Chapitre VII. Des ouvrages périodiques. §. I. Des
Journaux
Littéraires. La maniere de faire savoir au p
téraires. La maniere de faire savoir au public par une espêce de
Journal
, ce qui se passe dans la République des Lettres,
à M. de Sallo, Conseiller au Parlement de Paris, qui fit paroître le
Journal
des Savans, l’an 1665. sous le nom de Hédouville.
classe des bibliographes que dans celle des journalistes. La forme du
Journal
des Savans n’a pas été toujours la même. Dans les
& d’en porter des jugemens sans aucun extrait ; mais peu à peu le
Journal
est devenu annalitique. Cet ouvrage est aujourd’h
style noble, pur, élégant, est proportionné aux différens sujets. Le
Journal
des Savans fut le pere d’une quantité prodigieuse
Le Journal des Savans fut le pere d’une quantité prodigieuse d’autres
Journaux
; mais on doute s’il voudroit légitimer tous ses
grande liberté d’imprimer, on ne se fût pas encore avisé de donner un
Journal
de Littérature, en publia un au commencement de 1
rc, ministre Arménien à Amsterdam, émule de Bayle, entreprit aussi un
Journal
dès 1686. & le publia sous le titre de Biblio
qu’affoibli par l’âge il fut obligé de quitter la plume. De tous les
Journaux
qui parurent ensuite en Hollande, aucun ne fut mi
aux qui parurent ensuite en Hollande, aucun ne fut mieux écrit que le
Journal
Littéraire commencé à la Haye en 1713. Divers écr
copistes : défaut qui leur est commun avec la plûpart des faiseurs de
Journaux
. Les Jésuites ont été long-tems en possession d’u
iseurs de Journaux. Les Jésuites ont été long-tems en possession d’un
Journal
connu sous le titre de Mémoires pour l’histoire d
e vous faire connoître les différentes personnes qui ont eu part à ce
Journal
commencé en 1701. On y trouvoit des extraits très
ges & du blâme, ils distinguoient leurs amis de leurs ennemis. Ce
Journal
est aujourdhui entre les mains de M. l’Abbé Auber
qui écrivent avec soin & avec goût. Il y a eu une autre espêce de
Journaux
littéraires plus piquants encore que ceux qui son
qu’en 1753. Au commencement de l’année suivante, M. Freron publia son
Journal
sous le titre d’Année littéraire. Il en donne hui
lui avoient acquise. On a vu, pendant plusieurs années, une foule de
journaux
s’élever à l’envi ; tous n’ont fait que paroître.
n’ont fait que paroître. La Semaine, le Glaneur, le Conservateur, le
Journal
des Journaux, le Censeur hebdomadaire, le Spectat
que paroître. La Semaine, le Glaneur, le Conservateur, le Journal des
Journaux
, le Censeur hebdomadaire, le Spectateur, le Rédac
rs en ont fait un livre utile, sans lui faire perdre ses agrémens. Ce
Journal
est divisé en six articles. Dans le premier, on f
comme en vers, justifient la dévise du Mercure, qui est Diversité. Le
Journal
de Verdun commencé depuis plus de soixante ans, d
ts. Deux hommes distingués par leurs talens, conduisent cet excellent
Journal
, dont la réputation s’étend dans tous les lieux o
ux où le nom françois a pénétré. Nous apprenons dans le moment que ce
Journal
n’existe plus. Les petites Affiches de Province s
il a une quantité considérable de souscripteurs dans la Capitale. Le
Journal
Encyclopédique embrasse tous les objets des scien
Il peut tenir lieu des Gazettes mêmes ; car la derniere partie est un
Journal
politique très-bien fait. M. Rousseau de Toulouse
nombre d’autres ouvrages périodiques, qui ont chacun leur utilité. Le
Journal
Economique, composé par une société de gens de le
dépendent. Le zéle du bien public a suggéré l’idée de cet ouvrage. Le
Journal
Ecclésiastique embrasse toutes les connoissances
qui en est l’auteur, le remplit des instructions les plus solides. Le
Journal
des Dames, commencé par M. de Campigneules, &
réables. Il a été supprimé en 1768., quoiqu’il fut très recherché. Le
Journal
de Médecine, par Mr. Roux, & la Gazette salut
r Mr. Roux, & la Gazette salutaire imprimée à Bouillon, sont deux
Journaux
qui ont le même objet. Les auteurs le remplissent
même objet. Les auteurs le remplissent avec succès. Il y a encore le
Journal
du Commerce, la Gazette du Commerce, la Gazette C
connoissances relatives à leur titre. L’Encyclopédie Militaire est un
Journal
, qui est uniquement destiné aux Officiers. C’est
niquement destiné aux Officiers. C’est une nouvelle école de Mars. Le
Journal
d’Education étoit consacré à l’instruction des in
dans les différens Collèges ou dans les pensions du Royaume. Mais son
Journal
ayant eu peu d’acheteurs, il a été obligé de le d
. Le Spectateur françois pour servir de suite à celui de Marivaux. Ce
Journal
a pour objet de présenter un tableau des mœurs &a
entes étoffes ne feroient un habit convenable. Il est bon de lire des
Journaux
; mais il faut aussi lire autre chose, du moins s
LES
JOURNAUX
CHEZ LES ROMAINS PAR M. JOSEPH-VICTOR LE CLERC189
honneur à l’érudition dans le public. Le choix du sujet, ce titre Des
Journaux
chez les Romains, avait de quoi piquer ; les jour
t, ce titre Des Journaux chez les Romains, avait de quoi piquer ; les
journaux
ont accueilli à l’envi le d’Hozier qui leur donna
oi répondait précisément et ce que signifiait en importance ce nom de
journaux
appliqué à l’ancienne Rome ; on n’a pas assez rem
du livre de M. Le Clerc, et de beaucoup la plus agréable, traite des
journaux
chez les Romains. Le sagace dissertateur essaye d
quente, qui les remplaça avec avantage. D’après cette conjecture, les
journaux
seraient comme une bouture sortie du vieux tronc
ence populaire. Les Annales pontificales, c’était, si vous voulez, un
journal
annuel à un seul exemplaire, sur bois ou sur marb
un essai informe de Moniteur, très-mélangé de Mathieu Laensberg. Les
journaux
, dès l’année 626 environ, y auraient suppléé et a
e très-avenante de M. Le Clerc, auraient été l’objet principal de ces
journaux
, environ soixante-huit ans avant les actes du sén
es d’analogies. Ni sur la fin de la république, ni sous l’empire, les
journaux
à Rome ne furent jamais rien qui ressemblât à une
rc a très-bien indiqué le moyen de se figurer ce que renfermaient les
journaux
de Rome entre le premier consulat et la dictature
y mêlent. Mais ce serait se faire un trop bel idéal, je le crois, des
journaux
de Rome que de se les représenter par les lettres
présenter par les lettres de Célius ; c’est précisément parce que les
journaux
, qui y sont à peine indiqués en passant, ne disen
on qui dément plutôt l’idée d’un service officiel et régulier par les
journaux
. Après tout, aux diverses époques de la républiqu
liberté comme sous la censure des maîtres, il n’y avait à Rome que le
journal
en quelque sorte rudimentaire, un extrait de moni
t parler, M. Le Clerc à son tour a pu trouver preuve de la faculté du
journal
chez les Romains. Cette faculté humaine, curieuse
bre et de bronze où ils ont gravé leurs lois et leurs victoires ; les
journaux
littéraires du temps de César sont dans les lettr
res du temps de César sont dans les lettres de Cicéron, et les petits
journaux
dans les épigrammes de Catulle : ce n’était pas t
Catulle : ce n’était pas trop mal pour commencer. S’il y avait eu des
journaux
dans ce sens moderne qui nous flatte, au moment o
: il y aurait eu escarmouche de plume avant Pharsale. Mais rien : le
journal
à Rome manqua toujours de premier-Paris aussi bie
ereurs, après Néron et dans les interrègnes, s’il y avait eu de vrais
journaux
à Rome, chaque prétendant y serait allé en même t
chose. C’est à nous, bien à nous, notre gloire et notre plaie que le
journal
: prenons garde ! c’est la grande conquête, disio
d problème de la civilisation moderne. En attendant, une histoire des
journaux
est à faire ; les doctes travaux de M. Le Clerc e
’éclairer cela avec précision. On a voulu voir le premier exemple des
journaux
littéraires dans la Bibliothèque de Photius, et f
quantité d’éphémérides historiques des Grecs qui ne sont pas plus des
journaux
proprement dits, destinés aux nouvelles publiques
inés aux nouvelles publiques, que la Bibliothèque de Photius n’est un
journal
littéraire. Il paraît pourtant qu’un des premiers
us n’est un journal littéraire. Il paraît pourtant qu’un des premiers
journaux
des Romains fut rédigé par un Grec appelé Chrestu
ue ce qui était déjà dans son pays. A priori, on peut affirmer que le
journal
, à l’état primitif au moins, n’a pas dû manquer à
s assure-t-on, s’occupe activement de suivre au moyen âge la trace du
journal
. Des journaux privés, il n’en manqua jamais même
, s’occupe activement de suivre au moyen âge la trace du journal. Des
journaux
privés, il n’en manqua jamais même alors : on écr
bre les événements monotones ou singuliers. Mais lorsqu’on entend par
journal
une feuille plus ou moins régulière périodiquemen
u’ici que les gazettes étaient nées au xvie siècle seulement, et les
journaux
littéraires au xviie . « C’est une des plus heure
usat en tête de son ébauche d’histoire. Les véritables précédents des
journaux
littéraires sont dans la correspondance des savan
s ne serviraient qu’à fournir une bonne introduction à l’histoire des
journaux
, et c’est à ce dernier travail que je voudrais vo
on ne pourrait plus. On est déjà à la décadence et au bas-empire des
journaux
. Bayle nous en marque l’âge d’or si court, le vra
ecueils. Quelqu’un a trouvé l’autre jour très-spirituellement que les
journaux
sont nos Iliades, et qui ont des myriades d’Homèr
eraient en état d’éclairer, de contrôler pertinemment ces origines de
journaux
, manqueront de plus en plus. C’est là un des préj
s. La grande division qui séparerait naturellement cette histoire des
journaux
français en deux tomberait à 89 : histoire des jo
histoire des journaux français en deux tomberait à 89 : histoire des
journaux
avant la révolution, et depuis. Cette dernière pa
rvalle de cent vingt-quatre ans, depuis 1665, date de la fondation du
Journal
des Savants, jusqu’en 89. L’utilité et le jour qu
e par cette immense et variée surface que présente la littérature des
journaux
. Il y a en ce sens une carte du pays à faire, qui
cle c’était déjà ainsi ; tout ce qu’on trouve de bonne heure dans les
journaux
d’alors est une source fréquente d’agréable surpr
aura feuilleté le Pour et Contre de l’abbé Prévost, et plus tard les
journaux
de Suard et de l’abbé Arnaud, on en tirera, sur l
de cette considérable et excellente collection intitulée l’Esprit des
Journaux
, laquelle, commencée à Liége en 1772, s’est pours
et de vieux à la fois, d’inventé par nous-mêmes hier. Cet Esprit des
Journaux
était une espèce de journal (disons-le sans injur
enté par nous-mêmes hier. Cet Esprit des Journaux était une espèce de
journal
(disons-le sans injure) voleur et compilateur, qu
re) voleur et compilateur, qui prenait leurs bons articles aux divers
journaux
français, qui en traduisait à son tour des princi
divers journaux français, qui en traduisait à son tour des principaux
journaux
anglais et allemands, et qui en donnait aussi que
ion propre. Voilà un assez bel idéal de plan, ce semble. L’Esprit des
Journaux
le remplissait très-bien. Que n’y ai-je pas retro
avant 89, de toutes ces fascines jetées dans le fossé. Mon Esprit des
Journaux
me rendait sur Buffon197 des dépositions original
bâton n’est venue qu’après199. En somme, pourtant, cette histoire des
journaux
français avant 89 ne serait pas infinie. Les Beuc
pas très-grande et qui n’est garnie que des collections de ces vieux
journaux
littéraires ; en s’enfermant là pendant quelques
pot au lait que j’achève en face de mon écritoire, cette histoire de
journaux
donc, dans son incomplet même et son inexact inév
et que justifient peut-être ces idées si contrastantes de Rome et de
journaux
, ce bruyant passé d’hier et cet antique et august
e I, n° 2, 1845.) 191. Page 166. 192. Page 115. 193. La faculté du
journal
sans l’imprimerie est une curiosité non servie pa
semble à de la gloire ? 197. Juin et juillet 1788. 198. Esprit des
Journaux
, avril 1786 (extrait du Journal encyclopédique.
n et juillet 1788. 198. Esprit des Journaux, avril 1786 (extrait du
Journal
encyclopédique. 199. On se rappelle peut-être q
elle soit de bon goût et assez d’injure pour qu’elle soit sacrée. [Le
Journal
des débats (1830).] Armand Carrel Sur Herna
eux embusqués derrière les colonnes, ou tapis dans les souterrains du
journal
. Aussi désirai-je que votre nom glorieux aide à l
près Hernani, voici Ruy Blas qui se classe dans le grand répertoire. [
Journal
des débats (7 avril 1879).] Émile Zola Vic
e-vingt-troisième anniversaire de Victor Hugo, hommages recueillis au
journal
Le Gil Blas, par M. Catulle Mendès (1885).]2
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Le Gil Blas, par M. Catulle Mendès (1885).] Eu
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Le Gil Blas, par M. Catulle Mendès (1885).] Na
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Le Gil Blas, par M. Catulle Mendès (1885).] Au
ignons ceux qui vont lui décerner l’apothéose et prions pour lui. [Le
journal
La Croix (1885).] Paul de Saint-Victor Mar
depuis quelques années. En comparant, par exemple, les revues et les
journaux
d’aujourd’hui avec ceux d’il y a quinze ans, il s
tre époque favoriserait-elle encore le labeur d’un Sainte-Beuve ? Les
journaux
du jour et le public du jour l’autoriseraient-ils
critique ? Est-il pratiquement réalisable ? Comment, selon vous, les
journaux
et les revues devraient-ils exercer la critique l
ticle de critique littéraire qui compte dans le cadre d’un article de
journal
. Seule la revue ou les feuilletons du Temps et de
uffisante. Dans ces conditions je demanderais instamment à ce que les
journaux
reprissent la formule des comptes rendus de quelq
des comptes rendus de quelques lignes, telle qu’elle fut instaurée au
Journal
par Paul Reboux. Deux conditions seulement, mais
e « son » public, il lui interdirait les longs développements. Pas un
journal
de nos jours n’accepterait un feuilleton de la lo
t à publier sans réductions, sa copie, à moins d’être propriétaire du
journal
où il voudrait la voir paraître. 2º Les journaux
’être propriétaire du journal où il voudrait la voir paraître. 2º Les
journaux
devraient tous avoir un courrier littéraire quoti
chose qu’un écrivain ne pardonne pas au critique : le silence. — Les
journaux
ont perdu trop d’écrivains pour n’avoir point noy
ou deux exceptions de caractère politique (chacun son domaine !) nos
journaux
et nos revues me paraissent avoir le souci d’exer
ré, morale et politique. Mais par là même elle se forme l’accès des «
Journaux
du jour », qui n’entendent pas en ce sens-là la p
tre développé depuis quelques années. Peut-être. Sauf dans les grands
journaux
dits d’information, comme Le Journal ou Le Matin
Peut-être. Sauf dans les grands journaux dits d’information, comme Le
Journal
ou Le Matin où la critique littéraire est nulle,
in où la critique littéraire est nulle, il y a en effet dans certains
journaux
comme L’Ère nouvelle, un effort pour renseigner l
e qu’il demande et qu’il mérite, et s’il n’y a dans les Revues et les
journaux
que « de la poussière de critique » comme vous di
Demandez à tel classeur de fiches qui tient la férule dans tel grand
journal
sur quelles œuvres personnelles il appuie son « p
s insectes, les petites filles… ou les grands sujets nationaux. 1º Un
journal
qui n’a pas un critique honnête et qu’il laisse l
out particulièrement le labeur d’un Sainte-Beuve ; et certains grands
journaux
même lui feraient place au bout de quelque temps.
inze ans, à faire une place aux informations littéraires. Beaucoup de
journaux
, petit à petit, ont suivi ce bon exemple, et c’es
sans doute de parler encore d’elle. Est-il trop tard ? Même dans les
journaux
qui ont un feuilleton critique hebdomadaire. quel
p pompier prosaïque, ou bourreur de crâne bolchevisant. Mais dans les
journaux
à gros tirage, il n’y a rien, ou si peu et si mal
us, comme Hugo, Flaubert et Baudelaire étaient traités par les grands
journaux
de leur temps. La critique n’existe pas ? Tant mi
te à accueillir une étude sur ce sujet trop vierge. Quel est le grand
journal
qui suivra ? Le critique compétent (et honnête) o
st là ce que vous entendez par un « Sainte-Beuve », alors, non, aucun
journal
ne peut, en effet, s’offrir un Sainte-Beuve. Et c
; Le Gaulois possède Abel Hermant, les Débats Pierrefeu et Narsy, Le
Journal
Descaves, Excelsior Brousson, etc… D’autre part d
sse quotidienne puisse les accueillir utilement. On achète encore des
journaux
, mais on ne les lit plus. On les « regarde » et i
les feuilles à gros tirage, avec plus ou moins de franchise. — « Mon
journal
, monsieur, est une affiche », me disait un direct
e le livre est cher. Alors il reste l’affiche, celle qui n’est pas un
journal
et qu’on lit sur les murs. Car on la lit, on se b
ins à un effort très sincère d’amélioration de celle-ci dans quelques
journaux
et dans les périodiques. Critique de doctrine d’u
Michel Puy Depuis quelques années, la presse, à l’exception des
journaux
à très gros tirage, fait à la littérature une ass
porains, qui est sérieux et suivi, paraît intéresser les lecteurs des
journaux
et des revues. Pour préjuger l’accueil qui serait
de Souday et celle d’Henriot, qui tiennent des rubriques dans le même
journal
, se complètent l’une l’autre et sont justement ap
ce, mais en sommeil, par suite de la crise du papier qui a obligé les
journaux
à réduire le nombre de leurs pages ; 2º La critiq
our où elle aura une doctrine, un Sainte-Beuve pourra naître, que les
journaux
et que le public favoriseront, car tout se tient
ien, comme celui de L’Intransigeant et de L’Ère nouvelle, dans chaque
journal
et un feuilleton hebdomadaire ; pour les revues,
les ; en outre, des articles de fond pour les grands livres, dans les
journaux
comme dans les revues ; 3º J’aimerais assez un cr
« effort très sincère d’amélioration » de la critique « dans quelques
journaux
et dans les périodiques ». Ne se prononçant pas d
rature, depuis quelques années, dans la presse, exception faite « des
journaux
à très gros tirage ». M. Deffoux n’entreprend pas
n’entreprend pas une comparaison en règle : il estime, cependant, que
journaux
et revues paraissent, aujourd’hui, « exercer la c
bons critiques, mais gênés par la camaraderie et par le directeur du
journal
où ils écrivent. Insistant sur cette question du
directeur du journal où ils écrivent. Insistant sur cette question du
journal
, M. Reboux estime que « la critique littéraire fr
ce, mais en sommeil, par suite de la crise du papier qui a obligé les
journaux
à réduire le nombre de leurs pages ». Mais ceci n
rs amis. Est-il pratiquement réalisable ? Et comment, selon vous, les
journaux
et les revues devraient-ils exercer la critique l
e sont accordés sur la difficulté de faire de longs articles dans les
journaux
contemporains. « Seule la revue », écrit M. Jules
e quelques lignes » tels qu’en faisaient jadis M. Paul Reboux dans Le
Journal
. Il est assez amusant, après cela, d’entendre M.
r ce point que nos correspondants se sont le mieux entendus. « Pas un
journal
de nos jours », écrit Mlle Henriette Charasson, «
quelques minutes. » Un directeur disait à M. Jacques Morland : « Mon
journal
, monsieur, est une affiche. » Jamais, dit encore
uverait maintenant à publier sa copie, à moins d’être propriétaire du
journal
où il voudrait la voir paraître. » Elle souhaiter
journal où il voudrait la voir paraître. » Elle souhaiterait que les
journaux
eussent « un courrier littéraire quotidien, ne co
ns les mêmes termes. « Un courrier des lettres quotidien, dans chaque
journal
, et un feuilleton hebdomadaire ; pour les revues,
les ; en outre, des articles de fond pour les grands livres, dans les
journaux
comme dans les revues. » Il semblerait que nos am
a pas du tout pour les poètes. « Même », écrit M. Mandin, « dans les
journaux
qui ont un feuilleton critique hebdomadaire, quel
Demandez à tel classeur de fiches qui tient la férule dans tel grand
journal
sur quelles œuvres personnelles il appuie son “pe
t, c’est l’avènement du journalisme. Il y avait eu antérieurement des
journaux
623 : la puissance du journalisme date de la Révo
jet. Il se peut que dans les matières d’ordre politique ou social, le
journal
soit l’expression de l’opinion publique : en litt
trop spéciale pour qu’une opinion générale se forme spontanément, les
journaux
sont les guides de l’opinion, les porte-parole de
u leur désir de la mode : et la mode, à qui la demandent-ils ? à leur
journal
. Le journal est le véritable héritier de la puiss
de la mode : et la mode, à qui la demandent-ils ? à leur journal. Le
journal
est le véritable héritier de la puissance des sal
littéraire. Voici un second et plus grave effet de la même cause : le
journal
périodique, quotidien surtout, a singulièrement d
e les subtils écrivains, les graves penseurs, sont illisibles dans un
journal
: les unes nous impatientent et les autres nous f
al : les unes nous impatientent et les autres nous fatiguent. Mais le
journal
, dit-on, s’est adapté au public, voilà tout. Voil
utalité. Imaginez Bajazet venant au lendemain de la publication qu’un
journal
aurait faite des circonstances de la mort du vrai
e insipide à nos palais, si elle ne nous offrait le ragoût auquel les
journaux
nous ont habitués. De plus, cette exhibition de l
ager lui-même ses sensations esthétiques de la matière brute : si les
journaux
ont contribué à nous amener là, leur action cette
yer à des œuvres durables. Comme il habitue le public à lire vite, le
journal
oblige l’auteur à écrire vite. La pire erreur, en
leur parle d’Alfieri, elle leur présente Melendez Valdez. Et ainsi ce
journal
aura sa part d’influence dans la formation du cou
pportera un goût si contraire à ceux de ses rédacteurs ordinaires. Le
Journal
des Débats, créé en 1789, prit un grand développe
s de pensée sous sa forme nette et mordante. André Chénier écrivit au
Journal
de Paris des articles vigoureux, où l’on voit qu’
rits périodiques » : Gazette de France, MM. l’abbé Arnaud et Suard. —
Journal
des savants, une société de Gens de lettres. — me
u lieu de M. de la Place. Le même M. Lacombe fait l’Avant-Coureur). —
Journal
de Trévoux, MM. l’abbé Aubert et Castillon. — Jou
ant-Coureur). — Journal de Trévoux, MM. l’abbé Aubert et Castillon. —
Journal
de Verdun. M. Bonamy. — Journal économique, une s
ux, MM. l’abbé Aubert et Castillon. — Journal de Verdun. M. Bonamy. —
Journal
économique, une société de Gens de lettres. — Pet
Affiches de province, M. de Querlon. — Année littéraire, M. Fréron. —
Journal
de médecine, M. Roux. — Journal encyclopédique, M
lon. — Année littéraire, M. Fréron. — Journal de médecine, M. Roux. —
Journal
encyclopédique, MM. Rousseau, Castillon, à Paris,
seau, Castillon, à Paris, et Castillon à Bouillon, les deux frères. —
Journal
du commerce. M. (N). — Gazette du commerce, M. (N
(N). — Gazette comestible, M. (N). — Avant-Coureur. M. de Lacombe. —
Journal
des dames, MM. Mathon de la Cour et Sautreau. — J
de Lacombe. — Journal des dames, MM. Mathon de la Cour et Sautreau. —
Journal
ecclésiastique, M. l’abbé Dinouard. — Aucun de ce
autreau. — Journal ecclésiastique, M. l’abbé Dinouard. — Aucun de ces
journaux
n’était quotidien. La Gazette de France était heb
lité de la langue française (1784).Il combattit la Révolution dans le
Journal
politique national et dans les Actes des apôtres.
