauts tiennent eux-mêmes en grande pa
l’autre travaille à devenir aussi objective que possible. Par quelle
méthode
peut-elle se rapprocher de cet idéal ? C’est la q
nd on est critique soi-même, il est bien clair que si l’on adopte une
méthode
plutôt qu’une autre, c’est qu’on y est conduit pa
dès lors, d’avoir des objections à adresser à n’importe quelle autre
méthode
, et tout en se disant que, quand même on le voudr
est fort tenté d’ajouter qu’il n’y a pas grand mal à cela, puisque la
méthode
qu’on suit est la meilleure et la plus vraie de t
hautement et approuver. Je suis moi-même trop l’homme d’une certaine
méthode
pour n’avoir pas quelques objections à opposer au
e certaine méthode pour n’avoir pas quelques objections à opposer aux
méthodes
différentes et plus ou moins contraires. L’histoi
a seul qui survit, qui se dégage et qui triomphe. Voilà l’idéal de la
méthode
: a-t-elle toujours été justement appliquée, et a
e que toutes les tentatives qui ont pour objet, par l’application des
méthodes
scientifiques, de lier nos idées, nos impressions
nt doivent systématiser leur connaissance, soumettre leur étude à des
méthodes
, et la diriger vers des notions plus précises, pl
ensables. Le modèle se modifie tous les jours, puisqu’il vit : ici la
méthode
des retouches de détail serait funeste. Si le pub
re par là, comme quelques lecteurs l’ont cru, qu’il faut revenir à la
méthode
de Sainte-Beuve et constituer une galerie de port
là pourquoi il faut commencer par appliquer rigoureusement toutes les
méthodes
de détermination ; les grandes œuvres sont celles
ont celles que la doctrine de Taine ne dissout pas tout entières ; la
méthode
délicate de M. Brunetière y fait apparaître une p
artie de l’héritage de l’antiquité ; ceux enfin qui en appliquent les
méthodes
et les immortelles leçons à améliorer le présent
bray a lu les modèles de l’éloquence latine ; il s’en est assimilé la
méthode
et le tour. Il fait justice de la Ligue au nom de
les-là surtout qui servent, à la conduite de la vie. On demandait une
méthode
; on sentait la nécessité d’une langue discipliné
s de piété, ils intéressent singulièrement par ce premier essai d’une
méthode
appliquée la recherche de la vérité pour la condu
dication, il devint, à l’école de Montaigne, moraliste, en gardant la
méthode
du théologien et cette habitude rigoureuse d’écri
laisir ; le disciple a essayé de tromper le sien par la rigueur d’une
méthode
; mais des deux parts, c’est le même doute. Seule
comme Charron appelle ses contradicteurs, gagné par un sceptique. La
méthode
ne convainc pas toujours, et le douteur en fait r
lastique, et le caprice du libre penseur fait trouver plus pesante la
méthode
du théologien. Cette langue a je ne sais quoi de
usqu’à la mort le désir et l’espoir de la guérison. Le même mérite de
méthode
et de proportion recommande les ouvrages de piété
ire par un de ses amis qu’il désirait de lui un ouvrage qui servit de
méthode
à toutes les personnes de la cour et du grand mon
ur nous punir, et que la piété est impossible. Il demandait que cette
méthode
fût exacte, judicieuse, et telle que chacun pût s
stianisme en fournit le fond et la matière le paganisme en fournit la
méthode
. Plus tard et principalement au xviie siècle, il
ion chrétienne offrait trois grandes nouveautés : la matière même, la
méthode
, et la langue. La matière, c’est bien moins le sy
de leur croyance, et de retrouver leurs titres d’enfants de Dieu ! La
méthode
n’était pas moins nouvelle que la matière. J’ai l
philosophie. Tel est en effet le caractère de ses écrits, quant à la
méthode
. On n’y trouve aucun mélange des vérités apparten
alvin avait faite des anciens et particulièrement de Cicéron, dont la
méthode
est si naturelle et si agréable, lui avait donné
ine d’éloquence, où l’on voit une première application parfaite de la
méthode
antique aux idées qui ont le plus profondément re
mué la société moderne. Mélanchthon avait senti l’excellence de cette
méthode
; mais il ne l’appliqua pi un corps de discours s
que moins docte, ne l’avait pas ignorée mais il se fiait plus à cette
méthode
d’instinct, qui est le don des hommes de génie, e
Calvin résultait naturellement de la nouveauté de la matière et de la
méthode
. Le même art de composition qui, dans l’expositio
lorieux titre est d’avoir réveillé le catholicisme. Il lui a donné la
méthode
; il l’a forcé d’apprendre ce qu’il avait oublié
ce. » M. Cousin était alors entraîné si loin, qu’il oubliait sa chère
méthode
psychologique, seule différence qui le séparât en
ne partie de l’encyclopédie qu’il construit, ou une application de la
méthode
qu’il découvre ; il ne lui soumet pas les autres
usqu’au bout de sa vie, et il n’est pas autre chose. Hégel trouve une
méthode
de construction, et conçoit une nouvelle idée de
uction, et conçoit une nouvelle idée de l’univers ; il applique cette
méthode
aux mathématiques, aux sciences physiques, à tout
les sciences humaines, et meurt en contruisant. Condillac trouve une
méthode
d’analyse, et définit d’une façon nouvelle la nat
s. Il écrit vingt ouvrages qui sont l’explication et remploi de cette
méthode
. Chaque année sa définition devient plus claire.
