ant dix générations, les préservant avec soin de tout croisement avec
l’une
ou l’autre des deux espèces pures, il affirme cep
es genres. distincts, se sont souvent reproduits en nos contrées avec
l’une
des deux souches pures, et une seule fois inter s
s ; et, comme on les garde pour leur produit, dans des endroits où ni
l’une
ni l’autre des espèces mères n’existent, il faut
ollen des différentes espèces du même genre déposé sur le stigmate de
l’une
de ces espèces produit un nombre de graines qui v
ront jamais une seule graine féconde, même sous l’action du pollen de
l’une
des deux espèces pures. Mais quelquefois on voit
é : c’est-à-dire que la fleur de l’hybride, ainsi à demi fécondée par
l’une
des deux espèces mères, se flétrit un peu plus tô
rticulier de léguer leur ressemblance à leur postérité hybride ; mais
l’une
de ces facultés n’amène ou ne suit pas nécessaire
d’eux ; et de tels hybrides, bien que si semblables extérieurement à
l’une
des souches pures dont ils proviennent, sont si s
il naît quelquefois des individus exceptionnels, très ressemblants à
l’une
des deux espèces pures ; et, comme dans le cas pr
rents des croisements réciproques entre deux espèces ; car, selon que
l’une
ou l’autre fournit le père ou la mère, il y a en
ciproques entre deux espèces, il arrive souvent que l’élément mâle de
l’une
agisse aisément sur l’élément femelle de l’autre,
ble d’assigner une raison quelconque à la répulsion des deux essences
l’une
pour l’autre. Pourtant, que la taille des deux pl
e. Pourtant, que la taille des deux plantes soit très différente, que
l’une
soit ligneuse et l’autre herbacée, à feuilles per
ouples d’éléments sexuels, aussi deux espèces réciproquement greffées
l’une
sur l’autre ne réussissent pas également bien. C’
ndiquer que la difficulté plus ou moins grande qu’on trouve à greffer
l’une
sur l’autre ou à croiser ensemble des espèces dif
s sur d’autres. Enfin un embryon peut se former, et cependant périr à
l’une
de ses premières phases de développement. On n’a
illusion de mon esprit. Les deux séries de faits doivent se rattacher
l’une
à l’autre par quelque lien inconnu essentiellemen
rences de valeur spécifique. Gærtner a gardé pendant plusieurs années
l’une
près de l’autre, dans son jardin, une variété nai
ais naturellement. Alors il féconda artificiellement treize fleurs de
l’une
avec le pollen de l’autre, mais un seul épi donna
prétend que ces derniers sont plus que les autres sujets à revenir à
l’une
des deux formes mères. Mais, si le fait est vrai,
nt, selon lui, des lois identiques. Quand deux espèces sont croisées,
l’une
d’elles est quelquefois douée d’une puissance pré
sés. Enfin, soit les hybrides, soit les métis, peuvent être ramenés à
l’une
des deux formes mères par des croisements répétés
exactement, bien que provenant de causes très distinctes ; parce que
l’une
et l’autre dépendent de la somme des différences
hybrides qui en naissent, et même la faculté de pouvoir être greffées
l’une
sur l’autre, bien qu’elle dépende évidemment d’au
niment entre elles. Il semble donc qu’il y ait deux espèces d’unités,
l’une
définitive, qui formera un nombre en s’ajoutant à
s par saccades, par sauts brusques pour ainsi dire, que nous irons de
l’une
à l’autre. Et la raison en est que, pour obtenir
és qui le composent. L’indivisibilité de l’acte par lequel on conçoit
l’une
quelconque d’entre elles se traduit alors sous fo
les sons de la cloche m’arrivent successivement ; mais de deux choses
l’une
. Ou je retiens chacune de ces sensations successi
se loger ; ces particules à leur tour ne pourront se pénétrer que si
l’une
d’elles se divise pour remplir les interstices de
inition possible de l’espace : c’est ce qui nous permet de distinguer
l’une
de l’autre plusieurs sensations identiques et sim
endue et la conception de l’espace : elles sont sans doute impliquées
l’une
dans l’autre, mais, plus on s’élèvera dans la sér
aut dire, c’est que nous connaissons deux réalités d’ordre différent,
l’une
hétérogène, celle des qualités sensibles, l’autre
, on ne voit pas comment deux formes de l’homogène se distingueraient
l’une
de l’autre. Néanmoins on s’accorde à envisager le
eux formes de l’homogène, temps et espace, sans rechercher d’abord si
l’une
d’elles ne serait pas réductible à l’autre. Or l’
éroulement dans le temps, considéré comme un milieu homogène. Si donc
l’une
de ces deux prétendues formes de l’homogène, temp
s en détail un peu plus loin, deux conceptions possibles de la durée,
l’une
pure de tout mélange, l’autre où intervient subre
série de sensations de qualités diverses, il arrivera de deux choses
l’une
: ou je me figurerai ces sensations dans la durée
ouvenir de l’oscillation qui la précédait, il arrivera de deux choses
l’une
: ou je juxtaposerai les deux images, et nous ret
s retombons alors sur notre première hypothèse ; ou je les apercevrai
l’une
dans l’autre, se pénétrant et s’organisant entre
omme d’autre part ces oscillations sont nettement distinctes, puisque
l’une
n’est plus quand l’autre se produit, nous contrac
t, les oscillations pendulaires, qui ne sont distinctes que parce que
l’une
s’est évanouie quand l’autre paraît, bénéficient
poursuivant la tortue ils substituent en réalité deux tortues réglées
l’une
sur l’autre, deux tortues qui se condamnent à fai
faille alors remplacer vk et vp par deux nouvelles vitesses vj et vn,
l’une
supérieure à vh, l’autre inférieure à vp. Et à me
ultiplicité, deux sens possibles du mot distinguer, deux conceptions,
l’une
qualitative et l’autre quantitative, de la différ
que nous avons appelé une multiplicité qualitative, et de considérer
l’une
comme l’équivalent de l’autre. Or, nulle part ce
comme les synthèses concrètes des conditions que nous avons étudiées
l’une
après l’autre, par une abstraction analytique : p
l’induction et la déduction, l’histoire et la psychologie s’appuient
l’une
à l’autre pour étayer notre conclusion. Nous avon
orique. Des tendances que l’histoire met en présence, il est rare que
l’une
soit tout active, et l’autre toute passive, que l
il est rare que l’une soit tout active, et l’autre toute passive, que
l’une
ne fasse que donner, et l’autre recevoir. Le plus
r, et l’autre recevoir. Le plus souvent elles réagissent incessamment
l’une
sur l’autre, et deviennent tout à tour, par une s
t à tour, par une sorte d’échange perpétuel des rôles, cause et effet
l’une
de l’autre. En ce sens, n’est-il pas également vr
e qui se sent. Et pourtant je ne peux les séparer, et ceux qui aiment
l’une
ne peuvent pas ne pas aimer l’autre. Pour trouver
ux qui aiment l’une ne peuvent pas ne pas aimer l’autre. Pour trouver
l’une
, comme pour trouver l’autre, il faut s’efforcer d
ortes de vérités, une fois découvertes, nous procurent la même joie ;
l’une
et l’autre, dès qu’on l’a aperçue, brille du même
e jamais connaître le repos. Il faut ajouter que ceux qui ont peur de
l’une
, auront peur aussi de l’autre ; car ce sont ceux
ont leurs domaines propres qui se touchent mais ne se pénètrent pas.
L’une
nous montre à quel but nous devons viser, l’autre
esprits ne puisse être que la philosophie ou la science, et que dans
l’une
ou l’autre seulement, ils puissent se donner sati
tre possible, et j’avouerai même qu’elle était fort probable. Mais ni
l’une
ni l’autre n’ont dépendu nécessairement des cause
ution, et des passions qu’elle a employées ou soulevées, parce que ni
l’une
ni l’autre n’en ont dépendu uniquement. Pendant q
rales. Par là s’explique toute la différence des deux histoires. Dans
l’une
les faits se rangent à l’appui d’une loi énoncée
i conformes mais si diversement exposées du même problème historique,
l’une
figure à mon esprit le spectacle de ces construct
ent insoluble, puisqu’on se borne à opposer deux substances inconnues
l’une
à l’autre, à se demander comment l’esprit (qu’on
he plus de la vérité que celle des deux substances presque étrangères
l’une
à l’autre, M. Bain lui adresse plusieurs reproche
à une seule face ; le fait psychologique est un fait à deux faces et
l’une
de ces faces est une suite de sentiments, de pens
intelligence et volonté, on peut se demander si ce qui est gagné par
l’une
de ces grandes subdivisions n’est pas perdu par l
ne de ces grandes subdivisions n’est pas perdu par les deux autres ou
l’une
des deux autres. Quoique ici, plus qu’ailleurs, t
strict, antinomie signifie qu’une chose en exclut une autre et que si
l’une
est, l’autre n’est pas. — Si l’on donne au mot an
été sont deux réalités qui existent concurremment et qui se supposent
l’une
l’autre, tout en s’opposant l’une à l’autre. — Il
t concurremment et qui se supposent l’une l’autre, tout en s’opposant
l’une
à l’autre. — Il convient de remarquer d’ailleurs
ifie que deux choses sont dans un rapport tel que le développement de
l’une
se fait aux dépens du développement de l’autre, q
aux dépens du développement de l’autre, que la pleine affirmation de
l’une
contrarie la pleine affirmation de l’autre, que l
affirmation de l’une contrarie la pleine affirmation de l’autre, que
l’une
tend à détruire ou du moins à amoindrir et à affa
âmes opposées vivre côte à côte en nous, se mêler, se pénétrer, ruser
l’une
avec l’autre, se tendre des pièges, se jouer de m
rs ombelles, etc. ; et si la plante cessait de produire des fleurs de
l’une
ou de l’autre forme, son caractère spécifique pou
éritables espèces. Dans la pratique, quand un naturaliste peut relier
l’une
à l’autre deux formes quelconques, par une série
r deux formes douteuses dispose beaucoup de naturalistes à les ranger
l’une
et l’autre comme espèces distinctes. Mais quelle
’Europe pour justifier une distinction spécifique entre les formes de
l’une
et de l’autre contrée, en sera-t-il de même pour
iété peut même arriver à exterminer et à supplanter l’espèce mère, ou
l’une
et l’autre peuvent coexister comme espèces indépe
peuplent une contrée et qui sont décrites dans sa flore, plaçant dans
l’une
tous les plus grands genres et dans l’autre tous
ant par analogie si elles sont, oui ou non, suffisantes pour donner à
l’une
d’entre elles ou à toutes les deux le titre d’esp
de nombreuses preuves expérimentales établissent qu’elles descendent
l’une
et l’autre de parents communs, et, par conséquent
’énoncer deux conditions pour que ces deux points soient identiques ;
l’une
est relative à la vue, l’autre au toucher. Consid
est conduit à envisager deux pareilles séries S et S′ comme inverses
l’une
de l’autre parce que nous avons souvent observé q
éries Σ et Σ + S + S′ lorsque les deux séries S et S′ seront inverses
l’une
de l’autre au sens donné plus haut à ce mot ; mal
Σ est identique à Σ′ ; 2° si Σ′ = Σ + S + S′, S et S′ étant inverses
l’une
de l’autre. Si, dans tous les autres cas, nous re
série S + σ + S′, conservant les impressions tactiles du doigt D′ est
l’une
des séries que j’ai appelées σ′ . Inversement si
space tactile. Reprenons maintenant les deux séries S et S′, inverses
l’une
de l’autre, dont nous venons de parler. À la séri
st remplie. Faisons d’abord une remarque. Comme S et S′ sont inverses
l’une
de l’autre, on aura S + S′ = O, et par conséquent
donner une quatrième dimension à l’espace ramène toujours celle-ci à
l’une
des trois autres ? Il est aisé de le comprendre.
