flûte d’ybilis (Bambara) Un enfant qui était sorcier, mais que sa
mère
portait encore sur le dos, dit un jour à celle-ci
ais que sa mère portait encore sur le dos, dit un jour à celle-ci : «
Mère
, porte-moi chez mon oncle ; j’ai envie de le voir
e-ci : « Mère, porte-moi chez mon oncle ; j’ai envie de le voir ». La
mère
le chargea sur son dos et se dirigea vers le vill
Au bout de quelques instants ils entendirent Ybilis qui rentrait. La
mère
et l’enfant se cachèrent dans la toiture et aussi
e épaisse. Cette fumée incommoda fort le petit qui se mit à crier : «
Mère
! Mère ! la fumée ! » Ybilis fut grandement surpr
se. Cette fumée incommoda fort le petit qui se mit à crier : « Mère !
Mère
! la fumée ! » Ybilis fut grandement surpris d’en
u Levant Et du côté où tombe le soleil. Et nul cadavre ne m’a dit : «
Mère
! la fumée ! Mère ! la fumée ! » Cela fait, Ybil
é où tombe le soleil. Et nul cadavre ne m’a dit : « Mère ! la fumée !
Mère
! la fumée ! » Cela fait, Ybilis rentra et remit
Avant qu’il fût de retour, le petit redescendit de la toiture avec sa
mère
et s’empara de la flûte d’Ybilis, puis il reprit
e Levant Et du côté où tombe le soleil Et nul de ceux-là ne m’a dit «
Mère
! la fumée ! Mère ! la fumée ! ». « Oh mais ! mu
é où tombe le soleil Et nul de ceux-là ne m’a dit « Mère ! la fumée !
Mère
! la fumée ! ». « Oh mais ! murmura Ybilis, c’es
de ses parents. Il y entra avec lui et dit au père : « Je n’ai pas de
mère
et je suis venue pour t’épouser ». Le père était
préoccuper de son instrument. Le lendemain l’homme appela sa vieille
mère
et lui raconta ce qui s’était passé. On ne revit
r, dans une petite ville du Perche, arrivèrent, pour s’y établir, une
mère
et sa fille ; elles venaient tenir le bureau de p
e personne qui avait atteint dix-huit ans faisait l’unique soin de sa
mère
. A la mort de M. M…, sans fortune, sans pension,
c’est ainsi qu’elles arrivaient. Il y avait deux mois environ que la
mère
et la fille remplissaient l’office qui devenait l
la ville ; une ancienne domestique amenée avec elles les servait. La
mère
malade, et à jamais brisée au dedans, ne bougeait
d’une nature revêche et dure. Un jour, une après-midi, pendant que sa
mère
, au sortir du dîner, sommeillait dans son fauteui
tinction originelle, plus d’une goutte de sang des nobles aïeux de sa
mère
, qui se mêlait, sans s’y perdre, à toutes les fra
; ce jour-là elle souffrait plus. Elle se cachait soigneusement de sa
mère
, et de peur de se trahir, elle tâchait de ne se l
à sa tristesse. Christel n’avait aimé encore ni pensé à aimer que sa
mère
; elle ne l’avait jamais quittée que pendant une
cessivement, et sans rien faire pour s’en enquérir ; mais, quoique sa
mère
et elle ne reçussent habituellement aucune person
deux heures et demie, à l’issue du dîner ; bien peu après, dès que sa
mère
lassée commençait à sommeiller, Christel s’approc
uelque chose de défendu. Elle la tenait quelquefois jusqu’à ce que sa
mère
s’éveillât ou que lui-même il vînt, ce qu’il fais
remiers mots, celle-ci coupa court, et, se jetant dans les bras de sa
mère
, la supplia avec un baiser ardent de ne jamais lu
n baiser ardent de ne jamais lui en reparler ni de rien de pareil. La
mère
n’insista pas, mais, à la chaleur du refus et à m
n était en jeu, il aurait fallu être un rival, ou il fallait être une
mère
, une mère prudente, inquiète et malade, qu’éclair
jeu, il aurait fallu être un rival, ou il fallait être une mère, une
mère
prudente, inquiète et malade, qu’éclaire encore s
preuve bien cruelle. C’était un dimanche ; elle était sortie avec sa
mère
pour une promenade, ce qui leur arrivait si rarem
au bureau l’attendait. Christel trembla ; elle pria, à ce moment, sa
mère
de s’appuyer plus fort sur son bras, sans crainte
orte tout à côté pour chercher plus près d’elle, avec elle. La pauvre
mère
sommeillait-elle alors ? Elle se taisait dans son
nt, toute issue fermée, avait chance de s’étouffer peut-être. La sage
mère
s’en flattait encore, et elle contint au dedans t
fit un geste comme pour se prendre à la grille, et tomba évanouie. La
mère
, qui, dès le commencement, n’avait rien perdu de
ntre ces trois êtres. Nulle explication ne fut demandée ni donnée. La
mère
ne parla point en particulier à sa fille. Hervé,
nt la langue. Quelle joie pour Christel, quel attendrissement pour la
mère
de s’y rencontrer avec lui comme en un coin libre
e Christel possédait quelques livres favoris, venus de là-bas pour sa
mère
; il leur en lisait parfois, une ode de Klopstock
ale beauté, il crut le moment propice, et, après quelques mots sur sa
mère
, à laquelle il avait parlé, disait-il, de cette v
du néant de pareils projets à l’égard d’une malade comme elle, que la
mère
navrée ne put qu’échanger avec Hervé un lent rega
de Christel ne se retirait qu’après lui avoir remis celle même de sa
mère
. Un long silence d’émotion suivit ; le jour était
u en as presque autant que l’amour. Dès le lendemain, Hervé emmena la
mère
et la conduisit au château de sa famille, où tous
cheurs nous ont bercés tout près de la terre, entre les genoux de nos
mères
ou de nos Euryclées (servante vieillie de Télémaq
r et par affection plus que par leurs pauvres salaires ; mon père, ma
mère
, mes sœurs, les occupations pastorales, rurales,
quel foyer de bûcheron ou de laboureur cette fumée s’élève, et quelle
mère
de famille, autrefois servante ou bergère au chât
belle demeure ; elle m’était destinée après lui. Notre père et notre
mère
nous y conduisaient tout petits pour y continuer
olâtrant dans les cours pour rire en liberté. Le repas terminé, notre
mère
, qui ne négligeait aucune occasion d’élever à Die
s simplicités de la vie paysanesque dont nous faisions partie ; notre
mère
, aussi sensible et plus intelligente que nous, ne
soupir qui ne serait entendu que de leur cœur ? XI Mais cette
mère
de famille d’une sensibilité si juste et si exqui
e sont là les peintures qui, sans l’enlever aux réalités de sa vie de
mère
de famille et de maîtresse de ménage rustique, la
au milieu du jour) pour assister à cette lecture de l’Odyssée par la
mère
de famille. C’était à l’extrémité d’une longue av
s et de l’eau abrégeait la lenteur ou notait les rêves. Un jour notre
mère
y parut un livre inconnu à la main. À la forme du
ait au château l’aumônier de notre grand-père. Nous savions que notre
mère
aimait à lire dans ces volumes d’autel pleins de
i écoutent. XIII « Il faut d’abord, mes enfants, nous dit notre
mère
, que je vous apprenne ce que c’est qu’un poème ép
ite colonne bleuâtre sortant de la cheminée de votre père et de votre
mère
? que ne verriez-vous pas des yeux de l’âme à tra
yeux de l’âme à travers cette fumée ? Vos berceaux, votre père, votre
mère
, vos oncles, vos tantes, vos nourrices, vos servi
y verser le vin. » — « Ne diriez-vous pas, mes enfants, reprit notre
mère
, que ces usages domestiques, qui existaient il y
ent les prétendants à la main de Pénélope abusent du veuvage de cette
mère
pour ruiner et déshonorer sa maison ; comment Min
ue, déjà rusé comme son père, feint de gourmander respectueusement sa
mère
, pour qu’elle rentre dans sa chambre. « Laissez c
e ferais, dis-je à demi-voix. — C’est ainsi que j’aurais fait, dit ma
mère
; je me serais fiée à mon fils ; je ne me serais
s sœurs avaient les larmes aux yeux, en comprenant, à la voix de leur
mère
, ce qu’elles n’avaient pas bien compris d’abord.
bleau de famille. XV Le premier chant finit avec le jour. Notre
mère
appuya avec accent sur les détails intimes et dom
s flambeaux éclatants devant Télémaque. De toutes les servantes de sa
mère
, c’est elle qu’il aimait le plus, parce qu’elle l
. » — « Que pensez-vous d’Euryclée, mes enfants ? nous demanda notre
mère
après avoir fermé le livre. Chacun de nous, chacu
n de nous, chacun de vous n’a-t-il pas eu son Euryclée, cette seconde
mère
des enfants de la maison, par l’habitude de les a
êmes. XVI Le lendemain, à la même heure et au même lieu, notre
mère
rouvrit le vieux livre. Notre attention devançait
une éloquence modeste des maux que les prétendants font souffrir à sa
mère
, à lui, à son pays. On lui répond, il réplique ;
c soin toutes ces provisions. Ce soir je les prendrai au moment où ma
mère
montera dans ses chambres hautes pour retrouver s
la rassure et la console. ˮ Jurez-moi, nourrice, de ne rien dire à ma
mère
bien-aimée avant le onzième ou douzième jour aprè
ce récit en inexprimable simplicité de style. « Voyez, nous dit notre
mère
, comment il faut recevoir et retenir par de bonne
nélas reconnaît le fils d’Ulysse. » — « N’est-ce pas, nous dit notre
mère
, le geste de la pauvre orpheline du village à qui
line du village à qui je demandais, l’autre jour, des nouvelles de sa
mère
dont j’ignorais la mort ? Ne prit-elle pas les bo
contre le chagrin ? — Ce seraient deux mauvais sentiments, reprit ma
mère
; la vanité doit s’oublier quand le cœur est bris
trahi. » XVIII « Hélène cependant le reconnaît, continue notre
mère
; elle fait part de ses soupçons à Ménélas, son m
de bœufs et de brebis, et qui prétendent insolemment à la main de ma
mère
! « — Ah ! grands dieux ! s’écrie Ménélas en soup
un pâturage de coursiers. » — « Vous souriez, mes enfants, dit notre
mère
à ce passage, parce que vous pensez comme le fils
vieilles ! « Ne fut-ce pas exactement ainsi, mes enfants, dit notre
mère
en fermant à demi le livre, le jour où l’on rappo
he enfin et rêve à son fils. » — « Hélas ! quel autre rêve visite les
mères
quand leurs fils sont absents ou exposés aux dang
u roi Alcinoüs, sauve Ulysse dans l’île des Phéaciens. Mais ici notre
mère
, retrouvant toutes les naïvetés du ménage antique
e invisible à l’esprit de la fille d’Alcinoüs à son réveil, que votre
mère
vous a donc faite paresseuse ! Vos plus belles ro
s acquerrez une bonne renommée parmi les hommes ; votre père et votre
mère
s’en glorifieront avec joie. Dès que brillera l’a
« Nausicaa, frappée de ce songe, se lève… Elle trouve son père et sa
mère
retirés dans l’intérieur de leur appartement. La
et sa mère retirés dans l’intérieur de leur appartement. La reine, sa
mère
, assise auprès du foyer, filait une laine couleur
e de sa chambre une riche parure et la place sur le char éclatant. Sa
mère
dépose dans une corbeille des mets savoureux de t
e sèche aux rayons du soleil. » — « Ne dirait-on pas, s’écria notre
mère
, qu’Homère avait suivi cent fois les laveuses à l
i vivifient le tableau. — D’ailleurs il est bien choisi, ajouta notre
mère
, car je connais peu de scènes, à la campagne, plu
histoires commentées à des enfants par les lèvres intelligentes d’une
mère
. La lecture de ce poème était-elle même un poème.
idélité de cette description d’un vieux mendiant ? nous demanda notre
mère
; vous frappe-t-elle moins vivement et moins agré
s étrangers et les pauvres nous sont envoyés par les dieux. » Notre
mère
s’interrompit ici pour nous faire remarquer combi
angez ! » — « Il paraît, dit mon père en souriant et en regardant ma
mère
, que la cuisine est aussi antique que la morale d
rd’hui les morceaux. — Vous en plaignez-vous, mes enfants ? dit notre
mère
. — Non assurément, répondîmes-nous tous ; la desc
ez comme le mensonge était odieux aux hommes d’autrefois », dit notre
mère
. XXII La conversation devient plus pressant
rer de tendresse au retour de votre père ou de mes enfants, dit notre
mère
, quand vous voyez deux héros, le père et le fils,
art et les malheurs d’Ulysse. — « Sans la vieillesse, nous dit notre
mère
, la famille n’a point de sérénité ni de sainteté
de suite un si délicieux poème, si Homère, par la voix de notre jeune
mère
, avait continué à raconter ainsi ; mais le poème
e Nausicaa, plus laborieuse qu’Euryclée, plus reine, plus femme, plus
mère
que Pénélope ! Ah ! c’est ainsi que l’Odyssée doi
e des lèvres dans l’intelligence et dans le cœur ; c’est le poème des
mères
de famille, des époux, des épouses, des aïeuls, d
passé mollement sous celui de son fiancé ; l’autre bras saisi par la
mère
qui est assise au-dessous. Entre la mère et la fi
; l’autre bras saisi par la mère qui est assise au-dessous. Entre la
mère
et la fiancée, une sœur cadette debout, penchée s
e sur la pointe des pieds pour voir ce qui se passe. Au-dessous de la
mère
sur le devant, une jeune fille assise qui a de pe
, dans l’espace vide que laissent les figures, proche des pieds de la
mère
, une poule qui conduit ses poussins auxquels la p
l. Plus à son fiancé, et elle n’eût pas été assez décente ; plus à sa
mère
ou à son père, et elle eût été fausse. Elle a le
être sans le savoir elle-même. C’est une idée délicate du peintre. La
mère
est une bonne paysanne qui touche à la soixantain
gaieté et la tendresse sont mêlées dans la physionomie de cette bonne
mère
. Pour cette sœur cadette qui est debout à côtés d
ir imaginé cet épisode. Les deux enfants dont l’un assis à côté de la
mère
s’amuse à jeter du pain à la poule et à sa petite
poussins au milieu de la scène, et qui a cinq ou six petits comme la
mère
aux pieds de laquelle elle cherche sa vie, a six
t les regards ; ensuite l’époux ou le fiancé ; ensuite l’accordée, la
mère
, la sœur cadette ou l’aînée, selon le caractère d
tabellion, sont bien des paysans, des gens de campagne ; mais que la
mère
, la fiancée, et toutes les autres figures sont de
a fiancée, et toutes les autres figures sont de la halle de Paris. La
mère
est une grosse marchande de fruits ou de poissons
sa dette en Afrique. Depuis un an déjà, il est rentré au château. Sa
mère
l’a fiancé à une jeune orpheline dont elle a fait
ge. Tout à l’heure encore Jean attestait à Marie son fidèle amour. La
mère
se rassure, elle croit en son fils. Une Parisienn
n pour Jean de Thommeray, qui oublie déjà la baronne. L’arrivée de sa
mère
jette un froid dans la flirtation commencée. « Pa
une trappe, quand le bon ange apparaît. La scène entre le fils et la
mère
est belle et touchante. Madame de Thommeray adres
tant, à la Maison-d’or, où il s’en va souper avec elle, tandis que sa
mère
l’attend à la gare, en séchant sur pied. L’action
c’est pour souper avec elle qu’il déserte le rendez-vous promis à sa
mère
! On ne comprend rien à cette triste énigme, et e
ls de province, qui, s’ennuyant dans son petit castel, quitte père et
mère
et abandonne sa promise, pour suivre une cocodett
es ; il reconnaît son père et ses frères, et, à un balcon du quai, sa
mère
agitant son mouchoir. — « Le lendemain, dans la c
epuis quinze ans, ni une lettre, ni un signe de vie de leur père ; la
mère
excuse de son mieux ce silence ; jamais elle n’a
sans s’être expliqué. « C’est l’expiation qui commence ! » s’écrie la
mère
apprenant cette retraite de mauvais augure. Elle
lation diffamante. Ce qu’il y voit surtout, c’est le déshonneur de sa
mère
, et l’idée que sa soeur et lui vivent, depuis qui
e peut lui donner gain de cause. En entraînant les enfants, avec leur
mère
, dans une situation interlope recouverte par un m
t élevée dans un milieu équivoque, sous la tutelle du séducteur de sa
mère
. Quelque pure qu’elle soit, son innocence en reço
est invinciblement réfutée par le mot de Fanny, s’écriant, lorsque sa
mère
en vient à la chute de la femme séduite : « Tu di
d, riche armateur du Havre. Elle semblait l’avoir distingué ; mais sa
mère
rêve de mettre un blason quelconque sur le fond d
s de deuil, triste comme une veuve, grave comme une matrone. C’est la
mère
de M. Bernard. La mère et le fils vivent seuls da
e une veuve, grave comme une matrone. C’est la mère de M. Bernard. La
mère
et le fils vivent seuls dans cette maison presque
et douloureux dans leur réclusion. Bernard est un enfant naturel ; sa
mère
, toute jeune, a été séduite par le fils d’une mai
tat-civil, en divulguant sa naissance, atteindraient la dignité de sa
mère
, parce qu’il ne veut pas non plus qu’elle ait à r
apprenons tout cela. Rien de touchant et même d’imposant comme cette
mère
en cheveux blancs se confessant à son fils. Elle
montant des créances : demain, ce sera la ruine et le déshonneur, La
mère
reste seule avec son fils, elle l’invite à secour
e le veux, tu le dois ! — C’est donc mon père ? » s’écrie Bernard. La
mère
répond en baissant la tête. — « C’est bien, j’obé
s de la nature qui parle et commande, la piété filiale imposée par la
mère
outragée à l’enfant renié ; de l’autre, son accep
ssent en voyant si sottement usurpée, la place que devrait occuper sa
mère
justifie son irritation. Madame Fourchambault, du
’hésite plus ; son cœur reprend l’élan généreux que l’influence de sa
mère
avait comprimé : elle aimera celui qui l’aime, Vi
d’abord le séducteur puni par sa rupture avec la fille qu’il a rendue
mère
. Fourchambault a cru choisir la meilleure part, e
, par cette abnégation généreuse, le voile qui couvre l’honneur de sa
mère
ne sera pas soulevé.
dences. Au dernier moment, et par respect, dit-il, pour l’ombre de sa
mère
, de son père, de ses sœurs, il n’a pas hésité :
sa croissance heureuse sous la plus tendre et la plus distinguée des
mères
: « Dieu m’a fait la grâce de naître dans une de
n fils d’aristocrate », disait un jour un représentant du peuple à sa
mère
. Sa première éducation fut toute maternelle, tout
endant si saine et si belle. Des yeux d’un bleu noir comme ceux de ma
mère
; des traits accentués, mais adoucis par une expr
elques détails sur la finesse de la peau)… En tout, le portrait de ma
mère
avec l’accent viril dans l’expression : voilà l’e
autre ordre de délicatesse commence. M. de Lamartine loue beaucoup sa
mère
; rien de plus naturel au premier abord ; il semb
ien de plus naturel au premier abord ; il semble qu’un père et qu’une
mère
soient de ces êtres qu’on ne puisse trop louer ou
is il y a là encore une nuance de délicatesse. Louer à tout moment sa
mère
comme une femme de génie, comme un modèle de sens
essentiel dans l’éducation de M. de Lamartine, à une erreur de cette
mère
excellente qui, nourrie de Jean-Jacques et de Ber
x plus ou moins sereins et dans le sourire plus ou moins ouvert de ma
mère
… Elle ne me demandait que d’être vrai et bon. Je
rd comme l’avait traité sa famille : il avait été l’enfant gâté de sa
mère
, il le devint de la France et de la jeunesse. Son
s sentiments et des idées, mon éducation familière, surveillée par ma
mère
, ne fit de moi un des esprits les plus justes, un
t et de sentiment, que fait M. de Lamartine quand il nous parle de sa
mère
? Il ne se contente pas de nous la peindre, il no
icieusement disposés ; mais, en la décrivant, il ne décrivait pas une
mère
. Est-ce que vous ne sentez pas la différence ? «
une corde lancée d’un toit à l’autre avec une flèche, son père et sa
mère
correspondaient, et son père put même quelquefois
ortir la nuit de sa prison, pour aller passer quelques heures avec sa
mère
. Quelles nuits, s’écrie le poète, que ces nuits
ir complètement oublié qu’il est fils, et qu’il s’agit de ses père et
mère
. Tout cela est choquant au dernier point, et tell
de famille, c’est qu’il veut retrouver, revoir, entendre l’âme de sa
mère
. S’il veut nous faire regretter Milly, c’est pour
Lettres d’une
mère
à son fils Hyacinthe Corne, Adrien, ou Lettres
es d’une mère à son fils Hyacinthe Corne, Adrien, ou Lettres d’une
mère
à son fils. [Le Pays, 10 mars 1857.] I Est
I Est-ce vraiment un livre sur l’éducation que ces Lettres d’une
mère
à son fils 17 d’Hyacinthe Corne ? Ne serait-ce pa
dans leurs sources pures en parlant tout simplement comme l’âme d’une
mère
. Mais l’âme d’une mère n’y suffit pas non plus. Q
s en parlant tout simplement comme l’âme d’une mère. Mais l’âme d’une
mère
n’y suffit pas non plus. Qui n’est qu’une mère n’
mère. Mais l’âme d’une mère n’y suffit pas non plus. Qui n’est qu’une
mère
n’est qu’une sentimentalité sublime, et il faut p
s. L’éducation est plus qu’une maternité : c’est un sacerdoce. Que la
mère
en soit le prêtre, ah ! certes ! nous n’y répugno
— Dans l’intention la plus sérieuse de leur auteur, les Lettres d’une
mère
à son fils sont évidemment un traité d’éducation
ini à la moralité d’un homme. Étudiant, il vit à Paris, éloigné de sa
mère
, qui lui envoie dans ses lettres des conseils et
une veuve, et nous aimons cette idée de veuve, cumulant le père et la
mère
dans la fonction sacerdotale de l’éducateur ; mai
ète dans son titre, et qu’il eût intitulé son ouvrage : Lettres d’une
mère
chrétienne à son fils, toute l’économie en aurait
donner une véritable nomenclature des oublis singuliers de Corne. La
mère
de son livre, en effet, cette mère qui n’est pas
des oublis singuliers de Corne. La mère de son livre, en effet, cette
mère
qui n’est pas une philosophe, mais une chrétienne
(la Créqui des lettres publiées par Sainte-Beuve) qu’il fallait pour
mère
à Adrien. Au lieu de cela nous avons une bourgeoi
mit à aimer, à étudier et à deviner le fils dans la personne de cette
mère
si remarquable, et si digne de celui qu’elle avai
elle en profite, car il n’est pas de jour où, dans sa solitude, cette
mère
heureuse ne pense à son fils, « et ces pensées, d
iment que tu fusses là, près de moi. Bettina revient donc près de la
mère
de celui qu’elle vénère et qu’elle adore ; et ce
u jour, et qui prospéra si bien, sur la chaise verte où s’asseyait sa
mère
quand elle lui contait les histoires sans fin qui
e. Une fois qu’il traversait la rue avec plusieurs autres enfants, sa
mère
, et une personne qui était avec elle à la fenêtre
par toutes sortes de choses. » — Et cela s’est réalisé », ajoutait la
mère
. — Bettina sait toutes ces choses des commencemen
eux de son âge ; il aimait fort l’exercice du patin, et il engagea sa
mère
à venir voir comment il y réussissait. Il faisait
souriant très gracieusement : — Eh bien ! que veux-tu ? lui dis-je. —
Mère
, vous n’avez pas froid dans la voiture, donnez-mo
voulait plaire. Mais n’avez-vous pas senti dans ce simple récit de la
mère
tout l’orgueil de Latone : C’est un fils des dieu
ur romain, une impératrice romaine ou Cornélie ? Ce que sentait cette
mère
alors, toute l’Allemagne depuis l’a senti pour Go
Bettina, on fait comme elle, on se surprend à étudier Goethe dans sa
mère
, et on l’y retrouve plus grand, plus simple du mo
it qu’il se fût un peu plus ressouvenu dans son génie de ce mot de sa
mère
: « Il n’y a rien de plus grand que quand l’homme
me se fait sentir dans l’homme. » — On a dit que Goethe aimait peu sa
mère
, qu’il l’aimait froidement, que, pendant de longu
cette froideur recouvre souvent la qualité première subsistante. Une
mère
ne continue pas d’aimer et de révérer à ce point
ne nous appartient pas d’être plus sévère qu’elle. Ce fils aimait sa
mère
à sa manière, à la manière de tous deux, et, quoi
poser en modèle, il n’était point ingrat : « Tiens chaud de cœur à ma
mère
, écrivait-il à Bettina… Je voudrais cordialement
drais cordialement être à même de te récompenser de tes soins pour ma
mère
. Il me venait un courant d’air de son côté. Maint
otre usage, un Fontenelle revêtu de poésie. Au moment où il perdit sa
mère
, Bettina lui écrivait, en faisant allusion à cett
e qui est triste et irréparable : ne te détourne pas de l’image de ta
mère
mourante ; sache combien elle fut aimante et sage
répond avec des paroles senties de reconnaissance pour tout ce que sa
mère
lui a dû de soins dans sa vieillesse et de reverd
l m’est impossible de rester assise, en personne bien élevée. Hélas !