une vue nouvelle sur la nature des êtres, ni une vue nouvelle sur la
méthode
des sciences ; j’apporte une exhortation à la ver
Fresney, qui, quoiqu’elles laissent désirer quelque chose quant à la
méthode
sont d’un grand secours pour tous les gens de Let
jusqu’à cette année. A la tête du premier volume, est un précis de la
Méthode
pour étudier l’Histoire. Cette méthode imprimée e
er volume, est un précis de la Méthode pour étudier l’Histoire. Cette
méthode
imprimée en 12. vol. in-12. est un autre ouvrage
ouve d’abord la nécessité de suivre dans cette recherche une nouvelle
méthode
, par l’insuffisance et la contradiction de tout c
enfin les trois grands principes d’où part la science nouvelle, et la
méthode
qui lui est propre (chap. III et IV.) Chapitre
, sépultures et croyance à l’immortalité de l’âme. Chapitre IV. De la
méthode
. — Le point de départ de la science nouvelle est
nt qu’il est impossible de le révoquer en doute. » On a dit que cette
méthode
de Descartes, cet appel au libre examen, avait ré
que ce même examen, s’il tourne contre vous, devienne tout à coup une
méthode
criminelle et folle, née de l’orgueil, ennemie de
ui pourraient résulter dans la pratique de l’emploi de telle ou telle
méthode
ne peuvent prévaloir contre cette méthode elle-mê
l’emploi de telle ou telle méthode ne peuvent prévaloir contre cette
méthode
elle-même, si elle est légitime et raisonnable. Q
isant à soi-même et en interdisant aux autres un examen téméraire. La
Méthode
de Descartes a égaré par son apparente innocence
’appuyer sur la religion elle-même. Le libre examen est donc la seule
méthode
qui puisse établir la vérité religieuse. Elle con
utorité de l’Église, ils usent eux-mêmes du libre examen ? Comment la
méthode
qui a été bonne et légitime jusque-là devient-ell
u’ils se trompent ; mais on ne peut leur reprocher de se servir d’une
méthode
dont on se sert soi-même pour les détromper. Je n
rs. Tel est le grand rôle de la philosophie ; elle est avant tout une
méthode
et une discipline. Ceux qui sont attachés à certa
ée que dans les Méditations de Descartes, et dans son Discours sur la
méthode
, où il désapprouve la culture de la poésie, de l’
sa partie dogmatique qui conservait peu de crédit, mais aussi dans sa
méthode
que ses adversaires même avaient embrassée, et pa
régnait sur l’Europe. Il faut voir dans le discours où il compare la
méthode
d’enseignement suivie par les modernes à celle de
qui doit être laissé à la prudence individuelle, l’application de la
méthode
géométrique aux choses qui comportent le moins un
é. Nous lui devons beaucoup pour avoir voulu soumettre la pensée à la
méthode
; l’ordre des scolastiques n’était qu’un désordre
ue le jugement de l’individu règne seul, vouloir tout assujettir à la
méthode
géométrique, c’est tomber dans l’excès opposé. Il
ent individuel, mais avec les égards dus à l’autorité ; d’employer la
méthode
, mais une méthode diverse selon la nature des cho
is avec les égards dus à l’autorité ; d’employer la méthode, mais une
méthode
diverse selon la nature des choses2. » Celui qui
, en déduit toutes les idées particulières et s’efforce de suivre une
méthode
géométrique que le sujet ne comporte pas toujours
u système que l’on va lire, nous nous sommes souvent rapprochés de la
méthode
que l’auteur avait suivie dans la première, et qu
poussa pas loin cette étude, pensant qu’il suffisait de connaître la
méthode
des géomètres ; « pourquoi mettre dans de pareill
pplications de la vie civile ; il y traite du but des études et de la
méthode
qu’on doit y suivre, des fins de l’homme, du cito
, grave et touchante, il lut le commencement de la loi, et suivit une
méthode
familière aux anciens jurisconsultes, mais toute
t avoir deux volumes in-4º. Mais il sentit les inconvénients de cette
méthode
négative : d’ailleurs un revers de fortune l’avai