Chapitre XIX. Réflexions morales sur la maladie du
journal
I Des réflexions morales sont des réflexi
I Des réflexions morales sont des réflexions sur les mœurs, et le
journal
est une de nos mœurs. II Toutes les mœurs n
et protecteur d’inédit. Ainsi nos contemporains voient s’émietter le
journal
, et nos petits-neveux l’enterreront. III Qu
ortune s’abat sur lui, il tombe lourdement, on lit ses comptes, et le
journal
est aux galères. IV Eugène était habile, il
litèrent : on se lasse des meilleures injures. Il joignit alors à son
journal
un supplément où toutes les gravelures récentes é
On n’achète rien davantage que Le Réfractaire : voilà au moins un
journal
favorisé. Non, car on n’y lit que les pamphlets d
e les pamphlets d’Henri : ainsi le succès va au journaliste et pas au
journal
, qui mourrait demain si Henri mourait. VI L
rrence chaque jour s’accrut, et elle n’est l’âme que du commerce : le
journal
se fit boutique. VII Les magasins se notifi
magasins se notifient par des enseignes démesurées semblablement, des
journaux
arborèrent les raccrocheuses manchettes : elles n
rès antiques confrères parlaient de sacerdoce. C’était trop dire : le
journal
n’avait point de dogmes à défendre ; mais il avai
raordinaire penseur. XII Voulant joindre tous les agréments, ce
journal
s’intitule politique et littéraire. Mais qui se p
tes, mais on ne lit guère plus celles-ci que celles-là. On regarde un
journal
, on le parcourt, on ne le goûte point. Il doit do
avec qui les autres marchaient bien d’accord rédigeaient ensemble un
journal
, sur une grande table, où chacun avait sa place m
he. Il n’est plus que les reporters qui vivent dans l’atmosphère d’un
journal
, aussi en sont-ils les gens importants. XVI
les gens importants. XVI Quand on ne faisait point rédiger les
journaux
par des littérateurs bien connus, un financier pa
rde son portefeuille ; il a bien placé son argent. XVIII Si les
journaux
sombraient, les gourmets de polissonnerie n’aurai
X Il se pourrait que la publicité, après avoir longtemps nourri le
journal
, finît par le dévorer. On a fait le grand journal
longtemps nourri le journal, finît par le dévorer. On a fait le grand
journal
à un sou, on fera le journal pour rien, où les ré
finît par le dévorer. On a fait le grand journal à un sou, on fera le
journal
pour rien, où les réclames ne seront plus le comp
contentera d’apprendre, surtout lorsqu’il n’en coûtera rien. Ainsi le
journal
disparaîtra : un bon prospectus en tiendra l’offi
M. Louis Nicolardot Le
Journal
de Louis XVI. [Le Constitutionnel, 27 janvier 18
ous cette publication d’il y a quelques années, intitulée, je crois :
Journal
de la santé du roi Louis XIV ! Ce n’étaient que d
utre genre, une découverte plus curieuse et plus importante. C’est le
Journal
du roi Louis XVI. Ce n’est plus, ici, le simple j
nte. C’est le Journal du roi Louis XVI. Ce n’est plus, ici, le simple
journal
de la santé, — quoiqu’elle y soit aussi, la santé
ur Fleurant, respectueux sujet en toutes ses parties, — mais c’est le
journal
de toute la vie, heure par heure, écrit non de la
ot, l’éditeur du manuscrit. Il a copié fidèlement et intégralement le
Journal
de Louis XVI, et il l’a planté sous les yeux du p
de leurs portraits, et qui les aurait mis en pièces… Songez donc ! le
Journal
de Louis XVI, de la propre main de Louis XVI ! Qu
redressement pour son histoire ! Imaginez-vous qu’on eût découvert le
Journal
de Périclès par Périclès ; le Journal d’Auguste,
nez-vous qu’on eût découvert le Journal de Périclès par Périclès ; le
Journal
d’Auguste, écrit de la main d’Auguste ! Et pourta
et l’héroïsme surnaturel de sa mort. Eh bien, après la lecture de ce
journal
, peut-être ne trembleront-ils plus ! II En
se dans l’entre-deux. Et c’est précisément l’homme, que nous donne ce
Journal
de Louis XVI tiré à la lumière. L’homme, dans Lou
re été saisi. Aussi l’étonnement doit-il être profond. À partir de ce
Journal
, les idées courantes sur Louis XVI seront prises
pagon est fou dans le moment de la pièce, et lui, Louis XVI, dans son
Journal
, a le calme, la raison, la méthode, la clarté, la
e la frivolité ? Mais quoi que ce soit, il est sûr qu’il se dégage du
Journal
où l’on trouve ces choses un Louis XVI auquel vra
règne où il y avait des infiniment grands terribles ! Que dis-je ? ce
Journal
présent de Louis XVI montre parfaitement, malgré
e tous ceux de sa race. Ceci est un peu fort, n’est-ce pas ? Oui ! le
Journal
de Louis XVI montre parfaitement que ce Roi auque
’opposerait-on pas ? Crierait-on assez au paradoxe ? Heureusement, le
Journal
de Louis XVI est là pour rasseoir les indignés et
VI est là pour rasseoir les indignés et convaincre les incrédules. Ce
Journal
si curieux donne en effet, les proportions, ignor
dot, qui a mis des titres piquants aux classifications diverses de ce
Journal
qu’il nous montre comme une lanterne magique de f
u’il était chasseur, il montait à cheval. Il fait le compte, dans son
Journal
, des chevaux qu’il monte dans ses chasses. Il aur
tendait la chasse par masses, comme Bonaparte entendait la guerre. Le
Journal
constate que, de 1774 à 1787, il a tué cent-quatr
gardaient comme le charme préservateur du foyer. « Tué — disait-il au
Journal
— deux cents hirondelles… » Cela n’a pas porté ta
Et maintenant que nous avons fait émerger un Louis XVI nouveau du
Journal
de Louis XVI, il s’agit de conclure. Nous l’avons
du Journal de Louis XVI, il s’agit de conclure. Nous l’avons dit : ce
Journal
de Louis XVI, que le livre de M. Nicolardot popul
éjuger. Ce qui nous a suffi pour l’heure, c’est d’avoir prouvé par ce
Journal
que Louis XVI n’était pas uniquement de la pâte à
remier, sont pour la plupart ceux que M. Sainte-Beuve écrivit pour le
journal
le Temps, en 1869, l’année même de sa mort1. Bien
s d’un débat et produisit plus d’une rupture. La direction du nouveau
Journal
officiel, où il avait refusé d’écrire, s’en émut.
mut. On vint lui contester le droit, à lui sénateur, d’écrire dans un
journal
qui n’avait ni couleur ni attache gouvernementale
ait pas d’une nuance assez foncée pour paraître rouge) que c’était un
journal
orléaniste. On avait beau objecter que M. Louis B
et que tous les écrivains revendiqueraient avec lui, d’écrire dans un
journal
de son choix, fut tout étonné de l’avalanche de r
n’en persista pas moins dans sa résolution d’écrire désormais dans un
journal
modéré et libre de tout joug, où des amitiés épro
ndre libres les écrivains liés antérieurement par un traité, celle du
Journal
officiel est la seule que M. Sainte-Beuve ait bie
ettement et positivement refusée. — À défaut du Temps, il fût allé au
Journal
de Paris, qu’il se faisait lire tous les soirs en
« Que dit Weiss ? » était son premier mot quand on lui apportait les
journaux
du soir ; et qu’on dise encore aujourd’hui que M.
core aujourd’hui que M. Weiss était un orléaniste ! Il lui fallait un
journal
; il ne pouvait s’en passer ; car à son âge, et q
us y force. En vain invoquait-on des raisons matérielles en faveur du
Journal
officiel : il allait s’organiser mieux, disait-on
enir compte de sa position dans la haute Assemblée pour le choix d’un
journal
. La situation qu’on lui avait faite lorsqu’il pri
e s’intéressait que pour les étouffer à ces questions de livres et de
journaux
. Depuis son esclandre (je remonte au plus ancien,
venait de déployer à cette même tribune du Sénat. C’est ainsi que ce
journal
d’opposition et réputé hostile, qui donnait à la
r un acte du Pouvoir dans la feuille même officielle, dans le nouveau
journal
qui a eu le bon goût, au lendemain de sa mort, de
e faire deux démarches auprès de lui pour l’engager à écrire au futur
journal
officiel, dont on n’avait pas encore le titre (on
ement qu’il vient de prendre d’envoyer des articles de littérature au
journal
le Temps. « Ces démarches sont venues à la suite
rrait être qu’à titre officieux et aussi comme directeur suprême d’un
journal
officiel que M. Rouher serait admis à introduire
é à la dislocation de l’ancien Moniteur et à l’enfantement du nouveau
Journal
officiel, la vérité est que, dans aucun état de c
est que, dans aucun état de cause, il ne consentirait à rentrer à ce
journal
tel qu’il est constitué. Ainsi, dans ces termes,
t qu’un sénateur envoie des articles, même purement littéraires, à un
journal
de l’opposition, et particulièrement au Temps. «
n insiste encore, et l’on dit que si c’était du moins dans tout autre
journal
que le Temps, soit les Débats, soit l’Opinion nat
n’a eu à les considérer que dans leur ensemble ; mais il sait que ce
journal
, dont il a pour amis les principaux rédacteurs, e
que ce journal, dont il a pour amis les principaux rédacteurs, est un
journal
généralement estimé et très-estimé. Si M. le mini
n, croie ne pouvoir mieux placer des articles littéraires que dans un
journal
d’opposition, cela n’est arrivé qu’à la suite de
e au sujet de M. Sainte-Beuve se complique du dépit d’un directeur de
journal
désappointé : mais pourquoi aussi un ministre d’É
s pourquoi aussi un ministre d’État se fait-il entrepreneur direct de
journal
? Ç’a été là une grosse faute politique. » Pourq
tés à différents Recueils, en dehors du cercle même de ses Lundis. Le
Journal
des Savants, dont il faisait partie depuis 1867,
renvoi M. Sainte-Beuve, de M. Edmond Scherer, qui avait écrit dans le
journal
le Temps un article sur moi. Ulric Guttinguer en
ne forte journée de travail : « Je ne me serais pas cru libre dans un
journal
qui porte un emblème en tête (il montrait le Jour
ru libre dans un journal qui porte un emblème en tête (il montrait le
Journal
officiel) ; il faut trop se ranger, quand on marc
iscuter les affaires de Rome, par exemple, comme on les sent, dans un
journal
qui épouse tant là légitimité que cela ; qui semb
Les honnêtes gens du
Journal
des Débats [Le Pays, 30 janvier 1858.] I
30 janvier 1858.] I La critique du Réveil a fait lever, dans le
Journal
des Débats, le gibier d’une magnifique théorie. L
es Débats, le gibier d’une magnifique théorie. Les bohèmes des petits
journaux
s’étaient livrés contre nous à leurs plaisanterie
questions qui remplacent pour eux les idées. C’était insuffisant. Le
Journal
des Débats, qui est un journal grave, un vieux bo
eux les idées. C’était insuffisant. Le Journal des Débats, qui est un
journal
grave, un vieux bohème de la grande espèce, plein
être qu’un salut à tour de bras et jusqu’à terre à tout le monde, le
Journal
des Débats est plus que personne au niveau de la
osophie. Or, vivent-ils, — qu’on le dise ! — vivent-ils autrement, au
Journal
des Débats ? Bohèmes d’état-major, si l’on veut o
ils écrivent, par la main de Rigault, leur historiographe, dans leur
journal
, ce singulier livre d’or de leur noblesse, qu’ils
ses, n’épousent ni les manières de dire, ni les manières de penser du
Journal
des Débats ?… Les honnêtes gens ! Mais il y a don
us sommes fondés, nous, les intolérants du Réveil ! Seulement, que le
Journal
des Débats, le journal de la tolérance universell
les intolérants du Réveil ! Seulement, que le Journal des Débats, le
journal
de la tolérance universelle, — et des coups de ch
ses quatorze coquins, en vert, de Kendal ! Seraient-ils honnêtes, au
Journal
des Débats, comme il était brave, le vainqueur de
ar honnêteté, ces moralistes semés par nous dans les plates-bandes du
Journal
des Débats, et qui sont venus en une nuit, comme
rai, de ces grands esprits différents, ne connut les honnêtes gens du
Journal
des Débats ; mais tous deux savaient ce qui se ca
es invitations pour voir cela. Cette critique nouvelle (des salons du
Journal
des Débats peut-être), c’est la critique, dit-il
e et des ménagements mondains ». Et voilà la gloire de la critique du
journal
des honnêtes gens et de celle du xixe siècle ! S
et la gloire de la critique ! Le procédé de l’évasion s’élève dans le
Journal
des Débats jusqu’à un principe de critique, de li
urs, si on était pris. Être pris, en effet, pour les honnêtes gens du
Journal
des Débats, c’est avoir la vérité en face. Il fau
vons dit plus de mal d’elle que Rigault n’en a dit, lui-même, dans le
Journal
des Débats. Si elle était — sans exception — ce q
uteur a lu, et on pourra lire d’Amiel et sur Amiel les Fragments d’un
Journal
intime, une correspondance dont une bonne partie
une bonne partie est publiée, et dont l’intérêt n’égale pas celui du
Journal
, la biographie aimable et abondante qu’a donnée l
ièrement à M. Bernard Bouvier, gardien autorisé de sa mémoire, de son
Journal
et de la plus grande partie de ses papiers. Si j’
t des lecteurs au seul ouvrage d’Amiel qui en mérite de nombreux : le
Journal
intime, dont l’édition nécessaire est celle de M.
tion nécessaire est celle de M. Bernard Bouvier. Aux trois volumes du
Journal
publiés chez Stock, qu’on en joigne, si on veut,
ième édité chez Schiffrin, sous le titre Philine. Il y a déjà sur le
Journal
d’Amiel une importante littérature. D’abord la pr
l’époque où Scherer et Renan publiaient leurs essais sur l’auteur du
Journal
intime, — les articles lucides qu’à l’occasion de
ntinuent, après l’interminable dialogue d’Amiel avec lui-même dans le
Journal
intime, le dialogue sur Amiel, et diffèrent indéf
Mais cassez cette écorce, atteignez les profondeurs, pénétrez dans le
Journal
. De ce côté l’inquiétude, le ruminement d’Amiel s
t de lire pendant deux heures à Fanny Mercier des pages tirées de son
journal
de l’année, à une heure où elle était accablée, e
dans les titres de Dieu : le Vautour, l’Aigle, le Griffon, l’Ange. Le
Journal
est le lieu d’une de ces batailles solitaires, qu
; d’où l’étincelle et le feu du tragique. Renan lisant, à une page du
Journal
, ces mots : « Qu’est-ce que M. Renan fait du péch
dans le pays de Vaud. En 1790, on trouve le grand-père de l’auteur du
Journal
, Samuel Amiel, établi à Genève comme horloger, ce
es étrangères, ce sont presque toujours des femmes qui ont traduit le
Journal
. Délicat, joli, sérieux, ce petit Amiel paraît en
étalait des tours de prestidigitation. Aux jeux il éblouissait, et le
Journal
parlera plus tard de plus de dix-huit cents coups
dire prêcheuse. À toutes les menues tâches de la vie, — et d’abord au
Journal
, — il restera dévoué avec persévérance, adresse,
celle d’Amiel. D’autant plus qu’à ce moment les seize mille pages du
Journal
seront publiques : il sera permis d’en tout dire
is de ses confidences, et d’abord des confidences au meilleur ami, au
Journal
. Le premier Journal intime, fragmentaire, souvent
s, et d’abord des confidences au meilleur ami, au Journal. Le premier
Journal
intime, fragmentaire, souvent interrompu, fait de
des, supérieures qu’on appelle alors à Genève l’auditoire. Ce premier
Journal
abonde en résolutions, en plans de vie, en espoir
faire et qu’on ne fait pas. La paresse, écrit Amiel dans ce premier
Journal
, a tout envahi. Elle me tue. Mais non, c’est moi
du jardin d’Amiel. Les événements de sa vie, en ce moment du premier
Journal
, ce sont ses lectures. « Je voudrais tellement li
ité virtuelle. M. Bernard Bouvier, qui nous fait connaître ce premier
Journal
dans la préface de son édition des fragments du J
re ce premier Journal dans la préface de son édition des fragments du
Journal
définitif, cite les lectures d’Amiel entre le 24
époque, du Bressan Quinet. Lorsqu’Amiel écrit cette page d’un premier
Journal
bientôt interrompu, il revient de son premier voy
ent il y avait plus d’un an qu’Amiel avait cessé son premier essai de
Journal
intime, et d’ailleurs, dans la suite, il ne tint
et d’ailleurs, dans la suite, il ne tint que très irrégulièrement le
Journal
en voyage : le voyage extérieur et le voyage inté
nnera, comme Milton, le nom au volume de vers prosaïques où, après le
Journal
, il a mis probablement le plus pur de lui. Il res
que l’autre se liquiderait dans le sein de Dieu et dans les pages du
Journal
. Les Corinnes italiennes ont rendu intact à la vi
Dieu, l’Allemagne nous a nourri l’Amiel que nous possédons, celui du
Journal
. Qu’est-ce que Paris en eût tiré ? Peut-être une
inte-Beuve à peine plus âgé, et il nous a gardé bien vivante dans son
journal
leur précieuse conversation. Un Vaudois a toujour
sac de nuit. — Je ne demanderais pas mieux. Mais en ce — temps-là le
journal
se réduit aux carnets de dépense du méticuleux Ge
, qui l’atteint ? Et si Amiel se cultiva à l’allemande, il écrivit le
Journal
d’un style très français, solide et transparent.
de 1869, Secrétan développé dans un livre fameux, Amiel vécu dans son
Journal
, le problème ou la tragédie de la liberté. Le pro
cience reconnaîtrait ses propres voix intérieures dans tel passage du
Journal
intime de 1879 : Le déterminisme a raison pour t
e de notre être, notre forme future sans doute, notre type divin. Le
Journal
, d’un certain point de vue, figurera un monologue
s personnages de ce dialogue des philosophes, le philosophe auteur du
Journal
, celui que M. Léon Brunschvieg, en son Progrès de
s ses élèves, mais ses lecteurs, que nous importe, devant l’auteur du
Journal
, le professeur Amiel ? L’énorme polypier du Journ
evant l’auteur du Journal, le professeur Amiel ? L’énorme polypier du
Journal
, devenu une manière d’île coralienne où l’enfant
Université de Berlin, mais formule aussi du génie d’Amiel, formule du
Journal
, formule qui eût mérité de devenir celle d’un gra
uralité et ses inconséquences, avec sa culture multiforme, en est. Un
Journal
seul, qui enregistre automatiquement les contrair
complémentaires, des dissonances utiles à une symphonie. Que sera le
Journal
, sinon une géographie du monde intérieur, des vue
chambre : le voici. Cette année 1847, en mai, il a décidé de tenir un
journal
régulier. Mais l’été, les vacances, la mer, la di
assez de terre protectrice et de silence hivernal. Il ne commence le
Journal
que le 16 décembre 1847, à Berlin. L’œuvre d’Amie
s cette histoire, mais à partir du 16 décembre 1847 une chronique, le
Journal
, quotidienne comme celle de Dangeau (l’anti-Dange
layeront à son chevet en auront chassé la solitude. Voilà Amiel et le
Journal
, chacun des deux faisant l’autre, liés pour trent
chacun des deux faisant l’autre, liés pour trente-quatre ans. « Faire
journal
, décide-t-il, tous les soirs quelques mots ; le d
mois, et à la fin de l’année retour sur l’année. » Il rêve donc d’un
journal
actif, qui permettra le contrôle, le progrès, le
quitte à si bon compte avec sa mission. Dans le ménage d’Amiel et du
Journal
, celui-ci d’abord commandera et profitera. Il est
* Comme ces profondeurs des mers secondaires, il fallait peut-être au
Journal
, pour naître, le calme et l’abondance intérieure
e regard de mes yeux. » À cela quel remède ? Il a trouvé ! « Faire le
journal
! » qui le disciplinera. Il remuera le champ dans
nte. Elles sont accordées à son travail intérieur, et à ces lignes du
Journal
écrites à Berlin cette même année 1848 : Juger n
. « Nous ferons le vide autour de vous », dit à Amiel le directeur du
Journal
de Genève, citadelle du haut. Adert allait sans d
e en 1848 : Amiel devait même être plus tard un des collaborateurs du
journal
, où il fit longtemps sous un pseudonyme la critiq
. Il le rappellera longtemps dans ses notes du soir, et l’enseigne du
Journal
de Genève lui assombrit la place de Bourg-de-Four
e où il se croyait enfermé (Töpffer eût montré dans une caricature le
Journal
de Genève à la pompe). En 1873 on trouve encore d
re le Journal de Genève à la pompe). En 1873 on trouve encore dans le
Journal
intime cette note : « N’est-il pas curieux que no
e Genève firent que la philosophie d’Amiel ne se cantonna pas dans le
Journal
, que quelque chose s’en communiqua et s’en transm
érieuse et communicative. L’échec de l’enseignement et la réussite du
Journal
étaient liés. Il fallait que l’un diminuât pour q
le jeune Cousin en un Pantalon de la Comédie italienne. L’auteur d’un
Journal
intime doit abdiquer l’éloquence. L’oratoire et l
de main indicatrice pour le confiner dans le ruminement solitaire du
Journal
. Cette main indicatrice, à vrai dire, il la disce
us creusera. » En 1844, pendant qu’Amiel à Berlin écrivait le premier
Journal
, Scherer commençait le Journal d’un égotiste. En
qu’Amiel à Berlin écrivait le premier Journal, Scherer commençait le
Journal
d’un égotiste. En 1845, renonçant à la France où
ltre (et encore il faudrait voir ses papiers), dans l’atmosphère d’un
Journal
. Heim est d’origine allemande, se sent plus à l’a
enfants, et qui ne trouve, lui aussi, d’autre expression de lui qu’un
Journal
intime, toujours inédit, qui fournira peut-être u
e l’équilibre entre le dedans et le dehors, ne tient peut-être pas de
journal
, mais il tient au genre du Journal par son dévoue
dehors, ne tient peut-être pas de journal, mais il tient au genre du
Journal
par son dévouement à la mémoire de Maine de Biran
de les manuscrits, et dont il publiera en 1857 la première édition du
Journal
intime, comme Scherer, l’auteur du Journal d’un é
857 la première édition du Journal intime, comme Scherer, l’auteur du
Journal
d’un égotiste, procurera en 1883 celle du journal
cherer, l’auteur du Journal d’un égotiste, procurera en 1883 celle du
journal
d’Amiel. Si jamais il y eut école genevoise, elle
Que leur dialogue fût ou non platonicien, si Amiel eût été, dans son
Journal
, moins occupé de lui, et si, en vrai Genevois ant
le jeune Bernard Bouvier alla lui porter le manuscrit des extraits du
Journal
! Avec la république conservatrice, puis avec la
ce, puis avec la république anticléricale, avec la puissance du grand
journal
protestant de Nefftzer, avec son influence dans l
gique ferait une décevante filière. À partir du moment où l’auteur du
Journal
intime, qu’il vient de commencer à Berlin, se fix
: ainsi un roman, une entreprise, une étude. Pour être attrayant, un
journal
ne devrait contenir que des pensées, des anecdote
upirs ? Tout ce qui se répète est insignifiant. Or, chez l’auteur du
Journal
, en dehors de l’histoire physiologique, du vieill
de ces histoires la plus considérable est, en 1865, une campagne d’un
journal
nommé le Radical qui l’accusait d’« obscurité »,
ïsme ». Des applaudissements d’étudiants et un article sympathique du
Journal
de Genève pansèrent la blessure faite par l’Homai
disait : « C’est Pecus ! » Puis il confiait longuement aux roseaux du
Journal
que Caliban avait les oreilles d’âne. Mais Mirand
me soucie nullement des amours-propres. » Sa croix, confie-t-il à son
journal
, est d’être méconnu de ceux qu’il aime. Cette cro
ne fait pas l’une des moindres singularités de sa vie que l’auteur du
Journal
soit aussi l’auteur du chant national Roulez, tam
d’Amiel faisaient à peine le tour de Genève. En 1854, il tira de son
Journal
et de ses papiers un petit volume qu’il nomma Gra
min des boules d’autrui. Le 16 juin 1866, quand tu remarques dans ton
Journal
que nos proches ne nous connaissent pas, n’ajoute
le de monde féminin, et naturellement il réfléchira, il parlera à son
journal
: « C’est une magnétisation spéciale qu’exerce ma
r ennuyeux, écrivain infinitésimal réduit à quêter sans l’obtenir des
journaux
une note d’une bienveillance distante, Amiel occu
drait mobile comme l’onde et parfaite comme la lumière. » L’auteur du
Journal
recule devant le mannequin d’osier que, pour les
ans leur détail menu, quotidien, ils demeurent enchantés ? Cahiers du
Journal
, correspondance avec Heim, avec Bordier, lettres
sa vie amoureuse, ou demi-amoureuse, avec trois volumes d’extraits du
Journal
et de la correspondance, sous ces titres, Corinne
le était descendue. De cette rencontre et de celles qui suivirent, le
Journal
énumère en un détail infatigable tous les sujets
r qu’Amiel fait la connaissance de Fanny Mercier. Il institue dans le
Journal
un parallèle étudié entre les deux femmes (sans n
ge. Quand elle mourut, il parla d’elle avec beaucoup d’estime dans le
Journal
du 13 janvier 1866. Simplement d’estime. Elle ava
rofesseur répond par des insertions dans la Feuille d’Avis et dans le
Journal
de Genève, soustrait cette fois à sa mission de f
pour obtenir une vue nouvelle sur l’univers. « Il est dur, dit-il (au
Journal
, bien entendu, et rien qu’à lui), d’ignorer les c
le désapprouve pas, « et je n’ai pas osé, confié-t-il aux roseaux du
Journal
, deviner ce que cela signifiait. À l’article des
ne sait pas ce que c’est que de cheminer avec un, homme qui tient un
Journal
! Elle a sa fiche dans les seize mille pages : «
le journée ! Même une journée instructive. Le soir, quand il écrit le
Journal
, Amiel remarque « combien l’horreur sacrée de tou
» Les études durent bien longtemps. Un an se passe, pendant lequel le
Journal
intime ne dit plus rien de Philine. La voyageuse
En serai-je à l’épicurisme fataliste, par faiblesse morale ? » Et le
Journal
de ce soir se termine par un : « Qu’ai-je à faire
er à Paris. Il eût déjà été trop tard à son retour d’Allemagne. Et le
Journal
Voyez-vous le Journal tenu à Paris Le tutu-panpan
à été trop tard à son retour d’Allemagne. Et le Journal Voyez-vous le
Journal
tenu à Paris Le tutu-panpan de Buisson ! Cette mê
ur toujours rompre au moment de nouer. » Un bon diable, qui défend le
Journal
. Et puis la femme n’est pas plus menteuse que l’h
s volcaniques du lyrisme ou les épaisseurs neptuniennes du roman : le
Journal
. Voilà, si l’on veut, du comique. Mais, chez Amie
eçu plusieurs centaines de lettres de Philine. Il les recopie dans le
Journal
, et, selon sa manie, les met parfois en vers fâch
petit promontoire vert et ombragé, près de Weggis. Il devient dans le
Journal
le Cap des Rêveries : un beau nom de paysage luna
que le protestantisme n’est pas une religion ! Attends, mon ami ! Le
Journal
d’après-souper se termine par une page de fureur
es avaient repoussé l’auteur des Confessions, a gardé et lié celui du
Journal
. Ce n’est pas en vain qu’Amifel a donné à son ami
longé sa vie, que le climat de Genève abrégea. Mais que fût devenu le
Journal
? Ce document était-il fait pour voyager de pensi
dans la vie conjugale ? Tolstoï, à la fin, était obligé d’avoir deux
journaux
, le Journal intime, que sa femme recopiait sur se
conjugale ? Tolstoï, à la fin, était obligé d’avoir deux journaux, le
Journal
intime, que sa femme recopiait sur ses notes, et
rnaux, le Journal intime, que sa femme recopiait sur ses notes, et le
Journal
secret, que son fils appelle le journal des botte
ecopiait sur ses notes, et le Journal secret, que son fils appelle le
journal
des bottes, parce que Tolstoï, pour le soustraire
mis : le recteur, qui déteste, ici comme en France, M. Bergeret, — le
Journal
de Genève, vétéran chevronné de la conspiration d
choisit une dernière fois sa vie, qui demeura la même : la matière du
Journal
, ce qu’il fallait à l’organisme pour déposer ce c
u. Il n’abandonna jamais la régularité des petites occupations, et le
Journal
en est une. S’il manque de volonté dans les grand
le coin exact qui sied à l’horlogerie minutieuse et infinitésimale du
Journal
. * Ne réduisons pas à un rôle matériel les attrib
de faire, à la fenêtre, des bulles de savon ? Amiel nous dit dans le
Journal
quelle date ce fut rue Verdaine qu’une bulle mira
e dévions pas sur Valéry. Demeurons en Amiel. Il y a là cinq pages du
Journal
, belles et pleines, méditation cosmique qu’Amiel
nêtre familièrement peuplée dont le paysage baigne dans la matière du
Journal
intime : la cour du collège, où il y a sa jeuness
pouse, de confident, d’ami, on prie ; à défaut de prière on ouvre son
Journal
intime. Et les pages suivent les pages, comme che
ue sur la maison de la rue Verdaine, ils l’ont dédiée à « l’auteur du
Journal
intime et de Roulez, Tambours. » Les compatriotes
s quelque peu à la conférence intérieure d’Amiel sur son mariage ? Le
Journal
est plein de « recommandations » que l’Amiel pens
pensant se fait à lui-même, et que l’Amiel agissant met au panier (le
Journal
, c’est même ce panier). Il est fâcheux que la nat
demment, tout de même, s’ils le prenaient pour modèle. * Cet arbre du
Journal
, qui touche ainsi aux étoiles et aux nuages, aimo
e, qui est, et qui est divine. » Entre l’Institution chrétienne et le
Journal
intime, la butte genevoise est un lieu où souffle
e matérialité, laquelle ne lui fait pas défaut. * De l’Institution au
Journal
il y a plus d’un lien, et l’un de ces liens a fig
création du monde, de son côté elle collabore avec bien des pages du
Journal
pour nous défendre d’oublier la marque calviniste
e, lui faisait signe, il y a cette Passerine, qui, après lui, eut son
Journal
, comme le cimetière de Clarens son corps. Aussi t
itoyen de la Ville-Patrie comme Rousseau, écrit le soir, à l’heure du
Journal
: « L’âme de la vieille Genève et l’esprit des an
e Genève, ne pesèrent moins que dans ces derniers jours à l’auteur du
Journal
: « Leibnitz n’a été accompagné au cimetière que
u doux philosophe genevois. Le 29 avril il traça la dernière ligne du
Journal
. La mort solitaire de Leibnitz ne l’eût pas effra
un effroi. » Le 11 mai, au matin, il cessa, douze jours après que le
Journal
eut pris fin sur ces mots : « La mère et la fille
, dont l’enterrement fut si triste, eût songé à occuper un coin. * Le
Journal
a été tenu souvent par Amiel lui-même pour le typ
ses concitoyens, si volontiers partagées. La vérité est que grâce au
Journal
, à ses dernières pages, on possède un de ces test
On y attendrait les vers de la Bouteille à la mer. Ci-joint est mon
Journal
, portant quelques études Des constellations des h
tive par divertissement, ou pour vérification. Amiel a donné, par son
Journal
, l’être à l’un d’eux. Ils aiment les hommes : ils
cation, par un Je veux ! qui ne dépassait pas les bords d’une page du
Journal
. En l’Amiel mûri et définitif, Que puis-je ? se t
t puissance, l’ordinaire, et le mathématique, et le philosophique. Le
Journal
d’Amiel nous dit son plaisir de vivre, une nuit,
’eut quitté, il mit une cravate blanche et il entra comme chez lui au
Journal
des Débats. Et c’était chez lui, en effet : de na
fet : de nature, de culture, de ture-lure, il était à tel point de ce
journal
, pédantesquement superficiel, que ce serait bien
el des deux était le plus fait pour l’autre, de Prévost-Paradol ou du
Journal
des Débats ? Ce fameux journal des rhéteurs recon
pour l’autre, de Prévost-Paradol ou du Journal des Débats ? Ce fameux
journal
des rhéteurs reconnut immédiatement en Prévost-Pa
lon Friquet ! » Prévost-Paradol fit l’effet d’un être vivant dans le
journal
des gnomes et des fantômes, et on y salua son app
ui permit même la politique (sans stage !), et il fut regardé dans ce
journal
, dont tous les rédacteurs sont des hommes de géni
terie dont ils ont tant besoin pour s’égayer, ces pâles vieillards du
Journal
des Débats, qui, devenus culs-de-jatte, ne se lèv
la vie publique si seulement, il y a quelques années, il avait été au
Journal
des Débats. Avec une telle obsession, ou plutôt u
is, certainement, qu’un homme a été assez crâne — même ailleurs qu’au
Journal
des Débats — pour comparer la reine et la déesse
l’École normale, à ces exercices de style qu’il fait présentement au
Journal
des Débats. Ses condisciples lui donnaient soit l
e du succès. Il fut universitaire, lauréat d’Académie et rédacteur du
Journal
des Débats… J’ai raconté comme il entra dans ce j
rédacteur du Journal des Débats… J’ai raconté comme il entra dans ce
journal
, dont l’incroyable influence survit à tout ce qui
adol n’était pas, lui, le premier venu, quand il s’en vint un jour au
Journal
des Débats. C’était un de ces camélias d’école no
urnal des Débats. C’était un de ces camélias d’école normale, dont le
Journal
des Débats tient serre. Il y cherchait sa vitrine
e son talent, Prévost-Paradol est peut-être, de tous les écrivains du
Journal
des Débats, celui qui convenait le mieux à ce jou
es écrivains du Journal des Débats, celui qui convenait le mieux à ce
journal
et qui a le plus de ce qui s’appelle l’esprit de
, cette ductilité de rhétorique, et, ce qui est l’avantage suprême au
Journal
des Débats, la faculté de faire également dans la
ine et Renan ne sont, d’ailleurs, que des spécialistes de critique au
Journal
des Débats. Prévost-Paradol y était le critique d
s une force mystérieuse dont, avait grand besoin, du reste, le pauvre
Journal
des Débats. Quel malheur qu’il n’y ait pas eu aux
pas dans les entretiens de société et dans les correspondances ; les
journaux
s’en mêlèrent ; quand je dis journaux, il faut en
dans les correspondances ; les journaux s’en mêlèrent ; quand je dis
journaux
, il faut entendre le Journal des savants, le seul
s journaux s’en mêlèrent ; quand je dis journaux, il faut entendre le
Journal
des savants, le seul alors fondé, et qui ne l’éta
de Mme de Sablé, j’y ai trouvé le premier projet d’article destiné au
Journal
des savants et de la façon de cette dame spiritue
: Je vous envoie ce que j’ai pu tirer de ma tête pour mettre dans le
Journal
des savants. J’y ai mis cet endroit qui vous est
’auteur les divers jugements de la société, elle va les aider dans un
journal
devant le public, et elle en travaille le succès.