mère
(c’est à la mère de Goethe qu’elle adresse ce réc
qui vous tourmente, et il ne vous fera plus mal aux entrailles. » Sa
mère
savait également la recette ; elle écrivait un jo
e de Goethe, Bettina a plus de sujet de se plaindre ; car cette bonne
mère
connaissait son fils et expliquait à la jeune fil
tivité au Temple où elle vit mourir, l’un après l’autre, son père, sa
mère
, sa tante et son frère. Elle y était entrée avant
Si elle semble, par sa nature, avoir tenu plus de son père que de sa
mère
, il est une vertu, du moins, qu’elle tint de cell
r qu’elle avait en elle ce courage d’action qui lui venait bien de sa
mère
et de son aïeule Marie-Thérèse. En 1830, de même
es terribles journées d’octobre 1789, son rôle public aux côtés de sa
mère
commença. Il lui fallut paraître au balcon ou s’e
elle ne sentait bien qu’une seule chose, l’étreinte de la main de sa
mère
qui la pressait contre elle avec le froid de la m
Tuileries, où la famille royale était resserrée, elle reçut, et de sa
mère
, de plus en plus grave, et de sa noble tante Élis
ts à Tivoli. La jeune Marie-Thérèse avait remarqué que son père et sa
mère
avaient l’air très agités et occupés dès le matin
rès agités et occupés dès le matin : Dans la promenade, dit-elle, ma
mère
me prit à part, me dit que je ne devais pas m’inq
etournai chez moi bien triste, ne comprenant rien du tout à ce que ma
mère
m’avait dit. C’est dans cette suite de transes,
: ils l’arrachèrent de son lit avec dureté pour fouiller dedans ; ma
mère
le prit tout transi de froid. Ils ôtèrent à ma mè
iller dedans ; ma mère le prit tout transi de froid. Ils ôtèrent à ma
mère
une adresse de marchand qu’elle avait conservée,
: Nous connaissions de suite à qui nous avions affaire, dit-elle, ma
mère
surtout, qui nous a préservés plusieurs fois de n
les choses de l’âme. Elle s’y montre très frappée de la dignité de sa
mère
qui, aux paroles de diverse sorte qu’on adressait
t aux nobles captifs, n’opposait le plus souvent que le silence : Ma
mère
, comme à l’ordinaire, ne dit mot, écrit Madame à
uccombe à son inquiétude et qu’elle rompt son silence généreux : « Ma
mère
avait tout tenté auprès des municipaux qui la gar
ais rien, écrit Madame, n’était capable de calmer les angoisses de ma
mère
; on ne pouvait faire entrer aucune espérance dan
e fut celui où, après la mort de son père, après la disparition de sa
mère
, de sa tante, ignorant le sort définitif de ces d
Le 21 janvier et le 16 octobre, jours de la mort de son père et de sa
mère
, elle s’enfermait seule, ou quelquefois elle fais
s cette statue de la Pudeur il n’y avait pas un charme à voiler ; une
mère
de famille pouvait déshabiller cette vierge. I
a vie de l’incomparable beauté de madame Récamier ; une parente de ma
mère
, qui vivait à Paris dans la familiarité intime de
tte figure. Cette parente me disait qu’elle ressemblait beaucoup à ma
mère
lorsque ma mère avait seize ans. Je connaissais p
e parente me disait qu’elle ressemblait beaucoup à ma mère lorsque ma
mère
avait seize ans. Je connaissais par ses récits to
a jeune maîtresse de ce beau lieu, c’était un prétexte suscité par la
mère
et par le mari de madame Récamier pour dérober la
mière duchesse mourut sans révéler le secret ; le vieux duc épousa la
mère
de son fils, en sorte que l’enfant supposé était
ritiers du nom et de la fortune de Devonshire ; on menaça le père, la
mère
et le fils d’un procès ; les témoignages domestiq
e à cette promesse : ce fut la cause de son éternel célibat. Sa vraie
mère
, Élisa Forster, devenue duchesse douairière de De
e le dieu des femmes. Je me trouvais accidentellement à Paris avec ma
mère
et ma sœur ; je ne songeais nullement à demander
l’isolement. Mais madame Récamier avait appris par madame Sophie Gay,
mère
de l’illustre Delphine (madame de Girardin), que
l’illustre Delphine (madame de Girardin), que j’étais à Paris avec ma
mère
. Bien qu’elle ne sortît plus de l’Abbaye-aux-Bois
-Bois, elle monta en voiture et elle vint un matin rendre visite à ma
mère
, qui logeait chez moi dans un hôtel garni. Ces de
lles avaient connu beaucoup des personnes du même monde. Seulement ma
mère
, élevée dans une cour, transportée ensuite très j
ea aucune de ses séductions cordiales et caressantes pour plaire à ma
mère
; quant à ma mère, elle était la séduction person
éductions cordiales et caressantes pour plaire à ma mère ; quant à ma
mère
, elle était la séduction personnifiée ; elle entr
e Récamier. Deux de mes sœurs, très belles, qui avaient accompagné ma
mère
dans ce voyage et qui assistaient, modestes et ro
impression reçue ce jour-là par la reine de beauté d’un autre âge. Ma
mère
céda sans peine aux instances de madame Récamier
de s’être connues trop tard. XV La soirée mémorable arriva ; ma
mère
, une de mes sœurs et moi, nous perçâmes difficile
ier du couvent de l’Abbaye-aux-Bois. — « Je crois, me dit tout bas ma
mère
, monter l’escalier de Saint-Cyr pour entendre la
ent d’une entrée d’église, tout cela justifiait l’hallucination de ma
mère
et de ma jeune sœur ; nous allions voir une Maint
de la maîtresse de maison fendit la foule de l’antichambre et aida ma
mère
et ma sœur émues à parvenir, au milieu d’un murmu
re cordial. Quant à moi, je me hâtai de reporter mon attention sur ma
mère
, pour voir dans ses yeux ravis l’impression des n
de M. de Chateaubriand. Ces noms et ces personnages imprimaient à ma
mère
une physionomie de curiosité satisfaite qui donna
oglie, fille de madame de Staël. C’était une femme magnanime comme sa
mère
, belle comme Corinne, pieuse comme une prière inc
t la célébrité et la passion, qui n’avaient pas fait le bonheur de sa
mère
, qu’elle avait appris dès l’enfance à n’estimer q
et de sa fille Delphine, qui fut ensuite madame Émile de Girardin. La
mère
, femme de cœur et d’esprit, jadis belle et rivale
ce, que cette égalité affectueuse qui est la république du talent. La
mère
et la fille étaient pauvres, mais le salon d’entr
ristée sous un sourire forcé ; toute son amitié souffrait en elle. Ma
mère
et ma sœur, exclusivement occupées de regarder la
e enfant je découvris, en face de la maison qu’habitait en passant ma
mère
, la céleste apparition de mademoiselle Virginie L
Calonne, ministre de Louis XVI, appela de Lyon à Paris le père et la
mère
de madame Récamier en 1784 ; un emploi de receveu
armonieuse que précoce de la jeune fille faisait déjà l’orgueil de sa
mère
. Pour jouir de cet orgueil maternel elle conduisi
our qu’on appelait le Grand Couvert. M. de Calonne, qui protégeait la
mère
, fit sans doute placer la fille de manière à atti
trie par des deuils éternels. XXXI La maison de madame Bernard,
mère
de cette belle enfant, était ouverte au luxe, aux
de sa fille Juliette à peine éclose à la vie. Par son amitié pour la
mère
dont la santé altérée menaçait de laisser Juliett
entendu de la nature : elle pouvait être épouse, elle ne pouvait être
mère
. Ce sont ces deux mystères qu’il faut respecter,
que lui inspirait Faust ; une autre fois coupable d’avoir endormi sa
mère
du sommeil éternel en ne croyant lui donner qu’un
donc la tête ? où donc le cœur ? Viens-tu prier ici pour l’âme de ta
mère
, Que ta faute a mise au cercueil ? Et quel est ce
, viens ! déjà la nuit se fait moins sombre. Marguerite. J’ai tué ma
mère
; mon enfant, je l’ai noyé : ne t’était-il pas do
nt je te recommande le soin dès demain. Tu donneras la meilleure à ma
mère
; mon frère tout auprès d’elle ; moi un peu de cô
libre. Marguerite. Si nous avions seulement passé la montagne ! Là ma
mère
est assise sur une pierre. Le froid me saisit à l
mère est assise sur une pierre. Le froid me saisit à la nuque… Là ma
mère
est assise sur une pierre et branle la tête ; ell
que de bénédictions sont descendues sur vous ! » Herman raconte à sa
mère
l’épisode le plus touchant de son voyage. « En s
us avez du linge qui vous soit inutile, donnez-le à cette malheureuse
mère
! ” « Ainsi parla la belle jeune fille, et sur la
et qui nous fait deviner les plus pressants besoins de nos frères. Ma
mère
, comme si elle avait pressenti vos besoins, m’a d
: je courus après elle, je la rejoignis bientôt et je lui dis : « “Ma
mère
n’a pas seulement mis dans mon chariot du linge p
usque dans l’amour. XII Le père, le pasteur, le pharmacien, la
mère
reprennent, chacun dans son caractère, l’entretie
ère, l’entretien sur l’événement du jour, après le récit d’Herman. La
mère
, qui commence à se douter du sentiment né de la p
nne.” Mais je ne te comprenais pas jusqu’à ce que tu eusses envoyé ta
mère
parler à mon père, jusqu’à ce que notre mariage f
, en face de l’auberge.) « Ce n’est pas en vain, poursuit-il, que la
mère
de famille prépare, pendant de longues années, po
lève, pose doucement le doigt sur le loquet de la porte et sort. La
mère
, après une douce réprimande à son mari, sort à so
giste, le pharmacien et le pasteur continuent l’entretien à table, la
mère
cherche Herman dans les cours et dans l’écurie de
la charpente vermoulue de la treille sur son front. L’entretien de la
mère
et du fils est aussi familier et aussi pathétique
sespéré, veut s’engager comme soldat dans l’armée de l’Allemagne ; sa
mère
l’en détourne avec des paroles emmiellées d’amour
ourne avec des paroles emmiellées d’amour de femme et de tendresse de
mère
. « Mon fils, si tu désires tant conduire dans ta
pensé, tu ne peux pas le désirer plus vivement que ton père et que ta
mère
! — Mais je crois maintenant que tu as fait un ch
choisie ? » Herman avoue son amour. — « Laisse-moi faire, lui dit sa
mère
attendrie ; les hommes se posent en face l’un de
si à apprécier mieux le caractère pacifique et laborieux d’Herman. La
mère
, qui entre tenant son fils par la main, parle pou
et se tait ; le pasteur prend avec une douce éloquence le parti de la
mère
et du fils. « Ne méconnaissez pas la jeune fille
rti, qui concilie la prudence du père avec la tendresse pressée de la
mère
et l’amour impatient d’Herman, est accepté d’un c
ler seul, et ne m’attendez pas. Retournez auprès de mon père et de ma
mère
, pour leur dire que leur fils ne s’était pas trom
rlent pas d’amour. — “Je suis ici pour toi, dit simplement Herman. Ma
mère
désirait depuis longtemps avoir dans sa maison un
dit-elle ; celui qui désormais doit me commander dans la maison de sa
mère
ne doit pas paraître me servir. Ne me plaignez pa
d’être un hôte peu intelligent.” » XVIII Cependant le père, la
mère
, le pharmacien et le pasteur, après avoir donné e
sous son bras le petit paquet avec lequel elle était venue ; mais la
mère
la saisit des deux mains et lui dit avec étonneme
d’attendrissement, de reproches et de larmes. Herman, soutenu par sa
mère
et par les voisins, s’avance vers Dorothée et lui
la cour de Ferrare, l’autre rappela à cette cour le Tasse aimé de la
mère
, favori du fils. Mais le Tasse était insensé de g
ais ridicule, qui n’épouse la jeune tille que pour l’affranchir d’une
mère
égoïste et lui assurer fortune et avenir ; tous l
de son visage pour éviter le froid, elle sent de vagues tendresses de
mère
passer dans son cœur : et le comte Ladislas la re
on de citer pour la faire ressortir. C’est le cri du cœur de bien des
mères
sous l’Empire, que Mme de Souza, par un retour su
. Mme de Revel, malheureuse dans son intérieur, se met à plaindre les
mères
qui n’ont que des filles, parce qu’aussitôt marié
grins eussent été plus graves, ses inquiétudes plus vives ! — Pauvres
mères
! vos fils dans l’enfance absorbent toutes vos pe
aisies tout à coup par des angoisses inconnues jusqu’alors. « Pauvres
mères
! il n’est pas un des mouvements de leur cœur qui
gardez si un amour trompeur ou malheureux ne l’entraîne pas ! Pauvres
mères
! vous n’êtes plus à vous-mêmes. Toujours préoccu
r et sa vie peuvent dépendre de chaque minute, de chaque pas. Pauvres
mères
! pauvres mères ! n’avancez qu’en tremblant. Il p
ent dépendre de chaque minute, de chaque pas. Pauvres mères ! pauvres
mères
! n’avancez qu’en tremblant. Il part pour l’armée
vous font sentir qu’il se plaît près de vous… oh ! heureuse, heureuse
mère
! » — Ceci s’imprimait en 1811 ; Bonaparte, dit-o
ter, mais sont bientôt ivres et ne se savent pas gouverner comme leur
mère
. » Oh ! bienheureuse ignorance de l’histoire, inn
on front en mon sein se cacher ; Dors, cher Enfant ; je suis aussi ta
mère
! Ta pauvre mère, hélas ! est tout effroi Pour so
ein se cacher ; Dors, cher Enfant ; je suis aussi ta mère ! Ta pauvre
mère
, hélas ! est tout effroi Pour son Edmond que son
mon cou nu pose ta main légère ; Dors, cher Enfant ; je suis aussi ta
mère
! Tant de malheur peut-il fondre à plaisir, Quand
mon cou nu pose ta main légère ; Dors, cher Enfant ; je suis aussi ta
mère
! Mais, dès qu’ainsi ton doux soin m’est rendu, D
trop tiède en mon sein se cacher ; Éveille-toi ! je ne suis point ta
mère
! Ton cœur fidèle a son signe et son vœu : Edmond
De mon cou nu lève ta main légère ; Éveille-toi ! je ne suis point ta
mère
! M’est-il permis le baiser de l’enfant, Ce vague
De mon cou nu lève ta main légère ; Éveille-toi ! je ne suis point ta
mère
! Mais non, mon Dieu n’est pas un Dieu cruel ; Pa
s baiser en mon sein se cacher ; Dors, cher Enfant ; je suis encor ta
mère
! 24. Il ne l’était pas du reste toujours. Une
la nature et façonné par l’éducation pour un tel rôle. Il avait pour
mère
une Française, Marie de Nemours, qui devint régen
elin trouva-t-il en eux ? Madame Royale (ainsi nommait-on la duchesse
mère
qui prit en main la Régence) tint toute la premiè
ce de l’autorité ; elle le traita avec froideur, avec roideur, non en
mère
française, mais en mettant sans cesse l’étiquette
ge à la vérité. Le jeune duc de Savoie apprenait vers ce temps que sa
mère
prétendait le marier à l’infante de Portugal, ave
uelques mois… » Le jeune prince en était dès lors à éprouver pour sa
mère
un sentiment de répulsion et presque d’aversion.
t et désapprouvait de tout son cœur les actions et déportements de sa
mère
. Moins maître de lui qu’il ne le fut ensuite, il
faut voir comme l’orateur, après avoir exalté toutes les vertus de la
mère
, y célèbre dans le jeune prince — « Le rayon divi
parole est un gage inviolable… Vous le savez, ô la plus heureuse des
mères
!… » Le thème était des mieux brodés. Je ne vois
on avec ses ennemis. L’abbé d’Estrades, après avoir salué la duchesse
mère
, allant droit au marquis Dronero, lui signifia à
ait pris entre deux feux, et toute indépendance anéantie. La duchesse
mère
en frémissait elle-même et s’en révoltait tout ba
ins confiant en cette jeune âme d’ambitieux, faisait représenter à sa
mère
que si elle voulait garder le pouvoir, elle se mî
posé, tout balancé, il prit le parti de conter toute l’intrigue à sa
mère
. Pianesse se vit arrêté et incarcéré. Le duc ente
la ruine prochaine de son pouvoir ; « Sous le regard impérieux de sa
mère
, nous dit M. G. Roussel, il baissait encore les y
lle que Saint-Réal avait appelée la meilleure et la plus heureuse des
mères
: « Pour faire connaître à M. de Louvois, écriva
sse et de sûreté… » Mais, à ce même moment, le jeune duc déjouait sa
mère
par une tactique hardie et habile ; il sentait où
ions toutes soumises et tout humbles à Louis XIV. A l’entendre, si sa
mère
le poussait trop loin et prétendait lui imposer p
s, et il devint ainsi le neveu par alliance de Louis XIV. La duchesse
mère
dut abdiquer tout pouvoir ; Victor-Amédée régna.
mbassadeur qui nous laisse en repos avec nos moutons, nos femmes, nos
mères
, nos maîtresses et nos domestiques ; le charbonni
ns puis leur vie pour sauver leur fille (L’implacable créancier) ; la
mère
de la jeune mariée vengeant sa fille que le père
n’a pas le courage de venger. (Une leçon de courage). En général, la
mère
manifeste une affection plus profonde que le père
rofonde que le père pour ses enfants, ce que l’on constatera chez les
mères
de toute race (V. le conte du prince qui ne veut
, font franchir délibérément à leurs chevaux le corps du mari de leur
mère
, alors que les véritables fils se refusent à cett
nfluence de certaines considérations. Aussi NDar ne pardonne pas à sa
mère
de l’avoir abandonné et S.-G. Diêgui condamne le
r réduit à la déchéance. Le lionceau (Le lionceau et l’enfant) tue sa
mère
pour venger celle de son camarade que la lionne a
celle de son camarade que la lionne a dévorée. Diéliman aussi tue sa
mère
pour sauver sa femme (La sorcière punie). Deux co
ère et cela (dans le conte : Quels bons camarades !) avec leur propre
mère
. Dans ces derniers contes, la puissance de l’amit
r possède, fortement accentué, le sentiment de la famille. Il aime sa
mère
et honore son père mais est moins fortement attac
e ami (Quels bons camarades ! Les deux intimes), du lionceau tuant sa
mère
pour venger celle de son ami, de Bassirou oublian
ssirou oubliant qu’Ismaïla a tué le fils d’un ami par rage de voir la
mère
de celui-ci résister à sa convoitise (Bassirou et
jures, tandis que le pieux NDar, envoyé d’Allah, ne pardonne pas à sa
mère
et que S.-G. Diêgui, croyant, n’oublie qu’à demi
e Konkobo Moussa à son endroit, non plus que ceux du tounka envers sa
mère
. Compassion. — L’indigène n’a pas de pitié pour
llards en général parce qu’il y retrouve l’image de son père et de sa
mère
, soit dans le présent, soit dans l’avenir. De plu
’est ainsi que S.-G. Diêgui veut se suicider à cause du mariage de sa
mère
avec le captif Barka. Cependant il semble résulte
ls raillent les fanfaronnades des hâbleurs (V. Les six géants et leur
mère
, —La fanfaronnade, —Hâbleurs bambara, —A la reche
our l’intempérance de langue (V. Le sounkala de Marama, —Orpheline de
mère
, —Hammat et Mandiaye, —Le canari merveilleux)133,
ème d’Alkestis d’Euripide où la femme se dévoue à la place du père et
mère
de son mari pour sauver la vie à celui-ci. 113.
. Électre est restée dans le palais d’Argos, subie et opprimée par sa
mère
, qui hait en elle l’ennemie de son crime. — « Et
nne ! Exauce-moi, mon père. Donne-moi de valoir beaucoup mieux que ma
mère
et de mieux agir ! Je souhaite à nos ennemis que
t te nommer mon père, et c’est à toi que va l’amour que j’eus pour ma
mère
détestée si justement aujourd’hui, et pour ma sœu
III. — Appels à la tombe. — Le songe de Clytemnestre. — Le fils et la
mère
. Alors s’engage entre le frère et la sœur un d
effet : Oreste s’exalte, devient frénétique : — « Ma colère contre ma
mère
est celle d’un loup affamé… Que je la tue et que
ortier, se présente : aucun trouble en face de cette femme qui est sa
mère
et qu’il va tuer, pas un reste d’instinct filial
i, dans le même tombeau » — Un moment il hésite devant le sein que sa
mère
lui montre, ce sein qui l’a allaité, où il a dorm
ne et la louve. — « Pylade, que ferai-je ? J’ai peur. Faut-il tuer ma
mère
? » — Pylade lui rappelle froidement les ordres d
e bourreau d’un dieu, n’a plus rien d’humain. Aux supplications de sa
mère
il jette d’inexorables répliques ; chaque mouveme
« C’est aussi le destin qui va t’égorger. » — « Ainsi tu vas tuer ta
mère
? » — « Ce n’est pas moi qui te tue, c’est toi-mê
t pas moi qui te tue, c’est toi-même. » — « Crains les Érynnies d’une
mère
! » — « Et celles d’un père, leur échapperai-je,
ir d‘un bruit d’invectives. — Qu’était-ce donc que cette femme, celle
mère
si l’on veut ? « Une murène, une vipère, qui empo
t, elles l’excitaient tout d’une voix ; elles auraient tourné vers sa
mère
le pouce inflexible des Vestales romaines achevan
e possède encore, j’atteste que j’ai fait acte de justice en tuant ma
mère
, car elle s’était souillée du meurtre de mon père
nous dit à l’auberge, à notre réveil, que deux dames françaises, une
mère
et sa fille, arrivées aussi la veille, mais plus
pâles. XI Elle se leva enfin au bruit de mes pas. Je saluai la
mère
, qui me présenta à sa fille. Le son de sa voix co
en femme celle de l’Apollon du Belvédère en homme ; on voyait que sa
mère
, en la portant dans ses flancs, avait trop regard
essé que de vouloir faire éclater aux yeux du monde le prodige qu’une
mère
a trouvé dans le berceau de son propre enfant ? L
t revivait pour elle dans sa Delphine. On connaît la prédilection des
mères
pour les derniers venus à la vie. Ils semblent av
le pour cette enfant : elle pouvait penser que le double talent de la
mère
et de la fille, et leur double travail, apportera
tout cela comme je l’ai lu moi-même dans le cœur de cette excellente
mère
, mais le monde cherche à voir les vertus même du
ns la société des femmes et des hommes les plus illustres, amis de sa
mère
, et entre autres de M. de Chateaubriand et de mad
ël ; elle dépassait en charmes et en talent tout ce que le cœur d’une
mère
avait rêvé. On lui avait appris à sentir et à par
nom de Delphine. Bientôt cette gloire domestique ne suffit plus à la
mère
. XVI La restauration des Bourbons s’était a
vrée. Sa modestie la défendit contre les vertiges de l’adulation ; sa
mère
avait tant d’orgueil maternel pour elle, que la j
un enfant malade de la comtesse O’Donnel, sa sœur. Tout le cœur d’une
mère
se lisait dans sa physionomie fiévreuse et dans s
, et dans ton œil troublé, Dans ton sein virginal, tout le cœur d’une
mère
D’avance avait parlé. Et tu pleurais
nquât pas à sa destinée. XX Quoi qu’il en soit, à l’insu de sa
mère
et d’elle-même, quelques admiratrices de sa beaut
ps après cette conjuration de cour, à Paris. J’y revis Delphine et sa
mère
. Rien ne ressemblait plus alors au poétique encad
angé, mais non la personne ; les années l’avaient embellie encore. La
mère
et la fille logeaient à cette époque dans un peti
attestait dans cette résidence la médiocrité de fortune de la pauvre
mère
. Deux chambres basses où l’on montait par un esca
de la cheminée, une table où les vers de la fille et les romans de la
mère
, corrigés pour l’impression, révélaient assez les
s, la rivale heureuse de Pétrarque ! Je fus reçu avec accueil par la
mère
et la fille, comme un ami qu’on aurait éprouvé vi
pour lui sourire par-dessus le dossier de sa chaise. Je demandai à sa
mère
quel était ce jeune inconnu, dont la physionomie
te et fine inspirait une attention et une curiosité involontaires. La
mère
me répondit que c’était M. Émile de Girardin ; el
irer mon courage ; Comme un vaillant aiglon, j’aspirais à l’orage… Ma
mère
(il m’en souvient, j’étais encore enfant) Me cont
le vie, Mes yeux brillaient d’orgueil, d’espérance et d’envie ; Et ma
mère
joyeuse, en me tendant les bras, Disait : « C’est
ait contracté sa beauté plus mûre. Elle ressemblait à la Niobé, cette
mère
des douleurs du paganisme. Elle pleurait les enfa
maternité d’adoption trompait ses regrets. Elle aurait été une grande
mère
pour un fils, elle aurait eu le lait des lions ;
plainte qui lui venait, chaque sourire passager, chaque tendresse de
mère
, chaque essai de mélodie heureuse et bientôt inte
ou gravement sombres. Il y a des souvenirs d’enfance, la Maison de ma
Mère
: Et je ne savais rien à dix ans qu’être heureus
ais qu’un jour On m’entendrait aimer pour me répondre : Amour ! Et ma
mère
disait : « C’est une maladie ; Un mélange de jeux
pour titre : Avant toi ! le tendre poëte nous remet sur la mort de sa
mère
, sur ce legs de sensibilité douloureuse qui lui v
mélodie, Souffle sur son enfant sa tendre maladie, Morte d’aimer, ma
mère
, à son regard d’adieu Me raconta son âme et me so
e raconta son âme et me souffla son Dieu Triste de me quitter, cette
mère
charmante, Me léguant à regret la flamme qui tour
sur moi, je les perdais. Par ma ceinture noire à la terre arrêtée, Ma
mère
était partie et tout m’avait quittée : Le monde é
or suivie D’anges enfants pour l’embellir ? Veux-tu les baisers de ta
mère
, Échauffant tes jours au berceau — « Quoi ! mon d
anc fichu, aux bras rouges, quitte son tricot, appelle son père ou sa
mère
qui vient et vous vend à vos souhaits, flegmatiqu
était placé tout auprès. Depuis quinze ans, toutes les journées de la
mère
et de la fille s’étaient paisiblement écoulées à
es ou les soirées les plus fraîches des mois d’avril et d’octobre. La
mère
et la fille entretenaient tout le linge de la mai
labeur d’ouvrière, que, si Eugénie voulait broder une collerette à sa
mère
, elle était forcée de prendre sur ses heures de s
core de l’amour, mais qui anime l’indifférence. Elle invente, avec sa
mère
et Nanon, tous les moyens de déguiser la parcimon
la peau, néanmoins si douce et si fine encore que le pur baiser de sa
mère
y traçait passagèrement une marque rouge. Son nez
et, prenait parfois une importance énorme aux yeux d’Eugénie et de sa
mère
. Faut-il pas le voler, cet homme, pour fêter votr
angé en secret un somptueux nécessaire de voyage qui lui venait de sa
mère
contre des pièces d’or rares recueillies par le p
jour de l’épreuve était arrivé ; une angoisse terrible pesait sur la
mère
et la fille. Elles firent tout pour distraire le
ille morts ! Je n’avouerai rien ! » À cette pensée, elle jetait à sa
mère
des regards flamboyants de courage. « “Ôte tout
nt sur elle. « — Monsieur, dit la fille aux genoux de Mme Grandet, ma
mère
souffre beaucoup. Voyez, ne la tuez pas. » « Gran
femme, naguère si jaune. « Nanon, venez m’aider à me coucher, dit la
mère
d’une voix faible. Je meurs. « Aussitôt Nanon do
après, il monta sept ou huit marches, et cria : “Eugénie, quand votre
mère
sera couchée, vous descendrez. « — Oui, mon père.
— Oui, mon père. « Elle ne tarda pas à venir, après avoir rassuré sa
mère
. « Ma fille, lui dit Grandet, vous allez me dire
, Eugénie apporta secrètement la cassette de Charles sur le lit de sa
mère
et que les deux victimes se mirent à l’examiner.
violemment en étendant le bras, qu’elle alla tomber sur le lit de sa
mère
. « “Monsieur, monsieur ! ” cria la mère en se dre
alla tomber sur le lit de sa mère. « “Monsieur, monsieur ! ” cria la
mère
en se dressant sur son lit. « Grandet avait tiré
me déshonorez. Mon père, entendez-vous ? « — Monsieur, grâce ! dit la
mère
. « — Mon père ! ” cria Eugénie d’une voix si écla
souriant à froid. « — Monsieur, monsieur, vous m’assassinez ! dit la
mère
. « — Mon père, si votre couteau entame seulement
parcelle de cet or, je me perce de celui-ci. Vous avez déjà rendu ma
mère
mortellement malade ; vous tuerez encore votre fi
n serais-tu donc capable, Eugénie ? dit-il. « — Oui, monsieur, dit la
mère
. « — Elle le ferait comme elle le dit, cria Nanon
toilette sur le lit. Toi, Nanon, va chercher M. Bergerin. Allons, la
mère
, dit-il en baisant la main de sa femme, ce n’est
ngeras tout ce que tu voudras. Ah ! elle ouvre les yeux. Eh bien ! la
mère
, mémère, timère, allons donc ! Tiens, vois, j’emb
e agréable, dit la mourante ; mais je ne saurais me lever. « — Pauvre
mère
, dit le tonnelier, tu ne sais pas combien je t’ai
tés de la vie. Sa pâle et triste enfance s’était écoulée auprès d’une
mère
dont le cœur méconnu, froissé, avait toujours sou
sé, avait toujours souffert. En quittant avec joie l’existence, cette
mère
plaignit sa fille d’avoir à vivre, et lui laissa
le et lui. Cet amour, maudit par son père, lui avait presque coûté sa
mère
, et ne lui causait que des douleurs mêlées de frê
un tiroir du bahut ; mais le dé de sa tante, duquel s’était servie sa
mère
, et que tous les jours elle prenait religieusemen
’une voix languissante, comme quoi il ne fume point par égard pour sa
mère
, qui est « essentiellement femme du monde ». Entr
nt qui, bientôt peut-être, n’aura plus de père. Jane promet d’être la
mère
du pauvre orphelin, mais elle ne rappelle pas son
anger, inconnu la veille, une fille oserait à peine le balbutier à sa
mère
, entre deux sanglots. C’est celui d’une jeune vie
fesse redouble l’indécence de la confession. Il fallait des doigts de
mère
ou de fée pour lever l’appareil de cette plaie pu
Camille, médecin de vingt-quatre ans, reflète toutes les vertus de sa
mère
: enthousiaste et soumis, rangé et passionné à la
on voudrait les dépareiller. Qu’il soit vierge, par exemple, comme sa
mère
le dit ou le laisse entendre, cela fait sourire.
e sur sa route. Sa maison est devenue la sienne ; elle s’est faite la
mère
de sa fille et la fiancée à son fils. Elle a rele
elle porte une capeline bleue. Camille, qui n’a que ce secret pour sa
mère
, l’aime depuis un an, pour l’avoir seulement entr
abandon l’y a bientôt laissée retomber. Restée seule avec une vieille
mère
, qui attendait d’elle le bien-être, elle s’est tr
personne, Un enfant est né de sa faute, et elle a été heureuse d’être
mère
. Le père de cet enfant s’est marié, quelque temps
a fille perdue par lui qu’il veut chasser du monde honnête ! c’est la
mère
de son enfant qu’il désigne comme une réprouvée.
ant qu’à sa place il épouserait, les yeux fermés, sur la parole de sa
mère
. « C’est raide ! » s’écrie Valmoreau, le mot sort
de reconnaître son fils. Mais son premier acte sera de l’enlever à sa
mère
, pour la forcer de céder à son caprice renaissant
sentement au mariage. « Jamais ! c’est impossible ! » Et le cri de la
mère
réfute, à lui seul, tous les paradoxes de la préd
l’Amour. Mais Isaac n’entend pas être remplacé : Camille persiste, la
mère
s’obstine. Jeannine vient à son secours, en se sa
tte litanie de mensonges ne semblerait récitée que pour arracher à la
mère
le cri qu’elle pousse, et qui fait éclater la sal
L. Aimé Martin. De l’éducation des
mères
de famille, ou de la civilisation du genre humain
es liens et de toutes les disciplines, l’affection de la femme, de la
mère
, est ce qui reste de plus puissant sur les jeunes
ion commune les jeunes âmes de la famille. Mais qu’apprendra ainsi la
mère
aux enfants ? Quelles seront avant tout la scienc
x enfants ? Quelles seront avant tout la science et l’éducation de la
mère
? L’auteur est ainsi amené à développer ses idées
r à la vérité demeuraient infaillibles, on sent que l’éducation de la
mère
de famille deviendrait facile, et que ce qu’elle
nd on aurait trouvé théoriquement quelle devrait être l’éducation des
mères
de famille, ne faudrait-il pas que cette éducatio
ais baisé, en m’en séparant, les marques des pieds de mon père, de ma
mère
, de mes sœurs sur le sable. Depuis ce jour je n’y
me pendant la première aube de mes jours ! Voilà la montagne où notre
mère
nous menait prier Dieu au coucher du soleil ! Voi
d’œil me fit pressentir à qui j’avais affaire. C’était évidemment une
mère
et ses filles. La mère se leva et, s’avançant pou
à qui j’avais affaire. C’était évidemment une mère et ses filles. La
mère
se leva et, s’avançant pour prendre la parole, me
d’arbres et le loisir du milieu du jour. Elle ajouta qu’elle était la
mère
de ces trois jeunes personnes qu’elle me demandai
-sept à dix-huit ans par une ressemblance plus grave avec celle de sa
mère
. La seconde, moins âgée d’un an, paraissait aussi
mblable à ce que j’avais imaginé. » C’est ma seconde fille, me dit sa
mère
, elle sait par cœur tout ce qui intéresse votre f
ons lu en commun depuis que ce volume est tombé dans nos mains, votre
mère
, vos aimables sœurs, votre… Elle baissa la voix,
oment en silence. — Enfin, voilà ma troisième fille, Marie, reprit la
mère
en me présentant la plus jeune. C’était presque u
urs. Leur toilette était uniforme, simple, et pourtant convenable. La
mère
portait une robe de soie noire, et les trois jeun
urprises ; j’en pris un moi-même en face d’elles et, m’adressant à la
mère
, je lui demandai à quoi je pouvais lui être agréa
s amener à une pareille heure. — Oserai-je vous demander, dis-je à la
mère
, à qui j’ai l’honneur de parler et le motif de vo
nature prise sur le fait. — Mais comment avez-vous fait, dis-je à la
mère
, pour savoir où vous alliez, et qui vous a inform
Dieu comme à la maison, moi avec Mathilde, la petite Marie avec notre
mère
. Cela ne nous avait presque rien coûté. La pauvre
ut petit garçon jouaient avec de la sciure de bois sur leur porte. La
mère
nous regarda d’abord avec une certaine surprise,
emanda si elle ne pourrait pas nous donner à coucher. Puis, voyant ma
mère
et ses filles. « À coucher. Oui, nous dit-elle, m
rendre des forces aux bras. — Oh ! le souper nous importe peu, dit ma
mère
, pourvu que la chambre et le lit soient propres.