s préexistantes, je ne puis me représenter qu’une série appartenant à
l’une
de ces trois classes, de sorte que ma quatrième d
ces trois classes, de sorte que ma quatrième dimension est ramenée à
l’une
des trois autres. Qu’est-ce que cela prouve ? C’e
viduelle. L’idée du droit s’est dissociée en deux idées secondaires :
l’une
, l’idée ancienne, celle du droit social, consigné
plus en plus dans les· esprits, mais elles en sont venues à s’opposer
l’une
à l’autre. Le droit comme idée intérieure, comme
et celle du droit individuel ont des points de contact et réagissent
l’une
sur l’autre. Le droit comme institution sociale n
de solutionner tant bien que mal un conflit. Peu importe au fond que
l’une
des deux parties ou peut-être les deux se sentent
rôle dans le passé et qui continuent encore à agir dans le présent. —
L’une
de ces causes est l’influence de la jurisprudence
variations du goût ont ce mérite et ce défaut d’être très générales ;
l’une
fait comprendre pourquoi l’évolution littéraire e
uer l’apparition et la disparition de tant de goûts divers, enchaîner
l’une
à l’autre les transformations subies par l’idée d
oins éviter ou adoucir la brusquerie des secousses dans le passage de
l’une
à l’autre. Elle apprendra ainsi à gouverner, dans
, on trouve que son idée et l’idée d’une sensation sont irréductibles
l’une
à l’autre. III. Autre méthode d’investigation. —
ions obscures ou claires de la face morale. — Aux portions claires de
l’une
correspondent les portions obscures de l’autre, e
mun. Ici, les deux représentations arrivent par deux chemins opposés,
l’une
du dedans, l’autre du dehors, tellement que ces c
tablisse entre ses deux apparences, on ne pourra jamais les convertir
l’une
dans l’autre. Selon que sa représentation viendra
ent mental ne sont au fond qu’un seul et même événement à deux faces,
l’une
mentale, l’autre physique, l’une accessible à la
seul et même événement à deux faces, l’une mentale, l’autre physique,
l’une
accessible à la conscience, l’autre accessible au
ur nos sens. Les deux faces sont parallèles, et toute ligne qui coupe
l’une
coupe l’autre à la même hauteur. Vue d’un côté, l
gaieté que les Anglais appellent humour, n’ont presque aucun rapport
l’une
avec l’autre ; et dans aucune de ces dénomination
ire qui fait atteindre, en écrivant ou en parlant, à la perfection de
l’une
et de l’autre. L’esprit de ceux qui vous entouren
’esprit ; il faut être ébranlé, modifié par l’émotion qui fait naître
l’une
ou l’autre, pour obtenir les succès du talent dan
erie même des Anglais, et de la sociabilité dans celle des Français :
l’une
doit se lire quand on est seul, l’autre frappe d’
? Hésite-t-on, entre mille circonstances diverses, choisissant tantôt
l’une
, tantôt l’autre, à volonté, et même d’une manière
lle est liée à des conditions très-diverses. Mais qui vous assure que
l’une
de ces conditions n’est pas la force pensante ell
la pensée ? Et si vous ne les connaissez pas toutes, qui vous dit que
l’une
d’entre elles, et peut-être la principale, n’est
reste toujours dans ce problème une ou plusieurs inconnues. Pourquoi
l’une
de ces inconnues ne serait-elle pas l’âme elle-mê
s deux forces opposées : elle dure tout le temps qu’elles se dressent
l’une
contre l’autre, et, ainsi arcboutées, se soutienn
vaincre. Elle apparaît au point d’intersection de deux tendances dont
l’une
est une puissance de mouvement et l’autre une pui
ue la réalité consiste en un état d’équilibre entre deux forces, dont
l’une
tend à disjoindre et à diviser sans cesse le cont
u fond, pourquoi ne pas le dire ? il y a de la santé dans tout cela :
l’une
saine, drue et vivace, l’autre d’une famille qui
lles sont tristes, elles n’ont pas la tristesse elle-même semblable :
l’une
, tout heureuse qu’elle est, a la tristesse plus r
e, calme, profonde et intérieure ; elle est plus une colombe blessée.
L’une
, je l’ai dit, procède plus de la Bible et des Psa
ainte Thérèse, et même du Nouveau Mois de Marie de l’abbé Le Guillou.
L’une
est une classique en dévotion, ou si elle s’écart
brutale, comme le disait Bussy à Mme de Sévigné. Entre les modernes,
l’une
a lu et préfère à tout Lamartine et, comme la vig
beauté. Les pâles figures passent et repassent derrière les barreaux.
L’une
, la plus jeune, semble se dérober à l’arrière-pla
t les visiteuses, d’escargots et de saintes ? Prenons les souris. » —
L’une
glisse et fuit sous la main. — « Oh ! dit la reli
s qu’une genèse des corps, — deux entreprises évidemment corrélatives
l’une
de l’autre, s’il est vrai que les grandes lignes
é se seraient constituées, dans le détail, par adaptation réciproque.
L’une
et l’autre dériveraient d’une forme d’existence p
rquoi la physique et la métaphysique de la matière brute sont si près
l’une
de l’autre. Maintenant, quand l’intelligence abor
nce, comme il y a entre elles un accord évident, on ne peut engendrer
l’une
sans faire la genèse de l’autre. Un processus ide
forme à la matière, ni la matière et l’intelligence n’ont été réglées
l’une
sur l’autre par je ne sais quelle harmonie prééta
ais que progressivement l’intelligence et la matière se sont adaptées
l’une
à l’autre pour s’arrêter enfin à une forme commun
est-ce que la coïncidence de deux qualités, et comment les superposer
l’une
à l’autre pour s’assurer qu’elles sont identiques
prose et la forme poésie se sont surajoutées à ce qui ne possédait ni
l’une
ni l’autre, et s’il voulait qu’on lui fît la théo
a poésie la négation simultanée des deux, oubliant que la négation de
l’une
consiste dans la position de l’autre. Or, supposo
de désordre surgisse dans notre esprit toutes les fois que, cherchant
l’une
des deux espèces d’ordre, nous rencontrons l’autr
Il est vrai qu’il faudrait commencer par distinguer, par opposer même
l’une
à l’autre, deux espèces d’ordre que l’on confond
antique ; la seconde appartient à la philosophie moderne. Mais, dans
l’une
et l’autre philosophies, l’idée de « généralité »
ompréhension des objets et des éléments incompatibles entre eux. Dans
l’une
et dans l’autre, on groupe sous le même concept d
d ne fait qu’objectiver l’état d’âme de celui qui se serait attendu à
l’une
des deux espèces d’ordre, et qui rencontre l’autr
ce qu’on ne songe pas à distinguer deux espèces d’ordre irréductibles
l’une
à l’autre. Nous disions en effet que tout ordre a
l y a deux espèces d’ordre, cette contingence de l’ordre s’explique :
l’une
des formes est contingente par rapport à l’autre.
dre contraire, si, par là même, je pose deux espèces d’ordre inverses
l’une
de l’autre, je m’aperçois qu’entre les deux ordre
x, au point où l’a amenée une scission des tendances, complémentaires
l’une
de l’autre, qu’elle renfermait en elle, la vie es
gories de l’entendement, spatialité et intellectualité étant calquées
l’une
sur l’autre. Mais ce qui est de nature psychologi
un entendement qui braque sur moi ses catégories : je n’entre ni dans
l’une
ni dans l’autre ni dans les deux à la fois, quoiq
la matière à laquelle il se communique le met en demeure d’opter pour
l’une
des deux, son option ne sera jamais définitive :
ux, son option ne sera jamais définitive : il sautera indéfiniment de
l’une
à l’autre. L’évolution de la vie dans la double d
eurs lignes divergentes, et, si l’espèce humaine est à l’extrémité de
l’une
d’elles, d’autres lignes ont été suivies avec d’a
nir longtemps l’inégalité des droits. De ce point de vue, on aperçoit
l’une
des puissances révolutionnaires du progrès de la
étérogénéité absolue nous empêche de voir l’humanité ; et, par suite,
l’une
comme l’autre serait contraire au succès des idée
homogénéité, puis de l’hétérogénéité ; force nous est de conclure que
l’une
ou l’autre, prise isolément et poussée à l’extrêm
t pourtant, à un certain moment de cette dialectique, avoir besoin de
l’une
comme de l’autre. C’est donc qu’il faut, comme le
des deux est favorable à l’égalitarisme ? », il faut répondre : « ni
l’une
ni l’autre exclusivement, mais toutes deux ensemb
ble ». Leur collaboration achèvera l’œuvre qui, abandonnée totalement
l’une
ou à l’autre, péricliterait. Ce n’est rien moins,
u monogénistes, l’analyse ethnique des groupes qui mènent le progrès.
L’une
et l’autre mettent un même fait en lumière : l’ef
ait en lumière : l’effacement des types spécifiques et collectifs. De
l’une
et l’autre il résulte qu’on ne rencontre plus, da
ns les sociétés occidentales le règne de l’égalitarisme : qui sait si
l’une
ne travaille pas à détisser ce que trame l’autre
ares, les autres se montrent de plus en plus communes, jusqu’à ce que
l’une
remplace complétement l’autre. Mais, si l’on comp
pliquerai mieux ma pensée en supposant trois variétés de Moutons dont
l’une
serait adaptée à une vaste région montagneuse, un
nt d’abord en plus grand nombre arriveront à être en contact immédiat
l’une
avec l’autre, sans interposition de la variété in
insi que leur parent commun, doivent avoir existé antérieurement dans
l’une
quelconque de ces stations séparées ; mais ces fo
pèce, soit en général à des habitudes variables, soit exclusivement à
l’une
ou à l’autre de ces habitudes. Mais il est diffic
re lesquelles, selon Müller, il existe des différences fondamentales.
L’une
est celle des yeux à stemmates nommés yeux simple
ne, je pense, ne contestera d’après cela que les freins ovigères dans
l’une
des familles ne soient srictement homologues aux
lle ; d’autant plus que, en réalité, elles se graduent insensiblement
l’une
dans l’autre. Je ne puis donc douter que les deux
rale et les fonctions en soient identiques, il présente toujours dans
l’une
et l’autre espèce des différences fondamentales.