ld, qui a tant médit de l’homme, va revoir lui-même son éloge pour un
journal
; il va ôter juste ce qui lui en déplaît. L’artic
juste ce qui lui en déplaît. L’article, en effet, fut inséré dans le
Journal
des savants du 9 mars ; et, si on le compare avec
donc tout subsister, excepté le paragraphe moins agréable. Le premier
journal
littéraire qui ait paru ne paraissait encore que
depuis trois mois, et déjà on y arrangeait soi-même son article. Les
journaux
se perfectionnant, l’abbé Prévost et Walter Scolt
efoucauld demanda à Mme de Sablé de lui faire un article dans le seul
journal
littéraire du temps, qui commençait à paraître ce
l littéraire du temps, qui commençait à paraître cette année même, le
Journal
des savants, et la complaisante amie écrivit un a
il supprima les critiques, garda les éloges, et le fit mettre dans le
Journal
des savants ainsi amendé et pur de toute préventi
erg, par M. Cocheris, dans les analyses qu’ils ont faites de l’ancien
Journal
des savants ; ces messieurs y ont été pris : et p
Autobiographie
Journal
des Goncourt : mémoires de la vie littéraire. Pré
de la vie littéraire. Préface de la première édition (1887)34 Ce
journal
est notre confession de chaque soir : la confessi
ressemblances du jour et de l’heure, les reprenant au cours de notre
journal
, les remontrant plus tard sous des aspects différ
isaient le moins le vif de nos sensations, la fierté de nos idées. Ce
journal
a été commencé le 2 décembre 1851, jour de la mis
re littéraire comme terminée, je prenais la résolution de cacheter le
journal
à la date du 20 janvier 1870, aux dernières ligne
es événements du siège et de la Commune m’entraînaient à continuer ce
journal
, qui est encore, de temps en temps, le confident
ident de ma pensée. Edmond de Goncourt. Schliersée, août 1872. Ce
journal
ne devait paraître que vingt ans après ma mort. C
is à la campagne, chez Alphonse Daudet, je lui lisais un cahier de ce
journal
, que sur sa demande j’avais pris avec moi. Daudet
qui avait l’aimable idée de les publier dans le Figaro. Or voici ce
journal
, ou du moins la partie qu’il est possible de livr
man ou d’une biographie contemporaine, qui se trouve être une page du
journal
, employée comme document dans ce roman ou cette b
ier et Cie, éditeurs, 1887, 3 vol. in-18. 35. Je refonds dans notre
Journal
le petit volume des Idées et Sensations qui en ét
LXXI Ce 2 décembre 1844. transformation du
journal
la presse et des mœurs littéraires. — son prospec
uvelle qui domine toutes les autres est celle de la transformation du
journal
la Presse qui vient d’augmenter son format, d’aba
la masse et l’élite des écrivains. En effet, selon que l’annonçait le
journal
le Globe du 24 novembre, la Presse, par une spécu
détail aux petits marchands. Si vous voulez, par exemple, vous petit
journal
, journal moins riche que la Presse, donner à vos
ux petits marchands. Si vous voulez, par exemple, vous petit journal,
journal
moins riche que la Presse, donner à vos abonnés d
ro du 1er décembre, et ses colossales annonces ici même dans tous nos
journaux
. Elle a en tête de sa liste Chateaubriand et Lama
érieux et avec ensemble. Mais il y a pis ; car, en paraissant dans un
journal
quotidien politique, ces œuvres des grands écriva
tine, on le sait, abonde et verse sans aucune réserve dans le sens du
journal
la Presse. Mais Chateaubriand, le voilà devenu, p
prétention affichée et proclamée par la Presse de devenir le premier
journal
politique et littéraire est un coup direct porté
raire est un coup direct porté aux Débats, et un coup dont ce dernier
journal
aura quelque peine à se relever, s’il ne change d
er, s’il ne change d’allure. Il n’est que trop vrai, en effet, que le
Journal
des Débats, depuis des années, ne cesse de contre
mais. » Depuis que la rivalité de la Presse a commencé de poindre, le
Journal
des Débats n’a cessé, par son dédain, ses airs de
Préface Ce
journal
est notre confession de chaque soir : la confessi
ressemblances du jour et de l’heure, les reprenant au cours de notre
journal
, les remontrant plus tard sous des aspects différ
isaient le moins le vif de nos sensations, la fierté de nos idées. Ce
journal
a été commencé le 2 décembre 1851, jour de la mis
re littéraire comme terminée, je prenais la résolution de cacheter le
journal
à la date du 20 janvier 1870, aux dernières ligne
es événements du siège et de la Commune m’entraînaient à continuer ce
journal
, qui est encore, de temps en temps, le confident
de ma pensée. Edmond de Goncourt. Schliersee, août 1872. * * * Ce
journal
ne devait paraître que vingt ans après ma mort. C
is à la campagne, chez Alphonse Daudet, je lui lisais un cahier de ce
journal
, que sur sa demande j’avais pris avec moi. Daudet
, qui avait l’aimable idée de les publier dans Le Figaro. Or voici ce
journal
, ou du moins la partie qu’il est possible de livr
oman ou d’une biographie contemporaine qui se trouve être une page du
journal
, employée comme document dans ce roman ou cette b
nos observations assez borné1. E. de G. 1. Je refonds dans notre
Journal
le petit volume des Idées et sensations qui en ét
ellement à ceux de Dussault, d’Hoffman, ses anciens collaborateurs au
Journal
des débats, alors Journal de l’Empire. Parler un
t, d’Hoffman, ses anciens collaborateurs au Journal des débats, alors
Journal
de l’Empire. Parler un moment d’eux tous, c’est e
erions bien un peu étonnés si, un matin, nous trouvions au bas de nos
journaux
les mêmes articles de variétés, les mêmes feuille
vons déjà le vérifier pour nous-mêmes. Qu’on se rappelle Le Globe, ce
journal
si sérieux, si distingué, qui croyait ressembler
re dans l’esprit des lecteurs. Je prétends qu’en relisant les anciens
journaux
et les articles de critique qui y ont eu le plus
ués dont nous avons à parler ; il s’agit des écrivains littéraires du
Journal
des débats d’alors. Vers 1801, cette feuille, sou
Vers le même temps, au Mercure, et dans une alliance étroite avec le
Journal
des débats, écrivaient La Harpe, l’abbé de Vauxce
onald, Chateaubriand. Dans les rangs opposés, on comptait Roederer au
Journal
de Paris ; M. Suard et un jeune talent viril, Mll
l était, à n’y jeter qu’un coup d’œil très sommaire, le personnel des
journaux
sous le Consulat. Il s’engagea alors des querelle
s personnages et grands fonctionnaires, laissèrent la plume. Quelques
journaux
eurent ordre de se taire ou de baisser le ton. Le
dité. La Décade, avant d’expirer, avait changé de nom et d’esprit. Le
Journal
des débats, sous le titre de Journal de l’Empire,
it changé de nom et d’esprit. Le Journal des débats, sous le titre de
Journal
de l’Empire, fut le seul à prospérer et à gagner
olution intérieure, un vrai coup d’État. MM. Bertin, propriétaires du
journal
, furent évincés ; ils devaient être totalement dé
evaient être totalement dépossédés quelques années plus tard. Mais le
journal
qu’ils avaient créé subsista. M. Étienne, établi
i avaient commencé ou qui continuèrent alors de concert la fortune du
journal
, quatre noms sont restés de loin associés dans le
ngtemps savoir à quoi m’en tenir sur les quatre critiques célèbres du
Journal
de l’Empire, desquels je ne connaissais qu’un seu
’esprit qu’il était, s’avisa de l’aller prendre lorsqu’ayant fondé le
Journal
des débats, il sentit que le feuilleton des théât
une forte et vigoureuse nature. Il y a, pour la critique moderne des
journaux
, deux filiations, deux lignées distinctes : l’une
s bruits circulèrent. Il fallut que ce fût bien fort pour que dans le
Journal
de l’Empire même on insérât, le 15 mars 1812, une
nemis maîtres de la place, ils m’attaquaient dans l’intérieur même du
journal
, au sein de mes foyers ; ma propre maison était d
i, à propos de ces attaques qu’on insérait contre lui dans son propre
journal
, ce que disait Louis XIV d’un courtisan qui criti
vous êtes né pour les opéras. » Quand Hoffman fut entré, en 1807, au
Journal
de l’Empire, Geoffroy put voir s’il avait prédit
vincial, membre de l’Académie de Châlons, rend compte, par la voie du
journal
, à un sien cousin dont il ne sait l’adresse, de t
mple, M. de Martignac a légué, sans s’en douter, un germe de mort aux
journaux
par sa loi de juillet 1828, loi relativement libé
lle. Pour subvenir aux frais nouveaux, que ferons-nous ? disaient les
journaux
. — Eh bien ! vous ferez des annonces, leur répond
urnaux. — Eh bien ! vous ferez des annonces, leur répondait-on. — Les
journaux
s’élargirent ; l’annonce naquit, modeste encore p
nonce furent rapides et infinies. On eut beau vouloir séparer dans le
journal
ce qui restait consciencieux et libre, de ce qui
s la partie la plus productive et la plus nette de l’entreprise ? Des
journaux
parurent, uniquement fondés sur le produit présum
stoire : Swift, d’une encre amère, l’aurait tracée. La situation des
journaux
a notablement empiré depuis l’introduction de la
die, prétendait tuer ce qu’on appelait le monopole de quelques grands
journaux
; mais il n’a fait que mettre tout le monde et lu
a littérature, de se tirer d’affaire avec vérité, avec franchise. Les
journaux
, par cette baisse de prix, par cet élargissement
e de pudeur, si elle en avait. Maintenant, quand on lit dans un grand
journal
l’éloge d’un livre, et quand le nom du critique n
e Carrel, avait commencé à s’élever, quand elle s’est tue. Les autres
journaux
étaient trop intéressés sans doute dans la questi
vidence et certitude. Je crois, par exemple, que ç’a été une faute au
Journal
des Débats, resté après tout à la tête de la litt
nets qui, pour ne pas se ruiner en doubles achats, découpent dans les
journaux
et font relier les romans qui paraissent en feuil
écrites pour fournir le plus de colonnes avec le moins d’idées ? Les
journaux
s’élargissant, les feuilletons seiment, l’élas in
te. Il y a tel écrivain de renom qui exigera (quand il condescend aux
journaux
) qu’on lui paye deux francs la ligne ou le vers,
on propre charlatanisme, les exigences des auteurs, les exactions des
journaux
, et enfin la contrefaçon étrangère, ait succombé
ur, sinon pour les livres, du moins pour les feuilletons : il y a des
journaux
voleurs qui vous citent et vous copient. Quelques
s : le plus sûr et le plus fructueux est d’amener par transaction ces
journaux
à payer tribut pour leur reproduction, et à s’abo
r, se trouvait presque aussitôt dépossédée de cet article par quelque
journal
payant tribut régulier de reproduction à cet aute
’un livre, est-ce de simples articles qu’on écrit : on traite avec un
journal
, on remplit mutuellement ses conditions. Si l’on
’on est contrefait, copié par une feuille voleuse, c’est l’affaire du
journal
de défendre son bien, et de poursuivre, s’il lui
tefois sans qu’il y ait des signes avant-coureurs. Ne voit-on pas des
journaux
, coalisés sur ce point, s’entendre à merveille au
e le spirituel Charivari n’ait aussi, cette fois, oublié de rire. Les
journaux
politiquement s’attaquent, s’injurient, se font a
36. Quoi qu’il en soit, une note se trouva insérée dans deux ou trois
journaux
, dans ceux-là mêmes qui s’attaquent tous les mati
e la réclame est la petite note glissée vers la fin, à l’intérieur du
journal
, d’ordinaire payée par le libraire, insérée le mê
temps de mœurs lâches et d’individualités mesquines. Qu’on prenne les
journaux
et les livres, — et les livres, au train dont nou
les livres, au train dont nous allons, ne seront bientôt plus que des
journaux
accumulés, si de fortes œuvres de méditation et d
arracher à la juste indifférence qu’ils inspirent, — qu’on prenne les
journaux
et les livres et qu’on cherche dans les uns et da
s ! La preuve d’un tel fait n’est qu’une question de statistique. Les
journaux
qui règnent à Paris, et qui prétendent donner le
nt à Paris, et qui prétendent donner le mot d’ordre à tous les autres
journaux
de France sur ce qu’ils appellent les progrès de
r commencer par les revues, qui restent plus longtemps que les autres
journaux
sous l’œil du public et dont la gravité et les dé
osophique impartialité. Elle n’était pas, elle ne pouvait pas être un
journal
de critique, c’est-à-dire de direction et d’ensei
Mondes n’avait pas de critique. Elle avait un critique, comme chaque
journal
a le sien. Certes ! ce n’est pas la fonction qui
la revue magazine à laquelle il appartenait, pas plus que les autres
journaux
d’une époque qui, si elle continue, sera tristeme
s deux revues sosies l’une de l’autre dont nous venons de parler, les
journaux
sont-ils l’expression de la critique comme nous l
s ou moins, la pensée des peuples. Eh bien, dans cette spécialité des
journaux
qu’on appelle le compte rendu littéraire, le mal
tre a admiré. C’est le sic et non perpétuel, mais l’Abélard, c’est le
journal
, auquel on retranche sa dignité ! Parmi les criti
e a besoin de plus de largeur, Pontmartin est de son époque. Dans les
journaux
, ne sait-on pas de reste que les relations de la
— Lendemain du 9 Thermidor. — Période de l’an III, — Les articles du
Journal
de Paris. — Madame de Staël. — Le général Bonapar
795, Sieyès, qui pensait à reprendre avec un de ses amis, Duhamel, le
Journal
de l’instruction sociale conçu deux années aupara
sition n’eut pas de suite. En reparaissant vers le même temps dans le
Journal
de Paris (janvier 1795), Roederer eut à parler pl
es supposait encore plus unis qu’ils ne l’étaient. Roederer, dans son
journal
, plaisantait de cette faction nouvelle à laquelle
de sa retraite après la Terreur, qu’avant même de reparaître dans le
Journal
de Paris, il aidait activement de sa plume au rév
le masque Il ne reparut en son nom qu’au commencement de 1795 dans le
Journal
de Paris. La suite des articles intitulés « Espri
e Paris. La suite des articles intitulés « Esprit public », et que le
journal
publia à dater du 16 février, est de lui. À ces m
gouvernement. Roederer n’eut pas seulement à donner son avis dans le
Journal
de Paris et dans un petit écrit de celle date int
sera forcé de recourir plus tôt qu’on ne pense à l’unité physique ». (
Journal
de Paris, 16 août 1795.) — Dès qu’il a vu la Conv
l a recueilli plus tard en trois volumes plusieurs de ses articles du
Journal
de Paris ; mais il en est de cette date plus anci
er, ayant une presse, une imprimerie à lui, il en usait largement. Le
Journal
de Paris dont il était propriétaire, ne suffisant
ecueil périodique qui paraissait tous les dix jours, sous le titre de
Journal
d’économie publique, de morale et de politique. I
ier événement de ma vie. Elle désire un compte rendu sérieux dans le
Journal
d’économie publique, mais pour le Journal de Pari
ompte rendu sérieux dans le Journal d’économie publique, mais pour le
Journal
de Paris elle désire plus et demande tout naïveme
elle en a besoin pour ce qui est de sa situation en France : Dans le
Journal
de Paris il m’importerait extrêmement qu’on saisî
’on saisît cette occasion pour dire une sorte de bien de moi. Dans le
journal
rouge 56 faites une analyse si vous m’en trouvez
jour où vous recevrez cette lettre, louez-moi tout bonnement dans le
journal
qui a une véritable dictature sur l’opinion publi
mbre 1796), Roederer allait au-devant de son désir et donnait dans le
Journal
de Paris une analyse bienveillante qui se termina
achent bien que celui-ci y a répondu sans colère et avec supériorité (
Journal
d’économie publique, t. II, p. 175) ; il examine
— L’article auquel Bonaparte faisait allusion, et qui était dans le
Journal
de Paris du 25 juillet 1796, avait pour but de si
ces soins de gouvernement et de Constitution, il ne cessait, dans son
Journal
de Paris, de soigner l’opinion du dehors, de l’éc
56. [NdA] Sans doute appelé ainsi à cause de sa couverture ; c’est le
Journal
d’économie publique. 57. [NdA] Le Journal de Par
e sa couverture ; c’est le Journal d’économie publique. 57. [NdA] Le
Journal
de Paris. 58. [NdA] Au tome IV, p. 240 et 360 du
Journal
d’Olivier Lefèvre d’Ormesson, publié par M. Chéru
. Chéruel6 Lundi, 15 octobre 1860. On aura remarqué que ce mot de
journal
revient bien souvent depuis quelques années au ti
années au titre des livres que la critique a pour devoir d’annoncer :
Journal
de Dangeau, Journal de d’Argenson, Journal de d’A
livres que la critique a pour devoir d’annoncer : Journal de Dangeau,
Journal
de d’Argenson, Journal de d’Andilly, Journal du d
a pour devoir d’annoncer : Journal de Dangeau, Journal de d’Argenson,
Journal
de d’Andilly, Journal du duc de Luynes… C’est qu’
er : Journal de Dangeau, Journal de d’Argenson, Journal de d’Andilly,
Journal
du duc de Luynes… C’est qu’en effet l’on est deve
t son propre plaisir et sa gaieté personnelle) d’avoir dit du bien du
journal
du duc de Luynes, comme si j’en avais exagéré l’u
t se retirait ! — Mais il s’agit aujourd’hui de toute autre chose, du
Journal
d’Olivier d’Ormesson, et j’y arrive. Les d’Ormess
ncé de compter), c’est-à-dire par celui dont on publie aujourd’hui le
Journal
, et qui fut simplement maître des requêtes ; mais
suite des temps. Le troisième d’Ormesson, le plus célèbre, et dont le
Journal
fournit sur ce sujet tant de lumières, était maît
ération et de l’esprit de justice de ses père et aïeul. En lisant son
Journal
, on ne saurait lui accorder que des qualités soli
ès de Fouquet et la louange de Mme de Sévigné ont donné du lustre. Le
Journal
ajoutera à l’estime, non au lustre. Les inconvéni
qui la rendent inférieure en intérêt aux mémoires, sont évidents : un
journal
, comme son titre l’indique, va et procède au jour
se répète à satiété, il tâtonne, il se rétracte. Le seul avantage du
journal
sur les mémoires, est d’être plus complet et plus
ait tableau. Rien assurément ne ressemble moins à ses Mémoires que le
Journal
de d’Ormesson ; l’auteur n’a pas songé une seule
s général, tout historien profitera beaucoup de la connaissance de ce
journal
et du contrôle qu’il permet d’établir avec d’autr
ilà aussi ma leçon pour aujourd’hui. Et ma conclusion sur l’auteur du
Journal
sera en deux mots, qu’en histoire comme dans le p
Journal
de la santé du roi Louis XIV Lundi 26 mai 1862
tails de la grande opération faite à Sa Majesté en 1686 : ceci est un
Journal
de la santé, des maladies et des incommodités de
ue, le seul esprit dans lequel il conviendrait de deviser d’un pareil
Journal
. Quoi ! se peut-il, ô le plus majestueux, et plus
e crois, docteur en médecine, n’a pu résister au désir de produire un
Journal
aussi instructif en son genre que celui dont la B
e Montaigne : deux races bien opposées ! Trois médecins ont dressé ce
Journal
de la santé de Louis XIV, qui nous apprend aujour
ois médecins, Vallot, d’Aquin, Fagon, écrivent donc successivement le
Journal
de l’auguste santé qui leur est confiée. On a d’a
ter les excès et d’observer bien des précautions pour se soutenir. Le
Journal
commence par la petite vérole du roi en 1647 ; il
e cessa de voir en lui à tous les âges. C’est ce côté qui ennoblit le
Journal
de la santé du roi, et que le lecteur ne doit jam
au dernier jour. — (Ne jamais perdre de vue ce point-là, en lisant le
Journal
.) La puberté se déclare : le roi est incommodé, d
non, la grande opération n’est plus qu’un incident ; cela ressort du
Journal
qui est sous nos yeux ; mais vous avez un Louis X
e. La grande opération, celle de la fistule, vient à son rang dans le
Journal
, mais seulement à son rang et sans prendre une im
rsque, lui succédant dans sa charge, il prend en main la rédaction du
Journal
. On sait qu’après l’opération, si bien faite par
dans la confiance de Mme de Maintenon, supplanta d’Aquin en 1693. Le
Journal
, une fois rédigé par lui, prend un intérêt médica
on dédommagement et son danger les jours maigres. On sourit à lire ce
Journal
qui est vraiment de morale autant que de médecine
un seul petit vice à soixante ans, lui jettent la première pierre. Le
Journal
de Fagon s’interrompt malheureusement à la fin de
is que praticien, M. Ch. Daremberg, dans un article des Débats sur le
Journal
de la santé de Louis XIV (6 décembre 1862), a exp
ses matérielles. Nous les trouverons dans la disposition actuelle des
journaux
et des revues. La critique littéraire courante n’
n feuilleton comme au temps jadis. Est-ce parce que les directeurs de
journaux
ont le sentiment de la déchéance de la critique c
reportage et l’afflux d’informations télégraphiques poussent tous les
journaux
à devenir des feuilles d’annonces et de nouvelles
est quasi impossible de dire du bien d’un volume sans rétribution du
journal
par l’éditeur ou l’auteur. L’éditeur se charge en
elui des annonces commerciales pour une note de petite dimension. Les
journaux
à tirage trop faible pour exiger ce droit léonin
t griffonnés par n’importe qui. J’ai vu dix fois, à la fondation d’un
journal
, dans le brouhaha de la première réunion de ceux
et aux Débats où il y a un fonctionnaire régulier et titularisé ; au
Journal
il y a, rarement, une critique des livres où M. A
ne que M. Lepelletier remplissait jadis de temps à autre. Et ces deux
journaux
sont spécifiés littéraires, et le public s’occupa
ons. Est-il possible d’espérer ainsi un relèvement de la critique des
journaux
? Elle est condamnée à disparaître totalement, d’
e, sans que leur éloge ne soit taxé à réclame par l’administration du
journal
. Le journalisme est donc l’élément destructeur mé
re ? Parce qu’un monsieur, qu’ils ne connaissent pas, a écrit dans le
journal
qu’il fallait l’acheter ! Quel droit divin a été
coup de pays, notamment pour l’Allemagne et pour l’Angleterre, où les
journaux
sont d’un volume considérable, où il y a beaucoup
de ses romans byzantins ou modernes, donne depuis quelques années aux
journaux
une Critique des mœurs et des articles de politiq
raient une mission admirable. Ils cesseraient toute communication aux
journaux
quotidiens pour ne pas gaspiller leur style et le
Stendhal, son
journal
, 1801-1814, publié par MM. Casimir Stryienski et
n. L’excuse de Stendhal est que, bien réellement, il n’écrivait son
journal
que pour lui et non points comme ont fait tant d’
mme M. Ferdinand Brunetière) toute cette « littérature personnelle »,
journaux
, mémoires, souvenirs, impressions, est fort en fa
est la première clarté que ces pages nous donnent sur leur auteur le
journal
de Stendhal n’est pas un épanchement involontaire
y avoir à la fois entre deux générations et entre deux âmes, lisez le
journal
de Stendhal, cette confession d’un jeune homme du
premier Empire ; puis lisez, par exemple, Sous l’œil des barbares, ce
journal
d’un jeune homme de la troisième république, et c
Cette dureté se trahit assez souvent chez Beyle. J’en trouve dans le
journal
un très remarquable exemple. Beyle est malade à P
ièvre : car, d’abord, il appelle couramment son père dans le reste du
journal
: « mon bâtard de père » ; puis, relisant vingt a
fait ce qu’il a voulu le plus énergiquement ; et il me semble que son
journal
nous dit pourquoi. Il voulait le plaisir sous tou
de rien, à force de voir tous les possibles ». Ce que nous raconte le
journal
, c’est peut-être l’aventure d’un grand homme d’ac
uge et du Noir) ce qu’il a été. C’est l’impression que m’a laissée ce
journal
— dont je n’ai pu vous donner, par ces quelques l
t révélé. Et j’ai senti amèrement que d’écrire des chroniques dans un
journal
est une des besognes les plus vaines auxquelles u
ur d’eux. Il y a cinquante ans, Paris n’avait guère qu’une dizaine de
journaux
, que se partageaient la politique et la littératu
s qui s’étalent tous les jours à la première ou à la seconde page des
journaux
? Les gens du métier ne les lisent guère. Les dél
is plus si sûr. Ce que je dis de la chronique peut se dire de tout le
journal
, et aussi de la littérature tout entière ; et la
tre chose. Mais cette définition convient aussi au moindre article de
journal
, avec cette différence qu’il s’agit, dans ce dern
n’avait peut-être pas soupçonné la valeur future. Les chroniques des
journaux
, en vieillissant, deviennent mémoires. Celles d’a
dirige s’y est résigné. Les esprits vraiment originaux traversent ce
journal
, mais n’y séjournent pas. Ainsi M. Émile Zola ; a
lui de n’en pas avoir trop : juste ce qu’il faut pour la clientèle du
journal
, qui est foncièrement bourgeoise et, je crois, pl
t bourgeoise et, je crois, plus provinciale que parisienne. Admirable
journal
d’ailleurs, à l’affût de tout ce qui surgit un mo
ment sur l’horizon de Paris ; le journal-barnum, le mieux informé des
journaux
, c’est-à-dire rempli jusqu’aux bords de choses su
mari de Rosine. M. Albert Wolff est une des lumières de ce surprenant
journal
. Il mérite de nous arrêter un moment, car il offr
t d’après un grand. » Puis vient Saint-Simon, qui profite beaucoup du
journal
de Dangeau pour établir ses mémoires, pour en fix
geau comme pour le mortifier, et qui annotera d’un bout à l’autre son
journal
, a jugé ce journal d’une manière à la fois bien s
mortifier, et qui annotera d’un bout à l’autre son journal, a jugé ce
journal
d’une manière à la fois bien sévère et singulière
écrit dont il a beaucoup usé et profité, et dont tous profiteront. Ce
journal
unique en effet, et dans lequel durant plus de tr
de Maintenon, retirée à Saint-Cyr, et vivant dans le passé, lisait le
journal
manuscrit de Dangeau, et elle en disait à Mme de
Dangeau, et elle en disait à Mme de Caylus : « Je lis avec plaisir le
journal
de M. de Dangeau : j’y apprends bien des choses d
une autre octogénaire ; c’est bien de l’homme. Mais en ce qui est du
journal
, ce qui amusait véritablement Mme de Maintenon (e
c l’aide d’une honorable maison de librairie, une édition complète du
Journal
de Dangeau. Précédemment, pour les publications p
nlis dans un sens, Lémontey dans un autre ; or, ce qui caractérise le
journal
de Dangeau, ce qui en fait le cachet et le mérite
omblant soigneusement les lacunes quand il faisait de rares absences.