ent pas encore perdu leur fleur ; pendant que nous soupions ainsi, la
mère
redescendit, et nous causâmes ensemble pendant qu
ise. VIII Le lendemain matin, mes filles avaient dit adieu à la
mère
et embrassé les enfants dans le berceau et nous é
tre, tantôt une invitation de l’un à l’autre. Madame de Lamartine, sa
mère
, vivait encore alors, et en me voyant entrer dans
Confidences d’enfant par le pas des visiteurs, il n’y manquait que la
mère
, le père, les demoiselles et le fils. Chacune de
aux différentes maisons du village où l’on avait préparé nos lits. Ma
mère
avait le plus beau chez la veuve de l’ancien mair
ère, nous venons vous apporter une bonne nouvelle. — Et quoi donc, ma
mère
? répondit la pauvre ermite. — C’est que, grâce à
les descriptions que nous avons lues, que c’était l’endroit où votre
mère
, votre fille ramenée de Palestine, votre compagne
ndait dans un même amour domestique Dieu et son père, la Vierge et sa
mère
et ses sœurs. Elle avait été un ange de piété fil
te d’elle-même, tendrement jalouse, « l’enfant de ce monde, disait sa
mère
, qui a le plus besoin de caresses », atteinte d’u
nom d’enfant, était poétique aussi et même poète ; elle tenait de sa
mère
le don du chant ; elle mourut à trente ans, le 12
mante Ondine avait des points de ressemblance et de contraste avec sa
mère
. Petite de taille, d’un visage régulier avec de b
rieux et ferme, une sensibilité pure et élevée. À la différence de sa
mère
qui se prodiguait à tous, et dont toutes les heur
gesse donnaient même parfois un souci et une alarme de tendresse à sa
mère
qui n’était pas accoutumée à séparer l’affection
euvent t’être restées précises sur notre famille et nos chers père et
mère
. Je vous ai tous quittés si jeune que je sais peu
s les fortifications ; un bien bon père dans notre pauvre maison, une
mère
bien belle, bien tendre et bien pleurée au milieu
vine. Si tu savais quelle part profonde elle a prise à mon malheur de
mère
, tu l’aimerais comme on aime un ange ; — et c’est
’espagnol me plaît par l’idée que notre famille en sort du côté de la
mère
de papa. Qu’en crois-tu, mon ami ? Mon oncle n’av
— Nous-mêmes, je crois, mon bon frère, nous en sortons du côté de la
mère
de mon père. Félix, souviens-toi bien : il est im
ses Feuillantines à elle : N’irai-je plus courir dans l’enclos de ma
mère
? N’irai-je plus m’asseoir sur les tombes en fleu
rir de plus consolant ? Aussi je te bénis au nom de mon père et de ma
mère
! » Ce grain à grain me rappelle qu’elle disait
blessures… « Le fils de cette femme est très malade, pauvre comme sa
mère
, très joli, très musical, très fier et très intel
iolence des remèdes peut-être, ont fait que la fièvre le dévore. « La
mère
a tout avoué à Mme Duchambge, qui est venue comme
p sur cette pauvre âme qui veut partir. Il faut l’en empêcher pour sa
mère
: — c’est affreux, affreux de voir mourir jeune,
, du 8 octobre 1849.) 77. Ce fils parfait, digne en tout d’une telle
mère
, et qui ne lui a donné que des consolations, est
uai. 81. Leurs sœurs de Rouen. 82. Le voyage à la Guadeloupe, où sa
mère
était allée mourir. 83. Elle se reportait ici à
ri, et enfin du père avec son fils, et du fils avec son père, avec sa
mère
et avec sa sœur. Vous connaissez de nom et de gén
n qui vient des tendresses et des anxiétés du cœur d’un père ou d’une
mère
pour leurs enfants est sacrée comme le sentiment
domestique. C’était le caractère de cette piété tendre du père, de la
mère
et des enfants, dans la maison de Mozart, à Salzb
es, une inspiration musicale revêtue d’organes humains. Le père et la
mère
, qui s’en aperçurent les premiers, tombèrent à ge
Tous les instruments de musique, également familiers au père et à la
mère
, étaient les seuls meubles épars sur le plancher
e son père. Quand il sortait de la maison, la main dans la main de sa
mère
, c’était pour aller s’enivrer des vibrations maje
rissement ces pieuses superstitions d’un cœur de père et d’un cœur de
mère
vouant à l’autel d’un Dieu-enfant des sacrifices
ante dans ce long voyage, font franchir les Alpes aux deux Mozart. La
mère
et la sœur Nanerl se séparent des deux artistes e
rt, il y a toujours la note tendre : c’est le moment où il pense à sa
mère
absente et au foyer attristé de Salzbourg. « Bais
es lettres de recommandation, est naïvement racontée par le père à la
mère
. « Nous voici à Rome depuis le 11. À Viterbe nou
toute la nuit. » Ces lettres sont pleines de ces minuties de père, de
mère
, de nourrice, qui se mêlent comme dans la vie com
rovidence, pour cet enfant unique, semblait avoir fait ce père, cette
mère
, cette sœur, uniques comme lui. On y passe sans c
icitons, écrivent-ils à Salzbourg, pour votre commun jour de fête (la
mère
et la fille s’appelaient Nanerl), en vous souhait
uvelles cordes et j’en joue tout le jour. Je te dis cela parce que ma
mère
a désiré savoir si je joue encore du violon. Mon
oigts me font mal à force d’écrire des récitatifs ; je te prie, chère
mère
, de prier pour moi que mon opéra réussisse, et qu
iennent, en 1772, tenter la renommée et la fortune à Milan. La pauvre
mère
, cette fois, reste seule à Salzbourg par économie
uccès des trois artistes séparés de ce qu’ils aiment. Le regret de la
mère
absente les rappelle vite à Salzbourg. L’ambition
espoir de meilleure fortune les attire à Munich ; cette fois c’est la
mère
qui accompagne sa fille et son fils à la cour de
n de la maison. Munich trompe toutes les espérances de la famille. La
mère
renvoie sa fille à son père et emmène son fils à
nu attendrit jusqu’aux larmes dans la correspondance du fils et de la
mère
avec la sœur et le père. Ces quatre âmes à l’unis
lement et de la déception, et resserré seulement contre le cœur de sa
mère
, dut concentrer en soi de ces notes plaintives ou
La sœur Nanerl était déjà revenue à la maison auprès de son père. La
mère
et le fils allaient partir pour Paris. Léopold
econnaisse la Providence dans cette paternité divine du père et de la
mère
ici-bas. Hélas ! le pauvre jeune artiste ne devai
a moitié la plus présente et la plus adorée dans la personne de cette
mère
qui était devenue pour lui tout un univers pendan
éternelles et en complet isolement : la seule joie de sa solitude, sa
mère
, malade de tristesse et d’exil, lui donnait de te
vous écris à deux heures du matin. — Il faut que je vous le dise : ma
mère
, ma mère bien-aimée n’est plus ! Dieu l’a rappelé
s à deux heures du matin. — Il faut que je vous le dise : ma mère, ma
mère
bien-aimée n’est plus ! Dieu l’a rappelée auprès
eu que de deux choses, savoir : d’accorder une mort bienheureuse à ma
mère
, et à moi force et courage ; et le bon Dieu m’a e
XVI Voilà le pauvre artiste étranger seul devant le lit vide de sa
mère
, dans une chambre haute et sombre d’une hôtelleri
son pain et le pain de son père, et le payement des funérailles de sa
mère
; concert où l’on doit exécuter une de ses compos
lais-Royal. Je dis le chapelet, comme je l’avais promis à l’âme de ma
mère
, et je rentrai dans sa chambre vide !… » Arrêton
le en eut une grande joie, car on retrouvait en elle la couleur de sa
mère
. Le romancier grec a dit que Persina, reine d’Éth
la du nom de Paul. Ici rien de si merveilleux tout à fait, puisque la
mère
elle-même était blonde ; pourtant, puisqu’elle n’
ans la petite maison, sous la madone. On lit tout haut la lettre : la
mère
s’évanouit, le père regarde ses enfants et sort d
usin pourtant était passé à la Guadeloupe et y avait fait fortune. La
mère
, voyant la gêne des siens qui se prolongeait sans
fut une scène déchirante, lorsqu’il fallut l’emporter seule, sans sa
mère
, l’embarquer de force, le soir, dans une pirogue
à la main, on ferait le tour du monde en les récitant. Mais elle est
mère
, mère heureuse : de là surtout des sources consol
main, on ferait le tour du monde en les récitant. Mais elle est mère,
mère
heureuse : de là surtout des sources consolantes
même que j’indiquais tout à l’heure en finissant, comme tenant de sa
mère
le don de poésie, mourut à trente ans, le 12 févr
mante Ondine avait des points de ressemblance et de contraste avec sa
mère
. Petite de taille, d’un visage charmant, elle ava
rieux et ferme, une sensibilité pure et élevée. A la différence de sa
mère
qui se prodiguait à tous et dont toutes les heure
euvent t’être restées précises sur notre famille et nos chers père et
mère
. Je vous ai tous quittés si jeune que je sais peu
s les fortifications ; un bien bon père dans notre pauvre maison, une
mère
bien belle, bien tendre et bien pleurée au milieu
vine. Si tu savais quelle part profonde elle a prise à mon malheur de
mère
, tu l’aimerais comme on aime un ange ; — et c’est
’espagnol me plaît par l’idée que notre famille en sort du côté de la
mère
de papa. Qu’en crois-tu, mon ami ? Mon oncle n’av
— Nous-mêmes, je crois, mon bon frère, nous en sortons du côté de la
mère
de mon père. Félix, souviens-toi bien : il est im
rir de plus consolant ? Aussi je te bénis au nom de mon père et de ma
mère
! » Elle a une modique pension qu’elle touchait
ot, le catholicisme individuel ; elle croyait au divin crucifié, à sa
mère
, à l’efficacité de son intervention, mais d’un él
e dirai l’impiété, que tous les cœurs froids commettent, d’avertir ta
mère
sur ses devoirs, ce qui serait la tuer. Elle a re
septembre 1854)… Il me serait bien difficile de penser à ton adorable
mère
sans te mêler aussi dans les larmes que mon cœur
rler de tes fils plus que toi, et je te plains dans tes tristesses de
mère
. Le siècle est de fer. Le malheur, luxe, la misèr
hes et jours de fête. 52. Ce fils parfait, digne en tout d’une telle
mère
, et qui ne lui a donné que des consolations, est
suis-je pas morte dans cette chapelle où je priais pour nous tous la
Mère
des affligés !… Espérons… » C’est cette sœur aîné
Il faut que je vous dédommage de cela par une aventure domestique. Ma
mère
, jeune fille encore, allait à l’église ou en reve
comme l’indiquait une autre ligne aussi véridique que la première. Ma
mère
écoutait ces belles choses avec un plaisir infini
vous volera. Oh ! Pour cette prédiction, elle fut accomplie, ma bonne
mère
de retour à la maison trouva qu’on lui avait coup
. Sur ce balcon des domestiques occupés. Au pied de la chaumière, une
mère
assise, sa quenouille dressée contre son épaule g
u par une corde à la branche d’un arbre élégant et léger. Derrière la
mère
, une esclave penchée offrant au marmot qui se rév
veille le chat de la maison. Le marmot sourit, laisse la pomme que sa
mère
lui offre, et tend ses petits bras vers le chat q
ait sur le devant, à plat ventre, la plante des pieds tournée vers la
mère
, la tête vers l’enfant nu, un garçonnet qui dort.
qui fait pitié. une jeune fille endormie, surprise par son père et sa
mère
. du même. La jeune fille est couchée, sa gorge es
a main posée où la couverture se plisse. Son vieux père et sa vieille
mère
sont debout au pied du lit tout à fait dans l’omb
fait dans l’ombre ; le père plus sur le fond, il impose silence à la
mère
qui veut parler. à droite sur le devant, c’est un
le livret, une jeune fille endormie, surprise par son père et par sa
mère
, on cherche des traces d’un amant qui s’échappe o
et l’on n’en trouve point ; on regarde l’impression du père et de la
mère
pour en tirer quelque indice, et ils n’en révèlen
repose-t-elle d’une fatigue voluptueuse ? Cela se peut. Le père et la
mère
appellés par quelques soupirs aussi involontaires
l faut d’aussi bons yeux pour voir le fond et découvrir le père et la
mère
, qui sont toutefois au pied du lit et sur le deva
technique et clair dans sa composition. Encore une fois le père et la
mère
auraient-ils eu quelque suspicion de la conduite
insi que sa gorge, de très-bonne couleur ; j’ai dit que le père et la
mère
étaient dans l’ombre sans qu’on sût pourquoi ; ma
Chapitre VI. La
Mère
. — Andromaque. Vox in Rama audita est, dit J
ue l’esprit du christianisme a une tendre sympathie avec le génie des
mères
. Ici nous proposons d’ouvrir un nouveau sentier à
au sentier à la critique ; nous chercherons dans les sentiments d’une
mère
païenne, peinte par un auteur moderne, les traits
art d’un poète chrétien. L’Andromaque de l’Iliade est plus épouse que
mère
; celle d’Euripide a un caractère à la fois rampa
l ; celle de Virgile est tendre et triste, mais c’est moins encore la
mère
que l’épouse : la veuve d’Hector ne dit pas : Ast
futurs d’Astyanax, mais elle songe à peine à lui dans le présent ; la
mère
, sous notre culte, plus tendre, sans être moins p
hui, grâce à ce qu’on nous donne de lettres et de billets d’elle à sa
mère
, à ses sœurs, à ses frères, on pourra se mieux fi
elle fut mariée au dauphin de France (Louis XVI). Élevée auprès de sa
mère
, l’illustre Marie-Thérèse, « dans la simplicité d
ire, probablement à Augsbourg, la jeune princesse écrit à son auguste
mère
une lettre remplie des meilleurs et des plus natu
ie des meilleurs et des plus naturels sentiments : « Madame ma chère
mère
, « Je ne quitte pas sans une vive émotion et un s
les bontés maternelles dont vous m’avez entourée. L’image de ma bonne
mère
, de toute ma famille, de mes bonheurs d’enfance,
-on, de la part d’une jeune fille qui quitte pour la première fois sa
mère
; mais c’est précisément parce que c’est ordinair
rempée de larmes, je ne les ai essuyées que pour écrire à notre bonne
mère
en quittant les frontières de l’empire ; pourquoi
de replis et encore moins de noirceurs. À Strasbourg elle écrit à sa
mère
, et avec elle, elle est plus optimiste, elle voit
e ma chère maman, disant : « Vous étiez déjà de la famille, car votre
mère
a l’âme de Louis le Grand. » Quelle belle parole
onial, en pleine représentation à Versailles, pour écrire un mot à sa
mère
(16 mai 1770) : « Madame ma très chère mère, « J
pour écrire un mot à sa mère (16 mai 1770) : « Madame ma très chère
mère
, « Je me suis échappée du grand cercle, dans ma g
Marie-Christine, que nous étions plus heureuses auprès de notre bonne
mère
! qu’elle était bonne et grande ! Je me vois touj
de cette jeune âme, supplée autant qu’elle le peut la tendresse d’une
mère
. On suit avec intérêt ces degrés et comme ces nœu
elui qui courut dans le temps même et qui se trouve partout cité. Une
mère
, pour obtenir la grâce de son fils compromis par
yait de lui faire un tort de sa première démarche : « Mais si j’étais
mère
, s’écria Marie-Antoinette, pour sauver mon fils,
arque de la main le haut de la tour, et où l’on arrache l’enfant à sa
mère
. On voit à droite, une troupe de soldats. Ulysse
nax qu’il tient entre ses bras. L’enfant est tourné et penché vers sa
mère
. Andromaque est prosternée aux pieds du soldat, e
fond ce soldat qui s’est saisi de l’enfant ; qu’il ne cache pas à sa
mère
celui à qui elle doit adresser son désespoir. Lai
Astyanax est de bois : qu’il ait ses deux petits bras étendus vers sa
mère
, et faites qu’il réponde à sa douleur. Cela fait,
i trouvent étrange que les suivantes paraissent plus affligées que la
mère
. Il faut que chacun marque sa passion d’une maniè
émoins, Et les plus malheureux osent pleurer le moins. Andromaque est
mère
; mais elle est fille de souverain, souveraine el
ras pendant cette longue période de mois et d’années où le sein de la
mère
n’est pour ainsi dire qu’une seconde gestation de
l’enfant dans son sein ou à sa mamelle périrait en même temps que la
mère
; les carnages humains seraient doubles, l’humani
les cadavres pour sucer le lait tari dans les mamelles sanglantes des
mères
? Il en serait de même dans toutes les autres fon
es hommes verraient dans les femmes des maîtres, au lieu d’y voir des
mères
, des amantes, des épouses, des consolatrices ? Qu
me du dégoût. Quel homme aurait été chercher son épouse, quel fils sa
mère
, au pied de ces tribunes tumultueuses, entre les
e sera à vous chez vous, pas même votre nom ; tout sera au public. La
mère
de vos enfants couvrira d’avance leur berceau ou
ain ; elles n’ont été écrivains que parce qu’elles étaient épouses et
mères
, elles n’écrivaient pas pour le public ou pour la
que la tendresse d’une fille. Elles restaient femmes, elles restaient
mères
, elles croyaient rester obscures en écrivant pour
t fleurit, comme une plante rare en serre chaude, sous la vertu de sa
mère
, sous la gloire de son père, sous les caresses et
blirent entre le père et la fille une intimité d’esprit qui blessa la
mère
. Madame Necker dissimula mal sa jalousie contre u
Une froideur qui ne se réchauffa plus jamais glaça les rapports de la
mère
et de la fille. Madame Necker avait voulu faire d
première éclipsée par le chef-d’œuvre qu’elle avait voulu montrer aux
mères
. Ce fut dès ce jour l’amertume du reste de sa vie
e du reste de sa vie. On retrouve les traces de cette tristesse de la
mère
et de cet éloignement de la fille dans les entret
r les théories philosophiques du père et sur les œuvres pieuses de la
mère
. Tout se conciliait dans une religiosité supérieu
stie, l’ombre du foyer domestique imposés aux filles, aux femmes, aux
mères
, les renfermaient dans le sanctuaire de leur foye
ilence obligé du premier ministre, la réserve un peu contrainte de la
mère
affligée de l’éclat prématuré de sa fille, y lais
re heures, a refusé de prendre aucune nourriture. Jugez quelle est sa
mère
par le sentiment énergique et profond qu’à cet âg
; et ne craigniez-vous pas que ces mots : ils ont enlevé le fils à la
mère
, ne dévorassent tous les souvenirs dont vous retr
lle existe encore ; elle existe parce qu’elle aime, parce qu’elle est
mère
. Ah ! sans ce lien sacré, pardonnerait-elle à ceu
son innocence ? « Je reviens à vous, femmes immolées toutes dans une
mère
si tendre, immolées toutes par l’attentat qui ser
ont retomber sur sa tête ; mais qu’il demande à genoux la grâce de sa
mère
; l’enfance peut prier, l’enfance s’ignore encore
et qui était devenu son favori, le jeune roi secoue l’autorité de sa
mère
. Accusée de honteuses faiblesses pour Concini, qu
ncore, a pu se laisser emporter à des partis aussi violents contre sa
mère
. L’Étoile nous l’apprend, sous la date du 19 mai
sa mère. L’Étoile nous l’apprend, sous la date du 19 mai 161019 : sa
mère
, au début de sa régence, avait cru signaler merve
autorité Marie de Médicis : Luynes est fait connétable. Le fils et la
mère
sont en guerre ouverte. Ils sont rapprochés par A
liation où la première jeunesse du roi fut tenue par sa déraisonnable
mère
, lui rendait impossible cette confiance en lui-mê
. La marquise de Rambouillet, mariée à seize ans, en 1600, était déjà
mère
de sept enfants en 1610. Sa vie était toute séden
arlaient de même. Dans sa trente-sixième lettre, en 1633, il dit à la
mère
: « Je devrais craindre, par votre exemple, d’écr
s XIII fut fouetté ce jour par le commandement de la reine régente sa
mère
, pour n’avoir pas voulu prier Dieu. M. de Souvray
noir adoptée dans sa mansarde, qu’il porta toujours depuis et que ma
mère
seule lui faisait. « Selon les heures où il sorta
de la vie et lui fournirent le sujet de plus d’un de ses livres. « Ma
mère
, riche, belle, et beaucoup plus jeune que son mar
es terrestres par celles du ciel. « Ceux qui ont connu mon père et ma
mère
attesteront la fidélité de ces esquisses. Les qua
servation et le jugement de son père, l’imagination, l’activité de sa
mère
, de tous les deux, enfin, l’énergie et la bonté.
ré, tout faisait présager pour lui un bel avenir. La fortune de notre
mère
, celle de notre aïeule maternelle qui vint vivre
es de mon père composaient une grande existence à notre famille. « Ma
mère
se consacra exclusivement à notre éducation et se
« Le plus grand événement de son enfance fut un voyage à Paris, où ma
mère
le conduisit, en 1804, pour le présenter à ses gr
ant prise d’un malencontreux fou rire pendant une réprimande de notre
mère
, il s’approche de moi, et pour arrêter cette gaie
resse et son étourderie, il fut renvoyé sans espoir chez son père. Sa
mère
s’en chargea. Elle lui fit faire dans ce beau pay
e censeur étranger à ses impressions. Il aimait, mais il craignait sa
mère
comme une justice rigoureuse ; il ne se révélait
rent, ce soir-là, en déplorant entre eux l’aveuglement paternel… « Ma
mère
, moins confiante que son mari, pensa qu’un peu de
eût certainement pas suffi à ses besoins les plus rigoureux, si notre
mère
n’eût pas laissé à Paris une vieille femme, attac
énagement (détails qui n’étaient à autres fins que de prouver à notre
mère
qu’il manquait déjà d’argent), il me confie qu’il
e !…” « Dans sa seconde lettre, il s’excuse de la première, que notre
mère
avait trouvée fort négligée. « “Dis à maman que
rez, mademoiselle, qu’on économise pour avoir ici un piano ; quand ma
mère
et toi vous viendrez me voir, vous en trouverez u
ols !… « “Maman va dire : ‘Allons, Honoré va devenir joueur !’ Point,
mère
, je veille sur mes passions. « “J’ai songé qu’apr
Villers, qui l’aime jusqu’à soutenir le pauvre rebelle ? « “Une idée,
mère
! si vous lui écriviez pour arranger ce voyage ?
agédie faite et acceptée, il tombe énervé, découragé, maigri, chez sa
mère
, elle le garda quatre ans, mais non oisif. Ce fut
éels, et mon courage infernal sera récompensé. Persuade-le aussi à ma
mère
, chère sœur, dis-lui de me faire l’aumône de sa p
s ! Un jour, je l’espère, — un peu de gloire lui payera tout ! Pauvre
mère
! cette imagination qu’elle m’a donnée la jette p
nord : de tels voyages fatiguent ; je le sais aussi, moi ! « Dis à ma
mère
que je l’aime comme lorsque j’étais enfant. Des l
tendresse et de désespoir, car je sens l’avenir, et il me faut cette
mère
dévouée au jour du triomphe ! Quand l’atteindrai-
uée au jour du triomphe ! Quand l’atteindrai-je ? « Soigne bien notre
mère
, Laure, pour le présent et pour l’avenir. « Quant
tte tristesse. Quelqu’un de ceux que j’aime serait-il malheureux ? Ma
mère
est-elle souffrante ? Où est mon bon Surville ? e
assurer ma vie pour laisser, en cas de mort, une petite fortune à ma
mère
; toutes dettes payées, pourrais-je supporter ces
le bon sens et moins encore contre Dieu. Il était religieux comme sa
mère
et sa sœur ; la solitude et le bonheur le ramenai
mariage, n’avait pas encore le droit de concevoir l’espérance d’être
mère
. Tout récemment, la Correspondance publiée par M.
gularité matrimoniale. Naturellement, dans une Correspondance avec sa
mère
, Marie-Antoinette s’épanche et revient perpétuell
r, mais elle souffre, et elle décharge son chagrin dans le sein de sa
mère
. Nous sommes, malgré quelques suppressions nécess
point donné de le voir exaucé. Elle mourut avant d’avoir vu sa fille
mère
de celui qu’on appelait l’héritier du trône. Mais
comte de Provence et le comte d’Artois. Elle a à s’expliquer avec sa
mère
, elle a à se défendre de certains bruits qui cour
soi, mêle sans cesse dans ses lettres les recommandations d’une bonne
mère
à celles d’une impératrice. On pourra sourire de
produit et conserve. Je vous prie donc en amie, et comme votre tendre
mère
, qui parle par expérience, ne vous laissez aller
été, c’est, après celles qui regardent la santé et la vocation à être
mère
, de se garder des coteries, des apartés, des soci
de « cette gentille Antoinette », comme elle l’appelle ; est-ce à une
mère
tendre qu’il faut apprendre ces choses ? elle lui
ureux. Je veux prévenir cela et vous conjure de croire aux avis d’une
mère
qui connaît le monde et qui idolâtre ses enfants
oinette glisse le plus qu’elle peut sur ce sujet dans sa réponse à sa
mère
: « Je n’ai rien à dire sur les bracelets ; je n
porte plus encore, humainement parlant, que ce qu’elle est. L’auguste
mère
voudrait donc qu’auprès du roi il y eût une épous
ertains moments un ascendant salutaire. Marie-Antoinette a écrit à sa
mère
que MM. Turgot et de Malesherbes ont quitté le mi
l et presque impie de venir s’armer des paroles confidentielles d’une
mère
comme d’une déposition aggravante contre la fille
cœur avant tout la haine du Danois. Lorsque Catherine arriva avec sa
mère
à Moscou où la Cour était alors, en février 1744,
’Impératrice, qui avait été renvoyée de la Cour lors du malheur de sa
mère
, une Mme Lapoukine, qui avait été exilée en Sibér
dans des intrigues de cour. Peu s’en faut que, par la faute de cette
mère
, la fortune de Catherine ne se brise dès le premi
elques mots bien placés, par des riens, se séparer des sottises de sa
mère
. Dans cette pleurésie qu’elle a et qu’on traite t
à gauche et ne s’y frotte plus. Un jour, dans une discussion entre sa
mère
et l’Impératrice, l’un des courtisans qui vient d
es par l’étiquette, elle éprouve tout cela dans ses relations avec sa
mère
, avec l’Impératrice, avec son fiancé, avec les fe
te et qui ne manquait pas d’esprit. Je montrais un grand respect à ma
mère
, une obéissance sans bornes à l’Impératrice, la c
urg. Il avait vu précédemment Catherine à Hambourg et avait grondé sa
mère
de faire trop peu de cas de cette enfant, qui ava
-philosophique. » Arrivé en mission à Pétersbourg, il vit beaucoup la
mère
et la fille, et s’intéressa de plus en plus à cel
ec l’Impératrice et un peu loin de la maison où Catherine est avec sa
mère
, il fait dire tout net à sa fiancée par un domest
es sentiments qu’elle exprime sans faste à cet endroit de sa vie ? Sa
mère
quitte la Russie après la célébration du mariage
célébration du mariage : quoiqu’elle ait bien peu à se louer de cette
mère
tracassière et mesquine, Catherine nous dit « que
ul Verlaine En ce temps-là (1885), Paul Verlaine habitait, avec sa
mère
, un misérable hôtel meublé, rue Moreau, en plein
e d’une cité ouvrière, au pitoyable grouillement humain. Mme Verlaine
mère
logeait au premier. Verlaine, à qui sa jambe mala
mpes et des lithographies : un portrait du poète enfant ; celui de sa
mère
en jupe à volants, dans l’épanouissement de la tr
le et mérite l’apostrophe de Germain Nouveau : Femme de militaire et
mère
de poète, Il vous restait un bruit de bataille et
ministère m’installa d’emblée dans les bonnes grâces de Mme Verlaine
mère
et, pour cérémonie d’investiture, cette brave fem
alheureuse entreprise agricole le peu qui leur restait de fortune. La
mère
avait réussi à sauver du désastre un lot d’obliga
our Verlaine que tous ces soucis qui l’accablaient ! Heureusement, sa
mère
était là, qui veillait et barricadait sa porte au
éments, servait de cadre à de délicats entretiens, mais la mort de sa
mère
, au bout de quelques mois, vint en bouleverser le
lui avait remis le paquet d’obligations trouvé dans la chambre de sa
mère
, fortune inespérée : quelques milliers de francs.
r. Parfois, l’aîné, gamin d’une douzaine d’années, sur un signe de sa
mère
, se détachait pour aller tendre un bougeoir, une
te plus obstinée ne rendît le vainqueur plus inexorable. Il avait une
mère
affaissée par les années, qui toutefois, par une
et il voulait à tout prix l’épouser, contre les vues d’Agrippine, sa
mère
. Burrhus et Sénèque, ses deux précepteurs, le fai
ses deux précepteurs, le faisaient rougir de sa subordination à cette
mère
, qui lui disputait la réalité du pouvoir impérial
e accomplie par les vents ou les flots ? L’empereur consacrerait à sa
mère
, après sa mort un temple, des autels, et toutes l
s à Baïes les fêtes des vingt jours. » XXXIX « Il y attire sa
mère
, disant avec affectation qu’il fallait savoir sup
ux femmes. « Néron s’avance jusque sur la grève, à la rencontre de sa
mère
qui venait d’Antium, la prend par la main, la ser
flotte, comme si Néron avait voulu préparer cet honneur de plus à sa
mère
; car elle avait l’habitude de se promener en tri
soit pour achever la dissimulation, soit que le dernier aspect de sa
mère
, qui allait périr, attendrît son âme toute féroce
assez mal inspirée pour crier qu’elle est Agrippine et qu’on sauve la
mère
de l’empereur, est écrasée à coups de crocs et de
urer en même temps, malgré l’émotion que va lui causer le péril de sa
mère
, de vouloir bien différer sa visite, ayant elle-m
« Ces circonstances sont avérées. Que Néron ensuite ait contemplé sa
mère
morte, et qu’il ait loué les formes de son corps,
terre, et on n’entoura pas même d’un mur le lieu où les cendres de sa
mère
étaient répandues. » « Depuis, par la piété de se
éens lui avaient répondu qu’il pourrait régner, mais qu’il tuerait sa
mère
: — Soit, dit-elle, qu’il me tue, pourvu qu’il rè
itant d’avoir échappé à un péril si éminent et prévenu le crime de sa
mère
. Ensuite ses courtisans coururent aux temples, et
son propre salut, il affectait de verser des larmes sur la mort de sa
mère
; mais, comme la physionomie des lieux ne change
d’une trompette et des gémissements de deuil autour du tombeau de sa
mère
, il se réfugia à Naples, et il adressa de là des
sa rencontre, qui l’embrasse sur les yeux et sur le sein. Voyez cette
mère
qui s’inquiète et qui se rassure, qui sort heureu
r à l’extrémité du péril, au moment où le fils se croit menacé par la
mère
. Voyez ces deux prétendus hommes d’État consommés
gère. Elle alla souffler les lumières et le jeune brave fut noyé. — Ô
mère
, mère chérie, ma tête me fait si mal, laissez-moi
Elle alla souffler les lumières et le jeune brave fut noyé. — Ô mère,
mère
chérie, ma tête me fait si mal, laissez-moi aller
, mais éveille ta jeune sœur, qu’elle aille se promener avec toi. — Ô
mère
, ma jeune sœur est encore une si jeune enfant, el
s éveille ton plus jeune frère, qu’il aille se promener avec toi. « Ô
mère
, mon jeune frère est encore un si jeune enfant !