r M. Colangelo11. On a vu dans le discours, comment Vico abandonna la
méthode
analytique qu’il avait suivie d’abord pour donner
e et errores. 5. Vico a très bien marqué lui-même les progrès de sa
méthode
: « Ce qui me déplaît dans mes livres sur le droi
des langues, qui sont naturellement unis entre eux. Je parlais de la
méthode
propre à la Science nouvelle, en la séparant des
iel et curieux du livre. » Il ne faut pas penser trop de mal de cette
méthode
qui est celle des hommes qui sont, comme Beyle, d
s qui sont, comme Beyle, des collectionneurs d’idées. Seulement cette
méthode
ôte tout le plaisir de la lecture et y substitue
cteur dilettante et non un chasseur, c’est le contraire même de cette
méthode
qui doit être la vôtre. Il ne faut pas du tout li
peuples dans des groupes semblables ou différents. À l’appui de cette
méthode
, on fait remarquer qu’elle seule est recevable da
it, dans leur intégralité, les individus qu’ils comprennent, La vraie
méthode
expérimentale tend plutôt à substituer aux faits
nis. Mais quand même une classification serait possible d’après cette
méthode
, elle aurait le très grand défaut de ne pas rendr
ser les idées et montrer comment doit être appliqué le principe de la
méthode
. Même il ne faudrait pas considérer ce qui précèd
li l’existence. Cette preuve est contenue dans le principe même de la
méthode
qui vient d’être exposée. Nous venons de voir, en
pour la première édition de cet ouvrage, nous n’avons rien dit de la
méthode
qui consiste à classer les sociétés d’après leur
, comparaison des documents, recherche des Etudes, des Articles, avec
méthode
. Il est pourtant aisé, à mon avis, à l’aide d’une
85, la première version de mon Traité du Verbe (devenu plus tard l’En
Méthode
à l’Œuvre), paraît en deux revues16 et en volume
éveloppa ensuite sous le titre qui la plaçait en tête de l’Œuvre : En
Méthode
a l’Œuvre, en les éditions de 88 et 91 En 1904 e
a immensément d’Emotion et de Beauté à mesure que, retrouvant, par la
méthode
scientifique, le plus possible des rapports qui u
n et rappel des motifs, etc. L’on doit recourir nécessairement à l’En
Méthode
. Il sied cependant d’en rapporter quelques point
l’expression technique sont adéquates et inséparables. Mais aussi, la
Méthode
et l’Œuvre sont co-existantes : l’une n’a pas pré
âme en même temps dans mon esprit. L’Œuvre est le développement de la
Méthode
, en l’émotion spéciale et inéprouvée encore qui d
mené à relever évidemment l’action que telles ou telles parties de sa
Méthode
ou tels ou tels de mes livres ont exercée primord
de la langue Française, où si nombreusement lors de la parution de ma
Méthode
et continuement depuis, ma pensée a été exposée,
» de Mallarmé, qu’il me demande d’écrire pour cette édition. 18. En
méthode
à l’œuvre (Messein, édit., 1904). 19. Il est in
évolutionniste du poète-philosophe ! Pieuse supercherie… 24. Dans En
méthode
nous avons montré, par exemple, comment le princi
a non acceptation des conclusions de Spencer et de Nietsche. 25. En
méthode
à l’œuvre. 26. Je pourrais me prévaloir comme p
ement par le sentiment, lorsqu’il se décharge dans l’être ». 27. En
méthode
à l’œuvre. 28. En méthode à l’œuvre. 29. Il m
qu’il se décharge dans l’être ». 27. En méthode à l’œuvre. 28. En
méthode
à l’œuvre. 29. Il me paraîtrait oiseux d’insist
S’il s’en trouve encore, c’est au dam de leur intelligence. 30. En
méthode
à l’œuvre. 31. A. Messein, éditeur, Paris. 32.
ns du génie. La Science nous présente un autre ordre de problèmes. La
méthode
expérimentale, en s’avançant de proche en proche
euses les plus proches des facultés intellectuelles et morales, cette
méthode
partout accompagnée de l’infaillible nécessité, n
il la liberté de l’être moral ? Nous avons pensé que les droits de la
méthode
expérimentale sont absolus, et que nul ne peut in
79
Albalat, Antoine.