Journal
de « valet de chambre », dit Voltaire, journal d’
ait de rares absences. Journal de « valet de chambre », dit Voltaire,
journal
d’« huissier » ; tant que l’on voudra ! il y avai
narque : et en cela il ne s’est point si fort trompé. Ouvrons donc ce
Journal
de Dangeau, et apprenons à le lire en y mettant d
prit historique que l’auteur n’avait pas, mais qu’il sert si bien. Le
journal
commence le dernier jour du carême de 1684 : Sam
ns point Dangeau ; passons-lui les défauts qui lui ont fait faire son
journal
, et sans lesquels il ne l’eût point mené à fin. C
. Je ne lui en fais pas un reproche. Combien de fois ouvrant un petit
journal
, le lisant d’abord machinalement, je me suis lais
s succinctes et fut mis de bonne heure à la pratique, je veux dire au
journal
, au Courrier de la Gironde. Il y passa par tous l
se pour le temps. De l’Époque, après le naufrage, il fut recueilli au
journal
la Presse, et, dès lors, on le vit un peu partout
père en vendait, — moi, j’en fis. Ma verve fut vite étouffée Sous le
journal
, rude fardeau ; La servante chassa la fée ; L’art
aussi que je fasse mon métier de critique grave, d’écrivain de grand
journal
, et que je ne donne pas raison en tout, que je ne
duis. Un jeune homme de mérite, pauvre, cherchait du travail dans les
journaux
; il s’adressa à Mercier qui dirigeait alors les
style, imagination, philosophie. Depuis quinze jours je fais dans ce
journal
l’article Variétés… C’est avec un sentiment de do
Monselet n’est pas ainsi ! Il avait fondé en février 1858 le Gourmet,
journal
des intérêts gastronomiques, qui dura six mois. Q
met, journal des intérêts gastronomiques, qui dura six mois. Quand ce
journal
se fonda, il fut donné en son honneur, à l’hôtel
’ongle », de parodies et de malices de toutes sortes, dans les petits
journaux
où il écrit depuis quinze ans et où il s’est diss
Carraguel), en ce qu’au rebours des autres il a commencé par le grand
journal
et qu’il finit par le petit. Comme son Bourgoin «
. Collé lui-même, qui n’aime pas Voltaire, et, au moment où, dans son
Journal
, il s’indigne le plus vivement des personnalités
l’Étendard du 17 septembre 1866) ; — un feuilleton sur Rossini (même
journal
, 2 décembre 1867) ; — sur Octave Feuillet, « le r
mbre 1867) ; — sur Octave Feuillet, « le romancier des femmes » (même
journal
, 14 janvier 1867) ; — mais surtout sur George San
e et notoire ; aujourd’hui enfin, pour tout dire, que le Globe est le
journal
reconnu et avoué de la doctrine saint-simonienne
dernière fois par devant le public, sur les variations successives du
journal
auquel notre nom est demeuré attaché ; de rendre
emporter de concert les nations civilisées du monde. Le titre même du
journal
avait été choisi en rapport avec ce caractère d’i
sociation et cette unité, Saint-Simon, frappé vivement de l’aspect du
journal
et de sa tendance définitive, crut un moment qu’i
ption. Il désira à cet effet une entrevue avec les deux fondateurs du
journal
: mais le temps n’était pas mûr ; on ne s’entendi
dans la préoccupation naturelle des rédacteurs comme du public, notre
journal
parut se réduira au travail du principe de libert
ouvant de la liberté ; répandant sur l’ensemble parfois discordant du
journal
l’unité passionnée, et sans cesse renaissante, de
le noble et infortuné Farcy, avait percé au point d’offenser dans le
journal
le principe dominant, et d’y scandaliser les poli
ées, et consommer la réalisation de la pensée première qui présida au
journal
. Car, nous y insistons, il y a, depuis le premier
et pour vous parler de n’importe quoi, comme je vous l’ai promis. Les
journaux
vous disent assez ce qui se passe aujourd’hui dep
depuis la grippe ; moi je voudrais vous entretenir de choses dont les
journaux
ne parlent pas. Vous savez combien les voyageurs
gne-aux-Herbes-Potagères, à Bruxelles ! Je courus donc à l’Opéra. Les
journaux
vous parlent de ces magiques représentations et d
ais, je vous le répète, je ne vous veux parler que de choses dont les
journaux
ne vous entretiennent pas. Notre compatriote P……,
outes les choses qui se disent chaque soir au foyer de l’Opéra, et le
journal
le plus intéressant du monde serait celui qui env
en auteurs dramatiques. Il y a d’autres groupes formés des gérants de
journaux
, des artistes gens du monde, des employés supérie
e substantif aux illustrations moins éminentes) Hippolyte Fortoul, du
journal
le Droit, — Charton, du Temps, — Hippolyte Lucas,
— Chaudes-Aigues, de la Chronique de Paris, — Lassailly, de tous les
journaux
possibles, — Louis Viardot et Théophile Thoré, du
e tous les journaux possibles, — Louis Viardot et Théophile Thoré, du
journal
le Siècle. — Je reprendrai plus tard ceux de ces
é, M. Pierre Charpenne avait refusé la rédaction en chef du Corsaire,
journal
dont son nom, a, m’a-t-on dit, fait le succès en
tre d’études dans un collège. Il est entré dans la littérature par le
journal
le Figaro, qui a servi aux premières armes d’une
devez vous en souvenir, et j’allais exactement, à son heure, lire les
journaux
de Paris chez madame Taquet, rue de la Madeleine.
ous, mon cher Monsieur, qui soyez convaincu, pour avoir fait de votre
journal
la gueule de bronze de la place Saint-Marc ! En t
ot de la littérature maritime, et à F. Jules Lecomte, l’inventeur des
journaux
maritimes et le pêcheur de baleine. J’avais lu le
cela me semblait assez incompatible avec les baleines et la marine en
journaux
, je demandai des explications. Mais mon auteur d’
ans à vulgariser la marine, comme il le dit lui-même, en fondant des
journaux
maritimes qu’il rédige. M. Jules Lecomte a vingt-
ses gênantes et fastidieuses : ainsi a peut-être fait l’inventeur des
journaux
maritimes (et aussi le pêcheur de baleines) pour
ots, nous rencontrâmes M. Théophile Thoré, le critique de peinture du
journal
le Siècle et de la Revue de Paris. M. Thoré porte
ucas, me fut désignée sous le nom de Marie de L’Épinay, qui rédige le
Journal
des Modes et écrit de charmantes nouvelles. Quant
vança. C’était celui de M. Loève-Veimarsd, le co-homme de M. Janin au
Journal
des Débats. M. Veimars semble avoir 32 ans, il es
ge Sand. L’auteur d’André habite rue Laffitte. Vous avez vu dans les
journaux
le compte-rendu d’un procès que l’illustre femme
risque pas de se tromper en disant que les plus jolis articles de ce
journal
découlent de sa plume incisive. Son influence est
out le monde le craint, et il ne craint personne. À Paris, les petits
journaux
(ces petits journaux sont le Corsaire, le Chariva
t, et il ne craint personne. À Paris, les petits journaux (ces petits
journaux
sont le Corsaire, le Charivari et le Figaro) se t
tignez-le, il vous rendra une blessure. Il n’y a pas d’exemple, qu’un
journal
ait jamais dit du mal du talent de M. Gozlan. Les
et ouvrage que quelques chapitres ou articles, comme il fait dans les
journaux
, sans qu’on ait droit de dire que ces journaux so
comme il fait dans les journaux, sans qu’on ait droit de dire que ces
journaux
sont de lui. Je regrettai fort de ne pas rencontr
nses succès. Les articles de M. Granier de Cassagnac, publiés dans le
Journal
des Débats, journal qui passait alors et passe en
icles de M. Granier de Cassagnac, publiés dans le Journal des Débats,
journal
qui passait alors et passe encore pour être à la
la politique. Ils font de la littérature partout, aussi bien dans le
journal
légitimiste que dans une feuille du pouvoir. La m
oute, mon cher Monsieur, des plaisanteries sans nombre que firent les
journaux
français à propos de ce voyage sur la Méditerrané
ettante. C’est aussi un des collaborateurs habituels du feuilleton du
journal
le Siècle. Ce que j’ai à vous dire de M. Lamothe-
othe-Langon, on peut enfin voir son œuvre lancée ou critiquée dans un
journal
, et mettre : « Homme de lettres » sur la carte de
r de marine, surtout à l’âge de 3 ans, comme le prétendent les petits
journaux
dont M. Jal défraie parfois, sans le vouloir, la
t, M. Jal florissait aussi quelque peu, humblement assis à la base du
journal
alors pyramidal, dans son feuilleton d’art et de
vait avoir un nom fourré partout. (C’est sa méthode ; il n’est pas un
journal
qui se fonde, auquel M. Jal n’écrive pour prier d
is. Ô Landais ! Il s’est fait à Paris, en 1832 ou 1833, un magnifique
journal
qui avait pour titre l’Europe littéraire. C’était
autres lui en empruntèrent. Vous devez vous souvenir de ce magnifique
journal
, car je me rappelle parfaitement en avoir trouvé
s ans, l’auteur de Thadéus était fort tourmenté par le directeur d’un
journal
, pour qu’il lui donnât un article vaguement promi
d qu’un louis ou deux dans sa bourse ; alors l’officieux directeur de
journal
offrit la somme avec empressement, et avant que l
jours plus tard, M. Luchet lut avec le plus grand étonnement, dans le
journal
du directeur en question, un article où les théor
e vous sachiez que les éditeurs français font comme les directeurs de
journaux
, qu’ils spéculent beaucoup sur les noms pour acha
ait. La publication des fameux articles démolisseurs, publics dans le
Journal
des Débats, par M. Granier de Cassagnac, et dont
s’il est mort ou s’il n’est pas mort. Le dit-on décédé ? il écrit au
journal
qu’il vit toujours. A-t-on besoin de sa présence,
s de beaucoup de talent et qu’il est facile de juger, à voir dans son
journal
, le Corsaire, la façon dont il traite les gens qu
À Paris, si un écrivain est attaché d’une façon un peu apparente à un
journal
politique, ou à un recueil littéraire, sa positio
e représentant Melpomène en pleurs, ode superbe qu’on siffla dans les
journaux
. Voilà ce que les comédiens firent pour M. Dumas
a lui feront. Vous avec certainement lu, ces temps derniers, dans les
journaux
de Paris qui vous parviennent, une autre lettre t
t-ce pas bien misérable de voir un grand écrivain se plaindre dans un
journal
que M. de Rougemont, qui a fait Léon et la Duches
Constance Aubert, qui écrit des articles de mode fort suivis, dans le
journal
le Temps. Mme Constance Aubert est fille de la du
tion. Aussi le Temps prête-t-il son bulletin des modes à une foule de
journaux
, et c’est là encore que les feuilles de province
temps ; je ne dis pas pour toujours. On m’envoie dans ma retraite des
journaux
français, des journaux belges farcis de lettres,
our toujours. On m’envoie dans ma retraite des journaux français, des
journaux
belges farcis de lettres, de réclamations, d’atta
ubliée à Paris, presque en même temps qu’à Bruxelles, et par un grand
journal
sérieux : le temps. M. Muret (l’auteur de Georges
re française. Ceux de mes compatriotes qui tiennent la plume dans nos
journaux
belges, et qui sont chargés de ce soin, le font a
ge et Bruxellois, Van Engelgom, d’avoir révélé dans les colonnes d’un
journal
les secrets de la vie privée de certains individu
mpoisonnement de son père. 2. M. Léon Pillet, ex-rédacteur gérant du
Journal
de Paris. 3. Historique. De Paris à Naples. T. I
u succès de Lucrèce 33 X. — Articles sur Lucrèce. — Libri et les
journaux
de sacristie 37 XI. — Engouement. — Adolphe
158 XXXIX. — Préface d’Ève, par Léon Gozlan 164 XL. — Réponse au
Journal
du Léman166 166 XLI. — Année stérile. — Artic
8 XLIX. — De la liberté de la presse en France. — Coalition entre les
journaux
. — Les meilleurs journaux français se font à l’ét
la presse en France. — Coalition entre les journaux. — Les meilleurs
journaux
français se font à l’étranger. — Brochure du card
— Mollesse et apologie. — Optimisme 279 LXXI. — Transformation du
journal
La Presse et des mœurs littéraires. — Son prospec
r Descartes. — M. Galoppe d’Onquaire. — Lettre de Chateaubriand. — Le
Journal
des Débats. — Alexandre Dumas. — M. Buloz. — Mot
gny et de M. Vitet à l’Académie française 321 LXXXI. — Format des
journaux
quotidiens encore agrandi. . — Le livre de M. de
re en italien. 328 LXXXIII. — Agrandissement de format des grands
journaux
. — LaRevue de Paris cesse de paraître. — Cré
LXXXIII Ce 5 juillet 1845. agrandissement de format des grands
journaux
. — la revue de paris cesse de paraitre. — créatio
de théophile gautier. — orgueil de la vie. Les dimensions des grands
journaux
se sont agrandies ; le système des annonces Duvey
ers un Océan, et l’œil du lecteur ne sait plus où se poser. Voilà les
journaux
français aussi vastes que les journaux anglais et
it plus où se poser. Voilà les journaux français aussi vastes que les
journaux
anglais et américains. Peut-être l’estomac du lec
dernière transformation de la Revue de Paris, qui visait à devenir un
journal
quotidien, n’ayant réussi qu’imparfaitement, il e
Paris, par suite d’un arrangement ultérieur, va se confondre avec un
journal
d’art et de littérature intitulé l’Artiste, qui a
te. On eut promptement fait de se gâter la main. Et les directeurs de
journaux
populaires, sous le prétexte de se conformer aux
s au-devant de la leçon, lorsqu’ils allaient offrir au directeur d’un
journal
en vogue leurs idées et leurs services. Celui-ci,
pouvait mener de front jusqu’à cinq feuilletons quotidiens dans cinq
journaux
différents ! L’essentiel, pour le producteur, est
in il s’y décide, un jour. Le soir même, il rencontre le directeur du
journal
. Ponson l’avertit qu’il venait de boucler le déno
e pas de si près. Les critiques ont l’œil autre part. La direction du
journal
n’a guère envie d’y mettre le nez, et la grosse c
de l’Éclair. Un homme de lettres l’avait composé spécialement pour ce
journal
. Il le disait. On l’avait cru. La Pulcinella fut
ntéressante et nouvelle. Or, quelques semaines après, la rédaction du
journal
apprenait à ses lecteurs que l’œuvre n’était null
t, les heureux ou les habiles de la profession, étalant au revers des
journaux
et sur les couvertures libresques, leur étiquette
man-feuilleton, comme ils glanent au jour le jour les faits-Paris aux
journaux
, comme ils confectionneraient, si l’on en voulait
oir, c’est bon ; mais écrire ! Il faut aviser, cependant. Il court au
journal
, réclame tout ce qui a paru du roman ; et, fortem
do Charles de Vittis), elles travaillent pour la clientèle des petits
journaux
. Il semble, n’est-il pas vrai ? qu’on soit en ple
es écouler ensuite sous forme de reproduction dans cent ou deux cents
journaux
de province, que les dites agences ont leur insta
l’ironie fine et légère. André Theuriet, à qui la direction du Petit
Journal
fit appel par deux fois, comme pour une loyale ép
nte années au moins de routine triomphante. Seuls, les directeurs des
journaux
aimés de la masse, qui disposent à la fois des au
ains de brasseurs d’affaires, il en est résulté qu’aucun directeur de
journal
n’a osé, ni même désiré, lutter contre le roman-f
icien n’a osé, ni même désiré lutter contre l’assommoir. Tant que les
journaux
populaires auront pour maîtres des hommes d’argen
. Il reste que nous avons à faire l’éducation du peuple en dehors des
journaux
populaires, et même contre eux. Ce ne sont pas le
ehors des journaux populaires, et même contre eux. Ce ne sont pas les
journaux
populaires qui amélioreront le peuple : c’est le
aires qui amélioreront le peuple : c’est le peuple qui améliorera les
journaux
populaires. Oui, le peuple imposera un jour aux M
par le roman ou par les faits divers, outrageusement étalés dans les
journaux
. D’autre part la littérature sérieuse, celle de l
elles pour arriver à conquérir le vaste public auquel s’adressent les
journaux
populaires. Si vous voulez serrer la vie de trop
doit exister dans son esprit un certain étonnement. Dans le corps du
journal
sont présentés et discutés les faits du jour, de
« rénovation », mais au mirage doré qu’un aimable directeur de grand
journal
quotidien voulait bien faire miroiter à mes yeux.
es sentiments d’intense curiosité le cocher de fiacre lisant le Petit
Journal
sur son siège, ou le trottin dévorant le feuillet
en littérature les effets du romanesque, qu’où il y a du talent. Les
journaux
se plaisent à en faire souvent la preuve — par l’
que la ligne horizontale, qui sépare le roman-feuilleton du reste du
journal
, est une pure fiction, qu’à dire vrai il remonte
elque naïveté dès lors à s’étonner qu’on trouve au rez-de-chaussée du
journal
ce qui remplit le journal tout entier. Le roman-f
’étonner qu’on trouve au rez-de-chaussée du journal ce qui remplit le
journal
tout entier. Le roman-feuilleton avec sa niaiseri
eu admissible. Et cependant vos romanciers racontent tout cela et nos
journaux
populaires ont soin de les traduire pour notre éd
s des écrivains (?) qui, grâce à la complicité criminelle de certains
journaux
, versent des flots de poison dans l’âme française
-ci : se dire lui-même, marquer sa différence propre, s’exposer en un
journal
intime. Nous avons ici devant nous trois types d’
te à l’état pur le génie dont la voie n’est libre que dans ce sens du
Journal
intime. Mais les quatre livres de Fromentin ne so
e tous les livres de son compatriote Pierre Loti, que des morceaux de
journal
, journal de voyage ou journal fictif d’une vie, a
s livres de son compatriote Pierre Loti, que des morceaux de journal,
journal
de voyage ou journal fictif d’une vie, arrangés e
triote Pierre Loti, que des morceaux de journal, journal de voyage ou
journal
fictif d’une vie, arrangés et romancés en livre.
re de Baudelaire, Fleurs du Mal et Spleen de Paris, elle se ramène au
journal
intime et franc du poète qui vit la vie d’une gra
trois sont les hommes de ce seul livre, comme Vigny était l’homme du
journal
d’un poète (en vers, en théâtre, en roman, en jou
tait l’homme du journal d’un poète (en vers, en théâtre, en roman, en
journal
proprement dit). Mais en réalité ils ne se sont p
de poèmes, Fromentin sous la forme d’un roman, Amiel sous la forme du
Journal
. On pourra s’étonner, même se scandaliser, de voi
iel n’écrit pas pour un lecteur, mais pour lui-même. Et avec cela son
Journal
est le procès-verbal de l’existence d’un homme qu
e Delacroix, c’est un écrivain professionnel qui ne se borne pas à un
Journal
intime ; comme, à la différence de Gautier, c’est
à Un Été dans le Sahara une opinion analogue à celle que lui prête le
Journal
. Il prétend avoir écrit ses deux livres de voyage
Dominique exactement comme les paysages d’Égypte, selon un passage du
Journal
des Goncourt cité plus haut, se comportaient pour
ndus et aussi pittoresques que la vie des écrivains. Amiel a écrit le
Journal
d’un homme à vie apparemment monotone et grise, d
mauvaises heures, gémir sur le naufrage de cette vie perdue. Mais son
Journal
, lui, a connu, depuis la mort d’Amiel, une existe
, une existence dramatique et accidentée, et dont s’émerveillerait ce
journal
s’il prenait conscience de lui, s’il écrivait à s
journal s’il prenait conscience de lui, s’il écrivait à son tour son
journal
. Les deux volumes publiés autrefois par Schérer e
a permis, comme à l’ordinaire, d’établir un bilan momentané. Puis le
Journal
est reparti pour une nouvelle carrière. Les extra
liothèque de Genève est entrée en possession de l’énorme manuscrit du
Journal
authentique, — seize mille neuf cents pages in-qu
e moment est venu de faire connaître peu à peu au public le véritable
Journal
, révélation que les détenteurs du manuscrit (et d
. Il a supprimé ce recueil factice de pensées détachées, extraites du
Journal
par Mlle Mercier, et qui travestissaient Amiel en
uxième zone. Les années qui viendront ajouteront à ces Fragments d’un
Journal
intime des fragments nouveaux, probablement la pu
rces sur des cahiers encore à peu près blancs. I. La formation du «
Journal
» Dès la première publication et le premier su
du « Journal » Dès la première publication et le premier succès du
Journal
, on se posa curieusement cette question : Comment
oucher toutes les issues qui auraient pu le sortir de sa vocation, du
Journal
à faire. On songe à ces maladies précieuses créée
caché, le démon avertisseur a posée pour le conduire dans la voie du
Journal
. Ce démon n’a même pas eu besoin de l’empêcher de
essentiel. Ainsi qu’importent les seize mille trois cents pages de ce
journal
! Une nouvelle de Mérimée, un article de Sainte-B
ncapacité de toute technique, Amiel était prédisposé à écrire dans le
Journal
le type même du livre passif, du livre sans techn
nt de cadres techniques où il se trouve mal à l’aise. Mais rédiger le
Journal
, ce n’est pas écrire, puisque ce n’est écrire pou
es de cette fine écriture sans ratures allait accroître le magasin du
Journal
. Mais écrire pour être lu, s’adresser à des étudi
vre sans technique, sans idée de public, sans effort constructeur, le
Journal
paraît dès lors le type même de l’œuvre inutile e
blement qu’Amiel. Cette facilité lui faisait honte. Il voyait dans le
Journal
« une paresse occupée et un fantôme d’activité in
umain, de tout ce qui fait l’épaisseur et la solidité d’une vie. « Le
Journal
tient lieu de confident, c’est-à-dire d’ami et d’
intéressement où notre vie glisse en rêve. Amiel croit d’abord que le
Journal
lui servira à se construire moralement par l’exam
nous prouvent le contraire) de relire de suite et systématiquement le
Journal
entier pour s’apercevoir lui-même sous la forme d
Il n’y a pas plus d’histoire dans sa vie que dans celle de l’Inde. Le
Journal
ne nous présente que ce que Kant appelle le carac
oi. » De sorte que nous arriverions à ce paradoxe : non seulement le
Journal
intime ne serait pas Amiel, mais encore on pourra
rnal intime ne serait pas Amiel, mais encore on pourrait voir dans le
Journal
, dans la matérialité de ces seize mille pages, le
opaque qui pèse sur les yeux humains, le préjugé de l’existence. » Le
Journal
lui sert à se débarrasser, par l’écriture, de ce
ent que le glacier intérieur d’Amiel excrète en vieillissant, dans le
Journal
, sa moraine frontale. Entrez dans la grotte de gl
r laquelle se développent des champs et se construit une ville. Si le
Journal
forme pour Amiel un immense cône de débris quotid
s pour nous des châteaux de l’âme. Cette épaisseur, qui appartient au
Journal
, Amiel ne l’éprouve pas, et chaque page journaliè
la loi de toute création. Le démon qui attachait Amiel à la tâche du
Journal
intime agissait avec l’infaillibilité subtile de
ssez pour la paralyser, pas assez pour la tuer. Ainsi, pour écrire le
Journal
, il ne fallait pas qu’Amiel crût beaucoup à la va
e le Journal, il ne fallait pas qu’Amiel crût beaucoup à la valeur du
Journal
, comptât sur lui pour passer à la postérité. Car
de la page blanche, de la page nue. « De mes quatorze mille pages de
journal
, qu’on en sauve cinq cents, c’est beaucoup, c’est
urne en cercle ». Mais, d’autre part, il fallait qu’Amiel vît dans le
Journal
la figure même de sa destinée, et, qu’il le consi
cautions pour que rien de ses papiers ne fût détruit. Il sent que son
journal
est d’une nature différente de ses autres écrits.
ant sa mort, il se demande si ce n’était pas sa vocation, d’écrire un
Journal
intime, de dialoguer avec son moi, « comme un pom
la vie, entre les grands courants normaux de l’humanité, la place du
Journal
intime, des Essais, du livre À moi-même, ont trou
bénéfice d’une création l’être qui se défait. II. Les dessous du «
Journal
» Un être n’est canalisé dans la vie intérieur
ules de l’excellente demoiselle qui choisit les fragments de l’ancien
Journal
intime, et d’avoir publié cette page du 24 décemb
si précisément cette continence et ce célibat ne nous avaient valu le
Journal
. Dans toute la première partie du Journal, Amiel
bat ne nous avaient valu le Journal. Dans toute la première partie du
Journal
, Amiel pose interminablement la question de Panur
orte de De Ryons suisse, qui leur sert de confesseur, c’est-à-dire de
Journal
intime. Cet homme de l’intelligence, qu’affinent
t ? Or, cela m’est arrivé bien des fois, six fois pour le moins. » Le
Journal
inédit nous éclairerait. Mais il nous suffit qu’i
I. Genève En ce confesseur de lui-même qui écrivait chaque soir le
Journal
intime, les femmes cherchaient ainsi instinctivem
fesseur pour elles, et l’attaquaient par le côté le moins défendu. Le
Journal
ne lui fait pas seulement une occupation et une d
e occupation et une destinée, mais une atmosphère. « J’ai déjà lu des
journaux
intimes et dirigé plusieurs néophytes et plusieur
e la littérature genevoise sont les Confessions de Jean-Jacques et le
Journal
intime. Tous deux naissent de cet examen personne
demeuré amorphe, atone, agame, neutre, tiède et partagé. Pouah ! » Le
Journal
intime, écrit par un homme qui diffère de vivre,
tits États ne vivent que de foi et de volonté. » À partir de 1868, le
Journal
marque un redoublement d’amertume contre Genève,
thie d’Amiel pour la France est évidente, et les fragments publiés du
Journal
sont loin d’en donner toute la mesure. Schérer, p
écrit un bon français. C’est la justification par les œuvres. Or, le
Journal
intime est l’œuvre d’un excellent écrivain. Certe
ilosophie et la musique germaniques. Mais l’exercice quotidien de son
Journal
lui a servi excellemment d’école de style. Ce sty
nent le style même et le mouvement de la pensée. Comparez le style du
Journal
intime d’Amiel au style du Journal intime de Main
de la pensée. Comparez le style du Journal intime d’Amiel au style du
Journal
intime de Maine de Biran (les deux ouvrages prése
avec des enfants, il expose candidement en quoi il a « profité ». Le
Journal
intime est d’ailleurs écrit d’abord pour profiter
réclusion dans un milieu étroit. Ajoutons qu’on tire en abondance, du
Journal
, des réflexions d’Amiel sur ses lectures, toutes
e de Cherbuliez, l’esprit de profondeur d’Amiel. On entrevoit dans le
Journal
intime une pleureuse diaphane qui erre entre ces
re de quoi fournir matière à un critique efficace et complet. Mais le
Journal
lui marque sa place dans un certain climat moral
fait fonction chez Amiel de problème central. Les premières pages du
Journal
sont instructives. Amiel étudie la philosophie à
à la curiosité. » Bien. Mais voici que la conclusion est : écrire le
journal
, « faire journal », que cette exhortation à la vo
» Bien. Mais voici que la conclusion est : écrire le journal, « faire
journal
», que cette exhortation à la volonté, à l’acte l
ion, de précision, d’achèvement. Amiel y renoncera parle fait même du
Journal
, par le fait que le Journal deviendra sa pente, s
ent. Amiel y renoncera parle fait même du Journal, par le fait que le
Journal
deviendra sa pente, son être et aussi son non-êtr
t aussi son non-être. Une sorte de démon de Socrate l’attachera à son
Journal
et l’exclura du reste, posera une borne infranchi
u reste, posera une borne infranchissable à sa liberté. « Hors de mon
journal
et de ma correspondance, où ma plume court la bri
r retourner sur terre, se choisissent une destinée. Telles phrases du
Journal
noua représentent à peu près ce qu’a dû dire l’âm
on action centrifuge, c’est ce que, songeant aux seize mille pages du
Journal
intime, à la mission, reçue par Amiel, de dresser
culière, celle de la vie intérieure, qu’il ne fût pas détourné de son
journal
intime, de son secrétariat contemplatif, et de la
ées de cette action vivante, de ce flux actif dont une œuvre comme le
Journal
intime semble le reflux passif. Et pourtant, de c
trois tomes extraits aujourd’hui — et non les derniers — de l’immense
Journal
. L’histoire imprévisible s’est déroulée. Sur la G
alité intellectuelle, il prévoyait un peu sa destinée. En revanche le
Journal
intime a trouvé un public fervent en pays anglo-s
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Journal
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1903, in-18. — Hiers Bleus, poèmes, Vanier-Messein. 1904, in-18. — Le
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Mercure de France, 1906. Collaboration. — Nouvelle Revue, Figaro, Le
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, Mercure de France, La Plume. — Le Damier (fond).