t ! Il court après tous les oiseaux qu’il trouve sur son chemin. — La
mère
alla à l’église, la fille se mit en chemin, jusqu
dit-elle, beau monde, vous ne me reverrez plus. Adieu, ô mes père et
mère
, adieu tous mes amis, je m’en vais au ciel. » Une
Montagne et langage sont des assonances ; serpe et veste ; chèvre et
mère
; souci, jalousie ; logis, famille ; mise, mille
vaillant six deniers. — Eh oui, mon père, oui je l’aurai, Malgré ma
mère
qui m’a portée, Je l’aime mieux que tous mes pare
e qui m’a portée, Je l’aime mieux que tous mes parents, Vous, père et
mère
, qui m’aimez tant ! — Ma fille, il faut changer
chirurgicale. Un meurtrier tient suspendu par un pied l’enfant d’une
mère
, et cette femme tend son tablier pour le recevoir
précisément comme un chou qu’on lui mettrait dans son giron. Ici, une
mère
renversée à terre, sur le sein de laquelle un sol
es enfans ne font ici que les seconds rôles, ce sont les pères et les
mères
qui doivent faire les premiers. Tout cela ne vaut
soldat de Le Brun, je crois, qui, d’une main, arrache un enfant à sa
mère
, en poignarde un autre de l’autre main, et en tie
ouwermans. une famille espagnole. du même. Les têtes du père et de la
mère
sont d’ivoire. Ici les figures pèchent par le des
o, l’homme noir, feignit de se laisser attendrir par les larmes de la
mère
et de l’enfant ; il tira un peu à l’écart Magdale
yen de sauver le châtaignier, si vous étiez une femme d’esprit et une
mère
raisonnable ? Le capitaine des sbires a le cœur s
s, de nos bouches, comme si l’on avait voulu tuer notre père et notre
mère
. Les bûcherons s’arrêtèrent, leurs haches levées,
ampogna, les coups de hache des bûcherons, les voix larmoyantes de sa
mère
, de Fior d’Aliza et de moi ; à travers une clairi
aurez la vie du châtaignier qu’avec ma vie ! L’arbre est la vie de ma
mère
, de mon oncle, de ma cousine, de nos pères et de
t pâle comme un linge et se colla convulsivement contre le sein de sa
mère
. Quant à moi, je mis ma tête aveugle entre mes de
à un coup de feu du ciel, pour courir au-devant de notre enfant ; la
mère
nous devançait les bras tendus, les cheveux épars
és sous sa peau, aussi tendre qu’une seconde écorce de châtaigne ; sa
mère
lava les filets de sang qui en sortaient et pansa
férées en s’éloignant. — Il faut te sauver aux Camaldules, lui dit sa
mère
; tu appelleras du pied du mur, le frère Hilario,
r ton linge et ta nourriture de la semaine. — Bénie soit l’idée de ta
mère
, m’écriai-je en embrassant Hyeronimo, qui pleurai
revoir tous dans de meilleurs jours, c’est de suivre le conseil de ta
mère
; c’est l’âme de ton père qui l’inspire. Ne perds
de la cabane pour le pousser dehors, tout en pleurant comme lui ; sa
mère
et sa cousine, réveillées par le bruit de mes san
loin sur le chemin de la mort et il ne pouvait entendre la voix de sa
mère
. À moi, du moins, ma fille me restait. Je voulus
l’enclume. CXXI Je poussai un cri de surprise et d’horreur ; la
mère
accourut, se signa et tomba à la renverse à l’asp
tant un fruit d’une veille de mort. Qui le dirait à le voir. La jeune
mère
regarda en dessous le visage endormi de son beau
manda froidement Fior d’Aliza. — Oui, dis hardiment tout, répondit la
mère
; il n’y a point de honte à s’aimer quand on s’ai
s lèvres du petit innocent que voilà ? L’image dont cette naïve jeune
mère
ne soupçonnait pas même la candeur ne fit sourire
la vie soit pour la mort ? Tu auras déshonoré son nom et celui de ta
mère
, voilà tout ! Mon Dieu ! que faire ? Et je me mis
rètement par les amoureux, qui leur font la cour avec l’aveu de leurs
mères
; les âmes pieuses ou les cœurs tendres me jetter
u termina ses études à Paris, au collège Saint-Louis. Il était par sa
mère
cousin germain d’un jeune homme également disting
eune enfant de dix à onze ains, amenée un matin au pensionnat par une
mère
belle, superbe, au front de génie et à la démarch
sse de pension à la recevoir, la froide réserve de celle-ci envers la
mère
, son changement de ton et de sentiment quand elle
ur. La pauvre enfant qui ne sait rien, qui ne voit que rarement cette
mère
capricieuse et inégale, pour laquelle, du plus lo
une allée, Aurélie pousse un cri de joie ; elle vient d’apercevoir sa
mère
, qui, ne l’ayant pas trouvée au parloir, s’est di
autres : ……….Onerat celeberrima natam Mater………………. La gloire d’une
mère
est un pesant fardeau ! Ces observations faites
lle devienne la plus honorée comme la plus aimable des épouses et des
mères
? Voilà ce que la vraie morale humaine conseille
aît avec un peu d'effort de mémoire ce même cabinet où son père et sa
mère
se sont vus pour la dernière fois. On lui apprend
raient voulu que les peines infamantes rejaillissent des pères et des
mères
au front des enfants et de toute une postérité. À
s naturel non plus qu’elle sacrifie à l’instant et si complètement sa
mère
, laquelle, après tout, ne lui a donné que des mar
pour un mouvement d’enfant qui, entre les deux, lui a fait choisir sa
mère
; que, pendant dix ans, il ne lui donne aucun sig
regarde ton Emmanuel, si enthousiaste, si beau, si digne de sa sainte
mère
, je retrouve en lui cette fleur de noblesse que n
d’honneur et de délicatesse ; à mes yeux il ne vaut pas mieux que la
mère
, et il fait pis à sa manière : il fait le mal par
hmane reçoit par charité, dans sa maison, deux jeunes vaincus et leur
mère
, qui cherchent à se dérober aux vainqueurs ; la v
i commence le récit dialogué du poète épique : « Un soir, Kounti, la
mère
fugitive que le brahmane avait recueillie, était
fflige le brahmane, et soulager la peine de cette maison.” « “Oui, ma
mère
”, dit Bhima, “sachons la cause de cette douleur ;
e douleur ; rien ne me coûtera pour la soulager.” C’est ainsi que la
mère
et le fils parlaient, quand les sanglots du brahm
ne purent te convaincre ; bientôt ton père est remonté aux cieux, ta
mère
l’a suivi, tous tes parents sont morts !… Mainten
s à ma place !… Femme pieuse, toi que je vénère à l’égal de ma propre
mère
; épouse chaste et dévouée à tous les devoirs, to
ont accordée pour compagne de ma demeure, toi mon souverain bien, toi
mère
de mes enfants, je ne puis te livrer à la mort, ô
dra peut-être la proie des hommes pervers, qui ne respecteront pas sa
mère
; ils m’éloigneront, ils voudront connaître et pr
et laissés sur l’autel désert !… Hélas ! ils périront privés de leur
mère
, nos deux chers enfants, ainsi que les poissons m
je t’ai donné une postérité. « …… Si je meurs, tu trouveras une autre
mère
pour tes enfants : ce n’est pas un crime pour l’h
st rempli tout entier par cette lutte de dévouement entre le père, la
mère
et la fille, qui revendiquent tous le droit et le
c’est un tout petit enfant ! Si tu pars pour le séjour céleste, ô ma
mère
! Cette fleur innocente se fanera sur sa tige ; s
igés. En te préservant toi-même, ô père ! tu sauves à la fois toi, ma
mère
et mon frère, et les sacrifices se renouvelleront
V Ces paroles redoublent les larmes et les sanglots du père, de la
mère
et de la jeune fille. À ce spectacle le petit enf
cipant par son émotion sur l’âge où il pourrait défendre son père, sa
mère
et sa sœur, bégaya, dit le poète, ces mots à pein
e l’un à l’autre : « Ne pleure pas, ô mon père ! ne pleure pas, ô ma
mère
! ô ma sœur, ne pleure pas ! » Et, brandissant da
de mon innocence dans le paisible ermitage de mon père !… Menaça, ma
mère
, après m’avoir conçue du grand Visoumitra, m’a ab
des jeunes perroquets encore dépourvus de plumes, au moment où leurs
mères
leur portent la becquée ? Ici sont des pierres to
és même invisibles y apportent leur tribut. Les compagnes de la jeune
mère
s’écrient : « Nous apercevons, flottant aux branc
tie par le poids du petit qu’elle porte dans ses flancs, sera devenue
mère
, ah ! N’oubliez pas de m’en instruire ! « Mais qu
’ai recueilli lorsque, au moment de ta naissance, tu vins à perdre ta
mère
, à présent que tu souffres de ma part un second a
lages Que rapportent les orages Au tronc qui les a portés. C’est une
mère
ravie À ses enfants dispersés, Qui leur tend, de
ille, la plus séduisante que j’eusse encore vue, déjà semblable à une
mère
, à un âge où elle devait grandir encore, et réuni
sur sa figure l’amour badin de la sœur à la tendre sollicitude de la
mère
, mon chien, qui revenait d’un arrêt, se précipita
ais une gourde dans mon havresac, j’en voulus faire goûter à la jeune
mère
; elle y trempa ses lèvres avec complaisance, et,
mais nous ne sommes pas pauvres. — Oh ! nous l’avons été, s’écria la
mère
. — Oh ! oui, reprit la jeune femme, nous l’avons
omptant le petit enfant que vous allaitez. — Oh ! oui, dit la vieille
mère
, mais il y en a un que vous ne voyez pas et que n
nous laissons sa place vide autour de la table. À ces mots, la jeune
mère
se leva, pressa son enfant contre son cœur d’un m
irement un coup d’œil à la dérobée sur l’angélique figure de la jeune
mère
, qui était allée donner le sein à son enfant sur
vu, connu et senti la chose. — Bien ! dis-je. C’est donc à la vieille
mère
de parler la première, car elle a vu passer bien
plus abandonner celle à qui il devait la vie, avait oublié ici père,
mère
et patrie ; il avait défriché peu à peu quelques
rop pressé de me revoir et d’embrasser son petit sur les lèvres de sa
mère
. Le soir, nous n’entendîmes pas, comme à l’ordina
t ainsi que nous ne restâmes plus que six à la cabane : notre vieille
mère
, qui ne comptait plus les années de sa vie que pa
ux fois par an ; Hyeronimo, mon fils unique, et Fior d’Aliza, dont la
mère
était morte la semaine où elle était née ; c’étai
es contre son tablier. On dirait qu’elle est jalouse de l’amour de la
mère
pour l’enfant, et qu’elle regarde Fior d’Aliza co
aux fleurs bleues du ravin. Les deux enfants dont je devins la seule
mère
, puisque Fior d’Aliza n’en avait plus, furent nou
t à mon beau-frère Antonio : « Remarie-toi donc pour donner une autre
mère
à ta fille » ; mais il me disait toujours non. «
il me disait toujours non. « Je lui donnerais bien, à elle, une autre
mère
, mais qui est-ce qui me donnerait, à moi, une aut
rse sous ses traits rapides les douze enfants de Niobé autour de leur
mère
; ou quand, au premier chant de l’Iliade, embusqu
de Zeus ! c’est toi le voleur ! tu nous as arraché celui qui a tué sa
mère
: qui dira que cela est juste ? » — Dans leurs re
est-il pas le premier coupable, lui qui a ordonné à Oreste de tuer sa
mère
? Apollon revendique hautement sa complicité ; il
ptibles témoins des morts, créancières du sang répandu. Ô Nuit ! Ô ma
mère
! toi qui m’as enfantée pour le châtiment des viv
en m’arrachant ma proie, cet homme que m’avait livré le meurtre d’une
mère
. C’est à lui que ce chant est voué, ce chant de f
ptions de la Fable. Si vite dégagée des forces élémentaires, née sans
mère
, fille de l’Idée, aucun mythe impudique n’a de pr
s se nomment et elles exposent leur réclamation. — Cet homme a tué sa
mère
: il leur appartient par son crime, l’équité veut
e des Érynnies ! » Ce sera là bientôt le cri d’un père mourant, d’une
mère
expirante. Clameur inutile, le temple de la Justi
Oreste à l’unisson, d’un même cri : — « Avant tout, dis, as-tu tué ta
mère
? » — « Je l’ai tuée, je ne le nie pas. » Et il l
ussi dénaturée que son crime : — « Et moi, suis-je donc du sang de ma
mère
? » — Ici l’instinct du sexe tressaille dans les
Eh quoi ! ne t’a-t-elle point porté sous sa ceinture, assassin de ta
mère
? Oses-tu renier son sang ? » — Oreste se trouble
ollon en fait l’argument de sa violente plaidoirie. « Ce n’est pas la
mère
qui engendre ce qu’on appelle son enfant ; elle n
du germe versé dans son sein. Celui qui engendre, c’est le père ; la
mère
reçoit ce germe, et elle le conserve, s’il plaît
nconnues. Elle est née sevrée de ce lait du cœur. Entre le père et la
mère
, Pallas n’hérite pas : — « Certes, ma voix est à
llas n’hérite pas : — « Certes, ma voix est à Oreste : je n’ai pas de
mère
qui m’ait enfantée. En tout et toujours, je me ra
on lit sur un rituel funéraire : — « Ô cœur ! cœur qui me viens de ma
mère
! ô mon cœur du temps où je vivais sur la terre !
re ! ô douleur ! Quelle angoisse oppresse ma poitrine : Ô Nuit ! ô ma
mère
! entends-tu mes cris ? Les ruses des jeunes Dieu
e Iphigénie en égorgeant son époux, Oreste venge son père en tuant sa
mère
. — L’affreuse ornière semble sans issue ; comment
rs. « — Ils veilleront à la nourriture des enfants, en conduisant les
mères
au bercail, à l’époque de l’éruption du lait, apr
autions pour qu’aucune d’elles ne reconnaisse son enfant ; et, si les
mères
ne suffisent point à les allaiter, ils se procure
istrats, qui n’auront pas suffisamment bien accouplé les pères et les
mères
des générations à naître. XIX Il traite ens
lement individu, il est être collectif ; il se compose du père, de la
mère
et de l’enfant ; le père, la mère, l’enfant, voil
ctif ; il se compose du père, de la mère et de l’enfant ; le père, la
mère
, l’enfant, voilà la trinité terrestre ou plutôt v
té. Aussi voyez combien, dans son utopie d’éducation des enfants sans
mère
, Platon s’enfonce dans l’absurde en contredisant
, plus divine heureusement que lui ! XXV La nature a donné à la
mère
un admirable instinct d’amour pour l’enfant sorti
it d’abord providentiellement pour l’enfant par le soulagement que la
mère
éprouve à donner son lait, devient ensuite une ha
ransforme l’attrait physique en sollicitude morale, et qui attache la
mère
à l’enfant et l’enfant à la mère, comme la branch
ollicitude morale, et qui attache la mère à l’enfant et l’enfant à la
mère
, comme la branche au bourgeon, comme le fruit à l
la mère, comme la branche au bourgeon, comme le fruit à la tige. Une
mère
est une providence innée que chaque enfant trouve
ouleverse à l’instant ce divin poème de la maternité ; il défend à la
mère
de connaître son enfant, à l’enfant de se suspend
e connaître son enfant, à l’enfant de se suspendre à la mamelle de sa
mère
; il condamne celle-ci à subir les souffrances de
de à couler ou qui reflue avec fièvre et danger de mort au cœur de la
mère
. Il enrôle à prix d’argent une bande de nourrices
la génération future de son peuple. Personne n’aura ainsi ni père ni
mère
; personne ne sera ni mère ni père, à son tour ;
n peuple. Personne n’aura ainsi ni père ni mère ; personne ne sera ni
mère
ni père, à son tour ; égalité d’abandon, de misèr
n troupeau, car dans le troupeau le petit tète, connaît et caresse sa
mère
; mais le petit de l’homme et de la femme sucera
tié, de sollicitude privilégiée, qui attendrit et qui affectionne les
mères
, les pères, les étrangers même, à proportion des
! Société sans famille ! société d’orphelins ! société de pères et de
mères
d’occasion, sans affection survivant à leur accou
ctoire. Lisant à livre ouvert où d’autres épelaient. Elle chantait sa
mère
, elle appelait la gloire, Elle enivrait la foule…
humectera nos yeux. 1855. Il y avait en Mme Desbordes-Valmore la
mère
: comment ceux qui l’ont connue ou qui la lisent
ent ceux qui l’ont connue ou qui la lisent pourraient-ils l’oublier ?
Mère
, elle aurait pu goûter toutes les satisfactions e
sibilité elle-même, avait plutôt en elle la faculté de souffrir de sa
mère
, cette faculté isolée, développée encore et aigui
a rassurer ni apprivoiser sa crainte, et la plus tendre chanson de sa
mère
ne faisait que bercer son tourment sans jamais ré
et qui est un lien entre ces natures poétiques, mystérieuses ! Cette
mère
qui avait tant souffert du silence de sa charmant
ui m’a suivi à travers tous mes barreaux. Je l’aurais aimée comme une
mère
et à vous en rendre jaloux, si mon âge ne m’avait
outes ses lettres ont le même charme pour moi. Je crois que Mme votre
mère
était poète jusque dans le moindre signe, jusque
le, qu’il fut, ainsi qu’une chimère, Abandonné de tous, excepté de sa
mère
, Et que son cou ployé comme un frêle roseau Fit
our ma vie en naissant condamnée, M’ont fait deux fois l’enfant de ma
mère
obstinée ; Ange, qui sur trois fils attachés à se
és à ses pas Épandait son amour et ne mesurait pas ! Ô l’amour d’une
mère
! amour que nul n’oublie ! Pain merveilleux qu’un
ard il rehaussa le lambeau. En 1805, l’enfant revint à Paris avec sa
mère
, qui se logea dans la rue de Clichy. Il allait à
De 1809 à 1811, le jeune Hugo demeura en France avec ses frères et sa
mère
. Mme Hugo, femme supérieure, d’un caractère viril
, plus tard, devint sa femme. Au printemps de 1811, il partit avec sa
mère
et ses frères pour l’Espagne, où il rejoignit son
s cette forte et chaste discipline. Le fond de la philosophie de leur
mère
était le voltairianisme, et, femme positive qu’el
ie. Quelques dissidences domestiques, élevées précédemment entre leur
mère
et le général, et qu’il ne nous appartient pas d
illantines les sentiments déjà anciens d’opposition à l’Empire, et la
mère
vendéenne, l’enfant élève de Lahorie, se trouvère
e seul la géographie, à rêver et surtout à accompagner chaque soir sa
mère
dans la maison de la jeune fille qu’il épousa par
à son tour. La nuit du 5 au 6 février, c’était le tour de Victor, Sa
mère
, qui tenait beaucoup (car elle y croait déjà) à l
pieuse composée à son chevet, et le papier, mouillé de ses larmes de
mère
, partit dans la journée même. En 1820, un troisiè
on hardi et heureux frère ne rampait déjà plus. Victor Hugo perdit sa
mère
en 1821 : ce fut pour lui une affreuse douleur, t
déjà de cinquante-deux ans. Mais il avait dû attendre pour épouser ma
mère
, qu’il aimait depuis longtemps et qui était sans
qui était sans fortune, d’avoir lui-même une position suffisante2. Ma
mère
était de Boulogne même et s’appelait Augustine Co
ns d’un an, lorsque mon père mourut subitement d’une esquinancie3. Ma
mère
sans fortune, et une sœur de mon père, qui se réu
demi. Mais je sentais bien tout ce qui me manquait, et je décidai ma
mère
à m’envoyer à Paris, quoique ce fût un grand sacr
à M. de Tracy. J’avais un goût décidé pour l’étude de la médecine. Ma
mère
vint alors demeurer à Paris, et, logé chez elle,
ait mort en cette même année 1804, avant la naissance de son fils. Sa
mère
, fille d’un marin de Boulogne et d’une Anglaise,
Paris recommencer en partie et fortifier ses études ; il y décida sa
mère
, toute dévouée à l’avenir de son fils. Venu à Par
vent indiqués et résumés dans ces volumes. « Non marié, mais ayant sa
mère
plus qu’octogénaire17, M. Sainte-Beuve revint à P
ère, Jean-François de Sainte-Beuve, y était contrôleur des actes ; sa
mère
s’appelait Marie Donzelle. Il n’était pas l’aîné
fils (et on peut y en voir), tous ceux qui ont connu Mme Sainte-Beuve
mère
(et sans parler des plus anciens voisins du quart
cès (en 1804). Pour moi, né après la mort de mon père, j’ai trouvé ma
mère
s’appelant Mme Sainte-Beuve tout court. Il ne ten
illants de plus d’une espèce, d’une rente perpétuelle provenant de sa
mère
à Boulogne-sur-Mer). — Sur l’acte de mariage de s
essus de sa main : « Lettre de M. Landry, mon maître de pension, à ma
mère
, au moment où j’allais quitter la maison après ma
z notre maison. Soyez persuadée que nous n’oublierons jamais la bonne
mère
et le bon fils qu’elle nous a confié. Votre enfan
répétait souvent à M. Sainte-Beuve qu’il vivrait jusqu’à l’âge de sa
mère
. C’est à quoi du moins il paraissait destiné, pou
père, une de ses tantes du côté paternel était venue se joindre à sa
mère
, veuve dès le huitième mois de son mariage, et av
citée plus haut du chef d’institution, M. Landry, à Mme Sainte-Beuve
mère
. 22. On lit dans le Journal des Débats et des D
in (livre II) : Naturamque sequi patri que impendere vitam 28. Sa
mère
lui avait raconté de certaines scènes boulonnaise
29. Armand Carrel venait quelquefois demander M. Sainte-Beuve chez sa
mère
, ce qui ne laissait pas de la troubler un peu : s
trop loin par une relation trop chevaleresque. — Et ce que toutes les
mères
et les pères aussi qui s’intéressent à la carrièr
elle que lui écrivit M. le duc Pasquier le lendemain de la mort de sa
mère
. Il me dit souvent : « Je reçus fort peu de témoi
ois, ses pampres sans nombre S’entrelaçaient autour du puits, Père et
mère
goûtaient son ombre, Enfants, oiseaux, rongeaient
gnes, Ou sur leurs seins naissants croisaient leurs doigts pieux. La
mère
, de sa couche à ces doux bruits levée, Sur ces fr
de belles fiancées Suivirent de chers ravisseurs, Et, par la
mère
en pleurs sur le seuil embrassées, Partir
éconde, Et qui se ramifie en éternels ruisseaux ! Chaleur du sein de
mère
où Dieu nous fit éclore, Qui du duvet natal nous
blasphème ! Rêveur du groupe universel, Qu’il embrasse, au lieu de sa
mère
, Sa froide et stoïque chimère Qui n’a ni cœur, ni
chaume et la tuile abritent tout l’essaim, Où le père gouverne, où la
mère
aime et prie, Où dans ses petits-fils l’aïeule es
utres toits préparés dans tes divins climats ? Ô douce Providence ! ô
mère
de famille Dont l’immense foyer de tant d’enfants
es sœurs, de la mâle poitrine de mon père, du cœur encore chaud de ma
mère
, pour m’accueillir à ce retour, et pour me touche
tre un des plus vieux coquetiers de ces montagnes, qui louait à notre
mère
des ânesses au printemps pour donner leur lait à
de son haut chalet. Il avait dès ce temps-là les yeux chassieux ; ma
mère
lui donnait, pour fortifier sa vue, de petites fi
de l’amitié que Madeleine, ses filles et vous, vous aviez pour notre
mère
et pour ses enfants ! Il y a bien longtemps de ce
il ordonnera de nous ; mais souvenez-vous toujours de mon père, de ma
mère
, de mes sœurs, de ma femme et de moi ; et quand v
r, comme s’ils eussent jailli du pays lui-même. Je me rappelais père,
mère
, sœurs, enfance, jeunesse, amis de la maison, con
’avais douze ans, j’en avais vingt, j’en avais trente ; regards de ma
mère
, voix de mon père, jeux de mes sœurs, entretiens
monte du ruisseau vers le tertre du château ; les jeunes étalons, les
mères
et les poulains qui paissaient dans les prés vois
versets de liturgie latine sur la brièveté de la vie ; un père et une
mère
pleuraient, en chancelant, derrière lui. Je march
brancard. Sur le milieu du parvis, devant la porte de l’hôpital, une
mère
agenouillée, les bras et les regards tournés vers
tes, implore de son côté. Derrière celle-ci, debout, l’époux de cette
mère
désolée, tenant son fils entre ses bras. L’enfant
e père affligé a les yeux tournés vers le ciel, expectando… etc. . La
mère
a saisi une des mains de son enfant, ainsi la com
antérieure et la plus basse du tableau, un groupe de six figures ; la
mère
éplorée soutenue par deux de ses femmes, son enfa
e fond, son enfant penché et les regards attachés sur le visage de sa
mère
, il est frappé d’horreur, ses cheveux se sont dre
’horreur, ses cheveux se sont dressés sur son front, il cherche si sa
mère
vit encore, ou s’il n’a plus de mère. Au-delà de
sur son front, il cherche si sa mère vit encore, ou s’il n’a plus de
mère
. Au-delà de cette femme la terrasse s’affaisse, s
oyen, mais la partie la plus intéressante de votre composition, cette
mère
éplorée, ces suivantes qui l’entourent, ce père q
où l’on se perd et qu’on ne saurait regarder longtemps. La tête de la
mère
qui implore pour son fils, bien coëffée, cheveux
être, ainsi que l’enfant. Ce groupe avançant excessivement, chasse la
mère
de son plan, de manière qu’on doute qu’elle puiss
lle puisse appercevoir la sainte à laquelle elle s’adresse ; et cette
mère
avec ses suivantes chassées en avant, font paraît
as, n’avance pas assez. Et le malade qui s’élance de l’hôpital, et la
mère
agenouillée qui supplie, et les trois suivantes q
s choses ? Cette femme qui fut pendant quarante ans une épouse et une
mère
irréprochables, pourquoi nous livrer son douloure
Son séducteur paraît l’avoir lâchée dès qu’il sut qu’elle allait être
mère
… Quel était cet inconnu ? L’éditeur de la Corresp
. Miséricordieusement et, vers la fin, un peu avec le sentiment d’une
mère
qui pardonne aisément aux femmes d’avoir trouvé s
yte. Mais Hippolyte, d’où le tenait-il lui-même ? De son père ? De sa
mère
? Il n’y faut point songer. De qui ? « Et alors,
jours sans manger et tombe évanouie dans la rue. Elle s’en va avec sa
mère
à la Guadeloupe, où les appelle un cousin riche.