(1905)
Les ennemis de l’art d’écrire. Réponse aux objections de MM. F. Brunetière, Emile Faguet, Adolphe Brisson, Rémy de Gourmont, Ernest Charles, G. Lanson, G. Pélissier, Octave Uzanne, Léon Blum, A. Mazel, C. Vergniol, etc…
« XVIII »
on analyse « est mauvaise, dit-il. Cependant M. Albalat en a tiré une
méthode
pratique dont on peut dire que, si elle ne former
sons pour et contre, je garde donc la conviction non seulement que ma
méthode
n’est point mauvaise, mais qu’il n’y en a pas d’a
e critique qui aient été publiés, ces dernières années, ont pris pour
méthode
l’étude des manuscrits et des ratures. L’avenir,
es contre le Ministre Claude, on admire une dialectique profonde, une
méthode
lumineuse, un enchaînement de preuves, une variét
anche avoit raison de se plaindre : mais pouvoit-il ignorer que cette
méthode
a été de tout temps la ressource favorite de tous
nit point de publier un Ouvrage sous ce titre : Dissertation selon la
méthode
des Géometres, pour la justification de ceux qui,
ême seulement, non dans ses relations et ses effets. Si le défaut des
méthodes
que nous avons combattues est de ne montrer d’une
de sentiments qu’elle est destinée à opérer, nous adjoignons à notre
méthode
, l’un des procédés dont la critique purement litt
au moment où des travaux préalables l’ont faite réellement utile, la
méthode
biographique de Sainte-Beuve et de ses successeur
quelles a vécu l’esprit de l’œuvre et de son auteur. C’est ici que la
méthode
historique et sociologique de M. Taine reprend to
e l’histoire, et les lumières qu’on portera dans cette science par la
méthode
que nous venons d’exposer, seront aussi nouvelles
Chapitre II
Méthode
. — Rapport de l’art à la philosophie. Allégorie,
a philosophie. Allégorie, symbole, expression directe. Analyse de ces
méthodes
dans les arts plastiques et musiques et dans les
nier penche vers l’allégorie. Pour M. Vielé-Griffin, le changement de
méthode
est alors très visible ; mais pour M. de Régnier
ent par le talent ; mais, on ne peut s’empêcher de le remarquer, leur
méthode
et celle des œuvres suggestives diffèrent entre e
érites et les défauts de cette pièce, mais à en indiquer seulement la
méthode
. M. de Régnier sait fréquemment éviter la manière
très cohérente avec le début, est cependant formulée selon une autre
méthode
. Malgré l’intrusion de personnages abstraits sous
ormes harmonieuses qui en dissimulent le défaut. D’ailleurs, si cette
méthode
de poésie peut créer des monstres et si, à mon av
la Chevauchée d’Yeldis sont des exemples singulièrement nets de cette
méthode
que je crois particulière à M. Griffin. Mais au c
anglais. Il traduisit la Statique des végétaux de Hales (1735), et la
Méthode
des fluxions et des suites infinies de Newton (17
la préface qu’il mit en tête de sa traduction de Hales, il célèbre la
méthode
de l’expérience en physique et s’élève contre les
, que l’on force la nature à découvrir son secret ; toutes les autres
méthodes
n’ont jamais réussi, et les vrais physiciens ne p
de Newton et de Descartes, et qu’il oscillait un peu entre leurs deux
méthodes
: j’oserai penser que c’est plutôt de Newton et d
èreté sur la manière dont il jugeait Linné, et dont il appréciait les
méthodes
. Buffon savait peu la botanique : « J’ai la vue c
supérieur. Dans son Histoire naturelle, il ne conçoit d’abord d’autre
méthode
que celle qui consiste à prendre les êtres selon
es singes (1766 et 1767, tomes XIV et XV). Mais si ce détail et cette
méthode
scientifique laissèrent longtemps à désirer chez
e quatrième volume de l’Histoire naturelle parut en 1753. Fidèle à la
méthode
qu’il avait annoncée, Buffon y donnait l’histoire
écrivain (il l’est cependant, et la première partie du Discours de la
méthode
est un chef-d’œuvre d’esprit, de naïveté, de gran
la liberté, du sens propre, de la raison individuelle. Quelle est la
méthode
de Descartes, méthode que M. Nisard approuve sans
ropre, de la raison individuelle. Quelle est la méthode de Descartes,
méthode