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des Débats, 23 mars 1905. — Émile Magne : J. Valm
Maîtresse, Bibliothèque indépendante, in-18, 1906. Collaboration. —
Journal
, Petit Journal, Petit Parisien, Le Soir, L’Indisc
liothèque indépendante, in-18, 1906. Collaboration. — Journal, Petit
Journal
, Petit Parisien, Le Soir, L’Indiscret, Lectures M
in-juillet 1905). — L’Apparition ou le Trésor de M. Carcasse, (le Bon
Journal
, Flammarion, éd. 1905). Collaboration. — La Pres
LXXXI Ce 5 juin 1845 format des
journaux
quotidiens encore agrandi. — le livre de m.de rém
iel-castel. — un morceau de m. de saint-priest sur l’inde. Voilà les
journaux
quotidiens qui s’agrandissent encore : ils étaien
e sur la librairie. On n’achète guère de livres quand on lit tant les
journaux
; les yeux et l’esprit ont leur ration chaque mat
ux et l’esprit ont leur ration chaque matin, et s’en tiennent là. Les
journaux
ne vantent d’ailleurs que les livres et les auteu
, on levait autrefois un régiment à ses frais, aujourd’hui on crée un
journal
. Tout homme qui compte ou qui veut compter a son
i on crée un journal. Tout homme qui compte ou qui veut compter a son
journal
à lui. » — M. de Rémusat vient de publier le volu
Le
journal
de Casaubon79 Lundi, 30 juillet 1860. Je parl
e Casaubon79 Lundi, 30 juillet 1860. Je parlais l’autre jour d’un
journal
, de celui du duc de Luynes ; en voici un d’un gen
un genre tout différent. Il ne se peut rien de plus opposé : c’est un
journal
tout intime, écrit par un savant pieux, qui vit d
pensée chrétienne la plus vigilante et la prière. — « Avez-vous lu le
journal
de Casaubon ? Si vous ne l’avez pas lu, lisez-le
efaire une étude qui a été bien faite80. Je ne veux parler que de son
journal
, et montrer l’homme au naturel, tel que plusieurs
i IV, averti de son mérite, lui dit qu’il le voulait à Paris. Mais le
journal
, à cette date, est déjà commencé ; nous avons un
étrer dans le cabinet et dans le cœur du plus honnête des savants. Le
journal
, en effet, commence le 18 février 1507 ; ce jour-
on aurait dit que c’était un paysan, et le peu qu’il en met dans son
journal
est tout à fait informe ; c’est seulement quand i
Le latin de Casaubon est en général aisé, naturel, et le grec de son
journal
se compose en grande partie de locutions proverbi
lencieux, et, par là même, ceux qui tiennent le moins de place en son
journal
; il les exprime en deux lignes : « Le matin, (sa
ettres profanes avec le culte du Dieu toujours présent et vivant ! Le
journal
de Casaubon, dans sa sincérité, offre de singulie
séance qui eut lieu, le 4 mai. Le récit qu’en donne Casaubon dans son
journal
concorde avec celui que de Thou, également présen
oit obligé de se justifier, il est sur l’apologie et la défensive. Ce
journal
lui fait beaucoup d’honneur en ce que, sans que l
n des ignorances82. On aurait à relever bien d’autres choses dans le
journal
de Casaubon ; on y apprend bien des particularité
fait, de nos jours, celle des nouvellistes et des correspondants des
journaux
français à l’étranger : Nulla dies sine linea. M.
s), la critique était encore tenue à de plus grandes réserves par les
journaux
eux-mêmes qui n’admettaient pas qu’on s’exprimât
tout libre en France ; il s’est formé de tout temps des coalitions de
journaux
au profit de telles ou telles coteries. C'est pou
quel Sainte-Beuve avait tant d’affinité3. En 1864, la publication du
Journal
de Mathieu Marais, — un ancêtre, en Chronique lit
idèle interprète de sa pensée, — à qui il adressera les éléments d’un
Journal
, publié par les soins de cet ami, de ce fidus Ach
ançaise où j’avais gardé des amis, vers 1840, je concevais un parfait
journal
littéraire dont il y aurait eu un rédacteur doubl
on se contente de lui adresser d’aimables épithètes. Je ne sais quel
journal
traitait dernièrement de crétin (on hésite à le r
es le Téméraire, romancero historique (1877). — Jour à jour (1880). —
Journal
intime, 2 vol. (1883-1884). OPINIONS. Edm
3-1884). OPINIONS. Edmond Scherer Je ne sais à comparer au
Journal
d’Amiel, comme drame de la pensée, comme méditati
al, si cet idéaliste, se renfermant en lui-même ou seulement dans son
Journal
, n’avait rien écrit, rien publié, ni jamais essay
ui… En réalité, il mettait dans ses Grains de mil des fragments de ce
Journal
, tissé, comme on nous dit, de sa propre substance
ait, dans son Penseroso, de traduire en grands vers le plus pur de ce
Journal
même, toute son expérience de lui-même, de l’homm
des Sciences, né à Paris en 1632, mort dans la même ville en 1707. Le
Journal
des Savans, qu’il se chargea de continuer seul, a
ntenelle, &c. ont rendu les plus grands hommages à son mérite. Le
Journal
passa dans ses mains en 1666, & il le poussa
les objets les plus abstraits. C’est ici le lieu de remarquer que le
Journal
des Savans, qu’on peut regarder comme le pere de
le Journal des Savans, qu’on peut regarder comme le pere de tous les
Journaux
, n’a pas été, même dans sa naissance, aussi reche
n excepte celui qu’on a chargé de la partie purement littéraire de ce
Journal
, qui semble avoir pris à tâche, depuis quelque te
ces de l’opposition, par toutes les fractions de la gauche et par les
journaux
qui la représentaient, négligé et passé dédaigneu
des conservateurs et par l’organe important du centre ministériel, le
Journal
des Débats, M. de Girardin sentit le besoin de se
é de l’à-propos et de la justesse de son feu et de son tir contre les
journaux
, organes des divers partis : — quelques-uns, les
contre les journaux, organes des divers partis : — quelques-uns, les
journaux
de l’opposition pure, attaquant le ministère Guiz
à outrance sans trop voir ce qu’ils ébranlent avec lui ; d’autres, le
Journal
des Débats, le défendant à outrance sans voir ce
hme de l’invasion. La Presse était devenue, comme on l’appelait, « le
journal
conservateur de la République. » Pour être conser
s semaines. Cependant l’accord entre le gouvernement provisoire et le
journal
conservateur ne fut pas long et ne pouvait l’être
tes » de M. de Girardin, fît poser les scellés sur le matériel de son
journal
et donna l’ordre de mettre le rédacteur à la Conc
raison, parce que si l’on se fût borné à suspendre ou à supprimer son
journal
, il eût exécuté ce qu’il avait annoncé ; il eût p
r sans trop se soucier des retards, c’est la fonction et le métier du
journal
: l’homme de gouvernement ferait bien d’y regarde
ntredire pour tout neutraliser, que cette puissance que s’attribue le
journal
n’est qu’une vanterie et un lieu commun ; que tou
ion ne sont que des mouches du coche. « Que sont tous ces articles de
journaux
? disait-il un jour. A peine les grains de poussi
blié sous la direction de M. Maurice Block. 69. C’est-à-dire dans le
journal
Le Constitutionnel. 70. Questions de mon temps,
sité de ces bureaux était le cabinet de Villedeuil où le directeur du
journal
avait utilisé la tenture, les rideaux de velours
ème. Un échappé du Corsaire faisait dans un petit salon la cuisine du
journal
. C’était un petit homme, jaune de poil, à l’œil s
loin qu’aucun de nous. En ses moments de loisir, il rédigeait pour le
journal
: Les Mémoires de Mme Saqui. À la table de la réd
ou de primes, une combinaison, un homme ou un nom, devant apporter au
journal
, dans les quinze jours, dix mille abonnés. À l’he
nal, dans les quinze jours, dix mille abonnés. À l’heure présente, le
journal
remue, il ne fait pas d’argent, mais il fait du b
t à un certain idéal mêlé d’un peu de folie, d’un peu de ridicule… un
journal
, en un mot, dont la singularité, l’honneur, est d
entrait du ministère en disant avec une voix de cinquième acte : — Le
journal
est poursuivi. Il y a deux articles incriminés. L
e la rue Laffitte 2. Un voyage de notre domicile d’alors au bureau du
journal
, et qui passait en revue, d’une façon fantaisiste
allait même jusqu’à lui faire un grief de ne pas solliciter pour son
journal
des invitations aux Tuileries, aux soirées de Nie
edeuil, je suis bien plus coupable qu’eux, je suis le propriétaire du
journal
! » En ce moment, il eût donné sa voiture avec so
femme qui, dans notre article, rentrait de dîner, son corset dans un
journal
(le second passage souligné au crayon rouge), pas
touche l’article signé Edmond et Jules de Goncourt, dans le numéro du
journal
Paris, du 11 décembre 1852 ; « Attendu que si les
Alphonse Karr, Edmond et Jules de Goncourt et Lebarbier (le gérant du
journal
) des fins de la plainte, sans dépens. » Nous éti
ns la rue, notre vieille rue Saint-Georges, où déjà le petit hôtel du
journal
Le National était occupé par la troupe… Et dans l
nous restons sans lire, les yeux charmés, sur ces vilaines lettres de
journal
, où votre nom semble imprimé en quelque chose qui
e, penchés sur nos illusions, d’une avalanche d’article dans tous les
journaux
. — Un original garçon que l’ami qui nous était t
nase, par manière de passe-temps, nous jetions en l’air des titres de
journaux
. « L’Éclair », fait Villedeuil en riant, et conti
en riant, et continuant à rire : « À propos, si nous le fondions, ce
journal
, hein ? » Il nous quitte, bat les usuriers, imagi
fait des bandes, et, le dernier coup de fusil du 2 décembre parti, le
journal
L’Éclair paraît. L’Institut l’échappa belle, la c
L’Institut l’échappa belle, la censure avait retenu le frontispice du
journal
. Dimanche 21 décembre 1851 Janin, dans la v
l’histoire de sa vie littéraire et mondaine, de ses théâtres, de ses
journaux
, de ses boulevards, de tous les lieux où l’ardeur
, sur la surface des boulevards, dans les coulisses des théâtres, des
journaux
et de la finance. C’est le petit côté de la quest
et de petites choses. Ils dépendent des salons, de la politique, des
journaux
, des dispositions du public. Tout influe sur eux.
e la Loire en 1870, qu’il avait suivie en qualité de correspondant de
journal
. Il daigna me la raconter le jour où je lui fus p
est très caractéristique de la presse et du boulevard vers 1885. Les
journaux
qui dominaient alors la situation, et vers lesque
e-Batelière, à la rédaction du Gaulois ? Je venais d’apprendre par un
journal
du soir la mort de Darwin, et à tout hasard j’ess
vec ce nom. On connaissait Darwin sur la rive gauche ou bien dans les
journaux
sérieux comme le Temps et les Débats, mais, en 18
s. Le lendemain matin, je me précipitai sur le Gaulois et, en tête du
journal
, à la place de mon article, je lus un récit de l’
accord antérieur entre Arthur Meyer et l’administration financière du
journal
. Cette affaire fit beaucoup de bruit à cette époq
l vous dépeindre l’existence d’un jeune homme entre le boulevard, les
journaux
et les théâtres ? Je n’aurais pas la prétention d
ous se déroulait donc, avec ses vicissitudes et ses heurts, entre les
journaux
, les théâtres et les cercles. Ces derniers lieux
souciance de ce que pouvait nous réserver l’avenir. Nous allions d’un
journal
à l’autre, suivant notre caprice, nos relations,
ons d’un journal à l’autre, suivant notre caprice, nos relations, les
journaux
nouveaux qui se fondaient ou ceux qui disparaissa
rosclaude et moi, nous quittâmes le Gaulois et nous fondâmes un petit
journal
hebdomadaire, les Grimaces, qui n’eut que quelque
rimaces, qui n’eut que quelques numéros, ainsi qu’il convient pour un
journal
fondé par des littérateurs. C’est Octave Mirbeau
s débats de la Chambre. Inutile d’ajouter que les Grimaces étaient un
journal
réactionnaire et d’opposition. Je ne me rappelle
s gens qu’il menaçait du choléra. Malgré tout, les Grimaces furent un
journal
gai, et, en parcourant la collection, j’ai été su
re ne nous paraissaient pas, en somme, inconciliables. D’ailleurs, un
journal
se fonda, l’Écho de Paris, qui avait précisément
a fait de l’Écho de Paris, fondé par son père, un des plus importants
journaux
politiques. Je fis encore la connaissance, pendan
n’ai pas besoin de vous rappeler la brillante carrière. Dans un autre
journal
, un jeune polytechnicien apportait ses premières
extraordinaire, et si on lui eût prédit qu’il dirigerait plus tard ce
journal
tout-puissant et qu’il en renouvellerait la prosp
èreté et de pédantisme également, ou alors, l’excellent reportage des
journaux
et le cinématographe lui suffisent. Il aime l’esp
tière. Un de mes honorables confrères en critique m’a devancé dans le
Journal
des débats 10, en commençant à parler de Camille
vient de publier M. Fleury, et les abondants extraits qu’il donne des
journaux
et des pamphlets de Camille Desmoulins depuis 178
ur ma table les huit volumes des Révolutions de France et de Brabant,
journal
que publia Camille depuis décembre 1789 jusqu’à l
s. Il croit devoir s’en justifier dans un des premiers numéros de son
journal
(les Révolutions de France et de Brabant) : Je v
eur, comme les rapprochements, les images. Ces traits, semés dans mon
Journal
, sont comme des espèces d’estampes dont j’enrichi
int compte et le broya. Ses deux premiers pamphlets, antérieurs à son
journal
, sont La France libre et le Discours de la lanter
que de supprimer toute police et de laisser les colporteurs crier les
journaux
en plein vent. Ce sera l’éternelle et l’unique re
les avilir. Le degré de licence et d’invective que se permet dans ce
journal
un écrivain qui, de loin et relativement, peut pa
déré, excède toutes les bornes que nous supposerions. Un numéro de ce
journal
paraissait le samedi de chaque semaine, avec une
tient assez bien sa promesse. Si nous ne considérions aujourd’hui ce
journal
que comme un témoignage d’un passé éloigné, comme
ace et qui nous gênent : c’est l’œuvre qu’entreprend Camille dans son
journal
et à laquelle il ne cesse de se dévouer cyniqueme
orance ou d’étourderie. Il sait bien ce qu’il fait ; il a le génie du
journal
; il sait quelle est la puissance de l’instrument
de Brabant ; j’avais déjà vu, d’autres fois, quelques morceaux de ce
journal
, où des absurdités souvent atroces m’avaient paru
elle avait tout étranglé. 10. [NdA] Article de M. Cuvillier-Fleury,
Journal
des débats du 3 novembre, article qui s’est compl
audissements ont salué le chef-d’œuvre. La presse entière, hors trois
journaux
, dont l’appréciation est dépourvue de toute espèc
ne campagne de calomnie avait été menée contre M. Lamoureux par trois
journaux
quotidiens. Campagne scandaleuse et bouffonne. Ma
une lettre qui me tombe scus la main et que M. Pasdeloup écrivit à un
journal
, en 1876, après le tapage occasionné par une œuvr
rienne prend une recrudescence inopinée ; la très grande majorité des
journaux
continuent à demander Lohengrin, les journaux ant
rès grande majorité des journaux continuent à demander Lohengrin, les
journaux
anti-wagnériens sont peu nombreux mais ils devien
man. « Ces lettres, des plus caractéristiques, disait la rédaction du
journal
, éclairent d’un jour tout nouveau les rapports qu
musicien. » Il y avait dix lettres, formant en tout deux colonnes de
journal
. Nous n’avons encore pu en examiner de près la tr
ion, ne pouvons-nous nous permettre aucun jugement aventuré. Mais les
journaux
anti-wagnériens n’hésitèrent pas et nous allons v
our l’hostilité avait égalé, sans guère la dépasser, celle des autres
journaux
spécialement anti-prussiens ou anti-wagnériens, r
charge de Wagner et une courte adresse aux lecteurs, deux extraits de
journaux
sous le titre commun de « Un sodomiste », l’un de
u 22 (datée du 23) publiait la note suivante, résumé des articles des
journaux
anti-wagnériens : Lohengrin. A l’Eden. — une Ap
i grandes qu’ils oublient la patrie. A partir de ce jour, chacun des
journaux
de Paris et du dehors contient, quotidiennement,
matin 26, grande effervescence et grande incertitude. Le 26, tous les
journaux
du matin publient cette note. Nous avons reçu hi
que les intérêts de chacun seraient absolument sauvegardés. Certains
journaux
ayant annoncé que M. Lamoureux avait reçu une ind
leurs que la pluie disperse, manifestations sans gravité que tous les
journaux
traitent de gaminerie. Le 4, la Revanche annonce
sera remboursé au bureau de location à partir du lendemain. Le 6, les
journaux
publient ces deux notes : lettre de M. Lamoureux
Depuis, M. Lamoureux a attaqué, devant le Tribunal de la Seine, les
journaux
la France et la Patrie. Derniers bruits relatifs
hors toute discussion. (E. D.)[NdA] s. Louis Peyramont dirigeait le
journal
nationaliste La Revanche. Il joua un rôle importa
839 1903) écrivit des critiques musicales entre 1871 et 1900, dans le
journal
La Liberté sous le pseudonyme de Jennius. Il défe
mignon », son favori, son protégé. On a critiqué rapidement dans les
journaux
munichois la protection que Louis II accordait à
r descartes. — m. galoppe d’onquaire. — lettre de chateaubriand. — le
journal
des débats. — alexandre dumas. — m. buloz. — mot
est, et avec tous les défauts et les infractions qu’il se permet, le
Journal
des Débats reste le journal le plus décent, le se
ts et les infractions qu’il se permet, le Journal des Débats reste le
journal
le plus décent, le seul même en France qui contin
ce matin contient d’assez bonnes réflexions. La Démocratie pacifique (
journal
fouriériste), d’hier 4, contenait contre Buloz un
es parussent en entier, et non par livraisons détachées, soit dans un
journal
, soit ailleurs. » Je tiens plus que jamais à cett
ment, on a contribué à discréditer la critique en la mêlant, dans les
journaux
quotidiens, aux réclames commerciales ou aux info
ent d’insister. On se plaint généralement, parmi les jeunes, que les
journaux
« ne parlent pas assez » des livres nouveaux. Ils
l’égal des chefs-d’œuvre. Il y a des gens qui achètent un livre et un
journal
comme une boîte de thé ou un phonographe ; ils ve
littérature. Il y a erreur. Ici, précisons, à nouveau. Le public des
journaux
appelle littérature, une sorte de lyrisme en pros
re fragmentaire, vaguement impressionniste dont l’Écho de Paris et le
Journal
, il y a sept à huit ans, saturaient leurs acheteu
une œuvre vivante, même bien écrite, elle intéressera le public d’un
journal
à un sou. La littérature seule n’a pas de prise s
livres nouveaux, la place plus restreinte qu’on lui accorde dans les
journaux
et l’abus des éloges payés, ont provoqué une cris
nations des artistes, il se fait encore beaucoup de critique dans les
journaux
. Dans les uns, elle a revêtu la forme de l’interv
l, et il a osé des vues originales qu’on n’a pas assez remarquées. Le
Journal
des Débats avec MM. A. Albalat, Chaumeix, et Chan
la perspicacité et qui sait se libérer du sectarisme particulier aux
journaux
politiques. M. Charles Foleÿ (Écho de Paris), plu
aît la bienveillance éclairée pour les débutants de valeur et dont le
journal
a toujours été ouvert aux tentatives nouvelles. E
17. Nous ignorons si on les faisait payer alors, mais la plupart des
journaux
au début de 1839 sont remplis de communiqués et d
t, Menus propos sur la critique, 1903. 19. Il faut excepter certains
journaux
. Le Temps, les Débats, le Figaro, Gil-Blas et que
mme son abbé de Langeron. Cela paraît bien d’après les mémoires et le
journal
de Le Dieu. Maintes fois il y est dit que Bossuet
r lui était tendrement attaché. Contentons-nous, il le faut bien, du
journal
de Le Dieu. Il y a dès les premières pages un jug
dans son propre sens. Quant à ce qui est dit, en un autre endroit du
journal
, de plus fort et de plus dur encore contre Fénelo
de l’édifiant archevêque ; et ce même homme qui avait couché dans son
journal
ce que, par égard pour Bossuet même, on en voudra
et qui sortait de passer vingt années auprès de lui. À la date où le
journal
de Le Dieu commence, Bossuet est âgé de soixante
ui étaient à la veille de se démasquer. Bossuet toutefois, d’après le
journal
de l’abbé Le Dieu, ne nous paraît point avoir été
omment prévoir alors que la position serait tournée par Voltaire ? Le
journal
de Le Dieu nous montre Bossuet à Meaux, dans le t
uelfes et ces gibelins de la ville de Meaux. Nous assistons, grâce au
journal
de Le Dieu, aux derniers sermons de Bossuet, qu’i
ue, il a la foi du charbonnier. L’impression que laisse la lecture du
journal
de Le Dieu, au milieu des particularités oiseuses
Qu’allais-je faire ? je voulais citer en preuve quelques passages du
journal
; en est-il besoin ? — Encore une fois, Bossuet r
met à distinguer entre tel ou tel article rétrospectif chez tous les
journaux
indistinctement ; et, après examen, toute réflexi
essieurs ? Qu’est-il arrivé de cette interdiction imposée à nombre de
journaux
et des plus répandus, des plus recommandables ? J
it point de cela : c’est surtout le silence obstinément gardé par les
journaux
intimidés ou mécontents, et qui y mettent, j’en c
ns les longs suppléments du Moniteur, sans que les premiers Paris des
journaux
, sans que quelques-uns de ces entrefilets incisif
la route à de nombreux lecteurs. À qui la faute encore une fois ? Les
journaux
auraient pu en parler sans péril, direz-vous ? Pe
érants du jugement rendu par la Cour impériale dans le procès de neuf
journaux
poursuivis et condamnés déjà en police correction
ns sont tout de suite venues : après cette facilité de naître pour le
journal
, on semble n’avoir plus été occupé que de lui opp
ons de chiffres, je répéterai ce que les représentants des principaux
journaux
ont dit devant les commissions qui les ont entend
e des dures conditions qui pèsent sur cette entreprise morale appelée
journal
et qui devrait surtout porter une idée. Les journ
se morale appelée journal et qui devrait surtout porter une idée. Les
journaux
quotidiens existants, sauf deux ou trois, sont at
t mis les exigences du public et les nécessités de la concurrence, un
journal
en ce moment se vend moins cher qu’il ne coûte. C
punément. On ne songe, me direz-vous, qu’à faire la guerre aux petits
journaux
, à la chronique impertinente qui s’est démesuréme
, c’est que, dans la pratique, ce point de vue qui sépare le livre du
journal
est plus apparent que réel ; la ligne de démarcat
ut : c’est de le faire passer auparavant et de l’essayer dans quelque
journal
, dans quelque recueil périodique. Vous voyez donc
ts civils et politiques peut, sans autorisation préalable, publier un
journal
ou écrit périodique paraissant soit régulièrement
Journal
et mémoires du marquis d’Argenson, publiés d’aprè
ervice en publiant, au nom de la Société de l’histoire de France, les
journaux
et mémoires du marquis d’Argenson. Il s’agit du v
ce, les journaux et mémoires du marquis d’Argenson. Il s’agit du vrai
journal
appartenant à la Bibliothèque du Louvre, et qui n
amis des études historiques. Il y a des livres plus agréables que ce
Journal
de d’Argenson, il n’en est guère de plus instruct
pour laquelle on n’avait jusqu’ici d’autre chronique curieuse que le
journal
tout parlementaire et bourgeois de l’avocat Barbi
t parlementaire et bourgeois de l’avocat Barbier. L’auteur du nouveau
journal
, très bien placé pour voir et pour savoir, n’est
trahissent encore mieux peut-être les vrais instincts du temps. » Le
Journal
de d’Argenson est un de ces ouvrages que devait r
ins il me paraît dans sa jeunesse et d’après cette première partie du
Journal
. Je cherche moins à le critiquer qu’à le définir
maintenant : Chauvelin remonte. Le piquant, lorsqu’on lit de suite le
Journal
, est de voir les idées sensées de d’Argenson, ses
uets, de candidat ministre à l’affût, qui s’exhalent à chaque page du
Journal
, ces fumées d’un amour-propre échauffé qui se sui
On m’éloignera sans doute par des ambassades, et je m’y attends. » Ce
Journal
, monument d’une personnalité toute crue et naïve,
je ne disais que, tel qu’il se dessine dans ce premier volume de son
Journal
, d’Argenson paraît plus ambitieux qu’on ne le jug
t si loin de sa voie naturelle ? Il ne nous l’a pas dit, même dans ce
Journal
qu’il a laissé, et qu’il appelait, avec une modes
onne, même ceux-là qu’il admirait le plus. L’eût-il dit, du reste, ce
Journal
de Collé, qui ne va que de l’année 1748 à l’année
pas chez les évêques ! » Ainsi, on effleure de l’œil qui veut rire le
Journal
d’un homme qui est timbré chansonnier, et qui ne
de Collé, et qui, plus tard, doit nous donner une réimpression de son
Journal
, de ce Journal qu’on ne lit pas assez et qui cont
i, plus tard, doit nous donner une réimpression de son Journal, de ce
Journal
qu’on ne lit pas assez et qui contient mieux que
ollé de la parade, de la calembredaine, mais ce n’est pas le Collé du
Journal
et des Lettres inédites, et puisqu’on les publiai
s inédites de Collé, dans lesquelles l’homme qu’il avait ôté dans son
Journal
se rencontre. Elles sont piquantes, quoique placi
s avec M. Carvalhof, et, peu de temps après, le traité fut signé. Les
journaux
annoncèrent la nouvelle, et aucune opposition ne
la représentation d’une œuvre étrangère à l’Opéra-Comique, dirent les
journaux
, et pour que cette représentation ne portât aucun
i devait tout arrêter. II — Novembre-décembre Le 4 novembre, le
Journal
des débats, le premier, publia la note suivante :
cette lutte anti-artistique. Cette note fut reproduite par d’autres
journaux
; le 15 novembre, le Progrès artistique rapporta
lus autorisées … Chaque jour, pendant toute la fin de novembre, les
journaux
annoncent, les uns que M. Carvalho abandonne, les
écision. Au milieu des notes contradictoires qui circulèrent dans les
journaux
pendant la première moitié de décembre, M. Besson
endemain, ces lignes étaient reproduites et commentées dans plusieurs
journaux
et le Figaro publiait une lettre de M. Carvalho :
e de M. Carvalho : Mon cher Monsieur Magnard, je lis dans plusieurs
journaux
que je renonce à monter Lohengrin. Je vous prie d
agréer mes meilleurs sentiments L. Carvalho. Suite des articles de
journaux
: Dans le Monde Illustré du 12 décembre, signé Pi
notre but. Nous n’en devons pas moins signaler et recueillir dans ce
journal