ne modification de structure s’est produite pour la première fois par
l’une
des causes que je viens d’énumérer ou par toute a
ute créature vivante peut être considéré comme ayant été avantageux à
l’une
de ses formes antérieures, ou comme étant aujourd
un certain laps de temps et sous des conditions de vie nouvelles, si
l’une
de ces particularités d’organisation lui devient
ment de tous les êtres organisés est gouverné par deux grandes lois :
l’une
est l’unité de type ; l’autre, les conditions d’e
s de leur squelette seraient classés par les zoologistes, tantôt dans
l’une
de ces classes, tantôt dans l’autre, selon leurs
e force entre des formes rivales ne pouvaient être d’aucun avantage à
l’une
aux dépens des autres ; par conséquent, devenant
des muscles ordinaires, et l’on peut concevoir un passage graduel de
l’une
à l’autre. De plus, les expériences de Matteucci
électrique sont complètes ; tout ce qui détruit, augmente ou modifie
l’une
, agissant en même sens sur l’autre. La faculté él
r. Ainsi tout mobile auquel s’appliquent deux forces divergentes dont
l’une
est continue décrira une courbe ; et tout mobile,
, requiert au préalable l’application de deux forces divergentes dont
l’une
est continue. Dans ce cas, l’attache des deux car
inférieure ; ce serait le cas si le ralentissement avait deux causes,
l’une
qui serait une propriété inhérente au mouvement l
conséquent double d’un antécédent double, et, comme on ne peut isoler
l’une
ou l’autre de ses deux parties, on ne peut isoler
e peut isoler l’une ou l’autre de ses deux parties, on ne peut isoler
l’une
ou l’autre des deux parties de son antécédent. Ni
alités qui ne s’accordent qu’en un seul point, qui est qu’en vertu de
l’une
ou de l’autre le corps tend à perdre sa chaleur p
oposition est composée sont nettes dans son esprit, elles s’attachent
l’une
à l’autre et y font couple ; cette soudure récipr
I Il y a, pour ces sortes de propositions, deux sortes de preuves,
l’une
expérimentale, inductive, approximative et lente,
sque impraticable. De là deux espèces d’axiomes, lesquelles confinent
l’une
à l’autre par des transitions. Au bas de l’échell
ce qui est contraire aux deux branches de l’axiome de contradiction,
l’une
par laquelle il est dit que, si dans un objet tel
sont égales. Égalité signifie donc présence du même nombre. — Ou bien
l’une
des deux collections est épuisée avant l’autre ;
les deux grandeurs égales pouvaient, par cela même, être substituées
l’une
à l’autre, que, partant, l’augmentation ou la dim
u rapport qu’il a avec ce seul second point. De là deux conséquences,
l’une
qui concerne la ligne entière, l’autre qui concer
par un autre point ; ces deux perpendiculaires sont dites parallèles
l’une
à l’autre. Mais il est une construction plus simp
remière, la seconde ou la troisième, qui répugne aux deux autres ou à
l’une
des deux autres ? — Nous n’en savons rien ; tout
Sur ce dernier article, le développement des théorèmes répondra ; si
l’une
répugne à l’autre, comme la forme carrée répugne
uve est rigoureuse. Elle est fondée tout entière sur deux remarques :
l’une
est que deux portions égales et contiguës de l’es
ile. Supposons maintenant deux forces appliquées au mobile précédent,
l’une
qui, agissant seule, lui ferait parcourir la lign
e infinité de mesures très promptes qu’elles restent à égale distance
l’une
de l’autre. En outre, nous remarquons que, plus e
eurs suites, nous tenons des données qui non seulement s’accompagnent
l’une
l’autre, mais dont l’une enferme l’autre. Si, com
des données qui non seulement s’accompagnent l’une l’autre, mais dont
l’une
enferme l’autre. Si, comme dit Mill, elles ne fai
ou idées ont été éprouvées simultanément ou en succession immédiate,
l’une
tend à éveiller l’autre. La troisième, c’est qu’u
éveiller l’autre. La troisième, c’est qu’une intensité plus grande de
l’une
de ces impressions ou des deux équivaut, pour les
e tantôt par la métaphysique, tantôt par la logique, si bien qu’entre
l’une
, qui dissertait sur les substances et les causes
llumée, de doigt brûlé et de douleur se sont associées, que plus tard
l’une
rappelle l’autre108. Le vrai raisonnement ne se p
tée113. Supposez, dit-il, deux races particulières d’êtres humains, —
l’une
ainsi constituée dès l’origine, que de quelque fa
quelque sentiment de devoir ni l’empêcher de mal faire. Quand même ni
l’une
ni l’autre de ces deux races n’auraient de libre
rales et la liberté de nos volitions sont des questions indépendantes
l’une
de l’autre. Et je soutiens qu’un être humain qui
octrine par une comparaison : l’astronomie a parcouru deux périodes ;
l’une
empirique, chez les anciens, où les phénomènes ét
que, se déroulant dans une durée unique qui sera, à volonté, celle de
l’une
ou de l’autre des deux consciences. Le même raiso
sives pour vérifier si elles sont égales ou inégales ; par hypothèse,
l’une
n’est plus quand l’autre paraît ; l’idée d’égalit
ier ou sur un clavier imaginaires les notes que vous conserviez ainsi
l’une
pour l’autre, qui acceptaient alors de devenir si
imultanéité entre des indications données par deux horloges éloignées
l’une
de l’autre. De celle-là nous avons parlé dans la
ons sans doute que les indications de deux horloges H et H′ éloignées
l’une
de l’autre, réglées l’une sur l’autre et marquant
ications de deux horloges H et H′ éloignées l’une de l’autre, réglées
l’une
sur l’autre et marquant la même heure, sont ou ne
itent la simultanéité des indications de deux horloges très éloignées
l’une
de l’autre comme la simultanéité de deux horloges
er des indications identiques sur deux horloges microbiennes, réglées
l’une
sur l’autre par signaux optiques, qu’il eût subst
ire. La réalité est donc bien ici un compromis entre deux forces dont
l’une
tend à convertir en objet — matière inanimée, spo
e façon qu’on l’imagine, est bien un compromis entre deux forces dont
l’une
s’exprime en une tendance à agir et l’autre en un
ibre les plus variés entre ces deux tendances, se voit abolie dès que
l’une
d’elles, triomphant de l’autre absolument, l’excl
quelques faits grossièrement expliqués en plus. On distingue à peine
l’une
de l’autre dans Aristote ; elles se font suite ;
qui vient de ce qu’on se connaît mieux soi-même. Ainsi de deux choses
l’une
: ou bien la psychologie se borne à l’observation
giciens qu’en psychologues, plutôt en raisonneurs qu’en observateurs.
L’une
de ses principales conséquences a été la doctrine
mme autant de puissances alliées entre elles ou en hostilité. Parfois
l’une
de ces facultés a la suprématie et les autres son
une de ces facultés a la suprématie et les autres sont subordonnées ;
l’une
usurpe l’autorité et une autre cède, l’une expose
autres sont subordonnées ; l’une usurpe l’autorité et une autre cède,
l’une
expose et les autres écoutent ; l’une trompe et l
e l’autorité et une autre cède, l’une expose et les autres écoutent ;
l’une
trompe et l’autre est trompée. Cependant l’esprit
ible que le psychologue tout en se livrant à ses recherches incline à
l’une
des deux solutions ou à toute autre, comme le phy
t être à la fois une psychologie et une métaphysique, elle ne sera ni
l’une
ni l’autre. Elle ressemblera en cela aux autres s
ù elle se déploie, il faut bien que la source du changement soit dans
l’une
ou l’autre, et comme elle n’est point dans la nat
s naturalistes. D’où cette différence, sinon de la méthode employée ?
l’une
colligeant les faits avec une patience infatigabl
ou de plusieurs autres espèces, lors même que nous pourrions comparer
l’une
avec les autres d’assez près, à moins que nous ne
spécifiques. Les formations successives sont le plus souvent séparées
l’une
de l’autre par des périodes d’inactivité d’une du
s lois complexes dans le degré ou la nature de ses ressemblances avec
l’une
ou l’autre espèce mère que la postérité métisse i
riétés reconnues ; pourquoi elle peut de même se fondre de nouveau en
l’une
ou l’autre souche au moyen de croisements success
nt, si elles ont été pendant une longue période complétement séparées
l’une
de l’autre ; car les relations d’organisme à orga
contrées ayant sans doute reçu des colons d’une troisième source, ou
l’une
de l’autre, à différentes époques et en diverses
s époques et en diverses proportions, le cours des modifications dans
l’une
et l’autre aire organique a dû inévitablement êtr
endance modifiée, que les mêmes formes les ont habitées primitivement
l’une
et l’autre ; et l’on constate presque sans except
pe que les variations successives surviennent non pas exclusivement à
l’une
des premières périodes de la vie embryonnaire, ma
Chez tous les êtres organisés, l’union de deux cellules élémentaires,
l’une
mâle et l’autre femelle, semble être de temps à a
e. Rien n’empêche d’admettre que cette matrice universelle n’ait eu à
l’une
des phases de son existence le pouvoir d’élaborer
que la politique est à la sociologie, la médecine à la physiologie ;
l’une
applique ce que l’autre a trouvé et prouvé ; l’un
à la physiologie ; l’une applique ce que l’autre a trouvé et prouvé ;
l’une
veut agir immédiatement sur les hommes et les cho
surtout un art ; l’histoire tend à être de plus en plus une science.
L’une
doit rester en majeure partie subjective ; l’autr
; mais, comme l’ordre peut prendre deux formes, et que la présence de
l’une
consiste, si l’on veut, dans l’absence de l’autre
nt d’une espèce d’ordre à l’autre, et que la prétendue suppression de
l’une
et de l’autre implique la présence des deux. Enfi
elle du sujet et celle de l’objet, avec en plus, un saut perpétuel de
l’une
à l’autre et la refus de jamais se poser définiti
de l’une à l’autre et la refus de jamais se poser définitivement sur
l’une
d’elles, Il est évident que ce n’est pas ce néant
le possible et l’actuel (c’est-à-dire entre deux espèces d’existence,
l’une
pensée et l’autre constatée) dans des cas où une
La raison en est sans doute que négation et affirmation s’expriment,
l’une
et l’autre, par des propositions, et que toute pr
à présenter sous une forme tronquée un système de deux affirmations,
l’une
déterminée qui porte sur un certain possible, l’a
t intermédiaire la déception de l’enfant qui voudrait, en rapprochant
l’une
de l’autre ses deux mains ouvertes, écraser de la
rêtée, et vous n’auriez plus une course de A en B, mais deux courses,
l’une
de A en C, l’autre de C en B, avec un intervalle
ue, mouvement caché dans l’appareil et dont le rôle est de superposer
l’une
à l’autre les images successives pour imiter le m
ur à tour, plus dans l’évolution de la forme que les formes réalisées
l’une
après l’autre. La philosophie pourra donc, des te
ausalité divine ne peuvent s’identifier ensemble que si on les ramène
l’une
et l’autre à une troisième, que nous tenons pour
it Dieu comme cause efficiente ou comme cause finale. Et pourtant, ni
l’une
ni l’autre de ces deux relations n’est la relatio
nc compté des simultanéités, on ne s’est pas occupé du flux qui va de
l’une
à l’autre. La preuve en est que je puis, à mon gr
spatial, comme d’un absolu 107. Il s’est donc engagé tour à tour sur
l’une
et sur l’autre voies, décidé à ne suivre aucune d
ence fut de couper le réel en deux moitiés, quantité et qualité, dont
l’une
fut portée au compte des corps et l’autre à celui
’irréductibilité absolue des deux moitiés entre elles pour considérer
l’une
comme une traduction de l’autre. Des phrases diff
cette nouvelle métaphysique avec celle des anciens viennent de ce que
l’une
et l’autre supposent toute faite, celle-là au-des
quelle coïnciderait tout ce que le sensible contient de réalité. Pour
l’une
et pour l’autre, la réalité, comme la vérité, ser
éalité, comme la vérité, serait intégralement donnée dans l’éternité.
L’une
et l’autre répugnent à l’idée d’une réalité qui s
nnaissance intellectuelle (restreinte à son objet propre) s’engendrer
l’une
l’autre par une adaptation réciproque, l’intellig
mode de subdivision. Cette structure et cette subdivision s’engrènent
l’une
dans l’autre. Elles sont complémentaires l’une de
ubdivision s’engrènent l’une dans l’autre. Elles sont complémentaires
l’une
de l’autre. Elles ont dû progresser l’une avec l’
Elles sont complémentaires l’une de l’autre. Elles ont dû progresser
l’une
avec l’autre. Et, soit qu’on pose la structure ac
matérialité et de l’intellectualité par la consolidation graduelle de
l’une
et de l’autre. Mais c’est alors dans le mouvement
appellent deux cercles de même rayon ? C’est parce qu’en transportant
l’une
d’elles sans la déformer on peut la faire coïncid
e pas. Remarquons également qu’ici les empiristes sont débarrassés de
l’une
des objections les plus graves qu’on peut diriger
ue. Il arrive que nous sommes capables de distinguer deux impressions
l’une
de l’autre, tandis que nous ne saurions distingue
diverses parties de ce corps étaient elles-mêmes invariablement liées
l’une
à l’autre. Comme il n’en est pas ainsi, nous devo
pendant je dis que les deux sphères ont éprouvé la même rotation, que
l’une
comme l’autre ont tourné autour de leur axe ; je
points situés de part et d’autre de la ligne, je ne pourrai passer de
l’une
de ces sensations à l’autre d’une manière continu
t de convergence, deux sensations qui par conséquent appartiendraient
l’une
et l’autre à la coupure C″ pourraient néanmoins ê
mmune comme présentant des caractères exactement intermédiaires entre
l’une
et l’autre ; et cependant une telle supposition s
cependant possible, d’après ma théorie, qu’entre deux formes vivantes
l’une
soit descendue de l’autre, par exemple qu’un Chev
nt avoir existé entre eux. Mais une pareille supposition implique que
l’une
de ces formes soit demeurée invariable pendant un
ous ne connaissons pas une seule coquille terrestre ayant appartenu à
l’une
ou à l’autre de ces longues périodes, à l’excepti
s précédentes ; c’est que les différentes formations ont été séparées
l’une
de l’autre par de longs intervalles de temps. Cet
comme deux espèces distinctes, à moins qu’ils ne puissent les relier
l’une
à l’autre par quelques variétés intermédiaires tr
espèce distincte, à moins qu’il ne puisse être étroitement relié avec
l’une
des deux formes plus récentes, ou avec toutes les
ivants et complets, il est rare que deux formes puissent être reliées
l’une
à l’autre par des variétés intermédiaires, et att
écouvrir à l’état fossile de nombreux liens intermédiaires rattachant
l’une
à l’autre deux espèces éteintes, on peut se deman
e où la plupart de nos terrains s’accumulaient. L’Archipel Malais est
l’une
des régions les plus riches du globe en formes vi
elles de l’Australie, après avoir pris terre pendant cinq minutes sur
l’une
des côtes les plus stériles. IX. De l’apparition
fier, puisqu’elles n’y sauraient trouver avantage. Or, de deux choses
l’une
: ou les espèces changeront, et le dépôt sera pro
puis attribuer leur perte qu’au défaut d’exercice. Deux individus de
l’une
de ces espèces aveugles, le Rat des cavernes (Néo
mportance ; malheureusement, il est encore très imparfaitement connu.