que M. Nisard approuve sans réserve ? C’est l’exa
ra évidemment être tel. » Quelle est la première application de cette
méthode
? C’est le doute, non pas ce doute mitigé qui, la
lorsqu’il imite Descartes et fait en quelque sorte le Discours sur la
méthode
de la poésie, je crains qu’il n’ait donné au dida
de celui-ci peut avoir de sec et d’étroit, car comment cet esprit de
méthode
, si excellent dans les sciences, serait-il en mêm
e grande figure, mais par impartialité, et pour lui appliquer la même
méthode
de stricte justice que M. Nisard applique sans re
Le bon sens (dit Descaries dans la première phrase du Discours de la
méthode
) est la chose du monde la mieux partagée. »
es préceptes dans son livre de l’Orateur. Il suit presque toujours la
méthode
d’Aristote, & s’explique avec le style de Pla
ncipes des langues, des sciences & des beaux arts. Il prescrit la
méthode
qu’on doit garder pour cultiver ses dispositions
de sçavoir, l’autre a plus de goût. A l’égard de l’ordre & de la
méthode
, la Rhétorique de M. Gibert tient beaucoup de cel
licat & ingénieux. On voit tout d’un coup qu’il n’a observé cette
méthode
que pour les rendre plus vifs & plus aisés à
t solide, mais dont l’action est languissante. Il n’approuve point la
méthode
de partager les Sermons en deux ou trois points,
semble que ces divisions ne servent qu’à mettre plus d’ordre & de
méthode
, à faire sentir davantage si l’on a prouvé ce que
it Fénélon, sera pour eux une raison décisive de conserver l’ancienne
méthode
. Une personne qui seroit en état d’étendre ou de
nt. On doit s’en contenter, & ne pas vouloir les astraindre à une
méthode
, dont peu de gens sont capables, & qui peut p
l qui amenait en leur conscience les résultats, les hypothèses ou les
méthodes
de l’histoire, de la philosophie, de la science.
e a de plus distinct. Je ne lui en ferai pas un reproche ; mais cette
méthode
est juste le contraire de la science. En réalité,
peu près, s’exerça l’influence du système hors de la philosophie. La
méthode
d’abord, sévèrement expérimentale : « de tout pet
e les œuvres littéraires sont des produits nécessaires dont une bonne
méthode
peut expliquer les éléments et la formation. Sain
onne les formules d’un art objectif, impersonnel, classique, sinon de
méthode
, du moins d’effet : l’imitation de la nature est
uction à l’induction ; et il s’est imposé de procéder toujours par la
méthode
expérimentale, la seule scientifique, à son gré,
llica: http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k355036/f640.image La
méthode
expérimentale, qui depuis longtemps est appliquée
vitale sera toujours un obstacle insurmontable à l’application d’une
méthode
commune d’investigations dans les sciences physio
l faudrait admettre que la force vitale doit être étudiée suivant une
méthode
particulière, et que la science des corps vivants
sme absolu et nécessaire. La science vitale ne peut employer d’autres
méthodes
ni avoir d’autres bases que celles de la science
les êtres vivants n’empêche pas le physiologiste de leur appliquer la
méthode
expérimentale5. En effet, malgré cette spontanéit
qu’elle nous pose des problèmes qui sont inabordables à l’aide de la
méthode
expérimentale. En résumé, il y a dans un phénomèn
l’aspiration vers l’absolu. Le savant dépasserait alors le but de la
méthode
expérimentale, comme celui qui, pour redresser un
iences qu’en obéissant aux lois éternelles de la nature. III La
méthode
expérimentale a pour but de trouver le déterminis
aine des phénomènes de la nature. Le principe sur lequel repose cette
méthode
est la certitude qu’un déterminisme existe ; son
r cela qu’il est sans cesse obligé de s’en référer à l’expérience. La
méthode
expérimentale n’est que l’expression de la marche
rs été et sera toujours le premier élan d’un esprit investigateur. La
méthode
expérimentale a pour objet de transformer cette c
ude expérimentale des phénomènes. C’est pourquoi on a aussi appelé la
méthode
expérimentale méthode à posteriori. L’esprit huma