ettes vertes. » — « … Je ne t’ai pas dit que je connais maintenant la
mère
de M. Sainte-Beuve, toute petite et adorable d’am
tuelle, avec des gaietés nerveuses, — mais froide et sans abandon. Sa
mère
s’étonnait et souffrait de ses refus de se confie
u son cœur : « … Dans une vie aussi haletante que la nôtre, répond la
mère
, où prendre le temps d’un récit, d’une confidence
re Dumas (cette colère qui m’a fait entrevoir un moment le ciel d’une
mère
, le cœur de son enfant soulevé en sa faveur), c’e
onomie douce, « avec le regard un peu maladif. » Elle était, comme sa
mère
, réfractaire à la toilette. « Mme Valmore avait l
entre eux… Après la mort d’Ondine, en 1833, Sainte-Beuve écrira à la
mère
: « … C’étaient mes bonnes journées que celles où
ans la lettre que je citais tout à l’heure : « C’est à vous, poète et
mère
, qu’il appartient de recueillir et de rassembler
asmes à grands bras ou les désespoirs à cheveux tombants de sa sainte
mère
devaient paraître à la fois adorables — et excess
out ce lyrisme. De loin, ne se souvenant plus que du grand cœur de sa
mère
, Ondine osait se livrer davantage, ainsi que nous
e longs silences, suivis d’une agitation fébrile, inquiétante, que la
mère
attribuait à une croissance difficile. La maladie
« La voix d’Inès était d’une douceur pénétrante et, comme celle de sa
mère
, faisait pleurer. S’éteignant de plus en plus par
plus par le progrès de la maladie, cette voix déchirait le cœur de la
mère
lorsque l’enfant faisait de vains efforts pour mo
rait. Il n’eut pas un mot, pas une plainte, puisqu’il partait avec sa
mère
. Seulement ses petites mains se cramponnèrent au
Jusqu’à ce jour, nos sottes conventions sociales ont admis que la
mère
était un être sacré, dont les faiblesses mêmes de
n volume de 400 pages, plein de fiel et de rancunes à l’adresse de sa
mère
, par un fils qui ne peut pas n’avoir point mérité
e que la haine, et qui, contrairement à Michelet, n’a su voir dans la
mère
, qu’une femme comme toutes les autres, et dans se
: « J’ai marché ce matin, pieds nus, sur une chose de bouteille (ma
mère
dit que je grandis et que je dois me préparer à a
ur ma blessure qui est laide et profonde. MON ENTRÉE DANS LE MONDE Ma
mère
ne se contente pas de me recommander la chasteté
et en échange, M. Soubasson me donne des répétitions de maintien. Ma
mère
y assiste. — Glissez le pied, une, deux, trois, l
faut essayer tout de même, et je fais la bouche en chose de poule. Ma
mère
, elle, minaude devant la glace, essaie, cherche,
le l’oreille. Il se la fouille même un peu trop à mon idée. Ce que ma
mère
me dit de choses blessantes, pendant la leçon de
ni même tenir le petit doigt en l’air ? — Je le croyais fort, dit ma
mère
, qui sait que je pose un peu pour le mognon et qu
eois dans les pièces. Il me prend des envies, quand je répète avec ma
mère
, de l’appeler « Nanette » et de lui crier que j’a
’élégance, et que je fasse plus ou moins honneur à M. Soubasson, à ma
mère
. — Jacques, nous irons samedi voir la femme du pr
ous allons chez le proviseur en cérémonie. — Pan, pan ! — Entrez ! Ma
mère
passe la première, je ne vois pas comment elle s’
nds le tapis comme avec un couteau. C’est un clou de mon soulier. Ma
mère
était derrière modestement, et n’a rien vu. Elle
p fort ! On se rapproche, on m’enveloppe, je suis fait prisonnier. Ma
mère
demande grâce. Moi, j’ai perdu la tête et je crie
ardonner à un enfant, eût-il la quarantaine, de dire en parlant de sa
mère
: Cette femme ! Quelque talent qui soit déployé d
quelque succès qu’il obtienne, il n’est pas de fils, il n’est pas de
mères
, qui n’éprouveront comme un sentiment d’étonnemen
récemment débarquées d’une pension de Londres, déjà belles comme leur
mère
; des toilettes de bal européennes, à demi dissim
t apprécier, applaudir par les artistes. On voit que vous aimez votre
mère
, c’est senti. Gardez-la le plus longtemps que vou
ui pourrait les blesser ou les attrister ? Plus que jamais elle était
mère
, ayant deux enfants au lieu d’un. Son visage rayo
mon Dieu, oui. On en vend de superbes toutes faites ; mais les vraies
mères
, celles qui le sont d’avance, aiment à coudre, à
ent ce modèle qui manquait. « Envoie ta femme de chambre… » disait la
mère
… La femme de chambre, allons donc ! Est-ce qu’ell
ut à coup dans sa sensibilité douloureuse de femme à la veille d’être
mère
, portant deux cœurs, deux foyers de souffrance en
ux cœurs, deux foyers de souffrance en elle. L’enfant fut tué net, la
mère
survécut. Mais lorsqu’après trois jours d’anéanti
perdue. Et pourtant elle pardonna. Elle pardonna par pitié, comme une
mère
cède à l’enfant qui pleure, qui s’humilie ; aussi
i… Il consent à tout… tu vivras ici près de moi, tout le temps que ta
mère
et ta sœur resteront absentes ; après même, si to
cades désertes dans la solennité du grand salon. « Viens là… » fit la
mère
à sa fille d’un geste tendre… Plus près, encore p
je te dise que ta destinée est celle de toutes les femmes, et que ta
mère
n’y a pas échappé. » Rosalie s’épouvantait de cet
convenances du monde puisque c’était à qui les braverait le mieux. Sa
mère
l’avait prise, la serrant contre son cœur, essaya
ne et le mépris l’un de l’autre… Tu songeras aussi que ton père et la
mère
ont déjà bien souffert et que d’autres désespoirs
qui suivit ces derniers mots, Rosalie voyait grandir la figure de sa
mère
, de tout ce que perdait le père à ses yeux. Elle
d, nous verrons. » Le président rentrait. Il vit l’élan de la vieille
mère
jetant ses bras au cou de son enfant et comprit q
’à moitié réveillé un garçon de café ramenait, au petit jour, chez sa
mère
. — Vois-tu, Moumoute, reprit la mère, avec l’effe
ramenait, au petit jour, chez sa mère. — Vois-tu, Moumoute, reprit la
mère
, avec l’effet de lumière électrique sur l’empoiso
nneur. Charles dit tout bas, en fléchissant presque les genoux ; — Ma
mère
, oh ! ma mère, je vous en prie !… Mais elle répon
dit tout bas, en fléchissant presque les genoux ; — Ma mère, oh ! ma
mère
, je vous en prie !… Mais elle répondit : — Mon ch
ans la soupière, Charles dit : — Je suis ici sous l’autorité de notre
mère
, et je lui ai obéi en acceptant cette place comme
e, on découvre que Mme Dubois n’est pas la tante du capitaine mais sa
mère
, et qu’elle n’est autre que Coralie, une courtisa
ssant en face l’un de l’autre ces deux êtres si étroitement liés : la
mère
, obligée de révéler sa honte à son fils, obligé d
par qui ? Coralie eut un frisson. Elle dit d’un ton rauque : — Par ta
mère
. Daniel recula, épouvanté. La moitié du voile se
pas encore. Il répéta machinalement, comme un homme égaré : — Par ma
mère
? — M. Bonchamp, M. Godefroy, ont découvert le se
tuent. Parle ! — Je t’ai menti, je ne pouvais pas faire autrement. Ta
mère
n’est pas morte en te mettant au monde. Elle a eu
nt une vague espérance luisait ; si elle pouvait lui persuader que sa
mère
était morte en effet ! Le jeune homme s’assit, an
qui parles que des indifférents ou des ennemis. Comment se nommait ma
mère
? Qu’a-t-elle fuit ? Qu’est-elle devenue ? — Un
elait Coralie. Daniel resta le bras tendu, immobile. Non seulement sa
mère
avait eu une existence honteuse, mais encore c’ét
rement, Daniel comprit tout. Il dit très bas : — C’est toi qui est ma
mère
, c’est toi qui est Coralie. Elle ne répondit même
s’approcha d’elle, et, simplement, doucement, il lui dit : — Tu es ma
mère
, Relève-toi. Elle se releva d’un bond ; elle le r
e, puisque je suis ton fils… Tu n’es pas une femme pour moi, tu es la
mère
, l’être sacré qui a pris soin de mon enfance, qui
e donne le mien. Tu ne m’as pas reconnu à ma naissance, mais tu es ma
mère
et tu m’as aimé, aussi je te légitime. Embrasse-m
val tous les matins, mais madame rentrera à midi pour déjeuner… Si la
mère
de madame veut se donner la peine d’attendre mada
en a pas encore beaucoup qui, dans sa position, reconnaîtraient leur
mère
comme ça tout haut, dans la rue, devant les passa
ôtel et son luxe, pour venir s’enterrer dans un trou avec ses père et
mère
. » Eh bien… pas du tout… Elle a été enchantée, po
: Les Tristesses, publié par M. Alphonse Lemerre : LE COFFRET À ma
mère
. Ma mère, pour des jours de deuil et de souci,
tesses, publié par M. Alphonse Lemerre : LE COFFRET À ma mère. Ma
mère
, pour des jours de deuil et de souci, Garde, dans
fret de fer. Et toi, puisque ton front vers le tombeau se penche, Ô
mère
, quand viendra l’inévitable jour Où j’irai dans l
nourrir mon cheval à bascule, je ravageais les plantes que ma pauvre
mère
cultivait sur sa fenêtre. C’étaient là des jeux d
. Une honte irréfléchie, mais irrésistible, m’empêchait d’avouer à ma
mère
l’objet de mon amour. De là mes souffrances. Pend
que parce qu’il confectionnait de ses propres mains, à la table de ma
mère
, des chapons à l’ail, qu’il mettait ensuite dans
nds coups de poing dans le dos et l’accusait de manquer d’énergie. Ma
mère
, tout en gardant au capitaine une indulgence de s
s’agit de la mort d’un petit enfant. Quand il jouait sur l’herbe, sa
mère
le suivait d’un regard inquiet et à tout moment a
hoses qui lui faisaient peur et qu’il ne voulait plus voir. Alors, sa
mère
m’appelait et je m’asseyais près de son berceau :
dit-il ; le petit est plus mal. J’approchai du berceau près duquel la
mère
se tenait immobile, attachée par toutes les puiss
n, il ne fallait plus lui dire des histoires !… Pauvre Jeanne, pauvre
mère
! Je suis trop vieux pour rester bien sensible, m
arisienne, dont nous tenons à donner un résumé à nos lecteurs. L’idée
mère
du livre se trouve dans sa conclusion. Il s’agit
’en fait pas ; — mais les hommes en font beaucoup. — C’est ce que les
mères
ne doivent pas oublier. Jeanne Bérengère, élevée
nancières. Fils unique et millionnaire, il avait été fort gâté par sa
mère
, par ses domestiques, ses amis et ses maîtresses.
e Bérengère ; c’est ce qui arriva. Mme de Maurescamp cependant devint
mère
. Mme de Maurescamp, comme on le devine, voulut n
domestique se fût retiré, et, sans ouvrir la dépêche, elle regarda sa
mère
. — Laisse-moi l’ouvrir ! murmura Mme de Latour-Me
emplit tout l’hôtel et tomba toute raide sur le sable aux pieds de sa
mère
. Pendant que les domestiques accouraient à ce cri
ots aux dépens de leurs pratiques, des rentiers qui font l’usure, des
mères
de famille qui ont des amants, et, en somme, un t
ais Lasthénie portait dans son sein la preuve du crime, et bientôt sa
mère
la maudissait en lui voyant mettre au monde un en
ler de l’écheveau de cet effroyable mystère, devient à demi folle. Sa
mère
enterre l’enfant mort-né dans un coin du jardin.
s pages où la révélation de la future maternité éclate aux yeux de la
mère
. Une nuit qu’elle ne dormait pas et qu’elle pens
oyant cette lumière soudaine, ce visage, ce sang qui coulait et cette
mère
qui se frappait avec cette croix ! — Ah ! tu crie
Lasthénie, surprise, épouvantée, ne comprenait rien aux paroles de sa
mère
, et elle serait peut-être devenue folle à cette h
lle de Fontenoy. Voici la première lettre qu’il écrivit à la reine sa
mère
. Lettre du Dauphin à la Reine. Je vous fais de
avec leur vie à tous deux. M. de Loménie fait également apparaître la
mère
du grand orateur, triste personne assurément, mai
our être ployée aux nécessités de honteux plaidoyers du père et de la
mère
, l’un contre l’autre. Dans ce cerveau clairvoyant
nfance, et l’homme qui a eu pour père ce gentillâtre parleur et cette
mère
affolée, âpre à l’argent, devait forcément deveni
que ces lignes pleines de pensées qui l’assaillaient à la mort de sa
mère
. À Pierret. Maule, 29 octobre 181 Que ne puis-
t nous faire du bien que nous en parler. J’ai vu ce que tu as vu ; ma
mère
nous a échappé de même ; huit jours avant sa mort
fondant en larmes : « Eugène, viens vite, nous n’allons plus avoir de
mère
. » Je m’étais habillé plein de trouble et en sang
r de mère. » Je m’étais habillé plein de trouble et en sanglotant. Ma
mère
avait souffert la nuit des tourments horribles. D
fauteuil, j’entrai dans cette chambre et je m’y trouvai seul avec ma
mère
. Je sus lui donner un baiser. C’est le dernier qu
que tu pleureras ? en lisant cette lettre ; la tienne m’a rappelé ma
mère
, et je te remercie des larmes que tu me fais répa
t, je cherche autour de moi ce qui s’effaça si vite, et j’ai perdu ma
mère
sans la payer de ce qu’elle a souffert pour moi e
cela est mort, mais on se dit : c’est la même chair ; c’est encore ma
mère
; mais cette idée : je foule sa cendre ! elle est
qui doit te consoler, c’est de pouvoir encore faire le bonheur de ta
mère
. C’est la consolation que tu ne devras qu’à loi e
ès de moi. Il pleut très fort ; mets-toi sous l’ombrelle de ta petite
mère
chérie qui ne peut pas te tenir par la main, parc
ar celle qui a veillé sur lui avec la tendresse d’une épouse et d’une
mère
et qui le pleure aujourd’hui, jamais Roger n’a eu
ur proposait de jurer. Blandine fut sublime ; elle n’avait jamais été
mère
; cet enfant torturé à côté d’elle devint son fil
. Elle triomphait et ruisselait de joie. Elle s’envisageait comme une
mère
qui a vu proclamer vainqueurs tous ses fils, et l
a folie, et les hommes jusqu’à la bêtise. * * * Méfiez-vous de la
mère
d’un homme qui méprise les femmes. * * * Les
ser ses appartements pour le dire à ses parents, son père chéri et sa
mère
. Elle les trouve chez eux : l’une est assise aupr
habillements magnifiques et les dépose sur le char bien fabriqué. La
mère
a mis dans une corbeille les aliments de toute so
es qui habitent sur la terre, ô trois fois bienheureux ton père et ta
mère
vénérables ; trois fois bienheureux tes frères !
toute autre qui agirait ainsi, et qui, du vivant de son père et de sa
mère
chéris, se mêlerait sans leur consentement à la s
ure et dans sa cour, traverse rapidement le palais pour parvenir à ma
mère
. Elle est assise au foyer, appuyée contre une col
rtel. Va plus loin que lui, et jette tes bras autour des genoux de ma
mère
, afin de voir l’heureux jour du retour, quelque l
jeune fille quand elle verse ses premières larmes dans le sein de sa
mère
sur la mort de son serin…, Jules Janin, ce vérita
l’aînée des sœurs, qui garde la famille en l’absence du père et de la
mère
, belle quoique pâle et maigre sous ses haillons,
es ; les enfants jouent sur l’herbe au seuil de l’habitation de leurs
mères
; tout présente à l’œil des visiteurs étonnés l’a
frère, qui remplace mon père, et à ma bonne sœur qui me tient lieu de
mère
. Je suis riche, très riche, ajouta-t-il ; regarde
n se tenant contre ses meubles devant un christ d’ivoire donné par sa
mère
. Voyez mes bras nerveux, ils me servent de jambes
ignaient qu’ils avaient glissé longtemps dans les doigts (celui de sa
mère
), était négligemment jeté sur les pages. — Il ne
suis lavé avec les larmes de saint Augustin, ce fils converti par sa
mère
. Ah ! c’est un beau livre que celui-là ; Scheffer
ce fils qui écoute et qui voit le ciel à travers les yeux bleus de sa
mère
. Et moi aussi, c’est à travers le souvenir de la
besoin de prier, ou bien donnez-moi une autre langue que celle de ma
mère
ou de l’Évangile ! — Moi ? lui dis-je, mépriser o
ements contre les dieux et contre les hommes, si ce chapelet de votre
mère
ne vous soulevait pas la nuit, au-dessus de votre
essant à ma femme : « — Et moi aussi, Madame, et moi aussi ; après ma
mère
, mes frères, ma sœur, mes amis, ce que j’ai le pl
u’à ce qu’elle n’aime plus, Je te garde, et je dis ce que disent tes
mères
Aux ramiers pétulants des amours éphémères :
rdait ses yeux pleins de lumière, Plus on me demandait si l’âme de ma
mère
N’était pas dans cet oiseau blanc. Elle
-il ne rien aimer, ou n’aimer rien sans crainte ? Pas même sa
mère
ou sa sœur, Ni la fleur, ni l’oiseau, ni l’enfant
des frères qui lui prêtaient asile, le ramenèrent à la religion de sa
mère
. Il se plongea dans les Pères de l’Église, et dev
1816 ; j’étais très-pauvre à cette époque ; mon père habitait avec ma
mère
et cinq filles la petite terre paternelle de Mill
es lattes de pierre brute qui tapissent les vieux toits. Mon père, ma
mère
, mes sœurs ont laissé plus de traces dans mes yeu
de Virieu, c’était de tenir un peu trop aux grands noms, qu’aimait sa
mère
; et, quand il pouvait dire de ces personnages :
demeure d’une vieille race. Son père était sévère comme le temps ; sa
mère
, tendre comme la soumission ; ses sœurs, belles c
à cette époque de madame de Farcy, sa sœur, lui annonça la mort de sa
mère
. Elle mourut mécontente de son fils et dans l’aba
re était cruelle : « Mon ami, nous venons de perdre la meilleure des
mères
: je t’annonce à regret ce coup funeste… Quand tu
s combien de pleurs tes erreurs ont fait répandre à notre respectable
mère
, combien elles paraissent déplorables à tout ce q
r quelle bouche Dieu parlerait-il au fils si ce n’est par celle de sa
mère
morte ? Il revint à Dieu, et, malgré un scepticis
eurs, il y aura sept fois dix neiges, et trois neiges de plus, que ma
mère
me mit au monde sur les bords du Meschacebé. » I
piété tendre et une curiosité aimable. Elles me questionnaient sur ma
mère
, sur les premiers jours de ma vie ; elles voulaie
! » Mais Atala est secrètement chrétienne et vierge sur un vœu de sa
mère
. Elle s’empoisonne de peur de faillir. « Le cœur
e la simplesse. Mais à côté se trouve le touchant tableau de la jeune
mère
indienne ensevelissant et berçant son enfant mort
était, en dernier lieu, chancelier de Gaston, frère de Louis XIII. Sa
mère
, femme de beaucoup d’esprit, une précieuse en son
u visage, les goûts futiles de l’esprit et l’amour inné du miroir. La
mère
de l’abbé fit tout pour prolonger et pour cultive
de sa nature féminine et puérile ; il fut élevé dans la ruelle de sa
mère
. Si cette mère idolâtre s’occupait, par ses conve
éminine et puérile ; il fut élevé dans la ruelle de sa mère. Si cette
mère
idolâtre s’occupait, par ses conversations et par
elle lui apprenait encore mieux à idolâtrer sa petite personne : Ma
mère
, dit-il, avait tant de faiblesse pour moi, qu’ell
ra aimer de tout le monde. Tels étaient les préceptes de cette bonne
mère
, et desquels son fils nous assure ingénument avoi
e l’honneur du courtisan. Une autre recommandation de cette vertueuse
mère
, et qu’elle ramenait souvent, était de ne point s
de Choisy fut de tout temps fidèle à ces articles du catéchisme de sa
mère
, et on le vit jusqu’à la fin idolâtre du roi, cou
a disgrâce qu’on n’eût pu l’attendre d’une pareille discipline. Cette
mère
égarée tint près d’elle son fils presque toujours
en n’être pas joli comme ça ? » L’abbé de Choisy, jeune, auprès de sa
mère
, avait bien des fois été l’objet d’un pareil prop
i singulièrement son fils, aux illustres Cornélies de Rome. Cornélie,
mère
des Gracques, et la mère de l’abbé de Choisy ! he
, aux illustres Cornélies de Rome. Cornélie, mère des Gracques, et la
mère
de l’abbé de Choisy ! heureusement que, dans ce s
e, j’avais accepté le combat. Je me suis fait souvent raconter par ma
mère
cet incident qui me semblait prophétique, et expr
l’opinion que je devais avoir, plus tard, de l’existence. II Ma
mère
, qui était Milanaise, faisait alors partie de l’i
de cet engouement, qui ne se démentit jamais. Pour le père et pour la
mère
, leurs propres enfants reculèrent au second rang,
ais pour les autres, il devait être impitoyable. V Un matin, ma
mère
vint l’improviste. La clé était sur la porte ; el
d’une seule main. — Eh bien ! est-ce que vous êtes folle ? s’écria ma
mère
, d’une voix sonore et rude ; fi ! que c’est vilai
a dans ma mémoire. C’est aussi le plus ancien souvenir que j’ai de ma
mère
. VI Le père Damon, qui était menuisier, ava
é noire, que j’imagine, souligne d’un trait plus vif le souvenir : Ma
mère
nous montra un jour sur son balcon, deux belles f
lications, menaces ; rien ne put vaincre mon obstination. À la fin ma
mère
, exaspérée, s’écria : — Nourrice, emportez-la ou
mur principal, était suspendu le portrait, grandeur naturelle, de la
mère
défunte, si différente, physiquement, de tous ceu
n’ayant pas alors 18 ans, avait peintes à l’occasion de la fête de sa
mère
. Dès que l’on était levé et une fois la chambre f
s. Alors, elle se mettait à pousser des cris et fondait en larmes. Sa
mère
sortait, l’empoignait par un bras, et, avec une n
vu grandir. Il s’appelait, réellement, Adolphe Bazin. Tout enfant, sa
mère
habitant Passy, il avait voisiné avec la famille
s, aussi peu vraisemblables dans la famille italienne et pieuse de ma
mère
, que dans la famille Gautier, ardemment légitimis
On ne m’avait jamais parlé d’elle, pas plus qu’on ne me parlait de ma
mère
, et je ne savais pas que j’avais une sœur. Elle n
it des broderies, des jours, des rubans ; cela me parut très joli. Ma
mère
était là, en grande toilette, assise dans un faut
veiller le docteur Aussandon et le ramener en voiture ; tandis que ma
mère
, en grondant l’absurde bonne, nettoyait la blessu
mettre des dons… Si elle pouvait me donner de danser comme elle !… Ma
mère
gardait une foi superstitieuse en sa sœur, qui av
ne devait certainement pas plaire à mon père, mais il dut céder à ma
mère
, qui n’admettait pas que l’on pût faire de sérieu
de mon père, bourgeois sévères et conservateurs, et la famille de ma
mère
, composée surtout d’artistes dramatiques, à la gl
criai-je en courant vers elle. — Ma pauvre enfant, je ne suis pas ta
mère
, je n’ai aucune autorité sur toi ; on a décidé qu
sur le bord de la table, leur imposèrent silence. — Appelez-moi : ma
Mère
, et dites ce que vous avez pu retenir. Je récitai
qui pouvait si bien se faire obéir. Après m’avoir séparée de ma vraie
mère
, on me privait maintenant de la nature, qui seule
XXVI On me demandait au parloir. Cette fois c’était mon père et ma
mère
. Je me tins devant eux, muette et gauche sans eff
lle le deuil ?… s’écria-t-il en me voyant. — C’est l’uniforme, dit ma
mère
d’une voix boudeuse. — On est parvenu à la rendre
s leçons de musique, l’excellente nourriture, les soins attentifs… Ma
mère
souriait d’un air enchanté ; mais à la façon dont
e. À travers l’étoffe, j’y voyais un peu. Je guettais le visage de la
mère
, je voyais le coin de sa bouche remuer, pour un s
rnommée la Malibran noire. Elle embrassait, de ses grosses lèvres, ma
mère
, qui n’aimait pas du tout cela et prétendait qu’e
de Maupin n’était probablement pas en odeur de sainteté ; de plus, ma
mère
chantait au théâtre ; ma tante dansait ; Julia Gr
u ? On eût dit vraiment les hurlements d’un malheureux brûlé vif. Les
mères
, qui allaient aux renseignements, ne revenaient p
ière fois, et pour la dernière fois, ma chère Catherine… C’étaient ma
mère
et ma sœur qui venaient me chercher. Elles parais
la Montagne Sainte-Geneviève. — Comment, où nous allons ? s’écria ma
mère
de sa voix sonore et grave, nous allons chez nous
nir, toutes choses parfaitement inutiles, puisque je suis là. Mais ta
mère
ne voulait pas les contrarier, trouvait que cette
ne personne tout à fait édifiante, une vraie sainte, nous devions, ta
mère
et moi, renoncer à toi, nous engager à ne jamais
es, comme j’avais, d’ailleurs, envie de le faire depuis longtemps. Ta
mère
, par extraordinaire, m’a approuvé, et Monstre Ver
mais sans rien rapporter. — Eh bien, où est-il, ce pain ? demanda ma
mère
. — On l’apporte tout de suite. Nous finissions le
tra dans la salle à manger. — Qu’est-ce que c’est que ça ? s’écria ma
mère
. — C’est le pain, madame, répondit Marianne, où f
s. Là-dessus, il s’en alla, avec mon père, dans une autre pièce et ma
mère
nous emmena nous coucher, ma sœur et moi. On avai
r et moi. On avait dressé un petit lit pour moi dans la chambre de ma
mère
, où ma sœur avait le sien, que l’on plaçait, le s
première fois, j’eus, la nuit, une légère crise de somnambulisme. Ma
mère
, éveillée par le bruit, me vit me promenant dans
re, animée et irrégulière, si différente de celle que je quittais. Ma
mère
allait souvent aux répétitions du Théâtre-Italien
ait trois portes-fenêtres, ouvrant sur la terrasse ; la chambre de ma
mère
était à gauche, celle de mon père à droite ; mais
our lire, la soirée plus qu’il ne fallait. Ce jour-là, mon père et ma
mère
dînaient toujours chez une belle et joyeuse dame
pleine de riz au lait, que nous détestions ; je ne sais pourquoi, ma
mère
y tenait spécialement et ne s’en allait que quand
ût un peu en froid avec la tante Carlotta et la grand-maman Grisi, ma
mère
n’avait pas cessé de considérer la danse comme ce
ous enseignera la chorégraphie, selon les bons principes. C’est votre
mère
qui le veut, dans l’espoir que vous éclipserez un
Décidément, la danse nous passionnait, nous chassions de race, et ma
mère
parlait déjà de nous faire donner des leçons part
, immédiatement, pour la première séance. Quand le temps fut venu, ma
mère
décida qu’il fallait m’arranger une coiffure dign
is pas bouger de peur de déranger quelque chose à ce bel appareil. Ma
mère
et ma sœur m’accompagnaient, nous prenions un fia
al valait mieux encore que la peinture. Elle était accompagnée par sa
mère
, qui ressemblait à une gitane et avait un terribl
errible accent marseillais. Mon père reçut aimablement la fille et la
mère
et promit de dire quelques mots, dans son feuille
uoi ne joues-tu pas avec la poupée que je t’ai donnée ? me demande ma
mère
. — Parce qu’elle est morte. — Tu l’as cassée ? —
evait être dedans. — Ma boîte à ouvrage est devenue un sarcophage. Ma
mère
est près de se fâcher ; mais mon père, très intér
Une jeune Espagnole, finement jolie, accompagnée, elle aussi, d’une
mère
qui faisait penser à « la vieille Maugrabine » ;
grande volière, qu’une amie, s’expatriant, avait donnée à garder à ma
mère
et ne reprenait plus. Don Pierrot est le premier
chagrin causé par sa mort tragique ne s’effaçait pas ; mon père et ma
mère
en parlaient souvent entre eux, avec de vagues id
ire une course pour mon père ; coudre quelque chose de pressé pour ma
mère
. Mais je revenais sans cesse à la charge, et un j
je connaissais bien. Il était notre frère, sans être le fils de notre
mère
, ce qui nous parut singulier, sans nous préoccupe
ur. Et comme le cocher s’est arrêté, je veux absolument descendre. Ma
mère
comprend qu’il n’y aura pas moyen de me faire ent
le pavé de la rue des Jeûneurs. — Eh bien ! quel numéro ? demande ma
mère
. — Quel numéro ?… Je ne sais pas… Catherine ne me
ravailler chez elle, dans le petit logement où elle habitait, avec sa
mère
et une sœur plus âgée qu’elle. Cet intérieur étai
ure et pour parer sa beauté. Les autres ne comptaient pas. La vieille
mère
, qui en négligé tournait à la sorcière, nous ouvr
qu’on passerait l’été à Enghien. Ma sœur avait la gorge délicate, ma
mère
avait besoin de fortifier ses cordes vocales, l’e
la décision. Mon père devait rester, la plupart du temps, à Paris, ma
mère
avait besoin d’y venir toutes les semaines, qu’au
et de cette arrivée, si redoutée, en fut émoussé. Ce jour-là même, ma
mère
allait à Paris et nous raccompagnâmes à la gare.
e d’un devant de grange et l’enfant de quatre ans qui, pendant que la
mère
est absente, tient entre ses jambes son petit frè
de près de vingt ans, qui, sans être l’aînée de la maison, servait de
mère
depuis près de deux ans à ses frères et sœurs, et
te-dix ans, et elle plus de soixante, et qu’elle était la respectable
mère
de douze enfants. Goethe ne songea point à faire
; on n’a pas oublié son plus beau portrait de jeunesse, tracé par sa
mère
même : — Mère, vous ne m’avez pas encore vu pati
ublié son plus beau portrait de jeunesse, tracé par sa mère même : —
Mère
, vous ne m’avez pas encore vu patiner, et le temp
enez donc, et comme vous êtes, et tout de suite. — Je mets, disait la
mère
racontant cela depuis à Bettine, je mets une peli
en souriant très gracieusement. — Eh bien que veux-tu ? lui dis-je. —
Mère
, vous n’avez pas froid dans la voiture, donnez-mo
eue de la pelisse qu’il avait laissé tomber. On a le portrait par la
mère
; or, voici le glorieux pendant par Goethe lui-mê
il comparait ses rapides patins aux semelles d’or de Mercure, que sa
mère
aussi le comparait, lui, à un fils des dieux. Nou
le n’y sera de nouveau suspendue que quand j’apprendrai que Lotte est
mère
. Une nouvelle époque commencera alors, et je ne l
les prévenir et de les empêcher de se trop choquer. Lorsque Lotte est
mère
pour la première fois, mère d’un garçon dont il e
her de se trop choquer. Lorsque Lotte est mère pour la première fois,
mère
d’un garçon dont il est parrain, ou du moins dont
tiré l’usage principal qu’il en désirait, l’œuvre ! — Tantôt c’est sa
mère
, tantôt c’est sa sœur, qui écrivent pour lui et q
Vous êtes sans doute étonné du silence du docteur (Goethe), écrit sa
mère
à un frère de Charlotte (février 1776). Il n’est
mes pour moi, mais trop longs pour vous, je joins ici la Maison de ma
mère
86, où mon cœur a essayé de répandre cette passio
e espèce de cantique à la reine Marie-Amélie au nom des femmes et des
mères
: cette complainte touchante a été imprimée dans
t. Monsieur, je serre vos mains et je vous conjure pour cette auguste
mère
si bonne, que la grâce vienne d’en haut et qu’ell
der là-bas pour ce captif. On les ramena le soir tous les deux à leur
mère
inquiète, qui ne savait ce qu’ils étaient devenus
sommes ? » Le caractère d’Ondine était une des préoccupations de sa
mère
. Il y avait, entre elles deux, différence de natu
e avait un air de blâme tacite pour les soins et les effusions que sa
mère
se montrait prête à prodiguer journellement à qui
itait. Ondine suivait sa ligne de vie à part, en amitié, en étude. Sa
mère
l’appelait « notre charmante lettrée », indiquant
lle écrit à sa nièce, fille d’Eugénie, de se bien garder d’alarmer sa
mère
à l’instant suprême : « (5 septembre 1850)… J’at
e dirai l’impiété, que tous les cœurs froids commettent, d’avertir ta
mère
sur ses devoirs, ce qui serait la tuer. Elle a re
ter ou ralentir. Le mariage, une grossesse, l’opiniâtreté de la jeune
mère
à vouloir nourrir, tout cela devait vite devenir
sé aux champs, était déjà devenu un sujet d’alarme, et les yeux d’une
mère
, si crédule qu’elle fût à l’espérance, ne s’y tro
ls douloureux, t’avouer que je souffre toujours dans ce même amour de
mère
, te dire que vingt fois dans un jour une terreur
béir qu’à mon instinct d’aimer. — Si j’étais libre de suivre celui de
mère
, je changerais tout le régime adopté, et dès long
isons écroulées, d’autres incendiées et brûlant dans leurs murs ; les
mères
éplorées qui voulaient se sauver des flammes, leu
entrée dans la maison paternelle. Elle fut pour lui comme une seconde
mère
. Elle lui inspira sa générosité et sa mélancolie.