L’une
des applications les plus remarquables de cette l
la première ; de sorte que les deux modifications, s’étant transmises
l’une
et l’autre à un groupe nombreux de descendants, d
j’ai observés. Je n’en rapporterai qu’un seul ici, parce qu’il montre
l’une
des plus larges applications du principe. Les val
a seulement un caractère spécifique, et nul ne serait surpris de voir
l’une
des espèces à fleurs bleues varier de manière à p
nous ne pouvons distinguer les uns des autres les effets provenant de
l’une
ou l’autre de ces deux causes de variations90. Si
analogie de variations ; cependant, il résulte de ma théorie que, par
l’une
ou l’autre de ces deux causes, la postérité varia
même groupe. Or, c’est sans aucun doute ce que nous offre la nature.
L’une
des plus grandes difficultés qu’il y ait à reconn
de considérer chacune de ses formes comme indépendamment créées, que
l’une
en variant ait assumé quelques-uns des caractères
tait point albinos et qui n’avait ni raie dorsale ni raie scapulaire.
L’une
et l’autre sont quelquefois très peu visibles ou
es races chevalines descendent de plusieurs espèces originelles, dont
l’une
, d’un pelage gris-brun, était rayée ; et que les
oute modification organique ne doit en réalité avoir que deux causes.
L’une
est fondamentale et directe : c’est l’action du m
e du genre. De cette première souche seraient sorties deux familles :
l’une
, comprenant le zèbre et le couagga, a conservé so
ryon à quatre Corynthiennes. « Qu’est-ce que ça veut dire ? » insinue
l’une
d’elles. Mélandryon répond : « Il ne faut jamais
n, c’est-à-dire sans lien logique, une cohue de sensations s’appelant
l’une
l’autre, courant l’une à l’autre, de plus en plus
en logique, une cohue de sensations s’appelant l’une l’autre, courant
l’une
à l’autre, de plus en plus apeurées et effrayante
ation d’un inconnu. M. Schwob poursuit : « Elles peuvent se rapporter
l’une
à l’autre en tant qu’elles sont des signes… et il
su se faire une sorte de domaine à part. Il est de l’Île Bourbon, de
l’une
de ces îles du Tropique, patrie à demi orientale
sages, presque tous empruntés à l’Île Bourbon, l’Île natale du poète,
l’une
des plus belles des mers de l’Inde. Ce que l’aute
les autres, ni en ce sens qu’elles auraient deux objets différents :
l’une
les vérités naturelles, l’autre les vérités surna
ssent un seul et même objet, l’infini, de deux manières différentes :
l’une
par le sentiment, l’autre par le raisonnement. C’
nous contenterons de rappeler qu’il y a dans l’homme deux tendances :
l’une
par laquelle il tend à tomber au-dessous de lui-m
tendent à maintenir un niveau élevé dans l’humanité. La religion est
l’une
de ces forces, une des plus puissantes et des plu
onçoit les raisons. Leur caractère et leur marche sont trop opposés :
l’une
est scrupuleuse et lente ; l’autre, hardi et rapi
opposés : l’une est scrupuleuse et lente ; l’autre, hardi et rapide :
l’une
pèse sur les détails, l’autre saisit les résultat
t rapide : l’une pèse sur les détails, l’autre saisit les résultats ;
l’une
amasse des faits, l’autre combine des idées : l’u
t les résultats ; l’une amasse des faits, l’autre combine des idées :
l’une
, enfin, se défie de la pensée et craint l’imagina
nous comparons deux formations quelconques, sauf le cas où elles sont
l’une
avec l’autre en rapports étroits de succession, o
e pourrait jamais être parfaitement identique à l’ancienne, parce que
l’une
et l’autre auraient certainement hérité de leurs
le Cheval, on aurait pu au moins en inférer qu’elles appartenaient à
l’une
des dernières époques tertiaires. Cependant, lors
vons étudiées dans le paragraphe précédent que nous devons trouver en
l’une
et en l’autre la même succession générale des for
mais les espèces peuvent bien ne pas se correspondre exactement, car
l’une
de ces régions a eu un peu plus de temps que l’au
représentées sur la ligne supérieure, deviendraient moins distinctes
l’une
de l’autre. Si par exemple les genres a1, a5, a10
beaucoup de formes éteintes venaient à être découvertes au-dessus de
l’une
des lignes horizontales moyennes qui indiquent le
ore distinctes. Cependant ces deux familles seraient moins distinctes
l’une
de l’autre qu’elles ne l’étaient avant la découve
les Éléphants ont été classés par le docteur Falconer en deux séries,
l’une
d’après leurs affinités organiques mutuelles, l’a
res de la même classe, inférieurs et supérieurs, qui ont vécu pendant
l’une
et l’autre période. À une époque reculée, les mol
i sépare une île de la terre ferme la plus voisine, et la présence en
l’une
et en l’autre des mêmes espèces de Mammifères ou
ne ou plusieurs d’entre ces îles, ou en se répandant subséquemment de
l’une
dans les autres, se sera trouvé exposé à différen
l’on pourrait inférer de certains faits qu’elles se sont répandues de
l’une
dans les autres. Mais nous nous formons souvent u
e des espèces proche-alliées envahissent nécessairement le territoire
l’une
de l’autre dès que de libres communications s’éta
supplantera totalement ou partiellement dans un bref délai ; mais si
l’une
et l’autre sont également bien adaptées à leurs s
adère n’a point été colonisé par les espèces de Porto-Santo, bien que
l’une
et l’autre île aient reçu des colonies de coquill
ui habitent les diverses îles Galapagos ne se soient pas répandues de
l’une
à l’autre. En beaucoup d’autres cas, et même entr
i, que, lorsque, dans deux régions, quelque éloignées qu’elles soient
l’une
de l’autre, on trouve beaucoup d’espèces proche-a
ons enfin pourquoi en deux régions, quelque distantes qu’elles soient
l’une
de l’autre, il existe une certaine corrélation en
t entre elles une parenté étroite, plus elles se trouvent rapprochées
l’une
de l’autre dans le temps et dans l’espace, parce
ceptions, actuelles et virtuelles, s’étendent le long de deux lignes,
l’une
horizontale AB, qui contient tous les objets simu
deux conditions admettent des degrés, et on conçoit que, nécessaires
l’une
et l’autre, elles soient inégalement remplies. Ai
départ. Il y a, disions-nous, deux mémoires profondément distinctes :
l’une
, fixée dans l’organisme, n’est point autre chose
précision avec laquelle ces deux mémoires complémentaires s’insèrent
l’une
dans l’autre, que nous reconnaissons les esprits
adverses, on leur découvrirait un postulat commun : elles supposent,
l’une
et l’autre, que nous partons de la perception d’o
leinement conçue et de l’individualité nettement perçue, les engendre
l’une
et l’autre par voie de dissociation. L’analyse ré
s’en faut d’ailleurs que ces deux opérations divergentes de l’esprit,
l’une
par laquelle il discerne des individus, l’autre p
t que l’idée générale nous échappe dès que nous prétendons la figer à
l’une
ou l’autre de ces deux extrémités. Elle consiste
e ces deux extrémités. Elle consiste dans le double courant qui va de
l’une
à l’autre, — toujours prête, soit à se cristallis
excitations sensorielles. En fait, le moi normal ne se fixe jamais à
l’une
de ces positions extrêmes ; il se meut entre elle
représentations qui se succèdent, on n’explique pas du tout pourquoi
l’une
évoque l’autre. La véritable question est de savo
ment habituel, de leur obéir à toutes. Par exception on s’écartera de
l’une
d’elles, on résistera : que si l’on résiste à cet
deux lignes divergentes d’évolution, et des sociétés à l’extrémité de
l’une
et de l’autre. Le type de société qui paraîtra le
une personnalité privilégiée qui devient un exemple. La généralité de
l’une
tient à l’universelle acceptation d’une loi, cell
r cette métaphysique. Métaphysique et morale expriment la même chose,
l’une
en termes d’intelligence, l’autre en termes de vo
morale n’opèrent pas isolément, comme celles de la première : dès que
l’une
d’elles, cessant d’être abstraite, se remplit de
ns le langage. La morale comprend ainsi deux parties distinctes, dont
l’une
a sa raison d’être dans la structure originelle d
mblance ou peut-être à cause d’elle, se livrèrent bataille, avant que
l’une
absorbât ce qu’il y avait de meilleur dans l’autr
qu’il faudrait ouvrir si l’on voulait faire la part des deux forces,
l’une
sociale et l’autre supra-sociale, l’une d’impulsi
aire la part des deux forces, l’une sociale et l’autre supra-sociale,
l’une
d’impulsion et l’autre d’attraction, qui donnent
formules plus simples, enfin et surtout parce qu’on y voit s’emboîter
l’une
dans l’autre les deux formes de l’obligation. La
la « vendetta » se poursuivrait sans fin entre les deux familles, si
l’une
d’elles ne se décidait à accepter un dédommagemen
e nature, entre les deux idées de justice que nous avons distinguées,
l’une
close, l’autre ouverte. Car la justice relativeme
créations successives. La même forme s’impose ainsi à deux matières,
l’une
fournie par la société, l’autre issue du génie de
oit faire dans chaque cas particulier ? Des forces profondes sont là,
l’une
d’impulsion et l’autre d’attraction : nous ne pou
brique sous laquelle on convient de ranger les actions qui présentent
l’une
ou l’autre aptitude, et auxquelles on se sent dét
t c’est pourquoi la raison pourra adopter comme principe de la morale
l’une
quelconque des fins que poursuit l’homme en socié
cer à la fin, comment nous imposer les moyens ? Pourtant, en adoptant
l’une
quelconque de ces fins comme principe de la moral
s, ils n’ont pas de peine à reconstituer le contenu de la morale avec
l’une
quelconque des fins prise pour principe, et à mon
aura-t-on prise sur la volonté ? Deux voies s’ouvrent à l’éducateur.
L’une
est celle du dressage, le mot étant pris dans son
e, dans certaines circonstances, la sienne. Qu’on pratique d’ailleurs
l’une
ou l’autre méthode, dans les deux cas on aura ten
n psychologique contient donc quatre termes et deux propositions dont
l’une
concerne le sujet et l’autre l’objet. Prenons un
ion, c’est-à-dire que les correspondances les plus simples se fondent
l’une
dans l’autre et s’unissent intimement, de façon à
ctivement sont nettement distinguées par ceci : c’est que, tandis que
l’une
des deux classes renferme des changements à la fo
ons qui constituent la pensée, se présentent, non en même temps, mais
l’une
après l’autre. Une critique rigoureuse exigerait
s divisions de la vie peuvent toujours être distinguées en ceci : que
l’une
est une correspondance à la fois simultanée et su
supposer que cela constitue une distinction telle, que le passage de
l’une
à l’autre n’est plus possible. Il n’en est rien c
s143. » Ainsi donc, les deux grandes divisions de la vie consistent,
l’une
en une correspondance à la fois simultanée et suc
ce humaine, en commençant par le faîte. Nous enlèverons chaque assise
l’une
après l’autre, jusqu’à ce que nous parvenions à l
l’égalité implique une aptitude corrélative à percevoir l’inégalité ;
l’une
ne peut exister sans l’autre. Quoique inséparable
e l’égalité et celle de l’inégalité diffèrent en ceci, que tandis que
l’une
est essentiellement définie, l’autre est essentie
relativement cohérentes en elles-mêmes, et relativement incohérentes
l’une
par rapport à l’autre. Il a résumé d’ailleurs, da
longues analyses que M. Herbert Spencer a faites des divers rapports,
l’une
des plus remarquables est celle qui résout le rap
e leurs regles Comme les parties d’un tableau sont toujours placées
l’une
à côté de l’autre et qu’on en voit l’ ensemble du
dignité, elle est facilement remarquée, puisque ces deux figures sont
l’une
à côté de l’autre. Il n’en est pas de même d’un p
ions. Les cités qui se partagent le globe vivent-elles indépendantes
l’une
de l’autre, ou bien dépendent-elles d’une solidar
e, et d’affirmer que l’accroissement des rapports inter-nationaux est
l’une
des bases les plus essentielles de l’avenir des p
n de fond entre la vie intérieure et la vie extérieure de l’individu.