une protestation d’une Française passionnément fr
ment, il y a une ombre au tableau. L’Association artistique publie un
journal
, Angers-Revue, idée excellente en soi, ce journal
rtistique publie un journal, Angers-Revue, idée excellente en soi, ce
journal
servant à expliquer et à commenter les œuvres exé
ans les concerts de l’Association, excellente aussi en ce sens que le
journal
prête un sérieux appui à l’École française et est
française et est rédigé avec esprit et talent ; mais la rédaction du
journal
est piquée jusqu’au sang de la tarentule wagnérie
dans la France, avait été vivement relevé à Berlin, notamment par un
journal
de musique, l’allegemeine Muzik-Zeitung, qui cons
s et à son œuvre, notamment à sa Dalila, une étude très élogieuse. Ce
journal
s’étonnait que la Société philharmonique de Berli
ique et critique fut le secrétaire d’Alexandre Dumas et collabora aux
journaux
Le Gaulois, Le Charivari et le Figaro dont il fut
nant, il devint ensuite journaliste au Figaro, critique dramatique au
journal
L’Opinion nationale et au Temps. Chaque lundi, pe
il a su soumettre au joug de sa presse, non seulement tous les petits
Journaux
, mais encore le Mercure. Ce dernier Recueil sur-t
siasme que l’esprit de parti y affiche dans toutes les occasions ? Ce
Journal
, destiné dans son origine à recueillir les prémic
de justes éloges, ou à les éclairer par des critiques lumineuses : ce
Journal
borne à présent tout son mérite à des Logogryphes
ces défauts dont il sera la premiere victime, puisque le décri de ce
Journal
ne peut qu’entraîner la diminution des Souscripte
a Rapée, il demanda des ressources à son talent ; il écrivit dans les
journaux
; il fit des pièces pour les divers théâtres, que
e censeur ou, si vous aimez mieux, comme rédacteur en chef préposé au
Journal
de l’Empire (toutes les biographies glissent le p
ospérant toujours, il remplaça Esménard comme chef de la division des
journaux
et de la librairie au ministère de la Police géné
listes dépassés par un ancien confrère, les auteurs critiqués dans le
Journal
de l’Empire, allaient s’informant, remontant à la
t. Il y eut un moment pourtant où il dut parler ; il écrivit dans les
journaux
, à la date du 5 décembre 1811, une lettre qui com
lle d’Hoffman qui, dans une lettre datée de Passy et insérée dans les
journaux
, le 30 janvier 1812, annonça un peu solennellemen
Étiennéide. — La Stéphanéide. — Le Martyre de Saint Étienne… etc. Les
journaux
que M. Étienne tenait plus directement sous sa dé
auteurs de brochures disait en 1812, en parlant du silence imposé aux
journaux
sur la dispute de Conaxa : Rendez-nous, monsieur
x sur la dispute de Conaxa : Rendez-nous, monsieur, la malignité des
journaux
… rendez-nous leur fiel… Laissez-nous rire d’un so
irs, mais n’exigez pas non plus qu’ils oublient les leurs… Rendez aux
journaux
, je vous le demande en grâce, leur indépendance ;
aville48. Lundi, 6 avril 1857. Ici, nous avons encore affaire à un
journal
et à des confidences posthumes, mais il s’agit du
ffaire à un journal et à des confidences posthumes, mais il s’agit du
journal
et registre d’une belle âme, d’une haute intellig
eplier et se renfermer au dedans. Il le prouve bien en commençant son
journal
en 1794 ; le printemps de cette affreuse et mémor
ansformé encore, il était dans sa troisième et dernière phase, et son
journal
se termine par cette parole qui est un désaveu de
hète bien des défauts, c’est (je ne parle que du présent volume et du
journal
) une certaine richesse de vues, la présence et la
en, l’ordre et la paix, on ne sera pas tenté, après la lecture de son
journal
, de lui attribuer plus de vertus publiques qu’il
mais le sentiment de force et d’aisance dans leur exercice. » Tout le
journal
que nous avons sous les yeux est la preuve de ce
et où il avait conscience de s’épanouir un peu, de renaître. Dans le
journal
très intéressant, et qui ne va plus discontinuer
e passe pas en un jour chez Maine de Biran, mais dure des années. Son
journal
ressemble à un journal de fièvre morale, une long
chez Maine de Biran, mais dure des années. Son journal ressemble à un
journal
de fièvre morale, une longue fièvre de croissance
truit, l’homme intérieur se renouvelle », se dit-il avec l’apôtre. Ce
journal
intéresse, parce qu’il n’est pas seulement d’un e
demandaient qu’à marcher. J’étais de ces derniers. Je restai donc au
Journal
avec Pierre Leroux, Lerminier, Desloges, etc. Ler
s. Lorsque Pierre Leroux, forcé par la question financière, vendit le
journal
aux saint-simoniens, je ne le quittai point pour
« Cependant, dès l’année 1824, à l’automne, s’était fondé un nouveau
journal
, le Globe, dirigé par d’anciens et encore très je
s articles non signés ; et l’année suivante, il se rattachait même au
journal
le National, dirigé par Armand Carrel. Mais ses i
léon. Le docteur Véron lui proposa immédiatement de commencer dans le
journal
le Constitutionnel qu’il dirigeait une série d’ar
a trois ans au Constitutionnel, puis ensuite dans le Moniteur, devenu
journal
de l’Empire. La collection de ces articles en vol
sa plume de critique et de journaliste fut réclamée de nouveau par le
journal
le Constitutionnel, et il y reprit ses articles l
table père, devait être un jour le spirituel écrivain et rédacteur du
Journal
des Débats, M. Philarète Chasles. Il eut depuis b
n le matin à sa toilette, griffonnant avec un crayon sur le coin d’un
journal
quelconque un fait, une idée, une phrase qui lui
de composition. J’arrivais : il fallait conserver le coin déchiré du
journal
, sujet à s’égarer ; M. Sainte-Beuve me disait : «
e-Beuve collectionnait en curieux et en homme qui s’y intéressait les
journaux
du temps (le Courrier de l’Égalité, le Journal de
i s’y intéressait les journaux du temps (le Courrier de l’Égalité, le
Journal
de Paris) et un grand nombre de brochures. Un exe
(M. Sainte-Beuve rappelle ici les articles de M. Xavier Eyma dans le
journal
l’Époque, et une notice sur lui de M. Georges Bel
u’on assure, est fort effrayé de ces démonstrations publiques, et les
journaux
du parti rétrograde et stationnaire ne négligent
a tenue jusqu’ici, et qui n’a pas lieu de nous étonner. Mais que des
journaux
, qui se piquent d’accepter et de vouloir le régim
lets posthumes, qui trouveront place à la fin des Nouveaux Lundis. Un
Journal
(la Cloche, du 15 février 1870) en a déjà eu la p
19. Le décret est signé du 28. 20. Le 31 janvier 1867, le Bureau du
Journal
des Savants élut M. Sainte-Beuve en remplacement
’institution, M. Landry, à Mme Sainte-Beuve mère. 22. On lit dans le
Journal
des Débats et des Décrets (n° 142, page 89), réd
re, sans être même bien intéressants, composés à la diable, espèce de
journaux
décousus, qu’on ne sait par quel bout commencer,
ur rappeler un paysage, ces ébauches de phrases si fréquentes dans le
journal
et les romans de notre écrivain. M. de Goncourt s
des détails, tous les grands ensembles lui échappent ; qu’on lise le
Journal
du Siège, le Journal de l’Exposition, le Journal
s grands ensembles lui échappent ; qu’on lise le Journal du Siège, le
Journal
de l’Exposition, le Journal du Voyage en Italie.
pent ; qu’on lise le Journal du Siège, le Journal de l’Exposition, le
Journal
du Voyage en Italie. M. de Goncourt surprend un d
Parmi les aventures les plus comiques de cette vie, il faut citer le
Journal
. Écrire un journal quand on a une existence mouve
s les plus comiques de cette vie, il faut citer le Journal. Écrire un
journal
quand on a une existence mouvementée, pleine d’év
n voit des hommes très divers, cela est intéressant ; mais écrire son
journal
quand on vit chez soi et qu’on n’en bouge pas, qu
, quelle bizarrerie ! Les jeunes demoiselles au couvent écrivent leur
journal
; c’est pour s’occuper. M. de Goncourt, malgré se
is la naïveté d’une jeune demoiselle. M. de Goncourt écrivit donc son
journal
. Il notait ses états d’âme, et comme le chasseur
l se croyait et que tout le monde lui attribua. Ses livres, romans ou
journaux
, ressemblent à une boutique de bric-à-brac ; ce s
er la vie pour imiter ces façons de nombriliste. Tous ses articles du
Journal
, tous ses croquis de femmes sont la peinture fine
our le xviie siècle Tallemant des Réaux. Quant à M. de Goncourt, son
Journal
a une valeur bien plus pathologique que morale et
une académie. Cette fondation a quelque chose d’aussi bizarre que le
Journal
, une académie a pour but de maintenir certaines t
Je le lis depuis des années déjà, je remarque de lui, surtout dans le
Journal
des Débats, des articles de littérature, de philo
e de docteur ès lettres sont d’un caractère sévère. Il étudia dans le
Journal
inédit d’un ambassadeur français à Londres (Hurau
de Henri IV ; ce fut le sujet de sa thèse française. Les analyses du
Journal
de l’ambassadeur deviennent fréquemment, sous la
car rien ne supplée au mouvement et à la vie. Paris l’appelait, et le
Journal
des Débats, qui avait besoin d’une plume finement
ministère public pour un article sur la dernière crue de la Meuse. Le
journal
belge a commis une contravention en disant : « Le
mination ancienne pour déterminer la hauteur des eaux de la Meuse. Le
journal
belge se plaint vivement de cette poursuite rigou
le faisant j’avais eu en vue deux choses : témoigner d’abord, dans le
journal
même du Gouvernement, de mon respect et de mon es
rofesseur, il se fût fait de bonne heure un nom par sa plume dans les
journaux
, et avec des écrits où le goût se serait uni à la
our, et avec le tour l’agrément, ce qui cesse quand il écrit dans les
journaux
où il ne se gêne pas ; — talent de critique ou de
ard, y a aussi puisé abondamment. Enfin, voici ces mémoires, voici ce
journal
de Le Dieu qui paraissent ; et, avant tout, il fa
ère question et la plus naturelle est de savoir si ces mémoires et ce
journal
de l’abbé Le Dieu répondent à l’attente qu’on en
d’ouvrages de l’abbé Le Dieu sur Bossuet ; il y a les mémoires et le
journal
. Les mémoires, composés peu après la mort de Boss
uet et qui en parle dignement, avec admiration, avec émotion. Dans le
journal
, au contraire, écrit pour lui seul et pour servir
nières années il s’était fait purement et simplement son Dangeau. Son
journal
proprement dit n’a guère d’autre caractère que ce
ctions et toutes les fonctions. Les mémoires, qui, à la différence du
journal
, sont d’une lecture pleine et aisée, nous montren
l rachète par là ce qu’il y a d’un peu petit et d’un peu bas dans son
journal
. Les succès de Bossuet dans les chaires de Paris,
lecture des mémoires de l’abbé Le Dieu ; il me reste à parler de son
journal
, qui donne une impression moins nette, moins agré
le 12 janvier. Depuis ce jour, nous voilà avec Villedeuil à jouer au
journal
. Notre journal a un bureau au rez-de-chaussée dan
Depuis ce jour, nous voilà avec Villedeuil à jouer au journal. Notre
journal
a un bureau au rez-de-chaussée dans une rue où l’
u la faisais afficher ? » * * * — Nous continuons intrépidement notre
journal
dans le vide, avec une foi d’apôtres et des illus
ommençant à s’avarier, le fondateur de L’Éclair a l’idée d’enlever le
journal
en donnant un bal, et en offrant ce bal au champa
de famille, Nadar, qui commençait une série de caricatures dans notre
journal
, a l’idée d’ouvrir les volets, et d’inviter les p
un dîner a eu lieu, à la Maison d’Or, où il nous a proposé pour notre
journal
la série du Manteau d’Arlequin. * * * — Portrait
1852 Le Paris paraît aujourd’hui. C’est, croyons-nous, le premier
journal
littéraire quotidien, depuis la fondation du mond
Mémoires ou
journal
de l’abbé Le Dieu sur la vie et les ouvrages de B
erniers qui viennent de paraître, et qui complètent la publication du
journal
de Le Dieu, suggère quelques réflexions qu’il est
aux orateurs qui auraient à faire des éloges funèbres, et de plus un
journal
tout confidentiel et personnel. Le mémoire, conçu
encore été agréable et sur quelques points tout à fait neuve. Mais le
journal
que l’abbé Le Dieu s’est avisé de tenir durant de
t a eu et aura même encore des adversaires, et l’on cherchera dans le
journal
de Le Dieu ce qui pourra servir à le rabaisser et
e figure ainsi encadrée et présentée. Déjà, dans le premier volume du
journal
, j’avais relevé de tristes paroles sur Fénelon, d
lit. Quelle vie ! Le Dieu est donc un espion domestique, et plus son
journal
avance, plus on y remarque ce caractère. Ce n’est
de Bossuet aux approches de la mort ; on le conçoit, étant ce que son
journal
le déclare. Il n’est pas inscrit sur le testament
en ses mains. Le Dieu nous livre là, comme dans tout le cours de son
journal
, ses mobiles habituels. On n’est pas au bout. Il
mort de Bossuet, et sauf le compte rendu de ses écrits posthumes, son
journal
n’a plus d’objet. Il se croit intéressant, et nou
lles étaient encore établies comme autrefois, s’il y avait, entre les
journaux
qui ont de la place et du loisir pour la critique
odément d’une fenêtre ou d’une porte à l’autre : ainsi entre l’ancien
Journal
de Paris du temps de Rœderer et le Publiciste de
le Publiciste de M. Suard, par exemple, — ainsi encore entre ces deux
journaux
et l’ancien Journal des Débats, il y avait de ces
uard, par exemple, — ainsi encore entre ces deux journaux et l’ancien
Journal
des Débats, il y avait de ces contradictions modé
oint. M. Weiss s’étonne d’oser louer M. Nisard à la troisième page du
journal
où il écrit, et il a bien voulu me nommer tout à
y, Nisard, le lauréat de la Sainte-Barbe-Nicolle, dès lors attaché au
journal
et qui devait y rendre d’actifs services dans les
acy, ni vous-même, Saint-Marc Girardin, déjà pourtant si remarqués au
journal
et si en crédit ; mais on se méfia un peu ce jour
re et trop rétif pour pouvoir me ranger et me fixer à demeure dans un
journal
qui avait le ton et les usages d’une famille ; ca
une vérité historique incontestable. J’ai fini ma plaidoirie. 35.
Journal
des Débats des 6 et 7 septembre. 36. Je tiens à
XL Fin décembre 1843. réponse au
journal
du léman. Le Journal du Léman nous fait l’honne
XL Fin décembre 1843. réponse au journal du léman. Le
Journal
du Léman nous fait l’honneur de nous citer avec é
ont la réputation est assez bien assise pour être hors d’atteinte, le
Journal
du Léman paraît désirer pourtant qu’on les juge,
de Hollande et de France, les Bayle et les Fréron. Il y avait eu des
journaux
, même d’assez bons journaux, comme les Nouvelles
es Bayle et les Fréron. Il y avait eu des journaux, même d’assez bons
journaux
, comme les Nouvelles de la République des Lettres
ra des critiques littéraires autant qu’il existera des livres, et des
journaux
et de la radiophonie, c’est-à-dire indéfiniment.
mières dans la Revue de Paris, la quatrième dans un numéro spécial du
Journal
de Psychologie consacré à l’Esthétique, la cinqui
devant Chênedollé. Il y a dans les mémoires, les correspondances, les
journaux
, les nouvelles de la littérature française, une s
les journaux, les nouvelles de la littérature française, une sorte de
Journal
des Goncourt presque ininterrompu, qui dure depui
ais aussi dans ces succédanés de la parole, que sont les lettres, les
journaux
intimes, les notes personnelles. Nous disions tou
de madame de Sévigné, de madame du Deffand, les notes de Joubert, le
Journal
d’Amiel, toutes les fois qu’ils s’expriment sur c
ujourd’hui a presque absorbé toutes les autres, c’est la critique des
journaux
. On sera peut-être surpris que je ne la range pas
i sont le modèle de la critique professionnelle, paraissaient dans un
journal
quotidien et la plus brillante critique de journa
r dans une revue ou dans un volume. Mais ce que j’appelle critique de
journal
, c’est la critique des œuvres du jour, faite dans
s dans les salons qu’on parle surtout du livre du jour, c’est dans le
journal
, qui est lui-même, exactement, le livre du jour,
st pas donné à tous les critiques de savoir pratiquer. Le critique de
journal
, le critique du jour, écrit pour être lu, il n’éc
e obligé de donner à sa pensée les cadres et l’allure d’un article de
journal
. Tout simplement le journal et la critique journa
ée les cadres et l’allure d’un article de journal. Tout simplement le
journal
et la critique journalière, c’est de la conversat
gérer et lui-même exagère en journaliste « pour frapper fort »), d’un
journal
pris en particulier, parce qu’on écrit dans un jo
fort »), d’un journal pris en particulier, parce qu’on écrit dans un
journal
pour soutenir une opinion de parti. Mais un journ
’on écrit dans un journal pour soutenir une opinion de parti. Mais un
journal
isolé, c’est une abstraction, cela n’existe pas.
n journal isolé, c’est une abstraction, cela n’existe pas. Il y a les
journaux
, c’est-à-dire les gens qui expriment, en frappant
as du tout perdre son temps que de parcourir le matin une douzaine de
journaux
français et étrangers. Vous y prenez le sens du r
es sont bonnes, excepté celle de Montaigne. » Faguet n’a pas tort. Un
journal
peut s’appeler le Figaro ou le Voltaire. On ne lu
tats du journalisme. La sagesse de Montaigne n’a pas à figurer sur un
journal
, précisément parce que c’est une sagesse active,
evrait la vivre activement lui-même en écoutant dialoguer beaucoup de
journaux
, en tirant de ce dialogue une leçon d’ironie et d
craint l’homme d’un seul livre. Que dirons-nous de l’homme d’un seul
journal
? Et presque tout le monde est l’homme d’un seul
me d’un seul journal ? Et presque tout le monde est l’homme d’un seul
journal
. — Votre prétendue leçon de sagesse est donc rése
e à quelques dilettantes ? — Entendons-nous bien. La multiplicité des
journaux
rend à la société les mêmes services de sagesse q
été les mêmes services de sagesse que la multiplicité des lectures de
journaux
différents rendra aux rares amateurs de conversat
s rendra aux rares amateurs de conversation écrite. Le lecteur de tel
journal
extrémiste de droite devient au bout de quelque t
devient au bout de quelque temps un fanatique comme le lecteur de tel
journal
extrémiste de gauche. Leur journal ne leur donne
fanatique comme le lecteur de tel journal extrémiste de gauche. Leur
journal
ne leur donne donc point la sagesse, dont ils se
fort bien, et qui n’est pas d’un si grand usage dans la vie. Mais le
journal
de droite oblige à une certaine sagesse le fanati
créant une résistance qui l’empêchera de descendre dans la rue. Et le
journal
fanatique de gauche nous rend le même service con
échanges intellectuels, le grand dialogue socratique des centaines de
journaux
nationaux, des milliers de journaux internationau
logue socratique des centaines de journaux nationaux, des milliers de
journaux
internationaux, où font leur partie les bons Théé
, selon Sainte-Beuve, se fait en causant. Critique parlée, chronique,
journal
, dialogue, nous avons vu toutes ces idées s’encha
ns, a fini par aboutir, comme à sa vallée centrale, à la critique des
journaux
. Elle s’est trouvée prise dans cette photographie
prise dans cette photographie de l’instant, pour l’instant, qu’est le
journal
. C’est une question de savoir comment elle se déf
une question de savoir comment elle se défendra contre l’évolution du
journal
, contre les exigences de l’information et de la l
bonne société. Mais pour ce qui est de la critique des livres par les
journaux
, elle n’est pas en décadence. Elle s’inquiète peu
consentirait à publier l’équivalent des Lundis de Sainte-Beuve, où un
journal
à quatre pages trouvait autrefois sa fortune (il
raient vite des enfers. Eh bien ! la critique parlée, la critique des
journaux
, la critique du jour, peu familière avec l’histoi
l’éducation des professeurs. Il n’est pas mauvais que la critique des
journaux
et la critique de la chaire soient exercées par d
fait la critique publique ? Ce sont les honnêtes gens de Paris et les
journaux
. Les honnêtes gens, les journaux, surtout les art
nt les honnêtes gens de Paris et les journaux. Les honnêtes gens, les
journaux
, surtout les artistes, ont imposé à la critique p
rsitaire a trois bêtes noires, dont une à deux têtes, la critique des
journaux
, des contemporains, a eu et a encore une bête tri
éléphant blanc des éléphants blancs, tous les autres sont noirs. » Le
Journal
des Goncourt entasse les témoignages comiques de
n critique ? Quelqu’un disait aux Goncourt, qui le rapportent dans le
Journal
:« La comparaison n’est pas noble, mais permettez
r, raison aux thés de cinq heures, raison en chemin de fer, raison au
journal
, raison dans sa chaire… Le critique parle de ce q
s de la critique spontanée. Pas d’année où l’on ne fasse dans quelque
journal
l’enquête de vacances sur la « génération nouvell
ernité littéraire. » Et ce n’est pas seulement ce feuillet de quelque
Journal
des Goncourt qui nous déforme, ce sont les feuill
, Chénier, Daunou. Il tâtonna bien un peu d’abord. Il écrivit dans un
journal
(les 6, 7 et 8 messidor, an III, si je ne me trom
fructidor, dans sa brochure des Réactions politiques, il a tracé des
journaux
et des journalistes du temps un portrait si peu f
, sous la Restauration, lorsqu’il demandait la popularité à ces mêmes
journaux
et qu’il plaidait pour l’entière liberté de la pr
la mienne, sur la puissance tantôt dangereuse, tantôt salutaire, des
journaux
. Je disais, ce que je pense aujourd’hui comme alo
journaux. Je disais, ce que je pense aujourd’hui comme alors, que les
journaux
écrits sans modération, sans justice, sans loyaut
re que lui avec sa plume, qu’il se hâta d’écrire ce fameux article du
Journal
des Débats, et de le faire dans des termes tels q
e XI, page 93 de la publication de M. Laboulaye. — Le voici ; dans un
journal
, je ne pouvais décemment le citer ; je le puis da
oint ici blâmer en général, disait Benjamin Constant, l’existence des
journaux
. La nécessité d’écrire tous les jours me paraît,
profondeur du raisonnement, à la liberté de la pensée. D’ordinaire un
journal
est plus mauvais que son auteur ; et d’ordinaire
auteur ; et d’ordinaire encore un auteur devient plus mauvais par son
journal
. 66. Préface de l’Esprit de conquête. 67. Ben
connoissances les mieux étendues & la plume la mieux exercée. Le
Journal
des Beaux-Arts, connu sous le nom de Trévoux, n’a
d’érudition, qu’il seroit à souhaiter de voir subsister dans tous les
Journaux
. Sa pénétration à démêler les piéges de l’incrédu
oit savant, modeste, point intrigant, Prêtre, & honnête homme. Le
Journal
de Trévoux perdit en lui un bon Littérateur, &
, cinq chaussettes, une botte dépenaillée s’échappant d’un lambeau de
journal
, deux ou trois chemises finissant à la ceinture…
ux baissés, dans l’attitude du découragement. Son regard rencontre le
journal
qui enveloppe la botte.) Lisons, ça mettra mon im
et caetera… (Amer.) Pourquoi n’est-ce pas moi qu’on a découvert ? ce
journal
est idiot. (Continuant sa lecture.) « … Hier, une
ons le Code pénal ! nous tenions Paris entre nos mains ! (Il jette le
journal
et reste quelque temps rêveur. Tout à coup, comme
uis ne pas réussir ! Et, là-dessus, viens un peu que je t’explique le
journal
, à toi aussi. (Ils se retirent tous deux vers le
X Ce 3 mai 1843. articles sur lucrece. — libri et les
journaux
de sacristie. Vous aurez lu les articles sur Lu
articles sur Lucrèce. Janin n’a pas été mal. Gautier écrivait dans le
journal
de l’auteur de Judith et sous le canon de Hugo. M
on aime autant ne pas être défendu et ignorer qu’on est attaqué. Ces
journaux
religieux n’ont d’écho que dans les sacristies et
de l’Amérique. Un homme qui veut une place met une calomnie dans les
journaux
; vous la réfutez par un modeste exposé des faits
qui a signalé leur entrée dans le monde. On connaît le compérage des
journaux
, les ruses des auteurs, les éditions à cinquante
onne aventure pour le libraire, qui aurait eu vingt articles dans les
journaux
, et serait maintenant occupé à préparer la sixièm
là pour les soutenir dans les salons par leur amabilité, et dans les
journaux
par des articles amis. Je ne fais aucun doute que
sieurs Jouy, Dupaty, Arnault, Étienne, Gosse, etc., rédacteurs de ces
journaux
, et rédacteurs habiles, si Talma avait jamais la
z-vous avec indignation à l’homme qui voudrait vous faire rire20. Les
journaux
, témoins de ce qui s’est passé aux élections de 1
quotidiennement elles n’étaient louées, recommandées, prônées par les
journaux
dans lesquels vous travaillez. Qu’ai-je à faire d
ur, c’est l’esprit des grandes écoles de Droit et de Médecine, et les
journaux
libéraux qui mènent cette jeunesse. Il faudrait u
er l’opinion littéraire du Constitutionnel et de deux ou trois petits
journaux
; jusque-là, auquel de nos théâtres conseilleriez
cinq cents abonnés qu’on allait lui faire perdre, et publier dans ce
journal
, si amusant depuis quinze jours, deux articles pa
note ; les propos des halles auraient bientôt embelli les colonnes du
Journal
des Débats. M. Andrieux nous a foudroyés incognit
Geoffroy ? Depuis que la mort de cet homme amusant faillit tuer leur
journal
, ce corps d’anciens critiques a été soutenu par l
doctrines littéraires, c’est qu’ils sont enchaînés par le caissier du
journal
. Quand ces messieurs le voudraient, les propriéta
le de ce qu’elle ne pense pas comme en 1725. Dernièrement, lorsque ce
journal
a osé attaquer l’un des géants de la littérature
ofond savoir de messieurs les écrivains Classiques. Dans le numéro du
Journal
des Débats du 22 mai 1823, M. A entreprend de ren
ancienne. M. Villemain, l’un d’eux, celui qui, au dire de son propre
journal
, réfute, et de si haut 37, les erreurs des Romant
u facile talent de montrer des inconvénients. Vous m’accordez que les
journaux
libéraux mènent la jeunesse, que le Journal des D
Vous m’accordez que les journaux libéraux mènent la jeunesse, que le
Journal
des Débats, tout en jugeant Shakspeare et Schille
e ans ? 15. Tout ridicule inaperçu n’existe pas dans les arts. 16.