phénomènes. C’est pourquoi on a aussi appelé la méthode expérimentale
méthode
à posteriori. L’esprit humain a passé par trois p
ménales. C’est ainsi qu’apparaît par le progrès naturel des choses la
méthode
expérimentale, qui résume tout en s’appuyant succ
son et l’expérience. Dans la recherche de la vérité au moyen de cette
méthode
, le sentiment a toujours l’initiative, il engendr
ouvons pas sortir des faits, et nous croupissons dans l’empirisme. La
méthode
expérimentale est la méthode qui cherche la vérit
et nous croupissons dans l’empirisme. La méthode expérimentale est la
méthode
qui cherche la vérité par l’emploi bien équilibré
rche du déterminisme des phénomènes est admise comme but unique de la
méthode
expérimentale, il n’y a plus ni matérialisme, ni
le rôle de cause prochaine. Toutes les sciences qui font usage de la
méthode
expérimentale doivent tendre à devenir anti-systé
mette en face de la nature, qu’il l’interroge librement en suivant la
méthode
expérimentale à l’aide de moyens d’investigation
entrer dans le ménage de la science et lui imposer dogmatiquement des
méthodes
et des procédés d’investigation, l’accord ne pour
s observations, des expériences ou des découvertes scientifiques, les
méthodes
et procédés philosophiques sont trop généraux et
ont trop généraux et restent impuissants ; il n’y a pour cela que des
méthodes
et des procédés scientifiques souvent très spécia
absorber les découvertes particulières d’une science au profit d’une
méthode
ou d’un système philosophique quelconque. En un m
d’obtenir le déterminisme des phénomènes à l’aide des procédés et des
méthodes
scientifiques ne s’apprend que dans les laboratoi
r à son secours, s’il voit qu’il s’égare. Je pense enfin que la vraie
méthode
scientifique est celle qui contient l’esprit sans
Ce procédé de destruction ou d’ablation organique, qui constitue une
méthode
brutale de vivisection, a été appliqué sur une gr
en inférons qu’il s’agit d’un nerf de mouvement. On a employé la même
méthode
pour connaître les fonctions des diverses parties
s difficultés d’exécution à cause de la complexité des parties, cette
méthode
a fourni des résultats généraux incontestables. T
nière, il suffit de constater que nous en devons la connaissance à la
méthode
de vivisection par ablation organique qui s’appli
tre pondérés par un équilibre physiologique parfait. Il est une autre
méthode
expérimentale plus délicate, qui consiste à intro
laissés en place et conservés dans leur intégrité. À l’aide de cette
méthode
, on peut éteindre isolément les propriétés de cer
rien les propriétés des éléments nerveux. Comme on le voit, par cette
méthode
d’investigation ou d’analyse élémentaire des prop
es autres appareils fonctionnels du corps. Enfin il est une troisième
méthode
d’expérimentation, qu’on pourrait appeler celle d
u’on pourrait appeler celle des expériences par rédintégration. Cette
méthode
réunit en quelque sorte l’analyse et la synthèse
sseurs, sur la théorie de la vie ; mais il ne s’est pas trompé sur la
méthode
physiologique. C’est sa gloire de l’avoir fondée
phénomènes de la santé et de maladie. D’un autre côté les progrès des
méthodes
physiques, les découvertes brillantes de la chimi
s ont pour base les mêmes principes et pour moyens d’études les mêmes
méthodes
d’investigation. III. Si les doctrines vita
nullement botaniste, il n’était point anatomiste ; il avait contre la
méthode
et contre toute classification scientifique des p
eune fille restée fidèle. En tout, Linné, l’homme de l’ordre et de la
méthode
, observateur neuf, ingénieux, inventif, à l’œil d
avec un dédain superbe, commença le premier à attaquer Linné sur ses
méthodes
artificielles, et, même lorsqu’il en fut venu à r
nous dit Blainville, à laisser entrer dans le jardin de botanique la
méthode
et la nomenclature de Linné, enseignes déployées
en vient aux oiseaux, obligé d’entrer décidément dans les voies de la
méthode
, à laquelle il avait résisté tant qu’il avait pu.