L’une
et l’autre s’engendrent réciproquement pour ce ré
toire, vivraient côte à côte, sans liens nécessaires, tantôt se ruant
l’une
sur l’autre, tantôt paraissant s’ignorer mutuelle
individus tout à fait divergents. » Mais les races les plus distantes
l’une
de l’autre par leur histoire, leur passé, leur si
ndispensables à la vie quotidienne que l’air respirable ; « bloquer »
l’une
des nations du monde moderne, ce serait amener sa
ivoque. Ils naissent de ce que deux représentations de la Relativité,
l’une
radicale et conceptuelle, l’autre atténuée et ima
, en quoi consiste la concordance de nos horloges. Comment règle-t-on
l’une
sur l’autre deux horloges situées en des lieux di
a même double erreur qui a présidé jadis au réglage des deux horloges
l’une
sur l’autre. Ainsi, soit que l’on compte le temps
que, en un lieu déterminé, soit qu’on utilise deux horloges distantes
l’une
de l’autre, dans les deux cas on obtiendra, à l’i
les ont beau ne pas avoir la même durée, elles ne font qu’une seconde
l’une
et l’autre. Des simultanéités sont devenues succe
aurait aussi bien pu supposer une dilatation transversale, ou encore
l’une
et l’autre à la fois, dans la proportion convenab
mouvement, les deux lois ne diffèrent que par la forme ; on passe de
l’une
à l’autre par une simple différenciation. Et cepe
ncore. Qu’en résulte-t-il ? Ces théories semblent des images calquées
l’une
sur l’autre ; elles s’éclairent mutuellement, en
trer que l’analyse pure et la physique mathématique peuvent se servir
l’une
l’autre sans se faire l’une à l’autre aucun sacri
a physique mathématique peuvent se servir l’une l’autre sans se faire
l’une
à l’autre aucun sacrifice et que chacune de ces d
ant d’ordinaire à divers sens, mais si bien liées, que la présence de
l’une
annonce d’ordinaire la présence possible et au mê
r complète, mais il refuse expressément ce caractère à la seconde122.
L’une
serait acceptée sans réserve par un idéaliste, l’
sans réserve par un idéaliste, l’autre confine à l’empirisme absolu :
l’une
touche à Berkeley, l’autre à Hume123. Qu’y a-t-il
ces deux théories que l’auteur confond sous un même nom ? Le voici :
l’une
réduisant la matière à n’être qu’une collection d
es plaisirs de la badauderie ; que, d’ailleurs, elles s’entretiennent
l’une
par l’autre ; qu’ainsi tout le monde est content,
n trait de commun entre ces deux Clairon ! Laquelle est la vraie ? Ni
l’une
ni l’autre peut-être. Du moins pouvons-nous espér
e ni l’autre peut-être. Du moins pouvons-nous espérer qu’il y a, dans
l’une
de ces peintures, quelques vagues linéaments de c
rai dire la destruction de l’idée du moi à laquelle avait conclu déjà
l’une
de ces analyses précédentes avait bien pour effet
e suppression. En dehors de ces deux tentatives d’explication qui, ni
l’une
ni l’autre n’atteignent leur objet, il n’en reste
quivalent de l’unité primitive : en chaque individu se montrent liées
l’une
à l’autre et réunies en un même lieu psychologiqu
le potage où paraît un coq, les deux assiettes, … Dont
l’une
était ornée D’une langue en ragoût de persil cour
Présentant pour renfort leurs squelettes brûlés ; et les salades :
L’une
de pourpier jaune et l’autre d’herbes fades, Dont
et le jambon de Mayence, avec les deux assiettes qui l’accompagnent,
L’une
de champignons avec des ris de veau, Et l’autre d
pénitentes autour du lit, dans la chambre, empressées et jalouses :
L’une
chauffe un bouillon, l’autre apprête un remède.
eux idées et toute la série des raisonnements par où l’on s’avance de
l’une
à l’autre, incapable de suivre un principe dans s
e un principe dans ses conséquences les plus lointaines et d’emporter
l’une
après l’autre toutes les défenses d’un auditeur p
eu sur le fond, agenouillées, assises, accroupies, quatre femmes dont
l’une
pleure, la seconde écoute. La troisième médite, l
ce personnage est dérobé par un enfant vu par le dos et appartenant à
l’une
des deux grandes femmes qui sont debout. Derrière
sont debout, le vieillard incliné à leurs piés, et les deux figures,
l’une
d’homme et l’autre de femme vues par le dos et pl
ux grands athlètes qui font un coup fouré. Les deux compositions sont
l’une
à l’autre comme les caractères des deux hommes. V
zin et à moi, occasion d’agiter quelques questions relatives à l’art,
l’une
desquelles eut pour objet les groupes et les mass
au de la manne du Poussin ; ces trois femmes qu’on voit à gauche dont
l’une
ramasse la manne, la seconde en ramasse aussi, et
ain qui en est l’auteur. Il est bien évident que tout ce qui est dans
l’une
a dû être d’abord dans l’esprit de l’autre. La qu
r une analyse littéraire, si rigoureusement que puissent être opérées
l’une
et l’autre. Quand même il ne s’agirait que de con
de forces qui se résout, il est vrai, en harmonie par le triomphe de
l’une
d’elles ; mais l’équilibre est instable et ce n’e
s barbares publicains. » On sait, après cela, et de science certaine,
l’une
des causes qui firent de Rousseau un ancêtre du s
Nausicaa et la fille de Pharaon vont laver leurs robes aux fleuves :
l’une
y trouve Ulysse, et l’autre Moïse. Il y a surtout
de mes pères120. » Voilà deux sortes d’antiquités bien différentes :
l’une
est en images, l’autre en sentiments ; l’une réve
uités bien différentes : l’une est en images, l’autre en sentiments ;
l’une
réveille des idées riantes, l’autre des pensées t
nts ; l’une réveille des idées riantes, l’autre des pensées tristes ;
l’une
, représentant le chef d’un peuple, ne montre le v
uelle, en philosophie. Deux conceptions différentes de la relativité,
l’une
abstraite et l’autre imagée, l’une incomplète et
ions différentes de la relativité, l’une abstraite et l’autre imagée,
l’une
incomplète et l’autre achevée, coexistaient dans
re cueillie par un choix intelligent. De ces deux doctrines opposées,
l’une
attribue au corps et l’autre à l’esprit un don de
couleurs, entre des nuances, la différence est absolue. Le passage de
l’une
à l’autre est, lui aussi, un phénomène absolument
ce et par conséquent son individualité à son mouvement 104. Mais dans
l’une
et l’autre hypothèses, nous voyons s’évanouir, à
ndant notre sommeil, deux personnes Contemporaines et distinctes dont
l’une
dort quelques minutes tandis que le rêve de l’aut
t être absolument tranchée ; on passe, par gradations insensibles, de
l’une
à l’autre : l’étroite solidarité qui lie tous les
spèce de déduction qualitative, le mécanisme s’attachant plutôt, dans
l’une
quelconque des coupes, aux divisions pratiquées d
lités contemplées ou des formes de la contemplation, elles attribuent
l’une
et l’autre à l’espace et au temps un intérêt plut
aucune manière. Or, les principales difficultés qu’elles rencontrent
l’une
et l’autre dans la théorie de la perception dériv
tactile ou dans leurs causes, quelque chose qui les fait correspondre
l’une
à l’autre et qui assure la constance de leur para
teraient-elles pas la même durée, lors même qu’elles seraient doubles
l’une
de l’autre ? En concluant de là qu’une durée « es
a même nuance qui sépare l’Érudition de la Science ; c’est-à-dire que
l’une
est aisément acquise, commodément étendue, se dif
téraire d’une importante partie de notre société. L’usage dominant de
l’une
ou de l’autre méthode chez tel écrivain peut d’ai
t très jeune « dans des convulsions » (p. 555). Deux sœurs vivantes :
l’une
continuellement obsédée d’idées obscènes, l’autre
ue ; nous l’abrégerons pour ne signaler que les références médicales.