Journal
des Débats du 11 mai 1824. 17. Journal des Déba
ste pas dans les arts. 16. Journal des Débats du 11 mai 1824. 17.
Journal
des Débats du 30 mars 1823. 18. Cette correspond
-d’œuvre ? Chacun travaillera, personne ne lira si ce n’est de grands
journaux
in-folio, où toute vérité s’énoncera dans les ter
sprit. En revanche nous lui devons l’éloquence du général Foy. 27.
Journal
des Débats du 8 juillet 1818. 28. Page 7 du Mani
on sang ». 31. Un de mes voisins vient de renvoyer son abonnement au
Journal
des Débats (février 1825), parce que son troisièm
t où la réforme littéraire est représentée comme vaincue par tous les
journaux
, ils se croient cependant obligés à lui lancer, c
e permet de donner des pichenettes sur le nez à V. Hugo. En 1857, un
journal
(Le Réalisme) fut créé tout exprès pour apprendre
r — à coups de fautes de français. Il y allait de tout cœur, ce brave
journal
! même il s’échauffa tellement à cette besogne qu
ait solidement bâti. Ils avaient même jugé indispensable de fonder un
journal
rien que pour l’anéantir. Vous, Monsieur, vous n’
t, qui en ont toujours voulu à notre famille, s’étaient abonnés à ton
journal
, se doutant bien que tu y ferais des bêtises. Grâ
e en ta compagnie et de faire fraterniser nos signatures dans le même
journal
. — Tu ne m’en veux point, n’est-ce pas ? — Le voi
mordre de cette idée. En vain nous lui avons lu et relu le passage du
journal
où tu voues ton existence au bonheur des Romagnes
fera délivrer des lettres de naturalisation à Saint-Pétersbourg. Les
journaux
ne sont plus sûrs à Paris ! Et Poulet-Malassis, q
ts, ce steeple-chase forcené, quand j’ai été ramené aux choses et aux
journaux
de ce monde par la voix du garçon, qui criait : «
« L’Armature1 » [Le
Journal
, 24 février 1895.] « … La seule base générale d
forcément incomplète, entre les trop étroites limites d’un article de
journal
. Et puis, comme tous les grands ensembles, le liv
nt de laver le secret parfumé des adultères. Sous le knout ! [Le
Journal
, 3 mars 1895.] La Société nouvelle, l’excellent
pièces, écrivant, le soir, à la lueur des réverbères, des articles de
journaux
, dont il ne doute pas un instant qu’ils vont lui
i vu briller la flamme du génie. À propos du « Hard Labour » [Le
Journal
, 16 juin 1895.] Il y a quelques jours, Le Gauloi
as un crime, pas même un délit… C’est un péché. Sur un livre [Le
Journal
, 7 juillet 1895.] En lisant Le Portrait de Doria
longe ses racines dans l’abject purin. La gloire des lettres [Le
Journal
, 21 juillet 1895.] M. René Barjeau vient d’avoir
aver en face conquirent le monde. » Merveilles de la science [Le
Journal
, 21 juin 1896.] Sous ce titre : Enquête sur l’ét
é de l’État s’y opposent. Mais parce que les vingt-quatre colonnes du
Journal
ne suffiraient pas à contenir les cent vingt-huit
dernières années, Edmond de Goncourt fut fort attaqué, à cause de son
Journal
, même de quelques-uns de ses familiers qui l’avai
ées. Mais puisqu’il en décida autrement, nous devons bien accepter ce
Journal
, dans son œuvre. Et pour ma part, je l’accepte sa
te. Moi, j’admire tout de Goncourt comme une brute. Et après tout, ce
Journal
des Goncourt, n’est-il pas un livre curieux, touj
pure, et la plus haute fierté de ma vie. Autour d’un penseur [Le
Journal
, 23 août 1896.] Après six mois d’intrigues inouï
es discours ne s’improvisent pas. Si, pénible écrivain, un article de
journal
exige deux mois de mon travail obstiné, je calcul
émouvant et plus magnifiquement inspiré. Questions sociales [Le
Journal
, 20 décembre 1896.] M. Jules Huret est un admira
de vérité, M. Jules Huret avait négligé de flatter les préférences du
journal
et de caresser ses idées, en embellissant les hom
s des temps immémoriaux, traînent dans les salons et la rue, dans les
journaux
et les parlottes. On dirait une réunion de concie
heureuses et de bien charmantes gens. On demande un empereur [Le
Journal
, 31 janvier 1897.] Allons bon ! voilà que j’ai d
ette. Ah ! stupidité de l’image !… Pourquoi ? L’espoir futur [Le
Journal
, 29 mai 1898.] Hier, je suis allé rendre visite
s hommes… et voilà que je me reprends à haïr. Je ne puis plus lire un
journal
. Le motif de ce désespoir me parut vraiment d’une
observation respectueuse, quand il reprit : — Je ne puis plus lire un
journal
. Cette lecture m’est trop pénible !… Elle me lais
e que d’échapper à ce cauchemar, répondis-je. Il ne faut pas lire les
journaux
, voilà tout ! Il ne manque pas de beaux livres, D
de satisfaire cette curiosité, bien naturelle, autrement que par les
journaux
? — En êtes-vous donc plus avancé ?… Que trouvez-
rnaux ? — En êtes-vous donc plus avancé ?… Que trouvez-vous, dans les
journaux
, sinon du mensonge !… Et comment parvenez-vous à
laideur, et cela froidement ? Moi, quand j’ai achevé la lecture d’un
journal
, j’ai l’âme encrassée de dégoût ! Je crois, vérit
nt sans me lâcher… pour quiconque réfléchit, il y a bien là, dans ces
journaux
, un état d’esprit particulier et qui n’est pas au
organisent des centres d’action, d’éducation morale ; ils créent des
journaux
, des revues, des représentations théâtrales, des
voit… L’avenir, c’est le présent de demain. Le mauvais désir [Le
Journal
, 30 octobre 1898.] Il semble qu’on n’ait plus, e
n’ait plus, en ce moment, le temps ni le goût de lire des livres. Le
journal
hélas ! et ses quotidiennes violences, et ses men
et doux, nous ne pouvons que les pleurer !… Pauvre France ! [Le
Journal
, 2 juillet 1899.] On a enterré, cette semaine, p
s, je crois, un feuilleton ne fut tant en harmonie avec le corps d’un
journal
. Alors que le plus passionnément, de plus en plus
ire du monde, sa carrière d’homme et de dieu. À un magistrat [Le
Journal
, 31 décembre 1899.] J’ai appris, par une brève d
Le Journal, 31 décembre 1899.] J’ai appris, par une brève dépêche du
Journal
et par une lettre pas beaucoup plus explicative d
auf-conduit… comme Esterhazy ! Propos galants sur les femmes [Le
Journal
, 1er avril 1900.] Qu’on ne croie pas, par ce qui
entre à jamais stérile, dans un monde vaincu… Espoirs nègres [Le
Journal
, 20 mai 1900.] J’ai fait la connaissance d’un de
oir et matin, fait : « Pipi… pipi… pipi ! » Le chef-d’œuvre [Le
Journal
, 10 juin 1900.] M. Edmond Pilon, dans La Plume,
st-ce que c’est ? Ah ! je voudrais le savoir ! Académicien ? [Le
Journal
, 3 février 1901.] Il y avait bien longtemps que
ngeait maintenant à Albin Valabrègue. Le secret de la morale [Le
Journal
, 10 mars 1901.] Ah ! Je plains sincèrement les b
tte façon sommaire, mais infiniment précieuse, mon dernier livre : Le
Journal
d’une femme de chambre. Opinion, d’ailleurs, dont
uileries, nous nous avisons de les reproduire, par le dessin, dans un
journal
, elles deviennent, subitement et mystérieusement,
re, qu’une chose morale devienne immorale dans le trajet du Louvre au
journal
!… Transformations secrètes de la matière, quel a
esses du Louvre, à qui M. de Camondo l’a, paraît-il, léguée… Tous les
journaux
en parlèrent avec extase… On nous raconta son his
i fut, aux heures infâmes, notre conscience. Nos élégances ! [Le
Journal
, 27 octobre 1901.] J’ai lu dans Le Gaulois d’hie
ué ?… Ici, je me sens plein d’incertitudes et d’hésitations. Avec les
journaux
, même avec les journaux d’un décorum aussi parfai
ein d’incertitudes et d’hésitations. Avec les journaux, même avec les
journaux
d’un décorum aussi parfait que celui du Gaulois,
au moment des grands événements parisiens, viennent conter, dans les
journaux
, leurs souvenirs et leurs regrets. J’ai souvenanc
même Gaulois, les échos mondains et tout ce que la mondanité, dans un
journal
si correct et si strict, si professionnellement s
le sais bien, voyons… J’ai toujours été là-dedans !… Et, désignant le
journal
qui m’était tombé des mains, il dit encore : — Ma
: — Mais où a-t-il donc servi, celui-là ?… Sur les Académies [Le
Journal
, 12 janvier 1902.] J’ai eu, un de ces soirs dern
Académie de Goncourt, monsieur !… L’avenir des chefs-d’œuvre [Le
Journal
, 9 mars 1902.] Encore un document — et non des m
comme les autres et mieux que les autres. Hymne à la presse [Le
Journal
, 15 janvier 1910.] Je veux exprimer ici tout mon
ue, plus jamais, plus jamais, il ne me serait permis d’écrire dans un
journal
ce que je pense sur les hommes et sur les choses
e les mœurs, plus fortes que les lois, abolissent. C’est que tous les
journaux
, si divisés pour servir, je ne dis pas des causes
privés différents et des ambitions ennemies, ne font plus qu’un seul
journal
, lorsqu’il s’agit les partis : la routine, la méd
me consolait pas, car les mois passaient et passaient les années, des
journaux
mouraient, d’autres naissaient qui mouraient enco
s resté à la dernière entrevue que j’eus avec le directeur d’un grand
journal
républicain. Ce directeur — ne le désignons pas a
nt, ils acquièrent de la vertu. Il prit sur la table le numéro de son
journal
, paru le matin même, et il m’en montra la premièr
homme d’affaires, il poursuivit plus posément : — Voyez-vous… Pour un
journal
moderne… Il n’y a plus que ça… Ça et le théâtre…
… Instruire en amusant telle est ma devise. Il tourna une page de son
journal
, discourut longuement sur l’ordonnance méthodique
e ne sais quel format ou quelle combinaison nouvelle. — Lisez-vous le
journal
l’Illustration hebdomadaire, imité des journaux a
velle. — Lisez-vous le journal l’Illustration hebdomadaire, imité des
journaux
anglais illustrés ? Il est assez bien fait, agréa
. Il a ses lettres de grande naturalisation. — Si vous, qui lisez les
journaux
, n’y trouvez aucune protestation ni attaque contr
rs 1844. de la liberté de la presse en france. — coalition entre les
journaux
. — les meilleurs journaux français se font a l’ét
la presse en france. — coalition entre les journaux. — les meilleurs
journaux
français se font a l’étranger. — brochure du card
s vérités non scandaleuses et désintéressées. Autrefois les meilleurs
journaux
français se faisaient hors de France, en Hollande
ur elle. On n’eût pu mettre en de meilleures mains que les siennes le
Journal
de Trévoux. A son entrée dans le monde, il fut ac
séjour dans la capitale. Il y fut appellé en 1724 pour travailler au
Journal
des sçavans. Cet écrivain, qui se croyoit si redo
e pour juger tous les ouvrages nouveaux. Ses extraits insérés dans le
Journal
des sçavans, en donnant à ce Journal un peu plus
ux. Ses extraits insérés dans le Journal des sçavans, en donnant à ce
Journal
un peu plus d’intérêt & de chaleur qu’il n’en
Libraires, au commencement de l’année 1723, refusèrent d’imprimer le
Journal
des sçavans, faute de débit ; &, l’année suiv
bes qui sont une date dans l’histoire des mœurs, mais encore pour son
Journal
, qui est une source de renseignements précis et s
on nous prouve, moyennant citations louangeuses tirées d’articles de
journaux
, et conséquemment au système de la vérité vraie,
nhomme : il n’est pas commode de parler à fond de ce poète-là dans un
journal
; je compte y revenir ailleurs ; mais sur Collé,
ercher de raisons ni de commentaires. Plus tard, lorsqu’on publia son
Journal
posthume, où il avait consigné pour lui, au coura
i-même Collé, il nous dit et redit tout cela en vingt endroits de son
Journal
, et comme un Gaulois d’autrefois, dans le langage
ses de nos pères ; il faut voir comme il daube à l’occasion, dans son
Journal
, sur le chancelier Maupeou, « ce Séjan de la magi
anard, son maître, à la date de sa mort (juin 1765), Collé a dans son
Journal
quelques pages excellentes et de la meilleure qua
r les autres imputations de ce genre auxquelles la publication de son
Journal
avait donné cours, Mlle Pauline de Meulan a fait
ien, d’ailleurs, de contraire aux idées de Collé. Il a écrit dans son
Journal
, à la date de janvier 1772 : « J’ai soixante-troi
s qui se succèdent depuis vingt ans sous forme de feuilleton dans les
journaux
. Vous le savez, depuis vingt ans et plus, on ne v
œuvres. Il a l’ubiquité d’un dieu. Seulement, est-ce à une gloire de
journal
, c’est-à-dire de journée ; est-ce à cette fonctio
de l’Angleterre et que Clarisse ait été publiée par chapitres dans un
journal
, ni plus ni moins que Le Fils du Diable ou Le Cap
l’est pas non plus comme Chateaubriand. Jamais il n’eût écrit pour un
journal
René ou Le Dernier des Abencérages, dont certaine
é ou Le Dernier des Abencérages, dont certainement, d’ailleurs, aucun
journal
n’aurait voulu. Il n’eût pas écrit davantage Les
c (cette gloire), lesquels faillirent bien d’être interrompus dans le
journal
, qui s’était oublié au point de les accepter, et
Journal
et Mémoires de Mathieu Marais publiés par M. De L
i guère parlé jusqu’à présent que des lettres de Mathieu Marais ; son
Journal
a plus d’importance et vient s’ajouter aux témoig
re était le bourgeois Pierre de L’Estoile, qui a laissé de si curieux
Journaux
de la Ligue ; ce L’Estoile, esprit libre, épars,
vraiment des familles d’esprits ? La première fois que Marais lit le
Journal
de L’Estoile, dans l’édition de Godefroy, on voit
xcellent. Les traits y sont semés partout. Celui qui avait extrait le
Journal
de Henri III n’en avait pas pris le meilleur ; et
ue n’a plus cette naïveté et cette simplicité nécessaires pour un tel
Journal
, et nous n’avons point de Henri IV, à qui il écha
i-même ni archaïque ni suranné. Mais nous voyons déjà le caractère du
Journal
de Mathieu Marais ; il s’est plu à consigner par
x ou trois lectures à huis clos, à les resserrer dans son tiroir. Son
Journal
commence à la mort de Louis XIV. Il sembla vérita
chement et à la dissolution. On s’aperçoit que Marais n’a pas tenu ce
Journal
pendant toutes les années (1715-1727) du même tra
autre siècle, estimé dans son Ordre, inconnu du public. Il légua ses
journaux
manuscrits au président Bouhier pour aller dormir
rappelle que l’administrateur général d’un des plus importants petits
journaux
de Paris me disait que, dans la première semaine
première semaine après le commencement d’un feuilleton, le tirage du
journal
montait ou s’abaissait de cinquante mille, de qua
le long des rues de faubourgs, portant en bandoulière un sac plein de
journaux
et de livraisons à bon marché ? L’homme ne s’arrê
ché ? L’homme ne s’arrête pas. Il va d’un pas rapide, jetant le Petit
Journal
, le Petit Parisien, la Lanterne, sous la porte d’
vallée, au bas de la colline, deux hommes passèrent. L’un vendait des
journaux
et soufflait dans une corne de cuivre, l’autre po
le long de la route voisine, les curieux s’approchaient du vendeur de
journaux
. Ils venaient à l’appel de la corne de cuivre, le
ignez-vous, dans le moindre bureau de tabac, dans le moindre dépôt de
journaux
, et demandez le nombre de romans illustrés ; le n
s serré, destiné à être lu sans arrêt, eux, ils écrivent une sorte de
journal
intime ; ils superposent les détails, sagement, p
t heureusement, pensent comme moi. Je lisais récemment, dans un grand
journal
de Belgique, une étude sur le roman-feuilleton. L
ous. Je leur dirais : « Essayez d’écrire, dans des revues ou dans des
journaux
populaires, une œuvre de haute et saine émotion.
ou elle, masculin ou féminin, Mendès s’en fiche, qui écrivit dans le
Journal
du 6 mars 1897 : « L’accomplissement de cette chi
Tous les genres de vaudeville, dialogues pour les planches, pour les
journaux
ou pour Ollendorff, lui ont révélé leurs émouvant
s qu’on doit recommander aux directeurs de théâtre, aux directeurs de
journaux
, aux éditeurs et au public comme les plus docilem
peut-être Jules Claretie. Il sait cuisiner un discours, un article de
journal
, un roman, un volume de critique ou presque et Mm
anachronique : « Il a dû naguère, à Guernesey, s’amuser beaucoup des
journaux
religieux, qui annonçaient, avec une douce charit
é par l’auteur russe, qui savait probablement ce qu’il voulait dire :
Journal
d’un chasseur, et que M. Ernest Charrière, le tra
nce d’un procédé sur lequel il est impossible de s’aveugler : « Si le
Journal
d’un chasseur — dit M. Charrière — est devenu dan
ragments de cet ouvrage — ajoute le traducteur — avaient paru dans un
journal
de Moscou et frappé l’attention, quoique venant d
s et la portée qu’il a essayé de lui donner. Le livre en question, ce
Journal
d’un chasseur, métamorphosé en Mémoires d’un seig
la fantaisie, et avec ces deux mots-là, vous avez tout ! L’auteur du
Journal
d’un chasseur n’est point un flâneur au fusil sou
même une mission, comme on disait autrefois pour la poésie et pour le
journal
, mais cela peut faire un emploi très honnête pour
out dans un État démocratique. « À partir de l’âge de dix ans, dit un
journal
, les enfants de troupe recevraient des fusils pro
re qui exercerait le contrôle le plus sévère sur tous les articles de
journaux
qui se permettraient mon éloge, et qui s’aviserai
e négociateur, des concessions à ce sujet, a été traité, par certains
journaux
de son pays, comme aurait pu l’être, à Carthage,
la déesse Strenia à l’époque des étrennes. Ne chicanons pas trop les
journaux
sur cette utile ressource, car leur tâche est rud
matin, une odeur d’encens se répand par toute la France ; ce sont les
journaux
qu’on déplie. Qu’ils contiennent une circulaire d
ges, et cette fois encore je le reçus fort mal. Il me fut dit dans un
journal
officieux qu’en faisant ce placement avantageux j
e, ou qu’on ne voie dans la publication d’un roman-feuilleton dans un
journal
arabe de Beyrouth un symptôme de notre influence
n symptôme de notre influence littéraire. Encore, en ce qui touche le
journal
, l’Angleterre pourrait-elle réclamer part à deux
l’anglais. Il y a là de quoi faire envie à nos pauvres directeurs de
journaux
. Quelle bonne fortune, à la veille d’un renouvell
ocres peuvent se feuilleter avec un certain intérêt curieux, comme le
journal
des modes du cœur humain. Ou bien encore, quand l
ise était au moins singulière pour la femme du rédacteur en chef d’un
journal
important. Il est toujours pénible de voir un écr
s questions. Il se bornera donc à enregistrer officiellement dans ses
journaux
que Paris est la cité hospitalière par excellence
laise à poursuivre en son propre nom la punition du crime. Mais aucun
journal
français, que je sache, n’a fait ressortir la vér
erre, on les discute toujours. Avant, pendant et après un procès, les
journaux
ont leur franc-parler. Cela a de mauvais côtés sa
histoire à propos d’un jurisconsulte éminent, lord Campbell, dont les
journaux
anglais ont annoncé la mort il y a cinq mois à pe
ces littéraires, et trouvait pourtant moyen de se faire attacher à un
journal
en qualité de critique des théâtres. On raconte q
première représentation, et qu’il rendit compte le lendemain dans son
journal
de la pièce nouvelle. Il reconnut beaucoup de tal
selon leur rang. Quelque Dangeau du jour a dû inscrire cela dans son
journal
; quant à moi, je l’ai oublié. J’avouerai même qu
pourtant je m’aperçois que toutes ces visites donnent lieu, dans les
journaux
étrangers, à des commentaires où la méfiance et l
s’il a beaucoup occupé les esprits, mais j’affirme qu’il a rempli les
journaux
. Ce devait être un bien beau spectacle, et j’euss
e docteur Véron et les chemins de fer. — Correspondance étrangère des
journaux
. — Procès de Sara Meyer. Procès Plassiart. Procès
res ne s’alignèrent sur le papier. L’honnête bourgeois, en lisant son
journal
à haute voix pour l’édification de sa famille, ét
effarouchée, il ne faut en faire honneur ni aux homélies de certains
journaux
, ni aux tirades de vertueux vaudevillistes, mais
s le premier écrivain, tant s’en faut, qui ait pensé que le devoir du
journal
était de se faire l’organe de toutes les réclamat
l’espoir d’exercer chez nous une pareille influence puisse tenter un
journal
; mais ceux qui l’ambitionnent oublient trop qu’e
ittérature. Oui ! il faut bien, au risque d’aller sur les brisées des
journaux
judiciaires, constater quelles ont été les triste
n’avait jamais été agitée. Chacun de nous lit tous les jours dans son
journal
des articles où la signature est précédée des mot
eurs communications ne sont pas toujours publiées in extenso dans nos
journaux
, et qu’elles ont souvent besoin, même au point de
lorables. Pour obvier à la difficulté que nous venons de signaler, un
journal
, l’Union, a imaginé de faire précéder la signatur
graphie. (La scène se passe dans un salon de Paris. ! UN MONSIEUR (le
journal
du soir à la main). Avez-vous suivi le procès de
l’ai suivi comme on suit un domino au bal masqué. Vous savez que les
journaux
ne peuvent pas en rendre compte. UN ÉTRANGER. J’a
n ton sentencieux et en jetant de temps en temps un coup d’œil sur le
journal
). Le marquis de Flers est un conseiller référenda
qui n’est pas légale. M. de Flers était le correspondant de plusieurs
journaux
étrangers, le Journal de Genève, la Gazette d’Aug
. de Flers était le correspondant de plusieurs journaux étrangers, le
Journal
de Genève, la Gazette d’Augsbourg et l’Indépendan
dire. Il en a été quitte à bon marché. LE MONSIEUR (qui a repris son
journal
et qui lit). Il convient d’ajouter que cette con
auf quelques détails insignifiants, il y a douze mois ? Parcourez les
journaux
du mois dernier, vous y trouverez à peu près les
er leurs pierres dans le jardin de l’autorité, il se fonde un nouveau
journal
politique, littéraire et satirique, qui s’annonce
d, l’article embellissement de Paris aurait disparu momentanément des
journaux
, ou que les vues de la Commission municipale aura
distribuent volontiers leurs cadeaux de nouvelle année à la Noël. Les
journaux
semblaient pressentir depuis quelque temps déjà l
nation ? C’est ainsi que se posait la question. J’ai remarqué que les
journaux
avertis se prononçaient généralement en faveur de
nt généralement en faveur de la répression judiciaire, tandis que les
journaux
qui défendaient le contrôle administratif étaient
le meilleur esprit », une petite note pleine de ces conseils qu’aucun
journal
, si officieux qu’il soit, ne saurait dédaigner. L
s qu’aucun journal, si officieux qu’il soit, ne saurait dédaigner. Le
Journal
des Débats, pour une phrase incidente, mais « fac
ours grave, même quand elle est faite de bonne foi. J’en atteste deux
journaux
, le Temps et l’Opinion nationale, à qui il en a c
tecteur de Revue. Presque tout l’espace qui n’est pas occupé dans les
journaux
par des procès ou des avertissements est consacré
estations ? Il est plus pénible encore de voir toute une rédaction de
journal
signer une lettre collective pour attaquer un écr
significatif et qu’il faut aussi constater, c’est le grand nombre de
journaux
hebdomadaires ou bimensuels, tous non politiques,
ge, et j’aime mieux attendre quelque symptôme plus certain. Plusieurs
journaux
ont publié, ces jours-ci, des lettres d’étudiants
meilleur augure que toute la prose que j’ai vue ces jours-ci dans les
journaux
. Je serais heureux, je l’avoue, de voir donner un
revêtir. Mais lorsque tout semble le séparer de celle qu’il aime, un
journal
lui apprend tout à coup que sa femme est morte, q
ction du P. Lacordaire, dont la réception fut longtemps ajournée, les
journaux
inséraient tous les mois un paragraphe pour annon
adressée au Constitutionnel, il a protesté contre une assertion de ce
journal
, qui prétendait qu’en acceptant la chaire d’hébre
, ce sont les ventes des commissaires-priseurs ; le soir, ce sont les
journaux
qui rendent compte des séances des Chambres. Qui
utre jour encore, un de nos romanciers, dans le feuilleton d’un grand
journal
, désignait le Mexique sous le nom de far West (ex
soufle se retrouvent. On comprend difficilement qu’il ait fallu qu’un
journal
anglais, l’Athenæeum, vînt nous l’apprendre. Il é
ard des noms étrangers, et au besoin j’ai devant moi le feuilleton du
Journal
des Débats, qui pourrait me servir d’avertissemen
iques que je vois tirer leur subsistance principale des revues et des
journaux
anglais. Je me reposais surtout sur M. Philarète
mais il était bien tard, bien tard surtout pour son collaborateur du
Journal
des Débats, M. Jules Janin, qui avait déjà consac
is qui se sont laissé piller. Il a commencé par traduire l’article du
journal
anglais, puis il s’est moqué des fautes de frança
’il leur vînt l’idée que c’est le marquis de Boissy qui écrit dans le
Journal
des Débats sous le pseudonyme de Jules Janin. Dan
en ! aujourd’hui, pour une raison ou pour une autre, presque tous les
journaux
ont comme cela quelqu’un à faire enrager, et je c
rille aujourd’hui l’esprit français. On pourrait citer tel article de
journal
qui est un véritable rébus, et que pourtant chaqu
e deux sinistres de presse à déplorer à Paris ce mois-ci. Le Travail,
journal
rédigé par une réunion d’étudiants, qui était un
avoir traité des questions de politique et d’économie sociale dans un
journal
non autorisé et non cautionné. Il est juste d’avo
peut être l’œuvre d’un jour de colère ou de bile, comme un article de
journal
; on en corrige les épreuves lorsque l’entraîneme
eur de bouquins d’histoire ecclésiastique, de vieil encens laïque, de
journaux
sortant de la presse, de chair d’hérétiques brûlé
au hasard et de longs extraits, tel a été le rôle de presque tous les
journaux
. C’était une vaste conception, disait-on, qu’il n
iciable, comme tout le reste, de l’opinion publique exprimée dans les
journaux
. C’est cette dernière garantie surtout qui fait q
vaincue, ils sont restés impassibles. On nous a bien raconté dans les
journaux
qu’ils avaient été à l’Imprimerie impériale, et q
a été de les lire ; le second, de les réfuter sérieusement dans leurs
journaux
que les Français ne voient pas. Qu’importe après
que M. Charles Floquet a publiés sur la détention préventive dans le
journal
le Temps. Ils mettent à la portée de tout le mond
inte avec enthousiasme dans une lettre à M. Victor Hugo, que tous les
journaux
ont reproduite ? M. Claye est, si je ne me trompe
veaux volumes. Ainsi je lisais, il y a quelques jours, dans un de nos
journaux
les plus répandus, un article consacré à l’examen
des Misérables, M. Victor Hugo écrivait déjà au directeur d’un petit
journal
, le Théâtre : « Avec des auxiliaires tels que vou
Alphonse Lemerre Après avoir publié ses poésies dans plusieurs
journaux
, M. Goudeau les a réunies en trois volumes intitu
court sur les baïonnettes comme un chant de pinsons sur les épis. [Le
Journal
(5 mars 1896).] Jean de Mitty Goudeau avai
une des places en vue parmi les écrivains de tradition française. [Le
Journal
(1899).]