’ai souvent causé avec des savants modestes qui se rattachent à cette
méthode
de philosophie et d’expérience, et, après chaque
aturelle philosophique, et qui ont rendu tant de services à l’art des
méthodes
qu’elles doivent faire pardonner à leur auteur le
ment et de front l’histoire des œuvres littéraires et des auteurs, sa
méthode
scientifique non ménagée a effarouché les timides
lus de sûreté sous le canon de l’orthodoxie ; ils ont tous vu dans la
méthode
de l’auteur je ne sais quelle menace apportée à l
veille de son livre. I. J’aimerais à pouvoir lui appliquer sa propre
méthode
à lui-même, pour le présenter et l’expliquer de m
ur une branche un peu rude. II. Il me faut pourtant dire un mot de sa
méthode
et y revenir ; je ne vise en ce moment qu’à le fa
le plus poli du xviie siècle : il s’y est surpassé ; il a allégé sa
méthode
, tout en continuant de l’appliquer. Sa pensée gén
tous. Je ne sais si je m’explique bien : c’est là le point vif que la
méthode
et le procédé de M. Taine n’atteint pas, quelle q
être autant que la vie de l’humanité même. Nous tous, partisans de la
méthode
naturelle en littérature et qui l’appliquons chac
l’essence des choses, du moins si nous avons soumis ces lumières à la
méthode
qui les réunit et les dirige : cette méthode n’es
soumis ces lumières à la méthode qui les réunit et les dirige : cette
méthode
n’est elle-même que le résultat de l’ensemble des
s morales, il reste encore des vérités dont la route est connue et la
méthode
fixée. Les penseurs, repoussés de toutes parts pa
avait dans la philosophie des anciens plus d’imagination et moins de
méthode
que dans la philosophie des modernes. Celle des a
sont entrés dans la route de la démonstration géométrique ; et cette
méthode
présente seule des progrès réguliers et sans born
i l’on pouvait découvrir un jour dans le calcul des probabilités, une
méthode
qui pût convenir aux objets purement moraux, ce s
est déjà parvenu, sous quelques rapports, à appliquer avec succès la
méthode
des mathématiques à la métaphysique de l’entendem
les appétits et les sensations, on ne trouve plus ici cette sûreté de
méthode
qui satisfait l’esprit, encore plus que ne le fon
sprit, encore plus que ne le font les analyses et les découvertes. La
méthode
du naturaliste, en effet, comprend deux opération
e étude de transition. Son intention, il le déclare, est de suivre la
méthode
naturelle, et il le fait à beaucoup d’égards. Mai
up d’égards. Mais ses classifications ne sont point fondées sur cette
méthode
et voici pourquoi. Une classification naturelle s
vu que s’en tenir aux caractères les plus manifestes, c’est suivre la
méthode
des anciens naturalistes qui, en vertu de ressemb
une esthétique et une morale, cependant on en trouve une esquisse. Sa
méthode
expérimentale, très bonne quand elle s’applique a
-semblant de rigueur. Peut-être en esthétique n’y a-t-il qu’une seule
méthode
vraiment sérieuse et qui n’aboutit pas à l’illusi
n’est pas une question de mots qu’il pose, mais bien une question de
méthode
. Cependant, je n’entreprendrai pas de le discuter
de la littérature anglaise », il explique avec une clarté parfaite sa
méthode
et son but : les documents historiques, parmi les
itique a poursuivi son programme, comment il a développé et élargi sa
méthode
dans sa Philosophie de l’art, comment il a osé ab
que tel roman, tel poème ou telle comédie. III Avec l’ancienne
méthode
critique, la base d’un enseignement littéraire ét
st professeur, son autorité. » C’était clair et simple. Mais avec la
méthode
historique et psychologique, le problème est tout
il est possible d’appliquer à l’étude de la littérature générale une
méthode
rigoureusement scientifique. Je n’insisterai pas
s auxquelles nous tendrons. Vous connaissez maintenant, Messieurs, la
méthode
de critique que nous comptons employer, et, du mo
tre, aux effets de style, aux mouvements de passion, aux surprises de
méthode
. Emporté par le tourbillon métaphysique, assiégé
une philosophie seul, sans maître, avec toutes les précautions de la
méthode
et tous les scrupules du doute, sur un terrain ob
en philosophie fut la certitude. Pour toute garantie, il trouvait la
méthode
; avec sa passion ordinaire, il embrassa la métho
e, il trouvait la méthode ; avec sa passion ordinaire, il embrassa la
méthode
et ne la quitta plus. Son premier soin, en aborda
défiance pour eux-mêmes, d’espoir en la vérité et de confiance en la
méthode
. Alors seulement il se mettait en marche, aussi a
eau retenir son cœur, il y était mené de force ; s’il empruntait à sa
méthode
et à ses preuves des raisons de croire, sa croyan
it comme Descartes : il s’attachait aux pieds, comme des entraves, la
méthode
et les règles philosophiques ; mais il tenait ses
Chapitre XIV : De la
méthode
(Suite) M. Paul a cinquante ans environ ; il es
r et par la volonté de trop bien faire. Ce livre, composé d’après une
méthode
inflexible, écrit avec une éloquence entraînante,
, une carpe ; quelle est son essence ou sa cause ? Tous les pas de la
méthode
sont des effets de cette question. Après avoir cl
i, ou qu’on dérive elle et lui de quelque autre chose. J’esquisse une
méthode
, je n’avance pas une théorie. Posez cette idée no
. Abstraction, hypothèse, vérification, tels sont les trois pas de la
méthode
. Il n’en faut pas davantage, et il les faut tous.