L’une
des plus efficaces fut pour M. Zola l’intimité de
ère de la mélancolie avec prédominance d’hallucinations, c’est-à-dire
l’une
des formes de délire les plus constantes, invaria
es. Mais il y a en elles quelque chose qui le plus souvent survit. Si
l’une
d’elles nous a fait connaître un rapport vrai, ce
tiques, et les deux propositions n’ont évidemment pas moins de valeur
l’une
que l’autre. Et même les synthèses scientifiques
la Terre ne tourne pas » ne sont donc pas cinématiquement plus vraies
l’une
que l’autre. Affirmer l’une, en niant l’autre, au
sont donc pas cinématiquement plus vraies l’une que l’autre. Affirmer
l’une
, en niant l’autre, au sens cinématique, ce serait
nématique, ce serait admettre l’existence de l’espace absolu. Mais si
l’une
nous révèle des rapports vrais que l’autre nous d
a société antique… Elle enseigne à l’homme qu’il a deux vies à vivre,
l’une
passagère, l’autre immortelle ; l’une de la terre
omme qu’il a deux vies à vivre, l’une passagère, l’autre immortelle ;
l’une
de la terre, l’autre du ciel. Elle lui montre qu’
te. L’ode et l’épopée ne le contiennent qu’en germe ; il les contient
l’une
et l’autre en développement ; il les résume et le
; ce sont deux faces de la vérité, qui se complètent et s’expliquent
l’une
l’autre. Aristote ayant distingué les genres lyri
la sérénité (Katharsis). Tout individu, je le répète, peut connaître
l’une
après l’autre chacune de ces trois étapes ; la so
mun à ces deux formes de la grandeur, puisqu’on les appelle grandeurs
l’une
et l’autre, et qu’on les déclare également suscep
re deux formes successives de la joie, et cet acheminement graduel de
l’une
à l’autre fait qu’elles nous apparaissent à leur
i changeait de grandeur. Quand vous serrez les lèvres de plus en plus
l’une
contre l’autre, vous croyez éprouver à cet endroi
termédiaires entre deux quantités physiques qu’on pourra alors égaler
l’une
à l’autre. La sensation lumineuse joue ici le rôl
ances intermédiaires soit égal des deux côtés, bien que l’on passe de
l’une
à l’autre par des sauts brusques, nous ne savons
ue, sont des quantités égales entre elles. Et de plus, on peut égaler
l’une
quelconque des sensations obtenues à la somme des
un intervalle entre deux sensations successives S et S′, alors que de
l’une
à l’autre il y a simplement passage, et non pas d
ndu et l’étendu, entre la qualité et la quantité. On peut interpréter
l’une
par l’autre, ériger l’une en équivalent de l’autr
qualité et la quantité. On peut interpréter l’une par l’autre, ériger
l’une
en équivalent de l’autre ; mais, tôt ou tard, au
t de la sensation avec l’excitation, la science chercherait à mesurer
l’une
comme elle mesure l’autre : tel a été l’objet de
à toute question de ce genre, on distingue deux espèces de quantité,
l’une
intensive, qui comporte seulement le plus et le m
langues se sont déjà superposées, non pas en se chassant brusquement
l’une
l’autre, mais la seconde sortant par d’insensible
chaque relation son expression isolée. Il serait possible, en prenant
l’une
après l’autre les langues de tous les pays où l’h
rec antique ; de même l’étude de nos langues classiques, inséparables
l’une
de l’autre, sera toujours chez nous, par la force
sait par ses résistances, s’abandonna à son humeur avec toutes deux ;
l’une
avait à souffrir des infidélités sans déguisement
ctées. Et les deux femmes, ayant toujours quelque raison de s’accuser
l’une
l’autre de ce qu’il y avait de fâcheux dans leur
âcheux dans leur situation, étaient continuellement en guerre ouverte
l’une
contre l’autre, ou dans un état de défiance qui n
iser dans la plus merveilleuse harmonie, il faut avoir de deux choses
l’une
ou la raison du grand historien qui voit l’entre-
Bâtard, qui va devenir le sceptre du conquérant de l’Angleterre ! De
l’une
à l’autre de ces dates, ce qui passe à travers le
virginal des peuples nouveaux, il y avait deux sortes de piétés, dont
l’une
fût éclairée et dont l’autre ne le fût pas ! Cert
des idées qu’il croit détruire, il propose les siennes propres. Comme
l’une
de ses principales objections est que l’école qu’
nfondre ; jusque-là, on ne doit pas trancher le conflit en sacrifiant
l’une
ou l’autre. Nous ne pouvons d’ailleurs tout dire
ou l’autre. Nous ne pouvons d’ailleurs tout dire sur cette question,
l’une
des plus grandes du siècle, et sur laquelle M. Ta
sion en Dieu de Malebranche. Ces deux théories ne sont pas solidaires
l’une
de l’autre. Je puis très-bien admettre des idées
aire. Voilà un exemple frappant de la différence de ces deux lois. Si
l’une
et l’autre sont obtenues par l’analyse des faits,
. Si l’une et l’autre sont obtenues par l’analyse des faits, pourquoi
l’une
souffre-t-elle la possibilité d’une exception, et
hies étant bien fixée, comment M. Taine s’y prend-il pour réconcilier
l’une
avec l’autre ? C’est ce qu’il nous est jusqu’ici
radiction par des signes déterminés. Il est assez curieux de comparer
l’une
à l’autre, pour les mieux comprendre par le contr
elle se brise en centres divergents dont chacun devient une planète ;
l’une
de ces planètes est la terre. La terre passe à so
et mouvement, voilà celui de M. Renan. Ces deux idées vont se perdre
l’une
et l’autre dans l’idée commune d’un absolu phénom
à l’on voit deux philosophies de caractère très-différent se dessiner
l’une
en face de l’autre et renouveler, comme on l’a vu
énétrant au-delà pour y découvrir la cause, la substance, l’infini, —
l’une
tout imprégnée de l’esprit des sciences positives
, mais tempérée par les lumières et la mesure de l’esprit français, —
l’une
enfin à la recherche du positif, l’autre à la pou
e préface de M. Littré. Il consacre quelques pages de cette préface à
l’une
des questions qui lui tiennent le plus à cœur, ai
ologie est le fondement de la métaphysique, et qu’il faut s’élever de
l’une
à l’autre. N’est-ce pas là ce qu’enseignent M. Ma
ot n’exagère-t-il pas la portée de cette distinction en affirmant que
l’une
de ces idées a un objet réel, et que l’autre n’en
s et circonspectes inductions ? Fénelon a exprimé cette doctrine dans
l’une
des phrases les plus belles et les plus profondes
nt pas une pareille faute. Ils étudient chaque question séparément et
l’une
après l’autre. La synthèse se fait d’elle-même, e
ces deux conditions sont données, ses perceptions sont possibles ; si
l’une
ou l’autre étaient supprimées, ses perceptions ce
ences de l’émotion. Il n’y a là qu’un seul et même fait à deux faces,
l’une
intellectuelle, l’autre affective et impulsive. —
it un halluciné, qu’il y a toujours eu en moi une double pensée, dont
l’une
contrôlait les actions de l’autre. »« Il y a, dit
onne. « Parmi plusieurs femmes hypnotisées, dit le docteur Elliotson,
l’une
s’imaginait qu’elle était de verre, et elle tremb
si entre les deux. Il suffit que les trois images viennent chevaucher
l’une
sur l’autre, pour que les deux refoulements s’opè
i d’évocation mutuelle les éveille ensemble. Elles contractent ainsi,
l’une
par rapport à l’autre, un ordre apparent qui corr
ensations dont elles sont le reliquat. Contiguïté de deux sensations,
l’une
précédente, l’autre suivante, éveil réciproque de
s, l’une précédente, l’autre suivante, éveil réciproque de l’image de
l’une
par l’image de l’autre, soudure apparente des deu
e passé que nous les considérions, nous les trouvons toujours soudées
l’une
à l’autre dans le même ordre. La répétition const
t ce n’est pas peu dire. D’abord la raison n’est pas la sagesse et ni
l’une
ni l’autre n’est pas la logique. Et les trois ens
la grâce sont les deux opérations du salut, hermétiquement articulées
l’une
sur l’autre. Et en dehors il y a l’immense tourbe
sse universelle consistant à toujours se servir du tout fait aura été
l’une
des grandes conquêtes et l’instauratio magna de l
mée de secours aussi ne donne pas la main à la sortie de la place. Si
l’une
armée ne trouve pas l’autre venue au devant d’ell
rouve pas l’autre venue au devant d’elle, l’autre aussi ne trouve pas
l’une
. Quand on se manque, on se manque à deux. La faut
qui soient telles que leur événement ne soit pas le même si c’est en
l’une
de ces façons qu’on doit l’expliquer que si c’est
hode est une morale instauratoire pour la conduite de la pensée. Mais
l’une
et l’autre sont conjointes et ont exactement le m
de l’homme et de l’être, qui sont des conditions organiques, et dont
l’une
précisément serait que tout vaut mieux que de tou
ce La littérature et la science poursuivent deux buts différents :
l’une
cherche à plaire, l’autre à instruire ; l’une vis
deux buts différents : l’une cherche à plaire, l’autre à instruire ;
l’une
vise à la beauté, l’autre à la vérité. Cela ne ve
out éclairer. Il peut y avoir des ouvrages qui relèvent uniquement de
l’une
ou de l’autre ; un traité de géométrie ou d’algèb
ur être placées aux deux pôles et parce que, sans être aussi opposées
l’une
à l’autre qu’on le dit, elles sont pourtant sépar
x voix que l’homme moderne entend retentir au fond de sa conscience ;
l’une
est celle de la science, implacable et sereine, q
Il y a, dit Montaigne, ignorance abécédaire et ignorance doctorale. —
L’une
est celle d’où part la science ; l’autre est cell
intellectuel des rapports qui n’impliquent pas une action directe de
l’une
sur l’autre, mais qui révèlent un véritable paral
II L’un des « concepts », ou, — pour parler plus humainement, —
l’une
des idées que le positivisme a le plus profondéme
es paroles de Pascal : « Les parties du monde ont un tel enchaînement
l’une
avec l’autre que je crois impossible de connaître
enchaînement l’une avec l’autre que je crois impossible de connaître
l’une
sans l’autre et sans le tout. » Il précise plus l
sée : « La flamme ne subsiste point sans l’air : donc, pour connaître
l’une
il faut connaître l’autre. » La théorie moderne d
lleure manière de répondre à ces objections n’est pas de les discuter
l’une
après l’autre, ce qui ne servirait guère, comme p
une doctrine entière, — quelles sont les conséquences qui ont suivi ?
L’une
des plus intéressantes est sans doute la limitati
ieux, plus convaincant, ni plus passionné. Ne craignons pas d’en dire
l’une
au moins des raisons. Les grands « métaphysiciens
abillée comme dans le nord de la France, est debout, les mains posées
l’une
sur l’autre : elle est en face, près de son mari
— la bonne grand’mère est assise sur le devant, les deux mains posées
l’une
sur l’autre, regardant le spectateur et lui souri
s enfants. La mère est absente. Ce sont des enfants déjà grands, dont
l’une
est mère et emmaillote l’enfant, qu’elle tient su
omme la nappe. La femme à côté ne mange ni ne boit ; elle a les mains
l’une
sur l’autre. Elle porte un vêtement, gris-verdâtr
touré de deux bonnes et aimables cousines qui le soignent ; il épouse
l’une
d’elles, et il trouve désormais dans les affectio
s ses vers. La plume est la langue de l’âme ; telles pensées engendre
l’une
, tels écrits trace l’autre. Quand les rois et les
ût de celle de Cervantes ou qui mérite d’en être rapprochée. Elle est
l’une
des plus originales en son genre. Ce spirituel vi
er un matin, tandis qu’on l’habillait, une tache de gangrène sénile à
l’une
de ses jambes, cacha à ses gens le pronostic qu’i
raductions de Rosset et d’Oudin (1618, 1620). Mme de Chevreuse, à qui
l’une
de ces traductions est dédiée, lisait Don Quichot
’un à l’autre, de mettre en contraste les points de vue, de voir dans
l’une
de ces créations une contre-partie de la création
: si on colle l’œil sur chaque feuille, chaque branche, chaque racine
l’une
après l’autre, on ne verra pas l’arbre : il faut
nettement parti ; entre deux explications contraires, se décider pour
l’une
et repousser l’autre ; entre deux versions d’un f
re deux versions d’un fait, opter franchement et ne point osciller de
l’une
à l’autre. Surtout gardez-vous de cette lâcheté d
la communication entre une idée et toutes les autres sauf deux, dont
l’une
la précédera et l’autre la suivra ; il faut lui f
nt enfin que les autres nations païennes avaient pu, sans rien savoir
l’une
de l’autre, concevoir des idées uniformes sur les
nnes, et a prétendu qu’elles avaient été inscrites sur deux colonnes,
l’une
de marbre, l’autre de brique, qui devaient les pr
ables que leurs pyramides. Je parle de deux vérités historiques, dont
l’une
nous a été conservée par Hérodote : 1º Ils divisa
gné aux Grecs l’alphabet de la Phénicie ? Nous ne pouvons admettre ni
l’une
ni l’autre opinion. — Les Grecs ne se servirent p
es peuvent avoir des propriétés différentes ou les mêmes. — Selon que
l’une
ou l’autre de ces hypothèses est vraie, l’explica
qui détermine cette orbite est une somme de raisons distinctes, dont
l’une
est l’impulsion initiale, ou force tangentielle,
e est en rapport, le soleil. Cette loi est un couple de deux données,
l’une
qui est la planète, l’autre qui est la tendance d
ntrale avec laquelle elle est en rapport. Comparons ces trois données
l’une
à l’autre. — La première, la planète, contient l’
nt consécutive, se nomme conclusion. Les deux prémisses se composent,
l’une
, de la première idée, la plus compréhensive de to
longueurs, qu’on nomme coordonnées, sont des grandeurs qui, comparées
l’une
à l’autre, offrent un certain rapport. Voilà donc
ce stade, la répulsion et l’attraction étant à peu près neutralisées
l’une
par l’autre, les molécules, qui ne se repoussent
n sens contraire, et qu’en vertu de cet équilibre les molécules n’ont
l’une
par rapport à l’autre ni adhérence notable ni rép
— Deux propriétés sont communes à tous les organes d’un corps vivant.
L’une
, mentionnée plus haut114, et exposée tout au long
lécule est composée de deux ou plusieurs petites masses élémentaires,
l’une
qui est de l’oxygène, l’autre qui est de l’hydrog
offroy Saint-Hilaire et Cuvier avaient constaté les propriétés. — Par
l’une
de ces propriétés, l’organe est une pièce dans un
tres ont travaillé tour à tour pour fabriquer chacune de nos espèces.
L’une
de ces lignées, la plus ancienne de toutes, primi
mmensité de l’univers ? II Deux séries de cas sont en présence,
l’une
considérable, composée de tous les faits et lois
dire, n’en font qu’une, constituent cette âme, ce principe spirituel.
L’une
est dans le passé, l’autre dans le présent. L’une
principe spirituel. L’une est dans le passé, l’autre dans le présent.