us que moi pour vous recevoir ! Pourquoi avons-nous perdu votre bonne
mère
? c’était à elle de vivre, et à moi de mourir ; e
a doucement auprès de son hôte, en lui disant: « C’est celui de votre
mère
. » Il le reconnut en effet, et cette vue le rempl
t la maxime du philosophe le Vicaire savoyard, de J. J. Rousseau. Les
mères
de famille chrétiennes le firent lire à leurs fil
chacune de nous aura deux enfants, et chacun de nos enfants aura deux
mères
. » Comme deux bourgeons qui, restés sur deux arbr
mamelle par les deux amies qui leur avaient donné le jour. Déjà leurs
mères
parlaient de leur mariage, sur leurs berceaux ; e
mable où ils n’étaient pas. Leur affection mutuelle et celle de leurs
mères
occupaient toute l’activité de leurs âmes. Jamais
aube qui annonce un plus beau jour. Déjà ils partageaient avec leurs
mères
tous les soins du ménage. Dès que le chant du coq
développait de jour en jour. Un dimanche, au lever de l’aurore, leurs
mères
étant allées à la première messe à l’église des P
e doutaient bien que leur longue absence de la maison jetterait leurs
mères
. Virginie revenait souvent sur cet objet. Cependa
laisse-moi ici ; et retourne seul à notre case pour tranquilliser nos
mères
. — Oh ! non, dit Paul, je ne te quitterai pas. Si
cause de toutes tes peines, et de celles qu’éprouvent maintenant nos
mères
. Il ne faut rien faire, pas même le bien, sans co
gue eut repris ses sens: « Ô mes jeunes maîtres, leur dit-il, que vos
mères
ont d’inquiétude ! Comme elles ont été étonnées,
ée d’eau, de vin, de jus de citron, de sucre et de muscade, que leurs
mères
avaient préparée pour les fortifier et les rafraî
soupira au souvenir de la pauvre esclave, et des inquiétudes de leurs
mères
. Elle répéta plusieurs fois: « Oh ! qu’il est dif
avec les noirs: « Oui, c’est nous » ; et bientôt ils aperçurent leurs
mères
et Marie qui venaient au-devant d’eux avec des ti
parler ; et Virginie, qui sentait son visage mouillé des larmes de sa
mère
, lui dit: « Vous me payez de tout le mal que j’ai
la forêt voisine des nids de toute sorte d’oiseaux. Les pères et les
mères
de ces oiseaux suivirent leurs petits, et vinrent
, en vous exerçant aux bienfaits ! Combien de fois, dans ce lieu, vos
mères
, vous serrant dans leurs bras, bénissaient le Cie
naissaient d’autres époques historiques que celles de la vie de leurs
mères
, d’autre chronologie que celle de leurs vergers,
vergers comme un bouton de rose. Si tu marches vers la maison de nos
mères
, la perdrix qui court vers ses petits a un corsag
ar quel charme tu as pu m’enchanter. Est-ce par ton esprit ? Mais nos
mères
en ont plus que nous deux. Est-ce par tes caresse
ces rochers, me donnent moins de joie que ta présence. J’aime bien ma
mère
, j’aime bien la tienne ; mais quand elles t’appel
ns lui, je serais morte d’effroi. Je prie Dieu tous les jours pour ma
mère
, pour la tienne, pour toi, pour nos pauvres servi
et la terre de l’île. Encore une lettre de Virginie qui annonce à sa
mère
que sa tante la déshérite et la renvoie pour n’av
s sens ; mais il ne pouvait proférer une parole. Son entrevue avec sa
mère
et madame de la Tour, que j’avais d’abord redouté
Un rayon de consolation parut sur le visage de ces deux malheureuses
mères
. Elles se mirent l’une et l’autre auprès de lui,
lets et des couronnes de fleurs, en l’invoquant comme une sainte. Les
mères
demandaient à Dieu une fille comme elle ; les gar
al, au pied d’une touffe de bambous, où, en venant à la messe avec sa
mère
et Marguerite, elle aimait à se reposer, assise à
s y ferai avoir du service. Dans votre absence, j’aurai soin de votre
mère
comme de la mienne. » Et, en même temps, il lui p
, il tressaillait et s’éloignait d’elle, malgré les invitations de sa
mère
, qui le rappelait auprès de son amie. Il allait s
squ’au sortir des plus affreux malheurs sous l’aile de son excellente
mère
, la jeune Clary, dans une profonde retraite de ca
époux du double de son âge un guide instruit, un ami sûr, et entre sa
mère
, sa sœur et lui, durant les premières années de s
es soins de son mari, et près du berceau de son fils ; car elle était
mère
à dix-sept ans. Ainsi tout concourait à accomplir
pression et le regret de son bonheur si complet d’alors, auprès d’une
mère
qu’elle ne devait pas longtemps posséder : « Il m
, même en n’ayant fait que le bien. A cet âge, elle est ordinairement
mère
; depuis longtemps l’expérience est devenue sa vé
mais la dignité majestueuse que lui donnent les titres d’épouse et de
mère
. A cette époque, il faut avoir le courage de déno
e, que l’effort qu’ils ont coûté en devient toujours la récompense. O
mères
! entourez-vous de bonne heure de vos enfants. Dè
u monde, osez vous dire que votre jeunesse va passer dans la leur ; ô
mères
! soyez mères, et vous serez sages et heureuses !
vous dire que votre jeunesse va passer dans la leur ; ô mères ! soyez
mères
, et vous serez sages et heureuses ! » Elle écriv
dans la lutte : elle y appliqua ses méditations et ses prévoyances de
mère
. Les résultats principaux de son expérience défin
qui entrait alors dans le monde, et qui correspondait de tout avec sa
mère
. Il lui donna même quelques nouveaux amis ; elle
s. Si le plus noble besoin d’un fils confiant et pieux est d’avoir sa
mère
pour première confidente et pour compagne, j’y vo
j’y vois aussi, et avant tout, un bien touchant rajeunissement de la
mère
. Si intelligente qu’elle soit, son meilleur lot e
illeur lot est encore de comprendre toutes les idées par le cœur. Des
mères
aux fils surtout, on l’a remarqué, l’affinité est
e s’y mêle, on le sent, et en est comme la muse secrète. Il faut être
mère
pour s’occuper aussi tendrement de ce qui sera ap
uelquefois d’être si heureuse fille, si heureuse femme et si heureuse
mère
? Je me souviendrai alors, avec amertume, que je
ulut expliquer aux républicains pourquoi il avait été royaliste. — Ma
mère
était une brigande de la Vendée ; à quinze ans el
ublique et de l’Empire, bivouaquait en Europe ; je vécus auprès de ma
mère
et subis ses opinions ; pour elle « la Révolution
e de Napoléon et de la Révolution, car « il était soumis en tout à sa
mère
et prêt à tout ce qu’elle voulait3 ». Le royalism
magination, Hugo, le converti de 1830, se figurait les opinions de sa
mère
, non telles qu’elles avaient été, mais telles que
dû ne savoir à quelle excuse se vouer, pour en arriver à prêter à sa
mère
défunte, des opinions en contradiction si flagran
mort. Lui, le fils pieux, il a dû souffrir d’être réduit à flétrir la
mère
si dévouée à ses enfants, qui les éleva et les so
invoquer des circonstances atténuantes. On utilisait, à l’époque, la
mère
de toutes les façons ; elle était déjà la grande
e était déjà la grande ficelle dramatique : c’était le souvenir de la
mère
qui au théâtre paralysait le bras de l’assassin p
alysait le bras de l’assassin prêt à frapper ; c’était la croix de la
mère
, qui exhibée au moment psychologique, prévenait l
enait le viol, l’inceste et sauvait l’héroïne ; c’était la mort de sa
mère
, qui du Chateaubriand sceptique et disciple de Je
en 1827 ». Il est regrettable que Victor Hugo, au lieu de prêter à sa
mère
ses opinions royalistes pour pallier son péché de
mentait de ce que lorsque : Le poète apparaît en ce monde ennuyé, Sa
mère
épouvantée et pleine de blasphèmes, Crispe ses po
eurent à l’hôpital, comme Gilbert, comme Malfilâtre, que les pères et
mères
ont dû finir par croire que poésie était synonyme
contre lequel il conspirait. Hugo devait donc épouser la haine de sa
mère
pour Napoléon, que partageaient son mari et ses a
ute influence, personne ne put lui imposer ses sentiments, ni père ni
mère
, ni oncle, ni amis : Napoléon et son extraordinai
15 presque toujours auprès de son père : il ne pouvait donc rendre sa
mère
responsable de l’ultra-royalisme qui se révéla su
. Les colons achetaient leurs négrillons des 2 et 4 cents francs : la
mère
patrie leur fournit les petits blancs gratis. Les
n excellent thème à déclamation verbeuse, à ajouter aux « croix de ma
mère
» — « la voix du sang » et autres trucs du romant
le pair de France de la monarchie orléaniste, qui faisait porter à sa
mère
le poids de son royalisme, eût pu expliquer son o
de naître de parents impies, et d’être élevé au milieu des impies. Sa
mère
ne lui permit pas de manger du Bon Dieu23, mais l
ert d’unique asile et de foyer : le père et le fils à la manœuvre, la
mère
et les filles aux plus humbles soins. Mais il fau
yez bien que je sais à peine l’orthographe de tout ce que mon cœur de
mère
vous écrit. » Il est touchant de rencontrer dans
vous réchaufferait jusque sur les glaces du pôle ; on l’adore, bonne
mère
ou marâtre ; on se ferait vingt fois tuer, dût-el
dans son tourbillon jusqu’aux Cosaques et aux Hurons ; chantez cette
mère
, vous sa fille adoptive106, qui la comprenez si b
rmes, votre pieuse lettre ; c’est le dernier adieu que votre illustre
mère
vous a chargé de me transmettre, vous, le légatai
ui m’a suivi à travers tous mes barreaux. Je l’aurais aimée comme une
mère
, et à vous en rendre jaloux, si mon âge ne m’avai
es ses lettres ont le même charme pour moi. Je crois que madame votre
mère
était poëte jusque dans le moindre signe, jusque
rès jeune personne, nommée Victorine Taillefer, à qui elle servait de
mère
. La pension de ces deux dames montait à dix-huit
me la toilette en est le fond. Elle était pieusement élevée là par sa
mère
, veuve d’un commissaire des guerres. Le père refu
ste au milieu du manoir paternel, au sein de la famille. Son père, sa
mère
, ses deux frères, ses deux sœurs, et une tante do
à Vautrin, qui le raille et qui tâche de le pervertir. Il écrit à sa
mère
et à ses sœurs pour leur demander une somme néces
emaine du mois de décembre, Rastignac reçut deux lettres, l’une de sa
mère
, l’autre de sa sœur aînée. Ces écritures si connu
Le père Goriot apprend que Rastignac, enrichi par la tendresse de sa
mère
, doit aller au bal chez Mme de Restaud, sa fille
u-né ? quelle disgrâce physique ou morale me valait la froideur de ma
mère
? étais-je donc l’enfant du devoir, celui dont la
sécutions qui m’affligeaient, pour se ménager les bonnes grâces d’une
mère
également redoutée par eux ? était-ce un effet de
pour un symptôme d’idiotie et justifia les sinistres pronostics de ma
mère
. La certitude de ces injustices excita prématurém
ants qu’une semblable éducation encourageait. Quoique délaissé par ma
mère
, j’étais parfois l’objet de ses scrupules, parfoi
ompagnement à mes idées. Le bruit cessa, la nuit vint. Par hasard, ma
mère
s’aperçut de mon absence. Pour éviter un reproche
une terrible Mlle Caroline, légitima les fausses appréhensions de ma
mère
en prétendant que j’avais la maison en horreur ;
— Je regardais une étoile. — Vous ne regardiez pas une étoile, dit ma
mère
qui nous écoutait du haut de son balcon ; connaît
ment horrible ! je fus persiflé sur mon amour pour les étoiles, et ma
mère
me défendit de rester au jardin le soir. Les défe
’il est bel homme ; il était le privilégié de mon père, l’amour de ma
mère
, l’espoir de ma famille, partant le roi de la mai
e valet de chambre, qui me vengea rudement, apprit cet événement à ma
mère
, elle s’écria : — Ce maudit enfant ne nous donner
amille avait de ma mauvaise nature. Dès que je sus écrire et lire, ma
mère
me fit exporter à Pont-Levoy, collège dirigé par
u milieu des acclamations et des fanfares, je n’eus ni mon père ni ma
mère
pour me fêter, alors que le parterre était rempli
més, mais ces lettres auraient-elles dû m’attirer les reproches de ma
mère
qui me réprimandait avec ironie sur mon style ? S
? Sans me décourager, je promettais de remplir les conditions que ma
mère
et mon père mettaient à leur arrivée, j’implorais
ournées étaient, suivant son expression, des oreilles d’esclave et de
mère
. Plus tard, quand j’habitai son cœur, elle me dis
omptement et réjouit la vue quand il dépasse la robe. Quoiqu’elle fût
mère
de deux enfants, je n’ai jamais rencontré dans so
on caractère était probe et religieux au fond, comme les leçons de sa
mère
et les souvenirs de sa sœur. On sentait en lui l’
e, que les blonds cheveux d’un enfant sont froissés par la main d’une
mère
, qui ne se lasse pas de passer et de repasser ses
spitalité antique, comme je me serais assis à la table de noyer de sa
mère
, dans son mas de Maillane. Le dîner fut sobre, l’
andre. Il retournait dans son village pour y recueillir, auprès de sa
mère
et à côté de ses troupeaux, ses dernières inspira
u trafiquant de paroles, et, de plus, le souvenir mordant de sa jeune
mère
, qui l’adorait et qui pleurait son absence, le ra
t l’âge ; le jeune homme se hâta de revenir à la maison pour aider sa
mère
et son frère à gouverner les étables, à faire les
sur les lèvres sans savoir si c’était un patois ; cette langue de sa
mère
était, à son gré, la plus délicieuse, car c’était
ar c’était celle où il avait été béni, bercé, aimé, caressé par cette
mère
. Il avait le loisir du poète dans les longues soi
on pendant ses études, et qui venaient quelquefois le visiter chez sa
mère
pendant la vendange des raisins ou des olives. De
Maillane ; nous savons que nous sommes les femmes de nos maris et les
mères
de nos fils, mais aussi les servantes de la maiso
es grands plats d’étain, polis chaque samedi par ses servantes. Cette
mère
vit encore ; elle n’a que quelques rares cheveux
u jour. « — Il me semble, dit-elle en se retirant à pas lents vers sa
mère
, que, pour l’enfant d’un vannier, il parle mervei
, que, pour l’enfant d’un vannier, il parle merveilleusement bien ! Ô
mère
! c’est un plaisir d’aller dormir l’hiver, mais à
i tout seul avec lui !… — « La jeune fille lui dit vivement : Mais la
mère
, où demeure-t-elle donc ? — Elle est morte !… Le
rester calme.” « “Peut-être, dit le vannier, est-ce la peur que votre
mère
ne vous gronde pour avoir mis trop de temps à la
de sevreur des veaux, ne les avait-il pas sevrés, et sur le dos de la
mère
irritée rompu des brassées de gourdins, jusqu’à c
s cesse on entendait quelque brebis bêlant… « D’autres chassaient les
mères
qui n’ont plus d’agneau vers le trayeur. Dans l’o
font passer avec des récits enchanteurs, de l’aïeul à l’enfant, de la
mère
à la fille, du fiancé à l’amante, toutes les bont
t, par une nuée de facteurs ruraux, à toutes les portes où il y a une
mère
de famille, un fils, un vieillard, un enfant capa
être inconnu à toi-même, rentre humble et oublié dans la maison de ta
mère
; attelle tes quatre taureaux blancs ou tes six m
eur et conservateur de l’espèce humaine, pour remplacer le père et la
mère
par une maternité métaphysique de l’État, qui n’a
des et les plus élégantes de la vie lettrée. On peut croire que cette
mère
donna, avec le sein, à son enfant, cette prédesti
emier chapitre de sa Vie, comment mon père supporta cette perte de ma
mère
; mais je sais qu’il ne s’en consola jamais : il
que plus tendres. Quand il me disait : — Jean-Jacques, parlons de ta
mère
; je lui disais : — Eh bien, mon père, nous allon
nom de la première dans la bouche et son image au fond du cœur. « Ma
mère
avait laissé des romans ; nous les lisions après
fait d’une veillée entre un vieillard, un enfant et le souvenir d’une
mère
morte, un drame muet qui remue le cœur dans des m
il, des étoiles ; il lui aurait fallu en même temps l’éducation d’une
mère
tendre et d’un père laborieux : tout cela lui man
ne mère tendre et d’un père laborieux : tout cela lui manqua. Plus de
mère
, et un père errant qui aimait, mais qui abandonna
abjections d’images, sentent les inélégances natales d’un enfant sans
mère
qui prend ses polissonneries pour des phénomènes,
dans le cœur de madame de Warens ; il ne retrouve plus en elle qu’une
mère
attachée à un autre aventurier, ruinée par les di
s de Thérèse, arrachés sans pitié aux bras, au sein, aux larmes de la
mère
, et, par un raffinement de prudence, le père enle
’humanité, des malédictions systématiques et fausses sur le crime des
mères
qui n’allaitent pas elles-mêmes leurs enfants ! p
mes du monde. Le lait de l’hôpital et le vagabondage de l’enfant sans
mère
et sans père lui paraissaient-ils donc plus sains
ès de tels rapts de ses enfants, ne devait-elle pas frémir de devenir
mère
! XVII Elle était aimante et fidèle cependa
issent abondamment du travail et secourent, à son insu, Thérèse et sa
mère
, pour aider le pauvre ménage sans blesser les sus
ostentatoire que réelle. Il avait renvoyé à Paris, assez durement, la
mère
octogénaire de Thérèse. L’aigreur de ses ressenti
ge, le fruit d’un grossier libertinage aux bras et aux sanglots de la
mère
, pour que ce commerce, au-dessous de celui des br
, victime de sa débauche comme maîtresse, victime de sa cruauté comme
mère
, l’illusion d’un amour exclusif, mais qui la rend
d’où ils redescendaient le soir au village pour donner leur lait aux
mères
. III Ce monde était bien petit, même pour
lles, ou qui fumaient le soir dans le bleu du firmament. Cependant ma
mère
, femme supérieure et sainte, épiait jour à jour m
hénomène, me vinrent d’où vient toute révélation aux enfants, de leur
mère
. La mienne avait la piété d’un ange dans le cœur
se confondent : on adore et on s’anéantit. V Je voyais donc ma
mère
, soit le dimanche après les cérémonies du matin,
blette, à côté de son lit, un volume de dévotion qui lui venait de sa
mère
. Sa physionomie, ordinairement si ouverte et si r
de mon âge, celui qu’on me nommait le bon Dieu s’entretenait avec les
mères
, et les mères s’entretenaient avec le bon Dieu. C
lui qu’on me nommait le bon Dieu s’entretenait avec les mères, et les
mères
s’entretenaient avec le bon Dieu. Ce fut mon prem
de baisers, sur le sein de leurs nourrices ou sur les genoux de leurs
mères
. Ces années furent plus amères pour moi peut-être
pour un autre ; plus le nid est doux sur l’arbre et sous l’aile de la
mère
, plus l’oiseau déteste les barreaux de la cage où
nde et peu coulante, dans un des tiroirs du secrétaire en noyer de ma
mère
: mes maîtres la lui avaient adressée pour la fai
e de l’aurore du printemps ; il souffle sur les collines, comme notre
mère
, quand nous étions petits et que nous rentrions t
lus en plus haut pour qu’on les ramène à leur montagne accoutumée. La
mère
de famille descend précipitamment l’escalier rabo
s davantage ; ces balbutiements d’enfant n’ont de charme que pour les
mères
. X Quoi qu’il en soit, cette première compo
e lus et relus vingt fois ma première composition ; je l’envoyai à ma
mère
par l’ordre de mes maîtres ; on la lut à la fin d
ique de la distribution des prix, au collège des Jésuites, devant les
mères
et devant les enfants qui l’applaudirent. Elle ne
Et je n’ouvris jamais dans un autre âge le tiroir du secrétaire de ma
mère
sans la relire tout entière avec une certaine sat
et les revendre au moindre caprice à l’encan, ainsi que le lit de ma
mère
, et jusqu’au chien qui me lèche les mains de piti
qui voulurent faire pour lui ce que Cléobis et Biton firent pour leur
mère
, — en s’attelant à sa renommée. L’un de ces amis
deur ! Mlle Eugénie de Guérin avait quatorze ans quand elle perdit sa
mère
, Gertrude de Fontenilles, d’une famille du Langue
térieure de l’enfant dut se rasseoir sous le coup de cette mort d’une
mère
, qui la faisait mère à son tour. Rien de développ
dut se rasseoir sous le coup de cette mort d’une mère, qui la faisait
mère
à son tour. Rien de développant et de perfectionn
éatures ailées, — le plus charmant symbole de nos âmes, — ce nid sans
mère
qui lui échéait lui fît oublier tous les autres n
e bonne heure, si même elle ne le fut pas toujours. Par le sang de sa
mère
, la religion coulait dans son cœur, comme la poés
l essuyait son front lassé et pouvait encore se sourire. Androgyne de
mère
et de sœur, Mlle Eugénie de Guérin, les années ve
nt reposer, ne voulut pas qu’elle fût jamais rien de plus qu’une sœur
mère
et une vierge mère ; mais n’est-ce pas là ce qu’i
ut pas qu’elle fût jamais rien de plus qu’une sœur mère et une vierge
mère
; mais n’est-ce pas là ce qu’il y a de plus beau
te, dont les frères nous ont appris les noms et chez qui l’Épouse, la
Mère
, la Femme enfin, rayonnant en sentiments divers,
la femme, n’avait pu effacer l’aristocratie puisée dans le sein de sa
mère
et les traditions du berceau. Voilà ce que nous a
, nous ne sommes pas digne de mêler nos larmes à celles de cette sœur
mère
, qui doit rester vierge jusque dans ses pleurs !
r venir s’informer de sa santé. Madame Gros lui parlant un jour de sa
mère
: « Oh ! j’ai deux mères, dit-il, celle qui m’a n
santé. Madame Gros lui parlant un jour de sa mère : « Oh ! j’ai deux
mères
, dit-il, celle qui m’a né et puis vous. » Les ba
arents, Michel renonce à l’ivrognerie pour construire une cabane à sa
mère
qui couchait sous une charrette. Aujourd’hui Mich
l, par un mot, par un regard, en de pauvres êtres qui n’ont pas eu de
mère
, qui n’ont jamais vu un œil bienveillant leur sou
de l’esclavage à laquelle ait été décerné le prix Montyon. Elle et sa
mère
servirent durant des années une vieille dame de l
té esclaves. Après la mort de leur bienfaitrice, Francilie nourrit sa
mère
de ses petits travaux de couture. Malgré sa pauvr
e adopta les orphelins ; de ses ressources précaires elle consola une
mère
que son mari avait délaissée. C’est toute la comm
s sous, ce fut pour les rapporter, tout heureuse et toute fière, à sa
mère
adoptive, afin qu’ils fussent employés à soulager
ppelait, depuis qu’elle savait que la vieille nourrice n’était pas sa
mère
… Pauvre fille ! À force de recherches, elle est p
i le consolent ; un vieux grand-père, dans la misère, est adopté ; la
mère
, devenue paralytique, une jeune sœur, victime d’u
Paris ? Qui nous dira la lutte de tant de vertus pauvres, de tant de
mères
admirables, de sœurs dévouées ? Avons-nous donc t
éphin Soulary, on vous répondra : « C’est l’auteur du sonnet des deux
mères
…, vous savez ? » Les mieux renseignés ajouteront
à l’église. L’un est morne : il conduit le cercueil d’un enfant ; Une
mère
le suit, presque folle, étouffant Dans sa poitrin
Au bras qui le défend Un nourrisson gazouille une note indécise ; Sa
mère
, lui tendant le doux sein qu’il épuise, L’embrass
tôt détourné ; Et, merveilleux retour qu’inspire la prière, La jeune
mère
pleure en regardant la bière, La femme qui pleura
qu’il épuise ! — Notez qu’il n’est pas ordinaire ni convenable qu’une
mère
donne à téter à son enfant dans une église : tout
on ne donne pas « l’absoute » aux enterrements des petits enfants La
mère
embrasse du regard son enfant tout entier : il es
nieuse et d’un effet sûr, et je ne me demande pas si le sourire de la
mère
qui enterre son enfant est aussi vraisemblable qu
tableau : « Bon ! les voilà trois sur l’escarpolette » : le père, la
mère
et l’enfant. 4e tableau : « Ils sont deux sur l’e
randes guerres de la république ; il ne sait pas ce qu’est devenue sa
mère
. Le régiment du 1er houzards est devenu sa famill
était un homme très intelligent et très corrompu, a été l’amant de sa
mère
, femme d’un autre émigré français, Mme d’Evré. Av
force nécessaire pour accomplir tous mes devoirs, et d’octroyer à ma
mère
une vie assez longue pour jouir de ma transformat
une nouvelle prière, pour demander à Dieu la vie et la force pour ma
mère
et pour moi ; faire, de tout ce que je gagnerai,
courante, une pour mes créanciers, une pour mes amis, et une pour ma
mère
; obéir aux principes de la plus stricte sobriété
laire fut un bon fils. J’entends par là que jamais il ne contrista sa
mère
autrement que par ses vices, dont je ne sais à qu
ue Baudelaire n’a pas été gâté par la vie. Il avait sept ans quand sa
mère
se remaria au colonel Aupick. A vingt ans, pour q
aventuré. Sans le dévouement d’une nièce chérie j’y serais seul ; ma
mère
, ma femme, mes deux enfants, m’attendent au bout
dieux, je ne m’en inquiète pas, je m’y fie comme l’enfant se fie à sa
mère
, et ma confiance même est ma preuve d’immortalité
ns votre éducation très distinguée. On n’en savait pas davantage. Une
mère
que je connus plus tard vous était le monde tout
e mère que je connus plus tard vous était le monde tout entier. Cette
mère
n’avait que vous pour passé, pour présent, pour a
la néglige, et sait surtout que le bonheur vient du dedans. Il a une
mère
tendre enfin. Que lui manque-t-il ? Et si l’on aj
lutôt qu’il n’avance, dénué qu’il est de ressources et de soutien. Sa
mère
pour lui s’épuise, et ne peut faire davantage. Lu
d’un époux De moi ne s’est plus souvenue, Et de ma folie inconnue Ma
mère
se plaint à genoux. Moi, malheureux, je rêve enc
Qui bégaye un refrain et sourit au carnage Dans les bras de sa
mère
en sang. Avant qu’à ses regards la patrie immolé
n accent jusqu’au sien, Après lui murmurait : « Oui, la France est ma
mère
, Et le poète est citoyen. » « Tout ce dis
spérance ! Le lendemain un autre avait reçu sa foi. Par le vœu de ta
mère
à l’autel emmenée, Fille tendre et pieuse, épouse
r aînée un frère cherche appui, Tel un fils orphelin appelle encor sa
mère
. Puis vient une série de pièces en vers où respi
un Ange a suspendue En palme à nos berceaux ; Qu’une
mère
a nourrie en nous d’un zèle immense ; Dont chaque
Car je ne croyais pas. Elle m’aimait pourtant… ; et ma
mère
aussi m’aime, Et ma mère à son tour mourra ; bien
royais pas. Elle m’aimait pourtant… ; et ma mère aussi m’aime, Et ma
mère
à son tour mourra ; bientôt moi-même
este de mon âme ; Alors je serai seul ; Seul, sans
mère
, sans sœur, sans frère et sans épouse ; Car qui v
r mourir. XI En voici une qui m’alla au cœur comme une voix de
mère
: Tacendo il nome di questa gentilissima Dante,
. Maîtresse d’elle-même aux instants les plus doux, En embrassant sa
mère
elle lui disait vous. Les galantes fadeurs, les p
parler de maux, de vie amère, Et donnait des conseils comme une jeune
mère
. Aujourd’hui la voilà mère, épouse, à son tour ;
e, Et donnait des conseils comme une jeune mère. Aujourd’hui la voilà
mère
, épouse, à son tour ; Mais c’est chez elle encor
lée. Qu’as-tu fait si longtemps ? tu n’as pas dans leurs nids Sous la
mère
enlevé les petits réunis ; ………………………………………………………
re petit appartement des environs du Luxembourg, vous enlever à votre
mère
et vous entraîner pour marcher, causer, rêver dan
re de la campagne aux environs du Luxembourg, dans le sein de la même
mère
. Bien qu’enthousiasmé un moment avec Hugo par la
is il garda des premiers temps de son enfance et des tendresses de sa
mère
un souvenir vif et profond, gravé plus avant en s
des vers composés par lui en recevant d’une cousine le portrait de sa
mère
(1790). En les lisant, on n’y retrouve pas seulem
édeur et de l’abri du nid domestique : En recevant le portrait de ma
mère
Oh ! que ces lèvres n’ont-elles un langage ! La v
nattendu ici, qui m’ordonnes d’honorer d’un vers aimant et simple une
mère
depuis si longtemps perdue, j’obéirai non seuleme
élyséenne : — songe d’un moment qui me fera croire que tu es elle. Ma
mère
, lorsque j’appris que tu étais morte, dis, est-ce
i nous nommons la vie est chose si peu digne d’être aimée, et toi, ma
mère
, tu m’es si aimable que ce serait te payer bien m
e contraindre ton esprit délivré à reprendre ses fers… La mort de sa
mère
livra le jeune enfant aux mains des étrangers ; s
n, plus âgée que Cowper de sept ans, et qui devint pour lui comme une
mère
, du fils dont je viens de parler et d’une fille :
idence de lui procurer un appui et une assistance de cette sorte, une
mère
enfin : « Qu’on est heureux, s’écriait-il, de pou
elle n’était pour lui que la plus tendre et la plus intelligente des
mères
. La maladie de Cowper continuait encore sous une
di, de 22 ans à 27. Il n’avait qu’une sœur qui se maria en Italie. Sa
mère
était une personne supérieure que Sismondi plus t
lant de l’esprit ; Mme de Staël l’emportait par ces côtés : « Mais ma
mère
, dira-t-il dans la conviction et l’orgueil de sa
r une pureté d’âme qui a un charme infini dans un âge avancé. » Cette
mère
, femme d’un haut mérite et d’un grand sens, domin
vait pas songé, par son roman de Delphine ; qu’il le ferait lire à sa
mère
, et que le livre plaiderait en sa faveur. Mais il
iser. On voit, par son Journal intime et par les lettres écrites à sa
mère
, qu’il ne s’accoutuma point pourtant de prime abo
e ne pas être assez compté dans le tous-les-jours et assez écouté. Sa
mère
, qui connaissait sa sensibilité extrême, le tenai
où il allait être tout à fait de sa suite et de sa cour, sa prudente
mère
lui écrivait encore : « Ah çà ! tu vas donc voya
scia, de cette métairie charmante ou il aimait à se retrouver avec sa
mère
, les deux premiers volumes de son Histoire des Ré
ar ses frasques ; à qui ridée prend subitement un jour de demander la
mère
de son ami en mariage ; Bonstetten qui a au moins
urs) que tous les hommes distingués qu’il avait connus avaient eu des
mères
de mérite et d’esprit. » C’est De Candolle qui di
gure qui, jusqu’ici, n’avait pas été montrée au théâtre : celle de la
mère
corrompant naïvement son fils et jouant auprès de
uada fames, dont parle Virgile. Il y a, en Chine, un proverbe que les
mères
apprennent à leurs fils dès le berceau, et qui es
re accepter du public cette figure d’une si ingrate ressemblance ! La
mère
, au théâtre, — et c’est une justice, — n’apparaît
ns l’âme, tous les orgueils et toutes les ardeurs de son âge. Mais la
mère
s’efforce d’éteindre ses nobles instincts, comme
e, se remet à jeter la gourme et le feu ; mais la triste raison de sa
mère
le ramène bientôt dans l’étroite ornière. Ainsi M
jamais il n’exposera sa cousine et sa sœur à ce contact équivoque. La
mère
insiste, et il cède, en rongeant son frein. Il y
administre un chemin de fer dont Philippe sollicite la clientèle. La
mère
intervient tremblante, éperdue ; elle supplie son
ousine ; l’avoué refuse de prendre au sérieux cet enfantillage, et la
mère
, prévenue par lui, vient livrer à la conscience é
ssi sensibles que les mystères du corps ; elle révèle, — et c’est une
mère
qui parle à son fils ! — des secrets qui devaient
rir Les grandeurs que la vie à l’homme peut offrir. Par exemple, une
mère
est chez eux une femme Dont la maternité ne fait
décoration : sur une autre partie du théâtre se voyait Jésus avec sa
mère
, et l’ange Gabriel présent. Il fallait qu’il y eû
cline et se soumet : Fils, votre vouloir est le mien. Jésus quitte sa
mère
une première fois. Toute scène de Jésus-Christ av
quitte sa mère une première fois. Toute scène de Jésus-Christ avec sa
mère
avait quelque chose de touchant dans ces vieux my
s de crimes, meurtres, trahisons, qui tuerait son père, épouserait sa
mère
et finirait par livrer le Sauveur. À la suite de
s scènes qui suivent, — une scène de reconnaissance entre Judas et sa
mère
, devenue sa femme, quand elle découvre avec horre
s spectateurs du xve siècle, une telle scène de Judas reconnu par sa
mère
, succédant à ces autres scènes où on l’avait vu m
entanée, produite sur les gens d’alors par ce colloque émouvant de la
mère
et du fils. Certes, le moment où Cyborée, après u
ce, qui a mérité, si l’on peut dire, de tuer son père et d’épouser sa
mère
, c’est louer à côté et méconnaître la source la p
s une belle scène, — très-belle par le sentiment, — entre Jésus et sa
mère
. Je les dois à nos lecteurs, avec un mot sur la J
re que, cette fois, c’est en obéissant trop docilement à son illustre
mère
qu’elle manque à faire son métier de reine : « A
e des dépêches : « Versailles, le 5 mai 1778. « Madame ma très chère
mère
, j’avais été véritablement outrée de cette dépèch
on manqua : Joseph II fut très irrité quand il sut la tentative de sa
mère
. Il devait sentir toutefois, malgré ses ardeurs d
n que ne l’était son soi-disant père (Pierre III), et que ne l’est sa
mère
qui en est un peu revenue, mais jamais assez pour
l’âge est venu, et il a opéré un changement dans ce cœur altier : la
mère
en alarmes l’a emporté sur la souveraine ; elle a
é de vous informer de ma cruelle situation, comme souveraine et comme
mère
. Voulant sauver mes États de la plus cruelle déva
dois, coûte que coûte, chercher à me tirer de cette guerre, et, comme
mère
, j’ai trois fils qui ne courent pas seulement les
valoir, dès le début, les vœux et les sollicitations politiques de sa
mère
, c’est pour le coup qu’elle se fût vraiment compr
amille attendrissaient et amollissaient sa politique. Elle se sentait
mère
de huit enfants, et le dernier, Maximilien, faibl
e diamant des foules impures. Providence de Jupiter, ouvrière divine,
mère
de toute industrie, protectrice du travail, ô Erg
pendant deux mois, on crut que je ne vivrais pas Gode vint dire à ma
mère
qu’elle avait un moyen sûr pour savoir mon sort.