vous rencontrez un groupe naturel de faits, vous pouvez mettre cette
méthode
en usage, et vous découvrez une hiérarchie de néc
autres, nous tâchons d’y faire apercevoir et d’en dégager par la même
méthode
que chez les autres le fait primitif et unique d’
du geste convenable à la déclamation théatrale étoit partagé en trois
méthodes
. Il étoit subdivisé en trois arts differens. La p
ois méthodes. Il étoit subdivisé en trois arts differens. La premiere
méthode
enseignoit l’ emelie ou le geste propre à la décl
nt, dira-t-on, les anciens avoient-ils pû venir à bout de rediger ces
méthodes
par écrit, et de trouver des notes et des caracte
la division de l’art du geste théatral, et l’avoient partagé en trois
méthodes
. Comme le dit Ciceron, la nature a marqué à chaqu
passionné, il conçut une apologie, une défense de la religion par une
méthode
et par des raisons que nul n’avait encore trouvée
e meilleur sens du mot. Ne pouvant entrer à fond dans l’examen de la
méthode
de Pascal, je voudrais ici insister, d’après M. H
ir ; et je ne puis approuver que ceux qui cherchent en gémissant. La
méthode
qu’il emploie dans ses Pensées pour combattre l’i
fait que pour admirer votre perfection. Rien ne ressemble moins à la
méthode
de Pascal que cette voie aplanie et aisée. On n’e
ici, c’est l’opposition ouverte de Pascal avec ce qui sera bientôt la
méthode
de Fénelon. Fénelon, serein, confiant et sans tou
e ne rencontrer que silence et nuit. Avec Bossuet, le contraste de la
méthode
ne serait pas moins frappant. Quand même, dans so
aimée ; si le crime est normal, c’est à condition d’être haï1. Notre
méthode
n’a donc rien de révolutionnaire. Elle est même,
ppement logique de concepts idéaux, on jugera peut-être grossière une
méthode
qui fait dépendre l’évolution collective de condi
t pas être immédiatement dérivés des phénomènes organiques ? Or notre
méthode
n’est en partie qu’une application de ce principe
ent qu’après que je me suis placé, grâce à son aide, au plan dont ses
méthodes
d’exposition nous ont facilité l’abord. Voici pou
acceptons avec reconnaissance une manière de voir dont il a tiré une
méthode
si propre à nous former. Nous savons bien qu’il d
aimait les lois de la nature. Nous admettons avec lui le danger de la
méthode
dialectique et rationnelle dans les réformes soci
rincipaux rameaux. M. Paul Albert n’a eu pour cela qu’à substituer la
méthode
vivante et historique aux formules et aux définit
airement est absente. Mais peu importe ! les principes sont posés, la
méthode
est donnée, et l’habile professeur a pris toute s
le renversement ou plutôt l’annulation des vieilles rhétoriques ; une
méthode
vivante et naturelle substituée aux formules dida
ivante et naturelle substituée aux formules didactiques, — je dis une
méthode
et non pas de simples séances d’Athénée agréables
barras est grand, parce qu’ils n’ont ni dans leur objet, ni dans leur
méthode
, rien qui les caractérise uniquement. Socrate, Di
grand prix, quand elles sont exactes et conduites suivant une sévère
méthode
. L’esprit de la science est cette communauté inte
franc jeté sur le monde, des habitudes intellectuelles créées par les
méthodes
modernes. Deux voies, qui n’en font qu’une, mènen
M. Auguste Comte. Il est étrange qu’un homme, préoccupé surtout de la
méthode
des sciences physiques et aspirant à transporter
de la méthode des sciences physiques et aspirant à transporter cette
méthode
dans les autres branches de la connaissance humai
celle de l’humanité de la façon la plus étroite et y ait appliqué la
méthode
la plus grossière. M. Comte n’a pas compris l’inf
frais, sans se soucier de connaissances littéraires fort inutiles. La
méthode
de M. Comte dans les sciences de l’humanité est d
raisonnement sont aussi mauvais que ceux qui l’attaquent par la même
méthode
. Le vrai, c’est que le raisonnement ne doit pas ê
laissé prendre à ce sophisme : Nos pères ont fait merveille avec des
méthodes
médiocrement régulières. Que ne feront pas nos en
▲