L’une
est la possession en commun d’un riche legs de so
nt tout en elles, généreuses souvent, malheureuses toujours. Défendre
l’une
contre le despotisme, l’autre contre le mépris. E
re contre le mépris. Enseigner à quelles épreuves résiste la vertu de
l’une
, à quelles larmes se lave la souillure de l’autre
ns plus riches qui en paraissent dériver, et qui se sont neutralisées
l’une
l’autre dans cette fusion même, comme une obscuri
ées, celle d’un but à atteindre et celle d’un mouvement à accomplir :
l’une
des idées s’est évanouie, et, seule, la représent
ions habituelles. Cette impression et cette idée ont fini par se lier
l’une
à l’autre. Aussi l’acte suit-il l’impression sans
hésite entre deux actions possibles X et Y, et je vais tour à tour de
l’une
à l’autre. Cela signifie que je passe par une sér
nguer deux manières de s’assimiler les états de conscience d’autrui :
l’une
dynamique, qui consisterait à les éprouver soi-mê
erre à un moment quelconque de son histoire, il faudra de deux choses
l’une
: ou que, semblable à un romancier qui sait où il
i leurs deux âmes ont la même histoire, comment les distinguerez-vous
l’une
de l’autre ? Sera-ce par le corps où elles habite
ntécédents ? Car il y a deux manières de s’assimiler ces antécédents,
l’une
dynamique, l’autre statique. Dans le premier cas,
lié à cette cause, une pareille affirmation signifiera de deux choses
l’une
: ou bien que, les antécédents étant donnés, on e
anière. Et l’on ne voit pas d’inconvénient à tempérer ces deux images
l’une
par l’autre, et à faire prédominer l’une ou l’aut
t à tempérer ces deux images l’une par l’autre, et à faire prédominer
l’une
ou l’autre, selon qu’on se préoccupe plus ou moin
— représentations mathématiques de l’univers, totalement différentes
l’une
de l’autre si l’on considère les nombres qui y fi
Jacques n’ont ni la taille normale ni celle d’un nain, ou qu’ils ont
l’une
et l’autre à la fois, ou que c’est comme on voudr
e la simultanéité intuitive 31. Dans le réglage même de deux horloges
l’une
sur l’autre par signaux optiques il use de cette
e. Pour lui, donc, les signaux échangés entre deux horloges éloignées
l’une
de l’autre font le même trajet à l’aller et au re
née les indications données par les deux horloges optiquement réglées
l’une
sur l’autre, et il les verrait marquer à ce momen
ssives les indications concordantes d’horloges qui auront été réglées
l’une
sur l’autre dans les conditions où il aperçoit le
nt de vue de S′ ou du point de vue de S. Mais il est aisé de voir que
l’une
des deux définitions est purement conventionnelle
lle qu’on induit de la concordance entre horloges réglées optiquement
l’une
sur l’autre, coïncidait avec la simultanéité intu
ront dans ces deux visions seront généralement différentes, mais dans
l’une
et dans l’autre certaines relations entre grandeu
l’hypothèse que la Terre était immobile. Comme elle est en mouvement,
l’une
des deux horloges se trouve retarder d’autant plu
ans l’intimité avec elle. Les amis furent forcés alors d’opter, entre
l’une
ou l’autre de ces rivales déclarées, et il n’y eu
pendante. Elle s’éprit d’elle à l’instant, ou mieux, elles s’éprirent
l’une
de l’autre, et on le conçoit ; si on ne regarde q
ima M. de Mora et M. de Guibert. C’est la lutte de ces deux passions,
l’une
expirante, mais puissante encore, l’autre envahis
sse après lui, en partant, plus d’un regret. Il y a deux femmes, dont
l’une
qu’il aime, lui répond assez mal ; et dont l’autr
cupe peu. La pauvre Mlle de Lespinasse s’intéresse à ces personnes, à
l’une
surtout, et elle essaie de se glisser entre les d
observations recueillies par M. Bernard-Leroy, nous avons trouvé dans
l’une
d’elles le même mot : « J’assistais à mes actions
eau était double, qu’il produisait deux perceptions simultanées, dont
l’une
pouvait dans certains cas être en retard sur l’au
implique l’existence réelle, dans la conscience, de deux images, dont
l’une
est la reproduction de l’autre. La grosse difficu
sse difficulté, à notre sens, est d’expliquer tout à la fois pourquoi
l’une
des deux images est rejetée dans le passé et pour
mble, la continuité de l’illusion se comprend mieux, mais le rejet de
l’une
d’elles dans le passé appelle plus impérieusement
e peut être question de rapprocher artificiellement les deux théories
l’une
de l’autre. Le rapprochement se fera de lui-même,
eption présente semble répéter. Or, la fausse reconnaissance n’est ni
l’une
ni l’autre de ces deux opérations. Ce qui caracté
e par G. Heymans lui a montré que ces deux dispositions étaient liées
l’une
à l’autre 62. L’auteur ajoute avec raison que les
nifiquement : Dieu sait, écrivait Mme de Maintenon en octobre 1686 à
l’une
des dames de Saint-Louis, Dieu sait que je n’ai j
: Que ne donnerais-je pas, s’écrie-t-elle (octobre 1703), parlant à
l’une
des maîtresses, pour que vos filles vissent d’aus
s que Rousseau, Goethe, Chateaubriand, Byron et Lamartine sont venus.
L’une
de ces pièces s’adresse à un mort ou à une morte
s écarté de mon premier et pur amour, ô brillant et heureux ruisseau.
L’une
après l’autre se sont éteintes toutes les lumière
ment une œuvre littéraire, il faut la soumettre à une double analyse,
l’une
interne, l’autre externe. Je veux dire qu’il faut
, comme c’est le cas pour un esprit complet, l’auteur a su équilibrer
l’une
et l’autre. Je veux dire que tel écrivain aimera
il y a dans l’esprit humain deux facultés opposées et coexistantes :
l’une
est la faculté créatrice, celle qui invente, qui
très souvent côte à côte dans une même œuvre. Mais très souvent aussi
l’une
ou l’autre prédomine et cela suffit pour établir
Sainte-Beuve, qui y trouvait son heure de récréation hebdomadaire, et
l’une
des mille joies intellectuelles attachées à la pr
rire fidèlement ses Mémoires, il s’est décidé à en faire deux parts :
l’une
entièrement consacrée à l’époque du plaisir, et i
réalité le gouvernement, et il se présentait à vous sous deux faces,
l’une
officielle, administrative, hiérarchique, et l’au
hique qui le commande, il se contente d’indiquer du doigt à l’horizon
l’une
des chances mauvaises, et il ne se livre à aucun
e héréditaire et une autre élective ; ils n’ont pas prétendu faire de
l’une
un Corps aristocratique, et de l’autre un représe
écrivant sur l’Amérique, n’a pas pour but de conclure directement de
l’une
à l’autre ; il le déclare formellement, et la pen
de Charles XII, et qui plus tard descendit sa fierté jusqu’à devenir
l’une
des maîtresses d’Auguste de Pologne, le taureau s
. C’était le duel à l’Eucharistie. Elles devaient communier ensemble,
l’une
pour justifier son accusation, l’autre pour justi
ux types, Élisabeth de Platen et Sophie-Dorothée, après leur crime, —
l’une
, vieillissant, désolée, jusqu’à l’âge de quatre-v
sur la littérature de l’Angleterre actuelle, et ces deux Études, dont
l’une
traite de l’Idéalisme et l’autre du Positivisme a
qui n’est pas encore de la gloire, commence de s’importer chez nous…
L’une
de ces deux individualités intellectuelles n’est
t une espèce de poète métaphysicien qui a par conséquent deux poésies
l’une
sur l’autre, la poésie de l’idée et la poésie de
e époque son histoire peut se résumer ainsi : Deux grandes défaites ;
l’une
, c’est la victoire de la Renaissance et de la Réf
demain de ces deux défaites, deux grandes restaurations catholiques ;
l’une
qui commence avec la création de la Compagnie de
cinquante ans trois de ces coalitions avec les forces de résistance ;
l’une
après la première explosion de socialisme qui men
ivre entier qu’il faudrait écrire. Je choisis seulement deux époques,
l’une
où l’Église est à la fois soutenue par le pouvoir
rotestantisme s’est brisé en une quantité infinie d’Églises et que de
l’une
à l’autre la distance est souvent considérable. M
conditions ils se produisent. Il faut bien distinguer deux opinions :
l’une
veut que les phénomènes vitaux ne soient que des
hénomènes vitaux. Dans la première hypothèse, on assimile entièrement
l’une
à l’autre les deux classes de phénomènes ; dans l
l’on établisse entre la métaphysique et la science, dans l’intérêt de
l’une
ou de l’autre, il est impossible que les vues du
iste ce moyen terme entre l’âme pensante et la matière brute, qui lie
l’une
à l’autre, et qui, sans pouvoir se séparer de la
emble, mais en réalité ne se connaissant pas, et n’ayant aucun empire
l’une
sur l’autre ? Ces deux mondes coexistent en effet
une histoire individualiste de la notion de d’État au xixe siècle3 :
l’une
comme l’autre nous laissent dans l’esprit l’idée
, en Hollande, en Belgique, en Grèce, en Suède, en Norvège ; et si ni
l’une
ni l’autre ne la professent expressément l’Allema
entées dans un même sens, et qui iraient directement, à l’encontre de
l’une
au moins des idées que nous avons, définies ? L’i
insi constitués devait justement se terminer par la mise en valeur de
l’une
et de l’autre de ces deux idées. Ni l’une ni l’au
er par la mise en valeur de l’une et de l’autre de ces deux idées. Ni
l’une
ni l’autre n’avaient trouvé place dans les fondem
s’y démêlent facilement. Il ne faut pas que les figures s’estropient
l’une
l’autre en se cachant reciproquement la moitié de
e sont tellement separez, que nous voïons des peintres excellens dans
l’une
, être grossiers dans l’autre. Paul Veronese, par
Dans la définition du triangle, il y a deux propositions distinctes,
l’une
disant qu’il peut y avoir une figure terminée par
susceptible de vérité ou d’erreur, la seconde n’est susceptible ni de
l’une
ni de l’autre. La première est la source de tous
otre imagination fait le même office qu’un tableau ; vous vous fiez à
l’une
comme vous vous fiez à l’autre, et une substituti
sence imaginaire tient lieu d’une présence réelle ; vous affirmez par
l’une
ce que vous affirmeriez par l’autre, et du même d
alités qui ne s’accordent qu’en un seul point, qui est qu’en vertu de
l’une
et de l’autre le corps tend à perdre sa chaleur p
nous recherchons par des inductions simples les lois de deux causes,
l’une
qui est la force d’impulsion primitive dirigée se
ation de chaleur à la sensation d’odeur, ou de couleur, ou de son, ni
l’une
ou l’autre à un mouvement. Nous pouvons bien rame
otre univers était achevée, elle aurait encore deux grandes lacunes :
l’une
au commencement du monde physique, l’autre au déb
au commencement du monde physique, l’autre au début du monde moral ;
l’une
comprenant les éléments de l’être, l’autre renfer
éléments de l’être, l’autre renfermant les éléments de l’expérience ;
l’une
contenant les sensations primitives, l’autre cont
ssédons dans les axiomes des données qui non-seulement s’accompagnent
l’une
l’autre, mais encore dont l’une enferme l’autre.
nées qui non-seulement s’accompagnent l’une l’autre, mais encore dont
l’une
enferme l’autre. Si, comme dit Mill, elles ne fai
définir, font à elles deux toutes les ressources de l’esprit humain.
L’une
est la direction pratique, l’autre la direction s
Dans la définition du triangle, il y a deux propositions distinctes,
l’une
disant qu’il peut y avoir une figure terminée par
susceptible de vérité ou d’erreur, la seconde n’est susceptible ni de
l’une
ni de l’autre. La première est la source de tous
otre imagination fait le même office qu’un tableau ; vous vous fiez à
l’une
comme vous vous fiez à l’autre, et une substituti
sence imaginaire tient lieu d’une présence réelle ; vous affirmez par
l’une
ce que vous affirmeriez par l’autre, et du même d
alités qui ne s’accordent qu’en un seul point, qui est qu’en vertu de
l’une
et de l’autre le corps tend à perdre sa chaleur p
nous recherchons par des inductions simples les lois de deux causes,
l’une
qui est la force d’impulsion primitive dirigée se
ation de chaleur à la sensation d’odeur, ou de couleur, ou de son, ni
l’une
ou l’autre à un mouvement. Nous pouvons bien rame
otre univers était achevée, elle aurait encore deux grandes lacunes :
l’une
au commencement du monde physique, l’autre au déb
au commencement du monde physique, l’autre au début du monde moral ;
l’une
comprenant les éléments de l’être, l’autre renfer
éléments de l’être, l’autre renfermant les éléments de l’expérience ;
l’une
contenant les sensations primitives, l’autre cont
ssédons dans les axiomes des données qui non-seulement s’accompagnent
l’une
l’autre, mais encore dont l’une enferme l’autre.
nées qui non-seulement s’accompagnent l’une l’autre, mais encore dont
l’une
enferme l’autre. Si, comme dit Mill, elles ne fai
définir, font à elles deux toutes les ressources de l’esprit humain.