ists en croix et à tirer les flèches du corps des saint Sébastien. Ma
mère
, qui par un côté était Gasconne (mon grand-père d
ence du reste à me dégoûter. Le soir du 19 mars 1815, il vint voir ma
mère
: « Demain matin, dit-il, lève-toi de bonne heure
positif et de la saine économie. « Maman, demandai-je un jour à ma
mère
, dans les dernières années de sa vie, est-ce que
effet, ma sœur l’aimait extrêmement et la prit pour exemple ; mais ma
mère
, rieuse et pleine d’esprit, différait beaucoup d’
is ma mère, rieuse et pleine d’esprit, différait beaucoup d’elle ; la
mère
et la fille faisaient en tout le contraste le plu
de vrais amis !… C’est, en effet, Mme Taupin qui fut guillotinée. Ma
mère
ne me racontait jamais cette scène sans la plus v
de sa vie fut nommé curé d’une paroisse près de Lannion. Elle prit ma
mère
, alors enfant, par la main, et elles firent ensem
d’eau. Ma grand’mère pensa défaillir ; elle revint à Lannion avec ma
mère
, fondant en larmes, soit qu’elle se reprochât une
on cœur de femme, soit qu’elle fût révoltée contre tant d’orgueil. Ma
mère
ne sut jamais si, dans le sentiment qui lui resta
turel qu’on ait combattu côte à côte sans se connaître ni s’aimer. Ma
mère
, gaie, ouverte, curieuse, aimait plutôt la Révolu
ive impression, elle ne récitait jamais le beau vers prononcé par les
mères
: De nos yeux maternels ne craignez point les la
l’inconnu ; mais le ruban tricolore troublait une telle hypothèse. Ma
mère
ne croyait nullement que ce fût là l’explication
, son image s’est souvent représentée à moi. Je demandai un jour à ma
mère
ce qu’elle. était devenue. -elle est morte, me
t Z… me devenait de plus en plus énigmatique. Quand je demandais à ma
mère
de me donner l’explication de cette singularité,
etour du désert et de sa tentation triomphante, quitter de nouveau sa
mère
, Marie triste et résignée, on le suivait le long
espoir quand il voit que le vin manque ; Jésus averti tout bas par sa
mère
et réparant le mal sans bruit ; l’étonnement du m
era Jésus comme pas une ; elle sera la sainte amante. II. Jésus et sa
mère
Maintenant je n’ai plus à citer de ce vieux Mystè
au nom des Écritures et des Prophéties, de permettre au moins que sa
mère
meure la première et n’ait point à voir de ses ye
lle-même : quand le fils souffre d’une telle mort, il convient qu’une
mère
douce et tendre le ressente ; il est juste que le
supplications qui puissent, à pareille heure, sortir des lèvres d’une
mère
: Notre-Dame Au moins veuillez, de votre grâce,
s d’enfoncer coup sur coup, de retourner le glaive dans le cœur de sa
mère
: les agonies ont commencé. Si la première partie
Euripide, où l’on voit Diane, la chaste vierge, mais qui n’a pas été
mère
, ne pouvoir veiller et assister jusqu’à la fin, j
a condition, ni la famille où il surgit à l’existence ; esclave de la
mère
qui l’accueille ou le repousse de son sein ; escl
la peine, du plaisir, ou des besoins physiques dans le père, dans la
mère
, dans l’enfant, blasphème qui donne pour toute mo
du fruit détaché ! Ainsi la consanguinité du fils avec le père et la
mère
, consanguinité aussi mystérieuse dans l’âme que d
ainsi la loi de mutualité, qui commande à l’homme mûr de rendre à sa
mère
et à son père les trésors de cœur qu’il en a reçu
la vie future, où la grande parenté humaine confondra les pères, les
mères
, les enfants dans la famille retrouvée et dans l’
de l’enfant nouveau-né, qui condamne le nouveau-né à la société de la
mère
, ou à la mort, si la mère lui refuse la mamelle,
i condamne le nouveau-né à la société de la mère, ou à la mort, si la
mère
lui refuse la mamelle, si le père lui refuse la p
rriture pour subsister ; et, quand la mamelle tarit pour l’enfant, la
mère
, elle-même, que deviendrait-elle avec son enfant
de vertu désintéressée à ces deux mêmes êtres dépendants de lui ? La
mère
et le père vieillis et infirmes par l’usure du te
société de la famille ? Voilà donc dans cette trinité du père, de la
mère
, de l’enfant, nécessaires les uns aux autres sous
s lui, il cesse d’exister. Embryon, il s’approprie dans le sein de sa
mère
la vie occulte et germinante dont il forme ses or
elle de la famille ; le père mort, que devient l’épouse, la veuve, la
mère
? Que deviennent les fils et les filles ? Que dev
ire en action qu’on appelle tendresse des fils pour leur père et leur
mère
; tout cela (et c’est tout l’homme, toute la soci
cialisme, il ne resterait aux veuves, aux orphelins, aux pères et aux
mères
survivants qu’à adopter le suicide en masse après
s moraux que toi devant le même père, qui est Dieu, et devant la même
mère
, qui est la société génératrice et conservatrice
ps et son premier amour : Le sourire la suit et voltige alentour ; La
mère
en est heureuse, et dans sa chaste joie Seule en
tendait la main en façon de conquête), Pour dix francs tout cela ! la
mère
me les vend. — Quoi ? dis-je en portugais, la pit
uoi ? dis-je en portugais, la pitié m’émouvant, Quoi ? dis-je à cette
mère
empressée à conclure, Vous venez vendre ainsi la
ourit d’un air fin, Croyant avoir surpris quelque profond dessein. La
mère
fut exacte à la chose entendue : Elle amenait l’e
rléans. Les enchères de ce bazar de chair humaine l’ont séparée de sa
mère
, qui lui a fait jurer haine aux blancs, et jamais
e de le persifler, avec mauvais goût sur l’ancienne domesticité de sa
mère
. Gérard se contient et se retire ; les deux époux
revient demander raison au duc de ses impertinences à l’endroit de sa
mère
, et M. Mauriceau déclare qu’il sera son témoin, d
arque, pour cause d’algarades trop fréquentes, avait, elle-même, pour
mère
une marchande à la toilette qui l’a livrée à ce r
toute sa famille, malgré les protestations et les malédictions de sa
mère
, qui le châtia de ce mariage détesté en le déshér
uer savamment tout cela, d’en prendre l’écume et de la rejeter sur sa
mère
. Elle-même reste éclaboussée de cette lessive de
x précoce qui salue de la tête et les talons joints les invités de sa
mère
? Les baisers de la mère distraite, ses froides g
tête et les talons joints les invités de sa mère ? Les baisers de la
mère
distraite, ses froides gâteries ne l’indiquent pa
nte : aussi bien Lionnette va être sauvée. Son fils survient, voit sa
mère
qui se prépare à sortir. — « Emmène-moi… — C’est
enfant s’attache à sa robe, comme s’il pressentait qu’il va perdre sa
mère
s’il la laisse aller. Nourvady l’écarte d’un gest
ait de ses mains crispées. Tout est changé en elle, ses entrailles de
mère
ont remué, son cœur s’est réveillé en sursaut. El
n dans les vieux souliers, les souliers trop larges de leurs pères et
mères
. Il y a eu des jours dans sa vie, où il est resté
ur était une femme qui fait tirer des loto dans les gargots, et où la
mère
de la mariée a fait apporter, pendant la promenad
x pour les heureux de ce monde. Il ne dit pas comme au théâtre : « Ma
mère
! ma mère ! » blague même outrageusement le senti
heureux de ce monde. Il ne dit pas comme au théâtre : « Ma mère ! ma
mère
! » blague même outrageusement le sentiment filia
ême outrageusement le sentiment filial, et cependant il a envoyé à sa
mère
la moitié du peu qu’il a gagné cette année ; et à
aiseur. Il nous parle de sa personne, de ses cheveux déjà gris, de sa
mère
, de sa sœur, de sa famille, de son château de Sav
moment où il est délié de la vie, un père pour avertir son fils, une
mère
, une mère !… Ah ! mon cher, DIIS IGNOTIS, c’était
il est délié de la vie, un père pour avertir son fils, une mère, une
mère
!… Ah ! mon cher, DIIS IGNOTIS, c’était un bel au
revenant, je rencontre, à la gare, Flaubert faisant la conduite à sa
mère
et à sa nièce qui vont passer l’hiver à Paris. So
, le soir, le mari et la femme, et même le petit enfant au sein de sa
mère
, nous apportent le dessin sur lequel nous ne comp
e de bois qu’il a dans l’embarras, l’émotion, l’ennui. C’est plein de
mères
d’actrices, de vaudevillistes, de critiques, d’ho
Un tableau de famille, plusieurs portraits. À droite, le père et la
mère
à un balcon, au-dessous de ce balcon, leurs petit
balcon, leurs petits enfants déguisés en marmottes et en marmots. La
mère
leur jette de l’argent sans les regarder ; elle t
ieux. Mauvais tableau, c’est Voiriot toujours Voiriot ; autres pères,
mères
et maître à châtier dans l’autre monde. Est-ce qu
ras, à l’heure où l’on fait sauter les crêpes, d’un père bossu, d’une
mère
boiteuse, naquit un enfant, un petit drôle, et ce
y aller et s’instruire ; cette idée confuse lui faisait mal quand Sa
mère
qui filait, le regardant d’un air de tristesse, p
it rempli sa petite bourse en portant des paquets, il la donnait à sa
mère
, et qu’il voyait celle-ci la prendre avec soupir
toujours le morceau le plus tendre. Enfin, grande joie un jour ! la
mère
accourt comme une folle et crie : « A l’école ! à
n, la consternation est générale : « Nous n’en aurons plus ! » dit la
mère
en soupirant. — « Nous n’aurons plus… de quoi ? »
xiété. Plus de miche (de pain blanc), cette ration quotidienne que la
mère
allait chercher au séminaire. Pourtant une idée v
ère allait chercher au séminaire. Pourtant une idée vient à la pauvre
mère
, et, sortant, elle leur dit d’attendre un moment
e à s’assurer de ce qu’il soupçonne à travers le triste sourire de sa
mère
. Au moment où elle prend un couteau pour trancher
s même de ces petits cris que les enfants poussent en songe vers leur
mère
; mais tout mon beau corps resta figé, pareil à u
e patriarche. À la mort de son père, le jeune poète s’écria devant sa
mère
éplorée : « Que ne puis-je finir ma vie dans l’in
vie dans l’innocence et dans la piété où il a passé la sienne ! » La
mère
du poète, naïve et rêveuse comme les filles de l’
iller, attribuait comme nous à l’influence tendre et rêveuse de cette
mère
le germe de la sensibilité poétique dans le génie
re le germe de la sensibilité poétique dans le génie de Schiller. Les
mères
sont la prédestination des fils ; elle nourrissai
é, parce que sa foi venait des hommes, mais que sa piété venait de sa
mère
. III La description vivante que Schwab et M
e réfugie sous un nom supposé dans un château désert appartenant à la
mère
d’un de ses amis. Il y devient platoniquement amo
rivait-il, repose maintenant dans le berceau ! » L’union de la jeune
mère
de ce fils avec le grand homme n’était pas encore
Je ne dois pas, dit-il, laisser après moi une femme tendre et fidèle,
mère
de mon fils, sans nom et sans asile. Elle aura du
sont encore cachées pour lui dans les voiles du temps ; l’amour de sa
mère
veille avec de tendres soins sur son matin doré ;
sa maison s’agrandit, et, dans cette maison, règne la femme sage, la
mère
des enfants. Elle gouverne avec prudence le cercl
les poutres tombent, les fenêtres éclatent, les enfants pleurent, les
mères
courent égarées, et les animaux mugissent sous le
nduit à son dernier asile. Hélas ! c’est une épouse chérie, c’est une
mère
fidèle que le démon des ténèbres arrache aux bras
isés, car elle habite désormais la terre des ombres, celle qui fut la
mère
de famille. C’en est fait de sa direction assidue
i l’on doit juger des charmes de physionomie, d’âme et d’esprit de la
mère
, par la figure de la fille, Bettina fut bien dign
alme ! du calme ! C’est ce qui vous convient a tous deux.” Oui, chère
mère
, ce fut comme si la paix descendait sur moi ! N’a
ce que j’avais uniquement désiré depuis plusieurs années ? Ô vous, sa
mère
, je vous remercierai éternellement d’avoir mis au
e même nid ; puis des pinsons et des chardonnerets ; les pères et les
mères
volaient sur ma tête, cherchant à donner la becqu
es valets une jeune fille qu’il aime. La jeune fille déshonorée et sa
mère
vont se jeter aux genoux du vieil empereur en cri
sage : « … Par telles et semblables cogitacions, la pucelle suyvra sa
mère
, les yeulx baissez, non la teste eslevée, ou avec
logie de catéchisme. Il commence par un bon conseil : il veut que les
mères
nourrissent elles-mêmes leurs enfants, car « non-
eurs enfants, car « non-seulement les petits succent le laict de leur
mère
, mais aussi leur amour, mœurs et complexions ». E
La petite fille, une fois sevrée, ne devra jouer qu’en présence de sa
mère
ou d’une autre femme âgée, et jamais avec des gar
uguste fit apprendre la couture à ses filles et à ses nièces ; car la
mère
du prophète Samuel lui fit un surplis de ses main
et les récits d’actions vertueuses incitent à la vertu. Car Cornélie,
mère
des « Graconiens » (sic) fut si savante qu’elle f
cellence du trésor en question. C’est d’abord que Dieu « voulut avoir
mère
vierge, disciple vierge, l’Église vierge ». C’est
principe directeur, toujours agissant dans l’esprit de éducatrice, —
mère
ou gouvernante —, et par lequel seront déterminée
lphe, produisent des Agnès et pire que des Agnès ; mais, si c’est une
mère
tendre qui les met en pratique, ce qui sortira de
l’a en garde… Successivement elle aura fin de son amour à ses père et
mère
qui font engendrée, et par grant labeur et sollic
parents. « … Pour ce est décent à la pucelle se taire, quand père et
mère
tiennent propos de son mariage, ausquelz elle en
, qu’elle doit réputer le plus vénuste et le plus beau, comme fait la
mère
son fils unique. » Voici, à ce propos, une histoi
ntendre, dit-il, la raison de ce désir de porter enfans. Veux-tu être
mère
pour remplir le monde, comme si sans toi il dût f
int leur laisser voir qu’on les aime. Et il cite en exemple sa propre
mère
: « Jamais, dit-il, mère n’aima son fils mieux qu
on les aime. Et il cite en exemple sa propre mère : « Jamais, dit-il,
mère
n’aima son fils mieux que la mienne ; mais c’étai
n de ses camarades de Paris, lequel « se réjouissoit de la mort de sa
mère
», parce que, disait-il, si elle avait vécu, il n
s’esbattent familièrement avec les enfans, comme voudraient bien les
mères
; cela seroit sot et indécent aux hommes ; plus c
quasi respectueux. Ce n’est point, nous l’avons vu, quand elles sont
mères
; c’est quand elles sont vieilles, très vieilles,
père, et dans la façon dont ce fils abandonné retrouve son père et sa
mère
; bref, que l’intérêt est ici purement romanesque
ais-je en vous les sentiments que je fis naître dans le cœur de votre
mère
? » Mais cela n’empêche point M. Reinach d’ajoute
losophe marié, et le Préjugé à la mode, et Mélanie, et Eugénie, et la
Mère
coupable, et la Brouette du vinaigrier, et nous n
l sied aujourd’hui, dans sa nigauderie. On cite ses mots. Un jour, sa
mère
, une antique farceuse, lui ayant confessé qu’il n
u vieux d’Arnay-Lahutte, mais d’un certain comte Briquet : « Ah ! ma
mère
, a répliqué le fils, que me dites-vous ? Moi qui
homard des Batignolles, dont une bonne fille garde les pattes pour sa
mère
. On put croire d’abord que le jeune poète parnass
rnabo Spinola, tyran de sa ville. Tout à coup il apprend de sa propre
mère
qu’il est le fils de Spinola : la pauvre femme n’
Severo hésite à tuer son père. Pourtant, il va s’y décider, quand sa
mère
le sort d’embarras en frappant elle-même le tyran
la ? Car enfin, puisque son mari ne s’étonna point de la voir devenir
mère
, c’est donc qu’il avait des raisons de ne s’en po
nt ; on jugerait excessive la facilité avec laquelle il pardonne à sa
mère
, à sa « sainte mère », un acte excusable, sans do
essive la facilité avec laquelle il pardonne à sa mère, à sa « sainte
mère
», un acte excusable, sans doute, mais tout de mê
e. Or c’est à quoi il n’a pas l’air de songer un instant. Il dit à sa
mère
, sans l’ombre d’hésitation ni de combat intérieur
sans l’ombre d’hésitation ni de combat intérieur : … Je vous plains,
mère
, et je vous pardonne, Et, un peu plus loin : Au
e vous pardonne, Et, un peu plus loin : Autant que je te plains, ma
mère
, je t’adore ! Et, d’un autre côté, il répète vin
ne « vision » dont il est affreusement hanté. Mais à cette vision, sa
mère
est forcément mêlée ; il est impossible qu’il ne
ment. La seconde découverte (celle de votre mariage avec Madame votre
mère
) vous troublerait probablement un peu plus. Mais
ran pour affranchir votre patrie, vous appreniez tout à coup de votre
mère
que ce tyran est votre père, qu’éprouveriez-vous
très populaire, Et, m’arrêtant parfois, quand je passe en rêvant, Une
mère
me fait embrasser son enfant. Tous me tendent la
t, j’admets toute cette psychologie tragique du jeune Severo et de sa
mère
, ancienne paysanne, restée primitive, et de son c
est qu’il n’est point Hamlet ; c’est que sa situation à l’égard de sa
mère
est moins complexe que celle du prince de Danemar
t ans. Il tient l’Aragon pour son compte, et la Castille au nom de sa
mère
, qui est toujours enfermée et passe toujours pour
point folle : il a le courage de l’affirmer au roi Carlos. Mais si sa
mère
n’est point folle, il faut donc que Carlos lui re
ui est belle, en dépit de cet excessif martèlement : Je devrais à ma
mère
immoler mon génie ; En aurais-je la force ?… Ô ju
oix ! Ici le parricide, et là… Quel sacrifice !… Entre un monde et ma
mère
, il faut que je choisisse ! L’épreuve est surhuma
poir Qui, malgré moi, surgit au fond de ma pensée… Je voudrais que ma
mère
, hélas ! fût insensée. Ici, Fray Marcos, qui n’é
il a dit ces seuls mots : L’inapaisable angoisse et les pleurs de sa
mère
, Sire, ont-ils détourné le Sauveur du Calvaire ?
d le souhait sacrilège qui le termine : « N’allez donc pas voir votre
mère
, dit-il à Carlos. — Mais pourquoi ? — La reine n’
les-Quint a résolu, enfin, la question qui le tracassait. Il verra sa
mère
. Si elle consent à renoncer à ses droits, il la d
droits, il la délivrera ; car il est bon fils et il veut bien que sa
mère
ait sa raison, — pourvu qu’elle entende raison. M
e qu’on veut. Ces assurances prises, l’empereur se présente devant sa
mère
. Celle-ci, un peu naïve, ne s’étonne point que ce
t que l’utilité publique conspire avec son égoïsme. Quand il somme sa
mère
de choisir entre son droit royal et sa liberté, i
is qu’il le rappelât, qu’il plaidât mieux sa cause, qu’il suppliât sa
mère
, au nom de l’Espagne, qu’il en appelât, — vaineme
nde pleure ? Heureux supplicié, qui n’a souffert qu’une heure ! Et sa
mère
?… Mater dolorosa !… Non, non ; La mère de Carlos
je meurs ta sujette. L’empereur recule devant le sacrifice ; mais sa
mère
lève la main pour le maudire. Alors, éperdu (il n
ormé une seule action continue, tout l’essentiel de la lutte entre la
mère
et le fils, le premier acte et le dernier n’étant
Bourbon, et la trahison de celui-ci, et la machination ourdie par la
mère
du roi contre sa maîtresse, et Bayard, et Léonard
rère de Françoise, le gouvernement de Milan. Or, Louise de Savoie, la
mère
du roi, voyant que cette douce Françoise lui pren
uite, entre le déshonneur de Semblançay et le déshonneur de sa propre
mère
. Il ne vous échappera pas à quel point la situati
protestent de l’innocence de Semblançay. « Mais alors, dit le roi, ma
mère
est donc coupable ? » Tous se taisent. Et, devina
e Louise, et, les congédiant : Dieu vous garde, Messieurs ! c’est la
mère
du roi ! Cependant, la disgrâce de Lautrec a ent
a vie. Alors le roi : Mais, vous rendre l’honneur, c’est l’ôter à ma
mère
! Semblançay. Laissez-moi donc mourir ! Le Roi.
, François a la preuve irréfutable de son innocence et du crime de sa
mère
: l’homme qui avait volé le papier s’est suicidé,
nce d’homme à l’intérêt public et à son devoir de roi, il proclame sa
mère
régente ; et, en route pour Pavie ! Voilà le dram
Peut-être aurais-je voulu que le roi fût déjà certain du crime de sa
mère
à l’instant où il condamne Semblançay, ou, du moi
uelque héroïsme dans le sacrifice horrible que le jeune roi fait à sa
mère
, il est du moins responsable de l’état de choses
où elles viennent ; elles ont à peine un nom ; c’est le vieillard, la
mère
, le mari, l’amoureuse, l’amoureux. Elles n’appart
n coup, il se met à pleurer : « Qu’y a-t-il ? dit Mélisande. — Petite
mère
… petite mère… vous allez partir. » Partir… mourir
met à pleurer : « Qu’y a-t-il ? dit Mélisande. — Petite mère… petite
mère
… vous allez partir. » Partir… mourir… huitième sy
indre. Il interroge l’enfant sur ce que font son oncle et sa « petite
mère
» quand ils sont ensemble… « Tu es toujours près
s pas là. — Ils ont peur ?… A quoi vois-tu qu’ils ont peur ? — Petite
mère
qui dit toujours : Ne t’en va pas, ne t’en va pas
t de soirée se précipite, l’air égaré. Il nous raconte qu’il a tué sa
mère
, ou il promet à sa maîtresse d’assassiner un homm
nt de l’histoire d’Edmond Desclos. Edmond est un jeune bourgeois ; sa
mère
est une bourgeoise bourgeoisante ; son père est u
e Marguerite, la vocation d’Edmond persiste. Un jour, il annonce à sa
mère
, avec précaution, qu’il est engagé au théâtre des
es Folies-Parisiennes : « J’ai signé sans vous le dire… parce que… Sa
mère
recula d’un pas, en joignant les mains : — Tu es
dans un théâtre ? Tu plaisantes, n’est-ce pas, malheureux ? Ecoute,
mère
, continua Edmond, devenu très sérieux, je suis in
is certainement, comme à un bureau, ajouta-t-il pour impressionner sa
mère
. Ainsi, moi, crois-tu que je vais mener une exist
ourts, a dit avec conviction la scène où Severo Torelli apprend de sa
mère
qu’il est le fils du tyran, de ce Barnabo dont il
cent mille livres de rentes, demande la main de Bichette à Madame sa
mère
. Il est exquis, ce Raymond Deschamps. Il consent
petit livre aisé de M. Auguste Germain. C’est un type tout nouveau de
mère
d’actrice. P’tite Mère, riche, jeune, jolie, est
est l’antithèse même de Mme Cardinal : et pourtant elle n’est pas une
mère
moins avisée, moins audacieuse ni moins utile. El
tout, à la condition d’avoir des rentes, de la beauté, du talent, une
mère
jeune, jolie, et qui tienne moins à sa propre ver
« de l’école », a paru écrasé par la terrible scène d’Hamlet avec sa
mère
. Ou bien le morceau n’est pas « avantageux ». Le
à Mâcon, où m’attendait un nouveau bonheur, préparé et négocié par ma
mère
en mon absence. J’avais eu l’occasion, l’année pr
anxiétés patriotiques du camp de Boulogne, était mort récemment ; sa
mère
, qui n’avait d’autre enfant que cette fille, lui
rable de ses amies, profita de cette circonstance pour venir, avec sa
mère
, rejoindre la marquise de La Pierre et visiter le
a marquise de La Pierre et visiter le continent. Elle se fixa avec sa
mère
, à Chambéry, dans la maison de ses amies, comme u
yeux de ma famille, d’une orthodoxie sévère, et aussi aux yeux de la
mère
de mademoiselle B… Quant à elle, cette diversité
gion de ses amies aussitôt qu’elle pourrait le faire sans affliger sa
mère
. Les personnes pieuses du pays, confidentes de so
nce qui existait entre la jeune Anglaise et moi, les obstacles que sa
mère
mettait par religion à ce penchant de sa fille, e
ses sœurs, et de m’avertir, en jouant de la flûte, chaque fois que la
mère
vigilante sortirait sans sa fille pour la promena
l’autre, de toutes les circonstances favorables pour amener, elle sa
mère
et moi ma famille, à consentir à un mariage que n
entir à un mariage que nous désirions tous les deux très vivement. Ma
mère
, comme à l’ordinaire, était ma complice. Ma nomin
ortune au moins égale à celle de ma femme. Ses démarches auprès de sa
mère
, et l’influence de ses amies, mesdemoiselles de L
et les amis. Glissons donc. XIII Pour soustraire ma femme et sa
mère
aux convulsions de la capitale en révolution, j’a
à que j’eus l’occasion de voir et d’admirer, suspendue aux bras de sa
mère
, cette ravissante princesse Christine, dans toute
ontigu, un de ses enfants dans les bras, pour venir, comme une simple
mère
de famille, s’asseoir gracieusement à ces entreti
caractère par un vice excusable dans un héros découragé : l’ivresse,
mère
de l’oubli. Le prince avait été séduit par la jeu
nd pour moi-même. Je me souviens encore de la matinée, à Mâcon, où ma
mère
, qui connaissait ma passion pour ce Tasse et pour
s longtemps que ses jours agités ; il perdit par la mort cette femme,
mère
de ses deux enfants, avant qu’ils eussent l’âge d
ère de ses deux enfants, avant qu’ils eussent l’âge de connaître leur
mère
. Bernardin de Saint-Pierre, qui avait écrit tard,
des pleurs, quelles mains sauront mieux les essuyer que celles d’une
mère
! Ô puissance sublime des idées religieuses ! tou
ur lui proposer sa main. Ce qu’il y a de plus singulier, c’est que sa
mère
autorisait sa démarche et joignait sa prière à la
s littéraires, à ses pensions, éprouva le désir d’assurer une seconde
mère
à ses enfants. Voici comment ce mariage d’un doux
ques désordres de jeunesse de son père, était liée avec la mienne. Ma
mère
fut assez heureuse pour offrir à madame de Pellep
avec un homme de son âge, dont elle soignerait les enfants comme une
mère
, et dont elle adoucirait les années avancées comm
s gens que sa famille pourrait lui offrir ; elle connaissait assez la
mère
de cette enfant pour ne pas douter qu’une pareill
et le plus heureux des maris. Ses enfants eurent la plus aimable des
mères
. Aucun nuage ne troubla les beaux jours qui durèr
lait aimer comme un père, comme un frère, comme une sœur ou comme une
mère
sur la tombe d’une autre mère ! Voilà les matinée
e un frère, comme une sœur ou comme une mère sur la tombe d’une autre
mère
! Voilà les matinées d’Éragny. X Aimé Marti
r se donner une compagne et pour léguer à ses enfants, après lui, une
mère
. Aimé Martin la vit peu d’abord et ne lui plut qu
ur sa famille. Tout en se séparant de Martin pour vivre seule avec sa
mère
, elle se réservait la possibilité de le revoir po
, et qu’Aimé Martin demanda mademoiselle de Pelleport en mariage à sa
mère
, et que cette mère, attentive à donner à sa fille
demanda mademoiselle de Pelleport en mariage à sa mère, et que cette
mère
, attentive à donner à sa fille et à ses petits-en
idence dans la nature: ils sont comme les enfants qui repoussent leur
mère
parce qu’ils ont été blessés par leurs compagnons
’est plus ; et il vous reste ce qu’après vous elle a le plus aimé, sa
mère
et la vôtre, que votre douleur inconsolable condu
damnée à mourir. Heureuse d’avoir dénoué les liens de la vie avant sa
mère
, avant la vôtre, avant vous, c’est-à-dire de n’êt
avait jamais éprouvé. Je le ramenai à son habitation. J’y trouvai sa
mère
et madame de la Tour dans un état de langueur qui
ait la fin prématurée de sa charmante petite-nièce, et la perte de sa
mère
qui s’en était suivie ; tantôt, elle s’applaudiss
u pied des mêmes roseaux, son ami Paul, et autour d’eux leurs tendres
mères
et leurs fidèles serviteurs. On n’a point élevé d
elle avait honorés de son innocence. Jeunes gens si tendrement unis !