iser. Le jour des funérailles il lui rendit, en cette demi-colonne de
journal
, un expressif et véridique hommage. Mais on ne se
, et déconcerte par là ses adversaires. Répondant (9 juillet 1830) au
journal
anglais le Times qui, aux approches du conflit, s
hasard, la note sur Le Drapeau blanc (22 janvier 1830), celle sur le
Journal
des débats (22 février), où les mots de lâcheté e
septembre 1830) ; la réplique au Messager (4 janvier 1831), celle au
journal
Le Temps (16 et 18 mars 1831). On m’indique un au
l Le Temps (16 et 18 mars 1831). On m’indique un autre démêlé avec le
Journal
du commerce, dont le rédacteur en chef était des
era prochainement conduit : « Une carrière nouvelle s’est ouverte aux
journaux
qui voudront être vraiment indépendants. » Sous l
mper, à encourir le reproche d’incapacité et d’esprit de coterie. Un
journal
avancé d’alors, Le Globe, du 7 septembre, s’étant
mieux ouvrier habile et intelligent, Carrel répliquait vertement à ce
journal
(8 septembre) et le raillait de son désir, de ce
(18 septembre). Cette sécurité apparente est souvent une tactique de
journal
; mais, à cette date, rien ne dénote encore de sa
Le Pays, 20 février 1862. Il y avait autrefois dans le monde et au
Journal
des Débats un homme d’esprit et de talent… C’étai
l était même, avec Jules Janin, le seul vivant, vraiment vivant, d’un
journal
qui ne représente plus que la littérature bien co
. C’est très hardi et presque héroïque, d’être agréable et amusant au
Journal
des Débats ! Eh bien, Chasles se le permettait !
u’on s’étonnait bien de voir trotter dans la grande allée ratissée du
Journal
des Débats, où il ne passe jamais personne ! Four
s quand c’est un calembour d’idées, — nous danse la danse du châle au
Journal
des Débats ! Il y a du bas-bleu… Et les bas-bleus
tube d’un verre de champagne, à souper. Mais, pour lui comme pour le
Journal
des Débats, où le Galileo Galilei a paru, la ques
55) ! Avec un verre de vin grec, compatriote de son maître Archimède (
Journal
des Débats), la jeunesse renaîtra dans ses veines
asser, et les raisonnements qui les appuient ne peuvent prendre qu’au
Journal
des Débats, entre les têtes les plus chinoises de
s réalités ; tout cela était connu depuis des éternités, jonchait les
journaux
et les livres. Ce n’est pas Chasles qui a inventé
devait être un jour l’instrument le plus puissant de la critique, le
journal
littéraire5. Mais veut-on savoir quelle était alo
giée dans le feuilleton littéraire, donnait la vogue aux critiques du
Journal
de l’Empire (des Débats). Geoffroy, Dussault, Fel
: des circonstances matérielles et fatales enchaînent leur talent. Le
journal
a changé de langue et de lecteurs. Contraint de c
de la distinction dans ses plaisirs. Placé sur ce terrain étrange, le
journal
a changé de manœuvre. À l’examen de l’art il a su
é vénale, lui prescrire en grosses lettres les seuls ouvrages dont le
journal
doit s’occuper, qu’il doit proclamer excellents.
s ces entraves la critique périodique qui s’est blottie dans quelques
journaux
moins inhospitaliers, dans quelques revues plus o
ent pas des juges. Aujourd’hui un jeune protégé sonne à la porte d’un
journal
: pour l’essayer, pour lui faire la main, on lui
omme un mot d’ordre, les préférences et les haines officielles de son
journal
. C’est un soldat sous son drapeau : il fait feu d
s ? C’est là une plaie douloureuse de notre littérature : chassée des
journaux
par les circonstances, la critique se meurt dans
même à la réfuter. Aujourd’hui un esprit distingué35 se fait dans les
journaux
allemands l’interprète passionné de ce système :
que par quelques épigrammes et par ses Réflexions sur Longin. 5. Le
Journal
des Savants commença à paraître en 1665 ; le Merc
. in-8,1828. Suard a été successivement rédacteur ou collaborateur du
Journal
étranger, de la Gazette littéraire de l’Europe, d
er, de la Gazette littéraire de l’Europe, de la Gazette de France, du
Journal
de Paris, du Publiciste, de l’Indépendant. Il a é
ée de dire dans ses Guêpes ce qu’on ne lui laisserait dire dans aucun
journal
, car tout journal a son genre de vérités particul
s Guêpes ce qu’on ne lui laisserait dire dans aucun journal, car tout
journal
a son genre de vérités particulières à l’usage de
à l’usage des rédacteurs et des abonnés. Mais ce n’est pas tel ou tel
journal
qui a seulement ce genre de vérités restreintes,
est entretenu dix ans dans cette attente. Les extraits donnés par les
journaux
ont soutenu cette réputation naissante. Nous n’av
e topinambou. Que penseront nos neveux lorsqu’ils trouveront dans les
journaux
du temps, à l’adresse du plus grand inventeur de
phlet, ne sont-ils pas devenus ridicules aujourd’hui qu’un article de
journal
ou une simple brochure renseigne plus vite et plu
s à cet égard fataliste comme un Bédouin. Je n’en veux donc pas à nos
journaux
d’avoir moralisé leur feuilleton dans l’intérêt d
bonnement, doit-on faire une question littéraire ? Le livre est-il le
journal
? Mais non : le journal va chercher ses lecteurs,
une question littéraire ? Le livre est-il le journal ? Mais non : le
journal
va chercher ses lecteurs, le livre attend les sie
livre attend les siens Et parce qu’on a publié Modeste Mignon dans le
Journal
des Débats et le Lis dans la vallée dans la Revue
és dans le camp des intéressés. Voici ce qu’écrivait en 1822, dans le
Journal
des Débats, Hoffmann, — non pas le fantastique, m
ertes, avec notre prétention de parler toujours pour tout le monde, —
journaux
pour tous, lectures pour tous, — nous finirons pa
, lectures pour tous, — nous finirons par ne plus faire ni livres, ni
journaux
. À force d’avoir toujours en vue les jeunes demoi
es ; et cependant, comme l’observe judicieusement le feu rédacteur du
Journal
de l’Empire, les mois, en s’écartant de l’étymolo
que l’aspect de la nature vraie. Il fut un temps où les directeurs de
journaux
proscrivaient dans les romans jusqu’aux mots de m
nd son aplomb et son front de bronze. Justement il vient d’acheter un
journal
, la Conscience publique. Muni de cette arme dont
t. Remarquez l’invraisemblance de ces changements à vue si subits. Le
journal
ne fait que paraître, et la comédie de M. Augier
la calomnie ait jeté parfois ses lettres anonymes dans la boîte d’un
journal
borgne, comme la délation jetait les siennes dans
à est l’injustice et le paradoxe. Ce faux tableau de l’intérieur d’un
journal
est d’ailleurs plus naïf encore que cruel. Il sem
uel. Il semble emprunté aux légendes qui entourent l’enfance du petit
journal
. Oui, c’est ainsi qu’en 1820 Joseph Prudhomme dev
elle le droit qu’il s’est réservé de racheter sa part de propriété du
journal
. A cette menace, le banquier tremble, il entend d
rouve son fils, la honte au front et les yeux en larmes ; il prend le
journal
qui le fait rougir… C’est le compte rendu d’un pr
est déjà terrible ; mais, qu’à travers le discours de l’orateur ou le
journal
du publiciste, elle frappe la conviction et le ca
te modeste publication, et surtout contre son auteur. Trois sortes de
journaux
, qui ne paraissaient pas destinés par leur nature
se signalent par plus d’acharnement contre ce qui porte mon nom : Un
journal
d’exagération religieuse, qui donnerait la tentat
pas la piété jusque dans les aberrations du zèle ; Les revues et les
journaux
des partis de 1830, qui ne pardonnent pas leurs r
la France et eux-mêmes des contrecoups de leur catastrophe ; Enfin un
journal
de sarcasme spirituel, à qui tout est bon de ce q
rer les anges dans le ciel : la dérision pour ce qui est à terre. Ces
journaux
, nous éviterons de les nommer. Nous ne nous plaig
specter, au péril de notre popularité et de notre vie, à la porte des
journaux
menacés, le droit de nous injurier nous-même ? Es
ralisateurs Une grande activité se dépense, en ce moment, dans les
journaux
de province. C’est partout un remue-ménage assour
s Paris et la centralisation ! C’est à Paris que s’impriment tous les
journaux
qu’on lit ; c’est à Paris que s’éditent tous les
e le moniteur officiel des Rénovateurs. Cela s’appelle : la Province,
journal
de décentralisation intellectuelle. On y voit des
leur belle jeunesse à casser des cordons de sonnettes à la porte des
journaux
et des théâtres de la capitale — l’académie de pr
’a pu abattre une pièce de gibier, il tient à passer pour un héros du
Journal
des Chasseurs. Aussi ne chasse-t-il jamais de com
re. Mais non ! ils veulent chasser de compagnie. Et les rédacteurs de
journaux
, les éditeurs de livres, les directeurs de théâtr
resse en France, avec une introduction historique sur les origines du
journal
et la bibliographie générale des journaux depuis
storique sur les origines du journal et la bibliographie générale des
journaux
depuis leur origine. Le Pays, 3 mai 1859. I
sans réserve, qui s’est dite si longtemps une institution et dont les
journaux
ont la prétention, avouée ou secrète, d’être les
maître ; la Chambre étoilée, en Angleterre, qui regarda toujours les
journaux
d’un œil de vigilance sourcilleuse, — torvo lumin
retombant de nouveau sous la plume insignifiante de Bret, la Gazette,
journal
privilégié, atteignit l’époque mortelle à tous le
Dans tous les cas, il y aurait moins de quoi que jamais. — Parmi les
journaux
religieux assez en vogue dans un certain monde, j
ue dans un certain monde, j’ai omis de vous citer l’Union catholique,
journal
rédigé par les Jésuites, par eux positivement. Le
tane ; ils ont fait un établissement plus considérable et publient ce
journal
qui a des journaux correspondants dans d’autres p
t un établissement plus considérable et publient ce journal qui a des
journaux
correspondants dans d’autres pays (par exemple un
us tard ce qu’on a entendu dire dans le monde, lu dans la revue ou le
journal
. On ramasse chaque jour ses idées du lendemain ;
Peut-être est-ce là le secret de l’influence immense qu’exercent les
journaux
et les critiques. Ce n’est ni l’ascendant de l’es
et l’on dit blanc quand on eût pensé noir si l’on n’avait pas lu son
journal
. Le pis est qu’on ne s’en aperçoit pas et que l’o
la vérité en le voyant partagé par tant d’autres, qui lisent aussi le
journal
. Si la mémoire ne fournit pas assez, si l’on veut
ations concernant le commerce abusif des autographes, parues dans les
journaux
, et dues a des écrivains de renom : il s’agit, da
es propositions de lois, de nouvelles suggestions paraissent dans les
journaux
sur les diverses questions relatives à la présent
ans importance amené à disparaître. N’ai-je pas lu également dans les
journaux
amusants que les chemins de fer et la carte posta
ications symboliques des livres sacrés ? Lorsque, tout récemment, les
journaux
ont reproduit une lettre de M. Pierre** adressée
e favorable à tel parti en subventionnant son écurie de course ou son
journal
; on escomptait le désistement d’un autre candida
er sa correspondance parce qu’elle représente à ses yeux une sorte de
journal
de voyage, ou un journal intime, ou parce qu’elle
e qu’elle représente à ses yeux une sorte de journal de voyage, ou un
journal
intime, ou parce qu’elle renferme des souvenirs q
à ce fallacieux motif qu’est fondé et que se prolonge le scandale du
Journal
des Goncourt, qui reste inédit24 malgré la volont
thèque Nationale de Londres. Il a demandé dans son testament que le «
Journal
» soit publié vingt ans après sa mort. Ce Journal
testament que le « Journal » soit publié vingt ans après sa mort. Ce
Journal
est d’ailleurs plutôt une longue lettre adressée
à l’heure actuelle. Cependant le délai de vingt ans est expiré et le
Journal
a paru. Qu’a fait Lord Alfred Douglas ? Se sachan
ve lésé. Qu’est-ce qui empêcherait ceux qui se croient touchés par le
Journal
des Goncourt, soit de répondre par avance aux acc
contraire, que très souvent les lettres privées (comme d’ailleurs les
journaux
intimes et même, d’une manière plus générale, les
logue du marchand d’autographes ou du commissaire-priseur que dans un
journal
ou un livre. Cette publication irrégulière est sa
Cahiers de la quinzaine. Elles ont paru à différentes dates dans des
journaux
ou dans des périodiques et à l’occasion d’événeme
M. V. Larbaud : Lettre de M. V. Larbaud Adressée le 12 juin 1925 au
journal
LE TEMPS, commentée par M. Paul Souday sous le ti
oi protégeait les fabricants de papier, mais lésait les directeurs de
journaux
qui, ne pouvant pas trop rapidement hausser leur
à leur pression sur les ministres, à maintenir le droit en échec. Le
Journal
des Goncourt risque ainsi de devenir le symbole d
Paris, Crès, 1924. [NdE] 24. Après la mort de Jules, neuf volumes du
Journal
des Goncourt parurent entre 1887 et 1889, par la
par la volonté d’Edmond. Reste qu’en 1928 une édition intégrale de ce
Journal
est loin de venir. L’Académie Goncourt, chargée,
janvier 1928).[NdE] 30. En 1887, lors de la première publication du
Journal
intime de Constant, E. Scherer laissait entendre
en 1907, pour Cécile il faudra attendre 1951. Une nouvelle édition du
Journal
intime paraît juste en 1928 (Paris, Albin Michel,
u 16 juillet), édition partielle que rendra périmée la publication de
Journaux
intimes de 1952. La connaissance que Pierre-Quint
et voilà que déjà vous voulez les faire connaître au public. Quant au
journal
Réalisme, il aurait beaucoup mieux valu constater
e un parallèle qui ne pourrait qu’être superficiel dans un article de
journal
, je reconnais dans ces deux hommes des airs de fa
n’oublient pas un bouton et détaillent la toilette comme le ferait un
journal
de modes ; ces auteurs n’entendent rien au portra
* * * Cette réflexion me vient à l’idée à propos du Diogène, petit
journal
qui ne signifie rien, mais qui représente dans la
i ont le bonheur de s’ignorer. * * * Autrement les rédacteurs de ce
journal
sont des hommes charmants qui ont l’air le plus f
st curieuse, nous en reparlerons. * * * Il va se publier un nouveau
journal
: le Philosophe.C’est un journal Curtius qui veut
* * * Il va se publier un nouveau journal : le Philosophe.C’est un
journal
Curtius qui veut se dévouer pour sauver la sociét
e vie. Il manque un Appert pour les vers. * * * La Revue française,
journal
à la confiture de groseilles, publie un Babouinag
ompense en ce monde ! ce sont des vertus ! * * * Les Contemporains,
journal
par M. de Mirecourt. Quand une sauce a déjà servi
de quatre mois, la femme qui fait des vers et qui dirige en outre un
journal
de modes, reçut du directeur de ce journal une le
et qui dirige en outre un journal de modes, reçut du directeur de ce
journal
une lettre dans laquelle on lui disait qu’on crai
raît pas le plus fort, et se laisse cogner. * * * L’Europe artiste,
journal
flatteur, appelle maintenant les danseuses des ém
enant les danseuses des éminentes protagonistes. Les rédacteurs de ce
journal
ne sont pas si maladroits que M. Proudhon. Ils sa
vient un second, il sait à quoi s’en tenir sur tous les deux. Ce même
journal
recommande l’étude de l’anatomie et de la physiol
ns tous, cette dame : c’est l’amie de tous ceux qui écrivent dans les
journaux
. * * * Je n’ai jamais vu mettre les brodequins
beaucoup de succès. * * * Figaro devient décidément une espèce de
journal
d’Anne Radcliffe. Rien de plus effrayant que ces
lle d’Hamlet fût trop pointue. * * * Je ne conçois pas que dans les
journaux
on n’ait pas imaginé une division synthétique bas
endant on pourrait très bien classer les articles d’une revue ou d’un
journal
dans l’ordre d’un dîner. On aurait tout aussi bie
r, jeunes coiffeurs, jeunes commis qui veulent entrer dans les petits
journaux
pour satisfaire leur vanité. Ce catéchisme est fa
n commence pourtant à demander grâce. * * * L’Alliance littéraire,
journal
anglo-français, pour ceux qui ne savent ni l’angl
ement pour cet usage, on la lui met dans l’œil. * * * Le Bon Sens,
journal
audacieusement dix-huitième siècle. * * * On an
u’on les pende ! * * * Je considère le Magasin pittoresque comme un
journal
d’art très important, bien plus important que l’A
fallu que l’audace que vous donne votre jeunesse pour entreprendre un
journal
comme le vôtre. J’ignore si vous en obtiendrez to
obtiendrez toutes les conséquences doctrinales dont la création de ce
journal
peut faire supposer en vous l’espérance ; en tout
pourfendu son rival, quand on est seul à le déblatérer à l’angle d’un
journal
. J’ai cherché à découvrir le fond d’idées de mess
encore en France tellement paradoxales, que la nécessité de fonder un
journal
pour les défendre et les vulgariser ait pu se pré
r intéressant pour les intelligences impartiales de suivre dans votre
journal
le développement de vos idées, et de vous voir ju
fatigue le lecteur. Le dernier roman de M. Champfleury a paru dans le
Journal
pour tous sous le titre de : Misères de la vie do
uement. » Or, j’ai vainement cherché dans les trois numéros de votre
journal
une définition convenable et complète du mot réal
, de légèreté, et même d’esprit : voilà ce que j’ai trouvé dans votre
journal
; cela ne constitue pas un système, mais plutôt u
lamme les générations successives qui jalonnent l’humanité. Lisez les
journaux
de 1830, et vous y voyez le Romantisme, ne se con
s ces qualités m’ont attiré. J’ai alors fondé, sans lui en parler, le
journal
Réalisme, pour exposer une manière de voir qui me
même toute la race « élégante, distinguée et bien élevée » des petits
journaux
. Je suis de ceux que l’avenir n’inquiète pas. 10
ellement besoin d’en trouver le commentaire et l’explication dans son
journal
. Il comprend davantage le style emphatique : le n
aroles, comme si elles étaient un écho, et en effet ouvrez les petits
journaux
que vous ne lisez peut-être pas et vous y ramasse
uis vous faire un aveu : je me suis trouvé tout à coup, en fondant ce
journal
, aux prises avec des idées qui étaient en moi bie
ins ne peuvent voir, et on ne voit pas au bout de son nez. On lit son
journal
d’un bout du jardin à l’autre, c’est vrai ; mais
plus supérieurs à l’homme qu’ils n’ont chez eux ni Bourse, ni petits
journaux
, ni rien qui ressemble à cet orgueil qui nous fai
N. Nouvelles diverses Des jeunes gens ont fondé à Bordeaux un
journal
intitulé En avant ! À l’Opéra-Comique, les chœurs
la littérature qui se fait avec des seaux d’eau. * * * Cinq autres
journaux
littéraires fondés le même jour, dans cette même
es de général, et qui ne portent pas de culottes. À Paris, les petits
journaux
fourmillent de nègres pareils. * * * Du reste,
duquel je n’ai aucun doute. * * * La Gazette des Inconnus, nouveau
journal
. Ces inconnus gagneraient beaucoup à ne pas signe
e. * * * Je me suis fait apprendre par M. Théophile Gautier que son
journal
était artistique et je suis parti avec une grande
ie de lui crier de la porte : Hé ! Gauthier, je suis un réaliste. Ton
journal
n’est déjà pas si fameux pour faire les fiers ! —
tudiants qui, au lieu d’étudier leur droit ou leur médecine, font des
journaux
(ce qui est mal employer l’argent de papa, car en
r exemple. * * * Triboulet, Voix des Écoles, Méphistophélès, etc.,
journaux
de basse-cour, nourris avec l’eau de vaisselle du
La vie et la mort de Réalisme Voici le dernier numéro de notre
journal
. Des circonstances personnelles à quelques-uns de
se défendrait sur l’avant jusqu’à la dernière extrémité. Toutefois le
journal
aura tenu six mois, sans vivres, envers et contre
, et ils ont rempli de lamentations irritées les Revues et les grands
journaux
. Plus il trouve de résistance, plus irrémédiablem
tion passable dans la chronique, on doit débuter dans un petit, petit
journal
; là, on se fait la main, on assouplit ses muscle
de la banlieue à la province, fait fureur pendant quelques jours, les
journaux
en sont pleins ; bientôt l’esprit d’un autre céna
faux tétons. L’esprit se carre, se promène, se cambre dans les petits
journaux
, fait des flonflons assourdissants, tient une pla
its et d’illusions, ils se heurtaient un peu partout. contre tous les
journaux
, contre tous les éditeurs ; de désillusion en dés
s, le journaliste-industriel brûle le chroniqueur pour fumer le petit
journal
. Tous ceux qui se jettent dans ces boutiques s’y
mpagnie », ce n’est cependant pas pour aller dormir. Nous quittons le
journal
, mais non la partie, et certes on nous a plus enc
ttise ou la mauvaise foi des gens : magnétiseurs, feuilletonistes des
journaux
trop catholiques, faiseurs de journaux d’utilité
nétiseurs, feuilletonistes des journaux trop catholiques, faiseurs de
journaux
d’utilité et de charité, francs-maçons, escamoteu
re d’excellentes pièces, enfin capables de réussir. La science et ses
journaux
. — L’architecture, la musique, la sculpture, la g
ion, les professeurs et les cours publics. — Le placement des œuvres,
journaux
et revues. — La librairie, les éditions et les co
s de parler de M. Delécluze, — ou comme on l’a fait récemment dans le
Journal
des Débats, son journal et sa maison depuis quara
uze, — ou comme on l’a fait récemment dans le Journal des Débats, son
journal
et sa maison depuis quarante ans, c’est-à-dire av
arante ans ! a exercé et exerce encore cette sorte de magistrature au
Journal
des Débats ; qui y a défendu les traditions de l’
1827. Or, à cette dernière date, M. Delécluze était critique d’art au
Journal
des Débats, et il eut occasion de parler de ce ta
us les yeux du critique Étienne, appelé à écrire sur les arts dans le
Journal
des Débats ! » Ce sont là de ces étonnements que
pis aller. 22. Par exemple, ayant à parler du grand prix de gravure (
Journal
des Débats du 21 septembre 1854), il dira : « Les
ne un prix quand ils le méritent. » — Faisant le procès, dans le même
journal
(5 octobre 1855), à la peinture d’Overbeck et à s
des descriptions de printemps, de paysages, qui paraissaient dans les
journaux
littéraires d’alors, dans La Muse française ou le
t censure. M. de Latouche rendait compte du Salon de peinture dans le
journal
; à propos d’un dessin d’Isabey, il fit une allus
La censure biffa le passage ; M. de Latouche revint dans la soirée au
journal
, reprit sa phrase et la remit sous-main sans en r
parut que quelques jours après, avec le secours et sous le couvert du
Journal
du commerce. M. de Latouche riait du bon tour et
sait. Il n’avait pas de plus grand plaisir, quand il écrivait dans un
journal
, que d’y faire passer de ces malices cachées, ce
me dit que ce fut à Pont-le-Voy. 47. [NdA] Je lis dans un article du
Journal
de l’Indre du 21 mars 1851, où Μ. E. Périgois cél
avait éveillées auparavant ; l’essaim était déniché. — (Voir dans le
Journal
général de l’Instruction publique, du 17 février
lon cette personne, l’article de M. de Latouche, qui fit supprimer le
journal
, ayant été soumis au censeur le docteur Regnault,
ouche s’est plusieurs fois vanté devant moi d’avoir fait supprimer le
journal
, action qu’il considérait comme l’une des plus be
émoire de M. de Latouche par trois charmants articles insérés dans le
journal
Le Siècle (18, 19 et 20 juillet 1851). C’est ce q
ctures inutiles et fatigantes, qu’il y avait des livres qu’on appelle
journaux
, destinés à recueillir ce qu’il y a de meilleur d
gné bien du dégoût et de la peine. J’ai donc ouvert un des deux cents
journaux
qu’on imprime tous les mois en Europe : ce journa
un des deux cents journaux qu’on imprime tous les mois en Europe : ce
journal
faisait un grand éloge d’un livre nouveau qui ne
Alors, par curiosité seulement, car je ne pouvais plus m’en fier aux
journaux
, j’ai voulu voir ce que les autres journalistes d
mieux ; j’ai vu qu’il n’y avait rien à apprendre dans la lecture des
journaux
, sinon que le journaliste est l’ami ou l’ennemi d
à en aimer quelques-uns, à fuir le reste, et à les craindre tous. Les
journaux
, j’en conviens, disent encore moins vrai que l’hi
ception n’est pas seulement possédée par les brutes du trottoir ou du
journal
, pour lesquelles les hurlements tiennent lieu d’a
même époque, de non moins étranges sentiments : « En lisant, dans les
journaux
, le compte-rendu des imposantes cérémonies du Jub
rit essentiellement français, qui n’ont pas hésité à écrire, dans des
journaux
tels que le Figaro, le Journal et le Temps, les m
i n’ont pas hésité à écrire, dans des journaux tels que le Figaro, le
Journal
et le Temps, les mots de « misère », de « décaden
des Anglo-Saxons. (NdA) 53. Le Figaro, Juin 1897. (NdA) 54. Le
Journal
, 1er juillet 1897. (NdA) 55. Le Temps, 11 juil
xpérimental. (NdA) 57. E. Zola, Le Roman expérimental. (NdA) 58.
Journal
des Débats, 22 novembre 1807. (NdA) 59. A quoi
pour le maintien des regles, l’a porté à solliciter la Rédaction d’un
Journal
Littéraire, & que les Philosophes, si intéres
s défauts & leurs travers, ont eu le crédit de faire supprimer ce
Journal
. On ne peut cependant nier que le Gouvernement ne
umes attentives à rappeler les regles & à proscrire les abus. Les
Journaux
seuls peuvent offrir des ressources sûres pour re
été publiées séparément, à des époques assez distantes, — et dans un
journal
, ce mode de publication inventé par un siècle qui
édiatement après nos défaites, l’étude sur Gœthe fut regardée par les
journaux
allemands de ce temps-là comme une vengeance tard
ur Gœthe un premier mot dont ce livre sera le second. C’était dans un
journal
qui appartenait, d’opinion, au gouvernement d’alo
tériel tombait bien ! Immédiatement justice fut faite, et la porte du
journal
où il écrivait fut fermée à l’auteur de l’article
ey d’Aurevilly avait coupé, il ne sait malheureusement plus dans quel
journal
, cette curieuse note : « Au mois d’octobre 1802,
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