L’une
est la direction pratique, l’autre la direction s
ignerons, au cours de la présente étude, deux notations du réel, dont
l’une
implique la possibilité et l’autre l’impossibilit
l’idéalisme, les objets extérieurs sont des images et le cerveau est
l’une
d’elles. Il n’y a rien de plus dans les choses mê
à considérer des parties isolées de la réalité pour les conditionner
l’une
par rapport à l’autre, ce qui est la science même
aractère spatial et leur extériorité réciproque, l’impossibilité pour
l’une
d’elles de renfermer toutes les autres. Parce qu’
qu’il construit ; il devrait connaître les relations sans nombre que
l’une
et, l’autre soutiennent, les actions et réactions
une et, l’autre soutiennent, les actions et réactions sans nombre que
l’une
et l’autre exercent et subissent dans leur contac
succès à une certaine virilité d’âme dont les avait douées la nature.
L’une
épouse, l’autre fille d’un ministre, elles furent
tées dans la vie publique, plutôt qu’elles ne s’y jetèrent ; élevées,
l’une
dans le recueillement des mœurs bourgeoises, et l
cteur. Il est à propos de faire penser ici le lecteur à trois choses.
L’une
est que les théatres des anciens étoient bien plu
entoit pas le ridicule qu’on imagine d’abord dans deux personnes dont
l’une
feroit des gestes sans parler, tandis que l’autre
» entre deux taches de couleurs diverses pour les percevoir en dehors
l’une
de l’autre, tout au moins différentes l’une de l’
r les percevoir en dehors l’une de l’autre, tout au moins différentes
l’une
de l’autre ? Et si on saisit du premier coup la d
e si la conscience est une ligne où les diverses perceptions existent
l’une
en dehors de l’autre et l’une après l’autre, comm
ne où les diverses perceptions existent l’une en dehors de l’autre et
l’une
après l’autre, comme les mots sans vie d’une phra
uccession. Si, par exemple, le tonnerre suit l’éclair, de deux choses
l’une
: ou bien, quand j’ai l’impression du son de tonn
l’impression du tonnerre, et alors j’ai deux impressions simultanées,
l’une
forte, l’autre faible : comment donc puis-je savo
es moins intenses que celles du moment actuel, qui viennent se ranger
l’une
derrière l’autre. La succession est donc le mode
, on ne voit pas comment deux formes de l’homogène se distingueraient
l’une
de l’autre. — Nous répondrons que l’homogénéité d
u temps, qui, étant bonne à tout, n’est bonne à rien ? De deux choses
l’une
: ou il y a dans l’expérience même de la volonté
pourtant remarquer que les communautés d’hyménoptères sont au bout de
l’une
des deux principales lignes de l’évolution animal
ivement. Si elles sont deux, comme il arrive le plus souvent, c’est à
l’une
d’elles surtout qu’on s’attachera d’abord ; avec
er plus loin encore. Comme, pendant l’opération, on est tout entier à
l’une
des deux tendances, comme c’est elle seule qui co
ux tendances, si elles avaient cheminé ensemble, se seraient modérées
l’une
l’autre, comme leur interpénétration dans une ten
de création en quantité et en qualité. Il faut s’engager à fond dans
l’une
des directions pour savoir ce qu’elle donnera : q
e voit que l’antagonisme des deux tendances, les vaines tentatives de
l’une
pour contrarier le progrès de l’autre, l’échec fi
tendances divergentes qui se sont succédé et qui se sont comportées,
l’une
et l’autre, frénétiquement. Il est permis de prés
’avait, s’engageant sur les deux voies tour à tour, se replaçant dans
l’une
des directions avec tout ce qui avait été ramassé
t complémentaires, sont sorties les doctrines cyrénaïque et cynique :
l’une
voulait qu’on demandât à la vie le plus grand nom
, plus philosophique de considérer la vie comme un fait ultime, comme
l’une
des grandes révélations de l’Inconnaissable, comm
’elles sont constamment mélangées, qu’on s’étonne d’entendre dire que
l’une
se produit sans l’autre247. En dépit des difficul
la méthode subjective et la méthode objective sont aussi nécessaires
l’une
que l’autre. IV Aux considérations qui préc
de son objectivité, de son extériorité. Quand on essaie de passer de
l’une
à l’autre, on ne le peut ; il n’y a aucun pont en
c le phénomène nerveux, outre ces deux quantités qui sont en fonction
l’une
de l’autre, il n’y a aucune raison d’en admettre
dans le vague et se contente de l’appeler un mystère. Je n’accepte ni
l’une
ni l’autre de ces explications, dit M. Lewes. Le
xte. Les anciens distinguaient encore les prologues en deux espèces :
l’une
où l’on n’introduisait qu’un seul personnage, l’a
n seul personnage, l’autre où deux acteurs dialoguaient. On trouve de
l’une
et de l’autre dans Plaute. Protase. Dans l’
tion ou exposition du sujet, deux choses qu’il ne faut pas confondre.
L’une
consiste à donner une idée générale de ce qui va
n, père d’Élise et amoureux de Marianne, embrasse les deux intrigues,
l’une
de Valère amant de sa fille, et l’autre de son fi
tase avec l’épitase ; ou ne les distinguent tout au plus qu’en ce que
l’une
est le commencement, et l’autre la suite du nœud
eauté de dialogue. Cadmus se trouve placé entre Pallas et Junon, dont
l’une
lui ordonne et l’autre lui défend de secourir la
e du thé Tchanoyu entre femmes ; deux femmes lisant couchées à terre,
l’une
la tête penchée sur le papier, l’autre lisant ave
re lisant avec un joli mouvement de tête de côté, deux femmes roulées
l’une
sur l’autre sur le plancher, s’arrachant une lett
lée : Huit Chambres, qui sont huit figurations de petites femmes dont
l’une
, le torse nu, fait sa toilette devant un singe su
s femmes regardant du pont Yeitaï, l’île Tsoukouda. Trois femmes dont
l’une
, à l’occasion du Jour de l’An, écrit sur un parav
Parmi les pièces séparées, des acteurs et des scènes théâtrales, dont
l’une
représente Daïkokou faisant pleuvoir des pièces d
ises de curiosité mais ne se montrant pas. Des femmes dans un jardin,
l’une
s’éventant avec un écran, l’autre poursuivant des
. Des tisseuses de soie, au métier établi en pleine campagne, et dont
l’une
se voit à travers les fils d’un compartiment du m
ntemplation. Il y a un groupe de trois femmes dont la tête penchée de
l’une
en dehors de la balustrade, regarde dans la riviè
s récitateurs aux bouches immenses. Une planche de trois musiciennes,
l’une
jouant du koto, l’autre du schamisén, la dernière
ceau dont elle tient le bout dans sa bouche. Suivent d’autres femmes,
l’une
arrangeant sa chevelure avec ce gracieux mouvemen
des confidences d’amie à amie où, étendues tout de leur long à terre,
l’une
contre l’autre, deux autres femmes réfléchissent,
e l’autre, deux autres femmes réfléchissent, un moment silencieuses :
l’une
d’elles, dans sa préoccupation, jouant avec un bo
’une d’elles, dans sa préoccupation, jouant avec un bout de fil. Mais
l’une
des compositions les plus intimement charmantes e
e qui s’est passé, dans le temps, au château du daïmiô Kitabataké, où
l’une
des planches vous montre une femme s’exerçant au
deux figurations en pied de ce prêtre Raïgô, qui est représenté dans
l’une
élevant en l’air un rouleau magique, avec des mai
égami et Hanarégoma, en une illustration très coloriste dans le noir.
L’une
des planches représente Hanarégoma déracinant des
l’industrie minière. Viennent après deux amusantes doubles planches :
l’une
consacrée à la lutte, vous faisant assister à ces
dessinateur des fantômes. Ce sont deux apparitions de femmes mortes.
L’une
, c’est Kasané, la femme laide, assassinée par son
la maison où est le puits et des maisons voisines, on l’entend dire,
l’une
après l’autre, les légendes des assiettes, puis,
ana-Hanshiti, où deux femmes, deux apparentes amies, sont sommeillant
l’une
contre l’autre ; l’une la femme d’un prince, l’au
emmes, deux apparentes amies, sont sommeillant l’une contre l’autre ;
l’une
la femme d’un prince, l’autre sa maîtresse ; et i
ns d’écrans faisant partie de la même suite, sont tirées en couleur :
l’une
, c’est la représentation de pêcheurs tirant leurs
lptant une chimère colossale ; voici deux planches de forgerons, dans
l’une
desquelles un vieux ciseleur, aux lourdes besicle
couleurs, deux jeunes femmes accroupies par terre devant un plateau :
l’une
, une cuiller à la main, l’autre, une planchette,
er contournement de la tête de l’oiseau de proie. Trois tortues, dont
l’une
nage en pleine lumière et se voit comme dans la c
se voit comme dans la clarté cristalline d’un aquarium. Deux carpes :
l’une
remontant le rapide d’une cascade, l’autre en sor
es vus de dos et de face, et se terminant en bas par deux femmes dont
l’une
, les deux bras jetés derrière elle, avec un retou
r la collation. 1806. Une série de sept courtisanes, parmi lesquelles
l’une
d’elles, jouant du schamisén, est du plus heureux
e la mer, la pipette à la bouche, une ligne entre ses jambes croisées
l’une
sur l’autre. Hayashi, dans ce vieillard chauve, a
e quatre vers de cinq mots . Les deux premières pages vous montrent :
l’une
, le poète écrivant à main levée, au pinceau, tand
Hokousaï (1806-1807). H. 126. — L. 52. Trois grandes lanternes posées
l’une
à côté de l’autre. De la peinture décorative enle
t signées (H. 40. — L. 120) représentant des vues de la Soumida. Dans
l’une
, deux femmes, aux robes soulevées par le vent, fo
rte à d’autres forces qu’à lui, à des forces distinctes qui résident,
l’une
dans le rein, l’autre dans le foie, l’autre dans
itive à la vie sentimentale proprement dite ? Quelle est la limite de
l’une
à l’autre, et pourquoi dans certains cas de désor
e pouvaient l’action au profit de la contemplation ; s’ils toléraient
l’une
parce qu’il le fallait bien, ils conseillaient su
noms sont quelquefois des choses !) prononçant, chacune à sa manière,
l’une
avec des lèvres d’airain comme ses trompettes, l’
é romaine et la société grecque. Nous avons vu ce qui les distinguait
l’une
de l’autre ; ce qui fit l’une forte, malgré ses o
e. Nous avons vu ce qui les distinguait l’une de l’autre ; ce qui fit
l’une
forte, malgré ses orages intérieurs, ses guerres
jovialité ! Je me rappelle surtout deux planches extraordinaires : —
l’une
représente un paysage fantastique, un mélange de
bataille acharnée entre deux sorcières suspendues au milieu des airs.
L’une
est à cheval sur l’autre ; elle la rosse, elle la
Les œuvres de Brueghel le Drôle peuvent se diviser en deux classes :
l’une
contient des allégories politiques presque indéch
i nous paraît une chose extérieure, indépendante, durable, et située,
l’une
à dix pas, l’autre dans notre main. II En
n seulement elles sont une somme, mais encore elles sont un faisceau.
L’une
entraîne les autres : la forme carrée, la couleur
deux molécules étant données, elles vont se rapprochant ou s’écartant
l’une
de l’autre plus ou moins vite selon leur distance
l à différents sens et tellement liées entre elles que la présence de
l’une
annonce la présence possible, au même instant, de
a présence de l’une annonce la présence possible, au même instant, de
l’une
quelconque des autres. Par conséquent, non seulem
même, pendant que celles-ci sont fugitives, variables et se déplacent
l’une
l’autre. Mais ces attributs de l’objet de la perc
valent ; ils indiquent que l’événement en question doit s’accomplir ;
l’une
et l’autre sont des particularités, des manières
vénement sous telles conditions est générale et, partant, permanente,
l’une
et l’autre apparaissent comme permanentes et se t
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