mères
infortunées ! chère famille ! ces bois qui vous d
lisant, son oreille était blessée. A sept ans et demi, elle perdit sa
mère
, qui avait voulu aller mourir à Metz au milieu de
les. Les bonnes qualités, chez la femme-poëte surtout, sont comme des
mères
tendres et prévoyantes qui retiennent à temps l’e
eurs. Mais, même heureuse, même comblée ici-bas comme épouse et comme
mère
, son roman est clos, son poëme s’en est allé ; le
La voix joyeuse du vallon, La voix d’une sœur douce et tendre, D’une
mère
émue à mon nom. Maintenant, quand j’entends encor
s, Ou du Te Deum triomphant, Il fait vibrer les froides pierres De ma
mère
et de mon enfant !… Ainsi quand ta voix si connue
, avec la même harmonie, Comme tout pleure sous ta main ! Ah ! pauvre
mère
! ah ! pauvre femme ! On ne trompe pas le malheur
re s’adressent à cette trop vive jeunesse que, dans son inquiétude de
mère
, elle prend à tâche de modérer. Un côté si sage,
ut à la Martinique, où elle fut laissée en gage à un créancier par sa
mère
obligée de venir chercher du pain en France ; ren
r sa mère obligée de venir chercher du pain en France ; renvoyée à sa
mère
, à quatorze ans, par ce créancier qui trouvait tr
tait renfermé. Son père, Constant d’Aubigné, était protestant ; et sa
mère
, Jeanne de Cardillac, fille du commandant du chât
elui de Théodore, non, comme on l’a tant de fois répété, parce que sa
mère
était morte en lui donnant le jour, et qu’il étai
er de son mari, qui se lassa bientôt de la nourrir et la renvoya à sa
mère
. Sa mère continua à l’élever dans le culte qu’ell
mari, qui se lassa bientôt de la nourrir et la renvoya à sa mère. Sa
mère
continua à l’élever dans le culte qu’elle profess
gnie. Françoise perdit sa tante ; quelque temps après, elle perdit sa
mère
. Madame de Neuillan, à la charge de qui elle rest
ses amis au fond d’une province, comme d’autres y vont visiter leurs
mères
. Quel que soit le motif qui nous attire ce plaisi
çois d’Aydie et de Marie de Sainte-Aulaire, était propre neveu par sa
mère
du marquis de Sainte-Aulaire de l’Académie frança
nnes avaient eu le secret. Mlle Aïssé, sentant qu’elle allait devenir
mère
, n’avait pu prendre sur elle de se confier à Mme
ait dû refouler jusque-là, orpheline dès l’enfance, n’ayant pas eu de
mère
et l’étant à son tour sans oser le paraître, aman
dre ; s’y abandonna pleinement, elle éclata : « Je vous aime comme ma
mère
, ma sœur, ma fille, enfin comme tout ce qu’on doi
se à demi étouffée, le cri des entrailles de celle qui n’ose paraître
mère
. Enfin les tristes années arrivent, les heures du
à un bon gentilhomme de sa province, le vicomte de Nanthia (J). « Ma
mère
m’a souvent raconté, écrit M. de Sainte-Aulaire91
u’elle y avait rencontrés. » Ainsi allait, héritière des grâces de sa
mère
, cette jeune reine des cœurs. Nous retrouvons le
ord au mois de janvier, m’a promis de se charger du portrait de votre
mère
. Je ne doute pas qu’il ne vous fasse grand plaisi
pport de tous, était une merveille de beauté. Parlant d’elle et de sa
mère
, ainsi que de son aïeule, un témoin bien bon juge
s les jeux de mon âge pour l’aller entendre quand elle venait chez ma
mère
. Quoique j’aie bien peu de mémoire, j’ai encore s
i vue encore charmante. Mais ce n’était plus ce je ne sais quoi de sa
mère
, qui captivait au premier instant et gagnait auss
rouvent assez que Mme de Nanthia ne répugnait point au souvenir de sa
mère
, et que son cœur s’ouvrait sans effort pour s’ent
cela est impossible, et voici mes raisons : Mme de Ferriol servait de
mère
à Mlle Aïssé ; elle avait mêlé son éducation à ce
ord au mois de janvier, m’a promis de se charger du portrait de votre
mère
; je ne doute pas qu’il ne vous fasse grand plais
mes couchaient plusieurs dans la même chambre et dans le même lit. Ma
mère
, qui avait été élevée en Bretagne où les coutumes
r avec moi. » Quelques instans après Mlle de Bouillien dit aussi à ma
mère
: « Ma chère cousine, nous coucherous ensemble. »
cousine, nous coucherous ensemble. » — « Je ne peux pas, répondit ma
mère
, je couche avec la comtesse d’Abzac. » — « Mais e
t ensemble dans un lit médiocrement large, et pour faire honneur à ma
mère
on la mit au milieu. Ces habitudes subsistèrent à
Paris… Dans le mémoire susdit, l’officier parle de la noblesse de la
mère
: on demanderait à propos de quoi. C’est une peti
imé ; l’amour faisant rompre la foi jurée ; une Andromaque, une jeune
mère
, belle de sa jeunesse et de son malheur, qui se d
. Tout ce qu’il y a de dévouement dans l’épouse, de tendresse dans la
mère
, Racine en a doué Andromaque. Mais il a voulu en
or. Pyrrhus éclate, il menace : Le fils me répondra des mépris de sa
mère
. Andromaque n’oppose point menaces à menaces. Si
ce mot cruel : … Allons aux Grecs livrer le fils d’Hector. Alors la
mère
oublie l’épouse. Elle se jette aux pieds de Pyrrh
d’un reste de fierté ; enfin, la femme venant encore au secours de la
mère
, elle rend malgré elle quelque espoir à Pyrrhus.
hésite à se sacrifier pour son fils, c’est que l’épouse doute que la
mère
en ait le droit. Elle n’existe que par ces deux a
e parle en vers français, et l’on ne veut pas qu’elle sente comme une
mère
, comme une épouse, comme une Française du dix-sep
e force et de grâce à leur raison. S’il se trouvait dans la salle une
mère
plus tendre, une épouse plus fidèle, une femme d’
que j’ai eu besoin de ce mot, dans l’une est le manège innocent d’une
mère
qui fait servir sa beauté à la défense de son fil
t pas cette particularité de l’histoire d’Andromaque ; ensuite qu’une
mère
, Andromaque ou toute autre, n’en peut trop dire p
ion selon les situations et les caractères. On ne souffrirait pas une
mère
qui ne le serait pas comme Andromaque, ou le sera
s vérités qui ne passent pas. Mais rien n’a fléchi dans les rôles des
mères
tels que les a tracés Racine. L’amour maternel éc
r maternel échappe à toute étiquette, il est libre de toute mode. Les
mères
aiment de la même façon en tout temps et en tout
te source que Racine a tiré les deux types les plus pathétiques de la
mère
au théâtre, Andromaque, Clytemnestre, personnages
mour qui touchent à l’amour maternel par le dévouement, l’amour de la
mère
adoptive, dans le rôle de Josabeth, l’amour pour
ux. Plus d’un y reconnaît une femme aimée, la tendresse immense d’une
mère
, l’esprit de domination d’une épouse. Là est la v
e sœur de Zacharie, par les soins qu’elle a donnés, de moitié avec sa
mère
, au mystérieux enfant, qu’elle aime sans le conna
fils simplement faibles à des fila capables de faire assassiner leurs
mères
, et des mères simplement impérieuses à des épouse
t faibles à des fila capables de faire assassiner leurs mères, et des
mères
simplement impérieuses à des épouses empoisonnant
régner. Il y a même un Burrhus : c’est un honnête commis placé par la
mère
auprès du fils, et qui prend l’intérêt de Néron p
nier à l’autre, les pleurs d’enfants qui demandaient le lait de leurs
mères
, et le bruit sourd et cadencé des berceaux de boi
es, et le bruit sourd et cadencé des berceaux de bois que ces pauvres
mères
remuaient du pied pour les endormir ; on n’aperce
e d’une fille au berceau, dont les traits rappelaient la beauté de sa
mère
, possesseur d’une fortune plus que suffisante à c
o Tasso ; peut-on s’étonner qu’un enfant d’un tel père et d’une telle
mère
, né et élevé dans un tel séjour, au sein d’une te
ues semaines avant la naissance de cet enfant ardemment désiré par sa
mère
, Bernardo Tasso écrivait de Sorrente à sa sœur Af
ez avec vos saintes sœurs les nonnes, pour que le ciel me conserve la
mère
, qui est ici-bas mes seules délices. » Les prièr
re, qui est ici-bas mes seules délices. » Les prières du père, de la
mère
et de la tante furent exaucées ; l’enfant, qui fu
e ; les progrès de l’enfant répondaient à la tendre sollicitude de la
mère
. Pendant ces années d’exil, le père, envoyé à Par
« La cruelle fortune m’arracha, presque encore enfant, du sein de ma
mère
; ah ! je me souviendrai toujours, en soupirant,
emis, pour qu’il ne lui arrive pas ce qui est arrivé à sa malheureuse
mère
, laquelle (je le tiens pour avéré) a été empoison
r sang les hommes supérieurs, poètes, philosophes, héros. Les grandes
mères
font les grands fils : il n’y a presque pas d’exc
cœur et dans cette gêne de son père à Rome que Torquato, séparé de sa
mère
par la mort, et de sa sœur Cornélia par l’absence
e secours dans le grenier d’un cardinal à Rome, étaient le père et la
mère
, comme dit Job, du poète futur de l’Italie. L’app
té ; il fallait, en un mot, la rendre capable d’être épouse et d’être
mère
. Pour le développement de l’esprit, un enseigneme
songe, le désir du mariage et le culte du foyer : ce qu’avaient eu sa
mère
et sa femme. Il oubliait leur foi religieuse. Ain
cultivé, très loyal et très bon, petit employé dans un ministère (sa
mère
ne lui ayant pas permis de se faire soldat), épou
sa vie inutile et morne de gratte-papier ; il souffre de voir que sa
mère
et sa femme ne s’aiment point ; il souffre de sa
nt développé l’énergie d’André, lui ont donné le goût de l’action. Sa
mère
lui a légué une ferme en Algérie. Pourquoi n’irai
s autour d’un fragile appui ; symbole de la sujétion où est née notre
mère
; sujétion à un sceptre bien léger ; obéissance a
une multitude d’enfants semblables à toi-même, et tu seras appelée la
Mère
du genre humain. » Que pouvais-je faire après ces
, et par la sagesse qui seule est véritablement belle. Ainsi parla la
Mère
des hommes. Avec des regards pleins d’amour, et d
fleurs. Adam presse ensuite d’un baiser pur les lèvres fécondes de la
mère
des hommes…… Cependant le soleil était tombé au-d
Pénélope est plus réservée, et ensuite plus tendre que notre première
mère
, c’est qu’elle a été éprouvée par le malheur, et
rait-on en douter, après la magnifique invocation de Lucrèce à Vénus,
mère
des fils d’Énée, mère du peuple de Mars, et en so
ès la magnifique invocation de Lucrèce à Vénus, mère des fils d’Énée,
mère
du peuple de Mars, et en songeant à ce temple qui
et celles qui habitent les forêts, les bois sacrés, les collines. La
mère
de l’enfant ailé a ordonné la présence de toutes
orgueillir de lui, plus que d’avoir donné Sénèque au monde, ou d’être
mère
de l’aimable Gallion. Que le fleuve Bétis élève j
n’aperçoives que derrière toi Néron, pâle sous le regard irrité de sa
mère
, apparais-nous dans ton éclat ! et, à la voix de
ugure. On appelait hybrides12 les enfants d’un père étranger ou d’une
mère
étrangère : c’étaient des espèces de citoyens bât
IV. Lucius Annæus Sénèque était d’un tempérament délicat, et sa
mère
ne le conserva que par des soins assidus : il fut
les conspirateurs de Pison, et vous faites grâce à un délateur de sa
mère
! Si vous donnez le nom de monstre à Néron, deven
i brisa la tête de l’enfant contre la muraille, après avoir égorgé la
mère
. Cet acte de cruauté et quelques autres révoltent
produis en témoignage a été l’affranchie et la femme de chambre de ma
mère
; elle m’a toujours regardé comme son maître. Il
ne âme souillée, aucune force dans une âme flétrie par la volupté. La
mère
et la fille s’abandonnaient à la douleur, lorsque
frapper. Le tribun la perce d’un seul coup, et laisse le cadavre à sa
mère
. Ainsi périt cette femme qui avait tant de fois a
vage ; par la nature du climat, malsain. C’est de là qu’il écrit à sa
mère
(Id. ibid., cap. xvii et cap. iv) : « Je suis co
ent concilier le discours de Sénèque dans sa Consolation à Helvia, sa
mère
, avec le ton pusillanime et rampant de sa Consola
r ingrat pour le philosophe arraché subitement d’entre les bras de sa
mère
, au moment où, après une longue séparation, ils j
de ses enfants, aura atténué sa misère pour tempérer la douleur de sa
mère
, et l’aura exagérée pour exciter la commisération
é illimitée ; son fils avait donné pour mot du guet, La meilleure des
mères
(Id. ibid., cap. ii et v, et SUETON. in Nerone, c
roche de l’oreille du prince, et lui dit : « Allez au-devant de votre
mère
. » Mais une femme d’esprit ne se trompe point à c
s, amené par un fatal enchaînement de circonstances où il faut qu’une
mère
périsse par son fils, ou le fils par sa mère, suf
tances où il faut qu’une mère périsse par son fils, ou le fils par sa
mère
, suffirat-il pour affranchir l’instituteur de ses
ère ni à ses fonctions ; cependant l’instituteur, plus prudent que la
mère
, la regarda comme un frein qui modérerait, du moi
esse, entend la messe, communie, et, au sortir de la sainte table, sa
mère
l’accompagne dans l’atelier d’un artiste de vingt
s il opposa la jalousie de cette femme à la passion d’un fils pour sa
mère
: c’est un fait qu’il n’est permis ni d’ignorer n
cher la jeune esclave du lit de son maître ; il me semble entendre la
mère
de celui-ci lui applaudir, l’encourager et lui di
eût fait renvoyer la courtisane et jeté le fils entre les bras de sa
mère
: alors que n’eût-on pas dit ? et je demande quel
il accélérerait un parricide ? S’il fallait que Néron couchât avec sa
mère
, ou qu’il la tuât, je demande de ces deux crimes
avoir couché avec la femme impudique, Néron eût ensuite assassiné la
mère
ambitieuse : celui qui promena ses regards lascif
ces de son fils. LI. Parmi les vêtements les plus somptueux des
mères
et des femmes des empereurs, parmi leurs plus ric
us à la faveur d’une adoption, qui n’y est assis que pour outrager sa
mère
. Je veux, ajoute-t-elle, qu’on divulgue tous les
ur, et la garde de Germanie qu’il y avait ajoutée par honneur pour sa
mère
; il l’éloigne, pour la séparer des courtisans ;
r restent. LVI. Néron tremblant, et pressé de se délivrer de sa
mère
(TACIT. Annal, lib. XIII, cap. xx), ne fait grâce
aternelle soit inconnue à une Silana qui n’a jamais eu d’enfant ; une
mère
ne change pas de fils comme une vile créature san
nnemis qui m’accusent, non de paroles échappées, dans la colère d’une
mère
, au délire de sa tendresse, mais de crimes dont o
qu’on lit dans la plupart des moralistes et des médecins122, que les
mères
exposaient leur santé et manquaient à leur devoir
mes lectures 123. LXVIII. La paix règne entre l’empereur et sa
mère
, jusqu’au moment de l’intrigue de Néron avec Popp
ne femme peut avoir124, il ne manquait à celle-ci que la vertu125. Sa
mère
, la plus belle des Romaines de son temps, lui ava
spoir de succès du vivant d’Agrippine ? Elle s’occupe à lui rendre sa
mère
odieuse et suspecte ; elle joint la raillerie aux
IT. Annal., lib. XIV, cap. ii) que Néron conçut de la passion pour sa
mère
, et qu’il n’allait point en litière avec elle san
première entrevue avec l’empereur, lui dira : « Y pensez-vous, votre
mère
y pense-t-elle ? Savez-vous, seigneur, qu’elle fa
eut son effet. De ce jour, Néron évita toute entrevue secrète avec sa
mère
(TACIT. Annal, lib. XIV, cap. iii) ; et, ce que
c une franchise qui en impose même aux courtisans, « que les pères et
mères
ont des droits ; que les enfants doivent supporte
ne manquât à sa dissimulation ; soit que les derniers regards de sa
mère
sur lui, ses derniers regards sur sa mère suspend
les derniers regards de sa mère sur lui, ses derniers regards sur sa
mère
suspendissent sa férocité. Ce dernier sentiment f
sité, la suivante crie du milieu des flots : « Sauvez-moi, je suis la
mère
de l’empereur » ; et à l’instant elle est assommé
e Burrhus. et lui demande s’il faut ordonner aux soldats d’égorger la
mère
de l’empereur. Burrhus répond que les prétoriens,
ur qui sauver ? une Agrippine ! — Une femme qui saura régner, une
mère
à qui il devait le trône qu’il occupait. — Un t
rions s’avançaient pour la poignarder. — Mais un fils menacé par sa
mère
, ne doit-il pas savoir mourir ? — Une mère, dit
is un fils menacé par sa mère, ne doit-il pas savoir mourir ? — Une
mère
, dites-vous ? dites un assassin qui avait déjà ro
de retentir un moment au fond du cœur de tout être vivant ? Quand une
mère
nous donne le jour, n’en recevons-nous pas et l’a
Burrhus avaient tué Néron, est-on bien certain qu’une Agrippine, une
mère
politique n’aurait pas envoyé au supplice deux ho
étaient-elles venues au point qu’il fallait que le fils pérît par sa
mère
, ou la mère par son fils ? C’est une chose invrai
es venues au point qu’il fallait que le fils pérît par sa mère, ou la
mère
par son fils ? C’est une chose invraisemblable. »
une seule honnête femme ; conservé un fils à son père, mie fille à sa
mère
, la vie ou la fortune à un bon citoyen ; tranquil
euple romain ne se révoltât et ne renversât du trône l’assassin de sa
mère
? Et quand cette révolution serait arrivée, aurai
de vue le caractère violent du fils, l’ambition et la puissance de la
mère
, la haine que tous les citoyens portaient à l’un,
sur son fils, lui avaient prédit qu’il régnerait et qu’il tuerait sa
mère
. Qu’il me tue, avait-elle répondu, pourvu qu’il r
ait imaginée, si l’histoire ne nous l’avait transmise ? C’est que, sa
mère
assassinée, Néron court147 assouvir son impure cu
, sa conscience se révolte : tandis qu’il fait courir le bruit que sa
mère
, convaincue d’un attentat sur sa personne sacrée,
on, lib. LXI, cap. xii), d’avoir conseillé à Néron l’assassinat de sa
mère
, calomnie aussi invraisemblable qu’atroce, et d’a
oyennes. Telle fut l’entrée de Néron, couvert et fumant du sang de sa
mère
(TACIT. Annal, lib. XIV, cap. xiii). Connaissez à
intimité avec Valérius, leur éducation commune à la cour d’Antonia sa
mère
, les services de l’accusé, ses exploits récents,
ans se plaindre ? Néron, pour conserver l’Empire, a fait massacrer sa
mère
: l’action de Lucain est plus révoltante ; pour c
in est plus révoltante ; pour conserver sa vie, il dénonce Acilia, sa
mère
( Id., ibid.). Ô Lucain ! tu l’emporterais sur Ho
dérable. Dans la Consolation qu’il écrivit, de la Corse, à Helvia, sa
mère
, il lui dit197 : « Ayant des parents, vous avez
ur les discours publics qu’il s’adresse à luimême, qu’il adresse à sa
mère
, à sa femme, à ses frères, à ses connaissances, à
devoirs du sage, et à donner des leçons de stoïcisme à ses amis, à sa
mère
, à ses tantes, à ses frères, à presque tous les o
e indiscrète serait punie de mort : tel fut sous Tibère le sort d’une
mère
accusée d’avoir pleuré son fils217. Mais quand le
e l’éloge. Dans Rome personne n’ignorait que Néron avait assassiné sa
mère
, et il eût été de la dernière indécence d’en conv
ses ongles tirés, sa gueule entr’ouverte et dégouttante du sang d’une
mère
; c’est là qu’il faut dire à la bête : « Tu vas m
un air qui commençait par ces mots : Bonjour, mon père ; bonjour, ma
mère
, et qui finissait par ceux-ci : Vous irez bientôt
ement à l’étude de la philosophie, d’après le conseil d’Agrippine, sa
mère
, qui lui persuada que cette science était nuisibl
qui nous devons la Morale universelle 236. Puissent les pères et les
mères
en recommander la lecture journalière à leurs enf
e que j’ai déjà cité quelquefois : « Agrippine, fille, sœur, femme et
mère
d’empereurs, fut d’un esprit composé de toutes so
Sénèque ne put se défendre d’élever le fils dans les principes de sa
mère
, ne dirait-on pas que ce propos est d’un ignorant
nt il est délivré et à baiser des mains encore fumantes du sang d’une
mère
; il loue l’histrion et le cocher. Cependant les
gnol ? Ainsi l’hybride était un enfant né d’un père espagnol et d’une
mère
romaine, ou d’un père romain et d’une mère espagn
’un père espagnol et d’une mère romaine, ou d’un père romain et d’une
mère
espagnolea. (DIDEROT.) 13. Voyez la préface du
ois sublimes. L’action de Lucain, qui, pour sauver sa vie, dénonce sa
mère
, est atroce sans doute ; mais il n’en est pas moi
n. (N.) 67. Rien de plus sensé que ce qu’il écrit sur ce sujet à sa
mère
: « Je ne me suis jamais fié à la fortune, lors m
ne nouvelle accouchée, femme d’un sénateur son ami. En présence d’une
mère
alarmée sur la santé de sa fille, et sans égards
te sur l’auteur de l’attentat, s’écria, transporté d’effroi, « que sa
mère
allait revenir ardente à se venger, armer les esc
, il lui dit qu’il lui devait la vie, puisqu’il l’avait délivré de sa
mère
qui ne cessait de conspirer contre lui ; qu’il se
uer d’inspirer dans un temps où l’on n’avait pas encore oublié qu’une
mère
avait perdu la vie pour avoir pleuré la mort de s
x et le bras droit paralysé. Bien sûr que le pauvre diable n’a pas de
mère
pour le consoler doucement de sa misère. Il vit c
e des vers ? à peine. Mais c’est assurément de la poésie : Où est ma
mère
? Dans la salle à manger où sentent bon les fruit
bon les fruits. Elle coud le linge blanc près des capucines. C’est la
mère
douce aux cheveux gris dont tu es né. Il y a un g
éture et les pommes Où se collent les guêpes en or tout empêtrées. Ta
mère
douce coud dans le salle à manger Où sentent bon
Dans tous les pays l’amant chante sous la fenêtre de sa fiancée ; la
mère
chante près du berceau de son enfant ; la nourric
es toits, ses foyers, ses compagnes, ses vieillards, ses enfants, ses
mères
, l’armée victorieuse traduit instinctivement en c
uds de chêne. Mais une certaine naïveté naturelle, qu’il tenait de sa
mère
et qu’on prenait mal à propos pour de la niaiseri
ols en cage. Il me découvrait les nids d’où il avait vu s’envoler les
mères
sur les buissons du champ ; souvent il me remetta
jeunesse des villages voisins. On l’appelait la Jumelle, parce que sa
mère
l’avait mise au monde le même jour qu’un frère qu
sans rien répondre ; elle s’était retirée seule dans la grange où sa
mère
la surprit, pleurant sans savoir de quoi. Le père
i ! place à moi ! place à moi ! « Le père m’a pris par la main ! « La
mère
a étendu la nappe ! « La fille a rougi ! « Elle
yeux ont mouillé mon pain ! — « Est-ce bien vrai ? que j’ai dit. — «
Mère
, va chercher la Jumelle derrière le poirier, et q
’aventure lyrique du petit bouvier. XXIV Je venais de perdre ma
mère
. Ce fut la plus grande douleur de ma vie ; je me
ux ou trois notes de la cloche, l’hymne de deuil et de tendresse à ma
mère
absente à jamais de mes yeux. Comme dit Dante, le
e, et je chantai ainsi en moi une ode de larmes à la mémoire de cette
mère
chérie et perdue, ode que je ne retrouverai jamai
. Du berceau et de la mamelle jusqu’au dernier soupir dans lequel une
mère
lègue son âme à ses enfants et jusqu’aux bénédict
ls étaient assis ou couchés, comme des rois, d’abord les pères et les
mères
des fiancés, les frères et les sœurs des deux fam
des deux familles, puis les petits enfants sur les genoux des jeunes
mères
, puis les vieilles femmes aux cheveux d’argent qu
afraîchi ; et puis, à la nuit tombée, tu feras danser la noce chez la
mère
de la mariée, si tu sais aussi des airs de tarent
plus jeune des garçons ; celui-ci est notre père, celle-là est notre
mère
, ces petites filles sont mes sœurs, ces deux femm
le-sœur vont-ils toujours rester dans cette prison chez le père et la
mère
de la sposa ? — Oh ! non, répondit l’enfant ; ils
ent, et qu’on est à même d’y rendre bien des services aux femmes, aux
mères
, aux filles de ces pauvres prisonniers. CLII
émon ; cependant, malgré moi, je cherchai à plaire à la fiancée, à sa
mère
et à son père, qui avaient été charitables pour m
ur le duc. — Allons, enfant, dit tout le monde en approuvant la bonne
mère
d’un signe de tête, fais honneur à la mariée et à
l’heure en sortant de chez eux, et si j’avais quelque père et quelque
mère
ou quelque corps de pifferari ambulants qui me re
cendu avec ma zampogne. — Non, lui dis-je, mon père est aveugle et ma
mère
est morte (et je ne mentais pas en le disant, com
avec fidélité à vos commandements, comme si vous étiez mon père et ma
mère
. CLXXIV — Et les gages ? me dit-elle, tout
uver de la guerre, et vous allez voir si vous pourrez le refuser à sa
mère
et à moi. À ces mots, tirant de dessous sa veste
entielles, conservées et retrouvées dans leur intégrité, de femme, de
mère
et par instants de reine, avec la bonté de tout t
ce qu’il fallait pour diriger sa jeune épouse. Celle-ci, fille d’une
mère
illustre, n’avait pu être élevée par Marie-Thérès
uelle position je vous laisse !… Les sentiments les plus vrais de la
mère
, de l’amie, de la chrétienne soumise, respirent d
, elle était faite pour être femme aimable, amie constante et fidèle,
mère
tendre et dévouée. Elle avait toutes les qualités
rie-Antoinette : « Je reviens à vous, femmes immolées toutes dans une
mère
si tendre, immolées toutes par l’attentat qui ser
est fait de votre empire si la férocité règne. » Marie-Antoinette est
mère
encore plus que reine en effet. On sait ce premie
n fils, elle s’écria pour toute réponse : « J’en appelle à toutes les
mères
! » C’est là le cri suprême qui domine sa vie, le
cin, c’était un homme candide, sérieux et de caractère méditatif ; sa
mère
était douce, fine et d’une adorable tendresse. Et
du poison et l’évêque Théognis vient trop tard la délier du vœu de sa
mère
. L’action, que j’abrège fort, est simple, grande
e figure d’une vérité délicate et charmante. Après le vœu cruel de sa
mère
, c’est à la fontaine des Nymphes qu’elle va jeter
ulier d’une façon hétérodoxe. Nous l’aimons enfin, la religion de nos
mères
, parce qu’elle est parfaitement mystérieuse et qu
che Notre vieux savant s’intéresse à une orpheline dont il a aimé la
mère
, l’enlève de sa pension, où elle est malheureuse,
estre Bonnard sans un grand désir de pleurer ? Pauvre Jeanne, pauvre
mère
! Je suis trop vieux pour rester bien sensible ;
mystère douloureux que la mort d’un enfant. Aujourd’hui le père et la
mère
sont revenus pour six semaines sous le toit du vi
s’est marié, et il a écrit le Livre de mon ami. Ce livre plaira aux
mères
, car il parle des enfants. Il charmera les femmes
utes jolies : Un jour, dans le petit salon, laissant sa broderie, ma
mère
me souleva dans ses bras ; puis, me montrant une
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